et pleins de fiel. KÂveo cette précaution, le magnétisme, devant la
science
, aura immensément gagné par la retraite de ses pa
epoussé, avait pris l’habitude de se tenir comme en dehors des autres
sciences
, et, affectant des allures mystérieuses, semblait
t des allures mystérieuses, semblait se réfugier dans l'obscurité des
sciences
occultes, ce microcosme v& prendre dans les s
bscurité des sciences occultes, ce microcosme v& prendre dans les
sciences
le rang qui lui appartient, constituer une branch
toute neuve, vient de rendre compte officiellement à l’Acadéinle (les
sciences
d’une opération pendant l’insensibilité magnétiqu
cles, Vidée du magnétisrtifeét^trestéèen--rouîë dànà les ténèbres des
sciences
occultes, ôJjpl’lDiéë par les erreurs de la super
à la terre promise, e’est-îk-dire pour lui faire prendre rang dans la
science
. Vous rassemblez ce peuple autour de vous, et vou
i' un joui' tout nouveau sur le i>eu de valeui' de leui' prétendue
science
. On peut dire à tous : Vous vousvantez de vos a
science. On peut dire à tous : Vous vousvantez de vos arts, de vos
sciences
, de vutre philosophie, de votre religion, vous in
, le casse-tête et le couteau du sauvage. II faut que le niveau des
sciences
morales soit descendu bien bas pour que de nos jo
c ose parler des sommités médicales de nos jours, de ces princes delà
science
moderne? Tous ces bâtards d'Es-culape ne comprenn
onstants, la peur les saisirait, et riicliafaudage de cette prétendue
science
s’écroulerait à l’instant. Ai'rètons-iious ici.
illeurs, je suis moins malheureux que tous ces grands seigneurs de la
science
officielle; quoique non enru-bané, mes sens ont é
spiritistes, les tabulisles et les mé-üîanimites, et le Moniteur des
sciences
médicales et pharmaceutiques devra, par conlre-co
epsie et d’anesthésie du docteur Broca, communiquées à l’Académie des
sciences
par le docteur Velpeau et qui occupent en ce mome
ais il se promet bien de ne plus risquer une expérience, avant que la
science
n’ait dit son dernier mot, Il Qu’on se figure,
tenir de grands résultats en appelant â l'aide du magnétisme la belle
science
que Gall et Spurzheim nous ont léguée, je me mis
gie et ne laisse cependant pas que de réussir, pourquoi appeler cette
science
et l’aid^du magnétisme, lorsque celui-ci, seul, a
nt tout ,ce qui. lui.ppiaissait propre à f?^vori8er lté progrès de la
science
. Sa loyauié, sa franciiisé, ses ëxcellërt-tes qua
démarche, répondre aux niagnétistes qui pensaient que l'avenir de la
science
magnétique me touchait fort peu. Je n’attendais p
n loin derrière lui l’électricié et le galvanisme ; comme principe de
science
morale, nos connaissances actuelles n’ont rien de
otre oncle, de glorieuse mémoire, sur celle de la vapeur. oSiRE, la
science
de nos jours s’est faite industvie. Imprimez-lui
erment qu'tmepe-tite partie de ce que j’ai fait pour l'avancement des
sciences
. Je n’ai jamais sollicité d’aucun pouvoir la moin
ences tirées des phénomènes nouveaux. S'ils sont vrais, il y a là une
science
nouvelle, une croyance au spiritualisme susceptib
s souvent intervenir moi-même là où l’explication me manque, là où la
science
me fail défaut. Est-ce à dire que la bonté de D
. Ils redoutent d’ouvrir trop largement la carrière aux partisans des
sciences
occultes, et de fournir un aliment nouveau à îa p
osée, et, puisque le public en a été saisi, on doit au public et à la
science
de ne pas abandonner un problème si intéressant à
liative qu’elle avait su prendre ici. D’un autre côté, l’Académie des
sciences
est restée muette, depuis un mois, sur ce même su
omettre aucun intérêt, et ne saurait tourner qu'à Tavant^e commun des
sciences
, de la morale et de la philosophie. Mais les ac
e tout k fait des obiiesseurs niagDôliques. 11 est important que la
science
rcchcrclic ce qu’il peut y avoir de vrai dans ces
e rattache au ma- gnétisme dont il était adversaire déclaré, et au*
sciences
occultes dont il passait pour ne pas faire grand
s recherches que nous avons intention d'utiliser dans l’intérêt de la
science
. A. S. Moni». L’article de M. Morin que nous
NOTIGE SUR VALENTIN GREATRAKES. Tandis que nos princes de la
science
s’amusent aux baga-telks dé la porte et se montre
nstant. Ici, c’est bien évidemment la nature qui guérit le malade, la
science
du magnétiste y est pour peu de chose, c’est le p
MADAME B’**. ■.Vous me demandez, Madame, des renseignements sur une
science
dont le nom, passablement étrange, Xhypnotisme, e
tisme, est arrivé jusqu’à votre oreille. L’hypnotisme n'est point une
science
, comme vous paraissez le croire ; c’est tout simp
s plus réputùs, M. Velpeau, est venu proclamer en pleine Académie des
sciences
la possiWIilé !e produire chez l'honnue un étal d
ifs que j’aurai l’honneur de vous exposer dans une antre lettre. La
science
a constató que, dans riiypnotiame, la sensibilité
décembre dernier, M. Velpeau est venu exposer devant l’Acadétnie des
sciences
les résultats de l'hypnotisme. Cl Les médecins
onnaître sommairement la série d’ÎDcidents & la suite desquels la
science
officielle, qui depuis un siècle avait constammen
e la déraison poussée à sa plusliauie puissance? Mallieureuso-ment la
science
, trop souvent, ne se borne pas à douter des faits
s faits dont l'explication absolue et complèle peut être donnée parla
science
, il y aurait ken jîeu de vérités admissibles ; ca
és admissibles ; car pai'uii les faits les pliis simples, ceux que la
science
humaine explique couiplétemént sé réduisent k bie
nière la plus sérieuse l'atteution et les études des vrais amis de la
science
. « Non, je ne crois pas au surnaturel ; seuleme
es de leu'r imàginàlioii éiallé'è. d'iiütres.unpeu plus amateurs de
sciences
physiques, IjÜi ont, sinon des connaissances soli
s que subversive de tous les principes admis par tous les liomnies de
science
. D'autres, ayant réellement des connaissances s
La source ¡Dcertaine à laquelle ils ont copieusemeat puisé toute leur
science
, et qui fait, à juste litre, toute leur gloire, n
ui, nous étions dans l’erreur; nous marchions dans les ténèbres ; une
science
nouvelle va dorénavant guider nos pas chancelants
examen, ce qu’elles ne peuvent comprendre. Tout dans le domaine de la
science
n’a-t-il pas paru impossible au com-mencemenl? Le
i pénètre dans le monde. Voulant sans doute imiter les sommités de la
science
, ils jappent contre les novateurs. Jamais leurs m
rien ? Quel mal, à la (in, peuvent vous faire les apôtres de cette
science
nouvelle qui vous effraye tant, et contre laquell
cornpte du basard. Personne ne le peut sans doute, car quelle est la
science
qui peut noua initier dans tant de mystères, si c
ssus de nos lêtes, leur paraissent des chimères, par cela sml que ces
sciences
dépa-ssont la portée de loijr intelligence. Les m
la matière seiih' existe , et (fue ce serait une folie dc prôner une
science
qui s’occupe de choses aussi al>surdcs et auss
e plus hautes destinées. Tout concourt à prouver aujourd’hui que la
science
magnétique n’est point une chimère. Ne prononçons
es armes, mais p^r J’iptelljgencc, ^profondis-sait mieux que nous les
sciences
et les arts. Les étonnants phénomèoes de l’élec
ont renversé des empires, malgré cela, dis-je, quelques monuments de
sciences
et d’ai't sont là pour attester que les Grecs non
onnaissaient le magnétisme animal, mais qu’ils l'ont étudié comme une
science
distincte, cl qu’ils ar-rivèreutàune perfection q
rlé de ceux-ci, on aurait trouvé, dans nos écoles d'autres modèles de
science
et de philosophie. Eh bien, si tant de génies i
s, pourquoi n'en serait-il pas de même de ceux qui se sont occupés de
sciences
occultes? Et comment expliquerions-nous la guér
ès, ceux de l’antre de Trophonius, nous révèlent aujourd’hui toute la
science
des hiérophantes qui, croyant réellement en Dieu,
s, ne repousseront point le magnétisme, car ils trouveront dans cette
science
assez de consolation pour être aussi beaucoup plu
le magnétisme. Vous craignez le merveilleux parce qu’il éloigne de là
science
positive dont vous êtes un des plüs solides repré
t rectifier ses erreurs. J ai dans uu autre temps lu l'Académie des
sciences
, un petit mémoire dont la copie est jointe k cett
s de cettp époque se prononcèrent sur cette question ; l'Académie des
sciences
, l’Académie de médecine, furent appelées à examin
en France ; on eut alors d’autres intérêts à défendre que ceux de la
science
, f^es partisans de la doctrine de Me?mer et ceux
furent forcés par les circonstances de suspendre leurs travatix ; la
science
fut exilée pour un instant, mais cet instant appo
t les moyens d'arriver à ce but. Mais, par une anomalie rare dans les
sciences
, ce fut chez les gens qui, par état et pw positio
emblent admettre l’existence d’un fluide nerveux, et enfin enrichi la
science
d’une découverte dont l’importance est au-dessus
refuser d’examiner ? Tel était le mémoire que je lusàl’Académie des
sciences
, le 8 août 1836. DON DE GUÊRlRi — EXEBCtCE ILLÉ
Use qui ne voulut jamais, et sous peine des bûchera, peimetti'e il la
science
vraie de s’établir. Oui, nous convienilrons san
ute, l’éloigiiement et qualquefoii^ le méprjs. J’aj l’eSRfiir ([ue la
science
vraie revivra, et c’est ce qui îne soutient daiif
les sanctuaires de la superstition, Depuis deux cents ans peine, les
sciences
s’efforcent de se dégager des latigcs du fanatism
tracé ici un rapide historique des phénomènes qui ont été l’objet des
sciences
occultes ou hermétiques. Il nous a montré ces fai
professeurs (1 qui ont eu le mérite de faire taire les préjugés de la
science
I u gloire aux enfants perdus du progrès qui, plu
indrir pour passer sous le niveau des théories scientifiques, mais la
science
qui doit élever son point de vue jusqu'à ce qu'eU
ur nous, qu’un phénomène expliqué et classé dans cette division de la
science
qui porte le nom de météorologie. C'est ainsi que
que le docteur Philips s’est consacré, mais il a poussé si loin cette
science
, qu’il se l’est en quelque sorte appropriée. Il e
mmeil nen'eux. En faisant connaître ces phénomènes à l’Académie des
sciences
, AI. Velpeau les a accompagnés du récit de plusie
orum, etc. L’ouvrage lui-même , qui est précieux pour l’iiistoire des
sciences
, n’existe ni à la Bibliolhèque impériale, ni dans
de Ja fausse route qu’ils ont suivie et du tort qu iis ont fait à la
science
. J’espère m’être créé de nombreux défenseurs et
j’entends parce mot des Œuvres au-dessus de celles que peut opérer la
science
avec l’emploi des innombrables moyens à sa dispos
la peine do róflóchu-, ils verront que là esile poiut de départ de la
science
nouvelle, cai‘ déjà ce n’est plus l’action de la
etbrise sonvent notre machine? Oui, là est le seeret de l’avenir des
sciences
; la raison du savant de notjre tempe, dit non, m
aître ; en nous, le rudiment parfait de toute la création. Oh [ vos
sciences
morales me laissent dans le doute, je rêve autre
t un jour l’humanité sera surprise et beurense de retrouver toute une
science
acquise et reniée par les gens auxquels on a ai l
t de faire briller la vérité. u Le magnétisme est, comme toutes les
sciences
nouvelles, soumis comme le novateur au milieu soc
ire profiter le public des observations que l’exercice de cette vaste
science
leur a permis de recueillir ; c’est pourquoi je v
nature devait être la consultation t je savais le vieomte amateur des
sciences
occultes, et j'attribuais sa démarche à la curios
disions tout ce que nous avons vu, culaferait uiw Wvoiufion dans le«
sciences
et surtout lians fart de guérir; nous ne devons p
lisme Itirard, t* anntc. liarrassent ilnutant plus les juges que la
science
oITiclelle s'obstine h ne pas reconnaître co nouv
é du désespoir de ses insuccès î En astronomie, la plus avancée des
sciences
, lorsqu'on prédit Tkeure, ïa mmuie, la seconde à
de toute doctrine, aotre la loi religieuse et la loi civile, entre la
science
et l’art. S'il en est autrement, c'est qu’il y a
t la réalité est incontestable, le magnétisme cherche À ee constituer
science
, et il n'y ]>eut parvenir. Tandis que les acad
plaintes à l’égard de ces faits, elle se trouve en opposition avec la
science
, carl’unc constate la réalité de ce que l’autre n
n du magnétis'iie une lacune k combler. Il faut, d'une part, que la
science
reconnaisse les faits et leur donne une causalité
is, l’harmonie doit régner entre les principes et les faits, entre la
science
et la loi. Convaincu «le la vérité du magnétism
isme, forçant, avec la voix publique, les académies à reconnaître une
science
et un art dont elles ne soupçonnent encore ni la
ns, que les anciens leur ont transmis : il ne fauy|i^t oublia que les
sciences
occultes nous viennent de l’Cr^i.1^ 0 S PIC E N
ait nécessaire d'établir une division; mais, dans l’état actuel de la
science
, c'est bien difficile de circonscrire la part à a
e, vous aurez pour vous la ti adi-tion : la foi est tout opposée à la
science
, car elle ne demande point de preuves ; votre pèr
e âme tranquille et quiète ne vous porte point vers les régions de la
science
où le génie ne suffit pas seul. Croyez-moi, la gl
& opérer des pas&es. Alors ce moyen curatif se transforma en
science
. Les hommes moins bien doués, mais pui's, obsei'v
on n’en voit guère, une marée comme on n’en voitn^. Le$ calçul^ de la
science
ont été dérangés par un vent léger venant Ton ne
étisme pur, ou plutôt aux sensations que produit la pratique de cette
science
; elle se rattache à un ordre de faits que vous av
ée son ami M. Manlius Salles, directeur de la Revue contemporaine des
Sciences
occultes et naturelles, avait invité une dizaine
tous ceux de nos concitoyens qui désireront étudier cette branche des
sciences
naturelies. HYPNOTISME. DERNIÈRE CONFÉRENCE D
iitla vigilance de scs gardiens, orl pinétré dans le sanctuaire de la
science
, se sont installés à ses cftt:-s et partagent ave
nt imputables à notre ignorance ou à la perversion de nos désirs ; la
science
et la société nous font jouir des seconds. B La
le, allait découvrir là une sûre garantie d'impuuité! (‘J'adjure la
science
, eten particulier la n)édecine que'cette question
e sans cesse àdémolir, pierreà pierre, l'éphémère édifice, c’est à la
science
d’éleversur les fondements éternels de l'expérien
arrière en ne suivant point les sentiers Ijattus : quand il s’agit de
sciences
, la peine est infinie. Arracher des ronces et des
bles, l’homme y réussirait ; tout cela ne sort point du domaine de la
science
et n’est pas au-dessus du courage de l’homme réso
s qu’anxieusement la désolée écoute les Énigmes palhologitjiies do la
science
officielle où il ne discernera que menaces à conj
harmaceutiques jusqu'à l'eau des docies fontaine)) ou se désaltéré la
science
oflicielle ! Le Désir, toute la médecine spiritue
ne. » TRIBUNAUX. Le magnétisme peut-il eQlin être rangé parmi les
sciences
vraies et les arts utiles à rbumanité? Ne serait-
La religion n'a su rien nous dire de certain sur la vie à venir el la
science
se tait. Le magnétisme donne, sur ce sujet, des d
aisissantes et remplies d’espérances, mais nous avons beau appeler la
science
à l'étude du principe mystérieux qui nous anime,
concentration des forces obtenues par des préceptes de religion. La
science
ofTicielle avait un mot qui expliquait tout, elle
me si les éclaira sublimes qui leur traversent 1 âme, y déposaient la
science
universelle et la perfection absolue. Dans les in
ment dit. J'ai étudié cette question uniquement au point de vue de la
science
. En d'autres termes, je me suis occupé spécialeme
. Chaque fois que j’ai eu affaire à des personnes non initiées à la
science
du mesmérisme, à des curieux, à des sceptiques, j
Mesmer qui ont écrit sur ce sujet jusqu’à ce jour. Quand il s’agit de
science
, les faits les plus simples prouvent plus que les
s rien, enfin, pour vulgariser, autant qu’il est en notre pouvoir, la
science
admirable que nous a léguée Uesmer. J’ose espér
dans leur esprit une fausse idée non-seulement sur la véracité de la
science
, mais encore sur la bonne foi de la somuarabiile,
le pas au monde entier et ofi brille de mille clartés le soleil de la
science
. La fièvre vous prendra, puis votre raison revenu
le magnétisme est une grande vérité qui changera un jour la face des
sciences
. Dans la circonstance qui nous occupe, il faut
enscR connaissances en faisment un homme extraordinaii'e; il avait la
science
de Mesmer, le talent d’Esculape, et pouvait même
ectricité vitale. Son article n'étant pas entièrement en faveur de la
science
dont nous avons l’honneur d’être partisan, nous n
les savants seuls connaissent, la fluctuation des opinions sur cette
science
, l'ont empêché jusqu’aujourd’hui d’en faire son é
l est vrai alors que, dans les mains impures de ces malheureux, cette
science
perd toute son auréole divine et devient réelleme
s merveilles de la nature, ils doivent, au nom de riiumanité et dc la
science
, consacrer leur vie à en prouver l’utilité. Aucun
l'encens à leur autel. n en est ainsi du magnétisme animal. Jamais
science
n’eut à essuyer plus d'amères déceptions, mais au
s science n’eut à essuyer plus d'amères déceptions, mais aussi jamais
science
n'aura une plus éclatante victoire. En vain veut-
les faits dont l'explication peut, plus on moins, être donnée par la
science
, c’est assigner des bornes à la ruisoii buinainti
domaine l’immensité, elle brise d'une main ferme les entraves que la
science
positive veut lui opposer. C.clui ù qui la natu
ela ne.sont nullement coupables ; les progrès qu’ils l’ont dans cette
science
vont lentement, car ils sont peu nonkbreux pour l
sont coupables, car, s’ils avaient depuis longlfiinps embrassé cette
science
, ils noüs auraient secondé par leurs lu-mièi'es,
somnambulisme, voilà la pierre de touche, voilà ce que les hommes de
science
ont toujours négligé. Comment donc des personnes
ont été observés par tous les peuples. Hippocrate, le coryphée de la
science
médicale, a, bien avant nous, résumé les prescrip
ptiens, ainsi que cbez toutes les nations de l’antiquité, la magie ou
science
occulte était basée sur le magnétisme animal. Ell
al, dont la lecture m’inspira le plus vif désir d’être initié à cette
science
, à ses prodiges. Ce désir augmenta bientôt quand
té témoin d’aucune expérience magnétique, à la pratique de la sublime
science
de Mesmer. A mesure que j’expérimentais, je me co
de la voir, el d’observer cette maladie complètement inconnue dans la
science
, et dont la cause, quoiqoe déterminée, ne peut fa
gnés sous le nom de magnéllsine animal constituent-ils réellement une
science
exacte? — Je répondrai affirmativement. Qu’en
ence exacte? — Je répondrai affirmativement. Qu’entend-on par une
science
exacte? — Une série de faits matériels, de phén
te a8ser- tion. Lorsqu’on cherche à pénétrer dans les arcanes de la
science
, on est sui'pris de la simplicité des moyens qu’e
ltode inconnu qui a éctiappé jusqu’à ce jour aux investigations de la
science
. D'un autre côté, M. Zantedesclii affirme posit
déplacer le fluide et à le diriger avec méthode, tel est le but de la
science
du magnétisme animal. Cette science a sa place ma
vec méthode, tel est le but de la science du magnétisme animal. Cette
science
a sa place marquée entre la physique et la biolog
nné lieu à l’eiTeur que j’ai cru devoir relever, dans l'intérêt de la
science
qui nous occupe. 5” Les brns el les doigts sont
iscutera, c'est à qui en dissertera le plus savamment. Que dis-je? La
science
officielle n’en est-elle pas saisie ? car sous la
que je les analyse : « Je n’ai point étudié le n>agné-tisme comme
science
, dit-il dans un des derniers numéros de son journ
roit d’affirmer qu’en présence de tant de témoignages en faveur de la
science
nouvelle, en présence des discussions du monde sa
e à la Faculté de médecine, et l’autre au sein môme de Y Académie des
sciences
, sous la garantie et la responsabihté des Bailly,
ules. Ce mélange représentait toutes les nuances qui caractérisent la
science
magnétique par des divergences et des sentiments
nisme humain et de guérir ses affections diverses ; là, des hommes de
science
qui croient y voir la synthèse de tout ce qui exi
us faisons la guerre à l'ignorance et aux préjugés de notre temps. La
science
officielle refuse de nous reconnaître ; les savan
où l'on n’osait avouer sa croyance, où l’oo cachait la vérité, car la
science
officielle, par ses sarcasmes, ses mensonges, ses
umanité nous doit un moyen puissant de diminuer ses souffrances, et U
science
nous devra le pltu bienfaisant des agents. « Da
t à leur nature, retourner au doute que d’avancer vers la vérité ? La
science
demude des coaviC' tione, beaucoup ne sauraient e
ière qui sera un jouf glorieusement placée dans le temple de la vraie
science
. « Donnons l’exemple de la concorde, car qu’imp
l'hypnotisme drat il est l'un des héros. A LA CONSTITUTION DE LA
SCIENCE
DU MERVEILLEUX I La découverte de Mesmer appart
ser un toast & l'union des écoles magnétiques et à l’alliance des
sciences
avec le magnétisme. (Applaudissements prolongés.)
et se fassent même opposés. Le magnétisme, Messieurs, est la grande
science
, c’est la science des sciences ; le mi^néiisme a
opposés. Le magnétisme, Messieurs, est la grande science, c’est la
science
des sciences ; le mi^néiisme a des rapports avec
Le magnétisme, Messieurs, est la grande science, c’est la science des
sciences
; le mi^néiisme a des rapports avec la physique p
magnétisme doivent tontes se concentrer vers la grande synthèse de la
science
de l'homme. Voilà pourquoi je vous engage à por
disseoiêDls unanimes et prolongés.) J’ai dit aussi à l'Alliance des
sciences
et du magnétisme ! Oui, Messieurs, cai' le magnét
essieurs, cai' le magnétisme a les rapports les plus étroits avec les
sciences
, Je viens de signaler ses rapports avec la physiq
vaise foi, il restera encore une immense vérité. D’un autre côté, les
sciences
ont pour base de grandes vérités, il est donc imp
il est donc impossible que des vérités qui convergent au même but, la
science
de l’homme, restent toujours opposées, l'aliiaDce
j’euai le pressentiment et la certitude, nous verrons l’alliance des
sciences
avec le magnétisme. (Applaudissements réitérés.)
sonnant du clairon. Tonton, Iontaine, tonton. Dans le séoat de la
science
. Arrive, enfin, le nourrisson, Tonton, tonton
jugM des lumières de ces mcssieure. Si donc tous les efforts de la
science
ont un résultat aussi négatif dans notre société
eut manquer de plaire aux magnétistes, car ils y trouveront esprit et
science
. Le voici : LES PROPHÈTES ET LES MÉDIUMS. AIL
igne de polichinelle. Ne Toit-on pas tous les jours Huer l'homme de
science
* Uui commet l'inconséquence D'expliquer quelqu
, lisez: Luidonne espoir à r&me. COMMUNICATION A L’ACADÉMIE DES
SCIENCES
. CATA1EP5IE, PARUYSIE, LÉTH&BGIE (1). La
(1) Celle nolico InMresMDle vient d'élre adre»sée i l'Académie des
sciences
de Paris, par notre savant collalnrateur M. Jebar
ient corroborer ceux cités plus haut. Les explicatioRs que donne la
science
sont sans aucune valeur, nos médecins ne connaiss
déconsidérer leur art menteur. Un temps viendra où les princes de la
science
du jour sentiront la rougeur monter àleur front l
ive qu’on appelle magnétisme? — Et les lois sont protectrices de la
science
menteuse des écoles, et elles accordent aux minis
cience menteuse des écoles, et elles accordent aux ministres de cette
science
le droit terrible de vie et de mort I.... Ab I no
itent. Affirmer que ces sublhnes envoyés de Dieu puisèrent toute leur
science
dans les secrets des temples de l’Egypte, de l'In
me par trop grand que de faire vivre uiie héritière immédiate do la
science
destlruides au temps de Louis XI : l’accouplement
t imaginer uo persontiage qui, rempli de l’esprit divin ou doué de la
science
des mages, eût été iinmolé aux passions de queU q
ce. Aujourd’hui il est très-bien et très-fort, et très-partisan de la
science
qui lui a rendu santé et bonheur. u Pendant mon
remière commu-nicîitlon el Je vif désir qui m’anime d’être utile à la
science
et à i’humauité , me portent à vous adresser la s
par la fermeté de sadireçUon, a tant contribué à l'édification d’une
science
destinée, selon ce qu’il semble, à occuper le ral
Pour moi, je remercie la Providence de m’avoir fait connaître cette
science
sublime avec laquelle nous pouvons faire tant de
avec laquelle nous pouvons faire tant de bien à nos semblables; cette
science
qui nous donne le moyen de soulager les douleurs
goûter, qne je songe & l’admirable pouvoir que nous révèle cette
science
. mon esprit s'élève vers les régions célestes,
btenait par le magnétisme animal ; mais n'ayant point été initié à la
science
subUii» de Mesmer, j'étais peu disposé k croire à
île leurs patientes observations et de leur expérience. Les hommes de
science
émettront jeurs avis, hasarderont quelques vues g
nt rapportés par mille sources diverses. Ils finiront pir 'asseoir la
science
sur des bases solides, grâce à leurs ihcessàfites
rs laquelle tendent toutes les inielligences, auront bien mérité delà
science
, de la patrie et de l’humanité. La science, qne
auront bien mérité delà science, de la patrie et de l’humanité. La
science
, qnelle qu’elle soit, n’est l'œuvre, ni d’un seul
que la perfectibilité est de l'esseoce de l'esprit humain. Toutes les
sciences
sont sœurs, toutes se touchent et se donnent la m
ague et obscur lointain. Circonscrire (!) l'horizon de chacune de ces
sciences
, préciser les points extrêmes où la vue, sous pei
eux champions de la scienc«, que la consolante pensée que bien peu de
sciences
, à leur berceau, ont été pures de tout alliage,
ne se méprciioe pas sur ma pcnsic. Loin do moi l’Idéa d'eul-miter la
science
& )a mallire qu’on piic. qu'on mr$ure, qu'OD
éronce de l'Académie, dans un débat si grave, rejetait avec mépris la
science
nouvelle. On ourdis> sait contre elle la consp
uoi, dès son enfance, le magnétisme a-t-il trouvé parmi les hommes de
science
tant de détracteurs? Parce qu'il n'a pas eu l’In.
’un procès de tendance que j’ai voulu faire. Il ne faut pas, dans les
sciences
surtout, confondre le but et le moyen. Il ne faut
genres d’iostruction, en multipliant les écoles, en encourageant les
sciences
, les arts et la littératui e, et sui tout en prat
nt, de plus hardi et de plus ex*-traordinalre contre l’Académie el la
science
morte officielle. Le style en est brûlant comme î
nt, homme de mon âge et s’occupant, par goût, d’études du domaine des
sciences
naturelles. Je vous garantis d’avance, dis-je,
le du charlatanisme de quelques individus qui ont su, au nom de cette
science
, tromjwr la bonne foi des Brésiliens. Si notre
procher d’avoir commis une erreui’ impardonnable en ayant reconnu une
science
qui ne peut ou ne doit pas exister?... Je suis
elte Académie témoigne si loyalement sa conviction en faveur de notre
science
, il arrive ici chez les médecins précisément l’op
droit de ne pas y croire, ridiculise et insulte les adeptes de cette
science
! le petit nombre d’entre eux qui a la foi, et qui
celles que nous avons en Europe, afm que, par leur dévouement à cette
science
et par des expériences répétées, ils puissent alo
ns en plus demandé pour aller au secours des malades condamnés par la
science
médicale. Quelques personnes très-respectables m’
promettre par moi seul un ouvrage scientifique à la hauteur de notre
science
. Mon but n'est que de généraliser par ma part de
vons au zèle et aux expériences continuelles de nos sociétés. Toute
science
doit être basée sur des faits, mais les faits seu
ée sur des faits, mais les faits seuls, dit-on, ne constituent pas la
science
qui ue doit naître que de la coordination et de l
la nalure, qu’il a délivré et ne délivre son ouvrage. Principes de la
science
occulte, qne sur engagement de ne le laisser lire
rages n’existaient pas, ces coimaissances seraient perdues pour notre
science
? Le passé nous prouve le contraire, puisque ces
toute discussion puMique sar la déduction logique des faits de notre
science
occulte. La seule publicité constante et générali
base inébranlable au trône scieniiiì(^ue le cette grande reine tles
sciences
? Est-ce que ces espèces de princes de la science
grande reine tles sciences ? Est-ce que ces espèces de princes de la
science
médicale, molécules animales si nuisibles à rijum
, pourquoi donc s'en servent-ils, pourquoi l’ont-ils admise dans leur
science
î... De quel droit ad-mettent-ilsrélectricitéet r
ujours été considéré, depuis le tempsde Mesmer, par les auteura de la
science
médicale comme un système de médecine, dite médec
s mes-inôrien tient de l'hérésie plutôt que de l'errem' en matière de
science
. Ce n’est pas que nous voulions ici attribuer ni
e magnétisme est bien plus une question de foi ap(>stolique qu’une
science
faite et positivement formulée dont les théorèmes
ayons formulé le Credo de la foi nouvelle et que les linéaments delà
science
véritableet définitive soientnettement détemioés,
de médecins, el de nos instituts; mais tous ces grands princes de la
science
s'inclineront un jour devant les vérités révélées
e la science s'inclineront un jour devant les vérités révélées par la
science
magnétique, et alors peut-être une croyance génér
glit, mou iiurOpicle malade voulut nbso-Inmeui, pour l’hoiuieur de la
science
, maichcr de Kyde au bateau, ce cjiii ne l’einpècb
ive. Son conienlemeut n’est égalé que par sa reconnaissance pour la
science
à laquelle elle doit son bien-être actuel, bien-ê
toujours pour assurer la marche, la propagation de notre merveilleuse
science
. Pendant mon séjour au château, au sein de celt
Vendredi 13 juillet 1800. POLÉMIQUE. Tandis que l’Académie des
sciences
s’occupe gravement de recherches ayant pour objet
’avance, et jaloux de s’affranchir du préjugé, s’appelàt-il religion,
science
ou philosophie ; je le demande aux rares exceptio
us, etc. » K Depuis ceni quatre ans (6), le matérialisme dottdne la
science
par ks ressorts inférieurs de l'intelligence de l
. u CiNNDS, envoyé par Dieu pour spiri-tualisfr plus (Tun siècle de
science
matérialisle. » » In carerem, domine, tuœ aqux
umes de la presse scienti-lique; son nom ne fait pas autorité dans la
science
, mais il est très-capable de rendre et i] a tiéjà
grand fait qu’un homme qui, par état, s’est consacré à écrire sur la
science
, ait publié un ouvrage volumineux sur un sujet qu
sur la science, ait publié un ouvrage volumineux sur un sujet que la
science
officielle a toujours repoussé (2). Bien que cet
nétique. Quelle lumière jetée sur la question ! La belle chose que la
science
I dirait Molière. Plus loin, p. 369 : H Ce qui
de réfléchir, peut-il supposer qu’un auteur, habitué aux choses de la
science
, qui a depuis longtemps fait ses preuves, non-seu
e pas les effaroucher, else fiant àla logique d’esprits habitués à la
science
, il a cru pmdent de ne pas heurter de front des p
cieux don de la Divinité, qui peut, nieux connu, changer la face des.
sciences
et de l’humanité. IH. Warlomont indique la voie q
0, j un chaos immense de dieux, de morales et d’interprétations: la
science
est plus sévère, et la base qui lui sert d’appui
, si, comme je l’espère, vous le jugez de nature á faire progesser la
science
. « Ce qni m’a surtout détermiDé & récrire,
ide magnétique. Cl) ces termes : « Si iloiic tous les eiïoils de la
science
ont un résultat aussi négatif' dans notre Société
mènes de la nature, donne à l’homme un puissant moyen pour fonder les
sciences
, pour avancer du connu àl'inconnu ; car dès qu’il
ux chimères d’un mysticisme puéril qui n’est que la négation de toute
science
. Encore quelques observations et je finis : 1
voici un fiàtf'Cifiililique. » Louis Fi.eüry. (Journal du Progris dea
sciences
midicalfs.) Gardez-vous d'un tel progrès ! crie
Gardez-vous d'un tel progrès ! crieriez-vous à ses Iccteurs. Quelle
science
édiliante ! Elle constate... ce qui n’est pas : i
t rien, excepté l’art de guérir. « Si l'une de nos théories était« La
Science
... La grande Science !« comme s’enamourent «i l
de guérir. « Si l'une de nos théories était« La Science... La grande
Science
!« comme s’enamourent «i l’exclamcr de faciles
e sa compétence ; • On demande si la Philosophie Hermétique est une
science
, un art, un pur être de raison. Le préjugé tient
statue de Memnon une machine physiomathématique, etc. Car, toutes Içs
sciences
que nous connaissons, jusqu'à l'étude du ciel et
et les découvertes que nous faisons, taudis que, dans l'antiquité, la
science
s'enfouissait dans les temples comme un trésor ca
partie souvent frappée de mort. Beaucoup de malades condamnés par la
science
, abandonnés également par la nature, ont déjà été
nt point dans les puissances physiques, dans les forces mortes que la
science
a pu s’asservir, il va droit au ciel, parce qu’il
onnages nous paraissent si supéi-ieures à celles de nos princes de la
science
actuelle et de tous nos philosophes, nous voyons
st-il point scandaleux aujourd’hui dc voir des gens étrangers à toute
science
des écoles, à toute étude médicale, exercer un po
définis avec précision, il s’élè\ era aus-H sitôt à la hauteur d’une
science
qui ne sera plus contnstée «par personne, parce q
iquera-t-il le génie et l’iuspiration? Comment expliquer&'t-il la
science
mathématique du pâtre Mondeux, la science astrono
ment expliquer&'t-il la science mathématique du pâtre Mondeux, la
science
astronomique du pâtre deFergusson, le talent de p
un rationaliste, à peine impressionnable , dea aptitudes et même des
sciences
qui ne peuvent s’acquérir qu'après de longues étu
ux chimères d’un mysticisme puéril qui n’est que la négation de toute
science
. C'est dire ; Perniettez-moi de rouler le magné
ai dit ceci : « Lorsqu’on cherche à pénétrer dans les arcanes de la
science
, on est surpris de voir la simplicité des moyens
lion newtonienne. Et voià comme les savants officiels élucident les
sciences
. 0 aberration de l'esprit humain ! à pathos ! M
ont et je vais m'occuper tout particulièrement de ce qui a trait à la
science
du magnétisme animal. Avant d’aborder directeme
ivains traitent du magnétisme animal sans avoir jamais;jr/7/i9w'cette
science
; Ton sait cependant que la pratique en magnétisme
ur que je vais réfuter péremptoirement. Le magnétisme constitue une
science
méthodique, exacte. Connaissant le degré d’impres
été témoin de ce fait, non plus que de tout ce qui se rapportait à la
science
magnétique, j’hésitai à le croire, mais depuis, q
ques allaieiil en au^nifiilaiil, et comme mon expérit iico dans celle
science
merveilleuse élait nulle ou à pou piès, jo lui fa
t regrettables et funestes 1 Elles tendent bien plus à étouffer cette
science
si merveilleuse et pleine d'encliantements, qu’à
fondamentales de la religion, lisez : les idées [ondamen-lalet de la
science
. (!) Niius on a\iiMS rendu conipt*; nous-tusinn
annihilent et laissent les forces uiiitérielles sans contre-poids. La
science
devrait être un poxivoir; elle devrait éclairer l
mployant seulement ma pensée et mes mains. On appelle princes de la
science
nos savants les plus avancés ; mais ce sont des e
s qui espèrent voir le magnétisme sortir de ses langes et devenir une
science
pendant la vie de la génération présente, s’abuse
ie; « Pensant avec raison que toutes les connaissances humaines,les
sciences
, les doctrines, voire même les systèmes, sont tri
ombent toutes plus ou moins à la médecine. « La philosopliie est la
science
dc la raison souveraine; elle remoiiic aux Hébreu
lchimistes ne s’efforçaient-ils que de continuer les traditions d’une
science
mystérieuse qui rattacherait les études du moyen
’une science mystérieuse qui rattacherait les études du moyen âge aux
sciences
sacrées des plus vieilles civilisations : ainsi,
ces naturelles par la puissance du saint nom de Dieu, branche de leur
science
qu’ils appelaient la Gématrie, et qui a été conda
été condamnée par la loi divine. « La magie est la connaissance des
sciences
naturelles portées à leur plus haute puissance ;
qu'il voit, examine, analyse et compare les arrêts des princes de nos
sciences
, et les phénomènes qui se sont produits, qui se r
ites, au risque de reparaître un émissaire (le t la négation dc toute
science
(2), » je continue mes recherches de quelques cla
point. Ou je m’abuse beaucoup, ou, loin de rire de nos efforts, la
science
devrait y renouer la filiation pérennéenne, l’éti
e carrément par l'un des membres les plus illustres de l’Académie des
sciences
, et, cet été, M. IJahinet, s'adressant k i’Assocù
tude éphémère et des crépuscules d’autres horizons? Prenez garde ! la
science
est-«lle si vaste et .;i solide aujourd’hui, que,
n’est qu’à ce prix. Que voulez- (1) « On a défini la ihéologie, la
science
de Dieu émanée de Dieu; la philosophie, la «cienc
irationstoutbumainos....En second lieu, la philosoiiliin n'tel pas la
science
de l'e=pi it humain émanée de lui-inèmc : c'est l
urnaturel, lrèt-déf(ctufu$e elte-mOiiie, n’appartienl qu’à un état de
science
élémcnUiire. Pmir la science alisoluc, p»ur celle
lte-mOiiie, n’appartienl qu’à un état de science élémcnUiire. Pmir la
science
alisoluc, p»ur celle de liieu, IL n'est rie> d
uel et le malcricl........ u l.a philBSnphie dc la religion est une
science
aussi simple, aussi naturelle que la phiUisophie
, la philosophie de la religion n'est ni une élude sans frein, ni une
science
ulopique. KUe est la fui des esprits les plus ter
malgré ses répulsions, nous avons les fondements cosmogoniques de la
science
oillclelle, aussi bleu que nou; pouvons invoquer
e rebus. » teilee de Platon el ile Philon. Tout lo monde connaît la
science
et l’élé-\alion, l'allure et les prédilections pl
la faiblesse : mais que lea |)remieî's d’entre les poursuivants de la
science
croient s’abaisser des relatiuns intimes et de fo
ur qui met en mouvement les fibres de son cerveau pour élucider cette
science
profonde. Une foule de penseurs, d’hommes sérieux
é au travers de l’air par les corps en vibration. (A. Brento, Ami des
sciences
, 1800, p. 628.) Les magnétistes affirmentrexist
mais si vous leur demande* lecoinment et hpourquoi..., bonsoir : leur
science
est stérile. Quand ils isoleront leur fluide en
ne peut peut plus commode ; mais maintenant une cbose est avérée : la
science
humaine ne s’est pas eoiichie du plus petit lambe
s pages, car il admet non-seulement les idées innées, mais encore les
sciences
innées l ! Si les âmes étaient naturellement do
enfant qu’elle porte dans son sein, M. Ordinaire fait observer que la
science
ne l'accepte plus. C’est bientôt dit. Les extrê
a de plus surprenant, (I c'est la crédulité humaine ! » Parce que la
science
n’accepte pas le magnétisme animal, cesse-t-il d'
s. Ce n’est pas tout. ()) A moins des« croire en possession de la
science
infuse, il me semble qu'il y a quelque vanité à s
n d’admirer les phénomènes du magnétisme animal, ne connaissant cette
science
que de nom seulement, ils trouvent beaucoup plus
je n'ai plus besoin de le répéter, pourquoi toutes ces sommités de la
science
veulent, à tout prix, que l’univers entier se sou
n grand mérite, et s’occupant parfois, dans ses moments de loisir, de
sciences
naturelles. La maison de M. Svoboda est le lieu d
talisme, est peu connue; que de grandes réformes sont à faire dans la
science
médicale ; mais, cela ne prouve Dullement la réal
propriétés, avec les agents impondérables et avec l’âme et l’esprit.
Science
aussi vaste, aussi difficile je me borne à dire
. ViREï. {Examen impartial du Magnitisme, tome 29 du Dictionnaire des
sciences
médicales.) (1) Manqne-t-il quelque chose au po
temps-là parmi les Druides un homme savant et vertueux, mais dont les
sciences
et les vertus paisibles avaient été peu remarquée
gore, le prince des philosophes de la Grèce. Possesseur de toutes les
sciences
de l’Afrique et de l'Asie, il fonde une École et
répondra par une vérité mathématique à ces deux questions ? Chaque
science
, avant de pouvoir émettre un système, se base sur
des milliers d'hommes éclairés, posant leur jugement sans passion. La
science
du magnétisme ne peut progresser et formuler un j
sons blesser les amours-proprts ; nous sommes tout ouvriers dans une
science
^ui est un mystère en partie : parler en maUre se
utient des explications ; car leur doctrine est bien loin d’égaler la
science
ancienne qui avait la clef de tous ces mystères.
ne des personnes que je magnétisai. Ah! c’est aÎDsi qu’on établit une
science
, se plaçant toujours de manière à enlever tous le
u phénomène ; ipais il faut pour cela que le sujet n’ait point con-
science
de cet obstacle, car, ainsi que je l’ai dit précé
tomie et la physiologie, câr lès somnambules sont loin de posséder la
science
infuse !.... Il n’y a que les histrions, les im
lement aux sarcasmes des sceptiques ; vous compromettriez en outre la
science
du magnétisme ani* mal, chose qu’il faut surtout
faits ? Quand accepteront-ils franchement lesvérités que présente la
science
du magnétisme animal? Ce jour viendra, j’en ai
a puissance humaine que notre indication eût été moins parfaite. La
science
du passé va donc revivre, nous la verrons bientôt
rets qu’ils avaient célés feront partie du faisceau de vérités que la
science
possède. On peut donc prévoir hardiment que le
on verra mes prévisions justifiées. Voyez où en est actuellement la
science
sacerdotale, nul n’y croit et ses propres ministr
nacée universelle, ni de l'isoler de la médecine. L'union de ces deux
sciences
, union franche et loyale, serait un bienfait pour
n bienfait pour l’humanité entière. Il serait donné plus souvent à la
science
de soulager lessouf-frances ; il lui serait donné
ciété, dont certes elle fiU devenue un membre au moins inutile, si la
science
de Mesmer n’était venue l’aiTaciier du bord de l’
s de force de somnambuliseur, mais au contraire que nous cherchons la
science
et que nous sommes arrivé, par des études constan
tre beaucoup d'erreurs. Quoi qu’il en soit, le magnétisme, c’est la
science
, c’est ce qui guérit ; le somnambulisme u’est qu’
t ; le somnambulisme u’est qu’un des innombrables phénomènes de celte
science
; mais il serait injuste de séparer ce phénomène d
àla recherche dé touï ce qui pouvait servir au développement de notre
science
. La génération qui stiivra là notre sera frappée
demandait rien, pardon d’avoir écrit d'une manière très-sensée sur la
science
naissante. Le magnétisme eut enfin de faux interp
iqüe , organe de la Société Philantropie© - Magnétique ; la Retue des
sciences
occultes, publiée dans le Gard par M. Manlius Sal
er le progrès de l’humanité. Le magnétisme, marchant de pair avec les
sciences
physiques, doit les dépasser un jour, car en lui
lusion de nos sens, à un prestige dont nous subissons la loi, mais la
science
persévérante vient toujours à bout d'expliquer ce
ysiologie ou de la psychologie. Ne serait-il pas naturel de voir la
science
recueillir tous les faits qui se rattachent an ma
faits saillants, de ceux qui projettent une lumière nouvelle sur une
science
qui a grand’peine à se fonder, ce n’en est pas mo
uis mis à marcher ilans une voie nouvelle, méprisant les arrêts de la
science
, passant à cûté de nos docteurs, de nos Révérence
l se peut, le chemin nouveau que doivent suivre un jour les hommes de
science
, lorsque leur aveuglement aura' cessé. Montrons l
la mort aura fait passer de vie à trépas tous ces faux Esculapes, la
science
médicale, éblouie par la magnifique découverte du
des satisl'aclioiis ù leur incrédulitc; si, longtemps, l’amour de la
science
e( le désir de faire partager mes convictions ont
adémiques rela tifs au magnetisme, 128. — Mémoire lu à l'Académie des
sciences
par M. du Potet, en 1835, pour provoquer, mais va
Catalepsie, paralysie, léthargie. Notice adressée A l'Académie des
sciences
par M. Jobard, sur la persistance de la vie dans
e même, 41. — Ré flexions de M. du Potet sur la peine que se donne la
science
officielle pour faire croire que l'hypnotisme n'e
, et suivie d’un mémoire lu par ce dernier, en 1835, à l’Académie des
sciences
, 85. — Observations de M. d'Arbaud, sur l’étude r
pe de la vie universelle, par M. Warlomont, 395. — Recherches sur les
sciences
ayant pour objet la conservation de la vie humain
27, 48. Institut (l') elle magnétisme. Mé moire lu à l'Académie des
sciences
, par M. du Potet, on 1835, pour provoquer l’exame
amen et citations, par M. Petit d’Ormoy, 382. Magnétisme (Du) et du
science
oc cultes, par A. S. Morin. Avis de la publicatio
nisses et des syhilles. C’était une branche particulière de la grande
science
, et ce n’était sans doute pas la moins importante
fonction habituelle de pétrir les mus- (1) Dictionn. eneyetop. des
Sciences
, t. XVII, p. 198. (2) Val. Martial, Sat., t. I,
et. » L’usage des frictions n’élait pas étranger aux sommités de la
science
médicale de notre pays ; nous allons laisser parl
ussi rigoureuse ? La haute intelligence des puissants seigneurs de la
science
médicale faisait-elle justice d’une erreur trop l
ouvrit la carrière? où avez-vous puisé les premiers éléments de votre
science
? etc. sont des questions qui m’ont été cent fois
oup d’argent? Rien alors n’aurait pu me convaincre de l’utilité des
sciences
; les savants que je voyais me paraissaient faits
t comme personnifié en moi, je me croyais un de ces flétris de par la
science
, portant sur le front le signe infamant du menson
ur qui devait me flatter. Je rencontrai chez lui les notabilités delà
science
nouvelle, les hommes qui avaient survécu au temps
ue plus rien de la nature, mais nageant en plein dans le fleuve de la
science
, à ce qu’il croit du moins. C’était donc un tr
Nous laissons de côté tout mysticisme; quand on invoque Dieu dans les
sciences
, c’est souvent une preuve de faiblesse et d’impui
t prendre. Mais où donc était le nouveau chemin, celui-là même que la
science
dédaignait : observer la nature, l’imiter ensuite
plus qu’ils ne pouvaient produire. Un sot seul peut s’imaginer qu’une
science
se fait tout à coup. Le magnétisme, pas plus que
comme nous préférerons bientôt la médecine de la nature à celle de la
science
; car entre ces deux imitations, il y aura la mêm
le domaine public. Pourquoi vous tromperais je ; dans quel but? — La
science
, je vais vous la donner, je n’en fais point myst
ais vous introduire dans un monde nouveau où tout est merveilleux. La
science
officielle ne vous a montré qu’un cadavre; lorsqu
clef reelle pour ouvrir la porte du sanctuaire de la plus élevée des
sciences
. Le magnétisme semble s’étre incarné en moi, et p
connue, les autorités espagnoles n’ont pas cessé d’être hostiles à la
science
nouvelle. Il y a peu d’années que, dans la mère-p
passes et d’attouchements. C’est une voie toute nouvelle ouverte à la
science
magnétique, et, sous ce rapport, les faits qui s’
ente tontes ces cures merveilleuses consignées dans les annales de la
science
. Nous ne récapitulerons pas les réflexions que no
, qui parcourut longtemps l’Égypte et les Indes, où il fut initié aux
sciences
les plus secrètes, passe pour avoir propagé cet u
agnétique. Ces pratiques rentraient, il est vrai, dans le domaine des
sciences
occultes, ce qui doit nous expliquer l’absence de
et de leur liberté compromis ; « 11 s’agirait des découvertes de la
science
et de* manifestations indépendantes de l’esprit h
Mémoire pose ce qu’il appelle les vérités fondamentales acquises à la
science
. « Suit une brillante discussion ou plutôt expo
ntre les corps savants, les Académies et les hommes éminents dans les
sciences
physiques el médicales? « Esl-ce donc qu’une sa
nde savant, et la suppression d’une erreur ne profite-t-elle pas à la
science
? « Esl-ce donc un si grand crime de faire fair
conscience publique les repousse ? « L’humanité doit beaucoup à la
science
, aux savants et aux Académies, et si parfois l’on
avantages incontestables résultent habituellement du contrôle que la
science
exerce sur tant de systèmes qui pullulent de tous
rate citée par les appelants, ont prétendu que les pratiques de cette
science
étaient enfouies sous les débris des temples de l
e scène de VAmphytrion de Plante, comme renfermant l’embryon de celte
science
occulte. « Il s’agit de Mercure cherchant à end
is dans la Faculté de médecine de Paris et dans l’Académie royale des
sciences
, figuraient entre autres Darcet, Guillotin, Lavoi
!\ septembre 178-'!, Bailly, ayant à faire l’exposé à l’Académie des
sciences
des expériences qui avaient été faites pour l’exa
, on s’est pourvu en révision de cet arrêt; on s’est dit : En fait de
science
, un jugement quelconque n’est qu’une chose transi
qu’une chose transitoire; et le magnétisme, qualifié, en 1784, parla
science
, de charlatanisme et de duperie, en a appelé de l
784, parla science, de charlatanisme et de duperie, en a appelé de la
science
prévenue et subjuguée par l’esprit de routine à l
pelé de la science prévenue et subjuguée par l’esprit de routine à la
science
mieux informée et plus hardie de notre époque de
ciations diverses dont a été l’objet cette merveilleuse et nouvelle
science
occulle, nouvelle, s’il faut en croire ses adepte
de simple curiosité. « La justice répressive ne s’en occupe pas; la
science
est libre. « 2” Il y a les pratiques du magnéti
s modèles de désintéressement. Uniquement préoccupés de l'amour de la
science
et du bien de l’humanité, ils mériteraient la rec
ur n’a pointa intervenir pour faire respecter les droits sacrés de la
science
et les privilèges de l’esprit humain. Tous ces gr
ettra de revenir à notre, point de départ. Est ce que de bonne foi la
science
a quelque chose à voir à ce qui se passe ici ? Es
loyés par Mongruel pour s’enrichir, soient réprimés ? Quel progrès la
science
doit-elle à Mongruel? Est-ce que la science était
éprimés ? Quel progrès la science doit-elle à Mongruel? Est-ce que la
science
était le but de cet homme adroit à enlacer ses vi
point à ses yeux : c’est là qu’est son erreur. Le magnétisme est une
science
; elle marche, elle avance, elle découvre : ce qu
le sait aujourd’hui, elle l’ignorait hier. Elle est donc, comme toute
science
, mêlée d’incontestables vérités et d’inévitables
science, mêlée d’incontestables vérités et d’inévitables erreurs. La
science
n’est pas comme la morale : elle n’est pas absolu
il est obligé d’accepter, pour partie au moins, les découvertes de la
science
magnétique, de 1784 à 1825 ; seulement il refuse
n ! moi, je lui dis : Vous avez tort de vous arrêter en chemin. Celte
science
n’est pas restée stalionnaire ; elle a marché de
ertes. Vous êtes incrédule à l’égard de ces conquêtes nouvelles de la
science
, comme vous l’auriez été peut-être en 178+ à l’ég
comme vous l’auriez été peut-être en 178+ à l’égard du principe de la
science
magnétique elle-même. Eh bien ! soit; je vous ajo
de pénalité possible, car il n’y a pas de responsabilité possible. La
science
peut commettre des erreurs, mais des erreurs inno
s études et les méditations de tous les hommes qui se sont occupés de
sciences
naturelles. Mais c’est principalement vers la fin
s et des Académies. Ces corps savants sont institués pour donner à la
science
un puissent essor; eu réalité, ils s’attachent à
iennes, de démarches stériles, il crut avoir déterminé l’Académie des
sciences
à examiner sa méthode et ses cures. Au dernier mo
ce bien naturelle de l’indifférence et de l’aveuglement des hommes de
science
. « Abreuvé de dégoûts, il se préparait à quitte
ultats toujours incertains, souvent trompeurs. » « Les germes de la
science
magnétique avaient été déposés dans de trop haute
s magnétiques ont un caractère sérieux, reconnu par les princes de la
science
, et 11e peuvent servir de base à une prévention d
ur cet arrêt, et l’attitude prise par la magistrature à l’égard de la
science
magnétique sont nombreuses et fort importantes; m
public et gratuit. l’auvre et chétif professeur, enfant perdu de la
science
, j’enseignai d’abord l'origine de la découverte d
des esprits prévenus. Je citais des noms d’hommes respectés dans les
sciences
, en puisant dans leurs écrits ce qu’ils contenaie
point que beaucoup de magnétistes avaient fait beaucoup de tort à la
science
nouvelle, en mêlant trop de merveilleux à leurs r
oint alors qu’un professeur pouvait devenir illustre sans beaucoup de
science
; qu’il suffisait ordinairement d’un bel organe,
nt de grands hommes en robe de chambre, qu’ils ne m’imposent plus. La
science
, lecteurs, doit se traduire au premier mot; il fa
; que vous importent des détails, des récits du passé? Vous voulez la
science
. Patience! je vous y mènerai; ne voyez-vous pas q
r jusqu’au sommet pour donner à ce fruit la maturité nécessaire. La
science
! mais elle est cachée en moi, puisque je réalise
ir une baguette magique. L’ai-je empruntée, prise quelque part, cette
science
? Non ; elle m’est venue par le travail de toute m
rsés dans les connaissances magnétiques. Ce recueil, précieux pour la
science
, est arrivé, au moment où j’écris, à son dixième
mieux encore voir cette terre à demi couverte de grains qu’inculte? 0
science
du magnétisme ! sublime découverte ! grande comme
aux de l’Église romaine, et de la manière dont ils ont envisagé cette
science
. Le second, rédigé en forme de lettres, n’est qu’
n’est dans le cas où un magnétiseur aurait voulu, à l’aide île cette
science
, expliquer d’une façon contraire aux doctrines de
de combattre l’erreur et l’ignorance en les mettant en présence de la
science
. Le mesmérisme joue déjà un rôle important dans l
t autrement formidable que. toutes les étonnantes découvertes dont la
science
, dans ces derniers temps, a doté l’humanité. J.
gnétisme a été jusqu’ici le plus appliqué; mais ce n’est pas la seule
science
avec laquelle ses liens sont possibles : la philo
sté son adhésion implicite aux principes mesmériens. L’Académie des
sciences
morales et politiques, la plus jeune comme la plu
rnière sans vous. Et, tandis que vous serez à épeler l’alphabet de la
science
nouvelle, il y aura déjà une langue toute faite q
de la fable qui portait des reliques. J’ai cru longtemps à la haute
science
de ces cerveaux fêlés, et dans mon innocence j’ad
mme qui sait dit peu ; mais it fait voir beaucoup. J’irai demander la
science
à qui la possède; je solliciterai la nature sans
orces qu’elle emploie; c’est à saisir ces instruments que consiste la
science
: la voir d’abord, l’admirer toujours et tâcher de
is plus que vous, car je fais ce que vous ne pouvez exécuter. Si la
science
officielle eût rempli son devoir, elle devait ave
ce moment des faits d’une haute portée, qui peuvent influer sur les
sciences
. Le gouvernement ne peut y rosier étranger. Nous
le à en saisir les conséquences. C’était donc déjà un commencement de
science
pratique, un art avec quelques règles certaines.
me disais : Si je découvre ceci, un autre découvrira davantage, et la
science
se fera : les magnétiseurs cesseront d'être de pu
de les détruire. Alors, plein d’étonnemenl de posséder ce rudiment de
science
, mais sans pourtant m’en enorgueillir, je constat
hommes qui, hélas ! ne savent plus l’origine et les éléments de celle
science
délaissée, et que tous divinisaient autrefois.
ois. L’Inde offre également des traces irréfragables d’une ancienne
science
qui, se liant au sacerdoce, donnait aux prêtres e
erdoce, donnait aux prêtres et leur renommée et leur puissance; cette
science
, nous allons bientôt la reconstituer. Elle fut, e
ilà soixante-dix ans qu’on leur dit d’avancer, qu’on leur présente la
science
nouvelle, et toujours, à leurs yeux, nous sommes
manque d’instruction. Il ne se pose pas en professeur infaillible de
science
et de philosophie; il se contente, pour l’appréci
rits tout à fait étrangers à la spécialité , des appréciations sur la
science
“ et ses premiers adeptes. Si chacun recueillait
sont jamais r^ « levés du rapport de Bailly, au nom de l’Académ » des
sciences
. Mesmer produisait des effets sur ur a personne,
hilosophie. Le mépris avec lequel l’empereur traitait cette prétendue
science
, avait déconcerté le charlatanisme et refroidi l
tion auprès de l’impératrice , pour qu’il lui fût permis d’exercer sa
science
magnétique sur une personne de ma «onnaissance qu
isation des rêves qui souvent ne sont qu’une aurore de l’avenir. La
science
vient ensuite recueillir ses découverts, vérifier
nations les plus policées et qui ont le plus concouru au progrès des
sciences
, des lettres et des arts ? C’est li le parti que
u magnélisme. D’un côté, la plupart des représentants officiels de la
science
se mirent en quelque sorte un bandeau sur les yeu
la théologie, avec laquelle nous ne voulons avoir rien à démêler. La
science
ne s’occupe que de lois naturelles : de ce qu’un
aussi superbe , et ils ne craignent pas de confesser tout ce que leur
science
a d’incomplet, de vague, de conjectural. L’avoc
nt librement, et cherchent, par des moyens divers, à perfectionner la
science
. Ces préliminaires posés , nous pouvons aborder
udier les indications qui lui auraient paru contraires à celles de la
science
, comme il est arrivé dans la circonstance de Veau
érir. S'ils ont si peu réussi jusqu’à ce jour, U faut croire que leur
science
est bien au-dessous des intuitions de la somnambu
ve, où naquirent J.-J. Rousseau et plusieurs hommes éminents dans les
sciences
et les arts, était encore, en i85o, de toutes les
généralement sceptique des Génevois. Gomme j’avais été initié à la
science
mesmérienne par une somnambule du nom de Prudence
t leur scepticisme, et lui les 3oo fr. Pouvait- il hésiter? Mais la
science
, direz-vous, pouvait être compromise. La science
il hésiter? Mais la science, direz-vous, pouvait être compromise. La
science
ne passe-t-elle pas après l’argent, surtout lorsq
rôle se bornant à celui « de narrateurs. » Merci, messieurs, pour la
science
! merci de votre longanimité!— Dans le programme
’eux? Par pari refertur. Nous l'avons dit, et nous le répétons : la
science
n’a rien à gagner dans ces luttes où les armes ne
émontré. Dans l’étude du magnétisme comme dans celle de toute autre
science
, l’analyse doit toujours aller de pair avec la sy
s le premier Italien qui, pour étendre la connaissance de la nouvelle
science
, ose faire des épreuves en public. Je me suis tel
s en public. Je me suis tellement pris de passion pour cette nouvelle
science
, qu’afin de pouvoir m’y consacrer j’ai renoncé à
la Médecine magnétique. (Suite.) Le premier qui réunit en corps de
science
les principes des anciens sur l’influence curativ
apeutique. Un de ses élèves, Chaslenet de Puységur, imprima à cette
science
une direction nouvelle, en fixant l’attention gén
les faibles ressources que nous avions, c’est trop peu pour la belle
science
dont nous sommes les propagateurs dans ce pays. C
de faire en France, en vous mettant en rapport avec les princes de la
science
, nous permet d’espérer de nouvelles lumières puis
é qui est l’élan naturel d’un cœur que l’égoïsme n’a pas desséché. La
science
positive peut repousser ce sentiment sur un autre
le qu’à lui-même des acquisitions de quelque valeur qu’il fit dans la
science
. Il devint ce qu’on appelle un penseur; mais à ce
la fin de )843, un certain M. Grimes vint à Poughkeepsie professer la
science
du mesmérisme. Parmi les personnes sur lesquelles
roduisait sur d’autres personnes, dans cette branche importante de la
science
psychologique, éveillaient une vive émotion au mi
tique dans lequel il possède, selon ses déclarations, l’intuition des
sciences
, même les plus élevées ; et, dans l’espèce de rév
ions sus-énoncées. Cette volumineuse publication traite de toutes les
sciences
naturelles, des traditions historiques de tous le
donnent, c’est à dire, comme des êtres parfaits et initiés à toute la
science
divine et par conséquent humaine. Il n’est pas po
es de Davis, sont les révélations des bons esprits, des esprits de la
science
et de la vérité. Sur ce point, l’extatique de New
entifiques faites ¡1 nos voyants par les angéliques possesseurs de la
science
el de la vérité. Si l’examen logique nous y fait
voilà que notre voyant, éclairé par sa lumière spirituelle, source de
science
et de vérité, dénature en le rapportant, ce fait
simultanément son ignorance de la tradition mosaïque, ainsi que de la
science
positive. Et pour qu’on ne trouve pas notre (1)
ndant l’occupation française. A. Galland, membre de la commission des
Sciences
et Arts, séant au Caire pendant l’expédition (lom
seule citation , tirée du même passage , où Swedenborg dit que celte
science
angélique ne pouvait pas s’exprimer par des mots
Davis, dans ses révélations scientifiques, n’a pas fait progresser la
science
; qu’il n’a pas dépassé du plus mince degré la lim
tradition mosaïque et la doctrine de Swedenborg; le Dr Lyon, sur les
sciences
médicales et naturelles, etc. Par cette appréci
des esprits qui la lui révèlent; or, comme nous avons démontré que sa
science
n’est pas puisée à la source de la vérité pure; q
e fonds. La théologie, la philosophie , la philologie ancienne et les
sciences
naturelles qu’il possédait à un haut degré (1), o
), vient de révéler, dans une charmante boutade contre le progrès des
sciences
, la cause tacite de l’opposition que ses chers et
vous le dis, mes chers confrères , tout progrès bienfaisant de notre
science
ou de notre art est une cause pour nous de décons
son d’être. Vous êtes maintenant jugés, Messieurs de l’Académie, la
science
, pour vous, est une industrie; vous en aviez le m
ssance musculaire ne peut entrer en concurrence (1) Les Annales des
Sciences
magnétiques contiennent des guérisons obtenues so
est plus loin où l’opinion générale se prononcera pour nous contre la
science
officielle, et lui demandera raison de son antago
n. Nos lèvres ne toucheront plus ce calice d’amertume et de fiel ; la
science
officielle, lasse de nous le présenter, l’a laiss
mains ce qui doit rénover l’humanité, en détruisant les erreurs de la
science
et les fausses idées que l’homme s’est forgées su
tant de conquêtes, celte vaine philosophie des écoles? Un embryon de
science
, où l’erreur a pris la place de la vérité. « Qu
amas de nuages au travers duquel l’intelligence ne saurait pénétrer.
Science
indigne de l’homme, fatale à l’humanité, ou chaqu
s, honneur à sa mémoire, car ce qu’il nous a transmis est plus qu’une
science
, c’est un germe des vérités divines, puisque le p
zèle et notre travail, en fécondant le champ arrosé de nos sueurs. La
science
nous ferma les portes de tous ses sanctuaires, el
les ténèbres, compagnes de son berceau, se dissipent chaque jour. La
science
, qui devrait guider tant d’efForts, fut toujours
e. Vérité cruelle à constater et bien pénible à dire : aujourd’hui la
science
ne se présente plus en faisceau, elle a laissé to
nsi tout se rénove; l’ancien monde périt, un autre survient, d’autres
sciences
, d’autres arts vont naître; nous ne sommes que le
faisant jaillir du cerveau humain ce qu’il y déposa de divin. « La
science
ne voit rien encore dans nos œuvres, et c’est u
ompé, Ont lupü Tar un sommeil usurpé Quand notre croyance Deviendra
science
, Ces abus, Confondus, Ne se reproduiront pl
toste dont il développa les motifs en ces termes : A L’UNITÉ DE LA
SCIENCE
1 AU PROGRÈS DU MAGNÉTISME VERS LA RÉALISATION
UES. « Avant de marcher droit et ferme dans la voie lumineuse de la
science
certaine, l’esprit humain commence par se traîner
le de chaque fait particulier, devient une méthode obligatoire, et sa
science
est une pénible et lente accumulation d’observati
l’expression de la réalité : elle s’abandonne à l’illusion. De là les
sciences
conjecturales, ces fourmilières d’écoles et de do
nce d’une infinité de faits que nous ne connaissions pas. « Que les
sciences
diverses, qui languissent encore dans les langes
alchimistes , elles rampaient obscures et impuissantes ; aujourd’hui,
sciences
positives, elles volent à lire d’aile dans l’ère
les rejoindre ! « Quand sera constituée l’unité organique de chaque
science
, toutes les sciences se grouperont en une harmoni
Quand sera constituée l’unité organique de chaque science, toutes les
sciences
se grouperont en une harmonieuse hiérarchie, et r
ut appelé à juste titre le grand art, ars magna, faisons-en la grande
science
, et notre récompense sera grande, ouvriers de cou
tant dit, tant fait pour défendre, pour conserver pure et intacte une
science
dont nous nous glorifions d’être les zélés el fer
irigeons vers le sol fertile d’où s’élève cet arbre précieux de vraie
science
. La puissance du travail et la lumière de la natu
ner par une délibération les propositions devant former la base de la
science
mesmé-rique. a Ici, nous ne voulons pas faire l
urd’hui, pour progresser et répandre ses bienfaits comme art et comme
science
, il doit être vulgarisé, car nous savons tous que
mices des œuvres capitales. Tout nous présage le triomphe; la vraie
science
est avec nous ; il ne nous manque que les moyens
rechercher les dispositions de nos lois qui peuvent s’appliquer à la
science
de Mesmer, et à indiquer brièvement les points su
ose pas. La loi n’a point eu la prétention de mettre des limites à la
science
, elle ne lui a pas défendu de chercher ses inspir
. Nous n’espérons pas, nous l’avouons, voir, dans l’état actuel de la
science
, notre opinion partagée par les tribunaux; elle d
t soumise à l'application de la loi de l’an XI. La médecine est une
science
officielle qui possède ses règles et ses enseigne
e devrait donc être intenté aucune poursuite contre les adeptes de la
science
nouvelle. Des réquisitoires, cependant , ont été
au lieu de se tenir dans une réserve prudente, ont déclaré fausse la
science
de Mesmer et ont condamné, comme ayant reçu ou te
tement et de consultations magnétiques. L’analhème élait lancé; une
science
renfermée dans des milliers de volumes, confessée
pas tombés dans cette erreur s’ils avaient conseil li îi étudier une
science
dont, sans la connaître, ils flétrissaient les my
mal venue à prononcer des arrêts, quand comparaissait devant elle la
science
, représentée par un de ses membres, par un Galilé
juges ! La raison de ces rétractations est dans la nature même de la
science
; mobile et infinie par essence, elle ne s’arrête
es somnambules éveillés, que les charlatans enfin qui déghonorent une
science
dont ils se disent les apôtres, et voilent sous u
en pourront sans inquiétude se livrer à l’étude et à l’exercice d’une
science
dont ils prévoient les bienfaits; ils n’auront pa
uit par le Journal .• « La justice ne s’occupe pas de ces actes, la «
science
est libre. » Le champ de l'étude reste eu^ lier
avons indiqué l’état de la jurisprudence en tout ce qui intéresse la
science
de Mesmer; son exercice, nous l’avons vu, bien qu
retombe sur les hommes qui se sont abrités derrière le magnétisme, la
science
ne peut être atteinte ; nulle vérité n’est compta
el qu'il n’aura pas, dans des lois spéciales, donné des règles à une
science
qui intéresse à un si haut point ¡’humanité. Jo
xtrême; mais il est essentiel de savoir le diriger. Du reste, cette
science
de direction, que nous donne l’étude et l’expérie
un semblable moment pour moi; si elle allait se guérir?Qui sait où la
science
deMcsmer a commencé? Qui fait où elle s’arrêtera?
’eux : Il a levé le drapeau de la révolte: il a fait le rouge dans la
science
. A ces mots, des applaudissements répétés sont pa
, qui se sont renfermés dans les appréciations et les progrès de la
science
, a été précédée par une allocution vive et chaleu
personnes qui se livrent avec persévérance et bonheur à l’étude de la
science
de Mesmer. Des traits de patience, de charité et
été portés; par MM. du Potet : A Mesmer ! — Durand : A l’unité de la
science
! — De Rovère : A du Potet, ordonnateur de la fête
nal du Magnétisme, M. du Potet, le représentant le plus éminent de la
science
mesmérienne, et que les prodiges opérés par scs m
ts unanimes, l’antique prévarication des dépositaires officiels de la
science
, devenus aujourd’hui plus que jamais les ennemis
nnée à différents orateurs qui ont porté des tostes : A l’unité de la
science
1 — Au triomphe des faits sur les vaines théories
élarer partisan du magnétisme, a-t-il dit, il a fait du rouge dans la
science
! » El un tonnerre d’acclamations d’accueillir ce
arité qui unit la cause du progrès social à la cause du progrès de la
science
, est déjà sentie par les partisans de l’une et de
soleil de la civilisation parisienne, c’est à côté de l’Académie des
sciences
, du collège de France et de la Sorbonne, c’est a
collège de France et de la Sorbonne, c’est au milieu des prodiges des
sciences
et des enchantements de l’art, c’est dans une vil
quelque charlatanerie que ce puisse élre en morale, en politique, en
science
sociale et le reste. Rien de plus vrai, d’ailleur
à bien plus juste litre les insulteurs de la vérité, les jésuites en
science
. Ilanquel à Bergerac. Maintenant que le procédé
ns sa plus parfaite simplicité. « Maintenant, nous demanderons à la
science
qui admet le somnambulisme, si elle a encore pu c
e magnétisme puisse être exercé par les personnes qui possèdent cette
science
. Messieurs les Représentants, je supplierai le
ande. —Nous apprenons chaque jour que, de toutes parts, des hommes de
science
, qui n’ont en vue que le progrès, adhèrent à nos
e progrès qu’a fait le magnétisme jusqu’à ce jour; malgré cela, cette
science
compte un grand nombre de partisans. Des hommes s
et honorable savaut d'avoir su s’affranchir du servage qu'impose la
science
ollieielle. J’ai cru devoir, Monsieur le baron,
ent de temps en temps; car, tout en rectifiant ses propres écarts, la
science
sortirait radieuse de l’arène. On doit féliciter
farouchent pa* de cette opinion, elle est exprimée sous l’égide de la
science
; ils peuvent la discuter, la combattre; mais nou
travaux, comme nous jouissons des découvertes de nos devanciers : la
science
ne progresse pas autrement. Mais Ilahnemann fil p
magnétisme est une question do faits, eL il n’est pas tant besoin de
science
que d’un esprit droit, pour constater ces fails,
ours des magnétiseurs vous est utile, il vous est acquis. A défaut de
science
, ils ont la pratique du sujet. J. B. [.'Ürh'i
poussent la vérité médicale, qu’une expérience éclairée d’une immense
science
lui ;> dictée ; — el voilà tout. Les mots él
lles puissent être vraies. D’un autre côté , le magnétisme se pose en
science
cabalistique à laquelle ne serait initié qu'un to
utent quand même, et pour me faire croire à l’une ou à l’autre de ces
sciences
, il suffit de me démontrer qu’elle a pour base la
qui n’est ni médecin ni magnétiseur, et qui traite le magnétisme de «
science
cabalistique à laquelle ne sont initiées qu’un pe
ous n’expliquerons pas ce phénomène, qui rentre dans le domaiue de la
science
; nous dirons seulement que ce fait n’est pas sans
a pris possession de ses fonctions en donnant une revue générale des
sciences
, sorte de cosmos, où le magnétisme est ainsi dési
de cosmos, où le magnétisme est ainsi désigné, n° du 8 juin. « Une
science
— ce n’est pas le mot propre, une collection de fa
ertitude la part du vrai et du faux, occupe la place où s’élevera une
science
sublime, celle des rapports du monde des esprits
de cet ouvrage est d’ailleurs Lien conçu et très-habilement exécuté.
Science
et modestie, profondeur et clarlé, fond solide, f
sme, quoique j’eusse plusieurs amis, non pas médecins, mais hommes de
science
, de littérature ou de connaissances générales, qu
. On n’a pas voulu envisager le magnétisme comme faisant partie de la
science
naturelle, tant que les savants l’ignoraient. De
versités ; mais comme je n’ai rien dit qui soit indigne d’un homme de
science
; comme j’ai raisonné logiquement sur des faits ob
dit, au Banquet mesmérien, que M. Gregory avait fait le rouge dans la
science
. Dr Koellbr. gnétistes, tant par la connaissa
ds, ont parcouru l’an dernier les États-Unis pour l’établir comme une
science
nouvelle. En vain les magnétiseurs ont-ils protes
avant physicien , ni physiologiste assez avancé pour faire éclore une
science
positive des faits produits et rapportés par MM.
ances par un exposé de l’éleclro- biologie, emphatiquement appelée sa
science
, publié par le National inlelligencer, journal de
mentateurs semblent réclamer l’honneur d’avoir découvert une nouvelle
science
, tandis que, selon les mêmes journaux, le véritab
fera tous les jours (les dimanches exceptés), des expériences sur la
science
nouvellement découverte de l’ÉLECTRO- BIOLOGIE. C
ce soir, à l’Armory Hall, sa série de leçons sur VElectro-biologie ,
science
récemment découverte. — Le sujet de sa première l
seicnca nouvelle , qu'il appelle du nom 1Electro-Biologie. Par cette
science
l’opérateur se trouverait armé contre le patient
agnétisme, et d'expliquer la grande différence qui existe entre cette
science
et l'Electro-Biologie ; après quoi il procédera :
cès qu'a obtenu M. Fiske dans scs efforts pour introduire sa nouvelle
science
parmi nos concitoyens, a dû satisfaire pleinement
all, grande réunion pour assister au cours public de M. FISKE, sur la
science
Électro-Biologique, et pour être témoin des expér
là même qui devraient être les premiers à accueillir le progrès de la
science
. Le savant professeur prit occasion de dire que l
ers au savoirdesécoles, étaient les vrais champions de l’art et de la
science
. Quant ii l'Électro-Biologie, pas un mot n'en a
MORV MALI.. — Le Dr Williams, • t'Iui qui a découvert le premier la
science
«le l’ÉlccIro-Biologic, donnera aujourd'hui une s
o-Biolo-gie. Tous ceux qui désireront s’instruire dans cette nouvelle
science
, pourront profiter de l’occasion, en se présentan
. pourra former une classe pour ceux qui désirent s'instruire dans la
science
de l'Électro-Biologie. Ceux dont le temps est e
ièrement dans lu journée, auront locpasi.it: d'éludier celle nouvelle
science
, cl de connaître la manière d'en faire hq> pli
M. Dumas et scs aides feront, en français, un cours de lecture sur la
science
nouvellement découverte de l'Électro-Biologie, da
avez fait de mes séances publiques, vous avez quelquefois parlé de la
science
que je propage comme si vous la supposiez ident
jugement eu faisant ressortir la différence qui existe entre les deux
sciences
. J’admets que les phénomènes que j’exhibe chaqu
de la conscience de ce qui se passe autour de lui ; dans la nouvelle
science
, il n’a cessé de s’en rendre parfaitement compte.
n rendre parfaitement compte. La différence qui existe entre les deux
sciences
est la môme qu’entre une personne qui veille et u
sans hésitation, qu’il y avait une différence immense entre les deux
sciences
. Personne ne peut prendre connaissance des deux,
ce m’a appris que dix cas réussiront par l’application de la nouvelle
science
, sur un seul par le procédé mesmérique, et les gu
us respectables de vos conc.i- toyens), ont appliqué cette nouvelle
science
à la guérison clos malades avec un succès remarqu
que ces imposteurs ignorent totalement la vraie philosophie de celte
science
. Nous ne savons pas si la biologie a été brevet
ENT ET OBLIGATIONS. Nous, soussignés, devant èlre instruits dans la
science
nouvellement découverte de l’électro-biolo-gie, o
maladies ; mais de les mettre à même de se perfeciion-tionner dans la
science
, de manière à pouvoir l’enseigner avec connaissan
ntant de la somme demandée jusqu’à ce jour pour être instruit dans la
science
électro-biologique. Celle dernière somme ne sera
de faire disparaître l'élat d’ivresse en une seconde, au moyen de sa
science
, ce qu’il s'engage à faire en présence de onze ci
x de mots ne pouvant passer d’une langue dans l’autre. UNE NOUVELLE
SCIENCE
. Notre siècle est certainement celui du progrès
présente de lui-même, comme ayant un rapport intime avec la nouvelle
science
; car, qu’y a-t-il de plus propre à guérir un ma
, en moins de cinq minutes, rencontrer plusieurs professeurs des deux
sciences
combinées. Ceci nous rappelle avoir lu hier, da
nsieur très-connu, qui avait désiré pénétrer dans le sanctuaire de la
science
biologique. Il avait été induit à croire qu’en me
que font les élèves de M. Fiske de sa manière d’enseigner sa nouvelle
science
, l’assurance avec laquelle ils expriment leur con
ème classe de M. Fiske avant achevé leur instruction dans la nouvelle
science
de la biologie, science remplie d'intérêt saisiss
vant achevé leur instruction dans la nouvelle science de la biologie,
science
remplie d'intérêt saisissant, croient devoir expr
ils n’hésitent pas à le recommander au public, ainsi quo sa nouvelle
science
, laquelle considérée comme agent curatif, ils déc
strictement parlant, d’électro-magnétisme, mais d’une combinaison des
sciences
de la liumpo - Biologie, de la Phrénologie et du
s as will satisfy the most credulous in reference lo the truth of the
Science
— the fact of “ Bumpo-Biology ” being the condens
ct of “ Bumpo-Biology ” being the condensed offspring of the combined
Sciences
of Mesmerism, Electro-Biology, Phrenology and Mag
e qu’on appelle Cercle de Tivoli, ne se doutant guère que l’œil de la
science
était fixé sur (1) Tout va bien, expression don
es puissantes paroles, le sujet fut soumis à un certain contact de la
science
, que Rob, s’il avait eu l’usage de ses sens, aura
attraper. Je n’ai pas acheté « le secret » de la prétendue « nouvelle
science
, » mais je crois l’avoir deviné, pour avoir écoul
moins tout ce que j’en crois. Ne voyez dans cette prétendue nouvelle
science
, qu’une chicane de nom, mais une bonne industrie,
; que, toutefois, rien ne nous montrait qu’il possédât line nouvelle
science
, mais que nous ne contestions pas son procédé qui
T CHOEOGIE. Le Dr Williams donne tous les soirs des leçons de cette
science
extraordinaire, dont il est le fondateur. L’Elect
nonciation. BIOLOGIE FÉMININE. Quelques dames, instruites dans la
science
biologique, aperçurent hier une des fragiles fill
Prises de sympathie, ces dames voulurent faire essai de la nouvelle
science
, et, en moins de cinq minutes, la femme ivre revi
d’oracle les mots absurdité, bêtise, tout est dit, et que la nouvelle
science
doitélre considérée aussitôt comme anéantie. L’
de Révérend, et s’attribue la découverte (original discoverer) de la
science
dont il était naguère le simple adepte. En voilà
des fardeaux légers, il en est d’autres qui sont lourds à porter. La
science
vulgaire n’accable point nos savants; voyez comme
es, font de votre domicile un domicile commun. Ah! vous cherchez la
science
! c’est bien; j’aime ce désir, et cette assurance
lonnes ont toujours été ouvertes aux choses qui sont du ressort de la
science
: c’est à ce titre que nous accueillons l’article
convenir, n’en est pas moins un de ces phénomènes merveilleux dont la
science
s’est à bon droit préoccupée dès le principe , et
sait s’il est facile d’en secouer le joug! de séparer la physiologie (
science
matérielle) de la psychologie (science de l’espri
ug! de séparer la physiologie (science matérielle) de la psychologie (
science
de l’esprit). Voici ce que dit à ce sujet le sava
ance instructive à saisir, à détailler; alors doit être constituée la
science
de l’action el de la réaction, l'anthropologie, e
agnétisme se scienlifise, c’est-à-dire qu’il s’épure au creuset de la
science
, qu’il acquière toute l’expansion de la puissance
hension du déploiement, de la marche, de la terminaison des maladies,
science
que l’on acquiert par une longue observation théo
malgré les savantes recherches des Deleuze, Puységur, et du Potet, la
science
du magnétisme en est encore aux tâtonnements; et
eux et si divers, quelquefois si incomplets et si contradictoires, la
science
hésite et balbutie. La lucidité, qui se rit des o
ent irréfléchi et une négation systématique ; agir enfin envers cette
science
nouvelle comme envers tout ce qui se produit aux
t intéressantes choses, s’il eût traité le chapitre des erreurs de la
science
. Le magnétisme est, selon lui, un travers de l’es
en dehors de ce chapitre, déjà bien ancien, du premier livre de notre
science
. Il parle de Saint-Médard, des affections dues à
rand fait moderne; c’est une révolution prochaine et profonde dans la
science
et dans l’huma-nilé; et c’est seulement quand le
cause des faits de magie: c’est un feu, une lumière, une force que la
science
actuelle ne reconnaît point, et de là résulte son
même formule. « Qui que vous soyez, qui voulez vou« adonner à cette
science
, gardez sous un religieux silence dans le fond de
onies des choses sacrées, le serment du silence, pour empêcher que la
science
divine ne vînt aux oreilles de la profane populac
es et profanes ne lussent ces écritures concernant les mystères de la
science
et de la religion. C’est aussi ce qu’en dit Apulé
jetée ait germée dans leur cœur ; laisse dire et penser les hommes de
science
, ils sont loin delà vérité, et leur jugement n’au
ntraire, ont toujours refusé de l’admettre dans le do-inaine de leurs
sciences
, à cause de l’incertitude des observations. Cepen
ège m’était inconnu. Cette manière de guérir ne me paraît point une
science
, c’est un sixième sens dont l’homme a toujours ét
oin du voile qui nous a caché jusqu’à présent un pareil phénomène. La
science
viendra sans doute bientôt éclairer ce qui paraît
ont bientôt si haut, qu’il restera peu d’incrédules; celle nouvelle
science
fera de lois progrès et deviendra d’une applicati
cerveau. Je cherche, Monsieur, à élargir le champ de cette nouvelle
science
que, dans une de mes précédentes lettres, je me s
s, le calme dont vous jouissiez en suivant les voies ordinaires de la
science
. Je conçois vos agitations, mon ami, vous n’êtes
ongs et fatigants labeurs; mais enfin tout n’est pas renfermé dans la
science
des écoles modernes, et vous avez trop oublié les
ns l’âge mûr. Patience et prudence ! Cc magnétisme qu’il faut appeler
science
, art, philosophie, magie, recèle le bien et le ma
vous arrêterez haletant et vous aurez enfin le secret de cetle grande
science
. Alors vous changerez d’allure, el, permellez-moi
nétisme dans les al foclions nerveuses. Je dois, dans l'intérêt do la
science
dont vous êtes le grand-maître et moi l’humble di
r à être dégagée, sans témoigner de malaise. Il est fâcheux pour la
science
que cetle dame ne soit pas à la disposition entiè
re objet en vue. Ils désirent étendre le champ de l’observation de la
science
mesmérique, et en encourager la pratique en en pr
ut individu, homme ou femme, ayant rendu des services importants à la
science
du mesmérisme. « 6° Les fonctionnaires de l’ins
porté un losle à la mémoire de trois hommes qui, dans la sphère de la
science
, constituent une tri ni té glorieuse : llippo-cra
’infini. Aujourd’hui le magnétisme n’est plus une doctrine, c’est une
science
, « et qui sort à peine de sa coque nécroman-« tiq
sous eux? De quelle utilité sont tous ces débris qui constituent leur
science
?Est-ce en marchant dans la même voie qu’on verra
Mesmer, se feront les apôtres de scs doctrines, en constitueront une
science
obligatoire qu’il serait honteux à tout candidat
privé d’une faculté analogue, et qu’il lui faille absolument tant de
science
pour continuer à vivre. Il la possède, en effet,
l'on enterre parfois des êtres pleins de vie, et jusqu’à ce jour la
science
n’a rien enseigné pour distinguer les cas. Nous
e découverte de plus, et nous avons eu raison de nous écrier : Pauvre
science
! pauvres savants ! le magnétisme, qui révèle les
stice, nous avons refusé d’y participer, disant que ce n’était pas la
science
qu’on poursuivait en elles. Ceux de nos amis qui,
pria d’aller consulter une somnambule. Malgré son incrédulité pour la
science
du magnétisme, l’artiste, pour satisfaire au vœu
e craindre que la découverte de l'uysé- gur devînt le linceul de la
science
. Si. en effet, un grand changement ne s’opère, on
muets comme ils le sonl encore devant la vie el devant la mort. La
science
a fait du jour la nuit, cl de la nuit le jour; el
, cl de la nuit le jour; elle a changé l’ordre de la nature; aussi la
science
marche dans les ténèbres et entraîne les hommes à
’est qu’à la liberté que la vérité devra de s’établir sur la terre.
Science
, science vraie, c’est toi qui fais l’homme ! car,
la liberté que la vérité devra de s’établir sur la terre. Science,
science
vraie, c’est toi qui fais l’homme ! car, sans toi
e existe entre l’antiquité et nous, pour tout ce qui se rattache à la
science
des mages, à cette haute philosophie qui donnait
les monuments, ainsi que les livres qui pouvaient nous transmettre la
science
antique. Jetons un voile sur les erreurs de nos p
erreurs de nos pères, et tachons de renouer la chaîne des temps. La
science
ancienne avait un but moral, elle n’était point p
. v. (3) Ouvrage cité, p. 925. magnétique, mais les progrès do la
science
nous permettent de nous affranchir aujourd’hui de
ous l’empire de l’harmonie. On lit dans les Mémoires de VAcadémie des
sciences
, 1707-1708, plusieurs observations tendant à prou
nt de causes de destruction, ils n’avaienl d’autre arme que la fausse
science
des écoles et des académies; la découverte de Mes
nonça à Adélaïde que son mariage réussir ait ; mais, lui dit-elle, ma
science
me révèle qu’il vous faut avant tonl combattre
ntez quelque chose fouiller dans vos poumons : c’est un esprit que ma
science
somnambulique enverra pour arracher votre mal, et
ai, celle d’éclairer des lumières de l’expérience et de la raison une
science
qui, par l’étrangeté apparente de ses phénomènes
ceux qui auront contribué à asseoir les fondements de cette admirable
science
. Novembre 1860. L. d’Arbaud. faire une sort
la plus vive reconnaissance pour mes efforts et pour la merveilleuse
science
à laquelle j’ai consacré ma vie. HÉMIPLÉGIE.
ilé et le phénomène expliqué au point de vue du rationalisme et de la
science
. Si cette explication ne satisfait pas suffisam
étendues infaillibilités qui se couronnent pompeusement du titre : La
Science
. Longtemps, bien longtemps je leur ai consacré l’
sur sa détermination et qu’il se fera un devoir, dans l’intérêt de la
science
et de la vérité, dont il est un des plus ardents
vants qui se sont occupés de la mystérieuse Égypte ont cru deviner la
science
profonde de ses mages; et dans l’explication qu'i
es de ces temps reculés; sans doute ils ne possédaient point toute la
science
actuelle des Écoles, mais ils en avaient d’autres
s ne solliciterons point, pour cet objet, nos prêtres actuels : notre
science
les jette dans l’épouvaute, et leur méconnaissanc
r ce simple mais puissant moyen que nous indique la nature, et que la
science
officielle finira par admettre, nous en sommes sû
inspiration, dont je rends grâce à Dieu, me porta à m’éclairer sur la
science
du magnétisme. Ce que j’en pus saisir à la hâte,
e. Ses parents avaient épuisé sans succès toutes les ressources de la
science
médicale, et il y a environ douze mois qu’ils vin
t par vos excellents ouvrages que par vos salutaires conseils à cette
science
sublime. Ricard. polémique. A MONSIEUR LE B
es plus étonnants phénomènes, quelque chose de réel et de sérieux. La
science
sincère le reconnaît aussi. Mais où s'arrête le v
ence le faux? Voilà ce que ne peuvent dire encore ni la justice ni la
science
. Prenons acte de ce qu’elles déclarent aujourd’hu
les yeux du même président, j’ai retracé l’exposé de ce système de la
science
des temps antiques. Maintenant les preuves oste
itutions des différents âges de notre monde. Les corps constitués des
sciences
modernes dédaignent son v sublime galimatias. » P
perpétuelle. Retenons ce divin avertissement. ,1) Dictionnaire des
sciences
philosophiques, tnme V, Paris,, 18SI. Quelles q
sans doute, car il voudra entrer de plein saut dans le domaine de la
science
, parce qu’il aura opéré tout à coup des œuvres su
ecins et des savants ; mais, disons-le tout de suite, ce n’est pas la
science
du magnétiste qui guérit ou qui soulage. Ce que l
humain qui ranime la chair et féconde co qu’il pénètre : cependant la
science
se fait en magnétisme, on a déjà posé quelques ja
e de voir une assemblée aussi nombreuse de gens de rien possédant une
science
, un art méconnu, repoussé par les académies et le
e, un art méconnu, repoussé par les académies et les médecins. Quelle
science
plus essentielle, quel art plus utile cependant q
Quelle science plus essentielle, quel art plus utile cependant que la
science
et l’art qui ont pour but la conservation de ce b
ue nous enseignons, il est certain, pour qui sait examiner, que notre
science
aura une influence capitale sur les destinées fut
l’inanité de la médecine. Ils voient bien que tous le» arts, que les
sciences
physiques ont progressé, que tout s embellit ou f
e départ des plus grandes découvertes; elle devra donner à toutes les
sciences
un lustre tout nouveau et rétablir 1 équilibre ro
pour reconnaître d’a- ' vance les changements où les évolutions de la
science
et de l’humanité. Mais, cessant de nous occtipe
que la nature emploie pour rétablir la santé et prolonger la vie. La
science
se croyait au sommet et nous montrons à ces savan
isme promet. Servons-nous de cet agent pour guérir les malades que la
science
abandonne, et soulager au moins ceux que la natur
nsi dans cette bienheureuse sympathie qui fut le premier nom de notre
science
, nous sommes forts et nous préludons au triomphe
rendra prospères, et si nous rêvons la conquête d’une place dans les
sciences
officielles, c’est par le chemin de la paix que n
servations et du développement qu'ils ont, par suite, apporté à cette
science
dont Mesmer avait jeté les premières semences et
our de ton noir esprit i Kl vous, ténébreux docteurs De l'infernale
science
, Magnétistes imposteurs Kl spirites en démence
ineuses phalanges Exhalant l’encens et le nard. VI Recherchant la
science
ardue, Oubliant climat et saison, Souvent, hale
hénomènes renfermés dans le magnétisme parmi les hautes régions de la
science
. Oui, la science absorbera le magnétisme, elle ch
és dans le magnétisme parmi les hautes régions de la science. Oui, la
science
absorbera le magnétisme, elle changera peut-être
s faites, mais enfin le principe et les faits prendront place dans la
science
de l’homme. Certes, ce ne sera pas par des théori
érieuses de notre époque. Que l’on admette toutes les données de la
science
magnétique, ou bien qu’on en soit encore à ces do
ulgariser ses convictions, et pour faire passer dans le domaine de la
science
, des idées nouvelles dont l’application doit être
ubrique antiquité égyptienne, représente une évocation. Un livre de
science
doit être exact dans toutes ses parties, parce qu
s ces erreurs seraient sans conséquence ailleurs que dans un livre de
science
, où tout doit être de la plus complète exactitude
êtes imposé, les elforts incessants que vous mettez au service d’une
science
nouvelle, on peut-être simplement renouvelée, tou
a exclusivement, par l’étude et par des expériences, à répandre cette
science
en Orient. Je ne manquerai pas, monsieur le baron
vivement applaudies. Le nom de l’illustre propagateur de celte belle
science
était dans toutes les bouches, et chacun se faisa
si bien enracinée dans leur cœur, que nulle dissertation contre cette
science
, fût-elle même approuvée par toutes les Académies
ant à mes séances, a suffi à les rendre plus adeptes que jamais d’une
science
aussi merveilleuse et aussi étonnante. Croire aux
cette fête ;ï la mémoire du savant illustre qui introduisit dans les
sciences
une des plus sublimes et des plus profondes révol
venus où l'humanité doit être réintégrée parle progrès de toutes les
sciences
à la fois. Mesmer, Messieurs, eut seul la glair
sieurs, eut seul la glaire de répandre h; magnétisme en Europe, dette
science
connue déjà tfes anciens, fut emportée par le sou
s huit cents ans peut-être, la tête de Minerve. La philosophie et les
sciences
, méconnues et méprisées, reparurent sur la terre.
e Mesmer reçut du ciel la mission de répandre le magnétisme, et cette
science
en pénétrant encore dans le monde, apporta avec e
que nous importent à nous aujourd’hui le sarcasme et le mépris de la
science
officielle ; le magnétisme cesse-t-il pour cela d
s temps l’attention d’un très-grand nombre d’hommes célèbres dans les
sciences
et la philosophie? De profonds penseurs n’ont-ils
ous, l’auteur de ces lignes : « L'Académie de Médecine et celle des
Sciences
n’ont pas hésité à nier la possibilité même dks f
l, parce que Mesmer et tous ceux qui ont défendu et fait connaître la
science
du magnétisme, ont été traités de visionnaires et
par de ridicules préventions, viennent entraver la inarche, de cette
science
nouvelle. « Le scepticisme aura satisfaction, c
es : j’ai constaté des faits si surprenants, que , pour la vie, cette
science
divine sera mon guide et ma religion (1). J’ai as
é-tistes qui se payent d’une simple dénomination, pensent posséder la
science
de la spécifité de l’agent, parce qu’ils ont une
t l’on ne doit point se méprendre sur celte figure; c’est de la vraie
science
dont nous voulons parler, de celle que les savant
e crédulité. Ce que la superstition croyait aveuglément autrefois, la
science
maintenant le constate et l’explique. n Or, il
cédé n’est pas nouveau et son effet est trop certain. 11 n’y a que la
science
pour faire de ces coups : les charlatans s’y pren
il faut que tous y passent avant que la vérité se fasse jour dans la
science
. La science exacte a laissé le vieux roi de Pru
ous y passent avant que la vérité se fasse jour dans la science. La
science
exacte a laissé le vieux roi de Prusse dans un ét
avants, et la vérité ne trouve de refuge que là où l’opposition de la
science
ne trouve point d’échos. Plaintes, gémissements,
magnétistes leur ravissent un peu de l'or du riche. Nos princes de la
science
sont satisfaits de cette situation. On ne leur de
d les moyens sauveurs n’ont point été employés. Que chacun fasse sa
science
, que chacun apprenne à se guérir. Par le magnétis
diminuer la force et le nombre des humains en se servant de la fausse
science
pour arriver à ses fins. Ma plainte excitera le
se dira ce qu’il s’est dit cent fois : « Si le magnétisme existait la
science
l’aurait accepté, les médecins s'en serviraient ;
peuvent aspirer à avoir des établissements de h bains de mer, que la
science
précisât dans quels cas ces « bains sont profitab
le ou telle affection, mais bien lo mode d’emploi de ces bains que la
science
n’a pas cherché à déterminer d’une manière positi
n s'attache seulement aux effets sans jamais remonter aux causes, les
sciences
resteront stationnaires. 1! est vrai que les effe
l’époque la plus salutaire suivant les climats. Pins tard, lorsque la
science
aura voulu se donner la peine d'indiquer la maniè
n parmi scs adversaires (¡ni n'ont puisé ce (|ii'i!s sn-vonl de colt-
science
que dans la prati(|ue ou bagage scieuli-liijuc de
onsidéré comme candidat, qu’il était mu seulement par 1 intérêt de la
science
et de l’humanité, ses confrères ne laissèrent pas
l'eussent réclamé pour leurs malades, — ils se mirent à causer... de
science
, sans doute? il serait trop naïf de le croire, ii
sont autant de mots que le sentiment semble créer pour effaroucher la
science
et la raison, mais elle se joue de ces obstacles
e reflet à l’imagination; le surnaturel de la veille devient ainsi la
science
du lendemain : c’est ainsi que les philosophes he
soulagement d’esprit pour les magnétistes quand un représentant de la
science
officielle prend la parole eu faveur de la vérité
dénégations de ce qui est acquis que l’on doit procéder en matière de
science
. Vos citations sont heureuses, et ajoutent, en di
re texte que je combats, page 8h et suivantes, où vous dites : que la
science
ne pourra jamais démontrer, telle est votre croya
s secrets : il en est ¿voile, il en est qu’il garde pour lui seul. La
science
a / te en faisceaux les grosses choses, ce qu’il
raconte est mensonger et il est du devoir de la médecine de purger la
science
de toutes ces erreurs d’esprits malades..... Tel
’esprits malades..... Tel est leur langage. Un de ces princes de la
science
répondait à un homme considérable qui lui affirma
avec discrétion, mais sans croire se compromettre ni compromettre, la
science
. Jusqu’à Récamier qui avouait sa croyance au magn
herché. M- Reichenbach avait déjà conquis un rang distingué dans la
science
par ses découvertes en chimie, lorsqu’il publia l
que l’on pourrait douter ; ils aiment si peu les révolutionnaires en
sciences
ou ailleurs que l’on devrait désespérer, si la vé
ladies, à deviner et à augurer : jamais on ne fera de la médecine une
science
exacte, car la nature s’y oppose;—je les ai montr
parmi tant de gens illustres et parfaitement décorés? On trouve de la
science
sans doute, mais pas une idée d’avenir, pas un tr
sophie, médecine ne peuvent produire rien de durable sans lui, et les
sciences
exactes, au moyen de ce complément, recevront une
ent, recevront une impulsion qui, changeant les données générales des
sciences
, pourra donner l’humanité les réalités que le gén
Orient a toujours été le véritable berceau de la magie, la patrie des
sciences
occultes ! Dans toutes les villes de l’Asie on tr
toutes les villes de l’Asie on trouve aujourd’hui des restes de cette
science
, conservés parmi le peuple (1). (1) Dans les cl
'ils ne divulguent point, ne se doutant pas sans doute que toute leur
science
terrible et mystérieuse est parfaitement bien con
i des hommes éminents en Europe s’occupant de magnétisme animal et de
sciences
occultes, pénètrent bien des mystères, et voient
aine par ses merveilles, ce qui prouve catégoriquement que toutes les
sciences
connues aujourd’hui ont toujours été du domaine d
de le répandre en Europe. L’antiquité, dis-je, possédait à fond cette
science
. Qui sait ce que les prêtres ou hiérophantes d’al
ns les livraisons suivantes des restes palpables, mais dégénérés, des
sciences
occultes. Ils sont palpables parce qu’ils sont en
uleurs et le magnétisme, de manière que cela puisse s'ajouter à cette
science
, sous le nom de chromalomagnélisme. (3) A propo
rticulières quand on magnétise. Nous pouvons conclure de là que celte
science
était le grand mystère des prèlres de l’antiquité
ement dans nos contrées ne peuvent être expliqués que par cette belle
science
appelée magnétisme animal (1), science qui, s’éta
expliqués que par cette belle science appelée magnétisme animal (1),
science
qui, s’étant transmise à nous d’âge en âge, conti
du monde qui ont pris à tâche, par amour de la vérité, de poser cette
science
sur des fondements inébranlables. C. Constant.
t. Smyrue, 5 juin 180t. (1" livraison.) (I) Les rapports entre la
science
magnétique d’Europe et les conceptions magiques d
dans la nature inorganique, des phénomènes bien étranges, auxquels la
science
ne nous avait point préparés. Malgré leur étrange
élevées que celles qui, déjà depuis longtemps, ont prédominé dans la
science
. Nous avons trouvé dans la préface du Dr Tripie
’ABBAUD (1). Versailles, l"août 1861 (2). M. d’Arbaud définit uue
science
exacte : « Uiie série de faits matériels, de ph
rincipe naturel qui sert de base * ces faits ne constituent pas une
science
. Tous les faits naturels ont pour base un princip
érie, si nombreuse qu’elle soit, ne présente que de l’empirisme. La
science
exige autre chose. Elle est la synthèse qui, cl
de saint Augustin. » J. P. Cbevalier. (l.'âme, au point de vue de la
science
et de la raison.) D’après Spinosa : L’âme est
onforme au corps. Ainsi conçue, l'âme humaine serait lino vue de la
science
ri forme personnelle aérienne; une individua- de
vement ne peuvent appartenir au sujet divisible. » ( Dictionnaire des
sciences
philosophiques.) Mais qui vous dit qu’il soit d
tisme opérera une révolution dans le monde de la philosophie et de la
science
, parce que la vérité est une et qu'elle se fera j
s de désavouer demain ce qu’ils avançaient hier, parce que toutes les
sciences
sont mobiles et que nous ne savons pas. J’aime ce
ions* et que vous les accusez d’être attardés dans ce vestibule de la
science
, les engageant à passer au salon pour arriver a
sayer de les modifier sur un point trop important, relativement' à la
science
mesmérienne et que, par conséquent, je ne puis pa
du mot, parce que, au point de vue thérapeutique du magnétisme, cette
science
n’a rien à faire ; et, quand nous guérissons, soi
peutique magnétique, du moins dans l’intérêt de la philosophie et des
sciences
, mais logiquement et sans précipitation. Bien à
ns, briser bien des entraves, répandre beaucoup de sang. Cependant la
science
s’est établie ; où était l’ombre, la lumière se f
beaucoup. Le fond de ma pensée est pourtant ceci ; c’est que dans les
sciences
tout est conjecture, comme dans l'opinion Tome XX
ation. Les magnétistes jusqu’à présent ont fait ce qu’ils ont pu ; la
science
magnétique leur doit un progrès véritable et un t
i les empoisonne, ils se conforment à ses arrêts; les savants ont une
science
incomplète et ils ne veulent à aucun prix des nou
ère. Je sais que je ne sais rien, dit l’homme le plus avancé dans les
sciences
, et beaucoup pensent de même. L aveuglement gén
ul lire avec intérêt les fragments qui suivent : a Pour posséder la
science
de l’unité sainte, il faut regarder la flamme qui
o Tout est matière et tout est esprit (*). » Hermès. L’élite de nos
sciences
modernes el de nos lucidilit actuelles confirme c
rement Ignorant la plupart du temps, se trouve à l'instant doué d’une
science
bien supétieure k celle des médecins : il donne d
s opinions erronées qu’on peut se faire d’un objet se rattachant à la
science
, quel qu’il soit ; et, toutes les fois que la pub
t, l’étude approfondie d’un des phénomènes les plus merveilleux de la
science
magnétique ; phénomène qui peut seul nous conduir
pas à dire que cet état de choses est fâcheux pour l’avancement de la
science
; et si, parce qu’on a éprouvé des échecs presque
octeur Léger, qui font boutique et qui n’ont d’autre dieu, en fait de
science
et de vérité, que le dieu du xix'siècle : l’or;..
t qu’ils invoquent pour s’éviter la peine d’augmenter le nombre des
sciences
utiles à l’humanité, comme si nous ne devions pas
ont, le plus souvent, que répéter ce qu’ils ont entendu dire de cette
science
; ou, ayant expérimenté dans de mauvaises conditi
t, elles ont encore leur utilité au point de vue de ces parties de la
science
encore incomplètes. Seulement, dans ce cas, il fa
qui s’y rattachent le rang qu’il doivent occuper tôt ou tard dans les
sciences
et dans le monde?... Oh ! non 1 mille fois non!..
B.....sont vides de sens, en ce qu’il n’y a rien d’absolu dans les
sciences
non mathématiques et encore..... Il en sera de
us déraisonnable, et s’ils ne le sont tous deux ; si enfin il y a une
science
médicale. Mais la réflexion n’est point venue che
Du Somnambulisme: Fixer la limite où s arrêtent les faits acquis à la
science
, et exposer le programme d’une série d’expérience
ndir son étude. » C’était la question du magnétisme posée devant la
science
. J ai cru devoir relever le gant, et je me suis d
, que d’obstacles! D’abord, renvoi de la question de la section des
sciences
naturelles à la section des sciences médicales. —
de la question de la section des sciences naturelles à la section des
sciences
médicales. —Puis, par une coterie, sans délibérat
D’abord c’est, dans le congrès scientifique de France, la section des
sciences
médicales qui déclare juste le contraire de ce qu
nitz définissait la pensée : « la perception simple , jointe à la con
science
du moi, ou à la réflexion dont les animaux sont p
ies de son caprice, les erreurs de sa rêverie, les combinaisons de sa
science
, tous les trésors utiles ou futiles de son inépui
qui désigne la qualification naturelle des propriétés des corps. La
science
de ces propriétés les embrassait dans toute la na
nature et s'étendait à toutes leurs applications : elle signifiait la
science
et l'art de la médecine. Ce n'était là, toutefo
nous procure ainsi l’expli- v a lier, L’Ame au point de tiue de la
science
el de la raison.) a La métaphysique, source tén
elle-ci faiblisse, le conciliabule des émeutières (Dictionnaire des
sciences
philosophiques.) « Dans son développement spiri
-rens (1), vérifiant les travaux de le Gallois et de Lorry, dotail la
science
physiologique de la détermination précise du sièg
l d'ndmotlre que l'on pnis»e rrncBVOiR..- te n'rxùtr mille part? la
science
en la faisant précéder de préjugés qu'il faul dét
fioul* planète, ajoutait* il, ett entourée ainsi de ses esprit». La
science
officielle nous dirait que ce aont de» « fore et,
bien. Mai* non» loi demanderions : qu'est-ce qne ces « forcttl • I.a
science
ne aérait plus capable de répondre d’une manièra
z, nous voici de rechef en face de la syhthèse religieuse de la haute
science
de l’antiquité, savoir ; LE FEU (l'esprit) princi
de nous livrer, a clairement déduit, je crois, au point de vue de la
science
antique, le mode et la nature de raconta la vis
é des recherches, de marquer la différence et les limites de ces deux
sciences
. Il faut en maintenir la séparation contre toute
, et aussi leurs nombreuses tentatives pour en relier le principe aux
sciences
établies et en tirer des inductions aussi neuves
agie est apparue et notre Journal renferme quelques éléments de cette
science
. Le Spiritualisme, enfin, a trouvé le journal d
dire cette vésanie du sommeil indéchiffrable aux investigations de la
science
actuelle. « Avouons encore ici notre complète ign
etc. «Il faut qu’une enquête soit ouverte, etc. « L'Académie des
sciences
, ni l'Académie de médecine, n’ont pas le droit de
s a défendre. Je ne suis vous m'écrivez que, « dans l’intérêt de la
science
du mesmérisme, ces citations multicolores sont su
uestion. » Mais alors, je vous en prie, donnez-moi l'adresse de... la
science
du mesmérisme! Sinon que, calife de l’Occident, v
e biographique, II. Mesmer présente ses assertions à l’Académie des
sciences
et à la Faculté de médecine. — Premier établissem
y, contemporaine de Mesmer, et du Dr Rostan, membre de l’Académie des
sciences
, sur l’avenir du Magnétisme et sa reconnaissance
e des sciences, sur l’avenir du Magnétisme et sa reconnaissance comme
science
officielle. 1. Arrivée de Mesmer à Paris (fév
u, ce qui n’y gâtait « rien (1), » il venait, disait-il, apporter une
science
nou- (1 ) Mémoires de la marquise de Créquy V.
(1706), Mesmer appuyait « sa théorie sur des principes reçus dans les
sciences
et sur des exemples généralement connus, mais les
jours, où l'influence des astres sur notre globe a élé réduite par la
science
aux alternatives de lumière et d'obscuritc, au mo
r le magnétisme pénétrer dans les familles et y opérer un bien que la
science
médicale est impuissante à produire ; car le magn
dehors de la pharmacopée, et c’est d’abord pour les personnes que la
science
abandonne que les principes nouveaux seront un in
rappé comme une lumière. Si mes idées sont vraies, elles serviront la
science
; mais je déclare n’avoir aucune prétention de ch
ilé et le phénomène expliqué au point de vue du rationalisme et de la
science
. » Parbleu! je vous conseille de vous en vanter
a science. » Parbleu! je vous conseille de vous en vanter, de votre
science
et de son rationalisme! Quel dénouement colossal!
ne suis pas devenu crédule, cl cependant je ne raille plus ce que la
science
du jour n’accepte, ni ne sait solidement contredi
uraient que les Egyptiens possédaient une profonde connaissance de la
science
à lacjuellç nous avons donné le nom de magnétisme
science à lacjuellç nous avons donné le nom de magnétisme ; que cette
science
était pour eux la clé de toutes les autres, et de
Egypte, qu’il était exclusivement entre les mains des prêtres, de la
science
desquels les peuples voisins avaient l’idée la pl
par un prince, son allié et son parent, de l’envoi d’un docteur delà
science
, ud'unhomme au cœur intelligent, d’un maître aux
s en les perpétuant, le magnétisme est le fondement et la lumière des
Sciences
intuitives et des Sciences Morales et Politiques.
nétisme est le fondement et la lumière des Sciences intuitives et des
Sciences
Morales et Politiques. Esclave docile de l'esprit
s propriétés, de ses lois. Cette seconde révélation est l’objet de la
Science
médicale, des Sciences physiques et Naturelles et
ois. Cette seconde révélation est l’objet de la Science médicale, des
Sciences
physiques et Naturelles et de Y Industrie ; mais
utions aussi brillantes que satisfaisantes pour les difficultés de la
science
. C’était surtout le sujet de Ibtirs continuelle
substance; que ta Majesté veuille envoyer un homme connais- sant la
science
pour l’examiner. « li. Le roi dit alors : « Qu’
ans ses membres. » « Le roi après avoir consulté les docteurs de la
science
sacrée, envoie au pays de Bakhteti le basilicogra
ammate Thot-em-hewi avait du être choisi parmi les dépositaires de la
science
qui enseigne à reconnaître ces manifestations. Au
unes des sectes du gnosticisme, avaient des racines profondes dans la
science
antique de l’Egypte. Il est extrêmement intéressa
ressant de rechercher, dans les textes originaux, les débris de cette
science
vénérable. C’est là une tâche vaste et belle à la
RIE. Le sort des humains n’est plus dans les mains de la nature, la
science
e9t devenue la régulatrice de la santé, elle s’es
devenue la régulatrice de la santé, elle s’est substituée à Dieu. La
science
ne tient aucun compte des forces médicatrices qui
ique, oui, vos procédés d’investigation annonçaient que vous aviez la
science
magnétique et que, ne voulant pas en révéler l’
s. Votre temple est une arène ; mais, que dis-je ? il n’y a pas une
science
médicale seule : chose singulière! chaque médecin
ut-être ce qu’ils ne savent pas. Baron du Potet. NÉCROLOGIE. La
science
vient de perdre un de ses éminents représentants,
carrière au moment où il portait son regard sur les obscurités de la
science
officielle, touchant l’ordre moral. Le magnétis
roche aux magnétistes leur inconséquence à se refuser d’étu-dier leur
science
dans ses plus grands développements, afin de pouv
aux hypothèses scientifiques, il ne laisse pas môme à l’ombre de la
science
une assez large place..... Cette foi là nous prio
épart, qu’on regarde comme un principe, comme une vérité acquise à la
science
, pour juger les doctrines et fixer les appréciati
études sur le surnaturel ? Parce quelles sont indispensables pour la
science
de F homme et pour la connaissance de son état vé
ychologie rationelle et transcendante, oui! c’est une partie de celle
science
qui procède par voie d’observation pour atteindre
rd’hui, et de l’appuyer de quelques considérations se rattachant à la
science
. La constatation des faits est ordinairement faci
dont j'aurai ébauché à grands traits les conséquences futures pour la
science
. Je n’hésite pas à répondre ceci à la première
it, c’est dans ce livre primordial que se trouve la clef de la grande
science
qui doit nous conduire infailliblement à la conna
s de plus vers le progrès. Ampère a dit : « Ou Moïse avait dans les
sciences
une instruction aussi profonde que celle de notre
Éludiez-donc sans ersse, obi vous qui voulez acquérir la véritable
science
, et laissez aux orgueilleux, aux insouciants, aux
e-Dieu, cet envoyé sublime, et vous y trouverez la clef de toutes les
sciences
. » En effet, le magnétisme, cette clef dorée de l
dir lui-même au lieu de plier sous les faux dogmes des docteurs de la
science
on de la religion qui lui disaient : « Crois ceci
leur assigner une origine positive, du moins dans l’état actuel de la
science
(1). D. H. André, Médecin homœopathe, magnéli
nétisme a fait, et de l’ébranlement qu’il produit dans le domaine dos
sciences
. Les études sur le Magnétisme deviennent plus sér
re entrevoir des vérités d’un ordre supérieur, propres à troubler les
sciences
physiques dans leur quiétude, ni mieux que lui no
de Paris ; l’écho les redira éternellement, car le magnétisme est la
science
de l’avenir. 11 remonta pour un instant aux sourc
reau du Journal, tous mémoires ou observations qui intéresseraient la
science
du magnétisme, et dans l’occurence un bulletin po
ivant à Paris, fut de faire présenter ses assertions à l’Académie des
sciences
par le comte de Maillebois, lieutenant des armées
août suivant, Mesmer écrivit à M. Le Roi, directeur de PAcadémie des
sciences
, dont il avait fait la connaissance quelques mois
r tomba dans le découragement le plus complet. Livré aux risées de la
science
officielle qui le traitait do . charlatan » (2) e
Marais. Résolu à son retour de Créteil de se passer du concours de la
science
officielle, il espère par ses cures ouvrir les ye
igeants quand il s'agit des croyances des temps passés et surtout des
sciences
(1 ) Biographie de Fcl|er, v. 8, p. 347. (2)
crédulité; mais je pense qu’on a tort de mépriser 1 histoire de cette
science
occulte et l’examen des procédés qu’elle employai
a parfois sous l'enveloppe d’une opération magique les éléments de la
science
ésotérique de l’antiquité qui nous échappe encore
tte matière. Mais ce qui touche à la partie la plus curieuse de cette
science
occulte, à la magie orientale et à la divination,
e les archéologues ne doivent jamais omettre de nous fournir, sur les
sciences
occultes, les renseignements qu’ils peuvent renco
de magie, et tous les faits extraordinaires étaient attribués à cette
science
: les grands hommes étaient transformés en magici
d’accord avec celles que m’ont données deux membres de l’Académie des
sciences
, l’un savant physicien, M. Babinet, l’autre M. Ga
ne chaîne continue qui lie les temps plus reculés au nôtre. C’est une
science
mystérieuse qui s’est transmise, comme toutes les
. C’est une science mystérieuse qui s’est transmise, comme toutes les
sciences
ésotériques, par recette, procédés, imitation. C’
hénomènes se dérouleront sous nos yeux, on verra apparaître toute une
science
; on découvrira les vérités importantes dont ils
est laissé, je ferai en sorte que mon dernier effort, en faveur d’une
science
qui a absorbé ma vie, laisse une empreinte qui ju
étiser les malades. 3, 29. Magnétisme animal. Ses rapports avec les
sciences
et la philosophie; étude par M. Rossi, 121. Mag
93. Physique et psychique. Sens attaché à ces deux adjectifs par la
science
et la philosophie, 492, 495. Pneumatologie. Voy
Psychologie. Voy. Ame. Rapports (des) du magnétisme animal avec les
sciences
et la philosophie; étude pur M. Rossi, 121; — d
ec les sciences et la philosophie; étude pur M. Rossi, 121; — de la
science
magnétique d'Europe avec les conceptions magiques
tant le cachet d'une violente intolérance envers le magnétisme et les
sciences
occultes, dans le passé comme aujourd'hui, 151, 2
nitarisme (l'), livre des chrétiens unitistes, ou Exposé de la grande
Science
chrétienne, etc., por Pail-lot de Moutabert. OEuv
e se priver, à cause du discrédit qu’on se plaît à déverser sur cette
science
, d’un auxiliaire aussi puissamment bienfaisant.
et de la magnétothérapie, qui s’intéressent à la propagation de cette
science
, apprendront aussi avec plaisir, qu un Journal sp
es par ce moyen, ainsi que les faits divers qui sont du domaine de la
science
en général. « Dans l’exposé d’un traitement, on
. Je considère cette institution comme le critérium et l’avenir de la
science
mesmérienne. Je m'empresse donc de me porter au n
trine, soit que les mœurs d’alors s’y opposassent, le fait est que la
science
mesmérienne ne germa pas dans ce royaume, où tint
magnétisme. Quelques personnes érudites avaient bien pu étudier cette
science
dans les livres français ou allemands, mais elles
mi lesquels un rédacteur d’une feuille d’annonces, et pas un homme de
science
. C’est dans cette feuille que ces huit adeptes n’
ouble embarras. Le magnétisme n’étant pas, rien n’est dérangé dans la
science
; il n’y a point à refaire de système, à détruire
ées et obtenues au grand jour sur des malades abandonnés par la haute
science
des écoles n’étant que le fruit du mensonge et de
oir. Ah ! messeigneurs, bientôt les charlatans auront plus de vraie
science
que vous; car, je vous le dis, ils font des chose
uves publiques et de répondre de ses œuvres. Grands seigneurs de la
science
médicale, prenez garde qu’une voix inspirée ne
ra cette fois du moins été la justice de Dieu. Grands princes de la
science
, pourriez-vous nous donner des nouvelles du fameu
ait été introduite. La vérité vous a fût peur, grands princes de la
science
! En effet, l’erreur est bien plus profitable. N
du feu ou du poison. J’ai vu par milliers des martyrs de la fausse
science
, mourir sans proférer une parole de malédiction c
aient appelé à leur secours. A la vue de ces faits, je pensais à la
science
divine de Mesmer, et je me disais : Quand l'opi
fera un progrès inespéré et prendra le premier rang parmi les autres
sciences
. Mais ce pas en avant, la science médicale ne l
le premier rang parmi les autres sciences. Mais ce pas en avant, la
science
médicale ne le fera que lorsqu’elle y sera forcée
s attaques ne sont point injustes, je vais raconter les méfaits de la
science
officielle, les dis- cours de ses-héros, l’impu
’union entre la terre et le ciel. Entre ces deux extrêmes, l’homme de
science
cherchera la vérité. A.-S. MORIN. INSTRUCTION
, chez certains êtres privilégiés, produit le somnambulisme, la seule
science
qui démontre l’immortalité de l’âme. De même que
r simples instruments de la nature et magnétisant leurs malades, leur
science
leur venant en aide pour remonter jusqu’aux cause
nts que tous les autres hommes. Ce moment venu, les magnétiseurs sans
science
n’auront plus qu’à courber la tète et à suivre le
ion; on comparera les œuvres du charlatanisme avec celles de la haute
science
; le mépris public atteindra celle-ci ; les autel
ité, à sa façon, les plus graves questions de morale, de religion, de
science
sociale, il a abordé les sciences occultes. Dans
questions de morale, de religion, de science sociale, il a abordé les
sciences
occultes. Dans Gilbert et Gilberte, il a exposé l
blic sur la grande question de la divination ; il a voulu relever les
sciences
occultes et les venger du mépris injuste et irréf
u mépris injuste et irréflchi dont les a frappées le matérialisme des
sciences
positives. Quoi qu’il en soit des convictions d
n y recourant on ne soit mû que par l’amour pur et désintéressé de la
science
et par le désir de faire du bien. Nous terminer
fluence magnétique se réalisent parfois d’une manière surprenante. La
science
a encore tant de secrets à pénétrer! Aussi, en pr
.. . . . . « Ayons espoir dans la marche toujours progressive de la
science
humaine; seule elle peut élucider, elle élucidera
moderne de ce phénomène. L’auteur voit dans ce retour « un avenir de
science
inconnue ou niée», et dans le fait lui-même «les
second point, le plus étrange, est une merveille de plus acquise à la
science
physiologique. « La table soumise à l’influence
née de ces deux fluides. Cette opinion est appuyée par tout ce que la
science
du magnétisme animal nous a dévoilé jusqu’ici....
le problème. Sans doute ; mais était-ce une raison pour abandonner la
science
, et demander à la religion le mot de l’énigme? Ne
vrages Tome XIV. — N° *05. — 10 février 1S53. 3 publiés sur cette
science
par MM. du Potet, Teste, Ricard et autres, ce qui
ments de maladies dites incurables, et rendons à la santé ceux que la
science
officielle a condamnés ; nous montrons ainsi le
par son importance, des développements circonstanciés intéressant la
science
tout entière; mais le temps ne m’appartient plus,
nt plus, je cours sans m’arrêter jamais, je suis le Juif errant de la
science
, j’ai toujours un fait à ma portée, mes mains son
ions sanguines et par les remèdes de toutes sortes, le jugement de la
science
devait bientôt recevoir son exécution. Vous, me
rendu libre. Chercher de semblables exemples dans les annales de la
science
serait inutile, il ne peut y en avoir, la nature
la gravité du mal qui existait dans l’articulation de la cuisse ; la
science
avait dit son dernier mot, et vous étiez condamné
a simplicité, trouver des imitateurs zélés qui, comme moi, amis de la
science
, suivraient les règles imposées par la nature,
incurable ; vous le deviniez, on l’avait dit; les illustrations de la
science
officielle avaient prononcé. Qu’aviez-vous donc e
voulu vous montrer ingrate , je vous en félicite dans l’intérêt de la
science
que je défends. Mais ces œuvres sont difficiles
changer le genre humain. Je viens de pécher contre les règles de la
science
; mes descriptions sont incomplètes, car elles ne
encore un ami du mesmérisme, ce qui veut dire homme de progrès et de
science
humanitaire.... Si les pauvres de Plombières le p
es-uns d’abord vous suivront, puis enfin la foule acceptera ce que la
science
des écoles refuse de voir et de comprendre. Rec
ste pas,» jamais ils ne convaincront ceux qui voient le contraire. La
science
n’est pas encore faite, et le médecin vraiment di
possible; car, sans cela, la vie n’est plus qu’un funeste présent. La
science
médicale, dans son aveuglement, est parvenue à fa
qui laissent souvent des traces si profondes. Grands princes de la
science
officielle, 011 fera bientôt votre histoire ; 011
re ! On saura un jour que ce qui restait d’instinct médical, de vraie
science
, s’était réfugié chez quelques médecins de campag
cience, s’était réfugié chez quelques médecins de campagne, et que la
science
enseignante, si elle savait faire des savants en
ayant plus besoin. Le désespéré jouit de la lumière ! Ici encore la
science
avait dit son dernier mot. Un ignorant, un magnét
is pénétrer le feu magnétique dans cette argile humaine, et ce que la
science
n’avait pu obtenir se produit. 11 survient des
’est pour qu’il en soit ainsi que l’on m’entend dire chaque jour : La
science
médicale sera réformée. C’est une honte aux médec
des infirmes est incalculable, et dans son impuissance volontaire, la
science
n’en prend nul souci. Son devoir n’cst-il pas d’é
Que de trésors ignorés le nouveau phénomène pourra dévoiler un jour!
Science
infuse ! idées innées! criera-t-on. Qu’importe. J
rganisation n’ont pas de limite déterminée. Ces faits dépassent notre
science
actuelle; mais, dans un temps donné, le progrès d
de cet article, M. l’abbé Coignat, admet nettement le principe de la
science
, et ne fait de réserves que pour les appréciation
BIBLIOGRAPHIE. LA THÉORIE DES RELATIONS considérée comme base de la
science
et du progrès actuel, par M. l’abbé Caupert, prof
ts d’un corps qui aurait dû, dès longtemps, se placer à la tête d’une
science
dont le maniement lui a, dans l’antiquité, presqu
ois lignes ; la voici : « La théorie des rapports, dit-il, c’est la
science
expérimentale du progrès moderne dans ce qu’elle
oilà pourquoi les découvertes rares, dues au hasard ou au génie de la
science
, ont été embrassées par les uns avec enthousiasme
vec si peu de raison ; loi nouvelle, qui, tombant dans le domaine des
sciences
, fait connaître à l'homme les rapports qu’il igno
d’une chaîne immense d’autres vérités qui plus tard coustitueront une
science
entière. 11 y a tout un passé à faire renaître et
des vérités ; qui menaça Galilée du bûcher et fit tant de martyrs des
sciences
et de l’intelligence. C’est elle qui, dans le siè
our l’acquit de sa conscience et de sa raison, devoir soumettre cette
science
nouvelle à une étude sévère, à un examen expérime
nds et nombreux égarements. Les données fournies en même temps par la
science
, la raison et la foi, nous paraissent indispensab
ntiment universel pour se rap- procher des résultats nouveaux de la
science
! Qu’on en juge par l’histoire de la question pré
s naturels; d’autres, au contraire, se croyant en possession de toute
science
et de toute vérité, ont répondu ii cette préten
s dont la première parait être un agent très-subtil, et connu dans la
science
sous les divers noms de fluide vital, nerveux, él
aison froide et d’un esprit éclairé, s’occupent sérieusement de cette
science
à Paris, à Lyon, à Bordeaux, à Cherbourg, dans to
parmi le clergé un écho dont il est si étrange qu’au XIXe siècle une
science
quelconque se trouve avoir besoin pour pouvoir êt
urelles, telles que celle de la parole, de l’éloquence, des arts, des
sciences
, en le déclarant soumis aux mêmes lois, entraînan
e que le magnétisme, admis à la place à laquelle il a droit parmi les
sciences
les plus élevées, soit étudié, réglementé et conf
jourd’hui plus que jamais le divorce qui menace de s’établir entre la
science
et la foi. « Quelque vaste que soit la science
e s’établir entre la science et la foi. « Quelque vaste que soit la
science
sacrée, s’écrie le dernier « Concile provincial d
iastiques, qui doivent désormais contenir au moins « les éléments des
sciences
profanes. » Ce vœu, qui avait été également émi
, le cardinal Gousset, vient ajouter à ces témoignages le poids de sa
science
et de sa dignité : « Les effets étonnants de l’
te dernière citation que nous lui empruntons : « Quand il s’agit de
science
expérimentale, le seul parti à prendre entre la c
vœu que la clef de ces mystères de la nature ne soit confiée qu’à une
science
éclairée et droite, et que ceux qui la manient ne
us y joignons de toute« nos forces, persuadé que dans ses mains cette
science
est appelée à rendre à l’humanité les plus éminen
tion, d’où il résulte une utilité positive et fructueuse tant pour la
science
même du magnétisme que pour celles dont l’influen
e d’eux, » peut-être de Mesmer lui-même, bien des choses touchant les
sciences
occultes? « — Mon père m’a toujours dit que le
ngt-cinq ans je dus de compter eu M. Durand un fervent disciple de la
science
nouvelle. Il vit mes expériences, suivit un de me
sa main et de sa pensée les œuvres dont il avait été le témoin. La
science
lui doit de belles expériences sur l’insensibilit
spendre la douleur physique pendant de cruelles opérations ; quand la
science
le voudra bien, il ne restera plus dans l’humanit
, on peut répondre victorieusement à M. Almignana, que Dieu seul a la
science
infinie, absolue; que tous les autres êtres, même
utres êtres, même les plus éminents, n’ont et ne peuvent avoir qu’une
science
bornée et ignorent par conséquent une foule de
M. Paul Féval est un médecin magnétiste, et tous les phénomènes de la
science
de Mesmer et de Puységur sont appelés tour à tour
er coup d’œil, chez l’auteur, une étude approfondie et sérieuse de la
science
dont il a fait un si heureux emploi. M. Paul Féva
en employant l’attrait de la fiction du roman comme passeport de la
science
sérieuse près des esprits avides d’émotions drama
ce sérieuse près des esprits avides d’émotions dramatiques, et que la
science
toute seule, dans sa nudité austère effrayerait,
ts deux faits que vous pouvez faire figurer dans les annales de notre
science
, si vous les en jugez dignes. Le 27 octobre der
Je me suis, depuis lors, livré à des études approfondies sur cette
science
, et j’ai recueilli, sur la clairvoyance en partic
pporterons, pour notre part, à la construction du grand édifice de la
science
magnétique. c. CASATl, Docteur en médecine cl e
considérables toutes deux et dont les écrits ont dans le monde de la
science
et de la philosophie un poids trop sérieux pour q
c’est-à-dire des définitions. Qu’est-ce que la physiologie? C’est la
science
des principes de l’économie animale, de l’usage e
principes de l’économie animale, de l’usage et du jeu des organes, la
science
, en un mot, de la vie et de la nature animée. La
s facultés et de ses opérations. Or, sur quelles bases cette dernière
science
a-t-elle pu être établie ? Sur quelles observatio
uelles études matérielles, par quelles démonstrations tangibles cette
science
toute idéale en est-elle venue à être une science
ons tangibles cette science toute idéale en est-elle venue à être une
science
positive, sinon en concluant du principe physique
es un être impossible. 11 n’est donc pas permis de séparer ces deux
sciences
d’une manière absolue, et l’étude d’une troisième
dère comme décisif l’arrêt prononcé à cette époque par l’Académie des
sciences
et déclare tout net que « la théorie du fluide es
aculté inouïe, perception, sensation, instinct, peu importe. Quand la
science
l’aura définie, elle lui donnera un nom ; en atte
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la
science
des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la
science
des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la
science
des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la
science
des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la
science
des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la
science
des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la
science
des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la
science
des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
en dehors de l'organisme. Ainsi il dit à la fin de ses Éléments de la
science
de l'homme : «Lorsque l’homme meurt, son corps
Les faits qui éloignent les savants académiciens de l’étude de cette
science
sont exacts, donc tôt ou tard il faudra qu’on les
t subir à la malade ; ignorants qu’ils sontdes moindres notions de la
science
, il ne peut en être autrement. Les peuples sauvag
des cas semblables, par des hommes dont le nom fait autorité dans la
science
. Il devrait cependant apprécier l’emploi de ces n
ir la relation sincère, d’un fait qui intéresse à un si haut degré la
science
que vous soutenez si noblement et avec tant d’éne
et cela pour rendre hommage à la pure et simple vérité, ainsi qu’à la
science
. « Mon fils, Ernesto Bernardi, âgé de onze ans
en même temps à prouver combien il est nécessaire que cette admirable
science
soit religieusement étudiée et cultivée, en raiso
le doute et les petites arguties, l’hésitation aussi bien en fait de
science
qu’en fait de morale, d’économie politique ou de
c 1111 rare talent la matière de bien des in-f"*, et contient plus de
science
et de vérités qu’il n’est gros. Ce n’est point, à
héorique : c’est une analyse rapide, mais substantielle de toutes les
sciences
occultes, dès leur origine dans l’antiquité la pl
la kabbale, l’astrologie, le magisme, la maçonnerie hermétique et la
science
des hiéroglyphes qui en dépend, enfin les tables
, bien entendu, la prétention de suivre M. Ra-gon dans cette revue de
sciences
à l’égard de la plupart desquelles nous déclarons
mites assez étendues, il est vrai, puisqu’elles touchent à toutes les
sciences
humaines, et quand nous aurons analysé la partie
disant qu’au point, quoique imparfait encore, auquel est parvenue la
science
magnétique, elle est la voie qui ouvre un vaste a
lui préférerions celle du Dr Bellanger, qui est moins étendue. « La
science
, dit M. Ragon, compte quatre sortes de somnambuli
e partie d’un ouvrage bien important et que réclame impérieusement la
science
: le dictionnaire magnétique. En mettant d’accord
re part cent fois produit nous-méme. Que M. Ragon mette en usage la
science
théorique qu’il possède si bien, qu’il pratique,
nstruction si profonde et si variée, le mettent à même de rendre à la
science
du magnétisme d’éminents services. 11 n’en pour
journellement du terrain, nous paraît mériter l’examen des hommes de
science
. Je comprends parfaitement qu’un médecin a besoin
ique, au lieu de sonder d’une main hardie le vrai ou le faux de cette
science
encore au berceau, et d’en faire l'une des branch
plus haute antiquité, cultivée longtemps dans les temples à l’état de
science
secrète, pratiquée dans l’Inde par les disciples
mérite. Si le mesmérisme n’est pas encore entré dans le domaine des
sciences
, cela tient à ce que la plupart des mesméristes,
nous lui souhaitons surtout le concours d’houimes ver- sés dans les
sciences
et dans le langage scientifique , pour que le mes
lairvoyance qui rentre dans les attributions du domaine général de la
science
, et qui intéressera nos lecteurs, nous aimons à l
, mais nous marchons : et qu’importe la longueur du chemin ; dans les
sciences
, la lenteur s’explique par les difficultés. Ne fa
plus admirable au monde, le moyen de faire d’innombrables dupes. La
science
officielle est en ceci la seule coupable. Elle s’
ers, nous, messieurs , à l’écart dans cette même cité des arts et des
sciences
, nous nous sommes assemblés sans bruit, sans éc
les louangeuses que pour les industriels, et, nous devons le dire, la
science
elle-même n’a plus de caractère moral, elle s’est
re chose que des rouages, des poulies et des cordages ; est-ce que la
science
de l’homme est complète ; est-ce qu’en ceci il n’
sme fiévreux, l’amour de l’or s’est emparé de tous les hommes, et les
sciences
spéculatives n’existent plus que de nom. Peut-êtr
t pour leur redonner un nouvel essor. « Messieurs, qu’est-ce que la
science
physiologique de nos jours? Un amas d’hypothèses
ster dans notre appel. « Qu’est-ce que la psychologie actuelle? Une
science
indéterminée et vague, où l'âme reste à l’état de
e science indéterminée et vague, où l'âme reste à l’état de problème;
science
qui vous laisse le doute au coeur. Plus vous avan
fait; voilà pourquoi, ayant montré au monde toute la faiblesse de la
science
des Écoles, nos illustres calomniateurs cherchent
qu’au séjour de ceux qui ne sont plus ! Sans doute, messieurs, ici la
science
n’est point encore faite, mais nous savons à n’en
e. Voilà ce qui trouble les mauvaises consciences. Laissons la fausse
science
nous ré- pondre le scalpel à la main, elle n’em
c’est ainsi que souvent on nous vit réparer les erreurs de la fausse
science
et guérir les in-* fortunés auxquels elle avait e
salutaire influence. « Dès ses premiers pas dans la carrière de la
science
, Mesmer révèle la hauteur de son génie, et fait p
religieuse de l’œuvre de Dieu. Ce sont des matériaux précieux que la
science
utilisera. Et à ceux qui seraient tentés d’en con
révélation sans exemple. La médecine fut ébranlée sur ses bases ; la
science
antique fut bouleversée. Comment admettre que par
à profusion des merveilles qui défient toutes les ressources de notre
science
si bornée ! « Mesmer comprit que le meilleur mo
enfreindre les décrets du docte aréopage et avouer leur adhésion à la
science
proscrite. Superbe décision, bien digne de figure
s de leurs exemples et de leurs leçons. Si nous ne les égalons pas en
science
, si nous ne sommes pas doués comme eux, par la na
ouverts du manteau do la philanthropie, Vous propagez partout votre
science
impie. * Or, nous savons très-bien qui vous rep
ls pas également que cet ami du magnétisme aime à payer sa dette à la
science
? L’esprit lui coûte peu, et d’ailleurs ne sait-il
, et lorsque je rencontre le courage, le dévouement, l’abnégation, la
science
, l’heureux instinct, je suis heureux d’être le pr
er mot de l’Académie sur les faits en. question; voilà jusqu’où va la
science
officielle dans son appréciation des phénomènes m
permettre de traiter, d’une manière complète et satisfaisante pour la
science
, cette matière si variée et si étendue, je n’ai p
que magnétique n’ont pas bien saisi cette pensée du fondateur de la
science
, beaucoup étant étrangers à ces vastes connaissan
lui était étranger, et les notions étendues qu’il avait de toutes les
sciences
lui donnaient une profondeur que tout le monde ne
embler suffisant lorsque je m’adresse aux habiles continuateurs de sa
science
. Mais les paroles de Mesmer ne font foi que pou
et les paroles de Mesmer et les opinions mêmes des adversaires de la
science
qu’il a fondée? ;i savoir que : le magnétisme a
plètement débarrassé, et mon médecin partageait ma confiance; mais la
science
d’Hippocrate 11’opère point de prodiges, et je n’
t je m’aperçus, hélas ! que ce qu’il y avait de plus brillant dans la
science
du maître, c’étaient les galons de la livrée du d
is entièrement opposés. Enfin, voulant m’éclairer au foyer môme de la
science
, je partis pour Paris et allai consulter M. Andra
gère n’était qu’un ignorant, connaissant à peine même l’A, B, C de la
science
dont il s’intitulait professeur, et son séjour à
me voilà devant vous, messieurs, pour donner un démenti à leur vaine
science
et bénir les bienfaits du magnétisme. Quelque l
s dont j’ai moi-même été l’auteur depuis que, plus éclairé dans cette
science
admirable, j’ai joint, pour en répandre les bienf
expérimenté lui fasse occuper la place à laquelle il a droit dans la
science
de guérir. J. SALLARD. Poris, 31 mai I8!>5
faisaient prévoir un rude travail. Ces individus sont de ceux que la
science
offi- eiellc abandonne après avoir essayé vaine
qui, entre toutes choses, nuit considérablement aux progrès de notre
science
, ce sont les exhibitions en plein vent des somnam
s sur des théâtres peu en harmonie avec le respect que l’on doit à la
science
du magnétisme. Dans cette dernière catégorie, j
? — Mais il faut prendre patience ; ne savons-nous pas que toutes les
sciences
utiles ont eu dans leur enfance des propagateurs
au sérieux, de quelque plume qu’il émane, tout écrit qui a trait à la
science
, dont nous sommes fiers de nous dire hautement le
encore en 1784), puis l’article de Mon-tège dans le Dcctionnairc clcs
sciences
médicales (1819) , et enfin les écrits du Dr Bert
cinq, quatre sont hostiles au magnétisme. Voilà la justice! voilà la
science
! voilà l’étude! Depuis Mesmer plus de 1,500 volum
à l’étude! Depuis Mesmer plus de 1,500 volumes ont été publiés sur la
science
qu’il a mise au jour. Mais ses adversaires se gar
uits, sans que l’enfant grandit et parvint à l'âge viril. Gomme si la
science
pouvait rester stationnaire à son point de départ
fut ruinée le jour où la célèbre commission nommée par l’Académie des
sciences
prouva par des expé-riénces que, sans invoquer un
e ces parents désolés et ce médecin qui a reconnu l’impuissance de sa
science
et qui s’adresse, pour sauver une vie à, un pouvo
1855. BIBLIOGRAPHIE. LA QUESTION DES ESPRITS, ses progrès dans la
science
, etc., par le marquis Eudes de Mirville. 1 vol. i
armi les diffé- rentes facultés dont sont doués les somnambules, la
science
reconnaît celle de lire dans la pensée de leurs m
négation facile. Tout le corps médical se réunissait pour écraser la
science
qui les épouvantait par l'avenir qu’elle ouvrait,
ils ne se sont pas arrêtés à une date, ils ont suivi la marche de la
science
, ils ont étudié, ils ont vu, ils ont comparé et s
sa Théorie positive, dans les brouillards de la plus hypothétique des
sciences
, la phrénologie? Car c’est pour en arriver à ce p
our ne plus admettre de richesses étrangères. Comme si le champ de la
science
était trop profondément labouré! comme s’il ne de
ous manquera cette lumière intérieure, inexpliqué*, inmi -nuo, car la
science
en revient toujours au ii/nni m. celle lumière po
e le magnétisme; mais tout ce qui se rattache de près ou de loin à la
science
de la vie, tout ce qui, en particulier, a quelque
s voulions rapporter ici les milliers de faits semblables acquis à la
science
et auxquels M. Segond ne trouverait pas de répons
il ose écrire les lignes suivantes : (. Le profit qui revient à la
science
d’une telle discussion, c’est l’observation d’une
ltats scientifiques. » Et à qui la faute, monsieur Segond, si cette
science
, dont vous êtes obligé de reconnaître la fécondit
s instances pour que les corps savants sc saisissent en effet de la
science
que nous leur apportons et recueillissent les fru
e à une vos doctrines routinières, démontrer l’inanité de cette vaine
science
dont vous êtes si superbes, parce que le vulgaire
s illustres, qui ne croient pas au-dessous de leur dignité et de leur
science
d’étudier, de pratiquer ou d’autoriser le magnéti
urde, mais honorables après tout par leur caractère, leur amour de la
science
et leur persévérante recherche de la vérité, s’ou
iller notre ruche. Mais cette flétrissure ne doit pas retomber sur la
science
elle-même, ni être jetée à la face de ceux qui on
pour la première fois; mais s’il est aussi arriéré dans l’étude delà
science
qu’il doit professer, il a cependant droit à quel
dire : Vous avez lu l’article de Montègre dans le Dictionnaire des
sciences
médicales, et vous trouvez fort remarquable ce tr
victime de l’Eglise. C’est un riche et curieux sujet d’étude pour la
science
, que la vie si étrange, si prodigieuse de l’humbl
éplorable comme acte d’iniquité et d’ingratitude. Les progrès de la
science
, et surtout l’avénement du magnétisme, permettent
llez et répandez ces vérités, nous ne sommes pas assez versés dans la
science
de Mesmer pour nous prononcer. Nous croyons aux p
Universellement reconnu, plutôt par l’inctinct des masses que par la
science
, ce mode d’action, sans jamais recevoir de défini
la sympathie universelle, et cependant, en réunissant en un corps de
science
les procédés et les méthodes de ces divers arts,
beaux fleurons de sa couronne, qui recherchent, dans la tradition des
sciences
occultes, ou dans les traditions religieuses, les
s organes et la guérison par le magnétisme. C’est cette branche de la
science
que Mesmer avait en vue lorsqu’il écrivait son ap
marquables; ils peuvent produire des résultats curieux et rendre à la
science
des services réels en frappant l’attention, en éc
oulagement de leurs frères qui souffrent. La médecine constitue une
science
. Nous respectons, nous honorons la science dans l
La médecine constitue une science. Nous respectons, nous honorons la
science
dans la diversité des branches qui la constituent
la foi; il n’a pas l’expérience, il a la volonté (1). 11 n’a pas la
science
, il a la puissance; il n’ordonne pas les remèdes,
causes échappaient presque toujours à une enquête scientifique. La
science
moderne a qualifié cette affection du nom de CIto
l’étude, en sorte qu’ils sont comme n’existant pas et perdus pour la
science
. Il faut donc que les magnétistes étudient eux-mê
Garnay). BIBLIOGRAPHIE. QUESTION DES ESPRITS; ses progrès dans la
science
; examen de faits nouveaux et de publications impo
ine de plus en plus vaste. Le magnétisme se rattache à la plupart des
sciences
qu’il contribue à éclairer et à agrandir ; il ser
igmes indéchiffrables. Par les merveilles qu’il enfante, il tient aux
sciences
occultes, il soulève les questions les plus ardue
portants qu’il était trop commode de nier pour en finir, mais dont la
science
doit chercher à se rendre compte. En voyant repar
le récit que nous venons de citer et un rapport fait à l’Académie des
sciences
, d’après lequel un habitant de la rue Saint-Jacqu
stes de bonne foi: devant toutes les questions « qu’ils soulèvent, la
science
reste muette. » Que conclure d’un aveu si sage
la science reste muette. » Que conclure d’un aveu si sage ? Que la
science
humaine est bornée. Qui le nie ? Qu’il y a des ph
éclairer des points actuellement obscurs et reculer les bornes de la
science
qui, quoiqu’on fasse, sera toujours bien restrein
lications, on ne reste jamais court, et on n’a rien à démêler avec la
science
. Qu’un malade croie entendre des roiæ dam son e
du magnétisme (Question des Esprits, p. 206)... Le magnétisme estune
science
dans laquelle il n’y a ni pontife, ni concile, ni
espèce de compérage; eh bien ! nous avons acquis la certitude que la
science
seule a contribué à la réussite de toutes ces exp
quables sur le magnétisme , le spiritualisme et diverses branches des
sciences
occultes. Nous trouvons dans le numéro du 15 mars
qu'il ne sera pas le dernier, persuadé que c’est là un trésor dont la
science
doit s’enrichir, et qu’il ne faut plus, pour comp
tées feront marcher l’hydrologie et lui feront prendre rang parmi lus
sciences
positives. « JOHN W. WILKINSON. » L’auteur de
ants. Ces facultés précieuses, si intéressantes au point de vue de la
science
et si fécondes en résultats utiles, ont été depui
recueil forme déjà un faisceau imposant. Les organes officiels de la
science
ne peuvent plus se dispenser d’examiner sérieusem
it enrichie l’humanité. Quand le médecin, avec le secours de toute sa
science
laborieusement acquise, n’a pour se guider que de
curieuse du magnétisme. La lucidité des somnambules peut fournir à la
science
des lumières inappréciables; elle peut non seulem
e, il fait voir comment ce moyen peut suppléer à l’insuffisance de la
science
médicale : « Le véritable praticien, dit-il, qu
nvoie, et parce qu’il ne vient pas à lui sous une forme réglée par la
science
, non seulement il le repousse, mais il cherche à
lui une main sacrilège!... Ce flambeau providentiel doit éclairer la
science
, soulager l’humanité souffrante, diminuer le nomb
sement le système émis par M. Lélut dans son rapport à l’Académie des
sciences
morales et politiques, sur le concours ouvert il
ore si incertains et si fugaces, les doctrines si hypothétiques de la
science
magnétique, ne sont point dans ce cas, et nul ne
les mesméristes de Londres des services immenses qu’ils rendent à la
science
et à l’humanité : espérons que bientôt toutes les
nné, des faits qui semblaient ne se rattacher par aucun point à cette
science
. Sa marche progressive est facile à constater, et
et des études et des controverses ardentes de la philosophie et de la
science
. La découverte psychologique succède à la découve
Des expériences nombreuses ont été faites sur ses effets, tant par la
science
que par la curiosité individuelle. Nous l’avons n
aisent'l’une par l’autre et donnent enfin le dernier mot de la grande
science
de tout ce qui a été, de tout ce qui est, dê ttfu
, elle gagne peu à peu tous les rédacteurs, et les gros bonnets de la
science
assistent passivement à cette transformation , eu
n. Un physicien célèbre, M. TKillorier, a voulu rendre l’Académie des
sciences
témoin d’un fait semblable., et M. Dubois-Raymon
s dans la confidence par diverses feuilles tout à fait étrangères aux
sciences
médicales. La profonde honorabilité du caractère
les mêmes résultats, qui peut prétendre à une place légitime dans la
science
. « M. le docteur Dittmar affronte courageusemen
ant été entretenus du fait, il est juste qu’à leur tour les hommes de
sciences
soient mis à même de se former une opinion. » A
elle, dans le langage médical, la séméiologie, la thérapeutique et la
science
du pronostic. « Ainsi la malade de M. Dittmar a
mieux continuer à marcher dans les ténèbres dont nous a enveloppés la
science
vulgaire depuis tantôt vingt siècles. » M. Ditt
nous ijourrions en ajouter un grand Dombre d’autres, que soulève a
science
, jusqu’ici fort occulte, des magnétologistes. Nou
èges, et en fin de compte à peu près stérile. « Nous croyons que la
science
, la véritable science peut attendre que l’évidenc
pte à peu près stérile. « Nous croyons que la science, la véritable
science
peut attendre que l’évidence des faits dont elle
s imputé à paresse ni à négligence d’un élément bien précieux pour la
science
de l’homme et pour l’humanité. » On le voit, M.
tation favorable, un acheminement progressif dont tous les amis de la
science
et du mesmérisme lui sauront bon gré. HÉBERT (d
ôt pour le bien, tantôt pour le mal des nations. La philosophie, la
science
, la médecine profiteront de nos efforts; la relig
et me retrouve à mes premières années, à celles où j’entrais dans la
science
magnétique qui devait pour moi n’être point sans
e (que l’on pourrait peut-être remplacer par celui de bio-dynamurgie,
science
des propriétés de la force vitale), n’est jusqu’i
ndante, loin de heurter l’ordre naturel, dévoilent objectivement à la
science
quelques aperçus trop ignorés, mais réels, d’une
ltipliés et merveilleux. A. s. MORIN. Nous empruntons à Y Ami des
sciences
un curieux fait de somnambulisme. 11 serait à dés
nt notre tâche, plus facile en montrant que ce que nous réalisons par
science
et par art, la nature sait le produire sans aides
e mes sentiments de sympathie pour les progrès de l’humanité et de la
science
, celle de mon admiration la plus sincère. GEORG
iétés consacrées à l’étude, à la propagation et à l’application de la
science
de Mesmer, que de tous côtés on voit des journaux
savant d’école, sans rien savoir de la vie, sans souci du réveil, la
science
leur ayant dit qu’il n’y en avait point. Suivez
vous dire ce qui se passe sur un autre continent. Celui qui, dans les
sciences
, s’arrête un instant est aussitôt dépassé. Enco
besoin, pour accréditer son honteux charlatanisme, de l’obscurité, la
science
pratique, comme la vérité, veut le grand jour. Dé
e, étale à l’admiration de tous tant de grandeurs et de richesses, de
sciences
, d’arts et de poésie, qu’on ose croire aux sort
omposerait un petit ensemble de fort singulières opinions. Entre la
science
qui dit non et le peuple qui dit oui, il est faci
e peuple qui dit oui, il est facile au bon sens de choisir. Mais la
science
, ne lui en déplaise, n’a pas dit son dernier mot,
utant le peuple peut se tromper par crédulité et ignorance, autant la
science
peut se tromper par suffisance et entêtement. V
si vous les trouvez vrais, ne les niez pas. Dites seulement alors, ô
science
, que vous n’êtes pas encore assez savante pour le
, cita des faits concluants sous la garantie de sa bonne foi et de sa
science
. La méthode de Greatrakes, d’après Astelins, co
ces procès-verbaux, auxquels concouraient des médecins, des hommes de
science
attirés par la curiosité, ne contient, une seule
occupent de magnétisme, tous ceux qui accomplissent des œuvres que la
science
de ces messieurs ne peut expliquer. L’auteur a fl
ec le plus de succès ; il compte parmi ses sectateurs des hommes de
science
, des médecins distingués, des écrivains de talent
sme de les guérir du mal attribué à cet agent. Dans l’intérêt de la
science
et dans celui ce l’humanité, il importe de recher
étude des maladies morales, mais au point de vue du magnétisme ou des
sciences
occultes, elle ne mérite aucune attention, et not
s pratiques malfaisantes, à faire une expérience dans l'intérêt de la
science
et à frapper ses chaudrons suivant ses procédés h
e homme. Et comme les coquins se soucient beaucoup moins de servir la
science
que de servir leurs mauvaises passions, comme ils
ent établi que c’est un moyen réel de nuire. Dans l’état actuel de la
science
, des poursuites pour sorcellerie constitueraient
, dont la tête puissante et féconde renferme toute une révolution des
sciences
connues jusqu’alors, tout un avenir nouveau et ré
le luttent sans succès depuis plusieurs années tous les efforts de la
science
, en est arrivée à ce point désespéré que l’on peu
fre plus aucun espoir, alors que ce que l’on est convenu d’appeler la
science
a reconnu son impuissance et sa nullité constatée
vérité, aux temps où tout n’était pas industrie, et où il y avait une
science
morale. Aujourd’hui vous n’en avez plus. Mais tou
ont conservé le souvenir, certains hommes ont passé pour posséder une
science
mystérieuse réservée à un petit nombre d’adeptes,
dévorent les individus signalés comme ayant cherché à s’initier à la
science
maudite. La sorcellerie ne commence à décliner qu
ur, il convie généreusement tous ses lecteurs à la connaissance de la
science
monopolisée par les privilégiés; la lumière, affr
seulement à côté, mais au-dessous de la vérité... Oui, il existe une
science
qu i confère à l’homme des prérogatives en appare
ssent et charment les serpents; il possède l’art notoire qui donne la
science
universelle; il connaît à la première vue le fond
fruit de nos études. L’auteur définit ainsi la magie : « C’est la
science
traditionnelle des secrets de la nature qui nous
es secrets de la nature qui nous vient des mages. — Au moyen de cette
science
, l’adepte se trouve investi d’une sorte de toute-
ous croyons en droit de lui faire observer que sa magie n’est pas une
science
dans le sens rigoureux du mot, puisqu’elle ne se
ont ainsi donné l’aspect de la profondeur pour cacher le vide de leur
science
et pour éblouir les ignorants?... M. Constant,
ais il ne nous prouve pas que ces auteurs aient possédé une véritable
science
. Le chapitre 13 nous a paru mériter une mention
ensée et de cette volonté ; que les rites sont donc déterminés par la
science
elle-même. « Ces rites, dit-il plus loin, n’ont
nt besoin de vérification. 11 nous dit que donner des preuves de la
science
à ceux qui doutent de la science même, c’est init
ous dit que donner des preuves de la science à ceux qui doutent de la
science
même, c’est initier les indignes, c’est profaner
on sens ne peut accepter que ce qui lui est démontré, ni croire à une
science
qui refuse de faire ses preuves. Quelle confiance
tous les magnétistes. 11 fait entrer le magnétisme dans le cercle des
sciences
occultes ou magi- ques, comme ont fait la plupa
remarquer qu’on est loin de s’accorder sur ce qu’on doit entendre par
sciences
occultes, que les définitions ordinaires de la ma
de miracles que pour les ignorants ; mais comme il n’existe guère de
science
absolue parmi les hommes, le miracle peut encore
par M. Bruyas, 28. Question (la) des Esprits, ses progrès dans la
science
, etc. ; par le Mis Eudes de Mirville. — Réfutatio
arnay), 51. Théorie (la) des relations, considérée comme base de la
science
et du progrès actuel ; par l'abbé Caupert, profes
. le comte d'Escayrac, et commentés par M. du Parc-Lou treuil, 449.
Science
(la) officielle et le magnétisme. Les savants ne
ps, modifier dans le monde : religion, philosophie, îences physiques,
sciences
médicales. Tout doit s’ébranler i jour devant ce
regards. Fixés sur ce point, tous ntent que là est la rénovation des
sciences
, le nouveau ogrès de l’humanité dans sa marche to
ssensation , d’apparition jusqu’ici inexpliqués, tout ce qu’enfin les
sciences
pures n peuvent ou n’osent .aborder. Notre feui
us ajouterons tout c qui-semblera devoir venir compléter, enrichir la
science
noi velle. L humanité ne marche vers ses destinée
L’habitude des recherches historiques, un goût inné pour l’étude des
sciences
physiques, naturelles et médicales, nous y avaien
eusement préparé. — Nous, avons longuement étudié la théorie de cette
science
sublime, et à nos connaissances théoriques, nous
Aussi, nous sommes-nous épris d’un enthousiasme inexprimable pour une
science
qui permet à l’homme de produire, parfois, avec s
rabilité de la maladie. incurabilité réelle au point de vue de la
science
, le malade vous a été abandonné, et comme la natu
e des écoles est devenue un mensonge, une illusion. Ce n’est plus une
science
véritable, mais un amas d’idées systématiques que
y avait une hernie étranglée ; il déploya toutes les ressources de sa
science
pour soulager son malheureux ami que la douleur a
our guider sur cette mer de découvertes les hardis explicateurs de la
science
. VARIÉTÉS. LE MAGNÉTISME EN ITALIE. La si
ible et languissant ! Bien peu d’hommes alors étaient initiés à cette
science
sublime dont le nom ne réveillait dans le public
ent avec l’énergie que donnent une conviction profonde et la con-
science
du devoir. A force de persévérance, ils parvinren
der l’attention de tous les hommes jaloux de suivre les progrès de la
science
. Il se forma partout des centres de propagation ;
sonnes ont pu observer et même produire des phénomènes étrangers à la
science
officielle, niés par elle et déclarés impossibles
des détracteurs, tandis que les vérités définitivement acquises à la
science
, sont acceptées par tout le monde, même par ceux
ntes à la nature du sujet et que nous ne devons pas dissimuler. Les
sciences
physiques s’appuient sur des faits obtenus en agi
s hypothèses que rien ne justifie , raisonnent à perte de vue sur des
sciences
qu’ils ignorent, et commettent des balourdises qu
iers à recueillir, examiner, constater tout ce qui peut intéresser la
science
. Aussi est-il de bon ton chez nous de se moquer d
oient pas, comme celles d’Europe, obligées par le décorum à mettre la
science
sur le lit de Procuste, et à se boucher les oreil
, mais ses adeptes reculèrent bientôt devant les difficultés de cette
science
, devant les préjugés et les passions mauvaises de
ou des imposteurs. Ils prouvent par là qu’ils ignorent l'histoire des
sciences
, bientôt même, sans doute, ils diront : Mesmer ne
réformer la médecine, sa destinée est d’être le premier des arts, la
science
des sciences. Science différente de la médecine ,
médecine, sa destinée est d’être le premier des arts, la science des
sciences
. Science différente de la médecine , laquelle rét
sa destinée est d’être le premier des arts, la science des sciences.
Science
différente de la médecine , laquelle rétrograde a
qu’ils ont rôvé : une médecine savante. La médecine de la nature, la
science
de Dieu, c’est-à-dire le magnétisme , ne se prése
s instincts qui font souven t défaut, car il les a pervertis, il a la
science
innée : Il sait et connaît. Ainsi, tel on vit plu
ses par Priessnitz, s’exprime sur le magnétisme en des termes dont la
science
doit lui savoir infiniment de gré. Quant à nous,
in-8. suivre ses leçons. Je fus bientôt initié aux mystères de la
science
; je lus assidûment tous les livres que M. Ricard
années d’absence de la France m’ayant éloigné du foyer où s’étudie la
science
mystérieuse, j’ai été frappé, à mon retour, de tr
la loi générale constitutive du mesmérisme ? a Les disciples de la
science
qui se nomme science de l’univers, loi d’amour, d
titutive du mesmérisme ? a Les disciples de la science qui se nomme
science
de l’univers, loi d’amour, d’harmonie, ne doivent
sonnette sans instrument visible. D’autres personnes versées dans les
sciences
, ayant également examiné les lieux, firent le mêm
n aggravera forcément le mal que l’on voulait combattre. « Dans les
sciences
exactes, lorsque l’on a raisonné juste, la conséq
t sans conteste. Mais dans la pathologie, qui n’est rien moins qu’une
science
exacte, il n’en est plus de même ; et comme les p
evé exposent leurs idées sur les affaires du temps. C’est pourtant la
science
des écoles qui parle par tant de bouches , car le
donc qui y allume le feu? Mais non, rien de tout cela n’est vrai, la
science
explique tout autrement les choses : il y a des p
i de nous deux qui est le plus savant, le plus malin. Non, la vraie
science
n’est point avec les superbes, elle se trouve que
e langue étrangère, nul ne le comprend ; mais lorsqu’il se sert de la
science
qu’il possède en propre, pour opérer des œuvres s
moins nombreux... Rien n’est plus propre à jeter le discrédit sur une
science
dont la certitude intéresse la santé et le bonheu
et ses premiers principes. » Si l’orateur est dans le vrai, aucune
science
thérapeutique n’existe ni ne peut exister, et tou
côté du somnambule : Si le somnambule médical ne peut se passer de la
science
qui contrôle ses ordonnances, relève les lapsus d
ue, sans influencer en rien ses vues et ses procédés, en revanche, la
science
doit utiliser cette double faculté de diagnostiqu
mnambuliques, qu’autant qu’il les jugera conformes aux lumières de la
science
, c’est-à-dire que le somnambule ne sera plus rien
rrait risque de dénaturer la pensée du somnambule et de substituer la
science
à l’instinct. Il ne peut donc être qu’un scribe,
s un tel établissement qui pourra rendre de très-grands services à la
science
, et nous sommes persuadé que M. H uguet, éclairé
dante, va-t-il enfin nous dévoiler ces mystères qne • na pu sonder la
science
, nous apprendre ce qne c’est que l’âme, son origi
’une autre vie effraie , ou de ces infirmes que l’orgueil d'une vaine
science
, que l'incrédulité et le matérialisme ont frappés
as il ts becn represented, etc. COMPTE-RENDU. De tout temps, les
sciences
qui se rapportent à l’art divinatoire ont eu un a
avec quelque désordre plus apparent que réel, ont le mieux codifié la
science
, est The astrologer of nineteenth century, etc.,
on dirait presque affecté sur le compte du magnétisme. Cette dernière
science
aurait donc à se plaindre ; elle sera plus indulg
qui peuvent avoir un fond de vérité et des points de contact avec la
science
dont il est ici question. La dixième et dernièr
la découverte des logarithmes , cet instrument si utile à toutes les
sciences
et surtout à la navigation et à l’astronomie, est
mie, est due à un astrologue écossais, Napier. L’histoire de ces deux
sciences
se confond pendant longtemps ; on ne peut étudier
risme, mais d’une œuvre sérieuse et qui repose sur les fondements des
sciences
-exactes. Convaincu de cette opinion pour l’ast
iscours préliminaire, dans lequel il s’efforce de démontrer que cette
science
ne mérite pas l'espèce de discrédit dans lequel e
ques. L’auteur cherche à y démontrer la réalité de l'astrologie comme
science
. « Comment un homme ignorant de la science décl
té de l'astrologie comme science. « Comment un homme ignorant de la
science
déclare-t-il absurdité et superstition le sujet q
ilos, ou quatre livres sur l’influence des étoiles, cet homme, que sa
science
fit surnommer par les Grecs le plus sage, le plus
connaissance nette de ces cas et une étude sérieuse des règles de sa
science
. Cette partie de l’astrologie qui nous a été tran
des prétendus philosophes, qui, avant d’apprendre l’A, B, C, D de la
science
et de juger pour eux-mêmes par leurs propres expé
sent-ils, de le comprendre avant de perdre leur temps à l’étude d’une
science
sans utilité. — Mais peuvent ils donc dire, ces p
éponse ; j’invite ces personnes à examiner la vérité de cette sublime
science
. ..... Malè verum examinai omnis Curruptus ju
« Au lecteur sincère et vraiment philosophe, je dis : Etudiez la
science
; vous ne trouverez pas ses règles violées. Un ho
pas une vie d’infamie et de misère. Pourquoi les incrédules de cette
science
ne montrent-ils pas que, selon les règles de l'as
e-t-elle pas d’être recherchée ? « 2° Quelqu’un peut-il rejeter une
science
qu’il n’a pas étudiée ? « 3° Si l’astrologue me
et peut prouver que son problème est correct selon les données de la
science
astronomique, cela n’est-il pas une preuve, à que
être loué au moins comme astronome ? « h° Si la phréuologie est une
science
aussi utile qu’elle est indubitablement une scien
réuologie est une science aussi utile qu’elle est indubitablement une
science
curieuse, pourquoi l’astrologie ne serait-elle pa
omme, il n’est donc pas libre, ("est l’objection commune à toutes les
sciences
qui traitent de la divination et aussi à la phrén
ormes de la main) ; ce cours, où le professeur a montré autant de
science
qne de sagacité, a été suivi avec beaucoup d’inté
gnétisme ne tardera pas à. avoir sa place marquée dans le domaine des
sciences
médicales. La Société du Mesmérisme n’est pas étr
nécessaire , puisque Dieu l’a permis. C’est ainsi que vous voyez la
science
faire et défaire à chaque instant ses systèmes. N
ulape, verra ce qu’il faut faire pour en réparer les désordres, et la
science
sera muette, et devant nous, qui annonçons ces ph
écessaire pour que la lumière se répandit en dehors du sanctuaire des
sciences
, de ce réceptacle des scories et des immondices d
ces, de ce réceptacle des scories et des immondices de la matière. La
science
vraie sera bientôt dans toutes les familles , on
e, les clian-. gements survenus dans les arts industriels et dans les
sciences
-physiques par l’application des forces mortes dé
océdés bienfaisants que la médecine repousse. Dans les cas même oü la
science
avoue son insuffisance, il serait défendu au mala
ller de ses préjugés, répudier les doctrines de l’école , incliner la
science
devant la force toute-puissante de la nature : il
nte opposition dans le monde savant, mais on peut dire de plus que la
science
du magnétisme est trop peu avancée pour qu’on pui
a prétention d'être un docteur en magnétisme, et il n’a pas besoin de
science
pour rendre service à son prochain. La mère, qui
ndra à s’en servir sans danger, on l’appréciera à sa juste valeur. La
science
ne s’acquiert qu’à force de travaux et des tâtonn
on le bon sens de croire que l’art de la médecine n’est pas une vaine
science
, abîme de conjectures on ne peut plus di- ver
n, d inspiration naturelle? Quand se persuadera-t-on , enfin , que la
science
médicale consiste avant tout à aider le travail d
me se plaignënf, en général, soit de l’inimitié, soit du dédain de la
science
officielle à l’égard de Mesmer. Il y a peut-êtr
s. Presque tous ceux qui sont arrivés à une position éminente dans la
science
ont spécialisé leurs études ; ils se sont fait un
il a clairement déclaré la fascination comme un principe acquis à la
science
physiologique. Il a donc admis le principe THÉO
ue même le sacerdoce qui, avec les mœurs actuelles et en présence des
sciences
dites exactes, semble n’avoir plus sa raison d’êt
hilosophie nouvelle. A quoi bon, puisqu’on ne reconnaît point à cette
science
d’utilité? Aussi voyez-vous la science officielle
’on ne reconnaît point à cette science d’utilité? Aussi voyez-vous la
science
officielle ne pas reconnaître l’agent découvert p
cette étude , leur indiquant une route nouvelle, la base enfin d’une
science
vraie. Après avoir vu les phénomènes susceptibles
t la source de toute connaissance positive. Est-ce donc à dire que la
science
est faite? Oh ! non. Bien loin de là. Il faut l’é
de qu’à comprendre, où le génie du mal est si facile à chasser, où la
science
fausse n’a point encore perverti l’intelligence !
aut. On a fait un crime à de dignes prêtres de s’être approchés d’une
science
dont instinctivement ils devinaient et la portée
s par moi ignorant, ou tout au moins bien peu instruit en magnétisme,
science
sublime à ties yeux, et dans laquelle j’ai le dés
que j’en eusse d’ailleurs, sans avoir au préalable étudié cette belle
science
dans les ouvrages qui en traitent. « — Madame T
urels physiques et physiologiques, sous le rapport de sa valeur comme
science
pratique ou comme faculté d’intuition appliquée à
NTIFIQUES , par Victor Meunier. Tome I ( ïn-12, au bureau de VAmi des
sciences
). M. Meunier est connu par de nombreux travaux
une clarté admirable, et il excelle à vulgariser les conquêtes de la
science
. Dans le petit livre qu’il vient de faire paraîtr
us par le génie de l’homme; il exalte le rôle magnifique qn’a joué la
science
et celui qu’elle doit remplir dans l’avenir; il f
humanité les splendides destinées que lui préparent les progrès de la
science
dont les récentes découvertes sont bien faites po
, coordonner les études, et il présente un plan de constitution de la
science
. Nous aimons à, croire que cette généreuse initia
i et du faux, le magnétisme occupe la place centrale où s’élèvera une
science
sublime, celle des rapports du monde des esprits
re du magnétisme et de la place qu'il doit occuper dans l’échelle des
sciences
; nous devons savoir gré à M. Meunier de ce langa
ce méritent les relations, ainsi qu’on le fait dans beaucoup d’autres
sciences
, notamment dans la zoologie et dans la médecine,
lus que comme de simples renseignements ; ils ne sont pas acquis à la
science
. En procédant comme nous venons de l’indiquer,
s 1 examen du magnétisme le même esprit qui sert à l’étude des autres
sciences
, on prend toutes les précautions désirables pour
ez clair, remercions-le et félicitons-le d’avoir salué l’aurore de la
science
des rapports du monde des esprits avec le monde d
rveilles connues jusqu’à ce jour. Il est d'avis, au contraire, que la
science
, sommée de s’expliquer sur ces prodiges, doit rép
épondre sous peine de faillir à sa mission. Il reproche en outre à la
science
de n’avoir pas compris les conditions logiques de
omment le magnétisme est-il plus extraordinaire que l'attraction ? La
science
cependant repousse le premier et admet la seconde
science cependant repousse le premier et admet la seconde, en quoi la
science
se montre fort inconséquente. L’extraordinaire pe
rdinaire peut être 1111 motif de suspicion , mais non de négation. La
science
ne doit nier à priori (jue les faits posés en ter
, on ne doit pas, ajoute M. Peisse, les exclure de la nature et de la
science
, comme les académies ont eu tort de le faire. «
pas expliquer, tout ce qui s’écartait des notions accréditées par la
science
; on a été conduit ainsi à refuser d’examiner tou
te. Qui peut calculer la portée d’un dévouement aussi actif? Là où la
science
avait échoué, où aucun moyen médical ne pouvait s
journellement en dehors de toute intervention mystique : dès lors, la
science
, au lieu de répudier de nombreuses observations,
les comme une chose de nulle valeur. Ce qui pouvait donner la vie aux
sciences
, une âme au corps, n’a plus eu sa raison d'être.
ne, et c’est justement parce qu'il est pure essence que les hommes de
science
l’ont rejeté de leur sanctuaire comme étant le fr
urs humaines, tous les médecins, se sont émus à notre venue; leur
science
étant conjecturale, fausse et mensongère, ils ne
e celle de tous les saints du paradis. Rappelons-nous que toujours la
science
fut considérée comme un mal par les hommes chargé
s guérisons magnétiques ; car c’est vous qui m’avez fait connaître la
science
divine à l’aide de laquelle je les ai produites,
mandons le nouveau recueil à tous ceux qui se livrent à l’étude de la
science
nouvelle et qui voudront suivre la marche de la r
ira le résumé de ce travail accompli sous une influence ennemie de la
science
nouvelle reconnaîtra, s’il est de bonne foi et n’
t voir de ces effets merveilleux, fera sourire tous les initiés de la
science
dont nous sommes, sinon les apôtres, au moins les
dent les forces de la nature ; que le champ qui reste à découvrir aux
sciences
physiques n’a point de limites ; que nul ne sait
’organe religieux soit déjà faite, et qu’elle ait devancé celle de la
science
officielle des académies ; car il n’est pas de pe
s intéressés. Aussi s’empresse-t-elle de désapprouver toute étude des
sciences
occultes, « assurant que ces pratiques sont autan
ifestant par cet ordre même ? ou des hommes intéressés à détourner la
science
que Dieu veut répandre gratuitement sur le genre
le pivot de l’harmouie : La gloire lui doit ses exploits ; Et la
science
, le génie. La sympathie... est son attrait; M
grès en Piémont et s’y organise de manière à rendre des services à la
science
et à l’humanité. M. Guidi, professeur de magnétis
t, qui se trouve directement et principalement mise en jeu, et que sa
science
et son habileté sont un contrôle et un correctif
rels, physiques et physiologiques, sous le rapport de sa valeur comme
science
pratique ou comme faculté d’intuition appliqu
gligeant aucun moyen de s’éclairer; il supplée à l’insuffisance d’une
science
dont tout le monde reconnaît les imperfections; i
n dans la nature : les antipathies et les sympathies, énigmes pour la
science
, sont le produit d’une loi cachée, à laquelle obé
ces me remplirent tellement d’admiration et d’enthousiasme pour cette
science
sublime , que je résolus, aussitôt de retour dans
rsécutée , à cause de sa faculté, fit beaucoup rire tout le monde. La
science
magnétique vint à mon secours pour dérouter les l
pit de ses adversaires, à occuper un jour la première place parmi les
sciences
humaines, et à rendre d'immenses services à l’hum
risme indique des remèdes spéciaux dont l’action, mystérieuse pour la
science
, se porte électivement sur tel organe, la médecin
ils ne sont plus que des sépulcres blanchis, comme disait Jésus. La
science
ancienne va revivre et forcer les hommes du sacer
mais chaque homme aussi voudra connaître, ou du moins en rudiment, la
science
des anciens temples. Aujourd’hui, un homme salari
présenté devant une commission composée de membres de l’Académie des
sciences
pour les rendre témoins de cette expérience, ne p
eur donner une notoriété qui les fasse accepter définitivement par la
science
. Et la chose est des plus faciles : on ne rencont
il a été mis à même de voir. En ce cas, nous l’invitons, au nom de la
science
, à nous donner les moyens de nous convaincre.
ées depuis Mesmer et de Puységur, ces deux grands restaurateurs de la
science
, le magnétisme a été matérialisé, puisqu’on ne po
t agité bien des tables et tourné bien des têtes, et quel avantage la
science
et l’humanité en ont-ils retiré ? Aucun. Le magné
réfléchir les hommes sérieux, s’il ne fait pas avancer rapidement la
science
. Mais laissons les théories de côté et venons à
somnambules, c’est encore lui qui vient mettre à notre disposition sa
science
surhumaine. S’il les fait quelquefois bavarder à
c bonheur que la cure de mes yeux a été sans rechute. C’est bien à la
science
certaine de notre illustre maître que je dois ma
s, car ils ont en eux la bonté qui console, et le pouvoir qui guérit.
Science
admirable du magnétisme ! des horizons nouveaux p
soif de connaître ! Ne serait-il pas sage de chercher les lois d’une
science
qui paraît destinée à cesser d’être occulte? L’Am
cité. Presque chaque famille a, dit-on, son médium, témoignant d’une
science
nouvelle, d’une science sublime, établissant, sel
mille a, dit-on, son médium, témoignant d’une science nouvelle, d’une
science
sublime, établissant, selon l’heureuse expression
ment que notre vénérable président M. le baron du Potet a retrouvé la
science
bafouée, déshonorée, abandonnée de Mesmer. Comme
les partisans du magnétisme. On y manque encore d’un organe de cette
science
. Je porte donc un toste au progrès du magnétism
re a franchi la mer, Nous sommes réunis, c’est pour fêter Mesmer.
Science
, extase du génie, 11 a retrouvé vos secrets,
Soyez bénis, frères et maître, Tous vous avez bien mérité. Votre
science
est la divine, Car sur vos fronts chacun devine
oint quitter le terrain solide du magnétisme avant du moins que cette
science
naissante ne portât en elle toute sa destinée. J’
recherche de la vérité. Plus que jamais il croit, non pas encore à la
science
(nous reconnaissons comme lui ce qu’elle attend d
Quel est ce ressort ? Question très-épineuse et fort grave, que les
sciences
modernes étaient incapables de résoudre par des e
ent du vrai. Sévère à juste droit sur plus d’un fétichisme vide, la
science
a jugé devoir se tenir dans une rigueur magistral
ui serviront à fonder au grand jour le code humanitaire. Car c’est la
science
qui doit édifier ce code, et, sans elle, on se he
irer qu’un homme, exempt de préjugés, se livrât, dans l’intérêt de la
science
, à des recherches suivies pour élucider ce sujet
else, vous n’ayez pas eu votre pantacle pour vous représenter dans la
science
. — « Ah ! tu crois que je n’en ai pas. a 11 o
in , pour votre cher Courrier de Paris, les foudres de l’Académie des
sciences
, et les traits piquants de l’honorable M. Babine
Je croyais avoir semé un peu de bon grain dans ce nouveau champ de la
science
, et je n’ai guère récolté jusqu’à présent que de
d'être un savant, je ne suis pas, du moins, entièrement étranger aux
sciences
naturelles. Avant de figurer comme aujourd’hui da
fort estimables sans doute, mais souvent fort ignorants eu matière de
science
, que les savants appellent un peu dédaigneusement
uvre de la planchette que j’ai débuté dans mes expériences. Quand une
science
est nouvelle, on ne va pas aussi vite en besogne,
aissant le présent, le passé et l'avenir, ou comme des êtres doués de
science
infuse, capables de répondre sur les questions le
s, à des savants, de leur adresser des questions de seconde vue et de
science
infuse ; et comme ces manifestations de haute luc
ue les a Marses avaient impunément bravés. » (EosI-.be Salve rte. Des
Sciences
occultes, elc.) (2) « Dont Caton, ù celelfel, e
ais la poésie ancienne ^Init nn re fiel fortement philosophique de la
science
d'alors. Roger Bacon, Pomponace, Ficinus, Van
cet art, poussé si loin par ses adeptes, constitue-t-il pour eux une
science
? Ici je me tais. La divergence des théories, le c
docteur X..... réunit, en sa qualité de médecin, des conditions de
science
et de scepticisme, complément heureux de la confi
n du problème capital dans lequel se résument toutes les questions de
science
physique, morale, religieuse et sociale, auxquels
xposant, 1° un ensemble de phénomènes d’un ordre nouveau, et dont les
sciences
constituées sont impuissantes à rendre compte ; 2
a vérité, de constater et d’étudier des phénomènes qui intéressent la
science
à un si haut degré. D’après les journaux américai
et du faux, le magnétisme occupe la place centrale où s’élèvera « une
science
sublime, celle des rapports du monde des esprits
e restera plus à innover que dans les détails. A l'ire con-« fuse des
sciences
succédera l'ire lumineuse de la science. «Et le
ails. A l'ire con-« fuse des sciences succédera l'ire lumineuse de la
science
. «Et les divers compartiments de nos connaissan
ation scientifique, et tôt ou tard elle l’at-ti teindra. « Alors la
science
cessera d’être la propriété exclusive du géomètre
t. i, p. 50 et 57, par Vicro» Meunier, rédacteur en chef de l Ami des
sciences
. Paris, 1857.) l‘ne des belles expériences tend
esoin, nous étions cinq hommes dont aucun ne s'est as-a sez occupé de
sciences
pour pouvoir formuler une seule des définitions «
e à des questions. Il a répondu : Oui. — Quel sujet il « préférait? —
Sciences
. — Quelle partie? — Définitions. « Pouvez vous
ues et chimiques « opposées, et qui se neutralisent l'un l'autre ?-La
science
reste muette à « cet égard, bien qu’elle ait déjà
avait créé les lois et l’organisation. Pourtant les recherches de la
science
, déjà si magnifiques de conquêtes, montrent vis-à
e, et vous vous désabuserez de ces déclamations. « On reproche à la
science
d’être matérialiste; c'est une « grande erreur. C
méditée, dequel-« ques-uus de ceux que l’on appelle savants. Mais la
science
, « qui n’est que l’application de l’esprit de l’h
pondre à tous les « cas. Eh bien I ce tableau si satisfaisant pour la
science
est incomplet; « cette organisation si savante n'
thal, il ne s'est pas toujours maintenu ferme et « incontesté dans la
science
... « D’après le témoignage réciproque et les co
rbitre de ses actes, douée de la notion d«son Créateur et de la con-«
science
de sa haute mission, l'âme humaine se proclame le
nerveux, p. 16, 17 et 33.) J'ai voulu vulgariser ce bulletin de la
science
, afin d«mettre en garde quelques magnétiseursqui
ut est dans la religion allégorie, ne « craignons pas de demander aux
sciences
que Dieu nous a permis|d’ac-« quérir ce qu'il y a
N. VARIÉTÉS. Le magnétisme n’existe pas, disent les princes de la
science
, ou s’il existe, ses effets ne sont tout au plus
magination ; et, partant de là, dédain superbe pour l’examen de cette
science
. Au lieu d’être la base, le point capital, le pri
des hommes sérieux et dignes de foi, des phénomènes curieux de cette
science
, et pendant tout cet espace de temps il ne nous é
de lui ni de ses sensations. Le docteur Larrey, sentant bien que la
science
doit être suspecte aux héros du surnaturel, se mo
es, et, dans le second, * et demi. BIBLIOGRAPHIE. L'ARBRE DE LA
SCIENCE
, par Eugène IIuzar. 1 vol. in-S.Paris, 1357, Dcnt
leuse puissance : pour eux, il s’agit d’une conquête définitive de la
science
, d’un des sujets les plus féconds et les plus gra
ir la vérité, la voie de la foi, dcï intuition, opposée à celle de la
science
expérimentale. C’est ainsi que les prophètes, les
d’une vue supérieure, pénètrent parfois dans des profondeurs (’jue la
science
ne peut atteindre, dévoilent des horizons nouveau
'avec réserve les révélations de l’intuition, et les contrôler par la
science
. M. Huzar nous promet un livre intitulé l’Arbre d
de civilisation , à l’harmonie générale, s’est perdue par l’abus delà
science
dont les applications imprévoyantes ont amené la
autes que la dernière et court au même abîme : déjà les progrès de la
science
suivis d’essais imprudents ont vicié les climats,
nouie, renfermera aussi dans son sein un ver rongeur, et l’abus de la
science
, en accélérant la ruine du globe, déterminera enc
pour apprendre à bien le connaître , il ne suffit pas d’interroger la
science
, dont l’enseignement est insuffisant ; il faut co
développement , et s’est perdue eu mangeant le fruit de l’arbre de la
science
, qui a été pour elle un poison mortel. Ce systè
ttestés par quelque témoignage imposant, par quelque indication de la
science
. Ici, rien de semblable. L'auteur crée de toutes
bâtir des chimères eu donnant cours à son imagination. A défaut de la
science
, prendra-t-on pour guides les livres sacrés qui p
es infaillibles, émanés de Dieu même, c’est déserter le terrain de la
science
pour entrer dans celui de la théologie ; c’est im
ouvrage où il nous expliquera comment l’intuition peut suppléer à la
science
. Nous lui soumettons dès à présent cette observat
ir pas lu la Bible, le premier point est l’antipode de la vérité : la
science
n’a nullement confirmé la Genèse en ce que celle-
and môme le récit de la création serait de tout point confirmé par la
science
, il s’ensuivrait seulement quel’auteur a été exac
ant que la géologie n’existant pas de son temps, ce n’est pas par une
science
humaine qu’il a pu être instruit, mais par une co
de toute critique. Mais nous ne pouvons savoir jusqu’où s’étendait la
science
égyptienne dans laquelle Moïse était initié, et d
rant à des interpré- tâtions problématiques.Quant au danger de la
science
, on peut dire que, comme la lance d’Achille, elle
aits. S’il avait fallu, avant de mettre en pratique une conquête delà
science
, la connaître à fond, l’homme n’aurait jamais pu
Huzar effraient bien des lecteurs, ni qu’elles arrêtent l’essor de la
science
ou de l’industrie. Les sages précautions contenue
plus recherchés par les gens de sentiment, d’instinct que par ceux de
science
. Ce ne sont donc point les savants, les sceptique
vres êtres limités, bornés, ignorants, pleins de préjugés et de sotte
science
, qui nous débattons et pataugeons au milieu de no
révèle, aux graves réflexions qu’il fait naître. Plus tard, quand la
science
nouvelle aura progressé, on verra sans doute part
mple, pays de gens sérieux, recueillis et patients. Mais, pour que la
science
progresse, il ne faut pas que des éteignoirs comm
iniquités, de corruption, de débauches, d’orgueil humain et de fausse
science
où la force brutale, le veau d’or, étaient devenu
nne une idée du grand savoir académique; il nous prouve qu’en fait de
science
psychique et morale , nos savants n en savent pas
lus injustement d’honnêtes gens qui enrichissent chaque jour la vraie
science
de faits constants et irrécusables. M. Viennet n’
des journalistes , des artistes, des hommes d’affaires, des hommes de
science
et de littérature, qui viennent par milliers décl
judiciaires, à la défiance et à la perspicacité, à des maîtres de la
science
, à des observateurs d’élite, au point de biffer d
opole des lumières, pour être restituée enfin au domaine public de la
science
et pour que la raison moderne l’épure et la vivif
ents, c’est-à-dire par leur harmonie avec les données positives de la
science
et avec l’universalité des lois et des besoins de
ions nous interdisent cfassimîler à aucun des agents naturels dont la
science
a déterminé les lois ou même dont l’existence
ngibles apparaissent et disparaissent dans l’obscurité aux yeux de la
science
interdite et forcée de se déclarer impuissante à
é. Des discours dans des langues inconnues aux médiums, des points de
science
, de morale, de théologie, de controverse religieu
rieuses et les plus utiles qui soient consacrées aux phénomènes de la
science
nouvelle, utile surtout en ce sens que les faits,
urs de l’année dernière, a été enlevé par la mort à sa patrie et à la
science
, raconte dans ses F/ilti relui ivi a mesmerim«c c
plusieurs cas où ils sc sont prescrit des médications qui, d’après la
science
, auraient dû être mortelles, et qui néanmoins les
igent aucun moyen de s’éclairer et de suppléer à l’insuffisance de la
science
, qui non seulement n’hésitent pas à donner un avi
l’intérêt bien entendu du magnétisme, non moins que dans celui de la
science
et de l’humanité , proclamer les vrais principes
ure; mais, en en môme temps, si intéressante et si importante île. la
science
magnétologique. de g. de c. Nota. Pour n’altére
celui du Collège de France. Heureusement le pouvoir de ce vizir de la
science
ne s’étendait pas jusqu’au Jardin des Plantes, où
occuper les esprits les plus sérieux. On peut dire même qu’il est une
science
nouvelle, dont les lois ne sont pas encore assez
ar ses adeptes auront pénétré dans toutes les demeures, lorsque celte
science
aura posé ses principes, ses lois, lorsqu’elle ag
, que nous devrions nous trouver heureux d’avoir aidé à divulguer une
science
qui apprend à tous si facilement, les moyens de g
ture de digitale et de chloroforme. Malgré Inus les efforts de la
science
officielle, malgré ces remèdes d'une violence ext
in ; il demanda une consultation avec M. Andral (un des princes de la
science
), de laquelle il résulta un traitement qu’on prat
t de la part du médecin et de souffrances du côté de la victime de la
science
infaillible ! Je fus alors appelé : qu’avait-on
faibles lumières et par mes travaux à la propagation de cette sublime
science
dont Mesmer, notre vénéré maître, nous a légué le
tisme artificiel, similia similibus curantur. (Extrait de l'Ami des
sciences
.) JOBABD. VARIÉTÉS. ENCORE M. HOM E. M.
a médecine libre comme aux Etats-Unis ? Car la médecine n’est pas une
science
, mais un instinct, un don naturel qui ne s’acqui
plus amples renseignements à prendre de la part d'hommes initiés à b
science
magnétique. v.. piérart. MAGNÉTISEUR INEXPÉRIME
Seine-et-Marne, une paysanne qui doit être présentée à l’Académie des
sciences
. Cette femme, il y a peu de jours, se trouvait da
'arbre foudroyé. Objet d’un rapport lu en 178(> à l’Académie des
sciences
, ce fait fut attribué à une suffusion sanguine fo
des feuilles de peuplier. Dans les comptes-rendus de l’Académie des
sciences
(séance du 25 jnn\ ier J 8/1"), on trouve qu’une
ES comprenant la circulation de l'électro-magnétisme, le principe des
sciences
et l'art dt vivre , de guérir, de rajeunir, par M
ces réponses, les donne comme des documents pouvant être utiles à la
science
, et il reste dans le doute; toutefois il incline
n ton profit, si tu crois qu'elle puisse être de quelque utilité à la
science
. » Tout à toi, Emile TniEimv, Artiste du théâ
t point réussi ; cela peut être. Mais vous ajoutez que Y Académie des
sciences
de France reçut mission de décerner un prix de 25
formées et se forment ainsi, et aujourd’hui que le magnétisme est une
science
positive formulée dans mille traités divers, dans
. Dans ces procès-verbaux, à côté des signatures de ces princes de la
science
médicale, figurent aussi les noms d’hommes illust
poète est donc authentiquement désigné comme un fervent sectateur des
sciences
occultes. 3° M. Constant a publié, depuis la de
y que Desion avait affirmé, devant les commissaires de l’Académie des
sciences
, que le magnétisme passait à travers le papier, c
que nous avons trouvé bien long, vient enfin , — heureusement pour la
science
que nous cultivons, — de redonner signe de vie.
de l'entendre se demander, — comme je l’ai fait, — quel avantage la
science
et l'humanité ont retiré des esprits frappeurs, t
pondre, — comme moi encore , — avcun; au contraire, cela retarde la
science
en prêtant de nouvelles armes à l’incrédulité et
ou par de ridicules préventions, viennent entraver la marche de cette
science
nouvelle! Que peut 17-goistne, que peut la sottis
lleurs, chacun apportant, selon sa force, sa pierre h l’édifice de la
science
magnétologique , celui qui la fournit et l’apport
ntir par sa spirituelle ironie, à l'endroit des termes barbares de la
science
olliciellc, l'absurdité de les employer à propos
cer seuls ; grâces au ciel, ils s’y sont refusés ; leur amour pour la
science
n’a pas été assez fort pour les pousser jusqu’à s
(Espagne), ce * juin 1857. BIBLIOGRAPHIE. HISTOIRE ET TRAITÉ DES
SCIENCES
OCCULTES, ou Examen descroyan ces populaires sur
l’examen. Il restera sans doute des faits étranges, bizarres, dont la
science
s’accommodera comme elle pourra. C’est en procéda
isé à la déclarer surnaturelle? Non, sans doute; chaque progrès de la
science
renverse une barrière, recule les limites du poss
étrangers à l’humanité terrestre, la raison ne nous apprend rien, la
science
est muette; l’Eglise catholique enseigne l’existe
t pas rester immobiles en présence de ce grand mouvement imprimé à la
science
nouvelle, nous avons pris la défense de ce que no
lio, tout ce qui enfin orne une table de salon dans une famille où la
science
et la littérature sont quelque chose. Cette table
cteur qui m’avait précédé avait inutilement administré tout ce que sa
science
avait pu lui suggérer. J’ai magnétisé six jours,
fâcheuses circonstances ont enlevé ce nouveau triomphe à notre belle
science
; cependant, comme vous allez le voir, les honneur
plus !... Je commençai donc ce traitement lorsque tout fut épuisé,
science
, espoir et argent. Où s’arrête la médecine, le ma
ien pur, celui que vous avez fait germer en moi, celui de notre belle
science
! Depuis Mesmer jusqu’à nos jours, le magnétism
rs consulté avec fruit, et figure avec honneur dans les annales de la
science
nouvelle. Les semences répandues par nos estimabl
surannés du Veilleur de nuit, qui, loin de rcillcr aux intérêts de la
science
, nous fait l’effet de dormir du sommeil d’Epiméni
ce. Je laisse au jugement des personnes qui s’occupent de cette belle
science
, si ce fait peut s’attribuer aux bienfaits du mag
epierres, venant de C atmosphère, étaient impossibles? L’Académie des
sciences
ne déclara-t-elle pas, en 4769, que la pierre ram
revoient une explication nuisent certainement plus à l’avancement des
sciences
, que les hommes auxquels on peut reprocher une t
dit qu’il les utiliserait plus tard pour s’initier aux mystères d’une
science
si diversement appréciée par les savants eux-même
fet, il s’enrichit chaque jour de nouveaux phénomènes, et la nouvelle
science
prend un corps visible pour ceux qui réfléchissen
gnétismes dolents et timorés, 011 ne nous verra pas flatter la fausse
science
des écoles et courber la tête devant elle ; au co
des choses les plus grandes? Serait-ce qu’en détournant du centre des
sciences
les principes féconds, la providence voudrait ain
livre à la sagacité des hommes compétents. » On lit dans C Ami des
sciences
du 29 novembre : BRUITS SANS CAUSE APPARENTE.
r n’accepter un nouveau phénomène, en contradiction manifeste avec la
science
, qu’après l’avoir vérifié avec le plus de soin po
curieuse étude à faire, destinée peut-être à reculer les bornes de la
science
et à ouvrir de nouveaux horizons à l’esprit humai
ces. Mais il s’est tenu sur la réserve en écrivant dans un journal de
science
par crainte d’effaroucher les savants. Ces messie
rrain, comme nous devons savoir gré au rédacteur en chef de Y Ami des
sciences
d’avoir prêté les mains à cette petite expédition
possibles, ne s’cn sont pas moins réalisées, malgré les dédains d’une
science
présomptueuse qui avait cherché à les étouffer (I
ieurs soient attestés de la manière la1 plus authentique. La nouvelle
science
est appelée enfin à déchiffrer ces énigmes, à por
ous les yeux (1). (1) La Patrie, journal très-bienveillant pour las
sciences
occultes, contient. diins son numér«du H de ce mo
indication des remèdes ; souvent leur instinct voit plus juste que la
science
médicale. Après avoir raconté la mésaventure d’
68. Progrès. Le magnétisme occupe la place centrale où s'éléver une
science
sublime, celle des rapports du monde des esprits
164.— Le progrès tourne toujours dans un même cercle, et l’abus de la
science
, détériorant sans cesse notre globe , ramène fata
ues à l'action dont l'homme dispose, 169. Corps (les) savants et la
science
nouvelle. Discussion sur les phénomènes du spirit
nétisme, par M.Copeaux, 180. VARIÉTÉS. Académiciens (les) et la
science
nouvelle, scepticisme, railleries, chicanes de la
la médecine, 138, 161, 225, 521. BIBLIOGRAPHIE. Arbre (l') de la
science
, par Eugène Huzar. Analyse et examen raisonné, pa
s, comprenant la circulation de l'électro-magnétisme, le principe des
sciences
et l'art de vivre, de guérir, de rajeunir, par M.
nétisme, avec réflexions, par M. Morin, 164. Histoire et traité des
sciences
occultes, ou examen des croyances populaires sur
ns pour cacher aux yeux du vulgaire les principales découvertes de la
science
, dont le monopole appartenait aux prêtres et à le
tention des hommes sérieux (1)? En nous reportant aux annales de la
science
, les Assyriens et les Chaldéens furent les premie
descendants de ce grand philosophe que nous devons les progrès d’une
science
qu’il sut dégager des langes de l’ignorance et de
peuples qui, dans le principe, avaient négligé l’étude de toutes les
sciences
, n’ont rien innové, et si l’observation leur rév
nombreuses églises, et l’ignorance et la superstition succédèrent aux
sciences
et à la philosophie. Dans le sixième siècle, l’as
e et d’Angleterre, les empereurs romains et les papes protégèrent les
sciences
et les arts et rétablirent les bibliothèques. On
n (2). Roger Bacon, en Angleterre, illustra ce siècle par l’étude des
sciences
physiques et mathématiques. 11 soutint la possibi
), qui tombait en somnambulisme à volonté, dit, dans son traité de la
Science
du inonde, c. vm, p. /|7, qu'il y a en nous une n
avec aigreur les effets du somnambulisme artificiel, c’est que cette
science
leur fut présentée (l)t)e Vaiïel.rcrnm, I. VIII
lus ou moins obscures, laissent évidemment percer l’incertitude de la
science
sur la nature d’un phénomène qui s’est reproduit
même pas rencontré d’opposition sérieuse de la part des princes de la
science
. On appréciera également les motifs d’une opposit
iance et notre courage ne faibliront pas, tant que nous verrons cette
science
de charité et de dévouement sous la sauve-garde d
étisme, et d'un de ses résultats, le somnambulisme. Il pratiqua cette
science
en famille et dans l’intimité, pour en démontrer
autres la moitié de la vérité, c'est empêcher le développement de la
science
nouvelle. M. du Potel laissait trop à faire à l
?. — 10 Février 18j3. * S«dt‘Ii du Mesmérisme do Parlu. Quand une
science
parvient à inspirer les artistes, on peut être as
voici une nouvelle offrande, qui remplira de joie tous les amis de la
science
. C’est le complément de la trinité magnétique.
endant nous sommes sans crainte; car il y a une masse de faits que la
science
dite exacte n’a jamais voulu examiner, que la phi
e, n’a point encore trouvé d’explication. Il y a chez les hommes de
science
une grande peur du merveilleux ; tout ce qui émeu
udes et de ses occupations (il était géomètre, et chacun sait que les
sciences
mathématiques rendent l’esprit exigeant en fait d
Garnay). —Deuxièmeédition. Prix : 15 c. — Par la poslc, 20 c. La
science
se répand dans les esprits sons mille formes dive
e sera le modeste almanach, où un sage d’un monde nouveau révélera la
science
sublime du bonhomme Richard : la route varie, le
e propagande de vérité et de justice. Si la forme sous laquelle une
science
est présentée ne peut être soumise à aucune règle
mode de publication de leurs œuvres. Ils ont à consulter l’état de la
science
qu’ils veulent faire connaître, et doivent prendr
ement des conditions imposées aux auteurs qui révèlent à la foule une
science
nouvelle. Nous voyons dans les civilisations na
larté; tous leurs efforts tendront à dissimuler les difficultés de la
science
sous la lucidité de l’exposition et la simplicité
u peuple se laisse plus facilement toucher par les applications d’une
science
dont il sent l’utilité, que par des théories dont
s à l’exposition rapide du sujot, elles n’ont pas, en outre, dans les
sciences
imparfaitement connues, cette certitude authentiq
cultés intellectuelles. Les livres élémentaires sont la monnaie de la
science
; obole qui porte la vie de l’esprit, il faut qu’
évouement nous inspirent mie vive sympathie; œuvre de sacrifice et de
science
modeste, ils hâtent surtout les progrès de la civ
its d’élite qui s'efforcent de rendre universelle la connaissance des
sciences
utiles. Un ouvrage fait dans les conditions d’a
ruit de longues recherches, il demande des hommes de loisir; œuvre de
science
, il veut des lecteurs préparés par une instructio
de reporter aii peuple le fruit île ses études, en lui révélant une
science
salutaire et encore ignorée, (’.’est une généreus
ses. 11 est divisé en neuf chapitres, qui contiennent le résumé de la
science
magnétique : chacun est un petit tableau. C’est u
rnier parle docteur allemand Mesmer, le véritable vulgarisateur de la
science
dans les temps modernes. 11 présente ensuite les
lans les masses populaires. Livre d’une lecture facile, il portera la
science
nouvelle dans les ateliers des grandes villes, et
l montrera à. leur intelligence des horizons inconnus à explorer, une
science
nouvelle à approfondir. 11 sera utile à tous, enf
ile à tous, enfin, car il est un livre moralisateur; il vulgarise une
science
dont la théorie élève l’âme vers les plus hautes
que chose dans l'occulte pouvoir d’Oléda, comme tu t’occupes de cette
science
, je t’engage à venir faire quelques expériences à
squels l’auteur envisage le magnétisme animal y sont traités avec une
science
et une sagesse dignes de l’estimable confrère qui
’est pas étendue, mais elle me paraît avoir une grande portée dans la
science
; personne, mieux que Votre Grandeur, n’est à même
de pour exploiter, bien plus à leur profit personnel qu’à celui de la
science
, fait progresser chaque jour cette dernière, et j
argument des plaidoiries de ses défenseurs, c’est qu’il constitue une
science
et en a tous les droits. « Gomment trancher ce
être édifié sur la réalité du magnétisme? ( S’il était vraiment une
science
, pourrait-il être justement condamné? « La scie
ait vraiment une science, pourrait-il être justement condamné? « La
science
est en elle-même une chose légitime. Bien S lus
e, une gloire, et dans un certain sens un evoir. Dieu est le père des
sciences
» dit l’Ecriture. (( 11 est facile de comprendre
eu de leurs magnétiseurs? Cela revient à demander si leur foi dans la
science
est une feinte, et si cette science elle-même est
nt à demander si leur foi dans la science est une feinte, et si cette
science
elle-même est mensonge ou vérité. (i Des condam
trée. n Alors revient de nouveau la question de savoir s’il y a une
science
réelle au fond du magnétisme, et si les adeptes e
il a pour but de punir la superstition ? « Le magnétisme se déclare
science
. Cet article frappe-t-il un simple fait? Quel fai
en une opération scientifique. « La divination de l’esprit ou de la
science
n’est point évidemment ce que la loi pénale a vou
oins pouvoir, avant peu, consacrer quelques articles à l’examen de la
science
nouvelle. » Cette promesse a été tenue, et, dan
oulouse, 184S. Cet ouvrage, présenté comme mémoire à l’Académie des
sciences
,. ne se trouve point dans le commerce. Le peu d’e
thérapeutique. Je crois que le magnétisme est un des chapitres de la
science
de la vie, mais je ne pense pas qu’il la constitu
rdités de cette doctrine, dont les enthousiastes voudraient faire une
science
; on a dit que beaucoup de consultations par somn
ont fondés, mais ils ne détruisent pas des faits inexplicables par la
science
de la matière. « 11 est impossible tle nier l’i
organes. « Nous n’irons pas plus loin sur les applications de cette
science
encore au berceau, appelée magnétisme animal. «
, en citant ce fait, dans la 11e leçon de sou Cours de l'Histoire des
Sciences
naturelles, dit i « J’ai répété cette expérienc
blement exercées que par des médecins, des chirurgiens ou des gens de
science
, instruits et offrant toute garantie. Elles devra
seule question qui semble agiter maintenant les gens de bon sens, de
science
ou de religion, est de savoir s’il vient du ciel
surtout pour la fille Froment); il nous est résulté, dis-je, pour la
science
et la morale, des documents et des données que je
élat tel que vous, Monseigneur,’autant versé que vous l’êtes dans les
sciences
et divines et humaines, 11e peut qu’être d’un gra
ibre pratique du magnétisme animal à tout médecin offrant garantie de
science
et de moralité, qui jugerait convenable d’en user
bien à désirer, Monseigneur, que MM. les ecclésiastiques, chez qui la
science
de Dieu n’exclut certainement pas les sciences de
siastiques, chez qui la science de Dieu n’exclut certainement pas les
sciences
de l’homme, eussent sur la physique, sur le magné
sonnellement, Monseigneur, savent cependant que vous ôtes un homme de
science
et de haute capacité. Je joins encore à mon pli
es phénomènes, faite de bonne foi et sans prévention, par des gens de
science
, en fera connaître de plus en plus les lois et la
sychologique, il mérite les recherches et non le dédain des hommes de
science
, quels qu'ils soient ; 6° Enfin, comme phénomèn
donc, guérissez-la, et je serai un des plus fervents apôtres de votre
science
. » «Te ne pouvais ni ne devais reculer devant u
devant les conséquences qu’il faudrait en « tirer. Je voudrais que la
science
, renonçant au mépris avec « lequel elle accueilli
fus aussi un des premiers qui écrivirent dans notre langue sur cette
science
naissante; j’ai composé et publié un petit Traité
eillir favorablement. J’ai déjà vaincu, pour la profession de cette
science
, bien des obstacles, et surmonté bien des difficu
se et principalement dans l’Allemagne, la Russie et l’Amérique, comme
science
très-utile, avec la protection et l’encouragement
este pas en arrière des autres nations, et qu’elle donne dans cette
science
aussi une marque certaine de progrès civil, et un
plus distingués, et d’étendre et raffermir mes connaissances dans la
science
magnétique, en leur donnant plus de force par d’a
oudrais, m’occuper exclusivement et continuellement de cette nouvelle
science
si utile, et faciliter ainsi, par l’enseignement
rait les moyens de se tirer d’affaire dans tous les cas possibles; la
science
acquise ne pourrait le rassurer, car ces deux mot
ien. « Le magnétisme est un amusement, mais il n’est pas encore une
science
. » Le Charivari, qui vit d’excentricités, publi
, en vous envoyant, comme centre, toutes les nouvelles relatives à la
science
que vous professez avec tant de prudence et de su
gnétisme commence à débrouiller. C’est évidemment là l’aurore de la
science
immense qui monte à l’horizon. C’est elle qui mor
ratif, soit un agent actif ou neutre, une réalité ou une chimère, une
science
réelle ou un charlatanisme effronté. En effet, si
ore qui brillent de la lu- inière la plus vive dans le temple de la
science
, indépendamment des croyances magnétiques, Qui es
s cliniques magnétiques en Prusse et en Angleterre, et l'Académie des
sciences
de Berlin, l’Académie des sciences morales et pol
t en Angleterre, et l'Académie des sciences de Berlin, l’Académie des
sciences
morales et politiques de Paris, et la Société d'e
ces morales et politiques de Paris, et la Société d'encouragement des
sciences
, lettres et arts de Milan, ont proposé des sujets
ous n’entendons relater que les choses vraiment intéressantes pour la
science
, et que nous avons l’intention de supprimer tout
uvres produites, et pourtant mon âme était triste, car cette nouvelle
science
prend le monde au dépourvu : il n’y a aujourd’hui
reux de répondre à l’appel que vous avez fait à tous ceux pour qui la
science
magnétique n’est pas une utopie, en leur demandan
s du sceau de la vérité, qui réclament toute la portée actuelle de la
science
à ce sujet. Parmi les faits magnétiques qui agi
éprouver, mais qui n’échappera pas toujours aux investigations de la
science
, semble se diriger d’une manière toute spéciale s
, sans doute, la cause du peu de progrès qu’a fait jusqu’à ce jour la
science
magnétique... Elle n’a réellement pu marcher qu’à
, désintéressés et de bon sens s’en mêlent et s’en occupent... et les
sciences
physiques ont tellement fait de progrès depuis hu
physiques ont tellement fait de progrès depuis huit à dix ans, que la
science
magnétique a fait des pas immenses... et nous en
a médecine, sous ce rapport, est peut-être pire que toutes les autres
sciences
, parce que malades et médecins veulent tout expli
s d'industriels que de vrais philanthropes ou de véritables hommes de
science
. Cependant, Monseigneur, la médecine est une es
de créer des hypothèses, ne pouvant faire mieux. Heureusement pour la
science
et pour l’humanité, la science progresse toujours
vant faire mieux. Heureusement pour la science et pour l’humanité, la
science
progresse toujours, indépendamment des théories e
t des hypothèses... C’est aussi de cette manière, Monseigneur, que la
science
ecclésiastique a successivement fait des progrès
a aucunement trait à la foi catholique, et qui, sous le rapport de la
science
, n’est pas plus de la compétence du sacré-col-lég
pliquer avec une personne moins familière que Votre Grandeur avec la
science
, je lui parlerais des vertus hygrométriques des c
ens, Monseigneur, ne sont pas toujours les meilleurs juges en fait de
science
, vous le savez aussi bien que moi; tous les auteu
st la formule du jour; eh bien! il y a dans les académies beaucoup de
science
certainement, une immense masse de faits et de co
t ce que n'a fait pour le magnétisme animal aucun des coryphées de la
science
; cependant, Monseigneur. il semble bien qu’il en
rait pas en 18ÛS ce qu’elle a prononcé en 1830, 1836 et 1840 ; car la
science
a grandi depuis lors en France comme partout aill
re dans l’intérêt de l’homme souffrant, et enfin dans l’intérêt de la
science
. Peu de médecins, peu de magnétiseurs, je dirai
oigner ni être soignées «pic par nous, gens de l’art, qui, lorsque la
science
nous manque, en sommes réduits-à dire : « Ce mala
est-à-dire abandonnées par mes confrères et moi. Alors, puisque notre
science
n’est pas absolue, les lois qui nous régissent ne
Je m’incline donc, et je dis : le bien divin est plus puissant que la
science
humaine ; qui ne le sait pas? Des hommes sans mor
ce règne de Dieu que poètes et prophètes ont également prévu, que la
science
nous prédit et que le progrès nous prépare. Mai
e nouvel ordre prétendent que toute l’économie humaine, église, état,
science
, société, doit se refaire de fond en comble ; ils
plis les journaux. Donnons d’abord la parole à un des organes de la
science
, l'Union médicale du 30 avril, qui publie la lett
aculté de médecine et tout le corps médical, ainsi que la Faculté des
sciences
, tous ceux enfin qui ont l’habitude d’observer et
sur ce sujet. Mais ce que je dirai hardiment, c’est qu’il faut que la
science
sérieuse et autorisée s’empare au plus vite de ce
ité et le charlatanisme ne se ruent sur cette proie nouvelle ; que la
science
nous dise ce qu’il faut croire et jusqu’où il fau
rriva, lorsque deux mille ans avant la création de notre Académie des
sciences
, quelques observateurs de hasard trouvèrent qu’un
ttirait les corps légers. Ce phénomène, presque passé inaperçu par la
science
antique, est devenu le pivot sur lequel roule la
perçu par la science antique, est devenu le pivot sur lequel roule la
science
moderne. Sans doute, ce fait d’animer, pour ainsi
ation et à la propagation plus ardente des pratiques mystérieuses des
sciences
occultes ; il sera livré en pâture à la sottise,
, révolution dans les idées du vulgaire, révolution peut-être dans la
science
, révolution peut-être dans la philosophie ! Vou
s pour animer sa statue d’argile. Ignorant comme je suis en fait de
science
, je n’ai pas seulement le droit de songer à avoir
révolution dans les idées du vulgaire, révolution peut-être dans les
sciences
, révolution peut-être dans la philosophie. Oui,
uence fatale des lois inscrites au code de la nature? N’est-ce pas la
science
régénérée, que toutes ces découvertes qui de jour
En réalité, c’est la langue (pii favorise les sceptiques, en appelant
sciences
naturelles ce qu’il y a de plus surnaturel sur la
ements du mannequin sont désordonnés et capricieux à l’infini. « La
science
de la mécanique parviendra-t-elle à les régler? 1
iseur nouveau-venu; à cela je réponds que je devais, avant tout, à la
science
nouvelle que je professe loyalement, le courage d
roclame son adhésion . dans sou numéro du 11 courant. Uutlctln «les
sciences
occultes. Sous ce titre, nous nous proposons de
caractère suffisant d’autlienti-ticité, appartenant au domaine de ces
sciences
que la bibliographie classe sous la vague dénomin
es sciences que la bibliographie classe sous la vague dénomination de
Sciences
incertaines, dans l’impossibilité où elle est de
bsolue, tous ces faits demandent à être étudiés et interprétés par la
science
; mais auparavant il importe qu’ils soient consta
de bonne foi et animés exclusivement de l’amour de la vérité et de la
science
, d’un journal quotidien à grande circulation, pou
démasquer les charlatans et les faiseurs de dupes, qui déshonorent la
science
dont ils suspendent quelques lambeaux informes à
dévoué de tous les hommes d’intelligence et de cœur qui cultivent les
sciences
dites occultes : magnétiseurs, magnétopathes, psy
d le phénomène aura été bien constaté, il faudra bien pourtant que la
science
officielle, la science qui se décore du nom de po
bien constaté, il faudra bien pourtant que la science officielle, la
science
qui se décore du nom de positive, nous en donne
us en donne l’interprétation. En attendant cette explication que la
science
nous doit, et que nous sollicitons d’elle en tout
ertes, celle-ci aura été, probablement, l’effet du hasard. C’est à la
science
maintenant qu’il appartient de l’analyser, de la
e son coin, et il se mit à frapper de plus belle. Alors nos hommes de
science
déclarèrent qu’il y avait fraude dans cette affai
es, s’est exprimé ainsi : « AUX PROGllÈS DU MAGNÉTISME I ii Cette
science
, longtemps méconnue, retrouvée par Mesmer, vulgar
à elle nous avait appris à soulager les infirmités humaines, quand la
science
ollicielle était réduite à confesser son impuissa
s du corps humain et les remèdes les plus propres à les guérir; cette
science
se manifestait par une foule de phénomènes mervei
espondances d’un pôle à l’autre, et se prête, grâce aux progrès de la
science
et de l’industrie, à mille autres usages aussi cu
orce divine Meut tes ressorts, anime ta machine ; Dans tes réseaux la
science
aperçut Le fil qu’un hasard crée ou brise. Mais l
! Salut, Mesmer, Rousseau, Voltaire, Philosophique trinlté De la
science
humanitaire, Triple flambeau, trépied de la cla
poétisant ses phénomènes et en prophétisant l’avenir réservé à. cette
science
profonde, dont le retour parmi nous doit marquer
Sic vos non vobis. h Mais attention ! voici venir le Grisier de la
science
officielle, la fine lame du corps médical. Quelle
ynonyme de génie, de bienfaiteur de l’humanité, de régénérateur de la
science
universelle, — le mot n’est pas exagéré; — si son
homme calomnié, Mesmer, le fondateur, dans les temps modernes, de la
science
magnétique. Juste hommage rendu par la postérité
e fécondée, que devait naître et devait être fêté le régénérateur des
sciences
, le philosophe profond qui, embrassant de sa pens
e-t-on la loi, parce qu’il est des juges prévaricateurs? Nie-t-on les
sciences
, parce qu'il est de faux savants? Sceptiques à l’
nous ne serons pas devant vous; flétrissez le mensonge, respectez la
science
, et appelez sur elle la critique éclairée et loya
ppris, Messieurs, combien sont abondants et précieux les fruits de la
science
recueillie en nostemps, plus belle sera la moisso
’indiquer les résultats éloignés, sans doute, mais possibles de notre
science
. Les phénomènes physiques sont connus, les faits
uelques heures, apprendre à des êtres endormis du sommeil lucide, une
science
qu’il nous laut de longs jours pour connaître; on
a nature ses secrets, viendront en quelques instants communiquer leur
science
à des intelligences privilégiées, et inspirer, no
is, l’amour des combats, mais révéler la philosophie, l’histoire, les
sciences
, ces forces vives de nos temps. Ces intelligences
grandies, trouveront les lois encore inconnues, le lien qui unit les
sciences
entre elles, la chaîne secrète qui lie la matière
des hautes pensées l’esprit se purifie de ses souillures. Toutes les
sciences
humaines sont solidaires, elles forment une chaîn
maintenant brisés se réuniront au jour de l’harmonie universelle. Les
sciences
physiques ont été dans notre siècle illustrées pa
les temps écoulés, n’a pas atteint les sommités où sont arrivées les
sciences
exactes. Loin de moi la pensée de porter une main
armonie s'établira complète dans les productions du génie, et que les
sciences
morales seront placées aussi haut qu’ont été plac
les sciences morales seront placées aussi haut qu’ont été placées les
sciences
physiques? L’étude constante et sévère des phénom
rore du monde. De ces visions, la marche progressive et constante des
sciences
sœurs fera une réalité. Un jour paraîtra la terre
intains horizons que découvre la pensée placée sur les hauteurs de la
science
de Mesmer, horizons décevants, pays des rêves, di
dépeuple, Voyez pour eux que d'autels érigés ! Pour enseigner la
science
du peuple , Sur les écueils comptez les naufrag
min de fer du magnétisme ; je l’ai vu tout à l’heure à l’Académie des
sciences
, et je vous en apporte la bonne nouvelle. « En
e son âge, il est majeur et réclame un état civil dans le livre de la
science
du bien et du mal : l’Académie est sommée de le l
j'ai pu le constater parles signes physiques les plus certains que la
science
possède : la fluctuation et la percussion. La p
Le magnétisme triomphe si souvent des accès d’hystérie, tandis que la
science
officielle montre fréquemment son impuissance à c
connu par notre orgueilleuse raison. Elle a dû y pourvoir. Hélas ! la
science
, substituant ses faux systèmes aux lumières somna
dre de recherches, et que de toutes parts on fait des expériences, la
science
va s’enrichir de données qui laisseront loin derr
je pense que toutes les grandes institutions humaines, église, état,
science
, société, sont appelées à se transformer de fond
me, et si, selon eux, la purification du corps et de l’esprit, par la
science
et la pureté, est le seul moyen de nous rendre ac
vent éprouver avant d’arriver jusqu’à nous? » Après avoir divisé la
science
sidérique et ses rapports, en sidérique—astrologi
nétisme ou simplement curieuses de suivre les développements de cette
science
qui touche au merveilleux par tant de points. «
rendus à la mémoire de Mesmer, de l’homme que les deux académies des
sciences
et de médecine réunies ont essayé de flétrir des
ats produits, depuis un siècle, par le magnétisme pour l’humanité, la
science
, les arts, l’industrie. Dans les discours des ora
a loi n’est pas trouvée, et dont il n’a pas été possible de faire une
science
. Les partisans du magnétisme se vantent surtout d
règle morale, tant qu’elles n’auront pas produit pour l’humanité, la
science
, l’industrie et les arts des applications utiles,
H. WARMÉ. Saint-Pol, 23 mai 1853. BIBLIOGRAPHIE. TRAITÉ DE LA
SCIENCE
MÉDICALE, par M. le Dr Édoüaud AUBER. 1 vol. in
, .soit en mal, soit avec indifférence. Les auteurs qui ont trop de
science
pour nier les faits, mais pas assez de conscience
’Isis, d’Osiris et de Sérapis. Enfin, c’est incontestablement dans la
science
du magnétisme, qui, du reste, a servi de base à l
este, les prêtres se gardaient bien de divulguer cette partie de leur
science
; ils en taisaient, au contraire, un mystère, soi
ne sacrée constituait la meilleure et la plus importante partie de la
science
des Egyptiens. « Si les détracteurs du magnétis
sme, ils cesseraient de clabauder avec tant d'impertinence contre une
science
qu’ils ne comprennent pas, et qui finira par les
n dédain superbe et systématique. Mais aujourd'hui l’horizon de cette
science
s'éclaircit, elle commence à se débarrasser des e
des méditations et des travaux des hommes les plus éclairés dans les
sciences
physiques. Que ses destinées s’accomplissent, et
au magnétisme, C’est faire de la physique transcendante ; mais cette
science
toute mécanique n’a rien à veir dans celle du cœu
ure des limites infranchissables. L’homme, malgré tous les trésors de
science
amassés par son génie, doit être bien pénétré de
ée par une profonde sagesse. Si les Américains, quoique inférieurs en
science
aux Européens, ont obtenu les premiers d'étre gra
ns applaudi son initiative en reproduisant la préface du Bulletin des
sciences
occultes qui devait réunir les faits et dires rel
e leur dis : Messieurs, il s’agit ici d un fait surnaturel, auquel la
science
ne croit pas ; vous êtes en partie habitants d’Ai
dement, ep. 10. Diderot. Pensées philosophiques. Dictionnaire des
Sciences
médicales, art Convulfionnaires, Carré de Mongé
ser pour incroyable, quand il n’a pas été observé. « Voici donc une
science
nouvelle ou plutôt renouvelée des anciens, qui na
érité. « Peut-être aussi que, loin de détruire les religions, cette
science
ne pourra que les épurer en fortifiant leurs fond
nion annuelle est toujours l’occasion de nous entretenir de ce que la
science
magnétique a pu acquérir dans l’année qui vient d
ui, sans leur intervention, n’auraient été que passagers. Pour que la
science
officielle puisse guérir de telles affections, il
e eu lieu. « Ce qui nous a bien intéressés et qui a procuré à cette
science
naissante un adepte de plus, c’est qu’un jeune ho
IÉBEKT (de Garnay). CLINIQUE. On lit dans le liegister of médical
science
, publié à Calcutta, lin exposé des résultats obte
plus de six mois dans ma chambre, des personnes se disant sublimes en
science
., ont fait tous leurs efforts pour me faire décla
et l’étude les compléteront. Voici le chapitre qu’il consacre à la
science
magnétique : « 11 peut se faire que le somnambu
ut-on maintenant accepter ce que les magnétiseurs peu versés dans les
sciences
physiologiques ou trop amateurs du merveilleux, o
glée. Voici un fait tout récent, qui est le troisième connu dans la
science
écrite, je veux parler d’une hernie étranglée réd
péré. Je n’étais pas plus satisfait de l’opération mystique que de ma
science
; je me défie des hystériques dans ces cas, car el
s contenues dans les religions rivales. Toutefois les progrès de la
science
ont eu pour résultat d’amoindrir successivement l
ier cette matière. L’auteur a eu raison de le dédier à l’Académie des
sciences
morales et politiques. Nous ne savons s’il ira à
, dans l’Académie de médecine et parmi les plus hautes sommités de la
science
, que nous trouvons les attestatians les plus impo
vaut avouer noire ignorance et attendre que de nouveaux progrès de la
science
nous permettent de rattacher ces faits ;\ une thé
et y produire de ces ravages aussi terribles que surprenants, dont la
science
n’a pu encore donner que des explications bien in
arrerie ne nous semble telle qu’à cause de notre ignorance, et qu’une
science
plus étendue ne viendra pas en donner la clef?
de parler des langues inconnues et la connaissance presque subite de
sciences
non apprises, faits qui du reste comportent d’aut
es tables tournantes, on est pris d’une sorte de tristesse. Quoi ! la
science
actuelle ne va pas plus loin que ce que nous liso
ut toujours rejetée ou exploitée en sens contraire des intérêts de la
science
et de l’humanité. J’ai laissé écrire des choses
ouvrage intitulé : Théorie des relations considérées comme base de la
science
et du progrès actuel, dans lequel il parle avanta
ransposition des sens doivent être au nombre des faits que possède la
science
. C’est ce que démontre un certain nombre d’observ
p. 23i.) Tel est le langage généralement adopté ; c’est celui de la
science
; mais il s’agit de se bien entendre sur le sens d
effet magnétique avant son semblable puisé daus la nature ou dans les
sciences
. Les quelques considérations qui suivent la nar
isante du phénomène en question. C’est avec de pareils hommes que les
sciences
grandissent et marchent à la conquête de l’inconn
es expérimentations. «Nous n’avons à parler maintenant ici de cette
science
que sous le rapport plastique, si nous pouvons no
mirer dans Fatma ; mais la volonté du professeur, homme de goût et de
science
avant tout, a donné une autre direction aux idées
x, bizarres, grotesques et instructifs, révèlent un monde nouveau. La
science
, c’est la traduction d’un symbole, du Juif errant
nétisme, du somnambulisme , des tocs-tocs spirituels et de toutes les
sciences
occultes deviennent tous les jours plus nombreux
er la véracité d’une consultation magnétique, et de donner ainsi à la
science
divinatoire des somnambules un précédent judiciai
mandée. L’auditoire était nombreux. Nous avons remarqué des hommes de
science
, des hommes spéciaux, bien connus dans notre cité
r à tour la surprise, la terreur, la gaîté. v M. Philips fait de la
science
en Christophe Colomb, convaincu seul d’abord, mai
oniaque pur!... « Que dire après ces faits?... Croire, parce que la
science
est grande ; espérer, parce que des hommes dévoué
caractère de M. Philips. Nous désirons vivement, dans l’intérêt de la
science
, qu’elle soit accueillie, car il pourra en résult
tisme n’en continue pas moins sa tâche et recueille les faits dont la
science
pourra tirer parti. La rotation des personnes s
l avait disparu; le bras était bien remis, mais il était roide, et la
science
osait à peine espérer que le grand artiste pût se
de la destruction, et quand, pour le combattre, les ressources de la
science
lui manquaient, il avait recours à, celles de l’e
’imbécillité du siècle, et montré le savant, c’est-à-dire l’homme des
sciences
exactes, conservant seul son bon sens au milieu d
plume à la main. Notre époque n’est que trop livrée au despotisme des
sciences
positives. Elle n’est que trop disposée à réserve
Elle n’est que trop disposée à réserver pour elles seules le titre de
sciences
. Je voudrais qu’on songeât enfin ii combattre une
et de la volonté. « Or, qu’arrive-t-il ? Au moment où l’orgueil des
sciences
exactes éclate comme jamais il n’avait éclaté, au
s. « Patience I le jour viendra où M. Foucault, qui est un homme de
science
et de conscience, regrettera d’avoir été si vif.
t cette fine analyse.... » « Prenons-y garde, les représentants des
sciences
exactes risquent de devenir, autant que faire se
sitivement l’Écriture, il cesserait de croire ce qu’a dit Jésus. La
science
est et sera toujours sceptique, elle n’admet que
e cercle que la caste sacerdotale, en tous pays, a tracé autour de la
science
. La croyance au diable s’est fort affaiblie chez
ur en étudier le fondement et pour faire entrer dans le domaine de la
science
tous les laits d’occulte puissance, nous battrion
s sur ce chapitre que le confesseur de votre femme, plus que toute la
science
moderne ne saurait vous en apprendre ; vous recou
rt nouveau. En effet, il effraie les coupables, et pour ceux-ci notre
science
est vraiment la science du diable. Si tout ici
effraie les coupables, et pour ceux-ci notre science est vraiment la
science
du diable. Si tout ici était vain prestige ou i
ence, et qu’ils apprennent qu’il y a des possibilités méconnues de la
science
des écoles, et que dans ce que celle-ci ignore, s
rt des annonces qui ont été faites du prix proposé par l’Acadêmie des
Sciences
morales et politiques. On a imprimé que le terme
cm, de Firdousi. Nous y avons remarqué un passage qui se rattache aux
sciences
occultes. Guirc le Vaillant, ne sachant ce qu’e
table tournante puisse être regardé comme définitivement acquis à la
science
. Nous ne nous arrêtons pas aux exagérations et au
le, (¡’est tout un monde à explorer, et c’est peut-être la clef d’une
science
nouvelle qui nous dévoilera les mystères jusqu’à
t fréquentes, elles amènent des condamnations. « Constitue-t-il une
science
? Comment trancher ce nœud scientifique? « L’em
s, aller porter cette rémunération d’un avis qu’ils réclament à cette
science
, comparée ici aux jongleries du magicien couvert
nt sur de fausses analogies, parodier en quelque sorte l’Académie des
sciences
, qui a décidé qu’elle ne s’occuperait jamais de l
u somnambulisme; cette crainte peut être un véritable dommage pour la
science
. » — M. l’abbé Moigno, en reproduisant, dans le
trop peu connue, qui résume fidèlement les plus saines notions de la
science
magnétique. UÉBERT (de Camay). BIBLIOGRAPHIE.
araphrasant une partie du Caliehismc de M. Hébert, les éléments de la
science
magnétique. 11 a pris la forme des dialogues fami
t la nature?... A cet égard, un mystère profond nous enveloppe, et la
science
, malgré ses persévérantes recherches, n’a pu enco
us secrètes, de la connaissance subitement acquise aux somnambules de
sciences
qu’ils n’ont point étudiées, etc. Nous ne pouvo
us un mystère qui sans doute n'est pas près d’être éclairci ; mais la
science
ne peut s’appuyer suides hypothèses aventureuses
s invisibles; mais nous n'avons pas ici à traiter de cette partie des
sciences
occultes. Quant au pouvoir qu’exerce la volonté
rtées aux recherches de tout ce qui est au delà du physique, et si la
science
officielle n’obéit point à cette impulsion morale
lus depuis qu’un grand journal a mis la sourdine sur son bulletin des
sciences
occultes. « A propos de ce journal, on raconte
urs yeux toutes les pièces d’un débat qui, non-seulement intéresse la
science
que nous servons, vous et moi, mais qui de plus i
connaître aux lecteurs du Journal du Magnétisme, dans l’intérêt de la
science
et de la vérité. « Quant à la rotation de l'hom
donc oserait en nier l’existence ? Et cependant, jusqu’à ce jour, la
science
n’a pu en découvrir la forme et la couleur ; elle
ar le feu divin, ou finissent leurs jours à l’hôpital ; car la fausse
science
n’a pas plus d’entrailles que de génie ; elle s’a
us devait être un jour le prince des mages et initier les hommes à la
science
morale, en les convainquant du surnaturel par des
ait et devrait être encore aujourd’hui la plus haute expression de la
science
et de la sagesse. Est-il nécessaire de rappeler
and nombre d’ouvrages; et, malgré le dédain affecté des princes de la
science
, ce riche et intéressant sujet est tous les jours
issance de la postérité, et quels que puissent être les progrès de la
science
, on lira toujours avec fruit les ouvrages de Mesm
ne paraît pas avoir suffisamment étudié cette branche si curieuse des
sciences
occultes, s’empresse beaucoup trop de tirer du fa
supposé des conséquences absurdes, de déclarer qu’il « n’y a plus de
science
, si l’on possède en main toutes les solutions, »
ous seraient supérieurs, ils seraient nécessairement bornés dans leur
science
et dans leur pouvoir; qu’enfin nous pourrions avo
orez pas, je pense, que connue magnétiseurs, quoique n’exerçant cette
science
que par pure humanité, nous sommes traqués comme
, perdre toute leur valeur. Tables ! fables ! s’est d’abord écriée la
science
. A le prendre à la lettre, il est vrai, de l’un à
intérêt qu’inspirent toujours les travaux d’un homme illustre dans la
science
, j’ai étudié avec l’attention contenue et la conf
eur, que je ne suis pas instruit, malheureusement pour moi; le peu de
science
que j’ai, je l’ai appris presque moi-même, mes pa
ssi vive, aussi ardente, et il en devra être ainsi jusqu’à ce que les
sciences
morales soient parvenues à un degré de certitude
comme 011 le voit, du temps où ceux qui se posaient en arbitres de la
science
, 110 pouvaient entendre prononcer le mot de magné
apparaît aux médecins comme venant suppléer à l’insuffisance de leur
science
; elle trouble le repos des académies et force l’
un esprit crédule. Cœur candide, vous croyie -que tous les hommes de
science
vous ressemblaient, et que, comme vous, ils prend
r, quel qu'il soit, les prend de préférence et à mérite égal, car les
sciences
touchent à la politique. Mais où vais-je? N’ai-
s le dire : c’est parce que vous avez plus d’orgueil que de véritable
science
, et que ne connaissant rien des agents moraux et
s le démontrer. Je dois me contenter de constater l’état actuel de la
science
et de l’opinion publique à cet égard. « Le magn
s avant dans le domaine des esprits : c’est un moyen de suppléer à la
science
acquise pour juger les symptômes des maladies et
à choisir entre deux inconvénients : celui de priver le public de la
science
de quelques-uns, ou celui de la livrer aux entrep
11 a évité le plus grave en exigeant le diplôme, garantie d’étude, de
science
, d'habileté à user de la pharmacie, à exercer la
’il s’adresse au somnambulisme ou qu’il préfère les conjectures de la
science
des écoles. « Voilà pour la première catégorie.
, A. de SAl'LXUKE. Animé par une grande pensée, je voulais que la
science
nouvelle fît ses preuves et fût en même temps uti
cement ou vite, seul ou attelé, chargé ou k vide ; cela constitue une
science
populaire et domestique. « Le dépisteur est un
ertions font foi devant les tribunaux inférieurs. La conscience de la
science
qu'il possède lui donne une certaine dignité plei
perie ? C’est ce qu’il est difficile ou plutôt impossible de dire. La
science
constituée nie tout sans examen avec la haine d’u
ter aujourd’hui seulement comment s’en tira un savant, un savantde la
science
constituée, un membre de l’Académie de médecine,
ses plus difficiles à croire que le magnétisme. — Vous autres de la
science
constituée, lui disais-je, au ToilE XII. — N° 1
D’abord nous constaterons un premier fait, c’est celui du néant de la
science
moderne en présence des nouveaux phénomènes. Frap
tisme, nos augures excitent le rire et la pitié. La voyez-vous, cette
science
orgueilleuse qui nous accablait de ses dédains, l
s avec labeur et persévérance forment une bibliothèque nouvelle où la
science
qui s’élève trouvera toujours à puiser. Notre t
philosophique, par M. le Dr Edouard Auber, 320. Progrès (du) de la
science
nouvelle. Réflexions et vues diverses : — par M
uler, 136; — par M. Jules Logerotte : 1° sur la vulgarisation de la
science
au moyen de livres élémentaires, 73; — 2° sur l
nquisition, contre l'usage du magnétisme clans certains cas, 353.
Science
nouvelle (de la). V. Progrès. Somnambulisme (du
a libre pratique du ma- gnétisme à tout médecin offrant garantie de
science
et de moralité, 117. — Suspension d'un jeune prêt
errestre, 525; — par Alph. Karr, sur l'incrédulité systématique de la
science
constituée à l'égard du magnétisme, 605. Récits
vés. Analyse, citations et critique par M. Morin, 585. Traité de la
science
médicale, par le Dr Edouard Auber. Extrait fort r
POUR PRÉPARER LE LECTEUR AUX RÉVÉLATIONS LES PLUS MYSTÉRIEUSES DE LA
SCIENCE
NOUVELLE. Lorsque, par un effort de son génie,
blir c’est tout! En effet, Messieurs, si nous ouvrons les annales des
sciences
, si nous suivons à travers les âges le progrès hu
que dans les temns d’iirnoranr.ft ? Par M. le baron DU POTET. La
science
fait du stras, La nature du diamant. PREMIÈRE P
t par beaucoup de travail. Vous voulez qu’ils ouvrent le temple de la
science
et qu’ils accueillent ce qui va diminuer leur pui
Je vais faire luire à vos yeux une vérité nouvelle contestée par la
science
, que vous-mêmes, peut-être, ne saisirez pas tout
i toutes les propriétés? N’y a-t-il plus rien à découvrir en nous? La
science
a déjà répondu; les instruments qui font mouvoir
reste plus à dévoiler. Et le philosophe a jugé sur les données de la
science
, il a pensé comme elle, et il a accepté son jugem
tortures et le bûcher. Oui ! heureux ce temps, disons-nous, car la
science
nouvelle qui se produit en dehors de la science,
, disons-nous, car la science nouvelle qui se produit en dehors de la
science
, de la science des écoles, a besoin d’un appui qu
car la science nouvelle qui se produit en dehors de la science, de la
science
des écoles, a besoin d’un appui qu’elle n’a jamai
st ainsi que les fails nouveaux entrent dans le monde en dehors de la
science
, ou plutôt malgré elle, toute étourdie doit-elle
somnambulisme, extase sont trois faits nouveaux dans notre monde. Les
sciences
se croyaient en repos, elles doivent changer de p
ou cette espècede ravissement d’esprit dans lequel l’âme, niée par la
science
, apparaît avec toute sa majesté, va détruire la p
re l’agent magnétique dont nous voulons vous mettre en possession. La
science
refuse l’examen des faits, ou plutôt elle n’admet
’est changé pour elle, tandis que la vérité circule partout ! Cruelle
science
, espères-tu par ton silence calculé faire reculer
é lorsqu’elle régnera sur les masses ; mais il ne sera plus temps, la
science
sera alors dans le cœur de tous, mais non encore
sme s’est développé, son influence ne s’est pas seulement limitée aux
sciences
morales et physiques, mais le domaine littéraire
e prouverai que des médiums, qui n’ont jamais lu un livre traitant de
science
, qui n’en comprennent môme pas le langage et en i
ure, reçoivent, au moyen des coups, des communications où brillent la
science
la plus profonde, les recherches les plus curieus
professent une foi bornée au magnétisme. J’entends d’abord que cette
science
doive se voir circonscrite; trop de charlatans l’
aussitôt que l’action des piles n’a plus lieu. Cette découverte de la
science
physique coïncide parfaitement avec celle de la s
ouverte de la science physique coïncide parfaitement avec celle de la
science
psychique, que nous sommes sur de communiquer les
ptible elle-même. Qui peut le plus peut le moins. Vous voyez que la
science
matérielle n’est plus très-éloi-gnée de la scienc
Vous voyez que la science matérielle n’est plus très-éloi-gnée de la
science
spirituelle, leur point de contact est trouvé. '
nseignés par les plus consciencieux et les plus savants maîtres de la
science
merveilleuse de l’influence de l'homme sur l’homm
qui, dans sa rigide austérité, se hâte de lancer l’anathème sur cette
science
sans la connaître. « Nous nous proposons de fai
lte. Elle a la réputation de guérir les maladies contre lesquelles la
science
des médecins ne sait qu’écliouer ; aussi l’afflue
r des matériaux dont votre sagacité saura tirer parti au profit de la
science
. Agréez, monsieur le baron, l’assurance de ma p
otre su- jet, cette loi préside aussi bien aux développements d'une
science
et à ces évolutions, qu’au développement d’un êtr
t toujours à l’abri de la lumière. De même, l’état rudimentaire de la
science
ne peut guère faire présumer à l’ignorant ce qu’e
et toujours elle revêt des formes mystérieuses. Elle est à l’état de
science
occulte. Elle affiche des allures mystiques ; ell
vie, elle l’emprunte à des éléments tout formés, à la tradition, aux
sciences
déjà existantes. Ce sont les cotylédons, la subst
es degrés de l’échelle inférieurs à celui qu’il doit atteindre. — Les
sciences
, à leur origine, empruntent les formes et l’organ
sciences, à leur origine, empruntent les formes et l’organisation des
sciences
qui les ont précédées. Elles sont confuses et se
éfinissent mal. Astronomie, chimie, physique, etc., il n’est pas de
science
dont l’origine ne se perde dans la nuit des mystè
ites — sont favorables à l’éclosion, ¡l’être brise ses enveloppes, la
science
se révèle à la lumière (1). (1) Les mathématiqu
basons. Il n’en est rien. Comme nous le disons un peu plug loin, les
sciences
sont graduées comme les êtres, et la grande loi d
ématiques pures que l'humanité étudié, mais qu'elle n'invente pas; la
science
des sciences sur laqueUc toutes »lais à sa nais
res que l'humanité étudié, mais qu'elle n'invente pas; la science des
sciences
sur laqueUc toutes »lais à sa naissance, l'étre
t latent. Ce candire d'individualisme n'est pas moins tranché dans la
science
naissante. Elle s'est tout entière incarnée dans
t que l'on comprenne bien ce que veut dire la vie d’une idée ou d’une
science
, et en quoi, malgré l'analogie, elle diffère de l
L'étre ne vit réellement que par ses manifestations. — Ainsi de la
science
. Sa vie intérieure, pour ainsi dire, consiste dan
it que ses organes sont plus développés et mieux équilibrés ; pour la
science
, les organes ont les différentes branches ou sect
le sera représentée par' les liens qui uniront les groupes divers. La
science
sera d’autant plus parfaite que les buts spéciaux
s êtres plus ou moins élevés dans la série; et que, s’il s’agit d’une
science
digne de ce nom, c’est chez les êtres de haut tit
e rapport. Réciproquement, les rapports analogiques établis entre une
science
et les êtres de degré supérieur devront faire pré
enfance exige le plus de soins extérieurs, et se prolonge le plus. La
science
la plus positive, la plus parfaite, sans contredi
l’état embryonnaire, et qui, après qu’elle avait déjà pris rang comme
science
positive, a gardé le plus tard les allures mystiq
resté à l’état latent, caché sous les mystères de l’initiation et des
sciences
occul- (I) Nous exceptons toujours les mathémat
x, a magnifiquement accompli sa phase embryonnaire. Le magnétisme, la
science
propre de la vie, c’est-à-dire des relations de l
Aussi les parrainages illustres ne firent point défaut à la nouvelle
science
. On pouvait croire que son éducation se ferait ra
dans de nuageux souvenirs. Puis, se prenant pour un simple reflet des
sciences
ses sœurs, parce qu’elle sent le besoin de s’appu
sur les procédés à employer pour faire progresser le magnétisme comme
science
, c’est-à-dire les voies et moyens pour suivre l’i
oint un simple amusement de curiosité vaine : ses lois contiennent la
science
des destinées universelles. réunions. Mais je v
der quelques instants. Les tortures de l'esprit, je dirais môme de la
science
, viennent de l’ignorance douteuse et incertaine d
availlent aujourd’hui. Le tort enfin est tout entier (Luis l'homme de
science
! Il se tue lui-même 1... Il étouffe, dans une cri
reils, quand en toutes choses ils paraissent semblables? Béponds ! La
science
et l’esprit se sont réunis ce soir pour causer en
unis ce soir pour causer ensemble de leurs croyances respectives : la
science
est-elle prête ? — Oui, si c’est moi qui représ
: la science est-elle prête ? — Oui, si c’est moi qui représente la
science
. — Réponds alors à ma première question. (1)
d’abord à une première réponse. L’homme ne doit pas parler, c’est la
science
seule ; si elle n’est point prête, l’esprit se ra
ose doit paraître aimable. L’esprit attendra le jour et l’heure de la
science
! Maintenant, cher maître, tendez-moi de nouveau l
lômés et patentés, tout en suivant de point en point les règles de la
science
officielle et en ne puisant que dans le codex can
ourra, sous peine de sacrilège, y ajouter un seul mot : le char de la
science
doit s’arrêter, les oracles vont désormais être m
évolution actuelle. Il s’agissait surtout des phases mystiques de la
science
, et nous avons procédé par cette analogie, grande
nomènes, il n’est pas permis de se refuser à F examen. L’Académie des
sciences
, à tort ou à raison , répond aux faits des tables
raux du spiritualisme croient avoir meilleur accueil à l’Académie des
sciences
morales et politiques, ils se trompent. On les re
nouvelles lunes, dont le rédacteur avait aussi la manie de parler de
sciences
sans y rien connaître au fond ; mais il en savait
ations positives et négatives, qui s’applique à tous les cas dans les
sciences
naturelles, est incontestable, et cependant nous
quelques développements de ce point si délicat de la méthode dans les
sciences
d’observation, et si nous l’avons fait à propos d
si le phénomène des coups (1) De tous ceux qui se sont occupés des
sciences
d'observation, l’esprit qui s'est montré le plus
œuvre qui sont, en même tomps que des monuments impérissables pour la
science
, le meilleur enseignement de l’esprit philosophiq
t nous osons ajouter le plus parfait) de la méthode positive dans les
sciences
d’observation. (Arago, 1.1«, des Notices scientif
des êtres, nous pourrons la vérifier, car elle serait la clef de la
science
mesmérique. Toutes les communications niaises,
forts de M. du Potet pour suivre l’impulsion qu’il veut imprimer à la
science
. A. PETIT D’ORMOY. VARIÉTÉS. DÉFI AUX MAGNÉ
D’ORMOY. VARIÉTÉS. DÉFI AUX MAGNÉTISEURS. Le journal X Ami des
sciences
a publié, dans ses numéros des 24 février, 2 et 9
t des grandes villes, se livrent journellement à la propagation de la
science
de Mesmer, et donnent fréquemment des séances pub
ra fort mauvaise grâce de se prévaloir de son ignorance en sommant la
science
de comparaître devant lui pour justifier de ses t
ien venu à mander les physiciens pour qu’ils aient à prouver que leur
science
a fait des progrès ? On se contenterait de la r
répandu , et qu’il n’est pas permis d’ignorer quand on s’occupe de la
science
de l’homme. Les conclusions (citées dans la lettr
i-même. On fera donc pour le magnétime ce qu’on fera pour toute autre
science
qui repose sur des faits. Mais ce que nous combat
personnes de se faire en quelque sorte les procureurs généraux de la
science
, de traiter le magnétisme en accusé, et de lui di
sans relever un incident rapporté dans le dernier numéro de l'Ami des
Sciences
. Voici comment M. Mabru termine son prétendu résu
isère humaine. C’est donc avec regret qu’au double point de vue de la
science
et de l’humanité, nous constatons aujourd'hui la
e là : une discussion s’y est engagée à propos des défis de Y Ami des
Sciences
, on y a rappelé les expériences faites devant M.
it toujours ajouter M. du Potet, est-ce bien le mauvais vouloir de la
science
officielle qu’il faut seul en accuser? Si nous
es fondations du monument que la génération nouvelle doit élever à la
science
inaugurée par Mesmer. Après avoir déposé ce ger
s, n’a point qualité pour prendre une décision scientifique. Dans les
sciences
, la vérité se démontre et n’est pas affaire de vo
ite juge dans son for intérieur. Est-il à désirer d’ailleurs que la
science
officielle reconnaisse le magnétisme ? La questio
pas encore publié beaucoup de livres ; il n’avait pas de journaux. La
science
officielle, en l’acceptant, n’avait pas le droit
les lois avons-nous formulées ? Solliciter maintenant l’appui de la
science
odiciélle serait faire aveu d’impuissance. Et soy
cela n’est possible qu’en restreignant les principes, en faussant la
science
, en la hongrant pour la rendre inféconde. Nous ne
conquête des savants ; mais tenons-nous à distance respectueuse de la
science
officielle. Ennemie peu redoutable de la vérité q
ose. Ils ne veulent pas qu’on mette en doute leur bonne foi. Dans les
sciences
, on ne doit croire qu’à ce qui est prouvé. C’est
e recueillement, toutes les questions solubles en l’état actuel de la
science
, se présente devant une commission libre, composé
une commission libre, composée d’hommes intelligents, pris hors de la
science
officielle, parmi les capacités de tous les ordre
d’expériences bien faites, et l’on n’aura à craindre de la part de la
science
officielle ni tentative de confiscation, ni traca
eur seraient recommandées. Et quelle riche mine à exploiter pour la
science
que cet élan que les sociétés magnétiques ont imp
ponse du professeur Piorry, un des plus illustres représentants de la
science
officielle : « Une fois que l'attaque d’hystérie
l a rappelé les grandes choses accomplies par les sectateurs de cette
science
sublime et a exposé ce qui leur restait à faire;
cette vérité physique si peu ré pandue parmi les représentants de la
science
. ’ P ve~ Et ce rayonnement lumineux, configuran
, comme 011 a vilipendé le magnétisme. Assurémenl, elle n'est pas une
science
faile (quelle science entière possédons-nous?); m
é le magnétisme. Assurémenl, elle n'est pas une science faile (quelle
science
entière possédons-nous?); mais elle témoigne déjà
mme si les éclairs sublimes qui leur traversent l'âme y déposaient la
science
universelle et la perfection absolue. Dans les in
ourrait dater l’alliance définitive du spiritualisme moderne et de la
science
. Le livre de M. Hare est intitulé : Le Spiritua
res plus élevées. Leur mission est de nous communiquer les trésors de
science
et d’expérience qu’ils ont acquis, trésors que no
onstituerait vos inférieurs. Au contraire, nous allons progressant en
science
et en sagesse, et continuerons à, progresser ains
t nos facultés, forment une part considérable de nos jouissances. Les
sciences
sublimes de l’astronomie , de la chimie , des mat
ecins? N’est-il donc pas important de rechercher ce qui en est, et la
science
n’est-elle pas intéressée à une pareille vérifica
-rnagnétiste, qu’est-ce, aujourd’hui, que le phénomène appelé, par la
science
négative, hallucination ? Est-ce un phénomène h
ais, il en sera autrement, car la foi s’appuiera exclusivement sur la
science
, sa base naturelle; et le sentiment d'adoration n
eux petits oiseaux, en leur infusant, par irradiation volontaire, une
science
si jolie, si sorcière, et nullement magnétopliobe
e-ment l’honorable traducteur d'Hippocrate, débute tout au plus comme
science
abstraite, 011 ne niera pas, toutefois, qu’elle 1
difficile dans les premiers pas de ces tentatives, ('/est pourquoi la
science
antique repoussait l’approche des profanes. C’est
3) Colliers. (4) Ces contrées ont conservé des débris de l'ancienne
science
brahmi-que. On lit dans I'Amsiebdausciie-Courant
t les effets de cette incroyable maladie , qu’il n’appartient qu’à la
science
d’expliquer, et qui attire chaque jour une foule
la médecine n’a pas d’autre but. M. Latour serait-il désabusé île sa
science
au point d’en confesser hautement l’impuissance r
ni à soulager la malade. Celle-ci , ne trouvant pas de salut dans la
science
oliicielle, chercha naturellement d’un autre côté
ce tapage. A propos de la polémique engagée récemment dans Ami des
sciences
, relativement au magnétisme, M. Latour prétend qu
tions faites en faveur du magnétisme par plusieurs des sommités de la
science
médicale? Comment, en présence d’adhésions d’une
fensc du magnétisme, a prouvé que ses résultats étaient acquis à la
science
et à l’humanité, et qu’on ne peut se rendre coupa
et l’on peut dire que son livre présente l'état le ¡»lus avancé de la
science
sur ce sujet. Et pourtant, malgré toutes ses rech
touchons ici aux plus profonds mystères de la nature humaine dont la
science
n’a pu encore sonder les abîmes. M. de Boismont
ui fonctionnent alors ? C’est ce que nous ignorons. Mais, tant que la
science
n’aura pas éclairci ce problème, il y aurait de l
S MAGNÉTIQUES OPÉRÉES A DISTANCE. Les hommes qui exploitent cette
science
en faveur de l’espèce humaine ont été couda nnés
assez l’efficacité de cet agent bienfaisant et l’impuissance de notre
science
médicale, à nous qui improuvons tout ce qui ne so
edouter de la critique humaine, nous déployâmes tout ce que la pauvre
science
médicale avait déposé dans 110s cerveaux en fait
bir le môme sort que sa petite sœur, si je l’avais encore confié à la
science
médicale; mais, cette fois, je m’adressai :ï deux
rable pour le corps médical d’embrasser avec confiance cette nouvelle
science
médicale, dite magnétisme, que de nous porter, lo
ermer dans le cœurdequelques-unsdemesconfrères ledésird’explorercette
science
, afin de pouvoir bien la juger avant de la condam
. Comment! voilà des hommes graves que l’on croyait tout dévoués à la
science
, n’ayant d’autre passion que de soulager les mau
prendre le bonnet de docteur. Mais, au train dont vont les choses, la
science
et l’industrie se liguant pour prévenir le mal pa
’ils n’existaient pas et ne pouvaient pas exister, que leur prétendue
science
, leur prétendue lucidité étaient contraires à tou
à son étude leurs connaissances acquises, ils enrichiront ainsi leur
science
de précieuses ressources et grandiront en influen
. La constance ne saurait-elle donc exister que là où est la foi ? La
science
récuse la foi, — elle a raison. La foi récuse la
la foi ? La science récuse la foi, — elle a raison. La foi récuse la
science
, elle a doublement raison, car ce qu’elle produit
, quoique ne pouvant s'expliquer, est bien supérieur aux œuvres de la
science
. Rien ne nous étonne donc aujourd’hui, tout sem
eux, la force miraculeuse est aux mains des hommes, c’est plus que la
science
vulgaire qu'il faut posséder pour la manier, — c’
re qu'il faut posséder pour la manier, — c’est de la sagesse; mais la
science
parfois conduit à la sagesse, et qui dit sage dit
e nous les aimons; voilà de la propagande bien comprise ; voilà de la
science
sérieuse et ue la discussion honnête. Le ton calm
etc. Cette publication, essentiellement utile au point de vue de la
science
, a également le grand avantage de mettre en commu
ropre à se devaucer que dans leur ardeur répandre les bienfaits de la
science
dont elles se sont donné pour mission de semer le
elle, qui réunit dans de fraternels banquets tous les disciples de la
science
dont ce rare génie fut l'apôtre persécuté, a été
airement inclinés sous le même niveau de cette franc-maçonnerie de la
science
et de la charité universelle, ne portaient plus q
grands et les premiers parmi eux que ceux qui apportaient le plus de
science
acquise, le plus d’expérience utilisée, le plus d
connaissance des moyens propres à réparer les erreurs de cette fausse
science
et à faire connaître à tous les hommes une des lo
it les modifications que le temps doit, à coup sûr, produire dans nos
sciences
, dans nos mœurs et n os institutions. Si nous n
ons. Si nous ne nous trompons point, Messieurs, tous les systèmes des
sciences
vont crouler; la médecine, la physiologie, la fau
enés là seulement aussi où est la source du beau, du vrai et de toute
science
morale. « Car, sachez-le, Messieurs, le progrès
strie, des édifices que nous savons construire, de nos arts et de nos
sciences
d’école : les animaux savent mieux construire que
éploient autant d’activité que d’énergie. Toulouse, antique foyer des
sciences
et des arts dans le midi, soutient dignement sa r
s de magnétisme ; de nombreux journaux sont consacrés à l’étude de la
science
nouvelle, des asiles sont ouverts pour recevoir l
privilège officiel de l'orthodoxie médicale, ayant le monopole de la
science
et le droit de réglementer uniformément les procé
elques paroles touchantes, et profondément senties en faveur de cette
science
à laquelle elle a dû sa guérison ; « Messieurs
ns ses habitudes, charmé et consolé dans ses espérances, car c’est la
science
, enseignée par Mesmer, qui a soulevé un coin du v
le pendant quatre années, le plus bel éloge que je puisse faire de sa
science
, Messieurs, n’est-ce pas en vous lisant moi-même
res qui sont en moi les innombrables phénomènes de cette merveilleuse
science
. Me trouvant ces jours derniers en relation d'a
ur doit en revenir. J’espère avoir, pour ma part, bien mérité de la
science
en lui faisant faire ce pas en avant, et j’appell
econnaît qu’il ne pouvait y avoir aucune supercherie ; il laisse à la
science
à expliquer tout cela. Je suis également convai
éances de somnambulisme, et ont ainsi contribué à faire connaître une
science
dont le nom même était naguère ignoré dans ce pay
tranger aux faits et gestes de l’école, ignorant les péripéties de la
science
; en plein désert enfin ; privé de la manne céles
traction de l’adresse , etc. « Quant à moi, je suis faible en cette
science
et je vais de plus en plus étudier, afin de pouvo
Psyciiolo- GISTE : Qü’EST-CE QUE LE MAGNÉTISME? « Demandez à la
science
des académies quel est le prin -cipe qui produit
quelles, vous pouvez en être certains, elle ne répondra pas. Or, la
science
magnétique peut, dans certaines conditions, produ
par défaut, suivant les circonstances; principe unique, puisque cette
science
ne met en mouvement qu’un seul et unique fluide a
ncore il improvise des médecins ; c’est une médecine tout entière, la
science
de la médecine naturelle qui doit fort donner à p
ricelli, les Voila, les Galvani, et tous ces grands découvreurs de la
science
dont le nom, de même qilfe celui de Mesmer, est l
s par des personnes comme celles dont je parle. Ce sont des hommes de
science
et de froide raison, qui, pour tout au monde, ne
purs - je dé- gne pai le mot purs, ceux qui ne s’occupent de cette
science
TJT™ ra0yeT Î gUérir’ - assez généralement, n o
hir par les esprits. Et ne craignez-vous pas, vous, Nestor de notre
science
, une voix formidable, celle de tous les magnéti
cette intervention sera, non seulement inutile, mais nuisible à notre
science
.... Raisonnons: Il y a un instant, les magnétis
faisaient craindre ce reproche dans l’avenir : Qu’as-tu fait de notre
science
?... Maintenant, permettez-moi de vous demander e
cre de la vérité du magnétisme pur et de ses effets les savants de la
science
officielle ; le Propagateur du Magnétisme animal
c., etc. 11 est donc évident que chercher à remettre l’emploi de la
science
magnétique aux mains des médecins, c’est vouloir
les hommes pour qu’elle devienne le monopole de quelques-uns. Cette
science
qui, quoi qu’on en dise, n’est ni si difficile ni
s’est basée sur ce motif. Il en résultera que les bienfaits de cette
science
des sciences dont les anciens se sont servis avec
sur ce motif. Il en résultera que les bienfaits de cette science des
sciences
dont les anciens se sont servis avec tant de succ
forgue et autres, il en résultera, dis-je, que les bienfaits de cette
science
de Dieu seront perdus pour les peuples, pour les
jourd’hui, on ne rompt que des plumes — mais au grand détriment de la
science
magnétique, et ii la plus grande jubilation de se
urels : les médecins. Puis, dites-moi, d’où vous viennent, en notre
science
, ce3 hautes connaissances que vous professez avec
ettent au jour, et que nous ne pourrons avoir un système vrai pour la
science
magnétique que lorsque nous aurons assez de faits
re. En effet, pour établir, comme le dit Tardy de Montravel, que la
science
du magnétisme n’est point vaine, elle doit être p
it, dans ce cas et à bon droit, avoir pour titre : Encyclopédie de la
science
magnétique, etc. — Les esprits y auraient leur pa
mme on désigne celui des esprits. Convaincu comme je le suis que la
science
magnétique ne s'établira solidement que sur des f
mme on désigne celui des esprits. Convaincu comme je le suis que la
science
magnétique ne s'établira solidement que sur des f
s l’intention de négliger un seul instant, au profit de quelque autre
science
que ce soit, celle à la défense, à la propagation
de ou la pratique d’une quelconque des innombrables branches de cette
science
, universelle comme la nature dont elle est une de
bles par les arguments de la raison humaine, comme par les lois de la
science
vul- gaire, qui se manifestent aux yeux de tout
s, quelle lumière n’en éclatera pas tout à coup, pour illuminer cette
science
où les plus habiles marchent encore à tâtons, où,
fiques encore obscurs, et le bien que je fais, je l’attribue non à ma
science
, mais à ma foi, à mon zèle et à mon dévouement. S
dans une voie de progrès qui fait bien augurer pour l’avenir de cette
science
dans ces parties de l’Italie. 11 y a quelques moi
disons-le) qui s’obstinent it vouloir traiter, bon gré mal gré, cette
science
de chimère ou de charlatanisme. Aujourd’hui, ce
comprendre à tout honnête homme combien il est déplorable de voir la
science
de Mesmer et de Puységur exploitée aussi effronté
reindre à des mams probes et consciencieuses l’usage sérieux de cette
science
, dont tous les exploiteurs éhontés ne tendent qu’
raient leur montrer. Le magnétisme, cette première phase de la grande
science
, s’est bien fait accepter; il en sera de même de
été ainsi composée, de l’impulsion énergique qu’elle peut donner à la
science
, ainsi que de la marche éclairée dans laquelle el
as croire au magnétisme. Eh ! que nous importe votre incroyance? — La
science
et la vérité font leur chemin sans se préoccuper
e peut retirer aucun fruit des meilleures étu-« des, ne peut avoir ni
science
, ni esprit, ni jugement, ni « sens commun. » Av
he les hommes éminents qui peuvent lui donner le dernier mot de cette
science
. Il n’est pas jusqu’au Brésil, où on ne magnéti
e temps, c en était fait du mesmérisme, ou du magnétisme, en tant que
science
: du magnétisme, je me trompe, car, après tout, l
s tout, le J our nul du Magnétisme n’est plus le seul organe de cette
science
, et Y Union magnétique, par sa direction plus sér
s, au mépris des notions les plus saines et les plus certaines que la
science
encore si incomplète du magnétisme possède. Doit-
e créer deux camps, eussent satisfait en même temps aux besoins de la
science
, de l’époque et des désirs particuliers ? J’écrir
aux guérissent sûrement et vite. Arrière ces inutiles prétentions! La
science
qui étudie l’homme est complexe et la médecine es
étudie l’homme est complexe et la médecine est loin d’être nulle. La
science
officielle est injuste à son tour envers le mag
lus de vingt années que je cherche , que j’étudie, que je pratique la
science
et l’art de guérir; j’ai travaillé dans le calme
et nos aptitudes , je dirai : La médecine sera toujours un art et une
science
, et il y aura toujours des artistes de valeur dif
vancé la civilisation européenne dans presque toutes les branches des
sciences
, ont pratiqué le magnétisme thérapeutique dès l’a
guistes. Il se trouve en France beaucoup de savants qui ont creusé la
science
tout aussi profondément au moins que s’ils eussen
se seraient-elles modifiées. (1) C’est par cet usage usité dans les
sciences
naturelles que M. Philips justifle son électricit
que nous examinons rend dans tous les cas un très-grand service à la
science
en la dirigeant dans cette voie. Nous avons depui
ons deviendront inutiles le jour où, parmi les gens qui s’occupent de
sciences
(nous ne disons pas parmi les savants), il n’y au
, — quand même ce principe théorique serait, dans l’état actuel de la
science
, sans aucune application, l’auteur n’en aurait pa
avait son plan et son but spécial, il a suivi sa voie. Le champ de la
science
n’a point de haies ni de clôtures, tous ont le dr
e pour la dangereuse indiscrétion des esprits trop pea soucieux de la
science
pour se donner la peine d’en faire une étude séri
chacun a le droit de parler ou de se taire; mais transporter dans la
science
l’aphorisme de Talleyrand : « La parole a été don
d’une prétendue orthodoxie; il aura pour juges tous les amis de la
science
, il nous fera connaître le résultat de ses études
ène rentrant dans la classe de ceux qu’on appelle merveilleux, que la
science
officielle s’obstine à repousser, et qu’elle sera
ir, sans qu’ils sachent ce qu’il sera. Il eu eSt peu chez lesquels la
science
cultivée sur la terre inspire e bonheur et l’es
magnétisme ; mais je ne « suis pas assez au courant des données de la
science
pour « m’expliquer ce qui vient de m’arriver. Je
nnati, cet immense problème serait résolu, la psychométrie serait une
science
constituée : voici la cotation qu’il nous^ donne
partager son enthousiasme, ni d’admettre avec lui qu’il y ait là une
science
. Comme moyen de connaître et de mesurer les quali
ent de la confusion dans les discussions et nuisent aux progrès de la
science
. Nous avons eu à subir le débordement de la menta
e. Malgré ma cécité, je suis obligé aujourd’hui, dans l’intérêt de la
science
, de porter à votre connaissance une découverte qu
ù je me trouve un grain de sable à la construction de l’édifice de la
science
magnétique. « Agréez, Monsieur, mes sentiments
les nombreux ouvrages qui traitent du magnétisme, être versé dans les
sciences
qui s’y attachent, et pouvoir apprécier les trava
s la crainte de trop étendre la puissance humaine ; doit-il mettre la
science
sur le lit de Procuste ? A partir de' quelle limi
e ce nom et par toutes les publications sérieuses qui s’occupent delà
science
nouvelle , le charlatanisme ne se décourage pas e
sion composée de quatre médecins et de cinq membres de l’Académie des
sciences
. Parmi les premiers, on remarque un médecin estim
et désigné uniquement par des hommes préoccupés de l'avancement do la
science
et de l'amour de la vérité, ces expériences peuve
desquelles il a été refusé par les éditeurs de la Revue mensuelle des
sciences
d’Édimbourg sont si étranges et touchent en même
r Simpson, qui est, à ce qu’il paraît, un des éditeurs du journal des
Sciences
d’Édimbourg, 11e fit point imprimer l’article qu’
y a de plus pratique, et se rapportant aux cas les plus divers de la
science
, parmi lesquels nous remarquons : Tumeurs du sc
t le libretto italien est la traduction. « Le docteur a fait, de la
science
du magnétisme et de « ses influences sur les affe
que ses « poudres sont fabriquées d’après tous les principes de la n
science
, et peuvent être facilement employées par toute «
qui en ignorent encore toute la portée sérieuse et bienfaisante, une
science
qu’on ne leur présente qu’en en faisant un abus a
ra une nouvelle dette de reconnaissance que contractera envers lui la
science
qu’il enrichit chaque jour et à laquelle il s’est
cles plus élevés. Leur mission est de nous communiquer les trésors de
science
et d’expérience qu’ils ont acquis, trésors que no
onstituerait vos inférieurs. Au contraire, nous allons progressant en
science
et en sagesse-, et continuerons à progresser ains
u’il est donné à l’esprit de l’homme de concevoir et d’embrasser. Les
sciences
sublimes de l’astronomie, de la chimie, des mathé
cueillerez très-volontiers pour votre journal les faits relatifs à la
science
magnétique que j’ai été à même de recueillir dans
ient qualifié , d’après les livres saints, cette terrible maladie. La
science
magnétique, comme vous le savez , monsieur le bar
ut à coup cet état prodigieux de sommeil magnétique, d’extase, que la
science
et de nombreuses observations ont expliqué de nos
nce, et d’un systématique scepticisme , qui, confiants dans le peu de
science
qu'il nous est permis d’acquérir ici-bas , nient
nt-elles pas ôté ainsi accueillies à leur aurore , combien de fois la
science
humaine ne s’est-elle pas trompée à leur égard, e
s infestent le champ de la politique. Tâchons au moins d’en purger la
science
et la morale. Si nous avons pris un nom propre po
développé logiquement, qu'il est conforme aux données positives de la
science
et capable de satisfaire les aspirations les plus
cours dans le monde jusqu’à présent. 11 les rejette tous au nom de la
science
et de la raison. 11 sacrifie sans scrupule le dog
e ses os, de ses nerfs, et l’analyser : armés des moyens connus de la
science
, nous descendrions jusqu’aux éléments de son être
tuait l’homme réel : on constate seulement qu’il n’est plus là. Les
sciences
populaires, qui ne reposent que sur des expérienc
ns l’atmosphère. Et voilà quelle serait la fin de l’homme d’après les
sciences
acceptées ! Et c’est ainsi que nos plus chères af
t pas se peser, ni se dissoudre avec des alcalis ou des acides, et la
science
n’a donc rien connu jusqu’ici de l’esprit ni de l
nu jusqu’ici de l’esprit ni de l'immortalité. Grâce à Dieu, une autre
science
se fait aujourd’hui, et elle ne s’arrête pas à de
ue le corps reste tout entier : du moins, tel que sait l’apprécier la
science
matérialiste ; mais ce corps n’a plus conscience
e nous connaissions. Et puisque tous les éléments appréciables par la
science
dans l’homme vivant se retrouvent dans le corps i
rd, sans doute, en la forme humaine. En vue des faits, et aidés de la
science
, acquise aussi bien que de l’analogie, est-il rai
votre connaissance comme me paraissant se rapprocher du domaine de la
science
qui nous occupe. Peut-être ce fait dont je veux v
elles vous vous livrez tous les jours pour pénétrer les secrets de la
science
magnétique, avez-vous été à même déjà de le const
défense qui lui avait été faite de goûter «lu fruit de l’arbre de la
science
du bien et du mal; ainsi, bien que la désobéissan
mmettre cette faute était une noble ambition, la soif immodérée de la
science
. M. Auguez, au contraire, arrange très-librement
alériafisnlion que ¡'homme fit subir, etc. 11 se joue également de la
science
et de la religion, et il ne se donne pas le moins
ligé de relever. L’auteur, à deux pages de distance, reconnaît que la
science
du magnétisme se perd dans la nuit des temps, qu’
reuve en disant que si les magnétistes pratiquent convenablement leur
science
, ils feront des miracles dont personne ne contest
jà entretenu le public, nous sommes persuadé qu’il pourra enrichir la
science
et la littérature d’ouvrages d’une haute valeur.
lera un peu de tout, et de bien d’autres choses encore, telles que la
science
des ânes et les âneries des savants. Nous souhait
sique et incorporel, a besoin d’être étudié avant d’être admis par la
science
qui ne connaîtra rien du grand phénomène de la vi
çon souvent fausse et ridicule. Il n’y a donc que l’instruction et la
science
qui puissent détruire les superstitions et les no
ché à reproduire un des plus beaux types qu’offrent les annales de la
science
à laquelle nous sommes dévoués. Nous devions donc
ement suivie de bien d’autres du môme genre; l'ignorance et la fausse
science
ont continué leur3 affreuses persécutions, et nag
ges du sommeil magnétique? Ou, au contraire, dans l’incertitude de la
science
sur la nature et la portée des facultés développé
ger la vérité, fait des cours de magnétisme, et il a publié sur cette
science
deux excellents ouvrages qui ont le plus grand su
aujourd’hui bien des personnes, non point dans le but d’éclairer les
sciences
physiques, comme cela devrait se faire, mais pour
maine a été portée à ce point, qu'abandonnant l’étude régulière de la
science
, les hommes voués à la recherche de ce qui peut
eine à poindre ; déjà des apôtres fervents répandent en Californie la
science
de Mesmer, et les journaux de cette contrée publi
s, ordurières? » Je répondrai : « Si vous aviez plus d’ardeur pour la
science
, plus de zèle pour la vérité , vous ne parleriez
la plus impie, ont lutté par la terreur contre le développement de la
science
et. de la civilisation, ont abusé indignement du
ateurs, et qui ne respectera pas davantage les arrêts contraires à la
science
. Dans l’acte que nous examinons , on rappelle u
re de voir. Le magnétisme n’en continuera pas moins sa marche , et la
science
ne laissera perdre aucune des vérités acquises, s
tard de céder devant les progrès des lumières, subit les arrêts de la
science
et eut le dépit de voir tourner en dérision sa se
allocution du président pour exposer quelques-uns des éléments de la
science
, on offre des cartes aux personnes de l’assemblée
e ainsi palpable la puissance du magnétisme ; on répand le goût de la
science
, et l’on initie de nouveaux disciples qui sero
u’il soit tenu note exacte des résultats obtenus , afin d’enrichir la
science
de nouveaux matériaux, et de faire connaître les
hénomènes incompréhensibles, qui sont peut-être les précurseurs d'une
science
encore inconnue, ne laissent pas de préoccuper le
ulement de trouver des hommes experts dans cette nouvelle branche des
sciences
modernes. M. Siemelink, magnétiseur à Amsterdam
orce extraordinaire qu’il met en jeu, mais il use de cette force avec
science
et parfaite connaissance de cause. Différents rap
dans des cas bien rares, et M. Allix est trop versé dans l’étude des
sciences
occultes pour ne pas connaître les faits merveill
ation actuelle du magnétisme, et sur le progrès humanitaire que cette
science
est appelée à produire, 253. Psychométrie, ou a
naturel. Théorie et faits à l'appui, par M. lle docteur Judée, 13.
Science
(la) nouvelle. Les phénomènes du magnétisme, du s
’extase , et les conséquences qui en découlent, changent le pivot des
sciences
. Vues philosophiques, par M. du Potct, 3. Spiri
le docteur Char-pignon, 393. Transitions, ou phases mystiques de la
science
en général et du mesmérisme on particulier. Prépa
Potet. 613. — Critique de cette lettre, au double point de vue de la
science
et de la logique par M. A. S. Morin, 633. Loust
iseurs pour les inviter à l'étude des faits les plus mystérieux de la
science
nouvelle, 3, 57, 65, 113. — Questions soulevées à
attribués aux esprits, 26. Déni de justice. La Revue mensuelle des
sciences
d'Edimbourg refuse d’insérer , comme n’étant pas
rne les faits et nouvelles magnétiques, 28, 45, 50, 165 , 426, 577.
Science
(la) officielle et le magné- tisme. Délis, pasq
onc pour vous tous, magnétiseurs, le moment de payer votre dette à la
science
en inscrivant vos noms sur la liste de ceux qui n
e vous devez au monde et à vous mêmes, c’est de montrer qu’une grande
science
, que de grands mystères sont voilés sous ces iniq
érêt des peuples, que ce journal, organe des idées nouvelles sur la •
science
magnétique, acquière au plub tôt, dans le monde,
ation, mais bien pour arriver plus promptement à la propagation d'une
science
si utile à l'humanité; Eu conséquence, les stat
acrant tout entier au développement continu de l’œuvre commune. Une
science
, une doctrine, une vérité quelconque sans chaire,
écessité, l’urgence detendre l’action de l’organe qui représente la
science
dont ils veulent le progrès. Nous vous en remerci
irent sur les places publiques; puis des hommes forts arrivèrent à la
science
sans initiation. Les réflexions naissent en foule
tion, nos arts doivent-ils périr ainsi que dans d’autres contrées? La
science
après avoir parcouru un vaste cercle s’arrêterait
s de nous, et nous ne savons rien de ses mœurs, de ses usages, de ses
sciences
d’autrefois. L’Inde ancienne également est pour n
gne; mais je vois qu’à toutes les époques transitoires le génie de la
science
égyptienne est apparu. Il a dit aux uns : Votre r
n faire renaître les principes aux lieux où sera porté le berceau des
sciences
et des arts. Quant à moi, comme 1 insecte qui vit
avec une rapidité qui pourrait faire croire à l’entente cordiale des
sciences
pour bannir la douleur de la terre, l’exiler de l
l’homme laisse voir sa faiblesse eu s’ignorant toujours lui-même. La
science
ne lui apprend rien de sa nature et de sa destiné
étisme, auquel rien n’échappe pour l’intérêt et l’accroissement de la
science
mesmérique ; je croirais manquer à mon devoir de
s disent à grande voix : faites-y endormir et nous croirons à votre
science
!.....Insensés qu’ils sont! ils ne s’aperçoivent
e graver et la distribuer parmi nous, à tous'ceux qui cultivent cette
science
, je vous dis que les disciples se reposent sur vo
es influences plus puissantes que la mienne : à celles que donnent la
science
et un mérite auquel nous rendons tous hommage, c’
re revivre les contes du vieux temps; c’est être » bien hardi, car la
science
n’admet rien de miraculeux; >> et, nul ne
e chose est impossible, c’est méconnaître sa nature, c’est rejeter la
science
du passé. Vous voulez raisonner ce qui ne se rais
e sans fond où la raison va se perdre, s’égarer ? Est-ce une nouvelle
science
qui va prendre naissance? Est-ce le bien, est-ce
t des troisièmes rôles dans les épreuves et dans les cérémonies de la
science
. Avant qu’on l’eût annoncé, il avait fait trois
sera croisée dans mon esprit avec l’émotion que je lui envoyais. La
science
explique tout. — Restez là, continua-t-il en s’
’hui que le magnétisme a suivi la progression naturelle de toutes les
sciences
, les opérations sont fort simplifiées. Il n’y a p
r l’événement. Enfin, sa réputation grandissant, on a eu recours à sa
science
pour opérer des cures, connaître les voleurs que
ains, ou seulement en le fixant d’une manière particulière. Voilà une
science
bien commode pour la plus belle moitié du genre h
dant, voilà Husson voué à la célébrité, et nous ne doutons pas que sa
science
rétrospective et divinatoire ne soit mise de nouv
utres misères à secourir. » Le magnétisme en Suède. — La marche des
sciences
n’est pas toujours progressive; elle oscille parf
dormeuse. 11 faut donc que ce magnétisme, qui n’existe pas, selon la
science
officielle, soit fort goûté du public puisque par
mmes, le temps n’est plus pour vous. Pourquoi aussi mentiez-vous à la
science
et comment n’avez-vous pas ouvert les yeux plus t
sme, et j’avais lu quelques ouvrages publiés par les adeptes de cette
science
. J’étais fort incrédule; mais depuis que j’ai vu
isté aux soins des médecins. J’ai vainement invoqué les secours de la
science
; je ne pouvais marcher qu avec des béquilles. J’a
on fils, qu'il avait 25 ans, qu’il était atteint d’une maladie que la
science
ne pouvait guérir, que seulement il fallait évite
t-elle ou non lucide ? Oui, disent les croyants, car entre elle et la
science
autorisée il y a l’épaisseur d’un diplôme. — Non,
pourriez davantage, parlant tous les langages, connaissant toutes les
sciences
. Lorsque je me suis permis de contredire quelqu
it modifier profondément tous les systèmes, en déplaçant le pivot des
sciences
. Il doit jeter une lumière nouvelle sur toutes le
orale et intellectuelle de notre jeunesse, autant que l’intérêt de la
science
, je ne dis pas de ceux qui l’enseignent, mais de
rêt de la science, je ne dis pas de ceux qui l’enseignent, mais de la
science
en elle-même, s’y opposent ; et pour qui réfléchi
utrement qu’en faisant remarquer que tout ce qui est du domaine d’une
science
ou d’un art quelconque est en dehors de nous, et
roductif. Il en est de même de l’exercice de la médecine, en tant que
science
, et telle quelle est pratiquée de nos jours, ains
ux qui veulent se charger de l’éducation de leurs semblables dans les
sciences
et les arts, dans la morale et la religion. Mai
nce, n’est rien de tout cela; ce n’est, d’une manière absolue, ni une
science
, ni un art, ni une religion ; c’est une faculté q
gé cette vérité à chercher un asile ailleurs que dans ce temple de la
science
, où elle a été méconnue et méprisée. Elle s’est r
vérité magnifique n’a pu prendre le rang qui lui appartient dans les
sciences
. Des despotes plus entêtés, plus persécuteurs q
e il est venu pour toutes choses. L’Académie de médecine et celle des
sciences
vont rendre leur compte; et ces savants, dont la
générations ce que la liberté ne peut donner seule, ce que la fausse
science
vous eut refusé : les principes de la conservatio
is d’une double servitude. Les anneaux de la chaîne despotique que la
science
n’avait point voulu rompre ont volé en éclats, et
ntes, des appréhensions funestes assiégèrent le cœur des amants de la
science
. L’extrait suivant d’un journal local nous donn
ceux qui dans un examen ont fait preuve de capacité relativement à la
science
qui leur a été enseignée dans quelque Université
ou matérielle attesterait uniquement ma capacité à l’égard de ladite
science
, et nullement par rapport à la médecine quasi-spi
ine ordinaire, on pourrait m’attaquer en justice comme pratiquant une
science
sans un document académique constatant ma capacit
recherches nous ne doutons pas qu on arrive de proche en proche à la
science
secrète qui, déjà au moyen âge, était en dégénére
lchimie, eton réhabilitera ces rêveurs incompris qui poursuivaient la
science
du grand œuvre, œuvre qu’il faut entendre autreme
séances et nous convierons un grand nombre d’hommes à y assister. La
science
a besoin de liberté pour se développer et grandir
roduits, il faudrait le faire connaître, car ce n’est qu’ainsi que la
science
peut marcher. Je n’ai pas besoin de vous dire,
courager, ou à éclairer les magnétistes, ou à faire faire un pas à la
science
, vos lecteurs seraient heureux de les connaître,
us, puisque de la discussion doit jailiir la lumière, et que dans une
science
aussi vaste et aussi inconnue encore qu’est celle
vés ; ce serait je crois le meilleur moyen de faire faire un pas à la
science
. Agréez, cher Monsieur, l’expression de mes sen
ut dévoué, J. Mermoud db Poubz. CONFÉRENCES MAGNÉTIQUES. Magie,
science
malheureuse, tu es condamnée à vaguer sans soutie
autre culture a remplacé ce vaste champ où était répanduecette divine
science
. Le monde est changé; tes temples, tes prophètes,
le de l'intelligence humaine, d’où nous est venu le principe de toute
science
, est le pays le plus curieux à étudier, pour rech
: les Arabes transportèrent alors en Occident, avec la conquête, leur
science
astronomique, philosophique, architecturale, leur
ts d’un art qui, gardé d’abord par les chefs, avait fini, lorsque les
sciences
commencèrent à s’étendre, par tomber entre les ma
r la voie du magnétisme moderne. Alors il entra dans le domaine de la
science
par les efforts des hommes d’observation, tels qu
pratiques mystiques des derwiches, leur réputation de sainteté, leur
science
, le développement intellectuel que produit un mod
après couronner le travail de l’homme. En sera-t-il de même pour les
sciences
? Et lorsque le soleil inondera de. ses rayons la
surprendre par la tempête, et je me suis dit alors : ils n’ont que la
science
vulgaire, car ils sont sans vertu ; favoris du po
! il vous en faut beaucoup aussi; c’est là le but de vos arts, de vos
sciences
; c’est ainsi que vous êtes sans action sur le pe
je plains votre folie; ses instincts généreux valent mieux que votre
science
et son labeur est plus utile à l’humanité que tou
dit : en la repoussant toujours, votre médecine sera mensongère, vos
sciences
n’auront aucun but. Voyez la force qu’aurait un
us le mépris, comme nous en aurions le droit, mais pour lui donner la
science
qui vous manque et les moyens de se conserver, ch
ieu sait pour quelles causes et dans quel but. 11 était connu pour sa
science
et faisait partie de la franc-maçonnerie arabe, a
Kairc. ’ C’est sur la grande place A’El-yéssan qu’ils exercent leur
science
, délivrent des philtres, disent la lionne aventur
communiquer le charme, me crachât dans la bouche, et mon amour de la
science
n’allait, pas jusque-là. » Mais les véritables
de miracles contre Moïse, élevé par eux à la cour du Pharaon, où les
sciences
magiques étaient fort en usage. Les mogrebins ont
une partie de leurs connaissances occultes; ils semblent avoir de ces
sciences
plus qu’une pratique aveugle et superstitieuse
plus la magie blanche des mages, c’«!St-à-dire l’étude raisonnée des
sciences
physiques et des mystères de la nature, mais c’es
euses, et à l’aide de quelques secrets puisés dans les traditions des
sciences
occultes, doivent avoir sur les masses ignorantes
t vrai que ce n’est guère que dans les cas où ils désespèrent de leur
science
, mais c'est déjà beaucoup de la part de ces messi
, en rendant la santé à cette jeune personne, qui doit la vie à votre
science
bénie; car elle avait déclaré que, sans le magnét
vision, plus d’injustice; du soleil pour tous ainsi que du travail.
Science
! noble science, arrive pour guider les phalanges
injustice; du soleil pour tous ainsi que du travail. Science! noble
science
, arrive pour guider les phalanges nouvelles qui m
flambeau.... Ainsi s’écrient les âmes généreuses; mais aucun homme de
science
n’a encore répondu : leur lumière s’est éteinte a
des rois comme celui des prêtres a perdu sa force et son prestige; la
science
elle-même ne peut offrir, dans ses milliers d’org
bouches; c’est de n’avoir point assez de ce métal. Nul ne demande la
science
véritable, nul ne songe à posséder les vrais bien
nces pour n’en former qu’une seule; faites donc que toutes les hautes
sciences
partent également de principes vrais, incontestab
ces facultés de médecine où de faux systèmes tiennent la place de la
science
; n’ont-ils point fait assez de victimes ? N’est-c
sion. — Est-il impossible à l’homme de franchir l’horizon borné de la
science
; et, se dégageant de l’esprit, l'âme peut-elle pl
toutes parts, cependant, mais toujours en dehors du sanctuaire de la
science
, on interroge les êtres dont la sensibilité a per
très-petit nombre d’entre eux chercha à sortir de ce cercle, mais la
science
ne pouvant venir à leur aide, ils s arrêtèrent. E
ssé semblent effacées, il ne reste que quelques traces d’une ancienne
science
, science divine, possédée autrefois par un petit
ent effacées, il ne reste que quelques traces d’une ancienne science,
science
divine, possédée autrefois par un petit nombre d’
s dont ils pourront avoir besoin. — Si la liberté pouvait donner la
science
ce serait bienheureux, car l’ignorance est encore
rmine en disant avec justesse que c’est le progrès le plus avancé, la
science
des sciences, la science de Dieu enfin. — Nos i
ant avec justesse que c’est le progrès le plus avancé, la science des
sciences
, la science de Dieu enfin. — Nos idées lentemen
esse que c’est le progrès le plus avancé, la science des sciences, la
science
de Dieu enfin. — Nos idées lentement introduite
e ne puis résister au besoin de vous parler à cœur ouvert. Il est une
science
, perdue aujourd'hui dans votre Europe, science qu
œur ouvert. Il est une science, perdue aujourd'hui dans votre Europe,
science
qui est née en Orient, qui n'y a jamais péri, qui
s vestiges de l’antique magie, à laquelle M. de Lamartine attribue la
science
de lady Esther. Nulle part ailleurs il ne reparle
augmenter la vitalité et en combattre les maladies. Les faits que la
science
possède sont encore peu nombreux, mais très-préci
née. La première elle aura donné la preuve d’un véritable amour de la
science
, puisque, au lieu de suivre la tradition qui ferm
eur à ses talents spéciaux, ainsi qu’à son zèle pour le progrès de la
science
. L’école se fera un devoir de recommander son rap
de tubes l’un dans l’autre, parce qu’ils cassent presque toujours. La
science
n’a pas encore pu expliquer ce fait; on sait seul
précision ; quant au remède il ne le vit pas. Là s’arrête le degré de
science
et l’intelligence du médecin. Nous les verrons
raient dans l’année, et mille autres folies que l'homme étranger à la
science
accueille souvent comme des vérités. Nous donnons
ses collègues, il brille plus par l’esprit que par la logique, par la
science
des mots que par celle des faits. 11 admet le s
nts et les soins infatigables ont tant contribué à l’avancement de la
science
mesmé-rienne, présidée, dis-je, par le citoyen Du
airer. Quand donc le magnétisme sera-t-il appelé à détruire la fausse
science
des écoles? Nous pousserons désormais nos inves
retient, car on nous ferait un crime d’avoir eu trop de lumière : la
science
n’en veut qu’un rayon ; et 1 ignorance poursuit c
s variétés distinctes qu’il faut caractériser. Toutes les fois qu’une
science
s’étend ses adeptes nouveaux apportent chacun une
ais esprit ne s’exerce pas seulement dans le domaine des lettres. Les
sciences
aussi, partout où elles sont le produit des progr
la composent ; et les titres embrassent presque l’universalité de la
science
, en sorte que le commentaire deviendrait encore p
ortent avant tout sur celui-là seul qui mérita de donner son nom à la
science
. Mesmer, sa doctrine, ses premières expérimentati
ent dans un sujet si difficile, pour séparer le vrai des chimères, la
science
de la superstition, les ténèbres de la lumière. S
es vues justes non moins qu’étendues, il entre dans les arcanes de la
science
, la réduit à ses éléments, la recompose, l’appliq
sporté du monde des folies et des rêves dans celui des réalités où la
science
se manifeste à lui dans la beauté de ses formes,
t de la médecine. Nous nous bornerons donc au conseil. Que l’homme de
science
lise cette œuvre, et il en retirera lumière et in
de connaissance de soi-même manifestée par le somnambule, et la vaste
science
qu’il déploie sur tous les points relatifs à l’ét
sur tous les points relatifs à l’état magnétique; de cette singulière
science
autopsvcbologique on pourrait tirer des instructi
é, les magnétiseurs évitent avec soin tout ce qui pourrait nuire à la
science
dont ils ont à cœur de propager l’étude. Les de
intenant elle enflamme. Philosophe profond, moraliste éprouvé, Ta
science
est à tous; le monde la réclame. Réjouis-toi, M
autres, mais ils tiennent bien plus à ceux qu’ils ont. » A quoi les
sciences
constituées ont-elles dû leur avancement et doive
naturalistes, tous les savants sont journellement aux prises avec la
science
et l’ignorance. Il en est de l’art et de la scien
ux prises avec la science et l’ignorance. Il en est de l’art et de la
science
du magnétisme, ce qu’il en est de l’une quelconqu
l progrès n’est isolé; dès qu’on franchit en un point l’horizon de la
science
de nouvelles conquêtes sont inévitables. Toutes c
éc’est-à-dire en effet naturel ou brut, et en effet artificiel que la
science
pourra produire. « Appliquons ces 2 principes a
ondée dans ces nouveautés où l’intrigue a souvent plus de part que la
science
; mais comme aucune autre secte n’entre en concur
ont les sujets magnétisables ou susceptibles des influences que cette
science
prétend exercer. « Les sujets magnétisables ne
secte en faisant cet aveu; il aurait au contraire donné du poids à la
science
, qui, aujourd’hui, se trouve compromise par sa pr
, et peut se trouver très-inférieur au 8e. « Je n’accuse pas ici la
science
que je ne connais pas, mais seulement l’extension
exagérations et les abus, pouvait bien être le germe d’une véritable
science
, mais un germe noyé dans les charlataneries. Lors
vraient pas recourir à ces accessoires suspects, ne pas faire de leur
science
un marchepied d’intrigue, une menée qui donne lie
rotubérances au front. « D’où viennent ces excès qui déshonorent la
science
et les inventeurs? C’est qu’on est si avide et si
transforment en jonglerie tel sujet qui était peut-être 1111 germe de
science
très-réelle et très-précieuse. 11 est probable qu
ord par suite de cette coopération d’intrigants qui sont le fléau des
sciences
nouvelles. «Si je mourais demain, on verrait un
de. > Ce dénuement du génie civilisé est cause que les germes de
science
ne produisent que de l’ivraie, parce que l’intrig
cet état de léthargie et non de somnambulisme. Enfin, cette nouvelle
science
est rentrée en scène sous des formes plus recev
a aucun parti de cette nouveauté, qui est probablement le germe d’une
science
très-neuve en mécanique arômalei « Précisons et
consacrées par les physiologistes ; et, de sophisme en sophisme, les
sciences
conjecturales ou mi-fixes deviennent aussi trompe
’estime que le magnétisme est un de ces beaux germes, et que la vraie
science
aurait pu en tirer grand parti; mais s’il devient
Généralistes, qui croient tout le monde magnétisable, le germe de la
science
ne deviendra qu’un écueil de plus pour le génie q
uit ni conséquence ni principe; et cette inadvertance des chefs de la
science
est, selon moi, une forte preuve en faveur du mag
étisme. Il serait donc à souhaiter qu’on put dégager cet embryon de
science
des sophismes qui en arrêtent le progrès, entre a
Des cinq passions sensuelles, se trouve dans la Phalange, revue de la
science
sociale, n° d’octobre 1846; Fourier, parlant du t
bien s’arrêter un peu pour les considérer; ne se lient-ils point aux
sciences
, à la philosophie surtout, et ne sont-ils pas fer
r comprendre ce que la Providence nous réserve et pour éviter à notre
science
de périr, comme tout ce qui existe, dans le grand
et ne voient pas plus clair. Les malheureux! ils ont sophistiqué les
sciences
, et cette coupe de délices a partout répandu son
ouissance à nos descendants. Toutefois ces brillantes conquêtes de la
science
moderne n’infirment point le développement de nos
ie animale. Sachant que, depuis longtemps, vous vous occupez de cette
science
, et que vous avez déjà opéré plusieurs cures, je
ns le monde; il est l’acheminement naturel à son introduction dans la
science
. Pauvres magnétiseurs ! vous n’êtes plus des imbé
s sots ou des fanatiques. Votre persévérance a obtenu un regard de la
science
; elle daigne s’occuper de vous ; mais que de che
re la raison : elle est la raison même. Le magnétisme est plus que la
science
; il la domine comme le soleil domine la terre, c
eu lieu. Nous connaissons ces prétendus philosophes, ces amants de la
science
qui voudraient l’immobilité au profit de leur van
simultanément sur plusieurs points, sur les principaux théâtres de la
science
européenne. Qu’est-ce aujourd’hui que le magnét
t les résultats qu’il obtient? Quel intérêt sérieux offre-t-il à la
science
en général, à la psychologie et à la physiologie
réclame la contre-épreuve. C’est son droit, et c’est le devoir de la
science
de revoir les actes du procès. Je ne dirai pas
e de revoir les actes du procès. Je ne dirai pas que le devoir delà
science
va plus loin; que, même au cas où le magnétisme n
er à ce sujet l’opinion publique ou de guider la police de l’Etat. La
science
n’a pas cette mission. Oracle de la vérité, elle
s allures de surveillante pour prévenir des tours de charlatans. La
science
, qui a souvent été proscrite, depuis longtemps es
encline à la tolérance, qu’elle est plus prompte en hospitalité. La
science
a raison. Elle n’est ennemie naturelle ni de l’au
de la polémique, mais je ne dis pas non plus selon les progrès de la
science
. Car à l’heure qu’il est, il n’en est encore rien
ience. Car à l’heure qu’il est, il n’en est encore rien sorti pour la
science
. Il n’y a plus même de théorie du magnétisme; s
e des études, disent-ils; nous n’avons que des vues fragmentaires; la
science
humaine ne connaît pas les forces de la nature qu
des assertions, et insinuent qu’elles ne sont pas plus fondées sur la
science
que sur la bonne foi. Ils ont tort. Le magnétisme
ore pour ses faits acquis dès à présent, voilà son lan- gage. Votre
science
défie nos faits, dit-il, mais nos faits défient v
. Votre science défie nos faits, dit-il, mais nos faits défient votre
science
. Nous avons montré le magnétisme animal dans se
nfiance, et ses conclusions doivent être acceptées comme celles de la
science
elle-même, sur les questions spéciales dont on s’
ous le prouvez tous les jours. Ah! nous vous le disons sans cesse; la
science
est en dehors de vous ; l’art qui guérit, nous le
elle résidence qu’il a fait amende honorable, et étudie maintenant la
science
qu’il a persécutée. Ce fait n’est pas sans précéd
era la question du magnétisme et du somnambulisme au point de vue des
sciences
occultes. PETITE CORRESPONDANCE. Paris. — MM.
ou\. 64- Laissez-vous les prendre : ces larcins - là prcfilent à la
science
. BIBLIOGRAPHIE. Fisclier, der Somnambulismus,
ela seul était décisif. Aussi est-il prouvé désormais à tout homme de
science
, non pas que le magnétisme animal est une illusio
mais le véritable objet de ces réunions, ce n’est pas l’intérêt de la
science
, ce n’est pas le progrès de la psychologie ou de
surveillance du magistrat, comment l’Etat ne s’entend-il pas avec la
science
pour éclairer la population ? Serait-ce donc la s
l pas avec la science pour éclairer la population ? Serait-ce donc la
science
qui ferait défaut au public? Il s’en faut. Mesm
une indignation feinte ou réelle, de l’indifférence de l’Académie des
sciences
à l’égard de sa découverte, de la malveillance de
magistrature partage avec le pays le droit d'apprécier les mœurs : la
science
doit à son tour partager avec le pays le droit
r nous, en fail de magnétisme, il n'y a rien de constaté au nom de la
science
, si ce n’est des penchants de crédulité en face d
, de sa critique et de sa véracité. Mais tout cela ne donne rien à la
science
. L’autorité du témoignage ne vaut que dans les ma
t le public mis en possession des conclusions de ce comité : alors la
science
saura à quoi s’en tenir. Même après cela, on en n
tidigitation de l'intelligence; il y a des comptes à régler avec la
science
et la police, et ses partisans élevés doivent sol
la visionnaire. Maintenant qu’y a-t-il au fond de tout cela pour la
science
? Si les procès-verbaux sont exacts, il y a du cô
e sera pour lui une grande conquête. .Mais à moins (pie des hommes de
science
ne soient rendus témoins des faits qu’il prétend
des faits qu’il prétend offrir en continuant cette nouvelle phase, la
science
n'y gagnera rien. L’auteur de l’un des ouvrages q
peut seul apprécier. Il n’en résulte donc rien encore pour celles des
sciences
qui seraient le plus heureuses et qui sont le plu
vieillerie désormais indigne d’une attention sérieuse, de la petite
science
: ce serait la science de l’âme en peine et en pr
digne d’une attention sérieuse, de la petite science : ce serait la
science
de l’âme en peine et en prison. Cela est si vrai
ésastreux aux opaques entraves de ces organes. La pneumatologie, la
science
des esprits supérieurs à ceux de notre race, mais
la lune, comme vous regardez le mont Blanc à Genève; quand toutes les
sciences
physiques s’enrichissent chaque jour de nouvelles
les régions sublunaires, ne serait-ce pas le cas de demander que les
sciences
spéculatives, qui vont s’appauvrissant de plus en
ent si hardiment nos télescopes ? Le progrès continu est la loi des
sciences
spéculatives comme celle des sciences exactes. Or
progrès continu est la loi des sciences spéculatives comme celle des
sciences
exactes. Or, quand celles-ci découvrent tou jours
rattacher un peu directement aux intelligences de ces sphères. Les
sciences
spéculatives doivent toujours aller de front avec
s d’explorations, de découvertes, de conquêtes. Autrefois alliées aux
sciences
naturelles, physiques et mathématiques, partout l
in qui avait nourri les Bacon, les Descartes, les Leibnitz, hommes de
science
positive au même degré que de méditation. La phil
er qui en est le véhicule. Le rôle de 1 éther sera compris lorsque la
science
aura mieux examiné ce qui constitue la base commu
ste. Les partisans et les pontifes du magnétisme animal possèdent une
science
occulte ou une science, publique. Dans le premier
es pontifes du magnétisme animal possèdent une science occulte ou une
science
, publique. Dans le premier cas, qu’ils la réserve
ouvelles découvertes, et son procès sera jugé aussi; la part entre la
science
et l’industrie, entre la bonne foi et le charlata
contre ce fléau inéxorable de la mort, on voit se dresser l’art et la
science
de la (I) L'homme est uno unité trinaire décomp
’aide desquels il peut «lonner tout le bien qu’on doit attendre de la
science
el de l’art. On peut, suivant moi, grouper en q
ue dans les sentiments. 11 y a en outre dans ces ouvrages beaucoup de
science
et d’érudition, en un mot de profondes connaissan
elles sont inattaquables? De nos jours, il faut arriver à Dieu par la
science
. Est-ce M. Cahagnet qui nous y conduira ? 11 n’a
nous sommes éten- dus appartiennent bien au magnétisme, mais cette
science
naissante peut, heureusement, s'appuyer sur d’aut
lâche d’une série d'expériences que nous croyons propres à avancer la
science
magnétique. Cependant, c’est avec une grande rése
assimilerait à ces fourbes, à ces trompeurs adroits qui, sans aucune
science
, exploitent la crédulité publique. Et, nous le di
établir, car nous le voyons tout prêt d’entrer dans le sanctuaire des
sciences
, formulé en agent naturel et en faits physiques.
sans cela nous exposerions ce qui nous est le plus cher au monde : la
science
naissante elle-même. Mais si nous reculons deva
nous le ferons avec discrétion et modestie, car nous ne savons de la
science
antique que les deux ou trois premières lettres d
fut pressentie par le génie avant d’être démontrée et acceptée par la
science
. Or, si la création a son moteur, son fluide vi
ar vous. Je ne néglige jamais de citer votre nom comme modèle pour la
science
. Aussi vous êtes attendu comme partout où vos élè
ement. » M. Maguin ne le pratique pas et s’occupe de préférence des
sciences
occultes. >> M. le docteur de Ilésimont y
cures obtenues par M. Borreau, qui témoignent de son dévouement à la
science
. Un autre de nos amis, M. Lasseron, directeur de
Burdin, l\Iagendie,Gerdy, etc., en présence de celui dont toutes les
sciences
déplorent aujourd'hui la perte? l''uK(‘iiiuti»i
ans la même erreur, quand ils prennent l’art de la médication pour la
science
de la médecine entièrement ignorée de nos jours.
omènes fut le fluide universel, et différentes contradictions que les
sciences
physiques et physiologiques reconnaissaient dans
influence de cet agent sur l'organisation, sont des fails acquis à la
science
. Il reste, je crois, fort peu de personnes au cou
la science. Il reste, je crois, fort peu de personnes au courant des
sciences
, qui soient encore incrédules sur cette partie fo
, éloignerait les esprits de l’étude sérieuse des princi|>es de la
science
pour les jeter dans les divagations des nouveaux
us de son danger. Si jamais son application devenait générale pour la
science
des écoles, dans les hôpitaux, ou dans la pratiqu
lle pas toujours le partage de beaucoup de nos frères, et l’art et la
science
confondus de ce mystère ne seront-ils pas trop so
res en médecine prouvent quelquefois tout autre chose que l’art et la
science
, et souvent ils ne révèlent que la science seule.
utre chose que l’art et la science, et souvent ils ne révèlent que la
science
seule. Or l’homme de science est rarement progres
ience, et souvent ils ne révèlent que la science seule. Or l’homme de
science
est rarement progressiste, il ne croit que ce que
il faut adopter pour être dans le vrai. En effet, cette pré- tendue
science
a cela de particulier qu’en se perfectionnant ell
erelles sur la grâce suffisante, la dent d’or, etc. 11 n'y a point de
science
médicale; ce n’est qu’un amas monstrueux de systè
acquise dans le sommeil qui va bientôt chasser devant elle la fausse
science
et ceux qui en étaient les amants. Oui, il est
. Oui, il est vrai, l’homme peut soulager son frèresans posséder la
science
scolastique, et par un simple effort de volonté.
sée, car il est écrit dans les œuvres des magnétiseurs : La véritable
science
est ici. N’est-il pas vrai que l’agent dont nou
p sûr le magnétisme et le somnambulisme dépasseraient de bien loin la
science
du médecin ; toutes les connaissances de ce derni
ulement pour qu’il en soit ainsi que l’on trouve la loi des faits. La
science
est là ; on cherche à l’établir sur les données f
es faits qui sont sortis de mes mains et les compare à ce que fait la
science
qui prétend guérir. Mon cœur entend les plaintes
conséquences à tirer des faits produits et sur l'avenir réservé à la
science
; mais tous sont sincères. J’espère que le docte
vez produire une série de merveilles dépassant de bien loin ce que la
science
obtient par l’emploi de tous les agents comme de
t aux lumières de la philosophie, ne relèveront que du tribunal de la
science
. Voici ce qu’on lit dans la Gazelle des tribuna
s et de quelles données l’on a pu se servir pour arriver à former une
science
du démon ou démonologie : il est très-facile de r
ent les jurisconsultes d’alors pour en abstraire les éléments de la
science
du diable, ou de la démonologie. » Ainsi Gaufri
nnis de la table des sorciers au sabbat, c’étaient là des éléments de
science
qu’on se gardait bien de négliger. Le diable, en
oy. Connaissant l’intérêt que vous portez à tout ce qui touche à la
science
magnétique et le profond savoir que vous avez acq
étendues en physique et en chimie, sans posséder aucune notion de la
science
magnétique au moment où cette obsession commença.
’opérer par des moyens physiques et naturels qui sont du domaine delà
science
et qui échappaient à ma vue. Mon esprit peu porté
r de s’instruire et d’acquérir de profondes connaissances dans cette,
science
occulte, ce serait l’excuser en partie, mais le p
ppresseur; mais l’ignorance où j’étais des plus simples notions de la
science
magnétique contribua beaucoup à me faire tomber d
à peu. Nous venons encore d’en perdre un, qui était fort attaché à la
science
. M. le comte de Beaumont. Il avait connu Mesmer c
id. 2 vol. in-8, Paris, 1846, chez J.-B. Bail-lière. L’hisloire des
sciences
est un phare qu’alimente le passé pour guider le
e abstcusion de sa part peut paraître partiale, car l’historien d’une
science
ne doit rien celer de ce qui la concerne ou s y r
nitive qu’un lambeau du savoir antique. Des âges oubliés ont eu leurs
sciences
, leur médecine, dont la trace est pour nous perdu
on m’avait induit en erreur à ce sujet, mais que sans s’occuper de la
science
magnétique, il n’était pas tout à faii ignorant à
vous en fassiez l’application sur moi, et que vous puisiez dans cette
science
sublime les moyens de faire cesser cette obsessio
cines ; je ne crois la conciliation possible que sur le terrain de la
science
. HÉBERT (de Garnay). ÉTUDES SOMNAMBULIQUES.
te ( Vie d’Apollonius) , que l’art médical ait pris naissance dans la
science
de l’avenir. Les fils d’EscuIape n’auraient jamai
ensibles par les points de rapports qu’ils présentent avec ceux de la
science
magnétique. Par exemple, si j’étais venu dire que
e grandes distances. Nous lisons , dans le Dictionnaire général des
Sciences
( art. Seconde vue ), que la seconde vue est une
et à l’expérience. Sa mort est d’autant plus déplorable pour la noble
science
du magnétisme, qu’il joignait à l’ardeur d’un jeu
ts de prévision répandus par la presse soient toujours incomplets. La
science
ne peut rien conclure de ces demi-révélations; el
vec regret la police devenir l’auxiliaire de ces recherches. C’est la
science
, ici, qui devrait présider; mais il sera dit un j
ont for- cément éclairés sur les points les plus litigieux de celto
science
, qui ne petit [trouver accès auprès d’eux à caus
er si le magnétisme avait réellement quelque chose de commun avec les
sciences
physiques, et si le fluide magnétique existait ré
es magnétiseurs, an détriment de l’observation froide et sévère de la
science
. Une quatrième partie termine l’ouvrage. C’est
n au ^mesmérisme, lui a prouvé que tout est faux dans cette prétendue
science
. On lui offre maintenant des témoignages en guise
autre commission fut nommée; elle conclut que le magnétisme étant une
science
, il devait occuper une place parmi les sciences.
e magnétisme étant une science, il devait occuper une place parmi les
sciences
. M. J. Cloquet rapporta à celte commission l’hisl
u de l’agent provocateur de ce phénomène bien plus important pour les
sciences
? Nous nous serions refusé nous-mème à suivre l
ne pourrez vous promettre qu’un succès douteux, car tout se fait avec
science
, avec méthode, par poids et mesure. C’est pourquo
, il ne magnétisait qu’occasionellement ; mais il servait beaucoup la
science
par sa parole. Ses nombreuses occupations l’ayant
surtout des magnétiseurs, parce que beaucoup d’enthousiastes de celte
science
ont dit qu’elle renversait la médecine de fond en
nt restés jusqu’ici sans explication satisfaisante. Mais de ce que la
science
qui devrait guider nos recherches ne nous offre q
t, par exemple, qu’il vaut mieux que le magnétiseur soit médecin : sa
science
et son expérience le rendent plus apte qu’un autr
ue j’ai émises sur les hallucinations attribuées au magnétisme. Cette
science
fera surgir bien d’autres questions plus épineuse
ncore, el c’est de leur solution qu’on doit attendre le progrès de la
science
et de l’humanité. Comme un nouveau soleil, la l
Cherchons donc à nous mettre en garde autant contre les erreurs de la
science
que contre nous-mêmes; et, en avançant, restons p
s nous le traduisons néanmoins comme s’il nous était révélé. Toute la
science
divine et humaine est peut-être ici, Qui donc ose
occultes, connues sous le nom de magie. Ce n’est point pour céler la
science
que nous cherchons à acquérir, mais pour la divul
étisme. Bien différent des magnétiseurs qui, pour justifier de leur
science
, voyagent avec des sujets tout préparés , avec de
ce mémoire. « Un des membres de l’assemblée a fait observer que? la
science
devait attacher une trop grande importance à la s
e but de notre société. Nous voulons établir un ordre de faits que la
science
actuelle n’a pas encore classés, parce qu’elle n’
l’existence nous est révélée............. L’histoire de toutes les
sciences
nous les montre d’abord comme le recueil de quelq
x, qui les étudient, les "comparent, les jugent. Bientôt une nouvelle
science
est créée et avec elle un nouveau progrès de l’in
eloppement des générations qui la suivent ; de même les progrès d’une
science
déterminent les progrès d’une autre science, parc
de même les progrès d’une science déterminent les progrès d’une autre
science
, parce que toutes sont des anneaux d’une chaîne c
rtir de l’observation des faits pour s’élever à la constitution de la
science
. Mais pour y parvenir il faut, à des faits connus
e notre impuissance : tout ce qui se rattache de près ou de loin à la
science
des forces de la nature sera de son domaine. L’
eur brillante héritière, se sont-elles transmis le dépôt précieux des
sciences
occultes parla voie de l’initiation? Au nombre de
ux des sciences occultes parla voie de l’initiation? Au nombre de ces
sciences
le magnétisme figurait-il? Hermès posséda-t-il le
e illustrées par des hommes profondément versés dans l’étude de celte
science
; mais en même temps nous les verrons accusés de m
uvelle, éclose du génie d’un seul homme, ou bien la restitution d’une
science
oubliée que Mesmer apporte au monde ? Si l’Alle
’esprit universel qui anime la nature, et dans l’application de cette
science
un soulagement des maladies et des douleurs. Entr
plus noble lâche? Etre utile à ses semblables et faire progresser la
science
de tous les temps et de tous les lieux, la seule
n l’homme une double vie ? (Louis Lambert, p. 77.) — Le magnétisme,
science
jadis cachée au fond des Mystères d’Isis, de Delp
philosophique sur la concordance des données de la religion et de la
science
. Le magnétisme y est envisagé *lans son double as
termes qui attestent que l’écrivain sait apprécier la portée de cette
science
naissante. T.e Correspondant, journal religieux
rrespondant, journal religieux, vient de publier, sous le titre de la
Science
funeste, un roman de Mme Anna-Marie, qui reconnaî
pouvait y considérer d’autres affections également incurables pour la
science
. Donnez, donnez de votre vie à ceux qui en manque
ue nous pouvons produire surpasse de beaucoup la limite tracée par la
science
: lorsque la vie s’est retirée d’un membre ; lors
égères difficultés qu’ils soulèvent, et on obtient des données que la
science
ne pourrait encore fournir. Voici, comme exempl
cer sur les sens, la « matière et la volonté d’un autre homme. « La
science
, encore en enfance , à laquelle on «donne communé
s sur l’ôtre. « Il est de toute nécessité, pour l’avenir de cette «
science
, avenir immense, que le magnétiseur agisse, « non
ie de ces hommes qui croient tout « savoir et ont inlérêt à ce que la
science
reste dans « un état conjectural, pour que leur s
fin du roman : la Sciencefuneste. Le magnétisme, bien entendu, est la
science
ainsi désignée. On signale un abus de pouvoir don
nt, nous sommes trop heureux que la presse veuille s’occuper de notre
science
. C’est par cette voie que les bons esprits démêle
. Examinez-les donc, car elles sont supérieures à toutes celles de la
science
. Elles ont une origine inconnue, et c’est cette o
e n’a pas lieu? Grands génies qui vous chargez de nous apprendre la
science
des écoles, votre tâche est facile ; mais je ne v
au soulagement de quelques malheureux, vous vous ôtes avancés dans la
science
! Que ces lignes rappellent à votre souvenir l’ho
ÉLÈVES BISONTINS. Air du Dieu des Donnes Cens. Il esta» monde une
science
oceiille , Divin pouvoir encor trop méconnu;
de physiologie et de thérapeutique, bien qu’elle n’eût pas besoin de
science
théorique pour prescrire, très-souvent en termes
on pour la jeune fille, qui va devenir un problème à résoudre pour la
science
. Je viens de dépêcher un commissionnaire à La P
mme serait trop courte, non pas pour étudier en rudiment les diverses
sciences
, mais pour acquérir et posséder la nouvelle langu
itudes à ce sujet. « Parmi tant d’hommes éminents qui cultivent les
sciences
, il eh est peu dont le génie s’isole du milieu où
procédés d’expérimentation n’ont été si prompts ni si sûrs; jamais la
science
n’a donné aux intérêts humains tant de satisfacti
parue à une date si récente, et qui devait éclairer tout le champ des
sciences
, où en sont ses prodiges espérés? On reste à des
e d’un caractère sévère, respecté, ami des lumières et versé dans les
sciences
physiques, voyant que les médecins deMamers, qu’o
onduite de la part d’hommes appelés, par l’art qu’ils exercent et les
sciences
qu’ils cultivent, à l’examen de tout ce qui peut
n effet difficile de comprendre que les représentants officiels d’une
science
se montrent si peu soucieux de s’éclairer sur des
ce le développement des facultés singulières de cette jeune fille. La
science
lui .devra un tribut de reconnaissance, car, sans
• servira l’explication d’aiitfres faits incompris, avan- • cer la
science
et servir l’humanité. « Mais déjà la cupidité é
dispositions d’esprit que nous sommes parti, quoique la bonne foi, la
science
et l’esprit judicieux de M. le docteur "Verger no
de surpasser vos devanciers. Connaissez-vous d’abord, entrez dans la
science
par le labeur, par le travail. Si vous ne devez ê
dos gens intéressés à ce que le magnétisme n’arrive point à l’état do
science
. Ils couvriront leur résistance d’un masque hypoc
des, qu’ils l'ont «sourire de pitié, et n’atteignent nullement- une «
science
trop au-dessus de la calomnie et de 1 i-. gnoranc
t été les premiers à regretter ta fin tragique, à se lamenter pour la
science
entière. Pourquoi es-tu venue te brûler à la chan
; on les discutera encore,puis en-lin on adoptera. C’est ainsi que la
science
s’est constituée; elle n'eut point d’aulre marche
es faites au sein de la Société pour éclairer les divers points do la
science
. Séance du 29 janvier. — Semblables à ces corps
omment j’aurais pu le faire, ne connaissant personne instruit dans la
science
magnétique autre que rnon médecin, qui ne me répo
faire une analyse de chaque ouvrage qui paraîtra, ayant trait à notre
science
, et nous mentionnons seulement aujourd’hui celui
» (La suite auprochain numéro.) SOCIÉTÉS SAVANTES. ACADÉMIE DES
SCIENCES
. Séance des 2 et 9 mars. — Après le retentissem
nue pleine et entière. Oui, mes chers,collègues, ma foi en la sublime
science
que Mesmer nous a transmise est actuellement inéb
s. « Gloire donc à l’immortel Mesmer qui a légué à la postérité une
science
aussi bienfaisante, et mille actions de grâces à
nne volontiers mon consentement. Et d’abord, je dois vous dire que la
science
du magnétisme avait toujours été pour moi un obje
ne tache indélébile. Voyez ce magnétisme condamné vingt fois par la
science
et toujours survivant à ces arrêts; voyez-le entr
et mille fois renouvelées que la vérité arrive enfin a régner sur la
science
. Les Lants sont les ennem.s-nés de tout grand pri
onne parfois le génie. Celui donc enfin qui enrichit le domaine de la
science
doit mourir sans être récompensé de son labeur Ra
incalculable, et jamais la justice n’en réhabilita aucune; jamais la
science
ne daigna sur ce point éclairer la justice; sans
I, septembre 1755, page21ÎO. ignorant de lu gcologic comme de loule
science
, arrivant au môme résultat (1). 2° Sourciers à
ut •accusé de charlatanisme, et s’en retourna comme il était venu. La
science
avait jeté ses doutes, et l’opinion, qui se laiss
laisse influencer toujours par de faux sages, avait pensé comme la
science
, et rejeté une faculté très-réelle, mais qui dépa
ont nous allons rendre compte, d’après (¡es témoins oculaires dont la
science
et la bonne foi ne peuvent être suspectes. Lais
besoin, nous préférerions avoir recours à l’abbé Para-melle, dont la
science
hydroscopique était authentique. Notre homme ne s
comparaison outre le talent de ce simple montagnard dépourvu de toute
science
, ne sachant pas même lire, et celui de M. l’ahbé
dacteur, désinté-i-essé dans la question, tenta, dans l'intérôt de la
science
et de la vérité, les expériences qui suivent :
Nous l’expliquons par le magnétisme. Oui, le magnétisme fait toute la
science
de ce montagnard sans éducation. Son âme explore
utes différentes : l’un travaille par observation, par induction, par
science
géologique; l’autre par sensation, par inspiratio
ce qu’il mérite. Vraiment 1*Académie- de Médecine et la section des
sciences
physiques de l’institut nous semblent, à nous, de
, source* [Pk.B«dé.) dans le monde; les faits qui se produisent, la
science
qui se répand de tous côtés, sans que leurs yeux
ont assemblés à Paris. 11 ne s’agit de rien moins que d'empêcher deux
sciences
fécondes de s’étendre dans le monde : l’homœopalh
tre faute si la vérité que nous défendons rencontre sur son chemin la
science
qui n’en veut point, l’ignorance slupide qui fait
médecine, et quelles modifications la théorie et la pratique de cette
science
ont pu subir pendant le cours de l’année précéden
d’un caractère honorables, il se livre, dans ses courts loisirs, à la
science
magnétique dont il se fait le rude champion par a
raînait celui de l’insensibilité. Eh bien , je le demande, quand la
science
magnétique n’aurait obtenu jusqu’ici que ces résu
mes de loi,.il parlait fort simplement de toutes choses et même de sa
science
, sans emphase ni mystère, surtout de ses expérien
ations, l’art du maître de la maison. Il nous raconta qu’il tenait sa
science
de deux cheicks célèbres de son pays, et ajouta q
s’est servi jusqu’à ce jour, et ne les trouvant pas appropriées à la
science
mesmérilogique, il présente toute une no- nienc
ont l’intérêt est presque toujours le mobile. Il ajoute que, dans les
sciences
non formées, les noms d’hommes sont préférables e
sion la plus générale, elle ne peut en rien arrêter les progrès de la
science
; il ne faut donc pas enléver à Mesmer sa con-ronn
s intrépide des disciples de Mesmer, le champion le plus échevelé des
sciences
occultes, M. Marcillet, qui se présente armé de t
de ce métal. « De retour au Caire, je sus qu’on parlait déjà de ma
science
, et un matin, à mon grand étonnement, les domesti
r l’illustre physicien anglais. M. Faraday a certainement ouvert à la
science
une voie féconde, non-seulement sous le rapport t
t certainement les piquer jusqu’au sang sans qu’ils en eussent con-
science
. On n’a moins pas reconnu l’inconvénient capital
nous arrêter à cette dernière hypothèse, sauf rétractation, quand la
science
aura bien voulu s’occuper de fixer la véritable i
est dommage, savez-vous, de venir faire concurrence à cette brillante
science
! Mais on no souffrira pas qu’il y soit rien chan
connue etqui sont utilement employés, tiennent à leur disposition. La
science
a sans doute beaucoup fait, mais elle est loin d’
ni de se faire guérir par des moyens qui ne sont ni du domaine de la
science
officielle, ni soumis aux investigations de la ju
n objet de doutes, môme pour les hommes les plus hauts placés dans la
science
. Ce nouveau phénomène est un matelot de quirfze
age à ne la pas omettre. Il était curieux de toute sorte d’arts et do
sciences
, et, avec infiniment d’esprit, avait eu toute sa
généreuse du bien de l’humanité, et tous ceux qui ont écrit sur cette
science
l’ont fait dans le but principal de propager une
et faire dévier le cours d’un fleuve, l'opposition systématique à une
science
nouvelle ne saurait que suspendre son développeme
araît plus éclatante après avoir été obscurcie. a Relativement à.la
science
magnétique, il e^t fâcheux qu’on trouve de trop n
eje puisse faire publier un-ffîémôire de njes, observations sur cette
science
, et dqs cures que j’fti obtenues depuisquatre ans
d’une provocation, mais seulement celle de faire appel aux hommes de
science
en général, et en particulier aux médecins, afin
et de déclarer si elles peuvent complètement satisfaire les hommes de
science
; il y aurait de la témérité de notre part à cherc
Simon. VARIÉTÉS. Banquet mesméricn. — Quatre-vingts adeptes de la
science
magnétique, répondant à l’appel de M. Je baron
re la calomnie, la mauvaise foi, et nous pouvons dire contre toute la
science
, contre tous ceux qui s’honorent du titre desavan
il a jetées sur le monde ont chassé devant elles les obscurités de la
science
, et détruit le tribut sanglant que l’odieux fanal
suivant : celui dont le zèle a conçu cette fête ! G n jour, de la
science
il atteindra le faite. W uvons, en attendant, à
tre la vue à distance Les savants sont acharnés, Il est vrai que la
science
N’y voit pas plus loin qu’ son nez.. Les corp
le Le droit d’électricité. Les corps savants, etc. Matadors de la
science
, Grands flambeaux dû genre humain, Recevez, au
t que le jour d’un complet triomphe n’était pas éloigné. En effet, la
science
nouvelle a mainténant ses journaux, sa tribune, d
réalité des phénomènes offerts àson examen, soutint la cause de la
science
et de la vérité devant l’institut et le public. S
ance positive, et la condition indispensable de tout progrès dans les
sciences
. Ces considérations nous amènent naturellement
s phénomènes? Comme vous êtes simples et candides ! Les Académies des
Sciences
et do Médecine étudier le magnétisme et revenir s
scribes et des pharisiens : c’est le prix du mensonge et de la fausse
science
. Ne leur en voulez point pour leurs actes de bass
parler de Mesmer, qui découvrit le magnétisme et jeta les bases de la
science
dont nous sommes adeptes. « Notre désir est d'é
it-il à son immense talent les sentiments élevés dont l'union avec la
science
enfante la sagesse et toutes les vertus qui naiss
sa découverte fût examinée, et qu’il subordonnait à la sanction de la
science
la récompense légitime due à l’auteur d’une décou
e je me « suis exposé au ridicule pressenti dont votre Académie « des
Sciences
, votre Société royale et votre Faculté « de médec
maître? D’ailleurs, outre que ce qui ne progresse pas n’est point une
science
, si Mesmer avait légué son système complet, s'il
ommes diront, sans doute, de nous, ce qu’avant d’étre avancés dans la
science
nous disions de ceux qui en possédaient le rudime
spect pour leurs maîtres, les signalent à la foule comme dépourvus de
science
ou déshérités de toute vertu. Bien plus, ne laiss
de la réalité, éblouissante pour nos yeux habitués aux erreurs que la
science
officielle donne encore pour des vérités. Unisson
les et les soulager ; ne sont-ce pas là de véritables progrès pour la
science
et pour l’humanité? » Après co résumé, M. Cosso
ardez.... cette vérité que vous rejetez avec mépris, les parias de la
science
la ramassent! Secouez donc vite votre indolence a
s et morales en vous munissant de ce puissant moven sans lequel voire
science
resle incomplète. « Prêtres ! venez à cet arden
vrez la vérité. « Historiens! préparez vos intelligences, car toute
science
doit avoir son histoire; commencez - la en compul
morales qui pèsent sur l’humanité, et vous savez, hélas! combien leur
science
est impuissante pour guérif même les maux que leu
s suffisent : la force et la volonté. « Et vous, profanateurs de la
science
! qui traînez sur vos tréteaux le mesmérisme comm
nt peu occupé de magnétisme, il n’intéresse guère l’histoire de oette
science
que par le souvenir de son père. Il était cependa
formèrent une secte puissante et fort honorée. Versés dans toutes les
sciences
, ces mages, outre leurs connaissancesmystérieuses
ils ne divulgaient leurs secrets à aucun étranger, de sorte que leur
science
, définie par Platon : l'art d'honorer dignement l
ontre Moïse, qui avait été élevé à la cour du Pharaon alors que les
sciences
magiques étaient fort en usage (I). Les Pères d
les prophètes ou voyants. C’est la décadence de l’art. N’ayant de la
science
des mages qu’une pratique aveugle et superstitieu
ensée, trace sur le papier la formule banale d’un remède coté dans la
science
depuis un mois au plus. L’Esculape essaie de no
as grâce à Dieu du secours inattendu que tu auras trouvé, non dans la
science
, mais dans la nature. Bientôt l’oubli d’un aussi
ence et par des faits innombrables. Ces hommes font ce que ne peut la
science
, ils guérissent des malades abandonnés par elle
ir et de soulager les souffrances soit autre que ceux indiqués par la
science
, s’il est plus réel, plus efficace? c’est à vous
gmenter ses prôneurs. Mais non, vous rirez de nous et nierez et notre
science
et nos œuvres. Peut-être la Providence le veut ai
rouvent que l’auteur des Mémoires d'un Médecin n’est étranger ni ù la
science
de Mesmer, ni à celle de Puységur. Le môme jour
330 — philanthiop.-magnét. 150,272 — (lu Mesmérisme. 120,215,300
Science
funeste (la). 28 Section des tendons poplités. 72
cer sous la tutelle de quelque corporation pour prendre rang dans les
sciences
et faire jouir les hommes du bien que par sa natu
point cet ql-liage nouveau, laissez venir d’autres temps; séparez la
science
de toutes croyances, car elle doit s’établir d’el
les hommes en arrière lorsque Dieu lui-même les pousse en avant. La
science
n’a point de limite et ne dira jamais son dernier
par trop vif; nous en ajournons la publication. LE DOCTEUR. Notre
science
est écrite en grec et en latin; elle est gravée s
d’abstinence; du grand art de guérir je suis désabusé. J’abandonne la
science
. LE DOCTEUR, de loin. J’oubliais une chose :
e, patronée par une autorité aussi respectée, prit vite cours dans la
science
, et l’expérience, procréatrice de nos connaissanc
mènes provoqués. » D’où il suit que, pour bien s’instruire dans une
science
quelconque, il faut s’éclairer par de nombreuses
BIBLIOGRAPHIE. NÉvr.L'nciE,' ou le Magnétisme animal devenant une
science
physico-malhéinatique, par M. l’abbii'comle de Ro
erre et de la soie!... « Que deviennent à présent tout ce fatras de
science
indigeste et de mauvaise foi? ces imaginations té
ne le tira point. Le Saint-Office lui laissa la vie par égard pour sa
science
et son grand âge (I). « (1) Llorcnlo, Histoire
article Contemplatif, par M. de Monl.'gr,', dans te Dictionnaire des
sciences
médicales. PIutarque écrit d’un nommé Solens, P
ps. » (La suite auprockain numéro.) THÉORIES. DU PRINCIPE DE LA
SCIENCE
. Il est une foi et une raison toute d’intellige
nt sans se jalouser ou se combattre; elles se confondront en une même
science
, comme leurs deux véritables principes s'identifi
principes s'identifient eux-mémes en une seule faculté. Ce sera la
science
de vie, et, par conséquent, le christianisme, auq
qui n’était en philosophie qu’un véritable avortement, qui ramena la
science
ontologique à son point de départ, malgré la larg
conséquent regardée comme l’instrument, le principe constitutif de la
science
. (4) Sympathie »»» txOr,, sentir arc*. Certain*
in est donc la vraie lumière du monde. Sa parole est bien plus qu’une
science
, qu’une révélation ; mais elle est un principe de
plus qu’une science, qu’une révélation ; mais elle est un principe de
science
, une source de révélation ; elle n’est point une
BLIOGRAPHIE. .\i>vni:nciE, on If Magni'lismc animal devenant une
science
physico-inalhi:>iinli|ue, par M. l'abbé comte
leur tour effacer ce nom absurde de magnétisme des phénomènes de la
science
dont nous nous occupons, tant elles se montrent d
us ces laits doivent se reproduire entre les mains de tous. Sinon, la
science
et la bo\ine foi de l’auteur étant acquises, il f
mes, et bientôt vous ne pouvez plus jouir d’un instant de repos. La
science
ne peut être dans ces ouvrages qu’un jour voit éc
arrachez vous-mêmes ces plantes nauséeuses; nettoyez le temple de la
science
, et reconnaissez donc enfin que vous vous êtes tr
s-mêmes incohérentes, la matière médicale est peut-être de toutes les
sciences
physiologiques celle où se peignent le mieux les
mieux les travers de l’esprit humain; que dis-je? ce n’est point une
science
pour un esprit méthodique, c’est un ensemble info
é lui-même, après avoir fait d'innombrables victimes. Apôtres d’une
science
malheureuse, on vous offre aujourd’hui un nouvel
u'on nomme la morale. Cette doctrine renferme l’art de diriger, et la
science
de juger les actions humaines. La représentatio
remèdes? Plusieurs membres pensent que ce livre sera funeste aux deux
sciences
que son auteur a voulu étendre. Séance du 17 ju
déclaré leur conviction entière, et promis de continuer l’étude d’une
science
qui se présente à eux si brillante. Séa/ice du
VARIÉTÉS. Le magnétisme à Lyon. — Le magnétisme, comme toutes les
sciences
nouvelles, comme toutes les vérités qui apparaiss
norance et de l’intérêt. Il est dur, en effet, pour des hommes que la
science
compte au nombre de ses membres les plus haut pla
sais, c’est que je ne sais rien. Les doctes Facultés où l’on vend la
science
jetteraient les hauts cris si un de leurs profess
y trouveront aussi quelques remarques judicieuses sur l'accord de la
science
et de la religion. Voici comment l'auteur rapport
la route du magnétisme ; dès lors je commençai à comprendre que cette
science
si vantée par les uns, si décriée par les autres,
sont des faits qui jusqu’u présent ont échappé à l’observation de la
science
. » Le Propriétaire-Gérant : HÉBERT (de Camay).
périences, et que je reconnus des noms vénérés et haut placés dans la
science
, ceux de MM. Marc, Fou-quier, Pariset, Récamier,
cès-verbal sous leurs yeux. Cette opération, si intéressante pout’ la
science
, a été faite en présence de plus de cinquante tém
nger dans cet état extraordinaire, aujourd’hui si intéressant pour la
science
, et qui a le pouvoir d’amortir toute sensibilité
ouvenirs des faits magnétiques se présentaient à son esprit. Quelle
science
pour produire ces merveilles ! Chacun de nous ne
va lion. L'auteur de l’article Convulsiovnaire, du Dictionnaire des
sciences
médicales, ne voyant dans Mesmer et ses disciples
ie, elle répliqua que, par elle-même, elle n’avait ni connaissance ni
science
aucune sur de telles matières ; mais que, quand o
Lyon , la ville du commerce et de l’industrie, est aussi la ville des
sciences
et des arts ; que notre patrie accueille toutes l
i lui est due; car à vos yeux, je l’espère, il est comme aux miens la
science
primitive, la doctrine par excellence. « Le mag
toutes choses. Quelle plus noble élude que cette doctrine, que cette
science
! et cest pourquoi les fondateurs de l’Athénée c
intelligent. Mais avant tout con-« stituons le magnétisme à l’état de
science
avouée , « et, pour accélérer son triomphe, ne la
ai le dire, dût votre modestie en souffrir, vous avez fait pour cette
science
nouvelle, ou pour mieux dire retrouvée par Mesmer
ium des connaissances humaines, a fait au XVII siècle pour toutes les
sciences
. « J’ai [prononcé le nom de Mesmer; il doit êtr
Potet a pris la parole et a porté le toast suivant à un homme que sa
science
recommande autant que son patriotisme, et qui, ap
l’école, est venu nous témoigner, en encourageant nos efforts, que la
science
, pour les hommes d’élite, ne consiste pas dans un
aton, ne dédaignant pas d’aller, dans un âge avancé, s’enquérir d’une
science
nouvelle. » Après le banquet, le présideut a pr
si détruire des méthodes vicieuses nées avec Mesmer à l'enfance de la
science
, et que Mesmer lui-même eût considérablement modi
point des baquets. Ce qui contribue aussi à retarder le progrès de la
science
magnétique, ce TOME III. 31 OCTOBRE 18£|6. 8
sez osés qu’ils sont pour se présenter comme interprètes de la divine
science
magnétique. Ceci, mes chers élèves, devait préc
oser de continuer, sans aucune autre espèce d’intérêt que celui de la
science
, à voir sa fille conjointement avec le médecin de
us demande ce que c’est qu'une somnambule, vous répondez : C'est la
science
qui vient trouver la femme. Cette science est b
ous répondez : C'est la science qui vient trouver la femme. Cette
science
est bien autre, ma foi, que celle des hommes, san
scrira ce «qu’il faut pour en rétablir l'équilibre. » Humilie-toi,ô
science
humaine! avoue-toi vaincue par cette toute-puissa
ient de « déclarer que le magnétisme est une vérité de plus « dans la
science
médicale et dans l’art de guérir, et « maintenant
iques, parce qu’il met les recherches métaphysiques sur le pied d’une
science
démonstrative. Une discussion régulière, sollic
elques profanes qui, à défaut des connaissances positives qu’exige la
science
de Mesmer, enrichie des travaux des de Puy-ségur
e veulent pas de nous, ils nous dédaignent; nous allons établir notre
science
à côté de la leur. Les Facultés de médecine rejet
de toutes parts des hommes soulagent et guérissent ceux que la fausse
science
a maltraités, ceux pour qui la nature n’a point é
voir le magnétisme reconnu, et entrer triomphant dans le domaine des
sciences
par la porte qui s’est fermée cent fois sur lui.
en paix ces gens qui outragent ainsi la nature et qui ravalent votre
science
en montant sur des tréteaux; laissez ainsi ces fa
nteux de l’abaissement et de la dégradation de la plus magnifique des
sciences
, vont s’assembler pour relever bien haut la décou
irmer sa théorie, et les sources ont surgi. Or, n’esl-ce pas là de la
science
, de la bonne et véritable science? Si c’est de la
nt surgi. Or, n’esl-ce pas là de la science, de la bonne et véritable
science
? Si c’est de la science ordinaire, pourquoi M. Du
as là de la science, de la bonne et véritable science? Si c’est de la
science
ordinaire, pourquoi M. Dufresnoy, pourquoi M. Eli
Société de géologie, les auteurs et les dépositaires de la véritable
science
ne sont-ils pas capables d’en faire autant? Si
amclle, il se serait déjà lait dresser dos statues, et l’Académie dos
Sciences
, parce que M. Paramclle n’a pas eu besoin des liv
e mal est bien plus grand qu’on ne pense. On ne peut pas douter de la
science
de M. Paramclle, il la prouve tous les jours. Eh
science de M. Paramclle, il la prouve tous les jours. Eh bien, cette
science
si utile, si nécessaire, si féconde, nous échappe
rt pour l’Egypte, afin d’étudier à cet ancien berceau des arts et des
sciences
ce qui reste dans les traditions, l’histoire et l
histoire et les pratiques mystérieuses de quelques hommes touchant la
science
qui nous occupe. On peut donc espérer un mémoire
ttre. Il faut ensuite forcer les magnétiseurs ignorants à acquérir la
science
nouvelle, afin qu’ils aient l’habileté qu’elle do
els, qu’il ne divulgua point à ses élèves cet état si nouveau dans la
science
de l'homme. Il pressentait l’abus monstrueux que
manquerait pas d’en faire et la perturbation qu’il causerait dans la
science
qu'il cherchait à fonder. M. de Puységur, le prem
ches. Mais ces merveilles liront du bruit en dehors du sanctuaire; la
science
avait beau dire que les magnétiseurs étaient de
t seuls, avec une bague, un sachet. Quel progrès! Voyez déjà comme la
science
avançait! L’Académie de médecine avait de nouvoau
le fut faite, qu’il viendrait un temps où un nouvel art, une nouvelle
science
, apparaîtraient, où des gens ayant les sens assou
ubstances médicamenteuses. Les médecins ont fait consister toute leur
science
dans l’application raisonnée de ces divers agents
els. Us devraient se voiler la lace ; car aujourd’hui des hommes sans
science
, sans éludes médicales, produisent, au su de tous
ileté ne va pas jusqu'à l'en préserver, quoique nous ayons toute la
science
en partage! Nous sommes les survivants naturels d
de curiosité, il y a un immense service à rendre à l’humanité et à la
science
. Donner au chirurgien des moyens plus certains de
autres, M. Picard, dentiste, rue du Gouvernement, 35. Au nom de la
science
et de l’humanité, nous nous adressons à MM. les a
aire ici cet étranger? « Voilà comment, dans son pays, la prétendue
science
« qu’il nous apporte est envisagée par les autori
inexpérimentés. Ont-ils au moins réparé le mal qu’ils ont fait à la
science
? La science ! qu’y a-t-il de commun entre elle e
s. Ont-ils au moins réparé le mal qu’ils ont fait à la science ? La
science
! qu’y a-t-il de commun entre elle et eux? Celui-
s chercheriez en vain chez les magnétiseurs, indignes héritiers de la
science
antique. Entendez leur langage, voyez leurs actos
e reste à dévoiler. Le philosophe, s’appuyant sur les données de la
science
, a jugé comme elle, et tiré de semblables conséqu
qu'il existe ici une force, un moteur inconnu pour l’élude duquel la
science
des écoles ne peut nous fournir de méthode, puisq
s grandes découvertes se font autour d’eux par des enfants perdus des
sciences
et qui n’ont point suivi leurs conseils. Ils perf
analogue. « Messieurs, je pourrais répondre tout simplement quo la
science
n’a pas encore admis jusqu’ici, constaté, reconnu
ous en occuper. « Mais, messieurs, je ne me guide jamais d’après la
science
, mais d’après ma conscience; je crois donc fortem
« Eh bien, oui, par une protestation divine contre les formules de la
science
, qui date d’Adam, Dieu a voulu que cette force ex
opos de sa conférence du C : « Il a mis en émoi toute l’Aca-démic des
sciences
, en laissant tomber du haut delà chaire catholiqu
voulu frapper. Les législateurs d'alors pensaient qu’il existait une
science
médicale, et que ceux qui la possédaient offraien
en rien les arrêter. C’est au sein d’une société avancée, en face des
sciences
qui progressent, parce qu'elles sont positives, q
nquête sévère, s’assurer si les avantages offerts par celte prétendue
science
étaient supérieurs à sesinconvénients; rien de
tre à travers toutes les fissures sociales; la marche progressive des
sciences
, les merveilles de nos découvertes modernes, le g
vice encore, messieurs, pour oser me mesurer avec ces matadores de la
science
, si profondément versés dans la théorie, si longu
nsports de notre enthousiasme, contre les ineffables séductions d« la
science
dont nous sommes les apôtres, et des mira- des
llustres hôtes de la rue de Poitiers, pour les amener à penser que la
science
qui offre de tels prodiges vaut bien la peine d’é
prodiges vaut bien la peine d’élre étudiée... Mais, que dis-je? cette
science
, ils la reconnaissent fatale à leurs intérêts; il
écolier timide, mais d’une foi vive; qui, enseignant aux médecins sa
science
, son art, comme jadis le néophyte chrétien prêcha
n faire comparaître le magnétisme à la barre d’un tribunal? 11 fut la
science
médicale révélée dans les mystères de l’antiquité
ur le magnétisme. 336 Paralysie rhumatismale guérie. 3 Principe de la
science
(du), 67
e toujours fatalement voué îi la perdition des âmes. L’auteur de la
Science
chrétienne de communiquer avec les esprits, le pi
s principaux ecclésiastiques de son diocèse, y employèrent toute leur
science
, se livrèrent, à force de con- nier les effets
. Home, ce jeune homme si frôle, si peu faiseur et si peu initié à la
science
des prestiges, est bien loin d’être un magnétiseu
es effets surprenants que j’obtiens continuellement à l’aide de cette
science
. Parmi les phénomènes les plus curieux que j’ai
qui est arrivé, c'est ce qui arrivera au magnétisme jusqu’à ce que la
science
officielle lui ait donné droit de cité, et ce tem
aircir d’être examinée sérieusement, minutieusement par les faits, la
science
magnétique et une expérience soutenue. fclus sé
hés, le» objets que nous avions magnétisés. Pour quiconque connaît la
science
de Uesmer, ce phénomène est considéré comme uo de
mmes encombrés de mémoires, de récits de faits, de théories sur cette
science
divine que notre époque voit naître. Sans exclure
erait interdit de prétendre. M. Eustis, professeur à la faculté des
sciences
de l’université de Cambridge (Massachusetts), acc
rai qu'un mot, c’est que» m’étant appliqué toute ma vie à l’étude des
sciences
naturel-les, j'ai appris, à l’heure qu’il est,¿co
ien réels., sont appçjés à modifier considérablement les idées que la
science
s’est .formée jasqu’ici de l’impénétrabilité des
j’ai toujours cru de mon devoir de chercher à faire pénétrer dans la
science
la doctrine des forces vives, et qu'aujourd’hui c
ignorance ou par de ridicules préventions, entravent la marche de la
science
nouvelle ! » Sans aucun doute « l’étude approfond
ment en France que la presse périodi que s’occupe de magnétisme et de
sciences
occultes, En Italie, le journal ultra-catholique
la vérité et de ceux qui la défendent; son absence de dévouement à la
science
; enfin, c’est qu’il n’a à cœur que son propre su
t resté. Baron du Potet. BIBLIOGRAPHIE. te Monde spirituel ou
Science
chrétienne de communiquer intimement avec les pui
ême offrent de les reproduire et s’en font un moyen de conviction. La
science
est donc appelée à vérifier ces faits, à en scrut
l’état actuel de nos connaissances, ce n’est pas un fait acquis à la
science
; et tout en rendant hommage à la véracité et aux
que des faits plus nombreux et surtout bien observés permettent à la
science
de formuler la loi qui les régit. Nous avous seul
piritualiste où se sont trouvées pres-puesque toutes les sommités des
sciences
occulte* , «fqüi JoUrt d'une certaine célébrité.
it que d'un roman, la satisfaction serait complète. Mais il s'agit de
science
, et la raison demande ce qu’il y a de réel dans c
e succès que devrait lui assurer le mérite de l’auteur. Les hommes de
science
y verront un livre de dévotion et regretteront qu
et complètes du procès ; et il serait à désirer, clans l’intérêt des
sciences
psychologiques et magnétiques que l’on entreprît
grande faute, car c’est le plus grand abus qui puisse être fait de la
science
, niais nul, de nos jours, n’oserait dire que ce
gné. On savait que ce cheval avait été destiné à la cavalerie, que la
science
des écuyers de l’armée avait vainement tenté de l
mais, soit qu’ij ne fût qu’incomplètement initié dans la mystérieuse
science
de son père, soit qu’il fût incapable de la mettr
ît la structure. Ici rien ne semble lui échapper, et le travail de la
science
a été immense. La richesse réelle abonde. Puis le
es germes, et l’électricité a semblé venir couronner les œuvres de la
science
, puis le calorique, que sais-je encore ! On oubli
’acception de mauvais esprit ; d’où 011 a fait démonologie, traité ou
science
des Mànifestations des démons ou des esprits quel
ns. (Gaz. des Tribunaux.) EXPÉRIENCES SUR LA LUMIÈRE. L’Ami des
Sciences
du '29 novembre dernier contient un article fort
lois naturelles ; elle est même en harmonie avec les conquêtes de la
science
, et elle ne suppose ni magie noire ou blanche, ni
s tous les faits obscurs que l'intervention des esprits. Toutes les
sciences
se lient ; ainsi les limites qui séparent la magi
ui sépare la physiologie de la psychologie , se trouve entre ces deux
sciences
; le magnétisme n’envisageant que les forces natu
sons entra ces deux noni9 : M. Jean Reynaud, également versé dans les
sciences
exactes et dans les études historiques, piofond p
euvent rester étrangers à «ne des branches les plus importantes de la
science
. Nous allons mentionne r les articles publiés,
es sous la tour principale : tout le pays est en émoi. 4° L’Ami des
Sciences
du 31 janvier contient un article extrait de Y Un
ntionné ces faits étranges qui demandent confirmation. 5” L’Ami des
Sciences
du 29 novembre dernier contient une lettre de M.
t qui, dans ses nombreux et volumineux ouvrages, traite de toutes les
sciences
et discute à fond les questions les plus ardues.
ue chaque parti ait ses champions et fasse valoir tous ses moyens. La
science
ne peut rester indifférente sur les faits bizarre
nt du moins cette intervention; d’un phénomène inconnu jusqu’ici à la
science
ou dont la cause ne fût pas immédiatement assigna
, et qu’au lieu de travailler, comme il le pourrait, au progrès de la
science
, il tende (peut-être à son insu) à fonder une sec
pelés auprès de lui employèrent en vain toutes les ressources de leur
science
, ils ne purent parvenir â faire cesser cet état f
s’immolant pour les autres par charité, on ne peut rien faire sans la
science
. J’ai fait davantage pour ce pauvre limmiie e
ue le spiritualisme a déjà de profondes, racines et que les hommes de
sciences
sont tout prêts d’accueillir les nouvelles vérité
rent de celui des organes ; qu’on ne peut constituer véritablement la
science
de l'homme sans admettre la dualité du dynanisme
, comme oa le pense bien, danace dûr maine qui n'est pas. celui de la
science
. « Il nous suffit de montrer que; dans l’homme,
LÉMIQUE. LE SPIRITUALISME. Le spiritualisme est un chapitre de la
science
magnétique, comme le somnambulisme et comme la cl
us communs; ils frappent les sens et sont destinés à faire marcher la
science
en portant la conviction dans les esprits. Les fa
urs. Enfin le spiritualisme, qui forme la partie la plus élevée de la
science
, peut être comparé à la tête. 11 nous ouvre des h
nt grave quand il se produit de la part d’un homme qui occupe dans la
science
magnétique une position officielle, et qui, par c
fausses idées sur les esprits et leur situation. On leur a.prêté la.
science
infuse et des connaissances certaines sur toutes
gnétiques ne doivent leur réussite qu’à la même cause que le magisme (
science
tout à fait ignorée par les magnétiseurs). C’est
le mot magisme que vous employez à chaque ligne? Qu’est-ce que cette
science
universelle à laquelle vous promettez de nous ini
qu’elles renferment une foule dü membres désintéressés , dévoués à la
science
et à l'humanité, et qui journellement répandent l
opager, c’est que l’étude est superflue, vu que «Dieu seul accorde la
science
et la connaissance des choses à tout homme de bie
Baron du POTET, propriétaire-gérant. ÉïUüES ET THÉORIES. I.A
SCIENCE
MAGNÉTIQUE. Quatre forces immenses qui sont par
sont prouvées mathématiquement et ne sont nullement contestées par la
science
. Or, bien loin de renverser les murs , non seul
des propriétés reconnues comme essence de la matière. Cependant, la
science
n’est pas encore assez avancée pour se prononcer
interrompue et enchaînée pendant des temps considérables , et que la
science
actuelle ne peut déterminer. Elle paraît adhérer
es dus à cet agent invisible qui sera bientôt le sujet d’une nouvelle
science
. Je ne dirai que quelques mots de la dernière s
e étude approfondie en ait été faite, et qu’il soit élevé à l’état de
science
, on en verra alors les résultats incomparables et
e a dit : « Attendez que l’affinité naturelle de la religion et de la
science
les réunisse dans la tête d’un seul homme de géni
nt-Pétersbourg.) Lorsque le magnétisme animal sera élevé à l’étatde
science
, la parole prophétique de Joseph de Maistre sera
pas induire en erreur ceux qui veulent vous suivre dans l’étude delà
science
de la nature, soit en leur livrant comme sanction
ne pas éloigner les intelligences habituées à gravir les degrés de la
science
par les études d’analyse plu tôt que les vues de
tous les temps. Voilà bien le magnétisme et le somnambulisme! Mais la
science
qui commença par la compilation des tablettes des
e utilisées par des opérations de l’intelligence, c’est-à-dire par la
science
. Pour vous, les savants, et les médecins surt
avants, et les médecins surtout, sont dans une erreur complète ; leur
science
est, illusoire et chimérique, et vous voulez y su
science est, illusoire et chimérique, et vous voulez y substituer la
science
intuitive et la puissance de la force vive qui l'
z donné toutes vos facultés au magnétisme, vous fait juger les autres
sciences
avec une partialité injuste, et votre langage, mo
imoine, l’arsenic, le. mer- cure, le soufre dont la chimie, cette
science
positive sortie de l'alchimie, a su faire des age
ésultat qui sera le retour de la santé. La médecine existe donc comme
science
et comme art, il faut l’admettre ; mais, par cela
ence et comme art, il faut l’admettre ; mais, par cela même qu’il y a
science
et art, il y a aussi des savants et des artistes
y a aussi des savants et des artistes bons et mauvais. Et puis cette
science
et cet art n’ont-ils pas pour but un objet irréal
euglement qui ressemble à l’exagération que je viens de reprocher, la
science
officielle nie qu’il y ait d’autres forces que ce
s que les substances médicinales opèrent. Le magnétisme, qui est la
science
de ces deux forces, l'âme et la vie ou l'agent vi
truire la médecine ; loin de là, cherchez à opérer l’alliance de deux
sciences
qui ont le même objet pour étude et pour applicat
de la vérité. Or, il faudra nécessairement que ces deux parties de la
science
de l’homme se retrouvent, après avoir été séparée
cles. Si la médecine et le magnétisme peuvent faire alliance, comme
sciences
, en peut-il être de même pour l’homme? c’est-à-di
raux de l’âme s’oblitèrent et l’homme ne voit plus que la terre. La
science
physique ne produit plus qu'une fausse civilisati
lle pour le merveilleux, pour l’inexplicable, pour ce qu’on nomme les
sciences
occultes; je me défie singulièrement des tours de
j’en reconnais au contraire les vertus; mais c’est ici surtout que la
science
fait défaut (je ne dirai rien de plus), ma thèse
présentes, que M. limnei de Ballans m’a traitée par les moyens de la
science
magnétique d'une amaurose avec engorgement de san
e sept ans, a été traitée par M. Brunei de Ballans par le moyen do la
science
maguétique, d’une affection de surdité qu'eUe ava
chose d’inconnu entre Dieu et l’homme, et la dignité de celui-ci, sa
science
, son bonheur consistent à pénétrer ce mystère imm
naît pas, et cette ignorance de la première et la plus importante des
sciences
, fait de sa vie une continuelle contradiction ; a
e> que la chimie et la physique offrent de transcendant, ce que la
science
médicale nous présente de plus parfait, si ce n’e
yons si l'on peut exclure l’autre. Elle est née d’hier cette grande
science
que nous connais- sons, i t. chaque jour nous
es bouleversaient les coutumes, les constitutions, les religions, les
sciences
et les arts des nations , les deux livres gardés
s rejeter, l’intelligence humaine refaisait religion , constitutions,
sciences
, chez chaque peuple, variant les principes suivan
au-dessus des facultés humaines, àcause de l'ignorance relative de la
science
de l’homme, proscrivit ces faits et principes com
s, comme je viens de le montrer, los plus intimes rapports avec votre
science
? Ce que vous n’admettez pas, c’est son origine d
tisme et le catholicisme la même alliance qu’avec la médecine. Toute
science
qui est vraie émane de Dieu. et les vérités, mani
t général, que les manuels consacrés à l'exposition sommaire de cette
science
répondent à un véritable besoin et se multiplient
n, A lous ceux enfin qui voient dans le magnétisme une rénovation des
sciences
, un progrès de l'humanité vers le bien, nous rapp
ait le jury, sinon tout entier, du moins représenté par ses chefs. La
science
vraie et l’intelligence, dans tout ce qui a rappo
par les lois communes ; d’autres magné-tistes, enfin, sans récuser la
science
, pensent que la foie t le dévouement suffisent po
n faut-il davantage? (.'est à nous de faire et d’établir notre propre
science
et de montrer que celle-ci est féconde en bienfai
e, je ne puis rester froid en présence d’une œuvre de mes mains. La
science
officielle n’offre rien de comparable; ses discip
rtes, car ce n’est qu’à coup d’hommes et à coup de générations qu’une
science
se fonde. La nôtre a commencé par l’initiation de
emande plus qui ils sont, on leur dit : Prenez tous ce pouvoir que la
science
officielle dédaigne, faites-en l'instrument ctu b
urent donc et voient au-delà de notre temps le magnétisme honorant la
science
et la science lui rendant hommage, le regardant c
voient au-delà de notre temps le magnétisme honorant la science et la
science
lui rendant hommage, le regardant comme la clef d
nne nouvelle de la fraternité universelle, qui osa démasquer la vaine
science
de la synagogue (c’est-à-dire l’académie d’alors
e qui était certainement dans le vœu de chacun. / A l’union DE LA
SCIENCE
ET DU MAGNÉTISME ! Le vœu que je viens énoncer
yez pas. Les corps scientifiques, qu’il ne faut pas confondre avec la
science
elle-même, gardiens et conservateurs des sciences
as confondre avec la science elle-même, gardiens et conservateurs des
sciences
faites, sont en môme temps d’admirables instrumen
de leur institution, toute découverte leurestsuspecte. Habitués aux
sciences
parfaitement constituées, où l’erreur et la vérit
x dans de vieilles outres; il les ferait éclater. » C’est qu’aucune
science
humaine ne peut apparaître entière et d’une pièce
t les savants de profession. Il faut donc, de toute nécessité, qu’une
science
nouvelle se constitue par elle-même avant de conq
un grand pas encore à faire, c’est de constituer le magnétisme comme
science
positive. D’ailleurs, les circonstances sont chan
ions, il doit arriver à la phase de maturité , et se constituer comme
science
. 11 lui faut maintenant grouper el peser les fa
nis. Au sentiment ! A la raison ! A la foi ! .A l’union de la
science
et du magnétisme ! M. Petit d’Ormoy, écouté ave
us. J’en appuyé « la pensée sur le sentiment et sur les notions de la
science
:i d’autrefois, que la science d’aujourd’hui, peu
le sentiment et sur les notions de la science :i d’autrefois, que la
science
d’aujourd’hui, peut-être à son « insu, tend à san
dont les combinaisons et les modifications séculaires produisent les
sciences
, les lettres et les arts. Là, sont les sources vi
Elle vous montrera le port. Dans le grand livre ouvert d'éternelle
science
Du monde vous verrez les flux et les reflux. He
avec persévérance La fâcheuse incrédulité; Nous avons pour nous la
science
, L'avenir et la vérité. Combattant l'erreur e
clusif ou d’une caste; il est pour tous ceux qui rechercher.; la
science
: il est pour tous ceux qui souffrent, comme l’ai
.... Je sens qu’on ne doit pas encore soulever le voile qui couvre la
science
, bien peu cependant comprennent le vrai sens des
présent si peu catholiques. Répandons, universalisons l’esprit de sa
science
; elle résume l’affirmation, elle divulgue la dém
ue, j'en signalais la nécessité dans l’intérêt du développement de la
science
nouvelle, j’en demandais l’érection il va trois a
le pour écouter avec recueille-mentles instructions familières sur la
science
nouvelle, suivre attentivement les expériences et
s laits, on recueillait tous les renseignements propres à enrichir la
science
, on se livrait à des discussions sur la nature de
e sur une base solide et à le faire accepter définitivement comme une
science
indubitable. Nous devons, en terminant ces obse
gnaler comme un progrès la reconnaissance de cet état par un homme de
science
. Il se trouve encore des docteurs, des académicie
ettre de côté tout ce qu’ils ont déclaré impossible, tout ce que leur
science
infaillible a condamné. M. Lévêque, au contrair
gues étrangères ou inconnues. « Relativement ¡t ces faits, dit-il, la
science
se pose deux questions : Sont-ils certains? Ont-i
égard, s’il veut étudier plus à fond cette branche si curieuse de la
science
de l’homme, il trouvera les attestations les plus
re malade et à ce fou, vous qui doutez si souvent du témoignage de la
science
ou d’une raison saine?... » Ici l’auteur se met
t ce qui échappe à la vue ordinaire ; il y a là des merveilles que la
science
ne peut expliquer, et en môme temps une source de
s, et sous bien des rapports avec juste raison, an premier rang de la
science
. 11 faut que la vérité,-ou ce qui brille à vos ye
ères modernes (1) L'Anlechriit, p. 76. (ï) Histoire el traité des
sciences
occultes. Il en a été rendu compte dans ce journa
ns occasion de revenir sur ce sujet qui est, dans l’état actuel de la
science
, un des points les plus délicats à élucider. Re
ulager qui que ce soit dans notre pays de libertó où l'on prive de la
science
quiconque se permet d’appliquer la main sur son s
les expériences et écoutant votre parole, ont pu s’initier ainsi à la
science
du magnétisme ! que de reconnaissance ne vous doi
! digne apôtre de ce grand homme. Gloire à tous les suivants de cette
science
divine !... Les guérisons par l’imposition de la
e et le somnambulisme étaient appelés à devenir deux belles et bonnes
sciences
. » Nous avons enregistré avec joie cet aveu d’un
importance s’accroît de jour en jour, et qu’il n’est plus permis à la
science
de dédaigner. Dans une des spirituelles causeri
s lettres échangées à propos du magnétisme et insérées dans Y Ami des
sciences
, en y joignant de longues et lourdes missives don
pport, ils ont prêté le liane à l’adversaire du magnétisme ; mais une
science
ne peut être responsable des écarts de quelques-u
és à tort de faire de l’or, s’ensuit-il que la chimie ne soit pas une
science
positive ?... M. Mabru a voulu par ses citations
ce n’est qu’un exercice de curiosité, qui offre de l’intérêt pour la
science
sans cloute, mais cet intérêt est fort secondaire
A. S. Mobin. Baron du POTET, propriétaire-gérant. PROGRÈS DE LA
SCIENCE
. La science officielle vient lentement au magné
Baron du POTET, propriétaire-gérant. PROGRÈS DE LA SCIENCE. La
science
officielle vient lentement au magnétisme, mais en
le arrivera avant la fin des temps. Nous donnons un article sur les
sciences
, extrait du jour-jiai L'Union, qu’on ne lira pas
tement différentes ? (Voyez Cuvier, au mot Nature du Dictionnaire des
Sciences
naturelles.) Au reste, la question de savoir de
e quelle nature est l’agent nerveux, est un point fort obscur dans la
science
: « Il y a « grande apparence, dit Cuvier, que c’
se d’expérimentation véritablement scientifique. Je m’explique. Les
sciences
d’observation ont chacune un fait primitif qui le
à volonté. Ce n’est qu’à cette condition que le fait est acquis à la
science
et qu'il peut servir de base et de point de dépar
ire dans le domaine scientifique. Voilà donc le fait primitif de la
science
de l’électricité : des corps légers sont attirés
rtion de leur système nerveux céphalique. Voilà comment se fonde la
science
, et comment elle se développe et s'établit. Mai
ais, encore une fois, il faut que les faits qui servent de base à une
science
en se déduisant les uns des autres, soient d'une
de l’ordre scientifique. En 1844, M. Arago prononça àl’Académie des
sciences
un long éloge de Bailly, dont la publication n’eu
’attention, dans la bouche d’un homme si expert dans les choses de la
science
et qu’on ne trouva jamais occupé à labourer le ch
doute est une preuve de modestie, et il a rarement nui au progrès des
sciences
. On n’en pourrait pas dire autant de Y incrédulit
t par tous ceux qui se sont tenus au courant des derniers progrès des
sciences
physiques, -l’ai indiqué des faits, des rapproche
touche un point tout-àrfait neuf de la médecine légale. Car si cette
science
est aujourd’hui fixée à cet égard, pour ce qui es
es devant un certain nombre de témoins, non-seulement il enrichira la
science
de faits nouveaux, mais encore, grâce à ses espri
forme d’épigraphe,— il importe, ce me semble, de rechercher ce que la
science
médicale, de concert avec les autres sciences, pe
de rechercher ce que la science médicale, de concert avec les autres
sciences
, peut pour la démonstration de la vérité philosop
vérité philosophique et religieuse. » C’est donc pour concilier la
science
et la religion, jusqu ici réputées adverses, que
plupart d entre eux sont matérialistes, la faute n’en est point à la
science
, mais à eux-mêmes qui, en l’interrogeant, ne save
aux ministres du culte que, nonobstant toute prévention contraire, la
science
bien comprise est en puissance virtuelle de prête
i portons au- (1) Voici l'opinion exprimée par une notabilité de la
science
médicale, — M. le docteur Bonnet, professeur à l'
vérités les plus hautes et les plus nécessaires à l’homme. Quand les
sciences
profanes touchent aux sujets que la religion a ma
ans la vérité où l’on se repose sans crainte, en démontrant que cette
science
bien connue apporte, comme toutes les autres, sa
en. franchissent avec tant d’irrévérence les bornes posées par la
science
et la philosophie, que l’on serait tenté de leur
ts, place bien au-dessus de lui la médecine ; il lui semble que cette
science
a une valeur près de laquelle le magnétisme doit
e des écoles ne sera un jour que l’auxiliaire du magnétisme, de cette
science
qui se fonde seulement maintenant. Mais ces discu
t ayant pour titre Essai de médecine pratique. Baron du Poïet. « La
science
médicale est loin d’être une science positive ; c
pratique. Baron du Poïet. « La science médicale est loin d’être une
science
positive ; car la plupart des faits sur lesquels
58. M Oui, la médecine, cet art scientifique, est loin d’être un»
science
positive ; elle n’a encore aucun code de. loi rec
ci voit dans la graine de moutarde la semence dï l'arbre entier de la
science
médicale. Celui-là préconise le mercure comme l
est toujours avec soin que nous analysons les livres écrits sur cette
science
. A quoi bon, en effet, discuter la valeur d’un
, etc. Nous leur avons tourné le dos, car c’était sans profit pour la
science
qu’on produisait des faits devant eux ou seulemen
à ceux qui sont initiés à ces mystères, aux adeptes de cette nouvelle
science
, de me dire si ce sont les esprits qui m’ont myst
, montrer notre néant et mettre en évidence et dans tout son jour la
science
du médecin, en montrer les funestes résultats sur
cautères ou des sétons : enfants, le même sort vous attend, c’est la
science
de ces temps qui le veut ainsi ; elle changera, m
cultés de l’âme humaine recevront leur développement, et la véritable
science
naîtra. Baron Du Potet. (La suite au prochain
physique et de psychologie. Les données fournies en même temps par la
science
, la raison et la foi, nous paraissant indispensab
r ici le rôle principal. Préjugés. Dans tout ordre de vérités et de
sciences
, le savant comme l’ignorant, doit avant tout se d
e sentiment universel pour se rapprocher des résultats nouveaux de la
science
! Le préjugé, ce prisme trompeur de notre intelli
ous croj ons pouvoir enjchercher l’origine dans l’électricité, que la
science
actuelle admet, au moins à l’état latent, dans ch
dont la première paraît être un agent très-subtil, et connu clans la
science
sous les divers noms de fluide nerveux, vital, él
aison froide et d’un esprit éclairé, s’occupent sérieusement de celte
science
à Paris, à Lyon, à Bordeaux, à Cherbourg, dans to
t aussi occasionner des accidents et engendrer des maladies, selon la
science
ou l’ignorance, les dispositions physiques ou mor
os faits, qui furent alors soigneusement examinés et consiatés par la
science
; les magnétiseurs zélés et studieux trouveront da
’électrisation humaine ne pourrait jamais se présenter au monde comme
science
ou comme une démonstration précise et satisfaisan
s, jusqu’à meilleure explication. D’abord, dans l’état actuel de la
science
, il est généralement reconnu et moralement certai
peu contestable, mais encore et toujours, d'après l'état actuel de la
science
, on ne peut s’empêcher de reconnaître l’identité
a sensibilité et du mou veinent; mille faits le constatent. . 3° La
science
physique et chimique proclame aujourd’hui comme p
ordinaires. Cela ne prouve-t-il pas que l’action du démon, dans cette
science
, n’est qu'une crainte, respectable sans doute, ma
lésiastiques, également recom-mandables par le double caractère de la
science
et de la vertu, parmi lesquels nous distinguons d
geance accoutumée. « Ce que la Gazetta a combattu, c’est une fausse
science
magnétique, une doctrine erronée, un art dont se
dre dignes de plus d’attention que ne leur en accordent les hommes de
science
. Or, pensant en moi-même que la magnétisation pou
e doit être étudié plus qu’il ne l’a été jusqu’ici; que les hommes de
science
n’aient pas l’arrogance de nier ce qu’ils ne peuv
a empêché cette partie de la physio-pathologiede s’élever au rang des
sciences
; ils l’ont laissée ton ber aux mains des charlata
ont eu aussi le mérite de recueillir et de répandre une vérité que la
science
en robe a repoussée sans raison, a refusé d’exami
dre et de mettre fin à cette inconcevable désunion. Il est tempsquela
science
cesse de dédaigner les bommes de bonne volonté qu
avouerais s’il en eût été autrement, car on doit toute la vérité à la
science
. Peut-être encore est-on loin de connaître tous
t à chercher laborieusement les résultats que l’on peut obtenir d’une
science
merveilleuse qu’on appelle le magnétisme. Cependa
que cela. Ils ne veulent pas qu’on ait une pareille opinion de la
science
qu’ils étudient. — On leur reproche d’avoir prono
sont deux hommes qui, loin de tromper, cherchent à s’éclairer sur une
science
vers laquelle aujourd’hui semble attirée l’attent
un sage règlement le soin de la santé publique avec les droits de la
science
et les intérêts du progrès. A. S. Mobin. FAIT
cause échappe , de là ces impuissants remèdes. Voyez-là cette fausse
science
rejeter ce magnétisme humain qui répand une s
rigine môme de nos pensées. Elle devrait aller jusqu’à prévoir, cette
science
que nous combattons, à peine reconnaît-elle maint
e familière à tous les magnétiseurs, pour moi, je suis novice dans la
science
, et tous mes pas sont une suite d’enchantements.
ur savoir ce que j’en devais penser et asseoir mon jugement sur cette
science
. Mon heureuse disposition d’esprit fut récompensé
a vérité, Ce sujet a singulièrement facilité mes premiers pas dans la
science
; c’est sur lui, endormi ou éveillé, que j’ai ess
ttaquer tant nous avons la crainte de nuire au développement de notre
science
dont le progrès, quoique lent, n’en est pas moins
ens hfroiqnes .-j’avais, en effet, épuisé toutes les ressources de la
science
allopathique. Tel était donc le sujet que je so
nt perdues de vue, et que leur oubli peut compromettre l’avenir de la
science
, quelquefois même le repos des individus. Le magn
quelquefois même le repos des individus. Le magnétisme n’est pas une
science
mathématique; il y a des erreurs assez fréquentes
phie de son ancien ami Voltaire; il avouait des progrès dans quelques
sciences
naturelles, moins importants qu'on ne voulait le
, disons-le, est atteint d’une de ces maladies propres ii dérouter la
science
du plus habile praticien ; il a toujours pu couri
. La» première fois que je fus admis dans une de ces retraites, où la
science
, courageuse flt opiniâtre, va chercher les secret
lle est la base de toute métaphysique d’accord arec l'état actuel des
sciences
. Le principe sur lequel repose la mécanique et pa
principe sur lequel repose la mécanique et par conséquent toutes les
sciences
qui s’appuient sur elle, savoir : que ta matière
ent différente ne sauraient agir l’un sur l’autre. » (Philosophie des
Sciences
, 2* partie, p. 167.) Voilà assurément un puissa
ce d’une quantité innombrable de faits d’une variété infinie, dont la
science
n'a pas encore pu donner l’explication, quelle qu
ucune puissance ne parviendrait à étouffer ces foyers d’où rayonne la
science
. Même pour les découvertes à venir, ce serait une
enties par un ensemble de faits qu’on peut regarder comme acquis à la
science
. ,, Si, dit-il, vous altérez chez un homme la
d’œuvre se montre dans sa sublimité. Cette contemplation conduit à la
science
, et, nous l’avons dit, à la sagesse. Les sava
ns expliquer. S’ils attendent pour faire entrer dans le domaine de la
science
qu’on leur dise ce qu’est ce magnétisme; qu’on le
’a trouvé en défaut, il a toujours répondu exactement à ce que la
science
et l’observation avaient constaté. Inutile de dir
drait d’émi-nents servies, car tout le monde ne lit pas les litres dé
science
, cela coûte trop cher ; et tout le monde lit les
f que le ministre de la guerre consultait dernièrement l’Académie des
sciences
sur les moyens à prendre pour isoler les poudrièr
i : Grand savant, illustre savant, illustrissime savant, prince de la
science
, etc., etc., et je leur dis: Je vais vous conduir
de l'optique que nous allons voir. Un troisième, plus avancé dans les
sciences
physiques, fait cette remarque qu’il n’y a aucun
gradant; je n’ai point rougi d’un apostolat commençant aussi bas : la
science
d’en haut devait ainsi descendre pour se faire co
volumineux réquisitoire que M- G. Mabru, « lauréat de l'Académie des
sciences
, » a dernièrement lancé contre le magnétisme, sou
r de charlatan, M. Mabru 11e veut rien entendre; quoiqu’il soit de la
science
et tienne pour ses plus antiques errements, le di
s dont je viens de parler, et qui sont les plus mortels ennemis de la
science
dont ils se prétendent les prêtres, je l’eusse vo
puis des lois sérieuses venant donner un frein à l’exercice de cette
science
nouvelle, si salutaire en des mains prudentes, si
er de sa lucidité et du pouvoir magnétique. Soyez convaincu que cette
science
triomphera en dépit de toutes les persécutions, e
est un homme du monde qui parle. Or, que me fait à moi, que fait à la
science
l’opinion d’un homme du monde? » Soit, et puisq
oute est une preuve de modestie, et il a rarement nui aux progrès des
sciences
. On n’en pourrait pas dire autant del'incrédulité
urtout par ceux qui se sont tenus au courant des derniers progrès des
sciences
physiques. •> Est-ce clair ? J’en demande bi
tout en s’abstenant de prononcer un jugement formel et décisif sur la
science
et le principe du magnétisme animal, elle reconna
ins. On lui dit alors que le médecin venait d’ordonner la quinine (la
science
allait combattre le symptôme et non le mal). La s
s serez plus heureux, et votre clientèle aussi. En attendant que la
science
médicale en vienne à cette réforme, à ce progrès,
nce et persévérance. (Suite.) A. B. C. 1). Ba, Be, Bi, Bo, Bu. La
science
morale de nos jours en est encore à cet alphabet,
nous avions entendu. 11 n’en est pas de même de l’enseignement des
sciences
, celles-ci reposent toujours sur un petit nombre
ut entière. Dieu n’a-t-il pas mis dans l'homme une clarté divine, une
science
innée ? ne l’apercevons-nous point dans le somnam
’architecte viendra bientôt. Ce temple élevé devra abriter toutes les
sciences
et offrir à la vue tous les chefs-d œuvre. Quelle
ndez avoir les principes, les éléments d’une « branche neuve dans les
sciences
, faites votre science « vous-mêmes, nous suivons
s, les éléments d’une « branche neuve dans les sciences, faites votre
science
« vous-mêmes, nous suivons notre voie. »Les physi
l’autre? Ou bien le livre vainement rêvé par les précurseurs de la
science
moderne, — les alchimistes, — le lien qui a échap
s avec t’Od; puis , deux brochures sur le même sujet; enfin l'Ami des
sciences
, du 14 novembre , annonce qu’une dernière brochur
ains lucides. On voit quel intérêt l’étude de ces questions a pour la
science
magnétique, et combien de pareilles observations
’abord à être élucidées, si le mesmérisme voulait se'constituer comme
science
. Les expériences de M. de Reichenbach, difficiles
connu. Mais dans l’introduction que vient de reproduire X Ami des
sciences
, l’auteur 11e mentionne plus le procédé d’appréci
’embarras et faire cesser ce tableau alarmant; vous, avec toute votre
science
officielle et séculaire, n’en savez rien, vos moy
. » Autre document de la môme dame: «Gustave 111 croit beaucoup aux
sciences
occultes, et je l'ai entendu assurer qu’il y avai
disait-on, des formules et des serments écrits avec la passion de la
science
, l’amour du merveilleux et surtout de l’inconnu (
’égalait son impiété et son libertinage, si ce n’est sa crédulité aux
sciences
occultes. 11 demandait les secrets de l’avenir à
s premiers essais, et dès ce moment je devins un fervent adepte de la
science
nouvelle. Ma conversion a été aisée ; je n’avai
i a parfois son avantage, surtout lorsqu'il s’agit de s’initier à une
science
nouvelle. J. J. Rousseau disait : « Si les sava
rde son sérieux. » L’histoire du magnétisme et le rôle qu’y a joué la
science
, ne semblent-ils pas confirmer ces paroles, dans
orance, aux préjugés et aux passions égoïstes des représentants de la
science
? Je viens, monsieur le barou, vous rendre comp
eur le barou, vous rendre compte de mes premiers pas dans cette belle
science
dont vous ôtes le plus vaillant champion, comme l
nouveaux pour vous. Mais je crois qu’on doit, dans l’intérêt de toute
science
nouvelle, rassembler les faits, les classer, les
nt ainsi du particulier au général, du simple au composé, on place la
science
sur des bases inébranlables et on parvient à form
t toujours grossissant et toujours plus menaçant du charlatanisme. La
science
, débordée par les faits, finira par se rendre à l
éculation métaphysique (qui depuis quelque temps semble travailler la
science
), car aucune théorie ne saurait renverser des fai
philosophie , littérature, les beaux-arts , et nous prendrons dans la
science
un tout petit point, celui qui intéresse la médec
t, celui qui intéresse la médecine. C’est à cette par- lie île la
science
générale qu’il faut appliquer surtout ce que. nou
que. nous avons dit au début de notre article ; il est vrai que cette
science
ne doit admettre qu’après de longs el minutieux e
i vouent leur temps et leur intelligence au progrès de cette nouvelle
science
! Nous pourrions citer les exemples nombreux d’o
ctrique vital. Pourquoi donc la docte assemblée des princes de la
science
médicale repousse-t-elle systématiquement cet age
s mêmes eil'ets, ne peut causer aucun mal? Pourquoi les princes de la
science
aiment-ils. uiiûiu suivre une route üaeùe depuis
ncernant le magnétisme serait rejeté par elle comme à l’Académie des,
sciences
on rejette toute solution de la quadrature du cer
un grand service à l'humanité et vous ferez faire un grand pas à la
science
médicale. Bernard. ENQUÊTEiSUR LE SPIRITUALIS
n’aboutissent souvent qu’à des déceptions. Toutefois, il importe à la
science
de découvrir le dernier mot de cette énigme. Nous
l’impuissance des commissions est. démenti par l’expérience dans les
sciences
d’observation; des commissions ont rendu de très-
tit nombre d’amis, n’ont pas assez de poids pour être acquis à la
science
: quand il s’agit de choses aussi prodigieuses, u
s’il emploie quelque nouvelle découverte dont il enrichi- rait la
science
. Quand l'assemblée connaîtra sa clef, il est bien
pourra résulter de leur alliance, par M. le docteur Charpignon, 241.
Science
(la) médicale. Avec scs sys-tèmes divergents et l
ts entre les remèdes et les maladies, la médécine est loin d’être une
science
positive. Extrait d'un ouvrage intitulé : Essai d
e, par Allen Putnam. Simple mention, 219. Monde (le) spirituel , ou
science
chrétienne de communiquer intimement avec les pui
nous ne pouvons l’attribuer qu’aux profonds mystères dont toutes les
sciences
étaient alors entourées. La médecine somnam-buliq
rs intérêts les plus chcrs pour se livrer entièrement à l’étude d’une
science
appelée à rendre les plus grands services à l’hum
z votre formule exacte. Ainsi fit Pylhagore, le grand fondateur de la
science
grecque; ainsi fit son analogue dans les temps mo
nter, parce qu’ils sont impuissants; (1) Introduction à Filial, des
Sciences
médicales, p. 08. (2) Des Erreurs et des Préjug
est impos-« sible de vous guérir ! « Suit un long panégyrique de la
science
du magnétisme et du mérite du nouveau docteur-avo
mes qui nient sans connaître. Je lui ai donné le goût d’étudier notre
science
, et il va sérieusement s’en occuper, etc... » R
fort intéressants. M. Jobert (de Lamballe), présenta à l’Académie des
sciences
, dans la séance du 29 avril i844 » une théorie tr
Principes. (3) Voyez le Comple-rendu des séances de l'Académie des
sciences
des 20 el 25 février 18«. (t) Physiol. méd. el
borieux expérimentateurs de leurs fatigues et de leur dévoû-ment à la
science
. Si les physiologistes qui se sont livrés parti
t (1) M. de Ilumholdl adressait la lettre suivante à (’Académie des
Sciences
, au mois d’avril 1819 : « Il vient de paraître
voulu suspendre mon jugement en ce qui regardait la réalité de cette
science
, jusqu’à ce que je sois à même d’en former un sur
ende-honorable et une réparation bien complète que je faisais à votre
science
(car vous la représentez), dans mon for-intérieur
sme animal. Je me promets bien des jouissances par l’étude de cette
science
, dans vos écrits, que je me suis procurés, et à v
é qui doit un jour, bien lot peut- être, en trer dans le domaine delà
science
. Je m’élève, comme vous, contre la barbarie, et j
tient que Dieu lui-même. Si je disais aujourd’hui : les principes des
sciences
sont faux, et que je pusse le prouver, j’au- ra
rces de Pierrot et autres amusements forains. 11 nous semble que la
science
magnétique et ses imposants phénomènes n’ont rien
déconsidérer la vérité magnétique par des jongleries que la véritable
science
dédaigne et flétrit justement. C’est, en effet, l
à ne pas l’admettre de.bonne foi. Pour combattre les ennemis de cette
science
qui naît à peine, qui révèle dans l’homme un nouv
els se sont opposés à la propagation du Magnétisme• Vital. Mais cette
science
qui porte eu elle-même la vérité , comme la vérit
: Si le Magnétisme était vrai, la Médecine serait une absurdité. La
science
du magnétisme animal est toute palpitante d’actua
: Doutez, expérimentez, voyez et vous croirez. Comment ignorer une
science
qui offre un si puissant intérêt à l'humanité tou
. C’est la médecine trop longtemps exilée de la famille par la fausse
science
des hommes, qui, comme un sacerdoce divin , puise
! Heureusement, l’histoire nous apprend qu’un jour vient enfin où la
science
officielle, après de longues et coupables résista
vert à nos sérieuses méditations, devant les effets merveilleux de la
science
nouvelle, qui confond notre raison, ren- verso
nt les théories renferment réellement le sens que nous attachons à la
science
magnétique ; sans parler, toutefois, des moyens d
ticence d’un philosophe dont les doctrines sont entrées au cœur de la
science
occulte, est bien coupable. Était-ce de sa part u
désirons qu’elle ne soit pas jugée pans intérêt par les adeptes de la
science
mesmérique dont elle retrace en partie les origin
historiques du mysticisme. Cet homme qui eut tant d’influence sur la
science
de l’antiquité ; célèbre comme magicien , comme d
comme magicien , comme devin et comme médecin, exaltait lui-même, sa
science
surnaturelle et son pouvoir d’évoquer les morts.
exandrie qui devint le centre des idées et le lieu de la fusion de la
science
de l’Orient et de rOccidenl. C’est là que la théo
avantage pour lo révélateur sué.-dojs. Profondément instruit dans la
science
philoBo*-phique, il »ni| beaucoup de aiéthode dan
en rapport avec l’homme, pénètrent dans sa mémoire et dans toutes les
sciences
de mémoire que l’homme possède. Ils s’approprient
es. Vous voyez bien, Monsieur, que vous donnez à la fois, par votre
science
superbe, la santé, la jeunesse,1' et, si j’osais
r deux praticiens également recommandables, ne peut que profiter à la
science
. Nous espérons donc que M. Perrier répondra ; et,
les rendre fluidistei. Assez privilégié dès mes premiors pas dans la
science
, je rencontrai les sujets les plus remarquables s
el rôle joue le fluide dans ces cas, qui appartiennent cependant à la
science
magnétique? De mes nombreuses observations, j’a
s se trompent, et abusent les pauvres d’esprit qui s’imaginent que la
science
divine est devenue le patrimoine du premier-venu,
e déjà fêlé, il rencontre l’obstacle imprévu qui le brise à jamais.
Science
, divine science ! hélas ! pour t’acquérir, il fau
rencontre l’obstacle imprévu qui le brise à jamais. Science, divine
science
! hélas ! pour t’acquérir, il faut subir bien des
pouvoir très-réel, qui ne laissait aucun doute ; mais ils avaient la
science
que nous cherchons tous. Ils étaient initiés, et
e (i) ' homme recomnandable sous tous les rapporls, dévoué à la noble
science
du magnétisme, a été attaqué dans son honneur et
des renseignements. Car, pour guérir, il n’est nullement besoin de
science
; la volonté, la pratique et le désir de faire le
t celte épreuve dans un but d’intérêt public, et pour l’honneur de la
science
, je vous fais une large part, puisque je ne vous
u’on veut lui faire considérer. Dans l’état encore si incertain de la
science
, la clairvoyance somnambulique est donc trop suje
les rejeter d’une manière aussi exclusive, dans l’état, actuel de la
science
. — Moi, j’ai d’autres idées. — Vous me permet
s ce à quoi j’engage toute personne qui aime à suivre les progrès des
sciences
physiques et physiologiques, c’est de lire les no
ent de se des-siner si inopinément sur le champ pur et lumineux de la
science
mesmérique : 11 ne faut pas croire, disais-je a
chés par le fait de l’action matérielle. Il n’y a aucune partie de la
science
de l’être en général, et de l’homme en particulie
âhord, 1* te- lation de ce fait, aussi rare que surpreuaut, avec la
science
dont s’occupe ce journal; cependant, devant l’imp
ce journal; cependant, devant l’impuissance de tous les moyens de la
science
médicale et de la persuasion ; devant cette vague
n d’une volonté puissante sur ces volontés si rudes, du reste; que la
science
magnétique,en un mot, après tant de tentatives in
côtés à la fois, soulèvent la plus grande question psychologique. La
science
est aujourd’hui dans le vide; mais le magnétisme
uses. Déjà un magnétiste de Lyon m’avait parlé, à mon début dans la
science
, de cette étrange faculté poétique qui s’élait ré
e ces faits, rattachés à d’autres , serviront d’utiles matériaux à la
science
mes-mérienne, qui n’est encore qu’oii son enfance
la science mes-mérienne, qui n’est encore qu’oii son enfance; à cette
science
sublime appelée ii régénérer l’humanité eu l’arra
l’âme, et que l’homme peut offrir non seulement des idées, mais des
sciences
innées. Elle ne conteste pas la nécessité d’un
parfois si nombreuse à la même époque , elle est si générale, que les
sciences
, les beaux-arts semblent disparaître de la terre
est remarquable par les découvertes, par les progrès dans toutes les
sciences
, c’est parce que le plus grand nombre des âmes so
s’avisa de se faire médecin; médecin, non d’après les principes de la
science
médicale, mais d’après des pratiques mystiques à
itait les malades par l’hygiène magnétique. Il dit avoir appris cette
science
en Allemagne. Il a su , de plusieurs personnes qu
petite fille malade, condamnée par les médecins ; il entend vanter la
science
merveilleuse de Riéder, et le prie de visiter son
abandonné; je crois qu’elle est morte, d'après la somnambule et la
science
. J’ai perdu mes enfants. Marié avec le ciel, ce
e céleste que l’homme peut obtenir quand il se conduit bien. C’est la
science
des prophètes et des apôtres. Ses moyens curati
nioscopie et l’astrologie médicale, et s’il n’a pas fait leloge de sa
science
. M. Bousquet, rédacteur du National boulonnais,
rie, ni l’art du devin. Il ajoute que le magnétisme est admis dans la
science
, que le tort de Riéder est peut-être de trop croi
mas du jour. « Nous pensons que, quiconque désire le triomphe de la
science
magnétique sera satisfait de ce qu’on a fait. Si
profilé aux indigènes, ils ont un intérêt direct à l’extension d’une
science
dont ils ne connaissent pas encore toute la valeu
Ce qui m’indigne contre cet aréopage d’impuissants et de félons de la
science
, c’est de voir que, tranquilles témoins d’un mouv
oudre? Où est la vigie qui signale le danger? Où sont les hommes de
science
qui, connaissant les principes nouveaux , soient
des littérateurs cé- lèbres qui prêtent leur puissant concours à la
science
de Mesmer. — L’Evénement, du 20 mars, annonce l
G. Bush. Nous serons étonnés de voir un homme aussi instruit dans la
science
de Mesmer, se laisser duper par un simple fait de
: l'ethnologie, l'astronomie, la géologie, la physiologie, et autres
sciences
qu’il ignorait profondément dans son état de veil
de trois Espagnols l’avait le plus impressionné. Quant aux livres de
sciences
, il n’en avait jamais lu un seul ; et lorsque, da
e. «Les esprits, dit-il, pénètrent dans la mémoire et dans toutes les
sciences
de mémoire que l’homme possède; et ils se les app
ages de ton peuple. » Maintenant, que les initiés aux arcanes de la
science
nouvelle, que.les magnétistes dirigent un rayon d
s du inonde des esprits : ce qui prouverait, une fois de plus, que la
science
mesmé-ricnne est une clef qui peut ouvrir bien de
cien culte à Jehové. Il ignorait donc complètement les mystères de la
science
naturelle, à laquelle ses chefs avaient pu se fai
our le peuple; l’autre, intime, pour le sacerdoce. Aujourd’hui que la
science
nous a émancipés, le sens intime, surtout celui
encore, on signale des velléités, des tentatives semblables; mais la
science
saura les déjouer et en démasquer le ridicule.
ouvraient d’offrandes leurs autels; et, ce colosse, baptisé du nom de
science
officielle, méprisait des ennemis qui semblaient
blez vous tous, hommes parés d’un vain titre! Yous tous, fêlons de la
science
! car le plus grand des crimes, c’est de celer les
ssieurs, honorer l’homme, le vrai philosophe qui posa les bases d’une
science
naturelle, qui, bien comprise, établit entre tous
moration et de rémunération, où de nombreux et fervents apôtres de la
science
humauitaire viennent, de toutes les parties du
as. « Quand nous voyons, dans ce qu’on appelle le monde savant, les
sciences
divisées, subdivisées , fractionnées à un tel poi
eur volonté? Rien ne résiste à leur puissunce, Et (lu livre de la
science
Us n'ont qu'à tourner les feuillets Pour en appre
pris l’existence dans les Facultés, était justement le principe d’une
science
nouvelle, et la cause du bien que ses mains avaie
« Puisque vous voulez bien me permettre, à moi simple adepte de la
science
magnétique, de prendre la parole dans cette honor
oint aujourd’hui aux forces intellectuelles puisées aux sources de la
science
, le feu sacré de l’amour de l'humanité; l’activit
un , s’appuyant sur des faits tout physiques qui servent de base à la
science
et la rendent inattaquable; l’autre, consistant e
idérée comme non avenue , ainsi que cela se pratique à l’Académie des
sciences
pour tout ce qui concerne le mouvement perpétuel
r parole! mais ce serait superbe! 11 y aurait bientôt deux arts, deux
sciences
; l’un tout mensonger, et qui vit des maux qu'il a
nous pousse rira bien , un jour , de tous ces grands seigneurs de la
science
; elle ne se fâchera point, car peut-on se fâ-cher
iques sont connus de tous les habitants de Campan; nous laissons à la
science
le soin de les expliquer. » BIBLIOGRAPHIE. La
mes, il est vrai, d’aucun corps savant; nous n’appartenons point à la
science
officielle, et, pourtant, cet arbre orgueilleux o
nos ennemis. Eh ! qu’on ne s’v trompe point, le magnétisme sera la
science
du nouveau monde; sa religion comme sa médecine,
s sourdement la terre où l’hypocrisie a fait sa demeure, où la fausse
science
a planté ses étendards, où le mensonge est honoré
les récompensant. « Ce que vous avez rejeté loin de vous, c’est la
science
réelle, destinée à faire autant de bien aux homme
eau du mesmérisme. Soldat infatigable d’une religion nouvelle dans la
science
, les services de M. de Rovère ne pouvaient être o
encore cours, et sont adoptés par les jeunes gens qui entrent dans la
science
. Vous avez cru connaître le principe de la vie ;
démontré aussi tangiblement que 6on confrère l’électrique. Mais la
science
se rit de la susceptibilité des hommes et de leur
, expérimenter toujours. On se presse trop d’écrire en magnétisme, la
science
marche et on s’expose 'a contredire le lendemain
l'éclaircissement de la question , j’ai voulu , dans l’intérêt de la
science
, vous les transmettre, pour, si vous jugez à prop
nches des connaissances humaines, on ne s’occupe uniquement que de la
science
dont on est redevable au génie de Mesmer, et qui
Troyes, par M. Jules de Rovère , croient devoir, dans l’intérêt de la
science
et de la vérité, dont il est l’infatigable apôtre
ardent de M de Rovère pour tout ce qui peut contribuer au progrès des
sciences
et du bien être humanitaire, un grand pas vient d
édigé et signé le présent rapport, non seulement dans l’intérêt de la
science
mesmé-rienne, mais encore dans l’intérêt de l’agr
e de forcer l’humanité à temporiser et à différer son initiation à la
science
du magnétisme. 11 faut que les idées mûrissent,
aiment sages, quand vous ensevelissiez dans le mystère des temples la
science
des sciences ! Riais ce n’est pas assez encore
, quand vous ensevelissiez dans le mystère des temples la science des
sciences
! Riais ce n’est pas assez encore de flétrissur
gardez, en effet, et comptons les tentes où sont ces professeurs de
sciences
occultes. Voici sur le champ de foire cinq loges,
eurs suivent, du reste, les tendances du siècle, ils vulgarisent leur
science
, ils travaillent en plein air, pour montrer la vé
science, ils travaillent en plein air, pour montrer la vérité de leur
science
! En voici un qui s’appuie sur les grands hommes,
blic avide d’émotions d’un ordre nouveau, ces profonds mystères de la
science
de l’homme? Les intelligences de tous peuvent ell
as empêché l’exploitation du magnétisme, il sera impossible que celte
science
fasse aucun progrès sérieux. La protection, la co
étaient aussi là les plus acharnés. Ils suscitèrent au champion de la
science
nouvelle des luttes incessantes et cruelles qui l
nèrent jusque sur le terrain. En politique, en religion, en art, en
science
, la croyance ne souffre pas de dissidence ; et, c
s le reverrons , après nos discordes civiles. Alors, tout entier à la
science
, il servira notre cause avec une ardeur nouvelle;
agnétiques. II. —M. CHARPIGNON. Un nom cher, parce qu’il signifie
science
et conviction ; un nom connu, parce qu’il représe
par la forme, ses œuvres ont exercé déjà une grande influence sur les
sciences
médicales et anthropologiques. Les livres dont
indigne de son intérêt, et faillit périr victime de son zèle pour la
science
et de son dévouement à l'humanité. Riche et bon,
git avec tant de puissance, que l’efficacité d’aucun des moyens de la
science
ne peut être comparée à la sienne. C’est dans un
onque, n’importe sa beauté, est presque nul pour la propagation de la
science
, s’il est sans retentissement. Ici, au contraire,
ssieurs ; car il n’est point passager : il sera plus tard, lorsque la
science
aura grandi, pour M. Jobard un souvenir agréable.
i eut alors recours à la publicité pour divulguer les principes de la
science
, et faire connaître les résultats de sa pratique.
aleur très-grande. Il y avait du courage â se déclarer l’apôtre d’une
science
ayant contre elle les lois et les croyances; M. D
larer qu’il est fort dangereux de suivre une telle diagonale entre la
science
et l’intuition instinctive; qu’il est beaucoup pl
clare donc qu’il n’y a pas moyen de concilier la marche que suit la
science
médicale avec celle que suit le somnambulisme, et
es conseils d’un somnambule; vous le placez entre sa conscience et sa
science
. Rien de plus funeste pour un malade que de modif
rs toutes ses proscriptions, ou rejetez-les toutes , et obéissez à la
science
, mais ne mêlez jamais ces deux éléments hétérogè
somnambules, loin de déroger à la dignité de l’art, et de nuire à la
science
, soutiendra de plus en plus la première en augmen
n peu désappointé les croyants au magnétisme , qui voyaient déjà leur
science
favorite faisant les fonctions d’un juge d’inslru
les victimes, et nous ne nous en occuperons que sous le rapport de la
science
. Notre cadre est trop restreint pour contenir tou
ques, de philosophie, etc. J’ai écrit des essais de littérature et de
science
; l'histoire de saint Sylvain, évéque nomade ou ma
aisant, je me suis acquis une réputation de grand savant, de puils de
science
(sic) , comme professeur de chimie, de physique,
ion. Si c’est cette lumière qu’on veut éteindre, afin que la fausse
science
, sans responsabilité, continue d’é-treindre les h
te. Prenez garde que l’on examine qui vous êtes ; que l’on pèse votre
science
, et que chacun apprécie la valeur de vos recettes
t, de nombreux prosélytes depuis quelques années ; c’est une si belle
science
, et bonne à tout! Semblable à l’onguent du charla
ns rechercheut avec avidité les interprètes, habiles ou non, de cette
science
nouvelle? Aussi, chaque jour, la quatrième page d
dérable, d’une force analogue à l’électricité. Et si, aujourd’hui, la
science
n’a pu encore saisir matériellement cette force,
œuvre dans le grand labeur qui tend à édifier le nouveau temple de la
science
humaine, je ne saurais formuler un jugement sur l
géant. Quels rudes joûteursL Ils sont égaux en logique, en style, en
science
, en bonne foi et en convenances. Je n’ai pas la p
l’on ne peut assez donner de publicité aux faits merveilleux de cette
science
, encore ignorée par les uns, repoussée par les au
perte pour la France, heureusement que l’humanité n’y perd rien : la
science
est cosmopolite, et c’est de Genève que le Dr Ord
up nous y ramène. On en dira bientôt autant du magnétisme ; un peu de
science
en éloigne, beaucoup y ramène. Mabjus C1IA.STAL
la libre manifestation des croyances el de la libre application de la
science
de Mesmer ; Rapport collectif et officiel de la C
lités historiques; autorités religieuses; conquêtes et progrès des
sciences
; hauts patronages, etc. : tous les éléments de la
poursuit à outrance aujourd'hui les personnes qui s’occupent de cette
science
. Dix. somnambules, à la fois, étaient citées à l’
Au milieu du dix-neuvièmesiècle, on fait un grand procès à la divine
science
ressuscitée par Mesmer, dont les disciples se son
la puissance de l’enfer tout phénomène que ne savait pas expliquer la
science
humaine , si peu éclairée encore sur tant de phén
la psychologie, du mysticisme, du magnétisme et du somnambulisme; les
sciences
religieuses et spiritua-listes ont vécu sans être
s, que le monde spirituel, que le côté dogmatique, que le progrès des
sciences
, que le perfectionnement de l’art médical, etc. ,
par l’amélioration introduite dans nos mœurs, par les conquêtes de la
science
dont les lumières ont éclairé nos croyances , enf
te. Mais il est temps que toutes les personnes qui s’intéressent à la
science
, magnétistes et magnétiseurs, praticiens et amate
urs, somnambules des deux sexes, partisans, amis et protecteurs de la
science
, à se réunir, samedi soir, 20 juillet, à huit heu
x réunions générales qui ont eu lieu, l’absence des notabilités de la
science
magnétique, qui les premières devraient se mettre
s ressources pécuniaires les victimes de la foi et du dévouement à la
science
de la vie, à la cause de l’humanité. Cette remarq
travaux divers des savants magnétistes; de signaler aux partisans des
sciences
nouvelles les progrès constates, les événements i
ppel serait continué à tous les praticiens, amis et protecteurs de la
science
. « Puis elle a dit que des statuts seraient éla
périodiquement, légalement et publiquement; car il ne faut pas que la
science
des sciences soit mystérieusement étudiée dans de
nt, légalement et publiquement; car il ne faut pas que la science des
sciences
soit mystérieusement étudiée dans des conciliabul
s chances de non succès, sous forme d’expé-rienèes, d’amusement ou de
science
, de spectacle ou de jeux, de moyens plus ou moins
« L’un reçoit le don de parler avec sagesse, l’autre de « parler avec
science
; celui-ci reçoit la foi, celui-là « reçoit la grâ
certitude, si nous restons unis, de voir modifier, à l’égard de cette
science
, de cette religion, l’application de lois antérie
igions pourront se fondre dans une seule religion, — comme toutes les
sciences
en une seule académie, et toutes les nations en u
ociétés magnétiques diverses qui répandent, pratiquent ou étudient la
science
, nous dirons : l\e serez-vous actifs que pour rec
l faisceau toutes les personnes des deux sexes qui s’intéressent à la
science
. a C’est donc à vous tous que nous nous adresso
oit ; vous qui, dans le monde entier, avez pour but de propager cette
science
, de la pro- téger et de la défendre contre les
uire, dans l’opinion publique, un effet fâcheux au point de vue de la
science
magnétique et de ma considération personnelle, ni
i-tudo ! La vérilé se fera jour pour l'apothéose des sectateurs de la
science
méconnue ou persécutée. Déjà les adhésions nombre
e plus complet de tout ce 3 ni aura été écrit pour l’histoire de la
science
, et de tout ce qui aura été it, fait, plaidé ou j
sieurs, Je viens de lire l'api el que vous avez fait aux amis de la
science
. J’apprécie à fa valeur le devotftment qui vous f
naux, nous nous joindrons à vous avec bonheur pour taire triompher la
science
et renverser la persécution. J’ai l’honneur de
tilre : l'Union protectrice, sait tout l'intérêt que vous portez à la
science
qui fait l’objet de ses travaux. Elle sait aussi
tes les époques des initiateurs chez lesquels se trouvaient réunis la
science
et la sicérilé, mais il faut convenir que presque
nnoncent sont bien peu faits pour inspirer la confiance. Dépourvus de
science
et de dignité, étrangers même aux connaissances m
fait un pas; philosophes mercenaires, qui font semblant de prêcher la
science
, et n’ont pour but que de pratiquer, l’avarice; c
a cause de l’attraction el les principes impondérables admis dans les
sciences
physiques. Ordinairement à l’état latent, il ne d
ndre et d’expliquer. Nous n’avons d’explications réelles que dans les
sciences
mathématiques, qui seules donnent une satisfactio
r, en quelque sorte, d’en avoir créé les principes. On part, dans ces
sciences
, d’un petit nombre de données qui n’ont de réalit
relative et du même ordre que toutes les vérités qui constilueut les
sciences
naturelles. Dans l’étude de la nature, nous ne
levons jamais au-dessus de la simple observation; connaître, dans les
sciences
naturelles, c’est voir, toucher, percevoir, senti
veloppe celui qui précède, jusqu’aux principes les plus élevés de ces
sciences
; ces principes ne peuvent plus se subordonner à r
choses, notre guide; les faits sont la vraie base de l’esprit et des
sciences
, le fondement le plus réel de toute certitude ; r
un fait nouveau et bien constaté a toujours de l’importance dans les
sciences
naturelles ; et il est bien souvent arrivé que de
il est bien souvent arrivé que des théories magnifiques, et même des
sciences
entières, n’ont pas eu d’autre origine qu’une hum
nous sont interdites à jamais. Nous n’allons pas plus loin dans les
sciences
morales elles-mêmes que dans les sciences naturel
lons pas plus loin dans les sciences morales elles-mêmes que dans les
sciences
naturelles; elles ne sont, comme ces dernières, q
ces naturelles; elles ne sont, comme ces dernières, que de véritables
sciences
d’observation; la différence consiste en ce -que,
s sciences d’observation; la différence consiste en ce -que, dans les
sciences
morales, l’esprit, au lieu de s’appliquer au mond
du magnétisme animal, ces méthodes auxquelles nous devons toutes les
sciences
qui font notre orgueil; si nous n’avions pas voul
ssés de les étudier et d’enlever cette branche curieuse de leur noble
science
aux mains indignes qui s’en sont emparées. L’ho
sur tous les genres de perception qu’il reçoit; ils n’ont donc pas la
science
infuse, ils ne peuvent prédire ni l’avenir ni dev
erne. La justice humaine, à son tour, encouragée et rassurée par la
science
, ne craindra pas de demander aux somnambules d’ut
e, que lorsqu’on le verra concorder avec les autres indications de la
science
, et en justice, qu’à litre de renseignements. t
iisme animal. Nous laissons parler noire auteur avec l'autorité de la
science
et un talent d’écrivain dont on va juger. » Que
assez rare, car nous connaissons beaucoup d’hommes éminents dans les
sciences
et parfailement convaincus du magnétisme, qui n’o
drait qu’évoquer un grand nombre d’ordonnances. L). Si vous avez la
science
infuse, la prescience; si, sous l’influence magné
ibunal n’était pas une académie; qu’il avait à juger un délit, non la
science
qui pouvait avoir servi à le commettre. A l’aud
en est l’auteur et les a signés , représente sa femme comme ayant la
science
universelle ; lisant dans le corps humain, cara
re et assurant la guérison radicale des cas les plus difficiles où la
science
ne peut prononcer; expliquant les songes, visions
e manteau du magnétisme, se commettaient avec cynisme et impunité. La
science
s’en trouvait avilie, et fût devenue méprisée par
audace el friponnerie ; voilà tout ce qu’il y a dans cette prétendue
science
. Le mal ainsi produit est donc incalculable, ma
l faut subir; une lumière propre à éclairer les ténèbres de la fausse
science
. Le charlatanisme s’est glissé dans la médecine,
n corps dont quelques membres sont pourtant gangrenés. II est dans la
science
et dans la politique ; c’est un grand mal, sans d
aver ont succombé: c’est un avertissement salutaire dont profitera la
science
nouvelle ; car en lui enlevant cette rouille, on
ion. Son savoir dans les langues n’était pas moins grand que dans les
sciences
; ainsi il n’a presque pas écrit en allemand, sa
iton du Diable (aux l’olies-Dramatiques), s’élève à l’actualité de la
science
. Ce n’est plus seulement du somnambulisme travest
du l’otet : «Voyez-vous, me dit-il, celte vieille boutique; prenez sa
science
, tonte matérielle, il vous la faut, c’est la base
t pour ceux qui écrivent sans connaître tout ce qui se rattache à une
science
, il est loin que ce fait soit resté isolé, et qu’
is ils resteront dans son histoire, qu’un jour, très-certainement, la
science
médicale acceptera comme une sœur trop longtemps
sation , pour suivre des idées systématiques nées des erreurs de la
science
ou des préjugés de l’ignorance. On y nageait , au
ditions. Oh ! ce n’est point ainsi que les Anciens comprenaient cette
science
secrète! elle avait ses formules, et M. Cahagnet
avant M. (iahagnet. Si les lucides avaient tant de pouvoir et tant de
science
, si leur génie n’était point bornéy leur lumière
ses du ciel. Les progrès seront lents et distancés par des années. La
science
antique se reformera, et les hommes seront témoin
ue rien ne justifie. Voici d’autres motifs. A peine la base dé la
science
magnétique est-elle posée, que déjà on la sape pa
vera à quelque chose de certain et de positif. On n’établit point une
science
sur de vagues données, sur des relations la plupa
méme. C’est de ce moment seulement que je compris quelque chose de la
science
divine, et que la nature m’apparut sous un jour t
ndit pas tout d’abord ; je sus seulement qu’il n’en était point de la
science
divine comme de l’universitaire : celle-ci se ven
ous puissiez rien comprendre. Cependant je sais si peu de chose de la
science
antique, que je n’ai point le droit de parler de
que je n’ai point le droit de parler de mes œuvres avec vanité. Le6
sciences
mortes s’apprennent toutes par les sens, l’intell
pprennent toutes par les sens, l’intelligence les féconde parfois. La
science
de la vie et des rapports de celle-ci avec ce qui
fficacité. S’ils rendaient justice tout haut aux propagateurs de la
science
de Mesmer, nous n’aurions que des louanges à leur
évoquer Samuel pour une entrevue avec Saül. » BIBLIOGRAPHIE. L.\
SCIENCE
DU DIABLE, Almanach pour 1849. — Paris, chez Mart
t employer le langage de son temps. 3° L’équivoque est la plaie des
sciences
; je regrette que vous n’ayez pas pris soin de l’é
la preuve empirique pour en faire passer la croyance du dogme dans la
science
. C’est cette preuve que vous avez l’extrême oblig
les diverses transforma- tions. C’est ainsi qu’on procède dans les
sciences
, et c’esl logique, car il est naturel que le prin
yance religieuse plus ou moins vraisemblable, mais bien de fonder une
science
, c’est-à-dire de prouver un fait que donne, par v
nclinez manifestement plus vers la religion de Swedenborg que vers la
science
de Mesmer. Que dis-je? vous la dédaignez, cette s
g que vers la science de Mesmer. Que dis-je? vous la dédaignez, cette
science
, vous injuriez même ceux qui la pos sèdent, parce
e les étendre pour pouvoir comparer ensuite les résultats. Dans les
sciences
physiques, où tout est mathématique, on peut indu
éométrie, etc. ; j’abrége les détails. 11 en est autrement pour les
sciences
naturelles; leurs lois ne se déduisent pas de l’o
mènes de la nature est un des plus grands obstacles au progrès de ces
sciences
, parce que chaque) système y trouve des éléments
nous semblait appelé à de hautes destinées, et à faire progresser la
science
du magnétisme. Fondé en i844 » ^ ava‘l cess¿ Peu
s à aulre, quelques séances expérimentales, afin de communiquer celle
science
, si utile el si belle, aux personnes que je crois
organe m’engage à \ous présenter aussi le tableau de son état. Les
sciences
ne s’étendent que pendant la paix; l’agitation de
Dr Esdaile, à qui la cause est redevable de tant de convictions et la
science
de si précieuses conquêtes. Là, grâce à sa persév
donné asile à de nombreux colons, pleins d’une sainte ardeur pour la
science
nouvelle. Nous avons déjà des preuves de leur pro
ue muette cette année. Absorbée par la politique, elle, a délaissé la
science
; à peine si nous avons pu mentionner quelques mo
. ooo). Il en viendra d’autres plus surprenants encore, et un jour la
science
les reconnaîtra tous pour véritables. En attendan
partout languissant. La politique, en distrayant les esprits de la
science
, a l'ait perdre beaucoup de membres à la Société,
mon admiration et de l'intérêt que je prends à votre œuvre utile à la
science
autant qu’à l’humanité. Pour remplir de mon mie
il est rare que l’œuvre isolée puisse faire véritablement avancer une
science
ou un art quelconque. Je ne vous donnerai pas l
l est à souhaiter que la paix , mais une paix honorable, permette aux
sciences
de reprendre tranquillement leur assiette. C’est
ts dans le silence du cabinet parviendront à être plus utiles pour la
science
et l’humanité, que ceux qu’on entreprend entouré
era-t-elle jamais? « J’ai étudié le magnétisme, parce que c’est une
science
qui, par ses rapports avec les autres sciences mo
me, parce que c’est une science qui, par ses rapports avec les autres
sciences
morales et physiques, ouvre des horizons tout nou
es profonds, nos académies sont pleines de médiocrités vaniteuses. La
science
véritable a fui de notre patrie, aucuu de ses f
cet échange résulte une émulation qui tourne toujours au profit de la
science
. En attendant que la naissance de Mesmer soit f
est fait de la résistance académique : le magnétisme entrera dahs la
science
par cette voie détournée. Revue des Journaux. —
bibliothèques, sont conçus de même. Chaque savant qui écrit sur cette
science
, suivant en cela l’exemple des contemporains de M
ra le seul art raisonné, et par conséquent la base inébranlable de la
science
médicale. PETITE CORRESPONDANCE. \omellc-Orle
avec elles dans une synthèse féconde, elle prépare l’avénement de la
science
universelle. » ¡Sous sommes en lutte permanente
('es exagérations, provenant d’un défaut d’examen ou d'un manque de
science
, ne sont propres qu’à retarder l’avénement du mag
expliquer la portée, et trouver son lien naturel avec tout ce que la
science
a révélé. En somme, M. Gentil nous paraît être re
in impartial tous les documents qui peuvent servir à l’histoire de la
science
mesmérienne. Le Gerani : HKBKKT («le f.arnay).
ous en croyons les auteurs anciens, les As-clépiades, héritiers de la
science
d’Esculape, pui- (1) Sprengel, Hist. de la Méd.
mbreuses guérisons obtenues par des hommes d’une grande réputation de
science
et de probité; ils ne se sont malheureusement pas
jugés de leur époque, ont avancé des idées extravagantes. Souvent les
sciences
les plus absurdes remontent à une origine sage; c
m’enlève jusqu’à l’es- poir ; tous les lettrés sont au bout de leur
science
, ils se croisent les bras et laissent accomplir l
de ces êtres au triste privilège. Suivons. L’homme a double vie; la
science
connaît bien l’une : celle de l’état de veille; e
rès d’accord; le cerveau seul, c’est l’homme presque tout entier : la
science
apprend peu de chose sur lui. Mais l’être humai
ieu naturellement ou par des agents physiques ou chimiques. Ici toute
science
s’évanouit; le savant est comme le dernier des ho
, est déjà magicien puisqu’il opère un phénomène au-dessus de toute
science
académique. Et je crois on être arrivé à ce point
’une Académie : il serait conspué. Ces messieurs ne s’occupent que de
sciences
exactes, et ils y sont si habiles, que chacun de
ites des contes : ces choses sont impossibles! Attendez, géants de la
science
, vous n’y êtes point encore; ceci n’est que le co
ir de vous le présenter avec son auréole ; j’ai tant d’estime pour la
science
officielle, que je ne puis résister à l’envie de
. Le cas maladif d’Anne Chaigneau, qui n’a guère d’analogie dans la
science
, peut donner lieu à quelques réflexions. Et d’abo
de force, et la mort et le deuil vont frapper à toutes les portes. La
science
, avec tout son savoir , l’humanité, avec tout son
de ses dires. Inconnu, sans titre officiel pour parler au nom de la
science
, je me suis tu jusqu’ici : aujourd’hui je viens f
ttaquer dans ses causes, et dès l’instant qu’elles seront connues, la
science
pourra chercher à les détruire dans l’humanité, d
finiment peu de choses, et c’est sur leur témoignage seulement que la
science
fonde ses jugements. Aussi rejette-l elle tout ce
issez s’accomplir les événements ! Si ce n’est point la sagesse et la
science
qui vous guident, vous cherchez les pages heureus
Et, moi-même, dans cet instant, en livrant au public cette ébauche de
science
antique, qui jamais ne sortit en vain du temple ;
mposé en grande partie de prolétaires, généralement peu instruits des
sciences
avec lesquelles le magnétisme a des analogies, il
s nombreuses personnes, médecins et autres, qui, dans l’intérêt de la
science
et de l’humanité, l’avaient visitée en l’absence
ances suivantes d’Anne Chaigneau , quoique fort intéressantes pour la
science
. Ayant suivi exacte- ment ce traitement, et ass
ue l’histoire entière de cette maladie soit acquise aux annales de la
science
magnétique. BU CHOLÉRA. — AVIS. L’épidémie qu
l’auteur poursuive; car si chaque sujet était traité de la sorte, la
science
se formerait promptement. Aperçu sur différents
seul but philanthropique de la propagation et du développement de la
science
magnétique, dont les théories appliquées sur les
étisme et de ses merveilles, approchez, c’est ici le sanctuaire de la
science
véritable ; c’est ici que le philosophe, seul dig
e existence dont la nôtre n’est que la grossière ébauche, et où votre
science
n'a jamais pénétré, car elle finit où la nôtre co
n qui pratiquait le mesmérisme , où j’eus de nombreuses preuves de la
science
. « Un jo^r, lorsque je doutais encore de la réa
tan, et a été inséré dans le tome VIII des Mémoires de la Société des
Sciences
, etc., d’Orléans. Dans ces Etudes, l’auteur croit
ncer ou reculer promptement : m’en tenir aux croyances vulgaires delà
science
, ou rester dans le doute , ce serait une sorte de
moeurs et les croyances de ceux qui les habitaient; leurs arts, leurs
sciences
sont oubliés ; on trouve des débris, des fragment
ndent, et nous montrent l’enfer comme peine réservée à ce péché. La
science
, aussi absolue et non moins barbare , a toujours
théorie, les résultats matériels de ses découvertes. En effet, si la
science
réelle est possédée par lui, après ses discours v
e : il suffit de méditer un instant; mais saisir le principe de cette
science
, s’en emparer et répéter le« prodiges, c’est autr
conviction profonde; mais nous ne croyons point qu’il ait retrouvé la
science
elle-même. Nous pensons que tout son auditoire en
accompagnée de rapprochements ingénieux avec les points analogues des
sciences
physiques. Les conséquences déduites logiquement
net et engageant, revêt des formes variées, depuis le ton froid de la
science
positive jusqu’aux élans de l’inspiration lyrique
lir les lois secondaires propres au magnétisme animal considéré comme
science
naturelle. M. de la Salzède (nous l’en louons d
er par des faits l’existence des fluides impondérables étudiés par la
science
, et dont les lois sont bien connues. Un vif senti
t l'élude du magnétisme animal peut être assimilée à celle des autres
sciences
naturelles. Quant à nous, partisan convaincu de l
it judicieusement le magnétisme animal : la transition nécessaire des
sciences
purement physiques et positives aux sciences pure
ransition nécessaire des sciences purement physiques et positives aux
sciences
purement métaphysiques et spéculatives. 11 appuie
l, au point de vue thérapeutique, est applicable à tous les cas où la
science
emploie comme moyens de guérison, c’est-à-dire co
ment des maladies. Dieu seul est tout-puissant, nous le savons, et la
science
médicale nous en fournit chaque jour la preuve. M
r, avant que la plupart d’entre eux n’arrivent à s’assimiler la vraie
science
d’observation! Que de contradictions entre la cli
il n’y a nul inconvénient à le consulter sur les cas de maladie où la
science
est impuissante ô se prononcer sans hésitation. »
ts du magnétisme ramèneront « au bercail bien des brebis égarées : la
science
« observera, les simples pratiqueront; et lorsque
limites ; mais je crois que, dans l’état encore trop peu avancé de la
science
, au lieu de citer à tout propos ces merveilles qu
aternité inconnue, la liberté n’existait que pour quelques-uns. Les
sciences
, comme un bien de famille, ne se transmettaient q
’intelligence. Nous avons passé cette époque malheureuse où la fausse
science
nous accablait de ses mépris, et nous pouvons mai
ls se transmirent ce que la pénétration leur faisait découvrir, et la
science
commença. Ce ne fut d'abord qu’un amas de vagues
es, leur donner les moyens de se conserver. « La philosophie, cette
science
aujourd’hui sans lumière, doit disparaître égalem
la réalisation de bienfaits inexprimables, et que ne peut procurer la
science
ollicielle. La main secourable d’un homme dévoué
issants, il a peint les souffrances et l’agonie des malheureux que la
science
abandonne. Puis, esquissant à grands traits tout
s internes; car je sais par une expérience de dix-sept ans combien la
science
de la médecine est conjecturale; aussi, en termin
ouronnés de succès, el que, foulant aux pieds l’amour-propre et cette
science
qui enfle, ils diront avec vous et avec moi : L
crète de la magie; il faut que le lecteur qui veut avancer dans cette
science
devine ce que je ne puis encore dire. 11 faut qu’
à chaque instant par des agents que nous n’apercevons point? O triste
science
que celle qui borne tout à la portée de nos sens!
et pour ça iis employèrent les instruments les plus sensibles que la
science
leur fournissait : l’électroscope à feuilles d’or
, le naturaliste qui avait produit tant d'excellents ouvrages sur les
sciences
, cc M. de Huinboldt qui, au déclin de sa vie, nou
xxvni, N" ii, p. Cil. (2) Comple-rendu des séances de PAcadémie des
Sciences
, l. xxix, N» 1, page 8. ïIsomorphisme, habile p
nommer psychiques ou moraux, et qui font, 011 peut le dire, toute la
science
du magnétisme animal (si nous en exceptons les ac
par le fait de l’action ma- tériclle. Il n’y a aucune partie de la
science
de l’être, en général, et de l’homme en particuli
eurs! pourquoi cherchez-vous à vous couvrir de l’ombre au moins de la
science
? N’est-ce pas parce que vous êtes effrayés vous-m
métaux 16B plus précieux; il faut tout faire passer au creuset de la
science
. C’est en nous montrant scrupuleux et sincères *
e posséder l’esprit d’examen si généralement appliqué dans les autres
sciences
physiques. 11 n’est aucun fait dans cette histoir
ue l’histoire entière de cette maladie soit acquise aux annales de la
science
magnétique. Elle ne peut être mieux acquise, car
n’en parlerai pas autrement. Je me contenterai de dire que puisque la
science
médicale ne sait rien de certain contre ce redout
nétistes qui ont observé et décrit, autant que le permet l’état de la
science
, le jeu du fluide mesmérique sur les organes du c
onséquence très-grave, et qui ne tend à rien moins qu’à dépouiller la
science
nouvelle de ses plus belles prérogatives et de se
par la tradition , il a posé les jalons qui lui serviront à relier la
science
nouvelle à la science occulte de la mystérieuse a
a posé les jalons qui lui serviront à relier la science nouvelle à la
science
occulte de la mystérieuse antiquité; en un mot, l
ouvertes pour tous, la magie, arrachée du milieu des décombres de la
science
des siècles, dégagée des préjugés qui la flétriss
sur l’esprit sans le secours des procédés élémentaires, a donné à la
science
celte extension qui n’a plus de limites. C’est po
ut autre aspect que celui sous lequel elle avait été envisagée par la
science
psychologique. N’est-ce pas un sujet de bien lé
ndamnent les savants, qui, malgré leurs efforts pour faire marcher la
science
de l’homme, ne l’ont pas fait avancer d’un pas de
tendrons une main amie pour vous introduire dans le sanctuaire de la
science
nouvelle; heureux de vous montrer, de vous expliq
gencejexercée et de votre riche savoir. Quels progrès, alors, pour la
science
! Quelle source de biens pour l’humanité! Et quand
s-toi toi-même. Remettons-nous donc à l’étude avec le secours de la
science
nouvelle, et commençons par celle de l’homme, ce
urieux et assez peu ordi- naire pour fixer l’attention publique. La
science
médicale, la persuasion, la force, ont tour à tou
oms d’imagination, d’imilation, etc., ont toujours été l’écueil de la
science
. Revue des Journaux. — La Liberté du 9 juillet,
ns faire est précisément ce qui convient à d’autres hommes. A nous la
science
positive, les données rigoureuses, les faits util
, /apport secret sur le Magnétisme animal. — Virey, Dictionnaire des
Sciences
médicales, art. Magnétisme. - Burdin jeune el Dub
e de médecine, l’autre de la Faculté de médecine et de l'Académic des
sciences
. On remarqua que Jussieu s’était séparé de ses co
le sort réservé au Mesmeric Hospi-lal, cette tentative aura servi la
science
et l’humanité. La relation des travaux du Dr Es
sme à l'institut. — Un nouvel incident s’est produit à ¡'Académie des
sciences
, à propos du magnétisme animal. Il s’agissait enc
oute la médecine , et peut-être quelque chose de plus respecté que la
science
des Diafoirus do l’époque. Chacun connaît le résu
agent nouveau. » On trouve dans VHistoire de l’Académie royale des
sciences
, année 1784 , p. 6 , un Exposé des Expériences qu
e vérités incontestables. Le fait est que le temps et les progrès des
sciences
au lieu de persuader de l’inutilité des efforts
et Lafontaine. (2) Névrurgie , ou le Magnétisme animal devenant une
science
physico-mathématique, par M. le comte de Kobiano.
48. 49. les couleurs, mélange confus de vérités et d’absurdités, de
science
el d’ignorance puisée» dans toutes les sources po
ion du courant qui les pousse. (2) Histoire de? Académie royale des
Sciences
, ann. 1751, p. 38. — Le P. Berthier , de l’Orat
ire des écarts aussi grands que dans le vide. » (Nouveau Uullelin les
sciences
par la Société philomatique de Paris, année 1825,
é philomatique de Paris, année 1825, p. 84 et 85.) (1) Uullelin des
sciences
mathématiques, astronomiques, physiques el chimiq
s, rédigé par M. Saigcy. — Première section du Bulletin universel des
sciences
et de l’industrie, publié sous la direction de M.
le. (Exposé des expériences, etc. — Histoire de l'Académie royale des
Sciences
, année 1784, p. 15.) Quoique l’examen des fiiil
mettre en jeu ce mobile puissant et salutaire. (1) Dictionnaire des
Science
» médic., t. 24, p. 1G. (2) Observations, p. 47.
la vérité que nous défendons. Aux magnétistes qui pensent que cette
science
n’a que des interprètes insouciants et égoïstes,
s, « Vous vou9 honorez tous de vivre dans un siècle de lumière. Les
sciences
, vous le pensez du moins, suivant leur progrès na
e jour ne nous verrait point rassemblés ; profitant du bienfait de la
science
, nous nous livrerions paisiblement à des travaux
ion comme sans préjugés, les fruits que laisse tomber l’arbre de la
science
. Non, ils ne compensent point les travaux de leur
eure dans les œuvres que vous aurez à récompenser. Au-dessus de toute
science
humaine, elle apparaît à nos yeux étonnés comme u
te, par la comparaison des inventions successives du génie humain. La
science
, dans l’ordre moral, en est restée aux premiers â
s des nations ? Et si nous jet-tons nos regards sur les principes des
sciences
médicales et physiologiques, ne devons-nous point
e preuve de notre sympathie ; elle attestera et votre dévouement à la
science
et votre succès dans une délicate entreprise. «
nos fiers ennemis. Ils seront trop heureux de trouver toute faite une
science
à la place de leurs meurtriers et désolants systè
surexcitée par tous ces bruits de possession. Ce (1) Diction», des
Sciences
médic., t. VIII, p. 299. judicieux observateur
sir la loi qui préside à leur développement; 3° Rechercher dans les
sciences
naturelles : la physique, la psychologie, et la m
résumé historique, théorique et pratique, les archives , enfin, de la
science
nouvelle. C’est aujourd’hui le livre le plus préc
ue ou veut étudier le mesmérisme. Suivant pas à pas l’évolution de la
science
, constatant son progrès jour par jour, c’est le s
le témoignage de l’histoire, ces phénomènes étranges prouvent qu’une
science
profonde exista jadis. Initiant à d’occultes conn
l’attrait du roman, avec la vérité de l’histoire et la sévérité de la
science
: sa lecture ouvre à l’intelligence un champ sans
l le Naturalisme des convulsions, par Hecquet. (2) Dictionnaire des
Sciences
médicales, art. Indolence. sorciers sans qu’ils
nt la plume traduit le génie des faits et établit les préceptes de la
science
, méritait aussi une mention. Un autre article d
d’entre nous qui, dans le silence, guérissent les êtres que la fausse
science
laissait mourir. Attendant cette heure, qui viend
igné par les écoles, et qui doit pourlant un jour changer la face des
sciences
. Nous n’avons point h vous signaler d’erreurs,
n plus par des hommes obscurs, mais par un médecin distlngné, dont I3
science
fécondanI les travaux, appelle sur lui les rega
le découverte qui y a donné lieu ne fait-elle pas révolution dans les
sciences
? Ne donne-t-elle pas la mesure de la volonté huma
Coupe, retranche; je te défie. MM. Durand et Loysel ont rendu à la
science
magnétique un service immense : d’abord par un pr
lle lui sera décernée bien moins par des juges que par des amis de la
science
dont il concourt si puissamment à agrandir le dom
s, dont les travaux ne sont ignorés d’aucun de vous, a implanté notre
science
dans le Nouveau-Monde. Zélateur puissant de notre
ffectent l’espèce humaine ; je ne l’ai trouvé, ce moyen, ni dans la
science
médicale, ni dans l’expérience, mais dans le magn
et que son action est le meilleur moyen thérapeuthique que possède la
science
médicale. » Lucidité. — M. Yates, inspecteur de
résultent, établissent pour tous les hommes de sens l’existence d’une
science
nouvelle différant en tout de celle des écoles. E
mblance en disant que les connaissances qui forment le faisceau de la
science
officielle représentent la nature morte; l’autre,
ntraire , connue seulement encore d’un petit nombre, est la véritable
science
de la vie, et se sépare de l’autre science par de
t nombre, est la véritable science de la vie, et se sépare de l’autre
science
par des nuances si tranchées, qu’il est impossibl
e nous étalons sous ses yeux couverts de taies les merveilles de la
science
nouvelle. Agir sur une âme par une âme ; faire
, je n’en veux point; car elles tuent les forces sans profit pour les
sciences
. Réservant ma liberté, j’agirai selon ce qu’il me
onfondre la raison du plus fort, et nous convier à l’étude. C’est une
science
dont je jette le fondement ; plût au ciel qu’elle
auras laissé sur ton chemin bien des malheureux victimes de la fausse
science
, bien des bourreaux d’eux-mêmes. Il serait inhu
bientôt saisi de vertiges; en serait-il de même en avançant dans les
sciences
? On pourrait le craindre et le redouter. Lecteu
it aucun résultat. Quand, le 9 décembre dernier, je m’adressai à la
science
du divin Mesmer, dont le nom sera transmis en let
e charité et de dévouement. Il a bien mérité de l'humanité et de la
science
. l'ACQL'ENOT. Troyes, 15 mars 1848. (La sui
e confiance; puis, ayant lu quelques ouvrages qui traitaient de cette
science
, je voulus essayer de magnétiser. Le hasard me fa
, qu’il résout spontanément, avec facilité, tant il est pénétré de la
science
qu’il professe et de sa bonne pratique : ce sont
pour mieux exprimer mon ravissement, c’est que j’entrevois dans celle
science
, encore trop peu répandue, quelque chose de divin
i. Mais, malheureusement, il en est du magnétisme comme de toutes les
sciences
: souffrance et résignation pour les hommes qui s
’il s’agit d’une vérité morale, ou d’un principe qui doit rénover les
sciences
. Le novateur peutêlre assimilé au galérien : il
magnétisme! Ce qui est pur va tomber dans la boue; car aucun homme de
science
ne voudra le comprendre. Va, tout n’est qu’erre
. C’est le flux, le reflux, la vague incertaine. Ce n’est point là la
science
; mais son ombre seulement; une idée lancée par le
terre pour se diriger vers Dieu. Des hommes sans scrupules et sans
science
pervertissent le cœur dos nations en les trompant
l’ont été lors de ses deux invasions. Mourez, pauvres humains ! La
science
est impuissante; mais, le sachant, pourquoi donc
rendre des poisons, à supporter le martyre? Est-ce à l’Académie des
sciences
que le novateur doit porter sa découverte? Mais c
s savants. Ainsi, la vérité, qui doit peut-être déplacer le pivot des
sciences
, changer un jour le monde, est ballottée; elle ro
ne me risque que lorsque je n’ai rien à risquer. Plût à Dieu que la
science
que nous appelons à notre aide reste longtemps en
nées. Vous allez subir la loi du hasard, du caprice du sort. La vraie
science
viendra plus tard comme un dernier remède. C’est
est funeste aux malades eux* mêmes et au magnétisme considéré comme
science
. Il est temps que les hommes sérieux qui étudie
souvent reconnues sans valeur, et quelquefois même contraires, par la
science
. Le somnambulisme est un phénomène dont la magn
ibué à fausser la direction des études, à peine commencées, sur celte
science
si vaste et encore si peu connue du magnétisme.
est du devoir de se confier plutôt aux conjectures rationnelles de la
science
, qu’aux incertitudes incalculables d’un instinct
mieux que n’avaient pu le faire des médications appliquées d’après la
science
rationnelle et d’après la lucidité somnambulique.
e trop psychiste et pas assez /luidiste. Dès mes premiers pas dans la
science
, j’ai compris toute l'action de l'âme dans le mag
res, foulant aux pieds le matérialisme. C’est alors seulement que les
sciences
et les arts reprendront leur prépondérance, que l
ent conjurer l’orage en recherchant l’alliance des propagateurs de la
science
nouvelle. Ils le firent convenablement, à la véri
it au silence toutes les sociétés savantes. Depuis cette époque, la
science
du mesmérisme s’est bien répandue, développée; un
ainement, offre beaucoup d’in-térét au point de vue des progrès de la
science
nouvelle. Mais là ne se borne pas la tâche, je de
reçues. Nous conjurons nos lecteurs, d^RS l’intérêt des progrès de la
science
, de sc prémunir contre ce que nous appelons des
est applicable le vieil adage : Errare humanum est. Les progrès des
sciences
, dit-il, se sont autant manifestés par leur étend
ou modifier grandement celles qu’on admet dans plusieurs branches des
sciences
. Pourtant, il n’en est pas moins vrai que les tem
che d’abord un abri qu’il croit protecteur; il demande aux rois de la
science
de le protéger contre les tempêtes suscitées par
dre. D’une loi de nature, d’un fait simple, Mesmer voulut faire une
science
, il s’égara; et ses disciples, ajoutant à son err
s’il existe une médecine, et doutent d’eux-mêmes. Ah ! c’est que la
science
proprement dite, n’est possible que là où tout es
possible que là où tout est physique; et, dans le magnétisme même, la
science
ne peut que coordonner un ordre de phénomènes; le
chappe : c’est le côté moral et par cela même lo plus important. La
science
comprendra, expliquera l’action d’uu système nerv
facile de jeter un homme par terre à plusieurs centaines de pas. La
science
expliquera passablement tout ce que l’agent magné
s crises. Si vous lui dites qu’il y a dans l’état somnambulique une
science
innée, il rejettera bien loin ce que la nature a
dit infaillible. La lumière s’est éteinte par l’orgueil et la fausse
science
, l’hypocrisie a pris le masque de la vertu. Allez
rible, et, comme vous, ceux qui yous précédèrent dans la carrière des
sciences
, ne voulurent jamais ouvrir les yeux à cetle lumi
par conséquent de notre devoir, de les examiner scrupuleusement : la
science
ne peut rien perdre à cette étude. Si Swedenbor
même de rechercher si, dans les faits du mesmérisme recueillis par la
science
, on ne trouverait pas des états analogues, sembla
ité de faits semblables ou analogues; mais comme ils sont acquis à la
science
expérimentale, nous nous contentons, avec une int
r moyen, il devait surtout le déclarer; car c’était le principe de la
science
nouvelle, dont on a dû la découverte à l’immortel
ai annoncé que mes intentions étant de consacrer mes vieux jours à la
science
du magnétisme, me sentant destiné à en pousser le
isme spirituel en est le sanctuaire où peu d’hommes peuvent pénétrer.
Science
sublime, qui appartient autant au ciel qu’à la te
t pour l’humanité souffrante, que pour le développement de toutes les
sciences
. . . . . . Extatique à trois extases par jour, el
titut magnétique de Bristol. Le comte Ducie, président, converti à la
science
nouvelle par les merveilles du somnambulisme, 246
l’état de sommeil, 105, 423. Magie magnétique. La philosophie et la
science
ont fait fausse route. Le magnétisme peut expliqu
l, 178. Novateur (le). Réflexions philosophiques sur le néant de la
science
des académies, et sur la mission humanitaire que
l’anglais par le Dr Chéreau. Ouvrage favorable au magnétisme, 223.
Science
du Diable (Almanach de la). Pamphlet magnético-po
è-tre le collaborateur. Tout ce qui peut donner une base solide à la
science
magnétique, tous les phénomènes observés sur les
es hommes; qu’il s’agit pour eux de la santé et de se soustraire à la
science
conjecturale de la médecine ! Rappelez-vo»s que l
oncours. Persuadez-vous bien que nul intérêt, si ce n’est celui de la
science
, n’est capable d’agir sur notre esprit, et que ce
nt une brochure de M. John Ashburner, manifeste, dans l’intérêt de la
science
ma/gnétologique, ses regrets de ce que cet écriva
cupons-nous plutôt à élucider les questions si obscures encore, de la
science
des sciences : du magnétisme. En y portant la lum
plutôt à élucider les questions si obscures encore, de la science des
sciences
: du magnétisme. En y portant la lumière, bien mi
’ennemi commun, le guérisseur non officiel. Qu’il parlât au nom de la
science
, comme Raspail, cru* bien, comme les magnétiseurs
n’a point discuté sa doctrine, on s’est contenté de railler. Dans les
sciences
applicables, la théorie n’a qu’une importance trè
— Et vous-onème qui parlez, qu'ètes-Vi.us donc ? Qu'est-ce que cette
science
qui vous rend si outrageusement orgueilleux? Exis
iberl donc ! ont-ils assez dit leurs vérités à la médecine ! La belle
science
, en effet, qui change de panacée tons les vingt-c
, de très-bonae foi, et n’ayant pas une très-grande confiance dans la
science
thérapeutique. Je lui demandais « s’il reconnai
en qualité de savant industriel, il possédait à un très-haut degré la
science
magnétique , dont il était le plus fervent apôtre
par sa plume à ses actions : il était toujours prêt à défendre cette
science
naturelle contre les attaques incessantes de
ématique ; il professait hautement, dignement et religieusement cette
science
régénératrice. Aussi, oserons-nous le dire, la fa
riser la clôture. Ouelle source de méditations : là est la clef des
sciences
! nul «les modernes encore ne l’a saisie, peut-êt
e éclosion ne se fit point attendre : des arts nouveaux, de nouvelles
sciences
, prirent naissance, les nations s’enrichirent, ma
uvertes ; il créera un nouvel art de guérir et donnera naissance à la
science
morale. Baron du Potet. (La suite au procha
cilité? Alors je compatis à votre croyance. Je sais’bien que dans les
sciences
l’imagination sans la raison égare ; mais je sais
qu’importe ! au point de vue de la civilisation actuelle, toutes les
sciences
, tous les arts, toutes les professions, tous les
omènes magnétiques qui entrave le plus la marche progressive de cette
science
et hérisse de difficultés la découverte des lois
efforts et les infatigables recherches des premiers adeptes de la
science
nouvelle? Lorsque plus tard, dans des temps moins
re ce vaste champ scientifique dont Mesmer avait ouvert l'horizon. La
science
est un sol qui retourne en friche s’il n’est cons
rique, approuve pleinement l’institution de ce jury, et espère que la
science
profitera des recherches auxquelles 011 doit se l
nt pas en propre et exclusivement aux homœopatlies, et que toutes les
sciences
qui tiennent de près ou de loin à la médecine ou
s. Tantôt oublié, tantôt revivant, jamais il n’a pu être établi comme
science
positive. Il a eu pour adversaires la philosophie
Alibert, etc., etc. On dira : ce ne sont pas des noms qu’il.faut à la
science
, ce sont des faits ; comment donc ces hommes se s
ts éminents n’aient pas encore fait aujourd’hui un pas assuré dans la
science
? C’est à cause du ridicule qui s'v attache ; c’es
r chercher une conviction près de ces magnétiseurs de profession sans
science
et sans titre qui parcourent le monde. Chez eux,
Cette brochure ayant été peu répandue, je crois être utile îi la
science
en tirant de l’oubli les principaux faits qu’elle
teur dans son avant-propos, que ce se rait un notable dommage pour la
science
que de laisser ensevelie dans l’oubli l’histoire
, Vers 1840, le sieur Cli. Renard, grand amateur du magnétisme et des
sciences
occultes, confia & ,\I. C.ahagnet, alors à Ra
Amérique; c’est aussi vers cette époque que naquit, dans ce pays, une
science
nouvelle, le Spiritualisme, ayant pour appareil u
ntent, monsieur le baron, en voyant les progrès de votre affectionnée
science
. Sans vos écrits et votre curieux journal qui m'o
u’une enquête solennelle en mette la réalité hors de doute, et que la
science
puisse l’examiner avec toute l’attention qu’il mé
e suis si étonué, que je crains de sonder les arcanes de cette divine
science
qui nous cache encore tant de mystères. » Je jo
x volumes, d’innombrables dissertations. Hier, c’était l’Académie des
sciences
morales et politiques qui la mettait au concours
si quiconque en sait juger sainement, connaît une grande partie de la
science
. » Hippocrate distingue deux espèces principale
ion selon les personnes. Cette simple observation démontre que, si la
science
de l'interprétation des songes a quelque fondemen
ion est le suivant, dont le sens réduit à bien peu de chose sa propre
science
: « Pour bien juger d’un songe, il faut connaître
s faits que j’allais rapporter touchaient de très-près au magnétisme,
science
dont l’observateur était pourtant l’antagoniste.
rattacher à la série de phénomènes qui sont du domaine de cette belle
science
, éclose à la lumière ardente du dix-huitième siè
: je me propose d’apporter mon offrande sur l’autel de cette sublime
science
si bien patronée par vous pour l’utilité du genre
us signaler par la suite tous les faits qui me paraîtront utiles à la
science
magnétique. (i Recevez l’assurance de ma profon
ue l’on désigne par ce nom une ville où le commerce, l’industrie, les
sciences
, les arts, en un mot, que tout jouit d’une libert
che encore aujourd’hui à ceux qui se déclarent ouvertement pour cette
science
nouvelle, ma protectrice n’osa prendre sur elle d
dère les progrès immenses que la chimie, la physique etla plupart des
sciences
naturelles ont faits depuis un demi-siècle, l’int
la route que nous voulons suivre. Nous appelons à nous les hommes de
science
, cherchons d’abord à rameuer à un principe commun
rganisons un code de doctrine reconnu par tous, en un mot, créons une
science
; et alors, soyons-en sûrs, bien loin d’avoir beso
s et des ennemis du magnétisme : l’Jiumanité alors pourra compter une
science
de plus.^ «11 y a longtemps déjà, j’avais enten
des principes invariables, seuls fondements sur les£iiels repose une
science
. « Mentionnons ici quelques-unes de ces théorie
facile, pourrait paraître digne de soutenu-l’examen des hommes de la
science
. « Les causes auxquelles on a alternativement p
ur. Eh bien ! le jouroù l’on pourra offrir aux savants consternés une
science
tout organisée, et un instrument capable de mesur
universel, ce jonivlà le mesmérisme aura conquis sa place au rang des
sciences
, et l’on élèvera des statues au puissant génie, q
vre de la génération humaine, à ceux qui veulent l’élever à l’état de
science
, et lui faire occuper la place qu’il mérite entre
rselle, destinée à devenir la seule médecine et à tenir lieu de toute
science
, il reconnaît la réalité des nombreuses cures obt
rescriptions doivent toujours être contrôlées par la raison et par la
science
: mais il est allé beaucoup trop loin en frappant
rmes équivalents. Pour la rapidité du discours, on a besoin, dans les
sciences
de ces formules abréviatives qui dispensent de ré
sur des somnambules magnétiques, n’est pas tout à fait isolé dans la
science
. 11 existe des observations du môme ordre , rappo
(de Cette). » Analyse critique (lu rapport fait à F Académie des
sciences
morales et politiques, par M. Lêlut, sur le conco
res qui pourraient lui être adressés sur ces matières. L’Académie des
sciences
n’a point eu à s’en occuper. La commission dont B
en alléguant que le magnétisme n’a que bien peu de rapports avec les
sciences
qui font l'objet de ses études. Quant à l’Acadé-m
les sciences qui font l'objet de ses études. Quant à l’Acadé-mie des
sciences
morales et politiques, elle est évidemment plus c
qui traite maintenant le magnétisme animal comme l’Académie (les
sciences
la quadrature du cercle, il ne lui fallait rien m
ne lui fallait rien moins que la question proposée par l'Académie des
sciences
morales et politiques. C’est sur notre invitation
urs dans un cercle arbitrairement tracé, et nuisent aux progrès de la
science
. 5° Mémoire n° 2. Le rapporteur, après une, ana
ument et s’étendent sur les services que la lucidité peut rendre à la
science
et à l'humanité. Le septième n’admet qu’une faibl
lare impossibles comme contraires à la nature humaine. L’Académie des
sciences
morales, en adoptant les conclusions du rapporteu
constitué ayant une1 mission, chargé de représenter une partie de la
science
. Son devoir est donc de recueillir, sur les quest
é avec cette concision et cette prévision qui forment l’apanage de la
science
. Ce courageux exemple n’est pas resté stérile, ca
yale au magnétisme de la part d'un des représentants principaux de la
science
médicale, s’il ne doit pas nous surprendre, mérit
ppeler au souvenir des magnétistes un nom honorablement connu dans la
science
, et à les engager à feuilleter son ouvrage, mon b
r les plus grands noms parmi ceux des hommes qui ont ajouté foi à ces
sciences
? Et pour n’en nommer que quelques-uns que nous r
soient mêlées à ces matières : lorsqu’il en est ainsi pour toutes les
sciences
, on présume bien qu’il n’y aura pas d’exception p
ique et expérimentale. Il n’y a pas d'autre moyen de perfectionner la
science
et d’arriver au vrai. Nous n’ignorons pas qu’il
d’Orléans (511), d’Auxerre, de Narbonne, condamnèrent la pratique des
sciences
occultes et divinatoires ; mais on ne tint guère
omme par le passé. « 11 faut le dire aussi : tout en repoussant les
sciences
occultes, la plupart des docteurs chrétiens ajout
caient de relever cette religion agonisante, faisant alors appel aux.
sciences
occultes avaient opéré une liaison plus étroite q
18-VJ. T suffisantes pourtant pour initier un public d’élite à la
science
magnétique : Programme de» leçon» que je me pro
. QUATRIÈME LEÇON. Vue générale et d'ensemble. Acquisition par la
science
d'un principe nouveau, propre à expliquer une fou
is, et cela dans un instant, de prouver 1 existence de l'agent que la
science
nie encore, je venais de justifier toutes mes aff
. Le magnétisme conquiert tous les jours de nouveaux accès dans les
sciences
connexes, et sur lesquelles en effet il est de na
qui observe et connaît son âme? Quand donc introduirons-nous, dans la
science
de l’âme, l'observation expérimentale et ses cond
, que se touchent les hommes de la Chine et ceux du Pérou. » — Déjkla
science
est obligée de reconnaître la transmission des mo
ré dans le temps que le demande le gouvernement des Esprits. » Or, la
science
moderne a constaté des groupes d’étoiles, de sole
ie , et, à ce sujet, rappelle avec amertume le sort des martyrs de la
science
, de Salomon de Causs, de Fulton et de tant d'aut
ION. — UNE CONDAMNATION ET UN ACQUITEMENT. Le magnétisme est-il une
science
que l’homme n’a pas encore suffisamment étudiée,
ns seulement, c’est que le magnétisme esl, a été, et sera toujours la
science
sacerdotale, science ignorée aujourd’hui de nos d
ue le magnétisme esl, a été, et sera toujours la science sacerdotale,
science
ignorée aujourd’hui de nos docteurs. Le magnétism
icien ; il a su appliquer à la prestidigitation les découvertes de la
science
, et a tiré notamment un très-lièureux parti de l’
travaux se rattachent au magnétisme animal et à diverses branches des
sciences
occultes. C’est à ce titre que nous croyons utile
on initiation au somnambulisme est un événement dans l’histoire de la
science
. C’est M. de Mirville qui eut l’honneur de mettre
autorité, et sans cesser d'être naturels, seront du moins acquis à la
science
. C’est ce que n’ont pas compris certains critique
ultation. «On discuta longtemps, et l’on s’entendit si peu , que la
science
, cè jour-là, ne différa guère de l’ignorance. «
anière à jeter un grand jour sur quelques points encore obscurs de la
science
. « Agréez, monsieur le baron, l’expression du p
s’en occuper; ce sont, à ses yeux, des remèdes de bonne femme, la
science
ne peut s’abaisser jusqu'à discuter de pareilles
ité. Rien ne résiste à l’éloquence des faits, et si ce remède, que la
science
déclare ridicule, a réellement la vertu de guérir
ourtant, de reste, qu'une foule de remèdes longtemps proscrits par la
science
ont fini par entrer dans son trésor et en sont au
décisives de M. Guérin de Menneville qui a demandé aux lumières de la
science
d’éclairer ce qu’avait ainsi fait découvrir un he
r de ce qui peut importer, à l’humanité. 11 n’est pas de lueur que la
science
ne doive chercher à confondre dans le vif éclat d
enton aurait à contrôler les moyens employés par les hérétiques de là
science
, tels que homœopatlies et hydropathes, mais encor
en un mot, auxquels le public accorde une certaine confiance. Que la
science
n’allègue pas la dignité qui la relient au rivage
cule devant des épreuves positives, ne mérite pas le titre d'homme de
science
. Il est encore un genrede remèdes dont l'examen
ait tout à l'heure. En dépit de son scepticisme, en dépit aussi de la
science
, qui explique tant bien que mal ce merveilleux ph
faisante fait reconnaître les erreurs de la philosophie, de la fausse
science
et des croyances -, elle ramène l’homme aux vérit
e je l’ai commencée par une lutte au profit de tous, j’aurai servi la
science
sans m’occuper de moi-môme. Imitant de loin nos m
ÉRIENCES. La lecture des livres est bonne pour donner le goût de la
science
, elle est bonne pour compléter une instruction av
. Il ne s’ensuit pas davantage de là que la médecine n’existe pas. La
science
est d’essence divine ; mais l’homme, qui la reçoi
irme (p. 32) que c’est sur cette double vue, qu’est fondée « toute la
science
de la médecine illégale, tout le savoir des somna
c pu venir en aide à l’infortuné rongeur en tuant le serpent. Mais la
science
l’emporta sur la pitié, et il voulut voir quelle
succombent aujourd’hui, et oa regrettera amèrement cette faute de la
science
. Mais nous devons parler du banquet, et faisant
jet rapide Vient arrêter lame prête à s'enfuir. Mais, s’élevant, la
science
nouvelle Redouble encor ses divines faveurs : E
ue le monde Verra combler ce vœu si doux, si cher. Activons donc la
science
féconde ! Louange à Dieu ! gloire , honneur à M
uivre l'exemple du maître, il n’a pas seulement cherché à répandre la
science
nouvelle par sa parole, il s’est surtout efforcé
risme : car nous trouverons dans cette vérité intuitive la base d’une
science
nouvelle qui réunira en elle à la logique d’une s
la logique d’une sage spéculation l’éloquence irrésistible des faits,
science
élevée et sublime, qui, prêtant son secours à ses
s abîmes ; car c’est elle qui est destinée à servir de pont entre les
sciences
physiques et les sciences morales, entre les forc
qui est destinée à servir de pont entre les sciences physiques et les
sciences
morales, entre les forces aveugles et nécessaires
nde et si belle, qui doit embrasser dans son immense horizon toute la
science
de l’humanité, ne pourrait-elle pas nous servir à
c cette foi vive et simple qui s’est perdue au fur et à mesure que la
science
morte l’a remplacée et vouée au ridicule, à défau
que avec plus d’ardeur que jamais ; vous n’avez goûté jusqu’ici de la
science
vivante que ce que vous en avez puisé dans votre
e fois catégoriquement répondu. « J’avais choisi cette partie de la
science
pour deux raisons : la première, pour mettre la j
serait tenté de croire qu’il existait jadis des individus doués d’une
science
surhumaine, en état de donner sur toutes les ques
e ce naufrage, sauvons le souvenir des faits qui peuvent éclaircir la
science
, tels que les faits de lucidité qui subsistent en
inspiré parun sentiment généreux, et si, sans nuire aux droits de la
science
, sans entraver le progrès, on peut mettre fin à c
académie magnétique dans mon ouvrage intilulé : Du Magnétisme e( des
sciences
occultes, qui paraîtra prochainement. ceux qu
ttraient à expérimenter, et la lucidité admise définitivement dans la
science
, au même rang que toutes les découvertes, ne ser
atéral droit. D’après le compte rendu que nous empruntons à l'Ami des
sciences
( n° du 1er mai dernier), « Au niveau de la mallé
és et consciencieux ne pourra manquer de contribuer aux progrès de la
science
: peut-être aussi trouvera-t-on enfin la solution
s qui, d'uii pas lent mais sûr, tracent leur sillon dans le champ des
sciences
. J’aime surtout à recueillir les témoignages de l
e qu ils ne comprennent pas. i J’ai écrit pour les vrais amis de la
science
, et pour ceux surtout qui aiment la vérité avant
eusement exprimé ; on peut le résumer en quelques mots : c’est que la
science
produit souvent l’orgueil, et l'orgueil, qui est
défenseur de M”8 Berney, après un rapide aperçu sur l’histoire de la
science
magnétique depuis Mesmer, a combattu l’inculpatio
n de M. Barraud, qu’il ne reconnaît pas comme compétent en matière de
science
. Abordant le chef d’exercice illégal de la médeci
il a fait ressortir l’importance du magnétisme, ses relations avec la
science
, et a indiqué les moyens de le développer ; il a
c plaisir sa parole et qui lui sait gré de ses efforts pour rendre la
science
attrayante. M. Thuvenin a chanté quelques coupl
ffort. Les magnétiseurs ne doivent pas oublier ce point capital de la
science
de guérir les incurables les plus désespérés : l'
vaincre d’erreur les médecins éminents qui ont donné à l’Académie des
sciences
une si singulière, j’allais dire une si naïve exp
e l’intervention des Esprits. Dans un, article publié par Y Ami des
sciences
, M. Mathieu avait depuis longtemps exposé le phén
té et sans prévention tout ce qui pourra contribuer aux progrès de la
science
. Persuadés que l’honorable M. Mathieu ne cherche,
nt en France répéter ces prodiges qu'il serait si intéressant pour la
science
de constater. Notre appel n'a pas encore été ente
. La Revue en est pour ses frais de sensibilité sur les Martyrs de la
science
. ÆRRA.TA. Page 330, ligne 35, au lien de ces
pratiques qui, à leurs yeux, étaient sans valeur, que repoussaient la
science
et le bon sens, et qui étaient propres à entreten
cultés exceptionnelles ne puissent les exercer sans violer la loi. La
science
et l’humanité sont intéressées à ce qu’aucune des
ut l’employer. Alors on se gardera bien de répudier un tel trésor, la
science
s’enrichira de nouvelles découvertes, et la loi,
s vouloir se donner la peine de se frayer une nouvelle route dans les
sciences
, c’est ne trouver autour de soi que ténèbres. D
, blessés dans leur amour-propre, empêchent toute innovation dans les
sciences
. La vérité est là cependant ; ce serait une ten
es qui se sont occupés et qui s’occupent encore sérieusement de cette
science
étaient trompés ou trompeurs , pourquoi. au l
ne. Honneur ii ceux qui se livrent avec ardeur aux progrès de cette
science
; les générations futures leur seront reconnaissa
antir la plus belle, la plus utile et la plus étonnante de toutes les
sciences
. E. M. Rossi. Smyrne, avril 1859. FAITS ET
merveilleux ? Il a fallu creuser profondément dans les secrets de la
science
pour arriver à des faits pareils. Ils sont commun
ie de ses lecteurs. Le fait est que les acquisitions récentes de la
science
, •— bien qu’on les ait peut-être trop facilement
sera sans doute amené un jour à découvrir les mystères. L'étude des
sciences
de l’antiquité et des mæurs des civilisations ant
les animaux et sur le rôle que ceux-ci jouaient, en Orient, dans les
sciences
occultes. Nous ne devons donc pas nous étonner de
sance et convaincu qu’elle appartient à un ordre de phénomènes que la
science
ne tardera pas à s’approprier, il n’hésite plus à
ents apôtres de Mesmer à descendre dans les profondeurs de la sublime
science
qu’il nous a léguée, afin d’y chercher ce que nou
rrions appeler analogiquement ici la phrénolo-gie à notre aide; cette
science
toute nouvelle pour ainsi dire et qui cependant c
orcellerie magnétique , et, par conséquent, d’un vieux replâtrage des
sciences
occultes. C’est une erreur de laquelle M. l’abbé
ersuadé que si cette question n’est pour M. l’abbé qu’une question de
science
, s’il n’en fait pasufie affaire de spéculation, i
suppôts de Satan. Par malheur, M. Mabru, le lauréat de l’Académie des
sciences
, s’est fourvoyé, et, croyant avoir affaire à un d
urde bévue; mais elle lui a procuré le sujet d’une tartine contre les
sciences
occultes, et avec ces maudits magnétiseurs tout d
ges, qui renferme des richesses incalculables, et sans lesquelles les
sciences
des écoles officielles ne peuvent se compléter. N
ce de guérir un grand nombre de maladies et précisément celles que la
science
juge incurables. Nous avons déjà fait remarquer q
s maladies, se démontre tons les jours, et, dans une foule de cas, la
science
médicale n’est guère, sans cet auxiliaire, qu’un
z le bien partout où il peut se rencontrer ; mettez-vous à étudier la
science
occulte : vous y trouverez la clef de bien des di
tait servi souvent de son talent pour faire aimer et rechercher cette
science
nouvelle. Il a trop tôt payé sa dette, mais nul n
es pilécomènes si longtemps raillés, qui seraient enfin admis dans la
science
et ne seraient môme plus contestés. Nous avons
ublics et gratuits où chacun est admis à s’initier aux éléments de la
science
et peut voir opérer sous ses yeux les faits m
ns courageux pensaient avec raison qu’il était très-important pour la
science
de faire reconnaître une faculté aussi prodigieus
le, dont l’esistenoe est même contraire à toutes les prévisions de la
science
, il est évident qu on entre dans un ordre de chos
fier des moyens d’analyse et d’appréciation dont on peut disposer. La
science
, l’art, la ruse ont bien rétréci la sphère des fa
ce qu’il lui plaira de nous envoyer, persuadé que nous sommes que la
science
magnétique y trouvera son profit. Le sommeil, l
ent (page 309) des communications qui ont été faites à l'Académie des
sciences
sur divers procédés au moyen desquels, par le jeu
. (1) Il en a été rendu compte d'une manière étendue dans l'Ami des
Sciences
(n°* des 26 et 31 juillet), auquel nous emprunton
à une action miraculeuse des Esprits et à en informer l’Académie des
sciences
, comme d’un immense événement. Si l’on veut con
i, comme nous l'espérons, il s’y trouve des membres de l’Académie des
sciences
, il ne manquera rien au triomphe de M. Mathieu, d
mène des Esprits frappeurs m’avait déjà été expliqué à l'Académie des
sciences
par M. le docteur Jobert de Lamballe et par deux
s deux mots, c’est que la fourberie me révolte, et que je veux que la
science
soit pur? et sans souillure. B°" du Potet. No
rage sur le sommeil qui fut dans le temps couronné par l'Académie des
sciences
morales et politiques, considère cet état et
sujet? Ici commence la gravité de l’alTaire. Laissons donc parler la
science
. Deux docteurs ont été appelés comme experts ; vo
is que des hommes difficiles à tromper, des membres de l’Académie des
sciences
, des médecins éminents, ont voulu vérifier les fa
omme distingué dans la profession qu’il a embrassée. L’Académie des
sciences
ne nous a point encore autorisés à admettre le ma
eur que nous annoncions; aujourd'hui c'est ¡a Revue contemporaine des
sciences
occultis et naturelles. Elle est publiée par M.
ière se fait et quand l’ignorance se retire; mais les conquêtes de la
science
et de la lumière étendent, affermissent et font a
dont les travaux consciencieux ont déjà fait faire un grand pas à la
science
de Mesmer. M. du Potet a ouvert à Paris une école
a révélé la magie; il a senti le besoin de révéler et de cacher cette
science
effrayante encore pour lui-même, et il a écrit un
fortement convaincus qui supportent courageusement les dédains de la
science
et les préjugés de l’opinion, en répétant tout ba
MAGNÉTISME ET SQIYIMBULIS&IE. Le magnétisme est l’arbre de la
science
du bien et du mal ; il ne faut pas y toucher, dis
ionnelle. Le tribunal a dû se trouver dans un grand embarras : car la
science
officielle dit que le magnétisme n’existe pas; or
quand des hommes difficiles à tromper, des membres de l'Académie des
sciences
, des médecins éminents ont voulu vérifier les fai
d’Eslon, élève de Mesmer, a fourni aux commissaires de l’Académie des
sciences
et de la société royale de médecine, tous les moy
réserve prudente et timide : il n’ose se prononcer. « L’Académie des
sciences
(dit-il) ni la Faculté ne nous ont encore autoris
pas la prétention d’être un concile, un arbitre suprême en matière de
science
. Il est fâcheux que le tribunal n’ayant pu obte
ord sur le fond, que le magnétisme n’existait pas, que l'Académie des
sciences
, du moins, ne les autorisait pas à le reconnaître
Arago affirmait qu’il y avait bien peu de chose dans le domaine de la
science
(peut-être même a-t-il dit : rien), qu’on dût nie
moins, que d'inexplicables accidents se produisent qui provoquent la
science
et défient la raison. «Dans la guerre de Crimée
magicien, Apollonius de Thyane et Cagliostro. Pour les sectateurs dos
sciences
occultes, ce sont des maîtres vénérables, possess
contre Cagliostro, accusé de s'être livré, dans un but d’impiété, aux
sciences
occultes. » Or c’est devant la sainte inquisition
té de sa femme. Cagliostro semble avoir eu un goût passionné pour les
sciences
occultes ; et quoiqu’il s’en soit servi pour fair
isme arrive; il part d’en bas contrairement à la raison, car c’est la
science
officielle qui eût dû répandre la vérité nouvelle
NAMBULISME MAGNÉTIQUE. lin’y a dans le monde qu'une seule et unique
science
, qu’une seule et unique vérité qui puisse nous in
nous initier daas les mystères des phénomènes psychologiques, eteette
science
, aussi vieille que le monde, et si méconnue encor
le est divisible, poreuse, impénétrable, étendue, élastique, mais les
sciences
actuelles n'ont pu encore, et ne pourront peut-êt
ations des mystères? quel est celui qui oserait aujourd’hui sonder la
science
des hiérophantes, qui, à n’en pas douter, se serv
ils voient qu’elle tient dans ses mains divines la clef de toutes les
sciences
. Les ennemis acharnés du magnétisme veulent, no
u corps pourvoir et pour penser. Ils croiront comme nous que si nulle
science
au monde n’a pu jusqu’aujourd’hui les convainc cr
e vous est connue par vos propes « sens et parles instruments dont la
science
a doué l’œil de « l’homme ; l’autre nous est révé
la lecture en est généralement très-rebutante : les maîtres de cette
science
n’écrivent pas pour le vulgaire, ils emploient un
cile à leurs successeurs. On se demande naturellement si ce trésor de
science
, fruit de si longues études,.vaut.le mal qu’il c
examiner. Et d'abord qu'est-ce que la magie? L’auteur la définit la
science
exacte et absolue de la nature et de scs lois (p.
exacte et absolue de la nature et de scs lois (p. 1). Alors c'est la
science
universelle, et elle comprend toutes les sciences
. 1). Alors c'est la science universelle, et elle comprend toutes les
sciences
qui traitent de la nature, telles que l’astronomi
chimie, l’anatomie, etc. Cependant, ceux qui ont cultivé ces diverses
sciences
, ceux qui les ont le plus fait progresser, les De
sûrement ce qu’elle n’est pas, et certainement elle n’est aucune des
sciences
que nous venons de nommer, elle ne comprend aucun
e des sciences que nous venons de nommer, elle ne comprend aucune des
sciences
positives. La définition est donc fausse; voilà d
a conclusion , nous trouvons une autre définition : « La magie est la
science
absolue de l’équilibre. » (P. 529.) Mais malheure
de l’auteur fait voir qu’il ne sait pas lui-même en quoi consiste la
science
qu’il veut enseigner : c’est quelque chose de mys
ocilité doit surprendre de la part d’un docteur ès-sciences magiques,
sciences
qui ont toujours senti le fagot. Malgré ces prote
n un paularte très-singulier, qui se trouve chez quelques amateurs de
sciences
occultes. Le contour, au lieu de consister en un
son article; et si jamais, dans son étude, encore inexpérimentée des
sciences
occultes, il lui arrivait une mésaventure semblab
a magie et ceux qui en niaient la puissance. Nous qui admettons cette
science
profonde, lions sommes loin de nous révolter cont
59. émettre notre pensée sur un sujet qui fait le désespoir de la
science
, nous dirions que la vie est la manifestation de
voir confirmés par tous les magnétistes sérieux et par les hommes de
science
, j'indiquerai un peu plus loin des moyens à la po
exions des personnes , aux expériences et à la critique des hommes de
science
, a pour lui cet immense avantage qu’avec son aide
dont jus- qu’à ce jour, malgré les infatigables recherches de la
science
, lions savons encore si peu de chose. Si nous i
. Aussi Béclard, après avoir épuisé la série des faits avancés par la
science
, s’écrie-t-il enfin avec un accent de désespoir :
dant quelque temps. » Nous ne prétendons point, nous néophyte de la
science
, dont le nom est encore inconnu, qu’il nous soit
faits physiologiques constatés par des noms qui font autorité dans la
science
. Un premier fait reconnu en physiologie, c’est
r de ses sentences , travaillent consciencieusement aux progrès de la
science
. 11 existe une Société appelée Médico-Psychologù/
iologiques, c’est que nous sommes réunis iei, philosophes occupés des
sciences
abstraites, et médecins livrés à la recherche et
reconnu qu’il y avait là des finis méritant les préoccupations de la
science
— 3e propose àla société de s’occuper prochainemen
erveilleuses du somnambulisme artificiel. On voit que les hommes de
science
s’inquiètent fort peu des anathèmes de l’Académie
s voulûmes éviter : le fanatisme ne servit jamais à l’édification des
sciences
. Nous pouvons maintenant, Messieurs, vous dire
s, devenues presque vulgaires, peut, par son alliance avec les autres
sciences
, devenir une source des plus fécondes en résultat
t besoin sans doute d’être répétés et confirmés pour être acquis à la
science
; mais il puisera dans ses premiers succès, bien
se égalerait leur terreur et ils verraient aujourd’hui ce que peut la
science
humaine. « Vapeur ! électricité ! magnétisme !
pris, mon ami ! en lisant ce dernier mot écrit par moi : Magnétisme !
science
obscure que j’avais commencé à étudier et que j'a
t que j'ai abandonnée, le doute s’étant emparé de mon cœur. o Cette
science
, encore en chantier, progresse bien lentement mal
, qui affirmait qu’il y avait bien peu de chose dans le domaine de la
science
qu’on dût nier à priori. Or le magnétisme est
a science qu’on dût nier à priori. Or le magnétisme est aussi une
science
, et c’est pour vous raconter une petite aventure
e quelques effets. « Je vous l’ai déjà dit, je connais un peu cette
science
, quelques essais assez heureux avaient sinon diss
e me crus battu, et riais intérieurement des mes essais infructueux :
Science
, me dis-je, ou plutôt folie, tu es donc un menson
« Bravo ! très-bien ! exclama-t-on de toutes parts. « O amour de la
science
et de la vérité, ceux qui te comprennent apprécie
t rares sans doute, mais aussi par cela môme assez concluants pour la
science
du magnétisme. Venez I » «Je m’excusai sur mon
e prosternai et priai Dieu avec ferveur. « J’aime lascience pour la
science
, je vous l’ai déj:\ dit quelque part, et jesuislo
ne pouvons jamais le fertiliser entièrement. Maisest-ceseulement la
science
, la sciencedel’écolc qui nous viendra en aide et
n profit, etc., etc. Cependant, malgré les progrès incessants de la
science
et les immenses avantages que nous ne cessons d’e
nes, qui en montre la loi, qui satisfasse l’esprit, qui enrichisse la
science
?... Hélas ! non. Les problèmes n’ont point été r
é; àlamédecine, puisque'l’état nerveux y subitdes modifications ; aux
sciences
magnétiques, puisqu’on y voit éclore des facultés
ligion nouvelle. Il y avait donc une mine féconde à exploiter pour la
science
; et l’on doit savoir gré à ceux qui, comme M. Go
is comme nous n’avons aucun goût pour cette guerre d’invectives où la
science
ni la vérité n’ont rien à gagner, nous renonçons
nes que j’extrais d’un numéro du Spectateur, Revue encyclopédique des
sciences
, des lettres et des arts, 11“ 2, p. ¿30, 20 févri
eût jadis loué cet homme et brûlé la sorcière ; il n’y avait alors ni
science
ni pitié. Aujourd’hui la science manque encore, m
la sorcière ; il n’y avait alors ni science ni pitié. Aujourd’hui la
science
manque encore, mais la pitié est venue : c'est un
te d’ùtre étudié par les savants comme toute autre branche de la môme
science
. » (P. 15(5.) M. Macario attribue les phénomène
vaise foi ; et voilà comment on devient prophète à bon marché I... La
science
ne peut se contenter de pareilles sornettes. Pour
de l’univers et y lire les secrets de Dieu. » Ici ce n’est plus de la
science
que fait l'auteur, mais du roman. L’âme qui tend,
de ne pas faire usage et qui peut guider dans une foule de cas où la
science
médicale est impuissante. El même ce n’est qu’à l
surtout une haute importance, en ce qu’il fait voir que les hommes de
science
ne craignent pas de braver les anathèmes académiq
ibilité des rapports des somnambules avec les Esprits. La Revue des
sciences
occultes cl naturelles en est à sa cinquième livr
t journellementdu terrain, nous paraît mériter l’examen des hommes de
science
. Je comprends parfaitement qu’un médecin a besoin
ique, au lieu de sonder d’une main hardie le vrai ou le faux de cette
science
encore au berceau, et d’en faire l’une des branch
t été faite, parce qu’on ne saurait, dit le rédacteur du Moniteur des
sciences
médicales et pharmaceutiques, dans le numéro du 2
témoin très-peu crédule, je vous l'assure. Je crois cependant que la
science
n’a qu'à gagner ii l’étude du magnétisme et qu'il
ntre le corp médical tout entier, et qui devrait être une branche des
sciences
médicales réservée exclusivement aux médecins.
e leurs succès, une révolution aurait lieu dans la médecine, et cette
science
ténébreuse pourrait alors se vanter d’être utile
qu'en 18S4 que M. Schiff a f,.it ses communications à l’Acadéinie des
sciences
. l'acoustique. Ordinairement nous ne parvenon
notre collaborateur, M. A. S. Morin, intitulé : du Magnétisme et des
Sciences
occultes , paraîtra à la fin de ce mois, à la lib
ME 1859. *4 PROGRÈS DU MAGNÉTISME. HYPNOTISME. L’Académie des
sciences
, dans sa séance de lundi 5 décembre , a reçu de M
naturel, facile, que le hasard vient de mettre à la disposition de la
science
, on n’a plus à redouter les accidents qui onteomp
s des circonstances utiles, et peut-être contribuerez-vous à doter la
science
d’un nouveau moyen de venir en aide à l’humanité
au et sans doute aussi pour quelques autres membres de l’Académie des
sciences
et de médecine. En 1851, le Journal du Magnétis
ds, ont parcouru l’an dernier les États-Unis pour l’établir comme une
science
nouvelle. En vain les magnétiseurs ont-ils protes
magnétistes zélés, pour que la lutte entre la vieille et la nouvelle
science
arrive il son terme; par M. le baron du Potet, 3.
ves et du somnambulisme. Question mise au concours par l'Académie des
sciences
morales et politiques. Dissertation sur le systèm
orin, 484; par M. Thé cel, 489. Somnambulisme (Le) à l'Académie des
sciences
morales et politiques. Réfutation du rapport de M
M. Lafontaine. Annonce et mention, 420, 615. Magnétisme (le) et les
sciences
occultes,, par A. S. Morin. Annonce de la prochai
, etc., par Gromier. Analyse et examen par M. Morin, 133. Revue des
sciences
occultes et naturelles, fondée et publiée à Nisme
elles sous la direction de M. Albert Léry. Mention et annonce, 615.
Science
(la) de l'homme, par Enfantin, simple mention, 84
ours généreux); chaque page devait être lumineuse, et contenir sur la
science
de l’homme tout ce que de saints personnages avai
quoise, et murmurant : « Mais je voulais que le magnétisme devînt une
science
, et je ne voisieiquedesmnbreset désœuvrés stérile
du magnétisme reconnaîtra qu’elle a fait fausse route. ACADÉMIE DES
SCIENCES
. Séance du 28 septembre. — M. Duraml de Lnrx'l
aractérisent les nuances sont un progrès notable; car l'obscurité des
sciences
naissantes tient plus à la confusion des faits, à
veut éclaircir; car si un terme juste évite des disputes, donne à la
science
une allure franche, décidée, un mot impropre jett
ici peu de résistance. J -B. Difbois était un de ces hommes avides de
science
, qui, pour acquérir une idée, entendre un bon dis
cience réprouvait désormais, el se jetaà corps perdu dans l'étude des
sciences
positives qui ne devaient point lui rapporter une
s; c’est une épreuve qui doit durer jusqu’au temps où le temple de la
science
lui sera ouvert. Mais il dépend des hommes honnêt
, enfin, que ces démonstrations, instituées pour la propagation de la
science
, ne soient point détournées du but pour lequel el
magnétique, dont la réussite prouve que le magnétisme est la clef des
sciences
occultes de tous les temps et de tous les pays. L
us espérions y trouver des idées neuves, quelque chose qui marquât la
science
d’un nouveau sceau; mais, il faut le dire, ce n’e
, car ils n’ont pas mangé du fruit défendu, ni touché à l’arbre de la
science
magnétique. L'Union médicale, nouveau journal d
e. C’est pourquoi nous appelons de nos vœux le temps où les hommes de
science
emploieront leur génie à de nouvelles recherches.
étique. Laissons de côté ceux qui voudraient empêcher la marche de la
science
en exprimant leurs craintes. Innovons, innovons s
s la sagesse et l’expérience nous servent de pilote. » ACADÉMIE DES
SCIENCES
DE STOCKHOLM. . Séance du 31 mars 1846. — M. Be
’expé-« rience nous offre souvent, dans toutes les branches de * la
science
, des phénomènes qui sont incompréhensibles « et d
ce que la puissante vérité mesmérienne force la porte du temple de la
science
et se fasse reconnaître pour ce qu’elle est. Ma
cins ayant la faculté somnambulique en tireront parti au profit de la
science
et dans leur propre in-térôt.jPeut-ètre trouveron
la Revue gallicane ne saurait avoir la même excuse que l’auteur de la
Science
funeste. — M. l’abbé DesGarets, chanoine de Lyo
s k côté des injures que le docteur H. R*** adresse aux adeptes de la
science
de Mesmer. Il n’y a point de paix possible avec
l serait bon de brûler tous les livres qui traitent de ces prétendues
sciences
et d’en punir sévèrement les fauteurs. De notre c
ous n’aurez point k regretter de vous être montré le protecteur d’une
science
dont les ressources sont inü- nies. Puissiez—vo
, car les privilèges qu’ils pourront obtenir ne leur donneront pas la
science
lorsqu’il sera prouvé qu’elle est en dehors d’eux
rincipes de médecine naturelle qui s’y trouvent, et réformer ainsi la
science
de guérir. Là serait leur fortune et leur gloire;
és morales découvertes, enseignées, répandues par toute la terre? Les
sciences
elles mêmes ont-elles du moins répondu une saluta
me; ils ont en eux-mêmes le principe de leur conservation. En vain la
science
le chercherait ailleurs. L’homme seul dévie à la
▼otre pratique et vos expériences les lacunes qui existent dans cette
science
. A u remier mois de l’année le soleil est éloigné
t les malheurs qui s’exhalent en plaintes de toutes les poitrines. La
science
avait pour mission d’éclairer les hommes. Elle s’
ons ensemble ces préjugés, honteux pour la dignité de l’homme, que la
science
et la religion laissent subsister. Arrachons ce
nce tous nos antagonistes. La physique, la chimie, comme toutes les
sciences
exactes, ne doivent leur progrès, lenr autorité,
s les plus dévoués, n a pas scu- Icmentpoiir objet de glorifier une
science
dont vous ¿tes à nos yeux le plus digne représent
qui ne porte pas la marque de leur fabrique. Eux, les gardiens de la
science
, ils n’en sonique les geôliers ; le dos tourne au
evé et a répondu k cet éloge. « Messieurs, a-t-il dit, le champ des
sciences
exige plus de labeur, il est d’une culture plus d
grain dans un terrain presque toujours favorable, fertile; l'homme de
science
, au contraire, jette souvent le sien sur des ronc
orment tranquilles après la fin de leur journée. L’homme qui aime les
sciences
'et qui les cultive voit ses jours tourmentés et
dépein- dre. Je n’ai fait, comme vous, qu’entrer résolument dans la
science
, la cultiver avec ardeur; vos hommages donc devra
u magnétisme, l'a fait eu ces termes : « Au magnétisme!.... à cette
science
divine qui prouve que l'homme a reçu du Créateur
en puisant aux sources « intellectuelles qu’on peut acquérir la vraie
science
. » Le magnétisme détache l'âme des sens et fait
isme m’ont rempli de reconnaissance pour celui qui m’a initié à cette
science
. Qu’il me soit donc per mis de la lui témoigner d
Sixième observation. Il est contraire il la rnison et nuisible 5 Ja
science
de déclarer impossible et faux un fait quelconque
t trop haut proclamer son utilité. Sans son concours, en effet, les
sciences
, dont elle est la mère et la nourrice, dépérissen
ite que ses vieux amants ne la purent suivre. De même pour les autres
sciences
physiques. Le mesmérisme, qui est de cetordre, do
découverte magnifique, et uu progrès marqué doit en résulter dans la
science
magnétique. Nous allons donc, devant vous tous, t
s phénomènes. Un jour viendra où l’ignorance revêtue du manteau de la
science
sera à tout jamais bannie, où il sera reconnu que
et si utile. Curieuse, car c’est par elle seule qu’on peut donner aux
sciences
ce qui leur manque : la connaissance des premiers
, lecteurs, que ce succès éclairera les savants, qu’ils étudieront la
science
qui se traduit ainsi ;détrompezvo us : on magnéti
e en est rassasié; c’est ainsi qu’ils remplissent leurs fonctions. La
science
n’est-elle point un sacerdoce? Voyez quels dignes
us la vérité de ce précepte, qui marche de pair avec le suivant : une
science
ne saurait exister que le jour de son baptême, c'
dehors si séduisants que nous nous dirons : comment se fait-il que la
science
compte si peu de jours? Eh! c’est qu’elle n'avait
de la généralité. Ainsi du magnétisme : confondu parmi une foule de
sciences
qui le déchiraient, il n’existe réellement que de
le saisit par le front, et malgré les clameurs affamées de toutes ces
sciences
, il établit devant elles une rivale invincible, e
bien que le courant soit dirigé sur d’autres. A chaque pas dans les
sciences
nous trouvons de ces exemples inexplicables. «L
oujours militants, point de temps ne leur est laissé pour l’étude des
sciences
naturelles, qui rendent si forts leurs adversaire
les termes techniques, plus ou moins grecs d’origine, qui rendent la
science
ennuyeuse, d’attrayante qu’elle est naturellement
. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONFÉRENCES MAGNÉTIQUES. Pour parvenir aux
sciences
plus qu'humaines, il faut s’appliquer à la divina
elle où le magnétisme va lui-même être entraîné au grand profit de là
science
et de l’humanité, comme nous le démontrerons. En
h bien, tout ce mal peut diminuer et l’humanité changer de face si la
science
le veut, si elle daigne s’occuper de nos recherch
ermes et créent tout ce que nous voyons, rentrera dans le domaine des
sciences
. Quelle profonde révolution nous entrevoyons po
ons pour l’avenir, et quelle pitié nous inspire le présent! Voyez les
sciences
, ce qu’elles savent des choses morales et des fac
iques doivent être encore gardés; nous serions indigne de posséder la
science
si nous les divulguions à qui que ce soit; car ce
ffrir aux regards des sceptiques? SOCIÉTÉS SAVANTES. ACADÉMIE DES
SCIENCES
. Séance du 22 mars. — Le progrès du magnétisme,
seurs répondent à cette tendance, qu’ils étudient de plus en plus les
sciences
physiques, la pratique y gagnera beaucoup, la pro
enirau courant de nos explorations;car les résultats appartenant à la
science
du magnétisme, ce sont eux qui doivent l’étendre
23 mai 184 6, de consacrer le souvenir de cette première ovation à la
science
que Mesmer nous a léguée, par une médaille à l’ef
t à l’opérateur, parle, marche, rit, pleure au gré du maître.....La
science
médicale va sans doute encore rompre quelques l
le du docteur Billot, qui subordonne le magnétisme à la théologie, la
science
à la religion, l’opinion au fait. M. Ch. Renard n
uverains, sur les reines et sur les gens riches. Une des plus grandes
sciences
de l’antiquité, le magné- tismeanimal, est sort
andes sciences de l’antiquité, le magné- tismeanimal, est sorti des
sciences
occultes, comme la chimie est sortie des fourneau
vrologie, en sont également issues; et les illustres créateurs de ces
sciences
, en apparence nouvelles, n’ont eu qu’un tort, cel
fait une regrettable lacune de cent ans dans le règne et l’étude des
sciences
occultes. » — Le docteur Pidoux parle beaucoup
ent les détruire les propagent. L’autocratisme individuel, en fait de
science
, est une chose terrible 5 en rapportant tout à so
à amuser et distraire celui qui s’en occupe; il constitue encore une
science
naissante dont les applications diverses seront f
ons nous porte à le croire. Est-il possible de prévoir où ira cette
science
, ce qu’elle deviendra, quelles seront ses destin
probabilités, nous avions à suivre les développements futurs de celte
science
, nous pourrions dès aujourd’hui lui prédire d’ass
. Si- Lé magnétisme considéré sous le rapport thérapeutique. Lu
science
de Mesmer doit-elle plus tard renverser tout an
ie eût pu faire des progrès, que la partie la plus hypothétique de la
science
qui a vu naître le scepticisme eût jamais pu pens
vu naître le scepticisme eût jamais pu penser à se placer à côté des
sciences
exactes? Le somnambulisme sera pour la philosop
et l’âme végétative se rapprochent, puis se confondent dans ces deux
sciences
dont la source est commune. s III. l-e magnét
indiquer le moyen de guérir son enfant. Cette manière d’improviser la
science
médicale lui parut absurde, impossible, et elle s
ble, ou enfin par la grâce de Dieu; car lorsqu’on n’est pas avancé en
science
, l’on fait souvent bien des méditations sans appr
ment rassemblé, afin qu’un jour les hommes qui voudront écrire sur la
science
profonde, objet de toutes nos recherches, trouven
en ouvrant ces livres, de voir qu’ils contenaient des traités sur les
sciences
occultes, sur l’astrologie, l’alchimie, la nécrom
pour montrer à tous que nous soin- mes forts et »ombreux, que notre
science
fait de rapides progrès. I.a mémoire de Mesmer
ous inspirent une sorte de mépris. Qu’ils restent donc à l’écart ; la
science
nouvelle les désavoue, car elle ne leur doit ni n
e magicien serait un homme qui sait la nature. Je définirai la magie:
science
parfaite de la nature; et j'ai pour moi l’autorit
n est ministre de la nature, magus naturœ minister est (Plotinus). Sa
science
embrasse tous les savoirs ; il doit être consommé
art des magiciens du moyen Sge se fussent entendus sur les noms , les
sciences
eussent été portées au comble ; mais, séparés san
paques, applica tion îles médicaments, connaissance des lois du ciel,
science
de l'organisme animal et universel, science de l’
issance des lois du ciel, science de l'organisme animal et universel,
science
de l’avenir... extase des saints quand l’âme, pur
ale ou non, elle a toujours le mérite de rapporter à Dieu la première
science
du monde, et elle se drape à la rigueur sous le m
ause de tout événement, de tout phénomène ! Je ne sache pas qu’aucune
science
ait précédé l’astrologie. La Chaldée fut son berc
jouir de toute sa maturité. Là elle s’adjoignit diverses branches de
sciences
naturelles, secrètes et divinatoires, que les Héb
dition pratique sous le souffle raisonné de la théologie, et enfin la
science
nous apparaît maintenant à l'abri de toute doctri
du pays, servaient de voile à leur philosophie. » Dans ces temps la
science
était portée bien haut dans le respect des peuple
e, qu’on appelle Sophis, ont bien conservé le privilège antique, à la
science
près. L’astronomie occupait le premier rang dan
lique des astres. Les Egyptiens, outre cela, possédaient toutes les
sciences
naturelles et surpassaient de beaucoup tous leurs
reux portèrent tour à tour les noms de Cabalistes (cabala ou cabbala,
science
traditionnelle et héréditaire), et de Prophètes (
ement le nom de Sacerdotes. Chez les Indiens, les représentants de la
science
divine et naturelle s’appelèrent Brachmanes ou Gy
s mages; leur philosophie (j>iXojof>eca), l’amour de l’étude en
science
magique; c’étaient des savants, comme l’indique l
taient des savants, comme l’indique le mot latin sapientes, hommes de
science
. Que firent en effet les Grecs? Manquant d’écoles
dans leurs écrits la théologie de Moïse, l’astrologie de Bulda et la
science
d’Hermès; et saint Jérôme, dans sa lettre à Pauli
meuse table du soleil. Voilà comme il vint à bout d’acquérir sa vaste
science
, et plus il allait, plus il se faisait meilleur.
péfaction et le monde de pensées qu’ils soulèvent. Souvent déjà la
science
, déliante d'abord, mais enfin convaincue par des
s si vous sortez d’une individualité, malheur à vous, malheur à votre
science
, qui aurait contre elle la société tout entière,
arle sans jamais s’ètre entendu! En Allemagne, on l’élève à l’état de
science
; il fait partie des études médicales; on le prat
K"‘ fut appelé, et déclara que cette opération était indiquée par la
science
, mais qu’elle seraitdiflicileet douloureuse, parc
hommes pleins d’orgueil cf de vanité ont dit : Non, il n’est point de
science
en dehors de la nôtre ; au delà de nos conception
t. Au milieu des ruines de l’antiquité existait un trésor caché. La
science
ne l’ignorait pas; mais tout son génie ne put le
ne seront plus mortes et semblables aux fruits desséchés de la fausse
science
: elles oui une plus noble origine. La science ne
desséchés de la fausse science: elles oui une plus noble origine. La
science
ne peut encore ni les produire ni les revendiquer
relâchement des croyances en présence de l’immense développement des
sciences
? C’est que celles-ci manquent essentiellement de
de l’agent magnétique, auront concouru puissamment aux progrès de la
science
et de l’art (I). M. du Potet, qui avait brigué
e sagesse humaine, Qui n’est que mode ou que hasard ? Qu’importe la
science
à celui que Dieu mène ? Il doit arriver tôt ou
plus sérieux; c’est donc une vie que nous croyons consacrée tout à la
science
. Mesmer était parmi nous; ce n’était plus son o
ut principe élevé, de toute idée grandiose. Comme appréciateurs de la
science
, ils font une guerre acharnée k tout ce qui n’est
éther, l’auteur de ce petit écrit servirait mieux qu'il ne le fait la
science
et l’humanité. Le Propriétaire-Géraitt : HÉBERT
l fut proposé de consacrer le souvenir de cette première ovation à la
science
qu’il nous a léguée par une médaille frappée à l’
aînent sa voix et son expérience. J’ai trouvé le nec plus ultrà de la
science
des médicaments, mais une lacune bien regrettable
eau, des médicaments et des maladies à déconcerter les médecins et la
science
! » Savez-vous pourquoi M. Trousseau est ainsi d
rvations, et par là m’éclairer de vos lumières et les répandre sur la
science
que nous étudions. Afin d’éviter de longs dével
par réaction, sans chercher l'intermédiaire du fluide universel. La
science
du magnétisme consiste donc à savoir faire une ap
tériel. Ce résumé succinct d’une théorie complète et générale de la
science
magnétique laisse clairement entrevoir les nombre
andat d’arrêt contre M. Cubi, qui exerce le magnétisme et professe la
science
du docteur Gall dans cette ville. On l’accuse de
on n’a fait davantage pour le triomphe de sa doctrine. Les arts, les
sciences
, la littérature, lui ont chacun payé tribut, et c
cteur-médecin, a inséré dans le Censeur de Lyon une attaque contre la
science
mesmérienne à propos de la dernière séance de M.
res à convaincre, parce qu’on ne peut rien vérifier, et qu’en fait de
science
il faut des preuves évidentes, sans quoi l’édific
une si belle cure, a voulu payer sa dette de reconnaissance envers la
science
qui enseigne à produire de si admirables faits, e
si funeste qu’est nuisible aux plantes l'ombre des grands arbres. Les
sciences
personnifiées s’atrophient; il leur faut l’indépe
s idées à l’exclusion des autres, et sans consulter les intérêts delà
science
, du principe qu’ils voulaient répandre. L’antagon
se servir de l’arme de ses ennemis. Et les corps faisant la force des
sciences
, comme la discipline celle des armées, tous les e
rations, fut porté jusqu’aux nues; tout le monde voulut étudier cette
science
simple et sublime, qui permet au moins académicie
mé des travaux dont nous voulons parler. « M. démens, professeur de
sciences
naturelles au collège de Vevey (Suisse), vient de
ent de communiquer, dans un mémoire adressé à la Société vaudoisc des
sciences
naturelles, les résultats de plusieurs expérience
les tourne en ridicule. a Est-ce là de la justice, messieurs? Cette
science
que l’on affecte tant de mépriser ne subirait-ell
mais si le préjugé a lutté longtemps contre le progrès de toutes les
sciences
, il a toujours été vaincu. Dans le temps où la pl
à des besoins du moment. a La médecine n’est pas un droit, mais une
science
, » et le temps viendra bientôt où dans chaque fam
maux d'autrui, et notre douleur augmente en voyant protéger la fausse
science
qui les éternise pour les exploiter. Mais nous no
augmenter les entraves. Que ceux qui sont frappés se résignent; toute
science
, comme chaque religion, doit avoir ses martyrs :
èle. 199 — d’amygdales. 226 — de glandes. Î74, 837 Académie des
sciences
. 19,89, 200 — — de Stockholm. 76 — de médecin
nseignement mutuel du mesmérisme théorique et pratique, ainsi que des
sciences
adjuvantes, telles que : physique, anatomie , phy
re ne peut être conféré qu’en raison de services éminents rendus à la
Science
ou à la Société, sur la proposilion ou avec l’agr
t? remarqua un « médecin présent. — Je ne dis pas cela, mais ma conci
science
me défend d'éthériser désormais. » Voilà deux f
intuitivement les travaux a été ainsi composé : Vous employez votre
science
A propager la vérité ; Du fruit de votre expéri
ercé le sarcasme et les railleries. On n’osait braver l’opinion de la
science
et se soustraire à son inique jugement. Nous ma
omte de Mirville doit mettre prochainement au jour un ouvrage sur les
sciences
occultes, dans lequel le magnétisme occupera une
ar le clergé, en général fort ignorant a Pendroit de ce qu’on appelle
sciences
occultes, et il en résultera un grand bien. — M
e : « Si l’excentrique marquis est en effet un des croyants « de la
science
de Mesmer, pourquoi donc empèche-t-il « son prési
avec succès par un grand nombre de personnes non moins dévouées à la
science
qu’à l'humanité, nous apprennent que la pratique
nnu dans toutes les contrées que j’ai habitées pour être amateur de
sciences
et de beaux-arts; j’ai dû à ces qualités, si avan
rouvaient si partagées, ne serait-ce que pour tranquilliser ma con-
science
et celles dont j’étais aussi chargé en qualité de
entraînés Ils vinrent après lui, remplis du même zèle, Ouvrir à la
science
une route nouvelle. Par d’obscurs détracteurs t
oins d’indépendance d’idées et un savoir accru, soutenant la nouvelle
science
au sein de la Société de médecine pratique, et de
u’on trouve dans celui-ci ces quelques lignes : « Passionné pour la
science
, je cherchais avec ardeur toutes les occasions d’
folie passera, j'espère, comme tant d'autres, et alors les hommes de
science
et de conscience pourront se faire entendre 4 leu
qui domine actuellement los mesniériens soucieux de l’avenir de leur
science
. Aussi voit-on, sous l'empire de celle préoccupat
département de l’Yonne, les notions pures et anti-mystiques de cette
science
, je viens aujourd'hui, au nom de l'humanité souff
eil. » M. Lebouclier croit que nous sommes à une époque où toutes les
sciences
ont besoin les unes des autres et ne peuvent marc
il cherche dans la langue la tradition, les coutumes, l’empreinte des
sciences
autrefois florissantes en ces lieux. Le savoir
détruit, dégrade les monuments et livre leur poussière aux vents. La
science
, la plus belle conquête de l’homme, une fois acqu
gnétisme, la vaccine, etc., etc. » Si ces bienfaits, découvertes ou
sciences
, n’importe le nom qu’on leur donne, dérivent du p
avec le mien, parce que les hakimsde l’Europe, sachant que toutes les
sciences
sont venues de l’Orient, ont la plus haute estime
e en essayant de la combattre. C’est aux déplorables erreurs de cette
science
toute de conjectures, vivant de systèmes qui dure
e temps de magnétiser; c’cst en courant qu’ils donnent un peu de leur
science
, souvent, hélas! cn pensant à autre chose, et ce
ami du magnétisme, on avait tout tenté.... Heureusement l’arrét de la
science
n’est pas infaillible; la malade n’avait pas de c
-propre étant, à couvert, la paresse seconde la foi. Le progrès des
sciences
qui, dans notre siècle de bavardage, se fait au g
tration quelconque ne va pas chez nous jusqu’à l'idolâtrie, ca>-la
science
n’est plus un myslère. Or, la vérité la plu« subl
¡»lus simple grandit dans les lénèbres. Les travaux de l’Académie des
sciences
n’en imposent pas autant au commun des martyrs qu
ir, et le triomphe de Joseph vient de ce qu’élant inspiré de Dieu, sa
science
dut nécessairement l’emporter sur la science que
lant inspiré de Dieu, sa science dut nécessairement l’emporter sur la
science
que l'homme ne tire que de sa faible intelligence
pa-gnonsdecaptivité,qui regreltaienll’absenced’un homme verse dans la
science
des songes : « Les interprétations des songes ne
prisée par l’autre, qui ne tirait pas les prédictions du trésor de la
science
, mais seulement de simples conjectures, et suivan
eur, est tombée de jour en jour; cependant aujourd’hui le progrès des
sciences
semble venir en aide à ce que les sceptiques du d
ra, mais c’est autre chose. Par conséquent, on ne peut assimiler deux
sciences
totalement différentes. Que faudrait-il donc fa
eursÆt prit un caractère si alarmant, que M. Dèglos dut recourir à la
science
de plusieurs médecins, dont le traitement fut. sa
ifiée par la musique. C’est une belle page de plus en faveur de notre
science
, la profession de foi d'un homme de talent, une v
roit et bienfaisant, M. Simohneau, entreprit de me faire connaître la
science
de Mesmer, dans laquelle il avait la plus grande
la circonférence aussi fructueuses que possible, dans l'intérêt de la
science
et de l’humanité. Recevez, cher professeur, l’a
gnétiseurs qui auront fait quelque chose de marquant dans l’art ou la
science
. N° 2. Le Comité invite les personnes qui s’i
r des drogues ou par quelques aulres moyens qui sont du domaine de la
science
, est de la plus haute antiquité ; car David dans
ecret du sanctuaire les prêtres égyptiens cultivaient avec succès les
sciences
et les arts, que par la vaste étendue de leurs co
des Actes 'des Apôtres, que Moïse avait été instruit dans toutes les
sciences
de l’Egypte; lorsqu'on connaît par l’histoire que
foule accourt, elle est nombreuse et toute composée de victimes de la
science
. M. Laforgue doit-il fermer sa porte à ceux qui e
ur art, et donner aux hommes les preuves évidentes des vérités que la
science
méconnaît, qu’elle serait un grand bien. Mais, qu
belle; il la üt monstrueuse et produisant le mal. Ainsi envisagée, la
science
nouvelle fut compromise, et M. Soulié se punit lu
endormit les « deux sujets pour montrer ce qu’il appelle double con-«
science
, ou faculté de se'rappeler, endormi, cc qui s’est
s, une foule d’ouvrages sur celle parlie encore si peu explorée de la
science
, et beaucoup sont écrits par des médecins. Pourqu
onl assez d’indépendance de caractère pour sacrifier quelquefois leur
science
à leur conscience, leurs malades s’en trouvent mi
nc à la formation de ces sociétés qui ont pour objet l’étude de cette
science
encore peu comprise, car nous aimons beaucoup cet
ec eux. Ne vous arrêtez point aux impossibilités qu’a su trouver la
science
. Méprisez ces vains sermons de prêtres ignorants;
tures; le sens caché cri est resté voilé pour leurs faibles yeux. Une
science
grande, noble et venant de Dieu, est répandue sur
st donc favorable à nos projets. La magie revivra, car elle fut une
science
profonde , elle part d'une vérité inconteslable,
il avait jusqu’alors dédaignée. Enseignement. — On ne parvient à la
science
du magnétisme que par l’étude de ses principes et
é condamnée a trois ans de prison. La justice est satisfaite; mais la
science
ne le sera que quand on aura fait disparaître du
sme, pressentiments, visions, apparitions,etc., avec les don-néesdela
science
; ceque Gall croyaitinconciliable, puisqu’il disai
i, 1817. Il n’y a plus d’enfants, nous sommes tous philosophes; la
science
est devenue si accessible aux intelligences, qu’a
e magnétisme thérapeutique sur l’opinion des hommes étrangers à cette
science
? Quelle persuasion peut porter dans mon esprit
i dans ses effets, leur opinion, contraire ou favorable à la nouvelle
science
, ne peut pas être pour moi d’un grand poids ; car
e d’ètre dirigé avec la même sagesse, sera le germe d’une faculté des
sciences
magnétiques. Nous avon3 déjà publié un discours
ta noble vie Tu souffris l’exil, les revers! Mais le flambeau de la
science
Survit et ta gloire commence. L'expérience enfi
ymptômes et les événements, parviendrait à recomposer en partie celte
science
perdue. En tout cas, il composerait un livre qui
enfance, et de mille sottises dans ma jeunesse, car elle avait de la
science
et de l’éloquence à force de tendresse et de vert
heureusement le National ne prétend point être versé dans toutes les
sciences
, il n’y touche même qu’en passant et donne un cou
, sur la nature des pensées, et du libre arbitre, l’astronomie et les
sciences
occultes. L’auteur a sacrifié 10 années de sa vie
utation, parmi les curés doyens, chanoines titulaires, professeurs de
sciences
dans de grands séminaires, et dans des établissem
e témoignage de trois pontifes recommaiidables par leur piété et leur
science
. Ce sont Mes-seigneurs Bouvier (1), évêque du Man
écrire qu'il n'oserait pas condamner ceux qui font usage de • cetU
science
. Nous nous abstenons de réflexions sur la doubl
magnétiser sans qu’il y ait au moins un témoin oculaire, parce que la
science
ne ferait que gagner à ces sages précautions. E
tie du mois dernier. Ce n’est certes pas un faible triomphe pour la
science
ni pour l’humanité un don de mince valeur que de
vertit. Et, ne sont point à plaindre, non plus, ceux qui, à défaut de
science
et de réalité, savent inventer un langage plus in
uis, en liberté, faire sortir de la poussière des temples anciens une
science
oubliée, je puis lui rendre un commencement de
ira, cependant, pour pénétrer quelques intelligences supérieures. 0
science
, que lu es belle ¡avec toi, l’on pénètre l’immens
lieues de Paris; son éloignement de la capitale, centre de loules les
sciences
, ne nous permet qu’à de rares intervalles de rece
nt quelques notions étaient loin d'imaginer toute sa puissance. Celle
science
était considérée plutôt comme un amusement que co
gna combien il serait heureux que dans son pays on voulût étudier une
science
si utile à l’humanité el « qui procure à celu
rages : La philosophie du Magnétisme. Après nous avoir défini celte
science
, M. La porte s’est attaché à détruire une erreur
gnétisme que beaucoup d’entre nous aujourd’hui désirent étudier celte
science
admirable dans ses effets et qu’on dit si utile d
rage à publier des faits qui ne sont pas dans le domaine habituel des
sciences
, car ils rencontrent une opposition toujours très
les Deux-Momies du 1er de ce mois, dans une revue bibliographique des
sciences
depuis dix ans, constate, à sou point de vue, le
cun la part qui lui revient dans la guérison parfaite d’un mal que la
science
humaine avait jugé incurable; c’était une tumeur
vail inachevé. Pourquoi n’a-t-il pu assistera la 2° opération? La
science
magnétique dont il est un des adeptes y aurait en
s do ses expériences, ceux de nos concitoyens qui s’occupent de cette
science
si merveilleuse qui se nomme le magnétisme animal
t été admis à y assister ont emporté l’idée la plus avantageuse de la
science
de M. Derrien et des facultés magnétiques véritab
orts avec l’art de guérir. Il dédaigne ces expériences frivoles d’une
science
sérieuse, qui consistent à faire deviner, sans l'
jelle ses clartés sur les cas de diagnostic obscur, et c'est à cette
science
qu'il demande des notions sur la nature des maux
e, elle fournil, grâce à sa lucidité, des indications précieuses à la
science
médicale. Les autres expériences faites par M.
ceux que vous initiez à la plus grande et la plus belle de loules les
sciences
; mais si ces réflexions ne sont pas applicables à
vices pratiques éminents poulie bien de l’homme, autant que servir la
science
en général; mais ce contre quoi je m’élève, c’est
l’emploi en pure perte de tant de forces qui n’ont élé utiles ni à la
science
, ni à l’humanité, et dont l’usage restera perpétu
de plus en plus à me perfectionner dans l’étude et la pratique d’une
science
à laquelle vous m’avez initié et à laquelle je po
use, el si ces phénomènes se rattachaient naturellement à ceux que la
science
a déjà reconnus et constatés, nul doute que les s
, ceux qui n’ont pas reçu la sanction exigée par le scepticisme de la
science
actuelle, aussi bien que les plus fréquents el le
n’est pas bien maître de son sujet, ou qu’il ignore la théorie de la
science
qu’il exerce. Partant de ce principe unique de
ais qu’aux savants de le cultiver. Ce n’est qu’un pas de plus dans la
science
de l’électro-galvanisme. Chacun peut étudier, v
annoncés par les magnétiseurs. Le magnétisme ne passera à l’état de
science
qu’après avoir fait son stage sous le nom de char
empirisme. Mais les académiciens voudraient qu’on leur apportât une
science
toute faite, avec des résultats toujours infailli
naire qui finira par se développer et grandir comme toules les autres
sciences
, par l'observation el l’expérience; mais il faut
tre relevées toutes ici. Nous l’avons dit mainies fois, il y a deux
sciences
dans le magnétisme : l’une toute physique qui se
ns ce chemin qui n’a pour limites que l’infini. Laissez, laissez la
science
des écoles à ces savants positifs, amants de la m
icité égalera-t-elle ma sincérité. On dit que plus on avance dans les
sciences
occultes et plus on devient discret ; ces science
on avance dans les sciences occultes et plus on devient discret ; ces
sciences
, dil-on encore, doivent être le patrimoine d'un p
tu dois partager leurs erreurs. Et toi, qui veux qu’on le donne la
science
loule faite, qu’on te la serve comme un mets acad
pprennenl qu’en méditant longtèmpset en domi- nanl sa nature. Celle
science
nouvelle n'esl donc |>oint pour lui non plus :
nce qui les fait vivre; vous n’avez donc rien à prétendre ici ; cette
science
n’est pas non plus faite pour vous. Il esl un l
u’on leur parle du magnétisme, que feraienl-ils de la magie, de cette
science
qui plane sur la leur comme le soleil sur notre h
jets magiques ; des vertus s’y trouvaient empreinles, el, soit que la
science
ail guidé ces opérations mystérieuses ou que des
Ah ! c’esl maintenant que je puis commencer à décrire ces images ; la
science
a coloré les passions sans rien nous apprendre du
urs veuillent nous suivre dans les développements successifs de notre
science
, et nous leur promettons de les rendre possesseur
l’état d’empirisme; bientôt, je l’espère, ils prendront rang dans les
sciences
humaines. Et d’abord, il y a entre tous ceux qu
azette des Tribunaux). BIBLIOGRAPHIE. Qui veut bien connaître une
science
, une doctrine doit la prendre à son origine, en s
ulte de cet abandon des ouvrages du fondateur un grand domage pour la
science
, car la base historique manque à la plupart des c
mer. Je suis loin de récuser les jugements des savants; adeptes des
sciences
, ils peuvent mieux que personne nous révéler les
en connaître mieux la nalure. Au surplus l’incrédulité, en fait de
sciences
, est la doctrine la plus dangereuse pour les prog
doctrine la plus dangereuse pour les progrès de l’esprit humain; les
sciences
ont déjà produit tant de choses élon- nantes, q
e. Les gens du monde la liront avec plaisir ; ceux qui s’occupent des
sciences
naturelles la liront avec intérêt el avec fruit.
métaphysique kypermtturel reste inexplicable pour tout le monde ; la
science
positive le nie ou le rejette dans le domaine des
a plus courte, comme on a cherché a 1 expliquer devant l’Académie des
sciences
; mais par le même système des ondulations qu’ell
e électrique qui produit la lumière, aux termes mêmes acceptés par la
science
. « La lumière est l’oscillation d’une demi-vagu
ste : il suffit de le laisser parler pour juger de sa moralité, de sa
science
ou de son incapacité ; mais en cela tout le monde
m- mes ;i même de vous affirmer qu'il y a des trésors de morale, de
science
et de style à obtenir du commerce des bons esprit
ime, qui peuvent en abuser. Comment le faire? Je ne sais ; c’est à la
science
à le déterminer. J. A. CONSEIL. » VARIÉTÉS.
par le brave commandant. «Le magnétisme est encore de nus jours une
science
ou si l'on veut un art bien contesté : dcmCme que
science ou si l'on veut un art bien contesté : dcmCme que toutes les
sciences
leur berceau, il a scs détracteurs et ses panégyr
en avant pour expliquer les phénomènes des tables. Les pontifes de la
science
, fidèles à leur routine, en sont encore à la déné
des intelligences ayant en elles quelque chose de la sagesse et de la
science
infinie qui ne peut venir que de Dieu. Toiie XI
poursuivre, ce serait un livre à écrire sur toutes les erreurs de la
science
. En attendant qu’il se fasse, disons îi nos lecte
celles-ci comme le maître l’eût fait lui-même. Je sais bien que la
science
a pour tout ceci une explication rationnelle. Vou
parviendra à imiter ; rien ne se fait en nous sans être régi par une
science
infinie; chaque molécule a sa destination préparé
odiges que nulle autre force ne rendrait possible. Il est vrai que la
science
rejette les prodiges, par ce singulier motif qu’i
préparer ainsi ce qui rentre dans les desseins d’une providence. La
science
ne veut point de miracle, et la vie en est un per
s extérieurs ou internes qui savent se faire obéir. Où la véritable
science
manque, l’illusion apparaît; on pourrait brûler b
ivres, chefs-d’œuvre de nos grands docteurs, sans aucun préjudice. La
science
est à refaire. Je dis donc qu’il y a en nous de
s à l'écho, nous ne conservons rien de cet ébranlement passager. La
science
des écoles est donc la plus vaine des sciences, c
anlement passager. La science des écoles est donc la plus vaine des
sciences
, car les hommes qu’elle a formés ignorent ce que
ncore un mot inventé pour couvrir l’ignorance; car sur ce chapitre la
science
officielle balbutie et sàit fort bien qu’elle ne
ètes des esprits dans le temps présent, et pour montrer qu’en fait de
sciences
morales nos savants, pour en connaître quelque ch
ns comme preuve de l'état avancé et d'expérimentation complète que la
science
retrouvée par Mesmer avait atteint à leur époque.
la tradition pour exemple, et nous a ainsi transmis un vestige de la
science
antique ? HÉBERT (do Garnay). Nécrologie. — N
qu’il touche à sa fin. Les magnétistes, acculés sous les murs de la
science
qui leur conteste le droit d’asile et refuse sa p
x ans que De Maistre écrivait (1) : « Attendez que l'affinité de la
science
et des idées religieuses soient réunies dans la t
ise toutes les explications précédentes, jette fièrement le gant à la
science
dont il raille l’impuissance, et, parvenu au term
’aussi hautes prétentions, il ne faudrait rien moins qu’un prodige de
science
, une œuvre de génie capable de reconstruire l’édi
dmet la réalité d’un grand nombre de phénomènes transcendants dont la
science
ne peut rendre compte. Il en raconte plusieurs do
. 11 nous suffira d'en citer un exemple pris parmi les sommités de la
science
médicale, Ceorget s'exprime ainsi dans son testam
avec le corps. Dans l’intuition pure, l'agent immatériel jouit d’une
science
infuse exempte de toute erreur. L'intuition sen
d'elle-mêine à son terme de réunion (1). » Les degrés variables de
science
et de volonté sont la cause unique de la diversit
livre et d’en briser les sept « sceaux. » Dieu seul, dans son infinie
science
, connaît les choses à venir qui ne sont point lié
ue sur vos têtes; c’est à vous que l’on déclare la guerre; c'est à la
science
que le défi s’adresse.... Mais non ! vous restere
vent cherché infructueusement dans les ouvrages qui traitent de cette
science
humanitaire, des signes à l’aide desquels on pût
en ce genre les succès les plus satisfaisants. Quoi qu’il en soit, la
science
doit recueillir tous les faits, de quelque part q
lui ont pieusement fermé les yeux. Sa dernière pensée a été pour la
science
magnétique, à laquelle il s'était consacré tout e
a. Depuis, il a vécu modestement, et ne s’est plus occupé que de la
science
magnétique. Vgrée/., etc. PP.TBUS DARAC.NON.
yeur qui le dégoûtera de toute nouvelle entreprise sur le domaine des
sciences
occultes. » Les accidents de cette nature ne pe
t tenir bien longtemps encore devant les con- quêtes récentes de la
science
, devant ces courants d’opinions qui se manifesten
ffligeant que cette profanation du magnétisme! Ravaler à ce point une
science
dont l’exercice devrait constituer un véritable s
ui pourrait entraîner les plus graves désordres, a. s. MORIN. I.A
SCIENCE
FUNESTE , roman magnétique, par Mm« Axs* Marie.
nt fait voir tout ce qu’il y a de grandiose et de poétique dans cette
science
admirable ; en transportant la réalité dans le do
veillée, beaucoup de lecteurs ont voulu connaître par eux-mêmes cette
science
qui produit les prodiges dont la peinture leur a
evine, et souvent ses fictions ne sont que la révélation de ce que la
science
découvrira plus tard, car la voix prophétique de
s convenables, et qui enfin peuvent être considérés comme acquis à la
science
. On ferait une autre catégorie de tous les faits
rveilleux ainsi outré est évidemment fabuleux ; mais le devoir «le la
science
est de s’enquérir où est le point de partage entr
es dangers du magnétisme etde le faire prendre en aversion : c'est la
Science
funeste, par M..... \iina Marie (comtesse d’IIa
, s’exprimait ainsi : « .. .Nous signalerons particulièrement cette
science
funeste du magnétisme animal, dont la seule dénom
ceux qui la professent, la pratiquent et s’efforcent de la propager;
science
perturbatrice, dont tout l’effet est de mettre le
e-t-on pas? La plupart des progrès en chimie, tout en enrichissant la
science
et l’industrie, ont fourni des armes au faussaire
estion de la nature du magnétisme, quand elle se demandé si c’est une
science
terrestre, ou si ce n’est pus plutôt une science
demandé si c’est une science terrestre, ou si ce n’est pus plutôt une
science
dont te secret n’est pas pour nous... Ce qui prou
et n’est pas pour nous... Ce qui prouve péremptoirement que c’est une
science
terrestre, dont le secret est pour l'homme, c’est
ans l’âge mythologique qu’on fait un crime de toucher à l’arbre de la
science
: dans l’âge historique, l’homme au contraire n’a
paradis terrestre, et de conquérir le fruit précieux de l’arbre de la
science
, noble prix de ses travaux. A. s. MOBIN. M. J
savait donc, en astrologie, plus que les autres professeurs de cette
science
, pour s’élever comme il faisait, et se faire cour
investigations jusqu’à leur terme. Nous croyons que les progrès de la
science
et les vrais intérêts du genre humain retireront
-on de tous côtés, — nous sommes avides de connaître; révélez-nous la
science
occulte. Vous dont les paupières s’abaissent au
e produit ! Mieux vaut pour vous conserver les illusions de la fausse
science
des écoles. N’allez point, croyez-moi, sans novic
M. Noizet, général du génie, homme considérable, qui, par l’étude des
sciences
exactes, a appris à observer les faits et à les j
é, tant il a été exploré, l’auteur a su être original, il enrichit la
science
en lui apportant ses vues ingénieuses sur la théo
a lumière et le magnétisme, loin d’être démolie par les progrès de la
science
, n’a-t-elle pas reçu une sorte de confirmation de
lui attirera de nombreux adhérents. C’est un beau monument élevé à la
science
. Malheureusement tout le monde ne pourra pas en a
s ôrdenes nacionalcs y trangeras. — Br. in-18. La Corogne, 1853. La
science
, en général, ne se forme et ne se répand que par
pper ici à la censure séculière, là à la censure cléricale; car toute
science
a nécessairement un côté philosophique la rattach
plorable opposition qui, née et entretenue dans les sanctuaires de la
science
même, s’est prolongée jusqu’à nos jours, et sera
ort de 178â, et ce rapport est toujours le Koran de nos académies des
sciences
et de médecine. C’est dire que ces institutions,
al ; d’où il suit que les contrées les moins favorisées du côté de la
science
et de la liberté reçoivent toute faite une doctri
Elle a eu ses beaux jours dans les arts et les lettres; le tour de la
science
est venu pour ce noble et malheureux pays. Déjà q
deux côtés des Pyrénées seront en communion intime relativement à la
science
magnétique. Cette espérance nous est donnée par
tendant à établir une certaine corrélation entre le magnétisme et les
sciences
physiques. Invo- (I) Voyez Journal du .Vagnclis
urage! et au revoir!) BAÎHAUT. LA MAGIE DU XIX6 SIÈCLE, revue des
sciences
occultes et analytiques comparées. — Magnétisme r
ie aux progrès de l’esprit humain, qui se rattache à tout ce que la
science
a de plus élevé. A toutes les époques, certains h
as par là le danger dont elle est menacée. De même les pontifes de la
science
, en se mettant un bandeau sur les yeux pour se di
limites du possible ; il a jeté une vive lumière sur les mystères des
sciences
occultes, a servi à expliquer un grand nombre des
d’un passé plein de grandeur, et l’a vengé des sarcasmes d’une fausse
science
qui avait cru pouvoir rejeter tout ce qui dépassa
ro avec un soin scrupuleux. 11 se pose en hiérophante qui possède une
science
immense, à laquelle il veut bien nous initier ; i
redresser l’esprit humain, de remettre dans la bonne voie toutes les
sciences
qui, privées jusqu’ici de ce guide puissant, se s
urrait dire autant de beaucoup d’autres choses qui ne décèlent ni une
science
profonde ni un jugement droit ; mais sous ces rug
e demi-douzaine d’ouvrages sur le magnétisme, le somnambulisme et les
sciences
dites occultes. Il fait à peu près régulièrement
ngage est même trop brillant pour rendre les vérités abstraites d’une
science
aussi vague que l'est encore le magnétisme. La re
rature et de la police, comme le font les adeptes fanatiques de cette
science
, nous nous sommes enquis des motifs qui avaient e
e tous les côtés. TOME XIII. — N° 181. —10 MAI 1R54. 9 Dans les
sciences
, il n’y ;i point de tribunal, il n’y a point de j
magnétisme, — et qu’elle a exécuté son décret; lorsque l’Académie des
sciences
, sans avoir pris de mesure aussi formelle, est re
lètement étrangère au mouvement de l’opinion publique en faveur de la
science
nouvelle du magnétisme ; Il nous semble que la
ble que la doctrine mesmérienne, plus généreuse que son adversaire la
science
officielle, doit, dans son journal, examiner ce q
tournantes, M. Babinet rappeler l'anathème formulé par l’Académie des
sciences
contre la navigation ;ï vapeur, et surtout rappro
quelques pages de distance, — pour déplorer ici « que l’Académie des
sciences
soit malheurcuscmeni accessible à toutes les prét
Babinet. D’ailleurs, il le sait fort bien, en mécanique, qui est une
science
positive et parfaitement fixe, il suffit de poser
attraction n'est qu'une hypothèse ; ce qui fail do l'astronomie une
science
positive , e'est l'exactitude, déduite de l'obssr
oque-morts, métier d’argousin. — Métiers utiles, sans contredit, mais
sciences
insuffisantes pour faire connaître la vie physiqu
de plus son globe comme le pi vol de l’univers, est assez avancée 011
science
pour être modeste. Nous pouvons donc le déclarer,
le croit. Le phénomène du mirage est le produit d’une illusion que la
science
explique. Tous voient un lac, dont une île, sur l
ènes, et à les comprendre sous une seule loi. Le magnétisme est une
science
qui a des principes élémentaires clairs et précis
xcitent l’attention publique, et pat-suite — d’amener à l’étude de la
science
ou à la pratique de l’art magnétique, les esprits
dans le premier article de M. Babiuet l'adoption des principes de la
science
de Mesmer, que le deuxième article proclame eu te
, et le magnétisme, qui devien-« dront dans peu une belle et positive
science
physiologique, « — en prenant pour guides les pri
science physiologique, « — en prenant pour guides les principes de la
science
in-« ductive, quand on ne demandera ii cet ordre
nt trop promptement contre son principe : « La première de toutes les
sciences
est u de savoir ignorer, » on doit espérer, pour
Tous y viendront chercher les secrets de la nature et s’initier à la
science
de Dieu. n Ali ! si vous pouviez connaître dès
e était trop grande, car il croyait n’avoir jamais assez fait pour la
science
nouvelle. Hélas! toute lampe dont on double le fe
néral Cubières, a succombé. Constatons ici, Messieurs, l’erreur de la
science
officielle; cette science a versé le sang que les
. Constatons ici, Messieurs, l’erreur de la science officielle; cette
science
a versé le sang que les batailles avaient épargné
ntages auxquels il avait droit. Que voulez-vous, Messieurs, la fausse
science
s’est réservée le monopole de tout ce qui rapport
ce bientôt notre intelligence à recourir au passé pour y retrouver la
science
antique, la magie, c’est- à-dire la science des
ssé pour y retrouver la science antique, la magie, c’est- à-dire la
science
des sciences, car elle emprunte quelque chose ii
etrouver la science antique, la magie, c’est- à-dire la science des
sciences
, car elle emprunte quelque chose ii la divinité.
magnétisme porte en lui-même le principe cerUiu de la rénovation des
sciences
, — en lui est lu vie el lu lumière. Il est donc f
si que ses merveilleux attributs, rien ne pourra arrêter l’élan de la
science
nouvelle, et en voici les premiers bienfaits :
it, sans en sortir jamais, le monde savant, est franchi, le pivot des
sciences
est déplacé, et l’humanité marche vers un progrès
de la découverte du magnétisme, il en est la conséquence logique. La
science
des écoles aura beau repousser, rejeter l’agent d
réciproquement à la propagation des principes destinés à régénérer la
science
et à contribuer puissamment au bien de l’humanité
petit nombre de sectateurs obscurs, il semblait condamné à périr ; la
science
, Îiar la voix de ses interprètes les plus impos
manifeste. D’innombrables sectateurs s’occupent avec ardeur de cette
science
nouvelle, sont heureux et fiers de la Eiropager
jamais cessé de lui appartenir, mais que l’ignorance ou une fausse
science
avaient fait méconnaître ; il a rendu au Roi de l
livre ouvert, y découvre des lésions qui échappent aux regards de la
science
, et découvre les remèdes les plus propres à guéri
par le Créateur, de pénétrer de plus en plus dans le sanctuaire dé la
science
, et d’atteindre le plus haut degré de perfectibil
de raison cette croisade entreprise par le clergé, contre un fait de
science
, la rotation des tables; son discours, où la form
otre président nous a tracé dans un long tableau la situation de la
science
, il nous a montré sa marche toujours ascendante,
en parcourant leurs forêts inexplorées; eux, les nouveaux-venus de la
science
, ils nous révèlent de merveilleux phénomènes ; il
ute station est un danger ; qu’ils évitent l’ombre, le mystère tue la
science
. L’histoire du passé donne de graves enseignement
, ses armées l’épouvantaient, ses sages avaient approfondi toutes les
sciences
et connaissaient les causes et les effets des cho
barbare qui a oublié jusqu’au nom de ses ancêtres. La religion et la
science
, cachées dans les temples, n’ont laissé arriver à
re a tué jusqu’au souvenir de ses découvertes. Au lieu de répandre la
science
, cette source de vie, comme les eaux fécondantes
lle a fait de l’étude une conspiration ; elle a donné ii une caste la
science
qui appartient au monde. Elle a semé l’ombre, ell
on antique. L'n principe puissant a été proclamé ; la liberté dans la
science
est reconnue par tous les peuples, elle suffirait
raison douteuse De toucher, écouter et voir; Tout co qu'on appelle
science
N’est qu'une flagrante ignorance. Peu do fond,
sans cynisme ; Droit sans fierté ni dédain ; Cn chemin pour touto
science
, Pour tout œil, toute intelligence, Et pour l
i s’on va criant à la terre : « Voici le divin magistère Qui mit la
science
aux abois ; La force qui dompte la bêlo Lorsqu'
e de la fête, M. du Potet demande ù. porter un toste à l’Académie des
sciences
morales et politiques; il s’exprime ainsi : ( M
e ma subite admiration. « Vous savez, Messieurs, que la section des
sciences
morales avait mis au concours la.question du somm
n sache quels furent les hommes de bien qui contribuèrent à fonder la
science
mesmérienne. ■> Chaque nom proclamé est acco
révélateur, et lui-même se croit plutôt chef de secte que glaneur de
science
. Ses allures mystiques, le ton dogmatique de ses
au catholicisme et au protestantisme, qui prétendent aussi servir la
science
en la soumettant à leurs dogmes. Le magnétisme
e dit que j'ai mérité cette distinction. L’étude et la pratique de la
science
de Mesmer a toujours été le mobile de uia vie, et
, parue il y a quelque deux ans. En 1843, j’envoyais à l’Académie des
sciences
la brochure intitulée : Etudes physiques. Là il y
ujourd’hui inaperçue. « Jusqu’ici, j’ai donc bien travaillé pour la
science
, j’eus pu faire plus, c’est vrai ; mais qui est p
tre illustre Société a cru devoir honorer mon peu de lumières dans la
science
magnétique, et je me regarderais comme entaché d’
à la Société par de nouvelles recherches dans le vaste champ de notre
science
divine, j’espère pouvoir justifier l’opinion que
s insultes des aveugles et des furieux calomniateurs ennemis de toute
science
et de tout progrès, je ne manquerai pas de contin
s pays, après les derniers événements politiques; et cela pour que la
science
du grand Mesmer et la vérité qui en jaillit reçoi
consignés dans le Journal du Magnétisme et autres ouvrages sur cette
science
, il est certain que le somnambulisme artificiel p
pas toujours amis de la publicité, et qu’ils aiment mieux obéir à la
science
qu’à leur conscience? D' LOUYET. 2° DANSE DES
la propagation. Recherchant avec soin tout ce qui se rattache à cette
science
, il a pensé que les phénomènes observés par lui e
es niais qui constituaient ce qu’on appelle le public. L’Académie des
sciences
fut donc chargée de donner son avis sur une chose
nné, » dit M. le I)r Piorry, à. l’article massage du Dictionnaire des
Sciences
médicales, « que les magnétiseurs n’aient pas déj
vent toute innovation et toute découverte qui sortent du cercle de la
science
reçue et acceptée par eux. M. Clément, lui, nie t
e excessive prudence, et dans un bon but — par exemple, l’amour de la
science
, le désir de soulager ses semblables, — aux expér
peu magnétiseur, prédécesseur ignoré de Mesmer, mais qui pratique la
science
des fluides dans uu tout autre but que ce dernier
trop exagérés, indiquent cependant des dispositions sérieuses pour la
science
de Mesmer. Quantà M"" Cerrito, la charmante balle
frayeur l’avaient tuée. » Il y a au fond de tout ceci uu art et une
science
; mais, avant la science et l’art, la magie, chez
Il y a au fond de tout ceci uu art et une science ; mais, avant la
science
et l’art, la magie, chez tous les peuples, a comm
n’a pas changé. AUX LECTEURS. « Y a-t-il un intérêt réel, pour la
science
et l’art de guérir, à ce que la question du magné
idéré sous certains rapports, peut fournir de nouvelles lumières à la
science
et à l’art de guérir, elle s’est donc empressée d
frère passe à l’exatncn des doctrines et des faits qui constituent la
science
de Mesmer. Nous allons le suivre brièvement dans
t pour le mesmérisme ce qu’il fit (1) Leçons d'anatomie. pour les
sciences
anatomiques. Sur le terrain du somnambulisme, 011
in que l'humanité aurait déjà des douleurs de moins, et que, dans les
sciences
, le progrès aurait fait un pas de plus. Après C
uvier, que puis-je faire de mieux que de citer le vénérable doyen des
sciences
européennes, M. A. de Hum-boldt ? « Des observa
endances physiques à pousser le mesmérisme dajis la voie exacte de la
science
proprement dite. Ainsi, quand l’on touche avec le
mbulisation lucide assurée. Les lois physiques ont fait marcher les
sciences
, elles feront marcher le mesmérisme. Il faut fair
ent et dévorent ; parce qn’ils sont le jardin où l'arbre qui donne la
science
de la vie plante ses mystérieux rameaux. En effet
Triste ou non, la vérité doit entrer sans honte dans les cadres de la
science
. Le prélude, tout à l’heure insinuant, bientôt
s révélées par l'arôme qui s’échappe continuellement de l'arbre de la
science
, et que l’on respire sans s’y attendre. Que s’est
oit en faire justice; mais nous devons protester dans l’intérêt de la
science
nouvelle, et signaler ces infamies à nos contradi
e trouve le dernier mot de l’énigme humaine tant cherchée. Bientôt la
science
officielle s’emparera de nos conquêtes, elle nous
s dépouillera pour s’en revêtir. N’en soyons point jaloux ; car cette
science
, jusqu’à ce jour si rebelle, travaillera pour l’h
magnétiques. Bientôt ils auront en main le faisceau tout entier de la
science
nouvelle, et ils s’honoreront d’être les promoteu
ouvait. La philanthropie était satisfaite par ce dévouement ; mais la
science
, elle, avait tout désirer, rien de régulier n’exi
uveaux apôtres, relevés du mépris jeté sur eux, ayant conquis pour la
science
officielle richesse et gloire, pourront, dans leu
me siècle; il annonce qu’il va initier ses lecteurs à la magic, cette
science
mystérieuse et redoutable dont le nom seul épouva
peu.....à ne pas comprendre. Vous voyez que la magie n’est plus une
science
; c’est tout bonnement un art, comme la musique ou
titutionnel du 15 juin, rendant compte d’une séance de l’Académie des
sciences
, l'appréciation suivante d’un fait communiqué à l
its frappeurs de sa ville, et il vient de le révéler à l’Académie des
sciences
par la bouche de M. Rayer. «Le docteur allemand
force à jeter le trouble dans toute autre société que l’Académie des
sciences
. « Avec ce petit talent d’esprit frappeur, notr
dons îi force d’exercice; 011 lui doit un prix pour son invention. La
science
, on le sait, invente rarement; elle se montrera d
, dont les petits enfants malades n’avaient plus rien à espérer de la
science
et de l’habileté des médecins. Elles les avaient
gnétisme, à laquelle je me suis voué, parce que dans l’étude de cette
science
seulement j’ai aperçu et compris la vérité. Plût
s ténèbres qui l’environnaient; il comprenait bien qu’en dehors de la
science
classique existait un principe plus grand, plus i
errompue de jours de souffrance et de désespoir. Ce 11’est pas que la
science
officielle n’ait essayé de donner quelque consola
a nombreuse variété fies phénomènes magnétiques ; aucun mystère de la
science
mesmérienne n'est étranger à l’immense érudition
mais aux adeptes nouveaux, aux néophytes inexpérimentés encore de la
science
régénératrice, que je crois devoir adresser le ré
a capitale de la Corse, ma résidence actuelle. Dans l'intérêt de la
science
nouvelle autant que de la vérité , je dus m’entou
ance de nos lecteurs. » — Eu analysant le remarquable Traitt. de lu
Science
tnf-dicnlc du IV Edouard Auber, Y Union, du 23 fé
tannique ; il est professeur de chimie ; il a cultivé avec succès les
sciences
positives; il sait observer, analyser, mesurer ;
, et applaudit aux efforts de l'illustre professeur pour restaurer la
science
antique. 11 constate avec bonheur qu’il a été é
diagnostic; car Bérard, dans son article Extase, du Dictionnaire des
sciences
médicales, s’exprime en ces termes : «Quelquefois
uir par les ap -parences, ne peuvent s’empêcher de reconnaître que la
science
de Mesmer a failli se perdre dans des écueils d’u
euses, cette cause ne peut Être bien comprise qu’à, l’aide de cette
science
, encoie si imparfaite, dite magnétisme animal; et
étiseur n’ont-ils qu’une durée temporaire; aussi le magnétisme, comme
science
pratique, nous semble-t-il très-difficile et même
Là est le véritable obstacle à l’introduction du magnétisme dans les
sciences
pratiques ; là est le secret des chutes successiv
nouvelle importante et si impatiemment attendue ; v L’Académie des
sciences
morales et politiques a, dans sa séance du 19 cou
c’est l’abus du néologisme. Sans doute le néologisme, surtout dans la
science
, est un droit pour celui qui a de nouvelles idées
mènes d’électricité et de magnétisme minéral tout à fait inconnu à la
science
, et qu’il lui serait facile de mettre hors de dou
sont peut-être changés, et qu’une tentative auprès de l’Académie des
sciences
a chance de réussite. Nous lui dirons de plus qu’
’industrie, ces découvertes fécondes faites dans les arts ou dans les
sciences
physiques ! Est-ce que le principe mystérieux qui
et ont embrassé la foi nouvelle. Il est du plus haut intérêt pour la
science
d’étudier ce mouvement intellectuel, et surtout d
ne), promoteur zélé de tout ce qui se rattache aux arts utiles et aux
sciences
physiques et même occultes, se trouvait à Bourg-\
é d’une imagination vive, enthousiaste au dernier degré de toutes les
sciences
physiques, et surtout du magnétisme qu’il pratiqu
es hommes à secrets, des gens enfin qui ne savent rien, réussir ou la
science
échoue? Si la réflexion venait un jour saisir la
s maux, comme dans les plus petits, et voir sans frémir de crainte la
science
actuelle réduite à compter les victimes. Baron
suivre les progrès du magnétisme dans tous les pays civilisés. Cette
science
sublime, dont tant de gens en France persistent e
et regarde comme un devoir de se mettre en avant pour protéger cette
science
naissante. Après quelques autres remarques sur l’
onyme d’imposture. Un seul journal osait reconnaître la réalité de la
science
, la plupart la traitaient avec mépris , les autre
nature, sa limite et sa fin. Je dis tout ceci sans trembler devant la
science
officielle ou académique, car elle est incapable
et à la poursuite de la vérité ; voyant l’indifférence bestiale de la
science
officielle en présence d'une découverte qui tra
rendre l’intensité de la con- Tovb XIII. — — 10 OCTODBE 185*. 19
science
qui veste aux morts, d'eux-mêmes et Mes êtres a\e
religieux ou politiques, et se sont toujours gardés d’en répandre la
science
dans les masses. Ils n’employaient pas seulement
de Strasbourg ? Cependant mon plan est plus vaste ; je désire que la
science
retire un plus grand avantage des sacrifices que
plus et mieux, nul 11e vous en empêche; agrandissez le domaine de la
science
magnétique, faites de nouvelles découvertes, retr
retrouvez la magie ; prouvez que je me suis trompé, vous servirez la
science
; car celle-ci ne doit vivre que de vérités. Aux
es cas. » Les D" Esdaile et Elliotson réunissaient, comme hommes de
science
, toutes les conditions exigées ci-dessus. Je suis
entifique. Rien n’est plus téméraire et plus contraire au progrès des
sciences
, que de prétendre connaître toutes les lois de la
eil, que la ville d’Edimbourg, renommée pour la culture de toutes les
sciences
, avait eu l’honneur de fournir au magnétisme un g
leurs travaux importants, ont puissamment contribué aux progrès de la
science
. Il a exposé que l’association provisoire qui a
ui qui saura en former un faisceau, et utiliser, dans l'intérêt de la
science
et de l’humanité, tout ce qu’il y a d’ardeur et d
é ne doit pas nous les faire repousser ; ce sont des matériaux que la
science
parviendra à trier et à utiliser. 1° Le juge La
enou malade depuis environ dix ans, et dont le mal avait résisté à la
science
des meilleurs médecins d'Angleterre. Il arriva qu
endante, il ne pourra plus être compromis par le charlatanisme, et la
science
des écoles sera sommée de rendre ses comptes. M
ises en pratique? Nous ne nous croyons point un grand pontife de la
science
nouvelle, et ne prétendons à d'autre titre qu’àce
n mot , ou plutôt faut-il, pour être philosophe, approcher du déclin?
Science
! science! tu te.fais chèrement acheter, et lorsqu
u plutôt faut-il, pour être philosophe, approcher du déclin? Science!
science
! tu te.fais chèrement acheter, et lorsque, par un
TE. BIBLIOGRAPHIE. LE MAGNÉTISME. — Vérités et chimères île cetto
science
occulte. — Un drame dans le somnambulisme, épisod
gtemps devoir se renfermer, et arriver à l’examen consciencieux d’une
science
qui, comprenant les phénomènes les plus important
er les principes qui, d’api ès lui, doivent guider dans l’étude de la
science
, et auxquels tout homme d* bonne foi ne peut manq
arce qu’on ne peut les expliquer? 11 faudrait donc rejeter toutes les
sciences
humaines.... Quand les faits sont certains, ne re
es se passent, elle est contestable, et peut-être les progrès de la
science
conduiront-ils à adopter d’autres systèmes. Mais
semblables. Oui, le magnétisme existe partout dans la nature; mais la
science
du magnétisme consiste à s’emparer de cet agent m
orps savants, vinssent remplir cette lacune et élargir le champ de la
science
. M. Bellanger s’est occupé particulièrement du
nathèmes et des déclarations d’impossibilité si souvent lancés par la
science
officielle, il reconnaît la réalité des phénomène
ù la lucidité a été constatée d’une manière irrécusable. 11 invite la
science
à revenir de ses préventions; il demande qu’on ch
aux règles du Codex, se sont trouvées parfaitement efficaces. Que la
science
de la thérapeutique n’y ait pas gagné, cela se co
rs crises, qui composent comme une seconde existence, s'initient à la
science
, il est probable qu’alors leurs prescriptions, au
. S’il ne sc fût agi que d’en présenter les traits qui intéressent la
science
, il aurait suffi de deux ou trois pages ; la lo
s est insoluble. Il est téméraire de prétendre fixer les bornes de la
science
et de déclarer que nous ne pourrons jamais connaî
le impose aux corps. Pourquoi n’en serait-il pas de cette branche des
sciences
expérimentales comme de toutes les autres où l’ét
plication ne le satisfait, il attendra sagement que les progrès de la
science
en fassent éclore de meilleure. A.-s. MORIN.
observées sans méthode, et ne peuvent servir à la constitution de la
science
. 11 faut donc délaisser ces relations incohérente
il sera possible d’en tirer des inductions certaines, et peu à peu là
science
se fera. Alors les sceptiques, voyant notre témoi
connaissances imparfaites. L’expérience, cette impartiale justice des
sciences
, les mettra bientôt d’accord sur les principes d
es limites du Mexique, est un chercheur consciencieux, versé dans les
sciences
et connu dans une grande partie des États-Unis. I
entôt des œuvres plus admirables; les sceptiques seront confondus, la
science
des écoles pâlira devant la nouvelle science, car
ues seront confondus, la science des écoles pâlira devant la nouvelle
science
, car celle-ci est divine, tandis que l’autre est
changer, altérer les lois de la pesanteur sera le commencement de la
science
divine. — Où donc puisez-vous cette assurance?
s produisons déjà. Notre infériorité tient à notre ignorance, mais la
science
se fera. Cet instrument divin est maintenant en
leurs efforts, on peut dire qu’une nouvelle force est acquise, que la
science
va s’enrichir de précieuses découvertes, que des
tion des esprits; alors surgit la question immense du surnaturel ; la
science
épouvantée est tentée de décliner sa compétence e
considère les admirables résultats comme acquis définitivement à, la
science
, et il s’exprime de la manière la plus flatteuse
e pensée, d’autre préoccupation que d’élever le magnétisme au rang de
science
; dont l’expérience pratique, les connaissances s
ces spéciales sont incontestables, et qui fait de la culture de cette
science
l’unique emploi de son temps. « La pensée qui a
« La nouvelle Société se donne pour mission principale d’épurer la
science
, de contrôler ses procédés, de signaler ses erreu
dresse devant la vérité ; je trouve l’homme rempli des erreurs que la
science
fausse a, dès son jeune âge, semées dans son cœur
frères sur les principes, la pratique et les avantages de la nouvelle
science
, ce médecin passe brièvement en revue l’histoire
savants du premier ordre, des médecins assis au point culminant de la
science
, des savants de toutes les nations, a posé en pri
1 vol. in-8. Paris, 1854, Germer-Bailüère. C’est encore un homme de
science
, un médecin qui, sans s’inquiéter des oracles de
nt et réfléchissent autrement que nous, et qui pourront apporter à la
science
le tribut de leurs méditations. Quelque opinion
justesse? C’est douteux pour le moment, parce que les parvenus de la
science
sont, comme ceux de la fortune, peu disposés à bi
esprit de tous les magnétiseurs. Plusieurs, en effet, cultivent les
sciences
inductives et peuvent trouver des rapports scient
Tome XIII. — K° *Of. — 10 DÉCEMBRE 1854. 23 fessions, étrangers aux
sciences
, ayant à peine la notion du juste et de l'injuste
découverte la plus utile aux hommes? Les Facultés de médecine et des
sciences
avaient donc perdu le sens commun, pour laisser a
uestion. J’instruirai donc le procès de tous ces félons de la vraie
science
. Le public jugera. Baron DU POTET. Revue «le*
l'éducation nous ont paru une garantie suffisante en attendant que la
science
se prononce sur un point si susceptible de contro
a pas été dit, aussi trouve-t-on ici des détails fort curieux sur les
sciences
occultes, la divination, les pressentiments, les
promis de ne me singulariser en rien, d'accepter comme les autres la
science
merveilleuse de l’adepte, ou du moins d’en avoir
trigant. L’inconnu est si séduisant! Le prisme des découvertes et des
sciences
astrologiques a tant d’éclat! Ce que je ne puis d
’une certaine expression de fatalité. Du reste, il croit beaucoup aux
sciences
occultes, et je l’ai entendu assurer qu’il y avai
magnétiseur émérite; car si d’autres alors lui étaient supérieurs en
science
il les surpassait en talent. Des cures nombreuses
nt exploité des richesses souterraines et assez mal cataloguées de la
science
mesmé-rienne. C'est à ce titre que je cite une
t pour quelque chose dans les phénomènes du magnétisme, puisque cette
science
sape le matérialisme en prouvant tangiblement l'e
le magnétisme, que ces messieurs restèrent bien convaincus que cette
science
prendrait bientôt place parmi ses sœurs et serait
que le magnétisme, semblable à 1 astronomie, à la géologie et autres
sciences
qui progressent, pourra froisser quelques-unes de
vérité. — Où est donc l’ennemi ? — Dans la citadelle de la fausse
science
. — Où sont ses forteresses? — Ne les vois-tu
rocédés à suivre pour le produire, 81, 161, 356. Clergé (le) et les
sciences
occultes, mandements et lettres pastorales de div
, 508. 562, 733. Vue rétrospective, 506. VARIÉTÉS. Académie des
sciences
morales et politiques. Voy. Institut de France.
, d'après un tableau de Mola, 58 Institut de France. L'Académie des
sciences
morales et politiques décerne un prix à M. Albert
502. 535,569, 645, 699, 717. Romans de magnétisme ou de magie : La
Science
funeste , par Mme Anna-Marie, avec commentaires p
ue, par M. A. S. Morin. 180. . Magie (la) du XIXe siècle, Revue des
sciences
occultes et analytiques comparées, etc., par A. M
M. A. S. Morin, 701. Magnétisme (le). Vérités et chimé-res de cette
science
occulte, etc., par le Dr Bellanger. — Analyse, ex
e (pseudonyme). — Extrait et examen par M. Hébert (de Garnay), 709.
Science
(la) funeste, roman magnétique, par Mme Anna Mari
ères injures et des démontis flétrissants sont sortiB du temple de la
science
, comme remerciements de nos généreux efforts. Cet
nies ne nous ont lassés. La vérité s'est ré- panduo on dehors de la
science
; elle court le monde, niais sans guides, excitant
tout, c’est la santé. Que lui parlez-vous des progrès des arts et des
sciences
? Il voit leurs splendeurs avec indifférence; vous
re, nous pouvons soulager ceux qui souffrent, guérir même ceux que la
science
, jusqu’à ce joür, n’a pu guérir;» vous verre* fie
poursuivons l’étude ; elle a cheminé malgré les oent mille voix de la
science
qui furent d'abord opposées à un® seule. Elle a g
u qui marchent avec nous, ses effets sont reconnus, non encore par la
science
(son témoignage qu’elle refuse est au reste inuti
ains, nous avons arraché les épines. D’autres leur enseigneront une
science
magnétique; nous, nous avouons tout haut qu’elle
allons mettre sous leurs yeux les pages merveilleuses d’une nouvelle
science
. Notre sincérité égalera la pureté de nos intenti
’une vérité méconnue et cependant utile à tous, son admission dans la
science
et son enseignement dans les écoles. Le succès es
devons pourtant ajouter que, le magnétisme étant un fait acquis à la
science
et au-dessus de tout doute, nous n'accepterons au
sirons pas la guerre avec les apôtres de la médecine classique, de la
science
dite exacte; mais, si nous sommes provoqués, nous
nous vivons, surtout dans les progrès prompts et extraordinaires des
science
» naturelles. C’est pourquoi l’existence du magnét
oi l’existence du magnétisme, placé sous la protection générale de la
science
, est dorénavant assurée à jamais d’une manière fi
mais encore dans la puissance universelle des forces vitales et do la
science
. a Le magnétisme étant, pour ainsi dire, le dév
ous avez produits retombent dans l’oubli, et que les matériaux que la
science
réclame soient à jamais perdus? J’augure mieux
et publier les résultats de nos investigations dans le domaine d’une
science
encore peu connue. Si vous acceptez ce concours q
e même, ce sont des idées neuves, des fuits qui lui apprennent que la
science
fait chaque jour un nouveau pas en avant, qu’à de
s que nous ne sommes animé que par de nobles passions : l’amour de la
science
et celui du bien public. Pour nous juger, il fa
es qui prouvent que nous avons travaillé rudement dans le champ de la
science
magnétique et l’avons arrosé de nos sueurs. Il fa
eurs fois, le magnétisme étant nié devant moi par des autorités de la
science
, mis en doute, pour un instant, mes propres résul
eaucoup d’esprits de l’étude du magnétisme. Le merveilleux effraie la
science
, et nous aurons beaucoup de peine à faire compren
istre, une nouvelle preuve de ce qui se prépare? Cherchez-la dans les
sciences
; considérez bien la marche de la chimie, de l’ast
mpose; mais attendez que l’affinité naturelle de la religion et de la
science
se réunisse dans la tête d’un seul homme de génie
s, no sommes-nous point à la veille du plus grand changement dans les
sciences
? Cette ère nouvelle n’est-elle pas prochaine? Qui
rchitecte qui les fera servir à la construction du nouvel édifice des
sciences
. Dès nos premiers pas dans la carrière que nous
magnétisme; aussi nous y sommes-nous attaché. Le progrès des autres
sciences
nous charmait, pensant bien que celle de Mesmer a
et, une fois les phénomènes magnétiques entrés dans le domaine de la
science
, notre tâche sera finie. Erreur née d'un puissant
Bertrand et cent autres sont morts ; leur vie avait été un appel à la
science
, appel inutile, car ce n’est pas là qu'il fallait
ire, qui nous apprend que les hommes qui ont fait révolution dans les
sciences
sont venus dans les temps mêmes où ils étaient né
ec ses dignes confrères sur un homme distingué par des talents et une
science
rares, sur un vieillard honorable et respecté de
e même de ces hommes qui jusqu’ici se sont déclarés les ennemis de la
science
sublime que vous répandez avec tant de zèle : c’e
naturel de chercher un soulagement lorsqu'on souffre que, quoique la
science
ait dit : Il n’y a point de remède, l’on doit par
erchant à produire un soulagement, quelquefois une guérison, là où la
science
médicale a reconnu son impuissance. La nature a
e agent, qui l’isole enfin (I)? Hélas! tout ceci est du domaine do la
science
, et nous ne sommes pas savant. C’est au physicien
je dois le dénoncer à voire esprit élevé et libéral, en dehors de la
science
, qui, malgré d’innombrables appels, a voulu resie
orance qui compromet, la passion qui pervertit en la travestissant la
science
la plus honorable. -Créez une chaire de magnétism
is, car la demande que nous avons l’honneur do vous faire est pour la
science
que nous étudions et non pour nous-méme. Baron
à l’Académie des Sciences, où il fut flagorné pour avoir préservé les
sciences
d’une grande erreur, qui, disoit-on, faisoit la h
ui les rejette? ils serviront dans l’avenir; rien n’est perdu dans la
science
; ce qui n’est pas compris aujourd’hui le sera dem
que l’erreur s’évanouit. Le magnétisme, un jour, sera la gloire de la
science
; mais, hélas ! ce jour est loin encore, et nous n
s. En d’autres termes, le magnétisme repose sur une vérité; c'est une
science
réelle. J’ai surtout dirigé mon attention vers so
peut faire pendant le sommeil magnétique; je ne les rejette pas de la
science
, mais je ne me suis occupé que de la puissance th
ant champ de recherches pour les médecins philanthropes et amis de la
science
. Je désire bien sincèrement que quelques médecins
sieur, Tous les magnétiseurs devant concourir à l’édification de la
science
magnétique par la publication de leurs travaux et
ïes instruments investigateurs de la vie, ou tout atftfe moyen de la
science
, avaient présagé la mort comhle prochaine cl inév
ns pardonné quand des hommes, qui pouvaient devenir le flambeau de lu
science
, n’ont répandu sur nous que le sarcasme et le mép
du magnétisme. Ce n’est que lorsqu’on veut avancer dans l'étude de la
science
, cesser d’èlre machine magnétisante, et obtenir d
viciat à faire, et il doit durèr un certain temps. Il y a donc deux
sciences
dans le magnétisme? — Non. Il y a un art et une
donc deux sciences dans le magnétisme? — Non. Il y a un art et une
science
seulement. Les médecins devraient posséder la s
un art et une science seulement. Les médecins devraient posséder la
science
, et des hommes sains, bien disposés de coeur et d
le à lui-même5 il a l’air d’un inspiré. Nous l’entourons; il parle de
science
, donne des définitions ; puis, comme un homme qui
la dirigent. Je veux enfin que vous fassiez entrer de force dans la
science
une vérité féconde en grands résultats. Il ne s
umanité que j’écrirais ici. J’ai besoin de me rappeler souvent que la
science
ne veut point de chaleur d’àme, aucun enthousiasm
ce qu’un facteur est à un marchand. On peut, si vous voulez, dans les
sciences
, les appeler frères, ou, si vous l’aimez mieux, b
rcher la nature du magnétisme animal; 2° ses rapports avec les autres
sciences
; 3° de l’appliquer comme agent ihérapeulique. A
Mais, prenez garde! pour avoir produit l’effet, vous n'aurez pas la
science
. Celle-ci ne vient pas tout à coup; ici, comme en
bleaux comme beaucoup de médecins font de la médecine, sans art, sans
science
, sans génie. Peut-être avait-il en lui ce qui fai
tiseurs qui, méprisant toute étude, vous diront : Il ne faut point de
science
en magnétisme, cet agent fait tout ! Rappelez-vou
stoires? Retire-toi, tu n’es pas digne d’approcher celui qui voit; la
science
divine n’est pas faite pour (les pantins......M
s toutes les formes pour savoir s’il s’accorde avec les données de la
science
. D. PtCHARD. Fondateur et «¡coprésident de la
nie; pourquoi donc m’effraierai-je? C’est cependant à des hommes de
science
que jo vais avoir affaire ; c’est à eux que je do
nt-elles plus encouragées ? N’est-elle plus la patrie des arts et des
sciences
? Hélas! sans doute, la France est le refuge de to
st de force que la vérité doit un jour entrer dans le sanetaire do la
science
. C’est en vain cependant que l’on voudrait empêch
le aux cent palais; tout s’anime dans ton sein aux inspirations de la
science
et de l’in dustrie. Le frottemeut des intelligenc
uveaux bouleversements et de terribles catastrophes, car l’abus de la
science
amène le doute, le doute le mépris des choses sai
A ceux qui l’interrogent, M. l’abbé Paramelle répond qu’il ne doit sa
science
qu’à l’observation, parce qu’il craint, avec just
r été comme nous antimagnétiste, s’occupe actuellement de la nouvelle
science
si controversée, et qui possède un sujet lucide,
t d’entendre; et tous ces jeunes gens, élevés daus le mépris de celle
science
, qu’on nie toujours devant eux, se disent : Mais
paru que le magnétisme animal, n’étant pas encore parvenu à l’état de
science
, ne pouvait faire l’objet d’un enseignement desti
asse de faits qui ne laisse plus de doute sur cette acquisition de la
science
magnétique ; ce fait de réalité est constaté sura
oduits parle magnétisme. 11 annonce une si grande révolution dans les
sciences
, confondra tant de grands esprits, qu’il faut êtr
a confirmer les hommes dans cette idée : c’est que la plus grande des
sciences
est en germe dans le magnétisme. Et, selon les so
magnétisme confondues avec la magie, nous essayerons de dégager notre
science
de tout ce qui s’y trouve soudé et de la montrer
que la nature lui avait donné : Un sens droit, un inslinft sûr! La
science
n’a jamais prêté »in appui secoura-ble aux hommes
istence avec aucun de ces favoris de la fortune et du beau monde ; sa
science
dédaignée lui paraît au-dessus de tous les prix.
pelleront ses efforts et scs peines, et ne pourront comprendre que la
science
si utile qu'il portait partout n’avait droit d’as
ant que moi, aimant la vérité, éprouva jamais si vive passion pour la
science
? Sainl-Pclirsbourg, décembre 1842. C'est ici
la carrière ne m'en veulent point de taire ce qu'ils ont fait pour la
science
, ce qu’ils ont tenté de faire pour établir le mag
u’il exige. Laissera-t-il le magnétiseur agir en toute liberté, et la
science
, partout si rebelle au magnétisme, ne prendra-t-e
ue l’on eût flétri, on eût ajouté une vilaine page ù l’histoire de la
science
, et résigné je serais parti en en appelant à l’av
ons les phénomènes dont nous avons annoncé et soutenu l’existence. Im
science
cessera ses démentis, et peut-être à la fin nos A
ls qui sont venus confirmer ceux annoncés. «Voilà les faits. Que la
science
les commente, les interprète, les explique : ce n
o Attendu impatiemment par une population pleine de confiance dans sa
science
merveilleuse, M. Paramelle a élé reçu partout ave
roscope!... 6 gloire de la France, mile bénit tes pas 1...Par ta rare
science
ra terre ouvre son sein, et ses fécondes eaux,
ans. Courage, magnétiseurs ! l’avenir est à vous. Mais purgez voire
science
des erreurs qui s’y trouvent; déyagez-la de tout
st qu’en effet il est à la portée des pra-« ticiens comme des gens de
science
, et que chacun peut y « puiser une instruction qu
deux malades, saignez-les, mettez-les à une diète rigoureuse; votre
science
va se trouver en défaut ; le délire, les convulsi
sflnt püiiit un Obstacle à la transmission et l\ la pénétration. La
science
, ici, dihi non. Que voulez-vous? il faut la laiss
est divisé en deux parties. La première (4) Grand Dictionnaire des
sciences
médicales, I. XXXIV, arl. Incub.', observation du
E VOTAÏyUK. Nous avons promis d’emprunter aux diverses brandies des
sciences
humaines tous les matériaux propres à éclairer la
les lois du magnétisme. Voici une première observation empruntée aux
sciences
physiques. Nous la ferons suivre de nouvelles non
on du magnétisme, el qui vient de doter son pays d'un livre sur celle
science
, la lettre suivante : Monsif.uk, « Dans le si
tout temps dans le sens d'empécherel l'instruction el les progrès des
sciences
, lança un décret contre les magnétiseurs; mais je
ne quand il le jugera convenable; il y trouvera des admirateurs de la
science
et de zélés praticiens. Quelque particulier pourr
illir les lumières que voire Journal est des-« tiné à répandre sur la
science
ù laquelle nous nous sommes « voués, la Société v
enfin, votre triomphe est assuré comme celui de l’établissement de la
science
. Parler peu de somnambulisme, mais insister sur l
principe physique, force naturelle, devra rentrer dans le domaine des
sciences
. Ce n’est qu’avec réserve que vous devez parler
ieuses, si les magnétiseurs ne veulent se déconsidérer aux yeux de la
science
! A ceux qui me blâmeront de ma critique et de
ent voulez-vous donc que votre art progresse ainsi? Vit-on jamais une
science
se former avec des matériaux incomplets, mal recu
uvoir : l’ètre le plus ingnorant peut en posséder autant. C’est de la
science
seule que vous pouvez vous prévaloir, car ceux qu
ntrer qu’il n’y a point contradiction dans tous ces faits. Toutes les
sciences
ont leur difficultés, à toutes les lois générales
et qu’on perd ainsi en discussions stériles un temps précieux pour la
science
. Séance du 10 juillet. — Par suite de la démiss
ion des métaux ont enrichi la chimie d’une foule d'agenls à qui celte
science
est redevable de ses progrès ultérieure. Il en se
nt le magnétisme est partout; qu’en va-t-on faire? Vous croyez que la
science
va s’en occuper, l’étudicr? Pas (lu tout, les sav
Trompé par une parade magnétique, on dédaigne l'homme qui possède la
science
, et 011 s’en ira par une lente agonie, malgré les
res merveilleuses se firent aussi, mais les magnétiseurs trahirent la
science
en en abusant. A qui s’en prit-on? n l’instrument
ce d'OndotikofT-Korsakofr, vice-président del'Acadé-mie impériale des
Sciences
, Ne serez-vous injustes que pour la découverte
garder de la médecine savante, qui est la plus cruelle do toutes les
sciences
. Qu’on me pardonne cette boutade ; je n’entends p
r. C’est un jour de bonheur dont la foi seule est cause, et jamais la
science
et la philosophie ne produiront rien de pareil. M
s de dents faites sans douleur. Ces faits sont maintenant acquis à la
science
. Us n’ont désormais d’autre importance que de mon
’article suivant : PAIIOI.CS D'US CROYANT. — I.ts découvertes de In
science
moderne reculent chaque jour les limites du possi
nt bercé notre crédule enfance; l’industrie, ce génie bienfaisant; la
science
, celle fée ingénieuse et libérale, enrichissent c
ts de conservation de notre nature, leur a crié : « En avant. » l.a
science
qui a pour objet l’étude et les applications de c
le corps où l’on veut le fixer... Née depuis moins d’un siècle, cette
science
, qui contrariait tant d’idées reçues, a dû nécess
isent pour écarter toute idée de compérage ou de supercherie. Celte
science
nouvelle donne une immense extension aux facultés
ans soucis, sans fatigue, sans mécompte?... Pourquoi? parce que celle
science
est encore au berceau, comme l’industrie il y a c
yde? Non, à coup sûr, el c’est deux mille cinq cenls après lui que la
science
a songé à appliquer son principe â la transmissio
de la volonté, les passes, en un mol, des magnétiseurs. Pourquoi? La
science
n’a-t-elle pas prouvé en mille circonstances qu’e
ssez fort pour cueillir sans danger ce dernier fruit de l’Arbre de la
Science
. C’est à ce poinl de vue que quelques lignes on
insignes jongleurs. Bientôt après un grand partisan de celte nouvelle
science
, le célèbre Dcleuze, je crois, l’ayant rendu témo
el je m’explique maintenant l'enthousiasme de Pigaull-Lebrun pour une
science
qu’il avail d'abord méconnue el décriée. (Courr
émotions, car on attendait des magnétiseurs un récil brillant de leur
science
merveilleuse. M. Gauthier dut cesser sa lecture,
uységurique a plus appris que l'observation constante des siècles, la
science
el la sagesse antiques n’ont confié au burin de l
y a environ trois ans, à parcourir l'Angleterre comme promoteur d’une
science
nouvelle, née du mesmérisme el de la phrénologio.
tous de nous rendre un jour ! Adieu. AVIS. — I,e magnétisme, comme
science
anthropologique, exige la connaissance de l’analo
gie. Malheureusement la plupart des magnétiseurs sont étrangers à ces
sciences
, pourtant si nécessaires ou plutôt indispensables
soi-même les faits de moindre importance près de ceux principaux. Les
sciences
sont mobiles, et, quoique s’appuyant sur une base
eau perce les nuages de l’erreur, de l’ignorance ou de l’envie. Si la
science
du magnétisme animal n’était qu’un système, je se
ns l'arène des discussions les défenseurs et les adversaires de cette
science
. Le mois dernier nous avons publié les Pawlcs d'u
journalière le constate, est, à n’en pas douter, le premier mol d’une
science
à faire, le rayon échappé d'un foyer de lumière p
la première révélation. Nous croyons que la méthode employée dans les
sciences
pour la recherche et la classification des fails
des phénomènes du magnétisme. Il est un moyen de faire marcher cette
science
: ce serait de la reconnaître, de la légitimer en
its, et qui, faute d’avoir élé recueillis, se trouvent perdus pour la
science
. Aidé de cette ample moisson délaissée pour ainsi
on serait peut-être en mesure de jeter les premiers fondements d’une
science
nouvelle. Il serait bien temps de créer une organ
foule de praticiens, en général moins intéressés à l’avancement de la
science
qu’à exploiter â leur profil ce qu’elle offre de
assem. bler des matériaux pour poser enfin les bases de l’édifice. La
science
telle qu’elle sc fait de nos jours, c'est-à-dire
les génies spéciaux oni le pas sur tout. Proposez ù ces rameaux de la
science
, dépourvus assez communément de loute vue général
lement, ils vous accuseront de poursuivre une chimère. Docteurs de la
science
toute faite cl apprise, parlant incapables de déc
cune, ne saurait ôlrc inscrit dans les registres de l’état civil delà
science
. Les faits auront beau remplir le monde du bruit
vérité dénaturée dans le procès-verbal de la séance de la section des
sciences
médicales concernant le magnétisme a donné lieu à
une rectification à faire au rapport du secrétaire de la section des
sciences
médicales, et ce rapport me paraissant inexact en
vingt ans, ce médecin, resté étranger au mouvement ascensionnel de la
science
magnétique en France, seul et livré aux ressource
nd homme qui nous a ouvert l’entrée de celte noble el incommensurable
science
, qui renferme tant el de si belles choses... enco
agnétisme.... Pâle reflet de tout ce qu’on a dit et écrit sur celle
science
depuis Mesmer; n'apprenant rien à personne, lourd
réponse. En un mot, il a tracé de main de maître les progrès de celle
science
, et il a planté son drapeau sur ce champ de batai
vous ave/, lous reconnu cel apôtre fervent qui vient de porter cette
science
admirable dans les pays lointains, et qui, toujou
tisme de Paris, ni môme toutes les sociétés où l’on s’occupe de celte
science
, je ne puis écrire qu’à vous; mais vous voudrez b
u garde encore longtemps un semblable mystère ! Nous qui cherchons la
science
par amour pour elle, nous avons quelquefois la cr
n il mérite de lixer l'attention des savants! Malheureusement pour la
science
, le magnétisme, celle puissance inconnue, mais ré
ous les noms des personnages connus, ayant une haute position dans la
science
, 1111 jugement excellent, des connaissances très-
n qui confond les esprits forts et qui tourne aujourd’hui à l'état de
science
positive. Il esl hors de doute que le magnétism
ressuscitaient à volonlé........... Les Egyptiens avaient poussé la
science
du magnétisme à des limites auxquelles la science
s avaient poussé la science du magnétisme à des limites auxquelles la
science
moderne n’est pas encore parvenue; ils avaient re
dérons leur marche, cherchons à soulager les malades victimes de leur
science
vaine, el continuons d’enseigner l’arl qu’ils ign
confrères honorables, qui voulaient les mettre en possession de celle
science
, dire à la face du monde qu’ils doivent désormais
plusieurs leçons auront lieu par semaine. Le magnétisme, comnio toute
science
, peu l s'en-seigner d’une manière rationnelle, el
Plus j'avance, plus je me convainc que le magnétisme est une grande
science
, un grand art. Avec le secours des phénomènes qu’
ont pu apprendre; leurs livres, s’ils en ont écrit, sont nuls pour la
science
. Comment peut-on espérer établir une croyance san
la plus grande partie des découvertes qui l’honorent? Dans les autres
sciences
n’est-ce pas aux tentatives, aux expériences réit
rps rempli d'humeurs. Depuis longtemps i! était rions cet état, et la
science
ne pouvait rien pour lui. 4'enhepris son traiteme
à leur établissement. Mais des noms nouveaux devaient surgir dans la
science
, de faux systèmes devaient être renversés, cl ces
ir île sis sens, examiner, a bientôt fait justice des sophismes de la
science
, lorsque celle-ci s’obstine à nier l’évidence môm
roduire journellement, on peut dire à chaque instant, eu dehors de la
science
? pas un des grands savants de nos académies ne pr
instruction publique 11e nous a-t-il pas dit récemment : l-'aites une
science
de vos faits, et je créerai une chaire de magnéti
stifier aux yeux de leurs compatriotes les principes si féconds de la
science
qu’ils sont venus étudier parmi nous. Partout e
la plus matérielle; n que le magnétisme est devenu dans ses mains une
science
exacte, mathématique, qu’il propose d’appeler nêy
Albanel, et une lettre de félicitations aux hommes qui ont enrichi la
science
de ce fait admirable. Séance du'27 novembre. —
s par Vhypnotisation sur les hystéro-éoilepiîques. G. R. do l'Ac. des
Sciences
, 13 février 188?. Progrès médical 188?, p. 121. —
iale. COURS ET CONFÉRENCES PÉDAGOGIE L'Initiation à l'étude des
sciences
physiques (1). par M. C.-A. Laisant Docteur ès-sc
dont je dois vous entretenir aujourd'hui, l'initiation à l'étude des
sciences
physiques, est du même ordre, et je me verrai con
ceux qui appartiennent à ce qu'on appelle si improprement encore les
sciences
exactes ou les sciences abstraites. I! ne faudrai
à ce qu'on appelle si improprement encore les sciences exactes ou les
sciences
abstraites. I! ne faudrait pas cependant s'exagér
première des conditions pour commencer à pénétrer dans ce domaine des
sciences
physiques. Quand j'emploie ce mot voir, j'entends
l faut ici que j'arrive à un éclaircissement nécessaire. Je parle des
sciences
physiques ; à proprement dire, toutes les science
aire. Je parle des sciences physiques ; à proprement dire, toutes les
sciences
sont physiques, toutes les sciences sont expérime
s ; à proprement dire, toutes les sciences sont physiques, toutes les
sciences
sont expérimentales. Cependant, au milieu de l'in
loin d'avoir l'importance qu'on lui attribue généralement. Toutes les
sciences
s'entr'aident et se pénétrent; aucune n'a des fro
e approfondie. Je laisse donc systématiquement de côté le domaine des
sciences
naturelles, où la pure observation joue un rôle p
les observations que j'aurai à vous présenter s'appliqueront aux deux
sciences
dont je viens de prononcer le nom. Toutes deux
raient pas de satisfaction à l'esprit et ne feraient guère avancer la
science
; les progrès de celle-ci ont invariablement cons
possible qu'avec l'intervention de l'hypothèse. L'hypothèse dans les
sciences
physiques remplitun rôle à la fois très important
important et très délicat. Elle est indispensable; sans elle, pas de
science
possible ; et d'autre part, si on lui attribue la
iquer les faits de la nature. Les exemples abondent; l'histoire de la
science
m'en fournirait à foison; mais je veux éviter d'a
iques, quelle complexité des opérations de l'esprit exige l'étude des
sciences
physiques. Vous voyez combien j'avais raison dès
le degré de difficulté psychologique qu'on a coutume d'attribuer aux
sciences
mathématiques par opposition aux sciences physiqu
n a coutume d'attribuer aux sciences mathématiques par opposition aux
sciences
physiques. DanB ces dernières, l'abstraction, com
Physique et de la Chimie exige absolument la notion de mesure, que la
science
des quantités est par conséquent indispensable da
yser les faits de la nature qui a vraiment provoqué la création de la
science
mathématique. Telleest la vérité. Et cependant
un monde où se présentent en foule les applications industrielles des
sciences
physiques, il n'est pas permis d'en ignorer les é
plus vrai, me répondra-t-on peut-être. Et la nécessité de l'étude des
sciences
physiques, au moins dans leur partie élémentaire,
initiation préalable. Dès le début de ses études dans le domaine des
sciences
physiques, on lui donne (et l'on ne peut guère
n des prix Montyon destinés à récompenser les livres utiles. Puis, la
Science
amusante, en 3 volumes; l'auteur, qui signe Tom T
ions scientifiques, et invité à organiser le premier enseignement des
sciences
expérimentales. A l'heure actuelle, des adminis
uvre, je tirerai seulement une conclusion; c'est que l'histoire de la
science
, surtout celles des sciences physiques, devrait t
ne conclusion; c'est que l'histoire de la science, surtout celles des
sciences
physiques, devrait tenir dans notre enseignement,
e Tom Tit, ne suffiraient peut-être pas à une initiation complète aux
sciences
physiques. Pour l'électricité, notamment, une p
compte des progrès incessants qui s'accomplissent dans le domaine des
sciences
physiques et de leurs applications. Ces progrès s
Suggestion olfactive M. de Parville rapporte dans sa c Revue des
sciences
« un cas amusant de suggestion, d'après la Psycho
ment sont d'importance capitale en psychologie. Le progrès dans cette
science
comme dans les sciences naturelles tient à une bo
capitale en psychologie. Le progrès dans cette science comme dans les
sciences
naturelles tient à une bonne classification (1).
ment mon opinion au sujet de cet enfant qualifié de « prodige ». La
science
, comme on le sait, a pour fin de réduire le plus
sprits philosophiques et tous ceux qu'intéressent les problèmes de la
science
. VAdministrateur-Gérant : Ed. BÉRILLON Paris.
decin, consacré par l'art. 32 de la loi du 21 germinal do l'an XI. La
science
s'est complue quelquefois à comparer la productio
nts. Aujourd'hui que, sous les noms de suggestion ou d'hypnotisme, la
science
accueille les faits, les contrôle, en recherche l
n'a pu faire que d'après des apparences, qui relève du domaine de la
science
médicale et que l'on peut discuter sans mettre en
ts de l'école de Paris ont été très applaudis. La préoccupation de la
science
française do se maintenir sur le terrain des fait
ésirable que nul ne se livrât à ces procédés que dans l'intérêt de la
science
ou de la santé du sujet. Mais où commencera le dé
s ne pouvons demander davantage aux pouvoirs publics. L'intérêt de la
science
et les principes de liberté et de respect du domi
ementation étroite de l'hypnotisme, admet « volontiers qu'un homme de
science
, qu'un naturaliste, qu'un philosophe institue des
de médecine publique de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
, dans sa session d'Oran, émettait à l'unanimité,
tte question des représentations publiques, je sollicite au nom de la
science
et de la liberté la plus grande latitude en faveu
e la pratique et l'orthopédie mentale et morale est ainsi devenue une
science
positive dont nous lui sommes redevables et dont
pas assez dans la pratique courante et qu'il .est regrettable pour la
science
et la société, que les médecins entrés dans cette
nion queje demande depuisbtenlongtemps. union que je souhaite pour la
science
en général, mais qui surtout a sa raison d'être i
font usage de narcotiques. (A suivre). La vie de Jésus devant la
science
hypnotique (*) par le Dr Félix IÎegnault Nous
ressources toutes nouvelles et encore peu connues que nous fournit la
science
hypnotique. Examinons seulement tous les miracles
. Littré : Vie de Jésus, 1839, vol. I, p. 22-28. (2j Salverte : Des
sciences
occultes. Paris, J.-B. Baillière, 1850, 3' édlt,
du sang s'il avait été réellement mort. III A. Debay : Histoire des
sciences
occultes, Paris, E. Dentu, édit., 1860, p. 217. (
st encore certains faits delà vie de Jésus sur lesquels les nouvelles
sciences
peuvent nous éclairer. . Jésus fut un enfant pr
lication de phénomènes qui ne sont cependant pas nouveaux, et dont la
science
a enregistré d'assez fréquents exemples, les inte
lieu tous les mercredis, à 8 h. 1/2 du soir à l'ancienne faculté des
sciences
. Couns de psychothérapie a San-Paulo (Brésil).
s (Nord) et une dans une église d'Aire (Pas-de-Calais). Voir Malvert,
Science
et Religion, Soc. d'édit. scient. 1899. (1) Pie
de ces quatre religieuses est de 46 ans. La vie de Jésus devant la
science
hypnotique par le D' Félix Regnault [suite) Apr
DE PATRONAGE MM. Iîerthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, membre de l'Académie française; Boirac. recteur
, professeur honoraire au Collège de France, membre de l'Académie des
sciences
morales; Albert Robin, membre de l'Académie de mé
ine; Tarde, professeur au Collège de France, membre de l'Académie des
sciences
morales; Jules Soury, sous-directeur à l'Ecole de
vement engagés. La psychothérapie, qui est à la psychologie ce que la
science
appliquée est à La science pure, est essentiellem
érapie, qui est à la psychologie ce que la science appliquée est à La
science
pure, est essentiellement une thérapeutique des r
e de la chimie moderne et de la thermogenèse animale, étudié avec une
science
profonde les origines de l'alchimie, couronne son
nt philosophique de la plus haute élévation. 11 nous démontre que .la
science
est le seul fondement inébranlable de la moralité
que où la centralisation pèse d'un si lourd poids sur l'évolution des
sciences
médicales, où toute science qui n'est pas officie
d'un si lourd poids sur l'évolution des sciences médicales, où toute
science
qui n'est pas officiellement reconnue et subventi
e la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les hommes de
science
et de bonne volonté se réunissent, comme vous l'a
isé le rêve de Prométhée, à qui la France et le monde universel de la
Science
décernaient récemment, en une inoubliable fête, l
enseignants pour la partie la plus noble et la plus humaine de notre
science
. L'organicisme a mis la maladie tout entière da
nt se réjouiront, avec ceux qui aiment l'initiative, le courage et la
science
, les malades de l'imagination et de la pensée don
classification de Charcot. (A suivre.) La vie de Jésus devant la
science
hypnotique (') par le Dr Félix Regnault, profes
le luxe de détails vrais, alors qu'ils paraissaient faux avant que la
science
hypnotique fût fondée et dont nous n'avons pu par
es explications que ne pouvaient concevoir les anciens critiques, une
science
nouvelle nous les donne, l'hypnotisme. Elle expli
es miracles des prêtres païens. Ceux-ci étalent gens experts dans les
sciences
physiques et chimiques de leur époque ; ils usaie
ientôt on se rend compte qu'ils n'ont rien d'extraordinaire et que la
science
les explique simplement, ou bien on ne tarde pas
umberland, le pendule de Chevreul et l'explication très simple que la
science
donne do ce genre de faits. L'homme est un comp
succès depuis trente ans, et qu'il décrit dans le Journal of médical
sciences
. On place le malade dans la position couchée ou à
its désillusionnés de leurs anciennes croyances par la lumière que la
science
porto dans leur esprit; il y a une tendance vers
. Cependant, je ne pense pas que les clartés lumineuses que répand la
science
, toujours en voie de progrès, feront jamais dispa
uses, parce qu'en même temps il y aura toujours parallèlement pour la
science
qui les fait disparaître des limites dans l'incon
purer fatalement, et même s'absorber les unes dans les autres ; et la
science
, grâce à l'esprit d'examen, tout en les disséquan
usivement avec les caractères fournis par ces procédés d'étude que la
science
peut se faire ». SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE P
c le paradoxal Delbceuf qu'il n'y a pas d'hypnotisme, c'est-à-dire de
science
du sommeil, c'est en nier les phénomènes, ce qui
au véritable esprit scientifique, et n'empêchent heureusement pas la
science
de progresser quand même; et, en ce qui concerne
énomènes naturels sont « plus ou moins inexplicables, et cependant la
science
ne les nie pas (') ». Le vrai rôle et le devoir
cin et philosophe allemand Louis Biiehner, auteur de Y Homme selon la
science
, de Force et Matière, etc., et dont l'opinion, en
, que la lumière se fera de plus en plus complète dans le domaine des
sciences
psychiques, aussi bien que dans tous les autres d
urd'hui de nombreux chercheurs et qui constitue, pour ainsi dire, une
science
nouvelle, il en est une, observée sur des sujets
Revue de THypnotismc, février 1902, p. 240. La Psychologie est la
science
de la volonté Dans un récent article publié dan
ier, s'applique à démontrer l'autonomie de la psychologie en tant que
science
particulière. D'après lui vouloir concilier les s
e en tant que science particulière. D'après lui vouloir concilier les
sciences
morales et les sciences naturelles, autant cherch
rticulière. D'après lui vouloir concilier les sciences morales et les
sciences
naturelles, autant chercher à rétablir la paix da
a physiologie notamment du système • nerveux'. c'est là l'objet d'une
science
récente qui n'a pas dit son « dernîermot, la psyc
n a la remplaçant par la psycho-physiologie. La psychologie est une «
science
à part qui a ses modes et procédés d'étude et son
inition de Fouillée, la psychologie serait, en dernière « analyse, la
science
de la volonté, de même que la physiologie est la
nalyse, la science de la volonté, de même que la physiologie est la «
science
de la vie. » Coprophages Une secte bien étran
gique et grammaticale de ces articles, — on a épuisé le domaine de la
science
criminelle. La plupart croient que la science q
uisé le domaine de la science criminelle. La plupart croient que la
science
qui s'occupe de l'homme criminel n'est que l'étud
ilibre moral. On oublie complètement, ainsi, une autre partie de la
science
du crime, une partie fondamentale : la partie qui
es de la criminalité et le criminel lui-même. Je pense que, pour la
science
comme pour la société, il ne suffît pas d'affirme
ines; — c'est-à-dire en agissant sur ses causes. Jusqu'à présent la
science
qui étudie le crime s'était bornée — à étendre la
autre un poids égal de pénalité. II est évident, au contraire, que la
science
du crime doit élre plus large, plus moderne, et p
e droit pénal d'aujourd'hui ne comprend qu'une seule branche de cette
science
nouvelle, c'est-à-dire la branche qui s'occupe de
du crime, — il s'agit donc, dis-je, de substituer au droit pénal, une
science
plus large qui étudie les causes de la criminalit
tation ou la stagnation de la criminalité. J'appelle cette nouvelle
science
la sociologie criminelle, et c'est justement de l
e n'aurait ses racines que dans la libre volonté du criminel. Les
sciences
naturelles ont démontré que tout phénomène du mon
ue le droit pénal n'étudie pas. Il est bien étrange, en effet, qu'une
science
qui étudie le crime et sa répression, mette dans
èce de quarantaine scientifique les causes du crime. Il n'y a pas une
science
qui, en se donnant pour but l'étude d'un phénomèn
r l'étude des causes qui produisent ce phénomène. Pourquoi donc, la
science
du crime devrait-elle être une exception? Cela co
s observations, et sur des études expérimentales. Car il n'y a pas de
science
durable qui ne s'appuie sur des faits et des obse
l suffit de regarder autour de nous pour nous en apercevoir. Dans les
sciences
naturelles, l'évolutionnisme de Lamarck et de Dar
le plus brillant et le plus récent de l'évolution animale. Dans les
sciences
qui étudient les sentiments et la pensée de l'hom
tudient les sentiments et la pensée de l'homme, c'est-à-dire dans les
sciences
psychologiques, vous trouverez le même dualisme.
nnaître que le positivisme a gagné presque partout, dans le monde des
sciences
naturelles, et aussi dans la psychologie (car la
elles, et aussi dans la psychologie (car la psychologie aussi est une
science
naturelle), la bataille qu'il a livrée avec tant
ta comme aujourd'hui nous traitons nos criminels. C'était toujours la
science
métaphysique qui, en se refusant d'étudier les fo
à-dire quand le positivisme scientifique commença à être appliqué aux
sciences
médicales, les médecins trouvèrent que la folie é
s, de transplanter la méthode positive, qui avait si bien vivifié les
sciences
naturelles et médicales dans le champ fermé des s
vivifié les sciences naturelles et médicales dans le champ fermé des
sciences
sociales et juridiques, les métaphysiciens, qui é
eugle. Tandis que la méthode positiviste devenait la règle dans les
sciences
naturelles, — elle n'était que l'exception dans l
dans les sciences naturelles, — elle n'était que l'exception dans les
sciences
sociales. C'est justement à ces deux courants tou
elle s'est développée en prenant pour base les conquêtes récentes des
sciences
naturelles et médicales. L'école classique, au co
aire, qui a commencé avant les découvertes, tout à fait récentes, des
sciences
naturelles, surtout de la psychologie expérimenta
, surtout de la psychologie expérimentale et de la psychiatrie (cette
science
merveilleuse qui étudie toutes les gammes de la f
, dis-je, a continué à se développer en dehors des découvertes de ces
sciences
. Elle a continué sa route, ignorant et voulant ig
le a continué sa route, ignorant et voulant ignorer qu'il existât des
sciences
qui avaient grandi et qui avaient donné une base
ris comme point de départ, soit la méthode qui avait révolutionné les
sciences
naturelles, soit les découvertes indéniables de l
ale et de la psychiatrie. En effet, il aurait été bien étrange qu'une
science
qui, comme la science criminelle, avait pour but
ie. En effet, il aurait été bien étrange qu'une science qui, comme la
science
criminelle, avait pour but l'étude de l'homme cri
de l'homme criminel, eût ferméles yeux devant les découvertes de deux
sciences
qui, comme la psychologie et la psychiatrie, donn
rès concluants à ce point de vue. L'hypnotisme, ù mon sens, est une
science
qui s'applique à l'étude d'un état particulier de
ne puissance remarquable, encore inexplicable dans l'état actuel d«Ja
science
. Ceci dit, voici huit de mes principales observ
sseur Niceforo, de Lauzanoe (suite et fin) Celui qui croit qu'une
science
quelconque peut se développer en dehors des autre
oit qu'une science quelconque peut se développer en dehors des autres
sciences
commet une faute qui condamne à mort cette scienc
dehors des autres sciences commet une faute qui condamne à mort cette
science
. Toutes les sciences, dans l'univers scientifique
iences commet une faute qui condamne à mort cette science. Toutes les
sciences
, dans l'univers scientifique, se tiennent, — et l
ent, en raison de cette loi admirable d'harmonie scientifique, qu'une
science
, surtout une science qui étudie une des nombreuse
te loi admirable d'harmonie scientifique, qu'une science, surtout une
science
qui étudie une des nombreuses activités humaines,
e des nombreuses activités humaines, ne peut pas se passer des autres
sciences
qui étudient, d'après nature, l'homme même. Tou
ue commis dans ce sens porte avec lui la condamnation à mort de cette
science
orgueilleuse. Je vous disais que c'est surtout
-nistes que nous devons les premières tentatives d'application — à la
science
du crime — soit de la méthode expérimentale, qui
mentale, qui avait donné des résultats si merveilleux dans les autres
sciences
, soit des découvertes des sciences naturelles et
ats si merveilleux dans les autres sciences, soit des découvertes des
sciences
naturelles et médicales. Les juristes, en effet,
ercevoir de l'importance qu'apportaient les nouvelles découvertes des
sciences
naturelles et médicales. Ils se trouvaient, en fa
u droit pénal, jugèrent nécessaire de passer à travers le creuset des
sciences
médicales et naturelles, la Sociologie criminelle
épart, les résultats de la psychologie, de la psychiatrie et d'autres
sciences
naturelles, et elle étudie l'homme criminel avec
mentale, en se servant de la lumière qui a jailli des découvertes des
sciences
médicales et naturelles. Ces découvertes, en un m
découvertes, en un mot, tout en étant le point d'arrivée de certaines
sciences
naturelles, ne sont que le point de départ de la
trie qui, — (à part l'application de la méthode expérimentale dans la
science
du crime), — ont déterminé la naissance de la soc
du pouvoir, sur une doctrine qui non seulement est fausse d'après la
science
, qui non seulement est illogique par elle-même, q
un système de recherches et d'applications pratiques à la dignité de
science
. Et nous verrons plus tard que, grâce à cette mét
un catéchisme sec et égoïste de vengeance sociale, mais une véritable
science
, une science qui prend sa racine dans la vérité e
sec et égoïste de vengeance sociale, mais une véritable science, une
science
qui prend sa racine dans la vérité et dans la jus
ns la perte d'un homme éminentdont la disparition mettait en deuil la
science
tout entière, mais plus particulièrement encore l
véritable esprit scientifique pour n'être pas, du point de vue de la
science
, un déterministe convaincu. Mais, tout de même, i
p. 351. Janet (M. le Professeur Pierre), p. 289. Jesus devant la
science
hypnotique (La vie de), par Félix Regnault, p. 10
le traitement de l'), par Cullerre, p. 99. Initiation à l'étude des
sciences
physiques, par Laisant, p. 20. Institut de psyc
Prophète de l'avenue des Gobolins (Le), p. 379. Psychologie est la
science
de la volonté (La), par Grasset, p. 3t9. Psycho
pédagogie au congres de l'Association française pour l'avancement des
sciences
. Un certain nombre de savants français et étran
eignement du Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
dont la session aura lieu à Lille du 2 au 10 août
que, contrairement à ce qu'ont professé certains détracteurs de cette
science
, il est susceptible d'être appliqué d'après les r
général, au congrès de l'association française pour l'avancement des
sciences
; M. le docteur Paul Parez, au congrès des aliéni
t qu'en 1881, aux portes de la vieillesse, qu'il lut à l'Académie des
sciences
morales et politiques un mémoire sur « La suggest
uelque sorte dans la tête un arbre dont les branches représentent les
sciences
et les rameaux leurs subdivisions ? Quand un fait
qui est trop souvent contestable. (1 ) Histoire des savants et des
sciences
depuis deux siècles,''2 e édition, page 309. Dr
idérable s'accroît, à chaque instant, de nouvelles contributions a la
science
de la neurologie. Successeur de Charcot à la chai
le plus apparent, on a pu dire avec raison que l'hypnotisme était la
science
du sommeil provoqué. La notion d'une inhibition
pédagogie du Congrès de l'association française pour l'avancement des
sciences
sons la présidence du professeur Beauvisage, séna
à l'éducation après l'école, de 31. Julien Ray, de la Faculté des
sciences
de Lyon : au travait manuel à l'école primaire et
s choses dé notre pays ne peuvent pas constituer une spécialité de la
science
d'Europe. Je vous signale simplement l'erreur com
ulte du souvenir. Mon pauvre et cher Pamart, trop tôt ravi & la
science
et à notre affection, au nom de vos amis et des c
et intéressantes Les personnes qui veulent se perfectionner dans la
science
de l'Hypnotisme liront avec intérêt ce livre dont
représentée officiellement par 51. Flo-quet, doyen de la Faculté des
sciences
de Nancy, vice-président du conseil de l'Universi
et : DiFcours de M. le professeur Floquet doyen de la Faculté des
Sciences
de Nancy. « Mesdames. Messieurs, » Il y a env
t la scène d'un accident d'automobile qui enleva h sa famille et à la
science
l'homme d'élite, de vaste savoir, de noble cœur q
ité de Nancy » disait de lui le professeur Blondlot de la Faculté des
sciences
au recteur de l'Université de Nancy, M. Adam. A
c le droit civil et le droit criminel qu'il lui devant l'Académie des
sciences
morales et politiques de l'Institut de France (18
s doctrines nouvelles qui trouvent, pour défenseurs, des hommes d'une
science
aussi profonde et d'un aussi noble caractère. E
Le miracle et la critique scientifique par M. P. Saixt-Yves • La
science
ignore lesurnuiurel elle ne le nie ni ne l'affirm
sophie, Religion 1873. in-8. p. 27-27 Notre notion actuelle de la
science
semble, dès l'abord, incompatible avec l'idée du
lastique. La plupart des hommes qui ont reçu quelques notions des
sciences
modernes admettent en conséquence fort difficilem
s avons tort. Quoiqu'il en soit, c'est là un fait ; la pratique de la
science
nous a menés là et nous en sommes là, même si nou
cune obligation ne peutavoir prise sur cet état de choses (4). » La
science
condamne-t-elle donc irrévocablement le miracle.e
enirs d'enfance. Paris, s. d., in-8°, XV. p. peut-il au nom de la
science
attester le miracle ? ou encore : Peut-on discern
e fait scientifique est-il nécessairement un fait expérimental ? La
science
positive reçoit d'ordinaire dans le langage coura
cience positive reçoit d'ordinaire dans le langage courant, le nom de
science
expérimentale. C'est là un abus qui n'est pas san
arles Renouvieren 1897, ne connut assez les limites et la méthode des
sciences
expérimentales, ponr comprendre qu'elles ne vont
mais elle me semble encore trop étroite. Des faits d'observation (les
sciences
mimienlea en fournissent un grand nombre), peuven
édire leur retour de façon mathématique. (1) Sur ln distinction des
sciences
d'observation et d'expérimentation C. Flammarion
e psychologique de Nancy. Le premier aura la gloire d'avoir doté la
science
médicale d'une branche nouvelle : ta psychothérap
jugements superficiels. Mais il est un spectacle auquel l'homme de
science
, malgré la sérénité de sa philosophie ne saurait
l et les états analogues ». Cette publication sonna le réveil d'une
science
qui avait eu les honneurs de toutes les condamnat
ité française, il ne tarda pas à soumettre, en 1884. à l'Académie des
sciences
morales et politiques, un mémoire sur : « la sugg
t trop peu d'elles-mêmes, a toujours considéré l'hypnotisme comme une
science
naturelle, basée exclusivement sur la raison et s
gré l'opinion séparatiste qui veut « que le sens commun ne boH pas la
science
» nous estimons que cette expression du pragmatis
r l'adapter à son progrès, est représentée dans le langage commun des
sciences
par des termes discontinus dont la valeur est iné
iste qui, sous le nom de transformisme, domine aujourd'hui toutes les
sciences
. 3° Considérées dans leurs effets subjectifs, c
on en commande logiquement toutes les parties : et ce sera pour notre
science
un grand bienfait. Car il n'est pas de médecin qu
e cantonne avec passion dans le cercle arbitrairement déterminé d'une
science
, d'un art ou d'une croyance, prend un caractère e
science personnelle, familiale et sociale. Car dans l'état actuel des
sciences
, c'est au schéma de l'évolution qu'il faut toujou
entons journellement, demandent a leur médecin de les soigner avec sa
science
, son expérience, son dévouement, et non pas dalle
uement. Qu'en sait-il ? Qui le lui a dit. appris ou prouvé ? « La
Science
», répond-il. La Science ? Mais ta Science n'ex
ui le lui a dit. appris ou prouvé ? « La Science », répond-il. La
Science
? Mais ta Science n'existe pas. La Science, ce n'
ppris ou prouvé ? « La Science », répond-il. La Science ? Mais ta
Science
n'existe pas. La Science, ce n'est rien, ou plutô
Science », répond-il. La Science ? Mais ta Science n'existe pas. La
Science
, ce n'est rien, ou plutôt c'est un mot, une abstr
hysiques. Ne soyez pas scandalisé : écoutez-moi jusqu'au bout. La
Science
, dis-je, n'existe pas. Ce qui existe, ce sont div
. La Science, dis-je, n'existe pas. Ce qui existe, ce sont diverses
sciences
particulières. Celles-ci se sont fondées, se sont
incipes, axiomes ou définitions, sur lesquelles elle s'appuie, chaque
science
particulière se les donne : ils n'ont guère, le p
reinte à cet objet particulier et en fonction des postulats que cette
science
s'est donnés. Chacune de ces sciences étudie do
nction des postulats que cette science s'est donnés. Chacune de ces
sciences
étudie donc un certain genre de phénomènes et les
, elle l'ignore : elle se prescrit de le passer sous silence. Toute
science
qui sort de son champ limité, pour se prononcer s
s impérieuses.Binet-Sauglé se décide à dire : « Je ne me fais, sur la
science
, aucune illusion : je sais ce qu'elle a de relati
la science, aucune illusion : je sais ce qu'elle a de relatif ... La
science
. . . pour moi . . . n'est qu'un système ...» A
l n'en tient pas compte, puisqu'il continue à dogmatiser au nom de la
Science
, à donner à celle-ci uue porte universelle et à l
u'il n'y a pas de liberté. Il prétend qu'il n'a pas la religion de la
Science
, mais il écrit comme quelqu'un qui en a l'idolâtr
anisme humain, ni liberté, ni. responsabilité ? Parbleu ! L'objet des
sciences
dites médicales les exclut. Le physiologiste, par
baromètre pour la température ? Tout comme chaque instrument,, chaque
science
spéciale ne peut donner de renseignements que sur
et je les nie. » Ce que l'astronome aurait le tort de faire dire à sa
science
, vous avez également tort-de vouloir le faire dir
à sa science, vous avez également tort-de vouloir le faire dire aux «
sciences
médicales ». Ce n'est pas l'astronome qu'on inter
out le déterminisme ? Parbleu ! Le déterminisme est une nécessité des
sciences
naturelles. Grâce à lui, en effet, elles se donne
hacun porte en soi. Alors, en affirmant, au nom de telle ou telle
science
particulière, le déterminisme universel, Binet-Sa
e a la logique et. pour parler net, un sophisme. Il se dit homme de
science
et il superpose aux recherches purement scientifi
oblème de métaphysique. Or, prétendre l'avoir tranché au nom de telle
science
particulière, c'est cela qui est logiquement et s
r un problème de métaphysique ; il doit l'ignorer. Mais, l'homme de
science
, une fois sorti de sa spéculation, se retrouve en
tions supra, niéta ou extra-scientifiques, à propos desquelles aucune
science
n'est qualifiée pour lui donner une clarté quelco
comme s'il ne l'avait pas fait. Tout à l'heure, il a concédé que la
science
est relative et, aussitôt, il lui a donné une val
oute la question, très restreinte, on le voit. Elle ne met pas « La
Science
• en péril. La possibilité de ces futurs ambigus,
ors de toute métaphysique scientifique ou religieuse. — les hommes de
science
, une fois rentrés dans la vie pratique. Si l'homm
phénoménal de la psychologie concrète, ce serait arracher l'homme de
science
aux passions politico-religieuses ! Or, au fond
prit religieux. Comme citoyen, c'est son droit strict; comme homme de
science
, il n'a nul droit de mobiliser telle science part
t strict; comme homme de science, il n'a nul droit de mobiliser telle
science
particulière pour lui demander un service qui ne
picure. Entraîné par sa phobie antireligieuse, Binet-Sanglé confond
science
, philosophie, religion. Reprenant à son compte la
utoritaires, tranchants, assoiffés d'absolutisme, les illuminés de La
Science
ont le même tempérament que les illuminés de la c
fondre les points de-vue, d'outrepasser les droits de telle ou telle,
science
et de prétendre résoudre des problèmes métaphysiq
pour cela, dans l'idolâtrie de cette entité nominale qu'on appelle La
Science
. Contrairement à Binet-Sanglé, nous pensons que t
'appauvrir afin de devenir pour nous objet de connaissance, que toute
science
humaine-est relative et que les vérités scientifi
pinions elles-mêmes incohérentes, elle est peut-être de de toutes les
sciences
physiologiques celle où se peignent le mieux les
mieux les travers de l'esprit humain. Que dis-je ? Ce n'est point une
science
pour un esprit méthodique. C'est un ensemble info
ez d'avoir la religion de la religion, et vous avez la religion de la
science
! * « Non. Je ne me fais sur la science aucune
vous avez la religion de la science ! * « Non. Je ne me fais sur la
science
aucune illusion, je sais ce qu'elle a de relatif,
ous trompent pas : or il n'est pas impossible qu'il nous trompent. La
science
n'est pas pour moi une doctrine : elle n'est qu'u
torique do l'idée de Dieu. » Ainsi donc j'admets a. la base de la
science
et de la doctrine déterministe cette hypothèse, c
as. Voici le commentaire de mon ami courroucé. « Il se dit homme de
science
et il superpose aux recherches purement scientifi
organisme humain ni liberté ni responsabilité ? Parbleu ! L'objet des
sciences
médicales les exclut. » Il existe donc des scie
u ! L'objet des sciences médicales les exclut. » Il existe donc des
sciences
dont les objets n'excluent pas le libre arbitre e
on honorable contradicteur n'admet aucune relation entre les diverses
sciences
: « La science n'existe pas. Ce qui existe, ce
adicteur n'admet aucune relation entre les diverses sciences : « La
science
n'existe pas. Ce qui existe, ce sont diverses sci
iences : « La science n'existe pas. Ce qui existe, ce sont diverses
sciences
particulières. Celles-ci se sont fondées, se sont
un objet bien défini, de postulats et d'une méthode... Chacune de ces
sciences
étudie un certain nombre de phénomènes et les rap
interdit au physiologiste d'appliquer à la psychologie la méthode des
sciences
naturelles et au médecin d'empiéter sur le domain
té de notre vie et an champ limité de notre effort ! Il ignore que la
science
est une et indivisible, que les sciences particul
tre effort ! Il ignore que la science est une et indivisible, que les
sciences
particulières ne progressent qu'en se pénétrant,
bravant l'anathème des Académies, sans autre arme que leur foi en la
science
une et indivisible comme la France de 93. les méd
arre et se sont abandonnés au caprice de l'Océan ! Car la foi en la
science
, elle au moins, n'est pas stérile. Elle ne fait p
passage, reproduit ci-dessus, dans lequel Binet-Sanglé concède que la
science
est relative : je l'ai signalé expressément et j'
ni rien écrit qui permit de croire que « d'après moi « il existe des
sciences
dont les objets n'excluent pas le libre arbitre e
e et la responsabilité. » Je dirais volontiers avec Flournoy que « la
science
expire où commence la liberté ». Scientifique veu
et telle seconde. Qu'un phénomène de liberté puisse être prévu par la
science
, voilà qui serait contradictoire ; nous sommes d'
it, d'après moi. interdit d'appliquer à la psychologie la méthode des
sciences
naturelles ? Ai-je dit cela ? Où et quand ? La ps
s hypnotiseurs ?.. Je n'admettrais aucune relation entre les diverses
sciences
?... Je ne me reconnais vraiment pas dans ces opi
ment pas dans ces opinions qu'on me prête. J'ignore encore que « la
Science
est une et indivisible »? C'est bien pis ! J'igno
st bien pis ! J'ignore même ce que c'est que la Seience, j'entends la
Science
, sans aucun qualificatif. Jusqu'à plus ample info
la Science, sans aucun qualificatif. Jusqu'à plus ample informé. « La
Science
» m'apparaît comme une entité nominale, vide de s
ale, vide de sens et ne répondant à rien. J'ignore, dit-on. que les
sciences
particulières ne progressent qu'en se pénétrant?
is je la conteste formellement, car elle est contraire aux faits. Les
sciences
particulières progressent, c'est-à-dire parvienne
fique des faits, c'est même là. en quelque sorte, la définition de la
science
( 1). » Cettedéfinition rigoureuse du fait scie
tifique exclurait nécessairement le miracle. Mais nous savons que les
sciences
naturelles, par exemple, nous offrent nombre de f
er, de neutraliser les causes étrangères de perturbation (2). » Cette
science
préalable que réclame Herschell pour l'observateu
conçues. (Celle de l'intervention de Bieu en est une). Cette double
science
, à la fois générale et spéciale, n'est pas tout e
que sert la précision numérique ; elle est véritablement l'âme de la
science
. » Discours sur l'étude de la philosophie naturel
de la philosophie naturelle. § 515, et e. radier notait encore; « La
science
tend en toutes choses k la mesure. » Logique, p.
e à Lourdes ; il n'y a aucune sécurité ; l'?n ne peut se fier ni à la
science
, ni à la bonne foi de ces Diafoirus de cantons ;
Memorabil, 1879. Schiff. — De la niétallothérapie, — Ârch. des
Sciences
phgs. et notar. 1880. Seppilli et Mabagliako. —
ISSO. Tdke. — Metalloscopy and expectaut attention. Joum. of mental
science
, 1879. Bennet. — Metalloscopy and metallotherap
rd'hui.tous les esprits sérieux sont d'accord pour reconnaître que la
science
livresque absorbe des heures qui seraient mieux u
urs véritables besoins. Les arrivistes abuseront, au début, de leur
science
psychologique. Connaissant l'art d'agir sur les m
ologique des médecins. « Aujourd'hui, la médecine étant devenue une
science
n'impose pas de dogmes, elle enseigne des faits s
ychologie, telle que vous la comprenez, devient la collaboratrice des
sciences
juridiques, politiques et sociales. Il m'est agré
ntifique, l'agrégation est non seulement inutile, mais contraire à la
science
; inutile parce que sa préparation est purement l
tile parce que sa préparation est purement livresque ; contraire a la
science
, parce que la nécessité de la préparation livresq
ous prépare ! « Matérialiste qu'elle était dans ses conceptions, la
science
élargit son domaine, et tend de plus en pins a de
le Dr Y. Bridoc i Parmi les hypothèses modernes où s'appuyent les
sciences
de la vie. la plus compréhensive est celle qui no
impose à la recherche du psychologue comme a toutes les parties de la
science
. Les symboles arrêtés, qui nous rappellent appr
tte méthode générale sans se placer a l'état de schisme vis-à-vis des
sciences
naturelles et du rationalisme universel. — Au der
ndance illimitée vers le perfectionnement qui. dans l'état actuel des
sciences
, représente la raison suprême de tous les (1) R
if est la seule vue d'ensemble qui nous permette d'adapter toutes les
sciences
particulières à la tendance prépondérante de la s
Espérance, au-dessus des formules traditionnelles qui désagrègent la
science
et la conscience, il apparaît que la subordinatio
es naturalistes eux-mêmes. Car en matière de méthodologie, c'est à la
science
du psychologue que revient normalement le premier
antithèses conventionnelles et littérales qui contrarient les autres
sciences
dans leur effort normal vers la synthèse. Nous
ement tous les symboles déterministes à cette valeur inexprimable, la
science
ne représente plus guère qu'un amas de recettes i
logie que les pédants croyaient définitive. Raillée à son début parla
science
officielle, l'idée géniale de Lamiirck peut toujo
r les liens qui unissent la graphologie aux principales données d'une
science
avec laquelle j'ai toujours eu de constantes fami
ogne et va rapidement de mal en pis. Il est utile que les hommes de
science
prennent avec soin l'observation des cas d'anomal
r, a Le sceptique, dit Claude Bernard est celai qui ne croit pas a la
science
et qui croit a lui-même ; il croit assez eu loi p
nce et qui croit a lui-même ; il croit assez eu loi pour oser nier la
science
et affirmer qu'elle n'est pas soumise a des lois
doute qne de lui-même et de ses interprétations ; mais il croit à la
science
». La clinique moderne pent être fi ère de se réc
la médecine. Aussi ne comprend-on pas le dédain de quelques hommes de
science
, de faux savants peut-être, pour les cliniciens.
ir. Je ne saurais trop protester contre un pareil état d'esprit. La
science
, impersonnelle, est possible a tout le monde. La
au? Il incarne le présent avec tous les moyens d'investigation que la
science
met sans cesse à notre disposition. Il incarne en
impose à la Psychologie rationaliste, comme à la Méthode générale des
sciences
. Et d'ailleurs s'il est vrai, comme il appert, qu
Hegel en Allemagne, travaillaient à perfectionner la méthodologie des
sciences
. Bien qu'il fut épris des méthodes verbales qui t
us soutiendra probablement si nous disons que, dans l'état actuel des
sciences
, la psychologie du progrès forme la base conditio
ordonner le dilettantisme verbal, qui nous égare et nous divise, à la
science
des réalités qui nous enseigne la sympathie, la p
doivent être poursuivies. Elles gagneront à l'être par des hommes de
sciences
. M. PATri, MjlGsin. — Les aliénistes apprécient
ête de la terre. Toutes ces notions générales relatives à plusieurs
sciences
sont acquises en jouant pour ainsi dire et sans f
réquemment renouvelé, une habitude est prise et bientôt l'amour de la
science
, des recherches est développé et comme ces recher
par Paul Joire, p. 365. Association française pour l'avancement des
sciences
, p. 2, 56. Autosuggestion graphique, par Hurtre
ainsi que la liste de ceux qui ont pris part à cette belle fête de la
science
et de la psychologie. • • Dans sa séance annu
optisé des aptitudes et de la compétence que peuvent seules donner la
science
et l'expérience. En particulier, pour ce qui conc
logiques ; notre droit à nou?, médecins, est de guérir et toute notre
science
doit se soumettre cet impératif. M. Dubois indi
oir que dans un temps rapproché, l'hypnotisme sera considéré comme la
science
delà production, de la conversation et de l'utili
visoirement laissée de coté ; elle ne peut être donnée que lorsque la
science
est assez avancée. C'est la définition de mot qui
cée. C'est la définition de mot qui peut aider au développement de la
science
. La suggestion pourrait être définie : l'action d
e considérées commes des espèces et désignées, ainsi qu'on le fait en
sciences
naturelles, par deux mots, par exemple, suggestio
pédagogie au congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
Lyon, 2 août 1906. Le congrès de l'Associatio
t 1906. Le congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
se tiendra à Lyon, du 2 août au 8 août 1906. Le
vue scolaire. M. Julien Ray : maître de conférences à la faculté de
sciences
de Lyon : Un enseignement scientifique dans les c
M. Berthelot, ancien ministre, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
; Albert Robin, professeur à la Faculté de mé
laborieuse Société de pathologie comparée contribue au progrès de la
science
et lacollaboralion des médecins et des vétérinair
aux animaux ; enfin, le troisième c'est notre attrait commun vers la
science
de la pathologie comparée. Nous avions encore u
agée des idées de force occulte ou de fluide ; il sera initié ù cette
science
comme il l'a été déjà à d'autres vérités scientif
ULLETIN Le Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
. — Discours de MM. les professeurs Lippmann et Te
umaine. Le Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
qui vient de se tenir à Lyon, a eu un succès cons
sé par le lycée. Il lui manque une notion saine de la puissance de la
science
. Elle n'y croit pas ou y croit trop tard. « Le
té est surtout d'enseigner l'art de la recherche, ce qui veut dire la
science
, car la science c'est l'art de ces recherches, et
'enseigner l'art de la recherche, ce qui veut dire la science, car la
science
c'est l'art de ces recherches, et pas autre chose
ent acquérir une culture générale digne de ce nom, en contact avec la
science
de première main, la seule qui soit attrayante et
oquée à l'heure propice. Le médecin doit avoir le culte passionné des
sciences
exactes et il lui faut de plus en plus compléter
ux, que nous ne sommes pas de ceux qui taxent d'accessoires ces mêmes
sciences
qui, pour nous, sont, au contraire, fondamentales
Robin, directrice d'école; M. Prost, chef de travaux à la Faculté des
sciences
; M. Chalier, inspecteur primaire; M. Melou, inspe
auxiliaire du travail intellectuel et un facteur de l'avancement des
sciences
. M. Desnoyers : Avantages et inconvénients de l
« La psychiatrie et la neurologie ne forment, dit-il, qu'une seule
science
: la neurobiologie humaine ou physio-pathologie d
gnifiquement à l'intérieur de ce même temple glorieusement élevé à la
science
neurologique française. La science des aliénistes
me temple glorieusement élevé à la science neurologique française. La
science
des aliénistes et la science des neurologistes ne
à la science neurologique française. La science des aliénistes et la
science
des neurologistes ne forment qu'une seule et même
istes et la science des neurologistes ne forment qu'une seule et même
science
puisque l'une et l'autre étudient le même objet a
ciété contre l'invasion et les méfaits de ces malades ; 3° édifier la
science
du fonctionnement du système nerveux à l'état men
logique. La psychiatrie et la neurologie ne font qu'une seule et même
science
: la physio-pathologie du système nerveux de l'hom
ue la neurologie et la psychiatrie formaient deux branches de la même
science
unies sur un tronc commun. Nous pensons même qu'à
le mot de Buffon, « cette faculté de penser en grand qui multiplie la
science
». S'il n'a pas créé l'hypnotisme, il aura eu l
a eu le mérite immense et indéniable d'inaugurer l'enseignement d'une
science
jusqu'alors suspecte et innommée, la psychothérap
udissements.) J'avoue que je commençais à douter sérieusement de la
science
médicale, lorsqu'on me conseilla de recourir à l'
rrible qu'il était, sauter à pieds joints sur les plates-bandes de la
science
officielle. En effet, il n'a pas été long à s'éma
opulaire nous offre en certains points des aperçus excellents, que la
science
moderne est venue confirmer, et dont, dans une ce
ntre le moral et le physique. Les voies que notre ami à ouvertes à la
science
seront suivies par d'autres, je l'espère, avec le
tenace, avec la même intelligence clairvoyante et ferme qu'il sert la
science
française, (Applaudissements prolongés et répétés
la critique, « genus irritabile vatum », a dit Horace, les hommes de
science
n'échappent pas à cette disposition d'esprit. Il
nes à la patrie et à la chose publique, et surtout goût éclairé de la
science
et des méthodes qui conduisent aux grandes découv
ique vers l'étude de l'hypnotisme et vers celle de la psychothérapie,
sciences
dont il pressentait les importantes et multiples
ssentait les importantes et multiples applications. A ses yeux, ces
sciences
présentaient un intérêt au moins égal à celui de
aisait allusion il y a un instant : « Vous voulez vous consacrer à la
science
, me dit-il, je vous en félicite. La science récom
oulez vous consacrer à la science, me dit-il, je vous en félicite. La
science
récompense toujours ceux qui se mettent à son ser
ouvier, actuellement professeur au Muséum et membre de l'Académie des
sciences
. Reçu le premier de notre promotion, son amour de
de médecine ; de Malard, le naturaliste méthodique, que l'amour de la
science
retient exilé dans le laboratoire maritime de Tat
lides me prouvaient qu'il suivait d'un œil attentif l'évolution de la
science
à laquelle son génie avait donné une si puissante
Charcot. A l'Institut, dans la salle des pas-perdus de l'Académie des
sciences
, il m'accordait avec beaucoup de bonne grâce des
il, où la centralisation pèse d'un si lourd poids sur l'évolution des
sciences
médicales, où toute science qui n'est pas officie
d'un si lourd poids sur l'évolution des sciences médicales, où toute
science
qui n'est pas officiellement reconnue et subventi
e la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les hommes de
science
et de bonne volonté se réunissent, comme vous l'a
des cours, nous a enseigné que la psychologie, de même que les autres
sciences
, subit, elle aussi les lois du transformisme. C'e
, M. le professeur Berthe-lot, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, a ajouté à toutes les marques d'affection qu'il
fit profondément vibrer tous nos cœurs. Le maître qui enseigne que la
science
est le seul fondement inébranlable de la moralité
'avoir démontré que la psychologie doit être, en dernière analyse, la
science
du caractère et de la volonté. (Triple salve d'ap
ommeil lucide, par M. le Dr D. G. Dalgado, de l'Académie royale des
Sciences
de Lisbonne. Dans l'histoire du magnétisme anim
— Le Mémoire (chapitre additionnel) de Braid adressé à l'Académie des
sciences
de Paris. IV. — Résumé et observations finales.
us parait, suffisamment consulté les écrits de ses devanciers dans la
science
magnétique ». An Historij o{ magie u-Ueh-crapt an
Le sommeil et son importance physiologique. Le prix Xobel, pour les
sciences
, vient d'être décerné à deux grands savants, les
, maigre, énergique, actif, à la figure mobile, il ne vit que pour la
science
. Ses travaux font le plus grand honneur à sa patr
mpoisonné sa domestique, Nina Wagner. Les plus grandes sommités de la
science
allemande avaient été appelées à donner leur opin
il lucide, par M. le D' D. G. Dalgado, de l'A ¦¦¦¦ : mie royale des
Science
» de Lisbonne. [suite et fin) ('( II. — LES PRIN
et précisé quelques points mieux que Faria, mais il faut noter que la
science
n'était pas restée stationnaire depuis la mort de
e by a commutée ol the medical section oí the French Royal Academy of
Sciences
read at the meetings of 21rsl and 28lh of June, 1
appendix containing reports of British practitioners in favour of the
science
. 1 volv4n-12 London. 1838. (?) Le 25 février 18
t une tabula rasa avant lui, et que lui seul est le créateur de cette
science
. Et c'est malheureusement l'opinion de tous ceux
i à la quatrième question qui m'était posée, dans l'état actuel de la
science
, on peut affirmer qu'une somnambule ne peut en au
notisé des attitudes et de la compétence que peuvent seules donner la
science
et l'expérience. En particulier, pour ce qui conc
vin, comme en plein védisme ! Non seulement j'accepte l'idée d'une
science
spéciale qui serait la Pyramidologie, selon le mo
e, sous peine de renoncer à notre plus noble tâche, c'est celle de la
Science
intégrale. Il faut la Mathématique, la Physique (
ble, il faut construire le chef-d'eeuvre zénithal, la Psychologie, la
Science
de THomme transcendental, I'Hypsistos! » SOCI
hez les abeilles M. Gaston Eonnier vient d'exposer à l'Académie des
sciences
les nouvelles expériences qu'il a faites cet été
omité de Patronage MM. Bebthelot. sccr. perpétuel de l'Académie des
sciences
: Beaums, dlr. hou. du laboratoire de psychologie
ce de M. le D' Paul Magnin, professeur à l'Ecole de Psychologie. — La
science
du bonheur, par M. le D'Paul Joire, de Lille. _
te étude Pataraxie absolue dont ne doit jamais se départir l'homme de
science
. Et vraiment. Messieurs, comment un homme de sc
tir l'homme de science. Et vraiment. Messieurs, comment un homme de
science
pourrait-il se montrer intolérant ? Quoi ! Nous
es et innombrables des hommes de génie ont travaillé sans relâche. La
science
a marché, et non pas seulement la science histori
travaillé sans relâche. La science a marché, et non pas seulement la
science
historique, mais l'anthropologie, mais la psychol
it nous empêcher de relever leurs erreurs. En un mot le progrès des
sciences
anthropologiques à la fin du xixe siècle et au co
ticulièrement au point de vue psychologique. La psychologie est une
science
qui a pour but l'étude des phénomènes dont le
t à la méthode que doit employer le psychologue, c'est la méthode des
sciences
naturelles, puisque la psychologie humaine, branc
a psychologie humaine, branche de l'anthropologie, fait partie de ces
sciences
. Les théologiens, qui ne sont rien moins que na
e un système incohérent et contradictoire, alors que les donnéesde la
science
forment un tout homogène et cohérent. C'estque ce
, un personnage de roman. Certes il n'est pas interdit à l'homme de
science
d'être un artiste à ses heures, mais, lorsqu'il s
s et clairvoyant, lorsque l'artiste en lui n'étouffait pas l'homme de
science
, un styliste qui n'ignorait rien des délicatesses
laïques furent aussi victimes de leur sentimentalité. Or, l'homme de
science
, pendant le temps qu'il s'emploie à la recherche
r la règle de nos petites convenances », il se trompe étrangement. La
science
n'a à se soucier ni des petites ni des grandes co
Je rendrai évidente l'ignorance absolue du Nazaréen à l'égard de la
science
grecque et romaine de son temps. Je dirai comme
oit porter son attention et sa sollicitude partout où l'on cultive la
science
, et que les chercheurs libres ont des titres, eux
levé tout seul, et qui a su se constituer dans le vaste domaine de la
science
, un champ qui est bien à lui, et où il a déjà fai
à l'analyse abstraite des facultés de l'âme. Elle est aujourd'hui une
science
véritable que vous avez su rendre vivante et féco
entendu M. le docteur Berillon proclamer que la psychologie était la
science
de l'éducation du caractère et de la volonté. Si
déshérités et qui ne saurait être différé davantage. Messieurs, la
science
a devant elle des horizons illimités; mais de tou
ce de M. le D* Paul Maokik, professeur à l'Ecole de Psychologie. — La
science
du bonheur, par M. le D' Psul Jotrr, de Lille-
estinée est de nous efforcer de nous en rapprocher sans cesse; que la
science
est un perpétuel devenir. Eu instituant des profe
au contraire entraîné à des dépenses parfois considérables ; dans les
sciences
expérimentales, par exemple, il s'entoure de prép
relief la valeur d'hommes supérieurs, ni contribué à la gloire de la
science
médicale. La démonstration de ce fait indéniable
racées par des esprits indépendants. Chacune des grandes étapes de la
science
médicale a été marquée par des noms d'hommes qui
illante pléiade des physiologistes qui ont jeté tant de gloire sur la
science
française. Notre grand Pasteur, à qui la médeci
toute sa vie, fut abreuvé d'humiliations par les représentants do la
science
officielle. Dès lo lendemain de aa mort, par un d
que la Faculté eut l'idée d'enseigner à son tour l'oculistique, cette
science
avait été glorieusement représentée à Paris par u
aux maladies de l'appareil visuel que lorsque l'oculistique était une
science
déjà faite, et les travaux marqués de l'estampile
aculté de Paris s'avisa que l'otologïe et la laryngologie étaient des
sciences
assez avancées en âge et en progrès pour mériter
Bordeaux avait dû faire appel, dans des circonstances analogues, à la
science
d'un professeur libre, le D' Moure. S'il est un
et Broussais ont fait les immortelles leçons qui ont révolutionné la
science
médicale. Véritable privat-docent, Bichat y ensei
le. Malgré les oppositions systématiques que rencontrent toutes les
sciences
nouvelles à leurs débuts, nul ne peut nier aujour
fonde, de cette largeur de vues qui constituent le véritable homme de
science
. Dans un Etat bien organisé, une chaire profess
s. Il a cherché et créé une méthode nouvelle; il a fait progresser la
science
. Véritable chef d'école, dans sa clinique particu
cole, et c'est tout. Dans toutes les autres Facultés (droit, lettres,
sciences
) les cours libres autorisés par le Conseil supéri
des idiots, des imbéciles, des enfants, etc., est une conquête que la
science
doit seulement à cette orientation nouvelle. L'ob
directeur de la revue internationale les «Documents du Progrès». La
science
sociologique n'a pas encore étudié suffisamment l
ur puissant aussi de cette nouvelle conception du monde, basée sur la
science
et surtout sur l'idée d'évolution qui sera l'héri
pédagogie au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
. La seizième séance annuelle de la Société d'hy
ilités scientifiques. L'Association française pour l'Avancement des
Sciences
tiendra son prochain Congrès à Reims, le 1" août
n des privat-docenten. (Fin) Pendant longtemps l'enseignement des
sciences
médicales a été donné par deux catégories de maît
sion (!). Au congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, à Caen, en 1894, M. le professeur Bouchard fut a
t le courage d'affirmer ainsi leur opinion. Ils ont bien mérité de la
science
et de la médecine françaises! » * • * En al
ameuse* langue martienne que M. Flournoy, professeur à la Faculté des
sciences
de Genève, nous transmit, d'après Hélène Smith, u
d'accord avec notre goût de preuve tangible et notre vénération de la
science
, réclament des travaux positifs pour démontrer le
sme moderne, in-12, 475 pages. Perrin, Paris, 1907. Dr Fiessinger :
Science
et spiritualisme, in-12, 278 p. Perrin, Paris, 19
d, p. 187. Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, p. 65. Congrès des praticiens, p. 321. Congr
sme dans la nature, par Laloy, p. 255. Pédagogie à l'Avancement des
Sciences
, p. 30. Peurs collectives suggérées, p. 63. P
. 33. La section de pédagogie à l'Association pour l'Avancement des
Sciences
, p. 68. Ecole de Psychologie, p. 220. Institu
rincipal : 1. De fixer d’une façon définitive la terminologie de la
science
de l’hypnotisme ; 2. D’enregistrer et de déterm
ngrès suivra presque immédiatement celle du Congrès international des
sciences
médicales. RÈGLEMENT Art. I*r. Le Congrès
r quo M. René Lépinc est le fondateur. et leur ferme l’infini. La
science
y promènera sa torche. Déjà elle enlève aux « bel
es voir s’écrouler et se fondre comme un amoncellement de nuées. La
science
nous donnera une morale plus saine et plus pure q
sion tenue à Blois, par l’Association française pour l’avancement des
Sciences
, Auguste Voisin a rapporté une cure de ce genre q
toujours préoccupé de fixer d’une façon précise la terminologie de la
science
de l’hypnotisme, proposait, à la fin de sa longue
ulièrement l’attention des psychologues. Leur dogme porte le nom de «
Science
Chrétienne » et leur fondatrice et principale pro
aker Eddy écrivit sous l'influence de l’inspiration son « Opus magnum
Science
et Santé avec une clef des Ecritures », en 1866.
’exemplaire coûte 20 francs, et que chaque étudiant et maître de la «
Science
» doit en posséder un exemplaire, on comprendra c
l est donc intéressant d’examiner les dogmes et les principes de la «
Science
Chrétienne ». Mrs Eddy affirme que la matière e
ts suivants tirés de son livre feront comprendre ses doctrines : « La
science
chrétienne rejette ce qu’on appelle sciences natu
ndre ses doctrines : « La science chrétienne rejette ce qu’on appelle
sciences
naturelles en tant qu’elles s’appuient sur cette
e et produit tous les résultats médicaux, est fausse et s’oppose à la
science
chrétienne : Il faut donc, pour que celle-ci parv
t des pastilles. » (p. 69). « Si l'on inteiToge la fondatrice de la
Science
Chrétienne sur les avantages et la logique des ét
découvertes scientifiques où la médecine a partagé les triomphes des
sciences
physiques on ait pu propager des théories si gros
ggestion hypnotique, l’explication des cures qui se produisent par la
Science
chrétienne n’est pas chose difficile à saisir.
attributs, moraux ou physiques. Pour les malades imaginaires, la
science
chrétienne est une excellente distraction, et je
par Mesmer à Paris, il y a 20 ans, offre quelque ressemblance avec la
Science
Chrétienne. Celle-ci parait cependant moins parad
s groupes soit distingué de l’autre et constitue l'objet propre d’une
science
spéciale, à savoir la physiologie, d’une part, et
la physiologie, d’une part, et la psychologie, de l’autre. Ces deux
sciences
doivent être, au même titre, émancipées de la tut
s psychologiques sont souvent fonction l'un de l’autre, une troisième
science
, très légitime elle aussi, étudiera leurs rapport
rapports, ce sera le psycho-physiologie. Dans chacune de ces trois
sciences
, l’hypnotisme a sa place toute marquée. Toutefois
ournit une base expérimentale à la psychologie qui. dès lors, devient
science
positive et qui, grâce à lui, réalisera tous les
positive et qui, grâce à lui, réalisera tous les progrès auxquels la
science
du corps humain est parvenue avec l’aide du micro
roscope. » Et «l'autre part : «L’hypnotisme crée de toutes pièces une
science
nouvelle, la psychologie expérimentale. » De no
véritablement scientifique. La psychologie mérite d'être conçue comme
science
naturelle, une, autonome, ayant un objet détermin
passent en nous et raisonnait sur eux à perte de vue. l’ne nouvelle
science
, d’origine purement médicale, l’hypnotisme, nous
ste une série d’autres actes, dont l’étude a été possible, grâce à la
science
hypnotique. Ce sont : a) Les actes imités. L’
z le rôle capital de l'hypnotisme comme moyen d'investigation dans la
science
psychologique. Résumé et conclusions du rapport
vé dans un but scientifique ou de simple curiosité. — L'intérêt de la
science
et le respect du domicile privé s’opposent à tout
s représentations. Avantages possibles au double point de vue de la
science
et de l’instruction des foules. Objections cont
s en presence d’une victime on pourra employer tous les moyens que la
science
met à notre disposition pour réveiller ses souven
montrera à la justice. Certains sujets, doués d'une faculté que la
science
connaîtra mieux désormais, la lucidité, permettro
s à la Société de Biologie, à l’Académie de médecine, à rAcadémie des
sciences
, puis dans la thèse de ses •leux élèves préférés,
ans diverses sociétés savantes, à l'Association pour l'avancement des
sciences
, dans les congrès français ou internationaux, 011
la consécration classique; les représentants les plus autorisés de la
science
lui prodiguent l'expression de leur sympathie, de
estion religieuse. J’estime même qu i! y aurait urgence à inscrire la
science
des religions et la science de la suggestion aux
même qu i! y aurait urgence à inscrire la science des religions et la
science
de la suggestion aux programmes des examens de fi
estion d’assez près. Le prophète est primitivement un voyant, toute
science
de divination dérive des morts, les morts sont le
prétées. Nihil est ininlellectu quid non pri-mùm fueril in sensu. Les
sciences
, aussi bien que les religions, les croyances auss
tituer avec vraisemblance sa propre voix à la voix de la Divinité. La
science
ou plutôt l'art théologique, même encore de nos j
pnotisme et de notre Congrès une réunion utile au développement de la
science
. Mais nos assises internationales ont abouti à bi
r Liébeault, de Nancy. M. Liégeois, correspondant de l'Académie des
sciences
morales et politiques, professeur à l'Université
représentée par M. le Dr Bourdon, de Méru. — La Société des Gens de
Science
a délégué MM. Bonnet, de Gram-mont et le Dr Fovea
eusement, la mort impitoyable vint nous ravir cet homme de bien et de
science
, dont l’esprit si fin et si délié et, en même tem
ager nos travaux ne peut étonner personne, quand on pensera que cette
science
hypnotique peut fournir de précieux procédés d’an
oit, de l'Ecole de Médecine, de l’Ecole d’Alfort et de la Faculté des
Sciences
et des Lettres. Avec l’appui et le concours de
Avec l’appui et le concours de tels hommes, l’hypnotisme, qui est une
science
d’expérimentation, marche fatalement en avant, ma
ine, de la physiologie et de la psychologie. Le contrôle do ces trois
sciences
est indispensable si nous voulons faire œuvre dur
vieilles de plusieurs siècles, mais leur entrée dans le domaine de la
science
officielle. Il faut donc maintenir ces études d
nos efforts communs n’aboutiront pas seulement à faire progresser la
science
dans un des plus intéressants domaines de la neur
ernationales qui n’ont pas pu trouver place dans le grand Congrès des
Sciences
médicales, qui a été clos le 9 août. 11 ne faut p
tenir dans des limites strictement scientifiques l’évolution do cette
science
jeune encore et qui paraît devoir rendre de série
ait pour la psychologie et conclut à l’union féconde au progrès de la
science
. « On nomme les présidents d’honneur; le docteu
ons donner que quelques extraits de cet intéressant article : « Les
sciences
ont tenu Congrès : l'hypnotisme comme les autres,
éances. C'est encore un savoir qui sentie fagot que l’hypnotisme, une
science
du diable, et qu’on devine cousine de l’occultism
ntal et thérapeutique s'était tenu à Paris. Il avait révélé que cette
science
, dont Charcot s’était fait le courageux porte-par
lait impossible que la psychologie fût jamais à la hauteur des autres
sciences
. Seuls, les savants qui se tenaient au courant de
au courant des recherches sur l’hypnotisme, avaient compris que cette
science
ne tarderait pas ù constituer une véritable métho
omme, le Congrès d’hypnotisme, qui a compté les plus beaux noms de la
science
médicale moderne, a pu exposer un magnifique bila
la plume érudite du Dc Foveau de Cour-melles. IS hypnotisme, cette
science
troublante, dont j’ai tant de fois parlé ici, a e
es et se moquent de ce qu’ils craignent... Mais cela n'empèche pas la
science
de marcher et les hypnotiseurs de travailler. Leu
rès de Y Hypnotisme vient de donner une consécration définitive à une
science
connue seulement d’un groupe de spécialistes, et
Le deuxième Congrès international de Y Hypnotisme a montré que cette
science
, dont les illustres docteurs Dumontpallier, Charc
ncore, le docteur Dumontpallier, qu'une mort prématurée a enlevé à la
science
. Depuis I8C6, médecin de la Pitié, il contribua,
tes. La psychothérapie appliquée à l'enfanco débile et déchue est une
science
admirable en ce qu’elle nous défend de condamner
s le compter au nombre de nos amis. La mort de Korsakoff, ravi à la
science
à l’âge de 46 ans, inspirera de vifs regrets aux
Un autre, également considérable, portant sur une branche autre des «
sciences
psychiques », est celui de Aksakoff. « Animisme e
icismo psicologico, Firenze 1897. à Padoue, enfin les Annales des
sciences
psychiques, dirigées à Paris par le docteur Darie
es de l’occultisme. Pourtant, suivant l'expression des spirites, « la
science
ofiicielle » résiste encore et se contente de fai
in spécialiste à la Haye, est sur la brèche depuis 1887. Il a doté la
science
hypnologique de maints travaux lus dans les diffé
able de la psychothérapie comme méthode thérapeutique reconnue par la
science
officielle dans mon pays ; j'ai voulu construire
l y a près d'un demi-siècle, l’un des plus nobles représentants de la
science
de l’hypnologie, M. le Dr Durand de Gros, a déjà
, à 8 heures du soir, au grand amphithéâtre de l'ancienne Faculté des
sciences
, à Lille, un cours annexe de l'institut psycho-ph
es médecins hypnotiseurs et psychologues qui sont en deuil ; c'est la
science
française qui perd en Durand de Gros un de ses ch
la consécration classique; les représentants les plus autorisés de la
science
se sont fait un devoir de lui témoigner leur
ar la passion sainte et désintéressée du vrai. Il a aimé noblement la
science
, il s’est attaché à elle toute sa vie, il l’a ser
les rattachaient au domaine de la physiologie. L’hypnotisme vint,
science
d'abord purement médicale (1), qui nous fournit d
de classification put être appliquée en botanique et en zoologie, ces
sciences
furent contituées. Passons donc en revue ces di
z le rôle capital de l’hypnotisme comme moyen d’investigation dans la
science
psychologique. Discussion M. Crocq (de Bruxel
est là une opinion qui ne peut être acceptée dans l’ctat actuel de la
science
; nous tendons, au contraire, de plus en plus à ad
thargie hypnotiques. Je croyais ces termes définitivement rayés de la
science
hypnotique. Pour ma part, j’ai quelquefois provoq
taient : Pasteur, Paul Bert, Bouley, Jamin, délégués paiTAcadémie des
Sciences
. Lesgrandes hystériques plongées dans les états p
atique le Dr Vogt est très fructueuse et rend de grands services à la
science
psychologique. M. Régis (de Bordeaux). — Tout à
onne foi. Car ces phénomènes ne concordent pas aves les données de la
science
. Il convient donc de les prouver au moyen d'un co
et vous souhaiter la bienvenue. Nous faisons des vœux pour que votre
science
progresse et pour que vos efforts soient partout
1) Compte-rendu officiel publié par le Bulletin .Municipal, Cette
science
de l’hypnologie, si neuve, si troublante, dontles
s de donner à l’électricité une application pratique, positive, votre
science
est devenue comparable à cette force mystérieuse.
a considère comme un nouvel adjuvant de l'humanité. En effet, cette
science
est arrivée à des résultats surprenants. J’ai vu
estigations et à vos travaux. Nul ne peut prévoir où s’arrêtera votre
science
. Le domaine judiciaire vous appartiendra certaine
ggestion, arrivez à détourner l’être du mal? C'est pourquoi votre
science
, encore peu pratiquée et tenue en défiance par ce
s moyens moraux et intellectuels ; c’est toute une révolution dans la
science
; je vous en félicite. [Applaudissements). Je so
grès, je n’ajouterai qu’un mot à nos vœux pour le développement de la
science
hypnotique, je joindrai des remerciements au doct
cteur Bérillon pour son organe qui a répandu dans le monde profane la
science
hypnotique. — J'espère que cette vaillante Revue
es que peut rendre l'hypnotisme, mais le jour est proche où votre
science
merveilleuse recevra l’accueil qu’elle mérite, ca
igueur de la pensée. M. Renouvier a été élu membre de VAcadémie des
Sciences
morales et politiques, le jour même où nous avion
e hypothèse inutile et qui n’explique rien est toujours nuisible à la
science
. D’ailleurs ces phénomènes ne lui semblent nullem
z central, D’après le livre de M. Jules Sour.v(l). T/Académie des
sciences
et l'Académie de médecine viennent d’accorder sim
mpliquée et si hérissée d’écueils du cerveau humain. L'Académie des
sciences
, dans sa séance annuelle du 17 décembre, a voulu
s varient et varieront toujours, surtout dans certaines provinces des
sciences
biologiques. La science n’est pas, elle devient.
ujours, surtout dans certaines provinces des sciences biologiques. La
science
n’est pas, elle devient. La haine de l’aulorité s
sciter des émotions. La psychologie musicale n’est décidément pas une
science
imaginaire. Les expériences consistent, par exe
lement être révoquée en doute. La psychologie musicale est donc une
science
dont le progrès ne peut se faire que par le progr
science dont le progrès ne peut se faire que par le progrès d’autres
sciences
et celles-ci nous semblent encore assez incertain
ur à l’Ecole polytechnique, fera une conférence sur : Psychologie des
sciences
: L’initiation à l’étude des sciences physiques.
onférence sur : Psychologie des sciences : L’initiation à l’étude des
sciences
physiques. Vendredi 22 Février, à huit heures e
de philosophie moderne au Collège de France, membre de l’Académie des
sciences
morales et politiques. Aux côtés de M. Tarde, ava
l'hypnotisme ont eu une si grande inlluence sur les progrès de cette
science
. Ce fut à l’institut psycho-physiologique, qu'il
and savant, un grand philosophe et l’un des maîtres incontestés de la
science
hypnologique ; il se fait l’interprète des regret
s travaux sur la grande hystérie (1881) qu'a couronnée l'Acadcmie des
Sciences
, les remarquables dessins qui reproduisent toutes
ur à l’Ecole polytechnique, fera une conférence sur : Psychologie des
sciences
: L'initiation à l'étude des sciences physiques.
onférence sur : Psychologie des sciences : L'initiation à l'étude des
sciences
physiques. Vendredi 22 Février, à huit heure« et
nscients, les autres en partie conscients. Dans l’état actuel de la
science
, ont peut admettre que l’arc réflexe le plus comp
un sapajou. Le sapajou, dit M. Henri de Parville dans la Revue des
sciences
des Débats, n'est pas un animal d’une intelligenc
era utile à la commission chargée de fixer la valeur des termes de la
science
hypnotique. Stigmates de dégénérescence mentale
pirites, magnétiseurs, psychologues, par le Dr Félix Reg.wyult. Les
sciences
ont passé par trois phases, fétichiste, métaphysi
sés a-t-il fait oublier à ceux-ci qu’en amour, comme en bien d'aulres
sciences
, l’étude des préliminaires ne devait jamais être
duit à l’étude de leur personnalité. Tout, dans l’état actuel de la
science
, nous invite à définir la personnalité, l’ensembl
titre implique la connaissance parfaite de toutes le= branches d’une
science
qui est le couronnement et comme la sanction de l
leur de deux cents francs. Les thèses des Facultés des Lettres, des
Sciences
et de Droit sont admises à concourir au même titr
seuls travaux conquérir pour elle-même une place importante dans les
sciences
médicales, préféra être la dévouée collaboratrice
e la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les hommes de
science
et de bonne volonté se réunissent, comme vous l'a
enseignants pour la partie la plus noble et la plus humaine de notre
science
. » En terminant, M. Albert Robin indiquait ains
. le D' Bêrillon Professeur à l'Ecole de Psychologie, L'hypnotisme,
science
de la vie psychique et de ses manifestations inte
que et de ses manifestations inter-mentales, est, de son essence, une
science
expérimentale. Dans toutes ses applications, qu
nnent dans la respiration et la circulation des hypnotisés. Mais la
science
ne doit pas se borner à constater des phénomènes.
n pure et simple du malade, faite aussi complètement que possible. La
science
expérimentale arrive ensuite pour analyser chacun
e domaine autrefois obscur une vive lumière. Et là. comme partout, la
science
a fait œuvre de bonté: elle a brisé les chaînes d
de traitement et plus de pitié, telle est l'œuvre bienfaisante de la
science
médicale partout où elle passe. Krafft-Ebing, e
nombre d'années consacrées à l'étude de toutes les branches de cette
science
, ont justifié de leurs capacités pour l'obtention
ecourir à l'explication la plus étrange et la moins en accord avec la
science
. Ce n'est qu'après l'élimination successive d
palpables sont les sources intarissables de tout art, comme de toute
science
et de toute philosophie. J'ajoute que, nulle pa
hèse. Aussi par cela seul que vous aviez fait de la psychologie une
science
biologique, vous avez commencé à apporter de Tord
r quelques audacieux, rejetées jusqu'ici comme n'appartenant pas à la
science
orthodoxe, admises enfin aux honneurs de l'expéri
urnaturel dans la nature — et d'avoir fait pénétrer les clartés de la
science
dans ce qu'on nommait, hier encore, le domaine de
onfrère, un coreligionnaire, car vous avez, comme eux, le culte de la
Science
libératrice. L'Université de Grenoble, qui est
nt ! Je voudrais maintenant que, par un de ces prodiges auxquels la
science
nous habitue aujourd'hui, ces murs puissent conse
reinte de vos paroles; je voudrais que tous ceux qui, en dehors de la
science
, s'intéressent, par profession, à la chose publiq
es hommes, puissent prendre ici des leçons. A l'heure où toutes les
sciences
se préoccupent de leur utilité sociale, la médeci
ce jugement de Leibnitz, par lequel je veux terminer : Le rôle des
sciences
est de bâtir des systèmes d'une con-« naissance s
didat. Il quitte alors l'école « à la recherche de la vérité et de la
science
et non de vaines apparences ». On lui propose u
est qu'il se fait lui, une autre idée de la Médecine. « Est-ce que la
science
de guérir peut se transmettre ainsi sans théorème
tous la même chanson » (eamdem cantilenam canentes). Il n'y a que la
science
de la vérité ou la vérité de la science qui peut
am canentes). Il n'y a que la science de la vérité ou la vérité de la
science
qui peut lui donner ce qu'il cherche. Pour se
qu'il a le plus souvent torturé en vain son esprit, que vaine est la
science
de tout ce qui est sous le soleil, que ce ne sont
plus nombreux: du reste ses doctrines sont absolument contraires à la
science
médicale orthodoxe au Galénisme. En France, Gui
mpressions mentales et l'apparition ou la disparition des verrues. La
science
n'a aucune raison de nier que la genèse des verru
bon de contrôler par soi-même les observations d'autrui ; et puis, la
science
se fait par la lente accumulation de faits concor
ne, médecin modeste et homme de bien, qui ouvrit une ère nouvelle aux
sciences
médicales en la datant de sa découverte : L'appli
a Rédaction. Le spiritisme est l'ennemi du spiritualisme et de la
science
(1) Par M. Jules Bois Charles Renouvier croit
uer aux profanes tant qu'ils n'ont pas été initiés aux mystères de la
science
. » Aussi ne fut-il jamais un praticien, ni un p
r M. le Dr Rouby, d'Alger Première partie. — Les miracles devant la
Science
. — La folie hystè~ rique de Marie Alacoque. — Je
comme vraies les découvertes faites dans les différentes branches des
sciences
; qu'au lieu de lutter contre les vérités mathémat
ar des pratiques et des croyances d'un autre âge ; d'un autre côté la
science
, tous flambeaux allumés, fait le jour partout, en
le même avis, au mois d'avril de l'année dernière, dans une revue de
sciences
occultes : Dans mon opinion, écrivait-il, les i
J. R. Gasquet. The madmen of the Greck théâtre (The Journal of mental
Science
, april, july, october 1872; january, april, july
ent, ont leur côté utile et que les moindres débris peuvent servir la
science
. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séa
, tout en possédant une idée très vague de ce qu'est le criminel. Les
sciences
juridiques portent jusqu'à présent le cachet de l
s y trouveront nettement formulées les solutions déjà acquises par la
science
sur cette question si importante. On peut repro
leur de deux cents francs. Les thèses des Facultés des Lettres, des
Sciences
et de Droit sont admises à concourir au même titr
lieu tous les mercredis, à 8 h. 1/2 du soir, à l'ancienne Faculté des
Sciences
, rue des Fleurs, Amphithéâtre du 2* étage Progr
els elles sont étagées ont résisté ; mais la critique est venue ; les
sciences
se sont développées ; on a regardé, on a examiné,
es les découvertes passées, avec toutes les découvertes futures de la
science
. * Troisième partie. — La Chemise miraculeuse
tenu par Charcot et d'autres médecins, a éclairé ce coin obscur de la
science
et a montré d'une part, que les paralysies hystér
tre des faits et si elle fait appel aux notions établies par d'autres
sciences
, telles que, pour le cas présent, l'anatomie comp
ns qu'il ait beaucoup d'imitateurs, à la fois pour l'avancement de la
science
et pour le bon renom de nos Facultés. Psychiatr
ion à un savant dont les travaux font rejaillir tant d'honneur sur la
science
française, et recevoir d'un maître respecté d'uti
ranches de la biologie. Nous pensons également que c'est desservir la
science
que de prêter l'oreille aux inspirations de quelq
s procédés mis en usage afin de provoquer l'état d'hypnose et pour la
science
qui s'en occupe. (3) lies bicyclistes peuvent f
bes dont il est le véhicule ; et je me félicite que les progrès de la
science
exercent cette influence sur la moralité et la co
DE PATRONAGE MM. Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, membre de l'Académie française; Boirac, recteur
, professeur honoraire au Collège de France, membre de l'Académie des
sciences
morales ; Albert Robin, membre de l'Académie de m
ne ; Tarde, professeur au Collège de France, membre de l'Académie des
sciences
morales ; Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière
ous la présidence de M. le professeur Giard, membre de l'Académie des
sciences
, professeur à la Sorbonne. La leçon d'ouverture
professant que le déterminisme le plus rigoureux, le déterminisme des
sciences
mécaniques et physico-chimiques domine toute la v
des fonctions conscientes du système nerveux, et qu'elle doit être la
science
des propriétés psychiques de la matière vivante.
il, où la centralisation pèse d'un si lourd poids sur l'évolution des
sciences
médicales, où toute science qui n'est pas officie
d'un si lourd poids sur l'évolution des sciences médicales, où toute
science
qui n'est pas officiellement reconnue et subventi
e la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les hommes de
science
et de bonne volonté se réunissent, comme vous l'a
er comme il convient de la méthode en psychologie zoologique toute la
science
, toute l'érudition du savant qui préside. Or je n
aiblesse de mes connaissances en la matière. Toutefois à défaut d'une
science
profonde, j'apporte au moins de la bonne volontés
raiment scientifique. D'ailleurs, la psychologie zoologique est une
science
bien modeste : c'est une science défaits, de phén
s, la psychologie zoologique est une science bien modeste : c'est une
science
défaits, de phénomènes, analogue sur ce point aux
une science défaits, de phénomènes, analogue sur ce point aux autres
sciences
biologiques. Comme ces dernières,elle doit se bor
olution des êtres organisés qui venait d'être fondée à la Faculté des
sciences
de Paris, la philosophie biologique pénétra dans
els, je dirais que cet enseignement nouveau fut pour les étudiants en
sciences
naturelles de cette époque une sorte de révélatio
ne, grâce aussi à la précision des méthodes, ont réussi à enrichir la
science
d'une véritable moisson de faits nouveaux. Mais
irai même, qu'à mon avis, le plus grand tort des vulgarisateurs de la
science
est de ne s'attacher qu'aux faits merveilleux et
t de ne s'attacher qu'aux faits merveilleux et trop exceptionnels. La
science
n'est réellement scientifique qu'en restant simpl
étaient dans l'obscurité; et c'est tout. Tout cela n'est pas de la
science
: c'est de la littérature. Aussi dans cet ordre d
oviennent pour la plupart de correspondants inconnus. Malgré toute sa
science
, Romanes est souvent victime de la méthode qui a
nes est souvent victime de la méthode qui a dominé trop longtemps les
sciences
psychologiques. Nous ne devons accepter, en eff
ous appellerions volontiers de la psychologie de vieille fille, et la
science
en est déjà trop encombrée. Tout ceci nous mont
une des femmes les plus eminentes de ce temps, et qui fit pour la
science
, ce que la marquise du Châtelet avait fait pour l
Dès sa première lettre, il montre que la psychologie animale est une
science
auxiliaire de la psychologie humaine. « De même,
icieux que les observateurs modernes, désireux de faire progresser la
science
, ne devraient pas oublier. * * Si la sincérit
rvation est obligée de faire appel aux procédés d investigation de la
science
moderne. Prenons, pour nous faire mieux comprendr
e. L'expérimentation en psychologie zoologique, comme dans les autres
sciences
, est donc d'une grande utilité. Et si jusqu'i
ifficiles. • * » En résumé, si nous voulons faire progresser la
science
psychologique, il nous faut faire de bonnes obser
faire de bonnes observations suivant les méthodes que nous impose la
science
moderne, puis ensuite soumettre ces observations
en est pas moins élevé, et mérite, au môme titre que celui des autres
sciences
, d'attirer l'attention et la bonne volonté des ch
, d'attirer l'attention et la bonne volonté des chercheurs. A cette
science
, Messieurs, apportez d'abord ce qu'elle vous dema
'il a déjà rendus, soit à l'enseignement d'une branche importante des
sciences
médicales, soit à la thérapeutique des maladies n
modalités est inséparable désormais de celle de la physiologie et des
sciences
connexes: anatomie, histologie, c'est, il me semb
a psychologie du criminel, la psychologie des foules et surtout celte
science
encore au berceau mais déjà si pleine de promesse
périmentation qui ont donné des résultats si précieux dans toutes les
sciences
de la nature, nous voulons d'abord débarrasser le
mme de purs matérialistes sous peine de renoncer à tout progrès de la
science
? Rien n'est plus curieux à ce point de vue que l
curieux à ce point de vue que l'opposition qui (1) Cl. Bernard, La
science
expérimentale, 1878, p. 403. (2) hippocrate, Tr
alement exactes pour ceux qui croient au déterminisme, sans lequel la
science
deviendrait chimérique, l'histoire du monde ne se
sait il y a quelques années Lord Kelvin alors Sir William Thomson, la
science
est tenue de regarder en face et d'aborder sans c
te, Messieurs, et j'ajoute que ces questions embar- rassantes, la
science
doit les attaquer arec ses méthodes ordinaires, l
mon ami le professeur A. Sabatier, l'éminent Doyen de la Faculté des
Sciences
de Montpellier, vient de tenter le même sauvetage
e forteresse où d'ailleurs elles ne gêneront que bien peu d'hommes de
science
. Mais, d'une façon générale, affirmer qu'une ch
oudre et par suite nous empêchons tout nouveau pas en avant. Si des
sciences
aussi avancées que la mathématique et la physique
pareilles mésaventures, combien plus fréquentes seront-elles dans nos
sciences
biologiques et psychologiques dont la complexité
es difficultés ! Ce fut d'abord l'indifférence et la méfiance de la
science
officielle qui, après avoir laissé dans l'ombre d
rtains esprits sont pris d'affolement. Ils crient à la faillite de la
science
. Tels ces ingrats oublieux des services passés qu
atier. Sans prétendre rien abandonner des conquêtes antérieures de la
science
, et tout en reconnaissant qu'on peut encore large
ondée et qui la dirigent, d'avoir su écarter de vous ces périls de la
science
en vous les faisant toucher du doigt dans leur en
a, comme celle de Bert,legrave défaut de n'être pas simple, ce qui en
sciences
naturelles est une présomption de fausseté. Je cr
on commune ; et peut-être qu'une fois encore l'accroissement de notre
science
amènera par contre-coup une notable augmentation
es, 4E édition, 1878. DecHambre, art. Sommeil, in Dict. encyclop. des
Sciences
médic. (2) Gyel. L'être subconscient, 1899, p.
1902, p. 240, 318. (2) Voir mes leçons sur le Spiritisme devant la
science
Lec. de clin, médic. t, IV 1903, p. 374. et P
DE PATRONAGE MM. Berthelot, secrétaire perpétue! de l'Académie des
sciences
; Boirac, recteur de l'Académie de Grenoble ; Lion
toujours préoccupé de fixer d'une façon précise la terminologie de la
science
de l'hypnotisme, proposait, à la fin de sa longue
ciale. 17e Année. — ? 11. Mai 1903. La vie de Mahomet devant la
science
hypnotique (1) par le Dr Félix Regnault, profes
par le Dr Félix Regnault, professeur à l'Ecole de psychologie. La
science
des religions est des plus cultivées à l'Universi
urtant, il nous semble qu'il lui manque quelque chose, elle reste une
science
qui manque du souffle de la vie, analogue aux sci
elle reste une science qui manque du souffle de la vie, analogue aux
sciences
préhistorique, archéologique. Cela provient de ce
emières idées religieuses ; elles constituèrent également la première
science
, dans leur stade fétichiste, comme l'appelle Augu
taire, stade dont nous voyons à peine la fin, si nous la voyons. La
science
religieuse est animée et vivante comme toutes les
oyons. La science religieuse est animée et vivante comme toutes les
sciences
sociales. Elle devrait être étudiée au même titre
ient conscience de leurs devoirs. Introduire le facteur âme dans la
science
religieuse est la tâche que j'ai entreprise. Da
core des augures, astrologues, chiromanciens, etc., qui possèdent une
science
, ha caractéristique du prophète est de révéler la
t commise (V, 149). Tels sont les quelques faits justiciables de la
science
hypnotique que nous relevons dans l'histoire de M
» Je persiste à croire que c'est là un procédé courant et utile en
science
positive : rapprocher entre eux divers phénomènes
acharné ; mais leur cerveau n'a pas l'occasion de se fatiguer. Peu de
science
, pas de recherches, pas de surmenage intellectuel
re de), p. 97. Lourdes, par Jayle, p. 28, 61, 94. Mahomet devant la
science
hypnotique (La vie de), par Regnault, p. 321. M
ynard, p. 15,122. Spiritisme est l'ennemi du spiritualisme et de la
science
(Le), par Jules Bois, p. 100. Somnoforme et s
pupillaires chez les aliénés et leur va- leur The Journal of mental
science
, juillet 1902. DE GouvÉA. Les manifestations oc
ast. 1. Selle ne Sektionsfalle, von Prof. ])1 E. A. Homen. II. La
science
et une vie future ; par William Graham. Janvier
autres sujets connexes; par John Turner (The Journal of Men- tal
Science
, avril 1905.) L'auteur après avoir résumé l'opi
par le professeur A. I'IC>; (de Prague).(T/re Journal of Mental
Science
, janvier 1905.) Remarques intéressantes, basées
a valeur clinique ; par Arthur A. D. TowSED. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1905.) Voici les déductions de l'aut
e maladies mentales ; par A. S. 11. PEEBL s. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1904.) Recherches intéressantes et var
onction cérébrale; par Alfred W. Campbell. (The Journal of Mental
Science
, Octobre 1904.) Travail intéressant accompagné
ez un épileptique, par, II. HO\\'E JEREMY. (The JOll/'1laloj mental
Science
, janvier 1905.) Il s'agit bien ici d'un cas d
- remarques sur l'observation; par D. Rire (Th Journal of Mental
Science
, avril 1904.) Il s'agit d'une femme de 65 ans,m
morragique; par T. K. Monro et John Findlay. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1904.) Il n'est pas facile dans ce cas
des résultats temporaires; par ? 10RAH KEMP, (The Journal of Mental
Science
, Janvier 1904) Observation intéressante d'un ca
fluence de la Salicine; par W. T. Vincent. (The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) Le titre de ce travail peut lui s
hors des asiles d'aliénés; par ? 1ahan RAw. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1904.) Une longue observation des alié
es dans le rectum; ft par J. OGILVIE VEITCH. (The Journal nf Mental
Science
, . avril 1904.) Il s'agit d'une femme, dément
ums dans la folie aiguë; par Lewis C. BrtucE (The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) Les sérums expérimentés ont été
nes épileptiques ; par G. E. SHUTTLEWOR1'J[. (The Journal of Mental
Science
, oc- tobre 1904.) L'auteur a été amené par de
ment des neuro-psychoses : par Edward BLAKE.(77je Journal of Mental
Science
, juillet 1905.) L'auteur relate sommairement un
ections mentales ; par H. de M. Alezan- DER. (The Journal of mental
Science
, janvier 1905.) Le véronal ressemble par son as
ns le traitement; par Lionel A. Wc ? THERLY. (The Journal of mental
Science
, juillet 1905.) C'est un inconvénient des grand
e- ment de l'insomnie; par M. Maule SMlTII.(The Journal of Mental
Science
. Juillet 1905) On considère avec raison comme s
lysie générale et le crime ; par John BAKER. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1904.) L'auteur rapporte avec plus ou
s de double cons- cience ; par Alfred Wilson (The Journal of Mental
Science
, Juillet 1904.) 11 s'agit d'une femme de 22 a
dont l'observation abrégée a été publiée dans le Journal of Mental
science
de 1903 et l'observation intégrale dans le N° d
ion intégrale avec fac- simile d'écriture dans le Journal of Mental
Science
. On trouvera cette observation avec tous ses dé
'automatisme alcoolique; par W. C. Sullivan. (The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) L'autour rapporte avec détails qu
affectent l'état mental ; par LEwis BRUCE. (The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) L'observation que publie l'auteur
VT;-CLAY. IV. Obsessions ; par James SHAW. (The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) Etude intéressante, relatant dive
rie et de la folie; par F. W. EDRIDGE GREEN. (The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) Ce travail se résume ainsi : non
d'origine trauma- tique ; par Thomas Drapes. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1904.) - , Observation intéressante
as de démence précoce; par Henry M. EusTACE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1904.) . Les .cas de démence précoce n
hologie» de Jane Cakebread; par ROBERT JONCS (The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) On ne peut que signaler cette étu
niques de psychose de KoRsAKow; par J. ToTE. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1904.) L'auteur a pu recueillir et pub
et le 22 juillet 1904 ; par R. PERCY SMiTH. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1904.) L'orateur s'est proposé dans ce
s trophiques cutanées ; par MM..1. Lh4PINE et M. Loup. (Société des
Sciences
médicales de Lyon, 11 juillet. (Lyon médical, 3
aractères inusités; par S. F. E. RAINS- Fotn (The Journal of Mental
Science
, Juillet 1904.) Le premier cas est celui d'une
ociales de l'alcoolisme; par W. C. SULLIVAN. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1904.) Les recherches de l'auteur le
X.- «Morison Lectures»; par John MACPHERSON. (The Journal of mental
Science
, juillet 1905.) A. Lecture V. - Sur la la répar
ence précoce »., par J. C. lllc Conaghey. (The Jour- ^nal of menial
Science
. avril 1905.) L'auteur rappelle sommairement la
r la paralysie générale; par IIna- YEN BAIRD (The Journal oi menlal
Science
, juillet 1905.) Ce travail comporte les conclus
e 20 Juillet 1905 ; par J. OUTTERSON\VOOD, (The Journal of mental
Science
. octobre 1905.) Comme beaucoup de discours prés
III. Démence précoce; par Thomas Johnstone (The Jour- nal of mental
Science
, octobre 1905.) Le sujet a été à maintes repris
s folies de déchéance; par Georges A. RORIE, (The Journal of mental
Science
, juillet 1905.) L'auteur a observé quelques cas
un schéma universel ; par C. C. EASTERBROOK. (The Journal of Mental
Science
. Avril 1905.) Travail très étendu, très bien co
système décimal de DEWEY; par A. R. URQUHART (The Journal of Mental
Science
, avril 1905.) - L'auteur propose d'appliquer à
r John MAcpHEnsoN (Mori- son Lectures n IV). (The Journal of Mental
Science
, avril 1905.) Leçon intéressante qui se termine
ntangible, sera devenu un fait de la plus haute importance pour les
sciences
médicales et sociales. R. DE MUSGRAVE CLAY. X
élite syphilitique ; par R. A. L. GRAIIAN. (The Journal of men- tal
Science
. octobre 1905.) Cette observation très intéress
e congénital; il a des no- tions très obscures sur les éléments des
sciences
qu'on a essayé de lui inculquer. Il a été en re
de la maladie du sommeil; par ROBENT JoxEs. (The Journal of Mental
Science
, Avril 1904.) Cette question alors nouvelle aét
chez une mère et sa fille; par JoHx R. Lord. (The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) Observation intéressante, mais ne
sur le peuple anglais; par R. S. STE-\VAItT. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1904.) Voici le résumé de cette curieu
érale de développement; par Jas. Middlemass. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1904.) - Deux remarques : 1° l'éticl
le sud du Pays de Galles; par R. S. STwv.RT. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1904.) - En s'appuyânt sur des données
1Y. XXXV.-Le « Stress »; par Ch. 11-PRCIEE.(The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) XXXVL-Eneore le « Stress "; par C
XXXVL-Eneore le « Stress "; par Ch. Mercier.) The Journal of Mental
Science
, octobre 1904.) Il y a une quinzaine d'années,
e et précis profite de ce fait pour regretter que lorsque, dans une
science
ou une branche d'une science, un mot (il déclar
t pour regretter que lorsque, dans une science ou une branche d'une
science
, un mot (il déclare d'ailleurs iieteiiir nullem
e l'hallucination; par W. H. B. STOV - DABT. (The Journal ot Mental
Science
, octobre 1904.) Travail interressant accompagné
Paralysie générale; par James Mid- dlemass. (The Journal of Mental
Science
, juillet · 1904. ) Ce n'est pa3 un mémoire, mai
ns le Comté de Dorset ; par George A. RORIE. (The Journal oi Mental
Science
, avril 1904.) - Etude intéressante mais ne po
1.- Les sortes de folies; parCh.iIERCIE it.(The Journal of Men- tal
Science
, janvier 1904.) Malgré, son très réel intérêt,
hase de la paranoia; par Conolly NOR ? IAiN. (The Journal of Mental
Science
.Janvier 1905.) L'auteur rapporte avec des dét
maladies mentales : par C. Hu- / bert BoND. (The Journal of mental
Science
, janvier 1904.) L'auteur n'ignore pas que le su
avec goitre exophtalmique; par R. H. STEEN. (The Journal of mental
Science
, janvier 1905.) L'auteur rapporte l'observation
e amaurotique de famille ; par James BuRNET. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1905.) Les cas de celle maladie sont r
ère et la seconde enfance; par Henry Rayner. (The Journal of Mental
Science
, juillet 19010.) La nécessité de surveiller et
pas sain en Irlande; par CONOLLY TOi : mArr. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1904.) L'auteur insiste sur le fait qu
oses et leur signification; par T. CLOUSTON. (The Journal of Mental
Science
, avril 190 ? ) On n'a pas fait suffisamment res
ques (on avouera que c'est là une ingrate besogne dans l'état de la
science
). Il adopte, en l'adaptant aux demi-fous, la do
'auteur. Prix 10 fr. Pour nos abonnés 8 fr. The Journal of Mental
Sciences
. Published by Anthority , of the Medico-Psychol
onnées actuellement acquises dans chacune des diverses branches des
sciences
biologiques ». Les arguments, tirés successive-
iste, elle n'a qu'une valeur très restreinte et même nulle pour les
sciences
sociales. Enfin cette introspection généralisée
ontes les données des SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 2t'9
sciences
biologiques'. Basé sur une interprétation sim-
le malheur universel. Depuis dix mois on insulte en moi, l'art, la
science
et l'imagination créatrice ». PSYCHOLOGIE Sur
ttre que son semblable qui sera doté du même privilège, le saura de
science
certaine, en sorte que le phénomène serait tell
sique ! 1 voilà de tes coups ! » (p. 32). Mais si « les hommes de
science
sont les derniers à voir ce qui saute aux yeux n
me, crime et folie ; par nI. MI. Bevan LEws. (The Journal of mental
Science
, avril 1906.) - L'auteur se propose dans ce tra
eur doit tous les traitements que lui dic- tent sa conscience et la
science
. La loi respecte, du reste, ce principe, mais '
l'Instruction publique. (Association française pourl'avancement des
sciences
, conférence de Paris, 1906.1 Cours LIBRE DE P
u'à propos des applications de la théorie à l'objet particulier des
sciences
sociologiques : on dirait que l'Auteur, préoccu
U CORPS. 373 qui ne sont pour rien dans l'unité perçue de la con-
science
, qui, au contraire, doivent être spécialement vis
erait la continuité des effets, continuité qui est la base de toute
science
, qu'aurait dû faire l'Auteur ? Inter- préter ce
squels il dit : « La direction d'un Asile d'aliénés est devenue une
science
médicale, intéres- sante à plus d'un titre. En
xées ; l'administrateur doit s'effacer devant les préceptes d'une
science
qu'il ne peut contrôler ; l'organisation médico-
ns la République Ar- gentine, etc. Serait-ce que, dans ces pays, la
science
psy- chiatrique, l'assistance des aliénés et l'
) ; note critique; par M. C. C. EASTEILBROCK.(The Journal of mental
science
,octobre 1906.) Après une étude critique des tec
les salles d'autopsie ; par M. F. W. l\IOTT, (The Journal of mental
Science
, octobre 1906.) Travail très nourri de faits et
des croisades ; par MM. William W. Iner.AND. (The Journal of mental
Science
, octobre 1906.) M. Ireland se plaît aux études
'idiotie épileptique ; par M. HARVE7 B.11RD. (The Journal of mental
Science
, juillet 1906.) Les conclusions générales de ce
'1'. Ford RoBERTSON. (Morison Lectures V.) (The Journal of mental
Science
, avril 1906.) Ce travail renferme des recherche
tude de la folle ; par A. Graham Crookshank. (The Journal of mental
Science
, janvier 1906.) Au sens conventionnel ou empiri
ation psychiatriques ; par M. Thomas Drapes. (The Journal of Mental
Science
, jan- vier 1906.) L'observation que nous avon
maladies mentales ; par M. Sydney J. CoLC. (The Journal of mental
Science
, janvier 1906.) Ce n'est pas d'aujourd'hui que
ralysie générale ; par M : Conolly NOR ! AN, (The Journal of Mental
Science
, janvier 1906.) Il s'agit d'un cas de paralysie
démence paralytique ; par M. Georges Greens, (The Journal of mental
Science
, avril 1906.) L'auteur se propose d'étudier dan
trie et alcoolisme ; par M. W. C. 3ULLIV \N. (The Journal of mental
Science
, juillet 1906.) L'auteur rappelle que, dans un
ur enregistrement ; par T. OUT- TERSON WooD. (The Journal of mental
Science
, avril 1906.) Travail concernant des questions
ojet de promotion ; par Frank ASIIDY ELKINS. (The Journal of mental
Science
, avril 1906.) Même observation. R. M. C. 432
ens, à Manehestor; par M. Alcan MAC DOUGALL. (The Journal of mental
Science
, janvier 1906.) Nous ne pouvons pas suivre l'
ofit des imbéciles ; par M. F. E. RAINSFORD. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1906.) ' Le titre de ce travail en r
nterie des asiles; par M. W. Bernard KNOBEL. (The Journal of mental
Science
, avril 1906.) Ce très intéressant travail, très
ulose dans les asi- les ; par W. F. Menzies. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1905,) Non seulement la tuberculose
ose dans les asiles ; par M. Georges GREENE. (The Journal of mental
Science
, janvier 1906.) On peut noter au passage dans c
entes formes de folie; par John MiLsoMRnoDEs (The Journal of mental
Science
, octobre 1905.) Suivant l'auteur, il faut, au p
bleaux statistiques; par CHARLES A. Mercier- (The Journal of Mental
Science
, octobre 1904.) Etude critique de la forme usue
de l'hôpital Saint-Luc ; par WILLIAM RawFS. (The Journal of Mental
Science
, Janvier 1904.) Etude intéressante mais trop dé
à l'hôpital de Cheadle ; par JORAN SUTOLIFF. (The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) Nous ne pouvons que mentionner ic
serie à propos de Gheel; par CONOLLY Norman. (The Journal of Mental
Science
, Janvier 1904.) Causerie variée et intéressante
Imbécillité mongolienne ; par C. H. Fenhell. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1904.) Ce type, assez commun en Anglet
mise en garde dans les asiles, par J. Marna. (The Journal of Mental
Science
, avril 1904.) Ces fiches sont destinées à mettr
lle écossaise ; par J. CARLYLE JOH : 7STONE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1904), , Examen critique de ces mesure
par voie législative; par M. W. Y. NOLAN. (The Journal of mental
Science
, octobre 1906.) L'auteur ne se dissimule pas qu
répandu la plupart des donnéas certaines que possède aujourd'hui la
science
sur les différentes questions envi- sagées jci,
de COURII : Ll.ES, lau- réat de l'Académie de médecine, licencié ès
sciences
physiques et naturelles, reprendra son cours d'
e tout à fait particulier et qui serait seule applicable dans les
sciences
biologiques, ne tire pas tant son importance de
« n'est applicable, du moins dans la grande généralité des cas, aux
sciences
sociolo- z giques » (p. 143. Par conséquent, ou
. Par conséquent, ou bien ces dernières ne seront pas de véritables
sciences
: on pourra bien SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU
re à la sociologie a. Ce double dilemme est injustifié : à côté des
sciences
propre- ment dites,il y a des groupes de connai
en sociologie, qui ne peuvent en aucune façon prétendre au titre de
sciences
. Entre ces groupes et les sciences parfaites, il
cune façon prétendre au titre de sciences. Entre ces groupes et les
sciences
parfaites, il y a les sciences, encore pauvres
e sciences. Entre ces groupes et les sciences parfaites, il y a les
sciences
, encore pauvres en abstractions et en généralités
élabo- rations ultérieures ; elles ne peuvent prétendre au titre de
sciences
qu'en avouant leurs caractères de débutantes ;
u'elle doit être en l'es- pèce, soit « incomplète » ? Quelle est la
science
où la nécessité de la - collaboration de plusie
dans la sociologie, l'Auteur prétend que celle-ci ne peut être une
science
que si elle se base sur des principes généraux,
ncipes, il y avait quelque chose de réellement utile et spécial aux
sciences
sociologiques, le duplicisme n'en serait pas dé
lassique. 1° Cette confusion est en effet manifeste : à la « con-
science
, voix divine » de Rousseau (p. 147) enrichie au
it prédominer l'élé- ment intellectuel. Il n'existe donc dans les
sciences
sociologiques ni fait SLR LA SYMÉTRIE BILATERAL
té à une autre ? Du reste, la sociologie n'est-elle pas surtout une
science
d'observation en voie de progrès continuel, et
venait à être employée seule ou de préférence aux autres dans les
sciences
sociologiques, celles-ci ne seraient bientôt plus
urine et leurs résultats ; par Robert JoNES. (The Journal of mental
Science
, Janvier 1906.) Cette étude est basée sur 969
état d'infection ; par M. Lewis C. BRUCE. (The Journal of mental
Science
, août 1906.) L'auteur a observé le sérum de tou
dissolution ; parM. W. II. B. STODDART, (The Journal of men- tal
Science
, juillet 1906.) Dans ce travail ingénieusement
l'indoxyl dans Purine;par M. Lewis C. Bruce. (The Journal of mental
Science
, juillet 1906.) Les conclusions de ce mémoire s
suelle dans la folie ; par Sydney J. Cote. (7'he Journal of Mental
Science
, juillet 1905.) Travail intéressant mais trop d
dans cette Ecole de médecine qui façonne avec tant de vigueur et de
science
une pléiade continue de solides cliniciens. Lau
allait faire de lui une personnalité des plus marquan- tes dans les
sciences
biologiques. ' C'est qu'en effet, non content d
parfois mêmejusqldla minutie, Féré, soutenu par la pas- sion de la
science
et par ses études approfondies, se façonna psyc
tous les vrais sa- vants. Il aura su trouver dans la culture de la
science
, qu'il adorait, ses joies les plus élevées et,
ucoup ont ajouté à la satisfaction littéraire, celle de faire de la
science
au coin du feu : on lisait une scène d'accouche
divinités, enfin le monothéisme, mais elles restenl en dehors de la
science
, Dieu est une hypothèse. Les sentiments qui en
essantes suggestions, imprimées dans son cer- veau ; il le dut à sa
science
et à son intelligence, au nombre, à l'activité,
étouffe les peuples, en leur voilant le soleil et l'infini. Maia la
science
y promènera sa torche : elle fondera la morale
nes psychiques préscientifiques qui n'appartiennent pas encore à la
science
, mais peuvent entrer plus tard, et dès ce momen
et occultes ; l'occultisme est donc comme une terre promise dont la
science
approche et qu'elle s'efforce d'envahir tous le
tisme du surnaturel, du miracle qui resteront toujours hors de la
science
. , Or, constamment la science désocculte un cer
e qui resteront toujours hors de la science. , Or, constamment la
science
désocculte un certain nombre de phénomènes et r
estions dignes de tenter les savants qui veulent travailler pour la
science
positive. - " .I. PIOLET. X\ 11. - Traitement m
du spiritisme et lecteur assidu des revues qui concernent cette...
science
. 524 varia. Enfants anormaux en France, NOMBR
njections de sérum ar- tificiel ; par Levy et Beaudoin, p. 501.
Science
. La - et une vie future ; par Graham, p. 49.
ne peut manquer d'avoir une grande influence sur l'évolution de cette
science
. Bien que l'Académie n'ait encore voté aucune r
iologie de Paris et par l'Association Française pour l'avancement des
Sciences
(section de médecine publique et d'hygiène profes
accumulés par la médecine contemporaine. Sans doute, les progrès des
sciences
médicales sont incontestables; mais qui pourrait
sciences médicales sont incontestables; mais qui pourrait dire que la
science
des ingénieurs n'a pas marché plus rapidement que
llement l'attention sur l'attitude prise par l'Eglise vis-à-vis d'une
science
qui, bien qu'à peine naissante, fait trop parler
rniers temps que l'étude de l'hypnotisme importait non seulement à la
science
, mais encore à la foi. Il nous a paru qu'après
t par des « agents créés » qu'il ignore ? S'en rapportera-t-il à la
science
? Mais la science est la première à nous défendr
créés » qu'il ignore ? S'en rapportera-t-il à la science? Mais la
science
est la première à nous défendre de nous prononcer
e des agents naturels existent, dont nous n'avons pas même l'idée. La
science
sait, par exemple, qu'avant que cette force spéci
illeurs, étaient attribués à tort j une intervention surnaturelle. La
science
infère de là que certains autres phénomènes, léga
isamment étudié est apparu comme procédant d'une loi générale. La
science
sait encore que, même parmi les agents dont s'occ
absence de preuves, c'est mentir... Ah ! non, certes! ce n'est pas la
science
qui déclarera que tel ou tel phénomène, compliqué
ment ne l'obligeât à se dédire. En face d'une telle interrogation, la
science
se taira. Pour parler, elle attendra de savoir.
Pour parler, elle attendra de savoir. D'ailleurs, ce n'est pas à la
science
que le P. de Bonniot demandera de prononcer sur l
éoccupé de faire croire à ses lecteurs qu'il sait ce que c'est que la
science
. La multitude, P. de Bonniot, voila votre oracl
ous en rapporterez? Mais la multitude d'aujourd'hui, par rapport a la
science
des générations qui nous suivront, est exactement
onnïot, la multitude n'a rien à décider sur une pareille question! La
science
elle-même, qui, relativement à la somme de connai
dans quelques siècles, n'est aujourd'hui qu'une enfant ignorante, la
science
elle-même y est impuissante et vous ne pouvez dou
eponse, se contente de laisser tomber cette parole dédaigneuse : « La
science
enorgueillit, et l'orgueil aveugle ! » Eh bien,
La science enorgueillit, et l'orgueil aveugle ! » Eh bien, soit! La
science
enorgueillit et l'orgueil aveugle! C'est entendu!
pour guide: c'est l'habileté. Mais l'habileté, ici, est au prix d'une
science
exacte, et des conceptions familières aux enfants
ysiologiques de genèse de ces conceptions. C'est à la faveur de cette
science
qu'on les pressent dons leurs écarts et les devin
que l'on garde avantage et autorité. En quoi, donc, consiste cette
science
? De quelles notions positives convient-il d'être
aris, 1887. (2) Dufestel, loco citato, p.13. magnétisme est une
science
réelle, capable de procurer un diagnostic et une
s courte pour marcher en avant avec de nouvelles forces. « La jeune
science
de l'hypnotisme se trouve a un de ces moments de
ion criminelle : en effet, tout ce qui étend les prises de l'homme de
science
sur le somnambule, tout ce qui recule les bornes
ent, ne le feraient- . ils pas : Je vois bien ce que l'humanité et la
science
pourraient y gagner : je ne vois pas ce qu'elles
ts ne se trouvant pas suffisamment expliqués dans l'état actuel de la
science
, au lieu d'attendre de l'étude et du temps la sol
e trouve obligée à une réserve chaque jour plus grande, en face de la
science
. Ce n'est pas sans un étonnement plein d'inquiétu
Darwin pourrait bien être vraie. Après avoir crié a l'impiété de la
science
, elle en est réduite à tirer sur les textes pour
ne perspicacité dont nous voudrions avoir a le louer plus souvent. La
science
, en effet, n'a rien à redouter de l'examen méthod
vrage en rappelant que le somnambulisme a été longtemps rejeté par la
science
et que, sous le nom d'hypnotisme, il a enfin obte
'erseignement supérieur de Montpellier, les membres de l'Académie des
sciences
et lettres, viennent de décider que dans l'hiver
qui relèvent de l'hypnotisme, il ne laut présenter comme acquis à la
science
que des faits capables de supporter le contrôle l
rigoureux. Nous nous rallions volontiers à l'opinion du Journal des
sciences
médicales de Lille, lorsqu'il dit à ce sujet : «
de Lille, lorsqu'il dit à ce sujet : « N'oublions pas qu'il n'y a de
science
que là où il y a possibilité de contrôle ; qu'il
ontiennent des erreurs positives et viennent entraver la marche de la
science
. » Ajoutons cependant que les expérimentateurs
iples, mais toujours de cause psychique, sont acquises également à la
science
, et toutes aussi elles s'éloignent de leurs congé
e t>* Ch. Bertrand, père du secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, rapporte trois cas de sympathie ou de vue magnét
t propagé l'hypnotisme, loin d'avoir contribué à éclairer ce point de
science
, ils lui ont nui considérablement ; et si l'on pr
énomènes pathologiques, dont la disparition, dans l'état actuel de la
science
, n'a pas d'explication naturelle : telles sont le
ysiologie, d'électricité, d'hygiène, de dermatologie, etc. Toutes les
sciences
, ou peu s'en faut, seront représentées chacune pa
par un congrès spécial. L'Association française pour l'avancement des
sciences
:iendra aussi son prochain Congres h cette époque
Concours. — Parmi les questions mises au concours par l'Institut des
sciences
, arts et lettres du Milan, concours auquel les mé
resser pour plus amples renseignements à l'Institut royal lombard des
sciences
, lettres et arts à Milan. Nous constatons, à ce
es idées et des propositions qui appartiennent au domaine profane des
sciences
humaines et qui appellent des réflexions, peut-ci
e l'imperfection de l'intelligence humaine, elle nous rappelle que la
science
avance lentement et rencontre sans cesse des obst
imprudent ou un charlatan ; non, quand l'hypnotiseur est un homme de
science
, un médecin consciencieux. — L'auteur aiouie : L'
tieux condamnés, réprouvés par la religion, par l'honnêteté et par la
science
! Ces assertions de l'auteur étant contestables
éparé avec une grande sagesse le magnétisme pris en lui-même, dont la
science
essaie de nous taire connaître les secrets, et l'
acte mauvais. Il faut donc distinguer avec le Saint-Siège et avec la
science
le phénomène de l'hypnose et l'usage que des misé
decine. Il ne les tolère qu'à titre d'exception. Il prétend que cette
science
doit rester aux .i. DiLAtuuvt, Journal de médec
arnement que mettent les hommes à i efuser aux femmes leur part de la
science
, quelque chose comme une secrète jalousie — ou co
capables, elles aussi, de faire de grandes choses? A notre avis, la
science
médicale serait bien peu solide si quelques centa
maladie.) dauchez : Du rôle de l'imagination en médecine. Journ. des
sciences
méd. de Lille. t. IV. p. 843, 887. 935.1882. de
7. 935.1882. desplats : Le magnétisme devant la religion et devant la
science
. Journ. des scien-ces méd. de Lille, t. IV, p. 20
et de chir.,t. I, p. 391. Paria, 1888. méric: Le merveilleux et la
science
. Etude sur l'hypnotisme. 2e éd., Paris, 1888; in
rnier, M. le professeur Brown-Séquard. en présentant à l'Académie des
sciences
les deux volumes du la première et de la seconde
heureux de la signaler à h bienveillante attention de l'Académie des
sciences
. « I II est hors de doute que, si les études sur
stérieux. C'est sous l'empire direct cl tout fi) Alexandre Bain, La
Science
de l'éducation, p. *>. (Bibliothèque des scien
lexandre Bain, La Science de l'éducation, p. *>. (Bibliothèque des
sciences
in:crnatioiuIei. 1870, Paris.) 3) Ceris». Des F
heim. ont pu voir facilement quelles ont révolutionné complètement la
science
de l'hypnotisme, et que personne ne pourra travai
) V.Mas Dessoi*. Bibliographie des modernen Hypnotismus. de cette
science
, on n'a plus besoin de prouver 1a possibilité des
e en démontrant l'existence de celui-ci, car il sait très bien que la
science
contemporaine, en général, n'admet pas l'existenc
de conscience. Nous voyons tous les jours île pareils faits, et cette
science
sans études, cette expérience sans pratique, n'cM
t compacts, comme on les aimait au dernier siècle dans le monde de la
science
, mais de petits ouvrages, lestement écrits, facil
ù la psychologie. Il se croyait appelé! poser les fondements de cette
science
pour tous les siècles. 11 i:« répondait pas à une
onsidérée comme définitive; mais, même dans cet état provisoire de la
science
et quelle que soit l'explication théorique que l'
cial ; ils sont absolument i la portée du premier venu. L'amour de la
science
, le désir de s'instruire n'entrent guère ici en l
arlatanisme qui se rjsfl contre parfois au début de l'évolution-d'une
science
. Je comparerais volontiers les magnétiseurs aux
faire l'application. L'hypnotisme a fait c::lin son entrée dans la
science
, et. pour la première fois, bien qu'en prenant un
e. si tel ordre de faits est digne d'être admis dans le domaine de la
science
. On leur reproche quelquefois, non sans quelque i
e ses dangers imposent. Confié d'une manière définitive aux hommes de
science
, il fournira un puissant moyen d'investigation au
s pas, car alors, je l'espère, vous partagerez mes convictions, et la
science
comptera toute une phalange de nouveaux travaille
seur Charles Richet, qui le félicitait d'aborder l'enseignement d'une
science
si passionnante. C'est vrai; mais il a paru que l
e médecine publique de l'Association française pour l'avancement des'
sciences
, avait déjà, sur notre proposition, émis, à l'un.
autorité la plus justifiée, n.>as voulons parler de l'Académie des
sciences
, vient de récompenser quatre auteurs dont les tra
ot. et aux autres membres de la Section de médecine de l'Académie des
sciences
, l'expression de notre reconnaissance pour la bie
a pedagogie.— AQQUjH de l'Association française pour l'avancement des
sciences
: Congres de Toulouse. Brochure in-#>, 1s87.
loyée, et que quelques expérimentateurs ont essayée, s'impose dans la
science
; je crois qu'elle est déjà la condamnation de ceu
Si les phénomènes de l'hypnotisme ont conquis droit de cité dans ia
science
, n'est-ce pas précisément parce qu'on s'est enfin
on put dire que l'hypnotisme avait conquis son droit de cité dans la
science
. Il devint évident qu'on pouvait, sans trop de pé
et TEs-prit, trad. française. ) (a) Note présentée a l'Académie des
sciences
par M. Brown-Séquard. mine l'image visuelle d
option. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Récompenses de l'Académie des
sciences
. Dans sa séance publique annuelle du lundi 24 d
sa séance publique annuelle du lundi 24 décembre iSSS, l'Académie des
sciences
, dans le concours de médecine et chirurgie {fonda
la routine qui s'efforce d'éterniser des agissements réprouvés parla
science
et par la raison. Quel rapport entre la discipl
oltaire, Dictionnaire philosophique, article : Verges. (4I Bain, La
Science
de réiueation, p. i36. (Bibliothèque scientifique
son Plan d'une Université, Diderot s'est chargé de le spécifier: une
science
approfondie des matières a enseigner, un caractèr
s, à coup sûr. de faire, des enfants de la nation, autant de puits de
science
. Non; c'est de former des hommes capables, par le
lète comprend quatre Facultés: I* Faculté des lettres; 2' Faculté des
sciences
physico-mathématiques 'mathématiques pures; physi
cine, et 2» le diplôme de docteur en médecine, ou mieux de docteur ès
sciences
médicales. Il y a donc deux degrés d'examens de d
r de ces diplômes, en subissant avec succès un examen complet sur les
sciences
médicales; il n'a pas de thèse à présenter pour l
lôme de médecin ou licencié en médecine ; mais le litre de docteur ès
sciences
médicales est exigé de ceux qui aspirent à une ch
ire, il faut être en possession du diplôme scientifique de docteur és
sciences
médicales. A l'Université de Varsovie, le nouve
rs publications, mais surtout dans une communication à l'Académie des
sciences
[Comptes rendus de l'Académie des sciences, i883,
unication à l'Académie des sciences [Comptes rendus de l'Académie des
sciences
, i883, vol. XCVI,p. 417), j'ai montré que dans l'
» médecin» qui taveat apprécier l'importance de» service» rendu» à la
science
par notre illustre compatriote. Pour réaliser c
ontribution à Vètude de l'illusion et de rhallucination {Archives des
sciences
physiques et naturelles. 3« période, t. ix-1883).
t dire sans exagération que le» médecins qui *e sont occupés de cette
science
ont déjà fourni un nombre considérable de travaux
niversité ne soit pas trop considérable. Les élèves de la Faculté des
sciences
sections d'histoire naturelle, de physique et de
es sont, pour la plupart, communs aux deux Facultés de médecine et de
sciences
. Mais les laboratoire* des cliniques sont exclusi
t les travaux personnels de ceux qui produisent dans cene branche des
sciences
médicales, dette énumé-ration montrera l'importan
tes : Un physicien émïneni. professeur dans une de nos facultés des
sciences
, soumis à l'expérience au cours d'un congrès scie
e de convenir qu'elle n'a rien éprouvé sur la carte. L'histoire des
sciences
connaît des exemples de savants qui. après avoir
professeurs appelés à diriger les premiers pas d'un débutant dans les
sciences
d'observation doivent s'efforcer de corriger. L'e
bre 1S88). L'hypnotisme tend de plus en plus à se lairc, dans les
sciences
médicales, une place vraie, scientifique et déf
n ne voit pas apparaître ce grand courant d'opinion qui prouve qu'une
science
est fondée: l'attention, fatiguée par le débat ac
rmis d'affirmer que l'hypnotisme n'était pas encore introduit dans la
science
vraie lorsque, en 1878, Charcot commença les expé
ions qui ont précédé sa grande communication de 1882 à l'Académie des
sciences
. Comme l'a très bien dit Babinski. il fallait u
st créé ainsi une place inoubliable dans Thistoire de ce chapitre des
sciences
biologiques. S'il a eu un tort (je puis bien le
n dans la note présentée en 1882 par M. Charcot. à 1 Académie des
sciences
, et l'étude détaillée dans la thèse de Paul Riche
tes dans le domaine d« l'hypnotisme et fixer la terminologie de cette
science
. En limitant ainsi l'objet du Congres, il serai
Les Etats profonds de l'hypnose. Il y a donc tout intérêt, pour la
science
à bénéficier de l'expérience acquise par nos deva
r d'un point quelconque de l'axe cérébro-médullaire. Il y a dans la
science
un certain nombre d'observations bien authentique
sychose hypnotique (la), par Semal. 69. Rècompenses de l'Académie des
sciences
. 220. Réglementation de l'hypnotisme (la), 17
création en démontrant à tous les esprits, non prévenus, que, dans la
science
de l'hypnotisme, en dehors des attraits d'une vai
te qualification. En hypnotisme, comme dans toute autre branche des
sciences
biologiques, il faut bien se convaincre que, selo
e, selon la parole d'un de nos maîtres les plus éminents : « Il n'y a
science
que là où s'est faite une lumière définitive qui
cale à l'université de Liège, voulut bien me prêter le concours de sa
science
et l'autorité de son expérience et de son nom.
établir d'emblée une doctrine inattaquable ; la première phrase de la
science
naissante doit consister à accumuler les observat
d mérite de ce savant auteur est d'avoir cherché à mettre d'accord la
science
et la tradition. Érudit bibliophile, il a su trou
nt bien réels, et, qui plus est, sur le point d'être expliqués par la
science
moderne. M. de Rochas commence par exposer les
ophes et à tous les esprits cultivés que préoccupe, â juste titre, la
science
de l'hypnotisme si féconde en révélations psycho-
e. Je ne partage donc pas l'avis de M. Hardy sur la suppression des
sciences
naturelles des programmes de l'enseignement secon
ntre lesquelles restent impuissantes les ressources habituelles de la
science
de l'éducation. M. Bérillon, au dernier Congrès
léchir même les esprits les plus prévenus et ce n'est pas rendre à la
science
le moindre service que de forcer les esprits prév
r Laborde, rédacteur en chef de la Tribune Médicale. — Académie des
sciences
. — L'Académie de» sciences a procède, dans sa séa
f de la Tribune Médicale. — Académie des sciences. — L'Académie de»
sciences
a procède, dans sa séance du lundi 18 juillet 188
undi 18 juillet 1887. a l'élection d'un secrétaire perpétuel pour les
sciences
physi-ques, en remplacement de M. Vulpian, décédé
lent a nous mettre en garde contre les sug-gestions inconscientes. La
science
, obstinée à la recherche de la raison d'être des
retardataires qui se laissent traîner à la remorque de leur temps, la
science
doit, trouver remède a tout. C'est en elle qu'i
adulte. On peut donc leur imposer ce que comportent tes progrès de la
science
moderne. Il serait peut-être avantageux de vari
naturelles, de le meubler de toutes les acquisitions nouvelles de la
science
et de ne pas laisser péricliter, faute d'une cult
ESPONDANCE ET CHRONIQUE Association française pour l'avancement des
sciences
. — Congrès de Toulouse. Le Congrès de Toulous
1887.) Guermonprez : L'hypnotisme et les suggestions hypnotiques. [
Science
catholique, mai et juin 1887.) Frédéric W. H.
l'hypnotisme. (Id. May 1887.) Lombroso : L'hypnotisme applique à la
science
pénale. (Archivio di psychiatria, t. VIII, 1887.)
7.) Tonnini: La suggestion et les songes. (Archivio di psychiatria,
science
penali e an-thropologia criminale, t. VIII, 1887.
e moment, le Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
est réuni à Toulouse. Les travaux de ses sect
vaux de ses sections sont en pleine activité. Déjà la section des
sciences
médicales et celle de pédagogie ont reçu d'import
ernheim et Grasset avaient été élus vice-présidents de la section des
sciences
médicales, et que notre rédacteur en chef, M. le
cteurs Bourru et Burot ont entretenu le congrès pour l'avancement des
sciences
de Grenoble en 1885, et qui sont relatives à l'ac
llusion de l'ignorance, sinon comme une manœuvre de charlatanisme. La
science
s'est décidée a regarder tout autour d'elle ; ell
cables dans l'état de nos connaissances, un courant s'établit dans la
science
qui porte les observateurs les plus sérieux, phys
folie on l'a étudiée, on commence à la connaître. Par conséquent, la
science
peut la combattre, la refouler peu à peu. Certes,
enne, août.) Keser : Un cas de sommeil prolongé. (Journal of Mental
Science
, juillet 1887.) Robertson : Traitement de la ca
la terre classique des chants e; des fleurs ; on peut ajouter que les
sciences
y sont, comme les lettres et les arts, l'objet d'
bjet d'un culte assidu. Aussi bien, l'hypnotisme, qui se rattache aux
sciences
biologiques, devait-il trouver, chez nos Voisins
médical affectent, non sans une nuance de malice, de confondre cette
science
avec le charlatanisme des magnétiseurs et des som
ot. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES
SCIENCES
XVIe Session a Toulouse (22-29 Septembre 1887)
IENCES XVIe Session a Toulouse (22-29 Septembre 1887) SECTION DES
SCIENCES
MÉDICALES (1) Dans la première séance, le burea
exagérés par ceux qui n'ont pas une connaissance approfondie de cette
science
. Le viol, presque impossible à accomplir à l'état
n peut retirer la pratique médicale. • (i) Gazette hebdomadaire des
sciences
médicales de Bordeaux, 11 septembre 1887. L'abo
, M. le professeur (Brown-Séquard) a commencé devant l'Académie des
sciences
une série de lectures destinées à résoudre l'impo
l'Académie de médecine ; Lacazc-Duthiers, professeur à la Faculté des
sciences
de Paris ; le docteur Lagneau, membre de l'Académ
. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES
SCIENCES
XVIe Session a Toulouse. (22-29 Septembre 1887)
En 1886, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
à Nancy, nous avons présenté une étude générale s
énéralement admise par tous ceux qui n'ont pas étudié complètement la
science
de l'hypnotisme. Tous les hypnotisés ne sont pas
gue et le médecin se compléteront l'un l'autre'dans la création d'une
science
nouvelle dont le vrai nom est l'orthopédie morale
examen et de contrôle. »..... Le reportage n'a rien a faire avec la
science
. J'en dirais peut-être autant des commissions aca
ajorité des voix. » A Dieu ne- plaise que nous voulions faire de la
science
un temple mystérieux et inaccessible, ouvert à qu
suivent: Bourses d'agrégation (1re année): MM. Carpentier, licenciées
science
» phy-siques, mathématique» et naturelles; Chudeau
cience» phy-siques, mathématique» et naturelles; Chudeau, licencié ès
sciences
physiques et naturelles: Constantin Lefebvre. — B
Bourses de doctorat (1re année : MM. Chan-veau et Rahon, licencies es
sciences
naturelles. Une prolongation de bourse est accord
t les noms suivent : — Doctorat (1re année): M. Veillard. licencié es
sciences
naturelles. — Doctorat (2e année. : MM. Biétrix,
sciences naturelles. — Doctorat (2e année. : MM. Biétrix, licencie es
sciences
naturelles; Boule, licencié es science» physiques
e. : MM. Biétrix, licencie es sciences naturelles; Boule, licencié es
science
» physiques et naturelles, agrégé des sciences nat
lles; Boule, licencié es science» physiques et naturelles, agrégé des
sciences
naturelles ; Goguel, licencié es sciences naturel
s et naturelles, agrégé des sciences naturelles ; Goguel, licencié es
sciences
naturelles ; Ménigaux, licencié es sciences physi
les ; Goguel, licencié es sciences naturelles ; Ménigaux, licencié es
sciences
physiques et es sciences naturelles, agrégé des s
sciences naturelles ; Ménigaux, licencié es sciences physiques et es
sciences
naturelles, agrégé des sciences naturelles; Perri
licencié es sciences physiques et es sciences naturelles, agrégé des
sciences
naturelles; Perrin, licencié es sciences physique
ences naturelles, agrégé des sciences naturelles; Perrin, licencié es
sciences
physiques et naturelles; MM. Meunier et Wertheime
nces physiques et naturelles; MM. Meunier et Wertheimer, licencies es
sciences
naturelles. Médecin-docteur ès letrres. — M. Er
jours paru le but le plus beau de la vie; je » désire être utile a la
science
encore après ma mon. » » C'est dans ce but qu'à
en vue d'un intérêt supérieur était une habitude, se dé-» vouer à la
science
et au progrès social était un besoin. Payant d'ex
yant d'exemple » et s'engageant mutuellement à léguer leur corps a la
science
, ils fon-» dèrent une Société mutuelle d'autopsie
de préjugés qu'ils ont. môme après leur mort, un moyen de ser-vir la
science
qu'ils avaient entourée pendant leur vie du culte
ver promptement la Société d'autopsie, car rien de ce qui touche à la
science
de l'homme, qu'il soit éveillé, endormi ou mort,
ccupe, que par les effets qu'ils produisent, pour cette raison que la
science
n'est pas encore parvenue à en connaître l'essenc
Forget, Landouzy, Briquet, Grisolle, Bernutz, tour à tour dotèrent la
science
d'observations rendant indéniable, désormais, l'a
bservateurs, il n'avait cependant pas pour ainsi dire pénétré dans la
science
. Ce sont les expériences du Havre qui ont, pour l
de des mesures exactes telles qu'on les pratique aujourd'hui dans les
sciences
physico—chimiques, on est quelque peu dérouté par
ulle théoriquement : mais en fait elle est nulle, aussi bien dans les
sciences
les plus solides, comme la physique, la chimie et
us solides, comme la physique, la chimie et la zoologie, que dans les
sciences
les plus hypothétiques. La probabilité que je vai
portion du public, ne doit-il pas être dévoilé à tous les amis de la
science
? Rien de mystérieux, rien d'inaccessible aux inve
ées de cause, de substance, ni aucun des principes fondamentaux de la
science
. La réalité fournit des matériaux, mais c'est l'e
ons que des machines dociles au moindre contact, que deviendraient la
science
, le mérite et le démérite, et la vertu, enfin, qu
tait pas de la classer sans autre forme de procès dans le cadre de la
science
officielle et toute faite. (1); Cette femme a d
sycho-thérapeutique, grâce à James Braid, entre dans le domaine de la
science
; elle n'y entre toutefois que furtivement; la gue
ènement définitif pendant environ trente ans. Il fallait le nom et la
science
de Charcot pour imposer au monde savant l'idée qu
age à Nancy, et qu'ils ont importé dans leur patrie les progrés de la
science
réalisés dans les cliniques de MM. Beraheim et Li
édical, puisque, pour traiter un malade, il faut posséder l'art et la
science
d'un médecin ; or le premier paysan venu peut fai
iére ? Ne traduirait-on pas parfaitement la pensée de ce prince de la
science
par ces mots : Il se peut que votre traitement so
et l'instruction du peuple s'élève ou s'abaisse avec le niveau de la
science
de l'université. Les médecins ont protesté les
effort de la médecine mentale, a la Renaissance, pour débarrasser la
science
psychiatrique des diables et de leurs miracles. N
Société. — Congrés de l'Association française pour l'avancement des
sciences
(session d'Oran, du 29 mars au 8 avril).Au moment
s auront la primeur des communications faites sur l'hypnotisme et les
sciences
qui s'y rattachent. — Congrès des Sociétés sava
l'hypnotisme a été plusieurs lois à l'ordre du jour. A la section des
sciences
médicales, présidée avec la plus grande courtoisi
re. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES
SCIENCES
SESSION D'ORAN SECTION DES SCIENCES MÉDICALES
ANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES SESSION D'ORAN SECTION DES
SCIENCES
MÉDICALES Le bureau est ainsi constitué : Prési
écemment un magnétiseur avait suggéré a un étudiant de la Faculté des
sciences
de Dijon d'abandonner ses études et de le suivre
. Cette faveur est-elle une mode? car la mode règne partout, dans les
sciences
comme ailleurs. Je ne le crois pas. Je pense plut
fin. cela suffit. Ils ne sont point tenus de soulever le poids de la
science
tout entière, s'ils ne peuvent pas ou s'ils n'ose
ai peur qu'il n'ait triomphé trop tôt près du grand public : dans les
sciences
, la popularité est un péril. Les livres, mémoires
e d'erreurs. Entre toutes. il en est une qui s'est accréditée dans la
science
avec un bonheur insolent. On l'a proclamée le mal
ux le désir de n'avoir rien de commun avec ceux qui. sous prétexte de
science
, se livrent à des exhibitions théâtrales. Ils ont
que j'ai lu, il y a quatre ans. sur le même sujet, à l' Académie des
sciences
morales et politiques ; mais je n'ai pas tardé à
du moins. l'une considérant la suggestion dans ses rapports avec les
sciences
médicales, l'autre avec la jurisprudence et la mé
hypnotisation, les degrés de sommeil ; la discussion à l'Académie des
sciences
morales et politiques, les expériences confirmati
. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES
SCIENCES
SESSION 'D'ORAN (Suite) section de pédagogi
es données vagues et souvent contradictoires. Comme dans les autres
sciences
, la méthode expérimentale peut seule conduire à d
une large place dans les recherches et les méditations des hommes de
science
. Mais même dans les conditions les plus légitim
antes se rattachent a des médecins tels que Braid. ou a des foyers de
science
médicale tels que la Faculté de Breslau. l'Ecole
clusive de ce vaste domaine. Nous admettons volontiers qu'un homme de
science
, qu'un naturaliste, qu'un philosophe institue des
ar les personnalités les plus marquantes et les moins suspectes de la
science
, même par des hommes éminents qui ont usé, pour n
qui soulève encore tant de passion, même chez quelques hommes de
science
, au point qu'ils semblent en faire une question p
citation qui inquiétèrent vivement sa famille. L'hypnotisme est une
science
qui ne doit pas être mise sur les tréteaux, car d
es séances publiques d'hypnotisme, tout en réservant les droits de la
science
, car l'hypnotisme est un précieux instrument de p
ble et de mieux prouvé et que son usage est permis, intéressant et la
science
et la foi, quand il consiste dans le simple emplo
, le jeudi 24 mai, a la Sorbonne, pour obtenir le titre de docteur es
sciences
naturelles, une these ayant pour titre : « Recher
s grades en histoire naturelle. Elles manifestent d'ailleurs pour les
sciences
naturelles des aptitudes tres marquées. La plupar
29. Art de punir. 361. Association française pour l'avancement des
sciences
(session de Toulouse), 138, 191. — (session d'Ora
création en démontrant à tous les esprits, non prévenus, que, dans la
science
de l'hypnotisme, en dehors des attraits d'une vai
te qualification. En hypnotisme, comme dans toute autre branche des
sciences
biologiques, il faut bien se convaincre que, selo
e, selon la parole d'un de nos maîtres les plus éminents : « Il n'y a
science
que là où s'est faite une lumière définitive qui
cale à l'université de Liège, voulut bien me prêter le concours de sa
science
et l'autorité de son expérience et de son nom.
établir d'emblée une doctrine inattaquable ; la première phrase de la
science
naissante doit consister à accumuler les observat
d mérite de ce savant auteur est d'avoir cherché à mettre d'accord la
science
et la tradition. Érudit bibliophile, il a su trou
nt bien réels, et, qui plus est, sur le point d'être expliqués par la
science
moderne. M. de Rochas commence par exposer les
ophes et à tous les esprits cultivés que préoccupe, â juste titre, la
science
de l'hypnotisme si féconde en révélations psycho-
e. Je ne partage donc pas l'avis de M. Hardy sur la suppression des
sciences
naturelles des programmes de l'enseignement secon
ntre lesquelles restent impuissantes les ressources habituelles de la
science
de l'éducation. M. Bérillon, au dernier Congrès
léchir même les esprits les plus prévenus et ce n'est pas rendre à la
science
le moindre service que de forcer les esprits prév
r Laborde, rédacteur en chef de la Tribune Médicale. — Académie des
sciences
. — L'Académie de» sciences a procède, dans sa séa
f de la Tribune Médicale. — Académie des sciences. — L'Académie de»
sciences
a procède, dans sa séance du lundi 18 juillet 188
undi 18 juillet 1887. a l'élection d'un secrétaire perpétuel pour les
sciences
physi-ques, en remplacement de M. Vulpian, décédé
lent a nous mettre en garde contre les sug-gestions inconscientes. La
science
, obstinée à la recherche de la raison d'être des
retardataires qui se laissent traîner à la remorque de leur temps, la
science
doit, trouver remède a tout. C'est en elle qu'i
adulte. On peut donc leur imposer ce que comportent tes progrès de la
science
moderne. Il serait peut-être avantageux de vari
naturelles, de le meubler de toutes les acquisitions nouvelles de la
science
et de ne pas laisser péricliter, faute d'une cult
ESPONDANCE ET CHRONIQUE Association française pour l'avancement des
sciences
. — Congrès de Toulouse. Le Congrès de Toulous
1887.) Guermonprez : L'hypnotisme et les suggestions hypnotiques. [
Science
catholique, mai et juin 1887.) Frédéric W. H.
l'hypnotisme. (Id. May 1887.) Lombroso : L'hypnotisme applique à la
science
pénale. (Archivio di psychiatria, t. VIII, 1887.)
7.) Tonnini: La suggestion et les songes. (Archivio di psychiatria,
science
penali e an-thropologia criminale, t. VIII, 1887.
e moment, le Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
est réuni à Toulouse. Les travaux de ses sect
vaux de ses sections sont en pleine activité. Déjà la section des
sciences
médicales et celle de pédagogie ont reçu d'import
ernheim et Grasset avaient été élus vice-présidents de la section des
sciences
médicales, et que notre rédacteur en chef, M. le
cteurs Bourru et Burot ont entretenu le congrès pour l'avancement des
sciences
de Grenoble en 1885, et qui sont relatives à l'ac
llusion de l'ignorance, sinon comme une manœuvre de charlatanisme. La
science
s'est décidée a regarder tout autour d'elle ; ell
cables dans l'état de nos connaissances, un courant s'établit dans la
science
qui porte les observateurs les plus sérieux, phys
folie on l'a étudiée, on commence à la connaître. Par conséquent, la
science
peut la combattre, la refouler peu à peu. Certes,
enne, août.) Keser : Un cas de sommeil prolongé. (Journal of Mental
Science
, juillet 1887.) Robertson : Traitement de la ca
la terre classique des chants e; des fleurs ; on peut ajouter que les
sciences
y sont, comme les lettres et les arts, l'objet d'
bjet d'un culte assidu. Aussi bien, l'hypnotisme, qui se rattache aux
sciences
biologiques, devait-il trouver, chez nos Voisins
médical affectent, non sans une nuance de malice, de confondre cette
science
avec le charlatanisme des magnétiseurs et des som
ot. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES
SCIENCES
XVIe Session a Toulouse (22-29 Septembre 1887)
IENCES XVIe Session a Toulouse (22-29 Septembre 1887) SECTION DES
SCIENCES
MÉDICALES (1) Dans la première séance, le burea
exagérés par ceux qui n'ont pas une connaissance approfondie de cette
science
. Le viol, presque impossible à accomplir à l'état
n peut retirer la pratique médicale. • (i) Gazette hebdomadaire des
sciences
médicales de Bordeaux, 11 septembre 1887. L'abo
, M. le professeur (Brown-Séquard) a commencé devant l'Académie des
sciences
une série de lectures destinées à résoudre l'impo
l'Académie de médecine ; Lacazc-Duthiers, professeur à la Faculté des
sciences
de Paris ; le docteur Lagneau, membre de l'Académ
. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES
SCIENCES
XVIe Session a Toulouse. (22-29 Septembre 1887)
En 1886, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
à Nancy, nous avons présenté une étude générale s
énéralement admise par tous ceux qui n'ont pas étudié complètement la
science
de l'hypnotisme. Tous les hypnotisés ne sont pas
gue et le médecin se compléteront l'un l'autre'dans la création d'une
science
nouvelle dont le vrai nom est l'orthopédie morale
examen et de contrôle. »..... Le reportage n'a rien a faire avec la
science
. J'en dirais peut-être autant des commissions aca
ajorité des voix. » A Dieu ne- plaise que nous voulions faire de la
science
un temple mystérieux et inaccessible, ouvert à qu
suivent: Bourses d'agrégation (1re année): MM. Carpentier, licenciées
science
» phy-siques, mathématique» et naturelles; Chudeau
cience» phy-siques, mathématique» et naturelles; Chudeau, licencié ès
sciences
physiques et naturelles: Constantin Lefebvre. — B
Bourses de doctorat (1re année : MM. Chan-veau et Rahon, licencies es
sciences
naturelles. Une prolongation de bourse est accord
t les noms suivent : — Doctorat (1re année): M. Veillard. licencié es
sciences
naturelles. — Doctorat (2e année. : MM. Biétrix,
sciences naturelles. — Doctorat (2e année. : MM. Biétrix, licencie es
sciences
naturelles; Boule, licencié es science» physiques
e. : MM. Biétrix, licencie es sciences naturelles; Boule, licencié es
science
» physiques et naturelles, agrégé des sciences nat
lles; Boule, licencié es science» physiques et naturelles, agrégé des
sciences
naturelles ; Goguel, licencié es sciences naturel
s et naturelles, agrégé des sciences naturelles ; Goguel, licencié es
sciences
naturelles ; Ménigaux, licencié es sciences physi
les ; Goguel, licencié es sciences naturelles ; Ménigaux, licencié es
sciences
physiques et es sciences naturelles, agrégé des s
sciences naturelles ; Ménigaux, licencié es sciences physiques et es
sciences
naturelles, agrégé des sciences naturelles; Perri
licencié es sciences physiques et es sciences naturelles, agrégé des
sciences
naturelles; Perrin, licencié es sciences physique
ences naturelles, agrégé des sciences naturelles; Perrin, licencié es
sciences
physiques et naturelles; MM. Meunier et Wertheime
nces physiques et naturelles; MM. Meunier et Wertheimer, licencies es
sciences
naturelles. Médecin-docteur ès letrres. — M. Er
jours paru le but le plus beau de la vie; je » désire être utile a la
science
encore après ma mon. » » C'est dans ce but qu'à
en vue d'un intérêt supérieur était une habitude, se dé-» vouer à la
science
et au progrès social était un besoin. Payant d'ex
yant d'exemple » et s'engageant mutuellement à léguer leur corps a la
science
, ils fon-» dèrent une Société mutuelle d'autopsie
de préjugés qu'ils ont. môme après leur mort, un moyen de ser-vir la
science
qu'ils avaient entourée pendant leur vie du culte
ver promptement la Société d'autopsie, car rien de ce qui touche à la
science
de l'homme, qu'il soit éveillé, endormi ou mort,
ccupe, que par les effets qu'ils produisent, pour cette raison que la
science
n'est pas encore parvenue à en connaître l'essenc
Forget, Landouzy, Briquet, Grisolle, Bernutz, tour à tour dotèrent la
science
d'observations rendant indéniable, désormais, l'a
bservateurs, il n'avait cependant pas pour ainsi dire pénétré dans la
science
. Ce sont les expériences du Havre qui ont, pour l
de des mesures exactes telles qu'on les pratique aujourd'hui dans les
sciences
physico—chimiques, on est quelque peu dérouté par
ulle théoriquement : mais en fait elle est nulle, aussi bien dans les
sciences
les plus solides, comme la physique, la chimie et
us solides, comme la physique, la chimie et la zoologie, que dans les
sciences
les plus hypothétiques. La probabilité que je vai
portion du public, ne doit-il pas être dévoilé à tous les amis de la
science
? Rien de mystérieux, rien d'inaccessible aux inve
ées de cause, de substance, ni aucun des principes fondamentaux de la
science
. La réalité fournit des matériaux, mais c'est l'e
ons que des machines dociles au moindre contact, que deviendraient la
science
, le mérite et le démérite, et la vertu, enfin, qu
tait pas de la classer sans autre forme de procès dans le cadre de la
science
officielle et toute faite. (1); Cette femme a d
sycho-thérapeutique, grâce à James Braid, entre dans le domaine de la
science
; elle n'y entre toutefois que furtivement; la gue
ènement définitif pendant environ trente ans. Il fallait le nom et la
science
de Charcot pour imposer au monde savant l'idée qu
age à Nancy, et qu'ils ont importé dans leur patrie les progrés de la
science
réalisés dans les cliniques de MM. Beraheim et Li
édical, puisque, pour traiter un malade, il faut posséder l'art et la
science
d'un médecin ; or le premier paysan venu peut fai
iére ? Ne traduirait-on pas parfaitement la pensée de ce prince de la
science
par ces mots : Il se peut que votre traitement so
et l'instruction du peuple s'élève ou s'abaisse avec le niveau de la
science
de l'université. Les médecins ont protesté les
effort de la médecine mentale, a la Renaissance, pour débarrasser la
science
psychiatrique des diables et de leurs miracles. N
Société. — Congrés de l'Association française pour l'avancement des
sciences
(session d'Oran, du 29 mars au 8 avril).Au moment
s auront la primeur des communications faites sur l'hypnotisme et les
sciences
qui s'y rattachent. — Congrès des Sociétés sava
l'hypnotisme a été plusieurs lois à l'ordre du jour. A la section des
sciences
médicales, présidée avec la plus grande courtoisi
re. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES
SCIENCES
SESSION D'ORAN SECTION DES SCIENCES MÉDICALES
ANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES SESSION D'ORAN SECTION DES
SCIENCES
MÉDICALES Le bureau est ainsi constitué : Prési
écemment un magnétiseur avait suggéré a un étudiant de la Faculté des
sciences
de Dijon d'abandonner ses études et de le suivre
. Cette faveur est-elle une mode? car la mode règne partout, dans les
sciences
comme ailleurs. Je ne le crois pas. Je pense plut
fin. cela suffit. Ils ne sont point tenus de soulever le poids de la
science
tout entière, s'ils ne peuvent pas ou s'ils n'ose
ai peur qu'il n'ait triomphé trop tôt près du grand public : dans les
sciences
, la popularité est un péril. Les livres, mémoires
e d'erreurs. Entre toutes. il en est une qui s'est accréditée dans la
science
avec un bonheur insolent. On l'a proclamée le mal
ux le désir de n'avoir rien de commun avec ceux qui. sous prétexte de
science
, se livrent à des exhibitions théâtrales. Ils ont
que j'ai lu, il y a quatre ans. sur le même sujet, à l' Académie des
sciences
morales et politiques ; mais je n'ai pas tardé à
du moins. l'une considérant la suggestion dans ses rapports avec les
sciences
médicales, l'autre avec la jurisprudence et la mé
hypnotisation, les degrés de sommeil ; la discussion à l'Académie des
sciences
morales et politiques, les expériences confirmati
. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES
SCIENCES
SESSION 'D'ORAN (Suite) section de pédagogi
es données vagues et souvent contradictoires. Comme dans les autres
sciences
, la méthode expérimentale peut seule conduire à d
une large place dans les recherches et les méditations des hommes de
science
. Mais même dans les conditions les plus légitim
antes se rattachent a des médecins tels que Braid. ou a des foyers de
science
médicale tels que la Faculté de Breslau. l'Ecole
clusive de ce vaste domaine. Nous admettons volontiers qu'un homme de
science
, qu'un naturaliste, qu'un philosophe institue des
ar les personnalités les plus marquantes et les moins suspectes de la
science
, même par des hommes éminents qui ont usé, pour n
qui soulève encore tant de passion, même chez quelques hommes de
science
, au point qu'ils semblent en faire une question p
citation qui inquiétèrent vivement sa famille. L'hypnotisme est une
science
qui ne doit pas être mise sur les tréteaux, car d
es séances publiques d'hypnotisme, tout en réservant les droits de la
science
, car l'hypnotisme est un précieux instrument de p
ble et de mieux prouvé et que son usage est permis, intéressant et la
science
et la foi, quand il consiste dans le simple emplo
, le jeudi 24 mai, a la Sorbonne, pour obtenir le titre de docteur es
sciences
naturelles, une these ayant pour titre : « Recher
s grades en histoire naturelle. Elles manifestent d'ailleurs pour les
sciences
naturelles des aptitudes tres marquées. La plupar
29. Art de punir. 361. Association française pour l'avancement des
sciences
(session de Toulouse), 138, 191. — (session d'Ora
L'HYPNOTISME ('). l'iir M. le D' Edgar Bîiullox. Comme toutes les
sciences
, avant d'entrer dans la voie scientifique, l'hypn
ection de médecine de l'Association britannique pour l'avancement des
sciences
refuse de mettre à son ordre du jour une communic
in qu'elle n'est pas complète et que par lo fait de l'évolution de la
science
elle est devenue susceptible d'extension. C'est c
phénomènes observés sous lo terme générique d'hypnotisme a rendu à la
science
un service inestimable. Le mot a fait fortune. ïl
sibilité de modifier une appellation déjà consacrée par l'usage. En
science
, il est do toute nécessité de se rallier à des mo
onal de psychologie, en 1SS9, de préciser les termes en usage dans la
science
de l'hypnotisme. « C'est, disait-il, par suite de
que les erreurs se perpétuent. Condillac a dit quelque « part qu'une
science
n'est qu'une langue bien faite. C'est là « une vé
les débats, avait fait remarquer qu'il était inutile de donner à une
science
un nom ayant une signification étymologique qui l
: algèbre, chimie, électricité ne signifient pas étymologiquement les
sciences
de ce nom-M. Espinas confirma cette opinion en di
ciences de ce nom-M. Espinas confirma cette opinion en disant : « Les
sciences
« font des progrès et les mots qui au début les d
ge n="7"> fui décidé que le mot hypnotisme serait réservé » à la
science
« qui s'occupe des phénomènes nerveux compris gén
te, comme il le disait dans sa célèbre communication à l'Académie des
sciences
fl. Ses élèves ont continué à partager cette op
me, au simple point de vue théorique, mérite de prendre corps dans la
science
. En outre, il en résulte des applications pratiqu
frère de Wallon de Deaupuis, étaient plus pour la piété que pour les
sciences
, on ne pressoit pas si forties enfants pour les é
bon observateur a connu de tous temps les faits d'hypnotisme dont la
science
s'est si longtemps désintéressée. Plusieurs coutu
par M. Emile Boirac, Reaue philosophique, 1899. Jadis, l'objet des
sciences
occultes apparaissait comme mystique, anormal, té
difficulté avec laquelle ils se révèlent. Ces phénomènes spéciaux, la
science
ne peut encore ni les connaître ni les maîtriser
ureuses méthodes d'observation et de con-trêle, d'agrandir les vraies
sciences
, les sciences modernes fondées sur l'expérience e
es d'observation et de con-trêle, d'agrandir les vraies sciences, les
sciences
modernes fondées sur l'expérience et le calcul, d
déclarer d'avance invraisemblables et impossibles jusqu'au jour où la
science
aura trouvé le moyen de les produire et de les re
ont éclatants et que nous ne savons ni observer ni provoquer. Plus la
science
poursuivra ses recherches, plus se multiplieront
rier, 1, place Jussiou. Association française pour l'avancement des
Sciences
Le Congrès de l'Association française qui se ti
rincipal : 1. De fixer d'une façon définitive la terminologie de la
science
de l'hypnotisme ; 2. D'enregistrer et de déterm
ngrès suivra presque immédiatement celle du Congrès international des
sciences
médicales. RÈGLEMENT Art. I*. Le Congres se r
s par Brown-Séquard. En résumé, l'hypnotisme est essentiellement la
science
de l'inhibition et de la dynamogénie des centres
s médicaux d'il y a cent ans. Le peuple est toujours en retard sur la
science
, il prend pour du neuf ce qui n'est plus déjà qu'
Pharmacopée universelle, par Nico-as Lenwy, do l'Académie royale des
sciences
docteur en médecine, MliCCLXI, p. %. — Histoire g
éories. Bien entendu, aucun élément nouveau n'a été introduit dans la
science
— les congrès ne sont d'ailleurs pas faits pour c
marquant dans l'histoire de sa vie. II; entend parler d'une nouvelle
science
, l'électro-biologie, qui passionnait alors l'Amér
r,] il l'étudia avec une méthode scientifique. Comme il n'y a pas dei
science
sans taxinomie, il commence par classer les faits
ère, peut-être à tort. La fascination mérite une étude à part dans la
science
hypnotique; Enfin le Mesmérisme comprend les ph
randeur, annihiler leur force, se repentir d'avoir un instant aimé la
science
ou l'art. Noua avons vu 'es idées suggérées, vé
mains. Or, si l'on ne connaît bien Pascal, si l'on n'est armé par la
science
, on ne lit pas sans trouble les Pensées. Que d'er
paralysie en se recommandant de diplômes délivrés par la Faculté des
Sciences
magnétiques, îa Sociéié magnétique de France, etc
ainsi libellé: ? Université libre des hautes études. — Faculté des
Sciences
magnétiques. — Ecole pratique de magnétisme et de
le jury d'examen sur avis conforme des professeurs de la Faculté des
sciences
magnétiques, à M. Desbouis (Charles), né à Sichôs
nclusions devant le tribunal de ce titre de diplômé de la Faculté des
sciences
magnétiques, s'appliquent à faire croire qu'ils o
t plus resplendissante. Association française pour l'avancement des
Sciences
. La session de l'Association Française pour l'A
iences. La session de l'Association Française pour l'Avancement des
Sciences
à Boulogne en 1809 (14-21 Septembre), aura une im
appliquer au docteur Liébeault, qui pendant cinquante ans prodigua sa
science
à des milliers de pauvres, sa science merveilleus
ndant cinquante ans prodigua sa science à des milliers de pauvres, sa
science
merveilleuse, consolant les tristes, faisant marc
nt de Paul en mémo temps que savant. Cette vie fut au service de la
science
, sans défaillance ; chercheur obstiné de la vérit
ujet dort. Le merveilleux surnaturel disparaissait faisant place à la
science
. Et pendant le sommeil (hypnose), le sujet est
suscription portait: Au DocTEcn Liébeault Pour services rendu à la
science
cl à rhumanilè. EL depuis celle glorieuse journ
de inductive, la méthode de Bacon, qui faisait déjà la force d'autres
sciences
et qui devait rester la méthode scientifique et v
e de ce siècle, il fonda, à proprement parler, la Biologie qui est la
science
de la vie. Cette dernière gloire, Bichat la par
s ; il étudie les éléments communs à ces divers organes, il crée la «
science
des parties similaires » ; « le premier, il intro
science des parties similaires » ; « le premier, il introduit dans la
science
la notion des tissus, c'est-à-dire d'éléments dif
s le fond. La première grande explosion du progrès se fait vers les
sciences
avec Laplace et Monge, Berthollet et Fourcroy, Ch
IX· siècle, comprend le développement de l'anatomie pathologique, des
sciences
physicochimiques et naturelles, de la physiologie
l à la plante ». Il est ainsi « l'inventeur et le législateur de la
science
physiologique». On a même pu dire qu'il fuU la ph
osophe. Non seulement il proclame utile et nécessaire l'union de la
science
et de la philosophie, mais, à côté et en dehors d
unissent le monde vivant et le monde inorganique, il montre que« les
sciences
biologiques se soudent aux sciences naturelles et
e inorganique, il montre que« les sciences biologiques se soudent aux
sciences
naturelles et physiques », mais ne se confondent
ce des progrès scientifiques du XIXe siècle (il ne connaissait que la
science
de Buffon et plaisantait Darwin), l'action de la
ssait que la science de Buffon et plaisantait Darwin), l'action de la
science
fut, au contraire, considérable sur cette grande
vanche. Le réalisme triomphant du romantisme, c'est le triomphe de la
science
sur l'imagination et le sentiment ». Claude Ber
Ouand Claude Bernard avait proclamé ,utile et nécessaire Tunion de la
science
et de la philosophie, cela avait pu paraître une
longtemps aux investigateurs les attraits que donne la culture d'une
science
pure, l'hypnotisme offre aux savants de notre gén
e, l'hypnotisme offre aux savants de notre génération l'intérêt d'une
science
appliquée. De l'étude de l'hypnotisme, abordée
faits médicaux. Pour notre instruction et pour le développement de la
science
psychologique, souhaitons que M. Philippe fasse s
sur-Mer Le Congrès de l'Association française pour l'Avancement des
Sciences
s'est réuni le 1-i septembre à Boulogne-sur-Mer s
nt bien l'hypnotisme sont suffisamment armés dans l'état actuel de la
science
pour reconnaître l'inconscience du sujet et même
t un moyen très efficace contre la chorée hystérique. CHRONIQUE DES
SCIENCES
PSYCHIQUES Par M. Jules Bois. I Victor Hugo
, qui en a été témoin pendant son voyage dans l'Inde. Les Annales des
Sciences
psychiques (juillet-aout),du D'Dariex, reproduise
z créé l'orthopédie mentale et, ainsi, la psychologie est devenue une
science
utile, bienfaisante, qui régénère le corps, qui r
i elle met à son service une persévérance inlassable. CHRONIQUE DES
SCIENCES
PSYCHIQUES Par M. Jules Bois. La fausse et la
aisser aux superstitions le privilège de coriso-ler, maïs en doter la
science
psychique. Sans se perdre dans le merveilleux et
ser la connaissance do l'hypnotisme, qui apparaissait alors comme une
science
nouvelle. Lo lendemain de la communication de V
fondateur du groupe girondin de Y Associa lion pour V avancement des
Sciences
. 11 y Ut des communications remarquées sur la Dou
ime d'un hypnotiseur criminel, nous pouvons et nous «levons mettre la
science
au service do la justice pour la découverte de la
rre réservée, l'Uranoscopie, la Chiroscopie, laMétaposcopie et autres
sciences
chimériques, d'avoireu des vues vraiment géniales
ogie et en pédagogie. » L'Htpnotisme ou Magnétisme animal devant la
Science
, par M. le Dr Jean Foustanos. (En grec), 119 page
mmandent la lecture de ce livre qui fait honneur â son auteur et à la
science
grecque. Dans le pays d'Ilippo-crate et de Galien
nt du Conseil de l'Université ; Froment, président do l'Académie d.^s
Sciences
, Lettres et Arts de 2'jrd3-i>'.x ; Lande, prés
it à lui procurer les joies profondes de l'étude, aussi bien dans les
sciences
medicaids quo dans les choses artistiques où sa c
tissnc? !a confidence de ces essais qui préparèrent l'avènement d'une
science
, alors à peine constituée, ?a psychologie expérim
aprea dovcph- son cendre I Si vie, partagée entre la famille et la
science
, fut celle d'un sage ; et sa fin. si courageuse e
Jeudi I" Mars, à huit heures et demie, M le Ii'Garnuull, docteur es-;
sciences
, fera une conférence sur : La venirUoquie religie
Royal. de Port-Royal « étaient bien plus pour la piété que pour les
sciences
. « Au reste, loin de chercher à expliquer leurs
i offrir un objet d'art à l'occasion de son élection à l'Académie des
sciences
morales et politiques. Lu bureau est chargé recue
itique et le classement des symptômes objec-ifs a fait progresser les
sciences
médicales: c'est ainsi que tout récemment, en dér
parence. Dans le cas présenté par M. le D* Marinesco à l'Académie des
sciences
, il s'agissait d'un jeune homme de 25 ans, à héré
seur Liégeois, de Nancy, comme membre correspondant de l'Académie des
sciences
morales et politiques. Idées délirantes de pers
ée maximum de la rage déclarée, et enregistrée jusqu'à présent par la
science
, n'a jamais dépassé sept jours. Outre ces parti
er un mémoire, traduit dans le numéro de janvier du Journ I of mental
Science
, sur la physiologie du plaisir ou plutôt des sens
Mercredis, à 8 h. 1J2 du soir, (amphithéâtre de Vancienne Faculté des
Sciences
.) Programme des Cours de 1900 28 Maiîs. — Néc
vient, de recevoir la croix du Sauveur pour ses services rendus à la
science
médicale. Ouvrages reçus â la Revue. Kn. A.mi
composée, de l'idée et du jugement? Tout, dans l'état actuel de la
science
, nous invite à donner de ces substrats les défini
us, il constata la même particularité.. D'ailleurs, les initiés de la
science
anthropologique estiment que la tète féminine pré
as, voilà de quoi consoler ceux ou celles qui ne « mordent * pas à la
science
mathématique : dame Nature leur a refusé ce don e
t de la science- médicale et dès 1887 il était élu par l'Académie des
sciences
correspondant de l'Institut: l'année suivante, ce
fonction d'une loi simple. Ce qui distingue l'homme de génie dans la
science
, c'est avant tout la simplicité. Quoi de plus sim
ra étudier en détail la biographie des sujets (1) C'est parce qu'en
science
Biaise Pascal sut se dégager des autorités, qu'il
és de la Seine, p. 352. Association française pour l'avancement des
Sciences
p. 30. 94, 122. Asthme (Traitement de l'asthme pa
. Chloroforme et suggestion par Paul Farez, p. 202. Chronique des
Sciences
psychiques, par Jules Bois, p-151, 185. Chronom
ert Charpentier, p. 204. Hypnotisme ou magnétisme animal de-vent la
Science
, par Jean Foustanos, p. 216. Hypnotisme dans le
o-rabies (Un cas de), par Lebell, p. 311. Psychiques (Chronique des
Sciences
), par Jules Bois, p. 151, 185. Psychologie des
e connaitre la vérité, en nous servant des découvertes récentes de la
science
.. Nous avons cherché nos documents principaleme
uiconque l'a vu et l'a écouté, au Collège de France, à l'Académie des
sciences
morales ou aux Congrès de l'Institut internationa
ages définitifs doit être considéré comme l'un des précurseurs, de la
Science
sociale, de cette sociologie subjective, disons m
nécessité de condenser et synthétiser les lois émises par toutes les
sciences
sociales. Mais il sut, plus humainement pour ains
r génération interne et externe sont à la biologie. L'autonomie de la
science
sociale est désormais assurée, puisque la conscie
nt psychologique ou moral qui convient au traitement des névroses. La
science
de la psychothérapie, créee de toutes pièces en F
d'Alexandrie la considérait comme le fond de son dogme. (') Mais la
science
est venue, et miracles et théories extatiques se
soudre non à la façon des métaphysiciens, mais à la façon des gens de
science
, par l'expérience. Mais l'expérience sur l'homme
ychologie au congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
. — Discours de M. le professeur Giard. — La pédag
l'eau. Le congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, s'est tenu du 3 au 12 août. & Cherbourg, sou
oncé un discours d'une haute portée philosophique sur l'évolution des
sciences
biolo* giques. Après avoir clairement exposé l'in
nsidérable que les doctrines évolutionistes ont exercé sur toutes les
sciences
biologiques, M. Giard a démontré que l'idée de la
dée de la sélection naturelle s'est imposée peu à peu dans toutes les
sciences
de la nature et me^rae dans le domaine de la psyc
le, Darwin a supprimé tous les Rémora, qui arrêtaient le navire de la
science
. Car peu importe que l'Idée de finalité persiste,
liste soit reléguée dans les réglons de la métaphysique où l'homme de
science
digne de ce nom doit éviter de s'égarer. ¦ Et D
olution analogue a celle que Newton et Laplace ont accomplie dans les
sciences
astronomiques. c II ne peut entrer dans le plan
s les comptes-rendus de l'Association française pour l'avancement des
sciences
. considérait comme le plus indispensable à l'
les vieilles croyances s'écroulent tour à tour et où les points de la
science
qui semblaient les mieux établis sont remis en di
est le devoir que nous impose la devise de notre Association : par la
science
pour la patrie- a C'est aussi le moyen d'orient
section de pédagogie de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, M. le Dr liérlllon, médecin-inspecteur des asile
conforme à l'esprit de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
. M. le D" Bérillon a été désigné comme président
téressent à la pédagogie envisagée non plus empiriquement, mais comme
science
de l'éducation. M. le Dr Brunoo, directeur de l
moyens d'investigations que lui offrent la Chimie, l'Electricité, les
Sciences
naturelles, la Psychologie, l'Hypnotisme, etc., s
teinte d'hystérose. Mgr de Ségur ajoute que ce pouls normal, c'est la
science
renversée; nous craignons bien que ce soit le mir
e renversée; nous craignons bien que ce soit le miracle plutôt que la
science
qui soit renversé. 5° L'accès setermine-t-il pa
thématiques dans un collège; ce savant, très versé également dans les
sciences
mécaniques qu'il cultivait par goût, était attein
d'une haute portée philosophique dont voici les conclusions : c La
science
, elle, ne nous abuse pas; et, quand nous l'interr
ntifiques et leur influence sur le rapprochement amical des hommes de
science
. Dans le second, nous avons applaudi de spiritu
ssent à l'égard d'un maître dont les travaux font tant d'honneur à la
science
française. En résumé, le Congrès de Liège a eu
aux sénateurs et aux députés ce qui reste à faire pour permettre à la
science
française de maintenir son rang dans la lutte eng
reux de vouloir créer un miracle sans se préoccuper des données de la
science
: des thaumaturges qui ne doutent de rien raconte
sortie d'un rocher comme si ledit rocher distillait cette eau. Or la
science
nous donne une toute autre explication : elle fai
t un caractère do réelle originalité. La condition de l'évolution des
sciences
réside dans l'obligation, pour chaque chercheur,
ent entrée dans la voie expérimentale, la psychologie est devenue une
science
positive. Chaque jour voit s'élargir le domaine d
uera certainement à démontrer qu'à côté de la physiologie, qui est la
science
de la vie, la psychologie doit t'-tre, en dernièr
cience de la vie, la psychologie doit t'-tre, en dernière analyse, la
science
de la raison et de la volonté. Les volumes non
itable modèle du genre, révèle l'expert consciencieux, chez lequel la
science
le dispute à l'esprit psychologique. En opposit
rte d'autres explications. Pour tous ceux qui admirent chez Ribéra la
science
de l'anatomie et la préoccupation de l'exacte vér
par l'éclat de sa civilisation, par le développement des lettres, des
sciences
et des arts peut être considérée comme un des peu
férence du Dr BériUon à l'Association française pour l'avancement des
sciences
. Le jeudi i,f février, à cinq heures, aura lieu
M. Berthelot, ancien ministre, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, l'inauguration du buste, élevé par souscription,
n. • • Chaque année l'Association française pour l'avancement des
sciences
convie les membres de l'Association à des confére
evons mentionner M. Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, Raymond, professeur à la Faculté de médecine, Al
l'homme de caractère, trop souvent différent de l'homme d'esprit, de
science
et même de génie. » Par ces paroles le Dr Huchard
t un caractère de réelle originalité. La condition de l'évolution des
sciences
réside dans l'obligation, pour chaque .chercheur,
ent entrée dans la voie expérimentale, la psychologie est devenue une
science
positive. Chaque jour voit s'élargir le domaine d
uera certainement à démontrer qu'à coté de la physiologie, qui est la
science
de la vie, la psychologie doit être, en dernière
science de la vie, la psychologie doit être, en dernière analyse, la
science
de la raison et delà volonté. » L'éditeur Dujar
éputation scientifique. Je me bornerai à vous dire que l'Académie des
sciences
vient de donner à ses études magistrales sur VEpi
Psychologie pouvait compter sur le concours des véritables hommes de
science
, ennemis de la routine et portés, par la nature d
3 fr. 50. L'auteur apporte dans l'exégèse la méthode générale des
sciences
naturelles, communes aux naturalistes, aux médeci
écrit dans un style clair, et sera lu non seulement par les hommes de
science
, mais par les gens du monde qui s'intéressent aux
ublique, M. Giard, professeur à la Sorbonne, membre de l'Académie des
sciences
, M. Mesureur, directeur de l'Assistance publique,
M- le Dp Le Menant des Chesnais, secrétaire général de la Société des
Sciences
psychiques, M. le général Mercier, sénateur, M. l
ent, et M. Grollet, secrétaire général). La Société universelle des
sciences
psychiques (parle D' Paul Joire, président). La S
M. Berthelot, ancien ministre, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, qui ont bien voulu accepter la présidence d'honn
e maître que nous vénérons comme une des gloires les plus pures de la
science
française, s'associe à notre manifestation en l'h
dont la vie tout entière a été consacrée au culte désintéressé de la
science
, c'était encore servir la science. Nous les r
rée au culte désintéressé de la science, c'était encore servir la
science
. Nous les remercions d'avoir pensé, comme nous, q
ces pieux hommages. Créateur de la psychothérapie, c'est-à-dire de la
science
qui contribue le plus puissamment au soulagement
apeutique ». Pendant près d'un quart de siècle, Liébeault répandit sa
science
en prodiguant gratuitement ses soins aux pauvres
ne, médecin modeste et homme de bien, qui ouvrit une ère nouvelle aux
sciences
médicales en les dotant de sa découverte : L'appl
de sa mère la liberté de suivre sa vocation qui l'entraînait vers les
sciences
naturelles. A vingt-et-un ans, il prit sa premièr
de médecine de l'Associa- tion britannique pour l'avancement des
sciences
avait refusé la lecture d'une communication ayant
u malveillants. « Du moment qu'on s'écarte du courant ordinaire de la
science
, en s'occupant de choses qu'elle rejette, ainsi q
a psychologie, mais encore d'avoir constaté les applications de cette
science
à l'art de guérir, lesquelles se résument dans la
sans un consentement préalable de l'esprit. Il est aussi acquis à la
science
que, lorsqu'on veut s'abandonner au repos, on rec
ec le paradoxal Delbœuf qu'il n'y a pas d'hypnotisme, c'est-à-dire de
science
du sommeil, c'est en nier les phénomènes,cequi es
it civil et criminel, dont il donna lecture en 1884, à l'Académie des
sciences
morales et politiques. Quant à M. Beaunis, appo
purer fatalement, et même s'absorber les unes dans les autres ; et la
science
, grâce à l'esprit d'examen, tout en les disséquan
» * Malgré les oppositions systématiques que rencontrent toutes les
sciences
nouvelles à leurs débuts, nul ne peut nier aujour
fonde, de cette largeur de vues qui constituent le véritable homme de
science
. Il y a quelques années, M. le professeur Lépin
stinée est de nous efforcer de nous en rapprocher sans cesse ; que la
science
est un perpétuel devenir. En instituant des profe
, il a cherché et créé une méthode nouvelle ; il a fait progresser la
science
. Véritable chef d'école, dans sa clinique particu
licate, 0 médecin de l'Ame et des longues douleurs. * * * Notre
science
, enfin reine de la Matière, A su régénérer les co
et mettez en œuvre tout ce que votre conscience autorise, puisque la
science
est vaine. L'énergie et la ténacité nous ménagero
on, si les esprits de cette trempe ne risquaient point de retarder la
science
en essayant de précipiter son mouvement. Je me le
'avoir pensé trop vite. En y réfléchissant, je me suis aperçu que les
sciences
naissantes, et l'hypnologie en est une, ont besoi
entreprenants, amis du risque, avides d'appliquer à la pratique de la
science
la belle formule de Frédéric Nietzsche : t II « f
é à l'idée de se rencontrer en consultation avec un des princes de la
science
; actuellement l'influence qui mtimide se dégage s
e ? C'est à douter de la richesse de la langue et de la concision des
sciences
!. Avant de terminer ce travail, nous avons vou
hoisis les quelques mots suivants dans une de ses études sur « la
science
des mœurs remplace-ra-t-elle la morale ? » *Tou
ychothérapie, et retournons aux dogmes religieux dont nous voyions la
science
se dépouiller avec satisfaction, retournons à eux
p.-ychothérapie, c'est de le voir entaché d'une philosophie et d'une
science
si dogmatiques, d'une psychologie si souvent erro
nault professeur à l'Ecole de psychologie. Le premier soin en toute
science
doit être d'établir des définitions exactes que p
s observations plus précises et limitées eussent été plus utiles à la
science
. II aurait opposé l'acte imité () aux actes pré
eignement au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, vient d'adresser la circulaire suivante pour inv
section. Monsieur, L'Association française pour l'avancement des
sciences
tient son prochain congrès à Lyon, le 2 août 1906
osés à la Revue, p. 160. Pédagogie au congrès pour l'avancement des
sciences
, p. 353. Pédagogie des anormaux, p. 67. Perve
ar Binet Sanglé, p. 254. Psychologie au congrès de l'avancement des
Sciences
, p. 65. Psychologie au congrès belge de neurolo
lait impossible que jamais la psychologie fût à la hauteur des autres
sciences
. Seuls, les savants qui se tenaient au courant
s recherches scientifiques sur l'hypnotisme avaient compris que cette
science
ne larderait pas à constituer une véritable métho
car nous étions convaincu qu'il y avait un réel service à rendre à la
science
, en arrachant l'hypnotisme des mains des empiriqu
e thèse destinée à marquer une étape considérable dans le progrès des
sciences
philosophiques. Le travail de M. Pierre Janet s
u contraire, il faut s'abstenir ? Puisque la médecine, au nom de la
science
et de l'art, a. dans ces derniers temps, pris pos
ntpallier. Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, du S au 18 août. Président : M. de Lacaze-Duthie
s organisateurs ont pour but : 1. De fixer la terminologie de cette
science
; 2. D'enregistrer et de déterminer les acquisit
ondensant ces précieux documents, livre l'état exact et complet de la
science
sur la matière. L'examen de la question tant de
e lecture attrayante et utile pour quiconque a souci des choses de la
science
et de l'enseignement. P. M. Der Hypnotismus,
ssi le psychologue instruit. Assez longtemps on a négligé la nouvelle
science
en Allemagne, mais il semble que notre littératur
s organisateurs ont pour but : 1. De fixer la terminologie de cette
science
; 2. D'enregistrer et de déterminer les acquisit
elle, débarrassée des incertitudes qui retardent les progrès de toute
science
nouvelle aura réalisé d'importantes acquisitions.
'en réferer à la très grande majorité des observations que possède la
science
.il est permis de conclure que dans les circonsta
ciété de Psychologie physiologique. M. BALLE Emile, de la Société des
sciences
naturelles de Rouen. M. BARROUX Abel, directeur d
eiller a la Cour d'appel de Paris. M. POIRAULT Georges, licencie es
sciences
. M- le Dr PUEL, lauréat de l'Académie de médeci
dier, médecin de l'Asile de Vaucluse. M. ROCHÉ Georges, licencié es
sciences
. M* Dr ROCHAS, commandant, administrateur de l'
e réunion et votre présence consacre officiellement l'existence de la
science
nouvelle de l'hypnotisme. Il serait inutile de
et ont largement contribué à vulgriser les enseignements de de cette
science
nouvelle. A côté de nos concitoyens, je suis heur
as peu coatribué à ouvrir à l'hypnotisme les portes de l'Académie des
sciences
. Avec l'appui et le concours de tels hommes, la
la représenter officiellment á notre Congrès. L'Hypnotisme est une
science
d'expérimentation, sa marche en avant est fatale.
sont-ils pas MM. Charcot. Brouardel, Charles Richel. L'Académie des
sciences
de Paris n'a-t-elle pas accorde des recompenses e
me, avait témoigné de sa foi dans le succès et la vulgarisation d"unc
science
nouvelle. Ses espérances n'ont point été déçues e
n'a pas tarde a se faire des adeptes. Cette formule, les hommes de
sciences
ne sauraient l'adopter, et cela précisément au no
ers; et c'est non seulement attenter a la liberté, a la justice, à la
science
, mais encore léser l'humanité et la morale que de
e l'hypnotisme comme agent thérapeutique rentre dans le domaine de la
science
médicale, et que l'enseignement officiel de ses a
e et de ses applications soit introduite dans dans l'enseignement des
sciences
médicales. Compte rendu des résultats obtenus à
s fran-çais et étrangers. L'anthropologie criminelle est encore une
science
à faire,a dit modestement M. le professeur Lacass
e savoir si l'anthropologie criminelle doit être considérée comme une
science
ayant d'ores et déjà des bases certaines et, par
m-manai (de Rome) y revient. « Si l'on considère combien est jeune la
science
de l'anhtropotogie criminelle, dit-il, on voit qu
on voit que l'on a fait de tels progrès dans la voie tracée par celte
science
, qu'on peut avoir l'assurance que bien peu de vér
les) admet que l'anthropologie peut avoir une grande importance comme
science
auxiliaire dans la partie du droit civil qui conc
i fait défaut jusqu'ici, la prison devant devenir, sous l'égide de la
science
médicale, le champ clinique du barreau et de la m
'Henri Bouley, ancien directeur d'Alfort, président de l'Académie des
sciences
et professeur de pathologie comparée au muséum. N
le pourrait l'être aussi pour les premiers, au cas où l'intérêt de la
science
l'exigerait. Voilà quelle parait être la voie q
folie avec conscience a donc acquis maintenant droit de cité dans la
science
, et le mot est aujourd'hui généralement accepté p
urs français et étrangers, et qui sont maintenant bien connus dans la
science
. Nous n'avons pas à insister ici sur ces faits,
s docteurs Briand et Vallon, dont on peut dire que. chez eux, eux, la
science
n'attend pas le nombre des années, car, jeunes en
nos travaux d'une façon platonique, mais que, vraiment dévouées à la
science
, beaucoup d'entre-elles, ont partagé vos labeurs.
e commune de fraternité et de solidarité scientifique. Je bois a la
science
, je bois à ce Congrès international de l'hypnotis
c'est par leur valeur intellectuelle, les progrès accomplis dans les
sciences
et les tentatives de soulagement apportées a l'hu
et l'harmonie entre les nations, «or le terrain de la charité, de la
science
et de la fraternité ! Apres loi. M. le Dr Brian
ès Scientifique de l'Exposition universelle, pour rendre hommage a la
science
française, leur demande de bien vouloir se .joind
porte un toast au soulagement des misères humaines par l'union de la
science
et de la charité ! (Applaudissements.) M. le Dr
litique qui divise, dit-il, et unissons-nous dans le cri de : Vive la
Science
! » M. Huard, avocat à la Cour de Paris et memb
s dignes successeurs de Pinel et d'Esquirol, a l'un des maîtres de la
science
fran-, çaisc. (Vifs applaudissements) Après lui
qu'il restera encore pendant des longues années une des gloires de la
science
. Vive Liébcault ! Vive ! l'Ecole de Nancy ! » L
et jusque dans nos temps par des hommes illustres dans les arts, les
sciences
ou la poli-tique, tous remarquablement pourvus so
u nez a de la politesse). L'auteur entrevoyant un grand avenir à la
science
du nez, apporte un document qui pourrait servir à
lté de médecine de Naples ! Nous voilà donc prévenus : une nouvelle
science
est en train de naître ; qui sait si, au vingtièm
ucoup trop dans la sience. 11 parait absurde dans l'état actuel de la
science
, de soutenir que la suggestion régénère des cellu
elle de la métalloscopie, un homme, dont le nom fait autorité dans la
science
autant par son caractère que par ses travaux scie
. con- t. iv, p. 573-589. Napoli, 1887-RAUE : Psychology as natural
science
applied to the solution of occult psychic phenome
rts atec le droit civil et le droit criminel, faites a l'Académie des
sciences
morales et politiques. L'auteur essayait de montr
s les événements avec leurs dates. 11 était également habile dans les
sciences
physiques, la logique, l'astronomie et les mathém
ergique, élevé dans les camps, et habile dans la guerre, il aimait la
science
et la société des hommes instruits. Il étudia l'h
répandues en maints pays. Elles florissaient surtout en Espagne où !a
science
des Ensalmas ou oraison était une branche des con
mènes sortis du domaine du merveilleux, pour entrer dans le cadre des
sciences
médico-psychologiques, qui nous donneront, dans u
s félicitations. » Concours relatif à l'Hypnotisme L'institut des
sciences
de Milan ayant établi un concours international p
ossible et n'a fait que creuser davantage tes fossés qui séparent les
sciences
. » L'auteur en conclut que c'est vers les science
s qui séparent les sciences. » L'auteur en conclut que c'est vers les
sciences
occultes que nous devons tourner nos regards. L
aient bien gardés. Est-ce que les galons ne tiennent pas Heu de toute
science
et de toute compétence? Si la cause de l'introduc
u fruit défendu et qu'ils voudront savoir à quoi s'en tenir sur cette
science
à laquelle on voudrait les empêcher même de pense
, continuez à vous instruire, tenez-vous au courant des progrès de la
science
» une circulaire intempestive vienne leur donner
illé. Mais ce n'est pas tout. (1). Lecture faite à l'Académie des
sciences
morales et politiques REVUS nt; i.'hypnotisui*
s Sociétés savantes s'ouvrira le mardi 37 mai prochain. Le bureau dei
sciences
est ainsi composé : Président. M. Barthelot; vi
aura lieu à Berlin du 4 an 9 août Une exposition internationale des
sciences
médicales sera annexée M Congres. La cotisation
] Gaz. lek.. Sér. II, t. VIII, p.567 Warszawa. 1888. : Psychic cures.
Science
. XIII. 339. p.406- New-York. 1889. OUVRAGES REÇ
uble personnalité que M. Proust vient de communiquer a l'Académie des
sciences
morales et politiques. Il concerne un avocat de 3
s visites,achète. (l) Bellanger, le magnétisme et chimères de cette
science
occulte, par le docteur , Bellanges Paris. in-8°
placer la question. Il s'arroge le droit de haut justicier, devant la
science
et devant l'histoire. Au lieu d'accepter loyaleme
llon : «... Il est bien plus commode de se dire en possession de la
science
, sans avoir lu, sans avoir expérimenté, ou, ce qu
t et de renommée ; dérobant à D....., par le canal d'un affilié, sa
science
pratique, et la débitant sur les mêmes théâtres,
mme ces vérités doivent se voiler la face), le procès général de la
science
libre et progressive (D.....) contre la science
rocès général de la science libre et progressive (D.....) contre la
science
patentée et conservatrice (Ladame), celui de la m
ès lors, la Justice appellerait-elle à son secours les lumières de la
Science
. Telle est l'appréciation judicieuse que suggèr
irez faire. Comptant sur un travail fructueux et profitable à notre
science
, nous vous adressons un salut confraternel et vou
e ds hautes-études. — M le Dr Paul Loye, préparateur à la Faculté des
sciences
et à la Faculté de médecine, vient d'être nommé m
estions. Le diable a dû battre en retraite devant les progrès de la
Science
et de la Raison. Et les convulsionnaires stigma
e, lorsqu'elle existe. (1) Communication présentée à l'Académie des
sciences
par M. le professeur Charcot. De plus, l'élude
stration intérieure des hôpitaux, tout en respectant les droits de la
science
, a le devoir de demander A l'Administration quell
dans les hôpitaux de Paris sont faites en vue du développement de la
science
auxquels les hôpitaux ne sont jamais restés étran
l d'expériences techniques qui ont lieu sous la direction d'hommes de
science
respectés de tous. Je ne suis pas surpris que M.
urs dans des proportions considérables, celui des fanatiques de cette
science
tend fort heureusement à diminuer. Nous ne somm
endus des sociétés les plus importantes,il saurait que l'Académie des
sciences
. l'Académie de médecine, la Société médicale des
ications récente de l'hypnotisme et que tout récemment l'Académie des
sciences
n'hésitait pas â récompenser, dans la même année,
r le même sujet qu'il fut admis à lire en 1884, devant l'Académie des
sciences
morales et politiques et qui souleva, à cette épo
logie. Puis vient la liste de tous les hommes qui ont conquis à cette
science
nouvelle le droit de cilé : Durand de Cros, Charp
eault et Bernheim, puis ses conclusions si discutées à l'Académie des
sciences
morales et politiques, et enfin les expériences c
et que ces expériences, pour lesquelles on allègue la nécessité de la
science
. avaient plus ou moins détourné renseignement et
te dans un but scientifique. D'après l'esprit de cette circulaire, la
science
ne devrait désormais plus avoir rien de commun av
on despotique et pernicieuse de la philosophie transcendante dans les
sciences
. » La méthode déductive pas plus que la méthode
synthèse. Et l'auteur dans un aperçu d'histoire et de philosophie des
sciences
médicales, montre les grandes découvertes qu'a am
. Le débauché ne vit que pour le bas-ventre: le poëte ou l'homme de
science
pour l'idée : le peintre pour le coloris ; le mus
L'auteur remercie fort les médecins qui ont mis à sa disposition leur
science
pathologique, mais s'élève vivement contre ceux q
entière qui est un véritable corps de doctrines embrassant toutes les
sciences
jusqu'aux sciences morales et politiques que M. P
véritable corps de doctrines embrassant toutes les sciences jusqu'aux
sciences
morales et politiques que M. Pioger ait fait para
généralisant un peu cette vérité à laquelle nous amènent, toutes les
sciences
naturelles, n'aurait on pas le droit d'affirmer q
ut rapporter les opinions si divergeantes et la confusion régnante en
science
hypnologique à une cause première. Notamment les
un nombre de phénomènes remarquables avant une valeur réelle pour la
science
psycho-physiologique. Les trois états de Charcot,
ué que par les hommes légalement autorisés et suffisamment experts en
science
hypnologique. L'autorisation doit être accordé pa
étude de la psycho-thérapie doit dorénavant faire partie de celle des
science
médicales. » Le docteur Kuisch propose à y ajoute
luence de la suggestion sur la), par Giscard. 100. Méthode dans les
sciences
médicales, 351, Mohammed Toghlak (la folie de), 2
coup de couteau. SOCIÉTÉS SAVANTES XIe Congrès International des
Sciences
Médicales, tenu à Rome. Section de Neurologie et
imentale a conquis son autonomie et s'est définitivement organisée en
science
distincte et indépendante. Elle représente actuel
isent jusqu'à un certain point à elles-mêmes, comme celles des autres
sciences
naturelles. Le laboratoire fondé en 1889 à la S
aliénés que le médecin aliéniste doit rechercher les fondements de la
science
spéciale » ; et, ouvrant largement son service à
t il faut lui savoir gré, présente une vue d'ensemble de l'état de la
science
. Nous pouvons indiquer seulement, les travaux d
d et Brunetière pour la représenter à cette cérémonie. L'Académie des
sciences
sera représentée par MM. Chauveau et Bouchard.
ue célèbre et non encore débrouillée, formule qui a été émise dans la
science
, il y a deux ans, au Congrès de Psychologie expér
aitement. Les exposés de l'auteur correspondent au point actuel de la
science
. Comme l'école de Nancy, il regarde comme puremen
Malgré ses adversaires, l'hypnotisme est et restera une branche de la
science
, surtout de la psychologie et de la physiologie d
à M'u Teresina Labriola, âgée de dix-huit ans, qui a soutenu avec une
science
et une verve remarquable une thèse sur ce sujet :
rdeaux. Le Conseil de l'Association française pour l'avancement des
sciences
a décidé de faire représenter l'Association au Co
, le second surtout, n'apportent rien de nouveau sous le soleil de la
science
: le sommeil, les états passifs se sont toujours
sprits, a se laissèrent aller à l'illusion d'élargir à l'aide de la «
science
nouvelle » les limites de la science cd infinitum
usion d'élargir à l'aide de la « science nouvelle » les limites de la
science
cd infinitum, de dépasser le domaine de l'observa
le médianisme : notre société est encore engagée dans la lutte de la
science
contre la foi, lutte qui provoque les haines et l
qui provoque les haines et les craintes réciproques. Espérons que la
science
de l'Europe occidentale, qui n'a plus de raison d
it le Dr Harusewicz, plus tôt le médianisme deviendra l'affaire de la
science
, et plus rapidement met tra-t-on fin aux nuisible
out de suite comme un sujet exceptionnel au double point de vue de la
science
et de la foi. Parmi les guérisons miraculeuses
paraissent, aujourd'hui, se rattacher plus ou moins aux faits que la
science
médicale a mis en observation sous le nom d'hypno
e étroite amitié, associèrent leurs efforts pour en faire profiter la
science
jusqu'en 1869, époque à laquelle Vulpian quitta l
ologie médicale, qu'il en avait mis à l'égard des autres branches des
sciences
biologiques. En possession de matériaux cliniques
ine du charlatanisme et de la supercherie par les représentants de la
science
officielle. Conformément à un vœu maintes fois
stinée est de nous efforcer de nous en rapprocher sans cesse ; que la
science
est un perpétuel devenir. — En instituant des pro
au contraire entraîné à des dépenses parfois considérables ; dans les
sciences
expérimentales, par exemple, il s'entoure de prép
issant des connaissances générales, par exemple celui de « docteur ès
sciences
biologiques », obtenu dans des conditions analogu
racées par des esprits indépendants. Chacune des grandes étapes de la
science
médicale a été marquée par des noms d:hommes qui
le. Malgré les oppositions systématiques que rencontrent toutes les
sciences
nouvelles à leurs débuts, nul ne peut nier aujour
fonde, de cette largeur de vues qui constituent le véritable homme de
science
. M. le Dr Liébeault a formé plus d'élèves, dans s
par ses leçons sur Phypnotisme. Pendant longtemps renseignement des
sciences
médicales a été donné par deux catégories de mait
ole., et c'est tout. Dans toutes les autres facultés (droit, lettres,
sciences
) les cours libres, autorisés par le Conseil supér
nclusion. Au congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, à Caen, en 1894, M. le professeur Bouchard fut a
exigée dans le projet du congrès de Lyon, est le titre de docteur ès
sciences
biologiques ; elle ne nous semble pas suffisante
le courage d'affirmer ainsi leur opinion. Ils ont bien mérit'é de la
science
et de la médecine françaises ! » En allant au c
disait-il aux applaudissements de tous, repose de plus en plus sur la
science
, et la science n'existe que si elle se développe
pplaudissements de tous, repose de plus en plus sur la science, et la
science
n'existe que si elle se développe incessamment. O
tion. 1871, Palmé. Paris. (5)Tolra. Paris, 1891. i. — lourdes et la
science
historique. En l'année 1858, Bernadette Soubiro
e, professeur à la Faculté de Droit de Louvain. II. — Lourdes et la
science
médicale. Théorie catholique du miracle Superch
contradiction formelle avec les principes les plus incontestés de la
science
médicale. La persistance des cicatrices, ou les v
ement de l'univers ; un phénomène sensible en dehors des prises de la
science
parce qu'il est indépendant des causes secondes,
e de l'impulsion initiale. — Quel est, en effet, l'enseignement de la
science
moderne sur le principe de continuité? La scien
nseignement de la science moderne sur le principe de continuité? La
science
positive (nous ne disons pas positiviste) profess
e à la fois philosophique et scientifique, elle est le corollaire des
sciences
anciennes comme l'astronomie, et elle éclate dans
comme l'astronomie, et elle éclate dans les premières révélations des
sciences
plus jeunes telles que la géologie, la chimie et
comme Chevreul et Wurtz, par de Lapparent, l'éminent géologue. . La
science
, vraiment positive, oppose donc l'idée d'ordre et
atées par l'observation essentiellement contingente. Bien plus, cette
science
consiate que le monde actuel aurait pu exister d'
ine d'expérimenter. Qui pâtit, en somme, des mesures prises? La vraie
science
et le public. Les malades, effrayés, continuent à
'ils se sont appliqués à rendre service à l'humanité et à éclairer la
science
. _ Aster e Denis. La médecine des Primitifs d'A
ogie physiologique de l'Ecole pratique des Hautes-Etudes (section des
sciences
naturelles), est nommé directeur du dit laboratoi
es que l'auteur n'a pas même entrevues. Aussi, actuellement, bien des
sciences
, jadis l'apanage exclusif de ceux qui s'y adonnai
res. (1) Discours prononcé dans la séance publique de la Classe des
Sciences
de l'Académie royale de Belgique, le 12 décembre
une façon de payer la dette que j'ai contractée envers la Classe des
Sciences
, le jour où elle me fit l'insigne honneur d'accue
ujours à (1) Le 4 juin 1887. Voir Bulletin de l'Académie royale des
sciences
, même date. m'en rendre maitre. J'ai pu faire n
es résultats sont assurément très encourageants, et la médecine et la
science
ne seront plus désormais impuissantes contre une
ujourd'hui. Demandez plutôt aux chauves. Je crois que sur ce point la
science
n'a pas fait beaucoup de progrès. Superstitions
ARMOTTE F) Par M. le D* Raphaûl Dubois, professeur à la Faculté des
Sciences
de Lyon. On a fait beaucoup d'hypothèses, plus
que nous lisons encore avec intérêt ; il la défendit avec beaucoup de
science
et d'à-propos et montra ses qualités de critique
Depuis fort longtemps des charlatans exploitaient cette branche de la
science
, qui dans leurs mains était devenue une branche l
Si je vous citais tous les élèves de Charcot qui ont un nom dans la
science
, leur énumération serait longue, ils sont nombreu
Son esprit ne fut jamais obligé de descendre des hauts sommets de la
science
pour s'occuper des vulgaires petits soucis quotid
nt: « Tout est mystère ici-bas, mais mystère n'est pas miracle, et la
science
éclaircira les mystères et dissipera les ombres c
rguès, qu'un homme jugé malade pendant six ans par les sommités de la
science
, ne fût qu'un simple simulateur? Comme bien on pe
n'a pas attribué ce caractère aux manœuvres des magnétiseurs dont la
science
spéciale n'a pas été visée. Il importe tout d'abo
e. Il est certain qu'on a été d'accord pour reconnaître aux hommes de
science
qui veulent étudier le magnétisme et l'hypnotisme
que la troupe des farceurs, qui n'a aucun rapport avec les hommes de
science
et de bonne foi attachés à l'étude des problèmes
ge au travailleur infatigable, à l'observateur attentif, à l'homme de
science
qui a disparu en Brown-Sequard. Des applaudisseme
à Lourdes, en ces deux ou trois dernières années, de maladies que la
science
médicale avait déclarées incurables. Parmi elle
résident). — Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, à Bordeaux, le 4 août. — Deuxième Congrès de méd
éminents d'Angleterre le D'Hack. Tuke, directeur du Journal of mental
Sciences
, vient de mourir, après une carrière bien remplie
indépendant, à idées hardies, insoumis à l'autorité des maîtres de la
science
et ne rejetant pas, avec eux et en aveugle, des v
) V» Electro-Dynamisme vital. Paris : G. Baillière, 1855. • de la
science
expérimentale tenait l'Amérique entière, en émoi
s à l'égard des vérités qui ne sont pas entrées dans le domaine de la
science
, proposer de rendre fou presque subitement des ho
folie que je rencontrai pour la première fois, a été signalée dans la
science
. J'ai souvenir d'avoir lu une relation de deux ca
ience psychologique ; mais n'est-ce pas le caractère spécial de cette
science
si nouvelle et déjà si féconde qui fait l'objet d
certaine émotivité naturelle qui fait tressaillir, unie à beaucoup de
science
, qui permet de ne tressaillir qu'au moment voulu.
t imposé, et le fait de la transmission sans contact sera acquis à la
science
. Comme conclusion1 à cette^note, je dirai donc
, anatomie, physiologie, pathologie thérapeutique. Uien de toutes ces
sciences
ne vous est inconnu, et votre belle jeunesse s'es
uardel, je suis convaincu que la publicité donnée aux conquêtes de la
science
a fait illusion aux familles. Chaque jour, dans l
(2) Depuis longtemps, les professeurs de facultés dos lettres et des
sciences
ont abandonné ces costumes surannés. Les thèses s
jusqu'à l'âge de 76 ans. Bien qu'adonné spécialement à l'étude des
sciences
naturelles, Vogt doit être considéré comme un des
. 30, 56. (2) Pierre Janet « Amnésie continue ». Revue générale des
sciences
, 1893, 176. (3) J'ai déjà discuté quelques-unes
philosophique, 1891, I, 280 ; « Amnésie continuo n Revue générale des
sciences
, 1893, p. 176 ; « Histoire d'une idée fixe » Revu
en médecine (le), par Bérillon, 193, 317. Congrès international des
sciences
médicales, tenu à Rome, section de Neurologie et
ie (un cas de), 127. Liseur de pensées (un petit), 250. Lourdes et la
science
, par L. Berteaux, 210. Mugnétisme et la loi s
es jusqu'au moment de son évolution actuelle, voilà la fin de toute
science
de l'in- telligence. Tout Edinger. qu'il s'agis
s organes des sens et nos sensa- tions nous les représentent : « La
science
, dit Edinger, ne peut que s'orienter dans le do
e scientifique; c'est même là, au témoignage d'llelmholtz, toute la
science
. C'est en ce sens que nous saurons un jour ce q
nd n'a confondu les conditions des phénomènes, qui relèvent de la
science
, avec leur nature, qui est le propre de l'inconna
Irlande ; par le professeur Monrrz Benedikt. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1899.) La première de ces lettres est
e morale déclare espérer que le mot et la chose disparaîtront de la
science
. Ce qu'on appelle la folie morale n'est, suivan
é chez les criminels; par A.-R. WI ! ITEWAY. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1899.) La question fondamentale qui se
int de vue physique qu'au point de vue psychologique. Les hommes de
science
trouvent difficile d'admettre la folie partielle
ilité des criminels; par Charles Mercier. ' (Tlee Journal of Mental
Science
, avril 1900.) Nous ne pouvons qu'indiquer ce co
'article de M. Whiteway paru dans l'avant- dernier numéro du Mental
Science
, et qui concerne tout spéciale- ment le procès
e physiologie cérébrale; par A. H. NEwTdt. (The j01tmal of Mental
Science
, avril 1899.) 1 . Une grande somme de travail a
stifiées dans les asiles ; par Thomas Drapes. (The joumal of Mental
Science
, juillet 1899.) L'auteur ne dissimule pas que c
la responsabilité de aliénés, déjà traité dans le Journal of Mental
Science
, par 11111. fercier,iVoott et bien d'autres. Il
ar F. ASHEY ELKINS et JAMES 1\hDDLE : .IASS. (The Journal of Mental
Science
, octo- bre 1899.) Le système préconisé par l'
pendant une année : par Ha- MII,TON C. Marr. (The Journal of Mental
Science
. juillet 1899.) Il y a vintg ans que Lady Braba
e de ces établissements ; par R.-ll. SnEEIV. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1900.) Ce travail très intéressant, tr
les aliénés phthisiqnes; par Eric France. (The Journal o( 111ental
Science
, janvier 1900.) Par des documents précis et i
auvage de la Croix (de Montpellier) a communiqué à l'Académie . des
sciences
un curieux cas de ce genre. 11 observait déjà à c
ginal, sans risquer d'entraîner le lecteur en dehors du champ de la
science
stable et acquise, caractérise ce nouveau trava
ées de l'époque. Il reconnaît toutefois qu'il s'agit là non plus de
science
, mais de croyance. Si Herbart n'admet pas' les
me la médecine, est un art qui s'appuie sur une BIBLIOGRAPHIE. 71
science
, la pédagogie. Cette science s'édifie sur deux ba
i s'appuie sur une BIBLIOGRAPHIE. 71 science, la pédagogie. Cette
science
s'édifie sur deux bases : la morale qui fournit
gogie sous une forme systématique et de l'avoir présentée comme une
science
; ce sera aussi d'avoir donné à la psychologie
n-8" de 7 pages. Bruxelles. 1900. Bulletin de la Société royale des
sciences
médicales et naturelles de Bmaelles. Duehren
est deux tout au moins qu'Edinger croit pouvoir lui attri- buer de
science
certaine : 1° elle possède la propriété de cons
issons, des amphibiens, des reptiles, des oiseaux, que sor- tira la
science
comparée de leurs fonctions psychologiques. Cet
estions suprêmes. J'estime même que cette évolution parallèle de la
science
des struc- tures et des fonctions du névraxe a
es moyens de les apprendre. Il importe peu, d'ailleurs par qui la
science
se fasse, pourvu qu'elle soit. Les livres de Deje
e Galien, de Descartes, de Flourens, de Broca, de Charcot, la vraie
science
anatomique 108 REVUE CRITIQUE. et physiologiq
on congénitale de l'oreille; par Hugh KEnn. (77ee Journal of Mental
Science
, juillet 1899.) Il s'agit d'une jeune femme de
t et après la mort; par E. 13. M'IIITCOM13E. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1899). Il s'agit d'un homme de trente-
ylène polychrome; par T. ALDUUS CL1 ! '\cu. (The Joul'nal of Mental
Science
, juillet 1899.) Courte notesurles avantages de
ay. V. Les sentiments; par Harry Campbell. (The Journal of Mental
Science
, avril 1900.) 1 L'auteur divise son travail en
sychologie nouvelle ; par Henry NI UD3LI,'Y. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1900.) Ce travail est un discours pron
cture du bulbe olfactif ; par F. CRIIV A 11 : -1. (Rlllielino délie
Science
)MC6c/tC, 1900, juillet.) . L'auteur décrit et
s statistiques récentes; par W.-C. Sullivan. (The Journal of Mental
Science
, avril 1900). Ce travail est très documenté et
ueillir les observations ; par A.-I3. NEwTn. (The Journal of Mental
Science
, avril 1900.) L'auteur regrette que les observa
- puerpérale aiguë; par C. C. EASTERBROOE. (The Journal of f Mental
Science
, janvier 1900.) Le cas est intéressant à cause
siques de la folie; par F. GRAHAM Caooxsuaw. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1900.) L'auteur pense que les signes p
s de folie syphilitique; par R. D. HOTCRKIS, (The Journal of Mental
Science
, avril 1900.) lomme de cinquante-deux ans, cari
arole des épileptiques; par CAèIPBELL CLARK. (The Journal of Mental
Science
, avril 1900.) La faculté du langage chez les ép
omplication delà folie ; par G.-J. CONFOIID. (The Journal of Mental
Science
, avril 1900.) L'auteur étudie successivement le
n esprit universel, car nul homme ne peut être maître de toutes les
sciences
: en biologie, il est faible ; en psychologie,
moment même où il aurait vécu en pleine hallucination, l'homme de
science
, le parlementaire disert et l'homme du monde aura
harnée cette belle intelligence. Anxieux de trouver par la voie des
sciences
l'explica- tion des mystères divins et la confi
tion des données de la foi, le jeune homme se donna tout entier aux
sciences
exactes, à l'as- tronomie, à la géologie, à l'h
e cracher à terre ». , Les crachats desséchés étant reconnus par la
science
comme les plus actifs agents de propagation bac
de chirurgie de Bordeaux, séance du 22 mars 1901, Gaz. hebdom. des
sciences
médic. de Bordeaux, 7 avril 1901, p. 165 et 14 av
est pas de même de l'amaurose bilatérale et on peut compter dans la
science
les cas de cécité hystérique 1 ». Briquet- en r
rne des Asiles de la Seine. (Ecole de VillejUif). I Lorsque les
sciences
s'adressent à des phénomènes de complexité croi
alysie agitante; par Max Nonne. (The hree·icca7z Journal of medical
Sciences
, juin 1900.) Ch.-A.'Dana avait publié dans ce m
l'humanité par leur dévouement, leur abnégation, qu'ils honorent la
science
par l'éclat de leur savoir ou de leur enseignem
ez défendre; la raison humaine qui nous conduira sans doute à une
science
de la vie, planant au-dessus des conventions et d
pas avec sincét'i'é la la lumière des choses, nous nous faisons une
science
à notre goût. « car la vérité que l'homme reçoi
montrer la vérité de ce qu'avait dit Claude Bernard, que « dans les
sciences
expérimentales en évolution, et particulièremen
venir. Certes, chercher à prédire la voie où s'engagera demain la
science
, est plutôt un passe-temps de chroniqueur qu'une
ns vrai- ment morbides, j'entrevois les résultats nouveaux de cette
science
mieux établie, ou au moins d'une application mi
pagé partout et que la neuro-pathologie ne peut pas plus rester une
science
française que la microbiologie de Pasteur. Ne n
façon définitive et certaine l'avenir financier de vos congrès; la
science
a quelquefois besoin d'argent. Il s'agissait d'
avec la plus grande** clarté les différents éléments épars dans la
science
. L'anatomie 248 SOCIÉTÉS SAVANTES. pathologiq
saillants sont la confusion, les hallucinations, la perte de con-
science
. C'est la confusion mentale hallucinatoire de Del
as d'être un bon praticien, il faut égale- ment posséder à fond les
sciences
accessoires qui expliquent et justifient les do
bès); par Charles A. Olivier. (The Amel'ican Journal of the Médical
Sciences
, juillet 1900.) L'auteur, pendant une période d
ériodique ; par Léo M. Crafts. (The American Journal of the médical
Sciences
, juin 1900.) L'auteur rapporte un cas de para
rd ; par Richard-F. WooDS. (The Ane·ic : cta Journal of the médical
Sciences
, juillet 1900.) Ce cas de paralysie de Brown-
essayé de mettre la question au courant des données actuelles de la
science
et y a apporté un cer- tain nombre d'observatio
ubstitué à une partie de la ration alimentaire ? (C. Zt. tlcad. des
Sciences
, etc., 1901, p. 65.) -Influence de lasutislilut
es le 26 juillet 1900; par Fr ? TCHEa Beach. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1900.) . , Dans ce discours, l'orateur
par Lewis BRUCE et H. de Maine ALEX.1,NDE[t. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1900.) Au cours d'une série de recherc
. L'homicide alcoolique; par W.-C. Sullivan. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1900.) L'auteur conclut des recherches
XV. Le juif aliéné ; par Cécil-F. IiEADLES. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1900.) Il ne résulte pas des détails d
et sa guérison; par William Gyrin Westcott. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1900.) L'auteur se propose de recherch
les glycosuries nerveuses; par David BL.vrR. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1900.) Contrairement à ce qu'il serait
énés; par David ORR et Thomas Philip Corsez. (The Journal of Mental
Science
, Octobre 1900.) Cet intéressant travail est acc
syphilis héré- ditaire ; par W.-J. KOENIr.. (The Journal of mental
Science
, juillet 1900.) L'auteur rappelle sommairemen
ie avec stupeur; par Thomas-Philip Cowcv. (The Jour- 1(al of Mental
Science
, juillet 1900.) Voici le résumé de cette observ
colie, de manie, etc.; par John i'URVER. (The Journal ouf mental
Science
, juillet 1000.) C'est une question très embarra
sociée à la folie ; par Ernest-W. \VIIITC. (The Jour- nal of Mental
Science
, janvier 1900). Le but de ce travail est d'exam
ares chez les aliénés ; par Thes.-B. HYSLOP. (The Journal of Mental
Science
, jan- vier 1900.) Tous les médecins d'asile c
s avec la folie ; par Geoffrey Hun- gerfohd. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1900.) On peut poser en principe que l
n comparée des aliénés ; par A.-Wood REUTON. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1900.) Selon notre coutume, nous nous
de médecin adjoint des asiles d'aliénés, aux prix de l'Académie des
sciences
, de l'Académie de médecine, de la Société médic
ales. Paris, 1894. - ° Cotard. Art. Folie. Dict. encyclopédique des
sciences
médicales de Dechambre. 1 A. Marie. Etude sur
la journée'. La collection de l'Histoire de l'Académie royale des
Sciences
contient un certain nombre de faits du même genre
subite, c'est que le poids que 1 Histoire de l'Académie royale des
Sciences
, 1700. LE MUTISME HYSTÉRIQUE DANS L'HISTOIRE. 5
lui rendre la parole ? Dans une lettre adressée à l'Académie des
sciences
*, M. le comte de Bièvre garantit avoir observé
t laissées l ? s jl.U7. ¥ \ 1 1 Histoire de l'Académie royale des
Sciences
, 1719. ,' - . ' Médian, septenl. lib. de Pect.
e. (Progrès médical, 1886.) ' . 4 Histoire de l'Académie royale des
Sciences
, 1738. ' , . ° lllacario. Des paralysies dynami
psycho-physique; par F.-W. Edridge-Green. (The Journal of lIlentat
Science
. Octobre 1900.) Dans la perception d'une sensat
e Londres, à Claybury ; par J. 5nw Boston. (The Journal of Mental
Science
, Octobre 1900.) LIX. Démonstration par projecti
a paralysie générale ; par George A. WATSON. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1900.) LX. Quelques altérations path
,« réaction à distance » ; par John 'foRNER. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1900.) Travail accom- pagné de planche
lules de la névroglie ; par Ford, Rodertson. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1900.) L'auteur a imaginé une méthode
volution de Broca ; par A.-F. SnOYER. (The Jozcrnccl o/'J)j6H<u/
Science
, octobre 1900.) Ces angiomes ne sont pas commun
leptoméningite ; par J.-O. W AKELIN BARRATT. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1900.) Dans ces deux cas on a pu étudi
pneu- monie. Mort; par Francis-O. SimpsoN. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1900.) Malade atteint de démence épile
me du corps calleux; par C. Mahel BLACKWOOD. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1900.) Les tumeurs de la substance cér
itions différentes ; par le Rev. H. HAWKINS. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1900.) L'auteur s'attache à démontrer
ues des asiles irlandais; par W. R. D.%WSON. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1900. Etude intéressante, mais spécial
ue de la folie; par IIARRINGTON SAINSBURY- (1'lae Journal of Mental
Science
, juillet 1900.) On ne peut qu'indiquer ici ce t
i croient qu'il est en mé- n decine des questions sur lesquelles la
science
« est faite, et que le tabès est de celles-là.
professeur de psychiatrie, ajoute Griesinger, doit être un homme de
science
, qui ait consacré sa vie à la recherche de la vér
aliénation mentale ; par Hubert- C. Bond. ( ? 71e Journal of Mental
Science
, avril 1897.) Ce travail est la continuation et
les maladies mentales ; par J. G. SouTAR. (1'he Journal, of Mental
Science
, juillet 1897.) Pendant la période de cinq ans
ie : gliome probable ; par W. J. VINCENT. {y/te Journal of 31ei2tal
Science
, juillet 1897.) Femme de trente ans, mariée ; m
maladies mentales, par H.-J. iIAN : 11NG. (7'/te Journal of Mental
science
, avril 1897.) Ce travail se compose de trois ob
de et son traitement; parW. Henry KE5TEVEN. (Tlte Journal of Mental
Science
, juillet 1897.) ' L'auteur définit l'habitude
des fractures en général, par J.-F. l3mscoE. (The journal of Mental
Science
, janvier 1898.) L'observation ne présente rie
t le delirium tre- mens ; par J.-R. Ambler. (The Journal of 31ental
Science
, janvier 1898.) Homme de cinquante ans, admis
folie; revue cri- tique ; par W.-R. DAWSON. (The Journal of Mental
Science
, avril 1898.) Intéressante revue, dont l'aute
eux chez les aliénés ; par J.-F. BRLSCOE. , (Tite Journal of Mental
Science
, avril 1898.) L'auteur résume l'état de la ques
maladies mentales ; par W. Lloyd ANDRirZEN. (Itte Journal of Mental
Science
, avril 1899.) Ce travail à la fois philosophiqu
celles de la psycho- genèse et de la pathologie pour constituer la
science
pratique qu'il convient d'opposer à la science
e pour constituer la science pratique qu'il convient d'opposer à la
science
spéculative et métaphysique; 3° Il faut repouss
ion de la folie, par EDWIN STEPHEN PAShtORE. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1899.) L'auteur a été frappé dans ses
utomatisme cérébral, par W. E. Sullivan. (1'he JOi()'aal of dlental
Science
, avril 1899.) L'état d'automatisme cérébral est
d'un état de conscience particulier, tellement différent de la con-
science
normale qu'elle ne s'y rattache par aucun lien, o
dans la cientôle privée; par H. C. Bristowe. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1899.) Les cas d'aliénation mentale so
omté de Durham, par T. Aldous Clinch. (The Journal o/'Jf6n<a<
Science
, janvier 1898.) Ces notes comprennent cinq cas
croient qu'il est eu mé- Il decine des questions sur lesquelles la
science
« cl faite, et que le tabes est de celles-là. »
étendues avec la coloration de Nissl. » Eu résumé, la raison et la
science
forçaient de localiser la lésion primitive du t
la surface cérébrale ; par W. Junus Mickle. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1898.) On ne peut ici que conseiller d
; sa publication a duré près de deux ans dans le Journal of Mental
Science
: c'est une oeuvre considérable qui mérite mieu
gidité cadavé- rique ; par J.-V. IiLacnron. (The Journal o/'Jleztul
Science
, jan- vier 1900.) . Cette statistique porte s
s et postérieurs, par CIioCIILEY-CL.11'IiAN. (The Journal of Mental
Science
, avril 1898 ) , Suivant la doctrine actuelle, l
s chez les aliénées, pal' T.-G, Gordon-Munn. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1899 ) - Ce travail, beaucoup plus gyn
et le Dr Nissl. Résumé par W.-W. 1REL\ ? D. (The Journal of Mental
Science
, jan- vier 1898.) . Nous nous bornons à signa
la cellule nerveuse ; par Joux . Turner. (1'leeJouraul 1 of Mental
Science
, juillet 1898.) La méthode employée consiste à
onnement de la cellule : il expose sur ce point l'état actuel de la
science
: d'après les recherches les plus récentes, et to
ts chapitres sont présentés au lecteur. Ils sont condensés avec une
science
que peut seule donner une longue pratique de la
semestres. Les deux premières années sont consacrées à l'étude des
sciences
physiques, chimiques et naturelles, à l'anatomi
torisation de faire des cours (vezzia docencli) sur. une partie des
sciences
médicales qu'ils ont plus spécialement étudiée.
quatre, 'cinq, six et sept ans même. ' « Ce n'est pas humilier la
science
française, dit M. le professeur agrégé Lejars,
, méde- cine légale, etc.) et se tenir au courant des progrès de la
science
. Souvent il existe deux séries parallèles de Fe
la psychiatrie a été élevée, du moins en Alle- magne, au rang d'une
science
clinique. Dès lors l'enseignement de cette scie
e, au rang d'une science clinique. Dès lors l'enseignement de cette
science
prend une importance de plus en plus considé- r
ide ; sans elle il est absolument impossible de pénétrer dans cette
science
, tout-à fait isolée, souvent obscure, à peine i
le professeur qui ne se borne pas à vivre sur le fonds commun de la
science
, mais qui s'efforce de l'augmenter par son prop
faut un choix de malades qui embrasse le domaine tout entier de la
science
, et l'organisation de tous les moyens d'études
de tâche, celle d'instruire les élèves et de les introduire dans sa
science
spéciale. « Les cliniques psychiatriques, ajout
te, aussi obscur et aussi difficile. Cette émulation est utile à la
science
et aux étudiants. Dans les névroses fonctionnel
ifiquement ces graves questions, dans l'intérêt des études et de la
science
, qui est aussi l'intérêt des malades. Il en est
cliniques psychiatriques surtout au point de vue des progrès de la
science
et de l'enseignement universitaire, comme nous
psychiatrie, de l'assistance des aliénés, ceux aussi de toutes les
sciences
qui ont pour but l'étude de l'esprit humain, ce
eils moyens de travail, il reprendra vite, dans cette branche de la
science
comme dans les autres, la première place qu'il
sulfate de duboisine ; par J. H. SICGE : v. (Tite Journal of Mental
Science
, juillet 1897.) Le sulfate de duboisine est un
ues, par .1.-ft. G S(IUET et John A.CoNEs. (The Journal of àIe71tal
Science
, juillet 1897.) Ce travail est basé sur 43 obse
sent de man- ger ; par 11. Harold GREENWOOD. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1898.) , Il est au moins vraisemblab
avec et sans hypnose ; par John F. WooDs. (1'Ive Journal of Mental
Science
, avril 1897.) En parcourant les dix-huit pages
nceinte; par J.-W. Geddes et Aidons Clincii. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1898.) Jeune femme de vingt-six ans, e
uer de venir préciser sur certains points douteux les données de la
science
. Deux thèses fort intéressantes à ce point de v
n ouvrage très utile à tous les travailleurs qui, s'occupant de ces
sciences
spé- ciales, désirent avoir sous la main, toujo
édagogie vont concurremment y être mises à contribution; l'homme de
science
et l'homme d'éducation seront heureux de s'y re
ar les auteurs n'admet- tent pas cette forme. - Il existe dans la
science
de très nombreux cas dans lesquels la porte d'e
mportants du développement de la psychologie. Wcber a dit que toute
science
passait par trois phases, une phase théotogique,
psychologistes de l'avenir contribueront beaucoup an progrès de la
science
, lorsqu'ils étudieront systématiquement les relat
eau chez les aliénés; par Francis 0. SmrsoN. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1898.) ' Les recherches de l'auteur
e fraîche de Bevan Lewis; par J.-H. Lord. (Tlcc Journnl o/'J7(;;)
Science
, octobre.) Nous ne pouvons que relever très som
atéraux du cerveau ; par John Waniman Fmcer. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1898.) L'auteur rappelle d'abord l'his
entale); par W. Ford 110BItRTsoN et Uavln-0 (Tlte Journal of Mental
Science
, octobre 1898.) Les auteurs décrivent d'abord l
ALE. La Colite; par Alfred Camphell. (The Joii,licil of 3jeili(ll
Science
, juillet 1898.) Etude intéressante sur la colit
II. Acromégalie avec folie; par David f3Laa. (The Journal of Mental
Science
, avril 1898.) Le cas d'acromégalie relaté par l
ts corpus- culaires. R. DE Musgiuve-Clay. XXV. La corrélation des
sciences
dans les études de psychiatrie et de neurologie
et de neurologie; par Ira -Va.11 Giesen. (1'he Journal of Mental
Science
, octobre 1898.) Pour donner un coup d'oeil d'en
Pour donner un coup d'oeil d'ensemble sur la corrélation utile des
sciences
dans les recherches de psychiatrie et de neurolog
z mille malades; par J.-V. 1;1 ? CIIFORD. (7'/te Journal 0/' Mental
Science
, juillet 1898.) Le groupe des malades examinés
l'impulsion au suicide; par \V.-C. Sullivan. (The Journal of Mental
Science
, avril 1898.) ° Les conclusions de ce travail s
au-dessus des indigents, par 1) ? VID-BOWER. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1899.) Ce travail est consacré à la
- psychologique ; par T. OUTTERSOri WOOD. (1'Iae Journal of Mental
Science
, juillet 1897.) . - L'Association médico-psyc
ques dans les asiles; par Edwin Goodall. (Tlte Journal o/'J/en- lal
Science
, avril 1898.) Les recherches anthropologiques s
X. Le logement des aliénés ; par, H. RAYNER. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1897.) L'auteur désigne par là l'ensem
hining ; excision of the motor centres. American Journal of médical
sciences
, 1888, vol. XCVI, p. 447). Un homme de trente-c
ve cases of cérébral surgery, etc. Americacz Journal of the médical
sciences
, septembre 1891, p. 219).- Une négresse, âgée d
émoire des poissons ; par W.-C. Mac Intosii. (The Journal of Mental
Science
, avril 1898.) L'auteur rapporte un certain nomb
1884 a 1896 inclus; par Frédéric-P. Harder. (T/te Journal of Mental
Science
, janvier 1898.) Ce travail est bien en effet un
oir actuellement résister à la lumière des faits introduits dans la
science
par les recherches de Waldeyer, Ramon y Cajal,
n cas de porencéphalie ; par Samuel EDGEXLEY. (Tite Jour, o/ Mental
Science
, juillet 1899.) Ce cas est intéressant en raiso
la réticence médicale; par Charles .Mercier. (The Journal of Mental
Science
, avril 1897.) L'auteur traite ici du secret pro
es aliénés; par V. H. B. STODDART. (The Journal o/'Ne) ! <6[<
Science
, octobre 1899.) L'auteur déclare qu'il aurait p
ue, avec types cliniques; par G.-A. Welsch. (Tite Journal of Mental
Science
, avril 1899.) . L'auteur en a observé seize c
mental dans l'aphasie ; par CONOLLY NoRMAN. (The Journal of Mental
Science
, avril 1899.) Ce travail débute par des considé
e dépassait pas un jour; par M. Mac-Lulich. (The Journal of 31ental
Science
, juillet 1899.) Ce cas, observé chez une femme
ion homicide délirante; par D. F. RAnBAUT. (Tlte Journal of 31ental
Science
, juillet 1899.) Il s'agit d'un homme de 48 ans,
asiles d'aliénés ; par P. G. Crookshank. ( Tite Journal o/'JU6n<
Science
, octobre 1899.) Le premier chapitre de ce long
verture de la discus- sion ; par F.-W. Mott. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1899.) 1 ' Quand on étudie les rappo
. XLV. Folie et mariage; par G. E. Moum. (The Journal of Mental '
Science
, octobre 1899). L'auteur examine la question de
nombre des suicides; par William W. Ireland. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1899.) Malgré les efforts de quelque
cas de manie aiguë ; par CoNOLLY NoRmAN. (Tite Journal of Men- tal
Science
, octobre 1899). L'auteur rapporte avec détail l
Glamorgan de 1867 à 1896; par J. G. SMITII. (Tite Journal of Mental
Science
, juil- let 1899). 1 Ce travail est intéressan
rations chez des aliénés; par Il. SPRO.4T. (The Jozcrnal of blental
Science
. Juillet 1899). Le premier cas consista d'abord
s chez les aliénés; par F. St-Joun · Bullen. (The Journal of Mental
Science
juillet 1899.) , L'organe olfactif de l'homme n
sile du comté de Derby ; par R. F. LI : cGE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1899.) Cette épidémie a frappé 54 mala
e la valeur de 200 francs. Les thèses des Facultés des Lettres, des
Sciences
et de Droit sont admises à 'concourir au même t
-8- de 11 pages. Bruxelles, 1900. Bulletin de la Société royale des
sciences
médicales et naturelles. CRocQ (J.). Sur la soi
iatrie) et à celui de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, une série de plusieurs cas curieux de fracture
ment des buveurs, par George R. Wilson. (7'Ae7oM)' ? ? a< Mental
Science
, octobre 1898.) On ne trouve guère à relever
as d'hématoporphynurie; par Keitii-Campbell. (Tne Journal of mental
Science
, avril 18987) L'hématoporphynurie et ses rappor
médication thyroïdienne ; par J. Middlemass. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1899.) Nous reproduisons ici textuelle
ureuse de la conduite; par Charles Mercier. (I'he Journal of Mental
Science
, octobre 1899.) L'auteur rappelle que dans un
on emploi; par John S111'Cllrl.n : . (7'lte Joli ? '- nal of Mental
Science
, octobre 1899.) Il s'agit d'un malade atteint d
st pas généralement connue; par A. Il. NEWT. (The Journal nf Mental
Science
, octobre 1899.) Après avoir passé en revue les
à l'égard du chloral; par Arthur \V. Wilcox. (The Joumtul of Mental
Science
, avril 1900.) Il s'agit d'une malade de quarant
traités de cette manière; par David 13r..ma. (The Journal of Mental
Science
. avril 1900.) L'auteur résume ainsi les résul
LUI. Fausse grossesse; par G. 1lliNDL,Y. (Tlie journal of mental
Science
, janvier 1900.) 11 s'agit d'un de ces cas qui o
as de folie communiquée; par E. W. CiiiFri ? (The journal of mental
science
, janvier 1900.) , Cette intéressante observatio
ollège, ni une stupeur analogue lors de leur première entrée dans une
science
ou un art quelconque (car le trouble produit par
scientifique. Il importe peu, il est vrai, û la vulgarisation d'une
science
aussi ardue, qu'un romancier en soit adversaire o
ernational. Fidèle à son programme de dévouement aux intérêts de la
science
, médicale, la Revue de l'Hypnotisme se fera un de
ôté la politique qui divise et unissons-nous dans le cri de : Vive la
science
! » E. B. CAS REMARUUABLE DE SOMNAMBULISME
éressantes que celles qui touchent à U fois à ces deux branches de la
science
, leur servant de trait d'union et les éclairant,
rt une entité différente qui sert à propager son action. Du reste une
science
positive ; la mécanique rationnelle, parvient à e
ensemble : ici la sécurité publique revendique ses droits. Lorsque la
science
reconnaît et proclame l'irresponsabilité de l'age
é qu'il s'agissait d'un cours d'art dentaire! La Diontologie est la
science
du devoir. Quel devoir ? — Le devoir du médecin e
nveillants — qui ne sonl jamais les plus nombreux — c'est un puits de
science
; pour les autres son mutisme masque mal sa nulli
lièrmcnt annoncée au public et on n'y voyait guère que des curieux de
science
. Nous espérons du reste que le cours tout entie
tans sontTrir.ee iu moyen de l'hypnoturce. Cong. Pour I'ovate. Jet
sciences
. Parit. 1&s9. FAHZI (E.), (aide de clinique d
irard J. R. Laborde. — La Méthode expérimentale considérée dans les
sciences
biologiques. in-8. 03 pages. 1890. Paris, Société
ciation, à Birmingham ; l'Association française pour l'avancement des
sciences
, à Limoges ; le Congrès des 3liénistes français,
er, M. le docteur Hack Tuke, le savant directeur du Journal of Mental
Science
, et Lloyd Tuckey, de Londres. Au Congrès de Ber
ase pendant laquelle la résistance des enfants est à son mini-mum. La
science
nous apprendra à diminuer la morbidité constatée.
arrêter, car il en est de même du chloroforme et de l'électricité. La
science
médicale est basée sur l'étude des faits, non sur
Magnan. (A suivre). ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES
SCIENCES
Session de Limoges section des sciences medic
ISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES Session de Limoges section des
sciences
medicales Paraplégie totale datant de deux ans
is dans les termes les plus courtois un toast aux représentants de la
science
française présents au banquet. M. le professeur R
allemand à la Société de psychologie expérimentale de Berlin et a la
science
internationale. M. le Dr Schrenk-Notzing. parla
l'hypnotisme, a fait ressortir les services qu'avaient rendus à cette
science
les divers savants auxquels on en attribue la pat
dicale. Au congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, en 1887, les résultats de notre pratique personn
890 et Compte-rrndus de l'Association Française pour l'avancement des
sciences
, Paris 1889.- « En effet, lorsqu'on considère
Dés 1886, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, a Nancy, nous appelions l'attention sur la valeu
88. Comptes rendues de l'Association françise pour l'avancement des
sciences
, Congrès de Toulouse; 1887.p. 1011. (3)Les applic
s, 1883. p.961 4 Article suicide du Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicaux, t. XCII.p .313. Oservation I. — Mar
brochures, de livres sur l'hypnotisme. Lentement, mais à pas sûr, la
science
hypnologique pénètre; elle ne tar-tardera pas à o
tude la raison de ces phénomènes et distinguer ce qui appartient à la
science
ce qui est charlatanisme, afin de condamner seule
III, parlant à un prélat, manifestait le désir que l'enseignement des
sciences
reçut dans les séminaires un plus grand développe
éables Votre respectueux Lux. DIXIÈME CONGRÈS INTERNATIONAL DES
SCIENCES
MÉDICALES Tenu à Berlin du 4 au 8 Août 1800. (sui
on 1890, le bureau de l' Association française; pour l'avancement de.
sciences
a remis solennellement à M. le docteur Gariel. pr
nsi le doute n'est pas seulement chez les malades, il a passé dans la
science
, et l'affection dont nous parlons présente ce car
seule être incriminée. Il existe de nombreux cas semblables dans la
science
, ils sodi toujours instructifs à rappeler. 1 NO
isme. Pour qu'un traitement soit médical, il faut un art médical, une
science
médicale. Mais ce que le premier pâtre, te premie
pages qui précèdent que la suggestion thérapeutique est un art et une
science
qui exigent une expérience longue, et des notions
u docteur liateman a déjû reçu un accueil favorable de l'Académie dçs
sciences
et de l'Académie de médecine de Paris. En le prés
savants. «Aujourd'hui que sous les noms de suggestion, d*hypnotisme
science
accueille les faits, les contrôle, en recherche l
sirable que nul ne se livrât a es-; procèdes que dans l'intérêt de la
science
ou de la santé du sujet. Mais où commencera le îd
rendront peut-être mieux la promenade des hémiplégies. (Journal des
Sciences
médicales de Lille.) Le martyrologe des médecin
r les esprits, au grand détriment de l'évolution rationnelle de cette
science
. Le mot de suggestion hypnotique était â peine pr
e à tous les cas d'amnésie périodique sans exception. Il y a, dans la
science
, une observation célèbre connue sous le nom « d'H
qui veulent rattacher les pratiques hypnotiques au domaine des autres
sciences
positives. Le mémoire suivant a été lu, en 1865
itives. Le mémoire suivant a été lu, en 1865, devant l'Académie des
sciences
de Vienne, par Reichenbach; il n'avait jamais enc
ource, certains individus qui exercent, à Paris, la piraterie dans la
science
comme dans la médecine, donnant effrontément comm
nfluences odiques; puis j'opérai sur de* savants, sur des amateurs de
sciences
naturelles. J'ai pu, avec raison, je crois, m'en
accueil a celte étude. Ce sont les premiers débuts dune branche d'une
science
naturelle qui. vraisemblablement, un jour sera fo
rut. M. le professeur Liégeois avait déjà communiqué à l'Académie des
sciences
morales et politiques un important mémoire qui fu
seront étonnés d'apprendre comment on traite en France les hommes de
science
qui recherchent la vérité, quand cette vérité n'a
oir un homme de la valeur de M. Liégeois, hautement considéré pour sa
science
et son éloquence, plus digne de renom encore pour
un ans, ai appliqué au cas de Louise Lateau les vrais principes de la
science
, je ne relève d'aucuue école; mais, quaud j'ai ex
aurepaire ne vient-il -pas de déclarer qu'il est compétent dans cette
science
« pour avoir reçu des leçons de M. Charcot ». J
un ans. appliqué au cas de Louise Lateau les vrais principes de celte
science
, je suis inféodé ni à l'une ni a l'autre école, n
ussi, j'engage vivement tous ceux qui veulent faire usage de la jeune
science
, les médecins principalement, à lire et a étudier
lle désormais célèbre, plutôt par les démonstrations apportées par la
science
que par les conditions de perpétration du crime l
ats de livres près la Bibliothèque de Nice. Congres néerlandais des
sciences
médicales. — Ce Congrès aura lieu le 3 et le 3 av
les unes aux autres. Or. l'hypnotisme, comme toute autre branche des
sciences
expérimentales, a sa technique et ses méthodes, e
appréciation pour un homme inféodé, loi aussi, nous l'espérons, à la
science
expérimentale. D'ailleurs, après la discussion, n
r l'hypnotisée, le viol, était seul démontré dans l'état actuel de la
science
hypnotique. M. Liégeois affirma bien que certai
reconnaît d'abord M. Liébeault (186b;, pats... M. Liégeois, (Ac. des
Sciences
, 1884) Impossible d'obtenir de M. Liégeois, dans
ar des travaux qui défient toute critique. » Sages conseils, car la
science
n'a rien à gagner à de pareils débals! Gilles d
quelque sorte, jeté un vaste cuup-d'ceil sur toutes les données de la
science
nouvelle, et il a condensé, dans une synthèse mag
nouveaux. Le livre de M. Tarde marque une étape dans la marche de la
science
pénale. On pourrait l'appeler la synthèse philoso
889. Quand, dans quelques siècles, on voudra savoir où en était cette
science
à notre époque, c'est certainement le livre de M.
a responsabilité morale et le déterminisme, entre la conscience et la
science
, que la nolion du libre arbitre avait paru sépare
e qu'un ministre, et, une fois le directeur général parti, l'homme de
science
qui en restera tiendra bien peu de place. Nous
le Dr Henry Contagne, M. le Dr R. Dubois, professeur à la Faculté des
Sciences
, va continuer la série en ouvrant ft la Faculté d
ent devoir laisser aux spécialistes le monopole de ces recherches. La
science
est si vaste; leur attention est absorbée par d'a
ans celle-ci. Nul, il est vrai, ne peut embrasser tout le domaine des
sciences
médicales. Mais lorsqu'il s'agit, non pas d'une s
les sur l'hypnotisme et à l'étude des applications cliniques de cette
science
. — Des consultations gratuite; on: lieu à l'Insti
bien en France qu'a l'Etranger. qués. phénomènes inexpliqués par la
science
, phénomènes merveilleux. — Conséquences de l'hypn
cle détruit-U l'ordre des mondes et compromet-il les certitudes de la
science
? — Miracle de Josué: Folles prétentions de Féeoie
que: « Les cas d'amnésie rétrograde étant encore très rares dans la
science
, je crois devoir publier le suivant. Je le dois à
légale au Missouri. —Il est probable que, même dans celle branche des
sciences
médicales, nous serons obligés d'aller chercher u
érapeutique. Pendant près d'un quart de siècle, Lièbeault répandit sa
science
en prodiguant gratuitement ses soins aux pauvres,
ants par caractère, et qui n'ont d'autre mobile que les progrès de la
science
médicale et l'intérêt des malades. A. cèle de M
oms resteront étroitement unis dans la fondation et les progrès de la
science
de la Suggestion. Permettez-moi aussi de vous d
exprimé dans les termes suivants : Messieurs, collègues, hommes de
science
Tenus de tous les pays pour participer à cette fê
. La date du 25 mai 1891, messieurs, marquera dans l'histoire de la
science
. Pendant plus de vingt ans, Lie-beault a gardé
principe, un principe considérable qui exercera son influence £ur la
science
médicale entière. En formulant ce principe, il
ié do notre siècle, ce principe a été presque entièrement méconnu. La
science
officielle de ces derniers temps ne sait (aire qu
ilà pourquoi ce jour marquera dans l'histoire de la médecine et de la
science
. Je ne veax pas exagérer le mérite de notre che
mme auquel nous devons personnellement une belle carrière et à qui la
science
e*t redevable d'une grande idée, et enfin que de
u : qu'il vive longtemps encore, une gloire de son pays, un élu de la
science
, un bienfaiteur de l'humanité ! De vifs applaud
un nouveau congrès réunisse tons les médecins qui s'intéressent à la
science
si féconde de l'hypnotisme. Pais M. Roth, prena
??????? la suite des adhésions qui, de toates parts, venaient à celte
science
presque nouvelle. Mais aujourd'hui, messieurs, à
. El en voyant ici, surtout, M. Dumontpallier, un de* maîtres de la
science
médicale française, s'associer aux témoignages de
onnaissant que de? hommes, ayant rang parmi les plus distingués de la
science
, soient venus de tous côtés m'apporter leu's féli
les sur l'hypnotisme et à l'étude des applications cliniques de cette
science
. — Des consultations gratuites ont lieu à l'Insti
lire les Evangiles des sens, en les rattachant l'un à l'autre. Toute
science
étant en dernière instance connaissance des sens.
tion française de l'entente cordiale médicale, a été nommé docteur ès
sciences
de l'Université ¦ d'Oxford- La Société délègue
ement. Indépendamment de nombreux travaux sur divers branches de la
science
médicale, on lui doit une biographie de Pasteur,
ue corrompue qu'elle soit, ne doit effrayer celui qui s'est voué à la
science
de l'homme, et le ministère sacré du médecin, en
arts chez les homosexuels des milieux un peu élevés. Dans l'art et la
science
ils ont fourni à l'humanité des grands hommes com
pédagogie au congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
Clermont-Ferrand 3 août 1908 Le congrès de l'
ût 1908 Le congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
se tiendra à Clermont-Ferrand du 3 août au 10 aoû
ts du paysan. M. Julien Ray, maître de conférences à la faculté des
sciences
de Lyon : L'éducation intellectuelle et morale do
de la Pellagre et l'histoire de ses méfaits comme des triomphes de la
science
peuvent puissamment aider dans la croisade modern
In-8% 50) pages. — Alcan, Paris 19JS. 8 fr Carl du Prel : La magie,
science
naturelle : La physique magique. — ??-8•, 355 p
t accessoire, mais de trouver la séduction, l'intérêt que renferme la
science
» (1). Pour intéresser l'enfant, il faut mettre
it avec raison M. Jollivet-Castellot dans les Nouvtauœ horizons de la
Science
, que cette émotion mystique est bien faite pour p
n mémoire qui Tut discuté pendant plusieurs séances de l'Académie des
sciences
morales et politiques avait pour litre : Ui sugge
ir et perdre connaissance. Au bout de dix minutes il était mort. La
science
a enregistré un assez grand nombre de morts occas
pédagogie au congrès de l'association française pour l'avancement des
sciences
(Clermont-FEbrand, août 1908) Le Congrès de l'A
t 1908) Le Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
qui vient de se tenir à Clermont-Ferrand sous la
ous la présidence de M. le professeur Appell. doyen de la faculté des
sciences
de Paris, ne l'a cédé en éclat à aucun de ses dev
e rare élévation a traité l'importante question de l'enseignement des
sciences
et de la formation de l'esprit scientifique. Nous
nner que quelques-unes des grandes idées qu'il a exprimées : « La
science
n'existe en réalité que dans la pensée des cherch
ssées par le noble désir do connaître et de découvrir. L'avenir de la
science
française dépend donc essentiellement de la façon
hacune de nos grandes institutions nationales dans l'enseignement des
sciences
. Il a démontré qu'on réaliserait un grand progrès
candidats aux écoles techniques, d'avoir pris, dans les Facultés des
Sciences
, certains certificats et diplômes déterminés sur
908. BULLETIN Eloge de M. le professeur Liégeois à l'Académie des
sciences
morales et politiques. — Le congrès de l'assistan
Dans la séance du 22 août, M. de Foville, président de l'Académie des
sciences
morales et politiques a prononcé les paroles suiv
nsmettre une triste nouvelle. Un des correspondants de l'Académie des
sciences
morales et politiques. M. Jules Liégeois, est mor
bonne (1) Congres de l'association française nom: l'avancement des
sciences
. (Clermont-Ferrand, août 1908). heure, dans l
vœux, ni solutions; Il s'agiseait seulement de savoir oh en était la
science
de l'éducation. Après le discours du président,
x ans, a-t-il ajouté, tout le monde s'occupera de l'Hypnotisme, cette
science
encore aujourd'hui réputée mystérieuse, mais qui
es expériences de MM. J. et A Piccard, relatées dans les Archives des
sciences
physiques et naturelles de Genève, du 15 mai 1908
loge du professeur Liégeois par M. le D* Boxjocb, de Lausanne. La
science
de l'hypnotisme a depuis quelques mois subi de du
fut pas le moindre puisqu'il eut pour but de faire introduire dans la
science
juridique l'idée de l'irresponsabilité du crimine
n livre sur l'hypnotisme, devant les tribunaux, devant G Académie des
sciences
morales, il a exposé avec la clarté et la logique
t éloigné des soucis du mariage pour pouvoir se livrer a. un art, une
science
, une vocation, un idéal quelconque qui comporte l
ent créait des chaires a la Faculté pour les hommes qui honoraient la
science
et la médecine française. Il en fut ainsi pour Ra
l'antagonisme irréductible entre les religions et la raison, outre la
science
et le mysticisme, Il félicitait les élèves de l'é
ologistes soutiendront qu'une telle affirmation serait prématurée. La
science
ne se contente pas d'aj erçus aussi sommaires. Il
t le plus honoré l'Université de Nancy, m'écrivait un ¦ professenr de
sciences
, qui n'est autre qne M. Blondlot lni-mérae. C'est
rthe (en ce temps-lit), enfin nn ministère de l'Intérionr. Quant à la
science
juridique, rappelons que, Jeune chef de cabinet d
nné à bien peu, l'homme d'une idée, et d'nne idée qui restera dans la
science
des psyeholoques, et dans la conscience de quicon
les questions de psychologie. Composé avec la méthode d'un ouvrage de
science
, il est pourtant d'une lecture facile ; car (1)
ont-Ferrand. 46 P. Congrès de 1908 à Clermont-Ferrand. Paul Simon :
Science
et morale. Lettre à M. F. Brunetière. In-8°. Pari
tél. Mais nous vivons a une époque où la modestie, le dévouement a la
science
et les services désintéressés ne sont pas tonjour
, etc., c'est-à-dire de ceux qui ont élevé l'hypnotisme au rang d'une
science
positive et qui nous ont permis de dégager de leu
éouverture des cours de l'Ecole de psychologie, nous rappelait que la
science
et l'amour de la Patrie constituaient à ses yeux
ité. (2) Bouveret : La neurasthénie, p. 110. (S) Dictionnaire des
sciences
médicales. l'on s'en rapporte au récit de que
vie matérielle. Cette antithèse a mené, en Europe, la bataille de la
science
et la religion ; il n'y a en que quelques tentati
alade, il devra inspirer la confiance du patient dans la valeur et la
science
de ce médecin. Dire à un malade qu'il peut essaye
onal. On admire le militaire, car il devient un savant, un homme de
science
. Notre grand Etat-Major de Lien-Ping-Tch'ou a fai
orps d'armée de vingt mille hommes fut exécuté avec une rapidité, une
science
et une précision dont les officiers étrangers fur
es supérieures : l'entraînement à l'action et au travail, l'amour des
sciences
, des lettres et des beaux-arts : la culture de la
istes sont impuissantes, que nous faisons appel au dévouement et k la
science
des médecins, pour tenter de guérir ces malades p
es : 1° Comme le remarquait le bon Rollin : En tout art et en toute
science
, les éléments et les principes ont toujours quelq
s dans le monde. Au xvrr9 siècle, ou avait négligé la nature et les
sciences
de la nature. Seules les mathématiques étaient en
ertitude des résultats * et on ne les considérait pas alors comme des
sciences
expérimentales. Jansénius condamnait * la recherc
divertir. » Ainsi le dix-septième siècle n'admettait pas encore la
science
concrète. An dix-huitième siècle, avant Roussea
nos journaux médicaux sont k ce point considérés, ils le doivent à la
science
élevée et désintéressée des médecins qui comme vo
vant ouvrier qui a contribué par ses travaux au grand mouvement de la
science
. Et, si la lumière vint dc l'Est, l'Est, aujourd'
int dc l'Est, l'Est, aujourd'hui s'incline respectueusement devant la
Science
de l'Ouest que vous personnifiez! J'ai égalemen
sny, son illustre fondateur et président et de sa pléiade d'hommes de
science
qui me délèguent ce soir à ce banquet en l'honneu
rilleux da notre profession. Dans l'exercice et l'application d'une
science
particulièrement délicate où l'on doit redouter l
divertir l'enfant avec des procédés accessoires, sans rapport avec la
science
. Les procédés puérils et ridicules de l'éducati
éniosité. ? faut s'efforcer de montrer la séduction que renferme la
science
même au lieu de voir l'attrait dans son divertiss
de l'éducation attrayante est l'observation et l'emploi du concret.
Sciences
naturelles. Les sciences naturelles, qui reposent
est l'observation et l'emploi du concret. Sciences naturelles. Les
sciences
naturelles, qui reposent essentiellement sur l'ob
ui en honneur. M. Caustier, à rencontre de Mme de Staël voit dans les
sciences
naturelles l'introduction a l'éducation, mais san
on lui-même décrivait certains animaux sans les avoir vus. Avec les
sciences
naturelles, la physique et la chimie sont un ense
ns en papier ! Les mathématiques ne sont plus considérées comme des
sciences
abstrai- (1) Eugene Caustier : Conférence sur l
es abstrai- (1) Eugene Caustier : Conférence sur l'Enseignement des
sciences
naturelles. tes : « C'est ou monde extérieur,
une clarté rare est un exposé des plus intéressants des droits de la
science
et de ses limites en face du merveilleux. Pour M.
pour le Patronage des aliénés convalescents. On a célébré l'homme de
science
, le psychologue, l'éducateur, le médecin légiste
k ces derniers que M. le Dr Jules Voisin a consacré les trésors de sa
science
et de son dévouement. A son service de la Salpétr
i permettait de témoigner ainsi en quelle haute estime il tient et la
science
médicale de M. te docteur Voisin et son dévouemen
s malades, pour l'instruction de nos. élèves, pour l'avancement de la
science
, que nous aimons du même amour. Ce que je souhait
ar Lasègue à la constatation d'un fait qui domine en réalité toute la
science
de l'hypnotisme. « Lorsque le patient est domin
berg et proclama qu'il ne possédai) ni la puissance du miracle ni une
science
occulte, mais qu'il avail pleine et entière confi
trine est vraiment scientifique et constitue une branche legale de la
science
médicale et psychologique. Eussions-nous fondé
e Hoche. Vnibert et Xotix. La morale ne se conçoit plue comme une
science
abstraite et réduite en formules sèches. Le procé
enveillants. Pour conclure, reprenant le mot de Ruskin: « Tout art,
science
et littérature sont vains, qui n'ajoutent pas a n
nique des expériences de psychologie expérimentale qui constituent la
science
de l'hypnotisme que l'on aura le plus de chances
u malveillants. « Du moment qu'on s'écarte du courant ordinaire de la
science
, en s'occupent de choses qu'elle rejette, ainsi q
a psychologie, mais encore d'avoir constaté les applications de cette
science
à l'art de guérir, lesquelles se résument dans la
ancy, la consécration d'une existence de labeur et de dévouement à la
science
. (1) C'est de la doctrine de Liébeault qu'est p
é ci-dessus écrit par un médecin rompu ? la pratique, et initié ft la
science
de la médecine psychologique par le docteur Oscar
rès de l'), p. 97, 129. Association française pour l'Avancement des
Sciences
, p. 29. Aveugles (La vie psychique des), p. 127
Pédagogie au congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, p. 90. Pellagre (La), par A. Marie, p. 31. P
on que l'on adopte sur la liberté morale, même en acceptant ce que la
science
a démontré, que nos actions sont la résultante de
ion du congrès tenu par l'Association française pour l'avancement des
sciences
, de traiter la suggestion envisagée au point de v
cantonner dans l'utilitarisme qui produit des bourgeois employant la
science
des nombres pour thésauriser ou des illettrés ins
op facilement à tous les expérimentateurs la parfaite bonne foi et la
science
avertie qu'ils ont eux-mêmes. Le docteur Grasse
: l'occultisme peut ainsi être considéré comme la terre promise de la
science
. Et, en fait, bien des phénomènes considérés hi
ère qu'un perpétuel recommencement. C'est pour cela que les hommes de
science
doivent se réunir et constituer un bien commun de
pédagogie au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
Reims, !•' août 1907. Le congrès de l'Associa
t 1907. Le congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
se tiendra à Reims, du 1er août au 7 août 1907.
eur effort organique. Or, si tout est vibration comme l'enseigne la
science
actuelle, ne peut-on pas admettre que les organes
é de son jugement et la sérénité de sa raison. Or, la mission de la
science
est non seulement de chercher la vérité mais surt
rien n'est à jamais perdu, qu'il existe un salut scientifique ». La
science
de la volonté sera le point de départ d'une réfor
s pourrons nous diriger corps et âme, avec une raison supérieure, une
science
sûre et une conscience avertie ! Ce jour-là nous
ns et compte parmi ses membres presque toutes les illustrations de la
science
internationale. NECROLOGIE Le docteur Aubea
pédagogie au Congrès de l'Association Française pour l'avancement des
sciences
, sous la présidence du Dr Bérillon. — Le banquet
ople ; Mme Higgins, de New-York ; M. Ray, professeur à la Faculté des
Sciences
de Lyon ; Mlle Géhin, directrice de l'Ecole norma
hourras en son honneur. M. Julien Ray, professeur à la Faculté des
Sciences
de Lyon, convie les membres de la section à se re
ître l'ami sûr qui veut et peut le guérir et le démêler de l'homme de
science
et de strict devoir, sans plus. Si les troubles
à l'hypnotisme. Partout on cite son nom à côté des sommités de cette
science
, Lié-beault, etc., etc. Et il avait bien mérité l
r le terrain de l'hypnotisme qu'il a contribué au développement de la
science
médicale et ce sont ces travaux spéciaux qui port
uérir les maladies, destinée à révolutionner « dans l'avenir toute la
science
médicale. » * Sa mort sera regrettée de tous le
re, ils ne contiennent que quelques principes servant de base à cette
science
qui a pris plus tard une grande extension. Omer
ds-leur le Coran, l'histoire, la poésie et les Hadis,enseigne-leur la
science
de parler à propos, défends-leur, les rires incon
it à ce sujet d'importants ouvrages, la pédagogie se constitua en une
science
. Les livres qui traitent spécialement la pédago
Ibni Khaldoun n'approuve pas l'enseignement simultané de différentes
sciences
. D'après lui, on ne devrait faire étudier aux é
s. D'après lui, on ne devrait faire étudier aux élèves qu'une seule
science
à la fois, s'en occuper sérieusement, jusqu'à ce
, parce qu'elle a été maintenue en tutelle par la métaphysique que la
science
est restée si longtemps stérile ou stationnaire ;
qu'elles ont secoué ce joug et qu'elles se sont « laïcisées » que les
sciences
particulières ont pu successivement se constituer
ertise médico-légale, vous n'accomplissez pas uniquement une œuvre de
science
. Vous n'êtes pas le savant qui, partant de la réa
nature même de l'objet dont il s'agit. Et ne disons pas que c'est la
science
qui se contredit ; ce sont des savants qui, sur c
litiques leurs variations d'opinions, lorsque l'on voit des hommes de
science
se contredire, c'est-à-dire démolir eux-mêmes leu
r cœur. Ce système est très apprécié par ce peuple et dans toutes les
sciences
physiques ou morales on a composé des ouvrages dé
Psychologie des dégénérés...... M. le Dr Blvet-Saxglé, professeur.
Science
de l'éducation....... M. Caustier, agrégé de l'On
a le droit de mettre obstacle à la vulgarisation des conquêtes de la
science
moderne. Peut-on admettre qu'il y ait, à notre ép
elles de l'électricité, de la chimie, de la mécanique et des diverses
sciences
positives, soit considéré comme un crime de lèse-
ncurrents affaiblis par un excès d'étude, fussent-ils des prodiges de
science
. » Plus loin, il dit encore : « Nous soutenon
n de pédagogie qu'il a présidée à l'Association pour l'avancement des
sciences
(Reims, août 1907) ; il présente le questionnaire
Les samedis à cinq heures et demie, à partir du samedi 11 février.
Science
de l'éducation. M. Caustibr, agrégé de l'Univer
ous la présidence de M. le professeur Giard, membre de l'Académie des
sciences
. Dans une conférence accompagnée de projections,
oing, de Lyon, et le professeur Chauveau, président de l'Académie des
sciences
, avaient pris place au bureau. Après une séance c
r les médecins, les philosophes, les penseurs. Mais le pouvoir que la
science
a reconnu, étudié et appliqué n'est pas le seul q
ondamné à mort, qu'on livra comme sujet d'expériences à des hommes de
science
. Ils lui dirent qu'il serait saigné jusqu'à ce qu
ne alimentaire a eu comme résultat de nous faire manger, au nom de la
science
, — de la science de'laboratoire ! — en dépit du b
eu comme résultat de nous faire manger, au nom de la science, — de la
science
de'laboratoire ! — en dépit du bon sens et de la
des siècles. ' « Sous l'influence néfaste de l'Ecole allemande, la
science
de l'alimentation a rompu avec la tradition. Elle
Il est temps de réagir contre d'aussi fâcheuses tendances. Moins de
science
et plus de bon sens s'imposent. La réaction salut
tait si admirablement à sa personnalité, — est transformé en celui de
Science
de l'Education. Ce nouveau cours, dont l'objet es
institution prospère et féconde a déjà rendu de grands services à la
science
psychologique. D'antre part, M. Grollet est le se
t un programme qui est précisément le nôtre. Vous ne trouverez ici ni
science
livresque, ni pompeux étalage d'une pédante érudi
diale universelle. Abd-uI-Médjid avait le cuke des lettres et des
sciences
autant que celui de la justice. Il n'avait qu'un
n affirmant dans un discours la nécessité d'adopter les progrès de la
science
et de l'industrie européennes. Des Conseils génér
marcher dans les sentiers battus quand c'est lui-même qui, armé de la
science
d'observation, a contribué le plus à détruire les
xte que tout le monde s'en reconnaît incapable. Le médecin apporte sa
science
spéciale qui est de connaître des maladies ; il l
rôle. Mais, dit M. Farez, l'expert n'accomplit pas qu'une œuvre de
science
. Il reste en pleine réalité, il résoud une diffic
bulaire ne fait qu'accuser mieux l'imprécision de notre pensée, Notre
science
d'expert est ici sur un terrain d'une dangereuse
ignore ; elle fait plus, elle suppose le problème résolu alors que la
science
moderne le pose ; elle s'accommode de l'unité des
t lui seul qui a renversé bien des hypothèses surannées et fécondé la
science
. M. Farez tire argument, au profîtdes demi-mesu
e n'a rien à y voir. Eh quoi ! c'est à des hommes si peu sûrs de leur
science
que vous demanderez de construire un édifice de j
ur, celui qu'on accorde en général à tous les hommes qui cultivent la
science
. C'est un beau rôle que de trainer à la remorque
un sentiment de complaisance à l'égard d'adeptes zélés, des hommes de
science
acceptent d'assister à des séances de spiritisme.
reurs les plus regrettables. Le mysticisme n'a rien de commun avec la
science
. C'est un réel service que vient de rendre M. le
a l'aversion non dissimulée pour tout ce qui représente le talent, la
science
, la noblesse du caractère, le courage, la franchi
nchise. Il ne conçoit ni les arts, ni la poésie, ni la musique, ni la
science
, n'admettant pas que ses sujets puissent s'adonne
, n'y a pas encore été prononcé. Si la littérature est opprimée, la
science
est encore plus mal partagée. Elle est simplement
ion faite au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
à Reims, il m'était facile de démontrer que la re
une heure vaut mieux que la dévotion de soixante-dix ans. Cherchez la
science
du berceau au tombeau, aussi loin qu'elle se trou
demeurée endormie sous l'effet d'un phénomène d'auto-suggestion. La
science
connaît déjà des cas du même genre. Il y a quelqu
c : La psychologie inconnue, introduction à l'étude expérimentale des
sciences
psychiques. — ln-8*, 350 p. — Alcan, Paris, 5 f
é en le félicitant des belles découvertes qui ont grandement servi la
science
. Après lui, le docteur Motet, membre de l'Acadé
ter le docteur Magnan et le louer des progrès qu'il a fait faire à la
science
qu'il honore si grandement. Tous ont été unanimes
intelligence et la sagesse, ainsi que les encouragements accordés aux
sciences
et aux arts, sont célébrés par les historiographe
ucation fut soignée et qui excellait dans la culture des lettres, des
sciences
et des arts, se montra, au contraire, le plus exé
s les événements avec leurs dates. Il était également habile dans les
sciences
physiques, la logique, l'as- . tronomie et les ma
pédagogie au congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
a ainsi présenté le programme général de la secti
ral de la section : « L'Association française pour l'avancement des
sciences
tiendra son prochain Congrès, à Clermont-Ferrand,
p. 63. Autopsie d'une dame du monde (L'), p. 127. Avancement des
sciences
(Association française pour l'), p. 29, 65. Ave
phénomènes à des puissances supérieures. Au sur et à mesure que la
science
a progressé et expliqué les causes de ces effets
ejusqu'à l'état où nous la voyons aujourd'hui : c'est une véritable
science
. Le fou n'a pas de morale, pas plus que l'homme
ES PéRIPHéRIE- QUES ; par F.-S.-John BULLEN. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1892.) Observation d'un grand intérê
émiplégie spasmodique; par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of l\1ental
Science
, avril 1891.) Observation très complète, suivie
HLEIf, le 15 mai 1890; par R. PERCY S;,flrn. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1890.) Voici l'indication de ces piè
n harmonie avec les besoins des étudiants et avec les progrès de la
science
; par sa participation à toutes les luttes polit
Dr Delasiauve, qui disparait à son tour, l'un des vétérans de notre
science
spé- ciale, l'un des derniers survivants de cet
s laisseront une trace profonde et durable dans l'histoire de notre
science
spéciale. Le Dr Delasiauve est né en 1804, à Iv
giques qui dominaient alors la médecine mentale. Son ardeur pour la
science
à laquelle il avait consacré son exis- tence, a
ire exemple d'un labeur continu et productif, dans le domaine de la
science
spéciale qu'il a cultivée, en même temps que ce
cin de Bicêtre. Apartirdecette époque, il marquait sa place dans la
science
mentale par des tra- vaux considérables. Il ser
ègues. et amis qu'il associait à son oeuvre pour la fondation d'une
science
nouvelle et d'une société destinée à en poursui
pont de l'Eure devint le président du gouvernement provisoire. La
science
le consola de l'Empire. Il était appelé à revoi
avait trouvé là le moyen de satisfaire trois passions qui, avec la
science
, s'étaient partagé sa vie : l'amour de la jeune
tement DES aliénés; par E. CLIFFORD-ALLBUTT. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1891.) Il y a deux ans une commission
ossible, et demeure à peu près nul soit pour le malade soit pour la
science
. L'auteur voudrait que l'on divisât les asiles en
s déjà diplômés; par Francis H. W ALMSLEY. (The Journal of M entai ^
Science
. Octobre 1891.) Après avoir rappelé les diverse
ue des échanges d'idées qui ne pourraient être que profitables à la
science
. R. M.-C. asiles d'aliénés. 83 La COLONIE d
me MARGAEET A. CLEAVES, docteur en médecine (The Jourltal of Mental
Science
. Avril 1891.) La colonie de Gheel a le privil
QUES asiles étrangers ; par Frederik NEEDHAM (The Journal of Mental
Science
. Avril 1892.) M. Needham a profité de ses voyag
OW le 24 juillet 1890 ; par M. Yellowlees. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1890). Discours intéressant où l'auteu
rès LEUR SORTIE DE l'asile ; par II. RAYNER. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1891.) On a fondé en Angleterre une so
E la « Retraite » de YORK; par Robert BAKER. (The Journal of Mental
Science
. Juillet 1891). Les administrateurs de l'asile
onies d'épileptiques; par C. Théodore EwnnT. (The Journal of Mental
Science
, avril 1892.) Tout le monde est d'accord, à l'h
ital royal DE 1\IONTROSE; par James IIOwDEN. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1890.) Description détaillée, mais p
on recueillie parJouN CLARKE ' " FENWiCK).' (The Journal ofr Mental
Science
,'avri14890.) t ·t l ? JI''I . : ' \ : U.. J11 .
, déclara que le procédé employé n'ajou- terait aucune 'gloire à la
science
chirurgicale. Prenant en consi- dération le rés
inuons à tra- vailler et nous atteindrons la terre promise et notre
science
,pourra s'enorgueillir de cette devise : \Tccnc2
traités avec une incontestable compétence et mis au courant de la
science
. En 1867, pour des motifs dont nous n'avons pas
ce les fonctions d'assistant. J.-M. CHARCOT. 183 le favorisa ; la
science
en profita. On sait, en effet, comment il explo
la moelle épinière 5, etc. Bien qu'il s'agisse là d'une branche des
sciences
médicales qui n'a pas l'attrait de la clinique,
sprit élevé, l'intelligence ouverte à tout ce qui est beau dans les
sciences
et dans les arts, lui donnait le charme et les
travaillent eux-mêmes et cherchent à se tenir au cou- rant de la
science
. C'est durant cette période qu'il publia ses Le
tait avec peine. Il craignait de voir cette nouvelle partie de la
science
retomber dans le mépris et le dédain dont il l'
ARCOT.. saires s'étaient fait des armes de ses recherches sur ces
sciences
« occultes » pour combattre sa candidature à l'
u tardive, d'un enseignement vivant, fonctionnant, et honorant la
science
française depuis seize ans. En effet, antérieu-
larait une fois de plus que « l'intervention largement acceptée des
sciences
anatomiques et physiologiques était une conditi
nvahir son cabinet. La thérapeutique, comme les autres branches des
sciences
médicales, lui doit de nombreuses contributions
s, n'a eu au même degré cet honneur qui rejaillit, du reste, sur la
science
française. La Salpêtrière était devenue en quel
, il s'est toujours tenu d'une manière très exacte au courant de la
science
, et se plaisait à rendre à chacun la justice qu
rd avait placés sous ses yeux. Il aimait l'art comme il aimait la
science
. Et il appor- tait dans son étude les mêmes mét
al, et là était le secret de son originalité. Il sut donner dans la
science
une place importante et légitime au document fi
s Difformes et les malades dans fart, » dans lesquelles l'art et la
science
ont leur part '. M. Charcot fut certainement en
la plus haute, dont l'existence tout entière montre à quel point la
science
et l'art, loin de se nuire, sont rattachés l'un
difficile encore à conquérir et plus rare que le plus profond de la
science
. » {L'Eclair du 23 août). ' En collaboration av
Rapport tout récent- sur la candidature de Lister, à l'Académie des
sciences
, si net, si précis, si équitable, on comprend q
énie, per- pétueront son nom dans l'avenir \ En J.-M. Charcot, la
Science
perd une de ses gloires les plus pures, la Fran
ne de Paris en 1872 ; Membre correspondant de la Société royale des
Sciences
naturelles de Bruxelles, en 1874 ; Membre cor
e de médecine de Bel- giqzie ; Membre honoraire de la Société des
sciences
naturelles et médicales de Dresde ; Membre ho
loscou,. J.-M. CHARCOT. 207 -1 Membre honoraire de la Société des
sciences
médicales de Lis- bonne ; ,- Membre honoraire
82. Membre honoraire de la « Royal Irislt Academy » (Académie des
Sciences
de Dublin) en mars 1883. Membre correspondant d
a frezzopatica espanola (1883) ; Membre de l'Institut (Académie des
sciences
), en 1883. De 1884 à ce jour, M. CHARCOT a été
CHARCOT a été nommé : Membre correspondant de l'Académie royale des
sciences
de Lis- bonne (1884) ; Membre de l'Université
l'Académie de médecine d'Irlande (1885) ; Membre de l'Académie des
sciences
de Bologne (1885) ; Membre de l'Académie royale
ie des sciences de Bologne (1885) ; Membre de l'Académie royale des
sciences
de Suède (1887) ; Membre honoraire du King and
e Philadelphie (25 mars 1889) ; . Membre de la Société royale des
sciences
d'Upsa ! a (1889) ; Membre de l'Institut histor
de New-Yorlc (t889); Membre correspondant de l'Instituto Veneto di
science
, lettcre ed arti (1889) ; Membre de la Sociét
Membre de l'Université de Dublin (1891) ; Membre de l'Académie des
sciences
, des lettres et des arts de Padoue (1891) ; M
êle : MM. Joseph Bertrand, secrétaire perpétuel de l'Aca- démie des
sciences
; Brouardel, doyen de la Faculté de méde- cine ;
YPNOTISME; par M. Percy SUITE etA.-T. MYERS. (The Journal of mental
Science
, avril 1890.) Après un court historique consacr
e chez les aliénés; par George M. ROBERTSON. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1893.) Après des expériences, d'ailleu
- RAL, ETC. Guérison; par Alex. ROBERTSON. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1891.) Après l'essai de divers traitem
par l'hydrate d'amylène ; par EDwIN L. DUNN. (The Journal of Mental
Science
, Octobre 1891.) L'auteur a constaté que sous l'
l'originalité d'être complet et au cou- rant de l'état actuel de la
science
. P. SOLLIEn. VARIA. UNE JEUNE fille exorcisée
cisme que M. Périer, le curé du pays, voulait pratiquer que dans la
science
des docteurs. Muni de l'autorisation de l'évêqu
A chorée A'UN AGE avancé; par 1M. llinc, (The lot.i7,iial of Mental
Science
, janvier 1890.) z ' ' . , l) Il s'agit d'une
ntales du cerveau; par Francis WARNER. (Tlce.Torl1·TZat of men- tal
science
, janvier 1893.) 4 . C'est la coutume de M. F.
ie en Norvège (1891); par William HABGOOD. ' (The Journal of Mental
Science
, janvier 1892.) > T En, 1875, date du dernie
ES NÉVRITES périphériques; ' par James Ross. (The Journal of Mental
Science
, avril 1890.) ' On a depuis quelques années, ré
les) DU type MON- GOLIEN ; par ROBERT JoNES. (The Journal of Mental
Science
. Avril.) Après avoir examiné un grand nombre de
subite dans la manie; par James R. WHITwELL (TheJourlial of Mental
Science
, 1891). Après avoir rapporté deux observations
llité et la FOLIE; par William W. IIIELAND. (Tlte Journal of Mental
science
. Juillet 1891.) La faculté arithmétique est une
PRODUCTION DE la folie; par Geo.-H. Savage. (Tlae journal of Mental
Science
, octobre 1891.) L'auteur s'est proposé dans ce
anie ET mélancolie; par John MACPHEIisON. (The Journal .. of Mental
Science
, avril 1891.) ' '1> . Les conclusions de ce
. Oppenheim. Alors que dans le cours des vingt dernières années, la
science
s'est efforcée de détacher du magma incohérent
del 111anicomio. SAJORES (Ch.-E.) Atnual of the Uaiversal lfedical
Sciences
a ycarl,y report of llie progress o/' the gêner
cadavres. = Ribot. Mal. de la volonté, p. 78. 2 Ritti. Dict. des
sciences
médicales. Article : Exhibitionnistes . Archive
CHRISTIAN (traduction par le Dr Me. Dowall). (The Journal of Mental
Science
. Janvier 1891.) La question de la nature de l'é
VE A l'hypnotisme provoqué; par M. J. NOLAN. (The Journal of Mental
Science
, jan- vier 1891.) Ce cas est intéressant à pl
E PERVERSION sexuelle ; par le Dr URIUD.1RT. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1891.) Ce cas est assez banal au point
DE la paralysie générale; par G. R.-WILSON. (The journal of Mental
science
, janvier 1892.) Le mot « diathèse » n'est peut-
être subdivisée ? par 6oRGE-,Nl. ROBERSTON. (The journal of Mental
science
. Juillet 1890.) Après des considérations histor
LUI sont connexes ; par S.-A.-I. Strahan. (The Journal of Mental
Science
. Juillet 1890.) M. Strahan constate d'abord que
Note sur LE COCAINISME ; par CONOLLY NORL1N. (The Journal of mental
Science
, avril 1892.) Les ravages de l'intoxication coc
l'aliénation mentale; par C. Théodore EWART. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1890.) Dans un mémoire de plusieurs pa
t l'urine DES aliénés; par W. Johnson SMYTH. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1890.) On ne peut que résumer ici les
ES PARTIES CHEZ LES aliénés; par A. Mercier. (The Journal of Mental
Science
, Avril 1891.) . Mémoire très important (dans
cas DE folie avec DILUSIONS; par le Dr KEAY. (The journal of Mental
Science
. Avril 1891.) Cas dans lequel la guérison a été
E SUR la médecine mentale; par D. HACr TUKE. (The journal of Mental
Science
, juillet 1891.) Etude biographique sur deux méd
CATION PAR LE SYSTÈME ORAL; par W B. HADDEN. (The Journal of Mental
Science
janvier 1891.) Etude intéressante, mais impossi
ES RAPPORTS AVEC LA FOLIE; par HERBERT SNOW. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1891.) Voici les conclusions de ce tra
UR L'ALIÉNATION mentale; par A.-Wood RENTON. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1891 et janvier 1892.) Nous ne pouvo
iode DE onze années; par F. ST. JOHN BULLEN. (The Journal or Mental
Science
, janvier 1870.) Ce n'est pas chose commune de p
igine syphilitique; par F. St-John Bullen. (The Journal of Mental
Science
, avril 1890.) Observation intéressante, très dé
par A. HILL Griffitu et T. STEELE Sheldon. (Tite Journal of mental
Science
, avril 1890.) z Il s'agit d'une jeune fille d
mal du cuir chevelu; par 'f.-\V. Mac Dowall. (The Journal of mental
science
, janvier 1893.) L'état du cuir chevelu chez ce
ecin de travailler de toutes ses forces, par tous les moyens que la
science
lui fournit, au soulagement de ses sembla- bles
de nombreux articles à l'exposé des importants services rendus à la
science
et à l'humanité par notre compatriote. D'autre
douleur que nous cause le décès du Maître, qui a tant fait pour la
science
et pour la gloire de sa patrie. Veuillez agréer
ne à laisser pousser sont dévorés eu un clin d'o'il. In professeur de
sciences
nous disait récemment qu'il ne cesse de se ronger
incipes au Congrès de l'Association française |ioiir l'avancement des
sciences
, tenu u Nancy, en 1886 (1) . Observation 1 HA
influence des suggestions destinées à élargir le champ de In coa-
science
du sujet, à développer son activité volontaire, à
s progrès, d ailleurs, les musulmans auraient-ils pu faire faire à la
science
sous le régime il une loi qui aurait considéré l'
s qui servent encore le mieux, quoi qu'on dise, les intérêts de noire
science
. L'espoir, s'il pouvait être dragéilié, détrônera
raite volontiers d'inutile ce qu'on ne mimait pas. et l'orgueil de lu
science
est. comme l'a dit Spencer, de l'humilité, en fac
les castes sociales;, a grand besoin d être un peu éclairé sur notre
science
, quand ce ne serait que pour échapper aux griffes
le remémore â nos confrères les notions exactes et incontestées de la
science
, surtout parce quelle sait élaguer toute descript
e? On dit aussi que mitre langage, trop familier, est indigne de la
science
. Je soutiens, moi, qu'il est souvent plus précis,
ous écrivons, ne soyons jamais doctrinaires. N'oublions pas que notre
science
a pour destinée détendre idéalement â devenir exa
e Baglivi. Parmi les plus sérieux obstacles à l'avènement de la vraie
science
, ce grand homme range en première ligne : derisio
efois, ici comme en toute chose, le juste milieu, l'our vulgariser la
science
, il la faut solide, car, ainsi que le dit Jules S
brides médico-littéraires, auxquels Apollon, dieu des lettres et des
sciences
, enjoint de soigner notre style, armure de noire
e ne conseille pas trop d'abuser de cette boutique à treize sous delà
science
: vouloir toujours instruire en amusant, c est s
et il vient «I adresser à M. le Dr Darxier, directeur des Annales des
sciences
psychiaues. la lettre suivante : Et M. (ieorges
ion de teñirla balance égale pour tous, le directeur des Annules îles
sciences
psychiquess désireux aussi de voir la vérité se f
IMENTAL ET THERAPEUTIQUE LA MORT DE M. LE PROFESSEUR CHARCOT La
science
médicale vient de perdre un de ses plus illustres
s qui s-il dérivent acques raient immédiatement droit de cité dans la
science
officielle. Les travaux de M. Charcol sur l'ana
rga, de Milan, en fait l'objet d'une communication à l'Institut des
science
» de Milan liislîttito Ijombarilo tlellr scinizr.
mes applaudissements, M. Bouchard a hien précisé l'importunée pic les
sciences
hvgiéniojues et médicales ont prises à notre époq
ui, loin de s'éteindre, envahit aujourd'hui les divers terrains de la
science
médicale. Il était donc naturel de rassembler d
i vient de mourir à l'Age de uns, disparaît l'une des gloires de la
science
française, s évanouît une îles physionomie-s les
chose que les grandes phases de cette existence si glorieuse pour la
science
française. Né à Paris le 29 novembre 1825, Jean
tion, ¡1 se -ait engage dans une impasse dont il ne peut sortir. La
science
elle-même est impuissante à résoudre la coulradir
pas non plus à la critique -I cependant elle a une supériorité sur la
science
: elle reconnaît et proclame la contradiction de
placés, mais incompétents, pour qu'elle fût de nouveau posée dans la
science
et qu'on niât carrément l'irresponsabilité des rê
saires a diminué considérablement, et beaucoup de représentants de la
science
médicale ont acquis la conviction que la psychoth
conviction que la psychothérapie est digne de prendre place dans les
sciences
médicales. Quant au danger physique, je crois q
oir travailler de concert avec des médecins désireux de s'initiera la
science
de l'hypnotisme. Il leur en coûte aujourd'hui d'a
e « pouvoir travailler avec des médecins désireux de s'instruire à la
science
«le l'hypnotisme s ; à part ceci, qu'il aurait dû
ce «le l'hypnotisme s ; à part ceci, qu'il aurait dû plutôt dire : la
science
pratique de l'hypnotisme. « Enfin les malades p
aucoup de médecins qui s'adresseront â une personne étrangère à toute
science
, dédaignant les services de confrères savants et
uvers, docteur en philosophie et lettres, et P. Stroobant, docteur ès
sciences
, de la direction des recherches et des travaux pr
édical de la Russie et à l'union. , à la pénétration réciproque de la
science
française et de la science russe. Cette intimité,
union. , à la pénétration réciproque de la science française et de la
science
russe. Cette intimité, messieurs, est un fait dep
porté la bonne parole. M. Metschinikoff est un trait d'union entre la
science
de l'une el de l'autre nation. Aussi peut-on dire
une question de médecine légale ou d'administration. L'Académie des
sciences
a procédé, aujourd'hui lundi, â l'élection d'un m
ité scientifique d'un mailre dont la vie entière a élé consacrée à la
science
médicale. » UNE RECTIFICATION MONSIEUR LE PRE
enversent bien des préjugés, combattent bien de» erreurs tant dans la
science
médicale que dans celle du droit, ont été triomph
celui de M. Liébcaull. premier fondateur de l'Ecole de Nancv, dont la
science
égale la modestie, n'a p;is encore paru à l'Offic
. Dans un mémoire sur ce sujet, lu en présence de l'Association des
sciences
sociales, à Saratogn (Etats-Unis), le 5 septembre
incipaux sont : la littérature, l'histoire, l'économie sociale et les
sciences
objectives, tempérées, assaisonnées avec quelques
ur rappeler le déterminisme admis par divers métaphysi- riens- La
science
permet aux déterministes actuels d'être plus expl
M. Itibot n'ait pas été un obstacle sensible. En effet, que l'élément
science
ne soit pas admis comme possédant dans la volonté
t objet n'était plus â la place qu'il avait occupée ! Ces hommes de
science
, d'accord entre eux. d'une manière si touchante,
des grandes découvertes. Et pour ne parler que de ce qui touche â la
science
qui m'occupe, — il est vrai qu'elle était alors a
que des illuminés, des Ions ou des imbéciles? Et maintenant que cette
science
se constitua; ses adversaires, blessés dans leur
mécanisme, les lois et leurs liens avec les conquêtes acquises de la
science
, ils marqueront un pas en avant de plus dans les
les savants courageux de tous les pays qui les y ont suivis. Dans les
sciences
psychiques, aussi bien que dans les autres branch
foi» de plus que tout observateur sage et consciencieux sert mieux la
science
que celui qui veut légiférer avant d'avoir longte
d'avoir livré au public une o-uvre incomplète. Maïs, d'une part, la
science
progresse, le domaine de la folie s'élargit de pl
et de laryngologie : M. le docteur Dariex, directeur des Aniuilcs des
sciences
psychiques. Devant cet aéropage, M. de Lcvita f
ude où abondent les souvenirs personnels et où les rôles arides de la
science
sont habilement dissimulés par des causeries gaie
ui existait dans ces récils. Il a fallu le développement récent de la
science
hypnologique et de la sociologie pour les expliqu
Ces récits de miracles dont les détails apparaissent aujourd'hui à la
science
comme si vrais, permettent d'affirmer à nouveau l
qui uîe l'authenticité des évangiles et même l'exislance de Jésus. La
science
nous permet aujourd'hui de faire justice des opin
humeur. Vous foudrait-il d'autres témoignages pris en dehors de la
science
? En voici encore deux, pas davantage, car le caf
los plus importants a l'ordre du jour. Dans ce concours d'hommes de
sciences
nous devons mettre au mieux en évidence notre tra
r fondé la littérature « jeune allemande ». L'auteur conclut qne In
science
l'emporter.! sur l'art el que l'imagination devra
, 40 et suiv.). DURAT (L.).— Le sommeil cl le rêve (Gaz. tiebdom. des
sciences
mèd. de Bordeaux, 41). HIGIER — Du bégaiement h
sans le consentement formel du malade, fut-elle dans l'intérêt de la
science
. Encore le médecin ne doit-il pas profiter de son
e l'hypnotisme, le professeur français reste à un point de vue que la
science
alle-mande a dépassé depuis longtemps. » Les as
la nature des phénomènes hypnotiques. Je ne connais d'ailleurs qu'une
science
qui n'est ni allemande ni française, mais qui est
1886. il était nommé, à la place de Vulpian, membre de l'Académie des
sciences
, dans la section de médecine et de chirurgie. L
l. On tic le voyait dans aucune réunion, si ce n'est à l'académio des
sciences
dont il était membre cl à la société de Biologie
sychologie est donc un produit de la réflexion, tandis que les autres
sciences
proviennent de l'attention. Elle embrasse tout ce
ltés intellectuelles intactes, afin de continuer à travailler pour la
science
et l'humanité comme vous lavez fait jusqu'à prése
mmer, et le même auteur « reconnaît qu'un terme générique manque à la
science
pour désigner chez les neurasthéniques ces états
En 1886, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
, il présentait une statistique portant sur 77 cas
re des phenomènes. C'est tout une philosophie mécanislc. C'est à la
science
expérimentale que le D' Julien l'ioger a emprunté
entière qui est un véritable corps de doctrines embrassant toutes les
sciences
jusqu'aux sciences morales et politiques que M. P
véritable corps de doctrines embrassant toutes les sciences jusqu'aux
sciences
morales et politiques que M. Pioger ait fait para
consacrées aux applications cliniques a l'hypnotisme. Académie des
sciences
. — l'Académie a procédé à l'élection d'un membre
e le 14 août 1889 à l'Association française pour l'avancement des
sciences
, nous avons reçu de M. le Dr Arnaud (de Saint-G
chard communiqua à l'Association française pour l'a- vancement des
Sciences
les observations de deux ? · Lannelongue. Sur l
ite le 14 août 1878 à l'Association française pour l'avancement des
sciences
. Elle à été reproduite dans le Progrès Médical
e croire qu'un ignorant comme moi ait pu tromper aussi longtemps la
science
. Delannoy a été condamné à quatre ans de . V
vation avec anatomie pathologique. D'après les faits connus dans la
science
, on a affaire, soit à des nodules sarcomateux d
DIEN; pal' ThomaÓ-SamuelMAc CLAL : GIIIIY. (The Jourltal of Mental
science
, octobre 1894.) , L'auteur se propose d'attirer
it thyroïdien; par Telford Telford-Smitii. (The Journal of mental
science
, avril 1895.) Les cas étudiés par l'auteur sont
DES dégénérés; par Jules MUREL (de Gand). (The J021r)tcLl of Mental
Science
, octobre 189t.) L'obligation de pourvoir à l'en
ingite, avec UNE observation; par John laEAY (The Journal of Mental
Science
, octobre 1894). Il s'agit d'un cas de lepto-mén
X DÉTACHÉS FT SPECIAUX; par' John A. «ALLIS. (The journal of Mental
Science
, juillet 1894.) Dans ce travail, accompagné de
ation clinique) ; par T. DUNCAN GREEi'\LEES. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1894.) . 11 s'agit d'une femme de tr
du salicylate DE soude; par G.-B. 1VDI1VSUY. (The Journal of mental
Science
, octobre 1895.) Chez une aliénée de quarante an
t DINS LES ASILES D'IftL 1NDE ; par Finegan. (The Journal of mental
Science
, avril 1895.) Tous les aliénistes savent combie
la Faculté de philosophie à Berlin, et membre de l'Aca-' démie des
sciences
, Berlin W., Nùrnberâerstrasse, 14. Dr Lipps, pr
ndue. Illusions géo- métriques et optiques, perception du temps. La
science
de la con- naissance. Action de l'imagination.
it pas, pour produire une hallucina- 1 Mickle. Journal o' nxetzlctl
Science
, 1883, t. XXVIII, p. 2G. * Sérieux. Archives de
DF; la folie EN IRLANDE; par Thomas DRAPES. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1894.) Ce travail, très richement docu
référence le matin. Le docteur Foveau de Courmelles (Avancement des
Sciences
, Congrès de Bordeaux) préconise la douche et le
nt désormais, -dans l'étude de la loi, à s'aider des lumières de la
science
moderne. Le système tout entier des lois crimin
criminel-né de Lombroso paraît à M. Austin Flint artificielle. La
science
n'a pas à s'occuper des crimes passionnels. Les c
e; par le professeur BENGDIKT (de Vienne). (The Journal of mental
Science
, octobre 1894.) Les termes « folie morale » et
session » ont donné lieu à de fausses interprétations en matière de
science
et de criminologie pratiques. C'est néanmoins u
rresponsabilité métaphysique et l'irresponsa- bilité criminelle. La
science
médicale et la science juridique ne seront à l'
sique et l'irresponsa- bilité criminelle. La science médicale et la
science
juridique ne seront à l'abri de ce danger que l
ladies cérébrales; par William W. IRELAND. (The Journal of mental
Science
, juillet 1894.) - Les documents n'abondent pas
é musicale dans la folie; par Richard LEGGE. (The Journal of mental
science
, juillet 189 ? ) La faculté musicale comprend :
nation mentale EN IRLANDE; par John EusTACE. (The Journal of mental
science
, octobre 1894.) Travail intéressant et bien doc
utives; guérison; par A. C. BUT- LER SCYTHE. (The Journal of mental
science
, octobre 1894.) L'observation dont il s'agit es
sse DE BARONY DE GLASGOW; par John CARSWELL. (The Journal of mental
Science
, juillet 1894.) ' . \ . Cette expérience re
RALE des aliénés; par Alfred W. C.amBELL. (The Journal of mental
Science
, avril 1894.) Ce travail est basé sur l'étude d
système qui est le premier affecté : mais dans l'état actuel de la
science
, nous restons forcément dans le REVUE DE PATHOL
des névrites toxiques où le virus, autant du moins que l'état de la
science
nous permet de l'affirmer, a pris naissance pri
olie ataxique; par J. Vincent 13L.1CHFOIiD." (The Journal of mental
Science
, juillet 1895.) Ce cas est un nouvel exemple de
RATIONS anatomiques; par W. Lloyd Andriezen. (The Journal of mental
Science
, octobre 1894.) Les recherches du D'' Andriezen
DE NEUF ANS ET neuf mois; par Edwin L. Dont. (The Journal of mental
Science
, juillet 1895.) , Par ses symptômes, par sa m
S CONSIDÉRABLE; par T. ALGERNON CHAP : .IAN. (The Journal of mental
Science
, juillet 1894.) Travail intéressant, très lar
BSERVÉES chez ces malades; par John TunNEl\, (The Journal of mental
Science
, janvier 1895.) L'auteur a résumé le résultat d
vec DE la verbigération; par John Warneck. (The Journal of mental
Science
, janvier 1893.) Homme de quarante-trois ans, in
LITE PELVIENNE; par J. CHOIS- TIAN SIUPSON. (The Jou1'nal of Mental
Science
, juillet 1895.) Cas intéressant dans lequel des
ps étrangers du vagin; par W. HUSSEL STRAPP. (The Journal of mental
Science
, juillet 1895.) Il s'agit d'une aliénée qui s
s d'épilepsie avec aphasie; par Franck IIAx. (The Journal of mental
Science
, avril 1895,) -~ Cette observation est extrêmem
aux ; par E. GOOD.1LL et Saint-John 13CLLEN. (The Journal of mental
Science
, avril 1895.) Ces effets ont été signalés maint
RAUMATISMES anciens DE la tète ; par Drapes. (The journal of Mental
Science
, avril 1895.) L'observation dont il s'agit ic
utilisés comme l'exigeraient le bien des malades et l'intérêt de la
science
. L'état de choses que nous critiquons a encore
OUSTUN, James Middlemass et W.-F. Robertson. (The Journal of mental
science
, octobre 1894.) Il s'agit ici d'une démonstrati
HALIE j par CONOLLY NoRUAN et Alec. FRAISER (Tlae Journal of mental
science
, octobre 1894.) Nous regrettons vivement de ne
DÉMONSTRATION PRATIQUE ; par J. B.ITTY-TuKE. (The Journal of mental
science
, octobre 1894.) Il s'agit ici d'une démonstrati
LES aliénés âgés; par Alfred-W. C.11PDELL. (The Journal of mental
science
, octobre 1894.) Durant ces dernières années, le
ET sclérose du CERVELET; par C. HUBERT-Bo\D. (The Journal of mental
Science
, juillet 1895.) La physiologie du cervelet deme
l'hématome DE l'oreille; par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of mental
Science
, octobre 1894.) L'auteur, après des expériences
'IIÉMIATROPHIE cérébrale; par John J. CowAN. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1895.) Le malade était un imbécile épi
QUES. DYME granuleux; par Cecil-F. Belles. (The Journal of mental
science
, janvier 1895.) L'auteur se propose d'attirer l
E Er DE l'ÉPILEPSIE; par SALUT-JOLIS BULLEN. (The Journal of mental
science
, avril 1895.) L'objet de ce travail est de prés
ésinet. 3 D'éminents aliénistes émettent sur l'état actuel de notre
science
spé- ciale dans notre pays des réflexions fort
hui bien besoin d'aliénistes pour relever aux yeux de l'étranger la
science
et l'enseigne- ment de la psychiatrie auxquels
ur et la noblesse de cette vie labo- rieuse. (The Journal of mental
Science
, juillet 1895.) R. M. C. CONCOURS d'admissibili
causes ; sur ce dernier point, la réponse dans l'état actuel de la
science
, doit demeurer incertaine : les symptômes toutefo
compression cérébrale; par John MACPHERSOK. (The Journal of Mental
Science
, oelo]¡re 1894.) L'auteur formule en ces termes
ainsi les données qui, à l'heure actuelle, paraissent acquises à la
science
: 1° les lésions uni- latérales du cervelet dét
cette classification parfaitement légitime dans l'état actuel de la
science
, faciliterait considérablement l'étude de cette
i les principes de la justice supérieure de la loi commune et de la
science
demandent que, dans chaque affaire criminelle,
ans son travail, il s'efforce de prouver que l'interven- tion de la
science
est aussi nécessaire dans les affaires de la jus-
ttre des appréciations arbitraires basées sur des impressions où la
science
n'a rien à voir. Plutôt que d'apporter à la justi
IRMIERS dans LES asiles; par W. F. Menzies. (F/tC Journal of mental
Science
, juillet 1894.) La difficulté toujours croissan
eur d'asile privé; par Lionel A. WEATiIERLY. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1894.) L'auteur énumère, sous une fo
U COMTÉ DE WORCESTER ; par E, MARRJOTT COOK. (Thc Journal of Mental
Science
, juillet 1895.) Compte rendu intéressant et dét
aliénés au « WOIlKHOUSE »; par M. J. VoLAN. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1894.) Le « '\Vll1'l¡ho¡ise », institu
médico-psycuiatrique ; par CO-40LLY Norman. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1894.) Comme la plupart des harangue
abitations particulières ; par John SIBBALD. (The Journal of Mental
Science
, janvier et avril 1895.) 11 y a beaucoup de doc
E A UN asile hollandais ; par M.-D. MAcLEOD. (The Journal of Mental
Science
, avril 1895.) Relation intéressante, mais un pe
riminelle CHEZ les aliénés; par Oscar WooDS. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1894.) La jurisprudence en matière de
lativement au SUICIDE; par S.-A.-K. Strahan. (The Journal of mental
science
, octobre 1894.) Après avoir résumé l'historique
dans son travail; il s'efforce de prouver que l'intervention de la
science
est aussi nécessaire dans les affaires de la just
e des appréciations arbitrdires, basées sur des appréciations où la
science
n'a rien à voir. Plutôt que d'apporter à la jus
la para- LYSIE générale ; par R.-S. STEWARD. (The Journal of Mental
Science
, avril 1895.) , La forme de paralysie général
roniques DES reins ; par Hubert C. BRISTOWE. (The Journal of Mental
Science
, avril. 1895.) Les points principaux sur lesque
ie DE la PERSÉCUTION ; par René SEMELAIGNE. (Tlee Journal of Mental
Science
, octobre 1894.) Après avoir résumé, au début de
générale des aliénés ; par REGINALD FARRAR. (The Journal of Mental
science
, juillet 1895.) Ce long et intéressant mémoire
nou- velle et qu'elle a déjà été appliquée à d'autres branches des
sciences
346 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. médicales ;
DE la FOLIE en IRLANDE ; par D. [JACK TUEE. (The journal of mental
science
, octobre 189 L) Nous résumons ici les conclurio
hylaxie DES TROUBLES mentaux; par Curven. (The jou1'1ll[l of mental
science
, octobre i 87/k.) C'est par les modifications d
DE l'excitation délirante; par W. R. DAWSON, (The journul of mental
science
, octobre 189 : >.) L'histoire des hémorragie
FOLIE ET DE QUELQUES DIFFICULTÉS PRATIQUES. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1895.) Les conclusions de l'auteur son
HEZ LES aliénés; par Thomas-Philip CowEi\. (The Journal of Mental
Science
, avril 1895.) On voit de temps en temps apparaî
CHEZ LES aliénés ; par.Alfred-W. CAMP13ELL. (The Journal of Mental
Science
, avril 183r.) , Tous les aliénisles connaissent
ail est le complément de celui que l'auteur a publié dans le Mental
Science
, et dont nous avons donné les conclusions; -, M
L'AFRIQUE DU SUD; par E. DUNCAN f,REENLEES. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1895.) L'Afrique du Sud est peut-être
ongue durée DE lv maladie ; par James NEIL. (Tlte Journal of Mental
Science
, janvier 1895.) Chez ces trois malades, la méla
antisme ; par \YODS IIUT- jcHmsorr. (The Amer. Jour, of the médical
science
, août 1893.) Il s'agit d'une géante française,
ous fournirait jamais les beaux résultats qu'elle a donnés dans les
sciences
physiques ». A la méthode d'observatio il repro
otisme à t'a thérapeutique. En 1882, il présentait ù l'Académie des
sciences
des mémoires sur L'hypnotisme et l'hystérie, et à
tique d'expressions bienveillantes qui la font accepter. Et, comme en
science
hypnotique les hypothèses téméraires abondent, nu
Elle a vu là un gage de prospérité et de succès. Souhaitons pour la
Science
et la Philosophie que la Société d'hypnologie et
, avaient frayé, parcouru et rebattu tous ces sentiers, ignorés de la
science
qui se respecte, où les nouveaux arrivants s'imag
mphe d'idées qu'il défendit avec opiniâtreté contre les maîtres de la
science
les plus éminents, et qui, a-t-il ajouté encore,
ont échelonnés tout le long de l'axe cérébro-spinal. Aujourd'hui la
science
de l'homme ne peut plus hésiter à ' mettre à son
ité. ESSAI SUR LA VOLONTÉ Par M. le Dr Félix Regnault _ » Une
science
progresse lorsqu'on parvient à grouper les faits
ieux, car personne n'avait mieux étudié que lui les mystères de cette
science
nouvelle. Dans les discussions, M. Delbœuf était
tifique plutôt exagéré, la Rivista di Studi psichici, les Annales des
Sciences
psychiques, le Journal et les Proceedings de la S
et sottise. Aujourd'hui les faits s'imposent à l'examen sérieux de la
science
; il ne reste plus qu'à les étudier et à s'efforc
auront pas perdu leur temps et auront, à coup sûr, rendu service à la
science
et à l'humanité. On ne saurait trop accumuler l
ée pour désigner ceux qui sont chargés d'enseigner officiellement les
sciences
médicales ; cela n'empêche pas que quelques-uns d
les découvertes du genre de celle de M. Bianchi. qui permettent à la
science
de marcher d'un pas plus sûr et qui suppriment le
terne des hôpitaux en 1872, docteur en médecine en 1879, docteur ès
sciences
en 1878, agrégé de la Faculté de médecine au conc
acidité du suc gastrique de l'homme (Comptes rendus de l'Académie des
sciences
, 1877-1878), et dans son travail sur les Propriét
mie et de la physiologie en 1878, travail couronné par l'Académie des
sciences
(prix de physiologie expérimentale). Ses travau
rêt publiés de 18S6 à 1891, dans les Comptes rendus de l'Académie des
sciences
et dans les Archives de physiologie, l'auteur a d
publics, dès l'année 1888, dans les Comptes rendus de l'Académie des
sciences
et de la Société de biologie. Les premières injec
à l'hypnotisme, et il demandait qu'on fixât la terminologie de cette
science
. Il exprimait également le désir que le congrès d
t la division du travail ne pouvait que favoriser le progrès de cette
science
. C'est ainsi que par une compréhension très net
n de vrai, puisqu'on ne peut les expliquer d'après les théories de la
science
officielle et qu'on ne peut, en suivant les voies
nce officielle et qu'on ne peut, en suivant les voies habituelles des
sciences
connues, en obtenir une démonstration tant soit p
n ce qui est encore aujourd'hui un mystère. II y a vingt-cinq ans, la
science
ne connaissait rien de l'hypnotisme et se refusai
fin, il y a cinq ans, en France, le Dr Dariex fondait les annales des
sciences
psychiques, destinées à recueillir les observatio
tanée chez les Mauresques. M. Rey a fait connaître à la Société des
Sciences
médicales de Lyon (juin 1896) une curieuse variét
lcoolisme, admet également l'existence d'états somnambuliques. « La
science
, dit-il, n'est pas sans avoir montré des épilep-t
cevoir successivement docteur en Philosophie et Lettres et docteur ès
Sciences
Physiques et Mathématiques, 11 fut ensuite chargé
l'Université de Gand (I8fi3)et d'un autre Cours à l'Ecole Normale des
Sciences
de cette ville. Trois ans plus tard, il était nom
e Belgique, il en devint ensuite membre titulaire, pour la Classe des
Sciences
. Enfin, en 1895, l'Université d'Edimbourg le nomm
en lumière depuis un siècle. II Delbœuf a beaucoup écrit sur les
Sciences
physiques et mathématiques. ïci, plus encore peut
s et mathématiques. ïci, plus encore peut-être que pour plusieurs des
sciences
auxquelles se rapportent ses autres ouvrages, nou
mathématiques et sur ce qu'on pourrait appeler la philosophie de ces
sciences
, Delbœuf disait en 1893, dans la Revue philosophi
he a appliquer à la logique un système de notation qui fasse de cette
science
une sœur de l'arithmétique et de l'algèbre. A.-1-
lus tard, dans le même recueil2 M. Giard, professeur à la Faculté des
Sciences
de Lille, illustrait la loi énoncée par Delbœuf d
phénomènes de l'univers, si bien établie qu'elle puisse paraître. La
science
d'ailleurs, elle non plus, n'a pas encore résolu
eur de Leibnili, son fondateur. La première des Sept énigmes a que la
science
n'a pas encore résolues et ne résoudra peut-être
marque, avec le problème de la matière, la limite infranchissable des
sciences
naturelles. La sixième difficulté, l'origine ae l
ppelle que, en 1877, M. Boussinesq, alors professeur à la Faculté des
Sciences
de Lille, annonça qu'il avait enfin trouvé la vra
vie et de la liberté morale ; extrait des Mémoires de la Société des
Sciences
, de l'Agriculture et des Arts de Lille, année 187
f, cite de lui celte belle parole : « J'aimerais « mieux sacrifier la
science
entière que de renoncer à la liberté. » peut
, que nous n'avons pu nous procurer.lls'agitde: La Psychologie, comme
science
naturelle ; son présent et son avenir. Applicatio
nde qu'entre les deux personnes de la Fétida d'Azam. II abandonne les
sciences
exactes pour la religion, et son esprit, jusque l
ne sont point rares. Certains mythes en contradiction absolue avec la
science
, sont acceptés par des Savants remarquables sous
sonnes connaissent aujourd'hui ; enfin, de réserver le monopole d'une
science
1. Br. in-s-, 111 p. — Liège, Desoer, imprimeur
décembre 1894, à Bruxelles, dans la séance publique de la classe des
sciences
de l'Académie royale de Belgique2. J'ai déjà dit
. En 1884, j'avais été admis à lire, à Paris, devant l'Académie des
sciences
morales et politiques, un Mémoire sur la Suggesti
, n° 12, pp. 521-553, 1894. 3. Séances et Travaux de l'Académie des
sciences
morales et politiques, 1884, i. CXXII, p. 155: Mé
es, il a porté une intelligence puissante, armée des ressources de la
science
moderne, une passion inassouvissable de vérité, d
manité tout entière. C'est par eux que progresse la haute culture, la
science
, qui scrute non seulement les secrets de la natur
influence suggestive de la presse ? Sans doute il est difficile, en
science
sociale, de tenir le juste milieu entre la pleine
d'honneur récompense son dévouement sans bornes à l'humanité et â la
science
. Le danger qu'il vient de courir nous parait être
en Amérique dans l'Arena, en Angleterre dans le Bor-derland, revue de
sciences
psychiques. Ce fut un événement. De toutes parts,
hes psychiques. Elle s'y intéresse peu. Le mouvement en faveur de ces
sciences
est de date récente, et bien superficiel encore.
lègue et ami M, Dariu et le professeur Delbœuf : l'un, champion de la
science
, l'autre, de la morale. Il me souvient encore que
'il s'agit dans ce procès : il s'agit du droit à exister de toute une
science
nouvelle qui compte, parmi ses plus illustres ade
ilo- sophie ne se laisserait point emporter, même par amour de la
science
, à violer la liberté humaine. Mais il sait bien
ne. Paris. 1896. J. Bouvéry. — Le spiriiime et l'anarchie devant la
science
et la philosophie. Un vol. in-4«, 464 p. Paris 18
il prit aux recherches et aux découvertes qui ont affranchi cette
science
de l'ignorance et de la superstition. Cependant
vait hypnotisé un de ses serviteurs, qui ne connaissait rien de cette
science
, en agissant de manière à imprimer à son esprit l
e à confondre les sujets et à leur faire suspecter l'efficacité d'une
science
qui échoue à donner, par son nom, la significatio
e. Paris. 1896. J. Boi'vÉRY. — Le spiritime et l'anarchie devant ta
science
et la phi' losophie. Un vol. in-4°, 464 p. Paris
mortel au mesmérisme. Depuis que l'hypnotisme a pris rang parmi les
sciences
et qu'il est largement employé par un grand nombr
étant donné qu'elles étaient opposées à toutes les lois connues de la
science
physique. Comme résultat de fréquentes expérience
us les temps, depuis Paracelse jusque Cabanis. Elle constitue « une
science
à part qui n'est ni la psychologie, ni la physiol
ie, ni la physiologie, mais l'alliance de l'une et de l'autre ; cette
science
, Cabanis l'a ébauchée ; c'est à la médecine à la
la physiologie » De nos jours, la psycho-physiologie est née. Cette
science
expérimentale est en grande partie celle du dynan
s uns les autres, autant du moins que cela est possible ('). (1) La
science
marche vile. Quand j'écrivais ce chapitre, mon hy
nalité universellement acceptée, qui n'est plus contestée môme par la
science
officielle dans les Académies et les Universités.
qu'il avait obtenus par l'hypnotisme, Braid proposait d'enseigner sa
science
à tout docteur intelligent qui se montrerait dési
l'égard d'experts qui, Assurément, n'ont aucune prétention â la haute
science
de l'hypnologie, mais qui ont rempli leur mandat
ti des règles qui doivent présider à toute discussion entre hommes de
science
, si bien que M. Delbœuf lui-même a du reudre un h
ombroso ». Et pendant qu'il traite ainsi des hommes de talent et de
science
, M. Delbœuf réserve toutes les indulgences de sa
lui : « Des charlatans do jour H colle les affiches, « II rédige la
science
en pamphlets odieux ». Oui, des pamphlets, où i
pas les formes ordinairement usitées en Belgique sur le terrain de la
science
, ei je leur assure qu'ils rencontreront ici autan
les sur l'hypnotisme cl à l'étude dos applications cliniques de cette
science
. — Des consultations gratuites ont lieu à l'Insti
tes a la Salpétrière par le docteur Charcot et d'autres princes de la
science
. Il n'y avait souvent dans ces sortes de « numé
lucidité, il l'a examinée sérieusement et a cherché à rattacher à la
science
positive les faits rares et étranges de lucidité
s classsiqus et objectifs de 1 hypnose ». Or. il y a beau tcmp que la
science
a fait justice de ces fois étals, qui soot restés
du tluide ». A cela nous répondons : « C'est un fait connu dans la
science
que l'émotion, l'appréhension, ladéliance peuvent
es efforts louables, M. Masoin est resté malheureusement étrangère la
science
au nom do laquelle il émit appelé à donner son té
on intention de faire une loi — grosse de dangers et mortelle pour la
science
et les malades (voir l'Union libérale de Verviers
ne où, chose inquiétante, M. le secrétaire passe pour une autorité en
science
hypnotique. Je redoute le jour — qui n'est peut-ê
ologues, professeurs, avocats ou magistrats, se livrent à l'étude des
sciences
se rapportant au but de la Société. Titre IL —
tlLLOX. Au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, en 1886, à Nancy, j'ai appelé l'attention de mes
cuité des pratiques de 1 hypnotisme, la crande majorité des hommes de
science
soutenaient qu'elles pouvaient présenter le* inco
r de l'hypnotisme ne soit pas plus considérable; mais laissez cetle «
science
mystérieuse descendre dans les couches sociales o
re est consacré à l'étude de ces actions, mystérieuses encore pour la
science
, qu'un esprit semble pouvoir exercer sur un autre
i'ée, est un exposé très complet et très clair de l'état actuel de la
science
sur cette affection à la fois si commune et si co
ulière et muette des pensées a été faite, non point par des hommes de
science
, mais par un jeune Américain sans notoriété et a
le droit de formuler une opinion, est de nulle valeur aux yeux de la
science
, et qu'on ne peut attacher d importance qu'aux as
ut ce qui concerne l'hypnotisme, et je n'hésite pas à le déclarer. La
science
proprement dite, n'a rien de commun avec l'bynoUs
t sur quelques enfants de maisons. » (1) Noie lue à l'Académie tics
sciences
morales ci politiques. Restreint à ce sens, le
e pédagogue. Nul, en effet, ne conteste aujourd'hui qu'il y ait une
science
pédagogique. Historiquement, on en recueille à l'
le et la lumière de la vie, magistra scholœ, lux vitœ. Est-elle une
science
au sens absolu du mot? S'il faut entendre par la
la jeunesse, — la dénomination est exacte. On ne refuse pas le nom de
science
aux études expérimentales qui, par des analyses
lectuelle et morale de l'humanité. Ce qui a pu faire dénier le nom de
science
à la pédagogie, c'est que, tel qu'on l'établissai
saine, l'œuvre de l'éducation a pris rang parmi celles auxquelles la
science
peut appliquer ses règles de précision. S'ensuit-
it lieu d'y introduire une rigueur mathématique ? Si l'appellation de
science
n'était acceptable qu'à cette condition, nous ser
d'en répudier que d'en rechercher le patronage. La pédagogie est une
science
, mais une science morale, c'est-à-dire une scienc
d'en rechercher le patronage. La pédagogie est une science, mais une
science
morale, c'est-à-dire une science qui doit considé
pédagogie est une science, mais une science morale, c'est-à-dire une
science
qui doit considérer, sous peine de se rendre inef
eptible de redressement, fait la force comme la dignité. Malheur à la
science
qui, par une rigidité systématique, en briserait
nt que, dans certaine école, on incline à l'envisager moins comme une
science
que comme un art. La vérité est qu'il n'est pas d
comme une science que comme un art. La vérité est qu'il n'est pas de
science
morale qui, dans ses applications, puisse se pass
ur une méthode et qu'on confonde l'art avec les artifices. Mais où la
science
est solide et intelligente, l'art ne peut être qu
motif dont s'autorisent ceux qui seraient disposés à n'attacher à la
science
en pédagogie qu'une importance secondaire. C'est
ature a préparé a besoin d'être approfondi, confirmé, complété par la
science
. Les ressources de l'art le plus actif et le pins
une appréciation personnelle. Quant à moi, je pense que des hommes de
science
ne doivent pas avoir d'autre préoccupation que la
elques-uns d'entre eux ne puissent admettre, dans l'état actuel de la
science
, et reprendre pour leur compte les conclusions de
enseignement, les besoins de la thérapeutique ou les recherches de la
science
. Pareille faculté devrait pouvoir être formelle
tatations expérimentales tomes récentes Eûtes dans cette partie de la
science
, qui est le domaine de l'hypnotisme. En outre, il
scientifiques, et ne peuvent servir qu'à amuser les spectateurs. La
science
n'en tirera rien de nouveau, rien d'instructif, e
lables, qui ne sont pas compatibles avec les faits bien établis de la
science
. Non, la pensée de l'homme est un mystère pour
Us avaient même permis à celui-ci d'être admis dans le domaine de la
science
; et sur lesquels on avait fondé bien des espéranc
ajouter à tant d'autres litres à la reconnaissance que loi doit cette
science
qu'il a tant contribué à développer et coordonner
Bade-Bade, où i! a su se faire une clientèle très sérieuse. Homme de
science
, doublé d'un praticien accompli, se donnant en en
ix Hément t'était fait connaître comme un infatigable propagateur des
sciences
nouvelles, et il avait été un des premier* à reco
rt, mais elle ne s'amoindrira pas en recourant à la dialectique d'une
science
ou d'une jurisprudence qui ne lui est pas familli
amilial, sur le milieu social qui ont laissé faire. Heureusement la
science
médicale n'est pas liée par ces traditions métaph
La suggestion, disait un jeune psychologue prématurément enlevé à la
science
, est l'introduction en nous d'une croyance pratiq
é lieu se sont multipliés dans d'énormes proportions. C'est que celte
science
nouvelle est bien faite pour exciter la curiosité
s grande marque de confiance. Elle comptera, tout à la fois, sur sa
science
, sur son habileté, sur sa prudence et sur son hon
dant, il n'est pas possible qu'on poursuive cet hypnotiseur, homme de
science
avant tout, qui aurait cherché, à la demande d'un
illégale, devront savoir fermer l'œil à propos, dans l'intérêt de la
science
et de la société. Dr L. Merveille. L'INFLUENCE
. Malgré cela, ce sujet n'a pas encore trouvé de place propre dans la
science
; il a été relégué parmi les illusions et les fab
La psychothérapie n'est pas toujours chose facile. Elle exige de la
science
et du tact. Le médecin doit être doublé d'un psyc
mitateur», et c'est avec émotion que je déplore la mort d'un homme de
science
qui fut en même temps un homme decceur. il. le
ies nerveuses, et dont l'étude avait été mise à l'ordre du jour de la
science
médicale par M. le Dr Dujardin-Beaumetz. dans sa
l'effet pratique de la loi serait nul à cause de l'actuel état de la
science
? Prenons un prévenu quelconque voulant se défen
es théories et la redoute de l'ancien. Nous ne voulons contester la
science
ni de M. Lefebvre, ni de M. Masoin, les deux auto
vrai : la Chambre doit parfois statuer sur des points rattachés à la
science
et pour lesquels sa compétence ne sera donc jamai
e suivi de mort, survenu après une séance d'hypnotisme -, (Journ. des
sciences
méd. de Lille, 18.) Zuccarelli (A.). — l'Anomal
et à la Revue de l'Hypnotisme. Jusqu'à ce jour, il est certain que la
science
de la psychothérapie n'a pas dépassé, en ces cont
l'éminent économiste, correspondant de l'Institut de France, dont la
science
déplore la perte, avait tenu à assister à quelque
5, Grand'Rue. Montpellier. 1892.) Hailly (Gaston d'). — La nouvelle
science
. (Kevue mensuelle de 16 pages. — Administration.
sychologie expérimentale, créée il y a quelques mois à la Faculté des
Sciences
de l'Université de Genève. Le Dr Flournoy y a adj
e sont (d'aprèt le récit de Paul Foucberj les dernières nouvelles des
science
* occultes, — j'entends des sciences occultes séri
ucberj les dernières nouvelles des science* occultes, — j'entends des
sciences
occultes sérieuses, non de celles qui passionnent
lois prolectrices de la sécurité commune. > Quel est l'homme de
science
ou l'homme de loi qui refuserait d'approuver d'au
ns maternelle» et monstruosités fœtales; deux faits ». (Journal des
Sciences
méd. de Lille, 6.) F au. or. — L'a cas d'hémiplég
e vous en donner : en dehors de cette représentation officielle de la
science
, où pouvions-nous trouver la certitude? Soyez san
'amusement. Il y va de la dignité humaine el de la santé publique. La
science
a ses droits et il faut les respecter; mais, asso
a vulgarisation en dehors du domaine très étroit, qui est celui de la
science
, n'en peut produire que du mal. J'avais traduit
comme moyen thérapeutique. Cela ne suffit-il pas dans l'intérêt de la
science
et d'une sage philanthropie T * Les représentat
re hypnotiseurs : ce n'est pas là la question. Mais il s'agit d'une
science
qui n'est pas encore bien définie et sur laquelle
or-• bides, incompréhensibles si on no consulte que les données de la
science
, s'expliquent à l'aide des clartés de la foi. Plu
il; et desquelles nous devons user pour chasser les diable*. Voilà la
science
plus haute que le ciel, plus profonde que les enf
souvent son ignorance et son impuissance lui imposent, en matière de
science
, d'affaires, de santé, de vie morale, le devoir c
mble de tous les résultats de mes recherches dans le domaine de cette
science
, et il sera en outre augmenté d'un aperçu des mal
, sur l'esprit simple ou superstitieux de ceux qui .. ont foi en leur
science
, une influence plus complète et plus dange-« reus
officiel, a acquis ainsi ses lettres de grande naturalisation dans la
science
médicale. Ce résultat est dû au libéralisme des o
iversité de Liège, a prononcé le 15décembre 1894,devant !a Classe des
sciences
de l'Académie royale de Belgique, un discours sur
1884, par le rapporteur, d'abord dans un Mémoire lu à l'Académie des
sciences
morales et politiques de l'Institut de France (a)
droit civil et le droit criminel. Séance et travaux de l'Académie des
sciences
morales et politiques 1884 , 2- sem., p. 220. (
, en histoire, en médecine, en jurisprudence; il montre comment cette
science
nouvelle explique des faits déjà anciens restés l
du reste qu'il émet cette explication parce que, imbu des idées de la
science
officielle actuelle, il ne peut admettre que la v
qui a été fait par les successeurs d'EUiotson. L'hypnotisme, comme
science
, date du 13 novembre 1841, le jour où Braid comme
finissant, exprimer mon appréciation sur les services rendus â la
science
parle regretté professeur Delbceuf, dont la mort
e; et les mots de braidisme, suggestion braidique sont restés dans la
science
pour consacrer la doctrine nouvelle qu'il a élevé
de physiologie Guillaume Preyer, enlevé, à 59 ans, à ses amis et à la
science
, inspire des pages éloquentes à Albert Eulemburg,
'émînent médecin à qui l'on doit la grande encyclopédie allemande des
sciences
médicales. Preyer, né en Angleterre, était une de
eur des études d'Heidenhain le rangent au nombre de ceux auxquels la'
science
de l'hypnotisme doit le plus de reconnaissance, e
à Nancy, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
, dans la section de pédagogie, nous avons eu l'ho
en 1887, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, à Toulouse, dans une communication ayant pour ob
bientôt le pédagogue et le médecin s'associer dans la création d'une
science
dont le véritable nom serait VOrthopùdic morale.
rsonnels sur cette question, que l'orthopédie mentale est devenue une
science
positive. Mais il ne suflisait pas de soumettre
le P. Didon,Tardc, Max Nordau, etc., s'intéressent passionnément à la
science
de l'éducation. La persévérance et la continuité
e. Nous prévoyons tous les dangers que peuvent faire courir à une
science
nouvelle des imitateurs insuffisamment préparés à
la période de l'utilisation pratique, ils dédaignent d'étudier cette
science
dans les différentes phases de son évolution. Aus
s que comportent les résultats obtenus. Isolée des principes, toute
science
s'égare dans des faits de détail ou dégénère en r
6, et Comptes rendus de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
, 1886. 2" I; v \. — Guérison par suggestion pos
e. — (Comptes rendus de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
, 1888). 5" Bérillos. —Los applications do la su
cence (Comptes rendus de l'Association française pour ravancement des
Sciences
, 1897.) 21* Bérillos. — Les applications de la
'Académie de médecine, de la Faculté de médecine et de l'Académie des
sciences
, médecin des hôpitaux et membre de l'Académie de
tenait, sur un rapport du professeur Longct, un prix à l'Académie des
sciences
pour ses recherches sur le système nerveux cérébr
nce sur l'hypnotisme de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
. Cette année, l'Association française pour l'av
ciences. Cette année, l'Association française pour l'avancement des
Sciences
a mis l'hypnotisme et la suggestion au nombre des
rique.) Jeudi 27 Janvier, â cinq heures, M. le Dr Tison, docteur ès
sciences
, fera une conférence sur : La physiologie du neur
à 8 h. 1 /2 du soir, à l'Association Française pour l'avancement des
Sciences
, 28, rue Serpente, une conférence sur l'Hypnotism
ra de l'ensemble de cette étude. Le 15 décembre 1894, la Classe des
Sciences
de l'Académie royale de Belgique tenait, à Bruxel
ès de l'hypnotisme. Ce sont les procédés de l'anarchie appliqués à la
science
. A ce sujet, on nous permettra bien de rééditer a
érences Jeudi 27 Janvier, à cinq heures, M. le Dr Tison, docteur es
sciences
, fera une conférence sur : La physiologie du neur
portées, pour le plus grand bien des malades et pour le progrès de la
science
. LES SUGGESTIONS HYPNOTIQUES CRIMINELLES Dang
par M. Paul Janet, dans la discussion de mon Mémoire à VAcadémie des
sciences
morales et politiques, c'est que les expériences
a-niaque des plus intenses. (A. Voisin, Congrès pour l'avancement des
sciences
, Nancy.) Cf. Rev.de VHypnot., I, 78. (4) En 188
aisonnement normal. C'est ce qui explique la cohésion admirable de la
science
. Mais comparez entre elles les religions, les mor
ant, même à ce degré de perfection, la religion reste en dehors de la
science
. L'existence de Dieu, tel que les métaphysiciens
e psychique en dehors de nous. Loin de pouvoir définir ces forces, la
science
commence à peine à les soupçonner. Encore est-il
e qui se rapportent à cette question. Il faut avoir confiance dans la
science
, et attendre ses conclusions, ou, si Ton veut all
paru en 1854 sous le titre: Magnétisme, .vérités et chimères de cette
science
occulte. Cette pauvre femme, qui s'était livrée à
oursuivait ses observations cliniques. Dans ce travail se révèle la
science
profonde que Mesnet possédait des différentes var
ir les passions, les modernes thérapeutes emploient au contraire leur
science
à une orthopédie morale. Ils corrigent les vices
r qui il avait une très grande estime, et en qui il voyait une grande
science
accompagnée d'un raisonnement fort net et forl pu
Un homme volontaire, énergique, raisonnable, élevé dons l'amour de la
science
, est déjà vivement louché par une grande cérémoni
Déjà, en 1884, j'avais dit moi-même, dans ma lecture à l'Académie des
sciences
morales et politiques : « Les personnes qui réven
négatives. Puis la Sorcellerie n'a plus, pour nous, de secrets. La
science
avait, jusqu'à ses derniers temps, imprudemment p
s leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. Une
science
qui. née d'hier, a déjà donné de tels résultats,
étude de l'esprit humain, à la jurisprudence, à la thérapeutique, aux
sciences
historiques, à la controverse religieuse. S'il
dre nos efforts. Répandons à flots, autour de nous, les clartés d'une
science
toujours plus scrupuleuse, plus prudente, plus as
particulier feront de nouvelles conquêtes ; et, en même temps que la
science
se développera, par contrecoup la pratique psycho
profession par un rôle indécent et malhonnête; comme si leur première
science
n'était pa^ de gérir! comme si le plus habile méd
it légitime, onuis distinct de celui de la psychologie ; elle est une
science
de rapports, incapable par conséquent de supprime
et de remplacer la psychologie proprement dite qui, elle, est une
science
de réalités. Ainsi la psychologie, pour ne pas so
Peut-être, en effet, lui cst-il arrivé de trop joindre ic rêve à la
science
, l'imagination à l'observation pure. Pourtant, qu
usiasme passionné pour tout ce qui touche aux diverses branches de ta
science
et d'une vénération ardente pour tous ceux, à que
rès dans l'évolution des connaissances humaines. De cet amour de la
science
qui anime le peuple russe, nous ne voulons pour p
mes qui n'ont qu'un but, celui d'aller plus avant dans le domaine des
sciences
pures et appliquées et de contribuer par leurs tr
entre les ressources de toutes sortes qu'offrent â l'enseignement des
sciences
biologiques les universités russes et celles plus
toutes choses qui surprirent fort. Il affirma, enfin, qu'il avait la
science
des décrets de Dieu, et qu'il existait deux grâce
e, du déjà célèbre Biaise Pascal. Remarquons ici qu'en lui l'homme de
science
n'avait pas encore disparu, et qu'il unissait alo
nce sur l'hypnotisme de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
, 187. Considérations psychologiques sur la natu
elui du rapport des signes et leur cause. La graphologie est bien une
science
. Ses règles ne sont pas évidentes par elles-mêmes
pas évidentes par elles-mêmes, il est vrai, comme pour bien d'autres
sciences
, du reste; mais elles sont démon- trées par l'e
au courant de tous les faits intéressants de ce congres. Congrès de
science
psychique à Chicago. La Revue philosophique ann
à Chicago. La Revue philosophique annonce un projet de « Congrès de
science
psychique » qui doit se tenir en 1893, en même te
se suivante : John C. Bundy, Chairman of the Committee on a psychical
science
Con-gress. World's Congress Auxiliary. Chicago. (
Magnan et Sérieux.— . Les aliénés persécuteurs (Revue générale des
sciences
pures et appliquées. 15 décembre 1891.) Marando
ue ; il doit rechercher et examiner tout, et ce n'est qu'ainsi que la
science
peut progresser. Je suis aussi complètement d'acc
à la Société de médecine pratique et au Congrès pour l'avancement des
Sciences
a Marseille. Je fais remarquer en passant que c
ns votre service : Henrtet. mort trop jeune pour ses amis et. pour la
science
, et Laget, retenu à Marseille et qui manque à not
de l'hostilité, du dédain même, de la part do quelques princes de la
science
, d'autres savants non moins illustres aiment à se
rès de Londres nous a paru beaucoup plus profitable aux progrès de la
science
. B... SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE Séance du lundi 11
Quoiqu'il soit toujours téméraire de parler de l'avenir en fait de
science
, on peut essayer de voir où on va et tenter quelq
s peuples civilisés, les législateurs, tes philosophes, las hommes de
science
et les jurisconsultes. Dû l'appréciation du tem
sont des réservoirs où sont accumulées des forces illimitées dont la
science
doit chercher à pénétrer le secret. M. Brown-Sé
l'attention des savants au détriment du développement normal de cette
science
. L'hypnotisme, porté par le nom de réminent Cha
e vint pas au monde comme une découverte nouvelle et importante de la
science
thérapeutique, comme l'idée pure et indépendante
d'inimitié. Or l'hypnotisme, tel que Charcot l'introduisit dans la
science
, fut censé être d'une importance peu commune au p
a méthode conséquente et la conviction sont nouvelles. Ainsi, comme
science
et comme application, l'idée est sans nul doute n
e application, l'idée est sans nul doute nouvelle, car l'idée devient
science
grâce à la méthode, et la conviction que l'idée p
e je ne sous-entends pas que la médecine est trop matérialiste. Les
sciences
naturelles sont la connaissance de l'ensemble des
hie constitue la connaissance de la pensée, du monde spirituel. Les
sciences
naturelles doivent ainsi forcément être matériali
ce. Il existe un matérialisme insensé et réprouvable, assignant aux
sciences
naturelles une supériorité au détriment de la phi
t pas mon avis. Quoique la télépathie, la clairvoyance et toute cette
science
étrange et nouvelle soit déterminée et définie, e
iction. C'est encore la force psychique, en harmonie parfaite avec la
science
, du reste. (Lombroso: Le Spiritisme et la Psychiâ
ne nouvelle conversion. D'après un calcul du Dr Dariex (Annales des
Sciences
psychiques,2° année, n° 3, mai-juin 1892, p. 134)
rité est là toute psychologique ou physiologique. » Depuis 1869, la
science
psychologique a marché. Les recherches sur l'hypn
e Congrès psychologique de Londres, publié dans la Reçue générale des
Sciences
, a amené, de la part de M. le professeur Bernheim
ongrès international de Psychologie expérimentale {Revue générale des
Sciences
, du 15 septembre). « L'auteur veut bien ne pas
r ce sujet a été faite en 1886 à l'Association pour l'avancentent des
Sciences
, session de Nancy (voir 15° session, page 744, et
itticalion envoyée par M. Beroheim, a adressé à la Revue générale des
Sciences
, la réponse que voici : « Je ne désire pas enta
le. « A ces causes, et autres, à ce, nous mouvans de notre certaine
science
, pleine puissance et authorité royales, nous avon
donner. « Et Jésus, le grand initié, le thérapeute en qui toute la
science
des mages s'est concentrée, par la seule puissanc
e impartiale racontera un jour quels immenses services ont rendu a la
science
les adeptes de la première heure, méconnus, honni
etc., qui. ètymologique-ment, n'ont que fort peu de rapport avec les
sciences
qu'il désignent ? tant, il n'est personne qui e
s objets que « d'une diversité d'objets à recueillir; mais, dans la
science
, les questions de « méthode sont aussi importan
ESTHÉSIES HYSTÉRIQUES (1) En 1880. au Congrès pour l'avancement des
sciences
, j'ai le premier démontré que l'amblyopie hystéri
e s'asseoir dans cet hémicycle universitaire avec ses sœurs, lettres,
sciences
, droit, qui donnent un enseignement purement théo
élaborent leur art et édifient leur technique avec les données que la
science
pure leur apporte, ces écoles ne constituent pas
comme une école de haut enseignement pur, c'est d'abord parce que la
science
qu'elle professe est bien de sa nature une branch
donnée à aucune autre; c'est ensuite parce que l'application de cette
science
, c'est-à-dire la médecine proprement dite, ne peu
'est-à-dire la médecine proprement dite, ne peut être distraite de la
science
elle-même. C'est celle de l'homme; c'est l'étud
ologie et la pathologie. Et voilà pourquoi l'étude de l'homme malade,
science
appliquée, est intimement liée a l'étude de l'êtr
e, science appliquée, est intimement liée a l'étude de l'être humain,
science
pure. Sans doute, les autres facultés s'occupe
ine sur lequel se rencontrent l'homme de lettres et le médecin. Les
sciences
explorent la nature, telle qu'elle se manifeste a
Cette cellule se développe el, par un travail de segmentation dont la
science
a étudié toutes les phases, elle donne lieu aux p
ption biblique à la définition que, dans sa modestie prétentieuse, la
science
dite positive voudrait lui substituer. Esprit e
e? Ètes-vous spi-ritualiste ? Nous affirmons hautement au nom de la
science
, que l'esprit commande et fait agir la machine. M
it commande et fait agir la machine. Mais nous ajoutons, au nom de la
science
, que si l'esprit actionne les organes, ceux-ci a
connaissons lame qu'enchaînée au corps, inhérente à la matière, et la
science
ne peut dire si lame est indépendante du corps, s
me est indépendante du corps, si l'esprit existe sans la matière ! La
science
seule*ne peut répondre et je crains de m'aventure
t avec obstination notre curiosité inquiète et impuissante. Hommes de
science
, sachons rester dans le domaine qu'il nous est do
labeur! » Écoutez cette parole et labourez avec ardeur le champ de la
science
pour que l'Université de Nancy mérite le double t
é plus fécond ; nul dans sa douleur n'a enfanté plus d'idées, plus de
science
, plus de découvertes utiles; nul n'a fouillé avec
Cette Revue contient un grand nombre d'articles très intéressants.
Science
, de New-york, donne le compte rendu de la dernièr
RAGES REÇUS A LA REVUE Du Potel. — La Magir dévoitee ; Principes de
science
occulte. (Un volume in-8° de 330 pages, 9 edition
ol. in-8, 1839. — Lindsay. Madness In animals. (The Journal of mental
Science
. 1871-1872, p. 181); The Pathology of mind in the
dsay. Mental Epidémies among the lower animals. (The Journ. of mental
Science
, 1871-1872, p. 425.) — Abadié. Panique chez les a
ue je n'ai pas retrouvées dans les cas analogues (1) acquis déjà à la
science
m'ont paru de nature à intéresser la Société d'Hy
me essence que la paralysie dont il a été question tout à l'heure. La
science
a démontré que la paralysie et les convulsions av
dagogique au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
. Le volume des comptes rendus du Congrès de Pau
ballé. A présent, par «a vraie valeur scientifique, il occupe dans la
science
la place importante qui lui est due, mais il est
près tout, libre à M. Déjerine de traiter, si cela lui convient, la
science
comme une loterie; qu'il prenne garde. cependan
me heure, les images et l'imagination active. Histoire générale des
sciences
. — M. Pierre Laffite traitera de la théorie de la
nérale des sciences. — M. Pierre Laffite traitera de la théorie de la
science
abstraite et de l'évolution mathématique de l'ast
Turin, puis à Rome. Pour le remercier de l'éclat qu'il jetait sur la
science
italienne, le roi le nomma sénateur du royaume d'
ernational de psychologie expérimentale, 30, 63, 82, 90. Congrès de
Science
psychique àChicago, 31. Congrès des médecin* al
ères et spontanés dans le sommeil bvpnotique, par Bérillon, 18.
Science
psychique Chicago, congrès de), 31. ' Scoliose
' En 1874, lorsque l'ouvrage de Kahlbaum venait de paraî- tre, la
science
n'était pas encore si avancée dans l'étude des
eau; par A.-R. URQUHAUT et W. Ford HOBIIT50N. (TM Journal of Mental
Science
, octobre 1902). L'intérêt de ces cas réside dan
importants. Dans un cas publié en jauvier dans le Journal of Mental
Science
par l'auteur, l'épilepsie avait été consécutive à
ologie du tabes dorsalis ; par R. G. Rows. (1'lae Journal of Mental
Science
. Avril 1902.) Ce travail a été lu au moment où
de la substance et sur celle de son mouvement s'édifie le monde des
sciences
naturelles, de l'expérience médiate. Sur le r
sur les travaux des savants, em- pruntés à d'autres domaines de la
science
, l'engagent à aboutir aux conclusions suivantes
son étude physiologique ; par T. CLAY SIAN. (The Journal of Mental
Science
, Juillet 1902). Après quelques considérations s
es cas de morphinomanie; par Robert Jones. · (The Journal of Mental
Science
. Juillet 1902). Très bon résumé de la question,
ntpar lesulfonal; par H. de M. ALEXAN- , der (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1902). Femme de trente-deux ans, anémi
nt faible et, à notre avis, le danger d'une telle méthode. Dans une
science
abstraite on peut faire crédit au savant d'une
'hypothèse momentanément acceptée. Il n'en va pas de même dans' les
sciences
biologiques. Les phénomènes ne sont pas reliés en
les maladies soma- * tiques; par Nathan Rac. (The Journal of Mental
Science
, Octo- bre 1902). Le point principal sur lequ
e de la folie diabétique; par W.-R DAw- son. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1902). Il résulte des considérations c
cas de mélancolie; par Lionel Ÿl°EATIiERLY. (The Journal of Mental
Science
. Juillet 1902). Dans ce court mémoire, qui ne c
les aliénés et leur valeur; par T. P. CowEN. (The Journal of Mental
Science
. Juillet 1902). Il est commun de rencontrer che
r les hallucinations ; par CONOLLY 1TORhfAN (The 'Journal of Mental
Science
. Janvier 1902). Lorsqu'on se trouve en présence
n- driaques, ils sont probablement la représentation dans la con-
science
de quelques troubles de la région. Sensibilité gé
s le 16 juil- let 1903, par Ernest W. VHITC (The Journal of Mental,
Science
, octobre 1903). Comme ceux de ses prédécesseurs
tel et puni par la loi ; par EDWIN GOODALL. (The Journal of Mental
Science
, Avril 1903)- Il s'agit d'un homme de trente-ci
s idiots et des imbéciles; par J.-H. SPROAT. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1902). 1 L'auteur n'entend pas s'occ
n anglaise sur la folie ; par Ernest Wiiite. (The Journal of Mental
Science
. Avril 1902.) Une dame est admise à l'asile le
chez les imbéciles ; par E.-F. 'l'fiEDGOLD. (The Journal of mental
Science
. Janvier 1903.) La folie ne s'observe que rarem
ns les asiles publics ; par Harry A. BEXHAM. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1903.) Les recherches de l'auteur ont
nts destinés aux aliénés; par Bedford PIERCE. (TheJournàl of Mental
Science
. Janvier 1903.) 252 asiles d'aliénés. On ne
l'urée et ses sels ; par J. Longheed Baskin. (The Journal of Mental
Science
, Janvier 1903.) L'auteur a employé chez sept
ure de la discussion; par M..T.-S. CLOUSTON. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1902). N'ayant d'autre rôle que d'ouvr
érieurs. Réflexe rotulien latéralisé; par M. Josserand [Société des
sciences
anédi- cales de Lyon, 14 mai 1902). M. Josser
X. Syndrome basedowien avec enophtalmie; par M. Dupuxr (Société des
sciences
médicales de Lyon, 16 avril 1902). L'intérêt du
e. Absence de réaction pupillaire ; par M. Jos- senaNn (Société des
sciences
médicales de Lyon, mars 1902). Il s'agit d'une
ntales sur la katatonie; par Lewis C. BRUCE. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1903.) Les conclusions tirées par l'au
lie d'origine toxique; par Emc M. Thom- son. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1903.) Le premier de ces cas montre un
IV. La folie du haschich; par John \VAnNOCE. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1903.) L'auteur, qui dirige un asile a
manie de l'adolescence; par Lewis C. BRUCE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1903.) Dans un précédent travail, l'au
rsakow » chez des femmes; par John TURNER, (titre Journal of Mental
Science
, octobre 1903.) Il y a une quinzaine d'années,
t causé la folie; par Lui. Sm : LAIR-(3LACK. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1903.) La présence de cysticerques aya
VIII. Un cas d'anévrysme; par Robert Pucn. (The Journal of - Mental
Science
, juillet 1903.) Observation curieuse d'un homme
ide terminaison fatale; par li.-D. Hotchkis. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1903.) Il s'agit d'un 'homme de cinq
ités des Etats- Unis; par Charles-S. Mayens. (The Journal of Mental
Science
. Octo- bre 1903.) ' - - Dans ses visites aux
e que prend dans leur enseignement l'étude de la psychologie; cette
science
aux Etats-Unis n'est pas le lot exclusif d'une
lles d'hommes des asiles, par A.-13. TUMBULL (The Journal 0/'Mental
Science
, octobre 1903). , L'auteur raconte d'abord sa v
résentées par H commission DE la tuberculose (The Journal of Mental
Science
, octobre 1903). Travail accompagné de plusieurs
olie; par R. WILSO ? et D. Chalmers `VATS01. (The Journal of Mental
Science
, juil- let 4003 ) Deux observations très inté
erveux central de l'homme ; par John TUnNER. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1903). Très intéressant mémoire, mai
manie aiguë continue; par Lewis C. BRUCE ( 7'Ae Jour- nal of Mental
Science
, avril 1903.) REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
la paralysie générale; par J.-V. 13LACHFORD (The Journal of Mental
Science
, juillet 1903.) De ses propres recherches et de
es de dégénérescence; par E.-H. Haurisson. (The Journal of Mental
Science
. Janvier 1903.) Les conclusions de l'auteur son
lé une tumeur du médiastin; par Robert PuGH. (The Journal of Mental
Science
. Avril 1903). Il s'agit d'un homme de quarant
e cyticerque du cerveau; par W.-C. SULLIVAN. (The Journal of Mental
Science
. Janvier 1903). Homme de 27 ans, aurait eu à l'
ren- céphalie ; par J.-O. WAKELIN BARRATT. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1903.) , L'observation du malade est s
glie et ses prolonge- ments ; par R. LEEPEI\ (The Journal of Mental
Science
. Oct.i902). Les altérations des cellules de la
l de poids anormal ; par John SUTc- , LIFFE. (The Journal of Mental
Science
. Avril 1902.) La conclusion de l'auteur est la
qué de scarlatine; par George WATTERS Green. (The Journal úr Mental
Science
. Avril 1903). Il s'agit d'un garçon de dix-sept
ie de Graves avec manie ; par J.-P. Grikves. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1903). Intéressante observation d'une
cas de double conscience; par Albert WiLsox. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1903.) Nous regrettons de ne pouvoir
des tentatives de suicide; par Robert JoNEs. (The Journal of Mental
Science
. Avtil 1903.) Relation intéressante de deux obs
mélancolie avec stupeur; par W.-Il. Dawson. (Tite Journal of Mental
Science
. Octobre 1903.) Deux observations intéressantes
e avec aliénation mentale; par Robert Joues. (Tlc Journal of Mental
Science
, juillet 1903.) Observation intéressante suivie
iniques et pathologiques; par M.-J. MOLAN, (fin - Journal of Mental
Science
. Avril 1903). Ce travail se compose de quatre o
des maladies mentales; par A.-R. Urguiurt. (Tlte Journal of Mental
Science
. Avril 1903). C'est à propos d'une nouvelle édi
il. Un cas d'hébéphrénie ; par W.-R. Dawson. (The Journal of Mental
Science
, avril 1903.) On sait que le mot d' « hébéphrén
sur les hallucinations ; par CONOLLY Mormon (T'he Journal of Mental
Science
, avril et juillet 1903). La première partie de
ur sont connexes; par Sir LAUDER BItuwTOV. (The Journal of Mental
Science
, avril 1902.) , . Pour analyser ce long travail
ie de la folie; par T. DUNCAN GREENLEES. (rA6youn ! a< of Mental
Science
. Octobre 1902) . '. ' Ce travail est très int
utissent à l'homicide; par G.-T. REVINGTON. (Tlee Journal of Mental
Science
. Avril 1902.) Les conclusions de ce travail se
ique de la Grande-Bretagne et de l'Irlande. (7'he Journal of Mental
Science
. Juillet 190z.) Ce travail, très documenté, ne
t une méthode corrélative; par C. HUBER Bond (The Journal of Mental
Science
, octobre 1902). Travail intéressant mais qui né
son, G.-B. Wilson, Yellowlees, Bruce et Marr (The Journal of Mental
Science
, juillet 1902). M. Clouston en ouvrant la discu
llaire par tumeur cérébrale. Intervention; par L. Dort {Société des
sciences
médicales de Lyon, 19 mars 1902). M. L. Dor pré
terie d'asile; par N. H. i\I : 1C\IILL : 1N (Tite JOllmal of Mental
Science
. Juillet 1902). L'auteur indique avec détails l
es hôpitaux généraux; par Sir John SIB13ALD (Tite Journal of Mental
Science
. Avril 1902). Le but de ce travail est de signa
chéance du système nerveux; par F.-W. IIOTT. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1902.) Tout le monde sait que le stimu
rce cérébrale chez l'homme ; par John TURNEP (The Journal of Mental
Science
. Janvier 1903.) Nous ne pouvons, en raison de s
E. HiDWOLD, avec remarques par Robert JONES, (The Journal of Mental
Science
. Juillet 1903). Il s'agit d'une malade de 38 an
ienne et la volition ; par A.-B. KINGSFORD. (T)ce Journal of Mental
Science
. Juillet 1903). Le caractère de l'épilepsie jac
es « Nursing Homes »; par Ernest W. WU1T1 ? (Tice Journal of Mental
Science
. Avril 1903.) Dans ce travail l'auteur étudie a
ement des cas aigus ; par R.-R. LI E- PER. (titre Journal of Mental
Science
. Octobre 1903 ) L'auteur rapporte plusieurs cas
des maladies mentales; par Henry n.\Y<ER, (The Journal of Mental
Science
, juillet 1902). L'auteur se demande si le somme
t complètement la psychiatrie. Elle n'avait d'ana- logue dans notre
science
que l'immortelle découverte de Ba)le quand, en
ool, le 24 JUILLET 1902; par G. Wiglesworth. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1902). Le discours présidentiel de M.
il s'agit là d'une simple supposition, et dans l'état actuel de la
science
ces cas ne sout pas explicables. On peut dire q
s, S "22 varia. et si le xixe siècle a-vu la biologie devenir une
science
précise par la découverte des lois générales qu
uston a depuis égale- ment défendu et développé (Journal loi Mental
Science
, octobre 1902). Il demande la création entre l'
d névrotique. 1 Raymond. Art. Tabes dorsalis in Dicl, encyclop. des
sciences
méd., 3e série, t. XV, p. 293. DU VERTIGE DES
e saurait prétendre à la nouveauté. Mais ici, comme dans toutes les
sciences
qui relèvent de l'observation, l'oeuvre n'est j
is considérée comme un miracle théra- peutique du meilleur aloi. La
science
ayant démontré que ces phénomènes étaient d'ori
donc fini du miracle. Pourquoi jeter tant de défis à la face de la
science
, qui finit, en somme, par avoir le dernier mot
p plus simple de constater que la thérapeu- tique miraculeuse et la
science
ont subi une évolution paral- lèle. La faith-he
st la même opération cérébrale produisant des effets identiques. La
science
qui évolue n'a pas la prétention de tout expliq
té expérimenté par M. le profes- seur Charcot. Nous n'avons ni la
science
, ni l'âge voulus pour nous per- mettre d'appréc
é des maladies mentales d'après les données les plus récentes de la
science
spéciale. Sans doute, il n'est pas d'oeuvre qui
par les médecins, mais encore par tous- ceux qui s'intéressent aux
sciences
psychologiques, philosophes, i pédagogues et ma
indiquant les noms et adresses des auteurs. Prix DE l'Académie des
sciences
. - Parmi les récompenses accor. dées, nous rele
e, 1884, etc.) 2 Grasset. - Art. Dialhèse, in Dicl. encyclop. des
sciences
médicales, p. 252. - Rapports de l'hystérie ave
York, le 21 juillet 1892; par ROBERT BAKER. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1892.) Discours très bref où sont somm
LA FOLIE EN ANGLETERRE; par J.-A. CAMPBELL. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1892.) Nous nous bornons à signaler ce
maladie appelée KATATONIE; par Percy-Smitu. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1892.) Observation intéressante et dét
DES aliénés avec la SYPllILIS; par Jacobson. (The Journal of Mental
Science
, avril 1892.) Les recherches poursuivies par M.
otidite chez les aliénés; par Th.-B. HYSLOP. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1890.) Les trois observations rapporté
l'ablation DE Le barbe; par George rINDL.11. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1890.) Observation curieuse, qu'il e
d'un fait semblable publié par M. Savage dans le Journal of Mental
Science
de juillet 1886. R. M.-C. XL VI. Notes sur qu
nts concernant les criminels; par John BAYER. The Journal of Mental
Science
, juillet 1892.) Etude intéressante, faite par u
VIN. Folie et divorce ; par A. WooD-RENTON. (Th/ ? Journal ofMental
Science
, juillet 1892.) On ne peut que signaler ici ce
EUR chez une mélancolique; par Vincent Nash. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1892.) L'auteur a cru devoir publier c
s sur la « katatonie i ; par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of Mental
Science
, avril 189.) L'auteur a résumé ou rappelé dans
ffection dite « Paranoïa » ; par E. L. DUNN. (The journal of mental
science
, janvier 1893.) La première question qui se pos
aires chez les aliénés; par CECIL F. BEADLE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1892.) Etude très documentée sur la fr
hématome DE la dure-mère; par Edwin GOODALL. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1892.) Note intéressante sur l'analogi
paraplégie ataxique; par F.-S.-John BULLEN. (The Journal of Mental
Science
, avril 1892.) Deux observations recueillies ave
PRISONNIERS ; par le Dr J. M01\EL (de Gand). (The Journal of Mental
Science
, janvier 1893.) Tous ceux qui sont au courant d
formes DE folie aiguë; par John MACPHERSON. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1893.) L'auteur résume dans les termes
teur DE tète, KOPFDRUCK; par HARRY CAMPBELL. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1893.) On sait avec quel luxe d'expres
aladie de Huntizzgtolz); par \ ? h. MENZIES. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1892 et janvier 1893.) . Les travaux
un médecin ordinaire. Tous deux cultivent par les mêmes méthodes de
science
positive la pathologie une et indivisible. (All
compte - c'est lui-même qui parle - des progrès inces- sants de la
science
», il évitait de citer les travaux de ceux qui
84) ; -- Ar- ticles publiés dans le Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médi- cales : Délire (en collaboration avec M.
histoire, d'une manière fort intéressante, puis l'inversion dans la
science
, où apparaissent toutes les phases par lesquell
rents buts; son influence; par D. Hack Tuke. (The Journal of mental
Science
, juillet 1892.) La maison de retraite pour le
Murray; par A.-R. UnQeR.aRT et A. IIEITON. (The Journal of mental
Science
, avril 1890.) Ce mémoire, très intéressant dans
es docteurs DODDS, STR : 111AM et GREENLEES. (The Journal of mental
Science
, janvier 1890.) Nous reproduisons ici, bien que
ervées dans DIVERS asiles; par ROBERT BAKER. (The Journal of mental
Science
, janvier 1890.) Les différents appareil ou le
l pas être plus varié; par J.-A. Campbell. (The Journal of mental
Science
, juillet 1892.) Après l'exposé de quelques cons
vail fourni par eux ; par CHARLES Mercier. (The Journal of mental
Science
, janvier 1893.) Tout le monde sait qu'il y a un
tion dernière d'aucun phénomène. Mais une définition, sauf dans les
sciences
pure- ment rationnelles, comme les mathématique
e DE l'artère vertébrale; par Telford-Smitu. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1890.) On se souvient qu'il y a quel
T abus de l'hyoscine, par Lionel Weatiierly. (The Journal of Mental
Science
. Juillet 1891.) L'auteur conclut de ses expérie
f ET hypnotique; par J. CAIILYLE-JOIiNSTOVE. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1892.) - Les conclusions de ce travail
d'un crimimel simulateur; par James MURRAY. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1890.) L'histoire de ce prisonnier est
ÉRDITALF (r[13110-KY--TIQUE); parJamesRoRIE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1890.) Observation détaillée, suivie d
micide ET suicide; par Frank ASIIB1 1;LKINS. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1891.) Observation détaillée, poursuiv
énés DE 1890 en ANGLETERRE; par Percy Smith. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1891.) Travail impossible à analyser
E son évolution ; par George M. Robertson. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1890.) Après avoir étudié physiologiqu
. Insolation ET folie; par Théo. B. IIYSLOP. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1890.) L'auteur pense que l'on s'est j
ralysie générale ; par BOVVILLE BRADLEY Fox. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1891.) Il s'agit de quatre. cas de par
anie POST-ÉCLAMPTIQUE j par E.-A. ALExANDER. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1891.) L'éclampsie a probablement eu p
e 23 juillet l891, par E.-B. `1'DITCOJIBE. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1891.) Dans ce discours, le Président
TIVE A une insolation; par E.-B. WHITCOHBE. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1891.) Observation d'un cas intéressan
Influenza ET névrose; par Geo.-H. Savage. (The Journal , of Mental
Science
, juillet 1892.) On sait que l'influenza a eu po
SOLUTION DE L'Ex- pression; par John TURNER. (The Journal of Mental
Science
, jan- vier et avril 1892.) Dans ce travail ét
LXXX. Un cas DE cocaïnisme; par PERCY Smith. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1892.) Ce cas s'écarte du type ordinai
I. GÉNIE ET folie; par Arthur i·1.1CD0\.1LD. (The Journal of Mental
Science
, avril 1892.) L'auteur termine son étude, basée
e lui-même. » Remarquons que les directeurs scientifiques du Mental
Science
, MM. Hack Tuke et Geo. Savage ont cru devoir dé
iculière DE TROUBLE mental; par M. J. NOLAN. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1892.) LYŸlIII. QUELQUES observation
UN cas DE tumeur cérébrale; par James RORIE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1892.) Observation intéressante, suivi
ventricule GAUCHE du COEUR; par Jolin BRUCE. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1892.) Observation d'un homme de soixa
atique médicale ordinaire; par A.-II. NEWTH. (The Journal of Mental
Science
, janvier et avril 1892.) - A l'aide de plusie
ES d'un visiteur ; par M. George ROBEIiTSON. (The Journal of Mental
Science
, octo- bre 1892.) L'auteur a visité successiv
iots et épileptiques doivent, dans l'intérêt de l'humanité et de la
science
être, de même que les asiles d'alié- 1 Voir Arc
s- seur Hayem, dans son beau travail, fait remarquer aussi que la
science
n'est pas encore définitivement fixée sur la qu
ent à la face. Or, il serait impossible, dans l'état actuel de la
science
, de déterminer exactement, sur l'écorce céré- b
paralytique GÉ- NÉRAL; par T.-W. IAC-DONALL, (The Journal of Mental
Science
, janvier 188G.) Le malade auquel appartenait
ux cas DE folie larvée ; par CONOLLY Norman. (The Journal of Mental
Science
, avril 1SS6.) L'auteur rapporte, avec des détai
a paralysie générale ; par Pritchard D.wrES. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1886.) Les modifications heureuses app
e hémorrhagique étendue; par Geo.-H. SAVAGE. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1886.) L'observation de ce malade, r
VI. Deux cas DE mélancolie ; par A. PATTON. (The Journal of Mental
Science
. Janvier 1886.) Il s'agit de deux cas de mélanc
ES maladies mentales; par le D PERCY SnttTa. (The Journal of Mental
Science
, octobre 488;i.) Etude intéressante qui compr
\ C \5 de folie saturnine; par Hall Willl'r. (The Journal of Mental
Science
, avril 1886.) Chez le malade dont il s'agit, on
l'appétit dans la FOLIE ; par J.-A. CAMPBELL (The Journal of Mental
Science
, juillet 18S i .) Voici le résumé des observati
tés morbides qu'il est possible de séparer dans l'état actuel de la
science
. - La para- lysie générale des aliénés ou folie
ur importance scientifique et pratique. LE prix DE l'institut des
sciences
DE milan. - L'Institut des sciences de Milan ay
ue. LE prix DE l'institut des sciences DE milan. - L'Institut des
sciences
de Milan ayant établi un concours international p
gements. Or c'est précisément de pareilles représen- tations que la
science
a besoin, et il n'y a qu'une voix sur la fidéli
et, toutes les sensations, comme des modifications du toucher '. La
science
a démontré depuis que les dif- férents organes
mie, ont le bon esprit de tenir grand compte des résultats de cette
science
, ils inclinent vers les théories histologiques
tion de médecine de l'Association française pour l'avancement des
sciences
(séance du 14 août 1889), un mémoire relatif à
notre communication à l'Association française pour l'avancement des
sciences
, nous avons reçu le 18 août, de M. le D'' Arnau
E L'ASILE ROYAL DE Dundee ; par James RoRIE. (The Journal of Mental
Science
, avril 1887.) Nous ne pouvons que signaler ic
TO-PHÉNONE (Hypnone) ; par COVOLLY Norman. (The Jour- nal of Mental
Science
, janvier 1887.) L'auteur n'a expérimenté l'hypn
l'abus DE la séclusion ; par J.-A. Campuell. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1886.) L'auteur définit tout d'abord c
'alternance des névroses; par G.-H. SAVAGE. (The Journal of' Mental
Science
, janvier 1887.) L'auteur a choisi ce titre, par
stème NER- veux ; par J. HUGIiLINGS JACKSON. (The Journal of Mental
Science
, avril 1887.) La concision qui règne dans ce
iples DU CERVEAU; par F. S. JUHN HULLEY. ('1'heJolll'/lal of Mental
Science
, janvier 1888.) Ce cas est surtout remarquable,
GÉNÉRALE DES ALIÉNÉS ; par R. PERCY SMITII. (The Journal of'Mental
Science
, avril 1888.) Il s'agit d'une malade âgée de qu
e pose de la façon que voici : L'hypnotisme vaut-il la peine que la
science
lui fasse bon accueil et lui consacre des veill
ismont (Gaz. des hôpit., 7 mars 1843) et Williams (Journ. of Mental
Science
, avril 1875, p. 151) ont signalé des cas de mél
es années d'existence. Il est impossible dans l'état actuel de la
science
de formuler aucune conclusion valable; la raret
ont un peu au- dessus de la portée des médecins appartenant il la «
Science
officielle ». Nous tenons à rappeler la définit
rappeler la définition du magnétisme donnée au Congrès : C'est une
science
ayant le massage pour base et l'amour pour somm
res classes se groupent contre la septième quia obtenu l'appui delà
science
officielle. Les congres- sistes sont d'accord p
es séances publiques d'hypnotisme et de magnétisme qui nuisent à la
science
2° et la création d'une école où la partie scie
tués à rencontrer sur la brèche toutes les fois que l'intérêt de la
science
mentale est en jeu. s'était là comme toujours m
uis Il DE BAVLÈRE; par Villiam-W. IRE- land. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1886.) M. Ireland qui a consacré plusi
NERVEUSE. effet le moment où venaient d'être introduites dans la
science
les belles recherches de Claude Bernard sur la
se SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 313 pour l'avancement des
sciences
1. J'insiste sur les dates, - Messieurs, parce
iens dans le diabète sucre. (Associât, franc, pour l'avancement des
sciences
, Congrès de Blois. septembre 1884.) 314 CLINI
s dans les « 7/<MOMCe67f/ ? » peut montrer l'état actuel de la
science
en question. Aussi, avant d'aborder le sujet de
I. La folie ET LE crime; par S.-W. 1VORTH. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1886.) L'auteur s'est proposé dans ce
ns les affaires criminelles est mauvaise en fait, et contraire à la
science
et à l'expérience ; qu'elle a pour conséquence
ts devrait être modifiée de façon à ce qu'elle s'accordât avec la
science
et avec l'expérience. L'erreur de la jurisprude
SABILITÉ CRIMI- NELLE ; par Geo.-H. SAUVAGE. (The Journal of Mental
Science
, avril 1886.) Il n'est pas nécessaire d'avoir
T LES TRIBUNAUX civils; par Achille FOVILLE. (The Journal of Mental
science
, avril 188ti.) Les conclusions de ce travail
ion d'aliénation mentale, par A. R. TUHDULL, (The Journal of Mental
Science
, octobre 1886.) Observation très intéressante
e mis en liberté'/ par H. liA ïES 1EW1\GTO\. (The Journal uf Mental
Science
, janvier 1887.) L'auteur laisse systématiquemen
LES ALIÉNÉS en Ecosse ; par James BORIE. (Tite .fou1'Ilal of Mental
Science
, avril 1888.) Nous ne pouvons que signaler ce
l'homicide ET au SUICIDN : ; par Evan POVELL. (The Journal o(menlal
Science
janvier 1887.) Voici le résumé de l'observati
; par le Dl CLOUS- TON et le Dr SAV : 1GE. (T he Journal of mental
Science
, avril 1888.) Il s'agit de deux jumeaux dont
AUGMENTATION DE la FOLIE; par D. HACK TUhE. (The Journal of Mental
science
, octobre 1886.) L'auteur signale tout d'abord u
LES troubles mentaux ; par G. E SHUTLEWORTH. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1886.) Travail très intéressant, trè
aliénés. La médecine mentale est, comme le reste de la médectne, la
science
des indications physiques, intellectuelles et m
li0URG, le 6 août 1888, par ) ? S. CLOUSTON. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1888.) L'orateur, en terminant son dis
ES asiles D'ALIÉ- NÉS ; par S.-A-K. SRAH.\M. (The Journal of Mental
science
, octobre 1886.) L'auteur examine successiveme
ux destinés aux aliénés ; par Sanger UIONN. (Tlee Journal of Mental
science
, avril 1887.) Les observations de l'auteur s'ap
ES MALADIES INFECTIEUSES; par M. D. MACLEOD. (The Journal of Mental
Science
. Avril 1887.) Cet hôpital est situé à 130 mètre
OGIQUE, LE 9 août 1886; par Geo. Il. Savage. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1886.) L'oraleur s'est proposé dans ce
pour lesquelles on allègue la nécessité de suivre les progrès de la
science
, avaient plus ou moins détourné l'ensei- gnemen
international de l'hypnotisme, en 1900 : * L'hypnotisme, qui est une
science
d'expérimentation, marche fatalement en avant
ine, de la physiologie et de la psychologie. Le contrôle de ces trois
sciences
est indispensable si nous voulons faire œuvre dur
e méthode seront influencées par les limites que l'on assigne à notre
science
('). Ceux qui veulent les élargir ont le plaisir
médecin. L'un n'hésitera pas à lui tendre des pièges pour éprouver sa
science
; un autre taira son âge, atténuera ses infirmité
et la clinique sont les bases fondamentales de notre institution. Ces
sciences
doivent sans cesse nous guider. Elles nous permet
me ignorées ; Conquête des localisations cérébrales, apportant à la
science
la notion nouvelle d'une véritable psychologie ex
ut commentaire hasardeux. Psychologiste ou sociologiste, l'homme de
science
ne doit avoir qu'un but : recueillir des faits, l
destes, zélés et dévoués au soldat, instruits dans toute la gamme des
sciences
médicales même spécialisées, à telle enseigne que
é de travers, bien entendu, de choses qu'ils ne connaissaient pas, la
science
s'est décidée à intervenir, en vue de ramener à l
ombre d'années seulement, l'étude de l'âme des bêtes mérite le nom de
science
; et que cette science, maintenant à ses débuts,
t, l'étude de l'âme des bêtes mérite le nom de science ; et que cette
science
, maintenant à ses débuts, est encore étouffée sou
epousser de toutes ses forces. Si nous voulons élever les bases d'une
science
durable là où poussèrent, au hasard, tant de prod
pages. Jouve. Paris, 1903. Dr J. Grasset : Le spiritisme devant la
science
, avec une préface du professeur M. Pierre Janet.
r, à 8 h. 1/2. La psychologie des examens, par M, Laisant, docteur ès
sciences
, examinateur â l'Ecole polytechnique. Vendredi
e de l'Hypnotisme. Prix: 10 fr. Laisant ; L"éducaiion fondée sur la
science
, avec une préface d'Alfred Naquet. Félix Alcan, P
rofesseur Blanchard a bien mérité à la fois de la civilisation, de la
science
et de l'humanité. Nous sommes heureux de lui adre
entir à modifier les croyances philosophiques de leur enfance. La
science
a fait ses preuves, sa faillite, proclamée par qu
ection de médecine de l'Association britannique pour l'avancement des
sciences
avait refusé la lecture d'une communication ayant
amation des dogmes, — jusqu'à ce qu'enfin l'humanité, délivrée par la
science
des germes de mort qui la rongent, ne songe plus
le Professeur Grasset (de Montpellier) sur : Le spiritisme devant la
science
; une thèse de M. le Dr Maurice Olivier sur Les al
ant, aussi modeste qu'original, un superbe objet d'art. Les hommes de
science
qui s'étaient groupés autour de lui à Nancy — il
en connu, a donné la définition suivante de l'esthétique : c'est « la
science
qui a pour objet l'étude philosophique des manife
un peu vague. Il me semble préférable de dire que l'esthétique est la
science
du sentiment du beau et du jugement artistique, q
erait du tort à leur puissance de production. En effet, tandis que la
science
recherche l'objectivité, Part est essentiellement
orte de propos délibéré sa réflexion sur les problèmes à résoudre. La
science
veut comprendre; elle a pour principe le besoin d
les sont les causes et les éléments de la jouissance artistique. La
science
de l'art en est encore à ses débuts. Il est vrai
losophes aurait dû faire naître est resté en souffrance. Le but d'une
science
de l'art ne saurait être de connaître un certain
de se représenter ce qui s'y passe. N'oublions pas, en effet, que la
science
de l'art ne se propose pas seulement de comprendr
siècle; et, de même que cette dernière théorie a dû faire place à une
science
de la nature plus féconde, fondée sur l'observati
sa sœur, la psychologie. Elle sait que, de même que toutes les autres
sciences
relatives à l'esprit, c'est dans la psychologie s
euvent point être toutes empruntées à la psychologie. Il faut une
science
générale du beau, justement afin de constater les
un autre genre. Tout aussi bien que l'esthétique, l'éthique est une
science
portant sur l'appréciation. 11 n:est donc pas éto
itabilité des muscles et des nerfs. (Annales de la Société royale des
sciences
médicales et scien-ces médicales et naturelles de
d'une belle simplicité, tout entière consacrée à l'amour ardent de la
science
. Né à Ferrières le 111 septembre 1833, il fait
m du docteur Liébeault est profondément gravé sur le livre d'or de la
science
— en lettres Indélébiles. {Est républicain).
mari. Rien ne l'arrêta ; il continua à guérir sans l'adhésion de la
science
officielle et finit par imposer ses doctrines.
eau. Son nom restera parmi ceux des initiateurs qui ont illustré la
science
au XIXe siècle. [Est républicain). Dans un troi
eur de l'Ecole de Nancy, praticien eminent de la suggestion, à qui la
science
médicale doit une de ses méthodes de guérison les
tur thaumaturge qu'il serait un jour le maître de l'hypnotisme, cette
science
expérimentale de l'anesthésie, qui endort les sou
Messieurs, Si on a pu dire que le xix* siècle était le siècle de la
science
, je crois que l'on dira plus tard que le xx' sièc
branches d'un même tronc, d'un même arbre, et dans les annales de la
science
vous trouverez confondus un certain nombre de fou
s â la société et diminuera de beaucoup le nombre des alcooliques. La
science
et le dévouement de M. Bérillon sont une garantie
un comité de patronage composé des plus illustres représentants de la
science
. Nous sommes heureux d'annoncer à nos lecteurs qu
es se sentiraient profondément malheureuses. En réalité, à côté de la
science
et de la religion, c'est l'art qui ennoblit la vi
mps; l'intérêt qu'il, excitait s'est en grande partie reporté vers la
science
et vers les questions sociales de nature moins id
per le sens et le goût de l'art, et avec eux le talent artistique. La
science
et l'art peuvent orner une seule et même personne
t, édité par la maison Lavauzelle ('), et qui reçut de l'Académie des
sciences
le prix du barron Larrey ; rappelons que ce prix
MÉDECINE ET RELIGION 61 : 2 Les miracles du curé d'Ars devant la
Science
('). Récemment a eu lieu à Rome, au Vatican, un
le dixième jour des calendes de mars de l'année 1904. n Que dit la
Science
pour ces divers faits? 1° Le premier est certai
hommes qui l'ont le plus honorée, par les grands services rendus à la
science
et à l'humanité. Il a ouvert à l'art médical
ommeil et les Etats analogues, paru en 1866, méconnu et raillé par la
science
officielle, provoqua, vingt ans après, plusieurs
s le rôle prépondérant que la psychologie est appelée à jouer dans la
science
sociale. Pour réaliser ce programme une documen
vre d'art a son cachet, qui vient de la personnalité de l'artiste. La
science
est objective, l'art subjectif. Si dans une œuvre
e celui-ci soit touché de la même manière dont lui aété touché. Si la
science
sert à étancher notre soif de connaissance et à s
e même, c'est un don, une inspiration ; on ne l'apprend pas comme les
sciences
; celui qui n'a pas de génie ne saurait l'acquéri
élever un monument au Dr), p. 353. Miracles du Curé d'Ars devant la
science
(Les), p. 348. Monument Charcot à Lamalou (Inau
nerfs grand sympathique et pneumogastrique. 6 ANATOMIE. démie des
sciences
l'an dernier. La figure I en dira plus, à elle
est assurément flatteur pour moi d'avoir été critiqué avec tant de
science
et d'esprit, et je ne manquerai pas de faire mon
collocation Mais après comme avant il faudra toujours recourir à la
science
aliéniste. En principe comme en fait, la loi de
s présente, résumant parfaitement, en tout cas, l'état actuel de la
science
... » Cette appréciation de M. Charcot vaut cert
traitée à fond autant qu'elle peut l'être dans l'état actuel de la
science
la question si difficile de para- lysies et des
réfutation du péché originel de la religion et des fatalités de la
science
! » FAITS DIVERS. 141 Exercice illégal de la
cependant quelques remarques qui très ' Turnbull. Journ. of mental
sciences
, oct. 1881. z \\'iâles\vorth. Ibid., juillet 18
, en effet, contre les causes réelles dei la' nui- sance, ce que la
science
a déjà appris affaire dans bien des circonstanc
EDÈME ET sa FOLIE; par J. Cumming MACKENZIE. (The Journal of mental
Science
, juillet 1889.) Le myxoedème est de description
at épileptique; par IIAIIRINGTON SAINSDUIIG. (The Journal of mental
Science
, octobre 1889). , Discussion intéressante d'u
ÉNÉRALE DES ALIÉNÉS; par Joseph Wiglesworth. (The Journal of mental
Science
, octobre 1889.) D'après les faits qu'il a pu ob
Malhan RAW, dans le service de W.-C. BLAND. (The Journal of mental
Science
, octobre 1889.) Dans le cas dont il s'agit, l'a
c précis chez LES aliénés ; par llal7at1 RAN.(The Journal of Mental
Science
, octobre 1889.) Il s'agit d'uu cas d'étrangle
DU MEURTRE DE sa SOEUR; par Geo. H. SAVAGE. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1889.) Le crime commis par ce jeune
tude sur la STUPEUR; par James K. 'VHITwELL. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1889.) Nous devons nous borner à indiq
CHEZ LES enfants ; par Francis W,\R ! OER. (Tite Journal of Mental
Science
, octobre 1889.) L'auteur s'est proposé dans ce
. XV. Tentative DE SUICIDE; par URQUIIaRT. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1889.) Il s'agit d'un homme de cinquan
e 25 juillet 1889 ; par H. H.1YES NEwINGTON. (The Journal of Mental
Science
, octobre. 1889.) , , Comme la plupart des har
athologiques intéressants ; par James RORIE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1889.) Dans le premier cas, il s'agiss
S (maladie de Raynaud) ; par J. M.1CPHERSON. (The Journal of Mental
Science
, avril 1889.) Chez ce malade, atteint de manie
: observation de c a10 ; par R. PERcY-SMITH. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1889.) Observation curieuse d'un homme
émence aiguë POST-FÉBRILE ; par John TUHNER. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1888.) ' Ce cas est celui d'un jeune g
ES D'UNE MÊME famille; par Oscar-T. WooDS. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1889.) . Il s'agit d'une famille de di
sie générale DES aliénés; par John TURNER. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1889.) Ce travail, accompagné de table
r DE L'OESOPHAGE; par E. Maziere COUIITENAY. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1889.) Ce cas est intéressant à plusie
de la parole; par HARRINGTON SAINSI3URd. - (Tlee Journal of Mental
Science
, janvier 1889.) Courte, mais intéressante étude
rée associée A la folie; par George P. COPE. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1888.) L'auteur relate longuement l'ob
eau CHEZ LES imbéciles; par Fletciier Geacu. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1889.) Ce travail repose sur six obser
iénés au CAIRE EN 1888 ; par F.-M. SAXDWITU- (The Journal of Mental
Science
, janvier 1880.) Ce travail donne des renseignem
ux opérations CH1RURGICALES; par C.-T. DENT. (The Journal of Mental
science
, avril 1889.) L'auteur pense que la folie consé
(G)'M6et<C/t<) ; par CoIVOLLY NORMAN. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1888.) Il s'agit d'une affection que G
USIEURS observations; par Morgan FjNuc,iE. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1889.) " Le premier mérite de ce médic
n délai DE plus DE TROIS ANS; par P. Pope. (The Journal of men- tal
Science
, janvier 1880.) , Ces dix-huit cas, dont quatre
expérience de dix années); par Robert BAKER. (The Journal of mental
Science
, juillet 1889.) ? L'auteur préconise l'emploi du
sur L'EMPLOI du SULFONAL; par W.-R. WATSON. (The Journal of mental
Science
, juillet 1889.) Le sulfonal n'est certainement
comme antipyrétique; par W. Julius MICELLE. (The Journal of mental
Science
, janvier 1889.) Les recherches de l'auteur ont
abitudes ALCOOLI- QUES ; par W. S. PLAYFAIR, (The Journal of mental
Science
, juil- let 1889. . Le traitement préconisé pa
OLONL1L DE iIIELBOUBNEi par F. N. iILINNING. (The Journal of mental
Science
, juillet 1889.) 1 On trouve dans ce discours, q
liénés DE h10\TROSE; par James C. IIowDEN. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1889.) , Ce court mémoire, accompagné
s pauvres dans l'avenir ; par D. HACK- TUKE. (The Journal of mental
Science
, octobre 1889.) Etude intéressante et conscienc
HORS DES asiles EN Ecosse; par D. HACK-TuKE. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1889.) - Nous résumons ici, en les a
ose quotidienne quatre onces, en deux fois). (The journal of mental
Science
, jan- vier 1889.) Autobiographie intéressante
édico-psyc)oloyique, et auteur de nombreux travaux interprétant les
sciences
et la médecine, entre autres : le sommeil et le
ntervention de ces deux nouveaux méde- cins dont elle critiquait là
science
et la pratique; elle se riait de leurs efforts,
'est renoncer à comprendre et même à penser. C'est par elles que la
science
ressemble à l'art et à la poésie, elles forment
omme anormal et rechercher s'il en existe d'autres exemples dans la
science
. Mais le plus souvent, en étu- diant plus atten
orique qui concorde avec bien des données acquises aujourd'hui à la
science
, suries localisations, mais qui n'a pas encore
'efforçant de ne retenir que les notions réellement acquises à la
science
, et en laissant de côté toutes celles qui sont
ÉNIN- GITE consécutive; par J,. W, PLUTON. (The Journal of mental
Science
, janvier 1889.) Les renseignements recueillis s
PRESSION DE la PENSÉE; par Francis WARNER. (The Journal of Mental
Science
, avril 1889.) - Il est impossible de résumer ce
a glande pituitaire; par James-B ? VHITwELL. (The Journal of mental
Science
, juillet 1889.) Ces tumeurs sont rares et les s
fut assuré- ment, de mes années d'apprentissage de la vie et de la
science
, la plus féconde et la plus heureuse. M. Charco
sprit élevé, l'intelligence ouverte à tout ce qui est beau dans les
sciences
et dans les arts, vous a donné le charme et les
e plus éminent est Laënnec. La clinique pure est aussi, elle, une
science
, car elle possède ses méthodes propres. Une mét
s avez appris à travailler, vous' nous avez inspiré l'amour de la
science
, vous nous avez animés du feu sacré, et quand, pl
it, dis-je, de l'éclairer par l'intervention largement acceptée des
sciences
anatomiques renouvelées par l'histologie et de
nt deux ans, se sont succédé : Cotard, hélas ! trop tôt enlevé à la
science
, comme devait l'être plus tard le regretté Mich
l'on peut dissiper, doivent être admis à recevoir les secours de la
science
et de la charité. Lorsque, sur tous les points
aillant et Dubois, de faire cesser cette hizarrerie et de doter une
science
, fondée il y a quarante ans par Duchenne (de Bou-
s et il s'adresse avec confiance aux médecins qui s'occupent de cette
science
. L'alcoolisme, ce fléau moderne qui empoisonne
, qui ne connaissait l'hypnotisme que de nom, et n'a encore sur cette
science
que des données vagues et peut-être très erronées
commente l'idée que le sentiment le plus réconfortant pour l'homme de
science
, c'est celui de l'amitié qu'il constate chez ses
s temples déserts du polythéisme, les prêtres furent dispersés et les
sciences
sacrées eurent deux ordres de dépositaires : Io l
l'Hôpital général au commence-Il) Messieurs de la Société Royale des
Sciences
établie à Montpellier, ont envoyé a l'Académie l'
cordés par le Roi au mois de Février 170C. (Mémoires de rAcadimic des
Sciences
, année 17*2.) ment do mars. Lu, ces attaques
n'ont donc pas complètement perdu leur temps, puisqu'ils ont doté la
science
d'un néologisme. La vie nomade de Barbara L'rsl
rieux cl deviendra définitivement une des branches du grand arbre des
sciences
médicales. Je vais exposer brièvement ce qui a
professeur de la Faculté de droit de Nancy, membre de l'Académie des
sciences
morales et politiques. M. Liégeois fut un des pre
dont un (1) M- Boulin fit une narration de ce cas à l'Académie des
sciences
de Pans. (Comptes rendus, t. LXXXYII, 27 octobre
, dirrcl«ur do l*Io»llliit Pa*ieur. (IStO-IM) la Revue générale des
Sciences
, une étude assez étendue sur les travaux scientif
nt s'était constitué à Paris pour se livrer à l'étude de ce groupe de
sciences
, assez mal défini d'ailleurs, que l'on désigne so
ciences, assez mal défini d'ailleurs, que l'on désigne sous le nom de
Sciences
psychiques, Duclaux fut invité à présider la séan
s, en effet, extrêmement surpris de me trouver inaugurer une Ecole de
Sciences
psychiques devant une assemblée aussi nombreuse,
ent à citer,et dont le grand mérite était de mettre Les zélateurs des
sciences
psychiques en garde contre les entraînements de l
règles et la méthode rigoureuses qu'on apporte dans toutes les autres
sciences
. En effet, la nécessité du contrôle et de la crit
e vous nous racontez, et si vous voulez le prouver par témoignage. La
science
n'admet que le témoignage des faits, et rejette a
e de continuer ; la foi n'est pas scientifique. « Le principe de la
science
esl au contraire de se méfier de tout le monde, m
femme k barbe âgée île X ans. Cas du D* Kcker (Fribourej, 1816- la
science
phrénologique, a le pouvoir de faire connaître à
snoceurs et les intoxiqués, n'être que de parfaits ignorants de toute
science
physiologique ou bien des ennemis irréductibles d
romanciers ou tous autres écrivains et savants véritablement épris de
science
et de méthode, la régularité de leur vie se reflè
ne faut ríen moins que toute l'attention de hi psychologie médicale,
science
assez nouvelle mais bien armée pour le bon combat
e moitié à la guérison du malade. Sans doute, ils ne demandent pas la
science
et la finesse de raisonnement que doit posséder t
ofesseur Mar-cellin Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, membre de l'Académie française. La leçon d'ouv
unes gens des Ecoles, il leur disait : « Gardez-vous de croire que la
science
dessèche le cœur et n'inspire aux hommes qu'une a
on du progrès, et des entraînements irréfléchis qui compromettent les
sciences
, a toujours prodigué les encouragements aux cherc
font plus qu'un corps mû par une seule intelligence. Or, c'est une
science
que celle de capter la confiance des troupes, et
re physicien Ampère, qui cultivait avec un égal succès aussi bien les
sciences
psychologiques et morales que les sciences mathém
égal succès aussi bien les sciences psychologiques et morales que les
sciences
mathématiques et naturelles, se signalait par une
de M. le professeur Bcrthclot, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, membre de l'Académie française. L'enseignement d
fesseur Harcellin Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie dos
Sciences
, membre de l'Académie française, p. 245. II. —
présidence de M. Bebthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, membre de l'Académie française. 1° L'Ecole de
de M. le professeur Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
, membre de l'Académie française. Aux côtés de M
e balaillo dont toutes les victoires ont constitué un progrès pour la
science
et un bienfait pour l'humanité. Après avoir ouv
e à la chimie moderne et à la thermogenese animale. L'étendue de sa
science
nous étonne encore à la lecture de ses belles rec
emps, les conditions matérielles et morales de la vie des peuples. La
science
devient, grâce h lui, le fondement logique, inébr
Lorsquo les recherches de Pasteur vinrent bouleverser ic monde des
sciences
et particulièrement les choses de la médecine, to
ger et mettre en relief la principale des causes qui retenaient celte
science
, la plus difllcile de toutes, à un état embryonna
ychologie dont vous connaissez la prospérité. C'est la loi de toute
science
qui veut vivre, de tendre vers des applications u
ire également que sans ces sensations nous n'aurions pas créé les
sciences
, l'industrie et les arts ; car c'est surtout pour
rêmes. Herbert Spencer, dans son livre intitulé : /nfroduc/ion A la
science
expérimentale, s'élève avec raison contre l'erreu
. Longtemps avant lui Montaigne avait exprimé ses défiances pour la ¦
science
pure livresque », estimant que la fréquentation d
e en un volume sous le titre significatif : L'Éducation fondée sur ta
science
. Mais, me direz-vous, si on ne peut compter ni
phétique du professeur Berthelot affirmant, en 1895, que c'était à la
science
qu'il fallait s'adresser pourétablir les bases in
ors de sa création. Pour elle la psychologie ne sera pas seulement la
science
de la volonté ; on lui devra également une morale
lations de la psychologie avec la physiologie, deux grandes et belles
sciences
. Vous essayez d'en fixer les méthodes et d'en éta
les doux faces, les deux points de vue opposés. Au point de vue de la
science
positive, c'est-à-dire de la constatation des fai
il n'y a point de commune mesure possible. D'ailleurs, toute notre
science
positive repose, ne l'oublions pas sur une pétiti
l'antagonisme irréductible entre les religions et la raison, entre la
science
et le mysticisme. Dans cette perpétuelle Illusi
né par les lois fatales de la mécanique? C'est alors la théorie do la
science
positive qui satisfait davantage l'intelligence.
du beau et du bien. Messieurs, uniquement attachés aux méthodes de la
science
positive, vous avez renoncé à agiter ces problème
difficile de faire admettre par ceux qui ne connaissent pas bien ces
sciences
ou qui ne sont pas familiarisés avec ces phénomèn
l'homme de caractère, trop souvent différent de l'homme d'esprit, de
science
el même de génie. Notre savant maître rappelait
. Tout d'abord, se souvenant de la parole de Pascal qui disait : • La
science
est une langue bien faite >, M, Chartes Richet
que troubler les chercheurs i occultisme ne signifie rien, car toute
science
est occulte à ses débuts. Quant au terme de « sci
rien, car toute science est occulte à ses débuts. Quant au terme de «
science
psychique », il n'est pas heureux. Tout réflexe e
souvent fait de lâchetés hypocrites, je puis bien dire que la « vraie
science
» aurait tort de s'inféoder hâtivement, soit aux
e en réalité, comme on sait. Bien que relativement neuve, c'est une
science
des plus attachantes qui soient, de celles qui pr
Psychologie lntrospecttve : La Psychologie dans ses rapports avec les
sciences
philosophiques. — Président : Prof. R. Ardigo (Pa
liénés du Comté de Northumberland, a publié dans le Journal of Mental
Science
{') deux cas de femme à barbe qu'il a eu l'occasi
i, a prononcé un éloquent discours sur la psychologie envisagée comme
science
positive. M le président Sergi exposa ensuite l'i
psychique » des individus atteints de quelque penchant vicieux. La
science
est bien redevable à M. Bérillon qui l'a enrichie
, cl nous pouvons vraiment «lire que ce Journal est le Moniteur de la
science
nouvelle, car tout ce qui intéresse le trioniplic
trouvera de nombreux imitateurs. Un Journal est indispensable à la
science
mesmérienne ; celui-ci est le seul qui existe : r
e la fréquence et l’intensité du crétinisme. — Voilà des faits que la
science
constate, et certes cette matière a élé largement
nces de magnétisme auraient un très-grand intérêt. Les faits que la
science
possède dans ce genre sont excessivement rares ,
ute, depuis la connaissance que la doctrine de Mesmer a apportée à la
science
, et aussi depuis les travaux de Matteuci, de Lieb
aites sans souffrance et sans aucun accident, ce dont les annales des
sciences
médicales n’offrent point d’exemple , un nombre é
n, se sont opposées de tout leur pouvoir à l’avénement de la nouvelle
science
. Leurs efforts n’ont point été entièrement vains;
magnétique de Paris; celui-ci, comprenant toute l’importance, pour la
science
en général, du vif et long débat que cette discus
i-bas je n’invoque l’appui, Et je porte 6 la main le flambeau de la
science
; Refuser de me suivre est une impertinence ; Ca
Ce serait oublier le respect de soi-même, Et par trop ravaler la
science
qu’on aime. Écoulons votre sœur ; qu’elle parle
lien? Libre après, au rêveur, dans sa monomanie, De rapetisser la
science
à son génie. Croyant avoir fixé les limites de
e étude historique et raisonnée de tous les faits appartenant à cette
science
. Jusqu’à présent, il s’est borné au rôle de narra
sant entrevoir, à travers tous ces débats, une opinion favorable à la
science
nouvelle. Aujourd’hui,, il a quitté le rôle d’his
ombre de mes élèves , M. A. Calmcls, voulant payer son tribut à notre
science
, s’est promis de reproduire les traits des hommes
à une exposition sommaire du magnétisme considéré comme art et comme
science
. Cet article est empreint d’une foi vive et d’un
de conquêtes rendues impérissables dans le domaine tout physique! La
science
a vu par nous tous agrandir ses limites, et l’esp
e l’hospitalité a pratiqué le bien, sa vie fut utile aux hommes, la
science
aussi lui devra un souvenir.....» Pourquoi donc
conde d’où doivent découler les résultats les plus importants pour la
science
. Il doit,j’en suis convaincu, non-seulement ouvri
ieuses qu'il avait depuis longtemps amassé est à jamais perdu pour la
science
. Je n'ai point eu, en écrivant ce second volume,
i, peut-être paraîtrai-je avoir à mon tour payé mon tribut à la noble
science
de la psychologie. Qu'il me soit permis de reme
ipales qui sont traitées dans cet ouvrage. Enfin, M. Lelut, auquel la
science
du système nerveux doit tant de belles découverte
a moelle épinière. L'Institut, t. XX, p. 272.— R. Wagner. Société des
sciences
de Gottingue, 16 janvier 1854. les arcs nerveux
iences de M. Flourens, M. Marshall-Hall a rendu un grand service à la
science
; en effet, l'automate est excité, il ne sent poin
s cordons antérieurs exclusivement moteurs ; ceci demeure acquis à la
science
. Ainsi les faits nouvellement aperçus ajoutent au
cellules multipolaires, il y a entre les fibres des (t) Société des
sciences
de Gœttingue, 16janvier 1854. commissure, au cô
st pas là le moindre service que ce célèbre anatomiste ait rendu à la
science
du système nerveux. elle. Sa figure se rapproch
niers temps (1) s'est préoccupé de ces sophismes qui font souvent des
sciences
une tour de Babel. Il a défini le sens précis du
Troisième mémoire sur les circonvolu~ lions du cerveau, dans Ann. des
Sciences
wi, 4e série, lorn. Ill, page 83, 2° Plis de la
sation cérébrale. Ce fait est l'un des mieux constatés que possède la
science
. Dans un cas de ce genre (1), les corps striés, l
r, à cet égard, des doutes sérieux. Pour ceux qui se décident dans la
science
en recueillant des voix pour telle ou telle opini
gine de ces fibres? Il y a, à cet égard, plusieurs hypothèses dans la
science
. La première, l'une des plus anciennes du moins
ociété Philomathique, 13 mai 1854. — Comptes rendus de l'Académie des
sciences
, même année. — Même recueil, séance du 2 juillet
pent, que si le problème pouvait être résolu par les procédés dont la
science
actuelle dispose, il le serait bientôt d'une mani
e simple remarque renverse bien des théories qui ont eu cours dans la
science
, et dont la domination est encore à peine contest
ux opinions que les travaux de Tiedemann avaient popularisées dans la
science
. Cependant, tout en demeurant, quant à sa masse
s-le sans hésiter, sans ces abstractions hardies il n'y aurait pas de
science
possible en histoire naturelle. Ces larges formul
es analogies, mais gardons-nous de négliger les différences; la vraie
science
, en élevant dans les cieux ses archétypes, doit s
s races comparées entre elles! Est-ce là une méthode, est-ce là de la
science
(1)? Nous croyons, pour notre compte, que ces q
nces firent connaître au inonde savant un fait sans précédent dans la
science
: c'est que les hémisphères cérébraux étant détru
s sourd, mais absolument dépourvu (1) Mémoires lus à l'Académie des
sciences
en 1822 et 1823. —M. Flourens divisa la moelle ép
nsibles. Etiam hic nihil in partibus (1) Marshall-Hall. Annales des
sciences
naturelles, deuxième série, t. VII. (2) M. Flou
zoonite peut renaître un animal entier. M. Moquin Tandon, auquel la
science
doit un beau travail sur la famille des Hirudinée
rveux dans les animaux articulés (Bulletin de la Société vaudoise des
sciences
naturelles, t. V. n°39, et le travail récent de F
se rétablir complètement, tandis que la (1 Joum. complémentaire des
sciences
médicales. T. XXX, gp. 129. paralysie qui suit
lles le conduisirent tout d'abord à cette conclusion nouvelle dans la
science
que le cervelet coordonne les mouvements qui ont
Flourens, lorsqu'une découverte inattendue et sans précédent dans la
science
vint donner à ces démonstrations plus d'étendue e
oir que la théorie des résultats qu'il annonce est, dans l'état de la
science
, incertaine et obscure; les faits ne s'accordent
ès de Démocrite et d'Empédocle. En vain Willis affirme-t-il que toute
science
chez les animaux est automatique ; en vain fait-i
i l'idée de moi-même. Mais si je suis Dieu, comment se fait-il que ma
science
ait des bornes? Comment quelque chose m'est-il ét
e des sons. De là, l'arbitraire et la diversité des langues, de là la
science
de la signification des mots. Science que tout ho
diversité des langues, de là la science de la signification des mots.
Science
que tout homme a besoin d'acquérir, et qu'il ne r
e avec l'infini. Cependant, en même temps qu'elle est une source de
science
et de vérité, la vue a ses illusions et ses erreu
les les couleurs sont indiquées un sens déterminé. C'est là, pour les
sciences
naturelles en particulier, un résultat immense et
ent; d'où résulte une double sensation, une double action, une double
science
. 11 est hors de doute que les animaux imaginent
re. Essai de psychologie, c. xi. — Les commissaires de la Société des
Sciences
physiques de Lausanne concluaient dans le même se
s préoccupés que M. Macario, reproduisant l'opinion de la Société des
Sciences
de Lausanne, les compare. Toutefois, il faut qu'i
emier de sa classe. Cf. Sauvages de la Croix. Mémoires de l'Acad. des
Sciences
, 1742, p. 400. leuse et effrayante que cette do
ères l'une à l'autre dans un même sujet, et, dans l'état actuel de la
science
et de la philosophie, qui pourrait aborder la sol
Biran, Nouvelles considérations sur le sommeil. — Lelut, Diction, des
sciences
philosophiques, art. Sommeil.—Albert Lemoine, Du
vreul, pensant avec une haute raison que la vérité seule profite à la
science
, a bien voulu m'autoriser à raconter de nouveau c
» Le docteur Parent a fait connaître dans le grand Dictionnaire des
sciences
médicales un fait aussi curieux qu'inexplicable d
mes sans l'entreprise d'au- (1) Bacon. Dignité et accroissement des
sciences
. Liv. IV, chap. Cette aptitude naturelle a été co
her que l'âme ne soit parfois illuminée par les rayonnements de cette
science
à qui rien n'est caché? Mais tous ces systèmes se
e qu'il est à peu près impossible de décider dans l'état actuel de la
science
. Les extatiques sont-ils, comme on l'imagine so
son enfant. Mon ami, M. le docteur Archambault, a lu à la Société des
Sciences
médicales, plusieurs observations où sont consign
e docteur Gromier, de Lyon, accepte ces faits, et ne pense pas que la
science
des somnambules aille au delà. Il cite des faits
ultes ; cette malheureuse tendance a longtemps arrêté les progrès des
sciences
naturelles ; le monde visible est le domaine des-
-elle restée sans réponse? Une expérience faite devant l'Académie des
sciences
, dit M. Bersot(l), déciderait tout; mais ces expé
èce a ses habitudes propres et invariables. Ici rien ne change; cette
science
innée, qui n'a rien reçu de l'éducation, ne grand
le, et tandis que les instincts se transmettent par la génération, la
science
acquise par l'intelligence demeure personnelle et
r une méthode si sûre, que chacun de ses pas a été un progrès pour la
science
. gage intérieur; il est donc fort difficile de
me une foule d'actions admirablement enchaînées, coordonnées avec une
science
suprême, qui s'accomplissent cependant à son insu
de courir. Rien n'était plus comique que sa colère de (1) Ann. des
sciences
naturelles, première série, t. XXII, p. 399. (2
'apprennent rien de leurs pareils. Quelle est donc cette singulière
science
, qui s'improvise en quelque sorte, et demeure inc
s facile de s'en faire une idée bien claire. Chose remarquable! cette
science
, que l'animal ne communique point socialement, pe
ur les espèces domestiques. 11 paraît d'ailleurs que ces éclairs de
science
qui étincellent çà et là chez les animaux n'embra
n'embrassent pas tous les faits analogues, mais des cas exclusifs. La
science
des bêtes a un caractère local, et, dans d'autres
ant et la perd. N'est-ce pas quelque chose d'incompréhensible, qu'une
science
qui ne domine qu'un seul fait? Rien ne prouve mie
on elle est vide. L'instinct, au contraire, à son heure, sait tout de
science
infuse ; (1) Amusement philosophique sur le lan
point. Rien ne change dans cette monotone république des bêtes; leur
science
se transmet, non par le langage, non par la raiso
t trop rapides et trop rares pour illuminer le domaine si vaste de la
science
. § 4. Du langage de l'homme. On peut distingu
re en faire ouvrir une autre. On dérouterait probablement toute cette
science
en transposant à droite une sonnette placée à gau
démence ; par Joseph SHaw ? *' 130LTON (Tlie-Jouî-12(il oflieîital
Science
, Avril 1901). ` ' ' e L'auteur conclut : 1° que
; par \V. Ford ROBEUTSON et Jales MACDONALD (The Journal of Mental
Science
, Avril 1901). , Les auteurs décrivent avec so
y. VI. Le sens musculaire; par John RFID. (Tite Journal of'mental
Science
, juillet 1901.) ' On a soutenu à propos du sens
divers groupes des maladies familiales actuellement admises dans la
science
. Dans l'article « Nystagmus » publié dans le Di
viennent apporter la lumière sur ces parties encore obscures de la
science
médi- cale. 1 RECUEIL DE .FAITS. Note sur u
ortance immense doivent s'incliner tous les hommes ayant assez de
science
pour savoir, ayant assez d'intelligence pour com-
e la toxémie; par SirDvcE DucrwoRTa. ( L7ee .Toacravl o/' llelctcal
Science
, Avril 1901). L'auteur passe en revue les div
de gliome du cerveau; par W.-J.-A. Erskïne. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1901). Observation : Femme de vingt-ci
fracture spontanée : par Herbert SIIICER. (Tlte ' Journal of Mental
Science
, octobre 1901.) Il s'agit d'une fracture du fém
'idiotie syphilitique par L. HARRis Liston; (Tite Journul of Mental
Science
, octobre 1901). Obs. 1. Femme de vingt-sept ans
mélan- colie aiguë ; par Arthur W. Wilcox. (The Journal of Mental
Science
, avril 1901.) Après un court historique du suje
s le Pays de Galles; par lt.-S. S'rEw,l1'r. (Tite Journal of Mental
Science
, janvier 1901.) A l'aide de chiffres et de tabl
e peu ordinaire ; par 13.-R. LE>;Pl : n. (Tlte Journal of Mental
Science
, octobre 1901.) loi REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
.-F. Beadles, par le professeur M. Benedikt. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1901.) M. Benedikt a lu avec d'autan
; par J.-M.-S. Wood et A.-ri. Urquiiart. (1'lve Journal o/' Mental
Science
, octobre 1901.) Il faudrait pour donner une idé
. 'I 11 1 Une section du programme avait pour objet a l'étude de la
science
des rapports du physique et du moral ». Dans
out un riche héritage de traditions et de labeur. Le flambeau de la
science
, pris des mains de nos maîtres et qui nous a éc
et il a de l'incontinence nocturne d'urines. ' Il existe dans la
science
un certain nombre de cas analogues (Trélat et l
q Trépier. Article Mamelles (physiologie). In Diction encyclop. des
sciences
médicales, p. 379. ' Depaul et Guénot. Article
' Depaul et Guénot. Article Menstruation. In diction, encycl. des
sciences
médicales, p. 682. L HYSTERIE DE SAINTE THERESE
s travaux. Notre ville, qui s'honore d'avoir en tous temps aimé les
sciences
, les lettres et les arts, a donné à la science
tous temps aimé les sciences, les lettres et les arts, a donné à la
science
médicale des noms illustres. Permettez-moi de c
alpables sont les sources intarissables de tout art, comme de toute
science
et de toute philosophie. J'ajoute que, nulle pa
se. Aussi par cela seul que vous aviez fait de la psychologie une
science
biologique, vous avez commencé à apporter de l'or
quelques audacieux, rejetées jusqu'ici comme n'appartenant pas à la
science
orthodoxe, admises enfin aux honneurs de l'expé
naturel dans la nature et d'avoir fait péné- trer les clartés de la
science
dans ce qu'on nommait, hier encore, le domaine
ère, un coreligionnaire, car vous avez, comme eux, le culte de la
Science
libératrice. L'Université de Grenoble, qui est he
nt ! Je voudrais maintenant que, par un de ces prodiges auxquels la
science
nous habitue aujourd'hui, ces murs puissent conse
inte de vos paroles; je voudrais que tous ceux qui, en dehors de la
science
, s'intéressent, par profession, à la chose pu-
om- mes, puissent prendre ici des leçons. A l'heure où toutes les
sciences
se préoccupent de leur utilité sociale, la méde
e jugement de Leibnitz, par lequel je veux terminer : « Le rôle des
sciences
est de bâtir des systèmes d'une connais- « sanc
cin-directeur de la maison de santé de Castel d'Andorte, docteur es
sciences
, rapporteur. Au cours de ces dernières années,
s assises consacrées à l'étude des intérêts les plus éle- vés de la
science
et de l'humanité. 11 ne s'agit pas d'établir la s
domaine autrefois obscur une vive lumière. Et là comme partout, la
science
a fait oeuvre de bonté : -. elle a brisé les ch
traitement et plus de pitié, telle est l'oeuvre bienfaisante de la
science
médi- cale partout où elle passe. Krafft-Ebin
de la raison, plus nous les croyons ». Ces mots, négation de toute
science
, ennemis de tout progrès, furent les mots d'ord
ls d'instruction ; au xxe siècle il faut croire seulement ce que la
science
et la raison nous enseignent ; la raison et la
nt ce que la science et la raison nous enseignent ; la raison et la
science
doivent prendre la place de toutes les folies r
de ses plus labo- rieux élèves. Il lève son verre au progrès de la
science
médicale et au développement de l'assistance.
au Congrès de 1901 de V Association française pour l'avancement des
sciences
, apportent un appui important à la créa- tion,
ir ces rapports, les moyens d'observation employés par les diverses
sciences
sont différents, mais nous ne pourrons considér
entre deux faits comme parfaitement établi que lorsque les diverses
sciences
dont relève ce rapport donne des résultats conc
ent des maladies mentales; par W.-R. Dawsuy. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1901.) Les conclusions de ce travail s
se dans les asiles; par Lionel A. WEATUËRLY. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1901.) Ce travail est lui-même une ana
ment des troubles mentaux; par G. H. S1YAGE. (The Journal of Mental
Science
, Avril 1901.) - - L'auteur estime que l'on ab
la bonne fortune d'avoir pour maitre Reuaudin, qui avait fait de la
science
médico-administrative son étude de prédilection
ommés dans la section de chirurgie et Léon Coze dans la section des
sciences
accessoires. En 1858, il la suite d'un rapport
cet ouvrage n'ait pu être traduit, il a pourtant, à l'époque où la
science
française projetait sur le monde entier un glor
t de ce livre : « Cet ouvrage constitue le premier inventaire de la
science
psychiatrique, dont il constate les richesses e
rateur. Leur ensemble forme un véri- table traité de médecine et de
science
médico-administrative, tou- jours utile à consu
e double intracrânien ; par B. Henry Sii.%w. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1901.) Observation : Femme de cinquant
nettement 508 8 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tranchées, que la
science
moderne a cessé d'admettre à cause de la solida
titue la démence. 13. nE \fuscn.wE CLnr. XI. L'état présent de la
science
mentale (le premier d'une série de mémoires qui
de soixante-huit cas ; par George-A. Rorie (1'lac Joumzul of Mental
Science
, Avril 1901). Les conclusions générales de l'au
: revue critique ; par W.-H.-B. STODD : 1RT. (The Journal of Mental
Science
, juillet 4901.) Les conclusions de cet intéress
(de Prague), traduction de James lIIDDLEUss. (The Journal ol mental
Science
, juillet 1901.) Travail renfermant plusieurs ob
écutive à la chorée : par Rotusay G. SrEWART (The Journal of Mental
Science
. Juillet 1901). L'un de ces cas s'est terminé p
comparée pour l'Irlande ; par Thomas Drapes (Tite Journal of Mental
Science
. Octobre 1')01). C'est une question très import
pathologie mentale, par liam W. Ireland (7'/te Journal Of3lel2l(tl
Science
, janvier 1901). - Friedrieli Nietzche descendai
ecture; mais son état s'améliora et il conçut le plan d'étudier les
sciences
naturelles. 526 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
ns, leur pathologie; par Alex. 11013LeRTSON. (The Journal of Mental
Science
. Avril 1901.) L'auteur a pu rassembler 15 cas b
, promu à la ire classe du cadre. Nécrologie. 7'/m./OM)'n. of ment.
Science
d'octobre annonce la mort du De G. 1111crr.i ?
lliilipl)e, Cestan et Oboi tlitir, 361. Scuoefer. Voir Réflexe.
Science
mentale. L'état présent de la -, par llollaucle
õãø\\ø% õ\ø, L'Auteur. AVANT-PROPOS. Il est dangereux, dans les
sciences
, de conclure trop vite. Quand on raisonne d'après
he d'une question importante, mais insoluble dans l'état actuel de la
science
, celle de la détermination des plis cérébraux hom
age de reconnaissance à la bienveillance avec laquelle mes maîtres en
science
ont accueilli ce travail. Il m'a été rendu facile
ement cérébral dans les différentes races soit un procédé digne de la
science
actuelle. Je ne sais si je me trompe ; mais le tr
de départ d'aucune description méthodique. Tous les progrès que la
science
a faits sur ce point, dans ces derniers temps, da
es choses qu'il a si bien copiées, en sorte qu'il n'a fait faire à la
science
aucun pas essentiel. Peu de mois après M. Arnol
age de M. le docteur Foville, l'exactitude, la clarté et la véritable
science
des descriptions anatomiques. (Foville, Traité co
apports. Lorsque ce Mémoire fut présenté, en 1850, à l'Académie des
sciences
, je n'avais pu étudier que le cerveau de VEntelle
différences. A l'époque où ce mémoire fut présenté à l'Académie des
sciences
, la collection du muséum ne possédait qu'une seul
de la Malle, Mémoire sur le grand Gorille du Gabon, dans les Ann. des
sciences
naturelles 3' série, tome XVI, 1851. vernoy. Il
eçon de M. Baillarger sur l'idiotie. Ce célèbre psychiatre, auquel la
science
doit de belles découvertes, montra, en effet, un
dessiner ce curieux cerveau, afin d'en enrichir mon ouvrage; mais la
science
n'y perdra rien, M. l'élève interne dont j'ai par
egrés divers chez certaines races, une aspiration perpétuelle vers la
science
depuis le commencement des âges connus. Accablées
ar des fulgurations perpétuelles ; il y a en elles une soif, innée de
science
, d'art et de liberté, qui ouvre leur esprit à tou
duquel l'histoire de l'Homme et des animaux échappe au domaine de la
science
? Quant aux conséquences désastreuses pour la mo
ue la force aide la faiblesse, que le voyant dirige l'aveugle, que la
science
guide l'imbécillité. La loi d'humanité, qui protè
du genre. Dès lors les divisions arbitraires disparaîtraient de la
science
, et les systèmes deviendraient l'expression et, s
nde voie, M. Chevreul a élevé la botanique et la zoologie au rang des
sciences
expérimentales. Ce uest pas là seulement perfecti
es sciences expérimentales. Ce uest pas là seulement perfectionner la
science
; la perfectionner de cette façon, c'est véritable
rès la même. Ces faits sont un puissant argument contre cette vaine
science
de la Phrénologie. Qu'un phrénologiste promène se
présentées a quelque chose de séduisant pour l'imagination ; mais la
science
ne grandit point par les imaginations des philoso
ules bien faits. De grandes collections de ce genre auraient, pour la
science
, des résultats certains ; elles permettraient d'é
de découverte le contenu des idées morbides est tiré du domaine des
sciences
pratiques et théoriques. Sans doute, plus le dé
a lecture de ses composi- tions, démontrent que son savoir dans les
sciences
physiques est très faible et qu'il n'en connaît
me, et toutes les sensations comme des modifications du toucher. La
science
a démontré depuis que les différents organes de
voir, bien des faits qui chaque jour prennent droit de cité dans la
science
. Ainsi Golgi n'admet pas l'existence de cellule
N ; par MM. T.-S. Clouston ET J. BATTY TUKE. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1895.) Opinion de M. Clouston. L'aut
; par le professeur L. MEYER (de Gottingen). (The Journal of Mental
Science
, avril 1896.) Il y a plus de trente-cinq ans qu
UITES CHEZ DEUX opérés ; par TELFORD-SMiTII. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1896.) Lorsque Lannelongue publia le
AL de l'idiotie ; par G.-E. SfIUTTLE- WORTH. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1896.) Les conclusions de l'auteur son
tement cuez LES aliénés ; par P. MAURY DEAS. (The journal of Mental
Science
, janvier 1896.) L'auteur déclare tout d'abord q
atiques DES aliénés; par EDWARD D. 0' NEILL. (The Journal of Mental
Science
, avril 1896.) L'auteur estime qu'il y a toutes
a folie épileptique; par J. H. 'l'ULL VLS11. (The Journal of Mental
Science
. Avril 1896.) - Ce travail est accompagné de di
r étu- dier de préférence les nouveaux agents que les progrès de la
science
ont mis récemment à notre disposition. Parmi ce
stes consécutifs à la lésion primitive. 3° Dans l'état actuel de la
science
et de notre expérience, les cas qui relèvent d'
CÉE DES aliénés malades; par A. R. TURNBULL. (The Journal of mental
Science
, ' octobre 1895.) - L'auteur s'est proposé da
SÉRIE DE soixante cas; par LEWIS-C. BRUCE. (1'he Journal of mental
Science
, octobre 1895.) . .Nous avons analysé à cette p
ENT A LE penser; par T ? 1. CH.11')1 : 1N. (1'lte Journal of mental
Science
, janvier 1896.) L'auteur résume son opinion s
cas de gangrène spontanée; par W.-B.MoRTON. (The Journal of mental
Science
, janvier 1896.) Malgré l'abaissement du taux de
mour, étude sur L'ARIOSTE, par 11. Kornfeld. (The Journal of mental
Science
, octobre 1895.) L'auteur se livre à une intéres
CONDUITE; par Geo. H. Savage et C. Mercier. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1896.) Les deux auteurs relatent succe
E folie traumatique; par Thomas Pmup C01VAN. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1896.) Ce travail renferme cinq observ
rapports avec la folie; par W. H. R. RivERs. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1894.) Travail intéressant dans lequ
cérales chez l'homme sain; par Henry HEAD. (Tfec Jourlaal of Mental
Science
, janvier 1896.) Parmi ces états, il en est qui
es survenues chez DES aliénés ; par J. KEAY. (The Journal of Mental
Science
, avril 1896.) L'auteur rapporte d'abord une o
DE manie RÉCURRENTE ; par John G. HAYELOCK. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1896.) Le sujet de cette curieuse obse
U diabète avec la folie; par C. Hubert Bond. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1896.) Les conclusions de ce travail
es somatiques; par Ernest Septimus REYNOLDS. (The Journal of mental
Science
, janvier 1896.) L'auteur est amené par de nombr
autre part il importe que les aliénistes aient quelques notions des
sciences
juri- diques. En outre bien des points de la lé
25 et zig JUILLET 1g95; par David NicoLSON. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1895.) L'orateur a lui-même résumé son
ne minorité de criminels, tout comme il refuserait d'appliquer à la
science
de l'homme en général la dénomination d'anthropol
ET SES biographes ; par William-W. IRELAND. (The Journal of Mental
Science
, juillet et octobre 1896.) Dans unelongueet int
s, 1894. Croouian Lecture, faite le 8 mars 1894. Revue générale des
sciences
, 15 mars 1894, p. 141-155. - Cf. Pro- ceedinfls
ve qu'elle soutient pour l'expli- cation mécanique de la pensée, la
science
ne doit point perdre courage : ce qui distingue
à l'origine des cellules de Deiters, Weigert adopte les idées de la
science
de son temps sur la phylogénie et l'ontogénie d
OUVERTURE DE la discussion; par H. MAUDSLEY. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1895.) M. Maudsley a ouvert cette disc
n'en sont pas moins restés enclins à croire ou qu'il n'y a pas de
science
médicale exacte, ou qu'il n'y a pas d'honnêteté m
NTS ; par A. WOOD- RENTON et D. YELLOR-LRES. (The Journal of Mental
Science
, jan- vier 1896.) Dans ce double travail M. W
DE médecine légale ; par 130N'ILLG li. Fox. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1890.) Ce cas s'ajoute aux cas déjà tr
dans L1 MALA- DIE DE Graves; par A. IIAUDE. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1896.) Bien que la littérature médic
ent des aliénés à l'asile de Tokio est conforme aux principes de la
science
moderne. L'asile possède un laboratoire d'histolo
la criminalité. Rapporteur : M. le or Camille Moreau, docteur ès
sciences
naturelles, médecin-légiste à Charleroi. Le Com
prix est décerné à M. RApii%EL Aubois, professeur à la Faculté des
sciences
de Lyon, pour son Etude sur le mécanisme de la
dans la psychiatrie. Ce courant, qui a envahi toutes les régions de
sciences
, qui sont en rapport direct ou indirect avec l'ét
ce qui explique le grand nombre de recherches qu'a produit cette
science
, depuis quelques années. Mais les variations ph
ire chez LES aliénés; par S 1MUEL EDCERLEY. (The JOll1'nal oOIental
Science
, juillet 4896.) L'auteur rapporte sept observat
l'asile du comté D'EsSEX; par JOIIn ToRNER. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1896 .) 1 Etude très intéressante et
U. PSEUDO-PARALYSIE générale; par B. HYSLOP. (The Journal of Mental
Science
, avril 1896.) Bien qu'il se défende de vouloir
suicide; par E.-S. TALBOT et Havelock ELLIS. (The Journal of Mental
Science
, avril 1896.1 Cette observation concerne un hom
s : RÉCIT PERSONNEL DES phénomènes MORBIDES. (The Journal of Mental
Science
, avril 1896.) Ce récit a été écrit et envoyé au
phie 419 donc un ouvrage d'ensemble établissant l'état actuel de la
science
, en ce qui concernait cette intoxication. C'est
peut dire que la psy- chologie en est au point où se trouvaient les
sciences
biologiques avant Darwin. La psychologie scie
des difficultés, des dangers peut-être plus grands qu'aucune autre
science
: les vieilles superstitions, la phrénologle, la
mieux trempés, mais insuffisamment persuadés du plein pouvoir de la
science
dans sa nudité et sa simplicité. L'auteur a don
es études historiques beaucoup plus com- plètes que pour les autres
sciences
et comprenant toutes les philo- sophies, en mêm
pologie moderne, qui repré- sente peut-être, à l'heure actuelle, la
science
la plus touffue, la plus vaste, avec ses divisi
Alors que la chirurgie possède, dans le département spécial de la
science
médicale, un champ relativement limité, la psychi
pelle la tendance à l'intégration de toutes les spécialités dans la
science
médicale, tendance qui, à l'heure actuelle, est
. Ce n'est qn'en appelant à l'aide les différentes branches de la
science
médicale et les enseignements les plus récents de
de la protubérance, ont montré l'intégrité des tissus. (Société des
Sciences
médicales, Lyon.) LXVI. Anévrisme CIRSOÏDE DE l
hèse de l'ori- gine médullaire de la maladie de Pajet. (Société des
Sciences
médi- cales de Lyon.) Dr DEVan. LXVIII. DE La
ées 1. Dechambre. — Introduction au Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales, p. xix. doivent se fondre dans ce mo
eaux horizons se sont ouverts pour nous, et que le point de vue de la
science
moderne s'est élevé en se déplaçant. Les précur
'interprétation des phénomènes morbides; est-ce à dire que ces deux
sciences
doivent absorber la pathologie et la dominer d'un
st là, pour ainsi dire, la matière de la médecine. L'intervention des
sciences
biologiques, — y compris les connaissances physic
ecine empirique. On peut désigner, en somme, par cette expression, la
science
considérée dans un état en-core imparfait et à l'
s reliés entre eux par une théorie physiologique i. « Le jour où la
science
, » a dit Requin, « serait parvenue » à la connais
que les agents » extérieurs produisent sur l'économie, ce jour-là, la
science
» serait faite 2. » Mais à l'heure qu'il est, la
cer de plus en plus dans les « ténèbres, et d'enchaîner l'essor de la
science
. En vain les « observations les plus délicates et
rises, ont exercé une si funeste influence sur le développement de la
science
; le naturisme, le stahlianisme et toutes les for
soupçonnait même pas les véritables rapports de la biologie avec les
sciences
physi-ques. De tels écarts sont heureusement impo
équent des maladies spéciales. Sans accepter cette interprétation, la
science
moderne a pleinement confirmé la réalité du fait
s tou-jours négligée. Et ainsi, à mesure que le monde a vieilli, la
science
s'est successivement enrichie d'un nombre immense
ve consigné dans un des premiers articles du. grand Diction-naire des
sciences
médicales. Ce document, précieux à tant d'égards,
t pourquoi, sans doute, les chefs de l'école n'avaient rêvé pour leur
science
qu'un rôle relativement très modeste dans l'ensem
hysiologie spéculative ou con-templative des temps passés, mais de la
science
que nous ont faite les maîtres modernes, continua
e la physiologie, lorsque cela est possible, dans l'état actuel de la
science
. La méthode inverse, qui consisterait à partir de
avoir établi que la méthode empirique est le ves-tibule obligé de la
science
. Nous ne saurions jamais abandon-ner cette méthod
tion des procédés nouveaux, l'ob-servation clinique doit s'allier aux
sciences
générales et se rapprocher de plus en plus de la
ontentons-nous de répondre, avec un maî-tre honoré, que l'art sans la
science
ne tarde pas à dégénérer en routine 4. Le sceptic
ffira de vous rappeler la remarquable transformation qu'a subie cette
science
pendant le cours des vingt dernières années, dans
l'histolo-gie pathologique qui devait rester, pendant longtemps, une
science
presque exclusivement germanique. Messieurs, vo
de s'élever à côté de nous et qu'il fallait compter désormais avec la
science
d'outre-Rhin 1. Par une réaction bien naturelle
voisins, grisés par le succès, semblent persuadés que l'empire de la
science
leur appartient désormais. Il faut, messieurs, sa
li-tique que lui ont confié les électeurs de Rerlin, et abuser du mot
science
pour échauffer les têtes allemandes au profit d'u
'un patriotisme étroit 2. 11 n'est permis à personne d'oublier que la
science
n'est d'aucun pays, et n'appartient en propre à a
el ne pouvait songer à restreindre ses études à un point limité de la
science
. Des vues bien plus am-bitieuses s'étaient emparé
tous les nouveaux moyens d'investigation que pos-sède aujourd'hui la
science
, ont pleinement confirmé cette idée. Les immens
ieuses et souvent vraies qui lui assurent une place honorable dans la
science
. Une méthode entièrement opposée a inspiré les
mi nos contemporains des défenseurs dont le nom fait autorité dans la
science
. Ces dissentiments, messieurs, sont fondés en g
s essentiel-les entre l'esprit de l'ancienne médecine, et celui de la
science
contemporaine. Nous aborderons cette étude dans l
déclarée plus tard; et après avoir vainement invoqué les secours delà
science
régulière, le malade crut devoir s'adresser àl'ho
en authentiques pour corroborer l'utilité de ce traitement. Mais la
science
possède huit à dix observations dans lesquelles c
a physiologie moderne, au temps de Boerhaave, ne répondait guère à la
science
que nous connaissons aujour-d'hui sous ce nom: et
goutte. — Elle ne peut guère être for-mulée dans l'état actuel de la
science
. — Gullcn. — Découverte de Yacide lïthique (acide
sur l'estomac, et de l'estomac sur les jointures. Sous ce rapport, la
science
n'a certainement pas dit son dernier mot. Il me
e du rhumatisme qui doit être invoquée; car, dans l'état actuel de la
science
, nous ne connaissons aucun autre état diathésique
sauf dans quelques cas exceptionnels où la température 1. Aitken. —
Science
and practice of medicine, t. II. — Russel Reynold
élevée (au-tant que nous pouvons l'affirmer dans l'état actuel de la
science
), la fièvre est moins intense; elle paraît plus e
ginaux de la question, et l'une des conquêtes les plus récentes de la
science
. On sait aujourd'hui que des corps mobiles peuv
résentées à votre es-prit. Nous ne saurions, dans l'état actuel de la
science
, y ré- pondre par une solution définitive, rigo
vations de goutte chronique, froide, asthénique, qui existent dans la
science
, il en est beaucoup qu'il faut considérer comme d
intéressant d'ailleurs, inséré dans Y American Journal of the médical
Sciences
(t. XL, 1860, p. 426), s'est refusé à y reconnaît
234; 5e édit. London, 1850), Bennet (Dublin quar-terly Journ. of med.
science
, t. XXXVII, 1864), ont rapporté des exemples de c
e zur Heilkunde, vol. I, p- 240) et Hammond(Amm'c m journal of medic.
science
, octobre 1850), l'alcool, et cela s'ap-plique san
éclarée plus tard, et après avoir vainement invoqué les secours de la
science
régulière, le malade crut devoir s'adresser à rho
d'hygiène, t. II, p. 306. 3. Ancien Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales. 1821. Charcot. OEuvr. compl. t. vu. Ma
athologie sénile n'en parlent pas. Parmi les faits disséminés dans la
science
, M. Charcot cite celui d'une femme de 83 ans, con
a goutte. — Elle ne peut guère être formulée dans l'état actuel de la
science
. — Cullen. — Découverte de l'acide lithique (acid
es principes, résumés dans une note adressée en 1847 à l'Académie des
sciences
, ont été développés et publiés dans les Archives
ogne). Mémoire et appareil présentés par M. Despretz à l'Académie des
sciences
en 1848. Recherches électro-physiologiques, pat
ues et thérapeutiques, ou série de mémoires adressés à l'Académie des
sciences
le 21 mai 1849, couronnés par l'Institut, dévelop
'aide de l'électrisation localisée. Mémoire présenté à l'Académie des
sciences
et à l'Académie de médecine, janvier 1850. Rech
la face. Mémoire adressé à l'Académie de médecine et à l'Académie des
sciences
, le 14 mars 1850. — Rapport de M. Bérard. Reche
s propriétés de la corde du tympan. Mémoire présenté à l'Académie des
sciences
et à l'Académie de médecine (Arch. gén. de méd.,
le pouce et les doigts de la main. Mémoire présenté à l'Académie des
sciences
et à l'Académie de médecine en février 1851 (Arch
par l'auteur conscience musculaire. Mémoire adressé à l'Académie des
sciences
et à l'Académie de médecine le 20 décembre 1853.
pathologique ; déductions pratiques. Mémoire adressé à l'Académie des
sciences
(Union médicale, 1855, p. 436 et 442). L'irrita
exercice des mouvements volontaires. Mémoire adressé à l'Académie des
sciences
en 1856, reproduit dans la précédente édition (de
jambe. Mémoire présenté à l'Académie de médecine et à l'Académie des
sciences
(Arch. gén. de méd., n0' de juin, juillet, décemb
x de la coordination des mouvements. Mémoire adressé à l'Académie des
sciences
et à l'Académie de médecine (Arch. gén. de méd.,
décrite. Mémoire adressé à l'Académie de médecine et à l'Académie des
sciences
(Arch. gén. de méd., septembre et octobre 1860).
ordinaire, bien qu'il n'offrît pas un grand intérêt de nouveauté. La
science
profonde de l'auteur, unie à ses connaissances pr
décider à présenter, dans le cours de l'année 1850, aux Académies des
sciences
et de médecine de Paris, une série de mémoires in
études classiques, on aurait tort de continuer à embrouiller ainsi la
science
de la vie, et surtout l'étude de l'expression de
en avoir abusé), et tant d'autres dont le génie était rehaussé par la
science
, nous montrent, dans leurs œuvres magnifiques, to
Si l'on ne savait le contraire, on ne manquerait pas de supposer une
science
anatoinique profonde aux maîtres qui les ont prod
ns qui trahissent le mouvement et donnent la vie aux membres! Cette
science
précieuse, indispensable chez tout artiste, la sc
mbres! Cette science précieuse, indispensable chez tout artiste, la
science
du modelé vivant, née seulement de l'observation
st du moins ce que l'expérience apprit plus tard. L'exagération de la
science
anatomique ne fut-elle pas en effet une des princ
la démonstration expérimentale seule peut les faire accepter dans la
science
. La photographie, aussi fidèle que le miroir, v
à traduire les grandes et nobles actions. Ainsi, tout en admirant la
science
du clair-obscur du Cara-vage, je ne puis aimer ce
athologie médicale de Requin, soit du Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales. Prenant autant que possible, pour base
dis resulting from typhus fever in the American Journal of the Medie.
Sciences
, juillet 1856). Bornons-nous à ajouter, pour ne p
he continued fevers of Great Britain, etc. (Monthly Journal of medic.
sciences
, octobre 1815, et Archives générales, 1S47, t. XI
, 1849). — 2° On typhoïd and typhus fevers {Monthly Journal of Medic.
sciences
, 1849). — 3° On the iden-lity or non identity of
a, peut-être, que quelques au-teurs (W. Sargent, Amer. Journ. of med.
sciences
, nouv. sé-rie, XIV, 532) ont signalé l'existence
ever hospital, Cork-Street, Dublin, et Dublin Quaterly Journ. of med.
science
, 1849, p. 64). Elles existaient au contraire asse
s sur63, par le docteur Bennet (Monthly Journal of medic. and surgic.
science
. Edinburg, 1848, t. VIII, p. 295). A Londres, la
émie ne présente à l'observation rien de nouveau, rien d'inconnu à la
science
; point de forme uni-que, mais bien le genre typho
aissent, et surtout sans présenter des particularités in-connues à la
science
médicale. » Le typhus qui sévit aujourd'hui ne
. 1045). — Fi. Littré, Article Fièvre jaune du Répertoire général des
sciences
médicales, 1838, t. XVII, p. 271. — Monneret et F
, M. le docteur Guyon vient de mettre sous les yeux de l'Académie des
sciences
des peintures représentant les viscè-res abdomina
ait pas encore été signalée, et ce serait un nouveau fait acquis à la
science
par l'épidémie de Lisbonne (Gaz. hebd., 1858, n°
de vue de la nosologie, qui ne peut encore, dans l'état actuel de la
science
, être basée sur la nature intime des maladies.
ersonnes étrangères à la profession médicale et plus généralement aux
sciences
biologiques. 11 ne faut pas s'éton-ner, par consé
l'institution du prix Bréant 1. i. Comptes rendus de l'Académie des
sciences
, 1881, t, XCIX, p. 224. DEUXIÈME PARTIE Affec
e ces deux cas. Il en est de même à l'égard des centres nerveux. La
science
abonde en faits montrant que la section complète
if sera tiré de l'ordre patholo-gique. Il existe aujourd'hui, dans la
science
, des faits assez nombreux qui démontrent que des
e et générale dans le court espace de temps qui a été indiqué. » La
science
possède, sans doute, un bon nombre de faits qu'on
té primitivement recueillis par des écrivains étrangers à l'étude des
sciences
naturelles, et qui, dans leurs récits, ont peut-ê
fet, sont éga-lement contraires au progrès ; car si l'une encombre la
science
de faits et d'opinions sans valeur, l'autre tend
ns le tissu cellulaire du petit bassin. Cependant il n'existe dans la
science
qu'un assez petit nombre d'exemples de ces kystes
ite, consti-tuer une tumeur du petit bassin, n'est pas isolée dans la
science
. On lit, en effet, dans la Revue médicale de 1838
iques, séreux, sanguins, etc., je crois que, dans l'état actuel de la
science
, on ne peut y parvenir, à moins d'employer la pon
Les faits d'ulcères simples de l'estomac sont déjà nom-breux dans la
science
. Depuis que M. Cruveilhier a attiré l'at-tention
gis-sante [Médecine), et Expectation en médecine, du Dictionnaire des
sciences
médicales, articles qu'on doit à Pinel ; l'ouvrag
oir la prétention de tout dire, même sommairement. i. Dictionn. des
sciences
médicales, t. XIV, p. 247. Au premier rang des
t nous disposons aujourd'hui, il y a encore, dans l'état actuel de la
science
, et il y aura probablement toujours, un trop gran
elle interprétation il est permis de donner, dans l'état actuel de la
science
, aux phénomènes critiques ; de rechercher si ces
à la découverte du quinquina; et, assurément, dans ces archives de la
science
, la sagacité la plus commune discerne le plus ais
e la méthode expectante au traitement de la pneumonie. (Dictionn. des
sciences
méd., t. XIV, p. 251.) essais de M. Grisolle, e
sels d'argent les maladies i. Extrait du Dictionnaire encyclop. des
sciences
médicales, t. VI, p. 65. En collaboration avec M.
médication : mais le premier cas authentique d'argyrie que possède la
science
a été observé par Fourcroy. Le père de Butini, da
; celui que nous venons de citer est, jusqu'à présent, unique dans la
science
. C'est dans le corps muqueux de la peau que le
de nouvelles recherches, avant d'être définitivement acceptés dans la
science
. E. Angine de poitrine. — Les sels d'argent ont
cuit. H. Boerhaave. Bàle, 1745. — Fourcroy. Médecine éclairée par les
sciences
physiques, 1791, t. I. — Sims. Memoir of the Med.
Dict. de thérap., 1829, art. argent. — Brandes. Quarterly journal of
sciences
, 1831. — Lombard. Gazette médicale, Paris, 1832.
nnes. Montpellier et Paris, 1839. — Hudson. Dublin Journal of médical
Science
, 1840, t. XVII. — Thomson. American Journ. of med
contre-irritation : il succomba. (The Americn Journal of the médical
sciences
, oct. 1870, p. 378.) II. Diarrhée, avec seli.es
u sein est encore à trouver (the Du-blin quarterly Journal of médical
science
, 1871, n° Cil, p. 596). III. Thérapeutique du c
du malade ou bien à l'amphithéâtre. Simplicité, clarté, conviction,
science
amassée par un labeur de longues années, telle so
oy. Procee-dings Pathological Society, in American Journ. of the Med.
Sciences
, jul. 1866, p. 150-153). — M. S. Weir Mitchel n'a
surveiller les fonctions de la peau (the American Journal of the Med.
Sciences
, n° cxx, p. 440). II. Note sur la. tricoptilose
eur a suffi. Trop poétique pour nous, elle n'est pas du domaine de la
science
. Nous cherchons une cause plus tangible, et surto
fets du Hachisch. Dans le journal « the Dublin quarterly of médical
Science
» de 1847, nous trouvons un nouvel exemple très-d
te (Charlestown médi-cal Journ., 1855, et American Journ. of the med.
Science
, 1854). Voici le résumé d'un fait rapporté par
l'uréthro-tomie interne sont les seules qui, dans l'état actuel de la
science
, remplissent les indications que doit réclamer le
, une des plus importantes, résume convenablement l'état actuel de la
science
; la division clas-sique des hernies est assez ne
te trace d'iode était effacée. (The Dublin quart. Journal of the med.
Science
, 1871, n°CIV, p. 272). b) Effets consécutifs. D
Parrot. — Le 10 juillet 1871, M. Parrot a communiqué à l'Académie des
sciences
, une série de recherches d'où il résulte que : «
on, par P. Bert. — Le 17 juillet 1871 M. Bert a fait à l'Académie des
sciences
une communication qui peut être ainsi résumée : «
MM. Gré-hant et Duquesnel, dans une note communiquée à Y Académie des
sciences
, établissent, par des expériences analogues à cel
t. — Le 24 juillet 1871, communication de M. Gréhant à l'Académie des
sciences
, établissant que « l'air comprimé arrête la circu
-teurs des tubes nerveux décrits précédemment par l'auteur (Acad. des
sciences
, 15nov.). XIII. Digitale et digitaline, par Gou
guéri. Voici un nouveau fait à ajouter à ceux qui existent dans la
science
à ce sujet.-—Leteinturier cite un paysan qui intr
n° 5.) L. E. Dupuy. BIBLIOGRAPHIE De l'influence du progrès des
sciences
sur la thérapeutique. — Étude des connaissances c
diteur. La thérapeutique doit emprunter des ressources à toutes les
sciences
; la physiologie, la chimie, la physique, la méca
rogrès ont fait réaliser à l'art de guérir ces diverses bran-ches des
sciences
? Quelles connaissances chimiques et pharmaceu-tiq
et quels insuccès peuvent résulter de l'ignorance des éléments de ces
sciences
, dites acces-soires. Nous ne pouvons analyser t
t aux causes d'erreur qui résultent de la connaissance incomplète des
sciences
dites acces-soires. Entrant dans le vif de la que
dissons donc aux efforts des praticiens qui suivent le cou-rant de la
science
. Travaillons, et la médecine française reprendra
arence du plus grand sérieux dans the American Journal of the medical
Science
(1828). Auto-risez-moi, je vous prie, à passer so
ent encore été qu'ébauchés. Rassembler ces divers faits épars dans la
science
, en y ajoutant quelques observations inédites, et
a résection. Dès lors l'attention était attirée sur ce point, et la
science
put enregistrer successivement les remarquables t
vessie; résection du col, par M. Waren (American Journ. of (lie med.
Science
, 1864.) Une femme de 66 ans présente un allonge
mémoire. A ce sujet, il a colligé les différents faits épars dans la
science
, en y ajoutant deux observations inédites dues à
travaux qui y seront apportés, toutes les sociétés officielles où la
science
et l'hygiène publique sont trop souvent sacrifiée
fera un devoir de coopérer dans sa sphère, afin que le prestige de la
science
française survive à la haine et à l'injustice de
ieillards de Durand-Fardel et dans le Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales, (t. IX, p. 337), qui contient un artic
n des faits. Mais pour cela « il faut renoncer à l'alliance entre les
sciences
naturelles et les sciences morales, sous l'égide
« il faut renoncer à l'alliance entre les sciences naturelles et les
sciences
morales, sous l'égide de la métaphysique. » Disti
sique. » Distincts, comme les conçoit M. Loo-mans, ces deux ordres de
sciences
, s'il peut en être de deux ordres, sont nécessair
ifiantes, sont au contraire d'une réelle importance. Il faut avoir la
science
nécessaire et l'expérience voulue, aussi bien pou
t que posait également M. Becquerel dans son rapport à l'Académie des
sciences
. Eh bien, dans aucun des cas, ni dans des cas d'a
recherches calmes et sérieuses; mais, peut-être plus que toute autre
science
, elle doit reposer sur des notions exactes de phy
état puerpéral ? Grosse question agitée d'abord devant la Société des
sciences
médi-cales de Lyon2 au sujet d'une présentation f
ent que cela lui était possible, certains points encore obscurs de la
science
obstétricale. IX et X. De l'expression utérine
maligne) ; ou bien ne peuvent être dérivés, dans l'état actuel de la
science
, d'au-cune cause, d'aucune lésion, et sont pour l
herches de Holmes, si prématurément et si malheureusement enlevé à la
science
et à ses nombreux amis, auraient pu fournir à M.
ano (Anal, par A. de Montméja), 96. — De l'in-fluence des progrès des
sciences
sur la thérapeutique, par E. Derlon (Anal. G. Pel
Dès 1886, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, à Nancy, nous appelions l'attention sur la valeu
entive lecture du discours prononcé par M. Delbceuf, à l'Académie des
sciences
de Belgique, le 15 décembre 1894, je sens plus qu
suggestion hypnotique, c'est ce Polypsychisme que j'ai présenté à la
science
il y a quelque quarante ans, dont elle a fait des
e et le précipiter sur le banc infâme des criminels ! « La nouvelle
science
vient abattre le sot mépris et proscrire la hideu
résenter au Congrès 'de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, MM. les Drs Bilhaut, Bouffé, Levassort et Bérill
t été transmise héréditairement et n'est pas couvre suggestive. Une
science
, nouvelle encore et qui compte peu de chercheurs,
oint au massage que dans le sens orthopédie manuelle, et encore cette
science
n'est-elle enseignée à aucun des élèves qui n'ont
matique chez l'enfant. Garbini, dans les mémoires de l'Académie des
sciences
de Vérone, a étudié expérimentalement si et de qu
points de vue, tant pratique que simplement spéculatif, peut avoir la
science
des caractères, c'est-à-dire la connaissance de l
des mœurs, des habitudes ; en un mot, la vie d'une personne. Celte
science
n'existe pas d'une manière absolue; de tous temps
humaine ont tendu à en établir les bases, mais on ne peut prévoir une
science
de l'individuel pas plus au point do vue psychiqu
it, mais sans chute à terre. X... passe l'examen du baccalauréat ès
sciences
complet; il est reçu à l'écrit et prépare l'oral.
principes au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
tenu à Nancy en 1886. Depuis lors, il a poursui
ahmanes, en effet, prêtres, conseiller des rajahs, dépositaires de la
science
et de la volonté divines, tirant de leur renom de
eau, d'un homme de caste noble, d'une vache ou du vent, perd toute sa
science
sacrée. » Il me serait facile de multiplier les
me semble le croire votre correspondant, sans doute peu versé dans la
science
hypnotique) en viendrait entièrement et prompteme
tendue. Illusions géométriques et optiques, perception du temps. La
science
de la connaissance — Action de l'imagination — Se
Comme on comprend qu'elle ait tenté cet esprit avide d'inconnu, notre
science
étonnamment complexe, plus féconde en surprises q
a physiologie ne suffisant plus, pourquoi n'aurait-on pas recours aux
sciences
physiques et naturelles, à la phrénologie. à la c
e. à la chiromancie ? Et voilà comment on descend graduellement de la
science
à l'empirisme vulgaire, si tant est que l'empiris
ez, me disait-il, fait rendre justice à un inconnu, à un homme que la
science
officielle a toujours tenu à l'écart ; c'est très
que le favorisé doit appartenir à la religion orthodoxe. C'est que la
science
a fait du chemin depuis vingt-cinq ans ! Je doute
ès d'un siècle, dominant les choses de la médecine, a imprimé à cette
science
une impulsion vraiment merveilleuse, sans que la
lle qui anime la merveilleuse machine des êtres vivants. C'est que la
science
ne s'arrête jamais ; c'est que les penseurs et le
en tirer des déductions basées sur des réalités. Et, à mesure que la
science
avance, le principe de l'unité des forces physiqu
re au Bien il faut le connaître, et toutes les vertus résultent de la
science
, comme tous les vices de l'ignorance. Sommes-
ant moins grande la part du libre-arbitre. Les faits rapportés par la
science
médicale sont venus accroître l'impulsion ; la sc
pportés par la science médicale sont venus accroître l'impulsion ; la
science
et la philosophie, dans des conclusions identique
i, une conférence des plus intéressantes sur la Sorcellerie devant la
science
. Avec une grande érudition, il a su faire saisir
s étaient normaux. • Et puis, je le répète, je ne connais pas dans la
science
un seul exemple de cécité survenant à la suit
principes au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, tenu à Nancy en 1886.» J'applaudis autant que
el intérêt et véritablement importante pour l'histoire de la nouvelle
science
; et le Dr Bérillon, pour qui la littérature hypn
as encore subi l'épreuve de la vérification expérimentale. « Il n'y a
science
, disait Paul Bert dans l'un de ses cours, que là
-même et pour Charpignon (d'Orléans). Dans l'histoire de toutes les
sciences
des situations analogues se sont présentées : d'é
en 1887, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, à Toulouse, dans une~ communication ayant pour t
uelle j'ai consacré de si longues heures. Je pense, comme lui, que la
science
ne peut progresser que par les faits bien observé
s affaire à un hystérique mâle, mais de plus à un cas nouveau dans la
science
, car je venais de découvrir le déterminisme des f
quent encore de la phraséologie scientifique. Mais tous nos livres de
science
pèchent par là. Pourquoi ne pas imiter le dix-hui
ous ces titres, l'hypnotisme a acquis droit de cité définitif dans la
science
médicale, et ce sera un grand honneur pour les mé
plante s'enfoncent et se ramifient chaque jour plus avant dans les
sciences
biologiques, d'où elle tire t Voy. Arch. de Neu
ns que celui de tous les événements de la nature. Il Ardigo. - La
science
expérimentale de la pensée. Leçon faite dans l'ai
bien avoir ouvert celle qui re- lie directement la psychologie, la
science
des fonctions du système nerveux, aux sciences
nt la psychologie, la science des fonctions du système nerveux, aux
sciences
physico-chimiques. On se rappelle, en France, l
ques aux phénomènes biologiques est sans restriction. Le domame des
sciences
physico-chimiques aujourd'hui comprend la biologi
rsonnes qui étaient présentes et qui obser- 1 American Journ. Dled.
Sciences
. April, 1874. / ' Archiv.. di. Psychiatrie, 188
'un de l'autre. Le fait que l'excitation du bord ' Am. Journ. nled.
Sciences
, nov. 1888. ' lin. Journ. j1M. Sciences, nov. 1
u bord ' Am. Journ. nled. Sciences, nov. 1888. ' lin. Journ. j1M.
Sciences
, nov. 1888, lied. Neu's" 24 nov. 1888. 76 PHY
aux sans aucun trouble visuel d'aucune sorte. - ' Amer. Jourt. Med.
Science
) : , 1887, cas I. ' Ophthal. Soc. Nov. z, 1889.
usions (Monomanie) ; par Joseph Wigldsworth. (The Journal of Mental
Science
, Octobre 1888.) L'auteur résume lui-même très
, parturition, etc. ; par CAMPBBLL CLUtE. (The Jour- 2zal of Mental
Science
, Octobre 1888.) L'auteur rappelle d'abord que,
atre cas DE guérison; parS.-A.-K. STR\- han. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1888.) Les cas où la folie chronique s
que dans deux cas rapportés par le Dr Franci (The journal of Mental
Science
, janvier 1887), la guérison avait pa- reillemen
liés aux fiançailles; par Geo.-H. z SivAGP. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1888.) M. Savage a été fréquemment con
nt une tumeur cérébrale , par G.-Il. SAVAGE. (The Journal of Mental
Science
. Juillet 1888.) Il s'agit d'un cas d'autant plu
Un singulier cas DE SUICIDE; par W.-B. TATE. (The Journal of Mental
Science
. Juillet, 1888.) La malade dont il s'agit était
HÈSE DES dégénérés ; par G,-T, REvi.GTO. (Thejolll'1 ! nl of Mental
Science
. Janvier, avril et juillet 1888.) . Nous ne p
pide, la folie à double forme et la folie communiquée. En outre, la
science
lui est encore redevable de deux autres progrès c
, de mettte e ces qualités si diverses au service de l'art et de la
science
en com- blant une lacune que lui avaient révélé
es leçons aux artistes. Il sait parfaitement, et pour cause, que la
science
n'a rien à apprendre à J'artiste sur la directi
trière, que son illustre fondateur a voulu aussi riche d'art que de
science
. Elle restera comme une preuve de ce que peuven
cience. Elle restera comme une preuve de ce que peuvent combinés la
science
et le talent : de ce fait elle est unique, car
ALIÉNÉS ET DES IDIOTS; par D. 13ACx KurE. (TlteJow ¡¡al o f dlenlal
Science
, juillet 1888.) Ce travail porte sur la répar
ES hôpitaux d'asiles; par Richard GRi : ENE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1888.) Travail intéressant dans lequel
« Aujourd'hui que, sous les noms de suggestion ou d'hypnotisme, la
science
accueille les faits, les contrôle, en recherche l
irable que nul ne se livrât à ces procédés que dans l'intérêt de la
science
ou de la santé du sujet. Mais où commencera le
l'Asile départemental du Doubs, membre honoraire de l'Académie des
sciences
, belles-lettres et arts de Besançon, prési- den
APHIQUE. Année Mcdic\le (L'), résumé des pi ogres réalisés dans les
sciences
médicales pendant l'année, publiée sous la dire
ant le travail de la con- traction musculaire. C. R. de l'Acad. des
sciences
, 1860, I, 471. Cf. Ar- chives générales de méde
la corrélation des forces, l'une des plus grandes ques- tions de la
science
moderne, et ces faits rattachent l'ani- mal, pa
s plus sim- ples, qu'un examen attentif peut révéler à notre con-
science
, et que l'expérimentation peut surprendre, dans
ui- valents chimiques, thermiques, mécaniques. La psychologie, la
science
des fonctions psychiques de la matière vivante,
a- pitre de la physique et de la chimie. Ces larges assises de la
science
future de l'esprit survivront sans doute à bien
és. Il rappelle l'évolution actuelle des idées qui porte toutes les
sciences
vers l'amélioration du sort des indigents. Co
Des hôpitaux d'asiles ; par Richard GREENE. (In Journal of Mental
Science
, juillet 1888.) Travail intéressant dans lequel
ES ALIÉNÉS INDI- GENTS ; par A.-R. TURNBULL. (The Journal of Mental
science
. Oc- tobre 1888.) L'auteur étudie successivem
RAPHIQUE. Année Médicale (L'), résumé des progrès réalisés dans les
sciences
médicales pendant l'année, publiée sous la dire
s et concluantes ont présenté à son sujet une note à l'Académie des
sciences
(18 mars 1889) et ont révélé les remar- quables
pense, celui de l'autre le forçant à l'économie. Représentant dé la
science
, celui-ci doit exiger ce qui doit contribuer au d
, car non seulement le directeur tue le médecin en tant qu'homme de
science
, en lui enlevant sa liberté d'esprit nécessaire
se prêteraient d'ailleurs à tous les classements conseillés par la
science
médicale, pouvant êtie allecté à la séquestrati
nt la négation de la justice, mais elles compromettraient encore la
science
des maladies mentales. Pour justifier la théori
ait-il vrai que la France, sous les rapports de l'humanité et de la
science
, restât en arrière des autres nations ? Conti-
bien qu'il soit parfaitement au courant des dernières données de la
science
neuropthologique, ne se borne pas à l'énoncé un
ique. Mais j'ai tâché du moins, si fatuité il y avait à aborder une
science
en laquelle j'é- tais si peu versé, à doubler m
faut être deux... et je suis un ! Ah que ne suis-je deux ! Comme la
science
sociologique s'éclairerait si l'Homme n'était p
ssance simultanée, parallèle et harmonique des deux co- êtres. En
science
naturelle on raisonne de ce que l'on sait à ce qu
ne sorte'd'observation. Con- cluons donc -qu'en l'état actuel de la
science
il y a lieu de croire que tous les organes médi
ie phylogénique. J'ai pu me convaincre que dans l'état actuel de la
science
zoologique, au- cune hypothèse n'est encore per
ellement del'inconciliabilité apparente entre les enseignements des
sciences
sociales et ceux des sciences biologiques. J'ai
apparente entre les enseignements des sciences sociales et ceux des
sciences
biologiques. J'ai cherché une doctrine qui me p
l se vante de connaître, outre la sociologie, « l'état actuel de la
science
zoologique »(p. 36), que sa trouvaille l'aide j
Dr Shan Bolton. par Alfred W. CA 111PBELL. (The Journal ouf mental
Science
, janvier 1907.) Ce travail a pour objet de réfu
t en cours de publication depuis deux ans dans le Journal of mental
Science
et n'est pas encore terminé. R. M. C. 'XI. Tume
pathologie de l'épilepsie ; par John TURNRR. (The Journal of mental
Science
, janvier 1907.) L'auteur fait connaître dans ce
eux, qui ont bien voulu apporter à la So- ciété le concours de leur
science
en la tenant au courant de leurs observations e
'il était classique jusqu'à notre époque de considé- rer comme deux
sciences
distinctes, doivent être réunies, au moins vari
utique d'un brocanteur. En 1889, Proust communique à l'Académie des
sciences
morales le cas d'un jeune homme condamné pour e
cine légale, 1`31 -- G \IINIEH, ibid., 1W î. 1'uou.;t. Académie des
sciences
mort. Archives, 0' série, 1907, l. IL 7 '.{8
our élever un asile d'aliénés mo- derne,digne de notre pays Mais la
science
n'a pas dit son der- nier mot et ce sont des ré
au moment de la prévolition. Cela ne la regarde pas... Et quand la
science
, sor- tant de son domaine, aboutit à de telles
d'une compensation et ceci ne doit pas être attribué aux hommes de
science
, mais à des experts-méde- cins corrompus qui ne
t justement observer M. Magnan au dixième Congrès international des
sciences
mé- dicales (Voir Semaine-Médicale, 1890, p. 29
scussion assez vive s'engage en effet entre lui et M. Sollier. La
science
suisse ne s'est pas montrée inférieure à la scien
M. Sollier. La science suisse ne s'est pas montrée inférieure à la
science
française, et le co-rapporLcur de M. Claude a s
nt ici dans la pleine conscience de leur mis- sion de charité et de
science
que nous devons nos encourage- ments et notre a
autorisent et délèguent quelque-sunes de leurs illustrations de la
science
ou quelques uns de leurs hauts fonctionnaires afi
te utilité de la collaboration internationale dans le domaine de la
science
et ont donné suite à l'invitation du gouverneme
c'est la représen- tati6n- synthétique de toutes les branches de la
science
qui s'oc- cupe de l'étude de la vie mentale, qu
le relève à la hauteur d'un fait historique dans les annales de la
science
. Car s'il est vrai que déjà aux différents cong
nt réussir à résoudre les questions difficiles que non seulement la
science
,mais aussi la pratique de la vie et le législat
point de vue de la pra- tique et de l'application des leçons de la
science
, nous pourrons regarder la doctrine de l'assist
-t-il pas négligé sur le ter- rain pénitentiaire les conseils de la
science
psychologique. Les me- sures législatives, qui
mais aussi sur celui où se rencontrent les diverses branches de la
science
et leur application pratique. L'association Née
fructueux. Puissent vos travaux être profitables au pro- grès de la
science
, à l'intérêt de la société, à l'humanité souffran
ychiatrie : on doit pour l'étudier, adop- ter les méthodes de cette
science
, analyser les caractères psycho- logiques de ch
térique, si on la rattache au rétrécissement du champ de la con-
science
qui résulte de cette dissociation, on donne alors
de- mander votre concours. P. l3ltooaanrl. a consacré sa vieà la
science
, à son pays,à l'humanité ; il a été le type accom
exemple une statistique minutieuse, mais qui vaudra moins pour la
science
qu'une seule observation médicalement étudiée.
somanie, mutisme hystérique, etc. La pédagogie à l'avancement des
sciences
. 11. BÉRILLO\ résume les divers travaux présent
s pédagogie qu'il a présidée, à l'Association pour l'Avancement des
Sciences
(Reims, août 1907). Ces travaux ont trait aux suj
- tions innombrables et les confirmations puissantes tirées de sa
science
cartomantique. Par les cartes peut-être, et par
n et clignotement réflexes, par le Dr J. Sn- BRAZES (Gaz. hebd. des
sciences
méd. de Bordeaux, 2 juin). Un enfant arrêté dan
repos et le sommeil; par M. W. BEVAN Lewis. (Tlae Journal of mental
Science
, octo- bre 1906.) Travail très nourri de fait
Après avoir rappelé la vieille théorie utérine qui a régné dans la
science
depuis Hippocrate jusqu'à Landouzy, de Reims, le
ar le Dr E. Dupouy, de Saint-Cloud ; 1 vol. de 232 p. ; Libr. des
sciences
psychiques, Paris 1907.) Le but de cette intére
nd aux desideratas les plus moder- nes et les plus essentiels de la
science
psychiatrique, fait le plus grand honneur à la
concerne les pau- vres) ; par A. HELEN BoYLE.(The Journal of mental
Science
.oc- tobre 1905.) - L'objet de ce travail est
traitement du mal perforant plantaire; par M. TI IIEUTER, (Soc. des
sciences
médicales de Lyon, 14 nov. 1906.In Lyon med. 16
bilité, que j'ignore; elle suppose le problème résolu, alors que la
science
le pose ; elle s'accommode de l'unité des sanct
e dans les asiles exigent des garanties spéciales d'honnêteté et de
science
professionnelles. Ces garanties pourraient êtie
de la » Retreat» de York ; par BEVAN Lexis. (The Journal of mental
Science
, janvier 1907.) Dans ce discours l'auteur, en d
llc, p. 165. Voir Spasmes. Pédagogie. La - à l'avance- ment des
sciences
, par Béril- lnn, p. 307. Pellagre. Note sur l
tion déterminée, et quand on considère que dans l'état actuel de la
science
les faisceaux vaso-moteurs qui se rendent au ce
aux tout jeunes entendants le premier vocabulaire, élément de toute
science
; l'école doit suppléer ici au champ vaste et v
TION ; guérison; par Frédéric-P. IIE.RDER. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1897.) Cette observation est curieuse
rannés qui sont fort en retard sur l'état relativement avancé de la
science
. M. Ëscuder se range à l'avis de ceux qui ont e
chose remarquable, à une époque où, pour les autres branches de la
science
médicale, c'est dans le domaine étiologique et
ie POST-OPLR.\TOWE; par J. Christian Simpson (The Journal of Mental
Science
. Janvier l8rJi.) M. Simpson rapporte d'abord l'
l'auto-infection mentale; par Il. KORNFELD. (The Journal of Mental
Science
. Janvier 1897.) Si l'on admet que toule modific
PENSION- NAIRES extérieurs; par J. BRESTER. (The Journal of Mental
Science
, Avril 1896.) On se préoccupe beaucoup en ce
e terminé par guérison; par A. E. PATTERSON. (The Journal of mental
Science
, janvier 1897.) Il a à noter dans cette observa
une durée de six ANS; par n. D. 110TBHIiIS. (The Journal of mental
Science
, juillet - 1896.) Au point de vue du diagnost
ISPA- RITION du sucre; par IEITH CAMPBELL. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1896.) Chez la malade dont il s'agit l
es D'ANGLETERRE (1894-1895); par John BAKER. (The Journal of Mental
Science
, avril 1896.) On a dans ces derniers temps accu
ntale ET sa réparation; par W.-H.-R. RIVERS. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1896.) 11. Rivers poursuit dans ce tra
URE delà névroglie; par W. FORD HOBERTSON. (The Journal of Mental
Science
. Janvier 1897.) On sait que Weigert, à l'aide d
meur du cerveau; par Ii'L8TCI ! 1\ B8.\CU. (The Jour- nal of Mental
Science
. Juillet 1896.) Garçon de six ans, né à terme,
noïde chez les aliénés, par W.-F. Robertson. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1895.) L'auteur se propose de passer s
e odontoïde de l'axis ; par C. Hetheiungton. (The Journal of Mental
Science
. Janvier 1897.) Homme de trente-trois ans, en é
chez LES idiots; par`Valter Cl ! AN : \I"G. (The Journal of Mental
Science
. Jan- vier 1897.) Les conclusions de ce mémoi
aliénés dans LES asiles ; par J. MACPHERSON. (The journal of Mental
Science
, octobre 1896.) L'auteur relate l'évolution, en
VEC LES ALIÉNÉS ISOLÉS-, par A. WE.1TIIERLY. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1896.) La loi anglaise sur les aliénés
ns LES asiles anglais ; par R. PERCY SuITII. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1896.) Etude sur les conditions de lég
ereux accusés DC crimes ; par John CARSWELL. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1896.) Nous ne faisons qu'indiquer ce
LE pays de Galles ; par G.-E. SUUTTLEWORTH. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1895.) Nous redirons ici que les diffé
n 7 DE la LOI DE 1891 ; par E.-S. S'rEwAIIT. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1890.) Nous indiquons simplement ce tr
année DE fonctionnement ; par Robert JoNas. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1897.) Description intéressante, accom
ation mentale au COLORADO; par E. HOBLIOU9E. (The Journal of Mental
Science
, avril 1896.) Aux États-Unis chaque État, on le
UR la folie du nAscfuscH/par T.-S. CLOUSTON. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1896.) Lorsque, en 1879, MM. Urquhar
laquelle il a consacré une si grande part de son activité et de sa
science
; montrant avec netteté les caractères du mal et l
hodes. Cette méthode est basée sur la loi de Waller (Académie des
sciences
, 1852). * Après section d'un tube nerveux, le b
s en chef que de rester les subordonnés du médecin-directeur, et la
science
psychiatrique petit à petit qui a brillé chez n
met l'aliéniste dans l'obligation de renoncer à brève échéance à la
science
pure pour s'adonner à l'adminis- tration et dev
ubordonnés à ceux-ci, soigneraient les malades et s'occuperaient de
science
. Certai- nement avec une telle organisation qui
de suite, au grand détriment de la thérapeutique des aliénés, de la
science
et de l'avenir de la psychiatrie dans notre pay
; car adopté, il serait économique sans doute, mais funeste et à la
science
et, ce qui est plus grave, aux malades. Le Dur
italien, à s'assimiler tout ce qui se publie dans cette branche des
sciences
médicales, d'au- tant plus touffue qu'on n'est
omme. Du moins la pratique du médecin et du chirurgien profite à sa
science
, tandis que la clientèle ordinaire absorberait
ontré sin jus les etontca usé un réel préjudice aux malades et à la
science
mentale. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IX.
dances philosophiques, le second plus clinicien, ils ont enrichi la
science
d'acquisitions nombreuses et capitales, qu'ils po
périence ont seuls pu forger. Tant il est vrai que le progrès de la
science
n'est pas le fait d'une génération spontanée, m
oire des hommes; leurs oeuvres sont inscrites dans l'histoire de la
science
et aussi dans les .SOCIÉTÉS SAVANTES. , ,-il 1
grande et noble devise de la civilisation moderne : Progrès par la
science
, pour l'Humanité. » D'unanimes applaudissemen
foules, à sa gloire et à sa renommée, car les hommes passent, la
science
marche d'une poussée formidable, plongeant dans
et 24 juillet 1896; par W.-Julius lllcICLE. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1896.) , Dans ce très long discours, q
progrès considérables réalisés depuis quelques années du côté de la
science
des maladies mentales et amélioré le trai- teme
cherches, je ne trouve pas un cas analogue qui soit signalé dans la
science
. Ce diabète, sans parler pour l'instant de sa n
tenu éloigné des centres intellectuels où s'agitent le monde et la
science
. Mais ceux de ses élèves devenus comme nous ses
où il a passé l'honneur de la profession médicale, l'honneur de la
science
mentale et de la solidarité humaine. Sa mort pr
al du système nerveux ? C'est, comme dans toute autre branche de la
science
, à la création de nouvelles méthodes. La méthod
à donner plus de poids à la doctrine qui paraît s'affermir, dans la
science
, sur le rôle accordé à cette circonvolution. Mi
infirmeries d'asile, par A.-R. TUR-,BULL. (The Jour- nal of Mental
Science
, octobre 1896.) Les points sur lesquels l'auteu
firmiers des asiles, par P.-W. MAC DONALD. (The Journal of lIlental
Science
, juillet 1896.) L'auteur s'est attaché dans cet
dis- DES TRAUMATISMES DU CRANE. 7 tingués, récemment enlevé à la
science
, le regretté Dr Foville. Rendant compte du mémo
oyés jusqu'ici. » Verneuil (art. Commotion du Dict. encyclop. des
Sciences
méd.) donne une définition également vague, dan
me les premiers expérimentateurs qui ont inauguré de nos jours la
science
nouvelle des localisations cérébrales, comme Mu
la vision. Car, rappelant que- dans les cas ' C. R. de I'Àcad. des
sciences
, 10 juin 1878; Arch. de phys. norm. et pathol.,
présentèrent leur grand travail à l'Institut royal lom- bard des
sciences
et lettres, M. M. Duval avait indiqué la racine
ltz, dans son re- marquable travail 2 communiqué à l'Académie des
sciences
et basé sur de nombreuses expériences rela- tiv
enter le,type d'un asile de traitement, toutes les ressources de la
science
moderne ' et qu'ils en bénéficieront. Naturelle
ous trouvons dans le numéro de jan- vier de « The journal of mental
science
» l'historique de cet asile ce mis son origine,
se pose. Le trépan est d'autant plus indiqué qu'il existe dans la
science
des faits authentiques de guérison d'acci- dent
vaér. de méclec., 1879, p. 677. , °- Savage.- The Journal of mental
Science
, 1880. 3 Goodhart. Médical Time.9 and Gaz., 188
inisme occuring in England. 3 Fletcher Beach. The Journal of mental
science
, 1870, n" 2h . Riess. Bedinei' kt. Wochenschrif
barbe chez une femme; par Geo. H. SAVAGE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1886.) On sait comment certaines diffo
mac, avec commentaire; par C. S. W. CUBBOLU. (The Journal of mental
Science
, avril 1886). Cetle observation est relative à
ET DU système nerveux; par Alex. ROBERTSON. (The Journal of mental
Science
, juillet 1886.) L'auteur rapporte deux observat
énitale, avec remarques; par D. RACK 'l'UICE (The Journal of mental
Science
, octobre 1885). L'auteur rapporte avec soin l'o
NTAIRE AVEC PERSISTANCE ; par ERIC SINCLAIE. (The Journal of mental
Science
, avril 1886.) Il s'agit d'un homme, atteint de
e. Il pense que beaucoup de fugues in- conscientes relatées dans la
science
sous le nom d'épilepsie larvée sont des cas d'a
daise sur LES aliénés ; par CONOLLY y Norman (The Journal of Mental
Science
, janvier 1886). Cette étude de quelques points
UNE RÉCENTE visite A GHEEL; par D. RACK TUKE (The Journal of Mental
Science
, janvier 1886). La colonie de Gheel a été souve
au chiffre de 450 LITS; par C.-S.-W. COBDGLD (The Journal of Mental
Science
, janvier 1886). Ce plan est. très ingénieusemen
S asiles irlandais; par E. Mazière Couhtenay (The Journal of Mental
Science
, avril 1886). Dans ce travail qui contient plus
S asiles d'aliénés; par VilliaM-W. IRELAND (The Journal of Mental
Science
, juillet 1886). ' L'opinion de l'auteur, basée
ns anatomiques sur les cerveaux d'idiots. Congrès international des
sciences
médi- cales, 1878. Hammond. Maladies du systè
veau et la pensée, 1. Il, p. 90, 1882. .Plaxton. Journal of mentczl
Science
, p. 27, 1883. Herbert Mayor. Journal of mrzztul
of mentczl Science, p. 27, 1883. Herbert Mayor. Journal of mrzztul
Science
, p. 532, 1883. ' o Luys, - Structure de la subs
e pointe d'exagération à considérer cette conquête définitive de la
science
comme unique jusqu'ici dans la théorie des loca
ar François Franck Système nerveux. - Physiologie. Dictionnaire des
sciences
médicales de Dechambre, 2" série, XII, 577. Cf.
dans 1 François Franck. Système nerveux. Physiologie. Dictionn. des
sciences
médicales de Dechambre, p. 592 ; Leçons sur les
ctueuse compas- sion pour la faiblesse de sa logique, que tant de
science
n'a pu préserver des paralogismes et de l'aveug
lle. De l'idiotie myxrdematezc,se (Assoc. fu. pour l'avancement des
sciences
, séance du 11 août 1889; analyse dans le Progrès
L1 paralysie GÉNÉ- RALE; par Geo. H. SAmAGE. (The Journal of Mental
Science
, jan- vier 1886.) Tout le monde connaît l'hém
paralysie générale; par le Dr T. CURl5TI.\N. (The Journal of Mental
science
, jan- vier 1886.) Exposées au Congrès de Psyc
tique; DEUX observations; par Julius Mickle. (The Journal of Mental
science
, octobre 988ï.) Dans le premier de ces deux cas
ES sinus cérébraux; par Joseph WIGLESWORTII. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1885.) . L'observation de ces deux cas
rois cas DE suffocation; par David WELSI ! . (The Journal of Mental
Science
, juillet 188G.) Ces trois cas sont intéressants
ES DE LA RESPIRATION ; par Julius 1111CIiLE. (The Journal of Mental
science
, avril ·1ti86.) La première forme que signale l
iété médico-psychologique, considérant que dans l'état actuel de la
science
, toute tentative à l'effet d'établir une classi-
itigée à raison de ce double courant chez un même malade. Plus la
science
progressera, plus nous arriverons, en chaque cas
résulte d'un travail de M. Henry Joly, communiqué à l'Académie des
Sciences
morales et politiques, que en moins de seize ans,
que parmi ceux qui n'ont connu en lui que le médecin ou l'homme de
science
. - M. le f)' Rota, ancien directeur de la maiso
numéros, un ou plusieurs articles des maîtres les plus estimés de la
science
; des travaux sur les spécialités, sur la microgra
science; des travaux sur les spécialités, sur la micrographie et les
sciences
accessoires ; on y lit les observations des cas r
ire ce chapitre si court, tout entier, pour bien montrer l'état de la
science
sur les polypes du larynx en 1833. Voilà donc le
nostic des affections laryngiennes, ces illustres savants ont doté la
science
médicale ! C'est grâce à leur découverte que nous
rps gras, et l'usage des boissons diurétiques. ¥*m A l'Académie des
sciences
on s'occupe du goitre depuis quelque temps. Dans
récemment terminé ses travaux. M. Bouley a lu devant l'Académie des
sciences
le rapport de M. A. Sanson, d'où il résulte que l
onstances, exposer l'homme lui-même à de plus sérieux dangers. « La
science
possédait déjà plus d'un exemple d'accidents prod
st là une preuve nouvelle de l'intérêt considérable qu'il y a pour la
science
de l'hygiène, et pour la médecine légale elle-mêm
n des tissus qui les composent, le nom de névrômes plexiformes que la
science
a conservé depuis. Ces tumeurs ne sont pas des
comme dans l'exemple relaté par Find (The Dublin quart.) of the med.
Sciences
, 1858). bourneville. Cas de tératologie Un
stées; elles l'ont même été à tel degré que nul point peut-être de la
science
n'a été plus controversé. De tous côtés, des théo
en publiât le résultat de ses belles découvertes dans l'intérêt de la
science
et des malades. Nous avons repris dans ces dern
son livre : la première partie résume complètement l'état actuel delà
science
et l'exposé en est clair et concis, comme le lang
cette opération avant de l'avoir pratiquée (Dictionnaire encycl. des
sciences
méd.). J'engageai le malade à observer un silen
ation, une propreté minutieuse, une alimentation plus réparatrice. La
science
, chaque jour enrichie par de nouvelles découverte
température s'est élevée à 101° F. ou 38"33 C. (The Journal of mental
Science
, janv. i8f 8). DES HOPITAUX PLANCHE XXXI SYPH
naugurale et a résumé dans un remarquable travail l'état actuel de la
science
sur l'endocardite puerpérale et ses diverses form
s qui, au point de vue anatomique, sont parfaitement au courant de la
science
, nous fournissent de précieux renseignements thér
che, la physiologie d'Hermann résume complètement l'état actuel de la
science
et comporte une érudition profonde : c'est le com
e dans la physiologie d'Hermann. Donders plane dans des régions où la
science
elle-même se recueille, et ses écrits, d'une lect
................................ 15 Le goitre devant l'Académie des
sciences
................... 16 Végétations monstrueuses
distribution. C'est à l'appui de ces points, bien connus déjà de la
science
des localisations, que nous apportons deux nouv
lication de notre Traité du diabète, où nous exposions l'état de la
science
sur cette question, l'histoire de l'acétonémie
folie sénile, AVEC remarques; par G. -H. Swage. (Journal of Mental
Science
. Juillet 1883.) Dans ce travail, auquel de brèv
A L'AGE DE quinze ans; par Joseph YIGLES1VURTH. (Journal Of Mental
Science
, juillet 1883.) L'observation de cette malade,
torisé à le faire remonter encore plus haut. Il existe déjà dans la
science
deux cas de paralysie générale à début exceptio
ces deux cas ont trait à des garçons ; le 1 Voy. Journal of Mental
Science
, tin, d'octobre 1877 et d'octobte 1881. 1. 94 R
apide, AVEC symptômes manuques ; par G. SAVAGE. (Journal of. Mental
Science
, juillet 1883.) 11 n'y a entre ces deux faits d
e conscience distincte. Il est impossible, dans l'état actuel de la
science
, de donner l'explication physiologique de ce fait
mentales, occupe enfin aujourd'hui le rang qui lui est dû parmi les
sciences
biologiques. Ce ne sera pas le moindre honneur
an, c'est l'histoire de l'homme. « J'ai pensé, dit l'auteur, que la
science
de l'homme devait rompre avec certaines croyanc
bué, nous n'avons été inspiré que par la seule étude de ce fait, la
science
ne nous fournissant aucun exemple d'une semblab
he Collège of Physicians Phila., March 7, 1866. Am. Journal àled.
Science
, 1866, IL, p. 413. · 3, 1871. W. W. 11EEN and \
ES OEUVRES D'AIIT; par Francis Warner. (The Joui-iza 1 of iliciital
Science
, avril 1884.) M. F. Warner poursuit depuis long
par le professeur A. HERZEN (de Lausanne). (Tite Journal of âlental
Science
, avril et'mai 1884.) Comme l'indique le Litre
année même, il lui envoyait un tirage à partduTouzwal of 3leizitil
Science
, avril 1885, du mémoire intitulé : On insanity
1 Gombault. Sur les lésions de la névrite alcoolique. (Acad. des
sciences
, 22 février 1SS6, p. 436 des comptes-rendus). - .
: Paralysie générale; parT. W. MAC DOWALL. (Tlze Journal of Mental
Science
, avril 1884.) Le cas est celui d'un homme de
'apoplexie séreuse ; par Joseph Wiglesworth. (The Journnl of menlul
Science
. Janvier 1883). - Nous résumons ici les réfle
ARTÈRES CÉDÉ- .; orales ; par JAUNIES SU.W. (The' Journal of Mental
Science
, juillet 1884.) . Femme de soixante-quatorze
xuelle chez un homme; par G.-H. ; SAVAGE. (The Journal o/'J7Mht<
Science
, octobre 1884.) ' L'observation peut se résumer
CATIOiN par le rictum; par 1V.-Juliu Mickle. (The Journal of Mental
Science
, avril 1881.) L'auteur ne se fait pa', dans son
s dans LES asiles d'aliénés; par James AD m. (The Journal of Mental
Science
, oc- tobre 1884.) L'auteur de ce mémoire se d
térines ET la folie; par Joseph WiGLESWORTH. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1885.) Nous ne pouvons reproduire ici
PILEI'TIFORfES par W. E. R : 1'JiSDEN VVOOD. (The Journal of Mental
Science
. Octobre 1881). Il s'agit d'un homme de trente-
A UN traumatisme DE la 1tète; par H. RAYNER. (The Journal of mental
Science
. Octobre t8SH. Homme de vingt-six ans, voyageur
une seule famille; par Joseph Wiglesworth. (T/te Journal of Mental
Science
. Jamier 1885). Considérés isolément, ces cas qu
hologique. (Juillet 1884); par Il. Rayner : (Tlae Journul of Mental
Science
. Octobl e -1881). - Dans ce discours important,
stra- TION des asiles; par J.-A. Campbell. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1883.) , . -L'auteur, pensant avec rai
démence aiguë; par J. V1GLESWOILTII. (Tiee JULlrJ2C11 Of llle72ta1
Science
, octobre 1883.) o En se basant sur l'analyse
liénés ; par S. Ru- THERFORD A1.4CPII : 11L. (The Journal of Mental
Science
, octobre 4884 et janvier 1885.) . L'auteur cr
ns LES asiles d'aliénés ; par James IIONDEN. (The Journal of Mental
Science
, avril 1884.) z L'auteur expose tous les danger
es DE leur efficacité ; par T.-A. CHAPMAN (The Jour- 2zal of Mental
Science
, juillet 1884). L'auteur se basant sur les rele
ciée A la FOLIE; par S. RUTHERFORD Macphail. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1885.) Cette observation rapportée a
atteintes DE MÊLANCO- LIE; par A.-F. Mickle. (The Journal of Mental
Science
, avril 1884.) L'auteur rapporte dans ce travail
MENT POUR cause DE folie; par D. YELLOWLRES. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1883.) Il s'agit d'un soldat qui, re
que fut guérie la lésion due à l'opération. D'après Bern- hardt, la
science
contient actuellement dix-sept cas d'élongation
affections mentales ; par A. de Watteville. (The journal of Mental
Science
, janvier 1885.) .) , Avec la haute compétence q
iori : l'expérience n'a pas confirmé les premières; la marche de la
science
a renversé la base sur laquelle s'appuyaient le
ire revivre d'anciens souvenirs his- toriques et montrer combien la
science
, employée avec méthode, est précieuse pour donn
PATHOLOGIQUE. tal symptoms of gênerai Paralysis. Journal of mental
science
, 1889. GILBEIIT Ballet. Les troubles oculaire
LE. momentanément à son profit presque tout le champ de la con- -
science
. La lutte disparaît et tous les éléments psychiqu
ues semblent se grouper en une seule synthèse, en un état de con-
science
unique. Mais celui-ci n'est justement que le dern
'est qu'au siècle dernier que les progrès réalisés dans l'étude des
sciences
physiques, joints à une connaissance plus appro
urs. Ces physiologistes, dans une note présentée à l'Académie des
sciences
(Voir le Bulletin Médical du 2 août), n'hésitent
meau ; guérison; résultat éloigné; par M. GAUTI11ER. (Société des
Sciences
médicales de Lyon, avril 1901.) M. Gauthier pré
es dont il est le véhicule; et je me félicite que les progrès de la
science
SOCIÉTÉS SAVANTES. 107 exercent cette influen
e l'individualité psy- chique est l'une des limites positives de la
science
, nous touchons là à un de ces problèmes dont la
orie et une classification des caractères. Dans l'état actuel de la
science
, la psychologie peut seule nous éclairer sur ce
entrent seules en ligne de compte. L'Ethologie est loin d'être une
science
définitive ; l'imprécision du vocabulaire psych
cées. L'accord se fait cependant sur l'objet et la méthode de cette
science
nouvelle, ce qui est impor- tant. Le livre de
x chez plusieurs membres d'une même famille (th., .0 ? )t. of ment.
Science
, il- d'oc- tobre 1897). Meyer. Contribution M
11- 14). W. Griffin, Cas de folie communiquée (The Journ. of ment.
Science
, janvier 1900). Meyer. Contribution à l'élude
stagmus chez la mère et la fille : par M. Jac- QUE.1U. (Société des
Sciences
médicales de Lyon, 27 février 1901.) M. Jacquea
XIV. Paralysie asthénique d'Erb; par 111. JossEnwn. (Société des
Sciences
médicales de Lyon, 27 février 1901.) ` M. Josse
eur du signe de Kernig ; par MM. JOSSERAND et Lesieur. (Société des
Sciences
médicales de Lyon, 6 mars 1901.) MM. Josseran
hilis médullaire et bulbaire précoce ; par M. Collet . (Société des
Sciences
médicales de Lyon, 12 juin 1901.) M. Collet rap
mblement limité aux membres supérieurs; par M.-CoLLET. (Société des
Sciences
médicales de Lyon, 26 juin 1901.) M. Collet r
. Radiographies d'arthropathies tabétiques; par DESTOT.(Sociélê des
sciences
médicales de Lyon), 10 juillet 1901. M. Destot
des os. G. C. XX. Vertige d'origine nasal; par Collet (Société des
sciences
médicales de Lyon), 16 octobre 1901. M. Colle
ysie hystéro-saturnine du nerf radial ; par JOSSERAND. (Société des
sciences
médicales de Lyon), 20 novembre 1901). M. Josse
progrès ou régression ; par William Graiiam (The Journal of Mental
Science
. Octo- bre 1901). Etude très spéciale, consac
ilité criminelle; par Henry LYLE M'INTRR. (The Jour- nal of dlentul
Science
, janvier 1901.) Ce travail est un commentaire o
d'homicide épileptique; parR. Peucy Smith. (T/te/OKf- nal of Mental
Science
, juillet 1901.) L'histoire de ce crime (assassi
é qu'elle a pour but de consolider, et comme elle est avant tout la
science
de la vie pra- tique, elle doit bien s'accommod
e et la médecine pour qu'il ait eu quelque sorte l'empirisme de ces
sciences
; alors il substituera aux épithètes de paresseu
us la présidence de M. le professeur Guno, membre de l'Académie des
sciences
, professeur à la Sorboune. La leçon d'ou- vertu
e, Education scientifique et psychologie, par M. Lusant, docteur ès
sciences
, examinateur à l'Ecole polytechnique. Vendredi
ces deux points. Lorsque nous avons commencé à rechercher dans la
science
, pour établir le groupe des vraies psychoses po
peau moins mobile que normalement. P.KERAVAL. XVII. Influence des
sciences
naturelles sur le développement delà psychologi
vie de l'homme, mais il ne faut pas oublier le rôle qu'ont joué les
sciences
naturelles dans le développement de la psycholo
mpulsion lui a été donnée par les'progrès de tel ou tel domaine des
sciences
naturelles, qu'il s'agisse de la découverte de
sont que la manifestation toute secondaire d'une idée obsédante. La
science
consiste justement à prendre ces faits, à les s
- hensions de ceux à qui elle avoit confié la conduite de sa con-
science
? » Elle fut « toute sa vie très exacte à observe
prompt et impatient. Son pré- cepteur lui apprit « en même tems la
science
de l'Evangile et celle des lettres humaines' ».
tirling, Larbert ; par George M. Robertson. (Tlee Journal of Mental
Science
. Avril 1902.) Avant d'exposer les méthodes dont
arfaits exemples de ce que peut l'humanité sociale combinée avec la
science
médicale. Pour obéir à ce ptincipe domi- nant,
du tremblement dans la paralysie agitante, par Collet (Société des
sciences
médicales de Lyon. 15 janvier 1902). M. Colle
sies et crises laryngées dans le tabes ; par M. COLLET (Société des
Sciences
médicales de Lyon, 5 février 1902). M. Collet a
1X. Sclérodermie et atrophie musculaire; par M. Vacher (Société des
Sciences
médicales de Lyon, 19 février 1902). Dans l'obs
être adresser un reproche : celui de ne s'adresser ni à l'homme de
science
, ni aux gens du monde. Le premier n'y trouvera
siles pendant la nuit ; par John KEAY. (The Journal of ille ? 2ttil
Science
, octobre 1901.) Les aliénés internés dans les a
es pays tropicaux; par P.-C.-J. van Beeho. ( 77te Journal o/ Mental
Science
, juillet 1901.) L'auteur, qui est médecin de l'
le 25 juillet 1901 ; par Oscar \1'oons. (Tlee Journal of illentol
Science
, octobre 1901.) Ainsi que l'a fait remarquer il
gislation ultérieure, par Edward D. 0' NEiLL(771e Journal of Mental
Science
. Octobre 1901). Etude d'un caractère tout spé
lissements particuliers ; par 1;LIOT Daunt. (Tlie Journal of Mental
Science
, janvier 1901.) On ne peut que signaler ici ce
tuels. L. Winiarski. Le principe du moindre effort comme base de la
science
sociale. (Suite et fin). F. LE Dantec. Instinct
la. convergence par Strasburger. 511. Psychologie. Influence des
sciences
naturelles sur le développement de la -, par
d'un danger trop fré- quemment méconnu. Ces pages sont utiles à la
science
et à l'huma- nité. Dr J.-B. CHARCOT. ASILES D
issement DES cas DE folie; par D. HACK TUKE. (The Journal of Mental
Science
. Avril 1894.) L'auteur a fait sur ce point une
N Amérique (Etats-Unis); par F.-B. SANEOItN. (The Journal of Mental
Science
. Avril 1894.) En s'appuyant sur des statistique
u Congrès annuel de l'Association française pour l'avan- cement des
sciences
. Des trois questions, mises à l'ordre du jour p
sant de côté le problème fiscal et se plaçant au point de vue de la
science
hygié- nique, a fait le procès de l'alcoolisme,
: analyse DE 730 cas; parW.-F.FARQUIIARSON. (The Journal of Mental
Science
, avril 1894.) Les conclusions de cet important
E la ménopause; par E. GooDUaLL et M. CRAIG. (The Journal of Mental
Science
, avril 1894.) La folie apparaissant d'ordinaire
les : on est contraint de reconnaître que, dans l'état actuel de la
science
, la relation pathologique qui unit les modifica
ÉVELOPPEMENT PHYSIQUE; par James Middlemiss. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1893.) Les cas de paralysie générale
diagnostic A faire; par REGINALD H. l\100TT. (The Journal of mental
Science
, janvier 1894.) Il s'agit d'un aliéné calme et
ipalité au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, ainsi qu'aux congrès médicaux à ce moment à Bo
ciper aux travaux et aux excursions du Congrès de l'avancement des
sciences
et du Congrès de médecine interne. (Voir les prog
175 Les rapports importants du Dr Tuke avec le Journal of Mental
Science
, le rendirent capable de grands services en lui f
ingomyélite tuberculeuse « ouvrait encore des aperçus nouveaux à la
science
». En 1874, Liou- ville communique dans le Prog
s accueille, et pour les termes élevés dans lesquels il parle d'une
science
que nous aimons passionnément. Et comme M. le P
ersonne ayant plus à coeur d'affermir le renom et le prestige de la
science
fran- çaise, tel que l'ont établi Pinel et Eequ
s il faut bien dire que maintenir à cette hauteur le prestige de la
science
française n'est pas une tâche sans difficultés,
lligence collec- tive de l'espèce ne s'endort jamais » et, dans les
sciences
évolutives, la gloire est d'un éclat bien, temp
les perfectionnements ne répondent pas toujours aux exigences de la
science
ou aux impatiences de nos désirs patriotiques.
alange de jeunes travailleurs, qu'il savait animer de l'amour de la
science
et du progrès, en fondant en un mot l'École de
rme de ses études, le médecin a pu acquérir dans cette partie des
sciences
médicales les mêmes connaissances que dans les au
d'un représentant de l'Adminis- tration, dévoué aux intérêts de la
science
et à la grandeur du pays, pour que nos voeux so
réforme, rendant ainsi du même coup le plus utile des services aux
sciences
médicales, aux sciences psychologiques, concouran
du même coup le plus utile des services aux sciences médicales, aux
sciences
psychologiques, concourant ainsi à l'élévation
ur vive sympathie. L'aliéné doit bénéficier de tous les progrès des
sciences
médi- cales et psychiques. La présence officiel
la malade fait entendre dans la demi-lucidité semblent sincères. La
science
n'est pas affirmative, si je ne me trompe, au s
h (de Moscou) et M. Marinesco (de Bucharest) lèvent leur verre à la|
science
française qui éclaire le monde et aux savants f
bordelaise, sympathique à tout ce qui se rattache au domaine de la
Science
, nous nous félicitons de la bonne fortune qui n
souvent hélas ! le bûcher, maintenant, de par l'intervention de la
science
, il n'en est plus de même. Les hommes de la gén
lle renferme dans son sein des hommes qui cherchent le mieux par la
science
. Pourtant il y a beaucoup à faire non seulement
ielle du Congrès de l'Asso- ciation française pour l'avancement des
sciences
. Dans le prochain numéro, nous signalerons briè
en soignés dans les bâtiments principaux. » (trie Journal of mental
Science
, juillet.) Depuis bien des années nous avons
ructive, de la moelle, lésion dont il est, dans l'état actuel de la
science
, impossible de préciser le siège. Il renonce à
un ignorant comme moi ait pu tromper si longtemps les princes de la
science
? » Pour les vols, il nie celui de Lourdes : «
les fous sont justiciables des tribunaux, de l'Église, et non de la
science
médicale. Dans la deuxième, qui s'étend de la f
es maladies mentales. Pour donner satisfaction aux desiderata de la
science
psychiatrique 1 J.-P. Falret. Des maladies ment
est appliquée qui donne satisfaction aux exigences modernes de la
science
et de l'humanité. Auparavant, on avait vu de gran
plus qu'un automate, un pantin, dont la volonté tient les fils. La
science
, encore une fois, ne saurait se désintéresser de
ur en tirer telle conclusion qu'elles comportent. » Voyez-vous la
science
- c'est-à-dire des hommes de savoir, de haute p
aire des tours de cartes et des escamotages ! ... Non, confrère, la
science
n'a rien à voir là-dedans. Elle vit dans un autre
ies mentales semble difficile à mo- difier dans l'état actuel de la
science
, il ressort nettement du tra- vail de l'auteur
modération dans l'usage des boissons enivrantes. Mais plus tard la
science
a montré que l'alcool est toxique en lui-même,
uve dans toutes les classes de la société, même parmi les hommes de
science
et de haute culture intellectuelle. La seconde
alcooliques. Cette erreur, réfutée d'une manière magistrale par la
science
, est par- tagée même par les classes éclairées.
; ils se sont occupés, en effet, de questions qui relèvent de cette
science
et font enseignée. Au moyen âge, la décadence d
la Neurologie et la Psychiatrie, et rendu d'éminents services à la
science
et à l'enseigne- ment : MM. A. JOFFROY, V. Magn
ut 'obstacle qui s'oppose à la libre excrétion" de' l'urine'et' la'
science
a enre- Qistrë`quelqués-observations oùI'appari
rance; mais il n'y a, pour l'instant, que deux facultés : celle des
sciences
et celle des lettres., En réalité, elle compren
ych. (vol. IV et V) ; et, du même auteur, A new visual illusion, in
Science
, 17 fév.1893; Illusions of memory, in Scribner'
reux, il est simplement guidé dans son entreprise par l'amour de la
science
et des idées personnelles, toujours originales.
appelé brièvement les principales opinions qui ont eu cours dans la
science
relativement à la physiologie pathologique des
sa conduite insolite, X... prétend qu'il a perdu un instant la con-
science
de ses actes, sous l'influence de quelques excès
t épileptique pour qu'on doive considérer comme entachés d'incon-
science
tous les crimes et délits qu'il peut commettre ;
Rousseau, de la première « que c'est un véritable inventaire de la
Science
psychiatrique dont il constate les richesses au
A ...,v ? L'observation du visage au repos, quelles 'que'soient la'
science
et la perspicacité de l'observateur,' ne permet
s la prochaine séance on s'oc- cupe parallèlement d'une question de
science
et d'une question d'organisation générale. Par
l'hospice de la Salpêtrière des souvenirs si vivaces et dans notre
science
spéciale des traces si durables, des- tinées à
ns, poursuivi avec zèle et persévérance le but élevé d'initier à la
science
, si dédaignée encore, qu'ils cultivaient avec tan
uble enseignement, toutes les notions qu'ils ont pu acquérir sur la
science
des maladies mentales et qui se sont répandus e
sait leurs devanciers, ils ont mené de front la philanthropie et la
science
et ils ont fondé, l'un la Société de patronage
qui, depuis 1852, a servi si puissamment au développament de notre
science
spéciale, et enfin l'Association mutuelle des m
trière et membres de l'Académie de médecine, ils ont laissé dans la
science
des décou- vertes durables que la postérité con
du, pendant de longues années, tant de services aux aliénés et à la
science
. Tous deux nous ont laissé un salutaire exemple
eux. Leur vie, consacrée tout entière au travail, aux progrès de la
science
et au bien-être des aliénés, est pour nous un v
amour des aliénés et le désir constant de ' - * faire progresser la
science
spéciale, encore si incomplète, à laquelle ils
logie mentale. L'ana- tomie pathologique et la psychologie normale,
sciences
auxiliaires indispensables, doivent lui servir
mes d'élite, MM. Baillarger et Falret, émules dans le travail et la
science
, restent émules dans la charité et la bien- fai
On ne s'arrêterait point si l'on voulait énumérer tout ce que la
science
et l'humanité doivent à ces maîtres vénérés, au s
ractions suivants : -. prendre la parole s'il le juge utile pour la
science
; il aura égale- ment droit aux réceptions offer
s à la fois pédagogiques et médicaux, en harmonie avec l'état de la
science
actuelle. Mais tant que les choses resteront
e dont je fus l'ami. - , L'énorme influence qu'il a exercée sur les
sciences
médicales, je l'attribue, sans hésiter, à ce fa
, Il y a plus : ces souvenirs et ces images, négligés par la con-
science
, peuvent se grouper et s'organiser de façon à con
es doivent être organisés et dirigés d'après les prin-. cipes de la
science
médicale. On y recevra les cas récents et cura-
théorie des localisations basée sur la méthode anatomo-clinique. En
science
, l'interprétation ne vaut que par le déterminis
à une idée fixe, vous convier à quitter les sereines hauteurs de la
science
, dont ce congrès est la manifestation continue et
établis sur des distinctions cliniques. ' Dans l'état actuel de la
science
, je crois que l'on pourrait, dès à présent, adm
s. Si, un jour, a-t-il dit, un de ces vaillants combattants pour la
science
succombait dans la lutte, si ses forces le trah
, directeur de l'Ecole de médecine; Pellet, doyen de la Faculté des
sciences
; Frèze, procureur de la République; Bleynie de
es à un état de désagrégation mentale particulier, de double con-
science
. Cette anesthésie, cette amnésie apparentes ne so
Faculté de médecine; et SERVEAUX, aide de laboratoire, licencié ès
sciences
. Il est toujours d'un grand intérêt d'étudier l
a psychologie expérimen- tale » ; l'autre comprend l'étude de cette
science
avec expé- riences à l'appui. Tous deux sont fa
ucteur en philosophie, pour les élèves du department of literature,
science
and the arts. 1° Fondements des problèmes psych
ent un laboratoire organisé pour l'enseignement pratique de cette
science
. 9° LELAND STANFORD JUNIORUNIVERSITY. -Leland S
P. KERAVAL. XXVII. Essai d'une nouvelle psychologie fondée sur les
sciences
naturelles; par E. BLEULER. (Allg. Zcitsch. f.
t agitées par nous et ont servi d'assises au développement de notre
science
. A cette oeuvre, jeunes et vieux ont collaboré.
psychoses. Pour que les descrip- tions concourent au progrès de la
science
, il faut qu'elles s'en tiennent à la différenci
Werner, mais bien dans la phase actuelle de développement de notre
science
. Pour moi, la condition préliminaire à remplir
t son originalité. A. Marie. XII. Annual of the Universal Médical
Sciences
, edited by Ch.-E. Sa- jous n. D. (Philadelphie,
ew-York, Chicago, 1894.) Bien que l'Annual of the Universal Médical
Sciences
ne s'occupe pas exclusivement de système nerveu
assistance des aliénés, sans s'écarter des principes établis par la
science
médi- cale. Mais, leur dirons-nous, avec Sommer
r la disci- pline, le personnel doit être pénétré des principes des
sciences
médicales, il doit obéir au médecin et non à de
mènes les plus obscurs sont interprétés à la lumière de ces deux
sciences
. Voici le plan qui a été adopté par Maudsley :
s temps, ont vivement préoccupé à Saint-Péters- bourg les hommes de
science
ainsi que la partie du public qui s'intéresse a
. Groupe de sept idiots, frères et soeurs. (The Journal of mental
science
, 1862, t. VIII, p. 429.) Parents excentriques,
al détermines-^ une, marche lente et insidieuse, il, existe dans la
science
un cer- tain, nombre de, cas où la morl est sur
édestal sont placées des figures allégoriques représentant l'une la
Science
, l'autre la Bienfaisance, les deux qualités maîtr
solennel hommage à l'homme géné- reux qui, tirant de la barbarie la
science
de l'aliénation mentale, a fait à tout jamais d
dovic Uurand, a été bien inspiré en plaçant aux côtés de Pinel la
science
et la bienfaisance, ces deux grandes forces mises
e, ces deux grandes forces mises au ser- vice de l'humanité. « La
science
dont nous admirons les incessants progrès et les
été bons, en lace du monument élevé par vos mains généreuses, à la
science
et l'humanité. » " Discours prononce par M. PIC
de Pinel est comme la fête de la bienfaisance. D'autres ont loué la
science
du médecin : il est au rang des plus illustres.
re, professeur à la faculté de médecine, membre de l'Académie des
sciences
et membre d'honneur de l'Académie de médecine,
advint, et chaque jour, depuis presque un siècle, nos aïeux dans la
science
, nos maîtres et nous-mêmes, nous n'avons été qu
, avec un grand zèle, se niellait à discuter sur les choses de la
science
et de la philosophie, sur la psychologie morbide
é dans son intelligence et qu'il a presque créé de toutes pièces la
science
des maladies mentales ? Une commission fut nomm
soit terni. Plus les troubles de laraison se « multiplient, plus la
science
progresse, plus les asiles ouverts aux « naufra
es des aliénés à Bicêtre ; « qu'il est le véritable fondateur de la
science
des maladies men- « taies; qu'il a fondé, par s
seulement une «illustration dont s'enorgueillissent l'Académie des
sciences
, « l'Ecole de médecine et les hospices de Bicêt
onze, mais encore les deux statues en pierre, la Bienfaisance et la
Science
, qui décorent le piédestal. Je remercie le Cons
élevé à la gloire d'un médecin par deux figures allégoriques : la
Science
el la Bienfaisance. Que de choses grandes el géné
à l'église ; mais son ardeur pour l'étude des mathématiques et des
sciences
naturelles n'indiquant pas une vocation bien ar
l d'espérance. z «Ce savoir était des plus étendus : mathématiques,
sciences
physiques et naturelles, médecine; il avait tou
itut d'entre-soi, dans «lequel, par pur zèle, par pur amour pour la
science
, on venait « poursuivre des éludes pour lesquel
ce service une direc- tion nouvelle plus conforme aux progrès de la
science
et aux sentiments d'humanité. Cabanis, Cousin e
telles améliorations, en profilant aux malades, servaient aussi la
science
. L'observation de la folie, rendue plus facile, p
loso- phique sur l'aliénation mentale. Ce livre fait époque dans la
science
. On ne le relit pas aujourd'hui sans une certai
es, ordres, genres et espèces. Cet ouvrage, que les progrès de la
science
ont jeté dans l'oubli, eut, à l'époque, un immens
et belle : l'homme illustre, qui l'a accomplie, a bien mérité de la
science
et de l'humanité ! » » Le président de la Socié
oi- gnage manifeste de l'intérêt que vous portez au progrès de la
science
et de votre scllicitude pour les souffrances de c
'autre à l'asile d'Aix. Association française pour l'avancement des
sciences
. La quatorzième session de cette association a
ué, sous la direction de la Société royale, à l'encou- ragement des
sciences
biologiques. Le cas du Dr L.-U. Beach. - La con
de tabes dorsal spasmodique telle qu'elle existe à présent dans la
science
. M. Erb ' en décrivant la symptomatologie de la
r-Médecin en chef de l'asile public d'aliénés de Dijon. Bien que la
science
soit riche de documents médico- légaux relatifs
défends, et à moins de considérer, contrairement aux données de la
science
actuelle, l'impulsion comme une idée isolée, né
étriques A la base du cerveau; parle Dr STRAHAN. (Journal of Mental
Science
, juillet ! 883.) Nous donnons ici le résumé de
ds ET petits asiles d'aliénés, par T. Claye SHOW (Journal of Mental
Science
, juillet 1883.) Dans ce travail, M. Claye Shaw
0-tU'rILaTIONS CHEZ LES ALIÉNÉS- par James ADAM. (Journal of mental
Science
, juillet 1883.) Observation 1. Femme de quarant
QUI REFUSENT DE manger; par Henry SUTBEIIL.1ND. (Journal of Mental
Science
, juillet 1883). Nous reproduisons ici les con
e par opposition A l'alcool; par W. BEVAN LEWIS, (Journal of Mental
Science
, juillet 1883.) Nous ne pouvons ici ni entrer d
cas se trouvait un para- lytique général. Campbell (Joum. of ment,
science
) a publié vingt- deux faits du même genre empru
susceptible de répandre un jour tout nouveau sur l'horizon de notre
science
. Issue de l'observation, elle en contient virtu
les D'UNE PRÉTENDUE MONOMANIE RELIGIEUSE. 25 merveilles de cette
science
mystique. Là gît, inévita- blement, la solution
c., etc., sont relégués au second plan. Elle est victime de cette
science
infernale, qu'elle suppose d'ailleurs originaire
x attaques, sur lesquelles le ma- 1 Comptes rendus de l'.1 cad. des
Sciences
, 1878. Recherches analonzo-hatholoiques et phys
« Wilts country lunatic asylum, Devizes. ), (7lie Journal of mental
science
, octobre 1879 et janvier 1880) (Bulletin de la
thier'. Nous avouerons, en passant, que, dans l'état actuel de la
science
, ces faits ne peuvent présenter qu'un intérêt e
mortenz ayhearezzces izz in,rance persozzes. Jour- 7zal of mentale
science
1872, p. 93. 3 Hergt. Fi,aitei-Ki-a ? ? kheilei
GUÉRISON; par William Wood. (77te american Journal o/' the médical
Sciences
, juillet 1881, p. 168.) . Voici le résumé de
I,EPSIE ; par Charles-K. Mins. (The american Journal of the médical
Sciences
, octobre 1881, p. 392.) L'auteur rapporte deu
ogie ') ; par Edward Sanders. (77te American Journal of the médical
Sciences
, juillet 1881.) Après avoir indiqué dans un pré
somme, pour une magnifique ornementation. On y voit en emblème la
Science
et la Charité. Suite de la discussion sur les A
ld, de Dautzig. Elle est intitulée : Ophélie... ci la lumière de la
science
médicale... M. Wesphal présente de nouveau le m
n du Traité des Névroses date de près de vingt ans. Les progrès des
sciences
médicales et particulièrement de la branche qui
à M. Huchard par le professeur éminent, si prématurément ravi à la
science
, toute pleine d'honneur, était aussi hérissée d
aître sous des additions considérables imposées parle progrès de la
science
, et celui de faire une oeuvre incomplète en con
inique; et dans les additions consi- dérables que les progrès de la
science
nous ont imposées, nous avons cru qu'il était u
vellement paru de n'ignorer aucune des récentes acquisitions de la
science
, puissent être plus pleinement satisfaites. M. Hu
psycltological mediciae; de M. Stearnes, dans le Journal of mental
science
; de M. Gray, dans le Journal of iczsazzitg, etc
.-psycle., ')8oC). Note sur le délire hypochondriaque {Académie des
sciences
, -18G0). Aitcii.mi3.iULT. Annales ? KedtCO-psyc
cou, 1 Communiqué dans la séance du 20 juin 1882 à l'Académie des
sciences
de Cracovie, section des sciences mathématiques e
du 20 juin 1882 à l'Académie des sciences de Cracovie, section des
sciences
mathématiques et naturelles. 324 RECUEIL DE FAI
j7, t. Il, 1). 6')0. 2 Diclionary ospract. naed., 18QC, p. 19S. 3
Science
aît(I Pi-(ICI ! ce Of ize(lieille, t. II, p. 1 1,
. est reproduit en entier dans le Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales; art. Moelle et dans plusieurs ouvrages
ur la folie morale; par J.-Il. GASQuET. 7 ? e Journal - ! of Mental
Science
, avril 1882, p. 1.) ' M.- Gasquet pense que si
ine comme agent sédatif ; par J.-R. GASQuET. (7%e Journal of Mental
Science
, n° d'avril 1882.) L'importance que M. S. Rin
trict DE Richmond (Du- blin) ; par John Fox. (The Journal o ? VeH/a
science
, n° d'avril 1882.) .. M. John Fox est directe
e; deux observations; par Joseph WiGLESwopTH. (llie journ. of Ment.
Science
, avril 1882.) Voici le résumé de ces deux obs
ur rappelle que M. Clouston a publié en 1870 (The Journal of Mental
Science
, n° de juillet) deux cas de folie rhu- matismal
FECTION DE LA MOELLE; par W. JULIUS Mickle. (Tlce Journal of Mental
science
, n" d'avril 1882.) Nous ne pouvons donner ici l
ÉBRALES ; par W. Julius Mickle. (Tlie ./OM ? 'H<.o ? t7eH<a;/
Science
, nos de janvier et d'avril 1882.) ~ On sait a
nsabilité CRIME- NELLE ; par D. HAciç. TUKE. (The Journal of Mental
Science
, n° d'avril 1882.) Le travail de M. Ilack Tuk
e, pourvu qu'elle ne retardât pas d'un siècle sur les progrès de la
science
et de l'humanité. Il faut souhaiter que la voix
ie générale est bien résumée et suit d'assez près l'état actuel de la
science
; une tache cependant doit être signalée : c'est,
îtres français viennent bâillonner ces phra¬seurs et opposer la vraie
science
au verbiage. — Nous le répétons, les maladies des
x-là même qui sont appelés à le lire : il est difficile d'écrire la
science
avec simplicité ; il est plus dif¬ficile encore d
et et restreint quant au volume. M. Fort sait faire abstraction d'une
science
à éclat pour viser le côté pratique de son enseig
ans, dans un premier mémoire1, j'avais déjà présenté à l'Académie des
sciences
mes premiers résultats sur ce sujet ; mais, avec
ments du cœur et du pouls reproduits par la photographie. — Acad. des
sciences
, 19 août 1867. bord inférieur du cylindre et de
ublier, c'est en perfectionnant les instruments qu'on perfectionne la
science
. " Tant vaut l'instrument, tant vaut l'ouvrier, »
dont les uns ontété, dès leur publication, définitivement acquis à la
science
, tandis que d'autres ont servi de jalons aux déco
gne¬ments utiles à la physiologie, à l'hygiène et à la nosologie. Les
sciences
accessoires sont accueillies dans son sein avec u
t jalouserait avec raison la première lecture. Il n'est pas jusqu'aux
sciences
exactes dont la voix ne se soit fait entendre à l
lligible en dehors de ces connaissances déjà bien vieilles, tant la
science
de l'auteur sait se mettre à la portée de tous.
dire à la Société ce qu'on en pourrait penser, au point de vue de la
science
et de son application à la médecine légale. 11 s'
ue ce rapport ne s'adresse pas seulement à des savants au courant des
sciences
exactes, mais à l'esprit de gens distingués qui o
decin principal de la marine1. M. Bérenger-Féraud est connu dans la
science
grâce à la publica¬tion de nombreux mémoires sur
n qui ne put être 1 Consulter sur ce sujet : Giraldès, Académie des
sciences
, 1863, et Congrès médico-chirurgical de Rouen, 18
du cœur. III. Théorie nu choc en retour. — Déjà bien connue dans la
science
, cette théorie attribue la grande impulsion à la
tes en 1869 à la dix-huitième réunion de l'Association américaine des
sciences
médicales de Salem, en Amérique, par le docteur G
ut plus ou moins mercantile et contribuant bien peu aux progrès de la
science
. Aussi lorsque, par hasard, il vient à rencon¬tre
er la lecture à tous ceux qui, préoccupés des progrès de la véritable
science
, aiment à l'étudier chez ceux qui lui ont voué un
rons-nous sobres de commentaires. iAmeric. Associât, for the medie,
sciences
. 18e meeting, 19 août 1869. Salem. I. de la tem
scalpel et le microscope avaient fait faire aux autres parties de la
science
. Il suffit, en effet, dejeter un coup d'œil sur c
x con¬sciencieux qui ont pu élever l'otologie au rang d'une véritable
science
L'exploration de l'oreille n'est pas si facile qu
tes et le grand jour dont ils ont éclairé beaucoup de points de cette
science
. Il faut le dire, heureusement, si on ne s'entend
it, que j'ai présenté, en 1856, au concours ouvert par l'Académie des
sciences
, qui a bien voulu distinguer honorablement mon tr
démonstrations sensibles des vérités générales dont s'est enrichie la
science
. C'est donc maintenant par l'observation des fait
tion est, en dernière analyse, le but final de l'observation dans les
sciences
naturelles. § Ier. — ànatomie pathologique. J
vous-mêmes pourrez doter l'avenir, on peut, dans l'état actuel de la
science
, tenter avec fruit l'emploi de divers moyens pour
nant qu'une matière grasse très-consistante. On trouve encore dans la
science
quelques faits épars d'une terminaison semblable.
même. J'éprouve quelque embarras à poser ici des règles formelles. La
science
marche, et la question n'est pas assez complèteme
ipitale. C'est une mauvaise dénomination; elle a nui au progrès de la
science
et à la description de la maladie; la luxation n'
première forme. Le nom de spondy lartfirocace a pris domicile dans la
science
et peut être conservé, parce qu'il n'a qu'un sens
n réellement due à l'affection osseuse, ce fait serait unique dans la
science
. Malgré ces désordres, l'enfant a vécu pendant pl
tuées. Cette méthode n'est pas exempte de tout danger. Il y a dans la
science
un fait de réduction, ou du moins de réduction pr
matiques; elles le sont moins dans les déplacements palhologiques. La
science
possède deux ou trois faits à peine des deux autr
vaz est guéri. Il y a plus : une commission nommée par l'Académie des
sciences
proclame les succès de Pravaz, sans néanmoins aff
a, qui rendra toujours des services incontestables, et l'Académie des
sciences
à bien jugé en décernant, en 18i2, des récompense
de vous a sans doute souvent causé bien des ennuis, devient ainsi une
science
du plus haut intérêt par ses nombreuses et utiles
importante pour devenir l'objet d'une communication à l'Académie des
sciences
. Nous avons eu depuis les appareils en stuc de
ique et physiologique des muscles divisés chez l'homme, pour fixer la
science
sur ce point. C'est une lacune sur laquelle j'app
- (1) Douzième leçon, 8 août 1856. (2) Mémoires de l'Académie des
sciences
. Paris, 1743, in-4°. — Fou-gerpux, Mémoires sur l
prend peut-être plus de part. Malheureusement, les desiderata de la
science
nous laissent encore dans une grande incertitude
par des humeurs acides, elle n'appartient plus qu'à l'histoire de la
science
. Ce que nous savons, c'est que la grande foncti
eau. En définitive, nous ne possédons pas, dans l'état actuel de la
science
, de médicament capable de durcir les os des rachi
etin de la société anatomique, 1834. (3) Mémoires de l'Académie des
sciences
, 1725. C'est en détruisant l'une ou l'autre de
plusieurs appareils ayant le même but ; mais ici les prévisions de la
science
sont démenties par les faits; bon nombre d'enfant
sification des ligaments vertébraux. (1) Mémoires de l'Académie des
sciences
, 1740. (2) Ibid., 1772. (3) Voy. l'Atlas, pl.
aux lombes. (1) Voy. pl. 2, fig. 1 et 4. (2) Journal complém. des
sciences
mèdic, t. XXIX, p. 271, 1828. On remarquera que
tante. Werner, médecin orthopédiste d'Allemagne, trop tôt ravi à la
science
, affirme qu'une jeune fille de dix-huit ans, à fo
'autorise pas celte distinction arbitraire, qui n'a pas cours dans la
science
; on s'accorde à regarder ces mots comme synonymes
le nom. Ces notions incomplètes furent longtemps les seules que la
science
eût en sa possession. A. Paré, répétant en cela l
ut, je crois, de nouvelles recherches pour mieux fixer ce point de la
science
. II. ÉTIOLOGIE DE LA SCOLIOSE. Après avoir ét
De Bachitide, 1650. (8) De Bachitide, 1680. (k) Mém. de l'Acad. des
sciences
, 1706. (5) Lettre 27«. d'une plus grande force
inion qui, sans être plus juste, a des racines plus profondes dans la
science
, veut que la gymnastique guérisse la scoliose en
e la Feutrie, Du rakitis, 177g, p. 326. (6) Mémoires de la Soc. des
sciences
physiq. de Lausanne, t. II, 1788. (7) Loc. cit.
u Sur les courbures. Leipzig, 1816, p. 108. (2) Mèm. de l'Acad. des
sciences
, 1772. (3) Chirurgie, etc., en allem., Nurember
ure, ne doit pas être par un paquet cacheté déposé à l'Académie des
science
» le 6 mai 1838 (1), et la même année, M, Pauli (d
J'ai terminé l'exposition du (1) Portai, Mémoires de l'Académie des
sciences
, 1772, et Observations sur le rachitisme, 1797, p
, et Observations sur le rachitisme, 1797, p. 343. (2) Académie des
sciences
, 1772. traitement de la scoliose ; il me reste
impossible. Nous ne pouvons guère prétendre, dans l'état actuel de la
science
, qu'à réduire la courbure au moindre degré possib
ai dans le temps mis sous les yeux d'une commission de l'Académie des
sciences
. Mais aussi jamais traitement ne fut mieux second
ettons de faire une réflexion. générale. La bactériologie est une
science
récemment créée par l'illustre maître Pasteur,
ns qu'aujourd'hui ils nous rendront justice, étant convaincu que la
science
a acquis dernièrement tous les éléments nécessa
Phys. d. Grosshinrinde.) ° Bartholow.JoM ? < : / of the nied.
sciences
, avril 1871. Sciamanna. Reale Accad. dei Lincei
absolument connue, mais qui suffisent même dans l'état actuel de la
science
à créer une espèce mor- bide dont on pourra, s'
nion qui nous paraît pouvoir être formulée dans l'état actuel de la
science
. Nous laisserons à d'autres, plus compétents et
rébrales; par W. J11liUS MlCl, : LE. 77 ! e</OM ? 'Ha/ of Mental
Science
, avril 1885.) L'auteur rapporte brièvement neu
Il... PEINTRE DE portraits; par W.-A. Guy. (Tite Journal of Mental
Science
, juillet 1885.) Nous devons nous borner à signa
e; guérison; par le Dr CARYLE Johnstone. (T7te Journal of ;4lezztal
Science
, juillet 1885.) L'observation que l'auteur rela
e morale ou émotionnelle; par D. HACK TUItE. (The Journal of Mental
Science
.) L'auteur rapporte plusieurs observations très
sur la FOLIE EN ESPAGNE; par F.-A. JELLY. (Tlce Jourlznl of Mental
Science
, juillet 1885.) Le lecteur qui chercherait dans
ut de la discussion, que M. Magnac avait l'intention de rayer de la
science
le nom de Lasègue. Aujourd'hui les partisans du
à part dans le délire des persécu- tions ; 3° on doit bannir de la
science
les mots de délire chro- nique. M. PICnoN cro
teurs M. Vivien et le marquis Barthélémy, était celui des hommes de
science
et d'expérience, qui, adoptant la donnée des mé
c'est de faire inter- venir tout d'abord et le plus tôt possible la
science
médicale, seule compétente, soit pour prononcer
lle pourra avoir la pensée de recourir elle-même directe- ment à la
science
médicale ; elle voudra avoir une expertise médi
pinion qui tendait, en définissant avec exactitude les droits de la
science
médicale, à les maintenir indépendantes aussi b
démenti par les médecins ici présents, la médecine mentale est une
science
hérissée de difficultés et d'obstacles, même po
prêté les mains à un système qui aurait consacré les droits de la
science
médicale, si ces droits s'étaient exercés par un
jamais démérité, quoi qu'on ait pu dire, ni de l'humanité, ni de la
science
, ni de la morale. (Approbation.) Déjà, dans une
s n'obtiendraient pas le même respect, si elle parlait au nom de la
science
médicale, au nom d'une science qui n'a, pour elle
espect, si elle parlait au nom de la science médicale, au nom d'une
science
qui n'a, pour elle, que des secrets, au nom d'u
nom d'une science qui n'a, pour elle, que des secrets, au nom d'une
science
à laquelle elle ne peut s'asservir sans déchoir
re, qui ressemble plus à celui d'un roman, qu'à celui d'un livre de
science
, lui fit du tort. Et cependant, dans un sujet q
rait été cependant fort intéressant de préciser l'état actuel de la
science
sur ce point si contesté, et encore si plein d'
COrli , le 4 août 1885; par J.-A. Eames. (The Joiti-nal of 3leiztal
Science
, oc- tobre 1885). - Dans ce discours, le prés
MEDECINE PSYCHOLOGIQUE ; par Edward MOOIIE. (The Journal of Mental
Science
, avril 1885). . L'auteur insiste énergiquement
rapport, nos trois observations sont actuellement uniques dans la
science
. Cela tient certainement à ce que la sensibilité
ue les pra- tiques hypnotiques ne sortent jamais du domaine de la
science
. Le délire des possédés se communique avec une
hez un garçon de onze ans, par le Dr S.wcie. (The Journal of Mental
Science
. Juillet 188.) Voici le résumé de cette observa
A une lésion corticale; par W. Julius Mickle (The Journal of Mental
Science
. Avril 1885.) L'autopsie révéla chez le malade
ontrôle personnel; par le 1)' S,V.1GE. (Tlte J0211'n(ClGf .lleratal
Science
. Juillet z.) Dans le premier cas, c'est chez un
n d'être en ce qui concerne la surveillance. Quant à la question de
science
, tous les médecins pra- ticiens doivent être au
s généraux d'aliénés ; elle pourra s'adresser aux autori- tés de la
science
. Et alors, véritablement, le rôle que la chambre
lcoolisme sur la progé- niture et rappelle la note à l'Académie des
sciences
qu'il a présentée avec M. Mairet. Une chienne p
dant, n'hésitera pas à faire valoir les droits des malades et de la
science
, n'en déplaise aux Bureaux ; le gouvernement n'en
ter, Z z Ileckman. l'rmter, Cor. Atzzaual of llze Universal Médical
Sciences
a Yearly Iteltortoftlte progress of thé gênerai
l Sciences a Yearly Iteltortoftlte progress of thé gênerai sanitary
sciences
tltrouâhout the worlrl by Cli. E. Sajous. 11. U
venirs; il ne pourra les rapprocher, les comparer; il n'y aura pas de
science
proprement dite, et c'est là, je pense, la source
en font. Remplir autant que possible une lacune qui existe dans la
science
sous ce rapport; rendre l'anatomie pathologique p
s dont il sera le témoin, et qui sont presque toujours perdus pour la
science
et pour lui-même; l'initier en peu de temps et sa
ture, les Transactions philosophiques, les Mémoires des Académies des
sciences
de Paris, de Berlin, de Saint-Pétersbourg, de Bol
rapprocher tous les faits importans consignés dans les Annales de la
science
de ceux analogues que nous aurons occasion de rec
x et nullement un ouvrage complet sur la matière. C'est ce vide de la
science
qu'avait entrepris de combler le savant, l'infati
rtai, les Vicq-d Àzir,.qui, les premiers, ont importé en Fiance cette
science
née et perfectionnée sur le sol fécond de l'Itali
les et de faire avec eux un échange de travaux propres à compléter la
science
des altérations organiques. Nous ne saurions en
ns contraires, l'anatomie pathologique en est encore cette époque des
sciences
où des noms ont été imposés aux objets principaux
ressions qui font image, comme tous les mots créés dans l'enfance des
sciences
par les premiers observateurs; témoin les dénomin
ection du langage est évidemment l'expression de l'imperfection de la
science
. Les naturalistes viennent de nous tracer la vé
tres par une forme permanente, ils ont fait faire un pas immense à la
science
de l'organisation normale. Espérons que la scienc
n pas immense à la science de l'organisation normale. Espérons que la
science
de l'organisation morbide s'emparera de cette gra
d'un ouvrage que réclamait si impérieusement (37) l'état actuel de la
science
, que j'ai formé le projet de publier par fascicul
que cet ordre, favorable pour le développement des généralités de la
science
, aurait l'inconvénient majeur de faire passer suc
essement de l'éditeur, qui voit dans cette entreprise un besoin de la
science
, un monument scientifique auquel il désire concou
t pas encore pris, si je puis m'exprimer ainsi, droit de cité dans la
science
, parce qu'elle avait été donnée comme une opinion
praticien le plus consommé, ne retire si souvent d'autre fruit de sa
science
que le triste avantage de faire entrer un plus gr
ou sans inflammation, avec ou sans mobilité, et qui disparaîtra de la
science
lorsque les maladies seront mieux connues dans le
t me paraissent remplir en grande partie la lacune qui existe dans la
science
sous le rapport de l'anatomie pathologique de la
x , la suffocation et la mort. Je croyais ces faits uniques dans la
science
, lorsqu'il y a un mois on me présente un beau cas
tre heures du matin. (*) Journal complémentaire du Dictionnaire des
Sciences
médicales , i8a5 , tome XIX , page 3. Ouverture
pas seulement intéressant comme théorie, comme perfectionnement de la
science
; mais encore sous le point de vue pratique? L'as
me. Il me paraît impossible de distinguer, dans l'état actuel de la
science
, le kyste unilocu-laire gélatineux du kyste unilo
dans les opérations de chirurgie, m'a paru d'un grand intérêt pour la
science
et le complément de l'étude du phénomène si impor
té, a toute la force d'un axiome, savoir que dans l'état actuel de la
science
, l'entérite folliculeuse aiguë peut être modifiée
ent variable et insaisissable des phénomènes des corps vivans. Chaque
science
a sa méthode et ses motifs de certitude; parmi le
ns. Chaque science a sa méthode et ses motifs de certitude; parmi les
sciences
naturelles, les sciences physiques se composent d
éthode et ses motifs de certitude; parmi les sciences naturelles, les
sciences
physiques se composent de phénomènes constans aux
onstans auxquels le calcul peut être appliqué avec avantage (d'où les
sciences
physico-mathématiques); mais dans les sciences zo
vec avantage (d'où les sciences physico-mathématiques); mais dans les
sciences
zoologiques, les produits varient sans cesse comm
ité est tout aussi grande maintenant qu'avant sa découverte; ainsi la
science
ou l'ignorance, la prudence ou la témérité sont i
épidémie, en 1817, à la séance publique de la Société d'agriculture,
sciences
et arts, de la Haute-Vienne ; et sur la demande d
rent les observations recueillies depuis, et semblèrent avoir fixé la
science
sur ce point. IV. AValther, professeur à l'univ
ale de Chirurgie, tome XIII, page i. C*) Journal complémentaire des
Sciences
médicales , tome VII, page 118. — (***) Tome XXXI
presque tous tombés dans ce vice de raisonnement si funeste dans les
sciences
, qui conclut du particulier au o-énéral. Louis et
r à un diagnostic rigoureux, n'aurions-nous, dans l'état actuel de la
science
, rien de spécial à opposer à une maladie dont les
s tuberculeux et cancéreux. Or, je pense que dans l'état actuel de la
science
, les infiltrations de matière tuberculeuse dans l
on. Les sarcocèles cancéreux sont incurables dans l'état actuel de la
science
; les sarcocèles tuberculeux sont curables. De là,
a même manière et en termes aussi positifs des points litigieux de la
science
que des points bien constatés. Pourquoi craindre
nstatés. Pourquoi craindre de montrer à tous les yeux les vides de la
science
? Au moins, l'attention de tous serait éveillée s
t pas été sanctionnées par la pratique ; et bien que dans l'étude des
sciences
d'observation on doive être accoutumé à de sembla
vitales. Cependant ce qui me paraît positif dans l'état actuel de la
science
, c'est que, en général, le ramollissement pultacé
quelque sorte l'humorisme qui va peut-être régner de nouveau dans la
science
avec ses causes occultes et ses explications faci
es correspondances sympathiques ; la loi du consensus y en un mot, la
science
de l'organisation tout entière confesse son impui
maladies cancéreuses dû foie se réduit donc, dans l'état actuel de la
science
, à quelques faits d'anatomie pathologique. v. U
sonnés sont beaucoup plus rares que les exemples d'utérus bifides. La
science
n'en possédait peut-être qu'un seul cas, successi
rofesseur Delpech (i), qu'un horrible assassinat vient d'enlever à la
science
, a pu trouver dans les ganglions semi-lunaires de
tifier de pareilles tentatives qui ne prendront droit de cité dans la
science
que lorsque des faits nombreux et positifs auront
n vers le cerveau. Le malheureux Dance, si déplorablement enlevé à la
science
et à l'humanité, ne se trouvait bien que dans le
c chez les enfants nouveau-nés a été signalée par M. Billard, dont la
science
doit déplorer la perte prématurée. Sur quinze cas
ssemblé les faits épars qui existaient sur ce sujet (Dictionnaire des
Sciences
médic, t. i\i). Désormeaux, dans son excellent ar
lan et Métliode qu'il convient de suivre dans l'enseignement de cette
science
; Thèse du Concours. Paris, i83i , in - 4°, pl. VI
d'anatomie de cette luette vésicale que Lieutaud a introduite dans la
science
. Enfin, Morgagni, Valsalva, Pohl, Fantoni, Sant
la malade était réglée. Dans le cas adressé à l'Académie royale des
Sciences
par MM. Bourdon et Ghomereau, médecins à Joigny (
eux incisives à chaque mâchoire. (i) Hist. de l'Académie royale des
Sciences
, 1748. 19 Livraison. Pl. 1. MALADIES DU FOIE,
cot les a vus et m'a demandé de vous les présenter. Il faut dans la
science
savoir être recon- naissant, pour que nos faibl
ation DE FOLIE A deux ; par M. J. ? ¡OL.\.X. (The Journal of mental
Science
, avril 1889.) Ce cas est celui de deux frères q
uatorze observations de folie chez les jumeaux qui existent dans la
science
, l'auteur dit que la vraie folie gémellaire est
a supprimer. Revue con- firmative des observations existant dans la
science
(dix) dont huit avec autopsie. Tout ce que l'on
cependant, depuis quatre-vingts ans, la psychiatrie est devenue une
science
réelle qui a fait son chemin dans le monde. I
ienne compte des intérêts de l'huma- nité et des acquisitions de la
science
. Il faut surtout substituer à cette procédure i
la. Qui peut actuellement dire a priori si les types connus dans la
science
sous le nom de secondaires sont réellement incu
du crime qui émanent de cette spécificité. Telle est la base d'une
science
jeune. Jusqu'à présent, il parait établi que le
ompétentes, sinon réfractaires, malgré elles, à l'application de la
science
et de l'humanité bien entendue. On a émis l'i
se contenter d'un administrateur. L'incurabilité est un .mot que la
science
doit tenter de supprimer par tous les moyens 'p
re accepter des maladesle traitement et' les soins matériels que la
science
et l'expérience nous indiquent. La charité est
pour épi- leptiques doivent, dans l'intérêt de l'humanité et de la
science
, être, de - même que les asiles d'aliénés, diri
; - 9° Le diagnostic local des lésions cérébrales est, en temps que
science
des faits, tout à fait indépendant ' Voyez Arch
ce serait là le second cas d'aphasie de Grashey qui existe dans la
science
, s'il ne concernait le même malade sur lequel G
hysiologie de phénomènes qui semblaient ne pas plus appartenir à la
science
médicale que les magnétiseurs de tréteaux n'app
udacieux n'ont réussi qu'à discréditer à nouveau cettebranche de la
science
, de penser qu'il existe un faisceau de recherches
in. Pour que l'expérience produise un bon clinicien, il faut que la
science
de l'observation soit méthodique- ment développ
mante. Ce qu'il y a à faire avec les arriérés est un problème de la
science
sociale de la plus grande importance. Il peut ê
niversité de Vienne est décédé en celte ville le 31 mai dernier. La
science
médicale perd en lui, dit le Bulletin de la Socié
ions précédentes Un progrès dans n'importe quel département de la
science
, conduit fatalement à d'autres. Toute vérité, q
'histoire de la médecine, des progrès 240. THÉRAPEUTIQUE. ' - des
sciences
et des arts, qui donnent la mesure immédiate de l
ue peut-il résulter de bon de pareilles minuties ? * Le temps et la
science
seront là pour leur répondre : « que ces investig
pe dans le cours des progrès généraux faits dans chaque branche des
sciences
médicales, au cours des dernières années. Sa va
par la physiologie expérimentale. Dans un rapport à l'Académie des
sciences
, d'avril 1877, sur les explications chirurgical
, il y a des délires de négation systématisés. 2° Il existe dans la
science
un nombre suffisant d'exemples de mélancoliques
tre-vingt-quatorze ans, qui s'intéresse encore passion- nément à la
science
dans laquelle il a marqué un sillon lumineux. «
velle. M. Lannelongue a communiqué le 30 juin 1890 à l'Académie des
sciences
une note résumant ses premiers résultats 1, Sui
dans la microcéphalie, par M. le professeur Lannelongue. (Acad. des
sciences
, 3U juin 1890, p. 1382.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 317
ne mentale de 1889, à l'Association française pour l'avancement des
sciences
de la même année et au Congrès des aliénistes d
es idiots, des imbéciles ou des arriérés, mais qu'il y en a dans la
science
et avec autopsie. M. Régis pense que la commu
rselle. Si le sens de l'humanité s'est ainsi développé et épuré, la
science
de son côté, dans ses manifestations multiples,
les points de vue, il ne répond pas aux besoins ni à l'idéal que la
science
se fait aujourd'hui des asiles d'aliénés. Il in
de médecine Jefferson, à Philadelphie. (American journal of med.
Sciences
, juin 1891.) J'ai intitulé ce travail craniotom
après un récent article du Dr Keen (American Journal of the medical
Sciences
, june 1891), il paraîtrait que six cas ont déjà
ion des microcéphales est si déplorable, que l'in- tervention de la
science
, ne promettant même que l'ombre du succès, me s
à 200 malades. » The Satellite of thc Annual of the Universal med.
Sciences
, du Dr Ch.-E. Sajous, 1890, nov., p. 42.) . F
e, dénoncé, au point de vue légal, par M. Liégeois à l'Académie des
sciences
morales ej. politiques en 1884. Après avoir mon
ours du « magnétisme judiciaire, com- promis par les préjugés de la
science
officielle. » C'est un mystique, un croyant ple
LA CRIMINALITÉ ; par le Rév. W.-D. Morrison. (The Journal of mental
Science
, avril 1889.) Partant de ce principe que dans l
e, avec commentaires; par - b John Baker. (The JOlli'1lal of mental
Science
, avril 188 ! J,) L'auteur a rassemblé dans ce m
4° Toutefois conformant ses recherches à l'orientation moderne des
sciences
pénales qui poursuivent l'amendement du délinquan
ck, a prouvé, par un succès éclatant, la vitalité de notre nouvelle
science
. Le président, M. Sigwick, professeur de philos
s international de psychologie expérimentale. (Revue géné- rale des
sciences
pures et appliquées, dirigée par M. L. Olivier, 1
OTHÈQUE PHOTOGRAPHIQUE. LA PHOTOGRAPHIE MÉDICALE. APPLICATION
SCIENCES
MÉDICALES ET PHYSIOLOGIQUES, Albert LONDE, Di
e l'espère, les nombreux services que la Photographie peut rendre aux
Sciences
médicales, services que vous avez si bien pressen
et importants services que la Photographie est destinée à rendre aux
Sciences
médicales dans lesquelles, à mon avis, le docum
, qu'elles daignent regarder le rôle qu'elle a pris dans les diverses
sciences
, qu'elles lisent les noms de ceux qui l'emploient
re humain. Nous ne sommes, en effet, qu'à l'enfance de cette nouvelle
science
et d'après ce qui a déjà été fait on peut bien au
LA PHOTOGRAPHIE MÉDICALE. introduction. La Photographie est une
science
relativement jeune : c'est en 1889 qu'on a célébr
Depuis nous avons fait tous nos efforts pour être au courant de la
science
photographique et, bien que les crédits mis à not
travail, sentira l'importance de l'application de la Photographie aux
Sciences
médicales et physiologiques. Voyons maintenant
ésultats obtenus seront d'une grande importance pour l'avancement des
sciences
médicales en général. En effet, le médecin, par s
ées par la Faculté de Médecine et l'Association pour l'avancement des
Sciences
, nous avons pu commencer la construction d'un app
es microbes, des divers tissus soit sains soit malades, constitue une
science
spéciale, Y Histologie. Son influence sur les pro
vers tissus soit végétaux soit animaux, constitue, dès à présent, une
science
relativement jeune encore, mais qui a une importa
egrand du Saule, la Médecine légale consiste « dans l'application des
Sciences
médicales à l'étude et à la solution de toutes le
graphie, qui peut rendre, comme nous l'avons vu, tant de services aux
Sciences
médicales en général, ne présentera pas ici un ch
is générales qui président au phénomène de la croissance, et si une
science
comme l'Anthropométrie paraît sortir du domaine m
Blessure par arme à feu (balle de revolver). Pl. XIX. l'homme de
science
pour connaître les désordres qui ont'été produits
onfirmation des services nombreux que la Photographie peut rendre aux
Sciences
médicales et de la nécessité de l'Ouvrage que nou
ur les maladies du système nerveux, 1876. 2 Bulletin de l'Acad. des
Sciences
. 1893. Sur les fines altérations de I'écorce.
faire partie ni de l'une ni de l'autre; mais elle est elle-même une
science
ayant un but, une méthode de recherches et un c
ec l'anthropologie criminelle les mêmes rapports qu'avec les autres
sciences
. Science d'application, elle met au service du
ologie criminelle les mêmes rapports qu'avec les autres sciences.
Science
d'application, elle met au service du barreau les
DE MÉDECINE LÉGALE. l'application de données provenant d'une autre
science
ne permet pas de les confondre. La chose est
cières. De ce côté l'anthropologie criminelle, plus que toute autre
science
bio- logique, offre le lien le plus étroit avec
e autre science bio- logique, offre le lien le plus étroit avec les
sciences
juridiques- sociales. C'est bien là l'autre cha
jet particulier et prin- cipal de la psychiatrie, ni d'aucune autre
science
, quelque affi- nité qu'elle puisse avoir avec e
és et des engrenages réciproques qui lient aujour- d'hui toutes les
sciences
entre elles, des méthodes et des données à.diff
ranches scientifiques, n'en fournit pas moins à son tour à d'autres
sciences
formant une science en elle-même avec ses princ
, n'en fournit pas moins à son tour à d'autres sciences formant une
science
en elle-même avec ses principes, son champ de r
e peuvent nullement la faire considérer comme partie d'aucune autre
science
; . 2° Que telle étant son entité scientifique,
du guérisseur, un philosophe, un confesseur laïque, qu'il prenne la
science
du cer- veau. » L'auteur, un des promoteurs de
entale des Malais; par \V. Gilmork 1LLLIS. (Tlae Joumacal of Mental
Science
, janvier 1897.) La maladie mentale, ou plus exa
olt\Lls; par P.-W. MACDONALD et A. Davidson. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1897.) On sait que l'affection mentale
ns les MALADIES MENTALES; par J.-F. BRiscoE. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1890.) L'auteur a recherché les influe
SES ET SA SIGNIFICATION; par R.-S. STEWART. (T/te Journal of Mental
Science
, octobre 1896.) Les conclusions de l'auteur son
decin-directeur de l'asile. 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. ACADÉMIE DES
SCIENCES
. Séance du 10 janvier 1898. L'Académie a proc
s communications faites durant le premier semestre à l'Académie des
sciences
, relatives au système nerveux : Recherches sur
le épi- nière que sur la blanche. Nous trouvons dans la Revue des
Sciences
médicales, de M. Ilayem, une analyse de M. Magn
ouville. Progrès médical, n° 24, octobre '1874. 5 Magnan. Revue des
sciences
médicales, t. 111, 1875, p. 253. ° 'P.-W. Mac D
cales, t. 111, 1875, p. 253. ° 'P.-W. Mac Dowald. Journal of mental
science
, octobre 1872. ' Grellière. Etude sur l'atrophi
LES cerveaux des aliénés ; par John TunNER. (The Journal of mental
Science
, janvier 1897.) M. Bevau-Lewis attribue aux cel
rigoureusement vrai, on com- prend le zèle incessant des hommes de
science
et des sociologues pour la recherche des causes
, aux esprits frondeurs, auxquels un vernis clinquant tient lieu de
science
. Sur 296 buveurs, traités de 1889 à 1895 inclus
é une bien lourde respon- sabilité vis-à-vis des gens de goût ou de
science
qui plus tard juge- ront son oeuvre. Je ne sa
ou est en voie de recevoir une solution conforme aux données de la
science
et de l'expérience. A Bruxelles, deux points on
hommes politiques avaient bravement emboîté le pas des hommes de
science
, et instruit, au point de vue social, le procès d
estion de la modération et de l'abstinence est moins une affaire de
science
que de dogme. Or, dans les questions de sentime
leurs n'est pas toujours potable, c'est un véhicule de maladies. La
science
prémunit contre les dangers de l'eau, et les ab
de l'impérieux devoir social qui lui est dicté doublement et par sa
science
, et par son rôle moral. Il est juste pourtant de
entier, après avoir montré que les Américains se sont fait dans ces
sciences
une place au moins égale à celle des neurologis
des expé- riences qu'il n'a pas contrôlées, a refusé aux hommes de
science
l'aptitude pour les investigations hypnotiques,
ilités DES médecins ENVERS l'état; par le D1' John PUNTON. Si les
sciences
médicales ont pris un développement intense au
chives de Neuro- logie. 21. La Sorcellerie (ses rapports avec les
sciences
biologiques) ; par J.-E.-J REGNADLT. Ceci n'e
ce qui nettoie le mieux. » Cet aphorisme semble résumer toute la
science
médicale et hydrothérapique du patriarche de Woen
é opposé ; par M. PEIIU, interne des hôpitaux de Lyon. (Société des
sciences
méd. de Lyon.) Une malade avait présenté une hé
services que peut rendre Pauthropométrie ; mais au moment où cette
science
se déve- loppe de tous côtés, et en raison de l
BIIET et COURTIER. Dans une communication récente à l'Académie des
sciences
, les auteurs ont résumé les expériences faites
, auriculaire. Boucheron. Epilepsie d'origine auriculaire. (Ac. des
sciences
. Juillet 1885 et nov. 1887). Monfflier. Union m
par le Dr Cu.RoN. Dans l'intérêt des aliénés, de la société, de la
science
et du corps médical des asiles d'aliénés il ser
ce interne de l'hémisphère droit. TABLE DES MATIÈRES Académie des
sciences
, 170. Accouchement. Rapport des névroses avec
de Leuret, avec les hommes qui conservent un religieux souvenir de la
science
et des éminentes qualités de cet habile observate
t estimés sur l'anatomie du cerveau, ne calculant que l'intérêt de la
science
, M. P. Gratiolet a bien voulu répondre à notre ap
uelle source j'ai pris les autres, parce que la probité en matière de
science
, m'a paru aussi nécessaire qu'en toute autre chos
rrait appeler mon larcin, surtout si ce larcin tourne au profit de la
science
. En rédigeant cet ouvrage, j'ai tâché d'être ju
je le désire, au contraire ; car n'ignorant pas ce que la culture des
sciences
coûte de temps et de peines, je ne voudrais contr
gner de son éloignement pour le sacerdoce, et de sa vocation pour les
sciences
. Celte révélation d'une force qui veut se produir
vec M. Lassaigne, furent mentionnées honorablement par l'Académie des
sciences
, à sa séance du 20 juin de la même année. Cette p
du 20 juin de la même année. Cette production est restée acquise à la
science
et est souvent consultée et invoquée. En 1826, il
nt de notre pays de ses anciens élèves les plus capables d'honorer la
science
et de bien servir l'humanité. Celui en qui il tro
près l'abus qu'on avait pour ainsi dire fait de tout réduire, dans la
science
, à l'appréciation des phénomènes matériels, ce vo
nfliger au plus coupable peut-être de tous les monopoles, celui de la
science
, la sévère condamnation qu'il mérite. C'est en
que vos « devanciers avaient à peine conçu; vous avez créé dans la «
science
une ère nouvelle, et les principes posés par vous
it-elle à la fois quelque chose de la douceur et de la sévérité de la
science
. Ils étaient si bien faits pour s'aimier et pour
uret et Lassaigne. Ouvrage mentionné honorablement par l'Académie des
sciences
. Paris, 4 825, in-8 de 228 pages. 8. Paralysie
du même côté que l'affection du cerveau (Jour- nal des progrès des
sciences
médicales. 4828, t. XI). 9. Monomanie erotique
tonner, et dont on ne saurait assez se garantir, quand on cultive les
sciences
; une critique même injuste serait moins à craind
- (i) Expêr. sur les scorpions, par Maupertuis. Mém. de l'Acad. des
Sciences
. P. F. t. 7. p. 260; (a) Hombçrg, 0fc. m U» araig
es comptes de Montpellier, nommé Bon, ayant présenté à l'Académie des
sciences
, en 1710, des bas et des mitaines faits de soie d
ens, comme sont les fourmis et les abeilles, aient jamais cultivé les
sciences
occultes, ni même qu'ils aient la moindre notion
appliqué le microscope à l'étude de l'anatomie, et les progrès de la
science
sur le point qui nous occupe sont dus, en grande
te, se»met en opposition avec Leeuwenhoeck, et c'est tant pis pour la
science
, car il raconte sur la structure de la substance
é de sespenchans amoureux. J'ai toujours ambitionné de posséder cette
science
aussi belle au moins que la science divinatoire,
ours ambitionné de posséder cette science aussi belle au moins que la
science
divinatoire, et toujours elle m'a fui. Dans ma je
marsupiaux : Transacl, philosoph. , année t 83^, p, i; et Annales des
science
; nature/les, i. vtïr, iHrH. hémisphères cérébra
plus grand, plus petit, excessivement développé, et qui place dans la
science
une série d'observations que l'enthousiasme ou la
aussi bien et plus vite que les personnes les plus exercées dans la
science
des calculs.1 « 3° Fido et Bianco joueront aux ca
celui dont M. Dureau de Lamalle a récemment entretenu l'Académie des
sciences
, et dont l'authenticité ne peut faire l'objet d'a
aux sauvages et domestiques. Lu à l'Institut, le 2 mai t83o. Auu. des
Sciences
naturelles, t. xxit , i831. du fait suivant qui
at musqué, par Réaiimur : dans VAbrégé des mémoires de l'Académie des
sciences
, pour t 7 a ri ; P F. t. v, p, iq;:;. former d
. 29. (a) Toscan, Décade philosophique, et Fournier-Pesçay; Dist, des
Sciences
médicales, t, xxxv, p, pi, \ L'aptitude des élé
un grand nombre d'années, quelques-uns même avaient publié sur cette
science
des ouvrages estimés des phrénologistes, et plusi
front, dans la région orbitaire et dans la région temporale; enfin la
science
, dans la partie supérieure du front. Puis pour dé
un front développé, il est aussi le seul qui ait en même temps de la
science
, de la raison et de l'imagination (fantaisie); le
onfiance dont elle est le siège, mais une foi aveugle et dépourvue de
science
; enfin, en descendant jusqu'aux plus bas degrés d
ivement que le pariétal et l'occipital, eût donné à ces animaux de la
science
, de la raison et une foi intelligente. Plusieur
, mais sans rappeler que nos aïeux affir- maient avec raison que la
science
comme le feu purifie tout ce qu'elle touche, je
dirai que j'écris dans un journal scienti- fique pour des hommes de
science
, et que dans ces condi- tions : honni soit qui
tificat ni comme imbéciles ni comme aliénés. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1898.) L'auteur constate que la qualif
uë chez un jeune garçon; par M. B. Ray. (The Jour- nal of lIeiii(il
Science
, avril 1898.) Ce cas, qui s'est terminé par la
un adolescent; par Thomas-Philip p Cowev. (titre Journal of Mental
Science
, avril 1897.) L'auteur relève lui-même les poin
ur la progéni- ture ; par \\' .-C. Sullivan. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1899.) Ce mémoire, basé sur 12 obser
ysie générale juvénile; par A. Hrmx 1301'LE. (The Journal of Mental
Science
, janvier 1899.) Il s'agit d'une jeune fille de
nicutre et dont la plupart ont été analysés dans le Journ. of ment.
Science
. (iL). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 43 ou plu
lie chez les enfants; par (LETCfIER 13E.ACU. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1898.) Ce n'est guère qu'au commenceme
ucation et son avenir ; par A.-Il. Douglas. (77ze Journal of Mental
Science
, janvier 1899.) 'fout en rendant justice aux ef
une observation; par T.TEL- FORD-S)111'11. (Tite Journal or' Mental
Science
, juillet 89;.) Enfant de sept ans, pas d'hérédi
les aliénés indigents ; , par John Carswell. (The Journal of Mental
Science
, juillet t8cJ8.) La question est traitée presqu
lle des imbéciles; par G. E. Sulttleworth. (The Jomnal nf lllentcal
Science
, juillet 1898.) L'éducation donnée aux imbécile
d'autres institutions ; par William-W. Ireland. (The Journal Mental
Science
, janvier 1898.) Garnie Bakkelws. - C'est la plu
les aliénés en Belgique ; par John SicuALD. (Tite Journal of Mental
Science
, juillet 1897.) L'organisation de ces deux co
il a publié le compte rendu de sa visite dans le Journal of Mental
Science
, en 1861. Il y est retourné en 1862, puis en 1893
lie imparfaite, relaté par T. ALDOUS CLINCH. (The Journal of Mental
Science
. Avril 1899.) ,- Les planches qui accompagnent
mptômes men- taux, par S. Il. B. Montgomery. (The Journal or Mental
Science
, juillet 1847.) Homme de quarante-deux ans, m
les deux seuls cas connus d'IIorward (American Journal of médical
Science
, mars 1889) et de Charcot (Progrès médical, 17 ju
sont dignes de leurs devancières et font le plus grand honneur à la
science
française. La première leçon est consacrée à l'
rganisation de nos universités provinciales permet d'espérer que la
science
des maladies mentales - science éminemment fran
rovinciales permet d'espérer que la science des maladies mentales -
science
éminemment française sera officiellement enseig
ent pour but de satisfaire les exigences de l'enseignement et de la
science
. L'autre clinique est celle de l'Université de'
ervitude pénale et folie, par A.-R. Douglas. (The Journal of Mental
science
, avril 1998.) L'auteur défend par de nombreux a
es médecins en pareil cas, par W.-B. MORTON, (The Journal of Mental
science
, janvier 1898.) , Il s'agit d'un homme entré en
lle loi sur l'ivresse, par A. WooD-BENTON, (The jour- nal of Mental
science
, avril 1899.) Cette loi a été mise en vigueur l
se au D1' Mercier, par REGiNALD Il. NOOTT. (The journal of Mental
science
, janvier 1899.) Jusqu'en 1894 la différence qui
uvement qui a déjà fait tant progresser la médecine générale et les
sciences
biologiques, mais encore, de tous les côtés, un
INTERNATIONAL DE MÉDECINE ! les plus illustres représentants de la
science
contemporaine, mar- quera une date dans l'histo
i sa très large part. Pour ce qui concerne notamment la branche des
sciences
médica- les, qui constitue notre spécialité, el
illant ainsi parallèlement dans un même esprit de dévoue- ment à la
science
les deux Sections contribuent efficacement à l'
1837) et 16 pouces 3/142,6 (cas du Dr Shuttleworth .1ollrll. Menti.
Science
, oct. 1878). Les caractères anatomo-pathologiqu
du système nerveux central, correspond aux besoins pratiques de la
science
dans son état actuel ; mais la classification a
microgyrie (cas de Meine. Matell). Le premier cas décrit dans la
science
est celui que j'ai commu- niqué au Congrès inte
es éléments d'applice- tion, suivant les dernières ressources de la
science
. IL Seront confiés au lit : 1° tous les malades
n causale échappe souvent aux investigations thérapeutiques de la
science
. D'où il résulte, qu'il peut être appliqué parall
YSIOLOGIE' ET D' liH. : NC'I'ROTHE1tAPIE. 407 note à l'Académie des
sciences
, sur l'action des courants aller- natifs sur di
édicale du Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
de f3oulonne-sur-\Ier a fourni de très intéress
de 2 pages. - Paris, 1899. - (.Isso- cialion pour l'avancement des
sciences
.) ,) Le rédacteur-gérant : BOURNEVILLG. Emtcu
n-8° de si pages. Paris, 1899. - (Association pour l'avancement des
sciences
.) LEDUC (S.). Traitement électrique des névralg
igures. Paris, 1900. - Extrait des Comptes rendus de l'Académie des
sciences
. Léon (J. (le). Sirin,r¡omielia con 6[Mto/)'o/
es et névritiques chez (t) Schiff, Comptes-rendus de l'Académie des
sciences
, 1854. (2) VULP1AN, Vaso-moteurs. (3) Ki,iPPE
bétiques, en signale un cas personnel, qu'il croit t unique dans la
science
. Depuis le travail de cet auteur, nous n'avons
l'article de Zuber (163) dans le Dictionnaire ency- clopédique des
sciences
médicales (1881), et du chapitre, d'ailleurs très
e, bien qu'adopté par Zuber dans le Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales, est également critiquable : il donne
lère légitime, se livre, pour un moment, à des actes exaspérés ? La
science
psychiatrique n'est pas encore en mesure de préci
sée aujourd'hui, si l'on voulait tenir compte des acquisitions delà
science
psychiatrique.' Et il est vraisemblable que l'o
ue médicale ne tienne pas compte de ces récentes acquisitions de la
science
neuro-psychiatrique. Et ceux-là mêmes, qui, de
ium sur différents tissus et différents organismes, C. R. Acad. des
sciences
, 1903, p. 461. De l'action du radium sur les di
elle est donc alors la valeur de la psychologie qui prend le nom de
science
et qui a pour objet l'étude des manifestations in
comme une entité, devient vivant et agissant à son tour et toute la
science
métaphysique se réduit à jongler savamment avec l
is entendu parler, qu'il soit dans l'ignorance la plus complète des
sciences
physi- ques en général, ainsi que de toutes les
on spéciale, la connaissance passe à l'état positif au moment où la
science
en l'expliquant la ramène aux lois naturelles e
e qui occupe tant de grands esprits et remplit tant de pages. Cette
science
nous parle d'affaiblissement de l'esprit sans nou
utre chose que la capacité d'agir. La psychologie est donc bien une
science
d'explication par les mots et non par les chose
manifestations intellectuelles ou qu'elle disparaîtra du cadre des
sciences
. A cause d'une habitude séculaire, le nom subsi
ons profondes. Déjà maintenant, sous le nom de psycho-physiologie, la
science
métaphysique de l'esprit commence à opérer sa c
elle devra céder la place à la physiologie ou devenir elle-même une
science
positive ? Bien minime assuré- ment, mais peut-
n jugement par la magie des mots. I La psychologie est donc une
science
d'attente, une fausse science. Seconde étape de
mots. I La psychologie est donc une science d'attente, une fausse
science
. Seconde étape de l'esprit humain dans la conna
t seules sa longue survivance et il serait fort dési- rable pour la
science
positive du xx° siècle au milieu duquel elle cons
prises ensemble ou isolément et qui sont les seules dont dispose la
science
positive pour marcher à la conquête de la vérité
nge ou d'extraordinaire, si l'on veut bien se rappeler que quelques
sciences
, la paléontologie et la géologie particulièrement
ntologie et la géologie particulièrement,ne sont avant tout que-des
sciences
fondées sur l'induction et la déduction. La premi
ayant rien de physiologique dans ses conceptions n'est qu'une vaine
science
dont il n'y a vraiment pas lieu de se préoccupe
'on peut se baser sur elle pour en tirer des conclusions fermes. La
science
dans la stricte acception de ce terme, c'est-à-
oin que puissent s'étendre dans l'avenir les ives- tigations de ces
sciences
. V Le fonctionnement intellectuel réflexe s'e
es choses-là u'ont d'autre importance que celle qu'on y attache. La
science
se livre à la recherche de la vérité et ne fait
ation favorisée, elle s'accorde complètement avec les données de la
science
moderne qui ne progresse qu'en agrandissant indéf
'. - Thèse de Lyon, 1901. 38. Hdciiaiid. The american Journ. of the
Science
, 1901. 39. IIUDELO et HEITZ. Nouv. Icon. de la
1. " 10. Nichols. - Dup¡¡yl1'cn's contraction. Amer. Journ. of med.
Sciences
, 1899. 11. Doberauer. Ueber die Dupuy-1'. Finge
s maladies. La numération dans les cas où, dans l'état actuel de la
science
, le diagnostic ne nous fait pas présumer une au
ERT, Nosographie naturelle, t. I, 1817. (5) Murât, Dictionnaire des
sciences
médicales, article « Envie », 1815. (6) TIIÉLAT
manifestait particulièrement pour l'histoire et la géogra- phie. En
science
et en mathématiques il était d'une force moyenne
pidemiology of acttle Poliomyelilis, The americ. Journ. of the Med.
Sciences
, vol. CXXXV, p. 647, 1908. 43. Ibrahim (J.) und
illes idées dont les peuples ont subi le joug jusqu'au moment où la
science
est parvenue à résoudre le problème. Je n'ai pa
gs suffiront à amener des défections nou- vel les. La poussée de la
science
est irrésistible et tous les dogmes doivent pér
arence trompeuse, puisque les plantes ne la possèdent pas et que la
science
actuelle la refuse aux protistes et aux animaux
i déjà eu l'occasion de le montrer (1). La psychologie n'est qu'une
science
fondée sur des mots et qui sera rem- placée un
et qui jamais s n'auraient été créées, si des penseurs nés avant la
science
n'avaient cru apercevoir des différences de nat
Mais la compréhension du matérialisme nécessite la connaissance des
sciences
naturelles sur lesquelles il est basé et un pou-
maine constituent des faits particuliers qui ne relèvent pas de la
science
positive et qu'une « intelligence » peut produi
emblables qui sont devenues vraies. Avant d'abor- der l'étude de la
science
, il faut se dépouiller de ses préjugés. Les conce
ode que l'on inventera une machine à vapeur ou que l'on fondera une
science
sérieuse. Il n'y a 722 LEFÈVRE que des écoles
de brouillard et qui n'étaient de mise qu'avant l'apparition de la
science
qu'elles devaient fatalement précéder dans l'or
successivement et se comporte comme s'il cicatrisait ses plaies. La
science
moderne jette d'ailleurs des ponts de plus en p
les structures les plus perfectionnées. Telle est l'opinion que la
science
a fondée sur l'obser- vation, l'expérimentation
entifique, est de nature à satisfaire tous les esprits positifs. La
science
n'a pas tout découvert encore, mais il ne faut pa
ceptions erronées léguées par nos ancêtres et qui impré- gnaient la
science
primitive. Nous voulons voir dans la matière viva
perficielles. Il faut savoir regarder par dessus. Qu'ils étudient la
science
, élèvent leur esprit et donnent de l'envergure
nt libres. Tout phénomène scienti- fique est déterminé. Pour que la
science
ahorde l'étude des manifestations naturelles et
n moment l'étude de ces spécialités pour se consacrer à l'étude des
sciences
naturelles et sociales. Sans cela, on risque fo
les INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET RÉFLEXE 729 domaines de la
science
. Ce n'est qu'en glanant dans tous les champs de
ogie : par Arthur MACDONALD. - - - , < ? (The Journal' of Mental
Science
, janvier, 1891'.) ,u"'j-* ? lfI ' ' .- 'V . ' "li
LES TrtIBUN.1UX ? pa.u GeOiH ? S4V.GE. 'h$1 1t19r/ ' ' · of Mental
Science
) juillet 1 : 7dd .1 Istui n ? rjOT^ 1` bhlrt 1
sais qu'en thèse générale il convient de ne pas-introduire dans les
sciences
anatomiques des expressions possédant déjà leur
n livre sur la Syphilis du cerveau, livre empreint d'une si grandet
science
clinique. Les symptômes douloureux du début, pu
: M. Pasteur, membre de l'Académie fran- çaise et de l'Académie des
sciences
. - - ' Prèsideiits mati. le Dr Brouardel, doyen
cadémie française; Bertrand, secrétaire perpétuel de l'Académie des
sciences
; P. Janet, membre de l'Académie des sciences mo
tuel de l'Académie des sciences; P. Janet, membre de l'Académie des
sciences
morales et politiques, professeur à la Sorbonne
Dr Verneuil, Grandidier, Bishofssheim, membres de l'Aca- démie des
sciences
. MM. Garnier, Gérome, et le baron Atph. de Roth
nt chaque/ territoire, agit comme par décliar,-e; devant une con-
science
incapable, de le réfréner ? ni de le diriger. ''
PEAU, CIIEZ UN, ALIÉNÉ; par Epie rr,ANCE.,(Tlae, Joznvzal of Mental
Science
. juillet 189 1.) C'est surtout parce qu'il s ag
R,INTRA-CR ? NIENNE : , par CoNOLLY NORMAN. (The Joürncil ôfJlèztnl
Science
, juillet 1890.) Observation, accompagnée de pla
e interne; par Hubert . t,;3,C. BpisTowE. 'T/te/OMnta< of Mental
Science
, octobre 1893.) ' L'auteur examine ces deux cas
du temps de réaction; par BEV : 1N Lexis. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1893.) . 1 1 Perfectionnement intéress
DU DU . CAS) publiés ; parCEciL F. BEADLES. (Tlie Journal of Mental
Science
, juillet'et octobre 1833.) zJuah pib .. . ."T
JSENT DE S'ALIMENTER ; par'le Dr BR6uGn(T/fe'JoMnM< o ? H<(t/
Science
; octobre 1893.) ··.- . (.F,ki 1 , .r' a L'aut
ruction intestinale; par. R. f S. STEWART.('r/te.JOMt'H6[0/' Mental
Science
, juillet1891.) , <,< » ? ? f >h. = ? -s
8 juillet4893;cpar.J : AIUReY-LI\osAY : c(T/ee'Joul7znl.'of Mental
Science
, octobre 1893.) - tllibq aoii. - ,7alm9lq cob J
d'Omagh ;' par1 George7' Francis1 West.11' (Theb journal of Mental
Science
, avri11893.)'9'f ? J' ! i«« WtHwt "iO - - - . v
pourrons exa- miner alors si vraiment nous sommes à l'aurore d'une.
science
nouvelle; â nltrà-térréstre'y 4 " t ll'»-»«i- "
sont tous dans la situation* de ce Portugais, â,trèsvérsé dans les,
sciences
», qui disait à Leuret : «,,Vous dites( que jé,
? commeb Brièreiide Boismont,l avaient laprétentionde concilier-la
science
) avec, la foi : 'Ils invoquèrentp d'abords lèi
isante, 166 31UTPSYCHOLOGIR'PATI-IOLOGIQUE.' 's 3 "'J font à la !
science
véritable' ! Combien ! les observations' gagner
rté par ? J ? WiGLEswonTH.(T/t6 tfJoM)') ! < ! o/'<MeH<(t.
Science
? juillet 't1893.)9dtfJ(1· Li ! 9.r19'IfqvIG 91
IE du cuir chevelu ; par GeOfeSfF09' (1/ie Journal ' ? '" of Mental
Science
, octobre'1893.) ' ? b ? t ? ,,um ni) t'tftt/u aav
ur ce, sujet dans le numéro de jan- viser 1893 du Journal of Mental
Science
. u , , ^, , ,-f t, R. M. C. il. ? I 91 ? "ut' '
publié par l'auteur il y a un-an environ dans le- Journal of Mental
Science
. l.,Turilera,ol)sei,vé depuis cette époque un;
enza; -par Julien "ulq mALTHAU&(r/t6,JoM ? ' ? ta< of Mental
Science
,, 'avril .1893.)a<i) rh., il mdoo anp laiius
' par^A . -CV'BuTLER-ShïTHE ? - (TIlC Iti'q'Jozii-nttl of illeittal
Science
, juillett1S9 : 1 : )n s'rJusi eàhb pinfn ri, J,
lais;' par V- : Gilüi'ore'I : Liis., (T/teyoM)')M/' ' ? ' of illenlal
Science
, juillet 1Sr33.)` " '' ? ' " '' j Le mot « Am
? 'rA( ! g : Me); par Géôr=é,111.1tônRisôiv.(The Journal of Mental
Science
, avril et juillet 1893.) ^^"^j ? ^, (J ,' ' On
EURiBYDRAULIQUE; par,B ? V.1RICHARDSON. (The Journal, ,of"111eIZtal,
Science
, janvier 1892.) ao stttcnuo 11 -,Ht,< ne (r
t d'idiots du même genre ne correspondent point aux exigences de la
science
, de l'expérience et de l'humanité; ils ne saura
l'autopsie macroscopique du cerveau ne suffit pas aux besoins de la
science
et que, par suite, il convenait de. traiter de
rjesi méthodes ! d'examenique ? l'orateur aliiitrodiiitest dans la,
science
,-ihest arrivé à déterminerlquede terme éllulézîéi
s d'arrêt, il est de très courte durée, 1 Raymond. Dictionnaire des
sciences
médicales, article Tabes, p. 310. , PARALYSIE
d'une vertu' éminente ? aussi- considéré dans, la province pour; sa
science
qu'estimé'-de) sa^ congrégation pour. satpiété,;l
lques-uns une grande lacune au dé- triment des bases de la nouvelle
science
), en présentant une contri- bution que je; croi
CARACCIOLO de Naples, dans laquelle j'enseigne depuis seize ans les
sciences
phy- siques et naturelles. J'ai demandé à cha
confirme encore une fois et largement un des points de repère de la
science
anthropologique criminelle, voire celui de la p
un acte de réparation envers l'auteur et comblons une lacune de la
science
». 1 1 i , - : ' - . La connaissance des deux r
e Paris, médecin de l'IIôlel.Dieu. - . Et E. FEINDEL, Licencié ès
sciences
, docteur en médecine. Dans un article paru il y
pose d'abord les prémisses suivantes : « Dans l'état actuel de la
science
, nous pouvons et nous devons admettre que l'abo
estions rapides, paradoxales et imprévues. Dans l'état actuel de la
science
, le champ des actions humaines est un monde ind
médicale est que la folie est toujours une question de fait que la
science
médicale doit chaque fois déterminer. Cela a été-
xamen à ceux qui ont fait une étude spéciale de cette branche de la
science
; 5° les médecins de prison examineraient tous l
e, juin 1901.) L'anthropologie criminelle que l'auteur définit « la
science
de la nature et des facteurs de l'homme délinqu
ent à trouver les raisons du phénomène appelé crime. C'est donc une
science
bien définie, dis- tincte de la psychiatrie et
f Imanily, p. 61 - 660.) La psychologie constitue aujourd'hui une
science
distincte. Les phénomènes psychologiques obéiss
de la corticalité cérébelleuse; par Lannois et l'.wlor. (Société de
sciences
médica- les de Lyon, 19 juin 1901.) L'examen
à cette oeuvre coopérative des malades combinée avec l'effort de la
science
. on arrivera à trouver un moyen de guérison eff
à 67.) La psychiatrie est encore un art, elle n'est pas encore une
science
exacte. C'est sur les acquisitions du xix° sièc
acte. C'est sur les acquisitions du xix° siècle qu'on doit bâtir la
science
moderne : Lavoisier, Berzélius (chimie), Galvani,
nous choisissons la carrière de la pratique au lieu de celle de la
science
, ne le regrettons-nous pas d'ailleurs ensuite,
ués d'opium et de hashich; ergotisme. Aujourd'hui l'expansion de la
science
rend ces faits plus rares. 11 y en a cependantd
nes psychiques des états de rêve. SIMON. XXVIII. Christopathie et
science
chrétienne; par C.-II. Hugues. (The Alienist an
uve quelque chose d'analogue dans les églises actuelles, dites de «
Science
chrétienne », dont une est à Paris (maison mère
dont une est à Paris (maison mère à Boston). La révélation de cette
Science
date de 1866 : les guéri- sons des malades par
e salut du péché et de 1 tristesse, de la maladie et de la mort; la
Science
chrétienne, c'est a loi de Dieu introduite dans
? Paris, Doin. LAI/DIS, The lits tory of the developmenl of Médical
science
in America. (The american journal of llze médic
f Médical science in America. (The american journal of llze médical
sciences
.) Lepinay (F.). Essai anatomique et pathologiqu
our le moment je vivais. Je cherchais à m'intéresser activement aux
sciences
, mais j'avais pendant des heures entièros le li
dence l'impossibilité d'une explication qui cherche la source de la
science
de la nature au maître autel et laisse régner l
o-philosophique là où l'analyse, la cri- tique et l'observation des
sciences
naturelles réclament seules leurs droits. REC
ous l'avons tous observé. Il en existe maintes observations dans la
science
. Esquhrol le considérait comme un délire sensor
n d'honneur. « Votre mérite et votre dévouement aux malades et à la
science
dont vous faites preuve sans répit, ajoute l'or
s), dans le but de l'aire une « charité éclairée des lumières de la
science
». - 2 Leloir. Traité pratique et théorique de
ologie de certaines paralysies radiales ; par Lannois. (Société des
Sciences
médicales de Lyon, 21 mars 1900.) M. Lannois ra
n du nerf. G. C. LVIII. Vertige familial; par LANNois. (Société des
Sciences
médi- cales de Lyon, 21 mars 1900.). M. Lanno
go provoqués par l'opérateur dans le massage. Dans les Archives des
sciences
physiques et naturelles de dé- cembre 1900, M.
pulsion homicide pure ; par J. 1'i'tcLswomu. (The Journal of Mental
Science
, avril 1901.) Il n'est pas commun de rencontrer
XX. Epilepsie et crime ; par John 13.ncn. (The Journal of mental
Science
, avril 1901.) , La pathologie de l'épilepsie de
VE-CL.1Y. XXI. Châtiment; par C.-A. Mercier. (The Journal of mental
Science
. juillet 1901.) Les travaux de M. Mercier sou
e chez les criminels; par W. 1\'onwooD East. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1901.) , Travail très substantiel et t
pplicables à l'étude des faits sociaux. - G. Richard. Sociologie st
science
politique d'après des travaux récents. - Analys
à ses propres dépenses; par A.-R. WImTEWAY. (The Journal of Mental
Science
, ' juillet 1900.) L'asile de Saint-Luc, à Pau
pour l'East Sussex; par H. Hnves Newington. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1900.) Etude très complète d'un projet
y'of London Asylum; par Arthur E. PATTERSON. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1900.) Ce travail ne se prête à aucune
ment d'un vieil asile ; par Ernest W. WHITE. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1900.) L'auteur fait dans ce mémoire u
souvenirs, n'étant ramenés que de plus en plus rarement à la con-
science
, s'obscurcissent : ceux qui subsistent tendent à
. - d'origine infectieuse, par llamouotf, 427. CIIIISTOPATIIIE et
science
chrétienne, par C. Hughes, 230. CIIR01lATOPSI
blatt, 1873). "Renaut. Art. Dermatoses, \x\Dict. encyclopédique des
sciences
médicales. ' Depuis la rédaction de ce travail.
. llclier et Gilles de la Tourette. Dictionnaire encyclopédique des
Sciences
médicales. GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 9 a l'i
mobile; il parait comme fasciné. Les 'Comptes (le de l'Académie des
sciences
, I CS3, z .lncmvr- t. \1'It.. 7 98 REVUE CRIT
ussé par les savants, d'entrer définitivement dans le domaine de la
science
. M. Bernheim ne conteste pas non plus l'existen
rnant avec l'asthme Par Co- nolly Norman. (Tlee Journal of àlent(il
science
, avril 188 ? ) L'auteur relate sept observation
chez LES aliénés, par T. DUNCAN GREENLEES. (7'/te Journal of Mental
science
, octobre 188S.) Ce mémoire très intéressant, tr
malade d'asile, par Ilanax A. 13h\11.1x. (Tite Journal of Mental
science
, 5 aviil 188.) La terreur qu'inspirait à ce mal
timons qu'elle peut représenter dignement à l'étranger l'état de la
science
française et af- firmer une fois de plus son bo
é, ensuite parce que cette vérité se trouve être un émanation de la
science
française. M. A. Voisin pense que la manie et l
discussions qui se maintiennent exclusivement sur le terrain de la
science
. » La sentimentalité n'a rien à voir ici ; il ne
l faut, oui ou non, admettre la peine de mort. M. Loye, en homme de
science
, n'a voulu s'occuper que des faits. Si les gens
ent-ils au moins y apprendre à distinguer la Vérité de cette fausse
science
, mise sans cesse à contribution par la plupart
res qui sont du domaine de la médecine légale. A la première de ces
sciences
se rattachent les nombreuses expé- riences, ten
sseur de droit à la Faculté de Nancy lisait devant l'Académie des
Sciences
morales et politiques de Paris un mémoire sur la
On Aphasie, 1887, 1). 13. ' Dublin journal of Médical and Chemical
science
, 1833, p. 160. SURDITÉ VERBALE. 219 Pathologi
nt beaucoup écrit sur la surdité verbale et la cécité verbale, la
science
n'est pas capable de parler très nettement du s
Italie avant tout par M. Famburini, est entré dans le domaine de la
science
. En compagnie du Dr Vizzioli, j'ai observé un c
si le moment parait-il venu de sceller l'accord indispensable de la
science
de l'homme avec celle de la loi, en créant dans
l être partagé par ceux-là mêmes d'entre nous qui ont sur la cou-
science
d'avoir eu parfois recours, dans l'intérêt de leu
système nerveux. Les temps sont revenus où, pour ne parler que des
sciences
biolo- giques, il n'est pas plus loisible d'ign
ceux des Allemands ou des Anglais. Pour reprendre son rang dans la
science
contempo- raine, l'Italie n'a eu qu'à continuer
atomie topographique du cerveau a été la première condition de la
science
nouvelle. Sans cette anatomie, la cou- naissanc
iés et couches optiques). D'après les faits acquis jusqu'ici à la
science
, il est assez vraisemblable que le complexus de
u cerveau. Il est évident pour tout. le monde qu'entre les diverses
sciences
de la vie, comme le dit très bien Seppilli, il
de certains physiolo- gistes » qui réclament précisément pour leur
science
une autonomie absolue, et dont les généralisati
rien de celte lutte courtoise entre savants également épris de leur
science
. Elle était née, chez les auteurs italiens, d'u
tion plus simple, plus en harmonie avec les données actuelles de la
science
, plus pratique enfin, au point de vue des exige
llarger, qui mar- quent comme une traînée lumineuse à travers noire
science
spéciale, et je m'incline respectueusement deva
nte et féconde de cette école clinique d'observations à laquelle la
science
psychiatrique française doit ses plus sûrs pro-
lète, homogène, irréprochable : indéfini- ment perfectible comme la
science
même qu'elle représente, il est bien entendu qu
Archives et tous nos lecteurs qui ont pu apprécier le talent et la
science
de Bricon joindront leurs regrets à ceux de tou
ire comme celui d'un homme dont la vie entière a été consacrée à la
science
et aux idées généreuses. ) m n m -ii. m m - r '
ces rapports ont surtout pour mission d'exposer l'état actuel de la
science
sur la question dont ils seront chargés. En d
petite soit-elle, il y a une minorité et, dans l'état actuel de la
science
, je ne connais aucun signe permettant de les di
d'en pronostiquer l'évolution. Eh bien ! dans l'état actuel de la
science
, je crois tous ces jugements impossibles à port
mes appa- rents de la démence, je crois qu'eu l'état actuel de la
science
, il n'est pas permis de certifier d'une manière
uve contraire, à dire avec M. Blanche que, dans l'état actuel de la
science
, il serait imprudent d'affirmer l'incurabilité,
re mois; autopsie; par Boni. (Tite Anzerican Journal of the médical
sciences
, juillet, 1882.) Le sujet de l'observation, jeu
elevé de quarante-huit cas d'arthropathies tabétiques épars dans la
science
, neuf lui appartiennent, c'est dire qu'il a été
de l'Institut, professeur de physiologie générale à la faculté des
sciences
de Paris; Uouley, membre de l'Institut, profess
IDÉRÉES comme causes ce la folie; par Cttru.w. (Journal of mental
Science
, juillet 188 ? , p. 989.) Il y a quelques année
; atrophie des circonvolutions; par James SffAW. (Journal of mental
Science
, juillet 1882, p. 210.) Il s'agit d'un cas où
on et le mobilier des asiles; parA.-R. URQHUART. (Journal of menlal
Science
, juillet 1882, p. 167.) L'auteur, qui dirige en
paralysie générale; par Joseph 1'I- CLESWOIITU. (Journal of mental
Science
, janvier 1883, p. 41;i.) Le point principal sur
deux observations ; par C.-M. C.1'JiPItFf.L. -(Journal of mental
Science
, juillet 1882, p. 212.) Une petite épidémie de
E\T.1 L1 PEINE CAPITALE ; par W. Henry Kesteven. (Journal of mental
Science
, juillet )88 ? p. 1 17.) L'état particulier q
NS L pahvlysië générale; par W. Ju- uus IIlC6LE. (Journal of mental
Science
, octobre ,1882, p. 343.) . a L'auteur de ce m
11 cir ^J.*l . -j.,1" 71 tj uli ? f^ vv.vN. ( The Journal of mental
Science
, janvier 1884, p.S30.j ? - r`' ,19 91w^ e^'ii ?
T·DE3 LSIPfIR ETiDE PUS; par. J.,MANLEY..(T«e nf Journal, of mental
Science
, janvier 4884,up.,tïl9,)i ? tiq,rY9liu : - raci
vent, parlent, travaillent avec les élevés. L'un d'eux enseigne les
sciences
naturelles, un autre les langues anciennes, l'all
des chants; Deux par des travaux horticoles. ' Les professeurs de
science
sont encore chargés de lasurveillauce, et parti
XXXIV. DE la sclérose miliaire ; par PLAXTO-4. (Journal of mental
Science
, avril 1883, p. 27.) La sclérose miliaire se pr
ON DES GUEUISONS ET DES DÉCÈS par T.-A. Cu pm (Joui-ii(il of mental
Science
, avril 4 883, p. 4.) Travail intéressant de sta
EZ LES SUJETS NEUMT)QUES" ;par G.-11. S,Y-GE. (Journal of incittttl
Science
, avril 1883, p. 49.) L'auteur définit d'abord c
S grands et DES petits asiles; par Henry Rainer. (Journal of mental
Science
, avril 1883, p. i.) 11 résulte des recherches f
érale par lésion DU crâne; par .IullItS IICKLE. (Jourlral of mental
Science
, janvier 1883, p. 544.) L'auteur constate que,
R. 111. U. XXXIX. De la folie CHEZ LES jumeaux. (Journal of mental
Science
, janvier 1883, p. 539.) I. Jumelles présentan
d'imbécillité épileptique; par Herbert-C. Major. (Journal of mental
Science
, janvier 1883, p. 532.) Voici le résumé de l'
ET LE TRAI- TEMENT des aliénés ; par R. Cimeron. (Journal of mental
Science
, janvier 1883, p. 319.) Ce long mémoire se te
re conclusion et du chapitre qu'elle résume, la Rédaction du Mental
Science
a mis au bas de la page une note par laquelle e
tat mental dans l'hypnotisme; par D. IL1CK TUKE. (Journal of mental
Science
, avril 1883, p. 55.) Ce mémoire a été lu devant
rochure in-8" de 53 pages. New-York, 1881. 1'hc z o/' the médical
sciences
. Grasset (J.). Des rapports de l'hgsférie avec
ts clairvoyants s'en alarment : lisse demandent si l'unité de notre
science
ne va pas se dissoudre quelque jour, se morcele
es; aux travaux dans lesquels l'expérimentation, les procédés des
sciences
physiques adaptés aux choses de la clinique vie
it sclérosé, non ' Sappey et DllV,Ll.-ColI ! ¡des l'endus Acad. des
sciences
. (19 janvier 1876). 2 Debove et Gomballlt. - Co
ris', 1874. Comptes-rendus et mémoires du Congrès international des
sciences
médicales, p. 566 et suiv. Genève, 1878. DÉLI
P. BRocî. (Congrès de l'Association française pour l'avancement des
sciences
, séance du 30 août 1877, tenue au Havre ; - Gazet
P. Broca présentait à l'Association Française pour l'avancement des
sciences
une note relative à la thermométrie cérébrale e
DU pneumogastrique opposé ; par M. FRANCK. (Compt. rend. Acad. des
sciences
, 1880.) L'auteur a constaté que « la ligature d
ns sur lesquelles repose la 10 146 revue DE pathologie mentale.
science
moderne », M. Ball a substitué à l'exposé doctrin
umé historique, forcément incomplet, des vicissitudes subies par la
science
psychiâtrique. Ce ré- sumé est loin de renseign
clinique, c'est-à-dire dans la philosophie, les ori- gines de notre
science
. On voit qu'il est difficile de saisir, dans so
mplexe de l'intelligence que croit posséder qui- conque s'occupe de
science
; ce n'a jamais été un principe. En somme, la s
il apporter dans les programmes d'instruction. (Journ. of mental
Science
, janvier 1880.) II. D'O. X. L'aliénation mental
l'altération consécu- tive de l'écorce cérébrale. (Journal of ment.
Science
, janvier 1880.) H. D'O. REVUE DE THÉRAPEUTIQU
la population incessamment croissante des asiles. (Journ. nI' ment,
science
, janv. )880. Il. d'O. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 1
me nerveux : le sujet était difficile, et, dans l'état actuel de la
science
, comprenait encore trop d'inconnues pour permet
« sortie de l'asile pour les tirer d'embarras. » (Journ. of. ment,
science
, 1880, janv.) H. D'O. VISITE A QUELQUES asiles
vec 3 figures. Prix 3 fr. - Pour nos abonnés 2 fr. BOURNEVILLE. -
Science
et miracle : Louise Lateau ou la Stigmatisée be
ION du foie ET des viscères abdominaux ; par Laffont. (Académie des
sciences
, 15 mars 1880.) Les expériences faites par l'au
ns DE l'excitabilité corticale; par M. COUTY. (Comptes rendus Acad.
sciences
de Paris, mai 1880.) Les conclusions de cette
lésions DES circonvolutions cérébrales; par H. Tripier. (Acad. des
sciences
, 19 jan- vier 1880). Les expériences faites s
1880.) Dans un travail publié par l'Amera'can Journal of médical
sciences
(juillet 1877), John J. Masson dit qu'après avoir
! l31j ao ai 1 r1 x12 db ttrod us "UOE : JJlÍV jlJllIOJ'f';¡11 « La
science
ne peut être bien fixée que par l'accumulation
avec la note bien. C'est un des élèves pré- sentés à la Société des
sciences
médicales de Lyon, par M. Hugen- tobler, direct
s plaies. »- 3° question se rapportant à une branche quelconque des
sciences
médicales, abondonnée au choix de l'auteur. L
lities in the brain of a hydrocéphalie imbécile. [Journal of mental
science
, octobre 1879, p. 329.) LOCALISATIONS CÉRÉBR
bstinate Constipation and Inactivity ofthe Liver. (Journ. of b9ent.
Science
, avril 1880.) 1 Tebaldi.-Note statistico-clinic
a eu aucun enseignement officiel et régulier de cette branche de la
science
, si bien que, pour s'y adonner, il fallait se f
auditoire spécial quelques considérations sur l'importance de cette
science
pour la médecine militaire. G. H. XXXVII. DE
à proscrire l'obser- vation des troubles fonctionnels, le but de la
science
mentale étant premièrement «d'établir un rappor
ite de conceptions méta- physiques, qui s'appelle ambitieusement la
science
des facultés de l'âme. C'est celle-là qui a lon
es et de planches. Ce traité est donc absolument au courant de la
science
neurologique dans ses différentes parties. Le tra
ncidemment tant de notions d'histoire, de géographie, de calcul, de
science
, de grammaire et de style (car l'analyse et les
membre associé libre de l'Académie de médecine et de l'Académie des
sciences
morales et politiques. M. Peisse avait longtemp
ité déjà cerébrotomiej méthodique s'accentue avec les progrès de la
science
; car, ..quoique ébranlés, les systèmes imaginés
(Med. and. sîiig. journ., mai 1878) ; de Clouston (Journ. of. ment,
science
, juillet 1879), cette dernière ayant trait surt
cet ordre d'idées, il a lu récemment il la tYctv- Y01'/¡ Academy of
Sciences
un mémoire sur les Gurdetz Schools, où il propo
onal d'Amsterdam, à l'Association française pour l'avancement des
sciences
, etc. Bien que le Dr Seguin fut parfaitement au
s. A cet égard, je ne puis qu'indiquer la voie ; il appartient à la
science
seule de préciser les questions de thérapeutiqu
ant ainsi, à un mo- ,ment donné, l'état sans cesse progressif de la
science
. Tel est le but des Archives de Neurologie, rev
de la loi du 30 juin 1838. FAITS DIVERS Congrès international des
sciences
médicales, Lo7zd7'es, août 1881 . Section IV :
pas dans son asile; mais; si' nous en croyons le Journal of mental
science
, 650 FAITS DIVERS. Lindsay prenait volontiers
le que M. Wernicke accuse de la disjonction du contenu de la con-
science
, de l'ordre préétabli des associations d'idées.'
hèses des aliénés dans les théories abandonnées qui eurent cours en
science
et en religions. La théorie du physiologiste V.
de France et de l'étranger. Quoi qu'il en soit de ces opinions, la
science
manque de documents positifs pour la solution d
arait en médecine nerveuse; elle lit les ouvrages de médecine et de
science
, elle s'emballe à la suite du moindre progrès r
s nombreux échecs ne la rebutent pas, mais elle s'indigne contre la
science
qui n'avance pas et les médecins qui ne peuvent
st probable, dit-il, qu'il a fait sur ce sujet son examen de con-
science
et s'est trouvé coupable, souillé moralement. Ain
in G1'll1 ! dl'iss, etc.) Demoiselle de quarante ans, professeur de
sciences
dans une école supérieure de filles, zélée, ass
eurs et affaiblir leurs antagonistes. Le traitement chirurgical, la
science
systématique de la marche et l'orthopédie bien
opérés des sacs lourds. Apres l'opération il ne faut pas oublier la
science
systématique de la marche. L'auteur a observé b
eulement avec un bâton. L'auteur les a vu opérer et a assisté il la
science
systématique de la marche. G. DE Majewska. XV
titre l'auteur nous donne une sorte de revue rapide de l'état de la
science
à l'heure actuelle. Suivant son expression il «
ésologiqnes qui favorisent la progression en avant. Parmi elles, la
science
se substituant à l'empirisme aide puissamment au
grande quantité de questions et de chacune il dégage le rôle de la
science
. Il parle de la chimie transformant l'alimentat
etc., etc. Et par- tout il impose cette idée que les savants et la
science
ont tout envahi et règnent désormais en souvera
esprit dans lequel elle a été conçue, et qui vient démontrer que la
science
n'a jamais fait fail- lite comme certaines voix
ase : Les femmes, dont l'infériorité cérébrale parait admise par la
science
contemporaine, etc. », et la discussion continu
u est fonction. Le problème complet avec les procédés actuels de la
science
est encore insoluble, mais il n'en est pas moin
s actuellement ou députés ou sénateurs sont vraiment .des hommes de
science
: je crois qu'on en trouverait peu à qui donner
r ce titre dans le Parlement. Il faudrait en outre prouver que leur
science
peut s'appliquer ou s'est appliquée il résoudre l
le, comme l'indique l'auteur. Bien loin d'y voir une conquête de la
science
, je crois que celle-ci n'a rien à y gagner. Quo
u comprendre la valeur que prenaient, en s'appliquant à un homme de
science
, les expressions par vous employées. Calomniate
« Mais ne savez-vous pas, Monsieur l'Évêque, ce qu'est un homme de
science
; quel culte ardent et sans partage il a voué à la
on, à coup sûr, vous n'êtes pas accoutumé de parler à des hommes de
science
. » (La Morale des Jésuites, par PAUL l3rnr; Déd
dans laquelle les auteurs démontrent la nécessité de constituer une
science
de l'éducation qui devra servir de base aux péd
ris, 1891) ; 6° Art. Idiotie, in Dictionnaire ency- clopéclaque des
sciences
médicales, par Chambard ; - '7° Art. lIC1'JlW-
- '7° Art. lIC1'JlW- phrodisme, in Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales, par Ilermann ; 8° Km. Laurent. Les B
t ce qui ne sort pas de leur pays. Pour moi, c'est avec un grain de
science
que j'ai pu en remontrer à un pro- fesseur beau
trer à un pro- fesseur beaucoup plus savant que moi, et ce grain de
science
me vient de France ». R. CnAMN. XVII. Maladie
, adossée au Yennsberg, Bonn est une ville charmante, mais Paris La
science
allemande est admirable, mais nos savants franç
s langues étrangères, dit le Dr Saint-Jacques, 'quelle influence la
science
française à l'instar de l'art prendrait davanta
intellectuelle. Gabriel a acquis quelques notions d'histoire et de
sciences
naturelles. Le 8 août, l'enfant quitte l'Instit
plus haut intérêt où l'auteur estime que, dans l'état actuel de la
science
, il est nécessaire, pour l'étude des voies cen-
ne compression médul- laire, est explicable, en l'état actuel de la
science
, par la seule interruption anatomique ou foncti
a au moins quelque satisfaction consolante donnée à la folie que la
science
abandonne. » Toutefois, la campagne énergique m
bus (Silésie). Le même auteur, au dixième Congrès international des
sciences
médicales, vulgarise la méthode de l'alitement
e medico-psycliological association ; july 1895. (Journal of Mental
Science
, 1895, p. M9.) ° Ilurd. The M il/al' loealnzenl
finitive. Cette expression de « sens musculaire» introduite dans la
science
par Charles Bel, en 1833, n'exprimait alors que l
en évidence il faut user d'artifice. Longtemps il fut admis dans la
science
que les muscles du tronc étaient respectés dans
es civilisés réclament une place à l'apothéose de-pareils hommes de
science
qui sont l'honneur de l'humanité entière. Et ce
la Salpêtrière, non loin de celle dePinel, cet autre apôtre : de la
science
et de l'humanité. Une place reste vacante à dro
te à droite ; ce n'est pas, hélas ! nous qui verrous surgir dans la
science
médicale, celui qui sera capable de servir de p
remplis de traditions scolastiques qui non seule- ment écartent la
science
de ses voies les plus larges, mais encore l'éga
ison des notions absolument pri- mitives qui sont venues jusqu'à la
science
présente sans être criti- quées et que la scien
venues jusqu'à la science présente sans être criti- quées et que la
science
actuelle se refuse à examiner par crainte d'en
de M. Branly, l'auteur de l'article pense qu'en l'état actuel de la
science
les éléments manquent à l'interprétation ration
toutes deux vont et suivent de compagnie. A l'accrois- sement de la
science
, correspond l'amoindrissement de la foi. Ces pa
chistes comme cela se voit encore ' André Lefèvre. Dictionnaire des
sciences
anthropologiques, article Religion. mystici
etc. ? C'est une théologie, une métaphysique, une cos- mologie, la
science
des sciences révélée.... Théosophe, c'est- à-di
t une théologie, une métaphysique, une cos- mologie, la science des
sciences
révélée.... Théosophe, c'est- à-dire plus que p
hilosophe et plus que théologien, c'est-à- dire encore savant de la
science
de Dieu même. Au théosophe, les écritures révèl
ant ses yeux, il saura tout, sans avoir rien appris, il raillera la
science
humaine, si défectueuse et si tenter « Même d
ris, 1862. Rilli. Art. Mélancolie avec stupeur du Dicl. encycl. des
sciences
médicales. î96 ' PATHOLOGIE MENTALE. - jo
itions judiciaires, de la législation actuelle et des données de la
science
médicale, il conclut que le magnétiseur doit êt
e chaque jour, et, avec ce désintéressement absolu dont s'honore la
science
, vous aurez ajouté de nouvelles et précieuses f
on et éclairé bien des points obscurs dont se trouve parsemée cette
science
des phéno- mènes mystérieux de la vie ? Aussi s
recèlent encore quelques problèmes non résolus, si en raison d'une
science
incomplète, l'homme doit subir encore, sans déf
l'humanité par leur dévouement, leur abnégation, qu'ils honorent la
science
par l'éclat de leur savoir ou de leur enseignem
llicitude dont vous les entourez ? Combien nous sommes loin, par la
science
, des con- ceptions erronées que se faisaient de
sui- vront. Honneur à vous, Messieurs, qui continuez l'oeuvre de
science
et d'humanité ! Merci pour ceux auxquels votre
soulagement nous accueillîmes le nom de cette maîtresse, c'était la
Science
, c'est qu'on pouvait s'y tromper, on nous en co
ique, riche en gloire et en souvenirs historiques, où les arts, les
sciences
et les lettres sont cultivés avec un soin jaloux.
ont mis à accueillir les congrès scientifiques de l'avancement des
sciences
en 1891, de gynécologie en 1898 et le nôtre enf
spécialité, nous trouvons dans le.passé et le présent des hommes de
science
, dont le savoir et le dévoue- ment ont contribu
ages d'histoire, de haute littérature, de critique littéraire et de
science
. Les romans d'aventures sont les plus lus, part
présider une élite, et qui le mérite si bien par ses quali- tés de
science
, de-parole et de coeur, a bien voulu m'honorer de
sident M. le professeur Arnaud. Nos confrères des hôpitaux, dont la
science
est si connue et le dévouement aux déshérités s
personne et de ses fonctions. Je bois à la santé des maîtres de la
science
aliéniste et neurolo- giste dont la parole auto
vouloir les étudier à la lumière de la seule psychologie. Les deux
sciences
se doivent un mutuel appui, tout en reconnaissant
tique, sur l'importance de la Iogopatho)ogie, les rapports de cette
science
avec les autres branches de la médecine, et le
ent d'être dit au sujet de la logopathologie, nous voyons que cette
science
nous rend des services importants au point de v
cellules ner- veuses ne peut pas recevoir, dans l'état actuel de la
science
, de solution nette et précise. (Revue neurologi
s. Nous en avons communiqué un cas au Congrès pour l'avancement des
sciences
(Marseille, 1891, p. 756). La paralysie atteign
IQUE. Dans une communication faite le 9 novembre à l'Académie des
sciences
et le lendemain à l'Académie de médecine, ces m
us de détails, le lecteur soit aux Comptes rendus de l'Académie des
sciences
* soit sur- tout au Montpellier médical 3. Che
M. le professeur Charcot a bien voulu communiquer à l'Académie des
sciences
dans la séance du 18 janvier dernier. A ces fai
ier qu'en médecine légale, il n'y a que des cas particuliers. Cette
science
, en effet, n'a pas d'existence propre, elle n'e
te science, en effet, n'a pas d'existence propre, elle n'est qu'une
science
d'application et chaque cas est une espèce qui
nes épileptiques qui, d'après les auteurs (Voir Dict. Encyclop. des
sciences
médicales, 1 le série, t. XIV, page 303), sont
s un demi-siècle, le milieu social s'est profondé- ment modifié, la
science
a fait de grands progrès, l'expérience a fourni
aire peut seule rendre défini- tives les décisions préalables de la
science
. Ces deux pouvoirs, en s'unissant, se fortifien
rvice d'assistance avec les éléments d'organisation réclamés par la
science
, par l'humanité et par l'opinion publique elle-
- légales dont nous parlons étaient un fait très exceptionnel. La
science
des aliénistes, qui a fait de si grands progrès d
noms qu'elle compte dans son passé. Elle n'était pas, du moins, une
science
répandue, même parmi les médecins voués à la pr
aliénistes, ont senti de plus en plus le besoin de recourir à leur
science
et à leur expérience. Les expertises médico-légal
n souvent ceux qui n'avaient pas pu être ramenés à la raison par la
science
humaine, trouvaient, par l'effet de cette actio
ent médecins, n'étaient souvent pas rompus aux difficultés de cette
science
si délicate des maladies mentales et étaient to
lever ? Elle se compose de deux élé- ments essentiels : un homme de
science
, d'une compétence indis- cutable, dans une situ
pourvues d'autopsie. A rapprocher des cas de Déjerine (Académie des
sciences
, 1883. Archives de physiologie normale et patho
que que nous devons admettre comme entité, dans l'état actuel de la
science
; en effet, nous voyons le délire des persécuti
i n'a donc pas défini l'asile d'aliénés, qui est une création de la
science
moderne. ' Mais le Gouvernement, lorsqu'il a dé
ourd'hui obligatoire de l'asile d'aliénés tel que, depuis Pinel, la
science
et l'expérience moderne l'ont établi. ' 1 La
ifférentes parties sont des exposés compacts de l'état actuel de la
science
sur ces différentes questions auxquelles les au
thropologique, qui constituera bientôt un Compendium précieux de la
science
anthropologique. X. Contribution à l'élude des
la médecine et le droit, opérer en quelque sorte la fusion des deux
sciences
et rendre facilement assimilables pour tous les
ur quarante à cinquante malades. (Voir Balty Tuke Journ. of ment,
science
, oct. 1881.) Qu'en résulte-t-il ? TABLEAU DES É
misitoi, matte ? *s or 17zaiia- gement in asylums. Journ. of. ment,
science
, oct. 1883. Fr. Nee- dham. The open-door-system
oct. 1883. Fr. Nee- dham. The open-door-system The journ of. ment.
science
. juill. 1881, janv. 4 882.) -A Koenigslutter, e
nt donnée la compo- sition de la commission, connaissant surtout la
science
et la grande compétence de son rapporteur, que
ortune. Pour tous, le vrai refuge c'est l'asile, l'asile tel que la
science
et l'assistance contem- poraines l'ont constitu
es, aiment à péné- trer aussi à fond que possible les progrès de la
science
, connais- sent des intégralités, la méthode de
ion. Après un court historique parlant de Mesmer, de l'Académie des
sciences
en 1784, de Puységur, et passant par l'Académie
ette étude, f. Charcot a permis de faire entrer dans le domaine des
sciences
d'observation des phénomènes rf- gardés comme à
notisme et lui a fait faire une rentrée triomphale à l'Académie des
sciences
(1882). » De cette citation, l'esprit du livre
es, ainsi que l'enseignement des maladies mentales. L'intérêt de la
science
et les exigences de l'enseignement doivent présid
'admettre les cas ne présentant pas d'intérêt au point de vue de la
science
et de l'enseignement. § 4. Une demande d'admiss
III. Le mécanisme du tonus et des réflexes dans l'état actuel de la
science
; par J. Crocq (Jo ? tr2t. de Neurologie, 1902, n
sagère, à demi consciente, qui demeure à la périphérie de la con-
science
: ce sont des mouvements coulants à demi involont
cation du Péricarde; par Francis 0. Simpson. (The Journal of Mental
science
, juillet 1902). C'est une affection rare : l'ob
onctions mentales ; par P. W. IAC-DON.%LD. (The Journal of Mental
science
, janvier 1902). Le malade dont l'observation se
ique. Au Congrès de l'Association française pour l'avancement des
Sciences
, tenu à Ajaccio en septembre 1901, je me suis pla
endu de 1889, p. 51, et Association française pour l'avancement des
sciences
(août 1889); 5° Nouvelle observation d'idiotie
nt de la paralysie générale et du tabes ; par M. DEVAY (Société des
sciences
médicales de Lyon, 19 février 1902). 1 M. Dev
riminelles : esquisse; par Joun BAKER. (1'he Jour- ital o/·.lleztnl
Science
, janvier 1902). Voici les principaux points de
TES. 219 que page. En pathologie mentale, plus que dans toute autre
science
les phénomènes marbides sont connexes, se lient
u et correspond a un besoin résultant de l'évolution actuelle de la
science
pénale : il est conforme aux don- nées modernes
volume, mais il en aura d'autres afin de 'comprendre tout ce que la
science
criminaliste revendique comme son domaine. Avan
oit se modifier suivant le pro- 344 SOCIÉTÉS SAVANTES. grès de la
science
. Il faut savoir nous dégager aujourd'hui de cet
ière approfondie et dans presque tous, si l'on y met le temps et la
science
voulus, on peut s'attendre à un résultat. Or, c
tion qui permet de se tenir au courant des piogrès constants de la
science
psychologique. J. B. XXVI. La théorie de l'émot
ie préliminaire , par J.-B. IIL1CIII·'OItD. (Tlte Journal of Mental
Science
, janvier 1902). L'auteur rapporte quatre observ
s de lipome du cerveau; par Adèle de Steicer (The Journal o/ Mental
Science
, janvier 1903.) Nous résumons ici les deux obse
symptôme très accusé, par Thomas Pmur CowEN (Tite Journal of Mental
Science
, avril 1902). L'auteur rapporte avec détail l'o
psyclio-cérébrales; par Alex. Ii0liEItTSO\ (The Journal of Mental
Science
. Janvier 1902). Ce travail est le complément de
complément de celui que l'auteur a publié dans le Journal of Mental
Science
d'avril 1901. Le cas est celui d'un homme de so
eux souhaits, dans les mers lointai- nes où il combat aussi pour la
Science
, je peux voir, d'anciens ma lades du Maître, qu
vera le nom du grand médecin,- parmi ceux qui ont le plus honoré la
Science
et la Patrie, la tradi- tion de ce petit vallon
ment incessant, d'une marche résolue dans la voie du progiès que la
science
de l'hygiène impose aujourd'hui à toutes les st
à ce grand rôle social. En toute matière, le terrain conquis par la
science
est gagné sur la superstition et l'erreur. Il n
es où se complaisait l'ignorance des civilisations successives. Les
sciences
biologiques et pathologiques ont plus récemment
l'oeuvre d'affranchissement de notre raison dans cette ville où la
science
multiplie les miracles : mais, cette fois, selo
on- séquences bienfaisantes, tant de représentants éminents de la
science
médicale- Cette science, ptnsqne toute autre, e
tes, tant de représentants éminents de la science médicale- Cette
science
, ptnsqne toute autre, est de foutes les patries.
sile dans un autre; par A.-H. UIIQUUAIIT. (The Journal o/' Mental
Science
, octobre 1901.) Tout le monde est assurément d'
t dans les asiles ; par Frank Asiii3y ELK[Ns (The Journal of Mental
Science
. Avril 1902 ) Dans un mémoire sur le même sujet
; par le pro- fesseur KNUD 1'0,'iTOPPIDON. (Tlte Jottrnal of Mental
Science
. Juil- let 1902), L'hôpital communal de Copen
es sont toujours hérédi- taires. Le célèbre More) est le père de la
science
de la dégénéres- cence héréditaire en résultat
t traitenacral; par le D' Jeau DEMOOK (Bitll. de la Soc. royale des
Sciences
méd. el nul. de llruxelles. 2 jmllet 1900. La
te perte atteint la Claude PHILIPPE 1865-1903 NECROLOGIE. 539
science
neurologique tout entière (,eu, (lui, comme nous,
,1,0\1,s. Le mécanisme, du - et des réflexes (fait, l'etat de la
science
, par Cruoq, 56. Sur la me- sure du musculauv, p
ortante. Il s'agit des enfants idiots que, dans l'état actuel de la
science
, on peut ramener par des soins à l'état presque
al ot tous nos lecteurs, qui ont pu apprécier son dévouement à la
science
, joindront leurs regrets à ceux des nombreux am
re, comme celui d'un homme dont la vie entière a été consacrée à la
science
et à toutes les idées généreuses. Fidèle aux pr
Bricon, qui remontent à 18882 et 1883, concernent la microbiologie,
science
alors peu cultivée chez nous, mais qui avait ét
microbiologiques dans ces dernières années. L'un des maîtres de la
science
française, dont la compétence dans cette branch
de la science française, dont la compétence dans cette branche des
sciences
médicales est reconnue de tout le monde, notre
u'il a fait pendant trois années (1). Bricon était tout dévoué à la
science
. Il n'a jamais voulu faire de clientèle; cepend
ection de médecine de l'Association française pour l'avancement des
sciences
(séance du 14 août 1889). (2) G. Ballet iProg
section médicale de l'Association fran- çaise pour l'avancement des
sciences
. Observation IV. - Père, fièvres intermittentes
e si tranché et des traits tellement spéciaux (1) Dict. encycl. des
Sciences
méd., art. Crétin, Crétinisme. IDIOTIE MYXOEDÉM
anatomiques sur les cerveaux d'idiots. - Congrès international des
sciences
médi- cales, 1878. Hammond. Maladies du systè
veau et la pensée, t. Il, p. 90, 1882. Plaxton. - Journal of mental
Science
, p. 27, 1883. Herbert Mayor. - Journal of menta
of mental Science, p. 27, 1883. Herbert Mayor. - Journal of mental
Science
, p. 532, 1883. Luys. - Structure delà substance
tion de médecine de l'Association française pour l'avan- cement des
sciences
(séance du lli,aoùt 1889), un mémoire relatif à
notre communication à l'Association française pour l'avancement des
sciences
, nous avons reçu le 15 août, de M. le Dl' Arnau
de pièces et microscopiques. L'École de médecine et la Faculté des
sciences
de Rennes 11ll'l- tronlà la disposition du Cong
. Ne pas convenir de cette vérité, c'est nier tout progrès, toute
science
mentale. Mais, peuvent dire les profanes, que f
us vivons toujours ; et. chose admirable, bien que, depuis 1857, la
science
mentale ait fait des pas de géants, bien que le
. abus d'un pareil système, qui devenait incapable de fournir a une
science
définitivement consti- tuée, un personnel suffi
rs le remplacer par un autre, en harmonie avec les nécessités d'une
science
qui n'existait pas alors. N'cst-il pas incroy
tuels, où les prix de jour- nées dcO fr. 90 centimes défendent à la
science
d'entrer, on verra se dresser des établissement
les l'ous onl .i1llil'iahll' dl's ll'ÏhlllHlll'\, d,' et non de la
science
médicale. Dans la deuxième période les fous son
ie, janvier lcJi5. · 174 va m va- cation physique, el avec quelle
science
il groupait les altitudes et les mouvements en
ection psychique (ligures). La révision des laits collectés dans la
science
indique les princi- pales particularités suivan
ps ? Il est impossible de l'établir à cause de l'insuflisance de la
science
du diagnostic en matière de psychiatrie canine.
tl/re.) Mesdames. Messieurs. La psychologie des dégénérés est une
science
rela- tivement récente. Elle a élé inaugurée pa
tile, travaillant, dans la mesure de mon pouvoir,' au progrès de la
science
et par conséquent au bonheur des hommes, je ne
t ont l'ait du et je crois qu'aujourd'hui, en se dressant devant la
science
, et en s'elforçant d'accaparer l'instruction pu
a pédagogie du moyen- âge. Alors que, pareille au soleil levant, la
science
répand il chaque minute dans le cerveau des hom
leur assure une place de cocher de fiacre ou de garçon livreur. La
science
emplit le champ de la vie et de la pensée, et l
trer dans le inonde, se hâteront de prendre une légère teinture des
sciences
. S'ils y prennent goût, ils n'auront que le tem
ormes, hâte les évolutions, suscite et dirige les révolutions. En
science
, en art, en politique, en religion, son rôle est
fond avec la psychologie religieuse ou hiéropsychologie. C'est la
science
des phénomènes dont le cerveau des religieux de
rement des idées, des émotions et des sentiments religieux. Cette
science
, qui est une branche de l'anthropologie, fait par
science, qui est une branche de l'anthropologie, fait partie des
sciences
naturelles, et emprunte leur méthode. Cette mét
ue ces opé- rations doivent être, plus encore que dans les autres
sciences
naturelles, prudentes cl réservées. Car s'il est
res sciences naturelles, prudentes cl réservées. Car s'il est une
science
qui exige de la circonspection, c'est bien celle
rences d'une personne éveillée ; en réalité, le champ de la con-
science
était rétréci et limité aux seules perceptions vi
montre l'importance de cette question qui concerne l'histoire de la
science
et, plus particulièrement, de la méthode expéri
de ses expertises 468 . NÉCROLOGIE. sont restées célèbres, et sa
science
fit autorité dans plus d'un procès fameux. On s
et dont quel- ques-uns, faute de temps, restaient perdus pour la
science
. Ses travaux sur les maladies mentales sont si
os lorsque, dans la chaleur du débat,on abandonnait le terrain delà
science
pour s'aventurer sur celui des personnalités :
échiffrer les plus douloureuses énigmes. Il possédait bien toute la
science
qui discerne et il sa- vait à un haut degré, da
n d'asile. Il a été rédacteur cons- ciencieux du Journal of' mental
Science
. Son travail, présenté il la Société Royale de
et facile. Vous avez laissé votre empreinte dans les let- tres, la
science
et l'histoire ; vous avez ouvert une nouvelle voi
es des enfants. Vos travaux et votre pratique médicale rendent la
science
et l'homme vos débiteurs. Vos travaux personnels
re du haut mal, mais seulement nocturnes i Thiercelin. Académie des
sciences
et Gazette médicale de Paris, février 1861. D
la pathologie de la manie; par J. `V1GLESNORTH. (Journal of mental
Science
, janvier 1884, p. 485.), Quand on veut étudier
issons pas encore, mais sur la nature de laquelle les progrès de la
science
jetteront certainement un jour la lumière. R. M
e des infirmiers d'asile; par A. CAMPBELL- CLwE. (Journal of mental
Science
, janvier, 1884, p. 459.) L'auteur est convaincu
IVAT10\S DE JE\ ? \E D'AnC; par William IRELAND. (Journal of mental
Science
, janvier 4883, p. 483, et avril 1883, p. 18.)
r l'état mental d'un I\L1D1. ; par SAMUEL Wilks. (Journal of mental
Science
, janvier 1883, p. 549.) Cette note a été inspir
à M. par la lecture d'un article précédemment publié par le Mental
Science
et dans lequel l'auteur insistait sur la nécess
C\S de perte aiguë de la mémoire; par G. SAVAGE. (Journal cf mental
Science
, avril, 1883, p. 85.1 Les cas de perte de la mé
t. Il et III.) Il a adressé de plus quelques notes à l'Académie des
sciences
, au sujet de l'action physiologique du café, ét
e ce système -il l'état physiolo- gique. Dans l'état actuel de la
science
, l'étude de la nutrition du système nerveux ne
de biologie, p. Bti-1, 18S ! , et Comptes rendus de l'Académie des
sciences
, 28 janvier 18S4). .Mais l'étude de l'acide 1)t
re, jusqu'à la moelle lombaire Il n'existe pas, d'ailleurs, dans la
science
, de fait relatif à une dégénérescence isolée pr
US pourvus d'éducation ? par G.-E. SHUTTLKWORTH. (Journal Of mental
Science
, janvier 1884, p. 467.) L'auteur s'explique tou
vaient justement méritée. Ces cas se rencontrent chez des hommes de
science
, des litté- rateurs et des hommes politiques. D
les plus importantes; et les plus pratiques, de cette partie de la
science
, il a eu enfin la bonne idée de faire autograph
s, a été nommé directeur de cette institution. Institut royal des
sciences
de 1,01113AIIDIE. Le prix Fossiati vient d'être
as. 7'wo cases of izervestretching. (Thednzr.ric.Jouru. of lhe Med.
Sciences
, 1878, Jan.) 6 Czerny. Loc. cit. 7 Dup)ay. Bu
2 Compenad. de c/i'Kt'e. Bouchard, Dictionnaire. encyclopédique des
sciences
nzéd., t. Viii, lie partie. -Lidel. American Jour
ssion. Nous étudierons plus loin avec les données actuelles de la
science
, le rôle qu'on est autorisé à attribuer aux épa
de la moelle épinière doit être maintenue dans l'état actuel de la
science
; 2° Elle peut être l'origine de lésions inflam
ersonnes à coups de croissant à élaguer les arbres, et au nom de la
science
, fort de l'appui que lui apportât M. MervHIe, avo
ériaux à la société principale et construisissent les assises de la
science
, ainsi que le fonds de l'All- gemelize Zeitschr
e deviennent les statuts : 1" But. Imprimer à la psychiatrie et aux
sciences
adjuvantes un mou- vement de progrès. 2" Les me
Lucas était le frère de M. Charles Lucas, membre de l'Académie des
sciences
morales et politiques, bien connu par ses trava
ant Traité sur l'hérédité, qui obtint de l'Ins- titut (Académie des
sciences
) un prix de 2,000 fr., M. le D Prosper Lucas a
reconnu que la vivisection était nécessaire à l'avance- ment de la
science
médicale, il a toujours résisté aux protesta- t
de soixante-quinze ans. On lui doit, d'après The Journal of mental
science
, les travaux suivants : Ele- znents of rsycholo
e. M. Charcot, sur ce point comme sur tant d'autres, a rendu à la
science
un très grand service le jour où il a soumis à
Hystérie CHEZ l'homme; par FRANCIS-W. CLARK. (The journal of Mental
Science
, janvier 1888. L'auteur rappelle d'abord que le
xprimait en effet ainsi à la séance du 4 mai 1885 de la Société des
sciences
de Saxe : « L'examen de cerveaux de foetus de 2
langage réflexe ; par George M. ROf3EnTSON. (The Journal of Mental
Science
, avril 1888.) L'auteur conclut : 1° que des act
s aliénés; par Joseph \\' IGLESWOItTiI. (Tite Juu1'nul ut ¡JI cntat
Science
, janvier 1888.) · Ce mémoire se résume dans l
VAIRE du coté opposé ; par Wlllla111 DUDLEY. (TIL Journal of Mental
Science
, juillet 1886.) Ce cas est intéressant, parce q
ASCENDANTE DROITE ; par Joseph WIGLKSWORTH. (The Journal of Mental
Science
, avril 1886.) Nous traduisons presque entièreme
>;LQUES aliénés; par T. DwcAIV Greenless. (The Journal of Mental
Science
, jan- vier 1887.) L'auteur tire de ces recher
n cas DE démence primitive ; par J. STEWART. (The Journal of Mental
Science
, avril 1887.) L'observation du malade peut se r
III. Folie du doute; par P. J. KoWALEWaKY. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1887 et janvier 1888.) Des faits qu'il
typhoïde chez des aliénés par n. PERCY SMITH (The Journal uf Mental
Science
, avril 1S87.) L'auteur relate sommairement six
illité congénitale; par C.-S, - W. COBUÓLD. (The Jo1t1'nalof Mental
Science
, octobre 1886.) Dans le premier cas, il s'agit
aliénation mentale ; par William L. Ruxton. (The Journal of Mental
Science
, octobre lôi3li.) Il s'agit d'un homme de 4U an
E : par le Dr .\I¡;SCIl8DE, de Koenigsberg. (The Journal of Mental
Science
, avril \8$7.) L'auteur s'attache à démontrer qu
de folie DE l'adolescence ; par John KEA Y. (The Journal of Mental
Science
, avril 1888.) L'auteur a considéré ce cas comme
son de folie chronique : par Lloyd FRANCHIS. (The Journal of Mental
Science
, janvier 13S .) Dans ces deux cas, la maladie m
as DE folie morale Colin ; par M. CA112PELL. (The Journal of Mental
Science
, avril 'l881.) L'auteur résume dans les termes
erre Janet s'est en effet proposé de mettre à profit la méthode des
sciences
expérimentales pour étudier les formes élé- men
ignements professés dans les hôpitaux en vue du développement de la
science
et du soula- gement des malades, telle n'est pa
DE l'induction ; par le Rev. W. G. D.1VIES. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1887-avril 1888.) - Les travaux de phi
omitants. Si l'on résume les dix cas d'hétérotopic existant dans la
science
, et l'auteur l'a fait, on constate que, bien qu
du mois d'août 1889 à l'Association française pour l'avancement des
sciences
, comprenant vingt-cinq cas. Sou nouveau mémoire
RAPHIQUE. Année Médicale (L'), résumé des progrès réalisés dans les
sciences
médicales pendant l'année, publiée sous la dire
de Paris en 1889 à l'Association française pour l'a- vancement des
sciences
. Paris, 1890. Au Secrétariat de l'associa- tion
avail de l'auteur américain, paru dans l'American Jonrnal of medic.
Sciences
, 1887, p. 342. P. K. LVI. DES TROUBLES DE la VU
les du langage articulé. Ce livre est parfaitement au courant de la
science
actuelle. Georges GUINON. XX. Des troubles tr
IAPHIQUE. Année Médicale (L'), résumé des progrès réalisés dans les
sciences
médicales pendant l'année, publiée sous la dire
atiques qui sont en contradiction formelle avec l'état actuel de la
science
psychiatrique. Elle insiste sur la nécessité de l
éalable des méninges et surtout de la dure-mère. (Journal of Mental
Science
, 1888 ) 108 PHARMACOLOGIE. suffisamment encli
oi profonde inspirait aux hommes du moyen âge. L'intervention de la
science
aurait bien vite fait voir à celte foule scepti
engeur, elle ne demande qu'un Dieu de bouté et de justice, c'est la
science
qui le lui donnera. Camuset. IV. Les aliénés
SAVANTES. 139 sable ne donnent pas satisfaction aux exigences de la
science
, de l'expérience et de l'humanité. Les malade
s essentiels, dans ses discussions les plus actuelles, l'état de la
science
sur la maladie observée. C'est ainsi qu'il passe
lait la tendance à la pénétration de toutes les spécialités dans la
science
médicale. Cette tendance serait singulièrement
it vaine- ment d'aborder les redoutables problèmes réservés à votre
science
et à votre dévouement. Je n'ai garde d'oublier
s pour convaincre. Nous souhaitons avec lui que, pour le bien de la
science
et des malades, on arrive à resserrer partout,
la France et qu'elle évoque, jusque dans le domaine pacifique de la
science
, un passé qui n'est pas sans grandeur et un ave
2 SOCIÉTÉS SAVANTES.. en félicitons également au point de vue de la
science
et de l'avenir du Congrès. , Dans des réunion
re. Il est ainsi devenu un organe très important de dif- fusion des
sciences
psychiatriques et neurologiques. Créé en 1890,
nception très nette des conditions qui favorisent les progrès et la
science
, ses fondateurs et ses premiers adhérents ont'
raticiens distingués qui se sont acquis une juste notoriété dans la
science
des maladies men- tales et de la médecine légal
as et dont nous nous servons comme si elles étaient notre bien. Les
sciences
d'observa- tion progressent beaucoup plus par l
up plus par les emprunts qn'elles font ainsi de côté et d'autre aux
sciences
voisines que par les découvertes de leurs propr
l'examen. XIII. Rien n'établit que l'autorité administrative et la
science
médicale auxquelles cette loi attribue un rôle
ir de guérison, et qui seraient largement pourvus de tout ce que la
science
considère comme nécessaire au traitement curati
paralysie bulbaire inférieure fait de son cas un cas unique dans la
science
, il faudrait le dénommer polioencépha- lomé(ite
ublié par Archambault, en 1847, dans les Mémoires de la Société des
Sciences
de Nancy ; 2° L'asile de Maréville, son état sa
ne. M. Stéhelin adresse de cordiaux remerciements aux maîtres de la
science
qui font partie du congrès. Les applaudissement
lance, à l'administration sage et éclairée de notre directeur, à la
science
et au dévouement de nos médecins en chef. Certe
t éclairé de l'administration, par l'habileté professionnelle et la
science
de nos médecins, que nous poursui- vrons sans r
ervices. Aux médecins de soulager et guérir ; à nous, ignorants des
sciences
médicales, de rechercher les moyens d'assurer a
n, l'étendue de son érudition tant en psychiatrie pure que dans les
sciences
afférentes, les vues élevées et originales, toujo
me humaine : Iconographie de l'invisible fluidique. A l'heure où la
science
officielle, enfin ébranlée par les affirma- tio
6. T7zeLazxcet. BOUVÉRY (J.). Le spiritisme et l'anarchie devant la
science
et la philosophie. Volume in-8° de 16 pages. Pa
lement disparait avec eux. L'auteur rappelle les cas connus dans la
science
ayant avec le cas actuel plus ou moins d'analog
nos jours à la graphologie l'honneur de l'élever à la hauteur d'une
science
, il n'est pas sans intérêt de signaler une part
xamen cri- tique des principales propositions qui ont cours dans la
science
, sur ce sujet; et pourtant, encore une fois, le
, le passé et l'avenir, par le moyen du sommeil hyp- notique et des
sciences
occultes, par les cartes et les lignes de la mam,
s astrologiques suivant les méthodes assyriennes et clial- déennes.
Science
divinatoire parles tarots des Gypsies. Miroir mag
t se présenter devant elle, c'est parce qu'on le raccommode par une
science
impossible et on recommence dès qu'il est sorti
es faits expérimentaux et doit être rejetée. En l'état actuel de la
science
, on ne peut non plus admettre l'hypo- thèse sou
soin. En Angleterre, notamment, J. Kean (in the Jour- nal of mental
science
) a observé 38 cas de fièvre typhoïde. Il oppose
a syphilis et du tabès, l'auteur professe qu'en l'état actuel de la
science
la meilleure explication est la suivante : le t
des malades, pour l'édification du public, pour les progrès de la
science
et l'instruction des étudiants, il faut espérer q
e l'abattoir, Armand Porrot, président de la Société drs lettres,
sciences
et arts d'Angers, la plupart des membres du corps
quels vous allez vous livrer, marqueront une étape nouvelle dans la
science
médi- cale et, d'avance, nous escomptons le gra
ue vos travaux inspirent, toute l'estime qu'on a pour des hommes de
science
venus ici de tous les points de la France, pour
tout aussi profonde, je dirai à mon-tour que ces deux branches des
sciences
médicales se complètent l'une et l'autre, et qu'a
réparé un énergique mouvement de rénovation scientifique dont les
sciences
dites sociales ont à leur tour largement à profit
cusés que le sont eu pathologie les types'mor- bides. Seulement, la
science
était toute nouvelle, elle eut à ses dé- buts d
tuel et en particulier au point de vue des progrès accomplis par la
science
neurologique. Après ces discours .qui ont été t
1877), Bail et Ritti (1882) dans le dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales et enfin Verneuil (1883), dans ses Mé
aître éminent qui vient présider vos travaux, l'académicien dont la
science
fait autorité, celte légion de savants qu'il mè
s'unir à nous pour procla- mer fièrement notre devise : « Par la
science
, par la charité, pour les malheureux ! » Après
xamen clinique; il se ferait ainsi un peu de décentralisation de la
science
psychiatrique qui ne res- terait pas comme aujo
sie. M. BOURNEVILLE, après avoir rappelé que dans l'intérêt de la
science
, les chirurgiens qui pratiquent la trépanation da
que cette dernière partie : c'est un peu maigre pour des hommes de
science
, pour des médecins'. '. Séance du vendredi 5
acé avec avantage par la machine. Vous avez vu les pro- duits de la
science
mécanique; ce sont nos derniers perfectionne- m
usieurs fois séculaire, et la faire béné- ficier des progrès de [la
science
moderne. Nous avons été émer- veillés et ravis.
'article : «Paralysie générale » du Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médi- cales, la sensibilité peut être lésée dan
t là les éléments fondamentaux qui font la base documentaire^ de la
science
statistique, ils ont été réunis, collationnés,
utre part, ont rendu un service incalculable à l'avance- ment de la
science
; tous ceux qui ont eu à s'occuper de questions
Henry Thomas Buckle qui qualifie la statistique de « branche de la
science
, qui bien qu'encore dans son enfance, a déjà ré
andu plus de clarté sur l'étude de la nature humaine que toutes les
sciences
réunies ». Dr J. SIBBALD. REVUE DE PATHOLOGIE N
r conclut, d'une façon catégorique, que, dans l'état actuel de la
science
, il n'y a pas d'atrophie musculaire progressive d
u'il rencontre. La psychiatrie comprend tout ce que l'on sait de la
science
de l'esprit, eu y comprenant les études psychol
tterie (productrice d'énergie), doit être écartée. Sur ces bases la
science
doit progresser et les recherches anatomo-patho-
lyser les faits et les questions concernant ces deux branches de la
science
médicale étroitement comprises. M. Sikorsky pen
r domaine ont permis d'introduire des notions plus exactes dans les
sciences
connexes : l'anthropologie, la psycho- patholog
uisant de réunir dans cette publica- tion toules les branches de la
science
si étroitement liées les unes aux autres, et, p
mais sont- elles la «vérité scientifique», comme il le dit ? Si la
science
n'explique pas le sentiment de la responsabilit
ns la constitution du centre ovale de Vieussens. Les données que la
science
possède à ce sujet sont fort restreintes. Elles
de traiter une semblable question. Elle intéresse les progrès de la
science
plus qu'on ne pour- rait le supposer au premier
ans l'arthropathie des ataxiques. (Comptes rendus de l'Académie des
sciences
, 18 9.1 3 R. Blanchard. - Société de biologie,
ques peuvent entraîner les meilleurs esprits, et combien, dans les
sciences
d'observation, il peut être difficile de rester s
s exemples de cette influence sont innom- brables et connus dans la
science
depuis longtemps. Ce sujet est amplement traité
le place occupe actuel- 8 il le REVUE CRITIQUE. lement, dans la
science
, la question des aesthésiogènes, quels résultat
uKE (H.). Dletalloscopj aazd expectant attention. (Journ. of mental
science
, 1879). Influence of the mind on the body. London
ntagion DES illusions ; par GEO.-H. SAVAGE. (Ilte journal of mental
science
, n° de janvier 1881, p. 563.) Le plus habituell
riété de l'Association, qui se chargera de le publier. Académie DES
sciences
, arts ET BELLES-LETTRES DE CAEN.FfM ? Cette Aca
résumées (voy. art. Cerveau, par Ber- ger, in Dict. encyclopéd. des
Sciences
médicales) et à la traduction française de Hugu
ie, 1879).- 2° Des naatiè- res à inclusion en histologie (Revue des
sciences
naturelles; Montpellier, 1879). 3° De quelques
ne longue pratique, Duchenne (de Bou- logne) possédait à fond cette
science
de localiser exac- tement l'action électrique s
ao-pathol. 1880.), , , , Pour le Dr Schulz, il n'existerait dans la
science
qu'un seul fait de sclérosé latérale'primitive
e le médecin à l'administrateur, et, fait passer les intérêts de la
science
après les besoins maté- riels du service. , . ,
lésions DE l'oreille ; par,B. Baginsky. {Séance de l'Académie- des
sciences
de . Berlaa, du 13 janvier 1881.)' w *> -^ -
· L'ALC00L ; i par ,9 ! F»PRITCHARD Daviers. (The journal of mental
science
,^ janvier. - '11881,-P.; 526.)-til;ff, Et 9h P9
ur scientifique, cette méthode exacte sans laquelle il n'y a pas de
science
. ? Attiré alors vers l'étude de la médecine, il s
ble ferveur ; mais non sans garder encore quelques attaches avec la
science
qu'il avait aimée la première. Reçu externe des
me tous ceux qui savent vraiment bien, il excellait à vulgariser la
science
; ayant depuis' longtemps souhaité et prévu la
es, les seules à nos yeux vraiment grandes et vraiment saintes : la
science
, l'humanité, le progrès. 3,1 r ' ., ? > e -
nographie de la Salpêtrière, année 1894, p. 136. Revue générale des
sciences
pures et appliquées, année 1895, p. 33;i. Physiol
tion de la radiographie à l'étude d'un cas de 1nyxoedème. Acad. des
sciences
, 21 mars 189S. . 140 HENRY MEIGE . . minusc
tique ; où l3ouchut (2), où d'Espine et Picot (3) gardaient la même
science
; où Roger (4) disait « n'avoir jamais constaté
des nerfs sur la nutrition des os. Comptes rendus de l'Académie des
sciences
, 1854, t. 38. nÉMIHYPERTIlOPIIIE FACIALE 367
ce des nerfs sur la nutrition des os. Comptes rendus de l'Acad. des
sciences
, 1834, t. 38. Steffen. - AtigeboT2ne Ilypel't1'
eaux horizons scientifiques. Tous les peuples, qui ont le culte de la
science
, ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT
nt l'oeuvre de leur maître, qu'ils s'inspirent de son amour pour la
science
et pour ceux qui la cultivent, que son fils, en q
t leur rappelle les ambitions de Charcot : Elargir le domaine de la
science
, en livrer la culture à des mains françaises. J
eur Maître ils soutiendront, au grand profit de la Faculté et de la
science
française, la glorieuse réputation de l'Ecole de
ar ses disci- ples et par les représentants les plus éminents de la
science
française. Il ne m'appartient pas de vous expos
sté. Elever un monument à Charcot, c'est célébrer le triomphe de la
science
et de la philosophie sur la superstition, de la
omphe de la science et de la philosophie sur la superstition, de la
science
qui seule peut satisfaire le plus impérieux bes
alement décrite, dans toutes ses manifestations, par Charcot. Si la
science
ne' nous a pas encore, sur ce point, donné la vér
aura disparu comme la croyance à la magie et à la sorcellerie. La
science
positive et expérimentale, en donnant à l'homme l
me. - Ce n'est pas d'un rai- sonnement, mais de tout l'ensemble des
sciences
modernes, que sortira cet immense résultat. I
grand édifice; son oeuvre entrera comme un élément capital dans la
science
de l'avenir. Il eût pu aller plus loin, s'il s'
me la solution définitive. Charcot eut cette vertu. Les héros de la
science
sont ceux qui, capables des vues les plus élevé
e de 1789. Le siècle qui maintenant s'achève aura été celui de la
science
, dont l'essor prodigieux déconcerte ceux qui on
lite intrépide et hère qui vient se ran- ger sous la bannière de la
science
, il y a le sel'VU1n peclls de la tradition su-
ensent, de tous ceux qui s'in- téressent, de près ou de loin, il la
science
biologique et à l'art de guérir. L'aeu- vre de
mys- tification et du charlatanisme avaient rendu inaccessible à la
science
. A de rares exceptions près, ceux qui prétendai
s. Faut-il s'étonner, dès lors, qu'aux yeux des représentants de la
science
officielle, s'intéresser il ce qui tou- chait,
mment, à travers les chemins frayés par un investigateur génial, la
science
a pris possession d'un domaine où, depuis si long
entrait en 1872 à la Faculté de Médecine comme professeur de cette
science
et il a illustré pendant dix ans la chaire d'anat
ractéristique de sa doctrine. Et c'est par là qu'il fit franchir la
science
médicale une étape décisive. Lorsque des hommes s
on nous a paru intéressante il publier. En effet, si l'on a dans la
science
un assez grand nombre d'observations dans lesquel
énistes et Neurologistes d'Angers dan Congrès pour l'avancement des
Sciences
de Nantes au mois d'août dernier. Théoriquement
témoignage si naturel de vénération filiale. Comme son oeuvre de
science
, l'oeuvre iconographique de Charcot ne doit-ell
ridiques horreurs à ce canon de la Beauté huniaine dont l'Art et la
Science
étaient déjà dotés. La ne se bornent pas les bi
la Salpèll'ii'l'c une el11ol'l\- cence artistique qui jetait sur la
science
un lustre inusité. Si l'influence qu'oui exercé
siècle, qui souvent délaissaient leurs pin- ceaux pour s'occuper de
sciences
abstraites, Charcol trouvait dans l'Art une div
s tabes en général. 1 Association française pour l'avancement des
sciences
. Congr. de Gre- noble, 1885. ! Remarques sur le
particulière est im- portante, non seulement au point de vue de la
science
nosologique, mais encore au point de vue de la
? Les recherches d'Adamkiewicz sur la pression cérébrale (Acad. des
sciences
de Berlin, t. LXXXV111, III. Oct. 1883) permett
nt par L'ÉLEC- TRICITÉ; par ALEX. ROBERTSON. (The Journal of Mental
Science
, avril 1884.) Ce cas est celui d'une femme de
oolisme chronique; par BONVILLE BRADLEY Fox. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1884.) Les conclusions de ce mémoire s
cas DE folie circulaire; par HERBERT PACKFR. (The Journal of Mental
Science
, avril 1884.) Il s'agit d'une femme de soixante
ns cérébrales ordinaires; par le Dr GASQUET. (The Journal of Mental
Science
, avril 1884.) C'est moins pour en tirer des c
garçon DE treize ANS; par S.-A.-K. Strahan. (The Journal of Mental
Science
, juill. 1884.) Cette observation est surtout in
de la MOELL1 : épinière ; par G.-H. Savage.' (The Journal of Mental
Science
, avril 1884.) L'auteur rapporte cinq observatio
dans LES asiles d'aliénés; par D. HACK TUEE, (The Journal of Mental
Science
, janvier 1385.) L'auteur a fait, auprès des m
E SUR LES MALADES DES ASILES par C.4MPBELL. (The JOUI nal of Mental
Science
, juillet 188r.) Après avoir étudié les évasions
s inattendues : deux cas ; par le U Willeit. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1 R8 L) Le premier cas est celui d'un
chez DES jumeaux; par T.-VV. Ai4E DONALL. (The Journal of Mental
Science
, Juillet 4884.) Observation détaillée de deux j
P.ICÜYMÉNINGIT1 : : par <'h0 H. Sauvage. (The Journal of Mental
Science
, Juillet 1884.) L'observation peut se résumer a
UE ASSOCIÉE A LA FOLIE ; par W. BEVAN LEWIS. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1884.) Les réflexions dont l'auteur fa
causes DE la folie; par Herbert C. Major. (The Journal of Mental
Science
, avril 1884.) Cette enquête annuelle a commencé
émisphère cérébral GAUCHE; par Arthur RANNIE. (The Joumal of Mental
Science
, avril 1884.) Voici les points les plus saillan
cas DE folie impulsive; par Richard UREESE. (The Journal of Mental
Science
, octobre 1883.) Le cas rapporté par M. Greene n
rs et les infirmières qui forment l'auditoire. z (Journal of mental
science
, 1886.) CÉRÉMONIE POUR LA CURE DES ÉPILEPSIES L
c cretinism with an account of the Autopsie (rite Journal of mental
Science
, vol. XXII, 18 îG, p. 2f1). l'rg. 6. il ? C
tous les faits que l'on peut observer en médecineet dans les autres
sciences
. La première fois qu'on a l'at- tention dirigée
, le 22 avril 1882. Son dossier ne contenant d'autres 1 Journal des
sciences
médicales de Lille, 1853, 5 et 20 décembre. 324
notes originales et il l'a mis, si l'on peut dire, au courant de la
science
par les indications bibliogra- phiques et le ré
lo et Santi-Sirena. -Sulle faite del midollo spinale. Gio1'7zale di
science
naturali ed economiche. Vol. XI. 1875. - Estratto
éorie extrêmement plo- bable. L'année dernière le Journal of mental
science
a tenté d'ex- pliquer la mélancolie par la théo
crime ET LES CRIMINELS; par Henry MaUDSLEY. (The Journal on mental
Science
, juillet 1888.) L'auteur estime que, dans l'i
ulement en vue du traitement, mais en vue de l'avance- « ment de la
science
et de l'amélioration du sort de l'homme; « nous
L'ÉPILEPSIE avec LE CRIME; par John BAKER. (The Journal of Mental
Science
, juillet 1888.) Les recherches de l'auteur port
ation française de tout ce qu'elle fait pour les aliénés et pour la
science
mentale. M. Rebatel répond au nom du conseil
s à la Salpêtrière par le docteur Charcot et d'autres princes de la
science
. 11 n'y avait souvent dans ces sortes de « numéro
roduire quand, au lieu d'aller à l'encontre des enseignements de la
science
, les journaux politiques combat- tront les préj
dans le diabète sucre. (Association française pour l'avancement des
sciences
. Congrès de Blois, 188 r. ) ' Rosenstein. Web
entre elles qu'un seul symptôme remarquable. ? , . L'histoire des
sciences
médicales nous enseigne que, selon leur progrès
ne tardera pas à disparaître. Elle n'a aucune raison d'être dans la
science
exacte. 386 CLINIQUE NERVEUSE. INDEX BIBLIOGR
e- ment. Il ne lisait pas de romans, mais seulement.des livres de
science
. C'est un mois après la seconde peur, à treize
on de la force centrifuge. Conclusions : Dans l'état actuel de la
science
, la paralysie générale a pour substratum primit
i ont inventé les asiles-casernes, aussi fatals aux aliénés qu'à la
science
, car il est à remarquer que la production scien
la réunion, n'empêche qu'elle ne soit nuisible aux malades et à la
science
. Seulement, il résulte des critiques de mes tro
couvrirait certainement des choses nouvelles dont il enrichirait la
science
. Relativement à l'internat par lequel devraient
, se contenter, d'après lui, de la seule satisfaction d'enrichir la
science
de données nou- velles est la caractéristique d
meilleurs moyens à employer est de distinguer nettement l'homme de
science
de la machine à certificats. Je résumerai dan
ils servent ordi- nairement à fausser l'esprit des lecteurs sur la
science
qu'ils pré- tendent vulgariser. Le premier ch
ion. L'auteur semble du reste peu au courant de l'état actuel de la
science
si on en juge par le chapitre des tics où il co
ort, car sa monographie claire, méthodique et mise au courant de la
science
, aurait certainement gagné il ,être écrite dans
ESSIONS ET L'IDIOTIE. M. Galton a publié dans le Journal of Mentale
Science
une étude sur la natalité des membres de quelqu
s statistiques nous paraissent être trom- peuses et contraires à la
science
au dernier degré. D'abord le terme éminent a un
ritish Médical Journal, 13 septembre 1890 et The Journal of àlental
Science
, octobre 1890, p. 592. FAITS DIVERS Asiles d'
HACK TUlOE. PI'ichU1'd and Symonds in especial relation to Mental
Science
, with chapters on Moral insanity. Volume in-8° ca
. London, 1891. J. et A. Churchill. Annual of the Universal médical
sciences
. 1891, 6 volumes in-8° carton- nés. - London 18
n certain point. Elle est néanmoins nécessaire pour faire oeuvre de
science
et de classification, et relativement juste si, n
un stade évolutif. En médecine, comme dans toute autre branche des
sciences
biologiques, si l'on veut établir une bonne cla
ritique. (2) CABLER, Essai expérimental sur la locomotion, Ann. des
sciences
naturelles, 1872j t. 51 série. 52 LAMY P. R
1) Giraud-Teulon, Traité de mécanique animale. (2) CARLET, Ann. des
sciences
naturelles, 1872, loc. cit., p. 64. (3) P. Rich
ILIPI'SON, Contribution à l'étude des réflexes locomoteurs. Acad. des
sciences
, 5 janvier 1903. 60 LAMY difficile qu'à la
de nos malades, que M. le Dr Louïse, pro- fesseur à la Faculté des
sciences
de Caen, a bien voulu nous communiquer, vient d
cette hypothèse explique pres- (1) Packard, Americanjourn. of med.
sciences
, 1892. (2) Waddell, Lancet, 1893, I, p. 921.
faire une localisation pathogénique, que nous aurons fait oeuvre de
science
, et pas seulement d'empirisme. Etant donné qu'a
e 1889. 4. OsLBn. - Hered. anginoeurotic oed. Amer. Journ. of. med.
sciences
, Bd. 95, 1888, p. 362. 5. Rigochon. Semaine M
e Neurologie, XIX, 1895. 44. SOLIS-COHEN. - Americ. Journ. of. med.
Sciences
, 1894, vol. 107, p. 130. 45. FÉHE. Traité de Mé
02, p. 1319. 105. Coi.nss. Angioneurotic md., Amer. Journ. of. med.
sciences
, 1892. Bd. 104, p. 654. 106. Millard. Thèse d
ccasion de ces deux nouvelles obser- vations, de rechercher dans la
science
quels ont été les cas d'aplasie cla- viculaire
e FOETALE) par ÉTIENNE RABAUD Docteur en médecine et docteur ès
sciences
. SOMMAIRE Préliminaires. L'évolution des idée
) A. DUPLAY. Article Anencéphalien du Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales, 1876. 352 RABAUD D'une façon gén
STE, Mémoire sur un chat ileadelphe à tête monstrueuse. Annales des
sciences
naturelles, t. XVIII, 1852, p. 81. (2) Cité d'a
ur., 1904. NAEF. - Thèse Zurich, 1885. NEWMARK. - Amer. Journ. of
Sciences
, 1893. NONNE. - Arch. f. Psych., 1891, XXII.
n de femme boschi- manne (V. la photographie). On connaît dans la
science
, trois cas de myopathie, avec une lordose aussi
sie périostale ou le rachitisme, en attendant que les progrès de la
science
permettent peut- être quelque jour d'établir un
se nous semble pourtant la plus convenable dans l'état actuel de la
science
. Ce travail était terminé et prêt à être envoyé
n chez l'homme et les modifications qu'elle apporte. Aca- démie des
sciences
, 8 juin 1903. 34. Richon et jEANDELixE. Remarqu
celles qui sont fondées réellement sur les données acquises par la
science
biologique, peuvent être classées de la façon s
. Voyons rapidement les idées dominantes et les faits acquis par la
science
à propos des anomalies que présente notre su- j
teurs ont clas- sé d'une façon parfaite tous les cas connus dans la
science
, selon le nombre des doigts. Il est très import
ia, 1900, mars. 14. BABÈS. - Anomalie cong. de la tête... Acad. des
sciences
de Paris, 25-1-04. 15. BisCHOFF. Article « 1111
901, mars. 24. CHARRIN ET Le PLAY. - Sur le rachit. foet. Acad. des
sciences
de Paris, 23-1-05. 25. REnAN. - Histoire du peu
le d'Israel, t. II, p. 23. 26. MOIIA11D. Histoire de l'Académie des
sciences
, 1710, p. 66. 27. MERKBL. Ra&MC/M Pat. Anat
333. 29. W. Gruber. Sur la Polydactylie. Bullet. de l'Acad. Imp. d.
sciences
de St- Pétersbourg, t. XV, p. 352 et 312, 1871.
ne 13, u 26, S. 679. 66. Yooxc. - The Americ. Journ, of the medic.
Sciences
, 1888, vol. 95, p. 145. 67. LANNOIS ET Kuss. -
et Annali di Neurologia, 1898). (2) LANNOIS et G. LÉvy, Société des
Sciences
Médicales, 1899 et Province Médicale, 1900. (
(suite) par ÉTIENNE RABAUD Docteur en médecine et docteur ès
sciences
. CHAPITRE III Répercussion de la méningite su
rva sunt... A dater de sa conversion, Pantaléon semble dédaigner la
science
incer- taine ; il n'opère plus que par miracles
les processus. D'autre part,dans le Dictionnaire Encyclopédique des
Sciences
médicales on trouve que le système nerveux cent
de la morphologie des tissus ; (1) Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales. (2) Paris, 1892. (3) Paris, 1893.
S. - Tout d'abord, et d'après notre ancien maître de la Faculté des
sciences
de Besançon, M. le professeur Charbon- nel-Sall
te et fin) par ETIENNE RABAUD Docteur en médecine et docteur ès
sciences
. IV. LE SYSTÈME NERVEUX ET LA NUTRITION GÉNÉRAL
stérieurs et de la queue en l'absence du système nerveux (Acad. des
sciences
, 9 nov. 1903). 2° Sur la régénération des membr
que l'inflamma- (1) VIANNA1', Monstre pseudencéphalien. Société des
sciences
médicales de Lyon, janvier 1902. (2) Op. cit.
S. DUPLAY. - Article Anencéphalie du Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médi- cales, 1876. G. DuRAKTE. Hydrocéphalie
o, Mech., XII, 1900. VtANKAY. Monstre pseudencéphalien. Société des
Sciences
médicales de Lyon, 1902. Louis V1DAL. - Un cas
'anévrysmes miliaires dans la pie-mère 1. Obs. lue à la Société des
sciences
médicales de Lyon par M. Rebate!, interne des hôp
laquelle il ne peut y avoir de doute. Aujourd'hui, il existe dans la
science
un si grand nombre d'observations d'aphasie liée
ns appeler de nouveau l'attention sur ces récentes acquisitions de la
science
, à l'occasion d'un fait que nous venons d'observe
. Pour compléter cet aperçu historique des documents que possède la
science
concernant l'hémorrhagie méningée considérée dans
servation recueillie par M. Viguès. 2. American Journal of the med.
Science
, vol. in-8", p. 55. 3. B. Bail. — Du rhumatisme
de montrer qu'elle ne peut recevoir encore, dans l'état actuel de la
science
, une solution entièrement satisfaisante. L'anal
loyer comme synonyme de métallothérapie. Cependant, il existe dans la
science
quelques faits antérieurs d'application des métau
e de résoudre le problème. Mais quels que soient les desiderata de la
science
à ce sujet, l'observateur enregistre les faits bi
s remonter jusqu'à Pline-le-Jeune, on rencontre dans l'histoire de la
science
deux hommes qui parlent de la puissance des aiman
première partie cle ce travail (p. 297-304) a été lue à. YAcad. (tes
Sciences
(13 i'cv. 1882) et publiée dans le Progrès médica
ar une longue pratique, Duchenne (de Boulogne) possédait à fond cette
science
de localiser exactement l'action électrique sur
un de nous l'a montré dans une récente communication à l'Académie des
sciences
, présentent Chaucot; Œuv. compl. t. ix, Hypnoti
ication particulière de cette grande loi, si féconde pour l'étude des
sciences
naturelles en général, et qui veut que l'on s'att
lée des trois états nerveux. Voy. Charcot : Note lue à l'Académie des
sciences
, séance du 13 février 1882, publiée dans le Progr
hystériques ; c'est du reste un fait acquis depuis quelque temps à la
science
. Mais il reste beaucoup à faire pour réglementer
ment en Italie soient au plus vite adoptées en France. Au nom de la
science
et de l'art, la médecine a enfin clans ces dernie
liers de M. Andriveau, qui a apporté dans sa construction beaucoup de
science
et de zèle. Je vais faire passer devant vos yeu
her et Gilles de la Tonrettc dans le Dictionnaire encyclopédique, des
Sciences
médicales, lateur, le tremblement du membre et
cot appelle le Grand hypnotisme. 1. Comptes rendus de VAcadémie des
sciences
, 1882; M. Charcot, dans sa description, a laiss
poussé par les savants, d'entrer définitivement dans le domaine de la
science
. M. Bernheim ne conteste pas non plus l'existence
n Italie avant tout par M. Tamburini, est entré dans le domaine de la
science
. En compagnie du Dr Vizzioli, j'ai observé un cas
-sophiquement établie, ne sépare ce domaine des autres par-lies de la
science
biologique, que l'étude de la lésion organique en
ne l'ignore pas, d'une anatomic pathologique idéale, constituant une
science
à part, qui doit « trouver en elle-même une métho
de la lésion morte. Dans la situation 1 Laënnec. — Dictionnaire des
sciences
médicales, t. II, p. 50, 1812. qui lui serait a
côté des Vosges, s'écriait tout récemment: L'universalité de notre
science
s'en va, hélas ! se dissolvant chaque jour ; elle
, 1815. — Chaix, thèse de Paris, 1819. Pinel et Bricheteau, Diet, des
sciences
mé liçales, 1820. — Laënnec, Auscult., 2« édit.,
e travail intitulé: Cirrhosis of the Lung. (Dublin journal of médical
science
. Dublin, 1838, t. XIII). Il faut signaler aussi
ut dire que c'est dans le cours des dernières années seulement que la
science
s'est enrichie à cet égard de données vraiment pr
spécifiques de propagation. — C'est un fait ac-quis aujourd'hui à la
science
que la matière tuberculeuse, ar-rivée à la périod
tzbourg). Cependant les observations bien authentiques que possède la
science
sur cette intéressante affection sont encore peu
us paraît être encore à peu près im-possible dans l'état actuel de la
science
. Voici d'abord notre observation : Obs. I. —Phl
uste, cependant, de remarquer qu'il n'existe probablement pas dans la
science
une seule observa-tion qui l'infirme d'une manièr
ttre, est longtemps restée un fait presque complètement isolé dans la
science
: il s'agissait d'un homme qui mourut subitement
rne et moyenne de ce vaisseau. 1 Du Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales. Il n'existait dans ce cas, aucune ro
atomiques imprimait des pro-grès si rapides à toutes les branches des
sciences
médicales. On attribue à Fernel le mérite d'avoir
équences à cet égard, qui marque le pro-grès le plus important que la
science
ait réalisé dans cette voie. Nous possédons aujou
tention de quelques praticiens éminents, surtout en Angleterre, et la
science
du diagnostic a réalisé de nouveaux progrès sous
r le moment, de faire observer 1 Du Dictionnaire encyclopédique des
sciences
médicales. que les parois artérielles, môme dan
et du volume énorme du vaisseau malade : cependant, il existe dans la
science
quelques cas d'oblitération spontanée des ané-vri
omistes que l'aorte naissait quelquefois de l'artère pulmonaire. La
science
possède aujourd'hui 55 observations de rétrécis-s
les gros vais-seaux. Un des monuments les plus curieux que possède la
science
à cet égard, est l'opuscule de Knips Macoppe, qui
ent en général à la marche envahissante des tumeurs malignes; mais la
science
en possède incontestablement des exemples, et, da
é déjà tracée à l'article Abdomen (t. I du Dictionnaire encyclop. des
sciences
méd., p. 136), nous terminerons ici Y étude des m
avec M. le Dr Ball, est extrait du Dictio?i-naire encyclopédique des
science
médicales. VII. Sur la claudication intermitt
x-quelles l'auteur est arrivé ne sont certes pas le dernier mot de la
science
; mais elles pourront tout au moins, nous l'espér
ne croyons pas que ce travail soit appelé à fixer défi-nitivement la
science
, relativement à la pathogénie del'infarctuà hémop
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