/ 193
1 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
et pleins de fiel. KÂveo cette précaution, le magnétisme, devant la science , aura immensément gagné par la retraite de ses pa
epoussé, avait pris l’habitude de se tenir comme en dehors des autres sciences , et, affectant des allures mystérieuses, semblait
t des allures mystérieuses, semblait se réfugier dans l'obscurité des sciences occultes, ce microcosme v& prendre dans les s
bscurité des sciences occultes, ce microcosme v& prendre dans les sciences le rang qui lui appartient, constituer une branch
toute neuve, vient de rendre compte officiellement à l’Acadéinle (les sciences d’une opération pendant l’insensibilité magnétiqu
cles, Vidée du magnétisrtifeét^trestéèen--rouîë dànà les ténèbres des sciences occultes, ôJjpl’lDiéë par les erreurs de la super
à la terre promise, e’est-îk-dire pour lui faire prendre rang dans la science . Vous rassemblez ce peuple autour de vous, et vou
i' un joui' tout nouveau sur le i>eu de valeui' de leui' prétendue science . On peut dire à tous : Vous vousvantez de vos a
science. On peut dire à tous : Vous vousvantez de vos arts, de vos sciences , de vutre philosophie, de votre religion, vous in
, le casse-tête et le couteau du sauvage. II faut que le niveau des sciences morales soit descendu bien bas pour que de nos jo
c ose parler des sommités médicales de nos jours, de ces princes delà science moderne? Tous ces bâtards d'Es-culape ne comprenn
onstants, la peur les saisirait, et riicliafaudage de cette prétendue science s’écroulerait à l’instant. Ai'rètons-iious ici.
illeurs, je suis moins malheureux que tous ces grands seigneurs de la science officielle; quoique non enru-bané, mes sens ont é
spiritistes, les tabulisles et les mé-üîanimites, et le Moniteur des sciences médicales et pharmaceutiques devra, par conlre-co
epsie et d’anesthésie du docteur Broca, communiquées à l’Académie des sciences par le docteur Velpeau et qui occupent en ce mome
ais il se promet bien de ne plus risquer une expérience, avant que la science n’ait dit son dernier mot, Il Qu’on se figure,
tenir de grands résultats en appelant â l'aide du magnétisme la belle science que Gall et Spurzheim nous ont léguée, je me mis
gie et ne laisse cependant pas que de réussir, pourquoi appeler cette science et l’aid^du magnétisme, lorsque celui-ci, seul, a
nt tout ,ce qui. lui.ppiaissait propre à f?^vori8er lté progrès de la science . Sa loyauié, sa franciiisé, ses ëxcellërt-tes qua
démarche, répondre aux niagnétistes qui pensaient que l'avenir de la science magnétique me touchait fort peu. Je n’attendais p
n loin derrière lui l’électricié et le galvanisme ; comme principe de science morale, nos connaissances actuelles n’ont rien de
otre oncle, de glorieuse mémoire, sur celle de la vapeur. oSiRE, la science de nos jours s’est faite industvie. Imprimez-lui
erment qu'tmepe-tite partie de ce que j’ai fait pour l'avancement des sciences . Je n’ai jamais sollicité d’aucun pouvoir la moin
ences tirées des phénomènes nouveaux. S'ils sont vrais, il y a là une science nouvelle, une croyance au spiritualisme susceptib
s souvent intervenir moi-même là où l’explication me manque, là où la science me fail défaut. Est-ce à dire que la bonté de D
. Ils redoutent d’ouvrir trop largement la carrière aux partisans des sciences occultes, et de fournir un aliment nouveau à îa p
osée, et, puisque le public en a été saisi, on doit au public et à la science de ne pas abandonner un problème si intéressant à
liative qu’elle avait su prendre ici. D’un autre côté, l’Académie des sciences est restée muette, depuis un mois, sur ce même su
omettre aucun intérêt, et ne saurait tourner qu'à Tavant^e commun des sciences , de la morale et de la philosophie. Mais les ac
e tout k fait des obiiesseurs niagDôliques. 11 est important que la science rcchcrclic ce qu’il peut y avoir de vrai dans ces
e rattache au ma- gnétisme dont il était adversaire déclaré, et au* sciences occultes dont il passait pour ne pas faire grand
s recherches que nous avons intention d'utiliser dans l’intérêt de la science . A. S. Moni». L’article de M. Morin que nous
NOTIGE SUR VALENTIN GREATRAKES. Tandis que nos princes de la science s’amusent aux baga-telks dé la porte et se montre
nstant. Ici, c’est bien évidemment la nature qui guérit le malade, la science du magnétiste y est pour peu de chose, c’est le p
MADAME B’**. ■.Vous me demandez, Madame, des renseignements sur une science dont le nom, passablement étrange, Xhypnotisme, e
tisme, est arrivé jusqu’à votre oreille. L’hypnotisme n'est point une science , comme vous paraissez le croire ; c’est tout simp
s plus réputùs, M. Velpeau, est venu proclamer en pleine Académie des sciences la possiWIilé !e produire chez l'honnue un étal d
ifs que j’aurai l’honneur de vous exposer dans une antre lettre. La science a constató que, dans riiypnotiame, la sensibilité
décembre dernier, M. Velpeau est venu exposer devant l’Acadétnie des sciences les résultats de l'hypnotisme. Cl Les médecins
onnaître sommairement la série d’ÎDcidents & la suite desquels la science officielle, qui depuis un siècle avait constammen
e la déraison poussée à sa plusliauie puissance? Mallieureuso-ment la science , trop souvent, ne se borne pas à douter des faits
s faits dont l'explication absolue et complèle peut être donnée parla science , il y aurait ken jîeu de vérités admissibles ; ca
és admissibles ; car pai'uii les faits les pliis simples, ceux que la science humaine explique couiplétemént sé réduisent k bie
nière la plus sérieuse l'atteution et les études des vrais amis de la science . « Non, je ne crois pas au surnaturel ; seuleme
es de leu'r imàginàlioii éiallé'è. d'iiütres.unpeu plus amateurs de sciences physiques, IjÜi ont, sinon des connaissances soli
s que subversive de tous les principes admis par tous les liomnies de science . D'autres, ayant réellement des connaissances s
La source ¡Dcertaine à laquelle ils ont copieusemeat puisé toute leur science , et qui fait, à juste litre, toute leur gloire, n
ui, nous étions dans l’erreur; nous marchions dans les ténèbres ; une science nouvelle va dorénavant guider nos pas chancelants
examen, ce qu’elles ne peuvent comprendre. Tout dans le domaine de la science n’a-t-il pas paru impossible au com-mencemenl? Le
i pénètre dans le monde. Voulant sans doute imiter les sommités de la science , ils jappent contre les novateurs. Jamais leurs m
rien ? Quel mal, à la (in, peuvent vous faire les apôtres de cette science nouvelle qui vous effraye tant, et contre laquell
cornpte du basard. Personne ne le peut sans doute, car quelle est la science qui peut noua initier dans tant de mystères, si c
ssus de nos lêtes, leur paraissent des chimères, par cela sml que ces sciences dépa-ssont la portée de loijr intelligence. Les m
la matière seiih' existe , et (fue ce serait une folie dc prôner une science qui s’occupe de choses aussi al>surdcs et auss
e plus hautes destinées. Tout concourt à prouver aujourd’hui que la science magnétique n’est point une chimère. Ne prononçons
es armes, mais p^r J’iptelljgencc, ^profondis-sait mieux que nous les sciences et les arts. Les étonnants phénomèoes de l’élec
ont renversé des empires, malgré cela, dis-je, quelques monuments de sciences et d’ai't sont là pour attester que les Grecs non
onnaissaient le magnétisme animal, mais qu’ils l'ont étudié comme une science distincte, cl qu’ils ar-rivèreutàune perfection q
rlé de ceux-ci, on aurait trouvé, dans nos écoles d'autres modèles de science et de philosophie. Eh bien, si tant de génies i
s, pourquoi n'en serait-il pas de même de ceux qui se sont occupés de sciences occultes? Et comment expliquerions-nous la guér
ès, ceux de l’antre de Trophonius, nous révèlent aujourd’hui toute la science des hiérophantes qui, croyant réellement en Dieu,
s, ne repousseront point le magnétisme, car ils trouveront dans cette science assez de consolation pour être aussi beaucoup plu
le magnétisme. Vous craignez le merveilleux parce qu’il éloigne de là science positive dont vous êtes un des plüs solides repré
t rectifier ses erreurs. J ai dans uu autre temps lu l'Académie des sciences , un petit mémoire dont la copie est jointe k cett
s de cettp époque se prononcèrent sur cette question ; l'Académie des sciences , l’Académie de médecine, furent appelées à examin
en France ; on eut alors d’autres intérêts à défendre que ceux de la science , f^es partisans de la doctrine de Me?mer et ceux
furent forcés par les circonstances de suspendre leurs travatix ; la science fut exilée pour un instant, mais cet instant appo
t les moyens d'arriver à ce but. Mais, par une anomalie rare dans les sciences , ce fut chez les gens qui, par état et pw positio
emblent admettre l’existence d’un fluide nerveux, et enfin enrichi la science d’une découverte dont l’importance est au-dessus
refuser d’examiner ? Tel était le mémoire que je lusàl’Académie des sciences , le 8 août 1836. DON DE GUÊRlRi — EXEBCtCE ILLÉ
Use qui ne voulut jamais, et sous peine des bûchera, peimetti'e il la science vraie de s’établir. Oui, nous convienilrons san
ute, l’éloigiiement et qualquefoii^ le méprjs. J’aj l’eSRfiir ([ue la science vraie revivra, et c’est ce qui îne soutient daiif
les sanctuaires de la superstition, Depuis deux cents ans peine, les sciences s’efforcent de se dégager des latigcs du fanatism
tracé ici un rapide historique des phénomènes qui ont été l’objet des sciences occultes ou hermétiques. Il nous a montré ces fai
professeurs (1 qui ont eu le mérite de faire taire les préjugés de la science I u gloire aux enfants perdus du progrès qui, plu
indrir pour passer sous le niveau des théories scientifiques, mais la science qui doit élever son point de vue jusqu'à ce qu'eU
ur nous, qu’un phénomène expliqué et classé dans cette division de la science qui porte le nom de météorologie. C'est ainsi que
que le docteur Philips s’est consacré, mais il a poussé si loin cette science , qu’il se l’est en quelque sorte appropriée. Il e
mmeil nen'eux. En faisant connaître ces phénomènes à l’Académie des sciences , AI. Velpeau les a accompagnés du récit de plusie
orum, etc. L’ouvrage lui-même , qui est précieux pour l’iiistoire des sciences , n’existe ni à la Bibliolhèque impériale, ni dans
de Ja fausse route qu’ils ont suivie et du tort qu iis ont fait à la science . J’espère m’être créé de nombreux défenseurs et
j’entends parce mot des Œuvres au-dessus de celles que peut opérer la science avec l’emploi des innombrables moyens à sa dispos
la peine do róflóchu-, ils verront que là esile poiut de départ de la science nouvelle, cai‘ déjà ce n’est plus l’action de la
etbrise sonvent notre machine? Oui, là est le seeret de l’avenir des sciences ; la raison du savant de notjre tempe, dit non, m
aître ; en nous, le rudiment parfait de toute la création. Oh [ vos sciences morales me laissent dans le doute, je rêve autre
t un jour l’humanité sera surprise et beurense de retrouver toute une science acquise et reniée par les gens auxquels on a ai l
t de faire briller la vérité. u Le magnétisme est, comme toutes les sciences nouvelles, soumis comme le novateur au milieu soc
ire profiter le public des observations que l’exercice de cette vaste science leur a permis de recueillir ; c’est pourquoi je v
nature devait être la consultation t je savais le vieomte amateur des sciences occultes, et j'attribuais sa démarche à la curios
disions tout ce que nous avons vu, culaferait uiw Wvoiufion dans le« sciences et surtout lians fart de guérir; nous ne devons p
lisme Itirard, t* anntc. liarrassent ilnutant plus les juges que la science oITiclelle s'obstine h ne pas reconnaître co nouv
é du désespoir de ses insuccès î En astronomie, la plus avancée des sciences , lorsqu'on prédit Tkeure, ïa mmuie, la seconde à
de toute doctrine, aotre la loi religieuse et la loi civile, entre la science et l’art. S'il en est autrement, c'est qu’il y a
t la réalité est incontestable, le magnétisme cherche À ee constituer science , et il n'y ]>eut parvenir. Tandis que les acad
plaintes à l’égard de ces faits, elle se trouve en opposition avec la science , carl’unc constate la réalité de ce que l’autre n
n du magnétis'iie une lacune k combler. Il faut, d'une part, que la science reconnaisse les faits et leur donne une causalité
is, l’harmonie doit régner entre les principes et les faits, entre la science et la loi. Convaincu «le la vérité du magnétism
isme, forçant, avec la voix publique, les académies à reconnaître une science et un art dont elles ne soupçonnent encore ni la
ns, que les anciens leur ont transmis : il ne fauy|i^t oublia que les sciences occultes nous viennent de l’Cr^i.1^ 0 S PIC E N
ait nécessaire d'établir une division; mais, dans l’état actuel de la science , c'est bien difficile de circonscrire la part à a
e, vous aurez pour vous la ti adi-tion : la foi est tout opposée à la science , car elle ne demande point de preuves ; votre pèr
e âme tranquille et quiète ne vous porte point vers les régions de la science où le génie ne suffit pas seul. Croyez-moi, la gl
& opérer des pas&es. Alors ce moyen curatif se transforma en science . Les hommes moins bien doués, mais pui's, obsei'v
on n’en voit guère, une marée comme on n’en voitn^. Le$ calçul^ de la science ont été dérangés par un vent léger venant Ton ne
étisme pur, ou plutôt aux sensations que produit la pratique de cette science ; elle se rattache à un ordre de faits que vous av
ée son ami M. Manlius Salles, directeur de la Revue contemporaine des Sciences occultes et naturelles, avait invité une dizaine
tous ceux de nos concitoyens qui désireront étudier cette branche des sciences naturelies. HYPNOTISME. DERNIÈRE CONFÉRENCE D
iitla vigilance de scs gardiens, orl pinétré dans le sanctuaire de la science , se sont installés à ses cftt:-s et partagent ave
nt imputables à notre ignorance ou à la perversion de nos désirs ; la science et la société nous font jouir des seconds. B La
le, allait découvrir là une sûre garantie d'impuuité! (‘J'adjure la science , eten particulier la n)édecine que'cette question
e sans cesse àdémolir, pierreà pierre, l'éphémère édifice, c’est à la science d’éleversur les fondements éternels de l'expérien
arrière en ne suivant point les sentiers Ijattus : quand il s’agit de sciences , la peine est infinie. Arracher des ronces et des
bles, l’homme y réussirait ; tout cela ne sort point du domaine de la science et n’est pas au-dessus du courage de l’homme réso
s qu’anxieusement la désolée écoute les Énigmes palhologitjiies do la science officielle où il ne discernera que menaces à conj
harmaceutiques jusqu'à l'eau des docies fontaine)) ou se désaltéré la science oflicielle ! Le Désir, toute la médecine spiritue
ne. » TRIBUNAUX. Le magnétisme peut-il eQlin être rangé parmi les sciences vraies et les arts utiles à rbumanité? Ne serait-
La religion n'a su rien nous dire de certain sur la vie à venir el la science se tait. Le magnétisme donne, sur ce sujet, des d
aisissantes et remplies d’espérances, mais nous avons beau appeler la science à l'étude du principe mystérieux qui nous anime,
concentration des forces obtenues par des préceptes de religion. La science ofTicielle avait un mot qui expliquait tout, elle
me si les éclaira sublimes qui leur traversent 1 âme, y déposaient la science universelle et la perfection absolue. Dans les in
ment dit. J'ai étudié cette question uniquement au point de vue de la science . En d'autres termes, je me suis occupé spécialeme
. Chaque fois que j’ai eu affaire à des personnes non initiées à la science du mesmérisme, à des curieux, à des sceptiques, j
Mesmer qui ont écrit sur ce sujet jusqu’à ce jour. Quand il s’agit de science , les faits les plus simples prouvent plus que les
s rien, enfin, pour vulgariser, autant qu’il est en notre pouvoir, la science admirable que nous a léguée Uesmer. J’ose espér
dans leur esprit une fausse idée non-seulement sur la véracité de la science , mais encore sur la bonne foi de la somuarabiile,
le pas au monde entier et ofi brille de mille clartés le soleil de la science . La fièvre vous prendra, puis votre raison revenu
le magnétisme est une grande vérité qui changera un jour la face des sciences . Dans la circonstance qui nous occupe, il faut
enscR connaissances en faisment un homme extraordinaii'e; il avait la science de Mesmer, le talent d’Esculape, et pouvait même
ectricité vitale. Son article n'étant pas entièrement en faveur de la science dont nous avons l’honneur d’être partisan, nous n
les savants seuls connaissent, la fluctuation des opinions sur cette science , l'ont empêché jusqu’aujourd’hui d’en faire son é
l est vrai alors que, dans les mains impures de ces malheureux, cette science perd toute son auréole divine et devient réelleme
s merveilles de la nature, ils doivent, au nom de riiumanité et dc la science , consacrer leur vie à en prouver l’utilité. Aucun
l'encens à leur autel. n en est ainsi du magnétisme animal. Jamais science n’eut à essuyer plus d'amères déceptions, mais au
s science n’eut à essuyer plus d'amères déceptions, mais aussi jamais science n'aura une plus éclatante victoire. En vain veut-
les faits dont l'explication peut, plus on moins, être donnée par la science , c’est assigner des bornes à la ruisoii buinainti
domaine l’immensité, elle brise d'une main ferme les entraves que la science positive veut lui opposer. C.clui ù qui la natu
ela ne.sont nullement coupables ; les progrès qu’ils l’ont dans cette science vont lentement, car ils sont peu nonkbreux pour l
sont coupables, car, s’ils avaient depuis longlfiinps embrassé cette science , ils noüs auraient secondé par leurs lu-mièi'es,
somnambulisme, voilà la pierre de touche, voilà ce que les hommes de science ont toujours négligé. Comment donc des personnes
ont été observés par tous les peuples. Hippocrate, le coryphée de la science médicale, a, bien avant nous, résumé les prescrip
ptiens, ainsi que cbez toutes les nations de l’antiquité, la magie ou science occulte était basée sur le magnétisme animal. Ell
al, dont la lecture m’inspira le plus vif désir d’être initié à cette science , à ses prodiges. Ce désir augmenta bientôt quand
té témoin d’aucune expérience magnétique, à la pratique de la sublime science de Mesmer. A mesure que j’expérimentais, je me co
de la voir, el d’observer cette maladie complètement inconnue dans la science , et dont la cause, quoiqoe déterminée, ne peut fa
gnés sous le nom de magnéllsine animal constituent-ils réellement une science exacte? — Je répondrai affirmativement. Qu’en
ence exacte? — Je répondrai affirmativement. Qu’entend-on par une science exacte? — Une série de faits matériels, de phén
te a8ser- tion. Lorsqu’on cherche à pénétrer dans les arcanes de la science , on est sui'pris de la simplicité des moyens qu’e
ltode inconnu qui a éctiappé jusqu’à ce jour aux investigations de la science . D'un autre côté, M. Zantedesclii affirme posit
déplacer le fluide et à le diriger avec méthode, tel est le but de la science du magnétisme animal. Cette science a sa place ma
vec méthode, tel est le but de la science du magnétisme animal. Cette science a sa place marquée entre la physique et la biolog
nné lieu à l’eiTeur que j’ai cru devoir relever, dans l'intérêt de la science qui nous occupe. 5” Les brns el les doigts sont
iscutera, c'est à qui en dissertera le plus savamment. Que dis-je? La science officielle n’en est-elle pas saisie ? car sous la
que je les analyse : « Je n’ai point étudié le n>agné-tisme comme science , dit-il dans un des derniers numéros de son journ
roit d’affirmer qu’en présence de tant de témoignages en faveur de la science nouvelle, en présence des discussions du monde sa
e à la Faculté de médecine, et l’autre au sein môme de Y Académie des sciences , sous la garantie et la responsabihté des Bailly,
ules. Ce mélange représentait toutes les nuances qui caractérisent la science magnétique par des divergences et des sentiments
nisme humain et de guérir ses affections diverses ; là, des hommes de science qui croient y voir la synthèse de tout ce qui exi
us faisons la guerre à l'ignorance et aux préjugés de notre temps. La science officielle refuse de nous reconnaître ; les savan
où l'on n’osait avouer sa croyance, où l’oo cachait la vérité, car la science officielle, par ses sarcasmes, ses mensonges, ses
umanité nous doit un moyen puissant de diminuer ses souffrances, et U science nous devra le pltu bienfaisant des agents. « Da
t à leur nature, retourner au doute que d’avancer vers la vérité ? La science demude des coaviC' tione, beaucoup ne sauraient e
ière qui sera un jouf glorieusement placée dans le temple de la vraie science . « Donnons l’exemple de la concorde, car qu’imp
l'hypnotisme drat il est l'un des héros. A LA CONSTITUTION DE LA SCIENCE DU MERVEILLEUX I La découverte de Mesmer appart
ser un toast & l'union des écoles magnétiques et à l’alliance des sciences avec le magnétisme. (Applaudissements prolongés.)
et se fassent même opposés. Le magnétisme, Messieurs, est la grande science , c’est la science des sciences ; le mi^néiisme a
opposés. Le magnétisme, Messieurs, est la grande science, c’est la science des sciences ; le mi^néiisme a des rapports avec
Le magnétisme, Messieurs, est la grande science, c’est la science des sciences ; le mi^néiisme a des rapports avec la physique p
magnétisme doivent tontes se concentrer vers la grande synthèse de la science de l'homme. Voilà pourquoi je vous engage à por
disseoiêDls unanimes et prolongés.) J’ai dit aussi à l'Alliance des sciences et du magnétisme ! Oui, Messieurs, cai' le magnét
essieurs, cai' le magnétisme a les rapports les plus étroits avec les sciences , Je viens de signaler ses rapports avec la physiq
vaise foi, il restera encore une immense vérité. D’un autre côté, les sciences ont pour base de grandes vérités, il est donc imp
il est donc impossible que des vérités qui convergent au même but, la science de l’homme, restent toujours opposées, l'aliiaDce
j’euai le pressentiment et la certitude, nous verrons l’alliance des sciences avec le magnétisme. (Applaudissements réitérés.)
sonnant du clairon. Tonton, Iontaine, tonton. Dans le séoat de la science . Arrive, enfin, le nourrisson, Tonton, tonton
jugM des lumières de ces mcssieure. Si donc tous les efforts de la science ont un résultat aussi négatif dans notre société
eut manquer de plaire aux magnétistes, car ils y trouveront esprit et science . Le voici : LES PROPHÈTES ET LES MÉDIUMS. AIL
igne de polichinelle. Ne Toit-on pas tous les jours Huer l'homme de science * Uui commet l'inconséquence D'expliquer quelqu
, lisez: Luidonne espoir à r&me. COMMUNICATION A L’ACADÉMIE DES SCIENCES . CATA1EP5IE, PARUYSIE, LÉTH&BGIE (1). La
(1) Celle nolico InMresMDle vient d'élre adre»sée i l'Académie des sciences de Paris, par notre savant collalnrateur M. Jebar
ient corroborer ceux cités plus haut. Les explicatioRs que donne la science sont sans aucune valeur, nos médecins ne connaiss
déconsidérer leur art menteur. Un temps viendra où les princes de la science du jour sentiront la rougeur monter àleur front l
ive qu’on appelle magnétisme? — Et les lois sont protectrices de la science menteuse des écoles, et elles accordent aux minis
cience menteuse des écoles, et elles accordent aux ministres de cette science le droit terrible de vie et de mort I.... Ab I no
itent. Affirmer que ces sublhnes envoyés de Dieu puisèrent toute leur science dans les secrets des temples de l’Egypte, de l'In
me par trop grand que de faire vivre uiie héritière immédiate do la science destlruides au temps de Louis XI : l’accouplement
t imaginer uo persontiage qui, rempli de l’esprit divin ou doué de la science des mages, eût été iinmolé aux passions de queU q
ce. Aujourd’hui il est très-bien et très-fort, et très-partisan de la science qui lui a rendu santé et bonheur. u Pendant mon
remière commu-nicîitlon el Je vif désir qui m’anime d’être utile à la science et à i’humauité , me portent à vous adresser la s
par la fermeté de sadireçUon, a tant contribué à l'édification d’une science destinée, selon ce qu’il semble, à occuper le ral
Pour moi, je remercie la Providence de m’avoir fait connaître cette science sublime avec laquelle nous pouvons faire tant de
avec laquelle nous pouvons faire tant de bien à nos semblables; cette science qui nous donne le moyen de soulager les douleurs
goûter, qne je songe & l’admirable pouvoir que nous révèle cette science . mon esprit s'élève vers les régions célestes,
btenait par le magnétisme animal ; mais n'ayant point été initié à la science subUii» de Mesmer, j'étais peu disposé k croire à
île leurs patientes observations et de leur expérience. Les hommes de science émettront jeurs avis, hasarderont quelques vues g
nt rapportés par mille sources diverses. Ils finiront pir 'asseoir la science sur des bases solides, grâce à leurs ihcessàfites
rs laquelle tendent toutes les inielligences, auront bien mérité delà science , de la patrie et de l’humanité. La science, qne
auront bien mérité delà science, de la patrie et de l’humanité. La science , qnelle qu’elle soit, n’est l'œuvre, ni d’un seul
que la perfectibilité est de l'esseoce de l'esprit humain. Toutes les sciences sont sœurs, toutes se touchent et se donnent la m
ague et obscur lointain. Circonscrire (!) l'horizon de chacune de ces sciences , préciser les points extrêmes où la vue, sous pei
eux champions de la scienc«, que la consolante pensée que bien peu de sciences , à leur berceau, ont été pures de tout alliage,
ne se méprciioe pas sur ma pcnsic. Loin do moi l’Idéa d'eul-miter la science & )a mallire qu’on piic. qu'on mr$ure, qu'OD
éronce de l'Académie, dans un débat si grave, rejetait avec mépris la science nouvelle. On ourdis> sait contre elle la consp
uoi, dès son enfance, le magnétisme a-t-il trouvé parmi les hommes de science tant de détracteurs? Parce qu'il n'a pas eu l’In.
’un procès de tendance que j’ai voulu faire. Il ne faut pas, dans les sciences surtout, confondre le but et le moyen. Il ne faut
genres d’iostruction, en multipliant les écoles, en encourageant les sciences , les arts et la littératui e, et sui tout en prat
nt, de plus hardi et de plus ex*-traordinalre contre l’Académie el la science morte officielle. Le style en est brûlant comme î
nt, homme de mon âge et s’occupant, par goût, d’études du domaine des sciences naturelles. Je vous garantis d’avance, dis-je,
le du charlatanisme de quelques individus qui ont su, au nom de cette science , tromjwr la bonne foi des Brésiliens. Si notre
procher d’avoir commis une erreui’ impardonnable en ayant reconnu une science qui ne peut ou ne doit pas exister?... Je suis
elte Académie témoigne si loyalement sa conviction en faveur de notre science , il arrive ici chez les médecins précisément l’op
droit de ne pas y croire, ridiculise et insulte les adeptes de cette science ! le petit nombre d’entre eux qui a la foi, et qui
celles que nous avons en Europe, afm que, par leur dévouement à cette science et par des expériences répétées, ils puissent alo
ns en plus demandé pour aller au secours des malades condamnés par la science médicale. Quelques personnes très-respectables m’
promettre par moi seul un ouvrage scientifique à la hauteur de notre science . Mon but n'est que de généraliser par ma part de
vons au zèle et aux expériences continuelles de nos sociétés. Toute science doit être basée sur des faits, mais les faits seu
ée sur des faits, mais les faits seuls, dit-on, ne constituent pas la science qui ue doit naître que de la coordination et de l
la nalure, qu’il a délivré et ne délivre son ouvrage. Principes de la science occulte, qne sur engagement de ne le laisser lire
rages n’existaient pas, ces coimaissances seraient perdues pour notre science ? Le passé nous prouve le contraire, puisque ces
toute discussion puMique sar la déduction logique des faits de notre science occulte. La seule publicité constante et générali
base inébranlable au trône scieniiiì(^ue le cette grande reine tles sciences ? Est-ce que ces espèces de princes de la science
grande reine tles sciences ? Est-ce que ces espèces de princes de la science médicale, molécules animales si nuisibles à rijum
, pourquoi donc s'en servent-ils, pourquoi l’ont-ils admise dans leur science î... De quel droit ad-mettent-ilsrélectricitéet r
ujours été considéré, depuis le tempsde Mesmer, par les auteura de la science médicale comme un système de médecine, dite médec
s mes-inôrien tient de l'hérésie plutôt que de l'errem' en matière de science . Ce n’est pas que nous voulions ici attribuer ni
e magnétisme est bien plus une question de foi ap(>stolique qu’une science faite et positivement formulée dont les théorèmes
ayons formulé le Credo de la foi nouvelle et que les linéaments delà science véritableet définitive soientnettement détemioés,
de médecins, el de nos instituts; mais tous ces grands princes de la science s'inclineront un jour devant les vérités révélées
e la science s'inclineront un jour devant les vérités révélées par la science magnétique, et alors peut-être une croyance génér
glit, mou iiurOpicle malade voulut nbso-Inmeui, pour l’hoiuieur de la science , maichcr de Kyde au bateau, ce cjiii ne l’einpècb
ive. Son conienlemeut n’est égalé que par sa reconnaissance pour la science à laquelle elle doit son bien-être actuel, bien-ê
toujours pour assurer la marche, la propagation de notre merveilleuse science . Pendant mon séjour au château, au sein de celt
Vendredi 13 juillet 1800. POLÉMIQUE. Tandis que l’Académie des sciences s’occupe gravement de recherches ayant pour objet
’avance, et jaloux de s’affranchir du préjugé, s’appelàt-il religion, science ou philosophie ; je le demande aux rares exceptio
us, etc. » K Depuis ceni quatre ans (6), le matérialisme dottdne la science par ks ressorts inférieurs de l'intelligence de l
. u CiNNDS, envoyé par Dieu pour spiri-tualisfr plus (Tun siècle de science matérialisle. » » In carerem, domine, tuœ aqux
umes de la presse scienti-lique; son nom ne fait pas autorité dans la science , mais il est très-capable de rendre et i] a tiéjà
grand fait qu’un homme qui, par état, s’est consacré à écrire sur la science , ait publié un ouvrage volumineux sur un sujet qu
sur la science, ait publié un ouvrage volumineux sur un sujet que la science officielle a toujours repoussé (2). Bien que cet
nétique. Quelle lumière jetée sur la question ! La belle chose que la science I dirait Molière. Plus loin, p. 369 : H Ce qui
de réfléchir, peut-il supposer qu’un auteur, habitué aux choses de la science , qui a depuis longtemps fait ses preuves, non-seu
e pas les effaroucher, else fiant àla logique d’esprits habitués à la science , il a cru pmdent de ne pas heurter de front des p
cieux don de la Divinité, qui peut, nieux connu, changer la face des. sciences et de l’humanité. IH. Warlomont indique la voie q
0, j un chaos immense de dieux, de morales et d’interprétations: la science est plus sévère, et la base qui lui sert d’appui
, si, comme je l’espère, vous le jugez de nature á faire progesser la science . « Ce qni m’a surtout détermiDé & récrire,
ide magnétique. Cl) ces termes : « Si iloiic tous les eiïoils de la science ont un résultat aussi négatif' dans notre Société
mènes de la nature, donne à l’homme un puissant moyen pour fonder les sciences , pour avancer du connu àl'inconnu ; car dès qu’il
ux chimères d’un mysticisme puéril qui n’est que la négation de toute science . Encore quelques observations et je finis : 1
voici un fiàtf'Cifiililique. » Louis Fi.eüry. (Journal du Progris dea sciences midicalfs.) Gardez-vous d'un tel progrès ! crie
Gardez-vous d'un tel progrès ! crieriez-vous à ses Iccteurs. Quelle science édiliante ! Elle constate... ce qui n’est pas : i
t rien, excepté l’art de guérir. « Si l'une de nos théories était« La Science ... La grande Science !« comme s’enamourent «i l
de guérir. « Si l'une de nos théories était« La Science... La grande Science !« comme s’enamourent «i l’exclamcr de faciles
e sa compétence ; • On demande si la Philosophie Hermétique est une science , un art, un pur être de raison. Le préjugé tient
statue de Memnon une machine physiomathématique, etc. Car, toutes Içs sciences que nous connaissons, jusqu'à l'étude du ciel et
et les découvertes que nous faisons, taudis que, dans l'antiquité, la science s'enfouissait dans les temples comme un trésor ca
partie souvent frappée de mort. Beaucoup de malades condamnés par la science , abandonnés également par la nature, ont déjà été
nt point dans les puissances physiques, dans les forces mortes que la science a pu s’asservir, il va droit au ciel, parce qu’il
onnages nous paraissent si supéi-ieures à celles de nos princes de la science actuelle et de tous nos philosophes, nous voyons
st-il point scandaleux aujourd’hui dc voir des gens étrangers à toute science des écoles, à toute étude médicale, exercer un po
définis avec précision, il s’élè\ era aus-H sitôt à la hauteur d’une science qui ne sera plus contnstée «par personne, parce q
iquera-t-il le génie et l’iuspiration? Comment expliquer&'t-il la science mathématique du pâtre Mondeux, la science astrono
ment expliquer&'t-il la science mathématique du pâtre Mondeux, la science astronomique du pâtre deFergusson, le talent de p
un rationaliste, à peine impressionnable , dea aptitudes et même des sciences qui ne peuvent s’acquérir qu'après de longues étu
ux chimères d’un mysticisme puéril qui n’est que la négation de toute science . C'est dire ; Perniettez-moi de rouler le magné
ai dit ceci : « Lorsqu’on cherche à pénétrer dans les arcanes de la science , on est surpris de voir la simplicité des moyens
lion newtonienne. Et voià comme les savants officiels élucident les sciences . 0 aberration de l'esprit humain ! à pathos ! M
ont et je vais m'occuper tout particulièrement de ce qui a trait à la science du magnétisme animal. Avant d’aborder directeme
ivains traitent du magnétisme animal sans avoir jamais;jr/7/i9w'cette science ; Ton sait cependant que la pratique en magnétisme
ur que je vais réfuter péremptoirement. Le magnétisme constitue une science méthodique, exacte. Connaissant le degré d’impres
été témoin de ce fait, non plus que de tout ce qui se rapportait à la science magnétique, j’hésitai à le croire, mais depuis, q
ques allaieiil en au^nifiilaiil, et comme mon expérit iico dans celle science merveilleuse élait nulle ou à pou piès, jo lui fa
t regrettables et funestes 1 Elles tendent bien plus à étouffer cette science si merveilleuse et pleine d'encliantements, qu’à
fondamentales de la religion, lisez : les idées [ondamen-lalet de la science . (!) Niius on a\iiMS rendu conipt*; nous-tusinn
annihilent et laissent les forces uiiitérielles sans contre-poids. La science devrait être un poxivoir; elle devrait éclairer l
mployant seulement ma pensée et mes mains. On appelle princes de la science nos savants les plus avancés ; mais ce sont des e
s qui espèrent voir le magnétisme sortir de ses langes et devenir une science pendant la vie de la génération présente, s’abuse
ie; « Pensant avec raison que toutes les connaissances humaines,les sciences , les doctrines, voire même les systèmes, sont tri
ombent toutes plus ou moins à la médecine. « La philosopliie est la science dc la raison souveraine; elle remoiiic aux Hébreu
lchimistes ne s’efforçaient-ils que de continuer les traditions d’une science mystérieuse qui rattacherait les études du moyen
’une science mystérieuse qui rattacherait les études du moyen âge aux sciences sacrées des plus vieilles civilisations : ainsi,
ces naturelles par la puissance du saint nom de Dieu, branche de leur science qu’ils appelaient la Gématrie, et qui a été conda
été condamnée par la loi divine. « La magie est la connaissance des sciences naturelles portées à leur plus haute puissance ;
qu'il voit, examine, analyse et compare les arrêts des princes de nos sciences , et les phénomènes qui se sont produits, qui se r
ites, au risque de reparaître un émissaire (le t la négation dc toute science (2), » je continue mes recherches de quelques cla
point. Ou je m’abuse beaucoup, ou, loin de rire de nos efforts, la science devrait y renouer la filiation pérennéenne, l’éti
e carrément par l'un des membres les plus illustres de l’Académie des sciences , et, cet été, M. IJahinet, s'adressant k i’Assocù
tude éphémère et des crépuscules d’autres horizons? Prenez garde ! la science est-«lle si vaste et .;i solide aujourd’hui, que,
n’est qu’à ce prix. Que voulez- (1) « On a défini la ihéologie, la science de Dieu émanée de Dieu; la philosophie, la «cienc
irationstoutbumainos....En second lieu, la philosoiiliin n'tel pas la science de l'e=pi it humain émanée de lui-inèmc : c'est l
urnaturel, lrèt-déf(ctufu$e elte-mOiiie, n’appartienl qu’à un état de science élémcnUiire. Pmir la science alisoluc, p»ur celle
lte-mOiiie, n’appartienl qu’à un état de science élémcnUiire. Pmir la science alisoluc, p»ur celle de liieu, IL n'est rie> d
uel et le malcricl........ u l.a philBSnphie dc la religion est une science aussi simple, aussi naturelle que la phiUisophie
, la philosophie de la religion n'est ni une élude sans frein, ni une science ulopique. KUe est la fui des esprits les plus ter
malgré ses répulsions, nous avons les fondements cosmogoniques de la science oillclelle, aussi bleu que nou; pouvons invoquer
e rebus. » teilee de Platon el ile Philon. Tout lo monde connaît la science et l’élé-\alion, l'allure et les prédilections pl
la faiblesse : mais que lea |)remieî's d’entre les poursuivants de la science croient s’abaisser des relatiuns intimes et de fo
ur qui met en mouvement les fibres de son cerveau pour élucider cette science profonde. Une foule de penseurs, d’hommes sérieux
é au travers de l’air par les corps en vibration. (A. Brento, Ami des sciences , 1800, p. 628.) Les magnétistes affirmentrexist
mais si vous leur demande* lecoinment et hpourquoi..., bonsoir : leur science est stérile. Quand ils isoleront leur fluide en
ne peut peut plus commode ; mais maintenant une cbose est avérée : la science humaine ne s’est pas eoiichie du plus petit lambe
s pages, car il admet non-seulement les idées innées, mais encore les sciences innées l ! Si les âmes étaient naturellement do
enfant qu’elle porte dans son sein, M. Ordinaire fait observer que la science ne l'accepte plus. C’est bientôt dit. Les extrê
a de plus surprenant, (I c'est la crédulité humaine ! » Parce que la science n’accepte pas le magnétisme animal, cesse-t-il d'
s. Ce n’est pas tout. ()) A moins des« croire en possession de la science infuse, il me semble qu'il y a quelque vanité à s
n d’admirer les phénomènes du magnétisme animal, ne connaissant cette science que de nom seulement, ils trouvent beaucoup plus
je n'ai plus besoin de le répéter, pourquoi toutes ces sommités de la science veulent, à tout prix, que l’univers entier se sou
n grand mérite, et s’occupant parfois, dans ses moments de loisir, de sciences naturelles. La maison de M. Svoboda est le lieu d
talisme, est peu connue; que de grandes réformes sont à faire dans la science médicale ; mais, cela ne prouve Dullement la réal
propriétés, avec les agents impondérables et avec l’âme et l’esprit. Science aussi vaste, aussi difficile je me borne à dire
. ViREï. {Examen impartial du Magnitisme, tome 29 du Dictionnaire des sciences médicales.) (1) Manqne-t-il quelque chose au po
temps-là parmi les Druides un homme savant et vertueux, mais dont les sciences et les vertus paisibles avaient été peu remarquée
gore, le prince des philosophes de la Grèce. Possesseur de toutes les sciences de l’Afrique et de l'Asie, il fonde une École et
répondra par une vérité mathématique à ces deux questions ? Chaque science , avant de pouvoir émettre un système, se base sur
des milliers d'hommes éclairés, posant leur jugement sans passion. La science du magnétisme ne peut progresser et formuler un j
sons blesser les amours-proprts ; nous sommes tout ouvriers dans une science ^ui est un mystère en partie : parler en maUre se
utient des explications ; car leur doctrine est bien loin d’égaler la science ancienne qui avait la clef de tous ces mystères.
ne des personnes que je magnétisai. Ah! c’est aÎDsi qu’on établit une science , se plaçant toujours de manière à enlever tous le
u phénomène ; ipais il faut pour cela que le sujet n’ait point con- science de cet obstacle, car, ainsi que je l’ai dit précé
tomie et la physiologie, câr lès somnambules sont loin de posséder la science infuse !.... Il n’y a que les histrions, les im
lement aux sarcasmes des sceptiques ; vous compromettriez en outre la science du magnétisme ani* mal, chose qu’il faut surtout
faits ? Quand accepteront-ils franchement lesvérités que présente la science du magnétisme animal? Ce jour viendra, j’en ai
a puissance humaine que notre indication eût été moins parfaite. La science du passé va donc revivre, nous la verrons bientôt
rets qu’ils avaient célés feront partie du faisceau de vérités que la science possède. On peut donc prévoir hardiment que le
on verra mes prévisions justifiées. Voyez où en est actuellement la science sacerdotale, nul n’y croit et ses propres ministr
nacée universelle, ni de l'isoler de la médecine. L'union de ces deux sciences , union franche et loyale, serait un bienfait pour
n bienfait pour l’humanité entière. Il serait donné plus souvent à la science de soulager lessouf-frances ; il lui serait donné
ciété, dont certes elle fiU devenue un membre au moins inutile, si la science de Mesmer n’était venue l’aiTaciier du bord de l’
s de force de somnambuliseur, mais au contraire que nous cherchons la science et que nous sommes arrivé, par des études constan
tre beaucoup d'erreurs. Quoi qu’il en soit, le magnétisme, c’est la science , c’est ce qui guérit ; le somnambulisme u’est qu’
t ; le somnambulisme u’est qu’un des innombrables phénomènes de celte science ; mais il serait injuste de séparer ce phénomène d
àla recherche dé touï ce qui pouvait servir au développement de notre science . La génération qui stiivra là notre sera frappée
demandait rien, pardon d’avoir écrit d'une manière très-sensée sur la science naissante. Le magnétisme eut enfin de faux interp
iqüe , organe de la Société Philantropie© - Magnétique ; la Retue des sciences occultes, publiée dans le Gard par M. Manlius Sal
er le progrès de l’humanité. Le magnétisme, marchant de pair avec les sciences physiques, doit les dépasser un jour, car en lui
lusion de nos sens, à un prestige dont nous subissons la loi, mais la science persévérante vient toujours à bout d'expliquer ce
ysiologie ou de la psychologie. Ne serait-il pas naturel de voir la science recueillir tous les faits qui se rattachent an ma
faits saillants, de ceux qui projettent une lumière nouvelle sur une science qui a grand’peine à se fonder, ce n’en est pas mo
uis mis à marcher ilans une voie nouvelle, méprisant les arrêts de la science , passant à cûté de nos docteurs, de nos Révérence
l se peut, le chemin nouveau que doivent suivre un jour les hommes de science , lorsque leur aveuglement aura' cessé. Montrons l
la mort aura fait passer de vie à trépas tous ces faux Esculapes, la science médicale, éblouie par la magnifique découverte du
des satisl'aclioiis ù leur incrédulitc; si, longtemps, l’amour de la science e( le désir de faire partager mes convictions ont
adémiques rela tifs au magnetisme, 128. — Mémoire lu à l'Académie des sciences par M. du Potet, en 1835, pour provoquer, mais va
Catalepsie, paralysie, léthargie. Notice adressée A l'Académie des sciences par M. Jobard, sur la persistance de la vie dans
e même, 41. — Ré flexions de M. du Potet sur la peine que se donne la science officielle pour faire croire que l'hypnotisme n'e
, et suivie d’un mémoire lu par ce dernier, en 1835, à l’Académie des sciences , 85. — Observations de M. d'Arbaud, sur l’étude r
pe de la vie universelle, par M. Warlomont, 395. — Recherches sur les sciences ayant pour objet la conservation de la vie humain
27, 48. Institut (l') elle magnétisme. Mé moire lu à l'Académie des sciences , par M. du Potet, on 1835, pour provoquer l’exame
amen et citations, par M. Petit d’Ormoy, 382. Magnétisme (Du) et du science oc cultes, par A. S. Morin. Avis de la publicatio
2 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
nisses et des syhilles. C’était une branche particulière de la grande science , et ce n’était sans doute pas la moins importante
fonction habituelle de pétrir les mus- (1) Dictionn. eneyetop. des Sciences , t. XVII, p. 198. (2) Val. Martial, Sat., t. I,
et. » L’usage des frictions n’élait pas étranger aux sommités de la science médicale de notre pays ; nous allons laisser parl
ussi rigoureuse ? La haute intelligence des puissants seigneurs de la science médicale faisait-elle justice d’une erreur trop l
ouvrit la carrière? où avez-vous puisé les premiers éléments de votre science ? etc. sont des questions qui m’ont été cent fois
oup d’argent? Rien alors n’aurait pu me convaincre de l’utilité des sciences ; les savants que je voyais me paraissaient faits
t comme personnifié en moi, je me croyais un de ces flétris de par la science , portant sur le front le signe infamant du menson
ur qui devait me flatter. Je rencontrai chez lui les notabilités delà science nouvelle, les hommes qui avaient survécu au temps
ue plus rien de la nature, mais nageant en plein dans le fleuve de la science , à ce qu’il croit du moins. C’était donc un tr
Nous laissons de côté tout mysticisme; quand on invoque Dieu dans les sciences , c’est souvent une preuve de faiblesse et d’impui
t prendre. Mais où donc était le nouveau chemin, celui-là même que la science dédaignait : observer la nature, l’imiter ensuite
plus qu’ils ne pouvaient produire. Un sot seul peut s’imaginer qu’une science se fait tout à coup. Le magnétisme, pas plus que
comme nous préférerons bientôt la médecine de la nature à celle de la science ; car entre ces deux imitations, il y aura la mêm
le domaine public. Pourquoi vous tromperais je ; dans quel but? — La science , je vais vous la donner, je n’en fais point myst
ais vous introduire dans un monde nouveau où tout est merveilleux. La science officielle ne vous a montré qu’un cadavre; lorsqu
clef reelle pour ouvrir la porte du sanctuaire de la plus élevée des sciences . Le magnétisme semble s’étre incarné en moi, et p
connue, les autorités espagnoles n’ont pas cessé d’être hostiles à la science nouvelle. Il y a peu d’années que, dans la mère-p
passes et d’attouchements. C’est une voie toute nouvelle ouverte à la science magnétique, et, sous ce rapport, les faits qui s’
ente tontes ces cures merveilleuses consignées dans les annales de la science . Nous ne récapitulerons pas les réflexions que no
, qui parcourut longtemps l’Égypte et les Indes, où il fut initié aux sciences les plus secrètes, passe pour avoir propagé cet u
agnétique. Ces pratiques rentraient, il est vrai, dans le domaine des sciences occultes, ce qui doit nous expliquer l’absence de
et de leur liberté compromis ; « 11 s’agirait des découvertes de la science et de* manifestations indépendantes de l’esprit h
Mémoire pose ce qu’il appelle les vérités fondamentales acquises à la science . « Suit une brillante discussion ou plutôt expo
ntre les corps savants, les Académies et les hommes éminents dans les sciences physiques el médicales? « Esl-ce donc qu’une sa
nde savant, et la suppression d’une erreur ne profite-t-elle pas à la science ? « Esl-ce donc un si grand crime de faire fair
conscience publique les repousse ? « L’humanité doit beaucoup à la science , aux savants et aux Académies, et si parfois l’on
avantages incontestables résultent habituellement du contrôle que la science exerce sur tant de systèmes qui pullulent de tous
rate citée par les appelants, ont prétendu que les pratiques de cette science étaient enfouies sous les débris des temples de l
e scène de VAmphytrion de Plante, comme renfermant l’embryon de celte science occulte. « Il s’agit de Mercure cherchant à end
is dans la Faculté de médecine de Paris et dans l’Académie royale des sciences , figuraient entre autres Darcet, Guillotin, Lavoi
!\ septembre 178-'!, Bailly, ayant à faire l’exposé à l’Académie des sciences des expériences qui avaient été faites pour l’exa
, on s’est pourvu en révision de cet arrêt; on s’est dit : En fait de science , un jugement quelconque n’est qu’une chose transi
qu’une chose transitoire; et le magnétisme, qualifié, en 1784, parla science , de charlatanisme et de duperie, en a appelé de l
784, parla science, de charlatanisme et de duperie, en a appelé de la science prévenue et subjuguée par l’esprit de routine à l
pelé de la science prévenue et subjuguée par l’esprit de routine à la science mieux informée et plus hardie de notre époque de
ciations diverses dont a été l’objet cette merveilleuse et nouvelle science occulle, nouvelle, s’il faut en croire ses adepte
de simple curiosité. « La justice répressive ne s’en occupe pas; la science est libre. « 2” Il y a les pratiques du magnéti
s modèles de désintéressement. Uniquement préoccupés de l'amour de la science et du bien de l’humanité, ils mériteraient la rec
ur n’a pointa intervenir pour faire respecter les droits sacrés de la science et les privilèges de l’esprit humain. Tous ces gr
ettra de revenir à notre, point de départ. Est ce que de bonne foi la science a quelque chose à voir à ce qui se passe ici ? Es
loyés par Mongruel pour s’enrichir, soient réprimés ? Quel progrès la science doit-elle à Mongruel? Est-ce que la science était
éprimés ? Quel progrès la science doit-elle à Mongruel? Est-ce que la science était le but de cet homme adroit à enlacer ses vi
point à ses yeux : c’est là qu’est son erreur. Le magnétisme est une science ; elle marche, elle avance, elle découvre : ce qu
le sait aujourd’hui, elle l’ignorait hier. Elle est donc, comme toute science , mêlée d’incontestables vérités et d’inévitables
science, mêlée d’incontestables vérités et d’inévitables erreurs. La science n’est pas comme la morale : elle n’est pas absolu
il est obligé d’accepter, pour partie au moins, les découvertes de la science magnétique, de 1784 à 1825 ; seulement il refuse
n ! moi, je lui dis : Vous avez tort de vous arrêter en chemin. Celte science n’est pas restée stalionnaire ; elle a marché de
ertes. Vous êtes incrédule à l’égard de ces conquêtes nouvelles de la science , comme vous l’auriez été peut-être en 178+ à l’ég
comme vous l’auriez été peut-être en 178+ à l’égard du principe de la science magnétique elle-même. Eh bien ! soit; je vous ajo
de pénalité possible, car il n’y a pas de responsabilité possible. La science peut commettre des erreurs, mais des erreurs inno
s études et les méditations de tous les hommes qui se sont occupés de sciences naturelles. Mais c’est principalement vers la fin
s et des Académies. Ces corps savants sont institués pour donner à la science un puissent essor; eu réalité, ils s’attachent à
iennes, de démarches stériles, il crut avoir déterminé l’Académie des sciences à examiner sa méthode et ses cures. Au dernier mo
ce bien naturelle de l’indifférence et de l’aveuglement des hommes de science . « Abreuvé de dégoûts, il se préparait à quitte
ultats toujours incertains, souvent trompeurs. » « Les germes de la science magnétique avaient été déposés dans de trop haute
s magnétiques ont un caractère sérieux, reconnu par les princes de la science , et 11e peuvent servir de base à une prévention d
ur cet arrêt, et l’attitude prise par la magistrature à l’égard de la science magnétique sont nombreuses et fort importantes; m
public et gratuit. l’auvre et chétif professeur, enfant perdu de la science , j’enseignai d’abord l'origine de la découverte d
des esprits prévenus. Je citais des noms d’hommes respectés dans les sciences , en puisant dans leurs écrits ce qu’ils contenaie
point que beaucoup de magnétistes avaient fait beaucoup de tort à la science nouvelle, en mêlant trop de merveilleux à leurs r
oint alors qu’un professeur pouvait devenir illustre sans beaucoup de science ; qu’il suffisait ordinairement d’un bel organe,
nt de grands hommes en robe de chambre, qu’ils ne m’imposent plus. La science , lecteurs, doit se traduire au premier mot; il fa
; que vous importent des détails, des récits du passé? Vous voulez la science . Patience! je vous y mènerai; ne voyez-vous pas q
r jusqu’au sommet pour donner à ce fruit la maturité nécessaire. La science ! mais elle est cachée en moi, puisque je réalise
ir une baguette magique. L’ai-je empruntée, prise quelque part, cette science ? Non ; elle m’est venue par le travail de toute m
rsés dans les connaissances magnétiques. Ce recueil, précieux pour la science , est arrivé, au moment où j’écris, à son dixième
mieux encore voir cette terre à demi couverte de grains qu’inculte? 0 science du magnétisme ! sublime découverte ! grande comme
aux de l’Église romaine, et de la manière dont ils ont envisagé cette science . Le second, rédigé en forme de lettres, n’est qu’
n’est dans le cas où un magnétiseur aurait voulu, à l’aide île cette science , expliquer d’une façon contraire aux doctrines de
de combattre l’erreur et l’ignorance en les mettant en présence de la science . Le mesmérisme joue déjà un rôle important dans l
t autrement formidable que. toutes les étonnantes découvertes dont la science , dans ces derniers temps, a doté l’humanité. J.
gnétisme a été jusqu’ici le plus appliqué; mais ce n’est pas la seule science avec laquelle ses liens sont possibles : la philo
sté son adhésion implicite aux principes mesmériens. L’Académie des sciences morales et politiques, la plus jeune comme la plu
rnière sans vous. Et, tandis que vous serez à épeler l’alphabet de la science nouvelle, il y aura déjà une langue toute faite q
de la fable qui portait des reliques. J’ai cru longtemps à la haute science de ces cerveaux fêlés, et dans mon innocence j’ad
mme qui sait dit peu ; mais it fait voir beaucoup. J’irai demander la science à qui la possède; je solliciterai la nature sans
orces qu’elle emploie; c’est à saisir ces instruments que consiste la science : la voir d’abord, l’admirer toujours et tâcher de
is plus que vous, car je fais ce que vous ne pouvez exécuter. Si la science officielle eût rempli son devoir, elle devait ave
ce moment des faits d’une haute portée, qui peuvent influer sur les sciences . Le gouvernement ne peut y rosier étranger. Nous
le à en saisir les conséquences. C’était donc déjà un commencement de science pratique, un art avec quelques règles certaines.
me disais : Si je découvre ceci, un autre découvrira davantage, et la science se fera : les magnétiseurs cesseront d'être de pu
de les détruire. Alors, plein d’étonnemenl de posséder ce rudiment de science , mais sans pourtant m’en enorgueillir, je constat
hommes qui, hélas ! ne savent plus l’origine et les éléments de celle science délaissée, et que tous divinisaient autrefois.
ois. L’Inde offre également des traces irréfragables d’une ancienne science qui, se liant au sacerdoce, donnait aux prêtres e
erdoce, donnait aux prêtres et leur renommée et leur puissance; cette science , nous allons bientôt la reconstituer. Elle fut, e
ilà soixante-dix ans qu’on leur dit d’avancer, qu’on leur présente la science nouvelle, et toujours, à leurs yeux, nous sommes
manque d’instruction. Il ne se pose pas en professeur infaillible de science et de philosophie; il se contente, pour l’appréci
rits tout à fait étrangers à la spécialité , des appréciations sur la science “ et ses premiers adeptes. Si chacun recueillait
sont jamais r^ « levés du rapport de Bailly, au nom de l’Académ » des sciences . Mesmer produisait des effets sur ur a personne,
hilosophie. Le mépris avec lequel l’empereur traitait cette prétendue science , avait déconcerté le charlatanisme et refroidi l
tion auprès de l’impératrice , pour qu’il lui fût permis d’exercer sa science magnétique sur une personne de ma «onnaissance qu
isation des rêves qui souvent ne sont qu’une aurore de l’avenir. La science vient ensuite recueillir ses découverts, vérifier
nations les plus policées et qui ont le plus concouru au progrès des sciences , des lettres et des arts ? C’est li le parti que
u magnélisme. D’un côté, la plupart des représentants officiels de la science se mirent en quelque sorte un bandeau sur les yeu
la théologie, avec laquelle nous ne voulons avoir rien à démêler. La science ne s’occupe que de lois naturelles : de ce qu’un
aussi superbe , et ils ne craignent pas de confesser tout ce que leur science a d’incomplet, de vague, de conjectural. L’avoc
nt librement, et cherchent, par des moyens divers, à perfectionner la science . Ces préliminaires posés , nous pouvons aborder
udier les indications qui lui auraient paru contraires à celles de la science , comme il est arrivé dans la circonstance de Veau
érir. S'ils ont si peu réussi jusqu’à ce jour, U faut croire que leur science est bien au-dessous des intuitions de la somnambu
ve, où naquirent J.-J. Rousseau et plusieurs hommes éminents dans les sciences et les arts, était encore, en i85o, de toutes les
généralement sceptique des Génevois. Gomme j’avais été initié à la science mesmérienne par une somnambule du nom de Prudence
t leur scepticisme, et lui les 3oo fr. Pouvait- il hésiter? Mais la science , direz-vous, pouvait être compromise. La science
il hésiter? Mais la science, direz-vous, pouvait être compromise. La science ne passe-t-elle pas après l’argent, surtout lorsq
rôle se bornant à celui « de narrateurs. » Merci, messieurs, pour la science ! merci de votre longanimité!— Dans le programme
’eux? Par pari refertur. Nous l'avons dit, et nous le répétons : la science n’a rien à gagner dans ces luttes où les armes ne
émontré. Dans l’étude du magnétisme comme dans celle de toute autre science , l’analyse doit toujours aller de pair avec la sy
s le premier Italien qui, pour étendre la connaissance de la nouvelle science , ose faire des épreuves en public. Je me suis tel
s en public. Je me suis tellement pris de passion pour cette nouvelle science , qu’afin de pouvoir m’y consacrer j’ai renoncé à
la Médecine magnétique. (Suite.) Le premier qui réunit en corps de science les principes des anciens sur l’influence curativ
apeutique. Un de ses élèves, Chaslenet de Puységur, imprima à cette science une direction nouvelle, en fixant l’attention gén
les faibles ressources que nous avions, c’est trop peu pour la belle science dont nous sommes les propagateurs dans ce pays. C
de faire en France, en vous mettant en rapport avec les princes de la science , nous permet d’espérer de nouvelles lumières puis
é qui est l’élan naturel d’un cœur que l’égoïsme n’a pas desséché. La science positive peut repousser ce sentiment sur un autre
le qu’à lui-même des acquisitions de quelque valeur qu’il fit dans la science . Il devint ce qu’on appelle un penseur; mais à ce
la fin de )843, un certain M. Grimes vint à Poughkeepsie professer la science du mesmérisme. Parmi les personnes sur lesquelles
roduisait sur d’autres personnes, dans cette branche importante de la science psychologique, éveillaient une vive émotion au mi
tique dans lequel il possède, selon ses déclarations, l’intuition des sciences , même les plus élevées ; et, dans l’espèce de rév
ions sus-énoncées. Cette volumineuse publication traite de toutes les sciences naturelles, des traditions historiques de tous le
donnent, c’est à dire, comme des êtres parfaits et initiés à toute la science divine et par conséquent humaine. Il n’est pas po
es de Davis, sont les révélations des bons esprits, des esprits de la science et de la vérité. Sur ce point, l’extatique de New
entifiques faites ¡1 nos voyants par les angéliques possesseurs de la science el de la vérité. Si l’examen logique nous y fait
voilà que notre voyant, éclairé par sa lumière spirituelle, source de science et de vérité, dénature en le rapportant, ce fait
simultanément son ignorance de la tradition mosaïque, ainsi que de la science positive. Et pour qu’on ne trouve pas notre (1)
ndant l’occupation française. A. Galland, membre de la commission des Sciences et Arts, séant au Caire pendant l’expédition (lom
seule citation , tirée du même passage , où Swedenborg dit que celte science angélique ne pouvait pas s’exprimer par des mots
Davis, dans ses révélations scientifiques, n’a pas fait progresser la science ; qu’il n’a pas dépassé du plus mince degré la lim
tradition mosaïque et la doctrine de Swedenborg; le Dr Lyon, sur les sciences médicales et naturelles, etc. Par cette appréci
des esprits qui la lui révèlent; or, comme nous avons démontré que sa science n’est pas puisée à la source de la vérité pure; q
e fonds. La théologie, la philosophie , la philologie ancienne et les sciences naturelles qu’il possédait à un haut degré (1), o
), vient de révéler, dans une charmante boutade contre le progrès des sciences , la cause tacite de l’opposition que ses chers et
vous le dis, mes chers confrères , tout progrès bienfaisant de notre science ou de notre art est une cause pour nous de décons
son d’être. Vous êtes maintenant jugés, Messieurs de l’Académie, la science , pour vous, est une industrie; vous en aviez le m
ssance musculaire ne peut entrer en concurrence (1) Les Annales des Sciences magnétiques contiennent des guérisons obtenues so
est plus loin où l’opinion générale se prononcera pour nous contre la science officielle, et lui demandera raison de son antago
n. Nos lèvres ne toucheront plus ce calice d’amertume et de fiel ; la science officielle, lasse de nous le présenter, l’a laiss
mains ce qui doit rénover l’humanité, en détruisant les erreurs de la science et les fausses idées que l’homme s’est forgées su
tant de conquêtes, celte vaine philosophie des écoles? Un embryon de science , où l’erreur a pris la place de la vérité. « Qu
amas de nuages au travers duquel l’intelligence ne saurait pénétrer. Science indigne de l’homme, fatale à l’humanité, ou chaqu
s, honneur à sa mémoire, car ce qu’il nous a transmis est plus qu’une science , c’est un germe des vérités divines, puisque le p
zèle et notre travail, en fécondant le champ arrosé de nos sueurs. La science nous ferma les portes de tous ses sanctuaires, el
les ténèbres, compagnes de son berceau, se dissipent chaque jour. La science , qui devrait guider tant d’efForts, fut toujours
e. Vérité cruelle à constater et bien pénible à dire : aujourd’hui la science ne se présente plus en faisceau, elle a laissé to
nsi tout se rénove; l’ancien monde périt, un autre survient, d’autres sciences , d’autres arts vont naître; nous ne sommes que le
faisant jaillir du cerveau humain ce qu’il y déposa de divin. « La science ne voit rien encore dans nos œuvres, et c’est u
ompé, Ont lupü Tar un sommeil usurpé Quand notre croyance Deviendra science , Ces abus, Confondus, Ne se reproduiront pl
toste dont il développa les motifs en ces termes : A L’UNITÉ DE LA SCIENCE 1 AU PROGRÈS DU MAGNÉTISME VERS LA RÉALISATION
UES. « Avant de marcher droit et ferme dans la voie lumineuse de la science certaine, l’esprit humain commence par se traîner
le de chaque fait particulier, devient une méthode obligatoire, et sa science est une pénible et lente accumulation d’observati
l’expression de la réalité : elle s’abandonne à l’illusion. De là les sciences conjecturales, ces fourmilières d’écoles et de do
nce d’une infinité de faits que nous ne connaissions pas. « Que les sciences diverses, qui languissent encore dans les langes
alchimistes , elles rampaient obscures et impuissantes ; aujourd’hui, sciences positives, elles volent à lire d’aile dans l’ère
les rejoindre ! « Quand sera constituée l’unité organique de chaque science , toutes les sciences se grouperont en une harmoni
Quand sera constituée l’unité organique de chaque science, toutes les sciences se grouperont en une harmonieuse hiérarchie, et r
ut appelé à juste titre le grand art, ars magna, faisons-en la grande science , et notre récompense sera grande, ouvriers de cou
tant dit, tant fait pour défendre, pour conserver pure et intacte une science dont nous nous glorifions d’être les zélés el fer
irigeons vers le sol fertile d’où s’élève cet arbre précieux de vraie science . La puissance du travail et la lumière de la natu
ner par une délibération les propositions devant former la base de la science mesmé-rique. a Ici, nous ne voulons pas faire l
urd’hui, pour progresser et répandre ses bienfaits comme art et comme science , il doit être vulgarisé, car nous savons tous que
mices des œuvres capitales. Tout nous présage le triomphe; la vraie science est avec nous ; il ne nous manque que les moyens
rechercher les dispositions de nos lois qui peuvent s’appliquer à la science de Mesmer, et à indiquer brièvement les points su
ose pas. La loi n’a point eu la prétention de mettre des limites à la science , elle ne lui a pas défendu de chercher ses inspir
. Nous n’espérons pas, nous l’avouons, voir, dans l’état actuel de la science , notre opinion partagée par les tribunaux; elle d
t soumise à l'application de la loi de l’an XI. La médecine est une science officielle qui possède ses règles et ses enseigne
e devrait donc être intenté aucune poursuite contre les adeptes de la science nouvelle. Des réquisitoires, cependant , ont été
au lieu de se tenir dans une réserve prudente, ont déclaré fausse la science de Mesmer et ont condamné, comme ayant reçu ou te
tement et de consultations magnétiques. L’analhème élait lancé; une science renfermée dans des milliers de volumes, confessée
pas tombés dans cette erreur s’ils avaient conseil li îi étudier une science dont, sans la connaître, ils flétrissaient les my
mal venue à prononcer des arrêts, quand comparaissait devant elle la science , représentée par un de ses membres, par un Galilé
juges ! La raison de ces rétractations est dans la nature même de la science ; mobile et infinie par essence, elle ne s’arrête
es somnambules éveillés, que les charlatans enfin qui déghonorent une science dont ils se disent les apôtres, et voilent sous u
en pourront sans inquiétude se livrer à l’étude et à l’exercice d’une science dont ils prévoient les bienfaits; ils n’auront pa
uit par le Journal .• « La justice ne s’occupe pas de ces actes, la « science est libre. » Le champ de l'étude reste eu^ lier
avons indiqué l’état de la jurisprudence en tout ce qui intéresse la science de Mesmer; son exercice, nous l’avons vu, bien qu
retombe sur les hommes qui se sont abrités derrière le magnétisme, la science ne peut être atteinte ; nulle vérité n’est compta
el qu'il n’aura pas, dans des lois spéciales, donné des règles à une science qui intéresse à un si haut point ¡’humanité. Jo
xtrême; mais il est essentiel de savoir le diriger. Du reste, cette science de direction, que nous donne l’étude et l’expérie
un semblable moment pour moi; si elle allait se guérir?Qui sait où la science deMcsmer a commencé? Qui fait où elle s’arrêtera?
’eux : Il a levé le drapeau de la révolte: il a fait le rouge dans la science . A ces mots, des applaudissements répétés sont pa
, qui se sont renfermés dans les appréciations et les progrès de la science , a été précédée par une allocution vive et chaleu
personnes qui se livrent avec persévérance et bonheur à l’étude de la science de Mesmer. Des traits de patience, de charité et
été portés; par MM. du Potet : A Mesmer ! — Durand : A l’unité de la science ! — De Rovère : A du Potet, ordonnateur de la fête
nal du Magnétisme, M. du Potet, le représentant le plus éminent de la science mesmérienne, et que les prodiges opérés par scs m
ts unanimes, l’antique prévarication des dépositaires officiels de la science , devenus aujourd’hui plus que jamais les ennemis
nnée à différents orateurs qui ont porté des tostes : A l’unité de la science 1 — Au triomphe des faits sur les vaines théories
élarer partisan du magnétisme, a-t-il dit, il a fait du rouge dans la science ! » El un tonnerre d’acclamations d’accueillir ce
arité qui unit la cause du progrès social à la cause du progrès de la science , est déjà sentie par les partisans de l’une et de
soleil de la civilisation parisienne, c’est à côté de l’Académie des sciences , du collège de France et de la Sorbonne, c’est a
collège de France et de la Sorbonne, c’est au milieu des prodiges des sciences et des enchantements de l’art, c’est dans une vil
quelque charlatanerie que ce puisse élre en morale, en politique, en science sociale et le reste. Rien de plus vrai, d’ailleur
à bien plus juste litre les insulteurs de la vérité, les jésuites en science . Ilanquel à Bergerac. Maintenant que le procédé
ns sa plus parfaite simplicité. « Maintenant, nous demanderons à la science qui admet le somnambulisme, si elle a encore pu c
e magnétisme puisse être exercé par les personnes qui possèdent cette science . Messieurs les Représentants, je supplierai le
ande. —Nous apprenons chaque jour que, de toutes parts, des hommes de science , qui n’ont en vue que le progrès, adhèrent à nos
e progrès qu’a fait le magnétisme jusqu’à ce jour; malgré cela, cette science compte un grand nombre de partisans. Des hommes s
et honorable savaut d'avoir su s’affranchir du servage qu'impose la science ollieielle. J’ai cru devoir, Monsieur le baron,
ent de temps en temps; car, tout en rectifiant ses propres écarts, la science sortirait radieuse de l’arène. On doit féliciter
farouchent pa* de cette opinion, elle est exprimée sous l’égide de la science ; ils peuvent la discuter, la combattre; mais nou
travaux, comme nous jouissons des découvertes de nos devanciers : la science ne progresse pas autrement. Mais Ilahnemann fil p
magnétisme est une question do faits, eL il n’est pas tant besoin de science que d’un esprit droit, pour constater ces fails,
ours des magnétiseurs vous est utile, il vous est acquis. A défaut de science , ils ont la pratique du sujet. J. B. [.'Ürh'i
poussent la vérité médicale, qu’une expérience éclairée d’une immense science lui ;> dictée ; — el voilà tout. Les mots él
lles puissent être vraies. D’un autre côté , le magnétisme se pose en science cabalistique à laquelle ne serait initié qu'un to
utent quand même, et pour me faire croire à l’une ou à l’autre de ces sciences , il suffit de me démontrer qu’elle a pour base la
qui n’est ni médecin ni magnétiseur, et qui traite le magnétisme de « science cabalistique à laquelle ne sont initiées qu’un pe
ous n’expliquerons pas ce phénomène, qui rentre dans le domaiue de la science ; nous dirons seulement que ce fait n’est pas sans
a pris possession de ses fonctions en donnant une revue générale des sciences , sorte de cosmos, où le magnétisme est ainsi dési
de cosmos, où le magnétisme est ainsi désigné, n° du 8 juin. « Une science — ce n’est pas le mot propre, une collection de fa
ertitude la part du vrai et du faux, occupe la place où s’élevera une science sublime, celle des rapports du monde des esprits
de cet ouvrage est d’ailleurs Lien conçu et très-habilement exécuté. Science et modestie, profondeur et clarlé, fond solide, f
sme, quoique j’eusse plusieurs amis, non pas médecins, mais hommes de science , de littérature ou de connaissances générales, qu
. On n’a pas voulu envisager le magnétisme comme faisant partie de la science naturelle, tant que les savants l’ignoraient. De
versités ; mais comme je n’ai rien dit qui soit indigne d’un homme de science ; comme j’ai raisonné logiquement sur des faits ob
dit, au Banquet mesmérien, que M. Gregory avait fait le rouge dans la science . Dr Koellbr. gnétistes, tant par la connaissa
ds, ont parcouru l’an dernier les États-Unis pour l’établir comme une science nouvelle. En vain les magnétiseurs ont-ils protes
avant physicien , ni physiologiste assez avancé pour faire éclore une science positive des faits produits et rapportés par MM.
ances par un exposé de l’éleclro- biologie, emphatiquement appelée sa science , publié par le National inlelligencer, journal de
mentateurs semblent réclamer l’honneur d’avoir découvert une nouvelle science , tandis que, selon les mêmes journaux, le véritab
fera tous les jours (les dimanches exceptés), des expériences sur la science nouvellement découverte de l’ÉLECTRO- BIOLOGIE. C
ce soir, à l’Armory Hall, sa série de leçons sur VElectro-biologie , science récemment découverte. — Le sujet de sa première l
seicnca nouvelle , qu'il appelle du nom 1Electro-Biologie. Par cette science l’opérateur se trouverait armé contre le patient
agnétisme, et d'expliquer la grande différence qui existe entre cette science et l'Electro-Biologie ; après quoi il procédera :
cès qu'a obtenu M. Fiske dans scs efforts pour introduire sa nouvelle science parmi nos concitoyens, a dû satisfaire pleinement
all, grande réunion pour assister au cours public de M. FISKE, sur la science Électro-Biologique, et pour être témoin des expér
là même qui devraient être les premiers à accueillir le progrès de la science . Le savant professeur prit occasion de dire que l
ers au savoirdesécoles, étaient les vrais champions de l’art et de la science . Quant ii l'Électro-Biologie, pas un mot n'en a
MORV MALI.. — Le Dr Williams, • t'Iui qui a découvert le premier la science «le l’ÉlccIro-Biologic, donnera aujourd'hui une s
o-Biolo-gie. Tous ceux qui désireront s’instruire dans cette nouvelle science , pourront profiter de l’occasion, en se présentan
. pourra former une classe pour ceux qui désirent s'instruire dans la science de l'Électro-Biologie. Ceux dont le temps est e
ièrement dans lu journée, auront locpasi.it: d'éludier celle nouvelle science , cl de connaître la manière d'en faire hq> pli
M. Dumas et scs aides feront, en français, un cours de lecture sur la science nouvellement découverte de l'Électro-Biologie, da
avez fait de mes séances publiques, vous avez quelquefois parlé de la science que je propage comme si vous la supposiez ident
jugement eu faisant ressortir la différence qui existe entre les deux sciences . J’admets que les phénomènes que j’exhibe chaqu
de la conscience de ce qui se passe autour de lui ; dans la nouvelle science , il n’a cessé de s’en rendre parfaitement compte.
n rendre parfaitement compte. La différence qui existe entre les deux sciences est la môme qu’entre une personne qui veille et u
sans hésitation, qu’il y avait une différence immense entre les deux sciences . Personne ne peut prendre connaissance des deux,
ce m’a appris que dix cas réussiront par l’application de la nouvelle science , sur un seul par le procédé mesmérique, et les gu
us respectables de vos conc.i- toyens), ont appliqué cette nouvelle science à la guérison clos malades avec un succès remarqu
que ces imposteurs ignorent totalement la vraie philosophie de celte science . Nous ne savons pas si la biologie a été brevet
ENT ET OBLIGATIONS. Nous, soussignés, devant èlre instruits dans la science nouvellement découverte de l’électro-biolo-gie, o
maladies ; mais de les mettre à même de se perfeciion-tionner dans la science , de manière à pouvoir l’enseigner avec connaissan
ntant de la somme demandée jusqu’à ce jour pour être instruit dans la science électro-biologique. Celle dernière somme ne sera
de faire disparaître l'élat d’ivresse en une seconde, au moyen de sa science , ce qu’il s'engage à faire en présence de onze ci
x de mots ne pouvant passer d’une langue dans l’autre. UNE NOUVELLE SCIENCE . Notre siècle est certainement celui du progrès
présente de lui-même, comme ayant un rapport intime avec la nouvelle science ; car, qu’y a-t-il de plus propre à guérir un ma
, en moins de cinq minutes, rencontrer plusieurs professeurs des deux sciences combinées. Ceci nous rappelle avoir lu hier, da
nsieur très-connu, qui avait désiré pénétrer dans le sanctuaire de la science biologique. Il avait été induit à croire qu’en me
que font les élèves de M. Fiske de sa manière d’enseigner sa nouvelle science , l’assurance avec laquelle ils expriment leur con
ème classe de M. Fiske avant achevé leur instruction dans la nouvelle science de la biologie, science remplie d'intérêt saisiss
vant achevé leur instruction dans la nouvelle science de la biologie, science remplie d'intérêt saisissant, croient devoir expr
ils n’hésitent pas à le recommander au public, ainsi quo sa nouvelle science , laquelle considérée comme agent curatif, ils déc
strictement parlant, d’électro-magnétisme, mais d’une combinaison des sciences de la liumpo - Biologie, de la Phrénologie et du
s as will satisfy the most credulous in reference lo the truth of the Science — the fact of “ Bumpo-Biology ” being the condens
ct of “ Bumpo-Biology ” being the condensed offspring of the combined Sciences of Mesmerism, Electro-Biology, Phrenology and Mag
e qu’on appelle Cercle de Tivoli, ne se doutant guère que l’œil de la science était fixé sur (1) Tout va bien, expression don
es puissantes paroles, le sujet fut soumis à un certain contact de la science , que Rob, s’il avait eu l’usage de ses sens, aura
attraper. Je n’ai pas acheté « le secret » de la prétendue « nouvelle science , » mais je crois l’avoir deviné, pour avoir écoul
moins tout ce que j’en crois. Ne voyez dans cette prétendue nouvelle science , qu’une chicane de nom, mais une bonne industrie,
; que, toutefois, rien ne nous montrait qu’il possédât line nouvelle science , mais que nous ne contestions pas son procédé qui
T CHOEOGIE. Le Dr Williams donne tous les soirs des leçons de cette science extraordinaire, dont il est le fondateur. L’Elect
nonciation. BIOLOGIE FÉMININE. Quelques dames, instruites dans la science biologique, aperçurent hier une des fragiles fill
Prises de sympathie, ces dames voulurent faire essai de la nouvelle science , et, en moins de cinq minutes, la femme ivre revi
d’oracle les mots absurdité, bêtise, tout est dit, et que la nouvelle science doitélre considérée aussitôt comme anéantie. L’
de Révérend, et s’attribue la découverte (original discoverer) de la science dont il était naguère le simple adepte. En voilà
des fardeaux légers, il en est d’autres qui sont lourds à porter. La science vulgaire n’accable point nos savants; voyez comme
es, font de votre domicile un domicile commun. Ah! vous cherchez la science ! c’est bien; j’aime ce désir, et cette assurance
lonnes ont toujours été ouvertes aux choses qui sont du ressort de la science : c’est à ce titre que nous accueillons l’article
convenir, n’en est pas moins un de ces phénomènes merveilleux dont la science s’est à bon droit préoccupée dès le principe , et
sait s’il est facile d’en secouer le joug! de séparer la physiologie ( science matérielle) de la psychologie (science de l’espri
ug! de séparer la physiologie (science matérielle) de la psychologie ( science de l’esprit). Voici ce que dit à ce sujet le sava
ance instructive à saisir, à détailler; alors doit être constituée la science de l’action el de la réaction, l'anthropologie, e
agnétisme se scienlifise, c’est-à-dire qu’il s’épure au creuset de la science , qu’il acquière toute l’expansion de la puissance
hension du déploiement, de la marche, de la terminaison des maladies, science que l’on acquiert par une longue observation théo
malgré les savantes recherches des Deleuze, Puységur, et du Potet, la science du magnétisme en est encore aux tâtonnements; et
eux et si divers, quelquefois si incomplets et si contradictoires, la science hésite et balbutie. La lucidité, qui se rit des o
ent irréfléchi et une négation systématique ; agir enfin envers cette science nouvelle comme envers tout ce qui se produit aux
t intéressantes choses, s’il eût traité le chapitre des erreurs de la science . Le magnétisme est, selon lui, un travers de l’es
en dehors de ce chapitre, déjà bien ancien, du premier livre de notre science . Il parle de Saint-Médard, des affections dues à
rand fait moderne; c’est une révolution prochaine et profonde dans la science et dans l’huma-nilé; et c’est seulement quand le
cause des faits de magie: c’est un feu, une lumière, une force que la science actuelle ne reconnaît point, et de là résulte son
même formule. « Qui que vous soyez, qui voulez vou« adonner à cette science , gardez sous un religieux silence dans le fond de
onies des choses sacrées, le serment du silence, pour empêcher que la science divine ne vînt aux oreilles de la profane populac
es et profanes ne lussent ces écritures concernant les mystères de la science et de la religion. C’est aussi ce qu’en dit Apulé
jetée ait germée dans leur cœur ; laisse dire et penser les hommes de science , ils sont loin delà vérité, et leur jugement n’au
ntraire, ont toujours refusé de l’admettre dans le do-inaine de leurs sciences , à cause de l’incertitude des observations. Cepen
ège m’était inconnu. Cette manière de guérir ne me paraît point une science , c’est un sixième sens dont l’homme a toujours ét
oin du voile qui nous a caché jusqu’à présent un pareil phénomène. La science viendra sans doute bientôt éclairer ce qui paraît
ont bientôt si haut, qu’il restera peu d’incrédules; celle nouvelle science fera de lois progrès et deviendra d’une applicati
cerveau. Je cherche, Monsieur, à élargir le champ de cette nouvelle science que, dans une de mes précédentes lettres, je me s
s, le calme dont vous jouissiez en suivant les voies ordinaires de la science . Je conçois vos agitations, mon ami, vous n’êtes
ongs et fatigants labeurs; mais enfin tout n’est pas renfermé dans la science des écoles modernes, et vous avez trop oublié les
ns l’âge mûr. Patience et prudence ! Cc magnétisme qu’il faut appeler science , art, philosophie, magie, recèle le bien et le ma
vous arrêterez haletant et vous aurez enfin le secret de cetle grande science . Alors vous changerez d’allure, el, permellez-moi
nétisme dans les al foclions nerveuses. Je dois, dans l'intérêt do la science dont vous êtes le grand-maître et moi l’humble di
r à être dégagée, sans témoigner de malaise. Il est fâcheux pour la science que cetle dame ne soit pas à la disposition entiè
re objet en vue. Ils désirent étendre le champ de l’observation de la science mesmérique, et en encourager la pratique en en pr
ut individu, homme ou femme, ayant rendu des services importants à la science du mesmérisme. « 6° Les fonctionnaires de l’ins
porté un losle à la mémoire de trois hommes qui, dans la sphère de la science , constituent une tri ni té glorieuse : llippo-cra
’infini. Aujourd’hui le magnétisme n’est plus une doctrine, c’est une science , « et qui sort à peine de sa coque nécroman-« tiq
sous eux? De quelle utilité sont tous ces débris qui constituent leur science ?Est-ce en marchant dans la même voie qu’on verra
Mesmer, se feront les apôtres de scs doctrines, en constitueront une science obligatoire qu’il serait honteux à tout candidat
privé d’une faculté analogue, et qu’il lui faille absolument tant de science pour continuer à vivre. Il la possède, en effet,
l'on enterre parfois des êtres pleins de vie, et jusqu’à ce jour la science n’a rien enseigné pour distinguer les cas. Nous
e découverte de plus, et nous avons eu raison de nous écrier : Pauvre science ! pauvres savants ! le magnétisme, qui révèle les
stice, nous avons refusé d’y participer, disant que ce n’était pas la science qu’on poursuivait en elles. Ceux de nos amis qui,
pria d’aller consulter une somnambule. Malgré son incrédulité pour la science du magnétisme, l’artiste, pour satisfaire au vœu
e craindre que la découverte de l'uysé- gur devînt le linceul de la science . Si. en effet, un grand changement ne s’opère, on
muets comme ils le sonl encore devant la vie el devant la mort. La science a fait du jour la nuit, cl de la nuit le jour; el
, cl de la nuit le jour; elle a changé l’ordre de la nature; aussi la science marche dans les ténèbres et entraîne les hommes à
’est qu’à la liberté que la vérité devra de s’établir sur la terre. Science , science vraie, c’est toi qui fais l’homme ! car,
la liberté que la vérité devra de s’établir sur la terre. Science, science vraie, c’est toi qui fais l’homme ! car, sans toi
e existe entre l’antiquité et nous, pour tout ce qui se rattache à la science des mages, à cette haute philosophie qui donnait
les monuments, ainsi que les livres qui pouvaient nous transmettre la science antique. Jetons un voile sur les erreurs de nos p
erreurs de nos pères, et tachons de renouer la chaîne des temps. La science ancienne avait un but moral, elle n’était point p
. v. (3) Ouvrage cité, p. 925. magnétique, mais les progrès do la science nous permettent de nous affranchir aujourd’hui de
ous l’empire de l’harmonie. On lit dans les Mémoires de VAcadémie des sciences , 1707-1708, plusieurs observations tendant à prou
nt de causes de destruction, ils n’avaienl d’autre arme que la fausse science des écoles et des académies; la découverte de Mes
nonça à Adélaïde que son mariage réussir ait ; mais, lui dit-elle, ma science me révèle qu’il vous faut avant tonl combattre
ntez quelque chose fouiller dans vos poumons : c’est un esprit que ma science somnambulique enverra pour arracher votre mal, et
3 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
ai, celle d’éclairer des lumières de l’expérience et de la raison une science qui, par l’étrangeté apparente de ses phénomènes
ceux qui auront contribué à asseoir les fondements de cette admirable science . Novembre 1860. L. d’Arbaud. faire une sort
la plus vive reconnaissance pour mes efforts et pour la merveilleuse science à laquelle j’ai consacré ma vie. HÉMIPLÉGIE.
ilé et le phénomène expliqué au point de vue du rationalisme et de la science . Si cette explication ne satisfait pas suffisam
étendues infaillibilités qui se couronnent pompeusement du titre : La Science . Longtemps, bien longtemps je leur ai consacré l’
sur sa détermination et qu’il se fera un devoir, dans l’intérêt de la science et de la vérité, dont il est un des plus ardents
vants qui se sont occupés de la mystérieuse Égypte ont cru deviner la science profonde de ses mages; et dans l’explication qu'i
es de ces temps reculés; sans doute ils ne possédaient point toute la science actuelle des Écoles, mais ils en avaient d’autres
s ne solliciterons point, pour cet objet, nos prêtres actuels : notre science les jette dans l’épouvaute, et leur méconnaissanc
r ce simple mais puissant moyen que nous indique la nature, et que la science officielle finira par admettre, nous en sommes sû
inspiration, dont je rends grâce à Dieu, me porta à m’éclairer sur la science du magnétisme. Ce que j’en pus saisir à la hâte,
e. Ses parents avaient épuisé sans succès toutes les ressources de la science médicale, et il y a environ douze mois qu’ils vin
t par vos excellents ouvrages que par vos salutaires conseils à cette science sublime. Ricard. polémique. A MONSIEUR LE B
es plus étonnants phénomènes, quelque chose de réel et de sérieux. La science sincère le reconnaît aussi. Mais où s'arrête le v
ence le faux? Voilà ce que ne peuvent dire encore ni la justice ni la science . Prenons acte de ce qu’elles déclarent aujourd’hu
les yeux du même président, j’ai retracé l’exposé de ce système de la science des temps antiques. Maintenant les preuves oste
itutions des différents âges de notre monde. Les corps constitués des sciences modernes dédaignent son v sublime galimatias. » P
perpétuelle. Retenons ce divin avertissement. ,1) Dictionnaire des sciences philosophiques, tnme V, Paris,, 18SI. Quelles q
sans doute, car il voudra entrer de plein saut dans le domaine de la science , parce qu’il aura opéré tout à coup des œuvres su
ecins et des savants ; mais, disons-le tout de suite, ce n’est pas la science du magnétiste qui guérit ou qui soulage. Ce que l
humain qui ranime la chair et féconde co qu’il pénètre : cependant la science se fait en magnétisme, on a déjà posé quelques ja
e de voir une assemblée aussi nombreuse de gens de rien possédant une science , un art méconnu, repoussé par les académies et le
e, un art méconnu, repoussé par les académies et les médecins. Quelle science plus essentielle, quel art plus utile cependant q
Quelle science plus essentielle, quel art plus utile cependant que la science et l’art qui ont pour but la conservation de ce b
ue nous enseignons, il est certain, pour qui sait examiner, que notre science aura une influence capitale sur les destinées fut
l’inanité de la médecine. Ils voient bien que tous le» arts, que les sciences physiques ont progressé, que tout s embellit ou f
e départ des plus grandes découvertes; elle devra donner à toutes les sciences un lustre tout nouveau et rétablir 1 équilibre ro
pour reconnaître d’a- ' vance les changements où les évolutions de la science et de l’humanité. Mais, cessant de nous occtipe
que la nature emploie pour rétablir la santé et prolonger la vie. La science se croyait au sommet et nous montrons à ces savan
isme promet. Servons-nous de cet agent pour guérir les malades que la science abandonne, et soulager au moins ceux que la natur
nsi dans cette bienheureuse sympathie qui fut le premier nom de notre science , nous sommes forts et nous préludons au triomphe
rendra prospères, et si nous rêvons la conquête d’une place dans les sciences officielles, c’est par le chemin de la paix que n
servations et du développement qu'ils ont, par suite, apporté à cette science dont Mesmer avait jeté les premières semences et
our de ton noir esprit i Kl vous, ténébreux docteurs De l'infernale science , Magnétistes imposteurs Kl spirites en démence
ineuses phalanges Exhalant l’encens et le nard. VI Recherchant la science ardue, Oubliant climat et saison, Souvent, hale
hénomènes renfermés dans le magnétisme parmi les hautes régions de la science . Oui, la science absorbera le magnétisme, elle ch
és dans le magnétisme parmi les hautes régions de la science. Oui, la science absorbera le magnétisme, elle changera peut-être
s faites, mais enfin le principe et les faits prendront place dans la science de l’homme. Certes, ce ne sera pas par des théori
érieuses de notre époque. Que l’on admette toutes les données de la science magnétique, ou bien qu’on en soit encore à ces do
ulgariser ses convictions, et pour faire passer dans le domaine de la science , des idées nouvelles dont l’application doit être
ubrique antiquité égyptienne, représente une évocation. Un livre de science doit être exact dans toutes ses parties, parce qu
s ces erreurs seraient sans conséquence ailleurs que dans un livre de science , où tout doit être de la plus complète exactitude
êtes imposé, les elforts incessants que vous mettez au service d’une science nouvelle, on peut-être simplement renouvelée, tou
a exclusivement, par l’étude et par des expériences, à répandre cette science en Orient. Je ne manquerai pas, monsieur le baron
vivement applaudies. Le nom de l’illustre propagateur de celte belle science était dans toutes les bouches, et chacun se faisa
si bien enracinée dans leur cœur, que nulle dissertation contre cette science , fût-elle même approuvée par toutes les Académies
ant à mes séances, a suffi à les rendre plus adeptes que jamais d’une science aussi merveilleuse et aussi étonnante. Croire aux
cette fête ;ï la mémoire du savant illustre qui introduisit dans les sciences une des plus sublimes et des plus profondes révol
venus où l'humanité doit être réintégrée parle progrès de toutes les sciences à la fois. Mesmer, Messieurs, eut seul la glair
sieurs, eut seul la glaire de répandre h; magnétisme en Europe, dette science connue déjà tfes anciens, fut emportée par le sou
s huit cents ans peut-être, la tête de Minerve. La philosophie et les sciences , méconnues et méprisées, reparurent sur la terre.
e Mesmer reçut du ciel la mission de répandre le magnétisme, et cette science en pénétrant encore dans le monde, apporta avec e
que nous importent à nous aujourd’hui le sarcasme et le mépris de la science officielle ; le magnétisme cesse-t-il pour cela d
s temps l’attention d’un très-grand nombre d’hommes célèbres dans les sciences et la philosophie? De profonds penseurs n’ont-ils
ous, l’auteur de ces lignes : « L'Académie de Médecine et celle des Sciences n’ont pas hésité à nier la possibilité même dks f
l, parce que Mesmer et tous ceux qui ont défendu et fait connaître la science du magnétisme, ont été traités de visionnaires et
par de ridicules préventions, viennent entraver la inarche, de cette science nouvelle. « Le scepticisme aura satisfaction, c
es : j’ai constaté des faits si surprenants, que , pour la vie, cette science divine sera mon guide et ma religion (1). J’ai as
é-tistes qui se payent d’une simple dénomination, pensent posséder la science de la spécifité de l’agent, parce qu’ils ont une
t l’on ne doit point se méprendre sur celte figure; c’est de la vraie science dont nous voulons parler, de celle que les savant
e crédulité. Ce que la superstition croyait aveuglément autrefois, la science maintenant le constate et l’explique. n Or, il
cédé n’est pas nouveau et son effet est trop certain. 11 n’y a que la science pour faire de ces coups : les charlatans s’y pren
il faut que tous y passent avant que la vérité se fasse jour dans la science . La science exacte a laissé le vieux roi de Pru
ous y passent avant que la vérité se fasse jour dans la science. La science exacte a laissé le vieux roi de Prusse dans un ét
avants, et la vérité ne trouve de refuge que là où l’opposition de la science ne trouve point d’échos. Plaintes, gémissements,
magnétistes leur ravissent un peu de l'or du riche. Nos princes de la science sont satisfaits de cette situation. On ne leur de
d les moyens sauveurs n’ont point été employés. Que chacun fasse sa science , que chacun apprenne à se guérir. Par le magnétis
diminuer la force et le nombre des humains en se servant de la fausse science pour arriver à ses fins. Ma plainte excitera le
se dira ce qu’il s’est dit cent fois : « Si le magnétisme existait la science l’aurait accepté, les médecins s'en serviraient ;
peuvent aspirer à avoir des établissements de h bains de mer, que la science précisât dans quels cas ces « bains sont profitab
le ou telle affection, mais bien lo mode d’emploi de ces bains que la science n’a pas cherché à déterminer d’une manière positi
n s'attache seulement aux effets sans jamais remonter aux causes, les sciences resteront stationnaires. 1! est vrai que les effe
l’époque la plus salutaire suivant les climats. Pins tard, lorsque la science aura voulu se donner la peine d'indiquer la maniè
n parmi scs adversaires (¡ni n'ont puisé ce (|ii'i!s sn-vonl de colt- science que dans la prati(|ue ou bagage scieuli-liijuc de
onsidéré comme candidat, qu’il était mu seulement par 1 intérêt de la science et de l’humanité, ses confrères ne laissèrent pas
l'eussent réclamé pour leurs malades, — ils se mirent à causer... de science , sans doute? il serait trop naïf de le croire, ii
sont autant de mots que le sentiment semble créer pour effaroucher la science et la raison, mais elle se joue de ces obstacles
e reflet à l’imagination; le surnaturel de la veille devient ainsi la science du lendemain : c’est ainsi que les philosophes he
soulagement d’esprit pour les magnétistes quand un représentant de la science officielle prend la parole eu faveur de la vérité
dénégations de ce qui est acquis que l’on doit procéder en matière de science . Vos citations sont heureuses, et ajoutent, en di
re texte que je combats, page 8h et suivantes, où vous dites : que la science ne pourra jamais démontrer, telle est votre croya
s secrets : il en est ¿voile, il en est qu’il garde pour lui seul. La science a / te en faisceaux les grosses choses, ce qu’il
raconte est mensonger et il est du devoir de la médecine de purger la science de toutes ces erreurs d’esprits malades..... Tel
’esprits malades..... Tel est leur langage. Un de ces princes de la science répondait à un homme considérable qui lui affirma
avec discrétion, mais sans croire se compromettre ni compromettre, la science . Jusqu’à Récamier qui avouait sa croyance au magn
herché. M- Reichenbach avait déjà conquis un rang distingué dans la science par ses découvertes en chimie, lorsqu’il publia l
que l’on pourrait douter ; ils aiment si peu les révolutionnaires en sciences ou ailleurs que l’on devrait désespérer, si la vé
ladies, à deviner et à augurer : jamais on ne fera de la médecine une science exacte, car la nature s’y oppose;—je les ai montr
parmi tant de gens illustres et parfaitement décorés? On trouve de la science sans doute, mais pas une idée d’avenir, pas un tr
sophie, médecine ne peuvent produire rien de durable sans lui, et les sciences exactes, au moyen de ce complément, recevront une
ent, recevront une impulsion qui, changeant les données générales des sciences , pourra donner l’humanité les réalités que le gén
Orient a toujours été le véritable berceau de la magie, la patrie des sciences occultes ! Dans toutes les villes de l’Asie on tr
toutes les villes de l’Asie on trouve aujourd’hui des restes de cette science , conservés parmi le peuple (1). (1) Dans les cl
'ils ne divulguent point, ne se doutant pas sans doute que toute leur science terrible et mystérieuse est parfaitement bien con
i des hommes éminents en Europe s’occupant de magnétisme animal et de sciences occultes, pénètrent bien des mystères, et voient
aine par ses merveilles, ce qui prouve catégoriquement que toutes les sciences connues aujourd’hui ont toujours été du domaine d
de le répandre en Europe. L’antiquité, dis-je, possédait à fond cette science . Qui sait ce que les prêtres ou hiérophantes d’al
ns les livraisons suivantes des restes palpables, mais dégénérés, des sciences occultes. Ils sont palpables parce qu’ils sont en
uleurs et le magnétisme, de manière que cela puisse s'ajouter à cette science , sous le nom de chromalomagnélisme. (3) A propo
rticulières quand on magnétise. Nous pouvons conclure de là que celte science était le grand mystère des prèlres de l’antiquité
ement dans nos contrées ne peuvent être expliqués que par cette belle science appelée magnétisme animal (1), science qui, s’éta
expliqués que par cette belle science appelée magnétisme animal (1), science qui, s’étant transmise à nous d’âge en âge, conti
du monde qui ont pris à tâche, par amour de la vérité, de poser cette science sur des fondements inébranlables. C. Constant.
t. Smyrue, 5 juin 180t. (1" livraison.) (I) Les rapports entre la science magnétique d’Europe et les conceptions magiques d
dans la nature inorganique, des phénomènes bien étranges, auxquels la science ne nous avait point préparés. Malgré leur étrange
élevées que celles qui, déjà depuis longtemps, ont prédominé dans la science . Nous avons trouvé dans la préface du Dr Tripie
’ABBAUD (1). Versailles, l"août 1861 (2). M. d’Arbaud définit uue science exacte : « Uiie série de faits matériels, de ph
rincipe naturel qui sert de base * ces faits ne constituent pas une science . Tous les faits naturels ont pour base un princip
érie, si nombreuse qu’elle soit, ne présente que de l’empirisme. La science exige autre chose. Elle est la synthèse qui, cl
de saint Augustin. » J. P. Cbevalier. (l.'âme, au point de vue de la science et de la raison.) D’après Spinosa : L’âme est
onforme au corps. Ainsi conçue, l'âme humaine serait lino vue de la science ri forme personnelle aérienne; une individua- de
vement ne peuvent appartenir au sujet divisible. » ( Dictionnaire des sciences philosophiques.) Mais qui vous dit qu’il soit d
tisme opérera une révolution dans le monde de la philosophie et de la science , parce que la vérité est une et qu'elle se fera j
s de désavouer demain ce qu’ils avançaient hier, parce que toutes les sciences sont mobiles et que nous ne savons pas. J’aime ce
ions* et que vous les accusez d’être attardés dans ce vestibule de la science , les engageant à passer au salon pour arriver a
sayer de les modifier sur un point trop important, relativement' à la science mesmérienne et que, par conséquent, je ne puis pa
du mot, parce que, au point de vue thérapeutique du magnétisme, cette science n’a rien à faire ; et, quand nous guérissons, soi
peutique magnétique, du moins dans l’intérêt de la philosophie et des sciences , mais logiquement et sans précipitation. Bien à
ns, briser bien des entraves, répandre beaucoup de sang. Cependant la science s’est établie ; où était l’ombre, la lumière se f
beaucoup. Le fond de ma pensée est pourtant ceci ; c’est que dans les sciences tout est conjecture, comme dans l'opinion Tome XX
ation. Les magnétistes jusqu’à présent ont fait ce qu’ils ont pu ; la science magnétique leur doit un progrès véritable et un t
i les empoisonne, ils se conforment à ses arrêts; les savants ont une science incomplète et ils ne veulent à aucun prix des nou
ère. Je sais que je ne sais rien, dit l’homme le plus avancé dans les sciences , et beaucoup pensent de même. L aveuglement gén
ul lire avec intérêt les fragments qui suivent : a Pour posséder la science de l’unité sainte, il faut regarder la flamme qui
o Tout est matière et tout est esprit (*). » Hermès. L’élite de nos sciences modernes el de nos lucidilit actuelles confirme c
rement Ignorant la plupart du temps, se trouve à l'instant doué d’une science bien supétieure k celle des médecins : il donne d
s opinions erronées qu’on peut se faire d’un objet se rattachant à la science , quel qu’il soit ; et, toutes les fois que la pub
t, l’étude approfondie d’un des phénomènes les plus merveilleux de la science magnétique ; phénomène qui peut seul nous conduir
pas à dire que cet état de choses est fâcheux pour l’avancement de la science ; et si, parce qu’on a éprouvé des échecs presque
octeur Léger, qui font boutique et qui n’ont d’autre dieu, en fait de science et de vérité, que le dieu du xix'siècle : l’or;..
t qu’ils invoquent pour s’éviter la peine d’augmenter le nombre des sciences utiles à l’humanité, comme si nous ne devions pas
ont, le plus souvent, que répéter ce qu’ils ont entendu dire de cette science ; ou, ayant expérimenté dans de mauvaises conditi
t, elles ont encore leur utilité au point de vue de ces parties de la science encore incomplètes. Seulement, dans ce cas, il fa
qui s’y rattachent le rang qu’il doivent occuper tôt ou tard dans les sciences et dans le monde?... Oh ! non 1 mille fois non!..
B.....sont vides de sens, en ce qu’il n’y a rien d’absolu dans les sciences non mathématiques et encore..... Il en sera de
us déraisonnable, et s’ils ne le sont tous deux ; si enfin il y a une science médicale. Mais la réflexion n’est point venue che
Du Somnambulisme: Fixer la limite où s arrêtent les faits acquis à la science , et exposer le programme d’une série d’expérience
ndir son étude. » C’était la question du magnétisme posée devant la science . J ai cru devoir relever le gant, et je me suis d
, que d’obstacles! D’abord, renvoi de la question de la section des sciences naturelles à la section des sciences médicales. —
de la question de la section des sciences naturelles à la section des sciences médicales. —Puis, par une coterie, sans délibérat
D’abord c’est, dans le congrès scientifique de France, la section des sciences médicales qui déclare juste le contraire de ce qu
nitz définissait la pensée : « la perception simple , jointe à la con science du moi, ou à la réflexion dont les animaux sont p
ies de son caprice, les erreurs de sa rêverie, les combinaisons de sa science , tous les trésors utiles ou futiles de son inépui
qui désigne la qualification naturelle des propriétés des corps. La science de ces propriétés les embrassait dans toute la na
nature et s'étendait à toutes leurs applications : elle signifiait la science et l'art de la médecine. Ce n'était là, toutefo
nous procure ainsi l’expli- v a lier, L’Ame au point de tiue de la science el de la raison.) a La métaphysique, source tén
elle-ci faiblisse, le conciliabule des émeutières (Dictionnaire des sciences philosophiques.) « Dans son développement spiri
-rens (1), vérifiant les travaux de le Gallois et de Lorry, dotail la science physiologique de la détermination précise du sièg
l d'ndmotlre que l'on pnis»e rrncBVOiR..- te n'rxùtr mille part? la science en la faisant précéder de préjugés qu'il faul dét
fioul* planète, ajoutait* il, ett entourée ainsi de ses esprit». La science officielle nous dirait que ce aont de» « fore et,
bien. Mai* non» loi demanderions : qu'est-ce qne ces « forcttl • I.a science ne aérait plus capable de répondre d’une manièra
z, nous voici de rechef en face de la syhthèse religieuse de la haute science de l’antiquité, savoir ; LE FEU (l'esprit) princi
de nous livrer, a clairement déduit, je crois, au point de vue de la science antique, le mode et la nature de raconta la vis
é des recherches, de marquer la différence et les limites de ces deux sciences . Il faut en maintenir la séparation contre toute
, et aussi leurs nombreuses tentatives pour en relier le principe aux sciences établies et en tirer des inductions aussi neuves
agie est apparue et notre Journal renferme quelques éléments de cette science . Le Spiritualisme, enfin, a trouvé le journal d
dire cette vésanie du sommeil indéchiffrable aux investigations de la science actuelle. « Avouons encore ici notre complète ign
etc. «Il faut qu’une enquête soit ouverte, etc. « L'Académie des sciences , ni l'Académie de médecine, n’ont pas le droit de
s a défendre. Je ne suis vous m'écrivez que, « dans l’intérêt de la science du mesmérisme, ces citations multicolores sont su
uestion. » Mais alors, je vous en prie, donnez-moi l'adresse de... la science du mesmérisme! Sinon que, calife de l’Occident, v
e biographique, II. Mesmer présente ses assertions à l’Académie des sciences et à la Faculté de médecine. — Premier établissem
y, contemporaine de Mesmer, et du Dr Rostan, membre de l’Académie des sciences , sur l’avenir du Magnétisme et sa reconnaissance
e des sciences, sur l’avenir du Magnétisme et sa reconnaissance comme science officielle. 1. Arrivée de Mesmer à Paris (fév
u, ce qui n’y gâtait « rien (1), » il venait, disait-il, apporter une science nou- (1 ) Mémoires de la marquise de Créquy V.
(1706), Mesmer appuyait « sa théorie sur des principes reçus dans les sciences et sur des exemples généralement connus, mais les
jours, où l'influence des astres sur notre globe a élé réduite par la science aux alternatives de lumière et d'obscuritc, au mo
r le magnétisme pénétrer dans les familles et y opérer un bien que la science médicale est impuissante à produire ; car le magn
dehors de la pharmacopée, et c’est d’abord pour les personnes que la science abandonne que les principes nouveaux seront un in
rappé comme une lumière. Si mes idées sont vraies, elles serviront la science ; mais je déclare n’avoir aucune prétention de ch
ilé et le phénomène expliqué au point de vue du rationalisme et de la science . » Parbleu! je vous conseille de vous en vanter
a science. » Parbleu! je vous conseille de vous en vanter, de votre science et de son rationalisme! Quel dénouement colossal!
ne suis pas devenu crédule, cl cependant je ne raille plus ce que la science du jour n’accepte, ni ne sait solidement contredi
uraient que les Egyptiens possédaient une profonde connaissance de la science à lacjuellç nous avons donné le nom de magnétisme
science à lacjuellç nous avons donné le nom de magnétisme ; que cette science était pour eux la clé de toutes les autres, et de
Egypte, qu’il était exclusivement entre les mains des prêtres, de la science desquels les peuples voisins avaient l’idée la pl
par un prince, son allié et son parent, de l’envoi d’un docteur delà science , ud'unhomme au cœur intelligent, d’un maître aux
s en les perpétuant, le magnétisme est le fondement et la lumière des Sciences intuitives et des Sciences Morales et Politiques.
nétisme est le fondement et la lumière des Sciences intuitives et des Sciences Morales et Politiques. Esclave docile de l'esprit
s propriétés, de ses lois. Cette seconde révélation est l’objet de la Science médicale, des Sciences physiques et Naturelles et
ois. Cette seconde révélation est l’objet de la Science médicale, des Sciences physiques et Naturelles et de Y Industrie ; mais
utions aussi brillantes que satisfaisantes pour les difficultés de la science . C’était surtout le sujet de Ibtirs continuelle
substance; que ta Majesté veuille envoyer un homme connais- sant la science pour l’examiner. « li. Le roi dit alors : « Qu’
ans ses membres. » « Le roi après avoir consulté les docteurs de la science sacrée, envoie au pays de Bakhteti le basilicogra
ammate Thot-em-hewi avait du être choisi parmi les dépositaires de la science qui enseigne à reconnaître ces manifestations. Au
unes des sectes du gnosticisme, avaient des racines profondes dans la science antique de l’Egypte. Il est extrêmement intéressa
ressant de rechercher, dans les textes originaux, les débris de cette science vénérable. C’est là une tâche vaste et belle à la
RIE. Le sort des humains n’est plus dans les mains de la nature, la science e9t devenue la régulatrice de la santé, elle s’es
devenue la régulatrice de la santé, elle s’est substituée à Dieu. La science ne tient aucun compte des forces médicatrices qui
ique, oui, vos procédés d’investigation annonçaient que vous aviez la science magnétique et que, ne voulant pas en révéler l’
s. Votre temple est une arène ; mais, que dis-je ? il n’y a pas une science médicale seule : chose singulière! chaque médecin
ut-être ce qu’ils ne savent pas. Baron du Potet. NÉCROLOGIE. La science vient de perdre un de ses éminents représentants,
carrière au moment où il portait son regard sur les obscurités de la science officielle, touchant l’ordre moral. Le magnétis
roche aux magnétistes leur inconséquence à se refuser d’étu-dier leur science dans ses plus grands développements, afin de pouv
aux hypothèses scientifiques, il ne laisse pas môme à l’ombre de la science une assez large place..... Cette foi là nous prio
épart, qu’on regarde comme un principe, comme une vérité acquise à la science , pour juger les doctrines et fixer les appréciati
études sur le surnaturel ? Parce quelles sont indispensables pour la science de F homme et pour la connaissance de son état vé
ychologie rationelle et transcendante, oui! c’est une partie de celle science qui procède par voie d’observation pour atteindre
rd’hui, et de l’appuyer de quelques considérations se rattachant à la science . La constatation des faits est ordinairement faci
dont j'aurai ébauché à grands traits les conséquences futures pour la science . Je n’hésite pas à répondre ceci à la première
it, c’est dans ce livre primordial que se trouve la clef de la grande science qui doit nous conduire infailliblement à la conna
s de plus vers le progrès. Ampère a dit : « Ou Moïse avait dans les sciences une instruction aussi profonde que celle de notre
Éludiez-donc sans ersse, obi vous qui voulez acquérir la véritable science , et laissez aux orgueilleux, aux insouciants, aux
e-Dieu, cet envoyé sublime, et vous y trouverez la clef de toutes les sciences . » En effet, le magnétisme, cette clef dorée de l
dir lui-même au lieu de plier sous les faux dogmes des docteurs de la science on de la religion qui lui disaient : « Crois ceci
leur assigner une origine positive, du moins dans l’état actuel de la science (1). D. H. André, Médecin homœopathe, magnéli
nétisme a fait, et de l’ébranlement qu’il produit dans le domaine dos sciences . Les études sur le Magnétisme deviennent plus sér
re entrevoir des vérités d’un ordre supérieur, propres à troubler les sciences physiques dans leur quiétude, ni mieux que lui no
de Paris ; l’écho les redira éternellement, car le magnétisme est la science de l’avenir. 11 remonta pour un instant aux sourc
reau du Journal, tous mémoires ou observations qui intéresseraient la science du magnétisme, et dans l’occurence un bulletin po
ivant à Paris, fut de faire présenter ses assertions à l’Académie des sciences par le comte de Maillebois, lieutenant des armées
août suivant, Mesmer écrivit à M. Le Roi, directeur de PAcadémie des sciences , dont il avait fait la connaissance quelques mois
r tomba dans le découragement le plus complet. Livré aux risées de la science officielle qui le traitait do . charlatan » (2) e
Marais. Résolu à son retour de Créteil de se passer du concours de la science officielle, il espère par ses cures ouvrir les ye
igeants quand il s'agit des croyances des temps passés et surtout des sciences (1 ) Biographie de Fcl|er, v. 8, p. 347. (2)
crédulité; mais je pense qu’on a tort de mépriser 1 histoire de cette science occulte et l’examen des procédés qu’elle employai
a parfois sous l'enveloppe d’une opération magique les éléments de la science ésotérique de l’antiquité qui nous échappe encore
tte matière. Mais ce qui touche à la partie la plus curieuse de cette science occulte, à la magie orientale et à la divination,
e les archéologues ne doivent jamais omettre de nous fournir, sur les sciences occultes, les renseignements qu’ils peuvent renco
de magie, et tous les faits extraordinaires étaient attribués à cette science : les grands hommes étaient transformés en magici
d’accord avec celles que m’ont données deux membres de l’Académie des sciences , l’un savant physicien, M. Babinet, l’autre M. Ga
ne chaîne continue qui lie les temps plus reculés au nôtre. C’est une science mystérieuse qui s’est transmise, comme toutes les
. C’est une science mystérieuse qui s’est transmise, comme toutes les sciences ésotériques, par recette, procédés, imitation. C’
hénomènes se dérouleront sous nos yeux, on verra apparaître toute une science ; on découvrira les vérités importantes dont ils
est laissé, je ferai en sorte que mon dernier effort, en faveur d’une science qui a absorbé ma vie, laisse une empreinte qui ju
étiser les malades. 3, 29. Magnétisme animal. Ses rapports avec les sciences et la philosophie; étude par M. Rossi, 121. Mag
93. Physique et psychique. Sens attaché à ces deux adjectifs par la science et la philosophie, 492, 495. Pneumatologie. Voy
Psychologie. Voy. Ame. Rapports (des) du magnétisme animal avec les sciences et la philosophie; étude pur M. Rossi, 121; — d
ec les sciences et la philosophie; étude pur M. Rossi, 121; — de la science magnétique d'Europe avec les conceptions magiques
tant le cachet d'une violente intolérance envers le magnétisme et les sciences occultes, dans le passé comme aujourd'hui, 151, 2
nitarisme (l'), livre des chrétiens unitistes, ou Exposé de la grande Science chrétienne, etc., por Pail-lot de Moutabert. OEuv
4 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
e se priver, à cause du discrédit qu’on se plaît à déverser sur cette science , d’un auxiliaire aussi puissamment bienfaisant.
et de la magnétothérapie, qui s’intéressent à la propagation de cette science , apprendront aussi avec plaisir, qu un Journal sp
es par ce moyen, ainsi que les faits divers qui sont du domaine de la science en général. « Dans l’exposé d’un traitement, on
. Je considère cette institution comme le critérium et l’avenir de la science mesmérienne. Je m'empresse donc de me porter au n
trine, soit que les mœurs d’alors s’y opposassent, le fait est que la science mesmérienne ne germa pas dans ce royaume, où tint
magnétisme. Quelques personnes érudites avaient bien pu étudier cette science dans les livres français ou allemands, mais elles
mi lesquels un rédacteur d’une feuille d’annonces, et pas un homme de science . C’est dans cette feuille que ces huit adeptes n’
ouble embarras. Le magnétisme n’étant pas, rien n’est dérangé dans la science ; il n’y a point à refaire de système, à détruire
ées et obtenues au grand jour sur des malades abandonnés par la haute science des écoles n’étant que le fruit du mensonge et de
oir. Ah ! messeigneurs, bientôt les charlatans auront plus de vraie science que vous; car, je vous le dis, ils font des chose
uves publiques et de répondre de ses œuvres. Grands seigneurs de la science médicale, prenez garde qu’une voix inspirée ne
ra cette fois du moins été la justice de Dieu. Grands princes de la science , pourriez-vous nous donner des nouvelles du fameu
ait été introduite. La vérité vous a fût peur, grands princes de la science ! En effet, l’erreur est bien plus profitable. N
du feu ou du poison. J’ai vu par milliers des martyrs de la fausse science , mourir sans proférer une parole de malédiction c
aient appelé à leur secours. A la vue de ces faits, je pensais à la science divine de Mesmer, et je me disais : Quand l'opi
fera un progrès inespéré et prendra le premier rang parmi les autres sciences . Mais ce pas en avant, la science médicale ne l
le premier rang parmi les autres sciences. Mais ce pas en avant, la science médicale ne le fera que lorsqu’elle y sera forcée
s attaques ne sont point injustes, je vais raconter les méfaits de la science officielle, les dis- cours de ses-héros, l’impu
’union entre la terre et le ciel. Entre ces deux extrêmes, l’homme de science cherchera la vérité. A.-S. MORIN. INSTRUCTION
, chez certains êtres privilégiés, produit le somnambulisme, la seule science qui démontre l’immortalité de l’âme. De même que
r simples instruments de la nature et magnétisant leurs malades, leur science leur venant en aide pour remonter jusqu’aux cause
nts que tous les autres hommes. Ce moment venu, les magnétiseurs sans science n’auront plus qu’à courber la tète et à suivre le
ion; on comparera les œuvres du charlatanisme avec celles de la haute science ; le mépris public atteindra celle-ci ; les autel
ité, à sa façon, les plus graves questions de morale, de religion, de science sociale, il a abordé les sciences occultes. Dans
questions de morale, de religion, de science sociale, il a abordé les sciences occultes. Dans Gilbert et Gilberte, il a exposé l
blic sur la grande question de la divination ; il a voulu relever les sciences occultes et les venger du mépris injuste et irréf
u mépris injuste et irréflchi dont les a frappées le matérialisme des sciences positives. Quoi qu’il en soit des convictions d
n y recourant on ne soit mû que par l’amour pur et désintéressé de la science et par le désir de faire du bien. Nous terminer
fluence magnétique se réalisent parfois d’une manière surprenante. La science a encore tant de secrets à pénétrer! Aussi, en pr
.. . . . . « Ayons espoir dans la marche toujours progressive de la science humaine; seule elle peut élucider, elle élucidera
moderne de ce phénomène. L’auteur voit dans ce retour « un avenir de science inconnue ou niée», et dans le fait lui-même «les
second point, le plus étrange, est une merveille de plus acquise à la science physiologique. « La table soumise à l’influence
née de ces deux fluides. Cette opinion est appuyée par tout ce que la science du magnétisme animal nous a dévoilé jusqu’ici....
le problème. Sans doute ; mais était-ce une raison pour abandonner la science , et demander à la religion le mot de l’énigme? Ne
vrages Tome XIV. — N° *05. — 10 février 1S53. 3 publiés sur cette science par MM. du Potet, Teste, Ricard et autres, ce qui
ments de maladies dites incurables, et rendons à la santé ceux que la science officielle a condamnés ; nous montrons ainsi le
par son importance, des développements circonstanciés intéressant la science tout entière; mais le temps ne m’appartient plus,
nt plus, je cours sans m’arrêter jamais, je suis le Juif errant de la science , j’ai toujours un fait à ma portée, mes mains son
ions sanguines et par les remèdes de toutes sortes, le jugement de la science devait bientôt recevoir son exécution. Vous, me
rendu libre. Chercher de semblables exemples dans les annales de la science serait inutile, il ne peut y en avoir, la nature
la gravité du mal qui existait dans l’articulation de la cuisse ; la science avait dit son dernier mot, et vous étiez condamné
a simplicité, trouver des imitateurs zélés qui, comme moi, amis de la science , suivraient les règles imposées par la nature,
incurable ; vous le deviniez, on l’avait dit; les illustrations de la science officielle avaient prononcé. Qu’aviez-vous donc e
voulu vous montrer ingrate , je vous en félicite dans l’intérêt de la science que je défends. Mais ces œuvres sont difficiles
changer le genre humain. Je viens de pécher contre les règles de la science ; mes descriptions sont incomplètes, car elles ne
encore un ami du mesmérisme, ce qui veut dire homme de progrès et de science humanitaire.... Si les pauvres de Plombières le p
es-uns d’abord vous suivront, puis enfin la foule acceptera ce que la science des écoles refuse de voir et de comprendre. Rec
ste pas,» jamais ils ne convaincront ceux qui voient le contraire. La science n’est pas encore faite, et le médecin vraiment di
possible; car, sans cela, la vie n’est plus qu’un funeste présent. La science médicale, dans son aveuglement, est parvenue à fa
qui laissent souvent des traces si profondes. Grands princes de la science officielle, 011 fera bientôt votre histoire ; 011
re ! On saura un jour que ce qui restait d’instinct médical, de vraie science , s’était réfugié chez quelques médecins de campag
cience, s’était réfugié chez quelques médecins de campagne, et que la science enseignante, si elle savait faire des savants en
ayant plus besoin. Le désespéré jouit de la lumière ! Ici encore la science avait dit son dernier mot. Un ignorant, un magnét
is pénétrer le feu magnétique dans cette argile humaine, et ce que la science n’avait pu obtenir se produit. 11 survient des
’est pour qu’il en soit ainsi que l’on m’entend dire chaque jour : La science médicale sera réformée. C’est une honte aux médec
des infirmes est incalculable, et dans son impuissance volontaire, la science n’en prend nul souci. Son devoir n’cst-il pas d’é
Que de trésors ignorés le nouveau phénomène pourra dévoiler un jour! Science infuse ! idées innées! criera-t-on. Qu’importe. J
rganisation n’ont pas de limite déterminée. Ces faits dépassent notre science actuelle; mais, dans un temps donné, le progrès d
de cet article, M. l’abbé Coignat, admet nettement le principe de la science , et ne fait de réserves que pour les appréciation
BIBLIOGRAPHIE. LA THÉORIE DES RELATIONS considérée comme base de la science et du progrès actuel, par M. l’abbé Caupert, prof
ts d’un corps qui aurait dû, dès longtemps, se placer à la tête d’une science dont le maniement lui a, dans l’antiquité, presqu
ois lignes ; la voici : « La théorie des rapports, dit-il, c’est la science expérimentale du progrès moderne dans ce qu’elle
oilà pourquoi les découvertes rares, dues au hasard ou au génie de la science , ont été embrassées par les uns avec enthousiasme
vec si peu de raison ; loi nouvelle, qui, tombant dans le domaine des sciences , fait connaître à l'homme les rapports qu’il igno
d’une chaîne immense d’autres vérités qui plus tard coustitueront une science entière. 11 y a tout un passé à faire renaître et
des vérités ; qui menaça Galilée du bûcher et fit tant de martyrs des sciences et de l’intelligence. C’est elle qui, dans le siè
our l’acquit de sa conscience et de sa raison, devoir soumettre cette science nouvelle à une étude sévère, à un examen expérime
nds et nombreux égarements. Les données fournies en même temps par la science , la raison et la foi, nous paraissent indispensab
ntiment universel pour se rap- procher des résultats nouveaux de la science ! Qu’on en juge par l’histoire de la question pré
s naturels; d’autres, au contraire, se croyant en possession de toute science et de toute vérité, ont répondu ii cette préten
s dont la première parait être un agent très-subtil, et connu dans la science sous les divers noms de fluide vital, nerveux, él
aison froide et d’un esprit éclairé, s’occupent sérieusement de cette science à Paris, à Lyon, à Bordeaux, à Cherbourg, dans to
parmi le clergé un écho dont il est si étrange qu’au XIXe siècle une science quelconque se trouve avoir besoin pour pouvoir êt
urelles, telles que celle de la parole, de l’éloquence, des arts, des sciences , en le déclarant soumis aux mêmes lois, entraînan
e que le magnétisme, admis à la place à laquelle il a droit parmi les sciences les plus élevées, soit étudié, réglementé et conf
jourd’hui plus que jamais le divorce qui menace de s’établir entre la science et la foi. « Quelque vaste que soit la science
e s’établir entre la science et la foi. « Quelque vaste que soit la science sacrée, s’écrie le dernier « Concile provincial d
iastiques, qui doivent désormais contenir au moins « les éléments des sciences profanes. » Ce vœu, qui avait été également émi
, le cardinal Gousset, vient ajouter à ces témoignages le poids de sa science et de sa dignité : « Les effets étonnants de l’
te dernière citation que nous lui empruntons : « Quand il s’agit de science expérimentale, le seul parti à prendre entre la c
vœu que la clef de ces mystères de la nature ne soit confiée qu’à une science éclairée et droite, et que ceux qui la manient ne
us y joignons de toute« nos forces, persuadé que dans ses mains cette science est appelée à rendre à l’humanité les plus éminen
tion, d’où il résulte une utilité positive et fructueuse tant pour la science même du magnétisme que pour celles dont l’influen
e d’eux, » peut-être de Mesmer lui-même, bien des choses touchant les sciences occultes? « — Mon père m’a toujours dit que le
ngt-cinq ans je dus de compter eu M. Durand un fervent disciple de la science nouvelle. Il vit mes expériences, suivit un de me
sa main et de sa pensée les œuvres dont il avait été le témoin. La science lui doit de belles expériences sur l’insensibilit
spendre la douleur physique pendant de cruelles opérations ; quand la science le voudra bien, il ne restera plus dans l’humanit
, on peut répondre victorieusement à M. Almignana, que Dieu seul a la science infinie, absolue; que tous les autres êtres, même
utres êtres, même les plus éminents, n’ont et ne peuvent avoir qu’une science bornée et ignorent par conséquent une foule de
M. Paul Féval est un médecin magnétiste, et tous les phénomènes de la science de Mesmer et de Puységur sont appelés tour à tour
er coup d’œil, chez l’auteur, une étude approfondie et sérieuse de la science dont il a fait un si heureux emploi. M. Paul Féva
en employant l’attrait de la fiction du roman comme passeport de la science sérieuse près des esprits avides d’émotions drama
ce sérieuse près des esprits avides d’émotions dramatiques, et que la science toute seule, dans sa nudité austère effrayerait,
ts deux faits que vous pouvez faire figurer dans les annales de notre science , si vous les en jugez dignes. Le 27 octobre der
Je me suis, depuis lors, livré à des études approfondies sur cette science , et j’ai recueilli, sur la clairvoyance en partic
pporterons, pour notre part, à la construction du grand édifice de la science magnétique. c. CASATl, Docteur en médecine cl e
considérables toutes deux et dont les écrits ont dans le monde de la science et de la philosophie un poids trop sérieux pour q
c’est-à-dire des définitions. Qu’est-ce que la physiologie? C’est la science des principes de l’économie animale, de l’usage e
principes de l’économie animale, de l’usage et du jeu des organes, la science , en un mot, de la vie et de la nature animée. La
s facultés et de ses opérations. Or, sur quelles bases cette dernière science a-t-elle pu être établie ? Sur quelles observatio
uelles études matérielles, par quelles démonstrations tangibles cette science toute idéale en est-elle venue à être une science
ons tangibles cette science toute idéale en est-elle venue à être une science positive, sinon en concluant du principe physique
es un être impossible. 11 n’est donc pas permis de séparer ces deux sciences d’une manière absolue, et l’étude d’une troisième
dère comme décisif l’arrêt prononcé à cette époque par l’Académie des sciences et déclare tout net que « la théorie du fluide es
aculté inouïe, perception, sensation, instinct, peu importe. Quand la science l’aura définie, elle lui donnera un nom ; en atte
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
à leur début, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des hommes aux époques où elles ont pris naissanc
en dehors de l'organisme. Ainsi il dit à la fin de ses Éléments de la science de l'homme : «Lorsque l’homme meurt, son corps
Les faits qui éloignent les savants académiciens de l’étude de cette science sont exacts, donc tôt ou tard il faudra qu’on les
t subir à la malade ; ignorants qu’ils sontdes moindres notions de la science , il ne peut en être autrement. Les peuples sauvag
des cas semblables, par des hommes dont le nom fait autorité dans la science . Il devrait cependant apprécier l’emploi de ces n
ir la relation sincère, d’un fait qui intéresse à un si haut degré la science que vous soutenez si noblement et avec tant d’éne
et cela pour rendre hommage à la pure et simple vérité, ainsi qu’à la science . « Mon fils, Ernesto Bernardi, âgé de onze ans
en même temps à prouver combien il est nécessaire que cette admirable science soit religieusement étudiée et cultivée, en raiso
le doute et les petites arguties, l’hésitation aussi bien en fait de science qu’en fait de morale, d’économie politique ou de
c 1111 rare talent la matière de bien des in-f"*, et contient plus de science et de vérités qu’il n’est gros. Ce n’est point, à
héorique : c’est une analyse rapide, mais substantielle de toutes les sciences occultes, dès leur origine dans l’antiquité la pl
la kabbale, l’astrologie, le magisme, la maçonnerie hermétique et la science des hiéroglyphes qui en dépend, enfin les tables
, bien entendu, la prétention de suivre M. Ra-gon dans cette revue de sciences à l’égard de la plupart desquelles nous déclarons
mites assez étendues, il est vrai, puisqu’elles touchent à toutes les sciences humaines, et quand nous aurons analysé la partie
disant qu’au point, quoique imparfait encore, auquel est parvenue la science magnétique, elle est la voie qui ouvre un vaste a
lui préférerions celle du Dr Bellanger, qui est moins étendue. « La science , dit M. Ragon, compte quatre sortes de somnambuli
e partie d’un ouvrage bien important et que réclame impérieusement la science : le dictionnaire magnétique. En mettant d’accord
re part cent fois produit nous-méme. Que M. Ragon mette en usage la science théorique qu’il possède si bien, qu’il pratique,
nstruction si profonde et si variée, le mettent à même de rendre à la science du magnétisme d’éminents services. 11 n’en pour
journellement du terrain, nous paraît mériter l’examen des hommes de science . Je comprends parfaitement qu’un médecin a besoin
ique, au lieu de sonder d’une main hardie le vrai ou le faux de cette science encore au berceau, et d’en faire l'une des branch
plus haute antiquité, cultivée longtemps dans les temples à l’état de science secrète, pratiquée dans l’Inde par les disciples
mérite. Si le mesmérisme n’est pas encore entré dans le domaine des sciences , cela tient à ce que la plupart des mesméristes,
nous lui souhaitons surtout le concours d’houimes ver- sés dans les sciences et dans le langage scientifique , pour que le mes
lairvoyance qui rentre dans les attributions du domaine général de la science , et qui intéressera nos lecteurs, nous aimons à l
, mais nous marchons : et qu’importe la longueur du chemin ; dans les sciences , la lenteur s’explique par les difficultés. Ne fa
plus admirable au monde, le moyen de faire d’innombrables dupes. La science officielle est en ceci la seule coupable. Elle s’
ers, nous, messieurs , à l’écart dans cette même cité des arts et des sciences , nous nous sommes assemblés sans bruit, sans éc
les louangeuses que pour les industriels, et, nous devons le dire, la science elle-même n’a plus de caractère moral, elle s’est
re chose que des rouages, des poulies et des cordages ; est-ce que la science de l’homme est complète ; est-ce qu’en ceci il n’
sme fiévreux, l’amour de l’or s’est emparé de tous les hommes, et les sciences spéculatives n’existent plus que de nom. Peut-êtr
t pour leur redonner un nouvel essor. « Messieurs, qu’est-ce que la science physiologique de nos jours? Un amas d’hypothèses
ster dans notre appel. « Qu’est-ce que la psychologie actuelle? Une science indéterminée et vague, où l'âme reste à l’état de
e science indéterminée et vague, où l'âme reste à l’état de problème; science qui vous laisse le doute au coeur. Plus vous avan
fait; voilà pourquoi, ayant montré au monde toute la faiblesse de la science des Écoles, nos illustres calomniateurs cherchent
qu’au séjour de ceux qui ne sont plus ! Sans doute, messieurs, ici la science n’est point encore faite, mais nous savons à n’en
e. Voilà ce qui trouble les mauvaises consciences. Laissons la fausse science nous ré- pondre le scalpel à la main, elle n’em
c’est ainsi que souvent on nous vit réparer les erreurs de la fausse science et guérir les in-* fortunés auxquels elle avait e
salutaire influence. « Dès ses premiers pas dans la carrière de la science , Mesmer révèle la hauteur de son génie, et fait p
religieuse de l’œuvre de Dieu. Ce sont des matériaux précieux que la science utilisera. Et à ceux qui seraient tentés d’en con
révélation sans exemple. La médecine fut ébranlée sur ses bases ; la science antique fut bouleversée. Comment admettre que par
à profusion des merveilles qui défient toutes les ressources de notre science si bornée ! « Mesmer comprit que le meilleur mo
enfreindre les décrets du docte aréopage et avouer leur adhésion à la science proscrite. Superbe décision, bien digne de figure
s de leurs exemples et de leurs leçons. Si nous ne les égalons pas en science , si nous ne sommes pas doués comme eux, par la na
ouverts du manteau do la philanthropie, Vous propagez partout votre science impie. * Or, nous savons très-bien qui vous rep
ls pas également que cet ami du magnétisme aime à payer sa dette à la science ? L’esprit lui coûte peu, et d’ailleurs ne sait-il
, et lorsque je rencontre le courage, le dévouement, l’abnégation, la science , l’heureux instinct, je suis heureux d’être le pr
er mot de l’Académie sur les faits en. question; voilà jusqu’où va la science officielle dans son appréciation des phénomènes m
permettre de traiter, d’une manière complète et satisfaisante pour la science , cette matière si variée et si étendue, je n’ai p
que magnétique n’ont pas bien saisi cette pensée du fondateur de la science , beaucoup étant étrangers à ces vastes connaissan
lui était étranger, et les notions étendues qu’il avait de toutes les sciences lui donnaient une profondeur que tout le monde ne
embler suffisant lorsque je m’adresse aux habiles continuateurs de sa science . Mais les paroles de Mesmer ne font foi que pou
et les paroles de Mesmer et les opinions mêmes des adversaires de la science qu’il a fondée? ;i savoir que : le magnétisme a
plètement débarrassé, et mon médecin partageait ma confiance; mais la science d’Hippocrate 11’opère point de prodiges, et je n’
t je m’aperçus, hélas ! que ce qu’il y avait de plus brillant dans la science du maître, c’étaient les galons de la livrée du d
is entièrement opposés. Enfin, voulant m’éclairer au foyer môme de la science , je partis pour Paris et allai consulter M. Andra
gère n’était qu’un ignorant, connaissant à peine même l’A, B, C de la science dont il s’intitulait professeur, et son séjour à
me voilà devant vous, messieurs, pour donner un démenti à leur vaine science et bénir les bienfaits du magnétisme. Quelque l
s dont j’ai moi-même été l’auteur depuis que, plus éclairé dans cette science admirable, j’ai joint, pour en répandre les bienf
expérimenté lui fasse occuper la place à laquelle il a droit dans la science de guérir. J. SALLARD. Poris, 31 mai I8!>5
faisaient prévoir un rude travail. Ces individus sont de ceux que la science offi- eiellc abandonne après avoir essayé vaine
qui, entre toutes choses, nuit considérablement aux progrès de notre science , ce sont les exhibitions en plein vent des somnam
s sur des théâtres peu en harmonie avec le respect que l’on doit à la science du magnétisme. Dans cette dernière catégorie, j
? — Mais il faut prendre patience ; ne savons-nous pas que toutes les sciences utiles ont eu dans leur enfance des propagateurs
au sérieux, de quelque plume qu’il émane, tout écrit qui a trait à la science , dont nous sommes fiers de nous dire hautement le
encore en 1784), puis l’article de Mon-tège dans le Dcctionnairc clcs sciences médicales (1819) , et enfin les écrits du Dr Bert
cinq, quatre sont hostiles au magnétisme. Voilà la justice! voilà la science ! voilà l’étude! Depuis Mesmer plus de 1,500 volum
à l’étude! Depuis Mesmer plus de 1,500 volumes ont été publiés sur la science qu’il a mise au jour. Mais ses adversaires se gar
uits, sans que l’enfant grandit et parvint à l'âge viril. Gomme si la science pouvait rester stationnaire à son point de départ
fut ruinée le jour où la célèbre commission nommée par l’Académie des sciences prouva par des expé-riénces que, sans invoquer un
e ces parents désolés et ce médecin qui a reconnu l’impuissance de sa science et qui s’adresse, pour sauver une vie à, un pouvo
1855. BIBLIOGRAPHIE. LA QUESTION DES ESPRITS, ses progrès dans la science , etc., par le marquis Eudes de Mirville. 1 vol. i
armi les diffé- rentes facultés dont sont doués les somnambules, la science reconnaît celle de lire dans la pensée de leurs m
négation facile. Tout le corps médical se réunissait pour écraser la science qui les épouvantait par l'avenir qu’elle ouvrait,
ils ne se sont pas arrêtés à une date, ils ont suivi la marche de la science , ils ont étudié, ils ont vu, ils ont comparé et s
sa Théorie positive, dans les brouillards de la plus hypothétique des sciences , la phrénologie? Car c’est pour en arriver à ce p
our ne plus admettre de richesses étrangères. Comme si le champ de la science était trop profondément labouré! comme s’il ne de
ous manquera cette lumière intérieure, inexpliqué*, inmi -nuo, car la science en revient toujours au ii/nni m. celle lumière po
e le magnétisme; mais tout ce qui se rattache de près ou de loin à la science de la vie, tout ce qui, en particulier, a quelque
s voulions rapporter ici les milliers de faits semblables acquis à la science et auxquels M. Segond ne trouverait pas de répons
il ose écrire les lignes suivantes : (. Le profit qui revient à la science d’une telle discussion, c’est l’observation d’une
ltats scientifiques. » Et à qui la faute, monsieur Segond, si cette science , dont vous êtes obligé de reconnaître la fécondit
s instances pour que les corps savants sc saisissent en effet de la science que nous leur apportons et recueillissent les fru
e à une vos doctrines routinières, démontrer l’inanité de cette vaine science dont vous êtes si superbes, parce que le vulgaire
s illustres, qui ne croient pas au-dessous de leur dignité et de leur science d’étudier, de pratiquer ou d’autoriser le magnéti
urde, mais honorables après tout par leur caractère, leur amour de la science et leur persévérante recherche de la vérité, s’ou
iller notre ruche. Mais cette flétrissure ne doit pas retomber sur la science elle-même, ni être jetée à la face de ceux qui on
pour la première fois; mais s’il est aussi arriéré dans l’étude delà science qu’il doit professer, il a cependant droit à quel
dire : Vous avez lu l’article de Montègre dans le Dictionnaire des sciences médicales, et vous trouvez fort remarquable ce tr
victime de l’Eglise. C’est un riche et curieux sujet d’étude pour la science , que la vie si étrange, si prodigieuse de l’humbl
éplorable comme acte d’iniquité et d’ingratitude. Les progrès de la science , et surtout l’avénement du magnétisme, permettent
llez et répandez ces vérités, nous ne sommes pas assez versés dans la science de Mesmer pour nous prononcer. Nous croyons aux p
Universellement reconnu, plutôt par l’inctinct des masses que par la science , ce mode d’action, sans jamais recevoir de défini
la sympathie universelle, et cependant, en réunissant en un corps de science les procédés et les méthodes de ces divers arts,
beaux fleurons de sa couronne, qui recherchent, dans la tradition des sciences occultes, ou dans les traditions religieuses, les
s organes et la guérison par le magnétisme. C’est cette branche de la science que Mesmer avait en vue lorsqu’il écrivait son ap
marquables; ils peuvent produire des résultats curieux et rendre à la science des services réels en frappant l’attention, en éc
oulagement de leurs frères qui souffrent. La médecine constitue une science . Nous respectons, nous honorons la science dans l
La médecine constitue une science. Nous respectons, nous honorons la science dans la diversité des branches qui la constituent
la foi; il n’a pas l’expérience, il a la volonté (1). 11 n’a pas la science , il a la puissance; il n’ordonne pas les remèdes,
causes échappaient presque toujours à une enquête scientifique. La science moderne a qualifié cette affection du nom de CIto
l’étude, en sorte qu’ils sont comme n’existant pas et perdus pour la science . Il faut donc que les magnétistes étudient eux-mê
Garnay). BIBLIOGRAPHIE. QUESTION DES ESPRITS; ses progrès dans la science ; examen de faits nouveaux et de publications impo
ine de plus en plus vaste. Le magnétisme se rattache à la plupart des sciences qu’il contribue à éclairer et à agrandir ; il ser
igmes indéchiffrables. Par les merveilles qu’il enfante, il tient aux sciences occultes, il soulève les questions les plus ardue
portants qu’il était trop commode de nier pour en finir, mais dont la science doit chercher à se rendre compte. En voyant repar
le récit que nous venons de citer et un rapport fait à l’Académie des sciences , d’après lequel un habitant de la rue Saint-Jacqu
stes de bonne foi: devant toutes les questions « qu’ils soulèvent, la science reste muette. » Que conclure d’un aveu si sage
la science reste muette. » Que conclure d’un aveu si sage ? Que la science humaine est bornée. Qui le nie ? Qu’il y a des ph
éclairer des points actuellement obscurs et reculer les bornes de la science qui, quoiqu’on fasse, sera toujours bien restrein
lications, on ne reste jamais court, et on n’a rien à démêler avec la science . Qu’un malade croie entendre des roiæ dam son e
du magnétisme (Question des Esprits, p. 206)... Le magnétisme estune science dans laquelle il n’y a ni pontife, ni concile, ni
espèce de compérage; eh bien ! nous avons acquis la certitude que la science seule a contribué à la réussite de toutes ces exp
quables sur le magnétisme , le spiritualisme et diverses branches des sciences occultes. Nous trouvons dans le numéro du 15 mars
qu'il ne sera pas le dernier, persuadé que c’est là un trésor dont la science doit s’enrichir, et qu’il ne faut plus, pour comp
tées feront marcher l’hydrologie et lui feront prendre rang parmi lus sciences positives. « JOHN W. WILKINSON. » L’auteur de
ants. Ces facultés précieuses, si intéressantes au point de vue de la science et si fécondes en résultats utiles, ont été depui
recueil forme déjà un faisceau imposant. Les organes officiels de la science ne peuvent plus se dispenser d’examiner sérieusem
it enrichie l’humanité. Quand le médecin, avec le secours de toute sa science laborieusement acquise, n’a pour se guider que de
curieuse du magnétisme. La lucidité des somnambules peut fournir à la science des lumières inappréciables; elle peut non seulem
e, il fait voir comment ce moyen peut suppléer à l’insuffisance de la science médicale : « Le véritable praticien, dit-il, qu
nvoie, et parce qu’il ne vient pas à lui sous une forme réglée par la science , non seulement il le repousse, mais il cherche à
lui une main sacrilège!... Ce flambeau providentiel doit éclairer la science , soulager l’humanité souffrante, diminuer le nomb
sement le système émis par M. Lélut dans son rapport à l’Académie des sciences morales et politiques, sur le concours ouvert il
ore si incertains et si fugaces, les doctrines si hypothétiques de la science magnétique, ne sont point dans ce cas, et nul ne
les mesméristes de Londres des services immenses qu’ils rendent à la science et à l’humanité : espérons que bientôt toutes les
nné, des faits qui semblaient ne se rattacher par aucun point à cette science . Sa marche progressive est facile à constater, et
et des études et des controverses ardentes de la philosophie et de la science . La découverte psychologique succède à la découve
Des expériences nombreuses ont été faites sur ses effets, tant par la science que par la curiosité individuelle. Nous l’avons n
aisent'l’une par l’autre et donnent enfin le dernier mot de la grande science de tout ce qui a été, de tout ce qui est, dê ttfu
, elle gagne peu à peu tous les rédacteurs, et les gros bonnets de la science assistent passivement à cette transformation , eu
n. Un physicien célèbre, M. TKillorier, a voulu rendre l’Académie des sciences témoin d’un fait semblable., et M. Dubois-Raymon
s dans la confidence par diverses feuilles tout à fait étrangères aux sciences médicales. La profonde honorabilité du caractère
les mêmes résultats, qui peut prétendre à une place légitime dans la science . « M. le docteur Dittmar affronte courageusemen
ant été entretenus du fait, il est juste qu’à leur tour les hommes de sciences soient mis à même de se former une opinion. » A
elle, dans le langage médical, la séméiologie, la thérapeutique et la science du pronostic. « Ainsi la malade de M. Dittmar a
mieux continuer à marcher dans les ténèbres dont nous a enveloppés la science vulgaire depuis tantôt vingt siècles. » M. Ditt
nous ijourrions en ajouter un grand Dombre d’autres, que soulève a science , jusqu’ici fort occulte, des magnétologistes. Nou
èges, et en fin de compte à peu près stérile. « Nous croyons que la science , la véritable science peut attendre que l’évidenc
pte à peu près stérile. « Nous croyons que la science, la véritable science peut attendre que l’évidence des faits dont elle
s imputé à paresse ni à négligence d’un élément bien précieux pour la science de l’homme et pour l’humanité. » On le voit, M.
tation favorable, un acheminement progressif dont tous les amis de la science et du mesmérisme lui sauront bon gré. HÉBERT (d
ôt pour le bien, tantôt pour le mal des nations. La philosophie, la science , la médecine profiteront de nos efforts; la relig
et me retrouve à mes premières années, à celles où j’entrais dans la science magnétique qui devait pour moi n’être point sans
e (que l’on pourrait peut-être remplacer par celui de bio-dynamurgie, science des propriétés de la force vitale), n’est jusqu’i
ndante, loin de heurter l’ordre naturel, dévoilent objectivement à la science quelques aperçus trop ignorés, mais réels, d’une
ltipliés et merveilleux. A. s. MORIN. Nous empruntons à Y Ami des sciences un curieux fait de somnambulisme. 11 serait à dés
nt notre tâche, plus facile en montrant que ce que nous réalisons par science et par art, la nature sait le produire sans aides
e mes sentiments de sympathie pour les progrès de l’humanité et de la science , celle de mon admiration la plus sincère. GEORG
iétés consacrées à l’étude, à la propagation et à l’application de la science de Mesmer, que de tous côtés on voit des journaux
savant d’école, sans rien savoir de la vie, sans souci du réveil, la science leur ayant dit qu’il n’y en avait point. Suivez
vous dire ce qui se passe sur un autre continent. Celui qui, dans les sciences , s’arrête un instant est aussitôt dépassé. Enco
besoin, pour accréditer son honteux charlatanisme, de l’obscurité, la science pratique, comme la vérité, veut le grand jour. Dé
e, étale à l’admiration de tous tant de grandeurs et de richesses, de sciences , d’arts et de poésie, qu’on ose croire aux sort
omposerait un petit ensemble de fort singulières opinions. Entre la science qui dit non et le peuple qui dit oui, il est faci
e peuple qui dit oui, il est facile au bon sens de choisir. Mais la science , ne lui en déplaise, n’a pas dit son dernier mot,
utant le peuple peut se tromper par crédulité et ignorance, autant la science peut se tromper par suffisance et entêtement. V
si vous les trouvez vrais, ne les niez pas. Dites seulement alors, ô science , que vous n’êtes pas encore assez savante pour le
, cita des faits concluants sous la garantie de sa bonne foi et de sa science . La méthode de Greatrakes, d’après Astelins, co
ces procès-verbaux, auxquels concouraient des médecins, des hommes de science attirés par la curiosité, ne contient, une seule
occupent de magnétisme, tous ceux qui accomplissent des œuvres que la science de ces messieurs ne peut expliquer. L’auteur a fl
ec le plus de succès ; il compte parmi ses sectateurs des hommes de science , des médecins distingués, des écrivains de talent
sme de les guérir du mal attribué à cet agent. Dans l’intérêt de la science et dans celui ce l’humanité, il importe de recher
étude des maladies morales, mais au point de vue du magnétisme ou des sciences occultes, elle ne mérite aucune attention, et not
s pratiques malfaisantes, à faire une expérience dans l'intérêt de la science et à frapper ses chaudrons suivant ses procédés h
e homme. Et comme les coquins se soucient beaucoup moins de servir la science que de servir leurs mauvaises passions, comme ils
ent établi que c’est un moyen réel de nuire. Dans l’état actuel de la science , des poursuites pour sorcellerie constitueraient
, dont la tête puissante et féconde renferme toute une révolution des sciences connues jusqu’alors, tout un avenir nouveau et ré
le luttent sans succès depuis plusieurs années tous les efforts de la science , en est arrivée à ce point désespéré que l’on peu
fre plus aucun espoir, alors que ce que l’on est convenu d’appeler la science a reconnu son impuissance et sa nullité constatée
vérité, aux temps où tout n’était pas industrie, et où il y avait une science morale. Aujourd’hui vous n’en avez plus. Mais tou
ont conservé le souvenir, certains hommes ont passé pour posséder une science mystérieuse réservée à un petit nombre d’adeptes,
dévorent les individus signalés comme ayant cherché à s’initier à la science maudite. La sorcellerie ne commence à décliner qu
ur, il convie généreusement tous ses lecteurs à la connaissance de la science monopolisée par les privilégiés; la lumière, affr
seulement à côté, mais au-dessous de la vérité... Oui, il existe une science qu i confère à l’homme des prérogatives en appare
ssent et charment les serpents; il possède l’art notoire qui donne la science universelle; il connaît à la première vue le fond
fruit de nos études. L’auteur définit ainsi la magie : « C’est la science traditionnelle des secrets de la nature qui nous
es secrets de la nature qui nous vient des mages. — Au moyen de cette science , l’adepte se trouve investi d’une sorte de toute-
ous croyons en droit de lui faire observer que sa magie n’est pas une science dans le sens rigoureux du mot, puisqu’elle ne se
ont ainsi donné l’aspect de la profondeur pour cacher le vide de leur science et pour éblouir les ignorants?... M. Constant,
ais il ne nous prouve pas que ces auteurs aient possédé une véritable science . Le chapitre 13 nous a paru mériter une mention
ensée et de cette volonté ; que les rites sont donc déterminés par la science elle-même. « Ces rites, dit-il plus loin, n’ont
nt besoin de vérification. 11 nous dit que donner des preuves de la science à ceux qui doutent de la science même, c’est init
ous dit que donner des preuves de la science à ceux qui doutent de la science même, c’est initier les indignes, c’est profaner
on sens ne peut accepter que ce qui lui est démontré, ni croire à une science qui refuse de faire ses preuves. Quelle confiance
tous les magnétistes. 11 fait entrer le magnétisme dans le cercle des sciences occultes ou magi- ques, comme ont fait la plupa
remarquer qu’on est loin de s’accorder sur ce qu’on doit entendre par sciences occultes, que les définitions ordinaires de la ma
de miracles que pour les ignorants ; mais comme il n’existe guère de science absolue parmi les hommes, le miracle peut encore
par M. Bruyas, 28. Question (la) des Esprits, ses progrès dans la science , etc. ; par le Mis Eudes de Mirville. — Réfutatio
arnay), 51. Théorie (la) des relations, considérée comme base de la science et du progrès actuel ; par l'abbé Caupert, profes
. le comte d'Escayrac, et commentés par M. du Parc-Lou treuil, 449. Science (la) officielle et le magnétisme. Les savants ne
5 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
ps, modifier dans le monde : religion, philosophie, îences physiques, sciences médicales. Tout doit s’ébranler i jour devant ce
regards. Fixés sur ce point, tous ntent que là est la rénovation des sciences , le nouveau ogrès de l’humanité dans sa marche to
ssensation , d’apparition jusqu’ici inexpliqués, tout ce qu’enfin les sciences pures n peuvent ou n’osent .aborder. Notre feui
us ajouterons tout c qui-semblera devoir venir compléter, enrichir la science noi velle. L humanité ne marche vers ses destinée
L’habitude des recherches historiques, un goût inné pour l’étude des sciences physiques, naturelles et médicales, nous y avaien
eusement préparé. — Nous, avons longuement étudié la théorie de cette science sublime, et à nos connaissances théoriques, nous
Aussi, nous sommes-nous épris d’un enthousiasme inexprimable pour une science qui permet à l’homme de produire, parfois, avec s
rabilité de la maladie. incurabilité réelle au point de vue de la science , le malade vous a été abandonné, et comme la natu
e des écoles est devenue un mensonge, une illusion. Ce n’est plus une science véritable, mais un amas d’idées systématiques que
y avait une hernie étranglée ; il déploya toutes les ressources de sa science pour soulager son malheureux ami que la douleur a
our guider sur cette mer de découvertes les hardis explicateurs de la science . VARIÉTÉS. LE MAGNÉTISME EN ITALIE. La si
ible et languissant ! Bien peu d’hommes alors étaient initiés à cette science sublime dont le nom ne réveillait dans le public
ent avec l’énergie que donnent une conviction profonde et la con- science du devoir. A force de persévérance, ils parvinren
der l’attention de tous les hommes jaloux de suivre les progrès de la science . Il se forma partout des centres de propagation ;
sonnes ont pu observer et même produire des phénomènes étrangers à la science officielle, niés par elle et déclarés impossibles
des détracteurs, tandis que les vérités définitivement acquises à la science , sont acceptées par tout le monde, même par ceux
ntes à la nature du sujet et que nous ne devons pas dissimuler. Les sciences physiques s’appuient sur des faits obtenus en agi
s hypothèses que rien ne justifie , raisonnent à perte de vue sur des sciences qu’ils ignorent, et commettent des balourdises qu
iers à recueillir, examiner, constater tout ce qui peut intéresser la science . Aussi est-il de bon ton chez nous de se moquer d
oient pas, comme celles d’Europe, obligées par le décorum à mettre la science sur le lit de Procuste, et à se boucher les oreil
, mais ses adeptes reculèrent bientôt devant les difficultés de cette science , devant les préjugés et les passions mauvaises de
ou des imposteurs. Ils prouvent par là qu’ils ignorent l'histoire des sciences , bientôt même, sans doute, ils diront : Mesmer ne
réformer la médecine, sa destinée est d’être le premier des arts, la science des sciences. Science différente de la médecine ,
médecine, sa destinée est d’être le premier des arts, la science des sciences . Science différente de la médecine , laquelle rét
sa destinée est d’être le premier des arts, la science des sciences. Science différente de la médecine , laquelle rétrograde a
qu’ils ont rôvé : une médecine savante. La médecine de la nature, la science de Dieu, c’est-à-dire le magnétisme , ne se prése
s instincts qui font souven t défaut, car il les a pervertis, il a la science innée : Il sait et connaît. Ainsi, tel on vit plu
ses par Priessnitz, s’exprime sur le magnétisme en des termes dont la science doit lui savoir infiniment de gré. Quant à nous,
in-8. suivre ses leçons. Je fus bientôt initié aux mystères de la science ; je lus assidûment tous les livres que M. Ricard
années d’absence de la France m’ayant éloigné du foyer où s’étudie la science mystérieuse, j’ai été frappé, à mon retour, de tr
la loi générale constitutive du mesmérisme ? a Les disciples de la science qui se nomme science de l’univers, loi d’amour, d
titutive du mesmérisme ? a Les disciples de la science qui se nomme science de l’univers, loi d’amour, d’harmonie, ne doivent
sonnette sans instrument visible. D’autres personnes versées dans les sciences , ayant également examiné les lieux, firent le mêm
n aggravera forcément le mal que l’on voulait combattre. « Dans les sciences exactes, lorsque l’on a raisonné juste, la conséq
t sans conteste. Mais dans la pathologie, qui n’est rien moins qu’une science exacte, il n’en est plus de même ; et comme les p
evé exposent leurs idées sur les affaires du temps. C’est pourtant la science des écoles qui parle par tant de bouches , car le
donc qui y allume le feu? Mais non, rien de tout cela n’est vrai, la science explique tout autrement les choses : il y a des p
i de nous deux qui est le plus savant, le plus malin. Non, la vraie science n’est point avec les superbes, elle se trouve que
e langue étrangère, nul ne le comprend ; mais lorsqu’il se sert de la science qu’il possède en propre, pour opérer des œuvres s
moins nombreux... Rien n’est plus propre à jeter le discrédit sur une science dont la certitude intéresse la santé et le bonheu
et ses premiers principes. » Si l’orateur est dans le vrai, aucune science thérapeutique n’existe ni ne peut exister, et tou
côté du somnambule : Si le somnambule médical ne peut se passer de la science qui contrôle ses ordonnances, relève les lapsus d
ue, sans influencer en rien ses vues et ses procédés, en revanche, la science doit utiliser cette double faculté de diagnostiqu
mnambuliques, qu’autant qu’il les jugera conformes aux lumières de la science , c’est-à-dire que le somnambule ne sera plus rien
rrait risque de dénaturer la pensée du somnambule et de substituer la science à l’instinct. Il ne peut donc être qu’un scribe,
s un tel établissement qui pourra rendre de très-grands services à la science , et nous sommes persuadé que M. H uguet, éclairé
dante, va-t-il enfin nous dévoiler ces mystères qne • na pu sonder la science , nous apprendre ce qne c’est que l’âme, son origi
’une autre vie effraie , ou de ces infirmes que l’orgueil d'une vaine science , que l'incrédulité et le matérialisme ont frappés
as il ts becn represented, etc. COMPTE-RENDU. De tout temps, les sciences qui se rapportent à l’art divinatoire ont eu un a
avec quelque désordre plus apparent que réel, ont le mieux codifié la science , est The astrologer of nineteenth century, etc.,
on dirait presque affecté sur le compte du magnétisme. Cette dernière science aurait donc à se plaindre ; elle sera plus indulg
qui peuvent avoir un fond de vérité et des points de contact avec la science dont il est ici question. La dixième et dernièr
la découverte des logarithmes , cet instrument si utile à toutes les sciences et surtout à la navigation et à l’astronomie, est
mie, est due à un astrologue écossais, Napier. L’histoire de ces deux sciences se confond pendant longtemps ; on ne peut étudier
risme, mais d’une œuvre sérieuse et qui repose sur les fondements des sciences -exactes. Convaincu de cette opinion pour l’ast
iscours préliminaire, dans lequel il s’efforce de démontrer que cette science ne mérite pas l'espèce de discrédit dans lequel e
ques. L’auteur cherche à y démontrer la réalité de l'astrologie comme science . « Comment un homme ignorant de la science décl
té de l'astrologie comme science. « Comment un homme ignorant de la science déclare-t-il absurdité et superstition le sujet q
ilos, ou quatre livres sur l’influence des étoiles, cet homme, que sa science fit surnommer par les Grecs le plus sage, le plus
connaissance nette de ces cas et une étude sérieuse des règles de sa science . Cette partie de l’astrologie qui nous a été tran
des prétendus philosophes, qui, avant d’apprendre l’A, B, C, D de la science et de juger pour eux-mêmes par leurs propres expé
sent-ils, de le comprendre avant de perdre leur temps à l’étude d’une science sans utilité. — Mais peuvent ils donc dire, ces p
éponse ; j’invite ces personnes à examiner la vérité de cette sublime science . ..... Malè verum examinai omnis Curruptus ju
« Au lecteur sincère et vraiment philosophe, je dis : Etudiez la science ; vous ne trouverez pas ses règles violées. Un ho
pas une vie d’infamie et de misère. Pourquoi les incrédules de cette science ne montrent-ils pas que, selon les règles de l'as
e-t-elle pas d’être recherchée ? « 2° Quelqu’un peut-il rejeter une science qu’il n’a pas étudiée ? « 3° Si l’astrologue me
et peut prouver que son problème est correct selon les données de la science astronomique, cela n’est-il pas une preuve, à que
être loué au moins comme astronome ? « h° Si la phréuologie est une science aussi utile qu’elle est indubitablement une scien
réuologie est une science aussi utile qu’elle est indubitablement une science curieuse, pourquoi l’astrologie ne serait-elle pa
omme, il n’est donc pas libre, ("est l’objection commune à toutes les sciences qui traitent de la divination et aussi à la phrén
ormes de la main) ; ce cours, où le professeur a montré autant de science qne de sagacité, a été suivi avec beaucoup d’inté
gnétisme ne tardera pas à. avoir sa place marquée dans le domaine des sciences médicales. La Société du Mesmérisme n’est pas étr
nécessaire , puisque Dieu l’a permis. C’est ainsi que vous voyez la science faire et défaire à chaque instant ses systèmes. N
ulape, verra ce qu’il faut faire pour en réparer les désordres, et la science sera muette, et devant nous, qui annonçons ces ph
écessaire pour que la lumière se répandit en dehors du sanctuaire des sciences , de ce réceptacle des scories et des immondices d
ces, de ce réceptacle des scories et des immondices de la matière. La science vraie sera bientôt dans toutes les familles , on
e, les clian-. gements survenus dans les arts industriels et dans les sciences -physiques par l’application des forces mortes dé
océdés bienfaisants que la médecine repousse. Dans les cas même oü la science avoue son insuffisance, il serait défendu au mala
ller de ses préjugés, répudier les doctrines de l’école , incliner la science devant la force toute-puissante de la nature : il
nte opposition dans le monde savant, mais on peut dire de plus que la science du magnétisme est trop peu avancée pour qu’on pui
a prétention d'être un docteur en magnétisme, et il n’a pas besoin de science pour rendre service à son prochain. La mère, qui
ndra à s’en servir sans danger, on l’appréciera à sa juste valeur. La science ne s’acquiert qu’à force de travaux et des tâtonn
on le bon sens de croire que l’art de la médecine n’est pas une vaine science , abîme de conjectures on ne peut plus di- ver
n, d inspiration naturelle? Quand se persuadera-t-on , enfin , que la science médicale consiste avant tout à aider le travail d
me se plaignënf, en général, soit de l’inimitié, soit du dédain de la science officielle à l’égard de Mesmer. Il y a peut-êtr
s. Presque tous ceux qui sont arrivés à une position éminente dans la science ont spécialisé leurs études ; ils se sont fait un
il a clairement déclaré la fascination comme un principe acquis à la science physiologique. Il a donc admis le principe THÉO
ue même le sacerdoce qui, avec les mœurs actuelles et en présence des sciences dites exactes, semble n’avoir plus sa raison d’êt
hilosophie nouvelle. A quoi bon, puisqu’on ne reconnaît point à cette science d’utilité? Aussi voyez-vous la science officielle
’on ne reconnaît point à cette science d’utilité? Aussi voyez-vous la science officielle ne pas reconnaître l’agent découvert p
cette étude , leur indiquant une route nouvelle, la base enfin d’une science vraie. Après avoir vu les phénomènes susceptibles
t la source de toute connaissance positive. Est-ce donc à dire que la science est faite? Oh ! non. Bien loin de là. Il faut l’é
de qu’à comprendre, où le génie du mal est si facile à chasser, où la science fausse n’a point encore perverti l’intelligence !
aut. On a fait un crime à de dignes prêtres de s’être approchés d’une science dont instinctivement ils devinaient et la portée
s par moi ignorant, ou tout au moins bien peu instruit en magnétisme, science sublime à ties yeux, et dans laquelle j’ai le dés
que j’en eusse d’ailleurs, sans avoir au préalable étudié cette belle science dans les ouvrages qui en traitent. « — Madame T
urels physiques et physiologiques, sous le rapport de sa valeur comme science pratique ou comme faculté d’intuition appliquée à
NTIFIQUES , par Victor Meunier. Tome I ( ïn-12, au bureau de VAmi des sciences ). M. Meunier est connu par de nombreux travaux
une clarté admirable, et il excelle à vulgariser les conquêtes de la science . Dans le petit livre qu’il vient de faire paraîtr
us par le génie de l’homme; il exalte le rôle magnifique qn’a joué la science et celui qu’elle doit remplir dans l’avenir; il f
humanité les splendides destinées que lui préparent les progrès de la science dont les récentes découvertes sont bien faites po
, coordonner les études, et il présente un plan de constitution de la science . Nous aimons à, croire que cette généreuse initia
i et du faux, le magnétisme occupe la place centrale où s’élèvera une science sublime, celle des rapports du monde des esprits
re du magnétisme et de la place qu'il doit occuper dans l’échelle des sciences ; nous devons savoir gré à M. Meunier de ce langa
ce méritent les relations, ainsi qu’on le fait dans beaucoup d’autres sciences , notamment dans la zoologie et dans la médecine,
lus que comme de simples renseignements ; ils ne sont pas acquis à la science . En procédant comme nous venons de l’indiquer,
s 1 examen du magnétisme le même esprit qui sert à l’étude des autres sciences , on prend toutes les précautions désirables pour
ez clair, remercions-le et félicitons-le d’avoir salué l’aurore de la science des rapports du monde des esprits avec le monde d
rveilles connues jusqu’à ce jour. Il est d'avis, au contraire, que la science , sommée de s’expliquer sur ces prodiges, doit rép
épondre sous peine de faillir à sa mission. Il reproche en outre à la science de n’avoir pas compris les conditions logiques de
omment le magnétisme est-il plus extraordinaire que l'attraction ? La science cependant repousse le premier et admet la seconde
science cependant repousse le premier et admet la seconde, en quoi la science se montre fort inconséquente. L’extraordinaire pe
rdinaire peut être 1111 motif de suspicion , mais non de négation. La science ne doit nier à priori (jue les faits posés en ter
, on ne doit pas, ajoute M. Peisse, les exclure de la nature et de la science , comme les académies ont eu tort de le faire. «
pas expliquer, tout ce qui s’écartait des notions accréditées par la science ; on a été conduit ainsi à refuser d’examiner tou
te. Qui peut calculer la portée d’un dévouement aussi actif? Là où la science avait échoué, où aucun moyen médical ne pouvait s
journellement en dehors de toute intervention mystique : dès lors, la science , au lieu de répudier de nombreuses observations,
les comme une chose de nulle valeur. Ce qui pouvait donner la vie aux sciences , une âme au corps, n’a plus eu sa raison d'être.
ne, et c’est justement parce qu'il est pure essence que les hommes de science l’ont rejeté de leur sanctuaire comme étant le fr
urs humaines, tous les médecins, se sont émus à notre venue; leur science étant conjecturale, fausse et mensongère, ils ne
e celle de tous les saints du paradis. Rappelons-nous que toujours la science fut considérée comme un mal par les hommes chargé
s guérisons magnétiques ; car c’est vous qui m’avez fait connaître la science divine à l’aide de laquelle je les ai produites,
mandons le nouveau recueil à tous ceux qui se livrent à l’étude de la science nouvelle et qui voudront suivre la marche de la r
ira le résumé de ce travail accompli sous une influence ennemie de la science nouvelle reconnaîtra, s’il est de bonne foi et n’
t voir de ces effets merveilleux, fera sourire tous les initiés de la science dont nous sommes, sinon les apôtres, au moins les
dent les forces de la nature ; que le champ qui reste à découvrir aux sciences physiques n’a point de limites ; que nul ne sait
’organe religieux soit déjà faite, et qu’elle ait devancé celle de la science officielle des académies ; car il n’est pas de pe
s intéressés. Aussi s’empresse-t-elle de désapprouver toute étude des sciences occultes, « assurant que ces pratiques sont autan
ifestant par cet ordre même ? ou des hommes intéressés à détourner la science que Dieu veut répandre gratuitement sur le genre
le pivot de l’harmouie : La gloire lui doit ses exploits ; Et la science , le génie. La sympathie... est son attrait; M
grès en Piémont et s’y organise de manière à rendre des services à la science et à l’humanité. M. Guidi, professeur de magnétis
t, qui se trouve directement et principalement mise en jeu, et que sa science et son habileté sont un contrôle et un correctif
rels, physiques et physiologiques, sous le rapport de sa valeur comme science pratique ou comme faculté d’intuition appliqu
gligeant aucun moyen de s’éclairer; il supplée à l’insuffisance d’une science dont tout le monde reconnaît les imperfections; i
n dans la nature : les antipathies et les sympathies, énigmes pour la science , sont le produit d’une loi cachée, à laquelle obé
ces me remplirent tellement d’admiration et d’enthousiasme pour cette science sublime , que je résolus, aussitôt de retour dans
rsécutée , à cause de sa faculté, fit beaucoup rire tout le monde. La science magnétique vint à mon secours pour dérouter les l
pit de ses adversaires, à occuper un jour la première place parmi les sciences humaines, et à rendre d'immenses services à l’hum
risme indique des remèdes spéciaux dont l’action, mystérieuse pour la science , se porte électivement sur tel organe, la médecin
ils ne sont plus que des sépulcres blanchis, comme disait Jésus. La science ancienne va revivre et forcer les hommes du sacer
mais chaque homme aussi voudra connaître, ou du moins en rudiment, la science des anciens temples. Aujourd’hui, un homme salari
présenté devant une commission composée de membres de l’Académie des sciences pour les rendre témoins de cette expérience, ne p
eur donner une notoriété qui les fasse accepter définitivement par la science . Et la chose est des plus faciles : on ne rencont
il a été mis à même de voir. En ce cas, nous l’invitons, au nom de la science , à nous donner les moyens de nous convaincre.
ées depuis Mesmer et de Puységur, ces deux grands restaurateurs de la science , le magnétisme a été matérialisé, puisqu’on ne po
t agité bien des tables et tourné bien des têtes, et quel avantage la science et l’humanité en ont-ils retiré ? Aucun. Le magné
réfléchir les hommes sérieux, s’il ne fait pas avancer rapidement la science . Mais laissons les théories de côté et venons à
somnambules, c’est encore lui qui vient mettre à notre disposition sa science surhumaine. S’il les fait quelquefois bavarder à
c bonheur que la cure de mes yeux a été sans rechute. C’est bien à la science certaine de notre illustre maître que je dois ma
s, car ils ont en eux la bonté qui console, et le pouvoir qui guérit. Science admirable du magnétisme ! des horizons nouveaux p
soif de connaître ! Ne serait-il pas sage de chercher les lois d’une science qui paraît destinée à cesser d’être occulte? L’Am
cité. Presque chaque famille a, dit-on, son médium, témoignant d’une science nouvelle, d’une science sublime, établissant, sel
mille a, dit-on, son médium, témoignant d’une science nouvelle, d’une science sublime, établissant, selon l’heureuse expression
ment que notre vénérable président M. le baron du Potet a retrouvé la science bafouée, déshonorée, abandonnée de Mesmer. Comme
les partisans du magnétisme. On y manque encore d’un organe de cette science . Je porte donc un toste au progrès du magnétism
re a franchi la mer, Nous sommes réunis, c’est pour fêter Mesmer. Science , extase du génie, 11 a retrouvé vos secrets,
Soyez bénis, frères et maître, Tous vous avez bien mérité. Votre science est la divine, Car sur vos fronts chacun devine
oint quitter le terrain solide du magnétisme avant du moins que cette science naissante ne portât en elle toute sa destinée. J’
recherche de la vérité. Plus que jamais il croit, non pas encore à la science (nous reconnaissons comme lui ce qu’elle attend d
Quel est ce ressort ? Question très-épineuse et fort grave, que les sciences modernes étaient incapables de résoudre par des e
ent du vrai. Sévère à juste droit sur plus d’un fétichisme vide, la science a jugé devoir se tenir dans une rigueur magistral
ui serviront à fonder au grand jour le code humanitaire. Car c’est la science qui doit édifier ce code, et, sans elle, on se he
irer qu’un homme, exempt de préjugés, se livrât, dans l’intérêt de la science , à des recherches suivies pour élucider ce sujet
else, vous n’ayez pas eu votre pantacle pour vous représenter dans la science . — « Ah ! tu crois que je n’en ai pas. a 11 o
in , pour votre cher Courrier de Paris, les foudres de l’Académie des sciences , et les traits piquants de l’honorable M. Babine
Je croyais avoir semé un peu de bon grain dans ce nouveau champ de la science , et je n’ai guère récolté jusqu’à présent que de
d'être un savant, je ne suis pas, du moins, entièrement étranger aux sciences naturelles. Avant de figurer comme aujourd’hui da
fort estimables sans doute, mais souvent fort ignorants eu matière de science , que les savants appellent un peu dédaigneusement
uvre de la planchette que j’ai débuté dans mes expériences. Quand une science est nouvelle, on ne va pas aussi vite en besogne,
aissant le présent, le passé et l'avenir, ou comme des êtres doués de science infuse, capables de répondre sur les questions le
s, à des savants, de leur adresser des questions de seconde vue et de science infuse ; et comme ces manifestations de haute luc
ue les a Marses avaient impunément bravés. » (EosI-.be Salve rte. Des Sciences occultes, elc.) (2) « Dont Caton, ù celelfel, e
ais la poésie ancienne ^Init nn re fiel fortement philosophique de la science d'alors. Roger Bacon, Pomponace, Ficinus, Van
cet art, poussé si loin par ses adeptes, constitue-t-il pour eux une science ? Ici je me tais. La divergence des théories, le c
docteur X..... réunit, en sa qualité de médecin, des conditions de science et de scepticisme, complément heureux de la confi
n du problème capital dans lequel se résument toutes les questions de science physique, morale, religieuse et sociale, auxquels
xposant, 1° un ensemble de phénomènes d’un ordre nouveau, et dont les sciences constituées sont impuissantes à rendre compte ; 2
a vérité, de constater et d’étudier des phénomènes qui intéressent la science à un si haut degré. D’après les journaux américai
et du faux, le magnétisme occupe la place centrale où s’élèvera « une science sublime, celle des rapports du monde des esprits
e restera plus à innover que dans les détails. A l'ire con-« fuse des sciences succédera l'ire lumineuse de la science. «Et le
ails. A l'ire con-« fuse des sciences succédera l'ire lumineuse de la science . «Et les divers compartiments de nos connaissan
ation scientifique, et tôt ou tard elle l’at-ti teindra. « Alors la science cessera d’être la propriété exclusive du géomètre
t. i, p. 50 et 57, par Vicro» Meunier, rédacteur en chef de l Ami des sciences . Paris, 1857.) l‘ne des belles expériences tend
esoin, nous étions cinq hommes dont aucun ne s'est as-a sez occupé de sciences pour pouvoir formuler une seule des définitions «
e à des questions. Il a répondu : Oui. — Quel sujet il « préférait? — Sciences . — Quelle partie? — Définitions. « Pouvez vous
ues et chimiques « opposées, et qui se neutralisent l'un l'autre ?-La science reste muette à « cet égard, bien qu’elle ait déjà
avait créé les lois et l’organisation. Pourtant les recherches de la science , déjà si magnifiques de conquêtes, montrent vis-à
e, et vous vous désabuserez de ces déclamations. « On reproche à la science d’être matérialiste; c'est une « grande erreur. C
méditée, dequel-« ques-uus de ceux que l’on appelle savants. Mais la science , « qui n’est que l’application de l’esprit de l’h
pondre à tous les « cas. Eh bien I ce tableau si satisfaisant pour la science est incomplet; « cette organisation si savante n'
thal, il ne s'est pas toujours maintenu ferme et « incontesté dans la science ... « D’après le témoignage réciproque et les co
rbitre de ses actes, douée de la notion d«son Créateur et de la con-« science de sa haute mission, l'âme humaine se proclame le
nerveux, p. 16, 17 et 33.) J'ai voulu vulgariser ce bulletin de la science , afin d«mettre en garde quelques magnétiseursqui
ut est dans la religion allégorie, ne « craignons pas de demander aux sciences que Dieu nous a permis|d’ac-« quérir ce qu'il y a
N. VARIÉTÉS. Le magnétisme n’existe pas, disent les princes de la science , ou s’il existe, ses effets ne sont tout au plus
magination ; et, partant de là, dédain superbe pour l’examen de cette science . Au lieu d’être la base, le point capital, le pri
des hommes sérieux et dignes de foi, des phénomènes curieux de cette science , et pendant tout cet espace de temps il ne nous é
de lui ni de ses sensations. Le docteur Larrey, sentant bien que la science doit être suspecte aux héros du surnaturel, se mo
es, et, dans le second, * et demi. BIBLIOGRAPHIE. L'ARBRE DE LA SCIENCE , par Eugène IIuzar. 1 vol. in-S.Paris, 1357, Dcnt
leuse puissance : pour eux, il s’agit d’une conquête définitive de la science , d’un des sujets les plus féconds et les plus gra
ir la vérité, la voie de la foi, dcï intuition, opposée à celle de la science expérimentale. C’est ainsi que les prophètes, les
d’une vue supérieure, pénètrent parfois dans des profondeurs (’jue la science ne peut atteindre, dévoilent des horizons nouveau
'avec réserve les révélations de l’intuition, et les contrôler par la science . M. Huzar nous promet un livre intitulé l’Arbre d
de civilisation , à l’harmonie générale, s’est perdue par l’abus delà science dont les applications imprévoyantes ont amené la
autes que la dernière et court au même abîme : déjà les progrès de la science suivis d’essais imprudents ont vicié les climats,
nouie, renfermera aussi dans son sein un ver rongeur, et l’abus de la science , en accélérant la ruine du globe, déterminera enc
pour apprendre à bien le connaître , il ne suffit pas d’interroger la science , dont l’enseignement est insuffisant ; il faut co
développement , et s’est perdue eu mangeant le fruit de l’arbre de la science , qui a été pour elle un poison mortel. Ce systè
ttestés par quelque témoignage imposant, par quelque indication de la science . Ici, rien de semblable. L'auteur crée de toutes
bâtir des chimères eu donnant cours à son imagination. A défaut de la science , prendra-t-on pour guides les livres sacrés qui p
es infaillibles, émanés de Dieu même, c’est déserter le terrain de la science pour entrer dans celui de la théologie ; c’est im
ouvrage où il nous expliquera comment l’intuition peut suppléer à la science . Nous lui soumettons dès à présent cette observat
ir pas lu la Bible, le premier point est l’antipode de la vérité : la science n’a nullement confirmé la Genèse en ce que celle-
and môme le récit de la création serait de tout point confirmé par la science , il s’ensuivrait seulement quel’auteur a été exac
ant que la géologie n’existant pas de son temps, ce n’est pas par une science humaine qu’il a pu être instruit, mais par une co
de toute critique. Mais nous ne pouvons savoir jusqu’où s’étendait la science égyptienne dans laquelle Moïse était initié, et d
rant à des interpré- tâtions problématiques.Quant au danger de la science , on peut dire que, comme la lance d’Achille, elle
aits. S’il avait fallu, avant de mettre en pratique une conquête delà science , la connaître à fond, l’homme n’aurait jamais pu
Huzar effraient bien des lecteurs, ni qu’elles arrêtent l’essor de la science ou de l’industrie. Les sages précautions contenue
plus recherchés par les gens de sentiment, d’instinct que par ceux de science . Ce ne sont donc point les savants, les sceptique
vres êtres limités, bornés, ignorants, pleins de préjugés et de sotte science , qui nous débattons et pataugeons au milieu de no
révèle, aux graves réflexions qu’il fait naître. Plus tard, quand la science nouvelle aura progressé, on verra sans doute part
mple, pays de gens sérieux, recueillis et patients. Mais, pour que la science progresse, il ne faut pas que des éteignoirs comm
iniquités, de corruption, de débauches, d’orgueil humain et de fausse science où la force brutale, le veau d’or, étaient devenu
nne une idée du grand savoir académique; il nous prouve qu’en fait de science psychique et morale , nos savants n en savent pas
lus injustement d’honnêtes gens qui enrichissent chaque jour la vraie science de faits constants et irrécusables. M. Viennet n’
des journalistes , des artistes, des hommes d’affaires, des hommes de science et de littérature, qui viennent par milliers décl
judiciaires, à la défiance et à la perspicacité, à des maîtres de la science , à des observateurs d’élite, au point de biffer d
opole des lumières, pour être restituée enfin au domaine public de la science et pour que la raison moderne l’épure et la vivif
ents, c’est-à-dire par leur harmonie avec les données positives de la science et avec l’universalité des lois et des besoins de
ions nous interdisent cfassimîler à aucun des agents naturels dont la science a déterminé les lois ou même dont l’existence
ngibles apparaissent et disparaissent dans l’obscurité aux yeux de la science interdite et forcée de se déclarer impuissante à
é. Des discours dans des langues inconnues aux médiums, des points de science , de morale, de théologie, de controverse religieu
rieuses et les plus utiles qui soient consacrées aux phénomènes de la science nouvelle, utile surtout en ce sens que les faits,
urs de l’année dernière, a été enlevé par la mort à sa patrie et à la science , raconte dans ses F/ilti relui ivi a mesmerim«c c
plusieurs cas où ils sc sont prescrit des médications qui, d’après la science , auraient dû être mortelles, et qui néanmoins les
igent aucun moyen de s’éclairer et de suppléer à l’insuffisance de la science , qui non seulement n’hésitent pas à donner un avi
l’intérêt bien entendu du magnétisme, non moins que dans celui de la science et de l’humanité , proclamer les vrais principes
ure; mais, en en môme temps, si intéressante et si importante île. la science magnétologique. de g. de c. Nota. Pour n’altére
celui du Collège de France. Heureusement le pouvoir de ce vizir de la science ne s’étendait pas jusqu’au Jardin des Plantes, où
occuper les esprits les plus sérieux. On peut dire même qu’il est une science nouvelle, dont les lois ne sont pas encore assez
ar ses adeptes auront pénétré dans toutes les demeures, lorsque celte science aura posé ses principes, ses lois, lorsqu’elle ag
, que nous devrions nous trouver heureux d’avoir aidé à divulguer une science qui apprend à tous si facilement, les moyens de g
ture de digitale et de chloroforme. Malgré Inus les efforts de la science officielle, malgré ces remèdes d'une violence ext
in ; il demanda une consultation avec M. Andral (un des princes de la science ), de laquelle il résulta un traitement qu’on prat
t de la part du médecin et de souffrances du côté de la victime de la science infaillible ! Je fus alors appelé : qu’avait-on
faibles lumières et par mes travaux à la propagation de cette sublime science dont Mesmer, notre vénéré maître, nous a légué le
tisme artificiel, similia similibus curantur. (Extrait de l'Ami des sciences .) JOBABD. VARIÉTÉS. ENCORE M. HOM E. M.
a médecine libre comme aux Etats-Unis ? Car la médecine n’est pas une science , mais un instinct, un don naturel qui ne s’acqui
plus amples renseignements à prendre de la part d'hommes initiés à b science magnétique. v.. piérart. MAGNÉTISEUR INEXPÉRIME
Seine-et-Marne, une paysanne qui doit être présentée à l’Académie des sciences . Cette femme, il y a peu de jours, se trouvait da
'arbre foudroyé. Objet d’un rapport lu en 178(> à l’Académie des sciences , ce fait fut attribué à une suffusion sanguine fo
des feuilles de peuplier. Dans les comptes-rendus de l’Académie des sciences (séance du 25 jnn\ ier J 8/1"), on trouve qu’une
ES comprenant la circulation de l'électro-magnétisme, le principe des sciences et l'art dt vivre , de guérir, de rajeunir, par M
ces réponses, les donne comme des documents pouvant être utiles à la science , et il reste dans le doute; toutefois il incline
n ton profit, si tu crois qu'elle puisse être de quelque utilité à la science . » Tout à toi, Emile TniEimv, Artiste du théâ
t point réussi ; cela peut être. Mais vous ajoutez que Y Académie des sciences de France reçut mission de décerner un prix de 25
formées et se forment ainsi, et aujourd’hui que le magnétisme est une science positive formulée dans mille traités divers, dans
. Dans ces procès-verbaux, à côté des signatures de ces princes de la science médicale, figurent aussi les noms d’hommes illust
poète est donc authentiquement désigné comme un fervent sectateur des sciences occultes. 3° M. Constant a publié, depuis la de
y que Desion avait affirmé, devant les commissaires de l’Académie des sciences , que le magnétisme passait à travers le papier, c
que nous avons trouvé bien long, vient enfin , — heureusement pour la science que nous cultivons, — de redonner signe de vie.
de l'entendre se demander, — comme je l’ai fait, — quel avantage la science et l'humanité ont retiré des esprits frappeurs, t
pondre, — comme moi encore , — avcun; au contraire, cela retarde la science en prêtant de nouvelles armes à l’incrédulité et
ou par de ridicules préventions, viennent entraver la marche de cette science nouvelle! Que peut 17-goistne, que peut la sottis
lleurs, chacun apportant, selon sa force, sa pierre h l’édifice de la science magnétologique , celui qui la fournit et l’apport
ntir par sa spirituelle ironie, à l'endroit des termes barbares de la science olliciellc, l'absurdité de les employer à propos
cer seuls ; grâces au ciel, ils s’y sont refusés ; leur amour pour la science n’a pas été assez fort pour les pousser jusqu’à s
(Espagne), ce * juin 1857. BIBLIOGRAPHIE. HISTOIRE ET TRAITÉ DES SCIENCES OCCULTES, ou Examen descroyan ces populaires sur
l’examen. Il restera sans doute des faits étranges, bizarres, dont la science s’accommodera comme elle pourra. C’est en procéda
isé à la déclarer surnaturelle? Non, sans doute; chaque progrès de la science renverse une barrière, recule les limites du poss
étrangers à l’humanité terrestre, la raison ne nous apprend rien, la science est muette; l’Eglise catholique enseigne l’existe
t pas rester immobiles en présence de ce grand mouvement imprimé à la science nouvelle, nous avons pris la défense de ce que no
lio, tout ce qui enfin orne une table de salon dans une famille où la science et la littérature sont quelque chose. Cette table
cteur qui m’avait précédé avait inutilement administré tout ce que sa science avait pu lui suggérer. J’ai magnétisé six jours,
fâcheuses circonstances ont enlevé ce nouveau triomphe à notre belle science ; cependant, comme vous allez le voir, les honneur
plus !... Je commençai donc ce traitement lorsque tout fut épuisé, science , espoir et argent. Où s’arrête la médecine, le ma
ien pur, celui que vous avez fait germer en moi, celui de notre belle science ! Depuis Mesmer jusqu’à nos jours, le magnétism
rs consulté avec fruit, et figure avec honneur dans les annales de la science nouvelle. Les semences répandues par nos estimabl
surannés du Veilleur de nuit, qui, loin de rcillcr aux intérêts de la science , nous fait l’effet de dormir du sommeil d’Epiméni
ce. Je laisse au jugement des personnes qui s’occupent de cette belle science , si ce fait peut s’attribuer aux bienfaits du mag
epierres, venant de C atmosphère, étaient impossibles? L’Académie des sciences ne déclara-t-elle pas, en 4769, que la pierre ram
revoient une explication nuisent certainement plus à l’avancement des sciences , que les hommes auxquels on peut reprocher une t
dit qu’il les utiliserait plus tard pour s’initier aux mystères d’une science si diversement appréciée par les savants eux-même
fet, il s’enrichit chaque jour de nouveaux phénomènes, et la nouvelle science prend un corps visible pour ceux qui réfléchissen
gnétismes dolents et timorés, 011 ne nous verra pas flatter la fausse science des écoles et courber la tête devant elle ; au co
des choses les plus grandes? Serait-ce qu’en détournant du centre des sciences les principes féconds, la providence voudrait ain
livre à la sagacité des hommes compétents. » On lit dans C Ami des sciences du 29 novembre : BRUITS SANS CAUSE APPARENTE.
r n’accepter un nouveau phénomène, en contradiction manifeste avec la science , qu’après l’avoir vérifié avec le plus de soin po
curieuse étude à faire, destinée peut-être à reculer les bornes de la science et à ouvrir de nouveaux horizons à l’esprit humai
ces. Mais il s’est tenu sur la réserve en écrivant dans un journal de science par crainte d’effaroucher les savants. Ces messie
rrain, comme nous devons savoir gré au rédacteur en chef de Y Ami des sciences d’avoir prêté les mains à cette petite expédition
possibles, ne s’cn sont pas moins réalisées, malgré les dédains d’une science présomptueuse qui avait cherché à les étouffer (I
ieurs soient attestés de la manière la1 plus authentique. La nouvelle science est appelée enfin à déchiffrer ces énigmes, à por
ous les yeux (1). (1) La Patrie, journal très-bienveillant pour las sciences occultes, contient. diins son numér«du H de ce mo
indication des remèdes ; souvent leur instinct voit plus juste que la science médicale. Après avoir raconté la mésaventure d’
68. Progrès. Le magnétisme occupe la place centrale où s'éléver une science sublime, celle des rapports du monde des esprits
164.— Le progrès tourne toujours dans un même cercle, et l’abus de la science , détériorant sans cesse notre globe , ramène fata
ues à l'action dont l'homme dispose, 169. Corps (les) savants et la science nouvelle. Discussion sur les phénomènes du spirit
nétisme, par M.Copeaux, 180. VARIÉTÉS. Académiciens (les) et la science nouvelle, scepticisme, railleries, chicanes de la
la médecine, 138, 161, 225, 521. BIBLIOGRAPHIE. Arbre (l') de la science , par Eugène Huzar. Analyse et examen raisonné, pa
s, comprenant la circulation de l'électro-magnétisme, le principe des sciences et l'art de vivre, de guérir, de rajeunir, par M.
nétisme, avec réflexions, par M. Morin, 164. Histoire et traité des sciences occultes, ou examen des croyances populaires sur
6 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
ns pour cacher aux yeux du vulgaire les principales découvertes de la science , dont le monopole appartenait aux prêtres et à le
tention des hommes sérieux (1)? En nous reportant aux annales de la science , les Assyriens et les Chaldéens furent les premie
descendants de ce grand philosophe que nous devons les progrès d’une science qu’il sut dégager des langes de l’ignorance et de
peuples qui, dans le principe, avaient négligé l’étude de toutes les sciences , n’ont rien innové, et si l’observation leur rév
nombreuses églises, et l’ignorance et la superstition succédèrent aux sciences et à la philosophie. Dans le sixième siècle, l’as
e et d’Angleterre, les empereurs romains et les papes protégèrent les sciences et les arts et rétablirent les bibliothèques. On
n (2). Roger Bacon, en Angleterre, illustra ce siècle par l’étude des sciences physiques et mathématiques. 11 soutint la possibi
), qui tombait en somnambulisme à volonté, dit, dans son traité de la Science du inonde, c. vm, p. /|7, qu'il y a en nous une n
avec aigreur les effets du somnambulisme artificiel, c’est que cette science leur fut présentée (l)t)e Vaiïel.rcrnm, I. VIII
lus ou moins obscures, laissent évidemment percer l’incertitude de la science sur la nature d’un phénomène qui s’est reproduit
même pas rencontré d’opposition sérieuse de la part des princes de la science . On appréciera également les motifs d’une opposit
iance et notre courage ne faibliront pas, tant que nous verrons cette science de charité et de dévouement sous la sauve-garde d
étisme, et d'un de ses résultats, le somnambulisme. Il pratiqua cette science en famille et dans l’intimité, pour en démontrer
autres la moitié de la vérité, c'est empêcher le développement de la science nouvelle. M. du Potel laissait trop à faire à l
?. — 10 Février 18j3. * S«dt‘Ii du Mesmérisme do Parlu. Quand une science parvient à inspirer les artistes, on peut être as
voici une nouvelle offrande, qui remplira de joie tous les amis de la science . C’est le complément de la trinité magnétique.
endant nous sommes sans crainte; car il y a une masse de faits que la science dite exacte n’a jamais voulu examiner, que la phi
e, n’a point encore trouvé d’explication. Il y a chez les hommes de science une grande peur du merveilleux ; tout ce qui émeu
udes et de ses occupations (il était géomètre, et chacun sait que les sciences mathématiques rendent l’esprit exigeant en fait d
Garnay). —Deuxièmeédition. Prix : 15 c. — Par la poslc, 20 c. La science se répand dans les esprits sons mille formes dive
e sera le modeste almanach, où un sage d’un monde nouveau révélera la science sublime du bonhomme Richard : la route varie, le
e propagande de vérité et de justice. Si la forme sous laquelle une science est présentée ne peut être soumise à aucune règle
mode de publication de leurs œuvres. Ils ont à consulter l’état de la science qu’ils veulent faire connaître, et doivent prendr
ement des conditions imposées aux auteurs qui révèlent à la foule une science nouvelle. Nous voyons dans les civilisations na
larté; tous leurs efforts tendront à dissimuler les difficultés de la science sous la lucidité de l’exposition et la simplicité
u peuple se laisse plus facilement toucher par les applications d’une science dont il sent l’utilité, que par des théories dont
s à l’exposition rapide du sujot, elles n’ont pas, en outre, dans les sciences imparfaitement connues, cette certitude authentiq
cultés intellectuelles. Les livres élémentaires sont la monnaie de la science ; obole qui porte la vie de l’esprit, il faut qu’
évouement nous inspirent mie vive sympathie; œuvre de sacrifice et de science modeste, ils hâtent surtout les progrès de la civ
its d’élite qui s'efforcent de rendre universelle la connaissance des sciences utiles. Un ouvrage fait dans les conditions d’a
ruit de longues recherches, il demande des hommes de loisir; œuvre de science , il veut des lecteurs préparés par une instructio
de reporter aii peuple le fruit île ses études, en lui révélant une science salutaire et encore ignorée, (’.’est une généreus
ses. 11 est divisé en neuf chapitres, qui contiennent le résumé de la science magnétique : chacun est un petit tableau. C’est u
rnier parle docteur allemand Mesmer, le véritable vulgarisateur de la science dans les temps modernes. 11 présente ensuite les
lans les masses populaires. Livre d’une lecture facile, il portera la science nouvelle dans les ateliers des grandes villes, et
l montrera à. leur intelligence des horizons inconnus à explorer, une science nouvelle à approfondir. 11 sera utile à tous, enf
ile à tous, enfin, car il est un livre moralisateur; il vulgarise une science dont la théorie élève l’âme vers les plus hautes
que chose dans l'occulte pouvoir d’Oléda, comme tu t’occupes de cette science , je t’engage à venir faire quelques expériences à
squels l’auteur envisage le magnétisme animal y sont traités avec une science et une sagesse dignes de l’estimable confrère qui
’est pas étendue, mais elle me paraît avoir une grande portée dans la science ; personne, mieux que Votre Grandeur, n’est à même
de pour exploiter, bien plus à leur profit personnel qu’à celui de la science , fait progresser chaque jour cette dernière, et j
argument des plaidoiries de ses défenseurs, c’est qu’il constitue une science et en a tous les droits. « Gomment trancher ce
être édifié sur la réalité du magnétisme? ( S’il était vraiment une science , pourrait-il être justement condamné? « La scie
ait vraiment une science, pourrait-il être justement condamné? « La science est en elle-même une chose légitime. Bien S lus
e, une gloire, et dans un certain sens un evoir. Dieu est le père des sciences » dit l’Ecriture. (( 11 est facile de comprendre
eu de leurs magnétiseurs? Cela revient à demander si leur foi dans la science est une feinte, et si cette science elle-même est
nt à demander si leur foi dans la science est une feinte, et si cette science elle-même est mensonge ou vérité. (i Des condam
trée. n Alors revient de nouveau la question de savoir s’il y a une science réelle au fond du magnétisme, et si les adeptes e
il a pour but de punir la superstition ? « Le magnétisme se déclare science . Cet article frappe-t-il un simple fait? Quel fai
en une opération scientifique. « La divination de l’esprit ou de la science n’est point évidemment ce que la loi pénale a vou
oins pouvoir, avant peu, consacrer quelques articles à l’examen de la science nouvelle. » Cette promesse a été tenue, et, dan
oulouse, 184S. Cet ouvrage, présenté comme mémoire à l’Académie des sciences ,. ne se trouve point dans le commerce. Le peu d’e
thérapeutique. Je crois que le magnétisme est un des chapitres de la science de la vie, mais je ne pense pas qu’il la constitu
rdités de cette doctrine, dont les enthousiastes voudraient faire une science ; on a dit que beaucoup de consultations par somn
ont fondés, mais ils ne détruisent pas des faits inexplicables par la science de la matière. « 11 est impossible tle nier l’i
organes. « Nous n’irons pas plus loin sur les applications de cette science encore au berceau, appelée magnétisme animal. «
, en citant ce fait, dans la 11e leçon de sou Cours de l'Histoire des Sciences naturelles, dit i « J’ai répété cette expérienc
blement exercées que par des médecins, des chirurgiens ou des gens de science , instruits et offrant toute garantie. Elles devra
seule question qui semble agiter maintenant les gens de bon sens, de science ou de religion, est de savoir s’il vient du ciel
surtout pour la fille Froment); il nous est résulté, dis-je, pour la science et la morale, des documents et des données que je
élat tel que vous, Monseigneur,’autant versé que vous l’êtes dans les sciences et divines et humaines, 11e peut qu’être d’un gra
ibre pratique du magnétisme animal à tout médecin offrant garantie de science et de moralité, qui jugerait convenable d’en user
bien à désirer, Monseigneur, que MM. les ecclésiastiques, chez qui la science de Dieu n’exclut certainement pas les sciences de
siastiques, chez qui la science de Dieu n’exclut certainement pas les sciences de l’homme, eussent sur la physique, sur le magné
sonnellement, Monseigneur, savent cependant que vous ôtes un homme de science et de haute capacité. Je joins encore à mon pli
es phénomènes, faite de bonne foi et sans prévention, par des gens de science , en fera connaître de plus en plus les lois et la
sychologique, il mérite les recherches et non le dédain des hommes de science , quels qu'ils soient ; 6° Enfin, comme phénomèn
donc, guérissez-la, et je serai un des plus fervents apôtres de votre science . » «Te ne pouvais ni ne devais reculer devant u
devant les conséquences qu’il faudrait en « tirer. Je voudrais que la science , renonçant au mépris avec « lequel elle accueilli
fus aussi un des premiers qui écrivirent dans notre langue sur cette science naissante; j’ai composé et publié un petit Traité
eillir favorablement. J’ai déjà vaincu, pour la profession de cette science , bien des obstacles, et surmonté bien des difficu
se et principalement dans l’Allemagne, la Russie et l’Amérique, comme science très-utile, avec la protection et l’encouragement
este pas en arrière des autres nations, et qu’elle donne dans cette science aussi une marque certaine de progrès civil, et un
plus distingués, et d’étendre et raffermir mes connaissances dans la science magnétique, en leur donnant plus de force par d’a
oudrais, m’occuper exclusivement et continuellement de cette nouvelle science si utile, et faciliter ainsi, par l’enseignement
rait les moyens de se tirer d’affaire dans tous les cas possibles; la science acquise ne pourrait le rassurer, car ces deux mot
ien. « Le magnétisme est un amusement, mais il n’est pas encore une science . » Le Charivari, qui vit d’excentricités, publi
, en vous envoyant, comme centre, toutes les nouvelles relatives à la science que vous professez avec tant de prudence et de su
gnétisme commence à débrouiller. C’est évidemment là l’aurore de la science immense qui monte à l’horizon. C’est elle qui mor
ratif, soit un agent actif ou neutre, une réalité ou une chimère, une science réelle ou un charlatanisme effronté. En effet, si
ore qui brillent de la lu- inière la plus vive dans le temple de la science , indépendamment des croyances magnétiques, Qui es
s cliniques magnétiques en Prusse et en Angleterre, et l'Académie des sciences de Berlin, l’Académie des sciences morales et pol
t en Angleterre, et l'Académie des sciences de Berlin, l’Académie des sciences morales et politiques de Paris, et la Société d'e
ces morales et politiques de Paris, et la Société d'encouragement des sciences , lettres et arts de Milan, ont proposé des sujets
ous n’entendons relater que les choses vraiment intéressantes pour la science , et que nous avons l’intention de supprimer tout
uvres produites, et pourtant mon âme était triste, car cette nouvelle science prend le monde au dépourvu : il n’y a aujourd’hui
reux de répondre à l’appel que vous avez fait à tous ceux pour qui la science magnétique n’est pas une utopie, en leur demandan
s du sceau de la vérité, qui réclament toute la portée actuelle de la science à ce sujet. Parmi les faits magnétiques qui agi
éprouver, mais qui n’échappera pas toujours aux investigations de la science , semble se diriger d’une manière toute spéciale s
, sans doute, la cause du peu de progrès qu’a fait jusqu’à ce jour la science magnétique... Elle n’a réellement pu marcher qu’à
, désintéressés et de bon sens s’en mêlent et s’en occupent... et les sciences physiques ont tellement fait de progrès depuis hu
physiques ont tellement fait de progrès depuis huit à dix ans, que la science magnétique a fait des pas immenses... et nous en
a médecine, sous ce rapport, est peut-être pire que toutes les autres sciences , parce que malades et médecins veulent tout expli
s d'industriels que de vrais philanthropes ou de véritables hommes de science . Cependant, Monseigneur, la médecine est une es
de créer des hypothèses, ne pouvant faire mieux. Heureusement pour la science et pour l’humanité, la science progresse toujours
vant faire mieux. Heureusement pour la science et pour l’humanité, la science progresse toujours, indépendamment des théories e
t des hypothèses... C’est aussi de cette manière, Monseigneur, que la science ecclésiastique a successivement fait des progrès
a aucunement trait à la foi catholique, et qui, sous le rapport de la science , n’est pas plus de la compétence du sacré-col-lég
pliquer avec une personne moins familière que Votre Grandeur avec la science , je lui parlerais des vertus hygrométriques des c
ens, Monseigneur, ne sont pas toujours les meilleurs juges en fait de science , vous le savez aussi bien que moi; tous les auteu
st la formule du jour; eh bien! il y a dans les académies beaucoup de science certainement, une immense masse de faits et de co
t ce que n'a fait pour le magnétisme animal aucun des coryphées de la science ; cependant, Monseigneur. il semble bien qu’il en
rait pas en 18ÛS ce qu’elle a prononcé en 1830, 1836 et 1840 ; car la science a grandi depuis lors en France comme partout aill
re dans l’intérêt de l’homme souffrant, et enfin dans l’intérêt de la science . Peu de médecins, peu de magnétiseurs, je dirai
oigner ni être soignées «pic par nous, gens de l’art, qui, lorsque la science nous manque, en sommes réduits-à dire : « Ce mala
est-à-dire abandonnées par mes confrères et moi. Alors, puisque notre science n’est pas absolue, les lois qui nous régissent ne
Je m’incline donc, et je dis : le bien divin est plus puissant que la science humaine ; qui ne le sait pas? Des hommes sans mor
ce règne de Dieu que poètes et prophètes ont également prévu, que la science nous prédit et que le progrès nous prépare. Mai
e nouvel ordre prétendent que toute l’économie humaine, église, état, science , société, doit se refaire de fond en comble ; ils
plis les journaux. Donnons d’abord la parole à un des organes de la science , l'Union médicale du 30 avril, qui publie la lett
aculté de médecine et tout le corps médical, ainsi que la Faculté des sciences , tous ceux enfin qui ont l’habitude d’observer et
sur ce sujet. Mais ce que je dirai hardiment, c’est qu’il faut que la science sérieuse et autorisée s’empare au plus vite de ce
ité et le charlatanisme ne se ruent sur cette proie nouvelle ; que la science nous dise ce qu’il faut croire et jusqu’où il fau
rriva, lorsque deux mille ans avant la création de notre Académie des sciences , quelques observateurs de hasard trouvèrent qu’un
ttirait les corps légers. Ce phénomène, presque passé inaperçu par la science antique, est devenu le pivot sur lequel roule la
perçu par la science antique, est devenu le pivot sur lequel roule la science moderne. Sans doute, ce fait d’animer, pour ainsi
ation et à la propagation plus ardente des pratiques mystérieuses des sciences occultes ; il sera livré en pâture à la sottise,
, révolution dans les idées du vulgaire, révolution peut-être dans la science , révolution peut-être dans la philosophie ! Vou
s pour animer sa statue d’argile. Ignorant comme je suis en fait de science , je n’ai pas seulement le droit de songer à avoir
révolution dans les idées du vulgaire, révolution peut-être dans les sciences , révolution peut-être dans la philosophie. Oui,
uence fatale des lois inscrites au code de la nature? N’est-ce pas la science régénérée, que toutes ces découvertes qui de jour
En réalité, c’est la langue (pii favorise les sceptiques, en appelant sciences naturelles ce qu’il y a de plus surnaturel sur la
ements du mannequin sont désordonnés et capricieux à l’infini. « La science de la mécanique parviendra-t-elle à les régler? 1
iseur nouveau-venu; à cela je réponds que je devais, avant tout, à la science nouvelle que je professe loyalement, le courage d
roclame son adhésion . dans sou numéro du 11 courant. Uutlctln «les sciences occultes. Sous ce titre, nous nous proposons de
caractère suffisant d’autlienti-ticité, appartenant au domaine de ces sciences que la bibliographie classe sous la vague dénomin
es sciences que la bibliographie classe sous la vague dénomination de Sciences incertaines, dans l’impossibilité où elle est de
bsolue, tous ces faits demandent à être étudiés et interprétés par la science ; mais auparavant il importe qu’ils soient consta
de bonne foi et animés exclusivement de l’amour de la vérité et de la science , d’un journal quotidien à grande circulation, pou
démasquer les charlatans et les faiseurs de dupes, qui déshonorent la science dont ils suspendent quelques lambeaux informes à
dévoué de tous les hommes d’intelligence et de cœur qui cultivent les sciences dites occultes : magnétiseurs, magnétopathes, psy
d le phénomène aura été bien constaté, il faudra bien pourtant que la science officielle, la science qui se décore du nom de po
bien constaté, il faudra bien pourtant que la science officielle, la science qui se décore du nom de positive, nous en donne
us en donne l’interprétation. En attendant cette explication que la science nous doit, et que nous sollicitons d’elle en tout
ertes, celle-ci aura été, probablement, l’effet du hasard. C’est à la science maintenant qu’il appartient de l’analyser, de la
e son coin, et il se mit à frapper de plus belle. Alors nos hommes de science déclarèrent qu’il y avait fraude dans cette affai
es, s’est exprimé ainsi : « AUX PROGllÈS DU MAGNÉTISME I ii Cette science , longtemps méconnue, retrouvée par Mesmer, vulgar
à elle nous avait appris à soulager les infirmités humaines, quand la science ollicielle était réduite à confesser son impuissa
s du corps humain et les remèdes les plus propres à les guérir; cette science se manifestait par une foule de phénomènes mervei
espondances d’un pôle à l’autre, et se prête, grâce aux progrès de la science et de l’industrie, à mille autres usages aussi cu
orce divine Meut tes ressorts, anime ta machine ; Dans tes réseaux la science aperçut Le fil qu’un hasard crée ou brise. Mais l
! Salut, Mesmer, Rousseau, Voltaire, Philosophique trinlté De la science humanitaire, Triple flambeau, trépied de la cla
poétisant ses phénomènes et en prophétisant l’avenir réservé à. cette science profonde, dont le retour parmi nous doit marquer
Sic vos non vobis. h Mais attention ! voici venir le Grisier de la science officielle, la fine lame du corps médical. Quelle
ynonyme de génie, de bienfaiteur de l’humanité, de régénérateur de la science universelle, — le mot n’est pas exagéré; — si son
homme calomnié, Mesmer, le fondateur, dans les temps modernes, de la science magnétique. Juste hommage rendu par la postérité
e fécondée, que devait naître et devait être fêté le régénérateur des sciences , le philosophe profond qui, embrassant de sa pens
e-t-on la loi, parce qu’il est des juges prévaricateurs? Nie-t-on les sciences , parce qu'il est de faux savants? Sceptiques à l’
nous ne serons pas devant vous; flétrissez le mensonge, respectez la science , et appelez sur elle la critique éclairée et loya
ppris, Messieurs, combien sont abondants et précieux les fruits de la science recueillie en nostemps, plus belle sera la moisso
’indiquer les résultats éloignés, sans doute, mais possibles de notre science . Les phénomènes physiques sont connus, les faits
uelques heures, apprendre à des êtres endormis du sommeil lucide, une science qu’il nous laut de longs jours pour connaître; on
a nature ses secrets, viendront en quelques instants communiquer leur science à des intelligences privilégiées, et inspirer, no
is, l’amour des combats, mais révéler la philosophie, l’histoire, les sciences , ces forces vives de nos temps. Ces intelligences
grandies, trouveront les lois encore inconnues, le lien qui unit les sciences entre elles, la chaîne secrète qui lie la matière
des hautes pensées l’esprit se purifie de ses souillures. Toutes les sciences humaines sont solidaires, elles forment une chaîn
maintenant brisés se réuniront au jour de l’harmonie universelle. Les sciences physiques ont été dans notre siècle illustrées pa
les temps écoulés, n’a pas atteint les sommités où sont arrivées les sciences exactes. Loin de moi la pensée de porter une main
armonie s'établira complète dans les productions du génie, et que les sciences morales seront placées aussi haut qu’ont été plac
les sciences morales seront placées aussi haut qu’ont été placées les sciences physiques? L’étude constante et sévère des phénom
rore du monde. De ces visions, la marche progressive et constante des sciences sœurs fera une réalité. Un jour paraîtra la terre
intains horizons que découvre la pensée placée sur les hauteurs de la science de Mesmer, horizons décevants, pays des rêves, di
dépeuple, Voyez pour eux que d'autels érigés ! Pour enseigner la science du peuple , Sur les écueils comptez les naufrag
min de fer du magnétisme ; je l’ai vu tout à l’heure à l’Académie des sciences , et je vous en apporte la bonne nouvelle. « En
e son âge, il est majeur et réclame un état civil dans le livre de la science du bien et du mal : l’Académie est sommée de le l
j'ai pu le constater parles signes physiques les plus certains que la science possède : la fluctuation et la percussion. La p
Le magnétisme triomphe si souvent des accès d’hystérie, tandis que la science officielle montre fréquemment son impuissance à c
connu par notre orgueilleuse raison. Elle a dû y pourvoir. Hélas ! la science , substituant ses faux systèmes aux lumières somna
dre de recherches, et que de toutes parts on fait des expériences, la science va s’enrichir de données qui laisseront loin derr
je pense que toutes les grandes institutions humaines, église, état, science , société, sont appelées à se transformer de fond
me, et si, selon eux, la purification du corps et de l’esprit, par la science et la pureté, est le seul moyen de nous rendre ac
vent éprouver avant d’arriver jusqu’à nous? » Après avoir divisé la science sidérique et ses rapports, en sidérique—astrologi
nétisme ou simplement curieuses de suivre les développements de cette science qui touche au merveilleux par tant de points. «
rendus à la mémoire de Mesmer, de l’homme que les deux académies des sciences et de médecine réunies ont essayé de flétrir des
ats produits, depuis un siècle, par le magnétisme pour l’humanité, la science , les arts, l’industrie. Dans les discours des ora
a loi n’est pas trouvée, et dont il n’a pas été possible de faire une science . Les partisans du magnétisme se vantent surtout d
règle morale, tant qu’elles n’auront pas produit pour l’humanité, la science , l’industrie et les arts des applications utiles,
H. WARMÉ. Saint-Pol, 23 mai 1853. BIBLIOGRAPHIE. TRAITÉ DE LA SCIENCE MÉDICALE, par M. le Dr Édoüaud AUBER. 1 vol. in
, .soit en mal, soit avec indifférence. Les auteurs qui ont trop de science pour nier les faits, mais pas assez de conscience
’Isis, d’Osiris et de Sérapis. Enfin, c’est incontestablement dans la science du magnétisme, qui, du reste, a servi de base à l
este, les prêtres se gardaient bien de divulguer cette partie de leur science ; ils en taisaient, au contraire, un mystère, soi
ne sacrée constituait la meilleure et la plus importante partie de la science des Egyptiens. « Si les détracteurs du magnétis
sme, ils cesseraient de clabauder avec tant d'impertinence contre une science qu’ils ne comprennent pas, et qui finira par les
n dédain superbe et systématique. Mais aujourd'hui l’horizon de cette science s'éclaircit, elle commence à se débarrasser des e
des méditations et des travaux des hommes les plus éclairés dans les sciences physiques. Que ses destinées s’accomplissent, et
au magnétisme, C’est faire de la physique transcendante ; mais cette science toute mécanique n’a rien à veir dans celle du cœu
ure des limites infranchissables. L’homme, malgré tous les trésors de science amassés par son génie, doit être bien pénétré de
ée par une profonde sagesse. Si les Américains, quoique inférieurs en science aux Européens, ont obtenu les premiers d'étre gra
ns applaudi son initiative en reproduisant la préface du Bulletin des sciences occultes qui devait réunir les faits et dires rel
e leur dis : Messieurs, il s’agit ici d un fait surnaturel, auquel la science ne croit pas ; vous êtes en partie habitants d’Ai
dement, ep. 10. Diderot. Pensées philosophiques. Dictionnaire des Sciences médicales, art Convulfionnaires, Carré de Mongé
ser pour incroyable, quand il n’a pas été observé. « Voici donc une science nouvelle ou plutôt renouvelée des anciens, qui na
érité. « Peut-être aussi que, loin de détruire les religions, cette science ne pourra que les épurer en fortifiant leurs fond
nion annuelle est toujours l’occasion de nous entretenir de ce que la science magnétique a pu acquérir dans l’année qui vient d
ui, sans leur intervention, n’auraient été que passagers. Pour que la science officielle puisse guérir de telles affections, il
e eu lieu. « Ce qui nous a bien intéressés et qui a procuré à cette science naissante un adepte de plus, c’est qu’un jeune ho
IÉBEKT (de Garnay). CLINIQUE. On lit dans le liegister of médical science , publié à Calcutta, lin exposé des résultats obte
plus de six mois dans ma chambre, des personnes se disant sublimes en science ., ont fait tous leurs efforts pour me faire décla
et l’étude les compléteront. Voici le chapitre qu’il consacre à la science magnétique : « 11 peut se faire que le somnambu
ut-on maintenant accepter ce que les magnétiseurs peu versés dans les sciences physiologiques ou trop amateurs du merveilleux, o
glée. Voici un fait tout récent, qui est le troisième connu dans la science écrite, je veux parler d’une hernie étranglée réd
péré. Je n’étais pas plus satisfait de l’opération mystique que de ma science ; je me défie des hystériques dans ces cas, car el
s contenues dans les religions rivales. Toutefois les progrès de la science ont eu pour résultat d’amoindrir successivement l
ier cette matière. L’auteur a eu raison de le dédier à l’Académie des sciences morales et politiques. Nous ne savons s’il ira à
, dans l’Académie de médecine et parmi les plus hautes sommités de la science , que nous trouvons les attestatians les plus impo
vaut avouer noire ignorance et attendre que de nouveaux progrès de la science nous permettent de rattacher ces faits ;\ une thé
et y produire de ces ravages aussi terribles que surprenants, dont la science n’a pu encore donner que des explications bien in
arrerie ne nous semble telle qu’à cause de notre ignorance, et qu’une science plus étendue ne viendra pas en donner la clef?
de parler des langues inconnues et la connaissance presque subite de sciences non apprises, faits qui du reste comportent d’aut
es tables tournantes, on est pris d’une sorte de tristesse. Quoi ! la science actuelle ne va pas plus loin que ce que nous liso
ut toujours rejetée ou exploitée en sens contraire des intérêts de la science et de l’humanité. J’ai laissé écrire des choses
ouvrage intitulé : Théorie des relations considérées comme base de la science et du progrès actuel, dans lequel il parle avanta
ransposition des sens doivent être au nombre des faits que possède la science . C’est ce que démontre un certain nombre d’observ
p. 23i.) Tel est le langage généralement adopté ; c’est celui de la science ; mais il s’agit de se bien entendre sur le sens d
effet magnétique avant son semblable puisé daus la nature ou dans les sciences . Les quelques considérations qui suivent la nar
isante du phénomène en question. C’est avec de pareils hommes que les sciences grandissent et marchent à la conquête de l’inconn
es expérimentations. «Nous n’avons à parler maintenant ici de cette science que sous le rapport plastique, si nous pouvons no
mirer dans Fatma ; mais la volonté du professeur, homme de goût et de science avant tout, a donné une autre direction aux idées
x, bizarres, grotesques et instructifs, révèlent un monde nouveau. La science , c’est la traduction d’un symbole, du Juif errant
nétisme, du somnambulisme , des tocs-tocs spirituels et de toutes les sciences occultes deviennent tous les jours plus nombreux
er la véracité d’une consultation magnétique, et de donner ainsi à la science divinatoire des somnambules un précédent judiciai
mandée. L’auditoire était nombreux. Nous avons remarqué des hommes de science , des hommes spéciaux, bien connus dans notre cité
r à tour la surprise, la terreur, la gaîté. v M. Philips fait de la science en Christophe Colomb, convaincu seul d’abord, mai
oniaque pur!... « Que dire après ces faits?... Croire, parce que la science est grande ; espérer, parce que des hommes dévoué
caractère de M. Philips. Nous désirons vivement, dans l’intérêt de la science , qu’elle soit accueillie, car il pourra en résult
tisme n’en continue pas moins sa tâche et recueille les faits dont la science pourra tirer parti. La rotation des personnes s
l avait disparu; le bras était bien remis, mais il était roide, et la science osait à peine espérer que le grand artiste pût se
de la destruction, et quand, pour le combattre, les ressources de la science lui manquaient, il avait recours à, celles de l’e
’imbécillité du siècle, et montré le savant, c’est-à-dire l’homme des sciences exactes, conservant seul son bon sens au milieu d
plume à la main. Notre époque n’est que trop livrée au despotisme des sciences positives. Elle n’est que trop disposée à réserve
Elle n’est que trop disposée à réserver pour elles seules le titre de sciences . Je voudrais qu’on songeât enfin ii combattre une
et de la volonté. « Or, qu’arrive-t-il ? Au moment où l’orgueil des sciences exactes éclate comme jamais il n’avait éclaté, au
s. « Patience I le jour viendra où M. Foucault, qui est un homme de science et de conscience, regrettera d’avoir été si vif.
t cette fine analyse.... » « Prenons-y garde, les représentants des sciences exactes risquent de devenir, autant que faire se
sitivement l’Écriture, il cesserait de croire ce qu’a dit Jésus. La science est et sera toujours sceptique, elle n’admet que
e cercle que la caste sacerdotale, en tous pays, a tracé autour de la science . La croyance au diable s’est fort affaiblie chez
ur en étudier le fondement et pour faire entrer dans le domaine de la science tous les laits d’occulte puissance, nous battrion
s sur ce chapitre que le confesseur de votre femme, plus que toute la science moderne ne saurait vous en apprendre ; vous recou
rt nouveau. En effet, il effraie les coupables, et pour ceux-ci notre science est vraiment la science du diable. Si tout ici
effraie les coupables, et pour ceux-ci notre science est vraiment la science du diable. Si tout ici était vain prestige ou i
ence, et qu’ils apprennent qu’il y a des possibilités méconnues de la science des écoles, et que dans ce que celle-ci ignore, s
rt des annonces qui ont été faites du prix proposé par l’Acadêmie des Sciences morales et politiques. On a imprimé que le terme
cm, de Firdousi. Nous y avons remarqué un passage qui se rattache aux sciences occultes. Guirc le Vaillant, ne sachant ce qu’e
table tournante puisse être regardé comme définitivement acquis à la science . Nous ne nous arrêtons pas aux exagérations et au
le, (¡’est tout un monde à explorer, et c’est peut-être la clef d’une science nouvelle qui nous dévoilera les mystères jusqu’à
t fréquentes, elles amènent des condamnations. « Constitue-t-il une science ? Comment trancher ce nœud scientifique? « L’em
s, aller porter cette rémunération d’un avis qu’ils réclament à cette science , comparée ici aux jongleries du magicien couvert
nt sur de fausses analogies, parodier en quelque sorte l’Académie des sciences , qui a décidé qu’elle ne s’occuperait jamais de l
u somnambulisme; cette crainte peut être un véritable dommage pour la science . » — M. l’abbé Moigno, en reproduisant, dans le
trop peu connue, qui résume fidèlement les plus saines notions de la science magnétique. UÉBERT (de Camay). BIBLIOGRAPHIE.
araphrasant une partie du Caliehismc de M. Hébert, les éléments de la science magnétique. 11 a pris la forme des dialogues fami
t la nature?... A cet égard, un mystère profond nous enveloppe, et la science , malgré ses persévérantes recherches, n’a pu enco
us secrètes, de la connaissance subitement acquise aux somnambules de sciences qu’ils n’ont point étudiées, etc. Nous ne pouvo
us un mystère qui sans doute n'est pas près d’être éclairci ; mais la science ne peut s’appuyer suides hypothèses aventureuses
s invisibles; mais nous n'avons pas ici à traiter de cette partie des sciences occultes. Quant au pouvoir qu’exerce la volonté
rtées aux recherches de tout ce qui est au delà du physique, et si la science officielle n’obéit point à cette impulsion morale
lus depuis qu’un grand journal a mis la sourdine sur son bulletin des sciences occultes. « A propos de ce journal, on raconte
urs yeux toutes les pièces d’un débat qui, non-seulement intéresse la science que nous servons, vous et moi, mais qui de plus i
connaître aux lecteurs du Journal du Magnétisme, dans l’intérêt de la science et de la vérité. « Quant à la rotation de l'hom
donc oserait en nier l’existence ? Et cependant, jusqu’à ce jour, la science n’a pu en découvrir la forme et la couleur ; elle
ar le feu divin, ou finissent leurs jours à l’hôpital ; car la fausse science n’a pas plus d’entrailles que de génie ; elle s’a
us devait être un jour le prince des mages et initier les hommes à la science morale, en les convainquant du surnaturel par des
ait et devrait être encore aujourd’hui la plus haute expression de la science et de la sagesse. Est-il nécessaire de rappeler
and nombre d’ouvrages; et, malgré le dédain affecté des princes de la science , ce riche et intéressant sujet est tous les jours
issance de la postérité, et quels que puissent être les progrès de la science , on lira toujours avec fruit les ouvrages de Mesm
ne paraît pas avoir suffisamment étudié cette branche si curieuse des sciences occultes, s’empresse beaucoup trop de tirer du fa
supposé des conséquences absurdes, de déclarer qu’il « n’y a plus de science , si l’on possède en main toutes les solutions, »
ous seraient supérieurs, ils seraient nécessairement bornés dans leur science et dans leur pouvoir; qu’enfin nous pourrions avo
orez pas, je pense, que connue magnétiseurs, quoique n’exerçant cette science que par pure humanité, nous sommes traqués comme
, perdre toute leur valeur. Tables ! fables ! s’est d’abord écriée la science . A le prendre à la lettre, il est vrai, de l’un à
intérêt qu’inspirent toujours les travaux d’un homme illustre dans la science , j’ai étudié avec l’attention contenue et la conf
eur, que je ne suis pas instruit, malheureusement pour moi; le peu de science que j’ai, je l’ai appris presque moi-même, mes pa
ssi vive, aussi ardente, et il en devra être ainsi jusqu’à ce que les sciences morales soient parvenues à un degré de certitude
comme 011 le voit, du temps où ceux qui se posaient en arbitres de la science , 110 pouvaient entendre prononcer le mot de magné
apparaît aux médecins comme venant suppléer à l’insuffisance de leur science ; elle trouble le repos des académies et force l’
un esprit crédule. Cœur candide, vous croyie -que tous les hommes de science vous ressemblaient, et que, comme vous, ils prend
r, quel qu'il soit, les prend de préférence et à mérite égal, car les sciences touchent à la politique. Mais où vais-je? N’ai-
s le dire : c’est parce que vous avez plus d’orgueil que de véritable science , et que ne connaissant rien des agents moraux et
s le démontrer. Je dois me contenter de constater l’état actuel de la science et de l’opinion publique à cet égard. « Le magn
s avant dans le domaine des esprits : c’est un moyen de suppléer à la science acquise pour juger les symptômes des maladies et
à choisir entre deux inconvénients : celui de priver le public de la science de quelques-uns, ou celui de la livrer aux entrep
11 a évité le plus grave en exigeant le diplôme, garantie d’étude, de science , d'habileté à user de la pharmacie, à exercer la
’il s’adresse au somnambulisme ou qu’il préfère les conjectures de la science des écoles. « Voilà pour la première catégorie.
, A. de SAl'LXUKE. Animé par une grande pensée, je voulais que la science nouvelle fît ses preuves et fût en même temps uti
cement ou vite, seul ou attelé, chargé ou k vide ; cela constitue une science populaire et domestique. « Le dépisteur est un
ertions font foi devant les tribunaux inférieurs. La conscience de la science qu'il possède lui donne une certaine dignité plei
perie ? C’est ce qu’il est difficile ou plutôt impossible de dire. La science constituée nie tout sans examen avec la haine d’u
ter aujourd’hui seulement comment s’en tira un savant, un savantde la science constituée, un membre de l’Académie de médecine,
ses plus difficiles à croire que le magnétisme. — Vous autres de la science constituée, lui disais-je, au ToilE XII. — N° 1
D’abord nous constaterons un premier fait, c’est celui du néant de la science moderne en présence des nouveaux phénomènes. Frap
tisme, nos augures excitent le rire et la pitié. La voyez-vous, cette science orgueilleuse qui nous accablait de ses dédains, l
s avec labeur et persévérance forment une bibliothèque nouvelle où la science qui s’élève trouvera toujours à puiser. Notre t
philosophique, par M. le Dr Edouard Auber, 320. Progrès (du) de la science nouvelle. Réflexions et vues diverses : — par M
uler, 136; — par M. Jules Logerotte : 1° sur la vulgarisation de la science au moyen de livres élémentaires, 73; — 2° sur l
nquisition, contre l'usage du magnétisme clans certains cas, 353. Science nouvelle (de la). V. Progrès. Somnambulisme (du
a libre pratique du ma- gnétisme à tout médecin offrant garantie de science et de moralité, 117. — Suspension d'un jeune prêt
errestre, 525; — par Alph. Karr, sur l'incrédulité systématique de la science constituée à l'égard du magnétisme, 605. Récits
vés. Analyse, citations et critique par M. Morin, 585. Traité de la science médicale, par le Dr Edouard Auber. Extrait fort r
7 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
POUR PRÉPARER LE LECTEUR AUX RÉVÉLATIONS LES PLUS MYSTÉRIEUSES DE LA SCIENCE NOUVELLE. Lorsque, par un effort de son génie,
blir c’est tout! En effet, Messieurs, si nous ouvrons les annales des sciences , si nous suivons à travers les âges le progrès hu
que dans les temns d’iirnoranr.ft ? Par M. le baron DU POTET. La science fait du stras, La nature du diamant. PREMIÈRE P
t par beaucoup de travail. Vous voulez qu’ils ouvrent le temple de la science et qu’ils accueillent ce qui va diminuer leur pui
Je vais faire luire à vos yeux une vérité nouvelle contestée par la science , que vous-mêmes, peut-être, ne saisirez pas tout
i toutes les propriétés? N’y a-t-il plus rien à découvrir en nous? La science a déjà répondu; les instruments qui font mouvoir
reste plus à dévoiler. Et le philosophe a jugé sur les données de la science , il a pensé comme elle, et il a accepté son jugem
tortures et le bûcher. Oui ! heureux ce temps, disons-nous, car la science nouvelle qui se produit en dehors de la science,
, disons-nous, car la science nouvelle qui se produit en dehors de la science , de la science des écoles, a besoin d’un appui qu
car la science nouvelle qui se produit en dehors de la science, de la science des écoles, a besoin d’un appui qu’elle n’a jamai
st ainsi que les fails nouveaux entrent dans le monde en dehors de la science , ou plutôt malgré elle, toute étourdie doit-elle
somnambulisme, extase sont trois faits nouveaux dans notre monde. Les sciences se croyaient en repos, elles doivent changer de p
ou cette espècede ravissement d’esprit dans lequel l’âme, niée par la science , apparaît avec toute sa majesté, va détruire la p
re l’agent magnétique dont nous voulons vous mettre en possession. La science refuse l’examen des faits, ou plutôt elle n’admet
’est changé pour elle, tandis que la vérité circule partout ! Cruelle science , espères-tu par ton silence calculé faire reculer
é lorsqu’elle régnera sur les masses ; mais il ne sera plus temps, la science sera alors dans le cœur de tous, mais non encore
sme s’est développé, son influence ne s’est pas seulement limitée aux sciences morales et physiques, mais le domaine littéraire
e prouverai que des médiums, qui n’ont jamais lu un livre traitant de science , qui n’en comprennent môme pas le langage et en i
ure, reçoivent, au moyen des coups, des communications où brillent la science la plus profonde, les recherches les plus curieus
professent une foi bornée au magnétisme. J’entends d’abord que cette science doive se voir circonscrite; trop de charlatans l’
aussitôt que l’action des piles n’a plus lieu. Cette découverte de la science physique coïncide parfaitement avec celle de la s
ouverte de la science physique coïncide parfaitement avec celle de la science psychique, que nous sommes sur de communiquer les
ptible elle-même. Qui peut le plus peut le moins. Vous voyez que la science matérielle n’est plus très-éloi-gnée de la scienc
Vous voyez que la science matérielle n’est plus très-éloi-gnée de la science spirituelle, leur point de contact est trouvé. '
nseignés par les plus consciencieux et les plus savants maîtres de la science merveilleuse de l’influence de l'homme sur l’homm
qui, dans sa rigide austérité, se hâte de lancer l’anathème sur cette science sans la connaître. « Nous nous proposons de fai
lte. Elle a la réputation de guérir les maladies contre lesquelles la science des médecins ne sait qu’écliouer ; aussi l’afflue
r des matériaux dont votre sagacité saura tirer parti au profit de la science . Agréez, monsieur le baron, l’assurance de ma p
otre su- jet, cette loi préside aussi bien aux développements d'une science et à ces évolutions, qu’au développement d’un êtr
t toujours à l’abri de la lumière. De même, l’état rudimentaire de la science ne peut guère faire présumer à l’ignorant ce qu’e
et toujours elle revêt des formes mystérieuses. Elle est à l’état de science occulte. Elle affiche des allures mystiques ; ell
vie, elle l’emprunte à des éléments tout formés, à la tradition, aux sciences déjà existantes. Ce sont les cotylédons, la subst
es degrés de l’échelle inférieurs à celui qu’il doit atteindre. — Les sciences , à leur origine, empruntent les formes et l’organ
sciences, à leur origine, empruntent les formes et l’organisation des sciences qui les ont précédées. Elles sont confuses et se
éfinissent mal. Astronomie, chimie, physique, etc., il n’est pas de science dont l’origine ne se perde dans la nuit des mystè
ites — sont favorables à l’éclosion, ¡l’être brise ses enveloppes, la science se révèle à la lumière (1). (1) Les mathématiqu
basons. Il n’en est rien. Comme nous le disons un peu plug loin, les sciences sont graduées comme les êtres, et la grande loi d
ématiques pures que l'humanité étudié, mais qu'elle n'invente pas; la science des sciences sur laqueUc toutes »lais à sa nais
res que l'humanité étudié, mais qu'elle n'invente pas; la science des sciences sur laqueUc toutes »lais à sa naissance, l'étre
t latent. Ce candire d'individualisme n'est pas moins tranché dans la science naissante. Elle s'est tout entière incarnée dans
t que l'on comprenne bien ce que veut dire la vie d’une idée ou d’une science , et en quoi, malgré l'analogie, elle diffère de l
L'étre ne vit réellement que par ses manifestations. — Ainsi de la science . Sa vie intérieure, pour ainsi dire, consiste dan
it que ses organes sont plus développés et mieux équilibrés ; pour la science , les organes ont les différentes branches ou sect
le sera représentée par' les liens qui uniront les groupes divers. La science sera d’autant plus parfaite que les buts spéciaux
s êtres plus ou moins élevés dans la série; et que, s’il s’agit d’une science digne de ce nom, c’est chez les êtres de haut tit
e rapport. Réciproquement, les rapports analogiques établis entre une science et les êtres de degré supérieur devront faire pré
enfance exige le plus de soins extérieurs, et se prolonge le plus. La science la plus positive, la plus parfaite, sans contredi
l’état embryonnaire, et qui, après qu’elle avait déjà pris rang comme science positive, a gardé le plus tard les allures mystiq
resté à l’état latent, caché sous les mystères de l’initiation et des sciences occul- (I) Nous exceptons toujours les mathémat
x, a magnifiquement accompli sa phase embryonnaire. Le magnétisme, la science propre de la vie, c’est-à-dire des relations de l
Aussi les parrainages illustres ne firent point défaut à la nouvelle science . On pouvait croire que son éducation se ferait ra
dans de nuageux souvenirs. Puis, se prenant pour un simple reflet des sciences ses sœurs, parce qu’elle sent le besoin de s’appu
sur les procédés à employer pour faire progresser le magnétisme comme science , c’est-à-dire les voies et moyens pour suivre l’i
oint un simple amusement de curiosité vaine : ses lois contiennent la science des destinées universelles. réunions. Mais je v
der quelques instants. Les tortures de l'esprit, je dirais môme de la science , viennent de l’ignorance douteuse et incertaine d
availlent aujourd’hui. Le tort enfin est tout entier (Luis l'homme de science ! Il se tue lui-même 1... Il étouffe, dans une cri
reils, quand en toutes choses ils paraissent semblables? Béponds ! La science et l’esprit se sont réunis ce soir pour causer en
unis ce soir pour causer ensemble de leurs croyances respectives : la science est-elle prête ? — Oui, si c’est moi qui représ
: la science est-elle prête ? — Oui, si c’est moi qui représente la science . — Réponds alors à ma première question. (1)
d’abord à une première réponse. L’homme ne doit pas parler, c’est la science seule ; si elle n’est point prête, l’esprit se ra
ose doit paraître aimable. L’esprit attendra le jour et l’heure de la science ! Maintenant, cher maître, tendez-moi de nouveau l
lômés et patentés, tout en suivant de point en point les règles de la science officielle et en ne puisant que dans le codex can
ourra, sous peine de sacrilège, y ajouter un seul mot : le char de la science doit s’arrêter, les oracles vont désormais être m
évolution actuelle. Il s’agissait surtout des phases mystiques de la science , et nous avons procédé par cette analogie, grande
nomènes, il n’est pas permis de se refuser à F examen. L’Académie des sciences , à tort ou à raison , répond aux faits des tables
raux du spiritualisme croient avoir meilleur accueil à l’Académie des sciences morales et politiques, ils se trompent. On les re
nouvelles lunes, dont le rédacteur avait aussi la manie de parler de sciences sans y rien connaître au fond ; mais il en savait
ations positives et négatives, qui s’applique à tous les cas dans les sciences naturelles, est incontestable, et cependant nous
quelques développements de ce point si délicat de la méthode dans les sciences d’observation, et si nous l’avons fait à propos d
si le phénomène des coups (1) De tous ceux qui se sont occupés des sciences d'observation, l’esprit qui s'est montré le plus
œuvre qui sont, en même tomps que des monuments impérissables pour la science , le meilleur enseignement de l’esprit philosophiq
t nous osons ajouter le plus parfait) de la méthode positive dans les sciences d’observation. (Arago, 1.1«, des Notices scientif
des êtres, nous pourrons la vérifier, car elle serait la clef de la science mesmérique. Toutes les communications niaises,
forts de M. du Potet pour suivre l’impulsion qu’il veut imprimer à la science . A. PETIT D’ORMOY. VARIÉTÉS. DÉFI AUX MAGNÉ
D’ORMOY. VARIÉTÉS. DÉFI AUX MAGNÉTISEURS. Le journal X Ami des sciences a publié, dans ses numéros des 24 février, 2 et 9
t des grandes villes, se livrent journellement à la propagation de la science de Mesmer, et donnent fréquemment des séances pub
ra fort mauvaise grâce de se prévaloir de son ignorance en sommant la science de comparaître devant lui pour justifier de ses t
ien venu à mander les physiciens pour qu’ils aient à prouver que leur science a fait des progrès ? On se contenterait de la r
répandu , et qu’il n’est pas permis d’ignorer quand on s’occupe de la science de l’homme. Les conclusions (citées dans la lettr
i-même. On fera donc pour le magnétime ce qu’on fera pour toute autre science qui repose sur des faits. Mais ce que nous combat
personnes de se faire en quelque sorte les procureurs généraux de la science , de traiter le magnétisme en accusé, et de lui di
sans relever un incident rapporté dans le dernier numéro de l'Ami des Sciences . Voici comment M. Mabru termine son prétendu résu
isère humaine. C’est donc avec regret qu’au double point de vue de la science et de l’humanité, nous constatons aujourd'hui la
e là : une discussion s’y est engagée à propos des défis de Y Ami des Sciences , on y a rappelé les expériences faites devant M.
it toujours ajouter M. du Potet, est-ce bien le mauvais vouloir de la science officielle qu’il faut seul en accuser? Si nous
es fondations du monument que la génération nouvelle doit élever à la science inaugurée par Mesmer. Après avoir déposé ce ger
s, n’a point qualité pour prendre une décision scientifique. Dans les sciences , la vérité se démontre et n’est pas affaire de vo
ite juge dans son for intérieur. Est-il à désirer d’ailleurs que la science officielle reconnaisse le magnétisme ? La questio
pas encore publié beaucoup de livres ; il n’avait pas de journaux. La science officielle, en l’acceptant, n’avait pas le droit
les lois avons-nous formulées ? Solliciter maintenant l’appui de la science odiciélle serait faire aveu d’impuissance. Et soy
cela n’est possible qu’en restreignant les principes, en faussant la science , en la hongrant pour la rendre inféconde. Nous ne
conquête des savants ; mais tenons-nous à distance respectueuse de la science officielle. Ennemie peu redoutable de la vérité q
ose. Ils ne veulent pas qu’on mette en doute leur bonne foi. Dans les sciences , on ne doit croire qu’à ce qui est prouvé. C’est
e recueillement, toutes les questions solubles en l’état actuel de la science , se présente devant une commission libre, composé
une commission libre, composée d’hommes intelligents, pris hors de la science officielle, parmi les capacités de tous les ordre
d’expériences bien faites, et l’on n’aura à craindre de la part de la science officielle ni tentative de confiscation, ni traca
eur seraient recommandées. Et quelle riche mine à exploiter pour la science que cet élan que les sociétés magnétiques ont imp
ponse du professeur Piorry, un des plus illustres représentants de la science officielle : « Une fois que l'attaque d’hystérie
l a rappelé les grandes choses accomplies par les sectateurs de cette science sublime et a exposé ce qui leur restait à faire;
cette vérité physique si peu ré pandue parmi les représentants de la science . ’ P ve~ Et ce rayonnement lumineux, configuran
, comme 011 a vilipendé le magnétisme. Assurémenl, elle n'est pas une science faile (quelle science entière possédons-nous?); m
é le magnétisme. Assurémenl, elle n'est pas une science faile (quelle science entière possédons-nous?); mais elle témoigne déjà
mme si les éclairs sublimes qui leur traversent l'âme y déposaient la science universelle et la perfection absolue. Dans les in
ourrait dater l’alliance définitive du spiritualisme moderne et de la science . Le livre de M. Hare est intitulé : Le Spiritua
res plus élevées. Leur mission est de nous communiquer les trésors de science et d’expérience qu’ils ont acquis, trésors que no
onstituerait vos inférieurs. Au contraire, nous allons progressant en science et en sagesse, et continuerons à, progresser ains
t nos facultés, forment une part considérable de nos jouissances. Les sciences sublimes de l’astronomie , de la chimie , des mat
ecins? N’est-il donc pas important de rechercher ce qui en est, et la science n’est-elle pas intéressée à une pareille vérifica
-rnagnétiste, qu’est-ce, aujourd’hui, que le phénomène appelé, par la science négative, hallucination ? Est-ce un phénomène h
ais, il en sera autrement, car la foi s’appuiera exclusivement sur la science , sa base naturelle; et le sentiment d'adoration n
eux petits oiseaux, en leur infusant, par irradiation volontaire, une science si jolie, si sorcière, et nullement magnétopliobe
e-ment l’honorable traducteur d'Hippocrate, débute tout au plus comme science abstraite, 011 ne niera pas, toutefois, qu’elle 1
difficile dans les premiers pas de ces tentatives, ('/est pourquoi la science antique repoussait l’approche des profanes. C’est
3) Colliers. (4) Ces contrées ont conservé des débris de l'ancienne science brahmi-que. On lit dans I'Amsiebdausciie-Courant
t les effets de cette incroyable maladie , qu’il n’appartient qu’à la science d’expliquer, et qui attire chaque jour une foule
la médecine n’a pas d’autre but. M. Latour serait-il désabusé île sa science au point d’en confesser hautement l’impuissance r
ni à soulager la malade. Celle-ci , ne trouvant pas de salut dans la science oliicielle, chercha naturellement d’un autre côté
ce tapage. A propos de la polémique engagée récemment dans Ami des sciences , relativement au magnétisme, M. Latour prétend qu
tions faites en faveur du magnétisme par plusieurs des sommités de la science médicale? Comment, en présence d’adhésions d’une
fensc du magnétisme, a prouvé que ses résultats étaient acquis à la science et à l’humanité, et qu’on ne peut se rendre coupa
et l’on peut dire que son livre présente l'état le ¡»lus avancé de la science sur ce sujet. Et pourtant, malgré toutes ses rech
touchons ici aux plus profonds mystères de la nature humaine dont la science n’a pu encore sonder les abîmes. M. de Boismont
ui fonctionnent alors ? C’est ce que nous ignorons. Mais, tant que la science n’aura pas éclairci ce problème, il y aurait de l
S MAGNÉTIQUES OPÉRÉES A DISTANCE. Les hommes qui exploitent cette science en faveur de l’espèce humaine ont été couda nnés
assez l’efficacité de cet agent bienfaisant et l’impuissance de notre science médicale, à nous qui improuvons tout ce qui ne so
edouter de la critique humaine, nous déployâmes tout ce que la pauvre science médicale avait déposé dans 110s cerveaux en fait
bir le môme sort que sa petite sœur, si je l’avais encore confié à la science médicale; mais, cette fois, je m’adressai :ï deux
rable pour le corps médical d’embrasser avec confiance cette nouvelle science médicale, dite magnétisme, que de nous porter, lo
ermer dans le cœurdequelques-unsdemesconfrères ledésird’explorercette science , afin de pouvoir bien la juger avant de la condam
. Comment! voilà des hommes graves que l’on croyait tout dévoués à la science , n’ayant d’autre passion que de soulager les mau
prendre le bonnet de docteur. Mais, au train dont vont les choses, la science et l’industrie se liguant pour prévenir le mal pa
’ils n’existaient pas et ne pouvaient pas exister, que leur prétendue science , leur prétendue lucidité étaient contraires à tou
à son étude leurs connaissances acquises, ils enrichiront ainsi leur science de précieuses ressources et grandiront en influen
. La constance ne saurait-elle donc exister que là où est la foi ? La science récuse la foi, — elle a raison. La foi récuse la
la foi ? La science récuse la foi, — elle a raison. La foi récuse la science , elle a doublement raison, car ce qu’elle produit
, quoique ne pouvant s'expliquer, est bien supérieur aux œuvres de la science . Rien ne nous étonne donc aujourd’hui, tout sem
eux, la force miraculeuse est aux mains des hommes, c’est plus que la science vulgaire qu'il faut posséder pour la manier, — c’
re qu'il faut posséder pour la manier, — c’est de la sagesse; mais la science parfois conduit à la sagesse, et qui dit sage dit
e nous les aimons; voilà de la propagande bien comprise ; voilà de la science sérieuse et ue la discussion honnête. Le ton calm
etc. Cette publication, essentiellement utile au point de vue de la science , a également le grand avantage de mettre en commu
ropre à se devaucer que dans leur ardeur répandre les bienfaits de la science dont elles se sont donné pour mission de semer le
elle, qui réunit dans de fraternels banquets tous les disciples de la science dont ce rare génie fut l'apôtre persécuté, a été
airement inclinés sous le même niveau de cette franc-maçonnerie de la science et de la charité universelle, ne portaient plus q
grands et les premiers parmi eux que ceux qui apportaient le plus de science acquise, le plus d’expérience utilisée, le plus d
connaissance des moyens propres à réparer les erreurs de cette fausse science et à faire connaître à tous les hommes une des lo
it les modifications que le temps doit, à coup sûr, produire dans nos sciences , dans nos mœurs et n os institutions. Si nous n
ons. Si nous ne nous trompons point, Messieurs, tous les systèmes des sciences vont crouler; la médecine, la physiologie, la fau
enés là seulement aussi où est la source du beau, du vrai et de toute science morale. « Car, sachez-le, Messieurs, le progrès
strie, des édifices que nous savons construire, de nos arts et de nos sciences d’école : les animaux savent mieux construire que
éploient autant d’activité que d’énergie. Toulouse, antique foyer des sciences et des arts dans le midi, soutient dignement sa r
s de magnétisme ; de nombreux journaux sont consacrés à l’étude de la science nouvelle, des asiles sont ouverts pour recevoir l
privilège officiel de l'orthodoxie médicale, ayant le monopole de la science et le droit de réglementer uniformément les procé
elques paroles touchantes, et profondément senties en faveur de cette science à laquelle elle a dû sa guérison ; « Messieurs
ns ses habitudes, charmé et consolé dans ses espérances, car c’est la science , enseignée par Mesmer, qui a soulevé un coin du v
le pendant quatre années, le plus bel éloge que je puisse faire de sa science , Messieurs, n’est-ce pas en vous lisant moi-même
res qui sont en moi les innombrables phénomènes de cette merveilleuse science . Me trouvant ces jours derniers en relation d'a
ur doit en revenir. J’espère avoir, pour ma part, bien mérité de la science en lui faisant faire ce pas en avant, et j’appell
econnaît qu’il ne pouvait y avoir aucune supercherie ; il laisse à la science à expliquer tout cela. Je suis également convai
éances de somnambulisme, et ont ainsi contribué à faire connaître une science dont le nom même était naguère ignoré dans ce pay
tranger aux faits et gestes de l’école, ignorant les péripéties de la science ; en plein désert enfin ; privé de la manne céles
traction de l’adresse , etc. « Quant à moi, je suis faible en cette science et je vais de plus en plus étudier, afin de pouvo
Psyciiolo- GISTE : Qü’EST-CE QUE LE MAGNÉTISME? « Demandez à la science des académies quel est le prin -cipe qui produit
quelles, vous pouvez en être certains, elle ne répondra pas. Or, la science magnétique peut, dans certaines conditions, produ
par défaut, suivant les circonstances; principe unique, puisque cette science ne met en mouvement qu’un seul et unique fluide a
ncore il improvise des médecins ; c’est une médecine tout entière, la science de la médecine naturelle qui doit fort donner à p
ricelli, les Voila, les Galvani, et tous ces grands découvreurs de la science dont le nom, de même qilfe celui de Mesmer, est l
s par des personnes comme celles dont je parle. Ce sont des hommes de science et de froide raison, qui, pour tout au monde, ne
purs - je dé- gne pai le mot purs, ceux qui ne s’occupent de cette science TJT™ ra0yeT Î gUérir’ - assez généralement, n o
hir par les esprits. Et ne craignez-vous pas, vous, Nestor de notre science , une voix formidable, celle de tous les magnéti
cette intervention sera, non seulement inutile, mais nuisible à notre science .... Raisonnons: Il y a un instant, les magnétis
faisaient craindre ce reproche dans l’avenir : Qu’as-tu fait de notre science ?... Maintenant, permettez-moi de vous demander e
cre de la vérité du magnétisme pur et de ses effets les savants de la science officielle ; le Propagateur du Magnétisme animal
c., etc. 11 est donc évident que chercher à remettre l’emploi de la science magnétique aux mains des médecins, c’est vouloir
les hommes pour qu’elle devienne le monopole de quelques-uns. Cette science qui, quoi qu’on en dise, n’est ni si difficile ni
s’est basée sur ce motif. Il en résultera que les bienfaits de cette science des sciences dont les anciens se sont servis avec
sur ce motif. Il en résultera que les bienfaits de cette science des sciences dont les anciens se sont servis avec tant de succ
forgue et autres, il en résultera, dis-je, que les bienfaits de cette science de Dieu seront perdus pour les peuples, pour les
jourd’hui, on ne rompt que des plumes — mais au grand détriment de la science magnétique, et ii la plus grande jubilation de se
urels : les médecins. Puis, dites-moi, d’où vous viennent, en notre science , ce3 hautes connaissances que vous professez avec
ettent au jour, et que nous ne pourrons avoir un système vrai pour la science magnétique que lorsque nous aurons assez de faits
re. En effet, pour établir, comme le dit Tardy de Montravel, que la science du magnétisme n’est point vaine, elle doit être p
it, dans ce cas et à bon droit, avoir pour titre : Encyclopédie de la science magnétique, etc. — Les esprits y auraient leur pa
mme on désigne celui des esprits. Convaincu comme je le suis que la science magnétique ne s'établira solidement que sur des f
mme on désigne celui des esprits. Convaincu comme je le suis que la science magnétique ne s'établira solidement que sur des f
s l’intention de négliger un seul instant, au profit de quelque autre science que ce soit, celle à la défense, à la propagation
de ou la pratique d’une quelconque des innombrables branches de cette science , universelle comme la nature dont elle est une de
bles par les arguments de la raison humaine, comme par les lois de la science vul- gaire, qui se manifestent aux yeux de tout
s, quelle lumière n’en éclatera pas tout à coup, pour illuminer cette science où les plus habiles marchent encore à tâtons, où,
fiques encore obscurs, et le bien que je fais, je l’attribue non à ma science , mais à ma foi, à mon zèle et à mon dévouement. S
dans une voie de progrès qui fait bien augurer pour l’avenir de cette science dans ces parties de l’Italie. 11 y a quelques moi
disons-le) qui s’obstinent it vouloir traiter, bon gré mal gré, cette science de chimère ou de charlatanisme. Aujourd’hui, ce
comprendre à tout honnête homme combien il est déplorable de voir la science de Mesmer et de Puységur exploitée aussi effronté
reindre à des mams probes et consciencieuses l’usage sérieux de cette science , dont tous les exploiteurs éhontés ne tendent qu’
raient leur montrer. Le magnétisme, cette première phase de la grande science , s’est bien fait accepter; il en sera de même de
été ainsi composée, de l’impulsion énergique qu’elle peut donner à la science , ainsi que de la marche éclairée dans laquelle el
as croire au magnétisme. Eh ! que nous importe votre incroyance? — La science et la vérité font leur chemin sans se préoccuper
e peut retirer aucun fruit des meilleures étu-« des, ne peut avoir ni science , ni esprit, ni jugement, ni « sens commun. » Av
he les hommes éminents qui peuvent lui donner le dernier mot de cette science . Il n’est pas jusqu’au Brésil, où on ne magnéti
e temps, c en était fait du mesmérisme, ou du magnétisme, en tant que science : du magnétisme, je me trompe, car, après tout, l
s tout, le J our nul du Magnétisme n’est plus le seul organe de cette science , et Y Union magnétique, par sa direction plus sér
s, au mépris des notions les plus saines et les plus certaines que la science encore si incomplète du magnétisme possède. Doit-
e créer deux camps, eussent satisfait en même temps aux besoins de la science , de l’époque et des désirs particuliers ? J’écrir
aux guérissent sûrement et vite. Arrière ces inutiles prétentions! La science qui étudie l’homme est complexe et la médecine es
étudie l’homme est complexe et la médecine est loin d’être nulle. La science officielle est injuste à son tour envers le mag
lus de vingt années que je cherche , que j’étudie, que je pratique la science et l’art de guérir; j’ai travaillé dans le calme
et nos aptitudes , je dirai : La médecine sera toujours un art et une science , et il y aura toujours des artistes de valeur dif
vancé la civilisation européenne dans presque toutes les branches des sciences , ont pratiqué le magnétisme thérapeutique dès l’a
guistes. Il se trouve en France beaucoup de savants qui ont creusé la science tout aussi profondément au moins que s’ils eussen
se seraient-elles modifiées. (1) C’est par cet usage usité dans les sciences naturelles que M. Philips justifle son électricit
que nous examinons rend dans tous les cas un très-grand service à la science en la dirigeant dans cette voie. Nous avons depui
ons deviendront inutiles le jour où, parmi les gens qui s’occupent de sciences (nous ne disons pas parmi les savants), il n’y au
, — quand même ce principe théorique serait, dans l’état actuel de la science , sans aucune application, l’auteur n’en aurait pa
avait son plan et son but spécial, il a suivi sa voie. Le champ de la science n’a point de haies ni de clôtures, tous ont le dr
e pour la dangereuse indiscrétion des esprits trop pea soucieux de la science pour se donner la peine d’en faire une étude séri
chacun a le droit de parler ou de se taire; mais transporter dans la science l’aphorisme de Talleyrand : « La parole a été don
d’une prétendue orthodoxie; il aura pour juges tous les amis de la science , il nous fera connaître le résultat de ses études
ène rentrant dans la classe de ceux qu’on appelle merveilleux, que la science officielle s’obstine à repousser, et qu’elle sera
ir, sans qu’ils sachent ce qu’il sera. Il eu eSt peu chez lesquels la science cultivée sur la terre inspire e bonheur et l’es
magnétisme ; mais je ne « suis pas assez au courant des données de la science pour « m’expliquer ce qui vient de m’arriver. Je
nnati, cet immense problème serait résolu, la psychométrie serait une science constituée : voici la cotation qu’il nous^ donne
partager son enthousiasme, ni d’admettre avec lui qu’il y ait là une science . Comme moyen de connaître et de mesurer les quali
ent de la confusion dans les discussions et nuisent aux progrès de la science . Nous avons eu à subir le débordement de la menta
e. Malgré ma cécité, je suis obligé aujourd’hui, dans l’intérêt de la science , de porter à votre connaissance une découverte qu
ù je me trouve un grain de sable à la construction de l’édifice de la science magnétique. « Agréez, Monsieur, mes sentiments
les nombreux ouvrages qui traitent du magnétisme, être versé dans les sciences qui s’y attachent, et pouvoir apprécier les trava
s la crainte de trop étendre la puissance humaine ; doit-il mettre la science sur le lit de Procuste ? A partir de' quelle limi
e ce nom et par toutes les publications sérieuses qui s’occupent delà science nouvelle , le charlatanisme ne se décourage pas e
sion composée de quatre médecins et de cinq membres de l’Académie des sciences . Parmi les premiers, on remarque un médecin estim
et désigné uniquement par des hommes préoccupés de l'avancement do la science et de l'amour de la vérité, ces expériences peuve
desquelles il a été refusé par les éditeurs de la Revue mensuelle des sciences d’Édimbourg sont si étranges et touchent en même
r Simpson, qui est, à ce qu’il paraît, un des éditeurs du journal des Sciences d’Édimbourg, 11e fit point imprimer l’article qu’
y a de plus pratique, et se rapportant aux cas les plus divers de la science , parmi lesquels nous remarquons : Tumeurs du sc
t le libretto italien est la traduction. « Le docteur a fait, de la science du magnétisme et de « ses influences sur les affe
que ses « poudres sont fabriquées d’après tous les principes de la n science , et peuvent être facilement employées par toute «
qui en ignorent encore toute la portée sérieuse et bienfaisante, une science qu’on ne leur présente qu’en en faisant un abus a
ra une nouvelle dette de reconnaissance que contractera envers lui la science qu’il enrichit chaque jour et à laquelle il s’est
cles plus élevés. Leur mission est de nous communiquer les trésors de science et d’expérience qu’ils ont acquis, trésors que no
onstituerait vos inférieurs. Au contraire, nous allons progressant en science et en sagesse-, et continuerons à progresser ains
u’il est donné à l’esprit de l’homme de concevoir et d’embrasser. Les sciences sublimes de l’astronomie, de la chimie, des mathé
cueillerez très-volontiers pour votre journal les faits relatifs à la science magnétique que j’ai été à même de recueillir dans
ient qualifié , d’après les livres saints, cette terrible maladie. La science magnétique, comme vous le savez , monsieur le bar
ut à coup cet état prodigieux de sommeil magnétique, d’extase, que la science et de nombreuses observations ont expliqué de nos
nce, et d’un systématique scepticisme , qui, confiants dans le peu de science qu'il nous est permis d’acquérir ici-bas , nient
nt-elles pas ôté ainsi accueillies à leur aurore , combien de fois la science humaine ne s’est-elle pas trompée à leur égard, e
s infestent le champ de la politique. Tâchons au moins d’en purger la science et la morale. Si nous avons pris un nom propre po
développé logiquement, qu'il est conforme aux données positives de la science et capable de satisfaire les aspirations les plus
cours dans le monde jusqu’à présent. 11 les rejette tous au nom de la science et de la raison. 11 sacrifie sans scrupule le dog
e ses os, de ses nerfs, et l’analyser : armés des moyens connus de la science , nous descendrions jusqu’aux éléments de son être
tuait l’homme réel : on constate seulement qu’il n’est plus là. Les sciences populaires, qui ne reposent que sur des expérienc
ns l’atmosphère. Et voilà quelle serait la fin de l’homme d’après les sciences acceptées ! Et c’est ainsi que nos plus chères af
t pas se peser, ni se dissoudre avec des alcalis ou des acides, et la science n’a donc rien connu jusqu’ici de l’esprit ni de l
nu jusqu’ici de l’esprit ni de l'immortalité. Grâce à Dieu, une autre science se fait aujourd’hui, et elle ne s’arrête pas à de
ue le corps reste tout entier : du moins, tel que sait l’apprécier la science matérialiste ; mais ce corps n’a plus conscience
e nous connaissions. Et puisque tous les éléments appréciables par la science dans l’homme vivant se retrouvent dans le corps i
rd, sans doute, en la forme humaine. En vue des faits, et aidés de la science , acquise aussi bien que de l’analogie, est-il rai
votre connaissance comme me paraissant se rapprocher du domaine de la science qui nous occupe. Peut-être ce fait dont je veux v
elles vous vous livrez tous les jours pour pénétrer les secrets de la science magnétique, avez-vous été à même déjà de le const
défense qui lui avait été faite de goûter «lu fruit de l’arbre de la science du bien et du mal; ainsi, bien que la désobéissan
mmettre cette faute était une noble ambition, la soif immodérée de la science . M. Auguez, au contraire, arrange très-librement
alériafisnlion que ¡'homme fit subir, etc. 11 se joue également de la science et de la religion, et il ne se donne pas le moins
ligé de relever. L’auteur, à deux pages de distance, reconnaît que la science du magnétisme se perd dans la nuit des temps, qu’
reuve en disant que si les magnétistes pratiquent convenablement leur science , ils feront des miracles dont personne ne contest
jà entretenu le public, nous sommes persuadé qu’il pourra enrichir la science et la littérature d’ouvrages d’une haute valeur.
lera un peu de tout, et de bien d’autres choses encore, telles que la science des ânes et les âneries des savants. Nous souhait
sique et incorporel, a besoin d’être étudié avant d’être admis par la science qui ne connaîtra rien du grand phénomène de la vi
çon souvent fausse et ridicule. Il n’y a donc que l’instruction et la science qui puissent détruire les superstitions et les no
ché à reproduire un des plus beaux types qu’offrent les annales de la science à laquelle nous sommes dévoués. Nous devions donc
ement suivie de bien d’autres du môme genre; l'ignorance et la fausse science ont continué leur3 affreuses persécutions, et nag
ges du sommeil magnétique? Ou, au contraire, dans l’incertitude de la science sur la nature et la portée des facultés développé
ger la vérité, fait des cours de magnétisme, et il a publié sur cette science deux excellents ouvrages qui ont le plus grand su
aujourd’hui bien des personnes, non point dans le but d’éclairer les sciences physiques, comme cela devrait se faire, mais pour
maine a été portée à ce point, qu'abandonnant l’étude régulière de la science , les hommes voués à la recherche de ce qui peut
eine à poindre ; déjà des apôtres fervents répandent en Californie la science de Mesmer, et les journaux de cette contrée publi
s, ordurières? » Je répondrai : « Si vous aviez plus d’ardeur pour la science , plus de zèle pour la vérité , vous ne parleriez
la plus impie, ont lutté par la terreur contre le développement de la science et. de la civilisation, ont abusé indignement du
ateurs, et qui ne respectera pas davantage les arrêts contraires à la science . Dans l’acte que nous examinons , on rappelle u
re de voir. Le magnétisme n’en continuera pas moins sa marche , et la science ne laissera perdre aucune des vérités acquises, s
tard de céder devant les progrès des lumières, subit les arrêts de la science et eut le dépit de voir tourner en dérision sa se
allocution du président pour exposer quelques-uns des éléments de la science , on offre des cartes aux personnes de l’assemblée
e ainsi palpable la puissance du magnétisme ; on répand le goût de la science , et l’on initie de nouveaux disciples qui sero
u’il soit tenu note exacte des résultats obtenus , afin d’enrichir la science de nouveaux matériaux, et de faire connaître les
hénomènes incompréhensibles, qui sont peut-être les précurseurs d'une science encore inconnue, ne laissent pas de préoccuper le
ulement de trouver des hommes experts dans cette nouvelle branche des sciences modernes. M. Siemelink, magnétiseur à Amsterdam
orce extraordinaire qu’il met en jeu, mais il use de cette force avec science et parfaite connaissance de cause. Différents rap
dans des cas bien rares, et M. Allix est trop versé dans l’étude des sciences occultes pour ne pas connaître les faits merveill
ation actuelle du magnétisme, et sur le progrès humanitaire que cette science est appelée à produire, 253. Psychométrie, ou a
naturel. Théorie et faits à l'appui, par M. lle docteur Judée, 13. Science (la) nouvelle. Les phénomènes du magnétisme, du s
’extase , et les conséquences qui en découlent, changent le pivot des sciences . Vues philosophiques, par M. du Potct, 3. Spiri
le docteur Char-pignon, 393. Transitions, ou phases mystiques de la science en général et du mesmérisme on particulier. Prépa
Potet. 613. — Critique de cette lettre, au double point de vue de la science et de la logique par M. A. S. Morin, 633. Loust
iseurs pour les inviter à l'étude des faits les plus mystérieux de la science nouvelle, 3, 57, 65, 113. — Questions soulevées à
attribués aux esprits, 26. Déni de justice. La Revue mensuelle des sciences d'Edimbourg refuse d’insérer , comme n’étant pas
rne les faits et nouvelles magnétiques, 28, 45, 50, 165 , 426, 577. Science (la) officielle et le magné- tisme. Délis, pasq
8 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
onc pour vous tous, magnétiseurs, le moment de payer votre dette à la science en inscrivant vos noms sur la liste de ceux qui n
e vous devez au monde et à vous mêmes, c’est de montrer qu’une grande science , que de grands mystères sont voilés sous ces iniq
érêt des peuples, que ce journal, organe des idées nouvelles sur la • science magnétique, acquière au plub tôt, dans le monde,
ation, mais bien pour arriver plus promptement à la propagation d'une science si utile à l'humanité; Eu conséquence, les stat
acrant tout entier au développement continu de l’œuvre commune. Une science , une doctrine, une vérité quelconque sans chaire,
écessité, l’urgence detendre l’action de l’organe qui représente la science dont ils veulent le progrès. Nous vous en remerci
irent sur les places publiques; puis des hommes forts arrivèrent à la science sans initiation. Les réflexions naissent en foule
tion, nos arts doivent-ils périr ainsi que dans d’autres contrées? La science après avoir parcouru un vaste cercle s’arrêterait
s de nous, et nous ne savons rien de ses mœurs, de ses usages, de ses sciences d’autrefois. L’Inde ancienne également est pour n
gne; mais je vois qu’à toutes les époques transitoires le génie de la science égyptienne est apparu. Il a dit aux uns : Votre r
n faire renaître les principes aux lieux où sera porté le berceau des sciences et des arts. Quant à moi, comme 1 insecte qui vit
avec une rapidité qui pourrait faire croire à l’entente cordiale des sciences pour bannir la douleur de la terre, l’exiler de l
l’homme laisse voir sa faiblesse eu s’ignorant toujours lui-même. La science ne lui apprend rien de sa nature et de sa destiné
étisme, auquel rien n’échappe pour l’intérêt et l’accroissement de la science mesmérique ; je croirais manquer à mon devoir de
s disent à grande voix : faites-y endormir et nous croirons à votre science !.....Insensés qu’ils sont! ils ne s’aperçoivent
e graver et la distribuer parmi nous, à tous'ceux qui cultivent cette science , je vous dis que les disciples se reposent sur vo
es influences plus puissantes que la mienne : à celles que donnent la science et un mérite auquel nous rendons tous hommage, c’
re revivre les contes du vieux temps; c’est être » bien hardi, car la science n’admet rien de miraculeux; >> et, nul ne
e chose est impossible, c’est méconnaître sa nature, c’est rejeter la science du passé. Vous voulez raisonner ce qui ne se rais
e sans fond où la raison va se perdre, s’égarer ? Est-ce une nouvelle science qui va prendre naissance? Est-ce le bien, est-ce
t des troisièmes rôles dans les épreuves et dans les cérémonies de la science . Avant qu’on l’eût annoncé, il avait fait trois
sera croisée dans mon esprit avec l’émotion que je lui envoyais. La science explique tout. — Restez là, continua-t-il en s’
’hui que le magnétisme a suivi la progression naturelle de toutes les sciences , les opérations sont fort simplifiées. Il n’y a p
r l’événement. Enfin, sa réputation grandissant, on a eu recours à sa science pour opérer des cures, connaître les voleurs que
ains, ou seulement en le fixant d’une manière particulière. Voilà une science bien commode pour la plus belle moitié du genre h
dant, voilà Husson voué à la célébrité, et nous ne doutons pas que sa science rétrospective et divinatoire ne soit mise de nouv
utres misères à secourir. » Le magnétisme en Suède. — La marche des sciences n’est pas toujours progressive; elle oscille parf
dormeuse. 11 faut donc que ce magnétisme, qui n’existe pas, selon la science officielle, soit fort goûté du public puisque par
mmes, le temps n’est plus pour vous. Pourquoi aussi mentiez-vous à la science et comment n’avez-vous pas ouvert les yeux plus t
sme, et j’avais lu quelques ouvrages publiés par les adeptes de cette science . J’étais fort incrédule; mais depuis que j’ai vu
isté aux soins des médecins. J’ai vainement invoqué les secours de la science ; je ne pouvais marcher qu avec des béquilles. J’a
on fils, qu'il avait 25 ans, qu’il était atteint d’une maladie que la science ne pouvait guérir, que seulement il fallait évite
t-elle ou non lucide ? Oui, disent les croyants, car entre elle et la science autorisée il y a l’épaisseur d’un diplôme. — Non,
pourriez davantage, parlant tous les langages, connaissant toutes les sciences . Lorsque je me suis permis de contredire quelqu
it modifier profondément tous les systèmes, en déplaçant le pivot des sciences . Il doit jeter une lumière nouvelle sur toutes le
orale et intellectuelle de notre jeunesse, autant que l’intérêt de la science , je ne dis pas de ceux qui l’enseignent, mais de
rêt de la science, je ne dis pas de ceux qui l’enseignent, mais de la science en elle-même, s’y opposent ; et pour qui réfléchi
utrement qu’en faisant remarquer que tout ce qui est du domaine d’une science ou d’un art quelconque est en dehors de nous, et
roductif. Il en est de même de l’exercice de la médecine, en tant que science , et telle quelle est pratiquée de nos jours, ains
ux qui veulent se charger de l’éducation de leurs semblables dans les sciences et les arts, dans la morale et la religion. Mai
nce, n’est rien de tout cela; ce n’est, d’une manière absolue, ni une science , ni un art, ni une religion ; c’est une faculté q
gé cette vérité à chercher un asile ailleurs que dans ce temple de la science , où elle a été méconnue et méprisée. Elle s’est r
vérité magnifique n’a pu prendre le rang qui lui appartient dans les sciences . Des despotes plus entêtés, plus persécuteurs q
e il est venu pour toutes choses. L’Académie de médecine et celle des sciences vont rendre leur compte; et ces savants, dont la
générations ce que la liberté ne peut donner seule, ce que la fausse science vous eut refusé : les principes de la conservatio
is d’une double servitude. Les anneaux de la chaîne despotique que la science n’avait point voulu rompre ont volé en éclats, et
ntes, des appréhensions funestes assiégèrent le cœur des amants de la science . L’extrait suivant d’un journal local nous donn
ceux qui dans un examen ont fait preuve de capacité relativement à la science qui leur a été enseignée dans quelque Université
ou matérielle attesterait uniquement ma capacité à l’égard de ladite science , et nullement par rapport à la médecine quasi-spi
ine ordinaire, on pourrait m’attaquer en justice comme pratiquant une science sans un document académique constatant ma capacit
recherches nous ne doutons pas qu on arrive de proche en proche à la science secrète qui, déjà au moyen âge, était en dégénére
lchimie, eton réhabilitera ces rêveurs incompris qui poursuivaient la science du grand œuvre, œuvre qu’il faut entendre autreme
séances et nous convierons un grand nombre d’hommes à y assister. La science a besoin de liberté pour se développer et grandir
roduits, il faudrait le faire connaître, car ce n’est qu’ainsi que la science peut marcher. Je n’ai pas besoin de vous dire,
courager, ou à éclairer les magnétistes, ou à faire faire un pas à la science , vos lecteurs seraient heureux de les connaître,
us, puisque de la discussion doit jailiir la lumière, et que dans une science aussi vaste et aussi inconnue encore qu’est celle
vés ; ce serait je crois le meilleur moyen de faire faire un pas à la science . Agréez, cher Monsieur, l’expression de mes sen
ut dévoué, J. Mermoud db Poubz. CONFÉRENCES MAGNÉTIQUES. Magie, science malheureuse, tu es condamnée à vaguer sans soutie
autre culture a remplacé ce vaste champ où était répanduecette divine science . Le monde est changé; tes temples, tes prophètes,
le de l'intelligence humaine, d’où nous est venu le principe de toute science , est le pays le plus curieux à étudier, pour rech
: les Arabes transportèrent alors en Occident, avec la conquête, leur science astronomique, philosophique, architecturale, leur
ts d’un art qui, gardé d’abord par les chefs, avait fini, lorsque les sciences commencèrent à s’étendre, par tomber entre les ma
r la voie du magnétisme moderne. Alors il entra dans le domaine de la science par les efforts des hommes d’observation, tels qu
pratiques mystiques des derwiches, leur réputation de sainteté, leur science , le développement intellectuel que produit un mod
après couronner le travail de l’homme. En sera-t-il de même pour les sciences ? Et lorsque le soleil inondera de. ses rayons la
surprendre par la tempête, et je me suis dit alors : ils n’ont que la science vulgaire, car ils sont sans vertu ; favoris du po
! il vous en faut beaucoup aussi; c’est là le but de vos arts, de vos sciences ; c’est ainsi que vous êtes sans action sur le pe
je plains votre folie; ses instincts généreux valent mieux que votre science et son labeur est plus utile à l’humanité que tou
dit : en la repoussant toujours, votre médecine sera mensongère, vos sciences n’auront aucun but. Voyez la force qu’aurait un
us le mépris, comme nous en aurions le droit, mais pour lui donner la science qui vous manque et les moyens de se conserver, ch
ieu sait pour quelles causes et dans quel but. 11 était connu pour sa science et faisait partie de la franc-maçonnerie arabe, a
Kairc. ’ C’est sur la grande place A’El-yéssan qu’ils exercent leur science , délivrent des philtres, disent la lionne aventur
communiquer le charme, me crachât dans la bouche, et mon amour de la science n’allait, pas jusque-là. » Mais les véritables
de miracles contre Moïse, élevé par eux à la cour du Pharaon, où les sciences magiques étaient fort en usage. Les mogrebins ont
une partie de leurs connaissances occultes; ils semblent avoir de ces sciences plus qu’une pratique aveugle et superstitieuse
plus la magie blanche des mages, c’«!St-à-dire l’étude raisonnée des sciences physiques et des mystères de la nature, mais c’es
euses, et à l’aide de quelques secrets puisés dans les traditions des sciences occultes, doivent avoir sur les masses ignorantes
t vrai que ce n’est guère que dans les cas où ils désespèrent de leur science , mais c'est déjà beaucoup de la part de ces messi
, en rendant la santé à cette jeune personne, qui doit la vie à votre science bénie; car elle avait déclaré que, sans le magnét
vision, plus d’injustice; du soleil pour tous ainsi que du travail. Science ! noble science, arrive pour guider les phalanges
injustice; du soleil pour tous ainsi que du travail. Science! noble science , arrive pour guider les phalanges nouvelles qui m
flambeau.... Ainsi s’écrient les âmes généreuses; mais aucun homme de science n’a encore répondu : leur lumière s’est éteinte a
des rois comme celui des prêtres a perdu sa force et son prestige; la science elle-même ne peut offrir, dans ses milliers d’org
bouches; c’est de n’avoir point assez de ce métal. Nul ne demande la science véritable, nul ne songe à posséder les vrais bien
nces pour n’en former qu’une seule; faites donc que toutes les hautes sciences partent également de principes vrais, incontestab
ces facultés de médecine où de faux systèmes tiennent la place de la science ; n’ont-ils point fait assez de victimes ? N’est-c
sion. — Est-il impossible à l’homme de franchir l’horizon borné de la science ; et, se dégageant de l’esprit, l'âme peut-elle pl
toutes parts, cependant, mais toujours en dehors du sanctuaire de la science , on interroge les êtres dont la sensibilité a per
très-petit nombre d’entre eux chercha à sortir de ce cercle, mais la science ne pouvant venir à leur aide, ils s arrêtèrent. E
ssé semblent effacées, il ne reste que quelques traces d’une ancienne science , science divine, possédée autrefois par un petit
ent effacées, il ne reste que quelques traces d’une ancienne science, science divine, possédée autrefois par un petit nombre d’
s dont ils pourront avoir besoin. — Si la liberté pouvait donner la science ce serait bienheureux, car l’ignorance est encore
rmine en disant avec justesse que c’est le progrès le plus avancé, la science des sciences, la science de Dieu enfin. — Nos i
ant avec justesse que c’est le progrès le plus avancé, la science des sciences , la science de Dieu enfin. — Nos idées lentemen
esse que c’est le progrès le plus avancé, la science des sciences, la science de Dieu enfin. — Nos idées lentement introduite
e ne puis résister au besoin de vous parler à cœur ouvert. Il est une science , perdue aujourd'hui dans votre Europe, science qu
œur ouvert. Il est une science, perdue aujourd'hui dans votre Europe, science qui est née en Orient, qui n'y a jamais péri, qui
s vestiges de l’antique magie, à laquelle M. de Lamartine attribue la science de lady Esther. Nulle part ailleurs il ne reparle
augmenter la vitalité et en combattre les maladies. Les faits que la science possède sont encore peu nombreux, mais très-préci
née. La première elle aura donné la preuve d’un véritable amour de la science , puisque, au lieu de suivre la tradition qui ferm
eur à ses talents spéciaux, ainsi qu’à son zèle pour le progrès de la science . L’école se fera un devoir de recommander son rap
de tubes l’un dans l’autre, parce qu’ils cassent presque toujours. La science n’a pas encore pu expliquer ce fait; on sait seul
précision ; quant au remède il ne le vit pas. Là s’arrête le degré de science et l’intelligence du médecin. Nous les verrons
raient dans l’année, et mille autres folies que l'homme étranger à la science accueille souvent comme des vérités. Nous donnons
ses collègues, il brille plus par l’esprit que par la logique, par la science des mots que par celle des faits. 11 admet le s
nts et les soins infatigables ont tant contribué à l’avancement de la science mesmé-rienne, présidée, dis-je, par le citoyen Du
airer. Quand donc le magnétisme sera-t-il appelé à détruire la fausse science des écoles? Nous pousserons désormais nos inves
retient, car on nous ferait un crime d’avoir eu trop de lumière : la science n’en veut qu’un rayon ; et 1 ignorance poursuit c
s variétés distinctes qu’il faut caractériser. Toutes les fois qu’une science s’étend ses adeptes nouveaux apportent chacun une
ais esprit ne s’exerce pas seulement dans le domaine des lettres. Les sciences aussi, partout où elles sont le produit des progr
la composent ; et les titres embrassent presque l’universalité de la science , en sorte que le commentaire deviendrait encore p
ortent avant tout sur celui-là seul qui mérita de donner son nom à la science . Mesmer, sa doctrine, ses premières expérimentati
ent dans un sujet si difficile, pour séparer le vrai des chimères, la science de la superstition, les ténèbres de la lumière. S
es vues justes non moins qu’étendues, il entre dans les arcanes de la science , la réduit à ses éléments, la recompose, l’appliq
sporté du monde des folies et des rêves dans celui des réalités où la science se manifeste à lui dans la beauté de ses formes,
t de la médecine. Nous nous bornerons donc au conseil. Que l’homme de science lise cette œuvre, et il en retirera lumière et in
de connaissance de soi-même manifestée par le somnambule, et la vaste science qu’il déploie sur tous les points relatifs à l’ét
sur tous les points relatifs à l’état magnétique; de cette singulière science autopsvcbologique on pourrait tirer des instructi
é, les magnétiseurs évitent avec soin tout ce qui pourrait nuire à la science dont ils ont à cœur de propager l’étude. Les de
intenant elle enflamme. Philosophe profond, moraliste éprouvé, Ta science est à tous; le monde la réclame. Réjouis-toi, M
autres, mais ils tiennent bien plus à ceux qu’ils ont. » A quoi les sciences constituées ont-elles dû leur avancement et doive
naturalistes, tous les savants sont journellement aux prises avec la science et l’ignorance. Il en est de l’art et de la scien
ux prises avec la science et l’ignorance. Il en est de l’art et de la science du magnétisme, ce qu’il en est de l’une quelconqu
l progrès n’est isolé; dès qu’on franchit en un point l’horizon de la science de nouvelles conquêtes sont inévitables. Toutes c
éc’est-à-dire en effet naturel ou brut, et en effet artificiel que la science pourra produire. « Appliquons ces 2 principes a
ondée dans ces nouveautés où l’intrigue a souvent plus de part que la science ; mais comme aucune autre secte n’entre en concur
ont les sujets magnétisables ou susceptibles des influences que cette science prétend exercer. « Les sujets magnétisables ne
secte en faisant cet aveu; il aurait au contraire donné du poids à la science , qui, aujourd’hui, se trouve compromise par sa pr
, et peut se trouver très-inférieur au 8e. « Je n’accuse pas ici la science que je ne connais pas, mais seulement l’extension
exagérations et les abus, pouvait bien être le germe d’une véritable science , mais un germe noyé dans les charlataneries. Lors
vraient pas recourir à ces accessoires suspects, ne pas faire de leur science un marchepied d’intrigue, une menée qui donne lie
rotubérances au front. « D’où viennent ces excès qui déshonorent la science et les inventeurs? C’est qu’on est si avide et si
transforment en jonglerie tel sujet qui était peut-être 1111 germe de science très-réelle et très-précieuse. 11 est probable qu
ord par suite de cette coopération d’intrigants qui sont le fléau des sciences nouvelles. «Si je mourais demain, on verrait un
de. > Ce dénuement du génie civilisé est cause que les germes de science ne produisent que de l’ivraie, parce que l’intrig
cet état de léthargie et non de somnambulisme. Enfin, cette nouvelle science est rentrée en scène sous des formes plus recev
a aucun parti de cette nouveauté, qui est probablement le germe d’une science très-neuve en mécanique arômalei « Précisons et
consacrées par les physiologistes ; et, de sophisme en sophisme, les sciences conjecturales ou mi-fixes deviennent aussi trompe
’estime que le magnétisme est un de ces beaux germes, et que la vraie science aurait pu en tirer grand parti; mais s’il devient
Généralistes, qui croient tout le monde magnétisable, le germe de la science ne deviendra qu’un écueil de plus pour le génie q
uit ni conséquence ni principe; et cette inadvertance des chefs de la science est, selon moi, une forte preuve en faveur du mag
étisme. Il serait donc à souhaiter qu’on put dégager cet embryon de science des sophismes qui en arrêtent le progrès, entre a
Des cinq passions sensuelles, se trouve dans la Phalange, revue de la science sociale, n° d’octobre 1846; Fourier, parlant du t
bien s’arrêter un peu pour les considérer; ne se lient-ils point aux sciences , à la philosophie surtout, et ne sont-ils pas fer
r comprendre ce que la Providence nous réserve et pour éviter à notre science de périr, comme tout ce qui existe, dans le grand
et ne voient pas plus clair. Les malheureux! ils ont sophistiqué les sciences , et cette coupe de délices a partout répandu son
ouissance à nos descendants. Toutefois ces brillantes conquêtes de la science moderne n’infirment point le développement de nos
ie animale. Sachant que, depuis longtemps, vous vous occupez de cette science , et que vous avez déjà opéré plusieurs cures, je
ns le monde; il est l’acheminement naturel à son introduction dans la science . Pauvres magnétiseurs ! vous n’êtes plus des imbé
s sots ou des fanatiques. Votre persévérance a obtenu un regard de la science ; elle daigne s’occuper de vous ; mais que de che
re la raison : elle est la raison même. Le magnétisme est plus que la science ; il la domine comme le soleil domine la terre, c
eu lieu. Nous connaissons ces prétendus philosophes, ces amants de la science qui voudraient l’immobilité au profit de leur van
simultanément sur plusieurs points, sur les principaux théâtres de la science européenne. Qu’est-ce aujourd’hui que le magnét
t les résultats qu’il obtient? Quel intérêt sérieux offre-t-il à la science en général, à la psychologie et à la physiologie
réclame la contre-épreuve. C’est son droit, et c’est le devoir de la science de revoir les actes du procès. Je ne dirai pas
e de revoir les actes du procès. Je ne dirai pas que le devoir delà science va plus loin; que, même au cas où le magnétisme n
er à ce sujet l’opinion publique ou de guider la police de l’Etat. La science n’a pas cette mission. Oracle de la vérité, elle
s allures de surveillante pour prévenir des tours de charlatans. La science , qui a souvent été proscrite, depuis longtemps es
encline à la tolérance, qu’elle est plus prompte en hospitalité. La science a raison. Elle n’est ennemie naturelle ni de l’au
de la polémique, mais je ne dis pas non plus selon les progrès de la science . Car à l’heure qu’il est, il n’en est encore rien
ience. Car à l’heure qu’il est, il n’en est encore rien sorti pour la science . Il n’y a plus même de théorie du magnétisme; s
e des études, disent-ils; nous n’avons que des vues fragmentaires; la science humaine ne connaît pas les forces de la nature qu
des assertions, et insinuent qu’elles ne sont pas plus fondées sur la science que sur la bonne foi. Ils ont tort. Le magnétisme
ore pour ses faits acquis dès à présent, voilà son lan- gage. Votre science défie nos faits, dit-il, mais nos faits défient v
. Votre science défie nos faits, dit-il, mais nos faits défient votre science . Nous avons montré le magnétisme animal dans se
nfiance, et ses conclusions doivent être acceptées comme celles de la science elle-même, sur les questions spéciales dont on s’
ous le prouvez tous les jours. Ah! nous vous le disons sans cesse; la science est en dehors de vous ; l’art qui guérit, nous le
elle résidence qu’il a fait amende honorable, et étudie maintenant la science qu’il a persécutée. Ce fait n’est pas sans précéd
era la question du magnétisme et du somnambulisme au point de vue des sciences occultes. PETITE CORRESPONDANCE. Paris. — MM.
ou\. 64- Laissez-vous les prendre : ces larcins - là prcfilent à la science . BIBLIOGRAPHIE. Fisclier, der Somnambulismus,
ela seul était décisif. Aussi est-il prouvé désormais à tout homme de science , non pas que le magnétisme animal est une illusio
mais le véritable objet de ces réunions, ce n’est pas l’intérêt de la science , ce n’est pas le progrès de la psychologie ou de
surveillance du magistrat, comment l’Etat ne s’entend-il pas avec la science pour éclairer la population ? Serait-ce donc la s
l pas avec la science pour éclairer la population ? Serait-ce donc la science qui ferait défaut au public? Il s’en faut. Mesm
une indignation feinte ou réelle, de l’indifférence de l’Académie des sciences à l’égard de sa découverte, de la malveillance de
magistrature partage avec le pays le droit d'apprécier les mœurs : la science doit à son tour partager avec le pays le droit
r nous, en fail de magnétisme, il n'y a rien de constaté au nom de la science , si ce n’est des penchants de crédulité en face d
, de sa critique et de sa véracité. Mais tout cela ne donne rien à la science . L’autorité du témoignage ne vaut que dans les ma
t le public mis en possession des conclusions de ce comité : alors la science saura à quoi s’en tenir. Même après cela, on en n
tidigitation de l'intelligence; il y a des comptes à régler avec la science et la police, et ses partisans élevés doivent sol
la visionnaire. Maintenant qu’y a-t-il au fond de tout cela pour la science ? Si les procès-verbaux sont exacts, il y a du cô
e sera pour lui une grande conquête. .Mais à moins (pie des hommes de science ne soient rendus témoins des faits qu’il prétend
des faits qu’il prétend offrir en continuant cette nouvelle phase, la science n'y gagnera rien. L’auteur de l’un des ouvrages q
peut seul apprécier. Il n’en résulte donc rien encore pour celles des sciences qui seraient le plus heureuses et qui sont le plu
vieillerie désormais indigne d’une attention sérieuse, de la petite science : ce serait la science de l’âme en peine et en pr
digne d’une attention sérieuse, de la petite science : ce serait la science de l’âme en peine et en prison. Cela est si vrai
ésastreux aux opaques entraves de ces organes. La pneumatologie, la science des esprits supérieurs à ceux de notre race, mais
la lune, comme vous regardez le mont Blanc à Genève; quand toutes les sciences physiques s’enrichissent chaque jour de nouvelles
les régions sublunaires, ne serait-ce pas le cas de demander que les sciences spéculatives, qui vont s’appauvrissant de plus en
ent si hardiment nos télescopes ? Le progrès continu est la loi des sciences spéculatives comme celle des sciences exactes. Or
progrès continu est la loi des sciences spéculatives comme celle des sciences exactes. Or, quand celles-ci découvrent tou jours
rattacher un peu directement aux intelligences de ces sphères. Les sciences spéculatives doivent toujours aller de front avec
s d’explorations, de découvertes, de conquêtes. Autrefois alliées aux sciences naturelles, physiques et mathématiques, partout l
in qui avait nourri les Bacon, les Descartes, les Leibnitz, hommes de science positive au même degré que de méditation. La phil
er qui en est le véhicule. Le rôle de 1 éther sera compris lorsque la science aura mieux examiné ce qui constitue la base commu
ste. Les partisans et les pontifes du magnétisme animal possèdent une science occulte ou une science, publique. Dans le premier
es pontifes du magnétisme animal possèdent une science occulte ou une science , publique. Dans le premier cas, qu’ils la réserve
ouvelles découvertes, et son procès sera jugé aussi; la part entre la science et l’industrie, entre la bonne foi et le charlata
contre ce fléau inéxorable de la mort, on voit se dresser l’art et la science de la (I) L'homme est uno unité trinaire décomp
’aide desquels il peut «lonner tout le bien qu’on doit attendre de la science el de l’art. On peut, suivant moi, grouper en q
ue dans les sentiments. 11 y a en outre dans ces ouvrages beaucoup de science et d’érudition, en un mot de profondes connaissan
elles sont inattaquables? De nos jours, il faut arriver à Dieu par la science . Est-ce M. Cahagnet qui nous y conduira ? 11 n’a
nous sommes éten- dus appartiennent bien au magnétisme, mais cette science naissante peut, heureusement, s'appuyer sur d’aut
lâche d’une série d'expériences que nous croyons propres à avancer la science magnétique. Cependant, c’est avec une grande rése
assimilerait à ces fourbes, à ces trompeurs adroits qui, sans aucune science , exploitent la crédulité publique. Et, nous le di
établir, car nous le voyons tout prêt d’entrer dans le sanctuaire des sciences , formulé en agent naturel et en faits physiques.
sans cela nous exposerions ce qui nous est le plus cher au monde : la science naissante elle-même. Mais si nous reculons deva
nous le ferons avec discrétion et modestie, car nous ne savons de la science antique que les deux ou trois premières lettres d
fut pressentie par le génie avant d’être démontrée et acceptée par la science . Or, si la création a son moteur, son fluide vi
ar vous. Je ne néglige jamais de citer votre nom comme modèle pour la science . Aussi vous êtes attendu comme partout où vos élè
ement. » M. Maguin ne le pratique pas et s’occupe de préférence des sciences occultes. >> M. le docteur de Ilésimont y
cures obtenues par M. Borreau, qui témoignent de son dévouement à la science . Un autre de nos amis, M. Lasseron, directeur de
Burdin, l\Iagendie,Gerdy, etc., en présence de celui dont toutes les sciences déplorent aujourd'hui la perte? l''uK(‘iiiuti»i
ans la même erreur, quand ils prennent l’art de la médication pour la science de la médecine entièrement ignorée de nos jours.
omènes fut le fluide universel, et différentes contradictions que les sciences physiques et physiologiques reconnaissaient dans
influence de cet agent sur l'organisation, sont des fails acquis à la science . Il reste, je crois, fort peu de personnes au cou
la science. Il reste, je crois, fort peu de personnes au courant des sciences , qui soient encore incrédules sur cette partie fo
, éloignerait les esprits de l’étude sérieuse des princi|>es de la science pour les jeter dans les divagations des nouveaux
us de son danger. Si jamais son application devenait générale pour la science des écoles, dans les hôpitaux, ou dans la pratiqu
lle pas toujours le partage de beaucoup de nos frères, et l’art et la science confondus de ce mystère ne seront-ils pas trop so
res en médecine prouvent quelquefois tout autre chose que l’art et la science , et souvent ils ne révèlent que la science seule.
utre chose que l’art et la science, et souvent ils ne révèlent que la science seule. Or l’homme de science est rarement progres
ience, et souvent ils ne révèlent que la science seule. Or l’homme de science est rarement progressiste, il ne croit que ce que
il faut adopter pour être dans le vrai. En effet, cette pré- tendue science a cela de particulier qu’en se perfectionnant ell
erelles sur la grâce suffisante, la dent d’or, etc. 11 n'y a point de science médicale; ce n’est qu’un amas monstrueux de systè
acquise dans le sommeil qui va bientôt chasser devant elle la fausse science et ceux qui en étaient les amants. Oui, il est
. Oui, il est vrai, l’homme peut soulager son frèresans posséder la science scolastique, et par un simple effort de volonté.
sée, car il est écrit dans les œuvres des magnétiseurs : La véritable science est ici. N’est-il pas vrai que l’agent dont nou
p sûr le magnétisme et le somnambulisme dépasseraient de bien loin la science du médecin ; toutes les connaissances de ce derni
ulement pour qu’il en soit ainsi que l’on trouve la loi des faits. La science est là ; on cherche à l’établir sur les données f
es faits qui sont sortis de mes mains et les compare à ce que fait la science qui prétend guérir. Mon cœur entend les plaintes
conséquences à tirer des faits produits et sur l'avenir réservé à la science ; mais tous sont sincères. J’espère que le docte
vez produire une série de merveilles dépassant de bien loin ce que la science obtient par l’emploi de tous les agents comme de
t aux lumières de la philosophie, ne relèveront que du tribunal de la science . Voici ce qu’on lit dans la Gazelle des tribuna
s et de quelles données l’on a pu se servir pour arriver à former une science du démon ou démonologie : il est très-facile de r
ent les jurisconsultes d’alors pour en abstraire les éléments de la science du diable, ou de la démonologie. » Ainsi Gaufri
nnis de la table des sorciers au sabbat, c’étaient là des éléments de science qu’on se gardait bien de négliger. Le diable, en
oy. Connaissant l’intérêt que vous portez à tout ce qui touche à la science magnétique et le profond savoir que vous avez acq
étendues en physique et en chimie, sans posséder aucune notion de la science magnétique au moment où cette obsession commença.
’opérer par des moyens physiques et naturels qui sont du domaine delà science et qui échappaient à ma vue. Mon esprit peu porté
r de s’instruire et d’acquérir de profondes connaissances dans cette, science occulte, ce serait l’excuser en partie, mais le p
ppresseur; mais l’ignorance où j’étais des plus simples notions de la science magnétique contribua beaucoup à me faire tomber d
à peu. Nous venons encore d’en perdre un, qui était fort attaché à la science . M. le comte de Beaumont. Il avait connu Mesmer c
id. 2 vol. in-8, Paris, 1846, chez J.-B. Bail-lière. L’hisloire des sciences est un phare qu’alimente le passé pour guider le
e abstcusion de sa part peut paraître partiale, car l’historien d’une science ne doit rien celer de ce qui la concerne ou s y r
nitive qu’un lambeau du savoir antique. Des âges oubliés ont eu leurs sciences , leur médecine, dont la trace est pour nous perdu
on m’avait induit en erreur à ce sujet, mais que sans s’occuper de la science magnétique, il n’était pas tout à faii ignorant à
vous en fassiez l’application sur moi, et que vous puisiez dans cette science sublime les moyens de faire cesser cette obsessio
cines ; je ne crois la conciliation possible que sur le terrain de la science . HÉBERT (de Garnay). ÉTUDES SOMNAMBULIQUES.
te ( Vie d’Apollonius) , que l’art médical ait pris naissance dans la science de l’avenir. Les fils d’EscuIape n’auraient jamai
ensibles par les points de rapports qu’ils présentent avec ceux de la science magnétique. Par exemple, si j’étais venu dire que
e grandes distances. Nous lisons , dans le Dictionnaire général des Sciences ( art. Seconde vue ), que la seconde vue est une
et à l’expérience. Sa mort est d’autant plus déplorable pour la noble science du magnétisme, qu’il joignait à l’ardeur d’un jeu
ts de prévision répandus par la presse soient toujours incomplets. La science ne peut rien conclure de ces demi-révélations; el
vec regret la police devenir l’auxiliaire de ces recherches. C’est la science , ici, qui devrait présider; mais il sera dit un j
ont for- cément éclairés sur les points les plus litigieux de celto science , qui ne petit [trouver accès auprès d’eux à caus
er si le magnétisme avait réellement quelque chose de commun avec les sciences physiques, et si le fluide magnétique existait ré
es magnétiseurs, an détriment de l’observation froide et sévère de la science . Une quatrième partie termine l’ouvrage. C’est
n au ^mesmérisme, lui a prouvé que tout est faux dans cette prétendue science . On lui offre maintenant des témoignages en guise
autre commission fut nommée; elle conclut que le magnétisme étant une science , il devait occuper une place parmi les sciences.
e magnétisme étant une science, il devait occuper une place parmi les sciences . M. J. Cloquet rapporta à celte commission l’hisl
u de l’agent provocateur de ce phénomène bien plus important pour les sciences ? Nous nous serions refusé nous-mème à suivre l
ne pourrez vous promettre qu’un succès douteux, car tout se fait avec science , avec méthode, par poids et mesure. C’est pourquo
, il ne magnétisait qu’occasionellement ; mais il servait beaucoup la science par sa parole. Ses nombreuses occupations l’ayant
surtout des magnétiseurs, parce que beaucoup d’enthousiastes de celte science ont dit qu’elle renversait la médecine de fond en
nt restés jusqu’ici sans explication satisfaisante. Mais de ce que la science qui devrait guider nos recherches ne nous offre q
t, par exemple, qu’il vaut mieux que le magnétiseur soit médecin : sa science et son expérience le rendent plus apte qu’un autr
ue j’ai émises sur les hallucinations attribuées au magnétisme. Cette science fera surgir bien d’autres questions plus épineuse
ncore, el c’est de leur solution qu’on doit attendre le progrès de la science et de l’humanité. Comme un nouveau soleil, la l
Cherchons donc à nous mettre en garde autant contre les erreurs de la science que contre nous-mêmes; et, en avançant, restons p
s nous le traduisons néanmoins comme s’il nous était révélé. Toute la science divine et humaine est peut-être ici, Qui donc ose
occultes, connues sous le nom de magie. Ce n’est point pour céler la science que nous cherchons à acquérir, mais pour la divul
9 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
étisme. Bien différent des magnétiseurs qui, pour justifier de leur science , voyagent avec des sujets tout préparés , avec de
ce mémoire. « Un des membres de l’assemblée a fait observer que? la science devait attacher une trop grande importance à la s
e but de notre société. Nous voulons établir un ordre de faits que la science actuelle n’a pas encore classés, parce qu’elle n’
l’existence nous est révélée............. L’histoire de toutes les sciences nous les montre d’abord comme le recueil de quelq
x, qui les étudient, les "comparent, les jugent. Bientôt une nouvelle science est créée et avec elle un nouveau progrès de l’in
eloppement des générations qui la suivent ; de même les progrès d’une science déterminent les progrès d’une autre science, parc
de même les progrès d’une science déterminent les progrès d’une autre science , parce que toutes sont des anneaux d’une chaîne c
rtir de l’observation des faits pour s’élever à la constitution de la science . Mais pour y parvenir il faut, à des faits connus
e notre impuissance : tout ce qui se rattache de près ou de loin à la science des forces de la nature sera de son domaine. L’
eur brillante héritière, se sont-elles transmis le dépôt précieux des sciences occultes parla voie de l’initiation? Au nombre de
ux des sciences occultes parla voie de l’initiation? Au nombre de ces sciences le magnétisme figurait-il? Hermès posséda-t-il le
e illustrées par des hommes profondément versés dans l’étude de celte science ; mais en même temps nous les verrons accusés de m
uvelle, éclose du génie d’un seul homme, ou bien la restitution d’une science oubliée que Mesmer apporte au monde ? Si l’Alle
’esprit universel qui anime la nature, et dans l’application de cette science un soulagement des maladies et des douleurs. Entr
plus noble lâche? Etre utile à ses semblables et faire progresser la science de tous les temps et de tous les lieux, la seule
n l’homme une double vie ? (Louis Lambert, p. 77.) — Le magnétisme, science jadis cachée au fond des Mystères d’Isis, de Delp
philosophique sur la concordance des données de la religion et de la science . Le magnétisme y est envisagé *lans son double as
termes qui attestent que l’écrivain sait apprécier la portée de cette science naissante. T.e Correspondant, journal religieux
rrespondant, journal religieux, vient de publier, sous le titre de la Science funeste, un roman de Mme Anna-Marie, qui reconnaî
pouvait y considérer d’autres affections également incurables pour la science . Donnez, donnez de votre vie à ceux qui en manque
ue nous pouvons produire surpasse de beaucoup la limite tracée par la science : lorsque la vie s’est retirée d’un membre ; lors
égères difficultés qu’ils soulèvent, et on obtient des données que la science ne pourrait encore fournir. Voici, comme exempl
cer sur les sens, la « matière et la volonté d’un autre homme. « La science , encore en enfance , à laquelle on «donne communé
s sur l’ôtre. « Il est de toute nécessité, pour l’avenir de cette « science , avenir immense, que le magnétiseur agisse, « non
ie de ces hommes qui croient tout « savoir et ont inlérêt à ce que la science reste dans « un état conjectural, pour que leur s
fin du roman : la Sciencefuneste. Le magnétisme, bien entendu, est la science ainsi désignée. On signale un abus de pouvoir don
nt, nous sommes trop heureux que la presse veuille s’occuper de notre science . C’est par cette voie que les bons esprits démêle
. Examinez-les donc, car elles sont supérieures à toutes celles de la science . Elles ont une origine inconnue, et c’est cette o
e n’a pas lieu? Grands génies qui vous chargez de nous apprendre la science des écoles, votre tâche est facile ; mais je ne v
au soulagement de quelques malheureux, vous vous ôtes avancés dans la science ! Que ces lignes rappellent à votre souvenir l’ho
ÉLÈVES BISONTINS. Air du Dieu des Donnes Cens. Il esta» monde une science oceiille , Divin pouvoir encor trop méconnu;
de physiologie et de thérapeutique, bien qu’elle n’eût pas besoin de science théorique pour prescrire, très-souvent en termes
on pour la jeune fille, qui va devenir un problème à résoudre pour la science . Je viens de dépêcher un commissionnaire à La P
mme serait trop courte, non pas pour étudier en rudiment les diverses sciences , mais pour acquérir et posséder la nouvelle langu
itudes à ce sujet. « Parmi tant d’hommes éminents qui cultivent les sciences , il eh est peu dont le génie s’isole du milieu où
procédés d’expérimentation n’ont été si prompts ni si sûrs; jamais la science n’a donné aux intérêts humains tant de satisfacti
parue à une date si récente, et qui devait éclairer tout le champ des sciences , où en sont ses prodiges espérés? On reste à des
e d’un caractère sévère, respecté, ami des lumières et versé dans les sciences physiques, voyant que les médecins deMamers, qu’o
onduite de la part d’hommes appelés, par l’art qu’ils exercent et les sciences qu’ils cultivent, à l’examen de tout ce qui peut
n effet difficile de comprendre que les représentants officiels d’une science se montrent si peu soucieux de s’éclairer sur des
ce le développement des facultés singulières de cette jeune fille. La science lui .devra un tribut de reconnaissance, car, sans
• servira l’explication d’aiitfres faits incompris, avan- • cer la science et servir l’humanité. « Mais déjà la cupidité é
dispositions d’esprit que nous sommes parti, quoique la bonne foi, la science et l’esprit judicieux de M. le docteur "Verger no
de surpasser vos devanciers. Connaissez-vous d’abord, entrez dans la science par le labeur, par le travail. Si vous ne devez ê
dos gens intéressés à ce que le magnétisme n’arrive point à l’état do science . Ils couvriront leur résistance d’un masque hypoc
des, qu’ils l'ont «sourire de pitié, et n’atteignent nullement- une « science trop au-dessus de la calomnie et de 1 i-. gnoranc
t été les premiers à regretter ta fin tragique, à se lamenter pour la science entière. Pourquoi es-tu venue te brûler à la chan
; on les discutera encore,puis en-lin on adoptera. C’est ainsi que la science s’est constituée; elle n'eut point d’aulre marche
es faites au sein de la Société pour éclairer les divers points do la science . Séance du 29 janvier. — Semblables à ces corps
omment j’aurais pu le faire, ne connaissant personne instruit dans la science magnétique autre que rnon médecin, qui ne me répo
faire une analyse de chaque ouvrage qui paraîtra, ayant trait à notre science , et nous mentionnons seulement aujourd’hui celui
» (La suite auprochain numéro.) SOCIÉTÉS SAVANTES. ACADÉMIE DES SCIENCES . Séance des 2 et 9 mars. — Après le retentissem
nue pleine et entière. Oui, mes chers,collègues, ma foi en la sublime science que Mesmer nous a transmise est actuellement inéb
s. « Gloire donc à l’immortel Mesmer qui a légué à la postérité une science aussi bienfaisante, et mille actions de grâces à
nne volontiers mon consentement. Et d’abord, je dois vous dire que la science du magnétisme avait toujours été pour moi un obje
ne tache indélébile. Voyez ce magnétisme condamné vingt fois par la science et toujours survivant à ces arrêts; voyez-le entr
et mille fois renouvelées que la vérité arrive enfin a régner sur la science . Les Lants sont les ennem.s-nés de tout grand pri
onne parfois le génie. Celui donc enfin qui enrichit le domaine de la science doit mourir sans être récompensé de son labeur Ra
incalculable, et jamais la justice n’en réhabilita aucune; jamais la science ne daigna sur ce point éclairer la justice; sans
I, septembre 1755, page21ÎO. ignorant de lu gcologic comme de loule science , arrivant au môme résultat (1). 2° Sourciers à
ut •accusé de charlatanisme, et s’en retourna comme il était venu. La science avait jeté ses doutes, et l’opinion, qui se laiss
laisse influencer toujours par de faux sages, avait pensé comme la science , et rejeté une faculté très-réelle, mais qui dépa
ont nous allons rendre compte, d’après (¡es témoins oculaires dont la science et la bonne foi ne peuvent être suspectes. Lais
besoin, nous préférerions avoir recours à l’abbé Para-melle, dont la science hydroscopique était authentique. Notre homme ne s
comparaison outre le talent de ce simple montagnard dépourvu de toute science , ne sachant pas même lire, et celui de M. l’ahbé
dacteur, désinté-i-essé dans la question, tenta, dans l'intérôt de la science et de la vérité, les expériences qui suivent :
Nous l’expliquons par le magnétisme. Oui, le magnétisme fait toute la science de ce montagnard sans éducation. Son âme explore
utes différentes : l’un travaille par observation, par induction, par science géologique; l’autre par sensation, par inspiratio
ce qu’il mérite. Vraiment 1*Académie- de Médecine et la section des sciences physiques de l’institut nous semblent, à nous, de
, source* [Pk.B«dé.) dans le monde; les faits qui se produisent, la science qui se répand de tous côtés, sans que leurs yeux
ont assemblés à Paris. 11 ne s’agit de rien moins que d'empêcher deux sciences fécondes de s’étendre dans le monde : l’homœopalh
tre faute si la vérité que nous défendons rencontre sur son chemin la science qui n’en veut point, l’ignorance slupide qui fait
médecine, et quelles modifications la théorie et la pratique de cette science ont pu subir pendant le cours de l’année précéden
d’un caractère honorables, il se livre, dans ses courts loisirs, à la science magnétique dont il se fait le rude champion par a
raînait celui de l’insensibilité. Eh bien , je le demande, quand la science magnétique n’aurait obtenu jusqu’ici que ces résu
mes de loi,.il parlait fort simplement de toutes choses et même de sa science , sans emphase ni mystère, surtout de ses expérien
ations, l’art du maître de la maison. Il nous raconta qu’il tenait sa science de deux cheicks célèbres de son pays, et ajouta q
s’est servi jusqu’à ce jour, et ne les trouvant pas appropriées à la science mesmérilogique, il présente toute une no- nienc
ont l’intérêt est presque toujours le mobile. Il ajoute que, dans les sciences non formées, les noms d’hommes sont préférables e
sion la plus générale, elle ne peut en rien arrêter les progrès de la science ; il ne faut donc pas enléver à Mesmer sa con-ronn
s intrépide des disciples de Mesmer, le champion le plus échevelé des sciences occultes, M. Marcillet, qui se présente armé de t
de ce métal. « De retour au Caire, je sus qu’on parlait déjà de ma science , et un matin, à mon grand étonnement, les domesti
r l’illustre physicien anglais. M. Faraday a certainement ouvert à la science une voie féconde, non-seulement sous le rapport t
t certainement les piquer jusqu’au sang sans qu’ils en eussent con- science . On n’a moins pas reconnu l’inconvénient capital
nous arrêter à cette dernière hypothèse, sauf rétractation, quand la science aura bien voulu s’occuper de fixer la véritable i
est dommage, savez-vous, de venir faire concurrence à cette brillante science ! Mais on no souffrira pas qu’il y soit rien chan
connue etqui sont utilement employés, tiennent à leur disposition. La science a sans doute beaucoup fait, mais elle est loin d’
ni de se faire guérir par des moyens qui ne sont ni du domaine de la science officielle, ni soumis aux investigations de la ju
n objet de doutes, môme pour les hommes les plus hauts placés dans la science . Ce nouveau phénomène est un matelot de quirfze
age à ne la pas omettre. Il était curieux de toute sorte d’arts et do sciences , et, avec infiniment d’esprit, avait eu toute sa
généreuse du bien de l’humanité, et tous ceux qui ont écrit sur cette science l’ont fait dans le but principal de propager une
et faire dévier le cours d’un fleuve, l'opposition systématique à une science nouvelle ne saurait que suspendre son développeme
araît plus éclatante après avoir été obscurcie. a Relativement à.la science magnétique, il e^t fâcheux qu’on trouve de trop n
eje puisse faire publier un-ffîémôire de njes, observations sur cette science , et dqs cures que j’fti obtenues depuisquatre ans
d’une provocation, mais seulement celle de faire appel aux hommes de science en général, et en particulier aux médecins, afin
et de déclarer si elles peuvent complètement satisfaire les hommes de science ; il y aurait de la témérité de notre part à cherc
Simon. VARIÉTÉS. Banquet mesméricn. — Quatre-vingts adeptes de la science magnétique, répondant à l’appel de M. Je baron
re la calomnie, la mauvaise foi, et nous pouvons dire contre toute la science , contre tous ceux qui s’honorent du titre desavan
il a jetées sur le monde ont chassé devant elles les obscurités de la science , et détruit le tribut sanglant que l’odieux fanal
suivant : celui dont le zèle a conçu cette fête ! G n jour, de la science il atteindra le faite. W uvons, en attendant, à
tre la vue à distance Les savants sont acharnés, Il est vrai que la science N’y voit pas plus loin qu’ son nez.. Les corp
le Le droit d’électricité. Les corps savants, etc. Matadors de la science , Grands flambeaux dû genre humain, Recevez, au
t que le jour d’un complet triomphe n’était pas éloigné. En effet, la science nouvelle a mainténant ses journaux, sa tribune, d
réalité des phénomènes offerts àson examen, soutint la cause de la science et de la vérité devant l’institut et le public. S
ance positive, et la condition indispensable de tout progrès dans les sciences . Ces considérations nous amènent naturellement
s phénomènes? Comme vous êtes simples et candides ! Les Académies des Sciences et do Médecine étudier le magnétisme et revenir s
scribes et des pharisiens : c’est le prix du mensonge et de la fausse science . Ne leur en voulez point pour leurs actes de bass
parler de Mesmer, qui découvrit le magnétisme et jeta les bases de la science dont nous sommes adeptes. « Notre désir est d'é
it-il à son immense talent les sentiments élevés dont l'union avec la science enfante la sagesse et toutes les vertus qui naiss
sa découverte fût examinée, et qu’il subordonnait à la sanction de la science la récompense légitime due à l’auteur d’une décou
e je me « suis exposé au ridicule pressenti dont votre Académie « des Sciences , votre Société royale et votre Faculté « de médec
maître? D’ailleurs, outre que ce qui ne progresse pas n’est point une science , si Mesmer avait légué son système complet, s'il
ommes diront, sans doute, de nous, ce qu’avant d’étre avancés dans la science nous disions de ceux qui en possédaient le rudime
spect pour leurs maîtres, les signalent à la foule comme dépourvus de science ou déshérités de toute vertu. Bien plus, ne laiss
de la réalité, éblouissante pour nos yeux habitués aux erreurs que la science officielle donne encore pour des vérités. Unisson
les et les soulager ; ne sont-ce pas là de véritables progrès pour la science et pour l’humanité? » Après co résumé, M. Cosso
ardez.... cette vérité que vous rejetez avec mépris, les parias de la science la ramassent! Secouez donc vite votre indolence a
s et morales en vous munissant de ce puissant moven sans lequel voire science resle incomplète. « Prêtres ! venez à cet arden
vrez la vérité. « Historiens! préparez vos intelligences, car toute science doit avoir son histoire; commencez - la en compul
morales qui pèsent sur l’humanité, et vous savez, hélas! combien leur science est impuissante pour guérif même les maux que leu
s suffisent : la force et la volonté. « Et vous, profanateurs de la science ! qui traînez sur vos tréteaux le mesmérisme comm
nt peu occupé de magnétisme, il n’intéresse guère l’histoire de oette science que par le souvenir de son père. Il était cependa
formèrent une secte puissante et fort honorée. Versés dans toutes les sciences , ces mages, outre leurs connaissancesmystérieuses
ils ne divulgaient leurs secrets à aucun étranger, de sorte que leur science , définie par Platon : l'art d'honorer dignement l
ontre Moïse, qui avait été élevé à la cour du Pharaon alors que les sciences magiques étaient fort en usage (I). Les Pères d
les prophètes ou voyants. C’est la décadence de l’art. N’ayant de la science des mages qu’une pratique aveugle et superstitieu
ensée, trace sur le papier la formule banale d’un remède coté dans la science depuis un mois au plus. L’Esculape essaie de no
as grâce à Dieu du secours inattendu que tu auras trouvé, non dans la science , mais dans la nature. Bientôt l’oubli d’un aussi
ence et par des faits innombrables. Ces hommes font ce que ne peut la science , ils guérissent des malades abandonnés par elle
ir et de soulager les souffrances soit autre que ceux indiqués par la science , s’il est plus réel, plus efficace? c’est à vous
gmenter ses prôneurs. Mais non, vous rirez de nous et nierez et notre science et nos œuvres. Peut-être la Providence le veut ai
rouvent que l’auteur des Mémoires d'un Médecin n’est étranger ni ù la science de Mesmer, ni à celle de Puységur. Le môme jour
330 — philanthiop.-magnét. 150,272 — (lu Mesmérisme. 120,215,300 Science funeste (la). 28 Section des tendons poplités. 72
cer sous la tutelle de quelque corporation pour prendre rang dans les sciences et faire jouir les hommes du bien que par sa natu
point cet ql-liage nouveau, laissez venir d’autres temps; séparez la science de toutes croyances, car elle doit s’établir d’el
les hommes en arrière lorsque Dieu lui-même les pousse en avant. La science n’a point de limite et ne dira jamais son dernier
par trop vif; nous en ajournons la publication. LE DOCTEUR. Notre science est écrite en grec et en latin; elle est gravée s
d’abstinence; du grand art de guérir je suis désabusé. J’abandonne la science . LE DOCTEUR, de loin. J’oubliais une chose :
e, patronée par une autorité aussi respectée, prit vite cours dans la science , et l’expérience, procréatrice de nos connaissanc
mènes provoqués. » D’où il suit que, pour bien s’instruire dans une science quelconque, il faut s’éclairer par de nombreuses
BIBLIOGRAPHIE. NÉvr.L'nciE,' ou le Magnétisme animal devenant une science physico-malhéinatique, par M. l’abbii'comle de Ro
erre et de la soie!... « Que deviennent à présent tout ce fatras de science indigeste et de mauvaise foi? ces imaginations té
ne le tira point. Le Saint-Office lui laissa la vie par égard pour sa science et son grand âge (I). « (1) Llorcnlo, Histoire
article Contemplatif, par M. de Monl.'gr,', dans te Dictionnaire des sciences médicales. PIutarque écrit d’un nommé Solens, P
ps. » (La suite auprockain numéro.) THÉORIES. DU PRINCIPE DE LA SCIENCE . Il est une foi et une raison toute d’intellige
nt sans se jalouser ou se combattre; elles se confondront en une même science , comme leurs deux véritables principes s'identifi
principes s'identifient eux-mémes en une seule faculté. Ce sera la science de vie, et, par conséquent, le christianisme, auq
qui n’était en philosophie qu’un véritable avortement, qui ramena la science ontologique à son point de départ, malgré la larg
conséquent regardée comme l’instrument, le principe constitutif de la science . (4) Sympathie »»» txOr,, sentir arc*. Certain*
in est donc la vraie lumière du monde. Sa parole est bien plus qu’une science , qu’une révélation ; mais elle est un principe de
plus qu’une science, qu’une révélation ; mais elle est un principe de science , une source de révélation ; elle n’est point une
BLIOGRAPHIE. .\i>vni:nciE, on If Magni'lismc animal devenant une science physico-inalhi:>iinli|ue, par M. l'abbé comte
leur tour effacer ce nom absurde de magnétisme des phénomènes de la science dont nous nous occupons, tant elles se montrent d
us ces laits doivent se reproduire entre les mains de tous. Sinon, la science et la bo\ine foi de l’auteur étant acquises, il f
mes, et bientôt vous ne pouvez plus jouir d’un instant de repos. La science ne peut être dans ces ouvrages qu’un jour voit éc
arrachez vous-mêmes ces plantes nauséeuses; nettoyez le temple de la science , et reconnaissez donc enfin que vous vous êtes tr
s-mêmes incohérentes, la matière médicale est peut-être de toutes les sciences physiologiques celle où se peignent le mieux les
mieux les travers de l’esprit humain; que dis-je? ce n’est point une science pour un esprit méthodique, c’est un ensemble info
é lui-même, après avoir fait d'innombrables victimes. Apôtres d’une science malheureuse, on vous offre aujourd’hui un nouvel
u'on nomme la morale. Cette doctrine renferme l’art de diriger, et la science de juger les actions humaines. La représentatio
remèdes? Plusieurs membres pensent que ce livre sera funeste aux deux sciences que son auteur a voulu étendre. Séance du 17 ju
déclaré leur conviction entière, et promis de continuer l’étude d’une science qui se présente à eux si brillante. Séa/ice du
VARIÉTÉS. Le magnétisme à Lyon. — Le magnétisme, comme toutes les sciences nouvelles, comme toutes les vérités qui apparaiss
norance et de l’intérêt. Il est dur, en effet, pour des hommes que la science compte au nombre de ses membres les plus haut pla
sais, c’est que je ne sais rien. Les doctes Facultés où l’on vend la science jetteraient les hauts cris si un de leurs profess
y trouveront aussi quelques remarques judicieuses sur l'accord de la science et de la religion. Voici comment l'auteur rapport
la route du magnétisme ; dès lors je commençai à comprendre que cette science si vantée par les uns, si décriée par les autres,
sont des faits qui jusqu’u présent ont échappé à l’observation de la science . » Le Propriétaire-Gérant : HÉBERT (de Camay).
périences, et que je reconnus des noms vénérés et haut placés dans la science , ceux de MM. Marc, Fou-quier, Pariset, Récamier,
cès-verbal sous leurs yeux. Cette opération, si intéressante pout’ la science , a été faite en présence de plus de cinquante tém
nger dans cet état extraordinaire, aujourd’hui si intéressant pour la science , et qui a le pouvoir d’amortir toute sensibilité
ouvenirs des faits magnétiques se présentaient à son esprit. Quelle science pour produire ces merveilles ! Chacun de nous ne
va lion. L'auteur de l’article Convulsiovnaire, du Dictionnaire des sciences médicales, ne voyant dans Mesmer et ses disciples
ie, elle répliqua que, par elle-même, elle n’avait ni connaissance ni science aucune sur de telles matières ; mais que, quand o
Lyon , la ville du commerce et de l’industrie, est aussi la ville des sciences et des arts ; que notre patrie accueille toutes l
i lui est due; car à vos yeux, je l’espère, il est comme aux miens la science primitive, la doctrine par excellence. « Le mag
toutes choses. Quelle plus noble élude que cette doctrine, que cette science ! et cest pourquoi les fondateurs de l’Athénée c
intelligent. Mais avant tout con-« stituons le magnétisme à l’état de science avouée , « et, pour accélérer son triomphe, ne la
ai le dire, dût votre modestie en souffrir, vous avez fait pour cette science nouvelle, ou pour mieux dire retrouvée par Mesmer
ium des connaissances humaines, a fait au XVII siècle pour toutes les sciences . « J’ai [prononcé le nom de Mesmer; il doit êtr
Potet a pris la parole et a porté le toast suivant à un homme que sa science recommande autant que son patriotisme, et qui, ap
l’école, est venu nous témoigner, en encourageant nos efforts, que la science , pour les hommes d’élite, ne consiste pas dans un
aton, ne dédaignant pas d’aller, dans un âge avancé, s’enquérir d’une science nouvelle. » Après le banquet, le présideut a pr
si détruire des méthodes vicieuses nées avec Mesmer à l'enfance de la science , et que Mesmer lui-même eût considérablement modi
point des baquets. Ce qui contribue aussi à retarder le progrès de la science magnétique, ce TOME III. 31 OCTOBRE 18£|6. 8
sez osés qu’ils sont pour se présenter comme interprètes de la divine science magnétique. Ceci, mes chers élèves, devait préc
oser de continuer, sans aucune autre espèce d’intérêt que celui de la science , à voir sa fille conjointement avec le médecin de
us demande ce que c’est qu'une somnambule, vous répondez : C'est la science qui vient trouver la femme. Cette science est b
ous répondez : C'est la science qui vient trouver la femme. Cette science est bien autre, ma foi, que celle des hommes, san
scrira ce «qu’il faut pour en rétablir l'équilibre. » Humilie-toi,ô science humaine! avoue-toi vaincue par cette toute-puissa
ient de « déclarer que le magnétisme est une vérité de plus « dans la science médicale et dans l’art de guérir, et « maintenant
iques, parce qu’il met les recherches métaphysiques sur le pied d’une science démonstrative. Une discussion régulière, sollic
elques profanes qui, à défaut des connaissances positives qu’exige la science de Mesmer, enrichie des travaux des de Puy-ségur
e veulent pas de nous, ils nous dédaignent; nous allons établir notre science à côté de la leur. Les Facultés de médecine rejet
de toutes parts des hommes soulagent et guérissent ceux que la fausse science a maltraités, ceux pour qui la nature n’a point é
voir le magnétisme reconnu, et entrer triomphant dans le domaine des sciences par la porte qui s’est fermée cent fois sur lui.
en paix ces gens qui outragent ainsi la nature et qui ravalent votre science en montant sur des tréteaux; laissez ainsi ces fa
nteux de l’abaissement et de la dégradation de la plus magnifique des sciences , vont s’assembler pour relever bien haut la décou
irmer sa théorie, et les sources ont surgi. Or, n’esl-ce pas là de la science , de la bonne et véritable science? Si c’est de la
nt surgi. Or, n’esl-ce pas là de la science, de la bonne et véritable science ? Si c’est de la science ordinaire, pourquoi M. Du
as là de la science, de la bonne et véritable science? Si c’est de la science ordinaire, pourquoi M. Dufresnoy, pourquoi M. Eli
Société de géologie, les auteurs et les dépositaires de la véritable science ne sont-ils pas capables d’en faire autant? Si
amclle, il se serait déjà lait dresser dos statues, et l’Académie dos Sciences , parce que M. Paramclle n’a pas eu besoin des liv
e mal est bien plus grand qu’on ne pense. On ne peut pas douter de la science de M. Paramclle, il la prouve tous les jours. Eh
science de M. Paramclle, il la prouve tous les jours. Eh bien, cette science si utile, si nécessaire, si féconde, nous échappe
rt pour l’Egypte, afin d’étudier à cet ancien berceau des arts et des sciences ce qui reste dans les traditions, l’histoire et l
histoire et les pratiques mystérieuses de quelques hommes touchant la science qui nous occupe. On peut donc espérer un mémoire
ttre. Il faut ensuite forcer les magnétiseurs ignorants à acquérir la science nouvelle, afin qu’ils aient l’habileté qu’elle do
els, qu’il ne divulgua point à ses élèves cet état si nouveau dans la science de l'homme. Il pressentait l’abus monstrueux que
manquerait pas d’en faire et la perturbation qu’il causerait dans la science qu'il cherchait à fonder. M. de Puységur, le prem
ches. Mais ces merveilles liront du bruit en dehors du sanctuaire; la science avait beau dire que les magnétiseurs étaient de
t seuls, avec une bague, un sachet. Quel progrès! Voyez déjà comme la science avançait! L’Académie de médecine avait de nouvoau
le fut faite, qu’il viendrait un temps où un nouvel art, une nouvelle science , apparaîtraient, où des gens ayant les sens assou
ubstances médicamenteuses. Les médecins ont fait consister toute leur science dans l’application raisonnée de ces divers agents
els. Us devraient se voiler la lace ; car aujourd’hui des hommes sans science , sans éludes médicales, produisent, au su de tous
ileté ne va pas jusqu'à l'en préserver, quoique nous ayons toute la science en partage! Nous sommes les survivants naturels d
de curiosité, il y a un immense service à rendre à l’humanité et à la science . Donner au chirurgien des moyens plus certains de
autres, M. Picard, dentiste, rue du Gouvernement, 35. Au nom de la science et de l’humanité, nous nous adressons à MM. les a
aire ici cet étranger? « Voilà comment, dans son pays, la prétendue science « qu’il nous apporte est envisagée par les autori
inexpérimentés. Ont-ils au moins réparé le mal qu’ils ont fait à la science ? La science ! qu’y a-t-il de commun entre elle e
s. Ont-ils au moins réparé le mal qu’ils ont fait à la science ? La science ! qu’y a-t-il de commun entre elle et eux? Celui-
s chercheriez en vain chez les magnétiseurs, indignes héritiers de la science antique. Entendez leur langage, voyez leurs actos
e reste à dévoiler. Le philosophe, s’appuyant sur les données de la science , a jugé comme elle, et tiré de semblables conséqu
qu'il existe ici une force, un moteur inconnu pour l’élude duquel la science des écoles ne peut nous fournir de méthode, puisq
s grandes découvertes se font autour d’eux par des enfants perdus des sciences et qui n’ont point suivi leurs conseils. Ils perf
analogue. « Messieurs, je pourrais répondre tout simplement quo la science n’a pas encore admis jusqu’ici, constaté, reconnu
ous en occuper. « Mais, messieurs, je ne me guide jamais d’après la science , mais d’après ma conscience; je crois donc fortem
« Eh bien, oui, par une protestation divine contre les formules de la science , qui date d’Adam, Dieu a voulu que cette force ex
opos de sa conférence du C : « Il a mis en émoi toute l’Aca-démic des sciences , en laissant tomber du haut delà chaire catholiqu
voulu frapper. Les législateurs d'alors pensaient qu’il existait une science médicale, et que ceux qui la possédaient offraien
en rien les arrêter. C’est au sein d’une société avancée, en face des sciences qui progressent, parce qu'elles sont positives, q
nquête sévère, s’assurer si les avantages offerts par celte prétendue science étaient supérieurs à sesinconvénients; rien de
tre à travers toutes les fissures sociales; la marche progressive des sciences , les merveilles de nos découvertes modernes, le g
vice encore, messieurs, pour oser me mesurer avec ces matadores de la science , si profondément versés dans la théorie, si longu
nsports de notre enthousiasme, contre les ineffables séductions d« la science dont nous sommes les apôtres, et des mira- des
llustres hôtes de la rue de Poitiers, pour les amener à penser que la science qui offre de tels prodiges vaut bien la peine d’é
prodiges vaut bien la peine d’élre étudiée... Mais, que dis-je? cette science , ils la reconnaissent fatale à leurs intérêts; il
écolier timide, mais d’une foi vive; qui, enseignant aux médecins sa science , son art, comme jadis le néophyte chrétien prêcha
n faire comparaître le magnétisme à la barre d’un tribunal? 11 fut la science médicale révélée dans les mystères de l’antiquité
ur le magnétisme. 336 Paralysie rhumatismale guérie. 3 Principe de la science (du), 67
10 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
e toujours fatalement voué îi la perdition des âmes. L’auteur de la Science chrétienne de communiquer avec les esprits, le pi
s principaux ecclésiastiques de son diocèse, y employèrent toute leur science , se livrèrent, à force de con- nier les effets
. Home, ce jeune homme si frôle, si peu faiseur et si peu initié à la science des prestiges, est bien loin d’être un magnétiseu
es effets surprenants que j’obtiens continuellement à l’aide de cette science . Parmi les phénomènes les plus curieux que j’ai
qui est arrivé, c'est ce qui arrivera au magnétisme jusqu’à ce que la science officielle lui ait donné droit de cité, et ce tem
aircir d’être examinée sérieusement, minutieusement par les faits, la science magnétique et une expérience soutenue. fclus sé
hés, le» objets que nous avions magnétisés. Pour quiconque connaît la science de Uesmer, ce phénomène est considéré comme uo de
mmes encombrés de mémoires, de récits de faits, de théories sur cette science divine que notre époque voit naître. Sans exclure
erait interdit de prétendre. M. Eustis, professeur à la faculté des sciences de l’université de Cambridge (Massachusetts), acc
rai qu'un mot, c’est que» m’étant appliqué toute ma vie à l’étude des sciences naturel-les, j'ai appris, à l’heure qu’il est,¿co
ien réels., sont appçjés à modifier considérablement les idées que la science s’est .formée jasqu’ici de l’impénétrabilité des
j’ai toujours cru de mon devoir de chercher à faire pénétrer dans la science la doctrine des forces vives, et qu'aujourd’hui c
ignorance ou par de ridicules préventions, entravent la marche de la science nouvelle ! » Sans aucun doute « l’étude approfond
ment en France que la presse périodi que s’occupe de magnétisme et de sciences occultes, En Italie, le journal ultra-catholique
la vérité et de ceux qui la défendent; son absence de dévouement à la science ; enfin, c’est qu’il n’a à cœur que son propre su
t resté. Baron du Potet. BIBLIOGRAPHIE. te Monde spirituel ou Science chrétienne de communiquer intimement avec les pui
ême offrent de les reproduire et s’en font un moyen de conviction. La science est donc appelée à vérifier ces faits, à en scrut
l’état actuel de nos connaissances, ce n’est pas un fait acquis à la science ; et tout en rendant hommage à la véracité et aux
que des faits plus nombreux et surtout bien observés permettent à la science de formuler la loi qui les régit. Nous avous seul
piritualiste où se sont trouvées pres-puesque toutes les sommités des sciences occulte* , «fqüi JoUrt d'une certaine célébrité.
it que d'un roman, la satisfaction serait complète. Mais il s'agit de science , et la raison demande ce qu’il y a de réel dans c
e succès que devrait lui assurer le mérite de l’auteur. Les hommes de science y verront un livre de dévotion et regretteront qu
et complètes du procès ; et il serait à désirer, clans l’intérêt des sciences psychologiques et magnétiques que l’on entreprît
grande faute, car c’est le plus grand abus qui puisse être fait de la science , niais nul, de nos jours, n’oserait dire que ce
gné. On savait que ce cheval avait été destiné à la cavalerie, que la science des écuyers de l’armée avait vainement tenté de l
mais, soit qu’ij ne fût qu’incomplètement initié dans la mystérieuse science de son père, soit qu’il fût incapable de la mettr
ît la structure. Ici rien ne semble lui échapper, et le travail de la science a été immense. La richesse réelle abonde. Puis le
es germes, et l’électricité a semblé venir couronner les œuvres de la science , puis le calorique, que sais-je encore ! On oubli
’acception de mauvais esprit ; d’où 011 a fait démonologie, traité ou science des Mànifestations des démons ou des esprits quel
ns. (Gaz. des Tribunaux.) EXPÉRIENCES SUR LA LUMIÈRE. L’Ami des Sciences du '29 novembre dernier contient un article fort
lois naturelles ; elle est même en harmonie avec les conquêtes de la science , et elle ne suppose ni magie noire ou blanche, ni
s tous les faits obscurs que l'intervention des esprits. Toutes les sciences se lient ; ainsi les limites qui séparent la magi
ui sépare la physiologie de la psychologie , se trouve entre ces deux sciences ; le magnétisme n’envisageant que les forces natu
sons entra ces deux noni9 : M. Jean Reynaud, également versé dans les sciences exactes et dans les études historiques, piofond p
euvent rester étrangers à «ne des branches les plus importantes de la science . Nous allons mentionne r les articles publiés,
es sous la tour principale : tout le pays est en émoi. 4° L’Ami des Sciences du 31 janvier contient un article extrait de Y Un
ntionné ces faits étranges qui demandent confirmation. 5” L’Ami des Sciences du 29 novembre dernier contient une lettre de M.
t qui, dans ses nombreux et volumineux ouvrages, traite de toutes les sciences et discute à fond les questions les plus ardues.
ue chaque parti ait ses champions et fasse valoir tous ses moyens. La science ne peut rester indifférente sur les faits bizarre
nt du moins cette intervention; d’un phénomène inconnu jusqu’ici à la science ou dont la cause ne fût pas immédiatement assigna
, et qu’au lieu de travailler, comme il le pourrait, au progrès de la science , il tende (peut-être à son insu) à fonder une sec
pelés auprès de lui employèrent en vain toutes les ressources de leur science , ils ne purent parvenir â faire cesser cet état f
s’immolant pour les autres par charité, on ne peut rien faire sans la science . J’ai fait davantage pour ce pauvre limmiie e
ue le spiritualisme a déjà de profondes, racines et que les hommes de sciences sont tout prêts d’accueillir les nouvelles vérité
rent de celui des organes ; qu’on ne peut constituer véritablement la science de l'homme sans admettre la dualité du dynanisme
, comme oa le pense bien, danace dûr maine qui n'est pas. celui de la science . « Il nous suffit de montrer que; dans l’homme,
LÉMIQUE. LE SPIRITUALISME. Le spiritualisme est un chapitre de la science magnétique, comme le somnambulisme et comme la cl
us communs; ils frappent les sens et sont destinés à faire marcher la science en portant la conviction dans les esprits. Les fa
urs. Enfin le spiritualisme, qui forme la partie la plus élevée de la science , peut être comparé à la tête. 11 nous ouvre des h
nt grave quand il se produit de la part d’un homme qui occupe dans la science magnétique une position officielle, et qui, par c
fausses idées sur les esprits et leur situation. On leur a.prêté la. science infuse et des connaissances certaines sur toutes
gnétiques ne doivent leur réussite qu’à la même cause que le magisme ( science tout à fait ignorée par les magnétiseurs). C’est
le mot magisme que vous employez à chaque ligne? Qu’est-ce que cette science universelle à laquelle vous promettez de nous ini
qu’elles renferment une foule dü membres désintéressés , dévoués à la science et à l'humanité, et qui journellement répandent l
opager, c’est que l’étude est superflue, vu que «Dieu seul accorde la science et la connaissance des choses à tout homme de bie
Baron du POTET, propriétaire-gérant. ÉïUüES ET THÉORIES. I.A SCIENCE MAGNÉTIQUE. Quatre forces immenses qui sont par
sont prouvées mathématiquement et ne sont nullement contestées par la science . Or, bien loin de renverser les murs , non seul
des propriétés reconnues comme essence de la matière. Cependant, la science n’est pas encore assez avancée pour se prononcer
interrompue et enchaînée pendant des temps considérables , et que la science actuelle ne peut déterminer. Elle paraît adhérer
es dus à cet agent invisible qui sera bientôt le sujet d’une nouvelle science . Je ne dirai que quelques mots de la dernière s
e étude approfondie en ait été faite, et qu’il soit élevé à l’état de science , on en verra alors les résultats incomparables et
e a dit : « Attendez que l’affinité naturelle de la religion et de la science les réunisse dans la tête d’un seul homme de géni
nt-Pétersbourg.) Lorsque le magnétisme animal sera élevé à l’étatde science , la parole prophétique de Joseph de Maistre sera
pas induire en erreur ceux qui veulent vous suivre dans l’étude delà science de la nature, soit en leur livrant comme sanction
ne pas éloigner les intelligences habituées à gravir les degrés de la science par les études d’analyse plu tôt que les vues de
tous les temps. Voilà bien le magnétisme et le somnambulisme! Mais la science qui commença par la compilation des tablettes des
e utilisées par des opérations de l’intelligence, c’est-à-dire par la science . Pour vous, les savants, et les médecins surt
avants, et les médecins surtout, sont dans une erreur complète ; leur science est, illusoire et chimérique, et vous voulez y su
science est, illusoire et chimérique, et vous voulez y substituer la science intuitive et la puissance de la force vive qui l'
z donné toutes vos facultés au magnétisme, vous fait juger les autres sciences avec une partialité injuste, et votre langage, mo
imoine, l’arsenic, le. mer- cure, le soufre dont la chimie, cette science positive sortie de l'alchimie, a su faire des age
ésultat qui sera le retour de la santé. La médecine existe donc comme science et comme art, il faut l’admettre ; mais, par cela
ence et comme art, il faut l’admettre ; mais, par cela même qu’il y a science et art, il y a aussi des savants et des artistes
y a aussi des savants et des artistes bons et mauvais. Et puis cette science et cet art n’ont-ils pas pour but un objet irréal
euglement qui ressemble à l’exagération que je viens de reprocher, la science officielle nie qu’il y ait d’autres forces que ce
s que les substances médicinales opèrent. Le magnétisme, qui est la science de ces deux forces, l'âme et la vie ou l'agent vi
truire la médecine ; loin de là, cherchez à opérer l’alliance de deux sciences qui ont le même objet pour étude et pour applicat
de la vérité. Or, il faudra nécessairement que ces deux parties de la science de l’homme se retrouvent, après avoir été séparée
cles. Si la médecine et le magnétisme peuvent faire alliance, comme sciences , en peut-il être de même pour l’homme? c’est-à-di
raux de l’âme s’oblitèrent et l’homme ne voit plus que la terre. La science physique ne produit plus qu'une fausse civilisati
lle pour le merveilleux, pour l’inexplicable, pour ce qu’on nomme les sciences occultes; je me défie singulièrement des tours de
j’en reconnais au contraire les vertus; mais c’est ici surtout que la science fait défaut (je ne dirai rien de plus), ma thèse
présentes, que M. limnei de Ballans m’a traitée par les moyens de la science magnétique d'une amaurose avec engorgement de san
e sept ans, a été traitée par M. Brunei de Ballans par le moyen do la science maguétique, d’une affection de surdité qu'eUe ava
chose d’inconnu entre Dieu et l’homme, et la dignité de celui-ci, sa science , son bonheur consistent à pénétrer ce mystère imm
naît pas, et cette ignorance de la première et la plus importante des sciences , fait de sa vie une continuelle contradiction ; a
e> que la chimie et la physique offrent de transcendant, ce que la science médicale nous présente de plus parfait, si ce n’e
yons si l'on peut exclure l’autre. Elle est née d’hier cette grande science que nous connais- sons, i t. chaque jour nous
es bouleversaient les coutumes, les constitutions, les religions, les sciences et les arts des nations , les deux livres gardés
s rejeter, l’intelligence humaine refaisait religion , constitutions, sciences , chez chaque peuple, variant les principes suivan
au-dessus des facultés humaines, àcause de l'ignorance relative de la science de l’homme, proscrivit ces faits et principes com
s, comme je viens de le montrer, los plus intimes rapports avec votre science ? Ce que vous n’admettez pas, c’est son origine d
tisme et le catholicisme la même alliance qu’avec la médecine. Toute science qui est vraie émane de Dieu. et les vérités, mani
t général, que les manuels consacrés à l'exposition sommaire de cette science répondent à un véritable besoin et se multiplient
n, A lous ceux enfin qui voient dans le magnétisme une rénovation des sciences , un progrès de l'humanité vers le bien, nous rapp
ait le jury, sinon tout entier, du moins représenté par ses chefs. La science vraie et l’intelligence, dans tout ce qui a rappo
par les lois communes ; d’autres magné-tistes, enfin, sans récuser la science , pensent que la foie t le dévouement suffisent po
n faut-il davantage? (.'est à nous de faire et d’établir notre propre science et de montrer que celle-ci est féconde en bienfai
e, je ne puis rester froid en présence d’une œuvre de mes mains. La science officielle n’offre rien de comparable; ses discip
rtes, car ce n’est qu’à coup d’hommes et à coup de générations qu’une science se fonde. La nôtre a commencé par l’initiation de
emande plus qui ils sont, on leur dit : Prenez tous ce pouvoir que la science officielle dédaigne, faites-en l'instrument ctu b
urent donc et voient au-delà de notre temps le magnétisme honorant la science et la science lui rendant hommage, le regardant c
voient au-delà de notre temps le magnétisme honorant la science et la science lui rendant hommage, le regardant comme la clef d
nne nouvelle de la fraternité universelle, qui osa démasquer la vaine science de la synagogue (c’est-à-dire l’académie d’alors
e qui était certainement dans le vœu de chacun. / A l’union DE LA SCIENCE ET DU MAGNÉTISME ! Le vœu que je viens énoncer
yez pas. Les corps scientifiques, qu’il ne faut pas confondre avec la science elle-même, gardiens et conservateurs des sciences
as confondre avec la science elle-même, gardiens et conservateurs des sciences faites, sont en môme temps d’admirables instrumen
de leur institution, toute découverte leurestsuspecte. Habitués aux sciences parfaitement constituées, où l’erreur et la vérit
x dans de vieilles outres; il les ferait éclater. » C’est qu’aucune science humaine ne peut apparaître entière et d’une pièce
t les savants de profession. Il faut donc, de toute nécessité, qu’une science nouvelle se constitue par elle-même avant de conq
un grand pas encore à faire, c’est de constituer le magnétisme comme science positive. D’ailleurs, les circonstances sont chan
ions, il doit arriver à la phase de maturité , et se constituer comme science . 11 lui faut maintenant grouper el peser les fa
nis. Au sentiment ! A la raison ! A la foi ! .A l’union de la science et du magnétisme ! M. Petit d’Ormoy, écouté ave
us. J’en appuyé « la pensée sur le sentiment et sur les notions de la science :i d’autrefois, que la science d’aujourd’hui, peu
le sentiment et sur les notions de la science :i d’autrefois, que la science d’aujourd’hui, peut-être à son « insu, tend à san
dont les combinaisons et les modifications séculaires produisent les sciences , les lettres et les arts. Là, sont les sources vi
Elle vous montrera le port. Dans le grand livre ouvert d'éternelle science Du monde vous verrez les flux et les reflux. He
avec persévérance La fâcheuse incrédulité; Nous avons pour nous la science , L'avenir et la vérité. Combattant l'erreur e
clusif ou d’une caste; il est pour tous ceux qui rechercher.; la science : il est pour tous ceux qui souffrent, comme l’ai
.... Je sens qu’on ne doit pas encore soulever le voile qui couvre la science , bien peu cependant comprennent le vrai sens des
présent si peu catholiques. Répandons, universalisons l’esprit de sa science ; elle résume l’affirmation, elle divulgue la dém
ue, j'en signalais la nécessité dans l’intérêt du développement de la science nouvelle, j’en demandais l’érection il va trois a
le pour écouter avec recueille-mentles instructions familières sur la science nouvelle, suivre attentivement les expériences et
s laits, on recueillait tous les renseignements propres à enrichir la science , on se livrait à des discussions sur la nature de
e sur une base solide et à le faire accepter définitivement comme une science indubitable. Nous devons, en terminant ces obse
gnaler comme un progrès la reconnaissance de cet état par un homme de science . Il se trouve encore des docteurs, des académicie
ettre de côté tout ce qu’ils ont déclaré impossible, tout ce que leur science infaillible a condamné. M. Lévêque, au contrair
gues étrangères ou inconnues. « Relativement ¡t ces faits, dit-il, la science se pose deux questions : Sont-ils certains? Ont-i
égard, s’il veut étudier plus à fond cette branche si curieuse de la science de l’homme, il trouvera les attestations les plus
re malade et à ce fou, vous qui doutez si souvent du témoignage de la science ou d’une raison saine?... » Ici l’auteur se met
t ce qui échappe à la vue ordinaire ; il y a là des merveilles que la science ne peut expliquer, et en môme temps une source de
s, et sous bien des rapports avec juste raison, an premier rang de la science . 11 faut que la vérité,-ou ce qui brille à vos ye
ères modernes (1) L'Anlechriit, p. 76. (ï) Histoire el traité des sciences occultes. Il en a été rendu compte dans ce journa
ns occasion de revenir sur ce sujet qui est, dans l’état actuel de la science , un des points les plus délicats à élucider. Re
ulager qui que ce soit dans notre pays de libertó où l'on prive de la science quiconque se permet d’appliquer la main sur son s
les expériences et écoutant votre parole, ont pu s’initier ainsi à la science du magnétisme ! que de reconnaissance ne vous doi
! digne apôtre de ce grand homme. Gloire à tous les suivants de cette science divine !... Les guérisons par l’imposition de la
e et le somnambulisme étaient appelés à devenir deux belles et bonnes sciences . » Nous avons enregistré avec joie cet aveu d’un
importance s’accroît de jour en jour, et qu’il n’est plus permis à la science de dédaigner. Dans une des spirituelles causeri
s lettres échangées à propos du magnétisme et insérées dans Y Ami des sciences , en y joignant de longues et lourdes missives don
pport, ils ont prêté le liane à l’adversaire du magnétisme ; mais une science ne peut être responsable des écarts de quelques-u
és à tort de faire de l’or, s’ensuit-il que la chimie ne soit pas une science positive ?... M. Mabru a voulu par ses citations
ce n’est qu’un exercice de curiosité, qui offre de l’intérêt pour la science sans cloute, mais cet intérêt est fort secondaire
A. S. Mobin. Baron du POTET, propriétaire-gérant. PROGRÈS DE LA SCIENCE . La science officielle vient lentement au magné
Baron du POTET, propriétaire-gérant. PROGRÈS DE LA SCIENCE. La science officielle vient lentement au magnétisme, mais en
le arrivera avant la fin des temps. Nous donnons un article sur les sciences , extrait du jour-jiai L'Union, qu’on ne lira pas
tement différentes ? (Voyez Cuvier, au mot Nature du Dictionnaire des Sciences naturelles.) Au reste, la question de savoir de
e quelle nature est l’agent nerveux, est un point fort obscur dans la science : « Il y a « grande apparence, dit Cuvier, que c’
se d’expérimentation véritablement scientifique. Je m’explique. Les sciences d’observation ont chacune un fait primitif qui le
à volonté. Ce n’est qu’à cette condition que le fait est acquis à la science et qu'il peut servir de base et de point de dépar
ire dans le domaine scientifique. Voilà donc le fait primitif de la science de l’électricité : des corps légers sont attirés
rtion de leur système nerveux céphalique. Voilà comment se fonde la science , et comment elle se développe et s'établit. Mai
ais, encore une fois, il faut que les faits qui servent de base à une science en se déduisant les uns des autres, soient d'une
de l’ordre scientifique. En 1844, M. Arago prononça àl’Académie des sciences un long éloge de Bailly, dont la publication n’eu
’attention, dans la bouche d’un homme si expert dans les choses de la science et qu’on ne trouva jamais occupé à labourer le ch
doute est une preuve de modestie, et il a rarement nui au progrès des sciences . On n’en pourrait pas dire autant de Y incrédulit
t par tous ceux qui se sont tenus au courant des derniers progrès des sciences physiques, -l’ai indiqué des faits, des rapproche
touche un point tout-àrfait neuf de la médecine légale. Car si cette science est aujourd’hui fixée à cet égard, pour ce qui es
es devant un certain nombre de témoins, non-seulement il enrichira la science de faits nouveaux, mais encore, grâce à ses espri
forme d’épigraphe,— il importe, ce me semble, de rechercher ce que la science médicale, de concert avec les autres sciences, pe
de rechercher ce que la science médicale, de concert avec les autres sciences , peut pour la démonstration de la vérité philosop
vérité philosophique et religieuse. » C’est donc pour concilier la science et la religion, jusqu ici réputées adverses, que
plupart d entre eux sont matérialistes, la faute n’en est point à la science , mais à eux-mêmes qui, en l’interrogeant, ne save
aux ministres du culte que, nonobstant toute prévention contraire, la science bien comprise est en puissance virtuelle de prête
i portons au- (1) Voici l'opinion exprimée par une notabilité de la science médicale, — M. le docteur Bonnet, professeur à l'
vérités les plus hautes et les plus nécessaires à l’homme. Quand les sciences profanes touchent aux sujets que la religion a ma
ans la vérité où l’on se repose sans crainte, en démontrant que cette science bien connue apporte, comme toutes les autres, sa
en. franchissent avec tant d’irrévérence les bornes posées par la science et la philosophie, que l’on serait tenté de leur
ts, place bien au-dessus de lui la médecine ; il lui semble que cette science a une valeur près de laquelle le magnétisme doit
e des écoles ne sera un jour que l’auxiliaire du magnétisme, de cette science qui se fonde seulement maintenant. Mais ces discu
t ayant pour titre Essai de médecine pratique. Baron du Poïet. « La science médicale est loin d’être une science positive ; c
pratique. Baron du Poïet. « La science médicale est loin d’être une science positive ; car la plupart des faits sur lesquels
58. M Oui, la médecine, cet art scientifique, est loin d’être un» science positive ; elle n’a encore aucun code de. loi rec
ci voit dans la graine de moutarde la semence dï l'arbre entier de la science médicale. Celui-là préconise le mercure comme l
est toujours avec soin que nous analysons les livres écrits sur cette science . A quoi bon, en effet, discuter la valeur d’un
, etc. Nous leur avons tourné le dos, car c’était sans profit pour la science qu’on produisait des faits devant eux ou seulemen
à ceux qui sont initiés à ces mystères, aux adeptes de cette nouvelle science , de me dire si ce sont les esprits qui m’ont myst
, montrer notre néant et mettre en évidence et dans tout son jour la science du médecin, en montrer les funestes résultats sur
cautères ou des sétons : enfants, le même sort vous attend, c’est la science de ces temps qui le veut ainsi ; elle changera, m
cultés de l’âme humaine recevront leur développement, et la véritable science naîtra. Baron Du Potet. (La suite au prochain
physique et de psychologie. Les données fournies en même temps par la science , la raison et la foi, nous paraissant indispensab
r ici le rôle principal. Préjugés. Dans tout ordre de vérités et de sciences , le savant comme l’ignorant, doit avant tout se d
e sentiment universel pour se rapprocher des résultats nouveaux de la science ! Le préjugé, ce prisme trompeur de notre intelli
ous croj ons pouvoir enjchercher l’origine dans l’électricité, que la science actuelle admet, au moins à l’état latent, dans ch
dont la première paraît être un agent très-subtil, et connu clans la science sous les divers noms de fluide nerveux, vital, él
aison froide et d’un esprit éclairé, s’occupent sérieusement de celte science à Paris, à Lyon, à Bordeaux, à Cherbourg, dans to
t aussi occasionner des accidents et engendrer des maladies, selon la science ou l’ignorance, les dispositions physiques ou mor
os faits, qui furent alors soigneusement examinés et consiatés par la science ; les magnétiseurs zélés et studieux trouveront da
’électrisation humaine ne pourrait jamais se présenter au monde comme science ou comme une démonstration précise et satisfaisan
s, jusqu’à meilleure explication. D’abord, dans l’état actuel de la science , il est généralement reconnu et moralement certai
peu contestable, mais encore et toujours, d'après l'état actuel de la science , on ne peut s’empêcher de reconnaître l’identité
a sensibilité et du mou veinent; mille faits le constatent. . 3° La science physique et chimique proclame aujourd’hui comme p
ordinaires. Cela ne prouve-t-il pas que l’action du démon, dans cette science , n’est qu'une crainte, respectable sans doute, ma
lésiastiques, également recom-mandables par le double caractère de la science et de la vertu, parmi lesquels nous distinguons d
geance accoutumée. « Ce que la Gazetta a combattu, c’est une fausse science magnétique, une doctrine erronée, un art dont se
dre dignes de plus d’attention que ne leur en accordent les hommes de science . Or, pensant en moi-même que la magnétisation pou
e doit être étudié plus qu’il ne l’a été jusqu’ici; que les hommes de science n’aient pas l’arrogance de nier ce qu’ils ne peuv
a empêché cette partie de la physio-pathologiede s’élever au rang des sciences ; ils l’ont laissée ton ber aux mains des charlata
ont eu aussi le mérite de recueillir et de répandre une vérité que la science en robe a repoussée sans raison, a refusé d’exami
dre et de mettre fin à cette inconcevable désunion. Il est tempsquela science cesse de dédaigner les bommes de bonne volonté qu
avouerais s’il en eût été autrement, car on doit toute la vérité à la science . Peut-être encore est-on loin de connaître tous
t à chercher laborieusement les résultats que l’on peut obtenir d’une science merveilleuse qu’on appelle le magnétisme. Cependa
que cela. Ils ne veulent pas qu’on ait une pareille opinion de la science qu’ils étudient. — On leur reproche d’avoir prono
sont deux hommes qui, loin de tromper, cherchent à s’éclairer sur une science vers laquelle aujourd’hui semble attirée l’attent
un sage règlement le soin de la santé publique avec les droits de la science et les intérêts du progrès. A. S. Mobin. FAIT
cause échappe , de là ces impuissants remèdes. Voyez-là cette fausse science rejeter ce magnétisme humain qui répand une s
rigine môme de nos pensées. Elle devrait aller jusqu’à prévoir, cette science que nous combattons, à peine reconnaît-elle maint
e familière à tous les magnétiseurs, pour moi, je suis novice dans la science , et tous mes pas sont une suite d’enchantements.
ur savoir ce que j’en devais penser et asseoir mon jugement sur cette science . Mon heureuse disposition d’esprit fut récompensé
a vérité, Ce sujet a singulièrement facilité mes premiers pas dans la science ; c’est sur lui, endormi ou éveillé, que j’ai ess
ttaquer tant nous avons la crainte de nuire au développement de notre science dont le progrès, quoique lent, n’en est pas moins
ens hfroiqnes .-j’avais, en effet, épuisé toutes les ressources de la science allopathique. Tel était donc le sujet que je so
nt perdues de vue, et que leur oubli peut compromettre l’avenir de la science , quelquefois même le repos des individus. Le magn
quelquefois même le repos des individus. Le magnétisme n’est pas une science mathématique; il y a des erreurs assez fréquentes
phie de son ancien ami Voltaire; il avouait des progrès dans quelques sciences naturelles, moins importants qu'on ne voulait le
, disons-le, est atteint d’une de ces maladies propres ii dérouter la science du plus habile praticien ; il a toujours pu couri
. La» première fois que je fus admis dans une de ces retraites, où la science , courageuse flt opiniâtre, va chercher les secret
lle est la base de toute métaphysique d’accord arec l'état actuel des sciences . Le principe sur lequel repose la mécanique et pa
principe sur lequel repose la mécanique et par conséquent toutes les sciences qui s’appuient sur elle, savoir : que ta matière
ent différente ne sauraient agir l’un sur l’autre. » (Philosophie des Sciences , 2* partie, p. 167.) Voilà assurément un puissa
ce d’une quantité innombrable de faits d’une variété infinie, dont la science n'a pas encore pu donner l’explication, quelle qu
ucune puissance ne parviendrait à étouffer ces foyers d’où rayonne la science . Même pour les découvertes à venir, ce serait une
enties par un ensemble de faits qu’on peut regarder comme acquis à la science . ,, Si, dit-il, vous altérez chez un homme la
d’œuvre se montre dans sa sublimité. Cette contemplation conduit à la science , et, nous l’avons dit, à la sagesse. Les sava
ns expliquer. S’ils attendent pour faire entrer dans le domaine de la science qu’on leur dise ce qu’est ce magnétisme; qu’on le
’a trouvé en défaut, il a toujours répondu exactement à ce que la science et l’observation avaient constaté. Inutile de dir
drait d’émi-nents servies, car tout le monde ne lit pas les litres dé science , cela coûte trop cher ; et tout le monde lit les
f que le ministre de la guerre consultait dernièrement l’Académie des sciences sur les moyens à prendre pour isoler les poudrièr
i : Grand savant, illustre savant, illustrissime savant, prince de la science , etc., etc., et je leur dis: Je vais vous conduir
de l'optique que nous allons voir. Un troisième, plus avancé dans les sciences physiques, fait cette remarque qu’il n’y a aucun
gradant; je n’ai point rougi d’un apostolat commençant aussi bas : la science d’en haut devait ainsi descendre pour se faire co
volumineux réquisitoire que M- G. Mabru, « lauréat de l'Académie des sciences , » a dernièrement lancé contre le magnétisme, sou
r de charlatan, M. Mabru 11e veut rien entendre; quoiqu’il soit de la science et tienne pour ses plus antiques errements, le di
s dont je viens de parler, et qui sont les plus mortels ennemis de la science dont ils se prétendent les prêtres, je l’eusse vo
puis des lois sérieuses venant donner un frein à l’exercice de cette science nouvelle, si salutaire en des mains prudentes, si
er de sa lucidité et du pouvoir magnétique. Soyez convaincu que cette science triomphera en dépit de toutes les persécutions, e
est un homme du monde qui parle. Or, que me fait à moi, que fait à la science l’opinion d’un homme du monde? » Soit, et puisq
oute est une preuve de modestie, et il a rarement nui aux progrès des sciences . On n’en pourrait pas dire autant del'incrédulité
urtout par ceux qui se sont tenus au courant des derniers progrès des sciences physiques. •> Est-ce clair ? J’en demande bi
tout en s’abstenant de prononcer un jugement formel et décisif sur la science et le principe du magnétisme animal, elle reconna
ins. On lui dit alors que le médecin venait d’ordonner la quinine (la science allait combattre le symptôme et non le mal). La s
s serez plus heureux, et votre clientèle aussi. En attendant que la science médicale en vienne à cette réforme, à ce progrès,
nce et persévérance. (Suite.) A. B. C. 1). Ba, Be, Bi, Bo, Bu. La science morale de nos jours en est encore à cet alphabet,
nous avions entendu. 11 n’en est pas de même de l’enseignement des sciences , celles-ci reposent toujours sur un petit nombre
ut entière. Dieu n’a-t-il pas mis dans l'homme une clarté divine, une science innée ? ne l’apercevons-nous point dans le somnam
’architecte viendra bientôt. Ce temple élevé devra abriter toutes les sciences et offrir à la vue tous les chefs-d œuvre. Quelle
ndez avoir les principes, les éléments d’une « branche neuve dans les sciences , faites votre science « vous-mêmes, nous suivons
s, les éléments d’une « branche neuve dans les sciences, faites votre science « vous-mêmes, nous suivons notre voie. »Les physi
l’autre? Ou bien le livre vainement rêvé par les précurseurs de la science moderne, — les alchimistes, — le lien qui a échap
s avec t’Od; puis , deux brochures sur le même sujet; enfin l'Ami des sciences , du 14 novembre , annonce qu’une dernière brochur
ains lucides. On voit quel intérêt l’étude de ces questions a pour la science magnétique, et combien de pareilles observations
’abord à être élucidées, si le mesmérisme voulait se'constituer comme science . Les expériences de M. de Reichenbach, difficiles
connu. Mais dans l’introduction que vient de reproduire X Ami des sciences , l’auteur 11e mentionne plus le procédé d’appréci
’embarras et faire cesser ce tableau alarmant; vous, avec toute votre science officielle et séculaire, n’en savez rien, vos moy
. » Autre document de la môme dame: «Gustave 111 croit beaucoup aux sciences occultes, et je l'ai entendu assurer qu’il y avai
disait-on, des formules et des serments écrits avec la passion de la science , l’amour du merveilleux et surtout de l’inconnu (
’égalait son impiété et son libertinage, si ce n’est sa crédulité aux sciences occultes. 11 demandait les secrets de l’avenir à
s premiers essais, et dès ce moment je devins un fervent adepte de la science nouvelle. Ma conversion a été aisée ; je n’avai
i a parfois son avantage, surtout lorsqu'il s’agit de s’initier à une science nouvelle. J. J. Rousseau disait : « Si les sava
rde son sérieux. » L’histoire du magnétisme et le rôle qu’y a joué la science , ne semblent-ils pas confirmer ces paroles, dans
orance, aux préjugés et aux passions égoïstes des représentants de la science ? Je viens, monsieur le barou, vous rendre comp
eur le barou, vous rendre compte de mes premiers pas dans cette belle science dont vous ôtes le plus vaillant champion, comme l
nouveaux pour vous. Mais je crois qu’on doit, dans l’intérêt de toute science nouvelle, rassembler les faits, les classer, les
nt ainsi du particulier au général, du simple au composé, on place la science sur des bases inébranlables et on parvient à form
t toujours grossissant et toujours plus menaçant du charlatanisme. La science , débordée par les faits, finira par se rendre à l
éculation métaphysique (qui depuis quelque temps semble travailler la science ), car aucune théorie ne saurait renverser des fai
philosophie , littérature, les beaux-arts , et nous prendrons dans la science un tout petit point, celui qui intéresse la médec
t, celui qui intéresse la médecine. C’est à cette par- lie île la science générale qu’il faut appliquer surtout ce que. nou
que. nous avons dit au début de notre article ; il est vrai que cette science ne doit admettre qu’après de longs el minutieux e
i vouent leur temps et leur intelligence au progrès de cette nouvelle science ! Nous pourrions citer les exemples nombreux d’o
ctrique vital. Pourquoi donc la docte assemblée des princes de la science médicale repousse-t-elle systématiquement cet age
s mêmes eil'ets, ne peut causer aucun mal? Pourquoi les princes de la science aiment-ils. uiiûiu suivre une route üaeùe depuis
ncernant le magnétisme serait rejeté par elle comme à l’Académie des, sciences on rejette toute solution de la quadrature du cer
un grand service à l'humanité et vous ferez faire un grand pas à la science médicale. Bernard. ENQUÊTEiSUR LE SPIRITUALIS
n’aboutissent souvent qu’à des déceptions. Toutefois, il importe à la science de découvrir le dernier mot de cette énigme. Nous
l’impuissance des commissions est. démenti par l’expérience dans les sciences d’observation; des commissions ont rendu de très-
tit nombre d’amis, n’ont pas assez de poids pour être acquis à la science : quand il s’agit de choses aussi prodigieuses, u
s’il emploie quelque nouvelle découverte dont il enrichi- rait la science . Quand l'assemblée connaîtra sa clef, il est bien
pourra résulter de leur alliance, par M. le docteur Charpignon, 241. Science (la) médicale. Avec scs sys-tèmes divergents et l
ts entre les remèdes et les maladies, la médécine est loin d’être une science positive. Extrait d'un ouvrage intitulé : Essai d
e, par Allen Putnam. Simple mention, 219. Monde (le) spirituel , ou science chrétienne de communiquer intimement avec les pui
11 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
nous ne pouvons l’attribuer qu’aux profonds mystères dont toutes les sciences étaient alors entourées. La médecine somnam-buliq
rs intérêts les plus chcrs pour se livrer entièrement à l’étude d’une science appelée à rendre les plus grands services à l’hum
z votre formule exacte. Ainsi fit Pylhagore, le grand fondateur de la science grecque; ainsi fit son analogue dans les temps mo
nter, parce qu’ils sont impuissants; (1) Introduction à Filial, des Sciences médicales, p. 08. (2) Des Erreurs et des Préjug
est impos-« sible de vous guérir ! « Suit un long panégyrique de la science du magnétisme et du mérite du nouveau docteur-avo
mes qui nient sans connaître. Je lui ai donné le goût d’étudier notre science , et il va sérieusement s’en occuper, etc... » R
fort intéressants. M. Jobert (de Lamballe), présenta à l’Académie des sciences , dans la séance du 29 avril i844 » une théorie tr
Principes. (3) Voyez le Comple-rendu des séances de l'Académie des sciences des 20 el 25 février 18«. (t) Physiol. méd. el
borieux expérimentateurs de leurs fatigues et de leur dévoû-ment à la science . Si les physiologistes qui se sont livrés parti
t (1) M. de Ilumholdl adressait la lettre suivante à (’Académie des Sciences , au mois d’avril 1819 : « Il vient de paraître
voulu suspendre mon jugement en ce qui regardait la réalité de cette science , jusqu’à ce que je sois à même d’en former un sur
ende-honorable et une réparation bien complète que je faisais à votre science (car vous la représentez), dans mon for-intérieur
sme animal. Je me promets bien des jouissances par l’étude de cette science , dans vos écrits, que je me suis procurés, et à v
é qui doit un jour, bien lot peut- être, en trer dans le domaine delà science . Je m’élève, comme vous, contre la barbarie, et j
tient que Dieu lui-même. Si je disais aujourd’hui : les principes des sciences sont faux, et que je pusse le prouver, j’au- ra
rces de Pierrot et autres amusements forains. 11 nous semble que la science magnétique et ses imposants phénomènes n’ont rien
déconsidérer la vérité magnétique par des jongleries que la véritable science dédaigne et flétrit justement. C’est, en effet, l
à ne pas l’admettre de.bonne foi. Pour combattre les ennemis de cette science qui naît à peine, qui révèle dans l’homme un nouv
els se sont opposés à la propagation du Magnétisme• Vital. Mais cette science qui porte eu elle-même la vérité , comme la vérit
: Si le Magnétisme était vrai, la Médecine serait une absurdité. La science du magnétisme animal est toute palpitante d’actua
: Doutez, expérimentez, voyez et vous croirez. Comment ignorer une science qui offre un si puissant intérêt à l'humanité tou
. C’est la médecine trop longtemps exilée de la famille par la fausse science des hommes, qui, comme un sacerdoce divin , puise
! Heureusement, l’histoire nous apprend qu’un jour vient enfin où la science officielle, après de longues et coupables résista
vert à nos sérieuses méditations, devant les effets merveilleux de la science nouvelle, qui confond notre raison, ren- verso
nt les théories renferment réellement le sens que nous attachons à la science magnétique ; sans parler, toutefois, des moyens d
ticence d’un philosophe dont les doctrines sont entrées au cœur de la science occulte, est bien coupable. Était-ce de sa part u
désirons qu’elle ne soit pas jugée pans intérêt par les adeptes de la science mesmérique dont elle retrace en partie les origin
historiques du mysticisme. Cet homme qui eut tant d’influence sur la science de l’antiquité ; célèbre comme magicien , comme d
comme magicien , comme devin et comme médecin, exaltait lui-même, sa science surnaturelle et son pouvoir d’évoquer les morts.
exandrie qui devint le centre des idées et le lieu de la fusion de la science de l’Orient et de rOccidenl. C’est là que la théo
avantage pour lo révélateur sué.-dojs. Profondément instruit dans la science philoBo*-phique, il »ni| beaucoup de aiéthode dan
en rapport avec l’homme, pénètrent dans sa mémoire et dans toutes les sciences de mémoire que l’homme possède. Ils s’approprient
es. Vous voyez bien, Monsieur, que vous donnez à la fois, par votre science superbe, la santé, la jeunesse,1' et, si j’osais
r deux praticiens également recommandables, ne peut que profiter à la science . Nous espérons donc que M. Perrier répondra ; et,
les rendre fluidistei. Assez privilégié dès mes premiors pas dans la science , je rencontrai les sujets les plus remarquables s
el rôle joue le fluide dans ces cas, qui appartiennent cependant à la science magnétique? De mes nombreuses observations, j’a
s se trompent, et abusent les pauvres d’esprit qui s’imaginent que la science divine est devenue le patrimoine du premier-venu,
e déjà fêlé, il rencontre l’obstacle imprévu qui le brise à jamais. Science , divine science ! hélas ! pour t’acquérir, il fau
rencontre l’obstacle imprévu qui le brise à jamais. Science, divine science ! hélas ! pour t’acquérir, il faut subir bien des
pouvoir très-réel, qui ne laissait aucun doute ; mais ils avaient la science que nous cherchons tous. Ils étaient initiés, et
e (i) ' homme recomnandable sous tous les rapporls, dévoué à la noble science du magnétisme, a été attaqué dans son honneur et
des renseignements. Car, pour guérir, il n’est nullement besoin de science ; la volonté, la pratique et le désir de faire le
t celte épreuve dans un but d’intérêt public, et pour l’honneur de la science , je vous fais une large part, puisque je ne vous
u’on veut lui faire considérer. Dans l’état encore si incertain de la science , la clairvoyance somnambulique est donc trop suje
les rejeter d’une manière aussi exclusive, dans l’état, actuel de la science . — Moi, j’ai d’autres idées. — Vous me permet
s ce à quoi j’engage toute personne qui aime à suivre les progrès des sciences physiques et physiologiques, c’est de lire les no
ent de se des-siner si inopinément sur le champ pur et lumineux de la science mesmérique : 11 ne faut pas croire, disais-je a
chés par le fait de l’action matérielle. Il n’y a aucune partie de la science de l’être en général, et de l’homme en particulie
âhord, 1* te- lation de ce fait, aussi rare que surpreuaut, avec la science dont s’occupe ce journal; cependant, devant l’imp
ce journal; cependant, devant l’impuissance de tous les moyens de la science médicale et de la persuasion ; devant cette vague
n d’une volonté puissante sur ces volontés si rudes, du reste; que la science magnétique,en un mot, après tant de tentatives in
côtés à la fois, soulèvent la plus grande question psychologique. La science est aujourd’hui dans le vide; mais le magnétisme
uses. Déjà un magnétiste de Lyon m’avait parlé, à mon début dans la science , de cette étrange faculté poétique qui s’élait ré
e ces faits, rattachés à d’autres , serviront d’utiles matériaux à la science mes-mérienne, qui n’est encore qu’oii son enfance
la science mes-mérienne, qui n’est encore qu’oii son enfance; à cette science sublime appelée ii régénérer l’humanité eu l’arra
l’âme, et que l’homme peut offrir non seulement des idées, mais des sciences innées. Elle ne conteste pas la nécessité d’un
parfois si nombreuse à la même époque , elle est si générale, que les sciences , les beaux-arts semblent disparaître de la terre
est remarquable par les découvertes, par les progrès dans toutes les sciences , c’est parce que le plus grand nombre des âmes so
s’avisa de se faire médecin; médecin, non d’après les principes de la science médicale, mais d’après des pratiques mystiques à
itait les malades par l’hygiène magnétique. Il dit avoir appris cette science en Allemagne. Il a su , de plusieurs personnes qu
petite fille malade, condamnée par les médecins ; il entend vanter la science merveilleuse de Riéder, et le prie de visiter son
abandonné; je crois qu’elle est morte, d'après la somnambule et la science . J’ai perdu mes enfants. Marié avec le ciel, ce
e céleste que l’homme peut obtenir quand il se conduit bien. C’est la science des prophètes et des apôtres. Ses moyens curati
nioscopie et l’astrologie médicale, et s’il n’a pas fait leloge de sa science . M. Bousquet, rédacteur du National boulonnais,
rie, ni l’art du devin. Il ajoute que le magnétisme est admis dans la science , que le tort de Riéder est peut-être de trop croi
mas du jour. « Nous pensons que, quiconque désire le triomphe de la science magnétique sera satisfait de ce qu’on a fait. Si
profilé aux indigènes, ils ont un intérêt direct à l’extension d’une science dont ils ne connaissent pas encore toute la valeu
Ce qui m’indigne contre cet aréopage d’impuissants et de félons de la science , c’est de voir que, tranquilles témoins d’un mouv
oudre? Où est la vigie qui signale le danger? Où sont les hommes de science qui, connaissant les principes nouveaux , soient
des littérateurs cé- lèbres qui prêtent leur puissant concours à la science de Mesmer. — L’Evénement, du 20 mars, annonce l
G. Bush. Nous serons étonnés de voir un homme aussi instruit dans la science de Mesmer, se laisser duper par un simple fait de
: l'ethnologie, l'astronomie, la géologie, la physiologie, et autres sciences qu’il ignorait profondément dans son état de veil
de trois Espagnols l’avait le plus impressionné. Quant aux livres de sciences , il n’en avait jamais lu un seul ; et lorsque, da
e. «Les esprits, dit-il, pénètrent dans la mémoire et dans toutes les sciences de mémoire que l’homme possède; et ils se les app
ages de ton peuple. » Maintenant, que les initiés aux arcanes de la science nouvelle, que.les magnétistes dirigent un rayon d
s du inonde des esprits : ce qui prouverait, une fois de plus, que la science mesmé-ricnne est une clef qui peut ouvrir bien de
cien culte à Jehové. Il ignorait donc complètement les mystères de la science naturelle, à laquelle ses chefs avaient pu se fai
our le peuple; l’autre, intime, pour le sacerdoce. Aujourd’hui que la science nous a émancipés, le sens intime, surtout celui
encore, on signale des velléités, des tentatives semblables; mais la science saura les déjouer et en démasquer le ridicule.
ouvraient d’offrandes leurs autels; et, ce colosse, baptisé du nom de science officielle, méprisait des ennemis qui semblaient
blez vous tous, hommes parés d’un vain titre! Yous tous, fêlons de la science ! car le plus grand des crimes, c’est de celer les
ssieurs, honorer l’homme, le vrai philosophe qui posa les bases d’une science naturelle, qui, bien comprise, établit entre tous
moration et de rémunération, où de nombreux et fervents apôtres de la science humauitaire viennent, de toutes les parties du
as. « Quand nous voyons, dans ce qu’on appelle le monde savant, les sciences divisées, subdivisées , fractionnées à un tel poi
eur volonté? Rien ne résiste à leur puissunce, Et (lu livre de la science Us n'ont qu'à tourner les feuillets Pour en appre
pris l’existence dans les Facultés, était justement le principe d’une science nouvelle, et la cause du bien que ses mains avaie
« Puisque vous voulez bien me permettre, à moi simple adepte de la science magnétique, de prendre la parole dans cette honor
oint aujourd’hui aux forces intellectuelles puisées aux sources de la science , le feu sacré de l’amour de l'humanité; l’activit
un , s’appuyant sur des faits tout physiques qui servent de base à la science et la rendent inattaquable; l’autre, consistant e
idérée comme non avenue , ainsi que cela se pratique à l’Académie des sciences pour tout ce qui concerne le mouvement perpétuel
r parole! mais ce serait superbe! 11 y aurait bientôt deux arts, deux sciences ; l’un tout mensonger, et qui vit des maux qu'il a
nous pousse rira bien , un jour , de tous ces grands seigneurs de la science ; elle ne se fâchera point, car peut-on se fâ-cher
iques sont connus de tous les habitants de Campan; nous laissons à la science le soin de les expliquer. » BIBLIOGRAPHIE. La
mes, il est vrai, d’aucun corps savant; nous n’appartenons point à la science officielle, et, pourtant, cet arbre orgueilleux o
nos ennemis. Eh ! qu’on ne s’v trompe point, le magnétisme sera la science du nouveau monde; sa religion comme sa médecine,
s sourdement la terre où l’hypocrisie a fait sa demeure, où la fausse science a planté ses étendards, où le mensonge est honoré
les récompensant. « Ce que vous avez rejeté loin de vous, c’est la science réelle, destinée à faire autant de bien aux homme
eau du mesmérisme. Soldat infatigable d’une religion nouvelle dans la science , les services de M. de Rovère ne pouvaient être o
encore cours, et sont adoptés par les jeunes gens qui entrent dans la science . Vous avez cru connaître le principe de la vie ;
démontré aussi tangiblement que 6on confrère l’électrique. Mais la science se rit de la susceptibilité des hommes et de leur
, expérimenter toujours. On se presse trop d’écrire en magnétisme, la science marche et on s’expose 'a contredire le lendemain
l'éclaircissement de la question , j’ai voulu , dans l’intérêt de la science , vous les transmettre, pour, si vous jugez à prop
nches des connaissances humaines, on ne s’occupe uniquement que de la science dont on est redevable au génie de Mesmer, et qui
Troyes, par M. Jules de Rovère , croient devoir, dans l’intérêt de la science et de la vérité, dont il est l’infatigable apôtre
ardent de M de Rovère pour tout ce qui peut contribuer au progrès des sciences et du bien être humanitaire, un grand pas vient d
édigé et signé le présent rapport, non seulement dans l’intérêt de la science mesmé-rienne, mais encore dans l’intérêt de l’agr
e de forcer l’humanité à temporiser et à différer son initiation à la science du magnétisme. 11 faut que les idées mûrissent,
aiment sages, quand vous ensevelissiez dans le mystère des temples la science des sciences ! Riais ce n’est pas assez encore
, quand vous ensevelissiez dans le mystère des temples la science des sciences ! Riais ce n’est pas assez encore de flétrissur
gardez, en effet, et comptons les tentes où sont ces professeurs de sciences occultes. Voici sur le champ de foire cinq loges,
eurs suivent, du reste, les tendances du siècle, ils vulgarisent leur science , ils travaillent en plein air, pour montrer la vé
science, ils travaillent en plein air, pour montrer la vérité de leur science ! En voici un qui s’appuie sur les grands hommes,
blic avide d’émotions d’un ordre nouveau, ces profonds mystères de la science de l’homme? Les intelligences de tous peuvent ell
as empêché l’exploitation du magnétisme, il sera impossible que celte science fasse aucun progrès sérieux. La protection, la co
étaient aussi là les plus acharnés. Ils suscitèrent au champion de la science nouvelle des luttes incessantes et cruelles qui l
nèrent jusque sur le terrain. En politique, en religion, en art, en science , la croyance ne souffre pas de dissidence ; et, c
s le reverrons , après nos discordes civiles. Alors, tout entier à la science , il servira notre cause avec une ardeur nouvelle;
agnétiques. II. —M. CHARPIGNON. Un nom cher, parce qu’il signifie science et conviction ; un nom connu, parce qu’il représe
par la forme, ses œuvres ont exercé déjà une grande influence sur les sciences médicales et anthropologiques. Les livres dont
indigne de son intérêt, et faillit périr victime de son zèle pour la science et de son dévouement à l'humanité. Riche et bon,
git avec tant de puissance, que l’efficacité d’aucun des moyens de la science ne peut être comparée à la sienne. C’est dans un
onque, n’importe sa beauté, est presque nul pour la propagation de la science , s’il est sans retentissement. Ici, au contraire,
ssieurs ; car il n’est point passager : il sera plus tard, lorsque la science aura grandi, pour M. Jobard un souvenir agréable.
i eut alors recours à la publicité pour divulguer les principes de la science , et faire connaître les résultats de sa pratique.
aleur très-grande. Il y avait du courage â se déclarer l’apôtre d’une science ayant contre elle les lois et les croyances; M. D
larer qu’il est fort dangereux de suivre une telle diagonale entre la science et l’intuition instinctive; qu’il est beaucoup pl
clare donc qu’il n’y a pas moyen de concilier la marche que suit la science médicale avec celle que suit le somnambulisme, et
es conseils d’un somnambule; vous le placez entre sa conscience et sa science . Rien de plus funeste pour un malade que de modif
rs toutes ses proscriptions, ou rejetez-les toutes , et obéissez à la science , mais ne mêlez jamais ces deux éléments hétérogè
somnambules, loin de déroger à la dignité de l’art, et de nuire à la science , soutiendra de plus en plus la première en augmen
n peu désappointé les croyants au magnétisme , qui voyaient déjà leur science favorite faisant les fonctions d’un juge d’inslru
les victimes, et nous ne nous en occuperons que sous le rapport de la science . Notre cadre est trop restreint pour contenir tou
ques, de philosophie, etc. J’ai écrit des essais de littérature et de science ; l'histoire de saint Sylvain, évéque nomade ou ma
aisant, je me suis acquis une réputation de grand savant, de puils de science (sic) , comme professeur de chimie, de physique,
ion. Si c’est cette lumière qu’on veut éteindre, afin que la fausse science , sans responsabilité, continue d’é-treindre les h
te. Prenez garde que l’on examine qui vous êtes ; que l’on pèse votre science , et que chacun apprécie la valeur de vos recettes
t, de nombreux prosélytes depuis quelques années ; c’est une si belle science , et bonne à tout! Semblable à l’onguent du charla
ns rechercheut avec avidité les interprètes, habiles ou non, de cette science nouvelle? Aussi, chaque jour, la quatrième page d
dérable, d’une force analogue à l’électricité. Et si, aujourd’hui, la science n’a pu encore saisir matériellement cette force,
œuvre dans le grand labeur qui tend à édifier le nouveau temple de la science humaine, je ne saurais formuler un jugement sur l
géant. Quels rudes joûteursL Ils sont égaux en logique, en style, en science , en bonne foi et en convenances. Je n’ai pas la p
l’on ne peut assez donner de publicité aux faits merveilleux de cette science , encore ignorée par les uns, repoussée par les au
perte pour la France, heureusement que l’humanité n’y perd rien : la science est cosmopolite, et c’est de Genève que le Dr Ord
up nous y ramène. On en dira bientôt autant du magnétisme ; un peu de science en éloigne, beaucoup y ramène. Mabjus C1IA.STAL
la libre manifestation des croyances el de la libre application de la science de Mesmer ; Rapport collectif et officiel de la C
lités historiques; autorités religieuses; conquêtes et progrès des sciences ; hauts patronages, etc. : tous les éléments de la
poursuit à outrance aujourd'hui les personnes qui s’occupent de cette science . Dix. somnambules, à la fois, étaient citées à l’
Au milieu du dix-neuvièmesiècle, on fait un grand procès à la divine science ressuscitée par Mesmer, dont les disciples se son
la puissance de l’enfer tout phénomène que ne savait pas expliquer la science humaine , si peu éclairée encore sur tant de phén
la psychologie, du mysticisme, du magnétisme et du somnambulisme; les sciences religieuses et spiritua-listes ont vécu sans être
s, que le monde spirituel, que le côté dogmatique, que le progrès des sciences , que le perfectionnement de l’art médical, etc. ,
par l’amélioration introduite dans nos mœurs, par les conquêtes de la science dont les lumières ont éclairé nos croyances , enf
te. Mais il est temps que toutes les personnes qui s’intéressent à la science , magnétistes et magnétiseurs, praticiens et amate
urs, somnambules des deux sexes, partisans, amis et protecteurs de la science , à se réunir, samedi soir, 20 juillet, à huit heu
x réunions générales qui ont eu lieu, l’absence des notabilités de la science magnétique, qui les premières devraient se mettre
s ressources pécuniaires les victimes de la foi et du dévouement à la science de la vie, à la cause de l’humanité. Cette remarq
travaux divers des savants magnétistes; de signaler aux partisans des sciences nouvelles les progrès constates, les événements i
ppel serait continué à tous les praticiens, amis et protecteurs de la science . « Puis elle a dit que des statuts seraient éla
périodiquement, légalement et publiquement; car il ne faut pas que la science des sciences soit mystérieusement étudiée dans de
nt, légalement et publiquement; car il ne faut pas que la science des sciences soit mystérieusement étudiée dans des conciliabul
s chances de non succès, sous forme d’expé-rienèes, d’amusement ou de science , de spectacle ou de jeux, de moyens plus ou moins
« L’un reçoit le don de parler avec sagesse, l’autre de « parler avec science ; celui-ci reçoit la foi, celui-là « reçoit la grâ
certitude, si nous restons unis, de voir modifier, à l’égard de cette science , de cette religion, l’application de lois antérie
igions pourront se fondre dans une seule religion, — comme toutes les sciences en une seule académie, et toutes les nations en u
ociétés magnétiques diverses qui répandent, pratiquent ou étudient la science , nous dirons : l\e serez-vous actifs que pour rec
l faisceau toutes les personnes des deux sexes qui s’intéressent à la science . a C’est donc à vous tous que nous nous adresso
oit ; vous qui, dans le monde entier, avez pour but de propager cette science , de la pro- téger et de la défendre contre les
uire, dans l’opinion publique, un effet fâcheux au point de vue de la science magnétique et de ma considération personnelle, ni
i-tudo ! La vérilé se fera jour pour l'apothéose des sectateurs de la science méconnue ou persécutée. Déjà les adhésions nombre
e plus complet de tout ce 3 ni aura été écrit pour l’histoire de la science , et de tout ce qui aura été it, fait, plaidé ou j
sieurs, Je viens de lire l'api el que vous avez fait aux amis de la science . J’apprécie à fa valeur le devotftment qui vous f
naux, nous nous joindrons à vous avec bonheur pour taire triompher la science et renverser la persécution. J’ai l’honneur de
tilre : l'Union protectrice, sait tout l'intérêt que vous portez à la science qui fait l’objet de ses travaux. Elle sait aussi
tes les époques des initiateurs chez lesquels se trouvaient réunis la science et la sicérilé, mais il faut convenir que presque
nnoncent sont bien peu faits pour inspirer la confiance. Dépourvus de science et de dignité, étrangers même aux connaissances m
fait un pas; philosophes mercenaires, qui font semblant de prêcher la science , et n’ont pour but que de pratiquer, l’avarice; c
a cause de l’attraction el les principes impondérables admis dans les sciences physiques. Ordinairement à l’état latent, il ne d
ndre et d’expliquer. Nous n’avons d’explications réelles que dans les sciences mathématiques, qui seules donnent une satisfactio
r, en quelque sorte, d’en avoir créé les principes. On part, dans ces sciences , d’un petit nombre de données qui n’ont de réalit
relative et du même ordre que toutes les vérités qui constilueut les sciences naturelles. Dans l’étude de la nature, nous ne
levons jamais au-dessus de la simple observation; connaître, dans les sciences naturelles, c’est voir, toucher, percevoir, senti
veloppe celui qui précède, jusqu’aux principes les plus élevés de ces sciences ; ces principes ne peuvent plus se subordonner à r
choses, notre guide; les faits sont la vraie base de l’esprit et des sciences , le fondement le plus réel de toute certitude ; r
un fait nouveau et bien constaté a toujours de l’importance dans les sciences naturelles ; et il est bien souvent arrivé que de
il est bien souvent arrivé que des théories magnifiques, et même des sciences entières, n’ont pas eu d’autre origine qu’une hum
nous sont interdites à jamais. Nous n’allons pas plus loin dans les sciences morales elles-mêmes que dans les sciences naturel
lons pas plus loin dans les sciences morales elles-mêmes que dans les sciences naturelles; elles ne sont, comme ces dernières, q
ces naturelles; elles ne sont, comme ces dernières, que de véritables sciences d’observation; la différence consiste en ce -que,
s sciences d’observation; la différence consiste en ce -que, dans les sciences morales, l’esprit, au lieu de s’appliquer au mond
du magnétisme animal, ces méthodes auxquelles nous devons toutes les sciences qui font notre orgueil; si nous n’avions pas voul
ssés de les étudier et d’enlever cette branche curieuse de leur noble science aux mains indignes qui s’en sont emparées. L’ho
sur tous les genres de perception qu’il reçoit; ils n’ont donc pas la science infuse, ils ne peuvent prédire ni l’avenir ni dev
erne. La justice humaine, à son tour, encouragée et rassurée par la science , ne craindra pas de demander aux somnambules d’ut
e, que lorsqu’on le verra concorder avec les autres indications de la science , et en justice, qu’à litre de renseignements. t
iisme animal. Nous laissons parler noire auteur avec l'autorité de la science et un talent d’écrivain dont on va juger. » Que
assez rare, car nous connaissons beaucoup d’hommes éminents dans les sciences et parfailement convaincus du magnétisme, qui n’o
drait qu’évoquer un grand nombre d’ordonnances. L). Si vous avez la science infuse, la prescience; si, sous l’influence magné
ibunal n’était pas une académie; qu’il avait à juger un délit, non la science qui pouvait avoir servi à le commettre. A l’aud
en est l’auteur et les a signés , représente sa femme comme ayant la science universelle ; lisant dans le corps humain, cara
re et assurant la guérison radicale des cas les plus difficiles où la science ne peut prononcer; expliquant les songes, visions
e manteau du magnétisme, se commettaient avec cynisme et impunité. La science s’en trouvait avilie, et fût devenue méprisée par
audace el friponnerie ; voilà tout ce qu’il y a dans cette prétendue science . Le mal ainsi produit est donc incalculable, ma
l faut subir; une lumière propre à éclairer les ténèbres de la fausse science . Le charlatanisme s’est glissé dans la médecine,
n corps dont quelques membres sont pourtant gangrenés. II est dans la science et dans la politique ; c’est un grand mal, sans d
aver ont succombé: c’est un avertissement salutaire dont profitera la science nouvelle ; car en lui enlevant cette rouille, on
12 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
ion. Son savoir dans les langues n’était pas moins grand que dans les sciences ; ainsi il n’a presque pas écrit en allemand, sa
iton du Diable (aux l’olies-Dramatiques), s’élève à l’actualité de la science . Ce n’est plus seulement du somnambulisme travest
du l’otet : «Voyez-vous, me dit-il, celte vieille boutique; prenez sa science , tonte matérielle, il vous la faut, c’est la base
t pour ceux qui écrivent sans connaître tout ce qui se rattache à une science , il est loin que ce fait soit resté isolé, et qu’
is ils resteront dans son histoire, qu’un jour, très-certainement, la science médicale acceptera comme une sœur trop longtemps
sation , pour suivre des idées systématiques nées des erreurs de la science ou des préjugés de l’ignorance. On y nageait , au
ditions. Oh ! ce n’est point ainsi que les Anciens comprenaient cette science secrète! elle avait ses formules, et M. Cahagnet
avant M. (iahagnet. Si les lucides avaient tant de pouvoir et tant de science , si leur génie n’était point bornéy leur lumière
ses du ciel. Les progrès seront lents et distancés par des années. La science antique se reformera, et les hommes seront témoin
ue rien ne justifie. Voici d’autres motifs. A peine la base dé la science magnétique est-elle posée, que déjà on la sape pa
vera à quelque chose de certain et de positif. On n’établit point une science sur de vagues données, sur des relations la plupa
méme. C’est de ce moment seulement que je compris quelque chose de la science divine, et que la nature m’apparut sous un jour t
ndit pas tout d’abord ; je sus seulement qu’il n’en était point de la science divine comme de l’universitaire : celle-ci se ven
ous puissiez rien comprendre. Cependant je sais si peu de chose de la science antique, que je n’ai point le droit de parler de
que je n’ai point le droit de parler de mes œuvres avec vanité. Le6 sciences mortes s’apprennent toutes par les sens, l’intell
pprennent toutes par les sens, l’intelligence les féconde parfois. La science de la vie et des rapports de celle-ci avec ce qui
fficacité. S’ils rendaient justice tout haut aux propagateurs de la science de Mesmer, nous n’aurions que des louanges à leur
évoquer Samuel pour une entrevue avec Saül. » BIBLIOGRAPHIE. L.\ SCIENCE DU DIABLE, Almanach pour 1849. — Paris, chez Mart
t employer le langage de son temps. 3° L’équivoque est la plaie des sciences ; je regrette que vous n’ayez pas pris soin de l’é
la preuve empirique pour en faire passer la croyance du dogme dans la science . C’est cette preuve que vous avez l’extrême oblig
les diverses transforma- tions. C’est ainsi qu’on procède dans les sciences , et c’esl logique, car il est naturel que le prin
yance religieuse plus ou moins vraisemblable, mais bien de fonder une science , c’est-à-dire de prouver un fait que donne, par v
nclinez manifestement plus vers la religion de Swedenborg que vers la science de Mesmer. Que dis-je? vous la dédaignez, cette s
g que vers la science de Mesmer. Que dis-je? vous la dédaignez, cette science , vous injuriez même ceux qui la pos sèdent, parce
e les étendre pour pouvoir comparer ensuite les résultats. Dans les sciences physiques, où tout est mathématique, on peut indu
éométrie, etc. ; j’abrége les détails. 11 en est autrement pour les sciences naturelles; leurs lois ne se déduisent pas de l’o
mènes de la nature est un des plus grands obstacles au progrès de ces sciences , parce que chaque) système y trouve des éléments
nous semblait appelé à de hautes destinées, et à faire progresser la science du magnétisme. Fondé en i844 » ^ ava‘l cess¿ Peu
s à aulre, quelques séances expérimentales, afin de communiquer celle science , si utile el si belle, aux personnes que je crois
organe m’engage à \ous présenter aussi le tableau de son état. Les sciences ne s’étendent que pendant la paix; l’agitation de
Dr Esdaile, à qui la cause est redevable de tant de convictions et la science de si précieuses conquêtes. Là, grâce à sa persév
donné asile à de nombreux colons, pleins d’une sainte ardeur pour la science nouvelle. Nous avons déjà des preuves de leur pro
ue muette cette année. Absorbée par la politique, elle, a délaissé la science ; à peine si nous avons pu mentionner quelques mo
. ooo). Il en viendra d’autres plus surprenants encore, et un jour la science les reconnaîtra tous pour véritables. En attendan
partout languissant. La politique, en distrayant les esprits de la science , a l'ait perdre beaucoup de membres à la Société,
mon admiration et de l'intérêt que je prends à votre œuvre utile à la science autant qu’à l’humanité. Pour remplir de mon mie
il est rare que l’œuvre isolée puisse faire véritablement avancer une science ou un art quelconque. Je ne vous donnerai pas l
l est à souhaiter que la paix , mais une paix honorable, permette aux sciences de reprendre tranquillement leur assiette. C’est
ts dans le silence du cabinet parviendront à être plus utiles pour la science et l’humanité, que ceux qu’on entreprend entouré
era-t-elle jamais? « J’ai étudié le magnétisme, parce que c’est une science qui, par ses rapports avec les autres sciences mo
me, parce que c’est une science qui, par ses rapports avec les autres sciences morales et physiques, ouvre des horizons tout nou
es profonds, nos académies sont pleines de médiocrités vaniteuses. La science véritable a fui de notre patrie, aucuu de ses f
cet échange résulte une émulation qui tourne toujours au profit de la science . En attendant que la naissance de Mesmer soit f
est fait de la résistance académique : le magnétisme entrera dahs la science par cette voie détournée. Revue des Journaux. —
bibliothèques, sont conçus de même. Chaque savant qui écrit sur cette science , suivant en cela l’exemple des contemporains de M
ra le seul art raisonné, et par conséquent la base inébranlable de la science médicale. PETITE CORRESPONDANCE. \omellc-Orle
avec elles dans une synthèse féconde, elle prépare l’avénement de la science universelle. » ¡Sous sommes en lutte permanente
('es exagérations, provenant d’un défaut d’examen ou d'un manque de science , ne sont propres qu’à retarder l’avénement du mag
expliquer la portée, et trouver son lien naturel avec tout ce que la science a révélé. En somme, M. Gentil nous paraît être re
in impartial tous les documents qui peuvent servir à l’histoire de la science mesmérienne. Le Gerani : HKBKKT («le f.arnay).
ous en croyons les auteurs anciens, les As-clépiades, héritiers de la science d’Esculape, pui- (1) Sprengel, Hist. de la Méd.
mbreuses guérisons obtenues par des hommes d’une grande réputation de science et de probité; ils ne se sont malheureusement pas
jugés de leur époque, ont avancé des idées extravagantes. Souvent les sciences les plus absurdes remontent à une origine sage; c
m’enlève jusqu’à l’es- poir ; tous les lettrés sont au bout de leur science , ils se croisent les bras et laissent accomplir l
de ces êtres au triste privilège. Suivons. L’homme a double vie; la science connaît bien l’une : celle de l’état de veille; e
rès d’accord; le cerveau seul, c’est l’homme presque tout entier : la science apprend peu de chose sur lui. Mais l’être humai
ieu naturellement ou par des agents physiques ou chimiques. Ici toute science s’évanouit; le savant est comme le dernier des ho
, est déjà magicien puisqu’il opère un phénomène au-dessus de toute science académique. Et je crois on être arrivé à ce point
’une Académie : il serait conspué. Ces messieurs ne s’occupent que de sciences exactes, et ils y sont si habiles, que chacun de
ites des contes : ces choses sont impossibles! Attendez, géants de la science , vous n’y êtes point encore; ceci n’est que le co
ir de vous le présenter avec son auréole ; j’ai tant d’estime pour la science officielle, que je ne puis résister à l’envie de
. Le cas maladif d’Anne Chaigneau, qui n’a guère d’analogie dans la science , peut donner lieu à quelques réflexions. Et d’abo
de force, et la mort et le deuil vont frapper à toutes les portes. La science , avec tout son savoir , l’humanité, avec tout son
de ses dires. Inconnu, sans titre officiel pour parler au nom de la science , je me suis tu jusqu’ici : aujourd’hui je viens f
ttaquer dans ses causes, et dès l’instant qu’elles seront connues, la science pourra chercher à les détruire dans l’humanité, d
finiment peu de choses, et c’est sur leur témoignage seulement que la science fonde ses jugements. Aussi rejette-l elle tout ce
issez s’accomplir les événements ! Si ce n’est point la sagesse et la science qui vous guident, vous cherchez les pages heureus
Et, moi-même, dans cet instant, en livrant au public cette ébauche de science antique, qui jamais ne sortit en vain du temple ;
mposé en grande partie de prolétaires, généralement peu instruits des sciences avec lesquelles le magnétisme a des analogies, il
s nombreuses personnes, médecins et autres, qui, dans l’intérêt de la science et de l’humanité, l’avaient visitée en l’absence
ances suivantes d’Anne Chaigneau , quoique fort intéressantes pour la science . Ayant suivi exacte- ment ce traitement, et ass
ue l’histoire entière de cette maladie soit acquise aux annales de la science magnétique. BU CHOLÉRA. — AVIS. L’épidémie qu
l’auteur poursuive; car si chaque sujet était traité de la sorte, la science se formerait promptement. Aperçu sur différents
seul but philanthropique de la propagation et du développement de la science magnétique, dont les théories appliquées sur les
étisme et de ses merveilles, approchez, c’est ici le sanctuaire de la science véritable ; c’est ici que le philosophe, seul dig
e existence dont la nôtre n’est que la grossière ébauche, et où votre science n'a jamais pénétré, car elle finit où la nôtre co
n qui pratiquait le mesmérisme , où j’eus de nombreuses preuves de la science . « Un jo^r, lorsque je doutais encore de la réa
tan, et a été inséré dans le tome VIII des Mémoires de la Société des Sciences , etc., d’Orléans. Dans ces Etudes, l’auteur croit
ncer ou reculer promptement : m’en tenir aux croyances vulgaires delà science , ou rester dans le doute , ce serait une sorte de
moeurs et les croyances de ceux qui les habitaient; leurs arts, leurs sciences sont oubliés ; on trouve des débris, des fragment
ndent, et nous montrent l’enfer comme peine réservée à ce péché. La science , aussi absolue et non moins barbare , a toujours
théorie, les résultats matériels de ses découvertes. En effet, si la science réelle est possédée par lui, après ses discours v
e : il suffit de méditer un instant; mais saisir le principe de cette science , s’en emparer et répéter le« prodiges, c’est autr
conviction profonde; mais nous ne croyons point qu’il ait retrouvé la science elle-même. Nous pensons que tout son auditoire en
accompagnée de rapprochements ingénieux avec les points analogues des sciences physiques. Les conséquences déduites logiquement
net et engageant, revêt des formes variées, depuis le ton froid de la science positive jusqu’aux élans de l’inspiration lyrique
lir les lois secondaires propres au magnétisme animal considéré comme science naturelle. M. de la Salzède (nous l’en louons d
er par des faits l’existence des fluides impondérables étudiés par la science , et dont les lois sont bien connues. Un vif senti
t l'élude du magnétisme animal peut être assimilée à celle des autres sciences naturelles. Quant à nous, partisan convaincu de l
it judicieusement le magnétisme animal : la transition nécessaire des sciences purement physiques et positives aux sciences pure
ransition nécessaire des sciences purement physiques et positives aux sciences purement métaphysiques et spéculatives. 11 appuie
l, au point de vue thérapeutique, est applicable à tous les cas où la science emploie comme moyens de guérison, c’est-à-dire co
ment des maladies. Dieu seul est tout-puissant, nous le savons, et la science médicale nous en fournit chaque jour la preuve. M
r, avant que la plupart d’entre eux n’arrivent à s’assimiler la vraie science d’observation! Que de contradictions entre la cli
il n’y a nul inconvénient à le consulter sur les cas de maladie où la science est impuissante ô se prononcer sans hésitation. »
ts du magnétisme ramèneront « au bercail bien des brebis égarées : la science « observera, les simples pratiqueront; et lorsque
limites ; mais je crois que, dans l’état encore trop peu avancé de la science , au lieu de citer à tout propos ces merveilles qu
aternité inconnue, la liberté n’existait que pour quelques-uns. Les sciences , comme un bien de famille, ne se transmettaient q
’intelligence. Nous avons passé cette époque malheureuse où la fausse science nous accablait de ses mépris, et nous pouvons mai
ls se transmirent ce que la pénétration leur faisait découvrir, et la science commença. Ce ne fut d'abord qu’un amas de vagues
es, leur donner les moyens de se conserver. « La philosophie, cette science aujourd’hui sans lumière, doit disparaître égalem
la réalisation de bienfaits inexprimables, et que ne peut procurer la science ollicielle. La main secourable d’un homme dévoué
issants, il a peint les souffrances et l’agonie des malheureux que la science abandonne. Puis, esquissant à grands traits tout
s internes; car je sais par une expérience de dix-sept ans combien la science de la médecine est conjecturale; aussi, en termin
ouronnés de succès, el que, foulant aux pieds l’amour-propre et cette science qui enfle, ils diront avec vous et avec moi : L
crète de la magie; il faut que le lecteur qui veut avancer dans cette science devine ce que je ne puis encore dire. 11 faut qu’
à chaque instant par des agents que nous n’apercevons point? O triste science que celle qui borne tout à la portée de nos sens!
et pour ça iis employèrent les instruments les plus sensibles que la science leur fournissait : l’électroscope à feuilles d’or
, le naturaliste qui avait produit tant d'excellents ouvrages sur les sciences , cc M. de Huinboldt qui, au déclin de sa vie, nou
xxvni, N" ii, p. Cil. (2) Comple-rendu des séances de PAcadémie des Sciences , l. xxix, N» 1, page 8. ïIsomorphisme, habile p
nommer psychiques ou moraux, et qui font, 011 peut le dire, toute la science du magnétisme animal (si nous en exceptons les ac
par le fait de l’action ma- tériclle. Il n’y a aucune partie de la science de l’être, en général, et de l’homme en particuli
eurs! pourquoi cherchez-vous à vous couvrir de l’ombre au moins de la science ? N’est-ce pas parce que vous êtes effrayés vous-m
métaux 16B plus précieux; il faut tout faire passer au creuset de la science . C’est en nous montrant scrupuleux et sincères *
e posséder l’esprit d’examen si généralement appliqué dans les autres sciences physiques. 11 n’est aucun fait dans cette histoir
ue l’histoire entière de cette maladie soit acquise aux annales de la science magnétique. Elle ne peut être mieux acquise, car
n’en parlerai pas autrement. Je me contenterai de dire que puisque la science médicale ne sait rien de certain contre ce redout
nétistes qui ont observé et décrit, autant que le permet l’état de la science , le jeu du fluide mesmérique sur les organes du c
onséquence très-grave, et qui ne tend à rien moins qu’à dépouiller la science nouvelle de ses plus belles prérogatives et de se
par la tradition , il a posé les jalons qui lui serviront à relier la science nouvelle à la science occulte de la mystérieuse a
a posé les jalons qui lui serviront à relier la science nouvelle à la science occulte de la mystérieuse antiquité; en un mot, l
ouvertes pour tous, la magie, arrachée du milieu des décombres de la science des siècles, dégagée des préjugés qui la flétriss
sur l’esprit sans le secours des procédés élémentaires, a donné à la science celte extension qui n’a plus de limites. C’est po
ut autre aspect que celui sous lequel elle avait été envisagée par la science psychologique. N’est-ce pas un sujet de bien lé
ndamnent les savants, qui, malgré leurs efforts pour faire marcher la science de l’homme, ne l’ont pas fait avancer d’un pas de
tendrons une main amie pour vous introduire dans le sanctuaire de la science nouvelle; heureux de vous montrer, de vous expliq
gencejexercée et de votre riche savoir. Quels progrès, alors, pour la science ! Quelle source de biens pour l’humanité! Et quand
s-toi toi-même. Remettons-nous donc à l’étude avec le secours de la science nouvelle, et commençons par celle de l’homme, ce
urieux et assez peu ordi- naire pour fixer l’attention publique. La science médicale, la persuasion, la force, ont tour à tou
oms d’imagination, d’imilation, etc., ont toujours été l’écueil de la science . Revue des Journaux. — La Liberté du 9 juillet,
ns faire est précisément ce qui convient à d’autres hommes. A nous la science positive, les données rigoureuses, les faits util
, /apport secret sur le Magnétisme animal. — Virey, Dictionnaire des Sciences médicales, art. Magnétisme. - Burdin jeune el Dub
e de médecine, l’autre de la Faculté de médecine et de l'Académic des sciences . On remarqua que Jussieu s’était séparé de ses co
le sort réservé au Mesmeric Hospi-lal, cette tentative aura servi la science et l’humanité. La relation des travaux du Dr Es
sme à l'institut. — Un nouvel incident s’est produit à ¡'Académie des sciences , à propos du magnétisme animal. Il s’agissait enc
oute la médecine , et peut-être quelque chose de plus respecté que la science des Diafoirus do l’époque. Chacun connaît le résu
agent nouveau. » On trouve dans VHistoire de l’Académie royale des sciences , année 1784 , p. 6 , un Exposé des Expériences qu
e vérités incontestables. Le fait est que le temps et les progrès des sciences au lieu de persuader de l’inutilité des efforts
et Lafontaine. (2) Névrurgie , ou le Magnétisme animal devenant une science physico-mathématique, par M. le comte de Kobiano.
48. 49. les couleurs, mélange confus de vérités et d’absurdités, de science el d’ignorance puisée» dans toutes les sources po
ion du courant qui les pousse. (2) Histoire de? Académie royale des Sciences , ann. 1751, p. 38. — Le P. Berthier , de l’Orat
ire des écarts aussi grands que dans le vide. » (Nouveau Uullelin les sciences par la Société philomatique de Paris, année 1825,
é philomatique de Paris, année 1825, p. 84 et 85.) (1) Uullelin des sciences mathématiques, astronomiques, physiques el chimiq
s, rédigé par M. Saigcy. — Première section du Bulletin universel des sciences et de l’industrie, publié sous la direction de M.
le. (Exposé des expériences, etc. — Histoire de l'Académie royale des Sciences , année 1784, p. 15.) Quoique l’examen des fiiil
mettre en jeu ce mobile puissant et salutaire. (1) Dictionnaire des Science » médic., t. 24, p. 1G. (2) Observations, p. 47.
la vérité que nous défendons. Aux magnétistes qui pensent que cette science n’a que des interprètes insouciants et égoïstes,
s, « Vous vou9 honorez tous de vivre dans un siècle de lumière. Les sciences , vous le pensez du moins, suivant leur progrès na
e jour ne nous verrait point rassemblés ; profitant du bienfait de la science , nous nous livrerions paisiblement à des travaux
ion comme sans préjugés, les fruits que laisse tomber l’arbre de la science . Non, ils ne compensent point les travaux de leur
eure dans les œuvres que vous aurez à récompenser. Au-dessus de toute science humaine, elle apparaît à nos yeux étonnés comme u
te, par la comparaison des inventions successives du génie humain. La science , dans l’ordre moral, en est restée aux premiers â
s des nations ? Et si nous jet-tons nos regards sur les principes des sciences médicales et physiologiques, ne devons-nous point
e preuve de notre sympathie ; elle attestera et votre dévouement à la science et votre succès dans une délicate entreprise. «
nos fiers ennemis. Ils seront trop heureux de trouver toute faite une science à la place de leurs meurtriers et désolants systè
surexcitée par tous ces bruits de possession. Ce (1) Diction», des Sciences médic., t. VIII, p. 299. judicieux observateur
sir la loi qui préside à leur développement; 3° Rechercher dans les sciences naturelles : la physique, la psychologie, et la m
résumé historique, théorique et pratique, les archives , enfin, de la science nouvelle. C’est aujourd’hui le livre le plus préc
ue ou veut étudier le mesmérisme. Suivant pas à pas l’évolution de la science , constatant son progrès jour par jour, c’est le s
le témoignage de l’histoire, ces phénomènes étranges prouvent qu’une science profonde exista jadis. Initiant à d’occultes conn
l’attrait du roman, avec la vérité de l’histoire et la sévérité de la science : sa lecture ouvre à l’intelligence un champ sans
l le Naturalisme des convulsions, par Hecquet. (2) Dictionnaire des Sciences médicales, art. Indolence. sorciers sans qu’ils
nt la plume traduit le génie des faits et établit les préceptes de la science , méritait aussi une mention. Un autre article d
d’entre nous qui, dans le silence, guérissent les êtres que la fausse science laissait mourir. Attendant cette heure, qui viend
igné par les écoles, et qui doit pourlant un jour changer la face des sciences . Nous n’avons point h vous signaler d’erreurs,
n plus par des hommes obscurs, mais par un médecin distlngné, dont I3 science fécondanI les travaux, appelle sur lui les rega
le découverte qui y a donné lieu ne fait-elle pas révolution dans les sciences ? Ne donne-t-elle pas la mesure de la volonté huma
Coupe, retranche; je te défie. MM. Durand et Loysel ont rendu à la science magnétique un service immense : d’abord par un pr
lle lui sera décernée bien moins par des juges que par des amis de la science dont il concourt si puissamment à agrandir le dom
s, dont les travaux ne sont ignorés d’aucun de vous, a implanté notre science dans le Nouveau-Monde. Zélateur puissant de notre
ffectent l’espèce humaine ; je ne l’ai trouvé, ce moyen, ni dans la science médicale, ni dans l’expérience, mais dans le magn
et que son action est le meilleur moyen thérapeuthique que possède la science médicale. » Lucidité. — M. Yates, inspecteur de
résultent, établissent pour tous les hommes de sens l’existence d’une science nouvelle différant en tout de celle des écoles. E
mblance en disant que les connaissances qui forment le faisceau de la science officielle représentent la nature morte; l’autre,
ntraire , connue seulement encore d’un petit nombre, est la véritable science de la vie, et se sépare de l’autre science par de
t nombre, est la véritable science de la vie, et se sépare de l’autre science par des nuances si tranchées, qu’il est impossibl
e nous étalons sous ses yeux couverts de taies les merveilles de la science nouvelle. Agir sur une âme par une âme ; faire
, je n’en veux point; car elles tuent les forces sans profit pour les sciences . Réservant ma liberté, j’agirai selon ce qu’il me
onfondre la raison du plus fort, et nous convier à l’étude. C’est une science dont je jette le fondement ; plût au ciel qu’elle
auras laissé sur ton chemin bien des malheureux victimes de la fausse science , bien des bourreaux d’eux-mêmes. Il serait inhu
bientôt saisi de vertiges; en serait-il de même en avançant dans les sciences ? On pourrait le craindre et le redouter. Lecteu
it aucun résultat. Quand, le 9 décembre dernier, je m’adressai à la science du divin Mesmer, dont le nom sera transmis en let
e charité et de dévouement. Il a bien mérité de l'humanité et de la science . l'ACQL'ENOT. Troyes, 15 mars 1848. (La sui
e confiance; puis, ayant lu quelques ouvrages qui traitaient de cette science , je voulus essayer de magnétiser. Le hasard me fa
, qu’il résout spontanément, avec facilité, tant il est pénétré de la science qu’il professe et de sa bonne pratique : ce sont
pour mieux exprimer mon ravissement, c’est que j’entrevois dans celle science , encore trop peu répandue, quelque chose de divin
i. Mais, malheureusement, il en est du magnétisme comme de toutes les sciences : souffrance et résignation pour les hommes qui s
’il s’agit d’une vérité morale, ou d’un principe qui doit rénover les sciences . Le novateur peutêlre assimilé au galérien : il
magnétisme! Ce qui est pur va tomber dans la boue; car aucun homme de science ne voudra le comprendre. Va, tout n’est qu’erre
. C’est le flux, le reflux, la vague incertaine. Ce n’est point là la science ; mais son ombre seulement; une idée lancée par le
terre pour se diriger vers Dieu. Des hommes sans scrupules et sans science pervertissent le cœur dos nations en les trompant
l’ont été lors de ses deux invasions. Mourez, pauvres humains ! La science est impuissante; mais, le sachant, pourquoi donc
rendre des poisons, à supporter le martyre? Est-ce à l’Académie des sciences que le novateur doit porter sa découverte? Mais c
s savants. Ainsi, la vérité, qui doit peut-être déplacer le pivot des sciences , changer un jour le monde, est ballottée; elle ro
ne me risque que lorsque je n’ai rien à risquer. Plût à Dieu que la science que nous appelons à notre aide reste longtemps en
nées. Vous allez subir la loi du hasard, du caprice du sort. La vraie science viendra plus tard comme un dernier remède. C’est
est funeste aux malades eux* mêmes et au magnétisme considéré comme science . Il est temps que les hommes sérieux qui étudie
souvent reconnues sans valeur, et quelquefois même contraires, par la science . Le somnambulisme est un phénomène dont la magn
ibué à fausser la direction des études, à peine commencées, sur celte science si vaste et encore si peu connue du magnétisme.
est du devoir de se confier plutôt aux conjectures rationnelles de la science , qu’aux incertitudes incalculables d’un instinct
mieux que n’avaient pu le faire des médications appliquées d’après la science rationnelle et d’après la lucidité somnambulique.
e trop psychiste et pas assez /luidiste. Dès mes premiers pas dans la science , j’ai compris toute l'action de l'âme dans le mag
res, foulant aux pieds le matérialisme. C’est alors seulement que les sciences et les arts reprendront leur prépondérance, que l
ent conjurer l’orage en recherchant l’alliance des propagateurs de la science nouvelle. Ils le firent convenablement, à la véri
it au silence toutes les sociétés savantes. Depuis cette époque, la science du mesmérisme s’est bien répandue, développée; un
ainement, offre beaucoup d’in-térét au point de vue des progrès de la science nouvelle. Mais là ne se borne pas la tâche, je de
reçues. Nous conjurons nos lecteurs, d^RS l’intérêt des progrès de la science , de sc prémunir contre ce que nous appelons des
est applicable le vieil adage : Errare humanum est. Les progrès des sciences , dit-il, se sont autant manifestés par leur étend
ou modifier grandement celles qu’on admet dans plusieurs branches des sciences . Pourtant, il n’en est pas moins vrai que les tem
che d’abord un abri qu’il croit protecteur; il demande aux rois de la science de le protéger contre les tempêtes suscitées par
dre. D’une loi de nature, d’un fait simple, Mesmer voulut faire une science , il s’égara; et ses disciples, ajoutant à son err
s’il existe une médecine, et doutent d’eux-mêmes. Ah ! c’est que la science proprement dite, n’est possible que là où tout es
possible que là où tout est physique; et, dans le magnétisme même, la science ne peut que coordonner un ordre de phénomènes; le
chappe : c’est le côté moral et par cela même lo plus important. La science comprendra, expliquera l’action d’uu système nerv
facile de jeter un homme par terre à plusieurs centaines de pas. La science expliquera passablement tout ce que l’agent magné
s crises. Si vous lui dites qu’il y a dans l’état somnambulique une science innée, il rejettera bien loin ce que la nature a
dit infaillible. La lumière s’est éteinte par l’orgueil et la fausse science , l’hypocrisie a pris le masque de la vertu. Allez
rible, et, comme vous, ceux qui yous précédèrent dans la carrière des sciences , ne voulurent jamais ouvrir les yeux à cetle lumi
par conséquent de notre devoir, de les examiner scrupuleusement : la science ne peut rien perdre à cette étude. Si Swedenbor
même de rechercher si, dans les faits du mesmérisme recueillis par la science , on ne trouverait pas des états analogues, sembla
ité de faits semblables ou analogues; mais comme ils sont acquis à la science expérimentale, nous nous contentons, avec une int
r moyen, il devait surtout le déclarer; car c’était le principe de la science nouvelle, dont on a dû la découverte à l’immortel
ai annoncé que mes intentions étant de consacrer mes vieux jours à la science du magnétisme, me sentant destiné à en pousser le
isme spirituel en est le sanctuaire où peu d’hommes peuvent pénétrer. Science sublime, qui appartient autant au ciel qu’à la te
t pour l’humanité souffrante, que pour le développement de toutes les sciences . . . . . . Extatique à trois extases par jour, el
titut magnétique de Bristol. Le comte Ducie, président, converti à la science nouvelle par les merveilles du somnambulisme, 246
l’état de sommeil, 105, 423. Magie magnétique. La philosophie et la science ont fait fausse route. Le magnétisme peut expliqu
l, 178. Novateur (le). Réflexions philosophiques sur le néant de la science des académies, et sur la mission humanitaire que
l’anglais par le Dr Chéreau. Ouvrage favorable au magnétisme, 223. Science du Diable (Almanach de la). Pamphlet magnético-po
13 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
è-tre le collaborateur. Tout ce qui peut donner une base solide à la science magnétique, tous les phénomènes observés sur les
es hommes; qu’il s’agit pour eux de la santé et de se soustraire à la science conjecturale de la médecine ! Rappelez-vo»s que l
oncours. Persuadez-vous bien que nul intérêt, si ce n’est celui de la science , n’est capable d’agir sur notre esprit, et que ce
nt une brochure de M. John Ashburner, manifeste, dans l’intérêt de la science ma/gnétologique, ses regrets de ce que cet écriva
cupons-nous plutôt à élucider les questions si obscures encore, de la science des sciences : du magnétisme. En y portant la lum
plutôt à élucider les questions si obscures encore, de la science des sciences : du magnétisme. En y portant la lumière, bien mi
’ennemi commun, le guérisseur non officiel. Qu’il parlât au nom de la science , comme Raspail, cru* bien, comme les magnétiseurs
n’a point discuté sa doctrine, on s’est contenté de railler. Dans les sciences applicables, la théorie n’a qu’une importance trè
— Et vous-onème qui parlez, qu'ètes-Vi.us donc ? Qu'est-ce que cette science qui vous rend si outrageusement orgueilleux? Exis
iberl donc ! ont-ils assez dit leurs vérités à la médecine ! La belle science , en effet, qui change de panacée tons les vingt-c
, de très-bonae foi, et n’ayant pas une très-grande confiance dans la science thérapeutique. Je lui demandais « s’il reconnai
en qualité de savant industriel, il possédait à un très-haut degré la science magnétique , dont il était le plus fervent apôtre
par sa plume à ses actions : il était toujours prêt à défendre cette science naturelle contre les attaques incessantes de
ématique ; il professait hautement, dignement et religieusement cette science régénératrice. Aussi, oserons-nous le dire, la fa
riser la clôture. Ouelle source de méditations : là est la clef des sciences ! nul «les modernes encore ne l’a saisie, peut-êt
e éclosion ne se fit point attendre : des arts nouveaux, de nouvelles sciences , prirent naissance, les nations s’enrichirent, ma
uvertes ; il créera un nouvel art de guérir et donnera naissance à la science morale. Baron du Potet. (La suite au procha
cilité? Alors je compatis à votre croyance. Je sais’bien que dans les sciences l’imagination sans la raison égare ; mais je sais
qu’importe ! au point de vue de la civilisation actuelle, toutes les sciences , tous les arts, toutes les professions, tous les
omènes magnétiques qui entrave le plus la marche progressive de cette science et hérisse de difficultés la découverte des lois
efforts et les infatigables recherches des premiers adeptes de la science nouvelle? Lorsque plus tard, dans des temps moins
re ce vaste champ scientifique dont Mesmer avait ouvert l'horizon. La science est un sol qui retourne en friche s’il n’est cons
rique, approuve pleinement l’institution de ce jury, et espère que la science profitera des recherches auxquelles 011 doit se l
nt pas en propre et exclusivement aux homœopatlies, et que toutes les sciences qui tiennent de près ou de loin à la médecine ou
s. Tantôt oublié, tantôt revivant, jamais il n’a pu être établi comme science positive. Il a eu pour adversaires la philosophie
Alibert, etc., etc. On dira : ce ne sont pas des noms qu’il.faut à la science , ce sont des faits ; comment donc ces hommes se s
ts éminents n’aient pas encore fait aujourd’hui un pas assuré dans la science ? C’est à cause du ridicule qui s'v attache ; c’es
r chercher une conviction près de ces magnétiseurs de profession sans science et sans titre qui parcourent le monde. Chez eux,
Cette brochure ayant été peu répandue, je crois être utile îi la science en tirant de l’oubli les principaux faits qu’elle
teur dans son avant-propos, que ce se rait un notable dommage pour la science que de laisser ensevelie dans l’oubli l’histoire
, Vers 1840, le sieur Cli. Renard, grand amateur du magnétisme et des sciences occultes, confia & ,\I. C.ahagnet, alors à Ra
Amérique; c’est aussi vers cette époque que naquit, dans ce pays, une science nouvelle, le Spiritualisme, ayant pour appareil u
ntent, monsieur le baron, en voyant les progrès de votre affectionnée science . Sans vos écrits et votre curieux journal qui m'o
u’une enquête solennelle en mette la réalité hors de doute, et que la science puisse l’examiner avec toute l’attention qu’il mé
e suis si étonué, que je crains de sonder les arcanes de cette divine science qui nous cache encore tant de mystères. » Je jo
x volumes, d’innombrables dissertations. Hier, c’était l’Académie des sciences morales et politiques qui la mettait au concours
si quiconque en sait juger sainement, connaît une grande partie de la science . » Hippocrate distingue deux espèces principale
ion selon les personnes. Cette simple observation démontre que, si la science de l'interprétation des songes a quelque fondemen
ion est le suivant, dont le sens réduit à bien peu de chose sa propre science : « Pour bien juger d’un songe, il faut connaître
s faits que j’allais rapporter touchaient de très-près au magnétisme, science dont l’observateur était pourtant l’antagoniste.
rattacher à la série de phénomènes qui sont du domaine de cette belle science , éclose à la lumière ardente du dix-huitième siè
: je me propose d’apporter mon offrande sur l’autel de cette sublime science si bien patronée par vous pour l’utilité du genre
us signaler par la suite tous les faits qui me paraîtront utiles à la science magnétique. (i Recevez l’assurance de ma profon
ue l’on désigne par ce nom une ville où le commerce, l’industrie, les sciences , les arts, en un mot, que tout jouit d’une libert
che encore aujourd’hui à ceux qui se déclarent ouvertement pour cette science nouvelle, ma protectrice n’osa prendre sur elle d
dère les progrès immenses que la chimie, la physique etla plupart des sciences naturelles ont faits depuis un demi-siècle, l’int
la route que nous voulons suivre. Nous appelons à nous les hommes de science , cherchons d’abord à rameuer à un principe commun
rganisons un code de doctrine reconnu par tous, en un mot, créons une science ; et alors, soyons-en sûrs, bien loin d’avoir beso
s et des ennemis du magnétisme : l’Jiumanité alors pourra compter une science de plus.^ «11 y a longtemps déjà, j’avais enten
des principes invariables, seuls fondements sur les£iiels repose une science . « Mentionnons ici quelques-unes de ces théorie
facile, pourrait paraître digne de soutenu-l’examen des hommes de la science . « Les causes auxquelles on a alternativement p
ur. Eh bien ! le jouroù l’on pourra offrir aux savants consternés une science tout organisée, et un instrument capable de mesur
universel, ce jonivlà le mesmérisme aura conquis sa place au rang des sciences , et l’on élèvera des statues au puissant génie, q
vre de la génération humaine, à ceux qui veulent l’élever à l’état de science , et lui faire occuper la place qu’il mérite entre
rselle, destinée à devenir la seule médecine et à tenir lieu de toute science , il reconnaît la réalité des nombreuses cures obt
rescriptions doivent toujours être contrôlées par la raison et par la science : mais il est allé beaucoup trop loin en frappant
rmes équivalents. Pour la rapidité du discours, on a besoin, dans les sciences de ces formules abréviatives qui dispensent de ré
sur des somnambules magnétiques, n’est pas tout à fait isolé dans la science . 11 existe des observations du môme ordre , rappo
(de Cette). » Analyse critique (lu rapport fait à F Académie des sciences morales et politiques, par M. Lêlut, sur le conco
res qui pourraient lui être adressés sur ces matières. L’Académie des sciences n’a point eu à s’en occuper. La commission dont B
en alléguant que le magnétisme n’a que bien peu de rapports avec les sciences qui font l'objet de ses études. Quant à l’Acadé-m
les sciences qui font l'objet de ses études. Quant à l’Acadé-mie des sciences morales et politiques, elle est évidemment plus c
qui traite maintenant le magnétisme animal comme l’Académie (les sciences la quadrature du cercle, il ne lui fallait rien m
ne lui fallait rien moins que la question proposée par l'Académie des sciences morales et politiques. C’est sur notre invitation
urs dans un cercle arbitrairement tracé, et nuisent aux progrès de la science . 5° Mémoire n° 2. Le rapporteur, après une, ana
ument et s’étendent sur les services que la lucidité peut rendre à la science et à l'humanité. Le septième n’admet qu’une faibl
lare impossibles comme contraires à la nature humaine. L’Académie des sciences morales, en adoptant les conclusions du rapporteu
constitué ayant une1 mission, chargé de représenter une partie de la science . Son devoir est donc de recueillir, sur les quest
é avec cette concision et cette prévision qui forment l’apanage de la science . Ce courageux exemple n’est pas resté stérile, ca
yale au magnétisme de la part d'un des représentants principaux de la science médicale, s’il ne doit pas nous surprendre, mérit
ppeler au souvenir des magnétistes un nom honorablement connu dans la science , et à les engager à feuilleter son ouvrage, mon b
r les plus grands noms parmi ceux des hommes qui ont ajouté foi à ces sciences ? Et pour n’en nommer que quelques-uns que nous r
soient mêlées à ces matières : lorsqu’il en est ainsi pour toutes les sciences , on présume bien qu’il n’y aura pas d’exception p
ique et expérimentale. Il n’y a pas d'autre moyen de perfectionner la science et d’arriver au vrai. Nous n’ignorons pas qu’il
d’Orléans (511), d’Auxerre, de Narbonne, condamnèrent la pratique des sciences occultes et divinatoires ; mais on ne tint guère
omme par le passé. « 11 faut le dire aussi : tout en repoussant les sciences occultes, la plupart des docteurs chrétiens ajout
caient de relever cette religion agonisante, faisant alors appel aux. sciences occultes avaient opéré une liaison plus étroite q
18-VJ. T suffisantes pourtant pour initier un public d’élite à la science magnétique : Programme de» leçon» que je me pro
. QUATRIÈME LEÇON. Vue générale et d'ensemble. Acquisition par la science d'un principe nouveau, propre à expliquer une fou
is, et cela dans un instant, de prouver 1 existence de l'agent que la science nie encore, je venais de justifier toutes mes aff
. Le magnétisme conquiert tous les jours de nouveaux accès dans les sciences connexes, et sur lesquelles en effet il est de na
qui observe et connaît son âme? Quand donc introduirons-nous, dans la science de l’âme, l'observation expérimentale et ses cond
, que se touchent les hommes de la Chine et ceux du Pérou. » — Déjkla science est obligée de reconnaître la transmission des mo
ré dans le temps que le demande le gouvernement des Esprits. » Or, la science moderne a constaté des groupes d’étoiles, de sole
ie , et, à ce sujet, rappelle avec amertume le sort des martyrs de la science , de Salomon de Causs, de Fulton et de tant d'aut
ION. — UNE CONDAMNATION ET UN ACQUITEMENT. Le magnétisme est-il une science que l’homme n’a pas encore suffisamment étudiée,
ns seulement, c’est que le magnétisme esl, a été, et sera toujours la science sacerdotale, science ignorée aujourd’hui de nos d
ue le magnétisme esl, a été, et sera toujours la science sacerdotale, science ignorée aujourd’hui de nos docteurs. Le magnétism
icien ; il a su appliquer à la prestidigitation les découvertes de la science , et a tiré notamment un très-lièureux parti de l’
travaux se rattachent au magnétisme animal et à diverses branches des sciences occultes. C’est à ce titre que nous croyons utile
on initiation au somnambulisme est un événement dans l’histoire de la science . C’est M. de Mirville qui eut l’honneur de mettre
autorité, et sans cesser d'être naturels, seront du moins acquis à la science . C’est ce que n’ont pas compris certains critique
ultation. «On discuta longtemps, et l’on s’entendit si peu , que la science , cè jour-là, ne différa guère de l’ignorance. «
anière à jeter un grand jour sur quelques points encore obscurs de la science . « Agréez, monsieur le baron, l’expression du p
s’en occuper; ce sont, à ses yeux, des remèdes de bonne femme, la science ne peut s’abaisser jusqu'à discuter de pareilles
ité. Rien ne résiste à l’éloquence des faits, et si ce remède, que la science déclare ridicule, a réellement la vertu de guérir
ourtant, de reste, qu'une foule de remèdes longtemps proscrits par la science ont fini par entrer dans son trésor et en sont au
décisives de M. Guérin de Menneville qui a demandé aux lumières de la science d’éclairer ce qu’avait ainsi fait découvrir un he
r de ce qui peut importer, à l’humanité. 11 n’est pas de lueur que la science ne doive chercher à confondre dans le vif éclat d
enton aurait à contrôler les moyens employés par les hérétiques de là science , tels que homœopatlies et hydropathes, mais encor
en un mot, auxquels le public accorde une certaine confiance. Que la science n’allègue pas la dignité qui la relient au rivage
cule devant des épreuves positives, ne mérite pas le titre d'homme de science . Il est encore un genrede remèdes dont l'examen
ait tout à l'heure. En dépit de son scepticisme, en dépit aussi de la science , qui explique tant bien que mal ce merveilleux ph
faisante fait reconnaître les erreurs de la philosophie, de la fausse science et des croyances -, elle ramène l’homme aux vérit
e je l’ai commencée par une lutte au profit de tous, j’aurai servi la science sans m’occuper de moi-môme. Imitant de loin nos m
ÉRIENCES. La lecture des livres est bonne pour donner le goût de la science , elle est bonne pour compléter une instruction av
. Il ne s’ensuit pas davantage de là que la médecine n’existe pas. La science est d’essence divine ; mais l’homme, qui la reçoi
irme (p. 32) que c’est sur cette double vue, qu’est fondée « toute la science de la médecine illégale, tout le savoir des somna
c pu venir en aide à l’infortuné rongeur en tuant le serpent. Mais la science l’emporta sur la pitié, et il voulut voir quelle
succombent aujourd’hui, et oa regrettera amèrement cette faute de la science . Mais nous devons parler du banquet, et faisant
jet rapide Vient arrêter lame prête à s'enfuir. Mais, s’élevant, la science nouvelle Redouble encor ses divines faveurs : E
ue le monde Verra combler ce vœu si doux, si cher. Activons donc la science féconde ! Louange à Dieu ! gloire , honneur à M
uivre l'exemple du maître, il n’a pas seulement cherché à répandre la science nouvelle par sa parole, il s’est surtout efforcé
risme : car nous trouverons dans cette vérité intuitive la base d’une science nouvelle qui réunira en elle à la logique d’une s
la logique d’une sage spéculation l’éloquence irrésistible des faits, science élevée et sublime, qui, prêtant son secours à ses
s abîmes ; car c’est elle qui est destinée à servir de pont entre les sciences physiques et les sciences morales, entre les forc
qui est destinée à servir de pont entre les sciences physiques et les sciences morales, entre les forces aveugles et nécessaires
nde et si belle, qui doit embrasser dans son immense horizon toute la science de l’humanité, ne pourrait-elle pas nous servir à
c cette foi vive et simple qui s’est perdue au fur et à mesure que la science morte l’a remplacée et vouée au ridicule, à défau
que avec plus d’ardeur que jamais ; vous n’avez goûté jusqu’ici de la science vivante que ce que vous en avez puisé dans votre
e fois catégoriquement répondu. « J’avais choisi cette partie de la science pour deux raisons : la première, pour mettre la j
serait tenté de croire qu’il existait jadis des individus doués d’une science surhumaine, en état de donner sur toutes les ques
e ce naufrage, sauvons le souvenir des faits qui peuvent éclaircir la science , tels que les faits de lucidité qui subsistent en
inspiré parun sentiment généreux, et si, sans nuire aux droits de la science , sans entraver le progrès, on peut mettre fin à c
académie magnétique dans mon ouvrage intilulé : Du Magnétisme e( des sciences occultes, qui paraîtra prochainement. ceux qu
ttraient à expérimenter, et la lucidité admise définitivement dans la science , au même rang que toutes les découvertes, ne ser
atéral droit. D’après le compte rendu que nous empruntons à l'Ami des sciences ( n° du 1er mai dernier), « Au niveau de la mallé
és et consciencieux ne pourra manquer de contribuer aux progrès de la science : peut-être aussi trouvera-t-on enfin la solution
s qui, d'uii pas lent mais sûr, tracent leur sillon dans le champ des sciences . J’aime surtout à recueillir les témoignages de l
e qu ils ne comprennent pas. i J’ai écrit pour les vrais amis de la science , et pour ceux surtout qui aiment la vérité avant
eusement exprimé ; on peut le résumer en quelques mots : c’est que la science produit souvent l’orgueil, et l'orgueil, qui est
défenseur de M”8 Berney, après un rapide aperçu sur l’histoire de la science magnétique depuis Mesmer, a combattu l’inculpatio
n de M. Barraud, qu’il ne reconnaît pas comme compétent en matière de science . Abordant le chef d’exercice illégal de la médeci
il a fait ressortir l’importance du magnétisme, ses relations avec la science , et a indiqué les moyens de le développer ; il a
c plaisir sa parole et qui lui sait gré de ses efforts pour rendre la science attrayante. M. Thuvenin a chanté quelques coupl
ffort. Les magnétiseurs ne doivent pas oublier ce point capital de la science de guérir les incurables les plus désespérés : l'
vaincre d’erreur les médecins éminents qui ont donné à l’Académie des sciences une si singulière, j’allais dire une si naïve exp
e l’intervention des Esprits. Dans un, article publié par Y Ami des sciences , M. Mathieu avait depuis longtemps exposé le phén
té et sans prévention tout ce qui pourra contribuer aux progrès de la science . Persuadés que l’honorable M. Mathieu ne cherche,
nt en France répéter ces prodiges qu'il serait si intéressant pour la science de constater. Notre appel n'a pas encore été ente
. La Revue en est pour ses frais de sensibilité sur les Martyrs de la science . ÆRRA.TA. Page 330, ligne 35, au lien de ces
pratiques qui, à leurs yeux, étaient sans valeur, que repoussaient la science et le bon sens, et qui étaient propres à entreten
cultés exceptionnelles ne puissent les exercer sans violer la loi. La science et l’humanité sont intéressées à ce qu’aucune des
ut l’employer. Alors on se gardera bien de répudier un tel trésor, la science s’enrichira de nouvelles découvertes, et la loi,
s vouloir se donner la peine de se frayer une nouvelle route dans les sciences , c’est ne trouver autour de soi que ténèbres. D
, blessés dans leur amour-propre, empêchent toute innovation dans les sciences . La vérité est là cependant ; ce serait une ten
es qui se sont occupés et qui s’occupent encore sérieusement de cette science étaient trompés ou trompeurs , pourquoi. au l
ne. Honneur ii ceux qui se livrent avec ardeur aux progrès de cette science ; les générations futures leur seront reconnaissa
antir la plus belle, la plus utile et la plus étonnante de toutes les sciences . E. M. Rossi. Smyrne, avril 1859. FAITS ET
merveilleux ? Il a fallu creuser profondément dans les secrets de la science pour arriver à des faits pareils. Ils sont commun
ie de ses lecteurs. Le fait est que les acquisitions récentes de la science , •— bien qu’on les ait peut-être trop facilement
sera sans doute amené un jour à découvrir les mystères. L'étude des sciences de l’antiquité et des mæurs des civilisations ant
les animaux et sur le rôle que ceux-ci jouaient, en Orient, dans les sciences occultes. Nous ne devons donc pas nous étonner de
sance et convaincu qu’elle appartient à un ordre de phénomènes que la science ne tardera pas à s’approprier, il n’hésite plus à
ents apôtres de Mesmer à descendre dans les profondeurs de la sublime science qu’il nous a léguée, afin d’y chercher ce que nou
rrions appeler analogiquement ici la phrénolo-gie à notre aide; cette science toute nouvelle pour ainsi dire et qui cependant c
orcellerie magnétique , et, par conséquent, d’un vieux replâtrage des sciences occultes. C’est une erreur de laquelle M. l’abbé
ersuadé que si cette question n’est pour M. l’abbé qu’une question de science , s’il n’en fait pasufie affaire de spéculation, i
suppôts de Satan. Par malheur, M. Mabru, le lauréat de l’Académie des sciences , s’est fourvoyé, et, croyant avoir affaire à un d
urde bévue; mais elle lui a procuré le sujet d’une tartine contre les sciences occultes, et avec ces maudits magnétiseurs tout d
ges, qui renferme des richesses incalculables, et sans lesquelles les sciences des écoles officielles ne peuvent se compléter. N
ce de guérir un grand nombre de maladies et précisément celles que la science juge incurables. Nous avons déjà fait remarquer q
s maladies, se démontre tons les jours, et, dans une foule de cas, la science médicale n’est guère, sans cet auxiliaire, qu’un
z le bien partout où il peut se rencontrer ; mettez-vous à étudier la science occulte : vous y trouverez la clef de bien des di
tait servi souvent de son talent pour faire aimer et rechercher cette science nouvelle. Il a trop tôt payé sa dette, mais nul n
es pilécomènes si longtemps raillés, qui seraient enfin admis dans la science et ne seraient môme plus contestés. Nous avons
ublics et gratuits où chacun est admis à s’initier aux éléments de la science et peut voir opérer sous ses yeux les faits m
ns courageux pensaient avec raison qu’il était très-important pour la science de faire reconnaître une faculté aussi prodigieus
le, dont l’esistenoe est même contraire à toutes les prévisions de la science , il est évident qu on entre dans un ordre de chos
fier des moyens d’analyse et d’appréciation dont on peut disposer. La science , l’art, la ruse ont bien rétréci la sphère des fa
ce qu’il lui plaira de nous envoyer, persuadé que nous sommes que la science magnétique y trouvera son profit. Le sommeil, l
ent (page 309) des communications qui ont été faites à l'Académie des sciences sur divers procédés au moyen desquels, par le jeu
. (1) Il en a été rendu compte d'une manière étendue dans l'Ami des Sciences (n°* des 26 et 31 juillet), auquel nous emprunton
à une action miraculeuse des Esprits et à en informer l’Académie des sciences , comme d’un immense événement. Si l’on veut con
i, comme nous l'espérons, il s’y trouve des membres de l’Académie des sciences , il ne manquera rien au triomphe de M. Mathieu, d
mène des Esprits frappeurs m’avait déjà été expliqué à l'Académie des sciences par M. le docteur Jobert de Lamballe et par deux
s deux mots, c’est que la fourberie me révolte, et que je veux que la science soit pur? et sans souillure. B°" du Potet. No
rage sur le sommeil qui fut dans le temps couronné par l'Académie des sciences morales et politiques, considère cet état et
sujet? Ici commence la gravité de l’alTaire. Laissons donc parler la science . Deux docteurs ont été appelés comme experts ; vo
is que des hommes difficiles à tromper, des membres de l’Académie des sciences , des médecins éminents, ont voulu vérifier les fa
omme distingué dans la profession qu’il a embrassée. L’Académie des sciences ne nous a point encore autorisés à admettre le ma
eur que nous annoncions; aujourd'hui c'est ¡a Revue contemporaine des sciences occultis et naturelles. Elle est publiée par M.
ière se fait et quand l’ignorance se retire; mais les conquêtes de la science et de la lumière étendent, affermissent et font a
dont les travaux consciencieux ont déjà fait faire un grand pas à la science de Mesmer. M. du Potet a ouvert à Paris une école
a révélé la magie; il a senti le besoin de révéler et de cacher cette science effrayante encore pour lui-même, et il a écrit un
fortement convaincus qui supportent courageusement les dédains de la science et les préjugés de l’opinion, en répétant tout ba
MAGNÉTISME ET SQIYIMBULIS&IE. Le magnétisme est l’arbre de la science du bien et du mal ; il ne faut pas y toucher, dis
ionnelle. Le tribunal a dû se trouver dans un grand embarras : car la science officielle dit que le magnétisme n’existe pas; or
quand des hommes difficiles à tromper, des membres de l'Académie des sciences , des médecins éminents ont voulu vérifier les fai
d’Eslon, élève de Mesmer, a fourni aux commissaires de l’Académie des sciences et de la société royale de médecine, tous les moy
réserve prudente et timide : il n’ose se prononcer. « L’Académie des sciences (dit-il) ni la Faculté ne nous ont encore autoris
pas la prétention d’être un concile, un arbitre suprême en matière de science . Il est fâcheux que le tribunal n’ayant pu obte
ord sur le fond, que le magnétisme n’existait pas, que l'Académie des sciences , du moins, ne les autorisait pas à le reconnaître
Arago affirmait qu’il y avait bien peu de chose dans le domaine de la science (peut-être même a-t-il dit : rien), qu’on dût nie
moins, que d'inexplicables accidents se produisent qui provoquent la science et défient la raison. «Dans la guerre de Crimée
magicien, Apollonius de Thyane et Cagliostro. Pour les sectateurs dos sciences occultes, ce sont des maîtres vénérables, possess
contre Cagliostro, accusé de s'être livré, dans un but d’impiété, aux sciences occultes. » Or c’est devant la sainte inquisition
té de sa femme. Cagliostro semble avoir eu un goût passionné pour les sciences occultes ; et quoiqu’il s’en soit servi pour fair
isme arrive; il part d’en bas contrairement à la raison, car c’est la science officielle qui eût dû répandre la vérité nouvelle
NAMBULISME MAGNÉTIQUE. lin’y a dans le monde qu'une seule et unique science , qu’une seule et unique vérité qui puisse nous in
nous initier daas les mystères des phénomènes psychologiques, eteette science , aussi vieille que le monde, et si méconnue encor
le est divisible, poreuse, impénétrable, étendue, élastique, mais les sciences actuelles n'ont pu encore, et ne pourront peut-êt
ations des mystères? quel est celui qui oserait aujourd’hui sonder la science des hiérophantes, qui, à n’en pas douter, se serv
ils voient qu’elle tient dans ses mains divines la clef de toutes les sciences . Les ennemis acharnés du magnétisme veulent, no
u corps pourvoir et pour penser. Ils croiront comme nous que si nulle science au monde n’a pu jusqu’aujourd’hui les convainc cr
e vous est connue par vos propes « sens et parles instruments dont la science a doué l’œil de « l’homme ; l’autre nous est révé
la lecture en est généralement très-rebutante : les maîtres de cette science n’écrivent pas pour le vulgaire, ils emploient un
cile à leurs successeurs. On se demande naturellement si ce trésor de science , fruit de si longues études,.vaut.le mal qu’il c
examiner. Et d'abord qu'est-ce que la magie? L’auteur la définit la science exacte et absolue de la nature et de scs lois (p.
exacte et absolue de la nature et de scs lois (p. 1). Alors c'est la science universelle, et elle comprend toutes les sciences
. 1). Alors c'est la science universelle, et elle comprend toutes les sciences qui traitent de la nature, telles que l’astronomi
chimie, l’anatomie, etc. Cependant, ceux qui ont cultivé ces diverses sciences , ceux qui les ont le plus fait progresser, les De
sûrement ce qu’elle n’est pas, et certainement elle n’est aucune des sciences que nous venons de nommer, elle ne comprend aucun
e des sciences que nous venons de nommer, elle ne comprend aucune des sciences positives. La définition est donc fausse; voilà d
a conclusion , nous trouvons une autre définition : « La magie est la science absolue de l’équilibre. » (P. 529.) Mais malheure
de l’auteur fait voir qu’il ne sait pas lui-même en quoi consiste la science qu’il veut enseigner : c’est quelque chose de mys
ocilité doit surprendre de la part d’un docteur ès-sciences magiques, sciences qui ont toujours senti le fagot. Malgré ces prote
n un paularte très-singulier, qui se trouve chez quelques amateurs de sciences occultes. Le contour, au lieu de consister en un
son article; et si jamais, dans son étude, encore inexpérimentée des sciences occultes, il lui arrivait une mésaventure semblab
a magie et ceux qui en niaient la puissance. Nous qui admettons cette science profonde, lions sommes loin de nous révolter cont
59. émettre notre pensée sur un sujet qui fait le désespoir de la science , nous dirions que la vie est la manifestation de
voir confirmés par tous les magnétistes sérieux et par les hommes de science , j'indiquerai un peu plus loin des moyens à la po
exions des personnes , aux expériences et à la critique des hommes de science , a pour lui cet immense avantage qu’avec son aide
dont jus- qu’à ce jour, malgré les infatigables recherches de la science , lions savons encore si peu de chose. Si nous i
. Aussi Béclard, après avoir épuisé la série des faits avancés par la science , s’écrie-t-il enfin avec un accent de désespoir :
dant quelque temps. » Nous ne prétendons point, nous néophyte de la science , dont le nom est encore inconnu, qu’il nous soit
faits physiologiques constatés par des noms qui font autorité dans la science . Un premier fait reconnu en physiologie, c’est
r de ses sentences , travaillent consciencieusement aux progrès de la science . 11 existe une Société appelée Médico-Psychologù/
iologiques, c’est que nous sommes réunis iei, philosophes occupés des sciences abstraites, et médecins livrés à la recherche et
reconnu qu’il y avait là des finis méritant les préoccupations de la science — 3e propose àla société de s’occuper prochainemen
erveilleuses du somnambulisme artificiel. On voit que les hommes de science s’inquiètent fort peu des anathèmes de l’Académie
s voulûmes éviter : le fanatisme ne servit jamais à l’édification des sciences . Nous pouvons maintenant, Messieurs, vous dire
s, devenues presque vulgaires, peut, par son alliance avec les autres sciences , devenir une source des plus fécondes en résultat
t besoin sans doute d’être répétés et confirmés pour être acquis à la science ; mais il puisera dans ses premiers succès, bien
se égalerait leur terreur et ils verraient aujourd’hui ce que peut la science humaine. « Vapeur ! électricité ! magnétisme !
pris, mon ami ! en lisant ce dernier mot écrit par moi : Magnétisme ! science obscure que j’avais commencé à étudier et que j'a
t que j'ai abandonnée, le doute s’étant emparé de mon cœur. o Cette science , encore en chantier, progresse bien lentement mal
, qui affirmait qu’il y avait bien peu de chose dans le domaine de la science qu’on dût nier à priori. Or le magnétisme est
a science qu’on dût nier à priori. Or le magnétisme est aussi une science , et c’est pour vous raconter une petite aventure
e quelques effets. « Je vous l’ai déjà dit, je connais un peu cette science , quelques essais assez heureux avaient sinon diss
e me crus battu, et riais intérieurement des mes essais infructueux : Science , me dis-je, ou plutôt folie, tu es donc un menson
« Bravo ! très-bien ! exclama-t-on de toutes parts. « O amour de la science et de la vérité, ceux qui te comprennent apprécie
t rares sans doute, mais aussi par cela môme assez concluants pour la science du magnétisme. Venez I » «Je m’excusai sur mon
e prosternai et priai Dieu avec ferveur. « J’aime lascience pour la science , je vous l’ai déj:\ dit quelque part, et jesuislo
ne pouvons jamais le fertiliser entièrement. Maisest-ceseulement la science , la sciencedel’écolc qui nous viendra en aide et
n profit, etc., etc. Cependant, malgré les progrès incessants de la science et les immenses avantages que nous ne cessons d’e
nes, qui en montre la loi, qui satisfasse l’esprit, qui enrichisse la science ?... Hélas ! non. Les problèmes n’ont point été r
é; àlamédecine, puisque'l’état nerveux y subitdes modifications ; aux sciences magnétiques, puisqu’on y voit éclore des facultés
ligion nouvelle. Il y avait donc une mine féconde à exploiter pour la science ; et l’on doit savoir gré à ceux qui, comme M. Go
is comme nous n’avons aucun goût pour cette guerre d’invectives où la science ni la vérité n’ont rien à gagner, nous renonçons
nes que j’extrais d’un numéro du Spectateur, Revue encyclopédique des sciences , des lettres et des arts, 11“ 2, p. ¿30, 20 févri
eût jadis loué cet homme et brûlé la sorcière ; il n’y avait alors ni science ni pitié. Aujourd’hui la science manque encore, m
la sorcière ; il n’y avait alors ni science ni pitié. Aujourd’hui la science manque encore, mais la pitié est venue : c'est un
te d’ùtre étudié par les savants comme toute autre branche de la môme science . » (P. 15(5.) M. Macario attribue les phénomène
vaise foi ; et voilà comment on devient prophète à bon marché I... La science ne peut se contenter de pareilles sornettes. Pour
de l’univers et y lire les secrets de Dieu. » Ici ce n’est plus de la science que fait l'auteur, mais du roman. L’âme qui tend,
de ne pas faire usage et qui peut guider dans une foule de cas où la science médicale est impuissante. El même ce n’est qu’à l
surtout une haute importance, en ce qu’il fait voir que les hommes de science ne craignent pas de braver les anathèmes académiq
ibilité des rapports des somnambules avec les Esprits. La Revue des sciences occultes cl naturelles en est à sa cinquième livr
t journellementdu terrain, nous paraît mériter l’examen des hommes de science . Je comprends parfaitement qu’un médecin a besoin
ique, au lieu de sonder d’une main hardie le vrai ou le faux de cette science encore au berceau, et d’en faire l’une des branch
t été faite, parce qu’on ne saurait, dit le rédacteur du Moniteur des sciences médicales et pharmaceutiques, dans le numéro du 2
témoin très-peu crédule, je vous l'assure. Je crois cependant que la science n’a qu'à gagner ii l’étude du magnétisme et qu'il
ntre le corp médical tout entier, et qui devrait être une branche des sciences médicales réservée exclusivement aux médecins.
e leurs succès, une révolution aurait lieu dans la médecine, et cette science ténébreuse pourrait alors se vanter d’être utile
qu'en 18S4 que M. Schiff a f,.it ses communications à l’Acadéinie des sciences . l'acoustique. Ordinairement nous ne parvenon
notre collaborateur, M. A. S. Morin, intitulé : du Magnétisme et des Sciences occultes , paraîtra à la fin de ce mois, à la lib
ME 1859. *4 PROGRÈS DU MAGNÉTISME. HYPNOTISME. L’Académie des sciences , dans sa séance de lundi 5 décembre , a reçu de M
naturel, facile, que le hasard vient de mettre à la disposition de la science , on n’a plus à redouter les accidents qui onteomp
s des circonstances utiles, et peut-être contribuerez-vous à doter la science d’un nouveau moyen de venir en aide à l’humanité
au et sans doute aussi pour quelques autres membres de l’Académie des sciences et de médecine. En 1851, le Journal du Magnétis
ds, ont parcouru l’an dernier les États-Unis pour l’établir comme une science nouvelle. En vain les magnétiseurs ont-ils protes
magnétistes zélés, pour que la lutte entre la vieille et la nouvelle science arrive il son terme; par M. le baron du Potet, 3.
ves et du somnambulisme. Question mise au concours par l'Académie des sciences morales et politiques. Dissertation sur le systèm
orin, 484; par M. Thé cel, 489. Somnambulisme (Le) à l'Académie des sciences morales et politiques. Réfutation du rapport de M
M. Lafontaine. Annonce et mention, 420, 615. Magnétisme (le) et les sciences occultes,, par A. S. Morin. Annonce de la prochai
, etc., par Gromier. Analyse et examen par M. Morin, 133. Revue des sciences occultes et naturelles, fondée et publiée à Nisme
elles sous la direction de M. Albert Léry. Mention et annonce, 615. Science (la) de l'homme, par Enfantin, simple mention, 84
14 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
ours généreux); chaque page devait être lumineuse, et contenir sur la science de l’homme tout ce que de saints personnages avai
quoise, et murmurant : « Mais je voulais que le magnétisme devînt une science , et je ne voisieiquedesmnbreset désœuvrés stérile
du magnétisme reconnaîtra qu’elle a fait fausse route. ACADÉMIE DES SCIENCES . Séance du 28 septembre. — M. Duraml de Lnrx'l
aractérisent les nuances sont un progrès notable; car l'obscurité des sciences naissantes tient plus à la confusion des faits, à
veut éclaircir; car si un terme juste évite des disputes, donne à la science une allure franche, décidée, un mot impropre jett
ici peu de résistance. J -B. Difbois était un de ces hommes avides de science , qui, pour acquérir une idée, entendre un bon dis
cience réprouvait désormais, el se jetaà corps perdu dans l'étude des sciences positives qui ne devaient point lui rapporter une
s; c’est une épreuve qui doit durer jusqu’au temps où le temple de la science lui sera ouvert. Mais il dépend des hommes honnêt
, enfin, que ces démonstrations, instituées pour la propagation de la science , ne soient point détournées du but pour lequel el
magnétique, dont la réussite prouve que le magnétisme est la clef des sciences occultes de tous les temps et de tous les pays. L
us espérions y trouver des idées neuves, quelque chose qui marquât la science d’un nouveau sceau; mais, il faut le dire, ce n’e
, car ils n’ont pas mangé du fruit défendu, ni touché à l’arbre de la science magnétique. L'Union médicale, nouveau journal d
e. C’est pourquoi nous appelons de nos vœux le temps où les hommes de science emploieront leur génie à de nouvelles recherches.
étique. Laissons de côté ceux qui voudraient empêcher la marche de la science en exprimant leurs craintes. Innovons, innovons s
s la sagesse et l’expérience nous servent de pilote. » ACADÉMIE DES SCIENCES DE STOCKHOLM. . Séance du 31 mars 1846. — M. Be
’expé-« rience nous offre souvent, dans toutes les branches de * la science , des phénomènes qui sont incompréhensibles « et d
ce que la puissante vérité mesmérienne force la porte du temple de la science et se fasse reconnaître pour ce qu’elle est. Ma
cins ayant la faculté somnambulique en tireront parti au profit de la science et dans leur propre in-térôt.jPeut-ètre trouveron
la Revue gallicane ne saurait avoir la même excuse que l’auteur de la Science funeste. — M. l’abbé DesGarets, chanoine de Lyo
s k côté des injures que le docteur H. R*** adresse aux adeptes de la science de Mesmer. Il n’y a point de paix possible avec
l serait bon de brûler tous les livres qui traitent de ces prétendues sciences et d’en punir sévèrement les fauteurs. De notre c
ous n’aurez point k regretter de vous être montré le protecteur d’une science dont les ressources sont inü- nies. Puissiez—vo
, car les privilèges qu’ils pourront obtenir ne leur donneront pas la science lorsqu’il sera prouvé qu’elle est en dehors d’eux
rincipes de médecine naturelle qui s’y trouvent, et réformer ainsi la science de guérir. Là serait leur fortune et leur gloire;
és morales découvertes, enseignées, répandues par toute la terre? Les sciences elles mêmes ont-elles du moins répondu une saluta
me; ils ont en eux-mêmes le principe de leur conservation. En vain la science le chercherait ailleurs. L’homme seul dévie à la
▼otre pratique et vos expériences les lacunes qui existent dans cette science . A u remier mois de l’année le soleil est éloigné
t les malheurs qui s’exhalent en plaintes de toutes les poitrines. La science avait pour mission d’éclairer les hommes. Elle s’
ons ensemble ces préjugés, honteux pour la dignité de l’homme, que la science et la religion laissent subsister. Arrachons ce
nce tous nos antagonistes. La physique, la chimie, comme toutes les sciences exactes, ne doivent leur progrès, lenr autorité,
s les plus dévoués, n a pas scu- Icmentpoiir objet de glorifier une science dont vous ¿tes à nos yeux le plus digne représent
qui ne porte pas la marque de leur fabrique. Eux, les gardiens de la science , ils n’en sonique les geôliers ; le dos tourne au
evé et a répondu k cet éloge. « Messieurs, a-t-il dit, le champ des sciences exige plus de labeur, il est d’une culture plus d
grain dans un terrain presque toujours favorable, fertile; l'homme de science , au contraire, jette souvent le sien sur des ronc
orment tranquilles après la fin de leur journée. L’homme qui aime les sciences 'et qui les cultive voit ses jours tourmentés et
dépein- dre. Je n’ai fait, comme vous, qu’entrer résolument dans la science , la cultiver avec ardeur; vos hommages donc devra
u magnétisme, l'a fait eu ces termes : « Au magnétisme!.... à cette science divine qui prouve que l'homme a reçu du Créateur
en puisant aux sources « intellectuelles qu’on peut acquérir la vraie science . » Le magnétisme détache l'âme des sens et fait
isme m’ont rempli de reconnaissance pour celui qui m’a initié à cette science . Qu’il me soit donc per mis de la lui témoigner d
Sixième observation. Il est contraire il la rnison et nuisible 5 Ja science de déclarer impossible et faux un fait quelconque
t trop haut proclamer son utilité. Sans son concours, en effet, les sciences , dont elle est la mère et la nourrice, dépérissen
ite que ses vieux amants ne la purent suivre. De même pour les autres sciences physiques. Le mesmérisme, qui est de cetordre, do
découverte magnifique, et uu progrès marqué doit en résulter dans la science magnétique. Nous allons donc, devant vous tous, t
s phénomènes. Un jour viendra où l’ignorance revêtue du manteau de la science sera à tout jamais bannie, où il sera reconnu que
et si utile. Curieuse, car c’est par elle seule qu’on peut donner aux sciences ce qui leur manque : la connaissance des premiers
, lecteurs, que ce succès éclairera les savants, qu’ils étudieront la science qui se traduit ainsi ;détrompezvo us : on magnéti
e en est rassasié; c’est ainsi qu’ils remplissent leurs fonctions. La science n’est-elle point un sacerdoce? Voyez quels dignes
us la vérité de ce précepte, qui marche de pair avec le suivant : une science ne saurait exister que le jour de son baptême, c'
dehors si séduisants que nous nous dirons : comment se fait-il que la science compte si peu de jours? Eh! c’est qu’elle n'avait
de la généralité. Ainsi du magnétisme : confondu parmi une foule de sciences qui le déchiraient, il n’existe réellement que de
le saisit par le front, et malgré les clameurs affamées de toutes ces sciences , il établit devant elles une rivale invincible, e
bien que le courant soit dirigé sur d’autres. A chaque pas dans les sciences nous trouvons de ces exemples inexplicables. «L
oujours militants, point de temps ne leur est laissé pour l’étude des sciences naturelles, qui rendent si forts leurs adversaire
les termes techniques, plus ou moins grecs d’origine, qui rendent la science ennuyeuse, d’attrayante qu’elle est naturellement
. SOCIÉTÉS SAVANTES. CONFÉRENCES MAGNÉTIQUES. Pour parvenir aux sciences plus qu'humaines, il faut s’appliquer à la divina
elle où le magnétisme va lui-même être entraîné au grand profit de là science et de l’humanité, comme nous le démontrerons. En
h bien, tout ce mal peut diminuer et l’humanité changer de face si la science le veut, si elle daigne s’occuper de nos recherch
ermes et créent tout ce que nous voyons, rentrera dans le domaine des sciences . Quelle profonde révolution nous entrevoyons po
ons pour l’avenir, et quelle pitié nous inspire le présent! Voyez les sciences , ce qu’elles savent des choses morales et des fac
iques doivent être encore gardés; nous serions indigne de posséder la science si nous les divulguions à qui que ce soit; car ce
ffrir aux regards des sceptiques? SOCIÉTÉS SAVANTES. ACADÉMIE DES SCIENCES . Séance du 22 mars. — Le progrès du magnétisme,
seurs répondent à cette tendance, qu’ils étudient de plus en plus les sciences physiques, la pratique y gagnera beaucoup, la pro
enirau courant de nos explorations;car les résultats appartenant à la science du magnétisme, ce sont eux qui doivent l’étendre
23 mai 184 6, de consacrer le souvenir de cette première ovation à la science que Mesmer nous a léguée, par une médaille à l’ef
t à l’opérateur, parle, marche, rit, pleure au gré du maître.....La science médicale va sans doute encore rompre quelques l
le du docteur Billot, qui subordonne le magnétisme à la théologie, la science à la religion, l’opinion au fait. M. Ch. Renard n
uverains, sur les reines et sur les gens riches. Une des plus grandes sciences de l’antiquité, le magné- tismeanimal, est sort
andes sciences de l’antiquité, le magné- tismeanimal, est sorti des sciences occultes, comme la chimie est sortie des fourneau
vrologie, en sont également issues; et les illustres créateurs de ces sciences , en apparence nouvelles, n’ont eu qu’un tort, cel
fait une regrettable lacune de cent ans dans le règne et l’étude des sciences occultes. » — Le docteur Pidoux parle beaucoup
ent les détruire les propagent. L’autocratisme individuel, en fait de science , est une chose terrible 5 en rapportant tout à so
à amuser et distraire celui qui s’en occupe; il constitue encore une science naissante dont les applications diverses seront f
ons nous porte à le croire. Est-il possible de prévoir où ira cette science , ce qu’elle deviendra, quelles seront ses destin
probabilités, nous avions à suivre les développements futurs de celte science , nous pourrions dès aujourd’hui lui prédire d’ass
. Si- Lé magnétisme considéré sous le rapport thérapeutique. Lu science de Mesmer doit-elle plus tard renverser tout an
ie eût pu faire des progrès, que la partie la plus hypothétique de la science qui a vu naître le scepticisme eût jamais pu pens
vu naître le scepticisme eût jamais pu penser à se placer à côté des sciences exactes? Le somnambulisme sera pour la philosop
et l’âme végétative se rapprochent, puis se confondent dans ces deux sciences dont la source est commune. s III. l-e magnét
indiquer le moyen de guérir son enfant. Cette manière d’improviser la science médicale lui parut absurde, impossible, et elle s
ble, ou enfin par la grâce de Dieu; car lorsqu’on n’est pas avancé en science , l’on fait souvent bien des méditations sans appr
ment rassemblé, afin qu’un jour les hommes qui voudront écrire sur la science profonde, objet de toutes nos recherches, trouven
en ouvrant ces livres, de voir qu’ils contenaient des traités sur les sciences occultes, sur l’astrologie, l’alchimie, la nécrom
pour montrer à tous que nous soin- mes forts et »ombreux, que notre science fait de rapides progrès. I.a mémoire de Mesmer
ous inspirent une sorte de mépris. Qu’ils restent donc à l’écart ; la science nouvelle les désavoue, car elle ne leur doit ni n
e magicien serait un homme qui sait la nature. Je définirai la magie: science parfaite de la nature; et j'ai pour moi l’autorit
n est ministre de la nature, magus naturœ minister est (Plotinus). Sa science embrasse tous les savoirs ; il doit être consommé
art des magiciens du moyen Sge se fussent entendus sur les noms , les sciences eussent été portées au comble ; mais, séparés san
paques, applica tion îles médicaments, connaissance des lois du ciel, science de l'organisme animal et universel, science de l’
issance des lois du ciel, science de l'organisme animal et universel, science de l’avenir... extase des saints quand l’âme, pur
ale ou non, elle a toujours le mérite de rapporter à Dieu la première science du monde, et elle se drape à la rigueur sous le m
ause de tout événement, de tout phénomène ! Je ne sache pas qu’aucune science ait précédé l’astrologie. La Chaldée fut son berc
jouir de toute sa maturité. Là elle s’adjoignit diverses branches de sciences naturelles, secrètes et divinatoires, que les Héb
dition pratique sous le souffle raisonné de la théologie, et enfin la science nous apparaît maintenant à l'abri de toute doctri
du pays, servaient de voile à leur philosophie. » Dans ces temps la science était portée bien haut dans le respect des peuple
e, qu’on appelle Sophis, ont bien conservé le privilège antique, à la science près. L’astronomie occupait le premier rang dan
lique des astres. Les Egyptiens, outre cela, possédaient toutes les sciences naturelles et surpassaient de beaucoup tous leurs
reux portèrent tour à tour les noms de Cabalistes (cabala ou cabbala, science traditionnelle et héréditaire), et de Prophètes (
ement le nom de Sacerdotes. Chez les Indiens, les représentants de la science divine et naturelle s’appelèrent Brachmanes ou Gy
s mages; leur philosophie (j>iXojof>eca), l’amour de l’étude en science magique; c’étaient des savants, comme l’indique l
taient des savants, comme l’indique le mot latin sapientes, hommes de science . Que firent en effet les Grecs? Manquant d’écoles
dans leurs écrits la théologie de Moïse, l’astrologie de Bulda et la science d’Hermès; et saint Jérôme, dans sa lettre à Pauli
meuse table du soleil. Voilà comme il vint à bout d’acquérir sa vaste science , et plus il allait, plus il se faisait meilleur.
péfaction et le monde de pensées qu’ils soulèvent. Souvent déjà la science , déliante d'abord, mais enfin convaincue par des
s si vous sortez d’une individualité, malheur à vous, malheur à votre science , qui aurait contre elle la société tout entière,
arle sans jamais s’ètre entendu! En Allemagne, on l’élève à l’état de science ; il fait partie des études médicales; on le prat
K"‘ fut appelé, et déclara que cette opération était indiquée par la science , mais qu’elle seraitdiflicileet douloureuse, parc
hommes pleins d’orgueil cf de vanité ont dit : Non, il n’est point de science en dehors de la nôtre ; au delà de nos conception
t. Au milieu des ruines de l’antiquité existait un trésor caché. La science ne l’ignorait pas; mais tout son génie ne put le
ne seront plus mortes et semblables aux fruits desséchés de la fausse science : elles oui une plus noble origine. La science ne
desséchés de la fausse science: elles oui une plus noble origine. La science ne peut encore ni les produire ni les revendiquer
relâchement des croyances en présence de l’immense développement des sciences ? C’est que celles-ci manquent essentiellement de
de l’agent magnétique, auront concouru puissamment aux progrès de la science et de l’art (I). M. du Potet, qui avait brigué
e sagesse humaine, Qui n’est que mode ou que hasard ? Qu’importe la science à celui que Dieu mène ? Il doit arriver tôt ou
plus sérieux; c’est donc une vie que nous croyons consacrée tout à la science . Mesmer était parmi nous; ce n’était plus son o
ut principe élevé, de toute idée grandiose. Comme appréciateurs de la science , ils font une guerre acharnée k tout ce qui n’est
éther, l’auteur de ce petit écrit servirait mieux qu'il ne le fait la science et l’humanité. Le Propriétaire-Géraitt : HÉBERT
l fut proposé de consacrer le souvenir de cette première ovation à la science qu’il nous a léguée par une médaille frappée à l’
aînent sa voix et son expérience. J’ai trouvé le nec plus ultrà de la science des médicaments, mais une lacune bien regrettable
eau, des médicaments et des maladies à déconcerter les médecins et la science ! » Savez-vous pourquoi M. Trousseau est ainsi d
rvations, et par là m’éclairer de vos lumières et les répandre sur la science que nous étudions. Afin d’éviter de longs dével
par réaction, sans chercher l'intermédiaire du fluide universel. La science du magnétisme consiste donc à savoir faire une ap
tériel. Ce résumé succinct d’une théorie complète et générale de la science magnétique laisse clairement entrevoir les nombre
andat d’arrêt contre M. Cubi, qui exerce le magnétisme et professe la science du docteur Gall dans cette ville. On l’accuse de
on n’a fait davantage pour le triomphe de sa doctrine. Les arts, les sciences , la littérature, lui ont chacun payé tribut, et c
cteur-médecin, a inséré dans le Censeur de Lyon une attaque contre la science mesmérienne à propos de la dernière séance de M.
res à convaincre, parce qu’on ne peut rien vérifier, et qu’en fait de science il faut des preuves évidentes, sans quoi l’édific
une si belle cure, a voulu payer sa dette de reconnaissance envers la science qui enseigne à produire de si admirables faits, e
si funeste qu’est nuisible aux plantes l'ombre des grands arbres. Les sciences personnifiées s’atrophient; il leur faut l’indépe
s idées à l’exclusion des autres, et sans consulter les intérêts delà science , du principe qu’ils voulaient répandre. L’antagon
se servir de l’arme de ses ennemis. Et les corps faisant la force des sciences , comme la discipline celle des armées, tous les e
rations, fut porté jusqu’aux nues; tout le monde voulut étudier cette science simple et sublime, qui permet au moins académicie
mé des travaux dont nous voulons parler. « M. démens, professeur de sciences naturelles au collège de Vevey (Suisse), vient de
ent de communiquer, dans un mémoire adressé à la Société vaudoisc des sciences naturelles, les résultats de plusieurs expérience
les tourne en ridicule. a Est-ce là de la justice, messieurs? Cette science que l’on affecte tant de mépriser ne subirait-ell
mais si le préjugé a lutté longtemps contre le progrès de toutes les sciences , il a toujours été vaincu. Dans le temps où la pl
à des besoins du moment. a La médecine n’est pas un droit, mais une science , » et le temps viendra bientôt où dans chaque fam
maux d'autrui, et notre douleur augmente en voyant protéger la fausse science qui les éternise pour les exploiter. Mais nous no
augmenter les entraves. Que ceux qui sont frappés se résignent; toute science , comme chaque religion, doit avoir ses martyrs :
èle. 199 — d’amygdales. 226 — de glandes. Î74, 837 Académie des sciences . 19,89, 200 — — de Stockholm. 76 — de médecin
nseignement mutuel du mesmérisme théorique et pratique, ainsi que des sciences adjuvantes, telles que : physique, anatomie , phy
re ne peut être conféré qu’en raison de services éminents rendus à la Science ou à la Société, sur la proposilion ou avec l’agr
t? remarqua un « médecin présent. — Je ne dis pas cela, mais ma conci science me défend d'éthériser désormais. » Voilà deux f
intuitivement les travaux a été ainsi composé : Vous employez votre science A propager la vérité ; Du fruit de votre expéri
ercé le sarcasme et les railleries. On n’osait braver l’opinion de la science et se soustraire à son inique jugement. Nous ma
omte de Mirville doit mettre prochainement au jour un ouvrage sur les sciences occultes, dans lequel le magnétisme occupera une
ar le clergé, en général fort ignorant a Pendroit de ce qu’on appelle sciences occultes, et il en résultera un grand bien. — M
e : « Si l’excentrique marquis est en effet un des croyants « de la science de Mesmer, pourquoi donc empèche-t-il « son prési
avec succès par un grand nombre de personnes non moins dévouées à la science qu’à l'humanité, nous apprennent que la pratique
nnu dans toutes les contrées que j’ai habitées pour être amateur de sciences et de beaux-arts; j’ai dû à ces qualités, si avan
rouvaient si partagées, ne serait-ce que pour tranquilliser ma con- science et celles dont j’étais aussi chargé en qualité de
entraînés Ils vinrent après lui, remplis du même zèle, Ouvrir à la science une route nouvelle. Par d’obscurs détracteurs t
oins d’indépendance d’idées et un savoir accru, soutenant la nouvelle science au sein de la Société de médecine pratique, et de
u’on trouve dans celui-ci ces quelques lignes : « Passionné pour la science , je cherchais avec ardeur toutes les occasions d’
folie passera, j'espère, comme tant d'autres, et alors les hommes de science et de conscience pourront se faire entendre 4 leu
qui domine actuellement los mesniériens soucieux de l’avenir de leur science . Aussi voit-on, sous l'empire de celle préoccupat
département de l’Yonne, les notions pures et anti-mystiques de cette science , je viens aujourd'hui, au nom de l'humanité souff
eil. » M. Lebouclier croit que nous sommes à une époque où toutes les sciences ont besoin les unes des autres et ne peuvent marc
il cherche dans la langue la tradition, les coutumes, l’empreinte des sciences autrefois florissantes en ces lieux. Le savoir
détruit, dégrade les monuments et livre leur poussière aux vents. La science , la plus belle conquête de l’homme, une fois acqu
gnétisme, la vaccine, etc., etc. » Si ces bienfaits, découvertes ou sciences , n’importe le nom qu’on leur donne, dérivent du p
avec le mien, parce que les hakimsde l’Europe, sachant que toutes les sciences sont venues de l’Orient, ont la plus haute estime
e en essayant de la combattre. C’est aux déplorables erreurs de cette science toute de conjectures, vivant de systèmes qui dure
e temps de magnétiser; c’cst en courant qu’ils donnent un peu de leur science , souvent, hélas! cn pensant à autre chose, et ce
ami du magnétisme, on avait tout tenté.... Heureusement l’arrét de la science n’est pas infaillible; la malade n’avait pas de c
-propre étant, à couvert, la paresse seconde la foi. Le progrès des sciences qui, dans notre siècle de bavardage, se fait au g
tration quelconque ne va pas chez nous jusqu’à l'idolâtrie, ca>-la science n’est plus un myslère. Or, la vérité la plu« subl
¡»lus simple grandit dans les lénèbres. Les travaux de l’Académie des sciences n’en imposent pas autant au commun des martyrs qu
ir, et le triomphe de Joseph vient de ce qu’élant inspiré de Dieu, sa science dut nécessairement l’emporter sur la science que
lant inspiré de Dieu, sa science dut nécessairement l’emporter sur la science que l'homme ne tire que de sa faible intelligence
pa-gnonsdecaptivité,qui regreltaienll’absenced’un homme verse dans la science des songes : « Les interprétations des songes ne
prisée par l’autre, qui ne tirait pas les prédictions du trésor de la science , mais seulement de simples conjectures, et suivan
eur, est tombée de jour en jour; cependant aujourd’hui le progrès des sciences semble venir en aide à ce que les sceptiques du d
ra, mais c’est autre chose. Par conséquent, on ne peut assimiler deux sciences totalement différentes. Que faudrait-il donc fa
eursÆt prit un caractère si alarmant, que M. Dèglos dut recourir à la science de plusieurs médecins, dont le traitement fut. sa
ifiée par la musique. C’est une belle page de plus en faveur de notre science , la profession de foi d'un homme de talent, une v
roit et bienfaisant, M. Simohneau, entreprit de me faire connaître la science de Mesmer, dans laquelle il avait la plus grande
la circonférence aussi fructueuses que possible, dans l'intérêt de la science et de l’humanité. Recevez, cher professeur, l’a
gnétiseurs qui auront fait quelque chose de marquant dans l’art ou la science . N° 2. Le Comité invite les personnes qui s’i
r des drogues ou par quelques aulres moyens qui sont du domaine de la science , est de la plus haute antiquité ; car David dans
ecret du sanctuaire les prêtres égyptiens cultivaient avec succès les sciences et les arts, que par la vaste étendue de leurs co
des Actes 'des Apôtres, que Moïse avait été instruit dans toutes les sciences de l’Egypte; lorsqu'on connaît par l’histoire que
foule accourt, elle est nombreuse et toute composée de victimes de la science . M. Laforgue doit-il fermer sa porte à ceux qui e
ur art, et donner aux hommes les preuves évidentes des vérités que la science méconnaît, qu’elle serait un grand bien. Mais, qu
belle; il la üt monstrueuse et produisant le mal. Ainsi envisagée, la science nouvelle fut compromise, et M. Soulié se punit lu
endormit les « deux sujets pour montrer ce qu’il appelle double con-« science , ou faculté de se'rappeler, endormi, cc qui s’est
s, une foule d’ouvrages sur celle parlie encore si peu explorée de la science , et beaucoup sont écrits par des médecins. Pourqu
onl assez d’indépendance de caractère pour sacrifier quelquefois leur science à leur conscience, leurs malades s’en trouvent mi
nc à la formation de ces sociétés qui ont pour objet l’étude de cette science encore peu comprise, car nous aimons beaucoup cet
ec eux. Ne vous arrêtez point aux impossibilités qu’a su trouver la science . Méprisez ces vains sermons de prêtres ignorants;
tures; le sens caché cri est resté voilé pour leurs faibles yeux. Une science grande, noble et venant de Dieu, est répandue sur
st donc favorable à nos projets. La magie revivra, car elle fut une science profonde , elle part d'une vérité inconteslable,
il avait jusqu’alors dédaignée. Enseignement. — On ne parvient à la science du magnétisme que par l’étude de ses principes et
é condamnée a trois ans de prison. La justice est satisfaite; mais la science ne le sera que quand on aura fait disparaître du
sme, pressentiments, visions, apparitions,etc., avec les don-néesdela science ; ceque Gall croyaitinconciliable, puisqu’il disai
i, 1817. Il n’y a plus d’enfants, nous sommes tous philosophes; la science est devenue si accessible aux intelligences, qu’a
e magnétisme thérapeutique sur l’opinion des hommes étrangers à cette science ? Quelle persuasion peut porter dans mon esprit
i dans ses effets, leur opinion, contraire ou favorable à la nouvelle science , ne peut pas être pour moi d’un grand poids ; car
e d’ètre dirigé avec la même sagesse, sera le germe d’une faculté des sciences magnétiques. Nous avon3 déjà publié un discours
ta noble vie Tu souffris l’exil, les revers! Mais le flambeau de la science Survit et ta gloire commence. L'expérience enfi
ymptômes et les événements, parviendrait à recomposer en partie celte science perdue. En tout cas, il composerait un livre qui
enfance, et de mille sottises dans ma jeunesse, car elle avait de la science et de l’éloquence à force de tendresse et de vert
heureusement le National ne prétend point être versé dans toutes les sciences , il n’y touche même qu’en passant et donne un cou
, sur la nature des pensées, et du libre arbitre, l’astronomie et les sciences occultes. L’auteur a sacrifié 10 années de sa vie
utation, parmi les curés doyens, chanoines titulaires, professeurs de sciences dans de grands séminaires, et dans des établissem
e témoignage de trois pontifes recommaiidables par leur piété et leur science . Ce sont Mes-seigneurs Bouvier (1), évêque du Man
écrire qu'il n'oserait pas condamner ceux qui font usage de • cetU science . Nous nous abstenons de réflexions sur la doubl
magnétiser sans qu’il y ait au moins un témoin oculaire, parce que la science ne ferait que gagner à ces sages précautions. E
tie du mois dernier. Ce n’est certes pas un faible triomphe pour la science ni pour l’humanité un don de mince valeur que de
vertit. Et, ne sont point à plaindre, non plus, ceux qui, à défaut de science et de réalité, savent inventer un langage plus in
uis, en liberté, faire sortir de la poussière des temples anciens une science oubliée, je puis lui rendre un commencement de
ira, cependant, pour pénétrer quelques intelligences supérieures. 0 science , que lu es belle ¡avec toi, l’on pénètre l’immens
lieues de Paris; son éloignement de la capitale, centre de loules les sciences , ne nous permet qu’à de rares intervalles de rece
nt quelques notions étaient loin d'imaginer toute sa puissance. Celle science était considérée plutôt comme un amusement que co
gna combien il serait heureux que dans son pays on voulût étudier une science si utile à l’humanité el « qui procure à celu
rages : La philosophie du Magnétisme. Après nous avoir défini celte science , M. La porte s’est attaché à détruire une erreur
gnétisme que beaucoup d’entre nous aujourd’hui désirent étudier celte science admirable dans ses effets et qu’on dit si utile d
rage à publier des faits qui ne sont pas dans le domaine habituel des sciences , car ils rencontrent une opposition toujours très
les Deux-Momies du 1er de ce mois, dans une revue bibliographique des sciences depuis dix ans, constate, à sou point de vue, le
cun la part qui lui revient dans la guérison parfaite d’un mal que la science humaine avait jugé incurable; c’était une tumeur
vail inachevé. Pourquoi n’a-t-il pu assistera la 2° opération? La science magnétique dont il est un des adeptes y aurait en
s do ses expériences, ceux de nos concitoyens qui s’occupent de cette science si merveilleuse qui se nomme le magnétisme animal
t été admis à y assister ont emporté l’idée la plus avantageuse de la science de M. Derrien et des facultés magnétiques véritab
orts avec l’art de guérir. Il dédaigne ces expériences frivoles d’une science sérieuse, qui consistent à faire deviner, sans l'
jelle ses clartés sur les cas de diagnostic obscur, et c'est à cette science qu'il demande des notions sur la nature des maux
e, elle fournil, grâce à sa lucidité, des indications précieuses à la science médicale. Les autres expériences faites par M.
ceux que vous initiez à la plus grande et la plus belle de loules les sciences ; mais si ces réflexions ne sont pas applicables à
vices pratiques éminents poulie bien de l’homme, autant que servir la science en général; mais ce contre quoi je m’élève, c’est
l’emploi en pure perte de tant de forces qui n’ont élé utiles ni à la science , ni à l’humanité, et dont l’usage restera perpétu
de plus en plus à me perfectionner dans l’étude et la pratique d’une science à laquelle vous m’avez initié et à laquelle je po
use, el si ces phénomènes se rattachaient naturellement à ceux que la science a déjà reconnus et constatés, nul doute que les s
, ceux qui n’ont pas reçu la sanction exigée par le scepticisme de la science actuelle, aussi bien que les plus fréquents el le
n’est pas bien maître de son sujet, ou qu’il ignore la théorie de la science qu’il exerce. Partant de ce principe unique de
ais qu’aux savants de le cultiver. Ce n’est qu’un pas de plus dans la science de l’électro-galvanisme. Chacun peut étudier, v
annoncés par les magnétiseurs. Le magnétisme ne passera à l’état de science qu’après avoir fait son stage sous le nom de char
empirisme. Mais les académiciens voudraient qu’on leur apportât une science toute faite, avec des résultats toujours infailli
naire qui finira par se développer et grandir comme toules les autres sciences , par l'observation el l’expérience; mais il faut
tre relevées toutes ici. Nous l’avons dit mainies fois, il y a deux sciences dans le magnétisme : l’une toute physique qui se
ns ce chemin qui n’a pour limites que l’infini. Laissez, laissez la science des écoles à ces savants positifs, amants de la m
icité égalera-t-elle ma sincérité. On dit que plus on avance dans les sciences occultes et plus on devient discret ; ces science
on avance dans les sciences occultes et plus on devient discret ; ces sciences , dil-on encore, doivent être le patrimoine d'un p
tu dois partager leurs erreurs. Et toi, qui veux qu’on le donne la science loule faite, qu’on te la serve comme un mets acad
pprennenl qu’en méditant longtèmpset en domi- nanl sa nature. Celle science nouvelle n'esl donc |>oint pour lui non plus :
nce qui les fait vivre; vous n’avez donc rien à prétendre ici ; cette science n’est pas non plus faite pour vous. Il esl un l
u’on leur parle du magnétisme, que feraienl-ils de la magie, de cette science qui plane sur la leur comme le soleil sur notre h
jets magiques ; des vertus s’y trouvaient empreinles, el, soit que la science ail guidé ces opérations mystérieuses ou que des
Ah ! c’esl maintenant que je puis commencer à décrire ces images ; la science a coloré les passions sans rien nous apprendre du
urs veuillent nous suivre dans les développements successifs de notre science , et nous leur promettons de les rendre possesseur
l’état d’empirisme; bientôt, je l’espère, ils prendront rang dans les sciences humaines. Et d’abord, il y a entre tous ceux qu
azette des Tribunaux). BIBLIOGRAPHIE. Qui veut bien connaître une science , une doctrine doit la prendre à son origine, en s
ulte de cet abandon des ouvrages du fondateur un grand domage pour la science , car la base historique manque à la plupart des c
mer. Je suis loin de récuser les jugements des savants; adeptes des sciences , ils peuvent mieux que personne nous révéler les
en connaître mieux la nalure. Au surplus l’incrédulité, en fait de sciences , est la doctrine la plus dangereuse pour les prog
doctrine la plus dangereuse pour les progrès de l’esprit humain; les sciences ont déjà produit tant de choses élon- nantes, q
e. Les gens du monde la liront avec plaisir ; ceux qui s’occupent des sciences naturelles la liront avec intérêt el avec fruit.
15 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
métaphysique kypermtturel reste inexplicable pour tout le monde ; la science positive le nie ou le rejette dans le domaine des
a plus courte, comme on a cherché a 1 expliquer devant l’Académie des sciences ; mais par le même système des ondulations qu’ell
e électrique qui produit la lumière, aux termes mêmes acceptés par la science . « La lumière est l’oscillation d’une demi-vagu
ste : il suffit de le laisser parler pour juger de sa moralité, de sa science ou de son incapacité ; mais en cela tout le monde
m- mes ;i même de vous affirmer qu'il y a des trésors de morale, de science et de style à obtenir du commerce des bons esprit
ime, qui peuvent en abuser. Comment le faire? Je ne sais ; c’est à la science à le déterminer. J. A. CONSEIL. » VARIÉTÉS.
par le brave commandant. «Le magnétisme est encore de nus jours une science ou si l'on veut un art bien contesté : dcmCme que
science ou si l'on veut un art bien contesté : dcmCme que toutes les sciences leur berceau, il a scs détracteurs et ses panégyr
en avant pour expliquer les phénomènes des tables. Les pontifes de la science , fidèles à leur routine, en sont encore à la déné
des intelligences ayant en elles quelque chose de la sagesse et de la science infinie qui ne peut venir que de Dieu. Toiie XI
poursuivre, ce serait un livre à écrire sur toutes les erreurs de la science . En attendant qu’il se fasse, disons îi nos lecte
celles-ci comme le maître l’eût fait lui-même. Je sais bien que la science a pour tout ceci une explication rationnelle. Vou
parviendra à imiter ; rien ne se fait en nous sans être régi par une science infinie; chaque molécule a sa destination préparé
odiges que nulle autre force ne rendrait possible. Il est vrai que la science rejette les prodiges, par ce singulier motif qu’i
préparer ainsi ce qui rentre dans les desseins d’une providence. La science ne veut point de miracle, et la vie en est un per
s extérieurs ou internes qui savent se faire obéir. Où la véritable science manque, l’illusion apparaît; on pourrait brûler b
ivres, chefs-d’œuvre de nos grands docteurs, sans aucun préjudice. La science est à refaire. Je dis donc qu’il y a en nous de
s à l'écho, nous ne conservons rien de cet ébranlement passager. La science des écoles est donc la plus vaine des sciences, c
anlement passager. La science des écoles est donc la plus vaine des sciences , car les hommes qu’elle a formés ignorent ce que
ncore un mot inventé pour couvrir l’ignorance; car sur ce chapitre la science officielle balbutie et sàit fort bien qu’elle ne
ètes des esprits dans le temps présent, et pour montrer qu’en fait de sciences morales nos savants, pour en connaître quelque ch
ns comme preuve de l'état avancé et d'expérimentation complète que la science retrouvée par Mesmer avait atteint à leur époque.
la tradition pour exemple, et nous a ainsi transmis un vestige de la science antique ? HÉBERT (do Garnay). Nécrologie. — N
qu’il touche à sa fin. Les magnétistes, acculés sous les murs de la science qui leur conteste le droit d’asile et refuse sa p
x ans que De Maistre écrivait (1) : « Attendez que l'affinité de la science et des idées religieuses soient réunies dans la t
ise toutes les explications précédentes, jette fièrement le gant à la science dont il raille l’impuissance, et, parvenu au term
’aussi hautes prétentions, il ne faudrait rien moins qu’un prodige de science , une œuvre de génie capable de reconstruire l’édi
dmet la réalité d’un grand nombre de phénomènes transcendants dont la science ne peut rendre compte. Il en raconte plusieurs do
. 11 nous suffira d'en citer un exemple pris parmi les sommités de la science médicale, Ceorget s'exprime ainsi dans son testam
avec le corps. Dans l’intuition pure, l'agent immatériel jouit d’une science infuse exempte de toute erreur. L'intuition sen
d'elle-mêine à son terme de réunion (1). » Les degrés variables de science et de volonté sont la cause unique de la diversit
livre et d’en briser les sept « sceaux. » Dieu seul, dans son infinie science , connaît les choses à venir qui ne sont point lié
ue sur vos têtes; c’est à vous que l’on déclare la guerre; c'est à la science que le défi s’adresse.... Mais non ! vous restere
vent cherché infructueusement dans les ouvrages qui traitent de cette science humanitaire, des signes à l’aide desquels on pût
en ce genre les succès les plus satisfaisants. Quoi qu’il en soit, la science doit recueillir tous les faits, de quelque part q
lui ont pieusement fermé les yeux. Sa dernière pensée a été pour la science magnétique, à laquelle il s'était consacré tout e
a. Depuis, il a vécu modestement, et ne s’est plus occupé que de la science magnétique. Vgrée/., etc. PP.TBUS DARAC.NON.
yeur qui le dégoûtera de toute nouvelle entreprise sur le domaine des sciences occultes. » Les accidents de cette nature ne pe
t tenir bien longtemps encore devant les con- quêtes récentes de la science , devant ces courants d’opinions qui se manifesten
ffligeant que cette profanation du magnétisme! Ravaler à ce point une science dont l’exercice devrait constituer un véritable s
ui pourrait entraîner les plus graves désordres, a. s. MORIN. I.A SCIENCE FUNESTE , roman magnétique, par Mm« Axs* Marie.
nt fait voir tout ce qu’il y a de grandiose et de poétique dans cette science admirable ; en transportant la réalité dans le do
veillée, beaucoup de lecteurs ont voulu connaître par eux-mêmes cette science qui produit les prodiges dont la peinture leur a
evine, et souvent ses fictions ne sont que la révélation de ce que la science découvrira plus tard, car la voix prophétique de
s convenables, et qui enfin peuvent être considérés comme acquis à la science . On ferait une autre catégorie de tous les faits
rveilleux ainsi outré est évidemment fabuleux ; mais le devoir «le la science est de s’enquérir où est le point de partage entr
es dangers du magnétisme etde le faire prendre en aversion : c'est la Science funeste, par M..... \iina Marie (comtesse d’IIa
, s’exprimait ainsi : « .. .Nous signalerons particulièrement cette science funeste du magnétisme animal, dont la seule dénom
ceux qui la professent, la pratiquent et s’efforcent de la propager; science perturbatrice, dont tout l’effet est de mettre le
e-t-on pas? La plupart des progrès en chimie, tout en enrichissant la science et l’industrie, ont fourni des armes au faussaire
estion de la nature du magnétisme, quand elle se demandé si c’est une science terrestre, ou si ce n’est pus plutôt une science
demandé si c’est une science terrestre, ou si ce n’est pus plutôt une science dont te secret n’est pas pour nous... Ce qui prou
et n’est pas pour nous... Ce qui prouve péremptoirement que c’est une science terrestre, dont le secret est pour l'homme, c’est
ans l’âge mythologique qu’on fait un crime de toucher à l’arbre de la science : dans l’âge historique, l’homme au contraire n’a
paradis terrestre, et de conquérir le fruit précieux de l’arbre de la science , noble prix de ses travaux. A. s. MOBIN. M. J
savait donc, en astrologie, plus que les autres professeurs de cette science , pour s’élever comme il faisait, et se faire cour
investigations jusqu’à leur terme. Nous croyons que les progrès de la science et les vrais intérêts du genre humain retireront
-on de tous côtés, — nous sommes avides de connaître; révélez-nous la science occulte. Vous dont les paupières s’abaissent au
e produit ! Mieux vaut pour vous conserver les illusions de la fausse science des écoles. N’allez point, croyez-moi, sans novic
M. Noizet, général du génie, homme considérable, qui, par l’étude des sciences exactes, a appris à observer les faits et à les j
é, tant il a été exploré, l’auteur a su être original, il enrichit la science en lui apportant ses vues ingénieuses sur la théo
a lumière et le magnétisme, loin d’être démolie par les progrès de la science , n’a-t-elle pas reçu une sorte de confirmation de
lui attirera de nombreux adhérents. C’est un beau monument élevé à la science . Malheureusement tout le monde ne pourra pas en a
s ôrdenes nacionalcs y trangeras. — Br. in-18. La Corogne, 1853. La science , en général, ne se forme et ne se répand que par
pper ici à la censure séculière, là à la censure cléricale; car toute science a nécessairement un côté philosophique la rattach
plorable opposition qui, née et entretenue dans les sanctuaires de la science même, s’est prolongée jusqu’à nos jours, et sera
ort de 178â, et ce rapport est toujours le Koran de nos académies des sciences et de médecine. C’est dire que ces institutions,
al ; d’où il suit que les contrées les moins favorisées du côté de la science et de la liberté reçoivent toute faite une doctri
Elle a eu ses beaux jours dans les arts et les lettres; le tour de la science est venu pour ce noble et malheureux pays. Déjà q
deux côtés des Pyrénées seront en communion intime relativement à la science magnétique. Cette espérance nous est donnée par
tendant à établir une certaine corrélation entre le magnétisme et les sciences physiques. Invo- (I) Voyez Journal du .Vagnclis
urage! et au revoir!) BAÎHAUT. LA MAGIE DU XIX6 SIÈCLE, revue des sciences occultes et analytiques comparées. — Magnétisme r
ie aux progrès de l’esprit humain, qui se rattache à tout ce que la science a de plus élevé. A toutes les époques, certains h
as par là le danger dont elle est menacée. De même les pontifes de la science , en se mettant un bandeau sur les yeux pour se di
limites du possible ; il a jeté une vive lumière sur les mystères des sciences occultes, a servi à expliquer un grand nombre des
d’un passé plein de grandeur, et l’a vengé des sarcasmes d’une fausse science qui avait cru pouvoir rejeter tout ce qui dépassa
ro avec un soin scrupuleux. 11 se pose en hiérophante qui possède une science immense, à laquelle il veut bien nous initier ; i
redresser l’esprit humain, de remettre dans la bonne voie toutes les sciences qui, privées jusqu’ici de ce guide puissant, se s
urrait dire autant de beaucoup d’autres choses qui ne décèlent ni une science profonde ni un jugement droit ; mais sous ces rug
e demi-douzaine d’ouvrages sur le magnétisme, le somnambulisme et les sciences dites occultes. Il fait à peu près régulièrement
ngage est même trop brillant pour rendre les vérités abstraites d’une science aussi vague que l'est encore le magnétisme. La re
rature et de la police, comme le font les adeptes fanatiques de cette science , nous nous sommes enquis des motifs qui avaient e
e tous les côtés. TOME XIII. — N° 181. —10 MAI 1R54. 9 Dans les sciences , il n’y ;i point de tribunal, il n’y a point de j
magnétisme, — et qu’elle a exécuté son décret; lorsque l’Académie des sciences , sans avoir pris de mesure aussi formelle, est re
lètement étrangère au mouvement de l’opinion publique en faveur de la science nouvelle du magnétisme ; Il nous semble que la
ble que la doctrine mesmérienne, plus généreuse que son adversaire la science officielle, doit, dans son journal, examiner ce q
tournantes, M. Babinet rappeler l'anathème formulé par l’Académie des sciences contre la navigation ;ï vapeur, et surtout rappro
quelques pages de distance, — pour déplorer ici « que l’Académie des sciences soit malheurcuscmeni accessible à toutes les prét
Babinet. D’ailleurs, il le sait fort bien, en mécanique, qui est une science positive et parfaitement fixe, il suffit de poser
attraction n'est qu'une hypothèse ; ce qui fail do l'astronomie une science positive , e'est l'exactitude, déduite de l'obssr
oque-morts, métier d’argousin. — Métiers utiles, sans contredit, mais sciences insuffisantes pour faire connaître la vie physiqu
de plus son globe comme le pi vol de l’univers, est assez avancée 011 science pour être modeste. Nous pouvons donc le déclarer,
le croit. Le phénomène du mirage est le produit d’une illusion que la science explique. Tous voient un lac, dont une île, sur l
ènes, et à les comprendre sous une seule loi. Le magnétisme est une science qui a des principes élémentaires clairs et précis
xcitent l’attention publique, et pat-suite — d’amener à l’étude de la science ou à la pratique de l’art magnétique, les esprits
dans le premier article de M. Babiuet l'adoption des principes de la science de Mesmer, que le deuxième article proclame eu te
, et le magnétisme, qui devien-« dront dans peu une belle et positive science physiologique, « — en prenant pour guides les pri
science physiologique, « — en prenant pour guides les principes de la science in-« ductive, quand on ne demandera ii cet ordre
nt trop promptement contre son principe : « La première de toutes les sciences est u de savoir ignorer, » on doit espérer, pour
Tous y viendront chercher les secrets de la nature et s’initier à la science de Dieu. n Ali ! si vous pouviez connaître dès
e était trop grande, car il croyait n’avoir jamais assez fait pour la science nouvelle. Hélas! toute lampe dont on double le fe
néral Cubières, a succombé. Constatons ici, Messieurs, l’erreur de la science officielle; cette science a versé le sang que les
. Constatons ici, Messieurs, l’erreur de la science officielle; cette science a versé le sang que les batailles avaient épargné
ntages auxquels il avait droit. Que voulez-vous, Messieurs, la fausse science s’est réservée le monopole de tout ce qui rapport
ce bientôt notre intelligence à recourir au passé pour y retrouver la science antique, la magie, c’est- à-dire la science des
ssé pour y retrouver la science antique, la magie, c’est- à-dire la science des sciences, car elle emprunte quelque chose ii
etrouver la science antique, la magie, c’est- à-dire la science des sciences , car elle emprunte quelque chose ii la divinité.
magnétisme porte en lui-même le principe cerUiu de la rénovation des sciences , — en lui est lu vie el lu lumière. Il est donc f
si que ses merveilleux attributs, rien ne pourra arrêter l’élan de la science nouvelle, et en voici les premiers bienfaits :
it, sans en sortir jamais, le monde savant, est franchi, le pivot des sciences est déplacé, et l’humanité marche vers un progrès
de la découverte du magnétisme, il en est la conséquence logique. La science des écoles aura beau repousser, rejeter l’agent d
réciproquement à la propagation des principes destinés à régénérer la science et à contribuer puissamment au bien de l’humanité
petit nombre de sectateurs obscurs, il semblait condamné à périr ; la science , Îiar la voix de ses interprètes les plus impos
manifeste. D’innombrables sectateurs s’occupent avec ardeur de cette science nouvelle, sont heureux et fiers de la Eiropager
jamais cessé de lui appartenir, mais que l’ignorance ou une fausse science avaient fait méconnaître ; il a rendu au Roi de l
livre ouvert, y découvre des lésions qui échappent aux regards de la science , et découvre les remèdes les plus propres à guéri
par le Créateur, de pénétrer de plus en plus dans le sanctuaire dé la science , et d’atteindre le plus haut degré de perfectibil
de raison cette croisade entreprise par le clergé, contre un fait de science , la rotation des tables; son discours, où la form
otre président nous a tracé dans un long tableau la situation de la science , il nous a montré sa marche toujours ascendante,
en parcourant leurs forêts inexplorées; eux, les nouveaux-venus de la science , ils nous révèlent de merveilleux phénomènes ; il
ute station est un danger ; qu’ils évitent l’ombre, le mystère tue la science . L’histoire du passé donne de graves enseignement
, ses armées l’épouvantaient, ses sages avaient approfondi toutes les sciences et connaissaient les causes et les effets des cho
barbare qui a oublié jusqu’au nom de ses ancêtres. La religion et la science , cachées dans les temples, n’ont laissé arriver à
re a tué jusqu’au souvenir de ses découvertes. Au lieu de répandre la science , cette source de vie, comme les eaux fécondantes
lle a fait de l’étude une conspiration ; elle a donné ii une caste la science qui appartient au monde. Elle a semé l’ombre, ell
on antique. L'n principe puissant a été proclamé ; la liberté dans la science est reconnue par tous les peuples, elle suffirait
raison douteuse De toucher, écouter et voir; Tout co qu'on appelle science N’est qu'une flagrante ignorance. Peu do fond,
sans cynisme ; Droit sans fierté ni dédain ; Cn chemin pour touto science , Pour tout œil, toute intelligence, Et pour l
i s’on va criant à la terre : « Voici le divin magistère Qui mit la science aux abois ; La force qui dompte la bêlo Lorsqu'
e de la fête, M. du Potet demande ù. porter un toste à l’Académie des sciences morales et politiques; il s’exprime ainsi : ( M
e ma subite admiration. « Vous savez, Messieurs, que la section des sciences morales avait mis au concours la.question du somm
n sache quels furent les hommes de bien qui contribuèrent à fonder la science mesmérienne. ■> Chaque nom proclamé est acco
révélateur, et lui-même se croit plutôt chef de secte que glaneur de science . Ses allures mystiques, le ton dogmatique de ses
au catholicisme et au protestantisme, qui prétendent aussi servir la science en la soumettant à leurs dogmes. Le magnétisme
e dit que j'ai mérité cette distinction. L’étude et la pratique de la science de Mesmer a toujours été le mobile de uia vie, et
, parue il y a quelque deux ans. En 1843, j’envoyais à l’Académie des sciences la brochure intitulée : Etudes physiques. Là il y
ujourd’hui inaperçue. « Jusqu’ici, j’ai donc bien travaillé pour la science , j’eus pu faire plus, c’est vrai ; mais qui est p
tre illustre Société a cru devoir honorer mon peu de lumières dans la science magnétique, et je me regarderais comme entaché d’
à la Société par de nouvelles recherches dans le vaste champ de notre science divine, j’espère pouvoir justifier l’opinion que
s insultes des aveugles et des furieux calomniateurs ennemis de toute science et de tout progrès, je ne manquerai pas de contin
s pays, après les derniers événements politiques; et cela pour que la science du grand Mesmer et la vérité qui en jaillit reçoi
consignés dans le Journal du Magnétisme et autres ouvrages sur cette science , il est certain que le somnambulisme artificiel p
pas toujours amis de la publicité, et qu’ils aiment mieux obéir à la science qu’à leur conscience? D' LOUYET. 2° DANSE DES
la propagation. Recherchant avec soin tout ce qui se rattache à cette science , il a pensé que les phénomènes observés par lui e
es niais qui constituaient ce qu’on appelle le public. L’Académie des sciences fut donc chargée de donner son avis sur une chose
nné, » dit M. le I)r Piorry, à. l’article massage du Dictionnaire des Sciences médicales, « que les magnétiseurs n’aient pas déj
vent toute innovation et toute découverte qui sortent du cercle de la science reçue et acceptée par eux. M. Clément, lui, nie t
e excessive prudence, et dans un bon but — par exemple, l’amour de la science , le désir de soulager ses semblables, — aux expér
peu magnétiseur, prédécesseur ignoré de Mesmer, mais qui pratique la science des fluides dans uu tout autre but que ce dernier
trop exagérés, indiquent cependant des dispositions sérieuses pour la science de Mesmer. Quantà M"" Cerrito, la charmante balle
frayeur l’avaient tuée. » Il y a au fond de tout ceci uu art et une science ; mais, avant la science et l’art, la magie, chez
Il y a au fond de tout ceci uu art et une science ; mais, avant la science et l’art, la magie, chez tous les peuples, a comm
n’a pas changé. AUX LECTEURS. « Y a-t-il un intérêt réel, pour la science et l’art de guérir, à ce que la question du magné
idéré sous certains rapports, peut fournir de nouvelles lumières à la science et à l’art de guérir, elle s’est donc empressée d
frère passe à l’exatncn des doctrines et des faits qui constituent la science de Mesmer. Nous allons le suivre brièvement dans
t pour le mesmérisme ce qu’il fit (1) Leçons d'anatomie. pour les sciences anatomiques. Sur le terrain du somnambulisme, 011
in que l'humanité aurait déjà des douleurs de moins, et que, dans les sciences , le progrès aurait fait un pas de plus. Après C
uvier, que puis-je faire de mieux que de citer le vénérable doyen des sciences européennes, M. A. de Hum-boldt ? « Des observa
endances physiques à pousser le mesmérisme dajis la voie exacte de la science proprement dite. Ainsi, quand l’on touche avec le
mbulisation lucide assurée. Les lois physiques ont fait marcher les sciences , elles feront marcher le mesmérisme. Il faut fair
ent et dévorent ; parce qn’ils sont le jardin où l'arbre qui donne la science de la vie plante ses mystérieux rameaux. En effet
Triste ou non, la vérité doit entrer sans honte dans les cadres de la science . Le prélude, tout à l’heure insinuant, bientôt
s révélées par l'arôme qui s’échappe continuellement de l'arbre de la science , et que l’on respire sans s’y attendre. Que s’est
oit en faire justice; mais nous devons protester dans l’intérêt de la science nouvelle, et signaler ces infamies à nos contradi
e trouve le dernier mot de l’énigme humaine tant cherchée. Bientôt la science officielle s’emparera de nos conquêtes, elle nous
s dépouillera pour s’en revêtir. N’en soyons point jaloux ; car cette science , jusqu’à ce jour si rebelle, travaillera pour l’h
magnétiques. Bientôt ils auront en main le faisceau tout entier de la science nouvelle, et ils s’honoreront d’être les promoteu
ouvait. La philanthropie était satisfaite par ce dévouement ; mais la science , elle, avait tout désirer, rien de régulier n’exi
uveaux apôtres, relevés du mépris jeté sur eux, ayant conquis pour la science officielle richesse et gloire, pourront, dans leu
me siècle; il annonce qu’il va initier ses lecteurs à la magic, cette science mystérieuse et redoutable dont le nom seul épouva
peu.....à ne pas comprendre. Vous voyez que la magie n’est plus une science ; c’est tout bonnement un art, comme la musique ou
titutionnel du 15 juin, rendant compte d’une séance de l’Académie des sciences , l'appréciation suivante d’un fait communiqué à l
its frappeurs de sa ville, et il vient de le révéler à l’Académie des sciences par la bouche de M. Rayer. «Le docteur allemand
force à jeter le trouble dans toute autre société que l’Académie des sciences . « Avec ce petit talent d’esprit frappeur, notr
dons îi force d’exercice; 011 lui doit un prix pour son invention. La science , on le sait, invente rarement; elle se montrera d
, dont les petits enfants malades n’avaient plus rien à espérer de la science et de l’habileté des médecins. Elles les avaient
gnétisme, à laquelle je me suis voué, parce que dans l’étude de cette science seulement j’ai aperçu et compris la vérité. Plût
s ténèbres qui l’environnaient; il comprenait bien qu’en dehors de la science classique existait un principe plus grand, plus i
errompue de jours de souffrance et de désespoir. Ce 11’est pas que la science officielle n’ait essayé de donner quelque consola
a nombreuse variété fies phénomènes magnétiques ; aucun mystère de la science mesmérienne n'est étranger à l’immense érudition
mais aux adeptes nouveaux, aux néophytes inexpérimentés encore de la science régénératrice, que je crois devoir adresser le ré
a capitale de la Corse, ma résidence actuelle. Dans l'intérêt de la science nouvelle autant que de la vérité , je dus m’entou
ance de nos lecteurs. » — Eu analysant le remarquable Traitt. de lu Science tnf-dicnlc du IV Edouard Auber, Y Union, du 23 fé
tannique ; il est professeur de chimie ; il a cultivé avec succès les sciences positives; il sait observer, analyser, mesurer ;
, et applaudit aux efforts de l'illustre professeur pour restaurer la science antique. 11 constate avec bonheur qu’il a été é
diagnostic; car Bérard, dans son article Extase, du Dictionnaire des sciences médicales, s’exprime en ces termes : «Quelquefois
uir par les ap -parences, ne peuvent s’empêcher de reconnaître que la science de Mesmer a failli se perdre dans des écueils d’u
euses, cette cause ne peut Être bien comprise qu’à, l’aide de cette science , encoie si imparfaite, dite magnétisme animal; et
étiseur n’ont-ils qu’une durée temporaire; aussi le magnétisme, comme science pratique, nous semble-t-il très-difficile et même
Là est le véritable obstacle à l’introduction du magnétisme dans les sciences pratiques ; là est le secret des chutes successiv
nouvelle importante et si impatiemment attendue ; v L’Académie des sciences morales et politiques a, dans sa séance du 19 cou
c’est l’abus du néologisme. Sans doute le néologisme, surtout dans la science , est un droit pour celui qui a de nouvelles idées
mènes d’électricité et de magnétisme minéral tout à fait inconnu à la science , et qu’il lui serait facile de mettre hors de dou
sont peut-être changés, et qu’une tentative auprès de l’Académie des sciences a chance de réussite. Nous lui dirons de plus qu’
’industrie, ces découvertes fécondes faites dans les arts ou dans les sciences physiques ! Est-ce que le principe mystérieux qui
et ont embrassé la foi nouvelle. Il est du plus haut intérêt pour la science d’étudier ce mouvement intellectuel, et surtout d
ne), promoteur zélé de tout ce qui se rattache aux arts utiles et aux sciences physiques et même occultes, se trouvait à Bourg-\
é d’une imagination vive, enthousiaste au dernier degré de toutes les sciences physiques, et surtout du magnétisme qu’il pratiqu
es hommes à secrets, des gens enfin qui ne savent rien, réussir ou la science échoue? Si la réflexion venait un jour saisir la
s maux, comme dans les plus petits, et voir sans frémir de crainte la science actuelle réduite à compter les victimes. Baron
suivre les progrès du magnétisme dans tous les pays civilisés. Cette science sublime, dont tant de gens en France persistent e
et regarde comme un devoir de se mettre en avant pour protéger cette science naissante. Après quelques autres remarques sur l’
onyme d’imposture. Un seul journal osait reconnaître la réalité de la science , la plupart la traitaient avec mépris , les autre
nature, sa limite et sa fin. Je dis tout ceci sans trembler devant la science officielle ou académique, car elle est incapable
et à la poursuite de la vérité ; voyant l’indifférence bestiale de la science officielle en présence d'une découverte qui tra
rendre l’intensité de la con- Tovb XIII. — — 10 OCTODBE 185*. 19 science qui veste aux morts, d'eux-mêmes et Mes êtres a\e
religieux ou politiques, et se sont toujours gardés d’en répandre la science dans les masses. Ils n’employaient pas seulement
de Strasbourg ? Cependant mon plan est plus vaste ; je désire que la science retire un plus grand avantage des sacrifices que
plus et mieux, nul 11e vous en empêche; agrandissez le domaine de la science magnétique, faites de nouvelles découvertes, retr
retrouvez la magie ; prouvez que je me suis trompé, vous servirez la science ; car celle-ci ne doit vivre que de vérités. Aux
es cas. » Les D" Esdaile et Elliotson réunissaient, comme hommes de science , toutes les conditions exigées ci-dessus. Je suis
entifique. Rien n’est plus téméraire et plus contraire au progrès des sciences , que de prétendre connaître toutes les lois de la
eil, que la ville d’Edimbourg, renommée pour la culture de toutes les sciences , avait eu l’honneur de fournir au magnétisme un g
leurs travaux importants, ont puissamment contribué aux progrès de la science . Il a exposé que l’association provisoire qui a
ui qui saura en former un faisceau, et utiliser, dans l'intérêt de la science et de l’humanité, tout ce qu’il y a d’ardeur et d
é ne doit pas nous les faire repousser ; ce sont des matériaux que la science parviendra à trier et à utiliser. 1° Le juge La
enou malade depuis environ dix ans, et dont le mal avait résisté à la science des meilleurs médecins d'Angleterre. Il arriva qu
endante, il ne pourra plus être compromis par le charlatanisme, et la science des écoles sera sommée de rendre ses comptes. M
ises en pratique? Nous ne nous croyons point un grand pontife de la science nouvelle, et ne prétendons à d'autre titre qu’àce
n mot , ou plutôt faut-il, pour être philosophe, approcher du déclin? Science ! science! tu te.fais chèrement acheter, et lorsqu
u plutôt faut-il, pour être philosophe, approcher du déclin? Science! science ! tu te.fais chèrement acheter, et lorsque, par un
TE. BIBLIOGRAPHIE. LE MAGNÉTISME. — Vérités et chimères île cetto science occulte. — Un drame dans le somnambulisme, épisod
gtemps devoir se renfermer, et arriver à l’examen consciencieux d’une science qui, comprenant les phénomènes les plus important
er les principes qui, d’api ès lui, doivent guider dans l’étude de la science , et auxquels tout homme d* bonne foi ne peut manq
arce qu’on ne peut les expliquer? 11 faudrait donc rejeter toutes les sciences humaines.... Quand les faits sont certains, ne re
es se passent, elle est contestable, et peut-être les progrès de la science conduiront-ils à adopter d’autres systèmes. Mais
semblables. Oui, le magnétisme existe partout dans la nature; mais la science du magnétisme consiste à s’emparer de cet agent m
orps savants, vinssent remplir cette lacune et élargir le champ de la science . M. Bellanger s’est occupé particulièrement du
nathèmes et des déclarations d’impossibilité si souvent lancés par la science officielle, il reconnaît la réalité des phénomène
ù la lucidité a été constatée d’une manière irrécusable. 11 invite la science à revenir de ses préventions; il demande qu’on ch
aux règles du Codex, se sont trouvées parfaitement efficaces. Que la science de la thérapeutique n’y ait pas gagné, cela se co
rs crises, qui composent comme une seconde existence, s'initient à la science , il est probable qu’alors leurs prescriptions, au
. S’il ne sc fût agi que d’en présenter les traits qui intéressent la science , il aurait suffi de deux ou trois pages ; la lo
s est insoluble. Il est téméraire de prétendre fixer les bornes de la science et de déclarer que nous ne pourrons jamais connaî
le impose aux corps. Pourquoi n’en serait-il pas de cette branche des sciences expérimentales comme de toutes les autres où l’ét
plication ne le satisfait, il attendra sagement que les progrès de la science en fassent éclore de meilleure. A.-s. MORIN.
observées sans méthode, et ne peuvent servir à la constitution de la science . 11 faut donc délaisser ces relations incohérente
il sera possible d’en tirer des inductions certaines, et peu à peu là science se fera. Alors les sceptiques, voyant notre témoi
connaissances imparfaites. L’expérience, cette impartiale justice des sciences , les mettra bientôt d’accord sur les principes d
es limites du Mexique, est un chercheur consciencieux, versé dans les sciences et connu dans une grande partie des États-Unis. I
entôt des œuvres plus admirables; les sceptiques seront confondus, la science des écoles pâlira devant la nouvelle science, car
ues seront confondus, la science des écoles pâlira devant la nouvelle science , car celle-ci est divine, tandis que l’autre est
changer, altérer les lois de la pesanteur sera le commencement de la science divine. — Où donc puisez-vous cette assurance?
s produisons déjà. Notre infériorité tient à notre ignorance, mais la science se fera. Cet instrument divin est maintenant en
leurs efforts, on peut dire qu’une nouvelle force est acquise, que la science va s’enrichir de précieuses découvertes, que des
tion des esprits; alors surgit la question immense du surnaturel ; la science épouvantée est tentée de décliner sa compétence e
considère les admirables résultats comme acquis définitivement à, la science , et il s’exprime de la manière la plus flatteuse
e pensée, d’autre préoccupation que d’élever le magnétisme au rang de science ; dont l’expérience pratique, les connaissances s
ces spéciales sont incontestables, et qui fait de la culture de cette science l’unique emploi de son temps. « La pensée qui a
« La nouvelle Société se donne pour mission principale d’épurer la science , de contrôler ses procédés, de signaler ses erreu
dresse devant la vérité ; je trouve l’homme rempli des erreurs que la science fausse a, dès son jeune âge, semées dans son cœur
frères sur les principes, la pratique et les avantages de la nouvelle science , ce médecin passe brièvement en revue l’histoire
savants du premier ordre, des médecins assis au point culminant de la science , des savants de toutes les nations, a posé en pri
1 vol. in-8. Paris, 1854, Germer-Bailüère. C’est encore un homme de science , un médecin qui, sans s’inquiéter des oracles de
nt et réfléchissent autrement que nous, et qui pourront apporter à la science le tribut de leurs méditations. Quelque opinion
justesse? C’est douteux pour le moment, parce que les parvenus de la science sont, comme ceux de la fortune, peu disposés à bi
esprit de tous les magnétiseurs. Plusieurs, en effet, cultivent les sciences inductives et peuvent trouver des rapports scient
Tome XIII. — K° *Of. — 10 DÉCEMBRE 1854. 23 fessions, étrangers aux sciences , ayant à peine la notion du juste et de l'injuste
découverte la plus utile aux hommes? Les Facultés de médecine et des sciences avaient donc perdu le sens commun, pour laisser a
uestion. J’instruirai donc le procès de tous ces félons de la vraie science . Le public jugera. Baron DU POTET. Revue «le*
l'éducation nous ont paru une garantie suffisante en attendant que la science se prononce sur un point si susceptible de contro
a pas été dit, aussi trouve-t-on ici des détails fort curieux sur les sciences occultes, la divination, les pressentiments, les
promis de ne me singulariser en rien, d'accepter comme les autres la science merveilleuse de l’adepte, ou du moins d’en avoir
trigant. L’inconnu est si séduisant! Le prisme des découvertes et des sciences astrologiques a tant d’éclat! Ce que je ne puis d
’une certaine expression de fatalité. Du reste, il croit beaucoup aux sciences occultes, et je l’ai entendu assurer qu’il y avai
magnétiseur émérite; car si d’autres alors lui étaient supérieurs en science il les surpassait en talent. Des cures nombreuses
nt exploité des richesses souterraines et assez mal cataloguées de la science mesmé-rienne. C'est à ce titre que je cite une
t pour quelque chose dans les phénomènes du magnétisme, puisque cette science sape le matérialisme en prouvant tangiblement l'e
le magnétisme, que ces messieurs restèrent bien convaincus que cette science prendrait bientôt place parmi ses sœurs et serait
que le magnétisme, semblable à 1 astronomie, à la géologie et autres sciences qui progressent, pourra froisser quelques-unes de
vérité. — Où est donc l’ennemi ? — Dans la citadelle de la fausse science . — Où sont ses forteresses? — Ne les vois-tu
rocédés à suivre pour le produire, 81, 161, 356. Clergé (le) et les sciences occultes, mandements et lettres pastorales de div
, 508. 562, 733. Vue rétrospective, 506. VARIÉTÉS. Académie des sciences morales et politiques. Voy. Institut de France.
, d'après un tableau de Mola, 58 Institut de France. L'Académie des sciences morales et politiques décerne un prix à M. Albert
502. 535,569, 645, 699, 717. Romans de magnétisme ou de magie : La Science funeste , par Mme Anna-Marie, avec commentaires p
ue, par M. A. S. Morin. 180. . Magie (la) du XIXe siècle, Revue des sciences occultes et analytiques comparées, etc., par A. M
M. A. S. Morin, 701. Magnétisme (le). Vérités et chimé-res de cette science occulte, etc., par le Dr Bellanger. — Analyse, ex
e (pseudonyme). — Extrait et examen par M. Hébert (de Garnay), 709. Science (la) funeste, roman magnétique, par Mme Anna Mari
16 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
ères injures et des démontis flétrissants sont sortiB du temple de la science , comme remerciements de nos généreux efforts. Cet
nies ne nous ont lassés. La vérité s'est ré- panduo on dehors de la science ; elle court le monde, niais sans guides, excitant
tout, c’est la santé. Que lui parlez-vous des progrès des arts et des sciences ? Il voit leurs splendeurs avec indifférence; vous
re, nous pouvons soulager ceux qui souffrent, guérir même ceux que la science , jusqu’à ce joür, n’a pu guérir;» vous verre* fie
poursuivons l’étude ; elle a cheminé malgré les oent mille voix de la science qui furent d'abord opposées à un® seule. Elle a g
u qui marchent avec nous, ses effets sont reconnus, non encore par la science (son témoignage qu’elle refuse est au reste inuti
ains, nous avons arraché les épines. D’autres leur enseigneront une science magnétique; nous, nous avouons tout haut qu’elle
allons mettre sous leurs yeux les pages merveilleuses d’une nouvelle science . Notre sincérité égalera la pureté de nos intenti
’une vérité méconnue et cependant utile à tous, son admission dans la science et son enseignement dans les écoles. Le succès es
devons pourtant ajouter que, le magnétisme étant un fait acquis à la science et au-dessus de tout doute, nous n'accepterons au
sirons pas la guerre avec les apôtres de la médecine classique, de la science dite exacte; mais, si nous sommes provoqués, nous
nous vivons, surtout dans les progrès prompts et extraordinaires des science » naturelles. C’est pourquoi l’existence du magnét
oi l’existence du magnétisme, placé sous la protection générale de la science , est dorénavant assurée à jamais d’une manière fi
mais encore dans la puissance universelle des forces vitales et do la science . a Le magnétisme étant, pour ainsi dire, le dév
ous avez produits retombent dans l’oubli, et que les matériaux que la science réclame soient à jamais perdus? J’augure mieux
et publier les résultats de nos investigations dans le domaine d’une science encore peu connue. Si vous acceptez ce concours q
e même, ce sont des idées neuves, des fuits qui lui apprennent que la science fait chaque jour un nouveau pas en avant, qu’à de
s que nous ne sommes animé que par de nobles passions : l’amour de la science et celui du bien public. Pour nous juger, il fa
es qui prouvent que nous avons travaillé rudement dans le champ de la science magnétique et l’avons arrosé de nos sueurs. Il fa
eurs fois, le magnétisme étant nié devant moi par des autorités de la science , mis en doute, pour un instant, mes propres résul
eaucoup d’esprits de l’étude du magnétisme. Le merveilleux effraie la science , et nous aurons beaucoup de peine à faire compren
istre, une nouvelle preuve de ce qui se prépare? Cherchez-la dans les sciences ; considérez bien la marche de la chimie, de l’ast
mpose; mais attendez que l’affinité naturelle de la religion et de la science se réunisse dans la tête d’un seul homme de génie
s, no sommes-nous point à la veille du plus grand changement dans les sciences ? Cette ère nouvelle n’est-elle pas prochaine? Qui
rchitecte qui les fera servir à la construction du nouvel édifice des sciences . Dès nos premiers pas dans la carrière que nous
magnétisme; aussi nous y sommes-nous attaché. Le progrès des autres sciences nous charmait, pensant bien que celle de Mesmer a
et, une fois les phénomènes magnétiques entrés dans le domaine de la science , notre tâche sera finie. Erreur née d'un puissant
Bertrand et cent autres sont morts ; leur vie avait été un appel à la science , appel inutile, car ce n’est pas là qu'il fallait
ire, qui nous apprend que les hommes qui ont fait révolution dans les sciences sont venus dans les temps mêmes où ils étaient né
ec ses dignes confrères sur un homme distingué par des talents et une science rares, sur un vieillard honorable et respecté de
e même de ces hommes qui jusqu’ici se sont déclarés les ennemis de la science sublime que vous répandez avec tant de zèle : c’e
naturel de chercher un soulagement lorsqu'on souffre que, quoique la science ait dit : Il n’y a point de remède, l’on doit par
erchant à produire un soulagement, quelquefois une guérison, là où la science médicale a reconnu son impuissance. La nature a
e agent, qui l’isole enfin (I)? Hélas! tout ceci est du domaine do la science , et nous ne sommes pas savant. C’est au physicien
je dois le dénoncer à voire esprit élevé et libéral, en dehors de la science , qui, malgré d’innombrables appels, a voulu resie
orance qui compromet, la passion qui pervertit en la travestissant la science la plus honorable. -Créez une chaire de magnétism
is, car la demande que nous avons l’honneur do vous faire est pour la science que nous étudions et non pour nous-méme. Baron
à l’Académie des Sciences, où il fut flagorné pour avoir préservé les sciences d’une grande erreur, qui, disoit-on, faisoit la h
ui les rejette? ils serviront dans l’avenir; rien n’est perdu dans la science ; ce qui n’est pas compris aujourd’hui le sera dem
que l’erreur s’évanouit. Le magnétisme, un jour, sera la gloire de la science ; mais, hélas ! ce jour est loin encore, et nous n
s. En d’autres termes, le magnétisme repose sur une vérité; c'est une science réelle. J’ai surtout dirigé mon attention vers so
peut faire pendant le sommeil magnétique; je ne les rejette pas de la science , mais je ne me suis occupé que de la puissance th
ant champ de recherches pour les médecins philanthropes et amis de la science . Je désire bien sincèrement que quelques médecins
sieur, Tous les magnétiseurs devant concourir à l’édification de la science magnétique par la publication de leurs travaux et
ïes instruments investigateurs de la vie, ou tout atftfe moyen de la science , avaient présagé la mort comhle prochaine cl inév
ns pardonné quand des hommes, qui pouvaient devenir le flambeau de lu science , n’ont répandu sur nous que le sarcasme et le mép
du magnétisme. Ce n’est que lorsqu’on veut avancer dans l'étude de la science , cesser d’èlre machine magnétisante, et obtenir d
viciat à faire, et il doit durèr un certain temps. Il y a donc deux sciences dans le magnétisme? — Non. Il y a un art et une
donc deux sciences dans le magnétisme? — Non. Il y a un art et une science seulement. Les médecins devraient posséder la s
un art et une science seulement. Les médecins devraient posséder la science , et des hommes sains, bien disposés de coeur et d
le à lui-même5 il a l’air d’un inspiré. Nous l’entourons; il parle de science , donne des définitions ; puis, comme un homme qui
la dirigent. Je veux enfin que vous fassiez entrer de force dans la science une vérité féconde en grands résultats. Il ne s
umanité que j’écrirais ici. J’ai besoin de me rappeler souvent que la science ne veut point de chaleur d’àme, aucun enthousiasm
ce qu’un facteur est à un marchand. On peut, si vous voulez, dans les sciences , les appeler frères, ou, si vous l’aimez mieux, b
rcher la nature du magnétisme animal; 2° ses rapports avec les autres sciences ; 3° de l’appliquer comme agent ihérapeulique. A
Mais, prenez garde! pour avoir produit l’effet, vous n'aurez pas la science . Celle-ci ne vient pas tout à coup; ici, comme en
bleaux comme beaucoup de médecins font de la médecine, sans art, sans science , sans génie. Peut-être avait-il en lui ce qui fai
tiseurs qui, méprisant toute étude, vous diront : Il ne faut point de science en magnétisme, cet agent fait tout ! Rappelez-vou
stoires? Retire-toi, tu n’es pas digne d’approcher celui qui voit; la science divine n’est pas faite pour (les pantins......M
s toutes les formes pour savoir s’il s’accorde avec les données de la science . D. PtCHARD. Fondateur et «¡coprésident de la
nie; pourquoi donc m’effraierai-je? C’est cependant à des hommes de science que jo vais avoir affaire ; c’est à eux que je do
nt-elles plus encouragées ? N’est-elle plus la patrie des arts et des sciences ? Hélas! sans doute, la France est le refuge de to
st de force que la vérité doit un jour entrer dans le sanetaire do la science . C’est en vain cependant que l’on voudrait empêch
le aux cent palais; tout s’anime dans ton sein aux inspirations de la science et de l’in dustrie. Le frottemeut des intelligenc
uveaux bouleversements et de terribles catastrophes, car l’abus de la science amène le doute, le doute le mépris des choses sai
A ceux qui l’interrogent, M. l’abbé Paramelle répond qu’il ne doit sa science qu’à l’observation, parce qu’il craint, avec just
r été comme nous antimagnétiste, s’occupe actuellement de la nouvelle science si controversée, et qui possède un sujet lucide,
t d’entendre; et tous ces jeunes gens, élevés daus le mépris de celle science , qu’on nie toujours devant eux, se disent : Mais
paru que le magnétisme animal, n’étant pas encore parvenu à l’état de science , ne pouvait faire l’objet d’un enseignement desti
asse de faits qui ne laisse plus de doute sur cette acquisition de la science magnétique ; ce fait de réalité est constaté sura
oduits parle magnétisme. 11 annonce une si grande révolution dans les sciences , confondra tant de grands esprits, qu’il faut êtr
a confirmer les hommes dans cette idée : c’est que la plus grande des sciences est en germe dans le magnétisme. Et, selon les so
magnétisme confondues avec la magie, nous essayerons de dégager notre science de tout ce qui s’y trouve soudé et de la montrer
que la nature lui avait donné : Un sens droit, un inslinft sûr! La science n’a jamais prêté »in appui secoura-ble aux hommes
istence avec aucun de ces favoris de la fortune et du beau monde ; sa science dédaignée lui paraît au-dessus de tous les prix.
pelleront ses efforts et scs peines, et ne pourront comprendre que la science si utile qu'il portait partout n’avait droit d’as
ant que moi, aimant la vérité, éprouva jamais si vive passion pour la science ? Sainl-Pclirsbourg, décembre 1842. C'est ici
la carrière ne m'en veulent point de taire ce qu'ils ont fait pour la science , ce qu’ils ont tenté de faire pour établir le mag
u’il exige. Laissera-t-il le magnétiseur agir en toute liberté, et la science , partout si rebelle au magnétisme, ne prendra-t-e
ue l’on eût flétri, on eût ajouté une vilaine page ù l’histoire de la science , et résigné je serais parti en en appelant à l’av
ons les phénomènes dont nous avons annoncé et soutenu l’existence. Im science cessera ses démentis, et peut-être à la fin nos A
ls qui sont venus confirmer ceux annoncés. «Voilà les faits. Que la science les commente, les interprète, les explique : ce n
o Attendu impatiemment par une population pleine de confiance dans sa science merveilleuse, M. Paramelle a élé reçu partout ave
roscope!... 6 gloire de la France, mile bénit tes pas 1...Par ta rare science ra terre ouvre son sein, et ses fécondes eaux,
ans. Courage, magnétiseurs ! l’avenir est à vous. Mais purgez voire science des erreurs qui s’y trouvent; déyagez-la de tout
st qu’en effet il est à la portée des pra-« ticiens comme des gens de science , et que chacun peut y « puiser une instruction qu
deux malades, saignez-les, mettez-les à une diète rigoureuse; votre science va se trouver en défaut ; le délire, les convulsi
sflnt püiiit un Obstacle à la transmission et l\ la pénétration. La science , ici, dihi non. Que voulez-vous? il faut la laiss
est divisé en deux parties. La première (4) Grand Dictionnaire des sciences médicales, I. XXXIV, arl. Incub.', observation du
E VOTAÏyUK. Nous avons promis d’emprunter aux diverses brandies des sciences humaines tous les matériaux propres à éclairer la
les lois du magnétisme. Voici une première observation empruntée aux sciences physiques. Nous la ferons suivre de nouvelles non
on du magnétisme, el qui vient de doter son pays d'un livre sur celle science , la lettre suivante : Monsif.uk, « Dans le si
tout temps dans le sens d'empécherel l'instruction el les progrès des sciences , lança un décret contre les magnétiseurs; mais je
ne quand il le jugera convenable; il y trouvera des admirateurs de la science et de zélés praticiens. Quelque particulier pourr
illir les lumières que voire Journal est des-« tiné à répandre sur la science ù laquelle nous nous sommes « voués, la Société v
enfin, votre triomphe est assuré comme celui de l’établissement de la science . Parler peu de somnambulisme, mais insister sur l
principe physique, force naturelle, devra rentrer dans le domaine des sciences . Ce n’est qu’avec réserve que vous devez parler
ieuses, si les magnétiseurs ne veulent se déconsidérer aux yeux de la science ! A ceux qui me blâmeront de ma critique et de
ent voulez-vous donc que votre art progresse ainsi? Vit-on jamais une science se former avec des matériaux incomplets, mal recu
uvoir : l’ètre le plus ingnorant peut en posséder autant. C’est de la science seule que vous pouvez vous prévaloir, car ceux qu
ntrer qu’il n’y a point contradiction dans tous ces faits. Toutes les sciences ont leur difficultés, à toutes les lois générales
et qu’on perd ainsi en discussions stériles un temps précieux pour la science . Séance du 10 juillet. — Par suite de la démiss
ion des métaux ont enrichi la chimie d’une foule d'agenls à qui celte science est redevable de ses progrès ultérieure. Il en se
nt le magnétisme est partout; qu’en va-t-on faire? Vous croyez que la science va s’en occuper, l’étudicr? Pas (lu tout, les sav
Trompé par une parade magnétique, on dédaigne l'homme qui possède la science , et 011 s’en ira par une lente agonie, malgré les
res merveilleuses se firent aussi, mais les magnétiseurs trahirent la science en en abusant. A qui s’en prit-on? n l’instrument
ce d'OndotikofT-Korsakofr, vice-président del'Acadé-mie impériale des Sciences , Ne serez-vous injustes que pour la découverte
garder de la médecine savante, qui est la plus cruelle do toutes les sciences . Qu’on me pardonne cette boutade ; je n’entends p
r. C’est un jour de bonheur dont la foi seule est cause, et jamais la science et la philosophie ne produiront rien de pareil. M
s de dents faites sans douleur. Ces faits sont maintenant acquis à la science . Us n’ont désormais d’autre importance que de mon
’article suivant : PAIIOI.CS D'US CROYANT. — I.ts découvertes de In science moderne reculent chaque jour les limites du possi
nt bercé notre crédule enfance; l’industrie, ce génie bienfaisant; la science , celle fée ingénieuse et libérale, enrichissent c
ts de conservation de notre nature, leur a crié : « En avant. » l.a science qui a pour objet l’étude et les applications de c
le corps où l’on veut le fixer... Née depuis moins d’un siècle, cette science , qui contrariait tant d’idées reçues, a dû nécess
isent pour écarter toute idée de compérage ou de supercherie. Celte science nouvelle donne une immense extension aux facultés
ans soucis, sans fatigue, sans mécompte?... Pourquoi? parce que celle science est encore au berceau, comme l’industrie il y a c
yde? Non, à coup sûr, el c’est deux mille cinq cenls après lui que la science a songé à appliquer son principe â la transmissio
de la volonté, les passes, en un mol, des magnétiseurs. Pourquoi? La science n’a-t-elle pas prouvé en mille circonstances qu’e
ssez fort pour cueillir sans danger ce dernier fruit de l’Arbre de la Science . C’est à ce poinl de vue que quelques lignes on
insignes jongleurs. Bientôt après un grand partisan de celte nouvelle science , le célèbre Dcleuze, je crois, l’ayant rendu témo
el je m’explique maintenant l'enthousiasme de Pigaull-Lebrun pour une science qu’il avail d'abord méconnue el décriée. (Courr
émotions, car on attendait des magnétiseurs un récil brillant de leur science merveilleuse. M. Gauthier dut cesser sa lecture,
uységurique a plus appris que l'observation constante des siècles, la science el la sagesse antiques n’ont confié au burin de l
y a environ trois ans, à parcourir l'Angleterre comme promoteur d’une science nouvelle, née du mesmérisme el de la phrénologio.
tous de nous rendre un jour ! Adieu. AVIS. — I,e magnétisme, comme science anthropologique, exige la connaissance de l’analo
gie. Malheureusement la plupart des magnétiseurs sont étrangers à ces sciences , pourtant si nécessaires ou plutôt indispensables
soi-même les faits de moindre importance près de ceux principaux. Les sciences sont mobiles, et, quoique s’appuyant sur une base
eau perce les nuages de l’erreur, de l’ignorance ou de l’envie. Si la science du magnétisme animal n’était qu’un système, je se
ns l'arène des discussions les défenseurs et les adversaires de cette science . Le mois dernier nous avons publié les Pawlcs d'u
journalière le constate, est, à n’en pas douter, le premier mol d’une science à faire, le rayon échappé d'un foyer de lumière p
la première révélation. Nous croyons que la méthode employée dans les sciences pour la recherche et la classification des fails
des phénomènes du magnétisme. Il est un moyen de faire marcher cette science : ce serait de la reconnaître, de la légitimer en
its, et qui, faute d’avoir élé recueillis, se trouvent perdus pour la science . Aidé de cette ample moisson délaissée pour ainsi
on serait peut-être en mesure de jeter les premiers fondements d’une science nouvelle. Il serait bien temps de créer une organ
foule de praticiens, en général moins intéressés à l’avancement de la science qu’à exploiter â leur profil ce qu’elle offre de
assem. bler des matériaux pour poser enfin les bases de l’édifice. La science telle qu’elle sc fait de nos jours, c'est-à-dire
les génies spéciaux oni le pas sur tout. Proposez ù ces rameaux de la science , dépourvus assez communément de loute vue général
lement, ils vous accuseront de poursuivre une chimère. Docteurs de la science toute faite cl apprise, parlant incapables de déc
cune, ne saurait ôlrc inscrit dans les registres de l’état civil delà science . Les faits auront beau remplir le monde du bruit
vérité dénaturée dans le procès-verbal de la séance de la section des sciences médicales concernant le magnétisme a donné lieu à
une rectification à faire au rapport du secrétaire de la section des sciences médicales, et ce rapport me paraissant inexact en
vingt ans, ce médecin, resté étranger au mouvement ascensionnel de la science magnétique en France, seul et livré aux ressource
nd homme qui nous a ouvert l’entrée de celte noble el incommensurable science , qui renferme tant el de si belles choses... enco
agnétisme.... Pâle reflet de tout ce qu’on a dit et écrit sur celle science depuis Mesmer; n'apprenant rien à personne, lourd
réponse. En un mot, il a tracé de main de maître les progrès de celle science , et il a planté son drapeau sur ce champ de batai
vous ave/, lous reconnu cel apôtre fervent qui vient de porter cette science admirable dans les pays lointains, et qui, toujou
tisme de Paris, ni môme toutes les sociétés où l’on s’occupe de celte science , je ne puis écrire qu’à vous; mais vous voudrez b
u garde encore longtemps un semblable mystère ! Nous qui cherchons la science par amour pour elle, nous avons quelquefois la cr
n il mérite de lixer l'attention des savants! Malheureusement pour la science , le magnétisme, celle puissance inconnue, mais ré
ous les noms des personnages connus, ayant une haute position dans la science , 1111 jugement excellent, des connaissances très-
n qui confond les esprits forts et qui tourne aujourd’hui à l'état de science positive. Il esl hors de doute que le magnétism
ressuscitaient à volonlé........... Les Egyptiens avaient poussé la science du magnétisme à des limites auxquelles la science
s avaient poussé la science du magnétisme à des limites auxquelles la science moderne n’est pas encore parvenue; ils avaient re
dérons leur marche, cherchons à soulager les malades victimes de leur science vaine, el continuons d’enseigner l’arl qu’ils ign
confrères honorables, qui voulaient les mettre en possession de celle science , dire à la face du monde qu’ils doivent désormais
plusieurs leçons auront lieu par semaine. Le magnétisme, comnio toute science , peu l s'en-seigner d’une manière rationnelle, el
Plus j'avance, plus je me convainc que le magnétisme est une grande science , un grand art. Avec le secours des phénomènes qu’
ont pu apprendre; leurs livres, s’ils en ont écrit, sont nuls pour la science . Comment peut-on espérer établir une croyance san
la plus grande partie des découvertes qui l’honorent? Dans les autres sciences n’est-ce pas aux tentatives, aux expériences réit
rps rempli d'humeurs. Depuis longtemps i! était rions cet état, et la science ne pouvait rien pour lui. 4'enhepris son traiteme
à leur établissement. Mais des noms nouveaux devaient surgir dans la science , de faux systèmes devaient être renversés, cl ces
ir île sis sens, examiner, a bientôt fait justice des sophismes de la science , lorsque celle-ci s’obstine à nier l’évidence môm
roduire journellement, on peut dire à chaque instant, eu dehors de la science ? pas un des grands savants de nos académies ne pr
instruction publique 11e nous a-t-il pas dit récemment : l-'aites une science de vos faits, et je créerai une chaire de magnéti
stifier aux yeux de leurs compatriotes les principes si féconds de la science qu’ils sont venus étudier parmi nous. Partout e
la plus matérielle; n que le magnétisme est devenu dans ses mains une science exacte, mathématique, qu’il propose d’appeler nêy
Albanel, et une lettre de félicitations aux hommes qui ont enrichi la science de ce fait admirable. Séance du'27 novembre. —
17 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
s par Vhypnotisation sur les hystéro-éoilepiîques. G. R. do l'Ac. des Sciences , 13 février 188?. Progrès médical 188?, p. 121. —
iale. COURS ET CONFÉRENCES PÉDAGOGIE L'Initiation à l'étude des sciences physiques (1). par M. C.-A. Laisant Docteur ès-sc
dont je dois vous entretenir aujourd'hui, l'initiation à l'étude des sciences physiques, est du même ordre, et je me verrai con
ceux qui appartiennent à ce qu'on appelle si improprement encore les sciences exactes ou les sciences abstraites. I! ne faudrai
à ce qu'on appelle si improprement encore les sciences exactes ou les sciences abstraites. I! ne faudrait pas cependant s'exagér
première des conditions pour commencer à pénétrer dans ce domaine des sciences physiques. Quand j'emploie ce mot voir, j'entends
l faut ici que j'arrive à un éclaircissement nécessaire. Je parle des sciences physiques ; à proprement dire, toutes les science
aire. Je parle des sciences physiques ; à proprement dire, toutes les sciences sont physiques, toutes les sciences sont expérime
s ; à proprement dire, toutes les sciences sont physiques, toutes les sciences sont expérimentales. Cependant, au milieu de l'in
loin d'avoir l'importance qu'on lui attribue généralement. Toutes les sciences s'entr'aident et se pénétrent; aucune n'a des fro
e approfondie. Je laisse donc systématiquement de côté le domaine des sciences naturelles, où la pure observation joue un rôle p
les observations que j'aurai à vous présenter s'appliqueront aux deux sciences dont je viens de prononcer le nom. Toutes deux
raient pas de satisfaction à l'esprit et ne feraient guère avancer la science ; les progrès de celle-ci ont invariablement cons
possible qu'avec l'intervention de l'hypothèse. L'hypothèse dans les sciences physiques remplitun rôle à la fois très important
important et très délicat. Elle est indispensable; sans elle, pas de science possible ; et d'autre part, si on lui attribue la
iquer les faits de la nature. Les exemples abondent; l'histoire de la science m'en fournirait à foison; mais je veux éviter d'a
iques, quelle complexité des opérations de l'esprit exige l'étude des sciences physiques. Vous voyez combien j'avais raison dès
le degré de difficulté psychologique qu'on a coutume d'attribuer aux sciences mathématiques par opposition aux sciences physiqu
n a coutume d'attribuer aux sciences mathématiques par opposition aux sciences physiques. DanB ces dernières, l'abstraction, com
Physique et de la Chimie exige absolument la notion de mesure, que la science des quantités est par conséquent indispensable da
yser les faits de la nature qui a vraiment provoqué la création de la science mathématique. Telleest la vérité. Et cependant
un monde où se présentent en foule les applications industrielles des sciences physiques, il n'est pas permis d'en ignorer les é
plus vrai, me répondra-t-on peut-être. Et la nécessité de l'étude des sciences physiques, au moins dans leur partie élémentaire,
initiation préalable. Dès le début de ses études dans le domaine des sciences physiques, on lui donne (et l'on ne peut guère
n des prix Montyon destinés à récompenser les livres utiles. Puis, la Science amusante, en 3 volumes; l'auteur, qui signe Tom T
ions scientifiques, et invité à organiser le premier enseignement des sciences expérimentales. A l'heure actuelle, des adminis
uvre, je tirerai seulement une conclusion; c'est que l'histoire de la science , surtout celles des sciences physiques, devrait t
ne conclusion; c'est que l'histoire de la science, surtout celles des sciences physiques, devrait tenir dans notre enseignement,
e Tom Tit, ne suffiraient peut-être pas à une initiation complète aux sciences physiques. Pour l'électricité, notamment, une p
compte des progrès incessants qui s'accomplissent dans le domaine des sciences physiques et de leurs applications. Ces progrès s
Suggestion olfactive M. de Parville rapporte dans sa c Revue des sciences « un cas amusant de suggestion, d'après la Psycho
ment sont d'importance capitale en psychologie. Le progrès dans cette science comme dans les sciences naturelles tient à une bo
capitale en psychologie. Le progrès dans cette science comme dans les sciences naturelles tient à une bonne classification (1).
ment mon opinion au sujet de cet enfant qualifié de « prodige ». La science , comme on le sait, a pour fin de réduire le plus
sprits philosophiques et tous ceux qu'intéressent les problèmes de la science . VAdministrateur-Gérant : Ed. BÉRILLON Paris.
decin, consacré par l'art. 32 de la loi du 21 germinal do l'an XI. La science s'est complue quelquefois à comparer la productio
nts. Aujourd'hui que, sous les noms de suggestion ou d'hypnotisme, la science accueille les faits, les contrôle, en recherche l
n'a pu faire que d'après des apparences, qui relève du domaine de la science médicale et que l'on peut discuter sans mettre en
ts de l'école de Paris ont été très applaudis. La préoccupation de la science française do se maintenir sur le terrain des fait
ésirable que nul ne se livrât à ces procédés que dans l'intérêt de la science ou de la santé du sujet. Mais où commencera le dé
s ne pouvons demander davantage aux pouvoirs publics. L'intérêt de la science et les principes de liberté et de respect du domi
ementation étroite de l'hypnotisme, admet « volontiers qu'un homme de science , qu'un naturaliste, qu'un philosophe institue des
de médecine publique de l'Association française pour l'avancement des Sciences , dans sa session d'Oran, émettait à l'unanimité,
tte question des représentations publiques, je sollicite au nom de la science et de la liberté la plus grande latitude en faveu
e la pratique et l'orthopédie mentale et morale est ainsi devenue une science positive dont nous lui sommes redevables et dont
pas assez dans la pratique courante et qu'il .est regrettable pour la science et la société, que les médecins entrés dans cette
nion queje demande depuisbtenlongtemps. union que je souhaite pour la science en général, mais qui surtout a sa raison d'être i
font usage de narcotiques. (A suivre). La vie de Jésus devant la science hypnotique (*) par le Dr Félix IÎegnault Nous
ressources toutes nouvelles et encore peu connues que nous fournit la science hypnotique. Examinons seulement tous les miracles
. Littré : Vie de Jésus, 1839, vol. I, p. 22-28. (2j Salverte : Des sciences occultes. Paris, J.-B. Baillière, 1850, 3' édlt,
du sang s'il avait été réellement mort. III A. Debay : Histoire des sciences occultes, Paris, E. Dentu, édit., 1860, p. 217. (
st encore certains faits delà vie de Jésus sur lesquels les nouvelles sciences peuvent nous éclairer. . Jésus fut un enfant pr
lication de phénomènes qui ne sont cependant pas nouveaux, et dont la science a enregistré d'assez fréquents exemples, les inte
lieu tous les mercredis, à 8 h. 1/2 du soir à l'ancienne faculté des sciences . Couns de psychothérapie a San-Paulo (Brésil).
s (Nord) et une dans une église d'Aire (Pas-de-Calais). Voir Malvert, Science et Religion, Soc. d'édit. scient. 1899. (1) Pie
de ces quatre religieuses est de 46 ans. La vie de Jésus devant la science hypnotique par le D' Félix Regnault [suite) Apr
DE PATRONAGE MM. Iîerthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , membre de l'Académie française; Boirac. recteur
, professeur honoraire au Collège de France, membre de l'Académie des sciences morales; Albert Robin, membre de l'Académie de mé
ine; Tarde, professeur au Collège de France, membre de l'Académie des sciences morales; Jules Soury, sous-directeur à l'Ecole de
vement engagés. La psychothérapie, qui est à la psychologie ce que la science appliquée est à La science pure, est essentiellem
érapie, qui est à la psychologie ce que la science appliquée est à La science pure, est essentiellement une thérapeutique des r
e de la chimie moderne et de la thermogenèse animale, étudié avec une science profonde les origines de l'alchimie, couronne son
nt philosophique de la plus haute élévation. 11 nous démontre que .la science est le seul fondement inébranlable de la moralité
que où la centralisation pèse d'un si lourd poids sur l'évolution des sciences médicales, où toute science qui n'est pas officie
d'un si lourd poids sur l'évolution des sciences médicales, où toute science qui n'est pas officiellement reconnue et subventi
e la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les hommes de science et de bonne volonté se réunissent, comme vous l'a
isé le rêve de Prométhée, à qui la France et le monde universel de la Science décernaient récemment, en une inoubliable fête, l
enseignants pour la partie la plus noble et la plus humaine de notre science . L'organicisme a mis la maladie tout entière da
nt se réjouiront, avec ceux qui aiment l'initiative, le courage et la science , les malades de l'imagination et de la pensée don
classification de Charcot. (A suivre.) La vie de Jésus devant la science hypnotique (') par le Dr Félix Regnault, profes
le luxe de détails vrais, alors qu'ils paraissaient faux avant que la science hypnotique fût fondée et dont nous n'avons pu par
es explications que ne pouvaient concevoir les anciens critiques, une science nouvelle nous les donne, l'hypnotisme. Elle expli
es miracles des prêtres païens. Ceux-ci étalent gens experts dans les sciences physiques et chimiques de leur époque ; ils usaie
ientôt on se rend compte qu'ils n'ont rien d'extraordinaire et que la science les explique simplement, ou bien on ne tarde pas
umberland, le pendule de Chevreul et l'explication très simple que la science donne do ce genre de faits. L'homme est un comp
succès depuis trente ans, et qu'il décrit dans le Journal of médical sciences . On place le malade dans la position couchée ou à
its désillusionnés de leurs anciennes croyances par la lumière que la science porto dans leur esprit; il y a une tendance vers
. Cependant, je ne pense pas que les clartés lumineuses que répand la science , toujours en voie de progrès, feront jamais dispa
uses, parce qu'en même temps il y aura toujours parallèlement pour la science qui les fait disparaître des limites dans l'incon
purer fatalement, et même s'absorber les unes dans les autres ; et la science , grâce à l'esprit d'examen, tout en les disséquan
usivement avec les caractères fournis par ces procédés d'étude que la science peut se faire ». SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE P
c le paradoxal Delbceuf qu'il n'y a pas d'hypnotisme, c'est-à-dire de science du sommeil, c'est en nier les phénomènes, ce qui
au véritable esprit scientifique, et n'empêchent heureusement pas la science de progresser quand même; et, en ce qui concerne
énomènes naturels sont « plus ou moins inexplicables, et cependant la science ne les nie pas (') ». Le vrai rôle et le devoir
cin et philosophe allemand Louis Biiehner, auteur de Y Homme selon la science , de Force et Matière, etc., et dont l'opinion, en
, que la lumière se fera de plus en plus complète dans le domaine des sciences psychiques, aussi bien que dans tous les autres d
urd'hui de nombreux chercheurs et qui constitue, pour ainsi dire, une science nouvelle, il en est une, observée sur des sujets
Revue de THypnotismc, février 1902, p. 240. La Psychologie est la science de la volonté Dans un récent article publié dan
ier, s'applique à démontrer l'autonomie de la psychologie en tant que science particulière. D'après lui vouloir concilier les s
e en tant que science particulière. D'après lui vouloir concilier les sciences morales et les sciences naturelles, autant cherch
rticulière. D'après lui vouloir concilier les sciences morales et les sciences naturelles, autant chercher à rétablir la paix da
a physiologie notamment du système • nerveux'. c'est là l'objet d'une science récente qui n'a pas dit son « dernîermot, la psyc
n a la remplaçant par la psycho-physiologie. La psychologie est une « science à part qui a ses modes et procédés d'étude et son
inition de Fouillée, la psychologie serait, en dernière « analyse, la science de la volonté, de même que la physiologie est la
nalyse, la science de la volonté, de même que la physiologie est la « science de la vie. » Coprophages Une secte bien étran
gique et grammaticale de ces articles, — on a épuisé le domaine de la science criminelle. La plupart croient que la science q
uisé le domaine de la science criminelle. La plupart croient que la science qui s'occupe de l'homme criminel n'est que l'étud
ilibre moral. On oublie complètement, ainsi, une autre partie de la science du crime, une partie fondamentale : la partie qui
es de la criminalité et le criminel lui-même. Je pense que, pour la science comme pour la société, il ne suffît pas d'affirme
ines; — c'est-à-dire en agissant sur ses causes. Jusqu'à présent la science qui étudie le crime s'était bornée — à étendre la
autre un poids égal de pénalité. II est évident, au contraire, que la science du crime doit élre plus large, plus moderne, et p
e droit pénal d'aujourd'hui ne comprend qu'une seule branche de cette science nouvelle, c'est-à-dire la branche qui s'occupe de
du crime, — il s'agit donc, dis-je, de substituer au droit pénal, une science plus large qui étudie les causes de la criminalit
tation ou la stagnation de la criminalité. J'appelle cette nouvelle science la sociologie criminelle, et c'est justement de l
e n'aurait ses racines que dans la libre volonté du criminel. Les sciences naturelles ont démontré que tout phénomène du mon
ue le droit pénal n'étudie pas. Il est bien étrange, en effet, qu'une science qui étudie le crime et sa répression, mette dans
èce de quarantaine scientifique les causes du crime. Il n'y a pas une science qui, en se donnant pour but l'étude d'un phénomèn
r l'étude des causes qui produisent ce phénomène. Pourquoi donc, la science du crime devrait-elle être une exception? Cela co
s observations, et sur des études expérimentales. Car il n'y a pas de science durable qui ne s'appuie sur des faits et des obse
l suffit de regarder autour de nous pour nous en apercevoir. Dans les sciences naturelles, l'évolutionnisme de Lamarck et de Dar
le plus brillant et le plus récent de l'évolution animale. Dans les sciences qui étudient les sentiments et la pensée de l'hom
tudient les sentiments et la pensée de l'homme, c'est-à-dire dans les sciences psychologiques, vous trouverez le même dualisme.
nnaître que le positivisme a gagné presque partout, dans le monde des sciences naturelles, et aussi dans la psychologie (car la
elles, et aussi dans la psychologie (car la psychologie aussi est une science naturelle), la bataille qu'il a livrée avec tant
ta comme aujourd'hui nous traitons nos criminels. C'était toujours la science métaphysique qui, en se refusant d'étudier les fo
à-dire quand le positivisme scientifique commença à être appliqué aux sciences médicales, les médecins trouvèrent que la folie é
s, de transplanter la méthode positive, qui avait si bien vivifié les sciences naturelles et médicales dans le champ fermé des s
vivifié les sciences naturelles et médicales dans le champ fermé des sciences sociales et juridiques, les métaphysiciens, qui é
eugle. Tandis que la méthode positiviste devenait la règle dans les sciences naturelles, — elle n'était que l'exception dans l
dans les sciences naturelles, — elle n'était que l'exception dans les sciences sociales. C'est justement à ces deux courants tou
elle s'est développée en prenant pour base les conquêtes récentes des sciences naturelles et médicales. L'école classique, au co
aire, qui a commencé avant les découvertes, tout à fait récentes, des sciences naturelles, surtout de la psychologie expérimenta
, surtout de la psychologie expérimentale et de la psychiatrie (cette science merveilleuse qui étudie toutes les gammes de la f
, dis-je, a continué à se développer en dehors des découvertes de ces sciences . Elle a continué sa route, ignorant et voulant ig
le a continué sa route, ignorant et voulant ignorer qu'il existât des sciences qui avaient grandi et qui avaient donné une base
ris comme point de départ, soit la méthode qui avait révolutionné les sciences naturelles, soit les découvertes indéniables de l
ale et de la psychiatrie. En effet, il aurait été bien étrange qu'une science qui, comme la science criminelle, avait pour but
ie. En effet, il aurait été bien étrange qu'une science qui, comme la science criminelle, avait pour but l'étude de l'homme cri
de l'homme criminel, eût ferméles yeux devant les découvertes de deux sciences qui, comme la psychologie et la psychiatrie, donn
rès concluants à ce point de vue. L'hypnotisme, ù mon sens, est une science qui s'applique à l'étude d'un état particulier de
ne puissance remarquable, encore inexplicable dans l'état actuel d«Ja science . Ceci dit, voici huit de mes principales observ
sseur Niceforo, de Lauzanoe (suite et fin) Celui qui croit qu'une science quelconque peut se développer en dehors des autre
oit qu'une science quelconque peut se développer en dehors des autres sciences commet une faute qui condamne à mort cette scienc
dehors des autres sciences commet une faute qui condamne à mort cette science . Toutes les sciences, dans l'univers scientifique
iences commet une faute qui condamne à mort cette science. Toutes les sciences , dans l'univers scientifique, se tiennent, — et l
ent, en raison de cette loi admirable d'harmonie scientifique, qu'une science , surtout une science qui étudie une des nombreuse
te loi admirable d'harmonie scientifique, qu'une science, surtout une science qui étudie une des nombreuses activités humaines,
e des nombreuses activités humaines, ne peut pas se passer des autres sciences qui étudient, d'après nature, l'homme même. Tou
ue commis dans ce sens porte avec lui la condamnation à mort de cette science orgueilleuse. Je vous disais que c'est surtout
-nistes que nous devons les premières tentatives d'application — à la science du crime — soit de la méthode expérimentale, qui
mentale, qui avait donné des résultats si merveilleux dans les autres sciences , soit des découvertes des sciences naturelles et
ats si merveilleux dans les autres sciences, soit des découvertes des sciences naturelles et médicales. Les juristes, en effet,
ercevoir de l'importance qu'apportaient les nouvelles découvertes des sciences naturelles et médicales. Ils se trouvaient, en fa
u droit pénal, jugèrent nécessaire de passer à travers le creuset des sciences médicales et naturelles, la Sociologie criminelle
épart, les résultats de la psychologie, de la psychiatrie et d'autres sciences naturelles, et elle étudie l'homme criminel avec
mentale, en se servant de la lumière qui a jailli des découvertes des sciences médicales et naturelles. Ces découvertes, en un m
découvertes, en un mot, tout en étant le point d'arrivée de certaines sciences naturelles, ne sont que le point de départ de la
trie qui, — (à part l'application de la méthode expérimentale dans la science du crime), — ont déterminé la naissance de la soc
du pouvoir, sur une doctrine qui non seulement est fausse d'après la science , qui non seulement est illogique par elle-même, q
un système de recherches et d'applications pratiques à la dignité de science . Et nous verrons plus tard que, grâce à cette mét
un catéchisme sec et égoïste de vengeance sociale, mais une véritable science , une science qui prend sa racine dans la vérité e
sec et égoïste de vengeance sociale, mais une véritable science, une science qui prend sa racine dans la vérité et dans la jus
ns la perte d'un homme éminentdont la disparition mettait en deuil la science tout entière, mais plus particulièrement encore l
véritable esprit scientifique pour n'être pas, du point de vue de la science , un déterministe convaincu. Mais, tout de même, i
p. 351. Janet (M. le Professeur Pierre), p. 289. Jesus devant la science hypnotique (La vie de), par Félix Regnault, p. 10
le traitement de l'), par Cullerre, p. 99. Initiation à l'étude des sciences physiques, par Laisant, p. 20. Institut de psyc
Prophète de l'avenue des Gobolins (Le), p. 379. Psychologie est la science de la volonté (La), par Grasset, p. 3t9. Psycho
18 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
pédagogie au congres de l'Association française pour l'avancement des sciences . Un certain nombre de savants français et étran
eignement du Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences dont la session aura lieu à Lille du 2 au 10 août
que, contrairement à ce qu'ont professé certains détracteurs de cette science , il est susceptible d'être appliqué d'après les r
général, au congrès de l'association française pour l'avancement des sciences ; M. le docteur Paul Parez, au congrès des aliéni
t qu'en 1881, aux portes de la vieillesse, qu'il lut à l'Académie des sciences morales et politiques un mémoire sur « La suggest
uelque sorte dans la tête un arbre dont les branches représentent les sciences et les rameaux leurs subdivisions ? Quand un fait
qui est trop souvent contestable. (1 ) Histoire des savants et des sciences depuis deux siècles,''2 e édition, page 309. Dr
idérable s'accroît, à chaque instant, de nouvelles contributions a la science de la neurologie. Successeur de Charcot à la chai
le plus apparent, on a pu dire avec raison que l'hypnotisme était la science du sommeil provoqué. La notion d'une inhibition
pédagogie du Congrès de l'association française pour l'avancement des sciences sons la présidence du professeur Beauvisage, séna
à l'éducation après l'école, de 31. Julien Ray, de la Faculté des sciences de Lyon : au travait manuel à l'école primaire et
s choses dé notre pays ne peuvent pas constituer une spécialité de la science d'Europe. Je vous signale simplement l'erreur com
ulte du souvenir. Mon pauvre et cher Pamart, trop tôt ravi & la science et à notre affection, au nom de vos amis et des c
et intéressantes Les personnes qui veulent se perfectionner dans la science de l'Hypnotisme liront avec intérêt ce livre dont
représentée officiellement par 51. Flo-quet, doyen de la Faculté des sciences de Nancy, vice-président du conseil de l'Universi
et : DiFcours de M. le professeur Floquet doyen de la Faculté des Sciences de Nancy. « Mesdames. Messieurs, » Il y a env
t la scène d'un accident d'automobile qui enleva h sa famille et à la science l'homme d'élite, de vaste savoir, de noble cœur q
ité de Nancy » disait de lui le professeur Blondlot de la Faculté des sciences au recteur de l'Université de Nancy, M. Adam. A
c le droit civil et le droit criminel qu'il lui devant l'Académie des sciences morales et politiques de l'Institut de France (18
s doctrines nouvelles qui trouvent, pour défenseurs, des hommes d'une science aussi profonde et d'un aussi noble caractère. E
Le miracle et la critique scientifique par M. P. Saixt-Yves • La science ignore lesurnuiurel elle ne le nie ni ne l'affirm
sophie, Religion 1873. in-8. p. 27-27 Notre notion actuelle de la science semble, dès l'abord, incompatible avec l'idée du
lastique. La plupart des hommes qui ont reçu quelques notions des sciences modernes admettent en conséquence fort difficilem
s avons tort. Quoiqu'il en soit, c'est là un fait ; la pratique de la science nous a menés là et nous en sommes là, même si nou
cune obligation ne peutavoir prise sur cet état de choses (4). » La science condamne-t-elle donc irrévocablement le miracle.e
enirs d'enfance. Paris, s. d., in-8°, XV. p. peut-il au nom de la science attester le miracle ? ou encore : Peut-on discern
e fait scientifique est-il nécessairement un fait expérimental ? La science positive reçoit d'ordinaire dans le langage coura
cience positive reçoit d'ordinaire dans le langage courant, le nom de science expérimentale. C'est là un abus qui n'est pas san
arles Renouvieren 1897, ne connut assez les limites et la méthode des sciences expérimentales, ponr comprendre qu'elles ne vont
mais elle me semble encore trop étroite. Des faits d'observation (les sciences mimienlea en fournissent un grand nombre), peuven
édire leur retour de façon mathématique. (1) Sur ln distinction des sciences d'observation et d'expérimentation C. Flammarion
e psychologique de Nancy. Le premier aura la gloire d'avoir doté la science médicale d'une branche nouvelle : ta psychothérap
jugements superficiels. Mais il est un spectacle auquel l'homme de science , malgré la sérénité de sa philosophie ne saurait
l et les états analogues ». Cette publication sonna le réveil d'une science qui avait eu les honneurs de toutes les condamnat
ité française, il ne tarda pas à soumettre, en 1884. à l'Académie des sciences morales et politiques, un mémoire sur : « la sugg
t trop peu d'elles-mêmes, a toujours considéré l'hypnotisme comme une science naturelle, basée exclusivement sur la raison et s
gré l'opinion séparatiste qui veut « que le sens commun ne boH pas la science » nous estimons que cette expression du pragmatis
r l'adapter à son progrès, est représentée dans le langage commun des sciences par des termes discontinus dont la valeur est iné
iste qui, sous le nom de transformisme, domine aujourd'hui toutes les sciences . 3° Considérées dans leurs effets subjectifs, c
on en commande logiquement toutes les parties : et ce sera pour notre science un grand bienfait. Car il n'est pas de médecin qu
e cantonne avec passion dans le cercle arbitrairement déterminé d'une science , d'un art ou d'une croyance, prend un caractère e
science personnelle, familiale et sociale. Car dans l'état actuel des sciences , c'est au schéma de l'évolution qu'il faut toujou
entons journellement, demandent a leur médecin de les soigner avec sa science , son expérience, son dévouement, et non pas dalle
uement. Qu'en sait-il ? Qui le lui a dit. appris ou prouvé ? « La Science », répond-il. La Science ? Mais ta Science n'ex
ui le lui a dit. appris ou prouvé ? « La Science », répond-il. La Science ? Mais ta Science n'existe pas. La Science, ce n'
ppris ou prouvé ? « La Science », répond-il. La Science ? Mais ta Science n'existe pas. La Science, ce n'est rien, ou plutô
Science », répond-il. La Science ? Mais ta Science n'existe pas. La Science , ce n'est rien, ou plutôt c'est un mot, une abstr
hysiques. Ne soyez pas scandalisé : écoutez-moi jusqu'au bout. La Science , dis-je, n'existe pas. Ce qui existe, ce sont div
. La Science, dis-je, n'existe pas. Ce qui existe, ce sont diverses sciences particulières. Celles-ci se sont fondées, se sont
incipes, axiomes ou définitions, sur lesquelles elle s'appuie, chaque science particulière se les donne : ils n'ont guère, le p
reinte à cet objet particulier et en fonction des postulats que cette science s'est donnés. Chacune de ces sciences étudie do
nction des postulats que cette science s'est donnés. Chacune de ces sciences étudie donc un certain genre de phénomènes et les
, elle l'ignore : elle se prescrit de le passer sous silence. Toute science qui sort de son champ limité, pour se prononcer s
s impérieuses.Binet-Sauglé se décide à dire : « Je ne me fais, sur la science , aucune illusion : je sais ce qu'elle a de relati
la science, aucune illusion : je sais ce qu'elle a de relatif ... La science . . . pour moi . . . n'est qu'un système ...» A
l n'en tient pas compte, puisqu'il continue à dogmatiser au nom de la Science , à donner à celle-ci uue porte universelle et à l
u'il n'y a pas de liberté. Il prétend qu'il n'a pas la religion de la Science , mais il écrit comme quelqu'un qui en a l'idolâtr
anisme humain, ni liberté, ni. responsabilité ? Parbleu ! L'objet des sciences dites médicales les exclut. Le physiologiste, par
baromètre pour la température ? Tout comme chaque instrument,, chaque science spéciale ne peut donner de renseignements que sur
et je les nie. » Ce que l'astronome aurait le tort de faire dire à sa science , vous avez également tort-de vouloir le faire dir
à sa science, vous avez également tort-de vouloir le faire dire aux « sciences médicales ». Ce n'est pas l'astronome qu'on inter
out le déterminisme ? Parbleu ! Le déterminisme est une nécessité des sciences naturelles. Grâce à lui, en effet, elles se donne
hacun porte en soi. Alors, en affirmant, au nom de telle ou telle science particulière, le déterminisme universel, Binet-Sa
e a la logique et. pour parler net, un sophisme. Il se dit homme de science et il superpose aux recherches purement scientifi
oblème de métaphysique. Or, prétendre l'avoir tranché au nom de telle science particulière, c'est cela qui est logiquement et s
r un problème de métaphysique ; il doit l'ignorer. Mais, l'homme de science , une fois sorti de sa spéculation, se retrouve en
tions supra, niéta ou extra-scientifiques, à propos desquelles aucune science n'est qualifiée pour lui donner une clarté quelco
comme s'il ne l'avait pas fait. Tout à l'heure, il a concédé que la science est relative et, aussitôt, il lui a donné une val
oute la question, très restreinte, on le voit. Elle ne met pas « La Science • en péril. La possibilité de ces futurs ambigus,
ors de toute métaphysique scientifique ou religieuse. — les hommes de science , une fois rentrés dans la vie pratique. Si l'homm
phénoménal de la psychologie concrète, ce serait arracher l'homme de science aux passions politico-religieuses ! Or, au fond
prit religieux. Comme citoyen, c'est son droit strict; comme homme de science , il n'a nul droit de mobiliser telle science part
t strict; comme homme de science, il n'a nul droit de mobiliser telle science particulière pour lui demander un service qui ne
picure. Entraîné par sa phobie antireligieuse, Binet-Sanglé confond science , philosophie, religion. Reprenant à son compte la
utoritaires, tranchants, assoiffés d'absolutisme, les illuminés de La Science ont le même tempérament que les illuminés de la c
fondre les points de-vue, d'outrepasser les droits de telle ou telle, science et de prétendre résoudre des problèmes métaphysiq
pour cela, dans l'idolâtrie de cette entité nominale qu'on appelle La Science . Contrairement à Binet-Sanglé, nous pensons que t
'appauvrir afin de devenir pour nous objet de connaissance, que toute science humaine-est relative et que les vérités scientifi
pinions elles-mêmes incohérentes, elle est peut-être de de toutes les sciences physiologiques celle où se peignent le mieux les
mieux les travers de l'esprit humain. Que dis-je ? Ce n'est point une science pour un esprit méthodique. C'est un ensemble info
ez d'avoir la religion de la religion, et vous avez la religion de la science ! * « Non. Je ne me fais sur la science aucune
vous avez la religion de la science ! * « Non. Je ne me fais sur la science aucune illusion, je sais ce qu'elle a de relatif,
ous trompent pas : or il n'est pas impossible qu'il nous trompent. La science n'est pas pour moi une doctrine : elle n'est qu'u
torique do l'idée de Dieu. » Ainsi donc j'admets a. la base de la science et de la doctrine déterministe cette hypothèse, c
as. Voici le commentaire de mon ami courroucé. « Il se dit homme de science et il superpose aux recherches purement scientifi
organisme humain ni liberté ni responsabilité ? Parbleu ! L'objet des sciences médicales les exclut. » Il existe donc des scie
u ! L'objet des sciences médicales les exclut. » Il existe donc des sciences dont les objets n'excluent pas le libre arbitre e
on honorable contradicteur n'admet aucune relation entre les diverses sciences : « La science n'existe pas. Ce qui existe, ce
adicteur n'admet aucune relation entre les diverses sciences : « La science n'existe pas. Ce qui existe, ce sont diverses sci
iences : « La science n'existe pas. Ce qui existe, ce sont diverses sciences particulières. Celles-ci se sont fondées, se sont
un objet bien défini, de postulats et d'une méthode... Chacune de ces sciences étudie un certain nombre de phénomènes et les rap
interdit au physiologiste d'appliquer à la psychologie la méthode des sciences naturelles et au médecin d'empiéter sur le domain
té de notre vie et an champ limité de notre effort ! Il ignore que la science est une et indivisible, que les sciences particul
tre effort ! Il ignore que la science est une et indivisible, que les sciences particulières ne progressent qu'en se pénétrant,
bravant l'anathème des Académies, sans autre arme que leur foi en la science une et indivisible comme la France de 93. les méd
arre et se sont abandonnés au caprice de l'Océan ! Car la foi en la science , elle au moins, n'est pas stérile. Elle ne fait p
passage, reproduit ci-dessus, dans lequel Binet-Sanglé concède que la science est relative : je l'ai signalé expressément et j'
ni rien écrit qui permit de croire que « d'après moi « il existe des sciences dont les objets n'excluent pas le libre arbitre e
e et la responsabilité. » Je dirais volontiers avec Flournoy que « la science expire où commence la liberté ». Scientifique veu
et telle seconde. Qu'un phénomène de liberté puisse être prévu par la science , voilà qui serait contradictoire ; nous sommes d'
it, d'après moi. interdit d'appliquer à la psychologie la méthode des sciences naturelles ? Ai-je dit cela ? Où et quand ? La ps
s hypnotiseurs ?.. Je n'admettrais aucune relation entre les diverses sciences ?... Je ne me reconnais vraiment pas dans ces opi
ment pas dans ces opinions qu'on me prête. J'ignore encore que « la Science est une et indivisible »? C'est bien pis ! J'igno
st bien pis ! J'ignore même ce que c'est que la Seience, j'entends la Science , sans aucun qualificatif. Jusqu'à plus ample info
la Science, sans aucun qualificatif. Jusqu'à plus ample informé. « La Science » m'apparaît comme une entité nominale, vide de s
ale, vide de sens et ne répondant à rien. J'ignore, dit-on. que les sciences particulières ne progressent qu'en se pénétrant?
is je la conteste formellement, car elle est contraire aux faits. Les sciences particulières progressent, c'est-à-dire parvienne
fique des faits, c'est même là. en quelque sorte, la définition de la science ( 1). » Cettedéfinition rigoureuse du fait scie
tifique exclurait nécessairement le miracle. Mais nous savons que les sciences naturelles, par exemple, nous offrent nombre de f
er, de neutraliser les causes étrangères de perturbation (2). » Cette science préalable que réclame Herschell pour l'observateu
conçues. (Celle de l'intervention de Bieu en est une). Cette double science , à la fois générale et spéciale, n'est pas tout e
que sert la précision numérique ; elle est véritablement l'âme de la science . » Discours sur l'étude de la philosophie naturel
de la philosophie naturelle. § 515, et e. radier notait encore; « La science tend en toutes choses k la mesure. » Logique, p.
e à Lourdes ; il n'y a aucune sécurité ; l'?n ne peut se fier ni à la science , ni à la bonne foi de ces Diafoirus de cantons ;
Memorabil, 1879. Schiff. — De la niétallothérapie, — Ârch. des Sciences phgs. et notar. 1880. Seppilli et Mabagliako. —
ISSO. Tdke. — Metalloscopy and expectaut attention. Joum. of mental science , 1879. Bennet. — Metalloscopy and metallotherap
rd'hui.tous les esprits sérieux sont d'accord pour reconnaître que la science livresque absorbe des heures qui seraient mieux u
urs véritables besoins. Les arrivistes abuseront, au début, de leur science psychologique. Connaissant l'art d'agir sur les m
ologique des médecins. « Aujourd'hui, la médecine étant devenue une science n'impose pas de dogmes, elle enseigne des faits s
ychologie, telle que vous la comprenez, devient la collaboratrice des sciences juridiques, politiques et sociales. Il m'est agré
ntifique, l'agrégation est non seulement inutile, mais contraire à la science ; inutile parce que sa préparation est purement l
tile parce que sa préparation est purement livresque ; contraire a la science , parce que la nécessité de la préparation livresq
ous prépare ! « Matérialiste qu'elle était dans ses conceptions, la science élargit son domaine, et tend de plus en pins a de
le Dr Y. Bridoc i Parmi les hypothèses modernes où s'appuyent les sciences de la vie. la plus compréhensive est celle qui no
impose à la recherche du psychologue comme a toutes les parties de la science . Les symboles arrêtés, qui nous rappellent appr
tte méthode générale sans se placer a l'état de schisme vis-à-vis des sciences naturelles et du rationalisme universel. — Au der
ndance illimitée vers le perfectionnement qui. dans l'état actuel des sciences , représente la raison suprême de tous les (1) R
if est la seule vue d'ensemble qui nous permette d'adapter toutes les sciences particulières à la tendance prépondérante de la s
Espérance, au-dessus des formules traditionnelles qui désagrègent la science et la conscience, il apparaît que la subordinatio
es naturalistes eux-mêmes. Car en matière de méthodologie, c'est à la science du psychologue que revient normalement le premier
antithèses conventionnelles et littérales qui contrarient les autres sciences dans leur effort normal vers la synthèse. Nous
ement tous les symboles déterministes à cette valeur inexprimable, la science ne représente plus guère qu'un amas de recettes i
logie que les pédants croyaient définitive. Raillée à son début parla science officielle, l'idée géniale de Lamiirck peut toujo
r les liens qui unissent la graphologie aux principales données d'une science avec laquelle j'ai toujours eu de constantes fami
ogne et va rapidement de mal en pis. Il est utile que les hommes de science prennent avec soin l'observation des cas d'anomal
r, a Le sceptique, dit Claude Bernard est celai qui ne croit pas a la science et qui croit a lui-même ; il croit assez eu loi p
nce et qui croit a lui-même ; il croit assez eu loi pour oser nier la science et affirmer qu'elle n'est pas soumise a des lois
doute qne de lui-même et de ses interprétations ; mais il croit à la science ». La clinique moderne pent être fi ère de se réc
la médecine. Aussi ne comprend-on pas le dédain de quelques hommes de science , de faux savants peut-être, pour les cliniciens.
ir. Je ne saurais trop protester contre un pareil état d'esprit. La science , impersonnelle, est possible a tout le monde. La
au? Il incarne le présent avec tous les moyens d'investigation que la science met sans cesse à notre disposition. Il incarne en
impose à la Psychologie rationaliste, comme à la Méthode générale des sciences . Et d'ailleurs s'il est vrai, comme il appert, qu
Hegel en Allemagne, travaillaient à perfectionner la méthodologie des sciences . Bien qu'il fut épris des méthodes verbales qui t
us soutiendra probablement si nous disons que, dans l'état actuel des sciences , la psychologie du progrès forme la base conditio
ordonner le dilettantisme verbal, qui nous égare et nous divise, à la science des réalités qui nous enseigne la sympathie, la p
doivent être poursuivies. Elles gagneront à l'être par des hommes de sciences . M. PATri, MjlGsin. — Les aliénistes apprécient
ête de la terre. Toutes ces notions générales relatives à plusieurs sciences sont acquises en jouant pour ainsi dire et sans f
réquemment renouvelé, une habitude est prise et bientôt l'amour de la science , des recherches est développé et comme ces recher
par Paul Joire, p. 365. Association française pour l'avancement des sciences , p. 2, 56. Autosuggestion graphique, par Hurtre
19 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
ainsi que la liste de ceux qui ont pris part à cette belle fête de la science et de la psychologie. • • Dans sa séance annu
optisé des aptitudes et de la compétence que peuvent seules donner la science et l'expérience. En particulier, pour ce qui conc
logiques ; notre droit à nou?, médecins, est de guérir et toute notre science doit se soumettre cet impératif. M. Dubois indi
oir que dans un temps rapproché, l'hypnotisme sera considéré comme la science delà production, de la conversation et de l'utili
visoirement laissée de coté ; elle ne peut être donnée que lorsque la science est assez avancée. C'est la définition de mot qui
cée. C'est la définition de mot qui peut aider au développement de la science . La suggestion pourrait être définie : l'action d
e considérées commes des espèces et désignées, ainsi qu'on le fait en sciences naturelles, par deux mots, par exemple, suggestio
pédagogie au congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences Lyon, 2 août 1906. Le congrès de l'Associatio
t 1906. Le congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences se tiendra à Lyon, du 2 août au 8 août 1906. Le
vue scolaire. M. Julien Ray : maître de conférences à la faculté de sciences de Lyon : Un enseignement scientifique dans les c
M. Berthelot, ancien ministre, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences ; Albert Robin, professeur à la Faculté de mé
laborieuse Société de pathologie comparée contribue au progrès de la science et lacollaboralion des médecins et des vétérinair
aux animaux ; enfin, le troisième c'est notre attrait commun vers la science de la pathologie comparée. Nous avions encore u
agée des idées de force occulte ou de fluide ; il sera initié ù cette science comme il l'a été déjà à d'autres vérités scientif
ULLETIN Le Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences . — Discours de MM. les professeurs Lippmann et Te
umaine. Le Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences qui vient de se tenir à Lyon, a eu un succès cons
sé par le lycée. Il lui manque une notion saine de la puissance de la science . Elle n'y croit pas ou y croit trop tard. « Le
té est surtout d'enseigner l'art de la recherche, ce qui veut dire la science , car la science c'est l'art de ces recherches, et
'enseigner l'art de la recherche, ce qui veut dire la science, car la science c'est l'art de ces recherches, et pas autre chose
ent acquérir une culture générale digne de ce nom, en contact avec la science de première main, la seule qui soit attrayante et
oquée à l'heure propice. Le médecin doit avoir le culte passionné des sciences exactes et il lui faut de plus en plus compléter
ux, que nous ne sommes pas de ceux qui taxent d'accessoires ces mêmes sciences qui, pour nous, sont, au contraire, fondamentales
Robin, directrice d'école; M. Prost, chef de travaux à la Faculté des sciences ; M. Chalier, inspecteur primaire; M. Melou, inspe
auxiliaire du travail intellectuel et un facteur de l'avancement des sciences . M. Desnoyers : Avantages et inconvénients de l
« La psychiatrie et la neurologie ne forment, dit-il, qu'une seule science : la neurobiologie humaine ou physio-pathologie d
gnifiquement à l'intérieur de ce même temple glorieusement élevé à la science neurologique française. La science des aliénistes
me temple glorieusement élevé à la science neurologique française. La science des aliénistes et la science des neurologistes ne
à la science neurologique française. La science des aliénistes et la science des neurologistes ne forment qu'une seule et même
istes et la science des neurologistes ne forment qu'une seule et même science puisque l'une et l'autre étudient le même objet a
ciété contre l'invasion et les méfaits de ces malades ; 3° édifier la science du fonctionnement du système nerveux à l'état men
logique. La psychiatrie et la neurologie ne font qu'une seule et même science : la physio-pathologie du système nerveux de l'hom
ue la neurologie et la psychiatrie formaient deux branches de la même science unies sur un tronc commun. Nous pensons même qu'à
le mot de Buffon, « cette faculté de penser en grand qui multiplie la science ». S'il n'a pas créé l'hypnotisme, il aura eu l
a eu le mérite immense et indéniable d'inaugurer l'enseignement d'une science jusqu'alors suspecte et innommée, la psychothérap
udissements.) J'avoue que je commençais à douter sérieusement de la science médicale, lorsqu'on me conseilla de recourir à l'
rrible qu'il était, sauter à pieds joints sur les plates-bandes de la science officielle. En effet, il n'a pas été long à s'éma
opulaire nous offre en certains points des aperçus excellents, que la science moderne est venue confirmer, et dont, dans une ce
ntre le moral et le physique. Les voies que notre ami à ouvertes à la science seront suivies par d'autres, je l'espère, avec le
tenace, avec la même intelligence clairvoyante et ferme qu'il sert la science française, (Applaudissements prolongés et répétés
la critique, « genus irritabile vatum », a dit Horace, les hommes de science n'échappent pas à cette disposition d'esprit. Il
nes à la patrie et à la chose publique, et surtout goût éclairé de la science et des méthodes qui conduisent aux grandes découv
ique vers l'étude de l'hypnotisme et vers celle de la psychothérapie, sciences dont il pressentait les importantes et multiples
ssentait les importantes et multiples applications. A ses yeux, ces sciences présentaient un intérêt au moins égal à celui de
aisait allusion il y a un instant : « Vous voulez vous consacrer à la science , me dit-il, je vous en félicite. La science récom
oulez vous consacrer à la science, me dit-il, je vous en félicite. La science récompense toujours ceux qui se mettent à son ser
ouvier, actuellement professeur au Muséum et membre de l'Académie des sciences . Reçu le premier de notre promotion, son amour de
de médecine ; de Malard, le naturaliste méthodique, que l'amour de la science retient exilé dans le laboratoire maritime de Tat
lides me prouvaient qu'il suivait d'un œil attentif l'évolution de la science à laquelle son génie avait donné une si puissante
Charcot. A l'Institut, dans la salle des pas-perdus de l'Académie des sciences , il m'accordait avec beaucoup de bonne grâce des
il, où la centralisation pèse d'un si lourd poids sur l'évolution des sciences médicales, où toute science qui n'est pas officie
d'un si lourd poids sur l'évolution des sciences médicales, où toute science qui n'est pas officiellement reconnue et subventi
e la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les hommes de science et de bonne volonté se réunissent, comme vous l'a
des cours, nous a enseigné que la psychologie, de même que les autres sciences , subit, elle aussi les lois du transformisme. C'e
, M. le professeur Berthe-lot, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , a ajouté à toutes les marques d'affection qu'il
fit profondément vibrer tous nos cœurs. Le maître qui enseigne que la science est le seul fondement inébranlable de la moralité
'avoir démontré que la psychologie doit être, en dernière analyse, la science du caractère et de la volonté. (Triple salve d'ap
ommeil lucide, par M. le Dr D. G. Dalgado, de l'Académie royale des Sciences de Lisbonne. Dans l'histoire du magnétisme anim
— Le Mémoire (chapitre additionnel) de Braid adressé à l'Académie des sciences de Paris. IV. — Résumé et observations finales.
us parait, suffisamment consulté les écrits de ses devanciers dans la science magnétique ». An Historij o{ magie u-Ueh-crapt an
Le sommeil et son importance physiologique. Le prix Xobel, pour les sciences , vient d'être décerné à deux grands savants, les
, maigre, énergique, actif, à la figure mobile, il ne vit que pour la science . Ses travaux font le plus grand honneur à sa patr
mpoisonné sa domestique, Nina Wagner. Les plus grandes sommités de la science allemande avaient été appelées à donner leur opin
il lucide, par M. le D' D. G. Dalgado, de l'A ¦¦¦¦ : mie royale des Science » de Lisbonne. [suite et fin) ('( II. — LES PRIN
et précisé quelques points mieux que Faria, mais il faut noter que la science n'était pas restée stationnaire depuis la mort de
e by a commutée ol the medical section oí the French Royal Academy of Sciences read at the meetings of 21rsl and 28lh of June, 1
appendix containing reports of British practitioners in favour of the science . 1 volv4n-12 London. 1838. (?) Le 25 février 18
t une tabula rasa avant lui, et que lui seul est le créateur de cette science . Et c'est malheureusement l'opinion de tous ceux
i à la quatrième question qui m'était posée, dans l'état actuel de la science , on peut affirmer qu'une somnambule ne peut en au
notisé des attitudes et de la compétence que peuvent seules donner la science et l'expérience. En particulier, pour ce qui conc
vin, comme en plein védisme ! Non seulement j'accepte l'idée d'une science spéciale qui serait la Pyramidologie, selon le mo
e, sous peine de renoncer à notre plus noble tâche, c'est celle de la Science intégrale. Il faut la Mathématique, la Physique (
ble, il faut construire le chef-d'eeuvre zénithal, la Psychologie, la Science de THomme transcendental, I'Hypsistos! » SOCI
hez les abeilles M. Gaston Eonnier vient d'exposer à l'Académie des sciences les nouvelles expériences qu'il a faites cet été
omité de Patronage MM. Bebthelot. sccr. perpétuel de l'Académie des sciences : Beaums, dlr. hou. du laboratoire de psychologie
ce de M. le D' Paul Magnin, professeur à l'Ecole de Psychologie. — La science du bonheur, par M. le D'Paul Joire, de Lille. _
te étude Pataraxie absolue dont ne doit jamais se départir l'homme de science . Et vraiment. Messieurs, comment un homme de sc
tir l'homme de science. Et vraiment. Messieurs, comment un homme de science pourrait-il se montrer intolérant ? Quoi ! Nous
es et innombrables des hommes de génie ont travaillé sans relâche. La science a marché, et non pas seulement la science histori
travaillé sans relâche. La science a marché, et non pas seulement la science historique, mais l'anthropologie, mais la psychol
it nous empêcher de relever leurs erreurs. En un mot le progrès des sciences anthropologiques à la fin du xixe siècle et au co
ticulièrement au point de vue psychologique. La psychologie est une science qui a pour but l'étude des phénomènes dont le
t à la méthode que doit employer le psychologue, c'est la méthode des sciences naturelles, puisque la psychologie humaine, branc
a psychologie humaine, branche de l'anthropologie, fait partie de ces sciences . Les théologiens, qui ne sont rien moins que na
e un système incohérent et contradictoire, alors que les donnéesde la science forment un tout homogène et cohérent. C'estque ce
, un personnage de roman. Certes il n'est pas interdit à l'homme de science d'être un artiste à ses heures, mais, lorsqu'il s
s et clairvoyant, lorsque l'artiste en lui n'étouffait pas l'homme de science , un styliste qui n'ignorait rien des délicatesses
laïques furent aussi victimes de leur sentimentalité. Or, l'homme de science , pendant le temps qu'il s'emploie à la recherche
r la règle de nos petites convenances », il se trompe étrangement. La science n'a à se soucier ni des petites ni des grandes co
Je rendrai évidente l'ignorance absolue du Nazaréen à l'égard de la science grecque et romaine de son temps. Je dirai comme
oit porter son attention et sa sollicitude partout où l'on cultive la science , et que les chercheurs libres ont des titres, eux
levé tout seul, et qui a su se constituer dans le vaste domaine de la science , un champ qui est bien à lui, et où il a déjà fai
à l'analyse abstraite des facultés de l'âme. Elle est aujourd'hui une science véritable que vous avez su rendre vivante et féco
entendu M. le docteur Berillon proclamer que la psychologie était la science de l'éducation du caractère et de la volonté. Si
déshérités et qui ne saurait être différé davantage. Messieurs, la science a devant elle des horizons illimités; mais de tou
ce de M. le D* Paul Maokik, professeur à l'Ecole de Psychologie. — La science du bonheur, par M. le D' Psul Jotrr, de Lille-
estinée est de nous efforcer de nous en rapprocher sans cesse; que la science est un perpétuel devenir. Eu instituant des profe
au contraire entraîné à des dépenses parfois considérables ; dans les sciences expérimentales, par exemple, il s'entoure de prép
relief la valeur d'hommes supérieurs, ni contribué à la gloire de la science médicale. La démonstration de ce fait indéniable
racées par des esprits indépendants. Chacune des grandes étapes de la science médicale a été marquée par des noms d'hommes qui
illante pléiade des physiologistes qui ont jeté tant de gloire sur la science française. Notre grand Pasteur, à qui la médeci
toute sa vie, fut abreuvé d'humiliations par les représentants do la science officielle. Dès lo lendemain de aa mort, par un d
que la Faculté eut l'idée d'enseigner à son tour l'oculistique, cette science avait été glorieusement représentée à Paris par u
aux maladies de l'appareil visuel que lorsque l'oculistique était une science déjà faite, et les travaux marqués de l'estampile
aculté de Paris s'avisa que l'otologïe et la laryngologie étaient des sciences assez avancées en âge et en progrès pour mériter
Bordeaux avait dû faire appel, dans des circonstances analogues, à la science d'un professeur libre, le D' Moure. S'il est un
et Broussais ont fait les immortelles leçons qui ont révolutionné la science médicale. Véritable privat-docent, Bichat y ensei
le. Malgré les oppositions systématiques que rencontrent toutes les sciences nouvelles à leurs débuts, nul ne peut nier aujour
fonde, de cette largeur de vues qui constituent le véritable homme de science . Dans un Etat bien organisé, une chaire profess
s. Il a cherché et créé une méthode nouvelle; il a fait progresser la science . Véritable chef d'école, dans sa clinique particu
cole, et c'est tout. Dans toutes les autres Facultés (droit, lettres, sciences ) les cours libres autorisés par le Conseil supéri
des idiots, des imbéciles, des enfants, etc., est une conquête que la science doit seulement à cette orientation nouvelle. L'ob
directeur de la revue internationale les «Documents du Progrès». La science sociologique n'a pas encore étudié suffisamment l
ur puissant aussi de cette nouvelle conception du monde, basée sur la science et surtout sur l'idée d'évolution qui sera l'héri
pédagogie au Congrès de l'Association française pour l'avancement des Sciences . La seizième séance annuelle de la Société d'hy
ilités scientifiques. L'Association française pour l'Avancement des Sciences tiendra son prochain Congrès à Reims, le 1" août
n des privat-docenten. (Fin) Pendant longtemps l'enseignement des sciences médicales a été donné par deux catégories de maît
sion (!). Au congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , à Caen, en 1894, M. le professeur Bouchard fut a
t le courage d'affirmer ainsi leur opinion. Ils ont bien mérité de la science et de la médecine françaises! » * • * En al
ameuse* langue martienne que M. Flournoy, professeur à la Faculté des sciences de Genève, nous transmit, d'après Hélène Smith, u
d'accord avec notre goût de preuve tangible et notre vénération de la science , réclament des travaux positifs pour démontrer le
sme moderne, in-12, 475 pages. Perrin, Paris, 1907. Dr Fiessinger : Science et spiritualisme, in-12, 278 p. Perrin, Paris, 19
d, p. 187. Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , p. 65. Congrès des praticiens, p. 321. Congr
sme dans la nature, par Laloy, p. 255. Pédagogie à l'Avancement des Sciences , p. 30. Peurs collectives suggérées, p. 63. P
. 33. La section de pédagogie à l'Association pour l'Avancement des Sciences , p. 68. Ecole de Psychologie, p. 220. Institu
20 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
rincipal : 1. De fixer d’une façon définitive la terminologie de la science de l’hypnotisme ; 2. D’enregistrer et de déterm
ngrès suivra presque immédiatement celle du Congrès international des sciences médicales. RÈGLEMENT Art. I*r. Le Congrès
r quo M. René Lépinc est le fondateur. et leur ferme l’infini. La science y promènera sa torche. Déjà elle enlève aux « bel
es voir s’écrouler et se fondre comme un amoncellement de nuées. La science nous donnera une morale plus saine et plus pure q
sion tenue à Blois, par l’Association française pour l’avancement des Sciences , Auguste Voisin a rapporté une cure de ce genre q
toujours préoccupé de fixer d’une façon précise la terminologie de la science de l’hypnotisme, proposait, à la fin de sa longue
ulièrement l’attention des psychologues. Leur dogme porte le nom de « Science Chrétienne » et leur fondatrice et principale pro
aker Eddy écrivit sous l'influence de l’inspiration son « Opus magnum Science et Santé avec une clef des Ecritures », en 1866.
’exemplaire coûte 20 francs, et que chaque étudiant et maître de la « Science » doit en posséder un exemplaire, on comprendra c
l est donc intéressant d’examiner les dogmes et les principes de la « Science Chrétienne ». Mrs Eddy affirme que la matière e
ts suivants tirés de son livre feront comprendre ses doctrines : « La science chrétienne rejette ce qu’on appelle sciences natu
ndre ses doctrines : « La science chrétienne rejette ce qu’on appelle sciences naturelles en tant qu’elles s’appuient sur cette
e et produit tous les résultats médicaux, est fausse et s’oppose à la science chrétienne : Il faut donc, pour que celle-ci parv
t des pastilles. » (p. 69). « Si l'on inteiToge la fondatrice de la Science Chrétienne sur les avantages et la logique des ét
découvertes scientifiques où la médecine a partagé les triomphes des sciences physiques on ait pu propager des théories si gros
ggestion hypnotique, l’explication des cures qui se produisent par la Science chrétienne n’est pas chose difficile à saisir.
attributs, moraux ou physiques. Pour les malades imaginaires, la science chrétienne est une excellente distraction, et je
par Mesmer à Paris, il y a 20 ans, offre quelque ressemblance avec la Science Chrétienne. Celle-ci parait cependant moins parad
s groupes soit distingué de l’autre et constitue l'objet propre d’une science spéciale, à savoir la physiologie, d’une part, et
la physiologie, d’une part, et la psychologie, de l’autre. Ces deux sciences doivent être, au même titre, émancipées de la tut
s psychologiques sont souvent fonction l'un de l’autre, une troisième science , très légitime elle aussi, étudiera leurs rapport
rapports, ce sera le psycho-physiologie. Dans chacune de ces trois sciences , l’hypnotisme a sa place toute marquée. Toutefois
ournit une base expérimentale à la psychologie qui. dès lors, devient science positive et qui, grâce à lui, réalisera tous les
positive et qui, grâce à lui, réalisera tous les progrès auxquels la science du corps humain est parvenue avec l’aide du micro
roscope. » Et «l'autre part : «L’hypnotisme crée de toutes pièces une science nouvelle, la psychologie expérimentale. » De no
véritablement scientifique. La psychologie mérite d'être conçue comme science naturelle, une, autonome, ayant un objet détermin
passent en nous et raisonnait sur eux à perte de vue. l’ne nouvelle science , d’origine purement médicale, l’hypnotisme, nous
ste une série d’autres actes, dont l’étude a été possible, grâce à la science hypnotique. Ce sont : a) Les actes imités. L’
z le rôle capital de l'hypnotisme comme moyen d'investigation dans la science psychologique. Résumé et conclusions du rapport
vé dans un but scientifique ou de simple curiosité. — L'intérêt de la science et le respect du domicile privé s’opposent à tout
s représentations. Avantages possibles au double point de vue de la science et de l’instruction des foules. Objections cont
s en presence d’une victime on pourra employer tous les moyens que la science met à notre disposition pour réveiller ses souven
montrera à la justice. Certains sujets, doués d'une faculté que la science connaîtra mieux désormais, la lucidité, permettro
s à la Société de Biologie, à l’Académie de médecine, à rAcadémie des sciences , puis dans la thèse de ses •leux élèves préférés,
ans diverses sociétés savantes, à l'Association pour l'avancement des sciences , dans les congrès français ou internationaux, 011
la consécration classique; les représentants les plus autorisés de la science lui prodiguent l'expression de leur sympathie, de
estion religieuse. J’estime même qu i! y aurait urgence à inscrire la science des religions et la science de la suggestion aux
même qu i! y aurait urgence à inscrire la science des religions et la science de la suggestion aux programmes des examens de fi
estion d’assez près. Le prophète est primitivement un voyant, toute science de divination dérive des morts, les morts sont le
prétées. Nihil est ininlellectu quid non pri-mùm fueril in sensu. Les sciences , aussi bien que les religions, les croyances auss
tituer avec vraisemblance sa propre voix à la voix de la Divinité. La science ou plutôt l'art théologique, même encore de nos j
pnotisme et de notre Congrès une réunion utile au développement de la science . Mais nos assises internationales ont abouti à bi
r Liébeault, de Nancy. M. Liégeois, correspondant de l'Académie des sciences morales et politiques, professeur à l'Université
représentée par M. le Dr Bourdon, de Méru. — La Société des Gens de Science a délégué MM. Bonnet, de Gram-mont et le Dr Fovea
eusement, la mort impitoyable vint nous ravir cet homme de bien et de science , dont l’esprit si fin et si délié et, en même tem
ager nos travaux ne peut étonner personne, quand on pensera que cette science hypnotique peut fournir de précieux procédés d’an
oit, de l'Ecole de Médecine, de l’Ecole d’Alfort et de la Faculté des Sciences et des Lettres. Avec l’appui et le concours de
Avec l’appui et le concours de tels hommes, l’hypnotisme, qui est une science d’expérimentation, marche fatalement en avant, ma
ine, de la physiologie et de la psychologie. Le contrôle do ces trois sciences est indispensable si nous voulons faire œuvre dur
vieilles de plusieurs siècles, mais leur entrée dans le domaine de la science officielle. Il faut donc maintenir ces études d
nos efforts communs n’aboutiront pas seulement à faire progresser la science dans un des plus intéressants domaines de la neur
ernationales qui n’ont pas pu trouver place dans le grand Congrès des Sciences médicales, qui a été clos le 9 août. 11 ne faut p
tenir dans des limites strictement scientifiques l’évolution do cette science jeune encore et qui paraît devoir rendre de série
ait pour la psychologie et conclut à l’union féconde au progrès de la science . « On nomme les présidents d’honneur; le docteu
ons donner que quelques extraits de cet intéressant article : « Les sciences ont tenu Congrès : l'hypnotisme comme les autres,
éances. C'est encore un savoir qui sentie fagot que l’hypnotisme, une science du diable, et qu’on devine cousine de l’occultism
ntal et thérapeutique s'était tenu à Paris. Il avait révélé que cette science , dont Charcot s’était fait le courageux porte-par
lait impossible que la psychologie fût jamais à la hauteur des autres sciences . Seuls, les savants qui se tenaient au courant de
au courant des recherches sur l’hypnotisme, avaient compris que cette science ne tarderait pas ù constituer une véritable métho
omme, le Congrès d’hypnotisme, qui a compté les plus beaux noms de la science médicale moderne, a pu exposer un magnifique bila
la plume érudite du Dc Foveau de Cour-melles. IS hypnotisme, cette science troublante, dont j’ai tant de fois parlé ici, a e
es et se moquent de ce qu’ils craignent... Mais cela n'empèche pas la science de marcher et les hypnotiseurs de travailler. Leu
rès de Y Hypnotisme vient de donner une consécration définitive à une science connue seulement d’un groupe de spécialistes, et
Le deuxième Congrès international de Y Hypnotisme a montré que cette science , dont les illustres docteurs Dumontpallier, Charc
ncore, le docteur Dumontpallier, qu'une mort prématurée a enlevé à la science . Depuis I8C6, médecin de la Pitié, il contribua,
tes. La psychothérapie appliquée à l'enfanco débile et déchue est une science admirable en ce qu’elle nous défend de condamner
s le compter au nombre de nos amis. La mort de Korsakoff, ravi à la science à l’âge de 46 ans, inspirera de vifs regrets aux
Un autre, également considérable, portant sur une branche autre des « sciences psychiques », est celui de Aksakoff. « Animisme e
icismo psicologico, Firenze 1897. à Padoue, enfin les Annales des sciences psychiques, dirigées à Paris par le docteur Darie
es de l’occultisme. Pourtant, suivant l'expression des spirites, « la science ofiicielle » résiste encore et se contente de fai
in spécialiste à la Haye, est sur la brèche depuis 1887. Il a doté la science hypnologique de maints travaux lus dans les diffé
able de la psychothérapie comme méthode thérapeutique reconnue par la science officielle dans mon pays ; j'ai voulu construire
l y a près d'un demi-siècle, l’un des plus nobles représentants de la science de l’hypnologie, M. le Dr Durand de Gros, a déjà
, à 8 heures du soir, au grand amphithéâtre de l'ancienne Faculté des sciences , à Lille, un cours annexe de l'institut psycho-ph
es médecins hypnotiseurs et psychologues qui sont en deuil ; c'est la science française qui perd en Durand de Gros un de ses ch
la consécration classique; les représentants les plus autorisés de la science se sont fait un devoir de lui témoigner leur
ar la passion sainte et désintéressée du vrai. Il a aimé noblement la science , il s’est attaché à elle toute sa vie, il l’a ser
les rattachaient au domaine de la physiologie. L’hypnotisme vint, science d'abord purement médicale (1), qui nous fournit d
de classification put être appliquée en botanique et en zoologie, ces sciences furent contituées. Passons donc en revue ces di
z le rôle capital de l’hypnotisme comme moyen d’investigation dans la science psychologique. Discussion M. Crocq (de Bruxel
est là une opinion qui ne peut être acceptée dans l’ctat actuel de la science ; nous tendons, au contraire, de plus en plus à ad
thargie hypnotiques. Je croyais ces termes définitivement rayés de la science hypnotique. Pour ma part, j’ai quelquefois provoq
taient : Pasteur, Paul Bert, Bouley, Jamin, délégués paiTAcadémie des Sciences . Lesgrandes hystériques plongées dans les états p
atique le Dr Vogt est très fructueuse et rend de grands services à la science psychologique. M. Régis (de Bordeaux). — Tout à
onne foi. Car ces phénomènes ne concordent pas aves les données de la science . Il convient donc de les prouver au moyen d'un co
et vous souhaiter la bienvenue. Nous faisons des vœux pour que votre science progresse et pour que vos efforts soient partout
1) Compte-rendu officiel publié par le Bulletin .Municipal, Cette science de l’hypnologie, si neuve, si troublante, dontles
s de donner à l’électricité une application pratique, positive, votre science est devenue comparable à cette force mystérieuse.
a considère comme un nouvel adjuvant de l'humanité. En effet, cette science est arrivée à des résultats surprenants. J’ai vu
estigations et à vos travaux. Nul ne peut prévoir où s’arrêtera votre science . Le domaine judiciaire vous appartiendra certaine
ggestion, arrivez à détourner l’être du mal? C'est pourquoi votre science , encore peu pratiquée et tenue en défiance par ce
s moyens moraux et intellectuels ; c’est toute une révolution dans la science ; je vous en félicite. [Applaudissements). Je so
grès, je n’ajouterai qu’un mot à nos vœux pour le développement de la science hypnotique, je joindrai des remerciements au doct
cteur Bérillon pour son organe qui a répandu dans le monde profane la science hypnotique. — J'espère que cette vaillante Revue
es que peut rendre l'hypnotisme, mais le jour est proche où votre science merveilleuse recevra l’accueil qu’elle mérite, ca
igueur de la pensée. M. Renouvier a été élu membre de VAcadémie des Sciences morales et politiques, le jour même où nous avion
e hypothèse inutile et qui n’explique rien est toujours nuisible à la science . D’ailleurs ces phénomènes ne lui semblent nullem
z central, D’après le livre de M. Jules Sour.v(l). T/Académie des sciences et l'Académie de médecine viennent d’accorder sim
mpliquée et si hérissée d’écueils du cerveau humain. L'Académie des sciences , dans sa séance annuelle du 17 décembre, a voulu
s varient et varieront toujours, surtout dans certaines provinces des sciences biologiques. La science n’est pas, elle devient.
ujours, surtout dans certaines provinces des sciences biologiques. La science n’est pas, elle devient. La haine de l’aulorité s
sciter des émotions. La psychologie musicale n’est décidément pas une science imaginaire. Les expériences consistent, par exe
lement être révoquée en doute. La psychologie musicale est donc une science dont le progrès ne peut se faire que par le progr
science dont le progrès ne peut se faire que par le progrès d’autres sciences et celles-ci nous semblent encore assez incertain
ur à l’Ecole polytechnique, fera une conférence sur : Psychologie des sciences : L’initiation à l’étude des sciences physiques.
onférence sur : Psychologie des sciences : L’initiation à l’étude des sciences physiques. Vendredi 22 Février, à huit heures e
de philosophie moderne au Collège de France, membre de l’Académie des sciences morales et politiques. Aux côtés de M. Tarde, ava
l'hypnotisme ont eu une si grande inlluence sur les progrès de cette science . Ce fut à l’institut psycho-physiologique, qu'il
and savant, un grand philosophe et l’un des maîtres incontestés de la science hypnologique ; il se fait l’interprète des regret
s travaux sur la grande hystérie (1881) qu'a couronnée l'Acadcmie des Sciences , les remarquables dessins qui reproduisent toutes
ur à l’Ecole polytechnique, fera une conférence sur : Psychologie des sciences : L'initiation à l'étude des sciences physiques.
onférence sur : Psychologie des sciences : L'initiation à l'étude des sciences physiques. Vendredi 22 Février, à huit heure« et
nscients, les autres en partie conscients. Dans l’état actuel de la science , ont peut admettre que l’arc réflexe le plus comp
un sapajou. Le sapajou, dit M. Henri de Parville dans la Revue des sciences des Débats, n'est pas un animal d’une intelligenc
era utile à la commission chargée de fixer la valeur des termes de la science hypnotique. Stigmates de dégénérescence mentale
pirites, magnétiseurs, psychologues, par le Dr Félix Reg.wyult. Les sciences ont passé par trois phases, fétichiste, métaphysi
sés a-t-il fait oublier à ceux-ci qu’en amour, comme en bien d'aulres sciences , l’étude des préliminaires ne devait jamais être
duit à l’étude de leur personnalité. Tout, dans l’état actuel de la science , nous invite à définir la personnalité, l’ensembl
titre implique la connaissance parfaite de toutes le= branches d’une science qui est le couronnement et comme la sanction de l
leur de deux cents francs. Les thèses des Facultés des Lettres, des Sciences et de Droit sont admises à concourir au même titr
seuls travaux conquérir pour elle-même une place importante dans les sciences médicales, préféra être la dévouée collaboratrice
21 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
e la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les hommes de science et de bonne volonté se réunissent, comme vous l'a
enseignants pour la partie la plus noble et la plus humaine de notre science . » En terminant, M. Albert Robin indiquait ains
. le D' Bêrillon Professeur à l'Ecole de Psychologie, L'hypnotisme, science de la vie psychique et de ses manifestations inte
que et de ses manifestations inter-mentales, est, de son essence, une science expérimentale. Dans toutes ses applications, qu
nnent dans la respiration et la circulation des hypnotisés. Mais la science ne doit pas se borner à constater des phénomènes.
n pure et simple du malade, faite aussi complètement que possible. La science expérimentale arrive ensuite pour analyser chacun
e domaine autrefois obscur une vive lumière. Et là. comme partout, la science a fait œuvre de bonté: elle a brisé les chaînes d
de traitement et plus de pitié, telle est l'œuvre bienfaisante de la science médicale partout où elle passe. Krafft-Ebing, e
nombre d'années consacrées à l'étude de toutes les branches de cette science , ont justifié de leurs capacités pour l'obtention
ecourir à l'explication la plus étrange et la moins en accord avec la science . Ce n'est qu'après l'élimination successive d
palpables sont les sources intarissables de tout art, comme de toute science et de toute philosophie. J'ajoute que, nulle pa
hèse. Aussi par cela seul que vous aviez fait de la psychologie une science biologique, vous avez commencé à apporter de Tord
r quelques audacieux, rejetées jusqu'ici comme n'appartenant pas à la science orthodoxe, admises enfin aux honneurs de l'expéri
urnaturel dans la nature — et d'avoir fait pénétrer les clartés de la science dans ce qu'on nommait, hier encore, le domaine de
onfrère, un coreligionnaire, car vous avez, comme eux, le culte de la Science libératrice. L'Université de Grenoble, qui est
nt ! Je voudrais maintenant que, par un de ces prodiges auxquels la science nous habitue aujourd'hui, ces murs puissent conse
reinte de vos paroles; je voudrais que tous ceux qui, en dehors de la science , s'intéressent, par profession, à la chose publiq
es hommes, puissent prendre ici des leçons. A l'heure où toutes les sciences se préoccupent de leur utilité sociale, la médeci
ce jugement de Leibnitz, par lequel je veux terminer : Le rôle des sciences est de bâtir des systèmes d'une con-« naissance s
didat. Il quitte alors l'école « à la recherche de la vérité et de la science et non de vaines apparences ». On lui propose u
est qu'il se fait lui, une autre idée de la Médecine. « Est-ce que la science de guérir peut se transmettre ainsi sans théorème
tous la même chanson » (eamdem cantilenam canentes). Il n'y a que la science de la vérité ou la vérité de la science qui peut
am canentes). Il n'y a que la science de la vérité ou la vérité de la science qui peut lui donner ce qu'il cherche. Pour se
qu'il a le plus souvent torturé en vain son esprit, que vaine est la science de tout ce qui est sous le soleil, que ce ne sont
plus nombreux: du reste ses doctrines sont absolument contraires à la science médicale orthodoxe au Galénisme. En France, Gui
mpressions mentales et l'apparition ou la disparition des verrues. La science n'a aucune raison de nier que la genèse des verru
bon de contrôler par soi-même les observations d'autrui ; et puis, la science se fait par la lente accumulation de faits concor
ne, médecin modeste et homme de bien, qui ouvrit une ère nouvelle aux sciences médicales en la datant de sa découverte : L'appli
a Rédaction. Le spiritisme est l'ennemi du spiritualisme et de la science (1) Par M. Jules Bois Charles Renouvier croit
uer aux profanes tant qu'ils n'ont pas été initiés aux mystères de la science . » Aussi ne fut-il jamais un praticien, ni un p
r M. le Dr Rouby, d'Alger Première partie. — Les miracles devant la Science . — La folie hystè~ rique de Marie Alacoque. — Je
comme vraies les découvertes faites dans les différentes branches des sciences ; qu'au lieu de lutter contre les vérités mathémat
ar des pratiques et des croyances d'un autre âge ; d'un autre côté la science , tous flambeaux allumés, fait le jour partout, en
le même avis, au mois d'avril de l'année dernière, dans une revue de sciences occultes : Dans mon opinion, écrivait-il, les i
J. R. Gasquet. The madmen of the Greck théâtre (The Journal of mental Science , april, july, october 1872; january, april, july
ent, ont leur côté utile et que les moindres débris peuvent servir la science . SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séa
, tout en possédant une idée très vague de ce qu'est le criminel. Les sciences juridiques portent jusqu'à présent le cachet de l
s y trouveront nettement formulées les solutions déjà acquises par la science sur cette question si importante. On peut repro
leur de deux cents francs. Les thèses des Facultés des Lettres, des Sciences et de Droit sont admises à concourir au même titr
lieu tous les mercredis, à 8 h. 1/2 du soir, à l'ancienne Faculté des Sciences , rue des Fleurs, Amphithéâtre du 2* étage Progr
els elles sont étagées ont résisté ; mais la critique est venue ; les sciences se sont développées ; on a regardé, on a examiné,
es les découvertes passées, avec toutes les découvertes futures de la science . * Troisième partie. — La Chemise miraculeuse
tenu par Charcot et d'autres médecins, a éclairé ce coin obscur de la science et a montré d'une part, que les paralysies hystér
tre des faits et si elle fait appel aux notions établies par d'autres sciences , telles que, pour le cas présent, l'anatomie comp
ns qu'il ait beaucoup d'imitateurs, à la fois pour l'avancement de la science et pour le bon renom de nos Facultés. Psychiatr
ion à un savant dont les travaux font rejaillir tant d'honneur sur la science française, et recevoir d'un maître respecté d'uti
ranches de la biologie. Nous pensons également que c'est desservir la science que de prêter l'oreille aux inspirations de quelq
s procédés mis en usage afin de provoquer l'état d'hypnose et pour la science qui s'en occupe. (3) lies bicyclistes peuvent f
bes dont il est le véhicule ; et je me félicite que les progrès de la science exercent cette influence sur la moralité et la co
DE PATRONAGE MM. Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , membre de l'Académie française; Boirac, recteur
, professeur honoraire au Collège de France, membre de l'Académie des sciences morales ; Albert Robin, membre de l'Académie de m
ne ; Tarde, professeur au Collège de France, membre de l'Académie des sciences morales ; Jules Voisin, médecin de la Salpêtrière
ous la présidence de M. le professeur Giard, membre de l'Académie des sciences , professeur à la Sorbonne. La leçon d'ouverture
professant que le déterminisme le plus rigoureux, le déterminisme des sciences mécaniques et physico-chimiques domine toute la v
des fonctions conscientes du système nerveux, et qu'elle doit être la science des propriétés psychiques de la matière vivante.
il, où la centralisation pèse d'un si lourd poids sur l'évolution des sciences médicales, où toute science qui n'est pas officie
d'un si lourd poids sur l'évolution des sciences médicales, où toute science qui n'est pas officiellement reconnue et subventi
e la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les hommes de science et de bonne volonté se réunissent, comme vous l'a
er comme il convient de la méthode en psychologie zoologique toute la science , toute l'érudition du savant qui préside. Or je n
aiblesse de mes connaissances en la matière. Toutefois à défaut d'une science profonde, j'apporte au moins de la bonne volontés
raiment scientifique. D'ailleurs, la psychologie zoologique est une science bien modeste : c'est une science défaits, de phén
s, la psychologie zoologique est une science bien modeste : c'est une science défaits, de phénomènes, analogue sur ce point aux
une science défaits, de phénomènes, analogue sur ce point aux autres sciences biologiques. Comme ces dernières,elle doit se bor
olution des êtres organisés qui venait d'être fondée à la Faculté des sciences de Paris, la philosophie biologique pénétra dans
els, je dirais que cet enseignement nouveau fut pour les étudiants en sciences naturelles de cette époque une sorte de révélatio
ne, grâce aussi à la précision des méthodes, ont réussi à enrichir la science d'une véritable moisson de faits nouveaux. Mais
irai même, qu'à mon avis, le plus grand tort des vulgarisateurs de la science est de ne s'attacher qu'aux faits merveilleux et
t de ne s'attacher qu'aux faits merveilleux et trop exceptionnels. La science n'est réellement scientifique qu'en restant simpl
étaient dans l'obscurité; et c'est tout. Tout cela n'est pas de la science : c'est de la littérature. Aussi dans cet ordre d
oviennent pour la plupart de correspondants inconnus. Malgré toute sa science , Romanes est souvent victime de la méthode qui a
nes est souvent victime de la méthode qui a dominé trop longtemps les sciences psychologiques. Nous ne devons accepter, en eff
ous appellerions volontiers de la psychologie de vieille fille, et la science en est déjà trop encombrée. Tout ceci nous mont
une des femmes les plus eminentes de ce temps, et qui fit pour la science , ce que la marquise du Châtelet avait fait pour l
Dès sa première lettre, il montre que la psychologie animale est une science auxiliaire de la psychologie humaine. « De même,
icieux que les observateurs modernes, désireux de faire progresser la science , ne devraient pas oublier. * * Si la sincérit
rvation est obligée de faire appel aux procédés d investigation de la science moderne. Prenons, pour nous faire mieux comprendr
e. L'expérimentation en psychologie zoologique, comme dans les autres sciences , est donc d'une grande utilité. Et si jusqu'i
ifficiles. • * » En résumé, si nous voulons faire progresser la science psychologique, il nous faut faire de bonnes obser
faire de bonnes observations suivant les méthodes que nous impose la science moderne, puis ensuite soumettre ces observations
en est pas moins élevé, et mérite, au môme titre que celui des autres sciences , d'attirer l'attention et la bonne volonté des ch
, d'attirer l'attention et la bonne volonté des chercheurs. A cette science , Messieurs, apportez d'abord ce qu'elle vous dema
'il a déjà rendus, soit à l'enseignement d'une branche importante des sciences médicales, soit à la thérapeutique des maladies n
modalités est inséparable désormais de celle de la physiologie et des sciences connexes: anatomie, histologie, c'est, il me semb
a psychologie du criminel, la psychologie des foules et surtout celte science encore au berceau mais déjà si pleine de promesse
périmentation qui ont donné des résultats si précieux dans toutes les sciences de la nature, nous voulons d'abord débarrasser le
mme de purs matérialistes sous peine de renoncer à tout progrès de la science ? Rien n'est plus curieux à ce point de vue que l
curieux à ce point de vue que l'opposition qui (1) Cl. Bernard, La science expérimentale, 1878, p. 403. (2) hippocrate, Tr
alement exactes pour ceux qui croient au déterminisme, sans lequel la science deviendrait chimérique, l'histoire du monde ne se
sait il y a quelques années Lord Kelvin alors Sir William Thomson, la science est tenue de regarder en face et d'aborder sans c
te, Messieurs, et j'ajoute que ces questions embar- rassantes, la science doit les attaquer arec ses méthodes ordinaires, l
mon ami le professeur A. Sabatier, l'éminent Doyen de la Faculté des Sciences de Montpellier, vient de tenter le même sauvetage
e forteresse où d'ailleurs elles ne gêneront que bien peu d'hommes de science . Mais, d'une façon générale, affirmer qu'une ch
oudre et par suite nous empêchons tout nouveau pas en avant. Si des sciences aussi avancées que la mathématique et la physique
pareilles mésaventures, combien plus fréquentes seront-elles dans nos sciences biologiques et psychologiques dont la complexité
es difficultés ! Ce fut d'abord l'indifférence et la méfiance de la science officielle qui, après avoir laissé dans l'ombre d
rtains esprits sont pris d'affolement. Ils crient à la faillite de la science . Tels ces ingrats oublieux des services passés qu
atier. Sans prétendre rien abandonner des conquêtes antérieures de la science , et tout en reconnaissant qu'on peut encore large
ondée et qui la dirigent, d'avoir su écarter de vous ces périls de la science en vous les faisant toucher du doigt dans leur en
a, comme celle de Bert,legrave défaut de n'être pas simple, ce qui en sciences naturelles est une présomption de fausseté. Je cr
on commune ; et peut-être qu'une fois encore l'accroissement de notre science amènera par contre-coup une notable augmentation
es, 4E édition, 1878. DecHambre, art. Sommeil, in Dict. encyclop. des Sciences médic. (2) Gyel. L'être subconscient, 1899, p.
1902, p. 240, 318. (2) Voir mes leçons sur le Spiritisme devant la science Lec. de clin, médic. t, IV 1903, p. 374. et P
DE PATRONAGE MM. Berthelot, secrétaire perpétue! de l'Académie des sciences ; Boirac, recteur de l'Académie de Grenoble ; Lion
toujours préoccupé de fixer d'une façon précise la terminologie de la science de l'hypnotisme, proposait, à la fin de sa longue
ciale. 17e Année. — ? 11. Mai 1903. La vie de Mahomet devant la science hypnotique (1) par le Dr Félix Regnault, profes
par le Dr Félix Regnault, professeur à l'Ecole de psychologie. La science des religions est des plus cultivées à l'Universi
urtant, il nous semble qu'il lui manque quelque chose, elle reste une science qui manque du souffle de la vie, analogue aux sci
elle reste une science qui manque du souffle de la vie, analogue aux sciences préhistorique, archéologique. Cela provient de ce
emières idées religieuses ; elles constituèrent également la première science , dans leur stade fétichiste, comme l'appelle Augu
taire, stade dont nous voyons à peine la fin, si nous la voyons. La science religieuse est animée et vivante comme toutes les
oyons. La science religieuse est animée et vivante comme toutes les sciences sociales. Elle devrait être étudiée au même titre
ient conscience de leurs devoirs. Introduire le facteur âme dans la science religieuse est la tâche que j'ai entreprise. Da
core des augures, astrologues, chiromanciens, etc., qui possèdent une science , ha caractéristique du prophète est de révéler la
t commise (V, 149). Tels sont les quelques faits justiciables de la science hypnotique que nous relevons dans l'histoire de M
» Je persiste à croire que c'est là un procédé courant et utile en science positive : rapprocher entre eux divers phénomènes
acharné ; mais leur cerveau n'a pas l'occasion de se fatiguer. Peu de science , pas de recherches, pas de surmenage intellectuel
re de), p. 97. Lourdes, par Jayle, p. 28, 61, 94. Mahomet devant la science hypnotique (La vie de), par Regnault, p. 321. M
ynard, p. 15,122. Spiritisme est l'ennemi du spiritualisme et de la science (Le), par Jules Bois, p. 100. Somnoforme et s
22 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pupillaires chez les aliénés et leur va- leur The Journal of mental science , juillet 1902. DE GouvÉA. Les manifestations oc
ast. 1. Selle ne Sektionsfalle, von Prof. ])1 E. A. Homen. II. La science et une vie future ; par William Graham. Janvier
autres sujets connexes; par John Turner (The Journal of Men- tal Science , avril 1905.) L'auteur après avoir résumé l'opi
par le professeur A. I'IC>; (de Prague).(T/re Journal of Mental Science , janvier 1905.) Remarques intéressantes, basées
a valeur clinique ; par Arthur A. D. TowSED. (The Journal of Mental Science , janvier 1905.) Voici les déductions de l'aut
e maladies mentales ; par A. S. 11. PEEBL s. (The Journal of Mental Science , juillet 1904.) Recherches intéressantes et var
onction cérébrale; par Alfred W. Campbell. (The Journal of Mental Science , Octobre 1904.) Travail intéressant accompagné
ez un épileptique, par, II. HO\\'E JEREMY. (The JOll/'1laloj mental Science , janvier 1905.) Il s'agit bien ici d'un cas d
- remarques sur l'observation; par D. Rire (Th Journal of Mental Science , avril 1904.) Il s'agit d'une femme de 65 ans,m
morragique; par T. K. Monro et John Findlay. (The Journal of Mental Science , juillet 1904.) Il n'est pas facile dans ce cas
des résultats temporaires; par ? 10RAH KEMP, (The Journal of Mental Science , Janvier 1904) Observation intéressante d'un ca
fluence de la Salicine; par W. T. Vincent. (The Journal of Mental Science , avril 1904.) Le titre de ce travail peut lui s
hors des asiles d'aliénés; par ? 1ahan RAw. (The Journal of Mental Science , janvier 1904.) Une longue observation des alié
es dans le rectum; ft par J. OGILVIE VEITCH. (The Journal nf Mental Science , . avril 1904.) Il s'agit d'une femme, dément
ums dans la folie aiguë; par Lewis C. BrtucE (The Journal of Mental Science , avril 1904.) Les sérums expérimentés ont été
nes épileptiques ; par G. E. SHUTTLEWOR1'J[. (The Journal of Mental Science , oc- tobre 1904.) L'auteur a été amené par de
ment des neuro-psychoses : par Edward BLAKE.(77je Journal of Mental Science , juillet 1905.) L'auteur relate sommairement un
ections mentales ; par H. de M. Alezan- DER. (The Journal of mental Science , janvier 1905.) Le véronal ressemble par son as
ns le traitement; par Lionel A. Wc ? THERLY. (The Journal of mental Science , juillet 1905.) C'est un inconvénient des grand
e- ment de l'insomnie; par M. Maule SMlTII.(The Journal of Mental Science . Juillet 1905) On considère avec raison comme s
lysie générale et le crime ; par John BAKER. (The Journal of Mental Science , juillet 1904.) L'auteur rapporte avec plus ou
s de double cons- cience ; par Alfred Wilson (The Journal of Mental Science , Juillet 1904.) 11 s'agit d'une femme de 22 a
dont l'observation abrégée a été publiée dans le Journal of Mental science de 1903 et l'observation intégrale dans le N° d
ion intégrale avec fac- simile d'écriture dans le Journal of Mental Science . On trouvera cette observation avec tous ses dé
'automatisme alcoolique; par W. C. Sullivan. (The Journal of Mental Science , avril 1904.) L'autour rapporte avec détails qu
affectent l'état mental ; par LEwis BRUCE. (The Journal of Mental Science , avril 1904.) L'observation que publie l'auteur
VT;-CLAY. IV. Obsessions ; par James SHAW. (The Journal of Mental Science , avril 1904.) Etude intéressante, relatant dive
rie et de la folie; par F. W. EDRIDGE GREEN. (The Journal of Mental Science , avril 1904.) Ce travail se résume ainsi : non
d'origine trauma- tique ; par Thomas Drapes. (The Journal of Mental Science , juillet 1904.) - , Observation intéressante
as de démence précoce; par Henry M. EusTACE. (The Journal of Mental Science , juillet 1904.) . Les .cas de démence précoce n
hologie» de Jane Cakebread; par ROBERT JONCS (The Journal of Mental Science , avril 1904.) On ne peut que signaler cette étu
niques de psychose de KoRsAKow; par J. ToTE. (The Journal of Mental Science , janvier 1904.) L'auteur a pu recueillir et pub
et le 22 juillet 1904 ; par R. PERCY SMiTH. (The Journal of Mental Science , octobre 1904.) L'orateur s'est proposé dans ce
s trophiques cutanées ; par MM..1. Lh4PINE et M. Loup. (Société des Sciences médicales de Lyon, 11 juillet. (Lyon médical, 3
aractères inusités; par S. F. E. RAINS- Fotn (The Journal of Mental Science , Juillet 1904.) Le premier cas est celui d'une
ociales de l'alcoolisme; par W. C. SULLIVAN. (The Journal of Mental Science , juillet 1904.) Les recherches de l'auteur le
X.- «Morison Lectures»; par John MACPHERSON. (The Journal of mental Science , juillet 1905.) A. Lecture V. - Sur la la répar
ence précoce »., par J. C. lllc Conaghey. (The Jour- ^nal of menial Science . avril 1905.) L'auteur rappelle sommairement la
r la paralysie générale; par IIna- YEN BAIRD (The Journal oi menlal Science , juillet 1905.) Ce travail comporte les conclus
e 20 Juillet 1905 ; par J. OUTTERSON\VOOD, (The Journal of mental Science . octobre 1905.) Comme beaucoup de discours prés
III. Démence précoce; par Thomas Johnstone (The Jour- nal of mental Science , octobre 1905.) Le sujet a été à maintes repris
s folies de déchéance; par Georges A. RORIE, (The Journal of mental Science , juillet 1905.) L'auteur a observé quelques cas
un schéma universel ; par C. C. EASTERBROOK. (The Journal of Mental Science . Avril 1905.) Travail très étendu, très bien co
système décimal de DEWEY; par A. R. URQUHART (The Journal of Mental Science , avril 1905.) - L'auteur propose d'appliquer à
r John MAcpHEnsoN (Mori- son Lectures n IV). (The Journal of Mental Science , avril 1905.) Leçon intéressante qui se termine
ntangible, sera devenu un fait de la plus haute importance pour les sciences médicales et sociales. R. DE MUSGRAVE CLAY. X
élite syphilitique ; par R. A. L. GRAIIAN. (The Journal of men- tal Science . octobre 1905.) Cette observation très intéress
e congénital; il a des no- tions très obscures sur les éléments des sciences qu'on a essayé de lui inculquer. Il a été en re
de la maladie du sommeil; par ROBENT JoxEs. (The Journal of Mental Science , Avril 1904.) Cette question alors nouvelle aét
chez une mère et sa fille; par JoHx R. Lord. (The Journal of Mental Science , avril 1904.) Observation intéressante, mais ne
sur le peuple anglais; par R. S. STE-\VAItT. (The Journal of Mental Science , janvier 1904.) Voici le résumé de cette curieu
érale de développement; par Jas. Middlemass. (The Journal of Mental Science , janvier 1904.) - Deux remarques : 1° l'éticl
le sud du Pays de Galles; par R. S. STwv.RT. (The Journal of Mental Science , janvier 1904.) - En s'appuyânt sur des données
1Y. XXXV.-Le « Stress »; par Ch. 11-PRCIEE.(The Journal of Mental Science , avril 1904.) XXXVL-Eneore le « Stress "; par C
XXXVL-Eneore le « Stress "; par Ch. Mercier.) The Journal of Mental Science , octobre 1904.) Il y a une quinzaine d'années,
e et précis profite de ce fait pour regretter que lorsque, dans une science ou une branche d'une science, un mot (il déclar
t pour regretter que lorsque, dans une science ou une branche d'une science , un mot (il déclare d'ailleurs iieteiiir nullem
e l'hallucination; par W. H. B. STOV - DABT. (The Journal ot Mental Science , octobre 1904.) Travail interressant accompagné
Paralysie générale; par James Mid- dlemass. (The Journal of Mental Science , juillet · 1904. ) Ce n'est pa3 un mémoire, mai
ns le Comté de Dorset ; par George A. RORIE. (The Journal oi Mental Science , avril 1904.) - Etude intéressante mais ne po
1.- Les sortes de folies; parCh.iIERCIE it.(The Journal of Men- tal Science , janvier 1904.) Malgré, son très réel intérêt,
hase de la paranoia; par Conolly NOR ? IAiN. (The Journal of Mental Science .Janvier 1905.) L'auteur rapporte avec des dét
maladies mentales : par C. Hu- / bert BoND. (The Journal of mental Science , janvier 1904.) L'auteur n'ignore pas que le su
avec goitre exophtalmique; par R. H. STEEN. (The Journal of mental Science , janvier 1905.) L'auteur rapporte l'observation
e amaurotique de famille ; par James BuRNET. (The Journal of Mental Science , janvier 1905.) Les cas de celle maladie sont r
ère et la seconde enfance; par Henry Rayner. (The Journal of Mental Science , juillet 19010.) La nécessité de surveiller et
pas sain en Irlande; par CONOLLY TOi : mArr. (The Journal of Mental Science , juillet 1904.) L'auteur insiste sur le fait qu
oses et leur signification; par T. CLOUSTON. (The Journal of Mental Science , avril 190 ? ) On n'a pas fait suffisamment res
ques (on avouera que c'est là une ingrate besogne dans l'état de la science ). Il adopte, en l'adaptant aux demi-fous, la do
'auteur. Prix 10 fr. Pour nos abonnés 8 fr. The Journal of Mental Sciences . Published by Anthority , of the Medico-Psychol
onnées actuellement acquises dans chacune des diverses branches des sciences biologiques ». Les arguments, tirés successive-
iste, elle n'a qu'une valeur très restreinte et même nulle pour les sciences sociales. Enfin cette introspection généralisée
ontes les données des SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 2t'9 sciences biologiques'. Basé sur une interprétation sim-
le malheur universel. Depuis dix mois on insulte en moi, l'art, la science et l'imagination créatrice ». PSYCHOLOGIE Sur
ttre que son semblable qui sera doté du même privilège, le saura de science certaine, en sorte que le phénomène serait tell
sique ! 1 voilà de tes coups ! » (p. 32). Mais si « les hommes de science sont les derniers à voir ce qui saute aux yeux n
me, crime et folie ; par nI. MI. Bevan LEws. (The Journal of mental Science , avril 1906.) - L'auteur se propose dans ce tra
eur doit tous les traitements que lui dic- tent sa conscience et la science . La loi respecte, du reste, ce principe, mais '
l'Instruction publique. (Association française pourl'avancement des sciences , conférence de Paris, 1906.1 Cours LIBRE DE P
u'à propos des applications de la théorie à l'objet particulier des sciences sociologiques : on dirait que l'Auteur, préoccu
U CORPS. 373 qui ne sont pour rien dans l'unité perçue de la con- science , qui, au contraire, doivent être spécialement vis
erait la continuité des effets, continuité qui est la base de toute science , qu'aurait dû faire l'Auteur ? Inter- préter ce
squels il dit : « La direction d'un Asile d'aliénés est devenue une science médicale, intéres- sante à plus d'un titre. En
xées ; l'administrateur doit s'effacer devant les préceptes d'une science qu'il ne peut contrôler ; l'organisation médico-
ns la République Ar- gentine, etc. Serait-ce que, dans ces pays, la science psy- chiatrique, l'assistance des aliénés et l'
) ; note critique; par M. C. C. EASTEILBROCK.(The Journal of mental science ,octobre 1906.) Après une étude critique des tec
les salles d'autopsie ; par M. F. W. l\IOTT, (The Journal of mental Science , octobre 1906.) Travail très nourri de faits et
des croisades ; par MM. William W. Iner.AND. (The Journal of mental Science , octobre 1906.) M. Ireland se plaît aux études
'idiotie épileptique ; par M. HARVE7 B.11RD. (The Journal of mental Science , juillet 1906.) Les conclusions générales de ce
'1'. Ford RoBERTSON. (Morison Lectures V.) (The Journal of mental Science , avril 1906.) Ce travail renferme des recherche
tude de la folle ; par A. Graham Crookshank. (The Journal of mental Science , janvier 1906.) Au sens conventionnel ou empiri
ation psychiatriques ; par M. Thomas Drapes. (The Journal of Mental Science , jan- vier 1906.) L'observation que nous avon
maladies mentales ; par M. Sydney J. CoLC. (The Journal of mental Science , janvier 1906.) Ce n'est pas d'aujourd'hui que
ralysie générale ; par M : Conolly NOR ! AN, (The Journal of Mental Science , janvier 1906.) Il s'agit d'un cas de paralysie
démence paralytique ; par M. Georges Greens, (The Journal of mental Science , avril 1906.) L'auteur se propose d'étudier dan
trie et alcoolisme ; par M. W. C. 3ULLIV \N. (The Journal of mental Science , juillet 1906.) L'auteur rappelle que, dans un
ur enregistrement ; par T. OUT- TERSON WooD. (The Journal of mental Science , avril 1906.) Travail concernant des questions
ojet de promotion ; par Frank ASIIDY ELKINS. (The Journal of mental Science , avril 1906.) Même observation. R. M. C. 432
ens, à Manehestor; par M. Alcan MAC DOUGALL. (The Journal of mental Science , janvier 1906.) Nous ne pouvons pas suivre l'
ofit des imbéciles ; par M. F. E. RAINSFORD. (The Journal of Mental Science , janvier 1906.) ' Le titre de ce travail en r
nterie des asiles; par M. W. Bernard KNOBEL. (The Journal of mental Science , avril 1906.) Ce très intéressant travail, très
ulose dans les asi- les ; par W. F. Menzies. (The Journal of Mental Science , juillet 1905,) Non seulement la tuberculose
ose dans les asiles ; par M. Georges GREENE. (The Journal of mental Science , janvier 1906.) On peut noter au passage dans c
entes formes de folie; par John MiLsoMRnoDEs (The Journal of mental Science , octobre 1905.) Suivant l'auteur, il faut, au p
bleaux statistiques; par CHARLES A. Mercier- (The Journal of Mental Science , octobre 1904.) Etude critique de la forme usue
de l'hôpital Saint-Luc ; par WILLIAM RawFS. (The Journal of Mental Science , Janvier 1904.) Etude intéressante mais trop dé
à l'hôpital de Cheadle ; par JORAN SUTOLIFF. (The Journal of Mental Science , avril 1904.) Nous ne pouvons que mentionner ic
serie à propos de Gheel; par CONOLLY Norman. (The Journal of Mental Science , Janvier 1904.) Causerie variée et intéressante
Imbécillité mongolienne ; par C. H. Fenhell. (The Journal of Mental Science , janvier 1904.) Ce type, assez commun en Anglet
mise en garde dans les asiles, par J. Marna. (The Journal of Mental Science , avril 1904.) Ces fiches sont destinées à mettr
lle écossaise ; par J. CARLYLE JOH : 7STONE. (The Journal of Mental Science , juillet 1904), , Examen critique de ces mesure
par voie législative; par M. W. Y. NOLAN. (The Journal of mental Science , octobre 1906.) L'auteur ne se dissimule pas qu
répandu la plupart des donnéas certaines que possède aujourd'hui la science sur les différentes questions envi- sagées jci,
de COURII : Ll.ES, lau- réat de l'Académie de médecine, licencié ès sciences physiques et naturelles, reprendra son cours d'
e tout à fait particulier et qui serait seule applicable dans les sciences biologiques, ne tire pas tant son importance de
« n'est applicable, du moins dans la grande généralité des cas, aux sciences sociolo- z giques » (p. 143. Par conséquent, ou
. Par conséquent, ou bien ces dernières ne seront pas de véritables sciences : on pourra bien SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU
re à la sociologie a. Ce double dilemme est injustifié : à côté des sciences propre- ment dites,il y a des groupes de connai
en sociologie, qui ne peuvent en aucune façon prétendre au titre de sciences . Entre ces groupes et les sciences parfaites, il
cune façon prétendre au titre de sciences. Entre ces groupes et les sciences parfaites, il y a les sciences, encore pauvres
e sciences. Entre ces groupes et les sciences parfaites, il y a les sciences , encore pauvres en abstractions et en généralités
élabo- rations ultérieures ; elles ne peuvent prétendre au titre de sciences qu'en avouant leurs caractères de débutantes ;
u'elle doit être en l'es- pèce, soit « incomplète » ? Quelle est la science où la nécessité de la - collaboration de plusie
dans la sociologie, l'Auteur prétend que celle-ci ne peut être une science que si elle se base sur des principes généraux,
ncipes, il y avait quelque chose de réellement utile et spécial aux sciences sociologiques, le duplicisme n'en serait pas dé
lassique. 1° Cette confusion est en effet manifeste : à la « con- science , voix divine » de Rousseau (p. 147) enrichie au
it prédominer l'élé- ment intellectuel. Il n'existe donc dans les sciences sociologiques ni fait SLR LA SYMÉTRIE BILATERAL
té à une autre ? Du reste, la sociologie n'est-elle pas surtout une science d'observation en voie de progrès continuel, et
venait à être employée seule ou de préférence aux autres dans les sciences sociologiques, celles-ci ne seraient bientôt plus
urine et leurs résultats ; par Robert JoNES. (The Journal of mental Science , Janvier 1906.) Cette étude est basée sur 969
état d'infection ; par M. Lewis C. BRUCE. (The Journal of mental Science , août 1906.) L'auteur a observé le sérum de tou
dissolution ; parM. W. II. B. STODDART, (The Journal of men- tal Science , juillet 1906.) Dans ce travail ingénieusement
l'indoxyl dans Purine;par M. Lewis C. Bruce. (The Journal of mental Science , juillet 1906.) Les conclusions de ce mémoire s
suelle dans la folie ; par Sydney J. Cote. (7'he Journal of Mental Science , juillet 1905.) Travail intéressant mais trop d
dans cette Ecole de médecine qui façonne avec tant de vigueur et de science une pléiade continue de solides cliniciens. Lau
allait faire de lui une personnalité des plus marquan- tes dans les sciences biologiques. ' C'est qu'en effet, non content d
parfois mêmejusqldla minutie, Féré, soutenu par la pas- sion de la science et par ses études approfondies, se façonna psyc
tous les vrais sa- vants. Il aura su trouver dans la culture de la science , qu'il adorait, ses joies les plus élevées et,
ucoup ont ajouté à la satisfaction littéraire, celle de faire de la science au coin du feu : on lisait une scène d'accouche
divinités, enfin le monothéisme, mais elles restenl en dehors de la science , Dieu est une hypothèse. Les sentiments qui en
essantes suggestions, imprimées dans son cer- veau ; il le dut à sa science et à son intelligence, au nombre, à l'activité,
étouffe les peuples, en leur voilant le soleil et l'infini. Maia la science y promènera sa torche : elle fondera la morale
nes psychiques préscientifiques qui n'appartiennent pas encore à la science , mais peuvent entrer plus tard, et dès ce momen
et occultes ; l'occultisme est donc comme une terre promise dont la science approche et qu'elle s'efforce d'envahir tous le
tisme du surnaturel, du miracle qui resteront toujours hors de la science . , Or, constamment la science désocculte un cer
e qui resteront toujours hors de la science. , Or, constamment la science désocculte un certain nombre de phénomènes et r
estions dignes de tenter les savants qui veulent travailler pour la science positive. - " .I. PIOLET. X\ 11. - Traitement m
du spiritisme et lecteur assidu des revues qui concernent cette... science . 524 varia. Enfants anormaux en France, NOMBR
njections de sérum ar- tificiel ; par Levy et Beaudoin, p. 501. Science . La - et une vie future ; par Graham, p. 49.
23 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
ne peut manquer d'avoir une grande influence sur l'évolution de cette science . Bien que l'Académie n'ait encore voté aucune r
iologie de Paris et par l'Association Française pour l'avancement des Sciences (section de médecine publique et d'hygiène profes
accumulés par la médecine contemporaine. Sans doute, les progrès des sciences médicales sont incontestables; mais qui pourrait
sciences médicales sont incontestables; mais qui pourrait dire que la science des ingénieurs n'a pas marché plus rapidement que
llement l'attention sur l'attitude prise par l'Eglise vis-à-vis d'une science qui, bien qu'à peine naissante, fait trop parler
rniers temps que l'étude de l'hypnotisme importait non seulement à la science , mais encore à la foi. Il nous a paru qu'après
t par des « agents créés » qu'il ignore ? S'en rapportera-t-il à la science ? Mais la science est la première à nous défendr
créés » qu'il ignore ? S'en rapportera-t-il à la science? Mais la science est la première à nous défendre de nous prononcer
e des agents naturels existent, dont nous n'avons pas même l'idée. La science sait, par exemple, qu'avant que cette force spéci
illeurs, étaient attribués à tort j une intervention surnaturelle. La science infère de là que certains autres phénomènes, léga
isamment étudié est apparu comme procédant d'une loi générale. La science sait encore que, même parmi les agents dont s'occ
absence de preuves, c'est mentir... Ah ! non, certes! ce n'est pas la science qui déclarera que tel ou tel phénomène, compliqué
ment ne l'obligeât à se dédire. En face d'une telle interrogation, la science se taira. Pour parler, elle attendra de savoir.
Pour parler, elle attendra de savoir. D'ailleurs, ce n'est pas à la science que le P. de Bonniot demandera de prononcer sur l
éoccupé de faire croire à ses lecteurs qu'il sait ce que c'est que la science . La multitude, P. de Bonniot, voila votre oracl
ous en rapporterez? Mais la multitude d'aujourd'hui, par rapport a la science des générations qui nous suivront, est exactement
onnïot, la multitude n'a rien à décider sur une pareille question! La science elle-même, qui, relativement à la somme de connai
dans quelques siècles, n'est aujourd'hui qu'une enfant ignorante, la science elle-même y est impuissante et vous ne pouvez dou
eponse, se contente de laisser tomber cette parole dédaigneuse : « La science enorgueillit, et l'orgueil aveugle ! » Eh bien,
La science enorgueillit, et l'orgueil aveugle ! » Eh bien, soit! La science enorgueillit et l'orgueil aveugle! C'est entendu!
pour guide: c'est l'habileté. Mais l'habileté, ici, est au prix d'une science exacte, et des conceptions familières aux enfants
ysiologiques de genèse de ces conceptions. C'est à la faveur de cette science qu'on les pressent dons leurs écarts et les devin
que l'on garde avantage et autorité. En quoi, donc, consiste cette science ? De quelles notions positives convient-il d'être
aris, 1887. (2) Dufestel, loco citato, p.13. magnétisme est une science réelle, capable de procurer un diagnostic et une
s courte pour marcher en avant avec de nouvelles forces. « La jeune science de l'hypnotisme se trouve a un de ces moments de
ion criminelle : en effet, tout ce qui étend les prises de l'homme de science sur le somnambule, tout ce qui recule les bornes
ent, ne le feraient- . ils pas : Je vois bien ce que l'humanité et la science pourraient y gagner : je ne vois pas ce qu'elles
ts ne se trouvant pas suffisamment expliqués dans l'état actuel de la science , au lieu d'attendre de l'étude et du temps la sol
e trouve obligée à une réserve chaque jour plus grande, en face de la science . Ce n'est pas sans un étonnement plein d'inquiétu
Darwin pourrait bien être vraie. Après avoir crié a l'impiété de la science , elle en est réduite à tirer sur les textes pour
ne perspicacité dont nous voudrions avoir a le louer plus souvent. La science , en effet, n'a rien à redouter de l'examen méthod
vrage en rappelant que le somnambulisme a été longtemps rejeté par la science et que, sous le nom d'hypnotisme, il a enfin obte
'erseignement supérieur de Montpellier, les membres de l'Académie des sciences et lettres, viennent de décider que dans l'hiver
qui relèvent de l'hypnotisme, il ne laut présenter comme acquis à la science que des faits capables de supporter le contrôle l
rigoureux. Nous nous rallions volontiers à l'opinion du Journal des sciences médicales de Lille, lorsqu'il dit à ce sujet : «
de Lille, lorsqu'il dit à ce sujet : « N'oublions pas qu'il n'y a de science que là où il y a possibilité de contrôle ; qu'il
ontiennent des erreurs positives et viennent entraver la marche de la science . » Ajoutons cependant que les expérimentateurs
iples, mais toujours de cause psychique, sont acquises également à la science , et toutes aussi elles s'éloignent de leurs congé
e t>* Ch. Bertrand, père du secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , rapporte trois cas de sympathie ou de vue magnét
t propagé l'hypnotisme, loin d'avoir contribué à éclairer ce point de science , ils lui ont nui considérablement ; et si l'on pr
énomènes pathologiques, dont la disparition, dans l'état actuel de la science , n'a pas d'explication naturelle : telles sont le
ysiologie, d'électricité, d'hygiène, de dermatologie, etc. Toutes les sciences , ou peu s'en faut, seront représentées chacune pa
par un congrès spécial. L'Association française pour l'avancement des sciences :iendra aussi son prochain Congres h cette époque
Concours. — Parmi les questions mises au concours par l'Institut des sciences , arts et lettres du Milan, concours auquel les mé
resser pour plus amples renseignements à l'Institut royal lombard des sciences , lettres et arts à Milan. Nous constatons, à ce
es idées et des propositions qui appartiennent au domaine profane des sciences humaines et qui appellent des réflexions, peut-ci
e l'imperfection de l'intelligence humaine, elle nous rappelle que la science avance lentement et rencontre sans cesse des obst
imprudent ou un charlatan ; non, quand l'hypnotiseur est un homme de science , un médecin consciencieux. — L'auteur aiouie : L'
tieux condamnés, réprouvés par la religion, par l'honnêteté et par la science ! Ces assertions de l'auteur étant contestables
éparé avec une grande sagesse le magnétisme pris en lui-même, dont la science essaie de nous taire connaître les secrets, et l'
acte mauvais. Il faut donc distinguer avec le Saint-Siège et avec la science le phénomène de l'hypnose et l'usage que des misé
decine. Il ne les tolère qu'à titre d'exception. Il prétend que cette science doit rester aux .i. DiLAtuuvt, Journal de médec
arnement que mettent les hommes à i efuser aux femmes leur part de la science , quelque chose comme une secrète jalousie — ou co
capables, elles aussi, de faire de grandes choses? A notre avis, la science médicale serait bien peu solide si quelques centa
maladie.) dauchez : Du rôle de l'imagination en médecine. Journ. des sciences méd. de Lille. t. IV. p. 843, 887. 935.1882. de
7. 935.1882. desplats : Le magnétisme devant la religion et devant la science . Journ. des scien-ces méd. de Lille, t. IV, p. 20
et de chir.,t. I, p. 391. Paria, 1888. méric: Le merveilleux et la science . Etude sur l'hypnotisme. 2e éd., Paris, 1888; in
rnier, M. le professeur Brown-Séquard. en présentant à l'Académie des sciences les deux volumes du la première et de la seconde
heureux de la signaler à h bienveillante attention de l'Académie des sciences . « I II est hors de doute que, si les études sur
stérieux. C'est sous l'empire direct cl tout fi) Alexandre Bain, La Science de l'éducation, p. *>. (Bibliothèque des scien
lexandre Bain, La Science de l'éducation, p. *>. (Bibliothèque des sciences in:crnatioiuIei. 1870, Paris.) 3) Ceris». Des F
heim. ont pu voir facilement quelles ont révolutionné complètement la science de l'hypnotisme, et que personne ne pourra travai
) V.Mas Dessoi*. Bibliographie des modernen Hypnotismus. de cette science , on n'a plus besoin de prouver 1a possibilité des
e en démontrant l'existence de celui-ci, car il sait très bien que la science contemporaine, en général, n'admet pas l'existenc
de conscience. Nous voyons tous les jours île pareils faits, et cette science sans études, cette expérience sans pratique, n'cM
t compacts, comme on les aimait au dernier siècle dans le monde de la science , mais de petits ouvrages, lestement écrits, facil
ù la psychologie. Il se croyait appelé! poser les fondements de cette science pour tous les siècles. 11 i:« répondait pas à une
onsidérée comme définitive; mais, même dans cet état provisoire de la science et quelle que soit l'explication théorique que l'
cial ; ils sont absolument i la portée du premier venu. L'amour de la science , le désir de s'instruire n'entrent guère ici en l
arlatanisme qui se rjsfl contre parfois au début de l'évolution-d'une science . Je comparerais volontiers les magnétiseurs aux
faire l'application. L'hypnotisme a fait c::lin son entrée dans la science , et. pour la première fois, bien qu'en prenant un
e. si tel ordre de faits est digne d'être admis dans le domaine de la science . On leur reproche quelquefois, non sans quelque i
e ses dangers imposent. Confié d'une manière définitive aux hommes de science , il fournira un puissant moyen d'investigation au
s pas, car alors, je l'espère, vous partagerez mes convictions, et la science comptera toute une phalange de nouveaux travaille
seur Charles Richet, qui le félicitait d'aborder l'enseignement d'une science si passionnante. C'est vrai; mais il a paru que l
e médecine publique de l'Association française pour l'avancement des' sciences , avait déjà, sur notre proposition, émis, à l'un.
autorité la plus justifiée, n.>as voulons parler de l'Académie des sciences , vient de récompenser quatre auteurs dont les tra
ot. et aux autres membres de la Section de médecine de l'Académie des sciences , l'expression de notre reconnaissance pour la bie
a pedagogie.— AQQUjH de l'Association française pour l'avancement des sciences : Congres de Toulouse. Brochure in-#>, 1s87.
loyée, et que quelques expérimentateurs ont essayée, s'impose dans la science ; je crois qu'elle est déjà la condamnation de ceu
Si les phénomènes de l'hypnotisme ont conquis droit de cité dans ia science , n'est-ce pas précisément parce qu'on s'est enfin
on put dire que l'hypnotisme avait conquis son droit de cité dans la science . Il devint évident qu'on pouvait, sans trop de pé
et TEs-prit, trad. française. ) (a) Note présentée a l'Académie des sciences par M. Brown-Séquard. mine l'image visuelle d
option. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Récompenses de l'Académie des sciences . Dans sa séance publique annuelle du lundi 24 d
sa séance publique annuelle du lundi 24 décembre iSSS, l'Académie des sciences , dans le concours de médecine et chirurgie {fonda
la routine qui s'efforce d'éterniser des agissements réprouvés parla science et par la raison. Quel rapport entre la discipl
oltaire, Dictionnaire philosophique, article : Verges. (4I Bain, La Science de réiueation, p. i36. (Bibliothèque scientifique
son Plan d'une Université, Diderot s'est chargé de le spécifier: une science approfondie des matières a enseigner, un caractèr
s, à coup sûr. de faire, des enfants de la nation, autant de puits de science . Non; c'est de former des hommes capables, par le
lète comprend quatre Facultés: I* Faculté des lettres; 2' Faculté des sciences physico-mathématiques 'mathématiques pures; physi
cine, et 2» le diplôme de docteur en médecine, ou mieux de docteur ès sciences médicales. Il y a donc deux degrés d'examens de d
r de ces diplômes, en subissant avec succès un examen complet sur les sciences médicales; il n'a pas de thèse à présenter pour l
lôme de médecin ou licencié en médecine ; mais le litre de docteur ès sciences médicales est exigé de ceux qui aspirent à une ch
ire, il faut être en possession du diplôme scientifique de docteur és sciences médicales. A l'Université de Varsovie, le nouve
rs publications, mais surtout dans une communication à l'Académie des sciences [Comptes rendus de l'Académie des sciences, i883,
unication à l'Académie des sciences [Comptes rendus de l'Académie des sciences , i883, vol. XCVI,p. 417), j'ai montré que dans l'
» médecin» qui taveat apprécier l'importance de» service» rendu» à la science par notre illustre compatriote. Pour réaliser c
ontribution à Vètude de l'illusion et de rhallucination {Archives des sciences physiques et naturelles. 3« période, t. ix-1883).
t dire sans exagération que le» médecins qui *e sont occupés de cette science ont déjà fourni un nombre considérable de travaux
niversité ne soit pas trop considérable. Les élèves de la Faculté des sciences sections d'histoire naturelle, de physique et de
es sont, pour la plupart, communs aux deux Facultés de médecine et de sciences . Mais les laboratoire* des cliniques sont exclusi
t les travaux personnels de ceux qui produisent dans cene branche des sciences médicales, dette énumé-ration montrera l'importan
tes : Un physicien émïneni. professeur dans une de nos facultés des sciences , soumis à l'expérience au cours d'un congrès scie
e de convenir qu'elle n'a rien éprouvé sur la carte. L'histoire des sciences connaît des exemples de savants qui. après avoir
professeurs appelés à diriger les premiers pas d'un débutant dans les sciences d'observation doivent s'efforcer de corriger. L'e
bre 1S88). L'hypnotisme tend de plus en plus à se lairc, dans les sciences médicales, une place vraie, scientifique et déf
n ne voit pas apparaître ce grand courant d'opinion qui prouve qu'une science est fondée: l'attention, fatiguée par le débat ac
rmis d'affirmer que l'hypnotisme n'était pas encore introduit dans la science vraie lorsque, en 1878, Charcot commença les expé
ions qui ont précédé sa grande communication de 1882 à l'Académie des sciences . Comme l'a très bien dit Babinski. il fallait u
st créé ainsi une place inoubliable dans Thistoire de ce chapitre des sciences biologiques. S'il a eu un tort (je puis bien le
n dans la note présentée en 1882 par M. Charcot. à 1 Académie des sciences , et l'étude détaillée dans la thèse de Paul Riche
tes dans le domaine d« l'hypnotisme et fixer la terminologie de cette science . En limitant ainsi l'objet du Congres, il serai
Les Etats profonds de l'hypnose. Il y a donc tout intérêt, pour la science à bénéficier de l'expérience acquise par nos deva
r d'un point quelconque de l'axe cérébro-médullaire. Il y a dans la science un certain nombre d'observations bien authentique
sychose hypnotique (la), par Semal. 69. Rècompenses de l'Académie des sciences . 220. Réglementation de l'hypnotisme (la), 17
24 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
création en démontrant à tous les esprits, non prévenus, que, dans la science de l'hypnotisme, en dehors des attraits d'une vai
te qualification. En hypnotisme, comme dans toute autre branche des sciences biologiques, il faut bien se convaincre que, selo
e, selon la parole d'un de nos maîtres les plus éminents : « Il n'y a science que là où s'est faite une lumière définitive qui
cale à l'université de Liège, voulut bien me prêter le concours de sa science et l'autorité de son expérience et de son nom.
établir d'emblée une doctrine inattaquable ; la première phrase de la science naissante doit consister à accumuler les observat
d mérite de ce savant auteur est d'avoir cherché à mettre d'accord la science et la tradition. Érudit bibliophile, il a su trou
nt bien réels, et, qui plus est, sur le point d'être expliqués par la science moderne. M. de Rochas commence par exposer les
ophes et à tous les esprits cultivés que préoccupe, â juste titre, la science de l'hypnotisme si féconde en révélations psycho-
e. Je ne partage donc pas l'avis de M. Hardy sur la suppression des sciences naturelles des programmes de l'enseignement secon
ntre lesquelles restent impuissantes les ressources habituelles de la science de l'éducation. M. Bérillon, au dernier Congrès
léchir même les esprits les plus prévenus et ce n'est pas rendre à la science le moindre service que de forcer les esprits prév
r Laborde, rédacteur en chef de la Tribune Médicale. — Académie des sciences . — L'Académie de» sciences a procède, dans sa séa
f de la Tribune Médicale. — Académie des sciences. — L'Académie de» sciences a procède, dans sa séance du lundi 18 juillet 188
undi 18 juillet 1887. a l'élection d'un secrétaire perpétuel pour les sciences physi-ques, en remplacement de M. Vulpian, décédé
lent a nous mettre en garde contre les sug-gestions inconscientes. La science , obstinée à la recherche de la raison d'être des
retardataires qui se laissent traîner à la remorque de leur temps, la science doit, trouver remède a tout. C'est en elle qu'i
adulte. On peut donc leur imposer ce que comportent tes progrès de la science moderne. Il serait peut-être avantageux de vari
naturelles, de le meubler de toutes les acquisitions nouvelles de la science et de ne pas laisser péricliter, faute d'une cult
ESPONDANCE ET CHRONIQUE Association française pour l'avancement des sciences . — Congrès de Toulouse. Le Congrès de Toulous
1887.) Guermonprez : L'hypnotisme et les suggestions hypnotiques. [ Science catholique, mai et juin 1887.) Frédéric W. H.
l'hypnotisme. (Id. May 1887.) Lombroso : L'hypnotisme applique à la science pénale. (Archivio di psychiatria, t. VIII, 1887.)
7.) Tonnini: La suggestion et les songes. (Archivio di psychiatria, science penali e an-thropologia criminale, t. VIII, 1887.
e moment, le Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences est réuni à Toulouse. Les travaux de ses sect
vaux de ses sections sont en pleine activité. Déjà la section des sciences médicales et celle de pédagogie ont reçu d'import
ernheim et Grasset avaient été élus vice-présidents de la section des sciences médicales, et que notre rédacteur en chef, M. le
cteurs Bourru et Burot ont entretenu le congrès pour l'avancement des sciences de Grenoble en 1885, et qui sont relatives à l'ac
llusion de l'ignorance, sinon comme une manœuvre de charlatanisme. La science s'est décidée a regarder tout autour d'elle ; ell
cables dans l'état de nos connaissances, un courant s'établit dans la science qui porte les observateurs les plus sérieux, phys
folie on l'a étudiée, on commence à la connaître. Par conséquent, la science peut la combattre, la refouler peu à peu. Certes,
enne, août.) Keser : Un cas de sommeil prolongé. (Journal of Mental Science , juillet 1887.) Robertson : Traitement de la ca
la terre classique des chants e; des fleurs ; on peut ajouter que les sciences y sont, comme les lettres et les arts, l'objet d'
bjet d'un culte assidu. Aussi bien, l'hypnotisme, qui se rattache aux sciences biologiques, devait-il trouver, chez nos Voisins
médical affectent, non sans une nuance de malice, de confondre cette science avec le charlatanisme des magnétiseurs et des som
ot. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES XVIe Session a Toulouse (22-29 Septembre 1887)
IENCES XVIe Session a Toulouse (22-29 Septembre 1887) SECTION DES SCIENCES MÉDICALES (1) Dans la première séance, le burea
exagérés par ceux qui n'ont pas une connaissance approfondie de cette science . Le viol, presque impossible à accomplir à l'état
n peut retirer la pratique médicale. • (i) Gazette hebdomadaire des sciences médicales de Bordeaux, 11 septembre 1887. L'abo
, M. le professeur (Brown-Séquard) a commencé devant l'Académie des sciences une série de lectures destinées à résoudre l'impo
l'Académie de médecine ; Lacazc-Duthiers, professeur à la Faculté des sciences de Paris ; le docteur Lagneau, membre de l'Académ
. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES XVIe Session a Toulouse. (22-29 Septembre 1887)
En 1886, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences à Nancy, nous avons présenté une étude générale s
énéralement admise par tous ceux qui n'ont pas étudié complètement la science de l'hypnotisme. Tous les hypnotisés ne sont pas
gue et le médecin se compléteront l'un l'autre'dans la création d'une science nouvelle dont le vrai nom est l'orthopédie morale
examen et de contrôle. »..... Le reportage n'a rien a faire avec la science . J'en dirais peut-être autant des commissions aca
ajorité des voix. » A Dieu ne- plaise que nous voulions faire de la science un temple mystérieux et inaccessible, ouvert à qu
suivent: Bourses d'agrégation (1re année): MM. Carpentier, licenciées science » phy-siques, mathématique» et naturelles; Chudeau
cience» phy-siques, mathématique» et naturelles; Chudeau, licencié ès sciences physiques et naturelles: Constantin Lefebvre. — B
Bourses de doctorat (1re année : MM. Chan-veau et Rahon, licencies es sciences naturelles. Une prolongation de bourse est accord
t les noms suivent : — Doctorat (1re année): M. Veillard. licencié es sciences naturelles. — Doctorat (2e année. : MM. Biétrix,
sciences naturelles. — Doctorat (2e année. : MM. Biétrix, licencie es sciences naturelles; Boule, licencié es science» physiques
e. : MM. Biétrix, licencie es sciences naturelles; Boule, licencié es science » physiques et naturelles, agrégé des sciences nat
lles; Boule, licencié es science» physiques et naturelles, agrégé des sciences naturelles ; Goguel, licencié es sciences naturel
s et naturelles, agrégé des sciences naturelles ; Goguel, licencié es sciences naturelles ; Ménigaux, licencié es sciences physi
les ; Goguel, licencié es sciences naturelles ; Ménigaux, licencié es sciences physiques et es sciences naturelles, agrégé des s
sciences naturelles ; Ménigaux, licencié es sciences physiques et es sciences naturelles, agrégé des sciences naturelles; Perri
licencié es sciences physiques et es sciences naturelles, agrégé des sciences naturelles; Perrin, licencié es sciences physique
ences naturelles, agrégé des sciences naturelles; Perrin, licencié es sciences physiques et naturelles; MM. Meunier et Wertheime
nces physiques et naturelles; MM. Meunier et Wertheimer, licencies es sciences naturelles. Médecin-docteur ès letrres. — M. Er
jours paru le but le plus beau de la vie; je » désire être utile a la science encore après ma mon. » » C'est dans ce but qu'à
en vue d'un intérêt supérieur était une habitude, se dé-» vouer à la science et au progrès social était un besoin. Payant d'ex
yant d'exemple » et s'engageant mutuellement à léguer leur corps a la science , ils fon-» dèrent une Société mutuelle d'autopsie
de préjugés qu'ils ont. môme après leur mort, un moyen de ser-vir la science qu'ils avaient entourée pendant leur vie du culte
ver promptement la Société d'autopsie, car rien de ce qui touche à la science de l'homme, qu'il soit éveillé, endormi ou mort,
ccupe, que par les effets qu'ils produisent, pour cette raison que la science n'est pas encore parvenue à en connaître l'essenc
Forget, Landouzy, Briquet, Grisolle, Bernutz, tour à tour dotèrent la science d'observations rendant indéniable, désormais, l'a
bservateurs, il n'avait cependant pas pour ainsi dire pénétré dans la science . Ce sont les expériences du Havre qui ont, pour l
de des mesures exactes telles qu'on les pratique aujourd'hui dans les sciences physico—chimiques, on est quelque peu dérouté par
ulle théoriquement : mais en fait elle est nulle, aussi bien dans les sciences les plus solides, comme la physique, la chimie et
us solides, comme la physique, la chimie et la zoologie, que dans les sciences les plus hypothétiques. La probabilité que je vai
portion du public, ne doit-il pas être dévoilé à tous les amis de la science ? Rien de mystérieux, rien d'inaccessible aux inve
ées de cause, de substance, ni aucun des principes fondamentaux de la science . La réalité fournit des matériaux, mais c'est l'e
ons que des machines dociles au moindre contact, que deviendraient la science , le mérite et le démérite, et la vertu, enfin, qu
tait pas de la classer sans autre forme de procès dans le cadre de la science officielle et toute faite. (1); Cette femme a d
sycho-thérapeutique, grâce à James Braid, entre dans le domaine de la science ; elle n'y entre toutefois que furtivement; la gue
ènement définitif pendant environ trente ans. Il fallait le nom et la science de Charcot pour imposer au monde savant l'idée qu
age à Nancy, et qu'ils ont importé dans leur patrie les progrés de la science réalisés dans les cliniques de MM. Beraheim et Li
édical, puisque, pour traiter un malade, il faut posséder l'art et la science d'un médecin ; or le premier paysan venu peut fai
iére ? Ne traduirait-on pas parfaitement la pensée de ce prince de la science par ces mots : Il se peut que votre traitement so
et l'instruction du peuple s'élève ou s'abaisse avec le niveau de la science de l'université. Les médecins ont protesté les
effort de la médecine mentale, a la Renaissance, pour débarrasser la science psychiatrique des diables et de leurs miracles. N
Société. — Congrés de l'Association française pour l'avancement des sciences (session d'Oran, du 29 mars au 8 avril).Au moment
s auront la primeur des communications faites sur l'hypnotisme et les sciences qui s'y rattachent. — Congrès des Sociétés sava
l'hypnotisme a été plusieurs lois à l'ordre du jour. A la section des sciences médicales, présidée avec la plus grande courtoisi
re. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES SESSION D'ORAN SECTION DES SCIENCES MÉDICALES
ANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES SESSION D'ORAN SECTION DES SCIENCES MÉDICALES Le bureau est ainsi constitué : Prési
écemment un magnétiseur avait suggéré a un étudiant de la Faculté des sciences de Dijon d'abandonner ses études et de le suivre
. Cette faveur est-elle une mode? car la mode règne partout, dans les sciences comme ailleurs. Je ne le crois pas. Je pense plut
fin. cela suffit. Ils ne sont point tenus de soulever le poids de la science tout entière, s'ils ne peuvent pas ou s'ils n'ose
ai peur qu'il n'ait triomphé trop tôt près du grand public : dans les sciences , la popularité est un péril. Les livres, mémoires
e d'erreurs. Entre toutes. il en est une qui s'est accréditée dans la science avec un bonheur insolent. On l'a proclamée le mal
ux le désir de n'avoir rien de commun avec ceux qui. sous prétexte de science , se livrent à des exhibitions théâtrales. Ils ont
que j'ai lu, il y a quatre ans. sur le même sujet, à l' Académie des sciences morales et politiques ; mais je n'ai pas tardé à
du moins. l'une considérant la suggestion dans ses rapports avec les sciences médicales, l'autre avec la jurisprudence et la mé
hypnotisation, les degrés de sommeil ; la discussion à l'Académie des sciences morales et politiques, les expériences confirmati
. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES SESSION 'D'ORAN (Suite) section de pédagogi
es données vagues et souvent contradictoires. Comme dans les autres sciences , la méthode expérimentale peut seule conduire à d
une large place dans les recherches et les méditations des hommes de science . Mais même dans les conditions les plus légitim
antes se rattachent a des médecins tels que Braid. ou a des foyers de science médicale tels que la Faculté de Breslau. l'Ecole
clusive de ce vaste domaine. Nous admettons volontiers qu'un homme de science , qu'un naturaliste, qu'un philosophe institue des
ar les personnalités les plus marquantes et les moins suspectes de la science , même par des hommes éminents qui ont usé, pour n
qui soulève encore tant de passion, même chez quelques hommes de science , au point qu'ils semblent en faire une question p
citation qui inquiétèrent vivement sa famille. L'hypnotisme est une science qui ne doit pas être mise sur les tréteaux, car d
es séances publiques d'hypnotisme, tout en réservant les droits de la science , car l'hypnotisme est un précieux instrument de p
ble et de mieux prouvé et que son usage est permis, intéressant et la science et la foi, quand il consiste dans le simple emplo
, le jeudi 24 mai, a la Sorbonne, pour obtenir le titre de docteur es sciences naturelles, une these ayant pour titre : « Recher
s grades en histoire naturelle. Elles manifestent d'ailleurs pour les sciences naturelles des aptitudes tres marquées. La plupar
29. Art de punir. 361. Association française pour l'avancement des sciences (session de Toulouse), 138, 191. — (session d'Ora
25 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
création en démontrant à tous les esprits, non prévenus, que, dans la science de l'hypnotisme, en dehors des attraits d'une vai
te qualification. En hypnotisme, comme dans toute autre branche des sciences biologiques, il faut bien se convaincre que, selo
e, selon la parole d'un de nos maîtres les plus éminents : « Il n'y a science que là où s'est faite une lumière définitive qui
cale à l'université de Liège, voulut bien me prêter le concours de sa science et l'autorité de son expérience et de son nom.
établir d'emblée une doctrine inattaquable ; la première phrase de la science naissante doit consister à accumuler les observat
d mérite de ce savant auteur est d'avoir cherché à mettre d'accord la science et la tradition. Érudit bibliophile, il a su trou
nt bien réels, et, qui plus est, sur le point d'être expliqués par la science moderne. M. de Rochas commence par exposer les
ophes et à tous les esprits cultivés que préoccupe, â juste titre, la science de l'hypnotisme si féconde en révélations psycho-
e. Je ne partage donc pas l'avis de M. Hardy sur la suppression des sciences naturelles des programmes de l'enseignement secon
ntre lesquelles restent impuissantes les ressources habituelles de la science de l'éducation. M. Bérillon, au dernier Congrès
léchir même les esprits les plus prévenus et ce n'est pas rendre à la science le moindre service que de forcer les esprits prév
r Laborde, rédacteur en chef de la Tribune Médicale. — Académie des sciences . — L'Académie de» sciences a procède, dans sa séa
f de la Tribune Médicale. — Académie des sciences. — L'Académie de» sciences a procède, dans sa séance du lundi 18 juillet 188
undi 18 juillet 1887. a l'élection d'un secrétaire perpétuel pour les sciences physi-ques, en remplacement de M. Vulpian, décédé
lent a nous mettre en garde contre les sug-gestions inconscientes. La science , obstinée à la recherche de la raison d'être des
retardataires qui se laissent traîner à la remorque de leur temps, la science doit, trouver remède a tout. C'est en elle qu'i
adulte. On peut donc leur imposer ce que comportent tes progrès de la science moderne. Il serait peut-être avantageux de vari
naturelles, de le meubler de toutes les acquisitions nouvelles de la science et de ne pas laisser péricliter, faute d'une cult
ESPONDANCE ET CHRONIQUE Association française pour l'avancement des sciences . — Congrès de Toulouse. Le Congrès de Toulous
1887.) Guermonprez : L'hypnotisme et les suggestions hypnotiques. [ Science catholique, mai et juin 1887.) Frédéric W. H.
l'hypnotisme. (Id. May 1887.) Lombroso : L'hypnotisme applique à la science pénale. (Archivio di psychiatria, t. VIII, 1887.)
7.) Tonnini: La suggestion et les songes. (Archivio di psychiatria, science penali e an-thropologia criminale, t. VIII, 1887.
e moment, le Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences est réuni à Toulouse. Les travaux de ses sect
vaux de ses sections sont en pleine activité. Déjà la section des sciences médicales et celle de pédagogie ont reçu d'import
ernheim et Grasset avaient été élus vice-présidents de la section des sciences médicales, et que notre rédacteur en chef, M. le
cteurs Bourru et Burot ont entretenu le congrès pour l'avancement des sciences de Grenoble en 1885, et qui sont relatives à l'ac
llusion de l'ignorance, sinon comme une manœuvre de charlatanisme. La science s'est décidée a regarder tout autour d'elle ; ell
cables dans l'état de nos connaissances, un courant s'établit dans la science qui porte les observateurs les plus sérieux, phys
folie on l'a étudiée, on commence à la connaître. Par conséquent, la science peut la combattre, la refouler peu à peu. Certes,
enne, août.) Keser : Un cas de sommeil prolongé. (Journal of Mental Science , juillet 1887.) Robertson : Traitement de la ca
la terre classique des chants e; des fleurs ; on peut ajouter que les sciences y sont, comme les lettres et les arts, l'objet d'
bjet d'un culte assidu. Aussi bien, l'hypnotisme, qui se rattache aux sciences biologiques, devait-il trouver, chez nos Voisins
médical affectent, non sans une nuance de malice, de confondre cette science avec le charlatanisme des magnétiseurs et des som
ot. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES XVIe Session a Toulouse (22-29 Septembre 1887)
IENCES XVIe Session a Toulouse (22-29 Septembre 1887) SECTION DES SCIENCES MÉDICALES (1) Dans la première séance, le burea
exagérés par ceux qui n'ont pas une connaissance approfondie de cette science . Le viol, presque impossible à accomplir à l'état
n peut retirer la pratique médicale. • (i) Gazette hebdomadaire des sciences médicales de Bordeaux, 11 septembre 1887. L'abo
, M. le professeur (Brown-Séquard) a commencé devant l'Académie des sciences une série de lectures destinées à résoudre l'impo
l'Académie de médecine ; Lacazc-Duthiers, professeur à la Faculté des sciences de Paris ; le docteur Lagneau, membre de l'Académ
. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES XVIe Session a Toulouse. (22-29 Septembre 1887)
En 1886, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences à Nancy, nous avons présenté une étude générale s
énéralement admise par tous ceux qui n'ont pas étudié complètement la science de l'hypnotisme. Tous les hypnotisés ne sont pas
gue et le médecin se compléteront l'un l'autre'dans la création d'une science nouvelle dont le vrai nom est l'orthopédie morale
examen et de contrôle. »..... Le reportage n'a rien a faire avec la science . J'en dirais peut-être autant des commissions aca
ajorité des voix. » A Dieu ne- plaise que nous voulions faire de la science un temple mystérieux et inaccessible, ouvert à qu
suivent: Bourses d'agrégation (1re année): MM. Carpentier, licenciées science » phy-siques, mathématique» et naturelles; Chudeau
cience» phy-siques, mathématique» et naturelles; Chudeau, licencié ès sciences physiques et naturelles: Constantin Lefebvre. — B
Bourses de doctorat (1re année : MM. Chan-veau et Rahon, licencies es sciences naturelles. Une prolongation de bourse est accord
t les noms suivent : — Doctorat (1re année): M. Veillard. licencié es sciences naturelles. — Doctorat (2e année. : MM. Biétrix,
sciences naturelles. — Doctorat (2e année. : MM. Biétrix, licencie es sciences naturelles; Boule, licencié es science» physiques
e. : MM. Biétrix, licencie es sciences naturelles; Boule, licencié es science » physiques et naturelles, agrégé des sciences nat
lles; Boule, licencié es science» physiques et naturelles, agrégé des sciences naturelles ; Goguel, licencié es sciences naturel
s et naturelles, agrégé des sciences naturelles ; Goguel, licencié es sciences naturelles ; Ménigaux, licencié es sciences physi
les ; Goguel, licencié es sciences naturelles ; Ménigaux, licencié es sciences physiques et es sciences naturelles, agrégé des s
sciences naturelles ; Ménigaux, licencié es sciences physiques et es sciences naturelles, agrégé des sciences naturelles; Perri
licencié es sciences physiques et es sciences naturelles, agrégé des sciences naturelles; Perrin, licencié es sciences physique
ences naturelles, agrégé des sciences naturelles; Perrin, licencié es sciences physiques et naturelles; MM. Meunier et Wertheime
nces physiques et naturelles; MM. Meunier et Wertheimer, licencies es sciences naturelles. Médecin-docteur ès letrres. — M. Er
jours paru le but le plus beau de la vie; je » désire être utile a la science encore après ma mon. » » C'est dans ce but qu'à
en vue d'un intérêt supérieur était une habitude, se dé-» vouer à la science et au progrès social était un besoin. Payant d'ex
yant d'exemple » et s'engageant mutuellement à léguer leur corps a la science , ils fon-» dèrent une Société mutuelle d'autopsie
de préjugés qu'ils ont. môme après leur mort, un moyen de ser-vir la science qu'ils avaient entourée pendant leur vie du culte
ver promptement la Société d'autopsie, car rien de ce qui touche à la science de l'homme, qu'il soit éveillé, endormi ou mort,
ccupe, que par les effets qu'ils produisent, pour cette raison que la science n'est pas encore parvenue à en connaître l'essenc
Forget, Landouzy, Briquet, Grisolle, Bernutz, tour à tour dotèrent la science d'observations rendant indéniable, désormais, l'a
bservateurs, il n'avait cependant pas pour ainsi dire pénétré dans la science . Ce sont les expériences du Havre qui ont, pour l
de des mesures exactes telles qu'on les pratique aujourd'hui dans les sciences physico—chimiques, on est quelque peu dérouté par
ulle théoriquement : mais en fait elle est nulle, aussi bien dans les sciences les plus solides, comme la physique, la chimie et
us solides, comme la physique, la chimie et la zoologie, que dans les sciences les plus hypothétiques. La probabilité que je vai
portion du public, ne doit-il pas être dévoilé à tous les amis de la science ? Rien de mystérieux, rien d'inaccessible aux inve
ées de cause, de substance, ni aucun des principes fondamentaux de la science . La réalité fournit des matériaux, mais c'est l'e
ons que des machines dociles au moindre contact, que deviendraient la science , le mérite et le démérite, et la vertu, enfin, qu
tait pas de la classer sans autre forme de procès dans le cadre de la science officielle et toute faite. (1); Cette femme a d
sycho-thérapeutique, grâce à James Braid, entre dans le domaine de la science ; elle n'y entre toutefois que furtivement; la gue
ènement définitif pendant environ trente ans. Il fallait le nom et la science de Charcot pour imposer au monde savant l'idée qu
age à Nancy, et qu'ils ont importé dans leur patrie les progrés de la science réalisés dans les cliniques de MM. Beraheim et Li
édical, puisque, pour traiter un malade, il faut posséder l'art et la science d'un médecin ; or le premier paysan venu peut fai
iére ? Ne traduirait-on pas parfaitement la pensée de ce prince de la science par ces mots : Il se peut que votre traitement so
et l'instruction du peuple s'élève ou s'abaisse avec le niveau de la science de l'université. Les médecins ont protesté les
effort de la médecine mentale, a la Renaissance, pour débarrasser la science psychiatrique des diables et de leurs miracles. N
Société. — Congrés de l'Association française pour l'avancement des sciences (session d'Oran, du 29 mars au 8 avril).Au moment
s auront la primeur des communications faites sur l'hypnotisme et les sciences qui s'y rattachent. — Congrès des Sociétés sava
l'hypnotisme a été plusieurs lois à l'ordre du jour. A la section des sciences médicales, présidée avec la plus grande courtoisi
re. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES SESSION D'ORAN SECTION DES SCIENCES MÉDICALES
ANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES SESSION D'ORAN SECTION DES SCIENCES MÉDICALES Le bureau est ainsi constitué : Prési
écemment un magnétiseur avait suggéré a un étudiant de la Faculté des sciences de Dijon d'abandonner ses études et de le suivre
. Cette faveur est-elle une mode? car la mode règne partout, dans les sciences comme ailleurs. Je ne le crois pas. Je pense plut
fin. cela suffit. Ils ne sont point tenus de soulever le poids de la science tout entière, s'ils ne peuvent pas ou s'ils n'ose
ai peur qu'il n'ait triomphé trop tôt près du grand public : dans les sciences , la popularité est un péril. Les livres, mémoires
e d'erreurs. Entre toutes. il en est une qui s'est accréditée dans la science avec un bonheur insolent. On l'a proclamée le mal
ux le désir de n'avoir rien de commun avec ceux qui. sous prétexte de science , se livrent à des exhibitions théâtrales. Ils ont
que j'ai lu, il y a quatre ans. sur le même sujet, à l' Académie des sciences morales et politiques ; mais je n'ai pas tardé à
du moins. l'une considérant la suggestion dans ses rapports avec les sciences médicales, l'autre avec la jurisprudence et la mé
hypnotisation, les degrés de sommeil ; la discussion à l'Académie des sciences morales et politiques, les expériences confirmati
. SOCIÉTÉS SAVANTES ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES SESSION 'D'ORAN (Suite) section de pédagogi
es données vagues et souvent contradictoires. Comme dans les autres sciences , la méthode expérimentale peut seule conduire à d
une large place dans les recherches et les méditations des hommes de science . Mais même dans les conditions les plus légitim
antes se rattachent a des médecins tels que Braid. ou a des foyers de science médicale tels que la Faculté de Breslau. l'Ecole
clusive de ce vaste domaine. Nous admettons volontiers qu'un homme de science , qu'un naturaliste, qu'un philosophe institue des
ar les personnalités les plus marquantes et les moins suspectes de la science , même par des hommes éminents qui ont usé, pour n
qui soulève encore tant de passion, même chez quelques hommes de science , au point qu'ils semblent en faire une question p
citation qui inquiétèrent vivement sa famille. L'hypnotisme est une science qui ne doit pas être mise sur les tréteaux, car d
es séances publiques d'hypnotisme, tout en réservant les droits de la science , car l'hypnotisme est un précieux instrument de p
ble et de mieux prouvé et que son usage est permis, intéressant et la science et la foi, quand il consiste dans le simple emplo
, le jeudi 24 mai, a la Sorbonne, pour obtenir le titre de docteur es sciences naturelles, une these ayant pour titre : « Recher
s grades en histoire naturelle. Elles manifestent d'ailleurs pour les sciences naturelles des aptitudes tres marquées. La plupar
29. Art de punir. 361. Association française pour l'avancement des sciences (session de Toulouse), 138, 191. — (session d'Ora
26 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
L'HYPNOTISME ('). l'iir M. le D' Edgar Bîiullox. Comme toutes les sciences , avant d'entrer dans la voie scientifique, l'hypn
ection de médecine de l'Association britannique pour l'avancement des sciences refuse de mettre à son ordre du jour une communic
in qu'elle n'est pas complète et que par lo fait de l'évolution de la science elle est devenue susceptible d'extension. C'est c
phénomènes observés sous lo terme générique d'hypnotisme a rendu à la science un service inestimable. Le mot a fait fortune. ïl
sibilité de modifier une appellation déjà consacrée par l'usage. En science , il est do toute nécessité de se rallier à des mo
onal de psychologie, en 1SS9, de préciser les termes en usage dans la science de l'hypnotisme. « C'est, disait-il, par suite de
que les erreurs se perpétuent. Condillac a dit quelque « part qu'une science n'est qu'une langue bien faite. C'est là « une vé
les débats, avait fait remarquer qu'il était inutile de donner à une science un nom ayant une signification étymologique qui l
: algèbre, chimie, électricité ne signifient pas étymologiquement les sciences de ce nom-M. Espinas confirma cette opinion en di
ciences de ce nom-M. Espinas confirma cette opinion en disant : « Les sciences « font des progrès et les mots qui au début les d
ge n="7"> fui décidé que le mot hypnotisme serait réservé » à la science « qui s'occupe des phénomènes nerveux compris gén
te, comme il le disait dans sa célèbre communication à l'Académie des sciences fl. Ses élèves ont continué à partager cette op
me, au simple point de vue théorique, mérite de prendre corps dans la science . En outre, il en résulte des applications pratiqu
frère de Wallon de Deaupuis, étaient plus pour la piété que pour les sciences , on ne pressoit pas si forties enfants pour les é
bon observateur a connu de tous temps les faits d'hypnotisme dont la science s'est si longtemps désintéressée. Plusieurs coutu
par M. Emile Boirac, Reaue philosophique, 1899. Jadis, l'objet des sciences occultes apparaissait comme mystique, anormal, té
difficulté avec laquelle ils se révèlent. Ces phénomènes spéciaux, la science ne peut encore ni les connaître ni les maîtriser
ureuses méthodes d'observation et de con-trêle, d'agrandir les vraies sciences , les sciences modernes fondées sur l'expérience e
es d'observation et de con-trêle, d'agrandir les vraies sciences, les sciences modernes fondées sur l'expérience et le calcul, d
déclarer d'avance invraisemblables et impossibles jusqu'au jour où la science aura trouvé le moyen de les produire et de les re
ont éclatants et que nous ne savons ni observer ni provoquer. Plus la science poursuivra ses recherches, plus se multiplieront
rier, 1, place Jussiou. Association française pour l'avancement des Sciences Le Congrès de l'Association française qui se ti
rincipal : 1. De fixer d'une façon définitive la terminologie de la science de l'hypnotisme ; 2. D'enregistrer et de déterm
ngrès suivra presque immédiatement celle du Congrès international des sciences médicales. RÈGLEMENT Art. I*. Le Congres se r
s par Brown-Séquard. En résumé, l'hypnotisme est essentiellement la science de l'inhibition et de la dynamogénie des centres
s médicaux d'il y a cent ans. Le peuple est toujours en retard sur la science , il prend pour du neuf ce qui n'est plus déjà qu'
Pharmacopée universelle, par Nico-as Lenwy, do l'Académie royale des sciences docteur en médecine, MliCCLXI, p. %. — Histoire g
éories. Bien entendu, aucun élément nouveau n'a été introduit dans la science — les congrès ne sont d'ailleurs pas faits pour c
marquant dans l'histoire de sa vie. II; entend parler d'une nouvelle science , l'électro-biologie, qui passionnait alors l'Amér
r,] il l'étudia avec une méthode scientifique. Comme il n'y a pas dei science sans taxinomie, il commence par classer les faits
ère, peut-être à tort. La fascination mérite une étude à part dans la science hypnotique; Enfin le Mesmérisme comprend les ph
randeur, annihiler leur force, se repentir d'avoir un instant aimé la science ou l'art. Noua avons vu 'es idées suggérées, vé
mains. Or, si l'on ne connaît bien Pascal, si l'on n'est armé par la science , on ne lit pas sans trouble les Pensées. Que d'er
paralysie en se recommandant de diplômes délivrés par la Faculté des Sciences magnétiques, îa Sociéié magnétique de France, etc
ainsi libellé: ? Université libre des hautes études. — Faculté des Sciences magnétiques. — Ecole pratique de magnétisme et de
le jury d'examen sur avis conforme des professeurs de la Faculté des sciences magnétiques, à M. Desbouis (Charles), né à Sichôs
nclusions devant le tribunal de ce titre de diplômé de la Faculté des sciences magnétiques, s'appliquent à faire croire qu'ils o
t plus resplendissante. Association française pour l'avancement des Sciences . La session de l'Association Française pour l'A
iences. La session de l'Association Française pour l'Avancement des Sciences à Boulogne en 1809 (14-21 Septembre), aura une im
appliquer au docteur Liébeault, qui pendant cinquante ans prodigua sa science à des milliers de pauvres, sa science merveilleus
ndant cinquante ans prodigua sa science à des milliers de pauvres, sa science merveilleuse, consolant les tristes, faisant marc
nt de Paul en mémo temps que savant. Cette vie fut au service de la science , sans défaillance ; chercheur obstiné de la vérit
ujet dort. Le merveilleux surnaturel disparaissait faisant place à la science . Et pendant le sommeil (hypnose), le sujet est
suscription portait: Au DocTEcn Liébeault Pour services rendu à la science cl à rhumanilè. EL depuis celle glorieuse journ
de inductive, la méthode de Bacon, qui faisait déjà la force d'autres sciences et qui devait rester la méthode scientifique et v
e de ce siècle, il fonda, à proprement parler, la Biologie qui est la science de la vie. Cette dernière gloire, Bichat la par
s ; il étudie les éléments communs à ces divers organes, il crée la « science des parties similaires » ; « le premier, il intro
science des parties similaires » ; « le premier, il introduit dans la science la notion des tissus, c'est-à-dire d'éléments dif
s le fond. La première grande explosion du progrès se fait vers les sciences avec Laplace et Monge, Berthollet et Fourcroy, Ch
IX· siècle, comprend le développement de l'anatomie pathologique, des sciences physicochimiques et naturelles, de la physiologie
l à la plante ». Il est ainsi « l'inventeur et le législateur de la science physiologique». On a même pu dire qu'il fuU la ph
osophe. Non seulement il proclame utile et nécessaire l'union de la science et de la philosophie, mais, à côté et en dehors d
unissent le monde vivant et le monde inorganique, il montre que« les sciences biologiques se soudent aux sciences naturelles et
e inorganique, il montre que« les sciences biologiques se soudent aux sciences naturelles et physiques », mais ne se confondent
ce des progrès scientifiques du XIXe siècle (il ne connaissait que la science de Buffon et plaisantait Darwin), l'action de la
ssait que la science de Buffon et plaisantait Darwin), l'action de la science fut, au contraire, considérable sur cette grande
vanche. Le réalisme triomphant du romantisme, c'est le triomphe de la science sur l'imagination et le sentiment ». Claude Ber
Ouand Claude Bernard avait proclamé ,utile et nécessaire Tunion de la science et de la philosophie, cela avait pu paraître une
longtemps aux investigateurs les attraits que donne la culture d'une science pure, l'hypnotisme offre aux savants de notre gén
e, l'hypnotisme offre aux savants de notre génération l'intérêt d'une science appliquée. De l'étude de l'hypnotisme, abordée
faits médicaux. Pour notre instruction et pour le développement de la science psychologique, souhaitons que M. Philippe fasse s
sur-Mer Le Congrès de l'Association française pour l'Avancement des Sciences s'est réuni le 1-i septembre à Boulogne-sur-Mer s
nt bien l'hypnotisme sont suffisamment armés dans l'état actuel de la science pour reconnaître l'inconscience du sujet et même
t un moyen très efficace contre la chorée hystérique. CHRONIQUE DES SCIENCES PSYCHIQUES Par M. Jules Bois. I Victor Hugo
, qui en a été témoin pendant son voyage dans l'Inde. Les Annales des Sciences psychiques (juillet-aout),du D'Dariex, reproduise
z créé l'orthopédie mentale et, ainsi, la psychologie est devenue une science utile, bienfaisante, qui régénère le corps, qui r
i elle met à son service une persévérance inlassable. CHRONIQUE DES SCIENCES PSYCHIQUES Par M. Jules Bois. La fausse et la
aisser aux superstitions le privilège de coriso-ler, maïs en doter la science psychique. Sans se perdre dans le merveilleux et
ser la connaissance do l'hypnotisme, qui apparaissait alors comme une science nouvelle. Lo lendemain de la communication de V
fondateur du groupe girondin de Y Associa lion pour V avancement des Sciences . 11 y Ut des communications remarquées sur la Dou
ime d'un hypnotiseur criminel, nous pouvons et nous «levons mettre la science au service do la justice pour la découverte de la
rre réservée, l'Uranoscopie, la Chiroscopie, laMétaposcopie et autres sciences chimériques, d'avoireu des vues vraiment géniales
ogie et en pédagogie. » L'Htpnotisme ou Magnétisme animal devant la Science , par M. le Dr Jean Foustanos. (En grec), 119 page
mmandent la lecture de ce livre qui fait honneur â son auteur et à la science grecque. Dans le pays d'Ilippo-crate et de Galien
nt du Conseil de l'Université ; Froment, président do l'Académie d.^s Sciences , Lettres et Arts de 2'jrd3-i>'.x ; Lande, prés
it à lui procurer les joies profondes de l'étude, aussi bien dans les sciences medicaids quo dans les choses artistiques où sa c
tissnc? !a confidence de ces essais qui préparèrent l'avènement d'une science , alors à peine constituée, ?a psychologie expérim
aprea dovcph- son cendre I Si vie, partagée entre la famille et la science , fut celle d'un sage ; et sa fin. si courageuse e
Jeudi I" Mars, à huit heures et demie, M le Ii'Garnuull, docteur es-; sciences , fera une conférence sur : La venirUoquie religie
Royal. de Port-Royal « étaient bien plus pour la piété que pour les sciences . « Au reste, loin de chercher à expliquer leurs
i offrir un objet d'art à l'occasion de son élection à l'Académie des sciences morales et politiques. Lu bureau est chargé recue
itique et le classement des symptômes objec-ifs a fait progresser les sciences médicales: c'est ainsi que tout récemment, en dér
parence. Dans le cas présenté par M. le D* Marinesco à l'Académie des sciences , il s'agissait d'un jeune homme de 25 ans, à héré
seur Liégeois, de Nancy, comme membre correspondant de l'Académie des sciences morales et politiques. Idées délirantes de pers
ée maximum de la rage déclarée, et enregistrée jusqu'à présent par la science , n'a jamais dépassé sept jours. Outre ces parti
er un mémoire, traduit dans le numéro de janvier du Journ I of mental Science , sur la physiologie du plaisir ou plutôt des sens
Mercredis, à 8 h. 1J2 du soir, (amphithéâtre de Vancienne Faculté des Sciences .) Programme des Cours de 1900 28 Maiîs. — Néc
vient, de recevoir la croix du Sauveur pour ses services rendus à la science médicale. Ouvrages reçus â la Revue. Kn. A.mi
composée, de l'idée et du jugement? Tout, dans l'état actuel de la science , nous invite à donner de ces substrats les défini
us, il constata la même particularité.. D'ailleurs, les initiés de la science anthropologique estiment que la tète féminine pré
as, voilà de quoi consoler ceux ou celles qui ne « mordent * pas à la science mathématique : dame Nature leur a refusé ce don e
t de la science- médicale et dès 1887 il était élu par l'Académie des sciences correspondant de l'Institut: l'année suivante, ce
fonction d'une loi simple. Ce qui distingue l'homme de génie dans la science , c'est avant tout la simplicité. Quoi de plus sim
ra étudier en détail la biographie des sujets (1) C'est parce qu'en science Biaise Pascal sut se dégager des autorités, qu'il
és de la Seine, p. 352. Association française pour l'avancement des Sciences p. 30. 94, 122. Asthme (Traitement de l'asthme pa
. Chloroforme et suggestion par Paul Farez, p. 202. Chronique des Sciences psychiques, par Jules Bois, p-151, 185. Chronom
ert Charpentier, p. 204. Hypnotisme ou magnétisme animal de-vent la Science , par Jean Foustanos, p. 216. Hypnotisme dans le
o-rabies (Un cas de), par Lebell, p. 311. Psychiques (Chronique des Sciences ), par Jules Bois, p. 151, 185. Psychologie des
27 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
e connaitre la vérité, en nous servant des découvertes récentes de la science .. Nous avons cherché nos documents principaleme
uiconque l'a vu et l'a écouté, au Collège de France, à l'Académie des sciences morales ou aux Congrès de l'Institut internationa
ages définitifs doit être considéré comme l'un des précurseurs, de la Science sociale, de cette sociologie subjective, disons m
nécessité de condenser et synthétiser les lois émises par toutes les sciences sociales. Mais il sut, plus humainement pour ains
r génération interne et externe sont à la biologie. L'autonomie de la science sociale est désormais assurée, puisque la conscie
nt psychologique ou moral qui convient au traitement des névroses. La science de la psychothérapie, créee de toutes pièces en F
d'Alexandrie la considérait comme le fond de son dogme. (') Mais la science est venue, et miracles et théories extatiques se
soudre non à la façon des métaphysiciens, mais à la façon des gens de science , par l'expérience. Mais l'expérience sur l'homme
ychologie au congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences . — Discours de M. le professeur Giard. — La pédag
l'eau. Le congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , s'est tenu du 3 au 12 août. & Cherbourg, sou
oncé un discours d'une haute portée philosophique sur l'évolution des sciences biolo* giques. Après avoir clairement exposé l'in
nsidérable que les doctrines évolutionistes ont exercé sur toutes les sciences biologiques, M. Giard a démontré que l'idée de la
dée de la sélection naturelle s'est imposée peu à peu dans toutes les sciences de la nature et me^rae dans le domaine de la psyc
le, Darwin a supprimé tous les Rémora, qui arrêtaient le navire de la science . Car peu importe que l'Idée de finalité persiste,
liste soit reléguée dans les réglons de la métaphysique où l'homme de science digne de ce nom doit éviter de s'égarer. ¦ Et D
olution analogue a celle que Newton et Laplace ont accomplie dans les sciences astronomiques. c II ne peut entrer dans le plan
s les comptes-rendus de l'Association française pour l'avancement des sciences . considérait comme le plus indispensable à l'
les vieilles croyances s'écroulent tour à tour et où les points de la science qui semblaient les mieux établis sont remis en di
est le devoir que nous impose la devise de notre Association : par la science pour la patrie- a C'est aussi le moyen d'orient
section de pédagogie de l'Association française pour l'avancement des sciences , M. le Dr liérlllon, médecin-inspecteur des asile
conforme à l'esprit de l'Association française pour l'avancement des Sciences . M. le D" Bérillon a été désigné comme président
téressent à la pédagogie envisagée non plus empiriquement, mais comme science de l'éducation. M. le Dr Brunoo, directeur de l
moyens d'investigations que lui offrent la Chimie, l'Electricité, les Sciences naturelles, la Psychologie, l'Hypnotisme, etc., s
teinte d'hystérose. Mgr de Ségur ajoute que ce pouls normal, c'est la science renversée; nous craignons bien que ce soit le mir
e renversée; nous craignons bien que ce soit le miracle plutôt que la science qui soit renversé. 5° L'accès setermine-t-il pa
thématiques dans un collège; ce savant, très versé également dans les sciences mécaniques qu'il cultivait par goût, était attein
d'une haute portée philosophique dont voici les conclusions : c La science , elle, ne nous abuse pas; et, quand nous l'interr
ntifiques et leur influence sur le rapprochement amical des hommes de science . Dans le second, nous avons applaudi de spiritu
ssent à l'égard d'un maître dont les travaux font tant d'honneur à la science française. En résumé, le Congrès de Liège a eu
aux sénateurs et aux députés ce qui reste à faire pour permettre à la science française de maintenir son rang dans la lutte eng
reux de vouloir créer un miracle sans se préoccuper des données de la science : des thaumaturges qui ne doutent de rien raconte
sortie d'un rocher comme si ledit rocher distillait cette eau. Or la science nous donne une toute autre explication : elle fai
t un caractère do réelle originalité. La condition de l'évolution des sciences réside dans l'obligation, pour chaque chercheur,
ent entrée dans la voie expérimentale, la psychologie est devenue une science positive. Chaque jour voit s'élargir le domaine d
uera certainement à démontrer qu'à côté de la physiologie, qui est la science de la vie, la psychologie doit t'-tre, en dernièr
cience de la vie, la psychologie doit t'-tre, en dernière analyse, la science de la raison et de la volonté. Les volumes non
itable modèle du genre, révèle l'expert consciencieux, chez lequel la science le dispute à l'esprit psychologique. En opposit
rte d'autres explications. Pour tous ceux qui admirent chez Ribéra la science de l'anatomie et la préoccupation de l'exacte vér
par l'éclat de sa civilisation, par le développement des lettres, des sciences et des arts peut être considérée comme un des peu
férence du Dr BériUon à l'Association française pour l'avancement des sciences . Le jeudi i,f février, à cinq heures, aura lieu
M. Berthelot, ancien ministre, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , l'inauguration du buste, élevé par souscription,
n. • • Chaque année l'Association française pour l'avancement des sciences convie les membres de l'Association à des confére
evons mentionner M. Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , Raymond, professeur à la Faculté de médecine, Al
l'homme de caractère, trop souvent différent de l'homme d'esprit, de science et même de génie. » Par ces paroles le Dr Huchard
t un caractère de réelle originalité. La condition de l'évolution des sciences réside dans l'obligation, pour chaque .chercheur,
ent entrée dans la voie expérimentale, la psychologie est devenue une science positive. Chaque jour voit s'élargir le domaine d
uera certainement à démontrer qu'à coté de la physiologie, qui est la science de la vie, la psychologie doit être, en dernière
science de la vie, la psychologie doit être, en dernière analyse, la science de la raison et delà volonté. » L'éditeur Dujar
éputation scientifique. Je me bornerai à vous dire que l'Académie des sciences vient de donner à ses études magistrales sur VEpi
Psychologie pouvait compter sur le concours des véritables hommes de science , ennemis de la routine et portés, par la nature d
3 fr. 50. L'auteur apporte dans l'exégèse la méthode générale des sciences naturelles, communes aux naturalistes, aux médeci
écrit dans un style clair, et sera lu non seulement par les hommes de science , mais par les gens du monde qui s'intéressent aux
ublique, M. Giard, professeur à la Sorbonne, membre de l'Académie des sciences , M. Mesureur, directeur de l'Assistance publique,
M- le Dp Le Menant des Chesnais, secrétaire général de la Société des Sciences psychiques, M. le général Mercier, sénateur, M. l
ent, et M. Grollet, secrétaire général). La Société universelle des sciences psychiques (parle D' Paul Joire, président). La S
M. Berthelot, ancien ministre, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , qui ont bien voulu accepter la présidence d'honn
e maître que nous vénérons comme une des gloires les plus pures de la science française, s'associe à notre manifestation en l'h
dont la vie tout entière a été consacrée au culte désintéressé de la science , c'était encore servir la science. Nous les r
rée au culte désintéressé de la science, c'était encore servir la science . Nous les remercions d'avoir pensé, comme nous, q
ces pieux hommages. Créateur de la psychothérapie, c'est-à-dire de la science qui contribue le plus puissamment au soulagement
apeutique ». Pendant près d'un quart de siècle, Liébeault répandit sa science en prodiguant gratuitement ses soins aux pauvres
ne, médecin modeste et homme de bien, qui ouvrit une ère nouvelle aux sciences médicales en les dotant de sa découverte : L'appl
de sa mère la liberté de suivre sa vocation qui l'entraînait vers les sciences naturelles. A vingt-et-un ans, il prit sa premièr
de médecine de l'Associa- tion britannique pour l'avancement des sciences avait refusé la lecture d'une communication ayant
u malveillants. « Du moment qu'on s'écarte du courant ordinaire de la science , en s'occupant de choses qu'elle rejette, ainsi q
a psychologie, mais encore d'avoir constaté les applications de cette science à l'art de guérir, lesquelles se résument dans la
sans un consentement préalable de l'esprit. Il est aussi acquis à la science que, lorsqu'on veut s'abandonner au repos, on rec
ec le paradoxal Delbœuf qu'il n'y a pas d'hypnotisme, c'est-à-dire de science du sommeil, c'est en nier les phénomènes,cequi es
it civil et criminel, dont il donna lecture en 1884, à l'Académie des sciences morales et politiques. Quant à M. Beaunis, appo
purer fatalement, et même s'absorber les unes dans les autres ; et la science , grâce à l'esprit d'examen, tout en les disséquan
» * Malgré les oppositions systématiques que rencontrent toutes les sciences nouvelles à leurs débuts, nul ne peut nier aujour
fonde, de cette largeur de vues qui constituent le véritable homme de science . Il y a quelques années, M. le professeur Lépin
stinée est de nous efforcer de nous en rapprocher sans cesse ; que la science est un perpétuel devenir. En instituant des profe
, il a cherché et créé une méthode nouvelle ; il a fait progresser la science . Véritable chef d'école, dans sa clinique particu
licate, 0 médecin de l'Ame et des longues douleurs. * * * Notre science , enfin reine de la Matière, A su régénérer les co
et mettez en œuvre tout ce que votre conscience autorise, puisque la science est vaine. L'énergie et la ténacité nous ménagero
on, si les esprits de cette trempe ne risquaient point de retarder la science en essayant de précipiter son mouvement. Je me le
'avoir pensé trop vite. En y réfléchissant, je me suis aperçu que les sciences naissantes, et l'hypnologie en est une, ont besoi
entreprenants, amis du risque, avides d'appliquer à la pratique de la science la belle formule de Frédéric Nietzsche : t II « f
é à l'idée de se rencontrer en consultation avec un des princes de la science ; actuellement l'influence qui mtimide se dégage s
e ? C'est à douter de la richesse de la langue et de la concision des sciences !. Avant de terminer ce travail, nous avons vou
hoisis les quelques mots suivants dans une de ses études sur « la science des mœurs remplace-ra-t-elle la morale ? » *Tou
ychothérapie, et retournons aux dogmes religieux dont nous voyions la science se dépouiller avec satisfaction, retournons à eux
p.-ychothérapie, c'est de le voir entaché d'une philosophie et d'une science si dogmatiques, d'une psychologie si souvent erro
nault professeur à l'Ecole de psychologie. Le premier soin en toute science doit être d'établir des définitions exactes que p
s observations plus précises et limitées eussent été plus utiles à la science . II aurait opposé l'acte imité () aux actes pré
eignement au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , vient d'adresser la circulaire suivante pour inv
section. Monsieur, L'Association française pour l'avancement des sciences tient son prochain congrès à Lyon, le 2 août 1906
osés à la Revue, p. 160. Pédagogie au congrès pour l'avancement des sciences , p. 353. Pédagogie des anormaux, p. 67. Perve
ar Binet Sanglé, p. 254. Psychologie au congrès de l'avancement des Sciences , p. 65. Psychologie au congrès belge de neurolo
28 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
lait impossible que jamais la psychologie fût à la hauteur des autres sciences . Seuls, les savants qui se tenaient au courant
s recherches scientifiques sur l'hypnotisme avaient compris que cette science ne larderait pas à constituer une véritable métho
car nous étions convaincu qu'il y avait un réel service à rendre à la science , en arrachant l'hypnotisme des mains des empiriqu
e thèse destinée à marquer une étape considérable dans le progrès des sciences philosophiques. Le travail de M. Pierre Janet s
u contraire, il faut s'abstenir ? Puisque la médecine, au nom de la science et de l'art, a. dans ces derniers temps, pris pos
ntpallier. Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , du S au 18 août. Président : M. de Lacaze-Duthie
s organisateurs ont pour but : 1. De fixer la terminologie de cette science ; 2. D'enregistrer et de déterminer les acquisit
ondensant ces précieux documents, livre l'état exact et complet de la science sur la matière. L'examen de la question tant de
e lecture attrayante et utile pour quiconque a souci des choses de la science et de l'enseignement. P. M. Der Hypnotismus,
ssi le psychologue instruit. Assez longtemps on a négligé la nouvelle science en Allemagne, mais il semble que notre littératur
s organisateurs ont pour but : 1. De fixer la terminologie de cette science ; 2. D'enregistrer et de déterminer les acquisit
elle, débarrassée des incertitudes qui retardent les progrès de toute science nouvelle aura réalisé d'importantes acquisitions.
'en réferer à la très grande majorité des observations que possède la science .il est permis de conclure que dans les circonsta
ciété de Psychologie physiologique. M. BALLE Emile, de la Société des sciences naturelles de Rouen. M. BARROUX Abel, directeur d
eiller a la Cour d'appel de Paris. M. POIRAULT Georges, licencie es sciences . M- le Dr PUEL, lauréat de l'Académie de médeci
dier, médecin de l'Asile de Vaucluse. M. ROCHÉ Georges, licencié es sciences . M* Dr ROCHAS, commandant, administrateur de l'
e réunion et votre présence consacre officiellement l'existence de la science nouvelle de l'hypnotisme. Il serait inutile de
et ont largement contribué à vulgriser les enseignements de de cette science nouvelle. A côté de nos concitoyens, je suis heur
as peu coatribué à ouvrir à l'hypnotisme les portes de l'Académie des sciences . Avec l'appui et le concours de tels hommes, la
la représenter officiellment á notre Congrès. L'Hypnotisme est une science d'expérimentation, sa marche en avant est fatale.
sont-ils pas MM. Charcot. Brouardel, Charles Richel. L'Académie des sciences de Paris n'a-t-elle pas accorde des recompenses e
me, avait témoigné de sa foi dans le succès et la vulgarisation d"unc science nouvelle. Ses espérances n'ont point été déçues e
n'a pas tarde a se faire des adeptes. Cette formule, les hommes de sciences ne sauraient l'adopter, et cela précisément au no
ers; et c'est non seulement attenter a la liberté, a la justice, à la science , mais encore léser l'humanité et la morale que de
e l'hypnotisme comme agent thérapeutique rentre dans le domaine de la science médicale, et que l'enseignement officiel de ses a
e et de ses applications soit introduite dans dans l'enseignement des sciences médicales. Compte rendu des résultats obtenus à
s fran-çais et étrangers. L'anthropologie criminelle est encore une science à faire,a dit modestement M. le professeur Lacass
e savoir si l'anthropologie criminelle doit être considérée comme une science ayant d'ores et déjà des bases certaines et, par
m-manai (de Rome) y revient. « Si l'on considère combien est jeune la science de l'anhtropotogie criminelle, dit-il, on voit qu
on voit que l'on a fait de tels progrès dans la voie tracée par celte science , qu'on peut avoir l'assurance que bien peu de vér
les) admet que l'anthropologie peut avoir une grande importance comme science auxiliaire dans la partie du droit civil qui conc
i fait défaut jusqu'ici, la prison devant devenir, sous l'égide de la science médicale, le champ clinique du barreau et de la m
'Henri Bouley, ancien directeur d'Alfort, président de l'Académie des sciences et professeur de pathologie comparée au muséum. N
le pourrait l'être aussi pour les premiers, au cas où l'intérêt de la science l'exigerait. Voilà quelle parait être la voie q
folie avec conscience a donc acquis maintenant droit de cité dans la science , et le mot est aujourd'hui généralement accepté p
urs français et étrangers, et qui sont maintenant bien connus dans la science . Nous n'avons pas à insister ici sur ces faits,
s docteurs Briand et Vallon, dont on peut dire que. chez eux, eux, la science n'attend pas le nombre des années, car, jeunes en
nos travaux d'une façon platonique, mais que, vraiment dévouées à la science , beaucoup d'entre-elles, ont partagé vos labeurs.
e commune de fraternité et de solidarité scientifique. Je bois a la science , je bois à ce Congrès international de l'hypnotis
c'est par leur valeur intellectuelle, les progrès accomplis dans les sciences et les tentatives de soulagement apportées a l'hu
et l'harmonie entre les nations, «or le terrain de la charité, de la science et de la fraternité ! Apres loi. M. le Dr Brian
ès Scientifique de l'Exposition universelle, pour rendre hommage a la science française, leur demande de bien vouloir se .joind
porte un toast au soulagement des misères humaines par l'union de la science et de la charité ! (Applaudissements.) M. le Dr
litique qui divise, dit-il, et unissons-nous dans le cri de : Vive la Science ! » M. Huard, avocat à la Cour de Paris et memb
s dignes successeurs de Pinel et d'Esquirol, a l'un des maîtres de la science fran-, çaisc. (Vifs applaudissements) Après lui
qu'il restera encore pendant des longues années une des gloires de la science . Vive Liébcault ! Vive ! l'Ecole de Nancy ! » L
et jusque dans nos temps par des hommes illustres dans les arts, les sciences ou la poli-tique, tous remarquablement pourvus so
u nez a de la politesse). L'auteur entrevoyant un grand avenir à la science du nez, apporte un document qui pourrait servir à
lté de médecine de Naples ! Nous voilà donc prévenus : une nouvelle science est en train de naître ; qui sait si, au vingtièm
ucoup trop dans la sience. 11 parait absurde dans l'état actuel de la science , de soutenir que la suggestion régénère des cellu
elle de la métalloscopie, un homme, dont le nom fait autorité dans la science autant par son caractère que par ses travaux scie
. con- t. iv, p. 573-589. Napoli, 1887-RAUE : Psychology as natural science applied to the solution of occult psychic phenome
rts atec le droit civil et le droit criminel, faites a l'Académie des sciences morales et politiques. L'auteur essayait de montr
s les événements avec leurs dates. 11 était également habile dans les sciences physiques, la logique, l'astronomie et les mathém
ergique, élevé dans les camps, et habile dans la guerre, il aimait la science et la société des hommes instruits. Il étudia l'h
répandues en maints pays. Elles florissaient surtout en Espagne où !a science des Ensalmas ou oraison était une branche des con
mènes sortis du domaine du merveilleux, pour entrer dans le cadre des sciences médico-psychologiques, qui nous donneront, dans u
s félicitations. » Concours relatif à l'Hypnotisme L'institut des sciences de Milan ayant établi un concours international p
ossible et n'a fait que creuser davantage tes fossés qui séparent les sciences . » L'auteur en conclut que c'est vers les science
s qui séparent les sciences. » L'auteur en conclut que c'est vers les sciences occultes que nous devons tourner nos regards. L
aient bien gardés. Est-ce que les galons ne tiennent pas Heu de toute science et de toute compétence? Si la cause de l'introduc
u fruit défendu et qu'ils voudront savoir à quoi s'en tenir sur cette science à laquelle on voudrait les empêcher même de pense
, continuez à vous instruire, tenez-vous au courant des progrès de la science » une circulaire intempestive vienne leur donner
illé. Mais ce n'est pas tout. (1). Lecture faite à l'Académie des sciences morales et politiques REVUS nt; i.'hypnotisui*
s Sociétés savantes s'ouvrira le mardi 37 mai prochain. Le bureau dei sciences est ainsi composé : Président. M. Barthelot; vi
aura lieu à Berlin du 4 an 9 août Une exposition internationale des sciences médicales sera annexée M Congres. La cotisation
] Gaz. lek.. Sér. II, t. VIII, p.567 Warszawa. 1888. : Psychic cures. Science . XIII. 339. p.406- New-York. 1889. OUVRAGES REÇ
uble personnalité que M. Proust vient de communiquer a l'Académie des sciences morales et politiques. Il concerne un avocat de 3
s visites,achète. (l) Bellanger, le magnétisme et chimères de cette science occulte, par le docteur , Bellanges Paris. in-8°
placer la question. Il s'arroge le droit de haut justicier, devant la science et devant l'histoire. Au lieu d'accepter loyaleme
llon : «... Il est bien plus commode de se dire en possession de la science , sans avoir lu, sans avoir expérimenté, ou, ce qu
t et de renommée ; dérobant à D....., par le canal d'un affilié, sa science pratique, et la débitant sur les mêmes théâtres,
mme ces vérités doivent se voiler la face), le procès général de la science libre et progressive (D.....) contre la science
rocès général de la science libre et progressive (D.....) contre la science patentée et conservatrice (Ladame), celui de la m
ès lors, la Justice appellerait-elle à son secours les lumières de la Science . Telle est l'appréciation judicieuse que suggèr
irez faire. Comptant sur un travail fructueux et profitable à notre science , nous vous adressons un salut confraternel et vou
e ds hautes-études. — M le Dr Paul Loye, préparateur à la Faculté des sciences et à la Faculté de médecine, vient d'être nommé m
estions. Le diable a dû battre en retraite devant les progrès de la Science et de la Raison. Et les convulsionnaires stigma
e, lorsqu'elle existe. (1) Communication présentée à l'Académie des sciences par M. le professeur Charcot. De plus, l'élude
stration intérieure des hôpitaux, tout en respectant les droits de la science , a le devoir de demander A l'Administration quell
dans les hôpitaux de Paris sont faites en vue du développement de la science auxquels les hôpitaux ne sont jamais restés étran
l d'expériences techniques qui ont lieu sous la direction d'hommes de science respectés de tous. Je ne suis pas surpris que M.
urs dans des proportions considérables, celui des fanatiques de cette science tend fort heureusement à diminuer. Nous ne somm
endus des sociétés les plus importantes,il saurait que l'Académie des sciences . l'Académie de médecine, la Société médicale des
ications récente de l'hypnotisme et que tout récemment l'Académie des sciences n'hésitait pas â récompenser, dans la même année,
r le même sujet qu'il fut admis à lire en 1884, devant l'Académie des sciences morales et politiques et qui souleva, à cette épo
logie. Puis vient la liste de tous les hommes qui ont conquis à cette science nouvelle le droit de cilé : Durand de Cros, Charp
eault et Bernheim, puis ses conclusions si discutées à l'Académie des sciences morales et politiques, et enfin les expériences c
et que ces expériences, pour lesquelles on allègue la nécessité de la science . avaient plus ou moins détourné renseignement et
te dans un but scientifique. D'après l'esprit de cette circulaire, la science ne devrait désormais plus avoir rien de commun av
on despotique et pernicieuse de la philosophie transcendante dans les sciences . » La méthode déductive pas plus que la méthode
synthèse. Et l'auteur dans un aperçu d'histoire et de philosophie des sciences médicales, montre les grandes découvertes qu'a am
. Le débauché ne vit que pour le bas-ventre: le poëte ou l'homme de science pour l'idée : le peintre pour le coloris ; le mus
L'auteur remercie fort les médecins qui ont mis à sa disposition leur science pathologique, mais s'élève vivement contre ceux q
entière qui est un véritable corps de doctrines embrassant toutes les sciences jusqu'aux sciences morales et politiques que M. P
véritable corps de doctrines embrassant toutes les sciences jusqu'aux sciences morales et politiques que M. Pioger ait fait para
généralisant un peu cette vérité à laquelle nous amènent, toutes les sciences naturelles, n'aurait on pas le droit d'affirmer q
ut rapporter les opinions si divergeantes et la confusion régnante en science hypnologique à une cause première. Notamment les
un nombre de phénomènes remarquables avant une valeur réelle pour la science psycho-physiologique. Les trois états de Charcot,
ué que par les hommes légalement autorisés et suffisamment experts en science hypnologique. L'autorisation doit être accordé pa
étude de la psycho-thérapie doit dorénavant faire partie de celle des science médicales. » Le docteur Kuisch propose à y ajoute
luence de la suggestion sur la), par Giscard. 100. Méthode dans les sciences médicales, 351, Mohammed Toghlak (la folie de), 2
29 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
coup de couteau. SOCIÉTÉS SAVANTES XIe Congrès International des Sciences Médicales, tenu à Rome. Section de Neurologie et
imentale a conquis son autonomie et s'est définitivement organisée en science distincte et indépendante. Elle représente actuel
isent jusqu'à un certain point à elles-mêmes, comme celles des autres sciences naturelles. Le laboratoire fondé en 1889 à la S
aliénés que le médecin aliéniste doit rechercher les fondements de la science spéciale » ; et, ouvrant largement son service à
t il faut lui savoir gré, présente une vue d'ensemble de l'état de la science . Nous pouvons indiquer seulement, les travaux d
d et Brunetière pour la représenter à cette cérémonie. L'Académie des sciences sera représentée par MM. Chauveau et Bouchard.
ue célèbre et non encore débrouillée, formule qui a été émise dans la science , il y a deux ans, au Congrès de Psychologie expér
aitement. Les exposés de l'auteur correspondent au point actuel de la science . Comme l'école de Nancy, il regarde comme puremen
Malgré ses adversaires, l'hypnotisme est et restera une branche de la science , surtout de la psychologie et de la physiologie d
à M'u Teresina Labriola, âgée de dix-huit ans, qui a soutenu avec une science et une verve remarquable une thèse sur ce sujet :
rdeaux. Le Conseil de l'Association française pour l'avancement des sciences a décidé de faire représenter l'Association au Co
, le second surtout, n'apportent rien de nouveau sous le soleil de la science : le sommeil, les états passifs se sont toujours
sprits, a se laissèrent aller à l'illusion d'élargir à l'aide de la « science nouvelle » les limites de la science cd infinitum
usion d'élargir à l'aide de la « science nouvelle » les limites de la science cd infinitum, de dépasser le domaine de l'observa
le médianisme : notre société est encore engagée dans la lutte de la science contre la foi, lutte qui provoque les haines et l
qui provoque les haines et les craintes réciproques. Espérons que la science de l'Europe occidentale, qui n'a plus de raison d
it le Dr Harusewicz, plus tôt le médianisme deviendra l'affaire de la science , et plus rapidement met tra-t-on fin aux nuisible
out de suite comme un sujet exceptionnel au double point de vue de la science et de la foi. Parmi les guérisons miraculeuses
paraissent, aujourd'hui, se rattacher plus ou moins aux faits que la science médicale a mis en observation sous le nom d'hypno
e étroite amitié, associèrent leurs efforts pour en faire profiter la science jusqu'en 1869, époque à laquelle Vulpian quitta l
ologie médicale, qu'il en avait mis à l'égard des autres branches des sciences biologiques. En possession de matériaux cliniques
ine du charlatanisme et de la supercherie par les représentants de la science officielle. Conformément à un vœu maintes fois
stinée est de nous efforcer de nous en rapprocher sans cesse ; que la science est un perpétuel devenir. — En instituant des pro
au contraire entraîné à des dépenses parfois considérables ; dans les sciences expérimentales, par exemple, il s'entoure de prép
issant des connaissances générales, par exemple celui de « docteur ès sciences biologiques », obtenu dans des conditions analogu
racées par des esprits indépendants. Chacune des grandes étapes de la science médicale a été marquée par des noms d:hommes qui
le. Malgré les oppositions systématiques que rencontrent toutes les sciences nouvelles à leurs débuts, nul ne peut nier aujour
fonde, de cette largeur de vues qui constituent le véritable homme de science . M. le Dr Liébeault a formé plus d'élèves, dans s
par ses leçons sur Phypnotisme. Pendant longtemps renseignement des sciences médicales a été donné par deux catégories de mait
ole., et c'est tout. Dans toutes les autres facultés (droit, lettres, sciences ) les cours libres, autorisés par le Conseil supér
nclusion. Au congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , à Caen, en 1894, M. le professeur Bouchard fut a
exigée dans le projet du congrès de Lyon, est le titre de docteur ès sciences biologiques ; elle ne nous semble pas suffisante
le courage d'affirmer ainsi leur opinion. Ils ont bien mérit'é de la science et de la médecine françaises ! » En allant au c
disait-il aux applaudissements de tous, repose de plus en plus sur la science , et la science n'existe que si elle se développe
pplaudissements de tous, repose de plus en plus sur la science, et la science n'existe que si elle se développe incessamment. O
tion. 1871, Palmé. Paris. (5)Tolra. Paris, 1891. i. — lourdes et la science historique. En l'année 1858, Bernadette Soubiro
e, professeur à la Faculté de Droit de Louvain. II. — Lourdes et la science médicale. Théorie catholique du miracle Superch
contradiction formelle avec les principes les plus incontestés de la science médicale. La persistance des cicatrices, ou les v
ement de l'univers ; un phénomène sensible en dehors des prises de la science parce qu'il est indépendant des causes secondes,
e de l'impulsion initiale. — Quel est, en effet, l'enseignement de la science moderne sur le principe de continuité? La scien
nseignement de la science moderne sur le principe de continuité? La science positive (nous ne disons pas positiviste) profess
e à la fois philosophique et scientifique, elle est le corollaire des sciences anciennes comme l'astronomie, et elle éclate dans
comme l'astronomie, et elle éclate dans les premières révélations des sciences plus jeunes telles que la géologie, la chimie et
comme Chevreul et Wurtz, par de Lapparent, l'éminent géologue. . La science , vraiment positive, oppose donc l'idée d'ordre et
atées par l'observation essentiellement contingente. Bien plus, cette science consiate que le monde actuel aurait pu exister d'
ine d'expérimenter. Qui pâtit, en somme, des mesures prises? La vraie science et le public. Les malades, effrayés, continuent à
'ils se sont appliqués à rendre service à l'humanité et à éclairer la science . _ Aster e Denis. La médecine des Primitifs d'A
ogie physiologique de l'Ecole pratique des Hautes-Etudes (section des sciences naturelles), est nommé directeur du dit laboratoi
es que l'auteur n'a pas même entrevues. Aussi, actuellement, bien des sciences , jadis l'apanage exclusif de ceux qui s'y adonnai
res. (1) Discours prononcé dans la séance publique de la Classe des Sciences de l'Académie royale de Belgique, le 12 décembre
une façon de payer la dette que j'ai contractée envers la Classe des Sciences , le jour où elle me fit l'insigne honneur d'accue
ujours à (1) Le 4 juin 1887. Voir Bulletin de l'Académie royale des sciences , même date. m'en rendre maitre. J'ai pu faire n
es résultats sont assurément très encourageants, et la médecine et la science ne seront plus désormais impuissantes contre une
ujourd'hui. Demandez plutôt aux chauves. Je crois que sur ce point la science n'a pas fait beaucoup de progrès. Superstitions
ARMOTTE F) Par M. le D* Raphaûl Dubois, professeur à la Faculté des Sciences de Lyon. On a fait beaucoup d'hypothèses, plus
que nous lisons encore avec intérêt ; il la défendit avec beaucoup de science et d'à-propos et montra ses qualités de critique
Depuis fort longtemps des charlatans exploitaient cette branche de la science , qui dans leurs mains était devenue une branche l
Si je vous citais tous les élèves de Charcot qui ont un nom dans la science , leur énumération serait longue, ils sont nombreu
Son esprit ne fut jamais obligé de descendre des hauts sommets de la science pour s'occuper des vulgaires petits soucis quotid
nt: « Tout est mystère ici-bas, mais mystère n'est pas miracle, et la science éclaircira les mystères et dissipera les ombres c
rguès, qu'un homme jugé malade pendant six ans par les sommités de la science , ne fût qu'un simple simulateur? Comme bien on pe
n'a pas attribué ce caractère aux manœuvres des magnétiseurs dont la science spéciale n'a pas été visée. Il importe tout d'abo
e. Il est certain qu'on a été d'accord pour reconnaître aux hommes de science qui veulent étudier le magnétisme et l'hypnotisme
que la troupe des farceurs, qui n'a aucun rapport avec les hommes de science et de bonne foi attachés à l'étude des problèmes
ge au travailleur infatigable, à l'observateur attentif, à l'homme de science qui a disparu en Brown-Sequard. Des applaudisseme
à Lourdes, en ces deux ou trois dernières années, de maladies que la science médicale avait déclarées incurables. Parmi elle
résident). — Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , à Bordeaux, le 4 août. — Deuxième Congrès de méd
éminents d'Angleterre le D'Hack. Tuke, directeur du Journal of mental Sciences , vient de mourir, après une carrière bien remplie
indépendant, à idées hardies, insoumis à l'autorité des maîtres de la science et ne rejetant pas, avec eux et en aveugle, des v
) V» Electro-Dynamisme vital. Paris : G. Baillière, 1855. • de la science expérimentale tenait l'Amérique entière, en émoi
s à l'égard des vérités qui ne sont pas entrées dans le domaine de la science , proposer de rendre fou presque subitement des ho
folie que je rencontrai pour la première fois, a été signalée dans la science . J'ai souvenir d'avoir lu une relation de deux ca
ience psychologique ; mais n'est-ce pas le caractère spécial de cette science si nouvelle et déjà si féconde qui fait l'objet d
certaine émotivité naturelle qui fait tressaillir, unie à beaucoup de science , qui permet de ne tressaillir qu'au moment voulu.
t imposé, et le fait de la transmission sans contact sera acquis à la science . Comme conclusion1 à cette^note, je dirai donc
, anatomie, physiologie, pathologie thérapeutique. Uien de toutes ces sciences ne vous est inconnu, et votre belle jeunesse s'es
uardel, je suis convaincu que la publicité donnée aux conquêtes de la science a fait illusion aux familles. Chaque jour, dans l
(2) Depuis longtemps, les professeurs de facultés dos lettres et des sciences ont abandonné ces costumes surannés. Les thèses s
jusqu'à l'âge de 76 ans. Bien qu'adonné spécialement à l'étude des sciences naturelles, Vogt doit être considéré comme un des
. 30, 56. (2) Pierre Janet « Amnésie continue ». Revue générale des sciences , 1893, 176. (3) J'ai déjà discuté quelques-unes
philosophique, 1891, I, 280 ; « Amnésie continuo n Revue générale des sciences , 1893, p. 176 ; « Histoire d'une idée fixe » Revu
en médecine (le), par Bérillon, 193, 317. Congrès international des sciences médicales, tenu à Rome, section de Neurologie et
ie (un cas de), 127. Liseur de pensées (un petit), 250. Lourdes et la science , par L. Berteaux, 210. Mugnétisme et la loi s
30 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es jusqu'au moment de son évolution actuelle, voilà la fin de toute science de l'in- telligence. Tout Edinger. qu'il s'agis
s organes des sens et nos sensa- tions nous les représentent : « La science , dit Edinger, ne peut que s'orienter dans le do
e scientifique; c'est même là, au témoignage d'llelmholtz, toute la science . C'est en ce sens que nous saurons un jour ce q
nd n'a confondu les conditions des phénomènes, qui relèvent de la science , avec leur nature, qui est le propre de l'inconna
Irlande ; par le professeur Monrrz Benedikt. (The Journal of Mental Science , janvier 1899.) La première de ces lettres est
e morale déclare espérer que le mot et la chose disparaîtront de la science . Ce qu'on appelle la folie morale n'est, suivan
é chez les criminels; par A.-R. WI ! ITEWAY. (The Journal of Mental Science , octobre 1899.) La question fondamentale qui se
int de vue physique qu'au point de vue psychologique. Les hommes de science trouvent difficile d'admettre la folie partielle
ilité des criminels; par Charles Mercier. ' (Tlee Journal of Mental Science , avril 1900.) Nous ne pouvons qu'indiquer ce co
'article de M. Whiteway paru dans l'avant- dernier numéro du Mental Science , et qui concerne tout spéciale- ment le procès
e physiologie cérébrale; par A. H. NEwTdt. (The j01tmal of Mental Science , avril 1899.) 1 . Une grande somme de travail a
stifiées dans les asiles ; par Thomas Drapes. (The joumal of Mental Science , juillet 1899.) L'auteur ne dissimule pas que c
la responsabilité de aliénés, déjà traité dans le Journal of Mental Science , par 11111. fercier,iVoott et bien d'autres. Il
ar F. ASHEY ELKINS et JAMES 1\hDDLE : .IASS. (The Journal of Mental Science , octo- bre 1899.) Le système préconisé par l'
pendant une année : par Ha- MII,TON C. Marr. (The Journal of Mental Science . juillet 1899.) Il y a vintg ans que Lady Braba
e de ces établissements ; par R.-ll. SnEEIV. (The Journal of Mental Science , janvier 1900.) Ce travail très intéressant, tr
les aliénés phthisiqnes; par Eric France. (The Journal o( 111ental Science , janvier 1900.) Par des documents précis et i
auvage de la Croix (de Montpellier) a communiqué à l'Académie . des sciences un curieux cas de ce genre. 11 observait déjà à c
ginal, sans risquer d'entraîner le lecteur en dehors du champ de la science stable et acquise, caractérise ce nouveau trava
ées de l'époque. Il reconnaît toutefois qu'il s'agit là non plus de science , mais de croyance. Si Herbart n'admet pas' les
me la médecine, est un art qui s'appuie sur une BIBLIOGRAPHIE. 71 science , la pédagogie. Cette science s'édifie sur deux ba
i s'appuie sur une BIBLIOGRAPHIE. 71 science, la pédagogie. Cette science s'édifie sur deux bases : la morale qui fournit
gogie sous une forme systématique et de l'avoir présentée comme une science ; ce sera aussi d'avoir donné à la psychologie
n-8" de 7 pages. Bruxelles. 1900. Bulletin de la Société royale des sciences médicales et naturelles de Bmaelles. Duehren
est deux tout au moins qu'Edinger croit pouvoir lui attri- buer de science certaine : 1° elle possède la propriété de cons
issons, des amphibiens, des reptiles, des oiseaux, que sor- tira la science comparée de leurs fonctions psychologiques. Cet
estions suprêmes. J'estime même que cette évolution parallèle de la science des struc- tures et des fonctions du névraxe a
es moyens de les apprendre. Il importe peu, d'ailleurs par qui la science se fasse, pourvu qu'elle soit. Les livres de Deje
e Galien, de Descartes, de Flourens, de Broca, de Charcot, la vraie science anatomique 108 REVUE CRITIQUE. et physiologiq
on congénitale de l'oreille; par Hugh KEnn. (77ee Journal of Mental Science , juillet 1899.) Il s'agit d'une jeune femme de
t et après la mort; par E. 13. M'IIITCOM13E. (The Journal of Mental Science , octobre 1899). Il s'agit d'un homme de trente-
ylène polychrome; par T. ALDUUS CL1 ! '\cu. (The Joul'nal of Mental Science , juillet 1899.) Courte notesurles avantages de
ay. V. Les sentiments; par Harry Campbell. (The Journal of Mental Science , avril 1900.) 1 L'auteur divise son travail en
sychologie nouvelle ; par Henry NI UD3LI,'Y. (The Journal of Mental Science , juillet 1900.) Ce travail est un discours pron
cture du bulbe olfactif ; par F. CRIIV A 11 : -1. (Rlllielino délie Science )MC6c/tC, 1900, juillet.) . L'auteur décrit et
s statistiques récentes; par W.-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science , avril 1900). Ce travail est très documenté et
ueillir les observations ; par A.-I3. NEwTn. (The Journal of Mental Science , avril 1900.) L'auteur regrette que les observa
- puerpérale aiguë; par C. C. EASTERBROOE. (The Journal of f Mental Science , janvier 1900.) Le cas est intéressant à cause
siques de la folie; par F. GRAHAM Caooxsuaw. (The Journal of Mental Science , janvier 1900.) L'auteur pense que les signes p
s de folie syphilitique; par R. D. HOTCRKIS, (The Journal of Mental Science , avril 1900.) lomme de cinquante-deux ans, cari
arole des épileptiques; par CAèIPBELL CLARK. (The Journal of Mental Science , avril 1900.) La faculté du langage chez les ép
omplication delà folie ; par G.-J. CONFOIID. (The Journal of Mental Science , avril 1900.) L'auteur étudie successivement le
n esprit universel, car nul homme ne peut être maître de toutes les sciences : en biologie, il est faible ; en psychologie,
moment même où il aurait vécu en pleine hallucination, l'homme de science , le parlementaire disert et l'homme du monde aura
harnée cette belle intelligence. Anxieux de trouver par la voie des sciences l'explica- tion des mystères divins et la confi
tion des données de la foi, le jeune homme se donna tout entier aux sciences exactes, à l'as- tronomie, à la géologie, à l'h
e cracher à terre ». , Les crachats desséchés étant reconnus par la science comme les plus actifs agents de propagation bac
de chirurgie de Bordeaux, séance du 22 mars 1901, Gaz. hebdom. des sciences médic. de Bordeaux, 7 avril 1901, p. 165 et 14 av
est pas de même de l'amaurose bilatérale et on peut compter dans la science les cas de cécité hystérique 1 ». Briquet- en r
rne des Asiles de la Seine. (Ecole de VillejUif). I Lorsque les sciences s'adressent à des phénomènes de complexité croi
alysie agitante; par Max Nonne. (The hree·icca7z Journal of medical Sciences , juin 1900.) Ch.-A.'Dana avait publié dans ce m
l'humanité par leur dévouement, leur abnégation, qu'ils honorent la science par l'éclat de leur savoir ou de leur enseignem
ez défendre; la raison humaine qui nous conduira sans doute à une science de la vie, planant au-dessus des conventions et d
pas avec sincét'i'é la la lumière des choses, nous nous faisons une science à notre goût. « car la vérité que l'homme reçoi
montrer la vérité de ce qu'avait dit Claude Bernard, que « dans les sciences expérimentales en évolution, et particulièremen
venir. Certes, chercher à prédire la voie où s'engagera demain la science , est plutôt un passe-temps de chroniqueur qu'une
ns vrai- ment morbides, j'entrevois les résultats nouveaux de cette science mieux établie, ou au moins d'une application mi
pagé partout et que la neuro-pathologie ne peut pas plus rester une science française que la microbiologie de Pasteur. Ne n
façon définitive et certaine l'avenir financier de vos congrès; la science a quelquefois besoin d'argent. Il s'agissait d'
avec la plus grande** clarté les différents éléments épars dans la science . L'anatomie 248 SOCIÉTÉS SAVANTES. pathologiq
saillants sont la confusion, les hallucinations, la perte de con- science . C'est la confusion mentale hallucinatoire de Del
as d'être un bon praticien, il faut égale- ment posséder à fond les sciences accessoires qui expliquent et justifient les do
bès); par Charles A. Olivier. (The Amel'ican Journal of the Médical Sciences , juillet 1900.) L'auteur, pendant une période d
ériodique ; par Léo M. Crafts. (The American Journal of the médical Sciences , juin 1900.) L'auteur rapporte un cas de para
rd ; par Richard-F. WooDS. (The Ane·ic : cta Journal of the médical Sciences , juillet 1900.) Ce cas de paralysie de Brown-
essayé de mettre la question au courant des données actuelles de la science et y a apporté un cer- tain nombre d'observatio
ubstitué à une partie de la ration alimentaire ? (C. Zt. tlcad. des Sciences , etc., 1901, p. 65.) -Influence de lasutislilut
es le 26 juillet 1900; par Fr ? TCHEa Beach. (The Journal of Mental Science , octobre 1900.) . , Dans ce discours, l'orateur
par Lewis BRUCE et H. de Maine ALEX.1,NDE[t. (The Journal of Mental Science , octobre 1900.) Au cours d'une série de recherc
. L'homicide alcoolique; par W.-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science . Octobre 1900.) L'auteur conclut des recherches
XV. Le juif aliéné ; par Cécil-F. IiEADLES. (The Journal of Mental Science . Octobre 1900.) Il ne résulte pas des détails d
et sa guérison; par William Gyrin Westcott. (The Journal of Mental Science . Octobre 1900.) L'auteur se propose de recherch
les glycosuries nerveuses; par David BL.vrR. (The Journal of Mental Science . Octobre 1900.) Contrairement à ce qu'il serait
énés; par David ORR et Thomas Philip Corsez. (The Journal of Mental Science , Octobre 1900.) Cet intéressant travail est acc
syphilis héré- ditaire ; par W.-J. KOENIr.. (The Journal of mental Science , juillet 1900.) L'auteur rappelle sommairemen
ie avec stupeur; par Thomas-Philip Cowcv. (The Jour- 1(al of Mental Science , juillet 1900.) Voici le résumé de cette observ
colie, de manie, etc.; par John i'URVER. (The Journal ouf mental Science , juillet 1000.) C'est une question très embarra
sociée à la folie ; par Ernest-W. \VIIITC. (The Jour- nal of Mental Science , janvier 1900). Le but de ce travail est d'exam
ares chez les aliénés ; par Thes.-B. HYSLOP. (The Journal of Mental Science , jan- vier 1900.) Tous les médecins d'asile c
s avec la folie ; par Geoffrey Hun- gerfohd. (The Journal of Mental Science , janvier 1900.) On peut poser en principe que l
n comparée des aliénés ; par A.-Wood REUTON. (The Journal of Mental Science , janvier 1900.) Selon notre coutume, nous nous
de médecin adjoint des asiles d'aliénés, aux prix de l'Académie des sciences , de l'Académie de médecine, de la Société médic
ales. Paris, 1894. - ° Cotard. Art. Folie. Dict. encyclopédique des sciences médicales de Dechambre. 1 A. Marie. Etude sur
la journée'. La collection de l'Histoire de l'Académie royale des Sciences contient un certain nombre de faits du même genre
subite, c'est que le poids que 1 Histoire de l'Académie royale des Sciences , 1700. LE MUTISME HYSTÉRIQUE DANS L'HISTOIRE. 5
lui rendre la parole ? Dans une lettre adressée à l'Académie des sciences *, M. le comte de Bièvre garantit avoir observé
t laissées l ? s jl.U7. ¥ \ 1 1 Histoire de l'Académie royale des Sciences , 1719. ,' - . ' Médian, septenl. lib. de Pect.
e. (Progrès médical, 1886.) ' . 4 Histoire de l'Académie royale des Sciences , 1738. ' , . ° lllacario. Des paralysies dynami
psycho-physique; par F.-W. Edridge-Green. (The Journal of lIlentat Science . Octobre 1900.) Dans la perception d'une sensat
e Londres, à Claybury ; par J. 5nw Boston. (The Journal of Mental Science , Octobre 1900.) LIX. Démonstration par projecti
a paralysie générale ; par George A. WATSON. (The Journal of Mental Science , octobre 1900.) LX. Quelques altérations path
,« réaction à distance » ; par John 'foRNER. (The Journal of Mental Science , octobre 1900.) Travail accom- pagné de planche
lules de la névroglie ; par Ford, Rodertson. (The Journal of Mental Science , octobre 1900.) L'auteur a imaginé une méthode
volution de Broca ; par A.-F. SnOYER. (The Jozcrnccl o/'J)j6H<u/ Science , octobre 1900.) Ces angiomes ne sont pas commun
leptoméningite ; par J.-O. W AKELIN BARRATT. (The Journal of Mental Science , octobre 1900.) Dans ces deux cas on a pu étudi
pneu- monie. Mort; par Francis-O. SimpsoN. (The Journal of Mental Science , juillet 1900.) Malade atteint de démence épile
me du corps calleux; par C. Mahel BLACKWOOD. (The Journal of Mental Science , juillet 1900.) Les tumeurs de la substance cér
itions différentes ; par le Rev. H. HAWKINS. (The Journal of Mental Science , juillet 1900.) L'auteur s'attache à démontrer
ues des asiles irlandais; par W. R. D.%WSON. (The Journal of Mental Science , juillet 1900. Etude intéressante, mais spécial
ue de la folie; par IIARRINGTON SAINSBURY- (1'lae Journal of Mental Science , juillet 1900.) On ne peut qu'indiquer ici ce t
31 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i croient qu'il est en mé- n decine des questions sur lesquelles la science « est faite, et que le tabès est de celles-là.
professeur de psychiatrie, ajoute Griesinger, doit être un homme de science , qui ait consacré sa vie à la recherche de la vér
aliénation mentale ; par Hubert- C. Bond. ( ? 71e Journal of Mental Science , avril 1897.) Ce travail est la continuation et
les maladies mentales ; par J. G. SouTAR. (1'he Journal, of Mental Science , juillet 1897.) Pendant la période de cinq ans
ie : gliome probable ; par W. J. VINCENT. {y/te Journal of 31ei2tal Science , juillet 1897.) Femme de trente ans, mariée ; m
maladies mentales, par H.-J. iIAN : 11NG. (7'/te Journal of Mental science , avril 1897.) Ce travail se compose de trois ob
de et son traitement; parW. Henry KE5TEVEN. (Tlte Journal of Mental Science , juillet 1897.) ' L'auteur définit l'habitude
des fractures en général, par J.-F. l3mscoE. (The journal of Mental Science , janvier 1898.) L'observation ne présente rie
t le delirium tre- mens ; par J.-R. Ambler. (The Journal of 31ental Science , janvier 1898.) Homme de cinquante ans, admis
folie; revue cri- tique ; par W.-R. DAWSON. (The Journal of Mental Science , avril 1898.) Intéressante revue, dont l'aute
eux chez les aliénés ; par J.-F. BRLSCOE. , (Tite Journal of Mental Science , avril 1898.) L'auteur résume l'état de la ques
maladies mentales ; par W. Lloyd ANDRirZEN. (Itte Journal of Mental Science , avril 1899.) Ce travail à la fois philosophiqu
celles de la psycho- genèse et de la pathologie pour constituer la science pratique qu'il convient d'opposer à la science
e pour constituer la science pratique qu'il convient d'opposer à la science spéculative et métaphysique; 3° Il faut repouss
ion de la folie, par EDWIN STEPHEN PAShtORE. (The Journal of Mental Science , janvier 1899.) L'auteur a été frappé dans ses
utomatisme cérébral, par W. E. Sullivan. (1'he JOi()'aal of dlental Science , avril 1899.) L'état d'automatisme cérébral est
d'un état de conscience particulier, tellement différent de la con- science normale qu'elle ne s'y rattache par aucun lien, o
dans la cientôle privée; par H. C. Bristowe. (The Journal of Mental Science , janvier 1899.) Les cas d'aliénation mentale so
omté de Durham, par T. Aldous Clinch. (The Journal o/'Jf6n<a< Science , janvier 1898.) Ces notes comprennent cinq cas
croient qu'il est eu mé- Il decine des questions sur lesquelles la science « cl faite, et que le tabes est de celles-là. »
étendues avec la coloration de Nissl. » Eu résumé, la raison et la science forçaient de localiser la lésion primitive du t
la surface cérébrale ; par W. Junus Mickle. (The Journal of Mental Science , janvier 1898.) On ne peut ici que conseiller d
; sa publication a duré près de deux ans dans le Journal of Mental Science : c'est une oeuvre considérable qui mérite mieu
gidité cadavé- rique ; par J.-V. IiLacnron. (The Journal o/'Jleztul Science , jan- vier 1900.) . Cette statistique porte s
s et postérieurs, par CIioCIILEY-CL.11'IiAN. (The Journal of Mental Science , avril 1898 ) , Suivant la doctrine actuelle, l
s chez les aliénées, pal' T.-G, Gordon-Munn. (The Journal of Mental Science , janvier 1899 ) - Ce travail, beaucoup plus gyn
et le Dr Nissl. Résumé par W.-W. 1REL\ ? D. (The Journal of Mental Science , jan- vier 1898.) . Nous nous bornons à signa
la cellule nerveuse ; par Joux . Turner. (1'leeJouraul 1 of Mental Science , juillet 1898.) La méthode employée consiste à
onnement de la cellule : il expose sur ce point l'état actuel de la science : d'après les recherches les plus récentes, et to
ts chapitres sont présentés au lecteur. Ils sont condensés avec une science que peut seule donner une longue pratique de la
semestres. Les deux premières années sont consacrées à l'étude des sciences physiques, chimiques et naturelles, à l'anatomi
torisation de faire des cours (vezzia docencli) sur. une partie des sciences médicales qu'ils ont plus spécialement étudiée.
quatre, 'cinq, six et sept ans même. ' « Ce n'est pas humilier la science française, dit M. le professeur agrégé Lejars,
, méde- cine légale, etc.) et se tenir au courant des progrès de la science . Souvent il existe deux séries parallèles de Fe
la psychiatrie a été élevée, du moins en Alle- magne, au rang d'une science clinique. Dès lors l'enseignement de cette scie
e, au rang d'une science clinique. Dès lors l'enseignement de cette science prend une importance de plus en plus considé- r
ide ; sans elle il est absolument impossible de pénétrer dans cette science , tout-à fait isolée, souvent obscure, à peine i
le professeur qui ne se borne pas à vivre sur le fonds commun de la science , mais qui s'efforce de l'augmenter par son prop
faut un choix de malades qui embrasse le domaine tout entier de la science , et l'organisation de tous les moyens d'études
de tâche, celle d'instruire les élèves et de les introduire dans sa science spéciale. « Les cliniques psychiatriques, ajout
te, aussi obscur et aussi difficile. Cette émulation est utile à la science et aux étudiants. Dans les névroses fonctionnel
ifiquement ces graves questions, dans l'intérêt des études et de la science , qui est aussi l'intérêt des malades. Il en est
cliniques psychiatriques surtout au point de vue des progrès de la science et de l'enseignement universitaire, comme nous
psychiatrie, de l'assistance des aliénés, ceux aussi de toutes les sciences qui ont pour but l'étude de l'esprit humain, ce
eils moyens de travail, il reprendra vite, dans cette branche de la science comme dans les autres, la première place qu'il
sulfate de duboisine ; par J. H. SICGE : v. (Tite Journal of Mental Science , juillet 1897.) Le sulfate de duboisine est un
ues, par .1.-ft. G S(IUET et John A.CoNEs. (The Journal of àIe71tal Science , juillet 1897.) Ce travail est basé sur 43 obse
sent de man- ger ; par 11. Harold GREENWOOD. (The Journal of Mental Science , janvier 1898.) , Il est au moins vraisemblab
avec et sans hypnose ; par John F. WooDs. (1'Ive Journal of Mental Science , avril 1897.) En parcourant les dix-huit pages
nceinte; par J.-W. Geddes et Aidons Clincii. (The Journal of Mental Science , octobre 1898.) Jeune femme de vingt-six ans, e
uer de venir préciser sur certains points douteux les données de la science . Deux thèses fort intéressantes à ce point de v
n ouvrage très utile à tous les travailleurs qui, s'occupant de ces sciences spé- ciales, désirent avoir sous la main, toujo
édagogie vont concurremment y être mises à contribution; l'homme de science et l'homme d'éducation seront heureux de s'y re
ar les auteurs n'admet- tent pas cette forme. - Il existe dans la science de très nombreux cas dans lesquels la porte d'e
mportants du développement de la psychologie. Wcber a dit que toute science passait par trois phases, une phase théotogique,
psychologistes de l'avenir contribueront beaucoup an progrès de la science , lorsqu'ils étudieront systématiquement les relat
eau chez les aliénés; par Francis 0. SmrsoN. (The Journal of Mental Science , octobre 1898.) ' Les recherches de l'auteur
e fraîche de Bevan Lewis; par J.-H. Lord. (Tlcc Journnl o/'J7(;;) Science , octobre.) Nous ne pouvons que relever très som
atéraux du cerveau ; par John Waniman Fmcer. (The Journal of Mental Science , octobre 1898.) L'auteur rappelle d'abord l'his
entale); par W. Ford 110BItRTsoN et Uavln-0 (Tlte Journal of Mental Science , octobre 1898.) Les auteurs décrivent d'abord l
ALE. La Colite; par Alfred Camphell. (The Joii,licil of 3jeili(ll Science , juillet 1898.) Etude intéressante sur la colit
II. Acromégalie avec folie; par David f3Laa. (The Journal of Mental Science , avril 1898.) Le cas d'acromégalie relaté par l
ts corpus- culaires. R. DE Musgiuve-Clay. XXV. La corrélation des sciences dans les études de psychiatrie et de neurologie
et de neurologie; par Ira -Va.11 Giesen. (1'he Journal of Mental Science , octobre 1898.) Pour donner un coup d'oeil d'en
Pour donner un coup d'oeil d'ensemble sur la corrélation utile des sciences dans les recherches de psychiatrie et de neurolog
z mille malades; par J.-V. 1;1 ? CIIFORD. (7'/te Journal 0/' Mental Science , juillet 1898.) Le groupe des malades examinés
l'impulsion au suicide; par \V.-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science , avril 1898.) ° Les conclusions de ce travail s
au-dessus des indigents, par 1) ? VID-BOWER. (The Journal of Mental Science , janvier 1899.) Ce travail est consacré à la
- psychologique ; par T. OUTTERSOri WOOD. (1'Iae Journal of Mental Science , juillet 1897.) . - L'Association médico-psyc
ques dans les asiles; par Edwin Goodall. (Tlte Journal o/'J/en- lal Science , avril 1898.) Les recherches anthropologiques s
X. Le logement des aliénés ; par, H. RAYNER. (The Journal of Mental Science , juillet 1897.) L'auteur désigne par là l'ensem
hining ; excision of the motor centres. American Journal of médical sciences , 1888, vol. XCVI, p. 447). Un homme de trente-c
ve cases of cérébral surgery, etc. Americacz Journal of the médical sciences , septembre 1891, p. 219).- Une négresse, âgée d
émoire des poissons ; par W.-C. Mac Intosii. (The Journal of Mental Science , avril 1898.) L'auteur rapporte un certain nomb
1884 a 1896 inclus; par Frédéric-P. Harder. (T/te Journal of Mental Science , janvier 1898.) Ce travail est bien en effet un
oir actuellement résister à la lumière des faits introduits dans la science par les recherches de Waldeyer, Ramon y Cajal,
n cas de porencéphalie ; par Samuel EDGEXLEY. (Tite Jour, o/ Mental Science , juillet 1899.) Ce cas est intéressant en raiso
la réticence médicale; par Charles .Mercier. (The Journal of Mental Science , avril 1897.) L'auteur traite ici du secret pro
es aliénés; par V. H. B. STODDART. (The Journal o/'Ne) ! <6[< Science , octobre 1899.) L'auteur déclare qu'il aurait p
ue, avec types cliniques; par G.-A. Welsch. (Tite Journal of Mental Science , avril 1899.) . L'auteur en a observé seize c
mental dans l'aphasie ; par CONOLLY NoRMAN. (The Journal of Mental Science , avril 1899.) Ce travail débute par des considé
e dépassait pas un jour; par M. Mac-Lulich. (The Journal of 31ental Science , juillet 1899.) Ce cas, observé chez une femme
ion homicide délirante; par D. F. RAnBAUT. (Tlte Journal of 31ental Science , juillet 1899.) Il s'agit d'un homme de 48 ans,
asiles d'aliénés ; par P. G. Crookshank. ( Tite Journal o/'JU6n< Science , octobre 1899.) Le premier chapitre de ce long
verture de la discus- sion ; par F.-W. Mott. (The Journal of Mental Science , octobre 1899.) 1 ' Quand on étudie les rappo
. XLV. Folie et mariage; par G. E. Moum. (The Journal of Mental ' Science , octobre 1899). L'auteur examine la question de
nombre des suicides; par William W. Ireland. (The Journal of Mental Science , juillet 1899.) Malgré les efforts de quelque
cas de manie aiguë ; par CoNOLLY NoRmAN. (Tite Journal of Men- tal Science , octobre 1899). L'auteur rapporte avec détail l
Glamorgan de 1867 à 1896; par J. G. SMITII. (Tite Journal of Mental Science , juil- let 1899). 1 Ce travail est intéressan
rations chez des aliénés; par Il. SPRO.4T. (The Jozcrnal of blental Science . Juillet 1899). Le premier cas consista d'abord
s chez les aliénés; par F. St-Joun · Bullen. (The Journal of Mental Science juillet 1899.) , L'organe olfactif de l'homme n
sile du comté de Derby ; par R. F. LI : cGE. (The Journal of Mental Science , juillet 1899.) Cette épidémie a frappé 54 mala
e la valeur de 200 francs. Les thèses des Facultés des Lettres, des Sciences et de Droit sont admises à 'concourir au même t
-8- de 11 pages. Bruxelles, 1900. Bulletin de la Société royale des sciences médicales et naturelles. CRocQ (J.). Sur la soi
iatrie) et à celui de l'Association française pour l'avancement des sciences , une série de plusieurs cas curieux de fracture
ment des buveurs, par George R. Wilson. (7'Ae7oM)' ? ? a< Mental Science , octobre 1898.) On ne trouve guère à relever
as d'hématoporphynurie; par Keitii-Campbell. (Tne Journal of mental Science , avril 18987) L'hématoporphynurie et ses rappor
médication thyroïdienne ; par J. Middlemass. (The Journal of Mental Science , janvier 1899.) Nous reproduisons ici textuelle
ureuse de la conduite; par Charles Mercier. (I'he Journal of Mental Science , octobre 1899.) L'auteur rappelle que dans un
on emploi; par John S111'Cllrl.n : . (7'lte Joli ? '- nal of Mental Science , octobre 1899.) Il s'agit d'un malade atteint d
st pas généralement connue; par A. Il. NEWT. (The Journal nf Mental Science , octobre 1899.) Après avoir passé en revue les
à l'égard du chloral; par Arthur \V. Wilcox. (The Joumtul of Mental Science , avril 1900.) Il s'agit d'une malade de quarant
traités de cette manière; par David 13r..ma. (The Journal of Mental Science . avril 1900.) L'auteur résume ainsi les résul
LUI. Fausse grossesse; par G. 1lliNDL,Y. (Tlie journal of mental Science , janvier 1900.) 11 s'agit d'un de ces cas qui o
as de folie communiquée; par E. W. CiiiFri ? (The journal of mental science , janvier 1900.) , Cette intéressante observatio
32 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ollège, ni une stupeur analogue lors de leur première entrée dans une science ou un art quelconque (car le trouble produit par
scientifique. Il importe peu, il est vrai, û la vulgarisation d'une science aussi ardue, qu'un romancier en soit adversaire o
ernational. Fidèle à son programme de dévouement aux intérêts de la science , médicale, la Revue de l'Hypnotisme se fera un de
ôté la politique qui divise et unissons-nous dans le cri de : Vive la science ! » E. B. CAS REMARUUABLE DE SOMNAMBULISME
éressantes que celles qui touchent à U fois à ces deux branches de la science , leur servant de trait d'union et les éclairant,
rt une entité différente qui sert à propager son action. Du reste une science positive ; la mécanique rationnelle, parvient à e
ensemble : ici la sécurité publique revendique ses droits. Lorsque la science reconnaît et proclame l'irresponsabilité de l'age
é qu'il s'agissait d'un cours d'art dentaire! La Diontologie est la science du devoir. Quel devoir ? — Le devoir du médecin e
nveillants — qui ne sonl jamais les plus nombreux — c'est un puits de science ; pour les autres son mutisme masque mal sa nulli
lièrmcnt annoncée au public et on n'y voyait guère que des curieux de science . Nous espérons du reste que le cours tout entie
tans sontTrir.ee iu moyen de l'hypnoturce. Cong. Pour I'ovate. Jet sciences . Parit. 1&s9. FAHZI (E.), (aide de clinique d
irard J. R. Laborde. — La Méthode expérimentale considérée dans les sciences biologiques. in-8. 03 pages. 1890. Paris, Société
ciation, à Birmingham ; l'Association française pour l'avancement des sciences , à Limoges ; le Congrès des 3liénistes français,
er, M. le docteur Hack Tuke, le savant directeur du Journal of Mental Science , et Lloyd Tuckey, de Londres. Au Congrès de Ber
ase pendant laquelle la résistance des enfants est à son mini-mum. La science nous apprendra à diminuer la morbidité constatée.
arrêter, car il en est de même du chloroforme et de l'électricité. La science médicale est basée sur l'étude des faits, non sur
Magnan. (A suivre). ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES Session de Limoges section des sciences medic
ISE POUR L'AVANCEMENT DES SCIENCES Session de Limoges section des sciences medicales Paraplégie totale datant de deux ans
is dans les termes les plus courtois un toast aux représentants de la science française présents au banquet. M. le professeur R
allemand à la Société de psychologie expérimentale de Berlin et a la science internationale. M. le Dr Schrenk-Notzing. parla
l'hypnotisme, a fait ressortir les services qu'avaient rendus à cette science les divers savants auxquels on en attribue la pat
dicale. Au congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , en 1887, les résultats de notre pratique personn
890 et Compte-rrndus de l'Association Française pour l'avancement des sciences , Paris 1889.- « En effet, lorsqu'on considère
Dés 1886, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , a Nancy, nous appelions l'attention sur la valeu
88. Comptes rendues de l'Association françise pour l'avancement des sciences , Congrès de Toulouse; 1887.p. 1011. (3)Les applic
s, 1883. p.961 4 Article suicide du Dictionnaire encyclopédique des sciences médicaux, t. XCII.p .313. Oservation I. — Mar
brochures, de livres sur l'hypnotisme. Lentement, mais à pas sûr, la science hypnologique pénètre; elle ne tar-tardera pas à o
tude la raison de ces phénomènes et distinguer ce qui appartient à la science ce qui est charlatanisme, afin de condamner seule
III, parlant à un prélat, manifestait le désir que l'enseignement des sciences reçut dans les séminaires un plus grand développe
éables Votre respectueux Lux. DIXIÈME CONGRÈS INTERNATIONAL DES SCIENCES MÉDICALES Tenu à Berlin du 4 au 8 Août 1800. (sui
on 1890, le bureau de l' Association française; pour l'avancement de. sciences a remis solennellement à M. le docteur Gariel. pr
nsi le doute n'est pas seulement chez les malades, il a passé dans la science , et l'affection dont nous parlons présente ce car
seule être incriminée. Il existe de nombreux cas semblables dans la science , ils sodi toujours instructifs à rappeler. 1 NO
isme. Pour qu'un traitement soit médical, il faut un art médical, une science médicale. Mais ce que le premier pâtre, te premie
pages qui précèdent que la suggestion thérapeutique est un art et une science qui exigent une expérience longue, et des notions
u docteur liateman a déjû reçu un accueil favorable de l'Académie dçs sciences et de l'Académie de médecine de Paris. En le prés
savants. «Aujourd'hui que sous les noms de suggestion, d*hypnotisme science accueille les faits, les contrôle, en recherche l
sirable que nul ne se livrât a es-; procèdes que dans l'intérêt de la science ou de la santé du sujet. Mais où commencera le îd
rendront peut-être mieux la promenade des hémiplégies. (Journal des Sciences médicales de Lille.) Le martyrologe des médecin
r les esprits, au grand détriment de l'évolution rationnelle de cette science . Le mot de suggestion hypnotique était â peine pr
e à tous les cas d'amnésie périodique sans exception. Il y a, dans la science , une observation célèbre connue sous le nom « d'H
qui veulent rattacher les pratiques hypnotiques au domaine des autres sciences positives. Le mémoire suivant a été lu, en 1865
itives. Le mémoire suivant a été lu, en 1865, devant l'Académie des sciences de Vienne, par Reichenbach; il n'avait jamais enc
ource, certains individus qui exercent, à Paris, la piraterie dans la science comme dans la médecine, donnant effrontément comm
nfluences odiques; puis j'opérai sur de* savants, sur des amateurs de sciences naturelles. J'ai pu, avec raison, je crois, m'en
accueil a celte étude. Ce sont les premiers débuts dune branche d'une science naturelle qui. vraisemblablement, un jour sera fo
rut. M. le professeur Liégeois avait déjà communiqué à l'Académie des sciences morales et politiques un important mémoire qui fu
seront étonnés d'apprendre comment on traite en France les hommes de science qui recherchent la vérité, quand cette vérité n'a
oir un homme de la valeur de M. Liégeois, hautement considéré pour sa science et son éloquence, plus digne de renom encore pour
un ans, ai appliqué au cas de Louise Lateau les vrais principes de la science , je ne relève d'aucuue école; mais, quaud j'ai ex
aurepaire ne vient-il -pas de déclarer qu'il est compétent dans cette science « pour avoir reçu des leçons de M. Charcot ». J
un ans. appliqué au cas de Louise Lateau les vrais principes de celte science , je suis inféodé ni à l'une ni a l'autre école, n
ussi, j'engage vivement tous ceux qui veulent faire usage de la jeune science , les médecins principalement, à lire et a étudier
lle désormais célèbre, plutôt par les démonstrations apportées par la science que par les conditions de perpétration du crime l
ats de livres près la Bibliothèque de Nice. Congres néerlandais des sciences médicales. — Ce Congrès aura lieu le 3 et le 3 av
les unes aux autres. Or. l'hypnotisme, comme toute autre branche des sciences expérimentales, a sa technique et ses méthodes, e
appréciation pour un homme inféodé, loi aussi, nous l'espérons, à la science expérimentale. D'ailleurs, après la discussion, n
r l'hypnotisée, le viol, était seul démontré dans l'état actuel de la science hypnotique. M. Liégeois affirma bien que certai
reconnaît d'abord M. Liébeault (186b;, pats... M. Liégeois, (Ac. des Sciences , 1884) Impossible d'obtenir de M. Liégeois, dans
ar des travaux qui défient toute critique. » Sages conseils, car la science n'a rien à gagner à de pareils débals! Gilles d
quelque sorte, jeté un vaste cuup-d'ceil sur toutes les données de la science nouvelle, et il a condensé, dans une synthèse mag
nouveaux. Le livre de M. Tarde marque une étape dans la marche de la science pénale. On pourrait l'appeler la synthèse philoso
889. Quand, dans quelques siècles, on voudra savoir où en était cette science à notre époque, c'est certainement le livre de M.
a responsabilité morale et le déterminisme, entre la conscience et la science , que la nolion du libre arbitre avait paru sépare
e qu'un ministre, et, une fois le directeur général parti, l'homme de science qui en restera tiendra bien peu de place. Nous
le Dr Henry Contagne, M. le Dr R. Dubois, professeur à la Faculté des Sciences , va continuer la série en ouvrant ft la Faculté d
ent devoir laisser aux spécialistes le monopole de ces recherches. La science est si vaste; leur attention est absorbée par d'a
ans celle-ci. Nul, il est vrai, ne peut embrasser tout le domaine des sciences médicales. Mais lorsqu'il s'agit, non pas d'une s
les sur l'hypnotisme et à l'étude des applications cliniques de cette science . — Des consultations gratuite; on: lieu à l'Insti
bien en France qu'a l'Etranger. qués. phénomènes inexpliqués par la science , phénomènes merveilleux. — Conséquences de l'hypn
cle détruit-U l'ordre des mondes et compromet-il les certitudes de la science ? — Miracle de Josué: Folles prétentions de Féeoie
que: « Les cas d'amnésie rétrograde étant encore très rares dans la science , je crois devoir publier le suivant. Je le dois à
légale au Missouri. —Il est probable que, même dans celle branche des sciences médicales, nous serons obligés d'aller chercher u
érapeutique. Pendant près d'un quart de siècle, Lièbeault répandit sa science en prodiguant gratuitement ses soins aux pauvres,
ants par caractère, et qui n'ont d'autre mobile que les progrès de la science médicale et l'intérêt des malades. A. cèle de M
oms resteront étroitement unis dans la fondation et les progrès de la science de la Suggestion. Permettez-moi aussi de vous d
exprimé dans les termes suivants : Messieurs, collègues, hommes de science Tenus de tous les pays pour participer à cette fê
. La date du 25 mai 1891, messieurs, marquera dans l'histoire de la science . Pendant plus de vingt ans, Lie-beault a gardé
principe, un principe considérable qui exercera son influence £ur la science médicale entière. En formulant ce principe, il
ié do notre siècle, ce principe a été presque entièrement méconnu. La science officielle de ces derniers temps ne sait (aire qu
ilà pourquoi ce jour marquera dans l'histoire de la médecine et de la science . Je ne veax pas exagérer le mérite de notre che
mme auquel nous devons personnellement une belle carrière et à qui la science e*t redevable d'une grande idée, et enfin que de
u : qu'il vive longtemps encore, une gloire de son pays, un élu de la science , un bienfaiteur de l'humanité ! De vifs applaud
un nouveau congrès réunisse tons les médecins qui s'intéressent à la science si féconde de l'hypnotisme. Pais M. Roth, prena
??????? la suite des adhésions qui, de toates parts, venaient à celte science presque nouvelle. Mais aujourd'hui, messieurs, à
. El en voyant ici, surtout, M. Dumontpallier, un de* maîtres de la science médicale française, s'associer aux témoignages de
onnaissant que de? hommes, ayant rang parmi les plus distingués de la science , soient venus de tous côtés m'apporter leu's féli
les sur l'hypnotisme et à l'étude des applications cliniques de cette science . — Des consultations gratuites ont lieu à l'Insti
33 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
lire les Evangiles des sens, en les rattachant l'un à l'autre. Toute science étant en dernière instance connaissance des sens.
tion française de l'entente cordiale médicale, a été nommé docteur ès sciences de l'Université ¦ d'Oxford- La Société délègue
ement. Indépendamment de nombreux travaux sur divers branches de la science médicale, on lui doit une biographie de Pasteur,
ue corrompue qu'elle soit, ne doit effrayer celui qui s'est voué à la science de l'homme, et le ministère sacré du médecin, en
arts chez les homosexuels des milieux un peu élevés. Dans l'art et la science ils ont fourni à l'humanité des grands hommes com
pédagogie au congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences Clermont-Ferrand 3 août 1908 Le congrès de l'
ût 1908 Le congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences se tiendra à Clermont-Ferrand du 3 août au 10 aoû
ts du paysan. M. Julien Ray, maître de conférences à la faculté des sciences de Lyon : L'éducation intellectuelle et morale do
de la Pellagre et l'histoire de ses méfaits comme des triomphes de la science peuvent puissamment aider dans la croisade modern
In-8% 50) pages. — Alcan, Paris 19JS. 8 fr Carl du Prel : La magie, science naturelle : La physique magique. — ??-8•, 355 p
t accessoire, mais de trouver la séduction, l'intérêt que renferme la science » (1). Pour intéresser l'enfant, il faut mettre
it avec raison M. Jollivet-Castellot dans les Nouvtauœ horizons de la Science , que cette émotion mystique est bien faite pour p
n mémoire qui Tut discuté pendant plusieurs séances de l'Académie des sciences morales et politiques avait pour litre : Ui sugge
ir et perdre connaissance. Au bout de dix minutes il était mort. La science a enregistré un assez grand nombre de morts occas
pédagogie au congrès de l'association française pour l'avancement des sciences (Clermont-FEbrand, août 1908) Le Congrès de l'A
t 1908) Le Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences qui vient de se tenir à Clermont-Ferrand sous la
ous la présidence de M. le professeur Appell. doyen de la faculté des sciences de Paris, ne l'a cédé en éclat à aucun de ses dev
e rare élévation a traité l'importante question de l'enseignement des sciences et de la formation de l'esprit scientifique. Nous
nner que quelques-unes des grandes idées qu'il a exprimées : « La science n'existe en réalité que dans la pensée des cherch
ssées par le noble désir do connaître et de découvrir. L'avenir de la science française dépend donc essentiellement de la façon
hacune de nos grandes institutions nationales dans l'enseignement des sciences . Il a démontré qu'on réaliserait un grand progrès
candidats aux écoles techniques, d'avoir pris, dans les Facultés des Sciences , certains certificats et diplômes déterminés sur
908. BULLETIN Eloge de M. le professeur Liégeois à l'Académie des sciences morales et politiques. — Le congrès de l'assistan
Dans la séance du 22 août, M. de Foville, président de l'Académie des sciences morales et politiques a prononcé les paroles suiv
nsmettre une triste nouvelle. Un des correspondants de l'Académie des sciences morales et politiques. M. Jules Liégeois, est mor
bonne (1) Congres de l'association française nom: l'avancement des sciences . (Clermont-Ferrand, août 1908). heure, dans l
vœux, ni solutions; Il s'agiseait seulement de savoir oh en était la science de l'éducation. Après le discours du président,
x ans, a-t-il ajouté, tout le monde s'occupera de l'Hypnotisme, cette science encore aujourd'hui réputée mystérieuse, mais qui
es expériences de MM. J. et A Piccard, relatées dans les Archives des sciences physiques et naturelles de Genève, du 15 mai 1908
loge du professeur Liégeois par M. le D* Boxjocb, de Lausanne. La science de l'hypnotisme a depuis quelques mois subi de du
fut pas le moindre puisqu'il eut pour but de faire introduire dans la science juridique l'idée de l'irresponsabilité du crimine
n livre sur l'hypnotisme, devant les tribunaux, devant G Académie des sciences morales, il a exposé avec la clarté et la logique
t éloigné des soucis du mariage pour pouvoir se livrer a. un art, une science , une vocation, un idéal quelconque qui comporte l
ent créait des chaires a la Faculté pour les hommes qui honoraient la science et la médecine française. Il en fut ainsi pour Ra
l'antagonisme irréductible entre les religions et la raison, outre la science et le mysticisme, Il félicitait les élèves de l'é
ologistes soutiendront qu'une telle affirmation serait prématurée. La science ne se contente pas d'aj erçus aussi sommaires. Il
t le plus honoré l'Université de Nancy, m'écrivait un ¦ professenr de sciences , qui n'est autre qne M. Blondlot lni-mérae. C'est
rthe (en ce temps-lit), enfin nn ministère de l'Intérionr. Quant à la science juridique, rappelons que, Jeune chef de cabinet d
nné à bien peu, l'homme d'une idée, et d'nne idée qui restera dans la science des psyeholoques, et dans la conscience de quicon
les questions de psychologie. Composé avec la méthode d'un ouvrage de science , il est pourtant d'une lecture facile ; car (1)
ont-Ferrand. 46 P. Congrès de 1908 à Clermont-Ferrand. Paul Simon : Science et morale. Lettre à M. F. Brunetière. In-8°. Pari
tél. Mais nous vivons a une époque où la modestie, le dévouement a la science et les services désintéressés ne sont pas tonjour
, etc., c'est-à-dire de ceux qui ont élevé l'hypnotisme au rang d'une science positive et qui nous ont permis de dégager de leu
éouverture des cours de l'Ecole de psychologie, nous rappelait que la science et l'amour de la Patrie constituaient à ses yeux
ité. (2) Bouveret : La neurasthénie, p. 110. (S) Dictionnaire des sciences médicales. l'on s'en rapporte au récit de que
vie matérielle. Cette antithèse a mené, en Europe, la bataille de la science et la religion ; il n'y a en que quelques tentati
alade, il devra inspirer la confiance du patient dans la valeur et la science de ce médecin. Dire à un malade qu'il peut essaye
onal. On admire le militaire, car il devient un savant, un homme de science . Notre grand Etat-Major de Lien-Ping-Tch'ou a fai
orps d'armée de vingt mille hommes fut exécuté avec une rapidité, une science et une précision dont les officiers étrangers fur
es supérieures : l'entraînement à l'action et au travail, l'amour des sciences , des lettres et des beaux-arts : la culture de la
istes sont impuissantes, que nous faisons appel au dévouement et k la science des médecins, pour tenter de guérir ces malades p
es : 1° Comme le remarquait le bon Rollin : En tout art et en toute science , les éléments et les principes ont toujours quelq
s dans le monde. Au xvrr9 siècle, ou avait négligé la nature et les sciences de la nature. Seules les mathématiques étaient en
ertitude des résultats * et on ne les considérait pas alors comme des sciences expérimentales. Jansénius condamnait * la recherc
divertir. » Ainsi le dix-septième siècle n'admettait pas encore la science concrète. An dix-huitième siècle, avant Roussea
nos journaux médicaux sont k ce point considérés, ils le doivent à la science élevée et désintéressée des médecins qui comme vo
vant ouvrier qui a contribué par ses travaux au grand mouvement de la science . Et, si la lumière vint dc l'Est, l'Est, aujourd'
int dc l'Est, l'Est, aujourd'hui s'incline respectueusement devant la Science de l'Ouest que vous personnifiez! J'ai égalemen
sny, son illustre fondateur et président et de sa pléiade d'hommes de science qui me délèguent ce soir à ce banquet en l'honneu
rilleux da notre profession. Dans l'exercice et l'application d'une science particulièrement délicate où l'on doit redouter l
divertir l'enfant avec des procédés accessoires, sans rapport avec la science . Les procédés puérils et ridicules de l'éducati
éniosité. ? faut s'efforcer de montrer la séduction que renferme la science même au lieu de voir l'attrait dans son divertiss
de l'éducation attrayante est l'observation et l'emploi du concret. Sciences naturelles. Les sciences naturelles, qui reposent
est l'observation et l'emploi du concret. Sciences naturelles. Les sciences naturelles, qui reposent essentiellement sur l'ob
ui en honneur. M. Caustier, à rencontre de Mme de Staël voit dans les sciences naturelles l'introduction a l'éducation, mais san
on lui-même décrivait certains animaux sans les avoir vus. Avec les sciences naturelles, la physique et la chimie sont un ense
ns en papier ! Les mathématiques ne sont plus considérées comme des sciences abstrai- (1) Eugene Caustier : Conférence sur l
es abstrai- (1) Eugene Caustier : Conférence sur l'Enseignement des sciences naturelles. tes : « C'est ou monde extérieur,
une clarté rare est un exposé des plus intéressants des droits de la science et de ses limites en face du merveilleux. Pour M.
pour le Patronage des aliénés convalescents. On a célébré l'homme de science , le psychologue, l'éducateur, le médecin légiste
k ces derniers que M. le Dr Jules Voisin a consacré les trésors de sa science et de son dévouement. A son service de la Salpétr
i permettait de témoigner ainsi en quelle haute estime il tient et la science médicale de M. te docteur Voisin et son dévouemen
s malades, pour l'instruction de nos. élèves, pour l'avancement de la science , que nous aimons du même amour. Ce que je souhait
ar Lasègue à la constatation d'un fait qui domine en réalité toute la science de l'hypnotisme. « Lorsque le patient est domin
berg et proclama qu'il ne possédai) ni la puissance du miracle ni une science occulte, mais qu'il avail pleine et entière confi
trine est vraiment scientifique et constitue une branche legale de la science médicale et psychologique. Eussions-nous fondé
e Hoche. Vnibert et Xotix. La morale ne se conçoit plue comme une science abstraite et réduite en formules sèches. Le procé
enveillants. Pour conclure, reprenant le mot de Ruskin: « Tout art, science et littérature sont vains, qui n'ajoutent pas a n
nique des expériences de psychologie expérimentale qui constituent la science de l'hypnotisme que l'on aura le plus de chances
u malveillants. « Du moment qu'on s'écarte du courant ordinaire de la science , en s'occupent de choses qu'elle rejette, ainsi q
a psychologie, mais encore d'avoir constaté les applications de cette science à l'art de guérir, lesquelles se résument dans la
ancy, la consécration d'une existence de labeur et de dévouement à la science . (1) C'est de la doctrine de Liébeault qu'est p
é ci-dessus écrit par un médecin rompu ? la pratique, et initié ft la science de la médecine psychologique par le docteur Oscar
rès de l'), p. 97, 129. Association française pour l'Avancement des Sciences , p. 29. Aveugles (La vie psychique des), p. 127
Pédagogie au congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , p. 90. Pellagre (La), par A. Marie, p. 31. P
34 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
on que l'on adopte sur la liberté morale, même en acceptant ce que la science a démontré, que nos actions sont la résultante de
ion du congrès tenu par l'Association française pour l'avancement des sciences , de traiter la suggestion envisagée au point de v
cantonner dans l'utilitarisme qui produit des bourgeois employant la science des nombres pour thésauriser ou des illettrés ins
op facilement à tous les expérimentateurs la parfaite bonne foi et la science avertie qu'ils ont eux-mêmes. Le docteur Grasse
: l'occultisme peut ainsi être considéré comme la terre promise de la science . Et, en fait, bien des phénomènes considérés hi
ère qu'un perpétuel recommencement. C'est pour cela que les hommes de science doivent se réunir et constituer un bien commun de
pédagogie au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences Reims, !•' août 1907. Le congrès de l'Associa
t 1907. Le congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences se tiendra à Reims, du 1er août au 7 août 1907.
eur effort organique. Or, si tout est vibration comme l'enseigne la science actuelle, ne peut-on pas admettre que les organes
é de son jugement et la sérénité de sa raison. Or, la mission de la science est non seulement de chercher la vérité mais surt
rien n'est à jamais perdu, qu'il existe un salut scientifique ». La science de la volonté sera le point de départ d'une réfor
s pourrons nous diriger corps et âme, avec une raison supérieure, une science sûre et une conscience avertie ! Ce jour-là nous
ns et compte parmi ses membres presque toutes les illustrations de la science internationale. NECROLOGIE Le docteur Aubea
pédagogie au Congrès de l'Association Française pour l'avancement des sciences , sous la présidence du Dr Bérillon. — Le banquet
ople ; Mme Higgins, de New-York ; M. Ray, professeur à la Faculté des Sciences de Lyon ; Mlle Géhin, directrice de l'Ecole norma
hourras en son honneur. M. Julien Ray, professeur à la Faculté des Sciences de Lyon, convie les membres de la section à se re
ître l'ami sûr qui veut et peut le guérir et le démêler de l'homme de science et de strict devoir, sans plus. Si les troubles
à l'hypnotisme. Partout on cite son nom à côté des sommités de cette science , Lié-beault, etc., etc. Et il avait bien mérité l
r le terrain de l'hypnotisme qu'il a contribué au développement de la science médicale et ce sont ces travaux spéciaux qui port
uérir les maladies, destinée à révolutionner « dans l'avenir toute la science médicale. » * Sa mort sera regrettée de tous le
re, ils ne contiennent que quelques principes servant de base à cette science qui a pris plus tard une grande extension. Omer
ds-leur le Coran, l'histoire, la poésie et les Hadis,enseigne-leur la science de parler à propos, défends-leur, les rires incon
it à ce sujet d'importants ouvrages, la pédagogie se constitua en une science . Les livres qui traitent spécialement la pédago
Ibni Khaldoun n'approuve pas l'enseignement simultané de différentes sciences . D'après lui, on ne devrait faire étudier aux é
s. D'après lui, on ne devrait faire étudier aux élèves qu'une seule science à la fois, s'en occuper sérieusement, jusqu'à ce
, parce qu'elle a été maintenue en tutelle par la métaphysique que la science est restée si longtemps stérile ou stationnaire ;
qu'elles ont secoué ce joug et qu'elles se sont « laïcisées » que les sciences particulières ont pu successivement se constituer
ertise médico-légale, vous n'accomplissez pas uniquement une œuvre de science . Vous n'êtes pas le savant qui, partant de la réa
nature même de l'objet dont il s'agit. Et ne disons pas que c'est la science qui se contredit ; ce sont des savants qui, sur c
litiques leurs variations d'opinions, lorsque l'on voit des hommes de science se contredire, c'est-à-dire démolir eux-mêmes leu
r cœur. Ce système est très apprécié par ce peuple et dans toutes les sciences physiques ou morales on a composé des ouvrages dé
Psychologie des dégénérés...... M. le Dr Blvet-Saxglé, professeur. Science de l'éducation....... M. Caustier, agrégé de l'On
a le droit de mettre obstacle à la vulgarisation des conquêtes de la science moderne. Peut-on admettre qu'il y ait, à notre ép
elles de l'électricité, de la chimie, de la mécanique et des diverses sciences positives, soit considéré comme un crime de lèse-
ncurrents affaiblis par un excès d'étude, fussent-ils des prodiges de science . » Plus loin, il dit encore : « Nous soutenon
n de pédagogie qu'il a présidée à l'Association pour l'avancement des sciences (Reims, août 1907) ; il présente le questionnaire
Les samedis à cinq heures et demie, à partir du samedi 11 février. Science de l'éducation. M. Caustibr, agrégé de l'Univer
ous la présidence de M. le professeur Giard, membre de l'Académie des sciences . Dans une conférence accompagnée de projections,
oing, de Lyon, et le professeur Chauveau, président de l'Académie des sciences , avaient pris place au bureau. Après une séance c
r les médecins, les philosophes, les penseurs. Mais le pouvoir que la science a reconnu, étudié et appliqué n'est pas le seul q
ondamné à mort, qu'on livra comme sujet d'expériences à des hommes de science . Ils lui dirent qu'il serait saigné jusqu'à ce qu
ne alimentaire a eu comme résultat de nous faire manger, au nom de la science , — de la science de'laboratoire ! — en dépit du b
eu comme résultat de nous faire manger, au nom de la science, — de la science de'laboratoire ! — en dépit du bon sens et de la
des siècles. ' « Sous l'influence néfaste de l'Ecole allemande, la science de l'alimentation a rompu avec la tradition. Elle
Il est temps de réagir contre d'aussi fâcheuses tendances. Moins de science et plus de bon sens s'imposent. La réaction salut
tait si admirablement à sa personnalité, — est transformé en celui de Science de l'Education. Ce nouveau cours, dont l'objet es
institution prospère et féconde a déjà rendu de grands services à la science psychologique. D'antre part, M. Grollet est le se
t un programme qui est précisément le nôtre. Vous ne trouverez ici ni science livresque, ni pompeux étalage d'une pédante érudi
diale universelle. Abd-uI-Médjid avait le cuke des lettres et des sciences autant que celui de la justice. Il n'avait qu'un
n affirmant dans un discours la nécessité d'adopter les progrès de la science et de l'industrie européennes. Des Conseils génér
marcher dans les sentiers battus quand c'est lui-même qui, armé de la science d'observation, a contribué le plus à détruire les
xte que tout le monde s'en reconnaît incapable. Le médecin apporte sa science spéciale qui est de connaître des maladies ; il l
rôle. Mais, dit M. Farez, l'expert n'accomplit pas qu'une œuvre de science . Il reste en pleine réalité, il résoud une diffic
bulaire ne fait qu'accuser mieux l'imprécision de notre pensée, Notre science d'expert est ici sur un terrain d'une dangereuse
ignore ; elle fait plus, elle suppose le problème résolu alors que la science moderne le pose ; elle s'accommode de l'unité des
t lui seul qui a renversé bien des hypothèses surannées et fécondé la science . M. Farez tire argument, au profîtdes demi-mesu
e n'a rien à y voir. Eh quoi ! c'est à des hommes si peu sûrs de leur science que vous demanderez de construire un édifice de j
ur, celui qu'on accorde en général à tous les hommes qui cultivent la science . C'est un beau rôle que de trainer à la remorque
un sentiment de complaisance à l'égard d'adeptes zélés, des hommes de science acceptent d'assister à des séances de spiritisme.
reurs les plus regrettables. Le mysticisme n'a rien de commun avec la science . C'est un réel service que vient de rendre M. le
a l'aversion non dissimulée pour tout ce qui représente le talent, la science , la noblesse du caractère, le courage, la franchi
nchise. Il ne conçoit ni les arts, ni la poésie, ni la musique, ni la science , n'admettant pas que ses sujets puissent s'adonne
, n'y a pas encore été prononcé. Si la littérature est opprimée, la science est encore plus mal partagée. Elle est simplement
ion faite au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences à Reims, il m'était facile de démontrer que la re
une heure vaut mieux que la dévotion de soixante-dix ans. Cherchez la science du berceau au tombeau, aussi loin qu'elle se trou
demeurée endormie sous l'effet d'un phénomène d'auto-suggestion. La science connaît déjà des cas du même genre. Il y a quelqu
c : La psychologie inconnue, introduction à l'étude expérimentale des sciences psychiques. — ln-8*, 350 p. — Alcan, Paris, 5 f
é en le félicitant des belles découvertes qui ont grandement servi la science . Après lui, le docteur Motet, membre de l'Acadé
ter le docteur Magnan et le louer des progrès qu'il a fait faire à la science qu'il honore si grandement. Tous ont été unanimes
intelligence et la sagesse, ainsi que les encouragements accordés aux sciences et aux arts, sont célébrés par les historiographe
ucation fut soignée et qui excellait dans la culture des lettres, des sciences et des arts, se montra, au contraire, le plus exé
s les événements avec leurs dates. Il était également habile dans les sciences physiques, la logique, l'as- . tronomie et les ma
pédagogie au congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences a ainsi présenté le programme général de la secti
ral de la section : « L'Association française pour l'avancement des sciences tiendra son prochain Congrès, à Clermont-Ferrand,
p. 63. Autopsie d'une dame du monde (L'), p. 127. Avancement des sciences (Association française pour l'), p. 29, 65. Ave
35 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
phénomènes à des puissances supérieures. Au sur et à mesure que la science a progressé et expliqué les causes de ces effets
ejusqu'à l'état où nous la voyons aujourd'hui : c'est une véritable science . Le fou n'a pas de morale, pas plus que l'homme
ES PéRIPHéRIE- QUES ; par F.-S.-John BULLEN. (The Journal of Mental Science , janvier 1892.) Observation d'un grand intérê
émiplégie spasmodique; par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of l\1ental Science , avril 1891.) Observation très complète, suivie
HLEIf, le 15 mai 1890; par R. PERCY S;,flrn. (The Journal of Mental Science , juillet 1890.) Voici l'indication de ces piè
n harmonie avec les besoins des étudiants et avec les progrès de la science ; par sa participation à toutes les luttes polit
Dr Delasiauve, qui disparait à son tour, l'un des vétérans de notre science spé- ciale, l'un des derniers survivants de cet
s laisseront une trace profonde et durable dans l'histoire de notre science spéciale. Le Dr Delasiauve est né en 1804, à Iv
giques qui dominaient alors la médecine mentale. Son ardeur pour la science à laquelle il avait consacré son exis- tence, a
ire exemple d'un labeur continu et productif, dans le domaine de la science spéciale qu'il a cultivée, en même temps que ce
cin de Bicêtre. Apartirdecette époque, il marquait sa place dans la science mentale par des tra- vaux considérables. Il ser
ègues. et amis qu'il associait à son oeuvre pour la fondation d'une science nouvelle et d'une société destinée à en poursui
pont de l'Eure devint le président du gouvernement provisoire. La science le consola de l'Empire. Il était appelé à revoi
avait trouvé là le moyen de satisfaire trois passions qui, avec la science , s'étaient partagé sa vie : l'amour de la jeune
tement DES aliénés; par E. CLIFFORD-ALLBUTT. (The Journal of Mental Science . Octobre 1891.) Il y a deux ans une commission
ossible, et demeure à peu près nul soit pour le malade soit pour la science . L'auteur voudrait que l'on divisât les asiles en
s déjà diplômés; par Francis H. W ALMSLEY. (The Journal of M entai ^ Science . Octobre 1891.) Après avoir rappelé les diverse
ue des échanges d'idées qui ne pourraient être que profitables à la science . R. M.-C. asiles d'aliénés. 83 La COLONIE d
me MARGAEET A. CLEAVES, docteur en médecine (The Jourltal of Mental Science . Avril 1891.) La colonie de Gheel a le privil
QUES asiles étrangers ; par Frederik NEEDHAM (The Journal of Mental Science . Avril 1892.) M. Needham a profité de ses voyag
OW le 24 juillet 1890 ; par M. Yellowlees. (The Journal of Mental Science . Octobre 1890). Discours intéressant où l'auteu
rès LEUR SORTIE DE l'asile ; par II. RAYNER. (The Journal of Mental Science . Octobre 1891.) On a fondé en Angleterre une so
E la « Retraite » de YORK; par Robert BAKER. (The Journal of Mental Science . Juillet 1891). Les administrateurs de l'asile
onies d'épileptiques; par C. Théodore EwnnT. (The Journal of Mental Science , avril 1892.) Tout le monde est d'accord, à l'h
ital royal DE 1\IONTROSE; par James IIOwDEN. (The Journal of Mental Science , octobre 1890.) Description détaillée, mais p
on recueillie parJouN CLARKE ' " FENWiCK).' (The Journal ofr Mental Science ,'avri14890.) t ·t l ? JI''I . : ' \ : U.. J11 .
, déclara que le procédé employé n'ajou- terait aucune 'gloire à la science chirurgicale. Prenant en consi- dération le rés
inuons à tra- vailler et nous atteindrons la terre promise et notre science ,pourra s'enorgueillir de cette devise : \Tccnc2
traités avec une incontestable compétence et mis au courant de la science . En 1867, pour des motifs dont nous n'avons pas
ce les fonctions d'assistant. J.-M. CHARCOT. 183 le favorisa ; la science en profita. On sait, en effet, comment il explo
la moelle épinière 5, etc. Bien qu'il s'agisse là d'une branche des sciences médicales qui n'a pas l'attrait de la clinique,
sprit élevé, l'intelligence ouverte à tout ce qui est beau dans les sciences et dans les arts, lui donnait le charme et les
travaillent eux-mêmes et cherchent à se tenir au cou- rant de la science . C'est durant cette période qu'il publia ses Le
tait avec peine. Il craignait de voir cette nouvelle partie de la science retomber dans le mépris et le dédain dont il l'
ARCOT.. saires s'étaient fait des armes de ses recherches sur ces sciences « occultes » pour combattre sa candidature à l'
u tardive, d'un enseignement vivant, fonctionnant, et honorant la science française depuis seize ans. En effet, antérieu-
larait une fois de plus que « l'intervention largement acceptée des sciences anatomiques et physiologiques était une conditi
nvahir son cabinet. La thérapeutique, comme les autres branches des sciences médicales, lui doit de nombreuses contributions
s, n'a eu au même degré cet honneur qui rejaillit, du reste, sur la science française. La Salpêtrière était devenue en quel
, il s'est toujours tenu d'une manière très exacte au courant de la science , et se plaisait à rendre à chacun la justice qu
rd avait placés sous ses yeux. Il aimait l'art comme il aimait la science . Et il appor- tait dans son étude les mêmes mét
al, et là était le secret de son originalité. Il sut donner dans la science une place importante et légitime au document fi
s Difformes et les malades dans fart, » dans lesquelles l'art et la science ont leur part '. M. Charcot fut certainement en
la plus haute, dont l'existence tout entière montre à quel point la science et l'art, loin de se nuire, sont rattachés l'un
difficile encore à conquérir et plus rare que le plus profond de la science . » {L'Eclair du 23 août). ' En collaboration av
Rapport tout récent- sur la candidature de Lister, à l'Académie des sciences , si net, si précis, si équitable, on comprend q
énie, per- pétueront son nom dans l'avenir \ En J.-M. Charcot, la Science perd une de ses gloires les plus pures, la Fran
ne de Paris en 1872 ; Membre correspondant de la Société royale des Sciences naturelles de Bruxelles, en 1874 ; Membre cor
e de médecine de Bel- giqzie ; Membre honoraire de la Société des sciences naturelles et médicales de Dresde ; Membre ho
loscou,. J.-M. CHARCOT. 207 -1 Membre honoraire de la Société des sciences médicales de Lis- bonne ; ,- Membre honoraire
82. Membre honoraire de la « Royal Irislt Academy » (Académie des Sciences de Dublin) en mars 1883. Membre correspondant d
a frezzopatica espanola (1883) ; Membre de l'Institut (Académie des sciences ), en 1883. De 1884 à ce jour, M. CHARCOT a été
CHARCOT a été nommé : Membre correspondant de l'Académie royale des sciences de Lis- bonne (1884) ; Membre de l'Université
l'Académie de médecine d'Irlande (1885) ; Membre de l'Académie des sciences de Bologne (1885) ; Membre de l'Académie royale
ie des sciences de Bologne (1885) ; Membre de l'Académie royale des sciences de Suède (1887) ; Membre honoraire du King and
e Philadelphie (25 mars 1889) ; . Membre de la Société royale des sciences d'Upsa ! a (1889) ; Membre de l'Institut histor
de New-Yorlc (t889); Membre correspondant de l'Instituto Veneto di science , lettcre ed arti (1889) ; Membre de la Sociét
Membre de l'Université de Dublin (1891) ; Membre de l'Académie des sciences , des lettres et des arts de Padoue (1891) ; M
êle : MM. Joseph Bertrand, secrétaire perpétuel de l'Aca- démie des sciences ; Brouardel, doyen de la Faculté de méde- cine ;
YPNOTISME; par M. Percy SUITE etA.-T. MYERS. (The Journal of mental Science , avril 1890.) Après un court historique consacr
e chez les aliénés; par George M. ROBERTSON. (The Journal of Mental Science , janvier 1893.) Après des expériences, d'ailleu
- RAL, ETC. Guérison; par Alex. ROBERTSON. (The Journal of Mental Science , janvier 1891.) Après l'essai de divers traitem
par l'hydrate d'amylène ; par EDwIN L. DUNN. (The Journal of Mental Science , Octobre 1891.) L'auteur a constaté que sous l'
l'originalité d'être complet et au cou- rant de l'état actuel de la science . P. SOLLIEn. VARIA. UNE JEUNE fille exorcisée
cisme que M. Périer, le curé du pays, voulait pratiquer que dans la science des docteurs. Muni de l'autorisation de l'évêqu
A chorée A'UN AGE avancé; par 1M. llinc, (The lot.i7,iial of Mental Science , janvier 1890.) z ' ' . , l) Il s'agit d'une
ntales du cerveau; par Francis WARNER. (Tlce.Torl1·TZat of men- tal science , janvier 1893.) 4 . C'est la coutume de M. F.
ie en Norvège (1891); par William HABGOOD. ' (The Journal of Mental Science , janvier 1892.) > T En, 1875, date du dernie
ES NÉVRITES périphériques; ' par James Ross. (The Journal of Mental Science , avril 1890.) ' On a depuis quelques années, ré
les) DU type MON- GOLIEN ; par ROBERT JoNES. (The Journal of Mental Science . Avril.) Après avoir examiné un grand nombre de
subite dans la manie; par James R. WHITwELL (TheJourlial of Mental Science , 1891). Après avoir rapporté deux observations
llité et la FOLIE; par William W. IIIELAND. (Tlte Journal of Mental science . Juillet 1891.) La faculté arithmétique est une
PRODUCTION DE la folie; par Geo.-H. Savage. (Tlae journal of Mental Science , octobre 1891.) L'auteur s'est proposé dans ce
anie ET mélancolie; par John MACPHEIisON. (The Journal .. of Mental Science , avril 1891.) ' '1> . Les conclusions de ce
. Oppenheim. Alors que dans le cours des vingt dernières années, la science s'est efforcée de détacher du magma incohérent
del 111anicomio. SAJORES (Ch.-E.) Atnual of the Uaiversal lfedical Sciences a ycarl,y report of llie progress o/' the gêner
cadavres. = Ribot. Mal. de la volonté, p. 78. 2 Ritti. Dict. des sciences médicales. Article : Exhibitionnistes . Archive
CHRISTIAN (traduction par le Dr Me. Dowall). (The Journal of Mental Science . Janvier 1891.) La question de la nature de l'é
VE A l'hypnotisme provoqué; par M. J. NOLAN. (The Journal of Mental Science , jan- vier 1891.) Ce cas est intéressant à pl
E PERVERSION sexuelle ; par le Dr URIUD.1RT. (The Journal of Mental Science , janvier 1891.) Ce cas est assez banal au point
DE la paralysie générale; par G. R.-WILSON. (The journal of Mental science , janvier 1892.) Le mot « diathèse » n'est peut-
être subdivisée ? par 6oRGE-,Nl. ROBERSTON. (The journal of Mental science . Juillet 1890.) Après des considérations histor
LUI sont connexes ; par S.-A.-I. Strahan. (The Journal of Mental Science . Juillet 1890.) M. Strahan constate d'abord que
Note sur LE COCAINISME ; par CONOLLY NORL1N. (The Journal of mental Science , avril 1892.) Les ravages de l'intoxication coc
l'aliénation mentale; par C. Théodore EWART. (The Journal of Mental Science , juillet 1890.) Dans un mémoire de plusieurs pa
t l'urine DES aliénés; par W. Johnson SMYTH. (The Journal of Mental Science , octobre 1890.) On ne peut que résumer ici les
ES PARTIES CHEZ LES aliénés; par A. Mercier. (The Journal of Mental Science , Avril 1891.) . Mémoire très important (dans
cas DE folie avec DILUSIONS; par le Dr KEAY. (The journal of Mental Science . Avril 1891.) Cas dans lequel la guérison a été
E SUR la médecine mentale; par D. HACr TUKE. (The journal of Mental Science , juillet 1891.) Etude biographique sur deux méd
CATION PAR LE SYSTÈME ORAL; par W B. HADDEN. (The Journal of Mental Science janvier 1891.) Etude intéressante, mais impossi
ES RAPPORTS AVEC LA FOLIE; par HERBERT SNOW. (The Journal of Mental Science , octobre 1891.) Voici les conclusions de ce tra
UR L'ALIÉNATION mentale; par A.-Wood RENTON. (The Journal of Mental Science , octobre 1891 et janvier 1892.) Nous ne pouvo
iode DE onze années; par F. ST. JOHN BULLEN. (The Journal or Mental Science , janvier 1870.) Ce n'est pas chose commune de p
igine syphilitique; par F. St-John Bullen. (The Journal of Mental Science , avril 1890.) Observation intéressante, très dé
par A. HILL Griffitu et T. STEELE Sheldon. (Tite Journal of mental Science , avril 1890.) z Il s'agit d'une jeune fille d
mal du cuir chevelu; par 'f.-\V. Mac Dowall. (The Journal of mental science , janvier 1893.) L'état du cuir chevelu chez ce
ecin de travailler de toutes ses forces, par tous les moyens que la science lui fournit, au soulagement de ses sembla- bles
de nombreux articles à l'exposé des importants services rendus à la science et à l'humanité par notre compatriote. D'autre
douleur que nous cause le décès du Maître, qui a tant fait pour la science et pour la gloire de sa patrie. Veuillez agréer
36 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ne à laisser pousser sont dévorés eu un clin d'o'il. In professeur de sciences nous disait récemment qu'il ne cesse de se ronger
incipes au Congrès de l'Association française |ioiir l'avancement des sciences , tenu u Nancy, en 1886 (1) . Observation 1 HA
influence des suggestions destinées à élargir le champ de In coa- science du sujet, à développer son activité volontaire, à
s progrès, d ailleurs, les musulmans auraient-ils pu faire faire à la science sous le régime il une loi qui aurait considéré l'
s qui servent encore le mieux, quoi qu'on dise, les intérêts de noire science . L'espoir, s'il pouvait être dragéilié, détrônera
raite volontiers d'inutile ce qu'on ne mimait pas. et l'orgueil de lu science est. comme l'a dit Spencer, de l'humilité, en fac
les castes sociales;, a grand besoin d être un peu éclairé sur notre science , quand ce ne serait que pour échapper aux griffes
le remémore â nos confrères les notions exactes et incontestées de la science , surtout parce quelle sait élaguer toute descript
e? On dit aussi que mitre langage, trop familier, est indigne de la science . Je soutiens, moi, qu'il est souvent plus précis,
ous écrivons, ne soyons jamais doctrinaires. N'oublions pas que notre science a pour destinée détendre idéalement â devenir exa
e Baglivi. Parmi les plus sérieux obstacles à l'avènement de la vraie science , ce grand homme range en première ligne : derisio
efois, ici comme en toute chose, le juste milieu, l'our vulgariser la science , il la faut solide, car, ainsi que le dit Jules S
brides médico-littéraires, auxquels Apollon, dieu des lettres et des sciences , enjoint de soigner notre style, armure de noire
e ne conseille pas trop d'abuser de cette boutique à treize sous delà science : vouloir toujours instruire en amusant, c est s
et il vient «I adresser à M. le Dr Darxier, directeur des Annales des sciences psychiaues. la lettre suivante : Et M. (ieorges
ion de teñirla balance égale pour tous, le directeur des Annules îles sciences psychiquess désireux aussi de voir la vérité se f
IMENTAL ET THERAPEUTIQUE LA MORT DE M. LE PROFESSEUR CHARCOT La science médicale vient de perdre un de ses plus illustres
s qui s-il dérivent acques raient immédiatement droit de cité dans la science officielle. Les travaux de M. Charcol sur l'ana
rga, de Milan, en fait l'objet d'une communication à l'Institut des science » de Milan liislîttito Ijombarilo tlellr scinizr.
mes applaudissements, M. Bouchard a hien précisé l'importunée pic les sciences hvgiéniojues et médicales ont prises à notre époq
ui, loin de s'éteindre, envahit aujourd'hui les divers terrains de la science médicale. Il était donc naturel de rassembler d
i vient de mourir à l'Age de uns, disparaît l'une des gloires de la science française, s évanouît une îles physionomie-s les
chose que les grandes phases de cette existence si glorieuse pour la science française. Né à Paris le 29 novembre 1825, Jean
tion, ¡1 se -ait engage dans une impasse dont il ne peut sortir. La science elle-même est impuissante à résoudre la coulradir
pas non plus à la critique -I cependant elle a une supériorité sur la science : elle reconnaît et proclame la contradiction de
placés, mais incompétents, pour qu'elle fût de nouveau posée dans la science et qu'on niât carrément l'irresponsabilité des rê
saires a diminué considérablement, et beaucoup de représentants de la science médicale ont acquis la conviction que la psychoth
conviction que la psychothérapie est digne de prendre place dans les sciences médicales. Quant au danger physique, je crois q
oir travailler de concert avec des médecins désireux de s'initiera la science de l'hypnotisme. Il leur en coûte aujourd'hui d'a
e « pouvoir travailler avec des médecins désireux de s'instruire à la science «le l'hypnotisme s ; à part ceci, qu'il aurait dû
ce «le l'hypnotisme s ; à part ceci, qu'il aurait dû plutôt dire : la science pratique de l'hypnotisme. « Enfin les malades p
aucoup de médecins qui s'adresseront â une personne étrangère à toute science , dédaignant les services de confrères savants et
uvers, docteur en philosophie et lettres, et P. Stroobant, docteur ès sciences , de la direction des recherches et des travaux pr
édical de la Russie et à l'union. , à la pénétration réciproque de la science française et de la science russe. Cette intimité,
union. , à la pénétration réciproque de la science française et de la science russe. Cette intimité, messieurs, est un fait dep
porté la bonne parole. M. Metschinikoff est un trait d'union entre la science de l'une el de l'autre nation. Aussi peut-on dire
une question de médecine légale ou d'administration. L'Académie des sciences a procédé, aujourd'hui lundi, â l'élection d'un m
ité scientifique d'un mailre dont la vie entière a élé consacrée à la science médicale. » UNE RECTIFICATION MONSIEUR LE PRE
enversent bien des préjugés, combattent bien de» erreurs tant dans la science médicale que dans celle du droit, ont été triomph
celui de M. Liébcaull. premier fondateur de l'Ecole de Nancv, dont la science égale la modestie, n'a p;is encore paru à l'Offic
. Dans un mémoire sur ce sujet, lu en présence de l'Association des sciences sociales, à Saratogn (Etats-Unis), le 5 septembre
incipaux sont : la littérature, l'histoire, l'économie sociale et les sciences objectives, tempérées, assaisonnées avec quelques
ur rappeler le déterminisme admis par divers métaphysi- riens- La science permet aux déterministes actuels d'être plus expl
M. Itibot n'ait pas été un obstacle sensible. En effet, que l'élément science ne soit pas admis comme possédant dans la volonté
t objet n'était plus â la place qu'il avait occupée ! Ces hommes de science , d'accord entre eux. d'une manière si touchante,
des grandes découvertes. Et pour ne parler que de ce qui touche â la science qui m'occupe, — il est vrai qu'elle était alors a
que des illuminés, des Ions ou des imbéciles? Et maintenant que cette science se constitua; ses adversaires, blessés dans leur
mécanisme, les lois et leurs liens avec les conquêtes acquises de la science , ils marqueront un pas en avant de plus dans les
les savants courageux de tous les pays qui les y ont suivis. Dans les sciences psychiques, aussi bien que dans les autres branch
foi» de plus que tout observateur sage et consciencieux sert mieux la science que celui qui veut légiférer avant d'avoir longte
d'avoir livré au public une o-uvre incomplète. Maïs, d'une part, la science progresse, le domaine de la folie s'élargit de pl
et de laryngologie : M. le docteur Dariex, directeur des Aniuilcs des sciences psychiques. Devant cet aéropage, M. de Lcvita f
ude où abondent les souvenirs personnels et où les rôles arides de la science sont habilement dissimulés par des causeries gaie
ui existait dans ces récils. Il a fallu le développement récent de la science hypnologique et de la sociologie pour les expliqu
Ces récits de miracles dont les détails apparaissent aujourd'hui à la science comme si vrais, permettent d'affirmer à nouveau l
qui uîe l'authenticité des évangiles et même l'exislance de Jésus. La science nous permet aujourd'hui de faire justice des opin
humeur. Vous foudrait-il d'autres témoignages pris en dehors de la science ? En voici encore deux, pas davantage, car le caf
los plus importants a l'ordre du jour. Dans ce concours d'hommes de sciences nous devons mettre au mieux en évidence notre tra
r fondé la littérature « jeune allemande ». L'auteur conclut qne In science l'emporter.! sur l'art el que l'imagination devra
, 40 et suiv.). DURAT (L.).— Le sommeil cl le rêve (Gaz. tiebdom. des sciences mèd. de Bordeaux, 41). HIGIER — Du bégaiement h
sans le consentement formel du malade, fut-elle dans l'intérêt de la science . Encore le médecin ne doit-il pas profiter de son
e l'hypnotisme, le professeur français reste à un point de vue que la science alle-mande a dépassé depuis longtemps. » Les as
la nature des phénomènes hypnotiques. Je ne connais d'ailleurs qu'une science qui n'est ni allemande ni française, mais qui est
1886. il était nommé, à la place de Vulpian, membre de l'Académie des sciences , dans la section de médecine et de chirurgie. L
l. On tic le voyait dans aucune réunion, si ce n'est à l'académio des sciences dont il était membre cl à la société de Biologie
sychologie est donc un produit de la réflexion, tandis que les autres sciences proviennent de l'attention. Elle embrasse tout ce
ltés intellectuelles intactes, afin de continuer à travailler pour la science et l'humanité comme vous lavez fait jusqu'à prése
mmer, et le même auteur « reconnaît qu'un terme générique manque à la science pour désigner chez les neurasthéniques ces états
En 1886, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des Sciences , il présentait une statistique portant sur 77 cas
re des phenomènes. C'est tout une philosophie mécanislc. C'est à la science expérimentale que le D' Julien l'ioger a emprunté
entière qui est un véritable corps de doctrines embrassant toutes les sciences jusqu'aux sciences morales et politiques que M. P
véritable corps de doctrines embrassant toutes les sciences jusqu'aux sciences morales et politiques que M. Pioger ait fait para
consacrées aux applications cliniques a l'hypnotisme. Académie des sciences . — l'Académie a procédé à l'élection d'un membre
37 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e le 14 août 1889 à l'Association française pour l'avancement des sciences , nous avons reçu de M. le Dr Arnaud (de Saint-G
chard communiqua à l'Association française pour l'a- vancement des Sciences les observations de deux ? · Lannelongue. Sur l
ite le 14 août 1878 à l'Association française pour l'avancement des sciences . Elle à été reproduite dans le Progrès Médical
e croire qu'un ignorant comme moi ait pu tromper aussi longtemps la science . Delannoy a été condamné à quatre ans de . V
vation avec anatomie pathologique. D'après les faits connus dans la science , on a affaire, soit à des nodules sarcomateux d
DIEN; pal' ThomaÓ-SamuelMAc CLAL : GIIIIY. (The Jourltal of Mental science , octobre 1894.) , L'auteur se propose d'attirer
it thyroïdien; par Telford Telford-Smitii. (The Journal of mental science , avril 1895.) Les cas étudiés par l'auteur sont
DES dégénérés; par Jules MUREL (de Gand). (The J021r)tcLl of Mental Science , octobre 189t.) L'obligation de pourvoir à l'en
ingite, avec UNE observation; par John laEAY (The Journal of Mental Science , octobre 1894). Il s'agit d'un cas de lepto-mén
X DÉTACHÉS FT SPECIAUX; par' John A. «ALLIS. (The journal of Mental Science , juillet 1894.) Dans ce travail, accompagné de
ation clinique) ; par T. DUNCAN GREEi'\LEES. (The Journal of Mental Science , juillet 1894.) . 11 s'agit d'une femme de tr
du salicylate DE soude; par G.-B. 1VDI1VSUY. (The Journal of mental Science , octobre 1895.) Chez une aliénée de quarante an
t DINS LES ASILES D'IftL 1NDE ; par Finegan. (The Journal of mental Science , avril 1895.) Tous les aliénistes savent combie
la Faculté de philosophie à Berlin, et membre de l'Aca-' démie des sciences , Berlin W., Nùrnberâerstrasse, 14. Dr Lipps, pr
ndue. Illusions géo- métriques et optiques, perception du temps. La science de la con- naissance. Action de l'imagination.
it pas, pour produire une hallucina- 1 Mickle. Journal o' nxetzlctl Science , 1883, t. XXVIII, p. 2G. * Sérieux. Archives de
DF; la folie EN IRLANDE; par Thomas DRAPES. (The Journal of Mental Science , octobre 1894.) Ce travail, très richement docu
référence le matin. Le docteur Foveau de Courmelles (Avancement des Sciences , Congrès de Bordeaux) préconise la douche et le
nt désormais, -dans l'étude de la loi, à s'aider des lumières de la science moderne. Le système tout entier des lois crimin
criminel-né de Lombroso paraît à M. Austin Flint artificielle. La science n'a pas à s'occuper des crimes passionnels. Les c
e; par le professeur BENGDIKT (de Vienne). (The Journal of mental Science , octobre 1894.) Les termes « folie morale » et
session » ont donné lieu à de fausses interprétations en matière de science et de criminologie pratiques. C'est néanmoins u
rresponsabilité métaphysique et l'irresponsa- bilité criminelle. La science médicale et la science juridique ne seront à l'
sique et l'irresponsa- bilité criminelle. La science médicale et la science juridique ne seront à l'abri de ce danger que l
ladies cérébrales; par William W. IRELAND. (The Journal of mental Science , juillet 1894.) - Les documents n'abondent pas
é musicale dans la folie; par Richard LEGGE. (The Journal of mental science , juillet 189 ? ) La faculté musicale comprend :
nation mentale EN IRLANDE; par John EusTACE. (The Journal of mental science , octobre 1894.) Travail intéressant et bien doc
utives; guérison; par A. C. BUT- LER SCYTHE. (The Journal of mental science , octobre 1894.) L'observation dont il s'agit es
sse DE BARONY DE GLASGOW; par John CARSWELL. (The Journal of mental Science , juillet 1894.) ' . \ . Cette expérience re
RALE des aliénés; par Alfred W. C.amBELL. (The Journal of mental Science , avril 1894.) Ce travail est basé sur l'étude d
système qui est le premier affecté : mais dans l'état actuel de la science , nous restons forcément dans le REVUE DE PATHOL
des névrites toxiques où le virus, autant du moins que l'état de la science nous permet de l'affirmer, a pris naissance pri
olie ataxique; par J. Vincent 13L.1CHFOIiD." (The Journal of mental Science , juillet 1895.) Ce cas est un nouvel exemple de
RATIONS anatomiques; par W. Lloyd Andriezen. (The Journal of mental Science , octobre 1894.) Les recherches du D'' Andriezen
DE NEUF ANS ET neuf mois; par Edwin L. Dont. (The Journal of mental Science , juillet 1895.) , Par ses symptômes, par sa m
S CONSIDÉRABLE; par T. ALGERNON CHAP : .IAN. (The Journal of mental Science , juillet 1894.) Travail intéressant, très lar
BSERVÉES chez ces malades; par John TunNEl\, (The Journal of mental Science , janvier 1895.) L'auteur a résumé le résultat d
vec DE la verbigération; par John Warneck. (The Journal of mental Science , janvier 1893.) Homme de quarante-trois ans, in
LITE PELVIENNE; par J. CHOIS- TIAN SIUPSON. (The Jou1'nal of Mental Science , juillet 1895.) Cas intéressant dans lequel des
ps étrangers du vagin; par W. HUSSEL STRAPP. (The Journal of mental Science , juillet 1895.) Il s'agit d'une aliénée qui s
s d'épilepsie avec aphasie; par Franck IIAx. (The Journal of mental Science , avril 1895,) -~ Cette observation est extrêmem
aux ; par E. GOOD.1LL et Saint-John 13CLLEN. (The Journal of mental Science , avril 1895.) Ces effets ont été signalés maint
RAUMATISMES anciens DE la tète ; par Drapes. (The journal of Mental Science , avril 1895.) L'observation dont il s'agit ic
utilisés comme l'exigeraient le bien des malades et l'intérêt de la science . L'état de choses que nous critiquons a encore
OUSTUN, James Middlemass et W.-F. Robertson. (The Journal of mental science , octobre 1894.) Il s'agit ici d'une démonstrati
HALIE j par CONOLLY NoRUAN et Alec. FRAISER (Tlae Journal of mental science , octobre 1894.) Nous regrettons vivement de ne
DÉMONSTRATION PRATIQUE ; par J. B.ITTY-TuKE. (The Journal of mental science , octobre 1894.) Il s'agit ici d'une démonstrati
LES aliénés âgés; par Alfred-W. C.11PDELL. (The Journal of mental science , octobre 1894.) Durant ces dernières années, le
ET sclérose du CERVELET; par C. HUBERT-Bo\D. (The Journal of mental Science , juillet 1895.) La physiologie du cervelet deme
l'hématome DE l'oreille; par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of mental Science , octobre 1894.) L'auteur, après des expériences
'IIÉMIATROPHIE cérébrale; par John J. CowAN. (The Journal of Mental Science , juillet 1895.) Le malade était un imbécile épi
QUES. DYME granuleux; par Cecil-F. Belles. (The Journal of mental science , janvier 1895.) L'auteur se propose d'attirer l
E Er DE l'ÉPILEPSIE; par SALUT-JOLIS BULLEN. (The Journal of mental science , avril 1895.) L'objet de ce travail est de prés
ésinet. 3 D'éminents aliénistes émettent sur l'état actuel de notre science spé- ciale dans notre pays des réflexions fort
hui bien besoin d'aliénistes pour relever aux yeux de l'étranger la science et l'enseigne- ment de la psychiatrie auxquels
ur et la noblesse de cette vie labo- rieuse. (The Journal of mental Science , juillet 1895.) R. M. C. CONCOURS d'admissibili
causes ; sur ce dernier point, la réponse dans l'état actuel de la science , doit demeurer incertaine : les symptômes toutefo
compression cérébrale; par John MACPHERSOK. (The Journal of Mental Science , oelo]¡re 1894.) L'auteur formule en ces termes
ainsi les données qui, à l'heure actuelle, paraissent acquises à la science : 1° les lésions uni- latérales du cervelet dét
cette classification parfaitement légitime dans l'état actuel de la science , faciliterait considérablement l'étude de cette
i les principes de la justice supérieure de la loi commune et de la science demandent que, dans chaque affaire criminelle,
ans son travail, il s'efforce de prouver que l'interven- tion de la science est aussi nécessaire dans les affaires de la jus-
ttre des appréciations arbitraires basées sur des impressions où la science n'a rien à voir. Plutôt que d'apporter à la justi
IRMIERS dans LES asiles; par W. F. Menzies. (F/tC Journal of mental Science , juillet 1894.) La difficulté toujours croissan
eur d'asile privé; par Lionel A. WEATiIERLY. (The Journal of Mental Science , juillet 1894.) L'auteur énumère, sous une fo
U COMTÉ DE WORCESTER ; par E, MARRJOTT COOK. (Thc Journal of Mental Science , juillet 1895.) Compte rendu intéressant et dét
aliénés au « WOIlKHOUSE »; par M. J. VoLAN. (The Journal of Mental Science , octobre 1894.) Le « '\Vll1'l¡ho¡ise », institu
médico-psycuiatrique ; par CO-40LLY Norman. (The Journal of Mental Science , octobre 1894.) Comme la plupart des harangue
abitations particulières ; par John SIBBALD. (The Journal of Mental Science , janvier et avril 1895.) 11 y a beaucoup de doc
E A UN asile hollandais ; par M.-D. MAcLEOD. (The Journal of Mental Science , avril 1895.) Relation intéressante, mais un pe
riminelle CHEZ les aliénés; par Oscar WooDS. (The Journal of Mental Science , octobre 1894.) La jurisprudence en matière de
lativement au SUICIDE; par S.-A.-K. Strahan. (The Journal of mental science , octobre 1894.) Après avoir résumé l'historique
dans son travail; il s'efforce de prouver que l'intervention de la science est aussi nécessaire dans les affaires de la just
e des appréciations arbitrdires, basées sur des appréciations où la science n'a rien à voir. Plutôt que d'apporter à la jus
la para- LYSIE générale ; par R.-S. STEWARD. (The Journal of Mental Science , avril 1895.) , La forme de paralysie général
roniques DES reins ; par Hubert C. BRISTOWE. (The Journal of Mental Science , avril. 1895.) Les points principaux sur lesque
ie DE la PERSÉCUTION ; par René SEMELAIGNE. (Tlee Journal of Mental Science , octobre 1894.) Après avoir résumé, au début de
générale des aliénés ; par REGINALD FARRAR. (The Journal of Mental science , juillet 1895.) Ce long et intéressant mémoire
nou- velle et qu'elle a déjà été appliquée à d'autres branches des sciences 346 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. médicales ;
DE la FOLIE en IRLANDE ; par D. [JACK TUEE. (The journal of mental science , octobre 189 L) Nous résumons ici les conclurio
hylaxie DES TROUBLES mentaux; par Curven. (The jou1'1ll[l of mental science , octobre i 87/k.) C'est par les modifications d
DE l'excitation délirante; par W. R. DAWSON, (The journul of mental science , octobre 189 : >.) L'histoire des hémorragie
FOLIE ET DE QUELQUES DIFFICULTÉS PRATIQUES. (The Journal of Mental Science , juillet 1895.) Les conclusions de l'auteur son
HEZ LES aliénés; par Thomas-Philip CowEi\. (The Journal of Mental Science , avril 1895.) On voit de temps en temps apparaî
CHEZ LES aliénés ; par.Alfred-W. CAMP13ELL. (The Journal of Mental Science , avril 183r.) , Tous les aliénisles connaissent
ail est le complément de celui que l'auteur a publié dans le Mental Science , et dont nous avons donné les conclusions; -, M
L'AFRIQUE DU SUD; par E. DUNCAN f,REENLEES. (The Journal of Mental Science , janvier 1895.) L'Afrique du Sud est peut-être
ongue durée DE lv maladie ; par James NEIL. (Tlte Journal of Mental Science , janvier 1895.) Chez ces trois malades, la méla
antisme ; par \YODS IIUT- jcHmsorr. (The Amer. Jour, of the médical science , août 1893.) Il s'agit d'une géante française,
ous fournirait jamais les beaux résultats qu'elle a donnés dans les sciences physiques ». A la méthode d'observatio il repro
38 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
otisme à t'a thérapeutique. En 1882, il présentait ù l'Académie des sciences des mémoires sur L'hypnotisme et l'hystérie, et à
tique d'expressions bienveillantes qui la font accepter. Et, comme en science hypnotique les hypothèses téméraires abondent, nu
Elle a vu là un gage de prospérité et de succès. Souhaitons pour la Science et la Philosophie que la Société d'hypnologie et
, avaient frayé, parcouru et rebattu tous ces sentiers, ignorés de la science qui se respecte, où les nouveaux arrivants s'imag
mphe d'idées qu'il défendit avec opiniâtreté contre les maîtres de la science les plus éminents, et qui, a-t-il ajouté encore,
ont échelonnés tout le long de l'axe cérébro-spinal. Aujourd'hui la science de l'homme ne peut plus hésiter à ' mettre à son
ité. ESSAI SUR LA VOLONTÉ Par M. le Dr Félix Regnault _ » Une science progresse lorsqu'on parvient à grouper les faits
ieux, car personne n'avait mieux étudié que lui les mystères de cette science nouvelle. Dans les discussions, M. Delbœuf était
tifique plutôt exagéré, la Rivista di Studi psichici, les Annales des Sciences psychiques, le Journal et les Proceedings de la S
et sottise. Aujourd'hui les faits s'imposent à l'examen sérieux de la science ; il ne reste plus qu'à les étudier et à s'efforc
auront pas perdu leur temps et auront, à coup sûr, rendu service à la science et à l'humanité. On ne saurait trop accumuler l
ée pour désigner ceux qui sont chargés d'enseigner officiellement les sciences médicales ; cela n'empêche pas que quelques-uns d
les découvertes du genre de celle de M. Bianchi. qui permettent à la science de marcher d'un pas plus sûr et qui suppriment le
terne des hôpitaux en 1872, docteur en médecine en 1879, docteur ès sciences en 1878, agrégé de la Faculté de médecine au conc
acidité du suc gastrique de l'homme (Comptes rendus de l'Académie des sciences , 1877-1878), et dans son travail sur les Propriét
mie et de la physiologie en 1878, travail couronné par l'Académie des sciences (prix de physiologie expérimentale). Ses travau
rêt publiés de 18S6 à 1891, dans les Comptes rendus de l'Académie des sciences et dans les Archives de physiologie, l'auteur a d
publics, dès l'année 1888, dans les Comptes rendus de l'Académie des sciences et de la Société de biologie. Les premières injec
à l'hypnotisme, et il demandait qu'on fixât la terminologie de cette science . Il exprimait également le désir que le congrès d
t la division du travail ne pouvait que favoriser le progrès de cette science . C'est ainsi que par une compréhension très net
n de vrai, puisqu'on ne peut les expliquer d'après les théories de la science officielle et qu'on ne peut, en suivant les voies
nce officielle et qu'on ne peut, en suivant les voies habituelles des sciences connues, en obtenir une démonstration tant soit p
n ce qui est encore aujourd'hui un mystère. II y a vingt-cinq ans, la science ne connaissait rien de l'hypnotisme et se refusai
fin, il y a cinq ans, en France, le Dr Dariex fondait les annales des sciences psychiques, destinées à recueillir les observatio
tanée chez les Mauresques. M. Rey a fait connaître à la Société des Sciences médicales de Lyon (juin 1896) une curieuse variét
lcoolisme, admet également l'existence d'états somnambuliques. « La science , dit-il, n'est pas sans avoir montré des épilep-t
cevoir successivement docteur en Philosophie et Lettres et docteur ès Sciences Physiques et Mathématiques, 11 fut ensuite chargé
l'Université de Gand (I8fi3)et d'un autre Cours à l'Ecole Normale des Sciences de cette ville. Trois ans plus tard, il était nom
e Belgique, il en devint ensuite membre titulaire, pour la Classe des Sciences . Enfin, en 1895, l'Université d'Edimbourg le nomm
en lumière depuis un siècle. II Delbœuf a beaucoup écrit sur les Sciences physiques et mathématiques. ïci, plus encore peut
s et mathématiques. ïci, plus encore peut-être que pour plusieurs des sciences auxquelles se rapportent ses autres ouvrages, nou
mathématiques et sur ce qu'on pourrait appeler la philosophie de ces sciences , Delbœuf disait en 1893, dans la Revue philosophi
he a appliquer à la logique un système de notation qui fasse de cette science une sœur de l'arithmétique et de l'algèbre. A.-1-
lus tard, dans le même recueil2 M. Giard, professeur à la Faculté des Sciences de Lille, illustrait la loi énoncée par Delbœuf d
phénomènes de l'univers, si bien établie qu'elle puisse paraître. La science d'ailleurs, elle non plus, n'a pas encore résolu
eur de Leibnili, son fondateur. La première des Sept énigmes a que la science n'a pas encore résolues et ne résoudra peut-être
marque, avec le problème de la matière, la limite infranchissable des sciences naturelles. La sixième difficulté, l'origine ae l
ppelle que, en 1877, M. Boussinesq, alors professeur à la Faculté des Sciences de Lille, annonça qu'il avait enfin trouvé la vra
vie et de la liberté morale ; extrait des Mémoires de la Société des Sciences , de l'Agriculture et des Arts de Lille, année 187
f, cite de lui celte belle parole : « J'aimerais « mieux sacrifier la science entière que de renoncer à la liberté. » peut
, que nous n'avons pu nous procurer.lls'agitde: La Psychologie, comme science naturelle ; son présent et son avenir. Applicatio
nde qu'entre les deux personnes de la Fétida d'Azam. II abandonne les sciences exactes pour la religion, et son esprit, jusque l
ne sont point rares. Certains mythes en contradiction absolue avec la science , sont acceptés par des Savants remarquables sous
sonnes connaissent aujourd'hui ; enfin, de réserver le monopole d'une science 1. Br. in-s-, 111 p. — Liège, Desoer, imprimeur
décembre 1894, à Bruxelles, dans la séance publique de la classe des sciences de l'Académie royale de Belgique2. J'ai déjà dit
. En 1884, j'avais été admis à lire, à Paris, devant l'Académie des sciences morales et politiques, un Mémoire sur la Suggesti
, n° 12, pp. 521-553, 1894. 3. Séances et Travaux de l'Académie des sciences morales et politiques, 1884, i. CXXII, p. 155: Mé
es, il a porté une intelligence puissante, armée des ressources de la science moderne, une passion inassouvissable de vérité, d
manité tout entière. C'est par eux que progresse la haute culture, la science , qui scrute non seulement les secrets de la natur
influence suggestive de la presse ? Sans doute il est difficile, en science sociale, de tenir le juste milieu entre la pleine
d'honneur récompense son dévouement sans bornes à l'humanité et â la science . Le danger qu'il vient de courir nous parait être
en Amérique dans l'Arena, en Angleterre dans le Bor-derland, revue de sciences psychiques. Ce fut un événement. De toutes parts,
hes psychiques. Elle s'y intéresse peu. Le mouvement en faveur de ces sciences est de date récente, et bien superficiel encore.
lègue et ami M, Dariu et le professeur Delbœuf : l'un, champion de la science , l'autre, de la morale. Il me souvient encore que
'il s'agit dans ce procès : il s'agit du droit à exister de toute une science nouvelle qui compte, parmi ses plus illustres ade
ilo- sophie ne se laisserait point emporter, même par amour de la science , à violer la liberté humaine. Mais il sait bien
ne. Paris. 1896. J. Bouvéry. — Le spiriiime et l'anarchie devant la science et la philosophie. Un vol. in-4«, 464 p. Paris 18
il prit aux recherches et aux découvertes qui ont affranchi cette science de l'ignorance et de la superstition. Cependant
vait hypnotisé un de ses serviteurs, qui ne connaissait rien de cette science , en agissant de manière à imprimer à son esprit l
e à confondre les sujets et à leur faire suspecter l'efficacité d'une science qui échoue à donner, par son nom, la significatio
e. Paris. 1896. J. Boi'vÉRY. — Le spiritime et l'anarchie devant ta science et la phi' losophie. Un vol. in-4°, 464 p. Paris
mortel au mesmérisme. Depuis que l'hypnotisme a pris rang parmi les sciences et qu'il est largement employé par un grand nombr
étant donné qu'elles étaient opposées à toutes les lois connues de la science physique. Comme résultat de fréquentes expérience
us les temps, depuis Paracelse jusque Cabanis. Elle constitue « une science à part qui n'est ni la psychologie, ni la physiol
ie, ni la physiologie, mais l'alliance de l'une et de l'autre ; cette science , Cabanis l'a ébauchée ; c'est à la médecine à la
la physiologie » De nos jours, la psycho-physiologie est née. Cette science expérimentale est en grande partie celle du dynan
s uns les autres, autant du moins que cela est possible ('). (1) La science marche vile. Quand j'écrivais ce chapitre, mon hy
nalité universellement acceptée, qui n'est plus contestée môme par la science officielle dans les Académies et les Universités.
qu'il avait obtenus par l'hypnotisme, Braid proposait d'enseigner sa science à tout docteur intelligent qui se montrerait dési
39 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
l'égard d'experts qui, Assurément, n'ont aucune prétention â la haute science de l'hypnologie, mais qui ont rempli leur mandat
ti des règles qui doivent présider à toute discussion entre hommes de science , si bien que M. Delbœuf lui-même a du reudre un h
ombroso ». Et pendant qu'il traite ainsi des hommes de talent et de science , M. Delbœuf réserve toutes les indulgences de sa
lui : « Des charlatans do jour H colle les affiches, « II rédige la science en pamphlets odieux ». Oui, des pamphlets, où i
pas les formes ordinairement usitées en Belgique sur le terrain de la science , ei je leur assure qu'ils rencontreront ici autan
les sur l'hypnotisme cl à l'étude dos applications cliniques de cette science . — Des consultations gratuites ont lieu à l'Insti
tes a la Salpétrière par le docteur Charcot et d'autres princes de la science . Il n'y avait souvent dans ces sortes de « numé
lucidité, il l'a examinée sérieusement et a cherché à rattacher à la science positive les faits rares et étranges de lucidité
s classsiqus et objectifs de 1 hypnose ». Or. il y a beau tcmp que la science a fait justice de ces fois étals, qui soot restés
du tluide ». A cela nous répondons : « C'est un fait connu dans la science que l'émotion, l'appréhension, ladéliance peuvent
es efforts louables, M. Masoin est resté malheureusement étrangère la science au nom do laquelle il émit appelé à donner son té
on intention de faire une loi — grosse de dangers et mortelle pour la science et les malades (voir l'Union libérale de Verviers
ne où, chose inquiétante, M. le secrétaire passe pour une autorité en science hypnotique. Je redoute le jour — qui n'est peut-ê
ologues, professeurs, avocats ou magistrats, se livrent à l'étude des sciences se rapportant au but de la Société. Titre IL —
tlLLOX. Au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , en 1886, à Nancy, j'ai appelé l'attention de mes
cuité des pratiques de 1 hypnotisme, la crande majorité des hommes de science soutenaient qu'elles pouvaient présenter le* inco
r de l'hypnotisme ne soit pas plus considérable; mais laissez cetle « science mystérieuse descendre dans les couches sociales o
re est consacré à l'étude de ces actions, mystérieuses encore pour la science , qu'un esprit semble pouvoir exercer sur un autre
i'ée, est un exposé très complet et très clair de l'état actuel de la science sur cette affection à la fois si commune et si co
ulière et muette des pensées a été faite, non point par des hommes de science , mais par un jeune Américain sans notoriété et a
le droit de formuler une opinion, est de nulle valeur aux yeux de la science , et qu'on ne peut attacher d importance qu'aux as
ut ce qui concerne l'hypnotisme, et je n'hésite pas à le déclarer. La science proprement dite, n'a rien de commun avec l'bynoUs
t sur quelques enfants de maisons. » (1) Noie lue à l'Académie tics sciences morales ci politiques. Restreint à ce sens, le
e pédagogue. Nul, en effet, ne conteste aujourd'hui qu'il y ait une science pédagogique. Historiquement, on en recueille à l'
le et la lumière de la vie, magistra scholœ, lux vitœ. Est-elle une science au sens absolu du mot? S'il faut entendre par la
la jeunesse, — la dénomination est exacte. On ne refuse pas le nom de science aux études expérimentales qui, par des analyses
lectuelle et morale de l'humanité. Ce qui a pu faire dénier le nom de science à la pédagogie, c'est que, tel qu'on l'établissai
saine, l'œuvre de l'éducation a pris rang parmi celles auxquelles la science peut appliquer ses règles de précision. S'ensuit-
it lieu d'y introduire une rigueur mathématique ? Si l'appellation de science n'était acceptable qu'à cette condition, nous ser
d'en répudier que d'en rechercher le patronage. La pédagogie est une science , mais une science morale, c'est-à-dire une scienc
d'en rechercher le patronage. La pédagogie est une science, mais une science morale, c'est-à-dire une science qui doit considé
pédagogie est une science, mais une science morale, c'est-à-dire une science qui doit considérer, sous peine de se rendre inef
eptible de redressement, fait la force comme la dignité. Malheur à la science qui, par une rigidité systématique, en briserait
nt que, dans certaine école, on incline à l'envisager moins comme une science que comme un art. La vérité est qu'il n'est pas d
comme une science que comme un art. La vérité est qu'il n'est pas de science morale qui, dans ses applications, puisse se pass
ur une méthode et qu'on confonde l'art avec les artifices. Mais où la science est solide et intelligente, l'art ne peut être qu
motif dont s'autorisent ceux qui seraient disposés à n'attacher à la science en pédagogie qu'une importance secondaire. C'est
ature a préparé a besoin d'être approfondi, confirmé, complété par la science . Les ressources de l'art le plus actif et le pins
une appréciation personnelle. Quant à moi, je pense que des hommes de science ne doivent pas avoir d'autre préoccupation que la
elques-uns d'entre eux ne puissent admettre, dans l'état actuel de la science , et reprendre pour leur compte les conclusions de
enseignement, les besoins de la thérapeutique ou les recherches de la science . Pareille faculté devrait pouvoir être formelle
tatations expérimentales tomes récentes Eûtes dans cette partie de la science , qui est le domaine de l'hypnotisme. En outre, il
scientifiques, et ne peuvent servir qu'à amuser les spectateurs. La science n'en tirera rien de nouveau, rien d'instructif, e
lables, qui ne sont pas compatibles avec les faits bien établis de la science . Non, la pensée de l'homme est un mystère pour
Us avaient même permis à celui-ci d'être admis dans le domaine de la science ; et sur lesquels on avait fondé bien des espéranc
ajouter à tant d'autres litres à la reconnaissance que loi doit cette science qu'il a tant contribué à développer et coordonner
Bade-Bade, où i! a su se faire une clientèle très sérieuse. Homme de science , doublé d'un praticien accompli, se donnant en en
ix Hément t'était fait connaître comme un infatigable propagateur des sciences nouvelles, et il avait été un des premier* à reco
rt, mais elle ne s'amoindrira pas en recourant à la dialectique d'une science ou d'une jurisprudence qui ne lui est pas familli
amilial, sur le milieu social qui ont laissé faire. Heureusement la science médicale n'est pas liée par ces traditions métaph
La suggestion, disait un jeune psychologue prématurément enlevé à la science , est l'introduction en nous d'une croyance pratiq
é lieu se sont multipliés dans d'énormes proportions. C'est que celte science nouvelle est bien faite pour exciter la curiosité
s grande marque de confiance. Elle comptera, tout à la fois, sur sa science , sur son habileté, sur sa prudence et sur son hon
dant, il n'est pas possible qu'on poursuive cet hypnotiseur, homme de science avant tout, qui aurait cherché, à la demande d'un
illégale, devront savoir fermer l'œil à propos, dans l'intérêt de la science et de la société. Dr L. Merveille. L'INFLUENCE
. Malgré cela, ce sujet n'a pas encore trouvé de place propre dans la science ; il a été relégué parmi les illusions et les fab
La psychothérapie n'est pas toujours chose facile. Elle exige de la science et du tact. Le médecin doit être doublé d'un psyc
mitateur», et c'est avec émotion que je déplore la mort d'un homme de science qui fut en même temps un homme decceur. il. le
ies nerveuses, et dont l'étude avait été mise à l'ordre du jour de la science médicale par M. le Dr Dujardin-Beaumetz. dans sa
l'effet pratique de la loi serait nul à cause de l'actuel état de la science ? Prenons un prévenu quelconque voulant se défen
es théories et la redoute de l'ancien. Nous ne voulons contester la science ni de M. Lefebvre, ni de M. Masoin, les deux auto
vrai : la Chambre doit parfois statuer sur des points rattachés à la science et pour lesquels sa compétence ne sera donc jamai
e suivi de mort, survenu après une séance d'hypnotisme -, (Journ. des sciences méd. de Lille, 18.) Zuccarelli (A.). — l'Anomal
et à la Revue de l'Hypnotisme. Jusqu'à ce jour, il est certain que la science de la psychothérapie n'a pas dépassé, en ces cont
l'éminent économiste, correspondant de l'Institut de France, dont la science déplore la perte, avait tenu à assister à quelque
5, Grand'Rue. Montpellier. 1892.) Hailly (Gaston d'). — La nouvelle science . (Kevue mensuelle de 16 pages. — Administration.
sychologie expérimentale, créée il y a quelques mois à la Faculté des Sciences de l'Université de Genève. Le Dr Flournoy y a adj
e sont (d'aprèt le récit de Paul Foucberj les dernières nouvelles des science * occultes, — j'entends des sciences occultes séri
ucberj les dernières nouvelles des science* occultes, — j'entends des sciences occultes sérieuses, non de celles qui passionnent
lois prolectrices de la sécurité commune. > Quel est l'homme de science ou l'homme de loi qui refuserait d'approuver d'au
ns maternelle» et monstruosités fœtales; deux faits ». (Journal des Sciences méd. de Lille, 6.) F au. or. — L'a cas d'hémiplég
e vous en donner : en dehors de cette représentation officielle de la science , où pouvions-nous trouver la certitude? Soyez san
'amusement. Il y va de la dignité humaine el de la santé publique. La science a ses droits et il faut les respecter; mais, asso
a vulgarisation en dehors du domaine très étroit, qui est celui de la science , n'en peut produire que du mal. J'avais traduit
comme moyen thérapeutique. Cela ne suffit-il pas dans l'intérêt de la science et d'une sage philanthropie T * Les représentat
re hypnotiseurs : ce n'est pas là la question. Mais il s'agit d'une science qui n'est pas encore bien définie et sur laquelle
or-• bides, incompréhensibles si on no consulte que les données de la science , s'expliquent à l'aide des clartés de la foi. Plu
il; et desquelles nous devons user pour chasser les diable*. Voilà la science plus haute que le ciel, plus profonde que les enf
40 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
souvent son ignorance et son impuissance lui imposent, en matière de science , d'affaires, de santé, de vie morale, le devoir c
mble de tous les résultats de mes recherches dans le domaine de cette science , et il sera en outre augmenté d'un aperçu des mal
, sur l'esprit simple ou superstitieux de ceux qui .. ont foi en leur science , une influence plus complète et plus dange-« reus
officiel, a acquis ainsi ses lettres de grande naturalisation dans la science médicale. Ce résultat est dû au libéralisme des o
iversité de Liège, a prononcé le 15décembre 1894,devant !a Classe des sciences de l'Académie royale de Belgique, un discours sur
1884, par le rapporteur, d'abord dans un Mémoire lu à l'Académie des sciences morales et politiques de l'Institut de France (a)
droit civil et le droit criminel. Séance et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques 1884 , 2- sem., p. 220. (
, en histoire, en médecine, en jurisprudence; il montre comment cette science nouvelle explique des faits déjà anciens restés l
du reste qu'il émet cette explication parce que, imbu des idées de la science officielle actuelle, il ne peut admettre que la v
qui a été fait par les successeurs d'EUiotson. L'hypnotisme, comme science , date du 13 novembre 1841, le jour où Braid comme
finissant, exprimer mon appréciation sur les services rendus â la science parle regretté professeur Delbceuf, dont la mort
e; et les mots de braidisme, suggestion braidique sont restés dans la science pour consacrer la doctrine nouvelle qu'il a élevé
de physiologie Guillaume Preyer, enlevé, à 59 ans, à ses amis et à la science , inspire des pages éloquentes à Albert Eulemburg,
'émînent médecin à qui l'on doit la grande encyclopédie allemande des sciences médicales. Preyer, né en Angleterre, était une de
eur des études d'Heidenhain le rangent au nombre de ceux auxquels la' science de l'hypnotisme doit le plus de reconnaissance, e
à Nancy, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des Sciences , dans la section de pédagogie, nous avons eu l'ho
en 1887, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , à Toulouse, dans une communication ayant pour ob
bientôt le pédagogue et le médecin s'associer dans la création d'une science dont le véritable nom serait VOrthopùdic morale.
rsonnels sur cette question, que l'orthopédie mentale est devenue une science positive. Mais il ne suflisait pas de soumettre
le P. Didon,Tardc, Max Nordau, etc., s'intéressent passionnément à la science de l'éducation. La persévérance et la continuité
e. Nous prévoyons tous les dangers que peuvent faire courir à une science nouvelle des imitateurs insuffisamment préparés à
la période de l'utilisation pratique, ils dédaignent d'étudier cette science dans les différentes phases de son évolution. Aus
s que comportent les résultats obtenus. Isolée des principes, toute science s'égare dans des faits de détail ou dégénère en r
6, et Comptes rendus de l'Association française pour l'avancement des Sciences , 1886. 2" I; v \. — Guérison par suggestion pos
e. — (Comptes rendus de l'Association française pour l'avancement des Sciences , 1888). 5" Bérillos. —Los applications do la su
cence (Comptes rendus de l'Association française pour ravancement des Sciences , 1897.) 21* Bérillos. — Les applications de la
'Académie de médecine, de la Faculté de médecine et de l'Académie des sciences , médecin des hôpitaux et membre de l'Académie de
tenait, sur un rapport du professeur Longct, un prix à l'Académie des sciences pour ses recherches sur le système nerveux cérébr
nce sur l'hypnotisme de l'Association française pour l'avancement des Sciences . Cette année, l'Association française pour l'av
ciences. Cette année, l'Association française pour l'avancement des Sciences a mis l'hypnotisme et la suggestion au nombre des
rique.) Jeudi 27 Janvier, â cinq heures, M. le Dr Tison, docteur ès sciences , fera une conférence sur : La physiologie du neur
à 8 h. 1 /2 du soir, à l'Association Française pour l'avancement des Sciences , 28, rue Serpente, une conférence sur l'Hypnotism
ra de l'ensemble de cette étude. Le 15 décembre 1894, la Classe des Sciences de l'Académie royale de Belgique tenait, à Bruxel
ès de l'hypnotisme. Ce sont les procédés de l'anarchie appliqués à la science . A ce sujet, on nous permettra bien de rééditer a
érences Jeudi 27 Janvier, à cinq heures, M. le Dr Tison, docteur es sciences , fera une conférence sur : La physiologie du neur
portées, pour le plus grand bien des malades et pour le progrès de la science . LES SUGGESTIONS HYPNOTIQUES CRIMINELLES Dang
par M. Paul Janet, dans la discussion de mon Mémoire à VAcadémie des sciences morales et politiques, c'est que les expériences
a-niaque des plus intenses. (A. Voisin, Congrès pour l'avancement des sciences , Nancy.) Cf. Rev.de VHypnot., I, 78. (4) En 188
aisonnement normal. C'est ce qui explique la cohésion admirable de la science . Mais comparez entre elles les religions, les mor
ant, même à ce degré de perfection, la religion reste en dehors de la science . L'existence de Dieu, tel que les métaphysiciens
e psychique en dehors de nous. Loin de pouvoir définir ces forces, la science commence à peine à les soupçonner. Encore est-il
e qui se rapportent à cette question. Il faut avoir confiance dans la science , et attendre ses conclusions, ou, si Ton veut all
paru en 1854 sous le titre: Magnétisme, .vérités et chimères de cette science occulte. Cette pauvre femme, qui s'était livrée à
oursuivait ses observations cliniques. Dans ce travail se révèle la science profonde que Mesnet possédait des différentes var
ir les passions, les modernes thérapeutes emploient au contraire leur science à une orthopédie morale. Ils corrigent les vices
r qui il avait une très grande estime, et en qui il voyait une grande science accompagnée d'un raisonnement fort net et forl pu
Un homme volontaire, énergique, raisonnable, élevé dons l'amour de la science , est déjà vivement louché par une grande cérémoni
Déjà, en 1884, j'avais dit moi-même, dans ma lecture à l'Académie des sciences morales et politiques : « Les personnes qui réven
négatives. Puis la Sorcellerie n'a plus, pour nous, de secrets. La science avait, jusqu'à ses derniers temps, imprudemment p
s leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale. Une science qui. née d'hier, a déjà donné de tels résultats,
étude de l'esprit humain, à la jurisprudence, à la thérapeutique, aux sciences historiques, à la controverse religieuse. S'il
dre nos efforts. Répandons à flots, autour de nous, les clartés d'une science toujours plus scrupuleuse, plus prudente, plus as
particulier feront de nouvelles conquêtes ; et, en même temps que la science se développera, par contrecoup la pratique psycho
profession par un rôle indécent et malhonnête; comme si leur première science n'était pa^ de gérir! comme si le plus habile méd
it légitime, onuis distinct de celui de la psychologie ; elle est une science de rapports, incapable par conséquent de supprime
et de remplacer la psychologie proprement dite qui, elle, est une science de réalités. Ainsi la psychologie, pour ne pas so
Peut-être, en effet, lui cst-il arrivé de trop joindre ic rêve à la science , l'imagination à l'observation pure. Pourtant, qu
usiasme passionné pour tout ce qui touche aux diverses branches de ta science et d'une vénération ardente pour tous ceux, à que
rès dans l'évolution des connaissances humaines. De cet amour de la science qui anime le peuple russe, nous ne voulons pour p
mes qui n'ont qu'un but, celui d'aller plus avant dans le domaine des sciences pures et appliquées et de contribuer par leurs tr
entre les ressources de toutes sortes qu'offrent â l'enseignement des sciences biologiques les universités russes et celles plus
toutes choses qui surprirent fort. Il affirma, enfin, qu'il avait la science des décrets de Dieu, et qu'il existait deux grâce
e, du déjà célèbre Biaise Pascal. Remarquons ici qu'en lui l'homme de science n'avait pas encore disparu, et qu'il unissait alo
nce sur l'hypnotisme de l'Association française pour l'avancement des Sciences , 187. Considérations psychologiques sur la natu
41 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
elui du rapport des signes et leur cause. La graphologie est bien une science . Ses règles ne sont pas évidentes par elles-mêmes
pas évidentes par elles-mêmes, il est vrai, comme pour bien d'autres sciences , du reste; mais elles sont démon- trées par l'e
au courant de tous les faits intéressants de ce congres. Congrès de science psychique à Chicago. La Revue philosophique ann
à Chicago. La Revue philosophique annonce un projet de « Congrès de science psychique » qui doit se tenir en 1893, en même te
se suivante : John C. Bundy, Chairman of the Committee on a psychical science Con-gress. World's Congress Auxiliary. Chicago. (
Magnan et Sérieux.— . Les aliénés persécuteurs (Revue générale des sciences pures et appliquées. 15 décembre 1891.) Marando
ue ; il doit rechercher et examiner tout, et ce n'est qu'ainsi que la science peut progresser. Je suis aussi complètement d'acc
à la Société de médecine pratique et au Congrès pour l'avancement des Sciences a Marseille. Je fais remarquer en passant que c
ns votre service : Henrtet. mort trop jeune pour ses amis et. pour la science , et Laget, retenu à Marseille et qui manque à not
de l'hostilité, du dédain même, de la part do quelques princes de la science , d'autres savants non moins illustres aiment à se
rès de Londres nous a paru beaucoup plus profitable aux progrès de la science . B... SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE Séance du lundi 11
Quoiqu'il soit toujours téméraire de parler de l'avenir en fait de science , on peut essayer de voir où on va et tenter quelq
s peuples civilisés, les législateurs, tes philosophes, las hommes de science et les jurisconsultes. Dû l'appréciation du tem
sont des réservoirs où sont accumulées des forces illimitées dont la science doit chercher à pénétrer le secret. M. Brown-Sé
l'attention des savants au détriment du développement normal de cette science . L'hypnotisme, porté par le nom de réminent Cha
e vint pas au monde comme une découverte nouvelle et importante de la science thérapeutique, comme l'idée pure et indépendante
d'inimitié. Or l'hypnotisme, tel que Charcot l'introduisit dans la science , fut censé être d'une importance peu commune au p
a méthode conséquente et la conviction sont nouvelles. Ainsi, comme science et comme application, l'idée est sans nul doute n
e application, l'idée est sans nul doute nouvelle, car l'idée devient science grâce à la méthode, et la conviction que l'idée p
e je ne sous-entends pas que la médecine est trop matérialiste. Les sciences naturelles sont la connaissance de l'ensemble des
hie constitue la connaissance de la pensée, du monde spirituel. Les sciences naturelles doivent ainsi forcément être matériali
ce. Il existe un matérialisme insensé et réprouvable, assignant aux sciences naturelles une supériorité au détriment de la phi
t pas mon avis. Quoique la télépathie, la clairvoyance et toute cette science étrange et nouvelle soit déterminée et définie, e
iction. C'est encore la force psychique, en harmonie parfaite avec la science , du reste. (Lombroso: Le Spiritisme et la Psychiâ
ne nouvelle conversion. D'après un calcul du Dr Dariex (Annales des Sciences psychiques,2° année, n° 3, mai-juin 1892, p. 134)
rité est là toute psychologique ou physiologique. » Depuis 1869, la science psychologique a marché. Les recherches sur l'hypn
e Congrès psychologique de Londres, publié dans la Reçue générale des Sciences , a amené, de la part de M. le professeur Bernheim
ongrès international de Psychologie expérimentale {Revue générale des Sciences , du 15 septembre). « L'auteur veut bien ne pas
r ce sujet a été faite en 1886 à l'Association pour l'avancentent des Sciences , session de Nancy (voir 15° session, page 744, et
itticalion envoyée par M. Beroheim, a adressé à la Revue générale des Sciences , la réponse que voici : « Je ne désire pas enta
le. « A ces causes, et autres, à ce, nous mouvans de notre certaine science , pleine puissance et authorité royales, nous avon
donner. « Et Jésus, le grand initié, le thérapeute en qui toute la science des mages s'est concentrée, par la seule puissanc
e impartiale racontera un jour quels immenses services ont rendu a la science les adeptes de la première heure, méconnus, honni
etc., qui. ètymologique-ment, n'ont que fort peu de rapport avec les sciences qu'il désignent ? tant, il n'est personne qui e
s objets que « d'une diversité d'objets à recueillir; mais, dans la science , les questions de « méthode sont aussi importan
ESTHÉSIES HYSTÉRIQUES (1) En 1880. au Congrès pour l'avancement des sciences , j'ai le premier démontré que l'amblyopie hystéri
e s'asseoir dans cet hémicycle universitaire avec ses sœurs, lettres, sciences , droit, qui donnent un enseignement purement théo
élaborent leur art et édifient leur technique avec les données que la science pure leur apporte, ces écoles ne constituent pas
comme une école de haut enseignement pur, c'est d'abord parce que la science qu'elle professe est bien de sa nature une branch
donnée à aucune autre; c'est ensuite parce que l'application de cette science , c'est-à-dire la médecine proprement dite, ne peu
'est-à-dire la médecine proprement dite, ne peut être distraite de la science elle-même. C'est celle de l'homme; c'est l'étud
ologie et la pathologie. Et voilà pourquoi l'étude de l'homme malade, science appliquée, est intimement liée a l'étude de l'êtr
e, science appliquée, est intimement liée a l'étude de l'être humain, science pure. Sans doute, les autres facultés s'occupe
ine sur lequel se rencontrent l'homme de lettres et le médecin. Les sciences explorent la nature, telle qu'elle se manifeste a
Cette cellule se développe el, par un travail de segmentation dont la science a étudié toutes les phases, elle donne lieu aux p
ption biblique à la définition que, dans sa modestie prétentieuse, la science dite positive voudrait lui substituer. Esprit e
e? Ètes-vous spi-ritualiste ? Nous affirmons hautement au nom de la science , que l'esprit commande et fait agir la machine. M
it commande et fait agir la machine. Mais nous ajoutons, au nom de la science , que si l'esprit actionne les organes, ceux-ci a
connaissons lame qu'enchaînée au corps, inhérente à la matière, et la science ne peut dire si lame est indépendante du corps, s
me est indépendante du corps, si l'esprit existe sans la matière ! La science seule*ne peut répondre et je crains de m'aventure
t avec obstination notre curiosité inquiète et impuissante. Hommes de science , sachons rester dans le domaine qu'il nous est do
labeur! » Écoutez cette parole et labourez avec ardeur le champ de la science pour que l'Université de Nancy mérite le double t
é plus fécond ; nul dans sa douleur n'a enfanté plus d'idées, plus de science , plus de découvertes utiles; nul n'a fouillé avec
Cette Revue contient un grand nombre d'articles très intéressants. Science , de New-york, donne le compte rendu de la dernièr
RAGES REÇUS A LA REVUE Du Potel. — La Magir dévoitee ; Principes de science occulte. (Un volume in-8° de 330 pages, 9 edition
ol. in-8, 1839. — Lindsay. Madness In animals. (The Journal of mental Science . 1871-1872, p. 181); The Pathology of mind in the
dsay. Mental Epidémies among the lower animals. (The Journ. of mental Science , 1871-1872, p. 425.) — Abadié. Panique chez les a
ue je n'ai pas retrouvées dans les cas analogues (1) acquis déjà à la science m'ont paru de nature à intéresser la Société d'Hy
me essence que la paralysie dont il a été question tout à l'heure. La science a démontré que la paralysie et les convulsions av
dagogique au Congrès de l'Association française pour l'avancement des Sciences . Le volume des comptes rendus du Congrès de Pau
ballé. A présent, par «a vraie valeur scientifique, il occupe dans la science la place importante qui lui est due, mais il est
près tout, libre à M. Déjerine de traiter, si cela lui convient, la science comme une loterie; qu'il prenne garde. cependan
me heure, les images et l'imagination active. Histoire générale des sciences . — M. Pierre Laffite traitera de la théorie de la
nérale des sciences. — M. Pierre Laffite traitera de la théorie de la science abstraite et de l'évolution mathématique de l'ast
Turin, puis à Rome. Pour le remercier de l'éclat qu'il jetait sur la science italienne, le roi le nomma sénateur du royaume d'
ernational de psychologie expérimentale, 30, 63, 82, 90. Congrès de Science psychique àChicago, 31. Congrès des médecin* al
ères et spontanés dans le sommeil bvpnotique, par Bérillon, 18. Science psychique Chicago, congrès de), 31. ' Scoliose
42 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
' En 1874, lorsque l'ouvrage de Kahlbaum venait de paraî- tre, la science n'était pas encore si avancée dans l'étude des
eau; par A.-R. URQUHAUT et W. Ford HOBIIT50N. (TM Journal of Mental Science , octobre 1902). L'intérêt de ces cas réside dan
importants. Dans un cas publié en jauvier dans le Journal of Mental Science par l'auteur, l'épilepsie avait été consécutive à
ologie du tabes dorsalis ; par R. G. Rows. (1'lae Journal of Mental Science . Avril 1902.) Ce travail a été lu au moment où
de la substance et sur celle de son mouvement s'édifie le monde des sciences naturelles, de l'expérience médiate. Sur le r
sur les travaux des savants, em- pruntés à d'autres domaines de la science , l'engagent à aboutir aux conclusions suivantes
son étude physiologique ; par T. CLAY SIAN. (The Journal of Mental Science , Juillet 1902). Après quelques considérations s
es cas de morphinomanie; par Robert Jones. · (The Journal of Mental Science . Juillet 1902). Très bon résumé de la question,
ntpar lesulfonal; par H. de M. ALEXAN- , der (The Journal of Mental Science . Octobre 1902). Femme de trente-deux ans, anémi
nt faible et, à notre avis, le danger d'une telle méthode. Dans une science abstraite on peut faire crédit au savant d'une
'hypothèse momentanément acceptée. Il n'en va pas de même dans' les sciences biologiques. Les phénomènes ne sont pas reliés en
les maladies soma- * tiques; par Nathan Rac. (The Journal of Mental Science , Octo- bre 1902). Le point principal sur lequ
e de la folie diabétique; par W.-R DAw- son. (The Journal of Mental Science . Octobre 1902). Il résulte des considérations c
cas de mélancolie; par Lionel Ÿl°EATIiERLY. (The Journal of Mental Science . Juillet 1902). Dans ce court mémoire, qui ne c
les aliénés et leur valeur; par T. P. CowEN. (The Journal of Mental Science . Juillet 1902). Il est commun de rencontrer che
r les hallucinations ; par CONOLLY 1TORhfAN (The 'Journal of Mental Science . Janvier 1902). Lorsqu'on se trouve en présence
n- driaques, ils sont probablement la représentation dans la con- science de quelques troubles de la région. Sensibilité gé
s le 16 juil- let 1903, par Ernest W. VHITC (The Journal of Mental, Science , octobre 1903). Comme ceux de ses prédécesseurs
tel et puni par la loi ; par EDWIN GOODALL. (The Journal of Mental Science , Avril 1903)- Il s'agit d'un homme de trente-ci
s idiots et des imbéciles; par J.-H. SPROAT. (The Journal of Mental Science . Octobre 1902). 1 L'auteur n'entend pas s'occ
n anglaise sur la folie ; par Ernest Wiiite. (The Journal of Mental Science . Avril 1902.) Une dame est admise à l'asile le
chez les imbéciles ; par E.-F. 'l'fiEDGOLD. (The Journal of mental Science . Janvier 1903.) La folie ne s'observe que rarem
ns les asiles publics ; par Harry A. BEXHAM. (The Journal of Mental Science , juillet 1903.) Les recherches de l'auteur ont
nts destinés aux aliénés; par Bedford PIERCE. (TheJournàl of Mental Science . Janvier 1903.) 252 asiles d'aliénés. On ne
l'urée et ses sels ; par J. Longheed Baskin. (The Journal of Mental Science , Janvier 1903.) L'auteur a employé chez sept
ure de la discussion; par M..T.-S. CLOUSTON. (The Journal of Mental Science , octobre 1902). N'ayant d'autre rôle que d'ouvr
érieurs. Réflexe rotulien latéralisé; par M. Josserand [Société des sciences anédi- cales de Lyon, 14 mai 1902). M. Josser
X. Syndrome basedowien avec enophtalmie; par M. Dupuxr (Société des sciences médicales de Lyon, 16 avril 1902). L'intérêt du
e. Absence de réaction pupillaire ; par M. Jos- senaNn (Société des sciences médicales de Lyon, mars 1902). Il s'agit d'une
ntales sur la katatonie; par Lewis C. BRUCE. (The Journal of Mental Science , octobre 1903.) Les conclusions tirées par l'au
lie d'origine toxique; par Emc M. Thom- son. (The Journal of Mental Science , juillet 1903.) Le premier de ces cas montre un
IV. La folie du haschich; par John \VAnNOCE. (The Journal of Mental Science , janvier 1903.) L'auteur, qui dirige un asile a
manie de l'adolescence; par Lewis C. BRUCE. (The Journal of Mental Science , juillet 1903.) Dans un précédent travail, l'au
rsakow » chez des femmes; par John TURNER, (titre Journal of Mental Science , octobre 1903.) Il y a une quinzaine d'années,
t causé la folie; par Lui. Sm : LAIR-(3LACK. (The Journal of Mental Science , janvier 1903.) La présence de cysticerques aya
VIII. Un cas d'anévrysme; par Robert Pucn. (The Journal of - Mental Science , juillet 1903.) Observation curieuse d'un homme
ide terminaison fatale; par li.-D. Hotchkis. (The Journal of Mental Science , juillet 1903.) Il s'agit d'un 'homme de cinq
ités des Etats- Unis; par Charles-S. Mayens. (The Journal of Mental Science . Octo- bre 1903.) ' - - Dans ses visites aux
e que prend dans leur enseignement l'étude de la psychologie; cette science aux Etats-Unis n'est pas le lot exclusif d'une
lles d'hommes des asiles, par A.-13. TUMBULL (The Journal 0/'Mental Science , octobre 1903). , L'auteur raconte d'abord sa v
résentées par H commission DE la tuberculose (The Journal of Mental Science , octobre 1903). Travail accompagné de plusieurs
olie; par R. WILSO ? et D. Chalmers `VATS01. (The Journal of Mental Science , juil- let 4003 ) Deux observations très inté
erveux central de l'homme ; par John TUnNER. (The Journal of Mental Science , juillet 1903). Très intéressant mémoire, mai
manie aiguë continue; par Lewis C. BRUCE ( 7'Ae Jour- nal of Mental Science , avril 1903.) REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
la paralysie générale; par J.-V. 13LACHFORD (The Journal of Mental Science , juillet 1903.) De ses propres recherches et de
es de dégénérescence; par E.-H. Haurisson. (The Journal of Mental Science . Janvier 1903.) Les conclusions de l'auteur son
lé une tumeur du médiastin; par Robert PuGH. (The Journal of Mental Science . Avril 1903). Il s'agit d'un homme de quarant
e cyticerque du cerveau; par W.-C. SULLIVAN. (The Journal of Mental Science . Janvier 1903). Homme de 27 ans, aurait eu à l'
ren- céphalie ; par J.-O. WAKELIN BARRATT. (The Journal of Mental Science , juillet 1903.) , L'observation du malade est s
glie et ses prolonge- ments ; par R. LEEPEI\ (The Journal of Mental Science . Oct.i902). Les altérations des cellules de la
l de poids anormal ; par John SUTc- , LIFFE. (The Journal of Mental Science . Avril 1902.) La conclusion de l'auteur est la
qué de scarlatine; par George WATTERS Green. (The Journal úr Mental Science . Avril 1903). Il s'agit d'un garçon de dix-sept
ie de Graves avec manie ; par J.-P. Grikves. (The Journal of Mental Science . Octobre 1903). Intéressante observation d'une
cas de double conscience; par Albert WiLsox. (The Journal of Mental Science . Octobre 1903.) Nous regrettons de ne pouvoir
des tentatives de suicide; par Robert JoNEs. (The Journal of Mental Science . Avtil 1903.) Relation intéressante de deux obs
mélancolie avec stupeur; par W.-Il. Dawson. (Tite Journal of Mental Science . Octobre 1903.) Deux observations intéressantes
e avec aliénation mentale; par Robert Joues. (Tlc Journal of Mental Science , juillet 1903.) Observation intéressante suivie
iniques et pathologiques; par M.-J. MOLAN, (fin - Journal of Mental Science . Avril 1903). Ce travail se compose de quatre o
des maladies mentales; par A.-R. Urguiurt. (Tlte Journal of Mental Science . Avril 1903). C'est à propos d'une nouvelle édi
il. Un cas d'hébéphrénie ; par W.-R. Dawson. (The Journal of Mental Science , avril 1903.) On sait que le mot d' « hébéphrén
sur les hallucinations ; par CONOLLY Mormon (T'he Journal of Mental Science , avril et juillet 1903). La première partie de
ur sont connexes; par Sir LAUDER BItuwTOV. (The Journal of Mental Science , avril 1902.) , . Pour analyser ce long travail
ie de la folie; par T. DUNCAN GREENLEES. (rA6youn ! a< of Mental Science . Octobre 1902) . '. ' Ce travail est très int
utissent à l'homicide; par G.-T. REVINGTON. (Tlee Journal of Mental Science . Avril 1902.) Les conclusions de ce travail se
ique de la Grande-Bretagne et de l'Irlande. (7'he Journal of Mental Science . Juillet 190z.) Ce travail, très documenté, ne
t une méthode corrélative; par C. HUBER Bond (The Journal of Mental Science , octobre 1902). Travail intéressant mais qui né
son, G.-B. Wilson, Yellowlees, Bruce et Marr (The Journal of Mental Science , juillet 1902). M. Clouston en ouvrant la discu
llaire par tumeur cérébrale. Intervention; par L. Dort {Société des sciences médicales de Lyon, 19 mars 1902). M. L. Dor pré
terie d'asile; par N. H. i\I : 1C\IILL : 1N (Tite JOllmal of Mental Science . Juillet 1902). L'auteur indique avec détails l
es hôpitaux généraux; par Sir John SIB13ALD (Tite Journal of Mental Science . Avril 1902). Le but de ce travail est de signa
chéance du système nerveux; par F.-W. IIOTT. (The Journal of Mental Science , octobre 1902.) Tout le monde sait que le stimu
rce cérébrale chez l'homme ; par John TURNEP (The Journal of Mental Science . Janvier 1903.) Nous ne pouvons, en raison de s
E. HiDWOLD, avec remarques par Robert JONES, (The Journal of Mental Science . Juillet 1903). Il s'agit d'une malade de 38 an
ienne et la volition ; par A.-B. KINGSFORD. (T)ce Journal of Mental Science . Juillet 1903). Le caractère de l'épilepsie jac
es « Nursing Homes »; par Ernest W. WU1T1 ? (Tice Journal of Mental Science . Avril 1903.) Dans ce travail l'auteur étudie a
ement des cas aigus ; par R.-R. LI E- PER. (titre Journal of Mental Science . Octobre 1903 ) L'auteur rapporte plusieurs cas
des maladies mentales; par Henry n.\Y<ER, (The Journal of Mental Science , juillet 1902). L'auteur se demande si le somme
t complètement la psychiatrie. Elle n'avait d'ana- logue dans notre science que l'immortelle découverte de Ba)le quand, en
ool, le 24 JUILLET 1902; par G. Wiglesworth. (The Journal of Mental Science , octobre 1902). Le discours présidentiel de M.
il s'agit là d'une simple supposition, et dans l'état actuel de la science ces cas ne sout pas explicables. On peut dire q
s, S "22 varia. et si le xixe siècle a-vu la biologie devenir une science précise par la découverte des lois générales qu
uston a depuis égale- ment défendu et développé (Journal loi Mental Science , octobre 1902). Il demande la création entre l'
43 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d névrotique. 1 Raymond. Art. Tabes dorsalis in Dicl, encyclop. des sciences méd., 3e série, t. XV, p. 293. DU VERTIGE DES
e saurait prétendre à la nouveauté. Mais ici, comme dans toutes les sciences qui relèvent de l'observation, l'oeuvre n'est j
is considérée comme un miracle théra- peutique du meilleur aloi. La science ayant démontré que ces phénomènes étaient d'ori
donc fini du miracle. Pourquoi jeter tant de défis à la face de la science , qui finit, en somme, par avoir le dernier mot
p plus simple de constater que la thérapeu- tique miraculeuse et la science ont subi une évolution paral- lèle. La faith-he
st la même opération cérébrale produisant des effets identiques. La science qui évolue n'a pas la prétention de tout expliq
té expérimenté par M. le profes- seur Charcot. Nous n'avons ni la science , ni l'âge voulus pour nous per- mettre d'appréc
é des maladies mentales d'après les données les plus récentes de la science spéciale. Sans doute, il n'est pas d'oeuvre qui
par les médecins, mais encore par tous- ceux qui s'intéressent aux sciences psychologiques, philosophes, i pédagogues et ma
indiquant les noms et adresses des auteurs. Prix DE l'Académie des sciences . - Parmi les récompenses accor. dées, nous rele
e, 1884, etc.) 2 Grasset. - Art. Dialhèse, in Dicl. encyclop. des sciences médicales, p. 252. - Rapports de l'hystérie ave
York, le 21 juillet 1892; par ROBERT BAKER. (The Journal of Mental Science , octobre 1892.) Discours très bref où sont somm
LA FOLIE EN ANGLETERRE; par J.-A. CAMPBELL. (The Journal of Mental Science , janvier 1892.) Nous nous bornons à signaler ce
maladie appelée KATATONIE; par Percy-Smitu. (The Journal of Mental Science , juillet 1892.) Observation intéressante et dét
DES aliénés avec la SYPllILIS; par Jacobson. (The Journal of Mental Science , avril 1892.) Les recherches poursuivies par M.
otidite chez les aliénés; par Th.-B. HYSLOP. (The Journal of Mental Science , octobre 1890.) Les trois observations rapporté
l'ablation DE Le barbe; par George rINDL.11. (The Journal of Mental Science , juillet 1890.) Observation curieuse, qu'il e
d'un fait semblable publié par M. Savage dans le Journal of Mental Science de juillet 1886. R. M.-C. XL VI. Notes sur qu
nts concernant les criminels; par John BAYER. The Journal of Mental Science , juillet 1892.) Etude intéressante, faite par u
VIN. Folie et divorce ; par A. WooD-RENTON. (Th/ ? Journal ofMental Science , juillet 1892.) On ne peut que signaler ici ce
EUR chez une mélancolique; par Vincent Nash. (The Journal of Mental Science , janvier 1892.) L'auteur a cru devoir publier c
s sur la « katatonie i ; par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of Mental Science , avril 189.) L'auteur a résumé ou rappelé dans
ffection dite « Paranoïa » ; par E. L. DUNN. (The journal of mental science , janvier 1893.) La première question qui se pos
aires chez les aliénés; par CECIL F. BEADLE. (The Journal of Mental Science , juillet 1892.) Etude très documentée sur la fr
hématome DE la dure-mère; par Edwin GOODALL. (The Journal of Mental Science , juillet 1892.) Note intéressante sur l'analogi
paraplégie ataxique; par F.-S.-John BULLEN. (The Journal of Mental Science , avril 1892.) Deux observations recueillies ave
PRISONNIERS ; par le Dr J. M01\EL (de Gand). (The Journal of Mental Science , janvier 1893.) Tous ceux qui sont au courant d
formes DE folie aiguë; par John MACPHERSON. (The Journal of Mental Science , janvier 1893.) L'auteur résume dans les termes
teur DE tète, KOPFDRUCK; par HARRY CAMPBELL. (The Journal of Mental Science , janvier 1893.) On sait avec quel luxe d'expres
aladie de Huntizzgtolz); par \ ? h. MENZIES. (The Journal of Mental Science , octobre 1892 et janvier 1893.) . Les travaux
un médecin ordinaire. Tous deux cultivent par les mêmes méthodes de science positive la pathologie une et indivisible. (All
compte - c'est lui-même qui parle - des progrès inces- sants de la science », il évitait de citer les travaux de ceux qui
84) ; -- Ar- ticles publiés dans le Dictionnaire encyclopédique des sciences médi- cales : Délire (en collaboration avec M.
histoire, d'une manière fort intéressante, puis l'inversion dans la science , où apparaissent toutes les phases par lesquell
rents buts; son influence; par D. Hack Tuke. (The Journal of mental Science , juillet 1892.) La maison de retraite pour le
Murray; par A.-R. UnQeR.aRT et A. IIEITON. (The Journal of mental Science , avril 1890.) Ce mémoire, très intéressant dans
es docteurs DODDS, STR : 111AM et GREENLEES. (The Journal of mental Science , janvier 1890.) Nous reproduisons ici, bien que
ervées dans DIVERS asiles; par ROBERT BAKER. (The Journal of mental Science , janvier 1890.) Les différents appareil ou le
l pas être plus varié; par J.-A. Campbell. (The Journal of mental Science , juillet 1892.) Après l'exposé de quelques cons
vail fourni par eux ; par CHARLES Mercier. (The Journal of mental Science , janvier 1893.) Tout le monde sait qu'il y a un
tion dernière d'aucun phénomène. Mais une définition, sauf dans les sciences pure- ment rationnelles, comme les mathématique
e DE l'artère vertébrale; par Telford-Smitu. (The Journal of Mental Science , octobre 1890.) On se souvient qu'il y a quel
T abus de l'hyoscine, par Lionel Weatiierly. (The Journal of Mental Science . Juillet 1891.) L'auteur conclut de ses expérie
f ET hypnotique; par J. CAIILYLE-JOIiNSTOVE. (The Journal of Mental Science , janvier 1892.) - Les conclusions de ce travail
d'un crimimel simulateur; par James MURRAY. (The Journal of Mental Science , juillet 1890.) L'histoire de ce prisonnier est
ÉRDITALF (r[13110-KY--TIQUE); parJamesRoRIE. (The Journal of Mental Science , juillet 1890.) Observation détaillée, suivie d
micide ET suicide; par Frank ASIIB1 1;LKINS. (The Journal of Mental Science , janvier 1891.) Observation détaillée, poursuiv
énés DE 1890 en ANGLETERRE; par Percy Smith. (The Journal of Mental Science , janvier 1891.) Travail impossible à analyser
E son évolution ; par George M. Robertson. (The Journal of Mental Science , janvier 1890.) Après avoir étudié physiologiqu
. Insolation ET folie; par Théo. B. IIYSLOP. (The Journal of Mental Science , octobre 1890.) L'auteur pense que l'on s'est j
ralysie générale ; par BOVVILLE BRADLEY Fox. (The Journal of Mental Science , juillet 1891.) Il s'agit de quatre. cas de par
anie POST-ÉCLAMPTIQUE j par E.-A. ALExANDER. (The Journal of Mental Science , juillet 1891.) L'éclampsie a probablement eu p
e 23 juillet l891, par E.-B. `1'DITCOJIBE. (The Journal of Mental Science , octobre 1891.) Dans ce discours, le Président
TIVE A une insolation; par E.-B. WHITCOHBE. (The Journal of Mental Science , octobre 1891.) Observation d'un cas intéressan
Influenza ET névrose; par Geo.-H. Savage. (The Journal , of Mental Science , juillet 1892.) On sait que l'influenza a eu po
SOLUTION DE L'Ex- pression; par John TURNER. (The Journal of Mental Science , jan- vier et avril 1892.) Dans ce travail ét
LXXX. Un cas DE cocaïnisme; par PERCY Smith. (The Journal of Mental Science , juillet 1892.) Ce cas s'écarte du type ordinai
I. GÉNIE ET folie; par Arthur i·1.1CD0\.1LD. (The Journal of Mental Science , avril 1892.) L'auteur termine son étude, basée
e lui-même. » Remarquons que les directeurs scientifiques du Mental Science , MM. Hack Tuke et Geo. Savage ont cru devoir dé
iculière DE TROUBLE mental; par M. J. NOLAN. (The Journal of Mental Science , octobre 1892.) LYŸlIII. QUELQUES observation
UN cas DE tumeur cérébrale; par James RORIE. (The Journal of Mental Science , juillet 1892.) Observation intéressante, suivi
ventricule GAUCHE du COEUR; par Jolin BRUCE. (The Journal of Mental Science , janvier 1892.) Observation d'un homme de soixa
atique médicale ordinaire; par A.-II. NEWTH. (The Journal of Mental Science , janvier et avril 1892.) - A l'aide de plusie
ES d'un visiteur ; par M. George ROBEIiTSON. (The Journal of Mental Science , octo- bre 1892.) L'auteur a visité successiv
iots et épileptiques doivent, dans l'intérêt de l'humanité et de la science être, de même que les asiles d'alié- 1 Voir Arc
44 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
s- seur Hayem, dans son beau travail, fait remarquer aussi que la science n'est pas encore définitivement fixée sur la qu
ent à la face. Or, il serait impossible, dans l'état actuel de la science , de déterminer exactement, sur l'écorce céré- b
paralytique GÉ- NÉRAL; par T.-W. IAC-DONALL, (The Journal of Mental Science , janvier 188G.) Le malade auquel appartenait
ux cas DE folie larvée ; par CONOLLY Norman. (The Journal of Mental Science , avril 1SS6.) L'auteur rapporte, avec des détai
a paralysie générale ; par Pritchard D.wrES. (The Journal of Mental Science , janvier 1886.) Les modifications heureuses app
e hémorrhagique étendue; par Geo.-H. SAVAGE. (The Journal of Mental Science , janvier 1886.) L'observation de ce malade, r
VI. Deux cas DE mélancolie ; par A. PATTON. (The Journal of Mental Science . Janvier 1886.) Il s'agit de deux cas de mélanc
ES maladies mentales; par le D PERCY SnttTa. (The Journal of Mental Science , octobre 488;i.) Etude intéressante qui compr
\ C \5 de folie saturnine; par Hall Willl'r. (The Journal of Mental Science , avril 1886.) Chez le malade dont il s'agit, on
l'appétit dans la FOLIE ; par J.-A. CAMPBELL (The Journal of Mental Science , juillet 18S i .) Voici le résumé des observati
tés morbides qu'il est possible de séparer dans l'état actuel de la science . - La para- lysie générale des aliénés ou folie
ur importance scientifique et pratique. LE prix DE l'institut des sciences DE milan. - L'Institut des sciences de Milan ay
ue. LE prix DE l'institut des sciences DE milan. - L'Institut des sciences de Milan ayant établi un concours international p
gements. Or c'est précisément de pareilles représen- tations que la science a besoin, et il n'y a qu'une voix sur la fidéli
et, toutes les sensations, comme des modifications du toucher '. La science a démontré depuis que les dif- férents organes
mie, ont le bon esprit de tenir grand compte des résultats de cette science , ils inclinent vers les théories histologiques
tion de médecine de l'Association française pour l'avancement des sciences (séance du 14 août 1889), un mémoire relatif à
notre communication à l'Association française pour l'avancement des sciences , nous avons reçu le 18 août, de M. le D'' Arnau
E L'ASILE ROYAL DE Dundee ; par James RoRIE. (The Journal of Mental Science , avril 1887.) Nous ne pouvons que signaler ic
TO-PHÉNONE (Hypnone) ; par COVOLLY Norman. (The Jour- nal of Mental Science , janvier 1887.) L'auteur n'a expérimenté l'hypn
l'abus DE la séclusion ; par J.-A. Campuell. (The Journal of Mental Science , octobre 1886.) L'auteur définit tout d'abord c
'alternance des névroses; par G.-H. SAVAGE. (The Journal of' Mental Science , janvier 1887.) L'auteur a choisi ce titre, par
stème NER- veux ; par J. HUGIiLINGS JACKSON. (The Journal of Mental Science , avril 1887.) La concision qui règne dans ce
iples DU CERVEAU; par F. S. JUHN HULLEY. ('1'heJolll'/lal of Mental Science , janvier 1888.) Ce cas est surtout remarquable,
GÉNÉRALE DES ALIÉNÉS ; par R. PERCY SMITII. (The Journal of'Mental Science , avril 1888.) Il s'agit d'une malade âgée de qu
e pose de la façon que voici : L'hypnotisme vaut-il la peine que la science lui fasse bon accueil et lui consacre des veill
ismont (Gaz. des hôpit., 7 mars 1843) et Williams (Journ. of Mental Science , avril 1875, p. 151) ont signalé des cas de mél
es années d'existence. Il est impossible dans l'état actuel de la science de formuler aucune conclusion valable; la raret
ont un peu au- dessus de la portée des médecins appartenant il la « Science officielle ». Nous tenons à rappeler la définit
rappeler la définition du magnétisme donnée au Congrès : C'est une science ayant le massage pour base et l'amour pour somm
res classes se groupent contre la septième quia obtenu l'appui delà science officielle. Les congres- sistes sont d'accord p
es séances publiques d'hypnotisme et de magnétisme qui nuisent à la science 2° et la création d'une école où la partie scie
tués à rencontrer sur la brèche toutes les fois que l'intérêt de la science mentale est en jeu. s'était là comme toujours m
uis Il DE BAVLÈRE; par Villiam-W. IRE- land. (The Journal of Mental Science , octobre 1886.) M. Ireland qui a consacré plusi
NERVEUSE. effet le moment où venaient d'être introduites dans la science les belles recherches de Claude Bernard sur la
se SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 313 pour l'avancement des sciences 1. J'insiste sur les dates, - Messieurs, parce
iens dans le diabète sucre. (Associât, franc, pour l'avancement des sciences , Congrès de Blois. septembre 1884.) 314 CLINI
s dans les « 7/<MOMCe67f/ ? » peut montrer l'état actuel de la science en question. Aussi, avant d'aborder le sujet de
I. La folie ET LE crime; par S.-W. 1VORTH. (The Journal of Mental Science , juillet 1886.) L'auteur s'est proposé dans ce
ns les affaires criminelles est mauvaise en fait, et contraire à la science et à l'expérience ; qu'elle a pour conséquence
ts devrait être modifiée de façon à ce qu'elle s'accordât avec la science et avec l'expérience. L'erreur de la jurisprude
SABILITÉ CRIMI- NELLE ; par Geo.-H. SAUVAGE. (The Journal of Mental Science , avril 1886.) Il n'est pas nécessaire d'avoir
T LES TRIBUNAUX civils; par Achille FOVILLE. (The Journal of Mental science , avril 188ti.) Les conclusions de ce travail
ion d'aliénation mentale, par A. R. TUHDULL, (The Journal of Mental Science , octobre 1886.) Observation très intéressante
e mis en liberté'/ par H. liA ïES 1EW1\GTO\. (The Journal uf Mental Science , janvier 1887.) L'auteur laisse systématiquemen
LES ALIÉNÉS en Ecosse ; par James BORIE. (Tite .fou1'Ilal of Mental Science , avril 1888.) Nous ne pouvons que signaler ce
l'homicide ET au SUICIDN : ; par Evan POVELL. (The Journal o(menlal Science janvier 1887.) Voici le résumé de l'observati
; par le Dl CLOUS- TON et le Dr SAV : 1GE. (T he Journal of mental Science , avril 1888.) Il s'agit de deux jumeaux dont
AUGMENTATION DE la FOLIE; par D. HACK TUhE. (The Journal of Mental science , octobre 1886.) L'auteur signale tout d'abord u
LES troubles mentaux ; par G. E SHUTLEWORTH. (The Journal of Mental Science , octobre 1886.) Travail très intéressant, trè
aliénés. La médecine mentale est, comme le reste de la médectne, la science des indications physiques, intellectuelles et m
li0URG, le 6 août 1888, par ) ? S. CLOUSTON. (The Journal of Mental Science , octobre 1888.) L'orateur, en terminant son dis
ES asiles D'ALIÉ- NÉS ; par S.-A-K. SRAH.\M. (The Journal of Mental science , octobre 1886.) L'auteur examine successiveme
ux destinés aux aliénés ; par Sanger UIONN. (Tlee Journal of Mental science , avril 1887.) Les observations de l'auteur s'ap
ES MALADIES INFECTIEUSES; par M. D. MACLEOD. (The Journal of Mental Science . Avril 1887.) Cet hôpital est situé à 130 mètre
OGIQUE, LE 9 août 1886; par Geo. Il. Savage. (The Journal of Mental Science . Octobre 1886.) L'oraleur s'est proposé dans ce
pour lesquelles on allègue la nécessité de suivre les progrès de la science , avaient plus ou moins détourné l'ensei- gnemen
45 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
international de l'hypnotisme, en 1900 : * L'hypnotisme, qui est une science d'expérimentation, marche fatalement en avant
ine, de la physiologie et de la psychologie. Le contrôle de ces trois sciences est indispensable si nous voulons faire œuvre dur
e méthode seront influencées par les limites que l'on assigne à notre science ('). Ceux qui veulent les élargir ont le plaisir
médecin. L'un n'hésitera pas à lui tendre des pièges pour éprouver sa science ; un autre taira son âge, atténuera ses infirmité
et la clinique sont les bases fondamentales de notre institution. Ces sciences doivent sans cesse nous guider. Elles nous permet
me ignorées ; Conquête des localisations cérébrales, apportant à la science la notion nouvelle d'une véritable psychologie ex
ut commentaire hasardeux. Psychologiste ou sociologiste, l'homme de science ne doit avoir qu'un but : recueillir des faits, l
destes, zélés et dévoués au soldat, instruits dans toute la gamme des sciences médicales même spécialisées, à telle enseigne que
é de travers, bien entendu, de choses qu'ils ne connaissaient pas, la science s'est décidée à intervenir, en vue de ramener à l
ombre d'années seulement, l'étude de l'âme des bêtes mérite le nom de science ; et que cette science, maintenant à ses débuts,
t, l'étude de l'âme des bêtes mérite le nom de science ; et que cette science , maintenant à ses débuts, est encore étouffée sou
epousser de toutes ses forces. Si nous voulons élever les bases d'une science durable là où poussèrent, au hasard, tant de prod
pages. Jouve. Paris, 1903. Dr J. Grasset : Le spiritisme devant la science , avec une préface du professeur M. Pierre Janet.
r, à 8 h. 1/2. La psychologie des examens, par M, Laisant, docteur ès sciences , examinateur â l'Ecole polytechnique. Vendredi
e de l'Hypnotisme. Prix: 10 fr. Laisant ; L"éducaiion fondée sur la science , avec une préface d'Alfred Naquet. Félix Alcan, P
rofesseur Blanchard a bien mérité à la fois de la civilisation, de la science et de l'humanité. Nous sommes heureux de lui adre
entir à modifier les croyances philosophiques de leur enfance. La science a fait ses preuves, sa faillite, proclamée par qu
ection de médecine de l'Association britannique pour l'avancement des sciences avait refusé la lecture d'une communication ayant
amation des dogmes, — jusqu'à ce qu'enfin l'humanité, délivrée par la science des germes de mort qui la rongent, ne songe plus
le Professeur Grasset (de Montpellier) sur : Le spiritisme devant la science ; une thèse de M. le Dr Maurice Olivier sur Les al
ant, aussi modeste qu'original, un superbe objet d'art. Les hommes de science qui s'étaient groupés autour de lui à Nancy — il
en connu, a donné la définition suivante de l'esthétique : c'est « la science qui a pour objet l'étude philosophique des manife
un peu vague. Il me semble préférable de dire que l'esthétique est la science du sentiment du beau et du jugement artistique, q
erait du tort à leur puissance de production. En effet, tandis que la science recherche l'objectivité, Part est essentiellement
orte de propos délibéré sa réflexion sur les problèmes à résoudre. La science veut comprendre; elle a pour principe le besoin d
les sont les causes et les éléments de la jouissance artistique. La science de l'art en est encore à ses débuts. Il est vrai
losophes aurait dû faire naître est resté en souffrance. Le but d'une science de l'art ne saurait être de connaître un certain
de se représenter ce qui s'y passe. N'oublions pas, en effet, que la science de l'art ne se propose pas seulement de comprendr
siècle; et, de même que cette dernière théorie a dû faire place à une science de la nature plus féconde, fondée sur l'observati
sa sœur, la psychologie. Elle sait que, de même que toutes les autres sciences relatives à l'esprit, c'est dans la psychologie s
euvent point être toutes empruntées à la psychologie. Il faut une science générale du beau, justement afin de constater les
un autre genre. Tout aussi bien que l'esthétique, l'éthique est une science portant sur l'appréciation. 11 n:est donc pas éto
itabilité des muscles et des nerfs. (Annales de la Société royale des sciences médicales et scien-ces médicales et naturelles de
d'une belle simplicité, tout entière consacrée à l'amour ardent de la science . Né à Ferrières le 111 septembre 1833, il fait
m du docteur Liébeault est profondément gravé sur le livre d'or de la science — en lettres Indélébiles. {Est républicain).
mari. Rien ne l'arrêta ; il continua à guérir sans l'adhésion de la science officielle et finit par imposer ses doctrines.
eau. Son nom restera parmi ceux des initiateurs qui ont illustré la science au XIXe siècle. [Est républicain). Dans un troi
eur de l'Ecole de Nancy, praticien eminent de la suggestion, à qui la science médicale doit une de ses méthodes de guérison les
tur thaumaturge qu'il serait un jour le maître de l'hypnotisme, cette science expérimentale de l'anesthésie, qui endort les sou
Messieurs, Si on a pu dire que le xix* siècle était le siècle de la science , je crois que l'on dira plus tard que le xx' sièc
branches d'un même tronc, d'un même arbre, et dans les annales de la science vous trouverez confondus un certain nombre de fou
s â la société et diminuera de beaucoup le nombre des alcooliques. La science et le dévouement de M. Bérillon sont une garantie
un comité de patronage composé des plus illustres représentants de la science . Nous sommes heureux d'annoncer à nos lecteurs qu
es se sentiraient profondément malheureuses. En réalité, à côté de la science et de la religion, c'est l'art qui ennoblit la vi
mps; l'intérêt qu'il, excitait s'est en grande partie reporté vers la science et vers les questions sociales de nature moins id
per le sens et le goût de l'art, et avec eux le talent artistique. La science et l'art peuvent orner une seule et même personne
t, édité par la maison Lavauzelle ('), et qui reçut de l'Académie des sciences le prix du barron Larrey ; rappelons que ce prix
MÉDECINE ET RELIGION 61 : 2 Les miracles du curé d'Ars devant la Science ('). Récemment a eu lieu à Rome, au Vatican, un
le dixième jour des calendes de mars de l'année 1904. n Que dit la Science pour ces divers faits? 1° Le premier est certai
hommes qui l'ont le plus honorée, par les grands services rendus à la science et à l'humanité. Il a ouvert à l'art médical
ommeil et les Etats analogues, paru en 1866, méconnu et raillé par la science officielle, provoqua, vingt ans après, plusieurs
s le rôle prépondérant que la psychologie est appelée à jouer dans la science sociale. Pour réaliser ce programme une documen
vre d'art a son cachet, qui vient de la personnalité de l'artiste. La science est objective, l'art subjectif. Si dans une œuvre
e celui-ci soit touché de la même manière dont lui aété touché. Si la science sert à étancher notre soif de connaissance et à s
e même, c'est un don, une inspiration ; on ne l'apprend pas comme les sciences ; celui qui n'a pas de génie ne saurait l'acquéri
élever un monument au Dr), p. 353. Miracles du Curé d'Ars devant la science (Les), p. 348. Monument Charcot à Lamalou (Inau
46 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nerfs grand sympathique et pneumogastrique. 6 ANATOMIE. démie des sciences l'an dernier. La figure I en dira plus, à elle
est assurément flatteur pour moi d'avoir été critiqué avec tant de science et d'esprit, et je ne manquerai pas de faire mon
collocation Mais après comme avant il faudra toujours recourir à la science aliéniste. En principe comme en fait, la loi de
s présente, résumant parfaitement, en tout cas, l'état actuel de la science ... » Cette appréciation de M. Charcot vaut cert
traitée à fond autant qu'elle peut l'être dans l'état actuel de la science la question si difficile de para- lysies et des
réfutation du péché originel de la religion et des fatalités de la science ! » FAITS DIVERS. 141 Exercice illégal de la
cependant quelques remarques qui très ' Turnbull. Journ. of mental sciences , oct. 1881. z \\'iâles\vorth. Ibid., juillet 18
, en effet, contre les causes réelles dei la' nui- sance, ce que la science a déjà appris affaire dans bien des circonstanc
EDÈME ET sa FOLIE; par J. Cumming MACKENZIE. (The Journal of mental Science , juillet 1889.) Le myxoedème est de description
at épileptique; par IIAIIRINGTON SAINSDUIIG. (The Journal of mental Science , octobre 1889). , Discussion intéressante d'u
ÉNÉRALE DES ALIÉNÉS; par Joseph Wiglesworth. (The Journal of mental Science , octobre 1889.) D'après les faits qu'il a pu ob
Malhan RAW, dans le service de W.-C. BLAND. (The Journal of mental Science , octobre 1889.) Dans le cas dont il s'agit, l'a
c précis chez LES aliénés ; par llal7at1 RAN.(The Journal of Mental Science , octobre 1889.) Il s'agit d'uu cas d'étrangle
DU MEURTRE DE sa SOEUR; par Geo. H. SAVAGE. (The Journal of Mental Science , octobre 1889.) Le crime commis par ce jeune
tude sur la STUPEUR; par James K. 'VHITwELL. (The Journal of Mental Science , octobre 1889.) Nous devons nous borner à indiq
CHEZ LES enfants ; par Francis W,\R ! OER. (Tite Journal of Mental Science , octobre 1889.) L'auteur s'est proposé dans ce
. XV. Tentative DE SUICIDE; par URQUIIaRT. (The Journal of Mental Science , juillet 1889.) Il s'agit d'un homme de cinquan
e 25 juillet 1889 ; par H. H.1YES NEwINGTON. (The Journal of Mental Science , octobre. 1889.) , , Comme la plupart des har
athologiques intéressants ; par James RORIE. (The Journal of Mental Science , juillet 1889.) Dans le premier cas, il s'agiss
S (maladie de Raynaud) ; par J. M.1CPHERSON. (The Journal of Mental Science , avril 1889.) Chez ce malade, atteint de manie
: observation de c a10 ; par R. PERcY-SMITH. (The Journal of Mental Science , octobre 1889.) Observation curieuse d'un homme
émence aiguë POST-FÉBRILE ; par John TUHNER. (The Journal of Mental Science , octobre 1888.) ' Ce cas est celui d'un jeune g
ES D'UNE MÊME famille; par Oscar-T. WooDS. (The Journal of Mental Science , janvier 1889.) . Il s'agit d'une famille de di
sie générale DES aliénés; par John TURNER. (The Journal of Mental Science , octobre 1889.) Ce travail, accompagné de table
r DE L'OESOPHAGE; par E. Maziere COUIITENAY. (The Journal of Mental Science , janvier 1889.) Ce cas est intéressant à plusie
de la parole; par HARRINGTON SAINSI3URd. - (Tlee Journal of Mental Science , janvier 1889.) Courte, mais intéressante étude
rée associée A la folie; par George P. COPE. (The Journal of Mental Science , octobre 1888.) L'auteur relate longuement l'ob
eau CHEZ LES imbéciles; par Fletciier Geacu. (The Journal of Mental Science , janvier 1889.) Ce travail repose sur six obser
iénés au CAIRE EN 1888 ; par F.-M. SAXDWITU- (The Journal of Mental Science , janvier 1880.) Ce travail donne des renseignem
ux opérations CH1RURGICALES; par C.-T. DENT. (The Journal of Mental science , avril 1889.) L'auteur pense que la folie consé
(G)'M6et<C/t<) ; par CoIVOLLY NORMAN. (The Journal of Mental Science , octobre 1888.) Il s'agit d'une affection que G
USIEURS observations; par Morgan FjNuc,iE. (The Journal of Mental Science , octobre 1889.) " Le premier mérite de ce médic
n délai DE plus DE TROIS ANS; par P. Pope. (The Journal of men- tal Science , janvier 1880.) , Ces dix-huit cas, dont quatre
expérience de dix années); par Robert BAKER. (The Journal of mental Science , juillet 1889.) ? L'auteur préconise l'emploi du
sur L'EMPLOI du SULFONAL; par W.-R. WATSON. (The Journal of mental Science , juillet 1889.) Le sulfonal n'est certainement
comme antipyrétique; par W. Julius MICELLE. (The Journal of mental Science , janvier 1889.) Les recherches de l'auteur ont
abitudes ALCOOLI- QUES ; par W. S. PLAYFAIR, (The Journal of mental Science , juil- let 1889. . Le traitement préconisé pa
OLONL1L DE iIIELBOUBNEi par F. N. iILINNING. (The Journal of mental Science , juillet 1889.) 1 On trouve dans ce discours, q
liénés DE h10\TROSE; par James C. IIowDEN. (The Journal of Mental Science , janvier 1889.) , Ce court mémoire, accompagné
s pauvres dans l'avenir ; par D. HACK- TUKE. (The Journal of mental Science , octobre 1889.) Etude intéressante et conscienc
HORS DES asiles EN Ecosse; par D. HACK-TuKE. (The Journal of Mental Science , janvier 1889.) - Nous résumons ici, en les a
ose quotidienne quatre onces, en deux fois). (The journal of mental Science , jan- vier 1889.) Autobiographie intéressante
édico-psyc)oloyique, et auteur de nombreux travaux interprétant les sciences et la médecine, entre autres : le sommeil et le
ntervention de ces deux nouveaux méde- cins dont elle critiquait là science et la pratique; elle se riait de leurs efforts,
'est renoncer à comprendre et même à penser. C'est par elles que la science ressemble à l'art et à la poésie, elles forment
omme anormal et rechercher s'il en existe d'autres exemples dans la science . Mais le plus souvent, en étu- diant plus atten
orique qui concorde avec bien des données acquises aujourd'hui à la science , suries localisations, mais qui n'a pas encore
'efforçant de ne retenir que les notions réellement acquises à la science , et en laissant de côté toutes celles qui sont
ÉNIN- GITE consécutive; par J,. W, PLUTON. (The Journal of mental Science , janvier 1889.) Les renseignements recueillis s
PRESSION DE la PENSÉE; par Francis WARNER. (The Journal of Mental Science , avril 1889.) - Il est impossible de résumer ce
a glande pituitaire; par James-B ? VHITwELL. (The Journal of mental Science , juillet 1889.) Ces tumeurs sont rares et les s
fut assuré- ment, de mes années d'apprentissage de la vie et de la science , la plus féconde et la plus heureuse. M. Charco
sprit élevé, l'intelligence ouverte à tout ce qui est beau dans les sciences et dans les arts, vous a donné le charme et les
e plus éminent est Laënnec. La clinique pure est aussi, elle, une science , car elle possède ses méthodes propres. Une mét
s avez appris à travailler, vous' nous avez inspiré l'amour de la science , vous nous avez animés du feu sacré, et quand, pl
it, dis-je, de l'éclairer par l'intervention largement acceptée des sciences anatomiques renouvelées par l'histologie et de
nt deux ans, se sont succédé : Cotard, hélas ! trop tôt enlevé à la science , comme devait l'être plus tard le regretté Mich
l'on peut dissiper, doivent être admis à recevoir les secours de la science et de la charité. Lorsque, sur tous les points
aillant et Dubois, de faire cesser cette hizarrerie et de doter une science , fondée il y a quarante ans par Duchenne (de Bou-
47 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
s et il s'adresse avec confiance aux médecins qui s'occupent de cette science . L'alcoolisme, ce fléau moderne qui empoisonne
, qui ne connaissait l'hypnotisme que de nom, et n'a encore sur cette science que des données vagues et peut-être très erronées
commente l'idée que le sentiment le plus réconfortant pour l'homme de science , c'est celui de l'amitié qu'il constate chez ses
s temples déserts du polythéisme, les prêtres furent dispersés et les sciences sacrées eurent deux ordres de dépositaires : Io l
l'Hôpital général au commence-Il) Messieurs de la Société Royale des Sciences établie à Montpellier, ont envoyé a l'Académie l'
cordés par le Roi au mois de Février 170C. (Mémoires de rAcadimic des Sciences , année 17*2.) ment do mars. Lu, ces attaques
n'ont donc pas complètement perdu leur temps, puisqu'ils ont doté la science d'un néologisme. La vie nomade de Barbara L'rsl
rieux cl deviendra définitivement une des branches du grand arbre des sciences médicales. Je vais exposer brièvement ce qui a
professeur de la Faculté de droit de Nancy, membre de l'Académie des sciences morales et politiques. M. Liégeois fut un des pre
dont un (1) M- Boulin fit une narration de ce cas à l'Académie des sciences de Pans. (Comptes rendus, t. LXXXYII, 27 octobre
, dirrcl«ur do l*Io»llliit Pa*ieur. (IStO-IM) la Revue générale des Sciences , une étude assez étendue sur les travaux scientif
nt s'était constitué à Paris pour se livrer à l'étude de ce groupe de sciences , assez mal défini d'ailleurs, que l'on désigne so
ciences, assez mal défini d'ailleurs, que l'on désigne sous le nom de Sciences psychiques, Duclaux fut invité à présider la séan
s, en effet, extrêmement surpris de me trouver inaugurer une Ecole de Sciences psychiques devant une assemblée aussi nombreuse,
ent à citer,et dont le grand mérite était de mettre Les zélateurs des sciences psychiques en garde contre les entraînements de l
règles et la méthode rigoureuses qu'on apporte dans toutes les autres sciences . En effet, la nécessité du contrôle et de la crit
e vous nous racontez, et si vous voulez le prouver par témoignage. La science n'admet que le témoignage des faits, et rejette a
e de continuer ; la foi n'est pas scientifique. « Le principe de la science esl au contraire de se méfier de tout le monde, m
femme k barbe âgée île X ans. Cas du D* Kcker (Fribourej, 1816- la science phrénologique, a le pouvoir de faire connaître à
snoceurs et les intoxiqués, n'être que de parfaits ignorants de toute science physiologique ou bien des ennemis irréductibles d
romanciers ou tous autres écrivains et savants véritablement épris de science et de méthode, la régularité de leur vie se reflè
ne faut ríen moins que toute l'attention de hi psychologie médicale, science assez nouvelle mais bien armée pour le bon combat
e moitié à la guérison du malade. Sans doute, ils ne demandent pas la science et la finesse de raisonnement que doit posséder t
ofesseur Mar-cellin Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , membre de l'Académie française. La leçon d'ouv
unes gens des Ecoles, il leur disait : « Gardez-vous de croire que la science dessèche le cœur et n'inspire aux hommes qu'une a
on du progrès, et des entraînements irréfléchis qui compromettent les sciences , a toujours prodigué les encouragements aux cherc
font plus qu'un corps mû par une seule intelligence. Or, c'est une science que celle de capter la confiance des troupes, et
re physicien Ampère, qui cultivait avec un égal succès aussi bien les sciences psychologiques et morales que les sciences mathém
égal succès aussi bien les sciences psychologiques et morales que les sciences mathématiques et naturelles, se signalait par une
de M. le professeur Bcrthclot, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , membre de l'Académie française. L'enseignement d
fesseur Harcellin Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie dos Sciences , membre de l'Académie française, p. 245. II. —
présidence de M. Bebthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , membre de l'Académie française. 1° L'Ecole de
de M. le professeur Berthelot, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences , membre de l'Académie française. Aux côtés de M
e balaillo dont toutes les victoires ont constitué un progrès pour la science et un bienfait pour l'humanité. Après avoir ouv
e à la chimie moderne et à la thermogenese animale. L'étendue de sa science nous étonne encore à la lecture de ses belles rec
emps, les conditions matérielles et morales de la vie des peuples. La science devient, grâce h lui, le fondement logique, inébr
Lorsquo les recherches de Pasteur vinrent bouleverser ic monde des sciences et particulièrement les choses de la médecine, to
ger et mettre en relief la principale des causes qui retenaient celte science , la plus difllcile de toutes, à un état embryonna
ychologie dont vous connaissez la prospérité. C'est la loi de toute science qui veut vivre, de tendre vers des applications u
ire également que sans ces sensations nous n'aurions pas créé les sciences , l'industrie et les arts ; car c'est surtout pour
rêmes. Herbert Spencer, dans son livre intitulé : /nfroduc/ion A la science expérimentale, s'élève avec raison contre l'erreu
. Longtemps avant lui Montaigne avait exprimé ses défiances pour la ¦ science pure livresque », estimant que la fréquentation d
e en un volume sous le titre significatif : L'Éducation fondée sur ta science . Mais, me direz-vous, si on ne peut compter ni
phétique du professeur Berthelot affirmant, en 1895, que c'était à la science qu'il fallait s'adresser pourétablir les bases in
ors de sa création. Pour elle la psychologie ne sera pas seulement la science de la volonté ; on lui devra également une morale
lations de la psychologie avec la physiologie, deux grandes et belles sciences . Vous essayez d'en fixer les méthodes et d'en éta
les doux faces, les deux points de vue opposés. Au point de vue de la science positive, c'est-à-dire de la constatation des fai
il n'y a point de commune mesure possible. D'ailleurs, toute notre science positive repose, ne l'oublions pas sur une pétiti
l'antagonisme irréductible entre les religions et la raison, entre la science et le mysticisme. Dans cette perpétuelle Illusi
né par les lois fatales de la mécanique? C'est alors la théorie do la science positive qui satisfait davantage l'intelligence.
du beau et du bien. Messieurs, uniquement attachés aux méthodes de la science positive, vous avez renoncé à agiter ces problème
difficile de faire admettre par ceux qui ne connaissent pas bien ces sciences ou qui ne sont pas familiarisés avec ces phénomèn
l'homme de caractère, trop souvent différent de l'homme d'esprit, de science el même de génie. Notre savant maître rappelait
. Tout d'abord, se souvenant de la parole de Pascal qui disait : • La science est une langue bien faite >, M, Chartes Richet
que troubler les chercheurs i occultisme ne signifie rien, car toute science est occulte à ses débuts. Quant au terme de « sci
rien, car toute science est occulte à ses débuts. Quant au terme de « science psychique », il n'est pas heureux. Tout réflexe e
souvent fait de lâchetés hypocrites, je puis bien dire que la « vraie science » aurait tort de s'inféoder hâtivement, soit aux
e en réalité, comme on sait. Bien que relativement neuve, c'est une science des plus attachantes qui soient, de celles qui pr
Psychologie lntrospecttve : La Psychologie dans ses rapports avec les sciences philosophiques. — Président : Prof. R. Ardigo (Pa
liénés du Comté de Northumberland, a publié dans le Journal of Mental Science {') deux cas de femme à barbe qu'il a eu l'occasi
i, a prononcé un éloquent discours sur la psychologie envisagée comme science positive. M le président Sergi exposa ensuite l'i
psychique » des individus atteints de quelque penchant vicieux. La science est bien redevable à M. Bérillon qui l'a enrichie
48 (1852) Journal du magnétisme [Tome XI]
, cl nous pouvons vraiment «lire que ce Journal est le Moniteur de la science nouvelle, car tout ce qui intéresse le trioniplic
trouvera de nombreux imitateurs. Un Journal est indispensable à la science mesmérienne ; celui-ci est le seul qui existe : r
e la fréquence et l’intensité du crétinisme. — Voilà des faits que la science constate, et certes cette matière a élé largement
nces de magnétisme auraient un très-grand intérêt. Les faits que la science possède dans ce genre sont excessivement rares ,
ute, depuis la connaissance que la doctrine de Mesmer a apportée à la science , et aussi depuis les travaux de Matteuci, de Lieb
aites sans souffrance et sans aucun accident, ce dont les annales des sciences médicales n’offrent point d’exemple , un nombre é
n, se sont opposées de tout leur pouvoir à l’avénement de la nouvelle science . Leurs efforts n’ont point été entièrement vains;
magnétique de Paris; celui-ci, comprenant toute l’importance, pour la science en général, du vif et long débat que cette discus
i-bas je n’invoque l’appui, Et je porte 6 la main le flambeau de la science ; Refuser de me suivre est une impertinence ; Ca
Ce serait oublier le respect de soi-même, Et par trop ravaler la science qu’on aime. Écoulons votre sœur ; qu’elle parle
lien? Libre après, au rêveur, dans sa monomanie, De rapetisser la science à son génie. Croyant avoir fixé les limites de
e étude historique et raisonnée de tous les faits appartenant à cette science . Jusqu’à présent, il s’est borné au rôle de narra
sant entrevoir, à travers tous ces débats, une opinion favorable à la science nouvelle. Aujourd’hui,, il a quitté le rôle d’his
ombre de mes élèves , M. A. Calmcls, voulant payer son tribut à notre science , s’est promis de reproduire les traits des hommes
à une exposition sommaire du magnétisme considéré comme art et comme science . Cet article est empreint d’une foi vive et d’un
de conquêtes rendues impérissables dans le domaine tout physique! La science a vu par nous tous agrandir ses limites, et l’esp
e l’hospitalité a pratiqué le bien, sa vie fut utile aux hommes, la science aussi lui devra un souvenir.....» Pourquoi donc
conde d’où doivent découler les résultats les plus importants pour la science . Il doit,j’en suis convaincu, non-seulement ouvri
49 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
ieuses qu'il avait depuis longtemps amassé est à jamais perdu pour la science . Je n'ai point eu, en écrivant ce second volume,
i, peut-être paraîtrai-je avoir à mon tour payé mon tribut à la noble science de la psychologie. Qu'il me soit permis de reme
ipales qui sont traitées dans cet ouvrage. Enfin, M. Lelut, auquel la science du système nerveux doit tant de belles découverte
a moelle épinière. L'Institut, t. XX, p. 272.— R. Wagner. Société des sciences de Gottingue, 16 janvier 1854. les arcs nerveux
iences de M. Flourens, M. Marshall-Hall a rendu un grand service à la science ; en effet, l'automate est excité, il ne sent poin
s cordons antérieurs exclusivement moteurs ; ceci demeure acquis à la science . Ainsi les faits nouvellement aperçus ajoutent au
cellules multipolaires, il y a entre les fibres des (t) Société des sciences de Gœttingue, 16janvier 1854. commissure, au cô
st pas là le moindre service que ce célèbre anatomiste ait rendu à la science du système nerveux. elle. Sa figure se rapproch
niers temps (1) s'est préoccupé de ces sophismes qui font souvent des sciences une tour de Babel. Il a défini le sens précis du
Troisième mémoire sur les circonvolu~ lions du cerveau, dans Ann. des Sciences wi, 4e série, lorn. Ill, page 83, 2° Plis de la
sation cérébrale. Ce fait est l'un des mieux constatés que possède la science . Dans un cas de ce genre (1), les corps striés, l
r, à cet égard, des doutes sérieux. Pour ceux qui se décident dans la science en recueillant des voix pour telle ou telle opini
gine de ces fibres? Il y a, à cet égard, plusieurs hypothèses dans la science . La première, l'une des plus anciennes du moins
ociété Philomathique, 13 mai 1854. — Comptes rendus de l'Académie des sciences , même année. — Même recueil, séance du 2 juillet
pent, que si le problème pouvait être résolu par les procédés dont la science actuelle dispose, il le serait bientôt d'une mani
e simple remarque renverse bien des théories qui ont eu cours dans la science , et dont la domination est encore à peine contest
ux opinions que les travaux de Tiedemann avaient popularisées dans la science . Cependant, tout en demeurant, quant à sa masse
s-le sans hésiter, sans ces abstractions hardies il n'y aurait pas de science possible en histoire naturelle. Ces larges formul
es analogies, mais gardons-nous de négliger les différences; la vraie science , en élevant dans les cieux ses archétypes, doit s
s races comparées entre elles! Est-ce là une méthode, est-ce là de la science (1)? Nous croyons, pour notre compte, que ces q
nces firent connaître au inonde savant un fait sans précédent dans la science : c'est que les hémisphères cérébraux étant détru
s sourd, mais absolument dépourvu (1) Mémoires lus à l'Académie des sciences en 1822 et 1823. —M. Flourens divisa la moelle ép
nsibles. Etiam hic nihil in partibus (1) Marshall-Hall. Annales des sciences naturelles, deuxième série, t. VII. (2) M. Flou
zoonite peut renaître un animal entier. M. Moquin Tandon, auquel la science doit un beau travail sur la famille des Hirudinée
rveux dans les animaux articulés (Bulletin de la Société vaudoise des sciences naturelles, t. V. n°39, et le travail récent de F
se rétablir complètement, tandis que la (1 Joum. complémentaire des sciences médicales. T. XXX, gp. 129. paralysie qui suit
lles le conduisirent tout d'abord à cette conclusion nouvelle dans la science que le cervelet coordonne les mouvements qui ont
Flourens, lorsqu'une découverte inattendue et sans précédent dans la science vint donner à ces démonstrations plus d'étendue e
oir que la théorie des résultats qu'il annonce est, dans l'état de la science , incertaine et obscure; les faits ne s'accordent
ès de Démocrite et d'Empédocle. En vain Willis affirme-t-il que toute science chez les animaux est automatique ; en vain fait-i
i l'idée de moi-même. Mais si je suis Dieu, comment se fait-il que ma science ait des bornes? Comment quelque chose m'est-il ét
e des sons. De là, l'arbitraire et la diversité des langues, de là la science de la signification des mots. Science que tout ho
diversité des langues, de là la science de la signification des mots. Science que tout homme a besoin d'acquérir, et qu'il ne r
e avec l'infini. Cependant, en même temps qu'elle est une source de science et de vérité, la vue a ses illusions et ses erreu
les les couleurs sont indiquées un sens déterminé. C'est là, pour les sciences naturelles en particulier, un résultat immense et
ent; d'où résulte une double sensation, une double action, une double science . 11 est hors de doute que les animaux imaginent
re. Essai de psychologie, c. xi. — Les commissaires de la Société des Sciences physiques de Lausanne concluaient dans le même se
s préoccupés que M. Macario, reproduisant l'opinion de la Société des Sciences de Lausanne, les compare. Toutefois, il faut qu'i
emier de sa classe. Cf. Sauvages de la Croix. Mémoires de l'Acad. des Sciences , 1742, p. 400. leuse et effrayante que cette do
ères l'une à l'autre dans un même sujet, et, dans l'état actuel de la science et de la philosophie, qui pourrait aborder la sol
Biran, Nouvelles considérations sur le sommeil. — Lelut, Diction, des sciences philosophiques, art. Sommeil.—Albert Lemoine, Du
vreul, pensant avec une haute raison que la vérité seule profite à la science , a bien voulu m'autoriser à raconter de nouveau c
» Le docteur Parent a fait connaître dans le grand Dictionnaire des sciences médicales un fait aussi curieux qu'inexplicable d
mes sans l'entreprise d'au- (1) Bacon. Dignité et accroissement des sciences . Liv. IV, chap. Cette aptitude naturelle a été co
her que l'âme ne soit parfois illuminée par les rayonnements de cette science à qui rien n'est caché? Mais tous ces systèmes se
e qu'il est à peu près impossible de décider dans l'état actuel de la science . Les extatiques sont-ils, comme on l'imagine so
son enfant. Mon ami, M. le docteur Archambault, a lu à la Société des Sciences médicales, plusieurs observations où sont consign
e docteur Gromier, de Lyon, accepte ces faits, et ne pense pas que la science des somnambules aille au delà. Il cite des faits
ultes ; cette malheureuse tendance a longtemps arrêté les progrès des sciences naturelles ; le monde visible est le domaine des-
-elle restée sans réponse? Une expérience faite devant l'Académie des sciences , dit M. Bersot(l), déciderait tout; mais ces expé
èce a ses habitudes propres et invariables. Ici rien ne change; cette science innée, qui n'a rien reçu de l'éducation, ne grand
le, et tandis que les instincts se transmettent par la génération, la science acquise par l'intelligence demeure personnelle et
r une méthode si sûre, que chacun de ses pas a été un progrès pour la science . gage intérieur; il est donc fort difficile de
me une foule d'actions admirablement enchaînées, coordonnées avec une science suprême, qui s'accomplissent cependant à son insu
de courir. Rien n'était plus comique que sa colère de (1) Ann. des sciences naturelles, première série, t. XXII, p. 399. (2
'apprennent rien de leurs pareils. Quelle est donc cette singulière science , qui s'improvise en quelque sorte, et demeure inc
s facile de s'en faire une idée bien claire. Chose remarquable! cette science , que l'animal ne communique point socialement, pe
ur les espèces domestiques. 11 paraît d'ailleurs que ces éclairs de science qui étincellent çà et là chez les animaux n'embra
n'embrassent pas tous les faits analogues, mais des cas exclusifs. La science des bêtes a un caractère local, et, dans d'autres
ant et la perd. N'est-ce pas quelque chose d'incompréhensible, qu'une science qui ne domine qu'un seul fait? Rien ne prouve mie
on elle est vide. L'instinct, au contraire, à son heure, sait tout de science infuse ; (1) Amusement philosophique sur le lan
point. Rien ne change dans cette monotone république des bêtes; leur science se transmet, non par le langage, non par la raiso
t trop rapides et trop rares pour illuminer le domaine si vaste de la science . § 4. Du langage de l'homme. On peut distingu
re en faire ouvrir une autre. On dérouterait probablement toute cette science en transposant à droite une sonnette placée à gau
50 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
démence ; par Joseph SHaw ? *' 130LTON (Tlie-Jouî-12(il oflieîital Science , Avril 1901). ` ' ' e L'auteur conclut : 1° que
; par \V. Ford ROBEUTSON et Jales MACDONALD (The Journal of Mental Science , Avril 1901). , Les auteurs décrivent avec so
y. VI. Le sens musculaire; par John RFID. (Tite Journal of'mental Science , juillet 1901.) ' On a soutenu à propos du sens
divers groupes des maladies familiales actuellement admises dans la science . Dans l'article « Nystagmus » publié dans le Di
viennent apporter la lumière sur ces parties encore obscures de la science médi- cale. 1 RECUEIL DE .FAITS. Note sur u
ortance immense doivent s'incliner tous les hommes ayant assez de science pour savoir, ayant assez d'intelligence pour com-
e la toxémie; par SirDvcE DucrwoRTa. ( L7ee .Toacravl o/' llelctcal Science , Avril 1901). L'auteur passe en revue les div
de gliome du cerveau; par W.-J.-A. Erskïne. (The Journal of Mental Science , juillet 1901). Observation : Femme de vingt-ci
fracture spontanée : par Herbert SIIICER. (Tlte ' Journal of Mental Science , octobre 1901.) Il s'agit d'une fracture du fém
'idiotie syphilitique par L. HARRis Liston; (Tite Journul of Mental Science , octobre 1901). Obs. 1. Femme de vingt-sept ans
mélan- colie aiguë ; par Arthur W. Wilcox. (The Journal of Mental Science , avril 1901.) Après un court historique du suje
s le Pays de Galles; par lt.-S. S'rEw,l1'r. (Tite Journal of Mental Science , janvier 1901.) A l'aide de chiffres et de tabl
e peu ordinaire ; par 13.-R. LE>;Pl : n. (Tlte Journal of Mental Science , octobre 1901.) loi REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
.-F. Beadles, par le professeur M. Benedikt. (The Journal of Mental Science , juillet 1901.) M. Benedikt a lu avec d'autan
; par J.-M.-S. Wood et A.-ri. Urquiiart. (1'lve Journal o/' Mental Science , octobre 1901.) Il faudrait pour donner une idé
. 'I 11 1 Une section du programme avait pour objet a l'étude de la science des rapports du physique et du moral ». Dans
out un riche héritage de traditions et de labeur. Le flambeau de la science , pris des mains de nos maîtres et qui nous a éc
et il a de l'incontinence nocturne d'urines. ' Il existe dans la science un certain nombre de cas analogues (Trélat et l
q Trépier. Article Mamelles (physiologie). In Diction encyclop. des sciences médicales, p. 379. ' Depaul et Guénot. Article
' Depaul et Guénot. Article Menstruation. In diction, encycl. des sciences médicales, p. 682. L HYSTERIE DE SAINTE THERESE
s travaux. Notre ville, qui s'honore d'avoir en tous temps aimé les sciences , les lettres et les arts, a donné à la science
tous temps aimé les sciences, les lettres et les arts, a donné à la science médicale des noms illustres. Permettez-moi de c
alpables sont les sources intarissables de tout art, comme de toute science et de toute philosophie. J'ajoute que, nulle pa
se. Aussi par cela seul que vous aviez fait de la psychologie une science biologique, vous avez commencé à apporter de l'or
quelques audacieux, rejetées jusqu'ici comme n'appartenant pas à la science orthodoxe, admises enfin aux honneurs de l'expé
naturel dans la nature et d'avoir fait péné- trer les clartés de la science dans ce qu'on nommait, hier encore, le domaine
ère, un coreligionnaire, car vous avez, comme eux, le culte de la Science libératrice. L'Université de Grenoble, qui est he
nt ! Je voudrais maintenant que, par un de ces prodiges auxquels la science nous habitue aujourd'hui, ces murs puissent conse
inte de vos paroles; je voudrais que tous ceux qui, en dehors de la science , s'intéressent, par profession, à la chose pu-
om- mes, puissent prendre ici des leçons. A l'heure où toutes les sciences se préoccupent de leur utilité sociale, la méde
e jugement de Leibnitz, par lequel je veux terminer : « Le rôle des sciences est de bâtir des systèmes d'une connais- « sanc
cin-directeur de la maison de santé de Castel d'Andorte, docteur es sciences , rapporteur. Au cours de ces dernières années,
s assises consacrées à l'étude des intérêts les plus éle- vés de la science et de l'humanité. 11 ne s'agit pas d'établir la s
domaine autrefois obscur une vive lumière. Et là comme partout, la science a fait oeuvre de bonté : -. elle a brisé les ch
traitement et plus de pitié, telle est l'oeuvre bienfaisante de la science médi- cale partout où elle passe. Krafft-Ebin
de la raison, plus nous les croyons ». Ces mots, négation de toute science , ennemis de tout progrès, furent les mots d'ord
ls d'instruction ; au xxe siècle il faut croire seulement ce que la science et la raison nous enseignent ; la raison et la
nt ce que la science et la raison nous enseignent ; la raison et la science doivent prendre la place de toutes les folies r
de ses plus labo- rieux élèves. Il lève son verre au progrès de la science médicale et au développement de l'assistance.
au Congrès de 1901 de V Association française pour l'avancement des sciences , apportent un appui important à la créa- tion,
ir ces rapports, les moyens d'observation employés par les diverses sciences sont différents, mais nous ne pourrons considér
entre deux faits comme parfaitement établi que lorsque les diverses sciences dont relève ce rapport donne des résultats conc
ent des maladies mentales; par W.-R. Dawsuy. (The Journal of Mental Science , octobre 1901.) Les conclusions de ce travail s
se dans les asiles; par Lionel A. WEATUËRLY. (The Journal of Mental Science , janvier 1901.) Ce travail est lui-même une ana
ment des troubles mentaux; par G. H. S1YAGE. (The Journal of Mental Science , Avril 1901.) - - L'auteur estime que l'on ab
la bonne fortune d'avoir pour maitre Reuaudin, qui avait fait de la science médico-administrative son étude de prédilection
ommés dans la section de chirurgie et Léon Coze dans la section des sciences accessoires. En 1858, il la suite d'un rapport
cet ouvrage n'ait pu être traduit, il a pourtant, à l'époque où la science française projetait sur le monde entier un glor
t de ce livre : « Cet ouvrage constitue le premier inventaire de la science psychiatrique, dont il constate les richesses e
rateur. Leur ensemble forme un véri- table traité de médecine et de science médico-administrative, tou- jours utile à consu
e double intracrânien ; par B. Henry Sii.%w. (The Journal of Mental Science , juillet 1901.) Observation : Femme de cinquant
nettement 508 8 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tranchées, que la science moderne a cessé d'admettre à cause de la solida
titue la démence. 13. nE \fuscn.wE CLnr. XI. L'état présent de la science mentale (le premier d'une série de mémoires qui
de soixante-huit cas ; par George-A. Rorie (1'lac Joumzul of Mental Science , Avril 1901). Les conclusions générales de l'au
: revue critique ; par W.-H.-B. STODD : 1RT. (The Journal of Mental Science , juillet 4901.) Les conclusions de cet intéress
(de Prague), traduction de James lIIDDLEUss. (The Journal ol mental Science , juillet 1901.) Travail renfermant plusieurs ob
écutive à la chorée : par Rotusay G. SrEWART (The Journal of Mental Science . Juillet 1901). L'un de ces cas s'est terminé p
comparée pour l'Irlande ; par Thomas Drapes (Tite Journal of Mental Science . Octobre 1')01). C'est une question très import
pathologie mentale, par liam W. Ireland (7'/te Journal Of3lel2l(tl Science , janvier 1901). - Friedrieli Nietzche descendai
ecture; mais son état s'améliora et il conçut le plan d'étudier les sciences naturelles. 526 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
ns, leur pathologie; par Alex. 11013LeRTSON. (The Journal of Mental Science . Avril 1901.) L'auteur a pu rassembler 15 cas b
, promu à la ire classe du cadre. Nécrologie. 7'/m./OM)'n. of ment. Science d'octobre annonce la mort du De G. 1111crr.i ?
lliilipl)e, Cestan et Oboi tlitir, 361. Scuoefer. Voir Réflexe. Science mentale. L'état présent de la -, par llollaucle
51 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
õãø\\ø% õ\ø, L'Auteur. AVANT-PROPOS. Il est dangereux, dans les sciences , de conclure trop vite. Quand on raisonne d'après
he d'une question importante, mais insoluble dans l'état actuel de la science , celle de la détermination des plis cérébraux hom
age de reconnaissance à la bienveillance avec laquelle mes maîtres en science ont accueilli ce travail. Il m'a été rendu facile
ement cérébral dans les différentes races soit un procédé digne de la science actuelle. Je ne sais si je me trompe ; mais le tr
de départ d'aucune description méthodique. Tous les progrès que la science a faits sur ce point, dans ces derniers temps, da
es choses qu'il a si bien copiées, en sorte qu'il n'a fait faire à la science aucun pas essentiel. Peu de mois après M. Arnol
age de M. le docteur Foville, l'exactitude, la clarté et la véritable science des descriptions anatomiques. (Foville, Traité co
apports. Lorsque ce Mémoire fut présenté, en 1850, à l'Académie des sciences , je n'avais pu étudier que le cerveau de VEntelle
différences. A l'époque où ce mémoire fut présenté à l'Académie des sciences , la collection du muséum ne possédait qu'une seul
de la Malle, Mémoire sur le grand Gorille du Gabon, dans les Ann. des sciences naturelles 3' série, tome XVI, 1851. vernoy. Il
eçon de M. Baillarger sur l'idiotie. Ce célèbre psychiatre, auquel la science doit de belles découvertes, montra, en effet, un
dessiner ce curieux cerveau, afin d'en enrichir mon ouvrage; mais la science n'y perdra rien, M. l'élève interne dont j'ai par
egrés divers chez certaines races, une aspiration perpétuelle vers la science depuis le commencement des âges connus. Accablées
ar des fulgurations perpétuelles ; il y a en elles une soif, innée de science , d'art et de liberté, qui ouvre leur esprit à tou
duquel l'histoire de l'Homme et des animaux échappe au domaine de la science ? Quant aux conséquences désastreuses pour la mo
ue la force aide la faiblesse, que le voyant dirige l'aveugle, que la science guide l'imbécillité. La loi d'humanité, qui protè
du genre. Dès lors les divisions arbitraires disparaîtraient de la science , et les systèmes deviendraient l'expression et, s
nde voie, M. Chevreul a élevé la botanique et la zoologie au rang des sciences expérimentales. Ce uest pas là seulement perfecti
es sciences expérimentales. Ce uest pas là seulement perfectionner la science ; la perfectionner de cette façon, c'est véritable
rès la même. Ces faits sont un puissant argument contre cette vaine science de la Phrénologie. Qu'un phrénologiste promène se
présentées a quelque chose de séduisant pour l'imagination ; mais la science ne grandit point par les imaginations des philoso
ules bien faits. De grandes collections de ce genre auraient, pour la science , des résultats certains ; elles permettraient d'é
52 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de découverte le contenu des idées morbides est tiré du domaine des sciences pratiques et théoriques. Sans doute, plus le dé
a lecture de ses composi- tions, démontrent que son savoir dans les sciences physiques est très faible et qu'il n'en connaît
me, et toutes les sensations comme des modifications du toucher. La science a démontré depuis que les différents organes de
voir, bien des faits qui chaque jour prennent droit de cité dans la science . Ainsi Golgi n'admet pas l'existence de cellule
N ; par MM. T.-S. Clouston ET J. BATTY TUKE. (The Journal of Mental Science , octobre 1895.) Opinion de M. Clouston. L'aut
; par le professeur L. MEYER (de Gottingen). (The Journal of Mental Science , avril 1896.) Il y a plus de trente-cinq ans qu
UITES CHEZ DEUX opérés ; par TELFORD-SMiTII. (The Journal of Mental Science , janvier 1896.) Lorsque Lannelongue publia le
AL de l'idiotie ; par G.-E. SfIUTTLE- WORTH. (The Journal of Mental Science , janvier 1896.) Les conclusions de l'auteur son
tement cuez LES aliénés ; par P. MAURY DEAS. (The journal of Mental Science , janvier 1896.) L'auteur déclare tout d'abord q
atiques DES aliénés; par EDWARD D. 0' NEILL. (The Journal of Mental Science , avril 1896.) L'auteur estime qu'il y a toutes
a folie épileptique; par J. H. 'l'ULL VLS11. (The Journal of Mental Science . Avril 1896.) - Ce travail est accompagné de di
r étu- dier de préférence les nouveaux agents que les progrès de la science ont mis récemment à notre disposition. Parmi ce
stes consécutifs à la lésion primitive. 3° Dans l'état actuel de la science et de notre expérience, les cas qui relèvent d'
CÉE DES aliénés malades; par A. R. TURNBULL. (The Journal of mental Science , ' octobre 1895.) - L'auteur s'est proposé da
SÉRIE DE soixante cas; par LEWIS-C. BRUCE. (1'he Journal of mental Science , octobre 1895.) . .Nous avons analysé à cette p
ENT A LE penser; par T ? 1. CH.11')1 : 1N. (1'lte Journal of mental Science , janvier 1896.) L'auteur résume son opinion s
cas de gangrène spontanée; par W.-B.MoRTON. (The Journal of mental Science , janvier 1896.) Malgré l'abaissement du taux de
mour, étude sur L'ARIOSTE, par 11. Kornfeld. (The Journal of mental Science , octobre 1895.) L'auteur se livre à une intéres
CONDUITE; par Geo. H. Savage et C. Mercier. (The Journal of Mental Science , janvier 1896.) Les deux auteurs relatent succe
E folie traumatique; par Thomas Pmup C01VAN. (The Journal of Mental Science , janvier 1896.) Ce travail renferme cinq observ
rapports avec la folie; par W. H. R. RivERs. (The Journal of Mental Science , octobre 1894.) Travail intéressant dans lequ
cérales chez l'homme sain; par Henry HEAD. (Tfec Jourlaal of Mental Science , janvier 1896.) Parmi ces états, il en est qui
es survenues chez DES aliénés ; par J. KEAY. (The Journal of Mental Science , avril 1896.) L'auteur rapporte d'abord une o
DE manie RÉCURRENTE ; par John G. HAYELOCK. (The Journal of Mental Science , octobre 1896.) Le sujet de cette curieuse obse
U diabète avec la folie; par C. Hubert Bond. (The Journal of Mental Science , janvier 1896.) Les conclusions de ce travail
es somatiques; par Ernest Septimus REYNOLDS. (The Journal of mental Science , janvier 1896.) L'auteur est amené par de nombr
autre part il importe que les aliénistes aient quelques notions des sciences juri- diques. En outre bien des points de la lé
25 et zig JUILLET 1g95; par David NicoLSON. (The Journal of Mental Science , octobre 1895.) L'orateur a lui-même résumé son
ne minorité de criminels, tout comme il refuserait d'appliquer à la science de l'homme en général la dénomination d'anthropol
ET SES biographes ; par William-W. IRELAND. (The Journal of Mental Science , juillet et octobre 1896.) Dans unelongueet int
s, 1894. Croouian Lecture, faite le 8 mars 1894. Revue générale des sciences , 15 mars 1894, p. 141-155. - Cf. Pro- ceedinfls
ve qu'elle soutient pour l'expli- cation mécanique de la pensée, la science ne doit point perdre courage : ce qui distingue
à l'origine des cellules de Deiters, Weigert adopte les idées de la science de son temps sur la phylogénie et l'ontogénie d
OUVERTURE DE la discussion; par H. MAUDSLEY. (The Journal of Mental Science , octobre 1895.) M. Maudsley a ouvert cette disc
n'en sont pas moins restés enclins à croire ou qu'il n'y a pas de science médicale exacte, ou qu'il n'y a pas d'honnêteté m
NTS ; par A. WOOD- RENTON et D. YELLOR-LRES. (The Journal of Mental Science , jan- vier 1896.) Dans ce double travail M. W
DE médecine légale ; par 130N'ILLG li. Fox. (The Journal of Mental Science , janvier 1890.) Ce cas s'ajoute aux cas déjà tr
dans L1 MALA- DIE DE Graves; par A. IIAUDE. (The Journal of Mental Science , janvier 1896.) Bien que la littérature médic
ent des aliénés à l'asile de Tokio est conforme aux principes de la science moderne. L'asile possède un laboratoire d'histolo
la criminalité. Rapporteur : M. le or Camille Moreau, docteur ès sciences naturelles, médecin-légiste à Charleroi. Le Com
prix est décerné à M. RApii%EL Aubois, professeur à la Faculté des sciences de Lyon, pour son Etude sur le mécanisme de la
dans la psychiatrie. Ce courant, qui a envahi toutes les régions de sciences , qui sont en rapport direct ou indirect avec l'ét
ce qui explique le grand nombre de recherches qu'a produit cette science , depuis quelques années. Mais les variations ph
ire chez LES aliénés; par S 1MUEL EDCERLEY. (The JOll1'nal oOIental Science , juillet 4896.) L'auteur rapporte sept observat
l'asile du comté D'EsSEX; par JOIIn ToRNER. (The Journal of Mental Science , juillet 1896 .) 1 Etude très intéressante et
U. PSEUDO-PARALYSIE générale; par B. HYSLOP. (The Journal of Mental Science , avril 1896.) Bien qu'il se défende de vouloir
suicide; par E.-S. TALBOT et Havelock ELLIS. (The Journal of Mental Science , avril 1896.1 Cette observation concerne un hom
s : RÉCIT PERSONNEL DES phénomènes MORBIDES. (The Journal of Mental Science , avril 1896.) Ce récit a été écrit et envoyé au
phie 419 donc un ouvrage d'ensemble établissant l'état actuel de la science , en ce qui concernait cette intoxication. C'est
peut dire que la psy- chologie en est au point où se trouvaient les sciences biologiques avant Darwin. La psychologie scie
des difficultés, des dangers peut-être plus grands qu'aucune autre science : les vieilles superstitions, la phrénologle, la
mieux trempés, mais insuffisamment persuadés du plein pouvoir de la science dans sa nudité et sa simplicité. L'auteur a don
es études historiques beaucoup plus com- plètes que pour les autres sciences et comprenant toutes les philo- sophies, en mêm
pologie moderne, qui repré- sente peut-être, à l'heure actuelle, la science la plus touffue, la plus vaste, avec ses divisi
Alors que la chirurgie possède, dans le département spécial de la science médicale, un champ relativement limité, la psychi
pelle la tendance à l'intégration de toutes les spécialités dans la science médicale, tendance qui, à l'heure actuelle, est
. Ce n'est qn'en appelant à l'aide les différentes branches de la science médicale et les enseignements les plus récents de
de la protubérance, ont montré l'intégrité des tissus. (Société des Sciences médicales, Lyon.) LXVI. Anévrisme CIRSOÏDE DE l
hèse de l'ori- gine médullaire de la maladie de Pajet. (Société des Sciences médi- cales de Lyon.) Dr DEVan. LXVIII. DE La
53 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
ées 1. Dechambre. — Introduction au Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, p. xix. doivent se fondre dans ce mo
eaux horizons se sont ouverts pour nous, et que le point de vue de la science moderne s'est élevé en se déplaçant. Les précur
'interprétation des phénomènes morbides; est-ce à dire que ces deux sciences doivent absorber la pathologie et la dominer d'un
st là, pour ainsi dire, la matière de la médecine. L'intervention des sciences biologiques, — y compris les connaissances physic
ecine empirique. On peut désigner, en somme, par cette expression, la science considérée dans un état en-core imparfait et à l'
s reliés entre eux par une théorie physiologique i. « Le jour où la science , » a dit Requin, « serait parvenue » à la connais
que les agents » extérieurs produisent sur l'économie, ce jour-là, la science » serait faite 2. » Mais à l'heure qu'il est, la
cer de plus en plus dans les « ténèbres, et d'enchaîner l'essor de la science . En vain les « observations les plus délicates et
rises, ont exercé une si funeste influence sur le développement de la science ; le naturisme, le stahlianisme et toutes les for
soupçonnait même pas les véritables rapports de la biologie avec les sciences physi-ques. De tels écarts sont heureusement impo
équent des maladies spéciales. Sans accepter cette interprétation, la science moderne a pleinement confirmé la réalité du fait
s tou-jours négligée. Et ainsi, à mesure que le monde a vieilli, la science s'est successivement enrichie d'un nombre immense
ve consigné dans un des premiers articles du. grand Diction-naire des sciences médicales. Ce document, précieux à tant d'égards,
t pourquoi, sans doute, les chefs de l'école n'avaient rêvé pour leur science qu'un rôle relativement très modeste dans l'ensem
hysiologie spéculative ou con-templative des temps passés, mais de la science que nous ont faite les maîtres modernes, continua
e la physiologie, lorsque cela est possible, dans l'état actuel de la science . La méthode inverse, qui consisterait à partir de
avoir établi que la méthode empirique est le ves-tibule obligé de la science . Nous ne saurions jamais abandon-ner cette méthod
tion des procédés nouveaux, l'ob-servation clinique doit s'allier aux sciences générales et se rapprocher de plus en plus de la
ontentons-nous de répondre, avec un maî-tre honoré, que l'art sans la science ne tarde pas à dégénérer en routine 4. Le sceptic
ffira de vous rappeler la remarquable transformation qu'a subie cette science pendant le cours des vingt dernières années, dans
l'histolo-gie pathologique qui devait rester, pendant longtemps, une science presque exclusivement germanique. Messieurs, vo
de s'élever à côté de nous et qu'il fallait compter désormais avec la science d'outre-Rhin 1. Par une réaction bien naturelle
voisins, grisés par le succès, semblent persuadés que l'empire de la science leur appartient désormais. Il faut, messieurs, sa
li-tique que lui ont confié les électeurs de Rerlin, et abuser du mot science pour échauffer les têtes allemandes au profit d'u
'un patriotisme étroit 2. 11 n'est permis à personne d'oublier que la science n'est d'aucun pays, et n'appartient en propre à a
el ne pouvait songer à restreindre ses études à un point limité de la science . Des vues bien plus am-bitieuses s'étaient emparé
tous les nouveaux moyens d'investigation que pos-sède aujourd'hui la science , ont pleinement confirmé cette idée. Les immens
ieuses et souvent vraies qui lui assurent une place honorable dans la science . Une méthode entièrement opposée a inspiré les
mi nos contemporains des défenseurs dont le nom fait autorité dans la science . Ces dissentiments, messieurs, sont fondés en g
s essentiel-les entre l'esprit de l'ancienne médecine, et celui de la science contemporaine. Nous aborderons cette étude dans l
déclarée plus tard; et après avoir vainement invoqué les secours delà science régulière, le malade crut devoir s'adresser àl'ho
en authentiques pour corroborer l'utilité de ce traitement. Mais la science possède huit à dix observations dans lesquelles c
a physiologie moderne, au temps de Boerhaave, ne répondait guère à la science que nous connaissons aujour-d'hui sous ce nom: et
goutte. — Elle ne peut guère être for-mulée dans l'état actuel de la science . — Gullcn. — Découverte de Yacide lïthique (acide
sur l'estomac, et de l'estomac sur les jointures. Sous ce rapport, la science n'a certainement pas dit son dernier mot. Il me
e du rhumatisme qui doit être invoquée; car, dans l'état actuel de la science , nous ne connaissons aucun autre état diathésique
sauf dans quelques cas exceptionnels où la température 1. Aitken. — Science and practice of medicine, t. II. — Russel Reynold
élevée (au-tant que nous pouvons l'affirmer dans l'état actuel de la science ), la fièvre est moins intense; elle paraît plus e
ginaux de la question, et l'une des conquêtes les plus récentes de la science . On sait aujourd'hui que des corps mobiles peuv
résentées à votre es-prit. Nous ne saurions, dans l'état actuel de la science , y ré- pondre par une solution définitive, rigo
vations de goutte chronique, froide, asthénique, qui existent dans la science , il en est beaucoup qu'il faut considérer comme d
intéressant d'ailleurs, inséré dans Y American Journal of the médical Sciences (t. XL, 1860, p. 426), s'est refusé à y reconnaît
234; 5e édit. London, 1850), Bennet (Dublin quar-terly Journ. of med. science , t. XXXVII, 1864), ont rapporté des exemples de c
e zur Heilkunde, vol. I, p- 240) et Hammond(Amm'c m journal of medic. science , octobre 1850), l'alcool, et cela s'ap-plique san
éclarée plus tard, et après avoir vainement invoqué les secours de la science régulière, le malade crut devoir s'adresser à rho
d'hygiène, t. II, p. 306. 3. Ancien Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales. 1821. Charcot. OEuvr. compl. t. vu. Ma
athologie sénile n'en parlent pas. Parmi les faits disséminés dans la science , M. Charcot cite celui d'une femme de 83 ans, con
a goutte. — Elle ne peut guère être formulée dans l'état actuel de la science . — Cullen. — Découverte de l'acide lithique (acid
54 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
es principes, résumés dans une note adressée en 1847 à l'Académie des sciences , ont été développés et publiés dans les Archives
ogne). Mémoire et appareil présentés par M. Despretz à l'Académie des sciences en 1848. Recherches électro-physiologiques, pat
ues et thérapeutiques, ou série de mémoires adressés à l'Académie des sciences le 21 mai 1849, couronnés par l'Institut, dévelop
'aide de l'électrisation localisée. Mémoire présenté à l'Académie des sciences et à l'Académie de médecine, janvier 1850. Rech
la face. Mémoire adressé à l'Académie de médecine et à l'Académie des sciences , le 14 mars 1850. — Rapport de M. Bérard. Reche
s propriétés de la corde du tympan. Mémoire présenté à l'Académie des sciences et à l'Académie de médecine (Arch. gén. de méd.,
le pouce et les doigts de la main. Mémoire présenté à l'Académie des sciences et à l'Académie de médecine en février 1851 (Arch
par l'auteur conscience musculaire. Mémoire adressé à l'Académie des sciences et à l'Académie de médecine le 20 décembre 1853.
pathologique ; déductions pratiques. Mémoire adressé à l'Académie des sciences (Union médicale, 1855, p. 436 et 442). L'irrita
exercice des mouvements volontaires. Mémoire adressé à l'Académie des sciences en 1856, reproduit dans la précédente édition (de
jambe. Mémoire présenté à l'Académie de médecine et à l'Académie des sciences (Arch. gén. de méd., n0' de juin, juillet, décemb
x de la coordination des mouvements. Mémoire adressé à l'Académie des sciences et à l'Académie de médecine (Arch. gén. de méd.,
décrite. Mémoire adressé à l'Académie de médecine et à l'Académie des sciences (Arch. gén. de méd., septembre et octobre 1860).
ordinaire, bien qu'il n'offrît pas un grand intérêt de nouveauté. La science profonde de l'auteur, unie à ses connaissances pr
décider à présenter, dans le cours de l'année 1850, aux Académies des sciences et de médecine de Paris, une série de mémoires in
études classiques, on aurait tort de continuer à embrouiller ainsi la science de la vie, et surtout l'étude de l'expression de
en avoir abusé), et tant d'autres dont le génie était rehaussé par la science , nous montrent, dans leurs œuvres magnifiques, to
Si l'on ne savait le contraire, on ne manquerait pas de supposer une science anatoinique profonde aux maîtres qui les ont prod
ns qui trahissent le mouvement et donnent la vie aux membres! Cette science précieuse, indispensable chez tout artiste, la sc
mbres! Cette science précieuse, indispensable chez tout artiste, la science du modelé vivant, née seulement de l'observation
st du moins ce que l'expérience apprit plus tard. L'exagération de la science anatomique ne fut-elle pas en effet une des princ
la démonstration expérimentale seule peut les faire accepter dans la science . La photographie, aussi fidèle que le miroir, v
à traduire les grandes et nobles actions. Ainsi, tout en admirant la science du clair-obscur du Cara-vage, je ne puis aimer ce
55 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
athologie médicale de Requin, soit du Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales. Prenant autant que possible, pour base
dis resulting from typhus fever in the American Journal of the Medie. Sciences , juillet 1856). Bornons-nous à ajouter, pour ne p
he continued fevers of Great Britain, etc. (Monthly Journal of medic. sciences , octobre 1815, et Archives générales, 1S47, t. XI
, 1849). — 2° On typhoïd and typhus fevers {Monthly Journal of Medic. sciences , 1849). — 3° On the iden-lity or non identity of
a, peut-être, que quelques au-teurs (W. Sargent, Amer. Journ. of med. sciences , nouv. sé-rie, XIV, 532) ont signalé l'existence
ever hospital, Cork-Street, Dublin, et Dublin Quaterly Journ. of med. science , 1849, p. 64). Elles existaient au contraire asse
s sur63, par le docteur Bennet (Monthly Journal of medic. and surgic. science . Edinburg, 1848, t. VIII, p. 295). A Londres, la
émie ne présente à l'observation rien de nouveau, rien d'inconnu à la science ; point de forme uni-que, mais bien le genre typho
aissent, et surtout sans présenter des particularités in-connues à la science médicale. » Le typhus qui sévit aujourd'hui ne
. 1045). — Fi. Littré, Article Fièvre jaune du Répertoire général des sciences médicales, 1838, t. XVII, p. 271. — Monneret et F
, M. le docteur Guyon vient de mettre sous les yeux de l'Académie des sciences des peintures représentant les viscè-res abdomina
ait pas encore été signalée, et ce serait un nouveau fait acquis à la science par l'épidémie de Lisbonne (Gaz. hebd., 1858, n°
de vue de la nosologie, qui ne peut encore, dans l'état actuel de la science , être basée sur la nature intime des maladies.
ersonnes étrangères à la profession médicale et plus généralement aux sciences biologiques. 11 ne faut pas s'éton-ner, par consé
l'institution du prix Bréant 1. i. Comptes rendus de l'Académie des sciences , 1881, t, XCIX, p. 224. DEUXIÈME PARTIE Affec
e ces deux cas. Il en est de même à l'égard des centres nerveux. La science abonde en faits montrant que la section complète
if sera tiré de l'ordre patholo-gique. Il existe aujourd'hui, dans la science , des faits assez nombreux qui démontrent que des
e et générale dans le court espace de temps qui a été indiqué. » La science possède, sans doute, un bon nombre de faits qu'on
té primitivement recueillis par des écrivains étrangers à l'étude des sciences naturelles, et qui, dans leurs récits, ont peut-ê
fet, sont éga-lement contraires au progrès ; car si l'une encombre la science de faits et d'opinions sans valeur, l'autre tend
ns le tissu cellulaire du petit bassin. Cependant il n'existe dans la science qu'un assez petit nombre d'exemples de ces kystes
ite, consti-tuer une tumeur du petit bassin, n'est pas isolée dans la science . On lit, en effet, dans la Revue médicale de 1838
iques, séreux, sanguins, etc., je crois que, dans l'état actuel de la science , on ne peut y parvenir, à moins d'employer la pon
Les faits d'ulcères simples de l'estomac sont déjà nom-breux dans la science . Depuis que M. Cruveilhier a attiré l'at-tention
gis-sante [Médecine), et Expectation en médecine, du Dictionnaire des sciences médicales, articles qu'on doit à Pinel ; l'ouvrag
oir la prétention de tout dire, même sommairement. i. Dictionn. des sciences médicales, t. XIV, p. 247. Au premier rang des
t nous disposons aujourd'hui, il y a encore, dans l'état actuel de la science , et il y aura probablement toujours, un trop gran
elle interprétation il est permis de donner, dans l'état actuel de la science , aux phénomènes critiques ; de rechercher si ces
à la découverte du quinquina; et, assurément, dans ces archives de la science , la sagacité la plus commune discerne le plus ais
e la méthode expectante au traitement de la pneumonie. (Dictionn. des sciences méd., t. XIV, p. 251.) essais de M. Grisolle, e
sels d'argent les maladies i. Extrait du Dictionnaire encyclop. des sciences médicales, t. VI, p. 65. En collaboration avec M.
médication : mais le premier cas authentique d'argyrie que possède la science a été observé par Fourcroy. Le père de Butini, da
; celui que nous venons de citer est, jusqu'à présent, unique dans la science . C'est dans le corps muqueux de la peau que le
de nouvelles recherches, avant d'être définitivement acceptés dans la science . E. Angine de poitrine. — Les sels d'argent ont
cuit. H. Boerhaave. Bàle, 1745. — Fourcroy. Médecine éclairée par les sciences physiques, 1791, t. I. — Sims. Memoir of the Med.
Dict. de thérap., 1829, art. argent. — Brandes. Quarterly journal of sciences , 1831. — Lombard. Gazette médicale, Paris, 1832.
nnes. Montpellier et Paris, 1839. — Hudson. Dublin Journal of médical Science , 1840, t. XVII. — Thomson. American Journ. of med
56 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
contre-irritation : il succomba. (The Americn Journal of the médical sciences , oct. 1870, p. 378.) II. Diarrhée, avec seli.es
u sein est encore à trouver (the Du-blin quarterly Journal of médical science , 1871, n° Cil, p. 596). III. Thérapeutique du c
du malade ou bien à l'amphithéâtre. Simplicité, clarté, conviction, science amassée par un labeur de longues années, telle so
oy. Procee-dings Pathological Society, in American Journ. of the Med. Sciences , jul. 1866, p. 150-153). — M. S. Weir Mitchel n'a
surveiller les fonctions de la peau (the American Journal of the Med. Sciences , n° cxx, p. 440). II. Note sur la. tricoptilose
eur a suffi. Trop poétique pour nous, elle n'est pas du domaine de la science . Nous cherchons une cause plus tangible, et surto
fets du Hachisch. Dans le journal « the Dublin quarterly of médical Science » de 1847, nous trouvons un nouvel exemple très-d
te (Charlestown médi-cal Journ., 1855, et American Journ. of the med. Science , 1854). Voici le résumé d'un fait rapporté par
l'uréthro-tomie interne sont les seules qui, dans l'état actuel de la science , remplissent les indications que doit réclamer le
, une des plus importantes, résume convenablement l'état actuel de la science ; la division clas-sique des hernies est assez ne
te trace d'iode était effacée. (The Dublin quart. Journal of the med. Science , 1871, n°CIV, p. 272). b) Effets consécutifs. D
Parrot. — Le 10 juillet 1871, M. Parrot a communiqué à l'Académie des sciences , une série de recherches d'où il résulte que : «
on, par P. Bert. — Le 17 juillet 1871 M. Bert a fait à l'Académie des sciences une communication qui peut être ainsi résumée : «
MM. Gré-hant et Duquesnel, dans une note communiquée à Y Académie des sciences , établissent, par des expériences analogues à cel
t. — Le 24 juillet 1871, communication de M. Gréhant à l'Académie des sciences , établissant que « l'air comprimé arrête la circu
-teurs des tubes nerveux décrits précédemment par l'auteur (Acad. des sciences , 15nov.). XIII. Digitale et digitaline, par Gou
guéri. Voici un nouveau fait à ajouter à ceux qui existent dans la science à ce sujet.-—Leteinturier cite un paysan qui intr
n° 5.) L. E. Dupuy. BIBLIOGRAPHIE De l'influence du progrès des sciences sur la thérapeutique. — Étude des connaissances c
diteur. La thérapeutique doit emprunter des ressources à toutes les sciences ; la physiologie, la chimie, la physique, la méca
rogrès ont fait réaliser à l'art de guérir ces diverses bran-ches des sciences ? Quelles connaissances chimiques et pharmaceu-tiq
et quels insuccès peuvent résulter de l'ignorance des éléments de ces sciences , dites acces-soires. Nous ne pouvons analyser t
t aux causes d'erreur qui résultent de la connaissance incomplète des sciences dites acces-soires. Entrant dans le vif de la que
dissons donc aux efforts des praticiens qui suivent le cou-rant de la science . Travaillons, et la médecine française reprendra
arence du plus grand sérieux dans the American Journal of the medical Science (1828). Auto-risez-moi, je vous prie, à passer so
ent encore été qu'ébauchés. Rassembler ces divers faits épars dans la science , en y ajoutant quelques observations inédites, et
a résection. Dès lors l'attention était attirée sur ce point, et la science put enregistrer successivement les remarquables t
vessie; résection du col, par M. Waren (American Journ. of (lie med. Science , 1864.) Une femme de 66 ans présente un allonge
mémoire. A ce sujet, il a colligé les différents faits épars dans la science , en y ajoutant deux observations inédites dues à
travaux qui y seront apportés, toutes les sociétés officielles où la science et l'hygiène publique sont trop souvent sacrifiée
fera un devoir de coopérer dans sa sphère, afin que le prestige de la science française survive à la haine et à l'injustice de
ieillards de Durand-Fardel et dans le Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, (t. IX, p. 337), qui contient un artic
n des faits. Mais pour cela « il faut renoncer à l'alliance entre les sciences naturelles et les sciences morales, sous l'égide
« il faut renoncer à l'alliance entre les sciences naturelles et les sciences morales, sous l'égide de la métaphysique. » Disti
sique. » Distincts, comme les conçoit M. Loo-mans, ces deux ordres de sciences , s'il peut en être de deux ordres, sont nécessair
ifiantes, sont au contraire d'une réelle importance. Il faut avoir la science nécessaire et l'expérience voulue, aussi bien pou
t que posait également M. Becquerel dans son rapport à l'Académie des sciences . Eh bien, dans aucun des cas, ni dans des cas d'a
recherches calmes et sérieuses; mais, peut-être plus que toute autre science , elle doit reposer sur des notions exactes de phy
état puerpéral ? Grosse question agitée d'abord devant la Société des sciences médi-cales de Lyon2 au sujet d'une présentation f
ent que cela lui était possible, certains points encore obscurs de la science obstétricale. IX et X. De l'expression utérine
maligne) ; ou bien ne peuvent être dérivés, dans l'état actuel de la science , d'au-cune cause, d'aucune lésion, et sont pour l
herches de Holmes, si prématurément et si malheureusement enlevé à la science et à ses nombreux amis, auraient pu fournir à M.
ano (Anal, par A. de Montméja), 96. — De l'in-fluence des progrès des sciences sur la thérapeutique, par E. Derlon (Anal. G. Pel
57 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
Dès 1886, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , à Nancy, nous appelions l'attention sur la valeu
entive lecture du discours prononcé par M. Delbceuf, à l'Académie des sciences de Belgique, le 15 décembre 1894, je sens plus qu
suggestion hypnotique, c'est ce Polypsychisme que j'ai présenté à la science il y a quelque quarante ans, dont elle a fait des
e et le précipiter sur le banc infâme des criminels ! « La nouvelle science vient abattre le sot mépris et proscrire la hideu
résenter au Congrès 'de l'Association française pour l'avancement des sciences , MM. les Drs Bilhaut, Bouffé, Levassort et Bérill
t été transmise héréditairement et n'est pas couvre suggestive. Une science , nouvelle encore et qui compte peu de chercheurs,
oint au massage que dans le sens orthopédie manuelle, et encore cette science n'est-elle enseignée à aucun des élèves qui n'ont
matique chez l'enfant. Garbini, dans les mémoires de l'Académie des sciences de Vérone, a étudié expérimentalement si et de qu
points de vue, tant pratique que simplement spéculatif, peut avoir la science des caractères, c'est-à-dire la connaissance de l
des mœurs, des habitudes ; en un mot, la vie d'une personne. Celte science n'existe pas d'une manière absolue; de tous temps
humaine ont tendu à en établir les bases, mais on ne peut prévoir une science de l'individuel pas plus au point do vue psychiqu
it, mais sans chute à terre. X... passe l'examen du baccalauréat ès sciences complet; il est reçu à l'écrit et prépare l'oral.
principes au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences tenu à Nancy en 1886. Depuis lors, il a poursui
ahmanes, en effet, prêtres, conseiller des rajahs, dépositaires de la science et de la volonté divines, tirant de leur renom de
eau, d'un homme de caste noble, d'une vache ou du vent, perd toute sa science sacrée. » Il me serait facile de multiplier les
me semble le croire votre correspondant, sans doute peu versé dans la science hypnotique) en viendrait entièrement et prompteme
tendue. Illusions géométriques et optiques, perception du temps. La science de la connaissance — Action de l'imagination — Se
Comme on comprend qu'elle ait tenté cet esprit avide d'inconnu, notre science étonnamment complexe, plus féconde en surprises q
a physiologie ne suffisant plus, pourquoi n'aurait-on pas recours aux sciences physiques et naturelles, à la phrénologie. à la c
e. à la chiromancie ? Et voilà comment on descend graduellement de la science à l'empirisme vulgaire, si tant est que l'empiris
ez, me disait-il, fait rendre justice à un inconnu, à un homme que la science officielle a toujours tenu à l'écart ; c'est très
que le favorisé doit appartenir à la religion orthodoxe. C'est que la science a fait du chemin depuis vingt-cinq ans ! Je doute
ès d'un siècle, dominant les choses de la médecine, a imprimé à cette science une impulsion vraiment merveilleuse, sans que la
lle qui anime la merveilleuse machine des êtres vivants. C'est que la science ne s'arrête jamais ; c'est que les penseurs et le
en tirer des déductions basées sur des réalités. Et, à mesure que la science avance, le principe de l'unité des forces physiqu
re au Bien il faut le connaître, et toutes les vertus résultent de la science , comme tous les vices de l'ignorance. Sommes-
ant moins grande la part du libre-arbitre. Les faits rapportés par la science médicale sont venus accroître l'impulsion ; la sc
pportés par la science médicale sont venus accroître l'impulsion ; la science et la philosophie, dans des conclusions identique
i, une conférence des plus intéressantes sur la Sorcellerie devant la science . Avec une grande érudition, il a su faire saisir
s étaient normaux. • Et puis, je le répète, je ne connais pas dans la science un seul exemple de cécité survenant à la suit
principes au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , tenu à Nancy en 1886.» J'applaudis autant que
el intérêt et véritablement importante pour l'histoire de la nouvelle science ; et le Dr Bérillon, pour qui la littérature hypn
as encore subi l'épreuve de la vérification expérimentale. « Il n'y a science , disait Paul Bert dans l'un de ses cours, que là
-même et pour Charpignon (d'Orléans). Dans l'histoire de toutes les sciences des situations analogues se sont présentées : d'é
en 1887, au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , à Toulouse, dans une~ communication ayant pour t
uelle j'ai consacré de si longues heures. Je pense, comme lui, que la science ne peut progresser que par les faits bien observé
s affaire à un hystérique mâle, mais de plus à un cas nouveau dans la science , car je venais de découvrir le déterminisme des f
quent encore de la phraséologie scientifique. Mais tous nos livres de science pèchent par là. Pourquoi ne pas imiter le dix-hui
ous ces titres, l'hypnotisme a acquis droit de cité définitif dans la science médicale, et ce sera un grand honneur pour les mé
58 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
plante s'enfoncent et se ramifient chaque jour plus avant dans les sciences biologiques, d'où elle tire t Voy. Arch. de Neu
ns que celui de tous les événements de la nature. Il Ardigo. - La science expérimentale de la pensée. Leçon faite dans l'ai
bien avoir ouvert celle qui re- lie directement la psychologie, la science des fonctions du système nerveux, aux sciences
nt la psychologie, la science des fonctions du système nerveux, aux sciences physico-chimiques. On se rappelle, en France, l
ques aux phénomènes biologiques est sans restriction. Le domame des sciences physico-chimiques aujourd'hui comprend la biologi
rsonnes qui étaient présentes et qui obser- 1 American Journ. Dled. Sciences . April, 1874. / ' Archiv.. di. Psychiatrie, 188
'un de l'autre. Le fait que l'excitation du bord ' Am. Journ. nled. Sciences , nov. 1888. ' lin. Journ. j1M. Sciences, nov. 1
u bord ' Am. Journ. nled. Sciences, nov. 1888. ' lin. Journ. j1M. Sciences , nov. 1888, lied. Neu's" 24 nov. 1888. 76 PHY
aux sans aucun trouble visuel d'aucune sorte. - ' Amer. Jourt. Med. Science ) : , 1887, cas I. ' Ophthal. Soc. Nov. z, 1889.
usions (Monomanie) ; par Joseph Wigldsworth. (The Journal of Mental Science , Octobre 1888.) L'auteur résume lui-même très
, parturition, etc. ; par CAMPBBLL CLUtE. (The Jour- 2zal of Mental Science , Octobre 1888.) L'auteur rappelle d'abord que,
atre cas DE guérison; parS.-A.-K. STR\- han. (The Journal of Mental Science , juillet 1888.) Les cas où la folie chronique s
que dans deux cas rapportés par le Dr Franci (The journal of Mental Science , janvier 1887), la guérison avait pa- reillemen
liés aux fiançailles; par Geo.-H. z SivAGP. (The Journal of Mental Science . Octobre 1888.) M. Savage a été fréquemment con
nt une tumeur cérébrale , par G.-Il. SAVAGE. (The Journal of Mental Science . Juillet 1888.) Il s'agit d'un cas d'autant plu
Un singulier cas DE SUICIDE; par W.-B. TATE. (The Journal of Mental Science . Juillet, 1888.) La malade dont il s'agit était
HÈSE DES dégénérés ; par G,-T, REvi.GTO. (Thejolll'1 ! nl of Mental Science . Janvier, avril et juillet 1888.) . Nous ne p
pide, la folie à double forme et la folie communiquée. En outre, la science lui est encore redevable de deux autres progrès c
, de mettte e ces qualités si diverses au service de l'art et de la science en com- blant une lacune que lui avaient révélé
es leçons aux artistes. Il sait parfaitement, et pour cause, que la science n'a rien à apprendre à J'artiste sur la directi
trière, que son illustre fondateur a voulu aussi riche d'art que de science . Elle restera comme une preuve de ce que peuven
cience. Elle restera comme une preuve de ce que peuvent combinés la science et le talent : de ce fait elle est unique, car
ALIÉNÉS ET DES IDIOTS; par D. 13ACx KurE. (TlteJow ¡¡al o f dlenlal Science , juillet 1888.) Ce travail porte sur la répar
ES hôpitaux d'asiles; par Richard GRi : ENE. (The Journal of Mental Science , juillet 1888.) Travail intéressant dans lequel
« Aujourd'hui que, sous les noms de suggestion ou d'hypnotisme, la science accueille les faits, les contrôle, en recherche l
irable que nul ne se livrât à ces procédés que dans l'intérêt de la science ou de la santé du sujet. Mais où commencera le
l'Asile départemental du Doubs, membre honoraire de l'Académie des sciences , belles-lettres et arts de Besançon, prési- den
APHIQUE. Année Mcdic\le (L'), résumé des pi ogres réalisés dans les sciences médicales pendant l'année, publiée sous la dire
ant le travail de la con- traction musculaire. C. R. de l'Acad. des sciences , 1860, I, 471. Cf. Ar- chives générales de méde
la corrélation des forces, l'une des plus grandes ques- tions de la science moderne, et ces faits rattachent l'ani- mal, pa
s plus sim- ples, qu'un examen attentif peut révéler à notre con- science , et que l'expérimentation peut surprendre, dans
ui- valents chimiques, thermiques, mécaniques. La psychologie, la science des fonctions psychiques de la matière vivante,
a- pitre de la physique et de la chimie. Ces larges assises de la science future de l'esprit survivront sans doute à bien
és. Il rappelle l'évolution actuelle des idées qui porte toutes les sciences vers l'amélioration du sort des indigents. Co
Des hôpitaux d'asiles ; par Richard GREENE. (In Journal of Mental Science , juillet 1888.) Travail intéressant dans lequel
ES ALIÉNÉS INDI- GENTS ; par A.-R. TURNBULL. (The Journal of Mental science . Oc- tobre 1888.) L'auteur étudie successivem
RAPHIQUE. Année Médicale (L'), résumé des progrès réalisés dans les sciences médicales pendant l'année, publiée sous la dire
s et concluantes ont présenté à son sujet une note à l'Académie des sciences (18 mars 1889) et ont révélé les remar- quables
pense, celui de l'autre le forçant à l'économie. Représentant dé la science , celui-ci doit exiger ce qui doit contribuer au d
, car non seulement le directeur tue le médecin en tant qu'homme de science , en lui enlevant sa liberté d'esprit nécessaire
se prêteraient d'ailleurs à tous les classements conseillés par la science médicale, pouvant êtie allecté à la séquestrati
nt la négation de la justice, mais elles compromettraient encore la science des maladies mentales. Pour justifier la théori
ait-il vrai que la France, sous les rapports de l'humanité et de la science , restât en arrière des autres nations ? Conti-
bien qu'il soit parfaitement au courant des dernières données de la science neuropthologique, ne se borne pas à l'énoncé un
59 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique. Mais j'ai tâché du moins, si fatuité il y avait à aborder une science en laquelle j'é- tais si peu versé, à doubler m
faut être deux... et je suis un ! Ah que ne suis-je deux ! Comme la science sociologique s'éclairerait si l'Homme n'était p
ssance simultanée, parallèle et harmonique des deux co- êtres. En science naturelle on raisonne de ce que l'on sait à ce qu
ne sorte'd'observation. Con- cluons donc -qu'en l'état actuel de la science il y a lieu de croire que tous les organes médi
ie phylogénique. J'ai pu me convaincre que dans l'état actuel de la science zoologique, au- cune hypothèse n'est encore per
ellement del'inconciliabilité apparente entre les enseignements des sciences sociales et ceux des sciences biologiques. J'ai
apparente entre les enseignements des sciences sociales et ceux des sciences biologiques. J'ai cherché une doctrine qui me p
l se vante de connaître, outre la sociologie, « l'état actuel de la science zoologique »(p. 36), que sa trouvaille l'aide j
Dr Shan Bolton. par Alfred W. CA 111PBELL. (The Journal ouf mental Science , janvier 1907.) Ce travail a pour objet de réfu
t en cours de publication depuis deux ans dans le Journal of mental Science et n'est pas encore terminé. R. M. C. 'XI. Tume
pathologie de l'épilepsie ; par John TURNRR. (The Journal of mental Science , janvier 1907.) L'auteur fait connaître dans ce
eux, qui ont bien voulu apporter à la So- ciété le concours de leur science en la tenant au courant de leurs observations e
'il était classique jusqu'à notre époque de considé- rer comme deux sciences distinctes, doivent être réunies, au moins vari
utique d'un brocanteur. En 1889, Proust communique à l'Académie des sciences morales le cas d'un jeune homme condamné pour e
cine légale, 1`31 -- G \IINIEH, ibid., 1W î. 1'uou.;t. Académie des sciences mort. Archives, 0' série, 1907, l. IL 7 '.{8
our élever un asile d'aliénés mo- derne,digne de notre pays Mais la science n'a pas dit son der- nier mot et ce sont des ré
au moment de la prévolition. Cela ne la regarde pas... Et quand la science , sor- tant de son domaine, aboutit à de telles
d'une compensation et ceci ne doit pas être attribué aux hommes de science , mais à des experts-méde- cins corrompus qui ne
t justement observer M. Magnan au dixième Congrès international des sciences mé- dicales (Voir Semaine-Médicale, 1890, p. 29
scussion assez vive s'engage en effet entre lui et M. Sollier. La science suisse ne s'est pas montrée inférieure à la scien
M. Sollier. La science suisse ne s'est pas montrée inférieure à la science française, et le co-rapporLcur de M. Claude a s
nt ici dans la pleine conscience de leur mis- sion de charité et de science que nous devons nos encourage- ments et notre a
autorisent et délèguent quelque-sunes de leurs illustrations de la science ou quelques uns de leurs hauts fonctionnaires afi
te utilité de la collaboration internationale dans le domaine de la science et ont donné suite à l'invitation du gouverneme
c'est la représen- tati6n- synthétique de toutes les branches de la science qui s'oc- cupe de l'étude de la vie mentale, qu
le relève à la hauteur d'un fait historique dans les annales de la science . Car s'il est vrai que déjà aux différents cong
nt réussir à résoudre les questions difficiles que non seulement la science ,mais aussi la pratique de la vie et le législat
point de vue de la pra- tique et de l'application des leçons de la science , nous pourrons regarder la doctrine de l'assist
-t-il pas négligé sur le ter- rain pénitentiaire les conseils de la science psychologique. Les me- sures législatives, qui
mais aussi sur celui où se rencontrent les diverses branches de la science et leur application pratique. L'association Née
fructueux. Puissent vos travaux être profitables au pro- grès de la science , à l'intérêt de la société, à l'humanité souffran
ychiatrie : on doit pour l'étudier, adop- ter les méthodes de cette science , analyser les caractères psycho- logiques de ch
térique, si on la rattache au rétrécissement du champ de la con- science qui résulte de cette dissociation, on donne alors
de- mander votre concours. P. l3ltooaanrl. a consacré sa vieà la science , à son pays,à l'humanité ; il a été le type accom
exemple une statistique minutieuse, mais qui vaudra moins pour la science qu'une seule observation médicalement étudiée.
somanie, mutisme hystérique, etc. La pédagogie à l'avancement des sciences . 11. BÉRILLO\ résume les divers travaux présent
s pédagogie qu'il a présidée, à l'Association pour l'Avancement des Sciences (Reims, août 1907). Ces travaux ont trait aux suj
- tions innombrables et les confirmations puissantes tirées de sa science cartomantique. Par les cartes peut-être, et par
n et clignotement réflexes, par le Dr J. Sn- BRAZES (Gaz. hebd. des sciences méd. de Bordeaux, 2 juin). Un enfant arrêté dan
repos et le sommeil; par M. W. BEVAN Lewis. (Tlae Journal of mental Science , octo- bre 1906.) Travail très nourri de fait
Après avoir rappelé la vieille théorie utérine qui a régné dans la science depuis Hippocrate jusqu'à Landouzy, de Reims, le
ar le Dr E. Dupouy, de Saint-Cloud ; 1 vol. de 232 p. ; Libr. des sciences psychiques, Paris 1907.) Le but de cette intére
nd aux desideratas les plus moder- nes et les plus essentiels de la science psychiatrique, fait le plus grand honneur à la
concerne les pau- vres) ; par A. HELEN BoYLE.(The Journal of mental Science .oc- tobre 1905.) - L'objet de ce travail est
traitement du mal perforant plantaire; par M. TI IIEUTER, (Soc. des sciences médicales de Lyon, 14 nov. 1906.In Lyon med. 16
bilité, que j'ignore; elle suppose le problème résolu, alors que la science le pose ; elle s'accommode de l'unité des sanct
e dans les asiles exigent des garanties spéciales d'honnêteté et de science professionnelles. Ces garanties pourraient êtie
de la » Retreat» de York ; par BEVAN Lexis. (The Journal of mental Science , janvier 1907.) Dans ce discours l'auteur, en d
llc, p. 165. Voir Spasmes. Pédagogie. La - à l'avance- ment des sciences , par Béril- lnn, p. 307. Pellagre. Note sur l
60 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tion déterminée, et quand on considère que dans l'état actuel de la science les faisceaux vaso-moteurs qui se rendent au ce
aux tout jeunes entendants le premier vocabulaire, élément de toute science ; l'école doit suppléer ici au champ vaste et v
TION ; guérison; par Frédéric-P. IIE.RDER. (The Journal of Mental Science , janvier 1897.) Cette observation est curieuse
rannés qui sont fort en retard sur l'état relativement avancé de la science . M. Ëscuder se range à l'avis de ceux qui ont e
chose remarquable, à une époque où, pour les autres branches de la science médicale, c'est dans le domaine étiologique et
ie POST-OPLR.\TOWE; par J. Christian Simpson (The Journal of Mental Science . Janvier l8rJi.) M. Simpson rapporte d'abord l'
l'auto-infection mentale; par Il. KORNFELD. (The Journal of Mental Science . Janvier 1897.) Si l'on admet que toule modific
PENSION- NAIRES extérieurs; par J. BRESTER. (The Journal of Mental Science , Avril 1896.) On se préoccupe beaucoup en ce
e terminé par guérison; par A. E. PATTERSON. (The Journal of mental Science , janvier 1897.) Il a à noter dans cette observa
une durée de six ANS; par n. D. 110TBHIiIS. (The Journal of mental Science , juillet - 1896.) Au point de vue du diagnost
ISPA- RITION du sucre; par IEITH CAMPBELL. (The Journal of Mental Science , juillet 1896.) Chez la malade dont il s'agit l
es D'ANGLETERRE (1894-1895); par John BAKER. (The Journal of Mental Science , avril 1896.) On a dans ces derniers temps accu
ntale ET sa réparation; par W.-H.-R. RIVERS. (The Journal of Mental Science , juillet 1896.) 11. Rivers poursuit dans ce tra
URE delà névroglie; par W. FORD HOBERTSON. (The Journal of Mental Science . Janvier 1897.) On sait que Weigert, à l'aide d
meur du cerveau; par Ii'L8TCI ! 1\ B8.\CU. (The Jour- nal of Mental Science . Juillet 1896.) Garçon de six ans, né à terme,
noïde chez les aliénés, par W.-F. Robertson. (The Journal of Mental Science , octobre 1895.) L'auteur se propose de passer s
e odontoïde de l'axis ; par C. Hetheiungton. (The Journal of Mental Science . Janvier 1897.) Homme de trente-trois ans, en é
chez LES idiots; par`Valter Cl ! AN : \I"G. (The Journal of Mental Science . Jan- vier 1897.) Les conclusions de ce mémoi
aliénés dans LES asiles ; par J. MACPHERSON. (The journal of Mental Science , octobre 1896.) L'auteur relate l'évolution, en
VEC LES ALIÉNÉS ISOLÉS-, par A. WE.1TIIERLY. (The Journal of Mental Science , janvier 1896.) La loi anglaise sur les aliénés
ns LES asiles anglais ; par R. PERCY SuITII. (The Journal of Mental Science , janvier 1896.) Etude sur les conditions de lég
ereux accusés DC crimes ; par John CARSWELL. (The Journal of Mental Science , juillet 1896.) Nous ne faisons qu'indiquer ce
LE pays de Galles ; par G.-E. SUUTTLEWORTH. (The Journal of Mental Science , octobre 1895.) Nous redirons ici que les diffé
n 7 DE la LOI DE 1891 ; par E.-S. S'rEwAIIT. (The Journal of Mental Science , juillet 1890.) Nous indiquons simplement ce tr
année DE fonctionnement ; par Robert JoNas. (The Journal of Mental Science , janvier 1897.) Description intéressante, accom
ation mentale au COLORADO; par E. HOBLIOU9E. (The Journal of Mental Science , avril 1896.) Aux États-Unis chaque État, on le
UR la folie du nAscfuscH/par T.-S. CLOUSTON. (The Journal of Mental Science , octobre 1896.) Lorsque, en 1879, MM. Urquhar
laquelle il a consacré une si grande part de son activité et de sa science ; montrant avec netteté les caractères du mal et l
hodes. Cette méthode est basée sur la loi de Waller (Académie des sciences , 1852). * Après section d'un tube nerveux, le b
s en chef que de rester les subordonnés du médecin-directeur, et la science psychiatrique petit à petit qui a brillé chez n
met l'aliéniste dans l'obligation de renoncer à brève échéance à la science pure pour s'adonner à l'adminis- tration et dev
ubordonnés à ceux-ci, soigneraient les malades et s'occuperaient de science . Certai- nement avec une telle organisation qui
de suite, au grand détriment de la thérapeutique des aliénés, de la science et de l'avenir de la psychiatrie dans notre pay
; car adopté, il serait économique sans doute, mais funeste et à la science et, ce qui est plus grave, aux malades. Le Dur
italien, à s'assimiler tout ce qui se publie dans cette branche des sciences médicales, d'au- tant plus touffue qu'on n'est
omme. Du moins la pratique du médecin et du chirurgien profite à sa science , tandis que la clientèle ordinaire absorberait
ontré sin jus les etontca usé un réel préjudice aux malades et à la science mentale. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IX.
dances philosophiques, le second plus clinicien, ils ont enrichi la science d'acquisitions nombreuses et capitales, qu'ils po
périence ont seuls pu forger. Tant il est vrai que le progrès de la science n'est pas le fait d'une génération spontanée, m
oire des hommes; leurs oeuvres sont inscrites dans l'histoire de la science et aussi dans les .SOCIÉTÉS SAVANTES. , ,-il 1
grande et noble devise de la civilisation moderne : Progrès par la science , pour l'Humanité. » D'unanimes applaudissemen
foules, à sa gloire et à sa renommée, car les hommes passent, la science marche d'une poussée formidable, plongeant dans
et 24 juillet 1896; par W.-Julius lllcICLE. (The Journal of Mental Science , octobre 1896.) , Dans ce très long discours, q
progrès considérables réalisés depuis quelques années du côté de la science des maladies mentales et amélioré le trai- teme
cherches, je ne trouve pas un cas analogue qui soit signalé dans la science . Ce diabète, sans parler pour l'instant de sa n
tenu éloigné des centres intellectuels où s'agitent le monde et la science . Mais ceux de ses élèves devenus comme nous ses
où il a passé l'honneur de la profession médicale, l'honneur de la science mentale et de la solidarité humaine. Sa mort pr
al du système nerveux ? C'est, comme dans toute autre branche de la science , à la création de nouvelles méthodes. La méthod
à donner plus de poids à la doctrine qui paraît s'affermir, dans la science , sur le rôle accordé à cette circonvolution. Mi
infirmeries d'asile, par A.-R. TUR-,BULL. (The Jour- nal of Mental Science , octobre 1896.) Les points sur lesquels l'auteu
firmiers des asiles, par P.-W. MAC DONALD. (The Journal of lIlental Science , juillet 1896.) L'auteur s'est attaché dans cet
61 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dis- DES TRAUMATISMES DU CRANE. 7 tingués, récemment enlevé à la science , le regretté Dr Foville. Rendant compte du mémo
oyés jusqu'ici. » Verneuil (art. Commotion du Dict. encyclop. des Sciences méd.) donne une définition également vague, dan
me les premiers expérimentateurs qui ont inauguré de nos jours la science nouvelle des localisations cérébrales, comme Mu
la vision. Car, rappelant que- dans les cas ' C. R. de I'Àcad. des sciences , 10 juin 1878; Arch. de phys. norm. et pathol.,
présentèrent leur grand travail à l'Institut royal lom- bard des sciences et lettres, M. M. Duval avait indiqué la racine
ltz, dans son re- marquable travail 2 communiqué à l'Académie des sciences et basé sur de nombreuses expériences rela- tiv
enter le,type d'un asile de traitement, toutes les ressources de la science moderne ' et qu'ils en bénéficieront. Naturelle
ous trouvons dans le numéro de jan- vier de « The journal of mental science » l'historique de cet asile ce mis son origine,
se pose. Le trépan est d'autant plus indiqué qu'il existe dans la science des faits authentiques de guérison d'acci- dent
vaér. de méclec., 1879, p. 677. , °- Savage.- The Journal of mental Science , 1880. 3 Goodhart. Médical Time.9 and Gaz., 188
inisme occuring in England. 3 Fletcher Beach. The Journal of mental science , 1870, n" 2h . Riess. Bedinei' kt. Wochenschrif
barbe chez une femme; par Geo. H. SAVAGE. (The Journal of Mental Science , juillet 1886.) On sait comment certaines diffo
mac, avec commentaire; par C. S. W. CUBBOLU. (The Journal of mental Science , avril 1886). Cetle observation est relative à
ET DU système nerveux; par Alex. ROBERTSON. (The Journal of mental Science , juillet 1886.) L'auteur rapporte deux observat
énitale, avec remarques; par D. RACK 'l'UICE (The Journal of mental Science , octobre 1885). L'auteur rapporte avec soin l'o
NTAIRE AVEC PERSISTANCE ; par ERIC SINCLAIE. (The Journal of mental Science , avril 1886.) Il s'agit d'un homme, atteint de
e. Il pense que beaucoup de fugues in- conscientes relatées dans la science sous le nom d'épilepsie larvée sont des cas d'a
daise sur LES aliénés ; par CONOLLY y Norman (The Journal of Mental Science , janvier 1886). Cette étude de quelques points
UNE RÉCENTE visite A GHEEL; par D. RACK TUKE (The Journal of Mental Science , janvier 1886). La colonie de Gheel a été souve
au chiffre de 450 LITS; par C.-S.-W. COBDGLD (The Journal of Mental Science , janvier 1886). Ce plan est. très ingénieusemen
S asiles irlandais; par E. Mazière Couhtenay (The Journal of Mental Science , avril 1886). Dans ce travail qui contient plus
S asiles d'aliénés; par VilliaM-W. IRELAND (The Journal of Mental Science , juillet 1886). ' L'opinion de l'auteur, basée
ns anatomiques sur les cerveaux d'idiots. Congrès international des sciences médi- cales, 1878. Hammond. Maladies du systè
veau et la pensée, 1. Il, p. 90, 1882. .Plaxton. Journal of mentczl Science , p. 27, 1883. Herbert Mayor. Journal of mrzztul
of mentczl Science, p. 27, 1883. Herbert Mayor. Journal of mrzztul Science , p. 532, 1883. ' o Luys, - Structure de la subs
e pointe d'exagération à considérer cette conquête définitive de la science comme unique jusqu'ici dans la théorie des loca
ar François Franck Système nerveux. - Physiologie. Dictionnaire des sciences médicales de Dechambre, 2" série, XII, 577. Cf.
dans 1 François Franck. Système nerveux. Physiologie. Dictionn. des sciences médicales de Dechambre, p. 592 ; Leçons sur les
ctueuse compas- sion pour la faiblesse de sa logique, que tant de science n'a pu préserver des paralogismes et de l'aveug
lle. De l'idiotie myxrdematezc,se (Assoc. fu. pour l'avancement des sciences , séance du 11 août 1889; analyse dans le Progrès
L1 paralysie GÉNÉ- RALE; par Geo. H. SAmAGE. (The Journal of Mental Science , jan- vier 1886.) Tout le monde connaît l'hém
paralysie générale; par le Dr T. CURl5TI.\N. (The Journal of Mental science , jan- vier 1886.) Exposées au Congrès de Psyc
tique; DEUX observations; par Julius Mickle. (The Journal of Mental science , octobre 988ï.) Dans le premier de ces deux cas
ES sinus cérébraux; par Joseph WIGLESWORTII. (The Journal of Mental Science , octobre 1885.) . L'observation de ces deux cas
rois cas DE suffocation; par David WELSI ! . (The Journal of Mental Science , juillet 188G.) Ces trois cas sont intéressants
ES DE LA RESPIRATION ; par Julius 1111CIiLE. (The Journal of Mental science , avril ·1ti86.) La première forme que signale l
iété médico-psychologique, considérant que dans l'état actuel de la science , toute tentative à l'effet d'établir une classi-
itigée à raison de ce double courant chez un même malade. Plus la science progressera, plus nous arriverons, en chaque cas
résulte d'un travail de M. Henry Joly, communiqué à l'Académie des Sciences morales et politiques, que en moins de seize ans,
que parmi ceux qui n'ont connu en lui que le médecin ou l'homme de science . - M. le f)' Rota, ancien directeur de la maiso
62 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
numéros, un ou plusieurs articles des maîtres les plus estimés de la science ; des travaux sur les spécialités, sur la microgra
science; des travaux sur les spécialités, sur la micrographie et les sciences accessoires ; on y lit les observations des cas r
ire ce chapitre si court, tout entier, pour bien montrer l'état de la science sur les polypes du larynx en 1833. Voilà donc le
nostic des affections laryngiennes, ces illustres savants ont doté la science médicale ! C'est grâce à leur découverte que nous
rps gras, et l'usage des boissons diurétiques. ¥*m A l'Académie des sciences on s'occupe du goitre depuis quelque temps. Dans
récemment terminé ses travaux. M. Bouley a lu devant l'Académie des sciences le rapport de M. A. Sanson, d'où il résulte que l
onstances, exposer l'homme lui-même à de plus sérieux dangers. « La science possédait déjà plus d'un exemple d'accidents prod
st là une preuve nouvelle de l'intérêt considérable qu'il y a pour la science de l'hygiène, et pour la médecine légale elle-mêm
n des tissus qui les composent, le nom de névrômes plexiformes que la science a conservé depuis. Ces tumeurs ne sont pas des
comme dans l'exemple relaté par Find (The Dublin quart.) of the med. Sciences , 1858). bourneville. Cas de tératologie Un
stées; elles l'ont même été à tel degré que nul point peut-être de la science n'a été plus controversé. De tous côtés, des théo
en publiât le résultat de ses belles découvertes dans l'intérêt de la science et des malades. Nous avons repris dans ces dern
son livre : la première partie résume complètement l'état actuel delà science et l'exposé en est clair et concis, comme le lang
cette opération avant de l'avoir pratiquée (Dictionnaire encycl. des sciences méd.). J'engageai le malade à observer un silen
ation, une propreté minutieuse, une alimentation plus réparatrice. La science , chaque jour enrichie par de nouvelles découverte
température s'est élevée à 101° F. ou 38"33 C. (The Journal of mental Science , janv. i8f 8). DES HOPITAUX PLANCHE XXXI SYPH
naugurale et a résumé dans un remarquable travail l'état actuel de la science sur l'endocardite puerpérale et ses diverses form
s qui, au point de vue anatomique, sont parfaitement au courant de la science , nous fournissent de précieux renseignements thér
che, la physiologie d'Hermann résume complètement l'état actuel de la science et comporte une érudition profonde : c'est le com
e dans la physiologie d'Hermann. Donders plane dans des régions où la science elle-même se recueille, et ses écrits, d'une lect
................................ 15 Le goitre devant l'Académie des sciences ................... 16 Végétations monstrueuses
63 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
distribution. C'est à l'appui de ces points, bien connus déjà de la science des localisations, que nous apportons deux nouv
lication de notre Traité du diabète, où nous exposions l'état de la science sur cette question, l'histoire de l'acétonémie
folie sénile, AVEC remarques; par G. -H. Swage. (Journal of Mental Science . Juillet 1883.) Dans ce travail, auquel de brèv
A L'AGE DE quinze ans; par Joseph YIGLES1VURTH. (Journal Of Mental Science , juillet 1883.) L'observation de cette malade,
torisé à le faire remonter encore plus haut. Il existe déjà dans la science deux cas de paralysie générale à début exceptio
ces deux cas ont trait à des garçons ; le 1 Voy. Journal of Mental Science , tin, d'octobre 1877 et d'octobte 1881. 1. 94 R
apide, AVEC symptômes manuques ; par G. SAVAGE. (Journal of. Mental Science , juillet 1883.) 11 n'y a entre ces deux faits d
e conscience distincte. Il est impossible, dans l'état actuel de la science , de donner l'explication physiologique de ce fait
mentales, occupe enfin aujourd'hui le rang qui lui est dû parmi les sciences biologiques. Ce ne sera pas le moindre honneur
an, c'est l'histoire de l'homme. « J'ai pensé, dit l'auteur, que la science de l'homme devait rompre avec certaines croyanc
bué, nous n'avons été inspiré que par la seule étude de ce fait, la science ne nous fournissant aucun exemple d'une semblab
he Collège of Physicians Phila., March 7, 1866. Am. Journal àled. Science , 1866, IL, p. 413. · 3, 1871. W. W. 11EEN and \
ES OEUVRES D'AIIT; par Francis Warner. (The Joui-iza 1 of iliciital Science , avril 1884.) M. F. Warner poursuit depuis long
par le professeur A. HERZEN (de Lausanne). (Tite Journal of âlental Science , avril et'mai 1884.) Comme l'indique le Litre
année même, il lui envoyait un tirage à partduTouzwal of 3leizitil Science , avril 1885, du mémoire intitulé : On insanity
1 Gombault. Sur les lésions de la névrite alcoolique. (Acad. des sciences , 22 février 1SS6, p. 436 des comptes-rendus). - .
: Paralysie générale; parT. W. MAC DOWALL. (Tlze Journal of Mental Science , avril 1884.) Le cas est celui d'un homme de
'apoplexie séreuse ; par Joseph Wiglesworth. (The Journnl of menlul Science . Janvier 1883). - Nous résumons ici les réfle
ARTÈRES CÉDÉ- .; orales ; par JAUNIES SU.W. (The' Journal of Mental Science , juillet 1884.) . Femme de soixante-quatorze
xuelle chez un homme; par G.-H. ; SAVAGE. (The Journal o/'J7Mht< Science , octobre 1884.) ' L'observation peut se résumer
CATIOiN par le rictum; par 1V.-Juliu Mickle. (The Journal of Mental Science , avril 1881.) L'auteur ne se fait pa', dans son
s dans LES asiles d'aliénés; par James AD m. (The Journal of Mental Science , oc- tobre 1884.) L'auteur de ce mémoire se d
térines ET la folie; par Joseph WiGLESWORTH. (The Journal of Mental Science , janvier 1885.) Nous ne pouvons reproduire ici
PILEI'TIFORfES par W. E. R : 1'JiSDEN VVOOD. (The Journal of Mental Science . Octobre 1881). Il s'agit d'un homme de trente-
A UN traumatisme DE la 1tète; par H. RAYNER. (The Journal of mental Science . Octobre t8SH. Homme de vingt-six ans, voyageur
une seule famille; par Joseph Wiglesworth. (T/te Journal of Mental Science . Jamier 1885). Considérés isolément, ces cas qu
hologique. (Juillet 1884); par Il. Rayner : (Tlae Journul of Mental Science . Octobl e -1881). - Dans ce discours important,
stra- TION des asiles; par J.-A. Campbell. (The Journal of Mental Science , octobre 1883.) , . -L'auteur, pensant avec rai
démence aiguë; par J. V1GLESWOILTII. (Tiee JULlrJ2C11 Of llle72ta1 Science , octobre 1883.) o En se basant sur l'analyse
liénés ; par S. Ru- THERFORD A1.4CPII : 11L. (The Journal of Mental Science , octobre 4884 et janvier 1885.) . L'auteur cr
ns LES asiles d'aliénés ; par James IIONDEN. (The Journal of Mental Science , avril 1884.) z L'auteur expose tous les danger
es DE leur efficacité ; par T.-A. CHAPMAN (The Jour- 2zal of Mental Science , juillet 1884). L'auteur se basant sur les rele
ciée A la FOLIE; par S. RUTHERFORD Macphail. (The Journal of Mental Science , janvier 1885.) Cette observation rapportée a
atteintes DE MÊLANCO- LIE; par A.-F. Mickle. (The Journal of Mental Science , avril 1884.) L'auteur rapporte dans ce travail
MENT POUR cause DE folie; par D. YELLOWLRES. (The Journal of Mental Science , octobre 1883.) Il s'agit d'un soldat qui, re
que fut guérie la lésion due à l'opération. D'après Bern- hardt, la science contient actuellement dix-sept cas d'élongation
affections mentales ; par A. de Watteville. (The journal of Mental Science , janvier 1885.) .) , Avec la haute compétence q
iori : l'expérience n'a pas confirmé les premières; la marche de la science a renversé la base sur laquelle s'appuyaient le
ire revivre d'anciens souvenirs his- toriques et montrer combien la science , employée avec méthode, est précieuse pour donn
64 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
PATHOLOGIQUE. tal symptoms of gênerai Paralysis. Journal of mental science , 1889. GILBEIIT Ballet. Les troubles oculaire
LE. momentanément à son profit presque tout le champ de la con- - science . La lutte disparaît et tous les éléments psychiqu
ues semblent se grouper en une seule synthèse, en un état de con- science unique. Mais celui-ci n'est justement que le dern
'est qu'au siècle dernier que les progrès réalisés dans l'étude des sciences physiques, joints à une connaissance plus appro
urs. Ces physiologistes, dans une note présentée à l'Académie des sciences (Voir le Bulletin Médical du 2 août), n'hésitent
meau ; guérison; résultat éloigné; par M. GAUTI11ER. (Société des Sciences médicales de Lyon, avril 1901.) M. Gauthier pré
es dont il est le véhicule; et je me félicite que les progrès de la science SOCIÉTÉS SAVANTES. 107 exercent cette influen
e l'individualité psy- chique est l'une des limites positives de la science , nous touchons là à un de ces problèmes dont la
orie et une classification des caractères. Dans l'état actuel de la science , la psychologie peut seule nous éclairer sur ce
entrent seules en ligne de compte. L'Ethologie est loin d'être une science définitive ; l'imprécision du vocabulaire psych
cées. L'accord se fait cependant sur l'objet et la méthode de cette science nouvelle, ce qui est impor- tant. Le livre de
x chez plusieurs membres d'une même famille (th., .0 ? )t. of ment. Science , il- d'oc- tobre 1897). Meyer. Contribution M
11- 14). W. Griffin, Cas de folie communiquée (The Journ. of ment. Science , janvier 1900). Meyer. Contribution à l'élude
stagmus chez la mère et la fille : par M. Jac- QUE.1U. (Société des Sciences médicales de Lyon, 27 février 1901.) M. Jacquea
XIV. Paralysie asthénique d'Erb; par 111. JossEnwn. (Société des Sciences médicales de Lyon, 27 février 1901.) ` M. Josse
eur du signe de Kernig ; par MM. JOSSERAND et Lesieur. (Société des Sciences médicales de Lyon, 6 mars 1901.) MM. Josseran
hilis médullaire et bulbaire précoce ; par M. Collet . (Société des Sciences médicales de Lyon, 12 juin 1901.) M. Collet rap
mblement limité aux membres supérieurs; par M.-CoLLET. (Société des Sciences médicales de Lyon, 26 juin 1901.) M. Collet r
. Radiographies d'arthropathies tabétiques; par DESTOT.(Sociélê des sciences médicales de Lyon), 10 juillet 1901. M. Destot
des os. G. C. XX. Vertige d'origine nasal; par Collet (Société des sciences médicales de Lyon), 16 octobre 1901. M. Colle
ysie hystéro-saturnine du nerf radial ; par JOSSERAND. (Société des sciences médicales de Lyon), 20 novembre 1901). M. Josse
progrès ou régression ; par William Graiiam (The Journal of Mental Science . Octo- bre 1901). Etude très spéciale, consac
ilité criminelle; par Henry LYLE M'INTRR. (The Jour- nal of dlentul Science , janvier 1901.) Ce travail est un commentaire o
d'homicide épileptique; parR. Peucy Smith. (T/te/OKf- nal of Mental Science , juillet 1901.) L'histoire de ce crime (assassi
é qu'elle a pour but de consolider, et comme elle est avant tout la science de la vie pra- tique, elle doit bien s'accommod
e et la médecine pour qu'il ait eu quelque sorte l'empirisme de ces sciences ; alors il substituera aux épithètes de paresseu
us la présidence de M. le professeur Guno, membre de l'Académie des sciences , professeur à la Sorboune. La leçon d'ou- vertu
e, Education scientifique et psychologie, par M. Lusant, docteur ès sciences , examinateur à l'Ecole polytechnique. Vendredi
ces deux points. Lorsque nous avons commencé à rechercher dans la science , pour établir le groupe des vraies psychoses po
peau moins mobile que normalement. P.KERAVAL. XVII. Influence des sciences naturelles sur le développement delà psychologi
vie de l'homme, mais il ne faut pas oublier le rôle qu'ont joué les sciences naturelles dans le développement de la psycholo
mpulsion lui a été donnée par les'progrès de tel ou tel domaine des sciences naturelles, qu'il s'agisse de la découverte de
sont que la manifestation toute secondaire d'une idée obsédante. La science consiste justement à prendre ces faits, à les s
- hensions de ceux à qui elle avoit confié la conduite de sa con- science ? » Elle fut « toute sa vie très exacte à observe
prompt et impatient. Son pré- cepteur lui apprit « en même tems la science de l'Evangile et celle des lettres humaines' ».
tirling, Larbert ; par George M. Robertson. (Tlee Journal of Mental Science . Avril 1902.) Avant d'exposer les méthodes dont
arfaits exemples de ce que peut l'humanité sociale combinée avec la science médicale. Pour obéir à ce ptincipe domi- nant,
du tremblement dans la paralysie agitante, par Collet (Société des sciences médicales de Lyon. 15 janvier 1902). M. Colle
sies et crises laryngées dans le tabes ; par M. COLLET (Société des Sciences médicales de Lyon, 5 février 1902). M. Collet a
1X. Sclérodermie et atrophie musculaire; par M. Vacher (Société des Sciences médicales de Lyon, 19 février 1902). Dans l'obs
être adresser un reproche : celui de ne s'adresser ni à l'homme de science , ni aux gens du monde. Le premier n'y trouvera
siles pendant la nuit ; par John KEAY. (The Journal of ille ? 2ttil Science , octobre 1901.) Les aliénés internés dans les a
es pays tropicaux; par P.-C.-J. van Beeho. ( 77te Journal o/ Mental Science , juillet 1901.) L'auteur, qui est médecin de l'
le 25 juillet 1901 ; par Oscar \1'oons. (Tlee Journal of illentol Science , octobre 1901.) Ainsi que l'a fait remarquer il
gislation ultérieure, par Edward D. 0' NEiLL(771e Journal of Mental Science . Octobre 1901). Etude d'un caractère tout spé
lissements particuliers ; par 1;LIOT Daunt. (Tlie Journal of Mental Science , janvier 1901.) On ne peut que signaler ici ce
tuels. L. Winiarski. Le principe du moindre effort comme base de la science sociale. (Suite et fin). F. LE Dantec. Instinct
la. convergence par Strasburger. 511. Psychologie. Influence des sciences naturelles sur le développement de la -, par
65 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d'un danger trop fré- quemment méconnu. Ces pages sont utiles à la science et à l'huma- nité. Dr J.-B. CHARCOT. ASILES D
issement DES cas DE folie; par D. HACK TUKE. (The Journal of Mental Science . Avril 1894.) L'auteur a fait sur ce point une
N Amérique (Etats-Unis); par F.-B. SANEOItN. (The Journal of Mental Science . Avril 1894.) En s'appuyant sur des statistique
u Congrès annuel de l'Association française pour l'avan- cement des sciences . Des trois questions, mises à l'ordre du jour p
sant de côté le problème fiscal et se plaçant au point de vue de la science hygié- nique, a fait le procès de l'alcoolisme,
: analyse DE 730 cas; parW.-F.FARQUIIARSON. (The Journal of Mental Science , avril 1894.) Les conclusions de cet important
E la ménopause; par E. GooDUaLL et M. CRAIG. (The Journal of Mental Science , avril 1894.) La folie apparaissant d'ordinaire
les : on est contraint de reconnaître que, dans l'état actuel de la science , la relation pathologique qui unit les modifica
ÉVELOPPEMENT PHYSIQUE; par James Middlemiss. (The Journal of Mental Science , janvier 1893.) Les cas de paralysie générale
diagnostic A faire; par REGINALD H. l\100TT. (The Journal of mental Science , janvier 1894.) Il s'agit d'un aliéné calme et
ipalité au Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , ainsi qu'aux congrès médicaux à ce moment à Bo
ciper aux travaux et aux excursions du Congrès de l'avancement des sciences et du Congrès de médecine interne. (Voir les prog
175 Les rapports importants du Dr Tuke avec le Journal of Mental Science , le rendirent capable de grands services en lui f
ingomyélite tuberculeuse « ouvrait encore des aperçus nouveaux à la science ». En 1874, Liou- ville communique dans le Prog
s accueille, et pour les termes élevés dans lesquels il parle d'une science que nous aimons passionnément. Et comme M. le P
ersonne ayant plus à coeur d'affermir le renom et le prestige de la science fran- çaise, tel que l'ont établi Pinel et Eequ
s il faut bien dire que maintenir à cette hauteur le prestige de la science française n'est pas une tâche sans difficultés,
lligence collec- tive de l'espèce ne s'endort jamais » et, dans les sciences évolutives, la gloire est d'un éclat bien, temp
les perfectionnements ne répondent pas toujours aux exigences de la science ou aux impatiences de nos désirs patriotiques.
alange de jeunes travailleurs, qu'il savait animer de l'amour de la science et du progrès, en fondant en un mot l'École de
rme de ses études, le médecin a pu acquérir dans cette partie des sciences médicales les mêmes connaissances que dans les au
d'un représentant de l'Adminis- tration, dévoué aux intérêts de la science et à la grandeur du pays, pour que nos voeux so
réforme, rendant ainsi du même coup le plus utile des services aux sciences médicales, aux sciences psychologiques, concouran
du même coup le plus utile des services aux sciences médicales, aux sciences psychologiques, concourant ainsi à l'élévation
ur vive sympathie. L'aliéné doit bénéficier de tous les progrès des sciences médi- cales et psychiques. La présence officiel
la malade fait entendre dans la demi-lucidité semblent sincères. La science n'est pas affirmative, si je ne me trompe, au s
h (de Moscou) et M. Marinesco (de Bucharest) lèvent leur verre à la| science française qui éclaire le monde et aux savants f
bordelaise, sympathique à tout ce qui se rattache au domaine de la Science , nous nous félicitons de la bonne fortune qui n
souvent hélas ! le bûcher, maintenant, de par l'intervention de la science , il n'en est plus de même. Les hommes de la gén
lle renferme dans son sein des hommes qui cherchent le mieux par la science . Pourtant il y a beaucoup à faire non seulement
ielle du Congrès de l'Asso- ciation française pour l'avancement des sciences . Dans le prochain numéro, nous signalerons briè
en soignés dans les bâtiments principaux. » (trie Journal of mental Science , juillet.) Depuis bien des années nous avons
ructive, de la moelle, lésion dont il est, dans l'état actuel de la science , impossible de préciser le siège. Il renonce à
un ignorant comme moi ait pu tromper si longtemps les princes de la science ? » Pour les vols, il nie celui de Lourdes : «
les fous sont justiciables des tribunaux, de l'Église, et non de la science médicale. Dans la deuxième, qui s'étend de la f
es maladies mentales. Pour donner satisfaction aux desiderata de la science psychiatrique 1 J.-P. Falret. Des maladies ment
est appliquée qui donne satisfaction aux exigences modernes de la science et de l'humanité. Auparavant, on avait vu de gran
plus qu'un automate, un pantin, dont la volonté tient les fils. La science , encore une fois, ne saurait se désintéresser de
ur en tirer telle conclusion qu'elles comportent. » Voyez-vous la science - c'est-à-dire des hommes de savoir, de haute p
aire des tours de cartes et des escamotages ! ... Non, confrère, la science n'a rien à voir là-dedans. Elle vit dans un autre
ies mentales semble difficile à mo- difier dans l'état actuel de la science , il ressort nettement du tra- vail de l'auteur
modération dans l'usage des boissons enivrantes. Mais plus tard la science a montré que l'alcool est toxique en lui-même,
uve dans toutes les classes de la société, même parmi les hommes de science et de haute culture intellectuelle. La seconde
alcooliques. Cette erreur, réfutée d'une manière magistrale par la science , est par- tagée même par les classes éclairées.
; ils se sont occupés, en effet, de questions qui relèvent de cette science et font enseignée. Au moyen âge, la décadence d
66 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la Neurologie et la Psychiatrie, et rendu d'éminents services à la science et à l'enseigne- ment : MM. A. JOFFROY, V. Magn
ut 'obstacle qui s'oppose à la libre excrétion" de' l'urine'et' la' science a enre- Qistrë`quelqués-observations oùI'appari
rance; mais il n'y a, pour l'instant, que deux facultés : celle des sciences et celle des lettres., En réalité, elle compren
ych. (vol. IV et V) ; et, du même auteur, A new visual illusion, in Science , 17 fév.1893; Illusions of memory, in Scribner'
reux, il est simplement guidé dans son entreprise par l'amour de la science et des idées personnelles, toujours originales.
appelé brièvement les principales opinions qui ont eu cours dans la science relativement à la physiologie pathologique des
sa conduite insolite, X... prétend qu'il a perdu un instant la con- science de ses actes, sous l'influence de quelques excès
t épileptique pour qu'on doive considérer comme entachés d'incon- science tous les crimes et délits qu'il peut commettre ;
Rousseau, de la première « que c'est un véritable inventaire de la Science psychiatrique dont il constate les richesses au
A ...,v ? L'observation du visage au repos, quelles 'que'soient la' science et la perspicacité de l'observateur,' ne permet
s la prochaine séance on s'oc- cupe parallèlement d'une question de science et d'une question d'organisation générale. Par
l'hospice de la Salpêtrière des souvenirs si vivaces et dans notre science spéciale des traces si durables, des- tinées à
ns, poursuivi avec zèle et persévérance le but élevé d'initier à la science , si dédaignée encore, qu'ils cultivaient avec tan
uble enseignement, toutes les notions qu'ils ont pu acquérir sur la science des maladies mentales et qui se sont répandus e
sait leurs devanciers, ils ont mené de front la philanthropie et la science et ils ont fondé, l'un la Société de patronage
qui, depuis 1852, a servi si puissamment au développament de notre science spéciale, et enfin l'Association mutuelle des m
trière et membres de l'Académie de médecine, ils ont laissé dans la science des décou- vertes durables que la postérité con
du, pendant de longues années, tant de services aux aliénés et à la science . Tous deux nous ont laissé un salutaire exemple
eux. Leur vie, consacrée tout entière au travail, aux progrès de la science et au bien-être des aliénés, est pour nous un v
amour des aliénés et le désir constant de ' - * faire progresser la science spéciale, encore si incomplète, à laquelle ils
logie mentale. L'ana- tomie pathologique et la psychologie normale, sciences auxiliaires indispensables, doivent lui servir
mes d'élite, MM. Baillarger et Falret, émules dans le travail et la science , restent émules dans la charité et la bien- fai
On ne s'arrêterait point si l'on voulait énumérer tout ce que la science et l'humanité doivent à ces maîtres vénérés, au s
ractions suivants : -. prendre la parole s'il le juge utile pour la science ; il aura égale- ment droit aux réceptions offer
s à la fois pédagogiques et médicaux, en harmonie avec l'état de la science actuelle. Mais tant que les choses resteront
e dont je fus l'ami. - , L'énorme influence qu'il a exercée sur les sciences médicales, je l'attribue, sans hésiter, à ce fa
, Il y a plus : ces souvenirs et ces images, négligés par la con- science , peuvent se grouper et s'organiser de façon à con
es doivent être organisés et dirigés d'après les prin-. cipes de la science médicale. On y recevra les cas récents et cura-
théorie des localisations basée sur la méthode anatomo-clinique. En science , l'interprétation ne vaut que par le déterminis
à une idée fixe, vous convier à quitter les sereines hauteurs de la science , dont ce congrès est la manifestation continue et
établis sur des distinctions cliniques. ' Dans l'état actuel de la science , je crois que l'on pourrait, dès à présent, adm
s. Si, un jour, a-t-il dit, un de ces vaillants combattants pour la science succombait dans la lutte, si ses forces le trah
, directeur de l'Ecole de médecine; Pellet, doyen de la Faculté des sciences ; Frèze, procureur de la République; Bleynie de
es à un état de désagrégation mentale particulier, de double con- science . Cette anesthésie, cette amnésie apparentes ne so
Faculté de médecine; et SERVEAUX, aide de laboratoire, licencié ès sciences . Il est toujours d'un grand intérêt d'étudier l
a psychologie expérimen- tale » ; l'autre comprend l'étude de cette science avec expé- riences à l'appui. Tous deux sont fa
ucteur en philosophie, pour les élèves du department of literature, science and the arts. 1° Fondements des problèmes psych
ent un laboratoire organisé pour l'enseignement pratique de cette science . 9° LELAND STANFORD JUNIORUNIVERSITY. -Leland S
P. KERAVAL. XXVII. Essai d'une nouvelle psychologie fondée sur les sciences naturelles; par E. BLEULER. (Allg. Zcitsch. f.
t agitées par nous et ont servi d'assises au développement de notre science . A cette oeuvre, jeunes et vieux ont collaboré.
psychoses. Pour que les descrip- tions concourent au progrès de la science , il faut qu'elles s'en tiennent à la différenci
Werner, mais bien dans la phase actuelle de développement de notre science . Pour moi, la condition préliminaire à remplir
t son originalité. A. Marie. XII. Annual of the Universal Médical Sciences , edited by Ch.-E. Sa- jous n. D. (Philadelphie,
ew-York, Chicago, 1894.) Bien que l'Annual of the Universal Médical Sciences ne s'occupe pas exclusivement de système nerveu
assistance des aliénés, sans s'écarter des principes établis par la science médi- cale. Mais, leur dirons-nous, avec Sommer
r la disci- pline, le personnel doit être pénétré des principes des sciences médicales, il doit obéir au médecin et non à de
67 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
mènes les plus obscurs sont interprétés à la lumière de ces deux sciences . Voici le plan qui a été adopté par Maudsley :
s temps, ont vivement préoccupé à Saint-Péters- bourg les hommes de science ainsi que la partie du public qui s'intéresse a
. Groupe de sept idiots, frères et soeurs. (The Journal of mental science , 1862, t. VIII, p. 429.) Parents excentriques,
al détermines-^ une, marche lente et insidieuse, il, existe dans la science un cer- tain, nombre de, cas où la morl est sur
édestal sont placées des figures allégoriques représentant l'une la Science , l'autre la Bienfaisance, les deux qualités maîtr
solennel hommage à l'homme géné- reux qui, tirant de la barbarie la science de l'aliénation mentale, a fait à tout jamais d
dovic Uurand, a été bien inspiré en plaçant aux côtés de Pinel la science et la bienfaisance, ces deux grandes forces mises
e, ces deux grandes forces mises au ser- vice de l'humanité. « La science dont nous admirons les incessants progrès et les
été bons, en lace du monument élevé par vos mains généreuses, à la science et l'humanité. » " Discours prononce par M. PIC
de Pinel est comme la fête de la bienfaisance. D'autres ont loué la science du médecin : il est au rang des plus illustres.
re, professeur à la faculté de médecine, membre de l'Académie des sciences et membre d'honneur de l'Académie de médecine,
advint, et chaque jour, depuis presque un siècle, nos aïeux dans la science , nos maîtres et nous-mêmes, nous n'avons été qu
, avec un grand zèle, se niellait à discuter sur les choses de la science et de la philosophie, sur la psychologie morbide
é dans son intelligence et qu'il a presque créé de toutes pièces la science des maladies mentales ? Une commission fut nomm
soit terni. Plus les troubles de laraison se « multiplient, plus la science progresse, plus les asiles ouverts aux « naufra
es des aliénés à Bicêtre ; « qu'il est le véritable fondateur de la science des maladies men- « taies; qu'il a fondé, par s
seulement une «illustration dont s'enorgueillissent l'Académie des sciences , « l'Ecole de médecine et les hospices de Bicêt
onze, mais encore les deux statues en pierre, la Bienfaisance et la Science , qui décorent le piédestal. Je remercie le Cons
élevé à la gloire d'un médecin par deux figures allégoriques : la Science el la Bienfaisance. Que de choses grandes el géné
à l'église ; mais son ardeur pour l'étude des mathématiques et des sciences naturelles n'indiquant pas une vocation bien ar
l d'espérance. z «Ce savoir était des plus étendus : mathématiques, sciences physiques et naturelles, médecine; il avait tou
itut d'entre-soi, dans «lequel, par pur zèle, par pur amour pour la science , on venait « poursuivre des éludes pour lesquel
ce service une direc- tion nouvelle plus conforme aux progrès de la science et aux sentiments d'humanité. Cabanis, Cousin e
telles améliorations, en profilant aux malades, servaient aussi la science . L'observation de la folie, rendue plus facile, p
loso- phique sur l'aliénation mentale. Ce livre fait époque dans la science . On ne le relit pas aujourd'hui sans une certai
es, ordres, genres et espèces. Cet ouvrage, que les progrès de la science ont jeté dans l'oubli, eut, à l'époque, un immens
et belle : l'homme illustre, qui l'a accomplie, a bien mérité de la science et de l'humanité ! » » Le président de la Socié
oi- gnage manifeste de l'intérêt que vous portez au progrès de la science et de votre scllicitude pour les souffrances de c
'autre à l'asile d'Aix. Association française pour l'avancement des sciences . La quatorzième session de cette association a
ué, sous la direction de la Société royale, à l'encou- ragement des sciences biologiques. Le cas du Dr L.-U. Beach. - La con
de tabes dorsal spasmodique telle qu'elle existe à présent dans la science . M. Erb ' en décrivant la symptomatologie de la
r-Médecin en chef de l'asile public d'aliénés de Dijon. Bien que la science soit riche de documents médico- légaux relatifs
défends, et à moins de considérer, contrairement aux données de la science actuelle, l'impulsion comme une idée isolée, né
étriques A la base du cerveau; parle Dr STRAHAN. (Journal of Mental Science , juillet ! 883.) Nous donnons ici le résumé de
ds ET petits asiles d'aliénés, par T. Claye SHOW (Journal of Mental Science , juillet 1883.) Dans ce travail, M. Claye Shaw
0-tU'rILaTIONS CHEZ LES ALIÉNÉS- par James ADAM. (Journal of mental Science , juillet 1883.) Observation 1. Femme de quarant
QUI REFUSENT DE manger; par Henry SUTBEIIL.1ND. (Journal of Mental Science , juillet 1883). Nous reproduisons ici les con
e par opposition A l'alcool; par W. BEVAN LEWIS, (Journal of Mental Science , juillet 1883.) Nous ne pouvons ici ni entrer d
cas se trouvait un para- lytique général. Campbell (Joum. of ment, science ) a publié vingt- deux faits du même genre empru
68 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
susceptible de répandre un jour tout nouveau sur l'horizon de notre science . Issue de l'observation, elle en contient virtu
les D'UNE PRÉTENDUE MONOMANIE RELIGIEUSE. 25 merveilles de cette science mystique. Là gît, inévita- blement, la solution
c., etc., sont relégués au second plan. Elle est victime de cette science infernale, qu'elle suppose d'ailleurs originaire
x attaques, sur lesquelles le ma- 1 Comptes rendus de l'.1 cad. des Sciences , 1878. Recherches analonzo-hatholoiques et phys
« Wilts country lunatic asylum, Devizes. ), (7lie Journal of mental science , octobre 1879 et janvier 1880) (Bulletin de la
thier'. Nous avouerons, en passant, que, dans l'état actuel de la science , ces faits ne peuvent présenter qu'un intérêt e
mortenz ayhearezzces izz in,rance persozzes. Jour- 7zal of mentale science 1872, p. 93. 3 Hergt. Fi,aitei-Ki-a ? ? kheilei
GUÉRISON; par William Wood. (77te american Journal o/' the médical Sciences , juillet 1881, p. 168.) . Voici le résumé de
I,EPSIE ; par Charles-K. Mins. (The american Journal of the médical Sciences , octobre 1881, p. 392.) L'auteur rapporte deu
ogie ') ; par Edward Sanders. (77te American Journal of the médical Sciences , juillet 1881.) Après avoir indiqué dans un pré
somme, pour une magnifique ornementation. On y voit en emblème la Science et la Charité. Suite de la discussion sur les A
ld, de Dautzig. Elle est intitulée : Ophélie... ci la lumière de la science médicale... M. Wesphal présente de nouveau le m
n du Traité des Névroses date de près de vingt ans. Les progrès des sciences médicales et particulièrement de la branche qui
à M. Huchard par le professeur éminent, si prématurément ravi à la science , toute pleine d'honneur, était aussi hérissée d
aître sous des additions considérables imposées parle progrès de la science , et celui de faire une oeuvre incomplète en con
inique; et dans les additions consi- dérables que les progrès de la science nous ont imposées, nous avons cru qu'il était u
vellement paru de n'ignorer aucune des récentes acquisitions de la science , puissent être plus pleinement satisfaites. M. Hu
psycltological mediciae; de M. Stearnes, dans le Journal of mental science ; de M. Gray, dans le Journal of iczsazzitg, etc
.-psycle., ')8oC). Note sur le délire hypochondriaque {Académie des sciences , -18G0). Aitcii.mi3.iULT. Annales ? KedtCO-psyc
cou, 1 Communiqué dans la séance du 20 juin 1882 à l'Académie des sciences de Cracovie, section des sciences mathématiques e
du 20 juin 1882 à l'Académie des sciences de Cracovie, section des sciences mathématiques et naturelles. 324 RECUEIL DE FAI
j7, t. Il, 1). 6')0. 2 Diclionary ospract. naed., 18QC, p. 19S. 3 Science aît(I Pi-(ICI ! ce Of ize(lieille, t. II, p. 1 1,
. est reproduit en entier dans le Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales; art. Moelle et dans plusieurs ouvrages
ur la folie morale; par J.-Il. GASQuET. 7 ? e Journal - ! of Mental Science , avril 1882, p. 1.) ' M.- Gasquet pense que si
ine comme agent sédatif ; par J.-R. GASQuET. (7%e Journal of Mental Science , n° d'avril 1882.) L'importance que M. S. Rin
trict DE Richmond (Du- blin) ; par John Fox. (The Journal o ? VeH/a science , n° d'avril 1882.) .. M. John Fox est directe
e; deux observations; par Joseph WiGLESwopTH. (llie journ. of Ment. Science , avril 1882.) Voici le résumé de ces deux obs
ur rappelle que M. Clouston a publié en 1870 (The Journal of Mental Science , n° de juillet) deux cas de folie rhu- matismal
FECTION DE LA MOELLE; par W. JULIUS Mickle. (Tlce Journal of Mental science , n" d'avril 1882.) Nous ne pouvons donner ici l
ÉBRALES ; par W. Julius Mickle. (Tlie ./OM ? 'H<.o ? t7eH<a;/ Science , nos de janvier et d'avril 1882.) ~ On sait a
nsabilité CRIME- NELLE ; par D. HAciç. TUKE. (The Journal of Mental Science , n° d'avril 1882.) Le travail de M. Ilack Tuk
e, pourvu qu'elle ne retardât pas d'un siècle sur les progrès de la science et de l'humanité. Il faut souhaiter que la voix
69 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
ie générale est bien résumée et suit d'assez près l'état actuel de la science ; une tache cependant doit être signalée : c'est,
îtres français viennent bâillonner ces phra¬seurs et opposer la vraie science au verbiage. — Nous le répétons, les maladies des
x-là même qui sont appelés à le lire : il est difficile d'écrire la science avec simplicité ; il est plus dif¬ficile encore d
et et restreint quant au volume. M. Fort sait faire abstraction d'une science à éclat pour viser le côté pratique de son enseig
ans, dans un premier mémoire1, j'avais déjà présenté à l'Académie des sciences mes premiers résultats sur ce sujet ; mais, avec
ments du cœur et du pouls reproduits par la photographie. — Acad. des sciences , 19 août 1867. bord inférieur du cylindre et de
ublier, c'est en perfectionnant les instruments qu'on perfectionne la science . " Tant vaut l'instrument, tant vaut l'ouvrier, »
dont les uns ontété, dès leur publication, définitivement acquis à la science , tandis que d'autres ont servi de jalons aux déco
gne¬ments utiles à la physiologie, à l'hygiène et à la nosologie. Les sciences accessoires sont accueillies dans son sein avec u
t jalouserait avec raison la première lecture. Il n'est pas jusqu'aux sciences exactes dont la voix ne se soit fait entendre à l
lligible en dehors de ces connaissances déjà bien vieilles, tant la science de l'auteur sait se mettre à la portée de tous.
dire à la Société ce qu'on en pourrait penser, au point de vue de la science et de son application à la médecine légale. 11 s'
ue ce rapport ne s'adresse pas seulement à des savants au courant des sciences exactes, mais à l'esprit de gens distingués qui o
decin principal de la marine1. M. Bérenger-Féraud est connu dans la science grâce à la publica¬tion de nombreux mémoires sur
n qui ne put être 1 Consulter sur ce sujet : Giraldès, Académie des sciences , 1863, et Congrès médico-chirurgical de Rouen, 18
du cœur. III. Théorie nu choc en retour. — Déjà bien connue dans la science , cette théorie attribue la grande impulsion à la
tes en 1869 à la dix-huitième réunion de l'Association américaine des sciences médicales de Salem, en Amérique, par le docteur G
ut plus ou moins mercantile et contribuant bien peu aux progrès de la science . Aussi lorsque, par hasard, il vient à rencon¬tre
er la lecture à tous ceux qui, préoccupés des progrès de la véritable science , aiment à l'étudier chez ceux qui lui ont voué un
rons-nous sobres de commentaires. iAmeric. Associât, for the medie, sciences . 18e meeting, 19 août 1869. Salem. I. de la tem
scalpel et le microscope avaient fait faire aux autres parties de la science . Il suffit, en effet, dejeter un coup d'œil sur c
x con¬sciencieux qui ont pu élever l'otologie au rang d'une véritable science L'exploration de l'oreille n'est pas si facile qu
tes et le grand jour dont ils ont éclairé beaucoup de points de cette science . Il faut le dire, heureusement, si on ne s'entend
70 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
it, que j'ai présenté, en 1856, au concours ouvert par l'Académie des sciences , qui a bien voulu distinguer honorablement mon tr
démonstrations sensibles des vérités générales dont s'est enrichie la science . C'est donc maintenant par l'observation des fait
tion est, en dernière analyse, le but final de l'observation dans les sciences naturelles. § Ier. — ànatomie pathologique. J
vous-mêmes pourrez doter l'avenir, on peut, dans l'état actuel de la science , tenter avec fruit l'emploi de divers moyens pour
nant qu'une matière grasse très-consistante. On trouve encore dans la science quelques faits épars d'une terminaison semblable.
même. J'éprouve quelque embarras à poser ici des règles formelles. La science marche, et la question n'est pas assez complèteme
ipitale. C'est une mauvaise dénomination; elle a nui au progrès de la science et à la description de la maladie; la luxation n'
première forme. Le nom de spondy lartfirocace a pris domicile dans la science et peut être conservé, parce qu'il n'a qu'un sens
n réellement due à l'affection osseuse, ce fait serait unique dans la science . Malgré ces désordres, l'enfant a vécu pendant pl
tuées. Cette méthode n'est pas exempte de tout danger. Il y a dans la science un fait de réduction, ou du moins de réduction pr
matiques; elles le sont moins dans les déplacements palhologiques. La science possède deux ou trois faits à peine des deux autr
vaz est guéri. Il y a plus : une commission nommée par l'Académie des sciences proclame les succès de Pravaz, sans néanmoins aff
a, qui rendra toujours des services incontestables, et l'Académie des sciences à bien jugé en décernant, en 18i2, des récompense
de vous a sans doute souvent causé bien des ennuis, devient ainsi une science du plus haut intérêt par ses nombreuses et utiles
importante pour devenir l'objet d'une communication à l'Académie des sciences . Nous avons eu depuis les appareils en stuc de
ique et physiologique des muscles divisés chez l'homme, pour fixer la science sur ce point. C'est une lacune sur laquelle j'app
- (1) Douzième leçon, 8 août 1856. (2) Mémoires de l'Académie des sciences . Paris, 1743, in-4°. — Fou-gerpux, Mémoires sur l
prend peut-être plus de part. Malheureusement, les desiderata de la science nous laissent encore dans une grande incertitude
par des humeurs acides, elle n'appartient plus qu'à l'histoire de la science . Ce que nous savons, c'est que la grande foncti
eau. En définitive, nous ne possédons pas, dans l'état actuel de la science , de médicament capable de durcir les os des rachi
etin de la société anatomique, 1834. (3) Mémoires de l'Académie des sciences , 1725. C'est en détruisant l'une ou l'autre de
plusieurs appareils ayant le même but ; mais ici les prévisions de la science sont démenties par les faits; bon nombre d'enfant
sification des ligaments vertébraux. (1) Mémoires de l'Académie des sciences , 1740. (2) Ibid., 1772. (3) Voy. l'Atlas, pl.
aux lombes. (1) Voy. pl. 2, fig. 1 et 4. (2) Journal complém. des sciences mèdic, t. XXIX, p. 271, 1828. On remarquera que
tante. Werner, médecin orthopédiste d'Allemagne, trop tôt ravi à la science , affirme qu'une jeune fille de dix-huit ans, à fo
'autorise pas celte distinction arbitraire, qui n'a pas cours dans la science ; on s'accorde à regarder ces mots comme synonymes
le nom. Ces notions incomplètes furent longtemps les seules que la science eût en sa possession. A. Paré, répétant en cela l
ut, je crois, de nouvelles recherches pour mieux fixer ce point de la science . II. ÉTIOLOGIE DE LA SCOLIOSE. Après avoir ét
De Bachitide, 1650. (8) De Bachitide, 1680. (k) Mém. de l'Acad. des sciences , 1706. (5) Lettre 27«. d'une plus grande force
inion qui, sans être plus juste, a des racines plus profondes dans la science , veut que la gymnastique guérisse la scoliose en
e la Feutrie, Du rakitis, 177g, p. 326. (6) Mémoires de la Soc. des sciences physiq. de Lausanne, t. II, 1788. (7) Loc. cit.
u Sur les courbures. Leipzig, 1816, p. 108. (2) Mèm. de l'Acad. des sciences , 1772. (3) Chirurgie, etc., en allem., Nurember
ure, ne doit pas être par un paquet cacheté déposé à l'Académie des science » le 6 mai 1838 (1), et la même année, M, Pauli (d
J'ai terminé l'exposition du (1) Portai, Mémoires de l'Académie des sciences , 1772, et Observations sur le rachitisme, 1797, p
, et Observations sur le rachitisme, 1797, p. 343. (2) Académie des sciences , 1772. traitement de la scoliose ; il me reste
impossible. Nous ne pouvons guère prétendre, dans l'état actuel de la science , qu'à réduire la courbure au moindre degré possib
ai dans le temps mis sous les yeux d'une commission de l'Académie des sciences . Mais aussi jamais traitement ne fut mieux second
71 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ettons de faire une réflexion. générale. La bactériologie est une science récemment créée par l'illustre maître Pasteur,
ns qu'aujourd'hui ils nous rendront justice, étant convaincu que la science a acquis dernièrement tous les éléments nécessa
Phys. d. Grosshinrinde.) ° Bartholow.JoM ? < : / of the nied. sciences , avril 1871. Sciamanna. Reale Accad. dei Lincei
absolument connue, mais qui suffisent même dans l'état actuel de la science à créer une espèce mor- bide dont on pourra, s'
nion qui nous paraît pouvoir être formulée dans l'état actuel de la science . Nous laisserons à d'autres, plus compétents et
rébrales; par W. J11liUS MlCl, : LE. 77 ! e</OM ? 'Ha/ of Mental Science , avril 1885.) L'auteur rapporte brièvement neu
Il... PEINTRE DE portraits; par W.-A. Guy. (Tite Journal of Mental Science , juillet 1885.) Nous devons nous borner à signa
e; guérison; par le Dr CARYLE Johnstone. (T7te Journal of ;4lezztal Science , juillet 1885.) L'observation que l'auteur rela
e morale ou émotionnelle; par D. HACK TUItE. (The Journal of Mental Science .) L'auteur rapporte plusieurs observations très
sur la FOLIE EN ESPAGNE; par F.-A. JELLY. (Tlce Jourlznl of Mental Science , juillet 1885.) Le lecteur qui chercherait dans
ut de la discussion, que M. Magnac avait l'intention de rayer de la science le nom de Lasègue. Aujourd'hui les partisans du
à part dans le délire des persécu- tions ; 3° on doit bannir de la science les mots de délire chro- nique. M. PICnoN cro
teurs M. Vivien et le marquis Barthélémy, était celui des hommes de science et d'expérience, qui, adoptant la donnée des mé
c'est de faire inter- venir tout d'abord et le plus tôt possible la science médicale, seule compétente, soit pour prononcer
lle pourra avoir la pensée de recourir elle-même directe- ment à la science médicale ; elle voudra avoir une expertise médi
pinion qui tendait, en définissant avec exactitude les droits de la science médicale, à les maintenir indépendantes aussi b
démenti par les médecins ici présents, la médecine mentale est une science hérissée de difficultés et d'obstacles, même po
prêté les mains à un système qui aurait consacré les droits de la science médicale, si ces droits s'étaient exercés par un
jamais démérité, quoi qu'on ait pu dire, ni de l'humanité, ni de la science , ni de la morale. (Approbation.) Déjà, dans une
s n'obtiendraient pas le même respect, si elle parlait au nom de la science médicale, au nom d'une science qui n'a, pour elle
espect, si elle parlait au nom de la science médicale, au nom d'une science qui n'a, pour elle, que des secrets, au nom d'u
nom d'une science qui n'a, pour elle, que des secrets, au nom d'une science à laquelle elle ne peut s'asservir sans déchoir
re, qui ressemble plus à celui d'un roman, qu'à celui d'un livre de science , lui fit du tort. Et cependant, dans un sujet q
rait été cependant fort intéressant de préciser l'état actuel de la science sur ce point si contesté, et encore si plein d'
COrli , le 4 août 1885; par J.-A. Eames. (The Joiti-nal of 3leiztal Science , oc- tobre 1885). - Dans ce discours, le prés
MEDECINE PSYCHOLOGIQUE ; par Edward MOOIIE. (The Journal of Mental Science , avril 1885). . L'auteur insiste énergiquement
rapport, nos trois observations sont actuellement uniques dans la science . Cela tient certainement à ce que la sensibilité
ue les pra- tiques hypnotiques ne sortent jamais du domaine de la science . Le délire des possédés se communique avec une
hez un garçon de onze ans, par le Dr S.wcie. (The Journal of Mental Science . Juillet 188.) Voici le résumé de cette observa
A une lésion corticale; par W. Julius Mickle (The Journal of Mental Science . Avril 1885.) L'autopsie révéla chez le malade
ontrôle personnel; par le 1)' S,V.1GE. (Tlte J0211'n(ClGf .lleratal Science . Juillet z.) Dans le premier cas, c'est chez un
n d'être en ce qui concerne la surveillance. Quant à la question de science , tous les médecins pra- ticiens doivent être au
s généraux d'aliénés ; elle pourra s'adresser aux autori- tés de la science . Et alors, véritablement, le rôle que la chambre
lcoolisme sur la progé- niture et rappelle la note à l'Académie des sciences qu'il a présentée avec M. Mairet. Une chienne p
dant, n'hésitera pas à faire valoir les droits des malades et de la science , n'en déplaise aux Bureaux ; le gouvernement n'en
ter, Z z Ileckman. l'rmter, Cor. Atzzaual of llze Universal Médical Sciences a Yearly Iteltortoftlte progress of thé gênerai
l Sciences a Yearly Iteltortoftlte progress of thé gênerai sanitary sciences tltrouâhout the worlrl by Cli. E. Sajous. 11. U
72 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
venirs; il ne pourra les rapprocher, les comparer; il n'y aura pas de science proprement dite, et c'est là, je pense, la source
en font. Remplir autant que possible une lacune qui existe dans la science sous ce rapport; rendre l'anatomie pathologique p
s dont il sera le témoin, et qui sont presque toujours perdus pour la science et pour lui-même; l'initier en peu de temps et sa
ture, les Transactions philosophiques, les Mémoires des Académies des sciences de Paris, de Berlin, de Saint-Pétersbourg, de Bol
rapprocher tous les faits importans consignés dans les Annales de la science de ceux analogues que nous aurons occasion de rec
x et nullement un ouvrage complet sur la matière. C'est ce vide de la science qu'avait entrepris de combler le savant, l'infati
rtai, les Vicq-d Àzir,.qui, les premiers, ont importé en Fiance cette science née et perfectionnée sur le sol fécond de l'Itali
les et de faire avec eux un échange de travaux propres à compléter la science des altérations organiques. Nous ne saurions en
ns contraires, l'anatomie pathologique en est encore cette époque des sciences où des noms ont été imposés aux objets principaux
ressions qui font image, comme tous les mots créés dans l'enfance des sciences par les premiers observateurs; témoin les dénomin
ection du langage est évidemment l'expression de l'imperfection de la science . Les naturalistes viennent de nous tracer la vé
tres par une forme permanente, ils ont fait faire un pas immense à la science de l'organisation normale. Espérons que la scienc
n pas immense à la science de l'organisation normale. Espérons que la science de l'organisation morbide s'emparera de cette gra
d'un ouvrage que réclamait si impérieusement (37) l'état actuel de la science , que j'ai formé le projet de publier par fascicul
que cet ordre, favorable pour le développement des généralités de la science , aurait l'inconvénient majeur de faire passer suc
essement de l'éditeur, qui voit dans cette entreprise un besoin de la science , un monument scientifique auquel il désire concou
t pas encore pris, si je puis m'exprimer ainsi, droit de cité dans la science , parce qu'elle avait été donnée comme une opinion
praticien le plus consommé, ne retire si souvent d'autre fruit de sa science que le triste avantage de faire entrer un plus gr
ou sans inflammation, avec ou sans mobilité, et qui disparaîtra de la science lorsque les maladies seront mieux connues dans le
t me paraissent remplir en grande partie la lacune qui existe dans la science sous le rapport de l'anatomie pathologique de la
x , la suffocation et la mort. Je croyais ces faits uniques dans la science , lorsqu'il y a un mois on me présente un beau cas
tre heures du matin. (*) Journal complémentaire du Dictionnaire des Sciences médicales , i8a5 , tome XIX , page 3. Ouverture
pas seulement intéressant comme théorie, comme perfectionnement de la science ; mais encore sous le point de vue pratique? L'as
me. Il me paraît impossible de distinguer, dans l'état actuel de la science , le kyste unilocu-laire gélatineux du kyste unilo
dans les opérations de chirurgie, m'a paru d'un grand intérêt pour la science et le complément de l'étude du phénomène si impor
té, a toute la force d'un axiome, savoir que dans l'état actuel de la science , l'entérite folliculeuse aiguë peut être modifiée
ent variable et insaisissable des phénomènes des corps vivans. Chaque science a sa méthode et ses motifs de certitude; parmi le
ns. Chaque science a sa méthode et ses motifs de certitude; parmi les sciences naturelles, les sciences physiques se composent d
éthode et ses motifs de certitude; parmi les sciences naturelles, les sciences physiques se composent de phénomènes constans aux
onstans auxquels le calcul peut être appliqué avec avantage (d'où les sciences physico-mathématiques); mais dans les sciences zo
vec avantage (d'où les sciences physico-mathématiques); mais dans les sciences zoologiques, les produits varient sans cesse comm
ité est tout aussi grande maintenant qu'avant sa découverte; ainsi la science ou l'ignorance, la prudence ou la témérité sont i
épidémie, en 1817, à la séance publique de la Société d'agriculture, sciences et arts, de la Haute-Vienne ; et sur la demande d
rent les observations recueillies depuis, et semblèrent avoir fixé la science sur ce point. IV. AValther, professeur à l'univ
ale de Chirurgie, tome XIII, page i. C*) Journal complémentaire des Sciences médicales , tome VII, page 118. — (***) Tome XXXI
presque tous tombés dans ce vice de raisonnement si funeste dans les sciences , qui conclut du particulier au o-énéral. Louis et
r à un diagnostic rigoureux, n'aurions-nous, dans l'état actuel de la science , rien de spécial à opposer à une maladie dont les
s tuberculeux et cancéreux. Or, je pense que dans l'état actuel de la science , les infiltrations de matière tuberculeuse dans l
on. Les sarcocèles cancéreux sont incurables dans l'état actuel de la science ; les sarcocèles tuberculeux sont curables. De là,
a même manière et en termes aussi positifs des points litigieux de la science que des points bien constatés. Pourquoi craindre
nstatés. Pourquoi craindre de montrer à tous les yeux les vides de la science ? Au moins, l'attention de tous serait éveillée s
t pas été sanctionnées par la pratique ; et bien que dans l'étude des sciences d'observation on doive être accoutumé à de sembla
vitales. Cependant ce qui me paraît positif dans l'état actuel de la science , c'est que, en général, le ramollissement pultacé
quelque sorte l'humorisme qui va peut-être régner de nouveau dans la science avec ses causes occultes et ses explications faci
es correspondances sympathiques ; la loi du consensus y en un mot, la science de l'organisation tout entière confesse son impui
maladies cancéreuses dû foie se réduit donc, dans l'état actuel de la science , à quelques faits d'anatomie pathologique. v. U
sonnés sont beaucoup plus rares que les exemples d'utérus bifides. La science n'en possédait peut-être qu'un seul cas, successi
rofesseur Delpech (i), qu'un horrible assassinat vient d'enlever à la science , a pu trouver dans les ganglions semi-lunaires de
tifier de pareilles tentatives qui ne prendront droit de cité dans la science que lorsque des faits nombreux et positifs auront
n vers le cerveau. Le malheureux Dance, si déplorablement enlevé à la science et à l'humanité, ne se trouvait bien que dans le
c chez les enfants nouveau-nés a été signalée par M. Billard, dont la science doit déplorer la perte prématurée. Sur quinze cas
ssemblé les faits épars qui existaient sur ce sujet (Dictionnaire des Sciences médic, t. i\i). Désormeaux, dans son excellent ar
lan et Métliode qu'il convient de suivre dans l'enseignement de cette science ; Thèse du Concours. Paris, i83i , in - 4°, pl. VI
d'anatomie de cette luette vésicale que Lieutaud a introduite dans la science . Enfin, Morgagni, Valsalva, Pohl, Fantoni, Sant
la malade était réglée. Dans le cas adressé à l'Académie royale des Sciences par MM. Bourdon et Ghomereau, médecins à Joigny (
eux incisives à chaque mâchoire. (i) Hist. de l'Académie royale des Sciences , 1748. 19 Livraison. Pl. 1. MALADIES DU FOIE,
73 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cot les a vus et m'a demandé de vous les présenter. Il faut dans la science savoir être recon- naissant, pour que nos faibl
ation DE FOLIE A deux ; par M. J. ? ¡OL.\.X. (The Journal of mental Science , avril 1889.) Ce cas est celui de deux frères q
uatorze observations de folie chez les jumeaux qui existent dans la science , l'auteur dit que la vraie folie gémellaire est
a supprimer. Revue con- firmative des observations existant dans la science (dix) dont huit avec autopsie. Tout ce que l'on
cependant, depuis quatre-vingts ans, la psychiatrie est devenue une science réelle qui a fait son chemin dans le monde. I
ienne compte des intérêts de l'huma- nité et des acquisitions de la science . Il faut surtout substituer à cette procédure i
la. Qui peut actuellement dire a priori si les types connus dans la science sous le nom de secondaires sont réellement incu
du crime qui émanent de cette spécificité. Telle est la base d'une science jeune. Jusqu'à présent, il parait établi que le
ompétentes, sinon réfractaires, malgré elles, à l'application de la science et de l'humanité bien entendue. On a émis l'i
se contenter d'un administrateur. L'incurabilité est un .mot que la science doit tenter de supprimer par tous les moyens 'p
re accepter des maladesle traitement et' les soins matériels que la science et l'expérience nous indiquent. La charité est
pour épi- leptiques doivent, dans l'intérêt de l'humanité et de la science , être, de - même que les asiles d'aliénés, diri
; - 9° Le diagnostic local des lésions cérébrales est, en temps que science des faits, tout à fait indépendant ' Voyez Arch
ce serait là le second cas d'aphasie de Grashey qui existe dans la science , s'il ne concernait le même malade sur lequel G
hysiologie de phénomènes qui semblaient ne pas plus appartenir à la science médicale que les magnétiseurs de tréteaux n'app
udacieux n'ont réussi qu'à discréditer à nouveau cettebranche de la science , de penser qu'il existe un faisceau de recherches
in. Pour que l'expérience produise un bon clinicien, il faut que la science de l'observation soit méthodique- ment développ
mante. Ce qu'il y a à faire avec les arriérés est un problème de la science sociale de la plus grande importance. Il peut ê
niversité de Vienne est décédé en celte ville le 31 mai dernier. La science médicale perd en lui, dit le Bulletin de la Socié
ions précédentes Un progrès dans n'importe quel département de la science , conduit fatalement à d'autres. Toute vérité, q
'histoire de la médecine, des progrès 240. THÉRAPEUTIQUE. ' - des sciences et des arts, qui donnent la mesure immédiate de l
ue peut-il résulter de bon de pareilles minuties ? * Le temps et la science seront là pour leur répondre : « que ces investig
pe dans le cours des progrès généraux faits dans chaque branche des sciences médicales, au cours des dernières années. Sa va
par la physiologie expérimentale. Dans un rapport à l'Académie des sciences , d'avril 1877, sur les explications chirurgical
, il y a des délires de négation systématisés. 2° Il existe dans la science un nombre suffisant d'exemples de mélancoliques
tre-vingt-quatorze ans, qui s'intéresse encore passion- nément à la science dans laquelle il a marqué un sillon lumineux. «
velle. M. Lannelongue a communiqué le 30 juin 1890 à l'Académie des sciences une note résumant ses premiers résultats 1, Sui
dans la microcéphalie, par M. le professeur Lannelongue. (Acad. des sciences , 3U juin 1890, p. 1382.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 317
ne mentale de 1889, à l'Association française pour l'avancement des sciences de la même année et au Congrès des aliénistes d
es idiots, des imbéciles ou des arriérés, mais qu'il y en a dans la science et avec autopsie. M. Régis pense que la commu
rselle. Si le sens de l'humanité s'est ainsi développé et épuré, la science de son côté, dans ses manifestations multiples,
les points de vue, il ne répond pas aux besoins ni à l'idéal que la science se fait aujourd'hui des asiles d'aliénés. Il in
de médecine Jefferson, à Philadelphie. (American journal of med. Sciences , juin 1891.) J'ai intitulé ce travail craniotom
après un récent article du Dr Keen (American Journal of the medical Sciences , june 1891), il paraîtrait que six cas ont déjà
ion des microcéphales est si déplorable, que l'in- tervention de la science , ne promettant même que l'ombre du succès, me s
à 200 malades. » The Satellite of thc Annual of the Universal med. Sciences , du Dr Ch.-E. Sajous, 1890, nov., p. 42.) . F
e, dénoncé, au point de vue légal, par M. Liégeois à l'Académie des sciences morales ej. politiques en 1884. Après avoir mon
ours du « magnétisme judiciaire, com- promis par les préjugés de la science officielle. » C'est un mystique, un croyant ple
LA CRIMINALITÉ ; par le Rév. W.-D. Morrison. (The Journal of mental Science , avril 1889.) Partant de ce principe que dans l
e, avec commentaires; par - b John Baker. (The JOlli'1lal of mental Science , avril 188 ! J,) L'auteur a rassemblé dans ce m
4° Toutefois conformant ses recherches à l'orientation moderne des sciences pénales qui poursuivent l'amendement du délinquan
ck, a prouvé, par un succès éclatant, la vitalité de notre nouvelle science . Le président, M. Sigwick, professeur de philos
s international de psychologie expérimentale. (Revue géné- rale des sciences pures et appliquées, dirigée par M. L. Olivier, 1
74 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
OTHÈQUE PHOTOGRAPHIQUE. LA PHOTOGRAPHIE MÉDICALE. APPLICATION SCIENCES MÉDICALES ET PHYSIOLOGIQUES, Albert LONDE, Di
e l'espère, les nombreux services que la Photographie peut rendre aux Sciences médicales, services que vous avez si bien pressen
et importants services que la Photographie est destinée à rendre aux Sciences médicales dans lesquelles, à mon avis, le docum
, qu'elles daignent regarder le rôle qu'elle a pris dans les diverses sciences , qu'elles lisent les noms de ceux qui l'emploient
re humain. Nous ne sommes, en effet, qu'à l'enfance de cette nouvelle science et d'après ce qui a déjà été fait on peut bien au
LA PHOTOGRAPHIE MÉDICALE. introduction. La Photographie est une science relativement jeune : c'est en 1889 qu'on a célébr
Depuis nous avons fait tous nos efforts pour être au courant de la science photographique et, bien que les crédits mis à not
travail, sentira l'importance de l'application de la Photographie aux Sciences médicales et physiologiques. Voyons maintenant
ésultats obtenus seront d'une grande importance pour l'avancement des sciences médicales en général. En effet, le médecin, par s
ées par la Faculté de Médecine et l'Association pour l'avancement des Sciences , nous avons pu commencer la construction d'un app
es microbes, des divers tissus soit sains soit malades, constitue une science spéciale, Y Histologie. Son influence sur les pro
vers tissus soit végétaux soit animaux, constitue, dès à présent, une science relativement jeune encore, mais qui a une importa
egrand du Saule, la Médecine légale consiste « dans l'application des Sciences médicales à l'étude et à la solution de toutes le
graphie, qui peut rendre, comme nous l'avons vu, tant de services aux Sciences médicales en général, ne présentera pas ici un ch
is générales qui président au phénomène de la croissance, et si une science comme l'Anthropométrie paraît sortir du domaine m
Blessure par arme à feu (balle de revolver). Pl. XIX. l'homme de science pour connaître les désordres qui ont'été produits
onfirmation des services nombreux que la Photographie peut rendre aux Sciences médicales et de la nécessité de l'Ouvrage que nou
75 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ur les maladies du système nerveux, 1876. 2 Bulletin de l'Acad. des Sciences . 1893. Sur les fines altérations de I'écorce.
faire partie ni de l'une ni de l'autre; mais elle est elle-même une science ayant un but, une méthode de recherches et un c
ec l'anthropologie criminelle les mêmes rapports qu'avec les autres sciences . Science d'application, elle met au service du
ologie criminelle les mêmes rapports qu'avec les autres sciences. Science d'application, elle met au service du barreau les
DE MÉDECINE LÉGALE. l'application de données provenant d'une autre science ne permet pas de les confondre. La chose est
cières. De ce côté l'anthropologie criminelle, plus que toute autre science bio- logique, offre le lien le plus étroit avec
e autre science bio- logique, offre le lien le plus étroit avec les sciences juridiques- sociales. C'est bien là l'autre cha
jet particulier et prin- cipal de la psychiatrie, ni d'aucune autre science , quelque affi- nité qu'elle puisse avoir avec e
és et des engrenages réciproques qui lient aujour- d'hui toutes les sciences entre elles, des méthodes et des données à.diff
ranches scientifiques, n'en fournit pas moins à son tour à d'autres sciences formant une science en elle-même avec ses princ
, n'en fournit pas moins à son tour à d'autres sciences formant une science en elle-même avec ses principes, son champ de r
e peuvent nullement la faire considérer comme partie d'aucune autre science ; . 2° Que telle étant son entité scientifique,
du guérisseur, un philosophe, un confesseur laïque, qu'il prenne la science du cer- veau. » L'auteur, un des promoteurs de
entale des Malais; par \V. Gilmork 1LLLIS. (Tlae Joumacal of Mental Science , janvier 1897.) La maladie mentale, ou plus exa
olt\Lls; par P.-W. MACDONALD et A. Davidson. (The Journal of Mental Science , janvier 1897.) On sait que l'affection mentale
ns les MALADIES MENTALES; par J.-F. BRiscoE. (The Journal of Mental Science , octobre 1890.) L'auteur a recherché les influe
SES ET SA SIGNIFICATION; par R.-S. STEWART. (T/te Journal of Mental Science , octobre 1896.) Les conclusions de l'auteur son
decin-directeur de l'asile. 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. ACADÉMIE DES SCIENCES . Séance du 10 janvier 1898. L'Académie a proc
s communications faites durant le premier semestre à l'Académie des sciences , relatives au système nerveux : Recherches sur
le épi- nière que sur la blanche. Nous trouvons dans la Revue des Sciences médicales, de M. Ilayem, une analyse de M. Magn
ouville. Progrès médical, n° 24, octobre '1874. 5 Magnan. Revue des sciences médicales, t. 111, 1875, p. 253. ° 'P.-W. Mac D
cales, t. 111, 1875, p. 253. ° 'P.-W. Mac Dowald. Journal of mental science , octobre 1872. ' Grellière. Etude sur l'atrophi
LES cerveaux des aliénés ; par John TunNER. (The Journal of mental Science , janvier 1897.) M. Bevau-Lewis attribue aux cel
rigoureusement vrai, on com- prend le zèle incessant des hommes de science et des sociologues pour la recherche des causes
, aux esprits frondeurs, auxquels un vernis clinquant tient lieu de science . Sur 296 buveurs, traités de 1889 à 1895 inclus
é une bien lourde respon- sabilité vis-à-vis des gens de goût ou de science qui plus tard juge- ront son oeuvre. Je ne sa
ou est en voie de recevoir une solution conforme aux données de la science et de l'expérience. A Bruxelles, deux points on
hommes politiques avaient bravement emboîté le pas des hommes de science , et instruit, au point de vue social, le procès d
estion de la modération et de l'abstinence est moins une affaire de science que de dogme. Or, dans les questions de sentime
leurs n'est pas toujours potable, c'est un véhicule de maladies. La science prémunit contre les dangers de l'eau, et les ab
de l'impérieux devoir social qui lui est dicté doublement et par sa science , et par son rôle moral. Il est juste pourtant de
entier, après avoir montré que les Américains se sont fait dans ces sciences une place au moins égale à celle des neurologis
des expé- riences qu'il n'a pas contrôlées, a refusé aux hommes de science l'aptitude pour les investigations hypnotiques,
ilités DES médecins ENVERS l'état; par le D1' John PUNTON. Si les sciences médicales ont pris un développement intense au
chives de Neuro- logie. 21. La Sorcellerie (ses rapports avec les sciences biologiques) ; par J.-E.-J REGNADLT. Ceci n'e
ce qui nettoie le mieux. » Cet aphorisme semble résumer toute la science médicale et hydrothérapique du patriarche de Woen
é opposé ; par M. PEIIU, interne des hôpitaux de Lyon. (Société des sciences méd. de Lyon.) Une malade avait présenté une hé
services que peut rendre Pauthropométrie ; mais au moment où cette science se déve- loppe de tous côtés, et en raison de l
BIIET et COURTIER. Dans une communication récente à l'Académie des sciences , les auteurs ont résumé les expériences faites
, auriculaire. Boucheron. Epilepsie d'origine auriculaire. (Ac. des sciences . Juillet 1885 et nov. 1887). Monfflier. Union m
par le Dr Cu.RoN. Dans l'intérêt des aliénés, de la société, de la science et du corps médical des asiles d'aliénés il ser
ce interne de l'hémisphère droit. TABLE DES MATIÈRES Académie des sciences , 170. Accouchement. Rapport des névroses avec
76 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
de Leuret, avec les hommes qui conservent un religieux souvenir de la science et des éminentes qualités de cet habile observate
t estimés sur l'anatomie du cerveau, ne calculant que l'intérêt de la science , M. P. Gratiolet a bien voulu répondre à notre ap
uelle source j'ai pris les autres, parce que la probité en matière de science , m'a paru aussi nécessaire qu'en toute autre chos
rrait appeler mon larcin, surtout si ce larcin tourne au profit de la science . En rédigeant cet ouvrage, j'ai tâché d'être ju
je le désire, au contraire ; car n'ignorant pas ce que la culture des sciences coûte de temps et de peines, je ne voudrais contr
gner de son éloignement pour le sacerdoce, et de sa vocation pour les sciences . Celte révélation d'une force qui veut se produir
vec M. Lassaigne, furent mentionnées honorablement par l'Académie des sciences , à sa séance du 20 juin de la même année. Cette p
du 20 juin de la même année. Cette production est restée acquise à la science et est souvent consultée et invoquée. En 1826, il
nt de notre pays de ses anciens élèves les plus capables d'honorer la science et de bien servir l'humanité. Celui en qui il tro
près l'abus qu'on avait pour ainsi dire fait de tout réduire, dans la science , à l'appréciation des phénomènes matériels, ce vo
nfliger au plus coupable peut-être de tous les monopoles, celui de la science , la sévère condamnation qu'il mérite. C'est en
que vos « devanciers avaient à peine conçu; vous avez créé dans la « science une ère nouvelle, et les principes posés par vous
it-elle à la fois quelque chose de la douceur et de la sévérité de la science . Ils étaient si bien faits pour s'aimier et pour
uret et Lassaigne. Ouvrage mentionné honorablement par l'Académie des sciences . Paris, 4 825, in-8 de 228 pages. 8. Paralysie
du même côté que l'affection du cerveau (Jour- nal des progrès des sciences médicales. 4828, t. XI). 9. Monomanie erotique
tonner, et dont on ne saurait assez se garantir, quand on cultive les sciences ; une critique même injuste serait moins à craind
- (i) Expêr. sur les scorpions, par Maupertuis. Mém. de l'Acad. des Sciences . P. F. t. 7. p. 260; (a) Hombçrg, 0fc. m U» araig
es comptes de Montpellier, nommé Bon, ayant présenté à l'Académie des sciences , en 1710, des bas et des mitaines faits de soie d
ens, comme sont les fourmis et les abeilles, aient jamais cultivé les sciences occultes, ni même qu'ils aient la moindre notion
appliqué le microscope à l'étude de l'anatomie, et les progrès de la science sur le point qui nous occupe sont dus, en grande
te, se»met en opposition avec Leeuwenhoeck, et c'est tant pis pour la science , car il raconte sur la structure de la substance
é de sespenchans amoureux. J'ai toujours ambitionné de posséder cette science aussi belle au moins que la science divinatoire,
ours ambitionné de posséder cette science aussi belle au moins que la science divinatoire, et toujours elle m'a fui. Dans ma je
marsupiaux : Transacl, philosoph. , année t 83^, p, i; et Annales des science ; nature/les, i. vtïr, iHrH. hémisphères cérébra
plus grand, plus petit, excessivement développé, et qui place dans la science une série d'observations que l'enthousiasme ou la
aussi bien et plus vite que les personnes les plus exercées dans la science des calculs.1 « 3° Fido et Bianco joueront aux ca
celui dont M. Dureau de Lamalle a récemment entretenu l'Académie des sciences , et dont l'authenticité ne peut faire l'objet d'a
aux sauvages et domestiques. Lu à l'Institut, le 2 mai t83o. Auu. des Sciences naturelles, t. xxit , i831. du fait suivant qui
at musqué, par Réaiimur : dans VAbrégé des mémoires de l'Académie des sciences , pour t 7 a ri ; P F. t. v, p, iq;:;. former d
. 29. (a) Toscan, Décade philosophique, et Fournier-Pesçay; Dist, des Sciences médicales, t, xxxv, p, pi, \ L'aptitude des élé
un grand nombre d'années, quelques-uns même avaient publié sur cette science des ouvrages estimés des phrénologistes, et plusi
front, dans la région orbitaire et dans la région temporale; enfin la science , dans la partie supérieure du front. Puis pour dé
un front développé, il est aussi le seul qui ait en même temps de la science , de la raison et de l'imagination (fantaisie); le
onfiance dont elle est le siège, mais une foi aveugle et dépourvue de science ; enfin, en descendant jusqu'aux plus bas degrés d
ivement que le pariétal et l'occipital, eût donné à ces animaux de la science , de la raison et une foi intelligente. Plusieur
77 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, mais sans rappeler que nos aïeux affir- maient avec raison que la science comme le feu purifie tout ce qu'elle touche, je
dirai que j'écris dans un journal scienti- fique pour des hommes de science , et que dans ces condi- tions : honni soit qui
tificat ni comme imbéciles ni comme aliénés. (The Journal of Mental Science , juillet 1898.) L'auteur constate que la qualif
uë chez un jeune garçon; par M. B. Ray. (The Jour- nal of lIeiii(il Science , avril 1898.) Ce cas, qui s'est terminé par la
un adolescent; par Thomas-Philip p Cowev. (titre Journal of Mental Science , avril 1897.) L'auteur relève lui-même les poin
ur la progéni- ture ; par \\' .-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science , juillet 1899.) Ce mémoire, basé sur 12 obser
ysie générale juvénile; par A. Hrmx 1301'LE. (The Journal of Mental Science , janvier 1899.) Il s'agit d'une jeune fille de
nicutre et dont la plupart ont été analysés dans le Journ. of ment. Science . (iL). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 43 ou plu
lie chez les enfants; par (LETCfIER 13E.ACU. (The Journal of Mental Science , juillet 1898.) Ce n'est guère qu'au commenceme
ucation et son avenir ; par A.-Il. Douglas. (77ze Journal of Mental Science , janvier 1899.) 'fout en rendant justice aux ef
une observation; par T.TEL- FORD-S)111'11. (Tite Journal or' Mental Science , juillet 89;.) Enfant de sept ans, pas d'hérédi
les aliénés indigents ; , par John Carswell. (The Journal of Mental Science , juillet t8cJ8.) La question est traitée presqu
lle des imbéciles; par G. E. Sulttleworth. (The Jomnal nf lllentcal Science , juillet 1898.) L'éducation donnée aux imbécile
d'autres institutions ; par William-W. Ireland. (The Journal Mental Science , janvier 1898.) Garnie Bakkelws. - C'est la plu
les aliénés en Belgique ; par John SicuALD. (Tite Journal of Mental Science , juillet 1897.) L'organisation de ces deux co
il a publié le compte rendu de sa visite dans le Journal of Mental Science , en 1861. Il y est retourné en 1862, puis en 1893
lie imparfaite, relaté par T. ALDOUS CLINCH. (The Journal of Mental Science . Avril 1899.) ,- Les planches qui accompagnent
mptômes men- taux, par S. Il. B. Montgomery. (The Journal or Mental Science , juillet 1847.) Homme de quarante-deux ans, m
les deux seuls cas connus d'IIorward (American Journal of médical Science , mars 1889) et de Charcot (Progrès médical, 17 ju
sont dignes de leurs devancières et font le plus grand honneur à la science française. La première leçon est consacrée à l'
rganisation de nos universités provinciales permet d'espérer que la science des maladies mentales - science éminemment fran
rovinciales permet d'espérer que la science des maladies mentales - science éminemment française sera officiellement enseig
ent pour but de satisfaire les exigences de l'enseignement et de la science . L'autre clinique est celle de l'Université de'
ervitude pénale et folie, par A.-R. Douglas. (The Journal of Mental science , avril 1998.) L'auteur défend par de nombreux a
es médecins en pareil cas, par W.-B. MORTON, (The Journal of Mental science , janvier 1898.) , Il s'agit d'un homme entré en
lle loi sur l'ivresse, par A. WooD-BENTON, (The jour- nal of Mental science , avril 1899.) Cette loi a été mise en vigueur l
se au D1' Mercier, par REGiNALD Il. NOOTT. (The journal of Mental science , janvier 1899.) Jusqu'en 1894 la différence qui
uvement qui a déjà fait tant progresser la médecine générale et les sciences biologiques, mais encore, de tous les côtés, un
INTERNATIONAL DE MÉDECINE ! les plus illustres représentants de la science contemporaine, mar- quera une date dans l'histo
i sa très large part. Pour ce qui concerne notamment la branche des sciences médica- les, qui constitue notre spécialité, el
illant ainsi parallèlement dans un même esprit de dévoue- ment à la science les deux Sections contribuent efficacement à l'
1837) et 16 pouces 3/142,6 (cas du Dr Shuttleworth .1ollrll. Menti. Science , oct. 1878). Les caractères anatomo-pathologiqu
du système nerveux central, correspond aux besoins pratiques de la science dans son état actuel ; mais la classification a
microgyrie (cas de Meine. Matell). Le premier cas décrit dans la science est celui que j'ai commu- niqué au Congrès inte
es éléments d'applice- tion, suivant les dernières ressources de la science . IL Seront confiés au lit : 1° tous les malades
n causale échappe souvent aux investigations thérapeutiques de la science . D'où il résulte, qu'il peut être appliqué parall
YSIOLOGIE' ET D' liH. : NC'I'ROTHE1tAPIE. 407 note à l'Académie des sciences , sur l'action des courants aller- natifs sur di
édicale du Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences de f3oulonne-sur-\Ier a fourni de très intéress
de 2 pages. - Paris, 1899. - (.Isso- cialion pour l'avancement des sciences .) ,) Le rédacteur-gérant : BOURNEVILLG. Emtcu
n-8° de si pages. Paris, 1899. - (Association pour l'avancement des sciences .) LEDUC (S.). Traitement électrique des névralg
igures. Paris, 1900. - Extrait des Comptes rendus de l'Académie des sciences . Léon (J. (le). Sirin,r¡omielia con 6[Mto/)'o/
78 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
es et névritiques chez (t) Schiff, Comptes-rendus de l'Académie des sciences , 1854. (2) VULP1AN, Vaso-moteurs. (3) Ki,iPPE
bétiques, en signale un cas personnel, qu'il croit t unique dans la science . Depuis le travail de cet auteur, nous n'avons
l'article de Zuber (163) dans le Dictionnaire ency- clopédique des sciences médicales (1881), et du chapitre, d'ailleurs très
e, bien qu'adopté par Zuber dans le Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, est également critiquable : il donne
lère légitime, se livre, pour un moment, à des actes exaspérés ? La science psychiatrique n'est pas encore en mesure de préci
sée aujourd'hui, si l'on voulait tenir compte des acquisitions delà science psychiatrique.' Et il est vraisemblable que l'o
ue médicale ne tienne pas compte de ces récentes acquisitions de la science neuro-psychiatrique. Et ceux-là mêmes, qui, de
ium sur différents tissus et différents organismes, C. R. Acad. des sciences , 1903, p. 461. De l'action du radium sur les di
elle est donc alors la valeur de la psychologie qui prend le nom de science et qui a pour objet l'étude des manifestations in
comme une entité, devient vivant et agissant à son tour et toute la science métaphysique se réduit à jongler savamment avec l
is entendu parler, qu'il soit dans l'ignorance la plus complète des sciences physi- ques en général, ainsi que de toutes les
on spéciale, la connaissance passe à l'état positif au moment où la science en l'expliquant la ramène aux lois naturelles e
e qui occupe tant de grands esprits et remplit tant de pages. Cette science nous parle d'affaiblissement de l'esprit sans nou
utre chose que la capacité d'agir. La psychologie est donc bien une science d'explication par les mots et non par les chose
manifestations intellectuelles ou qu'elle disparaîtra du cadre des sciences . A cause d'une habitude séculaire, le nom subsi
ons profondes. Déjà maintenant, sous le nom de psycho-physiologie, la science métaphysique de l'esprit commence à opérer sa c
elle devra céder la place à la physiologie ou devenir elle-même une science positive ? Bien minime assuré- ment, mais peut-
n jugement par la magie des mots. I La psychologie est donc une science d'attente, une fausse science. Seconde étape de
mots. I La psychologie est donc une science d'attente, une fausse science . Seconde étape de l'esprit humain dans la conna
t seules sa longue survivance et il serait fort dési- rable pour la science positive du xx° siècle au milieu duquel elle cons
prises ensemble ou isolément et qui sont les seules dont dispose la science positive pour marcher à la conquête de la vérité
nge ou d'extraordinaire, si l'on veut bien se rappeler que quelques sciences , la paléontologie et la géologie particulièrement
ntologie et la géologie particulièrement,ne sont avant tout que-des sciences fondées sur l'induction et la déduction. La premi
ayant rien de physiologique dans ses conceptions n'est qu'une vaine science dont il n'y a vraiment pas lieu de se préoccupe
'on peut se baser sur elle pour en tirer des conclusions fermes. La science dans la stricte acception de ce terme, c'est-à-
oin que puissent s'étendre dans l'avenir les ives- tigations de ces sciences . V Le fonctionnement intellectuel réflexe s'e
es choses-là u'ont d'autre importance que celle qu'on y attache. La science se livre à la recherche de la vérité et ne fait
ation favorisée, elle s'accorde complètement avec les données de la science moderne qui ne progresse qu'en agrandissant indéf
'. - Thèse de Lyon, 1901. 38. Hdciiaiid. The american Journ. of the Science , 1901. 39. IIUDELO et HEITZ. Nouv. Icon. de la
1. " 10. Nichols. - Dup¡¡yl1'cn's contraction. Amer. Journ. of med. Sciences , 1899. 11. Doberauer. Ueber die Dupuy-1'. Finge
s maladies. La numération dans les cas où, dans l'état actuel de la science , le diagnostic ne nous fait pas présumer une au
ERT, Nosographie naturelle, t. I, 1817. (5) Murât, Dictionnaire des sciences médicales, article « Envie », 1815. (6) TIIÉLAT
manifestait particulièrement pour l'histoire et la géogra- phie. En science et en mathématiques il était d'une force moyenne
pidemiology of acttle Poliomyelilis, The americ. Journ. of the Med. Sciences , vol. CXXXV, p. 647, 1908. 43. Ibrahim (J.) und
illes idées dont les peuples ont subi le joug jusqu'au moment où la science est parvenue à résoudre le problème. Je n'ai pa
gs suffiront à amener des défections nou- vel les. La poussée de la science est irrésistible et tous les dogmes doivent pér
arence trompeuse, puisque les plantes ne la possèdent pas et que la science actuelle la refuse aux protistes et aux animaux
i déjà eu l'occasion de le montrer (1). La psychologie n'est qu'une science fondée sur des mots et qui sera rem- placée un
et qui jamais s n'auraient été créées, si des penseurs nés avant la science n'avaient cru apercevoir des différences de nat
Mais la compréhension du matérialisme nécessite la connaissance des sciences naturelles sur lesquelles il est basé et un pou-
maine constituent des faits particuliers qui ne relèvent pas de la science positive et qu'une « intelligence » peut produi
emblables qui sont devenues vraies. Avant d'abor- der l'étude de la science , il faut se dépouiller de ses préjugés. Les conce
ode que l'on inventera une machine à vapeur ou que l'on fondera une science sérieuse. Il n'y a 722 LEFÈVRE que des écoles
de brouillard et qui n'étaient de mise qu'avant l'apparition de la science qu'elles devaient fatalement précéder dans l'or
successivement et se comporte comme s'il cicatrisait ses plaies. La science moderne jette d'ailleurs des ponts de plus en p
les structures les plus perfectionnées. Telle est l'opinion que la science a fondée sur l'obser- vation, l'expérimentation
entifique, est de nature à satisfaire tous les esprits positifs. La science n'a pas tout découvert encore, mais il ne faut pa
ceptions erronées léguées par nos ancêtres et qui impré- gnaient la science primitive. Nous voulons voir dans la matière viva
perficielles. Il faut savoir regarder par dessus. Qu'ils étudient la science , élèvent leur esprit et donnent de l'envergure
nt libres. Tout phénomène scienti- fique est déterminé. Pour que la science ahorde l'étude des manifestations naturelles et
n moment l'étude de ces spécialités pour se consacrer à l'étude des sciences naturelles et sociales. Sans cela, on risque fo
les INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET RÉFLEXE 729 domaines de la science . Ce n'est qu'en glanant dans tous les champs de
79 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ogie : par Arthur MACDONALD. - - - , < ? (The Journal' of Mental Science , janvier, 1891'.) ,u"'j-* ? lfI ' ' .- 'V . ' "li
LES TrtIBUN.1UX ? pa.u GeOiH ? S4V.GE. 'h$1 1t19r/ ' ' · of Mental Science ) juillet 1 : 7dd .1 Istui n ? rjOT^ 1` bhlrt 1
sais qu'en thèse générale il convient de ne pas-introduire dans les sciences anatomiques des expressions possédant déjà leur
n livre sur la Syphilis du cerveau, livre empreint d'une si grandet science clinique. Les symptômes douloureux du début, pu
: M. Pasteur, membre de l'Académie fran- çaise et de l'Académie des sciences . - - ' Prèsideiits mati. le Dr Brouardel, doyen
cadémie française; Bertrand, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences ; P. Janet, membre de l'Académie des sciences mo
tuel de l'Académie des sciences; P. Janet, membre de l'Académie des sciences morales et politiques, professeur à la Sorbonne
Dr Verneuil, Grandidier, Bishofssheim, membres de l'Aca- démie des sciences . MM. Garnier, Gérome, et le baron Atph. de Roth
nt chaque/ territoire, agit comme par décliar,-e; devant une con- science incapable, de le réfréner ? ni de le diriger. ''
PEAU, CIIEZ UN, ALIÉNÉ; par Epie rr,ANCE.,(Tlae, Joznvzal of Mental Science . juillet 189 1.) C'est surtout parce qu'il s ag
R,INTRA-CR ? NIENNE : , par CoNOLLY NORMAN. (The Joürncil ôfJlèztnl Science , juillet 1890.) Observation, accompagnée de pla
e interne; par Hubert . t,;3,C. BpisTowE. 'T/te/OMnta< of Mental Science , octobre 1893.) ' L'auteur examine ces deux cas
du temps de réaction; par BEV : 1N Lexis. (The Journal of Mental Science , octobre 1893.) . 1 1 Perfectionnement intéress
DU DU . CAS) publiés ; parCEciL F. BEADLES. (Tlie Journal of Mental Science , juillet'et octobre 1833.) zJuah pib .. . ."T
JSENT DE S'ALIMENTER ; par'le Dr BR6uGn(T/fe'JoMnM< o ? H<(t/ Science ; octobre 1893.) ··.- . (.F,ki 1 , .r' a L'aut
ruction intestinale; par. R. f S. STEWART.('r/te.JOMt'H6[0/' Mental Science , juillet1891.) , <,< » ? ? f >h. = ? -s
8 juillet4893;cpar.J : AIUReY-LI\osAY : c(T/ee'Joul7znl.'of Mental Science , octobre 1893.) - tllibq aoii. - ,7alm9lq cob J
d'Omagh ;' par1 George7' Francis1 West.11' (Theb journal of Mental Science , avri11893.)'9'f ? J' ! i«« WtHwt "iO - - - . v
pourrons exa- miner alors si vraiment nous sommes à l'aurore d'une. science nouvelle; â nltrà-térréstre'y 4 " t ll'»-»«i- "
sont tous dans la situation* de ce Portugais, â,trèsvérsé dans les, sciences », qui disait à Leuret : «,,Vous dites( que jé,
? commeb Brièreiide Boismont,l avaient laprétentionde concilier-la science ) avec, la foi : 'Ils invoquèrentp d'abords lèi
isante, 166 31UTPSYCHOLOGIR'PATI-IOLOGIQUE.' 's 3 "'J font à la ! science véritable' ! Combien ! les observations' gagner
rté par ? J ? WiGLEswonTH.(T/t6 tfJoM)') ! < ! o/'<MeH<(t. Science ? juillet 't1893.)9dtfJ(1· Li ! 9.r19'IfqvIG 91
IE du cuir chevelu ; par GeOfeSfF09' (1/ie Journal ' ? '" of Mental Science , octobre'1893.) ' ? b ? t ? ,,um ni) t'tftt/u aav
ur ce, sujet dans le numéro de jan- viser 1893 du Journal of Mental Science . u , , ^, , ,-f t, R. M. C. il. ? I 91 ? "ut' '
publié par l'auteur il y a un-an environ dans le- Journal of Mental Science . l.,Turilera,ol)sei,vé depuis cette époque un;
enza; -par Julien "ulq mALTHAU&(r/t6,JoM ? ' ? ta< of Mental Science ,, 'avril .1893.)a<i) rh., il mdoo anp laiius
' par^A . -CV'BuTLER-ShïTHE ? - (TIlC Iti'q'Jozii-nttl of illeittal Science , juillett1S9 : 1 : )n s'rJusi eàhb pinfn ri, J,
lais;' par V- : Gilüi'ore'I : Liis., (T/teyoM)')M/' ' ? ' of illenlal Science , juillet 1Sr33.)` " '' ? ' " '' j Le mot « Am
? 'rA( ! g : Me); par Géôr=é,111.1tônRisôiv.(The Journal of Mental Science , avril et juillet 1893.) ^^"^j ? ^, (J ,' ' On
EURiBYDRAULIQUE; par,B ? V.1RICHARDSON. (The Journal, ,of"111eIZtal, Science , janvier 1892.) ao stttcnuo 11 -,Ht,< ne (r
t d'idiots du même genre ne correspondent point aux exigences de la science , de l'expérience et de l'humanité; ils ne saura
l'autopsie macroscopique du cerveau ne suffit pas aux besoins de la science et que, par suite, il convenait de. traiter de
rjesi méthodes ! d'examenique ? l'orateur aliiitrodiiitest dans la, science ,-ihest arrivé à déterminerlquede terme éllulézîéi
s d'arrêt, il est de très courte durée, 1 Raymond. Dictionnaire des sciences médicales, article Tabes, p. 310. , PARALYSIE
d'une vertu' éminente ? aussi- considéré dans, la province pour; sa science qu'estimé'-de) sa^ congrégation pour. satpiété,;l
lques-uns une grande lacune au dé- triment des bases de la nouvelle science ), en présentant une contri- bution que je; croi
CARACCIOLO de Naples, dans laquelle j'enseigne depuis seize ans les sciences phy- siques et naturelles. J'ai demandé à cha
confirme encore une fois et largement un des points de repère de la science anthropologique criminelle, voire celui de la p
un acte de réparation envers l'auteur et comblons une lacune de la science ». 1 1 i , - : ' - . La connaissance des deux r
80 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e Paris, médecin de l'IIôlel.Dieu. - . Et E. FEINDEL, Licencié ès sciences , docteur en médecine. Dans un article paru il y
pose d'abord les prémisses suivantes : « Dans l'état actuel de la science , nous pouvons et nous devons admettre que l'abo
estions rapides, paradoxales et imprévues. Dans l'état actuel de la science , le champ des actions humaines est un monde ind
médicale est que la folie est toujours une question de fait que la science médicale doit chaque fois déterminer. Cela a été-
xamen à ceux qui ont fait une étude spéciale de cette branche de la science ; 5° les médecins de prison examineraient tous l
e, juin 1901.) L'anthropologie criminelle que l'auteur définit « la science de la nature et des facteurs de l'homme délinqu
ent à trouver les raisons du phénomène appelé crime. C'est donc une science bien définie, dis- tincte de la psychiatrie et
f Imanily, p. 61 - 660.) La psychologie constitue aujourd'hui une science distincte. Les phénomènes psychologiques obéiss
de la corticalité cérébelleuse; par Lannois et l'.wlor. (Société de sciences médica- les de Lyon, 19 juin 1901.) L'examen
à cette oeuvre coopérative des malades combinée avec l'effort de la science . on arrivera à trouver un moyen de guérison eff
à 67.) La psychiatrie est encore un art, elle n'est pas encore une science exacte. C'est sur les acquisitions du xix° sièc
acte. C'est sur les acquisitions du xix° siècle qu'on doit bâtir la science moderne : Lavoisier, Berzélius (chimie), Galvani,
nous choisissons la carrière de la pratique au lieu de celle de la science , ne le regrettons-nous pas d'ailleurs ensuite,
ués d'opium et de hashich; ergotisme. Aujourd'hui l'expansion de la science rend ces faits plus rares. 11 y en a cependantd
nes psychiques des états de rêve. SIMON. XXVIII. Christopathie et science chrétienne; par C.-II. Hugues. (The Alienist an
uve quelque chose d'analogue dans les églises actuelles, dites de « Science chrétienne », dont une est à Paris (maison mère
dont une est à Paris (maison mère à Boston). La révélation de cette Science date de 1866 : les guéri- sons des malades par
e salut du péché et de 1 tristesse, de la maladie et de la mort; la Science chrétienne, c'est a loi de Dieu introduite dans
? Paris, Doin. LAI/DIS, The lits tory of the developmenl of Médical science in America. (The american journal of llze médic
f Médical science in America. (The american journal of llze médical sciences .) Lepinay (F.). Essai anatomique et pathologiqu
our le moment je vivais. Je cherchais à m'intéresser activement aux sciences , mais j'avais pendant des heures entièros le li
dence l'impossibilité d'une explication qui cherche la source de la science de la nature au maître autel et laisse régner l
o-philosophique là où l'analyse, la cri- tique et l'observation des sciences naturelles réclament seules leurs droits. REC
ous l'avons tous observé. Il en existe maintes observations dans la science . Esquhrol le considérait comme un délire sensor
n d'honneur. « Votre mérite et votre dévouement aux malades et à la science dont vous faites preuve sans répit, ajoute l'or
s), dans le but de l'aire une « charité éclairée des lumières de la science ». - 2 Leloir. Traité pratique et théorique de
ologie de certaines paralysies radiales ; par Lannois. (Société des Sciences médicales de Lyon, 21 mars 1900.) M. Lannois ra
n du nerf. G. C. LVIII. Vertige familial; par LANNois. (Société des Sciences médi- cales de Lyon, 21 mars 1900.). M. Lanno
go provoqués par l'opérateur dans le massage. Dans les Archives des sciences physiques et naturelles de dé- cembre 1900, M.
pulsion homicide pure ; par J. 1'i'tcLswomu. (The Journal of Mental Science , avril 1901.) Il n'est pas commun de rencontrer
XX. Epilepsie et crime ; par John 13.ncn. (The Journal of mental Science , avril 1901.) , La pathologie de l'épilepsie de
VE-CL.1Y. XXI. Châtiment; par C.-A. Mercier. (The Journal of mental Science . juillet 1901.) Les travaux de M. Mercier sou
e chez les criminels; par W. 1\'onwooD East. (The Journal of Mental Science , octobre 1901.) , Travail très substantiel et t
pplicables à l'étude des faits sociaux. - G. Richard. Sociologie st science politique d'après des travaux récents. - Analys
à ses propres dépenses; par A.-R. WImTEWAY. (The Journal of Mental Science , ' juillet 1900.) L'asile de Saint-Luc, à Pau
pour l'East Sussex; par H. Hnves Newington. (The Journal of Mental Science , octobre 1900.) Etude très complète d'un projet
y'of London Asylum; par Arthur E. PATTERSON. (The Journal of Mental Science , juillet 1900.) Ce travail ne se prête à aucune
ment d'un vieil asile ; par Ernest W. WHITE. (The Journal of Mental Science , juillet 1900.) L'auteur fait dans ce mémoire u
souvenirs, n'étant ramenés que de plus en plus rarement à la con- science , s'obscurcissent : ceux qui subsistent tendent à
. - d'origine infectieuse, par llamouotf, 427. CIIIISTOPATIIIE et science chrétienne, par C. Hughes, 230. CIIR01lATOPSI
81 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
blatt, 1873). "Renaut. Art. Dermatoses, \x\Dict. encyclopédique des sciences médicales. ' Depuis la rédaction de ce travail.
. llclier et Gilles de la Tourette. Dictionnaire encyclopédique des Sciences médicales. GRAND ET PETIT HYPNOTISME. 9 a l'i
mobile; il parait comme fasciné. Les 'Comptes (le de l'Académie des sciences , I CS3, z .lncmvr- t. \1'It.. 7 98 REVUE CRIT
ussé par les savants, d'entrer définitivement dans le domaine de la science . M. Bernheim ne conteste pas non plus l'existen
rnant avec l'asthme Par Co- nolly Norman. (Tlee Journal of àlent(il science , avril 188 ? ) L'auteur relate sept observation
chez LES aliénés, par T. DUNCAN GREENLEES. (7'/te Journal of Mental science , octobre 188S.) Ce mémoire très intéressant, tr
malade d'asile, par Ilanax A. 13h\11.1x. (Tite Journal of Mental science , 5 aviil 188.) La terreur qu'inspirait à ce mal
timons qu'elle peut représenter dignement à l'étranger l'état de la science française et af- firmer une fois de plus son bo
é, ensuite parce que cette vérité se trouve être un émanation de la science française. M. A. Voisin pense que la manie et l
discussions qui se maintiennent exclusivement sur le terrain de la science . » La sentimentalité n'a rien à voir ici ; il ne
l faut, oui ou non, admettre la peine de mort. M. Loye, en homme de science , n'a voulu s'occuper que des faits. Si les gens
ent-ils au moins y apprendre à distinguer la Vérité de cette fausse science , mise sans cesse à contribution par la plupart
res qui sont du domaine de la médecine légale. A la première de ces sciences se rattachent les nombreuses expé- riences, ten
sseur de droit à la Faculté de Nancy lisait devant l'Académie des Sciences morales et politiques de Paris un mémoire sur la
On Aphasie, 1887, 1). 13. ' Dublin journal of Médical and Chemical science , 1833, p. 160. SURDITÉ VERBALE. 219 Pathologi
nt beaucoup écrit sur la surdité verbale et la cécité verbale, la science n'est pas capable de parler très nettement du s
Italie avant tout par M. Famburini, est entré dans le domaine de la science . En compagnie du Dr Vizzioli, j'ai observé un c
si le moment parait-il venu de sceller l'accord indispensable de la science de l'homme avec celle de la loi, en créant dans
l être partagé par ceux-là mêmes d'entre nous qui ont sur la cou- science d'avoir eu parfois recours, dans l'intérêt de leu
système nerveux. Les temps sont revenus où, pour ne parler que des sciences biolo- giques, il n'est pas plus loisible d'ign
ceux des Allemands ou des Anglais. Pour reprendre son rang dans la science contempo- raine, l'Italie n'a eu qu'à continuer
atomie topographique du cerveau a été la première condition de la science nouvelle. Sans cette anatomie, la cou- naissanc
iés et couches optiques). D'après les faits acquis jusqu'ici à la science , il est assez vraisemblable que le complexus de
u cerveau. Il est évident pour tout. le monde qu'entre les diverses sciences de la vie, comme le dit très bien Seppilli, il
de certains physiolo- gistes » qui réclament précisément pour leur science une autonomie absolue, et dont les généralisati
rien de celte lutte courtoise entre savants également épris de leur science . Elle était née, chez les auteurs italiens, d'u
tion plus simple, plus en harmonie avec les données actuelles de la science , plus pratique enfin, au point de vue des exige
llarger, qui mar- quent comme une traînée lumineuse à travers noire science spéciale, et je m'incline respectueusement deva
nte et féconde de cette école clinique d'observations à laquelle la science psychiatrique française doit ses plus sûrs pro-
lète, homogène, irréprochable : indéfini- ment perfectible comme la science même qu'elle représente, il est bien entendu qu
Archives et tous nos lecteurs qui ont pu apprécier le talent et la science de Bricon joindront leurs regrets à ceux de tou
ire comme celui d'un homme dont la vie entière a été consacrée à la science et aux idées généreuses. ) m n m -ii. m m - r '
ces rapports ont surtout pour mission d'exposer l'état actuel de la science sur la question dont ils seront chargés. En d
82 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
petite soit-elle, il y a une minorité et, dans l'état actuel de la science , je ne connais aucun signe permettant de les di
d'en pronostiquer l'évolution. Eh bien ! dans l'état actuel de la science , je crois tous ces jugements impossibles à port
mes appa- rents de la démence, je crois qu'eu l'état actuel de la science , il n'est pas permis de certifier d'une manière
uve contraire, à dire avec M. Blanche que, dans l'état actuel de la science , il serait imprudent d'affirmer l'incurabilité,
re mois; autopsie; par Boni. (Tite Anzerican Journal of the médical sciences , juillet, 1882.) Le sujet de l'observation, jeu
elevé de quarante-huit cas d'arthropathies tabétiques épars dans la science , neuf lui appartiennent, c'est dire qu'il a été
de l'Institut, professeur de physiologie générale à la faculté des sciences de Paris; Uouley, membre de l'Institut, profess
IDÉRÉES comme causes ce la folie; par Cttru.w. (Journal of mental Science , juillet 188 ? , p. 989.) Il y a quelques année
; atrophie des circonvolutions; par James SffAW. (Journal of mental Science , juillet 1882, p. 210.) Il s'agit d'un cas où
on et le mobilier des asiles; parA.-R. URQHUART. (Journal of menlal Science , juillet 1882, p. 167.) L'auteur, qui dirige en
paralysie générale; par Joseph 1'I- CLESWOIITU. (Journal of mental Science , janvier 1883, p. 41;i.) Le point principal sur
deux observations ; par C.-M. C.1'JiPItFf.L. -(Journal of mental Science , juillet 1882, p. 212.) Une petite épidémie de
E\T.1 L1 PEINE CAPITALE ; par W. Henry Kesteven. (Journal of mental Science , juillet )88 ? p. 1 17.) L'état particulier q
NS L pahvlysië générale; par W. Ju- uus IIlC6LE. (Journal of mental Science , octobre ,1882, p. 343.) . a L'auteur de ce m
11 cir ^J.*l . -j.,1" 71 tj uli ? f^ vv.vN. ( The Journal of mental Science , janvier 1884, p.S30.j ? - r`' ,19 91w^ e^'ii ?
T·DE3 LSIPfIR ETiDE PUS; par. J.,MANLEY..(T«e nf Journal, of mental Science , janvier 4884,up.,tïl9,)i ? tiq,rY9liu : - raci
vent, parlent, travaillent avec les élevés. L'un d'eux enseigne les sciences naturelles, un autre les langues anciennes, l'all
des chants; Deux par des travaux horticoles. ' Les professeurs de science sont encore chargés de lasurveillauce, et parti
XXXIV. DE la sclérose miliaire ; par PLAXTO-4. (Journal of mental Science , avril 1883, p. 27.) La sclérose miliaire se pr
ON DES GUEUISONS ET DES DÉCÈS par T.-A. Cu pm (Joui-ii(il of mental Science , avril 4 883, p. 4.) Travail intéressant de sta
EZ LES SUJETS NEUMT)QUES" ;par G.-11. S,Y-GE. (Journal of incittttl Science , avril 1883, p. 49.) L'auteur définit d'abord c
S grands et DES petits asiles; par Henry Rainer. (Journal of mental Science , avril 1883, p. i.) 11 résulte des recherches f
érale par lésion DU crâne; par .IullItS IICKLE. (Jourlral of mental Science , janvier 1883, p. 544.) L'auteur constate que,
R. 111. U. XXXIX. De la folie CHEZ LES jumeaux. (Journal of mental Science , janvier 1883, p. 539.) I. Jumelles présentan
d'imbécillité épileptique; par Herbert-C. Major. (Journal of mental Science , janvier 1883, p. 532.) Voici le résumé de l'
ET LE TRAI- TEMENT des aliénés ; par R. Cimeron. (Journal of mental Science , janvier 1883, p. 319.) Ce long mémoire se te
re conclusion et du chapitre qu'elle résume, la Rédaction du Mental Science a mis au bas de la page une note par laquelle e
tat mental dans l'hypnotisme; par D. IL1CK TUKE. (Journal of mental Science , avril 1883, p. 55.) Ce mémoire a été lu devant
rochure in-8" de 53 pages. New-York, 1881. 1'hc z o/' the médical sciences . Grasset (J.). Des rapports de l'hgsférie avec
83 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ts clairvoyants s'en alarment : lisse demandent si l'unité de notre science ne va pas se dissoudre quelque jour, se morcele
es; aux travaux dans lesquels l'expérimentation, les procédés des sciences physiques adaptés aux choses de la clinique vie
it sclérosé, non ' Sappey et DllV,Ll.-ColI ! ¡des l'endus Acad. des sciences . (19 janvier 1876). 2 Debove et Gomballlt. - Co
ris', 1874. Comptes-rendus et mémoires du Congrès international des sciences médicales, p. 566 et suiv. Genève, 1878. DÉLI
P. BRocî. (Congrès de l'Association française pour l'avancement des sciences , séance du 30 août 1877, tenue au Havre ; - Gazet
P. Broca présentait à l'Association Française pour l'avancement des sciences une note relative à la thermométrie cérébrale e
DU pneumogastrique opposé ; par M. FRANCK. (Compt. rend. Acad. des sciences , 1880.) L'auteur a constaté que « la ligature d
ns sur lesquelles repose la 10 146 revue DE pathologie mentale. science moderne », M. Ball a substitué à l'exposé doctrin
umé historique, forcément incomplet, des vicissitudes subies par la science psychiâtrique. Ce ré- sumé est loin de renseign
clinique, c'est-à-dire dans la philosophie, les ori- gines de notre science . On voit qu'il est difficile de saisir, dans so
mplexe de l'intelligence que croit posséder qui- conque s'occupe de science ; ce n'a jamais été un principe. En somme, la s
il apporter dans les programmes d'instruction. (Journ. of mental Science , janvier 1880.) II. D'O. X. L'aliénation mental
l'altération consécu- tive de l'écorce cérébrale. (Journal of ment. Science , janvier 1880.) H. D'O. REVUE DE THÉRAPEUTIQU
la population incessamment croissante des asiles. (Journ. nI' ment, science , janv. )880. Il. d'O. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 1
me nerveux : le sujet était difficile, et, dans l'état actuel de la science , comprenait encore trop d'inconnues pour permet
« sortie de l'asile pour les tirer d'embarras. » (Journ. of. ment, science , 1880, janv.) H. D'O. VISITE A QUELQUES asiles
vec 3 figures. Prix 3 fr. - Pour nos abonnés 2 fr. BOURNEVILLE. - Science et miracle : Louise Lateau ou la Stigmatisée be
ION du foie ET des viscères abdominaux ; par Laffont. (Académie des sciences , 15 mars 1880.) Les expériences faites par l'au
ns DE l'excitabilité corticale; par M. COUTY. (Comptes rendus Acad. sciences de Paris, mai 1880.) Les conclusions de cette
lésions DES circonvolutions cérébrales; par H. Tripier. (Acad. des sciences , 19 jan- vier 1880). Les expériences faites s
1880.) Dans un travail publié par l'Amera'can Journal of médical sciences (juillet 1877), John J. Masson dit qu'après avoir
! l31j ao ai 1 r1 x12 db ttrod us "UOE : JJlÍV jlJllIOJ'f';¡11 « La science ne peut être bien fixée que par l'accumulation
avec la note bien. C'est un des élèves pré- sentés à la Société des sciences médicales de Lyon, par M. Hugen- tobler, direct
s plaies. »- 3° question se rapportant à une branche quelconque des sciences médicales, abondonnée au choix de l'auteur. L
lities in the brain of a hydrocéphalie imbécile. [Journal of mental science , octobre 1879, p. 329.) LOCALISATIONS CÉRÉBR
bstinate Constipation and Inactivity ofthe Liver. (Journ. of b9ent. Science , avril 1880.) 1 Tebaldi.-Note statistico-clinic
a eu aucun enseignement officiel et régulier de cette branche de la science , si bien que, pour s'y adonner, il fallait se f
auditoire spécial quelques considérations sur l'importance de cette science pour la médecine militaire. G. H. XXXVII. DE
à proscrire l'obser- vation des troubles fonctionnels, le but de la science mentale étant premièrement «d'établir un rappor
ite de conceptions méta- physiques, qui s'appelle ambitieusement la science des facultés de l'âme. C'est celle-là qui a lon
es et de planches. Ce traité est donc absolument au courant de la science neurologique dans ses différentes parties. Le tra
ncidemment tant de notions d'histoire, de géographie, de calcul, de science , de grammaire et de style (car l'analyse et les
membre associé libre de l'Académie de médecine et de l'Académie des sciences morales et politiques. M. Peisse avait longtemp
ité déjà cerébrotomiej méthodique s'accentue avec les progrès de la science ; car, ..quoique ébranlés, les systèmes imaginés
(Med. and. sîiig. journ., mai 1878) ; de Clouston (Journ. of. ment, science , juillet 1879), cette dernière ayant trait surt
cet ordre d'idées, il a lu récemment il la tYctv- Y01'/¡ Academy of Sciences un mémoire sur les Gurdetz Schools, où il propo
onal d'Amsterdam, à l'Association française pour l'avancement des sciences , etc. Bien que le Dr Seguin fut parfaitement au
s. A cet égard, je ne puis qu'indiquer la voie ; il appartient à la science seule de préciser les questions de thérapeutiqu
ant ainsi, à un mo- ,ment donné, l'état sans cesse progressif de la science . Tel est le but des Archives de Neurologie, rev
de la loi du 30 juin 1838. FAITS DIVERS Congrès international des sciences médicales, Lo7zd7'es, août 1881 . Section IV :
pas dans son asile; mais; si' nous en croyons le Journal of mental science , 650 FAITS DIVERS. Lindsay prenait volontiers
84 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le que M. Wernicke accuse de la disjonction du contenu de la con- science , de l'ordre préétabli des associations d'idées.'
hèses des aliénés dans les théories abandonnées qui eurent cours en science et en religions. La théorie du physiologiste V.
de France et de l'étranger. Quoi qu'il en soit de ces opinions, la science manque de documents positifs pour la solution d
arait en médecine nerveuse; elle lit les ouvrages de médecine et de science , elle s'emballe à la suite du moindre progrès r
s nombreux échecs ne la rebutent pas, mais elle s'indigne contre la science qui n'avance pas et les médecins qui ne peuvent
st probable, dit-il, qu'il a fait sur ce sujet son examen de con- science et s'est trouvé coupable, souillé moralement. Ain
in G1'll1 ! dl'iss, etc.) Demoiselle de quarante ans, professeur de sciences dans une école supérieure de filles, zélée, ass
eurs et affaiblir leurs antagonistes. Le traitement chirurgical, la science systématique de la marche et l'orthopédie bien
opérés des sacs lourds. Apres l'opération il ne faut pas oublier la science systématique de la marche. L'auteur a observé b
eulement avec un bâton. L'auteur les a vu opérer et a assisté il la science systématique de la marche. G. DE Majewska. XV
titre l'auteur nous donne une sorte de revue rapide de l'état de la science à l'heure actuelle. Suivant son expression il «
ésologiqnes qui favorisent la progression en avant. Parmi elles, la science se substituant à l'empirisme aide puissamment au
grande quantité de questions et de chacune il dégage le rôle de la science . Il parle de la chimie transformant l'alimentat
etc., etc. Et par- tout il impose cette idée que les savants et la science ont tout envahi et règnent désormais en souvera
esprit dans lequel elle a été conçue, et qui vient démontrer que la science n'a jamais fait fail- lite comme certaines voix
ase : Les femmes, dont l'infériorité cérébrale parait admise par la science contemporaine, etc. », et la discussion continu
u est fonction. Le problème complet avec les procédés actuels de la science est encore insoluble, mais il n'en est pas moin
s actuellement ou députés ou sénateurs sont vraiment .des hommes de science : je crois qu'on en trouverait peu à qui donner
r ce titre dans le Parlement. Il faudrait en outre prouver que leur science peut s'appliquer ou s'est appliquée il résoudre l
le, comme l'indique l'auteur. Bien loin d'y voir une conquête de la science , je crois que celle-ci n'a rien à y gagner. Quo
u comprendre la valeur que prenaient, en s'appliquant à un homme de science , les expressions par vous employées. Calomniate
« Mais ne savez-vous pas, Monsieur l'Évêque, ce qu'est un homme de science ; quel culte ardent et sans partage il a voué à la
on, à coup sûr, vous n'êtes pas accoutumé de parler à des hommes de science . » (La Morale des Jésuites, par PAUL l3rnr; Déd
dans laquelle les auteurs démontrent la nécessité de constituer une science de l'éducation qui devra servir de base aux péd
ris, 1891) ; 6° Art. Idiotie, in Dictionnaire ency- clopéclaque des sciences médicales, par Chambard ; - '7° Art. lIC1'JlW-
- '7° Art. lIC1'JlW- phrodisme, in Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, par Ilermann ; 8° Km. Laurent. Les B
t ce qui ne sort pas de leur pays. Pour moi, c'est avec un grain de science que j'ai pu en remontrer à un pro- fesseur beau
trer à un pro- fesseur beaucoup plus savant que moi, et ce grain de science me vient de France ». R. CnAMN. XVII. Maladie
, adossée au Yennsberg, Bonn est une ville charmante, mais Paris La science allemande est admirable, mais nos savants franç
s langues étrangères, dit le Dr Saint-Jacques, 'quelle influence la science française à l'instar de l'art prendrait davanta
intellectuelle. Gabriel a acquis quelques notions d'histoire et de sciences naturelles. Le 8 août, l'enfant quitte l'Instit
plus haut intérêt où l'auteur estime que, dans l'état actuel de la science , il est nécessaire, pour l'étude des voies cen-
ne compression médul- laire, est explicable, en l'état actuel de la science , par la seule interruption anatomique ou foncti
a au moins quelque satisfaction consolante donnée à la folie que la science abandonne. » Toutefois, la campagne énergique m
bus (Silésie). Le même auteur, au dixième Congrès international des sciences médicales, vulgarise la méthode de l'alitement
e medico-psycliological association ; july 1895. (Journal of Mental Science , 1895, p. M9.) ° Ilurd. The M il/al' loealnzenl
finitive. Cette expression de « sens musculaire» introduite dans la science par Charles Bel, en 1833, n'exprimait alors que l
85 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en évidence il faut user d'artifice. Longtemps il fut admis dans la science que les muscles du tronc étaient respectés dans
es civilisés réclament une place à l'apothéose de-pareils hommes de science qui sont l'honneur de l'humanité entière. Et ce
la Salpêtrière, non loin de celle dePinel, cet autre apôtre : de la science et de l'humanité. Une place reste vacante à dro
te à droite ; ce n'est pas, hélas ! nous qui verrous surgir dans la science médicale, celui qui sera capable de servir de p
remplis de traditions scolastiques qui non seule- ment écartent la science de ses voies les plus larges, mais encore l'éga
ison des notions absolument pri- mitives qui sont venues jusqu'à la science présente sans être criti- quées et que la scien
venues jusqu'à la science présente sans être criti- quées et que la science actuelle se refuse à examiner par crainte d'en
de M. Branly, l'auteur de l'article pense qu'en l'état actuel de la science les éléments manquent à l'interprétation ration
toutes deux vont et suivent de compagnie. A l'accrois- sement de la science , correspond l'amoindrissement de la foi. Ces pa
chistes comme cela se voit encore ' André Lefèvre. Dictionnaire des sciences anthropologiques, article Religion. mystici
etc. ? C'est une théologie, une métaphysique, une cos- mologie, la science des sciences révélée.... Théosophe, c'est- à-di
t une théologie, une métaphysique, une cos- mologie, la science des sciences révélée.... Théosophe, c'est- à-dire plus que p
hilosophe et plus que théologien, c'est-à- dire encore savant de la science de Dieu même. Au théosophe, les écritures révèl
ant ses yeux, il saura tout, sans avoir rien appris, il raillera la science humaine, si défectueuse et si tenter « Même d
ris, 1862. Rilli. Art. Mélancolie avec stupeur du Dicl. encycl. des sciences médicales. î96 ' PATHOLOGIE MENTALE. - jo
itions judiciaires, de la législation actuelle et des données de la science médicale, il conclut que le magnétiseur doit êt
e chaque jour, et, avec ce désintéressement absolu dont s'honore la science , vous aurez ajouté de nouvelles et précieuses f
on et éclairé bien des points obscurs dont se trouve parsemée cette science des phéno- mènes mystérieux de la vie ? Aussi s
recèlent encore quelques problèmes non résolus, si en raison d'une science incomplète, l'homme doit subir encore, sans déf
l'humanité par leur dévouement, leur abnégation, qu'ils honorent la science par l'éclat de leur savoir ou de leur enseignem
llicitude dont vous les entourez ? Combien nous sommes loin, par la science , des con- ceptions erronées que se faisaient de
sui- vront. Honneur à vous, Messieurs, qui continuez l'oeuvre de science et d'humanité ! Merci pour ceux auxquels votre
soulagement nous accueillîmes le nom de cette maîtresse, c'était la Science , c'est qu'on pouvait s'y tromper, on nous en co
ique, riche en gloire et en souvenirs historiques, où les arts, les sciences et les lettres sont cultivés avec un soin jaloux.
ont mis à accueillir les congrès scientifiques de l'avancement des sciences en 1891, de gynécologie en 1898 et le nôtre enf
spécialité, nous trouvons dans le.passé et le présent des hommes de science , dont le savoir et le dévoue- ment ont contribu
ages d'histoire, de haute littérature, de critique littéraire et de science . Les romans d'aventures sont les plus lus, part
présider une élite, et qui le mérite si bien par ses quali- tés de science , de-parole et de coeur, a bien voulu m'honorer de
sident M. le professeur Arnaud. Nos confrères des hôpitaux, dont la science est si connue et le dévouement aux déshérités s
personne et de ses fonctions. Je bois à la santé des maîtres de la science aliéniste et neurolo- giste dont la parole auto
vouloir les étudier à la lumière de la seule psychologie. Les deux sciences se doivent un mutuel appui, tout en reconnaissant
tique, sur l'importance de la Iogopatho)ogie, les rapports de cette science avec les autres branches de la médecine, et le
ent d'être dit au sujet de la logopathologie, nous voyons que cette science nous rend des services importants au point de v
cellules ner- veuses ne peut pas recevoir, dans l'état actuel de la science , de solution nette et précise. (Revue neurologi
s. Nous en avons communiqué un cas au Congrès pour l'avancement des sciences (Marseille, 1891, p. 756). La paralysie atteign
86 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IQUE. Dans une communication faite le 9 novembre à l'Académie des sciences et le lendemain à l'Académie de médecine, ces m
us de détails, le lecteur soit aux Comptes rendus de l'Académie des sciences * soit sur- tout au Montpellier médical 3. Che
M. le professeur Charcot a bien voulu communiquer à l'Académie des sciences dans la séance du 18 janvier dernier. A ces fai
ier qu'en médecine légale, il n'y a que des cas particuliers. Cette science , en effet, n'a pas d'existence propre, elle n'e
te science, en effet, n'a pas d'existence propre, elle n'est qu'une science d'application et chaque cas est une espèce qui
nes épileptiques qui, d'après les auteurs (Voir Dict. Encyclop. des sciences médicales, 1 le série, t. XIV, page 303), sont
s un demi-siècle, le milieu social s'est profondé- ment modifié, la science a fait de grands progrès, l'expérience a fourni
aire peut seule rendre défini- tives les décisions préalables de la science . Ces deux pouvoirs, en s'unissant, se fortifien
rvice d'assistance avec les éléments d'organisation réclamés par la science , par l'humanité et par l'opinion publique elle-
- légales dont nous parlons étaient un fait très exceptionnel. La science des aliénistes, qui a fait de si grands progrès d
noms qu'elle compte dans son passé. Elle n'était pas, du moins, une science répandue, même parmi les médecins voués à la pr
aliénistes, ont senti de plus en plus le besoin de recourir à leur science et à leur expérience. Les expertises médico-légal
n souvent ceux qui n'avaient pas pu être ramenés à la raison par la science humaine, trouvaient, par l'effet de cette actio
ent médecins, n'étaient souvent pas rompus aux difficultés de cette science si délicate des maladies mentales et étaient to
lever ? Elle se compose de deux élé- ments essentiels : un homme de science , d'une compétence indis- cutable, dans une situ
pourvues d'autopsie. A rapprocher des cas de Déjerine (Académie des sciences , 1883. Archives de physiologie normale et patho
que que nous devons admettre comme entité, dans l'état actuel de la science ; en effet, nous voyons le délire des persécuti
i n'a donc pas défini l'asile d'aliénés, qui est une création de la science moderne. ' Mais le Gouvernement, lorsqu'il a dé
ourd'hui obligatoire de l'asile d'aliénés tel que, depuis Pinel, la science et l'expérience moderne l'ont établi. ' 1 La
ifférentes parties sont des exposés compacts de l'état actuel de la science sur ces différentes questions auxquelles les au
thropologique, qui constituera bientôt un Compendium précieux de la science anthropologique. X. Contribution à l'élude des
la médecine et le droit, opérer en quelque sorte la fusion des deux sciences et rendre facilement assimilables pour tous les
ur quarante à cinquante malades. (Voir Balty Tuke Journ. of ment, science , oct. 1881.) Qu'en résulte-t-il ? TABLEAU DES É
misitoi, matte ? *s or 17zaiia- gement in asylums. Journ. of. ment, science , oct. 1883. Fr. Nee- dham. The open-door-system
oct. 1883. Fr. Nee- dham. The open-door-system The journ of. ment. science . juill. 1881, janv. 4 882.) -A Koenigslutter, e
nt donnée la compo- sition de la commission, connaissant surtout la science et la grande compétence de son rapporteur, que
ortune. Pour tous, le vrai refuge c'est l'asile, l'asile tel que la science et l'assistance contem- poraines l'ont constitu
es, aiment à péné- trer aussi à fond que possible les progrès de la science , connais- sent des intégralités, la méthode de
ion. Après un court historique parlant de Mesmer, de l'Académie des sciences en 1784, de Puységur, et passant par l'Académie
ette étude, f. Charcot a permis de faire entrer dans le domaine des sciences d'observation des phénomènes rf- gardés comme à
notisme et lui a fait faire une rentrée triomphale à l'Académie des sciences (1882). » De cette citation, l'esprit du livre
87 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es, ainsi que l'enseignement des maladies mentales. L'intérêt de la science et les exigences de l'enseignement doivent présid
'admettre les cas ne présentant pas d'intérêt au point de vue de la science et de l'enseignement. § 4. Une demande d'admiss
III. Le mécanisme du tonus et des réflexes dans l'état actuel de la science ; par J. Crocq (Jo ? tr2t. de Neurologie, 1902, n
sagère, à demi consciente, qui demeure à la périphérie de la con- science : ce sont des mouvements coulants à demi involont
cation du Péricarde; par Francis 0. Simpson. (The Journal of Mental science , juillet 1902). C'est une affection rare : l'ob
onctions mentales ; par P. W. IAC-DON.%LD. (The Journal of Mental science , janvier 1902). Le malade dont l'observation se
ique. Au Congrès de l'Association française pour l'avancement des Sciences , tenu à Ajaccio en septembre 1901, je me suis pla
endu de 1889, p. 51, et Association française pour l'avancement des sciences (août 1889); 5° Nouvelle observation d'idiotie
nt de la paralysie générale et du tabes ; par M. DEVAY (Société des sciences médicales de Lyon, 19 février 1902). 1 M. Dev
riminelles : esquisse; par Joun BAKER. (1'he Jour- ital o/·.lleztnl Science , janvier 1902). Voici les principaux points de
TES. 219 que page. En pathologie mentale, plus que dans toute autre science les phénomènes marbides sont connexes, se lient
u et correspond a un besoin résultant de l'évolution actuelle de la science pénale : il est conforme aux don- nées modernes
volume, mais il en aura d'autres afin de 'comprendre tout ce que la science criminaliste revendique comme son domaine. Avan
oit se modifier suivant le pro- 344 SOCIÉTÉS SAVANTES. grès de la science . Il faut savoir nous dégager aujourd'hui de cet
ière approfondie et dans presque tous, si l'on y met le temps et la science voulus, on peut s'attendre à un résultat. Or, c
tion qui permet de se tenir au courant des piogrès constants de la science psychologique. J. B. XXVI. La théorie de l'émot
ie préliminaire , par J.-B. IIL1CIII·'OItD. (Tlte Journal of Mental Science , janvier 1902). L'auteur rapporte quatre observ
s de lipome du cerveau; par Adèle de Steicer (The Journal o/ Mental Science , janvier 1903.) Nous résumons ici les deux obse
symptôme très accusé, par Thomas Pmur CowEN (Tite Journal of Mental Science , avril 1902). L'auteur rapporte avec détail l'o
psyclio-cérébrales; par Alex. Ii0liEItTSO\ (The Journal of Mental Science . Janvier 1902). Ce travail est le complément de
complément de celui que l'auteur a publié dans le Journal of Mental Science d'avril 1901. Le cas est celui d'un homme de so
eux souhaits, dans les mers lointai- nes où il combat aussi pour la Science , je peux voir, d'anciens ma lades du Maître, qu
vera le nom du grand médecin,- parmi ceux qui ont le plus honoré la Science et la Patrie, la tradi- tion de ce petit vallon
ment incessant, d'une marche résolue dans la voie du progiès que la science de l'hygiène impose aujourd'hui à toutes les st
à ce grand rôle social. En toute matière, le terrain conquis par la science est gagné sur la superstition et l'erreur. Il n
es où se complaisait l'ignorance des civilisations successives. Les sciences biologiques et pathologiques ont plus récemment
l'oeuvre d'affranchissement de notre raison dans cette ville où la science multiplie les miracles : mais, cette fois, selo
on- séquences bienfaisantes, tant de représentants éminents de la science médicale- Cette science, ptnsqne toute autre, e
tes, tant de représentants éminents de la science médicale- Cette science , ptnsqne toute autre, est de foutes les patries.
sile dans un autre; par A.-H. UIIQUUAIIT. (The Journal o/' Mental Science , octobre 1901.) Tout le monde est assurément d'
t dans les asiles ; par Frank Asiii3y ELK[Ns (The Journal of Mental Science . Avril 1902 ) Dans un mémoire sur le même sujet
; par le pro- fesseur KNUD 1'0,'iTOPPIDON. (Tlte Jottrnal of Mental Science . Juil- let 1902), L'hôpital communal de Copen
es sont toujours hérédi- taires. Le célèbre More) est le père de la science de la dégénéres- cence héréditaire en résultat
t traitenacral; par le D' Jeau DEMOOK (Bitll. de la Soc. royale des Sciences méd. el nul. de llruxelles. 2 jmllet 1900. La
te perte atteint la Claude PHILIPPE 1865-1903 NECROLOGIE. 539 science neurologique tout entière (,eu, (lui, comme nous,
,1,0\1,s. Le mécanisme, du - et des réflexes (fait, l'etat de la science , par Cruoq, 56. Sur la me- sure du musculauv, p
88 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
ortante. Il s'agit des enfants idiots que, dans l'état actuel de la science , on peut ramener par des soins à l'état presque
al ot tous nos lecteurs, qui ont pu apprécier son dévouement à la science , joindront leurs regrets à ceux des nombreux am
re, comme celui d'un homme dont la vie entière a été consacrée à la science et à toutes les idées généreuses. Fidèle aux pr
Bricon, qui remontent à 18882 et 1883, concernent la microbiologie, science alors peu cultivée chez nous, mais qui avait ét
microbiologiques dans ces dernières années. L'un des maîtres de la science française, dont la compétence dans cette branch
de la science française, dont la compétence dans cette branche des sciences médicales est reconnue de tout le monde, notre
u'il a fait pendant trois années (1). Bricon était tout dévoué à la science . Il n'a jamais voulu faire de clientèle; cepend
ection de médecine de l'Association française pour l'avancement des sciences (séance du 14 août 1889). (2) G. Ballet iProg
section médicale de l'Association fran- çaise pour l'avancement des sciences . Observation IV. - Père, fièvres intermittentes
e si tranché et des traits tellement spéciaux (1) Dict. encycl. des Sciences méd., art. Crétin, Crétinisme. IDIOTIE MYXOEDÉM
anatomiques sur les cerveaux d'idiots. - Congrès international des sciences médi- cales, 1878. Hammond. Maladies du systè
veau et la pensée, t. Il, p. 90, 1882. Plaxton. - Journal of mental Science , p. 27, 1883. Herbert Mayor. - Journal of menta
of mental Science, p. 27, 1883. Herbert Mayor. - Journal of mental Science , p. 532, 1883. Luys. - Structure delà substance
tion de médecine de l'Association française pour l'avan- cement des sciences (séance du lli,aoùt 1889), un mémoire relatif à
notre communication à l'Association française pour l'avancement des sciences , nous avons reçu le 15 août, de M. le Dl' Arnau
89 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de pièces et microscopiques. L'École de médecine et la Faculté des sciences de Rennes 11ll'l- tronlà la disposition du Cong
. Ne pas convenir de cette vérité, c'est nier tout progrès, toute science mentale. Mais, peuvent dire les profanes, que f
us vivons toujours ; et. chose admirable, bien que, depuis 1857, la science mentale ait fait des pas de géants, bien que le
. abus d'un pareil système, qui devenait incapable de fournir a une science définitivement consti- tuée, un personnel suffi
rs le remplacer par un autre, en harmonie avec les nécessités d'une science qui n'existait pas alors. N'cst-il pas incroy
tuels, où les prix de jour- nées dcO fr. 90 centimes défendent à la science d'entrer, on verra se dresser des établissement
les l'ous onl .i1llil'iahll' dl's ll'ÏhlllHlll'\, d,' et non de la science médicale. Dans la deuxième période les fous son
ie, janvier lcJi5. · 174 va m va- cation physique, el avec quelle science il groupait les altitudes et les mouvements en
ection psychique (ligures). La révision des laits collectés dans la science indique les princi- pales particularités suivan
ps ? Il est impossible de l'établir à cause de l'insuflisance de la science du diagnostic en matière de psychiatrie canine.
tl/re.) Mesdames. Messieurs. La psychologie des dégénérés est une science rela- tivement récente. Elle a élé inaugurée pa
tile, travaillant, dans la mesure de mon pouvoir,' au progrès de la science et par conséquent au bonheur des hommes, je ne
t ont l'ait du et je crois qu'aujourd'hui, en se dressant devant la science , et en s'elforçant d'accaparer l'instruction pu
a pédagogie du moyen- âge. Alors que, pareille au soleil levant, la science répand il chaque minute dans le cerveau des hom
leur assure une place de cocher de fiacre ou de garçon livreur. La science emplit le champ de la vie et de la pensée, et l
trer dans le inonde, se hâteront de prendre une légère teinture des sciences . S'ils y prennent goût, ils n'auront que le tem
ormes, hâte les évolutions, suscite et dirige les révolutions. En science , en art, en politique, en religion, son rôle est
fond avec la psychologie religieuse ou hiéropsychologie. C'est la science des phénomènes dont le cerveau des religieux de
rement des idées, des émotions et des sentiments religieux. Cette science , qui est une branche de l'anthropologie, fait par
science, qui est une branche de l'anthropologie, fait partie des sciences naturelles, et emprunte leur méthode. Cette mét
ue ces opé- rations doivent être, plus encore que dans les autres sciences naturelles, prudentes cl réservées. Car s'il est
res sciences naturelles, prudentes cl réservées. Car s'il est une science qui exige de la circonspection, c'est bien celle
rences d'une personne éveillée ; en réalité, le champ de la con- science était rétréci et limité aux seules perceptions vi
montre l'importance de cette question qui concerne l'histoire de la science et, plus particulièrement, de la méthode expéri
de ses expertises 468 . NÉCROLOGIE. sont restées célèbres, et sa science fit autorité dans plus d'un procès fameux. On s
et dont quel- ques-uns, faute de temps, restaient perdus pour la science . Ses travaux sur les maladies mentales sont si
os lorsque, dans la chaleur du débat,on abandonnait le terrain delà science pour s'aventurer sur celui des personnalités :
échiffrer les plus douloureuses énigmes. Il possédait bien toute la science qui discerne et il sa- vait à un haut degré, da
n d'asile. Il a été rédacteur cons- ciencieux du Journal of' mental Science . Son travail, présenté il la Société Royale de
et facile. Vous avez laissé votre empreinte dans les let- tres, la science et l'histoire ; vous avez ouvert une nouvelle voi
es des enfants. Vos travaux et votre pratique médicale rendent la science et l'homme vos débiteurs. Vos travaux personnels
90 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re du haut mal, mais seulement nocturnes i Thiercelin. Académie des sciences et Gazette médicale de Paris, février 1861. D
la pathologie de la manie; par J. `V1GLESNORTH. (Journal of mental Science , janvier 1884, p. 485.), Quand on veut étudier
issons pas encore, mais sur la nature de laquelle les progrès de la science jetteront certainement un jour la lumière. R. M
e des infirmiers d'asile; par A. CAMPBELL- CLwE. (Journal of mental Science , janvier, 1884, p. 459.) L'auteur est convaincu
IVAT10\S DE JE\ ? \E D'AnC; par William IRELAND. (Journal of mental Science , janvier 4883, p. 483, et avril 1883, p. 18.)
r l'état mental d'un I\L1D1. ; par SAMUEL Wilks. (Journal of mental Science , janvier 1883, p. 549.) Cette note a été inspir
à M. par la lecture d'un article précédemment publié par le Mental Science et dans lequel l'auteur insistait sur la nécess
C\S de perte aiguë de la mémoire; par G. SAVAGE. (Journal cf mental Science , avril, 1883, p. 85.1 Les cas de perte de la mé
t. Il et III.) Il a adressé de plus quelques notes à l'Académie des sciences , au sujet de l'action physiologique du café, ét
e ce système -il l'état physiolo- gique. Dans l'état actuel de la science , l'étude de la nutrition du système nerveux ne
de biologie, p. Bti-1, 18S ! , et Comptes rendus de l'Académie des sciences , 28 janvier 18S4). .Mais l'étude de l'acide 1)t
re, jusqu'à la moelle lombaire Il n'existe pas, d'ailleurs, dans la science , de fait relatif à une dégénérescence isolée pr
US pourvus d'éducation ? par G.-E. SHUTTLKWORTH. (Journal Of mental Science , janvier 1884, p. 467.) L'auteur s'explique tou
vaient justement méritée. Ces cas se rencontrent chez des hommes de science , des litté- rateurs et des hommes politiques. D
les plus importantes; et les plus pratiques, de cette partie de la science , il a eu enfin la bonne idée de faire autograph
s, a été nommé directeur de cette institution. Institut royal des sciences de 1,01113AIIDIE. Le prix Fossiati vient d'être
as. 7'wo cases of izervestretching. (Thednzr.ric.Jouru. of lhe Med. Sciences , 1878, Jan.) 6 Czerny. Loc. cit. 7 Dup)ay. Bu
2 Compenad. de c/i'Kt'e. Bouchard, Dictionnaire. encyclopédique des sciences nzéd., t. Viii, lie partie. -Lidel. American Jour
ssion. Nous étudierons plus loin avec les données actuelles de la science , le rôle qu'on est autorisé à attribuer aux épa
de la moelle épinière doit être maintenue dans l'état actuel de la science ; 2° Elle peut être l'origine de lésions inflam
ersonnes à coups de croissant à élaguer les arbres, et au nom de la science , fort de l'appui que lui apportât M. MervHIe, avo
ériaux à la société principale et construisissent les assises de la science , ainsi que le fonds de l'All- gemelize Zeitschr
e deviennent les statuts : 1" But. Imprimer à la psychiatrie et aux sciences adjuvantes un mou- vement de progrès. 2" Les me
Lucas était le frère de M. Charles Lucas, membre de l'Académie des sciences morales et politiques, bien connu par ses trava
ant Traité sur l'hérédité, qui obtint de l'Ins- titut (Académie des sciences ) un prix de 2,000 fr., M. le D Prosper Lucas a
reconnu que la vivisection était nécessaire à l'avance- ment de la science médicale, il a toujours résisté aux protesta- t
de soixante-quinze ans. On lui doit, d'après The Journal of mental science , les travaux suivants : Ele- znents of rsycholo
91 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e. M. Charcot, sur ce point comme sur tant d'autres, a rendu à la science un très grand service le jour où il a soumis à
Hystérie CHEZ l'homme; par FRANCIS-W. CLARK. (The journal of Mental Science , janvier 1888. L'auteur rappelle d'abord que le
xprimait en effet ainsi à la séance du 4 mai 1885 de la Société des sciences de Saxe : « L'examen de cerveaux de foetus de 2
langage réflexe ; par George M. ROf3EnTSON. (The Journal of Mental Science , avril 1888.) L'auteur conclut : 1° que des act
s aliénés; par Joseph \\' IGLESWOItTiI. (Tite Juu1'nul ut ¡JI cntat Science , janvier 1888.) · Ce mémoire se résume dans l
VAIRE du coté opposé ; par Wlllla111 DUDLEY. (TIL Journal of Mental Science , juillet 1886.) Ce cas est intéressant, parce q
ASCENDANTE DROITE ; par Joseph WIGLKSWORTH. (The Journal of Mental Science , avril 1886.) Nous traduisons presque entièreme
>;LQUES aliénés; par T. DwcAIV Greenless. (The Journal of Mental Science , jan- vier 1887.) L'auteur tire de ces recher
n cas DE démence primitive ; par J. STEWART. (The Journal of Mental Science , avril 1887.) L'observation du malade peut se r
III. Folie du doute; par P. J. KoWALEWaKY. (The Journal of Mental Science , octobre 1887 et janvier 1888.) Des faits qu'il
typhoïde chez des aliénés par n. PERCY SMITH (The Journal uf Mental Science , avril 1S87.) L'auteur relate sommairement six
illité congénitale; par C.-S, - W. COBUÓLD. (The Jo1t1'nalof Mental Science , octobre 1886.) Dans le premier cas, il s'agit
aliénation mentale ; par William L. Ruxton. (The Journal of Mental Science , octobre lôi3li.) Il s'agit d'un homme de 4U an
E : par le Dr .\I¡;SCIl8DE, de Koenigsberg. (The Journal of Mental Science , avril \8$7.) L'auteur s'attache à démontrer qu
de folie DE l'adolescence ; par John KEA Y. (The Journal of Mental Science , avril 1888.) L'auteur a considéré ce cas comme
son de folie chronique : par Lloyd FRANCHIS. (The Journal of Mental Science , janvier 13S .) Dans ces deux cas, la maladie m
as DE folie morale Colin ; par M. CA112PELL. (The Journal of Mental Science , avril 'l881.) L'auteur résume dans les termes
erre Janet s'est en effet proposé de mettre à profit la méthode des sciences expérimentales pour étudier les formes élé- men
ignements professés dans les hôpitaux en vue du développement de la science et du soula- gement des malades, telle n'est pa
DE l'induction ; par le Rev. W. G. D.1VIES. (The Journal of Mental Science , juillet 1887-avril 1888.) - Les travaux de phi
omitants. Si l'on résume les dix cas d'hétérotopic existant dans la science , et l'auteur l'a fait, on constate que, bien qu
du mois d'août 1889 à l'Association française pour l'avancement des sciences , comprenant vingt-cinq cas. Sou nouveau mémoire
RAPHIQUE. Année Médicale (L'), résumé des progrès réalisés dans les sciences médicales pendant l'année, publiée sous la dire
de Paris en 1889 à l'Association française pour l'a- vancement des sciences . Paris, 1890. Au Secrétariat de l'associa- tion
avail de l'auteur américain, paru dans l'American Jonrnal of medic. Sciences , 1887, p. 342. P. K. LVI. DES TROUBLES DE la VU
les du langage articulé. Ce livre est parfaitement au courant de la science actuelle. Georges GUINON. XX. Des troubles tr
IAPHIQUE. Année Médicale (L'), résumé des progrès réalisés dans les sciences médicales pendant l'année, publiée sous la dire
92 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atiques qui sont en contradiction formelle avec l'état actuel de la science psychiatrique. Elle insiste sur la nécessité de l
éalable des méninges et surtout de la dure-mère. (Journal of Mental Science , 1888 ) 108 PHARMACOLOGIE. suffisamment encli
oi profonde inspirait aux hommes du moyen âge. L'intervention de la science aurait bien vite fait voir à celte foule scepti
engeur, elle ne demande qu'un Dieu de bouté et de justice, c'est la science qui le lui donnera. Camuset. IV. Les aliénés
SAVANTES. 139 sable ne donnent pas satisfaction aux exigences de la science , de l'expérience et de l'humanité. Les malade
s essentiels, dans ses discussions les plus actuelles, l'état de la science sur la maladie observée. C'est ainsi qu'il passe
lait la tendance à la pénétration de toutes les spécialités dans la science médicale. Cette tendance serait singulièrement
it vaine- ment d'aborder les redoutables problèmes réservés à votre science et à votre dévouement. Je n'ai garde d'oublier
s pour convaincre. Nous souhaitons avec lui que, pour le bien de la science et des malades, on arrive à resserrer partout,
la France et qu'elle évoque, jusque dans le domaine pacifique de la science , un passé qui n'est pas sans grandeur et un ave
2 SOCIÉTÉS SAVANTES.. en félicitons également au point de vue de la science et de l'avenir du Congrès. , Dans des réunion
re. Il est ainsi devenu un organe très important de dif- fusion des sciences psychiatriques et neurologiques. Créé en 1890,
nception très nette des conditions qui favorisent les progrès et la science , ses fondateurs et ses premiers adhérents ont'
raticiens distingués qui se sont acquis une juste notoriété dans la science des maladies men- tales et de la médecine légal
as et dont nous nous servons comme si elles étaient notre bien. Les sciences d'observa- tion progressent beaucoup plus par l
up plus par les emprunts qn'elles font ainsi de côté et d'autre aux sciences voisines que par les découvertes de leurs propr
l'examen. XIII. Rien n'établit que l'autorité administrative et la science médicale auxquelles cette loi attribue un rôle
ir de guérison, et qui seraient largement pourvus de tout ce que la science considère comme nécessaire au traitement curati
paralysie bulbaire inférieure fait de son cas un cas unique dans la science , il faudrait le dénommer polioencépha- lomé(ite
ublié par Archambault, en 1847, dans les Mémoires de la Société des Sciences de Nancy ; 2° L'asile de Maréville, son état sa
ne. M. Stéhelin adresse de cordiaux remerciements aux maîtres de la science qui font partie du congrès. Les applaudissement
lance, à l'administration sage et éclairée de notre directeur, à la science et au dévouement de nos médecins en chef. Certe
t éclairé de l'administration, par l'habileté professionnelle et la science de nos médecins, que nous poursui- vrons sans r
ervices. Aux médecins de soulager et guérir ; à nous, ignorants des sciences médicales, de rechercher les moyens d'assurer a
n, l'étendue de son érudition tant en psychiatrie pure que dans les sciences afférentes, les vues élevées et originales, toujo
me humaine : Iconographie de l'invisible fluidique. A l'heure où la science officielle, enfin ébranlée par les affirma- tio
6. T7zeLazxcet. BOUVÉRY (J.). Le spiritisme et l'anarchie devant la science et la philosophie. Volume in-8° de 16 pages. Pa
lement disparait avec eux. L'auteur rappelle les cas connus dans la science ayant avec le cas actuel plus ou moins d'analog
nos jours à la graphologie l'honneur de l'élever à la hauteur d'une science , il n'est pas sans intérêt de signaler une part
xamen cri- tique des principales propositions qui ont cours dans la science , sur ce sujet; et pourtant, encore une fois, le
, le passé et l'avenir, par le moyen du sommeil hyp- notique et des sciences occultes, par les cartes et les lignes de la mam,
s astrologiques suivant les méthodes assyriennes et clial- déennes. Science divinatoire parles tarots des Gypsies. Miroir mag
93 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t se présenter devant elle, c'est parce qu'on le raccommode par une science impossible et on recommence dès qu'il est sorti
es faits expérimentaux et doit être rejetée. En l'état actuel de la science , on ne peut non plus admettre l'hypo- thèse sou
soin. En Angleterre, notamment, J. Kean (in the Jour- nal of mental science ) a observé 38 cas de fièvre typhoïde. Il oppose
a syphilis et du tabès, l'auteur professe qu'en l'état actuel de la science la meilleure explication est la suivante : le t
des malades, pour l'édification du public, pour les progrès de la science et l'instruction des étudiants, il faut espérer q
e l'abattoir, Armand Porrot, président de la Société drs lettres, sciences et arts d'Angers, la plupart des membres du corps
quels vous allez vous livrer, marqueront une étape nouvelle dans la science médi- cale et, d'avance, nous escomptons le gra
ue vos travaux inspirent, toute l'estime qu'on a pour des hommes de science venus ici de tous les points de la France, pour
tout aussi profonde, je dirai à mon-tour que ces deux branches des sciences médicales se complètent l'une et l'autre, et qu'a
réparé un énergique mouvement de rénovation scientifique dont les sciences dites sociales ont à leur tour largement à profit
cusés que le sont eu pathologie les types'mor- bides. Seulement, la science était toute nouvelle, elle eut à ses dé- buts d
tuel et en particulier au point de vue des progrès accomplis par la science neurologique. Après ces discours .qui ont été t
1877), Bail et Ritti (1882) dans le dictionnaire encyclopédique des sciences médicales et enfin Verneuil (1883), dans ses Mé
aître éminent qui vient présider vos travaux, l'académicien dont la science fait autorité, celte légion de savants qu'il mè
s'unir à nous pour procla- mer fièrement notre devise : « Par la science , par la charité, pour les malheureux ! » Après
xamen clinique; il se ferait ainsi un peu de décentralisation de la science psychiatrique qui ne res- terait pas comme aujo
sie. M. BOURNEVILLE, après avoir rappelé que dans l'intérêt de la science , les chirurgiens qui pratiquent la trépanation da
que cette dernière partie : c'est un peu maigre pour des hommes de science , pour des médecins'. '. Séance du vendredi 5
acé avec avantage par la machine. Vous avez vu les pro- duits de la science mécanique; ce sont nos derniers perfectionne- m
usieurs fois séculaire, et la faire béné- ficier des progrès de [la science moderne. Nous avons été émer- veillés et ravis.
'article : «Paralysie générale » du Dictionnaire encyclopédique des sciences médi- cales, la sensibilité peut être lésée dan
t là les éléments fondamentaux qui font la base documentaire^ de la science statistique, ils ont été réunis, collationnés,
utre part, ont rendu un service incalculable à l'avance- ment de la science ; tous ceux qui ont eu à s'occuper de questions
Henry Thomas Buckle qui qualifie la statistique de « branche de la science , qui bien qu'encore dans son enfance, a déjà ré
andu plus de clarté sur l'étude de la nature humaine que toutes les sciences réunies ». Dr J. SIBBALD. REVUE DE PATHOLOGIE N
r conclut, d'une façon catégorique, que, dans l'état actuel de la science , il n'y a pas d'atrophie musculaire progressive d
u'il rencontre. La psychiatrie comprend tout ce que l'on sait de la science de l'esprit, eu y comprenant les études psychol
tterie (productrice d'énergie), doit être écartée. Sur ces bases la science doit progresser et les recherches anatomo-patho-
lyser les faits et les questions concernant ces deux branches de la science médicale étroitement comprises. M. Sikorsky pen
r domaine ont permis d'introduire des notions plus exactes dans les sciences connexes : l'anthropologie, la psycho- patholog
uisant de réunir dans cette publica- tion toules les branches de la science si étroitement liées les unes aux autres, et, p
mais sont- elles la «vérité scientifique», comme il le dit ? Si la science n'explique pas le sentiment de la responsabilit
94 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ns la constitution du centre ovale de Vieussens. Les données que la science possède à ce sujet sont fort restreintes. Elles
de traiter une semblable question. Elle intéresse les progrès de la science plus qu'on ne pour- rait le supposer au premier
ans l'arthropathie des ataxiques. (Comptes rendus de l'Académie des sciences , 18 9.1 3 R. Blanchard. - Société de biologie,
ques peuvent entraîner les meilleurs esprits, et combien, dans les sciences d'observation, il peut être difficile de rester s
s exemples de cette influence sont innom- brables et connus dans la science depuis longtemps. Ce sujet est amplement traité
le place occupe actuel- 8 il le REVUE CRITIQUE. lement, dans la science , la question des aesthésiogènes, quels résultat
uKE (H.). Dletalloscopj aazd expectant attention. (Journ. of mental science , 1879). Influence of the mind on the body. London
ntagion DES illusions ; par GEO.-H. SAVAGE. (Ilte journal of mental science , n° de janvier 1881, p. 563.) Le plus habituell
riété de l'Association, qui se chargera de le publier. Académie DES sciences , arts ET BELLES-LETTRES DE CAEN.FfM ? Cette Aca
résumées (voy. art. Cerveau, par Ber- ger, in Dict. encyclopéd. des Sciences médicales) et à la traduction française de Hugu
ie, 1879).- 2° Des naatiè- res à inclusion en histologie (Revue des sciences naturelles; Montpellier, 1879). 3° De quelques
ne longue pratique, Duchenne (de Bou- logne) possédait à fond cette science de localiser exac- tement l'action électrique s
ao-pathol. 1880.), , , , Pour le Dr Schulz, il n'existerait dans la science qu'un seul fait de sclérosé latérale'primitive
e le médecin à l'administrateur, et, fait passer les intérêts de la science après les besoins maté- riels du service. , . ,
lésions DE l'oreille ; par,B. Baginsky. {Séance de l'Académie- des sciences de . Berlaa, du 13 janvier 1881.)' w *> -^ -
· L'ALC00L ; i par ,9 ! F»PRITCHARD Daviers. (The journal of mental science ,^ janvier. - '11881,-P.; 526.)-til;ff, Et 9h P9
ur scientifique, cette méthode exacte sans laquelle il n'y a pas de science . ? Attiré alors vers l'étude de la médecine, il s
ble ferveur ; mais non sans garder encore quelques attaches avec la science qu'il avait aimée la première. Reçu externe des
me tous ceux qui savent vraiment bien, il excellait à vulgariser la science ; ayant depuis' longtemps souhaité et prévu la
es, les seules à nos yeux vraiment grandes et vraiment saintes : la science , l'humanité, le progrès. 3,1 r ' ., ? > e -
95 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
nographie de la Salpêtrière, année 1894, p. 136. Revue générale des sciences pures et appliquées, année 1895, p. 33;i. Physiol
tion de la radiographie à l'étude d'un cas de 1nyxoedème. Acad. des sciences , 21 mars 189S. . 140 HENRY MEIGE . . minusc
tique ; où l3ouchut (2), où d'Espine et Picot (3) gardaient la même science ; où Roger (4) disait « n'avoir jamais constaté
des nerfs sur la nutrition des os. Comptes rendus de l'Académie des sciences , 1854, t. 38. nÉMIHYPERTIlOPIIIE FACIALE 367
ce des nerfs sur la nutrition des os. Comptes rendus de l'Acad. des sciences , 1834, t. 38. Steffen. - AtigeboT2ne Ilypel't1'
eaux horizons scientifiques. Tous les peuples, qui ont le culte de la science , ÉLEVÉ A LA MÉMOIRE DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT
nt l'oeuvre de leur maître, qu'ils s'inspirent de son amour pour la science et pour ceux qui la cultivent, que son fils, en q
t leur rappelle les ambitions de Charcot : Elargir le domaine de la science , en livrer la culture à des mains françaises. J
eur Maître ils soutiendront, au grand profit de la Faculté et de la science française, la glorieuse réputation de l'Ecole de
ar ses disci- ples et par les représentants les plus éminents de la science française. Il ne m'appartient pas de vous expos
sté. Elever un monument à Charcot, c'est célébrer le triomphe de la science et de la philosophie sur la superstition, de la
omphe de la science et de la philosophie sur la superstition, de la science qui seule peut satisfaire le plus impérieux bes
alement décrite, dans toutes ses manifestations, par Charcot. Si la science ne' nous a pas encore, sur ce point, donné la vér
aura disparu comme la croyance à la magie et à la sorcellerie. La science positive et expérimentale, en donnant à l'homme l
me. - Ce n'est pas d'un rai- sonnement, mais de tout l'ensemble des sciences modernes, que sortira cet immense résultat. I
grand édifice; son oeuvre entrera comme un élément capital dans la science de l'avenir. Il eût pu aller plus loin, s'il s'
me la solution définitive. Charcot eut cette vertu. Les héros de la science sont ceux qui, capables des vues les plus élevé
e de 1789. Le siècle qui maintenant s'achève aura été celui de la science , dont l'essor prodigieux déconcerte ceux qui on
lite intrépide et hère qui vient se ran- ger sous la bannière de la science , il y a le sel'VU1n peclls de la tradition su-
ensent, de tous ceux qui s'in- téressent, de près ou de loin, il la science biologique et à l'art de guérir. L'aeu- vre de
mys- tification et du charlatanisme avaient rendu inaccessible à la science . A de rares exceptions près, ceux qui prétendai
s. Faut-il s'étonner, dès lors, qu'aux yeux des représentants de la science officielle, s'intéresser il ce qui tou- chait,
mment, à travers les chemins frayés par un investigateur génial, la science a pris possession d'un domaine où, depuis si long
entrait en 1872 à la Faculté de Médecine comme professeur de cette science et il a illustré pendant dix ans la chaire d'anat
ractéristique de sa doctrine. Et c'est par là qu'il fit franchir la science médicale une étape décisive. Lorsque des hommes s
on nous a paru intéressante il publier. En effet, si l'on a dans la science un assez grand nombre d'observations dans lesquel
énistes et Neurologistes d'Angers dan Congrès pour l'avancement des Sciences de Nantes au mois d'août dernier. Théoriquement
témoignage si naturel de vénération filiale. Comme son oeuvre de science , l'oeuvre iconographique de Charcot ne doit-ell
ridiques horreurs à ce canon de la Beauté huniaine dont l'Art et la Science étaient déjà dotés. La ne se bornent pas les bi
la Salpèll'ii'l'c une el11ol'l\- cence artistique qui jetait sur la science un lustre inusité. Si l'influence qu'oui exercé
siècle, qui souvent délaissaient leurs pin- ceaux pour s'occuper de sciences abstraites, Charcol trouvait dans l'Art une div
96 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s tabes en général. 1 Association française pour l'avancement des sciences . Congr. de Gre- noble, 1885. ! Remarques sur le
particulière est im- portante, non seulement au point de vue de la science nosologique, mais encore au point de vue de la
? Les recherches d'Adamkiewicz sur la pression cérébrale (Acad. des sciences de Berlin, t. LXXXV111, III. Oct. 1883) permett
nt par L'ÉLEC- TRICITÉ; par ALEX. ROBERTSON. (The Journal of Mental Science , avril 1884.) Ce cas est celui d'une femme de
oolisme chronique; par BONVILLE BRADLEY Fox. (The Journal of Mental Science , juillet 1884.) Les conclusions de ce mémoire s
cas DE folie circulaire; par HERBERT PACKFR. (The Journal of Mental Science , avril 1884.) Il s'agit d'une femme de soixante
ns cérébrales ordinaires; par le Dr GASQUET. (The Journal of Mental Science , avril 1884.) C'est moins pour en tirer des c
garçon DE treize ANS; par S.-A.-K. Strahan. (The Journal of Mental Science , juill. 1884.) Cette observation est surtout in
de la MOELL1 : épinière ; par G.-H. Savage.' (The Journal of Mental Science , avril 1884.) L'auteur rapporte cinq observatio
dans LES asiles d'aliénés; par D. HACK TUEE, (The Journal of Mental Science , janvier 1385.) L'auteur a fait, auprès des m
E SUR LES MALADES DES ASILES par C.4MPBELL. (The JOUI nal of Mental Science , juillet 188r.) Après avoir étudié les évasions
s inattendues : deux cas ; par le U Willeit. (The Journal of Mental Science , juillet 1 R8 L) Le premier cas est celui d'un
chez DES jumeaux; par T.-VV. Ai4E DONALL. (The Journal of Mental Science , Juillet 4884.) Observation détaillée de deux j
P.ICÜYMÉNINGIT1 : : par <'h0 H. Sauvage. (The Journal of Mental Science , Juillet 1884.) L'observation peut se résumer a
UE ASSOCIÉE A LA FOLIE ; par W. BEVAN LEWIS. (The Journal of Mental Science , juillet 1884.) Les réflexions dont l'auteur fa
causes DE la folie; par Herbert C. Major. (The Journal of Mental Science , avril 1884.) Cette enquête annuelle a commencé
émisphère cérébral GAUCHE; par Arthur RANNIE. (The Joumal of Mental Science , avril 1884.) Voici les points les plus saillan
cas DE folie impulsive; par Richard UREESE. (The Journal of Mental Science , octobre 1883.) Le cas rapporté par M. Greene n
rs et les infirmières qui forment l'auditoire. z (Journal of mental science , 1886.) CÉRÉMONIE POUR LA CURE DES ÉPILEPSIES L
c cretinism with an account of the Autopsie (rite Journal of mental Science , vol. XXII, 18 îG, p. 2f1). l'rg. 6. il ? C
tous les faits que l'on peut observer en médecineet dans les autres sciences . La première fois qu'on a l'at- tention dirigée
, le 22 avril 1882. Son dossier ne contenant d'autres 1 Journal des sciences médicales de Lille, 1853, 5 et 20 décembre. 324
notes originales et il l'a mis, si l'on peut dire, au courant de la science par les indications bibliogra- phiques et le ré
97 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lo et Santi-Sirena. -Sulle faite del midollo spinale. Gio1'7zale di science naturali ed economiche. Vol. XI. 1875. - Estratto
éorie extrêmement plo- bable. L'année dernière le Journal of mental science a tenté d'ex- pliquer la mélancolie par la théo
crime ET LES CRIMINELS; par Henry MaUDSLEY. (The Journal on mental Science , juillet 1888.) L'auteur estime que, dans l'i
ulement en vue du traitement, mais en vue de l'avance- « ment de la science et de l'amélioration du sort de l'homme; « nous
L'ÉPILEPSIE avec LE CRIME; par John BAKER. (The Journal of Mental Science , juillet 1888.) Les recherches de l'auteur port
ation française de tout ce qu'elle fait pour les aliénés et pour la science mentale. M. Rebatel répond au nom du conseil
s à la Salpêtrière par le docteur Charcot et d'autres princes de la science . 11 n'y avait souvent dans ces sortes de « numéro
roduire quand, au lieu d'aller à l'encontre des enseignements de la science , les journaux politiques combat- tront les préj
dans le diabète sucre. (Association française pour l'avancement des sciences . Congrès de Blois, 188 r. ) ' Rosenstein. Web
entre elles qu'un seul symptôme remarquable. ? , . L'histoire des sciences médicales nous enseigne que, selon leur progrès
ne tardera pas à disparaître. Elle n'a aucune raison d'être dans la science exacte. 386 CLINIQUE NERVEUSE. INDEX BIBLIOGR
e- ment. Il ne lisait pas de romans, mais seulement.des livres de science . C'est un mois après la seconde peur, à treize
on de la force centrifuge. Conclusions : Dans l'état actuel de la science , la paralysie générale a pour substratum primit
i ont inventé les asiles-casernes, aussi fatals aux aliénés qu'à la science , car il est à remarquer que la production scien
la réunion, n'empêche qu'elle ne soit nuisible aux malades et à la science . Seulement, il résulte des critiques de mes tro
couvrirait certainement des choses nouvelles dont il enrichirait la science . Relativement à l'internat par lequel devraient
, se contenter, d'après lui, de la seule satisfaction d'enrichir la science de données nou- velles est la caractéristique d
meilleurs moyens à employer est de distinguer nettement l'homme de science de la machine à certificats. Je résumerai dan
ils servent ordi- nairement à fausser l'esprit des lecteurs sur la science qu'ils pré- tendent vulgariser. Le premier ch
ion. L'auteur semble du reste peu au courant de l'état actuel de la science si on en juge par le chapitre des tics où il co
ort, car sa monographie claire, méthodique et mise au courant de la science , aurait certainement gagné il ,être écrite dans
ESSIONS ET L'IDIOTIE. M. Galton a publié dans le Journal of Mentale Science une étude sur la natalité des membres de quelqu
s statistiques nous paraissent être trom- peuses et contraires à la science au dernier degré. D'abord le terme éminent a un
ritish Médical Journal, 13 septembre 1890 et The Journal of àlental Science , octobre 1890, p. 592. FAITS DIVERS Asiles d'
HACK TUlOE. PI'ichU1'd and Symonds in especial relation to Mental Science , with chapters on Moral insanity. Volume in-8° ca
. London, 1891. J. et A. Churchill. Annual of the Universal médical sciences . 1891, 6 volumes in-8° carton- nés. - London 18
98 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
n certain point. Elle est néanmoins nécessaire pour faire oeuvre de science et de classification, et relativement juste si, n
un stade évolutif. En médecine, comme dans toute autre branche des sciences biologiques, si l'on veut établir une bonne cla
ritique. (2) CABLER, Essai expérimental sur la locomotion, Ann. des sciences naturelles, 1872j t. 51 série. 52 LAMY P. R
1) Giraud-Teulon, Traité de mécanique animale. (2) CARLET, Ann. des sciences naturelles, 1872, loc. cit., p. 64. (3) P. Rich
ILIPI'SON, Contribution à l'étude des réflexes locomoteurs. Acad. des sciences , 5 janvier 1903. 60 LAMY difficile qu'à la
de nos malades, que M. le Dr Louïse, pro- fesseur à la Faculté des sciences de Caen, a bien voulu nous communiquer, vient d
cette hypothèse explique pres- (1) Packard, Americanjourn. of med. sciences , 1892. (2) Waddell, Lancet, 1893, I, p. 921.
faire une localisation pathogénique, que nous aurons fait oeuvre de science , et pas seulement d'empirisme. Etant donné qu'a
e 1889. 4. OsLBn. - Hered. anginoeurotic oed. Amer. Journ. of. med. sciences , Bd. 95, 1888, p. 362. 5. Rigochon. Semaine M
e Neurologie, XIX, 1895. 44. SOLIS-COHEN. - Americ. Journ. of. med. Sciences , 1894, vol. 107, p. 130. 45. FÉHE. Traité de Mé
02, p. 1319. 105. Coi.nss. Angioneurotic md., Amer. Journ. of. med. sciences , 1892. Bd. 104, p. 654. 106. Millard. Thèse d
ccasion de ces deux nouvelles obser- vations, de rechercher dans la science quels ont été les cas d'aplasie cla- viculaire
e FOETALE) par ÉTIENNE RABAUD Docteur en médecine et docteur ès sciences . SOMMAIRE Préliminaires. L'évolution des idée
) A. DUPLAY. Article Anencéphalien du Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, 1876. 352 RABAUD D'une façon gén
STE, Mémoire sur un chat ileadelphe à tête monstrueuse. Annales des sciences naturelles, t. XVIII, 1852, p. 81. (2) Cité d'a
ur., 1904. NAEF. - Thèse Zurich, 1885. NEWMARK. - Amer. Journ. of Sciences , 1893. NONNE. - Arch. f. Psych., 1891, XXII.
n de femme boschi- manne (V. la photographie). On connaît dans la science , trois cas de myopathie, avec une lordose aussi
sie périostale ou le rachitisme, en attendant que les progrès de la science permettent peut- être quelque jour d'établir un
se nous semble pourtant la plus convenable dans l'état actuel de la science . Ce travail était terminé et prêt à être envoyé
n chez l'homme et les modifications qu'elle apporte. Aca- démie des sciences , 8 juin 1903. 34. Richon et jEANDELixE. Remarqu
celles qui sont fondées réellement sur les données acquises par la science biologique, peuvent être classées de la façon s
. Voyons rapidement les idées dominantes et les faits acquis par la science à propos des anomalies que présente notre su- j
teurs ont clas- sé d'une façon parfaite tous les cas connus dans la science , selon le nombre des doigts. Il est très import
ia, 1900, mars. 14. BABÈS. - Anomalie cong. de la tête... Acad. des sciences de Paris, 25-1-04. 15. BisCHOFF. Article « 1111
901, mars. 24. CHARRIN ET Le PLAY. - Sur le rachit. foet. Acad. des sciences de Paris, 23-1-05. 25. REnAN. - Histoire du peu
le d'Israel, t. II, p. 23. 26. MOIIA11D. Histoire de l'Académie des sciences , 1710, p. 66. 27. MERKBL. Ra&MC/M Pat. Anat
333. 29. W. Gruber. Sur la Polydactylie. Bullet. de l'Acad. Imp. d. sciences de St- Pétersbourg, t. XV, p. 352 et 312, 1871.
ne 13, u 26, S. 679. 66. Yooxc. - The Americ. Journ, of the medic. Sciences , 1888, vol. 95, p. 145. 67. LANNOIS ET Kuss. -
et Annali di Neurologia, 1898). (2) LANNOIS et G. LÉvy, Société des Sciences Médicales, 1899 et Province Médicale, 1900. (
(suite) par ÉTIENNE RABAUD Docteur en médecine et docteur ès sciences . CHAPITRE III Répercussion de la méningite su
rva sunt... A dater de sa conversion, Pantaléon semble dédaigner la science incer- taine ; il n'opère plus que par miracles
les processus. D'autre part,dans le Dictionnaire Encyclopédique des Sciences médicales on trouve que le système nerveux cent
de la morphologie des tissus ; (1) Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales. (2) Paris, 1892. (3) Paris, 1893.
S. - Tout d'abord, et d'après notre ancien maître de la Faculté des sciences de Besançon, M. le professeur Charbon- nel-Sall
te et fin) par ETIENNE RABAUD Docteur en médecine et docteur ès sciences . IV. LE SYSTÈME NERVEUX ET LA NUTRITION GÉNÉRAL
stérieurs et de la queue en l'absence du système nerveux (Acad. des sciences , 9 nov. 1903). 2° Sur la régénération des membr
que l'inflamma- (1) VIANNA1', Monstre pseudencéphalien. Société des sciences médicales de Lyon, janvier 1902. (2) Op. cit.
S. DUPLAY. - Article Anencéphalie du Dictionnaire encyclopédique des sciences médi- cales, 1876. G. DuRAKTE. Hydrocéphalie
o, Mech., XII, 1900. VtANKAY. Monstre pseudencéphalien. Société des Sciences médicales de Lyon, 1902. Louis V1DAL. - Un cas
99 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
'anévrysmes miliaires dans la pie-mère 1. Obs. lue à la Société des sciences médicales de Lyon par M. Rebate!, interne des hôp
laquelle il ne peut y avoir de doute. Aujourd'hui, il existe dans la science un si grand nombre d'observations d'aphasie liée
ns appeler de nouveau l'attention sur ces récentes acquisitions de la science , à l'occasion d'un fait que nous venons d'observe
. Pour compléter cet aperçu historique des documents que possède la science concernant l'hémorrhagie méningée considérée dans
servation recueillie par M. Viguès. 2. American Journal of the med. Science , vol. in-8", p. 55. 3. B. Bail. — Du rhumatisme
de montrer qu'elle ne peut recevoir encore, dans l'état actuel de la science , une solution entièrement satisfaisante. L'anal
loyer comme synonyme de métallothérapie. Cependant, il existe dans la science quelques faits antérieurs d'application des métau
e de résoudre le problème. Mais quels que soient les desiderata de la science à ce sujet, l'observateur enregistre les faits bi
s remonter jusqu'à Pline-le-Jeune, on rencontre dans l'histoire de la science deux hommes qui parlent de la puissance des aiman
première partie cle ce travail (p. 297-304) a été lue à. YAcad. (tes Sciences (13 i'cv. 1882) et publiée dans le Progrès médica
ar une longue pratique, Duchenne (de Boulogne) possédait à fond cette science de localiser exactement l'action électrique sur
un de nous l'a montré dans une récente communication à l'Académie des sciences , présentent Chaucot; Œuv. compl. t. ix, Hypnoti
ication particulière de cette grande loi, si féconde pour l'étude des sciences naturelles en général, et qui veut que l'on s'att
lée des trois états nerveux. Voy. Charcot : Note lue à l'Académie des sciences , séance du 13 février 1882, publiée dans le Progr
hystériques ; c'est du reste un fait acquis depuis quelque temps à la science . Mais il reste beaucoup à faire pour réglementer
ment en Italie soient au plus vite adoptées en France. Au nom de la science et de l'art, la médecine a enfin clans ces dernie
liers de M. Andriveau, qui a apporté dans sa construction beaucoup de science et de zèle. Je vais faire passer devant vos yeu
her et Gilles de la Tonrettc dans le Dictionnaire encyclopédique, des Sciences médicales, lateur, le tremblement du membre et
cot appelle le Grand hypnotisme. 1. Comptes rendus de VAcadémie des sciences , 1882; M. Charcot, dans sa description, a laiss
poussé par les savants, d'entrer définitivement dans le domaine de la science . M. Bernheim ne conteste pas non plus l'existence
n Italie avant tout par M. Tamburini, est entré dans le domaine de la science . En compagnie du Dr Vizzioli, j'ai observé un cas
100 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
-sophiquement établie, ne sépare ce domaine des autres par-lies de la science biologique, que l'étude de la lésion organique en
ne l'ignore pas, d'une anatomic pathologique idéale, constituant une science à part, qui doit « trouver en elle-même une métho
de la lésion morte. Dans la situation 1 Laënnec. — Dictionnaire des sciences médicales, t. II, p. 50, 1812. qui lui serait a
côté des Vosges, s'écriait tout récemment: L'universalité de notre science s'en va, hélas ! se dissolvant chaque jour ; elle
, 1815. — Chaix, thèse de Paris, 1819. Pinel et Bricheteau, Diet, des sciences mé liçales, 1820. — Laënnec, Auscult., 2« édit.,
e travail intitulé: Cirrhosis of the Lung. (Dublin journal of médical science . Dublin, 1838, t. XIII). Il faut signaler aussi
ut dire que c'est dans le cours des dernières années seulement que la science s'est enrichie à cet égard de données vraiment pr
spécifiques de propagation. — C'est un fait ac-quis aujourd'hui à la science que la matière tuberculeuse, ar-rivée à la périod
tzbourg). Cependant les observations bien authentiques que possède la science sur cette intéressante affection sont encore peu
us paraît être encore à peu près im-possible dans l'état actuel de la science . Voici d'abord notre observation : Obs. I. —Phl
uste, cependant, de remarquer qu'il n'existe probablement pas dans la science une seule observa-tion qui l'infirme d'une manièr
ttre, est longtemps restée un fait presque complètement isolé dans la science : il s'agissait d'un homme qui mourut subitement
rne et moyenne de ce vaisseau. 1 Du Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales. Il n'existait dans ce cas, aucune ro
atomiques imprimait des pro-grès si rapides à toutes les branches des sciences médicales. On attribue à Fernel le mérite d'avoir
équences à cet égard, qui marque le pro-grès le plus important que la science ait réalisé dans cette voie. Nous possédons aujou
tention de quelques praticiens éminents, surtout en Angleterre, et la science du diagnostic a réalisé de nouveaux progrès sous
r le moment, de faire observer 1 Du Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales. que les parois artérielles, môme dan
et du volume énorme du vaisseau malade : cependant, il existe dans la science quelques cas d'oblitération spontanée des ané-vri
omistes que l'aorte naissait quelquefois de l'artère pulmonaire. La science possède aujourd'hui 55 observations de rétrécis-s
les gros vais-seaux. Un des monuments les plus curieux que possède la science à cet égard, est l'opuscule de Knips Macoppe, qui
ent en général à la marche envahissante des tumeurs malignes; mais la science en possède incontestablement des exemples, et, da
é déjà tracée à l'article Abdomen (t. I du Dictionnaire encyclop. des sciences méd., p. 136), nous terminerons ici Y étude des m
avec M. le Dr Ball, est extrait du Dictio?i-naire encyclopédique des science médicales. VII. Sur la claudication intermitt
x-quelles l'auteur est arrivé ne sont certes pas le dernier mot de la science ; mais elles pourront tout au moins, nous l'espér
ne croyons pas que ce travail soit appelé à fixer défi-nitivement la science , relativement à la pathogénie del'infarctuà hémop
/ 193