lie; Troubles psychiques concomitants. M. Cuarcoï : Messieurs, vous
savez
par l'expérience de l'année passée ce qu'ont été
faut que vous les connaissiez telles qu'elles sont ; il faut que vous
sachiez
que le domaine de la neuropathologie où l'on a fa
phénomène le plus apparent. Car le bâillement est contagieux, vous le
savez
, au premier chef et rien que d'entendre prononcer
hez la malade, en rien d'essentiel, du bâillement physiologique. Vous
savez
ce qu'est celui-ci: ce n'est autre chose qu'une l
c'est-à-dire marquée, révélée exclusivement par un symptôme unique, à
savoir
, dans l'espèce: le bâillement? — Gela pourrait êt
pathologie nerveuse l'observation du malade qu'on a sous les yeux ne
saurait
être considérée que comme un épisode; il faut la
déjà laissé entrevoir que la toux comme le bâillement hystériques ne
sauraient
, en général, co3xister avec l'attaque ; l'un excl
us avons désignée sous le nom de « contracture somnambulique ». On ne
saurait
s'entourer de trop de garanties dans un domaine o
M. Charcot : Qu'avez-vous donc à bâiller ainsi ? La malade : Je ne
sais
pas, je n'y comprends rien ; j'ai probablement tr
à cela. Pourquoi les cochers de fiacre plutôt que les autres, je n'en
sais
absolument rien. M. Charcot : C'est assez, je v
et sous le coup des idées fixes ? — Voilà, bien entendu, ce qu'il ne
saurait
vous dire. Certes, messieurs, je ne suis pas af
ant, à elle seule pour nous mettre sur la voie du diagnostic. Je ne
saurais
trop vous engager, Messieurs, surtout quand il s'
remarquée seulement il y a deux ans, pour la première fois, et je ne
sache
pas qu'avant moi elle ait été indiquée explicitem
mportante d'observations ad hoc qu'on doit à M. Landouzy (1). Je ne
saurais
trop vous engager à prendre lecture des divers tr
otre malade d'aujourd'hui où l'existence d'une sciatique régulière ne
saurait
évidemment être douteuse, le membre inférieur gau
enfin, définitivement installée dans les .cadres nosologiques. Vous
savez
que le plus généralement la névrose neurasthéniqu
ne se laissent pas surmener intellectuellement ou, autrement dit, ils
savent
se soustraire à ce genre de surmenage. Iln'enes
produite ; la neurasthénie d'un côté, l'hystérie de l'autre. Or, vous
savez
que nées dans ces conditions-là les névroses qui
a reconnaître. En d'autres termes, non seulement il n'y a pas, que je
sache
, de névrose générale traumatique spéciale, mais e
e caractérisant psychiquemenl la « névrose traumatique » lorsque l'on
sait
par maintes et maintes observations que tout cela
réalité. En vérité cependant, les mots, surtout en nosographie, ne
sauraient
être qu'un symbole, ils ne peuvent pas prétendre
t ainsi que la paralysie choréique se termine toujours, autant que je
sache
. La guérison ici est la règle, même dans les cas
le se trouve démentie chez notre petite malade d'aujourd'hui. Je ne
saurais
trop vous engager, pour en apprendre plus long su
sté dans sa chambre pendant deux jours, et durant ces jours-là, il ne
sait
pas trop ce qui s'est passé ; mais le troisième j
sur toute l'étendue du membre inférieur correspondant (Fig. 13.) Vous
savez
que cette circonstance est fort rare dans l'hémip
ce, affaissé, morne, prostré, serait vraiment un hystérique ? Gela ne
saurait
étonner parmi vous que les nouveaux venus. Les au
Gela ne saurait étonner parmi vous que les nouveaux venus. Les autres
savent
ce qu'il en est de l'hystérie de l'homme et sous
tre pas chez lui de plaques hystérogènes, hyperesthésiques. Mais vous
savez
que ces phénomènes-là ne 'sont nullement nécessai
'action des vapeurs de sulfure de carbone ; il faudra à l'avenir pour
savoir
exactement ce qu'il en est, réellement examiner l
qu'il s'agit ici de névrites périphériques analogues à celles, qu'on
sait
relever de diverses intoxications, alcoolisme, bé
il en est d'autres, contrairement à l'opinion de certains, qu'elle ne
saurait
simuler jamais devant un observateur attentif.
a pathologie des phénomènes nerveux saturnins et alcooliques, il faut
savoir
distinguer ce qui appartient à l'hystérie provoqu
ai remarquer en passant que ce phénomène de dysesthésie, autant qu'on
sache
, paraît appartenir exclusivement aux lésions orga
nts et relevé en particulier que ladysesthésie n'est pas autant qu'on
sache
, un phénomène hystérique. Nous ne croyons pas néc
r rétrécissement semblait venir à l'appui de cette idée ; enfin on ne
saurait
ne pas tenir grand compte des antécédents hérédit
a maintenant 53. Vous trouverez tout ce qu'il vous est intéressant de
savoir
sur son compte, dans l'ancienne Iconographie de l
hysionomie. Evidemment, d'après tout cela, vous l'avez compris, il ne
saurait
être question dans notre cas, de sommeil naturel
e professe depuis longtemps relativement aux cas de ce genre. C'est à
savoir
que le prétendu sommeil n'est autre chose qu'une
les convulsions et le délire s'interrompent momentanément. Mais je ne
saurais
voir là un motif de distinction vraiment essentie
à signaler entre la névrose hystérique et le grand hypnotisme. Vous
savez
comment dans ces derniers temps M. Debove et son
action totale n'a pas duré plus de quatre ou cinq jours.De même,on ne
saurait
admettre que ces amyotrophies soient la conséquen
te la série de faits que nous venons d'exposer. Elle consiste,vous le
savez
, à admettre que sous l'influence de l'affection d
e j'en puis juger par un examen très superficiel. — Mais voyez, on ne
saurait
s'y tromper! la commissure labiale est tombante v
ronostic de la paralysie, comme durée, ne pourra être fourni, vous le
savez
, que par un examen électrique que nous aurons à p
sé de la dénommer (Voir Leçons du mardi, leçon du 27 mars 1888); vous
savez
ce qu'on entend par là. Steppeur vient du mot ang
au point de vue des mœurs les personnes qui les fréquentent. Vous le
savez
du reste très probablement par la lecture que vou
d'en détacher quelques fragments communiqués par notre malade qui la
sait
par cœur pour l'avoir bien souvent chantée « en s
Amis, c'est la muse aux yeux verts Fuyez devant ses folles étreintes,
Sachez
que son nom c'est l'absinthe Et que ses baisers s
n où il habite et l'on a dû aller le réclamer à la Préfecture ; il ne
sait
dire ce qu'il a fait pendant ce temps-là. Une foi
nt conformes à une opinion que je professe depuis longtemps : c'est à
savoir
que la paralysie infantile spinale serait, au mêm
ont morts de « convulsions »;Br... notre malade, est le septième ; on
sait
que lui aussi a eu des « convulsions » et qu'il a
Il ne s'agit là, en vérité, que de prévisions géniales ; mais on ne
saurait
guère méconnaître que celles-ci trouvent un appui
rt indiscipliné, très batailleur, et, en somme, au sortir de l'école,
savait
-il à peine lire et écrire ! Plus tard, par un r
'affection convuisive. Il n'en est pas tout à fait de même, vous le
savez
, de l'absinthisme ; l'absinthe, ainsi que l'a enc
portent avec elles des caractères cliniques tellement précis qu'on ne
saurait
hésiter un instant, lorsqu'on les a vu évoluer, à
sur le développement de l'hystérie, surtout chez l'homme, est. on le
sait
aujourd'hui un fait de connaissance vulgaire et p
tes. Il prétend qu'il ne peut supporter l'odeur de la salle, qu'il ne
saurait
rester avec des gens d'aussi basse extraction que
horée par la chorée ? Là-dessus, on le comprend, nous ne pouvons rien
savoir
qui ne soit fondé sur l'observation comparative d
i même aucune complication alarmante n'est survenue, soyez attentifs,
sachez
vous tenir pru demment sur la réserve, en ce qu
in faisant, un renseignement évidemment de grande importance. C'est à
savoir
que chez l'adolescent et l'adulte, la cho-rée aig
laissez-vous trop vivement impressionner par les autres symptômes, à
savoir
la cessation des gesticulations, . le délire, l'a
notre homme autre chose encore qui mérite bien d'être relevé, c'est à
savoir
l'élément névropathique, lequel se révélera dans
z notre infortuné malade, s'accompagne de symptômes graves ; car l'on
sait
que le pronostic dans la chorée des rhumatisants,
st entrée dans le service depuis quelques semaines seulement. Nous en
savons
assez sur son compte pour pouvoir vous dire que c
ssivement nerveux, aussi nerveux que possible » ; on n'a jamais pu en
savoir
plus long. Pour ce qui est de l'enfant elle-mêm
tous les cas de ce genre, mais pareequ'on ne le trouve jamais, que je
sache
, en dehors de ces cas-là. En voilà assez pour b
ce du schock nerveux ressenti dans; un accident de chemin de fer. À
savoir
: paralysie agitante, épilepsie, vésanie, scléros
,ni la diathèse nerveuse, ni la diathèse arthritique, autant qu'il le
sache
du moins, ne se trouvent représentées dans la fam
lairement et littéralement broyé, paraît-il, en mille pièces. Il ne
saurait
trop dire ce qui s'est passé en ce moment-là ; ce
retenu bien des fois déjà et qui se développe si fréquemment, vous le
savez
, d'une façon progressive, en conséquence du surme
e contagieuse, la voie est facile aujourd'hui, et toute tracée. On ne
saurait
s'y engager cependant Fig. 33. — Coupe de la mo
se met très souvent dans d'affreuses colères pendant lesquelles il ne
sait
plus ce qu'il fait! L'enfant a une sœur morte e
oi du cathéter pendant six jours ; fait anormal dans l'espèce vous le
savez
et qui paraît être relativement moins rare lorsqu
e que nous voudrions faire prévaloir en pareille matière est, vous le
savez
par ce que nous avons dit maintes fois sur ce suj
uleurs dans le dos ; cela est venu tout d'un coup, un beau jour je ne
sais
pourquoi ; mon dos était sensible partout comme s
sion eût été moins douloureuse que le frôlement ? La malade : Je ne
saurais
vous dire,monsieur ; mais c'était comme une ceint
dans deux affections en apparence fort éloignées l'une de l'autre, à
savoir
l'ataxie locomotrice et l'hystérie. S'agit-il ici
i avec insistance. Je continue la série de nos investigations. Nous
savons
désormais dans quelle direction celles-ci doivent
et je suis menacée de tomber par terre. M.Charcot: C'est là vous le
savez
, ce que quelques auteurs anglais appellent du nom
suré qu'il s'agit, dans notre cas, d'un rétrécissement permanent ; on
sait
que dans l'am-blyopie tabétique liée à l'atrophie
vec cette malade, il me reste encore à relever quelques ooints qui ne
sauraient
passer inaperçus. Veuillez remarquer, tout d'abor
d'un cas d'hystérie tardive, sénile même,pourrait-on dire, car on ne
saurait
guère invoquer ici l'influence provocatrice de la
mbinaison de l'hystérie avec une affection organique bulbo-spinale, à
savoir
la sclérose en plaques. Seulement ici, c'est l'hy
urer dans cette comparaison les symptômes oculaires tabétiques. Il ne
saurait
être question ici, remarquezde bien, que d'une es
agit des fonctions musculaires de l'œil, c'est le nystagmus. Or, vous
savez
que ce symptôme ne se voit guère dans le tabes, s
x (Parinaud). Les symptômes hystériques ne reconnaissent pas, vous le
savez
, de lésions organiques appréciables: c'est une lo
ues de grande hystérie avec les phases classiques et bien marquées, à
savoir
: aura régulière puis arc de cercle et grands mou
par des bords dentelés, rappelant ce qu'on voit dans l'ataxie. Il ne
saurait
donc être question ici, vous le Fig. 36. voye
absolue : ainsi le ven dredi 30 novembre, elle a été prise presque
su
bitement d'une cécité complète qui Fa forcée de r
encore une fois, c'est la découverte des symptômes oculaires que vous
savez
qui nous a amené a reconnaître que, derrière l'hy
caractères cliniques de la maladie. Ils peuvent se produire, vous le
savez
, — car c'est un point sur lequel j'ai, dans mes l
suites de ce que l'on a appelé une méningite. Il déraisonnait. Il ne
savait
plus ce qu'il disait. M. Charcot. — S'est-il ag
lle est occupée chez un employé de l'hospice comme domestique et nous
savons
qu'elle n'a cessé, jusque dans ces derniers temps
brement dans les cours de la maison, qui sont fort grandes comme vous
savez
, pour y remplir son office de servante ; elle sor
e de la moelle épinière, compression qui nécessairement, autant qu'on
sache
, a produit dans le cordon nerveux, au niveau du p
les sujets qui paraissent guéris d'une paraplégie par compression ne
sauraient
jouir en réalité le plus souvent peut-être, malgr
canisme suivant lequel la moelle est aifectée dans le mal de Pott. On
sait
comment dans une dissertation inaugurale fort rem
nstitue un troisième argument contre l'opinion autrefois courante, on
sait
— c'est un point sui lequel Cruveilhier a insisté
eure ouvrent le plus souvent la scène ; elles se manifestent, vous le
savez
, suivant le siège qu'occupe la pachyméningite, so
etour chez notre malade des phénomènes de compression spinale. Nous
savons
en effet que, dans celle-ci, les troubles de la s
rement, les troubles moteurs seraient prononcés à l'avenant ; or vous
savez
que ce n'est point de cela qu'il est question ici
taté, tellement accentués, tellement classiques, que leur identité ne
saurait
être un instant méconnue. En terminant, il me r
voulait s'en servir en les élevant au-dessus de sa tête. Mais je ne
saurais
aujourd'hui entrer dans de plus longs développeme
rer la malade sur l'issue des événements, de relever ses forces et de
savoir
attendre. 2e Malade. Par le fait d'une coïnci
déjà un certain degré d'excitation des réflexes rotuliens. Mais on ne
saurait
, en pareille matière, se borner à un aperçu somma
lité des vertèbres peut donner des indications de premier ordre. On
sait
qu'à l'état normal lorsque le tronc s'infléchit e
sont les douleurs rachialgiques qui ont paru en premier lieu, et vous
savez
comment elles ont pu un instant donner le change
s semences que le hasard disperse à tous les vents ne sont pas, on le
sait
, toujours perdues : elles devaient cette fois, en
z « des affaiblis ou des anormaux». Voilà un sujet dont le médecin ne
saurait
certes pas se désintéresser complètement, tout sc
, ne nous paraît plus avoir besoin de justification après ce que vous
savez
des résultats, incontestablement fort encouragean
un certain modus faciendi, facile à acquérir sans doute, mais qui ne
saurait
s'inventer. La suspension se fait à l'aide de l
esser mon chien qui était à mes pieds : la fracture s'est faite je ne
sais
comment ; je ne suis pas tombé, je n'ai même pas
ion dans les symptômes s'est prononcée sur toute la ligne, et l'on ne
saurait
guère invoquer ici, je pense,non plus que dans le
a suspension qu'il est impossible de prévoir quant à présent. Nous ne
savons
pas non plus reconnaître encore, à certains carac
s encore, qui constituent à l'heure qu'il est autant de desiderata ne
sauraient
être éclairées,on le conçoit, qu'à la suite d'étu
ngtième séance. Il est difficile de se prononcer sur la question de
savoir
si les ataxiques entachés de syphilis sont plus o
qui sont bien de nature à montrer que la pratique des suspensions ne
saurait
être faite, sans critique, sans distinction des c
ction d'une paralysie faciale en conséquence d'une otite moyenne : on
sait
, en effet, que, dans la caisse, immédiatement en
tion était fixée sur la possibilité de son existence en pareil cas.On
sait
, en effet, que quelques auteurs, en particulier H
as. Le vertige et la paralysie faciale reconnaissent la même cause, à
savoir
l'otite rhumatismale. » Voici donc ce grand acc
lysie faciale, tous les phénomènes signalés, lors du grand accès, à
savoir
: sifflements d'oreille, sentiment de chute brusqu
ce de ces violentes émotions, dont l'action provocatrice puissante ne
saurait
être méconnue, les divers symptômes de la maladie
d'être relevé parce que nous le trouvons reproduit dans notre cas, à
savoir
que, malgré l'élévation de la température central
équentes, mais encore par un certain nombre de stigmates permanents à
savoir
: ovarie,hémianalgésie droite et rétrécissement d
sculaire est parfaitement conservé ; lorsque ses yeux sont clos, elle
sait
très bien déterminer l'attitude qu'on donne à ses
il chez notre sujet surdité verbale? Ceux qui en sont atteints vousle
savez
, nesontpas sourds, dans le sens général du terme.
u langage se rapporte à quatre modes spéciaux de la mémoire du mot, à
savoir
: la mémoire motrice d'articulation, la mémoire m
ires est représentée en clinique par autant de formes de l'aphasie, à
savoir
: l'aphasie motrice d'articulation, l'agraphie, l
six mois, les crises nerveuses, avec les troubles psychiques que vous
savez
, n'ont pas cessé en quelque sorte de sévir un seu
ers 35 temps, pris possession de l'hypnotisme, qu'elle seule peut
savoir
appliquer convenablement soit au traitement des m
le sort, ceux qui ne connaissent guère que le labeur physique. On ne
saurait
oublier d'ailleurs, qu'en somme, leur constitutio
t-il, et il y éprouve des sensations singulières ; il assure qu'il ne
sait
pas nettement où posent ses pieds. Cependant, pas
épond assurément à une espèce morbide dont la fixité nosographique ne
saurait
être sérieusement contestée, puisqu'on la voit co
ler chez notre homme sans culture, à la suite des événements que vous
savez
, vous le retrouverez revêtu de ses caractères ess
ébro-spinale étaient déjà fort accentués : céphalée neurasthénique, à
savoir
plaque cérébelleuse et plaque frontale. — Tête vi
s deMeaux,une partie de pêche «àl'épérvier ». L'épervier est, vous le
savez
peut-être, un grand filet en forme d'entonnoir do
s qui marchent en séries. Interrogé à l'improviste sur la question de
savoir
si les images qui passent devant ses yeux affecte
leurs qu'il est plutôt impassible, apathique si vous voulez, et il ne
sait
pas trop ce qui pourrait l'émouvoir. En un mot,
888, 41 k. 200, le 30 décembre 38,100, le 17 janvier 1889, 36,550. On
sait
qu'à partir de cette dernière date les vomissemen
justifier l'opinion que je soutiens à propos du sommeil hystérique, à
savoir
: qu'il n'y faut pas voir autre chose qu'une gran
lpitation des paupières et c'est tout; toujours pas de réveil. Nous
savons
que notre malade est ovarienne gauche, c'est dire
rcot. — Vous voyez qu'il s'agit du domaine cubital ; c'est là vous le
savez
, un siège presque classique des douleurs fulguran
seulement n'est pas absent, mais encore est plutôt exagéré. Mais l'on
sait
que dans le tabès, même le plus légitime,la persi
ependant désormais, si je ne me trompe, parfaitement établis. C'est à
savoir
, par exemple, que toute intervention mécanique, c
à l'hôpital Saint-Antoine, les conditions n'étant plus les mêmes, je
sais
qu'on a compté cinq hystériques mâles, dans un se
autres services du même hôpital. L'hôpital en question est, vous le
savez
, situé dans un faubourg très populeux où les ouvr
en prononçant ces paroles significatives : « En voilà un qui veut en
savoir
trop long, il ne m'y prendra pas. » lime prenait
l'école de 6 à 13 ans, il n'a rien pu rien apprendre : de fait, il ne
sait
ni lire, ni écrire. Mais, par contre il a bon cœu
rêves des alcooliques. Interrogé à l'improviste sur la question de
savoir
de quel côté par rapport à lui se présentent les
sibilité sont tels qu'on ne les observe jamais à ce degré-là, vous le
savez
, que dans l'hémiplégie hystérique. B -G Pig.
pourrait formuler le problème suivant, dont la solution je pense, ne
saurait
être donnée dans l'état actuel des choses. Nos qu
il perd la conscience de ses actes, se met en marche résolument sans
savoir
cependant où il va, à la manière d'un automate et
rs. I Men... s, va tout à l'heure nous raconter lui-même ce qu'il
sait
de ses fugues ; au préalable, je crois utile de v
r, prit le parti de rentrer à la maison, où il fit connaître qu'il ne
savait
pas ce que j'étais devenu. M. Charcot : Ainsi,
pas de relations, et dont il n'a jamais beaucoup entendu parler, sans
savoir
comment il y est venu. — Au malade. Ëtiez-vous sa
francs dans mon portefeuille ; j'avais donc dépensé 200 francs, je ne
sais
comment. Je n'étais pas très étonné de tout cela
e que pareille chose m'était déjà arrivée, plusieurs fois, comme vous
savez
, en petit. Mais je craignais que ma maladie ne me
tourmenté par l'idée que je pouvais repartir malgré moi, aller je ne
sais
où et dépenser encore de l'argent. En me rendant
ie dont il souffre aurait été causée par « l'intempérance». Nous, qui
savons
péremptoirement ce qu'il en est à cet égard, nous
, le cas échéant, que ne l'a été le précédent ?... peut-être ! Vous
savez
, messieurs, quel est le diagnostic auquel nous no
'un de ces accès dont le dernier l'a, dans les circonstances que vous
savez
, conduit à Brest, c'était le 15 mars 1887. Il éta
es grandes absences. Quand il est sous le coup de ses crises, nous le
savons
par la déposition de témoins oculaires parfaiteme
aladie nerveuse quelconque et ne compte pas, autant qu'on puisse le
savoir
, de tares héréditaires dans sa famille. Ainsi, le
à qu'une raison de plus pour le considérer de très près; car, vous le
savez
, l'étude des cas rares ou parodoxaux, aussi bien
ant au malade : Voulez-vous nous répéter une fois de plus ce que vous
savez
relativement à cet accès ? Le malade : J'étais
té, je crois, plus long que le précédent ? Contez-nous ce que vous en
savez
. Le malade : Oui, monsieur,il a duré quarante-d
lu payer un supplément parce que j'avais dépassé la gare de Bercy. Je
sais
exactement l'heure à laquelle tout cela s'est pas
ais exactement l'heure à laquelle tout cela s'est passé, car, sans le
savoir
, j'avais remonté ma montre. M. Charcot : Ainsi,
les un billet pour Bercy, qu'il paye bien entendu ; également sans le
savoir
il a remonté sa montre et,dans le train, sa condu
Où avez-vous couché? Avez-vous mangé ? Le malade: Monsieur,je n'en
sais
absolument rien. Je n'ai pas dû manger. J'avais,,
e 23 août, vers 11 heures, rue Ober-kampf. De là vous êtes allé on ne
sait
où et vous vous êtes retrouvé le surlendemain, à
ption portant ces mots : Claye ; 14 kilomètres. Cela m'a frappé je ne
sais
pourquoi. J'ai dû commander aussi du café, car j'
mmander aussi du café, car j'avais du sucre dans ma poche, mais je ne
sais
pas si je l'ai bu. Après cela, je ne sais plus ri
e dans ma poche, mais je ne sais pas si je l'ai bu. Après cela, je ne
sais
plus rien. Je me suis réveillé, comme vous dites,
re les principauxdétails. Le malade va lui-même nous dire ce qu'il en
sait
, ou mieux ce qui lui en a été dit par les personn
été de même pour les autres accès ? Cela, d'après tout ce que nous en
savons
, est au moins fort vraisemblable. Le malade : J
ns causes provocatrices apparentes,et dans les circonstances que vous
savez
, le grand accès de huit jours de durée qui l'a co
alogues en ce sens que, comme dans le nôtre, le sujet exécute sans le
savoir
et sans le vouloir, c'est-à-dire automatiquement,
s proposons de passer en revue successivement. Dans cet exposé qui ne
saurait
être d'ailleurs que très sommaire, nous cherchero
rtains moments de grande préoccupation, de gravir un escalier sans le
savoir
et d'arriver devant la porte fort étonnés de ce q
ccès, dans le cas de Men.. s atteindre jusqu'à huit jours. Mais on ne
saurait
trouver là, en somme, le motif d'une séparation f
e amnésique, elle a marché et causé même, pendant quelque temps, sans
savoir
où elle allait ni pourquoi elle était venue. Un
aque pas dans l'histoire du mal comitial\ mais le plus souvent, on le
sait
, et cela est pour ainsi dire dans la règle lorsqu
uels, souvent, comme le malade de M. Gowers, il se déshabille sans le
savoir
et va se coucher en plein jour. Tout'récemment, i
Certes, ces cas-là ne sont point rares. Ce n'est pas ainsi, vous le
savez
, que les choses se sont passées dans l'observatio
euse idée de se confier à un gendarme dans les circonstances que vous
savez
. Ce sont donc les faits d'automatisme tranquille,
s cas. Tardieu, dans son étude médico-légale sur la folie cite, on le
sait
, l'exemple d'un menuisier qui tout à coup pose se
l était allé à soixante lieues de son domicile et y était revenu sans
savoir
pourquoi. C'est ici que doit être placé, suivant
gorie des amnésies traumatiques transitoires. Celles-ci, autant qu'on
sache
, ne survivent pas longtemps au choc physique qui
r des intervalles libres. D'un autre côté, il n'est point rare, on le
sait
, de voir un choc sur la tête, agissantàla manière
qui, dans plusieurs de ses accès, avait tenté de se suicider, sans le
savoir
, se promenait d'autres fois, inconsciemment mais
as du moins pendant toute la durée de leur entreprise vagabonde : ils
savent
, ou à peu près, ce qu'ils font et les responsabil
n apparence et presque méconnaissables, qui en dérivent. Il eût fallu
savoir
également comment, par leur association avec un o
iqué le premier les grands caractères, et qui quelquefois, comme vous
savez
, se perpétue indéfiniment sans jamais aboutir aux
s. Cette dernière association n'a rien qui doive surprendre lorsqu'on
sait
que, d'après les observations de MM. Pierret, Jea
au moment de l'attaque afin de leur épargner les tâtonnements. Je ne
sais
s'il a suivi mon conseil. Enfin d'autres fois e
agée, nous conduisent à ceux où les accidents vulgaires de la crise à
savoir
,les douleurs, les vomissements, l'inappétence, et
jours. Alors, c'était un martyre : cela durait nuit et jour, je ne
savais
où me mettre, après cela il y avait un apaisement
e chose que du lait ; cela a duré trois ans. D'autres disaient ne pas
savoir
ce que j'avais. On m'a envoyé plusieurs fois à Vi
ous les accidents laryngés possibles du tabès, accidents permanents à
savoir
: voix rauque, dysphonique, cornage ; accidents t
ue, dysphonique, cornage ; accidents transitoires et paroxystiques, à
savoir
: accès de toux « co-queluchoïde» comme on lésa q
s, et les fatigues corporelles, non plus que les émotions morales, ne
sauraient
être incriminées comme causes occasionnelles prov
le voyez, et ils sont fort nombreux encore, où l'ataxie procède on ne
sait
d'où, et vient on ne sait comment. 2e Malade.
nombreux encore, où l'ataxie procède on ne sait d'où, et vient on ne
sait
comment. 2e Malade. Le second malade que nous
ous ces caractères sont tellement accentués, tellement nets, qu'on ne
saurait
douter qu'il s'agit là d'une contracture hystériq
. C'est dans l'hystérie, dans l'hystérie seule en effet, autant qu'on
sache
, que l'on rencontre des troubles de la sensibilit
t, pas de chaleur révélant l'existence d'un travail inflammatoire. On
sait
que la boiterie date des premiers jours de la mal
ticulier qui a rendu possible cette évolution, je l'assimile, vous le
savez
, à celui qu'on observe daas le somnambulisme prov
ue le phénomène de l'épilepsie spinale y est très accentué. Mais nous
savons
déjà que ce n'est point de cela qu'il s'agit ic
e à cet acte physiologique. Ainsi, Messieurs, voilà un homme qui ne
sait
plus marcher, du moins, comme on marche dans l'ét
ie, continueront à s'effectuer suivant les conditions normales. On ne
saurait
oublier que l'enfant n'apporte en naissant que, l
es, il dut, devant Mgr l'évêque qui la visitait à l'occasion de je ne
sais
quelle solennité, réciter quelques vers latins. A
outenu par deux aides dans le but de l'aider à se tenir debout, il ne
savait
imprimer à ses membres que des 1. Les termes ab
que nous avons d'ailleurs touchés un instant, chemin faisant ; on ne
saurait
d'un autre côté, confondre l'abasie, avec les div
achine à coudre, des rémouleurs, des chorégraphes, par exemple. On ne
saurait
méconnaître cependant l'analogie assez étroite qu
'exécution. Mais je ne veux pas insister sur cette comparaison qui ne
saurait
avoir d'autre prétention que de vous présenter da
peur de charbon ? Je ne le crois pas : cet état comateux autant qu'on
sache
, ne persiste pas, en général, pendant plus de hui
ttendre qu'elle viendrait un jour ou l'autre prendre sa place ici. On
sait
aujourd'hui, par de nombreuses observations, comm
s avez compris que l'hystérie développée en pareille circonstance, ne
saurait
appartenir à la nosographie de l'intoxication par
é créées par lui, tandis que celui- ci, dans le cas de l'hystérie, ne
saurait
être considéré que comme une cause occasionnelle
conséquence dès l'enfance, par des phénomènes d'ordre pathologique à
savoir
les terreurs nocturnes, les cauchemars persistant
une paraplégie plus ou moins absolue ; tandis que la sentence « tu ne
sais
plus marcher» suggérera seulement l'idée d'une im
aintenant à ce qui concerne le pronostic : à en juger par ce que nous
savons
de l'histoire naturelle de l'incoordination motri
encé sans doute par ce qu'il avait entendu dire durant la leçon. Vous
savez
que tout ce que nous y avons dit était fait pour
t toujours, se sont effectués les jours suivants, et aujourd'hui vous
savez
comment sont les choses. En présence de ce résu
t groupé déjà les faits qui viennent d'être successivement exposés, à
savoir
1. Examen électrique pratiqué par le Dr Vigouro
n élément rhumatismal, arthritique que présenteraient ces sujets ? On
sait
que certaines rétractions fibreuses indépendantes
paralysie alcoolique, n'est pas chose faite pour surprendre lorsqu'on
sait
que d'autres troubles tropbiquesou vaso-moteurs,t
toute force se lever pour aller y prendre part. On rencontre, vous le
savez
, de semblables rêves chez les hystériques non alc
oubles intellectuels qui ou-virent la scène ; elle était excitée ; ne
savait
plus ce qu'elle disait : la nuit elle ne dormait
l'influence de l'abstention à laquelle elle aura été soumise. Vous
savez
le reste : de Bichat elle a passé à Sainte-Anne,
acultés intellectuelles. Paraplégie alcoolique avec atrophie ». Ou ne
saurait
mieux dire et vous avez compris sans qu'il soit n
que les choses n'ont pas été poussées trop loin. Il importe que vous
sachiez
cependant que, de temps à autre, on rencontre des
s n'ont puni l'un ni l'autre acquérir la moindre instruction ; ils ne
savent
ni lire, ni écrire. Dans la société, comme bien v
grands mouvements » ni de celle « des attitudes passionnelles ». Vous
savez
qu'à ne les considérer qu'en elles-mêmes et indép
concomitantes, ces attaques ainsi réduites à la phase épileptoïde, ne
sauraient
être distinguées de l'accès comitial qu'en ce qu'
t exactement cette fois l'image classique de l'attaque épileptique, à
savoir
: apparition plutôt la nuit, début soudain sans p
s cette époque qu'il exerce le triste et peu lucratif métier que vous
savez
. En somme,on peut dire que depuis ce temps il vit
contraire, le côté opposé. Mais, il faut bien le reconnaître, nous en
savons
encore fort peu sur ce genre d'atrophie musculair
avant de vouloir légiférer définitivement sur son compte, nous devons
savoir
attendre que les observations se multiplient. M
es, dans le domaine étiologique, elle constitue un élément dont on ne
saurait
méconnaître la puissance et c'est là surtout ce q
d'arguments en faveur de la thèse que je soutiens depuis longtemps, à
savoir
: que la paralysie spinale infantile est moins un
accusée d'un ou plusieurs membres. L'anatomiste constaterait, vous le
savez
, chez un tel sujet, dans certaines régions de la
oit, les muscles du moignon de l'épaule sont atrophiés, y compris les
sus
et sous épineux et le sous-scapulaire. Du deltoïd
elconque à la lésion spinale datant de l'enfance. Ce sont là, vous le
savez
, les questions dont nous devons nous appliquer ma
énomination commune d'atrophie musculaire progressive. C'est, vous le
savez
, l'anatomie pathologique surtout qui a permis d'é
est l'intégrité absolue des muscles de la face ; tandis que, comme on
sait
, chez les myopathiques du type Lan-douzy-Déjerine
xceptions, une maladie infantile ou pour le moins juvénile ; or, vous
savez
que notre malade n'a vu apparaître les premiers s
plus profondément lésés, ainsi que la participation à l'atrophie des
sus
et sous-épineux, sous-scapulaires et des fléchiss
re à un haut degré : type scapulo-huméral. Il est à remarquer que les
sus
, sous-épineux, sous-scapulaire ainsi que les fléc
hénar, hypothénar et de l'avant-bras que le début s'opère. Mais on ne
saurait
voir là, évidemment, qu'une anomalie d'ordre seco
upe dont nous venons d'indiquer les principaux caractères ; car on ne
saurait
vraiment considérer comme constituant une différe
hie spinale infantile d'abord, puis de l'amyo-trophie de l'adulte, ne
saurait
être le fait d'une coïncidence purement fortuite.
ttachait à la sclérose latérale amyotrophique. Dans celle-ci, vous le
savez
, la terminaison fatale, annoncée par l'invasion d
ion de température à la suite des accès. Il était donc intéressant de
savoir
ce que donnerait l'analyse des urines ; or, on es
la myopathie progressive qui en sont la cause? Mais non, l'hystérie,
sachez
-le bien, peut se combiner, s'associer avec une fo
: Ce grenadier avait désiré ardemment assister aux obsèques de je ne
sais
quel duc ; on le retint à la caserne et ce fut là
ut à la première. En général, les crises d'hystéro-épilepsie, vous le
savez
, s'enchaînent en séries. Voilà ce qu'on appellel'
en séries. Voilà ce qu'on appellel'hystéro-épilepsie à crises mixtes.
Sachez
qu'il n'y a dans tout cela que l'apparence de l'é
era la plus belle preuve de ce que j'affirme depuis bien longtemps, à
savoir
que dans l'hystéro-épilepsie il n'y a pas trace d
s l'espèce. Voici comment notre malade est arrivé à cet état : Vous
savez
comment, après sa fièvre typhoïde, il est devenu
out le côté gauche du corps, et c'est sa sœur, épileptique comme vous
savez
, et morphinomane elle-même qui, à ce propos, lui
is elle traînait, se plaignant de ceci, de cela : elle avait vu je ne
sais
combien de médecins ; j'étais peut-être le neuviè
les cadres vulgaires des paralysies traumatiques ? C'est ce qu'on ne
saurait
encore décider péremptoirement, faute d'observati
I Je vais maintenant exposer, avec détails, tout ce que le malade
sait
, tout ce qu'il nous a dit sur la maladie pour laq
plus fort et beaucoup plus rapproché que les autres, et alors, je ne
sais
pourquoi, j'ai pris peur; il me vint à l'idée que
moi ; je ne la sentais plus guère, elle me paraissait gonflée ; je ne
savais
pas si, oui ou non, elle portait sur le sol. Cepe
vations colligées par les auteurs compétents ; et, à ce propos, je ne
saurais
trop vous recommander la lecture du très intéress
et qui, on peut le dire, renferme sur ces questions-là, tout ce qu'on
savait
de positif, à l'époque toute récente encore où il
l ne connaît guère enfin, du phénomène de la fulguration que ce qu'en
sait
le vulgaire et ce qu'en racontent de temps à autr
cussion,que si son histoire s'écarte à beaucoup d'égards, de ce qu'on
sait
des cas defulguration vulgaire,elle se rattache p
e tonnerre et avoir vu la foudre. Or, l'on admet, en général, vous le
savez
, que jamais la foudre n'atteint celui qui voit l'
tués sur le coup, déclarent qu'ils n'ont rien vu, rien entendu et ne
savent
rien, absolument rien de ce qui s'est passé. Mais
de la foudre globulaire ou en boule, comme on l'appelle .encore, vous
savez
comment les choses se passent en général en parei
elle de la poudre brûlée (2) et, c'est dans ces termes mêmes, vous le
savez
que, D...cy s'est exprimé pour rendre compte des
semblent l'établir d'ailleurs diverses circonstances de son récit, à
savoir
entre autres, la rude sensation de choc qu'il a é
tion imprimée soit sur sa peau soit même sur ses vêtements.Mais ce ne
saurait
être là,tant s'en faut, un argument décisif, car
s ce ne saurait être là,tant s'en faut, un argument décisif, car l'on
sait
que même chez les sujets tués sur le coup par ful
au moment où, fort tard dans la nuit, il a fini par s'endormir. 11 ne
saurait
vous échapper qu'il y a lieu de se demander si ce
je crois utile de vous présenter maintenant, relativement à ce qu'on
sait
sur les paralysies des foudroyés. Vous n'ignorez
après le choc, sont marquées 1° par les troubles de la sensibilité à
savoir
: anesthésie cutanée et profonde ; 2° par des par
; il ne la sentait plus guère, elle lui paraissait gonflée : « Je ne
savais
, dit-il, si oui ou non elle portait sur le sol. »
nta quelques faits defoudroiement suivis de mort. Ces propos, vous le
savez
, l'émurent vivement et, sur-le-champ, il ressenti
t depuis lors que le bégaiement s'est établi. Ces divers troubles à
savoir
: sensation de boule, battement, des tempes, etc,
z rassemblé une collection de faits dont la signification clinique ne
saurait
vous échapper. Evidemment, nos dernières consta
on était complète. L'auteur de cette relation qui est, comme chacun
sait
, un observateur des plus distingués, ne manque pa
naturellement repoussée du premier coup. » A l'heure qu'il est, on ne
saurait
plus avoir de pareils scrupules et l'on recon-naî
interprétation, cependant si naturelle, il aime mieux imaginer je ne
sais
quelle lésion cérébrale en foyer, localisée je ne
imaginer je ne sais quelle lésion cérébrale en foyer, localisée je ne
sais
comment, et jouissant delà propriété singulière d
die des tics ; elle aussi est des plus fâcheuses, en ce sens qu'on ne
saurait
dire qu'on la guérisse jamais ; mais on peut comp
Du côté maternel : grand'mère « nerveuse », c'est tout ce qu'on en
sait
; elle serait morte d'hémorragie cérébrale. Le gr
sa singularité. Celle-ci implique nécessairement l'abasie ; car on ne
saurait
marcher, du moins de la marche ordinaire, lorsqu'
s et ne paraît pas prête à s'amender. Le plus souvent, autant qu'on
sache
, l'abasie et l'astasie, quelle qu'en soit la form
axie ou incoordination cérébelleuse que je fais allusion ici. Et vous
savez
qu'elle s'observe surtout dans les cas où il y a
ans ceux que nous étudions ici, le malade étant au lit, peut, vous le
savez
, déployer dans les mouvements de ses membres infé
interrompue chez lui, à chaque instant, par les piétinements que vous
savez
, il s'est arrêté, après bien des tâtonnements, au
isoire, vous pro-poseraî-je d'admettre que ce brave homme est,sans le
savoir
et sans le paraître, un névropathe, sujet comme t
t aussi envahir le bulbe où elle reste limitée toujours, autant qu'on
sache
, au noyau d'origine de la 5e paire. Qu'il y ait
e épinière telle que l'ont faite les travaux récents (Fig. 104). Nous
savons
que les lésions étendues et durables des faisceau
lément, primitivement, ou au contraire d'une façon secondaire et l'on
sait
que dansles deux cas, si l'altération intéresse l
lle épinière qui intéressent directement la nutrition des muscles. On
sait
encore très positivement, par l'histoire de la pa
par contre, jusque dans ces derniers temps, restés dans le vague : on
savait
seulement d'une façon très sommaire et sans qu'on
a lieu de distinguer : a. les symptômes poliomyéliques antérieurs, à
savoir
: amyotrophie musculaire à marche progressive, ra
concomitante de troubles très particuliers delà sensibilité. C'est à
savoir
, que les notions relatives au tact et au sens mus
es fondamentaux, se distinguent encore par d'autres traits dont on ne
saurait
méconnaître l'importance. Nous avons supposé l'an
nchée, déterminant un plan perpendiculaire à l'axe du membre. Il ne
saurait
vous échapper, messieurs, que les particularités
ucune douleur. C'est une question fort discutée encore que celle de
savoir
si la maladie de Morvan, de Lannilis, ou, autreme
s'observent assez fréquemment encore dans la syrin-gomyélie. On ne
saurait
dire quant à présent, nous l'avons fait remarquer
s trophiques divers qui viennent d'être énumérés. D'après ce que nous
savons
des eflets produits par les altérations qui occup
apparition que certaines causes exceptionnelles semblent provoquer, à
savoir
: les traumatismes, le surmenage physique, l'affa
es divers modes de la sensibilité sur laquelle nous avons insisté, ne
sauraient
lui appartenir en propre. En somme, ces symptôm
e malade, par contre, perçoit parfaitement le goût des aliments et il
sait
dire même s'ils sont chauds ou froids. Si les cor
ie que j'ai fait placer sous vos yeux. Dans la règle, comme vous le
savez
, l'hémianesthésie, qu'elle soit complète, absolue
senter parfois dans la pratique. Il est vrai que jamais, autant qu'on
sache
, on n'observe dans la syringomyélie les troubles
nous l'avons montré, M. Babinski et moi (1) en 18S6. Il y a, comme on
sait
, des troubles vasomoteurs, des œdèmes hystériques
des objections va s'ouvrir maintenant. La syringomyélie est vous le
savez
, par excellence, une maladie lentement Fig. 124
té suivant ce que j'appellerais volontiers le mode syringo-myélique à
savoir
: tact conservé, contrairement à ce qui a été obs
nt, un représentant, un « sosie », pour mieux dire, qu'il nous faudra
savoir
démasquer. A partir du 28 juin 1889, époque où
ussade, tout l'agaçait. Il se mettait tout à coup à pleurer sans trop
savoir
pourquoi. Constamment préoccupé de son état de sa
telligence paraît intacte. Par contre sa mémoire est affaiblie; il te
sait
et il s'en plaint. « Il y a des jours, dit-il, où
sujets différents. La présence de l'hystérie chez notre patient, ne
saurait
, je pense, faire l'ombre d'un doute. Une hemianes
u'il y a eu shock nerveux. Cette expression fait image ; mais elle ne
saurait
évidemment signifier autre chose, dans l'espèce q
s de contracture spasmodique, les muscles d'action contraire, vous le
savez
, sont simultanément en jeu ; la contracture occup
e, je puis le répéter à propos de la paraplégie par mal de Pott. Vous
savez
que souvent, cette paraplégie dépend d'une pachym
un élément rhumatismal, arthritique que présenteraient ces sujets? On
sait
que certaines rétractions fibreuses, indépendante
aut reconnaître que le fait n'est pas absolument général ; et il faut
savoir
que les rétractions fibreuses peuvent compliquer
rci, mais qui pourrait bien avoir aussi sa cause, d'après ce que nous
savons
, dans la production de tissu fibreux périarticula
de ses parents sont fort incomplets. Il n'a pas connu son père, il ne
sai
rien de sa mère qui mourut pendant qu'il était en
e et de jeûnes exténué, n’ôtaient rien à l'ardeur de sa parole, qu’il
savait
merveilleusement suspendre ou précipiter à son gr
près supérieure, qu’il établit la corruption dans le couvent. Nous ne
savons
où M. Paul Dibon a été puiser ses affirmations à
célestes bienfaits. Tout cela ne réussit pas mieux; et la jeune fdle
sut
par la prière se préserver de cette nouvelle tent
s purs écrivains spiritualistes de ce temps, ne conclut pas, comme on
sait
, de la môme manière. Lui aussi a eu des communica
t principalement les jeunes et les novices, lesquelles à grand’ peine
savent
par cœur les litanies estant aux accès de leur po
es cas abominables mentionnés au procès, les a condamnés et condamne,
savoir
: ledit Boullé à estre traisné nud en chemise sur
res religieuses., la sentence conservant jusque-là son effet. On ne
sait
pas si Madeleine Bavent subit sa dure réclusion,
tre ces dernières firent-elles plus de révélations qu’on n’en voulait
savoir
et découvrirent-elles de nouveaux mystères qu’on
vons prise de toujours eiler nos sources et d'étayer nos affirmations
su
; les témoignages les plus authentiques, nous enga
d’Evreux et au crédit de Bosroger. Lui qui n’a rien vu, il prélend en
savoir
plus que des témoins oculaires, hommes honorables
au dépourvu. Lè-dessus, grande colère de tous les assistants. Nous no
savons
si ce fait est vrai; tout ce que nous savons, c’e
les assistants. Nous no savons si ce fait est vrai; tout ce que nous
savons
, c’est que nous avons eu des somnambules qui voya
du Magnétisme plusieurs articles très-intéressants sur la question de
savoir
si, dans les cas de vision d’objets éloignés , l’
sujets ne se contentent pas d’énoncer qu’il fait froid, ce que chacun
sait
, ils se plaignent du froid, se ramassent sur eux-
omnambule voit, quel que soit son procédé de vision. Personne, que je
sache
, parmi les magnétistes, n’a eu l’idée de lui fixe
let du balancement se transmet au corps, et il en résulte ce que vous
savez
. 11 n'est pas plus question dans tout cela de vom
s de personnes ont vu des milliers de morts, aucun de ceux-ci, que je
sache
, n’est apparu sans vêtemeuts; on les voit tel
es phénomènes sur lesquels vous l’interrogez ; si enfin ce somnambule
sait
dire à propos : je ne sais pas, ou : je ne vois p
vous l’interrogez ; si enfin ce somnambule sait dire à propos : je ne
sais
pas, ou : je ne vois pas, et que vous ayez dès lo
a vue à distance au moyen de la transparence des corps opaques. Je ne
sais
s’il existe des .sujets ayant la prétention de vo
ntendement humain. Nos adversaires nous conseillent de dire : je ne
sais
pas, plutôt que de risquer des suppositions et de
utôt que de risquer des suppositions et des explications. Quand on ne
sait
pas, il faut chercher à savoir; et pourquoi ne pa
sitions et des explications. Quand on ne sait pas, il faut chercher à
savoir
; et pourquoi ne pas présenter le résultat de ses
doptent avec énergie le système contraire, et on doit supposer qu’ils
savent
. Mais s’ils savent, pourquoi n’expliquent-ils pas
e le système contraire, et on doit supposer qu’ils savent. Mais s’ils
savent
, pourquoi n’expliquent-ils pas ? Ils nous présent
tenais l’accordéon par un seul bout et d’une seule main, et que je ne
sais
point jouer de cet instrument ; disons encore que
blement n’est pas connu de douze autres personnes, en Amérique. Je ne
sais
point moi-même pincer la guitare» mais j'ai beauc
e pincer la guitare» mais j'ai beaucoup enteudu cet instrument, et Je
sais
que ces accompagnements étaient par eus-Mêmes uoe
xtraordinaire, à part le mystère de l’agettl dfejùécutien. Ce «pie je
sais
encore, c'est que j'étais hors de In portée d'uue
la compagnie ; mais la main invisible qui les balançait dans l’espace
savait
aussi les tenir ferme. Aujourd’hui nous nous rapp
e sur le portrait de ce fds défunt. Il disparut un jour sans que l’on
sache
trop comment, et il n’a plus reparu. 11 existe,
de l’un des trois termes conduit à une doctrine incomplète. Or, nous
savons
que la médecine classique reste dans cette exclus
les maladies et qui indique le traitement fjui doit les guérir. Nous
savons
tous qu’il n’y a pas de rap- port entre la fa
es compétents ont ¿mis, est bien supérieur à son aîné, et pourtant je
sais
, moi, qu’il est encore bien imparfait. Pourrait-i
traction, on en est venu à des essais de lucidité. C’est là, comme on
sait
, l’écueil le plus ordinaire des sujets les plus v
mplation de l’exta-ique, paraissaient partager les sentiments qu’elle
savait
ai )ien exprimer. Un jeune poète a été l’interprè
bien que rien n’autorise à recourir à une pareille intervention. Nous
savons
que l’homme peut exercer sur son semblable une ac
avant-hier, c’était magnifique, aujourd'hui tout est paralysé, on ne
sait
pourquoi. Parfois môme, un observateur, émerveill
me suis rendu partout où l’on m’annonçait qu’H s’en produisait, je me
sais
soumis patiemment à toutes les conditions imposée
(page 91) qu’une certaine dame, faisant partie de la chaîne, se lai—
sait
, par conjecture, un avis sur les questions qui ét
onc alors qu’entre cette dame et le médium il se soit établi, nous ne
savons
comment, une communication intellectuelle, ou que
cette dame, il n’est pas impossible qu’elle ait oublié le peu qu’elle
savait
de cette langue, mais que, dans l’état de médium
facilement usurper de faux noms et simuler l'écriture d’autrui, on ne
saura
jamais à qui l’on a affaire, et les communication
and nous nous rappelons le dialogue auquel nous avons pris part, nous
savons
très-bien que tout s’est passé en nous-mêmes et q
on n’y trouve pas la verve ordinaire de l’admirable conteur que vous
savez
, l’absence de cette qualité est rachetée par un c
ance est de mise. Cependant, pour cette biographie de Grandier, on ne
saurait
douter que l’auteur ait eu des prétentions à la g
attribution à Grandier d’un pamphlet : la Cordonnière de Loudun. Nous
savons
que M. Bazin , dans son excellente Histoire de Lo
ortance. Les motifs principaux de la condamnation, tout le monde le
sait
, furent les possessions de plusieurs religieuses.
iences de la magie, l'intervention des esprits est manifeste. Reste à
savoir
si cette intervention était due à une influence o
u me l’accorderait. » Pour satisfaire des passions auxquelles il ne
sut
pas résister, cet homme n’avait-il pas craint de
vait y être amené. Beaucoup d’autres curieux l'avaient accompagné. On
savait
que ce cheval avait été destiné à la cavalerie, q
meutes et les huniers de üuhallow. » (Presse du 22 ffrrier.) On ne
saurait
douter un seul instant que le magnétisme ne soit
tième je me tromperai et vous perdrez tout. Mais il paraît qu’on ne
saurait
se borner quand on est en veine de prospérité. Le
t tous les trésors des Mille et une Nuits emplir sa caisse. — Je ne
sais
, murmura la somnambule... Il est près de Saint-Et
is que l’oiseau qui le construit n’est point aperçu. C’est que nul ne
sait
ce qui se passe au moment de la fécondation, et q
ielle du rôle que nous y jouons. Le médecin examine la coquille, sans
savoir
comment elle se forme. 11 en découvre bien la tra
s, sans être plus avancé, car le mystère aussi plane sur leur vie. On
sait
la composition chimique des germes, et l’électric
mblé venir couronner les œuvres de la science, puis le calorique, que
sais
-je encore ! On oublie ce principe inconnu , la vi
ours en se dédoublant, etc., etc. On a si bien travaillé, que l'on en
sait
aujourd’hui autant que le premier jour. L’oiseau
naît et s’en- vole. Etait-il avant? est-il encore après? nul n’en
sait
rien. Mais je sais, moi, qu’une pensée est créatr
ole. Etait-il avant? est-il encore après? nul n’en sait rien. Mais je
sais
, moi, qu’une pensée est créatrice, et que ce qu’e
elle crée est impérissable, quoique ne le voyant pas par nos yeux. Je
sais
qu’elle a des formes et des couleurs; qu’elle est
n qu'en dehors, quelle s’échappe et va où son destin la conduit. Je
sais
à n’en pouvoir douter que les idées de la femme e
es idées de la femme enceinte influent puissamment sur son fruit ; je
sais
que les pensées du père peuvent également exercer
nvention. Les savants expliquent tout, et, pour prouver leur puissant
savoir
dans les questions difficiles, ils appellent à le
r. Sera-ce un bonheur lorsqu’il sera tout à fait transparent? Je n’en
sais
rien. Mais ce flambeau divin, le magnétisme, je
andonneront leur système pour devenir chefs d’une nouvelle école. Qui
sait
si l’intérêt ne déterminera point un jour des apo
isons de suite, à propos du second des deux faits racontés, que je ne
sais
sur quoi on se fonde pour l’attribuer aux esprits
uleur, sans que le patient le lui ait indiqué au préalable, il devait
savoir
que son ami, qui boitait, se plaignait depuis lon
fluorescence des corps sont connues; mais on n’a jamais fait, que je
sache
, avant moi, les expériences que je vais décrire :
souffrance et put se mettre en marche sans la moindre difficulté. On
sait
qu’une entorse dure toujours au moins 4 à 5 semai
poser selon leur volonté. C’est donc une erreur contre laquelle on ne
saurait
trop s’élever, de réputer toute table parlante an
de cet adversaire acharné de. toutes les religions. En vérité, on ne
saurait
s’imaginer cette démence du parti orthodoxe. M. d
cheval arabe appartenant à un officier des chasseurs de la garde. On
sait
que tout ce régiment est monté avec des chevaux
s toi et que mon âme entre en communication avec la tienne. — Je le
savais
, mon ami ; et c’est parce que tu m’as averti de t
va pour le fouiller. On ne trouva sur lui que 1 fr. 30 c. ; mais on
sut
qu’il avait distribué à la foule une certaine som
ondit à une question que les intelligences supérieures peuvent seules
savoir
; qui fit résonner un piano sans le toucher, ou a
us les expérimentateurs, M. Roberaud lui fit la question suivante : —
Savez
-vous et pouvez-vous nous dire comment se terminer
ai fait des frictions, et par conséquent j’ai été magnétiseur sans le
savoir
. Car si vous avez guéri des paralytiques et des s
our les pauvres de quitter leurs familles pour entrer à l’hospice. Je
sais
qu’il y a des cas où c’est indispensable, mais au
les vérités. Je rends grâce à tous ceux qui nous viennent en aides et
savent
, se dépouillant de vieilles erreurs, chercher com
point où commence la vie est enveloppé de profondes ténèbres. « On
sait
seulement que la vitalité organique se trouve dan
e devient le principe du sentiment et de la- pensée ? « Nous n’en
savons
rien. « Seulement, nous voyons qu'il doit être
nscon-naltre, serait assurément bien imparfait et bien borné. « Que
savons
-nous ? « Le plus petit insecte, le moindre végé
sculape qui, comme Fontanarose, a parcouru l’univers (et le Brésil en
sus
), a rapporté de ses voyages la sublime panacée et
ept disques sous sa protection ? Alors il devrait au moins nous faire
savoir
comment s'est manifestée cette adoption et quelle
st mécontent de bien des choses, mais il n'est pas toujours facile de
savoir
pourquoi. Les somnambules, dit-il, peuvent sans l
ttribuent un quantité de petits miracles à leur prétendue force. Nous
savions
très-bien , ô ami d’Allah, que des sujets non mag
ole, car un homme qui a été au Brésil, et qui cite le Ko-ran, doit en
savoir
plus que nous. Mais, ô grand Salah, disciple fidè
les physiciens, aussi bien que les philosophes et les théologiens, ne
savent
encore si leur nature est spirituelle ou matériel
elle, ne pourront Être rangés parmi les substances matérielles. On
sait
que les effets qu’un boulet de canon peut produir
ité dcflet, que la vitesse devînt 10 fois, 100 fois plus grande. On
sait
que la vitesse ordinaire d’un boulet est la six c
érents , suivant les circonstances dans lesquelles il se trouve. On
sait
que les corps sont plus ou moins bons conducteurs
t, éprouveront immédiatement de la sympathie ou de l’antipathie. On
sait
que tous les corps n'ont pas la même capacité pou
dans la tête d’un seul homme de génie : l’apparition de cet homme ne
saurait
être éloignée et peut-être existe-t-il déjà. Celu
tres. Je me permettrai donc d’examiner ces deux questions capitales
savoir
, les rapports du magnétisme avec la médecine, pui
e souvenir de la grande loi de la mort qu'aucune puissance humaine ne
saurait
vaincre. Les indications des songeurs endormis da
ans les épidémies, de nous dire enfin quelles sont les maladies qu’il
sait
guérir, et tandis que la chirurgie restera inébra
soufre dont la chimie, cette science positive sortie de l'alchimie, a
su
faire des agents incontestablement utiles dans le
es dans les maladies du poumon, de la peau, dans la syphilis.....Vous
savez
bi«m encore que les songeurs, les oracles, les
doit donc faire partie de la médecine pour la compléter ; mais il ne
saurait
la remplacer en constituant à lui seul l’agent th
est certes celui que je vais divulguer ici gratis et pro Deo. Vous
savez
, monsieur le rédacteur, que’presque sans excepti
Voici ce qu’on écrit à ce sujet, au Journal de Gand : « Comme vous
savez
, non loin de chez nous, existent encore aujourd’h
èbre professeur des .sciences occultes, M. Brunet de Ballans. Je ne
saurais
trop remercier M. Brunet de son abnégation, ■de s
années et qui avait résisté à tous les traitements médicaux. Je ne
saurais
trop remercier l’élève et le professeur de cette
on que la médecine ordinaire avait été impuissante à réduire. Je ne
saurais
trop remercier M. Brunet du dévouement et du zèle
is de sentiments. Je connaissais la position qu’il avait prise, et je
savais
que quelque'influence puissante devait le diriger
rit. On a vu parfois ces monomanes, ces hallucinés ou obsédés, 011 ne
sait
quel nom donner à cette maladie, se porter aux pl
nisme mystérieux dont le dérangement fait naître ces maux que l’on ne
sait
guérir. Baron nu Potet. BIBLIOGRAPHIE. .
? — Les savants ne sont, sous ce rapport, pas plus-avancés que nous :
savent
-ils ce qu’est l’électricité, le galvanisme , le c
it perdu, c’est un cri d’alarme seulement que nous poussons, car nous
savons
que quelque chose de providentiel veille sur
vés ; nous y voyons des gens qui ne manquent ni d’intelligence, ni de
savoir
, ni de dévouement. Mais nous n’en sommes pas moin
traîne et qu’il ramène, Verra s'accomplir tous les temps. Si vous
saviez
combien est douce Au cœur l'ardente charité, Vo
au fleuron de sa riche couronne. L’imptora-t-on jamais en vain? Qui
sait
combien il a pu faire de miracles, Et du monde
Règne seule en nos cœurs. Notre doctrine est féconde en nuances :
Sachons
les fondre avec un soin jaloux ; Car l’ennemi,
ter 011 de discourir; Je reconnais qu'il est plus sage, Celui qui
sait
s'en abstenir. Moi, qui n’admire la sagesse Que
it de nous tenter, Et qu'il vint offrir du champagne. Qui de nous
saurait
résister? Puisqu'on nous a voués au diable, I
, Ne pas faire tourner la table Où nous trouvons le paradis. Nous
savons
qu'il est une échelle, Entre Dieu, le plus haut
nquis un haut emploi, 11 a pris place au Capitole, Depuis qu’il a
su
faire loi. Burdin, en Gascon qui veut rire, Déf
ts, dans ses leçons. Au magnétisme, à la magie, Aux secrets qu'il
sut
découvrir, Chaque jour il nous initie, Et cha
ceux qui concourent au progrès de la même cause. Cette idée, vous le
savez
, est celle qui a présidé à la formation du jury m
e avait quelque chose d’imposant et de grandiose ; l’intelligence, le
savoir
et l’idée s’y trouvaient réunis. On pouvait juger
nt au développement de la vérité. Pourtant ils nous connaissent ; ils
savent
que, si nous sommes peu jaloux du facile abri de
et ne serait-ce que dans la mesure d'un simple point de repère, je ne
saurais
trop répéter aux mesméristes qui veulent gravir l
our impériale de Paris. Assise au milieu du salon, cette dame avait à
su
gaucho les différentes personnes réunies; à ta dr
C immortalité de l’âme.) Eh bien ! la doctrine excellente, si l'on
savait
ta pénétrer, nous l’avons, nous qui sommes nés da
le preuve de la haute sagesse de. l’Empereur, qui, par sa fermeté , a
su
résister à une pareille demande de la part d'un c
de passer, lisez planer. Page 270, ligne 27, au lieu de fait, lisez
sait
. Baron uo POTET, propriclairc-géranl. PLAID
ue l’infirmité de la nature humaine, puisque les plus beaux génies ne
savent
pas se préserver totalement de l’erreur. Citons l
u’il renferme. L’ouvrage est divisé en 't livres et 26 chapitres,
savoir
: Livra 1" : 1“ définition du sorcier ; 2° asso
ons et les malins esprits; 4° prophéties et autres moyens divins pour
savoir
les choses occultes ; 5° moyens naturels et humai
pour savoir les choses occultes ; 5° moyens naturels et humains pour
savoir
les choses occultes ; 6“ moyens illicites pour pa
er la faveur des grands, la beauté, les honneurs, les richesses et le
savoir
, et donner fertilité ; lt° si les sorciers peuven
des évocations, puisque (lui-même nous le disait récemment), voulant
Savoir
au juste à quoi il devait s’en tenir sur cette ma
e complète et la mort, si l’on n’y apporte renié* ; c’est, comme vous
savez
, au magnétisme seul que la c»re des névroses inco
oulagera, mais ne me guérira pas, il n’y a pas de remède ! — Vous qui
savez
que Dieu a mis le remède à côté du mal et qui ne
’où découle la vie est inépuisable, et les courants rapides ; vous le
savez
, vous qui, après cent magnétisations en un jour,
oire cette dernière comme j'ai dû croire aux autres. Enfin, moi qui
sais
à peine ce que c’est qu’une note, vous le dirai-j
çus une réponse affirmative; lui ayant exprimé ma satisfaction de les
savoir
héureux, je lui demandai s’il pouvait m’écrire qu
us verrez dans ce qui suit. Y a-t-il rien de plus consolant que de se
savoir
toujours entouré par des êtres qui s’intéressent
répétitions de questions et réponses, la guitare fut pincée par Diou
sait
combien d’esprits à la fois, ne formant qu'un car
: « Je répète à ceux (pii veulent juger impartialement la question de
savoir
où le possible est relégué dans cette curieuse ma
cette qualité que Pythagore donnait comme le cachet de l'âme humaine,
savoir
: la recherche de la vérité. » Nous aimons à cr
eine d’étu-dier un peu le sujet qu’il traite si légèrement, il aurait
su
que le magnétisme constitue, d’après ses partisan
e boîte contient. Or, tous ceux qui se sont occupés de somnambulisme,
savent
que chaque lucide a son mode de procéder, et qu’i
du Dictionnaire des Sciences naturelles.) Au reste, la question de
savoir
de quelle nature est l’agent nerveux, est un poin
ne grenouille morte ; et on en tire cette conséquence qui se vérifie,
savoir
: que l’électricité 11e se développe pas par le f
et dans cet espace de temps, une foule de personnes auxquelles on ne
saurait
contester l’esprit, le bon sens et la dignité du
amais occupé à labourer le champ infécond des illusions, comme chacun
sait
. « Le physicien , dit-il, le médecin, le simple
es savants illustres ne soupçonnaient pas môme l’existence. « Je ne
saurais
approuver le mystère dont s’enveloppent les savan
n pouvait remonter; et en second lieu de répondre à la ques-« tion de
savoir
si la jeune Marguerite A... avait pu être dé-« fl
onté, sans qu’elle en ait conscience, et que, par conséquent, elle ne
saurait
repousser par la force l’acte qui est consommé su
ns eu occasion de soumettre la question à un homme dont l’autorité ne
saurait
être méconnue, à M. Devergie, médecin de l’hôpita
s en dehors du sommeil magnétique il y a tant de • mensonge que je ne
saurais
aller plus loin. « Le sommeil magnétique est fi
cher la lumière où est l’aveuglement, et des conseils là où manque le
savoir
. Nous ne voulons point ici entrer dans la quest
n est point à la science, mais à eux-mêmes qui, en l’interrogeant, ne
savent
ou ne veulent pas se dépouiller d’opinions précon
avent ou ne veulent pas se dépouiller d’opinions préconçues. Homme de
savoir
, il nous paraît avoir voulu montrer aux ministres
urnal du magnétisme fait la base de ses démonstrations habituelles, à
savoir
: l’immatérialité de l’âme ou principe pensant, e
marquable élégance de style. » tant (l’amitié que (l’estime, nous
savons
(pie ses restrictions tiennent à ce que, dans le
t elle régit la vie, sans que la mort survienne aussitôt. Reste à
savoir
si cette théorie suffit pour rendre compte des ph
que le chapeau, donne et ne peut donner raison que des choses vues et
sues
de celui qui dirige le mouvement. » Assurément, c
ardées pour elle seule, ou dont peut-être elle n’a pas conscience!...
Savez
-vous, cher docteur, que s’il en était ainsi, il n
ne nous inquiète en rien : connaissant votre parfaite sincérité, nous
savons
que, I occasion aidant, il vous suffira d’avoir
Là, tout mal ne vient que de l’estomac qui, malhabile fournisseur, ne
sait
plus alimenter tout l'organisme, et qui est la ca
alvanisme ou la lumière ; et M. Mabru l’apprendra bientôt, s’il ne le
sait
déjà. Nous voyons donc avec peine les magnétistes
pas un apôtre, mais un homme sincère, qui pense devoir dire ce qu’il
sait
et ce qu’il a vu. C’est à la lucidité d’une som
entendue, et, au bout de deux ou trois heures, j’étais délivré. Or,
savez
-vous se qui s’était passé pendant mon agonie ? On
ouchée clandes- tinemeot, son nouveau né était disparu sans qu’on
sût
comment, deux mois s’étaient écoulés sans que la
les obstinés et les .ambitieux, et .à punir les impies. » .Nous ne
savons
si le journal américain a bien choisi ces extrait
léchi ; c’est un homme placé- dans ute haute position sociale, et qui
sait
joindre à de grandes manières le goût des lettres
lques instants après, deux énormes crapauds, qui avaient trouvé je ne
sais
quel aliment dans lés capsules de mes armes, disp
s faux présages, je repris un deuxième cigare, en m’avouant que je ne
savais
plus si j'avais fumé l’autre. Je frottai ma bougi
, ma tête se troubla ; je ne compris pas comment mon nom pouvait être
su
par une morte, par un fantôme 1 Un instinct machi
ce. « Je restai affaissé dans une insensibilité léthargique ; je ne
sais
combien cet état dura. Je n’en sortis que lorsque
hienein (voyage dans le bleu) vinrent m’assaillir en foule; et je ne
sais
combien de temps je serais resté sous le charme d
magnétique, chef-d’œuvre de la nature, cause de tous les miracles, ne
saurais
-tu donc redresser les erreurs de ces faux sages e
ais, par le Spiritual Tclcgraph. Cette dernière feuille qui, comme on
sait
, est le principal organe du spiritualisme, plaisa
e, les mêmes écoulements purulents, sanieux, icho-reux, etc.... Tu ne
sauras
point si c’est toi qui leur communiques tes maux,
it l’autre et ne lui laisse nul repos; cette loi est éternelle, nuTne
saurait
en interrompre le cours. Tout se prépare en nous
la nature plus forte que notre volonté nous force d'obéir. Que nous
savons
peu de chose des mystères de la vie ! Pour l’orgu
oit beaucoup leur pardonner, la justice exigerait autre chose , je ne
sais
si celle de Dieu sera plus sévère que celle des h
e, qu’un autre le remplisse, je lui prédis seulement qu’on ne lui
saura
aucun gré de sa franchise , plus sage est de port
accepte, qu’elle s’en assimile les vertus ou les propriétés. Mais qui
sait
donner à la vie elle-même plus de ressort, une ré
boliques où la raison s’embrouille , puis, lorsqu’on en est là, on ne
sait
plus ce que l’on fait, toute certitude manque, 01
a question qui nous occupe, viennent principalement de trois sources,
savoir
: (1, L’autour déclare que, pendant huit ans, il
méthode, nous croyons pouvoir les ranger en trois groupes principaux,
savoir
: les phénomènes sensibles qui se manifestent sou
ule au couvent, au nombre de plus de deux mille personnes, sans qu'on
sût
ni pourquoi, ni comment. Tous, les malades surtou
doit-on y voir qu’une intervention diabolique? Nous pensons qu’on ne
saurait
, sans prévention, admettre ce dernier sentiment.
veuse et des phénomènes de la vie (Paris, 18i3). Ce dernier auteur no
saurait
être suspect, puisque, dans tout son ouvmge, il n
rand nombre d’ecclésiastiques, recommanda-bles par leur piété et leur
savoir
, dont quelques-uns figurent à la tête des grands
plus élevé. Ici donc, comme ailleurs et même plus qu’ailleurs, on ne
saurait
user de trop de prudence ou prendre trop de préca
ée ; mais pour les faits certains, elle est tenace et profonde. Je ne
sais
pas les expliquer ; mais une observation bien fai
déjà trois heures que durait la catalepsie. « Toutefois, comme je
savais
que la jeune fille était tombée, l’année précéden
érité, le champ de nos observations et l’élément fondamental de notre
savoir
. J’estime en conséquence que le magnétisme doit ê
as difficile, un instrument dont il ignorait la puissance et qu’il ne
savait
pas manier. Le magnétisme demande de l’étude et d
ente; mais si l’on continuait, qu’arriverait-il ? Nul, je crois, n'en
sait
rien encore. D’un autre côté, on aperçoit une d
lque chose de nouveau et de grave apparaîtrait sans doute, mais je ne
sache
pas que l’on ait osé aller plus avant et tenter l
erait son développement si l'on continuait la magnétisation? Nul n’en
sait
rien encore, mais il est très-probable que la cir
tensité, pendant plus de quarante heures, pourtant on ne magnéti-
sait
plus, on cherchait au contraire à démagnétiser, m
alité qu’on avait voulu seulement produire pour un instant. • Je ne
sache
pas qu’aucun accident grave soit jamais arrivé, d
le trouble et l’inquiétude, mais ceux-ci sont en petit nombre. On ne
sait
si cette disposition vient de leur constitution o
ue point pourtant, car on voit ceci chez les hydropiques, et, vous le
savez
trop, vos médicaments et vos régimes guérissent b
eulement ce qui devait Cire eu bas était en iiaut, et vous n’avez pas
su
le faire descendre. Eli bien ! il en est de même
es frémir,... j’ai peur pour les insensés qui s’en rapportent à votre
savoir
. Vous parlez toujours des nerfs comme si vous l
r. Bien différent de vous, le somnambule lucide voit ou devine, je ne
sais
pas au juste ce qui se passe en lui ; ce qu'il in
nt pas des charlatans ni les premiers venus. 11 faut d’abord que vous
sachiez
dans quelles circonstances ils ont dû se livrer a
s les plus considérables et les plus éclairés de notre époque... Vous
savez
maintenant comment les deux jeunes gens assis dev
Nous félicitons M' Lachaud du succès de son éloquence ; on doit lui
savoir
gré de la manière favorable et sympathique dont i
cusés d'exercice illégal de la médecine. Les lois actuelles, comme on
sait
, garantissent le privilège des médecins diplômés,
érable Laforgue. Les poursuites sont rares, il est vrai, et l’on doit
savoir
gré à l’autorité de sa tolérance. Mais de temps e
nce de ce qu’elle faisait, elle écrivit une prescription (comme on le
sut
ensuite), et indiqua la manière de préparer et d’
rer le médicament. Ce fait était tout nouveau pour la famille ; on ne
savait
quelle cause avait déterminé la femme à écrire. L
me n’avait jamais été influencée auparavant ; ni elle, ni son mari ne
savaient
ce que c’était que les influences des esprits; le
vous absorbent vos forces et votre vie, espèces de vampires, sans le
savoir
, ils vivent à vos dépens. Placés près d'eux , dan
rie. — 25'Seplembre 1858. 17 manière de voir, leurs opinions sans
savoir
trop pourquoi, et c'est avec regret que toujours
dez-vous dire à chaque instant, et si vous demandiez pourquoi, 01111e
saurait
vous répondre. Heureux donc sont ceux qui ont une
cruels! On accuse le sort, on maudit sa destinée , 011 a obéi sans le
savoir
à la fascination, 011 s’est laissé séduire. Hélas
oyez heureux si vous le pouvez et en vous disant éclairez-vous , nous
savons
très-bien que nous parlons à des sourds. D’autres
rès-bien que nous parlons à des sourds. D’autres plus habiles que moi
sauront
un jour mettre en évidence ce qui est caché et ob
ouveau éveillée sur les faits de magnétisme, je me mis à l’essai pour
savoir
ce que j’en devais penser et asseoir mon jugement
les plus distingués, un sujet dont la guérison eût été digne de leur
savoir
éminent ; elle avait ainsi épuisé sa fortune. Le
endant tout un mois d’efforts, j’épuisai toutes les ressources de mon
savoir
, aidé des conseils d’autres médecins, sans pouvoi
FAIT DE PRÉVISION DU A DES ESPRITS. Il est des vérités que l’on ne
saurait
trop répéter, quelque évidentes qu’elles soient,
u’il voit. 'iQuoi? Deux hommes qui se battent. —Qui sont-ils? — Je ne
sais
pas. —Qui sont-ils? > Je ne sais pas.—Qui sont
e battent. —Qui sont-ils? — Je ne sais pas. —Qui sont-ils? > Je ne
sais
pas.—Qui sont-ils?—Et chaque question est flanqué
y avait ici quelque prestige, sans nul doute ; où était-il ? Je ne le
sais
. « Si quelqu’un me racontait cette scène d’évoc
la que la cause puisse en être attribuée à rien de surnaturel. Qui ne
sait
que notre cerveau seul peut produire des images f
, armés de poignards acérés, se tenaient près de lui, délibérant pour
savoir
s’ils lui perceraient le cœur. Saisi de terreur,
dans Tome XvII. — N°. 43. — 2» Série. — 10 Octobre 1858. 18 la
su
bstance inerte ou animée, s’y infiltre et accumul
t pas rare non plus de le voir produire un rire singulier que rien ne
saurait
empêcher; un hoquet convulsif, ou bien encore l'e
er ou voir dans l’espace des êtres spirituels que nos yeux à nous n’y
sauraient
apercevoir dans cet instant. La description de
l ia physiologie, livcçs et maîtres, professeurs et docteurs ne m’eu
surent
pas dire davantage. Partout l’usage était de se t
anique et par conséquent toutes les sciences qui s’appuient sur elle,
savoir
: que ta matière ne peut changer d elle-même son
s mouvements spontanés lui obéissent. ■ « Un chimiste, ajoute-t-il,
sait
que l’action entre les molécules des divers corps
esprit et la matière étant d’une nature essentiellement différente ne
sauraient
agir l’un sur l’autre. » (Philosophie des Science
oncernant Pascal. En voyant de pareils abus de l’intelligence et du
savoir
, on serait tenté de se demander où sont les fous,
Si c’étaient des invisibles, des esprits qui se fussent amusés (on ne
sait
dans quel but) à ces mauvais tours d’écolier, il
econnus pour être produits par des moyens d’une extrême simplicité.
Sachons
observer judicieusement, et ne nous empressons pa
ompe dans l’église Saint-Pierre de New-York. Il serait intéressant de
savoir
si elle conserve ses facultés extraordinaires qui
de savoir si elle conserve ses facultés extraordinaires qui, comme on
sait
, sont attribuées par le clergé à l’action des dém
certain événement qu’il ne me désignait pas. Un mois après, il me fit
savoir
qu’il y avait lieu à l’ouverture ; elle eut lieu
r deux séances du fameux Home : c’est là un document précieux ; on ne
saurait
trop engager tous ceux qui ont assisté à des exer
viter les dangers ; loin de fournir au* gens pervers des armes qu’ils
sauront
toujours bien trouver, on donne aux honnêtes gens
e , ou, en d’autres termes, que la matière devienne non-matière. Nous
savons
qu’on trouve de ces transformations chez les Père
d’hommes compétents pour apprécier les lésions des cavités. Nous ne
savons
sur quels faits il se fonde pour assurer que la m
grâce et de poésie ; il y a réuni une foule de connaissances qu’il a
su
présenter de la manière la plus attrayante. 11 fa
ent de cette maladie, car c'en est une et des plus graves, l’agent en
savait
alors plus moi, puisqu’il déterminait un phénomèn
rapportant à elle. Les choses changent d'aspect quand celui qui opère
sait
et connaît son instrument, car dès que le magnéti
al : seulement il faut avoir la foi et la confiance en celui que vous
savez
(Dieu). « Vous renouvellerez la séance à trois
la science et l’observation avaient constaté. Inutile de dire que le
savoir
du sujet, dans son état ordinaire, est nul ou à p
savoir du sujet, dans son état ordinaire, est nul ou à peu près. 11 a
su
toujours indiquer la nature du minerai et l'épais
agnétiseur se sentait une force inaccoutumée. Le soir, interrogé pour
savoir
si on avait bien suivi les indications et pourquo
M. M..., étourdi par cette brusque façon d’interroger les gens, ne
savait
d’abord que répondre. Et puis : — Madame, dit-i
ns, ne savait d’abord que répondre. Et puis : — Madame, dit-il, qui
sait
? Essayons ! Il endormit la somnambule et la mit
j’ai vu des prodiges que je ne puis expliquer, des effets dont je ne
sais
point la cause, j’ai vu, j’observe, je m’étonne;
nétique dans l’opinion publique ont été toujours mal venns et qu’on a
su
un très-mauvais gré aux auteurs Te ces essais. Po
êts; la vérité attaque des industries basées sur le mensonge, et nous
savons
parfaitement ce que le magnétisme sert et ce qu’i
e à nous apprendre ce qu’ils sont, ce qui peut faire douter qu’ils le
sachent
eux-mêmes. Bien plus, ils se font la guerre. Les
que les effets soient plus faibles, a des rapports sur lesquels on ne
saurait
se méprendre. Ceci prouvé, il en résulterait la p
Paris. (Extrait de la Patrie, du 6 octobre.) APPARITIONS. — On
sait
que le général républicain Marceau, qui fut si bi
journal, leurs noms et leurs adresses. Patience et persévérance, (
Su
««.) Baron du Potet. On rencontre, le long des
voilà ma chambre pleine ! Le premier occupant dit: Il va nous montrer
su
machine électrique. Un autre répond : Non, c’est
lus étonné , c’est l'expérimenté : il n’a rien vu, rien entendu et ne
sait
pas pourquoi l’on rit ; il sent seulement une lég
d’en haut devait ainsi descendre pour se faire comprendre. Celui qui
sait
l’alphabet ne s’avilit point en l’enseignant à l’
mes le baume pour nos souffrances, l’agent guérisseur; étudions-le et
sachons
l’employer! Que nos grands et gros savants des ac
nous ordonne, notre intelligence nous permet d'obéir. Tout le monde
sait
ici qu’il existe, depuis plusieurs années, dans l
enir témoigner ici au sujet du magnétisme, dont le procès, comme vous
savez
, se poursuit depuis tantôt un siècle. Je ne me ré
terriblement, comme 011 eût dit au moyen âge. Ou lui répète : Il faut
savoir
distinguer ceux qui se livrent sérieusement à ces
dans un de ses derniers écrits, l’éloge de Sylvain Bailly : « Je ne
saurais
, dit l’illustre secrétaire de l’Académie, approuv
à moi pendant mon séjour à Paris. Ce fut la confirmation de ce que je
savais
déjà. Il s’est écoulé vingt six ans depuis ce ter
s ou moins émouvantes, sauf à s’en moquer huit jours plus tard, on ne
sait
plus au juste ce qu’on doit croire de ses affirma
histoires fictives et en ont tiré un parti très-avantageux ; ils ont
su
trouver, dans l’exercice de cet agent mystérieux,
entifique; la poésie vit de fictions et d’exagérations; tout le monde
sait
que ce n’est pas dans un roman qu’il faut aller c
ictement exactes. Soyons donc indulgents pour ces charmants conteurs,
sachons
-leur gré de l’appui sympathique qu’ils prêtent à
au (lamine Sempronius, 11e doivent pas paraître étonnants à ceux qui
savent
que les magnétiseurs modernes peuvent les renouve
cerlaines crises, parviennent sans sommeil à la lucidité. Mais, on ne
saurait
trop le redire, cette faculté étonnante est préca
qui pourrait faire croire qu’a!ors comme actuellement, les esprits ne
savaient
rien de plus que les hommes qui les appelaient.
e le tout comme également digne de foi, il s’ensuit que le lecteur ne
sait
où on veut le conduire ni en quoi consiste la doc
mnambule lucide prix fabuleux et merveilleux ! personne ne le vit, ne
sut
où il était déposé. Le docteur Pigeaire, qui voul
ur en gratifier les pauvres en l’honneur du magnétisme, ne put jamais
savoir
, au juste, ce qu’était le programme du docteur Bu
on ne vous prend souvent pas plus pour vous couper un membre. Je ne
sais
si d’autres magnétistes voulurent gagner le prix;
répondre , et j’ai essayé de le faire, mais j'en ai été empêché je ne
sais
comment. J’ai éprouvé dans les bras, dans les jam
r au malade une poudre blanche. — Qu’est-ce que cette poudre? — Je ne
sais
pas. » Qn en nomma plusieurs, et au mot quinine:
ouveau consulter cette somnambule, qui dit simplement : « Celui-là en
sait
plus que l’autre ; le mal est arrêté, mais la con
n intentionnée peut être médecin (non docteur) ; on n’a pas besoin de
savoir
le latin ni le grec pour guérir ses semblables. 1
fluence ? C’est ce qu’il est difficile de préciser ; mais ce que nous
savons
, c’est qu’elle est magnéti-tique (ce mot étant pr
octeur Friedberg. Tout à coup la police autrichienne s’émeut, on ne
sait
pas pourquoi, de ces séances retentissantes... La
ur quelque chose dans les mesures prises? je l’ignore; mais ce que je
sais
, c'est que la police avait des représentants aux
, à mon esprit ne cause aucun embarras.....— bah ! lui dis-je, vous
savez
ce qu’il est? — Sans doute, me répond-il, je pe
mie. — Bien vrai ! je n’ai donc rien à vous apprendre, car moi, je ne
sais
ce qu’est cet agent, ni d'où il vient, ni où il v
cet agent, ni d'où il vient, ni où il va; mais vous, Monsieur, qui le
savez
, dites-le-moi ? — Monsieur, notre imagination f
ieur, notre imagination fait ici toute l’affaire. — Vraiment, vous eu
savez
trop long sur ce sujet, et puisqu’il s’agit d’ima
nc trompés et n’auraient pas eu plus de sens que des épiciers ? Je ne
saurais
le croire. — Les épiciers, Monsieur, ne les déd
e a tort de nier , et on 11e devrait jamais souffrir qu’un épicier en
sache
plus long qu’un académicien. Je vous le répète, c
e, lui répondit-on avec beaucoup de douceur, c’est ce que je voudrais
savoir
par vous-même. — Ah !... Eh bien! voyons, ce so
usement pour elle, elle s’essaye chaque jour devant des gens qui n'en
savent
pas plus long qu’elle. —Voyez donc comme mon enfa
j’en suis tout ému ! lit ce père X..., dans sa chaire de vérité, il a
su
se faire applaudir de plus de deux mille personne
n d’un beau discours : « Dieux immortels, soyez-moi témoins que je ne
sais
ce que je dis. En philosophie comme en religion
rirons de haillons la vérité découverte par Mesmer. 11 y a déjà je ne
sais
combien d’écoles pour le même fait, les interprét
hèse d’une action physique rayonnante dans la magnétisation. Or je ne
sache
pas qu’aucun magnétiseur, depuis quelque sept ans
, pourrait servir de symptôme à la sensibilité magnétique que nous ne
savons
pas encore deviner à l'avance? A. Petit jj'Qhmoï,
larmant; vous, avec toute votre science officielle et séculaire, n’en
savez
rien, vos moyens sont impuissants... Quelle misèr
mpartiaux et de bonne foi. Pour les académiciens, il n’y a pas, il ne
saurait
y avoir de lumière au-delà des barrières qu’ils p
’autres. En attendant instruisons-nous, instruisons les masses, elles
sauront
un jour faire valoir leurs droits contre ce déni
édecin, j’ose élever ma voix contre vous, étoiles resplendissantes du
savoir
officiel ! Mais que voulez-vous? Quand 011 vous v
foudre. Voltaire, indigné de cette incartade, se lève et lui dit : «
Sachez
, madame, que j’ai dit plus de bien de Dieu dans u
ssé ce paragraphe dans le livre vi de ses Confessions : « Je voudrais
savoir
s’il passe quelquefois dans les cæurs des autres
ros et fort près. Depuis lors, je n’ai plus douté de mon salut. Je ne
sais
, en me rappelant ce trait, si je dois rire ou gém
le bonne aventure, m'a positivement affirmé, raconte Thiébault, avoir
su
dans le temps que, durant toute la guerre de sept
faire sa cour au (ils aîné de Louis XVI, en disant sérieusement qu'il
savait
que cet enfant n’était point destiné au trône. »
nsista pour qu’elle ne fût pas poursuivie. Les démarches ramenèrent à
savoir
que le duc de la Vrillôre avait aussi des rapport
cre, ni erreurs à surmonter, ni théorie préconçue à soutenir (et Dieu
sait
de combien de théories hasardées le magnétisme a
is quelque temps semble travailler la science), car aucune théorie ne
saurait
renverser des faits certains. Avant d'aborder l
onvenablement à l’état de veille, devenait réellement éloquente. Elle
savait
trouver ces accents du cœur qui vont droit au but
ué convenablement , et ne pas oublier qu’en pareille occurrence on ne
saurait
faire peser sur le médecin la responsabilité d’un
ividu : les précautions à prendre y seront sérieusement discutées, on
saura
opérer dans le9 conditions convenables pour se' m
e n’a même examiné que certains genres de lucidité. Or, tout le monde
sait
que quand on recherche de pareils phénomènes, il
La commission qu’il s’agit d’instituer, étant formée de magnétistes,
saurait
parfaitement qu'un petit nombre de faits négatifs
de déclarer d’avance impossibles les faits qui la démentiraient; ils
savent
qu’on ne peut fixer les limites du possible et qu
osant qu’il effectue tout ce qu’il annonce, il serait impor ■ tant de
savoir
si les résultats ne sont que des tours d adresse
je puis vous le dire à l'avance, de la méthode anatomo-clinique. Vous
savez
que l'expérimentation a démontré que, chez les an
ntre les mains d'un observateur attentif et éclairé. Eh bien, on le
sait
, la connaissance des fonctions de la région du lo
ations, etc.. Revue de Médecine, 1883, p. 52. la grande question de
savoir
s'il y a des fibres sensitives, s'il existe un ce
par les résultats anatomo-pathologiques. Grâce à ces données, nous
savons
que lésion destructive veut dire monoplégie crura
e se rencontrer ailleurs que dans la région du lobule paracentral. Je
sais
qu'on peut voir des plaques méningées au niveau d
galité de surface, ne posséderait autant de sources artérielles. Vous
savez
, en effet, que pour irriguer la totalité de la su
ramescence des veines cérébrales au niveau du lobule paracentral. On
sait
que les veines cérébrales externes se divisent en
fait anatomo-clinique est vrai. Il serait pratiquement fort utile do
savoir
si cette localisation est primitive ou secondaire
'elle va pleurer. Ether camphré. — Contentement, léger sourire. (On
sait
que certaines hystériques aiment assez la griseri
e malade, elles varient considérablement d'un malade à l'autre. On ne
saurait
donc dire qu'il existe des impressions sensoriell
on tente de donner de ces phénomènes, le fait n'en reste pas moins, à
savoir
que l'on peut donner dans la phase cataleptique d
ucinations de la phase passionnelle de l'attaque hystérique (1). On
sait
que les attitudes passionnelles qui caractérisent
dées en général par des hallucinations, le plus souvent visuelles. On
sait
aussi que cette troisième période de l'attaque pe
din... Quelle fleur est-ce? je ne pourrais pas dire au juste... je ne
sais
pas... Qu'est-ce que tu veux? T'es aussi bête que
ssiers, je les ai en horreur... Léonie, viens nous voir chez nous. Tu
sais
, je te le dis à toi, ici j'aurais peur d'être mal
s tout ça, parbleu; j'ai été à la Salpêtrière... Bien sûr que je n'en
sais
pas autant que toi, mais enfin les petites choses
n, de sucré... une grenadine au kirsch. — Non, je n'en veux pas, papa
sait
que j'aime ça. — C'est très bon, tu sais, très ra
Non, je n'en veux pas, papa sait que j'aime ça. — C'est très bon, tu
sais
, très rafraîchissant quand on a soif... Ecoute, n
en... Viens ici, tu es la plus gentille de toutes... Viens vite... Tu
sais
que tu grandis beaucoup... T'es gentille. » Piq
ents. Sulfure de carbone. — Il accuse un de ses amis de n'avoir pas
su
commander à ses sphincters. Et comme celui-ci san
. Comme elle, il est absolument indifférent aux objets extérieurs. On
sait
que c'est là une caractéristique d'une des formes
aites que pendant la nuit, et par suite rarement par des médecins. On
sait
, toutefois, que ce somnambulisme n'existe pour ai
etc. D'autres sujets ont des impulsions de caractère ambulatoire ; on
sait
les nombreux récits qui ont trait à ces promenade
il perd la conscience de ses actes, se met en marche résolument, sans
savoir
cependant où il va, à la manière d'un automate, e
tivement les différents termes de cette série qu'il établissait. On
sait
que cette troisième phase de l'attaque hystéro-ép
nnue du cas de Félida, par M. Àzam, est à cet égard démonstrative. On
sait
que cette femme vivait, pour ainsi dire, d'une do
et d'un état n° 2. Tout ce qui se passe dans l'état n° 2, elle ne le
sait
que dans un nouvel état semblable, et il en est d
ée autrefois, et maintenue en dépit des assertions contradictoires, à
savoir
qu'il existe des rapports étroits entre l'état hy
ion remonte déjà à plus de dix ans (2). Elle est divisée, ainsi qu'on
sait
, en quatre périodes : lô période épileptoïde ; 2°
e de guérison. (G. G.). lades, en pareil cas, abandonnent, comme on
sait
, leur propre individualité et se croient transfor
ard, voilà tout, sans manquer d'ailleurs de beaucoup à cette règle, à
savoir
que chez les enfants en particulier les attaques
peu plus, tantôt un peu moins. Ce fait est facile à comprendre et ne
saurait
, précisément à cause des petites erreurs, donner
82, d'une hernie étranglée. Une sœur est morte sans que nous ayons pu
savoir
de quelle maladie. Deux autres frères sont bien p
renseignements, qui datent de 1888, nous pouvons ajouter celui-ci, à
savoir
que, de 1889 à 1891, nous avons soigné à la Salpê
ous dites que vous m'aimez, mais ce n'est pas. Ne me suivez pas, vous
savez
, car si Alexis arrive, vous verrez ça, imbécile.
..Je suis au milieu de mon jardin, tu 3ais, il est splendide. Je ne
sais
où il y en a un pareil; on irait bien loin, regar
on m'a dit que tu étais malade; j'avais peur que tu meures; mais, tu
sais
, cela n'empêche pas de t'aimer, mais pour me mari
, cela n'empêche pas de t'aimer, mais pour me marier, non, jamais; tu
sais
je ne suis pas une tête à ça..... « ..... Je vo
»)..... « ..... Tiens, j'ai envie de faire une partie de pêche, tu
sais
, comme l'autre jour.....Oh ! ne me chatouille p
in... Quelle Heur est-ce ? Je ne pourrais pas dire au juste..., je ne
sais
pas... J'ai assez du jardin, je sors un peu. »
iers, je les ai en horreur... Léonie, viens nous voir chez nous... Tu
sais
, je te le dis à toi, ici, j'aurais peur d'être ma
tout ça, parbleu ! J'ai été à la Salpêtrière... Bien sûr que je n'en
sais
pas aussi long que toi..., mais enfin, les petite
bon, de sucré, une grenadine au kirsch... Bon, je n'en veux pas. Papa
sait
que j'aime ça. C'est très bon, tu sais, très rafr
.. Bon, je n'en veux pas. Papa sait que j'aime ça. C'est très bon, tu
sais
, très rafraîchissant. C'est bon quand on a soif..
je t'aime bien... Viens ici, t'es la plus gentille ; viens vite... Tu
sais
que tu grandis beaucoup..., t'es gentille... »
Cette scène a généralement lieu sans paroles. Nous avons pu cependant
savoir
qu'elles étaient ces bêtes qu'il écrasait ainsi.
Salpêtrière, parce qu'on a dit que j'avais une maladie nerveuse... Tu
sais
, c'est rupin dans c'te boîte-là, mais on n'y est
n enterrement avec grand déploiement de forces militaires (nous avons
su
plus tard qu'il avait assisté à l'enterrement d'u
C'est vraiment un spectacle bien intéressant et que les mots seuls ne
sauraient
rendre. Il est, emporté par son idée délirante, i
soit à la pensée, soit au s ouvenir, une réalité extérieure ? » On ne
saurait
mieux caractériser en quelques mots cette sorte d
tion, puis il ouvre les yeux il est revenu à lui. On lui demande s'il
sait
ce qui vient de se passer : « J'ai dormi, je croi
, il déclame à haute voix : il présente dans ces vers, que nous avons
su
dans la suite être de lui, la condition d'un écri
nd, il continue au point interrompu. Mais il ne s'occupe nullement de
savoir
comment cette fantasmagorie de disparition et de
uméroter son feuillet : 19 bis en traçant en haut le dernier (1) On
sait
que c'est une coutume chez les gens qui écrivent
niaque, ou hallucinatoire ou ecmnésique, ce qui domine, c'est ceci, à
savoir
que les malades sont en proie à un délire plus ou
s manifestations extérieures. Nous ne pouvons, il est vrai, prétendre
savoir
au juste ce qui se passe dans le cerveau d'une ca
ce monoidéisme dont nous parlions plus haut, leur vie présente. On ne
saurait
donc dire strictement qu'ils se souviennent de le
dont ils n'ont plus conscience ni souvenir dans l'état normal. On ne
saurait
donc mieux faire, il nous semble, que de conserve
t nous nous occupons ici. Mais aujourd'hui le mot de somnambulisme ne
saurait
être employé comme il l'était autrefois, c'est-à-
de cas, il doit rentrer dans le cadre du somnambulisme hystérique. On
sait
ce que l'on entend par somnambule naturel ou noct
. Tout médecin quelque peu au courant des pratiques d'hypnotisation
sait
que le résultat que l'on obtient bien souvent en
nomènes convulsifs qui accompagnent l'attaque. Tous ces caractères ne
sauraient
s'appliquer au somnambulisme hypnotique, mais con
ment conforme à la réalité, n'étonnera d'ailleurs personne, lorsqu'on
saura
que M. Forel admet sans plus de scrupules que tou
d'élévation de la température, et ne se termine jamais, autant qu'on
sache
, par la mort — elle est tombée dans un état parti
its récents, datant des cinq dernières années. C'est ainsi qu'elle ne
sait
me répondre où elle est née, ce que fait son père
é depuis cette époque. Enfin, particularité bien intéressante, elle
sait
lire, écrire et calculer dans cet état B ; c'est
r son lieu de naissance, son éducation, la perte de ses parents. Elle
sait
qu'elle a été autrefois à Necker, puis à Laribois
es et chefs de clinique qui se sont succédé de 1880 à 1885. Elle ne
sait
plus ni lire, ni écrire, ni calculer et affirme q
ité d'Hab... : « C'est une nouvelle », dit-elle en la voyant. Elle ne
sait
pas ce que nous voulons dire avec l'Exposition, l
ce signe par- li) Ribot. — Loc. cit., p. 145 et suiv„ liculier, à
savoir
que la seconde personne, en proie à des hallucina
lisme hystérique. De plus, ce fait dont j'ai fourni un exemple (1), à
savoir
qu'un sujet peut dans l'hypnotisme se rappeler et
gea plusieurs heures. A son réveil, elle avait oublié tout ce qu'elle
savait
, et il fallut tout lui enseigner à nouveau. Elle
On objectera qu'il y a entre les deux une différence fondamentale, à
savoir
que l'un délire et est en proie à des hallucinati
sont purement et simplement des attaques d'hystérie de (1) Nous ne
savons
point si l'auteur a constaté de visu ce passage i
tisme, il en est d'autres qui n'en ont jamais fait partie et qu'on ne
saurait
lui rapporter. Par exemple les convulsions, les g
ts de l'état I, oublie cependant certaines figures. Elle continue à
savoir
marcher, lire, écrire, chanter, jouer du piano.
sme, une romance anglaise apprise pendant son enfance et dont elle ne
sait
plus le premier mot, une fois revenue à l'état no
le trouver là et l'accueillit avec une froideur marquée. Nous n'en
savons
pas plus long sur ce cas. Mais si nous ne pouvons
les membres supérieurs, puis la malade ouvre les yeux ; alors elle ne
sait
plus où elle en est, sa physionomie est sombre et
deux jeunes frères, que cependant elle voit à chaque instant. Elle ne
sait
plus lire, ni écrire, ni toucher du piano. La mém
muset (1). Il était alors toujours paraplégique, d'un caractère doux,
savait
lire et écrire. Là, on lui apprend le métier de t
avec un camarade de l'asile, qu'il avait retrouvé, il s'engage, on ne
sait
pas trop comment, dans l'infanterie de marine dan
t, le malade se croit à Mâcon, en 1881, et a oublié tout le reste. Il
sait
lire, mais il est incapable de dire où on lui a a
oqué, par des moyens (aimant, suggestion) qui touchent de près, on le
sait
, à l'hystérie et qui en tous cas étaient presque
à la main. Tout d'un coup, après une douleur aux tempes (que l'on ne
saurait
mieux faire que de comparer, en l'y assimilant, à
nt : « Je vous ai raconté tout à l'heure toute espèce d'histoires. Je
sais
très bien que je suis grosse. » « Il en était a
s. Son mari seul était capable de les distinguer, tellement bien elle
savait
les cacher, de façon que personne ne s'en aperçût
ndroit, ignorant même quel était le mort dont elle suivait le convoi,
sut
par des questions adroites se mettre au courant d
u trente jours, si bien que Félida est à peu près guérie. » Reste à
savoir
s'il n'eût pas mieux valu pour la malade guérir d
En même temps l'enfant perd complètement la mémoire du passé. Il ne
sait
plus lire, ni écrire, ni compter ; il cause mal e
int de vue de la légitimité des phénomènes observés, surtout quand on
sait
que cette enfant arrivait d'une petite ville de p
ion du bal annuel de la Salpêtrière, le jour de la mi-carême, qu'elle
savait
encore danser et n'avait point oublié les rhythme
refois. Elle a parfaite notion de son existence et d'elle-même ; elle
sait
parfaitement bien qu'elle est Marguerite D... et
mais il ne faut pas lui en demander plus long; c'est tout ce qu'elle
sait
. Le reste de sa famille est pour elle dans la plu
d'une personne ordinaire, se trouvent la lecture et l'écriture. Elle
sait
lire et écrire et elle ne fait pas plus de fautes
es, correctement, sans maladresses ni défaillances de mémoire. Elle
sait
lire les chiffres et les nombres composés de deux
on, absolument l'apparence d'une personne ordinaire et normale. On ne
saurait
donc lui appliquer régulièrement l'épithète de so
on, et où, elle est dans l'impossibilité absolue de répondre. « Je ne
sais
pas, » dit-elle. Elle ne paraît d'ailleurs pas au
eurs elle ne s'aventure pas toujours ainsi, le plus souvent « elle ne
sait
pas, ou elle ne sait plus. » Nous devons donc n
re pas toujours ainsi, le plus souvent « elle ne sait pas, ou elle ne
sait
plus. » Nous devons donc nous borner, pour cara
oit que l'instruction qu'elle a pu acquérir a également disparu. Elle
sait
encore lire, écrire, coudre, il est vrai, mais el
oudre, il est vrai, mais elle ne peut pas calculer. En outre, elle ne
sait
pas un mot d'histoire, Jeanne d'Arc, Oléopâtre, M
voiture?» R. « Un corbillard. » D. «Où vont les morts ? » R. « Je ne
sais
pas. » D. « Qu'est-ce qu'une bière? » R. « Je ne
? » R. « Je ne sais pas. » D. « Qu'est-ce qu'une bière? » R. « Je ne
sais
pas ; on ne me l'a jamais dit. D. « Mais on les p
jamais dit. D. « Mais on les porte en terre, les morts? » R. « Je ne
sais
pas. » D. « Tu n'as pas peur des mortes?» R. « No
is vu de mort? » R. « Non. » D. « Eh bien ! et ton père? » R. « Je ne
sais
pas. » D. « Où va-t-on après la mort? » R. « Je n
» R. « Je ne sais pas. » D. « Où va-t-on après la mort? » R. « Je ne
sais
pas. » D. « Connais-tu l'enfer?» R. « Je n'y suis
pas. » D. « Connais-tu l'enfer?» R. « Je n'y suis jamais allée.» D. «
Sais
-tu ce que c'est que l'âme ? » R. « Qu'est-ce que
« C'est un jardin avec des croix. » D. « Qu'y met-on ? » R. « Je n'en
sais
rien. » Il y a là, comme on le voit, ignorance
Antoine, « c'est un monsieur intéressé dans l'affaire, » mais elle ne
sait
qui il est, d'où il vient, quel est son pays. S'a
git-il d'histoire romaine, d'événements accomplis en Egypte ? Elle ne
sait
pas, elle ne se souvient plus. « Du reste elle n'
rsonnages deviennent de plus en plus confuses. Elle finit par ne plus
savoir
comment Marc-Antoine était habillé, de quel pays
sculaire et les sens spéciaux, qui caractérise les cas complets. On
sait
que l'on peut, chez certaines hystériques hypno-t
u'elle donne sur sa famille et sur son enfanco (voir plus loin). Elle
sait
lire, écrire et fait couramment des opérations d'
nt complet. En ce qui concerne les attaques de nerfs, nous \l) « Je
sais
toute drôle — je me sens drôle » sont des express
être contrôlés par les renseignements fournis par ses parents. Elle
sait
que son père et sa mère sont morts, et de quelles
es notions assez précises d'histoire. Elle connaît Jeanne d'Arc; elle
sait
que Oléopâtre et Marc-Antoine étaient des personn
uction et l'éducation que peut avoir une jeune fille de son âge. Elle
sait
ce qu'on lui a appris touchant la mort, l'âme, le
e incapable de faire un pas, fort étonnée de se trouver là. « Elle ne
sait
pas qui est cette madame D... ; elle no s'est pas
et Marc-Antoine, dans l'état A, n'ayant aucune notion du drame, elle
sait
parfaitement bien que celui-ci était un général r
au toute notion historique concernant ces deux personnages, mais elle
sait
qu'elle est allée la veille au théâtre voir la pi
re. A-t-elle conservé sa suggestibilité? c'est ce que nous ne pouvons
savoir
. En tous cas, il y a. peut-être lieu d'espérer qu
son passage à l'hospice et des gens qu'elle y a rencontrés, «... Je
sais
à peu près compter; je fais des factures assez lo
j'en fais aussi sans. Je ne suis donc plus tout à fait si bête. J'ai
su
, en manière de rien et sans le montrer à qui que
aladie, les gens ne voulaient pas croire, lorsque je disais que je ne
savais
pas. C'est de là que j'ai pris le parti de faire
ui changeraient. Ainsi, la dernière fois, à ce qu'il paraît que je ne
savais
pas que Louis (un de ses parents mort pendant qu'
conditions). Tu avoueras que ça semble drôle à ceux qui m'entourent.
Sais
-tu ce qu'ils disent ? Que c'est la mémoire qui me
ettent de passer dans la vie, sans avoir l'air trop empruntée. Elle
sait
lire couramment, écrire et compter à peu près bie
endre la seconde moitié de 1884 et la première partie de 1885. Elle
sait
son nom, qu'elle entend répéter tous les jours, m
robablement rempli la période mal délimitée de 1884 à 1885. Elle ne
sait
point où elle est née ; « on lui en demande trop
nt entendu parler de lui ; il est mort il y a quelques années. Elle
sait
lire aujourd'hui, écrire et compter, mais elle ne
années. Elle sait lire aujourd'hui, écrire et compter, mais elle ne
savait
pas lors de son arrivée à la Salpêtrière. C'est l
lle, Cette malade, interrogée, nous dit en effet que Marie IL... ne
savait
rien quand elle-même est arrivée à l'hospice et q
rrivée à l'hospice et que c'est elle qui lui a appris tout ce qu'elle
sait
. Elle se rappelle parfaitement bien l'Expositio
te. Elle est montée avec eux à la tour Eiffel. En revanche, elle ne
sait
pas ce qu'on veut dire quand on lui parle de la g
mnésie. J'en aurai fini avec les détails, quand j'aurai dit qu'elle
sait
parfaitement l'année, le mois, la date et le nom
hu, je n'en veux pas... on va me prendre pour une voleuse ! » Elle ne
sait
ni la date du mois, ni le nom du jour. Elle regar
'état second à l'état prime. Dans cette condition première, elle ne
sait
plus ni lire, ni écrire, ni compter. Elle sait co
tion première, elle ne sait plus ni lire, ni écrire, ni compter. Elle
sait
coudre grossièrement (depuis longtemps elle gag
i s'est passé depuis 1885, l'Exposition de 1889, par exemple. Elle ne
sait
pas ce que c'est que la tour Eiffel. Elle n'a jam
able qu'il en est ainsi (1). » Dans le somnambulisme hypnotique, on
sait
que le souvenir des actes accomplis ou des faits
'est passé à l'état de veille. Telle est la règle habituelle. Mais on
sait
qu'il peut exister des cas, rares à la vérité, da
égard, il y a des différences assez grandes suivant les sujets. Tous
savent
marcher, parler, dans la condition seconde. Mais,
de cas, conservés en tout ou en partie dans le vigilambulisme. On ne
saurait
, malgré cela, dans l'état actuel de nos connaissa
'en veux pour exemple que celui de notre malade, Marguerite D..., qui
savait
encore lire, écrire et composer un nombre de deux
otions acquises et devenues automatiques par l'habitude, comme chacun
sait
, avaient seules persisté, tandis que nombre d'aut
utres, soit fort obtuse comme chez Marie H..., d'un autre état? On ne
saurait
, ce me semble, trancher définitivement cette ques
entiments si divers et si nuancés qui agitent l'esprit et. que chacun
sait
accomplir, bien que leur exécution n'ait jamais é
ne constatent-ils pas expressément leur absence. Nous ne pouvons donc
savoir
s'ils les ont recherchés. En présence de l'identi
er acheminement vers l'idée actuellement soutenue par notre maître, à
savoir
que l'état second n'est qu'une forme particulière
arguments plaident en faveur de l'hypothèse que nous soutenons ici, à
savoir
que le vigilambulisme n'est qu'une modification d
, et viennent à l'appui de ce que j'avance. Une pareille objection ne
saurait
donc nous arrêter. * * Dans cette hypothèse —
accentués et les plus typiques, ils diffèrent (1) A ce propos je ne
saurais
mieux faire que de renvoyer le lecteur à mon préc
st qui ne présen- (1) De ce fait résulte aussi cette conséquence, à
savoir
que le vigilambulisme, ramené à l'état normal, so
mémoire les faits actuels quels qu'ils soient. Non seulement elle ne
sait
plus ce qui s'est passé depuis le 14 juillet, mai
ans, lingère, habitant C..., est venue à Paris le 5 novembre, sans le
savoir
, pour y suivre le traitement préventif de la rage
ité dont nous serions, pour la plupart, complètement incapables. Elle
sait
fort bien tous les événements de son enfance, tou
le jour et la date précise de la naissance de ses enfants, etc. Elle
sait
aussi bien les détails d'une noce à laquelle elle
, dit-elle, se lever vers six heures comme d'habitude, mais elle n'en
sait
absolument rien. Demandez-lui ce qui s'est passé
ui s'est passé depuis lors, elle vous répondra invariablement : Je ne
sais
pas, je ne me rappelle pas. Eh bien ! ce qui s'
aucun changement dans le caractère, aucun trouble intellectuel. Vous
savez
cependant que tous les souvenirs accumulés dans c
e pourrai vous en donner d'explication suffisamment justifiée. Nous
savons
qu'il en est ainsi dans les amnésies d'origine tr
é. D. — Votre fille a-t-elle eu des prix cette année ? R. — Je ne
sais
pas. D. — Vous rappelez-vous si, au mois d'août
brûlure. D. — Quand et comment vous êtes-vous brûlée ? R. — Je n'en
sais
rien. (1) Motet.—Note sur l'amnésie temporaire
ai jamais été. C'est à Paris. D. — Où êtes-vous donc ici ? R. — Je ne
sais
pas ; je ne connais pas cette salle. D. — Connais
suis donc à Paris ? D. — Avez-vous déjeuné ce matin ? R. — Je ne
sais
pas, je dois avoir déjeuné, car l'estomac ne me d
— Qui vous a amenée ici tout à l'heure ? d'où venez-vous ? R. — Je
sais
pas. D. — Quel jour sommes-nous ? R. — Oh ! M
? R. — Oh ! Monsieur, je ne connais ni les jours ni les mois, je ne
sais
pas comment je vis, je suis bien malheureuse. D
ue je viens donc de vous demander ? R. — Je l'ai déjà oublié, je ne
sais
plus... ; j'ai beau chercher, je ne trouve pas.
je suis, elle tourne directement les yeux vers le mur, comme si elle
savait
qu'un tableau particulier est placé en cet endroi
ouve. Ce souvenir est en réalité un souvenir inconscient, car elle ne
sait
ni la grandeur, ni la forme, ni la couleur de c
l'a oublié ; elle arrive donc à Paris, après un long voyage, sans le
savoir
et, sans le savoir, y subit le traitement antirab
arrive donc à Paris, après un long voyage, sans le savoir et, sans le
savoir
, y subit le traitement antirabique durant quinze
avoir, y subit le traitement antirabique durant quinze jours. Sans lo
savoir
, elle est descendue rue de l'Odéon chez de vieux
; elle a visité les principaux monuments et magasins de Paris sans le
savoir
. Sans le savoir enfin, elle est entrée le 23 nove
les principaux monuments et magasins de Paris sans le savoir. Sans le
savoir
enfin, elle est entrée le 23 novembre à la Sal-pê
re à la Sal-pêtrière où elle se trouve actuellement, toujours sans le
savoir
. La disposition des lits lui fait bien reconnaîtr
t incapable de dire si c'est un hôpital de Paris ou de Bordeaux. Elle
sait
uniquement que ce n'est pas l'hôpital de C..., qu
moire est purement apparent. Je m'explique. Nous avons, comme vous le
savez
, appris de ses voisines qu'elle rêvait à haute vo
rement dans l'ombre le côté psychologique pur. Très évidemment, il ne
saurait
s'agir ici d'une lésion organique, d'une lésion g
'une attaque d'hystéro-épilepsie prolongée sous forme d'amnésie. Vous
savez
que la période délirante de l'attaque se transfor
formation peut revêtir des modalités cliniques très différentes. Vous
savez
que le somnambulisme hystérique, peut-être aussi
désoler, montez donc en haut préparer un lit. » Puis il partit, je ne
sais
trop comment, tant j'étais bouleversée. D. Et l'h
rageants ont été obtenus. Grâce à la suggestion hypnotique, la malade
sait
, à l'état de veille, le nom de la salle oU elle s
uméro de son lit, les noms de ses deux voisines et de l'interne. Elle
sait
qu elle est à Paris, à la Salpêtrière, qu'elle a
ble origine. Je crois que des cas semblables doivent exister; reste à
savoir
si des recherches dirigées en ce sens dans l'aven
rents maternels ni sur un certain nombre de membres de sa famille. Il
sait
cependant que son grand-père paternel était un gr
nt que son grand-père paternel était un grand buveur et un noceur. Il
sait
aussi qu'une de ses tantes, une sœur de son père
douteux, lé tabès ne l'est pas davantage et, en aucune manière, il ne
saurait
être question du pseudo-tabes diabétique. En pl
beaucoup plus sérieuse. Et pourtant, dans notre cas, la glycosurie ne
saurait
être symptomatique d'une lésion tabétique propagé
n certain nombre de signes, entre autres l'incoordination typique, ne
sauraient
appartenir au diabète sucré. L'existence actuel
elle du diabète est un fait d'observation intéressant à souligner. Ne
sait
-on pas que le sucre disparaît des urines dans le
ymptomatique du tabès ou d'un véritable diabète, dans les deux cas de
savoir
, en un mot, si deux entités distinctes sont en je
lution exacte intéresse à la fois le pronostic et le traitement. On
sait
aujourd'hui que le diabète et le tabès offrent un
pour ou contre le tabès, mais rien que des présomptions, car, il faut
savoir
que le signe de Westphal, relevant du diabète, n'
on. Sur un cas de paralysie conjuguée de la sixième paire (1). On
sait
que la paralysie de la sixième paire avec déviati
us peut-être à la diplopie qui existait à cette époque, mais qu'il ne
savait
encore discerner. Il s'arrêtait court dans la rue
à droite : non pas qu'il se sente entraîné à gauche, mais parce qu'il
sait
que son côté gauche est plus faible et qu'il crai
entent d'habitude dans les cas de ce genre, où l'on observe, comme on
sait
, spécialement cette variété connue sous le nom de
épaule de ce côté paraît être porté en haut et en avant. Lorsqu'il se
sait
regardé, la marche est plus difficile. Quelques t
nt musculaire n'est plus mise en doute par personne. D'autre part, on
sait
qu'elle peut manquer complètement clans certaines
bien là la caractéristique de la paralysie pseudo-hypertrophique : à
savoir
des muscles gros et durs qui fonctionnent mal ou
pseudo-hyper-trophique pure décrite par Duchenne, de Boulogne (2), à
savoir
: tout d'abord les gastrocnémiens et ensuite le d
eur, aux yeux d'un critique pointilleux, présenter un point faible, à
savoir
que le faciès myopathique n'était pas absolument
, qu'il rattachait à tort aux amyotrophies myélopathiques et que l'on
sait
aujourd'hui n'être autre chose que la forme facio
ut particulier, qui a été noté avec soin au cours des observations, à
savoir
la disproportion entre le volume et la consistanc
. Marie et moi émettions dans notre précédent travail sur ce sujet, à
savoir
que dans la maladie myopathique le volume du musc
ressive. Etude clinique sur l'aura de l'accès épileptique (1). On
sait
qu'il est de règle générale de dire, pour disting
tuait l'aura était bien différent du scotome scintillant et la malade
savait
parfaitement les distinguer l'un de l'autre. Il e
à présent pour faire admettre une pareille hypothèse. D'autre part on
sait
que le rétrécissement concentrique ne s'observe j
'émotivité angoissante, phénomène d'ordre purement cérébral et qui ne
saurait
trouver place dans aucune des autres divisions qu
avoir ressentis. Mais la mère est très affirmative sur la question de
savoir
si les symptômes d'étouffement précèdent la perte
ènes qui constitue chez lui l'aura complexe. A ce point de vue, on ne
saurait
donc pour l'instant tracer de règle d'aucune sort
ômes procursifs. Elle s'est mise à courir follement dans la rue, sans
savoir
pourquoi, et s'est heurtée contre un cheval qui l
ments d'é-lectro-diagnostic d'un intérêt capital en clinique. On ne
saurait
trop, insister sur l'importance de ces branches a
ratoires et faits sur le modèle de la toux. La toux consiste, vous le
savez
, en une série d'expirations brusques produisant u
its sur le modèle du hoquet, lequel consiste essentiellement, vous le
savez
, en une contraction subite du diaphragme suivie d
s stéthoscopiques plus eu moins accentués. 4° Ce que dit Lasègue, à
savoir
que la toux, comme les autres bruits laryngés hys
té encore par la présence de stigmates permanents caractéristiques, à
savoir
: Iohémianesthésie gauche sensitive et sensorielle
tainement aucun avantage à employer cette dénomination. Il importe de
savoir
en tout cas qu'il n'existe en réalité pas de chor
es, et tous les exemples publiés sous cette rubrique, il faut bien le
savoir
, y compris ceux de M. Blachez, quand on les exami
d'exclamations d'un autre ordre, qu'on n'observe jamais autant queje
sache
dans l'hystérie et qui, au contraire, se montrent
rique au contact d'une autre hystérique affectée de la même façon. Je
sais
, par expérience, que dans les services ou de nomb
nes de ce genre, ne me semble pas avoir changé grand'chose à ce qu'on
savait
déjà. Hémianesthésie hystérique et hémianesthés
e à la série des accidents nerveux de l'alcoolisme chronique ? Vous
savez
, sans doute, que pour quelques médecins ces quest
, telles que coliques, paralysie des extenseurs, arthralgies, etc. On
sait
, d'ailleurs, que les accidents cérébraux encéphal
postérieure de la capsule interne, dans le carrefour sensitif. Or, on
sait
que les lésions qui provoquent l'épilepsie partie
homme et que l'hystérie est exceptionnelle dans le sexe masculin. On
sait
, en effet, actuellement, d'une façon péremptoir
re mise en jeu par le développement de l'intoxication saturnine. Ne
savons
-nous pas, en effet, qu'il en est ainsi pour d'a
lesquelles il n'y a pas participation de la face (caractère, vous le
savez
, que l'on retrouve dans les hémiplégies hystériqu
l'homme ! Eh bien, aujourd'hui, ce n'est pas là un argument ; et nous
savons
qu'il y a des hommes de trente, quarante, cinquan
convul-sives et de l'hémianesthésie. J'avoue qu'à cette époque je ne
savais
guère comment interpréter ces phénomènes. Aujourd
nt ses souliers. —La prononciation est défectu-euse mais ncammoins il
sait
se faire comprendre et répond à toutes les questi
ant avait perdu en grande partie le fruit de ses études primaires. Il
savait
cependant encore faire les 4 opérations, mais réu
s. Cet entant, est entré le 28 juillet 1903. — A son arrivée, il ne
savait
pas lire couramment, ne faisait des exercices de
'his-toire et de géographie étaient très sommaires. Eu juin 1904 il
savait
lire couramment le bégaiement cons-taté à l'entré
t, fait des exercices d'application sur les adjectifs et les prénoms,
sait
sa table de multiplication et fait de petits prob
ès son renvoi de l'école Braille comme incapable de gagner sa vie. Il
savait
lire couramment, faisait les 3 premières opératio
blèmes sur les 4 règles et commence le canage à l'atelier. En 1905 il
sait
pailler et canner. Arriération mentale et ëpile
'atelier du tailleur. En décembre, il commence la multiplication et
sait
lire l'heure. A l'atelier il fait des coutures as
d'octobre 1900. Prononciation mauvaise: zézaiement très prononcé. Ne
sait
ni lire, ni écrire, ni compter. Marche irrégulièr
... (Jean Marcel), 13 ans., entré le 28 avril 1900. — A son entrée ne
savait
à peu près rien au point de vue classique; a l'ai
amé-liorée ; il peut copier seul et y apporte beaucoup d'application.
Sait
faire l'addition avec retenues et la soustraction
ra bientôt àlire couramment; l'écriture est lisible : en calcul il ne
sait
encore faire l'addition mais il est en bonne voie
r comme il le vaudrait, sa cécité de l'œil gauche le gênant beaucoup.
Sait
faire l'addition et la soustraction. Le caractère
éralement bien.— Bon apprenti tailleur, fait le pantalon et le gilet;
sait
piquer à la machine. Épilepsie, imbécillité. —M
ont pris part aux leçons de solfège et sur ce nombre, quinze enfants
savent
lire la musique sur la portée, connais-sent la va
apiques soient insuffisantes ou nulles dans les pensionnats, quand on
sait
qu'elles sont mauvaises dans la plupart des établ
ion. Ils devraient en conséquence être utilisés en proportion de leur
savoir
dans les ateliers de la maison. Il est loin d'en
ans. 6 ans. 9 ans 1/2. I après leur retour clans leur famille,
savoir
ce qu'ils deviennent, si l'amélioration réalisée
s la température à l'entrée, durant les cinq pre-miers jours (1) pour
savoir
si l'enfant n'est pas sous le coup d'une affectio
, à brosser leurs vête-ments. Aux repas, on surveille les enfants qui
savent
manger seules et on corrige leurs mauvaises habit
ni corps étrangers. Sur 237 enfants présentes à la fin de l'année, 70
savent
se servir de la cuillère, de la four-chette et du
e la cuillère et de la fourchette; 45 de la cuillère seulement; 32 ne
savent
pas manger seules. Divers procédés, maintien de b
elles peuvent avoir des périodes d'excitation. Et alors elles doivent
savoir
que le médecin doit être prévenu. Enseignement
ar séries régulières, 35 ont travaillé une heure par jour ; 3 enfants
savent
faire complètement les layettes ; 12 du crochet e
faire complètement les layettes ; 12 du crochet et de la dentelle ; 2
savent
faire de la tapisse-rie ; 1 sait tricoter. Le tab
2 du crochet et de la dentelle ; 2 savent faire de la tapisse-rie ; 1
sait
tricoter. Le tableau suivant donne mois par mois
ques imbéciles. Sur les 237 enfants qui existent à la Fondation; 70
savent
se servir de la cuillère, de la fourchette et du
la cuillère et de la fourchette ; 45 de la cuillère seulement; 32 ne
savent
pas manger seu-les. Six d'entre elles ont appris
Père excès de misions. 1 g. détraqué. boisson, fille morte on ne
sait
de 1 g. très faible de constitu-quoi. tion. N.
ents. ningite. N. m., imbécillité, épilepsie boisson. g. mort on ne
sait
de quoi, fausse couche à 5 mois. j-Ior.........
et épilepti-que. Simon.......... Peintre en bâtim. » 3 Sports on ne
sait
de quoi. N. m.,imb. et épileptique. » Mézié....
ant. « ouleuse. N. m., Imbécillité. 1 Fille morte à 3 mois, on ne
sait
de quoi. Fria............ » Photographie. 2 » A
onstantes qui permettent de se rendre compte de quelle façon l'enfant
sait
voir et entendre ; pro-voquer son initiative pdii
Ne donner à notre enfant malade que de bons exemples. L'habituer à
savoir
vouloir à propos. L'aider le moins possible pour
tant, besoin les uns des autres. — La colère s'atténue si le maître
sait
garder son sang-froid. Le bien et le mal seront
ecin, dont l'intervention doit être très fréquente, et le maître, ont
su
leur inspirer de l'affection, ils y seront sensib
Pour vaincre leur première résistance, exiger d'eux un travail qu'on
sait
leur être agréable, puis passer à un travail qui
re se développe. B... comprend bien tout ce qu'on lui dit, reconnaît,
sait
nommer tout ce qu'il voit dans les promenades.
au point de vue de la prononciation, mais aujourd'hui il dit tout et
sait
interroger; il est parfois un peu grossier (1).
nde turbulence, il suit avec assez d'idée les exercices de la classe.
Sait
se laver seul, s'habille un peu mieux, mais a gar
e et in-terroge. Il n'est plus gâteux. Il s'occupe mieux à la classe,
sait
dire son nom et celui des personnes qui sont avec
d on lui demande quelque chose. n'est plus gâteux, se tient propre et
sait
comment il faut s'y prendre pour se laver. Les pr
— Le vocabulaire a augmenté; l'enfant prononce presque tous les mots,
sait
son nom et celui des personnes qui le soignent.
onnaît généralement les objets usuels qu'il voit chaque jour, mais ne
sait
pas distinguer lès couleurs. Gymnastique Fig. 9
che est normale. La physionomie réfléchie, froide et dure. Bien qu'il
sache
parler, il faut le contraindre de répondre quand
essant, remuant, mais il est paresseux. Toujours gâteux, cependant il
sait
aller seul se mettre sur le siège. VII. Cur...
, mensonge, vol. Au point de vue de l'écolage, l'enfant est nul, il
sait
à peine syllaber et faire une addition. 1902. —
vail à la classe plus soigné. Est moins enclin aux mauvais penchants.
Sait
mieux s'occuper aujourd'hui et il fait les quatre
ré le 24 mai 1004. — 1905. Commence à s'habiller et à se déshabiller,
sait
bou-tonner, mais n'arrive pas encore à lacer et n
ce qui se passait autour de lui, il semblait ne rien comprendre, ne
savait
pas se servir de la cuiller ni porter le gobelet
en moins défectueuse, il s'habille et se déshabille pres-que seul, il
sait
lacer, nouer, boutonner, distingue les couleurs e
-classe; aussi in-différent aux punitions qu'aux récompenses, nous ne
savions
quels moyens employer pour captiver son attention
iffres et à les reproduire; actuellement, il syllabe, trace des mots,
sait
même écrire de mémoire son nom, son âge, ses vête
chaque jour il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture,
sait
écrire les nombres jusqu'à ioo, fait l'additicn
. Si on lui posait une question, il s'empressait de dire : Oh moi, je
sais
et lorsqu'on s'adressait à lui, il était incapabl
que jour il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, il
sait
lire et écrire les nombres jusqu'à 70, fait seul
s attentif et a tout à fait pris goût à la classe. Il lit couramment,
sait
écrire les nombres jusqu'à 100, établit une relat
ns l'intellect. Il ne gâte plus, s'habille et se lave presque seul,
sait
lacer, boutonner et nouer. Il connaît et nomme le
otions classiques. Il a appris à s'habiller et à se déshabiller seul,
sait
lacer, bou-tonner, noue encore imparfaitement. 11
nne voie pour la lecture. Chai... fait de mémoire de petites dictées,
sait
écrire les nombres jusqu'à 100, se rend compte de
fectueuse. 1904. — Notre malade s'habille et se déshabille seul, i!
sait
lacer, boutonner, mais ne parvient pas à nouer, l
primés. Il établit bien la relation entre le chiffre et la quan¬tité,
sait
écrire les nombres jusqu'à 100, commence à se fam
mais sans arrêt; l'amé¬lioration est longue à obtenir, mais ce qu'il
sait
, il ne l'oublie pas; il a gagné pour l'orthograph
phe; avec beaucoup de peine, il est arrivé à faire les opérations, ne
sait
encore faire que l'application de l'addition et d
9 ans, A son arrivée il était atteint d'idiotie complète, gâtait, ne
savait
pas s'habiller, mangeait à pleine main; il était
it de petits exercices de grammaire, distingue le genre et le nombre,
sait
faire l'addition, la soustraction, la multiplicat
mbécillité, hémi-plégie gauche. [Figures ig, 20 et 21). 1894. —• Il
sait
s'habiller, lacer, nouer, boutonner, connaît ses
l'orthographe et la rédaction; il fait les quatre opérations, mais ne
saurait
les appliquer. [Fig. 22.) 1898. — Les progrès c
fait les trois premières opérations, et ébauche la division, mais ne
sait
encore faire que l'appli-cation de l'addition. Ca
signe d'impatience, à la plus légère remontrance, il se trouble et ne
sait
plus rien faire. 1897. — L'amélioration continu
ve à faire l'addition avec emprunt et la soustraction simple, mais ne
saurait
en faire l'application, il connaît l'heure, la mo
sse aux leçons de choses et distingue un certain nombres d'objets. Il
sait
lacer, boutonner, compter les objets jusqu'à 10.
çait à lire par monosyllabe, recopiait assez difficilement un modèle,
savait
faire l'addition simple. 1903. — Un peu de prog
exercices de grammaire, fait les deux pre-mières opérations, mais ne
saurait
en faire l'application. 1904. — L'amélioration
aucoup gagné pour l'écri-ture, l'orthographe et surtout le calcul, il
sait
faire l'applica-tion des quatre opérations, il co
beaucoup plus rapides si sa mémoire était plus fidèle; mais ce qu'il
sait
parfaitement un jour est oublié le lendemain, ce
ture, l'écriture a gagné, il reproduit assez facilement un modèle, il
sait
écrire les nombres jusqu'à 70, établit une relati
nnaissait ses lettres et ne faisait que commencer à syllaber. Elle ne
savait
pas compter; n'écrivait que d'après un modèle, so
cune aptitude pour l'étude; ne connaissait pas une seule lettre et ne
savait
même pas tenir un porte-plume. La physionomie éta
fait très minutieusement. Elle va à l'ouvroir et aime à coudre. Elle
sait
faire des ourlets, des boutonnières et poser des
sion. Elle qui, au début, ne connais-sait aucune lettre alphabétique,
sait
aujourd'hui .syllaber, tout porte à croire que sa
l'étude, elle qui ne connaissait pas la première lettre de l'alphabet
sait
aujou.rdhui syllaber par-faitement, lit presque c
ient lente-ment, elle ne manquait pas d'adresse pour l'ouvroir, repas
sait
assez bien, mais ne savait pas laver. — Elle avai
manquait pas d'adresse pour l'ouvroir, repas sait assez bien, mais ne
savait
pas laver. — Elle avait des souvenirs historiques
bilité; elle était très dissimulée; c'était en vain qu'on cherchait à
savoir
quelle était sa conduite avant son arrivée parmi
en classe, elle exigeait une surveillance de tous les instants. Elle
savait
les quatre règles, commençait à peine à faire des
ts; la gymnastique allait lentement. Elle causait assez bien. Elle ne
savait
ni repasser ni laver. Enfin, l'enfant présentait
lle a travaillé avec goût, elle a appris à bien faire un ménage, elle
sait
laver et repasser. Elle coud assez bien, mais la
rien, elle pleurait sans motif, de même qu'elle riait aux éclats sans
savoir
pour-quoi; elle était incapable de s'habiller et
our-quoi; elle était incapable de s'habiller et de se déshabiller, ne
savait
ni lacer, ni boutonner, elle gâtait nuit et jour.
nfant était nulle en instruction, connaissait à peine ses lettres, ne
savait
pas écrire. Elle était incapable de se livrer à q
rue; l'enfant avait un accent provincial assez prononcé, mais elle ne
savait
pas dire le lieu où elle avait été élevée, tout é
rd'hui très couramment, donne à sa lecture une bonne intonation; elle
sait
copier, fait quelques devoirs, connaît l'addition
ieds, ses mains, on aurait dit qu'elle était mue par un ressort. Elle
savait
s'habiller mais ne pouvait procéder à sa toilette
lle savait s'habiller mais ne pouvait procéder à sa toilette. Elle ne
savait
rien faire comme ouvrage manuel, ne savait même p
der à sa toilette. Elle ne savait rien faire comme ouvrage manuel, ne
savait
même pas tenir une aiguille, on ne pouvait l'util
uille, on ne pouvait l'utiliser à quoi que ce soit. Comme classe elle
savait
lire à peu près couramment, ne connaissait que l'
aucun emploi, n'étant pas du tout stable en quoi que ce soit. Elle ne
savait
rien faire en couture, pas plus qu'au repassage;
c surdi-mutité, gâtisme intermittent. — L'enfant, à son admission, ne
savait
ni s'habiller, ni se déshabiller, gâtait quelquef
uestions qui lui sont posées, tient conversation. Pour la classe, son
savoir
reste borné à quelques petites copies, à faire le
end tout ce qu'on lui dit. Elle est très affectueuse et caressante et
sait
se faire aimer des per-sonnes qui l'entourent. So
qu'elle disait, la voix était nasillarde et voilée. de propreté, ne
savait
ni s'habiller, ni se déshabiller. (Fig. 36, 37 et
e, elle était gâteuse, la parole et la marche étaient nulles, elle ne
savait
ni s'habiller ni se déshabiller. (Planches vu a x
Planches vu a xn.) Aujourd'hui (1899), elle a appris à parler, elle
sait
soute-nir une petite conversation, la. parole est
et en qu'elle prononce fortement du nez. La marche est bonne; Kr...
sait
courir, monter et desceiu dre les escaliers. Le g
t encore qu'imparfaitement. Ën classe, elle reconnaît les couleurs,
sait
nommer à peu près tout ce qui est contenu dans le
ore ses lettres, elle les nomme mais au hasard. Pour l'écriture, elle
sait
tenir son crayon et commence à faire quelques bât
ait bien une copie, commence à faire quelques devoirs de grammaire et
sait
faire l'addition. Son caractère, quoique suscepti
pilepsie (vertiges et accès nombreux). Cette enfant, à son entrée, ne
savait
ni lire, ni compter, ne faisait que quelques copi
s plus avancées pour la couture et le repassage; elle qui au début ne
savait
même pas tenir une aiguille, elle a appris à fair
trois premières règles de l'arithmétique, commen-çait la division et
savait
rédiger une lettre; en un mot l'enfant pouvait se
édiger une lettre; en un mot l'enfant pouvait se tirer de peine. Elle
savait
faire un ménage, de même qu'elle savait coudre, m
uvait se tirer de peine. Elle savait faire un ménage, de même qu'elle
savait
coudre, mais surtout laver et repasser. En quitta
Elle est toujours très douce, très caressante, se faufile partout et
sait
se faire aimer de tout le monde. Cette enfant qui
mesure de ses petites forces. Elle commence à connaître l'al-phabet,
sait
compter jusqu'à 20 sans hésitation et place les c
t place les chiffres d'une façon remarquable. — Elle, qui à l'entrée,
savait
à peine marcher, trotte maintenant comme un petit
la gymnastique, exé-cute parfaitement les quatre premiers mouvements,
sait
de même lacer, boutonner, agrafer, se prête volon
e bien, répond directement aux questions qui lui sont posées, mais ne
sait
tenir une conversation. L'attention est facile à
amais de temps. Elle est gentille et raisonnable. Cette enfant qui ne
savait
rien au début, a fait de notables progrès au poin
en instruction primaire, ne connaissait ni let-tres, ni chiffres, ne
savait
même pas tracer des bâtons sur l'ar-doise. Ajouto
e est parvenue à écrire très lisi-blement, fait une copie, connaît et
sait
faire les chiffres et lit par syllabes. Tout donn
ant n'indiquait aucune intelligence, le regard était sournois, elle
savait
parler, mais était incapable de tenir conversatio
au point de vue scolaire, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne
savait
pas écrire; vu son âge avancé, elle ne donnait pa
u reste ses cahiers pendant sa.période choréique; elle connaissait et
savait
faire les chiffres. Tout son savoir consistait en
de choréique; elle connaissait et savait faire les chiffres. Tout son
savoir
consistait en ces quelques notions. L'enfant a
urs la lecture de l'enfant sera courante. Elle aime la gymnastique,
sait
faire tous les mouvements, y est devenue très agi
endre utile. En classe, ses progrès n'ont pas été moins rapides, elle
sait
faire une copie, commence à syllaber et connaît l
déposés devant elle, il était impossible de la tenir propre, elle ne
savait
se donner et ne voulait recevoir aucun soin conce
ique et le corps prend de la souplesse. Elle connaît les couleurs, en
sait
faire la dif-férence, sait lacer les souliers, ag
a souplesse. Elle connaît les couleurs, en sait faire la dif-férence,
sait
lacer les souliers, agrafer et boutonner, autant
le commence à rassembler ses lettres, connaît également les chiffres,
sait
les placer exactement, s'intéresse à tout ce qui
n. Elle a un sourire aimable, un air gracieux, elle est très douce et
sait
se faire aimer de toutes ses compagnes. Ses jam
e volonté pour la gymnastique. Elle commence à sylla-ber et à écrire,
sait
faire l'addition sans retenue. — Tout porte à cro
ard vague, rien chez cette enfant n'indiquait l'intelligence. Elle ne
savait
pas lire, mais formait les lettres et les chiffre
ne savait pas lire, mais formait les lettres et les chiffres; elle ne
savait
pas compter, ne possédait pas les notions les p
eux bruyants; rôdait un peu partout et, malgré son insuffisance, elle
savait
s'y prendre pour venir en classe le moins possibl
e ne fai-sait que des copies, connaissait à peine l'addition. Elle ne
savait
rien faire comme ouvrage manuel: couture, repassa
e, mais ne' se servait que de la cuiller; elle ne gâtait pas, mais ne
savait
se donner aucun soin de propreté; il fallait l'
ence, elle ne parlait pas, ne marchait pas, ne mangeait pas seule, ne
savait
pas tenir sa cuiller et barbotait dans les assiet
urs à dépasser ses com-pagnes; il est à remarquer que cette enfant ne
savait
même pas tenir une aiguille à son entrée. — Elle
lait pas, gâtait nuit et jour. Aujour-d'hui (1899), l'enfant parle et
sait
soutenir une conversation comme les enfants de so
reconnaît les différentes parties de son corps et de ses vêtements et
sait
les désigner par leur nom, elle reconnaît tout ce
ble-ment, fait des copies, apprend la grammaire, récite des fables et
sait
faire des additions et des soustractions. Elle es
tous les rapports. Elle raisonne bien, s'exprime de mieux en mieux et
sait
s'attirer l'affection de tout le monde. Elle s'in
ns de choses. Quant au calcul, elle a plus de difficultés. Elle ne'
sait
faire que des additions sans retenue; mais c'est
ut de prononciation, ni de bégaie-ment. Elle construit des phrases et
sait
tenir une petite con-versation; répond directemen
re ses lettres, à syllaber et maintenant lit presque couramment. Elle
sait
écrire et faire des copies, elle commence à compt
t son lit, ainsi que ceux de ses compagnes qui ne peuvent le faire et
sait
se donner les soins de toilette. — Elle aime la g
t très complaisante efi serviable, fait tout pour faire plaisir. Elle
sait
aussi se faire aimer de toutes ses compagnes, qui
es compagnes, qui la récla-ment dans leurs diverses occupations. Elle
sait
mettre la paix quand il y a une dispute, de même
Décembre — Les progrès continuent sous tous les rap-ports. Marguerite
sait
s'attirer l'affection de ses compagnes et organis
à s'habiller, à se déshabiller, à reconnaître les lettres, à écrire.
Sait
monter les escaliers, sauter. 1898. — Assemble
nvironne, qu’ils consentent tout au moins à partager la gloire qu’ils
surent
acquérir souvent par beaucoup de travail. Vous vo
ux, les temps, les sujets, et la nature, toujours constante lorsqu’on
sait
la solliciter pour les mêmes causes qui la font a
je rappelle en passant seulement, parce qu’ils ont trait à mon sujet.
Sachez
-le, excepté quelques misérables, les victimes imm
exhibent sont très-ignorants des causes qui les déterminent, mais ils
savent
qu’ils ont le pouvoir de les faire éclore, et ils
les produire; une préoccupation intellectuelle très-vive, comme on le
sait
, est aussi dans le même cas. Quand le rêve est
avait écrites ; elle ré- pondit, comme on le pense bien, qu’elle ne
savait
pas ce qu’on voulait lui dire. On la magnétisa al
es barbes incultes, leurs visages pâles, leurs formes émaciées, je ne
sais
quoi de féroce et de hagard dans les yeux, tout c
u d’aplomb; mais je n’osais pas faire le signal de commencer... je ne
savais
pas encore quoi. Je m’attendais à une scène de gr
un miracle, je raconte fidèlement une scène que, pour ma part, je no
saurais
expliquer. J’étais fort émue, je l’avoue, et le
e la boucle de cheveux qu’il lui a enlevée. Or, il est bon que vous
sachiez
qu’Eulalie porte une fausse natte, empruntée àlac
CITÉ INTELLIGENTE. Mon cher maître, Serait-il donc écrit qu'on ne
saura
jamais à quoi s'en tenir sur le phénomène des tab
s plusieurs et que la résultante est plus grande que l’u-Mais comment
sais
-tu des choses que nous ne savons pas ? Qui te l’a
e est plus grande que l’u-Mais comment sais-tu des choses que nous ne
savons
pas ? Qui te l’a dit? Sais-tu ce que tu sais, sai
s comment sais-tu des choses que nous ne savons pas ? Qui te l’a dit?
Sais
-tu ce que tu sais, sais-tu ce que tu penses ? — Q
des choses que nous ne savons pas ? Qui te l’a dit? Sais-tu ce que tu
sais
, sais-tu ce que tu penses ? — Quand tu frappes au
oses que nous ne savons pas ? Qui te l’a dit? Sais-tu ce que tu sais,
sais
-tu ce que tu penses ? — Quand tu frappes au loin
son nom : Ix soleil ne se nomme pus, il éclaire; j’aurais bien voulu
savoir
ce qu'il était. — Et quand tu le saurais, en sera
éclaire; j’aurais bien voulu savoir ce qu'il était. — Et quand tu le
saurais
, en serais-tu plus avancé? — On dit que les esp
agnes, aux termes de l’Évangile, s’ils agissaient d’accord ; mais 011
sait
que les résultats peuvent être annulés par la pré
n de guérir les maladies contre lesquelles la science des médecins ne
sait
qu’écliouer ; aussi l’affluence est grande dans s
s au monde, qui a organisé votre frêle machine, est aussi le seul qui
sache
Te secret de la guérir et de la conserver. » En
r la femme Bois, qui ne manque jamais de dire aux consultants qu’elle
sait
d’avance ce qu’ils viennent demander, le chemin q
79, n° 7, du Code pénal. Mais les pratiques de la femme Bois qui ne
savaient
pas lire, et elles étaient nombreuses, et qui par
et se couper ; il faudrait supprimer les écoles, parce que si l’on ne
savait
ni lire, ni écrire, on ne lirait pas de livres pr
r ce que j’ai vu. Vous connaissez notre appartement à Saint-Malo et
savez
qu’il y a dans notre chambre deux lits à un mètre
dans l’un desquels couchent mes deux filles Ernestine et Zoé. Nous
savions
que ma sœur Marie était bien malade à Pa- ris o
esprits. Je me borne à vous fournir des matériaux dont votre sagacité
saura
tirer parti au profit de la science. Agréez, mo
elque chose à désirer à un mystique intelligent de première année. Il
saurait
, en effet, que si le cercle donne l’idée de l’inf
e qui alimentent le germe, Tout alors est attribué à des puissances
su
périeures. Il n'y apoint de découvertes, — rien q
ssi un fluide nerveux ou vital, ou quelque chose comme ça, dont tu ne
sais
trop que faire. Prête-le-moi, je n’en abuserai pa
qui se rendent à votre appel. — Je n’ai pas dit un mot. — Vous ne
savez
donc pas que tout est aimant dans le monde... et
e son affût et tomba près de moi, sur le parquet de ma chambre. Je ne
savais
me rendre compte de la manière dont cet objet ava
; si elle n’est point prête, l’esprit se rappellera que... le féminin
sut
mériter toujours une courtoisie telle, que l’atte
vous bien connaître. L’êtes-vous autant de ce que vous m'avez si bien
su
apprendre ? Ne me pardonneriez-vous pas si le sen
dit : Ah ! qu’entends-je ici !... Est-ce fleur qui soupire ? — J’en
sais
d’aultres.... moins longues et moins lourdes pour
ordonnance en elle-même peut'être taxée de ridicule, avant même qu’on
sache
si elle pioduira l’effet voulu : car enfin, si
magistrale, hérissée de mots grecs, et qui ne guérit pas, le choix ne
saurait
être douteux. Le succès est tout : ne chicanons d
ré ex ca-thedrâ que le magnétisme n’existait pas. Nous voudrions bien
savoir
si le traitement des maladies par les passes et p
r guérir dans tous les cas semblables (ou réputés tels). Non : ils ne
savent
rien, mais ils ont l’instinct pour guide ; ils vo
e parti — il circule souterrainement avec la plus grande activité. On
sait
par combien de fds et de liens plus ou moins occu
tion successive de ces extraits est terminée, les lecteurs d' journal
sauront
gré à la rédaction de les avoir mis à même d’appr
lent et opiniâtre des générations n’a pas trouvé ces causes, il faut
savoir
se résigner à ignorer. d’une incrédulité systém
bre (2). Cette condition est assez rarement remplie ; mais (1) Nous
savons
quelque part une corbeille qui, depuis deux ans,
anie de parler de sciences sans y rien connaître au fond ; mais il en
savait
au moins A peu près le vocabulaire; il avait inco
n s’examine donc et se juge avant d’entreprendre cette étude. S’il ne
sait
pas s’enthousiasmer, s’il n’arrive jamais, sous l
le phénomène semblera fuir devant lui. Celui, au contraire, qui ne
sait
pas rentrer en lui-même quand il le veut, qui ne
me, même sous l’empire d’une émotion vive, celui-là, non seulement ne
saura
pas observer, mais il courra le risque de voir éc
seurs, dont la première qualité est d’être maîtres d’eux-mêmes, et de
savoir
toujours se placer, par un effort de la volonté,
n’oublieront pas que la première règle pour ne pas s’égarer, c’est de
savoir
, vis-à-vis des autres et surtout vis-à-vis de soi
magnétique connu sous le nom d "état de charme. Tous les magnétiseurs
savent
que les .apparences de cet état diffèrent peu de
xécutées. Nous trouvons là un témoignage de haute valeur — car chacun
sait
que dans les observations les témoignages non seu
met de la persistance dans ce défi ; il demande s’il est possible de
savoir
enfin à quoi s’en tenir sur le 'magnétisme animal
complis : jusque-là, s’il a le malheur d’ignorer ce que tout le monde
sait
, il aura fort mauvaise grâce de se prévaloir de s
de comparaître devant lui pour justifier de ses titres. Celui qui ne
saurait
de physique que ce qu’on en savait il y a un sièc
ifier de ses titres. Celui qui ne saurait de physique que ce qu’on en
savait
il y a un siècle serait-il bien venu à mander les
ettre de M. Mabru, il n’y a donc qu’une conséquence positive à tirer,
savoir
que MM. Auzoux et Mabru , maintenant convaincus d
on qui leur assurât à cet égard un monopole que les lois actuelles ne
sauraient
leur garantir sans une interprétation forcée. Cet
issante à guérir, même souvent dont elle ne peut atténuer les effets,
savent
que de persévérance il faut apporter dans ses soi
e permettre le luxe d’un traitement magnétique à prix d’argent. On ne
saurait
le nier, avec l’organisation actuellb du corps mé
nier, avec l’organisation actuellb du corps médical, les médecins ne
sauraient
suffire aux traitements magnétiques (1). Mais l
r le monopole? Croyez-vous qu’ils affirmeront publiquement la vérité:
savoir
, que cette force, cette vertu curative réside che
e, en notant avec soin toutes les circonstances. I! semble qu’on ne
sache
pas suffisamment combien il est difficile de mett
plète. Tout justement la pauvre femme souffre d’une dent cariée; vous
savez
combien l’avulsion d’une dent, d’une grosse molai
bons yeux et surtout du lion sens. Ces qualités ne font point, que je
sache
, partie du monopole doctoral. * (2) Il ne faut
trariété. Elle se prépare alors un verre d’eau sucrée ; nous voulûmes
savoir
si le goût était conservé ; pendant qu’elle était
t, désespérant de guérir jamais, elle voulait mourir. Nous voulûmes
savoir
si la vision s’exerçait pendant ce temps, et voic
teurs, mais en des occasions plus propices. (4) Aucun maguétiste no
saurait
récuser l’essentialité de cette force occulte, et
table de l'influence ambiante. Il subissait la pensée de Mme SI"', et
savait
ce qu’elle allait nous dire avant qu'elle ne prof
r tout ce qui fut plus ou moins en rapport avec lui-même. i.usou On
sait
qu'un lucide introduit dans un appartement... où
8 Octavip ali»;. i sur un fauteuil, quand (la Po?tuga?se) £ préSf qt,
su
" S (•) Dans un vojage en Lorraine où m’avait co
to'mTnV" î imminent, j emmena, chex moi ce voisin fort accablé. Je ne
savais
que lui dire l d i non me paraljsa.,, tellement q
o ^ p.'.“ »ou, monte,!... vous trompei mon maril c’est tris-,nai. Vou,
savez
bi»n oue ' "W"'r *« p.,1. Perinne ne pu, deviner
ui donner de la santé. Cette domestique devint somnambule : nul ne le
sut
, car le traitement s'opérait secrètement, afin d'
prendre dans ce débat l'histoire et la philosophie? « L’histoire ne
saurait
prétendre à déterminer avec précision les limites
ensemble de l'organisme fonctionne sans pondération. mi très qui ne
savent
encore rien de l’incroyable pouvoir humain ? Alex
), à l'image de la création divine. Vos sujets alors font ce que vous
savez
d’avance qu’ils vont faire. En est-il de la sor
rgiverse cl s’arrête. — « Comment! lui dit-on, nous ne pourrons pas
savoir
kquoi nous en tenir ? — «C’est pourtant bien fa
s nécessaires ; je ne fais que vous les transmettre ; car, moi, je ne
sais
rien du sujet sur lequel le docteur m’interroge.
ui adore, et qui apprend au monde entier, par son immense voix, qu’il
sait
attendre et aimer ? 11 ne reste menaçant, en cont
ut presque rien. Turlu, turlou, Hélène ma mie, Turlu, turlou,
Sut
me rendre fou 111 « Nos amourettes Vécurent là,
un esprit voilé ! Cest un haut chef de légions d’esprits. Je voulais
savoir
si la vision de Charles avait été complète. Julie
e joue en ces événements, elle aborde toute joyeuse M. A... « Vous ne
savez
pas ! Une consultation vient d’être faite pour mo
tombe ! C’est bien drôle, allez ! Figurez-vous que, poussée par je ne
sais
quoi, je me suis avisée d’assister à cette consul
uit jours tranquille. Surtout ne lui donnez plus de calomel... (je ne
sais
pas ce que c'est que ça, ni comment j’ai dit ça.
e vieille de ma connaissance est malade. — Qu’a-t-elle? — Je n’en
sais
rien. — C’est bien embarrassant. — Faites ce
és parviendront à ce dévoilement. On est allé bien au-delà, vous le
savez
encore : de l’antiquité jusqu’à nous, des voyants
taires de sa création (2). Le premier de nos contemporains de libre
savoir
et de raison éminente qui n’ait pas craint de sor
i-bas... et dans ses inlimes engeances, n’importe où. Mais, nous le
savons
, et nous le répéterons d’àge en âge : l’homme, pu
ttré, de l'institut, qui, somme toute, n'établit rien que co que l'on
sait
déjà, l'existence ancienne et continue de ces fai
s et forts de la foi d’une liberté sans alliage, nous aurons appris à
savoir
préserver les voies spi-ritualistes, à bien chois
haîne, différents fils qui n’appartiennent point à la même trame! Que
savons
-nous sur l’identité même de ces visiteurs si près
alliés avaient eu le dessous à la première journée de Waterloo. Elles
surent
de même, peu après, que la bataille avait été gag
onclusion delà paix. Cette nouvelle, dont la population européenne ne
savait
rien encore et ne pouvait rien savoir, parce que
ont la population européenne ne savait rien encore et ne pouvait rien
savoir
, parce que la malle n'était pas arrivée, a devanc
l se trouvait : « Entre le bien et le mal, me répondit-il, et je ne
sais
encore lequel des deux l’emportera. » Plus tard,
rop heureux le malade que la nature conduit 1 Magnétiseurs, vous en
savez
plus que les médecins sur la véritable médecine ;
mes et chenilles nous serons. Le rôle d’accusateur convient peu à qui
sait
si bien réduire la faute. Pour vous rendre un c
t que la force s’éloigne de la faiblesse, l’audace de la timidité, le
savoir
de l’ignorance, l’inspiration de l’idiotisme. Il
écrit endormi ou éveillé ? Chacun comprend combien il m’importe dele
savoir
. Si vous avez écrit pendant la veille, d’après vo
ue lorsque le dévouement, la foi et la prière l’invoquent. Deleuze le
savait
: l’auriez-vous oublié ? Die, le 16 mars 18D6.
utenu, que se borne l’utilité du médecin. — Il ne me suffisait pas de
savoir
la signification du mot alexipharmaqué; j’en dema
us magnétiques. » Il y a là une ignorance ou une légèreté que nous ne
savons
commentqualifier. Faudra-t-il donc toujours, à ch
vité plus grande de ses facultés. Comment cela a-t-il lieu? Nous n’en
savons
rien. Connaissons-nous mieux ce qui se passe dans
et il pénétrera même d’une extrémité à l’autre, n’en déplaise à notre
savoir
, sans que nous puissions empliècher sa libre circ
ent conjurer une ruine imminente ? M. Sanderet, comme feu Jérémie, ne
sait
que gémir, et il n’indique aucun remède. Au lieu
tout, pouvoir vouloir, et les lâches, les indolents et les malades ne
savent
pas vouloir. Une gymnote qui souffre ne peut ni
e connaissant, elle ne le connaissait pas non plus. Un colonel qui le
savait
apporta sa main, elle ne put pas le dire davantag
on le dit à l’oreille de trois personnes, il y avait donc égalité de
savoir
et d’ignorance ; la table se dressa du côté d’un
voir et d’ignorance ; la table se dressa du côté d’un jeune homme qui
savait
. — Que fais-tu là? — Je lis dans son cerveau le n
omme, le credo de ce vieux mystère : La table peut dire ce que vous
savez
, ce que vous avez su et ce que vous êtes capable
ux mystère : La table peut dire ce que vous savez, ce que vous avez
su
et ce que vous êtes capable de savoir. Elle dit a
ce que vous savez, ce que vous avez su et ce que vous êtes capable de
savoir
. Elle dit aussi ce que vous désirez et pressentez
t et le eusur au grand jour, Formule ce qu’on soi , dit ce qu’on ne
sait
guère, «a que l’on a su, voilà tout le mystère.
Formule ce qu’on soi , dit ce qu’on ne sait guère, «a que l’on a
su
, voilà tout le mystère. '.'liant aux esprits ma
uelle et qui fait douter de la solidité de la raison. La constance ne
saurait
-elle donc exister que là où est la foi ? La scien
en disant qu’elle n’avait aucun moyen d’aller à la ville, qu’elle ne
savait
pas aller à cheval, n’y ayant jamais été, et enfi
ée ; pourquoi cette distinction ? Vous devez penser sans doute que je
saurais
mieux qu'aucun autre magnétiste rappeler à votre
célébrons aujourd’hui la fùte, et que, fidèle écho de vos pensées, je
saurais
traduire dignement les sentiments de vos cœurs re
ù est la source du beau, du vrai et de toute science morale. « Car,
sachez
-le, Messieurs, le progrès réel ne résulte jamais
rlons donc qu’avec modestie de notre industrie, des édifices que nous
savons
construire, de nos arts et de nos sciences d’écol
vons construire, de nos arts et de nos sciences d’école : les animaux
savent
mieux construire que nous leur demeure ; ils save
ole : les animaux savent mieux construire que nous leur demeure ; ils
savent
se procurer ce qui est essentiel à leur bonheur,
de nos conquêtes et seront les plus fermes soutiens du magnétisme. Et
savez
-vous pourquoi, Messieurs, c’est que nous n’amenon
é du Mesmérisme, s’est levé à son tour, et en quelques mots* comme il
sait
les dire, a porté un toast très-justement et très
n qui l’attire vers ceux qui l’entourent? N’y a-t-il pas en lui je ne
sais
quelle vertu qui rapproche invinciblement de lui
s françaises ne prononcent qu’avec difficulté, et qui rappelle — Dieu
sait
pourquoi ! —l’idée... d’offrir une rôtie. « Nou
t se vouloir récipro- quement, — et nous autres, magnétiseurs, nous
savons
que vouloir, c’est agir, — trinquer, c’est se vou
moment où le magnétisme est près de son triomphe, si les magnétiseurs
savent
unir leurs efforts —sympathisant par l’intelligen
s sur les autres banqueta magnétiques donnés par nos confrères ; nous
savons
seulement que les convives y ont été nombreux. 11
duire de petits bruits ; d’où il concluait, avec une logique qu’on ne
saurait
trop admirer, que tous les bruits dont on n’avait
aient été volés. La coupable, réveillée quelques instants après, ne
sut
que dire, sinon qu’elle n’avait pas pris ces obje
ée?.... Cet oubli même n’avait-il pas quelque chose d’imposé?.... Que
savons
-nous?.... JOS. BARTHÉ. Nouvelle-Orléans, 26 s
le 13 février 86. Mon cher et honoré collègue et président, Vous
savez
avec quelle ardeur je m’occupe ici de la cause du
à cette hauteur. Lorsqu’il approcha de la porte, elle s’ouvrit (je ne
sais
par quel moyen) , et nous fûmes éclairés par la l
e départ, que de hautes interventions et d’invincibles considérations
surent
différer pendant trois mois, allait enfin s’accom
et aristocratiques de Paris. .« La lucidité somnambulique, vous le
savez
, étant extrême ou bornée, capricieuse et variable
département de la Haute-Saône est de 87 lieues. On doit encore faire
savoir
que ce pays, cette contrée où était appelé M. de
pressentiment ou prévision sonmambulique. — Il était intéressant de
savoir
jusqu’à quel point il me serait possible de réuni
désirez assister à cette séance, je vous serai obligé de me le faire
savoir
. Je vous préviens toutefois que la séance ne comm
en Italie, on cache bien aussi ses œuvres, mais l’habileté consiste à
savoir
les montrer ensuite. Je restai un moment anéant
de ces caractères qui honorent une cause et un de ces publicistes qui
savent
la défendre. Ecoutez-le plutôt. Voici le début du
de l’autre côté des Alpes , et il nous semble que de ce côté-ci on ne
saurait
le faire avec plus de bon sens, de logique et de
doute fatiguées, et elles devaient souvent peser sur la table sans le
savoir
; mais jamais je n’ai obtenu du mouvement, à moin
’aie pas encore vu que la table se mouvait sans contact des mains, je
sais
, il n’en pas douter, que ce fait s'est assez s
arqué une chose, c’est que souvent, après plusieurs lettres, on croit
savoir
le mot, et l’on attend la prochaine lettre avec c
présentes. Je veux parler des cas où l’on ne demande pas ce que l’on
sait
déjà, c’est-à-dire son propre nom, son âge, le no
’en ai parlé depuis), ni son existence, ni son histoire ; personne ne
savait
si le régiment indiqué était dans la mer Noire, s
a mer Noire en 1854. On m’a promis de prendre des renseignements pour
savoir
à quoi s’en tenir sur le Peter Rovy ; mais ces
r Rovy ; mais ces renseignements me manquent encore. Seulement j'ai
su
depuis qu’il y a un vaisseau Vulcain, vapeur de g
et l'influence qui se développe dans les expériences de tables. On
sait
qu’il y a des médiums pour les tables ; d’autres
laquelle je tournais le dos, me cria, sur une nouvelle demande, « Je
sais
la réponse qui va venir. » ai e’ et effectivement
d elle voit, dans le somnambulisme, un mort quelconque. Comme elle ne
savait
absolument rien de ce que la table avait dit de P
able, et il était surtout passionné pour la musique. La somnambule ne
savait
rien de tout cela, pas même son nom. Mais quand l
é spontanée, ou la seconde vue, comme on peut la nommer, le voyant ne
sait
pas comment il voit, mais seulement qu'il voit. E
). Ce sont des influences, des forces, et voilà tout ce que nous en
savons
quant à leur nature intime. On les nomme aussi de
e, parce qu’elle tombe , » ce qui ne nous éclaire pas beaucoup. On ne
sait
pas ce que c’est que l’attraction qui donne aux c
tre.façon de dire le fait, et voilà tout. La pierre tombe, et nous ne
savons
pas pourquoL La loi de l’attraction, de la gravit
u lire aussi, de faits d’un ordre supérieur, que pour le moment je ne
saurais
peut-être expliquer sans l’intermédiaire des espr
ont la voyante s’était servie. J’ai cherché, mais je n’ai jamais pu
savoir
comment elle avait pu diriger sa vue lucide vers
ntaient la falaise. La face de la falaise était en terre rouge. On ne
savait
rien à cette époque de l’endroit où les troupes d
t même. C’est la seconde vue pure, mais cette vue arrive sans qu’elle
sache
pourquoi et s’en va de môme. Sixième fait.— Ell
ssistants, etc., précisément comme plus tard les journaux. Et elle ne
savait
môme pas qu’il fût mort, n’en ayant jamais entend
ne a prononcés incurables; ce sont les opérateurs, car, comme vous le
savez
, chaque opérateur, surtout s’il a une autre profe
ez curieux de voir cette chanson, qui n’a jamais été publiée que nous
sachions
, nous revenir du continent américain après douze
me R... en refusant sans façon de lui dire son petit nom (faute de lë
savoir
sans doute) et en l’invitant, avec assez peu de p
, et lui reprochai de s’être moqué de nous d’une aussi cruelle façon.
Savez
-vous sa réponse?... La voici telle qu’elle m’est
e reviens à mon sujet : 11 est matériellement impossible, chacun le
sait
, que les médecins puissent se livrer avec fruit à
s — pourraient y suffire ; que deviendraient alors les pauvres?... Je
sais
qu’il est d’honorables exceptions, mais, surtout
et que vous vouliez établir l’identité. Je dis ceci parce que je vous
sais
trop de votre siècle pour vouloir faire apparaîtr
res disent que non ; le publc voit, et « confondant tout ensemble, ne
sait
plus où il en est, et il « n’hésite plus, quand i
pénétrerait dans les masses. 11 est donc plus qu’évident, et on ne
saurait
trop le répéter, que ces systèmes ne sont bons, p
n de ces nouveaux filons du magnétisme; suivons-le, fouillons-le. Qui
sait
quelle richesse n’en jaillira pas, quelle lumière
ce qu’elle nous montre et ne pas considérer seulement une partie. Qui
sait
d’ailleurs les surprises que le temps ou le génie
de rien n’était, boitant un peu dans le commencement, parce que je ne
savais
plus placer ma jambe. Mais un jour ou deux d’étud
d sans cesse, et, à la fin d’une carrière, souvent fort longue, il ne
sait
presque plus rien. Ce que, depuis des siècles, on
e seul fait de son affranchissement du corps, doit immédiatement tout
savoir
. Il y a beaucoup de gens que le croient, d’autres
s hommes sont des menteurs ou des méchants ; mais il reconnaît qu’ils
savent
moins qu’il n’avait préjugé. C’est ainsi que sa r
dans l’autre monde, demande à celle-ci des conseils. Si cette mère ne
savait
rien ici-bas, il lui faut tout apprendre là-haut
s’informe de ceux qui l’entourent; mais, comme dans son groupe ils en
savent
tous aussi peu les uns que les autres , elle ne t
visible. Un autre esprit que l’on questionnera sur le même sujet n’en
saura
peut-être pas davantage, et pourtant il répondra
quelques-uns des nombreux incidents que je pourrais rapporter. « Je
sais
donc ceci : que ni le médium, ni moi, ni aucun au
ctère de certitude que les extraits que nous avons publiés n’auraient
su
leur donner. Baron DU POTET. CLINIQUE. Céph
enant désormais l’écho d’une minorité enthousiaste d’une illusion. Je
sais
combien la position d’un rédacteur est embarrassa
s prétentions, les faits dits spiritualistes ayant appris, pour qui a
su
les apprécier à leur juste valeur, ce que peut le
nge rigueur de la part du clergé lombard , qui devrait cependant bien
savoir
que la persécution est un mauvais moyen d'étouffe
uelques efforts d’attention, c» lisant l’ouvrage de 11. Philips, nous
sauront
gré de les avoir encouragés à cette étude. Cett
ue toute la doctrine de l’auteur. Les physiologistes n’ont pas encore
su
tirer un grand parti de cette connaissance anat
un certain degré de souplesse, et empêche les os d’être cassants. On
sait
que les proportions de ces deux éléments varient
connaissons pas assez pour adopter à son égard une opinion. Mais nous
savons
qu’elle n’a pas la prétention de s’opposer par de
les nerfs du système ganglionnaire. Or, les nerfs blancs, — nous le
savons
par l’expérience, — sont les organes des deux g
ysique sur le moral ont été reconnus de tout temps, fton seulement on
sait
que la pensée produit les mouvements qui traduise
donc l’individualité animique avec ce qui constitue l'individualité,
savoir
le souvenir plus ou moins complet et l’activité p
tion, une goutte ; eau distillée, 120 gr., soit huit cuillerées. Vous
savez
ce que sont les dilutions homœopathiques ; mais v
à dire que pondéra-lement le médicament a complètement disparu. Je ne
sais
pas si le remède produira quelque effet, et ce n’
ou le fait refluer vers la périphénie, et l’observateur physionomiste
sait
très-bien distinguer par la nuance du teint l’emp
s actes de pur instinct et qui se fassent sans apprentissage. Nous ne
savons
faire mouvoir que les muscles que nous nous somme
prononcent toutes les syllabes, et nous citerons M. B. Dubois, qui ne
sait
pas ce que c’est qu’un son et qui parle aussi net
s variations dans l’activité des différentes fibres nerveuses. Or 011
sait
que la compression d’un nerf peut en diminuer, et
ce de l’impression, de sorte que nous ne pouvons admettre que l’homme
sache
, au besoin, se rappeler comment telle ou telle fi
tions susindiquées. — Tous les magnétiseurs connaissent ce procédé et
savent
quelquefois le combiner avec le premier. Mais d
, souvent même à l’insu de l’opérateur. — Zi/i 3 — état perplexe,
saura
apprécier comme un signe flatteur de l’impatience
ce qui existe entre la lumière et l’obscurité. Quant à la question de
savoir
si la vue peut s’exercer complètement à travers l
’un esprit malade est donc une vérité ! Je le vois bien à présent. Je
sais
que je suis mort ; mais maintenant il me semble q
n entrée dans une nouvelle existence, de comprendre sa position et de
savoir
où il était. En conséquence, il n’avait pas parta
; d’autres sont heureux de leur confiance dans l’avenir, sans qu’ils
sachent
ce qu’il sera. Il eu eSt peu chez lesquels la sci
ore suivant cette même loi du progrès. Il était important pour eux de
savoir
que depuis leur entrée dans cette période, ils po
ais la plus facile à concevoir, c’est celle des images lumineuses. On
sait
que la vision d’un objet a lieu au moyen de la tr
e et au moral et voit sa vie entière, il suit de là (bien que nous ne
sachions
pas comment les choses se passent) que des objets
s visions et rêves se manifestaient, elle me dit à peu près ce que je
savais
déjà. Seulement j’ai su qu’é-tant jeune, elle éta
staient, elle me dit à peu près ce que je savais déjà. Seulement j’ai
su
qu’é-tant jeune, elle était hystérique et sujette
lace soit méritée. « Je lis fort assidûment votre journal, et je ne
saurais
trop vous féliciter de la sage franchise avec laq
emple. «Mais verrons-nous ces vérités reconnues et acceptées? Je ne
sais
trop. 11 faut reconnaître que beaucoup d’esprits,
es points sur lesquels vous avez réfléchi plus profondément que je ne
saurais
le faire, et j’abuserais de vos moments en prolon
s non endormies ; il suffit qu’elles soient seulement sensibles. Mais
savait
-on que cette transmission se faisait insciemment,
lesquels nous conservons des relations principalement par la prière,
savent
non seulement nos actions, mais aussi nos pensées
munication d’un objet mieux imprégné de fluide : les meilleurs, on le
sait
, sont un fragment même de la personne, des cheveu
extase et du ravissement, et dites-nous par quel secret pouvoir l’âme
sait
prédire les temps et voir dans la matière le jeu
e. — Avec son vieux couteau brisé par la noix de coco, notre Robinson
sut
se fabriquer un mât, et tous ses préparatifs ache
ion spontanée, par le professeur Nicolo Cekvello. Palermo, 1853. On
sait
que, clans plusieurs affections morbides, il se d
ot d’anglais, et personne , dans sa famille ni dans son entourage, ne
savait
cette Langue. On craignait donc qu’elle ne parl
ertations dont nous regrettons la brièveté, et qui font honneur à son
savoir
et à son jugement. Il faut surtout lui savoir gré
qui font honneur à son savoir et à son jugement. Il faut surtout lui
savoir
gré d’avoir osé publier un pareil ouvrage dans un
la Société des Patriarches (2), un médium, pilote deSteamboat, qui ne
sait
que l’anglais, peu de français et seulement quelq
urs très-savants, mais qui n’ont pas suffisamment étudié le sujet, ne
saurait
être d’aucun poids. Des yeux pour voir, des mains
hose antique trouve les hommes forts du passé pour en tirer ce qu’ils
savaient
de propre à gouverner les nations. Baron dü potet
ec le précédent que le mode de manifestation. Tous les magnétiseurs
savent
qu’un des effets du (luide inspiré par la volonté
lecteurs, nous oserons (1) On a beaucoup disculé sur la question do
savoir
si Moïse avait enseigné le dogme de l'immortalité
d’une haute importance pratique que j’ai été à même d’observer, on ne
saurait
insinuer, même avec la moindre ombre de vérité, q
que j’ai renoncé à la pratique de ma profession, et rien au monde ne
saurait
me déterminer à la reprendre. « Je suis, Monsie
naux, comme celaaeulieu constamment jusqu’à ce jour.« Il est bon de
savoir
que le docteur Esdaile, sollicité par le docteur
être même, disons le mot, comme une gasconnade (les Etats-Unis, on le
sait
, y sont assez enclins), et depuis 18/*0, époque d
ce thème à satiété. 11 reste donc bien établi pour tout le monde qui
sait
lire, que nous sommes particulièrement folâtres e
ient une influence politique ; il a scs meetings, ses pétitions ; qui
sait
, peut-être aussi son candidat présidentiel? Bien
on civile et politique du monde des esprits révélés à M. Hare. Et qui
sait
, peut-être même quelques mécréants, sceptiques en
L’un d’eux, appelé dernièrement auprès d’une malade chez laquelle il
savait
qu’il avait été fait des expériences de magnétism
a annoncé que, pour la guérir complètement, il n’y avait qu’un moyen;
savoir
: l'emploi d’une certaine plante qu’elle 11e peut
saints, cette terrible maladie. La science magnétique, comme vous le
savez
, monsieur le baron, donne anjour-d’hui sur tous
je vous te dis, en ce moment tombe, une des grandeurs de la terre. On
sut
qu’à cette heure-là même était mort Ratbod, puiss
le : il maudit le mécréant qui, dans sa fureur sauvage, n’avait point
su
respecter le sanctuaire des saintes patronnes du
porté de l’urine d’àne ou de cheval : toujours l’Esculape en blouse a
su
reconnaître le piège qu’on lui tendait, et a envo
omment peut-on expliquer tous les autres faits qui précèdent? Je n’en
sais
rien. Mais de ce qu’on ne peut en avoir l’explica
ses arrêts qu’il a fallu réformer, rapporter de siècle en siècle. Qui
sait
s’il n’en sera pas ainsi de ceux de la médecine a
sc réfugier dans une indifférence respectueuse. Mais la neutralité ne
saurait
convenir aux hommes. Quand ils cessent d’admettre
ée : Preuves d'immortalité. —Rien n’intéresse autant l’homme que de
savoir
s’il doit mourir à la dissolution de son corps te
s les moyens connus, et l'homme physique se trouve là tout entier. Le
savoir
humain ne va pas jusqu’à découvrir ce qui constit
e changement qui s'est opéré. Si nous voyons que la forme reste, nous
savons
tout aussi bien que quelque chose en est sorti, e
ous savons tout aussi bien que quelque chose en est sorti, et nous le
savons
, en vertu d’é-16 nonts qui sont en nous, et qui s
son/ plus dans le corps maintenant inanimé que nous contemplons. Nous
savons
infailliblement que le corps reste tout entier :
ns infailliblement que le corps reste tout entier : du moins, tel que
sait
l’apprécier la science matérialiste ; mais ce cor
appréciables à nos sens. L’œil ne peut pas tout voir, ni l’homme tout
savoir
: ses capacités sont relatives à la sphère de ses
ns venir, ont une forme matérielle plus ou moins raffinée; et nous ne
savons
pas si les difficultés que nous éprouvons à les v
serment, j’aurais été obligé de la reconnaître pour véritab'e ; et je
sais
pourtant bien que ce n’est pas moi qui l'avais éc
r croire que je courais quelques dangers, elle hésitait pour me faire
savoir
que probablement j'allais avoir la visite de quel
nétisme. Ceux qui traitent du magnétisme ou qui s'en entretiennent,
savent
de quoi il s’agit, bien qu’ils ne soient pas touj
le typhus, et succombe victime de son dévouement héroïque, l’égoïste
sait
se préserver en fuyant le foyer de la contagion.
nfatigable. Malgré les fonctions importantes dont il était chargé, il
sut
trouver assez de loisir pour s’occuper du magnéti
ités, qui n’a jamais pu entendre prononcer le nom de ma mère, ni rien
savoir
sur ma famille, se trouva indisposée. Un médium l
de trente ans. — Mais elle ne parle donc pas.l’anglais ? — Elle n’en
savait
pas un mot. _ C’est donc cela que je ne comprends
_ C’est donc cela que je ne comprends pas ses paroles, et pourtant je
sais
ce qu’elle me dit. — Vous saisissez ses idées qu’
ntit à Être témoin de quelques séances : puis il prit part aux es -
sais
, il obtint des résultats merveilleux, il observa
ont il voudrait bien pouvoir employer le ministère de manière à faire
savoir
chez lui qu’il était retenu et qu’il ne reviendra
cela se passait à Cincinnati, le médium de Terre-Haute (comme on l’a
su
depuis) se rendit auprès de la famille du Monsieu
aient par comparaisons, et les prophètes par des paraboles. Or vous
savez
que le daguerréotype a non seulemen faculté d’agi
chaque sanctuaire, ce qui ne manquait pas d’avoir lieu. A nous qui
savons
la valeur réelle du phénomène , il ne nous arrive
nt je publie aujourd’hui les décrets, me fait peur. 11 est bon que je
sache
ce que d’abord on va faire de vous avant de me ha
, étonné, crut que , pour s’assurer de la vérité , il fallait d’abord
savoir
si elle était puce/le. La belle-mère du roi la fi
devions donc encourager ses efforts et applaudir à son œuvre où,il a
su
faire revivre l’inspiration de l’extatique. Jeann
puisable reste encore ouverte et offre de nouveaux trésors à ceux qui
savent
l’exploiter.. En songeant au bûcher fatal où pé
ur, et avant eux dix de mes aïeux se sont eux-mêmes donné la mort. Tu
sais
que j’avais doublé par mon travail et mon intelli
ients de subir sans douleur les plus graves opérations. M. Allix, qui
sait
se multiplier pour propager la vérité, fait des c
l, souverainement funeste à la religion et à la société civile, on ne
saurait
trop exciter la sollicitude pastorale, la vigilan
s d’un guéridon on d’une table n’auraient pas lieu par suite de je ne
sais
quel éré-tliisnie nerveux, à l’insu même des expé
rès-sérieuses les personnes avec lesquelles j’expérimenUds, et je les
savais
parfaitement incapables de me tromper. Ce n'est p
était le ressort mystérieux de cet appareil fantasmagorique ? Je n’en
savais
absolument rien, pas plus que je ne le sais aujou
ntasmagorique ? Je n’en savais absolument rien, pas plus que je ne le
sais
aujourd’hui ; mais je sortis rêveur de la séance,
n, vraiment D’abord, tout le monde n’y réussit pas; pourquoi? je n’en
sais
rien. Ensuite, parmi les personnes douées de plu?
précédents quant à la réprobation du somnambulisme. Il parle, nous ne
savons
pourquoi, de femmes au tempérament débile, bien q
lors il lit dans ma pensée, dans ma mémoire comme dans un livre. Vous
savez
que ce qui entre dans la tête d’un âne n’en sort
ième du total. On ne doit pas s’étonner de cet insuccès partiel : 011
sait
que toutes les personnes 11e sont pas sensibles à
ous remarquons cette expérience curieuse : « La sensitive a, comme on
sait
, cette propriété singulière que ses feuilles se r
aître par la sensation, dirige et attire les autres personnes sans le
savoir
, et, sous sa direction inconsciente, la table se
ais où ? je ne puis me le figurer; car, la première fois, comme on le
sait
, j’avais exploré tous les coins et recoins du sal
s grande encore sans doute, car, à la deuxième magnétisation, je ne
sais
quelle confiance enthousiaste s’empara de moi, un
llement 011 qu’ilsoit provoqué d’une manière artificielle. Or, chacun
sait
que la catalepsie est une. phase du somnambulisme
volonté de la personne qui a réagi sur le sujet. Tous les praticiens
savent
qu’il suffit de se mettre en rapport une seule fo
eiller la patiente. Alors une idée subite traversa notre cerveau. Qui
sait
si nous n’avons pas produit le même résultat sur
produite sur les deux dames en question ; nous nous consultions pour
savoir
si nous devions ou non réagir un jour sur elles,
emps je leur ai consacré l’enthousiasme qui m’animait; aujourd’hui je
sais
l’amertume de leurs désillusions, etc...; » malgr
que le dévouement et fuit éperdu devant l’égoïsme du désir. Orphée le
sait
, mais un instant il l’oublie. Eurydice, dans ses
tique et magique. Tous les monuments de l'antique Égypte attestent le
savoir
des prêtres de ces temps reculés; sans doute ils
lant accueil que vous faites au récit de mes cures magnétiques. Je ne
sais
comment vous témoigner m;i reconnaissance. car
s de l’esprit d’indépendance et d’impartialité de cette feuille qui a
su
conquérir en peu de temps, une large place dans l
longtemps que les magnétistes la connaissent et l’ont subie; mais ils
savent
aussi s’en débarrasser promptement par une magnét
u’elle n’accepta toutefois qu’avec peine, quoiqu’on lui eût déjà fait
savoir
que sa voiture ne serait prête que le lendemain.
u’à vous seule à qui je vais confier à l’instant un grand secret. «
Sachez
donc, madame, que je suis mort depuis trois ans,
à en rire, et je me serais par conséquent bien gardé d’en parler. Ne
sait
-on pas suffisamment d’ailleurs que je suis antisp
et ne regarde cette vision que comme un simple rêve. D’ailleurs, elle
sait
fort bien qu’il n’existe pas le moindre degré de
t rien et se promet de faire les recherches les plus minutieuses pour
savoir
s'il n’y avait pa3 en effet quelque degré de pare
grettable et très-irrationnelle, il faut en convenir, puisque l’on ne
saurait
admettre de lacunes dans l’ordre admirablement un
ces modernes dédaignent son v sublime galimatias. » Par bonheur, vous
savez
à quoi vous en tenir sur l’irréprochabilité des l
l titre nous révolterions-nous contre les attermoiements du progrès ?
Savoir
, c’est connaître entièrement, parfaitement, sans
e expression de l’hellénisme, l’être qui parvient à réaliser ce qu'il
sait
vouloir (A vBpûzot,— dérivé de ¿■m 9ci>i TpwTr
té que je cherche à saisir. Quand ma pensée, au silence affermie,
Sait
entrevoir les destins que j’attends, Ma main ga
oraux incontestables. Le magnétisme a la propriété de guérir, on le
sait
, et il suffit pour s’en convaincre, d’en essayer
hénomènes, mais divisés peut-être sur la doctrine. Nul n’affectait le
savoir
à notre banquet qui réunissait les professions le
ndre le but final de ce que nous enseignons, il est certain, pour qui
sait
examiner, que notre science aura une influence ca
ne influence capitale sur les destinées futures de l’humanité. Oui,
sachez
-le, chers Collègues, nous aurons notre jour de tr
venir; non que la foi et la chaleur me manquent, mais parce que je ne
saurais
frapper des ennemis vaincus. Nos antagonistes ne
érité; mais le magnétisme triomphe de toutes les clameurs: partout on
sait
qu’il existe, partout on 'sait qu’il fait le bien
que la science abandonne, et soulager au moins ceux que la nature ne
saurait
guérir : le bien que l’on fait descend du ciel et
s substitué les communications écrites, certifiées et authentiques.
Savez
-vous le fait étrange qui s’est produit? c'est que
des savants que celle des magnétiseurs. Les magnétiseurs n’ont pas
su
rester assez matérialistes ; en parlant des phéno
es malades abandonnés. Tous ceux qui ont eu l’honneur de le connaître
savent
que l’amour du bien était sa religion et qu’il su
tude. Et Deleuze, cette figure vénérable, cette personnification du
savoir
modeste, cet observateur profond, des livres de q
du savoir modeste, cet observateur profond, des livres de qui 011 ne
saurait
trop ni même assez recommander la lecture, cet ho
rre est prêt, mais je m’abstiens. Aux impuissants dont l’écritoire Ne
sait
distiller que le fiel Je porte un toste solennel,
t très-obéissant serviteur, Noël de Fombeude. Ces communications ne
sauraient
que m’être agréables. Toutes recherches touchant
ubliquement mes excuses aux personnes qu'une pareille inadvertance ne
saurait
effleurer. Vous, l’auteur de ces lignes : « L
visionnaires et de fourbes, faudrait-il renfermer en soi ce que l’on
sait
être vrai et utile ? « Combien donc sont coupab
t, plus rationnelle. Pourtant je suis bien loin d’avancer que l’on ne
saurait
parvenir à différemment élucider les prouesses ex
qu'ici je cherche, j’é-tudie! N’ai-je point dit à satiété : « Nous ne
savons
pas!» Que l’on ne m’impute donc ni fanatisme, ni
ais que dire de la sottise humaine et de l’ignorance publique qui 11e
sait
reconnaître à la première vue l'étain de l’argent
’est ainsi que la mortalité se met dans les étables sans qu’on puisse
savoir
pourquoi et que toutes les précautions et tous le
ourquoi la. religion ne veut pas que nous consultions les devins pour
savoir
ce qui nous arrivera ; elle veut seulement que no
s véritable. Le magnétisme est connu ; il n’y a pas un médecin qui ne
sache
parfaitement à quoi s’en tenir sur sa valeur; ils
le magnétisme, ou qui ont lu des ouvrages sérieux sur cette matière,
savent
parfaitement qu’il agit dans le sens de la nature
r hasard, mais alors si on ne cherche pas la cause de ces effets, que
saura-t
-on, puisqu'on no pourra jamais les expliquer autr
ien vite dans les villages environnants. L’ell'et quelle produisit ne
saurait
se dépeindre, et ce que nous allons raconter en d
es son cœur ne devait-il pas èlre assailli! Un le comprendra quand on
saura
que madame ('.omet ne devint somnambule (pie par
li! M. Cruvcilliier, si vous aviez connu le magnétisme, si vous aviez
su
le bien que vous pouviez faire en rendant votre i
amer pour le premier une sorte d’infaillibilité qui n’est pas, 011 le
sait
, la vertu du second. M. Cornet ne lient pas assez
ornet elle-même, combien un somnambule était impressionnable : on 11e
saurait
supposer dès lors que les diverses impressions do
la raison partout où la puissance de leurs ailes les emporte; ils nu
sauraient
se débarrasser de son étreinte. Mais je m’arrêt
e sur le somnambulisme avec empressement et sans relâche ; mais je ne
saurais
dire à quelle cause d’entraînement j’ai plutôt ob
nes semblables à ceux que vous avez observés chez madame Cornet. Elle
savait
et disait de quoi l'on s’entretenait à l’instant
in de sa chambre, rendait mol à mot compte, si l’on insistait pour le
savoir
, de ce que les personnes se disaient ; elle lis
précise que marquait le cadran d'une horloge publique éloignée; elle
savait
au juste ce que contenait en monnaie la bourse d’
é accompagné de tous les détails qu’en avait donnés la prédiction. On
sait
encore quel empire exercent sur nous les pressent
e «»¡j, ç’csl trb-bicn; mais il nie absdU|M^/Miis-\ letice de ce ne
sait
|îaï*r-l«*-«r-conduiic mériie !e blâme. ,ae êtr
tre de côté ce que l'on Towo XX. - N°HO. -2- Sêiuiî ... Jni.ui 1801
sait
; la seconde raison, c’est que le magnétisme démo
au au moyen d’un tube de verre comme je l’ai dit. Fais-je bien? je ne
sais
. Quand 011 écrit à votre journal, ce n’est pas po
E. D. Forgues à son docteur américain reflète ce travers, que l’on ne
saurait
trop réprouver : — Le magnétisme est vrai ; il
ux vo>? se présentent pour arriver au même point, l'une que l’on
sait
difficile, non sans danger, et l’autre que des ho
uérir assez souvent même, nous n’avons pas vu jusqu’à présent, que je
sache
, un médecin somnambule; surtout un médecin qui, d
et un rire fou s’empara de toute l’assemblée. Mais celui qui, seul,
savait
quoi s’ea tenir à cet égard, demanda le silence e
; mais si quelques médecins voulaient se laisser somnam-buliser, qui
sait
si ceux qui deviendraient clairvoyants ne rendrai
andait, c’était non des pilules, mais la liberté ; ce roi des animaux
savait
sans doute l’histoire de cet orang-outang traité
orang-outang traité médicalement dans notre Jardin des Plantes. Il
savait
qu’on tlui avait fait une saignée et appliqué tic
l’écrivain, joignant ainsi l’attrait de la forme à celui du fonds, a
su
répandre dans son travail ; mais il sera très-com
rquoi ne vous mettez-vous point en possession de l’absolu?... Vous ne
savez
ou ne le pouvez! Eli bien, alors, rien n’arrêtera
e d’acier aimantée, suspendue horizontalement, dirige toujours, on le
sait
, l’une de ses extrémités vers le Nord : la forc
simples effets de la lumière ordinaire? Pas davantage. La lumière ne
saurait
être perçue par le sens du tact. C’est donc une s
obtenue au moyen du courant vol laïque : sous cette impulsion, on le
sait
, certaines substances se déposent sur la lame de
s dans les Mémoires de Henri Zscliokke. Cet écrivain, grand par son
savoir
, grand par son dévouement aux idées libérales, gr
le célèbre géologue Ebert le mit en rapport avec une personne qui, d
sait
-on, découvrait les filons souterrains par l’actio
e en Europe. L’antiquité, dis-je, possédait à fond cette science. Qui
sait
ce que les prêtres ou hiérophantes d’alors faisai
à une ombre blanche ! Quel que soit le courage dont il est doué il ne
saurait
se défendre d’impressions tumultueuses et en harm
ns d’autant plus redoutables que l’impuissance de sa raison ou de son
savoir
en présence de tels phénomènes, légitimera à ses
elle il fera remonter le mérite ou l’immoralité de ses actes. Rien ne
saurait
désormais ramener ou guérir ces personnes que la
omogènes dont la réunion constitue la lumière blanche du soleil. On
sait
qu’au moyen d’un prisme sur lequel vient tomber o
nde. On connaît l’influence attribuée, non sans raison, à la lune; on
sait
que des êtres attirés par une puissance irrésisti
vait l’étoile polaire. Or, la nuit n'élant pas étoilée, je ne pouvais
savoir
moi-même qu’au moyen d'une bou.-sole la place que
présence de plusieurs savants, et toujours avec le même succès. Je ne
saurais
rapporter toutes les expériences auxquelles donna
. On pense généralement qu’elles le seront toujours, et la matière ne
saurait
être formée par les procédés de synthèse dont nou
dans ma correspondance avec le docteur Charpignon. Mon antagoniste
sait
allier la courtoisie et la bienveillance à ce que
nfinitésime se ferait promptement rétorquer. Les dénégateurs (et l’on
sait
que je ne suis pas du nombre) lui risposteraient
dique, complémentaire et confirmative de celle de nos expériences, ne
saurait
déplaire au rationalisme, attendu qu’elle se fond
cn n’est plus soudain que l'incorporel; rien n'est plus puissant. «
Sache
-le bien, en ce qui te constitue loi-même : comman
nces philosophiques.) Mais qui vous dit qu’il soit divisible ? On
sait
au contraire, par le magnétisme, que la mutilatio
aient hier, parce que toutes les sciences sont mobiles et que nous ne
savons
pas. J’aime ceux qui, en outre, marchent en avant
en avant sans s’inquiéter du qu’en-dira-t-on. Hélas ! oui, nous ne
savons
pas : mais cette phrase peut-elle être prise dans
it qui vivifie ; (le mot « esprit » pris ici sans métaphore). — Je ne
sais
si je me serais gardé de cette lettre en lisant l
ssible, un maître dans l’art de bien dire, Cicéron, qui voulait qu’on
sût
à fond toutes choses et surtout la matière sur la
ment ou involontairement: c’est 1’oubli; l’oubli qui fait que nous ne
savons
pas et que nous avons besoin d’apprendre sans c
nance, — ce qui serait un travail fort utile, — niais dans celui de
savoir
s’il existe ou non un fluide impondérable, adhére
l’espace qui me sépare du sanctuaire; le franchirai-je jamais? Je ne
sais
. Pour l’instant je suis rationaliste et de plus s
ignorer, avant comme après son sommeil. Les magnétistes expérimentés
savent
à quoi attribuer cet accident. Sachez ceci :
Les magnétistes expérimentés savent à quoi attribuer cet accident.
Sachez
ceci : Chaque fois que vous pourrez mettre le s
l ne dit pas que ce sont des Esprits qui se communiquent à lui; il ne
sait
qu’une chose c’est qu’il fait, et ne peut faire q
essorts de la machine humaine ne leur sont point connus, ce qu’ils en
savent
est déjà magnifique ; mais ce qu’il leur reste à
ifficile. Qu’est-ce que la maladie? qu’est-ce que la santé? Nul ne le
sait
encore, car tout est variable en nou3 d’une secon
t mérité pour avoir construit l’édifice qui nous abrite. Qu'ils ne me
sachent
pas mauvais gré de ce que j’ai dit plus haut, je
de constituer un monde nouveau. L’homme inspiré viendra-t-il? Je n’en
sais
rien; mais ce que je puis dire, c’est que j’éprou
me l’être humain a une source divine bien distincte de la matière. Je
sais
que je ne sais rien, dit l’homme le plus avancé d
n a une source divine bien distincte de la matière. Je sais que je ne
sais
rien, dit l’homme le plus avancé dans les science
ment général est tel que, si vous offrez au monde penseur le moyen de
savoir
quelque chose, il vous fermera la porte au nez.
aux Flourens, fussent-ils cinq cents, aux Velpeau, qui ont, comme on
sait
, approfondi l’hypnotisme, mais je leur promets de
ieu. Or, si cette essence est telle, ou quelle elle est, Dieu seul le
sait
. » Hermès. 2° Les Esprits : forces causales sec
n que de tortueux. Il me semblait voir ces ténèbres changées en je ne
sais
quelle nature humide, agitée plus qu'il n’est pos
tour à la matière enflammée qui est encore au-dessous d’elle. Il faut
savoir
que la lumière blanche ne change pas; elle conser
propres à soulager et mime il guérir les maladies du corps: il parait
savoir
des choses qu’il ne savait pas et qu’il oublie à
il guérir les maladies du corps: il parait savoir des choses qu’il ne
savait
pas et qu’il oublie à l'instant du réveil (1). Ia
forts; » ce sont les faibles qui se donnent pour tels, — car nous ne
savons
pas et nous avons besoin d’étudier sans cesse.
ance, un de la main droite, l’autre de la main gauche; et je voudrais
savoir
dès lors quel bien pourraient en retirer ces mala
ons lumineuses ou fluidiques, ne transmettront rien de bon si l’on ne
sait
s’en servir. Et la preuve : — « Voici un exem
ments dont on se sert d’être imparfaits, tandis que c’est nous qui ne
savons
pas nous en servir. Le savant docteur Koreff, d
n servir. Le savant docteur Koreff, dont personne n’oserait nier le
savoir
, la bonne foi et la prudence, disait en parlant d
vent à l’égard des somnambules; injustice souvent involontaire, je le
sais
, mais qui a presque toujours son point de départ
n des circonstances qui accompagnent les faits, et parce que «Nous ne
savons
pas et que nous avons besoin d'étudier toujours.
dont vous tenez le drapeau, mais parce que le vrai courage consiste à
savoir
s’exposer, lorsqu’il le faut, à une défaite presq
as d’irritation, mais d’inattention. Ce que je leur ai dit, je n’en
sais
rien, rien du tout. J’étais tout aux physionomies
ns qui ont été mises aux voix et adoptées à une très-grande majorité,
savoir
: Que les faits du somnambulisme artificiel doi
cience du moi, ou à la réflexion dont les animaux sont privés. » — On
sait
pertinemment , désormais, que. les animaux ne son
t partout l'expansion de l'âme. « La pensée, effluve divin, si l'on
sait
l’affranchir de passions contentieuses, domine
nctionnelles en analogie avec les conformations cérébrales. o On ne
saurait
nier que les différentes opérations intellectuell
aux vermisseaux et aux plantes. » Voltaire. Heureusement, Puységur
sut
nous prouver que l’acte interne de la pensée exha
n’a point péri comme vous le pensiez. Il est plein d’existence, et je
sais
qu'il se prépare à fondre sur vous. « Aussitôt
le fer, n’ayant frappé que la cuisse de la victime, n’avait « Il ne
saurait
être qu’à la condition de toujours créer, dans le
action. «Les Éphésiens, assemblés en grand nombre autour de lui, ne
savaient
que conjecturer. Mais Apollonius, ayant recouvré
cinq années de silence ausolu. Nos adeptes se forment-ils ainsi? «
Sache
, me dit Pimandre, que ce qui, dans toi, voit les
agir, c’est bien vivre... et, consequemment, bien donner la vie! Qui
sait
vivre de la sorte reste calme. € L'affliction e
sont faites de celles qui sont, et non de ce qui n'est pas. Rif.n ne
saurait
engendrer qcelque cdose. Au contraire, les choses
récit des phénomènes qui ont été produits, mais il est intéressant de
savoir
le succès de ces expériences dans le propre palai
gts au sommet de la tête du naja, mais si légèrement qu’on aurait pas
su
dire si ce doigt cabalistique touchait ou non à c
tantôt dans notre esprit et dans notre corps, un changement dont nous
savons
certainement cire les auteurs, et dont nous reven
ls sujets. S’il arrive que leur magnétiseur manque d’expérience ou de
savoir
, ce n’est bientôt plus celui-ci qui gouverne ; il
faut bien une cause, et celle-ci n' rien d'illogique. attention ne
sait
pas quel torl ¡1 fait à toutes les autres faculté
m’endormir, puisque Dieu a voulu me montrer un si grand miracle; car
sachez
quel'évêque Martin, mon frère, vient de mourir. J
s les langes. On y qualifie d’extravagance les phénomènes que nous ne
savons
pas comprendre. .Un jour, je le crois, on ne défi
s membres (1). » Le docteur A. J. P. Philips. vraiment un homme qui
sache
, mémo avec une longue expérience déjà, faire ce q
en face de la syhthèse religieuse de la haute science de l’antiquité,
savoir
; LE FEU (l'esprit) principe gé-néraleur, trônant
x réactions de son corps en assistant à sa première bataille; « si tu
savais
où je dois te conduire en ce jour, tu tremblerais
régissent la matière? Non, le principe immortel qui veille eu nous ne
saurait
s’éclipser, et mC*me pendant le sommeil le plus p
’ici? « — Oh l oh ! reprit le paysan en souriant d’un air malin, je
savons
ben qu’il entend. « M Récamier enjoignit au c
Universilé.) — Laisse* ce langage à la pédagogie. — Mais « chacun
sait
que la catalepsie est une phase du somnambulisme.
rbaud entend-il expliquer ici son piin-cipe ? Je serais curieux de le
savoir
. Deux cordes, ces deux agents passifs, au môme
eiller la patiente. Alors une idée subite traversa notre cerveau. Qui
sait
si nous n'avons pas produit le môme résultat sur
n. A peine entrée, Elise arrête sa conductrice : —Oh ! maintenant 'je
sais
pourquoi nous venons. Tenez! c’est ce monsieur là
à mes yeux. » On pourrait pourtant lui citer le proverbe : Qui ne
sait
que de soi, n’a pas appris grand chose. Attribu
l'honorabilité de cet aveu. Qu'ils conviennent franchement qu'ils ne
savent
pas, et tous ainsi, n’apportant à la communauté d
éprouver une sensation à l’approche d’un corps sans le toucher. Je ne
sais
si le changement de température qui peut avoir li
ociété, disait Pascal, est un homme qui apprend toujours. « Nous ne
savons
pas ce qui est possible et ce qui est impossible,
buse, quand il s imagine que ma tête grise est en déroute. —11 faut
savoir
observer, me répète ce magnétiste. — Oui, sans
ir observer, me répète ce magnétiste. — Oui, sans doute, il faut le
savoir
! Depuis plus de quarante ans, je m’étudie à l’app
ndre parade, plus je vais et plus j’acquiers la certitude que nous ne
savons
pas! Comme le greffier d’une procédure, j’exhibe,
se Me vous satisfait, reportez-vous aux termes de ma thèse : «Nous ne
savons
pas ! » Choisissant l’anecdote du prince Dimitr
ment ou je n’ai jamais vu personne en ce monde. — Lui! Qui? — Dieu le
sait
, monsieur! J’ai vu cet étranger que, de ma vie, j
e; un étranger! et voilà six semaines que nous sommes en mer. — Je le
sais
, et cependant je l’ai vu. — Eli bien ! allez voir
ndant je l’ai vu. — Eli bien ! allez voir qui c’est. —Capitaine, vous
savez
que je ne suis pas poltron; je ne crois pas aux r
ouva personne. — Vous voyez bien, dit-il, que vous avez rêvé. — Je ne
sais
comment cela se fait, mais je vous jure qu’il éta
l'on ne découvrit aucun étranger. Le capitaine, s’étant consulté pour
savoir
s’il devait suivre cet avis mystérieux, se décida
sur lequel on voyait plusieurs hommes. En approchant de plus près, on
sut
que le navire était brisé, les provisions épuisée
l en montrant l’autre côté. — Ceci est aussi mon écriture; mais je ne
sais
pas comment cela se fait, car je n’ai écrit que d
ependant je ne raille plus ce que la science du jour n’accepte, ni ne
sait
solidement contredire. n Au commencement de mes
les qui se rendent à votre appel. — Je n’ai pas dit un mot. — Vous ne
savez
donc pas que tout est aimant dans le monde... et
e l’interlocutrice. La jeune personne, occupée, à causer ailleurs, ne
sut
pas plus que lereste (les spectateurs ce que sa m
priai la voyante de vouloir bien nous instruire de ce qu’elle pouvait
savoir
sur ces forces qui se révèlent par l’agitation de
ve d'tine initiation générale glaça les premiers initiés d’ëlîhn: ils
savaient
qtie l’homme n’accepte le bien, lemièti* qu'autan
contente de dire qu’un mal a raidi ses membres, le grammate égyptien
sut
aisément reconnaître les symptômes de l'invasion
qu’on nettoie et qu’on répare. La médecine est de la chimie, et Dieu
sait
quelle chimie ! Ce n’est point celle qui se faite
s humains sera abandonnée à leur discrétion, à leur sagesse et à leur
savoir
; car on doit dire, pour être juste, que plusieur
e plusieurs sentent leur insuffisance et ont souci de leurs ténébreux
savoir
. Tous les magnétistes s’escriment pour faire pr
faits d’un ordre nouveau, mais leur arme frappe le vide. On voit, on
sait
que le magnétisme existe, mais on prend des remèd
t rien autour de lui qui’soit empreint de sagesse et pas un homme qui
sache
quelque chose. Mais nous, nous dirons ce que sa
pas un homme qui sache quelque chose. Mais nous, nous dirons ce que
savent
les médecins et peut-être ce qu’ils ne savent pas
ous, nous dirons ce que savent les médecins et peut-être ce qu’ils ne
savent
pas. Baron du Potet. NÉCROLOGIE. La science
d songeait à l’impression qu’il avait produite, et se considtait pour
savoir
s’il devait ou non un jour agir sur elles, à leur
rile; pourtant, cette excuse n’est que provisoire, et l’homme de cœur
saura
s’honorer lui-même parla noblesse de sa réparatio
nts absurdes et des lois incohérentes, » on peut lui répondre : Qu’en
savez
-vous? Ne trans- ou néglige certaines rectificat
tale de réflexion et une légèreté impardonnable. Le monde instruit ne
saurait
être plus longtemps la dupe d’une pareille mystif
sus), fut en scission ouverte avec les apôtres de Jérusalem, qui « ne
savaient
exploiter la grande idée du Messie que pour charg
ou fiC, avec saint Paul ; il y fui martyrisé. Malheureusement, on le
sait
, le bruit a couru que ce dictionnaire avait subi
vos reins et carrément commencez la campagne. Dans le cas contraire,
sachez
vous résigner au silence; car, à ceux qui reproch
. Le somnambulisme se développait instantanément. La personne, qui ne
savait
pas nager dans son état de veille, se soutenait p
évu ne la réveillât de son somnambulisme, et ne la fit périr faute de
savoir
nager dans l’état de veille. Je recommande ce phé
ce qui a tant de rapport avec celle du magnétisme; influence qu'on ne
saurait
expliquer par les éléments chimiques qui constitu
ale inhérente à l’Océan, et que ni les physiciens ni les chimistes ne
sauraient
jamais rendre prisonnière dans leurs appareils. »
ce qui a tant de rapport avec celle du magnétisme; influence qu’on ne
saurait
expliquer par les éléments chimiques qui constitu
ale inhérente à f Océan, et que ni les physiciens ni les chimistes ne
sauraient
jamais rendre prisonnière dans leurs appareils ac
e chaque corps de la création. On peut lu diviser en cinq catégories,
savoir
: Io Magnétisme sidéral, ou influence des corps
e infailliblement à la connaissance de la vraie philosophie; et on ne
saurait
jamais trop sonder les Écritures, car, à chaque p
listes et aux alhées le repos de l’intelligence, car ils croient tout
savoir
et ils ne savent rien, pas même que leur intellig
ées le repos de l’intelligence, car ils croient tout savoir et ils ne
savent
rien, pas même que leur intelligence s’est ossifi
étrer encore et, si ce n’est que je n’ose douter de rien, car nous ne
savons
rien et nous ne pouvons préjuger de l’avenir, je
sera donné à l’homme de pouvoir sonder l’infini; mais, comme nous ne
savons
rien et que nous ne connaissons pas les desseins
n qui va exister, puisque, sans abandonner entièrement l’œuvre, je ne
sais
cependant quand je pourrai l.i reprendre. On me
les choses. Mon expérience et mon droit ne seront point contestés. Je
sais
tout co qu’ont écrit mes contemporains; j’ai vu h
on leur « remit une lettre de M. Le Roux dans laquelle il leur expo-«
sait
que les malades de M. Mesmer avaient reçu quelque
« L’entreprise de d’Eslon (2), » dit Grimm, un des adversaires, sans
savoir
pourquoi, du nouvel agent curatif, « prit une esp
a crédulité lui faisaient prendre pour surnaturels des faits qu’il ne
savait
pas expliquer. Aujourd’hui le flambeau peut Être
anciens Égyptiens et des Chaldéens, les plus anciens peuples que nous
savons
s’être occupés de magie (1). G. Wierus (2), dan
sages cités plus haut. Le témoignage de ce savant académicien, qui ne
saurait
être suspect, est du plus haut intérêt! car non-s
usage de miroirs magiques nommés unjoun ou lampes noires. Veulent-ils
savoir
quel démon afflige une personne ; car, pour les O
ccçur la figure en cire de celui que l’on voulait faire périr (1). On
sait
que l’envoûtement, qui s’est retrouvée chez les s
ncer, si la saturation de la personne magnétisée était en surplus. Tu
sais
que ta montre va admirablement bien, pourtant tu
bien et qui a combattu pour la vérité, éprouve des jouissances que ne
saurait
donner la fortune, et qui forment comme une auréo
649; — en Orient, de nos jours, 398, 652. Magnétistes (les) sans le
savoir
, 113. 202, 374. Mariages rêvés se réalisant. Je
iquer profondément, sans déterminer la moindre sensation. Désireux de
savoir
si, dans une telle circonstance, une magnétisatio
ent par sa volonté qu il obtient l’un ou l’autre de ces effets, on ne
saurait
le contester. La volonté précède, prépare et déte
la lutte éternelle du bien et du mal, d’Oromaze et d’Arimane; il faut
savoir
séparer le bon grain de l’ivraie, le temps qu’on
également prédit quelque chose pour dimanche 0 de ce mois, mais je ne
sais
ce que c’est. . Que conclure de tous ces faits,
t. . Que conclure de tous ces faits, qui se sont passés au vu et au
su
d’un grand nombre de personnes qui entouraient le
xpérience ou du crime, qui peuvent en abuser. Comment le faire? Je ne
sais
; c’est à la science à le déterminer. J. A. CON
tistes doivent être fiers de posséder dans leurs rangs des hommes qui
savent
vivre et mourir ainsi, car ils préparent le triom
et être invisible qui, d’abord caché dans un amas de matières dont il
sait
faire pourtant successivement et par addition un
au et les remèdes, prenez le couteau du chirurgien, celui-ci au moins
sait
ce qu'il fait : le médecin mécanicien jamais ne p
au moins sait ce qu'il fait : le médecin mécanicien jamais ne peut le
savoir
; s’il réussit, qu'il ne s'en félicite pas trop,
t rationnelles. 0 imagination! toi qui n’es rien, que de travail tu
su
.-; éviter à nos savants patentés ; que de mauvais
t même t’appartient; c’est la seule chose pourtant que ton pouvoir ne
saurait
embellir; cependant tu la fais parler! Imaginat
nt-ils encore du libre arbitre, du moi, ces philosophes modernes? Que
savent
-ils sur celte matière? Hélas! nous croyons nous a
essentielles sont soustraites à notre propre volonté : le cerveau ne
sait
rien de ce qui a lieu en nous-même, et ce qui par
fléchi, est excité, produit par des agents extérieurs ou internes qui
savent
se faire obéir. Où la véritable science manque,
tout est calme et tranquille, des pensées nous arrivent sans que nous
sachions
comment elles nous sont apportées. C’est ainsi en
chapitre la science officielle balbutie et sàit fort bien qu’elle ne
sait
rien. S’attaquant toujours aux organes quand il s
» Je doute qu’on puisse mieux définir l'eau magnétisée! Fïhdixand
su
. as. J’ai en ce moment un somnambule remarquabl
t-il que vous vous soyez endormi étant si éloigné de moi? — Je n’en
sais
rien. — Pourquoi vouliez-vous sortir par la por
vez-vous pas éprouvé bien des déceptions dans le choix de vos sujets?
Savez
-vous commander, diriger vos étincelles électrique
sujets? Savez-vous commander, diriger vos étincelles électriques, et
savez
-vous observer les effets qu’elles produisent? Je
s plus estimés du Midi : « Monsieur le rédacteur, « Tout le monde
sait
à quelles étranges illusions, à quelles . aberrat
cès, les conditions requises dans toutes les expériences magnétiques,
savoir
: un certain degré d'attention, de recueillement,
n’avait ni dictante ni crocus, mais des mots que pour tel usage elle
savait
puissants et magiques. Déjà il secoue loin de lui
igence, ayant des propensions, des facultés, des idées natives, qu’il
sait
posséder et qu’il peut diriger et perfectionner.
amis les plus ardents du merveilleux ne récuseront pas l’autorité, le
savoir
et l'expérience acquis". Nous laissons à sa lettr
fois, et ayant alors à peine échangé dix mots avec elle, et que je ne
savais
comment la magnétiser, n’ayant vu faire cette opé
ométrie étaient déjà connues, mais on n’y avait guère recours, que je
sache
, comme moyen de communication avec le monde spiri
ont partis devant nous; qui fait mention de faits que le questionneur
sait
n’être point connus du medium qui les exprime; qu
e pure, d’être encore réunis à, eux après notre mon.... III. « Nous
savons
maintenant ce que c’est que la mort: die est dépo
convaincus, et c’est à cela que j’attribue ce résultat incontestable,
savoir
: qu’il n’y a pas de véritable croyant au spiritu
sance. » (Falconi, Lettre à une fille spirit.) sensitives de l’àme,
savoir
: la rie pitr//a/irc. la rie unitive, l'oraison pn
que Dieu, qui nous envoie le mal, puisse l’Oter? « — Oui. «— Vous
savez
qu’il est dit dans l’Évangile : ((Demandez, « et
l’enthousiasme irréfléchi succédant à une incroyance absolue ; il ne
saurait
en être autrement ; le prodige nié hier, constaté
oup dans le monde de phénomènes étranges, que l’on attribue à nous ne
savons
quel agent mystérieux, et que l’on croit obtenir
rtager leurs supplices; enfin on se met en communication avec nous ne
savons
quelle âme du momie, dont la nôtre ne serait qu’u
r les missions que sa miséricorde ou sa justice leur confie. « Nous
savions
de plus cpie Dieu, dans son ineffable amour pour
tervention funeste des anges déchus dans les choses humaines. Nous ne
savons
que trop qu’ils sont pour 1 homme de méchants con
u’ils fomentent le foyer impur de la, triple concupiscence. Mais nous
savons
aussi que Jésus-Christ, par la victoire qu’il a r
rations comme agents ou comme témoins. 11 en est parmi elles, nous le
savons
, dont le caractère exclut toute supposition d’art
est d'une fécondité inépuisable dans les inventions de sa malice. Il
sait
même, quand il le faut, se transformer en ange de
ltes, et assez de fermeté d’âme pour 11e rien craindre des hommes qui
savent
moins que moi. Salut à ce siècle précurseur des
dire des éloges payés par le* parties intéressées. M“* Roger. Je ne
sais
pas si on a mis mon nom el mon adresse dans ce jo
encouragés à cette opinion par la tolérance du ministère public, qui
sait
, comme tout le monde, que Paris esl sillonné de s
is la trop grande bonne foi de ma cliente, sa trop grande naïveté, ue
sauraient
prévaloir contre la raison, et c’esl par ce côté
mpréhensible, p] :é dans son cadre physiologique : toujours la nature
sait
nous rendre raison dé ses phénomènes, seulement i
a nature sait nous rendre raison dé ses phénomènes, seulement il faut
savoir
l’interroger et la c omprendre. Agréez, cher co
tique. Si c’est un jeu, vous comprenez qu’un jeu de cette nature ne
saurait
se concilier avec la gravité de votre caractère;
s ne devez participer en aucune manière, sous quelque prétexte que ce
sait
, pas même par votre simple présence, à ces dang
lats ne comprennent-ils pas l’imprudence de leurs mandements, eux qui
savent
mieux que personne comi ien de gens professent da
point à discuter avec MM. Babinet, Moigno ét C1', sur la question de
savoir
si le miracle est ridicule. Un fait est un fait ;
ccupait ensuite à convertir les uns, à instruire les autres. . Vous
savez
, Monsieur, par les récits, 1 importance qu il att
le lui entretenait la santé par ses conseils. C’est là tout ce que je
sais
à ce sujet, sur lequel du reste il était fort dis
obstine à le refuser. Je dis, (7/c, c’est il qu'il faut dire. Je le
savais
déjà; tout le monde allait le savoir. On était
c’est il qu'il faut dire. Je le savais déjà; tout le monde allait le
savoir
. On était las, malgré le divertissement que plu
n croissait à mesure que se formait cet effroyable mot : Démon. Je ne
sais
pas vous rendre la terrible solennité de ces coup
nétisme animal. Leur résistance va très-loin, personnellement nous en
savons
, hélas! quelque chose. Mais que tous les amis du
ue chose. Mais que tous les amis du progrès se rassurent, car elle ne
saurait
tenir bien longtemps encore devant les con- quê
descendant dans le souterrain qu'on nomme salle Bonne-Nouvelle. On ne
savait
que faire pour ennuyer le public ; alors on a pri
hysique de son emploi. Kn revanche, si l'actrice no dort pas, on ne
saurait
en dire autant du public. Après, il est excusable
us offrait, ou bien se prenait-il au sérieux? Voilà ce que je n’ai pu
savoir
au juste. Triste, triste, triste ! SpecUcle aff
sprits. A défaut de cette précaution, nous ne pouvons véritablement
savoir
à qui nous avons affaire, et nous avons toute lib
re. Nous admettons la possibilité de ces communications ; mais, on ne
saurait
trop le répéter, plus un fait s’écarte des lois c
e réel et a besoin de s'élancer dans les sphères idéales; ce qu’il ne
sait
pas, il le pressent, il le devine, et souvent ses
ions impossibles aucun des faits de cette dernière classe; car, on ne
saurait
trop le répéter, on ne peut assigner la limite du
AMBULISME. — PRÉVISION. A U. le baron du Pote/. Monsieur, Je ne
sais
si vous avez gardé le souvenir de ma lettre du 1"
’irrite. Nous avons peur. Un cri perçant et soutenu nous arrive je ne
sais
d’où ; cette vibration l’emporte, il ne tient plu
ait le calife Almamoun, il il lui demanda arrogamment qu’est-ce qu’il
savait
donc, en astrologie, plus que les autres professe
ette science, pour s’élever comme il faisait, et se faire courir. «Je
sais
, • lui répondit Alkendi, cc que vous ne savez p
t se faire courir. «Je sais, • lui répondit Alkendi, cc que vous ne
savez
pas, et vous « ne savez pas ce que je sais. » Ou
ais, • lui répondit Alkendi, cc que vous ne savez pas, et vous « ne
savez
pas ce que je sais. » Ou convient d’en venir à la
t Alkendi, cc que vous ne savez pas, et vous « ne savez pas ce que je
sais
. » Ou convient d’en venir à la preuve, et que le
der fixement dès qu’il fut entré, lui dit d’un ton d'inspiré : « Je
sais
qui vous ôtes, et ce que vous serez; vous vous «
asser. C’est qu’il faut laisser son [corps à l’entrée; c’est qu’on ne
sait
pas si l’àme reviendra dans ce corps fail cadavre
blier leurs travaux. Je ne puis m’empêcher pourtant de dire que s’ils
savaient
quelque chose de réel, ils seraient plus discrets
ivez. — Mais comment les employer? — Si vous êtes magnétiseur, ne
savez
-vous point qu’ils peuvent sortir et se fixer au c
tie de conserver jusqu’ici son manuscrit en portefeuille. Il faut lui
savoir
gré de s'être décidé à faire part au public du ré
n sujet qu’on aurait pu croire usé, tant il a été exploré, l’auteur a
su
être original, il enrichit la science en lui appo
hysiques, l'àme serait incapable de se manifester, et nous ne pouvons
savoir
ce qu’elle deviendrait. L’homme ne nous est connu
phénomènes qu’il revendique, qu'il peut faire naître à volonté, qu’il
sait
diriger dans un but utile, tandis que les crises
gination? Comment, avec cette imagination, la nature et votre profond
savoir
, n’opérez-vous pas les mêmes effets que vous semb
ales et contraires se neutralisent : attendons de nouveaux faits pour
savoir
qui gagnera la partie. Mais ce qui est acquis dès
utenons ressemble à la guerre. M. le Dr du Planty est, comme chacun
sait
, maire de sa commune et décoré de plusieurs ordre
ait bien de soutenir une institution aussi utile ; mais aucun n’avait
savoir
suffisant pour être à la tête, et elle périclitai
à-dire à l’employer à tâtons, puisque ce n’est que par la suite qu’on
savait
s’il convenait. Cette pratique obscure était pour
rencontrer. M. Winnen est connu de tous les magnétistes, et chacun
sait
combien il y a de bonnes pensées dans son cœur. D
lus ardents et ses plus sérieux détracteurs. « Henni BAI LE. » On
sait
que depuis lors M. Olivier a cessé de vivre ; voi
eur, indépendamment du cercle restreint qu’il s’était tracé ? Nous ne
savons
. 11 faut dire que l’Espagne est un pays où bien d
tribunal de la raison pour y rendre compte de leur pouvoir et de leur
savoir
. Sans doute, après vérification, on trouvera une
le monde. Mais pour accomplir une si haute mission, que peut-il, que
sait
-il, que veut-il ? 11 ne daigne pas nous le dire,
cacher son nom sous l’anagramme; cet artifice n’empêchera personne de
savoir
comment il s’appelle, et le déguisement est toujo
nnête femme. « Nous avons demandé souvent à des magistrats que nous
savions
croyants au magnétisme, pourquoi ils poursuivaien
J'étais sûr d’avance que M. Babinet était un savant, et un savant qui
sait
(soit dit sans vouloir offenser aucun de ses conf
t, mais c’est un homme d’esprit; non-seulement il a de l’esprit et du
savoir
, mais je connais de lui des traits qui prouvent q
nous n’avons pas encore vu cela. — Allez toujours, dites ce que vous
savez
là-dessus. —Je ne m’en suis jamais occupé. —^ Ave
ion peut consister dans le mouvement des membres, déterminé, comme on
sait
, par la contraction des muscles transmise par une
ut creuser le sens de l’enseignement de M. Babinet. D’ailleurs, il le
sait
fort bien, en mécanique, qui est une science posi
peut agir et agit quelquefois sur autrui. Seulement, il voudrait bien
savoir
comment se produit cette action. Et moi aussi, je
ir comment se produit cette action. Et moi aussi, je voudrais bien le
savoir
, et même, sans être aussi ambitieux, je voudrais
bien le savoir, et même, sans être aussi ambitieux, je voudrais bien
savoir
comment l’action de nia volonté fait mouvoir mon
s extenseurs. Comment ma volonté fait-elle contracter les muscles? Je
sais
que pour que les muscles puissent se contracter s
de circuits et d’anastomoses, le muscle avec la masse médullaire. Je
sais
qu’on suppose un courantnerveux analogue aux cour
un être sur lui-même nu sur les autres..... je le dirais si je le
savais
; mais, hélas! je ne le sais point. Km supposant
les autres..... je le dirais si je le savais; mais, hélas! je ne le
sais
point. Km supposant que je sache en physiologie
le savais; mais, hélas! je ne le sais point. Km supposant que je
sache
en physiologie ce que savent les plus habiles, je
e ne le sais point. Km supposant que je sache en physiologie ce que
savent
les plus habiles, je ne serais pas bien savant, d
ayons le courage et la franchise de l’ignorance là où s’arrête notre
savoir
. Non, nous ne savons pas comment s’opère l’action
la franchise de l’ignorance là où s’arrête notre savoir. Non, nous ne
savons
pas comment s’opère l’action de la volonté d’un ê
e la volonté d’un être sur les autres, pas plus que les astronomes ne
savent
comment s’opèrent les attractions de planète à pl
. Nous sommes heureux que M. Babinet, malgré sa position (t) Nous
savons
que l'attraction n'est qu'une hypothèse ; ce qui
magnétique, — communication d'une influence nerveuse. Comme nous le
savons
, de cette influence nerveuse, de l’action magnéti
dicte la volonté. Eh bien ! pour prendre mon exemple au plus près,
sais
-je quels mouvements mes doigts ont exécutés pour
cunement conscience, appliquer une multitude de règles apprises je ne
sais
à quelle époque et niellées je 11e sais où dans u
tude de règles apprises je ne sais à quelle époque et niellées je 11e
sais
où dans un coin ignoré de ma mémoire? Dussent l
nts présenter la conclusion sous cette forme grotesque : — l’homme ne
sait
généralement pas ce qu’il fait. Que chacun exam
u mouvement, soit une résistance à la rotation ; et cependant vous ne
savez
pas le reconnaître. Que deux personnes se place
appellera son attention sur l’expérience, qu’il lui est impossible de
savoir
au juste s’il suit le mouvement ou s’il l’aide.
ns de magnétisme animal, et c’est surtout pour eux que nous écrivons,
savent
qu’il existe une série fortement nuancée d’états
, sont connus de ceux qui se sont occupés de magnétisme. Mais ceux-là
savent
aussi combien l’imagination des sujets soumis à c
haîne et les modifications physiologiques qui en peuvent résulter. On
sait
combien l’accélération des pulsations ou la dimin
rculation, excite l’imagination; la digitale pourprée, qui (t) Nous
savons
que les effets de la crise ne sont pas admis par
r eu la conscience de ce qu’il allait faire, quelquefois même sans le
savoir
. J’attache une grande importance à ces expérien
es impressions personnelles dont ils n’ont pas la conscience. Aussi
su
(lit-il qu’un des membres de la chaîne, ou mèue q
qui soulève le meuble, influencé par la pensée de son vis-à-vis. On
sait
qu’il y a bien d’autres causes que la magnétisati
pour faire connaître la vie physique ou la vie intellectuelle. Nous
savons
qu’il est d’honorables exceptions; pour 11e dénon
sont « ton intelligence; nos facultés sont tes facultés; tu vois I tu
sais
! tu aimes! « Ta mère entend tes paroles ; elle
it un léger mouvement oscillatoire, le medium dans l’état de crise ne
saura
pas être la cause elficiente du mouvement. Ains
s liistériques, etc., sont contagieux, (leux qui ont observé les fous
savent
combien de fois il arrive que l’hallucination de
ine si le grès s'est rassemblé ou non sur les lignes nodales, et l’on
saura
positivement si le son est réel ou illusoire. C
t contre son principe : « La première de toutes les sciences est u de
savoir
ignorer, » on doit espérer, pour ne pas dire être
t h Paris ; l'année prochaine, il y en aura probablement trois. On le
sait
, aucune salle ne pouvait nous contenir tous ; la
e n est pas permis, mon rôle n’est point d’être votre prophète; mais,
sachez
-le, chers compagnons, les prodiges réalisés par l
n âme ulcérée. n En nous rappelant la mémoire de cet homme éminent,
sachons
, Messieurs, que le bien console. « Aubin Gauthi
ont les travaux littéraires el scientifiques attestent les labeurs du
savoir
, est mort jeune encore. Il servit notre cause san
nous devons vous parler du présent et envisager l’avenir. « Vous le
savez
, chers collègues, le magnétisme gagne chaque jour
souffrances, Messieurs, car en elles seulement se trouve la source du
savoir
. « Ceci dit pour le présent, voici, Messieurs,
Et pourtant, dans ce chaos où la raison s'abime, de cel état que nons
savons
produire, Im lumière jaillit. L’éternité répo
nons savons produire, Im lumière jaillit. L’éternité répond a qui
sait
appet.er! « Est-ce à dire qu’il faille bannir l
siens ne soupçonnant rien au delà des sens, établissent sur ce qu'ils
savent
des doctrines immorales ou incomplètes. Pour nous
souvent supérieurs à la raison, nous reconnaissons facilement le vain
savoir
de nos faux philosophes, nous rejetons les élucub
ce comme d’autres courent à la fortune, qui te trouvais partout où tu
savais
des douleurs; tu as eu la fin des forts, tu es mo
s crainte de voir s’assombrir les visages ; disciples de Mesmer, nous
savons
que la tombe n’est pas l'éternel repos, qu’en ell
étique, se produiront partout à volonté, diront bien haut ce que nous
savons
, nous, magnétistes, et que tant d’autres semblent
« Parmi des millions de faits, j’ai pris un des plus simples ; vous
savez
pourquoi je l’ai choisi, cliers collègues : il to
dans nos annales, Civilisation. — Barbarie. Ce que nous appelons
savoir
. Avec uno emphase pompeuse, Se borne à la rai
n'élait rien...; le seul être Qui pùt et comprendre et connaîtra, Ne
savait
pas encor aimer; Et l'homme, quand son cœur est
ait l'espace, Et pour découvrir une place D’où tout embrasser, tout
savoir
1 Cet homme s’appelait Mesmer. En suivant tou
ou créer la sottise; Ton bras étend ou paralyse Les facultés et le
savoir
; Par un artifice admirable, Aux flancs animés
irages Décorer le front des nuages De ses fantastiques Édens... Qui
sait
? ce reflet de la terre Voile peut-être le mystè
le peut-être le mystère Des bords où »'en vont nos destins... Qui
sait
co que pont révéler Lo sol d une aussi vasle scèn
re à quia ? a D’une si folle prouesso n Du Potct peut so moquer; a II
sait
où lo bât vous blesso, « Et c’est là qu’il va p
vez-vous, disséquant l’homme, a Vu bien clair dans ce chaos? « Vous
savez
comment on nomme « Ses nerfs, ses muscles, scs os
ude vous enflamme, « Là sont vos plus beaux exploits ; « Mais quo
savez
-vous do l'ôme, « De la vie et do ses lois? «
uo) A la Faculté de.... Monaco, Où mon somnambule incognito Avait
su
pénétrer tout de go. Sur le magnétisme et son c
retentit jusqu'au mont Viso Et lit frémir la source du Pô, Que l'on
sait
fort loin de.... Monaco. Lo président, ex abrup
ste à l’Académie, et voici la cause de ma subite admiration. « Vous
savez
, Messieurs, que la section des sciences morales a
veaux, nous allons les inscrire dans no3 archives, afin qu’un jour on
sache
quels furent les hommes de bien qui contribuèrent
de magnétisme, et le somnambulisme était leur seule ressource. On ne
savait
pas alors, dans ce pays, que l’agent producteur d
s? Il y a, dit Deleuze à ce sujet : « Une vérité sur laquelle je ne
saurais
trop insister, c’est que lorsqu’on occupe les som
me une simple crise nerveuse, qui est dans l’ordre naturel, et qui ne
saurait
faire découvrir des connaissances étrangères à ce
aire-néral du Jury magnétique. Monsieur et bien-aimé frère, Je ne
saurais
comment vous exprimer le bonheur que j’ai éprouvé
faut en accuser mes forces qui m’ont trahi. Mieux que personne, vous
savez
ce qu’il faut de forces physiques pour que le cor
l’esprit soit saisi de la puissance d’un dévouement sans bornes. Vous
savez
, comme moi, que vous ne produisiez pas à volonté
pas de continuer mes recherches sur tout ce qu’il nous reste encore à
savoir
dans cette matière si intéressante ; je continuer
e l’on puisse s’étudier durant l’opération ; elle est trop courte (on
sait
qu’elle peut être répétée plusieurs fois dans une
t qu’elle peut être répétée plusieurs fois dans une minute) ; mais je
sais
par expérience que tout le monde n’est pas apte à
ais par expérience que tout le monde n’est pas apte à y concourir; je
sais
aussi par expérience que si l'on veut faire abstr
mêmes conditions, il est nécessaire d’employer plusieurs forces; et,
sachez
-le, Messieurs, il faut qu’elles soient réellement
dans des lieux où aucune action chimique ni aucune phosphorescence ne
sauraient
se développer ; « 3° Par des sons mystérieux se
x-neuvième siècle, on confond facilement la vérité avec l’erreur ; on
sait
ce qu’on a . appris, on a le discernement des cho
tait, outre des cures aussi rapides que nombreuses, tel paysan qui ne
savait
point même lire, et n’en improvisait pas moins de
que bien d’autres, avait traité pour cinquante mille écus de tout le
savoir
du maître; et, à ce tort de jugement, il joignit
ement), affirmant qu’on ne lui avait rien appris au délit de ce qu’il
savait
déjà. i Ce même comte d’Avaux s'était fait le s
nt ces paroles de Gall : « Quand on prend la voie de la nature, on ne
sait
jamais où l’on s’arrêtera, » une note ainsi conçu
i partout avec honneur, parce que c’est toujours la preuve d’un grand
savoir
. M. Gregory joint à toutes les qualités qui vou
mieux et que ses idées s’enchaînent plus facilement. Elle nous fait
savoir
elle-même qu’elle a un appétit eon-sidérable, ce
fut adressée par lui à M. Houlet, dans le courant de février, afin de
savoir
si cette maladie, qui est si rebelle à la médecin
— Restera-t-il longtemps daus cet état? — Deux minutes. — Peux-tu
savoir
ce qui a produit cette raideur? Vois-tu quelque c
tables tournantes et l’ayant rendu lucide pari’électro-biologie pour
savoir
ce qui faisait mouvoir la table, ce même sujet m’
des choses à rire; je vous prie de croire qu’il se passe en moi je ne
sais
quoi qui s’est emparé de tout mon être. » 11 étai
un instrument dangereux et redoutable entre les mains de ceux qui ne
savent
pas s’en servir, ou qui s’en servent dans un mauv
i sages et si justes de M. Clément lui-même, il est bien compris dans
su
théorie et bien exercé dans sa pratique. Je m’e
li avec une infatigable persévérance le rôle de Gemma, et il faut lui
savoir
gré de toutes les aimables contorsions, de toutes
e magnétisme n’en existe pas moins, et toutes les injures du monde ne
sauraient
empêcher sa propagation. On n’effacera pas d’un t
plus loin l’analyse, on en trouve même quatre très-distinctes. Je ne
sache
pas que cette division ait été clairement indiqué
e à M. Bellanger, ce sont les faits. Il analyse parfaitement ce qu’il
sait
; mais comme plusieurs choses paraissent lui être
lumineux que j’en fus ébloui à fermer les yeux..... ensuite je ne
sais
plus ce que je vis, car je perdis la conscience d
fait un grand dégagement d’électricité dans l’acte de la respiration.
Savez
-vous comment MM. Pouillet et Becquerel vont expér
issement considérable annihile l’électricité. » Tout mesmériste qui
sait
réfléchir cinq minutes à l’œuvre fluidique de ses
son inertie, ramener à l’intelligence des têtes ineptes, et donner le
savoir
à l’ignorance; il ouvre la porte de l’avenir à no
ance mesmérique, ne sont que des obstacles insignifiants; car elle ne
saurait
avoir de limites matérielles. Ah I mes chers an
t avoir de limites matérielles. Ah I mes chers animaux, que je vous
sais
gré de m’amener ainsi au milieu des naturalistes,
nerte, parce qu’elle manque de manifestation, comme chez l’idiot. Qui
sait
si les histoires miraculeuses du chien qui parla
ien qui parla à Cimon l’Athénien, lorsqu’il s’éloignait du Pirée; qui
sait
si la prophétie de l’ânesse de Balaatn ne seraien
nt payés d’un mot qui confond tout et n’explique rien, car il reste à
savoir
ce qu'est l'excitabilité. Mais si je dis : les
et l’on voit très-bien qu’il désigne par là les procédés de Deleuze.
Savez
-vous, lecteur, pourquoi le grand naturaliste ne f
vert; sans lui répugner, les choses qui sont au dehors de ce cadre ne
sauraient
jamais être pour lui l'objet d’une faveur active.
éprouver une sensation à l’approche d’un corps sans le toucher. Je ne
sais
si le changement de température qui peut avoir li
es rajuster, pour combler un vide ou détruire une cicatrice difforme,
sait
-on en vertu de quelle force les lambeaux saignant
r le physicien, mais très-compréhensible poux tout le monde; et qui
sait
si le temps est loin où 1 on pourra prouver ce fa
musculaire, en établissant un courant factice ; mais Vélectricité ne
saurait
reconstituer les rapports des muscles et du systè
ce glaciale. Par quel mécanisme ces faits se produiraient-ils ? Je ne
saurais
le dire, mais toujours est-il qu’une cause occult
douleur ou le bien-être ; quand, de l’homme qu il a devant lui, il ne
sait
pas s’il va faire un idiot ou un çlemi-dieu! Dr
lle, et signaler ces infamies à nos contradicteurs mêmes, afin qu’ils
sachent
que nous n’ignorons rien de ce trafic qu’il ne dé
saient, en les touchant, les scrofuleux ; ils accomplissaient sans le
savoir
des œuvres magnétiques. Bientôt ils auront en mai
s bien longtemps oflicielle-ment reconnue. En l’an VII, Mesmer, qui
savait
combien sa découverte avait de chances de triomph
é ces alternatives, les malades ne furent pas laissés à l’abandon. On
sait
que la maison de Puységur fut toujours ouverte à
. Non content de faire tourner les tables, on les fit parler, et Dieu
sait
quel flux de bavardage inonda notre mobilier. Mai
de ma mère ; elle me répondit sans la moindre hésitation : Non. Je
savais
d’ailleurs qu’une personne en somnambulisme conna
dité plus grande, ce qui d’ailleurs s’explique facilement; car chacun
sait
que le jeûne aiguise singulièrement les sens. J
uis, prêtez toute votre attention à ces sublimes arcanes. Vous voulez
savoir
ce que c'est que la magie! Imprudents! quand on
’exercice; 011 lui doit un prix pour son invention. La science, on le
sait
, invente rarement; elle se montrera donc généreus
e funeste présage, dont toutefois il demeura lui-même très-frappé; on
sait
que sa destinée miraculeuse l’avait rendu, plus q
en marchant dans votre chambre où 11e se trouvent que peu de meubles,
savoir
: un lit du côté de la porte, un secrétaire, puis
issez l’honorabilité, la franchise si grande de notre digne ami, vous
savez
la confiance entière que doivent inspirer son tém
être que de l’imitation exagérée. MM. Hébert et Bartbet ont, comme on
sait
, proposé de faire servir ce curieux état à la tra
sseur de chimie ; il a cultivé avec succès les sciences positives; il
sait
observer, analyser, mesurer ; il est habitué à ju
un jour, comme par hasard, si elle connaissait ce personnage. Elle ne
savait
pas davantage que M. Napier eût écrit la vie de M
ait parfaitement rendu compte de ce qu’elle renfermait. Comme Emma ne
sait
pas lire, il faut que le sens de la lettre lui so
on père, enseveli dans un linceul. Son père vit encore, et je ne puis
savoir
pourquoi elle vit ce spectacle plutôt qu’un autre
me lorsque je le magnétisai, il y a six semaines, dans l’intention de
savoir
s’il était, suivant vos observations sur l’hérédi
onde), 19 novembre 1855. (Union médicale du l/i janvier 1854.) On
sait
que les corps solides transmettent le son beau-co
ot cite un mort, Itard, comme l’ayant précédé dans cette voie. « J'ai
su
depuis, écrit-il, qu’Itard, longtemps avant moi,
aient conduit le savant auteur à instituer ces utiles expériences. On
sait
que les araignées sont très-mélomanes, au point d
d, de ces ruines à peine aperçues, des hommes marqués par la Divinité
sauront
reconstruire l'édifice brisé ! Cette puissance qu
rines, il n’est pas étonnant qu’ils résistent : étudiant à peine, ils
savent
mal et concluent faussement. — Sous le titre de
Mesmer qu’aux théories des magnétiseurs plus modernes. Mesmer, on le
sait
, admettait un fluide universel, agent de tous les
M. de Morogues les ait bien ou mal expliquées (ce que nous ne pouvons
savoir
), elles nous semblent importantes. Ce que nous
semaine d’avance, les matières dont ils traiteront. Ils avaient fait
savoir
qu’ils produiraient une grande manifestation pour
ssertion contenue dans la lettre d’un médecin étranger à 11. Deleuze,
savoir
: que lorsque deux somnambules de tempérament] et
nécessaires pour qu’ils pussent multiplier leurs cures, qu’eux seuls
savent
opérer. » Procédés magnétiques, restes de l’ant
de voir des char-latuns, des hommes à secrets, des gens enfin qui ne
savent
rien, réussir ou la science échoue? Si la réflexi
t a commencé par dire qu’en acceptant le patronnage de la Société, il
savait
qu’il encourrait le blâme et le ridicule; mais qu
re.) —"Que faut-il faire pour vous guérir ? — Oh ! monsieur, vous
savez
mieux que moi ce qui est nécessaire pour cela ; f
ossède dans la main et dans la pensée; ce qui manque à tous, c'est le
savoir
, la manière de s’y prendre pour opérer, la résolu
aies ; car pour moi, je le répète, la puissance existe, sans que l’on
sache
d’où elle vient, quelle est sa nature, sa limite
e, et leur ignorance des faits de nature deviendra manifeste. Je ne
sais
si l’ignorance disparaîtra de la terre et si le c
, le génie du mal combat à armes égales celui du bien; moi-même je ne
sais
en ce moment si je dois rire ou pleurer. Possesse
ître, forcé de travailler quand mes organes exigent le repos, — je ne
sais
parfois s’il n'eût pas mieux valu pour moi l’erre
comme la mienne, a un but caché, mystérieux ; — vous obéissez sans le
savoir
à une force secrète. Si vous n’avez point les tou
ent ? Les religieux ensorcellent quelquefois leurs pénitentes sans le
savoir
; n’a-t-on pas jadis brûlé pour ce crime plusieur
doute. — Fort bien. Ma seconde condition est que tu verras tout, tu
sauras
tout, tu comprendras tout. Acceptes-tu ? — En v
as tout. Acceptes-tu ? — En vérité, vous plaisantez, docteur. Je ne
sais
comment vous remercier : au lieu d’une faculté, v
ez deux. Comment ne pas accepter? — Comprends-moi bien : Tu verras,
sauras
et comprendras tout ? — Vous êtes le plus bienf
arole me suffit; une parole donnée ne se déchire pas comme un billet.
Sache
que, dans ce inonde, rien ne se perd, rien ne s’a
le froid, n dans le sommeil et dans la veille, sur le bois et sur le
sait
ble, en joie comme en peine ,ret dans toutes les
es jambes étaient brisées par les brodequins, elle qui n’avait jamais
su
qu’un mauvais patois ; fit entendre ensuite plusi
e de force saignées, de force bains, de force purgations, et de je ne
sais
combien d’autres expériences que lit sur elle la
par l’esprit de sa grand’mère morte ; elle l’aperçut seule; mais, au
su
et vu de plusieurs témoins dignes de foi, certain
de l’air, qu’elle frappait ainsi. Pareil voyage a été fait, comme on
sait
, par plus d’un esprit autre que celui de la voyan
blier cette proposition émise dernièrement par M. Hébert (de Garnay),
savoir
: que le magnétisme pourrait servir, comme le gal
mander aux malades ce qu’ils avaient éprouvé, parce que la plupart ne
savent
pas s’observer et ignorent d’ailleurs à quels fai
étaient point lancés à leur poursuite. Où était la sagesse? Je n’en
sais
rien. Dieu a confondu les os de tous, la mort n’a
r trouvé ce que je cherche, j’entre en matière. M’y voici. Nul ne
sait
d'où rienI le vent et où il va; nul même d'entre
sait d'où rienI le vent et où il va; nul même d'entre les savants ne
sait
qui le pousse et dirige, tous obéissent à leur na
our vivre longtemps. Vous avez tous raison, mes bons amis, et je ne
saurais
vous blâmer. Faire parler de soi est un crime;
ertes, ce ne sont pas les éléments qui manquent ; honneur à celui qui
saura
en former un faisceau, et utiliser, dans l'intérê
ne dans le fond, elle n'ajoute rien pourtant & tout ce que l’on
sait
du magnétisme, il vaut mieux, ce nous semble, lai
et de les remplir de feu. Qu’est-ce donc que le magnétisme? Nul ne le
sait
; et tous s’évertuent à le définir. Il est comme
rions entièrement toutes ces lois. Nous sommes bien éloignés d’un tel
savoir
. Nous appelons lois de la nature quelques règles,
difficile; c'est un acte do générosité dont lous les magnétistes leur
sauront
gré. lade, afin de pouvoir toujours contrôler l
9° Étudier au même point de vue l'influence des tempéraments , pour
savoir
si l'action s’exerce mieux par voie de similitude
es dames qui ne connaissaient pas un mot de cette langue. Ce qu’il en
sait
lui-même est si peu de chose, qu’il était obligé
ie a été mise en mouvement et a écrit les lettres M. B. Personne ne
sut
quel était le personnage dont la présence était a
ables à ceux dont on a « l’habitude d'y faire usage ; mais je ne puis
savoir
quel est n l’homme couché sous l’arbre. » M "'L
n qu’il avait sa mère et un frère vivants dans l’État de...... qui ne
savent
pas sa mort ni son voyage au Mexique, et qu’il
embre de la famille Laurie n’avait entendu parler de Mure B.... ni ne
savait
rien de sa fin tragique. a. s. MORIN. VARIÉTÉ
ne, je la garantis, car j’étais engourdi, me voilà réveillé ! Je ne
sais
pourquoi j’ai toujours besoin d’une sorte de prol
ssi chancelante. Poursuivons : « Qu’est-ce que le surnaturel? On ne
saurait
le définir à l’égard de Dieu et de l’ensemble rée
te à l’expression ordinairement lente et solennelle de pensées que je
sais
n’être pas les miennes; j’entre en conversation a
le, et à la tète de laquelle se trouvaient des hommes de mérite et de
savoir
, animés des meilleures intentions. Cependant elle
Ce n’est pas assez que d’avoir du bon vouloir, de l’intelligence, du
savoir
, de l’expérience même, pour diriger et administre
préambule montre l’intention de mener rondement les choses ; reste à
savoir
comment s’exercera cette initiative. Il est vrai
peine à faire mieux. 11 n’y a ni rature, ni interligne. 'Le medium ne
sait
rien de ce qu’il écrit, si ce n’est que les mots
iétude qui indiquait le désir de me voir et de converser avec moi. Je
sus
depuis que c’étaient réellement les sentiments qu
erre livre généreusement ses trésors à qui les veut prendre ; elle ne
sait
dire ni oui, ni non ; elle n’a point de caprice,
à un étage supérieur et s’alimentant des vapeurs qui y montent, il ne
sache
rien de ce qui se passe en bas. Mais toutes ces f
i sert de guide à l'homme et qu’il accepte comme unique source de son
savoir
, lorsque pourtant il reconnaît à chaque instant e
du sommeil ; tandis que, replongé dans le sommeil, l’être retrouve et
sait
tout ce qu’il a dit, tout ce qu’il a pensé, tout
des matériaux précieux, mais on attend encore l’architecte habile qui
sache
en faire le triage, les coordonner et en composer
t les analogies par la comparaison fort ingénieuse que voici : « On
sait
généralement que la pile de Volta se compose d’un
s, blasés, las de toutes choses, ils vivent sans vivre, et la mort ne
saurait
les priver de rien. On appelle gens raisonnables
11 est vrai qu’ayant porté leurs soins sur la distillation , ils ont
su
tirer du grain un abondant alcool. Ils en étaient
nue de son temps, les savants lui firent mépriser cette puissance. On
sait
ce qui en advint. Le magné- tisme à son tour fu
hesse, un pavillon composé de trois parties dans l’ile du Rhin. Je ne
sais
qui imagina d’y placer de sottes tapisseries repr
avait surtout un regard d’une profondeur presque surnaturelle; je ne
saurais
rendre l'expression de ses yeux : c’était en même
e cardinal embarrassé, accoutumé à trouver partout des courtisans, ne
sut
quelle contenance tenir. Cependant il s’ap-procha
sulter cet homme, et la crainte de contrarier M. d’Oberkirch, dont je
savais
l’éloignement pour ces sortes de mômeries, put se
ragons qui passait pour fort malade acheva de le diviniser. « Je ne
savais
pourquoi le cardinal tenait à me gagner plus qu’u
cajoleries ; le pauvre prince n’agissait pas de lui-même. Cagliostro
savait
mon amitié intime avec la grande-duchesse (de Rus
né un rhume, et elle aussi. « Nous gardâmes la chambre;... et je ne
sais
pourquoi nous primes l’idée de songer aux événeme
it eu pleurant : « 11 arrive souvent des malheurs aux czars, et qui
sait
le « sort que le ciel réserve à ma pauvre fille !
ord. M”" d’Oberkirch rapporte ainsi ses paroles, page 356 : « Je ne
sais
comment on parla de pressentiments, de rêves, de
pouvais pas en fuir le * rayon. « — Ah I dis-je à Kourakin, je ne
sais
ce que j’éprouve, « mais c’est étrange ! « Je t
* nom : « — Paul ! * Je répondis machinalement, poussé par je ne
sais
quelle * puissance : « — Que veux-tu? * — P
ce par le fantôme, et a j’avoue qu'en y retrouvant cette statue je ne
sais
quelsen-ii timent s’emparera de moi. J’ai peur d'
ne « m'accuserez pas de vous l'avoir fait attendre sans mérite. » « —
Savez
-vous ce qu’elle prouve, monseigneur, pour-« suivi
qu’il mourrait jeune et de mort violente....................... On
sait
qu’il fut assassiné le 16 août 1792. M”* d’Ober
uvence ; pourtant cette fontaine là fut peut-être la seule qu’ils 11e
surent
point ouvrir. « M"" la duchesse de Bourbon croy
es ? C’est ce que la suite n’apprend pas. Il faut arriver à 1786 pour
savoir
ce qui se passait dans ces réunions. Voici commen
ent étonnante, me racontant des choses qu’il était impossible qu’elle
sût
. Elle m’annonça pour l'avenir des choses qui se s
n — Est-ce vrai? demanda M. de Puységur. « — Oh ! comment peut-elle
savoir
cela? murmura-t-il. « — Voulez-vous qu’elle se
’un ton sérieux, doit-elle continuer? « — Oui, oui, je préfère tout
savoir
. Si cette femme ne « m’aime pas, qui aime-t-elle?
te vous attirer lorsque vous reviendrez, *. vous faire signer je ne
sais
quels papiers, pour vous lais-« ser libre, et si
vous * voyez ! » «11 nous raconta alors ce que personne au monde ne
savait
que lui, et ce qui, par conséquent, lui semblait
is elle dit d’elle-même qu’elle désirait parler au maréchal. « — Je
sais
ce qu’il va me demander, et j'ai des choses a tri
sée. « — Vous vous préoccupez des affaires du temps ; vous « voulez
savoir
quel sera l’avenir de la France et surtout ■« cel
in n’en avait certainement jamais entendu parler, il était curieux de
savoir
si ses paroles se rapporteraient à celles du visi
rt précieux. I)u reste, nous n’a-« vous pas longtemps à attendre pour
savoir
à quoi nous en « tenir. » n Ce sang-froid du gu
n départ. Il est actuellement en Suisse, occupé du même soin, et nous
savons
qu’il y obtient les plus grands succès. M. Lafo
cures nombreuses et quelques expérimenta remarquables attestent qu’il
sait
faire usage de la force magnétique dans les cas l
cipal mérite de M. Lafontaine aux yeux des mes-mériens, c’est d’avoir
su
préférer, en thérapeutique, le magnétisme au somn
e au moyen d’un secret facile à découvrir dans le jour, mais qu’on ne
saurait
trouver à tâtons. Comment avez-vous pu l’ouvrir?
’écarte beaucoup mieux selon les probabilités que mon adversaire ; je
sais
beaucoup mieux que lui débiter les cartes, et cep
l ne suffit pas, pour la démasquer complètement, de la dénoncer. Je
sais
combien souvent l'on est tombé dans ce sophisme :
es, il est vrai, et qui doivent servir à sa plus grande gloire ; car,
saches
, messieurs, que 1e. magné- tisme est tout divin
ui reconnut que l'un d’eux était sourd d’une oreille, ce que lui seul
savait
et ce qu’il n’avait jamais communiqué à qui que c
tenté l’entreprise, et tous ont reçu de cruelles blessures. — Je le
sais
; mais la peur avait glacé leur sang, ils manquère
de blanchir, et le volume d’une tête n’est pas toujours une preuve de
savoir
. — Quoi! tu verrais sans pâlir la tête de Flour
ur général. — Vous n’êtes pas allô trouver M. du Potet? Et M"" Roger?
Savez
-vous ce que c’est que Mm* Roger? Il y a trois moi
SME. CONSIDÉRÉE COMME MOYEN D'EMPÈCHER LES SOMNAMBULES DE MENTIR.
Savoir
distinguer le vrai du faux dans les dépositions d
ce ou de paresse. Eh bien ! il en est de môme du magnétiseur; il doit
savoir
que rien ne limite son action , et qu’il obtiendr
on , et qu’il obtiendra des résultats d’autant plus merveilleux qu’il
saura
mieux l’employer; en voici la preuve : Mme Géno
de magnétiser ; mais nue rigoureuse analyse peut les réduire à deux,
savoir
: i° La magnétisation directe, c’est-à-dire l’a
age qu’elle reconnut que j’avais disparu; mai3 où étais-je? elle n’en
savait
absolument rien. Elle prit une lanterne, et, à fo
que ma nature ne changeât. Apprendre! A quoi bon? me disais-je; je
sais
déjà tant de choses ! je connais tous les sentier
s dans les yeux; «“lies ne nie venaient point de la souffrance, je n«
savais
ce qui les faisait couler, et quelle était la cau
partie de sa fortune, et je devenais un embarras. D’un homme qui ne
sait
rien, que fait-onî Un soldat ; je n’avais point d
t accordées aussi par la lutte, quand on a l’esprit juste. Mais je ne
savais
point lutter, l’éloquence me faisait défaut, ma c
triompher la vérité. J’étais pourtant heureux et fier de mon petit
savoir
; il était bien à moi, je ne le devais 'a personne
1. APOSTOLAT. Par cinq années d’études, je m’étais préparé, sans le
savoir
, à ce que j’allais entreprendre. Sommes-nous les
lée, analysée presque dans toutes ses parties; on a pesé le globe, on
sait
ses dimensions, comme ses ascensions dans l’espac
n’est qu’effet; la cause c’est un agent subtil : quel est-il? Je n’eu
sais
rien... Je me trouvais donc dans une situation
guérison. Et, m’étonnant de me trouver un aussi grand médecin sans le
savoir
, j’acquis la certitude que l’ignorance des hommes
ue les médecins même m’égalaient en ânerie. Comment donc arriver nu
savoir
? Par 1 etude, sans doute; mais tous travaillaient
ef du magnétisme. » Oh! oh ! mes maîtres, je vous remercie; mais j’en
sais
déjà plus que vous. Vous êtes d’une grande droitu
on apostolat; comment, avant d’être professeur, il me prit l’envie de
savoir
quelque chose de ce que je voulais enseigner; et
utres hommes, j’évitais, autant que possible , de l’être moi-même. Je
savais
que l’obscurité est la compagne de l’homme sur la
nifique langage, quoique j'aie à vous parler de grandes choses ; vous
savez
mon histoire, je n’ai point appris'la langue acad
agnétisme semble s’étre incarné en moi, et pour connaître ce que j’en
sais
, il faut que l’on par-courre le chemin que j’ai s
je me croie plus infaillible que tous, mais je veux prouver que j’ai
su
découvrir quelque chose de ce qui élait caché à b
hé à bien des yeux. Je m’attends bien que beaucoup diront : Mais je
savais
ceci, cela, puis encore cette chose. C’est un tra
ce à leurs tardifs aveux, et je leur dis aujourd’hui : Vous tous, qui
savez
tant de secrets nouveaux, ne vous laissez pas d
crire une page ; car une page suffit pour dire clairement ce que l’on
sait
de cet art important, et son point de départ; mai
ime à trouver un compagnon pour marcher pendant la nuit, surtout s’il
sait
la roule. Rien encore ici n’indique le chemin, on
e l’Espagne, plus féconde en grands hommes qu’aucune autre nation, ne
sait
que rebuter et châtier le génie de ses enfants; q
direction les passes et les attouchements qu’elle lui indique. Elle
savait
par expérience que les chats sont plus sensibles
nce... Que nos savants ot nos propriétaires observent à leur tour. Us
sauront
bientôt à quoi s’cn tenir. (Pairie). Les exta
rant la tête d’un voile qu’il avait imprégné de son haleine (1). Nous
savons
, et nous espérons le démontrer par la suite, que
st une science ; elle marche, elle avance, elle découvre : ce qu’elle
sait
aujourd’hui, elle l’ignorait hier. Elle est donc,
épendant ? Mesmer était très excusable de la juger ainsi. Mais il 11e
savait
pas que cette nation allie à un amour extrême des
« En vain recherchait-on les causes d’une pareille mortalité; on ne
savait
à quoi l’attribuer, lorsqu’un hasard des plus gra
lorsqu’un hasard des plus grands en a dévoilé le mystère. « Chacun
sait
qu’on a établi depuis un mois, au boulevard du Te
échauffaient mon âme par leur rayonnement, ils la trempaient sans le
savoir
, et lui donnaient la fermeté, le courage. Puis
sse voulu être le second, non le premier; ce rôle m’écrasait. Je ne
savais
point alors qu’un professeur pouvait devenir illu
elui qui prend possession d’une chaire, fasse à l'instant éclater son
savoir
; car il doit résumer dans sa personne toutes les
re tomber un dernier fruit. Sa séve a besoin d’être excitée, et je ne
sais
point dans ce moment si elle pourra monter jusqu’
nue par le travail de toute ma vie, par un labeur si grand, que je ne
sais
plus aujourd’hui où j’ai puisé les forces pour ré
ortun. Comprenez-vous maintenant la difficulté, et comment je ne puis
savoir
si je pourrai la vaincre? Si on m’eût transmis un
st obstruée. Est -ce qu’ils s’étonnent jamais de vivre? est-ce qu’ils
savent
rien de la vie? Ce qui les remue, les pousse ou l
r est tout à fait étranger. Lorsqu’ils frappent leur cheval, celui-ci
sait
d’où vient le fouet : il connaît son maître. L’ho
st-ce l’esprit, est-ce un hôte incommode qui veut être obéi ? Il n’en
sait
absolument rien. Quelquefois même une inspirati
ce sa raison qui parle et l’avertit? Non; c’est un éclair parti on ne
sait
d’où, qui traverse la chair et laisse voir pendan
t ce que l’obscurilé empêchait de saisir. Le grain jeté en terre ne
sait
pas qu’il germera, il obéit à une force inconnu
e leurs pensées ; ce n’est que par devoir que je prends une plume; je
sais
qu’elle serait mieux placée en d’autres mains ; m
nsidèrent comme un utile auxiliaire de la clinique. Il faut seulement
savoir
s’adresser â des magnétiseurs expérimentés. Ceux
périmentés. Ceux dont nous publions les noms plus haut offrent, on le
sait
depuis longtemps, toutes les garanties désirables
est accueilli religieusement par le crédule et naïf troupeau, qui ne
sait
qu’obéir aux ordres qui lui sont si despotiquemen
u importe. Les ordonnances étaient-elles signées ? Le témoin. Je ne
saurais
le dire; je ne me souviens pas bien. M. l’avoca
me Bridaut et son fils? La prévenue. Ça me serait impossible, je ne
sais
nii lire ni écrire en français. Mm* Bridaut, qui
Et vous croyez à tout cela ? — R. Non; mais quand on est malade, vous
savez
; alors elle m’a ordonne de me laver la tète avec
nambule; ils n’assistaient pas à la consultation, et conséquemment ne
savaient
rien de ce qui s’y dit. Quant à la femme Tourni
. D. Vous n'êtes pas sûre ? — 11. J'ai pas assez d'instruction pour
savoir
si elle dormait, je ne sais pas lire. D. list-c
— 11. J'ai pas assez d'instruction pour savoir si elle dormait, je ne
sais
pas lire. D. list-ce que vous pensez avoir la p
lé prennent le tilre de médecin, chirurgien, accoucheur; le public ne
sait
pas ce que c’est qu’un officier de santé, il croi
au milieu de ces ténèbres. Est -ce un bien ? Est-ce un mal? je ne le
sais
; mais si jamais ils parviennent à fixer les lueu
ut. Seulement, il n’a pas besoin de signer ses articles. Toutefois,
sachez
-le bien, adeptes du fluide, mes-mériseurs et magn
n la raison majeure, la raison déterminante, c’était celle-ci : « Qui
sait
? la chimie est bien habile ! il y a des secrets
ransportez-moi soudain à une grande distance, et je proclamerai votre
savoir
immense. Mais toutes mes prières ne pouvaient les
se. Mais toutes mes prières ne pouvaient les convaincre de ma soif de
savoir
et de mon insistance, tous se montraient courrouc
s; vous n’êtes point sur la route où vous croyez marcher. L’homme qui
sait
dit peu ; mais it fait voir beaucoup. J’irai dema
j’osai, dans ce séjour de l’incrédulité, marcher droit à l’ennemi. On
sait
le' résultat : brisant le doute d’un de ces espri
rder en face un médecin, un académicien , et de dire à tous deux : Je
sais
plus que vous, car je fais ce que vous ne pouvez
ent de meilleurs jours, en étudiant toujours davantage; car ce que je
savais
me laissait voir clairement que je n’étais encore
nciennes; le magnétisme y est pratiqué par des hommes qui, hélas ! ne
savent
plus l’origine et les éléments de celle science d
e-moi force et courage ; ce n’est pas assez de sentir, il faut encore
savoir
peindre, et ma voix n’a point de charmes ni d’écl
yait autrefois sur les places de Home, de Memphis et d’Alexandrie, en
savaient
plus que nos Instituts sur tout ce qui tient à la
, il y a plusieurs siècles. Pour ce qui concerne sa biographie et son
savoir
, je n’ai puisé aucune notion dans la lecture des
totale de la conscience. « Combien de temps je restai ainsi, je ne
saurais
le dire; mais j’éprouvai un retour complet du sen
ts d’ouvrages dont les magnétologistes n’ont point encore parlé. On
sait
avec quel sans-façon Napoléon tranchait les quest
ne, mos facultés soni dos phénomènes; car tout « cela est, et nous ne
savons
lo définir. « Je vous quitte ici, continua-t-il
rien retenu, sinon qu’elle avait relevé ses jupes pour montrer je ne
sais
pas quoi. (Rire général.) Après l’interrogatoir
s la lucidité admirable de M11' Sursin, habitante de cette ville ? On
sait
que le 24 juin 1848, avant qu’aucune nouvelle ait
e civile qui désolait la capitale et le sang qui coulait à flots : on
sait
que sa clairvoyance a été mise à profit pour trai
scientifique, à quelques-uns enfin des qualités transcendantes : il a
su
faire régner la variété dans l’unité. Il faut bie
suivant laquelle il devra distribuer les aptitudes aux hommes ? Nous
savons
que les talents les plus remarquables, dans quelq
arrive à quelques-uns de voir bien des choses que la vue ordinaire ne
saurait
atteindre. Mais cette faculté, si remarquable qu’
au magnétisme réel, tel qu’il est pratiqué et enseigné, mais à je ne
sais
quel système fantastique dont nous n’avons pas à
rganiques. Quant aux faits qui résultent de la liberté humaine, je ne
sache
pas qu’aucun défenseur sérieux du magnétisme ait
nous, par de pareils écarts, d’apprêter à rire à nos descendants. Qui
sait
si avant dix ans, la question du magnétisme n’aur
se Patrix : depuis un an et demi qu’elle habite Nogent, tout le monde
sait
que sa conduite a été irréprochable, elle s’est f
public ne peuvent tenir aucun compte de vains bruits recueillis on ne
sait
où ; tout, dans cette enceinte, doit être grave,
des flammes éternelles : nous parlons devant des hommes du monde qui
savent
excuser quelques faiblesses ; et parmi ceux qui m
ec succès : mille accidents contre lesquels la ruse la plus habile no
saurait
se mettre en garde, feraient tomber le masque et
communications sympathiques, qu’on a (raiiées d’impossibles. Je ne
sais
ce que signifie l’allégation d’impossibilité en p
t le somnambulisme étant quelque chose de fort peu connu, personne ne
sait
comment s’exerce la lucidité, ni ne peul en fixer
comment s’exerce la lucidité, ni ne peul en fixer les conditions; on
sait
seulement qu’habituellement elle n’a pas lieu d’u
our prescrire souvent certains remèdes. Mais la question n’est pas de
savoir
si elle choisissait les remèdes les plus efûca-
ts précis et établir ainsi que la personne qui a prescrit des remèdes
savait
qu’ils étaient sans efficacité, et a menti à sa c
s, ce n’est pas M1“" Rose qui les a inventés ; le ministère public le
sait
mieux que personne, puisqu’il nous a raconté si l
ous retracer la fameuse scène du carmin qui a égayé l’auditoire; vous
savez
jusqu’où Mm' Chapelle a poussé la passion de conn
de la perception du son. Tous ceux qui ont observé les sourds-muets,
savent
que le passage d’une diligence ou d’un tambour qu
rien à démêler avec les monopoles. Elle s’est entendue, comme vous le
savez
, avec M. Anctin, docteur en médecine, qui s’est s
animée. L’esprit français, qui brille surtout par un bon sens exquis,
sait
en toutes choses faire prévaloir la raison et l’é
pour des questions légales auxquelles il ne comprend rien -, mais il
sait
apprécier ceux qui rendent des services à l’human
aré..... Quoi ! ceux qui étaient malades depuis bien des années, au
su
et au vu de tout le voisinage, et qui avaient en
ifficultés. « Vous prescrivez des feuilles de cassis; tout le monde
sait
qu’elles n’ont aucune action sur l’organisation.
eau. C’est donc là une préparation sans vertu......„ Je dis : Qu’en
savez
-vous ? Le camphre que vous aurez retiré de l’ea
reproché à M. Anclin ; car, quand même il serait vrai que celui-ci ne
sût
pas au juste la composilion du pancliymagoyue et
n trouve exagérés. Voilà encore un reproche des plus étranges ! Je ne
sache
pas qu’aucune loi ait tarifé les salaires des som
u’un en- voijé du Ciel doit songer à «le telles misères ?...» Je ne
sais
où l’on a vu que les somnambules fussent envoyés
our ramener l’équilibre des fonctions organiques. « Le médecin qui ne
sait
pas s’orienter dans le petit monde, affirmait Pa-
t pas s’orienter dans le petit monde, affirmait Pa-racelse, et qui ne
sait
pas apprécier l'influence des pôles, n’est pas di
Tardy de Montravel (2), réfléchit fortement le fluide, mais on 11’en
sait
pas la raison. » Nous avouons que nos observati
ou ce qu’il espère reste toujours debout à la périphérie de ce qu’il
sait
. Etrange problème ! Cependant, malgré leur contac
au-dessus ni au-dessous de la médiocrité, il se montrait désireux de
savoir
et très-porté à s’informer. Et même , suivant le
fin plongé dans l’extase. Nous avons interrogé un de ses intimes pour
savoir
si, à son état normal, il a le souvenir de ses vi
’extase, et avec si peu de changements dans sa physionomie, cfu’on ne
sait
réellement pas si on parle à un voyant. Mais co
fu’on ne sait réellement pas si on parle à un voyant. Mais comme il
sait
que cette tension continue de ses facultés pourra
e mystique cependant, par sa théorie spiritualiste. Aujourd’hui, nous
savons
qu’il ne suit aucun culte, qu’il paraît n’avoir a
idole; et ses belles institutions m’apparurent comme des monuments de
savoir
el de philosophie. Mais la discorde vint la troub
bliques,- et le peuple, appréciant favorablement mon caractère et mon
savoir
, me confia la direction de ses affaires. » Ce p
i que sa brillante armée, furent noyés ou détruits. » Tout le monde
sait
que le livre de l’Exode dit for-mellement que, pa
euple hébreu, conduit par Moïse, traversa la mer rouge à pied sec. On
sait
également que l’observation des phénomènes physiq
nborg ; lorsqu’il est l’objet de la plus grande somme de gloire et de
savoir
que l'Etre-Eternel puisse accorder à sa créature,
lté qui spécifie le caractère dominant de cet extatique. Et lorsqu’on
sait
, comme nous l’avons dit au commencement de cet ar
u commencement de cet article, que Davis se montrait très-désireux de
savoir
et très-porté à s’informer; que, même, il posséda
e ses correspondants. Le mérite de ses écrit» dépend donc du degré de
savoir
de ses fournisseurs intellectuels. Effectivement,
intellectuels. Effectivement, un fait bien significatif, et qu’on ne
saurait
trop signaler, c’est que Davis, dans ses révélati
pas de révélation, mais simple assimilation, emprunt involontaire du
savoir
d’autrui. Nous ne serions même pas embarrassé pou
vingt-cinq, n’aurait pas pu acquérir directement une pareille dose de
savoir
. taire allégorique et mystique de la loi mosaïq
c’est par ses yeux que les esprits voient les choses de ce monde. Ne
sait
-on pas que l’organe visuel doit être complètement
té. Pardon, pardon , permettez; mon gendre est endormi par moi; il ne
sait
pas ce qu’il dit une fois dans cet état; il donne
-devant maire de Cincinnati. « Interrogée au sortir du sommeil pour
savoir
combien de temps elle croyait avoir dormi, la pat
a raideur du bras cède; elle observe que sa poitrine est noire, je ne
sais
à quoi attribuer cette coloration; est-ce produit
ant de jour en jour, l’enfant dépérissait à vue d’œil ; le médecin ne
savait
plus qu’en penser. C’est dans cet état que j’ai c
e, pourquoi serait-elle plus réfraclaire aux influences curatives? Ne
savons
-nous pas, d’ailleurs, que la puissance musculaire
lle où chacun cherche le triomphe do la vérité par les conceptions du
savoir
et des œuvres d’humanité. Tous les assistants c
donne la forme et leur dit d’exister. Découverte si grande, qu’on ne
sait
encore comment l’exprimer. «Oh! Messieurs, nous
répulsions, puis encore l’insensibilité la plus profonde. Et, vous le
savez
, Messieurs, c’est avec cet agent que nous guériss
n désespérante, un amas de nuages au travers duquel l’intelligence ne
saurait
pénétrer. Science indigne de l’homme, fatale à l’
e; maintenant le magnétisme est en tout lieu, et, à cette heure, nous
savons
que beaucoup de nos frères, placés bien loin de n
ne m’apparlient point d’être votre prophète, Messieurs, mais pour qui
sait
lire, il est écrit symboliquement ces sentences d
de Mesmer était vivante dans tous les cœurs, et que M. du Potet avait
su
, sinon interpréter son génie, du moins saisir le
t bien nous faire rétrograder. Et comment en serions-nous surpris? Ne
savons
-nous pas que le vrai progrès moral, social et hum
errière eux, les vrais mesméristes, humbles interprètes de la nature,
sauront
, à force de patience, de courage et de tempérance
ienfaits comme art et comme science, il doit être vulgarisé, car nous
savons
tous que l’isolement empêche de donner à une œuvr
« I.a raison, isolée, peut s’égarer; le concours des intelligences
sait
comparer. « En un mot, l’individu propose, et l
use, et l’influence du Jury s’en estgran*-dement accrue. Pour qu’on
sache
à quoi le magnétisme est bon, ce qu’il peut produ
oyens de la formuler. Mais les germes poussent ot grandissent; nous
savons
que bientôt l’arbre portera ses fruits : fruits d
sant. Or, tout cela ne regarde en rien les magnétiseurs purs et ne.
saurait
leur être appliqué, à moins qu’ils ne prescrivent
qu’une personne déclarée compétente couvrît de la responsabilité d’un
savoir
légal des prescriptions médicales. Des condamna-
rs honnêtes, aux somnambules véritables de prêter le concours de leur
savoir
, les lueurs de leur merveilleuse lucidité, au tra
ique sur les êtres vivants de la création, même sur les animaux. Yous
savez
tous à quel point la mélodie exalte l’imagination
mixte, qui n'est ni le ciel, ni la terre, et qui, en fin décompté, ne
saurait
nous intéresser que comme spectacle (i). * Nous
ns cas donnés, avoir une importance extrême; mais il est essentiel de
savoir
le diriger. Du reste, cette science de directio
délires..... que ma pensée se rappelle encore, mais que ma plume ne
saurait
tracer; car l’infini ne saurait se renfermer dans
ppelle encore, mais que ma plume ne saurait tracer; car l’infini ne
saurait
se renfermer dans vingt-quatre lettres. Eh bien !
’émotion d’un semblable moment pour moi; si elle allait se guérir?Qui
sait
où la science deMcsmer a commencé? Qui fait où el
r des touches invisibles, qu’elle parcourt avec une agilité que je ne
saurais
peindre. Les deux enfants, à qui cette improvisat
n’a plus souvenance des larmes d'hier..... « Won père est fort, il
saura
ne pas pleurer; puis il sait ma future demeure :
s d'hier..... « Won père est fort, il saura ne pas pleurer; puis il
sait
ma future demeure : et la vraie richesse, c’est l
De là-haut.je te suivrai toujours, je t’aimerai toujours..... El tu
sais
, l’amour, c’est la puissance de sentir et d’ent
iblit ;..... nne note s’en échappa, si pleine de religion et de je ne
sais
quel sentiment indicible; qu’involontairement j’a
ns : Lumière menteuse, lu n’es qu’obscurité ! O mon maître! si vous
saviez
comme je révère vos mains, quand je songe qu’elle
ent! » La Société m’acquitta sur ce chef avec une loyauté dont je lui
sais
un gré infini, car malheureusement, à notre époqu
ralise chaque jour dans ses mains, et qui s’est confirmé dans ce cas,
savoir
: l’hérédité de sensibilité magnétique. Voici u
rtant, et ce concert a fixé un instant l’attention du monde. Nul ne
saura
jamais tout ce qui a été dit à cette occasion, ni
n moins favorable du même fait. « Monsieur le rédacteur , « Je ne
sais
si toutes les somnambules dorment, mais il est av
it tant de lois des faux savants : leur mauvaise foi est patente. Ils
savent
que nous sommes sincères, mais ils aiment mieux
journaux de médecine. Mais aujourd'hui chaque médecin un peu instruit
sait
que le magnétisme existe : c’est donc gratuitemen
in-quanle lieues qui nous séparent, nous étions avec vous; car nul ne
sait
mieux que les magnétiseurs, que pour la pensée
tisme. Elle n’avait pas besoin de se rendre elle-même chez lui; on le
sait
, ces messieurs de la clairvoyance 11c font rien c
ns d’appeler l’attention des hommes sérieux sur cette double vie. Qui
sait
si ces deux modes d’existences, qui pour nous ne
ronde ; ce qui doit en sortir peut rénover le monde, lit, Dieu seul
sait
si ce ne sont point là les temps prédits qui doiv
s un cours public de physique expérimentale, développé avec un rare
savoir
, il arriva enfin à la leçon du magnétisme, qu’il
attendant, nous allons nous occuper du magnétisme minéral. » Je ne
saurais
trop louer cet honorable savaut d'avoir su s’af
minéral. » Je ne saurais trop louer cet honorable savaut d'avoir
su
s’affranchir du servage qu'impose la science olli
ie, les magnétiseurs ne le contestent point; mais un homme n’a pas pu
savoir
tout : ars long a, vila brevis. Le magnétisme est
dont la vie entière avait été livrée à l’étude du magnétisme. Rien ne
saurait
différer plus ouvertement du mode d’emploi tracé
e médicaments sonl indispensables pour la curation des maladies. Vous
savez
par quel endroit ils pèchent ; vous savez qu’ils
curation des maladies. Vous savez par quel endroit ils pèchent ; vous
savez
qu’ils ne connaissent nul des effets dirccls des
mpêché de paraître. Oh! sans doute, M. J. I»., Hahnemann n’a pas pu
savoir
tout... Mais, en matière médicale, il a su plus q
, Hahnemann n’a pas pu savoir tout... Mais, en matière médicale, il a
su
plus que tons scs devanciers, puisqu’il en a le p
principe unique, identique partout dans ses infinies variétés. Je le
sais
, vous dites, vous : Notre magnétisme est loin d’ê
rien l’opinion qu’on soutient contre nous. A quoi nous sert aussi de
savoir
ce qui sc passe dans les rapports magnétiques ent
es faits, mais il ne les observe pas : « A quoi nous sert, dit-il, de
savoir
ce qui se passe dans les rapports magnétiques ent
e par une simple passe que par des séances longues et répétées. Qu’en
sait
-il?... Puis, « il a vu Monrose dans la perturbati
du Dr Loysel à Cherbourg, de celles du Dr Esdaile, de Calcutta , nous
savions
à quoi nous en tenir sur cette ressource, à notre
demi-lieue d’ici ? — Oh ! oh ! reprit le paysan d’un air malin, je
savons
ben qu’il entend. » M. Récamier enjoignit au ch
, qui sera pourtant, je l'espère , de quelque utilité chez nous. Vous
savez
déjà, monsieur le baron , qu’il y a longtemps que
seurs en général. J’écris pour les ignorants, pour les savants qui ne
savent
pas ce que c’est que le magnétisme, et ceux-là, j
udieront, et laisseront derrière eux les savants ; enfin, que nous ne
savons
rien , théoriquement, bien entendu, et que notre
devoir est d’interroger la nature et d’accepter ses réponses. Vous
savez
que le Dr Elliotson, le Dr Engledue et autres, qu
gnétique, que j’identifie avec l’odvle (od) delteichenbach, mais sans
savoir
si c’est un lluide , pas plus que l’électricité e
visions causées par le cristal magique; mais en fait de magie vous en
savez
plus que nous tous; je voudrais seulement que vou
s demander de plus amples renseignements sur vos découvertes. Je ne
sais
si je vous ai déjà dit que M. le D' Bennctt, prof
ons, c’est mon adversaire qui a commencé la lutte; et je leur ai fait
savoir
qu’ils ne pouvaient rien faire, lis craignent le
ugeant mon livre, il ne faut pas oublier que j’écris pour ceux qui ne
savent
absolument rien du magnétisme, et non pour les ma
dans l’une el l’autre méthode, à tel point que sous ce rapport on ne
sait
à laquelle des deux donner la préférence. Ce ne s
xtase; cela dépend peut-être plutôt de lui que de son procédé; car on
sait
qu’il y a des personnes qui font l’office d’éleig
onnes éveillées, et sur cinquante neuf préalablement endormies. On ne
sait
par conséquent pas encore dans quelle proportion
, sur mon offre de 5 francs, il n’a accepté que 5o cen- times. J’ai
su
depuis que tous ses pareils en agissaient de même
foie. La masse extraite, dure et de forme à peu près sphérique, pe-
sait
une livre et cinq onces, cl contenait, à son cent
ait malade, obsédé, avait changé de demeure « et ne voulait pas qu’on
sût
oû le trouver, afin de « goûter quelque repos...
corps. Si la cause de ces étonnants effets reste cachée, du moins on
sait
que les magnétiseurs ont coutume de magnétiser to
point souffert. Je lui avais arraché une dent l’année précédente ; je
sais
qu’elle est très-timide et qu’elle redoutait beau
te et plus en détail. Nous allons établir une enquête, dans le but de
savoir
pourquoi les mêmes sujets se trouvent amenés tous
ignorent totalement la vraie philosophie de celte science. Nous ne
savons
pas si la biologie a été breveté«, ou si MM. Burr
cours. Je doute qu’il y ait quelque succès, car on l’a déjà vu et on
sait
ce qu’il fait. Un M. Shaw, qui l’a déjà aidé dans
y a d’ailleurs des gens à qui il répugne de demander un service qu’on
sait
être gratuit, mais qui n’hésiteraient point s’il
à M. Fiske que je voudrais bien payer pour apprendre, mais que je ne
saurais
m’obliger à vendre le peu que je puis acquérir. I
’a pas le mérite de la nouveauté dans l’invention de ses pôles : vous
savez
que le prétendu « pôle électrique» a déjà été div
. Mais en voilà bien long; il est vrai que c’est, sinon ce que j’en
sais
, du moins tout ce que j’en crois. Ne voyez dans c
r, que l’électro-biologic soit du magnétisme animal, ou quelque chose
sut
generis, ses phénomènes merveilleux n’en existent
amplement connu; le tour de son compagnon viendra bientôt, et chacun
saura
à quoi s’en tenir sur l’électro-biologie et ses r
e vous-même me charme ; nous verrons bien si vous reculerez, car nous
savons
le point où vous en êtes. DU TOTET. (La suite
out; mais 011 trouve encore bien des gens qui en parlent sans en rien
savoir
, et c’est dans l’espoir de les aider à s’éclairer
es éléments de la vie; et si beaucoup de gens en parlent sans en rien
savoir
, c’est que nul n’a pu dire encore ce que c’est qu
as moins réels. On nc sail guère ce qu’esl le magnétisme; maison ne
sait
pas davantage ce qu’est la vie. On a dit : « le m
nct, à son insu, et qu’il fait quelquefois du bien ou du mal, sans le
savoir
, sans le vouloir. Qu’il s’étudie, et qu’il médite
e profonde sur les choses les plus ordinaires, les plus communes. Que
sais
-je? n’est-ce pas encore la devise du sage? Tout n
core la devise du sage? Tout n’est-il pas mystère autour de nous? Que
savons
-nous, en effet? Tout n’échappe-t-il pas à notre i
mbrasse, qui régit tout. C’esHBticore une vieille habitude, et Dieu
sait
s’il est facile d’en secouer le joug! de séparer
me devrait être exercé sous la surveillance «les médecins, si nous ne
savions
, et nous regrettons de le dire, que les médecins
médecins (sauf quelques exceptions remarquables autant que rares) ne
savent
rien du magnétisme, quelque grandes et variées qu
de ceux qui magnétisent sont privés de cette santé irréprochable. Qui
sait
si ce n’est pas là une des principales causes de
ts essais. Nous ne cherchons qu’à éveiller l’attention de ceux qui en
savent
encore moins que nous, dans l'espoir qu’ils voudr
s que nous ne devons faire attention à des dénégations dont le public
saura
faire justice ; dans des aperçus aussi rapides il
anais. Monsieur, Les homéopathes admettent le magnétisme, vous le
savez
, comme 1111 des plus puissants remèdes; mais ils
nombreuses. Oui. ce que messieurs les allopa-ihes appellent, sans le
savoir
, calmants, ne sont que des agents nuisibles, aux
er que l'application du magnétisme dût s’arrêter là. Par exemple, 11e
sait
-on pas que la condition la plus favorable à la ré
affreuses de celte prédisposition, auxquels la médecine ancienne n’a
su
opposer que des barrières impuissantes, sinon dan
les allures allo-palhiques, vous diles comme eux : « Par exemple, ne
sait
-on pas que la condition la plus favorable à la ré
élas ou mercure doux, par exemple, que l’allopathie dirige, sans trop
savoir
pourquoij contre les cas désespérés. Encore un no
cial que l’homéopathie démontre résider dans ces trois virus que vous
savez
. Nous attendons le témoignage de vos deux honorab
mélioration que celle que vous aviez laissée n’a été obtenue. Nous ne
savons
, comme vous l’avancez, si c’est par commodité que
du maître du logis, et la promesse de deux plaisirs fort alléchants,
savoir
: la vue gratis du prince Jérôme Bonaparte, et un
idigitation. J’attendais d’Alexis des preuves plus concluantes de son
savoir
et de sa lucidité. « Elles ne se firent pas att
première fois, M. Berthon , ancien élève de la marine, fut curieux de
savoir
si Alexis connaîtrait quelque particularité de sa
otet, la science du magnétisme en est encore aux tâtonnements; et qui
sait
même si le secret poursuivi par ces laborieux inv
ce, est un miroir aussi trompeur souvent qu’il est fidèle, et l’on ne
saurait
aveu- glémenl s’y fier. Que faire donc? Étudier
nce. Il parle de Saint-Médard, des affections dues à l’imitation, que
sais
-je? de toute autre chose que de ce qui devait êtr
e l’humanité. Vous barrez le chemin à ce qui est juste et vrai, on le
sait
, et on vous prend pour ce que vous valez. Mais lo
nement, que la génération actuelle juge ces grands hommes, et qu’elle
sache
que l’Académie se résume en Flourens. DU POTET.
beaucoup plus subtile, plus active, émanée de l’éther, et qui fai-
sait
couler avec elle les principes du mouvement et de
s mots en abrégé d’un discours formel, en partie « entremêlé de je ne
sais
quelles figures d’animaux, « en partie des accent
suite de son malheur, s’adressant à Dieu par de grandes prières, pour
savoir
la cause de cet accident, il lui fut répondu par
sentiment me dit que je fais le mal en louchant à ces choses ; je ne
sais
d’où il vient, et ce qui me le donne; peut-être m
e l’instrument soit assez puissant, c’est-à-dire au moins de la force
sus
mentionnée. Le mouvement doit s’effectuer de la t
er que je ne suis pas un visionnaire. Notre corps est, comme chacun
sait
, chargé de plus ou moins d’électricité ; les nerf
celte seconde magnétisation. Une jeune dame, présente et curieuse de
savoir
comment on magnétisait, tomba à mes côtés dans un
— Qui vous a dit que je travaillais à un travail sur l'âme? — Je le
sais
, parce que je le sens. — Crovez-vous que je soi
rtout par le grand désir que j’éprouvais do vous être utile. » J’ai
su
que cette dame était entrée seule en somnambulism
quoi un crétin est si pou susceptible au magnétisme. Le fluicliste ne
saura
que répondre; le spirilualiste dira: Le magnétism
t ce sommeil el le combattent quand elles le sentent venir ; elles ne
savent
pas qu’en repoussant ainsi l’eflet elles repousse
uérir soi-même existe probablement chez tout le monde, mais nous n’en
savons
pas encore assez pour la développer indistincteme
dons, et clic est facile; car il y a des somnambules partout pour qui
sait
les trouver : il n’y a qu’à les chercher par la m
rquoi nierions-nous ? Parce qu’il ne s’accorde point avec ce que nous
savons
? La belle raison ! Connaissons-nous toutes les pr
ns. d’une merveilleuse beauté. Quoiqu'é-levée dans le pays, elle n’en
sait
pas le patois, son langage (quand il lui arrive d
trouvera un appui dans ces révélations intuitives et naturelles ; qui
sait
même si un jour les faits d’intuition no seront p
inconnues, c’est-à-dire la moitié de ce qui existe eu ce monde; elle
sait
ce qui est mu, elle ignore ce qui meut, l’esprit
ignée ou méconnue. Et lorsque le moment sera venu de dire ce que j’en
sais
, des voix s’élèveront pour m’accuser, et on dira
de leur corps, qu’ils entretenaient dans un grand état de pureté. Ils
savaient
que le corps est comme une éponge, qu’il s’alimen
tique, suivant leurs propriétés moléculaires. Quant aux animaux, nous
savons
qu’ils ressentent, ainsi que l’espèce humaine, l’
îv, p. 35. (3) Hist. nat., lib. vu. (4) lbid, lib. 28. (5) Or.
sait
que dans plusieurs pays, on tire un parti avantag
te d'une affection nerveuse. Ce phénomène ne peut nous surprendre; ne
savons
-nous pas qu’autrefois les prophètes faisaient leu
ite, ou règle la circulation nerveuse. Toute la difficulté consiste à
savoir
l’employer à propos et à saisir habilement l’indi
x individus privés de raison, c’est comme si on posait la question de
savoir
si lel remède évacuant ou tonique est utile aux m
qui avaient le plus de confiance dans la puissance magnétique. Je ne
saurais
dire où j’avais puisé tant d’assurance, et cet es
e l’homme qui se dévoue pour vous sauver! » Depuis six ans, vous le
savez
, cette pauvre fille, paralysée des bras, des cuis
es et les différents régimes auxquels elle fut soumise. Il suffira de
savoir
qu’elle a; été saignée quatre-vingt-cinq fois, et
me que la maladie est ancienne et remonte à plusieurs années. Je ne
saurais
, en finissant, m’empêcher de faire un retour sur
du public; car, je suis fâché de le dire, les médecins en général ne
savent
encore rien du magnétisme, et il n’y a rien dans
cité* qu'il n’y a pas moyen de résister aux preuves, que ne rien en
savoir
n’est pas une recommandation pour un médecin, alo
atre ans environ. Vers le milieu de 1847, quelques hommes désireux de
savoir
, par leur propre expérience, si le magnétisme est
lairvoyancepositive et des relations loyales. Espérons que le parquet
saura
distinguer le sincère exercice d’une faculté natu
les pastilles n° 3, ordonnées au témoin entendu. Le -prévenu. Je ne
sais
pas ; c’est la somnambule qui les a ordonnées. Je
sais pas ; c’est la somnambule qui les a ordonnées. Je n’aurais pu le
savoir
qu’en la remettant en état de sommeil. M. le pr
le président. Fille Dufay, qu’est-ce que c’est? La prévenue. Je ne
sais
pas ; une fois éveillée, il ne faut rien me deman
üte 3 il fera plus que vous entendre, il cherchera à Vous deviner j à
savoir
si voüs ôtes sincère* et vous demandera jusqu’aux
combat, et la justice veut le combat au profit de la vérité. » Ils
savent
, comme nous , combien cetto maxime de Frapart est
st certain s’ils se joignent à nous. La résistance sera vaine si nous
savons
nous entendre. Les lumières répandues dans l’espa
ais si l’on considère maintenant le magnétisme commo un fait qu’on ne
saurait
nier, malgré toutes les résistances et toute l’op
s abîmes qui peuvent mettre en danger le pilote inexpérimenté s'il ne
sait
conduire sa barque d’une main assurée. Il en résu
x qui voudront s’assurer du fait en cherchant à le produire eux-mêmes
sauront
magnétiser. Quatrième expérience. ACTION SUR
ge et nous nous mettons en face de lui, sans le toucher; plus tard on
saura
pourquoi. Nous nous asseyons et tâchons toujours
seur, ici, a déjà besoin de connaître son outil, car il peut, sans le
savoir
, contrarier la nature en voulant l’aider. Ailleur
ndre ensuite lorsqu’elle a un nom. Notre marche sera plus assurée. On
sait
d’ailleurs que le magnétisme a été bien rarement
i vous y ont conduit; c’est à l’éviter que l’on doit alors songer. On
sait
après si l’on n quelque courage. Se connait-on ja
le corps humain par des intelligences qui leur sont innées sans qu’on
sache
comment? C’est cependant ce qui est sur le point
dans la tête d’un seul homme de génie ; l’apparition de cet homme ne
saurait
être éloignée, et peut-être même existe-t-il déjà
la superstition du moyen âge... Tout annonce, dit-il plus loin, je ne
sais
quelle grande unité vers laquelle nous marchons à
omme d’une expression qui lui aurait été familière, et que nous avons
su
après lui être inconnue. Les jours suivans, aussi
ant d’avoir provoqué cette proscription du magnétisme à l’hôpital. Je
sais
que M. Vertet lui-même a été mandé dans l’assembl
tal. Je sais que M. Vertet lui-même a été mandé dans l’assemblée sans
savoir
les motifs de cet appel; je sais encore qu’il a f
a été mandé dans l’assemblée sans savoir les motifs de cet appel; je
sais
encore qu’il a fait observer aux administrateurs
ui dis que je le pourrais même sans le regard, (1) Je voudrais bien
savoir
si ceux qui lui oui donnii celle commission en on
Ce serait un faible obstacle. — Vous ne le feriez pas? — Personne ne
saurait
l’empêcher; la pensée est au-dessus de tous les p
ces humaines. Ainsi, si j’avais la volonté de magnétiser, personne ne
saurait
et ne pourrait y mettre obstacle. » Moins d’une h
me faire saisir par la garde, moi dont la conduite est, comme vous le
savez
, aux yeux de tous irréprochable. Monsieur, vous
nation, il s’en prend aux tables, aux chaises, aux vitres, etc. On ne
sait
trop où se serait arrêtée cette horrible boucheri
u magnétisme sera-t-elle bornée aux maladies du système nerveux? Nous
savons
que le cerveau étend son empire sur tous nos orga
mme une panacée, nous devons cependant leur affirmer ce qui est vrai,
savoir
: Que, dans des cas désespérés, la nature, aidée
mis entre les mains un appareil électrique ou galvanique, et que nous
sachions
nous en servir avec habileté, serions-nous obligé
ileté, sa sagacité, il emploie des agents d’une grande puissance sans
savoir
précisément quels sont leur nature et leur mode d
que l’aimant attirera le fer encore longtemps peut-être avant qu’on
sache
par quel mystère il le peut. Soyez circonspects
té impuissante, ou bien que ses forces ont dévié, et que l’on n’a pas
su
ou pu lui donner la puissance qui lui manquait, o
Tout ce qui se raltache à Mesmer est tellement important qu'on nom *
saura
gré de n'aroir point réservé pour nous seul les p
n monstre abominable. » Eveillée, je l’interrogeai adroitement pour
savoir
si réellement elle ne connaissait point le person
eure, mais elle ne lui était point inconnue en somnambulisme, et elle
sut
fort bien me dire qu’il demeurait près de la rue
valeur du magnétisme comme agent thérapeutique. Car tous les médecins
savent
parfaitement bien que, pour guérir tel organe, la
ment de ces dames, nous observâmes cet intéressant fait et phénomène,
savoir
: que les coiilraclions spéciales et régulières d
uleurs, des arabesques, des ramages sans cesse re. ouvelés, que je ne
saurais
mieux comparer qu’aux jeux du kaléidoscope; je vo
uissance de l’âme sur la matière que les modifications qu’elle exerce
sut
les organes cérébraux dont l’action seule est sen
parla pas. 11 me vint tout à coup la pensée de la magnétiser ; je ne
sais
en vérité comment cette idée me vint, car il y av
s bien dire en présence (le Dieu seul, car la garde, contenle de me
savoir
là, s'abandonnait au sommeil en toute sûreté de c
ation d'un objet sur un autre qui lui convient, lorsque la VOLONTÉ ne
sait
pas le régler; dans le cas contraire, il obéit, e
quatre jours avant l’époque naturelle quo les femmes pressentent et
savent
fort bien indiquer, ef, dans le cas de non succès
; vous ne devez agir qu’en tâtonnant. Quelques essentielles que je ne
saurais
préciser cèdent très-promp-ment; il en est d’autr
lesquels votre humble serviteur est dit un des plus enthousiastes. Je
sais
maintenant plus que n’a jamais su certain sorcier
dit un des plus enthousiastes. Je sais maintenant plus que n’a jamais
su
certain sorcier, qui me rappelle l’entrevue que n
état d’excitation, tout le monde a été'd’avis que ces expériences ne
sauraient
être renouvelées sans inconvénient sur le même su
images ont une existence substantielle plus ou moins durable. Je ne
sais
pas si l’âme forme ses images de sa propre substa
voyez ici, devient déjà plus facile, plus expérimentale; on voit, on
sait
ce qu’on fait. Ainsi, lorsque je voudrai produi
de l’existence du magnétisme, vous l’avez eue. II vous importait de
savoir
s’il est susceptible d’une application rigoureuse
Je veux que, si vous êtes médecin, ou si vous voulez le devenir, vous
sachiez
quelle ressource le magnétisme peut vous offrir c
l lui coulait quelque chose dans le gosier. On lui demanda alors s’il
savait
ce que c’était, et il répondit négativement. «
des Femmes. » Puis elle se tut, et ne vit plus rien. Cette fille ne
savait
ni lire ni écrire, et jamais elle n’avait pris co
i, que c’était un grand oiseau hupé. » l e Mérite des Femmes, ello ne
savait
ce que je voulais lui dire! Je ne fis point de dé
erai point ; mais je suis bien certain qu’il v a dos choses que je ne
saurais
concevoir comme j’ai l'ait autrefois, sans fair
tions ; ni les bancs, ni les écueils, ni aucun intérêt particulier ne
sauraient
abattre leur courage, pendant qu’ils ont pour eux
vent de la vérité et la marée de la rai son primitive, car alors ils
savent
que la fortune sera ‘ leur pilote et les tirera d
842, nous avons consulté le souverain pontife sur la > question de
savoir
si, sepositis abusibus rei et rejeclo ontni « cum
l sur l'espèce et la marche critique d“ ces affections. Cependant, on
sait
que dans le Perche, le Maine, la Basse-Normandie,
chent les malades, et il est bien probable qu’ils magnétisent sans le
savoir
. Mais on manque de données positives, el M. le co
offre un moyen universel do guérir, d rappelle un fait d’observation,
savoir
: que les magnétiseurs les plus connus ont guéri d
’abord sans avoir appris; j'ai répété les gestes d’un magnétiseur qui
savait
à peine son métier. 11 ignorait bien des choses,
ait des faits, en vertu de cette loi que je vous ai fait connaître, à
savoir
: que tout homme possédé syf- Jîsomment de forc
us ne l’êtes pas encore; il vous faut l’observation, la pratique, que
sais
-je? le génie, peut-être! Un homme à qui l’on do
désir passionné d’apprendre de la nature et de la vérité; il n’a pas
su
, on ne lui a pas dit comment arrive le génie !
que la nature elle-même s’égare parfois, et qu’il n’appartient qu’au
savoir
et à l’expérience de pouvoir la redresser dans se
cependant de toucher en passant. La chose 1h plus difficile est de
savoir
gouverner le somnambule. Vous le croyez tenir, ma
era de les magnétiser. Ils cèdent promptement, curieux qu’ils sont de
savoir
si on peut exercer le même pouvoir que vous , mag
ordonnés? Comme vous le voyez, il faut encore beaucoup d’études pour
savoir
ce que c’est que le somnambulisme, sa valeur réel
i ; c’était alors une sensation effroyable, un cauchemar dont rien ne
saurait
approcher; car, outre fe poids de sa masse inform
uelconque des àctes de l’esprit ou du corps, nous sommes loin de tout
savoir
sur le cerveau. Qui ne connaît les discussions
pour cela il faut que j'invoque le secours de la physiologie. L’on
sait
qu’en faisant une^section dans les filets nerveux
ve et a besoin d’être médité et considéré sous toutes les formes pour
savoir
s’il s’accorde avec les données de la science.
les honneurs et la fortune dont on vous comble qui m’éblouissent. Je
sais
que pour posséder ces faux biens vous avez blanch
plus, d’ailleurs, où les bûchers s’allumaient au souffle de ceux qui
savaient
. La barbarie seule aujourd’hui est capable de par
pénétrons-lc de la vérité; la récompense sera la môme, qu’importe? Ne
sais
-je pas le peu de durée de cette vie ? Ne sais je
la môme, qu’importe? Ne sais-je pas le peu de durée de cette vie ? Ne
sais
je pas que le repos l’abrége plus que le travail?
l se révolte contre les décrets de la Providence; elle a voulu, je le
sais
, que je suivisse cette carrière, et-déjà je sens
pour le calmer. Pour m’assurer s’il dormait réellement, et désirant
savoir
s’il était sensible à l’action de l’ammoniaque, j
e. Mais, arrivé à la théologie, il s’arrête, il hésite; on voit qu’il
sait
, mais il n’ose dire; et pour ménager quelques pré
auxquels M. Townshend applique ses arguments sont au nombre de trois,
savoir
: spiht , OUR BODY , MATTER IN GENERAL. « Repré
e de PEcolede Médecine, ordinairement désert malgré l’éloquence et le
savoir
des professeurs, se trouva tout à coup encombré.
'y ajouteraient pas foi. 11 faut, dans ce cas, les guérir sans qu'ils
sachent
comment, s En présence de déclarations aussi po
de ne rien conclure des guérisons qu’il a rapportées, parce qu’on ne
sait
pas si, à la longue, elles ne sc seraient pas gué
e la plus belle, delà plus admirable vérité, m’a fait sentir qu’on ne
saurait
donner trop de publicité à de pareilles actions;
somnambule, qui ne s'en aperçut pas seulement (I). « M. le docteur
Saura
rapporte que M. Martoret, dentiste, passage Delor
é une foule de faits d’exaltation de la sensibilité, ajoute : « On ne
saurait
nier «pic, dans certaines maladies, il ne se déve
le goût avait acquis une finesse particulière, et cjui désiraient ou
savaient
choisir les aliments et môme les remèdes qui para
i pourrait me les apprendre. Soyez-en certain, j’irais à Vécole si je
savais
trouver un maître plus habile, et ne m’en croirai
nelles. L’erreur esi même avec eux, et, de leur propre aveu, ils ne
savent
ou 11e veulent s’en séparer. Quelle sûreté avoi
tit coin du voile qui cache la vérité; mais en tout soyons prudent et
sachons
gré à Dieu de no nous avoir point donné l'habil
rtune, elle leur sera propice, (les couronnes les attendent; ils lo
savent
et sont joyeux. Celui-ci essaie son gosier, celui
le à remplir. J’étais, à mon arrivée, inquiet, je dois l’avouer, de
savoir
comment le gouvernement, le corps enseignant alla
’ai soutenue par des « expériences nombreuses faites devant les corps
sait
vants et par des ouvrages. Si je suis encouragé,
Comme je ne connaissais point ce malade, je me laissai conduire, sans
savoir
chez qui et où j’allais. Mais quand je vis |e tra
bonne santé, et ces scalpels ne sont pas là pour vous. D’ailleurs on
sait
se servir de tous ces instruments; aujourd’hui on
e vous vous trouvez mal à l’aise ici ; mais restez encore un instant;
sachez
que votre empereur visite souvent ces lieux, et q
té par deux hommes ; ils l’em-« mènent; ils le font boire, mais je ne
sais
quelle boisson... « Dès ce moment je perds votre
quelle boisson... « Dès ce moment je perds votre fils de vue ; je ne
sais
ce qu’il « devient, mais il n’est pas mort; il re
’il « devient, mais il n’est pas mort; il reviendra, et lui-même « ne
saura
ce qu’il est devenu pendant ces trois jours; il r
i l’onl fait boire. Depuis ce moment il ne se rappelle lien , il ne
sait
ce qu’on a fait de lui pendant trois jours ni où
i suivant on n’avait pu encore obtenir aucune nouvelle. Tout ce qu’on
savait
, c’est qu'il était parii avec un charretier pour
ça que, le leudemain dimanche, Baticle reviendrait à Wuissons. « On
sait
le resle el comment tous les habitants de la corn
ntlebon, el cinq dans celle de Morteau. a M. Paramelle a prouvé son
savoir
et étonné les habitants par l’indication exacte,
il choque certaines idées généralement admises, on ne doit pas moins
savoir
gré à l’auteur de la tentative qu’il fait pour po
aissez peu la vie! La vie, la voici qui reparaît, elle vient de je ne
sais
où... un flux et reflux agite continuellement ce
onnues. Qu’importe pour elle que vous sépariez ces deux malades, elle
saura
les trouver n’importe où vous les aurez placées ;
la raison : entendez-vous leurs cris sauvages ? ces jeunes filles ne
savent
ni ce qu’elles disent, ni ce qu’elles font ; elle
ription. Voilà pour le magnétiseur une maladie propre à exercer son
savoir
et sa patience; car, lorsqu'il croira au succès
me intention, mais la pauvre fille me serre seulement les mains, elle
sait
que je ne pourrais comprendre son langage ; elle
la sensibilité, fait perdre aux nerfs l’habitude qu’ils avaient de
su
contracter sous l'empire d’une Force occulte, cel
ement une sensibilité phénoménale, il l’exagérera encore pour montrer
su
puissance, il fera cent essais qui fatigueront le
et être cause de l’exploitation de quelques malades; il faut que l’on
sache
que deux mois suffisent pour s’assurer que le mag
ne action vive, avez sauvé la vie à cet officier, dont je n’ai jamais
su
le nom. Paris, 17janvier 1M3. .. Sivllt! tllS
es Italiens. Une somnambule nommée Marie, après avoir dit ce que nous
savons
tous, c’est que le rapport s’établit infiniment m
un tel degré d’insensibilité qu’il put supporter l’opération sans 1«
savoir
, dési- reux que j’étais de voir accomplir ce fa
ent public et gratuit du magnétisme. Nous solliciterons tous ceux qui
savent
à venir y communiquer leurs lumières. Cet asile s
ées sur l’expérience, nous enseignerons aux autres hommes ce que nous
savons
en 1 art magnétique; heureux nous serons alors de
hommes en général. Pourquoi y aurait-il exception en notre faveur? Ne
savons
-nous pas avec quelle lenteur on adopte la meilleu
échouez, nous dirons que vous ôtes « un médiocre artiste, que vous ne
savez
nullement « votre métier. Allons! mettez-vous à l
enir la vie à la surface, on dira que c’était l’ennui, l’émotion, que
sais
-je? Tant de gens, tant de personnes sont habiles
ible? Le sommeil magnétique engourdit ses muscles; elle obéit sans le
savoir
, comme une paillette de fer à l’aimant qui l’atti
bonne route, selon ma volonté. Ce secret est dans chaque homme qui
sait
vouloir. Essayez, vous ne réussirez point tout à
lle, qui, lu nuit, dans un songe, m'est apparu II m'a dit : «Tu crois
savoir
« magnétiser ! Tu ne sais rien. Regarde-moi faire
onge, m'est apparu II m'a dit : «Tu crois savoir « magnétiser ! Tu ne
sais
rien. Regarde-moi faire. » J’ai examiné, en effet
tre disposition, il vous dispensera souvent d’auxiliaire, et, si vous
savez
l'employer avec sagacité, de magnifiques résultat
sortiront de vos mains. C’est lui (fui guérit, el le somnambulisme ne
saurait
le remplacer. Je ne formule aussi nettement cette
r son résultat. Un magnétiseur exercé a des ressources infinies, il
sait
varier ses procédés. Les centres nerveux n étant
e levier qui doit remuer la masse. C’est donc de l'intelligence et du
savoir
faire que tout dépend. On a égaré l’esprit en dis
instant. Est-il beaucoup de magnétiseurs de ces écoles dernières qui
sachent
raisonner sur les effets qu’ils produisent, satis
nvétérée et qui résistait d’abord à l’effet du magnétisme : je voulus
savoir
un jour ce que pensait de lui un autre malade en
us permet d’enseigner el me permet d’apprendre. Je voudrais donc bien
savoir
si les fantômes ont quelque chose de réel, (1)
ur la mienne. « J’ai un affranchi, nommé Marcus, qui n’est pas sans
savoir
: il était couché avec son jeune frère; il lui se
hysiologique, dans lequel l’auteur examine longuement el avec un rare
savoir
l’impor-lante question du somnambulisme magnétiqu
carté en indiquant les cartes de son adversaire. Sur la question de
savoir
si, dans l’eau magnétisée, le fluide esl dissous
e, a accepté sans hésiter les trois sources indiquées. Les recherches
su
feront prochainement. En quittant le terrain, M
en plus; il est vrai qu’ils ont lascience; ma foi,j’allais l’oublier!
Savez
-vous, lecteur, que rien n’est bête comme un savan
est bête comme un savant, et que personne n’a plus de préjugés; il no
sait
ni se conduire ni se gouverner; il a perdu d’un
e. Presque étranger au sol qui le nourrit, le plus sotties paysans en
sait
sur les choses vraiment utiles infiniment plus qu
te boutade ; je n’entends parler que de la généralité des savants; je
sais
qu’il va des exceptions très-lionoraldes, je conn
nt qu’on les croie hommes. Dans ce pays, des gens simples (mougiks)
savent
des mots qui chassent les douleurs; ils ont des s
jamais souffert, lorsque je sens quelques douleurs en magnétisant, je
sais
qu’elles ne viennent pas de moi, et je m’éloigne
.) § III. I.c corps perd, l’ûmn regagne Sa première liberté; Le
savoir
qui raccompagne, Plus parfait, la fait compagne
pour elles que te Purgatoire ou chemin d’expiation. Il y a ici, on le
sait
, une croyance populaire qui mérite la plus haute
-t-pllo pas en une tierce plus que telle autre en dix ans? Une âme ne
saurait
souffrir de la même manière qu’un corps. Ainsi do
tre le magnétisme, dont il entendait tant parler, sans pouvoir jamais
savoir
ce que c’était, et me supplia de l’initier à la c
eut-on pas, avec l’élcclricité, produire lesolïetsde la foudre? INe
sait
—un |>as ijd’îin moyen de errlaiucs substances
autour de vous! Ne niez pas ce que votre cerveau étroit et faible ne
saurait
ni embrasser, ni concevoir ! 11 y a dans l’âme
lèbris de Newton : «Oh! physique, garde-toi de la métaphysique! >.
sut
éviter un écueil, où, faille de l’avoir compris,
d’en empêcher les effets. Quelquefois môme c’est à leur insu, ils no
savent
pas.... Mais je le répète, il ne s’agit pas seule
il en est d’aytres qui ont des propriétés contraires. Les somnambules
savent
très-bien les distinguer, les malades aussi parfo
, se régularise parfaitement. Dans cc cas le père ou la mère, s’ils
savent
magnétiser, peuvent être les médecins de leurs en
r, c’est de vouloir appeler tout le monde indistinctement. Il devrait
savoir
qu’en tout la raison commune est tardive, que ce
anl celle chose môme, et que ce fait isolé, sans filiation aucune, ne
saurait
ôlrc inscrit dans les registres de l’état civil d
âlir la clarté, mais que le souffle de l’ignorance et des préjugés ne
saurait
éteindre. La conduite des corps savants est donc
s ou renversés. Encore une fois, le phénomène de la clairvoyance ne
saurait
trouver aucune assimilation avec celui de la visi
eau ; ce quelque autre chose, auquel on ne songe guère, c’est le moi.
Savons
-nous comment sc transmettent, de la rétine au moi
mpte au nombre de ses partisans des hommes les plus éminents par leur
savoir
, faisant môme partie de ces corporations dont on
ts d’un côté, il y en a aussi de l'autre. Il y a des esprits, nous le
savons
, qui ne se rendront pas, dont les idées sont auss
ui ne se rendront pas, dont les idées sont aussi arrêtées que si leur
savoir
était le dernier mot des choses, avait scruté tou
, est un néologisme barbare que nul usage, si prolongé qu’il soit, ne
saurait
consacrer, ni faire admettre dans son vocabulaire
Baron Du Potet. SOCIÉTÉ DU MESMÉRISME. — Séance du 31 juillet. — On
savait
, depuis longtemps déjà, donner à un même verre d
ôtre témoins ne doivent pas rester ignorées des magnétiseurs, et nous
savons
ici que la modestie d; M. Du l’olel laisserait ce
les fois que la sensibilité du malade le permet. Sur la question de
savoir
quelle esl, dans l’état actuel des connaissances
étation el leur floraison. o Enfin je voulus pousser à l’extrême et
savoir
si je pourrais agir seulement sur une partie d’un
out des phénomènes en dehors de ceux qu’ils ont fait connaître, il ne
saurait
en être de môme; et ce changement d’aclion affect
attraction secrète qui existe entre lui et vous. Il vous vole sans le
savoir
; ci il m’est souvent arrivé de sortir aussi épuis
ble, mais cela est ; et sans vous citer les extatiques (le l’Inde qui
savent
parfaitement sc mettre en crise magnétique sans l
t de se coucher. Il survint bientôt une exaltation morale que l’on ne
savait
à quoi attribuer, et, à la suite, un délire furie
vint calme, tranquille, et finalement fut guéri; non par les douches,
sachez
-le bien, mais parce que le système nerveux ne rec
arce que le système nerveux ne recevant plus l’excitation qu’il avait
su
lui donner se calma, et cette excitation elle-mêm
manège, devinant la pensée avant qu’elle ne se traduisît en actes, je
savais
faire rougir de honte l’homme sans morale qui ava
d’un utile secours dans quelques opérations chirurgicales. Ainsi, on
sait
que plusieurs magnétiseurs oui fait extraire des
e avait senti ou éprouvé pendant son sommeil, elle répondit : a Je ne
sais
rien; je n’ai ressenti aucune douleur; je ne me s
viens de rien, d On lui demanda encore : « Comment donc avez-« vous
su
, tout à l’heure, que l’opération était faite? «
lement pas besoin aussi des oreilles matérielles pour entendre (je ne
sais
si 011 a fait des expériences sur l’ouïe). L'ùi
Delphes mettaient en rapport ceux qui venaient consulter l'oracle. On
sait
d ailleurs que ces prêtresses, plus ou moins luci
cock, de celle cité: le premier, aussi distingué par Imminence de son
savoir
en médecine que par l'élévation de ses vues libér
vant, que je transcris exaclemenl « D. Me connaissez-vous? — R. Je ne
sais
pas voire nom. — Me voyez-vous en ce moment? — Ou
regarde très-drôlement. — Etes-vous sûre que ce soit un chien? —Je ne
sais
, mais ça y ressemble (c’est une loutre empaillée)
£>) ; puis, lui demandant ce que c'était, elle répondit: » Je nu
sais
pas; quelles drôles de lettres! » Poussant plus l
il les faut, ils sont nécessaires; c’est seulement alors que le monde
saura
ce que c’esl que le magnétisme, et qu’il apprendr
ris d’accès épileptique. Cet accès calmé, on rétablit le rapport pour
savoir
quel serait le remède à opposer à une maladie don
es terribles, et d’une nature tellement singulière que nulle plume ne
saurait
les décrire. Ces crises avaient pris naissance pe
s d’autres circonstances le magnétiseur, voulant guérir un malade, ne
sait
pas toujours à quoi il doit son insuccès. Qu’il m
s mulériaux posés la veille, et le principe on l’ouvrier principal ne
saura
plus comment diriger les travaux. C’est le médeci
nétisme? Vous réussissez malgré toutes ces causes d’insuccès, si vous
savez
, vous magnétiseur, ne rien voir, ne rien entendre
us ôtes un empirique, on vous traite en conséquence. Il faut que vous
sachiez
imposer votre croyance, que vos explications soie
conduit sa barque; mais il les signale à d’autres navigateurs. Lui en
sauront
-ils gré? qu’importe? Ne perdez pas de vue ce fa
ez pas de vue ce fait-ci. Le magnétisme produit des crises heureuses,
sachez
les discerner, distinguer du travail destructeur
l brave les opinions des hommes. Que lui importe leur résistance ; ne
sait
-il pas qu’un jour de triomphe l’attend et que la
laissez-vous donc revêtir d’un titre brillant : j'ai besoin que vous
sachiez
.... pour être en mesure de vous punir. Mon obst
as était effacée, les plus beaux faits dénaturés. De.j*jj£c que je ne
savais
plus moi-môme si vraiment j'avais produit les cho
; celte illumination soudaine éteinte, l'homme redevenait matière. Ne
sait
-on pas que Jésus lui-même, après une vie constamm
t de la même source. En attendant nos explications, nos lecteurs nous
sauront
gré de faire passer sous leurs yeux quelques-uns
ous cette grande et sublime Révolu-« tion que vous désirez tant. Vous
savez
que je suis « un peu prophète ; je vous le répète
être faut-il « l’être un peu plus pour ce qui me reste à vous dire. «
Savez
-vous ce qui arrivera de celte Révolution, ce « qu
grand sérieux. Est-ce que vous ne voyez pas qu’il plaisante? et vous
savez
qu'il entre toujours du merveilleux dans ses plai
Cazotle? « C’est la fin du monde que vous nous prêchez. — Je « n’en
sais
rien, mais cc que je sais, c est que vous, « ma
du monde que vous nous prêchez. — Je « n’en sais rien, mais cc que je
sais
, c est que vous, « madame la duchesse, vous ser
savants, le casser à la face du monde el proclamer le mesmérisme. Et
savez
-vous quels hommes ils avaient à combattre? Les Ha
e s’étendre et de prendre racine. Ayez confiance en vos efforts, mais
sachez
que tout progrès est le résultat d'un long combat
rendre évidente, même aux plus incrédules, la portée pratique. Vous
savez
, Messieurs, comment nos vœux se sont enfin réalis
vice d'admission temporaire est institué. Il se compose de 60 lits, à
savoir
: 40 lits pour les femmes et 20 lits pour les hom
à savoir : 40 lits pour les femmes et 20 lits pour les hommes. Je ne
saurais
trop remercier M. Quentin de l'empressement qu'il
puissance de travail ne se développant pas parallèlement, personne ne
saurait
plus sérieusement prétendre à tout embrasser, à t
pour le moins de soulager. Or ce but, Messieurs, cela va de (jsoi^ne
saurait
être atteint que par la mise en œuvre des notions
ent acquises dans les diverses branches de la médecine, car il faut
savoir
pour pouvoir. La pratique, en réa-_/ lité, n'a
à l'homme, contre lesquels les données fournies par la vivisection ne
sauraient
jamais prévaloir. Ainsi nous savons, de science c
fournies par la vivisection ne sauraient jamais prévaloir. Ainsi nous
savons
, de science certaine, que la lésion destructive d
ujourd'hui sur le rôle pathologique de la circonvolution de Broca. On
sait
que la destruction des circonvolutions de la zone
encore créent de toutes pièces une symptomatologie imaginaire. Chacun
sait
, en effet, que le besoin de mentir, tantôt sans i
a localisation des troubles suffit déjà pour guider le diagnostic. On
sait
aujourd'hui, d'après des études nombreuses1, que
dans la paralysie infantile, où il y a réaction de dégénérescence, à
savoir
exaltation de l'excitabilité galvanique et dépres
ne lésion spinale dynamique, sans modification profonde, autant qu'on
sache
, et l'on peut, sans crainte, insister sur le trai
r la réaction franklinique ou (plus euphoniquement) franklinienne. On
sait
que beaucoup d'auteurs anglais ou américains dési
iquer avec plus de précision comment sera exécuté ce traitement. Nous
savons
par expérience que l'étincelle électrique agit de
faits analogues (communication orale). Pratiquement, cela est bon à
savoir
, car il n'est pas toujours sans inconvénient de c
machine électrique. Dans l'état présent de l'électrothérapie, il ne
saurait
exister aucune raison a priori d'écarter un procé
dant à tout le membre. Ce sont même là des cas très fréquents et l'on
sait
que, dans ces conditions, les jointures se placen
locale, sur le développement de la contracture, en particulier. On
sait
depuis longtemps que certaines affections, subor
s faits de ce genre, au point de vue chirurgical. Mais, ce que l'on
sait
moins peut-être, c'est que certains phénomènes lo
de rapprocher ces amyotrophies des myopathies d'origine nerveuse : à
savoir
, l'irrégularité de l'atrophie, qui atteint à des
t, en particulier, en ce qui concerne la hanche, dans la coxalgie, on
sait
qu'il faut souvent, pour atténuer la douleur, s'o
expliquées que par la rigidité prolongée des muscles antagonistes. On
sait
, du reste, que dans la paralysie agitante, les mu
nditions qui préparent la contracture musculaire et y prédisposent, à
savoir
l'exaltation des réflexes, se trouvent en quelque
ien de plus classique, je le répète, que ce cas, aujourd'hui que l'on
sait
qu'il existe une forme de paralysie générale où l
-dire la diminution ou la perte absolue de la notion des couleurs. On
sait
qu'à l'étal normal toutes les parties de la rétin
l'homme. — L'hystérie existe donc chez l'homme? A cette question de
savoir
si l'hystérie atteint aussi les individus du sexe
ne qu'on le croit, vers 12 ou 13 ans ; on peut la rencontrer, vous le
savez
, dans l'autre sexe, plus tôt encore, de 10 à 12
ent, interrogeant tous ceux qui sortaient sur l'état de son fils, qui
savait
ce qui se passait et ne sentait pas complètement
onyulsives. Ils ont de plus, en commun, un autre trait particulier, à
savoir
, l'existence d'une contracture spasmodique limité
'être mis en relief, parce que l'hérédité njvro£§th|ajK3^|u^, vous le
savez
, au premier, mng^dans^ i'étiologie,,ç].el'hysté
s. » Qu'y a-t-il derrière ces réticences toutes monacales ? Nous n'en
savons
encore rien; mais nous le reconnaîtrons-peut-être
t même créent de toutes pièces une symptomatologie imaginaire. Chacun
sait
, en effet, que le besoin de mentir, de tromper, p
dans l'étude du tracé respiratoire, le moyen de la démasquer. On ne
saurait
évidemment, dans les études cliniques relatives à
est ici le lieu de rappeler une ingénieuse remarque de Duchenne. Vous
savez
qu'à la main les extenseurs des doigts et ceux de
pathologique de notre malade. Il est certain, en tout cas, qu'on ne
saurait
imaginer un homme capable de la maintenir pendant
, dans la crainte de modifier trop profondément une situation dont il
savait
que je désirais vous rendre témoins. Aujourd'hu
'un cas dont la nature hystérique, si j'ai réussi dans mon espoir, ne
saurait
plus pour vous actuellement faire l'ombre d'un do
'un membre à la suite d'une sciatique n'est point chose rare, vous le
savez
, alors que l'affection névralgique a été intense.
ulaire concomitante, dans la sciatique vulgaire, ne peut pas, vous le
savez
, être mise sur le compte du repos prolongé. En ef
défaire, comme par le passé, un usage régulier de la sonde. £ Il ne
saurait
vous échapper que cette incon^nence persis tant
dant au point d'émergence des quatre dernières paires sacrées. Vous
savez
que, dans ces mêmes régions, les expériences auxq
, profondément atteints. 1° Le grand fessier est mou et flasque. Vous
savez
que ces muscles, d'après Duchenne, n'ont pas gran
que ces muscles, dis-je, participent, eux aussi, à l'altération. On
sait
, surtout d'après les recherches de Duchenne, que
ouvements fatigants des membres inférieurs qu'exige sa profession. On
sait
, en effet, que des lésions spinales anciennes et
s deux dernières leçons. C'est là un sujet dont l'intérêt pratique ne
saurait
vous échapper, et cette circonstance justifiera,
nfer. Le fait est que ces affections sont, quant à présent, vous le
savez
, au-dessus des ressources de l'art. Je ne m'arr
du moment de l'accident, les souvenirs du malade sont très vagues. Il
sait
qu'on l'a porté au chemin de 1er, pour le ramener
m, il ne retrouvait même pas le nom de sa femme. Il est impossible de
savoir
si la bouche et la langue ont été déviées, ni s'i
sommes assurés, qu'en effet, bien qu'il pût écrire couramment, il ne
savait
pas lire. Nous entrerons, sur ce sujet, dans de p
à cette catégorie. «Yoici, dit ce grand observateur, un malade qui ne
sait
plus lire, cependant il parle à merveille. Il ne
ous avous eu grand soin de relever l'existence. Il s'agit là, vous le
savez
, d'une hémianopsie homonyme latérale droite. Sans
commemorative auditive, l'image visuelle et deux éléments moteurs, à
savoir
l'image motrice d'articulation et l'image motrice
'a amené près de moi il lirait à livre ouvert les œuvres d'Homère. Il
savait
le premier livre de l'Iliade à ne pas hésiter pou
on de la place principale d'A..., de ses arcades, de sa statue : « Je
sais
, dit-il, que cela existe, mais je ne m'en puis ri
Prié de dessiner un minaret, il réfléchit, et après avoir dit qu'il
savait
que c'était une tour carrée et haute, il trace su
me griffonnage représente l'arbre qu'on l'a prié de tracer. « Je ne
sais
pas, je ne sais pas du tout comment cela est fait
eprésente l'arbre qu'on l'a prié de tracer. « Je ne sais pas, je ne
sais
pas du tout comment cela est fait. » Le souveni
bien aux choses de l'enfance qu'aux choses plus récentes. M. X... ne
sait
plus rien visuellement de la maison paternelle. C
it par cette mort prématurée sur les membres de ma famille. « Je ne
sais
si j'explique bien ce que j'éprouve ; mais je pui
a vus maintes fois lui apparaissent toujours comme nouveaux, qu'il ne
sait
plus dessiner de mémoire, etc. — n'ait pas eu pou
stoire de l'aphasie, si on les y cherchait plus attentivement. Vous
savez
comment, dans mes dernières leçons sur Y aphasie1
oteurs, c'est-à-dire appartenant à la catégorie du sens musculaire, à
savoir
: 1'imagemotrice 1 d'articulation et l'image motri
dommage désormais difficilement réparable. Quoiqu'il en soit, on ne
saurait
méconnaître que la suppression possible et réalis
outions-nous, dans ce groupe au moins deux divisions fondamentales, à
savoir
: 1" Les amyotrophies spinales deutéropathiques,
nts hétérogènes qui y avaient été annexés. Or, il s'agit justement de
savoir
ce que sont devenus, ce que tendent à devenir les
do-hypertro-phique ou rnyosclérosique de Duchenne (de Boulogne). On
sait
, par Eulenburg et Cohnhein, en 1866, par moi-même
nale. Nous voici donc déjà en présence de trois formes cliniques, à
savoir
: la paralysie pseudo-hypertrophique, la forme ju
mouvements choréiques et le mouvement de la sclérose en plaques je ne
sais
quelles analogies extérieures qui font que des mé
chorée épidémique, Chorea major. elle affecte principalement, vous le
savez
, les enfants de 5 à 14 ans, plus rarement les adu
heures, plusieurs fois par jour, continuaient depuis sept ans. Je ne
sais
si elle est guérie actuellement, et d'ailleurs, j
s sur la table, lorsque, le vendredi 29, son père essaya à nouveau de
savoir
si son tour d'être médium n'était pas venu. Il in
l y a chez lui une forte prédominance du petit mal sur le grand. Nous
savons
qu'avant d'être atteint il présentait des tics de
e forme d'hystérie qui semble se rapprocher le plus de l'épilepsie, à
savoir
l'hystérie à forme épileptique ou hystéro-épileps
a mère, et entre eux dans des relations de tous les instants. Je ne
saurais
trop insister devant vous sur l'importance capita
ittée, en d'autres termes, tant que vous n'avez pas triomphé — car je
savais
que vous vouliez me faire enfermer, —j'ai cru que
que vous allez pouvoir en juger par vous-mêmes. La vision, vous le
savez
, présentait également chez cet enfant des trouble
; elles sont moins violentes et durent à peine un quart d'heure. Vous
savez
qu'il existait chez elle des points hystérogènes
ci de l'hystérie. Pour eux, c'est quelque chose de particulier, je ne
sais
quel état pathologique non encore décrit, qui dem
On n'observe pas ordinairement, chez lui — cela est vrai, mais on ne
saurait
certainement pas voir là un caractère distinctif
ne, quand il se rencontre, tout à fait caractéristique, autant que je
sache
, du champ visuel des hystériques et dont je vous
s les tempes; ces deux derniers phénomènes constituant, comme vous le
savez
, l'aura céphalique. Ces points, dont l'excitation
trisation statique qui, dans les cas de ce genre, nous donne, vous le
savez
, souvent de bons résultats; nous lui avons prescr
bilité des stigmates, sur laquelle nous avons suffisamment insisté ne
saurait
, entre autres, arrêter un instant notre diagnosti
le développement des accidents nerveux? Cela est possible, mais je ne
saurais
l'affirmer. Toujours est-il que, à côté du trauma
, Oppenheim et Thomsen, et où son influence, souvent prédominante, ne
saurait
être méconnue. Cette même circonstance du dével
ade éprouve immédiatement tous les symptômes de l'aura cé-phalique, à
savoir
: battement dans les tempes, sifflement dans les o
chez lui il s'agissait de l'hysléro-épilepsie à crises distinctes, à
savoir
: épilepsie vraie d'un côté, grande hystérie de l
et c'est alors que je vis G... pour la première fois. 11 est, vous le
savez
, assez bien musclé, vigoureux ; son état général
ir où sont placées les femmes « en attaques», de telle sorte qu'on ne
saurait
invoquer chez lui l'influence de l'imitation cont
oiqu'il ait eu dans son enfance quelques manifestations strumeuses, à
savoir
: écoulements d'oreilles, ganglions dans la région
plus étendu que celui du bleu, contrairement à ce qui a lieu, vous le
savez
, dans les conditions normales. Il n'existe qu'un
dans l'hystérie de la femme, l'absence des crises convul-sives. Vous
savez
, en effet, que, suivant l'enseignement de Briquet
, comme ils l'étaient chez notre malade, suffisent largement, vous le
savez
, pour révéler la nature hystérique d'une paralysi
— sur l'issue de cette paralysie artificiellement reproduite, car je
sais
, par expérience, depuis longtemps, qu'en matière
sont conservés, peut-être ' même un peu exagérés, tandis que, vous le
savez
, il en est tout autrement dans cette forme de par
descendre ainsi jusqu'au point qu'on lui a ordonné de toucher. Il ne
sait
point dire non plus, quand il a les yeux fermés,
placés dans la paume de sa main ; lorsqu'il ne les regarde pas, jl ne
saurait
distinguer, sans s'aider du palper, une pièce de
lexus brachial, mais encore le plexus cervical. D'un autre côté, nous
savons
que chez P..., la zone d'anesthésie s'arrête, par
vous avez compris que l'intégrité de ces nerfs cutanés de la main ne
saurait
s'expliquer dans la supposition d'une lésion gé
tusion légère, ou encore d'une simple « commotion » du plexus, car on
sait
par de nombreuses observations, qu'en pareille ci
ané est légèremant œdématié. Rien de semblable chez P... Ici, vous le
savez
, les muscles ont conservé, malgré la date déjà an
a corne postérieure du même côlé, n'a pas encore été observée, que je
sache
; et si celte lésion, au lieu de rester limitée co
s, la sensibilité cutanée et le sens musculaire peuvent être, vous le
savez
, absolument intacts. Cela est démontré après tant
es diverses hypothèses que nous venons de passer en revue. Ici, il ne
saurait
être question que de l'une de ces lésions qui éch
ue chez notre malade aucun acte de réflexe. Ce phénomène est, vous le
savez
, commun dans l'hystérie ; plusieurs observateurs,
nguer des autres espèces du même genre. Le cristalin offre, vous le
savez
, une structure segmentaire qui fait, qu'à la rigu
ation de la langue, lorsque celle-ci est tirée hors delà bouche. Vous
savez
que ces phénomènes existent, au contraire, toujou
nt coexister dans un cas donné de paralysie, la nature de celle-ci ne
saurait
rester douteuse. Tels sont, Messieurs, les argu
l'existence des points hystérogènes. Evidemment cette circonstance ne
saurait
nous arrêter : l'attaque convulsive, vous le save
circonstance ne saurait nous arrêter : l'attaque convulsive, vous le
savez
, n'est pas, tant s'en faut, nécessaire à la carac
upant l'écorce grise de l'un des hémisphères cérébraux. Personne ne
saurait
contester, je pense, que dans l'observation qui v
1. Leur histoire, cependant, offre encore bien des points obscurs. On
sait
fort bien sans doute que, dans certaines circonst
de faire intervenir l'expérimentation dans les cas de ce genre. Nous
savons
que chez les sujets plongés dans l'état d'hypnoti
e encore que quatre ou cinq fois aux pratiques de l'hypnotisme, il ne
saurait
être question chez elle de cette espèce d'entraîn
(contracture somnambulique), est un caractère somatique qui, vous le
savez
, nous permet de reconnaître que le sommeil est ac
eau, elle occupe encore, au plus haut degré, les parties profondes, à
savoir
les muscles, les troncs nerveux, les ligaments, e
irection, tandis qu'elle meut librement toutes les autres jointures à
savoir
le coude, le poignet, les doigts enfin. De plus,
présente alors avec tout l'ensemble des caractères cliniques que vous
savez
. Ainsi la ressemblance entre les deux groupes d
l'autre, Porcz..., assure être resté conscient. Ni l'un ni l'autre ne
savent
dire exactement ce qu'ils ont ressenti, dans le m
cté, au moment de l'accident, et les quelques jours qui ont suivi. On
sait
qu'au réveil, pour peu que l'hypnose ait été prof
électrisation statique. Ce dernier agent est destiné surtout, vous le
savez
, à modifier les troubles de la sensibilité. L'exp
e est fondée sur cette idée que nous vous exposions tout à l'heure, à
savoir
que chez nos deux malades, la paralysie se serait
nt nerveux vers les muscles impliqués et produit leur contraction. On
sait
qu'une intimation soudaine peut avoir quelquefois
e maximum marqué par l'aiguille tend à s'abaisser. Il importe donc de
savoir
attendre ; un excès de zèle, en pareille occurren
Nous agissons ainsi, si je ne me trompe, surtout psychi-quement. On
sait
que la production d'une image, ou, autrement dit,
net. Revue politique et littéraire, n° du 2 août 1884, p. 131). On ne
saurait
toutefois, à mon avis, mettre le médecin trop en
en le mécanisme, et dont, en dehors, des faits d'hypnotisation, on ne
saurait
mesurer la portée. Or, l'insuccès d'une guérison,
mes tracée. J'ose espérer même que les choses iront assez vite. Je ne
sais
si je ne me trompe, mais je pense que, dans une q
, du 3 au 17 juillet, le chiffre moyen a varié entre 54k et 55k. On
sait
que, chez Porcz..., l'anesthésie cutanée était ab
e, je l'espère, la fin de la démonstration. C'est qu'en effet ceux-là
savent
que l'hystérie peut exister, chez l'homme adulte
oureux, chez l'artisan non énervé par la culture intellectuelle ; ils
savent
aussi qu'elle peut se révéler tout d'abord sous l
ncore c'est la contracture musculaire qui est en jeu. Comme vous le
savez
, Messieurs, ces deux caractères n'ont rien de par
répondu exactement à la description de l'aura hystérique vulgaire, à
savoir
: Constriclion épigastrique, puis battements de c
semblable n'a lieu pour l'œil droit. — Ajoutons, et c'est là, vous le
savez
, un caractère très significatif, que le pharynx p
non plus, tant s'en faut, contraire à cette interprétation ; car nous
savons
par nos études antérieures que chez l'homme, plus
rfaitement légitime, parfaitement réelle et rien, absolument rien, ne
saurait
nous autorisera taxer notre homme de simulation.
ici, s'était refusé à l'emploi du chloroforme, sous l'empire de je ne
sais
quelle crainte, a mieux compris ses intérêts et s
ce que nous avions lieu de craindre à cet égard, d'après ce que nous
savons
des effets de la chloroformisation chez les hysté
euses ne présentent aucune de ces déformations, de ces lésions qui ne
sauraient
manquer d'exister dans une coxalgie aussi ancienn
ental qu'il faudra mettre en œuvre. — Mais comment s'y prendre ? Nous
savons
, par les observations de divers auteurs, que ces
ancock et de Barwell? Je n'en suis pas convaincu. D'ailleurs, vous le
savez
, quand on emploie des moyens de ce genre, il faut
'origine psychique ou, si vous l'aimez mieux, mentale. — Or, je crois
savoir
que l'Administration du chemin de fer est résolue
re des effets aussi accentués, chez un sujet quelconque; certes, nous
savons
qu'il peut, à la longue, amender et guérir des
avons particulièrement insisté cette année et l'année dernière. On ne
saurait
, je pense, trop multiplier les faits, dans ce dom
bras; fracture déterminée elle-même par la chute d'un corps lourd — à
savoir
une moitié de bœuf, pesant, paraît-il» environ 30
naît qu'il fut comme étourdi et que, pendant quelques instants, il ne
savait
pas au juste où il se trouvait, ni ce qui s'était
tion ou dissimulation : comme nous l'avons déjà fait remarquer, il ne
sait
indiquer exactement la date de l'accident ; de pl
. II. Grœningen, Ueber den Shok, Wiesbaden, 1885, p. 78 et s. il ne
saurait
s'agir ici de la lésion d'un nerf en particulier,
s par le bandage. L'immobilisation prolongée peut produire, vous le
savez
, dans certains cas et chez certains sujets, une v
vaincre que celle des fléchisseurs et c'est là, précisément, vous le
savez
, un des grands caractères de la contracture spasm
me à la suite de la ligature de l'artère principale d'un membre. Tous
savez
, d'après les détails que je vous ai présentés dan
oir cet le leçon dans le t. V, des Œuvres complètes, p. 587.) 1. On
sait
que les dernières recherches de Brown-Séquard ont
gidité cadavérique. (Académie des sciences, octobre 1886.) Or, nous
savons
que chez Dum... les résultais de féleclrisa-tion
e certaines lésions organiques des centres nerveux : lésions, vous le
savez
, diverses quant à leur nature et quant à leur siè
e et plus profitable, de vous indiquer, en quelques mots, ce que nous
savons
de plus important sur cette singulière affection.
pas, vous allez le reconnaître, tout à fait le même caractère. Tous
savez
combien sont rares, dans le domaine organique, le
ons variables, d'autres troubles du langage intérieur. L'aphasique ne
sait
plus lire ou ne lit qu'avec difficulté ; il ne co
c les aphasiques de ce genre. Très vraisemblablement, en outre, il ne
saura
plus écrire, car vous n'ignorez pas que les aphas
, à votre tour, d'arriver à ces diagnostics rapides qui, en somme, ne
sauraient
être considérés comme des tours de force que par
autres manifestations de la névrose, sont, la plupart du temps, je ne
sais
trop pourquoi, considérés comme des simulateurs.
mme par exemple, la faradisation à toute volée du larynx qui, vous le
savez
, n'est pas, tant s'en faut, sans danger. Aussi es
ntrer que là est, suivant lui, l'obstacle, il ne la place pas, que je
sache
, sur sa tête ou sur sa bouche. C'est, je le crois
ique. C'est il y a trois semaines que, à la suite de la même cause, à
savoir
: une laryngite de quelques heures de durée, le m
ombre considérable de faits et d'expériences, est applicable, vous le
savez
, à beaucoup d'affections hystériques, particulièr
aris, à l'âge de 12 ans, sachant à peine le français ; aujourd'hui il
sait
lire, mais à peine écrire. Les gens qui le connai
échi au pied, au genou, à la hanche, posé sur l'autre, le malade n'en
sait
rien absolument; à la peau, les piqûres, les pinc
rait sur la région inférieure de l'abdomen, et se délimiterait, on le
sait
, des parties saines, par une ligne à peu près per
iculièrement favorable à la réalisation objective des suggestions. On
sait
que, projeté violemment contre un trottoir, Lelog
issent, sans aucun doute, l'explication qui vient d'être proposée. On
sait
que, chez l'homme, une émo- l. Sur les paralysi
suit jusque dans ses rêves2 est cependant absolument erronée. Nous le
savons
pertinemment par les renseignements 1. Ch. Darw
ène. Là-dessus on ne peut que rarement le consulter avec fruit, il ne
sait
rien ou presque rien. En somme, on peut comparer
prononcé encore, dans les membres inférieurs. Les autres stigmates, à
savoir
le rétrécissement du champ visuel, Panesthésie ph
ais il n'a été malade jusqu'ici; il ne parait nullement nerveux et ne
sait
pas ce que c'est qu'une attaque de nerfs. Il est
s notions du sens musculaire sont complètement abolies ; le malade ne
sait
pas où est son membre, il ignore si l'on meut tel
teraient, au contraire, en des impressions venant de la périphérie, à
savoir
, de la peau, des muscles, des aponévroses, des te
ctionnant, pour ainsi dire, le mouvement déjà en voie d'exécution. On
sait
, d'ailleurs, par de nombreux exemples, que l'im
it associés à des impressions visuelles qui s'y rapportent... Cela ne
saurait
produire que la plus grande confusion, si l'on at
nt, tous les doigts se fléchissent alors simultanément. Parfois il ne
sait
dire s'il a, oui ou non, fléchi son poignet, etc.
portion notable au membre inférieur. A présent, Messieurs, que vous
savez
les circonstances dans lesquelles s'est produite
davantage une hémiplégie de nature spinale, car, dans ce cas, vous le
savez
, la paralysie et l'anesthésie devraient être croi
aspect suivant : 1° elle est plus ou moins considérable, mais il faut
savoir
qu'elle peut atteindre d'assez fortes proportions
éfléchisse, on voit qu'une pareille interprétation serait erronée. On
sait
, en effet, que l'amaigrissement des masses muscul
elle ; il est vrai que ce n'est encore là qu'une hypothèse, car on ne
saurait
guère fournir une démonstration absolument rigour
es préparatifs sont..., sont faits pour..., pour la conférence..., on
sait
de source auto... autorisée, etc. On lui fait l
qu'on a appelé constata la perte absolue de la parole ; la malade ne
sait
ni lire ni écrire. A son arrivée à l'hôpital, m
hôpital cantonnai, comme sourd-muet et paralysé du côté gauche. Il ne
sait
ni lire, ni écrire. Paralysie complète du mouveme
autorisés à admettre la nature hystérique de cette affection. » Je ne
saurais
admettre ces conclusions. Que la paralysie du cri
à la seule façon d'être des malades, quand on les interroge. Aussi ne
saurait
-on accepter, dans toute sa rigueur, l'opinion de
ce est intacte. La réponse suif immédiatement la demande, si le sujet
sait
écrire. A la période de retour de la parole, quan
parler, s'impatientant de ne pouvoir répondre aux questions ; si elle
sait
écrire, elle s'empare d'un morceau de papier et y
ibilité d'écrire, quoique la malade pût parfaitement tenir une plume,
sût
très bien ce qu'elle voulait écrire, et eût môme
lets de son livre de dépenses, antérieur à l'époque de sa maladie. On
sait
de plus d'une façon formelle que, depuis cette at
tre, soit être conservée d'une façon tout à part, son indépendance ne
saurait
être mise en doule. Rappelant que la clinique é
e, Hartley n'excluait pas les aulres. Et, en effet, c'est là, on le
sait
, la base des opinions professées par M. le profes
commémorative, auditive, l'image visuelle et deux éléments moteurs, à
savoir
l'image motrice d'articulation et l'image motrice
qui nous ont offert leur concours et prêté leur appui; afin que l’on
sache
un jour et le point de départ et les hommes qui o
qui demandent voire concours? Non! ils ont payé leur dette, chacun le
sait
, et ce n’est point pour s’enrichir qu’ils font ce
t de son édifice. Tout périt ; 1 E-gypte est près de nous, et nous ne
savons
rien de ses mœurs, de ses usages, de ses sciences
nistres ; travaillons sans relâche à établir sur la terre ce que nous
savons
du magnétisme, afin qu’étant partout, des siècles
;/ pag. 274, l’arrestation, à Vienne, d’un magnétiseur vénitien. Nous
savions
que cet acte, odieux au fond et brutal dans la fo
que pour un temps que l’esclavage imposé continuera de régner. Nous
savons
qu’ici même, en France, le pays de liberté, les h
xieusement qui vaincra. C’est le moment pour nous de dire ce que nous
savons
des qualités du nouveau prétendant, comme nous l’
rté sur nous. Vous serez un visionnaire et moi un enthousiaste qui ne
sait
point mettre de bornes à sa croyance. Qu'importe!
détourne d’une étude si nécessaire. Demandez au savant du jour s’il
sait
d’où il vient, où il va ? il ne saura répondre ;
Demandez au savant du jour s’il sait d’où il vient, où il va ? il ne
saura
répondre ; qui pense eu lui et le fait mouvoir ?
vie particulière, il en ignore la source et l’étendue; malade, il ne
sait
rien non plus et, comme l’avare, il succomlie aup
essentielles à notre bonlieur, tout nous le dit, puisque ce que nous
savons
ne nous satisfait point. Poursuivez donc vos re
our la répandre partout; et pour cela il est intéressant que l’apôtre
sache
le nombre des disciples qui imitent le zèle de le
ne démonstration en magnétisant la malade, puis je la fis magnétiser,
savoir
: 1° magnétisation générale pendant 5 minutes; 2°
’ave-» nir n’existe pas, et c’est être insensé que d’en parler. » Que
savez
-vous, aveugles que vous êtes, si Dieu n’a pas sem
es qu'elles avaient fermées avec de la cire. Il serait intéressant de
savoir
si le même phénomène s’est produit dans d’autres
ns La fin du monde, fait paraître une somnambule toute éveillée. Nous
savons
, de plus, que la censure a refusé de laisser para
avec la loi des associations. C’eût été une chose ridicule, et je ne
sais
pas quel motif en empêcha, mais ce n’est pas le s
sais pas quel motif en empêcha, mais ce n’est pas le scrupule. Nous
savons
qu’on trouvait mauvais queM. Laforgue eût autour
ême extrait de L'Ami de la Religion. « La rédaction d’un journal ne
saurait
être responsable de toutes les mentions élogieuse
que l’usage fait admettre dans la partie des Annonces. Tout le monde
sait
, en effet, que ces annonces, payées par les auteu
édecine. Ce soir-là il l’avait fait venir pour le consulter sur je ne
sais
quelle indisposition. La soirée se prolongeait,
dait un profond silence, ennuyé de sa compagnie, mais craignant, sans
savoir
pourquoi, de rester seul. Le comte Brahé s’aperce
ette salle? » demanda-t-il d’un ton colère. — « Sire, personne que je
sache
, » répondit le concierge tout troublé. « Et la de
é. « N'entendez-vous pas ce bruit qui part de la salle des Etats? Qui
sait
à quels dangers Votre Majesté s’expose ! » — ii
mander tout ce qu’on a voulu pendant que j’étais endormie. Si j’avais
su
que j’exerçais la médecine, je ne l’aurais pas fa
lu l’ouvrage de M. Baspail, qui m’a été remis par M. Audiguet. Je ne
sais
pas lire l’écriture, je ne lis que l’impression.
ient dû dire B; ainsi de suite jusqu’à Z et au delà. Vous deviez bien
savoir
qu’en cherchant à répéter les phénomènes naturels
ront. Avant de calculer la distance et la densité des astres, il faut
savoir
mesurer l’éloignement d’un clocher et la pesanteu
e du miel sur les bords du vase, ils n’avaleront pas ce breuvage, ils
savent
trèstbien qu’ils seraient trop fortement purgés.
e tous mes efforts pour jeter les germes de cette rénovation. Vous le
savez
, du reste, c’est pour d’autres générations que no
ait été placée sous le patronage des Académies de notre PaYs- Je ne
sais
si je me trompe, mais il me semble que celte pens
oie sans mélange, que j’applaudis à celte nouvelle conquête, et je ne
saurais
, quand jj’y pense, me défendre d’un certain série
in mensuel de la clinique du docteur Esdaile au Mesmeric hospital. Le
savoir
qui brille dans le commenlaire de ces faits magni
a cause qu’il a épousée. » Un rapport mensuel a, comme nos lecteurs
savent
, (1) Voyez tome v, page 173, de ce journal, que
Calcutta, le 1er mars 1847. James Esdaile. La grande question de
savoir
si l’on peut faire des expériences magnétiques de
blée incrédule ou malveillante est décidée affirmativement : celle de
savoir
si l’on doit expérimenter en public, marche à gra
ines, pèsent dans ce moment lourdement sur la seconde. En effet, on
sait
que le peuple juif était dur, inhumain et sanguin
dentité entre le chloroforme et l’onguent des sorciers, qui, comme on
sait
, avait la double propriété, attribuée au chlorofo
fait un tout de toutes les parties et qui, asser-vissant la matière,
sait
en faire sortir le principe de vie général; et, s
nnus comme tels en Europe. Je me plais à penser que oui, mais je ne
sache
pas que nos maîtres parlent dans leurs ouvrages d
ieu favorable. Je ne pense pas non plus que, lorsque le magnétiseur
sait
disposer de ses forces, l’on puisse détruire, par
evue, élémentaire de Médecine et de Pharmacie, du 15 janvier, nous ne
savons
pas encore ce qu’il en dit, mais dans ses précéde
sam béquilles, mais il sautait en jetant sa jambe, et n'avait jamais
su
, lorsqu’il s’y. donnait un coup, à quelle place i
en sautant sur cette jambe, et faisant mille autres choses qu’ils le
savaient
incapable de faire avant cela. La sensibilité y
auveur de la maison. Des circonstances particulières m’ont empêché de
savoir
ce qui s’est passé depuis. Un de mesamis, àgéde
minutes; quelques jours après, il vint me dire plein de joie qu’il ne
savait
à quoi attribuer ce résultat, mais que depuis que
n père à continuer le traitement. Celui-ci ditque non-seulement il ne
sait
pas, mais que de plus il ne croit pas à cette ver
au bout de quelques jours la plaie est complètement cicatrisée. Je ne
saurais
trop recommander ce moyen si simple de pansement
quête, leur science astronomique, philosophique, architecturale, leur
savoir
et leurs traditions. Déjà nous avons des notions
nt des prières en arabe (1). En général, ce sont les émirs (celui qui
sait
dire ou commander), descendants AcFati-mah, Jillc
ueille, plongé en lui-même et comme étranger au sein de sa patrie. Ne
sait
-il point, en effet,que tout est passager; il vo
mot, pas un livre qui prouvent qu’ils aimaient les » hommes et qu’ils
savaient
quelque chose des lois » providentielles. Le maté
t un café fréquenté, et que nombre de femmes venaient consulter, Dieu
sait
pour quelles causes et dans quel but. 11 était co
e de tous ces philtres, de tous ces onguents, a toujours été, nous le
savons
, puisée dans les poisons narcotiques, tels que l’
n l’enfer et ses monstruosités, la colère et l’assassinat. « Et qui
sait
si ces magiciens célèbres, ces astrologues, alchi
et livrent votre corps sans résistance à la main de l’opérateur. Qui
sait
encore si, sous l’influence extraordinaire de ces
imitif, abandonnée pour ainsi dire à elle-même, jusqu’à Mesmer, qui a
su
la trouver, et lui donner une direction que l’e
eux comme il leur plait, sans *> que nos langues s’en mêlent. Vous
savez
qu’on éprouve » parfois de la sympathie et de l’a
u. — Et ne te moque pas » de tout ceci, ajoute-t-il, ô médecin, tu ne
sais
pas » quelle est la puissance de la volonté. »
-t-il pas à l’esprit de l'homme plus de choses à découvrir qu’il n’en
sait
déjà ? Tous ces diseurs de bonne aventure, gens g
ttachons principalement à enseigner dans les familles le peu que nous
savons
. Il y a grand progrès dans les esprits : le clerg
quel puissant auxiliaire le magnétisme était à la religion, et je ne
sache
pas qu’aucun de nos prêtres ait rien dit depuis l
1» heures, à punir du mercredi «olr • heure* où tout > recommencé,
su
jeudi 3 heure» de ï»prw-midi, heure i Usuelle il
nt de goût désagréable. Je désire beaucoup avoir votre opinion pour
savoir
si dans ce cas la guérison est due à une propriét
e qu’elle fait crier au miracle. Il y a là un grand fait à étudier,
savoir
: s’il est indifférent d’administrer le magnétism
u’elles reviendraient ensuite régulièrement. Le 10, j’avais hâte de
savoir
si sa prédiction s’était réalisée; elle avait bie
sien soit si bien renseigné. Croiriez-vous qu'il a trouvé le moyen de
savoir
même ce qui se passe dans vos conseils secrets? —
oule égarée, car dans cet instant tout est péril et danger, et nul ne
sait
encore si l’état où nous sommes est grandeur ou d
iers d’organes, un seul homme, un seul qui, plein des faits du temps,
sache
les résumer et dire à la génération : Voici le ch
de à peine soupçonné se jette sur les palais des rois; il vient je ne
sais
d’où, et dit à son tour : L’Etat, c’est moi; je s
nouvelle médecine s’est établie parmi les hommes. Mais lorsqu’on veut
savoir
quelle est la nature de l’agent nouveau et mystér
oyens de reproduire des faits d un ordre supérieur, nos lecteurs nous
sauront
gré d avoir cherché à les éclairer. Du Potbt.
et telle est la force du préjugé qu’elles rougiraient même qu’on les
sut
douées de celte faculté. Une pareille résistance,
es (les corrélations qu’il n’est pas donné à l'homme de saisir? Je ne
sais
; mais je penche pour la première interprétation;
vie vous sont complètement inconnus? — C’est vrai, reprit-elle; je ne
sais
ni ce (pie vous êtes selon le monde, ni ce que vo
vous avez fait pendant ([ne vous avez vécu parmi les hommes, mais je
sais
ce que vous êtes devant Dieu. Ne me prenez point
e a une grande mission à accomplir encore; vous y participerez, je ne
sais
pas encore comment, mais je puis vous le dire ce
e soir, si vous le désirez, quand j'aurai consulté vos étoiles. Je ne
sais
pas encore le nom de toutes. J’en vois plus de tr
us de trois maintenant, j’en distingue quatre, peut-être cinq, et qui
sait
? plus encore. L’une d’elles est certainement Merc
abandon complet, mais habile, d’un esprit consommé. On eut dit qu’il
savait
d’avance que les événements brisent ceux qui leur
andait ni plus de lumière, ni plus d’éclat. Son ambition se bornait à
savoir
attendre. Sa Providence étail le temps; né pour d
e de lése-médecine, ne paroitra pas sans doute irrémissible, quand on
saura
que cette dame, après avoir été trè&>-infr
e hebdomadaire; elle est à même de le certifier, et son témoignage ne
sauroit
être suspect à la Société royale. Peut-être a-t-e
examen qu’ont fait MM. les commissaires? Il est teins que le public
sache
à quoi s’en tenir, el j’espère bientôt lui procur
un sot on devient béte, Mais l'homme gagne au tête à téte Quand il
sait
choisir ses amis. L’observation est vraie, mais
et se mettre en route à cloche-pied, pour de très-longs voyages, sans
savoir
où elles allaient. (juos vult perdere Jupiter d
presque toujours. La science n’a pas encore pu expliquer ce fait; on
sait
seulement que la recuite, convenablement prolongé
j’obtins une si forte commotion que je fus renversé par terre. Je ne
saurais
dire si ma chute fut due à la force de la secouss
au; niais je n’étais pas tenté de recommencer cette expérience. Je ne
sais
si la vache fut malade, car elle fut vendue quelq
iers agissent, au lieu que les seconds subissent une action. Qui ne
sait
que les secousses sont l’effet ordinaire de la ma
battue; ceux qui l’ont répandue ont été calomniés et persécutés. J’en
sais
quelque chose; car d’abord j’ai été disgracié com
enchaîné. Tout pour l'homme est obscur ; l'étude est chaotique, Le
savoir
est trompeur et l'art est empirique. Sans ton a
mple ancien, ce n’est pas parce que nous en manquons de récents. Nous
savons
des prédictions qui s’appliquent aux temps actuel
mais nous n’avons point à nous prononcer sur la question délicate de
savoir
si elle est ou non apocryphe. Le fait certain est
le par maintes tribulations, mais tousiours les mauvais auront fin.
Sus
donc lors une grande conspiration contre la fleur
al, guère de bien en ce temps-là : moult villes périssent par le feu;
sus
donc Israël vient à Dieu Christ tout de bon. Sect
été funeste au magnétisme; celle-ci lui sera favorable si les adeptes
savent
s’entendre et s’unir pour résister au flot qui mi
uillent bien se mettre en règle, et tout ira bien. BIBLIOGRAPHIE.
Su
lia storia, teorica e pratica del magnetismo anim
os jusque parmi nous, dans cette classe de mécontents attardés qui ne
savent
admirer que l’époque de Périclès, qui ne rêvent q
ien d’étonnant donc s’il s’annonce ici avec une si grande richesse de
savoir
. Mais autant il est facile de reconnaître l’auteu
qu’elle avait condamnés à une fin prochaine, il est pénible aussi de
savoir
des gens qui se complaisent dans leur ignorance,
ire. P. Dieu n’est-il pas un esprit? V. Quand j’étais éveillé, je
savais
ce que vous entendez par esprit. Mais maintenant
ée, le résultat de son unité et de son omnipotence; comment, je ne le
sais
pas, et maintenant je vois clairement que je ne l
ent, je ne le sais pas, et maintenant je vois clairement que je ne le
saurai
jamais; mais la matière imparticulée, mise en mou
ut à fait échappé à la sagacité clairvoyante de Newton lui-même. Nous
savons
que la résistance des corps est toujours en raiso
hematic association. » Il y en a une autre à Cincinnati, mais je ne
saurais
encore vous rien dire de leurs travaux. Yoilà d
les fonctions déjà multiples de la mécanique humaine : il ne faut que
savoir
la position des muscles et de leurs points d’atta
d’ailleurs je m’en suis interdit un grand nombre; mais il est bon de
savoir
que les contes ridicules dont on a souvent effray
pondre d’une manière satisfaisante à toutes ces questions, mais je ne
sais
trop si je pourrai suffire à la lâche. Je vais ce
ombre, en sont les ennemis acharnés. 11 n'est pire aveugle, vous le
savez
, que celui qui ne veut pas voir, pire sourd que c
Quand on veut faire pénétrer des vérités que l'on croit utiles, on ne
saurait
mettre trop à profit pour les expo- ser, lors m
e, et quoi que puissent faire les éternels ennemis du progrès, ils ne
sauraient
empêcher le triomphe de la grande vérité que nous
’ailleurs n’atteint personne et ne cause que du bruit, c’est un je ne
sais
quoi indéfinissable qui occasionne ce cataclysme,
circulation par M. Alexandre Dumas, concernant le duc de Bordeaux. On
sait
que ce prince n’a pas d’enfant, et cela ruine les
es ultra-mondains et des planètes s’opèrent par des colonnes. Reste à
savoir
si les magnétisés de haut titre les voient distin
t fait des conquêtes sur la nature, sans connaître les ressorts qu’il
sait
mettre en jeu. La physique pourrait-elle définir
galvanique ? Non, sans doute. Cependant il existe, et les physiciens
savent
le traiter ; il en est de même du magnétique ; on
et leur manie de renverser chaque matin les systèmes de la veille, ne
savent
qu’embrouiller de plus en plus tout sujet qu’ils
s ci-dessus quand la médecine, qui devrait les guider, n’a pas encore
su
classer les tempéraments et les réduit à quatre,
n’existerait que quatre tempéraments, ne faudrait il pas admettre en
sus
un tempérament foyer ou unitaire, comme on en voi
ées; et, ce qui le prouve, c’est que les magnétiseurs mêmes n’ont pas
su
tirer parti de cette déposition des magnétisés. C
annales de la médecine. Le sieur Chenel avait jugé à propos, je ne
sais
pour quelle raison, de laisser ignorer que le mag
e magnétisme était le moyen qui avait été employé, de sorte que je ne
sais
ce que ces différentes personnes auront pensé du
ation. Mais ce qui surprendra quiconque ignore le parti que Fourier a
su
tirer de l’analogie, c’est que l’observaiion des
connaissance, l’observation directe et la déduction, n’avaient point
su
la trouver ; encore bien moins en prévoir l’utili
On n’a aucune méthode pour discerner les sujets magnétisables; on ne
sait
pas cultiver en eux celte faculté dès l’enfance,
dant de consultations hétérogènes avec leur genre d’aptitude qu’on ne
sait
pas discerner. « D'autres fautes concourent à f
rôle dans le résultat, et voulant, pour mon édification particulière,
savoir
à quoi m’en tenir sur ce genre d’expériences. L
thérapeutique qu’une force de polarité immatérielle (1), qu’un je ne
sais
quoi, soit dit sans le blesser, car un je ne sais
le (1), qu’un je ne sais quoi, soit dit sans le blesser, car un je ne
sais
quoi peut équivaloir à une définition, puisque l’
, puisque l’éther, ce véhicule où gravitent les sphères, est un je ne
sais
quoi accepté en cosmologie; je dis donc que s’il
mologie; je dis donc que s’il n’est plus en thérapeutique qu’un je ne
sais
quoi qui excite « comme un pôle positif la force
uite ces deux questions: N’est-ce pas là une puissance énorme, qui ne
saurait
être prouvée ? et si même elle l’était, ne serait
e résultat désastreux est important à constater; car, nos lecteurs le
savent
, c’est l’absence de mort sur près de deux cents o
s, à retrancher des parties de notre être. C’est laque se borne votre
savoir
; vous ne savez rien de plus, vous le prouvez tous
des parties de notre être. C’est laque se borne votre savoir; vous ne
savez
rien de plus, vous le prouvez tous les jours. Ah!
uleur de plus que ceux qui vous regrettent et vous pleurent; car nous
savons
que vous pouviez vivre encore, et que l’ignorance
vante est assujettie à la police de l’Etat, la médecine tâtonnante ne
saurait
avoir de privilège. Or vous lui en donnez un, et
ouvent rien, par la raison qu’on est seul à les observer, et qu’on ne
saurait
y faire une série concluante d’expérimentations s
ts; or, j’ai besoin de ma concordance avec ces juges. Ainsi j’ai beau
savoir
que j’ai fait quatre fois la partie d’un somnambu
les yeux et qu’il ne s’est pas trompé sur une seule carte, j’ai beau
savoir
que, dans plusieurs conférences successives, ce c
, y compris des noms propres et des mesures mathématiques ; j’ai beau
savoir
que sans retirer de leur enveloppe des lettres qu
de tâtonnements et d’erreurs. En effet, cesomnambulesi lucide, qui a
su
lire tant de lettres les yeux fermés, n’a su déch
mnambulesi lucide, qui a su lire tant de lettres les yeux fermés, n’a
su
déchiffrer devant moi qu’un seul mot dans un livr
lic mis en possession des conclusions de ce comité : alors la science
saura
à quoi s’en tenir. Même après cela, on en n’aura
à l’escroquerie l’opinion assimile le charlatanisme.Le magnétisme ne
saurait
donc rester ce qu’il est en France à sa phase act
e Vénus, huit dans celle de Jupiter, douze dans celle de Cérès, je ne
sais
combien dans celles d’üranus et de Saturne, dix-h
toire, lui communiquent les ondulations de mes nerfs et ma pensée? On
sait
d'ailleurs que lord Byron, malade d’une fièvre ne
ile à juger pour des arbitres compétents, et dans six semaines chacun
saura
à quoi s’en tenir sur le soleil central, qu'on ch
ible. Tout système de médecine trouve en nous l'indifférence : nous
savons
qu'il est faux; mais nos lecteurs n’ont paslcs mê
de sa vie est dominée par une loi primordiale qu’aucune puissance ne
saurait
amender : cette loi est celle de la mort; or il s
de certains grands principes qui sont un fanal certain pour celui qui
sait
les comprendre, celui-là est très-souvent embarra
lésé,ou seulement présnmésouffrant.Je dis présumé souffrant, car, on
sait
que, dans certains cas où les symptômes ne révèle
onde magnétique. Ce livre, est un pas vers l’inconnu. Cependant je ne
sais
pourquoi j’éprouve une sorte d inquiétude qui sem
11 me semble que l’âme dégagée de la matière doit être éloquente; ne
savons
-nous pas que dés ce monde lorsque l’enthousiasme
ns-nous pas que dés ce monde lorsque l’enthousiasme nous saisit, nous
savons
déjà peindre, et que tout s’épure; nos expression
mportantes dont le ciel est rempli ? Comment se fait-il (pie ceux qui
savent
toutes choses ne nous instruisent point sur les m
suis plein de vénération pour les prêtres d’Esculapeetd’Isis, car ils
savaient
infiniment de choses et nous les laissaient aperc
ription; mais nous le ferons avec discrétion et modestie, car nous ne
savons
de la science antique que les deux ou trois premi
te goutte 100 globules. Ces petits globules de grosseur, comme chacun
sait
, d’une faible tête d’épingle, seraient souvent in
de la nature, ne gémissent-ils pas sur cette confusion luxueuse d’un
savoir
pédantesque qui vient classer les maladies de l’h
icaments et des doses auxquelles il conviendrait de les donner, je le
sais
; mais ce malheur, que le grand Ilippocrate déplo
à faire pitié. Il a pris un rhume; il a la lièvre, il étouffe : il ne
sait
et ne peut arracher les mucosités qui obstruent s
amenée avec les vomissements. Ce n’est pas naturel, dites-vous ? Mais
sachez
donc que trop souvent les puissances vitales de l
s propriétés et qualités. Vous avez des faits, des guérisons. Je le
sais
, et c’est par là que je veux démontrer l’impuissa
ssif du cœur : « Vous ne pouvez que soulager ici... Du reste, il faut
savoir
choisir ses malades; si la vitalité est impuissan
t cette médecine bien simple, éprouvait son action évacuante, mais il
savait
que cette eau était magnétisée dans cette intenti
homœopathiques ? Ils n’agissent que sur le malade, dit-on; mais nous
savons
que mille affections guérissent seules, que l’ima
et les succussions ordinaires, un seul globule de la 30' atténuation
saurait
déployer, est déjà tellement vaste, que si le tem
ligne de la main d’un homme, etje le ferai pendre? Assurément il faut
savoir
trouver dans les raison-nemeuts et les faits scie
éparera toujours, ce seront les deux principes établis par Hahnemann,
savoir
: les infinitésimaux et la théorie des maladies c
bite momentanément. Enfin, je bénis mon maître tous les jours d’avoir
su
imprimer en moi cette puissaucc que je ne me co
tiseur; il peut être rendu insensible aux coups, aux blessures-enfin,
sus
facultés intellectuelles semblent ne plus dépendr
vie ordinaire et dans les somnambulismes précédents; au réveil on ne
sait
rien de ce qui s’est fait pendant le sommeil magn
ltants; le salaire qu’ils reçoivent doit paraître modique à celui qui
sait
apprécier les fatigues qu’ils éprouvent, et s’ils
soit permis d’espérer une guérison aussi certaine que possible. Je
sais
que l’action magnétique varie d'intensité, et qu
som- nambules lucides, du peu de fixité de cette lucidité même, ne,
saurait
non plus constituer un moyen général et constant,
es avec des larmes quelquefois bien amères. Aux yeux du médecin qui
sait
prendre pour maîtres la nature et la philosophie
e? Elle n’existe pas sous forme de doctrine unitaire, c’est celle qui
sait
choisir dans tous les systèmes le moyen qui sc tr
puie cependant sur le grand principe de vitalisme que j’ai développé,
savoir
la puissance dynamique et rëactionnelle du fluide
i réussiront aujourd’hui et qui donneront la mort le lendemain, il ne
saura
pas distinguer le pourquoi du changement nécessai
tions du génie. Toutes les doctrines ont des richesses pour celui qui
sait
les y découvrir; l’humorisme, le vitalisme absolu
connue, rend cependant d incontestables services : avec le peu qu’on
sait
on produit déjà des œuvres supérieures à tomes ce
interroger pour vous connaître, et qui, tout en vous connaissant, ne
sait
que vous indiquer les choses déjà prescrites et s
ccès. Voilà donc une vérité découverte : la nature guérit lorsqu’on
sait
l’aider par une addition de puissance, et dans no
! les êtres souffrants appelleraient à leur secours des hommes qui ne
savent
ni se préserver ni se guérir? Ils se soumettraien
s tous les malades, mais il guérit toute espèce de maladies. Qui ne
sait
d’ailleurs que beaucoup d’ètres apportent en nais
trir et détruire les organes avant le temps de la vieillesse ? Qui ne
sait
que 1 homme souvent est son propre bourreau? Qui
voile épais en dérobe la connaissance. Comme dans le sommeil nous ne
savons
qui nous agite et nous donne des rêves, dans la v
savons qui nous agite et nous donne des rêves, dans la veille nous ne
savons
non plus d’où nous viennent nos subites pensées e
rage. Vous avez reçu votre, récompense; l'homme est libre, mais il ne
sait
se conduire. Vous avez été pour lui la cause d’un
s leur cause : ils ont pour origine des impressions d’enfance. On n’a
su
, ou n'a pu faire des âmes fortes et puissantes :
ois de mars que trois magnétiseurs ambulants, amenés, payés par je ne
sais
qui, commencèrent dans l’ombre et d’une manière c
touchaient par mes mains, etc.; que comme magnétiseurs ils pouvaient
savoir
tout ce que je faisais, tout ce que je pensais, e
différente, qu’ils ont le résultat de coupables machinations. Qui ne
sait
aujourd’hui que beaucoup de maladies mentales se
fait deux pas, la somnambule, tâtonnant des pieds, dit : Mais je ne
sais
pas précisément dans quoi je marche. C’est comme
tisme, nous allons, pour préliminaire, donner un extrait de l’ouvrage
sus
- mentionné, qui renferme les choses les plus biz
onnaissance de cause que ceux qui en étaient possédés ou obsédés! (On
sait
que la possession était l’état de ceux qui avaien
adorer le démon et de composer des maléfices. Qu’y faisait-on ? On le
sait
parfaitement : je dirai plus, on en a la connaiss
en ont raconté tous les mystères? C’est ainsi que l’on est parvenu à
savoir
que les jours ou plutôt les nuits de sabbat sont
e, accusait un individu d’ètre la cause de sa possession. Question de
savoir
si ces révélations arrachées aux possédés par la
ous portez à tout ce qui touche à la science magnétique et le profond
savoir
que vous avez acquis dans cette branche de nos co
nt les soins pourraient la dégager de cette influence malveillante.
Sachez
encore que la personne en question est un homme d
remis à l'ouvrage; celui que j’avais entrepris pressait beaucoup; je
savais
qu’il nécessiterait de ma part quinze jours à tro
de ce point qu’on a débuté, j’en ai la conviction, et mon opinion ne
saurait
être douteuse à ce sujet, quoiqu’on ait abandonné
senter à lui, lui faire l’aveu de ma position, et lui demander grâce.
Savais
-je d’ailleurs de quelle manière il m’acueillerait
physionomie ne répondait pas aux suggestions de son malin esprit. Que
sais
-je, enfin, ce qui me retint? J'espérais sans dout
e ses actions et ses habitudes m’étaient dévoilées. Par conséquent je
savais
d’une manière certaine s’il était chez lui ou deh
mais encore de mes pensées les plus intimes; tandis que je ne pouvais
savoir
des siennes que ce qui lui en échappait par défau
n’a fait que paraphraser mes pensées. Je le dirais moi-même si je ne
savais
que cc n’est pas par plagiat, mais bien parce que
vec tant de soins et de peines ne sont en définitive qu’un lambeau du
savoir
antique. Des âges oubliés ont eu leurs sciences,
ont l’action n’est ni contraire, ni semblable, mais qui opèrent on ne
sait
comment. » Ainsi se trouvent réduites les préte
hambre d'où m’arrivait le fluide. Car, ainsi que je l ai déjà dit, je
savais
que ces émanations, qui dans les premiers huit jo
Cela venait-il de la différence de clarté? c’est probable, mais je ne
saurais
l'ailirmer. En effet, le grand jour de la rue pou
dans l'espoir de lui faire ressentir la douleur; mais je n'ai jamais
su
d’une manière positive si ces sensations iui étai
rtants qui rendraient ce récit plus long et plus monotone; mais je ne
saurais
taire un phénomène qui m’inspira une terreur étra
prévoir ; elle était bien certainement l'œuvre de mon ennemi et je ne
savais
quand il lui plairait de la faire cesser. Cependa
sortes d’égards et que je le connais trop cruel et sans pitié, je ne
saurais
établir une semblable supposition. Quant à se fai
ent à ce sujei. La confiance que j’ai toujours eue dans votre profond
savoir
m’a inspiré la pensée de le consulter dans cette
i l’art de la médecine est resté si longtemps un secret, lorsque nous
savons
que l’on exigeait des initiés le silence le plus
s. 11 était plein d’admiration ; mais il n’était pas plus habile pour
savoir
ce qu’il ordonnerait. Je crus donc à propos d’app
es malades dont le goût avait acquis une finesse particulière, et qui
savaient
choisir les aliments ou les remèdes qui convenaie
ais la douleur d’avoir consumé mes jours dans le travail pour ne rien
savoir
. » Cette ingénuité ne nous donne-t-elle pas l’e
adressé, et vous remercier des bons conseils que vous m’y donnez. Je
saurai
toujours mettreà profit vos avis, et j’y aurai so
il est une infinité de détails qu’un narrateur étranger à l’action ne
saurait
donner; et pour tout ce qui se rattache à ces phé
il en soit, c’est un problème qui, dans l’état présent des choses, ne
saurait
être résolu. On ne pourrait en avoir la solution
avoir recours à la vision ordinaire pour expliquer cette anomalie. Ne
sait
-on pas quil y a des aveugles auxquels la sensibil
igieux par un de nos plus fervents adeptes, M. G. llupalley. .Je ne
sais
pas encore, dit Deleuze, jusquou mes somnambules
ore, dit Deleuze, jusquou mes somnambules voyageurs peuvent aller; je
sais
, du moins, où ils ont été. J’en ai déjà fait voya
ER VARIÉTÉS. Nécrologie. — M. Thiry nous écrit de Meta : « Vous
savez
que, dans une de mes dernières lettres, et d’aprè
pour atteindre le but qu'il sc proposait. Constant et courageux, il a
su
vaincre bien des répugnances, et ramener bien des
ne homme a dit qu’il s était trouvé en possession d’un cabriolet sans
savoir
d’on il lui venait. «Voici, dit-il, comment la ch
’auteur conclut en homme qui a bien jugé le pour et le contre, cl qui
sait
à quoi s’en tenir sur la constance et l’infaillib
e de celte troisième partie est consacré au magnétisme surnaturel. Un
sait
com- bien les idées actuelles sont portées vers
a réputation de veiller aussi longtemps de suite. La garde ne pouvait
savoir
que par le dire de la malade; et ce que la malade
e terrrain, non que nous doutions de la lucidité, mais parce que nous
savons
que, dans l’état actuel des choses, aucun Prix ne
ion de tout ce qui a été écrit on France depuis Mesmer. Tout le monde
sait
, par exemple, qu’il vaut mieux que le magnétiseur
que la personne à laquelle il s’est adressé implorant du secours, n’a
su
lui apporter aucun soulagement, tandis que je voi
lucides pour seconder efficacement leurs efforts. Il me tarde d’en
savoir
le résultat final..... Je vous prie donc avec i
son repos, de rendre au forgeron tout ce qu’il lui avait pris. Vous
savez
qu’on peut se faire entendre d’un somnambule, en
e, en lui parlant à voix basse 'a l’extrémité d’un long cordon ; vous
savez
aussi qu’on peut l’endormir et l’influencer d’une
it ; mais à quoi ne s’intércsse-t-il pas? C’est l’homme universel; il
sait
tout, il voit tout, entend tout. S’il nous arrive
re de ses persécuteurs. A ses yeux, si je n’avouais pas, c’est que je
savais
; un homme comme moi ne peut pas ignorer ces chos
honnêtes , ont tous 1111 pouvoir limité. 11 est sans doute curieux de
savoir
jusqu’où va cette limite, et nous le dirons avec
fait d’aussi nombreuses expériences sur des sujets plus divers. Je ne
sache
pas pourtant avoir jamais été accusé d’exercice o
répondre : L'esprit : mais qu’est-ce que l’esprit? J Hélas! nul ne
sait
d'où vient le vent ni où il va. 11 en est de même
imagination! Une vue trop rapide nous trompe; et beaucoup d’hommes ne
savent
pas voir! C’est ainsi que la plupart des phénomèn
tement. Chaque magnétiseur est au fait de ces bizarres anomalies; ils
savent
tous qu’un magnétisé capable d’endurer les plus c
cette singulière disposition, qui, à la fin, s’est éteinte sans qu’on
sache
ni pourquoi ni comment. « Le 20, dit M. lisdail
idemment nerveuses, mais dont le rôle spécial nous est inconnu, je ne
saurais
trouver aucun prétexte pour contester à cette for
depuis longtemps au sein de la république médicale. Il y a, vous le
savez
, en médecine un. tas de sectes dont lès systèmes
une même maison où ils trouvent tous deux la pâtée et la niche. On ne
saurait
dire qu’ils font bon ménage, mais enfin ils font
ice de fa médecine, la loi des semblables. Allop. — Ah ! oui, je le
sais
: il a trouvé que le quinquina, qui guérit de la
as une bonne expérience. Or, vos globules, nouslesavons expérimentés.
Savez
-vous ce qu'a fait Trousseau? 11 a fait prendre au
sez sans doute, — serait un instrument curatif bien puissant, si l’on
savait
le manier. — « Ce serait bon, peut-être, pour l
driez de me la donner? « C'était dans le service de M. Piorry, vous
savez
qu’il est, non pas l'inventeur du diagnostic
— « Tenez, vous m’avez magnétisé autrefois. J’ai éprouvé ......je ne
sais
quoi, que je regarde comme un effet d’imagination
ent appelé du secours et s’était rongé les poignets. Les médecins 11e
savent
pas même dire quand nous sommes morts. EURATOM.
ir de toute connaissance, point de départ de toute instruction, on ne
sait
point comment la mémoire se produit. Ses magasins
ais nul ne les a vus. Sont-ils matériels? sont-ils spirituels? Qui le
sait
? Quel beau sujet d’études que tout cela et trop a
ue ou antipathique, cela dépend entièrement d’elle-même. Bien qu’elle
sache
parler, elle répondra peu à vos questions, parce
ordeu : n’assurait-il pas que les médecins qui avaient de l'esprit en
savaient
assez pour les hommes, et que ceux qui avaient de
ours un de nos professeurs les plus aimables et les plus appelés : on
sait
gu’il définit la médecine, l’art divin... de gagn
confrères lorsqu’ils sont malades; d’abord en qualité de gens qui ne
savent
à quel saint se vouer, ils essayent de tout ; pui
en que dans les sciences l’imagination sans la raison égare ; mais je
sais
aussi que la raison sans l’imagination retarde, a
prudente,....faute de mieux? « Route plus obscure encore!..., Qu’en
savez
-vous, Monsieur? Vous ne faites que le craindre, d
gagneriez à la prendre : une conviction, peut-être !.... « Or, vous
savez
qu'une conviction est une vérité qui s’incarne à
l'inviterai donc à résoudre les deux questions sui-« vantes, afin de
savoir
si, comme on le dit, le soleil de la li-« berté s
e s’éveilla pas. « On comprend la position de la jeune fille qui ne
savait
plus à quel saint se vouer pour le faire revenir
s ; enfin il a déclaré que tous les médiums faisaient de môme et n’en
savaient
pas plus que lui. 11 est certain qu’un homme qu
e table sous laquelle sont groupés les pieds de leurs camarades , ils
savent
très-bien que c’est l’un d’eux qui s’est amusé à
ous en doutez, lisez ¡’élection de l’évèque de Bourges par le procédé
sus
indiqué, et enregistrée dans la Revue spiritiiuli
use, et si la mort de l’enfant s’ensuit, une enquête aura lieu. 11 ne
saurait
être question de caution dans une si sérieuse all
evant M. Broughton, magistrat du tribunal de police de Marylebone. On
sait
qu’elle a prétendu avoir agi sous l’influence d’u
t par la fenêtre avec l’intention de le tuer. M. Broughton. — Je ne
saurais
affirmer cela aussi positivement que vous le fait
is sous l’inspiration d’une sorte de folie. M. Lewis. — Alors, vous
savez
qu’en pareil cas il n’y a pas de pénalité. M. B
in d’apprécier son état mental au moment où l’acte a été commis. Nous
savons
tous quelle conséquence pourrait entraîner l'admi
nt arrivés à admettre, sous prétexte d’hypothèse « explicative, je ne
sais
quelle vertu potentielle spécifique « capable de
ion. » Ils ont voulu, purement et simplement, exprimer un grand fait,
savoir
que : une substance médicamenteuse, après avoir é
aison de demander une traduction en français, puisqu’il en donne une,
savoir
: Les homœopathes, en admettant dans le médicam
me, et le sujet n’en trouvait pas non plus ; mais il avait subi je ne
sais
quelle impression qui lui faisait porter le jugem
ée seulement sur l’ordonnance sous la désignation de Nnx. Ma femme ne
savait
pas ce que cela signifiait ; si c'est une coïncid
nts étonnés ne l’avaient jamais entendu chanter et ignoraient qu'elle
sût
une chanson. Elle en chanta successivement, avec
endre qu’un de ses frères était conscrit et désigné par le sort. Elle
savait
, en outre , que le préfet du département devait a
e très- légèrement la main sur le genou droit (3); elle ne voit ni ne
sait
qui la touche; sentiment instantané d'effroi, mou
dre ses chaînes.... Uni étroitement au corps qu’il anime, l’esprit ne
saurait
s’en détacher un instant ; fût-il endormi, je ne
e peut exercer l’homme par la seule volonté. C’est ce que les anciens
savaient
très-bien ; car ilsn’ont pas exprimé d'autre
ront trouvés posséder pour toute chose une grande vertu par celui qui
saura
en juger sainement. En effet, l'âme, alors qu’ell
ommeil, toutes les fonctions du corps ou de l’âme. Aussi quiconque en
sait
juger sainement, connaît une grande partie de la
isa l’ap- parence d’une forêt en mouvement. Macbeth périt, 011 le
sait
, dans cette rencontre. On comprend que l’art (l
rompe aisément. « Ainsi, lorsqu’on veut expliquer un songe, on doit
savoir
qui a eu le songe, ce qu’il fait, comment il est
aire éviter de grands dangers. L. Lamothe. DES ÉVOCATIONS SANS LE
SAVOIR
. Le duc et la ducheMe d'Orléans. N’y a-t-il q
à s’entourer, ont seuls pu donner lieu à ces idées fausses. Pour qui
sait
lire les vies des saints et les antiques légendes
ourna à son cabinet, il trouva que ses lunettes étaient disparues. Il
savait
que personne n’avait pu entrer dans la chambre, s
ré suffisamment) par un dépôt d’humeurs; n’étant pas médecin , je 11e
saurais
donner un nom à sa maladie. (i Le hasard me fit
gé d’endormir ma femme, qui est somnambule et très-clairvoyante, pour
savoir
de quelle manière je pourrais le plus promptement
re , à avoir au contraire une entière confiance au magnétisme ; je ne
saurais
jamais trop remercier M. et madame Mauger de leur
me couturière; il était alors malade , et depuis ce temps je n’ai pas
su
qu'il eût ôté guéri ni même soulagé jusqu'au 0 dé
e jour à leurs regards, et u'en sont que plus heureux, bien qu'ils ne
sachent
d'où cela leur vient, ni comment cela leur arrive
la plainte que porterait un homme contre une pierre qui, venant on ne
sait
d’où, aurait brisé les vitres de sa maison. « L
e forme particulière et ne tarde pas à donner naissance, lorsque l’on
sait
en tirer un parti convenable, à une série d’actes
, de sorte que son explication laisse beaucoup à désirer, et qu’on ne
sait
même s’il considère le magnétisme comme une force
le somnambule, dit-il encore , ne fait que vous rabâcher ce que vous
savez
déjà, ou, s’il sort de là, il bal la campagne et
fois de précieuses lumières et dont plusieurs médecins distingués ont
su
tirer un parti très-avantageux. L’auteur termin
de comprendre et de parler des langues non apprises, ce qui, comme on
sait
, constitue , d'après les théologiens, un des cara
vent apôtre du inesmérime, grâce à vos doctes enseignements dont j’ai
su
me pénétrer, je l’ai transplanté des bords de la
evant un fait général, attesté par une foule de témoins irrécusables,
savoir
: l’efficacité pratique de cette méthode. « Du
e merveilleux du somnambulisme magnétique se réduit à quatre parties,
savoir
: la transmission de la pensée, la vue à travers
merveilleux psychologique : il faut y marcher avec précaution. 11 ne
saurait
être question d’y tout admettre, mais on ne doit
s, en revanche, les hommes de sentiment ont compris au premier mot et
savent
pour ainsi dire avant d’avoir appris ; c’est bien
nnés dont l’abonnement est expiré ou expirera fin mars, de nous faire
savoir
si leur intention est de continuer leur abonnemen
gnétiques sur quelques personnes de l'assemblée. Le ministre me fit
savoir
que ce programme était agréé. Un journaliste bien
mais, dans ce corps, j'avais néanmoins des amis. Le monde magnétique
sait
parfaitement que je n’ai jamais compté le nombre
est favorable à la vérité! comme le triomphe est certain lorsque l’on
sait
attendre et que la mort n'est point venue interro
. Morin a émis le vœu de voir s’ouvrir une discussion sur le point de
savoir
si, dans la vue à distance, il y a mentumbulunce
ur : Je viens de recevoir une lettre d Henri, et je serais curieux de
savoir
si Eugénie pourrait, étant endormie, nous en donn
déplier) , elle dit : Tiens, une lettre de M. Henri ! — (Elle pouvait
savoir
qu’on l’avait reçue.) — Je lui demandai la date e
cinq mois; comment les retraçait-elle avec tant de précision, je n’en
sais
rien. « Quel est, dans ces cas dont les annales
servation expérimentale et ses conditions nécessaires? « Comment ne
sait
-on pas encore que nous pouvons sentir, et sentons
s sens, un fantôme, un bruit imaginaire. Les cas de ce genre qu'on ne
saurait
expliquer et dont Wieland, rapporte un exemple, n
sont pas rares; il s’en est présenté entre autres dans ma famille. Je
sais
que bien des fables sont mêlées il ces faits, mai
stration de 1 immortalité, démonstration absolument certaine pour qui
sait
voir, et surtout pour qui sait aimer : « Je veux
nstration absolument certaine pour qui sait voir, et surtout pour qui
sait
aimer : « Je veux aimer toujours ceux que j’aime.
fluide galvanique, le sera-t-il au fluide spiritiste? Voilà ce qu’on
saura
bientôt si la Compagnie permet d’en faire l’épreu
, entre New-York. et Washington , entre Philadelphie et Boston. On ne
sait
pas encore si ces dépêches pourront franchir l'Oc
lorification de leur doctrine. Quant à la question très-secondaire de
savoir
si l’interposition de l’eau de la mer est un obst
s les abonnés dont l'abonnement est expiré de vouloir bien nous faire
savoir
s'ils sont dans l’intention de continuer leur abo
er pour ainsi dire avec ce qui le domine. Aussi, dans ces moments, ne
sait
-il jamais bien ce qu’il veut faire ni ce qu’il fa
re, dans ^inspiration du génie ; c’est un vent qui souffle sans qu'on
sache
foù il vient ni où il va. Il faut le suivre avec
Le premier signe intérieur que nous nous endormons, c’est que nous ne
savons
plus ce que nous faisons, ce que nous disons, ce
e on dit, par la passion. Dans un accès de colère, par exemple, il ne
sait
plus ce qu’il dit ni ce qu il fait, il n’entend r
hé, de guérir les maladies? C’est le secret du temps. Ce que nous
savons
seulement, c’est que le magnétisme esl, a été, et
tes n’en trouvent que deux dont l’abaissement paraisse indispensable,
savoir
, l’autorité de l’Eglise catholique, et le dogme d
tours ; il est de plus excellent mécanicien , savant physicien ; il a
su
appliquer à la prestidigitation les découvertes d
posés ; en un mot, en homme qui a l’habitude de bien des ruses et qui
sait
les déjouer, je puis affirmer que le sujet était
toucher, et me dit : — J'ai le roi.—Comment, lui dis-je, pouvez-vous
savoir
si vous avez le roi, puisque je n’ai pas encore r
auraient éclioué là où réussit glorieusement le faiseur de tours. On
sait
que plusieurs tribus indigènes, n’ayant subi qu'a
bien qu'il n’ait pas été fait d’épreuve du môme genre, tout le monde
sait
que de nombreuses vérifications ont eu lieu avec
itifs. Les remèdes officiels ontcommencé par être empiriques : nul ne
sait
pourquoi ilsagissent; ce n’estpointenvertu d’un r
sujet les réflexions suivantes (Patrie du 9 avril) : « Les-médecins
savent
pourtant, de reste, qu'une foule de remèdes longt
note de l’observation , et comme il y a là une distinction que je ne
saurais
discuter, je la soumets à l’appréciation de plus
ôle de maison..., qu’est-ce qu’il y a donc d’écrit en dessous ? je ne
sais
pas ce que cela veut dire , ce n’est pas en franç
n toute probabilité, communication ou soustraction de pensée, et nous
savons
tous que c’est à cela que l’on attribue le plus g
uveau fluide oonnu sous le nqmxVélectricité : celle-ci, comme nous le
savons
, est de deux sortes suivant les corps dont elle é
ue tard peut-être vous le dirai-je. Pour le moment, contentez-vous de
savoir
que vous êtes dans l’erreur. Quelque hardiesse qu
x aiguilles avec la clef un mouvement irrégulier, de manière à ne pas
savoir
nous-même quelle heure elles indiquaient. Nous la
AL Lassaigne avait quitté M. Julio pour s’approcher de notre ami, et
savoir
de lui quelle expérience devait être faite, M
iastes exagérés et sans critique suffisante qui contribueront sans le
savoir
à entretenir les premiers dans l’erreur , en leur
est du moins une analogie qui rend la chose vraisemblable. On ne peut
savoir
si ces intelligences ont la faculté d’agir sur la
hoz l'auleur, rue do Luxembourg, 5). M. Mabru s’est érigé, comme on
sait
, en pourfendeur du magnétisme ; en publiant son g
ue, qu’est fondée « toute la science de la médecine illégale, tout le
savoir
des somnambules magnétiques qui, sans aucune étud
c’est en quelque sorte un sixième sens dont ils sont privés ; ils ne
savent
ni quel en est le siège, ni à quelles conditions
uraient eu lieu à ce sujet, et alors le public, édifié sur la vérité,
saurait
à quoi s’en tenir sur les rodomontades des advers
e nous conseillerons à ceux qui tenteront ces épreuves. Tout le monde
sait
que les somnambules sont d’une extrême susceptibi
, des peuplades de l’Arabie, les Psylles et les Marses, entre autres,
savaient
charmer ces reptiles. Les Indiens font exécuter
pieds de long, et son diamètre était en proportion ; mais le voyageur
savait
que les ophidiens, à l’exception de quelques homo
les cornes; dans un troisième, un porc-épic avec tousses piquants. II
savait
que le prince Maurice de Nassau-Siegen, l'un des
rurgiens, les infirmiers, tous ceux enfin qui s’occupent des malades,
savaient
pratiquer le magnétisme, il est certain , disons-
dans sa faiblesse, Quand vint Mesmer, nouveau libérateur. Du vrai
savoir
il était le Messie, Mais les savants ne l'ont p
ait-elle pas nous servir à nous-mêmes de point de ralliement? Vous le
savez
, dans l’union seule repose la force et la puissan
se défendre avec des alternances de défaites et de victoires qu’on ne
saurait
méconnaître. Ces temps d’arrêt ne peuvent s’att
puissance de commandement qui lui a été dévolue, et n’en use pas. Il
sait
, il est vrai, que d’ungeste il éloigne ou appelle
i, que d’ungeste il éloigne ou appelle un animal visible ; mais il ne
sait
pas que sa seule volonté peut agir de môme sur le
s étonner, tant elles vous surprennent quelquefois, parce que vous ne
savez
pas plus ce que vous faites que les apôtres qui i
nous refusez point. « — 11 n’y a que moi, mesdames ? Et comment le
savez
-vous, ne me connaissant pas ? « — C’est une tab
ns la voiture de ces dame;, et m - laissai.conduire aveuglément, sans
savoir
encore à qui j’avais affaire, ni quel mode de tra
édication ; et, sans en demander alors davantage, je voulus seulement
savoir
si la table parlante se trouvait chez le malade,
le, car je ne veux rien commencer sans l’avoir consultée moi-même, et
savoir
enfin comment je dois magnétiser. « L’ordre fut
+ b. Aussi resta-t-il pétrifié quand il vit qu’un morceau de bois en
savait
pour le m )ins autant que lui ! « Cependant, qu
. Quant aux somnambules, tous ceux qui les ont fréquemment consultés,
savent
combien ieur lucidité est variable, incertaine, e
ux étaient causés par les moyens qu'ils désignent. Car ils ne peuvent
savoir
s’il n’existe pas une foule d’autres moyens de ré
ociété philantliropico-magnétique, et M. Matthieu, qui était présent,
sait
parfaitement que les résultats n’ont pas été sati
on des Esprits. Quant aux communications intellectuelles, M. Matthieu
sait
également que quand une question posée à l’Esprit
uire sur ce sujet quelques extraits puisés dans divers ouvrages. On
sait
qu’il y a des miroirs magiques d’une infinité de
visite du commissaire de police. « J’ai consulté M** Berney ; je ne
sais
si elle dormait ou non. Ses remèdes ne m’ont fait
rrêtée au milieu d’une pirouette et restant dans la position que l'on
sait
. M. Mongruel n’avait pas sans doute sous la main
usé l’auditoire qui entend toujours avec plaisir sa parole et qui lui
sait
gré de ses efforts pour rendre la science attraya
cures merveilleuses opérées en ma présence par M. Jobard, mais je ne
sais
s’il pourrait, voudrait ou oserait encore recomme
et s'endormir. Bon, dis-je, la voilà en somnambulisme, nous allons
savoir
et la cause du mal et le remède. — Deinandez-lu
nir une meilleure solution; et, m’adressant à la malade: — Madame! ne
savez
-vous pas que Dieu a mis le remède à côté du mal e
ue Dieu puisse faire un miracle ? Cherchez, je vous l'ordonne, car je
sais
que vous pouvez le trouver ; c’est pat-paresse et
c’est cela, dit la malade. — Quoi donc ? — Urticaire. — Bravo ! Je
savais
en effet que l’urticaire est déterminée par l’éru
— Que feriez-vous, docteur, dans une pareille conjoncture? — Je ne
sais
pas. — Moi, je le sais ; l'ouïe est passée dans q
teur, dans une pareille conjoncture? — Je ne sais pas. — Moi, je le
sais
; l'ouïe est passée dans quelque centre nerveux ;
entre les deux épaules. — Ce n’est pas ce que ces messieurs désirent
savoir
, mais bien la cause déterminante de cette névralg
avez beaucoup trop négligé jusqu’à ce jour, et qui cependant, vous le
savez
beaucoup mieux que moi, joue un si grand rôle dan
votre enfant que la médecine va laisser mourir, parce qu’elle n’a pas
su
remonter à la source du mal, et, par conséquent,
et à faire comme n’ayant pas le caractère scientifique désirable. Je
sais
que, dans son article, M. Morin me rend cette jus
iselle comme médium disposé à se prêter aux expériences. Nos lecteurs
savent
maintenant à quoi ont abouti les expériences tent
On redressa la table, et trois personnes seulement s'en approchèrent,
savoir
moi, la jeune demoiselle et un autre médium. La t
l’état du ciel annonce les grands événements humains. Tout le inonde
sait
quel parti poétique Virgile a tiré de celle idée
d nombre de somnambules ont des cabinets de consultation, exercent au
su
et vu de l’autorité qui leur accordent une sorte
ais ; il serait à désirer que la question fût clairement vidée, qu’on
sût
enfin ce qui est permis, ce qui est défendu ; on
leuse, il faut que celui qui les employé ait conscience de la fraude,
sache
qu’il trompe. De là une distinction essentielle :
e pratique, il feint par là d’y croire, il employe des procédés qu’il
sait
inefficaces, il exécute un cérémouial dont il se
es d’un personnage considérable auquel ils sont réellement étrangers,
savent
fort bien qu'ils trompent, ils employentlc menson
u mouvement; mais cette force est-elle matière 011 non? Nul ne le
sait
, l'imperfection de nos sens eM une barrière infra
t la gravitation des corps ne sont point une chimère, et pourtant qui
sait
si plus tard une autre vérité ne surgira point du
ropres à soulager et même guérir les mala-« dies du corps ; il paraît
savoir
des choses qu’il ne savait ■( pas et qu’il ou
uérir les mala-« dies du corps ; il paraît savoir des choses qu’il ne
savait
■( pas et qu’il oublie à l’instant même du ré
ITS ET EXPÉRIENCES. FACULTÉS EXTRAORDINAIRES D’UNE SOMNAMBULE. On
sait
que plusieurs somnambules naturels peuvent, dans
ts. Après avoir fait sa prière, elle se mit au travail. Tout le monde
sait
quelle dextérité exige une tapisserie en soie rep
ci se hâta d’accourir près du mourant. — Sire , lui dit Blücher, je
savais
que vous assistiez dans les environs à une revue
verdier du Brésil, Leur gentillesse est égale à leur'esprit et à leur
savoir
. Ces oiseaux sont enfermés chacun dans une des
tire un, que M. Tréfeu serre dans sa main fermée, sans l’avoir lu.
Savez
-vous quelle question renferme ce billet? i — Ou
érémonie recommence avec le cardinal. Le cardinal reste immobile. —
Savez
vous quelle est la question qu’on vous adresse?
ui a été dit tant de fois, chose d'ailleurs très-admissible, qu'on ne
saurait
refuser à Dieu le pouvoir de donner la pensée à l
ce qu’on peut appeler avec raison l’âme universelle. « Quoique nous
sachions
fort bien tout ce qu’on a pu dire jusqu'ici de pl
l'un agissant magnétiquement sur l'autre. Dans ce cas, chacun de nous
sait
les phénomènes physiologiques plus ou moins étonn
n tirerons nos preuves de l’admirable phénomène de la mémoire. « On
sait
que le corps de l’homme, jusqu’à un certain âge,
e le mystère ne convient qu’au charlatanisme, a publié tout ce qft’il
savait
, a fait part au public, sans aucune réserve, de c
ire annoncer son livre, intitulé : i Art de découvrir les sources. On
sait
qu’il s'agit encore ici de sorcellerie magnétique
t, de plus, je lui tournais le dos. Mais, quoique endormi, je devinai
su
pennée, et je me dis : il croit que je ne le vois
consulte la suite du songe qui m’avait présenté tous ces faits, pour
savoir
comment je m’étais tiré d’embarras, et je sus bie
tous ces faits, pour savoir comment je m’étais tiré d’embarras, et je
sus
bientôt ce que j’avais à faire. Nous forçâmes l’a
en leur faisant observer qu'ils se trompaient sur mon compte; que je
savais
parfaitement que ces numéros devaient être les pl
aines après pour aller à Gand, du consentement de mes patrons, qui ne
savent
pas eux-mêmes comment ils ont pu consentir : nous
ssas, l’auteur de la Vénus de Milo, venait de mourir subitement. On
sait
peut-être que M. L. d’Assas est d'une ville du Mi
r quelques autres de ces guérisons que la médecine officielle 11e
sait
pas produire, et il s’en lait tous les jours de q
tôt à lui, et que je vis avec plaisir s’élancer dans les branches. Je
sais
que des faits de c> genre ont été souvent obse
mort vient de nous ravir un ami dévoué au magnétisme. Homme d’un beau
savoir
, d’une éloquense persuasive, M. Salvat s’était se
mais sans affaiblir nos rangs qui grossissent chaque jour; et, ne le
sait
-on pas d'ailleurs, Ibs vérités ne s’établissent q
t aucun souille. : elle crut donc que la malade était évanouie, et ne
savait
trop si elle était morte ou vivante. Lorsqu'elle
, écrivain spirituel et plein de verve, pamphlétaire infatigable, qui
savait
si bien rétorquer l’ironie, et dont la vigoureuse
ré de lucidité en faisant la proportion des succès aux insuccès. Elle
saurait
ainsi combien elle aurait de chaaces de réussir d
ition qu’un somnambule, deux tout au plus; ce n’est pas assez; car on
sait
que la lucidité est variable, et l'on est toujour
ement il lui déclare qu’elle va aller en prison, attendu qu’elle doit
savoir
comment se passe cette comédie. La fille pleure ,
ris verront à ces indications la route que je suivais. Je n’ai jamais
su
ce que j’allais faire dan s ce quartier ; seu
tracé direct de Neufchâteau par Miïnfi, et puis sur Florenville, sans
savoir
où en est ce tracé, mes songes me disent qu’il se
ètres de distance. Nousavonsfaitàcetteoccasiondiversesexpériencespour
savoir
dans laquelle des deux têtes se trouvait le siège
taire. Tous les magnétiseurs et tous les gens qui ont manié l’ô-pôe
savent
que, dans un duel à l’arme blanche, l’reil de l’a
fille elle-même. Actuellement l'enfant est dans un état tel, qu'on ne
sait
si l’on ne doit pas regretter qt»’«He soit vivant
ne pas arriver à cette conclu- sion, quant aux animaux, lorsqu'on
sait
que ce pouvoir s'étend jusque sur les corps dits
aissant attendre un nouvel ordre de son maître ; c’est qu'en effet il
sait
que sa tâche ne se borne pas là, et qu’il doit en
que nous nous plaçons, nous, peut-être trop haut comparativement. Je
sais
que les métaphysiciens nous disent que, quoique l
encore recours au magnétisme, mais à un magnétisme bien raisonné, qui
sait
alors si l’animal ne fera pas quelquefois honte à
et entament une conversation assez animée. L’une de ces dames, que je
sais
sensible à l'action magnétique, éprouve tout à co
en elle, et que décèle l’altération subite de ses traits. « — Je ne
sais
; mais la vue de cet homme qui vient de passer m’
ec les Esprits de leurs parents et amis décédés. La question était de
savoir
quelle était la cause de ces coups. (1) Il en a
voir s’opérer le miracle, d’en suivre les évolutions, s’il y en a; on
saura
si l'écriture se fait successivement ou par une a
es; il s’en produit : ceci indique clairement que ceux qui opèrent ne
savent
rien des causes, et que le principe qui conduit à
es personnages des plus illustres, des plus vénérés ; maisce que l’on
sait
moins sansdoute, c’est que M. Lemoine, l’auteur d
irecte à l’assistance du démon : « Je te connais, tu me connais, di-«
sait
-il. Allons, vieil ami, fais ce que je te demande.
e puisse l'attribuer à son tempérament, et je dois déclarer que je ne
sais
où la placer ailleurs. Ici l'enfant est pris d’
Sur l’interpellation relativement au mol somnambulisme à l’effet de
savoir
si tout ne s’expliquerait pas en admettant que le
conjuguait le verbe pouvoir. Ce n'est que quelque temps après que je
sus
qu’il avait été magnétisé, qu’un voyageur aur
ë. Nota. — L'arbre de Vénus est un bel arbre, dont aucun prévenu ne
sait
dire le nom botanique, auquel le médecin at-
la porte. Enfin, une jeune fille de dix-neuf ans qui, du reste, ne
sait
pas lire et n’a pu par elle-même prendre connaiss
sous prétexte de récidive, infligé au premier cinq jours de prison en
sus
de l’amende ; qu’en effet, la dernière dispositio
livraison» coûtent pour la France 13 fr.; pour l'étranger, la taxe en
sus
. Baron du POTËT, propriétalrr^érarit. ,M. l
baron du Potet indique des forces dont il ne précise pas l’usage. 11
sait
qu’on peut nuire ou faire du bien, tuer ou sauver
aient, et enfin s’agenouillaient en s’inclinant profondément, Je ne
saurais
rendre l’impression que cette scène produisait su
e auprès des juges qui, connaissant parfaitement les faits matériels,
savent
que la maladie n’est que frop réelle : les médeci
pas croire au fluide magnétique (l’existence du fluide est, comme on
sait
, une des hypothèses adoptées par les magnétistes,
rière des prétextes trop transparents. » 11 fait voir par là qu’il ne
sait
pas le premier mot de l’histoire du magnétisme :
uier, Leroux, Marc, Thillayes, Rostan, J. Cloquet, etc. Quand on ne
sait
rien de l’objet sur lequel on est appelé à donner
rt et à travers en relatant des opinions toutes faites, puisées on ne
sait
où, et qu’on n’est pas en état de justifier. Le
l n’existe pas, pour le monde savant, de magnétisme animal. » Nous ne
savons
pas au juste ce qu’il entend par le monde savant.
isme est absurde, chimérique, imaginaire..., mais il ne s’agit que de
savoir
s’en servir, et alors de3 zéros additionnés produ
e prussique. Ce second docteur avait bien le droit de dire: Je ne
sais
pas. .Mais il avait tort de s’abriter sous le man
convulsions qui depuis ne l’ont pas quitté, et le magnétiseur sans le
savoir
a été cité àraison de ces faits devant le tribuna
être d'une expérience qui aurait bien sa portée. «Pourma part, jene
sais
pas sije crois aumagnétisme ; mais je sais bien q
oupir. u Cette vision était-elle le résultat du magnétisme? Je n’en
sais
rien. Etait-ce de la folie? Je le veux bien. Mais
e n’est que je finis mon courrier d’une façon bien lugubre, et que je
sais
peut-être le moyen d’endormir sans savoir magnéti
façon bien lugubre, et que je sais peut-être le moyen d’endormir sans
savoir
magnétiser. « Thécel. » (Extrait de la corres
est devant la sainte inquisition que ce procès a eu lieu (1), et l’on
sait
que devant ce ténébreux et terrible tribunal la p
ue c’est sérieusement qu’il poursuivait le grand œuvre. 11 importe de
savoir
si ses longues recherches ont abouti à quelque dé
ême et toutes les circonstances de leur vie terrestre, au point de ne
savoir
que ce que sait le médium corbillonnant? Et l’ide
circonstances de leur vie terrestre, au point de ne savoir que ce que
sait
le médium corbillonnant? Et l’identité de ces mor
rsonnes s’élant laissé servir le Journal (leux, trois mois et plus en
sus
de leur abonnement sans se croire plus tard engag
Journal, seront reprises le 19 de ce mois. Rien, absolument rien ne
saurait
remplacer ces séances pour qui veut se familiaris
nde de ses bienfaits et de ses dangers. Quelques esprits timorés nous
savaient
mauvais gré de nos attaques; nous allions trop lo
maison du voisin : mais comment cela s’était-il fait? personne ne le
savait
. Elle resta très-faible pendant les quatre ou cin
siè, compliquée de somnambulisme spontané. Dans cet état, comme on le
sait
, les spasmes toniques, où tous les membres sont t
t de si tristes résultats, comme personne n’était présent, on ne peut
savoir
si sa mère l’emporta dans le puits de la même man
artisans du matérialisme sont bien loin d'être de notre avis; nous le
savons
, mais nous qui sentons que la matière ne peut d’e
en constatons seulement quelques-unes qui lui sont inhérentes ; nous
savons
qu’elle est divisible, poreuse, impénétrable, éte
peuvent donner qu’une idée bien superficielle. Qui pourrait jamais
savoir
au juste ce que c’était que ces célébrations des
e, il n’en est point de plus « ancienne ni de plus universelle. On ne
saurait
nier que l’a-« nalogie ne lui prête au moins un h
eur signification consacrée par un long et constant usage. Si l’on ne
sait
pas au juste ce qu’est la magie, du moins on sait
t usage. Si l’on ne sait pas au juste ce qu’est la magie, du moins on
sait
sûrement ce qu’elle n’est pas, et certainement el
ndraient-ils à la magie ? Cet embarras de l’auteur fait voir qu’il ne
sait
pas lui-même en quoi consiste la science qu’il ve
arce que, tout en étant hors d’état d’en comprendre le mécanisme, ils
savent
que c'est une œuvre humaine, une application des
ui qui méconnaît les lumières de la raison; l’écrevisse est, comme on
sait
, l’emblème de la marche rétrograde. Quant au vaut
ons si l’od n’y révélerait pas également sa présence. Tout le monde
sait
que la circulation de l’homme et des mammifères c
qu’à ce jour, malgré les infatigables recherches de la science, lions
savons
encore si peu de chose. Si nous interogeons les
t sur lequel nous avons plus d’une fois insisté. C’est la question de
savoir
pourquoi le cœur séparé du corps de l’animal cont
Maintenant il reste encore un second point à éclairer, c’est celui de
savoir
en vertu de quelle autre influence, le sang parve
us ne pourrons pas trouver une explication plus vraisemblable. Nous
savons
que le sang parvenu dans les vaisseaux capillaire
lois qui gouvernent notre planète et de celles auxquelles notre petit
savoir
attribuait la circulation de la périphérie vers l
TES ET LE MAGNÉTISME. SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE. Tout le monde
sait
que l'Académie de médecine, à la suite de divers
nde analogie avec ceux que vient de raconter M. Cerise. Tout le monde
sait
qu’il y a, entre le cerveau et divers appareils d
phénomènes nerveux extraordinaires, et de l'avoir fait en médecin qui
sait
se mettre en garde contre toutes les exagérations
crédule, d’autres trop tiède. Mais plus prudent que vous, nous avons
su
résister à la fascination de l’inconnu, et nousno
diment : Vous êtes comme M. Jourdain, qui faisait de la prose sans le
savoir
; quand vos faits sont réels, ils appartiennent à
ue nous ne pouvons expliquer. M. le docteur Cerise, dont le profond
savoir
est apprécié de tous ses confrères de province, r
us me connaissez, je crois, assez pour avoir foi en mes paroles, vous
savez
que si j'ai étudié quelque peu le magnétisme, je
exprime ce que j’éprouvais, mon cœur et ma poitrine craquaient, je ne
savais
si j’étais sous l'influence d’un rêve stupéfiant
puisque les efforts réunis de tousles hommes et de tous les temps ne
sauraient
soulever le voile qui nous le cache, est-il à dir
s en temps à la nature, l’homme ne peut se connaître lui-même : il ne
sait
ni ce qu’il est ni ce qu’ildoit être un jour, si
sépare du spiritualisme. Est-ce aveuglement de notre part? Nous ne le
savons
. En tout cas, ce n’est point cette hv-crédulité »
ques sur co bon ange, qui ne vous quitte pas un instant. Curieux de
savoir
ce qu’avait été notre ange gardien ici-bas, malgr
à leur concours, le jour tant désiré ne tardera pas à luire, et qu’on
saura
bientôt enfin, dans le cas où il y aurait véritab
vait donc une mine féconde à exploiter pour la science ; et l’on doit
savoir
gré à ceux qui, comme M. Goupy, ne considérant pa
écrire des choses au-dessus de nous, des choses que nous ne pussions
savoir
ou au moins deviner. Donc ces phénomènes sont pou
et les obstacles? » (P. 201.) — 11 peut arriver que le magnétiseur ne
sache
rien de plus que ce que sait le sujet, et soit pa
— 11 peut arriver que le magnétiseur ne sache rien de plus que ce que
sait
le sujet, et soit par conséquent incapable de rie
vue ordinaire, 011 ne peut aucunement en conclure que cette personne
sût
fusionnée avec l’être infini ou ait reçu de luiun
que instant. (P. 337.) Nous ne connaissons pas assez M. Kerner pour
savoir
jusqu'à quel point son témoignage peut être admis
ur savoir jusqu'à quel point son témoignage peut être admis ; nous ne
savons
s’il a observé par lui-même tous les faits extrao
ant ce long intervalle il ne lui était arrivé qu’une lois de sc tenu-
su
,' ses pieds. Elle était extrêmement maigre avau u
ances, offre quelque analogie avec le précédent ; le voici : » Nous
savons
encore beaucoup de miracles opérés par le même ma
rcellerie , comme nous le montrerons dans le prochain numéro. Nous ne
savons
si pour ces cas il admet le concours du fluide :
dissons à cette sage réserve : il vaut beaucoup mieux avouer qu’on ne
sait
pas, que de hasarder des explications aventureuse
dans ce nombre et qu’il ne fallait plus la magnétiser que trois fois,
savoir
: le 3 novembre, à une heure de l'après-midi;
s messieurs sont réunis et discutent le magnétisme; que l’histoire de
su
maladie et de son opération est la principale mat
tée ? A-t-elle rêvé 1 A-t-elle eu un «ccès de convulsions ? Elle n’en
sait
rien. i.*' «Elle médit, et sa mère confirme son
six ans après la communication qui en avait été faite, parce qu’on ne
saurait
, dit le rédacteur du Moniteur des sciences médica
insérer dans le Moniteur des Hôpitaux si vous le jugez convenable. Je
sais
avec quelle répugnance les médecins touchent à to
ns l’adjoindre à ses deux éminents confrères de Douai qui doutent, ne
savent
point, et qui attendent patiemment que l’Académie
ain de la lumière. Les médecins ont grand tort, en ce moment, on doit
savoir
gré des efforts de quelques-uns, mais le bien ser
docteur Flint (1) : l’expérimentateur pourra en faire son profit, il
saura
ce qui peut être dû à des causes purement humaine
dans l’une et l’autre méthode, à tel point que sous ce rapport on ne
sait
à laquelle des deux donner la préférence. Ce ne s
ase ; cela dépend peut-être plutôt de lui que de son procédé ; car on
sait
qu’il y a des personnes qui font l’office d’éteig
été l'auteur de ces critiques et de ces insinuations, vos lecteurs le
savent
, et ce n'est qu'à force d'ètre provoqué que je me
otte. Tantôt les domestiques recevaient des coups sans qu’ils pussent
savoir
d’où ils venaient et qui les leur donnait. Tantôt
nt qu'à remplacer la réflexion proprement dite. Afin que le lecteur
sache
de quoi il s'agit, transportons-nous dans une séa
très adroits, qui, malgré leur candeur apparente, leur air innocent,
savent
duper les observateurs les plus expérimentés. Ces
aire d'abord une petite digression. C'est que les médecins spirites
savent
exécuter assez fréquemment le truc suivant : La p
t par un moyen que les bateleurs connaissent particulièrement à fond,
savoir
, à l'aide du détournement de l'attention. Dans l'
ible de remuer une table qui se trouve à gauche; il peut se lever, il
sait
l'effectuer sans bruit, prendre les objets d'une
temps, ce truc a été publié par un ancien médium spirite, mais je ne
sais
pas si Lombroso en avait eu connaissance. Toujour
anté ou par raison morale, Non c'est, je crois, de naissance. Je ne
sais
si, une fois devenu fumeur, j'aurais eu le courag
. Je résistai. La suggestion ne prenait pas sur moi. Pourquoi ? Je ne
sais
pas au juste, probablement parce que ma crédivité
faste ; il voudrait bien ne plus fumer ; mais il est trop tard; il ne
sait
plus résister à son vice. Il assiste impuissant i
qui appelle au secours. N'allez-vous pas lui jeter la perche? Je ne
saurais
dire combien j'ai vu de gens, dans ma courte carr
quels moyens employer? Oh ! les artifices sont nombreux et il faut
savoir
choisir suivant les circonstances. Voici le fum
absorbé. S'il se montre rebelle, employez d'autres artifices. Vous
savez
qu'on peut tromper par suggestion l'odorat de l'h
artifices varient à l'infini, au gré de l'hypnotiseur. Le tout est de
savoir
s'en servir à propos. LES PIGEONS VOYAGEURS F
ont à un plus ou moins haut degré celte faculté d'orientation ; tous
savent
retrouver leur nid. Ainsi, on l'a constaté depu
soudre une inconnue par une autre inconnue. Mais, en réalité, on ne
sait
rien de bien précis, et c'est ce qui a fait dire
sure à tous les animaux. Car enfin l'abeille qui va butiner au loin
sait
retrouver le chemin de sa ruche. Elle y retourne
beilles reviennent a l'endroit où elles ont quitté leur demeure et ne
savent
pas même trouver le nouvel emplacement de leur ha
és dans le sommeil hypnotique. Par M. le Dr BÉRILLON. Comme on le
sait
, l'aptitude au rêve est extrêmement variable selo
es mouvements ne sont après tout que des gestes en raccourci, et nous
savons
que le geste, d'une manière générale, est une man
assif. Il subit et observe; lutte contre des idées, des pensées qu'il
sait
fausses, incohérentes, sans fondements raisonnabl
Quand les crises cessèrent, quand jo revins dans mon état normal, je
savais
, à n'en pas douter, tout ce qu'il y a de vrai dan
art du moins, à peu près à une lieue à la ronde. Celles qui n'ont pas
su
retrouver leur chemin étaient probablement plus n
s oiseaux. L'indien a non seulement la vue bien plus perçante, mais H
sait
infiniment mieux s'en servir pour s'orienter. C'e
e cogner contre la terre et contre les murs (1). Si les abeilles ne
savent
pas retrouver leur rucher déplacé, cela lient à l
dois maintenant discuter un point sur lequel je n'ai encore rien dît,
savoir
, les cas où. en présence du médium, malgré qu'il
ecret ; mais Il est incontestable que les charlatans et les bateleurs
savent
admirablement exécuter ce tour. Dans le plus gr
t ou en partie. On a maintes fols constaté que les assistants, qui ne
savent
pas ce qui vient d'être dit, restent ordinairemen
l y a peu de temps a une pareille séance privée où un médium étranger
savait
également rendre les liens tout à fait illusoires
n réalité à cette condition pendant toute la durée de la séance et ne
sût
plus tôt duper ses voisins. D'abord, il aurait ét
dement Lombroso par son charlatanisme, même à la lumière, puisqu'elle
sut
l'inviter â une séance en plein jour et s'arrange
s d'attraction et d'expansion de notre corps, il était intéressant de
savoir
: 1° A quelles formules correspondaient les éta
tion du phénomène solandique de Silva. Ce phénomène consiste, vous le
savez
, à susciter isolément la mise en activité des fon
stes déductions anatomiques et physiologiques de Rainaldi n'est et ne
saurait
être, selon moi, qu'un cas d'auto-suggestion scie
s profon-dément et, par ceux-ci enfin, les organes profonds ». Or, on
sait
que le cuir chevelu, le crâne eT U dure-mère so
tance corticale du cerveau et ses parois osseuses et fibreuses, on ne
sait
rien. C'est donc accumuler à plaisir les hypothès
, que l'excitation du cuir chevelu, fût-elle transmise à l'écorce, ne
saurait
atteindre un point circonscrit, Rainaldi répond p
t, la paralysie de l'hypoglosse, l'aphasie, etc. De simulation, il ne
saurait
être question, « car la malade ne connaissait pas
tions n'ait varié avec les livres d'où ce3 auteurs ont tiré ce qu'ils
savaient
de la topographie des centres fonctionnels de l'é
sé (1), et, loin d'être propre aux hystériques et aux névropathes, un
sait
aujourd'hui que l'hypnotisme n'exerce guère un em
suggérées à l'école, au catéchisme, à l'armée, à l'atelier, et qui ne
sauraient
d'ailleurs réfléchir sur rien. Ce troupeau-là, c'
particulier ceux de la léthargie provoquée, chez les hystériques, ne
sauraient
rien nous apprendre, quel que soit le procède d'e
ée religieuse le travaillait et il redoutait quelque chose, sans trop
savoir
quoi. Quand, vers dix heures, il entendit les clo
-ils nombreux ? — Très nombreux. — Combien à peu près ? — Je ne
saurais
pas dire. — Et vous, Laure ? — Ni moi non plus.
les prêtres, la foule; mais elle ne peut préciser davantage. On ne
saurait
, dans ce cas, penser à une hallucination télépath
issaient à chacun des convives en particulier. Par son discours, il
sut
prouver à chacun qu'il était resté en parfaite co
i dont il subit la domination; « Considérant, dès lors, que P... ne
saurait
actuellement prétendre qu'il n'a pas continué d'e
s convaincus d'avoir trouvé dans la suggestion une arme puissante qui
sait
guérir là, où d'autres agents thérapeutiques ne m
i s'offrent au médecin traitant des malades de cette catégorie, il ne
saura
assez te louer s'il sait tirer parti des services
itant des malades de cette catégorie, il ne saura assez te louer s'il
sait
tirer parti des services que peut lui rendre la s
. J'ose dire que le vœu exprime par l'auteur à la fin de son livre,
savoir
: « Qu'il ait réussi à démontrer qu'une guérison
initiative avait été laissée aux adhérents. Les organisateurs avaient
su
éviter de tomber dans ce travers commun qui consi
e longue durée. Les savants anglais connaissent le prix du temps, ils
savent
que les débats oratoires, si éclatants qu'ils soi
, ils savent que les débats oratoires, si éclatants qu'ils soient, ne
sauraient
exercer beaucoup d'influence sur la solution des
ontrôle sévère des faits, contrôle qu'aucune discussion académique ne
saurait
remplacer. Pour gagner du temps, les organisate
un changement radical dans tout mon être; avec une volonté rare qu'il
sut
me transmettre, je fus transformé au bout d'un mo
rendre à la vérité le culte qui lui est dû, et nous estimons qu'on ne
saurait
trop accumuler, surtout quand ils sont remarquabl
en insuffisants. Sous l'influence du bruit fait par ma pratique, je
savais
qu'on avait essayé, avec persistance et sans succ
udrait comprendre l'utilité de cette grando ressource, qu'il faudrait
savoir
y faire appel et la réclamer de moi, car je n'en
la partie la plus obscure, et la première question qui se pose est de
savoir
te lien qui unit l'esprit et les corps. Jusqu'à p
ir te lien qui unit l'esprit et les corps. Jusqu'à présent, nous n'en
savons
rien. Une idée, un raisonnement, une pas-ion sont
e de la répression, de la pénalité, de la morale, de l'éducation. Qui
sait
même si le développement psychique de l'homme ne
te champ à parcourir. L'avenir de l'humanité dépend de ce que l'homme
saura
de la partie la plus noble de ton être, l'intelli
une affaire criminelle qui a eu, en 1891, un grand retentissement, à
savoir
: l'empoisonnement tenté par Mme Weiss sur la per
ntervalle a. Ces expériences, en effet, ne prouvaient qu'une chose, à
savoir
qu'un sujet hypnotisé était capable de réaliser u
vaso-moteurs ovario-utérins de personnes normales non hypnotisées. On
sait
que les émotions et les impressions psychiques so
re inutile ni superflue en vous les communiquant, parce que, je ne le
sais
que trop bien, beaucoup de savants et de médecins
s chez ma petite malade éveillée, qui se trouva ébahie de son nouveau
savoir
. Cependant, je remarquai qu'elle se trouvait pl
uivre d'autre technique que de payer d'énergie et d'aplomb. Celui qui
sait
donner la suggestion de la façon la plus décisive
igents. Les premiers se fient sans examen à la supériorité de notre
savoir
. Ils croient en nous, et la foi existant, l'autor
être traitée sans comprendre. Elle ne veut pas incliner devant notre
savoir
et elle n'a pas assez de savoir à elle-même pour
lle ne veut pas incliner devant notre savoir et elle n'a pas assez de
savoir
à elle-même pour nous suivre. Ces gens-là sont le
sidant dans chacune de ces manières est la suggestion. Tout médecin
sait
que tontes ces suggestions perdent leur pouvoir,
a volonté consciente du malade A dominer ses symptômes morbides, j'ai
su
triompher de formes graves de neurasthénie (d) et
peuvent s'étendre plus loin qu'on ne le croyait auparavant et que le
savent
à cette heure les physiologues. Mais il n'exist
se rivaliser en énergie d'action et en étendue de crédit, à ce que je
sache
, avec le vaccin de la petite vérole. Or, la vac
oduisit de l'amélioration, Koch attribua ce résultat à son remède; on
sait
les conséquences. (3) Opportunisme necessaire.
et maintenant avec ardeur. Un serait tenté de dire : maintenant qu'il
sait
que cela est. il le trouve tellement évident qu'i
ation de la suggestibilité. Quant à l'opinion émise par M. Bemheim, à
savoir
qu'il n'y a pas d'hypnotisme, je ne saurais y sou
on émise par M. Bemheim, à savoir qu'il n'y a pas d'hypnotisme, je ne
saurais
y souscrire davantage. Quand nous voyons un sujet
moment que l'hypnotisme commence, car à mon avis le mot hypnotisme ne
saurait
avoir d'autre signification que celle-ci : sommei
s ses états profonds et dans ses modifications individuelles; nont ne
savons
même pas dans quelles conditions il se produit. I
énomènes normaux et en sont cependant bien distincts. L'hypnotisme ne
saurait
lui non plu» échapper à cette loi. VARIÉTÉS L
ettres d'or sur sa tombe. Ce sceptique s'amuse même des épilaphes. Il
sait
que la vertu et la bonne renommée s'achètent chez
bsession du cauchemar el le décousu du rêve. La scène entière a je ne
sais
quoi de bizarre et de falot. Le meurtrier y rumin
ions considérées comme appartenant au domaine du merveilleux. L'on ne
sait
véritablement ce qu'on doit admirer le plus de l'
ce de Mathis à se soumettre à l'expérience proposée. La discussion de
savoir
si un juge a le droit de se servir de l'hypnotism
avait déjà, à cette époque, endormi plusieurs milliers de sujets. On
savait
, dans la région, que le savant médecin de Nancy a
e pouvoir d'endormir les gens en leur disant : « Endormez-vous. » Ils
savaient
aussi qu'ils les éveillait comme le fait l'hypnot
ur le président, je suis un homme simple. Le président. — Vous avez
su
choisir le moment... Vous avez su détourner les s
simple. Le président. — Vous avez su choisir le moment... Vous avez
su
détourner les soupçons... Vous avez écarté toute
ceinture dans le four.) On ne trouvera pas de preuves... Personne ne
saura
rien... rien !... Le songeur, au président. --
ypnologie el de Psychologie. façon si insidieuse, que la plupart ne
savaient
plus faire la distinction entre les souffrances d
détermination : « Je tiens â vivre le plus longtemps possible, car jo
sais
que la nouvelle de ma mort ferait le plus grand p
de même on apprécie le talent de l'orateur d'après l'impression qu'il
sait
communiquer aux esprits. Un homme qui se connaît
avec frénésie aux déclamations les plus sauvages. — Tous les acteurs
savent
que leurs effets portent bien plus si la salle es
n redoublement d'attention; il y aura dans l'attitude de chacun je ne
sais
quoi de tendu, de tragique, et l'ensemble de ces
uvent quelque chose (I). » Et pois il y a. comme toujours. le je ne
sais
quoi Certaines personnes ont sur la foule une act
ons; toutes leurs assertions ont force impérative Pourquoi ? On ne le
saurait
dire. Peut-être simplement parce qu'il est reçu q
oyons, et nous obéissons parce que nons sentons en lui un maître. Qui
sait
même si cette influence ne s'exerce pas directeme
tonique. Faut-il en venir à l'action, nous commençons à réfléchir. On
sait
que d'ordinaire les conseils n'agissent sur nous
» (1) Mallcbranche. Recherche le la vérité, I. Il, 3e partie. On
sait
combien l'influence morale que l'on peut exercer
r tous les sentiments, des analogies avec toutes les sensations. On
sait
l'importance qu'attachaient les rhéteurs anciens
laryngite tuberculeuse ou bien était-elle purement nerveuse? Pour le
savoir
, j'endormis séance tenance la malade et lui suggé
e habituel correspondant à la forme de la crise névropathique. Nous
savons
maintenant que celte contagion hystérique, qui ab
es ces tilles La police dut intervenir, et les magistrats leur firent
savoir
qu'au premier miaulement, des soldats entreraient
la contre-suggestion efficace, et la maladie ne reparut plus. L'on
sait
que dans la trop célèbre épidémie de démonopathie
iper tous les doutes qui auraient pu subsister. L'hystérie, nous le
savons
, peut, dans ses formes multiples et variées, imit
pathologiques, il faut que le médecin, aussi bien que le psychologue,
sache
distinguer des choses qui ne sont pas identiques.
servi de base logique à mes nouvelles recherches est bien simple. On
sait
quelle marche suit l'assoupissement des organes
moment l'aptitude aux sensations de tact, de douleur, de chaleur. On
sait
, de plus, que le rôle essentiel est joué, dans ce
éveil. En ce qui concerne la première de ces deux conditions, je ne
saurais
dire combien d'essais variés j'ai faits pour repr
s au début de cette note : c'est que l'illumination de l'œil en vert,
su
moment du réveil, s'explique très bien par un déf
avec une sorte de timidité empreinte d'énergie; rien n'y manque, elle
sait
s'émouvoir à propos et pleurer discrètement à cer
aussitôt en disant que pour elle la chambre c'est la voilure. Elle
sait
lire, écrire et compter, chose rare chez les enfa
elle est plongée et aussi par l'amnésie consécutive au traitement? Ne
savons
-nous pas qu'un sujet peut être profondément hypno
e succès de la suggestion fut complet, quoique la malade n'ait jamais
su
ce qu'il lui était arrivé. Le mari, sa famille et
leure suivante : « Messieurs, « L'hypnotisme prend, comme vous le
savez
, une importance de plus en plus considérable au p
s engace à lui emprunter les lignes qui suivent. Nos lecteur» nous en
sauront
gré. Ils Jugeront par cette citation de la valeur
dications formelles. 11 n'en est pas moins vrai que tout médecin doit
savoir
y recourir à l'occasion et, par conséquent, être
passé la nuit prés de moi et cela me fait tant de chagrin puisque je
sais
malade et que cela n'est pas de ma faute. Oh ! si
, et je m'en irai tout de suite. R. — Si tu étais à ma place, je ne
sais
si tu ne serais pas aussi désespérée que moi. Pou
morales et qu'on estimerait intolérable et pire que la mort, si on ne
savait
que les hystéro-épileptiques ont des grâces d'éta
a mis en lumière la puissance de l'esprit sur le corps. Certes, nous
savions
que des états psychiques sont provoqués par des é
par les oreilles, que nous goûtons par la langue et le palais ; nous
savions
encore que le fau nous brûle, qu'une piqûre d'aig
naires pouvaient amener une vésication ou une ampoule réelles. Dieu
sait
quelle a été la résistance du monde savant à reco
ut, mais il leur arrivera d'en attribuer tout le mérite à celui qui a
su
prendre sur eux cet ascendant. Voilà ce qu'aucu
je viens vous trouver pour faire plaisir i mon médecin, que voilà. Je
sais
à l'avance que vous ne pouvez rien à mon mal. J'e
but; j'entre dans des impatiences et des colères injustifiées; je ne
sais
pas m'appliquer sans des efforts qui m'épuisent;
f sus-orbicu!aire sans résultat. Il me demande de l'hypnotiser. Il ne
sait
pas ce que c'est que l'hypnotisme ; il sait seule
de de l'hypnotiser. Il ne sait pas ce que c'est que l'hypnotisme ; il
sait
seulement qu'on lui attribue des miracles. J'arri
clair qu'ils pourraient, s'ils le voulaient, se corriger; mais ils ne
savent
pas vouloir. Je les endors ou, plus exactement, j
lle a tant souffert, ne lui a pas causé la moindre émotion. « Je ne
sais
a quelles causes attribuer la grave maladie qu'el
u'elles a eues pendant les douze premières années de notre mariage, a
savoir
, maux de seins à la suite de couches, mal de gorg
on dit, l'endormir, mais qu'elle ne dormirait pas; seulement, elle ne
saurait
plus ouvrir les paupières. J'obtins cet effet rap
neuf heures à onze heures (je la consultais sur l'heure), elle irait
su
promener dans la ville et reprendrait plaisirà re
rtie avec un névropathe de la même espèce, et je l'ai perdue. Mais je
savais
que je pourrais réparer immédiatement la perle en
l'hypnotiseur consiste à provoquer cette suggesti-bilité. Or, chacun
sait
que cet art ne s'enseigne pas ou. du moins, ne se
rôle cérébral, afin de lui faire agréer sa suggestion à lui. Il devra
savoir
exploiter la crédulité naturelle du sujet, ou bie
le défaut dans la cuirasse du malade, de bien entrer dans sa peau, de
savoir
tirer parti enfin des moindres circonstances favo
sie relative peut être acceptée. Dan* le cas présent, La suggestion a
su
remplacer le chloroforme et a permis de soumettre
esthésie réeemmeunt introduite en chirurgie par un docteur de Berlin,
savoir
: des piqûres multiples endermiques faites, toute
va s'opérer tout a l'heure en plein soleil et devant eux ! Mais ils
savent
que, pour l'accomplissement de tels prodiges, il
rassurent la foule. L'un d'eux, sur la figure duquel on lisait je ne
sais
quelle bêtise exallée, répétait à tout venant : «
Il en est de même, croyons-nous, en France. Il serait intéressant de
savoir
d'un légiste les raisons de celte indulgence pour
démontré le fait à l'aide du prisme et de l'appareil de Snellen. On
sait
qu'un prisme placé devant un œil dévie l'image co
ulé ; le malade n'est pas au courant des choses de la médecine, il ne
sait
pas que l'hystérie détermine ce mode de rétréciss
e sait pas que l'hystérie détermine ce mode de rétrécissement ; il ne
sait
pas que l'œil sain présente ordinairement un rétr
s s'entendent pour simuler de mauvais foi ce symptôme. Notre sujet ne
savait
pas que l'hystérie est caractérisée par une hémia
m'entende alors que sa bonne oreille est bouchée. Il répond qu'il ne
sait
pas comment cela se fait ; il lui semble comprend
uoi ?? • 21 septembre 1889. - • Une idée domine toutes les autres :
savoir
pour- « quoi je n'ai pas envie de morphine. Ce
— Vous à Paris, je pourrais facile-« ment eu prendre sans que vous le
sachiez
; alors, pourquoi, pourquoi ? Je « crois que si
ent. Je reçois des gens de toutes les classes de la société, et je ne
sais
qu'une chose, c'est que les gens qui viennent che
le Jacob voudrait dès aujourd'hui s'abriter ; « Qu'enfin le juge ne
saurait
, i l'heure présente, faire eut de la loi du 30 no
ofesse est bien de sa nature une branche spéciale, spécifique, qui ne
saurait
être subordonnée à aucune autre; c'est ensuite pa
rveau logé dans cette étroite boite crânienne, jeté sur la terre sans
savoir
d'où il vient ni où il va. s'emparer du globe tou
te ; le corps sans La vie qui l'anime ne nous appartient plus. Nous
savons
que l'esprit est le gouvernail suprême de La mach
stination notre curiosité inquiète et impuissante. Hommes de science,
sachons
rester dans le domaine qu'il nous est donné d'exp
« Ces conversations m'avaient troublée et j'étais envahie par je ne
sais
quel malaise qui ne fit que s'accroître en pénétr
r en extase ou en convulsions. J'étais oppressée et envahie par je ne
sais
quelle terreur mystérieuse. J'avais envie de me s
cès ne reviendra qu'après-demain ». 19 octobre, — Lu malade, qui ne
savait
rien de la suggestion intra-hypnotique. ressent l
quée, et elle est présentée aux élèves. Parmi les auditeurs, aucun ne
savait
rien de la suggestion faite la veille. La pendule
la préconisent dans leur enseignement. Le premier attribue, comme on
sait
, les quatre cinquièmes des résultats obtenus par
, toujours dans les cas appro-priés. Les suggestions sont, comme on
sait
, divisées en intra et post-hypnotiques. Maack, de
on, la puissance que l'esprit exerce sur le corps. Par exemple, on ne
saurait
trouver, dans les annales sacrée», de cures préte
ontraction de membres... Il en est de même du prétendu cancer. Chacun
sait
à présent que les ulcérations persistantes Je l
auparavant par Leydet, et que M Déjerine c'a eu d'autre mérite que de
savoir
ce que tout le monde savait, que c'était d'ailleu
e M Déjerine c'a eu d'autre mérite que de savoir ce que tout le monde
savait
, que c'était d'ailleurs nne habitude chez cet aut
atin, il n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant la nuit, ne
sait
point s'il a rêvé, ne se rappelle point avoir été
butte aux réprimandes de son père qui loi reprochait de ne pas avoir
su
profiter de ses études, il part en courant et se
s, il part en courant et se jette dans une rivière, sans songer qu'il
sait
un peu nager; l'instinct de la conservation rempo
mais, cette fois encore, il se sauve 4 la nage et trouve, l'attendant
sus
la rive, le garde-champêtre à qui il déclare qu'i
ent qui me restaient à faire. Je ramassai le laudanum et bientôt je
sus
que ma femme avait tout raconté à ma belle-mère q
vé de sentiment de jalousie envers sa femme, qu'il aime et dont il se
sait
aimé. Soumis à l'hypnose, il nous révèle Immédiat
urquoi cela serait-il ? il ne lui a jamais fait de mal — mais bien de
savoir
si sa belle-mère permettra à sa femme de vivre av
du pot de terre contre le pot de fer. Lundi. — C'est honteux. Je le
sais
J'ai cédé ! Ma femme était venue me voir hier et
venir plus nette encore qu'au début aux mots : s C'est honteux, je le
sais
». La suggestion a naturellement été reprise et
mme le nuire. Nous l'avons revue quelque temps après, et nous avons
su
que l'accusé n'avait pas été poursuivi. Certain
provoqué par suggestion. Chez notre malade, il nous est difficile de
savoir
quel a été le mode de début, mais il parait ne pa
bjecter que l'enfant n'a présenté aucun symptôme d'hystérie ; mais ne
savons
-nous pas que chez les enfants en particulier, la
ant ses caractères spéciaux au terrain sur lequel elle évoluait? Nous
savons
, en effet, que non seulement la contracture peut
is au début, il n'était pas permis .l'être aussi affirmantif, et l'on
sait
de quelles difficultés est entouré ce diagnostic;
er s'il ne s'agissait pas d'un cas de simulation, surtout lorsqu'on a
su
plus tard qu'on était en présence d'un enfant men
e l'hystérie et la simulation n'a pas une grande importance; or. nous
savons
que l'hystérie n'est pas rare à cet âge et même a
ance, en ont traité. Je n'insisterai pas davantage sur la question de
savoir
jusqu'à quel point cette enfant a menti; cela reg
la regarde surtout le médecin légiste et le magistrat. Tout ce que je
sais
, c'est qu'elle a menti en nous disant qu'elle ava
qui prétendait avoir été « touchée ». On lui demande par qui, elle ne
sait
que répondre. On lui demande si c'est par tel ind
sait que répondre. On lui demande si c'est par tel individu que l'on
sait
absent, et elle répond oui. Il n'y a pas non pl
ues par suggestion provoquée qu'il faut la classer. En effet, nous ne
savons
pas exactement quel est le point de départ de son
et a fini par créer plus ou moins complètement son histoire que nous
savons
fausse sur bien des pointe. En terminant, j'ins
e bien enquis de l'état psychique de son auteur, et aussi après avoir
su
par le médecin si l'enfant n'a pas présenté ou ne
auche. Par M. le Dr AUGUSTE VOISIN, médecin de la Salpétrière. On
sait
la difficulté et quelquefois l'impossibilité où l
change, elle devient gale, la malade rit aux éclats sans qu'on puisse
savoir
pourquoi. mais il est évident qu'elle prête l'ore
e. Revenue à elle, se sourient comment l'accès s'est produit, mais ne
sait
rien de ce qui s'est passé pendant sa durée. Il
ent à La Mecque par les idolâtres. C'est également un tort, vous le
savez
, ô vous, les véritables croyants ! de voir dans c
re pris en sérieuses considérations, ainsi qu'on va le voir. Chacun
sait
qu'en religion comme en politique, il suffit d'un
le morceau ci-joint. Il l'accompagnait de ces quelques mots: « Je ne
sais
si vous trouverez cela drôle; pour ma part, je vo
du gemeur qui répand le grain dont ils se nourrissent, mus par un ne
sait
quelle antipathie irraisonnée, tu les vois s'enfu
peut-être, t'a rendu justice en affirmant que, tous comptes faîfs, lu
saurais
plus d'existence* humaines que lu n'en compromett
virago, qui te perd dans l'estime des honnêtes gens. « El si tu ue
sais
vraiment qu'en faire, colle-la dune au ministère
yant recours à la suggestion hypnotique ont été très remarquables. On
sait
combien les enfants sont facilement hypnotisables
rts qu'ils ont émis un avis contraire à l'avis des experts. « On ne
saurait
en droit refuser au défenseur de demander un avis
user au défenseur de demander un avis en semblable affaire. « On ne
saurait
non plus prétendre interdire k des médecins, reco
st de se demander s'il est possible d'endormir le sujet sans qu'il le
sache
ou sans qu'il le veuille, en comprimant ces zones
ésence de médecins ou d'étudiants qui les ont déjà endormis ou qu'ils
savent
capables de les endormir, suffit pour jeter le do
la pression des zones hypnogènes peut endormir le sujet sans qu'il le
sache
ou sans qu'il le veuille. Lorsque nous avons
pour la première fois les zones hypno- gènes de Joséphine, elle ne
savait
pas ce qui devait se produire puis-qu elle n'avai
ées. Ceci prouve bien que l'on peut endormir un sujet sans qu'il le
sache
, mais peut-on l'endormir sans qu'il le veuille ?
on des zones hypnogènes est capable d'endormir le sujet sans qu'il le
sache
et sans qu'il le veuille. III. — De la mémoire
ndépendamment du caractère si important qui les différenciait déjà, à
savoir
la conservation ou l'absence de la conscience et
Pendant son sommeil nous lui prenons une bague; à son réveil elle ne
sait
ce que son bijou est devenu, elle le cherche en v
ystériques peuvent tromper sans mentir, elles peuvent simuler sans le
savoir
; et la simulation primitive peut su bout d'un cer
elles peuvent simuler sans le savoir; et la simulation primitive peut
su
bout d'un certain temps devenir une réalité, par
t une illusion négative ou destructive des impressions perçues, il ne
sait
pas qu'il voit. On connaît l'expérience de M. B
ettres imprimées sur des verres alternativement verts et rouges. On
sait
que si avec un verre rouge on regarde un verre ve
as assez profonde pour que la main trace les lettres à l'envers. Nous
savons
tous qu'il y a une certaine difficulté, un effort
cture. Celte circonstance ne cadre donc pas non plus avec ce que nous
savons
des contractures hystériques. Il nous restait a
tion sur les antago nistes des membres contractures. Il faut encore
savoir
que ceci s'applique d'une façon générale aux musc
les novices. Le médecin, véritablement expérimenté dans ces matières,
saura
dépister la fourberie partout où elle se produira
x. 11 est aussi doué d'une curiosité au plus haut degré. Il cherche à
savoir
et à expliquer tout. Il bavarde presque continuel
'on a prononcés. Bornons-nous à dire que XI. le Doven de la Faculté a
su
. comme toujours, se concilier les suffrages de l'
ARTSHORN, homme de lettres, demeurant à Providence (États-Unis). Le
savoir
, le talent ou la vertu ne rendent pas célèbres to
te et qui souvent meurent avant d’avoir occupé la renommée. Est-ce le
savoir
faire qui leur manque? Sont-ce les circonstances
ur avoir pris l’initiative de cette propagande, et très-peu d’adeptes
savent
même qu’il existe. Voilà pourtant comment s’exerc
a sensibilité qui doit guider les mouvements. Ces personnes, comme on
sait
, tombent très-facilement si elles ne regardent pa
t bien connu ! repétèrent les élèves. » Je m’excusai de n’avoir pas
su
cela, en exprimant le regret que le magnétiseur n
mprennent qu’à demi ce qui établit les différences, et leur défaut de
savoir
rend leur mission encore plus difficile. Daron
ne craignez donc pas qu’on jette enfin les yeux sur le fond de votre
savoir
, et que l’on vous demande compte de vos insuccès
is appelez à vous tout médecin consciencieux et qui ne prétend pas en
savoir
plus que la nature ; initiez-le, afin qu’il n’ign
é à la doctrine magnétique, et en parla plusieurs fois avec autant de
savoir
que d’éloquence. A la fin ses idées sur les espri
rait sous l’influence d’un changement de température. M. Loisson, qui
savait
par expérience combien était grande la lucidité d
s. Le reste n’offre rien de particulier à noter. En somme, si l’on ne
savait
pas que les prescriptions formulées dans ce petit
e suite, son talent qu’elle oppose à la vérité ; non, c’est un habile
savoir
faire, des dénégations sarcastiques, des moquerie
i souffre. Une constance à toute épreuve est nécessaire ; car il faut
savoir
attendre le moment où la nature parlera, puis fai
es aller souvent demander la guérison de leurs maux aux hommes qui ne
savent
point se débarrasser des leurs propres. Le médeci
lui dit : Vous n’êtes pas allé trouver « M. du Potet et M°‘c Roger ?
Savez
-vous ce que c’est que « Mmc Roger, il y a trois m
s efficaces. En lui faisant revêtir les formes les plus variées, il a
su
s’en servir pour propager, d’une manière gracieus
qui l’attire, elle est dirigée par le motif le plus pieux : elle veut
savoir
si son père vit encore. La troisième, Maria Fauve
et de bonté ; elle adore son mari, et elle en est adorée ; elle veut
savoir
lequel des deux survivra à l’autre. Ces deux pléb
gmalion devient amoureux de sa statue, c’est qu’à force de génie il a
su
lui donner la vie. Nous n’avons pas l’honneur d
itives. Quoi qu’il en soit des convictions de l’auteur, il faut lui
savoir
gré d’avoir profité de son influence sur ses inno
familiers, qu’il a observés souvent, il en connaît l’enchaînement, il
sait
comment les uns découlent des autres. En astronom
on ? et cependant le pape et ses conseillers étaient libres. Qu’on ne
sache
comment concilier le libre arbitre et la pré* vis
. Ainsi tous ceux qui ont assisté à des expériences de somnambulisme,
savent
combien, dans l’état somnambu-lique, les facultés
nque, le présent suffît pour révéler le passé et l'avenir à celui qui
sait
lire et observer. 11 n’est aucun de nous qui, à c
agnétisme animal. Le premier chapitre constate ce que tout le monde
sait
sur l’antiquité, l’origine du mouvement des table
ation de ce principe si souvent nié, que tant d’esprits étroits n’ont
su
combattre qu’avec les armes du ridicule, mais qui
rue, au quatrième étage... » Nous demeurions effectivement, vous le
savez
, rue des Martyrs, n° 54, au quatrième. « Mais p
oit, mais encore la somnambule me regarde, ou peut me trahir, elle ne
saura
pas résister davantage à la séduction ! « Et ce
uiéteraient peu de l’indifférence des savants et des médecins ; je ne
sais
ce qui me pousse en dehors du cercle où tout être
rès-réel ; la foi, enfin, qui ne doit point vous quitter, puis encore
savoir
se servir du principe divin remis en nos mains pa
une écorce modeste des vertus et des qualités innombrables.... Vous
savez
, lecteur, que l’admiration est une vapeur qui se
nt jamais dû s’écarter. « Ainsi on voulait étudier l’épilepsie sans
savoir
ce que c’est que le fluide nerveux, sans connaîtr
« l’épilepsie : car c’était son habitude, et je crois qu’il en agis-«
sait
ainsi parce qu’il avait remarqué après Malpighi,
mps à leurs ligatures, forcis même de rechercher tes occasions qu'ils
savent
capables de déterminer leurs accès, afin de se dé
taques d’éclampsie s’étaient ajoutées à cet état déjà si grave, et on
sait
combien cette complication est funeste. Indépenda
’importe pour vous! Vous n’avez pas espéré vaincre sans combat ! Vous
savez
où est l'ennemi! Vous connaissez ses armes!... ¡M
on ornière! L’éclectisme des Américains est plus philosophique, et on
sait
qu’il existe à Cincinnati un Institut éclectique
ce que vous fûtes, ce que vous ôtes et ce que vous pourriez être ! On
saura
un jour que ce qui restait d’instinct médical, de
quelques médecins de campagne, et que la science enseignante, si elle
savait
faire des savants en toutes choses, ignorait l’ar
ation ou par un changement, un déplacement de la sensibilité : « On
sait
, dit-il, qu’il ne nous est pas donné de connaître
placer, un individu plongé dans ce qu’on appelle l’état magnétique ne
saurait
, dans aucun cas, distinguer, même vaguement, le j
dans l’état de sommeil parlant ; et, si l’interlocuteur lui adres-
sait
des questions ou observations qui ¡rentraient pas
e l’irritation éprouvée persistait, car elle dit à sa saur : « Je 11e
sais
ce qui me fait « éprouver ce sentiment; mais, cha
caliers ou traversant un passage dont nous avons l’habi- tude, nous
savons
que nous sommes au bout sans avoir compté nos pas
z la main du somnambule au-dessus de sa tète et fléchissez les doigts
su
" la paume, l’idée de grimper, de se balancer, de
te condition mentale qui, nous l’avons vu, caractérise un tel état, à
savoir
la possession de l’esprit par une idée dominante,
és plus haut, quant à l’influence de la condition mentale du patient,
savoir
l’attente et par surcroît la confiance née de l'i
es, elle est dans les esprits. J’ai cherché, par des expériences, à
savoir
ce qu’il pourrait y avoir de vrai dans chacune de
manifestant d’une manière insolite, que d’admettre gratuitement je ne
sais
quels êtres fantastiques. Le magnétisme n’a pas d
tion. Quelle que soit l’excentricité d’un fait, cette excentricité ne
saurait
être que momentanée ; le temps est la puissance q
re et passerait à une organisation supérieure. Quant à présent, je ne
saurais
croire qu’à des causes physiques inconnues encore
« Ces obstacles, dit-il, proviennent principalement de trois sources,
savoir
: de l'ignorance, des préjugés, et de la nouveaut
èdes propres à soulager ou à guérir les maladies ; « il paraît même
savoir
des choses qu’il ne savait pas dans « l’état ordi
à guérir les maladies ; « il paraît même savoir des choses qu’il ne
savait
pas dans « l’état ordinaire, mais qu’il oublie à
me faire connaître quels sont ces travaux, et quand vous m’aurez fait
savoir
votre opinion sur leur valeur, de me dire si cet
ne pouvant être vues que clans une semi-clarté. Je désirerais bien
savoir
si vous êtes parvenu à rendre ces apparitions vis
cabalistiques dont la maison même avait été le théâtre, comme je l’ai
su
plus tard, ce qui m’explique pourquoi elle ne ces
ns le salon, une forme d’animal que nos parents ne voyaient pas. Vous
savez
que l’enfance jouirait d’une seconde vue, si l’on
dit que le courage lui avait manqué pour une initiation complète. Je
sais
seulement que les opérateurs traçaient un cercle
bitant de Saturne. » Où est la vérité dans tous ces récits? je n’en
sais
rien, et j’attendrai, pour avoir une opinion à
e vision a été si prompte , si inattendue, si surnaturelle, que je ne
sais
pas comment je perçus, et je crois qu’il est im
muns que dans le principe et se trouvent en général chez les gens qui
savent
qu’ils boivent de l’eau magnétisée, à laquelle pr
«Le doute tue l’œuvre. » J’ai observé que chez les enfants, qui ne
savent
ce qu’ils boivent, et chez les personnes qui igno
n. M. Almignana en conclut d’abord qu’il est de dogme que les diables
savent
toutes les langues, bien que l’Eglise n’enseigne
e lui Almignana. 11 en conclut que l’esprit qui se sert de sa main ne
sait
pas le valaque, et que par conséquent il n’est pa
ent physique à l’égard duquel la soie est un mauvais conducteur. Nous
savons
au contraire, par expérience, que la soie n’arrêt
qu’à la condition de certaines combinaisons physiques; 2° Le je ne
sais
quoi avec lequel l’auteur s’est entretenu, ne par
l’auteur s’est entretenu, ne parle et ne comprend que les langues que
sait
l’auteur lui-même. Celui-ci en conclut seulement
e? lîst-ce à un esprit connaissant précisément toutes les langues que
savait
l’abbé et n’en connaissant aucune autre ? Ce sera
n hébreu, bien que ni elle-même, ni aucune des personnes présentes ne
sût
cette langue et ne connût même la valeur des lett
mosphère et le froid de la saison auquel le malade s’exposait sans le
savoir
. Préoccupé de cette idée, j’en parlai à un de m
ques services par l’imposition des mains; mais je désirais auparavant
savoir
si je me trouvais dans les conditions nécessaires
ots qu’avec les plus grands efforts. Le médecin appelé n’avait plus
su
qu’ordonner pour la tirer de cet état de prostrat
elle, me demande : « Est-ce que j’ai dormi, par hasard? « — Je ne
sais
pas si vous avez dormi ; mais je sais que depuis
dormi, par hasard? « — Je ne sais pas si vous avez dormi ; mais je
sais
que depuis trois quarts d’heure nous faisons la c
essentiellement physiologique, et dans lequel l’âme n’a pas, que nous
sachions
, grand chose à faire? Nous ne le lui demanderons
s somnambules confirmés ou des extatiques. Son opinion à cet égard ne
saurait
être douteuse, il suffit de lire le portrait dram
redoutée? Vous étonnerez-vous qu’elle succombe quelquefois quand vous
savez
que de plus fortes n’ont pas résisté à des épreuv
tincts entre eux. » Après Haller, un autre homme de génie, Barthez,
sut
restreindre le rôle de l’agent dynamique aux fonc
pporté, sachant l’intérêt que je continuais de porter à la malade; je
sais
qu’on a pratiqué deux ponctions, et qu’à la secon
dresser ou aux parents qui 11e sont point eux non plus, il devrait le
savoir
, des sauvages, ou à moi-même, qui n’ai pas l’habi
ent, mais nullement scientifique. S’il les avait connues, il aurait
su
pourquoi les moyens employés par lui n’avaient pa
malade pour lui aider à combattre cette cruelle affection ; il aurait
su
que ces agents si bizarres suivant lui, parce qu’
ployés. 11 aurait compris enfin, qu’avant de les railler, il faudrait
savoir
ce que c’est que le magnétisme, le galvanisme et
int nous voir et nous conseilla d’avoir recours à M. Allix, aliu do
savoir
de lui si, par le moyen du somnambulisme, il sera
près, il commença à interroger la somnambule , et lui demanda si elle
savait
ce qu’était devenu l’enfant, où il était, ce qu'i
cœur. Le magnétiseur lui demanda ce qu’elle avait à rire. « Je n’en
sais
rien, dit-elle; c’est l’enfant qui rit. C’est « u
quel il joue est de couleur « foncée. » « Enfin, interrogée si elle
savait
pourquoi l’enfant s’était enfui, elle répondit qu
onsciencieuses carrément exprimées, nous fût-il hostile ; au moins on
sait
à qui l’on a affaire. A plus forte raison sommes-
té soient une seule et même chose. Pour certains somnambules, nous le
savons
, la couleur du fluide magnétique est celle de l’é
de, le magisme doit employer un fluide végétal. Nous voudrions bien
savoir
ce que c’est que ce nouveau fluide introduit ains
ans ce nombre, et qu’il ne fallait plus la magnétiser que trois fois,
savoir
: le 3 novembre, à une heure de l’après-midi; le
estée ? A-t-elle rêvé, a-t-elle eu un accès de convulsions? Elle n’en
sait
rien. Elle me dit, et sa mère confirme son dire,
! qu’importe ! Quiconque a pu observer sérieusement ces phénomènes ,
sait
que souvent des esprits moqueurs viennent à la pl
ier; j’ai refuté les conséquences qu’il en tire. Je conclus : Je ne
saurais
admettre l’opinion soutenue avec talent par MM. d
it d’Ormoy a déjà développée dans votre Journal. Suivaut moi, elle ne
saurait
rendre compte des faits bien observés, bien const
forts qui puissent nier son efficacité. «Edmond TEXIER. » Nous ne
savons
à qui se rapportent les condamnations dont on vie
e au banquet, mais les sympathies nouvelles comblent le vide, et nous
savons
, à n’en pouvoir douter, que le cœur et la pensée
leur masque; les arts perdent chaque jour de leur poésie. L’homme ne
sait
plus rien des choses divines; tout se réduit à un
hine, après l’avoir construite, quel est-il? le physiologiste ne le
sait
point, sa vanité est telle qu’il espère pouvoir s
ous les sentiments généreux. Quant à la vertu, MM. nos philosophes ne
savent
point ce qu’elle est, ou si seulement elle fut. T
étisme soulevait une tempête. ci Pourquoi donc ce changement? Ne le
savez
-vous point, messieurs? C’est que ce qui, aux yeux
doute, messieurs, ici la science n’est point encore faite, mais nous
savons
à n’en pouvoir douter, que tout un monde existe e
, accepte nos humbles hommages, jusqu’au jour où une bouche éloquente
saura
plus dignement servir d’interprète à ton vaste gé
1). Messieurs, depuis longtemps, je crois au magnétisme, Et je le
sais
par cœur,... comme mon catéchisme. Oui, je croi
lanthropie, Vous propagez partout votre science impie. * Or, nous
savons
très-bien qui vous représentez, Quel est votre
comptera au nombre de nos convives les plus illustres, M. Jobard ? Ne
savent
-ils pas également que cet ami du magnétisme aime
payer sa dette à la science? L’esprit lui coûte peu, et d’ailleurs ne
sait
-il pas qu’il est aimé de nous tous? Nous sommes d
érité les suffrages du Jury. J’aime à louer les œuvres d’autrui; je
sais
trop combien les belles choses sont difficiles à
ation, que les faits purement relatifs à la pratique du magnétisme ne
sauraient
, dans l’état actuel de la jurisprudence, constitu
uestion scientifique du magnétisme .était mise en jeu, le tribunal ne
saurait
s’ériger en académie pour trancher la question qu
l’honneur et la sécurité des citoyens ; que de pareilles pratiques ne
sauraient
rester impunies ; « Attendu qu’il résulte des c
s d’orgueil et de vanité ; ils excellent à tirer parti du peu. qu’ils
savent
. On pourrait avancer que c’est en ceci surtout qu
eur renommé, partagée par tous ceux qui se rattachent à son école, ne
saurait
être repoussée par aucun d’eux sans les mettre da
urs, d’entrer à ce sujet dans quelques détails. Il est important de
savoir
d’abord que le corps médical est séparé en deux c
matériel ?» Les faits journaliers justifient ces principes. Qui ne
sait
que toutes les maladies naissent avec le même cor
les opinions mêmes des adversaires de la science qu’il a fondée? ;i
savoir
que : le magnétisme appliqué à temps guérit toute
ncore m’attribuait une hépatite ou bien une péritonite ; enfin, je ne
savais
auquel entendre. Ce qu’il y a de bien certain pou
de repos où ils envoient hénignement mourir loin d’eux ceux qu’ils
savent
ne pouvoir guérir. Je partis donc pour Vichy av
de pâte de coings et de sirop de gomme, ma seule nourriture, et Dieu
sait
quelle consommation j’en ai fait! Eu passant à Ch
us, il haussa les épaules en disant : Voilà bien les médecins, qui ne
savent
ce qu’ils ordonnent! Et il me quitta en me plaign
raison, au plus vieux de mes deux conseillers, une expérience et un
savoir
supérieurs à ceux de son confrère, je me décidai
ée à la partie gauche de la poitrine, juste au-dessous du cœur. Je ne
sais
quelles imaginations absurdes me passèrent alors
r un charlatan et un faiseur de dupes; et, bien que persuadé qu’il ne
saurait
y réussir, je consentis à me soumettre à ce qu’il
eau de toutes les manières et encore par le fait des médecins. J’ai
su
depuis cpte ce M. Fugère n’était qu’un ignorant,
gère, qui était présent, lui dit qu’elle était une sotte ; qu’elle ne
savait
ce qu’elle disait et que nous nous y entendions m
tés retentissantes, les regrets de leurs pronostics erronés, car j’ai
su
depuis qu’ils m’avaient tous condamnés et disaien
consignées, et paraîtront plus tard dans un journal. Je vous ferai
savoir
pour le moment qu’entre toutes les maladies qui s
ons de métaphysique, Cesprit lui déclare se nommer Satan, et lui fait
savoir
que le bras et la main qui avaient servi d’interm
s ne devons-nous pas rencontrer? — Mais il faut prendre patience ; ne
savons
-nous pas que toutes les sciences utiles ont eu da
leur santé, qu’ils prennent pour veiller sur leur vie dss gens qui ne
savent
pas même gouverner la leur propre. Baron DU POT
nous sommes fiers de nous dire hautement les champions, pour nous qui
savons
braver le ridicule quand il s’agit de proclamer l
spontanéité, des miracles de volonté qui sont interdits à ceux qui ne
savent
agir qu’après avoir vu agir les autres. Pour nous
gument dont 011 a tant abusé et qu’il 11e manque pas de reproduire, à
savoir
: « Que toutes les manœuvres des magnétiseurs n
ient point de purs artifices, ainsi qu’on le prétendait, et qu’ils ne
sauraient
varier, puisqu’ils sont une condition essentielle
venir comme dans un almanach ; ou, ce qui est plus curieux encore, on
sait
l’anatomie sau . avoir jamais touché le cadavre d
Vous avez beau railler, les faits vous crèvent les yeux ; et, vous le
savez
, Broussais a dit : Bien n’est brutalement conclua
lui sur la table : « — J’ai le roi, me dit-il. « — Mais vous n’en
savez
rien encore, puisque la retourne n’est pas sortie
à, un pouvoir supérieur au sien ; car il est bon que M. le Dr Segond
sache
que, bien que la Faculté n’ait pas encore admis c
é du Magnétisme, ça ôté une très grande satisfaction pour moi de vous
savoir
le Vice président de cette société, c’est une obl
t par une déclaration Authentique du seul But auquel elle veut tendre
savoir
: le soulagement des peines et des maux de L’huma
omène du somnambulisme, des tables tournantes et des médiums. Je ne
saurais
vraiment comment témoigner ma reconnaissance à Al
adémiciens, pussent m’arrêter un seul moment-dans ma course ; car, je
sais
tout braver dans l’intérêt de la vérité, comme j’
il avait imprimé au guéridon. Moi, j’en tire une autre conséquence,
savoir
: que la simple main d’un laïque, sans rien de pl
à dire sinon qu’un de ces vénérables prélats ayant été consulté pour
savoir
si c’était le démon qui faisait tourner les table
e M. Segond dans cette voie de variations perpétuelles en renonçant à
savoir
ce qu’il veut ou ne veut pas et laquelle de toute
ambulisme, chose que vous appelez une hérésie physiologique. i Nous
savons
, croyez-nous, tout aussi bien que vous, que c'est
us avez déjà vues, au moins une première fois, avec vos yeux. Nous le
savons
comme vous, mais on n’a pas toujours su donner ce
s, avec vos yeux. Nous le savons comme vous, mais on n’a pas toujours
su
donner cette explication, dont on se contente auj
second fait qui ne s’appliquerait pas mieux à sa 'Théorie positive; à
savoir
: que les somnambules ont aussi la faculté, plus
ue d’étranges révélations n’aurait-il pas à lui faire peut-être ! Qui
sait
s’il n’en résulterait pas, pour l’auteur delà Thé
cer l’influence magnétique (déclarée par qui ? Nous voudrions bien le
savoir
), et étant, du reste, disposée par son éducation
atiemment endurés, pour l’injustice dont assez d’autres, sans vous,
sauront
les poursuivre. Dussent-ils se tromper, je vous d
nscience ou même de réflexion, si bon vous semble. Mais l’impossible,
sachez
-le donc, est de sa nature chose absolue, invariab
accès d’hydrophobie. Oh ! je vous le demande, si l’opium fait dormir,
savons
-nous pourquoi? Oui, comme le personnage de Molièr
nage de Molière qui répond; parce qu’il a une propriété soporifique !
Savons
-nous pourquoi le quinquina triomphe de la fièvre
agnétisme animal ? 2“ Ces phénomènes sont-ils produits par un homme
su
autre, sans intervention d’agents matériels visib
és ? 6° Le magnétisme animal est-il, entre les mains du médecin qui
sait
le diriger, un moyen thérapeutique propre à comba
étiseur, si inexpérimenté en théorie et en pratique soit-il, '|iii ne
sache
que, entre l’assoupissement, premier et plus simp
beaucoup plus reconnus que le penchant à l’idéologie. Voilà ce que
saurait
Al. Segond s’il avait expérimenté lui-même ou obs
coupables de vous ou de nous, encore une fois? Non, non, l’humanité,
sachez
-le, ne s’y trompe pas, et c’est à son tribunal qu
médecine relativement au magnétisme animal, donné par Thouret. « On
sait
que la méthode magnétique s’était répandue dans t
à elle à apprendre le résultat au public. « lit, ajoute-t-il, nous
savons
par notre correspondance que la doctrine du magné
e opiniâtreté digne d’un meilleur sort, cela est vrai encore, et nous
savons
, tout le monde sait pourquoi. Mais la corresponda
un meilleur sort, cela est vrai encore, et nous savons, tout le monde
sait
pourquoi. Mais la correspondance que celle compag
(1) écrit par un homme dont le nom fait loi dans la médecine, dont le
savoir
est profondément considéré même à l’Académie, par
érieur dans la chaire, comme par l’âge, l’expérience, la pratique, le
savoir
et la réputation, à cet article, disons-nous, vou
rie. Mais aujourd’hui, nous ne craignons pas de reconnaître que notre
savoir
est bien borné, et que, par conséquent, ne connai
, et la vie de Jeanne d’Arc est tellement conforme à tout ce que nous
savons
des effets de l’extase, qu’il n’y a aucunement be
e l’instrument brisé aura perdu ses accords? « Notre antagoniste ne
sut
trop que répondre. « Nous aussi, nous avons été
t de somnambulisme. L’expérience avait donc bien réussi, mais je ne
saurais
trop recommander la plus grande prudence pour tou
ait à côté de i.ioi. (Et fort heureusement, elle seule de ma famille,
savait
que je suivais un traitement magnétique.) « Tou
fait une loi de ne citer que des faits qui me sont personnels, je 11e
saurais
trop insister sur les dangers des expériences à d
x ordres sont les fonctions des sens qui se subdivisent, comme chacun
sait
, en cinq genres, et les fonctions dites de relati
devant eux que tout le monde avait le droit naturel de vivre. Nous
savons
combien certains magnétiseurs attachent d’importa
devrait d’abord reconnaître l’idiosyncrasie du sujet, ce que l’on ne
sait
pas encore faire. Puységur disait, en parlant d
ue, un article de M , qui énonce, mieux sans doute que nous n'avons
su
le faire, une idée analogue. Nous sommes heureux
acé. « Ma foi, c’est toujours bien drôle, disait ma voisine ; je ne
sais
pas comment ça se fait, mais voici mon pied qui m
utile du geste dans certains cas de magnétisation. Tout magnétiseur
sait
qu’une fois que le sujet est en crise, même impar
ct, la caresse, la chanson, les causettes adressées à cet être qui ne
sait
pas encore comprendre les paroles, ne sont-ce pas
n puisse leur donner, c’est d’apprendre à se connaître eux-mêmes pour
savoir
ce qu’ils peuvent tenter utilement pour les autre
’en réciter des formules toutes faites, il s’en trouvera aussi qui ne
sauront
pas improviser leurs gestes, et à qui il sera bon
ne, et le ménage n’avait pas d’enfants). Dix lieues à jeûn pour qui
sait
ce que c’est que la régularité d’appétit d’un pay
t de retrouver l'origine «les préjugés ou des superstitions (1). Le
sai
.bat paraît avoir été la réunion de certaines soci
15. « Un méchant esprit leur répondant, dit : Je connais Jésus, et je
sais
ce qu’est Paul; mais vous, qui êtes vous? » l’i
foi, et dont le caractère incline à la douceur, en me consultant pour
savoir
si, dans les opérations magnétiques, j’avais reco
l’ombre de celui-ci ? — J’ignore ce que l’ombre éprouverait, mais je
sais
que si le coup était bien visé, le corps serait a
t, au célibat, toutes causes qui prédisposent à l’hystérie, — et l’on
sait
combien la sensibilité hystérique a de rapport av
ile Sainl-Guy ou Danse de Sainl-Weit. Cette affection, comme chacun
sait
, était contagieuse à cette époque, et se manifest
. Ce phénomène est alors compliqué du mirage de la première espèce, à
savoir
: indécision sur la forme et la dimension des obj
s naturelles d’hommes de la même race ayant reçu la môme éducation ne
sauraient
différer beaucoup. 11 en sera de même de leurs pr
n’aurait jamais vu d’arbres (et il y en a beaucoup dans ce cas-là) ne
saurait
voir s’élever autour de lui une forêt. Là où nous
la fantaisie. On voit un palais, on en compte les fenêtres ; mais on
sait
très-bien qu’il n’y a pas plus de palais que de f
n peut pour ne pas voir, et c’est là ce qu’il y a de plus curieux. On
sait
très-bien que cela n’existe pas; on agit comme s’
qui y avait présidé. « Lorsqu’on parcourt une route sur laquelle on
sait
qu’il n’y a pas de forêt, on peut, par l’effet du
pas coupable. « Voici, reprend l’auteur, à peu près comment onpeut
savoir
qu’un homme a le ragle : « Si on le voit étendr
e doute que certains animaux ne connaissent que le demi-sommeil. Nous
savons
qu’il y a des fous qui passent des mois sans dorm
s les autres et ne pouvait être attribué à aucune cause naturelle. On
sait
que tous ceux qui ont à subir un fléau sont toujo
Mirville et tous les partisans du démon. Les peuples sauvages, qui ne
savent
presque rien, attribuent aussi la plupart des p
oivent avoir avec nous des relations sur la nature desquelles nous ne
savons
encore presque ¡rien. Lu admettant que les tables
e exécution lente et calculée. Dès lors le fait de l’insensibilité ne
saurait
être discuté un instant. On a opposé bien souvent
ance de la science médicale : « Le véritable praticien, dit-il, qui
sait
s’entourer de tous les moyens d’investigation (pi
ombre de ses misères et de ses longues douleurs, et parce que nous ne
savons
pas encore analyser les rayons magiques de sa bel
s opérateurs convergent vers un Oui préris, déterminé : tout le monde
sait
que les phénomènes les plus marquants ont lieu au
aire, et ceci soit dit en règle générale, c’est de nier à priori. Que
savions
-nous des lois du monde avant la découverte toute
udre, la vapeur, l’éthérisation, le daguerréotype, etc., etc. ; qu’en
savons
-nous aujourd’hui ? A l’ignorance seule convient d
eux qui a été de tout temps, mais contre lequel, de tout temps, on ne
saurait
trop s’élever. «Ces réflexions nous sont inspir
a matière, en dehors de toutes les lois physiologiques connues. On ne
sait
pas! Voilà son mot : il est profond. Pourquoi les
compte, dans notre orgueil d’hommes et de civilisés, du peu que nous
savons
, 011 nous verrait peut-être, je 11e dis pas plus
enteudu ni pu entendre que constater notre ignorance, notre désir de
savoir
et notre exemption de toute incrédulité primesaut
que nous ne croyions pas avoir besoin de les entretenir de ce qu’ils
savent
aussi bien que nous ; mais les effets plus récemm
nds faits historiques. Eh! mon Dieu! regardons autour de nous. Qui ne
sait
que, parfaitement libres de penser et d’agir dans
opinion. Or cette assemblée lui est généralement hostile. Ces hommes
savent
d’avance ce que cet autre homme va leur dire. I
ochait : une perturbation complète, une rénovation radicale, comme on
sait
, étaient sur le point de s’accomplir dans les cro
ent. « Je n’entrerai pas en discussion avec Al. Aubin Gauthier pour
savoir
si tout ce qu’on raconte de cet homme était du ma
isation s’exerce bien d’ordinaire sur des êtres vivants ; mais qui ne
sait
que les objets inanimés peuvent aussi recevoir ce
ment progressif dont tous les amis de la science et du mesmérisme lui
sauront
bon gré. HÉBERT (de Garnay). TENDANCE AU SPIR
Amérique, les phénomènes de spiritualisme. Aussi bien les magnétistes
savent
tous ce qu’est l’attraction, la catalepsie, l’ins
phénomènes aux commençants, aux magnétiseurs ambulants, à ceux qui ne
savent
point pénétrer dans le domaine de l’idée et s’éle
uns de magnétisme et de somnambulisme. Nous allons choquer, nous le
savons
, la raison de nos grands esprits, de nos sceptiqu
n’accepte point la vie comme l’accepte le commun des hommes; je veux
savoir
ce que renferme le vase humain, et ce que devient
ux sens. Nous allons bientôt vous montrer que la plus belle partie du
savoir
humain est en dehors des académies, et que des ho
on que de l’espérer. Pour ceux qui n’ont rien vu, pour ceux qui 11e
savent
se donner la faculté de voir, ce que je rapporte
s et dans leur sommeil! Les fleurs parlent, vivent et dorment !... Je
savais
tout cela !... a Jean. » Maintenant, vous le
lant sur une marge de trois semaines, fournisse, en somme, six jours,
savoir
: trois de bains, trois de douches (ou, pour mieu
continue quelques communications encore de ceux que je possède. Or,
sachez
que, dans mainte occasion, d’une façon des plus i
r une caresse à l’enfant, cette même lumière que Christ, liomme-Dieu,
savait
donner en l’imposant! « La main est l’anneau pr
morte hier à quatre heures de l’après-midi. Dans quel état!... si tu
savais
!... Mon corps était tout décomposé... » Cette m
tte pièce, dès qu’il est bien avéré que la personne qui l’a écrite ne
sait
pas un mot de latin. Non vinum ut vinum appetit
montrant que ce que nous réalisons par science et par art, la nature
sait
le produire sans aides. Alors les doutes cesserai
vie et la mort. J’aurais voulu courir chercher le médecin, mais je ne
sais
quelle cause plus forte que ma volonté m’empêchai
n. Je ne me souviens plus de ce qui s’est passé depuis; tout ce queje
sais
, c’estque j’ai été bien inquiet etbien agitéjusqu
donc les grands esprits en repos, nous n’avons pas besoin d’eux pour
savoir
si la lumière existe, il nous suffit d’ouvrir les
l’imagination peuvent nous conduire à d’immenses découvertes, si nous
savons
en saisir le mécanisme, en dévoiler le mystère; m
s brouillard et meurent comme la bête ou le savant d’école, sans rien
savoir
de la vie, sans souci du réveil, la science leur
és et les peureux, qu’ils suivent le chemin tracé par les savants, on
sait
qu’il conduit ii la négation de tout ce qui est e
ade, j’étais bien aise de m’assurer par moi-même de certains faits, à
savoir
s’il était vrai qu’elle entrât en crise si on ven
e tous par l’évidence et la vérité du fait lui-' même. Nier n’est pas
savoir
. A ceux-ci je répondrai , comme à tant d’autres,
er allait tout droit à la guerre civile, grâce aux savants, lorsqu’on
sut
un beau matin que la dent d’or n’était qu’une fra
facilement croire, il ne faut pas non plus trop facilement nier. Que
savons
-nous en effet de tous les phénomènes de la nature
oulagé; uon, vous n’êtes pas malade, et il ne vous a pas guéri. Je le
sais
, j’en suis sûr, parce qu’on ne guérit pas en impo
rcheries ou des effets produits par une cause naturelle qu’on n’a pas
su
découvrir. Mais ce n’est là qu’une théorie et n
ent, et le bon curé de Klosterle, qui refusait toute rémunération, ne
savait
auquel entendre. De toutes parts il recevait des
s de nous. L’auteur veut arriver à prouver que nous sommes, sans le
savoir
, les auteurs du langage des tables. C’est une thè
t trouvé des individus doués de cette faculté exceptionnelle ? Nous
savons
que dans beaucoup fie cas où la vérification des
’ordre du jour, on lui opposa de misérables chicanes, on discuta pour
savoir
s’il devait faire sa lecture, et l’on perdit à ce
e de mauvaise foi et avoir pour but de satisfaire sa haine en faisant
savoir
à celui dont il désire la perte, que c’est lui qu
présente par la pensée cet homme d’une si liante intelligence, d’un
savoir
si étendu, d’une imagination si énergique, cet ho
Oii va-t-il ce pauvre vieillard aveugle que la fatigue accable? il ne
sait
plus son chemin. l)e grâce ! qu’on lui donne un g
uelque chose d’important à communiquer. La réponse fut : « Oui : je
sais
que vous aimeriez à recevoir quelque information
qu’ils jugeront à propos et former leurs hypothèses. Pour nous, nous
savons
que Phébé Jackson peut voir clair ayant un bandea
eraient celle d'un ange seraient dans l’erreur en l’interrogeant s’il
savait
répondre. 11 voit un peu plus loin, son rayon s’e
avait répondre. 11 voit un peu plus loin, son rayon s’est agrandi, il
sait
quelque chose de plus qu’à l’état de chenille; c’
n phtisique crisiaque, et suivi ses hallucinations dramatiques, on ne
saurait
douter qu’il n’entrât en communication avec les e
ndices mêmes de la terre ; il dompte les animaux les plus féroces, et
sait
dire les mots qui engourdissent et charment les s
moyen de laquelle un seul homme qui pourrait s’en em- !>arer et
saurait
la diriger, bouleverserait et changerait la ace d
nt les erreurs reçues, etc. » Voilà une large élimination, et j; ne
sais
s'il i.wiste bien des gens qui puissent se vanter
explications ; mais nous y cherchons en vain une doctrine. Qu’il ait
su
, à l’aide de savantes recherches, nous rendre un
s moyens de reproduire les résultats qu’ils ont obtenus. Ou doit donc
savoir
gré à M. Constant de ses eiïorts pour nous faire
t, sur la terre, les âmes de quelques êtres aimants ; la mort même ne
saurait
rompre ce lien. C’est ici que lr ence est en défa
plus directement. Au fardeau ancien que nous continuerons de porter
sai
rien diminuer de son poids, nous joindrons nos dé
u malade. Reposez-vous souvent, évitez l’épuisement de vos forces ;
sachez
attendre en silence, sans cesser d’espérer. Une
e chose de divin dam l'art magnétique. On le sent bien mieux qu’on ne
saurait
l’exprimer. Voyez à quel point celui qui magnét
t dans la force dont nous disposons, et d’autant plus confiant que je
savais
que notre honorable vice-président en avait heure
ous l’aspirions à pleines poitrines ; quelque chose d’enivrant, je ne
sais
plus quel âpre parfum de l’Atlantique, surexcitai
ce rapport, — je suis parfaitement de votre avis, Madame:—l’avenir ne
saurait
lui faire défaut. Toute vérité — c’est l’histoire
ent convaincants. Cette difficulté n’est pas la seule. Le physicien
sait
très-bien que la matière qu’il soumet à ses essai
lairer, parce que chacun est sûr de la sincérité des autres, et qu’on
sait
qu’il ne peut y avoir de compères, surtout quand
t souven t défaut, car il les a pervertis, il a la science innée : Il
sait
et connaît. Ainsi, tel on vit plus d’une fois de
EXPÉRIENCES. EXPÉRIENCES MAGNÉTICO-PHRÉN0LOGIQUES. Tout le monde
sait
en quoi consiste le principe fondamental de la ph
lconque, pris au hasard, on fera toujours développer la même passion,
savoir
celle que le magnétiseur .-T'eue en vue, et ainsi
z, s’exprime sur le magnétisme en des termes dont la science doit lui
savoir
infiniment de gré. Quant à nous, nous le remercio
s prompte que celle du magnétisme dans ce genre de maladie. « Je ne
saurais
passer sous silence une omission faite par le can
ous serons aidé par la double nature de l’innervation cardiaque. Nous
savons
, en effet, que l’action magnétique est surtout se
de guérir leur est inconnu. Ils conviennent souvent que la nature en
sait
plus qu’eux, mais ils se mentent à eux-mêmes ; il
ais ils se mentent à eux-mêmes ; ils agissent toujours comme s’ils en
savaient
plus que la nature. Quand un homme s’est décrotté
re. Quelle stupidité ! va dire un savant dont la tête contient le
savoir
académique, a-t-on rien vu de pareil, ne suis-je
ne l’a fait la loi des phénomènes de la vie et la vie elle-même. Ils
savent
tout et on doit les croire. Je me garderai bien d
ces qu’ils n’ont rien fait pour posséder. Les agents qui sont en nous
savent
se frayer un passage, ils savent donner et recevo
osséder. Les agents qui sont en nous savent se frayer un passage, ils
savent
donner et recevoir sans que notre raison puisse e
la médecine, et qui propose de la destituer d’une mission qu’elle ne
sait
pas remplir, pour la confier à la lucidité somnam
qu’il a devant les yeux ; souvent encore, quand il la connaît, il ne
sait
quel remède convient au cas présent. Puisque d’au
, il ne sait quel remède convient au cas présent. Puisque d’autres le
savent
mieux que lui, pourquoi n’a-t-il pas recours à eu
er sous toutes ses faces, avec ses avantages et ses inconvénients, et
savoir
se préserver des dangers qui résulteraient des er
laage sert d’introducteur au somnambule , et ceux qui le connaissent,
savent
qu’il n’est pas homme à se contenter d’un rôle ac
s le somnambulisme, d’une intelligence supérieure, qui voit tout, qui
sait
tout, déclare que, quant aux influences du magnét
errait pas avec plaisir traiter un sujet qu’il a plus étudié et qu’il
sait
mieux que personne. » Un tel suffrage , venant de
rouve pas que le somnambulisme lui ait rien révélé de plus que ce que
sait
tout le monde, lui ait fait connaître un nouvel a
n de chercher à fortifier et à, multiplier les preuves. Aussi peut-on
savoir
gré à M. Delaage de sa bonne volonté , tout en re
r un pouvoir sur lequel le plus puissant des monarques de la terre ne
saurait
empiéter. Louis-Napoléon était assis sur un can
roduit dans une des séances hebdomadaires de M. le baron du Potet. On
sait
comment ce magnétiseur consommé procède dans ces
t pas seulement des phénomènes actuels du spiritualisme ; comme ©n le
sait
, elle est innée dans le cœur humain, elle a été l
demêmede David consul tant Abiathar, par le ai oy an de l’éphod, pour
savoir
si les hommes de Ceïla le livreront à Saül. Les c
partie de l’astrologie qui nous a été transmise par les anciens, nous
savons
qu’elle est vraie aussi'bien que les découvertes
e détail du caractère particulier de chaque direction en force ; nous
savons
que , dans quelque cas, une direction peut affect
ulement nous avons bien rarement entendu dire à un somnambule : Je ne
sais
pas, mais ils ne savent pas même se servir d’une
n rarement entendu dire à un somnambule : Je ne sais pas, mais ils ne
savent
pas même se servir d’une forme dubitative et ince
l’exercice qui vient d'être clos, on a reçu trois membres honoraires,
savoir
: madame la baronne du Potet, M. Cosson et M. All
le magnétisme, employé avec discernement par notre habile collègue, a
su
triompher de tous les accidents et rendre à la sa
otet', qui porte d’une main si ferme le sceptre du magnétisme, et qui
sait
si bien faire passer dans l’âme de ses auditeurs
es ? Le savant saisit les faits, et, plein d'orgueil, il s’écrie : Je
sais
. Tu sais, non comme on te l'a dit, mais tu sais q
avant saisit les faits, et, plein d'orgueil, il s’écrie : Je sais. Tu
sais
, non comme on te l'a dit, mais tu sais que tu ne
ueil, il s’écrie : Je sais. Tu sais, non comme on te l'a dit, mais tu
sais
que tu ne sais rien. Nous avons une faculté que
e : Je sais. Tu sais, non comme on te l'a dit, mais tu sais que tu ne
sais
rien. Nous avons une faculté que Dieu n’a point
l, mais supérieur en vertu à tous ces agents ; ce que quelques-uns en
savent
sera bientôt connu de tous, mais il restera à con
sance de l’amour, soulage ses maux , est aussi un magnétiseur sans le
savoir
. Leur interdira-t-on ces soins affectueux, à moin
aucune trace d'effraction. J’avais seul la clef de la caisse ; je ne
savais
à quelle cause attribuer ce déficit. Je ne soupço
que la jeune fille doit avaler ces objets, seulement elle déclare ne
savoir
aucunement quand, où, ni comment elles les prend.
es les prend. « Il est sûr que je les prends, dit-elle, mais je 11’en
sais
rien. » Elle est très-bien portante sous tous les
un fait constant. D’ailleurs, ce qui prouve surabondamment qu’on ne
saurait
attribuer cette impression de froid à un préjugé,
que les races océaniennes, ne leur communiquent aucune maladie. On ne
saurait
donc attribuer les endémies occasionnées dans les
nature humaine. On n’apprend communément que ce que l’on est forcé de
savoir
et ce qui suffit pour prendre rang parmi les homm
du passé leur reviendra ; ils vous maudiront ; mais un jour ils vous
sauront
gré de les avoir tirés de leur long sommeil. Vo
r apaiser les passions... Quelle puissance il pourrait posséder, s’il
savait
ce que l’âme renferme de trésors inconnus ; s’ils
ers la fin de juillet dernier, madame T.... me demanda en riant si je
savais
magnétiser, et je fus bien obligé de lui avouer q
n que je désirerais vous faire, et devienne cause d’un mal dont je ne
saurais
mesurer la portée, et auquel je ne pourrais reméd
la place qu'il doit occuper dans l’échelle des sciences ; nous devons
savoir
gré à M. Meunier de ce langage noble et bienveill
hénomènes somnambuliques étant une vérité d’observation, il s’agit de
savoir
s’ils sont démontrables ou véritables par l’expér
éalité est pour l’homme la seule mesure de la possibilité. Ne pouvant
savoir
sur cette réalité que ce qui lui est révélé par l
entrer dans la poche, ou la poche assez grande pour contenir la lune.
Sachons
seulement s’il y a de telles poches et de telles
spensable de bien fixer le sens des mots qu’on emploie, afin que l’on
sache
sur quoi l’on discute. La mort est la cessation d
nsternation de parents qui déjà déplorent la perte de leur enfant, il
sait
que rien ne résiste à une volonté énergique ; il
ant rentra en lui, et il recouvra la vie (m Rois, xvji , 17-22.) — On
sait
qu’un des moyens de magnétisation les plus énergi
démiciens, les lettrés, les médecins renommés. Sans doute, et nous le
savons
trop bien. Mais cet exemple prouve, à défaut d’au
te ma gratitude. Oui, j’aime à l’écrire, non pour vous, madame, qui
savez
tout le bien que peut faire le magnétisme, mais p
vril 1857, rue la Glacière, n. 8. VARIETES. ZOOMAGNETISME. On
sait
que plusieurs hommes ont exercé l’action magnétiq
on troupeau. » L’auteur ajoute à ce sujet la note suivante : « Nul ne
sait
quel pourrait être et quel sera très-certainement
ouveaux progrès ; le ralliement des animaux se fera quand nous aurons
su
nous en rendre dignes. • En attendant, les anim
vint me trouver et me pria de magnétiser sa fille de nouveau, afin de
savoir
si, dans son sommeil magnétique, le rêve se trouv
nce de plus en plus étendue de son immortalité et de son avenir. On
sait
que les communications s’obtiennent à l’aide de p
droit sont de précieux avantages. « On voit d’autres médiums qui ne
savent
pas ce qu’ils xpriment (je ne parle point de ceux
e : Et maintenant que vous tenez tout ce que nous avions à vous faire
savoir
par ce médium , engagez-le à écrire de la sorte,
orsqu’il sera croyant et qu’il tiendra à honneur que tout le monde le
sache
. « Eh bien, sa main n’a plus été agitée. Nous a
arrêta, et celle-ci me dit : On veut me faire écrire un nom que je ne
sais
pas. Eh bien, répliquai-je, de même quevous compo
a première syllabe comme dans chat.) J’allais répondre que... je n’en
savais
rien, ce qui était vrai, lorsque la main reprit a
moi, pour que je vous réponde. » — Est-il nécessaire de dire que nous
savions
tous la valeur de ce mot? Nous recommandons le
rie avec lui : « Sont-ils chrétiens ou ont-ils « perdu le sens? On ne
saurait
répondre, surtout quand de « nos jours on les voi
cles « du paganisme, sans qu’ils paraissent se rappeler ni même u
savoir
qu’ils commettent un crime que Dieu, dans l'ancie
es et les libres penseurs de se faire les complices d’un sorcier ; il
sait
très-bien que les libres penseurs sont inno-
paradoxes dont j’ai parlé tout à l’heure, que je n’ose plus rire. Qui
sait
! ! ! « M. Hume est un jeune homme de vingt-quat
son de pareils phénomènes? Voudrons-nous recourir, nous aussi, àjc ne
sais
quelles causes occultes, quelles forces encore in
à découvrir aux sciences physiques n’a point de limites ; que nul ne
sait
assez bien quelles sont les bornes de l’ordre nat
trouve pas un homme assez borné pour en conclure qu'on ne puisse pas
savoir
si telle zone de l'arc-en-ciel est rouge ou jaune
t comprendre les effets en remontant aux causes? Et ces déductions ne
sauraient
être justes que relativement au degré d’intellige
réprouvées ? La réponse à cette dernière partie de notre problème ne
saurait
être douteuse pour que l’on considère d’une part
goutte dans le cœur de l’homme matériel des premiers temps ; elles ne
sauraient
donc condamner en quoi que ce soit les moyens rév
us revoir Pleins d’âme et de tolérantisme, En dignes fils du... gai
savoir
, Propageons le gai magnétisme ! TERRE ET CIEU
mbulisme peuvent présenter de hasardé et de dangereux ; mais qu’il ne
saurait
en être de même lorsque le médecin , sans voir ni
a sollicitude de la loi pour la santé publique, aucun des prévenus ne
saurait
, en l’absence de prohitions formelles, être consi
e ceux seulement doclœ facultatif, ilaladus dût-il crevare Et mori de
su
«malo. Le médecin a toute latitude, peut puise
ction par tous les moyens en son pouvoir; car il n’exerce plus, il ne
sait
plus ce qu’il fait, il n’a personnellement aucune
rer que l’autorité s’arrêtât à des règles uniformes , afin que chacun
sût
quand il peut exercer en toute sécurité , et quan
'avais peur de l’opération. — C’est de l’enfantillage, puisque vous
saviez
ne pas sentir. — C’est vrai ; mais quand je reg
lle dit à la personne présente : — Je pourrais bien ne pas sentir, je
sais
le moyen, mais je ne veux pas le dire... J’ai tro
dislocations, de leurs plaies saignantes. Aucun système religieux n’a
su
se préserver entièrement de cette déplorable aber
telligent et une figure sympathique qui nous firent lui demander s’il
savait
le français. « Oui, Monsieur, nous dit-il. « —
ous rien fait, rien pris ? « — Si : le prêtre, le marabout (nous ne
savons
plus quel nom il donna à son préparateur) m'a fai
Nous regrettons de ne pas pouvoir citer le nom du docteur ; mais vous
savez
combien nous devons être réservés, et tel médecin
as observé, — si cette résorption a marché promptement. Ce que je
sais
, c’est que M. M*** a continué à avoir tous les m
La science ancienne va revivre et forcer les hommes du sacerdoce à en
savoir
quelque chose, mais chaque homme aussi voudra con
c’est ce qu’il faut démontrer victorieusement par des faits. Nous ne
savons
si notre confrère de i Union a été plus heureux e
ils retiré ? Aucun. Le magnétisme animal a marché , parce que rien ne
saurait
l’arrêter, mais, loin de prendre un nouvel es
ment le magnétisme avec succès dans tous les cas semblables, et je ne
saurais
trop engager mes confrères à suivre mon exemple.
pres paroles : « Votre plus grand génie de vous est ignoré, vous ne
savez
pas même où repose sa cendre, et c’est un étrange
ivin découvert par Mesmer. J’ai cet agent magnétique dont son génie a
su
trouver la source. « J’ai cette force que dans
ous apporte ce qu’il faut pour exercer votre génie, afin que nous
sachions
bientôt ce que nous devons penser de vous. » Ou
r, celui du magnétisme, se trouvaient engagés dans cette partie; j ai
su
sortir de cette situation et triompher des doutes
e .âme quitte bientôt en se séparant de son enveloppe grossière. Nous
savons
qu’elle repart plus joyeuse et plus fière et va d
d’œil sur la tactique dont ils usent contre nous. Ils ont, comme vous
savez
, réuni récemment le ban et l’arrière-ban des magn
: seulement elle est très-avantageuse pour le diable qui doit leur en
savoir
beaucoup de gré. Les grands cœurs pressentent l
yait susceptible de revenir au bien. Les proverbes qui sont, comme on
sait
, la sagesse des nations, annonçaient depuis longt
s ombres qui enveloppent encore les faits du spiritualisme. Nous le
savons
tous, Messieurs et Mesdames, c’est en cherchant p
e. M. le baron du Potet, en consacrant sa vie à cette œuvre morale, a
su
faire de son nom le synonyme d’honnête homme ; et
is l’auteur de la poésie et de la musique des charmantes choses qu’il
sait
si bien faire goûter. Je prie M. de la Chesnera
clairer ce qui nuit. Ministre aveugle, obscur symbole De l’Étre qui
sait
tout donner; L’homme a créé sa fausse idole (2) ;
quet et qui les ont acceptées avec la plus vive satisfaction, car ils
savaient
que ces récompenses ne sont accordées par le jury
s luttes acharnées, Voulait briser l’homme de cœur I Les graines du
savoir
ancées En vain ont été dispersées Par ces mille s
comprendre ; Pour lui, le merveilleux est dénué d'attrait; Il ne
sait
rien et ne veut rien apprendre. Voilà de l’incr
M. de Gasparin sur les tables tournantes, à l’aide d’un médium qui ne
sait
pas le français; pendant que ce médium écrivait l
aient un jeu. Quand il 11e s’agit que de conter, il il importe peu de
savoir
à qui sera le prix, quelle sera l’imagination la
bord ne saisissent pas parfaitement le but de cette excursion. Qu’ils
sachent
donc qu’il ne m’est pas permis de rester en arriè
herches ont magnifiquement avancé depuis. Les superbes travaux du
savoir
classique, les efforts qu'ils poursuivent avec un
aissance de l’univers, les deux divisions extrêmes de sa composition,
savoir
: le subtil et Y épais ; l'un , la substance prem
furent donnés par la suite : nous n’avons pas à nous en occuper. Nous
savons
comment on les appelle de nos jours : le ciel et
t est en mouvement... « Qu’est-ce que le monde ? Une unité vivante,
savoir
le feu, laquelle se résout perpétuellement en une
lucides distinguent parfaitement notre rayonnement individuel, on le
sait
, et j’en réitérerai la preuve. A fortiori le rayo
culte, malgré les horreurs du fanatisme. Tout en marchant à l'avenir,
sachons
nous garantir d'ingratitude pour le passé, dont n
celse, et dans son logement. Je vis ce grand alchimiste, tel que vous
savez
: habillé d’une espèce de robe, Comme une vieille
s aucun programme dressé d’avance pour le champ de mes recherches. Je
savais
uniquement que cett«jeune femme, qui m’avait été
aleur d’une démonstration, les conditions d’une bonne expérience ; je
sais
la différence qui existe entre la piiysique des c
sionnée par des médiums, c’est-à-dire par des personnes ayant — je ne
sais
ni pourquoi ni comment— l’influence nécessaire; c
ner un jour notre navigation à vapeur et nos chemins de fer, et, sans
savoir
précisément où j’allais, je marchai en avant. Que
négations à priori qui se rencontraient sur le chemin , et je leur en
sus
beaucoup de gré, car je n’aurais rien pu faire sa
sieurs enfants. Une lettre fut écrite au maire d«cette villo. afin de
savoir
si, en effet, un tel personnage avait existé. Le
re de vers obtenus au moyen de la planchette par des personnes qui ne
savaient
point les faire. C’est dans nos relations avec Ju
leur regard, les Marses, en Italie, charmaient les serpents, dont ils
savaient
, avec leur salive, guérir la morsure (1). Les P
eurs dents. » (Eusèbe Salvertr.) Ovide n'a-t-il pas écrit : « Ore
su
«volucresque vagai retinere solebat. • Sa voix p
ndonnant sa proie sous le regard foudroyant d’une mt-.e en alarmes.
Sachez
vous y prendre, avance Diogène d«Laürce, et vous
priai la voyante de vouloir bien nous instruire de ce qu’elle pouvait
savoir
sur ces forces que nos meubles révèlent partout.
fois, chez Mm«du P..., de ces coups mystérieux sont venus inopinément
su
mêler au discours d’un interlocuteur. (S) Bien
aquit ce proverbe : « Nul n’est prophète en son pays. » L’antiquité
savait
toute la fâcheuse influence de ces dissolvantes p
uits par un expérimentateur éclairé, nu» moins que prudent. Il faut
savoir
, «n outre, convenablement réhabiliter le sujet ap
imentation, avait manifesté de l’inquiétude sur un de ses fds qu’elle
savait
malade dans le midi, nos tentatives eurent pour p
e monde politique, des amis nombreux et des mieux placés qui, nous le
savons
, n’hésiteraient pas h se porter garants de sa bon
et ont recueilli au hasard les propos tenus par des personnes qui ne
savaient
absolument rien. Cette petite leçon profitera, no
n’est point de magnétisme à comparer à celui-là, je puis déjà dire :
sachez
, quoi que le public prétende, mesurer l'essor viv
e, qui, pour les médecins, offre une ressource très-précieuse. « Ou
sait
que dans le plus polit grain de matière il existe
eau, se jouer de nos importunes crédulités, pourquoi de vrais amis ne
sauraient
-ils nous témoigner de leur souvenir cl de leur af
ir. Effectivement, aux perspectives d’une carrière sans fin, l’adepte
sait
lire cette sentence équitable : Solidarité. Mai
e sentence équitable : Solidarité. Mais, aux échos fie la route, il
sait
entendre aussi ces exhortations réconfortantes :
és de connaître, et, — s’imposant l’instruction de tout ce qu’il faut
savoir
, — de prendre à tâche d’y parvenir par le devoir
que enfin à tant de facultés éparses, « ce n’tst pas moins qu'un chef
su
ptém«d«toute la hiérarchie intellec-« tuelle. Or,
es suivre dans leurs lois de haute nature ; ils bonifient le cœur qui
sait
les comprendre; ils sont au profit de tous, par l
pendant lesquels il a conscience de ce qui se passe autour de lui. On
sait
que cette affection imprime au système musculaire
l pense, il raisonne. Qu’est-il, d’où vient-il, où va-t-il? Nul ne le
sait
. Doit-il se nier, parce qu’il n’a point encore tr
uestions présentent à son esprit? Non certainement. Nous croyons tout
savoir
, nous tranchons sur tout, et, dans notre orgueil,
aits viennent renverser de fond en comble. Disons plutôt que nous 11e
savons
rien ; ne soyons donc pas si orgueilleux, si tran
ttestés par des gens de bonne foi. Disons plutôt : Il faut voir ; qui
sait
? Provoquons les faits, soyons témoins, examinons
et ont recueilli au hasard les propos tenus par des personnes qui ne
savaient
absolu ment rien-, et, à la suite de cela, qui le
onjecturer et ont recueilli au hasard les propos des personnes qui ne
savaient
absolument rien, et la conséqueuce qu’il tire de
ur les frapper, les rouer, les meurtrir de coups de canne, et nous ne
sachions
pas que le Spiritual Telegraph, qui affirme ces f
ts de l’Amérique, à des distances considérables de New-Yorck, nous ne
sachions
pas, disons-nous, qu’il en ait été témoin. Il les
es , révélations faites à iM. de Morny de choses que lui Beul pouvait
savoir
; en un mot, tous les phénomènes les plus ordinai
avec Swedcinborg, à qui déjà Home ressemble par tant de points. On
sait
que le jour delà première entrevue du Snedemborg
e de mon point de départ ; c’est que je vais à eux; comment, je ne le
sais
et ne puis l’expliquer. Cependant, ce qui prouve
n de ville où ils étaient renfermés, sous le prétexte que tu désirais
savoir
ce que contenait chacune des pièces, chambres, et
ie froide et trop mauvaise pour sortir ; sur ta demande comment je le
savais
, je te répondis que, sans rien dire, j'clais allé
e. Mais, quant à ce qui a précédé la période d’incandescence, elle ne
sait
absolument rien et ne craint pas de confesser son
met son témoignage au-dessus de toute critique. Mais nous ne pouvons
savoir
jusqu’où s’étendait la science égyptienne dans la
les ficelles de M. Home. Mais c’est ce que vous ne pouvez faire. Vous
savez
fort bien qu’on ne peut assimiler les faits de sp
ir en face des faits nouveaux qui devraient le remplir de joie, il ne
sait
que railler et brûler de l’encens sur l’autel de
que nous venons de reproduire. M. Paul d'ivoy nous dit que pins on
sait
et moins on sent, et que c’est de là que nous vie
la fièvre du merveilleux, et il n’est pas logique de dire que plus on
sait
et moins 011 sent quand à une telle proposition o
existé. Doit-on en dire autant à l’égard de M. Paul d’Ivoy? Nous lui
savons
trop d’esprit, nous lui trouvons trop de savoir,
Paul d’Ivoy? Nous lui savons trop d’esprit, nous lui trouvons trop de
savoir
, de verve et de facilité littéraire pour soutenir
que chez lui il n’y a pas l’ombre d’une intelligence. Cependant, qui
sait
? A force d’écrire des articles dans le genre de c
micien. Il est précieux pourtant, car il nous donne une idée du grand
savoir
académique; il nous prouve qu’en fait de science
s prouve qu’en fait de science psychique et morale , nos savants n en
savent
pas plus que leurs cuisinières et leurs valets. L
croyances, le progrès, sont réglés par un corps qui, parce qu’il a un
savoir
incontesté sur tout ce qui est d’ordre vulgaire,
me n’existe pas, que nous sommes des hallucinés ou des charlatans, il
sait
ce qu’il dit. Il connaît tous les ressorts secret
établi, et ce fait, dont les conséquences sont faciles à déduire , ne
saurait
manquer de changer les dispositions de ceux qui,
telle que personne n’oserait se donner comme leur supérieur, soit on
savoir
, soit en discernement, soit en valeur morale. C'e
autrui. La discussion ayunt été close, la Société , consultée pour
savoir
si elle devait émettre une opinion, « Considéra
enu les propos de la veille, et tu lui en parlas sans.lui dire que tu
savais
qu’ils venaient de lui ; il ne sut que répondre e
en parlas sans.lui dire que tu savais qu’ils venaient de lui ; il ne
sut
que répondre et balbutia, supposant que sans dout
ur; tu F affirmas de nouveau, puis, m’ayant mis en somnambulisme pour
savoir
ce qui résulterait, je retournai chez le pharmaci
mbarras, mit le chat sous son manteau et l’emporta. Je le suiris pour
savoir
ce qu’il allaiten faire, et je t’entendis dire à
puis; je l’ignore ainsi que tant d’autres choses, et peut-être ne le
saura-t
-on jamais. Serait-ce que nous sommes composés d’u
ature pour qu’ils puissent nous servir à l’état de veille? — Je ne le
sais
, mais il semble qu’il doit en être ainsi, à moins
obe, sur le bord de laquelle j’ai mis le pied en montant un escalier;
sais
-tu pourquoi ? C’est que, si ce sont des magnétise
té aucun fait de prévision à l’appui de mes déplacements pour voir ou
savoir
les choses sur lesquelles tu appelles mon attenti
motifs «le ton conseil. — « Je uic comprends bien, moi ; mais Je ne
sais
pas com- ment dire; au surplus, cela n’y fait
obe de Cœil; la différence est très-grande, surtout au soleil ; je ne
sais
comment expliquer pourquoi l’une conserve ainsi b
y revenir plus d’une fois pour obtenir la lumière. Au reste , je ne
sais
si c’est parce que , dans le principe, je me suis
d’intérêt les deux articles de M. de G. de C. (1), sur la question de
savoir
si les somnambules voient à distance, ou si leur
er quelques explications pour bien faire comprendre ma pensée : je ne
sais
si je serais d’accord avec votre collaborateur. J
uée n’en a point conscience dans son état normal ; sou esprit seul ie
sait
, et peut lui en laisser une vague impression, com
re là le motif qui détermina M. A... à venir me trouver. « Vous qui
savez
tout, me dit-il, pouvez-vous guérir mon fils? —
r-ram. Si je guéris gratuitement et en un instant votre fils que l’on
sait
posséder une maladie superbe, de la valeur d une
en lui un esprit qui venait pour une personne absente. On a voulu en
savoir
davantage, il a répondu qu'il s’agissait de secre
répondu : « Quelle sotte demande ! Puis-je vous dire comment je le
sais
? Je le sais parce que je le sens, et qu’une voix
« Quelle sotte demande ! Puis-je vous dire comment je le sais? Je le
sais
parce que je le sens, et qu’une voix m’en avertit
uvre clame qu’elle ait trouvé un médecin qui croyait au magnétisme et
savait
le pratiquer. Bien souvent il n’en est pas ainsi.
es. Mais le contrôle consistera dans le témoignage des assistants qid
savent
parfaitement qu’au moment où le somnambule se cro
du, de mouvements qu’il a exécutés avec ses membres : or comme nous-’
savons
, à n’en pouvoir douter, qu’au moment même où il;,
de voir qu’elles sont complètement imaginaires. Par exemple, si, pour
savoir
ce qui se passe au loin, vous les priez de s’y tr
puis ; je l’ignore ainsi que tant d’autres choses, et peut-être ne le
saura-t
-on jamais. » Nous applaudissons à la sagesse de c
embarrassée du doute de l’auteur. H valait beaucoup mieux dire je ne
sais
pas, que d’accumuler ainsi des phrases qui en déf
’expérience... Huit jours après, on lisait dans les journaux : « Nous
savons
parfaitement ce qu’est devenu M. Villars, — il ét
jamais ignoré, il refuse de dire où il est. » Tout Paris artistique
savait
ce que j’avais fait. Juge de ma position, mon che
dium, madame Manson, qui, sans avoir été informée de ce qu’on voulait
savoir
, donna une description exacte de l’enfant et de s
’existence, comme une chose plus facile et moins dispendieuse. . Je
sais
qu’à une époque bien antérieure à celle que vous
e de 3,000 fr. au somnambule qui lirait sans le secours des yeux ; je
sais
aussi que le docteur retira trop tôt son prix, ca
es. M. Marcillet, en parlant du prix Burdin, dit que ce prix, on ne
sait
pourquoi, est demeuré bien peu longtemps sur le t
, celle que j’épouserai le mois prochain... elle ou son image, je ne
sais
. Ce qui est certain, c’est que je l’aime, c’est q
ent sur tout sans connaître, il ne sera peut-être pas sans intérêt de
savoir
qu’au seizième siècle on croyait à la possibilité
de poésies intitulé : Proclusion.es academicœ. « Voulez-vous faire
savoir
quelque’ chose à un ami éloigné auquel ne peuvent
er sans le secours d’aucune main et courir tantôt ici, tantôt là ; il
sait
tout ; étudie la marche de l’aimant, recueille le
jouter un autre qui en forme le complément peut-être indispensable, à
savoir
: de substituer à l’aiguille le crayon magique et
nt encore plus intéressantes et réussissent plus promptement. Nous ne
savons
qu’en dire, n’ayant pas expérimenté la chose, et
oût 1837. Après lecture et adoption du procès-verbal, M. Morin fait
savoir
que, depuis la dernière séance, quelques membres
tions du sont- nambule, il dérange complètement leur effet. Ou ne
saurait
donc trop chercher les caractères du somnambulism
DRE ESCLAVE des volontés du somnambule qui prescrit un traitement. Je
sais
combien on se trouve parfois embarrassé; car, dan
ISME DE JONGLEURS OU DE DUPES, SONT BIEN A PLAINDRE , ET QUE CEUX QUI
SAVENT
CE QUE LE MAGNÉTISME RECÈLE ET QUI LE TAISENT SON
s nôtres peuvent l’être , je le répète, par tous ceux qui voudront et
sauront
vouloir. Mais ceci aurait besoin de développement
elle d’un mauvais œil ; elle lui fait une part si belle, que nous ne
savons
ce qui restera à Dieu; l’empire se trouve ainsi p
une raison pour faire du magnétisme quelque chose de surnaturel. Nous
savons
qu’un homme agit par sa volonté sur son semblable
hampions. M. de Résie se trompe gravement quand il affirme, nous ne
savons
sur quelle autorité, que le magnétiseur invoque u
ont visibles à la vue, sensibles au toucher. Celui qui les éprouve ne
saurait
même les dissimuler. Ils offrent donc un point de
. M. HOME. La réputation de M. Home est controversée. Beaucoup ne
savent
comment sur lui baser leur opinion, et parmi les
es à sa nature et se produire en dehors de sa volonté. Nos lecteurs
savent
combien nous apportons de discernement dans nos e
ère que nous constatons un fait, mais, lorsqu’un fait est évident, on
sait
aussi que rien ne petit nous empêcher de le consi
çu votre dépêche (I). Le cas était pressant, la médecine aux abois ne
savait
plus h quel saint se vouer. J’ai trouvé le malade
t. — La mère de cette jeune fdle alla chercher un docteur, qui, ayant
su
quelle avait élé magnétisée , la condamna à premi
quelques autres tâtonnements de ce genre, les invisibles nous firent
savoir
, par les rupx, que les conditions défavorables, c
sser cette intéressante soirée, j’éprouvai un grand embarras à ne pas
savoir
si je me trouvais chez elle à titre d invité ou à
u que par 1 étiquette du contenant. Tout cela fait queM. Davenport ne
saurait
compter sur ses recettes pour l’entretien de sa f
ltramondaine, ce sont des tours de prestidigitation qui confondent le
savoir
et anéantissent la renommée des artistes les plus
maître, et à quelle source ils puisèrent le secret de ce merveilleux
savoir
. Etranges imposteurs que ces médiums ! En se prés
tude. Or, tout ceux qui connaissent le savant et honorable professeur
savent
aussi qu’il n’est pas à leur connaissance d’obser
mporains, et c’est pourcela qu’ils en formaient des catalogues. Je ne
sais
pas, au reste, si nous aurions Irop le droit de r
d«POTET, propriélaire-giranl. A NOS ABONNÉS. Tous nos lecteurs
savent
nous rendre cette justice, que nous n’avons rien
visite : « Je me suis rendu dimanche à l’hôpital juif. Dès qu’on a
su
l’objet de ma visite, on m’a fait entrer chez Lou
dit elle-même que c’est l’âme d’un mort qui l’obsède. Son mal donc ne
saurait
être qu’une hallucination. Mais quelle en est la
rai d’autant plus reconnaissant. J’ai étudié assez de physique pour
savoir
qu’un bruit ne peut se produire sans qu’un choc m
eure l’ef(He de Croquemitaine. Toutefois nous n’en devons pas moins
savoir
gré à M. .Mathieu d’avoir levé un lièvre sur un p
thieu d’avoir levé un lièvre sur un pareil terrain, comme nous devons
savoir
gré au rédacteur en chef de Y Ami des sciences d’
u joui- et de l’heure de cette apparition ; quelque temps après, il a
su
officiellement que ce même jour, à la même heure,
a dose d’arsenic suffirait pour empoisonner vingt personne. — Je n’en
sais
rien, balbutia le pauvre Bill que démentait sa co
et enfin à la guérir si parfaitement, qu’elle put repartir à pied. On
sait
qu’ordinairement une entorse dure au moins quaran
t à l'adresse de M. Viennet : De l'institut les souverains Disent :
Sachez
, petite lille, üue nous ne servons de parrains Qu
n’ait pas apporté dans son travail plus de méthode et qu’il n’ait pas
su
éviter les redites qui font tache dans un ouvrage
nde vue, pourrait découvir le mieux le système intérieur du corps, et
saurait
diagnostiquer un état morbide en conséquence : «
. Zoomagnétisme. Aperçu concernant l'influence naturelle de l'homme
sut
les animaux, par M. Morin, 184. Somnambulisme (
e encore aujourd’hui la circulation d’un fluide nerveux, lorsque l’on
sait
avec quelle réprobation tous les savants accueill
iers, qui n’admettent que ce qui s’est fait autrefois, qui ne veulent
savoir
que ce qu’ils ont appris, qui se persuadent que l
t ; il n’y a qu’à louer celui-ci de son heureuse inspiration. Mais on
sait
combien divers médecins envisagent diversement un
Si la cause de tels désordres reste cachée, du moins les magnétiseurs
savent
combien il est facile de provoquer magnétiquement
rger. « J’ignore, ajoute-t-il, la nature de cette émanation ; je ne
sais
si elle est matérielle ou spirituelle ; je ne sai
émanation ; je ne sais si elle est matérielle ou spirituelle ; je ne
sais
à quelle distance elle peut s’étendre; mais je sa
irituelle ; je ne sais à quelle distance elle peut s’étendre; mais je
sais
qu’elle est lancée et dirigée par ma volonté; car
j’ai pris votre Manuel et un abonnement à votre Journal. En somme, je
sais
peu; car j’ai peu vu et très-peu lu. Seriez-vou
et je le ferai aven une bien grande satisfaction , persuadé qu’on ne
saurait
faire un meilleur usage de ses loisirs. Je ne v
ffet quelconque. Voici une note relative à deux sujets d’ici. Je ne
sais
pas résister au désir de vous soumettre les effet
elle répondit qu’elle avait souvent pris du séné avec de la manne.
Savez
-vous ce qu’est le jalap ? — Elle me dit qu’elle s
ar la certitude irrécusable et écrasante, que tout ce que j’avais cru
savoir
jusqu’alors de notre organisation morale, n’était
en ayant la complaisance de me donner votre avis sur ces deux points,
savoir
: si on pourrait écrire un ouvrage étant en état
dans la ria* turej ipais il n’y«a que l’homme qui le connaisse et qui
sache
l’employer ; il ne jouirait pas de cet avantage,
l troublé jusque dans son sonitaeil par un besoin de re* cherche ? Il
sait
trop bien pourtant qu’il a tout à gagner en flatt
vent d’un homme pour tout Changée Crime irrémissible dü génieI Ils ne
savent
point, ces Ct-uels persécuteurs, qüe là vie est u
t point écrite de la main de Mesmer, il l’a seulement signée. Nous ne
savons
à qui elle était adressée. Elle nous a été commun
son sommeil qu’elle a la croix. Ben-Sadi la magnétise à son tour pour
savoir
ce que cette croix est devenue. Enfin, grâce à la
aite de la récottdèfte chez elle. Mais, chefnin faisant, ion cavalier
sut
la prier avec une si gracieuse instance d’accepte
remède souverain de cette épidémie. Que quelqu’un dans une famille
sache
magnétiser, et cela est facile, c’est une faculté
ait-ce s’ils joignaient avec ferveur la pratique du magnétisme à leur
savoir
! Heureusement, l’histoire nous apprend qu’un jou
ons à une fleur, à une écorce, à une racine, créations si simples? Ne
savons
-nous pas que le contact de deux métaux, placés da
sme dans celles de ses sectes où l’esprit d’intolérance, l’orgueil du
savoir
, l’ambition de régner, n’onl pas altéré la pure
er des trésors perdus (a), Un Vaticinius qui se disait pythagoricien,
savait
aussi évoquer les âmes dos enfers (5). Mais le vé
accordée par un antagoniste, et que nous ne désavouons pas, prouve le
savoir
de l'homme, mais nullement l’origine céleste de s
re les états magnétiques, si Swedenborg nous a caché tout ce qu’il en
savait
, il n’en est pas de même pour les phénomènes qu'i
ent, qué de dire qu’unè chose est ceci ou cela; ear lis croient toiit
savoir
, et ils affirment solennellement qu’il en est ain
and cependant cela nVàt pâs..... Quand oïl demande à plusieurs, s’ils
savent
comment eSt telle chose, alors, l’un après l’autr
e cette réflexion inductive ne nous paraisse pas très-solide, on doit
savoir
gré au professeur américain d’avoir franchement r
; et comment ne rajeunirait-on pas? Le magnétisme employé, comme vous
savez
vous en servir, Monsieur, détend les nerfs, calme
t la cause de l’état où vpqs pous tenez plongés. Désirant ardemment
savoir
à quoi m’en tenir sur une question çi importante,
m’expliquerez vous pourquoi je n’en éprouverai aucune atteinte? Vous
savez
, ajouta-r t elle, que vous me trouvez fréquemme
isme naturel, état que je présentais ayant d’être magnétisée ; vous
savez
que dans cet état je suis aussi lucide que daftf;
u deperr sonnçs non moins impressionnables, yj, ^ .aul8ji'ac[ m Je ne
savais
trop que répondre et je me bornai à sfàMfflWWob
e m’ont jamais fait défaut? Mon brigadier ajoutait : « L’imprudent ne
savait
pas le rôle que jouent les âmes dans le somnambul
isolant son sujet, le mettre à l’abri d’influences contraires. Il ne
savait
pas que les académiciens ont des âmes fortes, que
très-remarquable, magnétisée par un de mes confrères de Lyon, que je
savais
grand partisan du fluide. Je la consultai en état
oici ce qu’elle me dit : « Vos somnambules n’admettent pas le fluide,
savez
-vous pourquoi? C’est qu’ils ont atteint un degré
u haschih ou de l’opium : leur imagination vagabonde crce ce qui ne
saurait
exister; maïs, qu’importe la vérité, puisque l’er
ut sera rompu ! Vous, qui voulez faire de grandes et nobles choses,
sachez
que vous ne pouvez y arriver que par le travail e
vous initier à la sciencè de Mesmer, craignez nhe chute aussi grande;
sachez
vous contenir. Le pouvoir est certain, la règle d
nt: Voyez comme nous ■ marchons sans crainte; un esprit nous éclaire.
Sachez
que leur chute est certaine, car la lumière de l’
e merveilles vous seront offertes pour vous consoler de ne point tout
savoir
. Est-eé que toute une société peut être illmpin
que de guérir ou de soulager les souflrances de ses semblables. Je ne
saurais
donc recommander trop de prudence et de précautio
l’honneur de voir naître un Mesmer, aura-t-il au moins celui d’avoir
su
répandre ses doctrines. Lui-méme, que n’a-t-il pa
tièrement à voua, car vos connaissances sont étendues, tandis que je,
sais
fort peu et n’*i pas beaucoup l’habitude d’écrire
s; mais, quand une fois on a trouvé un sujet doué de ces qualités, on
sait
que le travail en perfectionne le développement :
que produisait le fluide en allant frapper le cerveau. « Vous n’en
savez
rien ! interrompit de nouveau la voix du fqnd de
ui veulent bieo y assister (i). Je regrette, Monsieur, de ne pas même
savoir
votre nom. — Je suis le docteijr Pageot. — En
à} biais jamais âueun détail, aurtnne notion sur ce qu’il importât dè
savoir
, et ehcore à cette hetirte, le moindre coin de ce
, et lui donner ide plûs en plus le caractère du fanatisme. Dièü seul
sait
donc qùatid je pourrai donner ôu léc-imt la fin d
tiseurs qui ont l’audace de vouloir prédire l’avenir , quand ils ne
savent
pas eux-mêmes s’ils pourront dîner, tout en décou
es sur la réalité de ces faits. Je n’ai jamais « vu l’Amérique, et je
sais
qu’elle eiiste ; mais s’il y A « eü pour mbi impo
t y seront apportée*."10111 1 « J’avais prévu ce cas, et mon enfant
savait
d’avance, par cœur, une liste ou plutôt plusieurs
avait bien sa leçon; mais si c’étaît toute autre personne, elle ne la
savait
pas. Son père essaya de poser des chiffres, elle
s paréillë chose n’était arrivée; !ét M. Plétain, le digne homme, ne'
savait
pomment s’excuser auprès de moi. « Voiïs « pensez
cien distingué. Filippa jouait du violon admirablement, qu'à peine il
savait
marcher. Reboul, le boulanger de Nîmes, Gasnier,
édicales. Voilà ce qui vous explique pourquoi, -étant éveillée, je ne
saurais
distinguer une maladie, ni prescrire un moyen cur
qui croient avec une confiance aveugle le premier charlatan venu qui
sait
frapper leur imagination par le merveilleux. Il f
il demande un peu d’argent, en donne quelquefois aux plus pauvres, et
sait
si bien inspirer la confiance, qu’il n’esl bruit
rnommé Guêril-Tout. On vient le consulter même de Saint-Omer, et Dieu
sait
où se seraient arrêtés les succès du charlatan, s
raît blessé d’un pied. L’auditoire s’étonne que Guéril-Tout n’ait pas
su
se débarrasser de cette petite infirmité. Après
iène magnétique. Il dit avoir appris cette science en Allemagne. Il a
su
, de plusieurs personnes qui l’avaient consulté,
l’oignon pour faire retrouver les forces électriques perdues. 11 ne
sait
pas s’il a reçu les 10 fr., mais il avoue avoir
u endormir, il ignore si le fait est vrai. M. Vandrival,-prêtre, ne
sait
rien des faits; mais le prévenu dit l’avoir fait
rien de ce qu’elle a dit et fait pendant le sommeil magnétique, et ne
sait
si elle a rappelé le témoin Boulanger pour lui dé
extraordinaire qu’elles épelassent le nom Sta-tesman, puisqu’elles le
savaient
d’avance, mais qu’elles disaient le lire sur la p
nce, mais M. Léau- mont mo donnait ces détails le lendemain ir>.
Savez
-vous ce qui arriva? Le janvier le télégraphe sign
influence sur vous. Est-ce que demain je n’aurai plus d’âme? « Vous
savez
, ajoute-t-elle, que vous me trouvez « fréquemment
sme naturel, « état que je présentais avant d’étre magnétisée; vous «
savez
que dans cet état je suis aussi lucide que dans «
es Académies et des sociétés savantes, il ajoute : « L’imprudent ne
savait
pas le rôle que jouent les « âmes dans le somnamb
lant a son sujet, le mettre â l’abri d’influences contraires. * Il ne
savait
pas que les Académiciens ont des âmes « fortes; q
. « Vos somnambules, dit la première, n’admettent « pas le fluide ;
savez
-vous pourquoi ? C’est qu’ils ont « atteint un deg
â elles, et lorsqne vous dites : «ans magnétisation préalable, qu’en
savez
-vous? Sans endormir préalablement mon sujet. Qu'i
de sympathie; car votre incertitude eût promptement cessé, si j’avais
su
joindre la logique la plus serrée à l’exposition
du Dr Esdaile, ainsi que ses écrits, dénotent un homme supérieur. Son
savoir
est vaste et profond, son esprit solide, son obse
é dans le traitement de douloureuses et dangereuses maladies. Nous ne
savons
pas s’il est question d’entretenir ou de rouvrir
en général et le magnétisme en particulier. C’est pour cela qu’on ne
saurait
trop donner d’éloges au gouverneur du Bengale, do
fait. Si lord Dalhousie ne pouvait pas aisément moins faire : nous ne
savons
pas comment il aurait pu faci- lement espérer d
que notre prière ne perdra rien de sa force, lorsque Votre Seigneurie
saura
que la continuation de l’élablissement sollicité
pensée obéit invinciblement à celle d’Urbain. Le magnétiseur sans le
savoir
, apaisait ainsi les souffrances de son frère, enf
trop y réfléchir encore ; mais un pas de plus dans cette voie, et il
saura
tout ce qu’il peut. Quelle puissance humaine alor
t en vain que vous feriez appel aux lumières du temps : ces hommes ne
savent
rien. Pour eux le magnétisme n’existe pas, le som
port avec la concierge, et celle-ci demandant à la somnambule si elle
savait
pourquoi elle la venait consulter : — Vous avez é
reaux où ils écrivent. — Pourriez vous dire son nom ? — Non, je ne le
sais
pas. — Si on vous l'écrivait?— Essayez. « On éc
er; elle les lut, et répondit : — Son nom n’y est pas. — Tâchez de le
savoir
. — Ah ! le voilà qui signe ce qu'il écrivait. Don
lettre, dit-il, j’eus le désir de descendre jusqu’à la rivière, sans
savoir
qui m’y poussait. —Aussitôt, je perdis toute conn
ssait. —Aussitôt, je perdis toute connaissance du lieu où j’étais. Je
sais
seulement que je rencontrai la même personne que
e conduiront à la connaissance étendue de la pluralité des mondes; de
savoir
que la race humaine n’est point confinée à la ter
érieur est assez ouvert, peut s’instruire de toutes ces choses.....Je
sais
qu’il vous répugne de discourir avec la parole, e
uoiqu’il n’eût pas lu une seule ligue ele eu que j'avais écrit ; ni
su
, précédemment, si j'avais rien écrit. » « On ne
éduit à n’être plus qu’un homme distingué par des capacités, un grand
savoir
et une haute moralité ! C’est si vulgaire ! Dan
emblance de l’état de ces hommes, avec celui des sujets lucides. Nous
savons
tous que, revenus à l’état de veille, ces dernier
mbulique. Les magnétistes érudits connaissent des faits analogues, ou
savent
au moins qu’il peut en exister. Pour le moment, n
erreur. Le trône des illuminés n’est pas tombé devant la diffusion du
savoir
et les progrès humanitaires ; il n’y a eu que leu
on signale des velléités, des tentatives semblables; mais la science
saura
les déjouer et en démasquer le ridicule. Nous t
rités , et de tenir les hommes dans l’ignorance. Un jour, bientôt, on
saura
que vous fûtes plus cruels que l’inquisition ; ca
cessé de s’appartenir, et qu’il doit au monde ce qui lui fut révélé?
Savez
-vous que dans ces temps de ténèbres la lumière a
de plaisir de se trouver ainsi en communion de pensée; et chacun nous
savait
gré d’avoir institué cette fête, qui doit désorma
, s’il ne nous est pas possible de les faire cesser tout à coup, nous
savons
du moins où en est le remède. « Ne venons-nous
i qui désire la richesse et qui la met au-dessus de toutes choses, ne
sait
point ce qu'il désire; il est comme l’ambitieux d
is jamais devant la vérité. Persécutrice par esprit de caste, vous le
savez
, Messieurs, Mesmer ne put jamais la fléchir. «
iniques de notre maître, nous le glorifions aujourd’hui. « Vous le
savez
, Messieurs, nos pensées peuvent se transmettre in
a vie de Mesmer, relatives à Cabanis et à François de Neufchâteau. On
sait
combien M. Bonnellier a la parole facile et harmo
. On sait combien M. Bonnellier a la parole facile et harmonieuse. Il
sut
intéresser et plaire lorsque, croyant à des senti
douleur, Chez nous la philanthropie , Au milieu de l'harmonie.
Sait
enfanter le bonheur. Exprimons , Répétons,
ur . habitant Nantes. M. LÉGER, étudiant, habitaut Paris. Nous ne
savons
s’il y eut des attentes trompées, des espérances
Le sol verse aux mortels l'abondance à pleins bras l Industrie, art,
savoir
, intelligence, Tout s'agrandit, tout monte, tou
... « De la bouche des rois, l’obole protectrice Descend flatter le
savoir
étonnant ; Des courtisans la foule adulatrice L
ture, « qui procède en tout avec économie de ressorts » , ils avaient
su
prendre des dispositions si simples, que tout se
sée. Je connaissais la valeur de mon adversaire; en le provoquant, je
savais
que la victoire serait vivement disputée; et, en
si vous poussez le détachement à l’extrême, vous tuez votre sujet. Je
sais
que vous pouviez m’objecter que vous le foudroyez
le met en jeu? L'âuie, sans contredit. Toute la question est donc de
savoir
si lame a besoin de cet agent pour agir. Yous a
tions évidentes d’une philosophie rationnelle. « Le vrai mesmériste
sait
qu’il ne peut empêcher que le préjugé n’aille son
sprits, et que l’ignorance, hélas! n’aveugle bien des gens. Mais il
sait
aussi qu’il tient à Dieu par des liens éternels,
it pas possible d’arriver à la découverte des sources là où l’on n’en
saurait
supposer sûrement l’cxiitcnce. « Grâce à l’amou
utres disent que non; le public voit, cl confondant tout ensemble, ne
sait
plus où il en est, et il n’hésite plus, quand il
ions par les merveilles éclatantes de quelques somnambules, que je ne
sais
quel génie vient contrefaire ces merveilles et la
nombreuses pour être oubliées, et d’ailleurs, ce qui part du cœur ne
saurait
s’échapper de la mémoire; mais je doi* vous dire
ibut sympathique adoucira pour lui l’amertume de l’exil; car, vous le
savez
, Messieurs, victime des passions de ce temps, M.
aux vérités découvertes par le génie. Rien n’est difficile, vous le
savez
trop bien , Messieurs, comme de faire adopter aux
ent, vous clorez dignement votre session, et le monde magnétique vous
saura
gré d’un choix qu’il ratifiera certainement sans
culer le prosélytisme aux noüveaux venus. M. Garthet a ces dons; il a
su
inspirer de l’enthousiasme à ses collègues, et im
science médicale avec celle que suit le somnambulisme, et qu’il faut
savoir
opter entre ces deux routes. Yous exigez quelque
bien eu soin de dire : « Si le renseigne- mont est exact....» Us ne
sauraient
donc élre désappointés de ce que le pistolet n*a
tant de titres. C’est ce qu’ils n’ont cessé do demander, parce qu’ils
savent
que le meilleur moyen de se convaincre, c’est d’e
vous qui, dédaignant l’outrage D’intéressés ou de fous détracteurs,
Savez
montrer un généreux courage En prenant rang parmi
e une trentaine de personnes, prévenues à différents chefs, et nul ne
sait
où celte nouvelle persécution s’arrêtera. Ce redo
r donné les prescriplions dans un état réel de sommeil magnétique, ne
saurait
être admise, en présence de ce fait que, après av
st-ce le charlatanisme, ou la vérité, qu’on veut atteindre? Nous n'en
savons
rien encore; car, si d’un côté certaines confiden
gés par l’État. La clairvoyance répare souvent les maux causés par le
savoir
officiel, et fait aussi cesser quelquefois ceux q
discrétions de Jean Rey-rnond ayant déjà donné l’éveil, tous ceux qui
surent
ce dont il s’agissait restèrent dans l’expectativ
journées. C’était bien épouvantable pour moi, d’autant plus que je ne
savais
pas du tout ce que tout cela signifiait. Enfin, à
lui faisais des traits, ou si je me comportais en mari fidèle. Vous
savez
, M. le président, que dans le bâtiment on ne s’oc
e espèce de bonne qui n’était postée là, j’en suis bien sùr, que pour
savoir
ce qu’on venait chercher chez la sibylle, et pouv
nne, une bonne ouvre, puis à l’instant même, une jeune personne vient
savoir
ce que nous voulons. Moi, dans mon idée, je croya
trouvé quinze carrés en blanc, revêtus de votre signature. — R. Je ne
sais
pas comment on a fait cela. D. Il est évident q
la divination et la pronostication. Le somnambulisme a fait, on le
sait
, de nombreux prosélytes depuis quelques années ;
elles, on avait annoncé une discussion approfondie sur la question de
savoir
si le somnambulisme est ou n’est pas un leurre; s
geste et la parole ; suivies de POSES EXTATIQUES. Nous n’avons pu
savoir
des habitants du lieu si le célèbre susdit a te
ravail physiologique est susceptible de présenter. Ainsi il faut bien
savoir
que le» effets magnétiques, depuis le plus simp
veille les a endormis. Il faut diviser les genres de phénomènes, et
savoir
que la volonté el l’imagination du magnétisé ont
eur qui tend à édifier le nouveau temple de la science humaine, je ne
saurais
formuler un jugement sur l’important sujet dont s
périence implique une idée fixe chez le magnétiseur, et tout le monde
sait
que le somnambule reflète, comme un miroir, les p
ourbaturé hier, d’une singulière manière , sans le vouloir et sans le
savoir
; » et, en effet, si l’on m’avait roué de coups, j
l du Magnétisme. La question déb^tue entre ces deux médecins est de
savoir
si le magnétisme s'opère par l'acte matériel d’un
s; où l’on attribuait à la puissance de l’enfer tout phénomène que ne
savait
pas expliquer la science humaine , si peu éclairé
11 en sera de même du magnétisme, si les hommes fermes et convaincus
savent
opposer l’énergie de leur caractère et de leur co
annie inquisitoriale, ce serait de la barbarie sans nom... et cela ne
saurait
être! « Que l’on rejette avec juste raison l’au
sentiments et des rêves, des visions et des songes ? Eh ! qui donc en
saurait
empêcher la production? Quoi! il ne serait plus p
n existe, notre loyauté, notre persévérance et nos efforts incessants
sauront
empêcher bientôt, nous l’espérons du moins, la re
et des brevets de probité et de mérite pour leurs victimes. « Nous
savons
que nous avons été l’objet de persécutions intime
nous aurons pu faire éclater, dans tout son jour, la vérilé que nous
savons
tous déjà. « Vérilé qui n’est autre que la luci
it été mis sans leur consentement, ou même malgré leur refus. Nous ne
savons
ce que ces réclamations ont de fondé; mais elles
ement cachetés de cire rouge , portant l’empreinte d’une M. Il voulut
savoir
quelle substance ils renfermaient, et l’officier
nétique qui vient de s’organiser sous le tilre : l'Union protectrice,
sait
tout l'intérêt que vous portez à la science qui f
êt que vous portez à la science qui fait l’objet de ses travaux. Elle
sait
aussi que le sentiment du juste trouve une large
tions, dans les oracles et dans les prophéties des sibylles ; mais on
sait
que c’est Mesmer qui a été, dans le temps moderne
toutes nos connaissances. Si l’on examine sévèrement tout ce que nous
savons
, tout ce que nous croyons fermement, si l’on obse
mémoire, et que nous n’avons au réveil aucun souvenir des autres; on
sait
seulement qu’on a rêvé, encore ce souvenir est-il
oir que ceux que vous voyiezvous-même et vous révéler que ce que vous
saviez
. C’est une erreur. 11 est vrai qu’ils vous disent
est vrai qu’ils vous disent plus vite et plus facilement ce que vous
savez
que ce que vous ignorez; mais ils vous révèlent b
érieuse, incompréhensible ? Quelle est cette vie nouvelle ? Nul ne le
sait
; on n’aperçoit aucun moyen de le découvrir ; on h
s n’avez aucun moyen d’expliquer cet inexplicable mystère. Mais qui
sait
? peut-être que dans l’ordre des actions immatérie
a première certains rapports de longueur et de tension. Tout le monde
sait
qu’au moment où la première corde entre en vibrat
hui on trouve la cause de ce phénomène biej* simple; mais quand on ne
savait
pas que le son étai! produit par les vibrations d
cela est contraire aux lois do la nature, etc. Soyons plus modestes,
sachons
mieux comprendre le rôle que la Providence nous a
se de la personnalité, du moi humain, qui, dans la vie somnambuliqne,
sait
à la fois ce qu’il est, ce qu’il a été et ce qu’i
général étrangers aux connaissances anatomiques et médicales, ils ne
savent
pas même distinguer ce qui est malade de ce qui n
pas même distinguer ce qui est malade de ce qui ne l’est pas ; ils ne
savent
apprécier ni la gravité, ni les suites probables
deviner le passé; ils ne sont ni dieux ni prophètes. Tout le monde
sait
que le somnambulisme se développe quelquefois spo
vantent outre mesure leur puissance, se piquent de tout voir, de tout
savoir
, d’être initiés à d’immenses et terribles mystère
iés à d’immenses et terribles mystères qu’ils ne peuvent révéler ; de
savoir
, par exemple, le jour de leur mort, celui de la v
on ne comptera plus sur eux pour la guérison des maladies dont ils ne
savent
pas quelquefois même le nom; on ne leur demandera
le nom; on ne leur demandera plus ni prédictions ni recettes; mais on
saura
se servir utile- ment des étonnantes facultés q
l’éditeur de VIllustration ait cru devoir souligner l’autorité de son
savoir
? Nous l’ignorons; et, quoique dans cette région l
es, l’affaire est plus grave, et mérite d’autres considérations. On
sait
que par le jugement rendu le 3i juillet, un clo
ces : nous ne pouvons le désigner que par sa qualité d'étranger. 11 a
su
, par une sournoise interprétation des textes et
nance. Je suis le magnétiseur dans son cabinet, et il me dit : « Yous
savez
le prix des consultations de madame? — Non. — Ord
e que le tribunal entende Mme Lemoyne. M. le Président. Le tribunal
sait
ce qu’il a à faire; vous tirerez de ce qui a élé
tard, et parce quelle s’en était bien trouvée, qu’elle revint, je ne
sais
pourquoi; je n’étais pas à Paris. J’arrivai la ve
lui, el avec cela vous prétendiez le guérir? — R. Il paraît; je n’en
sais
rien; je ne fais cela qu’à l’état de sommeil magn
ne maîtresse, un enfant naturel? — R. Je ne puis rien répondre, je ne
sais
rien ; une séance subséquente a été donnée, il pa
ais, dit-elle allée consulter Mme Mongruel avant le jour de l’an pour
savoir
si je recevrais des étren-nes, elle me dit que je
ans un sujet convenable— Celui qui connaît l’esprit universel, et qui
sait
en faire usage, peut éloigner toute corruption, e
lus grande analogie avec le mesmérisme ; il nous importe seulement de
savoir
que l’étude et l’expérience vinrent démontrer à M
célérer la rapidité du fonctionnement de la justice qui, comme chacun
sait
, est plus que jamais, atteinte de claudication ».
Messaline, exerça longtemps sur lui l'ascendant le plus absolu. Il ne
sut
pas résister davantage à la domination oppressive
le sein et lui dit: « Si vous le voulez, vous le prendrez donc là. »
Savez
-vous bien ce qu'il fit? 11 prit les pincettes de
nos résultats nous amèneront toujours des adeptes; clone les malades
sauront
toujours à qui s'adresser. Parmi les malades au
u langage, le . bégaiement entre autres ? Il en parle si peu qu'on ne
sait
exactement ce qu'il veut dire. Nous savons bien q
é et aifirmé la nécessité de l'hypnotisme thérapeutique, 3 importe de
savoir
s'il ne se montre pas supérieur à la psychothérap
dissiper l'obsession triste. Dans l'intérêt même' du malade, il faut
savoir
attendre et ne pas recourir aux palliatifs qui ne
visages sont consternés, la malade est très maigre et faible; elle se
sait
et se sent perdue. Elle a souffert souvent dans s
ychologique revient à dire la suggestion à l'état de veille, (et nous
savons
combien souvent l'état de veille de ces malades s
t pas crier, ni pousser des cris déchirants, nous conviendrons qu'ils
savent
mettre dans leurs voix le déehiremenï du cri. Cit
mme une chose située dans une autre chose, le corps. La question de
savoir
si l'âme dort ou ne dort pas est décidément une q
question oiseuse. Prenons-en notre parti. Et, de même, la question de
savoir
si la vie intellectuelle se continue pendant le s
emps avant le moment du réveil. La chose est possible, mais nous n'en
savons
rien. Les rêves s'oublient. Les rêves peuvent s'o
e cherché avant le sommeil se continue pendant le sommeil, comment le
savoir
autrement que par le souvenir d'avoir continué en
sourcesde l'énergie vitale une énergie radio-ac-tive par exemple ? On
sait
l'action thérapeutique favorable des rayens X sur
réussites si différentes des médecins dans la clientèle. Les uns ont
su
guérir mieux parce qu'ils inspiraient une confian
ait donc bientôt « brûlé » avec son Tara-xacum dens leonis, et on lui
saurait
très mauvais gré d'avoir prescritun médicament in
ns les cas où une médication active pourrait être dangereuse, mais ¡1
sait
intervenir le jour où un traitement actif est uti
et Liqueurs — Le banquet fut très bien servi et le Palais d'Orsay a
su
mériter, une ibis de plus, des félicitations unan
l Ami, Par un sentiment de très affectueuse délicatesse, dont je ne
saurais
trop les remercier, mes collègues de l'Ecole de p
trois-quarts d'aliéné. Il part à l'aventure ; il va de l'avant, sans
savoir
où. (On rit.) Je t'ai toujours connu, au contra
lumineuse dont je parlais tout à l'heure, ma tâche est terminée. . Je
sais
que Bérillon a eu le bonheur de rencontrer une co
pnotisé ! S'ils avaient eu quelque notion psychologique, ils auraient
su
que les hystériques de ce genre (hystérie monosym
espond pas à la réalité objective. Celui qui ignore les coulisses, ne
sait
pas que les auteurs de la légende ci-dessus, Gill
s le Correspondant suisse), devrait le dire dans son livre pour qu'on
sache
quelle valeur attacher à son opinion. Dans notr
hypnotiques mais dans la question qui nous occupe il ne s'agit pas de
savoir
si l'on peut employer à mal l'hypnotisme, mais si
ains expérimentées, est inoffensif et souvent très utile ». On le
sait
, le parti pris, le préjugé est indéracinable ! Je
pêche de se rendre compte de leur c esclavage ». Même les somnambules
savent
accepter les suggestions qui leur plaisent ou leu
utre guérisse par l'hypnotisme, peu importe pourvu que chaque médecin
sache
que c'est l'esprit qui a été la force curative. L
ait, et qu'au lieu de lui dire « Cela pourrait devenir mauvais ! » il
sache
arrêter par une parole vraie et Juste, le dévelop
majorité de ces malades guérirait en quelques semaines. Certes nous
savons
que le régime est nécessaire dans certains cas ma
ger de tout. Voilà ce que beaucoup de médecins ignorent! Comment le
sauraient
-ils? Personne ne le leur a enseigné ou si quelqu'
e sur ses bobos, (méthode dont les gens d'esprit comme M. Brisson ont
su
se moquer dans les Annales), personne ne veut l'a
la science c'est l'art de ces recherches, et pas autre chose. Et nous
savons
que la recherche est indispensable à l'Industrie.
tout comme l'enseignement secondaire, à la loi napoléonienne. On
sait
que notre grand César, par raison politique sans
a Convention, et qu'il a rétabli la pédagogie de l'ancien régime ; on
sait
, en outre, qu'il a osé donner à son administratio
x, nulle intervention thérapeutique raisonnée et partant efficace, ne
sauraient
exister sans le concours de connaissances scienti
n âme qu'à la forger ». En attendant, et pour préparer ces résultats,
sachons
marquer et défendre notre place au milieu des sav
tituent les formes vives. Montrons-leur par les applications que nous
savons
faire de leurs méthodes, par la rigueur avec laqu
nce, elle est justiciable de traitements divers : avant tout, il faut
savoir
gagner la confiance de l'enfant, fortifier sa vol
d'esprit et son indulgente philosophie. Et personne n'ignore qu'il a
su
féconder et mettre en plein rapport cette terre v
prend à vouloir et à agir. (Applaudis-sements.) Maintenant que vous
savez
comment je suis entré en relations avec le Dr Bér
e la mise en action de son inlassable initiative et le dédain qu'il a
su
toujours opposer aux calomnies des esprits envieu
ue doit s'imposer celui qui s'adonne à la pratique de l'hypnotisme ne
saurait
se concevoir sans la bonté. Mais je puis vous app
ué... N'est-ce pas, mesdemoiselles ? D'ailleurs, tout le monde le
sait
. Un des orateurs qui m'ont précédé a rappelé la m
ement scientifique, conforme aux intentions de ses fondateurs. Vous
savez
comment il s'est acquitté de sa mission. Le secon
premiers jours d'octobre, à la rentrée, le père du jeune Z. voudrait
savoir
, au juste, quels prix a mérités son fils ; ils so
moins qu'il ne soit, comme ici, redressé à temps. D'autre part, il ne
saurait
exister un système d'éducation unique, infaillibl
t de plus en faveur de cette vérité, de jour en jour plus évidente, à
savoir
que la suggestion hypnotique est un agent de prem
r vous montrer ce qu'elle a de remarquable et même de troublant. On
sait
que c'est le vendredi 30 mars au matin que treize
taient morts ; dans l'autre, quatre avaient disparu sans qu'on ait pu
savoir
ce qu'ils étaient devenus, en sorte que treize mi
neurs réunis ensemble sont sortis vivants de la mine le 30 mars. On
sait
d'autre part qu'un mineur isolé, nommé Berthon, e
balbutia et laissa entendre que le mardi on verrait... si... si... on
saura
. Nous crûmes comprendre] qu'on en retirerait au m
la troupe escapée le 30 mars quatre mineurs ont été perdus sans qu'on
sache
ce qu'ils sont devenus.. D'autre part voici ce
n'en ai pas trouvé trace dans les journaux. Berthon a 32 ans. 7. On
sait
que, postérieurement au sauvetage de Berthon, on
du froid, qu'il était tombé à l'eau et avait failli s'y noyer, et on
sait
que cela était également vrai. M. Bertillon m'a a
y ait eu d'autres mineurs vivants au moment où Mme Berthe parlait, à
savoir
les quatre mineurs perdus par la troupe des escap
lui tend la main. Elle promet à la gardienne de parler demain ; elle
sait
se tenir debout pour quelques moments, mais ne sa
ler demain ; elle sait se tenir debout pour quelques moments, mais ne
sait
pas marcher. Sur un bout de papier elle écrit son
promet de parler après demain avec le médecin. Mange et dort bien. Ne
sait
pas encore marcher. Le 27 décembre, elle marche
tre. Les douleurs augmentaient les jours suivants. Je n'ai rien voulu
savoir
du docteur parce que j'avais peur de lui. Il est
u docteur parce que j'avais peur de lui. Il est tout de même venu. Je
sais
encore que j'ai reçu les sacrements ; mais depuis
Je sais encore que j'ai reçu les sacrements ; mais depuis lors je ne
sais
plus rien du tout. Ici je me suis éveillée au com
encé à voir de nouveau et à la fin j'ai senti aussi de nouveau. Je ne
sais
pas qu'on m'a électrisée ». La petite Marguerit
que dire des cas où le remède est pire que le mal ? Aussi l'auteur ne
saurait
mieux conclure que par ces éloquentes paroles emp
les cris de la tempête: vous comprendriez qu'il y a là quelqu'un qui
sait
mieux son métier, et que c'est à lui que vous dev
e chez les grandes personnes. Voilà un professeur d'hypnotisme qui ne
sait
pas, qui ne veut pas s'endormir, et qui ne parvie
te, elles vont au gouvernement, et surtout à M. Bienvenu-Martin qui a
su
récompenser en vous le mérite, le travail et le d
ons sur le braidisme, la catalepsie, le sommeil. Aucune expression ne
saurait
rendre la puissance de pénétration avec laquelle
quelque peu hasardeuse. Avant de m'adresser à un imprimeur, je voulus
savoir
ce qu'en pensaient mes amis. Le résultat de mon e
l'occasion de mes fonctions de secré-taire général de la Société. Ils
savent
qu'ils peuvent compter de ma part sur le dévoueme
t suivis par un nombre considérable de médecins et d'étudiants. Je ne
saurais
trop louer le zèle de tous nos professeurs et de
t née sous une heureuse étoile: Cela tient au choix heureux qu'elle a
su
faire de ses parrains. Je me fais donc un devoir
de profonde affection que je ressens pour le professeur Robin. Nul ne
sait
mieux que lui, ni avec plus de tact, trouver le m
es lois du transformisme. C'est dire que l'étude de la psychologie ne
saurait
se concilier avec l'esprit de routine et encore m
e la Légion d'honneur. En approchant de cet homme dans lequel tant de
savoir
s'associe à tant de bonté, je n'ai pu me défendre
ogue a été employé dans des acceptions différentes. A mon avis, on ne
saurait
mériter ce nom si l'on n'a toujours présent à l'e
f de famille et le courage avec lequel, à des heures difficiles, il a
su
remplir ses devoirs de patriote et de citoyen. (A
Faria est le véritable père de la Doctrine de Suggestion, on voudrait
savoir
quelle est la place qui convient exactement au Dr
gatoire direct si scrupuleux soit-il, ne peut rien donner. L'homme ne
sait
pas son âge, il se lève la nuit et se promène dan
toutes les anciennes conceptions. Mais là se borne son rôle et il ne
sut
pas en tirer toutes les déductions possibles. Il
endant le sommeil ordinaire ou pendant la veille. » Faria : « On ne
sait
de quels moyens se servaient les anciens pour pro
son ouvrage (4). Après tout ce que nous avons exposé, nous voudrions
savoir
si Braid avait suffisamment reconnu l'ouvrage de
pas de par le fait qu'il dort le talent de faire un portrait s'il ne
sait
pas dessiner et peindre ; en un mot, il ne pourra
apable de réaliser à l'état de veille. ^ A plus forte raison, il ne
saurait
acquérir le pouvoir de faire des diagnostics, de
es délivrées par le médecin assistant la somnambule. Il s'agissait de
savoir
quelle était leur valeur absolue ou relative, leu
nes qui sont d'ailleurs absolument dépourvues de compétence. Pour qui
sait
le rôle considérable que joue l'imagination, les
passive des organes d'une autre personne en hypotension vitale. On
sait
combien l'influence sexuelle est grande, combien
er la rapidité du fonctionnement de la justice, qui, comme chacun
sait
, est plus que jamais atteinte de claudication.
ier suivant les circonstances. Si l'on a à faire à un sujet que Ton
sait
facile à hypnotiser et sensible à la suggestion,
s se produire avec certains médecins qui, ayant voulu hypnotiser sans
savoir
le faire, n'ont pas pris la précaution de bien év
oit pour produire un état d'hypnose plus profond, soit parce que l'on
sait
que le sujet n'est pas aussi facilement hypnotisa
i toujours eu une grande peur d'entrer le soir dans une chambre où je
savais
que quelqu'un avait rendu le dernier soupir. «
tre carré par la base et posséder un sommet. La base carrée, c'est le
savoir
le plus positif, je dirai même le plus terre-à-te
quatre lieux célèbres sur la Terre, par cette coïncidence inattendue,
savoir
: que leur latitude a le même numéro que leur lon
cul étrange. La version d'Hérodote conduirait géométriquement à ceci,
savoir
: que le i/2 côté de la base partage la hauteur o
nt de la flamme, mais de la Machine fameuse à l'aide de laquelle nous
savons
aujourd'hui qu'on produisait le Feu. Conclusion
lté de l'entreprise : tact, bonté, dévouement, perspicacité, fermeté,
savoir
. La difficulté d'une telle assistance à domicile
un inquiet. Parfois, sans rime ni raison, il se dit : a Pourvu que je
sache
jouer ce passage..., pourvu que ma mémoire ne me
, justifie l'opinion que nous exprimions dans notre dernier numéro, à
savoir
que le concours de l'agrégation en médecine ne se
ur à l'Ecole de Psychologie. Messieurs, Quelques-uns d'entre vous
savent
que j'ai étudié avec prédilection, entre autres q
stèrent plongés dans un état voisin de l'hibernation. De même, chacun
sait
que des hirondelles, n'ayant pu émigrer, réduites
motion est si intense que le mal de mer est supprimé chez tous. On ne
saurait
soutenir que tous étaient des hystériques ou que
tion varie suivant l'opérateur et suivant le procédé employé; elle ne
saurait
, dans ce cas, servir de pierre de touche infailli
entre le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire ; je désirerais
savoir
en quoi ils se distinguent l'un de l'autre. M.
es; avant d'instituer le traitement suggestif, nous aurions besoin de
savoir
si le cas est imaginaire ouvrai, c'est-à-diro s'i
us arrive, à chaque instant, d'instituer le traitement suggestif pour
savoir
si tel symptôme est d'origine organique ou d'orig
Il est des personnes atteintes de mal de mer à un Ici degré qu'on ne
sait
à quel traitement recourir. Il en est qui succomb
commodée ; elle commence à mieux se nourrir, chose qu'elle n'a jamais
su
faire nonobstant les prières de son mari. Le 17
souffrir le moins du monde. Une seule chose l'avait chagrinée, à
savoir
que sa fillette de S ans, qui n'avait jusque-là j
, de l'inappétence et elle a subi une opération gynécologique ; je ne
sais
pourquoi, mais ses troubles psychiques n'ont null
e leur apparition permet de les assimiler à un véritable choc. Or. on
sait
l'action déséquilibrante que les chocs peuvent ex
ertain nombre de personnes éprouvent le besoin de se gratter, reste à
savoir
si chez elles cette crainte momentanée peut dégén
nce et d'autant moins intéressante qu'elle paraissait incurable. On
sait
que le trouble de l'homme est un trouble psycho-m
de tics de l'homme. Une question très importante, enfin, serait de
savoir
si un mode de traitement analogue à celui qui est
nc, ajoute M. Gaston Bonnier, si on ne peut pas dire que les abeilles
savent
compter, on peut absolument affirmer tout au moin
es savent compter, on peut absolument affirmer tout au moins qu'elles
savent
se rendre compte du nombre de butineuses nécessai
les professeurs, nos auditeurs si empressés et si bienveillants. Ils
savent
que nous les considérons comme des amis et des co
elles, l'œuvre de nos devanciers. Le respect qu'ils nous inspirent ne
saurait
nous empêcher de relever leurs erreurs. En un m
urs ne sont-ils pas en droit.de lui répondre que ce qu'ils prétendent
savoir
du monde spirituel, ils le savent aussi par intui
i répondre que ce qu'ils prétendent savoir du monde spirituel, ils le
savent
aussi par intuition ? Le malheur est que les id
tendre aux suggestions leïigieuses qui n'épargnent aucun de nous, ne
surent
pas s'en dégager complètement. Après avoir cru
e les théologiens protestants à des oiseaux amputés de leurs ailes, a
su
rappeler avec à-propos à l'auteur de l'Abo>--$
re sévères. » Cette morale-là, Messieurs, nous la connaissons. Nous
savons
d'où elle émane. L'auteur des Lettres à un Provin
, si Harvey, si la huilante avant-garde des encyclopédistes n'avaient
su
braver les anathèmes des conciles, le dédain des
ifs orthodoxes du haut du temple de Jérusalem. Je dirai ce que nous
savons
de la constitution physique, de la grâce et de la
terrible, mais un enfant émancipé qui s'est élevé tout seul, et qui a
su
se constituer dans le vaste domaine de la science
és de l'âme. Elle est aujourd'hui une science véritable que vous avez
su
rendre vivante et féconde en lui adaptant les pro
fants anormaux. Pendant trop d'années, la seule assistance que l'on a
su
donner à ces malheureux, victimes innocentes, pou
ir de solidarité qu'ils ont à remplir envers ces déshérités et qui ne
saurait
être différé davantage. Messieurs, la science a
Sans avoir besoin d'être compétent en matière de sport, tout le monde
sait
, d'une manière générale, que la pratique habituel
volume, sont devenus plus secs, plus saillants et plus durs. Or, l'on
sait
que la force d'un muscle est en proportion de son
orce d'un muscle est en proportion de son volume et de sa densité. On
sait
aussi que l'abondance de la graisse peut entraver
é qu'y faisait entrer le sujet avant l'entraînement. D'autre part, on
sait
que le cœur, organe musculeux, se fortifie, comme
n vite, parmi les effets de l'entrainement, des particularités qui ne
sauraient
être le résultat de causes purement organiques. N
ers vivants depuis quinze jours, une trentaine environ par jour. J'ai
su
, depuis, qu'il lui arrivait parfois de dire à sa
mettait rien dans son nez, et que les vers en sortaient sans qu'elle
sût
comment ni pourquoi. Elle nia effrontément. Il fa
e campagne ». Ceci me révolte ; une fois pour toutes, il faut qu'on
sache
ce que doit être, ce qu'est un grand médecin. E
uffisent pas pour constituer le bon médecin, il est évident qu'ils ne
sauraient
non plus constituer le bon professeur. D'où la né
ofesseur. Pas plus dans le domaine médical que dans les autres, il ne
saurait
exister deux morales. La seule qui doit avoir cou
es assertions aussi catégoriques. L'affirmation est dangereuse, il le
sait
et la Faculté le regarde. ¦ » Libre, personne n
ès modernes, de s'outiller en vue des perfectionnements à apporter au
savoir
que l'on donne; cela est pour l'agrégé d'un bien
ccès de son enseignement, du nombre d'élèves et de travailleurs qu'il
sait
réunir autour de lui, et des travaux qu'il publie
y aurait à donner à tout médecin qui présenterait les aptitudes et le
savoir
nécessaires, le droit d'enseigner à ses risques e
, le premier article de la proposition soutenue par le D' Bérillon, à
savoir
: « le concours de l'agrégation est supprimé. » M
s justifiaient la démonstration que venait de faire le Df Bérillon, à
savoir
que l'agrégation n'a jamais servi à mettre en rel
rand neurologiste dont les travaux l'avaient souvent inspiré. Charcot
savait
lui-même, mieux que personne, qu'il n'avait acqui
s sociales). Voici, à ce propos, un exemple curieux de timidité. On
sait
combien, pour nos voisins d'Outre-Manche, la
presque idiot, bien qu'il fût intelligent et studieux, parce qu'il ne
savait
pas faire la révérence. Elle le molestait constam
discrète, sous peine d'aggraver encore la gène du pauvre petit. On
sait
combien il a fallu lutter contre la tradition des
rien Dupuy (pour ne parler que des disparus), inspecteur général, qui
savait
mettre tout le monde à l'aise par son extrême bie
, le rôle des facultés intellectuelles est très apparent, parce qu'on
sait
que chaque mouvement de la main fait partie d'une
ongtemps sans interrompre son travail. Il semble que l'homme entraîné
sache
obtenir de ses muscles fatigués, par la seule for
onctionnent plus économiquement : il a appris à mieux s'en servir, il
sait
mieux marcher. Ce ne sont pas seulement les mus
augmente les forces, que la crainte de faiblir la diminue. Mais on ne
sait
pas assez combien l'auto-suggestion intervient fr
minant, que tous ceux qui le connaissent depuis très longtemps et ont
su
son passé sont très étonnés du résultat de notre
ints d'une série d'actes bien coordonnés n'est guère signalée, que je
sache
en psychiatrie. Aussi en rapportera i-je deux q
à l'estomac. Au moment des repas, la bête monte vers l'estomac. Je ne
saurais
affirmer si elle pénètre dans cet organe, bien qu
es. La veuve du roi Humbert, la reine-mère Marguerite, vient, on le
sait
, de traverser une partie de la France. L'automo
arriver aucun accident. Après cet exemple, on ne s'étonnera pas de
savoir
que les superstitions les plus absurdes aient cou
eux défini que lui le caractère de ces hystériques qui ne peuvent, ne
savent
, ni ne veulent vouloir. Le grand service rendu
utation éphémère des professeurs issus du concours de l'agrégation ne
saurait
atténuer la gloire des véritables inventeurs. J
n'était pas nécessaire d'avoir subi les épreuves de l'agrégation pour
savoir
instruire les étudiants. Il ne serait pas diffi
Beaucoup d'essais ont été tentés ; on a pu se convaincre qu'aucun n'a
su
donner satisfaction absolue; aussi semble-t-on de
cinquante ans, et le martial vêtement de guerre que les Sud-Africains
surent
se choisir d'eux-mêmes, sans recherche particuliè
e du costume militaire. Les investigations portent surtout, nous le
savons
, sur les côtés d'hygiène, économie et bien-être.
s. Il est à remarquer que lorsque, dans une situation donnée, on se
sait
revêtu de vêtements peu seyants, surannés ou non
battra pas, isolément ou en groupe, de la même façon que celui qui se
sait
plus terne, dans un costume sans harmonie. A son
e maman m'amène un jour une fillette de six ans, en me disant qu'elle
sait
lire. Ravie d'avoir une petite élève si avancée,
voir une petite élève si avancée, je veux tout de suite constater son
savoir
. Impossible d'obtenir un mot. Je reviens à la cha
parfaitement la leçon à sa petite camarade moins avancée. * Ah ! vous
savez
lire ! » dis-je. Elle ne pouvait nier. La glace s
e lui rend conliance. Entrainéc à la fois par le désir de révéler son
savoir
et celui d'être utile, elle prend son rôle au sér
re historique, littéraire et grammatical) et la reprennent si elle ne
sait
pas. Les élèves restées à leur place ont plus de
t des maîtres, et permet aux élèves de profiter de l'expérience et du
savoir
d'autrui ; d'autre part, cette réserve, cette mod
ndis qu'on est choqué par l'aplomb de certaines gens qui croient tout
savoir
sans avoir rien appris. Ce qu'il faut combattre
largement payée de la peine que j'ai eue à les conquérir, et je leur
sais
gré de m'avoir donné les plus grandes joies de ma
je veux parler de l'autosuggestion. Dans l'autosuggestion, vous le
savez
, le malade s'est donné la conviction, plus ou moi
prime abord que les molécules d'albumine qui composent les tissus ne
sauraient
différer dans leur constitution essentielle d'un
entre les végétations adénoïdes et l'incontinence nocturne d'urine ne
saurait
être mise en doute, » L'auteur rapporte, à l'ap
e nature. o Enseignons donc à nos enfants le sentiment du devoir et
sachons
les en pénétrer au nom d'une autorité supérieure
u'à confirmer l'impression générale qui se dégage de tout ce débat, à
savoir
que la crise de l'enseignement médical ne tire so
ps ne connaissent plus les foules avides de s'instruire aux leçons du
savoir
et de l'éloquence. Par contre, assez nombreux s
ntir aussitôt très nettement cette sensation que le bizarre placement
sut
* le devant d'un plumet de parade ne modifie qu'à
mps chez quelques nations européennes, lesquelles cependant n'ont pas
su
s'affranchir des errements passés et ont produit,
sée surtout par une faiblesse énorme de la synthèse mentale. Or, nous
savons
quel rôle majeur jouent manifestement dans la gen
'hui, à tort ou à raison, comme n'ayant pas d'action spéciale et vous
savez
le rôle qu'autrefois déjà Carpenter et Bennett, e
également à l'état d'hypnose, quand faire se peut. Mais il faut bien
savoir
que ce sont surtout, dans ce cas, les degrés du s
ce à la Banque Ottomane, mais je n'ose me présenter... » Quoique je
sache
que les timides sont très suggestibles et hypnoti
des faits que je vous ai exposés dans une communication antérieure, à
savoir
que le rôle de la timidité, si prépondérant dans
migrants. Ils y créaient une communauté de religion libre et, sans le
savoir
eux-mêmes, retombaient dans le mysticisme du moye
x recherches personnelles, sans lesquels aucun enseignement fécond ne
saurait
exister (*). (1) Un des professeur» les plus ém
r. On ne conquiert l'admiration et la sympathie des élèves que par un
savoir
lumineux, attachant, productif. L'étudiant va au
dant pas de maladie à cette partie du corps. Celui qui le soignait ne
sut
point reconnaître son mal... M. Pétiet ne trouv
'aggrave avec la voyante de Prévorst et Louise Lateau, des malades au
su
et au vu de tous. Qui n'a entendu parler de Mme
écrit deux volumes de divagations hallucinatoires où i' annonce qu'il
saura
, grâce à sa voyante, décrire « le ciel et l'enfer
fessionnelles somnambules, hélas un peu trop sujettes à caution, nous
savons
, à n'en pouvoir douter, que des organismes, favor
ela est en rapport avec le fait que nous avons déjà mis en lumière, à
savoir
qu'il suffit de l'injection de la plus petite qua
eur enfance, ont été habitués à réfréner ces mouvements spasmodiques,
savent
très bien les dominer et c'est avec raison que l'
nsister à dominer certains réflexes. Le rot est un de ceux qu'il faut
savoir
réprimer. Le traitement de l'insomnie Broadbc
struits pour la plupart reconnaissent les piiocipes magnétiques, sans
savoir
au juste leur délimitation précise. — La connaiss
chnp. ï. V. âl.) Nous avoDS demandé à un de nos collaborateui's [ui
sait
tout, comine on he cesst de le lui répétei', ce q
’introducteur dans le sancluaii'e, eu faisant ainsi la fraude stinsle
savoir
. 0 Bellei'opbou! • Il eal vrai [ucces tlcux l'o
re qu'on ne les reconnaisse! M. Velpeau, qui est cxpétiitif, comme on
sait
, n’Jiésiterapas à leur enlever le pli et le surpl
heure sans que le slrnbUme ait produit le moindre elTet; car il faut
savoir
loucher sur un point brillant 2>lac6 à quelque
« Or, tous les sujets ne sont pas, comme tous les magné-tiseura le
savent
, également sensibles aux eflets des passes magnét
tion d’une artèi-e, d'une veine et d’un nerf, qui pénètrent, comme on
sait
, du dehors au dedans du péri- cn'ine. C.’Mt la
eval, n Et cependant ce somnambule ne me connaissait point assez pour
savoir
que je faisais alors mon coure de médecine. K M
ins pour les physiologistes aussi bien que pour les phrénologues, qui
savent
que l^S organes en question pe sont alors à peine
toute extrémité. J'eus un (iressenti-nient de sa mort, quoique je ne
susse
pas qu’il fût malade. J’obtins un congé, et j'arr
mauvais vouloir, et qni attendent de vous une de ces mesures que vous
savez
toujours prendre lorsque vous jugez qu’un bien pe
e la condition humaine? Bien de semblable n’existe dans ma pensée. Je
sais
, au contraire, que l'âme humaine a des aifinités
e l'âme humaine a des aifinités en dehoi-s du corps qu’elle régit; je
sais
que notre plainte peut-être entendue et jë vais m
vait vouée le rnoode savant pour l'iieuieuse iniliative qu’elle avait
su
prendre ici. D’un autre côté, l’Académie des scie
me qui, tel qu’il est posé, ne peut compromettre aucun intérêt, et ne
saurait
tourner qu'à Tavant^e commun des sciences, de la
ent lymphatique et fort peu enclin aux complications nerveuses. On ne
saurait
admettre que, pour complaire à l’assistance et fa
. Azam, des effet« cataleptiques que certains bateleure de la Gironde
savent
provoquer chez es gallinacés (poules, coqs, etc.)
à vérifier une autre assertion fort singulière des mêmes savants , à
savoir
que l’on peut faire disparaître presque instantan
e des jeteurs de îoz-î,'espèce de sorciers qui, par un art infernal ,
savent
nuire à leurs ennemis, les atteignent à de gi'and
. C'est avec regret que nous annonçons celte rupture, et nos lecteurs
sauront
bientôt que M. Morin l’a rendue nécessaire. Bar
e nos joui's qui ont écrit ou f|ui écrivent contre le magnétisme, n’a
su
dire autre ciiose que des I)analité8 où l’avengle
foule de vertus et de qualités ; car ce qu’elle fait, tout ee qu*elle
sait
faire, est aiapreint du sceau d’un incomparable g
ors tu admireras et tu comprendras, Mais puisqiie de ton vivant tu ne
sais
ou ne veux pénétrer cette chose, tu |a ven^ ^uand
ades, guérison qui ne leur fait pas toujours défaut. « Vous voudrez
savoir
peut-être. Madame, s’il existe, comme raflirment
ur ce point, Madame, je ne puis que confesser mon ignorance ; je n’en
sais
positivement rien. J’ai questionné à cet égard de
nior abord que nier un fait quelconqne, c'est faire preuve d’un grand
savoir
; mais lorsqu’on se inet sérieusement à penser que
à connaître que ce que vous auriez dû connaître depuis longtemps : à
savoir
, comme dit Socrate, que vous ne savez rien ? Qu
connaître depuis longtemps : à savoir, comme dit Socrate, que vous ne
savez
rien ? Quel mal, à la (in, peuvent vous faire l
s élémniits \ isililfs forinent |iar elle la matière visible. Vous le
savez
, fivoiisrliimisies, vous génlofiues, vous asirono
ion de médailles romaines (environ 5,3001. i’.;ul-ùtre pour-riez-Tous
savoir
quel eslà Paris le meilleur moyen de les vendre;
tiseurs, me laissa attendre six mois sans me donner signe de vie : je
sus
seulement par là que ma projwsition avait été mis
s produits étaient défavorables aux oonclusions du rapport. Vous le
savez
. Messieurs, une lutte bien autrement grande que c
ence, il est entièrement étranger àleur manifestation ; la volonté ne
saurait
y jouer aucun rôle, et je n’admets, pour la réuss
aits et les pratiques des temps anciens. Si l’ignorance a remplacé le
savoir
, la faute en est toute à l’EgUse qui ne voulut ja
es faits encore bien constatés, le plus beau raisonnement du monde ne
saurait
jamais convaincre personne. Aussi, bien loin d'
l’instant ! Troublée en voyant tant de monde, la nouvelle venue ne
sait
si elle doit avancer ou recaler ; mais la maîtres
ontribué à faire triomplier en partie une cause que, d’ailleurs, elle
savait
toujours si bieu plaider; et quelques-uns des ass
nt, comme je n’avais endormi cette dadK qtM pour la calmer, et que je
savais
en outre que sa clairvoyance habituelle aurait de
un. Non, vous dis-je, non, je tomberai infailliblement, et rien ne
saurait
m’en empêcher, car c’est écrit (1). Voyant qu’i
e fatalisme. Elait-ce ea elle un reflet de mes propres idées? ie n'en
sais
rien ; mais je dois avouer que tout en admettanll
re, (I Je vous l’avais bien dit : aussitôtque le savant abbé Moigno
saura
que Xhiipnolüme n'est que le magnHüme, il lui cli
qui ne connaissent en rien le magnétisme ; mais tous tes magnétistes
savent
, par expérience, qn'une somnambule est infiniment
ela 8’est viu « Quant aux ignorants du magnétisme qui en usent sans
savoir
s’en servir, ils resseml)lent à des enfants qui m
servir, ils resseml)lent à des enfants qui manient des pistolets sans
savoir
s'il faut les tenir par la crosse ou par le canon
geur de Douai, qni s'est enfui après avoir endormi un enfant qu’il ne
savait
pas réveiller, ce qui l’a fait condamner à 1,200
prudence, la circonspection est naturelle aux vieillards qui veulent
savoir
sur quel terrain ils mettent le pied avant de fai
les bonnes, grandes et fortes idées sont jetées aux ordures. « Vous
savez
tout cela, vous l’avez dit souvent, cher maître,
peuvent être, comme tous ses autres élèves, que les admirateurs d'un
savoir
aussi distingué. (C Antonin Dopuv. » Le père
donnent la clef de certains succès du magnétisme , dont tout le monde
sait
que le sommeil est le seul fait réel et concluant
ux |)oint.s est bien réellement et très-physiquement comprimé. Or, on
sait
que le résultat immédiat de toute compression ner
eunes gens résolus, lout rutilants de force et d’énergie, et ayant le
savoir
qui prépare les révolutions .scientifiques. Arriè
temps disent que cette croyance tenait à l’enfance de la société, ils
savent
sans doute comment le morde a commnncé, et quels
solées, autrefois /lorissantes, sur toutes les choses mystérieuses en
savaient
plus que nous. On est aujourd'hui pour l’éclosion
es ; il en est même qui ont en eux le venin de la vipère, d'autres ne
savent
que mordre et aboyer. D’autres, comme la mouche d
à changer de drapeau 1 Choisissez votre rang, votre souche, jusque
su
)' votre peau vous porterez lecachetde ranimalité&
ute, je rêve autre chose, ma raison ne peut s'incliner devant le faux
savoir
ou la sottise bumaiae, le magnétisme vam'éclairer
me le novateur au milieu social dans lequel nous vivons. a Nous qui
savons
si bien que l'humanité n'est point au bout de ses
gnorws complètement de quelle nature devait être la consultation t je
savais
le vieomte amateur des sciences occultes, et j'at
s un instant dc repos, je la rais de nouveau en somnambulisme ; je ne
savais
comment diriger les c(uestions, et en faisant ret
ms et je le perdis de vue ; mais je compte le retrouver un jour, pour
savoir
ce qu’est devenu le morceau de fer. Ce que je m
commission fut nommée pour faire un rapport sur la simple question de
savoir
s'il était possible que C Académie s'occupât du m
aucun bien, d’autres ont éprouvé un soulagement plus ou moins marqué,
savoir
: La suspettsion de douUurs habituelles, l'autre
orps savant du premier ordre, que des gouvernements connus pour avoir
su
s’entourer de l’élite des médecins, aient pu, en
emparer, car alors il leur revenait de droit, c’était leur bien. Dieu
sait
s’ils ont fait défaut à cet ap* pel ; ils s’en so
dc la maison put reprendre ses travaux habituels. a Voilà, nous le
savons
parfaitement, une histoire qui n'est pas trop de
d’aiitres sans doute qui m'échappèreut pour la même raison, car je ne
sus
point diriger le somnambulisme, bien que je me cr
moi. .le me rendis donc le lendemain de bonne heure, bien désireux de
savoir
si une amé-lioratioD notable était survenue en mo
ons toujours profondément et avec reconnaissance devant tous ceux qui
sauront
noua prouver que noua avons tort. Mais aussi, nou
coup sûr, fait sortir de la foule de mes pareils pour me jeter je ne
sais
où. Pourtant j’avais une étincelledu feu divin, b
e seia le moyen dc ne pas tomber dans une sainte folie ; car, vous le
savez
, selon nos sages, Socrate était un halluciné, Jés
ient autrefois les barbiers pour saigner la pratique ? La force et le
savoir
ma-gnétiquessontl’apauage d’bommes, sur lesquels
rdonné de le mettre en ses mains après sa mort, itttisque personne le
sût
. Alors l’évêqueleurraconta le songe qu'il avait e
uban vint trouver le cousin de Regnaud, l'enchanleur Haugis : . « w
Sachez
, lui dit-elle, que le roi estarrivé avec son armé
trois enfants. Qu’étaitril devenu ? où était-il allé ? Personne ne le
savait
; il avait fui comme une ombre, sans dire, hélas
er mon mari. C’est alors qu’intervint l’ex-femme sauvage. — Vous ne
savez
pas ce qu’il faut faire, dit-elle à sa voisine, M
alçul^ de la science ont été dérangés par un vent léger venant Ton ne
sait
d’où. Tout le monde s est laissé prendre à l'anno
reçu ce dépôt sacré et qui,' par de faux calculs ou par ignorance, ne
surent
pas ou ne voulurent point éclairer les nations. L
diquer, et qui appartiennent à une classe de faits que le vulgiûre ne
saurait
apprécier à sa juste valeur. D' T. Gérard. FA
té que le purgatif drastique le plus matériil et le plus violent ? Ne
sait
-on pas que les neuf dixièmes au moins (les afi'ec
envisagé sans les plus graves appréhensions? Certes, l’idéoplastie ne
saurait
échapper à cette double destinée de toutes les fo
recte, je l’adjure de reconnaître solennellement des faits qu'elle ne
saurait
plus longtemp.s nier sans léser de la façon la pl
problèmes de biologie, et c’est du médecin qu'ils relèvent. Mais qui
sait
, la vie humaine est peut-être un livre en deux to
coulé plusieurs générations avant que justice ait été rendue : nul ne
sait
aujourd’hui même le nom des hommes qui constatère
ement qui me convenait fort, et que je ne pusobte-nir de lui quand il
sut
que j’étais magnétiste. — Qu’est que c'est que ce
mérique. La mère promène \e,doigi snr les gencives irritées; l’enfant
sait
que rien ne le calrae davantage, comme il saura q
ves irritées; l’enfant sait que rien ne le calrae davantage, comme il
saura
qu’à leur miel les nectaires des lè\'res de la Ma
egrette et pleure, de nobles et prophétiques paroles. La religion n'a
su
rien nous dire de certain sur la vie à venir el l
rendre dans ce débat l’histoire et la philosophie ? ■ L’histoire ne
saurait
prétendi« k déterminer, avec précision , les limi
r du magnétisme ; il ne faut pas s'obstiner à vouloir courir avant de
savoir
marclier. Nous verrons plus tard, lorsque les pri
vous le répète ; il jie faut pas s'obstiner à vouloir courir avant de
savoir
marcher ! Qui va piano va sano, dit le proverbe.
TISME. (SaiteO Jeunes gens, je vous ai exposé les désagréments du
savoir
, non point de celui acquis dans les écoles, bien
il et de vanité, votre temps serait perdu. Us vous l'ont dit, vous le
savez
: « Je verrai que je ne croirai point. » Telle es
Vous tombez des nues, n’est-ce-pas, vous êtes décontenancé, vous ne
savez
pins \ous-même si vous avez révé, si votre raison
des jeunes gens, avez-vous lu notre code ? Connaissez-vous nos lois ?
Sachez
d’abord que l’art de guérir les maladies, ce don
raient de faire réformer cette loi. Quelle erreur de votre jugement !
Sachez
donc qu’ils la trouvent beaucoup trop douce, que
omène intéressant pour toi, et te demander quelques conseils. Je ne
sais
si je t'ai dit qu’à l'école nons couchons dans de
iquer la vue à distance ou à travers les corps les plus opaques? Nous
savons
que MM. les membres de l’institut sont bien loin
à ce phénomène, mais ce n’est pas notre faute. Le fait existe, et on
sait
, comme dit Broussais, que rien n’est brutalement
ersonnes, on a eu recours à des moyens souvent plus pernicieux, je ne
sache
pas qu’aucune niïection épileptiforme soit jamais
science du temps qu'il aurait ainsi vécu. L'idée me vint un jour de
savoir
si l’insensibilité provoquée par le magnétisme ré
as-ci, siVinsensibi-lité a été rendue aussi profonde que possible, ne
saurait
£ire généralisée tans erreur ; et si l'auteur ava
ou moins actifs. C’est par le même mécanisme que certains somnambules
savent
vous dire que le malade suit un traitement qui lu
ne jamais se charger d’une consultation en acceptant des cheveux sans
savoir
à qui ils appartiennent, à quel sexe , à quelle g
e qui parviennent à notre connaissance, pour les soumettre à ceux qui
sauront
peut-être en tirer un meilleur parti que nous, et
second Esprit vint donc remplacer le premier, et montra le plus grand
savoir
en théologie. Interrogé ensuite sur ce qu’il av
llement étonnantes, qu’on s'intéressa vivement i lui, et qu’on voulut
savoir
ensuite s'il avait, en effet, vécu parmi nous.
cet Esprit s’était communiqué ne connaissait personne de Halle, et ne
savait
en conséquence à qui s’adresser pour avoir les re
de mauvais interprétés des choses divines, et que nul d'entre eux ne
sait
la signification des faits qu’ils produisent, ou
se produit dans le somnambulisme naturel. 11 y a quelque temps, je ne
sais
si cela a encore lieu aujourd'hui, une dame de tr
ise sur notre chapeau, nul ne trouverait ridicule notre croyance : on
sait
généralement que le magnétisme existe, que le som
cer vers la vérité ? La science demude des coaviC' tione, beaucoup ne
sauraient
en avoir; ces esprits flottuts »e proki«eiit poin
ction bienfaisante; qu’il descende ainsi dans la famille ; que cbacaa
sache
que la nature a doué cet agent de propriétés salu
ans nous trop préoccuper de son origine : ces profondes recherches ne
sauraient
pourtant être interdites, mais que ch.icun ait la
rmi nous! A quoi bon qu’on noua prôae? Avouons humblement que nous ne
savons
rien. Les faux dogmes s'en vont, partout on les
t aveugles qui ont fait concevoir du christianisme un mépris qu’on ne
saurait
se permettre qu’à l’égard d’une billevesée, pours
ici dans son entier. Le savant cosmopolite, M. Jobard, l’iiommequi
sait
tout et beaucoup diiutres choses encore, n’avaic
rte faits connus, l'importance de ceux qui restent à connaître. On
sait
que la catalepsie est un état comateux, une sorle
ations critiques, je ue veux pa» m’attribuer une compétence que je ne
saurais
avoir;car, vous le savez, cher baron, je ue suis
x pa» m’attribuer une compétence que je ne saurais avoir;car, vous le
savez
, cher baron, je ue suis point un critique dont l'
oposer quelques conseils dictés par cette sympathie de sentiments que
sait
vous inspirer toute œuvre honnête, telle est ma s
eci n'est point une contradiction, car si l’engouement de la foule ne
saurait
amnistier les méchants livres, il est toujours un
ce; nne force nous anime, nous sollicite ou noua pousse, mais elle ne
saurait
nous envelopper. Nous lisons, page 2 de l’Avant-P
«Le même rayon les réunissaient, les illuminaient. « Un acte divin ne
saurait
être appelé spiritualisme ; à notre avis, c’estco
dans son parc, à l’étonnement de tout le monde : dans tout le pays on
savait
que ce retour àla sauté était dit au magnétisme,
tardera pîi.‘t;’'fe6^roris-lc, à porter des fruits. Tous les adepte»
Su
magnétisme-, ses vétérans, comme ses néophytes, s
elle qu’elle soit, n’est l'œuvre, ni d’un seul homme, ni d'an jour,
sachons
-le bien ; elle est fille de la patience, elle se
bat si grave, rejetait avec mépris la science nouvelle. On ourdis>
sait
contre elle la conspiration du silence; mais, (kt
st repoussé. Si les hommes d’Etat étaient imbus de ces vérités, ils
sauraient
produire le fluide patriotique à leur gré, en fav
ce, ainsi que les débris d’une pelisse et d’un sarafaoe. Le paysan ne
savait
que faire; en se baissant pour mieux se rendi'e c
a la neige el on en retira Marthe encore vivante, mais très-épiiisée.
Sus
\ôtements étaient pourris et tombaient en lambeau
nd étonnement. i3. Et illeior commanda fortement que personne ne le
sût
, et il dit qu'on donnât à manger à la fille. (S
itédecesextraits par une communication intime plus étendue, et que ne
saurait
comporter, auprès de beaucoup de lecteurs, la bén
e ces deux visiteurs. Nul motif frivole ou de dangereuse curiosité ne
saurait
se mêler à la grave disposition de leur esprit. D
conséquence inévitable du charlatanisme de quelques individus qui ont
su
, au nom de cette science, tromjwr la bonne foi de
se instruite, et surtout par le corps médical, puisque, comme vous le
savez
déjà, l’Académie de médecine a cru faire justice
eut ou ne doit pas exister?... Je suis vraiment très-inipalieiit de
savoir
ce qu’elle vous répondra àcet égard, et je suis é
eut la naïveté de profiter de mon absence pour vou-loir prouver qu'il
savait
mesinériser aussi bien que moi ; se plaçant donc
men de la part d’un étranger, et cet amour-propre une fois blessé, je
sais
, par expérience, que je n’aurais à lutter qu’avec
pagande de magnéto-tliérapie sous le titre de Jésus el Mesher. Vous
savez
déjà, mes chers confrères, combien mon intelligen
temples de Sérapis, d'isis, d'Ësculape, etc., là même où Hippocrate a
su
saisir les principes de la doctrine qu'il a trans
té de la faculté médicale de Ilio Janeiro, qui, par la voie légale, a
su
faire décréter l’arrêt suivant : « Vu ces actes
Paris, et à la gloire de la faculté de médecine de Rio Janeiro quia
su
si loyalement recomiattre la grande véritó de l'e
s le calendrier futur tous les saints de la légende chrétienne. Je ne
sais
si la philosophie véritablement positive de l’ave
s son calendrier; mais, en attendant, les disciples de ce grand homme
savent
honorer sa mémoire d’une manière digne de son gén
je ne veux citer aucun nom, car il faudrait trop en nommer ; pour qui
sait
voir, dis-je, nous vivons à un moment solennel, p
le magnétisme est, saiia cflntrsdh, l'extase: les magnétistes exercés
savent
qu’en poussaqt le somnambulisme hors de ses voies
dc son esprit pour donner au récit dc mes euros im intérêt que je ne
saurais
leur donner! Jeracontela vérité toute simple sans
mie des sciences s’occupe gravement de recherches ayant pour objet de
savoir
si la poule pond son œuf par le gros bout ou par
continuer cette com-muaication, parce que plusieurs érudits n’avaient
su
deviner jusqu’alors un latin aussi baroque, nous
, au contraire, de toutes mes convictions. C’est elle qui doit, je ne
sais
quand, nous réconcilier tous. Mais des hypothèses
ue un appartement. Depuis quelque temps des projectiles, partis on ne
sait
d’où, viennent briser ses vitres et, pénétrant da
tre atteints par l'artillerie invisible, et il leur fut impossible de
savoir
d'où venaient les coups. " L’existence lui étan
e le dessin était de M. Eynard..... « Il eut beau soutenir qu’il ne
savait
pas Il dessiner* la malade haussa les épaules.
y a plusieurs moyens de produire l'éiat magnétique, tout le moiule le
sait
depuis quatre-vingts ans. Qu’est-ce que cela peut
a communication de pensées non exprimées, la vue à distance.) « On ne
saurait
évidemment (évidemment?.... voilà un argument sci
ne démontrent pas, M. Figuier donnait sà parole d lion-neur) ; on ne
saurait
évidemment (évidemment est décidément superbe) ad
doute de grands progrès ; mais, sous le rapport théorique, nous n’en
savons
pas plus qu'au temps de Van Helmoiit, à cela près
er les abords et j’ai Vespoir que d’autres, plus comp^ tents que moi,
sauront
en reconnaître la fécondité et en extraire toutes
à faire des'enveloppes, en combine toutes les parties à cette fin; il
sait
d'avance comment et combien elle produira, mais c
la lumière dont la nature étiologique est identique. Tout le monde
sait
, et ce n’est pas d’hier, qu’il est nuisible aux j
le plus propre à fournir les pulsations sonores. Aussi les musiciens
savent
-ils tous qu’un instrument est plus juste, plus so
aussé par des exercices déréglé?, con-tvadiçtoires, subversifs. On ne
saurait
donc trop s’attachçf, dans la première éducation,
ces dont l’étude fait l’objet de la pLréuologie. Les iiei'fSj oo ne
saurait
trop le répéter, ne peuvent porter au cerveau que
adversaires, nous savon» observer ; nous seuls, en conséquence, nous
savons
solidement quelque chose. Aussi, nous vous le déc
rice ? Le concept de l'in-visible en dynamisme thérapeutique, vous le
savez
, n’appartient pas à. l’avénement de l’homéopathie
ain guérit telle maladie et non sa voisine ou leur descendance. Qu'en
savent
-ils et qu’en savons-nous? Ils n'ont pas réusai, n
adie et non sa voisine ou leur descendance. Qu'en savent-ils et qu’en
savons
-nous? Ils n'ont pas réusai, nous ne réussissons p
et désespérait sa femme et leurs parents. Le médecin avouait ne plus
savoir
quoi faire. J’avms demandé sa présence : de nombr
horames tombent, de faire difficulté de croire d’autrui ce qu’eux ne
sauraient
et ne voudraient faire. » Montaigne. « L’homéop
u’il n’y a que le vôtre qui me fait du bien ; mais je voudrais bien
savoir
comment vous laites. — Quand voas serez guérie,
osséder la collection du Journal, dc vouloir bien, sans retard, faire
savoir
ce qui leur manque de volumes ou de numéros : une
de l’autre côlé de ma maison, j’aperçois le facieur. A sa vue, je ne
sais
quel vague pressentiment ma saisit et me retint c
ne cette exquise sensibilité? L'âme, toujours l’âme ! Tout le monde
sait
dit M. Warlomont, d’après le docteur Ricard, qu’i
mment action du moral sur le physique. Cet Iwmmc âtlilélique qui ne
sait
pas où sont ses nerfs, qui ne connait dL crainte,
C. Ordinaire, Docteur-médecio. Cher maître. Je viens de lire YE$
sai
(Cune nouvelle théorie du magnétisme animal, par M
nt du magnétisme animal sans avoir jamais;jr/7/i9w'cette science; Ton
sait
cependant que la pratique en magnétisme, plus qu’
luirés constitue encore une erreur manifeste, car tous les praticiens
savent
parfaitement que la lumière est uae chose superfl
rt avec le plateau d'une machine électrique. Autre similitude. — On
sait
qu« l’état de l’atmosphère influe considérablemen
s le confesser, uu vérituble chagrin de voir que je ne pou\ai'i ou ne
savais
calmer les effets qui empêchaient qu'il u’entrât
inlliience d'un magttiseiir s^ur un sujet, el ma con-fiaiico clans le
savoir
el la loyauié bien reconnue de la personne dont j
ropres à semer l’alarme dans les esprits, m’attristent plus que je ne
saurais
dire pour l’avenir de la découverte de l’immortel
-dc-Justicc.Ce logemciit était Li:sailli de projectiles partis oji ne
sait
d’où. Nous avons rappelé à cette occasion un fait
osséder la collection du Journal, de vouloir bien, sans retard, faire
savoir
ce qui leur manque de volumes ou de numéros ; une
entouraient Iü tombeau, ou étalon t couclics dessus ou dessous ; ils
savent
les coups de bûclie, de chenèt, de barres de fer
rent point étudier la cause de phénomènes si étranges; bien plus, ils
surent
intéresser le pouvoir et l’amener à protéger leur
tre agent que la puissance magnétique dirigée par mol selon ce que je
sais
: je griserai, je rendrai fou, amoureux, poëte, e
songe contre la vérité peuvent lui nuire pour un temps, mais elles ne
sauraient
la détruire. Le jour de la revanche arrive enfin,
si misérables et de si ridictdes animaux ? Certes, le Tout-Puissant a
su
, a pu et a voulu créer des êtres meilleurs que no
et la puissance de Dieu se manifestent. 11 est à présent question de
savoir
si ce sont des foimes pures et sans corps, ou si
doivent être sujets à proportion. « On sera curieux, sans doute, de
savoir
quelle est la nature du lieu, et de quelle espèce
n» KR, page 421 etstiivantes, li) L'intolérance, dite orllioduxft, va
su
signer «n lisant ici le nom da Voltaire. Qu’elle
tions, disons-nous, fort au-dessous des miracles préconisés par votre
savoir
, puisqu’elles ne présentent que des vestiges rapi
s anciens philosophes avaient reconnues à l’agent cosmique universel,
savoir
: l’éther, l’air, l'eau, la densité solide : Do
ous : Les formes des pui-sonnalités qui vivent dans l'invisible, ne
sauraient
-elles, en certaines circonstances et toutes chose
reculés. Anciennement, on divinisait tout, et le paganisme, vous le
savez
, donnait aux régions aéi’iennos (1), élbéréenues,
faitemeiit édifié sur les élcmcntisaiioiis du polychreile onmigénère,
savait
quo, par l’énerj-’ie migni'lii)ue, on les en extr
aî'nctisfiursct de la plupart desmaguctisies, s’amuser lc... ’’ien. U
savait
qu'il ingérait une principiation réelle. C'est là
resque d’instinct, on évoque l’idée d'un ancien compagnon, et l'on ne
sait
pat se rallier de la SOI le à l'nppui fidèle de l
leur épuque; n'ayons besoin d'aucune crainte pour nous conduire; mais
sachons
au») bien distinguer la superstition (le superlic
mme de deux privilèges au-dessus de toutes vaines choses des animaux,
savoir
: la pensée et la I»role, qui jouissent également
ur 1 honune, la parole opère par énoncé de prédiction, et quiconque
sait
user de ces deux vertus secrètes pour ses besoins
plication diflîcile : il faudrait pénétrerclans le domainede l'âme et
savoir
si véritablement il existe en dehors de nous des
nt être dévolues à la nature humaine. La médecine est muette, elle ne
sait
rien nous dire, elle nie, comme toujoui's, et tra
ns conservent leurs attributions particulière;? : ces attributions ne
sauraient
êlre changées en aucune façon. Bref, la vue s’exe
al. Cette appellation est iocxactc selon moi. Tous les physiologistes
savent
pari'ailemeut que l’influx «ej"-vexix ou fluide v
ni magnétisme, ni magie, ni tbéurgie, ni catalepsie. Tout ce que nous
savons
, nous l’avons invariablement appris, et les mysti
te jaloux de son œuvre, voulut maintenir le décret qu’il avait porté,
savoir
que nous ne verrions rien des yeux de l’esprit qu
erstition et incrédulité sont filles de la môme mère : l’ignorance.
Savez
-vous ce que l’enseignement officiel dit du mesmér
ut répété; rien à faire 1 mais votre médecin est un âne; mais vous ne
savez
donc pas que les somnambules ça sent le sabbat d'
Que répondre à un pareil docteur qui, sans avoir jamais rien appris,
sait
tout et autre chose encore ? Les bonnes gens cons
admettre la médecine homœoputhique dans ses principei fondamenlaujc,
savoir
: l’action réelle des dosesm/înif^simo-lf4, et le
il s'agit, Une multitude d'observations constatent ce fait, qu'on ne
saurait
maintenant révoquer en doute, ■ Il en résulte q
postérité l’usage qu’elle jugera convenable de faire de ce qu'il aura
su
apercevoir.» J.-B. Lahakck, de l’institut Nationa
a contracte, une supériorité marquée sur les autres hommes. Nous ne
savons
point jusqu'à quel degré nous poarricos tirer par
une haute ptillosophie et d'une vaste érudition, était magnétiste. Il
savait
, dit-on, énormément de choses sur l'ei-Use. Il s’
et des sociétés secrètes dont «ont sortis nombre de grands hommes. 11
sait
la longue préparation qu'exige l’étude sévère; au
16.) ivancerez-vous que ces notabilités inédicales de l’allopathie De
savaient
pas agir sur l’imaginative de leurs clients ? D
il n’a rien de nouveau que le nom ; mais il restera un grand doute, à
savoir
, si la raison humaine est assez forte pour suppor
e constater les singuliers et mystérieux phénomènes du magnétisme. On
savait
déjà (lue, ne me faisant point accompagner par de
s phénomènes magnétiques si curieux à observer. Ces transitions sont,
savoir
: (!) Voir les n" 80 et 82, tome courant. 1'’
est propre aux somnambules. La vue ordinaire s'exerce, comœe chacun
sait
, d'une ma^ nière directe, c’est-à-dire par Tayonn
ous les points de l’espace, mais bien d’une manière progressive. On
sait
que la vue ordinaire varie suivant les individus:
rir. — Ce t)’cst pas cela que je voulais vous demander; je désirerais
savoir
si j'iinrai les couches laborieuses! — Je ne vous
h bien ! Catherine, que fait la petite Louise en ce moment? — Je n’en
sais
rien. — Vous ne la voyez donc pas? — Non, elle
voyez-vous? — Je ne la vois pas non plus ; elle est partie aussi. —
Savez
-vous où elle est allée? — Je l’ignore. — Pouvez-v
où elle est allée? — Je l’ignore. — Pouvez-vous la retrouver?— Je ne
sais
pas. — Cherchez-la!... (Après uu instant) —Je la
de sa maman. Dites-moi donc où est madame B... en ce mom^t. — Je n'en
sais
rien, je ne la voispas.—Gomment, vous ne la voyez
petite Louise. — Oui, je vois très-bien la petite Louise, mais je ne
sais
pas où est madame B.... — Vous plaisantez, elles
malaise, une agitation involontaire, une sensation profonde qu'il ne
sait
à quoi attribuer. Car il ignore complètement la n
Monsieur le baron, Il est de ces devoirs dans la vie auxquels on ne
saurait
manquer, et celui que je remplis aujourd’hui en v
ne fois à quel point j’apprécie et estime non-seulement votre profond
savoir
, mais votre personne, permet- te2-moi, Monsieur
il y a toujours là un phénomène, physiologique ou psychique, qu’on ne
saurait
assez admirer. J’ai l'honneur d’être avec le pl
sera chargé par l’Etat de recueillir ce que le vulgaire ne doit point
savoir
(1). Ce que j’écris aujourd’hui ne sera point com
nne était en partie tombée. L’opération dura pendant 7 minutes, et on
sait
si elle est douloureuse! A son réveil, elle n’en
produire chez elle des effets à peu près an.%logne3 ; mais ici, je ne
saurais
au juste faire la part de l'imagination. Un mot
pissement, qu’elle accomplissait religieusement l’ordre donné, « sans
savoir
pourquoi, » disait-elle; s’agissait-il d’un rêve,
toujours graduellemeot cependant. (t) PatItologIquemenI parlant, on
sait
(|ae l’extase est uno aSection nerveuse dans laqu
ne connaissait pas même le m^hélistnè dé nom ; l’expérimentateur n’en
savait
que ce qu’il dti avait vu dans les livres. Fais
’il dti avait vu dans les livres. Faisait-il une expérience, nul ne
savait
le but qU’il cherchait à atteiiidre, et ce n’étai
homonyme, a profité de l’occasion pour faire de la polémique, nous ne
savons
trop à quel propos, si ce n’est pour déclarer qu’
er la dose, selon qu'il est nécessaire. Du reste M. Lafontalne doit
savoir
que mille moyens ingénieux se présentent à un obs
ruit presque, sans s’en douter, (I des crises huperceptibles qu'on ne
saurait
réparer, n Or ceux qui, comme M. Lafontaine, en
ceux-là, clisons-nous, détruisent des crises ÎHipercepfiftÎes qùHs ne
sauraient
réparer. SI, pour des personnes tombées en somm
iieuveut surgi»' flans la [iratiquc du magnétisme, pour celui qui ne
sait
pas sc conduire, nous n'avons point eu l’intentio
ger. Nous dirons un jour où était le principe de la durée, mais qu'on
sache
déjà qu’il touchait au sacrifice. Le magnétisme
cevoir le monde extérieur sans recevoir l’impression des objets; De
savoir
ce qui se passe à une grande distance de lui, de
ous de la censure de vos savants et de vos médecins, tous gens qui ne
savent
point se guérir de la plus petite infirmité, et q
Cet avis sera compris, nous n’en doutons pas, par nos lecteurs ; iis
savent
, du reste, que de notre côté nous tiendrons nos e
x de traduction : la ?nine est riche, inépuisable même; il faut qu’on
sache
au moins où en sont les filons. M. Kaspçrowski
e ceux du nerfsus-orbitalî un rameau du (trifacial) ressort au-des-
sus
de la cavité de l’œil, et gagne en se ramifiant s
qu'à mui seul, et, pour en juger les fiuits, il faut au nioius qu on
sache
ce qu’elle m’a appris, Baron du Potei. (1) NU
qui s’im^inuent que je tii'ais un grand lucre de ces séances, qu'ils
sachent
qu’elles ont été pour moi l’occasion de sacrifice
us faire apprécier, à toute sa valeur, la médecine des anciens ; nous
savons
seulement que les prêtres chez les Egyptiens, les
es découvertes les plus utiles pour en imposer au public ignorant? On
savait
cependant, dès cette époque, discerner les oracle
conduite par le démon, elle allait aux pays étrangers dont on voulait
savoir
des nouvelles, et qu’à son retourelle apportait q
usités par les prêtres pour jeter les malades en somnambulisme. Nous
savons
seulement, et nous croyons l’avoir démontré antér
e ce grand philosophe que nous devons les progrès d’une science qu’il
sut
dégager des langes de l’ignorance et de la supers
ons magnétiques. Ætius s’écarta rarement des principes de Gallien, il
sut
allier la doctrine des plus célèbres méthodistes
i Je m’ aperçus avec étonnement, dit-il (2), que je n’entendais, ne
savais
et n’imaginais plus rien par la tête; mais que to
marquis de Puységur se multiplièrent en raison de la direction qu’il
sut
imprimer aux efforts de sa volonté. Deleuze pro
nger dans le domaine des visions et des chimères, ou bien ceux qui ne
sauront
se soustraire aux impressions de leur magnétiseur
enveillance que l’on rencontre chez la plupart des sujets lucides qui
savent
si bien s’identifier aux souffrances de leurs mal
aites pendant le sommeil magnétique, elle suit un régime particulier,
savoir
: viandes blanches, veau et poisson, riz au lait
souffrances; la constipation est toujours opiniâtre, et, comme 011 le
sait
, 011 ne peut la combattre ni par les lavements, n
lle n'avait pu faire depuis le commencement de sa maladie, qui, on le
sait
, remonte à plusieurs années. Le dos conserve enco
champs. » Combien ai-je de moutons ? Réponse : « Oh ! c’est facile à.
savoir
; te-« nez, je vais les compter pendant qu’ils so
Ils vont protester qu’ils ne sont ni sorciers, ni magiciens; nous le
savons
parfaitement, et personne ne l’ignore; pourtant i
ure de ses études et de ses occupations (il était géomètre, et chacun
sait
que les sciences mathématiques rendent l’esprit e
ais elle est d’une vérité étroite, elle n’apprend rien au lecteur qui
sait
déjà, par l'étude des chapitres précédents, que M
ne dans les diverses classes de la société piémontaise. Nous devons
savoir
gré à M. Ruggeri de ses efforts, et lui témoigner
ux cures sus-mentionnées dans le Journal que le zèle de M. du Potet a
su
créer et conserver pour la propagation des connai
e mauvaise foi démontrée. n Alors revient de nouveau la question de
savoir
s’il y a une science réelle au fond du magnétisme
trer que magnétiseurs et somnambules ne croient pas en leur art et ne
sauraient
, non plus tpie des augures, se regarder sans rire
e à se magnétiser soi-même ; et on le pourra toutes les fois que l’on
saura
le vouloir. Cette assertion paraîtra peut-être té
ra comprise par tous les hommes habitués à méditer, par tous ceux qui
savent
apprécier leurs propres sensations. Cherchons à l
e et le passage qui précèdent montrent un homme impartial; il reste à
savoir
s’il est suffisamment édifié sur les faits et les
éveillée, un assistant lui demanda quelle heure il était. « Je ne le
sais
pas, répondit-elle, puis instantanément douze cou
s deux parties de l’art de guérir, non plus que toutes les autres, ne
sauraient
être convenablement exercées que par des médecins
agnétisme animal, Monseigneur, est un fait avéré, et son existence ne
saurait
plus être contestée par aucun homme instruit et d
er maintenant les gens de bon sens, de science ou de religion, est de
savoir
s’il vient du ciel ou de l’enfer. En général, l
en que de très-conforme aux lois de la nature, et, par conséquent, il
sait
que le diable n’y entre qu’autant qu’on veut bien
et, en second lieu, d’une œuvre de charité à laquelle nul chrétien ne
saurait
se refuser, surtout quand la nécessité ou la posi
nseigneur, la fille Froment et la femme Schmitz ; mais Votre Grandeur
sait
-elle ce que c'est que Mm* Schmitz, née Baud, dont
Mais sur cette terre de malédiction et de misères, quel est celui qui
saurait
être à l’abri de la calomnie ? Aussi, Monseigne
nces et divines et humaines, 11e peut qu’être d’un grand poids, je le
sais
, dans une discussion de l’espèce. Cependant, comm
s, dans une discussion de l’espèce. Cependant, comme votre opinion ne
saurait
changer les faits, que d’au- ires illustres pré
stances qui les accompagnent ; tels sont, Monseigneur, connue vous le
savez
mieux que moi, le jeu, la danse et les autres div
hénomènes physiques, attaquent ensuite impitoyablement celle qu’on ne
saurait
raisonnablement refuser à la Divinité. Le magné
tous les lieux ; sous le point de vue thérapeutique, ses avantages ne
sauraient
être douteux. La simplicité des lois qu’il suit d
jours avec succès; lesquelles font ainsi du magnétisme animal sans le
savoir
. Quant au somnambulisme, c’est, selon moi, l’un
et il rendrait toujours d’immenses services à l’homme de l’art, s’il
savait
s'en servir, parce que, dans une infinité de cas
la main sous les inspirations de l’instinct du malade, qui jamais ne
saurait
faire erreur à son préjudice. J’ai eu l’honneur
sans avoir l’honneur de vous connaître personnellement, Monseigneur,
savent
cependant que vous ôtes un homme de science et de
résultat et très-intéressant comme nouveauté ; votre Journal, que je
sache
, n’a rapporté rien d’analogue. Vous savez combi
é ; votre Journal, que je sache, n’a rapporté rien d’analogue. Vous
savez
combien j’aime le magnétisme et combien aussi je
s reculer devant un pare il défi : j’étais d’ailleurs très-curieux de
savoir
si je réussirais en pareil cas. Gomme j’avais enc
peau. » Là se trouve, à mon avis, tout le phénomène magnétique. Je
sais
qu’il est parfaitement reconnu que le magnétisme
ambulisme qui, si ce n'est point un conte, comme le célèbre romancier
sait
en faire, aurait une grande importance. Il s’agit
que le magnétisme abécédaire exé-cune infiniment mieux, comme vous le
savez
; mais comme l’Américain opère sur des bourgeois
lectro-biologie bien au-dessus du mesmérisme. 11 suffit, comme vous
savez
, de changer l’étiquette du sac pour avoir du succ
e pas moins défendu de se faire justice à soi-même. Mais il reste à
savoir
si ce qu’on appelle remords n’est pas l’action oc
nnu, toute théorie, toute opinion, fondée suides raisonnements qui ne
sauraient
les détruire, doivent baisser pavillon , car le s
connaissons l’homme que depuis sa déchéance, et nous 11c pouvons pas
savoir
ce qu’étaient auparavant ses facultés physiques e
es personnes imbues de préjugés, qui ne veulent, qui ne peuvent ou ne
savent
rien analyser. Au contraire, Monseigneur, on 11
s par la cour de cassation. Il n’est pas sms importance, non plus, de
savoir
que l’Académie royale lo médecine a déjà lait exa
la cour, sur ce pourvoi, les observations suivantes : « Le point de
savoir
, a dit ce magistrat, si l’art. 35 de la loi de ve
i, il semble (on le répète) que l’unique point à décider est celui de
savoir
si l’interprétation à donner à la loi est celle d
cueilleront jamais des articles de polémique violente. La vérité doit
savoir
se frayer un chemin par la logique, et elle ne do
aintenant, lui dis-je, vous allez me chanter une chanson. — Je n’en
sais
pas. _Cependant je serais très-flatté de vous e
-surpris de l'entendre, elle qui ne chantait jamais, parce qu’elle ne
savait
pas de chansons. «Où avez-vous appris cette cha
dit qu’elle avait chanté; elle ne voulut jamais le croire. « Je ne
sais
, dit-elle, que le premier vers de la chanson dont
u de temps, elle me dit : > C’est fini. » Je la réveillai ; nous
sûmes
quelques jours après que rien n’était venu depuis
entre vos mains, lorsque le bureau de la censure de Chambéry m’a fait
savoir
que cet ouvrage avait été refusé à l’archevêché,
mauvais grain ; le triage est appelé de tous mes vœux, comme vous le
savez
, Monseigneur, et je n’y reviendrai pas, m’en étan
onque puisse reconnaître l'état d'un malade et tes remèdes propres èi
su
guérison. Vous n’êtes pas le seul, Monseigneur, q
ne sont pas toujours les meilleurs juges en fait de science, vous le
savez
aussi bien que moi; tous les auteurs modernes par
que trouvons-nous de si consciencieux dans leurs œuvres? Pour bien
savoir
une chose, il faut savoir étudier et pra- tique
onsciencieux dans leurs œuvres? Pour bien savoir une chose, il faut
savoir
étudier et pra- tiquer soi-même, et c'est ce qu
que nous répondrions nous-mêmes en semblables circonstances : « Je ne
sais
pas ce qui m’a guéri, dira-t-il, puisque vous ne
; mais, guéri, je le suis certainement; voyez! ! ! Et, tout ce que je
sais
, c’est que, quand on a employé ce rien (comme vou
rudentes ou novices, les fatiguent horriblement, et par conséquent ne
sauraient
que leur nuire. Dans cette .attente, Monseigneu
: le bien divin est plus puissant que la science humaine ; qui ne le
sait
pas? Des hommes sans moralité. J’approuverais,
mbes avaient peine à suivre l'impulsion du buste; actuellement, je ne
sache
pas que cette disposition ait reparu. J’avais e
, depuis deux jours, j’éprouve des sensations inaccoutumées que je ne
saurais
définir. Des frissons me montent rapidement des
ux portée; sa vie semble doublée ; son activité est telle, qu’elle ne
sait
comment la dépenser. Je vous garantis, Monsieur
ais afl'aire à quelqu’un qui connaissait parfaitement mon passé, et
savait
très-bien ce qu’il disait. Eu réponse à mes quest
Mmc Hayden, que nous voyions toutes deux pour la première fois, n’en
savait
pas plus qu’elle, il est évident que la medium, à
grand embarras, un doute mortel, et dont il sera très-intéressant de
savoir
le jugement ultérieur. Mais ces phénomènes biza
chent d’être toujours les derniers à douter de ce que nous devrions
savoir
avant eux. (le reproche serait IoikVs, si noire t
opres, il est vi*ii, à surprendre et même à émouvoir, mais qu’il faut
savoir
accepter. Hier, dimanche, nous avons fait vingt e
yeux ; je connais leur caractère, leur moralité, leurs penchants ; je
sais
la confiance que je dois avoir en eux. Dimanche,
l’aiguille aimantée se tourne toujours vers le nord ? Est-ce qu’elle
sait
le premier mot de la nature intime des forces mag
er ami, sous l'impression d’une expérience bien extraordinaire. Je ne
sais
si tu as entendu parler de l’efTet du magnétisme
atière brute, ce néant moral qui sous vos mains se met à vivre, je ne
sais
ce que cela vous fait éprouver, je ne saurais m’e
ains se met à vivre, je ne sais ce que cela vous fait éprouver, je ne
saurais
m’en rendre compte ; en écrivant, malgré moi je s
car ils ne sont pas les moins empressés à se mettre de la partie. Qui
sait
si le conseil des ministres lui-même, quand il es
une ronde immobile; 011 les prendrait pour des maniaques, si l’on 11e
savait
de quoi il s’agit. Cet exercice est une parfaite
osité et qui cherchent à se procurer une distraction agréable, 011 ne
saurait
établir la discipline et l'unité qui seraient néc
de pensée, la réflexion de notre propre intelligence? C’est ce qu’on
saura
plus tard. Soit fatigue, soit surexcitation mag
d. En effet, ne contribuent-elles point à nos succès? Les magnétistes
savent
qu’elles sont de puissants auxiliaires par les me
culer la puissance énorme qu’acquerra cette nouvelle force, quand 011
saura
l’accumuler et la diriger ? Qu’on songe que l’éle
ferait regretter de ne pas le voir plus souvent à l’œuvre, si nous ne
savions
que les quelques instants qu’il consacre aux lett
parole. Cet orateur, dont la voix est puissante et le geste animé, a
su
charmer l’assemblée, non en prenant la défense du
’hier l’acclament déjà avec un enthousiasme plein d’ensemble. «Vous
savez
, Messieurs, à quel incident est due cette soudain
té sur l’organisme humain, je ne vois plus aucun inconvénient à faire
savoir
au dernier des drôles qu’il peut jouer de cet ins
i venait d’entendre une de ces critiques vengeresses que Molière seul
savait
écrire. Que M. Baïhaut soit satisfait de son débu
, etc. Pour pénétrer ce ténébreux mystère Que la nature aux humains
sut
cacher, Comme à la pointe attirant le tonnerre.
s l'univers. Je viens, etc. Ah! dûtes-vous m’accuser d'empirisme,
Sachez
, mortels, que ce rien précieux Est pour nous tous
atitude Que celle vile multitude Ne fasse pour fléchir ics grands Qui
savent
lui montrer les dénis. Sur le grand chemin do l
roposition que vous avez émise dans une de vos dernières conférences,
savoir
: que le magnétisme est un puissant restaurateur
Les liquides reçoivent et retiennent, pendant un temps que l’on 11e
saurait
fixer, l’agent mesmérien. La trace de nos pas,
née. O11 ignore encore ce que peut la volonté humaine; un jour 011 le
saura
, l'homme alors sera véritablement roi de son glob
u cinq minutes en voulant que ce soit de la sabine. J’obéis. — Vous
savez
le résultat. Un morceau de sucre imbibé d’eau d
celui qu’on lui assigne actuellement. A ce point de vue encore, on ne
saurait
donc user de trop de réserve. L’homme est telle
ns le bien, plus résolus à atteindre le but final des choses en Dieu;
savoir
s'ils seront plus actifs pour acheminer la républ
és ordinaires de l’humanité, peut donner quelque doute ; aussi, je ne
saurais
trop le répéter, cel^a mérite-t-il de notre part
pour nous, car tout nous vient aujourd’hui par ce firmament; or, qui
sait
quels tristes mélanges les choses peuvent éprouve
point en vain qu’ils imposeraient les mains; mais aujourd’hui ils ne
savent
plus, comme autrefois, guérir les malades par le
expliquer la force active, Quelle cause? Une ombre fictive, Je ne
sais
quelle illusion Où l'âme malgré soi sommeille,
sociétés savantes, magnifiquement ignorants et pompeusement débiles,
savaient
mieux ou même savaient un peu ce que c’est que le
nifiquement ignorants et pompeusement débiles, savaient mieux ou même
savaient
un peu ce que c’est que le magnétisme, ils cesser
es qu’il produit nous semblent au premier abord extraordinaires; car,
sachons
-le bien, la nature n’enfante que des faits ordina
s, que, par une pratique commune appelée matricha-marhon, les Indiens
savaient
obtenir une nouvelle sorte de vie. Selon l’auteur
uelle que soit l’opinion que l’on ait d'ailleurs du magnétisme, on ne
saurait
refuser de reconnaître que tous les êtres animés
itude de l’observation, de la réflexion et de la méditation ; il faut
savoir
lire dans le livre de la nature, formé de toutes
ien ne peut excuser l’outrecuidance du savant qui, enorgueilli de son
savoir
, repousse sans examen tout fait nouveau, par cela
urnellement, celui qui, dans le secret de sa pensée, a donné l’ordre,
sait
à quoi s’en tenir sur la part qu’il a prise à l’e
née, des réponses sont obtenues, on promet d’écrire. 11 s’agissait de
savoir
comment on mettrait le crayon à la disposition de
aveor par leurs sentiments religieux, par le bon sens avec lequel ils
savent
accueillir la voix du progrès et par l’avantage q
spèce de blette, poi FAITS ET EXPÉRIENCES. TABLES MOUVANTES. On
sait
qu’au moment où la danse des talîles fit invasion
pas toujours prudent de se livrer à ces sortes d’expériences ; chacun
sait
qu’on ne peut pas indifféremment exciter les sens
de leurs réponses, qu’il est des limites que les facultés humaines ne
sauront
jamais franchir : s’il en était autrement, n’aura
la mémoire est à jamais vénérée, s’occupait aussi de magnétisme qu’il
savait
combiner avec succès à l’action des eaux thermale
ine de diminuer la foi et de porter atteinte aux mœurs, on désirerait
savoir
, pour la tranquillité des consciences, quelle est
divulgué certains procédés pour faire éclore ces phénomènes, et vous
savez
ce qui en est résulté. Il y eut d'abord bien des
é! Mais on ne m’a pas dit ce que c’est que le somnambulisme, et je ne
sache
pas qu’on l’ait jamais expliqué d’une manière que
u’elle commence par étudier ce qui les produit. Matérialiste, elle ne
sait
qu’opposer la matière à ce qui n’est pourtant pas
ccepter tous. n Nos théories sont incomplètes! Sans doute, et il ne
saurait
en être autrement, puisque les théories doivent t
sur les moyens île conserver ou de rétablir sa santé ; malade, on ne
sait
rien, ni pour soi, ni pour les siens, et on a rec
que cela paraisse, les magnétiseurs sont préparés à le vérifier ; ils
savent
que les livres de nos maîtres ont été écrits en v
i est une manière incompréhensible pour l’homme éveillé de voir ou de
savoir
, et ensuite qu’il magnétise spontanément les mala
en faire comprendre l’importance. Que nous importe, ¡t la rigueur, de
savoir
si cette faculté appartient bien réellement à l’â
rticipent plus ou moins à cet inappréciable bienfait du ciel. Et vous
savez
aussi que bien des gens refuseraient de se laisse
ans la moindre fatigue, réduit son sujet en état de somnambulisme , a
su
nous donner des preuves irréfutables de l’insensi
m cüm phreneticis sommi'3 ea queritür. » Une longue friction (et nous
savons
ce qui agit) ne convient ni dans les maladies aig
h ! je vois un gros livre. — Qqel livre? — 11 est en latin, je ne
sais
pas lire le latin , moi, et je n’ai pas assez étu
ous ne rencontrerez peut-être pas sa pareille. Je guérirai, et vous
savez
qu’on ne guérit pas la grande fièvre cérébrale, s
vous étonne. Ah ! c’est bientôt fait; avec le magnétisme, je vois, je
sais
! Ainsi il me faudra beaucoup de moutarde aux jamb
s, •c’est trop. — Je serais à la campagne sans vous. — Oui, je le
sais
; mais comme vous avez trouvé en moi un beau cas,
ortune doit tourner sa roue de mon côté, tous ceux qui me connaissent
savent
combien je coule l’existence tranquille et gaie,
, ces choses-là... » C’était là, je l’affirme, toute ma pensée. «
Savez
-vous, repris-je, que ces idées ne sont guère cath
ie I cette dame n’a jamais entendu prononcer le nom de Celse, elle ne
sait
pas plus s’il écrivait en latin qu’en grec, et el
e plus légère; voyez votre livre, c’est dedans. » J’avoue que je ne
savais
pas du tout si Celse recommandait de faire bouill
itées dans un avenir prochain de leurs plus importants débouchés. Qui
sait
? le magnétisme est peut-être appelé ainsi à révo
u’un résultat de fluides dont la nature est connue, et dont l’homme a
su
se rendre maître ; ainsi de suite. La philosoph
s personnages recommandables par leurs vertus aussi bien que par leur
savoir
, admirent hautement les communications avec les m
de le dédier à l’Académie des sciences morales et politiques. Nous ne
savons
s’il ira à son adresse ; car le titre seul suffir
eu de conversions ; mais, ou nous nous trompons fort, ou les lecteurs
sauront
gré à l’auteur de les avoir ini- liés it un suj
Suspension du corps en l’air pendant un temps considérable. Nous ne
savons
pourquoi l’auteur n’ajoute pas à cette liste : Vu
le langage du professeur, a déclaré qu’U ferait revivre la magie, il
savait
très-bien qu’il employait un mot dangereux, pouva
prétention), elle n’emploie que les facultés humaines desquelles elle
sait
tirer un admirable parti, auxquelles elle donne u
vois exposé à donner des armes pour combattre la vérité ; car, je le
sais
trop, la vérité n’est pas de notre temps, elle fu
élève la voix et cherche à s’imposer, et je ne fais que me tâter pour
savoir
si je prendrai la parole à mon tour. Est-ce nonch
mon esprit? Non, aucune de ces causes n’enchaîne mon intelligence, je
sais
seulement qu’il faut prouver ce qu’on avance, et
le plus curieux de ma narration ; on me pardonnera ou plutôt l’on me
saura
gré d’entrer dans des détails minutieux. On s’a
ui se trouva placé de manière qu’une portion du cadran était visible,
savoir
: de douze heures à trois heures. Après avoir app
r avec de l'urine et du savon, et voulut boire par cuillerées, je 11e
sais
plus à quelle dose, l’horrible composition qui de
r : c’est l’image des objets qui se peignent sur la rétine, et qui ne
sauraient
se peindre ailleurs. Cette objection s’est nature
tion.» (Lettres à une princesse d‘ Allemagne, lettre xxxiv.) « Nous
savons
, dit M. Prévost, de Genève, que, dans l’acte de l
. HÉBERT (de Garnay). 2° ÉLECTRO-BIOLOGIE. Nos lecteurs anciens
savent
ce qu’on entend par cette dénomination (1), mais
ectacle trouveront des tableaux curieux, voire même amusants. « Qui
sait
si les prétendus miracles des anciens thaumaturge
son nom, et, riant le premier de son absence de mémoire, le sujet ne
sait
plus comment il s’appelle. « Enfin, il fait emb
ra cette nécessité de borner le nombre des sujets présentés, quand on
saura
que l'influence augmente au fur et à mesure que l
du théâtre, M. M... nage dans l’espace, bien qu’il ait déclaré ne pas
savoir
nager ; mais le sentiment de la conservation l’em
s opinions superstitieuses de la multitude. a Le lama, par exemple,
sait
trouver des choses dérobées par des voleurs en su
de ce qu’elles éprouvent, 011 conçoit la polémique sur la question de
savoir
si elles ont été poussées par les mains, ou si un
oule de traits verticaux et horizontaux, il méconnaît son œuvre et ne
sait
ce que cela signifie. Remarquons qu’il n’y a poin
le était usitée chez les gymnosophistes de l’Inde, qui sont, comme on
sait
, les prédécesseurs des derviches tourneurs qui ex
iquée de plusieurs somnambules au lieu de personnes éveillées; car on
sait
qu’ils obtiennent des effets magnétiques plus int
résultat. « M. Lafontaine, avec cette puissance magnétique qu’on ne
saurait
lui nier, est parvenu en un mois à rendre à ses n
le docteur, bel homme du reste, au regard profond et fascinateur. Il
savait
quels étaient de ce côté ses chances de succès, e
r. Dans le cours de la conversation, le magistrat exprima le désir de
savoir
par quelle faculté avait été reçu un homme de ce
te, dans la danse des tables et les coups mystérieux. Tout le monde
sait
qu’un phénomène étant donné, en détruisant la cau
pas agir sans calculer les conséquences de ce qu’il entreprend. Je
sais
d’avance que les moyens indiqués ci-dessus n’annu
proie des illusions, des superstitions les plus honteuses, et qui ne
savent
ni observer ni raisonner. Rien de plus imposant q
don pour le faire tourner sons l’imposition de sa propre main. » — De
su
propre main.' Hélas ! c’est précisément ce qui a
as ; il n’y a pas de place pour lui dans ce monde. Les académies, qui
savent
tout et qui comprennent tout, ne sauraient qu’en
ce monde. Les académies, qui savent tout et qui comprennent tout, ne
sauraient
qu’en faire. — Jugez s’il est difficile de crier
vingt, de trente commandements successifs. pied placé devant elle)
savait
que son commandement correspondait au chiffre zér
able de frapper le nombre de coups pensé par lui, et il s’agissait de
savoir
si la personne dont je parle parviendrait à arrêt
s arrêté aux faits qu’aucune complicité volontaire ou involontaire ne
saurait
expliquer, et qui révèlent une loi jusqu’ici inco
on, ni de miracle, ni de magie. Les tables ne devinent rien, et elles
savent
même si peu ce que vous avez dans l’esprit, que s
? personne 11’en doute. Que nous 11e faisons pas un miracle? nous le
savions
vraiment bien. Que dans une rotation imprimée, le
ue village, parler ouvertement du démon. C’est que nul d’entre eux ne
sait
plus comment peindre cet être mystérieux, et n’a
r faiblesse ; et puisqu’il s’agit du diable, il faut dire ce qu'on en
sait
, et tâcher d’approcher de la vérité. Je l’avoue
ue le confesseur de votre femme, plus que toute la science moderne ne
saurait
vous en apprendre ; vous recouvrerez vos yeux et
ce mon chemin; comme j’ignore l’art de bien dire, j’exprime ce que je
sais
dans un mauvais langage. Qu’importe ! si je souti
arrêtées d’un grand nombre de personnes très-sérieuses et dont 011 ne
saurait
révoquer en doute un seul instant l’entière bonne
voir le mouvement s’effectuer dans un certain sens, incline, sans le
savoir
, la partie supérieure de son corps dans ce sens.
out, à fait en dehors des déterminations volontaires, et auquel on ne
saurait
résister; cet état est caractérisé par une tendan
le, préciser les effets des corps lancés à une grande vitesse ? Et ne
savons
-nous pas que les plaies produites par les project
i ,Te termine cette lettre, car elle est déjà bien longue ; et je 11e
saurais
trop vous remercier de l’extrême bienveillance qu
, elle mérite assurément de fixer l’attention des savants, car nul ne
saurait
prévoir les applications dont elle est susceptibl
rebuter par les obstacles, ce sillon que le hasard nous a montré. Qui
sait
s’il n’y a pas au bout de quoi illustrer toute un
ndre des actes de MM. Tiphaine et Vauturin, dont la responsabilité ne
saurait
remonter jusqu’à elles, pas plus qu’un médecin ne
, prix de la consultation, sont le salaire légitime d’une peine (l’on
sait
la fatigue qu’impose au somnambule l’état magnéti
s encore accusées d’avoir fait croire à un pouvoir imaginaire; mais
sait
-on s’il est réel ou faux? C’est précisément la qu
de M. Arago, c’est une étude sur la vie de Bailly, qui, >:onime on
sait
, fit un Rapport fameux sur le magnétisme. Le Moni
’il n’y a parmi nous personne d’honnête, il se retirerait. Or, chacun
sait
que ses ouvrages sont bourrés d'éloges envers bon
s la volonté suffira pour leur imprimer un caractère spécial, et elle
saura
se faire obéir. Bien plus, que la volonté acqui
r suides hypothèses aventureuses et dénuées de base positive. Nous ne
savons
ce que c’est qu’une âme dégagée de la matière. L’
tats qu’obtenait Puységur à l’aide des arbres magnétisés, et nous 11e
savons
pourquoi on n’aurait pas actuellement recours à u
action musculaire, faire mouvoir la table suivant sa volonté. Quant à
savoir
ensuite si c’est par sa volonté seule, c’est l’af
e mystère; car si gracieuse et si jolie que vous soyez, madame, je ne
saurais
croire que le soleil soit assez galant pour desce
pas » ; car je sentais (pie la chose était impossible, absurde; je ne
sais
pas vraiment comment on peut s’appliquer à inculq
pendante de la volonté de l’individu, et celui-ci, par conséquent, ne
saurait
être, sans une brutale iniquité, fait responsable
s sont loin d’être aptes à la manifestation de ce phénomène. « Nous
savons
que M. Xiffre a des secrets bien plus merveilleux
mante ingénue Craignit-elle qu’absente un amant la pleurât? Nul n’a
su
son secret!.....— Telle la sombre nue, Éclatant
mille fluides différents qui font et feront toujours par leur nature
sut
generis le désespoir de la chimie, cette puissanc
monde. Son équipage ne s’inquiète point des vents et des tempêtes, il
sait
que, dans les flancs de cette maison flottante, u
la vie, ce que c’est que le sommeil; interrogez-le sur la mort. 11 ne
saura
que répondre. Mais on ne peut en ce monde, et sur
an n’est point un mot vide de sens ; Dieu apparaît partout, et nul ne
saurait
le comprendre. Et comme rien ne se fait sans être
fait sans être incité par Dieu ou par Satan, les esprits clairvoyants
sauront
bientôt reconnaître qui de l’un ou de l’autre est
nifesté des intentions de suicide et que la somme d’argent dont on le
savait
porteur se retrouvait dans ses vêtements, on dut
me, et qui ont cru tout de suite qu'une table peut marcher, entendre,
savoir
, compter, parce que trois, cinq, sept ou neuf per
me est dans une position fausse, anormale, s’il erre sans asile, sans
savoir
où poser sa tête, ce n’est pas son livre qui l’ai
Baragnon, du moment que des esprits se communiquent, ils doivent tout
savoir
, nous révéler tout, et faire toute notre besogne.
t où les cas de mort par le chloroforme semblent se multiplier, on ne
saurait
trop faire connaître à nos chirurgiens des faits
n’en pouvait avoir connaissance; sur la question que je lui posai, à
savoir
depuis quel jour j’avais écrit à la personne à la
distance, même télégraphiquement. Dans mon dernier voyage, je lui fis
savoir
de Mannheim le jour de mon arrivée; elle le sut d
voyage, je lui fis savoir de Mannheim le jour de mon arrivée; elle le
sut
dans l’instant même, comme je pus le vérifier à m
a meilleure foi du inonde. C’est une tendance contre laquelle 011 11e
saurait
assez se prémunir. Mais toutes ces interprétati
anche, a quelque chose de surnaturel et de divin. Pour les gens qui
sauront
me comprendre, ceux qui sont en communion de pens
limites de l’existence humaine : aussi le magnétise ne peu/ rien plus
savoir
que l'homme ne peut savoir, rien plus savoir que
ine : aussi le magnétise ne peu/ rien plus savoir que l'homme ne peut
savoir
, rien plus savoir que le magnétiseur ou le somnam
nétise ne peu/ rien plus savoir que l'homme ne peut savoir, rien plus
savoir
que le magnétiseur ou le somnambule n’ont pu voul
chiez à ouvrir leurs yeux à la lumière ; mais, comme un seigneur (jui
sait
vivre, vous ne heurtiez pas trop l’incrédulité pe
, à tous ceux même qui, ne doutant point de votre probité et de votre
savoir
, vous prenaieni cependant pour un esprit crédule.
fallait attaquer, démasquer tous les savants de mauvaise foi ; votre
savoir
était égal au leur, et vous aviez en main un agen
i semblait me dire : Va, va, tu n’es pas au bout de tes peines : j’en
sais
plus long que toi ! 26. Pendant cette séance,
ue : des convulsions apparurent si terribles qu’aucune description ne
saurait
les rendre, des cris, des hurle-lements à briser
it. Conservez vos doutes, mon brave homme, et si vous êtes médecin,
sachez
d'abord mieux employer vos drogues ; car, ici, vo
sprit fort, cette jeune fdle était hystérique ou convulsionnaire ; on
sait
ce que c’est que cela, nous en a\ons vu bien d’au
demain, s’est trouvé exact. — Croyez-vous au magnétisme ? — Je ne
sais
pas ce que c’est. — S’échappe-t-il quelque chos
reposé doucement. Nous avons essayé les deux manières (I), et j’ai
su
tenir mon sérieux, quand on a dit, en regardant m
façon de Sganarelle, et des somnambules médecins dont la capacité ne
saurait
être vérifiée et peut faire du mal. « Mais la p
prement dits? Le Dictionnaire de I"Académie nous répond : « Celui qui
sait
la « structure du corps humain, ses maladies et s
rait rien dans cette séance qui put blesser aucune susceptibilité; je
saurais
la rendre intéressante, et même émouvante, de man
des phénomènes touchant au surnaturel, faits que nul autre que moi ne
saurait
produire aujourd’hui. Si je n’ai pu ajouter cette
sent les bestiaux et dans lesquels ils paissent sont ouverts, il faut
savoir
suivre les traces d’un animal et les distinguer a
r suivre les traces d’un animal et les distinguer au milieu de mille,
savoir
s’il va doucement ou vite, seul ou attelé, chargé
ce j’aurais deviné comme lui et avec moins d’hésitation. Par exemple,
savoir
mon-adresse, le moindre hasard ou la moindre ques
qu’il ordonnait contre tous ceux dont le nom commençait par Théod. Et
savez
-vous pourquoi ? Parce qu’un magicien avait déclar
s tournaient au quatrième siècle ? Ai-je tort quand je dis : Nil novi
su
!/ sole? Nous reparlerons au reste de toutes ces
e demander compte à M. Nisard. de ce délit de lèse original. Mais qui
sait
? l’honorable académicien est peut-être de ceux do
disputes sans fin. Plus on produira de merveilles et moins la soif de
savoir
sera satisfaite. Que d’intelligences vont faillir
l’homme qu’il faut, suivant saint Augustin, soigneusement distinguer,
savoir
est : entendre, croire et opiner. « Celui-là en
ertaines. « Celui-là opine qui se persuade ou plutôt qui présume de
savoir
ce qu’il ne sait pas. u Or, ceci est une chose
-là opine qui se persuade ou plutôt qui présume de savoir ce qu’il ne
sait
pas. u Or, ceci est une chose honteuse et indig
e celui-là n’est plus en état d’apprendre, qui s’est déjà persuadé de
savoir
ce qu’il ignore; et la seconde, pour ce que la pr
pprocha; Surlc front il la toucha De sa griffe ensorcelée ; On ne
sait
ce qu’il lui di», Mais la morte répondit. Au
je ferme leurs rideaux ; • Et, s’il faut qu’on vous éloigne, « On
saura
vous empêcher « De jamais les approcher. » «
e Dieu, est l’oubli des hommes. La justice de Dieu s’exerce et nul ne
sait
comment. J^e souverain des hommes poursuit ù trav
nera t elle reconnaître l'utilité du magnétisme? Allons donc! elle ne
saurait
l'expliquer, et la docte assemblée u'accepte qu
ct physique et moral, et dans des termes qui attestent que l’écrivain
sait
apprécier la portée de cette science naissante.
lui des forces et des connaissances nouvelles et certaines?. . Qui le
sait
? Jusqu'alors puisse chacun n'y toucher qu'avec cr
t les plus tranchés peuvent être rangés en quatre groupes principaux,
savoir
: Premier groupe. — Chaleur ou froid des membre
goût de rhum, elle dit, en la goûtant du bout des lèvres : « Je ne
sais
ce que « c’est, mais ça grise, et je n’en veux pa
n était composée o en majeure partie de ces hommes qui croient tout «
savoir
et ont inlérêt à ce que la science reste dans « u
qui* « lors du projet de loi à la Chambre il y aura des « hommes qui
sauront
leur dire que l’anatomie pa-« thologique, malgré
humeurs,etc., je suis convaincu qu’ils « me répondraient : Nous n’en
savons
rien; tandis « qu’un somnambule magnétique lucide
é était sans puissance, quoique exprimée énergiquement. Ce médecin ne
savait
pas vouloir. Je n’eusbesoin que de l'aire obéir l
Dieu des bonnes gens. Vrai philanlhrope, utile ami des hommes, Il
sait
guérir des maux désespérés; Vrai philosophe, il
éfinissable et une grande faiblesse. Elle me pria de l’endormir, pour
savoir
ce qu’elle aurait. Aussitôt qu’elle fut dans le s
me dit : « Je « veux encore prendre quinze gouttes de laudanum. « Je
sais
fort bien qu’il y a deux grains d’opium, mais « j
. « Faites comme vous en avez l’habitude. La matrice, c vous devez le
savoir
, vaut bien un magnétiseur; « elle neutralise chez
Lorsque le magnétisme sera plus généralement connu, plus étudié, on
saura
que nous connaissions bien toutes les conditions
ndrait à lui être conseillée par les médecins qui l’ont visitée. On
sait
, à La Perrière, que je m’intéresse à cette jeune
. On se livre en même temps à un luxe inouï de petites mesures : nous
savons
, par exemple, aujourd'hui, que l'eau n’est plus i
ècles seuls formaient, d’avoir ingénieusement doré du cuivre; mais en
sait
-on mieux pourquoi et comment un morceau de résiné
courber devant l’explication admise. Mieux vaudrait dire que l’on ne
sait
rien et chercher toujours. Quelque Æpinus moderne
uban de fil ont été lancés, sans que le cordon fût brisé ni qu’on pût
savoir
comment il a été dénoué. Ce fait, le plus incro
deux médecins, émus de l’acuité des reproches à eux adressés, firent
savoir
qu’ils con-seniaieni à voir. L’expérience eut lie
plus marqué sur du carreau à l’encaustique. Ces messieurs n'osèrent
su
prononcer, m:iis leur son-rire annonçait assez le
ité, lancent le sarcasme sur ceux qui l’attestent sans crainte ! Ne
savons
-nous pas qu’il en fût et qu’il en sera toujours a
n nous des doutes et des désirs, ijuelles que soient les garanties de
savoir
et de moralité offertes par les observateurs : le
ement. II n'en fut pus de même pour celui du côté gauche , je n’ai pu
savoir
son origine, partunt sa durée. Tandis qu’elle c
ne touchassent pas le sol, qu’ils reposassent sur du verre. Restait à
savoir
si le corps humain, bon conducteur de l’électrici
ns; ils reconnurent l’exactitude des observations de M. de Farémont,à
savoir
: que les parquets, les tapis annihilent en parti
e leur faire du bien. Faites-le, ce bien, d’abord par curiosité, pour
savoir
si vous pouvez le faire. Vous vous arrêterez ensu
us n’avez pas seulement de l’esprit, mais un cœur qui comprend et qui
sait
compatir aux souffrances d’autrui. Je vous ai d
J’avais tort sans doute, il faut à nu savant des délassements, et je
sais
trop bien vivre pour insister et faire laire des
t encore... Le temps a fait justice, direz-vous ; sans doute, nous le
savons
, personne au~ jourd’hui n’oserait nier ce phénomè
• une diarrhée continue; j’urinais avec difficulté, en « un mot je ne
savais
que devenir. J’endurais toutes les • souffrance
le, un malheur, mais elle ne pourrait que. dans quelques jours encore
savoir
quelle serait la nature de ce malheur. Enfin, l
aquelle je me ferai beaucoup de mal ; mais je n’en mourrai pas. Je ne
saurais
dire ce qui me fera tomber; mais cet accident est
au besoin les faire attester par des personnes dont le témoignage ne
saurait
paraître douteux. J’ai l’honneur d’être, Monsie
s lecteurs d écrits sur le magnétisme. Il suffit, pour beaucoup, de
savoir
magnétiser et endormir; ils bornent ordinairement
tretient de la maladie des pommes de terre. Le dernier des paysans en
sait
autant là-dessus, j’allais dire plus, que nos gra
, afin de s’assurer par eux-mêmes de la réalité d’une vérité qu’on ne
saurait
assez proclamer pour le bonheur du genre humain,
vrai qu’il me restait encore dans l’esprit un certain vague que je ne
saurais
définir, et qui ne laissait pas que de me tourmen
la combattent, et de leur ôter le masque qui cache leur hypocrisie.
Sachez
-le, Messieurs, les grands génies sont condamnés à
c à Mesmer, Messieurs, pour qu’il mérite ainsi nos hommages ? Vous le
savez
en partie. Je dis en partie, car sa découverte do
t s’en séparer. La vue à distance, la prévision existent lorsque l’on
sait
isoler cet esprit de son enveloppe. Mais, Messi
is l’ignorance d’immoler de nouvelles victimes humaines. Car, vous le
savez
, Messieurs, notre terre fut rougie par le sang hu
aître la vérité: endormez-les; ils vous diront leurs méfaits, si vous
savez
les interrroger. Voici un exemple qui s’est pré
ne demandait pas mieux que d’êlro mis à l’é-prenve. « 11 fant qu’on
sache
que, depuis dix-nenf ans, nous avons presque part
rié M. l’abbé d’examiner les lieux; et, sans le prévenir de ce que je
savais
, je lui ai demandé s’il pourrait indiquer une sou
profonde. » «Ma foi, sa spécialité commença à lui être acquise. Je
savais
où passait le conduit menant l’eau de la source à
le magnétisme lui-môme. Assez de préambule, venons nu fait. Vous le
savez
, lecteurs, un congrès monstre a eu lieu dernièrem
’avenir vous, moi, tous, nous passions entre les mains do gens qui ne
savent
ni se gouverner ni se guérir eux-mêmes. Qu’en dit
lupide qui fait la guerre à toute innovation, et la mauvaise foi, qui
sait
pourtant, mais qui ne veut point avouer? Que Di
renverser tout l’édiQce médical avec l’arme du ridicule ou du mépris.
Savez
-vous combien elle possède de spécifiques? plus de
rtée à attribuer la guérison aux moyens qu’elle a mis en usage; mais,
sachez
-le bien, la maladie suit le plus habituellement s
lée ce n’est qu’une pauvre femme ignorante, souvent grossière, qui ne
sait
même pas le nom d’un médicament, tandis que penda
res, vous dirigez contre eux du camphre en poudre, de sorte qu’ils ne
sauraient
échapper à une complète destruction. « Nous avo
e charlatan éludera toujours vos prescriptions les plus sages, car il
sait
que le malade a besoin d’être trompé. Oui, Messie
pourtant pas trop de compte du résultat de la mèche de cheveux; nous
savons
par expérience que l’on ment à l'Académie; nous e
xpériences bien autrement merveilleuses. Un des assistants, dont je
sais
le nom, avait apporté une mèche des cheveux d’nne
me reçut avec sa bonté ordinaire et cette humeur enjouée qu’il avait
su
conserver au milieu de ses connaissances si varié
ans médecine même, on peut guérir une névralgie sciatique dès qu’on
sait
magnétiser. E. Leger. Paris, 3 avril 1846.
ait pru-« dent do ne pas les faire connaître à vos lecteurs, « qui ne
sauraient
les admettre. » Les faits qui nous sont communi
tait allé avec ma portière consulter plusieurs somnambules, tant pour
savoir
par qui le vol avait été fait que pour savoir le
somnambules, tant pour savoir par qui le vol avait été fait que pour
savoir
le sort de mes bijoux. Arthur m’a dépeint avec la
logues, dit que ces substances sont la coriandre et Y encens. Reste à
savoir
si celte traduction est exacte; en tout cas, ça n
portât un sabre avec fourreau de ce métal. « De retour au Caire, je
sus
qu’on parlait déjà de ma science, et un matin, à
actéristiques produits sur les corps magnétiques à la manière du fer,
savoir
: la position axiale prise par une portion allo
ttant d’examiner les phénomènes magnétiques sous une forme nouvelle,à
savoir
, comme existant dans les milieux dont les corps,
e, mais aussi sous le rapport pratique. Un progrès si considérable no
saurait
s’accomplir sans apporter quelque bienfait physiq
a pris sans hésiter les deux autres objets, tandis qu elle n'a jamais
su
reconnaître le lorgnon parmi les doigts de son pr
utes dans les détails que nous venons de donner et dont l’omission ne
saurait
nuire à notre compte-rendu. Nous ajouterons seule
t au ciel des actions do grâce pour lui avoir échappé! C’est dommage,
savez
-vous, de venir faire concurrence à cette brillant
à ce qu’il m’a souvent dit, et à voir dos choses extraordinaires et à
savoir
l’avenir. La Scry avait une petite fille chez ell
, qui prétendit faire voir dans un verre d’eau tout cc qu’on voudrait
savoir
. Il demanda quelqu’un de jeune et d’innocent pour
t cette jeune fille s’y trouva propre. Ils s’amusèrent donc à vouloir
savoir
ce qui se passait alors même dans des lieux éloig
me lapetite lille l’avait dit, comme le valet qui y avait été d?abord
Savait
rapporté a l’oreille de M. le duc. « Il ne me p
l’obscurité. « Cette curiosité achevée, M. le duc d’Orléans voulut
savoir
ce qu’il deviendrait. Alors, ce ne fut plus dans
ours d’un fleuve, l'opposition systématique à une science nouvelle ne
saurait
que suspendre son développement pour en doubler l
er tous les partisans du magnétisme à concourir à une bonne œuvre. Il
savait
qu’un médecin, vieux et infirme, ancien ami et co
onnaise : le premier contre M. Lanrdnt, qu’ii traite de charlatan, et
su
somnambule, qu’il accuse de jonglerie;, le second
de nous. Peut-on expliquer les effets du haschich et de la belladone?
Savons
-nous comment l'opium produit le sommeil ? Les phé
t, sans orgueil, mais avec courage, un re-t vers aussi cruel ; car il
saura
que, s’il est beaucoup * de circonstances où le
seurs continueront cc que vous aurez commencé et la postérité vous en
saura
gré. « Orateurs ! prêtez-nous l’éloquence de vo
er les plaies physiques et morales qui pèsent sur l’humanité, et vous
savez
, hélas! combien leur science est impuissante pour
ire où est celui à qui appartient ce portefeuille? » Il est bon qu'on
sache
que pas un mot touchant cette tragique histoire n
ge. Cela, quoique singulier, n’était pas satisfaisant. On voulut en
savoir
davantage, et on se décida a endormir une autre f
ttitude que prend ce journal à notre égard est un fait grave ; chacun
sait
que la Quotidienne, d’ailleurs si lente à porter
tiseur ne fait point de gestes, mais il suit des yeux la rebelle ; il
sait
que dans un instant elle va chanceler, quelle que
nailre. « Dormez, dormez ! dit-il mentalement cette fois. — Je no
sais
par quel pouvoir vous enchaînez mes pas et me tro
ngage par l’usage ne calment point notre esprit. Nous voyons qu’il ne
sait
rien, qu’il attend comme nous, comme nos amis, qu
elle approche; pourvu que cet homme ait un cœur compatissant et qu’il
sache
ou devine par instinct ce que tuMui demandes, cel
nde vérité. Il faut bien du temps pour guérir les hommes de leur faux
savoir
, il est plus facile de les guérir de leurs maladi
rendra compte de ses œuvres; il faudra qu’il s’explique sur ce qu’il
sait
ou croit savoir ; son silence ne sera plus permis
de ses œuvres; il faudra qu’il s’explique sur ce qu’il sait ou croit
savoir
; son silence ne sera plus permis. Une vérité bri
ses bienfaits, soit connu de tous? ne faut-il pas enfin que le inonde
sache
ce qu’il en doit attendre, et tous les phénomènes
prêtre, mage, c’est-à-dire homme élevé en dignité de puissance et de
savoir
. Il est aussi père de ftôyoç, magus; fiéyctç, via
un pas pour le prendre dans ses pattes et se met à rugir. « Tu ne «
saurais
m’effrayer, dit la mère, qui se campe bra-« vemen
e le Bureau de bienfaisance de Paris lui avait fait délivrer; et nous
savons
tous qu’il faut que l’état soit grave pour que ce
comme pour le choléra; car on dit, je n’ose le croire, que vous n’en
savez
sur ce sujet pas plus que le premier jour. C’est
une raison pour leur accorder d’étre les arbitres du magnétisme. Nous
savons
trop à quelles passions obéissent les hommes sépa
sses, celui-ci pour le guérir, cet autre pour veiller sur son âme? Ne
saura-t
-il donc jamais qu'il n’appartient qu’à lui île pr
, utile, féconde, Quiconque veut se faire apôtre dans le monde Doit
savoir
en être martyr ! Paris, 1 juin 1848. A.......
aussi complet que possible, que l’auteur ne cache rien : on dit qu’il
sait
beaucoup de choses.... nous le verrons bien; 2°
cation, n’y eussent été enseignés Nous espérons que nos lecteurs nous
sauront
gré de cette publication ; nous n’avons pas besoi
ions ne montre l’homme tel qu’il est par la nature. On n’a donc pas
su
jusqu’ici ce qu’on devait entendre précisément pa
reuvages jamais n’élèvent la voix ; comme les muets du sérail, ils ne
savent
qu’obéir. LE MALADE. Vous n’entendez donc poi
tends de la nature quelle te débarrasse de ta maladie, car elle seule
sait
et connaît; le reste n est que mensonge et vanité
opique des sourciers, sans doute parce qu eux, en fait de sources, ne
savent
trouver que celles de la richesse et des honneurs
les superfétations, M. Gérardin a dit à 1 Académie : « Tout le monde
sait
cela, les enfants des nègres ne naissent • pas
ses exercices et nous pouvons en toute connaissance témoigner de son
savoir
. Il prend un poulain sauvage indompté, sortant de
inct, et le philosophe systématique souvent malgré soi. Tout le monde
sait
cela, mais n’en tient pas toujours compte. C’est
à un lil un barreau de fer doux et non aimanté, l’aiguille, comme on
sait
, ne sera pas sensiblement déviée; mais si le barr
it rien, son maître frappait dessus à grands coups de verges; et pour
savoir
si elle était morte, on lui fit mettre le feu aux
ne température et disposition non accoutumée aux « âmes, qui ouvre ne
sais
quels pertuis où il y a force « imagination de l’
u sur une chape. « Parluitemenljuste, mon cher comte, mais, vous le
savez
aussi, à peu près incalculable, comme l’avouent l
co de celui qui attend le résultat de l’équilibre rompu, le repos? Ne
sait
-on pas qu’une balance bien faite oscille jusqu’à
roues de nos émouleurs, comme les ailes d’un moulin à vent. « (Vous
savez
, mon cher comte, qu’abandonnée ù elle-même, cette
’action du calorique, dont la transmission par l’air n’est pas, on le
sait
, bien rapide. Mais non content de cette preuve, V
fausseté de chacun d’eux, nous serons obligés de dire, ce que chacun
sait
, que celui du grand réformateur est tombé lui-mêm
de faits dont les biographes ne font nulle mention. Nous tâcherons de
savoir
la source où ils ont été puisés et quelle créance
de mourir, il reçoit une dernière lettre de madame Desmoulins, «/e me
sut
«-prenais à regarder le porteur de ta lettre., rép
gé son adversaire. Le néophyte chrétien, effrayé de ce cri dont il ne
sait
pas la cause, écarte son manteau, lève la tête et
é placée sous un bras contracturé (cata-leptisé), dans l’intention de
savoir
si ce membre était encore sensible à 1 action du
. L’auteur de l’ouvrage que nous signalons mérite nos éloges, et on
sait
que nous n’en sommes point prodigues, parce qu’il
il se mêlait à mes inquiétudes une sorte de plaisir étrange queje ne
saurais
décrire, et dont le souvenir m’émeut encore. »
e phénomène était purement intellectuel ; l’accès de fièvre se pas-
sait
dans l’esprit du malade; le contact humain avait
pulsion matérielle. Quant à l’épidémie de Saint-Médard, tout le monde
sait
qu’elle prit naissance autour du tombeau du diacr
ar leurs espérances, contre le niveau social de l'homme actuel qui ne
sait
pas plus ce qu’elles ont été que ce qu’elles sero
ilosophe disant: Que sais-je'/ et de cet autre proclamant: Ce que je.
sais
, c’est que je ne sais rien. Les doctes Facultés o
ais-je'/ et de cet autre proclamant: Ce que je. sais, c’est que je ne
sais
rien. Les doctes Facultés où l’on vend la science
out d’uno heure; mais pendant ce court espace de temps, M. du Potet a
su
convaincre et captiver ses auditeurs. Nous pouvon
endemain à l’Athénée central. Poussé par la curiosité et par ce je ne
sais
quoi qui s’attache à ce que l’on regarde comme me
ai cessé do m’en occu-por. Les incrédules peuvent rire et nier; je ne
saurais
le trouver mauvais; car j’ai, comme eux, beaucoup
risation du fluide électrique est connue de tout 1c inonde, et chacun
sait
que c’est d’elle seule que découlent la plupart d
’elle seule que découlent la plupart dos phénomènes électriques. On
sait
aussi qu’il suffit de mettre en contact deux méta
le moment redouté. Arrête!... m’écriai-je, arrête! Mort cruelle!!! Je
sus
d ton empire un apprenti soutien; A me prendre
aquelle on lit : A LA GLOIRE DE MESMER. Il serait très-curieux de
savoir
par qui et quand ce monument a été élevé. Sans do
santé , et attribuait la durée de sa vie à l’action magnétique qu’il
savait
exercer sur lui-même. Vers la fin de sa longue ca
it. Quelle science pour produire ces merveilles ! Chacun de nous ne
sait
-il pas qu’il y a quelque chose de magique dans la
estions au nombre desquelles figurait le magnétisme. Il s’agissait de
savoir
: 1° Si tin homœopaihe peut employer le magnétisme
de le venir trouver, s’adressant à son ange gardien pour le lui faire
savoir
, sans prononcer une parole; et environ une heure
, s’était chargée de son mal. « Nicolas Lecourt dépose que, voulant
savoir
s’il était vrai qu’elle sût et connût ce qu’on lu
« Nicolas Lecourt dépose que, voulant savoir s’il était vrai qu’elle
sût
et connût ce qu’on lui disait in mente, il lui
me « psaume est rlit ; et à la fin : Marie, vêpres sont dites.» Il ne
sait
s'il prononça ces paroles ou s’il ne (it que pens
t de celte procédure, il est encore dit que ladite demoiselle Cadière
savait
le secret des consciences, et qu’elle devinait ce
du lendemain. « Dans la vessie, une partie du sable qui en garnis-«
sait
les parois intérieures s’est détachée par pla-« q
rise devait être soutenue, et il vous a fallu l’arrêter. Ah ! l’on ne
sait
pas toute la fâcheuse influence d’une contrariété
ence de ce dernier genre, qui, si elle a été obtenue, n’a pas, que je
sache
, été publiée, J’avais plusieurs fois rendu invi
nt il pourra s’avouer le fondateur et le maître, existera à Lyon. »
Sachez
-le bien, messieurs, les impressions du moment s’e
tre souffrant est bien plus propre à rendre la santé que celui qui ne
sait
combattre la maladie que par l’emploi de matières
outien dti magnétisme, on et compatissant aux maux du genre humain,
su
calmer, guérir;en imposant la main, animer le mou
eur qui l’enflamme... h! qu'on doit admirer sa noble mission, oui son
savoir
devient noire possession, nsemble ici portons plu
j’ai produits devant vous. Sans doute vous avez reconnu que celui qui
sait
vraiment n’a pas besoin de grands déploiements de
e, leur masque de plomb, leur triple mouchoir, leur jeu de cartes,que
sais
-je? avec leur ignorance, assez osés qu’ils sont p
e.» J étais véritablement assez embarrassé au milieu de gens qui ne
savaient
peut-être que penser de moi et des reproches que
it, je questionnai le lendemain ma somnambule on état magnétique pour
savoir
s’il se renouvelcrait, et ce qu’il fallait faire
n iuture m « sera parfaite, définitive, immortelle. — Mais nous '
savons
comment s’accomplit la métamorphose du « ver; nou
.i»ire» .»«' 1» « «»« » «. !•«•«»**•• «. 1*.......... putilifiuc «
SU
Yraitce, par IVA. Me»mei. g 4t — Éducation. D
élude«. quo los montagnes, les rivières, la mer, etc., et à diriger
su
contemplation vers les phénomènes de la nature, c
de se former. Il ne faudra donc, en aucune façon, se mêler de ses es
sais
et de ses recherches par une instruction prématur
amais d’une liberté sans bornes, il en est ainsi de l’égalité, qui ne
saurait
être parfaite dans tous les cas et dans toutes le
ne serait plus apte à parler magnétisme que M. Couturier, car il n’en
sait
pas le premier mot. « Et d’abord, constatons qu
on ne croyait pas la chose possible, car les académiciens mômes n’en
savaient
pas autant. Cependant le conseil général décida q
personne ne perdait son temps à s’adresser à lui. Mais à Paris on ne
savait
môme pas s’il existait. Et aujourd’hui, est-ce qu
ui, est-ce que le gouvernement, est-ce que l’Académie des Sciences le
savent
? Or, cependant, voici ce qu’il a fait depuis 1827
si grande richesse ! Mais M. Paramelle n’avait pas (l’argent à n’en
savoir
quo faire; de plus, il n’était pas ingénieur du g
-il, plus de trois mois sur le terrain à des hommes dégrossis pour en
savoir
autant que lui. Mais est-il possible a un simple
telle institution en présence d’un corps enseignant qui prétend tout
savoir
, et qui cependant ne sait pas tout ! « Si nos s
ce d’un corps enseignant qui prétend tout savoir, et qui cependant ne
sait
pas tout ! « Si nos savants ne soupiraient qu’a
affaire à un émissaire de la propagande. » Mais elle ne tarda pas à
savoir
toute la vérité, et elle s’assura de la personne
ns tout différents de ceux qu’emploie la médecine actuelle. Déjà vous
saviez
qu’il existait un agent puissant dont le foyer es
laisse apercevoir sa lumière que dans certains moments,et personne ne
savait
les distinguer. Malgré tout, les somnambules se m
oire, au prix que vous y mettez, conviendrait ¿beaucoup de gens. Mais
sachez
donc que le chemin de la gloire est glissant, mon
, connu par son lait, écrivit pour vous, puis contre vous. Vous ne le
saviez
pas alors si facile à changer de langage; vous ig
, Prudence, Virginie, etc., etc., qui lisent couramment, comme chacun
sait
, les yeux fermés, n’étaient pas assez fous pour r
mier qui soulève celte question devant l’Académie, et nous devons lui
savoir
gré de sa tentative; car elle est courageuse, eu
he plus d’une vérité philosophique. Cependant jusqu’ici ces forces ne
sauraient
représenter toutes celles que la vie utilise. La
rd’hui des hommes sans science, sans éludes médicales, produisent, au
su
de tous, la guérison de maux incurables pour eux.
mnambule qui l’a soignée, elle ne la connaît pas, et la somnambule ne
sait
qu’elle l’a traitée que lorsqu’elle est dans l’ét
humaine pour vous lancer dans le monde des esprits. Tout ce que nous
savons
de ces mystères stupéfiants, c’est que des gens r
soutenir 6 Montpellier. prière. L’influence de la prière, comme on
sait
, est très-grande ; c’est ce qu’on appelle la méde
’égal des Bouillaud et des Dubois (d’Amiens); nous augurions mieux du
savoir
de ce philosophe. 11 dit : « Buflon, « Condillac,
ne vérité magnifique existe aussi brillante quele soleil; ses yeux ne
sauraient
l’apercevoir. N’est-ce pas là le signe qui caract
déterminations que nous prenons, justifiées par la froide raison ? Ne
savons
-nous pas aussi que des désirs trop prononcés para
nous avons décrits, que chaque être possède et peut émettre lorsqu’il
sait
vouloir; mais une autre plus relevée, qui ne se l
mouvement, relativement aux planètes, a lieu d’orient en occident; on
sait
aussi que toutes les planètes sont douées de ce m
que notre globe obéit à la fois à deux forces qui se font équilibre,
savoir
, la force centripète, qui tend ù attirer vers le
n veut qu’à celle qui git presque morte à ses pieds. Éveillé, il ne
sait
rien, tout est oublié. Des médecins avaient été p
pond : Une douleur enragée de dents. Ali ! mon ami, dii l’autre, je
sais
la meilleure recette du monde con- * tre ce mal-l
qui fut jamais. » A donc Son Excellence lui dit: « Eh ! Gonelle, je
sais
une eliose qui te fer^passer in-« continent la do
, chacun se mcsle de médecine, et il y a peu de gens qui ne pensent y
savoir
beaucoup, voire môme plus que les médecins (I). »
médecine Ils n’auraient point cette franchise, dont on doit leur
savoir
gré, que leur impuissance n’on serait pas moins m
avez fait fausse roule? Vous croyez, dans votre orgueil, que l’on ne
sait
point qui vous êtes, que l’on ne tient aucun comp
t plus lourd, ce surcroît de pesanteur que vous imprimez à l’objet ne
saurait
devenir matériellement le produit d’un fluide qui
encore, on a écrit, que certains sujets, dans l’état somnambulique ,
savent
parler des langues qu’ils ne connaissent pas dans
a main. — Je « vous entends bien, répondit la somnambule, mais «je ne
sais
pas ce que vous voulez dire; vous ne le « savez p
omnambule, mais «je ne sais pas ce que vous voulez dire; vous ne le «
savez
pas vous-même. Tâchez qu’on vous encxpli-« que le
quiert la mémoire dans le somnambulisme magnétique. Du reste, vous lo
savez
, toutes les facultés intellectuelles prennent par
lle causes accidentelles dont l’empire vous échappe, et souvent je ne
sais
quelle malice, viennent s’offrir à vous sous le p
écoule ! Faisons du magnétisme, ne faisons pas de magie blanche ; et
sachons
enfin assigner quelques bornes à celto omnipotenc
-je? cette science, ils la reconnaissent fatale à leurs intérêts; ils
savent
qu’elle veut et doit renverser les hérésies qu’il
« M. le président interroge ensuite le sieur Poulard sur le point de
savoir
si Claudine Jacquand est réellement somnambule.
chez notre sujet surdité verbale? Ceux qui en sont atteints, vous le
savez
, ne sont pas sourds, dans le sens général du term
u langage se rapporte à quatre modes spéciaux de la mémoire du moi, à
savoir
: la mémoire motrice d'articulation, la mémoire mo
ires est représentée en clinique par autant de formes de l'aphasie, à
savoir
: l'aphasie motrice d'articulation. l'agraphie, l
six mois, les crises nerveuses, avec les troubles psychiques que vous
savez
, n'ont pas cessé en quelque sorte de sévir un seu
s derniers temps, pris possession de I hypnotisme, qu'elle seule peut
savoir
appliquer convenablement soit au traitement des m
tes-vous ? a dis-je. — « J'ai dormi, » — a Depuis quand ? » — a Je ne
sais
pas. Depuis ce matin, » — Elle ne peut plus se ra
qu'il devrait voir ou entendre, et ensuite quand il accomplit sans le
savoir
des actes qu'il n'aurait pas consenti à accomplit
igine que dans son développement et dans son mécanisme. Tout le monde
sait
que la passion ne dépend pas de la volonté et ne
s besoin de prendre du haschisch comme faisait Moreau (de Tours) pour
savoir
par nous-mêmes ce qu'est la folie : qui donc peut
gent d'orthopédie mentale se généralise et que les esprits sérieux ne
sauraient
désormais en désintéresser. » Le livre du docte
udes, il eut quelque peine à vaincre le scepticisme allemand. Mais il
sut
gagner peu a peu bien des amis a la cause de l'hy
sives, magistralement décrites par MM. Charcot et Paul Richer (1). On
sait
quelle est la gravité de ces accidents épileptifo
). On sait quelle est la gravité de ces accidents épileptiformes ; on
sait
aussi combien la thérapeutique s"est montrée jusq
manière dont le procédé est appliqué, qu'au procède lui-même. Nous
savons
d'ailleurs qu'un des travers les plus communs de
cin hypnotiseur, il dit textuellement : « Quelques personnes, je le
sais
, prétendent avoir essayé en vain ma méthode : la
Tous ceux qui ont eu l'ennui de vivre dans l'intimité des hystériques
savent
, encore mieux que les médecin-;, jusqu'à quoi poi
rtes de cas: mais j'en ai tenté une qui a pleinement réussi et qui ne
saurait
laisser aucun doute à cet égard. Du 10 au 28 no
cuse de complicité de vol, lui dis-je. , — Je suis innocent. — Vous
saviez
cependant que le cheval et la voiture avaient été
re avaient été volés. — Non, non, reprend-il avec énergie ; je n'en
savais
rien. — Vous le saviez. — Je vous jure que no
Non, non, reprend-il avec énergie ; je n'en savais rien. — Vous le
saviez
. — Je vous jure que non. — Je vous dis que vo
Vous le saviez. — Je vous jure que non. — Je vous dis que vous le
saviez
. — Non, dit-il déjà plus mollement. — Je vous
. — Non, dit-il déjà plus mollement. — Je vous assure que vous le
saviez
: vous le saviez. — Oui, je le savais. — C'est
l déjà plus mollement. — Je vous assure que vous le saviez: vous le
saviez
. — Oui, je le savais. — C'est sûr; vous le sa
— Je vous assure que vous le saviez: vous le saviez. — Oui, je le
savais
. — C'est sûr; vous le saviez? — Je le savais.
saviez: vous le saviez. — Oui, je le savais. — C'est sûr; vous le
saviez
? — Je le savais. Quel cas fallait-il faire de
viez. — Oui, je le savais. — C'est sûr; vous le saviez? — Je le
savais
. Quel cas fallait-il faire de cet aveu ? Aucun.
cun. La preuve, la voici : Je dis de nouveau a L... : — Vous ne
saviez
pas que la voiture avait été volée ? — Si, je l
— Vous ne saviez pas que la voiture avait été volée ? — Si, je le
savais
. L..., en répondant ainsi, est sous l'influence
e, et sa volonté va de nouveau plier sous ma suggestion : — Vous ne
saviez
pas que la voiture avait été volée. — Si, je le
— Vous ne saviez pas que la voiture avait été volée. — Si, je le
savais
. — Non. Je vous dis que vous n'en saviez rien.
t été volée. — Si, je le savais. — Non. Je vous dis que vous n'en
saviez
rien. — Non, je n'en savais lien. Et, en effe
ais. — Non. Je vous dis que vous n'en saviez rien. — Non, je n'en
savais
lien. Et, en effet, en ce moment, L... ne sait
. — Non, je n'en savais lien. Et, en effet, en ce moment, L... ne
sait
plus s'il le savait ou s'il ne le savait pas. Il
savais lien. Et, en effet, en ce moment, L... ne sait plus s'il le
savait
ou s'il ne le savait pas. Il croit ce que je lui
n effet, en ce moment, L... ne sait plus s'il le savait ou s'il ne le
savait
pas. Il croit ce que je lui dis et sa volonté flo
réveillai L... Etait-il coupable ou n'était-il pas coupable? Je n'en
savais
absolument rien. Je tentai une nouvelle expérie
émêler. L'état de nos connaissances actuelles ne nous permet pas de
savoir
si l'hypnotisé obéit à sa conscience ou à la volo
Par le Docteur COLUSEAt' Certains produits toxiques exercent, on le
sait
, sur les centres nerveux une action perturbatrice
ar la condition d'infériorité de leur organisation cérébrale. Elle ne
saurait
être excusable lorsque ces individus savent qu'il
ation cérébrale. Elle ne saurait être excusable lorsque ces individus
savent
qu'ils ne peuvent pas boire sans danger, et ce ca
s, avec son institutrice ; elle se livre a des ouvrages de couture et
sait
enfiler elle-même son aiguille. Je tiens ces déta
ention dans le domaine des faits positifs, les membres du Congrès ont
su
éviter sagement les débats stériles que provoquen
les médecins aliénistes qui s'occupent de thérapeutique suggestive ne
sauraient
se montrer trop prudents ni trop réserves dans le
upe des « invertis » congénitaux. On distingue en effet comme vous le
savez
depuis Kraff-Ebing deux groupes de malades affect
ation plus fréquentes. Il se rit de l'hypnotisme et assure qu'il n'en
saurait
rien résulter de bon. Je combats tranquillement s
re grand physiologiste Claude Bernard qu'il désirait avant de mourir,
savoir
si, pendant un quart de siècle, il ne s'était pas
á une période nouvelle de progrés dans l'étude de l'hypnotisme : Vous
savez
. Messieurs, que M. le professeur Bernheim accorde
ude de l'hypnotisme ont fait, de tous temps, de la suggestion sans le
savoir
. Certes j'applaudis sans réserve au remarquable t
re « la vérité est dans les deux Ecoles de Paris et de Nancy ». On ne
saurait
nier l'action des agents physiques pour produire
uiétisme. Mais quoiqu'on pense, les phénomènes existent, ils sont. On
sait
dans quelles conditions on peut les produire; en
de a se faire des adeptes. Cette formule, les hommes de sciences ne
sauraient
l'adopter, et cela précisément au nom de la liber
l pense donner le change a cet égard. « Il faut, dit-il. que chacun
sache
ce qui en est de l'hypnotisme, quels en sont les
fréquentées de la ville. Au risque de répéter ce que tout le monde
sait
, je dirai donc, qu'outre les accidents nerveux im
ou avec l'hallucination et pour qui son influence toute chimérique ne
saurait
produire aucun changement réel. Pour quiconque
y a là, en effet, une question, qui prime toutes les autres: c'est de
savoir
si l'anthropologie criminelle doit être considéré
jamais vu un procès criminel, jamais un cadavre, une autopsie ; il ne
saura
rien de l'anthropologie et de la sociologie pénal
es. La réalité de ces dernières est en effet indubitable puisque l'on
sait
qu'il existe dans les muscles un appareil nerveux
résentait au plus haut degér les phénomènes de l'audition colorée. On
sait
que ces phénomemes étudies déjà par Nussbaümer. B
r les jeunes chercheurs ne s'est jamais démentie Aussi aucun terme ne
saurait
exprimer la vénération el l'affection que ce maît
it exprimer la vénération el l'affection que ce maître illustre avait
su
inspirer i tous ses élèves. Les études d'anthro
pratique de la Faculté de médecine de Paris (1) Messieurs, Je ne
saurais
mieux commencer cette esquisse a grands traits de
n dans l'état hypnotique sur les vaso-moteurs utéro-ovariens. On ne
saurait
nier l'influence exercée par la pensée à l'état d
lbeuse des ovaires, d'où, dilatation et rupture des capillaires. On
sait
d'ailleurs que les excitations amoureuses prolong
sa santé. M'ayant antérieurement prié de vouloir bien l'examiner, je
savais
parfaitement qu'elle ne présentait aucune lésion
ndre la suggestibilité aussi intense que possible. Mais il importe de
savoir
que les deux phénomènes ne sont pas absolument co
c'est la suggestion. Le sujet s'endort (ou est hypnotisé i, lorsqu'il
sait
qu'il doit dormir, lorsqu'il a une sensation qui
j'obtiens l'effet. Il en est aussi qui tout en se bissant aller, ne
savent
réaliser qu'un engourdissement douteux qui ne les
j'appris bientôt, à l'insu de la malade, (je n'avais pas l'air de le
savoir
) que les crises diminuaient d'intensité et de dur
ontre avec quel tact le dévoué médecin en chef de l'Asile de Vaucluse
sait
remplir sa tâche délicate et combien il a a cœur
dans cet Asile est l'œuvre de l'Assemblée départementale qui, vous le
savez
, n'a jamais marchandé ni set encouragements ni se
nombre de dames, elles font la grâce et le charme de cette fête ; je
sais
qu'elles ne s'intéressent pas seulement à nos tra
pardonnerez cette prédilection a un économiste qu'un tel spectacle ne
saurait
laisser froid. Je ne pouvais m'empêcher, il y a q
Lavater a repris cette étude avec toutes les extravagances que l'on
sait
, et les personnes instruites qui, actuellement, a
ilà donc prévenus : une nouvelle science est en train de naître ; qui
sait
si, au vingtième siècle nous n'aurons pas dans no
» Mais ces cas sont exceptionnels. Le plus souvent, les malades ne
savent
pas se modérer dans l'emploi des médicaments, La
Les pharmaciens voient leurs anciens clients morphinomanes, mais ils
savent
qu'ils ne s'approvisionnent plus chez eux. » Pa
nt sur le livre d'ordonnances, mois encore sur le livre de police. On
sait
que chaque fois que le pharmacien vend une substa
ubstance vénéneuse en gros pour un usage domestique, il doit inscrire
sut
un livre spécial le nom de la substance, la quant
nt et versatile, un protée aux multiples formes. Nul mieux que lui ne
sait
s'accommoder aux circonstances et aux milieux. C'
réflexion, il deviendra vite un instrument de crime aux mains de qui
saura
s'en servir. Messieurs, je ne vous rapporterai
tions. S'il a été endormi par d'autres détenus, jen'en ai jamais rien
su
; mais ce qui est certain c'est que, même à l'eut
tomiques connues, et dont le diagnostic ne peut être mis en doute. Je
sais
, Messieurs, combien le médecin qui fait de l'hypn
pris, contre lequel en reprenant son activité, l'impotent n'avait pas
su
lutter. On voit bien des imposteurs conserver la
s encore eût-il été nécessaire, pour formuler ainsi la suggestion, de
savoir
que les cris étaient imputables à ta peur. Il val
ous dire que ses sujets dormaient, mais il n'a oublié qu'un point : i
savoir
de nous te prouver. Il se contente d'une affirmat
icaux, ou sur l'incoordination de la marche qui ne sont guère, que je
sache
, des phénomènes d'ordre dynamique. Mais que dire
ux poussés A cette aberration extrême, qui est le suicide, mais je ne
sache
pu que jamais personne se soit rencontre qui ait
de guérir. L'impossibilité d'hypnotiser les aliénés était, vous le
savez
, considérée' comme absolue avant mes premières te
de l'étendre à l'aliénation mentale et aux névroses connexes. Je ne
saurais
trop vous encourager à vous engager dans cette vo
e donnée et a cette maladie elle-même prise dans son ensemble. Or. on
sait
que la confusion dans les mots entraîne aisément
t défaut), mais elle offre avec elle deux ressemblances frappantes, à
savoir
: i° existence des mêmes troubles nerveux, moteur
ire et avoir des idées. Au bout de dix lignes, j'étais à court, je ne
savais
que dire, je n'avais rien à écrire, j'étais oblig
rofondément, analgésique Il se réveille en se frottant les yeux et ne
sait
pas combien de temps il a dormi, ni ce qui s'est
d : ? Ah oui ! cet ivrogne! • — » Qu'est-ce qu'il a lait? » — « Je ne
sais
pas exactement ce qui s'est passé! Je dormais et
que le sang a jailli. ». — « Qui est-ce qui a commencé ? » — « Je ne
sais
qui a commencé, puisque je dormais ; je n'ai vu q
cène, celle-ci se représente à l'imagination. Et, comme le sujet n'en
sait
pas l'origine, ne sait pas que c'est un rêve sugg
sente à l'imagination. Et, comme le sujet n'en sait pas l'origine, ne
sait
pas que c'est un rêve suggéré, comme son sommeil
urs à l'hypnotisme, je lui dis que je connaissais ses défauts, que je
savais
ce qu'il faisait et je l'engageais à ne plus reco
xagérer cette influence heureuse ou malheureuse de l'éducation, on ne
saurait
nier l'importance du rôle considérable qu'elle jo
le faire éclore et donner une abondante moisson de bienfaits. « On
sait
, dit le DrA. Bordier, que les cellules cérébrales
l'influence d'une passion ou d'une éducation vicieuse (3). » Je ne
saurais
dire combien de fois on retrouve, au début de l'e
e pleurer et demander à genou un compagnon de cellule. Mais le détenu
sait
parfaitement que. cette douloureuse étape franchi
tat, on peut suggérer a la personne endormie, non-seulement, ce qu'on
savait
déjà, des sensations et des hallucinations, mais,
. Four ceux-là. l'automatisme est absolu : n'étant pas libres, ils ne
sauraient
être responsables. Le Rapport donne ensuite que
ains cas, des crimes ou det délits ont été imputés à des somnambules,
savoir
: i- Affaire D..., prévention d'outrages publics
'est pas la seule qui, en matière d'hypnotisme, présente de l'intérêt
su
point de vue médico-légal. Aussi le rapport appel
RESPONDANCE Les fous et l'hypnotisme Tous les médecins aliénistes
savent
quelle est la tendance des fous à faire porter le
ndes richesses en dormant Aujourd'hui, dans notre impatience, nous ne
savons
plus dormir : nous voulons voir les générations t
er qu'A l'occasion d'influences spéciales, la mémoire prend,-comme on
sait
, une acuité extraordinaire : son développement an
sur la démonstration de la thèse uniquement soutenue par moi, que je
sache
, que tous les individus humains sont hypnotisable
nu. C'est ce qui dépasse notre imagination. Quoiqu'il en soit, nous
savons
qu'on peut avantageusement modifier, par la sugge
zowski). Pas de troubles de la sensibilité générale. Pas de stigmates
sus
et sous-mammaires, iliaques et vertébraux. Palp
uverain, qui se leva alors, disant :« Mon esprit est en repos, car je
sais
que vous vous plaisez avec moi. » Un homme d'un
; mon compagnon en prit trois des plus jeunes ; quant au reste, je ne
sais
cas ce qu'elles sont devenues. » « Les infidèle
avant au plus haut degré le sentiment de la responsabilité, avide de
savoir
et ami de la société des gens instruits, mars dép
seur. Putz a été acquitté, le tribunal ayant admis que la jeune fille
savait
quel pouvoir exerçait l'hypnotiseur, celui-ci aya
i août familières et donne ses ordres comme d'habitude ; mais il ne
sait
plus du tout ni lire ni écrire. Son nom même, le
ne sait plus du tout ni lire ni écrire. Son nom même, le cardinal ne
saurait
l'écrire que d'après une de ses signatures qu'on
et ne résistent pas à des efforts trop longtemps continués; l'une ne
saurait
être fatiguée sans préjudice pour l'autre. « Ains
examiner si cette augmentation est réelle ou fictive, c'est-à-dire, à
savoir
si la maladie fait véritablement plus de victimes
me affectée d'une sensibilité nerveuse anormale. D'autre part, on a
su
qu'à différentes reprises. Gabrielle Bompart avai
r MM. les docteurs Charcot, Dumontpallier, Bérillon, Bernheim. Nous
savons
qu'il ne faut pas s'attendre à trouver dans des i
, interviewé par des rédacteurs de l'Echo de Paris sur la question de
savoir
si l'on ne pourrait trouver dans des suggestions
es, ses larmes et Jusqu'à ses contradictions. Un effet, comme vous le
savez
peut-être, l'hystérie se présente assez souvent c
une certaine mesure, terrorisée par son amant et lui obéir sans trop
savoir
ce qu'elle faisait. Si cela était établi, la resp
'ailleurs l'état de nos connaissances actuelles ne nous permet pas de
savoir
si l'hypnotisé peut résister à la volonté qui le
remplis des images de Boulanger et des louanges de Boulanger. Et vous
savez
qu'aucun raisonnement ne prévalait contre leur ma
j'oserais même dire de premier ordre N'importe-t-il pas, en effet, de
savoir
si l'on doit respecter ou arrêter un phénomène qu
éri. C'en est assez, il me semble, pour justifier ma proposition, à
savoir
que la suggestion, dans bien des cas, est accompa
deux orateurs : l'un nous laisse froid et indifférent, parce qu'il ne
sait
pas nous intéresser : l'autre nous charme et nous
te de l'impression à laquelle vibre tout particulièrement le sujet et
savoir
utiliser son impres-sionnabilité pour diriger la
e, une romance en anglais apprise pendant son enfance et dont elle ne
sait
plus le premier mot une fois revenue â l'état nor
nt d'iniquités en lui-même, s'il est immoral, diabolique, etc.. je ne
sais
plus en vertu de quels arguments .e Dr Guermonpre
. Malheureusement, Puel, comme tant d'autres esprits distingués, ne
sut
pas se garder de certaines idées métaphysiques in
ypnotisme aura pour eux l'attrait du fruit défendu et qu'ils voudront
savoir
à quoi s'en tenir sur cette science à laquelle on
arrêts de rigueur à un médecin militaire dont le seul crime serait de
savoir
mieux son métier qu'un autre ? Nous ne croyons pa
verre et qu'elle fait boire à sa mère. Elle vous obéit parce qu'elle
sait
que c'est une expérience, que c'est vous qui agis
omme auquel vous donnez un couteau de papier pour tuer son voisin. Il
sait
que ce couteau est une arme inoffensive et il l'a
ve et il l'aplatit sans crainte sur la poitrine de son adversaire. Il
sait
que le pistolet qu'il va décharger ne contient pa
de balle. Sa confiance en vous le rend docile à la suggestion. II se
sait
en représentation, il joue de bonne foi la comédi
sans conviction. Ainsi en est-il, parfois.dans le rêve naturel. Nous
savons
que nous rêvons. Ou bien sans le savoir préciséme
is.dans le rêve naturel. Nous savons que nous rêvons. Ou bien sans le
savoir
précisément, nous rêvons d'une façon passive : no
s et de Liège. Maison a eu tort de généraliser. Si beaucoup de sujets
savent
résister aux suggestions désagréables, si d'autre
is qu'il en est parfois ainsi. L'épileptique qui se précipite et tue.
sait
qu'il tue. mais il ne sait pas toujours pourquoi
si. L'épileptique qui se précipite et tue. sait qu'il tue. mais il ne
sait
pas toujours pourquoi il tue. Certains aliénés di
ans quel but? « N'aimez-vous pas votre enfant? » — «Si! je l'aime! Je
sais
que c'est mal. Je n'ai aucune raison pour le tuer
re les oreilles. « Pourquoi faites-vous cela? lui dis-je. » — « Je ne
sais
, répond-elle. C'est une idée. Je ne me rends pas
pour suggérer un crime, il ne le dirait pas, et le suggestionné ne le
saurait
pas. La vérité est que la suggestion joue un rôle
avec assurance dans leur cerveau, alors qu'elles l'acceptent et n'ont
su
se prémunir contre elle, toute idée imposée par s
suggestions de ses instincts, sans volonté, sans initiative, elle ne
sait
pas se conduire : elle est conduite par l'entrain
ait arrivé: qu'elle ajoute ainsi inconsciemment du vrai au faux et ne
sache
plus démêler elle-même la vérité vécue d'avec la
-Marne). Comment a-t-il vécu?où est-il allé? Il l'ignore. Ce qu'il en
sait
, i! l'a appris depuis par des rapports venus de d
objets, déchiré des livres et même des manuscrits de son oncle. Il a
su
, depuis, qu'il avait contracté cinq cents francs
r un; place de Troyes. Qu"a-t-il fait pendant ces deux jours? Il n'en
sait
pas le premier mot. Tout ce qu'il se rappelle,
e rappelle les moindres détails de ses pérégrinations. Eveillé, il ne
sait
ce qu'il a fait du 23 septembre au 15 octobre; en
ériode d'automatisme ambulatoire. Le jugement a été annulé quand on a
su
dans quelles conditions le délit avait été commis
: elle avait tout à fait l'aspect d'une jeune fille naive et sage. Je
savais
, de plus, par le docteur X—, qu'elle appartenait
la toile à sa mère : la jeune fille était présente, fin causant (vous
savez
combien, dans certaines classes de la société l'o
er va trouver la malade. Avec autorité et assurance, il déclare qu'il
sait
tout, donne son hypothèse comme vérité démontrée,
anesthésie qui est absolue ; puis, brusquement, je lui annonce que je
sais
tout et qu'il est inutile de continuer à nous tro
Il ne restait plus, pour connaître l'histoire dans son entier, qu'à
savoir
où la jeune fille avait fait une éducation hypnot
apprentissage hypnotique. Voilà donc une hystérique (l'hystérie ne
saurait
être contestée, en raison des stigmates qu'elle p
ne, ainsi qu'une potion au chloral et au bromure de potassium, car il
savait
que la malade était excessivement nerveuse. Ce
forme l'état 11 en état 1. La malade est tout à fait étonnée, elle ne
sait
pas rien de ses vols, et est surprise de voir aut
as ménagé leurs applaudissements au Dr Dumontpallier qui, comme on le
sait
, a été un des premiers initiateurs à Paris, de la
é en 1859, «t qui restera classique : « Quant aux contractures, je ne
sais
absolument rien y faire. » I! était donc très dif
des expériences que j'entrepris dans le temps; qu'il vous suffise de
savoir
que je ne me déclarai convaincu de la réelle vale
gestion, si la malade était hypnotisable. Depuis longtemps déjà, je
savais
les chances de succès de la méthode de Nancy; je
; il étouffait, criait se plaignait, chantait comme en délire. Je ne
sais
quel diable le possédait. Il est allé ouvrir la
lle aucun indice de maladie mentale : elle est saine d'esprit. —Je la
sais
très suggestible, hypnotisable, hallucinable à l'
de personnes n'ont vu dans ce drame qu'un acte de folie amoureuse. On
sait
combien la passion peut égarer les natures les pl
. le projet était convenu entre eux, la pauvre femme écrivait à je ne
sais
quelle personne de sa famille une lettre calme et
it dominée et fascinée par lui. En sa présence, elle ressentait je ne
sais
quel malaise indéfinissable, une vague terreur. D
: elle ne pouvait résister. Chambige faisait de la suggestion sans le
savoir
: il pouvait croire qu'elle l'aimait de bonne foi
ns le savoir: il pouvait croire qu'elle l'aimait de bonne foi ; il ne
savait
pas que cette folie amoureuse suggestive n'exista
e matin du crime, quand la pauvre victime écrivait sa lettre, elle ne
savait
pas ce qui allait se passer ; son esprit était ca
il disait: Vivante ou consciente, elle n'eût jamais été à lui ! On
sait
avec quelle facilité chez certains sujets se cons
ses malaises à une maladie insolite. Dans le somnambulisme seul, elle
savait
ce qui en était et ne s'inquiétait pas trop de la
alité. Trois semaines après, on le retrouve dans la Haute-Marne: on a
su
qu'il était allé chez un curé qui l'avait trouvé
aux criminalistes, aux philosophes, â tous ceux dont l'esprit libre
sait
se dégager des idées préconçues et qu'anime la se
Amérique, se faire passer pour le père qu'il a assassiné et par je ne
sais
quelle combinaison réaliser la modeste fortune de
pnotiques chez les sujets normaux. En d'autres termes, la question de
savoir
si l'hypnose est un phénomène physiologique, et s
lus violente que de coutume. Poussé maigre lui et malgré le mal qu'il
savait
se faire a lire les jour..aux. il s'abreuvait, en
ncontre qu'à titre purement exceptionnel dans la mélancolie vraie; on
sait
aussi qu'elle est une rareté chez les persécutés
ersonnes ou d'images immanentes à ses conceptions délirantes, et l'on
sait
que beaucoup de dégénérés non délirants possèdent
ter pour les défendre, il n'est pas venu à la séance dans laquelle il
savait
qu'on les discutait. Ensuite il a tenté de se dér
'avoue pas! Si mon rapport avait eu besoin d'une justification, je ne
saurais
assez remercier M. Delbœuf du concours inespéré q
tres des médecins) : «... En fait d'hypnotisme des gens aujourd'hui
savent
tout, qui hier ne savaient rien.,. » (2). El pl
.. En fait d'hypnotisme des gens aujourd'hui savent tout, qui hier ne
savaient
rien.,. » (2). El plus bas, après la citation d
d'une façon générale « ces médécins qui la veille avouaient ne rien
savoir
de l'hypnotisme..., et qui , le lendemain ..., se
dont les intentions sont si pures et si élevées, aurait pu facilement
savoir
la vérité, puisque tous les journaux du temps l'o
médecins de Liège et d'autres villes qui m'ont ameneé leurs clients,
savent
combien peu j'en ai marqué. Je n'en comte certain
-garous qu'il faui avoir soin de brûler vifs. » Nous voudrions bien
savoir
ce que M. le Juge d'instruction pense du conseill
t Mais, en définitive, l'expérience n'avait jamais été faite et on en
saura
gré à l'expérimentateur. Los enfants, ajoute-t-on
de la repoussante saleté de la plupart des cabinets d'aisance, et je
sais
des enfants délicats qui ne fréquentent ces dépot
es concessions. Ce résultat n'a pas été obtenu sans peine, et il faut
savoir
gré à ceux qui ont entamé ci soutenu la lutte, de
it à cette époque, une citation qui vous peindra bien mieux que je ne
saurais
le faire, les prétendus agissements du diable pou
aux le tourment ! En attendant, prenez cette somme d'argent... Je
saurai
mieux, plus tard, arrondir votre bourse. Telle
lorsqu'on lui versait le liquide dans la bouche, elle l'avalait sans
savoir
, sans connaître quel il était. L'odorat était n
anées, momentanément interrompues par l'application de la glace. Je
savais
, depuis deux ans, cette malade accessible à l'act
e fois; mais j'ai eu de ses nouvelles pendant plusieurs années, et je
sais
que l'autogrophisme durait encore trois ans après
, le résultat de la suggestion hypnotique est venu confirmer ce qu'on
sait
de l'efficacité du traitement moral dans certaine
rapporte a l'honneur professionnel dis médecins des hôpitaux. On ne
saurait
confondre les spectacles publics qui ont été donn
. et on verra alors. Mais il n'en est pas encore là. tout le monde le
sait
. Encore une fois, nos hommes ne sont pas des bête
e hystérie jusqu'alors a l'état latent. « Or, l'hystérie — que nous
savons
reconnaître, quoiqu'on en ait dit, — est rare dan
discussion ; mais appliquer l'hypnotisme dans un but thérapeutique ne
saurait
plus passer actuellement pour une expérience. Q
rielle lisait les comptes-rendus des sociétés les plus importantes,il
saurait
que l'Académie des sciences. l'Académie de médeci
, mais quel'étude de cette affection lui est peu familière. Sinon, il
saurait
que toute émotion, tout choc moral ou physique pe
l veut bien exécuter, celle de M. Delbœuf qui prétend que l'hypnotisé
sait
qu'on lui demande de jouer une comédie. M. Liégeo
privilèges. Il s'agit seulement de préparer des homnes qui, par leur
savoir
, puissent venir en aide a l'administration de la
iers symp-tômes de doute ; ayant plusieurs objets dans la main, il ne
savait
lequel poser le premier. Onanisme a quatorze ans,
s quel que soit l'aliment qu'on lui présente pour apaiser sa faim, il
saura
vite oublier ses préférences, dompter ses papille
ndera un peu. il tentera des velléités de régurgitation : mais, si on
sait
lui commander impérieusement, force lui sera bien
ents physiologiques se laissent facilement aborder et guérir pour qui
sait
élargir sa méthode et les considérer par leur fac
ôt la surface toute entière de l'esprit pendant le somnambulisme : il
sait
en effet tout ce que le premier moi oublie et ign
involontaire pour leur donner un canevas sur lequel ils brodent; Dieu
sait
jusqu'où va leur imagination. Si un autre expérim
e précédente ;du 27 Juin), notre savant confrère van Deven-ter a déjà
su
vous donner un aperçu assez complet du sommeil pr
ofesseurs Ewald et Mendel de Berlin (1), d'autant plus que leur vaste
savoir
et leurs connaissances en autres matières font re
matière à discussion de la question soulevée par Luys et Binswanger,
savoir
s'il ya une différence entre l'hypnose provoquée
ibre instable, la coordination psychique est imparfaite, la malade ne
sait
pas vouloir ou sa volonté agit à rebours. Si le m
s pratiques contrebalançant cette objection sont si décidées qu'on ne
saurait
les abandonner pour un raisonnement théorique. Il
voudrait se montrer, l'opérateur prudent s'en apercevrait aussitôt et
saurait
prendre ses mesures. Tantôt il se servirait de la
rables; le succès serait à ce prix seulement. Le docteur Voisin qui a
su
dépenser une somme de travail et de temps inoui p
but, a été plus heureux que M. Forci. Il a obtenu des guérisons ou a
su
améliorer des cas de dipsomanie. de folie morale,
stion hypnotique appliquée deux fois pendant deux jours consécutifs a
su
supprimer les accès pendant deux ans. En 1887, qu
un sourire en secouant la tête, comme si elle voulait dire : « Qu'en
savez
vous? * Elle a fini par être internée dans un a
. Les résultats publies par le docteur Voisin cependant ont forcément
su
modifier notre opinion. Toutefois notre expérie
e chronique avec cécité ; Par ItOUIt\G\'ILI.1; et P71ltitl\. On
sait
que sous le nom d'idiotie on englobe un grand n
de renseignements. De môme pour les grands parents maternels. On ne
sait
s'il y avait des oncles paternels ou maternels.
t, mais sa colère ne dure pas; point de migraines. [Père mort on ne
sait
de quoi. - Mère morte à 63 ans, de la rupture d
r sa mère. Sevrée à 21 mois. Première dent à 14 mois. Impossible de
savoir
à quel âge la dentition, fut complète. D ? comm
te, ne voulait jouer auec personne, restait assise « a penser je ne
sais
à quoi, » dit la mère. Elle courait après les a
uts dans le lit. Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien, elle
sait
lire et écrire. Les sentiments affectifs sont a
L'enfant est tombée hier, étant assise, la face contre terre, on ne
sait
pourquoi. Elle a crié après, s'est débattue, re
a quittée il y a 12 aus 16 CLINIQUE NERVEUSE. et, depuis, on ne
sait
ce qu'il est devenu, s'il est mort ou vivant; p
s toutes très myopes; l'une particulièrement voyait à peine ; on ne
sait
si elles ont eu des enfants. Dans le reste de l
et tantes nombreux et bien portants, ils habitent la Pologne; on ne
sait
si leurs enfants sont atteints d'affections ner
ui que le vulgaire attribue à ce terme. Ainsi, il semble qu'on ne
saurait
qualifier de juste, l'action de manquer sans mo-
nication au congrès de Rennes et d'un voeu présenté par Dide. Je ne
saurais
y ajouter d'arguments bien neufs ; mais comme l
vince ; mais c'est une erreur, il n'y en a qu'à Paris. Et vous ne
savez
pas pourquoi ? Mais, tout simplement parce qu'ils
'' siens qui sont des malades intéressants et difficiles. Eh ! ne
savons
-nous pas que Paris est le centre de tout ce qui e
ien qu'il s'agissait encore là d'une création, et que cela ne lé-
sait
personne ; aujourd'hui, le concours a eu lieu, nu
ment remarquables de ces derniers concours, mon administra- tion ne
saurait
abandonner une pratique que l'expérience a con-
nfil- tration périvasculaire de la paralysie générale. Le proces-
sus
paralytique, au lieu d'être une diapédèse, devien
l'ingestion de quelques grammes de bromure de potassium. Il faut
savoir
toutefois que les attaques d'habitude, comme le
ara- lysie générale syphilitique; laissant de côté la question de
savoir
s'il en existait d'autres, et concluait que c'est
ns de la paralysie générale n'est pas un argument va- lable, car on
sait
aujourd'hui, que la tuberculose peut engendrer
même que l'alcoolisme cc fait le lit » à la tuberculose; mais il ne
saurait
admettre que tous les paralytiques gé- néraux j
égatives de virus syphilitiques chez des pa- ralytiques généraux ne
sauraient
rien prouver, car on a vu des sujets atteints d
to- philie ; par Ch. FÉRÉ.(Journ. de neurologie, 1905, n° 10.) On
sait
que certains sujets de l'un ou de l'autre sexe
vical d'innervation pour les mou- vements de la tête et des yeux ne
saurait
être unique, puis- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 57
Régis de l'oeuvre considérable et à tous égards remarquable qu'il a
su
mener à bonne fin. Depuis la deuxième édition d
de l'inspecteur général président. Elles seront au nom- bre de six.
savoir
: 1° Une question écrite portant sur l'anatomie
Les avancements de classe pourront être accordés par le ministre
savoir
: aux directeurs médecins et médecins en chefs, a
dit pas, c'est que cet aliéné, avant d'être mis dans la rue, on ne
sait
pourquoi, avait lait un long séjour dans ce mêmeh
rapidement progressive ou régres- sive, sont bien connues, et l'on
sait
qu'il n'existe, au dé- but, aucun signe permett
'une femme qui, ans avant son entrée, subit un traumatisme, in-
Su
CLINIQUE NERVEUSE. tense en apparence, de la co
changement, malgré l'amélioration motrice. L'assertion de Gurlt, à
savoir
: que. l'on ne doit plus compter sur une amélio
eignements sur l'état et l'évolution des réflexes ten- dineux. Nous
savons
qu'au début, immédiatement après l'accident et
aurait été du plus haut intérêt, au point de vue de la théorie, de
savoir
comment se sont comportés les réflexes pendant
infirmerait la théorie que nous avons soutenue dans notre thèse, à
savoir
: que l'abolition permanente des réllexes au co
ÉCUTIVES A UN 1;1'SI'li. 83 symphyse des méninges fait, comme on le
sait
, que le liquide cérébro-spinal ne contient pas
- Nous manquons de renseignements sur la famille de la malade, nous
savons
seulement que le père, voyageur de commerce, br
petit commerce de corsets ; elle a également disparu sans que nous
sachions
ce qu'elle est devenue. Il n'existait pas de co
sibles. Elle n'a cependant aucune instruction même rudimentaire, ne
sait
lire ni écrire et ne connait aucune des lettres
occupe actuellement dans le monde la position qui lui est due. On
sait
aujourd'hui que le traitement doit être appro-
trains én marche au P. L. M., comme conducteur. ' Examen mental. Ne
sait
pas très bien où il est. Se croit près de Saint
des ré- MAL PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 117 missions ? On
sait
les théories analomo-pathologi- ques variées in
méca- nisme des ulcérations suppuratives en particulier, nous ne
savons
encore rien. Evidemment, certaines suppu- ratio
anisme se produisant dans le but' d'éliminer quelque chose, nous ne
savons
quoi, mais enfin quelque chose qui est en un ra
nt, ne pouvons-nous faire au- tre. chose que constater les faits, à
savoir
que la cure de certaines suppurations'en généra
mouvements qu'on leur demande de faire du côté parésié. bien qu'ils
sachent
être en état de les exécuter. Ils en ont bien l
L'inhtbitioîi des contractions vésico-urinaires esl peu connue : on
sait
seulement que quelques centres cél'éhro.spi, na
st pas moins exacte lorsqu'elle a trait aux muscles des membres. Un
sait
depuis longtemps qu'une ac- tion musculaire n'e
loin et l'on bai, des mains (mit près d'une oreille; ses paupières
su
ferment. La première expé- rience se traduit pa
ette lésion que l'on rencontre plutôt chez les malades aisés, on ne
sait
s'il y a raccourcissement des muscles par hyperto
rares, eu qui n'enlève rien il l'opinion de M. Vigoureux, car nous
savons
tous qu'un mélancolique tue volontiers ses enfant
ce, ne dites rien, courez immédiatement interroger la voisine, elle
sait
tout. » l'en- dant toute la durée de sa directi
demeura inébranlable ; il ne put la faire partager à personne ; il
savait
les avantages que l'humanité devait retirer de
ique. La démence précoce est, en effet, mal 1 connue ; il faut donc
savoir
se limiter, et se limiter à un groupe pouvant c
a malade prit de nouvelles habitudes ou stéréotypies. Elle se lais-
sait
docilement gaver deux fois par joui- par la narin
ment, énergique- ment, pour tendre la paroi. 11 a été impossible de
savoir
par un examen direct, en raison de la contracti
encore hébétée, la malade ne peut comprendre ce qu'on lui dit et ne
sait
ce qui s'est passé; la conscience ne redevient
se et le travail, qui ont évolué d'une façon à peu près normale. Je
sais
bien que, d'après une théorie originale du Dr L
cune sorte. Son intelligence ne s'élevait que peu ou pas au-des-
sus
de la 11111) l'line : il n'aimait pas le Li-aN ai
lit venir M ? chez lui et lui dit : « C'est fini entre nous, je ne
sais
pas encore si vous avez « bien voté », mais je
tre nous, je ne sais pas encore si vous avez « bien voté », mais je
sais
déjà que vous avez laissé voter votre employé ?
-bn exiger ce diplôme de ces anciens soldats qui pourront même ne
savoir
ni lire, ni écrire ? Ou bien va-t-on créer enco
exige de lui ; comment pourront-ils le conseiller, l'enseigner ? Je
sais
que,danscertainsasiles,on a pris comme surveill
es à l'intérieur. Il faudra faire des re- cherches ultérieures pour
savoir
si ces altérations sont spéciales à la rage ou
la tension du tascialatanese produit pas la contraction du tenseur
su
produisant toujours dans Il' signe vrai de Babins
caractère à la psychose. L'autopsie a montré des lésions du foie en
sus
des lésions hansé- niennes. Tics ,'ol/wlsi(s
ar des mouvements appropriés, manifeste sa faim, sa soif, ainsi quu
sus
besoins d'iirinur et de déféquer ; elle manifes
utre manifestation de la grande névrose, le ' sommeil hystérique ne
saurait
comporter une symplomalologic univoquu. L M.
symplomalologic univoquu. L M. Jacques ;KTn.LO : <. - Un peut
su
demander dans quelle, mesure des actions sugges
lise dans lu cerveau de l'hypno- li·n. C'est absolument comme si on
su
servait du même mot pour désigner le fusil, le
naugurale et. ses rapports annuels, font, ressortir mieux que je ne
saurais
le faire moi-même les qualités qui faisaient de V
D1' Gilbert Petit, il ! irses éludes médicales à Nantes, commença
sus
éludes spéciales dans le quartier d'hospice du Sa
e où il vient du mourir. C'était un médecin habile ut très dévoué à
sus
malades, cher- chant, même après luur nrlio, v
e se développe. B ? comprend bien tout ce qu'on lui dit, reconnaît,
sait
nommer tout ce qu'il voit dans les promenades.
u point de vue de la prononciation, mais aujourd'hui il dit tout et
sait
interroger; il est parfois un peu grossier (i).
e turbulence, il suit avec assez d'idée les exercices de la classe.
Sait
se laver seul, s'habille un peu mieux, mais a g
t in. terroge. Il n'est plus gâteux. Il s'occupe mieux à la classe,
sait
dire son nom et celui des personnes qui sont av
lui demande quelque chose. Il n'est plus gâteux, se tient propre et
sait
comment il faut s'y prendre pour se laver. Les
Le vocabulaire a augmenté; l'enfant prononce presque tous les mots,
sait
son nom et celui des personnes qui le soignent.
naît généralement les objets usuels qu'il voit chaque jour, mais ne
sait
pas distinguer les couleurs. Gymnastique nulle.
est normale. La physionomie réfléchie, froide et dure. Bien qu'il
sache
parler, il faut le contraindre de répondre quand
nt, remuant, mais il est paresseux. Toujours gâteux, cependant il
sait
aller seul se mettre sur le siège. VII. CuR ? (
mensonge, vol. Au point de vue de l'écolage, l'enfant est nul, il
sait
à peine syllaber et faire une addition. 1902.
il à la classe plus soigné. Est moins enclin aux mauvais penchants.
Sait
mieux s'occuper aujourd'hui et il fait les quat
ré le 24 mai 1004- 1905. Commence à s'habiller et à se déshabiller,
sait
bou- tonner, mais n'arrive pas encore à lacer e
C0-PI : DAGOGIQUE DES IDIOTIES. 263 semblait ne rien comprendre, ne
savait
pas se servir de la a cuiller ni porter le gobe
moins défectueuse, il s'habille et se déshabille pres- que seul, il
sait
lacer, nouer, boutonner, distingue les couleurs
asse; aussi in- différent aux punitions qu'aux récompenses, nous ne
savions
quels moyens employer pour captiver son attenti
fres et à les reproduire; actuellement, il syllabe, trace des mots,
sait
même écrire de mémoire son nom, son âge, ses vê
que jour -il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture,
sait
écrire les nombre.% jusqu'à 261 i THÉRAPEUTIQ
Si on lui posait une question, il s'empressait de dire : Oh moi, je
sais
et lorsqu'on s'adressait à lui, il était incapa
e jour il copie et écrit ensuite de mémoire sa leçon de lecture, il
sait
lire et écrire les nombres jusqu'à 70, fait seu
attentif et a tout à fait pris goût à la classe. Il lit couramment,
sait
écrire les nombres jusqu'à 100, établit une rel
ier 1904 âgé de 7 ans 1/2. Cet enfant, à son arrivée, ne connais-
sait
que les lettres et les chiffres; d'une instabilit
jeu; elles restaient molles, entr'ouvertes, de sorte qu'il ne fai-
sait
guère entendre que des sons. Notre élève s'est
ns l'intellect. Il ne gâte plus, s'habille et se lave presque seul,
sait
lacer, boutonner et nouer. Il connaît et nomme
ions classiques. Il a appris à s'habiller et à se déshabiller seul,
sait
lacer, bou- tonner, noue encore imparfaitement.
vo : e pour la lecture. Chai ? fait de mémoire de petites dictées,
sait
écrire les nombres jusqu'à ioo, se rend compte
ueuse. 1904. -- Notre malade s'habille.et se déshabille seul, i !
sait
lacer, boutonner, mais ne parvient pas à nouer, l
més. Il établit bien la relation entre le chiffre et la quan- tité,
sait
écrire les nombres jusqu'à 100, commence à se fam
is sans arrêt; l'amé- lioration est longue à obtenir, mais ce qu'il
sait
, il ne l'oublie pas; il a gagné pour l'orthogra
; avec beaucoup de peine, il est arrivé à faire les opérations, ne
sait
encore faire que l'application de l'addition et
ans. A son arrivée il était atteint d'idiotie complète, gâtait, ne
savait
pas s'habiller, mangeait à pleine main; il étai
de petits exercices de grammaire, distingue le genre et le nombre,
sait
faire l'addition, la soustraction, la multiplic
écillité, rémiz plégie gauche. [Figures 27, 28 et 2g). 1894. - Il
sait
s'habiller, lacer, nouer, boutonner, connaît se
orthographe et la rédaction; il fait les quatre opérations, mais ne
saurait
les appliquer. (Fig. 3o.) 1898. - Les progrès
ait les trois premières opérations, et ébauche la division, mais ne
sait
encore faire que l'appli- cation de l'addition.
gne d'impatience, à la plus légère remontrance, il se trouble et ne
sait
plus rien faire. 1897. - L'amélioration continu
à faire l'addition avec emprunt et la soustraction simple, mais ne
saurait
en faire l'application, il connaît l'heure, la
e aux leçons de choses et distingue un certain nombres d'objets. Il
sait
lacer, boutonner, compter les objets jusqu'à 10
it à lire par monosyllabe, recopiait assez difficilement un modèle,
savait
faire l'addition simple. 1903. - Un peu de prog
ercices de grammaire, fait les deux pre- mières opérations, mais ne
saurait
en faire l'application.. 1904. - L'amélioration
oup gagné pour l'écri- ture, l'orthographe et surtout le calcul, il
sait
faire l'applica- tion des quatre opérations, il
eaucoup plus rapides si sa mémoire était plus fidèle; mais ce qu'il
sait
parfaitement un jour est oublié le lendemain, ce
re, l'écriture a gagné, il reproduit assez facilement un modèle, il
sait
écrire les nombres jusqu'à 70, établit une rela
aissait ses lettres et ne faisait que commencer à syllaber. Elle ne
savait
pas compter; n'écrivait que d'après un modèle,
aptitude pour l'étude; ne connaissait pas une seule lettre et ne
savait
même pas tenir un porte-plume. La physionomie é
ait très minutieusement. Elle va à l'ouvroir et aime à coudre. Elle
sait
faire des ourlets, des boutonnières et poser des
de fixer l'attention de l'enfant, la moindre observation la fai-
sait
rougir et pâlir tour à tour et l'on aurait pu cro
que les compagnes de sa division. Elle qui, au début, ne connais-
sait
aucune lettre alphabétique, sait aujourd'hui syll
n. Elle qui, au début, ne connais- sait aucune lettre alphabétique,
sait
aujourd'hui syllaber, tout porte à croire que s
étude, elle qui ne connaissait pas la première lettre de l'alphabet
sait
aujourdhui syllaber par- faitement, lit presque
lente- ment, elle ne manquait pas d'adresse pour l'uuvroir, repas
sait
assez bien, mais ne savait pas laver. Elle avait
nquait pas d'adresse pour l'uuvroir, repas sait assez bien, mais ne
savait
pas laver. Elle avait des souvenirs historiques
lité; elle était très dissimulée; c'était es vain qu'on cherchait à
savoir
quelle était sa conduite avant son arrivée parm
n classe, elle exigeait une surveillance de tous les instants. Elle
savait
les quatre règles, commençait à peine à faire d
; la gymnastique allait lentement. Elle causait assez bien. Elle ne
savait
ni repasser ni laver. Enfin, l'enfant présentai
e a travaillé avec goût, elle a appris à bien faire un ménage, elle
sait
laver et repasser. Elle coud assez bien, mais l
en, elle pleurait sans motif, de même qu'elle riait aux éclats sans
savoir
pour- quoi ; elle était incapable de s'habiller
quoi ; elle était incapable de s'habiller et de se déshabiller, ne
savait
ni lacer, ni boutonner, elle gâtait nuit et jour.
ant était nulle en instruction, connaissait à peine ses lettres, ne
savait
pas écrire. Elle était incapable de se livrer à
e; l'enfant avait un accent provincial assez prononcé, mais elle ne
savait
pas dire le lieu où elle avait été élevée, tout
'hui très couramment, donne à sa lecture une bonne intonation; elle
sait
copier, fait quelques devoirs, connaît l'additi
ds, ses mains, on aurait dit qu'elle était mue par un ressort. Elle
savait
s'habiller mais ne pouvait procéder a sa toilet
e savait s'habiller mais ne pouvait procéder a sa toilette. Elle ne
savait
rien faire comme ouvrage manuel, ne savait même
a sa toilette. Elle ne savait rien faire comme ouvrage manuel, ne
savait
même pas tenir une aiguille, on ne pouvait l'util
lle, on ne pouvait l'utiliser a quoi que ce soit. Comme classe elle
savait
lire à peu près couramment, ne connaissait que
cun emploi, n'étant pas du tout stable en quoi que ce soit. Elle ne
savait
rien faire en couture, pas plus qu'au repassage
di- mutilé, gâtisme intermittent. - L'enfant, à son admission, ne
savait
ni s'habiller, ni se déshabiller, gâtait quelquef
Il s'agit là de troubles mentaux transi- toires immédiats ; reste'
savoir
ce que l'avenir réserve à de tels traumatisés.
nsignifiantes en appa- rence suivies d'accidents formidables. On ne
saurait
po- ser en principe que tout traumatisme crânie
t de graves conséquences, au point de vue mental, pas plus qu'on ne
saurait
prétendre que le pro- nostic soit en général bé
soigner chez sa soeur. Atti- tude mélancolique, ne sortait pas, ne
savait
plus s'orienter dans Paris. Refus fréquents de
t pas en liberté. / Très grand affaiblissement de la mémoire : ne
sait
pas où il demeure. Inconscience de sa situation
rvations tirées du service de ce maître, donno à réfléchir. On ne
saurait
, en effet, imputer à M. Régis laconfu- sion d'u
ue apparente et ses effets psychi- ques. On le voit, la question de
savoir
si la folie qui suit les traumatismes craniens
termédiaire qui, d'après Marinesco commande, dans le5° segment, aux
sus
et sous-épineux, et dans le 6°, au deltoïde. In
pendant, on réussissait à résoudre par l'affirmative la question de
savoir
, d'une part, si l'on peutpenser sans le secours
-muets et les aveuglesayant été soulevée, je vous invite à me faire
savoirs
! , parmi les établissements spéciaux dont il s
manifesté l'intention de mettre fin à ses jours et ses parents ne
savent
à quelle cause attribuer sa funeste détermination
ubles intellectuels en ce qui concerne ceux de la mémoire quant à
savoir
s'il existe des présomptions graves, précises, co
? Certains arrêts repous- sent cette interprétation : Ex : // ne
saurait
être tenu compte de phénomènes pure- ment subje
du travail avec ou sans incapacité partielle intermédiaire. Nous
savons
que les troubles psychiques tardifs sont partic
ts d'assistance par les chefs d'industrie responsables : mais je ne
sache
pas que la question ait encore été posée en ce
court espace de temps qui nous sépare de cette époque, la science a
su
apporter de nouvelles preu- ves à l'appui de la
e la migraine et l'épilepsie constituent le même groupe de lésions,
savoir
l'épilepsie. Voici un cas de migraine observé r
un grandeffort, l'attaque ne se produit pas (toutefois la malade ne
saurait
expliquer en quoi cet effort consiste, car elle
n tout. Le lien clinique de ces deux phéno - mènes pathologiques ne
saurait
donc être mis en doute. Il en est de même natur
cas semblables dans l'un de nos ouvrages, Ce qu'il nous importe de
savoir
, c'est qu'il existe dans certains cas du moins
table la démonstration que nous poursuivons depuis tant d'années, à
savoir
qu'il est possible d'améliorer les enfants, idi
stions qui lui sont posées, tient conversation. Pour la classe, son
savoir
reste borné à quelques petites copies, à faire
d tout ce qu'on lui dit. Elle est très affectueuse et caressante et
sait
se faire aimer des per- sonnes qui l'entourent.
TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQUE'DES IDIOTIES. 393 de propreté, ne
savait
ni s'habiller, ni se déshabiller. (Fig. 4+,45 e
elle était gâteuse, la parole et la marche étaient nulles, elle ne
savait
ni s'habiller ni se déshabiller. (Planches vu A
lanches vu A X11,) Aujourd'hui (1899), elle a appris à parler, elle
sait
soute- nir une petite conversation, la parole e
t en qu'elle prononce fortement au nez. La marche est bonne; Kr ?
sait
courir, monter et descen- dre les escaliers. Le
t encore qu'imparfaitement. En classe, elle reconnaît les couleurs,
sait
nommer à peu près tout ce qui est contenu dans
e ses lettres, elle les nomme mais au hasard. Pour l'écriture, elle
sait
tenir son crayon et commence à faire quelques b
bien une copie, commence à faire quelques, devoirs de grammaire et
sait
faire l'addition. Son caractère, quoique; susce
plus avancées pour la couture et le repassage; elle qui au début ne
savait
même pas tenir une aiguille, elle a appris à fa
ois premières règles de l'arithmétique, commen- çait la division et
savait
rédiger une lettre; en un mot l'enfant pouvait
iger une lettre; en un mot l'enfant pouvait se tirer de peine. Elle
savait
faire un ménage, de même qu'elle savait coudre,
ait se tirer de peine. Elle savait faire un ménage, de même qu'elle
savait
coudre, mais surtout laver et repasser. En quit
e est toujours très douce, très caressante, se faufile partout et
sait
se faire aimer de tout le monde. Cette enfant qui
sure de ses petites forces. Elle commence à connaître l'al- phabet,
sait
compter jusqu'à 20 sans hésitation et place les
ace les chiffres d'une façon remarquable. - Elle, qui à l'entrée,
savait
à peine marcher, trotte maintenant comme un petit
ymnastique, exé- ci-te parfaitement les quatre premiers mouvements,
sait
de même lacer, boutonner, agrafer, se prête vol
bien, répond directement aux questions qui lui sont posées, mais ne
sait
tenir une conversation. L'attention est facile à
s de temps. Elle est gentille et raisonnable. Cette enfant qui ne
savait
rien au début, a fait de notables progrès au noin
instruction primaire, ne connaissait ni let- tres, ni chiffres, ne
savait
même pas tracer des bâtons sur l'ar- doise. Ajo
st parvenue à écrire très lisi- blement, fait une copie, connaît et
sait
faire les chiffres et lit par syllabes. Tout do
IQUE DES IDIOTIES. 413 intelligence, le regard était sournois, elle
savait
parler, mais était incapable de tenir conversat
u point de vue scolaire, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne
savait
pas écrire; vu son âge avancé, elle ne donnait
reste ses cahiers pendant sa période choréique; elle connaissait et
savait
faire les chiffres. Tout son savoir consistait
choréique; elle connaissait et savait faire les chiffres. Tout son
savoir
consistait en ces quelques notions. L'enfant a
urs la lecture de l'enfant sera courante. Elle aime la gymnastique,
sait
faire tous les mouvements, y est devenue très a
on empli de ce liquide etc'était sa mère, qui tous les matins.gl's-
sait
le poison dans l'une de ses poches. Ne pouvant- l
constatations nécropsiques font défaut.) Mais le signe d'Argyll ne
saurait
,être patllognomoniyue et n'est qu'une manifestati
e se mit à sa recherche et le trouva pendu dans une (''table. On ne
sait
à quelle cause attribuer ce suicide. (Le Semeur
quisition chez elle; elle en éprouva un tel saisissement qu'elle ne
savait
plus ce qu'elle faisait, qu'elle fut prise d'un
à l'origine de sa psychose, une cause mo- rale dont l'importance ne
saurait
être méconnue. ( : 'est à la suite d'une émotio
r sur le malade sont très incomplets. Le père est mort jeune, on ne
sait
de quoi. La mère est entièrement paralysée. Une
manifestations délirantes une conséquence de la prédisposition. On
sait
,en effet, d'une part, que la dégénération des c
ue le dernier ma- lade paraît être atteint de paralysie générale ne
saurait
être considéré comme contredisant cette opinion
dre utile. En classe, ses progrès n'ont pas été moins rapides, elle
sait
faire une copie, commence à syllaber et connaît
éposés devant elle, il était impossible de la tenir propre, elle ne
savait
se donner et ne voulait recevoir aucun soin con
ue et le corps prend de la souplesse. Elle connaît les couleurs, en
sait
faire la dif- férence, sait lacer les souliers,
ouplesse. Elle connaît les couleurs, en sait faire la dif- férence,
sait
lacer les souliers, agrafer et boutonner, autant
commence à rassembler ses lettres, connaît également les chiffres,
sait
les placer exactement, s'intéresse à tout ce qui
Elle a un sourire aimable, un air gracieux, elle est très douce et
sait
se faire aimer de toutes ses compagnes. Ses jam
olonté pour la gymnastique. Elle commence à sylla- ber et à écrire,
sait
faire l'addition sans retenue. Tout porte à cro
d vague, rien chez cette enfant n'indiquait l'intelligence. Elle ne
savait
pas lire, mais formait les lettres et les chiff
savait pas lire, mais formait les lettres et les chiffres; elle ne
savait
pas compter, ne possédait pas les TRAITEMENT
bruyants; rôdait un peu partout et, malgré son insuffisance, elle
savait
s'y prendre pour venir en classe le moins possibl
labes, son écriture était lisible, mais mal formée; elle ne fai-
sait
que des copies, connaissait à peine l'addition. E
fai- sait que des copies, connaissait à peine l'addition. Elle ne
savait
rien faire comme ouvrage manuel : couture, repass
, mais ne se servait que de la cuiller; elle ne gâtait pas, mais ne
savait
se donner 470 thérapeutique pédagogique. au
ce, elle ne parlait pas, ne marchait pas, ne mangeait pas seule, ne
savait
pas tenir sa cuiller et barbotait dans les assi
à dépasser ses com- pagnes ; il est à remarquer que cette enfant ne
savait
même pas tenir une aiguille, à son entrée. Elle
pas, gâtait nuit et jour. Aiijour- d'hui (1899), l'enfant parle et
sait
soutenir une conversation comme les enfants de
connaît les différentes parties de son corps et de ses vêtements et
sait
les désigner par leur nom, elle reconnaît tout
ment, fait des copies, apprend la grammaire, récite des fables et
sait
faire des additions et des soustractions. Elle es
us les rapports. Elle raisonne bien, s'exprime de mieux en mieux et
sait
s'attirer l'affection de tout le monde. Elle s'in
. de choses. Quant au calcul, elle a plus de difficultés. Elle ne
sait
faire que des additions sans retenue; mais c'est
de prononciation, ni de bégaie- ment. Elle construit des phrases et
sait
tenir une petite con- versation ; répond direct
ses lettres, à syllaber et maintenant lit presque couramment. Elle
sait
écrire et faire des copies, elle commence à com
son lit, ainsi que ceux de ses compagnes qui ne peuvent le faire et
sait
se donner les soins de toilette. - Elle aime la
très complaisante et serviable, fait tout pour faire plaisir. Elle
sait
aussi se faire aimer de toutes ses compagnes, q
compagnes, qui la récla- ment dans leurs diverses occupations. Elle
sait
mettre la paix quand il y a une dispute, de mêm
embre - Les progrès continuent sous tous les rap- ports. Marguerite
sait
s'attirer l'affection de ses compagnes et organ
s'habiller, à se déshabiller, à reconnaître les lettres, à écrire.
Sait
monter les escaliers, sauter. 1898. - Assembl
énitales, qui ont une prédilection marquée pour le sexe féminin, ne
sauraient
donc être considérées connue des arrêts ou des
xagération de la fatigue ; c'est en somme l'analogue de ce que nous
savons
sur les autres « excitants dill'usibles » tlté,
cérébral de première nécessité que par l'association d'un proces-
sus
d'encéphalite corticale diffuse aux lésions destr
ns donc aux choses plus sérieuses, à des réalités cruelles qu'il faut
savoir
désormais regarder en face, afin d'en modilicr la
sommeil est venu, des coups de fusil tirés aux oreilles de Michel ne
sauraient
troubler son repos. Daus cet état, il passe bient
n vice d'organisation que nous allons indiquer. Magnétiseurs qui ne
savez
faire que des livres, vous croyez agir beaucoup s
chent rentrent, dès lors, dans l’ordre des faits naturels, et rien ne
saurait
plus justifier le dcdain stupide avec lequel les
i surviennent dans l’attitude des traits des magnétisés, l’expression
sut
generis, indicible, insimulable, à laquelle on re
nt sans que la justice puisse en atteindre les auteurs. Déjà, vous le
savez
, un trafic honteux s’est établi. Ce n’est plus se
voir un peu d'or, les tiennent plongés dans un sommeil incessant. Ils
savent
pourtant que la sénilité du cerveau résulte de ce
u assez observateur pour constater dans tous les cas celte vérité, il
su
fût d’avoir en sa vie remarqué des exemples les p
. M. Dcleuze voulut à l’instant être exploré par inoi pour voir si je
savais
toutes lesdouleurs qu’il éprouvait dans ce moment
à moi et que ces messieurs étaient quatre ânes, qu’ils n’avaient pas
su
lui procurer le moindre soulagement. Alors je re-
cembre. Voici comment les journaux anglais en rendent compte : » On
sait
qu’avec le secours du magnétisme bn peut entrepre
n de la femme est présent à tous les esprits; mais personne, que nous
sachions
, ne l’a rapproché de ce qui se passe dans l’état
des stoïciens de la secte élhérée, comme dit M. Malgaignc ; mais nous
savons
que de toutes les personnes amputées dans l’insen
ntdevenus les malades deM. Lésion; il serait pourtant important de le
savoir
; car dans les procédés de Darwin, et quelques aut
l’admission du magnétisme comme principe similaire. Mais quoiqu’on ne
sache
encore à quoi s’en tenir sur les suites de ce moy
diffère essentiellement de celle produite par l’éther : une vérité ne
saurait
en détruire une autre. Et tandis qu’ici nos antag
vrognes enfin, n’en éprouvent que très-imparfaitement les effets. Qui
sait
si le magnétisme, mieux étudié, mieux appliqué, n
a raison ni dans son maintien habituel ; il rit et exprime ses doutes
su
? l’issue de cette tentative. M. du Potet se pla
ces simples paroles d’une somnambule : Ne vous étonnes de rien. Nous
savons
en effet que si le magnétiseur partageait l'émoti
l'Académie, il fut interrompu par de Laplace, qui s’écria : « Nous en
savons
assez, de fables pareilles. » VARIÉTÉS. Les v
te naît de l'ignorance, et lorsqu’on est éclairé sur ces faits, qu’ou
sait
les conduire, tout danger disparaît. Les docteu
rminée cette affaire, qui soulevait une question bien grave: celle de
savoir
si les somnambules, qui n’ont pas la conscience d
l’exagération de scs craintes. Le rédacteur de la Revue gallicane ne
saurait
avoir la même excuse que l’auteur de la Science f
en nous passant de leur concours, en repoussant leur alliance, qui ne
saurait
être durable! — La Tribune lyonnaise vient de f
sses doctrines égarer davantage l’opinion du bon public; car, vous le
savez
, M. le ministre, nos intentions sont pures comme
nécessaire de vous rappeler ce que nous vous demandons? Non, vous le
savez
. Nous voulons seulement que pas un être humain pu
ssance médica-trice, ses efforts et sa vertu? Lu médecine scolaslique
sait
-elle au moins l’imiter? Elle eu a la prétention ;
précautions prises. On l'emporte loin du lien de l’expérience ; il ne
sait
rien, ne se rappelle que son arrivée sur le cercl
te. Nous donnons l’uttaque et la réplique, sûrs que nos lecteurs nous
sauront
gré de les tenir au courant de ces escarmouches q
nt; d’aillenr? ils ne s’abonnent guère ; les jeunes médecins sentent,
savent
que notre art est appelé à plus de perfection, et
grès, ils ont écrit sur leur bannière : Immobilité. « .Mais vous le
savez
, monsieur, les novateurs, comme les martyrs de to
ses idées partagées, admises, et régner sur les esprits. « Vous le
savez
, messieurs, découvrir, c'est chose difficile; fai
sez donc le magnétisme, monsieur Magendie? car ce qui n’existe pas ne
saurait
avoir de dangers. — L'Union médicale rapporte p
it; elle me répondit presque fâchée : « Je ne suis pas aveugle que je
sache
; » et, pour prouver sa lucidité, malgré le moucho
pensent les plus honnêtes. — Us peuvent rire, les incrédules. — Je ne
saurais
le trouver mauvais, car j’ai,'comme eux, beaucoup
re ne pourront la re* hausser. Ce qu’on demande au médecin, c’est son
savoir
; ce que le malade réclame de lui, c’est la guéris
er, vous faire comprendre que l’art passe en dehors de vous, et qu’on
sait
vous le dire au besoin. SOCIÉTÉ DU MESMÉRISME.
uits sont si précieux, les fruits qu’elle porte si délicieux qu’on ne
saurait
trop haut proclamer son utilité. Sans son conco
esprit d'observation. Le jeu laisse beaucoup à désirer. L’acteur ne
sait
rien du magnétisme; il s’y prend en novice pour d
re, et qu’elles se contrôlent sans se nuire : la vérité est une et ne
saurait
être détruite. Les premières éthérisations nous
igé le premier de leurs devoirs, l’al-« légemeutdes souffrances? Nous
savons
que cette insen-« sibililé est souvent difficile
é de ce précepte, qui marche de pair avec le suivant : une science ne
saurait
exister que le jour de son baptême, c'est-à-dire
le invincible, et accomplit par là le miracle le plus étonnant que je
sache
: tirer la mère du sein de ses enfants. Écoutez e
posé, vous allez voir les conséquences que nos docteurs scolastiques
surent
en tirer, ou plutôt tout ce qu’ils embrouillèrent
L’astrologue se dit : * Il existe dans la nature des affinités qui ne
sauraient
dépendre des éléments respectifs des corps, mais
en recevant l’être sous une constellation particulière, acquiert, cil
sus
des qualités inhérentes à sa nature propre, des v
out agent, en son mode d'action, tend toujours à la perfection, et ne
saurait
dégénérer. Ainsi les plantes broyées, donnent la
mot de l’énigme, théomédisme. Mais écoutez ceci. Une dame, dont je
sais
le nom et qui existe encore à Paris, avait en nou
tricité, la lumière, le calorique, le magnétisme terrestre ; nous, en
sus
de tout cela, nous puisons chez l’homme un fluide
mmes, que toute vérité vient, de Dieu, et que ne pas dire celle qu’on
sait
est un crime que les hommes ne peuvent punir, mai
que les hommes ne peuvent punir, mais gue Dieu punira sans doute ! Ne
savons
-nous pas d’ailleurs qu’on attachera peu d’importa
rapproche, se penche. Que voit-il dans cette plaque noire? nul ne le
sait
encore, mais il y voit. Il est pris d un rire sar
quelle pitié nous inspire le présent! Voyez les sciences, ce qu’elles
savent
des choses morales et des facultés de l’âme; elle
nt notre perle jusqu’à ce que nous ayons trouvé un lapidaire qui en
sache
le prix : nous la lui donnerons sans demander un
• Se plaisent l’un ù l’autre et se lai-sent charmer « Par un je ne
sais
quoi qu'on ne peut exprimer, t Les attractions
. C’est ce qui résulte des faits cités plus haut. Maintenant que nous
savons
cela par le magnétisme, essayons si là encore il
ours sur le chemin des plus grandes découvertes ; nos lecteurs nous
sauront
gré de les tenirau courant de nos explorations;ca
ous sommes sensibles à cette perte, notre cœur est attristé, car nous
savons
que les bienfaiteurs des hommes sont rares, autan
riosité s’attache encore à dos expériences que des praticiens habiles
savent
entourer d’un mystérieux prestige. On multiplie l
e terrible 5 en rapportant tout à soi, on méconnaît tout ce qu’on n’a
su
ou pu approfondir. Les travaux des devanciers, co
lution d’un problème dont les données sont encore insuffisantes ; car
savons
-nous s’il ne nous reste pas à découvrir des phéno
es dans les auteurs qui prouvent surabondamment cette assertion, nous
savons
que tout se lie dans les phénomènes de la vie qua
cins, des pharmaciens et des médicaments; ce sera un grand progrès.
Su
. i.e magnétisme considéré sous le rapport de la
ons, du courage, et puisqu'un esprit nous a inspiré de venir ici sans
savoir
que nous y étions désirés, allons jusqu’au bout a
ur montrer que le magnétisme se répand dans la classe prolétaire, qui
sait
combien est grande la tâche que vous avez entrepr
n’ai aucun droit à tout ce que vous » voulez m’offrir. « — Vous ne
savez
donc pas, madame, lui dit-il, que «j’ai reçu de v
sur lui Abd..., qui devint depuis culonel des Mamelucks. « Nous ne
savons
vraiment pourquoi tous les auteurs de Mémoires on
t, il se séparait pour toujours de l’étoile de Joséphine. »Comme on
savait
que Napoléon, le génie le plus vaste et le plus u
aimait beaucoup à y causer merveilleux, surtout avec Joséphine, qu’il
savait
être très-superstitieuse. Un soir donc il arrive,
laisir à nos lecteurs en la leur donnant en entier. « Tout le monde
sait
qu’à la fin de 1792 et au commencement de 1793, l
, comment s’appelle-t-il? —avenir nous 1 apprendra. « Tout le monde
sait
qu’il ne fut question, dans les dernières années
spectables, et dont les convictions sont aussi pures que sincères. Je
sais
, je crois que, dans certains cas pathologiques, i
s de ses découvertes doit lui payer un tribut de reconnaissance? Nous
savons
que plusieurs sont indifférents, mais nous ne par
oujours elle, s’ouvrant comme un livre universelaux investigations du
savoir
. D’où, pour moi, le magicien serait un homme qui
stigations du savoir. D’où, pour moi, le magicien serait un homme qui
sait
la nature. Je définirai la magie: science parfait
e, magus naturœ minister est (Plotinus). Sa science embrasse tous les
savoirs
; il doit être consommé en philosophie et bien en
tière. Mensurd, les formes d’Albert et des Péripatéticiens. Je ne
saurais
ici entrer dans les détails que chacune de ces op
fourous. Ces derniers, habitants de l’Océanie, n’ont que la pensée en
sus
de l’orang-outang, des membres allongés et maigre
la conviction, comme ce voyageur au départ pour un lointain pays. Il
sait
ne rien oublier, ne rien laisser; il est seul, il
il est libre... et pourtant il y a entre lui et le vaisseau ce je ne
sais
quoi d’inexplicable qui met le cœur dans la trist
estent les astres, cause de tout événement, de tout phénomène ! Je ne
sache
pas qu’aucune science ait précédé l’astrologie. L
car je pensai : c’est la plus belle réponse à ceux qui veulent tout
savoir
, et répètent sans cesse : Qu’est-ce donc que votr
te personne a grandement émerveillé sa famille et les assistants, qui
savaient
qu’éveillée elle se serait trouvée mal à la vue d
ns sa poche, et disparaissait jusqu’au lendemain malin. Tout ce qu’on
savait
de Michel, c’est qu’il avait été soldat, qu’il av
jour, Powleska fut amenée devant le juge pour être interrogée. « —
Savez
-vous, lui demanda-t-on, cc qu’est devenu Michel?
’a frappé à coups de couteau. « — Où étiez-vous alors ï « — Je ne
sais
pas trop, mais je l’ai vu. » « Cette persistanc
mment vous avez été trouvée nantie de l’argenterie volée. « — Je ne
sais
, je n’ai vu que l’assassinat. « — Mais rien ne
la naïve simplicité de la jeune fille, qui répondait toujours : Je ne
sais
pas. « — Mais enfin vous connaissez l’assassin?
à la troisième maison à droite. • « — Le nom de la rue? « — Je ne
sais
pas, mais la maison est d’un étage moins haute qu
et événement à Powleska, elle a dit en souriant tristement: — Je le
sais
depuis hier soir. « La célébrité de ce procès v
nt est en cause. Naguère un de nos amis consulta sa somnambule pour
savoir
où gisait le corps du malheureux Sixdeniers, que
ur on ne se contentera plus de dire aux hommes : Dieu vous voit ; ils
sauront
que tous les crimes peuvent être dévoilés par l’h
qu’on va lire est extrait de la Presse du 14 avril dernier. « On ne
sait
pas, disait le docteur à M. Gault en le quittant,
istence du magnétisme, je consentis ! Voici le fait. Je voudrais bien
savoir
ce que dirait notre Académie de médecine si l’on
on incontestable habileté; mais il avait à vaincre un obstacle que ne
savent
point aborder les conceptions paresseuses et les
jouis-ent, notre cause est gagnée; on ne confondra plus les ommes, on
saura
les distinguer. Le magnétisme est sali, pollue
ais principes de la médecine, l’art de calmer les douleurs. Vous le
savez
, Messieurs, à chaque effort fait par nous pour re
e connaissent point le lien qui unit l’homme à Dieu ; c’est qu’ils ne
savent
plus interroger la nature, et ont perdu le secret
la main d’une dame leurs insignes de fondateur du Jury magnétique. On
sait
que ce jury est créé pour offrir, le 23 mai de ch
eur de la santé ? Fait-il surgir un miracle Au gré de sa volonté?
Sait
-il découvrir la trace D’un objet perdu d'hier?
mut vivement l’assemblée. Nos lecteurs, nons en sommes certains, nous
sauront
gré d’avoir obtenu du poète la faveur de reprodui
rtyre un glorieux baptême, Une orageuse mission ; Oui, Mesmer, lu
savais
que la haine et l’injure Te feraient cortège en c
is que la haine et l’injure Te feraient cortège en chemin ; Mois tu
savais
aussi que celte nuit obscure Ne serait pas sans l
os sanglantes erreurs ! Sceptiques vains à l'allure sifière, Vous
savez
tout, hors guérir.... Mais, hélas! Pauvres hiboux
dote? Tel est le correctif à trouver, et en consacrant ses soins, son
savoir
k la recherche du contre-poison de l’éther, l’aut
Abt. 4. — Les noms et demeures des membres du Jury seront inscrits,
savoir
: Les fondateurs à la suite du présent acte de
lée générale des membres du Jury, au scrutin, par bulletins de liste,
savoir
: Le président et le secrétaire général à la ma
un de ces agents inconnus et du doigt et de la pensée, le seul que je
sache
réellement bon reste dans l’oubli. Est-ce mauva
je lui dirai : Prenez ce journal, il est semé de guérisons. I l Je ne
sache
pas un mesmériseur à qui l'on puisse repro- j che
u premier mesmériseur pour que les battements cessent de suite, et en
sus
la douleur environnante. Si le lendemain elle rep
guilles enfoncées brusquement pour éviter la douleur, qui, dit-on, ne
saurait
être que légère. C’est fort bien pour qui ne la
caments et des maladies à déconcerter les médecins et la science! »
Savez
-vous pourquoi M. Trousseau est ainsi déconcerté?
’inflammation disparaissaient. La vieille Laroche magnétisait sans le
savoir
. De même,-pour les affections qui cédèrent au mas
en n’est plus juste : elle dénouait, je ne dirai pas les nerfs, je ne
sais
ce que c’est. Mais de ces affections me sont tomb
iaire du fluide universel. La science du magnétisme consiste donc à
savoir
faire une application raisonnée de ces divers mod
somnambule consultée en faveur des malades. En outre, tous doivent
savoir
que monseigneur Gousset, ci-dessus nommé, reçut u
être enseveli« dans le milieu où ils se produisent. Ces mes- sieurs
sauront
sans doute mauvais gré au Charivari du service qu
opérées par lui enflammèrent l’ardente imagination des habitants; on
sait
qu’ils n’accueillent jamais tièdement ce qui revê
rnier porte les dons à 20,375 fr., et la rente à 3,724 l'r., fournis,
savoir
: lesdons par soixante-quatre, la rente par soixa
tiquement comme l’œuvre de la fraude et du charlatanisme, car nous ne
savons
pas le rôle qu’elle peut être appelée un jour à j
res faites par le mesmérisme; mais il est bon que les magnétiseurs le
sachent
. L’assa-fœtida passe pour le spécifique des fla
s flatulences stomacales des gens de cabinet. Mais chaque magnétiseur
sait
assez l’empire du lluide dans les digestions, les
voire même le camphre, quoi qu'en dise M. Ras-pail, dont j’admire le
savoir
, mais dont on ne peut imiter la prodigalité en fa
r la génération des idées, leur transmission et l’étendue possible du
savoir
humain. La destinée future l’occupa aussi beaucou
irs vient de finir la discussion du projet de loi sur la médecine. On
sait
que, sans que le mot de magnétisme soit prononcé,
est son programme. On aura raison sous un certain rapport; mais nous
savons
quelle facilité on trouve pour déplacer les chose
rent sachent bien ce qu’ils feront et ce qu’ils voteront. Je voudrais
savoir
si l’on s’en tiendra au système actuel, et si l’o
athique en donnant son adhésion au principe mesmérien fit preuve d’un
savoir
qui a trouvé bien peu d’imitateurs parmi les part
ait cependant pas tout à fait vidée pour moi; il s’agissait encore de
savoir
si le magnétisme est l’ouvrage de Satan, comme on
leries mériteraient bien un châtiment sévère. (Union médicale.) _On
sait
que nous sommes loin d’approuver ces exhibition
6, 5” édition. Chez Labbé, place de l'Ecole de Médecine. La soif du
savoir
est si grande chez certains individus qu’ils en p
1829, nous le retrouvons, avec non moins d’indépendance d’idées et un
savoir
accru, soutenant la nouvelle science au sein de l
e. Je croyais alors que toute la médecine était dans la pharmacie. Je
savais
le corps humain pour en avoir de mon scalpel suiv
bientôt pour leur cause et fera taire ceux qui glosent sur tout sans
savoir
, ceux qui préfèrent nier ce qu’ils ne comprennent
age, plus de patience et de persévérance dans les soins, et quiconque
saura
apprécier le talent proclamera celui de M. Rovère
ent proclamera celui de M. Rovère afin de rendre hommage à la fois au
savoir
et au mérite. Approuvé l’écriture ci-dessus et
obtenu une amélioration sensible. Par le magnétisme, M. de Rovère a
su
habilement la débarrasser des eaux froides qui lu
ramena à 7,000 francs de revenu. «Voilà, monsieur, tout ce que j’en
sais
. Informez-vous en Suisse du sort de cette rente,
amille les détails qui suivent : Son bisaïeul avait quatre enfants,
savoir
: Une fille, nommée Victoire; Trois fils, dont
r à Mersbourg, exécuteur testamentaire de feu Antoine Mesmer. On ne
sait
rien de positif sur le curé. Quant à Christophe
stion vivent encore ; l'une, G., est toujours » Paris, l’autre, ou ne
sait
où. — L’oubli n'est pas de nous, mais de vous.
s, l’empreinte des sciences autrefois florissantes en ces lieux. Le
savoir
laisse partout des traces ineffaçables, et transm
attendre un résultat pareil? Celui qui prend la voie de la nature ne
sait
jamais où il s’arrêtera. Après avoir reconnu qu
jamais du bien par de tels moyens , c'est qu’ils magnétisent sans le
savoir
. «Je me déclarai convaincu de la grande efficac
des deux procédés, et m’avoua qu’il avait été ainsi magnétisé sans le
savoir
par l’un des magiciens des environs qui l’avait g
ndernagor, à deux milles du lieu ou cet homme l'avait acosté. Il n’en
savait
pas davantage. « Il n’avait ni bu. ni mangé,'ni
gfc du fait arrêtèrent fortement mon attention ; je désirais vivement
savoir
de quel côté était la vérité. Le métier de cet ho
ce qu’en a dit tout récemment encore M. Magendie, toutes gens qui ne
sauraient
être taxés d'incompétence en pareille matière !..
homme apprit à la malade qu'elle élait enceinte, tout simplement. Je
sus
pluS tard que le docteur B“* s'était moqué du som
je ne le pense pas.... » Fît cc n’a été que longtemps après que j’ai
su
dans quelle position on croyait la malade lorsqu’
logue en me faisant suivre d’un prisonnier de l'hôpital saus qu’il le
sût
. Laffaire fut renvoyée au juge; mais quaud elle f
essentiellement arbitraire, n’est pas exempte d’inconvénients ; le
savoir
n'est pas égal chez tous les hommes, et l’absence
nt; leurs mérites combinés nous conduiront probablement à la vérité ;
sachons
donc nous servir de chaque procédé selon les circ
on -nés de divers journaux anglo-indiens. Nous espérons qu’on ne nous
saura
pas mauvais gré du développement que nous donnons
qu’on eût attiré leur attention sur l’endroit opéré. «■ Il reste à
savoir
si les contorsions et l’altération des traits, da
est pourquoi elle sollicite les instructions du gouvernement, afin de
savoir
si l’enquête sera arrêtée à ce point, e’fest-à-di
loppe. -Jasmob , Il se retira â l’écart, seul, et sans que personne
sût
ce qu’il devait écrire; le mot écrit et bien enfe
madame vient d’écrire ? lui demandai-je. — Oui, je lé crois, r —
Savez
-vous ouest le papier sur lequel elle a écrit? —
sie sans les attaques de ¡'Union médicale, qui conteste à M. Dumas le
savoir
nécessaire pour examiner ces matières. Cette auda
a santé quand, l’année dernière, je revins à Paris, où, comme vous le
savez
, je retombai en deux mois aussi mal que précédemm
uffisante pour autoriser la poursuite de l’examen. Mais Sa Seigneurie
sait
que les moments des commissaires sont précieux, e
de S. J«ài>, ch. iv). Jésus-Christ, interrogé par un scribe pour
savoir
quel était le plus grand commandement de la loi,
ladies est un puissaDt moyen de soulager l'humanité souffrante, je ne
saurais
m’acquitter d’une manière plus conforme à l’espri
ièrent : C’est ici le doigt de Dieu, digitus Dei est hic. Lorsqu’on
sait
, par le chapitre VII des Actes 'des Apôtres, que
n roi d’Israêl? Ce qu’il y a de certain, c’est que, tandis que nous
savons
par le chapitre XXXI des Nomb. qu’une mort désast
levés sont donc bien rares, puisqu’on ne pardonne point à l’homme qui
sait
faire plus que nous. On accuse M. Laforgue d’ex
lion à la vessie, de violentes tranchées et très-fréquentes.) I 14.
Saura
fils, d’Artiguéiouve. (Fièvres, migraines ) 1
tendent à vous imiter. Nuus faisons un cours àl usage de ceux qui ne
savent
pas magnétiser ; ccci est pour le public, gratuit
un parent, un ami, un voisin, et nous lui enseignons le peu que nous
savons
. Enfin nous faisons de notre mieux pour fournir n
près, auxquelles nous nous associons pleinement: « De tels faits ne
sauraient
avoir trop de retentissement. Mais pourquoi n’ess
mmunication avec eux. Ne vous arrêtez point aux impossibilités qu’a
su
trouver la science. Méprisez ces vains sermons de
ose mauvaise sous les apparences de vertu. Prêtre catholique, je ne
saurais
nier cela, les vies des saints m’en fournissant p
grand nombre d’ecclésiasliques recommandables par leur piété et leur
savoir
, dont quelques-uns figurent à la tête des grands
des théologiens, même les plus recom-mandables par leur piété et leur
savoir
, ne sont pour le saint docteur un vrai argument t
s et dan9 la littérature; mais, tout en respectant leur piété et leur
savoir
, ne connaissant pas le magnétisme thérapeutique n
tro électeurs et abonnés à deux ou trois journaux industriels pour en
savoir
aussi long et en croire aussi peu que Voltaire et
i pris sur rien. En fait de choses merveilleuses, sans doute, on ne
saurait
trop tenir sa croyance sur la défensive; car rien
ssé, ou n’avait qu’un passé stérile, une histoire vide, que pouvaient
savoir
les savants, si ce n’est l’avenir, pour se dist
gination que vous m’accordiez. Depuis que je me connais, depuis queje
sais
lire et écrire, tout ce qui m’arrivait de surnatu
venu à l’idée de demander si celle ville était belle ou laide. Je ne
savais
rien d’Orléans, et n’en voulais rien savoir. Seul
ait belle ou laide. Je ne savais rien d’Orléans, et n’en voulais rien
savoir
. Seulement, ma terreur avait fini par se créer un
était blonde et rose et l’autre brune et pâle. Trois jours!... Je ne
sais
pas comment je iis pour partir, mais rien ne m’en
me le roi. Comment cette idée m'était-elle tombée de la tête? Dieu le
sait
. Je sais seulement que, lout en défilant, je ne p
. Comment cette idée m'était-elle tombée de la tête? Dieu le sait. Je
sais
seulement que, lout en défilant, je ne pouvais m’
Mais j’avais défendu ma porte. — Mais la personne dit que si monsieur
savait
qui elle est, il no ferait pas difficulté de la r
e par une fuite précipitée. L’employé qui me donna ces détails voulut
savoir
ce que je lui avais fait; car lui aussi était per
dont quelques-uns sont partagés par leurs propres ministres; mais je
sais
aussi que parmi les ministres protestants il y a
de magnétisme, ayant pour condisciple un ministre protestant, et j’ai
su
postérieurement qu’il magnétisait dans l’intérieu
même franchise que j’écris en faveur du magnétisme thérapeutique , je
saurai
aussi écrire contre, car je ne suis vendu à perso
andement de notre divin maître Jésus : ite ibcetc omnes gentes; et je
sais
pourquoi. Celui qui désirerait entrer en discus
i désormais, chaque mois, un résumé de ma clinique, alin que le monde
sache
ce qui se passe à l’hôpital mesmérique et que mes
légère chaleur au siège de son mal, ce qui le fit y porter la main el
savoir
que l’opération était terminée. Sa tumeur pesai
ni par léthargie, parce qu'il est analogue à tous, identique à aucun
sut
ye-neris enfin. (Note de la Rédaction). ( :Oi
AG¡VÉT IQUES. Magie (1). Heureux les hommes dont l'esprit fertile
sait
créer pour toutes choses un langage plein de char
nt à plaindre, non plus, ceux qui, à défaut de science et de réalité,
savent
inventer un langage plus incompréhensible que les
s! se comprirent-ils toujours? Vérité! erreur! où sont les hommes qui
savent
discerner ces deux choses dans les faits d’occult
lus. C’esi dans ces instants où l’homme, puissant de volonté comme de
savoir
, commande aux esprits d’apparaître. Ils descenden
ain de blé; dis-moi si dans cette goutte de liqueur séminale tes yeux
savent
distinguer l’être humain qui s’y trouve; il y esl
ue loules les personnes qui avaient sérieusement étudié le magnétisme
savaient
qu’on pouvait la tourner au profit de la santé de
La porte s’est attaché à détruire une erreur généralement répandue, à
savoir
que l’on ne peut pas être magnétisé si l’on ne do
qu’én dira le Rév. G. Bush dans son Mesmer and Swedenborg , où vous
savez
qu'il eitc avec extase le lucide Davis comme conf
invoque le témoignage d’affirmer ou d’infirmer nettement, afin qu’on
sache
de quel côté est la vérité. Agir autrement c’est
s attentifs et j’ai l’intention bien arrêtée de transmettre ce que je
sais
, comme ce que j’apprendrai, de la force occulte,
s choses qui étonnent grandement , môme les magnétiseurs; car nous ne
sachons
pas qu’on ait donné une explication satisfaisante
nsidérable qu’on était en droit de l’espérer; mais, à Mâcon, on mil
savoir
avant de voir. On laisse partir les éclaireurs, c
ent n’ouvre pas la bouche. Alors c’est... c’est... > Voulez-vous
savoir
, chers lecteurs, ce que c’est? C’est la plus admi
t un don que Dieu a fait à l’homme, et dont ce dernier n’a pas encore
su
profiter. » A genoux, matérialistes ! el adorez
isibles qui caractérisent la grossesse se rencontraient chez elle. On
sait
, ou l’on ne sait pas, que les facultés magnétique
térisent la grossesse se rencontraient chez elle. On sait, ou l’on ne
sait
pas, que les facultés magnétiques varient suivant
(aux. C’est pourquoi les imposteurs sont malheureusement nombreux cl
savent
profiler de la crédulité d’autrui, et il est faci
s murs d’une chambre, de lire un billet enfermé dans une cassette, de
savoir
ce qui se passe à plusieurs milles de distance, d
yens de l’art, puisque le magnétisme a réussi plusieurs fois, el l’on
sait
que fort souvent il suffit d’opérer une mutation
atjhélhme animal, se restreignant à dire avec les paroles ce que l’on
sait
et non ce qu’on suppose;'puisqu’une terminologie
sant qu'il y a des natures rebelles au fluide mesmérien. — Eh ! qu’en
sais
-tu? qui le l’a dit? As-tu donc sondé dans toule l
e grande habitude d’opérer, que ses succès élaienl bien connus, qu’il
savait
posséder de la puissance, et sui tout qu’il avait
la est nouveau, qu’on peut faire ainsi des tours de force, qu’on peut
savoir
ce qui se passe chez le voisin ou la voisine, ce
deslinalion en les faisant servir à satisfaire sa folie ! Ah! je le
sais
, et grâces en soient rendues à Dieu, tous les mag
nt partisan, ou honnêtement adversaire de celle doctrine. Ceux qui ne
savent
pas assez doivent chercher el s’éclairer, ceux qu
teucci ne laissent plus de doutes à cet égard aux physiologistes, qui
savent
qu’un filet nerveux d’une cuisse de grenouille ap
la main, un portefeuille, un billet dans votre portefeuille, vous le
savez
, vous y pensez, cela suffît pour qu’ils le disent
, qui par cela seul éloigne lout esprit positif. C’est donc de ne pas
savoir
ou vouloir distinguer ces deux ordres que vient l
s, suivant vous, elles acquéraient la faculté prophétique, tandis que
sait
Jérôme dit positivement que celle faculté élait l
chloroforme, dit dans \e Constitutionnel du ZG novembre : « Qui ne
sait
que le sommeil magnétique a été invoqué pour enra
été repoussé des salles de clinique chirurgicale ? Parce que nous ne
savons
pas, dans une doctrine, faire équitablement la pa
ent avec lui. (Jne jeune fdle donl toute l'instruction se bornait à
savoir
lire son missel, me disait pendant son sommeil ma
îtra pas. En un mot, l’instinct agit sûrement mais fatalement , et ne
saurait
être détourné de son objet sans qu’il s’ensuive u
véritablement des actes de Vhutmct. Et, par une coïncidence qui ne
saurait
être fortuite, tous (1) C'est-à-dire un acte co
ayonne, dans un panier que recouvre la bâche d’une diligence, on ne
saurait
supposer qu'il prenne connaissance de la route et
s seraient le jouet de continuelles déceptions et périraient faute de
savoir
trouver l’aliment qui leur convient, le climat qu
r aussi ces manifestations extérieures qui, chez l’espèce humaine, ne
sauraient
s’expliquer par des actes de l’intelligence ni pa
la cause. On me permettra de rappeler une autre anecdote dont je ne
saurais
garantir l’authenticité, mais qui, si elle est vr
veloppement, l’ensemble des facultés départies au règne animal. On ne
saurait
faire d’exception en faveur de [’instinct. 3° C
’il semble impossible d'affirmer ce qu’elles ne produiront pas. Je ne
sais
quel homme de mérite disait qu’il regarderait com
te, si peu faite pour attacher ceux qui ne la possèdent pas, Mesmer a
su
être clair, facile et très-iniéressant. Il contes
moyens que Mesmer explique la communication du feu magnétique qu’il a
su
provoquer dans une série de matières les'plus sub
es cliniques particulières, par des hommes ayant donné des gages d'un
savoir
et d'une moralité indiscutables. Dans ces condi
ggère que, à son réveil, elle verra devant elle M. O.... qui. elle le
sait
, a tenu sur son compte les propos les plus offens
rroge : « Qu'avez-vous fait ? — J'ai pris une pièce de cinq francs. —
Savez
-vous que c'est très mal ? c'est un vol ; comment
volé ? — Jamais. — Pourquoi l'avez-vous fait tout à l'heure.? — Je ne
sais
pas. c'est une idée. — Mais, ne vous l'aurait-on
oupable, on peut vous poursuivre, vous serez condamné à la prison, le
savez
-vous ? — Je le sais, mais cela ne me fait rien. —
poursuivre, vous serez condamné à la prison, le savez-vous ? — Je le
sais
, mais cela ne me fait rien. — C'est peut-être ce
ce et me la remet, sans pouvoir expliquer pourquoi il agit ainsi ; il
sait
seulement que cette pièce est à moi ; comment il
t ainsi ; il sait seulement que cette pièce est à moi ; comment il le
sait
, il ne peut le dire ; mais, enfin, il le sait, et
t à moi ; comment il le sait, il ne peut le dire ; mais, enfin, il le
sait
, etc. 2° M. Bernheim le rendort et lui dit : c
Per- » sonne. — L'idée est donc venue de vous ? — Parfaitement. — »
Savez
-vous que c'est très grave ? il vaudrait mieux dir
s, s'appliquerait également bien « au sujet » de M. Bernheim. Je ne
sais
si je ne me fais illusion, mais je crois qu'il y
e ces procédés s'adressent à la profession elle-même? Tout le monde
sait
que le médecin est le témoin des misères humaines
le monde sait que le médecin est le témoin des misères humaines : on
sait
qu'il est le confident du secret des familles; il
c son médecin. » On prête ce propos à Sainte-Beuve. Il importe peu de
savoir
jusqu'à quel point il est authentique. Mais j'en
ire remarquer: là n'est pas la question. La véritable question est de
savoir
si, par l'hypnotisme, on peut atteindre la volont
si on peut la diminuer plus que par tout autre moyen; il faut surtout
savoir
si l'on peut vraiment supprimer le libre arbitre
Nous devons cependant appeler l'attention sur » un point important, à
savoir
que de pareilles expériences exigent une » grande
; qu'ils aillent assister aux séances publiques d'hypnotisme, et ils
sauront
comment ils doivent se prémunir contre les danger
re que le P. de Bonniot ait traitée avec quelque esprit scientifique.
Savoir
ce qu'en définitive il y a de commun entre l'enfe
ents naturels existent, dont nous n'avons pas même l'idée. La science
sait
, par exemple, qu'avant que cette force spéciale q
étudié est apparu comme procédant d'une loi générale. La science
sait
encore que, même parmi les agents dont s'occupe a
de modifications, d'actions et de réactions qui nous échappent; elle
sait
que chaque jour nous apprend quelque chose que no
rions la veille, que chaque matin éclaire une erreur de la nuit; elle
sait
que se prononcer sur un cas incertain, c'est fair
compliqué de détails contestés, entouré de circonstances obscures, ne
saurait
avoir pour cause un agent naturel. Elle craindrai
lle interrogation, la science se taira. Pour parler, elle attendra de
savoir
. D'ailleurs, ce n'est pas à la science que le P
semble continuellement préoccupé de faire croire à ses lecteurs qu'il
sait
ce que c'est que la science. La multitude, P. d
ion est debout. Or, une objection, c'est un obstacle que la raison ne
saurait
franchir sans cesser d'être la raison. Elle doit
n impuissance, voilà, en définitive, ce qu'il en tire, et ce qu'il en
saurait
tirer de mieux. Dès lors, sournoisement, il a rec
roncher. Aujourd'hui il n'a qu'une idée : s'y soustraire... sans trop
savoir
pourquoi... affaire de caprice, voilà tout. Il do
issable, il serait certainement complice; mais que la question est de
savoir
s'il peut être considéré comme co-auteur; » Att
é pour revêtir celle d'un autre ; » Que, dans ces conditions, on ne
saurait
dire qu'il a joué un rôle actif; qu'il c'était qu
if dont il vient d'être parlé ; » Qu'à aucun point de vue, David ne
saurait
donc être retenu dans les liens de la prévention;
ux-mêmes; interrogée par eux, elle répond que je suis absent, elle ne
sait
pas pourquoi; peut-être vais-je revenir tout à l'
a apporté le verre qu'elle vient de poser sur la table : elle ne
sait
ce qu'on veut lui dire : elle n'a pas bougé : il
yllogisme et ne se doute pas qu'elle vient de me l'emprunter, sans le
savoir
. (1) Asile d'aliénés, près de Nancy. Voulan
'y aurait-il pas une analogie plus ou moins grande, et peut-être, qui
sait
? une véritable identité, entre ces hallucination
états que j'ai décrits dans mon livre sur Les forces non définies, à
savoir
: I° Etat de crédulité ; 2° Léthargie (1) ave
qu'il y a à taire pour amener la guérison. ou bien il répond qu'il ne
sait
pas. ou bien il indique des remèdes provenant évi
plus que deux personnes au monde : le magnétiseur et lui ; encore ne
sait
-il plus ni leurs noms, ni aucun détail sur eux.
IDITÉ Un peu lourd. (Avec beaucoup d'hésitation) Benoist. Je ne
sais
plus. Le commandant... je ne sais plus le reste
up d'hésitation) Benoist. Je ne sais plus. Le commandant... je ne
sais
plus le reste. Je ne sais pas si vous en avez.
Je ne sais plus. Le commandant... je ne sais plus le reste. Je ne
sais
pas si vous en avez. Connais pas. (Il cherche
ert à rien. (La suggestion ne s'exécute pas.) Assez bien. Je ne
sais
pas, ça m'est bien égal. Je ne sais pas. Je n
ute pas.) Assez bien. Je ne sais pas, ça m'est bien égal. Je ne
sais
pas. Je ne sais pas. Connais pas. Connais pas.
bien. Je ne sais pas, ça m'est bien égal. Je ne sais pas. Je ne
sais
pas. Connais pas. Connais pas. Je n' en sais ri
e ne sais pas. Je ne sais pas. Connais pas. Connais pas. Je n' en
sais
rien. Je ne sais pas. Un. deux. . je ne sais
ne sais pas. Connais pas. Connais pas. Je n' en sais rien. Je ne
sais
pas. Un. deux. . je ne sais plus. .Je ne sais
nais pas. Je n' en sais rien. Je ne sais pas. Un. deux. . je ne
sais
plus. .Je ne sais pas. Il y a certaines chose
sais rien. Je ne sais pas. Un. deux. . je ne sais plus. .Je ne
sais
pas. Il y a certaines choses que je ne puis me
é; mais, ignorant les phénomènes qui les caractérisent, je n'ai point
su
les mettre en évidence ; je me suis borné à cherc
i se passe journellement dans les expériences d'hypnotisme. Ceux-là
savent
qu'entre les mains d'un hypnotiseur habile, il n'
. M. Luys. — Les personnes qui s'occupent de recherches hypnotiques
savent
combien il faut de persévérance, de fatigue et d'
ivacité de l'imagination et à la lucidité de l'intelligence. Celui-là
sait
ce qu'il veut. Il le sait pertinemment. De longte
t à la lucidité de l'intelligence. Celui-là sait ce qu'il veut. Il le
sait
pertinemment. De longtemps, sa décision est prise
es, puisqu'on réalité ils n'existent pas? La simulation, alors, on ne
saurait
trop y insister, n'a aucun but. A proprement parl
n est heureusement rien. Des expériences et des travaux personnels ne
sauraient
engager que la responsabilité de leur auteur. Si
rête et la plaie se guérit. Ces points admis, surgit la question de
savoir
quel est le mécanisme de cette action de l'idée s
ause psychique. Les paralysie» psychiques n'atteignent, comme on le
sait
, que les muscles soumis à la volonté, c'est-à-dir
trons des faits de ce genre, et pour ceux-ci comme pour ceux-là, nous
savons
, à n'en pas douter, que leur évolution est subord
iendra d'autre pan, comme par magie, sur l'ordre de l'hypnotiseur. Je
sais
cela, mais il n'y a pas là la preuve évidente que
as là la preuve évidente que le danger signalé soit illusoire, car je
sais
aussi, et tout physiologiste, tout psychologue sa
illusoire, car je sais aussi, et tout physiologiste, tout psychologue
sait
également que dans ce qui est fait, il y a toujou
ces deux étais aient de nombreux points de contact, c'est ce qu'on ne
saurait
nier, surtout si l'on ne perd pas de vue que le l
point sujettes, du moins je n'en ai point vu dans cet ciat-la. Je ne
sais
. Monsieur, si vous en avez vu dans l'état que je
arrivait souvent aux convulsion-naires ¦ de prendre les maladies sans
savoir
si les personnes sont malades, ni la nature de le
au-dessus du poignet et se plaignait d'y souffrir beaucoup. Or. je ne
savais
pas moi-même où mon frère avait voulu se brûler.
encore son poignet droit et se plaignait d'y souffrir beaucoup, sans
savoir
pourquoi. Le lendemain, elle soignait encore son
a sa table, il sort de sa chambre, suivi de son camarade qui tenait à
savoir
ce qu'il allait faire. Il se rend droit à la ch
ences contradictoires. Elle pensa que, dans une telle question, on ne
saurait
prendre assez de précautions. Elle fit placer dan
es d'expérience*, nous avons obtenu une symptomaiologie semblable. On
sait
que, chez ces malades, Us faits observés sont tou
une contradiction préjudicielle entre la notion fondamentale relative
su
mode d'action physiologique des substances toxiqu
t produits, ce qui confirme encore ce que je disais tout i l'heure, à
savoir
que les magnétiseurs ambulants ont nui à la conna
arderait pas en prison. — Chez une jeune fille de quinze ans, de Haen
sut
démasquer la simulation de la surdité d'abord, pu
vue. des gâteaux et un bol de lait. Sous l'aiguillon de la faim, elle
sut
fort bien se lever, dans la nuit, et aller cherch
nt. Par malheur, ainsi que le fait remarquer Broussolle [i , « ils ne
savent
pas boiter », ils exagèrent, ei un œil exercé n'a
n a bien objecté qu'on peut hypnotiser les animaux. Effectivement, on
sait
que des chiens, des chevaux, des coqs ou des poul
Quel est donc le mécanisme de la production du somnambulisme ? Nous
savons
qu'en dehors de l'état d'hypnotisation, le systèm
siologiques du sommeil naturel ? Cette ignorance ne prouve rien. Nous
savons
que l'on peut produire, par des moyens divers, un
r que nous désignons sous le nom d'hypnotisme, cela nous suffit. Nous
savons
aussi que l'on produit les trois états de létharg
i désigner par le nom d'hypnose, est assurément indifférent, et je ne
sache
pas que l'on ait jamais condamné le chirurgien qu
-nous bien le sommeil naturel, les rêves, le somnaanfl lisme naturel?
Savons
-nous si le sommeil nerveux provoqué par l'éther,
estions à longue échéance avec abolition partielle de la liberté ? Ne
savons
-nous pas que quelques physiologistes ont prétendu
in? Ce que nous ignorons dépasse, comme l'infini, ce que nous croyons
savoir
. Soyons modestes. Il faut donc attendre, et se dé
mbre dernier, on aagité, dans une séance intéressante, la question de
savoir
si l'étude de la médecine et l'exercice de cet ar
sme a une réunion de médeoins, l'un d'eux dit qu il serait curieux de
savoir
si. en cet état, il serait possible de faire devi
tionnel. L'hypnotisme pourrait seul rendre compte de ce phénomène, On
sait
que plusieurs observations d'accouchements effect
ant le sommeil hypnotique ont déjà; été publiées dans cette Revue; on
sait
de plus qu'un grand nombre d'opérations graves on
ait seul le conduire, lui sont devenus indifférents. Il lui suffit de
savoir
qu'il a bien fait. Les tentations mêmes ne vienne
Auparavant, me di-» satt-il, je croyais que tout m'était dû et je ne
savais
reconnaître aucun » bienfait; maintenant, j'appré
les faits qui se sont passés en dehors, de ses crises de sommeil. Il
sait
qu'il se lève quelquefois La nuit, parce qu'on le
lieu, mais nous voyant avec lui. il s'est repris et a compris. Il ne
savait
pas comment ÎI était venu, ni ce qu'il avait fait
l'effet? il n'y a rien d'absolu : le rapport de causalité, dont on ne
saurait
d'ailleurs méconnaître la constante étroi-icsse.
garde, et pourtant, empruntés à la fiction, les mobiles des actes ne
sauraient
plus être qu'artnciels. La distinction entre le b
ent plus être qu'artnciels. La distinction entre le bien et le mal ne
saurait
plus devenir que pure convention. A ce jeu sinist
al se perd. Sourdement, se glisse dans l'enchaînement des idées un ne
sait
quelle pernicieuse indécision. Selon la nature de
mble de l'absurdité et de la sot:ise. D'une manière générale, on ne
saurait
trop le répéter, la crainte est un moyen de direc
euve de ce qu'il avance en démontrant l'existence de celui-ci, car il
sait
très bien que la science contemporaine, en généra
ement guérie. Le public connaît ces faits ou d'autres pareils. Il les
sait
authentiques, et c'est sur eux que s'appuie sa co
é publique. j'en ai connu, pour mon compte, de fon hou:.êtes, et j'en
sais
d'éclairés; aussi m; sl;i* '-¦ appli-; qué à déco
aude, se pénétrera de 1'ctuJe médico-sociale du docteur Monin. Et qui
sait
combien seroati sauvés par cette seule lecture :
sa curiosité. Notre savant ne pouvait expliquer nettement ce qu'il
savait
le mieux, s^H mouvement du corps ne lui venait en
ttent ù moitié entre les mains d'un médecin et prennent ensuite je ne
sais
quel malin plaisir à le tromper! La morphînomanie
ombier guéries par hypnose et suggestion.) pulido : El hypnotismo y
su
empleo medico. .Siglo méd. année XXV, n° 1805,
ien la conscience ignore la sensation réellement perçue : le sujet ne
sait
pas qu'il l'a perçue et la nie. Hffcî démontré
i donnent (i). Je vais démontrer que ce qui est vrai pour la cécité
su
itérée est vraî pour toutes les hallucinations né
rchique des auteurs, l'objet est vu, mais non interprété; le sujet ne
sait
plus ce qu'il voit; il a perdu la mémoire local*
aux autres personnes. J'ajoute, d'un air convaincu: c D'ailleurs, je
sais
tout! Je ne suis pas votre dupe! Vous êtes une ma
omènes sensoriels. Cette expérience, je l'ai répétée chez plusieurs
su
:e*.s susceptibles d'hallucinations négatives. Che
oût à rien, elle ne vivait plus; ses idées s'embrouillaient ; elle n?
savait
plus compter; elle ne pouvait plus penser à rien
plutôt comme une aveugle. Elle ne se souvient pas de tout cela, maïs
sait
seulement qu'elle était très impressionnée. Elle
manœuvres, constituant un véritable danger pour la santé publique, ne
sauraient
être trop sévèrement réprimées (a). ^NÉVROPATHI
on de complaisance, non sans lui avoir recommandé de venir m'en faire
savoir
l'effet. Le lendemain, je détournai la conversa
des accidents de ce genre doivent être conjurés, ce n'est pas, que je
sache
, au professeur de philologie, ni même au professe
'occasion n'auraieut jamais commencé leur»; manoeuvres, s'ils avaient
su
qui:*exposaient '.cars sujets à un danger sérieux
es affections nerveuses. Dans les cas de ce genre, la théorie pure ne
saurait
mener bien loin; elle doit égarer même, si l'expé
substance active qui reste dans les dilutions etendues, il suffit de
savoir
que la 3e dilution en contient un millionième, et
hygiène, à la suggestion. Le public i-nore, ci bien des médecins ne
savent
pas assez que c'est -toujours la nature qui gucTi
Tout est dû à l'état d'esprit du malade et à l'empire que le médecin
sait
prendre sur lui. Jusqu'à ces dernières années, ce
y, en août 1886, que fut posée, pour Ja première fois, la question de
savoir
s'il ne serait pas utile de se servir de la sugge
loppé. Urine au lit depuis sa naissance. Intelligence assez médiocre.
Sait
lire et écrire. Caractère doux. 11 a éié renvoyé
^Kunp visuel. On s'imaginerait difficilement jusqu'à que; point elle
savait
conjecturer, d'après de faibles indices, nos lait
ne peut pas donner de preuve plus tangible de ce eue j'avance, à
savoir
que le sujet se prête à ce qu'on lui demande avec
a le cône de vide. C'est ainsi que nous-mêmes, dans l'état de veille,
savons
voir, à travers la cloison qui nous sépare d'un a
(car, à l'avenir, le criminel ne doit plus opérer lui-même), mais qui
sait
se servir avec habileté du sommeil provoqué. Ces
u'on leur imprime; enfin, le somnambulisme. Cet état s'obtient, on le
sait
, en exerçant un léger frôlement sur le vertes des
t d'abord cru pouvoir invoquer en faveur de la suggestion mentale. On
sait
ce qu'on entend par ce mot. C'est la suggestion p
f*îts de cet ordre qui ont donné naissance aux appréhensions que l'on
sait
au sujet des dangers de l'hypnotisme. J'ai dit co
e trop souvent sans résultat toutes les ressources de la pharmacopée,
sait
le parti qu'il peut tirer pour le grand bénéfice
e ce sommeil, on est sans inquiétude sur le compte de cette femme, on
sait
qu'elle se réveillera un jour ou l'autre, qu'elle
une des modalités de l'attaque J hystérie: il est indispensable de le
savoir
pour éviter des erreurs préjudiciables au malade
eu ainsi secondairement au phénomène de cons-Bence : le sujet voit et
sait
qu'il voit. Ceci est le second acte, psychologiqu
sychique, est altéré: la perception n'est pas consciente. Le sujet ne
sait
pas qu'il voit. C'est là ce que j'appelle cécité
a jamais prétendu qu'il s'agisse là d'une simulation. L'hystérique ne
sait
pas que la cécité unilatérale est un des symptôme
rale est un des symptômes qui se rencontrent dans sa maladie. Elle ne
sait
pas qu'elle en est affectée. C'est par hasard, qu
de coordination nécessaire à l'écriture : ces mémoires ont. comme on
sait
, des localisations spéciales dans le cerveau : el
iant sur les paupières. Lance est tout d'abord étonné; il dit ne plus
savoir
où il est. Revenu à lui après quelques secondes d
el le jeunet» a droit — maxima debetur puero reverenlia, comme chacun
sait
; — an mépris des ordonnances les moins équivoques
préalable, se sont manifestées, saisir l'occasion de les éveiller, en
savoir
tirer parti est, en une foule de circonstances, u
hèque scientifique internationale, 1S79, P*ris.) n'en abusez pas.
Sachez
en pressemirer. respecter la limiievCommencez pou
animation. A la faveur de l'émulation qu'un semblable entraînement ne
saurait
manquer de susciter, les inflictions perdront jus
mis jusqu'ici une coupable mollesse àrompre avec des traditions qu'on
sait
désastreuses et contre lesquelles, en dépit d'int
quelles, en dépit d'interdictions formelles et faisant loi, par on ne
sait
quelle sen-(r) Dclasiauve. Sature et degré de l'e
Meunier. Lutte du principe c.'éricat et du principe laïque, p. 174 c!
su
(3) Fonssagrives, L'Éducation physique des garç
s d'un enseignement reposant sur des bases physiologiques, la base ne
saurait
donc être trop large pour les exercices de raison
mbarrasser dans tes détails. Par habitude, toute chose se trouve mise
su
point, classée selcn son importance effective, es
(1) Rapport adresse à M. le Miniàire de l'Instruction publique.
sait
les douze mois consécutifs- et. à la fin de chaqu
st incontestablement due à un acte inhibitoire ; 20 sur tout ce qu'on
sait
des circonstances qui précèdent ou accompagnent l
ion périphérique. A ce fait il importe d'ajouter ce que tout le monde
sait
à l'égard de l'influence somnifère de ecttaines i
ble qu'il soit dans le cerveau proprement dit, car, ainsi que nous le
savons
, les oiseaux et surtout le pigeon dorment et se r
re scientifique, d'appréciation et de pratique médicale. ? » Ils ne
sauraient
davantage se prononcer sur l'opportunité d'une op
dire compare à 1 état mental de 1 h? pno us*. M. le Dr Lober avait
su
s'attirer. » la Faculté de Ulle. I est:me de tous
mais beaucoup moins convulsïve. En 1887. devenue enceinte sans trop
savoir
où ni comment,— probablement dans son sommeil hyp
rès d'elle, dans son Il est donc probable que, devenue grosse sans le
savoir
, de même qu'accouchée sans le savoir, elle n'a co
able que, devenue grosse sans le savoir, de même qu'accouchée sans le
savoir
, elle n'a connu de sa gros- sesse que sa péri
je suis l'observation depuis plus de quatre ans. et il m'importait de
savoir
si je la retrouverais avec les mêmes ïmpressionna
illée quelques minutes après, tout est oublié. — elle n'a rien vu, ne
sait
rien. Je lui présente alors, à l'état de veille
mais ne m'en demandez pas l'explication, car, scientifiquement, je ne
saurais
vous la donner. Voici ma main gauche que je pla
irement. Je lui demande ce qu'elle voit sur la table ? R. — Je ne
sais
pas, dit-elle. Vous savez bien que je ne vois pas
récipitamment à ses lèvres, et avale d'un trait tout le contenu, sans
savoir
ce qu'elle boit. Je lui fais présenter un secon
qu'elle voit dans sa :r«a!n avec étonnement. D. — Ecrivez... je ne
sais
pas... Ecrivez : Monsieur.... Elle commence, et é
lTÉ DE G Eft TE A la suite d'un nombre immense d'observations. nous
savons
quefles hallucinations proprement dites, c'est-à-
plus vif et plus général, qu'à l'instar de certains magnétiseurs, il
saura
mieux s'envelopper d'une auréole de mvstère. Da
té témoin de quelques-uns des résultats relatés plus loin. Mais je ne
sache
pas qu'on l'ait fait servir jusqu'ici à des expér
et dans cet ensemble harmonique de deux mains qui s'accordent, on ne
sait
ce que l'on doit admirer, ou de la façon isolée d
ces de sa mémoire, de son discernement et de sa compréhension. II
sait
, comme quand il a appris à lire, qu'à un signe gr
u dupianiste. se trouve encore ampliñédans certaines conditions. On
sait
en effet que, normalement, les pianistes interprè
es durables, mais je ne l'ai pas tenté. Dans la pratique, îe n'ai pas
su
jusqu'ici surmonter les scrupules qui me font cra
était vraiment pas possible de les comprendre, ou du jaoins que je ne
sais
sous quel chef classer leur réponse. Ainsi, à ceu
état pathologique (1), je la considère comme un fait normal qu'on ne
saurait
trop mettre en lumière, tant ses conséquences peu
ns oui n'ont pas compris ce qu'est la suggestion et qui n'ont pas
su
détruire les auto-suggestions de tremblement nerv
nte. La perception à l'état de veille n'en est pas moins, comme on le
sait
, un phénomène purement central, lors même qu'il e
chée s est-elle propagée dans le cer\eaur Il est clair que nous ne le
savons
pas- Mais il est certain que cela varie beaucoup
clarté de l'effet dépendra aussi du degré de sommeil ou de veille. On
sait
que tous les états intermédiaires se produisent e
te illusion, etc. M. Bemheim a clairement montré, qu'en génère!, le
su
;ct qui, dans l'hallucination négative, n'a subjec
e, très versé sur lès questions psychologiques et sur l'hypnotisme, a
su
cependant demeurer assez passif pour se laisser h
dingote du dormeur. Maintenant, m'adressant à M. B. : Moi. — Vous
savez
que vous nie devez encore cinq florins ? B. — M
res causes, telles que la diiTé-renec des méthodes, la différence des
su
jets d'expérience, et même leserreurs commises pa
e-Marie; cette jeune fille, chez laquelle le diagnostic d'hystérie ne
saurait
être mis en doute, n'a pas encore affirmé netteme
ue des choses. Quelques citations vous démontreront mieux que je ne
saurais
fe faire, à quelle hostilité se trouve en butte l
storique. Je n'ai aucune difficulté à reconnaître (et tous ceux qui
savent
combien j'admire l'œuvre de Charcot n'auront aucu
théories. Et cependant, je maintiens ce que je vous ai dit naguère, à
savoir
que fes deux théories sont trop absolues, qu'il e
ensuit pas forcément que ce soit le seul. L'Ecole de la Salpêtrière
sait
mieux, que personne de quelle, valeur minime est
t lui restent supérieurs. Nous avons acquis sur cette malade, vous le
savez
, une grande autorité. Eh bien! nous avons essayé,
faisais répéter cette CX CAS d'hYSTVBIE GRAVE 3?Q phrase : « Je
saurai
vaincre mes mauvaises idées et je saurai me domin
IE GRAVE 3?Q phrase : « Je saurai vaincre mes mauvaises idées et je
saurai
me dominer. Rien ne me retiendra d'aller à la sel
ession de son désespoir. Pour lui ni pour ceux qui l'entourent, il ne
saurait
plus y avoir de repos, plus d'intérieur réglé, pl
crier : • Votre mari vous trompe avec la concierge, tout le monde le
sait
. » Et puis dans la rue on la regardait d'un air n
nteurs, de » dissipatcurs.de débauchés, de criminels même, dont on ne
saurait
» dire qu'ils doivent être mis au rang des fous,
que la malade présente des points douloureux dans les régions sous et
sus
—mammaires des deux côtés et de l'anes-thésie des
objections vitales faites à chacune de ces formes de l'hypnotisme, à
savoir
: la simulation pour l'hypnotisme de Nancy. la cr
ut contestep ne suffit pas à établir la doctrine de la Salpêtrière, à
savoir
que le petit hypnotisme est le diminutif du grand
ins dans les émotions où elle n'a pas été observée directement que je
sache
. Aussi ai-je cru utile d'appeler l'attention sur
appeler l'attention sur ce point. Les épilcptiques sont, comme l'on
sait
, fort sujets à des mouvements de colère, en dehor
ts, par l'intermédiaire de l'un ou de l'autre hémisphère cérébral. On
sait
que chez les chiens et les singes, les applicatio
ire des effets généraux des excitations locales (i . Les électriciens
savent
du reste parfaitement que les accidents de ce gen
el. Siederoes'terr. Schull-Ztg., 1888. pi 1.1 do : El hvcnoiismus v
su
emplco medico. Cron. med., t. XII. ?41. Valencia.
arquer l'entrée de l'hypnotisme dans l'enseignement officiel. On ne
saurait
trop rappeler ces règles dont un expérimentateur
. On ne saurait trop rappeler ces règles dont un expérimentateur ne
saurait
s'écarter sans courir le risque de s'égarer dès l
ce particulièrement indispensables dans des matières si délicates, il
saura
éviter tous les dangers qu'on impute assez fréque
causant à haute voix avec plusieurs personnes. Tout d'un coup, je ne
sais
pas pourquoi, monsieur vient à moi, me donne des
er-Levrault; j'ai composé sur la Revue médicale de l'Est. — Eh bien !
savez
-vous qui est monsieur ? — Non, monsieur, je ne le
ur a battu et volé un pauvre garçon comme vous ? — C'est vrai ; je ne
sais
pas pourquoi ; mais je ne peux pas dire le contra
et hallucinable à l'état de veille et de sommeil. II est intelligent,
sait
lire, écrire, calculer; sa mémoire est remarquabl
, ce matin. Ne te gène pas ! N'aie pas peur. Tu peuxle dire, si tu le
sais
. » —Il se recueille quelques instants, puis affir
es quelques sous à un pauvre garçon: Cela n'est pas croyable. — Je ne
sais
pas pourquoi, mais il me les a pris. » Voici un
e le dirais à M. Bernheim! — Vous avez rêvé. » — Elle se fâche : « Je
sais
ce que je dis ; je ne suis pas maboule! Tous les
ter en chirurgie; l'autre a saigné du nez. » — Il me répond : « Je ne
sais
pas, je n'y étais pas. — Rappelez-vous, lui dis-j
chez les accusés, dans le but d'obtenir des aveux. Mais le magistrat
sait
-il qu'il est exposé, avec une effrayante facilité
as des mensonges; il y al des mystificateurs et des mystifiés sans le
savoir
; il y a des gens qui se dupent eux-mêmes ; il en
funeste ne pouvaient être que le fait du Malin, qui, comme chacun le
sait
, se plait à induire les hommes en tentation et la
plus compétentes que je ne pouvais l'être dans cet ordre d'idées. On
sait
qu'elles étaient restées infructueuses. Grâce à l
n le 10 avril 1886. Je fus informé de ce qui précède et consulté pour
savoir
si des suggestions hypnotiques pouvaient avoir qu
encore, d'autre part, à nous préoccuper des contractions utérines ; à
savoir
: si l'action perturbatrice de l'hypnose n'entrav
Tiens! qu'est devenu mon ventre? — Ce n'est pas possible? Elle ne
sait
rien de ce qui s'est passé dans la nuit... elle n
e si son enfant est une fille? Elle ignore absolument le sexe qu'elle
savait
une minute auparavant dans le sommeil hypnotique:
mettre fin à ses déroulements de personnalité. Il nous suffisait de
savoir
que lorsque V... se déroute, telle paralysie motr
mettre d'accord la science et la tradition. Érudit bibliophile, il a
su
trouver dans les auteurs anciens des faits étrang
ssant rester éveillés, n'est peut-être qu'un effet de la polarité. On
sait
que Valentin Greatrakes opérait des cures extraor
sente avec celui de l'appareil musculaire la plus grande analogie. On
sait
qu'on peut aimanter une aiguille de fer doux en l
ées inconnues au sujet : en dépit de tous les efforts, un illettré ne
saurait
écrire, pas plus que celui qui ignorerait l'alpha
ré ne saurait écrire, pas plus que celui qui ignorerait l'alphabet ne
saurait
lire sous l'influence de la suggestion. Il y a
uteur a soutenue au point de vue de l'anthropologie criminelle. On le
sait
. la vieille Ecole classique invoque, pour la répr
bre est aboli. Ainsi donc, ce qui constitue l'immoralité de l'acte ne
saurait
être établi pendant l'hypnose. Si l'acte n'est
en pareil cas, s'assurer que le sujet ne simule pas; l'expérience ne
saurait
avoir la valeur d'une preuve légale qu'à la condi
irée. Cependant, il faut bien qu'ils travaillent, et il faut qu'ils
sachent
aussi que telle est la loi de ce monde, où l'on n
. Les applaudissements unanimes qui l'ont accueilli indiquent qu'il a
su
apporter la note vraie dans ce débat si instructi
i, du reste aujourd'hui plus que jamais, pourrait bien leur échapper.
Sachons
donc bien, tous, ce que nous faisons, quand nous
. Quant a moi. s'il m'est permis de me mettre en cause, le peu que je
sais
, c'est a l'Université que je le dois : je ne
, le peu que je sais, c'est a l'Université que je le dois : je ne
saurais
jamais lui en témoigner tissez ma reconnaissance.
s scientifiques. Mais un esprit aussi peu routinier et aussi avide de
savoir
ne s'arrête pas la. Il ne croit pas ; mais il sai
t aussi avide de savoir ne s'arrête pas la. Il ne croit pas ; mais il
sait
que rien n'est brutal comme un fait, et, s'il y a
nt moi-même une suggestion. Là. il faut cous arrêter quelque peu et
savoir
que la suggestion mentale n'est pas possible dans
reur que rien n'autorisait. II n'est pas de médecin, en effet, qui ne
sache
que ces faits, très intéressants d'ailleurs, n'on
anesthésie des sclérotiques et des points douloureux dans les régions
sus
et_ sous-mammaires droites. La malade éprouve con
ier Dieu de votre guérison. » Vous direz à votre frère que vous lui
savez
grand gré d'avoir quitté sa » famille pour vous
milieu; social, consacrait un chapitre spécial à la suggestion, « On
sait
, écrit-il. que les cellules cérébrales. lorsqu'el
u; car l'un n'ayant point de souvenir de l'au-delà de sa naissance ne
saurait
s'étonner de rien, ni manifester les révoltes qu'
ants et incapables de dominer les émotions qui les ébranlent ! - Ne
savons
-nous pas tous que si nous avons sur certaines que
é personnelle. C'est ainsi qu'au théâtre, par exemple, alors que nous
savons
que tout ce qui se déroule devant nos yeux n'est
n intérêt toutes les questions afférentes à ce sujet ne sont pas sans
savoir
que ces phénomènes nerveux si complexes sont régi
nomènes étranges de la sollicitation expérimentale des émotions. On
sait
, en effet, combien dans cet état spécial les suje
érent tient un encrier à la main pendant, qu'endormi, il écrit, il ne
sait
pas où tremper la plume; il me suffit alors ou de
illes propriétés physiques sont assurément fort remarquables, mais ne
sauraient
étonner ceux qui sont familiarisés avec l'étude d
pe, soit de dix à vingt ans, comment est constitué le cerveau. Vous
savez
tous, messieurs, avec quelle intensité le travail
ment les différents départements de l'é» eorce.et, vraiment, si on ne
savait
pas par avance la différence d'âge qui sépare ces
jouter foi aux recherches si ingénieuses de notre re-gretté Broca, ne
savons
-nous pas que, suivant lui, le cerveau des Parisie
upure salutaire dans la continuité de ses travaux ; et puis encore ne
savons
-nous pas tous que toute cette jeunesse qui assist
imagination que, dans les classes de lettres, on fait appel ; et vous
savez
combien, dans certains concours de récitation, la
lle il joue un rôle. C'est une jeune fille qui a de la mémoire et qui
sait
chanter. Elle organise immédiatement une petite s
re son chant — et en même temps il devient hésitant, incertain, il ne
sait
plus s'il doit avancer ou reculer, il est tituban
grand ; ce qui ouvre des horizons nouveaux et dégage des inconnues.
Sait
-on ce qu'il faut pour arrêter la vie de certains
i s'en sont occupés sont d'accord sur la réalité des faits. II n'en
saurait
être de même de leur interprétation, et c'est sur
avec les doigts. Les frictions s'exécutent avec la main, comme on le
sait
. Le pétrissage se fait, tantôt en soulevant seule
non exclusivement exercé, qu'une diminution dans la force. Mais nous
savons
que cette infériorité se traduit non seulement pa
ces documents, c'est que l'on n'est pas impunément gaucher. Aussi ne
saurai
-je me rallier à la conclusion de M. L. Jo-bert. q
gen im Kindesalter. — Troubles psychiques chez l'enfant. (2e supplém.
su
Traité des maladies des enfants, de Gerhardt.) —
pronostic de la « maladie de la boisson » est des plus graves, on le
sait
. Les dictons populaires en témoignent assez. J'ai
e notre malade. 11 a été très précoce à l'école, très intelligent, et
savait
lire à 3 ans. Or. à l'âge de 6 ans, il fut enivré
espondent Blatt fûr Schweiger Aerzte, 15 août 1887. de vin. On ne
saurait
attacher une importance trop grande aux événement
suggestion d'être de bonne humeur qui opère ? Est-ce forfait ? Je ne
sais
. Mais il y a un fait certain, c'est que vous
née. Ce que j'éprouve à cet égard est même digne de remarque et je ne
sais
trop comment l'expliquer. La douleur doit être tr
l, regarde fixement un objet brillant, condition excellente, comme on
sait
, pour déterminer le sommeil. On remarque que les
ésultats cherchés. L'action bienfaisante n'est pas bornée, comme on
sait
, aux affections d'origine hystérique ; elle s'éte
de sagesse. L'hypnotisme a ses avantages et ses inconvénients ; on ne
saurait
partager les craintes exagérées qu'expriment cert
e l'imperfection des procédés employés dans quelques cas ; mais on ne
saurait
non plus regarder, d'accord avec le docteur Béard
estif ou des voies aériennes), et cela par simple suggestion. On ne
saurait
trop insister sur les phénomènes d'inhibition qui
es urines d'un de vos patients ? M. Bernheim. — Non , jamais que je
sache
. J'ai essayé d'agir chez des diabétiques, j'ai pu
un cas véritablement typique d'une affection encore mal connue. On ne
sait
comment la dénommer; M. Charcot l'appelle la mala
st considérablement modifié, elle obéit maintenant du premier coup et
sait
se dominer pour faire ce qu'elle veut. Mademoisel
scendante. 11 est en effet tantôt excitant, tantôt résolutif, mais on
saura
désormais : 1° qu'il provoque la contracture en d
vec une grande assurance que tout ce qu'il dit est bien la vérité. 11
sait
qu'on lui a défendu de parler, mais il parle parc
névroses et d'habitudes morbides invétérées, en font un usage qui ne
saurait
être blâmé, à moins qu'ils ne l'emploient sans av
esseur Brouardel, le devient tout à fait dans l'état d'hypnotisme. On
sait
. en effet, combien il est facile de réveiller un
s une série de lectures destinées à résoudre l'importante question de
savoir
si nous avons un double appareil cérébro-médullai
ce ? Y a-t-il eu de la part de l'opérateur trahison de pensée ? On ne
saurait
croire avec quelle finesse certains hypnotisés fl
e rappeler qu'on ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur qu'on ne
saurait
s'improviser, par exemple, médecin oculiste. De
est pas toujours en rapport avec la profondeur du sommeil. Et il faut
savoir
que certains sujets, chez lesquels on n'obtient j
même naturel. Beaucoup de mères parlent k leur enfant endormi. Elles
savent
que l'enfant les entend et répond, bien qu'il no
'enfant des idées qui n'existent pas en germe chez lui. Je voudrais
savoir
quelle valeur les psychologues qui participent au
- bliés dans son grand traité. Charcot n"a recours, autant que je
sache
, à ce traitement que dans les cas d'hystérie. V
je tiens ce détail, qualifie cette détermination de faiblesse. On ne
saurait
triompher toujours des préjugés de la clientèle.
gnalé des cas d'amélioration dans diverses maladies organiques. On ne
saurait
décider encore si la suggestion n'agit que sur le
e sujet cesse d'être hypnotisé, cela ne m'a pas paru concluant. Il ne
saurait
être question d'ivresse d'une façon positive. D
on des aimants ; mais auparavant on s'en servait a l'aveuglette, sans
savoir
ce qu'on faisait. C'est ainsi que la direction du
cins d'outre-Rhin. Mais il est écrit que nos confrères allemands ne
sauraient
se départir d'une certaine défiance à l'égard de
t une certaine finesse d'esprit et surtout un tact assez développé ne
sauraient
convenir u la lourdeur germanique. Les énormité
ion allemande s'acquiert a peu de frais. Si les Allemands, que nous
savions
déjà dépourvus de l'esprit d'initiative, n'ont mê
s'abusent ; mais vraiment, ce n'est pas de leur faute et personne ne
saurait
blâmer leur présomption. On les convie a assister
de l'italien par un professeur de notre Université, M. Mouton, qui a
su
rendre facile et même attrayante cette étude scie
t affran- » chi de tout servage religieux et métaphysique. Tous ils
savaient
que, » dans ses qualités et dans ses défauts, dan
t que présente une autopsie scientifiquement faite, cene opération ne
saurait
revêtir le caractère d'une profanation. Nous ex
uche à la science de l'homme, qu'il soit éveillé, endormi ou mort, ne
saurait
nous être étranger. Dr EDGAR BÉRILLON. UN ALI
dire, eurent lieu sur un tout autre terrain. Il ne s'agissait pas de
savoir
l'état mental du docteur Lamotte, mais quel était
. II est certain que tout sujet qui ne veut pas être hypnotisé et qui
sait
qu'il ne peut pas l'être, s'il ne le veut pas. ré
vre. C'est M. Liébeault qui en est le premier initiateur; personne ne
saurait
lui enlever ce titre d'honneur. Nous l'avons le p
a saisi un poignard placé sous sa main et qu'elle l'en a frappé, sans
savoir
pourquoi, forcée d'obéir a une inspiration plus f
e non plus que ses effets ne se manifestent pas. Dès lors, il reste à
savoir
si ces effets sont bons ou mauvais. Dans le premi
ière expérience fut faite avec M. Janet, au Havre. Sans que Léonie le
sût
, nous convînmes de l'endormir à 3 heures 1/2, éta
ade étant endormie, on fait un silence complet autour d'elle. Elle ne
sait
rien de ces expériences. On approche d'elle une s
flacon vide en disant : « J'approche un flacon et vous verrez qu'elle
saura
distinguer le médicament qu'il contient, par les
cupés de cette question et il y a un doute absolu à ce sujet. On ne
sait
donc pas exactement si cette maladie est. contagi
atteint de ia même affection et de perdre ainsi sa belle barbe. Ne
sait
-on pas qu'il est fréquent de voir des élèves de l
abinet une femme qu'il me parut alors connaître ton peu, sortie je ne
sais
d'où, mais non point, pour sûr, de son service d'
r moi, c était justement l'objet de ma recherche, car personne que je
sache
ne connaît encore de signe auquel se reconnaît, à
e l'alcool, il y eut de l'embarras de la téte, de la titubation. J'ai
su
, par les comptes rendus de la Société, que cette
Paul n'en dit rien séance tenante. Troisième flacon présenté! Je ne
saurais
dire au juste ce qu'éprouva le sujet, mais ce don
nse dans son Bulletin. Une femme peut-elle être accouchée sang le
savoir
? Telle est la question qui a été plusieurs fois
e de la chambre, sous prétexte qu'elle avait besoin de repos ; car on
sait
que, dans ce temps-là, toute la famille assistait
ice criminelle ait à décider si une femme a pu être accouchée sans le
savoir
. Singulier cas d'hypnotisme à Granges. La Rép
s fertiles; qu'elles possèdent un talent naturel d'imitation qu'on ne
saurait
exprimer ; qu'elles pratiquent volontiers le mens
ons fantastiques accumulées par tous les esprits de bonne foi, qui ne
savent
pas encore qu'il existe une maladie dont le princ
» Certains principes toxiques, le plomb notamment, exercent, on le
sait
, sur les centres nerveux, une influence perturbat
st faire œuvre mauvaise. Le point essentiel, mais difficile, c'est de
savoir
reconnaître le cas où -le traitement par l'électr
nière, le distingué rédacteur en chef de la Galette de Gynécologie, a
su
annoter 1 c livre de Mundé avec de judicieuses re
t, au Havre, et exposée ici il y a déjà plus d'un an, a été, comme on
sait
, contrôlée par plusieurs de nos confrères de la S
uit et m'ont réveillée. C... (la cuisinière) alors m'a parle et je ne
sais
pas ce que je lui ai répondu. » Cette première
jour et l'heure à laquelle je dois endormir Mme B... Il s'agissait de
savoir
si ce serait le vendredi 14 ou le samedi 15, d'un
ive à 3 h. 51 et son premier mot à C..., qui lui ouvre, avant qu'elle
sache
que je l'attends, est de dire : « Je ne puis pas
; mais elle s'est pour ainsi dire sauvée si précipitamment qu'elle ne
sait
pas même la couleur des tabliers qu'elle a acheté
sa chambre, 1 6 h. 25. A 6 h. 34. Mme X... entre dans le salon où je
sais
; je l'ai priée de faire descendre Mme B... par l'
nne foi consciente n'est pas douteuse ; mais l'inconsciente, comme on
sait
, est toujours constamment d'une mauvaise foi abso
naire. C'est une objection à la valeur absolue de l'expérience, je le
sais
, mais l'objection n'est pas très forte, car Mme B
un succès presque complet, il reste encore un point douteux, c'est de
savoir
si Mme B... n'aurait pas soupçonné, par un moyen
t, par conséquent, probables. Le lundi, chez moi, sans que personne
sache
rien de mes intentions, de 1 h. 38 à 1 h. 50, je
bien avec celle de mon action à distance. J'ajoute que Mme B... ne
savait
pas qac j'avais la clef de l'appartement et que j
e — doit toujours être soupçonnée. Par exemple, que Mme B... vienne à
savoir
, par un moyen quelconque, que le lendemain à 3 he
donne pas de semblables coïncidences. La question n'est donc pas de
savoir
si le hasard peut donner ces coïncidences, mais s
l eût fallu que les demandes fussent faites par un autre que moi, qui
savais
l'heure à laquelle l'action avait été essayée. Je
soit pas convaincu par les expériences dont je donne ici le récit. Je
sais
trop bien que la conviction ne se manie pas à la
pareil auditif gauche dont la sensibilité est anormalement accrue. On
sait
, en effet, que si l'on place un diapason vibrant
complément d'explication de l'allochirie dans ce cas spécial. Nous
savons
que l'appareil d'accommodation binauriculaire est
ux-mêmes incomplets. « Or, personne ne pense à l'hystérie, qu'il faut
savoir
rechercher, que l'on trouvera souvent dans les ca
plus général, mais qui ne sont plus à vulgariser. Tout le monde le
sait
, la femme est incomparablement plus que l'homme s
u'il avait dû se tromper, « car le médicament était trop fort. » On
savait
déjà que la médecine homœopathique est avant tout
ntale, de délire ambitieux, de folie des persécutions... Nous croyons
savoir
que nos asiles d'aliénés en offrent plus d'un éch
ui a assisté une fois à l'un de ces naufrages de la raison humaine ne
saurait
tolérer cette exploitation morbide, si facile, de
ncessants progrès de la né-vropathie et des troubles psychiques. Nous
savons
qu'il est, parmi les spirites et les hypnotiseurs
avec le nervosisme de leurs contemporains. Les médecins eux-mêmes ne
sauraient
qu'exceptionnellement être autorisés à pratiquer
est tranquille, son allure n'offre rien de particulier, et, si je ne
savais
pas qu'elle est dans son état second, je ne pourr
t avec la finesse des extrémités, taille courte : telle en est, on le
sait
, la caractéristique. Permanente, durable, quell
els, dont le caractère est d'être finis, contingents et variables, ne
sauraient
donner par eux-mêmes les idées de cause, de subst
qui sans doute plus expérimentés dans l'art de manier la suggestion,
savent
les éviter à leurs sujets. Le litre de M. Morse
'est, a mon avis, rien autre chose que l'attaque de sommeil. Vous
savez
que les journaux anglais ont été remplis de l'his
ilitaire qui, au sortir de mon service, est allé en Angleterre, je ne
sais
pour quelles affaires. Un jour, il est tombé dans
e, je me fais un devoir de l'examiner et de dire aux autres ce que je
sais
, parce que je comprends les difficultés qui peuve
nation érotique, s'écrier: « Emile, je t'aime ! » Ce sont là, vous le
savez
, des choses dont nous avons souvent éic témoins d
es que Ch. Bell. Magendie, Claude Bernard, etc.. mais enfin, ce qu'on
sait
, en physiologie, est bien peu de chose encore, a
hysiologie, est bien peu de chose encore, a côté de ce qu'il faudrait
savoir
, et la clinique s'enrichit chaque jour depuis Gal
tée sur un domestique qui ne connaissait rien du mesmérisme et qui ne
savait
rien à ce qu'on attendait de lui, donne le même r
gmons, pelvi-peritonites, métrites, etc.. aucune de ces affections ne
saurait
, si ce n'est fort exceptionnellement, être taxée
outefois que furtivement; la guerre du silence que lui oppose l'école
sait
retarder son avènement définitif pendant environ
le docteur A.-A. Liébeault. C'est à cet éminent praticien, — qui a
su
simplifier la méthode d'hypno— tiser, et qui a re
épandre. Le livre de Bernheim, concis, sobre, clair et convaincant, a
su
rallier beaucoup de médecins aux vues de l'école
e premier a reconnaître que cela tient peut-être à ce que je n'ai pas
su
trouver encore la méthode appropriée à la cure de
, mais du moment que son application est tellement facile qu'un autre
saurait
traiter aussi aisément que moi, je n'en veux plus
il y a mieux. Ceux de mes lecteurs qui lisent la Revue philosophique
savent
que j'ai, ie premier, fait connaître une méthode
et les aura entraînés dans cette mauvaise voie, et, disciples sans le
savoir
, ils auront joué inconsciemment près de leurs aut
nclusion. Les applications thérapeutiques de l'hypnotisme sont, on le
sait
, très restreintes, parce que tout le monde n'est
ie; si on lui injecte un centigramme, elle tombe en léthargie. Vous
savez
qu'il y a des gens qui font métier d'être charmeu
M. Le Jeune, ministre de la justice, a répondu en ces termes : « Je
savais
que-l'Académie de médecine de Belgique était sais
à l'hôpital militaire de Constantine, des réflexions que voici: « On
sait
, dit-il, que le nervosisme des Arabes mâles est b
ressent dans les zones tempérées du globe sont loin, comme chacun
sait
, d'échapper aux atteintes de l'universelle névr
sous les neiges, en sont les ordinaires victimes. Sur la question de
savoir
dans quelles parties de la France l'hystérie se;
s médecins étaient donc d'accord pour condamner les sorciers. Rien ne
saurait
mieux faire comprendre l'importance ces hautes ét
rt laissera des regrets à plusieurs de nos collaborateurs qui avaient
su
apprécier la loyauté de ses intentions et de son
tit nombre de personnes, et quand elle réussit chez des sujets qui ne
savent
pas qu'on veut les endormir, c'est parce que la f
, à Nancy, a influencer presque tous nos sujets, c'est parce que nous
savons
manier la suggestion et reconnaître les états hyp
ai fait connaître le moyen employé pour mieux persuader ma malade. On
sait
que je la plaçais sur une chaise longue, comme si
xcitation quelconque. Il se crée des associations cellulaires et l'on
sait
que lorsque des groupes de cellules sont habitués
, le sultan Mouley Smaïl, croyant que la protection de leur patron ne
saurait
plus couvrir les Al .saoua, pensa les perdre a to
nsa. « Mon appui est en toi, ô Ben Aïssa. « Mon cceur attristé ne
saurait
t'oublier, » continue le chœur sur le rythme Ou
devant le peuple déjà trop impressionnable de notre époque; car vous
savez
, messieurs, si les névroses sont contagieuses et
rdeur et, comme il arrive en pareil cas, chacun se réclame d'elle. Je
sais
des autours qui, dans des livres où il n'y a pas
l pour les juges, un animal pour le zoologiste. Mais tout le monde ne
sait
pas voir. Ceux qui ont ce don, naturel ou acquis,
tte, bien délimitée et localisée ; celle-là flottante et virant on ne
sait
où. Mais ici la maladie nous sert d'auxiliaire: p
, car tout travailleur sincère a droit au respect : et d'ailleurs que
savons
-nous du fond des choses .' Il est probable qu'apr
artériel, l'élément artériel nécessaire à la stimulation nerveuse ne
saurait
, lorsque la constitution est chétive et la nutrit
prétend que c'est aux magnétiseurs que les médecins doivent ce qu'ils
savent
en matière d'hypnotisme. Nous avons assisté aux
mpter sans les améliorer. J'ajoute que le plus souvent les maîtres ne
savent
pas faire les reproches, qu'ils s'y prennent mala
i possèdent des connaissances: on en trouve un moins grand nombre qui
sachent
enseigner, c'est-à-dire dispenser l'enseignement
ger. Mais elle ne doit être employée que par des médecins, et l'on ne
saurait
trop condamner ces exhibitions d'individus sains
t normalement: il marchait à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il
savait
lire et écrire. A l'école, il passait pour être t
ns ses attributions scientifiques, passe à l'ordre du jour. » Je ne
sache
pas qu'en Belgique la pratique de l'hypnotisme, v
émie sort de ses attributions. M. Heger. — M. Kuborn déclare ne pas
savoir
s'il y a eu en Belgique d'accidents produits par
est le seul point sur lequel je veux lui répondre, car la question de
savoir
si l'Académie a le droit de s'occuper de la discu
é pratiquées sur différents sujets, en presence de M. Charcot. » On
sait
que sous le rapport de l'hypnotisme, M. Charcot a
. 285. Faux témoignages, par Bernheim, 4. Femme accouchée sans le
savoir
, 217. Folie érotique (la), 351. Force neuriqu
arquer l'entrée de l'hypnotisme dans l'enseignement officiel. On ne
saurait
trop rappeler ces règles dont un expérimentateur
. On ne saurait trop rappeler ces règles dont un expérimentateur ne
saurait
s'écarter sans courir le risque de s'égarer dès l
ce particulièrement indispensables dans des matières si délicates, il
saura
éviter tous les dangers qu'on impute assez fréque
causant à haute voix avec plusieurs personnes. Tout d'un coup, je ne
sais
pas pourquoi, monsieur vient à moi, me donne des
er-Levrault; j'ai composé sur la Revue médicale de l'Est. — Eh bien !
savez
-vous qui est monsieur ? — Non, monsieur, je ne le
ur a battu et volé un pauvre garçon comme vous ? — C'est vrai ; je ne
sais
pas pourquoi ; mais je ne peux pas dire le contra
et hallucinable à l'état de veille et de sommeil. II est intelligent,
sait
lire, écrire, calculer; sa mémoire est remarquabl
, ce matin. Ne te gène pas ! N'aie pas peur. Tu peuxle dire, si tu le
sais
. » —Il se recueille quelques instants, puis affir
es quelques sous à un pauvre garçon: Cela n'est pas croyable. — Je ne
sais
pas pourquoi, mais il me les a pris. » Voici un
e le dirais à M. Bernheim! — Vous avez rêvé. » — Elle se fâche : « Je
sais
ce que je dis ; je ne suis pas maboule! Tous les
ter en chirurgie; l'autre a saigné du nez. » — Il me répond : « Je ne
sais
pas, je n'y étais pas. — Rappelez-vous, lui dis-j
chez les accusés, dans le but d'obtenir des aveux. Mais le magistrat
sait
-il qu'il est exposé, avec une effrayante facilité
as des mensonges; il y al des mystificateurs et des mystifiés sans le
savoir
; il y a des gens qui se dupent eux-mêmes ; il en
funeste ne pouvaient être que le fait du Malin, qui, comme chacun le
sait
, se plait à induire les hommes en tentation et la
plus compétentes que je ne pouvais l'être dans cet ordre d'idées. On
sait
qu'elles étaient restées infructueuses. Grâce à l
n le 10 avril 1886. Je fus informé de ce qui précède et consulté pour
savoir
si des suggestions hypnotiques pouvaient avoir qu
encore, d'autre part, à nous préoccuper des contractions utérines ; à
savoir
: si l'action perturbatrice de l'hypnose n'entrav
Tiens! qu'est devenu mon ventre? — Ce n'est pas possible? Elle ne
sait
rien de ce qui s'est passé dans la nuit... elle n
e si son enfant est une fille? Elle ignore absolument le sexe qu'elle
savait
une minute auparavant dans le sommeil hypnotique:
mettre fin à ses déroulements de personnalité. Il nous suffisait de
savoir
que lorsque V... se déroute, telle paralysie motr
mettre d'accord la science et la tradition. Érudit bibliophile, il a
su
trouver dans les auteurs anciens des faits étrang
ssant rester éveillés, n'est peut-être qu'un effet de la polarité. On
sait
que Valentin Greatrakes opérait des cures extraor
sente avec celui de l'appareil musculaire la plus grande analogie. On
sait
qu'on peut aimanter une aiguille de fer doux en l
ées inconnues au sujet : en dépit de tous les efforts, un illettré ne
saurait
écrire, pas plus que celui qui ignorerait l'alpha
ré ne saurait écrire, pas plus que celui qui ignorerait l'alphabet ne
saurait
lire sous l'influence de la suggestion. Il y a
uteur a soutenue au point de vue de l'anthropologie criminelle. On le
sait
. la vieille Ecole classique invoque, pour la répr
bre est aboli. Ainsi donc, ce qui constitue l'immoralité de l'acte ne
saurait
être établi pendant l'hypnose. Si l'acte n'est
en pareil cas, s'assurer que le sujet ne simule pas; l'expérience ne
saurait
avoir la valeur d'une preuve légale qu'à la condi
irée. Cependant, il faut bien qu'ils travaillent, et il faut qu'ils
sachent
aussi que telle est la loi de ce monde, où l'on n
. Les applaudissements unanimes qui l'ont accueilli indiquent qu'il a
su
apporter la note vraie dans ce débat si instructi
i, du reste aujourd'hui plus que jamais, pourrait bien leur échapper.
Sachons
donc bien, tous, ce que nous faisons, quand nous
. Quant a moi. s'il m'est permis de me mettre en cause, le peu que je
sais
, c'est a l'Université que je le dois : je ne
, le peu que je sais, c'est a l'Université que je le dois : je ne
saurais
jamais lui en témoigner tissez ma reconnaissance.
s scientifiques. Mais un esprit aussi peu routinier et aussi avide de
savoir
ne s'arrête pas la. Il ne croit pas ; mais il sai
t aussi avide de savoir ne s'arrête pas la. Il ne croit pas ; mais il
sait
que rien n'est brutal comme un fait, et, s'il y a
nt moi-même une suggestion. Là. il faut cous arrêter quelque peu et
savoir
que la suggestion mentale n'est pas possible dans
reur que rien n'autorisait. II n'est pas de médecin, en effet, qui ne
sache
que ces faits, très intéressants d'ailleurs, n'on
anesthésie des sclérotiques et des points douloureux dans les régions
sus
et_ sous-mammaires droites. La malade éprouve con
ier Dieu de votre guérison. » Vous direz à votre frère que vous lui
savez
grand gré d'avoir quitté sa » famille pour vous
milieu; social, consacrait un chapitre spécial à la suggestion, « On
sait
, écrit-il. que les cellules cérébrales. lorsqu'el
u; car l'un n'ayant point de souvenir de l'au-delà de sa naissance ne
saurait
s'étonner de rien, ni manifester les révoltes qu'
ants et incapables de dominer les émotions qui les ébranlent ! - Ne
savons
-nous pas tous que si nous avons sur certaines que
é personnelle. C'est ainsi qu'au théâtre, par exemple, alors que nous
savons
que tout ce qui se déroule devant nos yeux n'est
n intérêt toutes les questions afférentes à ce sujet ne sont pas sans
savoir
que ces phénomènes nerveux si complexes sont régi
nomènes étranges de la sollicitation expérimentale des émotions. On
sait
, en effet, combien dans cet état spécial les suje
érent tient un encrier à la main pendant, qu'endormi, il écrit, il ne
sait
pas où tremper la plume; il me suffit alors ou de
illes propriétés physiques sont assurément fort remarquables, mais ne
sauraient
étonner ceux qui sont familiarisés avec l'étude d
pe, soit de dix à vingt ans, comment est constitué le cerveau. Vous
savez
tous, messieurs, avec quelle intensité le travail
ment les différents départements de l'é» eorce.et, vraiment, si on ne
savait
pas par avance la différence d'âge qui sépare ces
jouter foi aux recherches si ingénieuses de notre re-gretté Broca, ne
savons
-nous pas que, suivant lui, le cerveau des Parisie
upure salutaire dans la continuité de ses travaux ; et puis encore ne
savons
-nous pas tous que toute cette jeunesse qui assist
imagination que, dans les classes de lettres, on fait appel ; et vous
savez
combien, dans certains concours de récitation, la
lle il joue un rôle. C'est une jeune fille qui a de la mémoire et qui
sait
chanter. Elle organise immédiatement une petite s
re son chant — et en même temps il devient hésitant, incertain, il ne
sait
plus s'il doit avancer ou reculer, il est tituban
grand ; ce qui ouvre des horizons nouveaux et dégage des inconnues.
Sait
-on ce qu'il faut pour arrêter la vie de certains
i s'en sont occupés sont d'accord sur la réalité des faits. II n'en
saurait
être de même de leur interprétation, et c'est sur
avec les doigts. Les frictions s'exécutent avec la main, comme on le
sait
. Le pétrissage se fait, tantôt en soulevant seule
non exclusivement exercé, qu'une diminution dans la force. Mais nous
savons
que cette infériorité se traduit non seulement pa
ces documents, c'est que l'on n'est pas impunément gaucher. Aussi ne
saurai
-je me rallier à la conclusion de M. L. Jo-bert. q
gen im Kindesalter. — Troubles psychiques chez l'enfant. (2e supplém.
su
Traité des maladies des enfants, de Gerhardt.) —
pronostic de la « maladie de la boisson » est des plus graves, on le
sait
. Les dictons populaires en témoignent assez. J'ai
e notre malade. 11 a été très précoce à l'école, très intelligent, et
savait
lire à 3 ans. Or. à l'âge de 6 ans, il fut enivré
espondent Blatt fûr Schweiger Aerzte, 15 août 1887. de vin. On ne
saurait
attacher une importance trop grande aux événement
suggestion d'être de bonne humeur qui opère ? Est-ce forfait ? Je ne
sais
. Mais il y a un fait certain, c'est que vous
née. Ce que j'éprouve à cet égard est même digne de remarque et je ne
sais
trop comment l'expliquer. La douleur doit être tr
l, regarde fixement un objet brillant, condition excellente, comme on
sait
, pour déterminer le sommeil. On remarque que les
ésultats cherchés. L'action bienfaisante n'est pas bornée, comme on
sait
, aux affections d'origine hystérique ; elle s'éte
de sagesse. L'hypnotisme a ses avantages et ses inconvénients ; on ne
saurait
partager les craintes exagérées qu'expriment cert
e l'imperfection des procédés employés dans quelques cas ; mais on ne
saurait
non plus regarder, d'accord avec le docteur Béard
estif ou des voies aériennes), et cela par simple suggestion. On ne
saurait
trop insister sur les phénomènes d'inhibition qui
es urines d'un de vos patients ? M. Bernheim. — Non , jamais que je
sache
. J'ai essayé d'agir chez des diabétiques, j'ai pu
un cas véritablement typique d'une affection encore mal connue. On ne
sait
comment la dénommer; M. Charcot l'appelle la mala
st considérablement modifié, elle obéit maintenant du premier coup et
sait
se dominer pour faire ce qu'elle veut. Mademoisel
scendante. 11 est en effet tantôt excitant, tantôt résolutif, mais on
saura
désormais : 1° qu'il provoque la contracture en d
vec une grande assurance que tout ce qu'il dit est bien la vérité. 11
sait
qu'on lui a défendu de parler, mais il parle parc
névroses et d'habitudes morbides invétérées, en font un usage qui ne
saurait
être blâmé, à moins qu'ils ne l'emploient sans av
esseur Brouardel, le devient tout à fait dans l'état d'hypnotisme. On
sait
. en effet, combien il est facile de réveiller un
s une série de lectures destinées à résoudre l'importante question de
savoir
si nous avons un double appareil cérébro-médullai
ce ? Y a-t-il eu de la part de l'opérateur trahison de pensée ? On ne
saurait
croire avec quelle finesse certains hypnotisés fl
e rappeler qu'on ne s'improvise pas plus médecin hypnotiseur qu'on ne
saurait
s'improviser, par exemple, médecin oculiste. De
est pas toujours en rapport avec la profondeur du sommeil. Et il faut
savoir
que certains sujets, chez lesquels on n'obtient j
même naturel. Beaucoup de mères parlent k leur enfant endormi. Elles
savent
que l'enfant les entend et répond, bien qu'il no
'enfant des idées qui n'existent pas en germe chez lui. Je voudrais
savoir
quelle valeur les psychologues qui participent au
- bliés dans son grand traité. Charcot n"a recours, autant que je
sache
, à ce traitement que dans les cas d'hystérie. V
je tiens ce détail, qualifie cette détermination de faiblesse. On ne
saurait
triompher toujours des préjugés de la clientèle.
gnalé des cas d'amélioration dans diverses maladies organiques. On ne
saurait
décider encore si la suggestion n'agit que sur le
e sujet cesse d'être hypnotisé, cela ne m'a pas paru concluant. Il ne
saurait
être question d'ivresse d'une façon positive. D
on des aimants ; mais auparavant on s'en servait a l'aveuglette, sans
savoir
ce qu'on faisait. C'est ainsi que la direction du
cins d'outre-Rhin. Mais il est écrit que nos confrères allemands ne
sauraient
se départir d'une certaine défiance à l'égard de
t une certaine finesse d'esprit et surtout un tact assez développé ne
sauraient
convenir u la lourdeur germanique. Les énormité
ion allemande s'acquiert a peu de frais. Si les Allemands, que nous
savions
déjà dépourvus de l'esprit d'initiative, n'ont mê
s'abusent ; mais vraiment, ce n'est pas de leur faute et personne ne
saurait
blâmer leur présomption. On les convie a assister
de l'italien par un professeur de notre Université, M. Mouton, qui a
su
rendre facile et même attrayante cette étude scie
t affran- » chi de tout servage religieux et métaphysique. Tous ils
savaient
que, » dans ses qualités et dans ses défauts, dan
t que présente une autopsie scientifiquement faite, cene opération ne
saurait
revêtir le caractère d'une profanation. Nous ex
uche à la science de l'homme, qu'il soit éveillé, endormi ou mort, ne
saurait
nous être étranger. Dr EDGAR BÉRILLON. UN ALI
dire, eurent lieu sur un tout autre terrain. Il ne s'agissait pas de
savoir
l'état mental du docteur Lamotte, mais quel était
. II est certain que tout sujet qui ne veut pas être hypnotisé et qui
sait
qu'il ne peut pas l'être, s'il ne le veut pas. ré
vre. C'est M. Liébeault qui en est le premier initiateur; personne ne
saurait
lui enlever ce titre d'honneur. Nous l'avons le p
a saisi un poignard placé sous sa main et qu'elle l'en a frappé, sans
savoir
pourquoi, forcée d'obéir a une inspiration plus f
e non plus que ses effets ne se manifestent pas. Dès lors, il reste à
savoir
si ces effets sont bons ou mauvais. Dans le premi
ière expérience fut faite avec M. Janet, au Havre. Sans que Léonie le
sût
, nous convînmes de l'endormir à 3 heures 1/2, éta
ade étant endormie, on fait un silence complet autour d'elle. Elle ne
sait
rien de ces expériences. On approche d'elle une s
flacon vide en disant : « J'approche un flacon et vous verrez qu'elle
saura
distinguer le médicament qu'il contient, par les
cupés de cette question et il y a un doute absolu à ce sujet. On ne
sait
donc pas exactement si cette maladie est. contagi
atteint de ia même affection et de perdre ainsi sa belle barbe. Ne
sait
-on pas qu'il est fréquent de voir des élèves de l
abinet une femme qu'il me parut alors connaître ton peu, sortie je ne
sais
d'où, mais non point, pour sûr, de son service d'
r moi, c était justement l'objet de ma recherche, car personne que je
sache
ne connaît encore de signe auquel se reconnaît, à
e l'alcool, il y eut de l'embarras de la téte, de la titubation. J'ai
su
, par les comptes rendus de la Société, que cette
Paul n'en dit rien séance tenante. Troisième flacon présenté! Je ne
saurais
dire au juste ce qu'éprouva le sujet, mais ce don
nse dans son Bulletin. Une femme peut-elle être accouchée sang le
savoir
? Telle est la question qui a été plusieurs fois
e de la chambre, sous prétexte qu'elle avait besoin de repos ; car on
sait
que, dans ce temps-là, toute la famille assistait
ice criminelle ait à décider si une femme a pu être accouchée sans le
savoir
. Singulier cas d'hypnotisme à Granges. La Rép
s fertiles; qu'elles possèdent un talent naturel d'imitation qu'on ne
saurait
exprimer ; qu'elles pratiquent volontiers le mens
ons fantastiques accumulées par tous les esprits de bonne foi, qui ne
savent
pas encore qu'il existe une maladie dont le princ
» Certains principes toxiques, le plomb notamment, exercent, on le
sait
, sur les centres nerveux, une influence perturbat
st faire œuvre mauvaise. Le point essentiel, mais difficile, c'est de
savoir
reconnaître le cas où -le traitement par l'électr
nière, le distingué rédacteur en chef de la Galette de Gynécologie, a
su
annoter 1 c livre de Mundé avec de judicieuses re
t, au Havre, et exposée ici il y a déjà plus d'un an, a été, comme on
sait
, contrôlée par plusieurs de nos confrères de la S
uit et m'ont réveillée. C... (la cuisinière) alors m'a parle et je ne
sais
pas ce que je lui ai répondu. » Cette première
jour et l'heure à laquelle je dois endormir Mme B... Il s'agissait de
savoir
si ce serait le vendredi 14 ou le samedi 15, d'un
ive à 3 h. 51 et son premier mot à C..., qui lui ouvre, avant qu'elle
sache
que je l'attends, est de dire : « Je ne puis pas
; mais elle s'est pour ainsi dire sauvée si précipitamment qu'elle ne
sait
pas même la couleur des tabliers qu'elle a acheté
sa chambre, 1 6 h. 25. A 6 h. 34. Mme X... entre dans le salon où je
sais
; je l'ai priée de faire descendre Mme B... par l'
nne foi consciente n'est pas douteuse ; mais l'inconsciente, comme on
sait
, est toujours constamment d'une mauvaise foi abso
naire. C'est une objection à la valeur absolue de l'expérience, je le
sais
, mais l'objection n'est pas très forte, car Mme B
un succès presque complet, il reste encore un point douteux, c'est de
savoir
si Mme B... n'aurait pas soupçonné, par un moyen
t, par conséquent, probables. Le lundi, chez moi, sans que personne
sache
rien de mes intentions, de 1 h. 38 à 1 h. 50, je
bien avec celle de mon action à distance. J'ajoute que Mme B... ne
savait
pas qac j'avais la clef de l'appartement et que j
e — doit toujours être soupçonnée. Par exemple, que Mme B... vienne à
savoir
, par un moyen quelconque, que le lendemain à 3 he
donne pas de semblables coïncidences. La question n'est donc pas de
savoir
si le hasard peut donner ces coïncidences, mais s
l eût fallu que les demandes fussent faites par un autre que moi, qui
savais
l'heure à laquelle l'action avait été essayée. Je
soit pas convaincu par les expériences dont je donne ici le récit. Je
sais
trop bien que la conviction ne se manie pas à la
pareil auditif gauche dont la sensibilité est anormalement accrue. On
sait
, en effet, que si l'on place un diapason vibrant
complément d'explication de l'allochirie dans ce cas spécial. Nous
savons
que l'appareil d'accommodation binauriculaire est
ux-mêmes incomplets. « Or, personne ne pense à l'hystérie, qu'il faut
savoir
rechercher, que l'on trouvera souvent dans les ca
plus général, mais qui ne sont plus à vulgariser. Tout le monde le
sait
, la femme est incomparablement plus que l'homme s
u'il avait dû se tromper, « car le médicament était trop fort. » On
savait
déjà que la médecine homœopathique est avant tout
ntale, de délire ambitieux, de folie des persécutions... Nous croyons
savoir
que nos asiles d'aliénés en offrent plus d'un éch
ui a assisté une fois à l'un de ces naufrages de la raison humaine ne
saurait
tolérer cette exploitation morbide, si facile, de
ncessants progrès de la né-vropathie et des troubles psychiques. Nous
savons
qu'il est, parmi les spirites et les hypnotiseurs
avec le nervosisme de leurs contemporains. Les médecins eux-mêmes ne
sauraient
qu'exceptionnellement être autorisés à pratiquer
est tranquille, son allure n'offre rien de particulier, et, si je ne
savais
pas qu'elle est dans son état second, je ne pourr
t avec la finesse des extrémités, taille courte : telle en est, on le
sait
, la caractéristique. Permanente, durable, quell
els, dont le caractère est d'être finis, contingents et variables, ne
sauraient
donner par eux-mêmes les idées de cause, de subst
qui sans doute plus expérimentés dans l'art de manier la suggestion,
savent
les éviter à leurs sujets. Le litre de M. Morse
'est, a mon avis, rien autre chose que l'attaque de sommeil. Vous
savez
que les journaux anglais ont été remplis de l'his
ilitaire qui, au sortir de mon service, est allé en Angleterre, je ne
sais
pour quelles affaires. Un jour, il est tombé dans
e, je me fais un devoir de l'examiner et de dire aux autres ce que je
sais
, parce que je comprends les difficultés qui peuve
nation érotique, s'écrier: « Emile, je t'aime ! » Ce sont là, vous le
savez
, des choses dont nous avons souvent éic témoins d
es que Ch. Bell. Magendie, Claude Bernard, etc.. mais enfin, ce qu'on
sait
, en physiologie, est bien peu de chose encore, a
hysiologie, est bien peu de chose encore, a côté de ce qu'il faudrait
savoir
, et la clinique s'enrichit chaque jour depuis Gal
tée sur un domestique qui ne connaissait rien du mesmérisme et qui ne
savait
rien à ce qu'on attendait de lui, donne le même r
gmons, pelvi-peritonites, métrites, etc.. aucune de ces affections ne
saurait
, si ce n'est fort exceptionnellement, être taxée
outefois que furtivement; la guerre du silence que lui oppose l'école
sait
retarder son avènement définitif pendant environ
le docteur A.-A. Liébeault. C'est à cet éminent praticien, — qui a
su
simplifier la méthode d'hypno— tiser, et qui a re
épandre. Le livre de Bernheim, concis, sobre, clair et convaincant, a
su
rallier beaucoup de médecins aux vues de l'école
e premier a reconnaître que cela tient peut-être à ce que je n'ai pas
su
trouver encore la méthode appropriée à la cure de
, mais du moment que son application est tellement facile qu'un autre
saurait
traiter aussi aisément que moi, je n'en veux plus
il y a mieux. Ceux de mes lecteurs qui lisent la Revue philosophique
savent
que j'ai, ie premier, fait connaître une méthode
et les aura entraînés dans cette mauvaise voie, et, disciples sans le
savoir
, ils auront joué inconsciemment près de leurs aut
nclusion. Les applications thérapeutiques de l'hypnotisme sont, on le
sait
, très restreintes, parce que tout le monde n'est
ie; si on lui injecte un centigramme, elle tombe en léthargie. Vous
savez
qu'il y a des gens qui font métier d'être charmeu
M. Le Jeune, ministre de la justice, a répondu en ces termes : « Je
savais
que-l'Académie de médecine de Belgique était sais
à l'hôpital militaire de Constantine, des réflexions que voici: « On
sait
, dit-il, que le nervosisme des Arabes mâles est b
ressent dans les zones tempérées du globe sont loin, comme chacun
sait
, d'échapper aux atteintes de l'universelle névr
sous les neiges, en sont les ordinaires victimes. Sur la question de
savoir
dans quelles parties de la France l'hystérie se;
s médecins étaient donc d'accord pour condamner les sorciers. Rien ne
saurait
mieux faire comprendre l'importance ces hautes ét
rt laissera des regrets à plusieurs de nos collaborateurs qui avaient
su
apprécier la loyauté de ses intentions et de son
tit nombre de personnes, et quand elle réussit chez des sujets qui ne
savent
pas qu'on veut les endormir, c'est parce que la f
, à Nancy, a influencer presque tous nos sujets, c'est parce que nous
savons
manier la suggestion et reconnaître les états hyp
ai fait connaître le moyen employé pour mieux persuader ma malade. On
sait
que je la plaçais sur une chaise longue, comme si
xcitation quelconque. Il se crée des associations cellulaires et l'on
sait
que lorsque des groupes de cellules sont habitués
, le sultan Mouley Smaïl, croyant que la protection de leur patron ne
saurait
plus couvrir les Al .saoua, pensa les perdre a to
nsa. « Mon appui est en toi, ô Ben Aïssa. « Mon cceur attristé ne
saurait
t'oublier, » continue le chœur sur le rythme Ou
devant le peuple déjà trop impressionnable de notre époque; car vous
savez
, messieurs, si les névroses sont contagieuses et
rdeur et, comme il arrive en pareil cas, chacun se réclame d'elle. Je
sais
des autours qui, dans des livres où il n'y a pas
l pour les juges, un animal pour le zoologiste. Mais tout le monde ne
sait
pas voir. Ceux qui ont ce don, naturel ou acquis,
tte, bien délimitée et localisée ; celle-là flottante et virant on ne
sait
où. Mais ici la maladie nous sert d'auxiliaire: p
, car tout travailleur sincère a droit au respect : et d'ailleurs que
savons
-nous du fond des choses .' Il est probable qu'apr
artériel, l'élément artériel nécessaire à la stimulation nerveuse ne
saurait
, lorsque la constitution est chétive et la nutrit
prétend que c'est aux magnétiseurs que les médecins doivent ce qu'ils
savent
en matière d'hypnotisme. Nous avons assisté aux
mpter sans les améliorer. J'ajoute que le plus souvent les maîtres ne
savent
pas faire les reproches, qu'ils s'y prennent mala
i possèdent des connaissances: on en trouve un moins grand nombre qui
sachent
enseigner, c'est-à-dire dispenser l'enseignement
ger. Mais elle ne doit être employée que par des médecins, et l'on ne
saurait
trop condamner ces exhibitions d'individus sains
t normalement: il marchait à 13 mois et parlait à 18. A 7 ans 1/2, il
savait
lire et écrire. A l'école, il passait pour être t
ns ses attributions scientifiques, passe à l'ordre du jour. » Je ne
sache
pas qu'en Belgique la pratique de l'hypnotisme, v
émie sort de ses attributions. M. Heger. — M. Kuborn déclare ne pas
savoir
s'il y a eu en Belgique d'accidents produits par
est le seul point sur lequel je veux lui répondre, car la question de
savoir
si l'Académie a le droit de s'occuper de la discu
é pratiquées sur différents sujets, en presence de M. Charcot. » On
sait
que sous le rapport de l'hypnotisme, M. Charcot a
. 285. Faux témoignages, par Bernheim, 4. Femme accouchée sans le
savoir
, 217. Folie érotique (la), 351. Force neuriqu
nts réunis excitent autant notre étonnement que notre admiration. Son
savoir
dans les langues n’était pas moins grand que dans
x ou dans les temples, à la ville comme aux champs, le bon grain ne
saurait
se perdre____Tenon^ ferme; la machine s’ébranle
dacteur une note qui rectifiait les erreurs commises; mais, par je ne
sais
quelle cause, ma lettre n’a point été insérée, ci
sur tous les sujets magnétisés, et, sous ce rapport, le magnétisme ne
saurait
entrer en lice avec le chloroforme ; mais néanmoi
les soleils sont nombreux comme les grains de sable de la mer, et qui
sait
maintenir dans leur cours régulier l’immensité de
mparer des créations toutes chimériques de M. Cahagnet avec ce que je
sais
, ce que je pressens seulement, des perfections di
mes souvenirs me fournissaient sur D***, ou dans tout ce que j’avais
su
, mais oublié. En dehors de ceci les affirmations
atiques. Pourquoi donc en est-il ainsi ? C’est que moins les hommes
savent
, plus ils s’exaltent; l’erreur est alors contagie
i de la conservation des êtres. Toutes ces grandes âmes évoquées ne
savent
plus rien en revenant sur terre; si elles parlent
es auteurs de ces charmants ouvrages les eussent écrits endormis, qui
sait
l'influence qu’ils exerceraient sur le monde magn
qui nous sert à produire les phénomènes dits magnétiques; car nous ne
savons
encore ce qu’elle est, quelle est sa nature et to
arut sous un jour tout nouveau. Plein d’impatience, je voulais tout
savoir
; mais mon âme ne répondit pas tout d’abord ; je s
e voulais tout savoir; mais mon âme ne répondit pas tout d’abord ; je
sus
seulement qu’il n’en était point de la science di
en sorte? J’ai donc senti en moi les véritables conditions de tout
savoir
, sans lesquelles il est impossible de pénétrer da
’expérimentation sans que vous puissiez rien comprendre. Cependant je
sais
si peu de chose de la science antique, que je n’a
des expériences propres à bien répondre, à cette troisième question,
savoir
: si la quantité d’eau magnétisée est indifférente
n vain notre priorité. Notre voix ne sera point entendue, nos maîtres
savent
leur métier; n’ont ils point toute la presse à le
que. « La dernière introduction fut celle d’un employé qui désirait
savoir
si le général avait l’intention de le remplacer,
’il n est pas prouvé qu’elle survit. L’important n’est pas d abord de
savoir
, toujours scientifiquement parlant, ce que fait l
es inexcusable, puisque l’écueil vous étant signalé , vous n’avez pas
su
l’éviter. Vous cherchez à établir, dans une aut
ession des faits; mais maintenant que je vous ai vu à l’œuvre, que je
sais
commeut vous procédez, je suis persuadé du contra
me, et l’on finit comme cet astrologue qui voyait dans le ciel, et ne
sut
pas éviter le puits qui était à ses pieds. Si j
u là, ralenti, mais son triomphe est assuré: une entrave partielle ne
saurait
arrêter sa marche générale. Nous sommes arrivés a
préservé notre publication de la ruine qui a atteint les autres; car,
sachez
-le, messieurs, à Paris seulement, nous avons perd
puisque l'opération ci-dessus n'est qu'une piqûre. Mais tout médecin
sait
que le premier contact de l’injection excitante a
mbo et laisse voir la profonde ignorance. 11 y a déjà longtemps qu’on
sait
que vous n’avez que le litre et la forme du savan
orme du savant. Ah! monsieur Roger, comme vous parlez bien! qucvous
savez
de choses ! combien nous sommes reconnaissants de
d’OEtinger, intitulé : Pensées sur les deux facultés de penser et de
savoir
, et l’on y cite l’expérience singulière que voici
urais certainement pas cru devoir trouver quelque chose de semblable,
savoir
, dans les Causes célèbres de Pitaval, d’où Alexan
et élèvent dans l’air. C’est une belle question, continue Gaffarel,
savoir
si ces formes admirables, sorties des cendres des
isfaire des curieux ou à convaincre des incrédules : très-peu, que je
sache
, en font une application sérieuse à des recherche
re de l’Italie du nord; car pour l’Italie du centre et du midi, je ne
sais
pas à la vérité si depuis la publication (Florenc
si je fais défaut à ses idées en m’ef-forçant d’être concis; mais je
sais
d’ailleurs que je parle à une intelligence qui
Avec la même loi il magnétise chaque partie du corps selon le besoin,
savoir
, ou la figure, ou la poitrine -, ou le tronc, ou
.... chose inutile, sans doute, pour le catholique avant tout, qui en
sait
toujours assez pour tout condamner sans rien conn
lle ait eu dans ces trois mois n’a point été suivi d’accès. Elle dort
su
/lisamment pour sa position de fatigue, trois ou q
roduirons. Mais à quoi servent mes appels? S’il existe des hommes qui
savent
, ils cachent leurs lumières. Disons plutôt : Notr
es académies, par les hommes appelés à diriger les nations, et qui ne
surent
jamais que contrarier la nature, l’affaiblir dans
i fait éprouver les plaisirs d’un avare en présence de son trésor. Ne
sait
-il pas, d’ailleurs, qu’aucun ne lui tiendra compt
sentiment. Je dirai la vérité, parce que je dois la dire, bien que je
sache
d’avance qu’elle sera polluée, salie par d’indign
r le bien produit par la chose découverte. Tous bientôt diront : Je
savais
cela, j’opérais ces merveilles ; absolument comme
, n’avons pas les ressources du maître, de cet infatigable apôtre qui
sait
tous les jours faire briller quelque nouvelle fac
que nouvelle facette. Nous avons puisé dans ses livres , quelques-uns
savent
y puiser encore , mais ce n’est que le très-petit
s savent y puiser encore , mais ce n’est que le très-petit nombre qui
sait
glaner dans le grand livre de la nature. « Je s
e 20 fr. ! On vous remboursera les i5o fr. , rendez la chose. » On ne
savait
pas même le nom de celte chose. Il refusa ; on l’
ambule? Détrompez-vous. Il supposa que Montius payait une police pour
savoir
tous les secrets des étrangers qui arrivent à Bru
e de toutes pièces. C'est résoudre en deux mots la grande question de
savoir
si la volonté humaine crée matériellement ou idéa
s la cure des maladies anciennes. « Un médecin, dit-il, a besoin de
savoir
beaucoup de choses ( i ) ; il ne doil pas ignorer
prouver une sensation à l’approche d’un corps, sans le toucher. Je ne
sais
si le changement de température qui peut avoir li
sent les bras et laissent accomplir les événements qu’ils n’ont point
su
prévoir. Moi, je suis comme cet insensé qui sème
es d’ombre et de lumière , vie de relation, vie intérieure. Celui qui
sait
interrompre ce double mouvement, le perturber et
ricité? Je suis enclin à penser qu’en nous-méme existe cet agent. Oui
sait
si bientôt l'antiquité ne sera pas surpassée? car
siastique dudit diocèse, qui vient de confesser son mensonge. Nous ne
savons
si cette explication est vraie , nous l’enregistr
e une nation, chacun doit la combattre selon la mesure de scs forces;
savoir
les moyens de la vaincre et les laisser ignorer e
le deuil vont frapper à toutes les portes. La science, avec tout son
savoir
, l’humanité, avec tout son dévouement, cherchent
de si douloureuses circonstances, est-il permis à un homme qui croit
savoir
des choses utiles, nécessaires, de se taire? Non!
ola en vaut la peine. Tout magnétiseur a assez de foi en lui-même, et
sait
en même temps assez combien la direction savante
ble , je leur dirai : Prenez le premier individu venu , n’importe son
savoir
, pourvu qu’il soit bien constitué, dites-lui de f
cadavérique du sommeil ; le cœur a des battements tumultueux. On ne
saurait
s’y méprendre, ce sont deux états diilè-rents ; i
ns ; car c’est l’inconnu qui vous frappe à chaque instant, et vous ne
savez
plus bientôt si vous êtes éveillé vous-même, ou e
ébauche de science antique, qui jamais ne sortit en vain du temple ;
sais
-je bien ce que je fais, ce qui m’attend? Peu co
la maladie longue et cruelle attend presque chacun de nous, tant nous
savons
peu vivre et dépenser notre vie. Insensé , qui co
, et ils les ont rejetées comme de purs jeux de l’esprit. A côté du
savoir
, se cache donc une ignorance profonde; non, ils n
, comme la Pythie, le voyant rendra ses oracles. Il voit, mais nul ne
sait
encore ce qu’il perçoit. Il pleure, car sa mère e
tire au hasard l’un ou l’autre ; car qui peut se dire assez sage pour
savoir
toujours choisir et distinguer l’un de l’autre. »
n plusgrand nombre de médecins que celle dont nous venons de parler ,
savoir
l’intoxication de l’organisme par un poison miasm
ous anime périt ou se désunit comme la matière. Sur ce chemin je ne
saurais
m’arrêter; je dois avancer ou reculer prompteme
que soit le jugement porté sur moi ; ce n’est point un vain désir de
savoir
qui m entraîne, un besoin de surpasser les ma-gné
des hommes autrefois, je ne puis en rejeter l’évidence. On a cessé de
savoir
et de comprendre; pourquoi s’en étonner? Bien des
r? Bien des villes puissantes sont cachées sous les herbes sans qu’on
sache
rien sur les moeurs et les croyances de ceux qui
res anciens sont également incompris ; il me fallut trente ans pour
savoir
qu’ils avaient un sens , tandis que mes mains et
ns; belle chose, ma foi! Des hommes existèrent, dans l’antiquité, qui
surent
s’élever fort haut sans celte grossière invention
il s’agit du merveilleux ; et sur ce point M. Morin est d’un profond
savoir
. 11 étonne, il confond, il subjugue la raison par
pose dès l’abord comme l’apôtre fervent du dogme établi par Mesmer, à
savoir
: que, très-vraisemblablement, le magnétisme terr
are ignorer si déjà ces idées ont été ainsi formulées, ajoutant qu’il
sait
encore moins jusqua quel point elles sont vraies;
de la doctrine des courants magnétiques, en l’absence desquels on ne
saurait
expliquer ces nombreux phénomènes physiologiques
ant de pouvoir se traduire en aphorismes. Quoi qu’il en soit, on doit
savoir
gré à l’auteur d’avoir abordé résolument une ques
paux de la vie, ceux qu’on désigne sous le nom de premières voies, ne
sauraient
être affectés par le magnétisme, puisqu’il n’y es
vent que très-rarement en arrêter les désordres fonctionnels; eux qui
savent
sans doute influencer isolément tel ou tel orga
dans le traitement des maladies. Dieu seul est tout-puissant, nous le
savons
, et la science médicale nous en fournit chaque jo
qu’il faut aborder avec beaucoup de précaution), la magnétisation ne
saurait
jamais être nuisible si le magnétiseur est sain d
organisation physique et morale qui donne la confiance en soi et qui
sache
l’inspirer à autrui C’est là, dira-t-on, l’idéal
oses dirigées par l'homme, le magnétisme est encore un agent qu’on ne
saurait
trop s empresser d’utiliser, puisqu’il constitue
différents sujets que notre cadre nous obligea laisser dans l’ombre;
savoir
: une dissertation scientifique sur l’application
ins ne guérissaient point, ou qu’ils avaient abandonnés. Combien n’en
savons
-nous pas que le médecin visitait à une certaine h
l faut en conclure que sa méthode est supérieure à celle de Paris. Ne
sait
-on pas, du reste, comment se font les études médi
n’en dit rien de longtemps ; mais j’ai la patience qu’il faut, et je
sais
attendre des heures, parfois même une autre, ou d
donnent beaucoup trop d’extension aux facultés somnambuliques. Je ne
sais
jusqu’où elles peuvent s’étendre, si tant est qu’
utiles. Un novateur ne jouit presque jamais du fruit de son génie, il
sait
qu’après lui seulement les hommes auront souci de
veaux dont la sublimité devait un jour changer la face du monde. Vous
savez
leur histoire, messsieurs; ils furent persécutés
l’homme commence à se comprendre, et où , devinant la Providence, il
sait
que chacun de ses efforts prépare des temps plus
ous-mêmes du progrès, nous marchons , car Dieu nous pousse, et nul ne
sait
où les destinées humaines doivent s’arrêter. «
n éloignée, et si les révolutions successives étonnent vos esprits,
sachez
vous courber sans maudire, car vous pourriez blas
ous ne pouvons supporter le mensonge , nous faisons la guerre au faux
savoir
, nous attaquons sans relâche des principes destru
faits futurs du magnétisme , lorsque, comme lui, les pères de famille
sauront
l’employer dans leur intérieur. Il voit dans la
ns cesser d'accepter le bien qui se trouve dans le somnambulisme , on
saura
tellement en démasquer les faussetés, que nul hom
non , non, non, Vous n’êtes i>as lucide I Eh non, non, non, Le
su
jet n’est pas bon ! Ces financiers nombreux Don
s utile le traitement de presque toutes les maladies internes; car je
sais
par une expérience de dix-sept ans combien la sci
cuns parfums. Je crois que ceux qui se servent de ces derniers moyens
savent
les mots sans savoir les choses, et ne peuvent ré
s que ceux qui se servent de ces derniers moyens savent les mots sans
savoir
les choses, et ne peuvent réussir qu’à agir sur l
la plaçant dans certaines conditions, je cherche à les remplir. Je
sais
très-peu, mais si j’avais ¿té bien renseigné à mo
romperais si je vous disais : c’est ceci, ou cela; car moi-même je ne
saurais
donner un nom à ce qui n’en a pas ; mais je cherc
s toute la nature , nous n’en voyons que les plus grossiers effets.
Sait
-on bien la cause de ces terreurs paniques dont l’
oup, la toux continuant, M. Moclain fit poser trois vésicatoires : un
su
chaque bras, et le troisième sur le dos; sur l’
te manière là, argumentant à priori de ce qu’on connaît à ce qu’on ne
sait
pas, les corps savants ont toujours trahi leur mi
ets de nos connaissances, était accompagnée de la vainc opinion qu’il
savait
beaucoup ; et si on lui établissait les faits les
omme, et je pris peu de part à la conversation qui s’en suivit. Je ne
saurais
donc la décrire avec soin; mais l’impression géné
orgueil, humilité ; et en proportion exacte de ce qu’il paraissait en
savoir
davantage, il se croyait lui-même plus ignorant.
u’on pourra dire : A son enfance, le magnétisme trouva des hommes qui
surent
se dégager des illusions , et voir la vérité comm
s, soutenant qu’elles seules étalent fondées sur la vérité pure; nous
savons
pourtant qu’il n’était pas indifférent que l’insp
coup d’œil, considérée comme impossible par les incrédules ; car nous
savons
que l’estomac vivant secrète constamment un liqui
ose bien, il y en a dix qui le défigurent; le public confianL en leur
savoir
, croit à leurs dires erronés, à leurs fausses ass
s de maladie, elle peut bien se trouver en plus dans d’autres cas. On
sait
d’ailleurs qu’elle est souvent très-inégalement r
naturelle«, on comprend que je fais allusion à l’organisme humain. On
sait
que notre cerveau est une excellente bat- Icrie
trement. Je me contenterai de dire que puisque la science médicale ne
sait
rien de certain contre ce redoutable fléau ; que
lui feront retrouver et reconstruire de toutes pièces, ces trésors de
savoir
, cachés, même dans les temps anciens, aux yeux pr
er les investigations de votre intelligencejexercée et de votre riche
savoir
. Quels progrès, alors, pour la science! Quelle so
s instruit des hommes, avait pris pour maxime : La seule chose que je
sais
} c’est que je ne sais rien (ce qu’il pouvait bie
avait pris pour maxime : La seule chose que je sais } c’est que je ne
sais
rien (ce qu’il pouvait bienfs’appliquer, lui qui
ait peser davantage, répondit effectivement à quelques questions ; on
sut
que son frère l’avait souvent menacée pour l’obli
rotestants sont interrogés, et il faut que tout le monde lui réponde.
Savoir
est son but ; il se soumet à toutes les exigences
c’est-à-dire, gymnastique médicale. Les anciens faisaient, comme on
sait
, un grand usage de cette pratique, tant pour le d
mpirique à la méthode de Ling, il y a la différence de l’ignorance au
savoir
. Je suivais la clinique de M. Georgii, depuis u
lte observation est très-sérieuse; nous en comptons bien peu , que je
sache
; mais impossible de vous la donner en d’autres te
a, au bruit dos voix qui s’élevaient en chœur, sous l’empire de je ne
sais
quel charme indéfinissable et puissant, les langu
et qu’on respecte dans l’histoire l’épopée de l’esprit humain , il ne
saurait
être inutile de montrer en quoi le mesmérisme sec
nt le mari venait de mourir. Quand je m’élève assez pour contempler
su
gloire, Quanti mon Ame épurée arrive jusqu'à lu
formations. Cette personne a l’esprit tout-à-fait inculte : elle ne
sait
ni lire ni écrire. Servante dans la maison d’un a
es poètes de leur vivant. C’est une question de psychologie que je ne
saurais
me proposer de résoudre. Je me borne à rapporter
nalyse. Il y eut pourtant encore des hommes, pleins de mérite et de
savoir
, qui crurent avoir trouvé des rapports entre le m
— Il « suit encore de ces essais, et d’essais plus anciens, qu’on ne
saurait
« trop éviter la présence des corps froids ou cha
in ; à nous, plus avancés, de connaître ce qui le fait mouvoir, et de
savoir
comment il peut retrouver son harmonie, lorsque,
’est, comme on voit, toujours la même manière de procéder, bien qu’on
sache
que ces précautions n’offrent point de garantie s
r ou se communiquer, sous l’inflilencé de l’imagination, lorsque nous
savons
que notre esprit peut agir directement sur une su
état d’aller à la messe. Les médecins en furent si étonnés qu’ils ne
savaient
à quoi attribuer ma guérison; car, étant protesta
tice qu’il s’était procurée devint froide, se pourrit et tomba. On ne
savait
à quelle cause attribuer ce changement imprévu, d
; ceux qui, marchant sur les traces des Mesmer, Puységur et Deleuze,
surent
faire aimer le magnétisme, et en étendre l’empire
té prend d’abord racine sur le granit, comme ces plantes venant on ne
sait
d’où; puis ces rameaux s’étendent au loin, et fou
s’étendent au loin, et fournissent des graines abondantes que l’on ne
saurait
plus ni compter, ni détruire. « Vérité, Vérité!
nt aucun intérêt de faire périr. » (1) Ouvrage cité, p. 344. Nous
savons
, d’ailleurs, que les convulsionnai-res, aussitôt
i faut une enveloppe, afin qu’on puisse juger à son allure ce qu’elle
sait
faire, ce qu’elle vaut, à quoi elle peut être uti
nt lé monde sans guides, il ne peut être saisi ni fixé nulle part. On
sait
qu’il existe, voilà tout. Aujourd’hui il se montr
ble à toutes les intelligences, afin que celui qui souffre et languit
sache
le moyen de soulager ses maux ; 2° Grouper tous
rra s’exercer dans sa plénitude. Le but du Jury magnétique, vous le
savez
, messieurs, puisque vous en êtes les fondateurs,
nts. C’était juste, messieurs, car à côté du génie qui découvrej du
savoir
qui perfectionne, il y a TOMR VIII. — N“ 103. — 1
que nous en donnons. Nous avions hâte de leur dire : Vos collègues
savent
ce que vous faites; ils connaissent le dévouement
e a un double mérite : médecin éclairé et physiologiste profond, il a
su
faire ressortir des faits de sa pratique d’ingéni
oute parce qu’on les néglige comme détails sans importance. Nous ne
savons
si c'est guidé par le raisonnement qui précède, 0
contestaient. Puis, les reliant entre eux, et se les associant, il a
su
opposer à l’incrédulité une digue inattaquable, e
i exercé pendant dix-sept ans la médecine , personne mieux que moi ne
sait
combien il es.t facile d’errer ou de se tromper d
« Le magnétisme, comme toutes les découvertes savantes (Mesmer l’a
su
et Galilée aussi), a eu des détracteurs et des pe
gistrat consulaire dont le premier titre fut d’être homme de bien, de
savoir
et de charité. Douée de ces vertus , et formée
nous, et ce n’est aussi que le commencement des œuvres magiques. Nous
savons
mettre en fusion le métal humain et le pétrir à n
ons mettre en fusion le métal humain et le pétrir à notre guise; nous
savons
en extraire l’or et les métaux les plus précieux,
vous parler ainsi? Rien, ou presque rien; car j’ignore ce que vous
savez
, en moi se. trouve seulement ce qui peut vous con
populations en les rendant témoins et admiratrices des œuvres que je
sais
produire. Un temps fut où ces choses se faisaient
ntrevoir; j’attendrai patiemment le jour où, quittant celte vie, j’en
saurai
davantage. De disputes, je n’en veux point; car e
nt habiles et experts en toutes choses. Je prendrai des notoriétés de
savoir
et de probité. Je les soumettrai à mes opérations
èges attribués à Circé et à tous les enchanteurs? Pourquoi pas! si je
sais
habilement me servir de la vie, l’employer à prop
nte, pour que je ne m’en acquitte pas avec plaisir. Voici ce que je
sais
sur cet homme charitable : Connu ici comme amateu
re, qui comprend à un si haut degré la doctrine mesmé-rienne, dont il
sait
faire journellement, et avec le plus grand succès
hommes! Qui donc a pu les pervertir et changer leur nature? Nul ne le
sait
; mais, à force de recherches, peut-être peut-on l
e redouble à chaque instant. L’être fait écoute peu : il croit tout
savoir
. Il n’emploie d’abord ses facultés qu’à repousser
paie des tourments de toute sa vie cette faveur du ciel. Si jeunesse
savait
et si vieillesse pouvait ! Telle est celle affreu
tes les richesses. Ce beau inonde ne m’est pas inconnu, comme vous le
savez
; car vous m’avez quelquefois reproché de m’y égar
est que très-secondaire dans le somnambulisme; j’allais même, vous le
savez
, jusqu'à nier son existence, et, si je l’admets,
éphalalgies les plus intenses, par l’insufflation sur le front. Je ne
saurais
trop recommander ces deux moyens d’action magnéti
cachées de Swedenborg. Emotion bien naturelle, dit M. Busch, quand on
sait
que la première añil) I^Ure sur la seule explicat
d’ailleurs, pour arriver aux connaissances que nous possédons, qui ne
sait
combien d’erreurs, erreurs nécessaires, ont été f
as que nous avons, devant nous, un homme grave, aussi éminent par son
savoir
que recommandable par son caractère. Si, malgré l
des recherches physiologiques et psychologiques. Or, dans ce champ du
savoir
, on ne peut mettre en doute que les phénomènes du
se entièrement nouvelle de faits de psychologie, dont la réalité ne
saurait
être mise eij doute, ni l’importance placée trop
ui, de perfectionnements en perfectionnements, sont arrivés à ne plus
savoir
s’il existe une médecine, et doutent d’eux-mêmes.
sse : je donne des consultations de telle heure à telle heure. Chacun
savait
sa demeure, et ce n’est qu’en tremblant qu’un mor
roches d’avoir abandonné la psychique pour la physique ; mais vous le
savez
, le matérialisme académique domine encore le mond
uns de ses parents de la province, plus de doutes; mais le moyen d’en
savoir
davantage? Il est vrai que le ménage de l’associé
campagne, j’étais en même temps en conversation avec les esprits ; je
savais
que j’étais éveillé, que je voyais comme dans les
arriver quelque chose d’extraordi- nairc; qu’il était incapable le
savoir
ce que c’était; mais que, dans trois ou quatre jo
pensée et de la volonté de l’homme, et même beaucoup plus qu’il n’en
sait
lui-même. Or, voici comment Swedenborg transfor
el était le sujet de mes pensées. Je fus bien étonné qu’un esprit pût
savoir
ce que je pensais, parce que j’imaginais que de p
lonté de l’homme; mais même, beaucoup plus de choses que l’homme n’en
sait
lui-même. » (Ârcana cœles-tia, 6214.) Quel est
a fois et posède au plus haut degré de perfection possible (car on ne
saurait
,je crois, aller plus loin: au-delà ce serait peut
ce fut chargée de prendre des renseignements sur l’abbé Joly, et l’on
sut
que cet homme, ancien curé de Selles et de Bac-He
t que si elle était enceinte, c’était comme la Sainte Vierge, sans le
savoir
. J’avais dépensé ainsi 89 fr. Voyant que j’avais
ne, 70. 1). Vous avez exercé illégalement la médecine? — R. Je ne
sais
pas ce qu’on veut dire; je sais seulement qu’on m
llégalement la médecine? — R. Je ne sais pas ce qu’on veut dire; je
sais
seulement qu’on m’endort; voilà tout ce que je sa
’on veut dire; je sais seulement qu’on m’endort; voilà tout ce que je
sais
. La prévenue paraît en proie à une violente émo
rationnelle, au point de vue des effets d'impression, parce qu'il ne
saurait
alors être question de faire emploi de deux coule
le de Psychologie. (Présentation du malade.) Tous les neurologistes
savent
combien il est parfois difficile d :établir un di
'il émettait se rapportent si bien aux anormaux difficiles, que je ne
saurais
mieux faire pour la mise au point du traitement q
dû être inventé par un anormal. Celui qui a charge d'anormaux doit
savoir
faire appel à l'assentiment de la volonté non seu
cices uniformes et réglementés de la gymnastique officielle ? Cela ne
saurait
durer : ce n'est pas ainsi que nous donnerons à n
le poète comme le but suprême de l'éducation. » Dès que l'anormal
saura
lire et écrire, on le dirigera vers une professio
sements pour anormaux, un autre est d'un intérêt social tel, qu'il ne
saurait
désintéresser plus longtemps les pouvoirs publics
e des visites fréquentes et inopinées, car les véritables arriérés ne
savent
réclamer et les difficiles, très versatiles, dise
de diviser en deux tronçons l'enfant que deux femmes se disputaient,
savait
qu'il avait recours à un procédé infaillible pour
d'aucun personnel préparé à cette délicate mission et ce personnel ne
saurait
s'improviser. Quand on songe que le ministère de
à, la question d'instruction se complète de celle d'éducation. Or, on
sait
que dans les établissements universitaires, l'édu
ir la nécessité. Les établissements consacrés aux enfants anormaux ne
sauraient
se concevoir sans la collaboration directe du méd
ements rythmiques ou carpholo-giques, qui ont l'aspect hébété, qui ne
savent
pas manger seuls, qui présentent de l'incontinenc
t que ces enfants soient conscients de leurs besoins naturels, qu'ils
sachent
demander la nourriture, qu'ils sachent manger seu
leurs besoins naturels, qu'ils sachent demander la nourriture, qu'ils
sachent
manger seuls et qu'ils soient propres. Quelques
prennent à lire des lettres isolées et à connaître les chiffres, sans
savoir
les grouper. Il est incontestable que, chez de te
ces cas, le malade succomberait entre les mains du chirurgien s'il ne
savait
pas terminer l'opération en très peu de minutes.
eux prodiges, aujourd'hui que le mensonge est sans intérêt. » On ne
saurait
nier la singularité et la forme biblique de ce ré
se qu'on déplace, le froufrou d'une robe. Le docteur se multiplie, il
sait
trouver le temps d'endormir, de suggestionner
priétés de la coloration rouge furent' bien connues des Egyptiens qui
surent
en faire un emploi raisonné. Nous pouvons nous-mê
e bien cette impression de calme, de repos, de tranquillité, qu'on ne
saurait
trouver dans un ciel rouge, toujours un peu inqui
l'inaction fataliste. Comme les Egyptiens et les Grecs, les Orieptaux
surent
merveilleusement harmoniser leurs costumes avec l
brûlantes de leur pays de sable, celles de leurs cités blanches. Ils
surent
rendre le costume impressionnant par la façon de
l'exemple du calme et du sang-froid, qui doivent toujours et partout
savoir
maîtriser l'excitation, sont revêtus de couleurs
cher, avec la ligne et la forme, l'harmonie complète. Quand on aura
su
affirmer le caractère dans le costume, nos hommes
ue nous avons essayé de démontrer, c'est que, si autrefois les hommes
surent
intuitivement se composer des vêtements de guerre
ation raisonnée. Allier aux modèles d'uniformes des époques où l'on
sut
faire la guerre, avec l'intuition de la guerre, —
e vaudront jamais ce que les éducateurs, civils et militaires, auront
su
mettre dans le cœur et dans le cerveau ; mais ce
térilité, nous voyons les troubles des fonctions menstruelles. Nous
savons
depuis longtemps que la suggestion hypnotique peu
ladie de la volonté : ce sont des abouliques au premier chef ; ils ne
savent
pas vouloir. Ils vous raconteront toujours qu'ils
dont on n'utilise pas assez les effets pour le bien des malades. On
sait
qu'à la suite de certaines opérations sur les org
est fière, et il n'est pas rare de l'entendre nous dire : Mon enfant
sait
lire, ou saura bientôt lire, il connaît ses lettr
il n'est pas rare de l'entendre nous dire : Mon enfant sait lire, ou
saura
bientôt lire, il connaît ses lettres. Erreur, il
t naturellement négative ; et cette femme qui était si heureuse de se
savoir
enceinte est complètement désespérée. A partir de
itant de ce sujet. « Combien y a-t-il de mauvais esprits ? Je ne le
sais
pas au juste. Je serais incapable d'en dire le no
iole, en accomplissant des cérémonies et en lisant des prières, je ne
sais
lesquelles, tout cela conformément à ce qu'on vou
que ce soit une jeune fille, une femme mariée ou un homme, crie sans
savoir
pourquoi. Elle déchire et jette ses vêtements, mo
parce qu'il veut cacher le nom de son père ou de sa mère. Quand on
sait
qui a envoyé le Polong, et pour quelle raison il
'où proviennent leurs superstitions. Les Malais actuels imitent (sans
savoir
,pourquoi) les pratiques de leurs aïeux ; on peut
néfastes qui nous oppriment... Se mieux connaître, se posséder mieux,
savoir
de quelles forces supérieures nous disposons tous
aul Thiéry, Henri Auriol, député de la Haute-Garonne, conseillers. On
sait
que 1' « Alliance scientifique unir verselle » a
rsonnelle. « Devenir un grand chirurgien, un opérateur habile, vous
savez
tous ce que cela représente de qualités diverses,
ne m'appartient pas de faire ici le procès de cette institution.Vous
savez
que dans les concours, l'intérêt de certains corp
ls ne réalisent donc le plus souvent qu'une sélection à rebours. Vous
savez
qu'on y tient trop de compte des influences famil
uelque chose de plus fort encore : étant devenu l'élève de Pean, il a
su
le rester. « On ne sait pas ce que cette situat
t encore : étant devenu l'élève de Pean, il a su le rester. « On ne
sait
pas ce que cette situation d'assistant d'un grand
théorie mystique de la veine ou de la déveine. Mais un psychologue ne
saurait
se contenter de ces apparentes explications. Nous
de l'hypnotisme et nous avons pu constater à la fois l'étendue de son
savoir
, la hauteur de ses vues et le libéralisme de son
cela que mes malades psy-chasthéniques, hystériques, neurasthéniques,
sachent
que je continue à rester leur ami, toujours dispo
c eux au maintien de l'équilibre moral que mon traitement psychique a
su
leur rendre, à les remettre sur le bon chemin, s'
oi et n'ont qu'à être consultés pour le prouver. Il faut vouloir et
savoir
faire la part des trois modes pour le plus grand
grand bien du malade. Le médecin vraiment rationnel est éclectique et
sait
tirer parti de toutes ses armes ; il prend son bi
en où il le trouve. Le psychothérapeute vraiment digne de ce nom doit
savoir
calmer, consoler et encourager ; il doit se montr
'un psychologue, il est apte à étudier et le malade et la maladie. Il
sait
choisir le meilleur-procédé et est capable de s'e
ler d'un sommeil qui durait depuis trente ans. Ayant, comme vous le
savez
, tout particulièrement étudié la question des som
que le jeûne, tant soit peu prolongé, provoque les tortures que l'on
sait
et entraine inévitablement la mort, quand subsist
l'intelligence a été retardée, mais qui peut s'éveiller si le maître
sait
la développer et ces instables qui font le désesp
ment du cerveau, siège de l'intelligence et du mouvement conscient, à
savoir
la sphère physique, la sphère intellectuelle et l
t, par une diversion violente, le concept mental qui l'obsédait. Nous
savons
, d'ailleurs, qu'à l'état de veille, un choc moral
une remarque déjà ancienne, mais que le Dr Stigter ne rejette pas, à
savoir
que les visions nocturnes de repas plantureux son
cures hypnotiques. o Dans les cercles médicaux, on avait également
su
reconnaitre ses mérites. II n'y a pas d'ouvrage s
ués par le rapport de M. Ballet, la langue m'a beaucoup démangé. Vous
savez
que la philosophie fut la passion de ma jeunesse.
ychiatrique que je décidai de me taire. Toutefois, si, à Genève, j'ai
su
résister au prurigo dicendi, je me laisse aller a
sens de connaître l'Absent, l'Invisible, l'Avenir. Dans ce sens il ne
saurait
se comprendre pour Mahomet qui décline lui-même t
t la nature avec laquelle Dieu a créé l'homme, la création de Dieu ne
saurait
être changée. C'est celle-là qui est la religion
de, mais la plupart des hommes ne l'entendent pas. » Dieu nous fait
savoir
l'inaltérabilité du caractère inné de l'homme, et
atuettes, il ne suffit pas d'en faire le diagnostic, il nous faudrait
savoir
à quel usage elles étaient destinées. Celles de
permettent une réponse facile. On tes a trouvées dans les tombes. On
sait
que les Egyptiens n'oubliaient jamais d'accompagn
ats, des idées morales, qui subissent une crise dont rien au monde ne
saurait
donner idée. De quelque côté que l'on se tourne,
s enfants seuls, ou du moins non accompagnés de grandes personnes. Or
savez
-vous quel a été le résultat de cette interdiction
demandez si un tel est coupable ; mais, comment voulez-vous que je le
sache
? La culpabilité, ça regarde la justice ou la pol
esser ; Taylor, que vous citez, n'a-t-il pas écrit : « La question de
savoir
si l'accusé est un agent responsable est de natur
es doivent croire, dictant des conclusions en dehors desquelles il ne
saurait
y avoir qu'erreur et fausseté... Mais je me suis
ne me convaincras pas... quand même tu m'aurais convaincu ». Et l'on
sait
avec quelle constance déplorable les médecins, tr
omprendre son état présent. « La guérison est certaine si le malade
sait
la vouloir. Une fois le malade convaincu, le méde
psychothérapie. Mais il pourra aussi y apprendre que les hypnotiseurs
savent
presque aussi bien, sinon mieux que les autres, l
ont ajouté celui de licencié en droit et de licencié en philosophie,
savent
faire à l'occasion d'utiles démonstrations de dia
élèves en quittant les écoles connaissent beaucoup de choses mais ne
savent
rien, ils ne peuvent traiter, d'une façon approfo
eligion, on se trouvera souvent dans l'incertitude quand il s'agit de
savoir
si les lois empruntées aux autres nations se conf
d'instruire leurs enfants à la loi de Mahomet. Par conséquent, ils ne
savent
pas en soutenir, en défendre et en faire valoir l
semblables. Trois figurines du n° 2l au n° 23 montrent quel parti ont
su
tirer ces Fig. 21. 22 ; 23. — Terres cuites rep
n Fouquel). Et, pour terminer, remarquons que les auteurs grecs ont
su
créer des grotesques avec ces déformés. Telle la
vengeance. Si elle éprouve, au fond, des sentiments de ce genre, elle
sait
, comme toute personne normale, les dissimuler et
oit de l'immensité non moins que de la légitimité de ses griefs, elle
sait
qu'il est mal de se venger, elle possède en son e
intéresse tous les esprits animés de l'amour du progrès. Il s'agit de
savoir
dans quelles limites, en dehors de toute question
les Egyptiens, qu'on s'imagine trop aisément esclaves d'une formule,
savaient
au besoin voir la nature et lacopier au point d'e
é de nos jours ces Akkas. Nous les connaissons encore fort mal, et ne
savons
décider à quelle race nous avons affaire. Les anc
olère, d'indocilité en un mot. De cet état de choses, le médecin ne
saurait
être rendu responsable. Les conditions dans lesqu
. Elle se montre fort gentille et parle avec sympathie du médecin qui
sait
rendre les enfants bien sages. * A côté de ce
lui-même, M. Babinski nie leur authenticité. D'après lui, on n'a pas
su
observer; on a manqué de surveillance ou de clair
psoïdales ou annulaires, ou bien des bulles de telle dimension. On ne
saurait
, pour la provocation de ces troubles trophiques,
'une irritation de cause externe : l'acte de peler des oignons, on le
sait
, vous tire des larmes. Mais on ignore que certain
de l'Académie, il n'y en a que tro*s n'appartenant pas à la Faculté,
savoir
: un seul médecin encore en exercice, le Dr Hucha
, aussi bien par certaines professions manuelles, que par la (1} On
sait
d'ailleurs que la phtisie est très fréquente chez
a malade était tourmentée par une idée qui avait une cause réelle : à
savoir
le fait qu'elle ne pouvait pas retenir ses matièr
es qui sont normales ; le sommeil est bon ; plus de nervosité. » J'ai
su
depuis, par les propres parents de la jeune fille
exactement ce travail récapitulatif comme une question nouvelle. Vous
savez
tous qu'elle a déjà fait l'objet d'études importa
un certain nombre de cas, être expliquée de la manière suivante : On
sait
que la chienne, comme d'autres gro3 carnivores, c
ée fut prise alors d'une inquiétude manifeste. Elle ne paraissait pas
savoir
où mettre son petit, dans quelles conditions l'in
ois la bonne suggestion, en ajoutant ce que l'hypnose ne donne pas. à
savoir
: L'auto-suggestion ajoute l'indépendance de l'
un cheval donne des coups de collier puissants et prodigieux, mais ne
sait
pas tirer avec continuité. Il dépense dix fois pl
oque, les résultats à mon auditoire. Je me décide à publier ce que je
sais
sur ce cas, à titre d'exemple ; puissent ces quel
u clair dans la floraison prodigieuse de la légende chrétienne, et de
savoir
ce qu'un catholique libéral est disposé à en croi
e des ouvrages avancés du catholicisme : s'ils les abandonnaient, qui
sait
jusqu'où ils seraient ramenés ? » Nous sommes h
lui-ci encore n'est pour vous ni un inconnu, ni un nouveau-venu. Vous
savez
qu'il dirige, avec M. Lépinay, le laboratoire de
dées de progrès. A l'époque de la guerre de Crimée qur, comme vous le
savez
, fut déclarée par la Russie, sous prétexte de ven
complets à tous égards. (t) 11 : ¦. a dit 1res jii¦'-m . i.* • * Le
su
m¦ athlétique est aussi réel que le surmenage cla
re la faim et la soif qui président à sa conservation. L'homme doit
savoir
se servir des aliments. L'homme qui s'adonne au
plus restreint possible. Il faut une bonne santé, car tout le monde
sait
que les tuberculeux ne peuvent pas jeûner. Toutef
nsabilité, n'est plus celui d'autrefois. Cela existe-t-il ? Nous n'en
savons
rien. Nous le saurons peut-être demain, mais dans
le nombre ; les néo-moralistes sont à leur tour une quotité qu'on ne
saurait
décemment heurter et dont il faut, coûte que coût
es. J'espère démontrer tout à l'heure que ce changement d'attitude ne
saurait
équivaloir pour eux à une négation de leur devoir
so- phie et de la jurisprudence. Le médecin, même praticien, n'en
saurait
faire fi. M. Farez pose avant tout la question
iers la conclusion de Taylor que M. Farez rapporte : « La question de
savoir
si l'accusé est un agent responsable est de natur
des fractions de responsabilité. Elle est ou n'est pas, mais elle ne
saurait
être en partie. Même sur le terrain de la pratiqu
souscrire au principe indiscuté d'une pénalité pour un être que l'on
sait
inférieur, taré, et que l'on déclare tel. Alors q
a fraction irresponsable de cette âme coupée par morceaux. Certes, je
sais
que cela ne les embarrasse guère. La prison est b
us revoilà sur le terrain philosophique ! —Consciente ? Mais M. Farez
sait
aussi bien que moi que les obsédés et les impulsi
e façon ferme sans concession aux doctrines du juste milieu. Et je ne
sache
pas que les magistrats aient été embarrassés par
s'accuse l'auteur des Lamentations : « Seigneur Iahvé, dit-il, je ne
sais
point parler ; je suis un enfant, b — Dieu lui to
otre proverbe français : « Charbonnier est maître chez soi. » On ne
saurait
s'imaginer le nombre d'occupations qui sont inter
ieux. Les musulmans ont la conviction religieuse si arrêtée qu'ils ne
sauraient
entendre ni supporter aucune dérision, ni aucune
eante pour l'humanité. A quoi faut-il l'attribuer ? Messieurs, vous
savez
que le peuple turc, privé d'une constitution qui
ance à répondre à cette question et je fais appel pour la résoudre au
savoir
et à la compétence désintéressée des savants fond
, avec le seul but d'étudier cette âme étrangère, a constaté qu'il ne
savait
rien encore et qu'il n'en saurait jamais davantag
e âme étrangère, a constaté qu'il ne savait rien encore et qu'il n'en
saurait
jamais davantage. Ce n'est pas une surprise pou
ssi que les réponses de C... sont vraisemblables et logiques et qu'il
sait
se défendre. Examen de C. : a Outre son embar
ent beaucoup, mais il a pu apprendre à lire, à écrire, à compter ; il
sait
faire une addition ; quand il fait une erreur, si
addition ; quand il fait une erreur, si on la lui fait remarquer, il
sait
la rectifier tout seul. « Actuellement, il trav
ond : « J'avais 14 ou 15 ans, c'était à Paris, dans une église, je ne
sais
pas. » « J'ai parlé des troubles de l'articulat
étouffer celui dont le seul crime est d'être le plus faible et de ne
savoir
se défendre. La vie de ces déshérités devient u
physique dans les expertises médicales et tous les psychothérapeutes
savent
combien il est utile de procéder au môme examen c
M. le Dr Voisin ; ce phénomène, en raison des précautions prises, ne
saurait
être attribué à une suggestion ; il est bien dû à
nstitue un dommage comportant réparation. » Il était intéressant de
savoir
quel accueil le tribunal réserverait à cette affe
avec les travaux de Brodie en Angleterre, de Briquet en France ; vous
savez
quel rôle prépondérant Charcot a fait jouer à l'i
tant en jeu l'affectivité et 1 emotivité ». Il y a longtemps que nous
savons
à quoi nous en tenir sur le rôle considérable de
très commode pour expliquer, en apparence, certains laits mais, je ne
saurais
trop vous le répéter, il n'y a là qu'un schéma do
narchie mentale des hystériques. Mais encore faudrait-il tout d'abord
savoir
comment se comporte à l'état normal la synergie d
enir (il y avait encore deux semaines jusqu'au moment critique) il ne
saurait
approcher de ses lèvres aucun verre contenant une
la rougeur de la face. D'après Bekhterev, « la peur de rougir » ne
saurait
être identifiée avec les idées obsédantes, mais s
ils estiment que la circonstance invoquée par Vaschide et Marchand ne
saurait
prouver d'une manière concluante que l'érytrophob
on se produit, sans raison, dans nombre de cas analogues, bien que je
sache
et que le bon sens me dise qu'il n'y a aucune rai
cette origine de sa phobie, pouvait la considérer comme venant on ne
sait
d'où. Tenant compte d'une telle psychogénie, le t
son affection et qu'elle ne pourrait dissimuler son émotion. Elle ne
sait
plus où elle va ; si elle ne guérit pas, il ne lu
t normal ; elle se sent bien. Un point toutefois l'inquiète, celui de
savoir
si l'hypnotisme ne va pas affaiblir sa volont
de se mettre a table avec ses bûtes. Cela a paru blessant, mais on a
su
ensuite que le chef de famille avait peur d'être
ion spéciale et une vérification expérimentale répétée, pour que l'on
sache
si la restitution complète du pigment est passibl
e de l'hystérie. Il s'agit donc d'une névrose de l'œsophage et nous
savons
que les névroses, sans mettre la vie en danger et
n acheminement sur vers la mollesse, l'impuissance, la veulerie ; que
savoir
souffrir gaiement les misères de la caserne et du
tir les sacrifices que tout individu, dans tous les pays, se vante de
savoir
faire pour la grandeur de sa Patrie. La France, p
soin d'être disciplinée fortement, militairement, afin que ses rivaux
sachent
qu'elle est capable d'appuyer son Droit par la Fo
s convaincus de la réalité de ce qu'ils avancent, les prophètes juifs
savent
inspirer une confiance telle que les malades vien
s scientifiques. Depuis plusieurs années, avec un zèle auquel on ne
saurait
trop s'associer, M. le D' Ritti, le savant médeci
problème ainsi que l'a fait observer M. Claparède est précisément de
savoir
pourquoi ce réflexe est exagéré chez certains ind
mportant dans d'autres maladies psychiques que la névrose, qu'elle ne
saurait
donc en constituer un élément pathognomonique et
duite en somme aux caractères qu'elle assigne aux troubles primitifs,
savoir
« qu'il est possible de les reproduire par sugges
verain, qui se leva alors, disant : « Mon esprit est en repos, car je
sais
que vous vous plaisez avec moi. » On retrouve l
rent cette ordure et la firen* dissoudre dans l'eau ; puis, le jetant
sut
le dos, ils lui ouvrirent la bouche avec des tena
utre. » Prenons un autre exemple de l'art parfait avec lequel Jésus
savait
profiter des circonstances favorables pour appliq
du Lévitique sur le sacrifice de la purification. Toutefois, on ne
saurait
dire au juste en quoi consistait la guérison de l
utiques pour arriver à ses fins. Le médecin philosophe et psychologue
saura
fairo la part du traitement psychique, diaetétiqu
ut, dit-il, qu'on reste frappé de la puissance de la suggestion. Elle
sait
opérer de véritables résurrections, des transform
rognerie préludant par des symptômes bien connus de leur entourage, à
savoir
: de l'irritabilité, de l'inquiétude et de la dép
ades (les coupables) à un confinement dans l'hôpital dont la durée ne
saurait
dépasser trois ans. Le malade occupe une chambre
à quitter le second rang pour s'établir au premier. Espérons qu'elles
sauront
résister à cette tentation. Un autre chapitre e
usieurs, bien que possesseurs d'une intelligence brillante, n'ont pas
su
résister à l'enivrement du pouvoir absolu. Dans n
'enivrement du pouvoir absolu. Dans nombre de circonstances, où on ne
saurait
invoquer la justification tirée de la raison d'Et
oser, d'une façon presque fatale, à la tentation d'en abuser. On ne
saurait
s'imaginer à quel point l'exercice prolongé de la
prit d'autres hommes. C'est là l'objet principal de vos études. Je ne
saurais
trop vous encourager à les continuer. Aujourd'h
très surexcité, qu'il a une peur folle de mourir » parce que l'on ne
sait
pas, s'il y a tout de même un enfer. » L'état som
Ch... peut s'habiller et se déshabiller tout seul, ce qu'il ne fai-
sait
auparavant. Les jamhes et les cuisses sont enco
intoxication latente. Peu importe, en l'espèce. L'essentiel est de
savoir
que notre diagnostic entraine une conclusion pr
decine Debove et L. t. 1lI, p. îOG, 20 E. NOGUÈS ET J. SIROL Nous
savons
, en effet, que cette maladie « procède d'une mani
derrière les gorges débordantes ou les bedaines pleines a crever, il
sait
dissimuler parfois des leçons d'une irréprochab
t pédants, souvent prétentieux, pres- que toujours grotesques. On
sait
aujourd'hui que Modère a pris ses exemples sur le
de leur faire prendre la parole. La tentation est si forte qu'on ne
sait
pas toujours y résister. - . * A Amsterda
ave ? Oui et non. CesMessieurs de la Faculté dissertent encore pour
savoir
s'il faut attribuer ce mal à quelque vapeur sub
age. . » Laissons donc de côté les emplâtres et les potions. Ils ne
sauraient
déloger les affections qui attaquent ainsi le c
ses clients. On voit qu'il est rompu aux belles ma- nières et qu'il
sait
formuler en termes galants. Son physique, à vrai
chement laid. Mais qu'importent les imperfections du visage si l'on
sait
les racheter par des dehors élégants ? Sans dou
D'AMOUR 65 ses gants, les larges bords de son chapeau, et comme il
sait
se draper avec aisance dans son manteau noir, t
s de souci de la toilette ris- querait de choquer les yeux. Il faut
savoir
accommoder sa mise à la qua- lité des malades.
ous. Si vraiment ? En ce cas, elle trouvera à qui parler, car je ne
saurais
tolérer que vous demeuriez céans en butte à ses
souffrances. Ce sont petits moyens de malappris. Je n'en veux point
savoir
davantage et je me tiens pour complètement édif
le... Tous vos beaux discours ne nous tromperont point, car nous en
savons
plus que vous sur la maladie de notre maîtresse.
de notre maîtresse. Nous n'avons que faire de vos médecines, et je
sais
quelqu'un qui ferait déguerpir le mal en moins
. Au demeurant, c'est un homme plein de politesse et d'urbanité qui
sait
parler à la maladie comme il convient. Il a sur
'en est fait de moi. Je me sens mourir ! ... Tous vos bons soins ne
sauraient
me tirer de là. Je suis si faible, si lasse, si b
souffrir Voyez : il me faut accommoder avec des oreillers, et je ne
sais
encore quelle position choisir..... Je n'ai plu
surtout s'il nous parvient avant ce soir certain billet de qui vous
savez
...» » Tout juste, à ce moment, quelqu'un s'arrê
rariés. Leur mal est à la fois physique et psychique. Le médecin ne
saurait
s'en désintéresser. Mais, avant d'aller plus lo
s sont trop évidents pour qu'on les récuse. Tout le problème est de
savoir
si les lésions, les symptômes ou les signes loc
e (1). III. - J'arrive maintenant aux véritables dermatoses. Vous
savez
que la plupart des maladies de la peau a l'except
défaillances favorisent l'apparition de troubles divers, dont il ne
saurait
être tout seul responsable. C'est ainsi que nou
aussi de racines. En tout cas, pour ce qui a trait au lichen nous
savons
que l'éruption occupe parfois une aire cutanée
érique du tronçon antibrachial.Ici l'intervention du myélomère ne
saurait
donc être dou- teuse. En fait, elle l'est d'aut
vèle avec une entière et remarquable évidence. Il s'agit, vous le
savez
, d'une dermatose fort rare et«plus spéciale à l
nt le groupement des éléments éruptifs sur les territoires que vous
savez
n'a rien à voir avec l'influence trophique des
tioizis (cas de Bar et Tissier), fasse exception à la règle ? Je ne
saurais
vous le dire. En tout cas, s'il présente quelqu
les faits de ce genre nous ouvrent encore un nouvel horizon. Vous
savez
qu'il existe des tumeurs, le plus souvent bénigne
us ou moins lointaine. Lorsqu'en vient l'éclosion inattendue, on ne
sait
trop si la monstruosité est fortuite, consécutive
de la flexion ; car la face palmaire a sa structure propre; elle ne
saurait
être menacée par des lé- sions qui frappent pré
nt absolument avec le diagnostic anatomique porté pendant la vie, à
savoir
la localisation du processus morbide sur la moe
sser de plus en plus, pour des lésions banales sur lesquelles on ne
saurait
s'appuyer sérieusement. On les a observées, en
altérations banales révélées par le Nissl, altérations que l'on ne
saurait
pas plus regarder comme la cause que comme la con
ment très légères, n'intéressant que des fibres commissurales et ne
sauraient
être regardées comme le point de dé- part de dé
tion ? Tout d'abord les dégénérescences observées dans la moelle ne
sauraient
en aucune façon être attribuées à une affection
e des faisceaux pyramidaux. L'origine périphérique ou radiculaireno
saurait
pas davantage être mise en cause pour expliquer
faire dépendre également du foyer de myélite cervicale puisque nous
savons
que ce faisceau contient des fibres qui subisse
éparation des cellu- les et des tubes nerveux y est complète. On ne
saurait
la rattacher à la dégénérescence des faisceaux
eur tâche, peut-être même se sont-ils partiellement régénérés. Nous
savons
en effet que la régénération des faisceaux blan
ats qui séparent les saillies (fosses sus-épineuse, sous- épineuse,
sus
et sous-claviculaire, dépression pectorale) sont
; aussi l'épaule droite est-elle surélevée de 3 centimètres au-des-
sus
de l'autre. Disons encore que la position du bo
y par- vient pas pour l'omoplate droite (on dirait que le malade ne
sait
plus faire ce mouvement, tant il hésite avant d
aires et dorsaux, long exten- seur du pouce, extenseurs des doigts,
sus
et sous-épineux, et pour les muscles du cou.
up de pied sur les bourses (application de sangsues) ; mais V... ne
sait
dire si c'est de cette époque que date cette irri
le pri- mum movens du syndrome atrophique et Itperulésiq2ce. Or on
sait
- et M. Apert (1) en a observé un cas très démo
et même un tabès bulbaire. Pour ce qui con- cerne le cerveau, nous
savons
qu'il n'est en quelque sorte qu'une vaste frond
t se faire en dehors de toute vue théorique. Il nous importe peu de
savoir
en réalité si la lésion initiale, devenant caus
tte grosse racine postérieure qui est le tronc labyrinthique, on en
sait
plus, au point de vue anatomo-patho- logique, q
al, aussi celui où l'oreille commence à se scléroser, bien que l'on
sache
combien l'athérome précoce se' porte volontiers
tion de ce mouvement. J'ai conscience d'une attitude passive,. je
sais
quelle attitude affectent tous les segments de
bilité, comme tous les autres tissus qui composent le segment, mais
sais
-je plus qu'un muscle ou plusieurs se sont contr
ais-je plus qu'un muscle ou plusieurs se sont contractés, que je ne
sais
qu'un ou plusieurs ligaments sont distendus, ou
ts sont distendus, ou tiraillés, telle aponévrose refoulée, etc. Je
sais
qu'il se passe dans ces segments, en cas d'atti
a vue seule le sert en ce point. Si le labyrinthe est intact, il ne
sait
plus bien régir les attitudes indispensables à
sens musculaire à propos d'un ma- 148 PIERRE BONNIER lade qui ne
sait
pas réaliser activement telle altitude commandée;
, qu'il a disparu z chez ce malade ? En réalité, l'ataxique, qui ne
sait
pas où sont placés et comment sont disposés ses
s l'attitude de départ, les at- titudes intermédiaires, et qu'il ne
sait
plus s'il a atteint ou dépassé l'atti- tude d'a
ue grâce à des muscles, à des os, à des articulations ? Aucunement.
Sais
-je que je dépense telle somme de force ? Nullem
Sais-je que je dépense telle somme de force ? Nullement. Ce que je
sais
, c'est qu'à partir de la variation d'at- titude
eurs, dans quelle proportion les uns et les autres ont fonctionné ?
Sais
-je même où sont mes muscles et si j'en ai ? En
sous une appropriation motrice qui est fautive. Un capitaine qui ne
sait
quelle tactique suivre peut commander une fauss
grande partie de l'intervention cérébelleuse dans la motricité. On
sait
les rapports du cervelet et de l'appareil vesti
le labyrinthe est lésé dans ses centres, les mouvements dits, je ne
sais
pourquoi, compensateurs, disparaissent quand la l
ômes auriculaires du tabès. Vulpian en a éga- lement parlé, mais on
sait
combien peu précises étaient ses idées sur ce q
ubles viscéraux, sécrétoires et vaso-moteurs, etc. Inversement nous
savons
qu'une irritation périphérique ou centrale, dan
e curieux que je nommerai l'enjambement in- ternucléaire, car je ne
sache
pas qu'il ait été baptisé. Il consiste en ce fait
e sujet qui ne savaitpas vouloir correc- tement l'équilibre absolu,
sait
néanmoins corriger les écarts grossiers. C'est
portait der- rière l'oreille indiquait l'opération de Slacke. On
sait
que cette opération consiste à rogner la partie a
er, Schmiegelow, Bouchut, Kiiapp, l3arnilc, etc.). D'autre part, on
sait
qu'une congestion du fond de l'oreille s'accompag
roide el, après avoir vidé la vessie, de l'eau à 70° ; le malade ne
sut
à peine faire la différence entre les deux temp
au niveau de l'angle inférieur. Dans cette position, les muscles
sus
et sous-épineux forment des bourrelets très dur
t des bourrelets très durs et très saillants qui donnent aux fosses
sus
et sous-cpineuses une forme convexe contrastant
iste cependant, est beaucoup moins accentuée. Le relief des muscles
sus
et sous-épineux reste aussi saillant et aussi d
erf du grand dentelé, causée par le poison typhique. Il resterait à
savoir
pour quel motif ce poison s'est localisé sur ce
Archiv sur kl. Med., 1869, t. VI, p. 95. Nouv. Iconographie 17F la
SAI
.IltTRIÈRF,. T. XII. PI. XXV PARALYSIE ISOLEE
que immédiatement après, il ne peut soulever son bras droit au-des-
sus
de l'horizontale. Enfin le cas de Barreïro (4)
e, c'esL de tous les muscles celui qui agit le plus puissam- (1) On
sait
que la paralysie des tambours, d'après les travau
e le moignon de l'épaule, n'intervient pas dans cet acte. Mais nous
savons
qu'il intervient fortement dans l'acte d'élever
bras soit jusqu'à l'horizontale, soit jus- qu'à la verticale. Nous
savons
qu'il se contracte puissamment, pour em- ployer
, dans l'acte de pousser en avant avec le moignon de l'épaule. Nous
savons
aussi qu'il a encore d'autres usages, qu'il con
. oplitalm. du trijumeau). Mais l'existence même de ces rapports ne
saurait
entraîner une relation de cause à effet, car, com
mais ils ne semblent pas atteints. Le deltoïde, les pectoraux, les
sus
et sous-épineux sont normaux. Membre inférieur
à quelques points les plus importants de l'hérédité syphilitique, à
savoir
ce que l'on a désigné sous le nom d'Hérédité sy
cée de la syphilis de leurs parents que chez les premiers nés. On
sait
, en outre, que différents auteurs ont pensé que l
ituer toute la filiation et d'instituer un traitement rationnel. On
sait
combien les affections du système nerveux, et par
pilules de protoiodure 'de 0,05 centigrammes, comme précédemment, à
savoir
, 50 en un mois. Elle vint, comme je l'ai dit, p
ier, « la syphilis céré- brale héréditaire ou acquise n'a pas et ne
saurait
avoir de symptômes XII 16 226 PAUL DE MOLÈNES
istingués du siècle précédent. Pour connaître le Mal d'Amour, on ne
saurait
mieux faire que de s'adresser au Médecin de l'A
ressortir leur frivolité, en affirmant que notre science actuelle a
su
faire justice de ces préjugés lointains. On rappe
t des accidents chlorotiques, on admet volontiers que ces causes ne
sauraient
suffire à les faire éclore, s'il n'existait ant
MEIGE 111 Tout d'abord, - à peine est-il besoin de le dire, il ne
saurait
être question d'identifier les aimables personn
ou de Munich doivent leur mo- delé à l'oedème chiorotique. Mais qui
sait
si l'une d'elles, dont la mule a quitté le pied
plâtre noir était apte à faire ressortir la blancheur du visage. On
sait
comment, plus tard, la mouche, réduite à des prop
étit est aussi perverti et, sans parler de pica ni de malacia, l'on
sait
quel attrait ont pour ces malades z les aliment
dre à ce que la peinture ait osé aborder ce sujet délicat ? ... Qui
sait
? ... Certain tableau de Steen et certain autre d
raison d'être de leur prédilection. LE MAL D'AMOUR 241 Enfin, on
sait
combien sont fréquentes, dans l'école hollandaise
est variable également. Il est des scènes dont la signification ne
saurait
être suspectée, l'auteur ayant pris soin de don
plus de vingt. Différence d'âge qui prouve que les person- nages ne
sauraient
être le couple qu'on suppose, car Jan Steen s'est
n'est pas en danger. Si l'amour est encore coupable, il a du moins
su
galamment ménager les formes de sa séduisante v
nous nommons febris amatoria, laquelle est engendrée, comme chacun
sait
, par des hu- meurs pntrides et conglutineuses q
te à manoeuvrer. Est-ce donc un lavement ? ... Le clystère, on le
sait
, était à l'apogée de sa gloire, au temps de Jan
le clystère, parmi tant d'autres applications thérapeutiques, fai-
sait
partie' des médications usitées contre le mal d'a
d'amour, - rendons encore une fois hommage au maitre hollandais qui
sut
allier dans tant de scènes médicales sa verve d
se et opulente personne pourrait bel et bien être enceinte. Je ne
sais
ce qu'en pense le confrère qui la soigne ; mais j
à deviner. Et cette hypothèse est rendue plausible par ce que nous
savons
du goût qu'avait Jan Steen pour tous les réalis
la gaillardise; il aimait à y participer. Il devait être de ceux qui
savent
mener rondement une aventure galante. A coup sû
acteur. Loin de lui en faire un reproche, il faut au contraire lui
savoir
gré d'avoir pris prétexte de ces scènes grivois
einture de toutes les émotions, raffinées ou grossières. ' . Il a
su
représenter avec une égale franchise, des scènes
i s'adresse aux médecins, nous avons vu que l'oeil du peintre avait
su
percevoir plus d'un détail clinique, plus d'une
iées de Hollande, t. Il, p ? 3. XII IS 258 HENRY MEIGE Mais qui
sait
si l'oeil exercé de cet éminent urologue n'est pa
ec quelle sollicitude de ménagère éprise d'es- thétique, le peintre
sait
ranger les meùbles, draper les rideaux, éclaircir
eur de mentionner la thèse que nous avons défendue en la matière, à
savoir
: l'unité dysthyroïdienne étiologique £ le tout
t se rendant parfaitement compte de son état de retard sexuel. On
sait
que l'ossification du squelette palmaire est reta
itulez toute sa vie sexuelle. En dehors de cela, interrogez la pour
savoir
si elle souffre actuellement et de quoi, si ell
hypothyroïdienne et cèdent à un même traitement. M. A. Robin, sans
savoir
au juste pourquoi, n'était pas si loin de la vé-
iliaire, est devenu plus tard hypothyroïdie grave, confirmée. On ne
saurait
mieux mettre en évidence la constipation qui est
acilement des névralgies dans le domaine du trijumeau. La névralgie
sus
et sous-orbitaire est des plus fré- quentes dan
thyroïdine que déverse dans le sang une glande saine. A fortiori ne
sait
-on point le déficit capable de déterminer l'explo
dre au poumon emphysémateux le terri- toire qui lui manque. Elle ne
saurait
régénérer une denture détruite par la carie, ni
nde pas à être cru sur parole. Dans la rétroflexion des vierges, on
sait
d'avance que toute médication thérapeutique est
u côté droit. Il existe une cicatrice dans l'aine droite dont il ne
sait
pas donner l'explication. Sur la partie antérieur
sur ses sensations il répétait constamment « non ». On ne peut pas
savoir
s'il éprouvait du prurit. Il prenait assez souv
s avec ceux de la description classique. Il nous semble que l'on ne
saurait
se montrer trop circonspect en pareille matière e
qu'on rencontre dans les cas de tabès, la vérité est celle-ci ; on
sait
que dans le tabes, l'anesthésie tactile, l'anal
t très fréquents : mais on est encore très mal fixé sur le point de
savoir
à quelle période de la maladie ces troubles se
mêmes troubles, leur mode de distribution et de circonscription; on
sait
aujourd'hui distinguer suivant leur origine les a
un chef-d'oeuvre. La touchante émotion de cette scène familière ne
saurait
être plus communicative; mais surtout la vérité
s amaigri de sa fillette. Et chez cette dernière, comme l'artiste a
su
rendre les méfaits de la maladie : la faiblesse d
ble pas lui inspirer grande confiance et nous comprenons qu'elle en
sait
plus qu'elle n'en dit. Ce sourire là, Jean Stee
es. Ce symbole cher à Jean Steen, Metzu a dû le lui emprunter. Nous
savons
qu'il équivaut à un diagnostic. C'est bien encore
t médecin semblent rivaliser de jeunesse et de grâce. Un docteur ne
saurait
souhaiter cliente plus attrayante ni cliente d'
se séparer de la sueur, je le fais lire, et cela me divertit... 11
sait
vivre; il n'est point charlatan... Il traite la m
ichement vêtu, qui, lui, ne traite pas la médecine en bagatelle. Il
sait
la rendre grave jusqu'à l'austérité, digne, pom
Sga- rarelle, il a condensé toute la médecine. Il va parler. Nous
savons
ce qu'il va dire : quelque galimatias à la façon
lités, fadaises langoureuses, et frivolités sentimentales. Elle ne
saurait
d'ailleurs s'adresser à mieux. Son docteur l'em
oustache soigneusement cirée au dessus de ses lèvres très roses, il
sait
encadrer son cher visage avec de longs cheveux
un prince et bon garçon au dernier point. » Nulle description ne
saurait
mieux convenir au docteur de Slingelant. (t) La
r le docteur petit maître de la galerie de Mannheim pour voir qu'il
sait
en user comme il convient avec les honnêtes gens.
e mal n'est pas grave. Car c'est le mal qui en- gendre la vie. Vous
savez
mieux que moi par qui, quand, et comment la con
nflexible,- et qu'il vous en advien- dra une grosse enflure où vous
savez
. Mais rassurez-vous : cela disparaîtra subiteme
us dans les nombreux tableaux genre de l'école hollandaise, rien ne
saurait
mieux renseigner sur les moeurs médicales de l'ép
nous dire qu'il I a fait le portrait d'une malade d'amour, nous ne
savons
pas si cet amour-là est de l'espèce platonique,
milaires des distinctions catégoriquement tranchées. Mais ce qui ne
saurait
être mis en doute, c'est que, certainement, l'a
- - moyenne du bras........ 23 231/2 - - supérieure du bras.......
su
2S1/2 Les muscles du bras et de l'avant-bras dr
thoraci- que. Les grands dorsaux sont atrophiés à droite. Muscles
sus
et sous-épineux atrophiés à droite, plus qu'à g
et sous-épineux atrophiés à droite, plus qu'à gauche ; les fosses ,
sus
et sous-épineuses sont dé- primées. Les delto
ne suit pas les mouvements de l'épaule. Atrophie légère des muscles
sus
et sous -épineux. Le chef claviculaire du trapè
observations d'atrophie musculaire progréssive myélo- pathique ; on
sait
que l'hérédité directe est au contraire fréquente
st d'une importance capitale de faire un diagnostic étiologique, de
savoir
s'il s'agit d'une ma- ladie curable, ou au cont
nettement et on peut constater la profon- deur anormale des fosses
sus
et sous-épineuses témoignant de l'atrophie des
xagération notable des réflexes tendineux. La question se posait de
savoir
de quelle variété d'atrophie musculaire il s'ag
ne grande exagération des réflexes tendineux, il était important de
savoir
reconnaître qu'il s'agissait d'une atrophie sim
sédons sur les antécédents héréditaires sont assez incomplets. Nous
savons
seulement que le père est mort à 80 ans de viei
ire infé- rieure est encore débordante d'au moins un centimètre (On
sait
que nor- malement c'est le maxillaire supérieur
de sont très mo- destes, et il peut être considéré comme dément. 11
sait
lire, écrire et comp- ter, mais il est incapabl
permet de supposer qu'il s'agit d'épilepsie partielle. Mais elle ne
saurait
en aucune façon convenir à notre malade, qui prés
hys- térique ; le père et les parents paternels sont inconnus ; on
sait
seulement qu'ils sont israëlites ; un oncle mat
tique DES troubles objectifs DE la sensibilité superficielle. Il ne
saurait
être question de valeur absolue pathognomonique c
es postérieures ou dans l'épaisseur même de la moelle. En effet, on
sait
de par les remarquables recherches de Sherrington
sur le mode de distribution des anesthésies d'origine spinale, nous
savons
que les lésions intra-spinales se traduisent pa
donneraient-ils à entendre que, malgré les années, celle-ci n'a pas
su
se mettre à l'abri de la contagion, qu'elle y à
la chlo- rose, il n'y a là rien que de très conforme à ce que l'on
sait
des accidents syncopaux fréquents dans cette ma
ue et un souci constant de la vérité naturaliste. Nul doute qu'il ait
su
tiré des épisodes pathologiques des composition
inerte, le long du corps. Dort-elle ? Est-elle évanouie ? ... On ne
sait
. Et l'attribution de ce dessin à Metzu est-elle
é avec une élégance et un fini vrai- ment hors de pair ; et l'on ne
sait
ce qu'il faut louer davantage des reflets miroi
voir. La science a bien d'autres soucis. Premièrement, il s'agit de
savoir
quelle est la cause de la maladie. On avisera p
e son panier. Ce qu'il y voit ? Nous l'ignorons, et peut-être ne le
sait
-il pas lui- même. Cependant il pérore, avec ges
ux héros a voulu précipiter la fin. A ce coup imprévu, l'héroïne ne
sait
résister : une pamoison en est la conséquence.
ison en est la conséquence. , Enviable défaillance où l'artiste a
su
faire valoir toutes les séductions de la victim
s rouge de son casaquin est de la plus fine trame, ses fourrures ne
sauraient
être plus duveteuses. La dentelle qui couvre les
ours viennent à point pour l'atténuer de tons rosés. Vraiment on ne
saurait
plus magnifiquement défaillir. A syncope si fas
détail des scènes mé- dicales que nous venons de décrire.' Et qui
sait
si le mal d'amour n'est pas la cause inconnue qui
les mélancoliques que tout excède et elle s'exprime ainsi : « Je ne
sais
plus rien, ça ne se peut pas... tout ce que vous
.) Question. - Dites ce que c'est ? Réponse. - Je ne peux pas, je
sais
ce que c'est. Je ne peux pas. (Et effec- tiveme
ume. - ,Réponse : c'est la même chose, ça n'est pas parce que je ne
sais
, je ne puis pas. Encrier. Réponse : je sais bie
a ne se peut pas. Question : Quel âge avez-vous ? Réponse : Je ne
sais
plus rien (comme j'insiste elle ajoute : « Dites-
us née ? - Pas de réponse. Question : A Paris ? Réponse : Je ne
sais
plus, je ne sais plus rien, ce que vous voudrez,
de réponse. Question : A Paris ? Réponse : Je ne sais plus, je ne
sais
plus rien, ce que vous voudrez, c'est fini, c'e
ça ! 1 Question : Depuis quand êtes-vous ici ? Réponse : Je n'en
sais
rien, je suis bien embarrassée. Question : Depu
trace de cécité psychique, la malade recon- naît tous les objets et
sait
parfaitement à quoi ils servent ; elle le prouve
er de lire la légende qu'elle suit du doigt et s'écrie enfin : « Je
sais
ce que c'est... Quand je serais devant... (elle f
et Schéma 7). L'hémorrhagie forme une mince Nouv. IcnnnenHmE nF la
SAI
,l'lÎmll\lIh. T. XII. I'f. LXXVII Coupe 4 pass
ire de l'impulsion verbale si l'on peut s'exprimer ainsi. La malade
sait
ce qu'elle veut dire (spontanément), ce qu'elle
Pas de cécité verbale ou plutôt littérale (la malade n'ayant jamais
su
que ses lettres). Surdité notable ; diminution
la malade ; On montre une clef. - Un gnon, peux pas le dire, si le
savais
, je le dirais. Montre. - Un gnon, pour mettre c
Montre. - Un gnon, pour mettre comme ça, pas ? A quoi ça sert, je ne
sais
pas au juste, c'est comme ça (elle fait le gest
index comme avec des ciseaux). On montre un livre. - Un pieu, je ne
sais
pas ; pour faire AAA BB. Récitez l'alphabet, ab
e, peut pas dire ; dites lui vous (elle s'adresse à la soeur), vous
savez
vous, dites-le Monsieur. Peut pas dire, il n'y a
Ribert (nom de son mari) - (Elle n'a pas l'air de comprendre), je ne
sais
pas, je ne sais plus rien. Et Louvet ? (nom d
n mari) - (Elle n'a pas l'air de comprendre), je ne sais pas, je ne
sais
plus rien. Et Louvet ? (nom de sa famille) - C'
! puis moi, je voudrais m'en aller. Qu'est-ce que Ribert ? - Je ne
sais
plus, je le jure que je ne sais pas. ' Dans un
ler. Qu'est-ce que Ribert ? - Je ne sais plus, je le jure que je ne
sais
pas. ' Dans un autre examen après avoir déchiff
lère : Il veut que je dise comme lui ! Lecture. Elle prétend ne pas
savoir
lire ; avec bien de l'insistance on parvient il
ns un segment limité du champ visuel. Ecriture. - Elle dit ne pas
savoir
écrire : on a tenté à diverses reprises de lui
nc ? - Du blanc ! 2 Lilas ? - Blanc. Vert ? - Blanc, blanc, je ne
sais
pas ; comme ça (elle montre les arbres par la f
apier et comme on insiste : Nou, ) : ou. Jaune ? - Du blanc je ne
sais
pas, nou ? Tout cet interrogatoire est entrecou
ns un autre examen : Quelle est la couleur de votre tablier ? Je ne
sais
pas, je peux pas dire, at- tendez, deu deu..
ntée au coeur ». L'autre oncle est mort aussi, âgé de 27 ans, on ne
sait
trop de quoi. Celui-ci, comme sa soeur, n'avait
eignements généalogiques que nous avons pu re- cueillir. Mais qui
sait
si cet ancêtre, venu au monde peu de temps après
envisage la maladie des pays chauds causée par la filariose, il ne
saurait
en être question ici, les malades, ainsi que le
parlait encore en faveur de la nature hystérique de l'oedème. On
sait
en effet que, selon les cas, les téguments oedéma
e sciatique; chez les trois plus jeunes enfin l'artério-sclérose ne
saurait
être accusée. Dans la thèse de Follet (1895), o
nts de membres inférieurs et au dos des mains. Pour lui, il s'agis-
sait
encore d'un oedème névropathique. Les exemples
rénal (2). Malgré le caractère familial de l'affection, celle-ci ne
saurait
être con- fondue avec la maladie oedémateuse ap
oncles de nos jeunes malades. Mais ces- accidents exceptionnels ne
sauraient
faire oublier le caractère de chronicité de l'e
t l'opinion courante sur les causes des troubles de l'évolution : à
savoir
des altérations des centres trophiques chargés d'
e notre observa- tion qui vient corroborer l'opinion de Bompaire, à
savoir
que le torticolis mental est un tic spasmodique
cune manifestation douloureuse. Le grand rond, le grand dorsal, les
sus
et sous-épineux, le deltoïde sont atrophiés ain
tâche de traduire en peinture les enseignements de Rabelais. On ne
saurait
s'offenser de son libertinage : . c'est sa manièr
ques orgies. Mais nul, mieux que le peintre cabaretier de Leyde, ne
sait
abor- der les gauloiseries les plus aventurées,
trop d'exemples pour avoir à y revenir. Seul, Molière au théâtre, a
su
manier l'ironie avec autant d'à,propos,, d'entrai
édaigne pas de leur faire un accueillant visage. Sans doute, elle a
su
estimer à leur juste valeur ces espérances caco
l voit en entrant lui arrache aisément un sourire. Gageons qu'il ne
saura
pas tenir son sérieux au cours de ses imprécation
s de l'autorité normale sur une part de la vie psychique. Les malades
savent
que leurs actes, leurs pensées, leurs émotions so
son. Le point essentiel caractérisant cet état est que tes malades ne
savent
pas dire de quoi ils ont peur, ou bien s'ils allè
un lieu public. L'homme mal équilibré ou à intelligence affaiblie n'y
sait
pas résister. Il ressort déjà de cette particul
s se présentent plutôt chez les dégénères. Il va sans dire qu'on ne
saurait
tracer de limites sérieuses entre ces différentes
lle de l'orage s'observent plus souvent que l'agoraphobie, et l'on ne
saurait
faire de chacun de ces états psychopathiques une
douleurs (car il n'eût jamais consenti à se laisser endormir s'il eût
su
que mon intention était de lui enlever ses habitu
s voir ni même y penser sans éprouver un malaise insupportable ; vous
savez
que si vous y goutiez vous seriez horriblement
été on ne peut plus heureux de recevoir votre lettre du 10 et de •
savoir
que M. le capitaine R... vous avait parlé de moi
que souci des lois du raisonnement. En effet, il ne s'agissait pas de
savoir
si l'individu était hypnotisable à ce moment; il
savoir si l'individu était hypnotisable à ce moment; il s'agissait de
savoir
s'il était réellement hypnotisé par ses compères
c'est qu'il est en Belgique certain professeur de philosophie qui ne
sait
même plus appliquer les règles de la logique, tan
la profession médicale tant de fais persiflée par M. Delbœuf, veut-on
savoir
comment il apprécie les revendications d'un honor
spontanément chez ces malades à la suite de crises d'hystérie, on ne
saurait
, a déclaré M. Babinski, admettre que la suggestio
tenu un compte suffisant de ce fait, mis en lumière par M. Charcot, à
savoir
que l'hystérie peut revêtir tous les caractères d
légal nettement caractérisé et ils ont appliqué la loi, ce dont on ne
saurait
les blâmer. L'hypnotisme au café. Du Figaro :
on ne saurait les blâmer. L'hypnotisme au café. Du Figaro : On
sait
quo des séances, de prestidigitation et de physiq
ité augmentée. Je puis donc en donner l'explication suivante : Nous
savons
, par les leçons de Dubois-Reymond, que les exerci
Voici comme exemple un cas qui n'est pas dépourvu d'intérêt : Vous
savez
tous que Charcot et ses élèves Paul Block, Tyssen
de remuer les membres ou certaines parties, parce que les malades ne
savent
plus comment s'y prendre pour les mettre en mouve
ion, â peine indiquée, d'un dissentiment scientifique C'est qu'ils ne
savent
pas que M. Masoin est tourmenté de toutes les amb
putation en le forçant à s'occuper de moi, et, pendant un temps, il a
su
ne pas donner dans le panneau en évitant avec soi
par antiphrase, qualifie de modeste. Croyez-moi, vos lecteurs vous en
sauront
gré. Car ils demandent à lire dans ce recueil des
a ce sujet, M. Masoin traite Deirez d'ignorant. Or tout hypnotiseur
sait
— sauf les ignorants comme Deirez — que tous les
urgicale. El nous connai'tons des sujets de Donato et de Léon qui ont
su
fort bien résister aux injonctions de ces fameux
ensible, mai* que, s inspirant d'one debance bien naturelle, il avait
su
reprimer toute réaction qui l'eût trahi ». 11 e
quée sans lésion (exemple : on mal de dents). Ensnite, si Vaudevoir
savait
simuler l'insensibilité quand on le piquait, à pl
j'ai cru de mon devoir d'écrire ces quelques pages. J. (1) Je ne
sais
même pas jusqu'à quel point on pourrait hypnoUser
(Auguste), Paris. Widmer, Lausanne SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE Seance da
Su
Juillet 1891. — Présidence de M. Dumontpallier.
remarquer encore, dans le même ordre d'idée, que dans l'armée, qui ne
saurait
cependant être considérée comme renfermant une ma
le sommeil est, en général, facile à provoquer chez l'enfant, et l'on
sait
que les manifestations hystériques sont beaucoup
s, s'il y a eu des rapports de cause à effet, s'étanl exprimés à leur
su
, par un contre-coup de la pensée de chacune de le
reposent uniquement sur l'emploi de ces deux moyens, dont personne ne
saurait
contester la valeur psychologique et la légitimit
professeur de Louvatn. Voici comment il s'exprime : « Il importe de
savoir
, de dire et de répéter qu'il n'est pas un acte, e
Quand on lui demandait comment il était tombé, il répondait qu'il ne
savait
pa;. Un lui parlait du figuier el de la fontaine;
l'avait pas quitté la veille et le jour de l'accident, fut curieux de
savoir
quelle étaitaa juste l'étendue de cet oubli; U l'
avoir de fâcheux résultats, c'est la une proposition à laquelle je ne
saurais
souscrire. On peut dire en effet de l'hypnotisme
e des pensées », ou de la divination muette; ces phénomènes, comme on
sait
, par leur caractère mystérieux et énigmatique, pr
nsées, et la majorité la plus influente de nos organes de la presse a
su
, du premier coup, apprécier rationnellement ces p
sir a constater que la plupart de nos écrivains scientifiques (1) ont
su
. presque indépendamment les uns des autres, et en
ait devant le tribunal. Aussi je l'engage à ouvrir le Code pénal pour
savoir
s'il est indifférent d'employer des manœuvres fra
oup, c'est trop fort ; car M. Delbœuf lui-même a très bruyamment fait
savoir
que Louise Laleau était une hypnotisée, selon lui
'une légère piqûre d'épingle ! « Ensuite, dit-il encore, si Vandevoir
savait
simuler l'insensibilité quand on le piquait, à pl
; cessez de faire l'ignorant, car. en ceci, vous ne l'êtes pas : vous
savez
très bien de quelles avanies vous vous êtes rendu
ncontré un seul qui ne fût dans l'hypnose » la première séance. Je ne
saurais
vous dire s'il en est de même des militaires grad
cher de résoudre une question, à mon avis une des plus importantes, à
savoir
s'il y a quelque affinité entre l'hypnose et l'hy
e plus en plus je me sens fortifié dans mon opinion, émise au Congrès
sus
nommé, que quelque méthode qu'on suive, l'hypnose
guéris de cette façon et rendus à leur famille el à la société. Je ne
sais
pas si la guérison resta permanente dans tous les
les pétechiaes «ont disparu». Comment expliquer ce résultat? Je ne le
sais
pas, mais je me contente d'avoir fait du bien. Et
ique, c'est commettre un attentat contre la dignité humaine. Ils ne
savent
pas qu'eux-mêmes, tous les jours, suggèrent et so
ions et hallucinations spontanément écloses dans leur cerveau. Ils ne
savent
pas que, dans leur sommeil, on peut leur imposer
ne chose irréalisable, contraire à notre dynamisme cérébral; car nous
savons
que, dans certaines circonstances, l'idée de para
r à évoquer une image, souvenir inscrite dans notre cerveau ; et nous
savons
que dans le sommeil, dans la période hypnagogique
M. Aug. Voisin (de Paris).—Je discuterai spécialement la question de
savoir
si un crime peut être commis sous l'influence de
e avec la bière. Institut départemental médico-légal do Paris. — On
sait
que M. Alpy avait proposé au Conseil général de l
ine se sent-il le droit de le recommander. Pédagogue excellent, on ne
saurait
dire qu'il a fixé les règles de la pédagogie. Le
entations qui constituent nos idées, nos pensées, se trouve, comme on
sait
, un mouvement moléculaire des particules du proto
e les deux pattes postérieures, chacune avec son nerf sciatique, l'on
sait
que l'excitation électrique, par un courant inter
Il me suffit de rappeler plusieurs faits bien connus. Tout lu monde
sait
certainement que le chagrin, la tristesse, s'acco
e froid agit sur le corps, la surface de la peau devient, comme on le
sait
, raboteuse, rude, à cause de la formation de la c
nettement le caractère de l'humeur et des émotions dominantes. Chacun
sait
que ce jeu des muscles est tout à fait involontai
faire parler, soit que l'auteur de la suggestion criminelle n'ait pas
su
prendre ses précautions, soit que le sujet s'endo
u besoin réitérée avec insinuation et assurance, d'une personne qui a
su
prendre sur elle de l'autorité, met en jeu un idé
'on parle de guérison de certains épileptiques. Mieux que personne il
sait
qu'on a obtenu des résultats heureux dans l'épile
cette discussion. B faut que par des détails minutieux nous puissions
savoir
s'il n'y a pas eu erreur de diagnostic, que, nous
tre confiance en nos collègues, la guérison de l'épiiepsie est. Je ne
saurais
trop le répéter, un bit trop considérable pour qu
'Hypnologie, est celle des suggestions crimi- nelles. Tout le monde
sait
qu'une des principales divergences qui séparent a
ons dont l'accomplissement lui sera pénible ou désagréable. Il faut
savoir
, en effet, qu'un sujet peut parfaitement résister
malades des hôpitaux, chez ceux qui connaissent le suggestionneur et
savent
qu'ils vont être suggestionnés, qu'il faut faire,
criminelle sur un sujet qu'on hypnotise pour la première fois, qui ne
sait
ce qu'on va lui suggérer. 11 faut en un mot procé
mettant la doctrine de M. Bernheim, selon moi très contestable, je ne
saurais
en déduire les mêmes conséquences que lui au poin
ons criminelles sous toutes ses faces. La vérité Suit toujours par se
savoir
et c'est an médecin qu'il appartient, en pareil c
s une nouvelle espèce de magnétisme. En était-il l'inventeur? je n'en
sais
rien. Il faisait tomber à genoux sur la scène et
« Je voudrais bien vous y voir Par parenthèse, aucune personne que je
sache
ne pensa qu'il s'était avili, ni que le spectacle
jets devaient perdre, au moins partiellement, leur conscience sans le
savoir
et sans en avoir l'air. C'était passablement obsc
lerie, j'en vins à lui dire qu'elle n'était pas malade, et qu'elle le
savait
; qu'elle pourrait manger, marcher, vaquer à ses
rf. L'opération ne lui procura qu'un soulagement momentané. Je ne
sais
qui lui parla d'hypnotisme. Il vint me trouver. J
ir. Enfin, je ne recule devant aucune expérimentation, et alors je ne
savais
pas, non plus que je sais aujourd'hui, si L'hypno
nt aucune expérimentation, et alors je ne savais pas, non plus que je
sais
aujourd'hui, si L'hypnotisme avait déjà été appli
ccès auprès des clients. Ce que je vais dire n'offensera pas ceux qui
savent
par la pratique qu'hypnotiser est un art très dél
ès du but que l'on s'est proposé. Sans exercice, sans habitude, il ne
saurait
être question de résoudre les problèmes médités;
cela que toutes les expériences compliquées de lecture des pensées ne
sauraient
prêter sérieusement matière aux investigations sc
ivres, etc. Grâce à un développement extraordinaire de leur ouïe, ils
savent
, au seul bruit des pas, reconnaître leurs amis au
mplement, et qu'il n'est pas besoin, pour le moment, d'imaginer je ne
sais
quels rayonnements psychiques, quelle induction d
l'hypnotisme ou bien s'ils ne sont que l'effet de la suggestion. On
sait
que lesdeus écoles de Charcot et de Bernheim se c
Conlribuzione allojtudUsperimeotale del/îpoosi. 1* cornu- nicazlone
sut
•enoiwni di sensodfc moto délia respirufooe c dél
ses. Il a, depuis quelques années, élu résidence à Bade-Bade, où i! a
su
se faire une clientèle très sérieuse. Homme de sc
n de rendre son sujet suffisamment snggestible dans le sens voulu, de
savoir
éliminer ou combattre l'auto-suggestion quand cel
onsabilité morale ou pénale du délinquant. S'agit-il de l'ivresse? On
sait
qu'en Belgique, ni en France, l'inconscience qui
métaphysiques et juridiques qui entraveraient sa haute mission; elle
sait
qu'elle ne doit aToir devant les yeux qu'un ensem
nque de responsabilité, puisqu'il est bien prouvé maintenant qu'il ne
saurait
entrer sur ce point dans le même ordre d'idées qu
son réveil, il nous répondit : « Ce n'est pas la peine d'essayer, je
sais
que c'est impossible. » Néanmoins, à l'heure fixé
Bérillon qu'après avoir es'ayè sans succès tousles traitements. Nous
savons
, du reste, que si le mercure et l'iodure du potas
us sur les tahétiques de la Sal-pé trière. M. Dumontpallier. — Nous
savons
tous aujourd'hui que rien n'est plus commun que d
Je ne l'ai pas revu depuis, mais souvent J'en ai entendu parler et je
sais
qu'il se porte très bien, qu'il n'a pas pris d'al
yse, la vulve était complètement étalée sur la tête du feetus. Chacun
sait
combien la période d'expulsion est douloureuse, s
le, sous forme d'intimidation et de menace, resta infructueuse. Je no
sais
comment cette suggestion a été faite. Sans doute
t à l'enfant ce que je lui ai dit à l'état de sommeil : 0 Mon ami, je
sais
que lu veux guérir; tu en as le vif désir. Mais m
pnoti*me ou à la psychologio physiologique. Gustation colorée. On
sait
qu'on désigne sous le nom d'audition colorée un p
ent-ils, d'être médecin pour connaître l'hypnotisme et, surtout, pour
savoir
hypnotiser. D'un autre cûlé, des personnes non qu
tre de la Justice, répondit de la manière suivante : La question de
savoir
s'il sera permis a lout magnétiseur d'hypnotiser
s'agit de la poursuite des manœuvres de la médecine illégale, devront
savoir
fermer l'œil à propos, dans l'intérêt de la scien
roi de l'abdomen produit immédiatement un mouvement du fœtus, et l'on
sait
que le corps n'est pas un bon conducteur de la ch
e constatation laissera les esprits d'autant moins indifférents qu'on
sait
que les témoignages constituent la base de notre
serment, faut-il en déduire que les mineurs de moins de quinze ans ne
sauraient
légalement commettre le crime ou le délit de faux
possible tout ce qui lui vient do ces sources diverses. Bientôt il ne
sait
plus ce qui lui appartient en propre, ce qui lui
rras; il se souvient que M. J... a pris un repas chez lui, mais il ne
sait
pas si c'était au déjeuner ou au dîner. Sa mère
r la voie de l'œil ou de l'oreille qu'elle y a pénétré. Tout ce qu'il
sait
, c'est qu'il a acquis cette image, que le souveni
e. Il persiste néanmoins dans ce qu'il a dit; aucune considération ne
saurait
l'en faire démordre. Pour un peu il paraphraserai
s a pu paru que les plus intelligents fussent les moins suggestibles;
su
contraire, des enfants très bien doues au point d
témoignât-* «ie la part de ceux que la loi n'admet pas comme témoins,
savoir
les enfants et les dénonciateurs payés. Mais il f
ulsion donnée par l'Ecole de Nancy à l'hypnotisme thérapeutique, nous
savons
le parti qu'on peut tirer, pour le bien des malad
et rêveur. Elle présentait de nombreux signes d'hystérie : douleurs
sus
et sous-mammaires gauches, dans les fosses iliaqu
sé de la faire causer pendant ce sommeil à forme somnambu-lique ei de
savoir
d'elle qu'elle avait été hypnotisée souvent par s
riminels-nés. Tous ceux qui ont étudié les statistiques criminelles
savent
que le crime se concentre de préférence dans un p
plus grand que dans la moyenne de l'Italie. Et encore ces chiffres ne
sauraient
donner une idée exacte de la férocité et de l'aud
ieux qui les obsède, cherche à les soustraire à la guérison. Si on ne
sait
pas les capter, ils échappent. Alors je fais veni
éressent et très suggestif travail sur : Sensation et Mouvement. Vous
savez
avec quel déterminisme expérimental précis il a f
quel déterminisme expérimental précis il a fait ses recherches? Vous
savez
avec quelle exactitude mathématique il a démontré
qu'ils ont ou à subir ou des fils de surmenés de môme nature. Et vous
savez
quo toutes les excitations physiques, morales ou
s de Milo de la pathologie. Or, il n'y en a qu'une au Louvre, et vous
savez
qu'il n'y en a guère d'autres qui courent les rue
représentent la partie bête du suffrage universel, ceux qui vont sans
savoir
où. qui crient plus fort que les autres. Ce sont
Virgile-Amour a un oncle que, dans le village, on a surnommé, je ne
sais
pourquoi, « le Biberon >. C'est un véritable a
é. Pourquoi, dès ce jour, le Biberon fut-il touché de la grâce? Je ne
sais
. Mais cela fut. Il devint religieux à l'excès, fr
— Non, je ne veux pas manger, je ne mangerai pas. — Pourquoi? — Je ne
sais
pas; c'est une idée qui m'est venue, il y a cinq
creux de l'estomac. — Non, je ne veux pas manger. — Pourquoi? — Je ne
sais
pas. Il y a quinze jours, à midi, le déjeuner m'a
blessure, pas de rougeur nulle part. Nous l'interrogeâmes alors pour
savoir
s'il ne s'agissait pas d'hémophilie. Elle avait e
hénomène était soumis à l'action de la volonté. Je voulus, en un mot,
savoir
si la volonté du sujet, exaltée par l'hypnose, po
Vtait pas ; les misérables livrés aux bûchers du moyen âge doivent en
savoir
quelque chose : l'autographisme, ainsi que l'appe
te somnambulisme sont des états distincts dont la réalité clinique ne
saurait
être légitimement contestée. Mais ces états ne se
eurs les plus consciencieux ont souvent fait de la suggestion sans le
savoir
. Enfin à titre de démonstration scient i tique,
u Sénat différera de celle de la Chambre? A vrai dire, pas trop. Nous
savons
que le Sénat n'aime pas i penser autrement que la
revient au galop. Cependant, ne faut-il jamais jurer de rien, et qui
sait
si les honorables sénateurs ne risqueraient pas u
nviction faite qu'il suffit de consulter les discussions pour ne plus
savoir
ce que la loi signifie. C'est la confusion abso
., col. 159) : ¦ Nous parlons de personnes hypnotisées. Il s'agira de
savoir
avant tout si les effets de l'hypnotisme se sont
ou un aliéné, pour que la loi puisse trouver son application. Il ne
saurait
y avoir question de punir pour avoir hypnotisé si
tous ceux qui ont assisté à des expériences nombreuses d'hvpnotisme,
savent
que neuf fois sur dix les expérimentateurs opèren
nt en disant : • J'ai certes voulu provoquer l'état d'hypnose ; je ne
sais
s'il y a ou non simulation du sujet, qu'on examin
des affaires comme celle do Braine-le-Chateau ridiculiseront. Je le
sais
: le gouvernement peut dire qu'il ne marche que p
ssion certaine de la vérité. On n'en est pas là. Deux médecins ne
sauraient
causer d'hypnotisme sans... se prendre aux cheveu
complaisance que l'on mettait à les satisfaire. C'était en hiver. On
sait
combien les hivers sont rigoureux dans les montag
ce qui émerveille les profanes, c'est qu'une des personnes présentes
sait
ce certain nom, ce certain vers, et transmet sa p
emme peuvent, pendant le somnambulisme provoqué, être violées sans le
savoir
, et sans en garder aucun souvenir, une fois révei
t moi, un grand nombre d'expériences. Elle voolnt un jour, jour je ne
sais
quelle raison, être hypnotisée par son frère; cel
es amenés : Il serait désirable que chacun de nous, homme ou femme,
sût
jusqu'à quel point il est hypnotisable. Or. on ne
femme, sût jusqu'à quel point il est hypnotisable. Or. on ne peut le
savoir
que si l'on a — comme je l'ai fait bien des fois,
er chez elle cette méthode. Avant, je l'adressai au Dr Coupard pour
savoir
s'il y avait quelques chances de diminuer sa surd
et ce que je ferais à ses oreilles. De mon coté, j'étais curieux de
savoir
si j'arriverais à l'endormir sans qu'elle m'ait v
l'ahlation, mais aussi de l'absence de douleur après le réveil. Nous
savons
tous que, dans ces cas, l'anesthésie est produite
hésie est produite facilement avec la glace, l'éther, etc ; mais nous
savons
aussi qu'après les douleurs sont intolérables. Je
n d'une plaquette spirîte de M. Delbœuf, qui n'a jamais répondu! Vous
savez
aussi qu'après certain défi brutal je ne me suis
différeul, je dus intervenir dans le courant de novembre 1889. Vous
savez
qu'après le passage des magnétiseurs ambulants qu
héance. Eu conséquence, j'étais invité i lenier de 1 "hypnotiser, à
savoir
par ce moyeu si le collègue incriminé l'avait ant
à la Faculté, mîdecin de l'hôpital Saint-Antoine. Messieurs, Je
sais
qu'il n'est pas dans les usages des sociétés sava
endant ce sommeil à forme somnambulique (l'hypnotisme provoqué) et de
savoir
d'elle qu'elle avait été hypnotisée souvent par s
isants à nou* démontrer que cela n'a pas ïlé. J'aurais été curieux de
savoir
de quelles garanties s'était entouré M. Voisin po
lpée. El je le répète, ce que la clinique médico-légale nous a appris
su
sujet des voleurs aux étalages, nous porte i supp
droite sur le froni, moyen dont elle avait entendu parler et qu'elle
savait
réussir quelquefois à endormir certains-sujets ne
ymptômes douloureux, et elle m'écrivit trois mois après pour me faire
savoir
que sa guérison s'était maintenue. Le lb" avril
ne serait-il pas néanmoins d'une importance énorme * Les dentistes
savent
par expérience quelles difficultés ils rencontren
remonte à une époque antérieure à son amnésie (période A B], elle ne
sait
pas qu'elle est venue à Paris, chez qui elle étai
tait et, a plus forte raison, pourquoi elle e>l renuo ici. Elle ne
sait
pas non plus à quelle époque do l'aunée vu »e tro
ccidents ont débute à la Un d'une violente attaque hystérique; or, on
sait
que les différentes périodes de l'attaquo hystéri
'elle s'approchât d'elle et qu'elle vouloit luy mesurer la jambe pour
savoir
si elle l'avoil aussi haute qu'elle, ce que ladit
ues. une de e*s mesures nous parait particulièrement intéressante. On
sait
qu'il n'exi*tait à cotto époque nulle part des as
avec la dynamite, ou très voisins du foyer de l'explosion. Ainsi l'on
sait
qu'une cartouche de dynamite, simplement posée su
virile. Les causes de l'impuissance virile sont multiples et il ne
saurait
être question do traiter tous les cas d'une maniè
intérêt ou par habitude* Tout cela a son importance, et M. Fournial a
su
, par des exemples très heureusement choisis, mont
stes. Quant à son enquête sur les enfants à réformer et à punir, je
sais
avec quelle habileté elle a été menée, puisque j'
r des observations très minutieuses et un dossier très complet. On ne
saurait
jamais être assez exact ni assez critique. Mais i
ère quelque chose à quelqu'un sans le vouloir et souvent même sans le
savoir
(que de fois cela n'a-t-il pas lieu en médecine p
é, c'est un poison qui ronge et fait dégénérer notre corps social. On
sait
à quel point le milieu criminel (maison de force)
nce supérieure de la thérapeutique suggestive, importance que l'on ne
saurait
plus contester, devant laquelle on est bien oblig
éressant de rapporter, car, s'il y a des accouchements avancés, je ne
sache
pas que, jusqu'ici, pareil fait ait été signalé,
bre préférerait que ce contrete fût exercé par le Gouvernement. Je ne
sais
si je me trompe, mais il me semble que, pour bien
ie tout, enfant, mari, famille, respect de soi-même, pour, dans je ne
sais
quel affolement subit, suivre une sorte de détraq
tout finit par s'expliquer... Jupiter faisait de l'hypnotisme sans le
savoir
, dans l'aventure d*Amphylrion. M. HoczBjU' db Leh
cine estime que l'hypnotisme arme d'une puissance redoutable ceux qui
savent
se servir de l'ascendant moral dont U est l'agent
ulgarise et que ceux qui sont nés hypnotiseurs ne s'ignorent point et
sachent
de quelle puissance la nature les a doués! Et pui
e. — L'honorable M. Grosfils o*t revenu sur la question irè* grave de
savoir
ce qu'il faut entendre par les mou ¦ donnés en sp
ficulté; mais, dans la discussion à laquelle nous nous livrions, nous
savions
très bien ce qui devait — le principe de l'interd
édecin ne servira qu'à couvrir la responsabilité de l'hypnotiseur. On
sait
qne les bypnousations répétées ont, entre autres
ne veux rien dire de désagréable pour mon honorable collègue, mais il
sait
comme moi que Ut rivalité de métier, c'est un sen
r, c'est un sentiment assez naturel dont on est parfois animé sans le
savoir
. Je préférerais donc l'intervention du gouverneme
matisée, que l'on nomme depuis Lasègue le deïire des persécutions, on
sait
que les malades, habituellement hallucinés de l'o
mencement de sa maladie ledit sieur Scanavin l'ayant interrogée comme
sus
est dit, et cette fille l'ayant ouy, respondit qu
Cette dame, qui avait l'habitude de dormir les fenêtres ouvertes, ne
sut
pas icnir compte, dans une circonstance décisive,
ur délivrer les démoniaques étaient si nombreux et si variés qu'on ne
saurait
tous les énumérer. Depuis les exorcismes à grand
que ceux-ci étaient leurs maîtres ou leurs maîtresses. Mais, nous le
savons
, parfois les démons étaient charmés, enchaînés, e
capable de répondre aux questions les plus pressantes. Dans ce cas on
savait
de bons moyens pour découvrir le sorcier. Cn des
té de pleines les deux mains, que c'estoit sel marin, eu intention de
savoir
qui a>irait mis les démons au corps du fils de
ortants ; cet abandon m'a paru résulter de deux causes principales, à
savoir
: d'une part, la grande difficulté du sujet, et d
si bien décrit cet état des substances animales primitives, que je ne
saurais
mieux faire que d'employer son expression qui rés
t l'axe osseux vertébral est remarquable. Les vertèbres, comme chacun
sait
, sont à l'ensemble du squelette ce que les anneau
ganglions en un seul est donc un signe de supériorité, et ce signe ne
saurait
être méconnu dans la tige nerveuse rachidienne de
phes, et qui de nos jours n'est pas encore complètement résolue. On
sait
que dans tous les animaux inférieurs ce qui repré
vraient ce mouvement, ce qui n'a lieu dans aucun animal. Cette vue ne
saurait
donc être acceptée que comme un jeu plus ou moins
ntelligible, je distinguerai dans l'axe médullaire plusieurs régions,
savoir
: 1° la région caudale; 2° la région lombaire; 3°
cordons postérieurs dans le rachis comprend trois systèmes distincts,
savoir
: 1° Le système caudal qui s'épuise et disparaît
lon latéral postérieur sont attachées leurs racines postérieures ; on
sait
que ces dernières se distinguent aisément par un
s son beau Manuel de physiologie : « C'est une question importante de
savoir
si les gros globules de la substance « grise, dan
renflement cervical est épais ; et ainsi pour les autres. Mais on ne
saurait
généraliser cette proposition à la série entière
st apparente la vérité de la proposition que j'ai plus haut soutenue,
savoir
, que toutes les fibres nerveuses des régions post
ur la perception distincte de la sensation la plus simple ? Enfin, ne
sait
-on pas que la faculté de distinguer par le touche
L'idée de cet enroulement est en germe dans les écrits de Willis. On
sait
comment il pratiquait la coupe célèbre qui porte
. Ce noyau est dès à présent divisé pour nous en plusieurs régions,
savoir
: 1° La région du bulbe ; 2° la région de la prot
euses du pont, et en le suivant ainsi, on constate un fait important,
savoir
qu'il est la continuation des pyramides antérieur
ses de 0m,002 à 0m,005 de diamètre (Histologie humaine, § 120). On ne
sait
d'ailleurs rien de ses propriétés et de ses usage
nguons, dans la masse générale du cervelet, trois masses secondaires,
savoir
: 1° Une niasse médiane dilatée en avant, très-
autres. Ces propositions donnent lieu à des observations nouvelles,
savoir
: 1° Que les parties médianes du cervelet antér
tte dilatation persiste pendant toute la vie, chez les marsupiaux. On
sait
qu'elle existe dans tous les vertébrés ovipares.
du noyau cérébral que ne recouvrent point les poches des hémisphères,
savoir
: les pédoncules cérébraux, le tuber cinereum, le
mesure de l'angle facial est une question d'eslhéstique, mais elle ne
saurait
donner les éléments d'un diagnostic certain. 11 e
faire intervenir dans ces calculs un élément qu'on néglige toujours,
savoir
: les aptitudes de la race; on fait sonner bien h
e compare à tel blanc, et l'on ne voit pas qu'ici des faits isolés ne
sauraient
avoir aucune valeur, et que la vérité n'est pas d
la face externe de l'hémisphère , cinq groupes de plis ou cinq lobes,
savoir
: le lobe central, et autour de celui-ci quatre l
tifs, loge l'arête supérieure de ces lobes, très-grêles, comme chacun
sait
, dans l'espèce humaine. Elle manque dans tous les
e Rolando et la scissure perpendiculaire externe, comprend deux plis,
savoir
: 1° un pli ascendant, qui forme la marge postéri
été critiquée. M. Dareste, dans un mémoire récent, m'a accusé, je ne
sais
d'après quel indice, de considérer en toutes chos
t qu'il prête à ce grand homme une pareille sottise. M. de Blainville
savait
très-bien, et cela est élémentaire en philosophie
. Les singes du nouveau continent et en particulier les Sajous et les
Sais
font exception à cette règle parmi les primates.
, et que ceux qui prétendent palper le cerveau au travers du crâne ne
sauraient
trop méditer ? C'est une tâche difficile que de
u précédent résulte comme conséquence nécessaire un troisième fait,
savoir
une modification très-remarquable des axes gris.
les fibres arciformes de Rolando. Ces fibres, comme tout le monde le
sait
, émer- (1) On the connexion of the anterior col
un raphé très-étroit. C'est là, à très-peu de chose près, ce que l'on
savait
de l'origine des fibres arciformes. Je me suis
nd mérite. G. En résumé, le bulbe comprend quatre ordres de fibres,
savoir
: 1° des fibres longitudinales; 2° des fibres ant
° Fibres longitudinales. Elles sont subdivisées en plusieurs groupes,
savoir
: (a) . Le groupe de la pyramide antérieure que
e vue est ingénieuse, mais certains faits obligent de la modifier. On
sait
que dans les enfants nouveau-nés la sub- (1) C'
résoudre. B. Noyau du cervelet. Ce noyau est formé de deux parties,
savoir
: 1° l'olive du cervelet qui est au centre, et 2°
'est là une alternative remarquable et dont nous tirerons parti. On
sait
d'ailleurs très-peu de chose sur leur structure.
M. Bail-larger. Pour ces deux auteurs l'écorce comprend six couches,
savoir
: 1° A l'extérieur, une couche blanche, fort mi
Vieussens (1). Ce centre ovale comprend plusieurs ordres de fibres,
savoir
: 1° Des fibres propres. Ces fibres passent du so
sur le cerveau que par l'intermédiaire de deux masses ganglionnaires,
savoir
: les lobes optiques et les corps genouillés inter
es ganglionnaires. Si nous jugions cette question d'après ce que nous
savons
de plus certain sur la transmissibilité des impre
tions générales snr le mode d'origine ries paires racliidicnnes. On
savait
fort peu de choses, il y a quelques années, sur l
J. F. Meckel (1), disait qu'à peine pouvait-on ajouter à ce que l'on
savait
de son temps sur la structure du cerveau, ce qui
océdés font défaut. Je vais, toutefois, essayer d'exposer ce que l'on
sait
de plus certain dans l'état actuel des choses; je
n sait de plus certain dans l'état actuel des choses; je âheeque l'on
sait
déplus certain, car la question est bien loin d'ê
M. de Blainville concevait ainsi les paires nerveuses crâniennes; on
sait
que, par cette expression,paire rachidienne, on d
ime, il importe de faire abstraction « des nerfs spéciaux de la face,
savoir
, des nerfs olfactifs, « optiques et auditifs. »
et par chacun d'eux passe le nerf essentiel de l'un de ces organes, à
savoir
: l'acoustique pour le trou de conjugaison postér
de ces créations intérieures, il y a dans la face une vie matérielle,
savoir
: de la sensibilité et du mouvement. A cet égard,
paire moyenne sont compris, outre le nerf optique, des nerfs moteurs,
savoir
: le pathétique, le moteur oculaire externe et le
teur oculaire externe et le moteur commun; et des nerfs de sentiment,
savoir
: la branche maxillaire supérieure (1), et l'opht
actifs auxquels s'unit seulement un petit filet nerveux du trijumeau,
savoir
: le filet ethmoidal du rameau nasal de l'ophthal
supérieur passe, il est vrai, dans l'homme, par un trou particulier,
savoir
:1e trou rond. Mais ce trou n'est qu'une dépendan
plan de composition de toutes les paires nerveuses crâniennes, tal,
savoir
: que le trijumeau est une souche commune de racin
s, de Vieussens et de Cruveilher ; douzième paire de Sœmmerring. On
sait
que les racines de ce nerf émergent du bulbe entr
ns le corps restiforme, me paraissent avoir émis une assertion que ne
sauraient
légitimer les recherches les plus minutieuses (1)
semble constituer une véritable anomalie parmi les nerfs crâniens. On
sait
en effet que ses racines semblent naître, derrièr
origine paris quinti nervorum cerebri monographia.—Halœ, 1812.) On ne
sait
, dit-il, quel nerf Vésale a désigné sous le nom d
Neque in exortu neque in progressu, crassiori radici com-missâ, » ne
saurait
en aucune manière convenir au nerf crotaphytico-b
(1). 6. Deuxième paire. Elle comprend le nerf spécial de la vue, à
savoir
: le nerf optique. J'ai décrit plus haut les or
lé de surdité. Viennent ensuite les tubercules quadrijumeaux, mais on
sait
que leur ablation interrompt la vision plutôt qu'
portante, du lieu d'origine des nerfs, en est liée une autre qu'on ne
saurait
négliger, mais à laquelle on ne peut donner une r
s claire parce qu'elle reposait sur une hypothèse absolument erronée,
savoir
, que l'encéphale est une efflorescence ou une pro
ique des songes? Questions, encore pour cette fois, insolubles ! Nous
savons
que cette substance qui conduit toutes les impres
étés sont d'un ordre si relevé, qu'elles échappent à l'expérience. On
sait
par elle ce qu'elles ne sont pas, mais nous ignor
'il a livré aux disputes éternelles ! Après avoir dit ce qu'on peut
savoir
de plus clair sur l'organisation du cerveau, aprè
e de similitude originelle laissait pour ainsi dire confondus. Nul ne
sait
, en descendant de l'ensemble aux détails, à quels
es transversales, n'ont aucune conformité avec la nature, et rien n'y
saurait
donner une idée des détails qui donnent à l'histo
nt les latéraux, ont une grandeur et une complication dont l'homme ne
saurait
donner aucune idée. Ces propositions sont d'autan
sûr les Hottentots bojesmans sont-ils de fort petits hommes (1). On
sait
que, toutes choses égales d'ailleurs, les mammifè
ime encore le corps à une époque où la vie automatique languit? Je ne
sais
ce qu'il faut penser de l'histoire de Dé-mocrite,
mbrane qui tapisse immédiatement la paroi interne des ventricules. On
sait
aujourd'hui que cette membrane est un epithelium
car ils sont traversés par l'artère carotide et par plusieurs nerfs,
savoir
: le moteur oculaire externe et ceux qui composen
Suivant M. Longet, ces nerfs proviennent exclusivement du trijumeau,
savoir
: 1° de la grosse racine avant sa fusion dans le g
ongueur, et sa rectitude, comme caractère isolé, dit peu de chose. On
sait
comment Camper mesurait l'angle facial. C'était p
oppent jamais simultanément en un égal degré, la question se réduit à
savoir
laquelle de la vertèbre occipitale ou de la front
. Il suffit, en effet, d'examiner la tête en la regardant de face. On
sait
qu'une crête plus ou moins saillante, qui fait su
histoire du pariétal qu'on n'a peut-être pas suffisamment remarqué, à
savoir
: la modification que sa forme générale subit dep
s c.'est là un résultat brutal qui signifie peu de chose, car si l'on
sait
où ce vieillard s'est arrêté, on ne sait pas et l
ie peu de chose, car si l'on sait où ce vieillard s'est arrêté, on ne
sait
pas et l'on ne peut prévoir jusqu'où 1832, t. V
nsèque fût la même. Grands naturalistes, qui ne voyez que la surface,
savez
-vous ce qui se passe au-dessous? Vous étudiez la
trois régions se distinguent plus particulièrement par leur grandeur,
savoir
: 1° l'étage supérieur du lobe frontal; 2° le lobu
on des troncs nerveux eux-mêmes. Cette observation prouve deux faits,
savoir
: 1° que des nerfs sensibles dans la peau cessent
autres (1). Des observations pareilles ont souvent été faites. Chacun
sait
que l'abdomen séparé du corps d'une guêpe ou d'un
ces, Fodera tira des conclusions obscures, ou pour mieux dire il n'en
sut
rien conclure. Mais on ne saurait lui refuser d'a
ns obscures, ou pour mieux dire il n'en sut rien conclure. Mais on ne
saurait
lui refuser d'avoir aperçu le premier l'hypéresth
exclusivement sensitifs. Tous ceux qui ont assisté à ces expériences
savent
combien elles furent concluanles et habilement fa
faites sur le cerveau infirment cette manière de raisonner, et chacun
sait
aujourd'hui l'énorme différence qui existe au poi
ons, disait saint Augustin, ce que nous pensons à part de ce que nous
savons
. Il n'y a point de meilleure maxime. Souvent la t
lle ou telle pièce. L'anatomiste qui la trancherait en morceaux, n'en
saurait
pas beaucoup plus. Je persiste donc à croire que
s et en avant, l'œil opposé se porte en haut et en arrière (1). Je ne
sache
point qu'on ait donné de ce fait de bonnes et cla
ce d'avec le mouvement de manège que d'autres lésions déterminent. On
sait
qu'on peut amener aisément un animal sain d'aille
distingué plus haut dans la couche optique trois éléments distincts,
savoir
: 1° son écorce formée de fibres en anse qui appa
qu'il soit capable de l'avaler. S'il marche, il n'a pas de but, et ne
sait
plus éviter les obstacles, mais il respire et dig
tion serait d'un haut intérêt pour la physiologie du cerveau. Je ne
sais
si je me trompe, mais en tenant compte des causes
M. Flourens, rien n'est certain dans la phyr3iologie du cerveau. Nous
savons
que les hémisphères sont les organes immédiats du
sont les yeux de l'âme, qui, sans eux, devient en effet aveugle. Nous
savons
encore qu'un seul hémisphère peut gouverner le co
s, ce qui connaît est aisément distingué de ce qui est connu. L'homme
sait
fort bien qu'il n'est pas les choses qu'il touche
qu'il n'est pas les choses qu'il touche, qu'il voit, qu'il entend. Il
sait
même qu'en tant qu'il sait, il n'est pas certaine
qu'il touche, qu'il voit, qu'il entend. Il sait même qu'en tant qu'il
sait
, il n'est pas certaines parties de son corps; il
u'en tant qu'il sait, il n'est pas certaines parties de son corps; il
sait
qu'il ne pense ni par ses bras, ni par ses jambes
patible avec tous les modes connus de l'existence matérielle, elle ne
saurait
être ajoutée à la matière par aucune puissance, s
L'homme, en effet, se connaît comme être, mais non comme matière. Il
sait
qu'il pense, qu'il n'est rien que par celte (1)
est fait d'air, il pense, il est « vrai, qu'il est de l'air; mais il
sait
certainement qu'il le « pense. Or, il ne sait pas
l est de l'air; mais il sait certainement qu'il le « pense. Or, il ne
sait
pas être fait d'air, il sait seulement «c qu'il l
certainement qu'il le « pense. Or, il ne sait pas être fait d'air, il
sait
seulement «c qu'il le pense. Qu'il mette à part d
e. Qu'il mette à part d'un côté ce qu'il pense, « de l'autre ce qu'il
sait
, cela seul est certain (1). » Descartes a dit f
des papilles en certaines régions où le toucher est plus délicat. On
sait
que l'impression d'un corps pointu sur la peau s'
our cela un nouvel élément, c'est-à-dire un mouvement voulu. L'esprit
sait
qu'il a mû le corps. Il garde la trace de ces mou
t pour les sens privilégiés de l'instinct; par eux, l'animal ignorant
sait
choisir ce qui convient ou non à sa propre nature
ements qu'il en tire, l'esprit n'aurait aucune idée des choses; il ne
saurait
ni la forme, ni l'étendue, ni la résistance, ni
A cet égard, d'ailleurs, ce sont des indicateurs excellents, et l'on
sait
assez de quels secours ils sont à l'homme et aux
rit tire de cette faculté d'entendre? Cela vient de l'emploi qu'il en
sait
faire, et de l'art avec lequel il sait discerner,
ela vient de l'emploi qu'il en sait faire, et de l'art avec lequel il
sait
discerner, choisir, classer et arranger des sons,
sur la rétine. Mais là n'est pas la question. Il s'agit seulement de
savoir
si nous concevons cette image comme une affection
ntre ces deux lignes ; on pourra ainsi constater un fait important, à
savoir
qu'on voit de la sorte trois faces du prisme, la
t-à-dire par l'analyse, car ces deux expressions sont synonymes. On
sait
que l'ensemble des images qui se peignent dans l'
exercent sur la faculté que nous avons d'en recevoir de nouvelles. On
sait
que les impressions qui ont vivement affecté la r
esquelles la sensibilité est comme épuisée. Mais cette explication ne
saurait
s'appliquer évidemment au contraste simultané. Il
lté de ces applications une véritable conquête pour l'intelligence, à
savoir
un art de définir l'indéfini, et de donner à chac
bscures et claires, et d'une oscillation insensible des yeux. Reste à
savoir
comment des impressions analogues peuvent se déve
ue, qui attache toutes nos idées à quelque fibre de notre cerveau. On
sait
que Charles Bonnet aimait fort cette hypothèse qu
par son aspect et ses qualités, une certaine idée distincte avant de
savoir
son nom ; c'est en un mot un certain homme grand
nom. Cela se voit à chaque ins tant parmi les naturalistes. Les uns
savent
plus à fond les choses, les autres savent mieux l
i les naturalistes. Les uns savent plus à fond les choses, les autres
savent
mieux les noms, d'où résultent deux partis rivaux
aissent qu'en dernier lieu, et tout disparaît avec eux parce qu'on ne
saurait
avoir aucune idée d'une chose indépendamment de s
nces, à ses craintes, à ses projets, à ses remords; il marche sans le
savoir
, et cependant il marche; il n'a aucune intention
ténèbres ; comme il n'a point compté le nombre des marches, il ne le
sait
pas. Dès lors, si l'intelligence intervient, il h
, été souvent émer- (1 « Si on cherche sur le violon un air qu'on a
su
, mais qu'on a oublié en grande partie, on le trou
cien pourrait se dire : J'ai remué tel doigt, frappé telle touche? Il
sait
sans doute qu'il se meut, comme l'organiste des r
touche? Il sait sans doute qu'il se meut, comme l'organiste des rues
sait
qu'il tourne sa manivelle, mais le détail se fait
duit par des idées corrélatives, il reçoit le nom de mémoire. On ne
saurait
assez insister sur ce fait fondamental du retour
s donc à étudier l'imagination dans quatre circonstances principales,
savoir
: 1. Dans l'état de veille. 2. Dans l'état de
à son gré son attention sur ses sensations ou sur ses idées. Seul il
sait
, quand sa pensée l'exige, faire prédominer l'idéa
de l'imagination et ceux de la sensation une transition naturelle. On
sait
que certains discours, certains modes de langage,
ous les yeux de l'homme qui s'endort, après avoir paru doublées. On
sait
par expérience que pendant la veille il suffit d'
habitude acquise, je m'éloignais de plus en plus de mon lit que je ne
savais
plus retrouver, et je me réveillais le matin couc
bjet fantastique de ce rêve et de cette hallucination était, comme on
sait
, un Bra-silien, grand, maigre, noir, et couvert d
pendant rien n'est absolument nouveau dans ce rêve singulier. Spinosa
savait
d'avance ce qu'est un homme noir, un homme galeux
veille, à plus forte raison le seront-ils dans l'état de sommeil. On
sait
qu'ils sont souvent déterminés par l'ivresse. T
es son voisin faisait des réponses très-justes. On peut en rêvant (1)
savoir
qu'on rêve. Combien de fois dans un songe a-t-on
ment des idées et leur liaison avec la réalité sont telles qu'elle ne
saurait
être expliquée par une simple coïncidence. Est-il
nct était très-habilement exploité par les Thaumaturges païens. On ne
saurait
d'ailleurs s'empêcher d'admirer l'extrême lucidit
sagacité de beaucoup de penseurs, mais qui surprendra moins ceux qui
savent
combien l'esprit est en général esclave de son pr
que l'on pourrait appeler, à bon droit, les sens de l'intelligence, à
savoir
de l'ouïe et de la vue. Celles-ci sont les plus h
d'une préoccupation qui attache toute l'attention de l'esprit, on ne
saurait
comprendre qu'avec peine, à moins toutefois que l
mauvais génie ; tu me verras dans les « plaines de Philippes. » On
sait
par quels raisonnements Cassius essaya de calmer
Il faisait clair de lune, et cette lumière douteuse est, comme on le
sait
, particulièrement chère aux fantômes. Un fait bie
ntôt quelques braves de la troupe u. 35 se détachèrent et coururent
sus
aux jeunes gens, qui les attendaient de sang-froi
lement, en me possédant plusieurs heures comme « un énergumène. Je ne
saurais
vous expliquer ce qui se « passe en moi durant ce
l'esprit a trouvé la place du « cœur, il voit ce qu'il n'avait jamais
su
. Il voit l'air qui est « dans le cœur, et se voit
que nous imaginons de deux manières; en effet, dans certains cas nous
savons
que nous imaginons; mais dans d'autres cas, en l'
n'a pas, même dans l'état normal, certaines idées plus présentes? Ne
sait
-on pas que dans la foule des idées qui assiègent
plus vivement que ne pourraient le faire des op-« posants, mais nous
savons
que ces objections viennent de « nous, qu'elles n
donnant aisément la clef; il s'agit de quelque chose de plus précis,
savoir
de ces cas de dédoublement d'hallucinations dont
et s'élever dans les airs. J'ai souvent un rêve analogue, et je ne
sais
qu'elle en est l'origine. Dans mon enfance, je m'
physique, éveillait chez lui l'idée d'une contrainte morale. On ne
saurait
trop insister sur ces choses. Une impression péni
n de mères, à force d'amour, rendent leurs enfants malheureux ! On ne
saurait
trop étudier ces contradictions de la vie humaine
vivre en paix avec le reste du monde. Il est des occasions où il faut
savoir
s'offrir ainsi en holocauste à ses amis malades.
de baser sur elles les fondements d'une pneumatologie nouvelle. On
sait
de quel étonnement le monde entier fut saisi, lor
es si habiles, d'instituer des expériences et de les multiplier. On
sait
comment est obtenu le mouvement des tables : plus
à priori, et toutes les expériences infirment cette hypothèse qui ne
saurait
avoir désormais quelque poids qu'auprès de gens n
ommence à vibrer. Il sera facile de constater deux faits impoiétants,
savoir
: en premier lieu, une attention soutenue du rega
Saint-Andi é sur tes maléfices ; lettre 2, p. 176.) apparaître? Ne
sait
-on pas que les larmes se tarissent aux yeux de l'
ments, et les idées pénètrent par les oreilles et par les yeux. Je ne
sais
, par suite de ces observations, si les aveugles-n
spondances nerveuses eussent expliqué ces phénomènes remarquables. On
sait
que les jumeaux siamois étaient unis par la plus
yen, entre la volonté de l'âme et les « mouvements du corps, qu'on ne
saurait
dire jusqu'où peut « aller l'influence de l'atten
magnétisés. Ainsi une demoiselle qui tombait en crise, lorsqu'elle se
savait
magnétisée au travers d'une feuille de papier, n'
ès-divers, plus souvent encore de la somnolence, et tous les médecins
savent
qu'il peut se produire dans ces cas, suivant le t
t qu'il s'était fourvoyé, et, me sentant impénétrable, prétexta je ne
sais
quel malaise. Je me retirai, complètement découra
d'esprit et cette question mériterait d'être examinée avec soin. On
sait
, et nous avons déjà rappelé que les états intérie
n sentiment de contentement intérieur et de vanité indéfinie. On ne
saurait
trop recommander aux personnes qui ont la curiosi
distinction plus intelligible, je choisirai un exemple vulgaire. On
sait
que toutes les araignées d'une même espèce tissen
parce que jamais, et quelque parfait qu'on le suppose, un automate ne
saurait
répondre à toutes les exigences du hasard et à l'
à la manière des Cartésiens, le plus général de tous les instincts, à
savoir
: l'instinct de conservation dont l'empire commen
mence avec la vie et ne finit qu'avec elle. Maintenant, ce que nous
savons
de l'organisation des animaux éclaire-t-il dans s
. Chevreul donnera un jour au public ses idées sur un sujet auquel je
sais
qu'il a appliqué ce génie d'observation, dirigé p
sur laquelle il monta a de même pour ouvrir la porte (1). « L'autre
savait
très-bien prendre la clef de la chambre où « on l
ela est fréquent, surtout, chez les Orangs el les. Éléphants. Béton
savait
ouvrir une porte en soulevant le loquet. Une autr
me communiquer sur ce sujet deux observations dont le sens profond ne
saurait
être trop médité par les philosophes que cette qu
la Singerie du Muséum d'histoire naturelle. Les singes, comme chacun
sait
, sont très-friands, et si quelque bonbon ou quelq
édiate un pareil langage peut atteindre. Ce n'est pas tout. L'homme
sait
imaginer, et les animaux le peuvent aussi, puisqu
out les mammifères carnassiers, exprime le désir ? Qui mieux qu'elles
sait
mendier ou donner des caresses? Qui a plus de joi
des caresses? Qui a plus de joie ou de douleur? Les physiologistes le
savent
, eux, qui tous les jours les sacrifient sans piti
acquérir, sinon elle est vide. L'instinct, au contraire, à son heure,
sait
tout de science infuse ; (1) Amusement philosop
peut distinguer quatre éléments distincts dans le langage de l'homme,
savoir
: 1° Le langage automatique et spontané des cri
, la plupart des hommes font des métaphores et de très-fines, sans le
savoir
. A vrai dire, ce n'est là qu'une extension du lan
les ce que les anciens racontaient de VHyène. Ils affirmaient qu'elle
savait
imiter le vomissement de l'homme, attirant ainsi
chien qui, en frappant ou en sonnant, fait ouvrir une certaine porte,
sût
de la même manière en faire ouvrir une autre. On
ivilège. Comme les bêtes, il exprime les sentiments qu'il éprouve; il
sait
comme elles en indiquer l'objet, mais il sait de
ments qu'il éprouve; il sait comme elles en indiquer l'objet, mais il
sait
de plus l'imiter et le peindre. L'animal, quel qu
bêtes que du plus au moins. L'animal a sans doute des idées, on n'en
saurait
douter puisqu'il rêve. Mais son langage exprime s
de la chose elle-même, qu'il en est inséparable, et nulle d'elles ne
sait
l'imiter pour la représenter. Chez les petits enf
sentiments et des volontés qu'il exprime, mais surtout en tant qu'il
sait
exprimer et représenter les idées qu'il a des cho
idée, c'est que je le veux. Je puis « le changer pour un autre. Si |e
sais
vingt langues, j'ai vingt « mots pour la même idé
lus ; ceci s'accorde assez bien avec le fait dont Leroy a parlé. On
sait
, dit-il, que les pies sont fort cauteleuses : « P
e au-dessus de celle des bêtes? Cela n'est-il pas assez prouvé? Qui a
su
, comme un autre Prométhée, soumettre à son empire
compliquée, de combien de sons successifs elle se compose ; il ne le
saura
pas, et pour le faire sera obligé de les compter.
. — Si l'on cherche sur le violon, dit Charles Bonnet, un air qu'on a
su
mais qu'on a oublié en grande partie, on le trouv
uns des maté-riaux qui devront servir à cette construction ; mais ils
savent
surtout, — profitant des erreurs commises par leu
chat. Entraîné par sa logique inflexible, Broussais proclame qu'il ne
saurait
y avoir de dérangement des fonc-tions sans une lé
étermine par son action la cause morbifique. En d'autres termes, pour
savoir
quels seront, sur un organisme sain, les effets d
toutes ces critiques contre les médecins cnidiens, qui n'avaient pas
su
, comme elle, résister à l'envahissement de la phi
la science moderne a pleinement confirmé la réalité du fait ; et nous
savons
qu'il existe des maladies qui tiennent aux révolu
de succession ; tels, en définitive, que les présente la nature à qui
sait
voir les choses d'un peu haut. On est arrivé ai
reconnaître qu'une patho-logie ainsi privée de ses appuis naturels ne
saurait
aboutir, même entre les mains les plus habiles, q
, et l'esprit humain, poussé en avant par une force irrésis-tible, ne
saurait
s'arrêter en chemin. Les efforts qu'il a tentés
Ainsi, messieurs, l'histologie pathologique, dont l'histochi-mie ne
saurait
être séparée, n'a pas seulement pour but de restr
ractéristique, le but que l'anatomie pathologique se propose, elle ne
saurait
l'atteindre sans établir un rappro-chement incess
me, s'opposent à ce mouvement organique sans lequel ses fonc-tions ne
sauraient
s'accomplir? Sans altérer leur forme, l'oxyde de
quoi des choses, car l'expérience lui a prouvé que l'esprit humain ne
saurait
aller au delà du comment, c'est-à-dire au delà de
emps, une science presque exclusivement germanique. Messieurs, vous
savez
le, reste. Alors les universités al-lemandes eure
l'empire de la science leur appartient désormais. Il faut, messieurs,
savoir
par-donner quelque chose aux enivrements d'un par
. L'importance d'une étude spéciale des maladies des vieil-lards ne
saurait
être contestée aujoLird'hui. On s'accorde en effe
nt cérébral, qui a transformé com-plètement nos idées à cet égard. On
sait
que, d'après Ros-tan, cette altération, si fréque
giques que subit l'organisme par le seul fait de la vieillesse. On ne
saurait
s'en étonner, si l'on remarque que presque tous c
ure du vieillard était moins élevée que celle de l'adulte ; mais nous
savons
aujourd'hui que la chaleur des parties centrales
our le typhus, et d'autres auteurs pour diverses maladies (1). Qui ne
sait
, d'ailleurs, que Louis XV est mort de la variole
On peut rapprocher ce type de plusieurs autres affections graves ; ne
sait
-on pas, par exemple, que la variole hémor-rhagiqu
tion qu'il en présente offre un contraste saisissant avec ce que nous
savons
de l'appareil fébrile envisagé aux autres 1. Il
log. (1865) plusieurs cas de ce genre recueillis dans mon service. On
sait
que Monneret avait déjà signalé l'existence d'une
bser-vons à la Salpôtrière. Aussi l'importance clinique de ce fait ne
saurait
être exagérée, surtout lorsqu'on songe aux diffi-
atente, et c'est dans les régions cen-trales de l'économie qu'il faut
savoir
en chercher la mani-festation. Il est donc très
deux maladies ou établir entre elles une distinction radicale. . On
sait
que les grands médecins de l'antiquité s'étaient
ce qui a lieu, par exemple, du côté des articulations malades. Vous
savez
, en effet, qu'au point de vue anatomique, les art
ontré dans la sérosité épanchée dans le plèvre ou le péricarde. On ne
sait
pas au juste s'il existe dans les sécrétions inte
nous devons examiner l'état des urines dans la goutte ; il s'agit de
savoir
si l'acide inique s'y trouve en plus grande porpo
er votre attention sont depuis longtemps connues. Depuis longtemps on
savait
que, chez les goutteux, des tophus, des dépôts cr
si foin que possible des insertions de la synoviale, qui, comme on le
sait
, s'arrête au pourtour du cartilage d'encroûtement
de rurale de soude, provenant de la desquamation épithéliale. Nous
savons
enfin que les ligaments eux-mêmes participent que
dans le tissu cellulaire voi-sin, elles prennent le nom de tophus. On
sait
qu'elles acquiè-rent parfois des dimensions consi
ration du cartilage diarthrodial, qui peut exister seule, mais qui ne
saurait
jamais manquer, lorsque les dépôts uriques ont en
alé Todd et M. le professeur Trousseau (1). III. La goutte, on le
sait
depuis la plus haute antiquité, ne siège pas indi
re de considérations, dont l'importance, au point de vue clinique, ne
saurait
être contestée : 1° Remarquons d'abord que l'in
lées par Ideler, Scudamore, et M. le professeur Cruveilhier; Garrod a
su
montrer tout le parti qu'on en pouvait tirer, sou
tte étude notre prochaine conférence. 1. Ces faits exceptionnels ne
sauraient
infirmer la règle générale. Les accidents articul
viscérales qui peuvent résulter de cette maladie. Mais, comme vous le
savez
, l'occasion de faire l'autopsie d'un goutteux se
ar un seul accès, les faits de ce genre sont très-exceptionnels et ne
sauraient
infirmer la règle générale. Toutefois, la physi
gime ; c'est là un trait d'union avec la goutte dont l'impor-tance ne
saurait
vous échapper. Que devient en pareil cas la séc
rochement qui sera justifié plus tard par d'autres analo-gies. Nous
savons
déjà qu'il existe ici une altération permanente d
te indépendante, et méritent par conséquent une étude à part. On ne
saurait
en exagérer l'importance au point de vue du diagn
s la pratique, et qui vous sera le plus facile à reconnaître. On ne
saurait
en dire autant des formes anomales, irrégulières
par la nature du terrain sur lequel elles se développent ; mais on ne
saurait
les ranger au nombre des conséquences directes de
s, et se trouve, en quelque sorte, appelé à souffrir à leur place. On
sait
de môme qu'un malade affecté de convulsions épile
imaux, des phénomènes analogues à ceux de ladiathèse urique ; et nous
savons
qu'en pareil cas, les liquides gastriques et les
u Scu-damore, M. Galter-Boissière et M. Martin-Magron. Mais nous ne
savons
pas encore, d'une façon positive, s'il existe des
uence de la goutte et deve-nait le siège d'affections permanentes. On
sait
du reste que, d'après les travaux physiologiques
'j III. L'influence de la goutte sur les affections du cœur ne
saurait
être contestée; mais il ne s'agit plus ici, comme
réunis par Quain, la mort eut lieu d'une manière inopinée 54 fois, à
savoir
: 28 fois par rup-ture du cœur, et 26 fois par sy
e Brain in Gout, etc.) (Dublin Quarterly Journal, 1856, p. 276.) On
sait
enfin qu'il existe une folie rhumatismale, étudié
anatomiques qui ne lais-sent subsister aucun doute sur son origine, à
savoir
, des in-farctus d'urate de soude dans le parenchy
ire ; ils peuvent cependant avoir quelquefois un rôle indépendant. On
sait
, par exemple, que le tissu fibreux prérotulien pe
recherches. R. Muscles, — Les goutteux éprouvent souvent dans le
sait
peut-être d'une arthrite blcnnorrhagique. Toile e
de voir l'iris affecté de cette manière dans la goutte, puisque nous
savons
que le rhumatisme articulaire, et surtout Je rhum
nous venons de mentionner ce nou-veau genre de surdité ; mais nous ne
savons
rien de positif à 1. Reynolds. — A System of me
euvent survenir chez les goutteux, ont été signalés par Prout (2). On
sait
d'ailleurs, que l'opération de la cataracte réuss
la goutte comme un phénomène favorable: c'est la goutte critique. On
sait
qu'il en est parfois de même dans le rhumatisme.
ste, la gravelle oxalique est bien voisine de la gravelle urique ; on
sait
, en effet, que l'acide urique peut être envisagé
tat cristallin, dans les urines, peu de temps après leur émission, ne
saurait
prouver que l'excrétion de cet acide est augmenté
élé-vation réelle du chiffre de l'acide urique. D'un autre côté, nous
savons
aujourd'hui, grâce aux travaux de Bartels (1), qu
e, que M. Rayer signale sous le nom de néphrite goutteuse ; mais nous
savons
qu'il existe une autre l'orme de néphrite goutteu
én-trele rhumatisme articulaire et la goutte ont amené, comme vous le
savez
déjà, bien des observateurs à proclamer l'identit
ide urique, en particulier, ne fait pas exception à cette règle. Nous
savons
peu de chose sur les conditions qui prési-dent à
ésoudre cette ques-tion. Antiquité de la goutte. La goutte, on ne
saurait
en douter, a été connue en Europe dès la plus hau
nombre de ces tributaires. 3° Influence du système nerveux. — On ne
saurait
nier non plus l'influence exercée par les causes
s martyrs : on peut ci-ter, entre autres, l'exemple des deux Pitt. On
sait
que le premier de ces deux grands ministres, le c
de Chatam, n'était pas un adorateur de Bacchus. 11 est vrai qu'on ne
saurait
en dire autant de son fils, William Pitt, qui ne
quence ; mais on peut recourir ici à une explication plus sim-ple. On
sait
que les excès de ce genre se relient étroitement
éral, de malheureux paysans irlandais chez qui le vice héréditaire ne
saurait
être mis en cause. Garrod est arrivé, de son cô
as-series. On voit, par conséquent, que le raisonnement à priori ne
saurait
être appliqué à la question qui nous occupe, et q
eaux, Champa-gne) sont loin d'exercer la môme influence. Mais on ne
saurait
en dire autant du bourgogne, qui cependant ne con
encore une bien vive lumière sur le phénomène capital de la goutte, à
savoir
, la présence de l'acide urique dans le sang. Ma
ent des lésions antérieures à toute manifestation goutteuse ; et l'on
sait
que les causes traumatiques ont pour effet de pro
vive douleur qui inaugure la série des accidents articulaires? On ne
saurait
l'attribuer à l'in-flammation; la fluxion locale
et la réaction générale est provoquée par les phénomènes locaux : on
sait
que son intensité est en général proportionnelle
riaux des intéressantes publications de Colles, Smith et Adam s. Vous
savez
que c'est à la Salpêtrière que Landré-Beauvais a
tanément, et sans passer par la forme aiguë ; mais ce fait négatif ne
saurait
infirmer la connexion que nous cherchons à établi
nous trouvons dans les planches de l'ouvrage classique d'Adams. Il ne
saurait
donc exister aucun doute sur ce point; toutefois,
cial. « Deux processus très opposés ont lieu en même temps, dit-il, à
savoir
: absorption de l'os ancien et de son cartilage d
qui existent à l'état rudimentaire dans les conditions normales. On
sait
que la membrane synoviale est garnie de franges q
ccasionnée par les frottements. Le cartilage diarthrodial, comme on
sait
, est recouvert à Fia. 13. — Rhumatisme noueux.
sme articulaire. vent affectées, et quelquefois en grand nombre. On
sait
que le contraire a lieu dans le rhumatisme articu
nt découvertes, lors-qu'il existe une déformation articulaire. Vous
savez
que certaines de ces altérations se trouvent comb
ent se rencontrer également dans des cas où la cause rhu-matismale ne
saurait
être invoquée. Ainsi dans X arthrite fon-gueuse,
pourtour des cartilages diarthrodiaux, se rencontrent aussi, comme on
sait
, dans des affections articulaires qui sont étrang
ues qui peuvent lui donner naissance, parmi lesquelles, comme vous le
savez
, l'hérédité joue un rôle manifeste. Tels sont,
es, par opposition à celui qui est généralisé ou poly-articulaire. On
sait
que, dans la goutte aiguë, il est rare de voir l'
stinctions les plus im-portantes qui séparent les deux maladies. On
sait
que le caillot d'une saignée, dans le rhumatisme
t derrière elles sont la conséquence de ce travail inflam-matoire. On
sait
que, dans près de la moitié des cas, les lésions
stoire, on peut bien le dire, nous sont aujourd'hui familiers. Nous
savons
qu'il s'agit d'une inflammation de la membrane sé
ns qu'il présente, les carac-tères de l'inflammation des séreuses. On
sait
que dans sa cardite polypeuse, Kreysig avait sign
phe plastique comme l'un des principaux caractères de la maladie ; on
sait
aussi que dans ses études si remarquables sur l'e
sur la rougeur vive que présente la membrane interne du cœur. Nous
savons
aujourd'hui que cette manière de voir man-quait d
e sous de certains rapports. L'endocarde n'est pas une séreuse, et ne
saurait
s'enflammer à la manière des séreuses. Mais on a
'enflammer, mais à la manière des tissus privés de vais-seaux ; il ne
saurait
être ici question d'un résultat plastique. D'un a
re d'une cou-che de farine plus ou moins épaisse, suivant les cas. On
sait
du reste que l'inopexie (tendance à la coagulatio
n'insisterons pas ici sur l'aspect qu'elles présentent à l'œil nu. On
sait
qu'elles occupent de préférence le cœur gauche et
uestion, et l'une des conquêtes les plus récentes de la science. On
sait
aujourd'hui que des corps mobiles peuvent se déta
s est d'une importance capitale au point de vue qui nous occupe. On
sait
qu'on a depuis longtemps signalé l'existence d'un
distinction sous le rapport de la symptomatologïe. Il s'agit, vous le
savez
déjà, du rhumatisme noueux, ou rhumatisme articul
é confirmée par Romberg, et j'en ai moi-même vérifié l'exactitude. On
sait
que la goutte est loin de suivre rigoureusement u
ouvent; et cette transition n'a rien qui doive nous étonner, car nous
savons
que le rhumatisme aigu pré-sente, en germe, les l
nouvelles recherches seraient indispensables. Toutefois, ce que l'on
sait
tend à établir cpie cette affection procède souve
rois types que nous avons décrits. Pour le rhumatisme noueux, il ne
saurait
exister aucun doute à cet égard. Sur quarante-cin
matisme chronique partiel, la question est encore à l'étude, et je ne
saurais
me prononcer là-dessus. III. Age.— La période
certaines provinces de l'empire russe, et notamment en Géorgie. — On
sait
que pendant la retraite des Dix-Mille, les Grecs,
nt que Irois ou quatre ans après la cessation de la cause. 2° On ne
saurait
contester l'influence de la misère et d'une mauva
toujours ici de manifestations rhumatismales ? Non, sans doute. Nous
savons
que les arthropathies consécutives aux fièvres ne
ferrugineuses ont été constatés dans plu-sieurs cas de ce genre. On
sait
que la ménopause est souvent marquée par un étal
marquée par un étal analogue à la chlorose des jeunes filles, et l'on
sait
aussi que souvent le rhumatisme chronique se déve
sesse, pour éclater d'une manière générale après l'accouchement. — On
sait
que le rhumatisme aigu lui-même a été observé dan
ifique peut se manifester sans aucune évacuation intestinale. On ne
saurait
enfin s'appuyer sur sa puissance narcotique, car
sur l'acide urique est bien plus énergique que celle de la soude. On
sait
que l'urate de potasse est beaucoup plus soluble
nt aucun pouvoir pour amoindrir la forma-tion d'acide urique ; ils ne
sauraient
pas non plus le dissou-dre, comme on l'a prétendu
n s'en tient aux doses que nous avons indiquées. Il faut d'ailleurs
savoir
les cas auxquels le traitement alca-lin est appli
e maladies latentes. D'ailleurs, il ne faut pas oublier que l'on ne
saurait
guère compter ici sur le secours des commémoratif
t qui fait périr chaque année un grand nombre de nos vieillards. Vous
savez
par quel appareil de symptômes caractéristiques,
x re-cherches scientifiques. La thermométrie clinique, est, vous le
savez
, un moyen physique d'exploration, au même titre q
énomènes extérieurs qui, ordinairement, l'accom-pagnent. Mais il faut
savoir
, à l'aide du thermomètre, en chercher la manifest
tion et de décomposition est également amoindri à cet âge; mais je ne
sache
pas que, sur ce dernier point, on ait jamais eutr
métrie axillaire et thermométrie rectale chez les vieillards. — Je ne
saurais
quitter le sujet sur lequel nous venons de nous a
les, et elles indiquent, à coup sûr, une ter-minaison fatale. Il ne
saurait
vous échapper, que déjà la thermométrie nous four
t à un taux relativement peu élevé sont bénignes. Loin de là, vous le
savez
déjà, beaucoup, la plupart peut-être des pneumoni
ar la diminution du poids du corps, par la prostration des forces, ne
saurait
être invoquée, du moins comme élément principal,
me élément principal, que dans une maladie à évolution lente. Elle ne
saurait
jouer un rôle prédominant dans une fièvre à march
e ces arguments sont fournis par l'expéri-mentation. On peut, vous le
savez
, chez l'homme comme chez l'animal, élever artific
il survient du coma, une résolution générale et bientôt la mort. On
sait
, à la vérité, depuis les expériences célèbres de
tion des températures extrêmes sur le tissu du cœur. D'ailleurs, on
sait
que l'accélération extrême du pouls, qui, dans le
tes organiques nécessaires à l'entretien de la vie ? Messieurs, on ne
saurait
guère douter qu'il en soit réellement ainsi. Qu
des accidents terminaux et de l'élé-vation de la température. Vous
savez
que dans la paralysie générale des aliénés, elles
mélancolie avec stupeur. Mais l'interprétation que nous proposons ne
saurait
s'appliquer à tous les cas de ce genre. Tout réce
une trace de putréfaction. D'après les recherches modernes, vous le
savez
, la fièvre traumatique se produirait d'une manièr
née, s'étendant aune grande partie d'un membre. 11 est avéré, vous le
savez
, qu'alors même que la circulation du sang s'est c
le ralentissement des mouvements du cœur et l'algidité centrale. On
sait
que, contrairement à l'opinion ancienne, la bile
ssement des actes chimiques qui entretiennent la chaleur du corps. On
sait
du reste que, lorsque l'affaiblissement cardiaque
tels effets si l'on se porte aux ré-sultats de l'expérimentation. On
savait
déjà qu'un coup porté sur la région épigastrique,
fois dans la variole des vieillards, qui re-vêt fréquemment, comme on
sait
, le caractère hémorragique. Dans ces cas, à l'épo
ment un asile pour la vieillesse indigente; c'est encore, comme on le
sait
, un lieu de refuge pour des femmes de tout âge, a
i on coupe ces muscles, la rigidité diminue notablement. 7° Il faut
savoir
cependant que chez les malades dont on a l'occasi
ité des douleurs articulaires (Obs. I). Par toutes ces raisons, on ne
saurait
la considérer comme un résultat d'une position in
rmées paraissent avoir été le siège des lésions in-flammatoires. On
sait
que Delpech, M. Chomel, et plus tard, MM. Duval,
cette complication. La mort s'en est suivie mais nous n'avons pas pu
savoir
s'il n'existait pas dans ce ras quelque affection
n : la misère, avec toutes ses conséquences est une chose que l'on ne
saurait
ré-voquer en doute. Landré-Bauvais ne nous a donn
laire chronique. MM. Chomel et Requin, M. Piorry, admettent, comme on
sait
, que cette même cause n'est pas sans influence su
seules atteintes (Bouillaud, Chomel et Requin.) Ces lésions, on n'en
saurait
douter, sont le résultat de l'inflammation. Mais
) se sont appuyés sur elle pour établir qu'en nosologie, la goutte ne
saurait
être nettement séparée du rhumatisme. 11 nous par
La malade est dans un tel état de prostration qu'il est impossible de
savoir
d'elle à qu'elle époque remonte le début de l'aff
es in the kidneys of gouty subjects,) Une question se présentait, à
savoir
si le dépôt d'urate avait eu lieu en dehors des t
. — En les examinant avant de les ouvrir, il au-rait été difficile de
savoir
si elles étaient saines ou altérées ; elles n'éta
rein, à l'autopsie, étaient très peu abondants il est vrai ; mais on
sait
avec quelle facilité ils peuvent être dissous e
lique ou para-lysie saturnines, — le sang fut examiné, dans le but de
savoir
s'il ne contenait point un excès d'acide urique.
e, du moins à notre connaissance, on ne s'est pas occupé jusqu'ici de
savoir
s'il existe un rapport de causalité entre l'intox
Clinical Lectures on the Urinary Organs. London, 1857, p. 401.) — On
sait
que Ma-gnus Huss ne signale point la goutte parmi
a sérosité obtenue par l'application d'un vésicatoire. Aucun doute ne
saurait
donc exister con-cernant la nature de l'affection
ion particulière et qu'il paraît superflu de faire ressortir. 1. On
sait
qu'à l'aide de ce procédé, M. Garrod a fail voir,
or/ie,l813, p. 229; sécutive à l'intoxication saturnine. Et l'on ne
saurait
, d'autre part, objecter contre cette manière de v
e distincte de Yarthritis, une affection à laquelle il a donné, on ne
sait
trop pour quelle raison, le nom de rhumatisme, no
a maladie et qui démontrent péremptoirement ce qu'avance M. Garrod, à
savoir
: que la goutte peut avoir occupé sérieusement, à
a plupart des jointures ont été successivement atteintes ; mais il ne
sait
dire dans quel ordre elles l'ont été. Il a oublié
s l'influence du rhumatisme articulaire chronique progressif. Cela ne
saurait
surprendre lorsqu'on remarque que, dans les deux
dre lorsqu'on remarque que, dans les deux cas, c'est un même agent, à
savoir
, la rétraction spas-modique des muscles, qui para
'en est assez pour établir que la distinc-tion des deux affections ne
saurait
être fondée d'une manière absolue sur la seule co
urique cristallin, dans les urines, peu de temps après l'émission, ne
saurait
prouver que l'excrétion de cet acide est augmenté
e l'acide urique contenu dans les urines. Quoi qu'il en soit, on ne
saurait
nier que la gravelle urique puisse se montrer lié
mais ce sont là, incontestablement, des faits exceptionnels et qui ne
sauraient
infirmer la règle, (p. 247-248). Etat du cartil
e, du moins à notre connaissance, on ne s'est pas occupé jusqu'ici de
savoir
s'il existe en effet, un rapport de causalité ent
es, chez des pigeons, des oies et des couleuvres (Colucer natrix). On
sait
que chez les oiseaux et chez la plupart des repti
ent, au point de vue chimique, les sels de sodium et de potassium, ne
sauraient
faire oublier qu'ils diffèrent cependant profon-d
que et à ta goutte. II y a là un intéressant sujet de recher-ches. On
sait
que dans la maladie de Bright ancienne, où les ac
la femme que chez l'homme ; opposition bien tranchée avec ce que l'on
sait
de la goutte (p. 627). Ressemblance des lésions
p. 49), et les leçons de M. Claude Ber-nard pour 1855. « Nous devons
savoir
reconnaître », dit l'émi-nent physiologiste, dans
thèse urique en général. Les re-marques qu'il présente à cet égard ne
sauraient
guère s'appli-quer qu'aux classes les plus favori
M. Charcot dans tous les dortoirs de la Salpêtrière, consacrée, on le
sait
, pour une large part aux vieillards, lui en avait
reur que Shakespeare, obser-vateur aussi scrupuleux que grandpoëte, a
su
éviter. Et, pour apporter la conviction dans les
ez Cour.., la chorée est survenue « à la suite de choses dont je ne
saurais
parler, dit la malade, sans verser des larmes. »
nes, dans les tissus. Il y a lieu de dis-tinguer à cet égard, vous le
savez
: 1° Vanatomie pathologique macroscopique, répond
du foie est vraiment la clef delà situation. 11 y a longtemps qu'on
sait
que le foie est composé de par-ties similaires, t
urs, Nous connaissons actuellement ce qu'il y a de plus essentiel à
savoir
, pour le but spécial de nos études, relativement
des applications sérieuses à l'anatomie pathologique de l'homme. On
sait
que les cellules hépatiques, chez l'animal récem-
r que cette description est beaucoup plus en rapport avec ce que l'on
sait
de la répartition de la matière glycogène dans d'
premier rang l'infiltration et la dégénération graisseuses. A. Vous
savez
que. dans les conditions normales,il existe à peu
pillaires doivent nous intéresser à un haut degré car ils sont, on le
sait
aujour-d'hui, le siège d'un certain nombre d'alté
paral-lèlement à la direction des vaisseaux capillaires radiés. Vous
savez
, par nos études antérieures, que, sur une pareill
ces cellules. Ces observations très remarquables n'ont pas, que je
sache
, été encore vérifiées par d'autres anatomistes. C
s la leucé-mie et dans Yadénie ou autrement dit pseudo-leucémie. Vous
savez
que ces tumeurs sont constituées par un tissu rét
u pigment biliaire; — b) la cholestérine ; — c) des sels minéraux à
savoir
surtout : des phosphates de soude, de po-tasse, d
me un produit de désassimilation normale de la matière nerveuse. On
sait
de longue date que les centres nerveux contien-ne
ues par conséquent aux cristaux d'hématoïdine. L'hématoïdine, vous le
savez
, est un produit qui prend naissance dans les cas
te dans le cas de l'héma-toïdine. B. D'où vient la bilirubine? Nous
savons
qu'elle existe à l'état normal dans les cellules
nt sanguin, supposeraient une grande quantité de sang épanché. Or, on
sait
que les épanchements sanguins de quelque abondanc
tes hydatiques en général et dans ceux du foie en particulier et l'on
sait
, d'un autre côté, que dans les kystes hydatiques
ent. Jamais on n'a constaté leur présence dans le sang normal et l'on
sait
, d'ailleurs, par les expériences d'extirpation du
petite quantité de pus. mêlée à la bile, dans les voies biliaires, ne
saurait
y conserver ses ca-ractères, les leucocytes subis
la bile chez les goutteux ne renferme pas d'acide urique (1). 4° On
sait
qu'un grand nombre de métaux et de métalloïdes, p
ières fécales, de sulfure de mercure sous forme pulvérulente. 6° On
sait
de longue date que, dans certains cas patholo-giq
dans la pathologie hépatique. Il n'a pas encore trouvé place, que je
sache
, dans les traités classiques et pourtant, Messieu
duits fondamentaux de la désassimilation et de l'ex-crétion azotée, à
savoir
l'urée et l'acide urique. En ce qui con-cerne, pa
le célèbre mémoire de MM. Prévost et Dumas (1). « Tous les chimistes
savent
, disent-ils, que l'urine des malades affligés d'h
abituelles de la fièvre, dans les conditions ordinaires, est, vous le
savez
, d'en-traîner une augmentation du taux de l'urée.
signaler précédemment, que la diminution de l'urée est frappante. On
sait
que la lésion pro-pre à cette maladie consiste en
d'une forme particulière de fièvre intermittente symptomatique. Vous
savez
qu'on indique quelquefois sous ce nom les fièvres
près les observations de Jochmann, Traube et quelques au-tres). Je ne
saurais
vous dire s'il en est de même relativement à la f
tique. Nous ne possédons pas malheureusement, quant à présent, que je
sache
du moins, d'observations ad hoc, je parle d'ob-se
à sa place, il se forme des substances moins élevées dans la série, à
savoir
la leucine et la tyrosine, lesquelles passent en
assimilalion azotée, se trouve en forte proportion dans le foie. On
sait
que chez les mammifères, l'urée existe à l'état n
l'urée chez les mam-mifères. Du foie, l'urée passe dans le sang; nous
savons
qu'on ne la rencontre pas dans la bile, du moins
contingent de l'expé-rimentation. Isolées, sans doute, ces données ne
sauraient
avoir une valeur absolue, définitive, mais elles
, par le chiffre de 20 à 30 grammes. Mais l'urée n'est pas, vous le
savez
, le seul produit formé dans ce processus de la dé
le foie participe à ce drame morbide et en quoi il y participe. Je ne
sache
pas qu'on ait, jusqu'ici, décrit des altérations
p. 111. la goutte aux dépens de celle de l'urée, c'est ce qu'on ne
saurait
décider actuellement, faute de recherches positiv
turnins par le fait même de l'intoxication dont ils souffrent. Or, on
sait
, d'un côté, par les travaux de M. Garrod, que l'a
e qu'ils ne sont pas, à proprement parler, atteints de goutte et l'on
sait
, d'autre part, que chez eux le foie, dont le pare
urique cristallin, dans les urines, peu de temps après l'émission, ne
saurait
prouver que l'excrétion de cet acide est augmenté
l'acide uri-que contenue dans les urines. Quoi qu'il en soit, on ne
saurait
nier que la gravelle urique puisse se montrer lié
rsqu'il s'agira des al-térations du foie chez les diabétiques. Vous
savez
que la glycogène, qu'on appelle encore zooa-mylin
lié que le glycogène occupe dans le foie la cellule hépatique et vous
savez
aussi sous quelle apparence il s'y révèle à l'exa
ervé à la Salpêtrière, asile consacré, pour une bonne partie, vous le
savez
, aux femmes âgées. Le fait est que, d'après mes o
rédécesseurs à la Salpêtrière est beaucoup trop absolue et qu'elle ne
saurait
être, tant s'en faut, acceptée sans réserve. Cert
l-culs développés dans la vésicLile du fiel. Cette migration, vous le
savez
, peut s'opérer par les voies naturelles, c'est-à-
nt amplement, je pense, pour mettre hors de doute que le praticien ne
saurait
se dé- sintéresser de l'étude des concrétions b
avec les acides gras, ou enfin avec le pigment. C'est une question de
savoir
, nous l'avons déjà dit, d'où vient cette chaux. I
se recouvrir de substances étrangères à sa composition pri-mitive, à
savoir
de phosphate de chaux et de magnésie et de carbon
rès indispensable, vous allez vous en convaincre incessamment. Vous
savez
comment un canal court et étroit, le canal cys-ti
tiques doivent tout d'abord s'engager. Il semble, d'après ce que nous
savons
du diamètre de ce conduit, que la gravelle biliai
laires; mais ces faisceaux seraient très clair-semés et partant on ne
saurait
trouverlà,àproprementparler,unetuniquemusculeuse.
faits ne nous apprennent rien. Nous avons voulu, M. Pitres et moi,
savoir
à quoi nous en tenir à cet égard, et nous avons,
ique qui traduit vulgairement cette irritation des nerfs est, vous le
savez
, l'en-semble connu sous le nom de colique hépatiq
evraient surnager et se mettre ainsi facilement en évidence. Or, vous
savez
par nos études antérieures que les calculs, à l'é
t dans la vésicule antérieurement à l'appari-tion de la colique. Vous
savez
que les calculs d'un certain volume ne sauraient
tion de la colique. Vous savez que les calculs d'un certain volume ne
sauraient
s'introduire dans l'étroit conduit qu'on désigne
era bientôt parlé, à la vérité, on ne possède pas à cet égard, que je
sache
, de renseignements thermométri-ques précis. Toujo
. Bien plus, s'il faut en croire M. Wolff qui se fonde, comme vous le
savez
, sur l'étude de 45 cas, le pouls, dans la colique
s divers, l'irritation des ganglions semi-lunaires, lesquels, vous le
savez
, concourrent à l'inner-vation des voies biliaires
tion en occasionnant l'occlusion complète, ab-solue de ce canal. Nous
savons
que la réalité du spasme du canal cholédoque est
e de ricin. Ce sont là, bien entendu, des circons-tances dont il faut
savoir
tenir compte. DIX-HUITIÈME LEÇON De la fièvre
particu-lière du foie, que nous avons décrite en détail, est, vous le
savez
, une conséquence en quelque sorte obligatoire de
en trouve un exemple dans une obser-vation de Mettenheimer (3). On ne
saurait
évidemment invo-quer ici un obstacle au cours de
ès de fièvre angiocholique, on en ignore totalement la cause. Je ne
saurais
trop insister, Messieurs, sur l'intérêt prati-que
siste l'altération de l'urine, cause des accidents fébriles? On ne le
sait
pas au juste, mais très certainement, la fétidité
e qui a lieu parfois pour celles qui se produi-sent à l'intérieur, ne
sauraient
passer inaperçues. J'emprunte à M. Murchison un
tinales, choisissant parmi celles-ci les plus fréquentes de toutes, à
savoir
les duodé-nales. A. Je signalerai au préalable
garde-robes ont dû passer par des fistules cystico-intestinales. Nous
savons
pourtant que des calculs volumi-neux, après avoir
été cliniquement précédée de symptômes en rapport avec la gravelle, à
savoir
: coliques hépatiques répétées, ictère, etc. Il m
éments spécifiques de la région. Aussi en résnlte-t-il que ceux-ci, à
savoir
les éléments nerveux et mus-culaires, les cellule
riphérie vers le centre du lobule. Il faut relever encore ce fait à
savoir
que la lésion— angio-cholite et péri-angiocholite
uite une lésion de la paroi des plus fins canaux d'excré-tion ? on ne
sait
. Toujours est-il que la péri-angiocliolite est vr
ultipliés, etc . ; le foie est volumineux, à l'origine au moins. Nous
savons
, d'autre pari, que, à la suite de l'oblitération
marquées souvent par un état fébrile. Ces exacerbations sont, vous le
savez
, fréquentes dans les inflammations chro-niques pr
importe avant tout d'être bien fixé sur les termes. Cirrhose, vous le
savez
, vient de xi^oç, qui veut dire jaune, jaune roux.
tions étroites qui existent entre la cirrhose et l'alcoo-lisme, je ne
saurais
mieux faire que de citer une statistique récente
oque de la vie où l'alcoolisme est rare, chez les enfants. Or, chacun
sait
que l'enfance elle-même n'est pas, surtout dans c
init par se ramollir comme toutes les productions » morbifiques ». On
sait
pertinemment aujourd'hui, qu'il n'en est pas et q
s ». On sait pertinemment aujourd'hui, qu'il n'en est pas et qu'il ne
saurait
en être ainsi. Peut-être, avant Laennec, Bichat
. L'histoire de la cirrhose hypertrophique est, par contre, vous le
savez
, de date beaucoup plus récente. C'est en 1849 et
rt, qu'une description en raccourci. Io Or, anatomiquement, vous le
savez
, il s'agit, ici d'une inflammation scléreuse inte
nce sur des coupes durcies à l'aide de grossisse-ments faibles. Je ne
saurais
trop vous recommander ce genre d'investigation do
s aux bran-ches d'origines de la veine porte. Ces branches, vous le
savez
, sont: la veine splénique, la veine mésaraïque su
de la m ése n torique inférieure serait, au contraire, fréquente. On
sait
que, au niveau, du rectum, le système porte est r
accessoires. (1) Anatomie pathologique, p. 477. Ce sont, vous le
savez
, des veines qui prennent leur origine dans des or
d'une phlébite et d'une périphlébite portes intra-hépatiques. Reste à
savoir
quelles sont les parties de la veine porte qui so
s ultérieures du processus? On les ignore à peu près complètement. On
sait
toutefois qu'à un moment donné et contrairement à
et quelle est l'influence qui lui donne naissance? C'est ce qu'on ne
sait
pas quant à présent. Un mot sur la tuméfaction
hénomène coordonné et non pas une conséquence toute mécanique. Nous
savons
que Viciare n'est pas un phénomène fréquent dans
onnaître (1). Les cellules qui composent ce revêtement ne sont, on le
sait
, que peu distinctes les unes des autres ; elles s
croscopique reconnaît dans le rein. L'anatomie descriptive, vous le
savez
, distingue dans le rein deux régions principales
ramides de Malpighi, peut être elle-même sub-divisée en deux zones, à
savoir
: Io la zone papillaire ; 2° la zone-limitante ou
s une telle connexité, que la description de ceux-ci et de ceux-là ne
saurait
être séparée et doit être faite parallèlement.
abso-lument comment se fait anatomiquement cette communica-tion ; on
sait
seulement qu'elle existe. Rien ne prouve qu'elle
paces lym-phatiques, très rapidement l'urine devient bleue. Or, on ne
saurait
admettre, quant à présent, qu'il y ait entre les
ve à l'état normal chez les oiseaux, dont l'urine solide est, vous le
savez
, composée en grande partie de glo-mérules d'acide
s. (1) Mém. de la Soc. de Biologie, 1863, Pl. iv, fig. 3, et Leçons
su
)' les ma-ladies des vieillards, Pl. m, fig. 3. Ce
le montre une planche de l'atlas de Frerichs. (Taf. 1, fig. 9.). Jene
sache
pas que des accidents quelconques aient été ratta
s urinaires, car ils ne sont pas formés de fi-brine (1). II. Vous
savez
, Messieurs, quelle importance les cliniciens at-t
ylindre hyalin avec des ^ 1 cassures sur ses bords. — 3, Cylindre que
SUT
des analogies gTOS-ayant entraîné à la surface de
cireux sont aussi l'indice d'une lésion chronique, mais il faut bien
savoir
que la teinte brune qu'ils prennent par l'action
à l'aide du picro-carminate d'ammoniaque, réactif qui, comme vous le
savez
, a la propriété de colorer plus vivement les élém
t le fait de l'excès de tension dans le système artériel du rein ; on
sait
, en effet, que sous une faible tension, les subst
te, celle de l'acide urique est déjà profondément affectée. 1° Vous
savez
que dans la goutte chronique, suivant les observa
ffet, une hypothèse qui n'est nullement démon-trée jusqu'à présent, à
savoir
: la nature inflammatoire de l'altération. La mêm
beaucoup parlé de l'influence de maladies autres que la scarlatine, à
savoir
: la rougeole, la diphthérie, l'érysipèle, Factio
la proposition que je formulais en commençant cette série d'études, à
savoir
que les deux formes de maladie de Bright, caracté
subs-tances amyloïdes ; mais c'est là, quant à présent, tout ce qu'on
sait
de positif à cet égard. Dans ces derniers temps
r dans une critique en règle, je ferai remarquer que cette théorie ne
saurait
avoir une application aussi étendue que le veut l
rénales et en particulier à l'albuminurie dont le mécanisme, vous le
savez
, a fait jusqu'à ce jour l'objet de nombreuses dis
Notre but dans l'excursion que nous allons entreprendre est, vous le
savez
, de recueillir et de mettre en relief, che-min fa
ents spécifiques qu'elle renferme, tenus en dissolution dans l'eau, à
savoir
Murée et Y'acide urique. Cette eau provient incon
un point que je veux relever, pour un troisième élément spécifique, à
savoir
l'acide hippurique. L'acide hip-putique appartien
à savoir l'acide hippurique. L'acide hip-putique appartient, vous le
savez
, plus spécialement à l'urine des herbivores. Il n
z l'homme, l'eau d'un côté et les principes spécifiques de l'autre, à
savoir
l'urée et l'acide urique. Or, voici la question q
g. La pression persiste dans le glomérule, mais un nou-vel élément, à
savoir
la suppression ou la diminution du cou-, rant san
une par-tie au moins de ces sels est sécrétée par le labyrinthe. Vous
savez
, en effet, que dans les expériences d'injection d
générale, toutes les albumines qu'on rencontre dans le sang et qu'on
sait
y distinguer se retrouvent avec les mêmes caractè
e sérum, d'après les travaux récents, que deux espèces d'albu-mine, à
savoir
: 1° la serine (c'est à proprement parler l'albu-
i la distiguent de l'albumine du blanc d'œuf, laquelle, comme vous le
savez
, n'appartient pas au sang. En premier lieu il c
'œuf. 3° Enfin, la globuline jouit du pouvoir fibrino-plastique. Vous
savez
ce qu'on entend par là. Mêlée au contact de l'air
artère rénale, l'albuminurie se produit clans les conditions que vous
savez
. Or, si les reins provenant d'un animal soumis à
nt la théorie physiologique proposée par MM. v. Wittich et Kùss. Vous
savez
que, d'après ces auteurs, dans les conditions de
ées des observations qui précèdent. Il s'agit, en pareil cas, vous le
savez
, d'une inflammation suraiguë.) et l'albumine, qui
nclu, d'après les recherches de M. Stokvis (d'Amsterdam), que l'on ne
saurait
admettre aujourd'hui, comme l'ont fait autrefois
chimiques et physiques, des albumines connues du sérum du sang. On
sait
, par exemple, que, chez les sujets atteints du ma
'une maladie fébrile de quelque intensité et de quel- que durée. On
sait
, par exemple, que, dans la fièvre typhoïde, il es
est le cas d'oblitération des veines rénales ou de la veine cave. On
sait
qu'en pareille circonstance, les urines sont albu
ur de la pression cardiaque. En tout cas, un élément sur lequel il ne
saurait
y avoir de discussion est la xdtesse du sang, qui
quemment, avec l'hypertrophie simple du ventricule gauche du cœur. On
sait
qu'en pareil cas la près- sion est habituelleme
stème, en même temps qu'elle s'élève relativement — cela est, vous le
savez
, une conséquence nécessaire — dans le système vei
es veines, mais non pas autant qu'elle descend dans les artères. Vous
savez
du reste que, grâce à leur dispositoin anatomique
la circulation dans le glomérule, par — P — V; et ce sont là, vous le
savez
d'après la théorie, des conditions éminemment fav
tent en évidence ce fait capital dans la théorie que nous soutenons à
savoir
: 1° que l'albumine apparaît au moment où la sécr
, éminem-ment subordonnée aux troubles de la circulation générale, ne
saurait
être rattachée, à titre de symptôme, à la lésion
Le choléra asiatique peut être cité à ce propos au premier rang. On
sait
, d'après les observations d'Abeille, de Gubler et
rables ; or nous venons de voir qu'il est loin d'en être ainsi. On ne
saurait
donc trop s'élever contre cette dangereuse toxico
eut-être une fois ou deux pendant la nuit, c'est-à-dire que sa vessie
saura
rester quatre ou cinq heures, peut-être plus sans
rison ? Tous les incontinents dorment trop profondément. Les mamans
savent
la peine qu'elles ont à réveiller leur enfant, au
gros cette substance et faisais moi-même la solution. Je n!ai jamais
su
au juste la quantité que je faisais dissoudre. Av
iation, s'il ne connaît pas l'hypnotisme, s'il n'y croit pas, s'il ne
sait
pas quels indices lui permettiont d'orienter son
iégois fut persuasif, il n'évita pas d'être long. D méconnut ce que
savait
si bien l'admirable Henri Robert : qu'à Paris l'a
r par l'ironie et le ridicule. Brouardel se servit de cette arme et
sut
la manier avec l'habileté d'un chirurgien qui vou
nombre à ma clinique, et tous ont été guéris assez rapidement. Or, on
sait
qu'il est assez difficile d'appliquer l'hypnose a
éthodiquement remplies comme l'armoire d'une bonne ménagère, et qu'il
savait
puiser à volonté et à discrétion dans tons les ti
donc un état expérimental essentiellement physiologique. Cet état ne
saurait
devenir pathologique que par le fait de fautes ex
amène à rappeler la formule que j'ai souvent l'occasion de répéter, à
savoir
que le fait d'être hgpnotisable comporte pour te
ons psychologiques qu'elle comporte. Il a connu la jeune malade et il
sait
par expérience, puisqu'il l'a traitée, quel était
les approuvèrent : le seul point d'aillenrs en controverse, était de
savoir
si cette lumière était crée ou d'origine divine.
n Amériqne dn Sud, trois gros volumes sur l'anthropologie bolivienne,
savoir
: l*r volume. Ethnologie, démographie, photogra
uivant cette méthode métrique — dont l'exactitude et la simplicité ne
sauraient
être contestées — plusieurs centaines de crânes r
» Des voix plus autorisées que la mienne vous diront comment Liégeois
sut
voir les rapports de la suggestion hypnotique ave
Glasson. Aussi, Victor Dnruy. le grand ministre dn second Empire, qui
savait
apprécier les mérites, le nomma tout à coup profe
ile qui enleva h sa famille et à la science l'homme d'élite, de vaste
savoir
, de noble cœur qu'était Jules-Joseph Liégeois.
la place même où il fut tué. Un comité international s'institua qui
sut
s'assurer de la collaboration artistique du sculp
t pas qu'on soupçonnât un innocent. Jamais les fières Buvignier n'ont
su
le rôle que Liégeois avait joué dans cet épisode
oser ses titres de novateur et c'est surtout comme tel que Liégeois a
su
conquérir la renommée universelle dont il jouissa
nt toute sa valeur du fait qu'elle s'adresse à un sujet hypnotisé, ne
saurait
être envisagée que comme un phénomène d'importanc
es intentions d'accaparement que. seuls, de bons psychologues avaient
su
discerner dans le fatras voulu d'une série de pub
ux existe, il lui suffit que tel phénomène naturel ait pour lui, pour
su
conscience intime une signification que le monde
équence fort difficilement les récits de faits miraculeux. Ceux qui
savent
voir sont unanimes à le proclamer. Mgr Mignol, da
e ou fictive, l'étoile des Mages n'est plus miraculeuse pour nous qui
savons
que le ciel est incessamment agité par la naissan
fa!t d'observation et surtout d'observation intermittente. Mais on ne
saurait
nier que certains faits de pure observation ne so
disait qu'en la tristesse il y a quel-« que alliage de plaisir. Je ne
sais
s'il voulait dire autre chose, mais moi « j'imagi
our lui faire jeter des éclats pins funèbres. Et le cœur dit : « je
sais
l'ivrogne furibond Certes, la joie est bonne et l
édecin-Inspecteur spécialiste des Ecoles communales de Bordeaux. On
sait
le zèle éclairé et l'activité persévérante qu'a d
le auquel l'homme de science, malgré la sérénité de sa philosophie ne
saurait
rester indifférent : c'est celui d'assister de so
il appartient à toutes les nations par la place prépondérante qu'il a
su
occuper dans le domaine du droit moderne. H y a
point éteints encore et au-dessus desquelles on sentait planer, je ne
sais
quel mystère dans le prétoiri:. trop souvent impl
e, tombé en pleine maturité encore dans le tragique accident que vous
savez
. Il serait hors de propos d'analyser ici les trav
its suggérés. Afin d'écarter toute équivoque, il est utile que l'on
sache
que Liégeois, -contrairement à certaines mentalit
e cerveau et acceptée par lui. Mais, tout d'abord, il conviendrait de
savoir
ce qu'il faut entendre par une idée. Par le nom d
e l'incertitude. Il est bien triste d'avoir tant d'idées et de ne pas
savoir
au juste la nature des idées. Je l'avoue, mais il
l'avoue, mais il est bien plus triste et beaucoup plus sot de croire
savoir
ce qu'on ne sait pas ». (A suivre) L'optimism
st bien plus triste et beaucoup plus sot de croire savoir ce qu'on ne
sait
pas ». (A suivre) L'optimisme universel par
lairés de notre terre, les conflits insolents n'existent plus. Chacun
sait
qu'il ne peut rien faire de bon dans l'isolement,
iste pas encore, mais que l'effort associé de l'homme et de la nature
saura
réaliser plus tard. Nous ne disons guère d'un a
ait même qu'elles représentent un continuel effort pour avancer notre
savoir
; mais chacun de nos efforts est l'expression d'u
rner des schémas avec des constructions solides en vue d'affirmer son
savoir
et sa puissance. Plus prodigue de ses matériaux q
ve un passionné fourbu lorsqu'il essaye de revenir à la santé sans en
savoir
les conditions biologiques. Passant de l'érotisme
ur la complicité bonasse de la nature, jusqu'au modeste praticien qui
sait
vaguement que l'espérance est le meilleur tonique
Il n'y a pas de libre arbitre, affirme-t-il catégoriquement. Qu'en
sait
-il ? Qui le lui a dit. appris ou prouvé ? « La
décide à dire : « Je ne me fais, sur la science, aucune illusion : je
sais
ce qu'elle a de relatif ... La science . . . pour
lé avec lui dans une nouvelle croisade contre toutes les religions ne
saurait
, d'après lui, manquer d'être « un collaborateur d
n excuse bien sincèrement et la regrette. D'ailleurs, Binet-Sanglé ne
saurait
m'en vouloir, puisque, d'après sa théorie, j'en s
ction d'ecchymoses multiples. Sur le conseil de son médecin, qui le
savait
très émotif, il se soumit ù un repos au lit et à
que d'exprimer dos lieux communs. Il y a longtemps que tout le monde
sait
que « toute impression transférée au centre psych
ituation des médecins est difficile et leur indépendance limitée : je
sais
qu'il est certains d'entre eux pour lesquels la l
a rencontre d'un spermatozoïde alcoolique avec un œuf tuberculeux. Il
sait
découvrir la paille qui détraque les rouages de l
science ! * « Non. Je ne me fais sur la science aucune illusion, je
sais
ce qu'elle a de relatif, je sais qu'elle est basé
s sur la science aucune illusion, je sais ce qu'elle a de relatif, je
sais
qu'elle est basée sur un a priori, sur cette péti
si bien certains savants, tels que M. le Dantec. soutiennent qu'il ne
saurait
y avoir de fait scientifique en dehors des faits
e du fait scientifique exclurait nécessairement le miracle. Mais nous
savons
que les sciences naturelles, par exemple, nous of
orie de phénomènes. La connaissance approfondie de sa spécialité ne
saurait
d'ailleurs suffire au savant. En présence d'un fa
tout encore. Sans d'autres qualités morales non moins essentielle, à
savoir
: capacité d'attention, sang-froid, patience et pr
cles se sont presque toujours produits au milieu des foules et chacun
sait
leur influence déplorable sur la plus simple obse
hampion, s.d. (l987), in-8°, p. 16, 48 et 58. délivrées par on ne
sait
quels médicastres, souvent mal rédigées exprès, d
vent mal rédigées exprès, de peur de se compromettre lorsque ces gens
savent
que les malades les reclament en vue d'un voyage
, principalement sur la mastication ou l'iusulivation. « Mais je n'en
savais
rien, dit-il ; on ne me l'a jamais appris ! » I
de soi et apprendre à compter sur lui. La rééducation alimentaire, en
sus
de ses préciaux avantages digestifs, aboutit donc
ateliers. Le Dr Pamart, professeur à l'Ecole de Psychologie, avait
su
grouper autour de lui, par son enseignement, un n
lectures. Il était aidé dans ses recherches par une facilité dont il
savait
éviter les abus. On pouvait attendre beaucoup de
es communications inscrites à l'ordre du jour sont faites ainsi qu'il
sait
: 1. Dr Bérillox. — Le rôle de la timidité dans
ée, et n'y pensai plus. Quelques jours plus tard elle me dit : « Je
sais
ce qui a guéri ma constipation : ce sont ies sugg
elle éprouva de fréquents maux de tête et, par moments même, elle ne
savait
plus ce qu'elle disait. Les bains d'Alarye l'amél
e le rationnel • IVui quelquefois n'être pas raisonnable. » Keste à
savoir
si les élèves du professeur Gilbert ont acquis la
it intervenir des arguments destinés à persuader, à déterminer, il ne
saurait
plus être question de suggestion. S'efforcer, c
s le nom contradictoire à'état de veille hypnotique. Pour celui qui
sait
lire à travers les lignes, ces contradictions ne
isme, comme M. Jourdain faisait de la prose, sans te sacoir. Ils ne
savent
pas, et comment l'auraient-ils appris, que l'inhi
er par les mots, écrit M.le Boy; aucun « bureau de constatations » ne
saurait
faire œuvre scientifique sérieuse ; son rôle, bea
dn fait miraculeux péchera toujours en effet par un vice essentiel, à
savoir
, la connaissance complète des antécédents. Sa pro
cette hypotaxie existe tout naturellement chez chacun guéris par lu
su
™eslion pendant lu narcose éthyl-méthylique, Revue
s de plus en lumière cette vérité fondamentale de la psychothérapie.à
savoir
que.pour obtenir dans les cas tenaces des résulta
ent plus de mise en pareille matière. D'ailleurs, le naturaliste ne
saurait
désapprouver une expérience de plus. Cela étant,
ec un verre de lampe, de la cire à cacheter, nne flamme, etc. On doit
savoir
individualiser. En 1903, j'avais guéri la jeune
luencée recouverte d'un pansement occlusif. Un bandage de ce genre ne
saurait
, certes, constituer de garantie, et il peut, d'au
Cette jeune fille perdit sa mère ayant seulement six mois. Je ne pus
savoir
quelle avait été la santé de la défunte. Le pèr
e tête, accompagné de douleurs dans les bras et les jambes sans qu'on
sache
à quelle cause l'attribuer. A part cela elle a to
ur la possibilité de la production de ces phénomènes vaso-moteurs. On
sait
que. il y a quelque temps de cela, ces phénomènes
le. Ce vieillard, qui pratiquait avec ferveur la religion protestante
savait
par co?ur imperturbablement tons les versets de l
oins des bibliothèques et les curiosités de la plupart dos musées, il
savait
aussi tontes les ressonrees culinaires de Paris,
utile. Ce jour-lit, il prouva qu'il était non senlement de ceux qui
savent
mettre leurs actes en rapport avec leurs principe
jeune fille si elle avait senti quelque chose « Xon, dit-elle, je ne
sais
ce qui s'est passé. » A sa sortie de l'hôpital, e
exécution d'un certain nombre d'actes purement machinaux, mais ils ne
sauraient
se montrer capables d'une activité entreprenante
lques lignes à ces réveils difficiles ou incomplets : « Ce qu'il faut
savoir
, dit-il, c'est que le réveil, s'il est quelquefoi
obtenu, j'appuye l'aimant que je montre au sujet, mais sans qu'il le
sache
je le mets renversé, c'est-à-dire avec la courbe
ait la détermination de l'Equivalent mécanique de la Chaleur. Xous le
savons
par l'illustre savant Pleyfair qui l'a raconté à
ricité de Priestley devrait suffire à convaincre les savants qu'on ne
saurait
rejeter des phénomènes nouveaux ou insolites parc
s fonctionnels. Elle s'explique par une éducation défectueuse qui n'a
su
ni discipliner, ni utiliser des dispositions ment
ds procès où les électeurs apprendraient tout ce qu'ils ont besoin de
savoir
pour rendre de justes verdicts '? Et seraient-ils
siologie du corps humain et n'ignorent pas la pathologie mentale. Ils
savent
que les facultés attribuées à l'âme sont esclaves
lésion. « Il serait facile de multiplier les exemples. Il suffit de
savoir
que tous les organes réagissent les uns sur les a
ndignation se mêlera du mépris pour qui s'est laissé (rendre, n'a pas
su
sauvegarder sou honneur apparent, s'est rayé pour
tent de préoccupations personnelles. L'état hypnoïde de la rêverie ne
saurait
comporter d'effet utile qu'à la condition de s'or
i lui sont faites. Dès que l'hgpersuggeslibililê fait défaut, il ne
saurait
plus être question d'état ligpnoïde. Les états
relèvent bien de l'hypnotisme (1). « Le fait capital dit-il,est de
savoir
si pendant la durée de cette période la malade es
de la malade est en état de sommeil hypnotique. Or, je crois qu'il ne
saurait
y avoir de doute à ce sujet La meilleure preuve q
dmettant même que toujours il s'agisse d'hyperelilorhydrie, chacun ne
sait
-il pas que chez les vieux dyspeptiques, à centres
coup de choses avant qu'il soit nécessaire qu'ils les connaissent, ne
savent
rien de la vie de la campagne ou de celle de la m
constaté sur lui-même les effets utiles. « Tout le monde, écrit-il.
sait
ce que c'est qu'un cheval • froid de l'épaule >
Que s'est-il passé dans sa cervelle ou dans ses nerfs? Personne ne le
saura
jamais, et à quoi bon le savoir d'ailleurs ! H dé
elle ou dans ses nerfs? Personne ne le saura jamais, et à quoi bon le
savoir
d'ailleurs ! H démarre, c'est l'essentiel ! « E
l est vrai, on procède tout antrement. surtout pour les enfants. Pour
savoir
d'abord de quel mal souffre le petit malade, les
médecins qui se bornent à tenir des conversations arec les malades ne
saurait
mériter le nom de psychothérapie. Ces exhortation
sage de chacune de ces formes à la deuxième. S'il faut attendre qu'on
sache
tout pour établir la méthode approximative qu'exi
la science du psychologue que revient normalement le premier rôle, a
savoir
la tâche de résoudre les antithèses conventionnel
ssion que je vais essayer de rendre suffisamment claire. Vous devez
savoir
qu'on entend par psychose un ensemble plus ou moi
ellent livre de M1"* de Salberg beaucoup d'autres signes qui. si vous
savez
lire, comme elle, sur les lignes et entre les lig
une méthode de dénior-phinisation exempte de souffrances. Ce que je
sais
de la question de la morphinomanie. je le dois à
ache aucune importance à son dire. Elle sent bien que le docteur ne
sait
pratiquement rien de son mal et qu'il ne peut, pa
rimenteront sexuellement lors de leur mariage. Les jeunes filles ne
savent
pratiquement rien de ces choses, sauf ce qu'elles
questions plus profondément, en sorte que par leur sympathie et leur
savoir
, ils mettent le malade en confiance. Celui-ci exp
mes suivants les heureuses Incursions que le professeur Albert Robin,
sait
, a l'occasion, faire dnns le domaine de la psycho
dire, en toute conscience, qu'il est un de ces rares professeurs qui
savent
allier le respect de la tradition à l'amour des n
s et les graphologues ne parviennent pas toujours à bien analyser. On
sait
que le neurasthénique a pour celui qui veut le dé
uvres de l'hypnotisme et de la suggestion. Ces manœuvres ont. vous le
savez
, le pouvoir de provoquer l'apparition des princip
permettent de soupçonner leur existence. L'hypocondriaque, vous le
savez
comme moi, vit au milieu de préoccupations incess
teurs un peu déconcertants ont eu cependant l'amabilité de nous faire
savoir
que les dégénérés forment deux séries bien distin
des sens ou ailleurs. On les voit constamment examiner leur peau pour
savoir
si elle n'a pas une teinte désagréable ou si elle
Pour vous rendre compte de ce double fonctionnement il faut que vous
sachiez
que le cerveau possède des organes appelés centre
ique s'écrie aussitôt : Répétez ce que vous venez de dire pour que je
sache
désormais que nous ne sommes pas dominés par la t
vé dans sa mémoire un agréable souvenir de ses années disparues. Xous
savons
tous, en effet, que l'homme peut réellement recom
ements dans tout le corps et un état de trouble général que je ne
savais
à quoi rapporter. Cela me dura la moitié de la jo
ocation dans le présent d'un acte psychique de la vie passée. Et l'on
sait
combien l'hystérie s'accommode aisément des rythm
nge du Seigneur la révéla à des amis de Dieu. O Home ! O Rome I Si tu
savais
, tu serais transportée de joie ! Et si tu savais
ome ! O Rome I Si tu savais, tu serais transportée de joie ! Et si tu
savais
pleurer, tu pleurerais sans relâche, puisque tu p
ans son cœur ; et elle fut saisie d'une telle ardeur de désir qu'elle
sut
à peine se soutenir. Et elle ressentit dans la ch
'accouchement Agnès fut remplie d'une douceur inouïe telle qu'elle ne
sut
plus supporter ses membrée. Et Dieu a voulu que l
nte-, le malade garde en sa mémoire et trouve intéressants sans qu'on
sache
pourquoi. {Traumdentreng). Le professeur Freud di
La malade n'avouait qu'avec difficulté, mais, h la fin. je parvins à
savoir
que cette dame avait été très malheureuse en ména
es. La limite du pouvoir de l'homme se trouve dans Vhypnotisme. Il ne
saurait
aller au-delà. Vouloir davantage, c'est demander
de celui auxquels ils reconnaissent une supériorité morale. ) 1 n'en
saurait
être de même pour sa femme Klara, hystérique rais
elle les prières d'un pasteur protestant, si convaincu qu'il soit, ne
sauraient
suffire et réaliser un effet thérapeutique. L'int
is, par leur incessante et monotone variation. Nous les écoutons sans
savoir
pourquoi, sans penser à rien, et notre intelligen
e clichés exécutés par M. le professeur Paul Bernard ci que je dois a
su
libéralité. Le professeur Pitres a également
t de l'audition. On comprend l'intérêt de cette observation lorsqu'on
sait
avec quelle difficulté on arrive à obtenir le som
ne modification somatique, (1) 1"communication, n° d'avril 1910, p.
SU
. (2) Arthur Jlt'THMAss. Zur psychologie u. Thér
rmer à son client que ses plaintes ne sont pas fondées ; le malade le
sait
lui-même. Que le médecin se garde de la phrase ba
es par leur contenu ou leur forme, sont persistantes, le médecin doit
savoir
qu'en réalité elles ne sont pas absurdes, mais pa
nt d'être dit confirme pleinement ce que j'ai soutenu précédemment, à
savoir
que le cheval est inintelligent ; tout chez lui s
st peut-être parce que nous faisons mal leur éducation et que nous ne
savons
pas les manier. Je me propose d'apporter de nouve
« roller-skatingonianie ». La première question que l'on pose est «
Savez
-vous rinker ? » Les conversations en dénoncent l'
que l'on n'a pas les yeux bandés, et avec cette analogie que l'on ne
sait
pas plus pourquoi. On tourne ? — Parce que c'es
ns de machines. Là dedans on voit — incrustés — des hommes. On leur
sait
produire une dépense nerveuse extraordinaire, une
s que par la force de l'habitude ou la vitesse de projection, l'on ne
sache
se ranger assez vite, auquel cas les « professeur
n, l'on ne sache se ranger assez vite, auquel cas les « professeurs »
savent
employer l'adresse, voire la force pour vous y co
a recherche du besoin de griserie; il y a là de l'hypnotisme que vous
savez
si bien diagnostiquer ; il y a tout au moins chez
ion. Elle n'accorde ses suffrages qu'à ceux qui pensent comme elle et
savent
opportunément se mettre à sa remorque. Il n'y a
islam persan ou islam africain, ils affirment que la loi du Coran ne
saurait
varier avec les races et les latitudes et qu'elle
ement représentées, cette police fait partie de la discipline ; on ne
saurait
se soustraire aux pratiques essentielles, sans ma
tlqno et spécialement à la psychothérapie, le professeur Albert Bobin
savait
d'avance que son substitut d'un jour ferait une i
ble leçon l'esprit de la cliniqne moderne. La clinique moderne veut
savoir
davantage quo la clinique ancienne. Grâce aux nou
, pour les cliniciens. Etre clinicien, pour eux, c'est déchoir. Je ne
saurais
trop protester contre un pareil état d'esprit.
mment M. Huchard, « tout le monde peut être savant, c'est-a-dlre peut
savoir
. Mais tout le monde n'est pas clinicien, parce qu
e de Lille et qui est devenue sa femme. » Voilà donc tout ce que je
savais
sur P. et tout ce qui, à ma connaissance avait ét
ment, parce qu'il est un exagéré. Sa volonté est inconstante, il ne
sait
pas dominer les circonstances. Parfois nous le tr
s relatives aux changements survenus dans son état mental, mais on ne
saurait
y trouver de sérieuses indications sur sa valeur
é faite primitivement pour des aveugles et comme d'un autre côté nous
savons
qu'un cours d'eau ne peut avoir lieu que dans une
ués seront le point de départ d'une régénération sociale, aussi je ne
saurais
trop les recommander. Cette étnde de la sphère
est arrivé, dans quelques occasions assez rares (nous n'avons jamais
su
pourquoi) de voir le système marcher si bien que
le fait de provoquer l'état d'hypnotisme chez une personne il ne
saurait
donc y avoir comme on le répète à chaque instant
antes ou sont profondément troublées, aucun acquiescement spontané ne
saurait
être obtenu. C'est ce qui arrive dans l'idiotie,
rechercher dans une manière d'être de son organisme. Tout le monde
sait
que le sommeil ordinaire peut être retardé par to
'émanation sui generis, ¦qui caractérise le récent usage du tabac, je
sais
que je vais me heurter, pour la production de l'é
mp;amp; l'égard de La démonstration de ce procédé une priorité qui ne
saurait
être contestée.. Le consentement organique, f
r heureux par le moyeu qu'ils désireraient. Le véritable homosexuel
sait
qu'il est ? autre que les autres », voilà l'expre
lois spéciales contre l'inversion sexuelle. Les auteurs compétents
savent
que les homosexuels purs ne sont que très raremen
Parville conclut : « L'histoire est invraisemblable, ce qui, comme on
sait
, ne signifie pas qu'elle ne soit pas vraie » BU
l'interveutionisme d'Etat ou aux initiatives libres des individus ne
sauraient
empêcher révolution imminente. La lutte rédempt
e, n'est pas en soi une infraction aux lois actuelles et celles-ci ne
sauraient
l'atteindre que si elle est accompagnée de circon
il y a encore beaucoup à faire pour que notre collectivité militaire
sache
assurer d'une façon assez précoce l'élimination d
point toujours suivi d'un succès éclatant et définitif. Mais cela ne
saurait
nous décourager, puisque les améliorations éviden
'est un point essentiel sur lequel il est nécessaire d'insister. On
sait
le rôle prépondérant joué par le sens olfactif da
vre au public, il doit la lui rendre accessible, et il faut pour cela
savoir
rapprocher suffisamment l'idéal de la réalité C'e
ajouterai que ces sujets ne sont pas les premiers venus et qu'il faut
savoir
les entraîner à cette expression délicate, de mêm
us ne soyez absent au moment de l'accouchement. Si cela arrive, je ne
sais
ce que je deviendrai. Ce sera pour moi un très gr
sposition naturelle à d'homme d'obéir à la loi du moindre effort ; on
sait
qu'une tendance géné-(1) Conférence faite à l'Eco
sque plusieurs cours ardus se succèdent. Dans ce cas, les professeurs
savent
que la dernière heure est souvent pénible ou sacr
plus de clarté ou un peu plus d'obscurité ». « ... Un homme — on ne
sait
pourquoi, mais on ne pouvait douter que ce fût un
I ne cessait de prodiguer ses encouragements. La Société d'hypnologie
saura
honorer comme il convient, la mémoire du vaillant
Seul peut-être, a notre époque de spécialisation a outrance, A. Giard
sut
allier deux qualités, qui le plus sonvent s'exclu
, des indications précieuses. Avec cela, observateur hors de-pair, il
savait
trouver, dans la constatation en apparence la plu
on de dire causée par le chloroforme. Il suffit quelquefois, comme on
sait
, de deux ou trois inspirations pour amener une mo
que peut s'appliquer au sommeil produit par les narcotiques. Chacun
sait
de quels soins scrupuleux doit être entourée l'in
r le patient de toute infection psychique. Le sommeil hypnotique ne
saurait
être nuisible par lui-même, pas plus que ne saura
eil hypnotique ne saurait être nuisible par lui-même, pas plus que ne
saurait
l'être le sommeil naturel. La différence entre lo
e vous un arrêt de mort ; on vous exécute... Vous êtes mort ! » On ne
saurait
aller plus loin. Le sujet tressaillit, et se raid
t aussi qu'elle soit très fréquente parce que la plupart des patients
savent
d'avance que cette sensation peut se présenter. Q
ent exceptionnel sans prejudice de leur action sur le cœur. Nous ne
savons
pas quels sont les rêves que la frayeur peut enge
t personne ne craignait la mort, car pas un de nous ne comprenait, ne
savait
ce qu'est la mort. » Au combat, une double pers
. Quand on lui demandait de ses nouvelles, il répondait « Tous voulez
savoir
comment va le père Lambert ? Il n'est plus-II a é
qu'ils viennent d'apprendre. Qu'arrive-t-il ? Les leçons ne sont pas
sues
, ou certaines matières se trouvent sacrifiées.
arnement, afin d'arriver à supplanter "son agresseur. D y réussit. On
sait
à quel point le menèrent ses études. C'est le cas
pement de leur vocation. Un savant n'est pas seulement un homme qui
sait
; un vrai savant doit joindre au savoir l'esprit
'est pas seulement un homme qui sait ; un vrai savant doit joindre au
savoir
l'esprit scientifique, c'est-à-dire l'esprit de r
me l'a dit M. Pierre Baudin, sont des * épreuves de mémoire, non de
savoir
fondamental, ni d'observation, ni « d'expérience.
ucation à la caserne, pour laquelle on travaille tant aujourd'hui, ne
saurait
endosser la charge de lutter contre un pareil éta
te aussi d'isoler l'enfant du milieu extérieur ordinaire, enfin on ne
saurait
oublier que les enfants doivent être pris au débu
préoccupent avant tout du développement des aptitudes olfactives. Us
savent
que la disposition à l'arrêt est en rapport avec
catégories, se promenant en tous sens, j'emmenai mon terrier, que je
savais
doué d'un odorat excellent, capable de me suivre
ntant derrière lui monter la panique de ses hommes. — Tout le monde
sait
que nous sommes vendus, reprit violemment Choutea
s en Angleterre, mais ils ont un caractère plus pratique. Les Anglais
savent
que ce qu'ils apprennent en général leur sera plu
rent seulement quelques sujets. Il n'y a là encore que demi-mal s'ils
savent
choisir ce qu'il importe de retenir. 3° Les é
e comme un symptôme névropathique. Shakspeare dont le génie a si bien
su
déceler ha signification pathologique des impulsi
cile à exécuter par des pédiinanes comme le sont les Hindous. Reste à
savoir
si lOnychophagie des ongles des orteils est plus
précautionné, il faut un remède particulier à chaque maladie. Et Dieu
sait
s'il y en a des maladies d'enfant surtout ! Pour
es instants pour les agrégés, qui u'ont absolument qu'un seul souci :
savoir
de quel coté Us doivent se tourner ponr être titu
ci : savoir de quel coté Us doivent se tourner ponr être titularisés,
savoir
quel sera le doyen de demain. Je dépose un vœu
t psychologiques dans nos facultés de médecine. Depuis longtemps nous
savons
que toutes les oppositions systématiques apportée
t aux griffes des commissions mixtes après le coup d'Etat de 1851. On
savait
aussi que, pour les Buvignier plus encore que pou
ingt ans, soit comme dépnté, soit comme sénateur. * Or. jamais il n'a
su
a qui lui et son frère avaient dû d'échapper autr
parce que ces orgnnessont plus développés chez eux, mais parce qu'ils
savent
les utiliser plus iivuntageusement. L'odorat leur
, oui, par suggestion, continuât-elle, agitée. Voici comment. Vous le
savez
.mon marUebaron Walhofen.fut très longtemps malade
rendra compte de ce que représente cet établissement modèle lorsqu'on
saura
que son édification n'a pas coûté moins de trente
On ne domandait la ni vœux, ni solutions; Il s'agiseait seulement de
savoir
oh en était la science de l'éducation. Après le
ensent que-lorsqu'il s'agit de guérir un vicieux, un alcoolique on ne
saurait
s'arrêter aux considérations de théorie sentiment
a en souriant de ses beaux yeux noirs : je perdis connaissance. Je ne
saurais
décrire cette volupté divine et surhumaine qui re
s vaisseaux sont devenus très friables, tel le cas rapporté par Brou -
sais
. Une femme est couchée sur une pelouse ; font a c
, constitue le plus gros danger. Le lapin lui n'a pas peur, car il ne
sait
pas qu'on va l'opérer. » En dehors de la peur,
s et bien des nôtres par ses aptitudes à provoquer l'hypnotisme et il
savait
appliquer la suggestion avec discernement dans le
ait persuadé que la psychothérapie était essentiellement une œuvre de
savoir
pratique et de dévouement, et les raisonnements d
s les auteurs ont signalé le suicide dans l'hystérie. 11 s'agirait de
savoir
si le suicide des hystériques se distingue par de
imprimer à la tentative de suicide une modalité particulière, elle ne
saurait
à elle seule déterminer le suicide. Voici un ca
sans l'amour-propre l'instinct de conservation même disparaîtrait. On
sait
par les nombreux exemples de l'histoire a quel de
onal a conduit les nations les plus glorieuses et les plus prospères.
Sachons
méditer sur ces enseignements et faisons-en notre
ur cesse. Est-ce un serpent qui l'a mordu "? Ce serait grave, s'il ne
savait
la prière h saint Hubert : « Bon saint Hubert, qu
eux qu'en l'espèce II y ait eu une guérison extraordinaire (1). On ne
saurait
rejeter la réalité d'une guérison sous prétexte q
unt octo, scilicet cacitas mentis, înconsideratio, prœcipitatio, amor
sut
, odium Dei, affectus pratentU saculî, et desperat
pçon, la sécurité dans l'amour, en même temps il a un idéal dont U ne
saurait
déchoir. Il ne peut faire semblant d'aimer un êtr
t des odes pour le beau Ligu-rinus et il avoue, qu'après boire, il ne
savait
plus choisir entre le jeune esclave et la jeune s
toujours un peu. Il semble que sa satisfaction soit incomplète, si en
sus
de la perception olfactive, il n'ait fait interve
olue, un sentiment profond d'incomplétude physique et morale. Elle ne
sait
plus vouloir ou du moins elle ne sait plus ce qu'
ude physique et morale. Elle ne sait plus vouloir ou du moins elle ne
sait
plus ce qu'elle veut ; quand une idée naît dans s
hercher la cause prédominante de l'idée et ici la question se pose de
savoir
si la névrose ou la psychose qui accompagne l'idé
diront les qualités de son cœur, mais sa nature droite et entière ne
savait
pas séparer les qualités du cœur de celles de l'e
t, on a l'habitude de le négliger et de le passer sous silence. Or on
sait
que « rien n'est si désagréable que d'être pendu
tenir des méthodes douces ; et chaque praticien de quelque expérience
sait
combien le traitement hypnotique est favorable au
à satiété que je n'y touche qu'à titre complémentaire. Ainsi qu'on le
sait
, cette opinion s'appuie sur ce seul fait qu'un gr
cherche encore le médecin pour entendre l'affirmation qu'il désire,'à
savoir
que son corps est sain. On trouve ainsi chez un n
rs, sachant bien que ceux-ci, grâce à leurs études sur la suggestion,
sauront
, mieux que d'autres, dévoiler le côté .cbarla-tan
morphoses après un somnambulisme maintenu pendant plusieurs jours. On
sait
que, d'après la méthode de Wetterstrand. le m
nir, voudra s'enquérir de casuistique hypnotique, c'est à dire voudra
savoir
à quoi peut servir l'hypnotisme en thérapeutique,
péciales pour cette catégorie d'enfants. En attendant, les praticiens
sauront
reconnaître cette infirmité auprès des enfants qu
ant qui préside aux destinées de l'univers ; c'est l'Etre suprême qui
sait
tout, qui connaît tont, — passé, présent, avenir,
digne successeur de Benjamin Bail. Joffroy était un homme d'un grand
savoir
, mais sa modestie ne permet-lait pas d'appréc er
Us n'auraient pas même eu l'idée de demander à leurs filles si elles
savaient
qu'il y avait une différence au goût entre divers
a couleur éclatante détermine surtout leur choix, à la rigueur, elles
sauraient
se contenter de roses artificielles. Chez les g
Vénus sont figurés toujours bien ouverts et aucune tare masculine ne
saurait
échapper à la vivacité de son regard. Paut-il c
ité de ce qui constitue la base fondamentale de l'école à Nancy,&
savoir
l'existence d'une série de transformations entre
d'byp-notisation que devant des individus réfractaires ; comme on ne
sait
jamais a l'avance si un sujet sera facilement hyp
qui puisse être appliquée dans toutes les occasions. Cependant, on ne
saurait
songer k employer une méthode identique chez tous
repos. Cela tout le monde peut le réaliser et le plus réfractaire ne
saurait
être déçu, il n'a pas le sentiment qu'on exige de
de "Wetterstrand relativement au sommeil prolongé. Cette méthode ne
saurait
mériter le reproche si fréquent d'affaiblir la vo
renommé le traitement intensif que les médecins américains n'ont pas
su
lui prescrire. H quitte l'Amérique dans un très
itique ? L'incertitude dans laquelle je me trouve m'exaspère; je veux
savoir
, de façon formelle* si je suis ou ne suis pas syp
ur, nous vous prions de ne pas vous attarder trop longtemps ici. Nous
savons
qui vous êtes et nous ne voudrions pas que quelqu
s longtemps sur la brèche et qui est le dernier à s'effacer, comme le
savent
tous les hypnotiseurs, C'est celui qui fait le «
s, ne fait donc que forcer, par l'artifice, la note naturelle, car on
sait
, à la suite des leçons de Claude Bernard, que les
ment que la catalepsie pour la sauvegarde et le salut de l'animal. On
sait
qu'il suffit de « bousculer » un peu un animal de
de la Salpêtrière n'a donc rien créé et. bien avant elle, les animaux
savaient
se servir de l'hypnose pour le bien comme pour le
uisible n'a pas non plus été dédaigné par eux, car beaucoup d'animaux
savent
se servir du trouble amené par leur présence chez
bien maniée, est parfaitement capable, comme tous les spécialistes le
savent
, de défaire ce qu'elle aurait pu favoriser, et d'
qn'on a justement appelé « l'Ecole de Nancy ». Nos étudiants doivent
savoir
cela, et antre chose encore : ce professeur, qui,
les stupres, les viols et les vols dûs a des domestiques, et l'on ne
sait
si l'on ne doit pas y.lus admirer la patience du
les sociétés dont 11 dirige les travaux, apprécier l'autorité de son
savoir
et l'élévation de son caractère, se Joindront a n
un-gars ! Cet état de pacifisme systématique dure trois siècles. On
sait
combien il nous a valu d'humiliations. Il sera to
entent à l'état normal une sensibilité olfactive si délicate qu'elles
savent
discerner les moindres nuances de la gamme des od
s le poète Martial, un certain Mammura ne consultait que son nez pour
savoir
si ïe cuivre qu'on lui présentait était de Corint
celles qui vivent en agglomération. Depuis les récits de Humbold on
sait
que les Indiens de l'Amérique méridionale sont au
tive, il faudrait comprendre le mécanisme suivant, comment le fait de
savoir
qu'un aimant se trouve à proximité peut donner li
tre dame était atteinte de chorée laryngée ; elle fut soignée sans le
savoir
au moyen de l'aimant, et avec succès. Mais l'appr
et des jeunes gens a toujours excité la sagacité du médeciu, car nous
savons
tous comme elle est difficilement curable. Trou
soulagée aussitôt que la malade est éloignée de sa famille et qu'elle
sait
que par ordre du médecin elle doit y rester pour
dies pour lesquelles les avantages du climat sont surtout physiques à
savoir
: la phtisie, les bronchites, les maladies cardio
s que le trésor en or et en argent massif put être admiré à Zurich, à
savoir
: une couronne d'or ornée de brillants, un glaive»
fabriqués en Suisse, quelques-uns par un joaillier de Zurich, qui ne
sut
jamais quelle devait être leur destination. C'éta
de « Ziou ». Elle avait un certain talent oratoire, grâce auquel elle
sut
grouper bientôt autour d'elle un certain nombre d
valeur militaire, un culte du drapeau, car les Chinois connaissent et
savent
ce que c'est qu'un drapeau. Tous ces sentiments r
nesse que notre pays a connu la gloire des armes : que notre patrie a
su
imposer le respect à ses adversaires : que nos ar
ons sérieuses que Ton se lance dans une oiseuse phraséologie. Nous en
savons
quelque chose dans notre occident, où le meilleur
fait preuve de courage au travail sera courageux en tout : celui qui
saura
faire preuve d'un effort soutenu dans son labeur
particulière, plus ou moins forte, mais spécifique. Un odorat exercé
saura
facilement distinguer un Anglais d'un Eusse, un F
la plupart des nicotiniques, un manque d'impulsion volontaire. Ils ne
savent
plus vouloir. Ils passent tout leur temps en rêve
formulé par le Dr Laurent (Traitement du nicotinisme, 1893) et je ne
saurais
trop engager ceux qui voudront tenter l'expérienc
absorbé. S'il se montre rebelle, employez d'autres "artifices. Vous
savez
qu'on pent tromper par suggestion l'odorat de l'h
artifices variant à l'infini au gré de l'hypnotiseur, le tout est de
savoir
s'en servir à propos. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET
abaissent que par l'intervention visible d'un effort volontaire. On
sait
que l'énergie de la contraction musculaire moment
e, dormant sur un point spécial '? X'allez-vous pas l'endormir ? Ne
savons
nous pas que pour redresser un morceau de fer il
quelques réserves à faire sur le système de Rabelais. Dans sa soif de
savoir
, il réve un enseignement encyclopédique. Le préce
la condition de multiplier les observations particulières : et on
sait
qtf'en pédagogie, autant d'élèves, antant de temp
nu reconnu parfait. M. Montagne, le chef de cuisine du Grand Hôtel, a
su
mériter une fois de plus, les félicitations unani
de ne pouvoir assister au banquet offert à mon vieil ami Voisin ; il
sait
que je suis de cœur avec lui. Cordialement à vous
es voix plus autorisées que la mienne vous les diront mieux que je ne
saurais
le faire. Laissez-moi vous exprimer cependant les
dant les sentiments d'estime, d'affection et de respect que vous avez
su
inspirer à tous ceux qui vous connaissent, par vo
r vu quel bienfaiteur il est pour le déshérité de la nature, ne point
savoir
quel intérêt il a toujours apporté à notre Sociét
rotéger et de traiter ces innocentes victimes d'une hérédité qu'on ne
saurait
leur imputer à crime. Aussi la Société d'hygièn
ment venue, nous a été agréable. Vous tous, qui le connaissez, vous
savez
, avec quelle grande autorité et quelle haute cour
Jni, en général, débarquant de leur île, apportent avec eux une odenr
sut
generis toute spéciale, et qu'on ne peut définir,
se manifestent si fréquemment entre les difféientes races. Rien ne
saurait
prévaloir contre les aversions olfactives. On en
erver journellement ceux qui se livrent à l'industrie mulassière. Ils
savent
que les fines les plus ardents ne sont pas toujou
on les matières étrangères incorporées dans les meilleurs morceaux de
su
table : maïs de là à se laisser capturer subiteme
nient l'hypnotisme et ses effets, j'allais écrire ceux qui n'ont pas
su
ou n'ont pas voulu comprendre l'action véritablem
leurs domestiques, leur chaise-à-porteur privée, leur appartement et
savent
parfaitement faire soupirer les cœurs et vider le
e atteignait chez cet éducateur de qui Emerson disait : « La patience
savait
voir dans les bourgeons de l'aloès de fleur qui s
fleur qui s'épanouirait cent ans plus tard. » ? va sans dire qu'un
savoir
étendu et renouvelé est nécessaire au maître qui
l'éducation. Si le maître éprouve du plaisir à communiquer ce qu'il
sait
en l'adaptant, il y a bien des chances pour que s
près de vous. Aucune mission ne pouvait m'être plus agréable. Je ne
saurais
certes rien ajouter aux paroles éloquentes que vo
ue fondement de vérité, ce n'est pas dans nn milieu médical qu'on
saurait
s'en étonner, puisque les plus éminents professeu
r son fondateur. Ce virement de bord s'explique aisément on. l'on
sait
que le docteur Vogt. bien que maniant la suggesti
nglais, d'un volume Arztliche Ethik, d'un autr Dit Libido Sexualis, a
su
s'assurer la collaboration de plusieurs savants a
avènement de la nouvelle Revue allemande nous émettons le vœu qu'elle
saura
contribuer îi la propagation de la psycho- th
ns sa 21° année sous l'excellente direction du docteur E. Bérillon, a
su
faire en France et dans le monde entier. Amsterda
opos. M. André Balz, fait U réflexion suivante Comment l'élève qui ne
sait
point ce que c'est qu'une métaphore douterait-il
ons fait appel à la collaboration des élèves et de leur famille. « Je
sais
faire une boussole, dit une élève ; mon grand frè
ais faire une boussole, dit une élève ; mon grand frère m'a aidée. Il
saurait
aussi fabriquer de la poudre à canon. > Beauco
endances. 1 initiative est encouragée. D'ailleurs il ne s'agit pas de
savoir
si l'élève fait de beaux dessins, mais s'il dével
ention de M. Palhé amènera quelque jour une révolution scolaire. On
sait
quel attrait exercent le* projections, même sur l
êché le développement du courage et de la volonté chez ce peuple ? On
sait
qu'ils méprisent la mort. Une guerre récente a pr
L'objection disparaît si on fait aimer a l'enfant ce qu'il importe de
savoir
. La meilleure préparation k la vie.c'est l'exer
il punctum qui miscuit utile dulci » : Celui-là met dans le mille qui
sait
mêler l'utile à l'agréable — nous atteindrons le
seignement du maître ne vise pas à apprendre aux élèves ce qu'il faut
savoir
pour être utile au malade. Issu des concours, le
d'être signalé. Les dispositions habituelles du caractère français ne
sauraient
s'adapter à des manières de vivre, familières aux
ctionnement des services, bonté et fermeté chez ses maîtres. ? faut
savoir
reconnaître leurs efforts et punir leur négligenc
on se masturbe, depuis déjà longtemps, plusieurs fois par jour. On ne
sait
, au juste, à quel age il a commencé, probablement
êves et régnant sans entraves alors qu'à l'état de veille le contrôle
sait
refréner la fantaisie par l'émission d'images con
stration du demi-sommeil, l'auteur rappelle la faculté de l'esprit de
savoir
contrôler le jeu du sphincter de la vessie et de
s libre, il est esclave d'une passion, dominé par l'alcool. Quoiqu'il
sache
que sa santé, l'intérêt des siens (motif supérieu
ussi, nous devons obéissance à celles de la morale. Si le buveur ne
sait
pas se soustraire aux lois de la chimie et de la
bre arbitre. Cette qualification ne revient de droit qu'à l'homme qui
sait
maîtriser ces réflexes en opposant avec avant
l'auteur poursuit la question comment et jusqu'à quel point le malade
saurait
-il disposer avec fruit de sa volonté et de quelle
es de volonté vers le but désiré. Le sommeil par l'apaisement qu'il
sait
donner aux centres surexcités peut-être utilisé d
couchements, et cela non pas seulement parce que le sommeil comme tel
sait
calmer la douleur existante mais encore parce qu'
des applications des données psycho-physiologiques à la clinique, il
sait
choisir avec soin quelques cas de guérisons frapp
r avec soin quelques cas de guérisons frappantes. Son esprit critique
sait
le garder d'une partialité réprouvable. Il fait l
ire et ami, en sa qualité de scientiste et de positiviste émérite, ne
saurait
refuser de reconnaître que, pour répondre à cette
otisme ; je l'ai aussi pratiqué passablement. Cela nous suffit pour -
savoir
à peu près à quoi nous en tenir sur le point en l
bceuf n'a-t-il pas pris garde à une chose, pourtant bien frappante, à
savoir
que sa thèse est grosse de conséquences outrepass
ide suggestionnelle ne vient pas précisément à l'appui de sa thèse, à
savoir
que l'hypnotisé criminel n'est qu'un comédien. Si
écouvert aucun de ses signes de la prédestination au meurtre. Et nous
savons
, par les journaux, avec quelle stupéfiante impass
e l'expérience de Mlle E...: « M. Liégeois affirme que Mlle E... ne
sait
pas que le pistolet n'est pas chargé. Je n'en cro
la plus grande affection : « Pourquoi N..., demande M. Delbœuf, qui
sait
qu'on le soumet à des expériences, ne se dirait-i
discours à faire ressortir ce qui lui semble en faveur de sa thèse, à
savoir
que le criminel hypnotique « de laboratoire » ne
re la situation du magnétiseur Jouve et celle des médecins qui, on le
sait
, ne peuvent recevoir des libéralités testamentair
pas plus ample. En arrière, il y a de la submatité dans les fosses
sus
et sous-épineuses gauches. Le bruit vésiculaire e
calisation, peut-être à une pleurésie sèche concomitante. Restait à
savoir
si la douleur abdominale était due à un processus
s dix minutes, je réveillai le malade. Il ne se souvenait de rien, ne
savait
pas que je lui eusse parlé. Il ne sentait plus du
se resssaisir, il est revenu à sa conscience normale et résiste, sans
savoir
qu'il a été influencé. Ce sujet -est certainement
doctrinez "ainsi par de douces paroles qui l'intéressent, si vous
savez
captiver ainsi son esprit et son imagination, il
né à la conscience : « Pourquoi écris-tu sur le tableau ? » — « Je ne
sais
pas ; cela m'est venu comme cela. » Voilà donc
s allé faire là-haut ? — J'ai voulu voir l'heure. — Pourquoi? — Je ne
sais
pas. » — Il ne se rappelle pas que l'ordre émanai
ns les actes que je lui suggère? Quel est son libre arbitre? Je ne le
sais
. Sans doute, si je lui suggérais un acte malhonnê
malade si les séances le fatiguaient ; il convint que non. Je voulus
savoir
la cause de cette résistance ; il finit par m'avo
op vite ; il les a cependant bien vus ; il y en avait dix. Je ne puis
savoir
si les vers existaient réellement, ou si l'imagin
e ce genre. J'en ai relaté plusieurs exemples. Il importe que vous le
sachiez
. Quand on a eu quelques cas heureux de thérapeuti
9 — et le clergé de Laon, inquiet, effrayé des progrès du calvinisme,
sut
admirablement tirer parti de l'état de Nicole.
olie ; il l'avoue et le déclare d'avance; « dès lors, dit le juge, il
sait
et il comprend parfaitement, depuis le commenceme
» Au point de vue légal, toute la question est de décider si Hamlet
savait
qu'en vengeant son père il agissait contrairement
nté par M. Kuhn à la Société anthropologique de Munich. Comme on le
sait
, les fakirs, c'est-à-dire les mendiants et les pr
clare cependant avoir observé deux de ces cas, dont l'authenticité ne
saurait
être mise en doute. Il s'agit de deux fakirs, d
ts identique à celui connu sous le nom de catalepsie, laquelle, on le
sait
, peut constituer une des phases de l'hypnotisme.
jamais le besoin d'aller à la selle et, lorsqu'il y était allé, il ne
savait
pas, avant de s'en être assuré par la vue, s'il a
, ce qu'il accepta aussi, suggestionné peut-être, quand même, sans le
savoir
. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séanc
connaissance suffisante des dispositions, penchants, aptitudes, pour
savoir
comment il se comportera dans un cas donné; pourq
dividualité est curieuse à connaître, et il est souvent plus utile de
savoir
une particularité du caractère de son voisin que
ette un trait de lumière sur le caractère tout entier. Lorsque l'on
sait
à quoi s'en tenir, d'un côté, sur le degré d'acti
on chez les aliénés. Il est cependant de la plus grande importance de
savoir
, surtout au moment où il est question de reviser
, leurs paroles ou leurs écrits, se sont montrés dangereux. Il ne
saurait
être apporté trop de prudence par les médecins tr
rit en dehors de ses lettres, quand ce dernier cas se présente. On ne
saurait
trop encourager ces malades à écrire ; 7° En ce
qui concerne les pyromanes, il faudra se préoccuper de leur hérédité,
savoir
si l'accusé est un faible d'esprit, s'informer de
ce illégal de la médecine, ces faits pouvaient être réprimés, it n'en
saurait
être de même depuis la loi du 30 novembre 1892 qu
ci-dessus relatées, et en conseillant l'absorption d'eau aimantée, ne
saurait
être considérée comme ayant exercé un traitem
venir le retour des crises. « Le sommeil provoqué par suggestion ne
saurait
être dangereux. Autant dire qu'il est dangereux p
-nous la différence entre un nerf qui fonctionne, et un nerf inerte ?
Savons
-nous ce qui se passe dans la cellule nerveuse qua
autre lésion trophique. Sont-elles dues à un trouble circulatoire? On
sait
que l'ischémie veineuse ou artérielle par endarté
quer les douleurs spéciales qu'accuse cet homme depuis quatre ans. On
sait
que la diathèse tuberculeuse crée souvent des dou
chronique, à évolution aussi lente depuis quatre ans, la toxé-mic ne
saurait
être constante, mo font penser que ces douleurs,
rité? Ces élats mixtes sont maintenant beaucoup mieux connus ; nous
savons
qu'ils se rapportent: les uns à la combinaison de
ressant de connaître les impressions du sujet pendant cet état, et de
savoir
pourquoi et comment il obéit aux mouvements que l
up, sur des épreuves d'un concours où l'on a emmagasiné ? beaucoup de
savoir
pour le régurgiter dans un temps et dans des con-
concours. Pourquoi le concours est-il un procédé démocratique? Nul ne
saurait
le dire. En quoi est-il plus démocratique de se c
par M. Rosenbach ne met à l'abri que des perceptions sonores, mais ne
saurait
empêcher le sujet de ressentir les ébranlements m
rtrophie a atteint un certain degré, la crise survient. Cependant, il
sait
qu'il peut lutter contre cet envahissement en app
formé dans des centres psychiques voisins. Il serait intéressant de
savoir
si cet état est analogue à celui du sommeil somna
incapable pendant le sommeil, où la volonté est atténuée. Ce que l'on
sait
aujourd'hui sur les rêves et sur l'état hypnagogi
t j'ai du établir qu'on pouvait parfaitement avoir le vertige sans le
savoir
, sans le sentir, et ne le reconnaître qu'objectiv
sueur nous inonde, que notre cceur bat. Mais nous pouvons ne pas même
savoir
que nous avons eu peur. Et il est si connu que
instantanément la notion de sa propre existence ; Il ne pouvait plus
savoir
comment il était orienté dans la salle où il se t
peur est pour nous la perturbation d'un état fonctionnel que nous ne
savons
comment nommer. Il est curieux qu'il suffise d'
souffrir, ce qui est en réalité une jouissance très active, quand on
sait
jouir, est un état qui résulte de la communion d'
ément modifié la constitution mentale des peuples de l'Inde, qu'on ne
saurait
prévoir le sort réservé par l'avenir au rôle hygi
du sang, tousse et crache du sang. Les parents sont au désespoir, ne
savent
plus ù quel saint se vouer. Il font venir un de m
Etat, l'initiative privée peut souvent réaliser des merveilles. On ne
saurait
trop féliciter les professeurs de l'Ecole dentair
inconnu que sa cause. Le premier sentiment qui en résulta fut, je ne
sais
pourquoi, une sorte de crainte; j'avais remarqué,
pour le corriger d'un a défaut ? » Il s'agissait, dans l'espèce, de
savoir
si la « magnétisation » ne pourrait offrir une re
le problème, de trancher la question préjudicielle qu'elle soulève, à
savoir
que l'emploi de la méthode hypnotique comporte né
l'avoir raisonnée autant que j'ai pu le faire, elle m'a dit : « Je ne
sais
pas ce qui me pousse à « mal faire, c'est une vol
aînée ; malgré moi je recommence « et pourtant je ne voudrais pas, je
sais
que je fais mal et je le « fais quand même ; je m
ue je fais mal et je le « fais quand même ; je me sens énervée, je ne
sais
, je ne puis « dire ce qui se passe en moi ! » L
voli-tives, émotives, intellectuelles, etc. Le traitement consiste à
savoir
se servir de tout ce que le sujet peut donner, c'
uvait, en le sentant, le même bien-être que lui donnait la piqûre. On
sait
que l'auto-suggestion joue un grand rôle dans le
t à appliquer, car, outre la suggestion à l'état de veille qu'il faut
savoir
doser selon le moment de chaque sujet, il faut ap
de ces malades sont portés à pousser toute chose à l'excès ; il faut
savoir
les maintenir et les exciter. Les défaillances su
ue doivent alterner ou marcher de pair, selon le moment. Il faut même
savoir
s'arrêter afin de mieux reprendre. C'est pourqu
surtout la inspiration, et par ce fait même ils reposent l'esprit. On
sait
que les mouvements respiratoires modifient ou sup
ques appelées à l'action par l'excito-moteur physique et dont il faut
savoir
se servir sans jamais les épuiser. Le degré du po
duré huit jours. Nous ne nous appesantirons pas trop sur ce sujet. On
sait
aujourd'hui que, dans l'hystérie, l'appareil urin
l se marie et entre dans l'administration où il est aujourd'hui. Nous
savons
que c'était un employé modèle, très sobre et très
ambulique, il n'avait point encore repris son état premier. II faut
savoir
qu'il avait été accusé d'un crime contre l'état s
pour y attendre la mort... C'est là où nous l'avons retrouvé. Vous
savez
comment notre malade, revenu au sentiment de l'ex
crit au chef de la Sûreté pour se dénoncer comme auteur du crime ; il
sait
parfaitement qu'il est étranger à tous ces faits
on a eu affaire à un convaincu; le malade de M. Ballet, au contraire,
savait
parfaitement la fausseté des faits dont il s'accu
econdaires à la sycose. Le malade s'est adressé à la bonne femme sans
savoir
les remèdes qu'elle allait employer, de même qu'i
er tous ces titres, c'est pour montrer en quelle estime sont tenus le
savoir
et l'autorité scientifiques de M. Kogevnikoff.
dans le questionnaire ; sans cela, il ne m'aurait pas été possible de
savoir
si les règles données avaient été complètement su
vent nécessaires, — soit par des expériences parallèles. a) Comment
savoir
si le membre en question a été tranquille ou s'es
encer, cela m'étrangle, me dégoûte, je ne puis pas. Pourquoi, je n'en
sais
rien ; je vous assure que je ne pense pas à mouri
emier : ainsi une malade de Janet saigne du nez tous les matins et ne
sait
à quoi attribuer cet accident. Mise en somnambuli
nfrère, M. le docteur Cabanes. possède !c vernis et l'illusion du
savoir
; était-il, au contraire, renseigné autant qu'un p
d communiqua à l'Institut le résultat de sa dernière découverte, vous
savez
, son fameux élixir de Jouvence. C'était étrange,
pourquoi, je l'ignore. Comment peut-on faire saliver un malade, je le
sais
; mais pourquoi salive-t-il sous l'influence de t
. « Le monde est à ceux qui se lèvent de bonne heure », a dit je ne
sais
qui. Tel n'est pas l'avis du Dr Talcott, de Middl
intervention tout à fait en dehors des lois scientifiques. » Je ne
sais
pas ce que l'on pense à Moscou de la guérison pre
quelques simagrées, demande de l'argent pour faire une neuvaine je ne
sais
où. Mon homme revient,toujours incrédule, mais co
r, et aujourd'hui chargé de cours à l'Université de Liège. Je voulais
savoir
de lui si le cas lui,paraissait justiciable de l'
mon temps en m'occupant de cette demoiselle.il est bon que le lecteur
sache
que je ne suis pas médecin ; que c'est en psychol
rouvé me faisaient remettre la chose de jour en jour. Cependant je ne
saurais
tarder plus longtemps de vous faire savoir des no
en jour. Cependant je ne saurais tarder plus longtemps de vous faire
savoir
des nouvelles sur la santé de ma jambe. La cuisse
uisse, la jambe est à peu près comme l'autre. Enfin tout marche on ne
saurait
mieux. J'ai avant-hier pu marcher en mettant seul
ussi par l'absence d'initiative cérébrale. Le tonus musculaire, on le
sait
, est un phénomène réflexe spinal. Or, le cerveau
à accomplir un vol, ils font invariablement la même réponse : « Je ne
sais
pourquoi je l'ai fait, je n'ai pu faire autrement
s des objets vus. Grâce à lui, par acquisitions successives, l'enfant
sait
, par exemple, ce qu'est un chien, une fourchette.
it ; « Je ne vois pas. » Si 2 est détruit, il dit: « Je vois, mais ne
sais
ce que c'est, ? Si 3 est détruit, il dit : « Je c
oduit souvent le même fait: on lit mentalement ou même tout haut sans
savoir
ce qu'on lit. Le schéma du système auditif est
régime sévère que je lui ai recommandé. HéFLEXIOSS Tout le monde
sait
que l'onanisme est une cause fréquente d'épilepsi
sants, et. tout en étant terrifié, tout en choisissant les rues où il
sait
que des médecins pourront le secourir, il réussit
ne lourde clef qu'il portait toujours sur lui. — Enfin, tout le monde
sait
qu'on arrive au même but en recourbant énergiquem
icisme anatomique, il faut opposer l'organicisme fonctionnel. 11 faut
savoir
que nombre de maladies débutent par un trouble fo
soit, l'expérience est très curieuse, mérite d'être étudiée, et, qui
sait
? en s'y prenant bien, un de ces jours notre œil p
, conscience, motilité volontaire ? Ce siège se trouve, comme vous le
savez
, au niveau des circonvolutions cérébrales; nous p
centres médullaires, les seconds sur les centres corticaux. Maison ne
saurait
faire une distinction radicale entre ces deux sor
ue soulager, que masquer le mal. D'où vient cette différence? On n'en
sait
rien, mais il est permis de supposer que la morph
ations terminales de ces prolongements, est confirmée par ce que nous
savons
du mode d'agir du curare exclusivement sur l'arbo
inoculés avec le virus rabique; c'est donc une lésion banale i1). On
savait
depuis longtemps, grâce aux progrès de la microsc
ives sont considérées aujourd'hui comme des cellules nerveuses, et on
sait
que leurs prolongements périphériques, homologues
jambe, côté, bras, tout était raidi et douloureux, au point qu'il ne
savait
plus marcher, ni se servir de son bras; la langue
dans son livre : « de la suggestion », 3e édition, page 334 : « Je ne
saurais
trop insister sur ce fait, qui explique l'efficac
a lésion, mais retenu, si je puis dire, par le système nerveux, et on
sait
que celui-ci a une grande tendance à conserver ce
herchera encore par tous les moyens à le revoir, et pourtant elle
sait
que cela est complètement inutile, elle rougit de
a transformation de l'amour en haine. Il s'agissait tout d'abord de
savoir
à quels sujets nous avions affaire, c'est-à-dire
eption ou de la difficile réception des impressions extérieures. Nous
savons
, ou tout au moins nous sommes aujourd'hui très au
ère intense lui faisait tourner la tète ou fermer « les paupières. 11
savait
choisir les morceaux de viande imbibés de lait et
es ou mouvement de cils vibratiles, peu nous importe; et du reste, on
sait
aujourd'hui qu'il y a, chez les êtres uni-cellula
ette œuvre d'expiation, et à Tune des victimes qui lui dit qu'elle ne
saurait
être coupable puisqu'on lui reproche uniquementd'
magie, que leur imagination avaiteonduits au sabbat, l'histoire ne le
saura
jamais: elle en connaît quelques-unes et ce qu'el
toire ne le saura jamais: elle en connaît quelques-unes et ce qu'elle
sait
suffit pour épouvanter; elle en découvrira d'autr
assimilé la liberté à la pensée. Le degré de responsabilité que l'on
savait
en rapport avec le degré de liberté devint ainsi
tituent la maladie tout entière. Le sujet était immense, et il faut
savoir
gré à l'auteur, « dans une étude où les conceptio
sur la Sorcellerie devant la science. Avec une grande érudition, il a
su
faire saisir à ses auditeurs les relations qui ex
nd de « donner en spectacle une personne hypnotisée ; or, il faudrait
savoir
« ce que c'est qu'une personne hypnotisée... L'hy
r de l'argent pour en jouir, et, quand il l'a en sa possession, il ne
sait
qu'en faire. Il vole parce qu'il est entraîné et
sultat chez lui de ce mode de traitement ; peut-être même, mais on ne
saurait
rien affirmer en ces matières, la guérison de ses
ixer notre attention. La première question qui se pose est celle de
savoir
si la flj Maurice R... C9i endormi par M. Regna
iques, et que ce dût être là le triomphe de la suggestion-Or, vous le
savez
, il a fallu en rabattre. De l'aveu presque généra
lleurs, auxquels on ait recours d'habitude quand le trouble mental ne
saurait
comporter, comme ici, l'internement. Simulation
éclairs. Le30juillet, le D'Trousseau se rendità mon appel. Je ne
saurais
mieux faire que de vous communiquer le texte même
cien prisonnier, car il avait plusieurs condamnations à son actif, il
savait
qu'il était plus facile de simuler la cécité comp
a été mon élève, et qui a suivi de près les expériences de la Pitié,
sait
que, laissant de côté les conceptions théoriques,
de la sensibilité à la piqûre à l'avant-bras gauche. Pas de stigmates
sus
et sous-mammaires. Douleur éliaque des deux côtés
nd affaiblissement physique et intellectuel. 2 Juin. — La malade ne
sait
plus prononcer les mots commencés par une autre p
le sous trois formes : i" La malade interprète le mot qu'elle voit,
sait
de quoi il s'agit, mais ne peut pas prononcer le
on) ; 2e La malade lit le mot à haute voix, sans hésiter, mais ne
sait
pas ce que le mot veut dire, ou doit faire effort
ait en blanc, pour un même nombre de lignes, 7 ou S mots dont elle ne
savait
plus l'orthographe. Pour les chiffres, la même ré
stingue une bougie que de face. Pas de diplopie ni de dischomatopsie.
Sait
multiplier, additionner. L'ceil droit ouvert, je
l'acte ; 4° l'exécution du jugement ou l'acte lui-même. Comme il ne
saurait
y avoir jugement sans témoignages, le problème co
ce, très épris de son art. Directeur de l'asile d'aliénés de Mons, il
sut
tirer un profit judicieux des ressources mises à
êche de répondre, « vous allez me le dire, vous pouvez le faire, vous
savez
le « faire. » Ces suggestions répétées eurent u
ble qu'il en soit autrement. Je ne m'habituerai jamais à l'idée de la
savoir
avec un autre. » Quelques raisonnement appropri
grand de se trouver au milieu d'une grande quantité d'élèves. Elle ne
savait
pas être accouchée. Elle m'a dit d'une façon nett
M. Crocq fils se trouve appelé comme expert à examiner la question de
savoir
s'il était possible d'exécuter sans l'interventio
its relatés par l'Auteur du mémoire, M. Masoin discute la question de
savoir
quelle attitude l'Académie doit adopter. Il fau
d'escroquerie ou de quelque infraction analogue... » « Nous devons
savoir
gré à notre jeune et distingué Confrère d'avoir p
e faire disparaître, c'est l'idée primitive, la cause de ce délire, à
savoir
le sentiment de l'injuste mort de l'enfant. Et, e
ouvait pas poursuivre ce médicastre illuminé, car, dans le peuple, on
savait
qu'il ne demandait rien ; il acceptait cependant
le (angina pectoris) et sur les accès douloureux de l'asthme. Je n'en
savais
rien; mais jesuis bien aise de l'apprendre. w- ,
lait s'embarrasser de toutes ces précautions, on ne vivrait pas; vous
savez
le mot du poète latin: Et propler vitam vivendi
pèchent par là. Pourquoi ne pas imiter le dix-huitième siècle (qui a
su
parler de tout dans la langue de tous. Francisq
r un état de choses aussi regrettable, sera-t-elle acceptée ? Elle ne
saurait
, en tous cas, rencontrer d'adversaires parmi ceux
ouche après le vingt-quatrième jour d'une conception possible. Vous
savez
, d'après mon récit, l'état dans lequel se trouve
trand et Bonjour, ont soutenu l'opinion contraire. Or, la question de
savoir
si l'état de sommeil provoqué est doué, per se, d
hypnose fortuite. Quiconque s'est livré à la pratique de l'hypnotisme
sait
, en effet, que les hypnotisés, abandonnés à eux-m
malade, quel qu'il soit, joue un rôle prépondérant, et le médecin ne
saurait
trop s'en préoccuper. L'air, la lumière, la tempé
ditions morales crées par l'entourage. Oh! sans doute tout le monde
sait
qu'il ne faut pas fatiguer les malades et qu'on d
qu'on ne doit pas négliger, mais combien il est insuffisant pour qui
sait
observer ! Un enfant, une femme, un mari, un sold
le grand secret, lorsqu'on veut réussir en psychothérapie : c'est de
savoir
adapter la suggestion à la personnalité normale e
de et si profonde de l'esprit sur l'esprit ; et nul plus que moi n'en
saurait
être un partisan convaincu. Mais, malgré tant d
nque d'initiative des phobiques, et se pose uniquement la question de
savoir
si, oui ou non, n les phobies neurasthéniques s g
ernière maladie? — Oui. Un tribunal peut-il trancher la question de
savoir
si l'on peut, après avoir placé une personne dans
bert dans ces actos do captation et d'auto-suggestion. Nos lecteurs
savent
que les articles cités sont ainsi conçus : Art.
xerçant l'art « de guérir sans titre légal et sans aucune garantie de
savoir
ni de « moralité, acquièrent, sur l'esprit simple
taché de nullité (art. 901, C. Civil). « Attendu que la question de
savoir
si l'on peut, après avoir placé « une personne da
gnétisme n'existent pas ; o Attendu, qu'en cet état, le Tribunal ne
saurait
, sans une certaine « inquiétude, trancher une que
t. Bien plus, les médecins adonnés à la pratique de la psychothérapie
savent
qu'il convient de réveiller le malade sur des idé
ou trois faits ont été publiés, et encore un médecin compétent aurait
su
guérir le sujet en une seule séance d'hypnotisati
e du rôle que peut jouer la suggestion dans les accouchements. Nous
savons
tous combien les fonctions de l'utérus sont en ra
nner la théorie et la pratique de la médecine. Autant que je puisse
savoir
, le seul écrivain anglais contemporain qui ait si
expérience à 365jours d'intervalle). Le somnambule peut être, sans le
savoir
, rendu auteur inconscient d'actes délictueux ou c
ns dans lesquelles MIU E... aurait pu être rendue criminelle, sans le
savoir
, si le pistolet remis entre ses mains avait été c
des effets curatifs de l'hypnotisme, et, en outre, de ce qu'il avait
su
produire, chez une femme qui avait été à son serv
e », doit être écartée définitivement. § 2. La femme violée sans le
savoir
. En état de somnambulisme, soit spontané, soit
voqué, des femmes, des jeunes filles, pourraient être violées sans le
savoir
, sans le sentir, sans en conserver aucun souvenir
te : Il serait prudent que toute personne, homme, femme, jeune fille,
sût
exactement à quoi s'en tenir sur le degré de
étaient pas nerveux. Son père alcoolique s'est suicidé sans qu'on ait
su
le motif. 8a mère est rhumatisante et nerveuse ma
qualités. Elle avait été très malheureuse dans sa jeunesse i et avait
su
se diriger et marcher droit. c Nous avions de f
s; qu'elles s'appellent maisons d'arrêt' ou maisons centrales, chacun
sait
le soin qui préside à leur tenue hygiénique et le
s incommode outre mesure, il n'y a pas fait grande attention et il ne
saurait
plus aujourd'hui préciser la date à laquelle il T
motivité excessive de notre jeune homme. — Est-il héréditaire ? On ne
saurait
l'affirmer, puisqu'on n'a pas pu savoir s'il a ex
— Est-il héréditaire ? On ne saurait l'affirmer, puisqu'on n'a pas pu
savoir
s'il a existé ou s'il existe chez quelqu'un des a
le vrai et le faux. Delbœuf affirmait qu'il est assez conscient pour
savoir
ce qu:il fait. Mais ni les uns, ni les autres, ne
imentale. A la question : pourquoi elle n'avait pas obéi, puisqu'elle
savait
que c'était une expérience, elle répondit : « Je
érience, elle répondit : « Je ne prendrais pas une montre, même si je
savais
que la suggestion était expérimentale, p«.rce que
tisés. Voici quelques citations que je pourrais multiplier: « Je ne
saurais
trop le répéter en présence de ces faits : le suj
leur être ; ils répondent aux questions qui leur sont adressées; ils
savent
qu'ils dorment. Quand je dis à S... qu'il est sur
s suggestions criminelles une conception erronée queme prêtent, je ne
sais
pourquoi, tou3 ceux qui n'ont pas lu mes œuvres;
ses successeurs le font encore actuellement, de la suggestion sans le
savoir
. Les malades savaient qu'ils étaient hypnotisés d
ont encore actuellement, de la suggestion sans le savoir. Les malades
savaient
qu'ils étaient hypnotisés dans un but curatif ; i
tte idée pendant leur sommeil ; les manipulations faites sur eux, ils
savaient
qu'elles les devaient délivrer de leurs maux ; la
nnaît bien la suggestion, sa vertu dormitive et sa vertu curative; il
sait
que l'idée seule du sommeil peut le provoquer; il
u curative; il sait que l'idée seule du sommeil peut le provoquer; il
sait
que l'attention portée sur un organe ou une fonct
'est pas à prévoir qu'une solution pouvant compter tous les suffrages
saurait
être fournie. Pratiquement il faut laisser de côt
it auquel nous donnons la valeur d'une véritable loi psychologique, à
savoir
, que « la suggestibilité est en rapport direct av
On a, dans l'espèce, obtenu des signes physiques capitaux et l'on ne
saurait
contester qu'il ne fût désirable de doter l'alién
ne élaboration nerveuse d'origine organique qui se rattache, comme on
sait
, à l'expérimentation intra-cérébrale des canaux s
chopathique pur. Tout le monde les connaît, de même que tout le monde
sait
ausculter. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOG
es autres actes de la vie, il est parfaitement maître de lui-même. Il
sait
très bien résister à tous les entraînements, à to
presque guérie. Mais comme elle ne l'est pas tout-à-fait et que nous
savons
que la suggesti-bilité est singulièrement exallée
chaque fois, elle a l'air d'être guérie, elle en est convaincue et ne
sait
comment me témoigner sa reconnaissance ; mais je
qui lui permirent de rédiger son livre des maladies mentales. Je ne
saurais
oublier de rappeler que Luys fut un des membres d
nférence faite à Birmingham sur la longévité. Encore convient-il do
savoir
ce qu'il faut entendre par le a temps nécessaire
que j'allais faire, et cela pour une bonne raison, c'est que je ne lo
savais
pas moi-même. L'idée de tenter l'extériorisation
nnivence inconsciente du sujet serait une objection plus sérieuse. On
sait
que les sujets en somnambulisme jouissent d'une a
e dans la première expérience que j'ai faite, le sujet ne pouvait pas
savoir
ce que j'allais faire, puisque je ne le savais pa
e sujet ne pouvait pas savoir ce que j'allais faire, puisque je ne le
savais
pas moi-même. Je n'ai eu l'idée d'essayer sur lui
minelles, restant encore nancéien sur une foule d'autres points. On
sait
, en effet, que l'Ecole de Paris a toujours été op
de a réflexions », de contrôle, de liberté morale, de résistance, que
sais
-je ? Le somnambule n'est pas un a idiot », dites-
rsaient son esprit, au moment où elle donnait â boire à M. D... Je ne
sais
pas si elle n'aurait pas répondu, comme M,,e E. P
otre éminent président, me formulait, il y a quelques jours encore: à
savoir
, que pour suggérer le sommeil à un sujet, il faut
ommeil, et de terminer enfin par la fascination. Actuellement, nous
savons
que la fascination n'est pas nécessaire pour prod
e la fascination n'est pas nécessaire pour produire le sommeil : nons
savons
de plus que le sommeil n'est pas nécessaire pour
l'école de Nancy. Les idées soutenues dans cet ouvrage de 1889 — à
savoir
que l'hypnotisme est un phénomène pathologique et
iendrait M. Gilles de la Tourette. Cela est fort probable ; car je ne
sache
pas que M. Gilles de la Tourette ait trahi ses co
éprouvé quelque surprise, c'est en constatant que M. Harten-berg, qui
sait
cependant si bien associer le culte de la philolo
se quelques reproches à MM. Gilles de la Tourettc et de Rochas. Je ne
sais
comment ces savants dont les travaux ont eu quelq
n négative suggérée. M. Dumontpallier. — M. Bernheim et son élève
savent
aussi bien que moi qu'il est des sujets, hommes,
uverte. Ces conseils peuvent être résumés dans ces deux phrases : «
Sachez
endormir vos malades n ; « Sachez les réveiller »
résumés dans ces deux phrases : « Sachez endormir vos malades n ; «
Sachez
les réveiller ». Quelque théorie que l'on veuil
résumer. Conductibilité électrique d'un conducteur discontinu On
sait
que les courants électriques traversent très faci
ai pu interroger ont tous exprimé une opinion conforme à la mienne, à
savoir
que l'hypnotisme, entre les mains des médecins, e
bien ont assez de conscience pour se refuser à les exécuter, ou bien
savent
qu'elles n'ont rien de sérieux, qu'elles ne feron
mps beaucoup d'affection et de dévouement! « J.., continue Delbœuf,
savait
donc qu'elle jouait la comédie, avec la « conscie
à aller chercher le revolver, refuse-t-elle d'en faire usage? Si elle
sait
, si elle voit que Delbceuf lui ordonne de tirer s
ion devient trop facile. J'examinerai tout à l'heure la question de
savoir
si des expériences négatives peuvent jamais prouv
s remarqué Pasteur, une expérience ne réussit pas parce qu'on n'a pas
su
s'y prendre, parce qu'elle a été faite dans des c
i. M. Liébeault et moi avons été, mieux que personne, en situation de
savoir
, jusque dans les moindres détails, comment les ch
nt. Il doit s'assurer chaque jour du traitement qui leur « convient :
savoir
s'ils doivent être laissés libres par îa maison,
alors que les pauvrets, quand ils voyaient une main levée sur eux, ne
savaient
si elle s'ouvrirait pour bénir ou se fermerait po
oint qu'il voulait tuer sa propro mère dans un de ces accès, et il le
sait
parce qu'on le lui a raconté. Etat actuel : esp
squ'il confère à l'introspection une finesse et une acuité qu'elle ne
saurait
guère atteindre pendant l'état de veille. En ce q
t les contradicteurs dans son étude sur le sport ('J. Un entraîneur
sait
qu'il doit parler différemment à l'entraîné, suiv
son impuissance. Il reste, en effet, un mode d'intervention que je ne
sache
pas avoir encore été employé d'une manière systém
qui lui sont des plus inutiles ; quand on l'arrête, il prétend ne pas
savoir
ce qu'on lui veut("). Les exemples abondent et l'
ui paraissent l'avoir oublié et de dire pour ceux qui ne l'ont jamais
su
) que, des 1859, à une époque où l'on ne soupçonna
rannique ; elle se maintient en dépit du sujet, lequel la subit et ne
saurait
s'en affranchir pour lui en substituer une autre.
dort se trouve dans des conditions psychologiques excellentes : il se
sait
malade et il a nettement l'idée des services qu'o
illusions et hallucinations, n'infirment pas cette croyance, car nous
savons
, d'une part qu'elles procèdent de sensations réel
outes les parties et de tous les cas différents (?).b Ce qu'il faut
savoir
, c'est que, les principes de la raison procédant
e, il y a eu conversion organique. II — LES IDÉES RELIGIEUSES. On
sait
que les idées religieuses ont évolué constamment
seconde, des femmes, des jeunes filles peuvent être violées, sans le
savoir
, sans le sen'-ir, sans en garder le moindre souve
'accord, à Nancy, MM. Liéheault, Bernheim, Beaunis et moi, est, je le
sais
, contestée par quelques-uns des représentants de
se déshabiller : elle a eu « aussitôt une attaque de nerfs. » Je ne
saurais
admettre la conclusion que l'on prétend tirer de
r. Rappellerai-je, puisque l'occasion s'en présente, que M- Forel a
su
, par suggestion, dresser les infirmières chargées
ieure(J. Ce Castellan était un vagabond, vieux, difforme, hideux, qui
sut
, à l'aide de manœuvres que nous appellerions aujo
reparu dans tous leurs détails, en vertu de ce principe bien connu, à
savoir
: que le somnam~ bule, qui a tout oublié au révei
la que de son amour. Par contre, il ne me recommanda « pas de ne rien
savoir
de ce qui était arrivé (?). Je n'ai pas répondu «
vie. Je me disais alors : Oui, car je me suis i donnée à lui et je ne
sais
pas comment ce fut possible. Ce fut vite x fait.
de muscles. Elles peuvent intéresser tous les muscles d'un membre. On
sait
avec quelle facilité on peut provoquer artificiel
limités, pour He pas dire absolument nuls, et qu'à eux seuls, ils ne
sauraient
constituer les éléments d'une thérapeutique métho
alement qu'une satisfaction posthume. Liébault a eu la patience, il a
su
attendre, et il peut assister dans sa vieillesse
devant ce seul état réducteur des précédents. Ce n'est pas tout. On
sait
que la conscience ne peut rester longtemps identi
que cas particulier. Quant à ces dernières, tout psychothérapeute qui
sait
son métier ne sera guère embarrassé pour détermin
plus influencé par la thérapeutique psychique, que nous aurons mieux
su
redresser ses sentiments affectifs, stimuler son
emandera, pour être complètement énoncée, un temps assez long, et qui
sait
si notre sujet sera capable de synthétiser dans s
e manière, tenons-nous prêts aux éventualités, soyons circonspects et
sachons
nous taire au moment opportun. En outre, pendan
ier sur cette question, je discuterai les diverses critiques qu'on ne
saurait
manquer d'opposer à l'intervention que je préconi
it à lîlaise pour règle ¦ que tout ce qui est l'objet de la foi ne le
saurait
être de la raison, et beaucoup moins y être soumi
toujours pareilles, qui vous plongent dans une sorte de torpeur. On
sait
que la répétition de certains sons peut détermine
r catéchisme l'ut composé par le concile de Tiente, tenu en IMS. Dans
su
'24* r>ession, il imposait par décret solennel
st, sont des cérémonies non moins troublantes que la messe. Nous ne
savons
rien de précis sur les idées et le sentiment reli
chéri des deux. Si donc une arche simple et bien moins nécessaire Ne
savait
habiter dans un profane lieu, Comment penserez-
sainte aventure : L.e feu qui te brûlait est de celte nature Que plus
su
le prodigue et plus il se ressent. * Enlin. à d
je viens de nommer. — Mais c'étaient des savants de province, et l'on
sait
qu'en France rien ne vaut ce qui vient de Paris !
jour maintenant plus clair-semés, faisaient de la suggestion sans le
savoir
, comme M. Jourdain faisait de la prose. Et j'op
mari, — qu'elle aime, — lui faire former une demande en divorce, que
sais
-je? L'on pourrait presque dire qu'il n'y a pas de
roit, considérer comme acquise la proposition que nous avons émise, à
savoir
: la possibilité de faire, aux femmes el aux jeune
e la plus élémentaire que toute personne ; homme, femme, jeune lille,
sût
exactement jusqu'à quel point elle est suggestibl
criminel malgré lui ? a 2° Une femme peut-elle être violée sans le
savoir
, sans le sentir et sans on garder aucun souvenir?
le est extrêmement malheureuse à cause de sa maladie. Vous pourrez en
savoir
plus long en la questionnant. » Munis de ces re
ations systématiques ('), il est clair que les meilleurs arguments ne
sauraient
triompher de leur évidente mauvaise foi. Ceux, d'
epoussé toutes les diverses formes du traitement psychothérapique, ne
sauraient
manquer de condamner également et dans tous les c
es « machines » là sont extrêmement capricieuses et tenaces...; on ne
sait
jamais quand cà finira...; on ne peut pas grand"
argument repose sur ce principe, non énoncé mais facile à formuler, à
savoir
que dans les maladies mentales il y a toujours un
parole à un médecin psychologue dont la compétence en ces matières ne
saurait
, je pense, être mise en doute: « Les études anato
observations psychologiques en langage anatomique, mais il faut bien
savoir
qu'en dehors des constatations directes anatomiqu
cipe qui sert de base à l'argument tiré de l'anatomie pathologique ne
saurait
logiquement avoir une valeur absolue; c'est un po
out au moins, à une heure assez avancée de la soirée? » — Mais, je ne
sache
pas que les médecins refusent, d'ordinaire, d'ent
médecin fasse preuve de prudence, d'initiative et de sagacité, qu'il
sache
s'ingénier, chercher et talonner; il faut aussi q
d'autres fois, il fera merveille. Or, dans tels cas déterminés, on ne
saurait
dire à l'avance si le traitement est appelé à éch
ne puisse plus les réveiller ! Il est manifeste que rien de pareil ne
saurait
être allégué au sujet de la suggestion pendant le
u service à un bon petit élève qui enrageait de ne pouvoir parvenir à
savoir
très bien ses leçons. Je lui ai considérablement
vrai, comme le disait Bacon, que notre pouvoir ost en raison de notre
savoir
, tantum possumus quantum scimus. histoire DES
es plus heureuses à lui apprendre, et qu'il ne doute pas qu'il ne lui
sache
gré de son intention. L'autre, f.iible et crédule
trois accès de convulsions, dont le dernier sera si teirible qu'on ne
sait
pas s'il en réchappera ; que s'il est 1. Vie de
ennent pendant un travail continu soit physique, soit intellectuel, à
savoir
: l'exercice, la fatigue, l'entrain el Tentraineme
lecteurs qui s'intéressent aux recherches de psycho-physiologie nous
sauront
gré. je pense, de leur résumer ici les conclusion
rêve à la science, l'imagination à l'observation pure. Pourtant, qui
sait
si, quelque jour, ce n'est pas lui qui aura raiso
vis de lui d'une sympathie particulière, . premièrement parce qu'il a
su
s'affranchir des bornes eoutuinières, parce qu'il
que j'ai exposé comme étant l'essentiel dans la doctrine de Braid (à
savoir
: l'emploi réfléchi de la suggestion verbale)
ng it », (c'est-à-dire : Braid faisait usage de la suggestion sans le
savoir
). Il est imprudent de nier si catégoriquement ce
oup de ses successeurs le font actuellement, de la suggestion sans le
savoir
. » La seule différence est que le traducteur de m
onverties, pauvres et ignorantes pour la plupart el dont plusieurs ne
savaient
pas écrire, qu'il fallut fonder à Paris une autre
iquer pour cela, car il lui reste un procédé d'intervention que je ne
sache
pas avoir encore été employé d'une manière systém
ante. La suggestion ne sera jamais brusque, ni soudaine: son début et
su
fin devront être l'un progressivement croissant,
mbarda (de Lisbonne), (Revue neurologique, 1897, n° 11. p. 298.) — On
sait
que le système nerveux central est considéré de n
appareil électrique, alors que le courant ne passait pas"? Chacun ne
sait
-il pas que l'on peut réaliser des effets en appar
e depuis six mois, tout le mérite en doit revenir à M. Ferrand, qui a
su
répartir et espacer méthodiquement les séances :
me de les espacer davantage avant de les suspendre tout à fait. On ne
saurait
trop s'attacher à ce détail; il est un des élémen
des maladies nerveuses;:., il peut se flatter d'y avoir réussi. On ne
saurait
, en effet, s'imaginer comme les diagnostics diffé
it à quelques guérisons obtenues par M. Aug. Voisin, lequel, comme on
sait
, a le premier appliqué l'hyno-tisme au traitement
ection, ainsi quo sur la forme des tremblements, des détails qu'on ne
saurait
observer directement. Cet appareil sera très util
rtir, par contraste, les caractères de cette dernière affection. Vous
savez
combien j'emploie volontiers, dans la démonstrati
onique sclérosante d'une pareille intensité, était à prévoir et on ne
saurait
être surpris de la rencontrer. Il n'y a pas de ra
, je crois utile de vous faire connaître en quelques mots ce que l'on
sait
concernant ce complexus pathologique — je n'ose d
myélie et qui est caractéristique de cette dernière affection. Vous
savez
, Messieurs, d'après nos dernières leçons, en quoi
Mais, tout d'abord, une simple question adressée au malade nous fera
savoir
qu'il est né ou a séjourné dans des pays où la lè
il y a une anesihésie totale ; les centres trophiques de la moelle, à
savoir
, la partie médiane et peut-être la corne moyenne.
l n'a connu que son grand-père paternel qui est mort très vieux et ne
sait
pas grand'chose sur ses collatéraux des deux côté
orvan. Nous ne pouvons même pas dire qu'elle soit éteinte, et nous ne
savons
pas si nous pouvons l'empêcher de se réveiller et
et dont je vous ai déjà maintes fois entretenu, mais sur lequel je ne
saurais
trop insister. Je veux parler de l'hystérie traum
alade ne nous fait rien connaître de bien intéressant, sauf ceci, à
savoir
qu'il est sujet depuis longtemps à des étourdisse
ladies ne soit pas difficile. Les atrophies musculaires font, nous le
savons
aujourd'hui, partie du tableau symptomatique de l
ontradiction avec cette manière de voir. La monoplégie consécutive ne
saurait
être non plus, à cause de ses caractères et de so
eux est impotent de son bras. Combien cela durera-t-il encore ? Je ne
sais
, mais, en tout cas, retenez de ce fait que le pro
uestion sous le même point de vue et aboutit aux mêmes conclusions, à
savoir
qu'il convient d'établir un certain nombre de typ
t névropathiques. Combien ne sera-t-il pas important, en clinique, de
savoir
que tel ou tel tremblement n'est pas produit par
sidéré dans son type de parfait développement. En pareil cas, vous le
savez
, le malade reste littéralement immobile quand il
é, mais combien de temps se fera-t-elle attendre ? C'est ce que je ne
saurais
préciser. Quelque temps après la leçon qui préc
relève un élément qui ne figure pas dans les autres dénominations, à
savoir
l'élément douleur, lequel joue, dans l'espèce,
raine, la paralysie de l'oculo-moteur n'apparaît jamais, autant qu'on
sache
, qu'à la suite d'une période douloureuse le plus
ôtre d'au- jourd'hui sera le 20e. C'est peu, sans doute; mais on ne
saurait
méconnaître que, malgré des variations individuel
ophthalmoplégique que j'ai choisie de préférence à toute autre. Vous
savez
du reste ce qu'on entend par migraine: migraine,
trait particulier — il se présente un trouble spécial de la vision, à
savoir
: scotome scintillant d'abord, puis modification
aralysie; de plus tous les caractères de l'ophthalmoplégie interne, à
savoir
: paralysie de l'accommodation : le malade ne peut
mot en terminant sur le diagnostic. La migraine ophthalmoplégique ne
saurait
être confondue clinique-ment,tantses caractères s
la physiologie pathologiques. Malheureusement, sur ce pointdà, on ne
sait
pas grand'chose et le plus souvent on se trouve o
; elle attaque aussi quelquefois les parties externes et les muscles,
savoir
: les mâchoires, les épaules, les mains, les cuis
issée par la pression des doigts. Je n'y ai pas trouvé, autant que je
sache
, de mention explicite d'une autre forme d'oedème,
ssion du doigt, mais qui en diffère par deux caractères essentiels, à
savoir
: l°un abaissement de la température locale qui p
pensable au chirurgien. Je vous l'ai déjà bien souvent répété ; je ne
saurais
trop vous le redire. Je pourrais multiplier ces
t suicidé et a eu une fille et deux petites-filles épileptiques. Vous
savez
quelle importance il faut attacher à une pareille
mi les troubles trophiques de la syringomyélie dans laquelle, vous le
savez
, existe une altération organique de la substance
s de la syringomyélie, mais peut cependant se rencontrer, ainsi qu'on
sait
, dans l'hystérie. C'est précisément ce qui est ar
re des services. Mais, en tous cas, il est une thérapeutique que nous
savons
devoir laisser radicalement de côté, c'est l'inte
la matinée, d'en empêcher le retour à l'aide de la suggestion. On ne
saurait
trouver une confirmation plus éclatante des prévi
ie si simple il ne reste plus grand'chose à en dire. Par Cotugno, qui
sut
la distinguer de toutes les autres affections dou
entier. (Extrait des Archives de Neurologie, n° 59). l'herpès. Nous
savons
que des troubles sensitifs peuvent s'y rencontrer
s scia-tiques traumatiques. Ce sont encore les seuls, autant que nous
sachions
, qui aient été relatés jusqu'aujourd'hui. Ils son
e incurable avec atrophie dégénérative des muscles du mollet. Elle ne
saurait
donc être admise, d'autant plus que l'auteur veut
poplité externe. C'est évidemment là une idée ingénieuse, mais qui ne
saurait
être admise, nous le répétons, sans la vérificati
nt en réalité, c'est-à-dire comme des complications de sciatiques. On
sait
quelle singulière prédominance se manifeste dan
vait été at teinte pendant longtemps de douleurs, dont la malade ne
sait
pas définir la nature. Le père est inconnu. La
ndant que la zone cutanée du musculo-cutané est restée indemne. On ne
saurait
d'ailleurs, pour localiser la lésion au domaine d
bution que l'on voit sur les schémas représentant l'état normal. On
sait
combien les suppléances sont faciles en fait d'in
Evidemment, comme Fa fait remarquer M. Charcot dans son cours, il ne
saurait
s'agir là, pour ce qui concerne le tabès, que d'u
'ailleurs, il existe chez elle un stigmate, le stigmate de Chairou, à
savoir
une insensibilité avec absence de réflexe du phar
même en ces matières, il y a toujours quelque chose à glaner pour qui
sait
voir. L'observateur attentif trouve souvent dans
le s'accompagne de troubles paralytiques et amyotro-phiquès. Or, vous
savez
quel fâcheux pronostic entraîne généralement dans
uler un diagnostic précis ? Nous y arrivons enfin. On divise, vous le
savez
, les sciatiques en primitives et symptomatiques ;
tes les branches extérieures ou externes du moteur oculaire commun, à
savoir
: droit interne, droit supérieur, droit inférieur,
rimentales, qui ont été produites dans ces derniers temps. * Vous
savez
comment la colonne ganglionnaire qui sert d'origi
, comme nous essaierons de vous le démontrer. 4° Mais il est bon de
savoir
que cinq fois, alors que pendant la vie les sympt
oncomitante de la maladie ataxi-que ne modifie pas beaucoup, que l'on
sache
, le pronostic du tabès. Cependant elle est alors
de dégénérescence existe dans les muscles les plus affectés. Mais on
sait
que dans la maladie de Duchenne la réaction de dé
es différences. L'autre particularité, qui n'appartient pas, que je
sache
, à l'histoire du type Duchenne-Aran, c'est une so
nous reste plus qu'à dire un mot du pronostic et du traitement. Vous
savez
quel est, hélas ! le pronostic de l'amyotrophie p
e musculaire et les symptômes de paralysie bulbaire supérieure. On ne
saurait
dire quelle est l'explication de ce phénomène, qu
r de renseignements bien précis sur ces crises. Cependant on arrive à
savoir
qu'elles étaient précédées d'une toute petite att
, est assez énergique. A l'épaule, diminution extrême de la force des
sus
et sous-épineux, des sous-scapulaires. Perte pres
ns l'habitus extérieur tout entier et non pas seulement le faciès. On
sait
(v. plus haut n° X) quels caractères spéciaux don
fibre musculaire saine. Donc l'assimilation absolue entre les deux ne
saurait
être faite. D'autre part dans les atrophies d'o
ue, si la réaction de dégénérescence se rencontre le plus souvent, on
sait
cependant qu'elle peut manquer quelquefois. Dans
d'avouer notre ignorance à cet égard. Mais quoi qu'il en soit, on ne
saurait
tirer de cette absence d'anomalie des réactions é
sont élevées à propos de ces deux états morbides, sur la question de
savoir
s'ils doivent représenter deux maladies autonomes
a acquis une grande importance clinique. Ce résultat est dû, vous le
savez
, aux travaux de deux collègues allemands, M. Schu
proviennent de l'altération des cornes antérieures. A cet égard nous
savons
, par l'histoire de la paralysie spinale infantile
champ visuel dans la syringomyélie (1). 3° Troubles trophiques. On
sait
qu'on range sous cette dénomination les lésions c
équemment des arthropathies, la scoliose, qui figurent aussi, vous le
savez
, dans le cadre delà syringomyélie. Il est impossi
-même, de ne pas constater les grandes analogies qui rappro- (1) On
sait
que dans la description de Morvan les panaris son
ique, bien que chez lui la dissociation soit des plus accusées. On ne
saurait
donc faire de la présence ou de l'absence d'anest
uste de la désigner du nom de l'observateur pénétrant et habile qui a
su
la faire sortir du chaos et lui donner la vie cli
à amener ce résultat. Mais en pareille matière, « ce qui est fait ne
saurait
se défaire »; je crains que notre malheureux mala
bète, les émotions vives, par exemple, l'anxiété, la peur. Mais on ne
saurait
prétendre qu'ils le créent, au même titre que la
sucre, ce qui n'est pas toujours un élément essentiel de gravité. On
sait
, et Bouchardat et moi-même en avons rapporté des
qui se passe dans la paralysie alcoolique classique; et ceci aussi, à
savoir
qu'à l'examen électrique des muscles on note la r
insi dire, et se relèguent à l'arrière-plan. II s'agira maintenant de
savoir
si toutes les paraplégies diabétiques rentrent da
ble origine. Je crois que des cas semblables doivent exister; reste à
savoir
si des recherches dirigées en ce sens dans l'aven
ts entières les pieds découverts et froids. Ces sensations, vous le
savez
, Messieurs, se remarquent également dans la paral
riquemâle. C'est doncensomme un cas assez vulgaire. En effet, vous le
savez
, depuis quelques années, grâce aux efforts souten
est à tout prendre, je vous l'ai dit, un casbanal; seulement, vous le
savez
, la clinique attentive trouve à peu près toujours
sure en dehors et en haut (grand zygomatique) ne se fait pas, et nous
savons
en outre, parce que le malade nous a raconté, à s
t pas, et nous savons en outre, parce que le malade nous a raconté, à
savoir
qu'il était obligé autrefois de relever avec le d
être évidemment considérés comme appartenant à la même série. Ils ne
sauraient
être tout à fait séparés. Vient enfin le cas de
sinthique ». Les accidents nerveux que nous avons décrits plus haut à
savoir
: attaques convulsives épileptiformes avec projec
tiologiques » ; mais à tout prendre le traumatisme et l'alcoolisme ne
sauraient
être considérés que comme des agents provocateurs
ins bien qu'il ne soit obligé de changer de métier. Je pense qu'il ne
saurait
s'exposer de nouveau à retomber dans les écarts q
aussi le même syndrome par un autre mécanisme, mais il faut que vous
sachiez
que certaines lésions du pédoncule, localisées da
oncules cérébraux avec la protubérance et les organes adjacents. Vous
savez
que les deux pédoncules cérébraux émergent de la
oncule avec l'oculo-moteur commun. Le pédoncule cérébral est, vous le
savez
, un tractus complexe dont l'étage inférieur se di
ou comprime le nerf ocuîo-moteur, le second élément de ce syndrome, à
savoir
la paralysie directe de la troisième paire, sera
habituellement intéressés, et cette lésion se traduit, comme vous le
savez
, par la paralysie du facial inférieur et par la d
ous avons reconnu aisément la démarche de ïodd qui est, comme vous le
savez
, le propre de l'hémiplégie hystérique flasque. Et
ors, me direz-vous, en l'absence de ces caractères habituels, comment
savoir
s'il s'agit d'un spasme ou d'une paralysie? Quest
ospasme hystérique où il n'avait passé inaperçu que parce que nous ne
savions
pas le voir. C'est là un signe que je crois appel
icêtre. Un jour de sortie, il s'est échappé et depuis vingt ans on ne
sait
pas ce qu'il est devenu. Quant aux collatéraux, o
ette nouvelle venue dans la pathologie nerveuse, a pris rang, vous le
savez
, parmi les maladies spinales. Elle a suscité déjà
à notre diagnostic de syringomyélie, L'absence de symétrie surtout ne
saurait
nous arrêter; on connaît la syringomyélie asymétr
ter avec les inconnues de cette affection et une sembable anomalie ne
saurait
suffire, si tout le reste concorde à faire fléchi
rtielle se rat dans l'hystérie. C'est assez dire que ce symptôme ne
saurait
caractériser à lui seul la syringomyélie, et Fi
e de leurs symptômes ou de leurs lésions, celles, en un mot, que nous
savons
diagnostiquer aujourd'hui alors que nous ne le sa
n mot, que nous savons diagnostiquer aujourd'hui alors que nous ne le
savions
pas hier. Il n'y a donc, en fait, rien de nouveau
e la maladie de Morvan et la syringo-myélie. Toute la question est de
savoir
si les analogies l'emportent sur les diftérences,
e syndrome de Morvan répond à une forme fruste de syringomyélie, nous
savons
, à n'en pas douter, que la gliomatose médullaire
ie, des points de repère précieux : l'attitude en fait partie et vous
savez
avec quelle complaisance je m'arrête sur l'habitu
édents héréditaires les plus chargés. Son père est alcoolique et vous
savez
quel grand générateur de lésions nerveuses est l'
tique ; il en existe au moins une autre qui relève de l'hystérie : ne
savons
-nous pas, en effet, que les accidents hystériques
la thérapeutique suggestive, je les lègue volontiers. Pour nous, qui
savons
ce qu'il faut en penser, nous n'hésitons pas à di
urs fois la céphalée syphilitique tertiaire guérir de la sorte; mais,
sachez
-le bien, cette guérison n'est le plus souvent que
ptique à quelques égards, et demander un supplément de preuves. On ne
saurait
trop en fournir dans l'espèce. Il importait, en
, nous sommes remplis d'espérance. Puisque les vents sont favorables,
sachons
en profiter, mais n'oublions pas que, d'après les
ades. Chez lui, c'est l'ar-térite syphilitique qui est en jeu. Nous
savons
par les travaux de quelques auteurs, par ceux d'H
u moteur et entraîné la dégénération secondaire. Et c'est là, vous le
savez
, une lésion permanente, en grande partie irrépara
outre de la lenteur dépendant du manque d'exercice de la main, il ne
sait
plus écrire certaines lettres, certains mots. La
faiblie chez lui. Ainsi, il est dessinateur, vous ai-je dit, et il ne
sait
plus dessiner de mémoire. Nous devons donc admett
uel en était le siège précis? C'est ce qu'il nous a été impossible de
savoir
par l'interrogatoire de la femme. Quant au malade
me. Quant au malade lui-même, en raison de sa profonde amnésie, il ne
sait
pas, dit-il, s'il a eu autrefois mal à la tête ;
ons artérielles qui ont abouti à la production des accidents que vous
savez
. Laissez-moi vous dire cependant que toutes les
us faudra ensuite vous enquérir avec soin du passé, du mode de début,
savoir
s'il n'a pas existé jadis des vertiges, de la dip
es faisceaux postérieurs de la moelle, car on n'a pas signalé, que je
sache
, de combinaison de sclérose en plaques et de tabe
t aisé de la concevoir et d'en fournir une juste interprétation. Vous
savez
que la paraplégie spasmodique généralisée aux qua
ncomitant où la déviation secondaire égale la déviation primitive. On
sait
que la déviation primitive est celle de l'œil qui
es noyaux d'origine ? Cette hypothèse ne paraît pas-vraisemblable. On
sait
en effet que la destruction du noyau de l'abducen
donc pas ici d'une véritable paralysie nucléaire. La lésion, qu'on ne
saurait
cependant, en raison de la combinaison de la para
l'abducens du côté droit, d'une hémiplégie du même côté, laquelle ne
saurait
reconnaître comme cause le tubercule situé dans l
ait un sommeil très agité et tombait souvent de son lit, mais elle ne
saurait
dire si, à ce moment, elle avait des attaques con
ises ; on n'a pas pu avoir de détails sur ces pertes de connaissance,
savoir
si elle s'est étendue en arc de cercle, etc. La m
t tantôt spontanément, la malade bâillait alors toute la journée sans
savoir
pourquoi et sans pouvoir s'en empêcher ; d'autres
détaillés sur ces pertes de connaissance dont souffre la malade et de
savoir
si elles sont ou non accompagnées de convulsions
e des phénomènes ordinairement observés lors de la grande attaque. On
sait
en effet, — M. Charcot l'a montré, — qu'un observ
ore été observés. Ce critérium est tiré de l'analyse des urines. On
sait
en effet que MM. Gilles de la Tourette et Catheli
du taux de l'urée, et par l'inversion de la formule des phosphates, à
savoir
que les phosphates terreux qui, normalement, sont
auditoire composé de médecins, c'est là un sujet dont l'importance ne
saurait
échapper à personne. Mais, si je ne me trompe, il
rofit les richesses d'érudition que l'au-teur y a accumulées. Il ne
saurait
s'agir, cela va de soi, dans ces leçons pré-limin
e terme est, depuis longtemps, passé dans la langue usuelle et chacun
sait
ce qu'il signifie. Je me bornerai à vous rappeler
e sur l'examen métho-dique et minutieux des lésions organiques. Je ne
saurais
trop faire ressortir que les documents du dernier
sous le nom de pédon-cules cérébraux. Les deux hémisphères, vous le
savez
, sont symétriques ou peu s'en faut, et identiques
où apparaissent comme enclavés les noyaux gan-glionnaires centraux, à
savoir
les couches optiques et les corps striés. Une c
bsolument fixes, et les plis secondaires ou accessoires, dont il faut
savoir
faire abstraction, parce qu'ils sont variables.
mple. Comment parler des lé-sions qui produisent l'aphasie si l'on ne
sait
pas déterminer avec précision le siège et la conf
ieurs, '4ksurface)de l'en-céphale, des appartements dont la fixité ne
saurait
être mé-connue. Ces divers départements, qui corr
ructure de la substance grise corticale, fait par circonvolutions. On
sait
d'ailleurs depuis longtemps que certaines régions
aux éléments cellulaires nerveux de la région, ces cellules, vous le
savez
, se différencient non-seulement par leurs dimensi
parler les régions centrales de la surface externe de l'hémisphère, à
savoir
: la circonvolution fron-tale ascendante, la circ
er qu'elles ont aussi une histoire dans la patholo-gie humaine. Je ne
sache
pas que, chez le singe, le lobule paracentral qui
en faire usage de ce mot pris dans la nomen-clature de M. Piorry, — à
savoir
: 1° la moelle épinière ; 2° le bulbe rachidien;
édiatement, se divisent en deux branches: l'une, antérieure, '1) On
sait
que les ramollissements et les hémorrhagies du ce
rendent sur les faces interne, externe et inférieure du cerveau. Pour
savoir
comment s'effectue la distribution inférieure des
int de départ, la condition première de ces lésions diverses? Il ne
saurait
, d'ailleurs, s'agir ici de la pure contemplation
out à fait insuffissants pour l'objet de nos études. Tout ce que nous
savons
de précis sur ce sujet est de date récente et rés
e large étendue de la face inférieure du lobe sphénoïdal qui, vous le
savez
, est artérialisé par la cérébrale postérieure. Eh
ten-tion sur la circulation artérielle des noyaux gris centraux. Vous
savez
que, sous ce nom, on désigne les couches optiques
'il me suffise pour le moment de bien fixer vos idées sur ce point, à
savoir
que si les études auxquelles nous nous sommes liv
antes, au point de vue de la théorie des loca-lisations cérébrales, à
savoir
la couche optique, le noyau caudé, le noyau lenti
arce qu'elle est indispensable à l'intelligence de faits importants à
savoir
pour la théorie de l'hémorrhagie cérébrale vulgai
applicable à l'hémorrhagie intra-encé-phalique. Celle-ci est, vous le
savez
, fréquente, prédominante dans ces régions; les ar
ite dimension, dans une cavité ventriculaire. Des symptômes graves, à
savoir
: la contracture précoce, des convulsions épilepti
iculaire de la tête du noyau eau-dé, et qui appartient, comme vous le
savez
, au domaine de l'artère lenticulo-striée, la para
tation : après avoir reconnu pendant la vie les symp-tômes susdits, à
savoir
: L'hémiplégie motrice avec hémianes-thésie et po
s, se mettre en rapport avec les faisceaux spinaux postérieurs. Je ne
saurais
garantir la parfaite authenticité de cette der-
de répéter, une fois de plus, que la physiologie et la pathologie ne
sauraient
se déduire de la seule contemplation des faits de
ie postérieure de la capsule interne et leurs émanations directes, ne
sauraient
êtres considérés com- (1) Dans les observations
t d'études attentives. Le tableau qu'elle présente reproduit, vous le
savez
, exactement les traits de l'hémianes-thésie des h
ent mieux connue, peut nous servir de prototype. Il s'agit, vous le
savez
, dans l'hystérie, d'une anesthésie unilatérale. L
onsé-quence, le terme: amblyopie croisée, employé dans ces leçons, ne
saurait
être pris, absolument, au pied de la lettre, puis
ance majeure pour la théorie des localisations cérébrales. Mais il ne
saurait
vous échapper que ce fait est en contradic-tion f
nt unilatérale; du cerveau; c'est un trouble visuel qui en diffère, à
savoir
: Vhémiopie latérale homologue ; en d'autres term
as en mesure, remarquez-le bien, de décider quel'hémiopie latérale ne
saurait
être jamais la conséquence d'une lésion en foyer
présuméede son développement, doivent ici trouver leur place. Vous
savez
comment l'existence, tantde fois constatée dans t
me, à l'heure qu'il est, la question est loin d'être résolue. On ne
saurait
donc voir, je le répète, dans la semi-décus-satio
Du même coup, j'ai essayé d'établir que la proposition de Graefe, à
savoir
que l'hémiopie homologue serait — à l'exclu-sion
dernier point, il convient de prendre un détour et d'étudier ce qu'on
sait
relativement à ces noyaux de substance grise, où
fs optiques entrent en rapport dans leur trajet vers l'en-céphale. On
sait
comment ces nerfs, en arrière du chiasma, prennen
s optiques prend son origine dans trois noyaux de subs-tance grise, à
savoir
: 1° la couche optique ; 2° le corps ge-nouillé e
pas être cependant négligée, surtout lors-qu'il s'agit de l'homme. On
sait
qu'elle entre manifestemenl en connexion avec le
termédiaire de la commissure antérieure dont les extrémités, comme on
sait
, suivant la description de Burdach et de Gratiole
x entrecroisements de faisceaux, constatés anatomiquement. Mais on ne
saurait
décider si ces fibres entrecroisées sont réelleme
s, que les pédoncules cérébraux, est chose notoire. Cela étant, il ne
saurait
échapper qu'une lésion convenable-ment localisée,
omissements terminent habi-tuellement la scène. Il est clair qu'on ne
saurait
invoquer ici l'intervention d'une altéralion maté
s allez en juger — par les expériences faites chez les ani-maux. On
sait
depuis longtemps (1) que les troubles moteurs pro
yau caudé détermine une pa-résie analogue, mais plus accentuée. Il ne
saurait
être question, quant à présent, du noyau lenti-cu
es gris en question, et les parties périphériques, tandis que cela ne
saurait
plus avoir lieu, dès que la continuité de ces fai
rent limitées à la substance des noyaux gris des masses cérébrales, à
savoir
: le noyau lenticulaire, le noyau caudé, et enfin
e produisent pas la sclé-rose consécutive. fl) On doit, comme on le
sait
, au B"' Todd, d'avoir établi une dislinclion entr
uve, en dedans, pour ainsi dire confondus avec la substance grise. On
sait
que celle-ci est régulièrement envahie par l'alté
une partie des fibres nerveuses qui forment les faisceaux latéraux, à
savoir
les fibres cérébro-spinales ; tandis que, dans la
e assimilation peut être poursuivie sur le terrain de la clinique. On
sait
, en effet, que l'impuis-sance motrice, une contra
1875. (2) Archiv f. psychiatrie, Bd. II. 1870, pl. VIII. nous le
savons
,chez de très jeunes animaux, on voit, huit mois i
indemnes. Les plaques jaunes occupaient l'une des régions suivantes,
savoir
: une partie quelconque des lo-bes sphénoïdaux, l
aite à l'aide de simples grossissements, ne fait reconnaître, vous le
savez
, dans l'état normal, qu'une constitution relative
distinctes. C'est ainsi que la partie voisine du sillon postérieur, à
savoir
les cordons de Goll, peuvent être seuls lésés. —
t les parties demeurées claires? Par le fait d'une coïncidence qui ne
saurait
être fortuite, ce sont juste-ment, dans les cordo
s enseignements nom-breux qu'elle comporte. Ces enseignemenls, vous
savez
que nous devons les cher-cher, non pas dans l'ana
ère à celui de l'adulte que par sa configuration extérieure ; et l'on
sait
aujourd'hui que les principaux détails de sa stru
s auteurs qui ont particulièrement étudié la pathologie de cet âge, à
savoir
que toutes les lésions cérébrales, même les plus
s paralysies cérébrales directes. On entend par là, ainsi que vous le
savez
, les paralysies qui, contraire-ment à la règle, s
rler le tegmentum, sont déjà dévelop-pées chez le nouveau-né, et vous
savez
qu'en remontant vers l'encéphale, nous les verrio
à-dire en dehors de toute influence d'une lésion primordiale. Je ne
saurais
trop insister, Messieurs, sur ce point que l'his-
s. 15 et d'un autre côté ce qu'on appelle quelquefois le manteau, à
savoir
la substance blanche semi-ovalaire et l'écorce de
xterne de ce noyau. C'est là que siègent le plus communément, vous le
savez
, les foyers ocreux, derniers vestiges des hémor-r
ière ce segment antérieur en trois parties à peu près égales, — on ne
saurait
en pareille matière prétendre à la précision math
s observations récentes, une lésion destructive, même peu étendue, ne
saurait
exister sans qu'il s'en suive une dégénération de
nnent lieu à des dégénérations secon-daires. Il y a longtemps qu'on
sait
— L. Tûrck le savait déjà — qne les lésions en fo
générations secon-daires. Il y a longtemps qu'on sait — L. Tûrck le
savait
déjà — qne les lésions en foyer, dites périphériq
rveau de l'homme, et on les retrouve chez la plupart des singes. Vous
savez
qu'on les désfgne aujourd'hui, l'antérieure, sous
la scissure de Sylvius jusqu'à la fente inter-hémisphérique ; et l'on
sait
, d'autre part, qu'elles se plongent en quelque so
ège dans la région dorsale supérieure. Il y a à considérer, vous le
savez
, les lésions dégénératives descendantes, c'est-à-
plus à vous dire sur ce faisceau dont la lésion ascendante, que l'on
sache
, ne se traduit par aucun symptôme particulier.
est accompagnée d'une dégénération du faisceau pyramidal gauche. à
savoir
une lésion transverse et unilatérale de la moelle
até et décrit ;mais, en géné-ral, nous n'avons rien expliqué. Si nous
savons
, par exemple, que la dégénération de certains fai
rappellent exactement ce que l'on voit chez l'homme en pareil cas, à
savoir
, dégénération ascendante des faisceaux de Goll et
volution désignée sous le nom de gyrus sigmoïde. Jusqu'ici, vous le
savez
, Messieurs, les lésions pratiquées dans le but de
tués à étudier expérimentalement la marche du processus morbide. On
sait
aujourd'hui de science certaine qu'au-dessous du
héorie que je vous ai pro-posé d'admettre. Il existe cependant, je ne
saurais
vous le cacher, un point noir dans nos horizons.
e leurs fibres a son centre tropliique en bas, et dégénère, vous le
savez
, dans le sens ascendant. 2° Dans le faisceau de G
moteurs par leurs autres pro-priétés ? — Non pas absolument. Car nous
savons
que la sec-tion des nerfs centrifuges est suivie
du faisceau pyramidal dans le manteau de l'écorce cérébrale, et nous
savons
qu'il consti-tue là une languette nerveusesous-ja
montent à Galien. On croyait à la transmission absolument directe. On
sait
aujour-d'hui (il s'agit des animaux), qu'elle est
dans la séméiotique neuro-pathologique. Il est actuellement, vous le
savez
, désigné en France sous les noms de trépidation p
i lesquels, d'ailleurs, plusieurs avaient été constatés avant lui. On
sait
que, sous l'influence d'un bâillement, d'un étern
la rendre plus intense, lorsque déjà elle s'est établie. I. 1° On
sait
depuis longtemps, en électrothérapie, que la fara
tat de provoquer ou d'exagérer les contractures permanentes. Ce qu'on
sait
moins, c'est qu'un traumatisme portant sur les me
ation appréciable, qui s'établit quelquefois chez les hystériques. On
sait
que, chez les hystériques hémi-an esthési-ques en
e répond au contraire à un état d'activité musculaire. C'est, on n'en
saurait
douter,un phéno-mène comparable à la contraction
ement pendant plus de dix-neuf minutes. Lé sujet le plus vigoureux ne
saurait
rester élevé pendant plus de trente mi-nutes debo
infan-tile, une particularité très intéressante doit être relevée, à
savoir
l'existence presque constante d'un raccourcisseme
ssent une partie de leurs fonctions, tandis que ce racourcissement ne
saurait
naturelle-ment exister lorsque la môme lésion se
ans le cas particulier, les questions qui vont se présenter à nous ne
sauraient
, faute d'éléments suf-fisants, recevoir, quant à
spond aux quatre ou cinq premières semaines est déjà marquée, vous le
savez
, par une exaltation des phénomènes cutanés et par
contracture. La contracture n'existe pas chez le nouveau-né, et vous
savez
que les faisceaux pyramidaux du nouveau-né ne son
aire survenant dans les membres paralysés. 2° Mais ces cas, vous le
savez
, loin d'être exceptionnels, ne constituent pas ce
Tabès dorsal spasmodique. Messieurs, A de certains indices qui ne
sauraient
guère échapper à un professeur depuis longtemps a
bès dorsal spasmodique, en tant qu'espèce nosographique distincte, ne
saurait
avoir d'existence réelle et définitive tant que l
la lésion consécutive du cordon latéral, lésion descendante, et nous
savons
que cette lésion dégénérative est due à l'interru
sion de vous signaler un fait qui a été observé dans plusieurs cas, à
savoir
, que la sclérose descendante n'est pas toujours l
volontaires par les faisceaux blancs était exclusivement directe. On
sait
aujourd'hui que, si elle est surtout directe, ell
on, à la myélite transverse totale. Nous nous sommes arrêtés, vous le
savez
, à étudier les divers modes de terminaison que pe
l'intérêt qui s'at-tache à ce fait de la démarche spasmodique, on ne
saurait
voir là le caractère d'une maladie particulière,
un problème intéressant d'anatomie pathologique à résoudre, et je ne
saurais
trop vous engager à y appliquer toute votre atten
né avec elles une sclérose latérale. Cela montre seulement — ce qu'on
savait
du reste — que la dé-marche spasmodique, ou, si v
opos de la subs-tance grise spinale se retrouvent dans le bulbe. Vous
savez
en effet que les noyaux d'origine de l'hypoglosse
anation de la substance même dè la cellule motrice. Aujourd'hui, l'on
sait
en effet que, par son extrémité périphérique,ce p
ore à l'heure qu'il est Véminence ou la colline de Doyère. , Chacun
sait
aussi qu'en 1862, M. Rouget a été plus loin; il a
n ; mais l'exagération des réflexes tendineux y est signalée, et nous
savons
, aujour-d'hui, que ce phénomène est en quelque so
it encore à la description anatomique de la sclérose amyotrophique, à
savoir
la prolon-gation pédonculo-cérébrale de la scléro
insensible aux pin-cements) ; perte partielle du sens musculaire (il
sait
, les yeux étant fermés, où l'on met sa main paral
és, où l'on met sa main paralysée et il va à sa recherche, mais il ne
sait
pas qu'on soulève ou qu'on écarte les doigts ; le
des particularités s'éloignant plus ou moins du type vulgaire ; il ne
saurait
né-gliger les cas exceptionnels, anormaux, car c'
matique et, pendant quelque temps, on a pu hésiter sur la question de
savoir
à quel département du système nerveux ou périphér
t que nous allons tout d'abord chercher à mettre en évidence. IV.
savez
, d'une manière générale: 1° l'examen à l'œil nu ;
ux postérieurs. Dans la substance grise elle-même, il y a lieu,vousle
savez
, d'établir, à ce point de vue, un certain nombre
a substance grise de la moelle : la région des cornes antérieures. On
sait
encore que la majorité des cas, désignés en clini
eurs et les membres inférieurs, est venu confirmer ces prévisions. On
sait
que, dans les cas de ce genre, on observe en deho
qui concerne les membres supérieurs, la lésion des cordons de Goll ne
saurait
réclamer aucun rôle dans la production des symp
existe, Messieurs, à toutes les épo-ques de la maladie, mais il faut
savoir
la chercher là où elle est. croyons-nous, dans
ent à la coordination des mouvements des membres, tout au moins, nous
savons
, d'une manière positive, par ce qui pré- Chap.c
s qui s'observent dans cette maladie. Je me bornerai à un exemple. On
sait
qu'il n'est pas rare de voir, dans le cours de l'
physiologie, 1872, p. 590.) aire place à un îlot scléreux. Or, l'on
sait
que, suivant la des-cription de Kôlliker, un cert
des cellules ner-veuses des cornes antérieures, il en est un, vous le
savez
, qui, dans chaque cellule, se distingue entre tou
delettes latérales des faisceaux postérieurs, dont la lésion, vous le
savez
, produit l'incoordination ; c'est ainsi que je vo
té, cet envahissement des bandelettes externes n'a pas encore, que je
sache
, été ratifié par l'autopsie ; mais les considérat
la remettre en mémoire, au moins dans ses grandes lignes. Tous, vous
savez
que l'ataxie locomotrice progressive est une mala
tique des mouvements volontaires. En quoi consiste ce symptôme ? Vous
savez
que les membres inférieurs ayant conservé leur po
ves. épaisseur. — Pour ce qui est des vaisseaux de la papille, vous
savez
qu'ils consistent en deux veines et une artère, c
bé il y a quelques jours La première est une ataxique, et personne ne
saurait
suspecter ce diagnostic, bien que le critérium an
almoscopique dans la clinique des maladies des centres nerveux. Je ne
saurais
donc trop vous recommander, Messieurs, de cherche
ut qui occupent la substance grise, retentissent quelquefois, vous le
savez
, à la périphérie et déterminent soit dans la peau
rieur, à l'épaule, au coude ou au poignet qu'on l'observe. Mais, vous
savez
que la sclérose spinale postérieure peut être tou
iellement. En premieur lieu, je ferai valoir cette particularité, à
savoir
que l'existence d'affections articulaires subordo
articulaire ; car, évidemment toutes les régions du centre spinal ne
sauraient
être indistinctement mises en cause. Pour en reve
ses descriptions qui ont été données dans ces derniers temps et je ne
saurais
trop leur commander d'en revenir fréquemment à ce
e ce moyen au delà du Rhin. Que faut-il penser de ces ré-cits ? Je ne
sais
encore ; car, pour les apprécier à leur juste val
, les principes qui doivent diriger dans l'emploi de cet agent. Je ne
saurais
troj vous convier, Messieurs, avenir l'entendre
ispositions que présente la moelle au milieu du canal rachidien. Vous
savez
que ce cordon nerveux, recouvert de son enveloppe
les organes où, jusqu'ici, on l'a rencontré. Toute tumeur, vous le
savez
, d'après la loi de Muller, à son paradigme, son t
et ceci constitue un troisième argument contre l'opinion courante, on
sait
, et c'est un point sur lequel M. Cruveilhier a in
ervicale hypertrophique, irritation spinale, etc. Messieurs, Vous
savez
comment, dans la dernière séance, nous avons pass
as-sives, analogues à celle que détermine la section d'un nerf? Je ne
saurais
le dire. Toujours est-il qu'elles se montrent, ai
festés de la manière la plus évidente et datent déjà de loin. Je ne
saurais
dire si le mal de Pott, qui guérit en pareil cas,
veilhier. — Atlas, 32e livr., p. 6. baires — ce cas répond, vous le
savez
, au type le plus com-mun — et que celles-ci aient
prends actuellement le cours de nos conférences. Il s'agit, vous le
savez
, de faire connaître les symptômes qui relèvent di
désigne sous le nom'de sensations associées. On a cherché, vous le
savez
, à se rendre compte ainsi qu'il suit de la produc
me notablement hyperesthésiées. Il n'a pas encore été donné, que je
sache
, de ce dernier phé-nomène, une explication qui so
otre point de "vue, s'attache à l'étude d l'hémiplégie spinale. Je ne
saurais
trop le répéter, cet ensemble symptomatique ne se
ées à la compression périphérique des nerfs. — Dans celle-ci, vous le
savez
, l'impuissance motrice est précédée et accompagné
approfondie. des faits de connaissance vulgaire1. Mais ce que l'on
sait
moins peut-être c'est que la mydriase, résultant
convulsions toniques ou cloniques sont, dans ce dernier cas, vous le
savez
, limitées aux parties situées au-dessous de la lé
rêmement remarquable et qui, jusqu'ici,'est resté dans l'ombre, je ne
sais
trop pourquoi. Ce fait appartient au Dr Halbert
l. Je serai bref sur ce point, parce qu'il n'a pas encore été, que je
sache
, l'objet d'études cliniques suffi-santes. Les seu
exclusive, certains éléments bien déterminés de la substance grise, à
savoir
: Yappareil des cellules nerveuses dites motrices
reil des cellules nerveuses dites motrices, lesquelles, comme vous le
savez
, ont pour siège les cornes antérieures de la subs
ériode. 1° Le mode d'invasion de la paralysie in-fantile est, vous le
savez
, des plus remarquables. La maladie a un début bru
jours. Je rappellerai, à ce propos, ce que je vous ai dit naguère, à
savoir
que, selon quelques auteurs, la con-tractilité ga
ité. La pathogénie de ces déformations n'offre pas d'obscurités. Nous
savons
que l'a-trophie n'est pas répandue uniformément s
l'altération histologique des muscles font défaut. D'a-près ce qu'on
sait
, la majeure partie des faisceaux primitifs subira
du tissu fibreux ou encore celle du dartos. Il serait intéressant de
savoir
si l'hyperplasie conjonctive interstitielle qu'on
rayonné, à une certaine distance, dans toutes les directions. On ne
saurait
admettre, d'un autre côté, que l'irritation se so
es paralysies temporaires décrites par Kennedy, et dont l'histoire ne
saurait
être séparée de celle de la paralysie infantile p
inférieurs. Jamais la sensibi-lité cutanée n'y a été modifiée: on ne
saurait
dire s'ils ont ja-mais été froids ou cyanoses. Il
n'a pas encore définitive-ment prononcé. Il y a là une lacune qui ne
saurait
tarder à être comblée *. IL Je crois utile de
ux blancs n'est pas nécessaire. Elle peut faire défaut (fig. 9) et ne
saurait
, par conséquent, figurer au premier rang dans la
ration dans le voi-sinage immédiat des éléments ganglionnaires? Je ne
sache
pas qu'aucun argument sérieux ait été, jusqu'ici,
squement dévelop-pées se rattachent tous les phénomènes delà maladie,
savoir
: d'abord l'appareil fébrile initial, puis toute
sie, de troubles trophiques cutanés ou viscéraux, elle tient, vous le
savez
, un rang éminent dans la caractéristique de la pa
soit remplie la condition expresse, mise en relief tant de fois déjà,
savoir
: la lésion atrophique aiguë des cellu-les nerveus
au contraire, un fait vulgaire dans la myélite aiguë gé-néralisée. On
sait
qu'elles s'y produisent souvent avec une rapidité
oncée des faisceaux musculaires. Ce fait contraste avec ce que l'on
sait
des paralysies propre-ment dites ou par défaut d
C'est là un caractère qui tranche consi-dérablement avec ce que nous
savons
des amyotrophies spina-les aiguës où, dès les pre
m'empêcher de voir, dans ce cas, un exemple d'ataxie locomotrice ; on
sait
que, dans cette affection l'atrophie progressive
ogiques. Actuellement, il convient de vous faire connaître ce qu'on
sait
sur Yanatomie pathologique de l'amyotrophie progr
ire que je dirige, M. Pierret. A. La moelle épinière n'est, vous le
savez
, dans les pre-miers temps de sa formation, qu'un
ue je ne man-querai pas de mettre en relief dans l'exposé clinique, à
savoir
que l'atrophie musculaire, dans la forme nosograp
'y trouvent rassemblées sous une même dénomination. Évidemment, ce ne
saurait
être là qu'un chapitre d'attente, une sorte de ca
musculaire progressive spinale protopathique, peu-vent vivre, vous le
savez
, pendant 8, 10 ans, 15, 20 ans même. 2° Durant
es accidents qui déterminent la mort. Cela contraste avec ce que nous
savons
de l'atrophie musculaire progressive vulgaire pui
membres par l'action spasmodique des muscles, ainsi que la 1 Je ne
saurais
dire pourquoi, dans certains cas, la rigidité des
es, dont ils sont le siège, est un trait qui tranche avec ce que nous
savons
de l'amyotrophie spinale pri-mitive dans laquelle
ostic, quant à présent, est des plus sombres. Il n'existe pas, que je
sache
, un exemple d'un cas où l'ensemble des symptômes
propagation s'ef-fectue par la voie des filets nerveux, qui, vous le
savez
, établis-sent normalement une communication entre
la lésion de la substance grise, en pareil cas, n'ait pas été, que je
sache
, jusqu'ici vérifiée de visu. Je vous ai cité, à l
n fait pour ainsi dire habituel et c'est là une différence dont on ne
saurait
, je crois, dans l'état actuel des choses, four-ni
ode douloureuse, qui dure deux ou trois mois, et dont l'importance ne
saurait
être trop mise en relief. Il s'agit, en premier
n fournit pas moins un élément intéressant pour le diagnostic et vous
savez
qu'à ce point de vue rien n'est à négliger. (Fig.
on de cette indemnité relative des dépen-dances du nerf radial? Je ne
sais
. S'il était établi que les filets d'origine des n
le cours de Xataxie locomotrice et de la sclérose en plaques. A. On
sait
que l'amyotrophie progressive, plus ou moins géné
qui lui re-vient de droit dans la clinique usuelle. Pourquoi ? Je ne
saurais
le dire, car les faits de ce groupe ne sont pas t
ient absolument en propre à la paralysie pseudo-hypertrophique, et ne
saurait
, par conséquent, suffire à la spécifier. Ainsi l'
s légitime que, dans les deux cas, l'amyotrophie est marquée, vous le
savez
, par une dimi-nution ou même une abolition plus o
ins rapide de la contractilité faradique. Quoi qu'il en soit, je ne
sache
pas qu'il existe, quant à présent, en dehors du s
rs fois observées dans l'atrophie musculaire progressive ; mais je ne
sache
pas que, dans aucun de ces cas, la non-existence
ures, et en ce qui con-cerne les cornes postérieures (Fig. 29, C), on
sait
seulement que, lorsqu'elles sont le siège d'une a
ent, primitivement, ou, au contraire, d'une façon secon-daire et l'on
sait
que dans les deux cas, si l'altération porte sur
ion des muscles. Tel est l'état des choses, quant à présent ; je ne
sais
si je me fais illusion, mais il me semble que les
été remarquée, je crois, comme elle le mérite. De fait, autant que je
sache
, un seul auteur, M. le Dr Erb (d'Heidel-berg), l'
en-Krankh. Berlin, 1851, p. 185). La description de Romberg, comme on
sait
, se rapporte à l'ataxie locomotrice. — Tabès acci
lus avancées de leur évolution. On fait habituellement dater, vous le
savez
, ce qu'on est convenu d'appeler la seconde périod
'An-gers), qui en a tracé un tableau réussi dans un passage que je ne
saurais
omettre de vous citer. « Chaque pied, dit-il, s
iologie, une particularité intéressante relative à la trépidation. On
savait
déjà que le meilleur moyen de la développer consi
'inves-tigation. Ces mêmes phénomènes, d'un autre côté, sont, vous le
savez
par nos précédentes études, l'accompagnement pour
es sous le nom collectif de para-plégies urinaires. C'est là, vous le
savez
, un sujet qui? dans ces dernières années, a été l
de prouver la réalité de l'existence des paraplégies urinaires. Vous
savez
que, sous ce nom, on désigne des affections paré
urra faire intervenir ici quelques documents dont la signification ne
saurait
être méconnue. Nous avons essayé, en inaugurant
ence de l'ir-ritation de certains nerfs, vous sont bien connus ; vous
savez
comment l'irritation du nerf vague arrête le cœur
te à l'Académie de médecine le 8 juin 1861, par Ménière, qui, vous le
savez
, a été, sans con-teste, l'initiateur ; puis les d
réserve de vous faire connaître dans une autre occa-sion ce que l'on
sait
de plus positif relativement à Yanatomie patholog
, à une guérison. Le terme de maladies incurables, cela va de soi, ne
saurait
être pris dans un sens absolu, car s'il s'appliqu
'idée m'est venue que, à l'aide du sulfate de quinine, qui, chacun le
sait
, détermine, entre autres phénomènes, des bruis-se
veux, comme dans toutes les autres, nul phénomène, pris isolément, ne
saurait
être vraiment caracté-ristique. C'est le mode de
-tinctions nosographiques. b) J'aborde maintenant le second point à
savoir
: l'étude des troubles moteurs que présente cette
ordinaire, est, à un moment donné, remplacée par l'hémichorée? Je ne
saurais
, quant à présent, répondre à celte question par u
rps strié resteraient donc seules au compte del'hémichorée, car on ne
saurait
invoquer la lésion non constante des tubercules q
l'an passé, à en vulgariser la connaissance dans un travail que je ne
saurais
trop recommander à vos méditations Aussi trouve
sance. Il ne reprit ses sens qu'au bout d'une heure en-viron et il ne
sait
rien de ce qui s'est passé pendant ce temps-là. D
ne de ses attaques convulsives1. 1 II n'est pas sans exemple, on le
sait
, que les accès d'épilepsie partielle Il ne sera
r. Quoi qu'il en soit, il y a là un fait digne d'intérêt lorsque l'on
sait
que les parties de la surface des hémisphères cér
par les médecius consultés, à la syphilis. Sous l'influence de je ne
sais
quelles préoccupations, je méconnus, je dois l'av
la réalité du fait n'a pas encore été régulièrement vérifiée, que je
sache
, quant à présent, mais elle ne tardera pas, sans
dans son lit, se fractura les deux os de l'avant-bras gauche. Elle ne
saurait
dire au juste comment cette fracture s'est produi
n, et c'est là un point qu'il importe de bien mettre en relief, on ne
saurait
invoquer non plus l'exis-tence d'un trouble de nu
gulières dont notre observation offre un exemple très remarquable. On
sait
, en effet, d'après la des-cription que j'ai donné
t des vomissements, et pendant sa durée il n'y a pas, autant qu'on le
sache
, du moins, morsure de la langue *, émission invol
onnaître la tuméfaction des cylindres axiles; de telle sorte qu'il ne
saurait
s'agir là d'un produit de l'art, d'un résultat ac
écutive), à peu près dans toute la hauteur de la région dorsale l. On
sait
d'ail-leurs, d'après les recherches histologiques
eux épaules surtout l'épaule droite, ainsi que les muscles des fosses
sus
et sous-épineuses. On ne constate de mouvements l
tercos-taux sont profondément excavés ; il en est de même des régions
sus
et sous-épineuses ; dans toutes les parties supér
muscle est au contraire rouge et volumineux. — Les muscles des fosses
sus
et sous-épineuses sont atrophiés. Les pectoraux,
iens paraissent à peu près sains, de même que les muscles des régions
sus
et sous-hyoïdiennes. — Les muscles du pharynx son
nt la signification au point de vue de la névrite parenchy-mateuse ne
saurait
, croyons-nous, faire de doute un seul in-stant.
duits pendant la vie par quelques symp-tômes exceptionnels, et qui ne
sauraient
modifier en rien d'es-sentiel l'ensemble du table
assée, difficile, presque inintelligible. Il nous a été impossible de
savoir
de la malade à quelle époque ont commencé à se pr
es doigts sont très bornés. Depuis le mois de janvier, la malade, qui
sait
écrire, n'a pas pu tenir une plume ; ses mains ne
e) Moelle épinière. Examen à l'état frais de la partie ramollie. On
sait
qu'immédiatement au-dessus du renflement lombaire
es muscles. Les muscles extrinsèques de la langue et ceux des régions
sus
et sous-hyoïdiennes, présentent une belle colorat
ne. Les filets d'origine d'un certain nombre des nerfs bulbaires, à
savoir
l'hypoglosse, le pneumogastrique, le glosso-phary
tion pig-mentaire, principalement vers la région externe du noyau. On
sait
qu'à l'état normal il existe, en ce point, quelqu
amorphose fîbrillaire ou même de multiplication des myélocites. On ne
saurait
donc admettre qu'un travail d'irritation ou de si
ée dans notre observation. Nous ne le pensons pas ; outre que nous ne
savons
absolument rien concernant la na-ture et l'origin
ue nous ne pourrions signa-ler. Nous ne relèverons qu'un point : on
sait
que chez notre malade les divers mouvements de la
-tanément des effets aussi différents. Remarquons en passant qu'on ne
saurait
faire intervenir ici une influence particulière d
progressive et de la paralysie infantile spinale 2. Évidemment, on ne
saurait
, dans l'état actuel de nos connaissances, formule
scu-laires a, le plus souvent, été seule nettement affirmée. Or, l'on
sait
, par d'assez nombreux exemples, que l'atrophie mu
e générale dans le deltoïde, où l'augmentation de volume était, on le
sait
, très prononcée. En effet, l'examen microscopique
suis prêt à recon-naître que la question que je viens de soulever ne
saurait
re-cevoir encore une solution définitive. En qu
siologie pathologiques des amyotrophies spontanées ont per-mis, on le
sait
, de rattacher à une lésion de certaines régions d
git n'appartient en propre à la paralysie pseudo-hypertrophique et ne
saurait
, par consé-quent, suffire à la spécifier. Ainsi l
ée, l'enfant était grand gâteux, ne parlait pas, marchait mal et ne
savait
rien faire. Aujourd'hui, la parole est compréhe
lui demande quelque chose. Il n'est plus gâteux, se tient propre et
sait
comment il faut s'y prendre pour se laver. Les
sse ; aussi indifférent aux puni- tions qu'aux récompenses, nous ne
savions
quels moyens employer pour captiver son attenti
res et à les reproduire ; actuellement, il syllabe, trace des mots,
sait
même écrire de mémoire son nom, son âge, ses vê
jeu ; elles restaient molles, entr'ouvertes, de sorte qu'il ne fai-
sait
guère entendre que des sons. Notre élève s'est
ns l'intellect. Il ne gâte plus, s'habille et se lave presque seul,
sait
lacer boutonner, nouer. Il connaît et nomme les
ce qui se passait autour de lui, il semblait ne rien comprendre, ne
savait
pas se servir de la cuiller ni porter le gobele
e manger, le laver, l'habiller ; qu'il est gâteux, ne parle pas, ne
sait
même pas, par signes, . F'ig. 10. XX Traiteme
cilite ultérieure- ment celui de la lecture pour les enfants qui ne
savent
pas lire et est très utile pour les enfants plu
vent pas lire et est très utile pour les enfants plus avancés qui
savent
lire. L'enfant marche, est devenu propre ; en m
ie musicale. Les enfants au nom- bre de 25 ayant suivi cette classe
savent
presque tous Fanfare et Orphéon. xxix lire la
aît la valeur des notes fait partie de la fanfare comme 4eme basse,
sait
les chants de gymnastique. Cet enfant avait bea
des notes, fait partie de la fanfare en qualité de 3eme baryton il
sait
les chants de gymnastique. - Deno... lit bien l
ermet d'augmenter l'é- tendue de l'échelle musicale de l'enfant. Il
saura
, après ces exercices, chanter une demi-phrase m
.., 17 ans. Imbécillité. S'est sensiblement amé- lioré cette année.
Savait
à peine lire l'année dernière. Com- mence à lir
quelques petites phrases ne présentant pas trop de difficultés, et
sait
faire l'addition et I i soustraction. L'écritur
colique et à loules les questions qui lui étaient posées il oppo-
sait
le mutisme le plus absolu. Chaque jour je lu pren
tiennent cependant des résultais appréciables. En calcul, Gab....
sait
faire l'addition, la soustraction, la multiplic
n ordre de l'établissement. L'opinion émise par notre collègue il
savoir
que le choix et l'organisation des distractions
elle aux enfants, mais encore pour la bonne direction morale qu'ils
savent
leur (1) Chaque fois que nous avons un nouveau
. Ils devraient en conséquence être utilisés dans la mesure de leur
savoir
dans les ateliers de la maison. Il est loin d'e
er, nous désirerions vivement suivre nos malades après leur sortie,
savoir
ce qu'ils deviennent, si l'amélioration réalisé
la température à l'entrée, durant les cinq premiers jours (1) pour
savoir
si l'enfant n'est pas sous le coup d'une affect
ntrée. Monsieur le Directeur, - Mon attention a été appelée, vous
savez
à la suite de quelle circonstance (a) sur la néce
avaient-elles été produites à Bicêtre ou à l'Asile clinique, on ne
savait
. D'oit la circulaire, ci-dessus. LXXVIII .TAB
d tout ce qu'on lui dit. Elle est très affectueuse et caressante et
sait
se faire aimer des personnes qui l'entourent. S
e utile. Eu classe, ses progrès n'ont pas été moins rapides, elle
sait
faire une copie, commence à syllaber et connaît l
reste ses cahiers pendant sa période choréique; elle connaissait et
savait
faire les chiffres. Tout son savoir consistait
choréique; elle connaissait et savait faire les chiffres. Tout son
savoir
consistait en ces quelques notions. L'enfant
urs la lecture de l'enfant sera courante. Elle aime la gymnastique,
sait
faire tous les mouvements, y est devenue très a
ne copie, commence à assembler les syl- labes, compte jusque 100 et
sait
écrire jusqu'à ce nombre, fait une petite addit
on- table. Elle commence il coudre, fait hien un ourlet, l'enfant
savait
peine tenir une aiguille à son entrée. Améliorati
, mais était incapable de se donner le moindre soin de propreté, ne
savait
ni s'habiller, ni se déshabiller. Au point de
ant n'indiquait aucune intelligence, le regard était sournois, elle
savait
parler, mais était incapable de tenir conversat
u point de vue scolaire, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne
savait
pas écrire; vu son âge avancé, elle ne donnait
brosser leurs vête- ments. Aux repas, on surveille les enfants qui
savent
manger seules et on corrige leurs mauvaises hab
à la déglutition. Sur 236 enfants présentes à la fin de l'année, GO
savent
se servir do la cuiller, de la fourchette et du
a cuiller et de la fourchette : 52 de la cuiller seulement; 44 ne
savent
pas manger seules. - 200 enfants ont fréquenté
e la surveillante. - 180 enfants ont pris part à ces exercices; 102
savent
danser la polka. 8 connaissent la polka, la maz
séries régulières, 30 ont travaillé une heure par jour. 8 enfants
savent
faire complètement les layettes ; 15 du crochet
aire complètement les layettes ; 15 du crochet et de la dentelle; 4
savent
faire de la tapisse- rie ; 2 savent tricoter. L
crochet et de la dentelle; 4 savent faire de la tapisse- rie ; 2
savent
tricoter. Le tableau suivant donne mois par moi
rien il dire; ou bien est-ce, comme le dit Séguin, parce qu'ils ne
savent
pas se servir de leurs organes ? Il y a du vrai
r la faculté du langage. Pour apprendre à parler, il faut d'abord
savoir
écouter, d'où nécessité de s'assurcr de l'intég
etc , avec les voyelles, puis passer aux autres consonnes qu'ils ne
savent
pas pro- noncer. Certains s'étonnent que les
te souvent une obstination aussi bizarre qu'insurmontable. L'enfant
sait
et peut dire un mot puis- qu'on a réussi à le l
ssi quelque chose d'accessoire, puisque ce qu'il importe le plus de
savoir
pour André, c'est s'il sortira ou non. On pourr
arlent mal. - Les idiots, dont nous allons maintenant nous occuper,
savent
parler. Ils peuvent ex- primer leurs besoins, l
R... possèdent une langue toujours en retrait dans la bouche, ne
savent
émettre que des sons gutturaux et sont incapables
e tentative d'améliora- tion Si l'enfant est attentif, et qu'on ait
su
provoquer en lui l'imitation, il suffira de lui
ent défaut. Si l'on se reporte au mécanisme de l'articulation, on
sait
que pour produire ce son « la base de la langue s
ent et une explosion se produit ;1. La plupart du temps l'enfant ne
sait
pas relever la lan- gue, et donne t pour /; ; l
onner les prin- cipales. Lorsque l'enfant les émet correctement, il
saura
aussi émettre celles qui manquent, on peut du r
édecin en chef, Je vous serais très-obligé de vouloir bien me faire
savoir
CLXVIII Traitement lfI3DICO-PrDAGOGIQUE. par
spensable Asile DE Clermont (omise) CLXXVII que les institutrices
sachent
, il l'occasion, secourir les enfants. Les inf
s profiteront de notre enseignement et de nos conseils, et qu'elles
sauront
en faire bénéficier les malheureux enfants de l
Hospitalisation DES enfants IDIOTS. CLXXX ! n'a pas de bonne, ne
sait
comment faire ses courses sans emmener son fils
gnée par la personne qui la présente ; si l'auteur de la demande ne
sait
pas écrire, celle-ci est reçue par le maire ou
ils reconnaissent, en particulier Topinard, qu'il est difficile de
savoir
où commence le nain. Ce même auteur avoue qu'il
1lismc. ( : 2) LANCE¡{EAUX, cité dans Viel. ellcllct. Tout le monde
sait
que le nanisme s'observe non seulement chez l'h
aurait été très malade. Son père serait mort il y a 18 mois, on ne
sait
de quoi. En raison de son développement génital
é, partiel ou portant sur l'ensembledu corps. L'infantilisme, on le
sait
, est caractérisé essentielle- ment par la persi
me. [Famille du père. Hère morte à 77 ans et père à 66 ans, on ne
sait
de quoi. Aucun renseignement sur les grands- pa
nze jours. Aucune maladie infectieuse ni scrnfn- leuse. I,a mère ne
sait
à quoi attribuer l'affection. Etat actuel (avri
fants n'a eu de convulsions. XnTiii : mal.miiï. Conception, on ne
sait
si elle s'est faite dans l'ivresse. Grossesse :
l'année 1899. Ce n'est qu'en 1901 qu'il con- naît ses lettres sans
savoir
syllaber. Il sait compter jusqu'à 30, ne connaî
est qu'en 1901 qu'il con- naît ses lettres sans savoir syllaber. Il
sait
compter jusqu'à 30, ne connaît aucun chiffre. I
bjets, quelques plantes, reconnaît les couleurs. Paresseux. 1902.
Sait
syllaber et écrire ses lettres. Compte jusqu'à
1902. Sait syllaber et écrire ses lettres. Compte jusqu'à 50. Ne
sait
rien faire à l'atelier. 1903. Etat actuel (le m
e particu- lier. Intelligence : l'enfant est atteint d'inrbécililé,
sait
à peine écrire, sait syllaber. Curiosité d'enfa
lligence : l'enfant est atteint d'inrbécililé, sait à peine écrire,
sait
syllaber. Curiosité d'enfant. Naïveté, crainte et
s et maternels n'ont pas été connus par la mère de l'enfant. Elle
sait
seulement qu'ils étaient d'intelligence normale,
et qu'ils sont morts très âgés. Une tante pater- nelle, morte on ne
sait
de quoi. Elle était bien conformée et intellige
senté de troubles mentaux. - Un oncle paternel, mort à 13 ans on ne
sait
de quoi, était minus halenas. - Un autre oncle
Les fonctions digestives sont normales, si ce n'est que l'enfant ne
sait
pas manger seul. Il bave constamment. L'occlusi
Début de la parole à l'époque normale. Marche à 16 mois. La mère ne
sait
à quelle époque les fontanelles se sont fer- mé
de l'appareil circulatoire. Maladies infectieuses. Rougeole, on ne
sait
à quel âge. Vacciné à deux ans, revacciné à l'é
10 à 11 ans ; c'est un niais. Parole facile et régulière. Il... -
sait
lire et écrire. Nanisme avec obésité. 83 1" a
abre ; une douzaine de poils sous l'aiselle gauche. Les seins me-
surent
14 cent. 7 de largeur et 12 cent. de hauteur ; ar
NANISME avec obésité. 99 L'enfant est simplement une arriérée. Elle
sait
lire, écrire, mais non compter. Sa mémoire est
e mari buvait beaucoup et la femme s'en chagrinait fort. On ne peut
savoir
si la conception s'est faite dans l'ivresse. -
du matin. Les yeux se retour- naient les membres s'agitaient, on ne
sait
si les convulsions cloniques prédominaient d'un
2 ans. Début de la marche il 3 ans. Elle ne parle pas encore et ne
sait
dire que quelques mots incompréhensibles La mèr
les pour la marche et surtout pour la parole. Lcholalic. L'enfant
sait
dire son nom, son âge, appelle les infirmières pa
peau profonds. Cou. Gros, arrondi. Circonférence : 3 ? 5. La région
sus
hyodienne a l'aspect d'un épais cylindre graiss
ts paternels ni maternels. - Du côté paternel, un oncle, mort on ne
sait
de quoi, sans enfants. - Du côté maternel, un o
quoi, sans enfants. - Du côté maternel, un oncle, mort aussi on ne
sait
de quoi, ayant eu plusieurs enfants, sur lesque
gues). Grand-père et grand'mère paternels, morts vers 75 ans, on ne
sait
de quoi. - Grand-père maternel, mort vers 65 an
ers 65 ans, et grand'mère maternelle à 77 ans, pour tous deux on ne
sait
de quoi. - Du côté paternel, oncles et tantes, su
urs sont mortes, l'une en couches à 311 ans, l'autre à 56 ans on ne
sait
de quoi ; l'autre est vivante, en bonne santé.
ni voleuse : elle aurait plutôt peur du feu. Pas d'onanisme. «Elle
sait
, bien quand elle fait mal. - Elle s'amuse le pl
endant, comme un enfant de son mais elle est plutôt bébé 1). - Elle
sait
manger et s'habiller seule. - Elle n'a pas eu d
e, il n'y a pas d'onychophagie. Le sens du toucher existe, l'enfant
sait
distinguer un objet poli d'un objet rugueux. (F
nfants). A signaler également un autre fait des plus fréquents, à
savoir
la tuberculose familiale : un frère est mort tu
mme jusqu'au 20 mars, 1 gr. 25 jusqu'au 31 mars. Fig. 49. 1 1 !
SU
De quelques formes de nanisme. NANISME DIPLIGIQ
4 ans, de fluxion de poitrine; - Oncles et tantes paternels : on ne
sait
pas. - Deux oncles maternels, mariés, ont des e
devient toute blanche. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle
sait
un peu lire et écrire; elle n'a été mise à l'éc
traine un peu et dont le pied est un peu tourné en dehors. L'enfant
sait
monter et descendre un escalier, de même que sa
de couleur, sauf au début des accès, où elle devient violacée. Elle
sait
se débarbouiller et se peigner seule, et aussi
auche; elle est attentive en classe. Elle aime assez la couture, et
sait
faire les ourlets. Elle est nulle en gymnas- ti
la perte de ces notions. Ce cas con- firme ce que nous avons dit à
savoir
que les épileptiques qui tombent en déchéance p
coïncidait une inégalité de poids des hémisphères cérébelleux ; on
sait
, parles statistiques publiées à diverses repris
aire et d'étudier et d'interpréter les faits. Ce qu'il importe de
savoir
c'est que seul un cas de synos- tose complète e
tion de pression dans la loge anté- rieure et conformément à la loi
sus
.-énoncée, l'os frontal s'est épaissi ainsi que
nienne a été insuffisamment impressionnée et les mensura- tions ne
sauraient
traduire un arrêt de développement minime. Da
nte-huit; pas de détails sur eux. Une tante paternelle, morte on ne
sait
de quoi, aurait eu deux enfants bien portants.
l^ne jouait plus et paraissait triste. Son sommeil resta bon. On ne
sait
à quelle cause attribuer ces convulsions. Il n'y
rt de sa mère (il y a un an) « parce qu'il est trop vieux » ; il ne
sait
ni lire ni écrire. Aucune aptitude particulière
La volonté est faible, l'enfant se laisse guider avec docilité. Il
sait
syllaber mais non lire couramment; il écrit pas
les grands parents. Il a eu 6 frères, qui sont morts jeunes, on ne
sait
de quoi. - Il reste " Antécédents personnels. 3
and, son caractère est paisible. - Il ressemble à son père. - On ne
sait
à quoi attribuer son épilepsie. Température à
t m ; lit couramment, fait quelques petites additions d'unités : il
sait
nommer les objets usuels et dire à quoi ils ser
stationnaire, mais la lecture est devenue hési- tante ; Peti... ne
sait
plus faire la m lindre addition ; ne reconnaît
. Le gmnd-pP-1'e maternel était enfant naturel, c'est tout ce qu'on
sait
de lui. Quant à la grand'mère maternelle, elle
tout un arrière, existe au centre du lobe frontal. La scissure de
SU
/du.' est peu profonde. Le lobe de l'insula n'es
t très mince, les nogaux gi@isefenti-au ? a,)Iatis. 1,C elit lilat"
SU
.'LOLlt au iliveau de la corne frontale et de l
malades atteints d'idiotie myxoedémateuse. Je serais bien aise de
savoir
si quelques-uns de ces malades qui, sous votre
malades plus âgés sous votre observation; il me serait important de
savoir
si ces malades, pendant la nourriture de viande
là ne se croyaient pas autonomes comme nous, tout en étant, sans le
savoir
, des automates dont leurs ancêtres, leurs chefs p
a-t-elle fait tomber tout un peuple en catalepsie! La torpeur, on le
sait
, n'est qu'apparente dans l'état somnambulique : e
t même les jurés aient des notions précises sur la suggestion, qu'ils
sachent
comment elle peu S'insinuer dans certains cerveau
t nullement surpris de ce faux témoignage fait de bonne foi ; car ils
savent
avec quelle force irrésistible, ces souvenirs ill
uvements respiratoires, courts, précipités, saccadés spasmodiques, se
savaient
régulièrement, bruyamment, comme le jet de vapeur
m'en offrit la meilleure occasion, d'autant plus que je crois qu'elle
saura
m'inspirer pour le sexe féminin les sentiments qu
de suggestion de ce coté: les mois suivants la grossesse s'alarme et
sait
son cours normal; à noter quelques légers retours
ve exposées des idées d'esthétique très élevées. Là encore l'auteur a
su
utiliser les souvenirs que lui ont laissé son pas
e générale du 19 juin: !• L'état d'ivresse considéré èn lui-même ne
saurait
constituer un délit; il ne donne lieu a la répres
un scandale, i troubler la tranquilité et l'ordre publie ; 2° On ne
saurait
nier l'utilité des dispositions législatives, éta
es naissent demain. Alors, quand arrive le tour de la haine, elles ne
savent
quel moyen employer pour nuire a leur ancienne id
ibre aux plaidoyers les moins agréables, où souvent sa bonne foi, son
savoir
tout au moins, seront suspectés, — Mais, d'autre
rvécu là où tout ces colosses ont péri ; or, nous avions la syphilis,
sachez
donc que c'est avec elle que notre race a travers
, la poudre à canon et l'imprimerie, la poudre a canon et la vaccine.
Savez
-vous comme il l'appelaient? Ttboang! Les Japonais
(tendraient même a prouver que les Egyptiens et surtout les Pharaons
Savaient
pas été oubliés par Vénus dans ses largesse syphi
rpes. Mais qu'importent les récriminations intéressées. Le progrès ne
saurait
être détourné de son cours par d'aussi fragiles o
quelque fois des attaques de somnambulisme, que son vieux domestique
savait
comment le soigner, mais qu'il regrettait que ceu
aux). L'Anthropologie criminelle cl la Psychiatrie ont. comme on le
sait
, des points de contact nombreux et il n'est peut-
e peuple ses rêves, et cette vision obsédante le poursuit partout. 11
sait
I bien que cette femme est indigne de son amour,
les. Le succès de cet ouvrage est dû au talent avec lequel l'auteur a
su
grouper, dans un seul volume, un grand nombre de
t une cause d'empoisonnement. Malgré les lois et les mœurs, nous le
savons
, l'aliénation mentale continuera à faire des vict
uloir plus que mes forces, j'ai accepté bravement. Aujourd'hui que je
sais
mieux à quoi ma bonne volonté m'a inconsidérément
aide a tenir cet engagement sacré ! » En commençant ce cours, je ne
sais
pas encore au juste où il nous conduira; je n'en
ous demandez où est située Braine-l'Alleud, vous répondent : — « Vous
savez
où est Bruxelles et Genappe? ce n'est pas la, c'e
ire complet et des examens minutieux a faire subir. Une fois que l'on
sait
son malade au bout du doigt, on peut être plus co
neuf. Les malades, en général, ne supportent pas les damerets : ils
savent
que les aigles ne se lissent pas les plumes comme
et l'opprobre et parlois la ruine ; il est abruti, vidé, fini et vous
savez
aussi bien que moi ce qui l'attend: l'albuminurie
l joue un argent qui ne lui appartient pas. la vie des autres. Nous
savons
maintenant à peu près au est situé Braine-l'Alleu
atives condamnées d'avance à l'insuccès. Il n'est pas donné à tous de
savoir
appliquer Phypnotisme. Un excellent anatomo-patho
atomo-pathologiste peut être doublé d'un mauvais hypnotiseur. Il faut
savoir
se consoler de n'avoir pas toutes les vertus et c
a. L'état d'excitabilité des nerfs et des muscles sert, comme on le
sait
, a h distinction somatique des trois états du gra
l'étudier. Chariot utilise surtout les procédés mécaniques, mais nous
savons
qu'en règle générale, les résultats de l'excitati
livre récent de Preyer « l'Hypnotisme » ne tranche pas la question de
savoir
si, dans l'hypnose, l'excitabilité musculaire sub
ion qui a la plus haute importance pour l'éducation rationnelle. Nous
savons
tous que les enfants ont besoin de dormir beaucou
plus rapides. » Cest à peine s'il consentait à obliger les enfants de
savoir
lire pour l'âge de 12 ans. Personne n'ira aussi l
roduire d'excellents effets. Dans la pratique de la médecine, il faut
savoir
se résigner â n'obtenir souvent que des résultats
lité et du mouvement. » (Féré) Dans l'état actuel des choses, on ne
saurait
admettre une épilepsie spéciale, exclusive, essen
y siologiques si précis de la méthode psycho-physique dont il. a déjà
su
tirer de si intéressants résultats dans ses précé
ale que celle de leur début. Chez le jeune homme, la contracture ne
saurait
être attribuée ni à La sclérose des cordons latér
e typhoïde, la variole, la diphtérie qui elles mêmes peuvent, nous le
savons
déjà, comprendre la névrose dans le cortège de le
ique un très mûr examen. Les développements auxquels elle se prête ne
sauraient
en tout état de cause trouve; place ici. Bornons-
causes prédisposantes soit celles qui préparent le terrain, Elles ne
sauraient
suffire, à elles seules, à faire éclater la malad
e époque, et des personnes. Son langage est correct, mais elle ne
sait
plus coudre, calcul très mal de tête, quoique cai
é quelques phénomènes de somnambulisme. La paraplégie était totale,
su
bout de pen de jours, lorsque le diagnostic de pa
inion, l'histoire d'une malade de la Salpetrière qui eut l'idée, sans
savoir
pourquoi, de se précipiter du haut du puits de Gr
que ces conséquences soient toujours sans inconvénients sérieux : je
sais
un exemple d'amputation de jambe pratiquée incons
uvent dans une position difficile entre nos collègues médecins qui ne
savent
pas encore vaincre leur méfiance et les charlatan
tilité dans les opérations chirurgicales. Il s'agit spécialement de
savoir
si, dans un cas donné, on peut, sans péril, appli
e ce symp tôme reléverait plutôt de l'hystérie. Quant a la chorée, on
sait
que cette affection a une tendance a évoluer spon
uérison au bout d'un certain temps. Pour ce qui est de l'épilepsie on
sait
également que chaque remède chaque opération, cha
ersonnellement assez d'expérience sur ce sujet pour en juger, mais je
sais
que d'excellents expérimentateurs ont échoué dans
e agitante que lorsque les tremblements auront complètement cesse. On
sait
eu effet que les tremblements de la maladie de Pa
s seront d'autant plus autorisés a recourir à la suggestion qu'ils ne
sauraient
employer une médication à la fois plus efficace e
ient avancé MM. Cilles de la Tourette et Cathelineau, l'hypnotisme ne
saurait
êre considéré comme un état pathologique. On pe
dérer comme un caractère essentiel de ses « Zwangs-vorstellungen », à
savoir
que !e trouble est primitivement dans l'intel-lig
t. p. 94. halte Fragesucht. " Toutefois Baillarger avait signa le
sait
, dans la discussion de 1866, qu'une de ses malade
et je lui demanderai. Puis elle se creusait de nouveau la tête pour
savoir
s'il y a un paradis, où est le paradis? S'il y a
ir et de la diète que j'étais loin de suivre autrefois, comme vous le
savez
mieux que personne. » Je veux ajouter encore que
e la morphine, dont je suis forcée d'augmenter la quantité. Dieu seul
sait
quelles misères l'avenir me réserve. « Au mois d'
hine n'existe plus pour elle. Elle m'écrit le 28 janvier 1890: « vous
savez
que je suis saine maintenant, et d'âme, et de cor
ue cet homme plaidait la monomanie pour se soustraire à la justice.
Sachez
que nombre de morphinomanes usent du même procédé
orphinomanes, des cas plus graves, voire même des assassinats. Chacun
sait
qu'en Orient il n'est pas rare de voir des Malais
ne obéit au proverbe chinois : « quand on dépense son argent, on n'en
saurait
trop prendre pour son argent, a Ccl état, qui d
et sans pas-d'lnc. i extirper les molaire ca-duques, qui. comme on le
sait
, apportent pendant quel.; . .s une gêne marquée a
rne avec un objet quel-conque. Quel est l'effet qui en résulte? Je ne
saurais
l'expliquer mais, ce qui est certain, c'est que l
litri. — nTCMUTin et siitococu. — a^x«catto» • cunoaVO m i itvvnoT i
sut
— M. fl docteur Bùiuo*. - 1« aamedi ¦ io bearci (
ut à ce mot de magnétisme que l'Académie avait conspué, faute d'avoir
su
reconnaître la bonne graine dans l'ivraie, malgré
vent faire, pourvu qu'ils aient assez de confiance «eux-mêmes, ccianc
saurait
mériter le nom de traitement médical. Autant di
se réveiller que lorsqu'il aurait trouvé sa justification (on ne peut
savoir
ce qu'il entend par ces mots). Ce n'est, d'ailleu
orps et d'esprit a la notion très nette de sa propre personnalité. Il
sait
qui il est et qui il a été : il a des idées, des
la notion de la personnalité est habituellement conservée. Les sujets
savent
en général qui ils sont ; ils se sentent eux-même
lui demandai-jc un Jour, pour parle ainsi au nom de Marguerite? — Je
sais
son amie. —lit comment vous appelez-vous, s'il vo
sais son amie. —lit comment vous appelez-vous, s'il vous plaît?—Je ne
sais
pas. mais J'aime beaucoup Marguerite, et quand on
'elle porte dans le sein droit elle en souffre beaucoup et désirerait
savoir
ce qu'elle doit faire. - Il fut impossible de lui
peut dire de l' ordonnance du médecin ce que disait du paysage je ne
sais
plus quel critique pictural : C'est un état d'esp
e vue cette femme, qui a eu depuis plusieurs enfants: mais je trai pu
savoir
si le même phénomène s'était produit pendant leur
e choix et l'emploi des instruments. la technique opératoire. etc. On
sait
que notre confrère étend l'application de l'éléct
objet la création , à Paris, d'un Institut de médecine légale. On ne
saurait
trop désirer les succès de cette initiative. Le
a Hôp/tattx 19 octobre 1S36. BAF.KWfjRTH*. : Powonilli double: E'ni
sut
l'analogie ente !e rrii.'-é-.- hypnotique « «n>
inculpée;, le parquet commet trois experts pour l'examiner. Dans un
savait
: rapport, MM. les Dr Brouardel, Motet, Gilbert Ba
sens moral, l'intelligence est assez nette pour que Gabrielle Bompard
sache
ce qui est bien et ce qui est mal. Lille n'est pa
e contrainte de quelque nature qu'elle soit. « Gabrielle Bompard ne
saurait
être considérée comme irresponsable, des actes qu
Il se rapproche certainement des états hypnotiques francs; mais il ne
saurait
être légitimement confondu avec eux, et l'une des
t à l'action des procédés hypnogènes. Il serait très intéressant de
savoir
ce que donnerait lTiypnotisation pratiquée, dans
du temps ordinaire. A son réveil, elle avait oublié tout ce qu elle
savait
; sa mémoire était comme une tabula rata, et n'ava
uises dans son enùncc et sa jeunesse; dans son état nota-eau, elle ne
sait
que ce qu'elle a appris depuis son premier sommei
pas les personnes qui l'entouraient et lui donnaient des soins, il ne
savait
plus coudre, il ne se souvenait pas d'avoir été p
effets d' habillement et de fargent a un infirmier, s'engagea. on ce
sait
trop comment, dans l'infanterie de marine, commit
naît plus les personnes qui 1 entourent; il se croit à Bicètre; il ne
sait
pas qu'il s'est engagé et ne comprend pas comment
INES RADIATIONS PERÇUES PAR LES SENSITIFS Par M.-A. DE ROCHAS. On
sait
que le baron de Keichenbach, né à Stuttgart en 17
n. Elle n'a rien tu, rien lait, n'a donné à boire à personne; elle ne
sait
pas ce qu'on veut lui dire. » De ces faits, vér
antécédents mauvais jusque-là, accomplit la chose infernale que l'on
sait
, je me suis demandé s'il n'avait pas agi sous l'i
omènes hypnotiques, à moins Que l'un ne puisse être le diable sans le
savoir
. 2) On ne peut eudormir une personne contre sa
tout le monde. Seulement, il faut que celui qui se mêle d'hypnotiser
sache
hvpnotiser.— et cet art n'est pas commun ni facil
decins qui, sans hypnotiser eux-mêmes, prescrivent l'hypnotisme, d'en
savoir
quelque chose. Ceci a l'air d'uue épigramme, et m
en tète de cet article. Ils y trouveront tout ce qu'ils ont besoin de
savoir
, exposé avec une rare méthode, dans un style luci
ut à ce mot de magnétisme que l'Académie avait conspué, faute d'avoir
su
reconnaître la bonne graine dans l'ivraie, malgré
Par M. le D" DÊJËBJNE, profewor agrégé i la Faculté de Médecine. On
sait
que la question de l'hypnotisme est envisagée sou
fait que reconnaissent du reste les partisans du grand hypnotisme, à
savoir
que les caractères des trois périodes regardées c
mme l'indice d'un trouble mental son retour à Paris, son imprévoyance
su
se mettant elle-même entre les mains de la just
sens moral, l'intelligence esi assez ncllo pour que Gabrille Bompard
sache
ce qui est bien et ce qui est mal. EUe n'est pas
i une contrainte de quelque nature qu'elle soit. Gabrielle Bompard ne
saurait
donc être considérée comme irresponsable des acte
, avait certainement agi sous l'influence de l'hypnotisme. Nous avons
su
, de plus, que certaines personnes l'avaient hypno
ggestion dans on but Thérrapeutique. (Temps, toc., cit.). M. Bernheim
sait
pourtant bien le contraire. Pratiquement. M. Char
ine legale et de la médecine psychologique. Le Crâne de Mozart On
sait
que Joseph Kirtl, le grand anatomice autrichien,
s de parenté. Ce travail est fondé sur les recherches suivantes : A
savoir
, que lorsqu'on plonge pendant une heure ou pendan
apeutique dans mon service d'aliénées de la Salpétrière. et que je ne
saurais
en conscience donner à mes malades une affection
en résumé, un point intéressant dans l'observation de cette malade, à
savoir
que la nutrition s'est mieux opérée pendant l'éta
ésister à son gré, en un mot qu'il est, malgré les apparences, compos
sut
, et que sa responsabilité est entière. Les aute
suggestible, c'est-à-dire très facile à être influencée par quiconque
sait
prendre de l'ascendant sur elle, acceptant les id
ugles moraux connaissent encore la distinction du bien et du mal. Ils
savent
fort bien qu'il faut faire telle chose et qu'il f
aut faire telle chose et qu'il faut s'abstenir de telle autre, lis le
savent
mais ils ne le sentent pas ; et dès tors il est p
dès tors il est presque inévitable qu'ils agissent comme s'ils ne le
savaient
pas, car « la connaissance pure ne détermine pas
a beau écrire; les faits restent les faits et aucune argumentation ne
saurait
prévaloir contre eux. Gilles de La Toceette. ¦
ropologie criminelle en 1889. Quand, dans quelques siècles, on voudra
savoir
où en était cette science à notre époque, c'est c
'honneur de cette invention, ou plutôt de cette réinvention ; mais je
sais
des villages où cette semence a fructifié, et les
vant seulement, mais do l'individu personnel tel que la société seule
sait
le créer et le faire croître à son image ; de la
avait certains détails que l'on n'osait pas dire, liais pour noas qui
savions
le fond des choses, il fat toujours incontestable
evenaient (1) Pour comprendre ces paroles de découragement, il faut
savoir
que je lui avais parlé, quelques mois auparavant,
and le moment serait venu. Elle se répétait tous les jours qu'elle ne
savait
pas ce que c'était qu'un accouchement, mais qu'el
qu'elle ne savait pas ce que c'était qu'un accouchement, mais qu'elle
saurait
souffrir et qu'elle aurait assez d'énergie et de
La guérison des « entorses demande souvent plus de temps, et l'on ne
saurait
prévoir, dès le « début, qucllo sera, dans un cas
ne pourra être obtenu dans tous les cas ; mais toutes les fois qu'on
saura
qu'une femme est susceptible d'être hypnotisée au
ue les recherches de MM. A. Voisin et Harant confirment les nôtres, à
savoir
que l'hypnotisme, à ne s'en tenir qu'aux caractèr
bes moyen et inférieur à droite. Silence respiratoire dans les fosses
sus
et sous-clavières. Les derniers temps de la gross
n délimité, dont parle M. Delbœuf, quant à son expérience concluante,
savoir
si Sylvain V... était hypnoli-sable; c'est une au
ce sens. U nous semble que, sous la législation actuelle, ce délit ne
saurait
être constitué qu'autant que les expériences d'hy
ascendante. NOUVELLES Société de Psychologie physiologique. — On
sait
que, dans certains cas, mal déterminés encore, il
ystématiquement de voir et d'essayer, qui jugent péremptoirement sans
savoir
: ceux-ci n'existent plus, j'aime à le croire.
tise, sans se douter qu'ils ont eu une hypnose fugitive qu'on n'a pas
su
maintenir, parce que le sujet, suivant dans cet é
on que donne le professeur Forel, de Zurich, dans un livre dont je ne
saurais
trop recommander la lecture : Dans deux grandes
e, 52,49 •/.; Somnambulisme et sommeil profond, 114,84 •/.. Je ne
saurais
trop insister sur ce point d'une importance capit
je ûe dis pas exclusivement, aux maladies nerveuses, il faut bien le
savoir
, ce traitement peut rendre des services comme pal
el centre et dans l'espèce des centres génito-spinaux. On peut, on le
sait
, distinguer dans la sphère sexuelle trois régions
ise général, des sueurs apparaissent aux pieds et aux mains « elle ne
sait
pas ce qu'elle a >; elle geint, se retourne da
és, M. Delbceuf s'est posé les questions suivantes : « L'hypnotisé ne
sait
-il pas qu'on lui demande de jouer une (1) Leçon
. S61. (2) Gazette dei HopUaus, 8 nov. 1887, p. 11S. comédie f ne
sait
-il pas que ce qu'il tient en main n'est pas un po
comme il est complaisant, ne joue-t-il pas la comédie, comme loi seul
sait
la jouer, avec une perfection inimitable (1) ». M
'on dégage de ces phrases ronflantes l'idée maltresse du magistrat, à
savoir
qu'il considère comme littéralement impossible d'
us intéressants du grave problème psychologique qui nous préoccupe, à
savoir
le degré de résistance que peuvent apporter les h
me pas se douter qu'ils en avaient été les agents provocateurs. On ne
saura
jamais le nombre de déductions fausses, d'interpr
t un peu incomplètes sur certains sujets; elle a oublié son âge et ne
sait
plus où elle a été élevée. Dans cet état, elle es
abasique, trouble ambulatoire essentiellement hystérique, ainsi qu'on
sait
. L'analgésie, au lieu d'être totale, n'est plus q
efois. Cette malade dans l'état B, son état maintenant habituel, ne
sait
son nom que parce qu'on le lui a appris de nouvea
sait son nom que parce qu'on le lui a appris de nouveau, car elle ne
sait
rien de son histoire, ne sait pas où elle est n
lui a appris de nouveau, car elle ne sait rien de son histoire, ne
sait
pas où elle est née, ne sait rien de sa famille.
elle ne sait rien de son histoire, ne sait pas où elle est née, ne
sait
rien de sa famille. Elle se rappelle bien l'Expos
omplémentaires a un intérêt tout particulier. En effet, comme elle ne
sait
reconnaître que la couleur rouge, on lui fait voi
titutrice, elle a oublié tout ce qu elle lui avait appris, et elle ne
sait
plus ni lire, ni écrire, ni compter, ni travaille
revenue à son état normal d'autrefois, l'état A, dans lequel elle ne
savait
ni lire ni écrire. Elle a oublié aussi et l'Expos
observait tout à l'heure se reproduisent instantanément aussi : elle
sait
de nouveau lire, écrire et travailler, reconnaît
t qu'il a mis des bottes, sans doute pour monter à cheval. Mais il ne
sait
rien de plus, jusqu'au moment où on l'a relevé.
ues, il l'en parle jamais avec malignité. L'épreuve prolongée n'a pas
su
altérer son caractère. Des ennemis! il n'en a p
ie-beault a gardé pour nous un trésor, dont maintenant seulement nous
savons
apprécier la valeur. Et ce trésor n'est pas un
e entièrement méconnu. La science officielle de ces derniers temps ne
sait
(aire que des opérations; elle ne reconnaît que l
t la valeur de ceux qui ont étendu et perfectionné son œuvre, qui onl
su
faire pénétrer ses idées dans le monde scientifiq
ne tromperie. Il est certain, que la femme Fay, cette somnambule, a
su
tirer de nombreux profits de ses prétendues prédi
urs dans rétablissement de Burghûlzli, je témoigne selon mon meilleur
savoir
et ma conscience ce qui suit : À. — PREFACE.
yant. Demande (de moi) : Combien d'enfants ai-je? Réponse : Je ne
sais
pas. Demande ; Qu'est-ce que j'ai? Réponse :
? Comment sont ses cheveux? Réponse : Pas noirs. A part cela, elle ne
sait
pas dire autre chose. (Les cheveux de ma femme so
llée elle ne veut pas entendre parler de l'esprit « Ernst ». Elle a
su
par d'autres personnes ce qu'elle dit en dormant.
oyant, surpris par le surnaturel apparent du phénomène, aide, sans le
savoir
, le somnambule, et il est souvent guéri par l'act
ite de l'apparence générale des somnambules que le meilleur acteur ne
saurait
imiter, il y a encore d'autres symptômes, tels qu
SUGGESTIVE Par M. le D* BERNHEIM, profea-enr * I» Faculté de Nancy.
sut
! Si nx (1) Dysphagie nerveuse depuis une année;
atoires prolongées à droite; en arrière le son faible dans les fosses
sus
et soûVépineuses; la respiration faible partout a
De cette observation nous pouvons tirer cette autre conclusion : à
savoir
que ces anomalies fonctionnelles, tout comme les
e à l'étudo expérimentale des suggestions criminelles. La question de
savoir
si un sujet peut commettre un crime ou un délit s
ie, il n'existe pour M. Gilles de la Tourette que cette différence, à
savoir
que les premiers états sont provoqués, les autres
, réalise le rêve du poète ; c'est lui qui, pareil à une mouette.
sait
glisser silencieux, balançant la pensée, comme le
e du cavalier ; celui-ci doit faire preuve d'art, de compétence et de
savoir
; il utilise une machine intelligente de laquelle
scite les recherches dans un sens rationnel; en aucune manière, il ne
saurait
tenir lieu de preuve. Dans l'espèce, les preuves
-il, j'en suis bien sûr; il s'est passé quelque chose. Quoi? Je ne le
sais
; et c'est très bizarre, j'aurais très bien pu le
après avoir ouvert les yeux, disent, inquiets : « Où suis-je ? Je ne
sais
pas où je suis ! » Alors, ils regardent autour d'
décidé à le retirer de son école et à l'amener à la Salpétrière. Vous
savez
déjà qu'il est né avec une cataracte congénitale
ours est-il qu'Akbar semble avoir subi le prestige du saint. Celui-ci
sut
le décider à bâtir dans !e voisinage de la cavern
dies vénériennes. Jl continue cette œuvre d'assainissement dont on ne
saurait
trop le féliciter par la prise de l'arrêté suivan
sourdement. II est plus gros, douloureux. Ses fonctions, qui, nous le
savons
depuis bien peu d'années, sont, entre autres, de
et les cabarets des bruyants éclats de sa voix. Il disserte de tout,
sait
tout, connaît un remède pour toutes les plaies so
toutes les plaies sociales, ou de sûrs procédés pour s'enrichir. Qui
sait
? peut-être ave/.-vous songé à lui pour des fonct
ns dangereux que tous les autres, il l'est encore énormément. Il faut
savoir
que, fabriquât-on de l'absinthe ou de l'arquebuse
exaltée. C'est entendu, on ne le conteste pas. Mais ce qu'il faudrait
savoir
, c'est : l° Si le somnoformisé reste en relatio
ore. Un malade, bien que complètement somnoformisé, s'écrie : « Je ne
sais
pas si tout à l'heure je m'en souviendrai, mais,
somnoforme, variables avec les individus; tâtonnons au début pour
savoir
quelle quantité convient à chacun, de manière à a
ychologique, ces trois états sont qualitativement distincts ; il n'en
saurait
être autrement. Au point de vue somatique, par co
point, que Descartes a fait erreur, indépendamment de la question de
savoir
si les animaux réfléchissent, jugent et pensent a
our lui n.,Il n'y a pas d'artistes, d'écrivains ou de penseurs qui ne
sachent
par expérience qu'il y a des moments où, avec tou
à.souvent que les idées, les mélodies, les vues sont là, venant on ne
sait
d'où] et le travail créateur se fait comme /par i
qui donc sont caractérisés par la conscience que nous en avons, et ne
sauraient
par conséquent servira caractériser la conscience
elle-même. L'essence de sa nature est donc et reste obscure ; nous
savons
cependant ceci, que la conscience n'est pas une c
somme des représentations existantes dans le moment, et souvent on ne
saurait
découvrir pourquoi elle accompagne des faits phys
a propre conviction, on peut penser, se figurer, inventer ce que l'on
sait
être faux. Nous sommes capables de penser d'une m
déterminée du système nerveux central ont complètement échoué. On ne
saurait
nier que, dans cette manière d'envisager les chos
une condition sans la réalisation de laquelle la conscience de soi ne
saurait
se manifester. En effet, l'enfant n'apprend que p
idence ? Dans la plupart des cas, il n'en est rien. Ce que le médecin
sait
, il l'a découvert lui-même. Je ne veux pas tenter
on peut dire qu'il y a autant de psychologies que de malades, mais on
sait
combien il est difficile au médecin de se renseig
me les sensations qu'ils éprouvent ou les douleurs qu'ils ressentent.
Savoir
faire parler un malade est une des qualités les p
dissimulera ses tares : un autre cachera l'origine de la maladie, que
sais
-je ?..... Voilà enfin le médecin qui connaît la
bles — cependant je ne me ferai pas soigner, car je ne veux pas qu'on
sache
que j'ai celte maladie. Ce malade stoique existe-
qui ne semble pas se compliquer de gangrène — et qu'il importe de la
savoir
dépister car elle est curable par essence. Les
profond que quelques-uns professent encore pour ces questions. On ne
saurait
concevoir à quel degré des hommes qui s'arrogent
n malade par l'hypnotisme, il ne suffit pas de vouloir, il faut aussi
savoir
. Ce savoir est difficile à acquérir, mais depuis
r l'hypnotisme, il ne suffit pas de vouloir, il faut aussi savoir. Ce
savoir
est difficile à acquérir, mais depuis quelques an
le de psychologie de Paris accroît chaque année le nombre de ceux qui
savent
. Nous avons été heureux de rencontrer au Congrès
, ils nous ont fourni une fois de plus l'occasion de constater qu'ils
savaient
associer au plus haut degré les idées de progrès
Au début, ces suggestions sont peu nombreuses une ou deux seulement,
savoir
: Soyez calme et tranquille, vos fonctions s'accom
eçus à son domicile particulier. Quatre pièces leur sont destinées,
savoir
: 1° Une salle d'attente. 2° Un cabinet de tra
e soulever des discussions et des controverses ardentes, qui, nous le
savons
, sont la source du progrès. L'Hypnotisme en R
lle, je pense, tous les psychologues sont d'accord. Mais ce que je ne
saurais
admettre, c'est que les curés et les abbés à rich
a première. Elle comprenait 4 garçons et 1 fille. De la fille nous ne
savons
rien. Quant aux garçons, les deux premiers Pippin
1 état normal, et ceci exige souvent beaucoup de diplomatie. Je ne
sais
si j'ai été fort clair, mais j'ai du naturellemen
ois ans dans un état de calme d'esprit étonnant, vu que le patient se
savait
incurable. · Jusqu'à une demi-heure avant sa mo
une fois de plus aux hommages rendus à la mémoire de Charcot. Elle ne
saurait
oublier que notre illustre maître voulut bien nou
d, ne lui avait rien dit. Il ne connaissait pas l'angine de poitrine:
savoir
qu'il en était atteint ne l'effrayait nullement.
avoir désiré vous en entretenir en faveur du mobile qui m'a dirigé, à
savoir
que chaque nouvel effort contribue à mettre en lu
, le rapporteur retardait ! Il avait oublié ou bien il n'avait jamais
su
que les derniers médecins auxiliaires ancien styl
va sans dire que nous mettons à part l'opinion du monde savant : On y
sait
le corps de santé militaire presque entièrement c
issait d'une découverte réelle; on ne s'est pas davantage inquiété de
savoir
si le grand physiologiste n'avait fait seulement
eviendrons sur cette donnée en parlant, plus loin, de l'aboulie. On
sait
aussi que l'intoxication chronique de l'alcool fa
us demandons en quoi la suggestion éveillée diffère de la persuasion?
Sait
-on jamais bien ce qu'il y a de spontané ou de sug
constance ; elle est assurée du succès. Un chef bienveillant et ferme
sait
tout ce qu'il peut obtenir d'un subordonné confia
n, tout d'abord, consiste à dissiper l'appréhension du soldat, qui ne
sait
pas s'il est fautif ou malade, qui ne sait pas tr
éhension du soldat, qui ne sait pas s'il est fautif ou malade, qui ne
sait
pas trop non plus ni ce qu'il peut, ni ce qu'il v
tirer qu'une intervention d'ordre médical et psychologique. Or, nous
savons
comment la déterminer, cette intervention, et com
maîtres, actuels ou disparus. Il est pourtant un devoir auquel je ne
saurais
me soustraire, c'est de rendre à la Société d'Hyp
tout d'abord, me dit qu'il est aussi inquiet que la veille, qu'il ne
sait
pas s'il s'est convenablement conduit, et me supp
t, en somme, d'une affection simplement psychique, d'une obsession, à
savoir
d'une algie du nez et d'une algie de la langue su
st certes une branche très importante de la thérapeutique, qu'il faut
savoir
utiliser largement, et où il entre peut-être auss
uveaux viennent y ajouter chaque jour; mais il est regrettable, on ne
saurait
trop le répéter, que son application soit encore
t garnement qui ne songe qu'à jouer et à courir, sans que l'on puisse
savoir
où il est passé ; il fait souvent l'école buisson
une semence dans ce jeune cerveau, c'est-à-dire une idée, mais je ne
savais
pas si elle germerait, je n'osais pas l'espérer.
de ce résultat, je ne tarde pas à interrompre le traitement. Reste à
savoir
si le succès sera durable. Or l'enfant se remet
heures de la nuit, une exagération de la diurèse: c'est, comme on le
sait
, la règle pour ce genre d'enté-roclyse. L'urine,
e se sent même pas mouillé par l'urine qu'il vient d'émettre. Je ne
sache
pas qu'on ait jamais signalé ce facteur dans l'ét
es qui dressent ou qui soignent les animaux font de l'hypnose sans le
savoir
. J'ai fait dans cet ordre d'idées un grand nombre
ervations à mon hôpital vétérinaire. Toute question d'adresse et de
savoir
mise de côté, il y a des personnes qui ne peuvent
vaux se montrent plus avisés et plus prudents que les pédagogues. Ils
savent
que la meilleure manière de compromettre irrémédi
nt dans des écoles sans air et pâlissant sur des bouquins emplis d'un
savoir
pédantesque, MM. les docteurs Albert Mathieu et L
uscle par ces produits qu'est dû le phénomène de la contracture. On
sait
aussi que la composition chimique des muscles de
uotient respiratoire est plus élevé en hiver qu'en été. Enfin, nous
savons
, par les recherches de J. Gaule p)( que, chez la
osition à l'hypnose. PREMIÈRE PARTIE. — Historique èt critique On
sait
depuis longtemps que les animaux peuvent tomber s
incipal de cette femme, devant laquelle les sceptiques sentent un Qui
Sait
? surgir au fond de leur être — et pourquoi pas pu
'il n'a pas à associer des idées et qu'il n'a qu'à réciter des choses
sues
par cœur, il ne bégaye pas. Rien de plus connu qu
ique humaine : c) Le chef de Saint-Mériadec (P. de Courcy). On ne
sait
vraiment trop pourquoi ; et nous ignorons s'il y
est d'ailleurs préconisée à l'Ile Bourbon contre la syphilis ; or, on
sait
que cette maladie a des manifestations oculaires
nt de la sensibilité cutanée et par les symptômes cataleptiques. Nous
savons
qu'on considère les mêmes phénomènes avec certain
gions du système nerveux central dans l'hypnose. Voici les faits : On
sait
qu'une grenouille privée des hémisphères présente
'il n'y a pas eu d'amnésie. Il est nécessaire d'ajouter que la malade
savait
que je lui ferais des suggestions pendant le somm
s admirables de la nature. Il est probable qu'aucun changement ne
saurait
atteindre l'un des parents, sans laisser une cert
, qu'elle que soit l'explication véritable de ces phénomènes, elle ne
saurait
exclure la réminiscence de l'impression visuelle.
t se manifestait pendant un profond sommeil et, par conséquent, on ne
saurait
en expliquer la transmission par voie d'imitation
par rapport à la mère (par l'intermédiaire de l'œuf). Cependant on ne
saurait
éliminer l'influence créatrice de l'organisme mat
r qu'il présidera l'une de nos prochaines séances d'ouverture. Nous
savons
aussi que nous pouvons compter sur le. concours d
se révolte à la pensée que cette faillite puisse être définitive. «
Savoir
, afin de pouvoir », telle est la devise baconnien
liquide amniotique, le système nerveux cérébro-spinal baigne, vous le
savez
, dans le liquide céphalo-rachidien; ce dernier co
se faisaient remarquer par leur attitude réfléchie et méditative. Je
sus
bientôt que ces modernes Castor et Pollux s'appel
était tout près: Dumontpallier y faisait alors, avec l'éclat que l'on
sait
, son enseignement et ses recherches sur l'hypnoti
le, invisible, insaisissable à nos moyens d'investigation, à ce je ne
sais
quoi qu'ont imaginé les philosophes spiritualiste
es nerfs qui vont se distribuer dans tout le corps ; elle nous a fait
savoir
, d'autre part, que la fameuse glande pinéale de D
lentir. M. Jules Soury a été en France parmi les premiers adeptes; on
sait
quels ouvrages considérables il a signés de son n
a station centrale pour les réflexes de la position du corps. Or nous
savons
que cette station se trouve chez la grenouille da
s ont expérimenté, ce qui constitue une lacune considérable, car nous
savons
que la grenouille verte réagit souvent d'une faço
es. Les pupilles changent de forme aussitôt que le sommeil arrive. On
sait
que chez la grenouille normale les pupilles sont
al. J'insiste sur ce changement de pupille, car, pour autant que je
sache
, personne n'a encore attiré l'attention sur ce fa
r cette forme de suggestion que j'ai tout récemment préconisée (1), à
savoir
la suggestion pendant la narcose éthyl-méthylique
n succès complet. A partir de ce moment, il n'échoue plus jamais : il
sait
à qui il a affaire ; il n'est plus dépaysé; il s'
une hypotaxie de plus en plus grande; les membres sont inertes, il ne
saurait
les remuer; le corps obéit, mais le mental ne se
rcose, surviennent les caractéristiques psychologiques de cet état: à
savoir
: persistance de la conscience, hyperacute sensor
tater que Victorien Sardou, tout en restant le puissant dramaturge, a
su
tirer le meilleur parti des données scientifiques
, en Belgique, la fête de saint Hubert. Saint Hubert est, comme on le
sait
, le palron des chasseurs. Est-ce en cette qualité
ent sur ce domaine ne sont pas des sentiments esthétiques, et l'on ne
saurait
ranger tout ce qui les produit dans la catégorie
à des spéculations, dans lesquelles ils se préoccupaient fort peu de
savoir
si elles s'accordaient avec les faits de l'expéri
aire naître est resté en souffrance. Le but d'une science de l'art ne
saurait
être de connaître un certain nombre de faits, mai
qui partagent le point de vue métaphy- sique de leurs auteurs, ne
sauraient
aspirer à être universellement considérés comme a
. La nouvelle esthétique s'appuie sur sa sœur, la psychologie. Elle
sait
que, de même que toutes les autres sciences relat
oralisant très considérable. Indépendamment de cela, on semble ne pas
savoir
qu'il est impossible aux artistes de tenir compte
rations utilitaires et morales, aucunement esthétiques. Certes, on ne
saurait
nier que certaines œuvres d'art, excellentes comm
duisent le réveil presque aussi brusque que les anesthésiques, et Ton
sait
que ces deux substances sont des excitants énergi
nquilles, les yeux retirés dans les orbites, les paupières closes. On
sait
que pendant l'hypnose (1) Xous savons à présent
bites, les paupières closes. On sait que pendant l'hypnose (1) Xous
savons
à présent, par les recherches de J. Gaule, commen
les animaux n'est pas un obstacle pour faire ce rapprochement, car on
sait
que l'Ecole de Paris admet l'apparition de l'hypn
Amis des arts, et représentant le docteur Liébeault. L'artiste avait
su
comprendre son modèle, il avait su rendre l'expre
docteur Liébeault. L'artiste avait su comprendre son modèle, il avait
su
rendre l'expression de ses yeux tournés vers la p
grand nombre sont des admirateurs de Liébeault et de son œuvre, nous
sauront
gré d'avoir fait revivre sous leurs yeux le souve
se des pièges et cherche à se faire porter des coups qu'il évitera et
saura
rendre fatals à celle-ci. Jamais de corps à cor
le, que le philosophe qui la charge de nous révéler le verbe ou je ne
sais
quelles entités métaphysiques. » Le plaisir que
sujet emprunté à la réalité ne manque de poésie, pourvu que le poète
sache
en tirer parU ». (2j Kritik der UrlheÎUkrafl, p
qui ne se rapporte pas à nos besoins matériels. En outre, le beau ne
saurait
être considéré comme un article de luxe artificie
oins de l'esprit et excite certaines émotions, comme la vie réelle ne
saurait
le faire. Le bourgeois prend plaisir â voir passe
s les contemplons en spectateurs désintéressés. Il faut que nous nous
sachions
transportés dans un monde d'apparence pour que l'
cité des jouissances artistiques pures et d'un caractère élevé. On ne
saurait
non plus considérer l'éducation que l'on donne à
esthétique, et encore au moyen-âge, ce n'est que rarement que l'on a
su
voir ce que la nature offre d'admirable. Il sembl
e est indiquée dans les diverses formes de neurasthénie, mais il faut
savoir
la doser suivant les sujets. Les neurasthénique
Telle est la psychologie du voyageur en chemin de fer. Certes ! il ne
saurait
être question de neutraliser artificiellement ces
trouver Livingstone, dont on était sans nouvelles depuis deux ans. On
sait
comment il réussit. Revenu en Angleterre, il
s dédaignaient l'hypnotisme. Comme Stanley le disait justement, on ne
saurait
concevoir ni apprécier l'hypnotisme quand on n'es
jouissance artistique Par M. le Dr Wijnaendts Fbancken. , L'on ne
saurait
voir dans l'art seulement un besoin d'imitation.
t. Non seulement la jouissance que procure une création artistique ne
saurait
être identifiée avec le plaisir que donne une imi
dans les détails, tandis que le style dans l'art consiste justement à
savoir
supprimer en vue de l'ensemble tout ce qui n'y aj
'ont rien à faire avec la vraie ressemblance. En revanche, le peintre
sait
négliger les détails sans signification et second
; la vérité de l'œuvre ne vient pas de là, mais de ce que l'artiste a
su
mettre dans sa production l'apparence de la vie e
tive et individuelle, et elle emprunte sa beauté à ce que l'artiste a
su
y mettre. L'art est l'expression du subjectif ; p
art nous charme, parce que l'artiste lui-même nous y parle et qu'il a
su
rendre ce qui l'attirait lui-même et lui paraissa
ordinaire du mot. La puissance de l'artiste consiste en ceci qu'il
sait
reproduire la vue personnelle des choses de telle
ssion à nos sentiments. L'artiste s'en sert pour exprimer ce qu'il ne
saurait
exprimer autrement, et il espère ainsi faire vibr
l'artiste, pour rendre ses sentiments sous une forme artistique, doit
savoir
les objectiver, de sortent qu'ils ne le maîtrisen
l doit conserver sa liberté à leur égard. Même les poètes lyriques ne
sauraient
chanter sans cette condition ; leurs œuvres ne na
état d'exprimer, de sorte que, quoique ils lui soient précieux, il ne
saurait
les communiquer; cette révélation, qui lui rend c
e là le grand succès des poètes parmi leurs contemporains, lorsqu'ils
savent
prêter une forme à leurs sentiments et à leurs as
de commande, sans racine dans l'âme de l'artiste, sont absurdes et ne
sauraient
jamais être des chefs-d'œuvre. De là aussi le fai
d'une école, et en réalité ne fait que singer autrui, n'est pas et ne
saurait
être un véritable artiste ; il lui manque la tout
n ne l'apprend pas comme les sciences ; celui qui n'a pas de génie ne
saurait
l'acquérir même au prix des efforts les plus pers
la jouissance conserve ici son caractère esthétique, il faut que nous
sachions
que c'est à des apparences que nous nous abandonn
une fièvre Un traitement persévérant amena d'heureux résultats : elle
sait
retenir son urine et ses excréments et peut march
service qui est assez fatigant, serait simplement l'effrayer: elle ne
saurait
où aller et n'en aurait pas les moyens. Elle se p
rf médian, de plus gros calibre et de dissection plus aisée, .ou ne
savait
rien de l'irrigation sanguine du système nerveu
s étroites avec la circulation artérielle des centres nerveux. On
sait
que les artères cérébrales se coudent et s'in-
tement ce mode de circulation veineuse, et nulle description n'en
saurait
donner de meilleure idée que la figure 7, dessi
urbon, fils du comte de Chambord, héri- tier du trône de France. Il
saura
faire valoir ses droits, « fût-ce même, dit-il,
bserve ce malade, il ne s'est produit chez lui aucun changement. Je
sais
chaque matin à l'avance ce qu'il me dira à la v
is chaque matin à l'avance ce qu'il me dira à la visite; mais je ne
sais
j amais si c'est L... qui me parlera, ou si au
cation pour la diplomatie ». Aussi bien ne discute-t-il jamais pour
savoir
ce qu'il demandera au gouvernement, mais unique
ne sommes que les agents stipendiés de cette haute police. Ainsi il
sait
très bien que je suis chargé de le rendre fou en
isades. On voudrait même le pousser à des couteau- lisades. Je ne
sais
rien des antécédents de ce curieux persécuté. 11
ils sont fils de Napoléon III ou du comte de Chambord, mais moi, je
sais
ce que je dis, et je n'ai jamais eu de ces sott
grandeur : M. Falret, si je ne me trompe, en a connu un, qui avait
su
le cacher pendant vingt ans. Il doit exister de
; que l'on admette encore que chez beaucoup de malades je n'aie pas
su
démêler ces idées de grandeur qui existaient ré
ractère devint plus difficile. 11 voyagea beaucoup, et, comme on le
sut
plus tard, c'était surtout pour dépister ses en
êmes individus. « On l'a pris au milieu de son commerce, sans qu'il
sache
pourquoi, il n'a jamais manqué à ses devoirs; o
s ma- ternels ni sur un certain nombre de membres de sa famille. Il
sait
cependant que son grand-père paternel était un
que son grand-père paternel était un grand buveur et un noceur. Il
sait
aussi qu'une de ses tantes, une soeur de son père
abète. 11 avait encore, dit-il, 80 grammes de sucre par litre, pis-
sait
, mangeait et buvait beaucoup. Apres sept mois de
aucoup plus sérieuse. Et pourtant, dans notre cas, la glycosurie ne
saurait
être symptomatique d'une lésion tabétique propa
ain nombre de signes, entre autres l'incoordination typi- que, ne
sauraient
appartenir au diabète sucré. L'existence actuel
le du diabète est un fait d'observation intéressant à souligner. Ne
sait
-on . ZD pas que le sucre disparaît des urines
oires et faits sur le modèle de la toux. La toux consiste, vous- le
savez
, en une série d'expirations brusques produisant
s sur le modèle du hoquet, lequel consiste essentiellement, vous le
savez
, en une contraction subite du diaphragme suivie
s stéthoscopiques plus ou moins accentués ; 4° Ce que ditLasègue, à
savoir
que la toux, comme les autres bruits laryngés h
encore par la présence de stigmates permanents caractéristiques, à
savoir
: 1° hémianes- thésie gauche sensitive et senso
ent aucun avan- tage a employer cette dénomination. Il importe de
savoir
en tout cas,' qu'il n'existe en réalité pas de
; et tous les exemples publiés sous cette rubrique, il faut bien le
savoir
, y compris ceux de M. Blachez, quand on les exa
clamations d'un autre ordre, qu'on n'ob- serve jamais autant que je
sache
dans l'hystérie et qui au contraire, se montren
e au contact d'une autre hystérique ? affectée de la même façon. Je
sais
, par expérience, que : dans les services ou de
e ce genre, ne me semble pas avoir changé grand'chose à ce qu'on en
savait
déjà. RECUEIL DE FAITS ASTASIE-ABASIE A TYPE
en faveur d'une lésion du sympathique dans le cas de M. Popoff. On
sait
que l'hémiatrophie faciale progressive n'a pas
Observation avec autopsie constituant le tabes de Friedreich; en
sus
, lésions des centres de coordination (cervelet, t
ne limitrophe des cordes antérieures et postérieures; impossible de
savoir
où elles se terminent. Il est probable qu'elles o
- 3. Quant aux fibres placées dans la zone médiane, impossible d'en
savoir
plus long. - 4. En ce qui concerne les cordons
ns- verse de la zone radiculaire moyenne. Mais il est impossible de
savoir
par quelle voie les fibres des cordons de Goll
die DE BASEDOW; par A. Eulenbourg. (Neurol. Centralbl., 1890.) On
sait
que ce syndrome a pour caractère de ne se manifes
oculure ; par 131ELSCIIOWSKY. (Neurol. Ceut1'<1lbl., 1890.) On
sait
que, dans les névrites des nerfs des extrémités,
atique; par le Dr L. BONAMAISON. . (Lyon méd., 1891, t. LXVI.) On
sait
que des divergences d'opinion se sont produites s
sensorielle; par , M. E. LACROIX. (Lyon méd., 1890, t. LXV.) z On
sait
que les lésions du faisceau pédiculo-frontal infé
ades. Le cerveau a dû subir seul dans l'espèce l'action quinine; on
sait
que la suppression de l'action cérébrale se tra
L'auteur préférerait l'appellation de « folie générale ». Reste à
savoir
dans quel groupe des affections psychiques placer
le déclarerait qu'éclairée par des documents indiscutables, elle ne
saurait
admettre comme autant d'exemples de séquestrati
iaux qui l'ont compliquée, il n'en reste pas moins un fait acquis à
savoir
que la personne internée était atteinte de trou
ue donner raison aux conclusions des experts. M. BOUCUEItREAU croit
savoir
que la Chambre des députés s'est déjà inquiétée
te voie, car per- sonne ne possède encore les éléments du procès, à
savoir
l'ana- tomie pathologique. Quoi qu'il en soit,
troubles de la nutrition. En résumé, MM. Mabille et Lallemant ont
su
rajeunir à souhait cette vieille question des f
Bicêtre d'une section pour des enfants réputés incurables. Il ne
sait
probablement pas que le Conseil municipal a consa
de bien d'autres personnes, il va même jusqu'à poser la question de
savoir
s'il est bien nécessaire d'assister ou d'hospit
artementaux pour l'assistance publique de ces petits déshérités. On
sait
que notre rédacteur en chef a fait introduire d
ans qu'aucune des formalités exigées par la loi soient remplies, au
su
et vu de la police et de la magistrature. Tou
es du comté de Londres, dans son assemblée de mardi dernier, a fait
savoir
qu'elle avait reçu avec regret la démission de
avait déjà germé sous des crânes plus ou moins savants (ce que nous
savions
d'ailleurs) avant de venir en la cervelle dudit
donna des signes de dérangement d'esprit, qui inquiétèrent ceux qui
savaient
ses anté- cédents. Il s'irritait hors de propos
3 p. 100 prélevés par la poste et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rappe
une forme atténuée, un véri- table accès d'épilepsie sensitive-. On
sait
que l'un de nous, en décrivant ce syndrome, a p
quise, ni une autre maladie infectieuse ne 152 CLINIQUE NERVEUSE.
sauraient
être invoqués dans le cas particulier pour expl
parfois conscience de la gravité des conséquences de leur acte. On
sait
l'histoire de ce vieux dément, inoffensif jusqu
principe, dont l'importance en médecine légale est considérable, à
savoir
: que la tendance à l'homicide n'est pas un sym
i- rante qui attire l'attention sur le sujet. Jusque-là, on ne le
savait
pas aliéné, il dissimulait son état et il se li
que. ' L'état mental habituel des épileptiques est bien connu. On
sait
d'abord qu'en général, chez ces ma- lades, les
, et on finira' par ne 1 plus les poser. On ne' cherchera' plus 1 à
savoir
si; l'alcoolique meurtrier a son libre arbitré,
ptomatique du tabes ou d'un véritable diabète, dans les deux cas de
savoir
, en un mot, si deux entités distinctes sont en
tion exacte intéresse à la fois le pronostic et le traitement. On
sait
aujourd'hui que le diabète et le tabes offrent
ou contre le tabes, mais rien que des présomptions, car, il faut
savoir
que le signe de Westphal relevant du diabète, n
ne couvre pas ses emprunts. » Mais elle avoue qu'en somme elle n'en
sait
rien. : Du moment que je lui ai pris celte montre
pas digne. Ne vous approchez pas, mon haleine sent mauvais. Si vous
saviez
comme dans cette mala- die on ressent tout péni
reproche rien. J'ai été dès mon enfance préparée comme cela. Je ne
sais
rien, l'histoire de la montre était une ima- gi
. Mon mari ne devait pas s'appeler P... Je trouve tout drôle. Je ne
sais
pas d'où je sors, d'où je pars. Quand je tou- c
pas d'où je sors, d'où je pars. Quand je tou- chais ma rente, je ne
sais
pas si c'était vrai; ça doit être faux; ça deva
n'a pas d'écho de la pensée non plus. c On devrait me découper; je
sais
que je serai coupée en- morceaux; d'ailleurs, je
couper; je sais que je serai coupée en- morceaux; d'ailleurs, je ne
sais
et je n'ai pas peur. On suit ma pensée, on peut s
a mère. Alors elle ne m'aimait pas, elle n'était pas ma mère, je ne
sais
plus. Mes parents ne sont plus mes parents. Tou
dans le côté. Tout a été faux dans ma vie. Rien n'était vrai. Je ne
sais
pas mon âge, je ne sais rien. » Elle est frap
faux dans ma vie. Rien n'était vrai. Je ne sais pas mon âge, je ne
sais
rien. » Elle est frappée aujourd'hui de bizarre
onge. Elle croit que tout est faux. Elle ne parle que de ce qu'elle
sait
faussement. Ainsi autrefois elle était bien acc
murmurer que sa mère l'avait eue avant son mariage, mais elle n'en
sait
rien. Elle suppose que ses deux filles ne sont
nc- tions, mais elle n'est pas morte. Ses fils sont mariés, elle ne
sait
pas comment. Les malades du service ne sont pas
ervir à la société pour un procès. Je suis bonne à tuer. Vous devez
savoir
. Tout le monde connaît mes pensées et je ne con
c, monter et des-¡,¡ cendre en elle. Elle a été vingt-sept ans sans
savoir
qu'elle était double. Elle avait bien déjà la «
double. Elle avait bien déjà la « France en elle, mais sans le ,
savoir
. Elles furent enchaînées toutes deux, dit-elle, p
ar deux vers ' 1 solitaires qui les empêchait de remuer. Elle n'a
su
qu'elle était double que quand elle a senti la pe
des personnes en soi on subit l'impression de ces personnes sans le
savoir
, on s'ennuie. » Par moments, quand elle était a
rianne, en se remuant, la jetait du haut en bas de son lit. Elle ne
savait
pas encore que Marianne était en elle. Aujour
aine anxiété, du tremblement des mains, surtout à gauche. Elle ne
sait
pas où elle est ni ce qui lui est arrivée. Elle a
le : Elles partent de dessous le sein gauche. Cela remonte, elle ne
sait
d'où, et elle comprend des voix, dit-elle. D'ai
isent. Antécédents personnels. « Etant toute petite, dit-elle, j'ai
su
souffrir par jalousie. » 214 - RECUEIL DE FAI
elle n'est née qu'en 1849. Il faut passer par où elle a passé pour
savoir
ce que c'est que la souffrance, Quand on lui de
. On peut faire des canailleries en aimant. » Quant à elle, elle ne
sait
pas aimer. Elle vivait avec le fils du notaire.
nt. « Je souffre pour rien, dit-elle; c'est-à-dire pour tous. Je ne
sais
pas ce qui se passe et je n'ignore pas ce qui s
as ce qui se passe. Qu'est-ce qui n'a pas vu ma pensée ? i* Vous ne
savez
pas ce que j'ai enduré. Je suis un chiffon, une
s un chiffon, une putain, une crapule, une canaille. Je n'avais pas
su
comprendre mon nom. Je suis Mademoiselle Sans-G
coup plus de choses que ne l'indique son titre, et que l'analyse ne
saurait
suivre d'assez près pour en donner une idée sat
st très contestée, aussi bien en Angleterre qu'à l'étranger ; il ne
saurait
toutefois, pour désigner l'état de son malade,
jouer un rôle dans l'apparition des troubles intellectuels; elle ne
saurait
cependant être mise en cause, lorsque, comme da
ur le. blanc et. les couleurs. On con- naît ce malade de Berlin qui
savait
tout' simuler, anesthésie, transfert, épilepsie
INGER (de Francfort). Contribution la théorie de la douleur. - Nous
savons
, à n'en pas douter, que la douleur peut être enge
été mandés hier au parquet et très longue- ment interrogés. On ne
sait
si, après instruction, les poursuites seront défi
terminée par l'acquittement de l'infirmier. Personne autre que nous
sachions
, n'a été poursuivi. Cet infir- mier n'étant qu'
e président; mais cela prouve une cer- taine violence de caractère.
Saviez
-vous dans quelles circonstances M ? Dourches mè
rches mère avait fait interner sa fille ? R. Je les ignorais. Je ne
savais
qu'une chose, c'est qu'elle l'avait fait enferm
ouger. , ; D. Vous avez frappé les infirmières ? R. Ma foi, je ne
sais
pas ce que j'ai.fait, tant j'étais suffoqué par
Et qui donc ? R. Son frère, venu à mon secours. D. Vous auriez dû
savoir
que les actes de l'autorité sont respec- tables
ractéristiques du bégaiement proprement dit sont au nombre de cinq,
savoir
: 1° début dans l'enfance; 2° troubles respirat
de premier ordre dans la question si controversée des névroses, à
savoir
: s'il existe quelques rapports de famille entr
us devenus muets ! ... Pourquoi ne me parlez-vous pas ? » Elle ne
sait
avoir quelqu'un près d'elle qu'à la condition de
. - - 29. - Le lendemain matin, elle insiste près de sa mère pour
savoir
ce qui s'est passé la veille, on le lui raconte,
e fois qu'un événement nouveau l'avait préoccupée. Et, en effet, je
savais
par expérience per- sonnelle, que le déplacemen
ns assidus que je lui avais prodigués, pour me dire combien elle me
savait
gré maintenant de l'insistance que j'avais mise
, qu'il y a trente ans, nous avions émise avec quelques réserves, à
savoir
: que ces manifestations multiples dérivent de
à parler, à écrire, à exprimer par des signes ce qu'il pense, on
sait
aujourd'hui que cet état correspond à une lésio
aient subitement; quelquefois des absences pendant lesquelles il ne
savait
plus ce qu'il faisait; il pâlissait tout à coup
dépla- cée. Cette opinion de M. Charcot ne vous étonne pas : vous
savez
qu'il n'a jamais.voulu séparer l'étude de l'espri
r ne parler que du sujet qui doit nous occuper spécialement, vous
savez
que M. Charcot a démontré la nature morale, psy-
ret, c'est une psychologie d'infir- mières. La servante de la salle
sait
mieux que vous combien les hystériques ont le c
ertains faits dont nous aurons peut-être à nous servir. Ainsi, vous
savez
que l'anesthésie est très fréquente chez les hy
ependant un symp- tôme moral à peu près équivalent à celui-là. Vous
savez
aussi que cette insensibilité peut être plus ou
ûts quand elles semblent avoir perdu tous les autres; une malade ne
savait
plus reconnaître que le goût du jus d'oi- gnons
autre malade, ayant éga- lement les mains absolument anesthésiques,
savait
toujours, par le simple contact et sans miroir,
, et il suffit de vous rappeler quelques exemples bien connus. Vous
savez
comment se présentent dans le ser- vice, les ma
s'exécute. C'est bien aussi mon avis, mais je voudrais seule- ment
savoir
comment cette malade qui avait toute la peau du
e renversa en convulsions. Rien d'étonnant sans doute, puisque vous
savez
que la vue d'une flamme amenait la crise. Mais
nous déclare gravement qu'elle a vu un pain à cacheter rouge. Vous
savez
qu'il ne peut être vu que par l'oeil gauche. Vo
he ? On peut traverser leur peau avec des épingles sans qu'elles le
sachent
. Sont-elles insensibles ? Elles répondent dès q
homme peut ainsi réunir dans une per- ception personnelle ? Je n'en
sais
rien, mais je le crois très variable suivant mi
le pincement, et à sa grande surprise, le patient constate qu'il ne
sait
plus sentir consciem- ment, qu'il ne peut plus,
es manifestations sur les sujets que je vous ai présentés. ' Vous
savez
, sans que j'insiste sur la théorie de ce phéno-
cependant ces réflexes dépendent de la sensibilité rétinienne. Vous
savez
aussi que, dans l'état normal, la pupille se di
ts un petit objet dans la main gauche; elle le tàte, mais ne peut
savoir
ce que c'est, elle déclare ne rien sentir. Je fai
sous son nez un flacon d'odeurs, elle aspire et ne sent pas, vous
savez
qu'elle est absolument anosmique. Cela fait, je l
t, et quand je remue son bras droit sans qu'elle le voie, elle ne
sait
plus même son existence. Quand elle ne le regarde
. Mais Marguerite nous déclare qu'elle n'a rien senti du tout. Nous
savons
ce que cela veut dire, elle n'a eu la l'anesthé
la miction survenue pendant l'attaque. Outre ce fait bien connu de
savoir
que la miction survient au début de l'accès, no
il y trouve une vérification de ce prin- cipe établi par Gubler, à
savoir
que les albuminuries tempo- raires sont beaucou
e au cours de cette « épilepsie aiguë ». Il serait intéressant de
savoir
si les malades albuminuriques d'ordinaire meurent
atastrophe, germé dans sa tête. Mais depuis quand ? - Je n'ai pu le
savoir
, ni lui ni sa femme ne peuvent, ou ne veulent, ré
e impulsion homicide ne subit l'influence d'aucun con- trôle. Il ne
sait
même plus, au bout de quelques secondes, pour-
emande la raison pour laquelle il a agi ainsi, il répond qu'il n'en
sait
rien, « mais que ça lui disait de faire comme c
les avoue, soit tels qu'ils ont existé, soit en les modi- fiant. On
sait
que parfois, les mélancoliques inventent même des
lle ne localise pas. Nous ne prétendons pas résoudre la question de
savoir
si les mélancoliques ont toujours soit des voix
nsister au besoin, 390 RECUEIL DE FAITS. questionner sa mère pour
savoir
qu'elle se parle continuelle- ment à elle-même
l'accessoire qui affectent en cette région la forme d'une anse. On
sait
que, chez la grenouille,- la destruction des deux
u'elles ne soient très simples et très précises. Elle ne parait pas
savoir
où elle est. Cinq semaines après son entrée, cé
autrement s'ils sont arrêtés dans des conditions identiques ? Nous
savons
d'autre part que tel épileptique, dont les attaqu
firmée. Pour les autres persécutés dont le délire est diffus, il ne
saurait
y avoir de règle fixe. . M. ROUILLARD serait dé
nation est précédée et accompagnée de sensations élé- mentaires. Ne
sait
-on pas que l'hallucination peut survenir et dis
ifférence. La première constitue un modèle gran- diose dont il faut
savoir
se servir afin de n'en point imiter les fai- bl
des sont habitués dans nos établissements à un bien-être dont on ne
saurait
les priver. Il ne faut pas que la population so
té une grande lenteur, et même des rémissions dans leur marche. Qui
sait
si, l'affection n'aurait pas rétrocédé sans une
L'analyse, trop imparfaite de ces travaux inédits jusqu'alors, ne
saurait
remplacer la lecture attentive. Nous avons tenté
associé; mais les externes nous abandonnaient et le service se fai-
sait
presque toujours avec le chef de service et son i
tat est dû. Vous personnifiez parmi nous le clinicien hors pair qui
sait
voir et trouver, le successeur direct de nos gr
més ; la méthode est sûre et éprouvée; travaillez, soyez patients ;
sachez
attendre ; le succès ne manquera pas tôt ou tar
ent l'humanité, la plus cruelle de toutes, l'aliénation mentale, ne
saurait
être privée de ce bienfait. » Dès que l'occasio
promit de la présenter à saint Pierre lequel, détenant, comme on le
sait
, les clefs du paradis, lui en ouvrirait les por
tériques, épileptiques ou noctambuliques simples ! on n'a jamais pu
savoir
), elle allait prendre dans la maison de son père,
les psychiques des plus pénibles comme des plus tenaces et dont je ne
saurais
même peindre l’intensité qu’en empruntant au mala
it des chapitres dans les différentes églises de la secte. Quand on
saura
qu’on a publié 135 éditions de ce livre, que l’ex
ste précisément pour beaucoup, dans ce fait, qu’il ne peut plus et ne
sait
plus vouloir. « Ces malades, écrit très justement
ée ; c’est la diathèse de contracture qu'il faut combattre... et nous
savons
que son traitement de choix c’est l'hypnotisme.
ive). Plus on sauraproduire des phénomènes bien déterminés, plus on
saura
les varier et les graduer, plus la méthode expéri
ngué de l’autre et constitue l'objet propre d’une science spéciale, à
savoir
la physiologie, d’une part, et la psychologie, de
’est pas médecin, de conclure. Il consulte le Congrès sur le point de
savoir
s’il y a lieu de maintenir les conclusions adopté
els une personne, animée des meilleures intentions, peut agir sans le
savoir
et sans le vouloir par supposition, dans cet état
ions, il est vrai, ne sont que théoriques, et aucune considération ne
saurait
prévaloir contre les faits. Or, le D^ Crivelli
à la suggestion plus ou moins habile, plus ou moins intense dont on a
su
les accompagner, soit par la ré- , clame, soit pa
oin, immédiatement après, de lui faire son injection;mais ce qu'il ne
sait
pas, c'est qu'on lui injecte de l'apomorphinc, c'
l. Celle malade, au réveil, ne s'est pas reconnue; elle n'aurait rien
su
de (1) Leçon clinique û la Salpétriêre. ce
e leur bec un nouveau-né par le cou. Qu’allait-il se passer? On ne le
sut
que trop vite. Le père plongea l’enfant sous l’ea
secours des nouveaux-nés. On en sauva deux ; deux sur cinq ! Nous ne
savions
pas que les cygnes tuaient quelquefois leur progé
e planera sur nos débats. Nos adhérents qui ne l’ont point connu nous
sauront
gré, sans doute, de reproduire ici ses nobles tra
ier était tout indiqué pour présider ces assises internationales; 011
sait
avec quelle autorité, quelle compélence et quelle
un certain nombre de guérisons obtenues par suggestion hypnotique, à
savoir
des idées délirantes, un torticolis intermittent
nt en garde contre les confusions et les erreurs que ses auditeurs ne
sauront
jamais assez dire tout le profit qu'ils en retire
oint d’acheteurs» Une fois cet ouvrage achevé, le Dr Liébeault ne
sut
pas rester inactif; animé du besoin de se rendre
proposition, je pense que M. Lionel Dauriac a voulu dire que nous ne
savions
pas si les idées religieuses étaient vraies ou fa
igieuses étaient vraies ou fausses. Si c’est bien là sa pensée, je ne
saurais
l’acceptcr sans restriction. Les idées religieu
ne, les autres des erreurs flagrantes. 11 est bien vrai que nous ne
savons
pas si Dieu existe ou non, el s'il a donné, ou no
re ensuite à chacun de choisir telle ou telle croyance, cari’hommc no
saurait
vivre sans hypothèses métaphysiques. Mais au moin
uit des lois de la suggestion et de la suggestibilité de l’enfance ne
saurait
rester indifférent. Dr Charles Binbt-Saxgliî.
empêcher de boire ». Vous voyez qu'il est sincère avec lui-même, il
sait
qu’il fait mal et, désirant s'amender, il vient n
nt parlé tons ces temps-ci, mais il n’en a retiré aucun effet. Vous
savez
comment se comporte le dipsomane ; il est pris de
boire. J'ai connu autrefois un homme qui faisait a sa neuvaine ». Je
sais
uu homme quia une chambre en ville, y va de temps
erveux* la Salpétricrc. puis revient à l’etal normal, rentre dans
su
iainille cl reprend ses affaires. Le cas de not
int-Andrd-des-Aris. humain ; l’oreille ne vaut pas mieux. Elle ne
sait
nous renseigner ni sur la direction des sons, ni
en si la voilure qui passe dans la rue s’approche ou s’éloigne, on ne
sait
pas dans quelle direction. Si le son est bizarre
sité de sa voix, et de la proportionner à l'éloignemcnt. C'est ce que
savait
très bien pratiquer Pythagore, lorsque se promena
ar la mimique de l'artiste, d'autant plus facilement que ce dernier a
su
mieux respecter les lois physiques de la dégradat
s ancêtre et interrogeait ses morts, a pu devenir ventriloque sans le
savoir
; comment aussi, lorsque ce culte des morts s’est
triloquie, avec une grande facilité et une extrême perfection. Nous
savons
maintenant en quoi consiste !a ventriloquie, quel
es livres de Samuel, m’écrivait à ce propos : « En réalité, nous ne
savons
rien de certain sur le mécanisme de ces faits ; e
ujourd'hui, que se trouve la vraie solution : on rencontre, lorsqu’on
sait
le chercher, des descriptions nombreuses, dues à
use, mcme pour ceux qui, familiers avec la critique, n'ont pas encore
su
se détacher complètement des entraves du traditio
là comment les premiers hommes firent tous de la ventriloquie sans le
savoir
, Comment prêtres, prophètes et nécromants utilisè
onl abondamment puisé les religions et les superstitions, que nous ne
savons
plus distinguer les unes des autres, aujourd’hui.
e, d’éducation et de moralisation que sa direction toute paternelle a
su
réaliser. L’Assistance publique elle-même s’est m
à impressionner et à modifier l'opinion courante? C'est parce qu’il a
su
présenter les phénomènes du somnambulisme, d’une
chologiques dans ces mômes phénomènes. Eh bien ! Messieurs, il faut
savoir
le reconnaître, les recherches et les découvertes
et l’in-térét était vif qui présidait à ces séances. C'est encore un
savoir
qui sentie fagot que l’hypnotisme, une science du
ni les loisirs ni la compétence nécessaires pour les analyser, on me
saura
gré de les indiquer sommairement, en me réservant
t trouvant dans le logement exigu une fille, s’inquiétait fort peu de
savoir
si c’était la sienne, et assouvissait ses désirs
e se trouve guère répandu dans le public. Le point essentiel est de
savoir
s'il y a eu véritablement sommeil provoqué. Messi
dre immédiatement leurs occupations sans être incommodées. Or, vous
savez
que l'action des narcotiques habituels, ceux qui
soin la personne qui dit avoir été endormie, et que vous cherchiez à
savoir
quels symptômes elle a ressentis après l’absorpti
animal étaient l’objet du même dédain de la part des savants, et l'on
sait
, depuis que M. Charles Hichet. l’un des premiers,
e mine inépuisable pour l’aliéniste et le neuro-pathologiste. Il faut
savoir
grc à M. Morselli de l’avoir reconnu, et d’avoir
chéveningue, le docteur Breukink représente l’école de Liébeault et a
su
, par mainte cure heureuse, gagner la faveur du pu
rofessent au sujet de la suggestion thérapeutique — pour autant queje
sache
— les doctrines de l'école de Nancy, et qu’ils vo
chiatres en titre, médecins-directeurs d'asile d’aliénés en mon pays,
savoir
les docteurs J. van Deventer et S. Reeling Brouwe
, M. Wiegand fils, a, sur mes données, projeté un excellent plan et a
su
en exécuter la construction dans le cours d’envir
e (il s'agit alors de la méthode expérimentale subjective). Plus on
saura
produire de phénomènes bien déterminés, plus on s
ive). Plus on saura produire de phénomènes bien déterminés, plus on
saura
les varier et les graduer, plus la méthode expéri
Tout de suite surgit une première question, très importante : nous
savons
que pour qu’une suggestion quelconque puisse se r
ser, le sujet doit présenter un certain degré de suggestibilité; nous
savons
, d’autre part, qu’une très grande suggestibilité
veille, après un entrainement suffisamment long. Naturellement, je ne
sais
pas à quels résultats peuvent arriver, à l’état d
chloroforme. Vous avez tous assisté à des chloroformisations ; vous
savez
que toujours, excepté chez les tout jeunes enfant
a impossible de lutter contre les mouvements de défense, qui, vous le
savez
, sont parfois tellement violents que deux ou troi
elle pouvait remonter, et en second lieu de répondre à la question de
savoir
si la jeune Marguerite A... avait pu être déiloré
en dehors du sommeil magnétique, il y a tant de mensonges, que je ne
saurais
aller plus loin. Le sommeil magnétique est fict
op près d’elle. Elle évitera de passer dans certaines rues, où elle
sait
que certains commerces sont exercés; elle ne pass
nça ses contemporains; profond analyste, systématisateur puissant, il
sut
voir clair, là où tout le monde voyait trouble.
en somme, un traitement bien plus redoutable que les persécutions, à
savoir
la conspiration de l’inertie et Pétouffement parl
ncantes. Avec une énergie, une constance et un courage admirables, il
sut
tenir bon et combattre le bon combat jusqu’au bou
ation est révélée par certains actes psychologiques très simples : on
sait
à quel point le bâillement est contagieux, l’éter
Tandis que l’être purement imitatif fuira parce qu’il a vu fuir sans
savoir
pourquoi, le suggestif aura peur, puis fuira. L
e contradiction ost la source de presque toutes les discussions et on
sait
si elles sont fréquentes. Tout conseil ou ordre d
nt cet esprit très développé. Tous ceux qui ont fait de l’hypnotisme,
savent
qu’il est deux sortes d’hystériques ; les uns trè
et continuaient à causer (1). Même explication que précédemment : à
savoir
, suggestion inconsciente, puis suggestion persist
ue la léthargie est purement morbide, hystérique. D’ailleurs, nous ne
savons
pas ce qu’est l’hystérie, quelle est sa cause, sa
, votre science est devenue comparable à cette force mystérieuse. Qui
sait
où elle s’arrêtera? Je ne suis qu’un profane et
ment intéressé à vos travaux. Je n'entrerai pas dans la discussion de
savoir
si l’hypnotisme est une branche de la médecine et
produire tous ces détails. Signalons pourtant un de ces sujets qui ne
sait
pas et ne peut pas parler, mais dont l’oreille es
ez elle, de se coucher et de dormir. C’est ce qui est arrivé. Elle ne
sait
maintenant qu’elle a eu la velléité d’une fugue q
de la jalousie etde l’envie des oiliciels, auxquels, d’ailleurs, ils
surent
dire crânement des vérités souvent très dures, ma
t critique et l’érudition de Jules Soury, « ce bénédictin laïque »,ne
sauraient
mieux être reconnues. Nous nous bornerons à lui e
u’il s’en aperçoive. Interrogé pendant l’état de veille, M. X... ne
sait
pas du tout si cette femme se livre sur lui à des
eut pas gravir une seule marche. A la fois stupéfait et vexé, il ne
sait
comment expliquer ce phénomène et il songe sérieu
est très importante ; elle confirme ce que j’ai soutenu autre part, à
savoir
que, avant de faire des suggestions à la faveur d
ion d’un point hypnogène artificiellement créé. Réveillé, ce sujet ne
savait
même pas qu’on l’avait endormi. Après l’avoir hyp
fait, tous ces agissements multiples concourent ù un même résultat, à
savoir
: placer le cerveau dans un état de monoïdéisme q
ents aient une grâce douteuse, il n’importe. La question n’est pas de
savoir
si l'on parle avec éloquence, mais si l'on parle
’un espoir dont, selon toute vraisemblance, la réalisation lardera et
sachons
manquer de la témérité qu’il faudrait avoir pour
d’un homme pour qu’on se crût autorisé à l’éliminer. Aujourd’hui nous
savons
qu’elle existe dans les deux sexes; certains prét
e la psychothérapie hypnotique est susceptible de se manifester. On
sait
que certains sujets présentent au sortir de malad
son depuis le mois d'août. Qu’en scra-t-il dans quelque temps ? Je ne
sais
. J'ai vainement cherché chez cette malade les s
et méritent, à ce titre, d’en être rapprochés. Depuis longtemps, on
sait
que le psychique influe sur les sécrétions : des
te un extrême intérêt. Avec une remarquable habileté, les chirurgiens
savent
maintenant ouvrir la boite crânienne et ils nous
odifiées et détériorées, elle nous fournit des pièces fraîches; on ne
saurait
trop l’en féliciter. M. Aubeau fait allusion au
ntellectuelle sont revenues progressivement. Il serait intéressant de
savoir
quelle a été la part qui en revient aux suggestio
n me pardonnera de ne faire aucune hypothèse, en songeant que nous ne
savons
pas encore ce qu’est le sommeil naturel, et à quo
à quoi il est dû » (•). Or c’est précisément parce que nous croyons
savoir
aujourd’hui ce qu’est le sommeil naturel, que je
an des Nervensystems in Lichte neuester Forschungen. 1895, p. 51), ne
sauraient
, si éminents que soient ces hislologistes, préval
épendance de la volonté ; Saint Augustin a écrit: « ipse sum expertus
su
dard hominen solere cum vellet». D'autre part, la
inations, attitudes passionnelles et clownisme est classique. Mais on
sait
fort bien que ces derniers phénomènes peuvent man
te pour l’hypno-tiser, ou le fasciner, ou le monoidéiser, que si vous
savez
l'intéresser à l’opération mentale que vous voule
raitement ni recourir à aucune opération, pour en déduire que X... ne
saurait
être considéré comme ayant ainsi pris part au tra
par la Chambre, sans protestation ni réserves; » Que ce silence ne
saurait
à lui seul, en présence de la contradiction qui e
iduchesse Stéphanie d’Autriche possède, assure-t-on. un perroquet qui
sait
son « Pater » en six langues différentes. Le sult
physiologique de l’hystérie par le Dr Binet-Sanglé. [suite) On
sait
, depuis Serres, que révolution-embryogénique repr
st de même pour une cellule quelconque dans un corps de femme, car on
sait
que la femme est en retard sur l'homme dans le mo
ang ou de certains de ses composants (hystérie suite d’anémie). Or on
sait
que Soukhanoff a observé l’aspect moniliforme des
ents des cellules corticales du chien après un choc électrique? Et ne
sait
-on pas que les phyto-blastes du renflement moteur
é gauche. Cela tient à ce que le côté gauche du corps étant, comme on
sait
, moins actif que le côté droit, reçoit moins d’im
ue. Dans un système d’éléments chromatiques donné certains (1) On
sait
que Parinaud attribue la polyopie monoculaire hys
c’est l’origine de l’altruisme. Une question fort controversée est de
savoir
si l’altruisme n’est qu’une forme de l’égoisme. C
stion », Correspondant médical, 15 octobre 1896. * ¥ ¥ « Pour
savoir
hypnotiser, il ne suffit pas d’étre suggestionneu
ique considérable. En sa présence, M“° C... est comme engourdie et ne
sait
pour ainsi dire plus parler ; elle ne retrouve sa
ttribue la paternité de cette théorie, n'a fait que la développer; on
sait
qu’elle est encore fort en honneur de nos jours.
nnels; d’autres, plus rompus peut-être à la pratique de l’hypnotisme,
sauront
le rendre à la fois inoffensif et efficace. Néanm
puisse arguer de son ignorance en pareille matière et dire : a Je ne
savais
pas ! » Il faut enseigner, « et c’est là le côté
mander aux exercices acoustiques que ce qu’ils peuvent donner; ils ne
sauraient
réveiller des restes auditifs qui n’existent pas,
neurone qui contient cette empreinte est en état de rétraction. On
sait
que les hystériques perdent souvent toute une cat
ines et laissent leurs empreintes dans la môme région de l’écorce. On
sait
aussi que l’amnésie hystérique intéresse fréquemm
inférieurs des mouvements coordonnés, et que tel autre malade qui ne
saura
plus marcher pourra encore sauter et danser. Il
larynx et les muscles préverlébraux et ressortir de l’autre côté. On
sait
que la région prévertébrale est pourvue d’un tiss
ne petite plaie rouge sans hémorragie. Faut-il s’en étonner, quand on
sait
que les membres anesthésiés des hystériques ne sa
nécessaire de revenir sur la défini- tion du vaginisme, car on ne
saurait
donner ce nom aux difficultés douloureuses que pr
res disparaissent d'ailleurs rapidement dès que le médecin consulté a
su
pratiquer un pansement convenable. J’ai eu l’oc
rant état, car l’expcrience a malheureusement prouvé que le vaginisme
savait
résister à plusieurs accouchements. Il existe d
cte conjugal, pour faire place à un appétit sexuel, l'assimilation ne
saurait
plus être la même. On ne peut comparer, en effet,
tation. Lorsque cello-ci vint me voir, elle ne me cacha pas qu'elle
savait
que sa démarche serait absolument inutile, qu’ell
res. Et peur celui qui vit en contact continuel avec les animaux, qui
sait
les observer, qui par métier ou amitié s'est appl
plus grands efforts de suggestion. La seconde raison c’est qu’on ne
sait
pas assez ce qu'est en réalité le suicide ; je ne
cela il ne se laisserait pas aller au désespoir complet, puisqu'il se
sait
auprès de son maître, de celui qu'il affectionnai
recrue pour la savante Compagnie que ce brave homme de bon sens, qui
sait
parler — il Ta souvent prouvé — avec à propos et
es. S’ils se prennent d’affection ou de haine pour une personne «sans
savoir
pourquoi», c’est que rien ne vient contrebalancer
un petit nombre d’équipes sur le chantier. Aussi bien le contraire ne
saurait
se concevoir. Se figure-t-on un homme qui, dans l
e. Aussi bien n’est-ce pas une colonie animale? Elle résulte, nous le
savons
, du tassement et de l’agglutination de petits agr
ubert ne fut pas un épileptique. Ce que je prétends, c’est qu’on n’en
sait
rien, parce que les observations publiées sont tr
congénères vérifient la proposition émise par un psychothérapeute, à
savoir
a que la suggestion hypnotique constitue la vérit
sultats les plus rapides et les plus durables ». En tous cas, on ne
saurait
accepter sans réserve l'opinion encore classique
e personne sur laquelle ils puissent en toute conscience se fier, qui
sache
les comprendre et les conduire. Dans le traitemen
ormeur que chez le malade qui ne dort pas, il faut pouvoir raisonner,
savoir
saisir le côté faible et opérer au moment psychol
ne idée. Il faut, dès le début du traitement inculquer aux malades de
savoir
se contenter d’une amélioration plus ou moins con
e du malade, à lui servir d’ami et de guide. Armé de ces qualités, il
saura
relever le moral du patient dans ses moments de f
premier récit il est nul, et bien insignifiant dans les autres. Je ne
saurais
donc identifier celte action à celle des douches
ns et les .Slaves, des temps anciens vouaient au chêne; tout le monde
sait
aussi combien cet arbre et, surtout, le gui q
miliaires, suivant les âges, est à peu près en rapport avec ce qu'on
sait
de la fréquence de l'hémorrhagie cérébrale, aux d
e riiémorrhagie cérébrale aux différentes époques de la vie ; nous ne
savons
pas même approximativement pour quellepart l'hémo
Julie), 63 ans. On n'a pas de renseigne ments sur cette malade ; on
sait
seulement qu'elle était gâteuse, confinée au lit,
athéromateuses. A ces 77 observations où. la nature de la lésion ne
saurait
être mise en doute et où l'existence des anévrysm
é à l'hémorrhagie cérébrale. Cependant l'auteur, préoccupé surtout de
savoir
si ces anévrysmes, qu'il avait rencontrés presque
cérébrale dans ces deux cas, et il ne se pose môme pas la question de
savoir
si ces dilatations vasculaires peuvent jouer un r
pression exercée sur les parties qui supportent le poids du corps ne
saurait
évidemment être considérée là que comme une cause
otifs qui obligent à reconnaître — et c'est un point sur lequel on ne
saurait
trop insister, — que l'influence du decubitus est
en réalité sont des hypothèses gratuites qui n'expliquent rien. On
sait
, en effet, que certaines lésions cutanées (zonaj
altérations des racines ou des cordons postérieurs de la moelle. On
sait
aussi que les fibres nerveuses sensitives qui for
ons musculaires exagérées, la température du corps est modifiée. On
sait
que certaines maladies convulsives sont marquées
bservé très souvent, et que nous retrouvons dans notre observation, à
savoir
la présence d'un dépôt membraneux, non-seulement
orique. Deux points surtout seront mis en lumière par cet exposé, à
savoir
: 1° qu'il peut se former des néo-membranes sur l
embrane de nouvelle formation, développée sur la tunique vaginale. Ou
sait
, enfin, que quelques faits d'héma-tocèles péri-ut
ours de la paralysie générale avec laquelle elle coexiste, comme on
sait
très fréquemment. Quant aux: symptômes apoplectiq
il y a environ deux ans, une attaque de perte de connaissance. Il ne
sait
pas, et on ne lui a pas dit, quels phénomènes ont
dans cette période, il a eu deux ou trois autres attaques dont il ne
sait
pas le caractère. Quelques semaines avant son ent
ocier deux termes que M. le docteur Auburtin semble considérer, je ne
sais
trop pourquoi, comme inconciliables, je persiste
vaincre ; il réclamerait ce qu'il appelle la contre-épreuve : c'est à
savoir
, l'histoire complète et détaillée d'un individu c
par M. le docteur Auburtin serait vraiment inestimable, et qu'elle ne
saurait
être payée d'aucun prix. Agréez, etc. J.-M. C
ti-ques ou spontanées des nerfs périphériques, il en est, comme on le
sait
, qui occupent particulièrement les jointures. Ces
conscience des attitudes que prennent ses membres inférieurs ; il ne
sait
pas si ses jambes sont écartées ou placées l'une
rhumatismale ou goutteuse, l'influence prolongée du froid humide, ne
sauraient
être invoquées, ou font même complètement défaut
s pourrons invoquer du moins, les probabilités de l'analogie. B. On
sait
que certaines lésions de l'axe médullaire ont pou
'accident, de telle sorte que l'influence mécanique de la pression ne
saurait
être considérée ici cme comme une circonstance to
ite scléreuse des cordons postérieurs. Cette conclusion toutefois, ne
saurait
être proposée qu'avec réserve, car il lui manque
à-dire dans les muscles, par exemple, dans les articulations. Je ne
sache
pas que cette importante distinction soit fondée
fre de douleurs spontanées, revenant par accès, et auxquelles elle ne
sait
assigner aucun siège déterminé. Les mou vements
réquemment aux diverses altérations du cerveau; que, de plus, elle ne
saurait
être ramenée au groupe arthro pathies consécuti
isme exercera-t-elle, à distance, son action sur les jointures ? On
sait
que, dans l'hémiplégie à début brusque, consécuti
urément, à moins de placer l'homme en dehors des lois communes, on ne
saurait
accepter qu'il puisse exister une contradiction r
réapparition de la sensibilité ; dans ces faits d'hémianesthésie, on
sait
qu'il y a non-seulement paralysie de la sensibili
nattendus, auxquels on est arrivé. M. Burq est alors intervenu, et on
sait
que la métallothérapie est sa préoccupation domin
(( On pourra toujours objecter qu'il s'agit là d'hystériques dont on
sait
le goût et l'aptitude à la simulation. Quoi qu'il
il a perdu la faculté de distinguer une ou plusieurs couleurs. « On
sait
que, dans l'état normal, les différentes parties
es caractères de l'achromatopsie ne sont pas propres à l'hystérie. On
sait
qu'à la suite de lésions de la partie postérieure
auteurs qu'il vient de citer. M. Vigouroux, qui s'occupe, comme on le
sait
, des recherches sur le magnétisme, a fait à la Sa
e le contact des pièces métalliques avec la peau, il y a, comme on le
sait
, une période de réaction pendant laquelle les phé
, phénomène que le hasard seul a fait découvrir et que les malades ne
sauraient
ni inventer ni simuler. 11 est encore un phénom
sur laquelle j'appelai votre attention dans la dernière séance. Vous
savez
que chez les hystériques il existe, du côté de ri
dement établie. En effet, nous avons eu recours au critérium que vous
savez
. Hier, nous avons appliqué sur le front de la mal
e brassards. On s'est amusé, dans le temps, de ce traitement; je ne
sais
pas pourquoi, car il en est certainement de beauc
u'on a recours, ou bien à l'eau de Saint-Christau, qui, comme vous le
savez
, contient du cuivre. Si elle est sensible au zinc
est entre ces deux écueils également dangereux que l'observateur doit
savoir
s'orienter. Si quelqu'un venait me dire qu'il s
servateur doit savoir s'orienter. Si quelqu'un venait me dire qu'il
sait
guérir le cancer, sans me départir bien entendu
ois aux questions qu'on lui pose avec plus de précision qu'elle ne le
saurait
faire 1. Tantôt en haut et en dedans, tantôt en
as avoir été jusqu'ici suffisamment relevée? M. Charcot déclare ne le
savoir
en aucune façon. Le médecin observe, c'est au phy
sances, il nous semble qu'il convient d'invoquer ici Vinduction. On
sait
que chaque fois que Ton approche un aimant ou un
e cette singulière question, limitée d'abord à la métallothérapie. On
sait
comment, dans le cours de ces recherches, M. Gell
ette des Hôpitaux, du 21 novembre suivant. vulgairement connus ; on
sait
qu'ils consistent généralement en une anesthésie
vous en montrerai ici deux cas seulement sur dix hystériques. Vous
savez
que l'hémianesthésie ne porte pas seulement sur l
, aucune conséquence fâcheuse. II. Troubles de la vision. — Briquet
savait
déjà que chez les hystériques, on constate un aff
matopsie complète ou partielle de l'œil du côté liémianesthésique. On
sait
que le champ visuel, même pour l'œil sain, n'est
enfin le violet. Alors elle reconnaît toutes les couleurs. Mais vous
savez
que, en vertu de la loi du transfert, ce qu'elle
plus rien, ne pensant plus à rien : lorsqu'on la réveillera, elle ne
saura
pas ce qui s'est passé. Pendant qu'elle est dan
t n'est pas un sommeil. On a dit que c'est un sommeil nerveux ; je ne
sais
trop ce que cela signifie : appelons-le plutôt un
les animaux (1). I. Contracture hystérique; disparition subite. —On
sait
que la contracture hystérique est d'une ténacité
constater que les phénomènes locaux sont absolument identiques. Vous
savez
que l'on dit caractéristiques des myélites partie
outes ces autres se rapprochent plus ou moins du genre gâteux ; elles
savent
à peine leur nom, etc., en un mot, elles ne peuve
es du côté gauche et de la langue. Je les fais disparaître comme vous
savez
: je lui fais regarder la lumière, électrique, el
sibilité auditive, ou à celle de la sensibilité générale ? Nous ne le
savons
pas ; nous rechercherons bientôt si l'excitation
lution des membres : ce fait est absolument copié sur nature. Sans le
savoir
ni le vouloir, le saint a produit l'effet que nou
uvoir être ramenés, suivant M. Charcot, à trois types fondamentaux, à
savoir
: 1° l'état cataleptique; 2M'étaHéthargique et 3°
loi aujourd'hui bien établie, que les manifestations pathologiques ne
sauraient
comporter en elles-mêmes aucun élément nouveau, q
oins profondes des conditions physiologiques, il arrive que, pour qui
sait
y regarder, les phénomènes morbides sont pleins d
dessein la vibration du diapason, l'aimant, l'action électrique. Nous
savons
en effet que ces derniers agents font souvent naî
us du poignet. D'autres affections nerveuses au contraire sont, on le
sait
, marquées, dans la règle, par une abolition compl
t s'irradient, parfois même ils se généralisent. Cette irradiation ne
saurait
être soumise à aucune loi précise en raison de l'
degré d'excitabilité différent de celui des bras ou inversement. Nous
savons
aussi qu'au point de vue de l'hyperexcitabilité n
la veille, tandis qu'une pression, si peu prolongée qu'elle soit, ne
saurait
produire autre chose qu'une contracture. 11 en ré
. Fig. lU. — Griffe cubitale. Une attitude aussi caractéristique ne
saurait
être l'effet du hasard ; elle trouve sa raison d'
entreront simultanément en action. Nous verrons que cette attitude ne
saurait
être autre que la griffe cubitale que nous avons
ubital, de tous ceux qui meuvent l'index et le médius. Leur action ne
saurait
donc être gênée ; et, en effet, nous voyons dans
ellement intense que la flexion légère de l'avant-bras sur le bras ne
saurait
exister. Le poignet est fléchi. Le pouce, par
minaisons dans la substance du muscle ? La solution de ce problème ne
saurait
être demandée aux seules données de l'expérimenta
r excitation portée sur le deltoïde en est un exemple concluant. Nous
savons
, d'après les recherches de Duchenne (de Boulogne)
n'échappe pas aux difficultés que nous venons de signaler, et l'on ne
saurait
exiger plus de précision de ce nouveau mode de re
abilité. Mais, ceci n'est vrai que pour les muscles des membres. Nous
savons
en effet que, pour ce qui est des muscles de la f
rendue cataleptique, sans nuire àl'expression de la physionomie. Nous
savons
d'ailleurs que la contracture des muscles des mem
à l'expression d'un sentiment unique, dans le second, le résultat ne
saurait
être qu'une grimace. Nos expériences sur notre
ntent les deux moitiés de la face n'en est pas moins frappant. Nous
savons
que, la malade étant en léthargie hypnotique, l'h
qui va donner le mouvement au muscle auriculaire supérieur, et qui ne
saurait
être autre que le rameau temporal du facial. II
constatons que l'excitation mécanique portée sur un muscle anémié ne
saurait
y provoquer de contracture, mais n'en détermine p
nous avons prises lors de l'application de la bande d'Es-march. Nous
savons
que, dans l'état d'hyperexcitabilité, il suffit d
ue des nerfs et des muscles amène la contracture de la façon que l'on
sait
, mais cela au bras gauche seulement. Tout le rest
ilité neuro-muscualire constitue un des principaux caractères. L'on
sait
comment ces deux modes du sommeil nerveux peuvent
. com.pl. t. ix, Hypnotisme. 2 ? décrit par l'un de nous, et qui ne
saurait
être considéré que comme une nouvelle manifestati
e et en maintenant ses yeux ouverts, l'état cataleptique véritable ne
saurait
être obtenu. Les réflexes tendineux persistent, e
C... s'endort facilement par la pression sur les globes oculaires et
su
? les tempes. L'état de sommation ainsi produit se
ché au premier par des liens physiologiques faciles à reconnaître, ne
saurait
se trouver ailleurs que dans les communications e
jeu dans le phénomène de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. Nous
savons
depuis les recherches de Sachs, Tschiriew et autr
. léthargique de l'hypnotisme chez les hystériques (1). ) û L'on
sait
qu'une des phases du sommeil hypnotique chez les
sses musculaires, souvent très énergiques, du côté opposé du corps, à
savoir
dans les deux membres et dans la moitié de la fac
rait par le conduit auditif externe ; — ce point correspond, comme on
sait
, à peu près à la limite supérieure de la région e
its une fois bien constatés dans l'état léthargique, il s'agissait de
savoir
s'ils étaient bien une particularité de cet état
ne excitabilité spéciale de certaines régions de l'encéphale. Il ne
saurait
être question ici de localisation cérébrale préci
a paroi crânienne, la dure-mère, jusqu'à l'encéphale. C'est là, on le
sait
, une question qui divise les auteurs ; personne d
ne demeuré intact, de la même façon qu'il l'a été chez les malades, à
savoir
un électrode sur le sommet du crâne à quelques ce
mème çôté ? L'excitation des régions dites motrices de l'encéphale ne
saurait
rendre compte, je pense, de ces résultats. 11 y a
ion des régions sensibles de la dure-mère ? Mais, sur ce point, je ne
saurais
me prononcer quant à présent. Quoi qu'il en soi
st nullement interrompu par l'application électrique, tandis que l'on
sait
que le simple souffle sur le visage suffit pour l
la physionomie qui perd au même moment l'expression première. Nous
savons
que la contraction du muscle orbiculaire palpébra
rsque Gampanella, célèbre philosophe et grand physionomiste, désirait
savoir
ce qui se passait dans l'esprit d'une autre perso
ntracture avec l'amyosthé-nie sont les mêmes qu'avec l'anesthésie. On
sait
d'ailleurs que ces deux derniers symptômes vont h
r, il est aussi difficile d'exagérer l'altitude de flexion, ce qui ne
saurait
être dû qu'à la contracture des muscles antagonis
contracture des muscles antagonistes, jumeaux et soléaire. b) L'on
sait
que chez les malades dont il s'agit, la contractu
té, expérimentalement. Eh bien! malgré cela, le plus souvent, nous ne
savons
comment nous y prendre pour en finir avec les con
muscles des membres, déterminant ainsi leur altitude moyenne. Or, on
sait
expérimentalement que la tonicité musculaire est
e expérimentale et surtout dans le domaine pathologique : ainsi, nous
savons
que, sur les zones hystérogènes, une action légèr
xcitations à l'action, tandis que d'autres servent à l'inhibition. On
sait
, en outre, que la section du faisceau pyramidal a
on de l'hypnotisme ; et c'était de toute justice, car elle seule peut
savoir
l'appliquer convenablement et légitimement, soit
ysique, qui dominent la question. I. L'électricité, comme vous le
savez
, est une, quel que soit l'appareil mis en jeu pou
dantes dans leur action physiologique et thérapeutique. De fait, nous
savons
déjà que dans certaines lésions des nerfs ou de l
a possibilité de satisfaire un desideratum senti par tout le monde, à
savoir
un plus large et plus méthodique emploi de l'élec
Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 32 exceptionnels que je ne
saurais
vous énumérer sans prolonger outre mesure cette c
xemples. Certains cas de paralysie faciale périphérique sont, vous le
savez
, difficiles à traiter par la faradisation et la g
heureusement, en pareil cas, l'amendement n'est que temporaire, il ne
saurait
s'agir de guérison. Dans certaines né-vropathies,
'autres sujets. Rien de plus naturel que ces différences, lorsqu'on
sait
que les divers expérimentateurs n'emploient ni le
de plus subtil, de plus délicat, de plus difficilement saisissable, à
savoir
, les phénomènes intellectuels ; c'était commencer
rie, tandis que du côté des membres, ces paralysies sont, comme on le
sait
, très fréquentes. L'excitation mécanique des tr
une question si simple en elle-même et oîi tout s'explique, quand on
sait
que la suggestion est la clef des phénomènes hypn
de la somnolence, quelle garantie avons-nous de sa sincérité ? On ne
saurait
se faire aucune illusion à cet égard ; nous ne po
ntroverse s'est déplacée ; elle ne porte plus sur ce point capital, à
savoir
si l'hypnotisme est une réalité ou une jonglerie
isme est une réalité ou une jonglerie ; elle porte sur la question de
savoir
quelle est la cause, quelle est la genèse des phé
xpérimentateurs qui appartiennent à l'École de la Salpètrière (i). On
sait
que par cette méthode, il est possible do donnera
ers temps sur ce qu'on pouvait appeler les suggestions organiques. On
sait
aujourd'hui qu'en employant la suggestion sur des
haut, est encore plus probant que l'hyperexcitabilité musculaire. On
sait
que si l'on presse mécaniquement sur un nerf mote
tte et je m'en servais alternativement. Le malade ne pouvait donc pas
savoir
quel était le véritable aimant. Or, dans ces expé
Tout d'abord, j'insisterai encore une fois sur ce point essentiel, à
savoir
que cette assertion s'applique plus particulièrem
pas encore en droit d'affirmer que te sujet n'est pas hystérique. Ne
sait
-on pas que l'hystérie se traduit parfois par une
d'un sujet mâle rejette donc à priori l'hypothèse d'hystérie. Or, ne
sait
-on pas aujourd'hui surtout depuis les travaux réc
un principe dont il a eu souvent l'occasion de démontrer la valeur, à
savoir
que, dans les expériences d'hypnotisme, la cause
o-gie, M. Dumontpallier se trouva désigné comme président. « Nul ne
sait
s'acquitter de ses fonctions avec un tact plus bi
lanche, le regard franc et limpide, un fin sourire sur les lèvres, il
sait
distribuer à chacun la part d'éloges qui lui revi
la coordination de tout ce travail physiologique ; donc la suggestion
sait
se passer de l'une et de l'autre quand, se substi
, c:est bien dans la conduite d'une aussi difficile entreprise que le
savoir
et le discernement auraient leur place marquée ;
de tout ce qu'il vient d'entendre. Le voilà donc suggestionné sans le
savoir
. Durant de longs mois, il vaque à ses affaires ou
t de l'ajouter à ses autres titres de gloire scientifique. Mais il ne
sut
pas se l'assimiler. Dans son discours de réceptio
les faits qui font l'objet de cette communication. Aristote, déjà,
savait
que le coucou pondait son œuf dans le nid d'un au
l'intimidation ou de la suggestion, des deux même, car tout le monde
sait
que l'autorité, qui n'est qu'une forme de l'intim
le coucou pour imposer sa volonté, pour provoquer l'hypnose. Nous ne
savons
sur ce point que ce que M. Raspail veut bien nous
revenir au cas de M. le professeur Dorobetz, le problème posé est de
savoir
s'il y a eu véritablement suggestion exercée sur
des grands médecins consultés par le professeur Dorobetz, et dans le
savoir
desquels il devait avoir une confiance proportion
fait soit absolument impossible, car en pareille matière, que peut-on
savoir
de positif ? Mais je dis qu'il y a improbabilité.
ront, à coup sûr, rendu service à la science et à l'humanité. On ne
saurait
trop accumuler les faits qui viennent à l'appui d
t, se rongeait les ongles, courait après les garçons ; je n'ai pu
savoir
s'il y avait de l'onanisme. Elle avait en outre d
n prolongeant le sommeil pendant plusieurs heures chaque jour. Chacun
sait
que 4e sommeil prolongé aide aussi à la guérison.
communiquées par des confrères et venant à, l'appui de ma théorie, à
savoir
: que si un grand nombre de phobies se révèlent c
éréditaires, des neurasthéniques, des maladifs, des languissants, que
sais
-je ? J'ai démontré le contraire dans mon livre. B
tes qui ont étudié l'hypnotisme, nous connaissons l'inconscient, nous
savons
que cet inconscient accomplit silencieusement des
ament ou surtout pour provoquer des faux témoignages. Tout le monde
sait
que, chez un sujet hypnotisable, il est extrêmeme
niaques, des imbéciles, des déments, des paralytiques qui volent sans
savoir
ce qu'ils font. Leurs vols ont d'ailleurs un cara
ment authentiques et que pourtant nous ne comprenons pas, que nous ne
savons
pas expliquer dans l'état actuel de nos connaissa
mmeil hypnotique, et pour les états média-niques en particulier, nous
savons
combien ils sont facilement provoqués par la fixa
. Corps thyroïde légèrement hypertrophié. Rien au cœur. Douleur
sus
et sous-mammaire gauche. La sensibilité de tout
s devraient être, depuis longtemps, retirés de la circulation. Nous
savions
, en effet, que les guérisons de la grotte de Lour
tée; à ce sujet, M. le Dr Fiessinger ne nous apprend rien que nous ne
sachions
déjà. II y aurait quelque cruauté à lui reproch
e cas échéant, faire une éducation complète : apprendre tout à qui ne
sait
rien, vol ou meurtre, peu importe. Toutes les feu
nous objecte pas que de ce qui se passe dans un asile d'aliénés on ne
saurait
conclure à ce qui arriverait dans une réunion d'i
s'exercer sur moi qui suis lucide. Je peux devenir un meurtrier. Qui
sait
..? « Cet émoi, cette crainte, cette appréhensio
turbation morale ; pour cela, une prédisposition est indispensable, à
savoir
l'état de réceptivité émotive, pathologique, que
erreur s'affirme lorsqu'il ajoute : « Leur jugement (des médecins) ne
saurait
toujours être le jugement du magistrat: nos point
même but ». — A la vérité, les points de vue sont différents, nous le
savons
, mais les jugements ne le sont pas moins : le mag
la manière des affections cérébrales par un progrès insensible. Je
sais
combien il est aisé de passer outre à ces antécéd
l est aisé de passer outre à ces antécédents nuageux et confus, et je
sais
qu'on gagne en les négligeant une flatteuse appar
s ? Il semble bien qu'ils vérifient la proposition émise plus haut, à
savoir
: que la suggestion constitue la véritable thérape
e qu'il fait, ou du moins, n'en garde pas le souvenir. Comme chacun
sait
, cet état se rencontre, ou bien, à titre d'accide
ec laquelle il a encore bu quelques verres. Il est sorti du café sans
savoir
comment, et depuis ce moment, tout souvenir lui f
comment, et depuis ce moment, tout souvenir lui fait défaut. Il ne
sait
pas qu'on l'a trouvé place de Bronckart, qu'on l'
avoir bu de l'eau-de-vie, la nuit. A-t-il payé ? Oui ou non ? Il n'en
sait
rien. Quant aux autres endroits où on l'accuse
r et à réclamer son bien, il le rendait et s'excusait en homme qui no
sait
pas trop ce qu'il dit. Le lendemain, tout cela
peu familiarisés avec des observations délicates. Il faut qu'on le
sache
, ces allures normales n'excluent aucune-ment l'in
« Ne parlez à personne de ce qui s'est passé », Maschka conclut qu'il
savait
avoir fait quelque chose de reprehensible et que
avoir fait quelque chose de reprehensible et que sa responsabilité ne
saurait
être complètement dégagée. J'estime avec M. Lentz
tres nerveux les organes de la fonction urinaire sont bien connus. On
sait
(Bûdge) que les centres préposés aux fonctions ur
elles siègent dans la moelle au niveau des vertèbres sacrées, et l'on
sait
aussi quelles conditions peuvent produire l'excit
apitale et qu'il n'est pas ici le lieu de traiter a fond, mais qui ne
saurait
cependant être passé entièrement (1) Peut-être
la connaissance relativement récente des réirécissements larges. On
sait
que depuis quelques années, à la suite des recher
lter. Je la considère, quant à moi, comme une méthode surannée qui ne
saurait
convenir à nos habitudes de chirurgie rapide et a
pas lieu de discuter ici, je me décidai à employer l'électrolyse. On
sait
que l'action électrolytique du pôle négatif agit
ure, car l'axiome « Pas de passé urétral, pas de rétrécissement », ne
saurait
en aucune façon être accepté aujourd'hui. Le ré
pposant que l'expérience eût réussi, je n'aurais eu aucun moyen de le
savoir
; car je ne pouvais pas mettre ou envoyer auprès d
ne me souciais nullement d'encourir une telle responsabilité- Mais on
sait
que M. Pierre Janet, qui se trouvait à cet égard
s que lesujet, venant chez l'operateur pour être expérimenté, s'il ne
sait
pas quand et comment il doit être endormi, s'atte
put la voir; de temps en temps on interposait un écran sans qu'il le
sût
; or, en l'absence de l'écran, il disait entendre
rieurement décerné à Pasteur. Les grades universitaires qu'il avait
su
conquérir dans des branches d'études que Ton voit
ntime de la matière et de la force. C'est une borne immuable de notre
savoir
. La deuxième, c'est Yorigine du mouvement ; la
es morales et politiques, « dans un « rapport lumineux comme lui seul
sait
en faire, son approbation à un travail qu'on lui
d'abord à Dubois-Reymond l'exposé du mécanisme de l'univers : « On ne
saurait
admettre que deux événements ni deux pensées soie
les travaux de Clausius précédés déjà, en 1824, de ceux de Carnot, on
sait
que le mouvement peut se transformer en chaleur e
un compte-rendu dans la Revue scientifique, 1877, il, 725. On nous
saura
peut-être gré de mentionner ici, comme renseignem
e ne pouvaient passer pour un phénomène de compensation. Il fallait
savoir
cependant si le sang accusé par la malade ne prov
nu, le contact se perd entre cellules sensitive et motrice, l'être ne
sait
plus exécuter les mouvements automatiques. Ainsi
e sait plus exécuter les mouvements automatiques. Ainsi l'abasique ne
sait
plus marcher. Chez l'ataxiquc, il y a destruction
Cet esprit d'opposition est souvent noté dans le vulgaire, mais je ne
sache
pas que, malgré son intérêt, il ait jamais fait l
de M. Dabinski un cas de maladie des tics associée à l'hystérie. On
sait
que les tics qui dépendent de l'hystérie ont un d
nté un cas fort intéressant de suggestion religieuse réciproque. On
sait
quelles furent la précocité et la grandeur de l'e
é, lui répétait souvent que « tout ce qui est l'objet de la foi ne le
saurait
être de la raison, et beaucoup moins y être soumi
oprement dire, une consciencieuse observation de folie mystique. On
sait
combien est intense, chez certains esprits religi
e ; je maintiens la véracité très exacte de mon dire. « M. Bérillon
sait
aussi bien que mol, que, pour être grand homme, o
a gerbe de lumière, de la nappe de clarté éblouissante, etc., eux qui
savent
au contraire que l'entrée de la salle où Charcot
né professeur. Un malade de M. Kraft Ebing, lequel occupe, comme on
sait
, à Vienne la chaire de médecine mentale, a fait d
ce malade fut guéri après 56 bains. » La parole en miroir. Chacun
sait
qu'en pathologie nerveuse on appelle l'écriture e
ories plus nombreuses que les castes de l'Inde. Le corps médical ne «
saurait
être plus longtemps assimilé a une armée dans laq
ransformés en signes habituels ; il se sera attaché, toujours sans te
savoir
, à les obtenir des autres sujets, qui les auront
us ces racontars sont réduits à néant. M. Lombroso n'a jamais, que je
sache
, relevé le défi que lui portait Delbœuf de réfute
l'ont approché n'ont pu qu'admirer l'étendue et la profondeur de son
savoir
, l'étonnante activité de son esprit, !a bonne hum
singulièrement de la brûlure atténuée ? N'ai-je pas moi-même, 1. On
sait
qu'on peut, par simple suggestion, produire, chez
cent les offres cyniques, agit sur bien des gens — les prostituées en
savent
d'ailleurs l'efficacité puisqu'elIes l'emploient
tive est infructueuse, l'hypnose devient souvent un besoin qu'il faut
savoir
respecter. C'est alors un devoir de charité pour
le doigt la forme des lettres sur ses draps. Son notaire et sa femme
savaient
qu'un serrement de main voulait dire oui et qu'un
int n'est besoin pour cela d'une volonté puissante : le secret est de
savoir
la concentrer sur un point. C'est une gymnastique
le chapitre dont je parle, on verra avec quelle habileté les Khôdjas
savent
manier la suggestion, le magnétisme et les substa
lgies intolérables, sans être pour cela morphinomane : Le tout est de
savoir
à quel moment la dose physiologique de morphine,
ellectuelle spéciale. Il est vrai cependant que certaines personnes
savent
user de la morphine pendant très longtemps sans t
in d'esprit. Ses œuvres en sont d'ailleurs la meilleure preuve. Je ne
sais
s'il a fait un testament, dans ce cas il eût été
icité constante. Si j'ai souleva cette question, c'est parce que nous
savons
tous que beaucoup d'hommes, doués d'une belle int
égal. « II faut à tout prix examiner chaque cas en particulier pour
savoir
si tel malade qui teste ou contracte des obligati
, une difficulté très grande à fixer son attention. A huit ans, il ne
sait
pas encore lire correctement. C'est là, au contac
r cet exercice le fonctionnement des deux hémisphères cérébraux. On
sait
que les centres qui commandent aux mouvements de
faits observés, ou tout au moins de curiosité satisfaite. Et puis il
sait
, après tout, à quoi il s'expose ; et c'est son af
s et les plus utiles à connaître pour l'humanité. D'autre part, on ne
saurait
évidemment les autoriser sans-condition. C'est do
t dans la confiance que se trouve la clef du phénomène. Celui qui pur
su
bonté, son désintéressement, son abnégation, sa l
qui pur su bonté, son désintéressement, son abnégation, sa loyauté a
su
nous inspirer la confiance, comme cela se présent
ession des paupières, ni miroirs, jets de lumière, sons de gongs, que
sais
-je ? un sommeil somnambulique vrai. Je lui déclar
ome central (Harlan). Laissant ces points d'oculistique pure, je ne
saurais
trop insister sur la thérapeutique suivie qui
. Les circonstances extérieures (Par exemple: « Sentiment... que nous
savons
parfaitement ce qui va être dit à l'instant, comm
et de bateaux à vapeur aussi bien étrangers que russes ont déjà fait
savoir
qu'une remise de 30, 40, 50 pour 100 (suivant les
nos pères, sur les organes de la génération est profonde, . chacun le
sait
, tant chez la femme que chez l'homme. Le sujet le
inée au contraire par la crainle d'une maternité déshonorante ! Je ne
sais
, mais dans tous les cas il ne peut y avoir qu'int
désiré en avoir. Née à Paris, elle a été orpheline toute jeune et ne
sait
rien ni de son père ni de sa mère ; elle n'a de r
des gens, mais encore seule si quelqu'un l'attend, bien plus si elle
sait
que sans l'attendre, quelqu'un sait qu'elle urine
qu'un l'attend, bien plus si elle sait que sans l'attendre, quelqu'un
sait
qu'elle urine. Sa miction ne se produit que dans
couler quand elle était devant le monde, qu'on l'attendait ou qu'elle
savait
qu'on savait qu'elle urinait. « N'ayez plus peur
elle était devant le monde, qu'on l'attendait ou qu'elle savait qu'on
savait
qu'elle urinait. « N'ayez plus peur d'être grosse
claira son esprit ; en me servant de l'anomalie urinaire dont elle se
savait
atteinte pour lui expliquer le mécanisme de son a
riche et considérée. Singulière chose que les hasards de la vie ! Qui
sait
ce qu'il serait advenu de cette jeune et jolie fe
propositions d'un amoureux qui l'avait demandée en mariage, car nous
savions
, sa mère et moi, que jamais elle n'aurait la forc
e-là. Mais, elle ne voulut rien entendre ; elle était grosse, elle le
savait
, elle le sentait, elle en était certaine. D'aille
nait ne laissaient aucun doute sur le profit que le jeune homme avait
su
tirer du tête-à-tête que sa mère avait eu la naïv
là l'unique moyen de m'assurer de la réalité de sa grossesse, que je
saurais
ainsi à coup sûr si oui ou non elle était grosse
accomplissement de notre tâche. La Petite Hoquette est, comme on le
sait
, un lieu de détention pour les enfants et les pri
ssance d'effectuer mentalement des calculs très compliqués. Veut-on
savoir
combien de secondes contiennent vingt, cinquante,
seulement à vingt ans qu'il a appris à lire ; jusqu'à cet âge, il ne
savait
même pas chiffrer. Il a une intelligence peu déve
ccumule des provisions pour sa future descendance. Le sitaris, qui ne
sait
pas fabriquer le miel, dépose ses œufs dans des b
re aucune nourriture..... Les œufs des oiseaux ont besoin, comme on
sait
, d'être couvés pour éclore ; aussi la paroi a
ion parait exister (maïs parait seulement) pour le coucou, qui, on le
sait
, pond son œuf dans un nid étranger, le nid d'un p
Milne Bbahwell, de Londres. OPÉRATIONS MESMÉRIQUES DESDAILE On ne
saurait
faire un rapport complet sur l'anesthésie hypnoti
oir créé la psychologie des grands calculateurs revient, comme chacun
sait
, presque complètement à M. Binet et à ses collabo
rtie de ce livre si attachant et si instructif, dont, en somme, on ne
saurait
trop recommander la lecture. Séance du 15 Mars
un souvenir funèbre : la mort du père dans les circonstances que l'on
sait
. La malade se voit maigrir, envisage l'avenir a
lus, événement assez inattendu, elle est fiancée à un jeune homme qui
sait
depuis longtemps à quoi s'en tenir sur les conséq
nds, hystérectomie totale), un traumatisme moral unique l'a fait. Qui
sait
ce qu'il fût advenu de Jeanne F..., surmenée, ané
, telle forme ou bien encore quelque substance animée ou inanimée, je
sais
, par expérience, que, quelle que soit ma prédicti
les fonctions d'un organe. Quant à l'émotion, elle doit, comme l'on
sait
, sa raison d'être à l'idée. Une idée dégénère en
graphie, à l'histoire et plus volontiers encore à la biographie. « Il
sait
les dates de naissance et de mort de nombreux emp
que de quantité de généraux, poètes, philosophes ; le plus souvent il
sait
même le jour et le lieu de leur naissance. Il con
ît de même les capitales, les fleuves baignant ces capitales, etc. Il
sait
répondre aux questions sur les guerres de Trente
si dire, son seul maitre; tout ce qu'il connaît, il l'a, depuis qu'il
sait
lire, spontanément appris de lui-même dans les li
t enfant lit sans hésitation les écritures les plus difficiles, il ne
sait
pas écrire ; on a tenté de le lui apprendre, mais
r une lettre quelconque; il n'y éprouve aucun intérêt. De même, il ne
sait
pas faire le moindre calcul. En outre il n'aime p
est un psychologue très fin, très pénétrant, très sagace, et l'on ne
saurait
trop rendre hommage à ses remarquables travaux. S
s étouffer Péclosion de la sphère affective ou émotive, etc. Chacun
sait
que dans ces terribles affections cérébrales qui
pathique, la plupart du temps héréditaire. Or, le surmenage mental ne
saurait
manquer de réveiller, de stimuler et d'exaspérer
ait, pour ainsi dire, inaccessible à tout le reste; et, en fait, nous
savons
qu'il eut grand'peine à faire vivre sa famille.
ieures d'élaboration lui manquent pour ainsi dire complètement; il ne
sait
ni combiner ses connaissances, ni constituer des
ndu service par cela même qu'on ne lui aura pas été funeste ; on aura
su
lui appliquer le précepte si souvent méconnu prim
ra apprécier ce dernier système d'intervention, on devra au moins lui
savoir
gré du mal qu'il n'aura pas fait. * * * APP
nt se développer d'une manière régulière, et il est très important de
savoir
à quel moment et à quel degré on peut donner aux
qui s'occupent d'éducation trouvent une génération épuisée, ce qui ne
saurait
étonner ; car, de même que par l'alimentation pré
dent sommeil nerveux. Or, je maintiens que les victimes de l'éther ne
sauraient
avoir semblable certitude d'obtenir justice, puis
ie, il n'existe pour M. Gilles de la Tourette que cette différence, à
savoir
que les premiers états sont provoqués, les autres
Les caractères fondamentaux de l'hypnose doivent être réduits à deux,
savoir
: une certaine augmentation de l'excitabilité réf
nous semble juste cependant de ne pas exagérer son rôle. I! faut bien
savoir
qu'on peut agir aussi en dehors d'elle et que, mê
sains ou soi-disant tels, il est réellement souvent bien difficile de
savoir
où finit l'état de veille, où commence le sommeil
t, et leur importance, du reste, est telle qu'un clinicien sérioux ne
saurait
les négliger. Je veux insister ici sur l'importan
guérison définitive. Toutefois, ma tâche n'est point terminée. Je
sais
qu'il existe une hémianesthésie droite ; si je ne
ites ou brutales manier lourdement cette machine de précision, ne pas
savoir
en tirer ce qu'elle peut et ce qu'elle doit rendr
luence morale et cérébrale; si elle est mal placée, si le maître n'en
sait
pas tirer parti, l'influence sera nulle quelquefo
ont là de ces paradoxes élégants, dont l'absurdité sans importance ne
saurait
choquer que des étrangers, ne comprenant rien à l
nable ; il offre une sorte de terrain fécond sur lequel Yidéo-plastie
saura
faire germer la suggestion active. Aussi, l'une
et de circonspection. Rappelons-nous cette vérité ; psychologique, à
savoir
que l'état d'hypotaxie est réalisé le plus aiséme
tagonistes ont été réduites et sont disparues. Troisième temps On
sait
que la conscience ne peut rester longtemps identi
au cours do la suggestion somnique; elle a lieu entre deux sommes, à
savoir
celui que nous avons interrompu et celui qui va c
e faire manger au patient du rat rôti ; mais il faut que l'enfant
sache
ce qu'il mange, sinon la gué-rison ne se produira
ujet de cet enfant qualifié de « prodige ». La science, comme on le
sait
, a pour fin de réduire le plus possible le nombre
il imite ces derniers comme un enfant imite une grande personne ; il
sait
faire avec sa main des mouvements que les enfants
s de violon, et qui môme, l'archet en main trahit son âge, peut si on
sait
lui épargner la fatigue, se promettre une longue
e du Muséum, le 19 mai 1901. 11 nous a paru curieux de chercher à
savoir
si un grand carnassier comme le lion {sur les fac
rcs du genou est vraiment singulière et aucune affection organique ne
saurait
la réaliser. Si je plante une épingle dans la p
e de cet homme, non seulement il n'éprouve aucune douleur, mais il ne
sait
mémo pas que je l'ai piqué. Il en est de même pou
tenez-vous de dire combien de temps durera l'affection, car vous n'en
savez
rien. Que faut-il faire ? Pratiquer l'isoleme
térique est entré dans la pratique courante et les médecins instruits
savent
le diagnostiquer. Au point de vue de la physiol
uel que soit ce but. La question mise à Tordre du jour est celle de
savoir
s'il est opportun de solliciter des pouvoirs publ
consenti par avance aux actes suggérés, je pense que l'hypnotiseur ne
saurait
être recherché, tout au moins au point de vue civ
ns hypnotiseurs disposent d'un tel pouvoir que des esprits faibles ne
sauraient
résister à la suggestion de se prêter à ces expér
. L'intervention du notaire est certainement une garantie ; mais nous
savons
qu'il ne serait pas impossible d'obliger un sujet
sif de la volonté d'autrui ; et j'estime que l'acte commis par lui ne
saurait
attirer sur sa tête aucun châtiment. L'art. 6'i d
déclaré complice dans les termes de l'art. GU du Code pénal. Or, nous
savons
que l'art. 59 punit le complice de la même peine
s d'arrêt, mais aussi à l'éducation de la sensibilité morale. On ne
saurait
s'imaginer à quel point la provocation préalable
résentait à moi-même telle que j'étais. » Or, saint Augustin, on le
sait
, fut au point de vue de l'incontinence, un modèle
e fit avec tant de secret qu'il n'y eut qu'un de mes « parents qui le
sut
. » L'Eglise doit une.grande reconnaissance à An
e Thérèse nous fait part d'un symptôme dont la valeur diagnostique ne
saurait
échapper: l'exagération de la sensibilité morale:
que l'on employa durant trois « mois me fit tant souffrir que je ne
sus
comment je pus les supporter. » A cet endroit eut
er. - On la réveilla ensuite sans qu'elle se doutât de rien, sans
savoir
ce qui s'était passé. Et cette seule séance suffi
t envahi par une idée unique et intense, l'idée de la chute. Or, nous
savons
que toute idée entraîne à la réalisation de l'act
core fort utile au point de vue pratique:' il importe à la famille de
savoir
, soit au point de vue religieux soit au point de
ion de l'aimant (suggestion armée) Par M. le D' Jules Voisin Vous
savez
, Messieurs, que l'œdème bleu des hystériquesalong
mps clé méconnu. C'est Charcot qui, dans ses leçons à la Salpëtrièrc,
sut
très bien le mettre en évidence. La non connaissa
e se perçait la peau ; en tirant son fil elle le cassait, car elle ne
savait
plus calculer ses mouvements, mais elle accusait
saignent pas', de l'état cataleptique, des convulsions. Les marabouts
savent
agir sur le sommeil, comme le savent les médecins
, des convulsions. Les marabouts savent agir sur le sommeil, comme le
savent
les médecins, en pressant les globes oculaires, o
res, ou en souillant sur les yeux. i Enfin, comme les médecins, ils
savent
faire avorter les crises con-vulsives par la comp
) Une question qui se présente naturellement a l'esprit, est celle de
savoir
si la singulière nourriture des Aissahouas produi
7}. Ces chiffres portent sur une pratique de huit années ; on ne
saurait
donc les considérer comme le résultat d'une série
ux faits contribuent à établir l'opinion que j'ai soutenue en 1896, à
savoir
que le nombre des incontinents appartenant à la m
pas la compétence nécessaire pour prendre position sur la question de
savoir
si l'hypnotisme employé par des professionnel
iseurs et hypnotiseurs de théâtres que les médecins doivent ce qu'ils
savent
en matière d'hypnotisme. J'ignorejusqu'àquel poin
sens. Je soumets à la haute appréciation du Congrès la question de
savoir
s'il y a lieu de renouveler le vœu du premier Con
is nous voyons déjà l'importance que peut y avoir la suggestion. On
sait
quelle part considérable revient à l'automatisme,
s types différents. Puis, pour chaque personnage particulier, il doit
savoir
se placer dans toutes les conditions de la vie, e
ation de ce même sentiment chez le poète, chez l'artiste délicat, qui
sauront
naturellement l'élever par l'habitude de la conte
rendre son rôle l'acteur doit être maître de lui-même. Tout le monde
sait
que rien n'est plus nuisible à un artiste que ce
intermédiaire de l'hyperhémie ou de l'anémie des muqueuses. ,Or, nous
savons
que tous les muscles, même ceux qui ne sont pas s
de souplesse, ou bien à cause de la difficulté des intervalles, il ne
sait
pas conduire sa voix comme il le voudrait. Nous
puerpérale. Je n'en ai pas lu d'exemples dans nos revues, mais nous
savons
tous que les accidents nerveux, même dus à une in
avec amnésie totale au réveil. Tous ceux qui pratiquent l'hypnotisme
savent
combien chez de pareils sujets l'influence sugges
la même nuit. Notez qu'il n'y a pas d'amnésie consécutive. Cet homme
sait
et raconte très bien tout ce qui lui arrive. Il s
en. » Le second rêve survint dans la nuit du 4 au 5 septembre d'on ne
sait
quelle année. Henriette-Marie fut d'ailleurs «
ociété d'Hypnologie et de Psychologie prend une si grande part, on ne
saurait
trop faire ressortir, parmi les nombreuses applic
ieu il ne faut pas oublier que la femme M... est une hystérique et on
sait
que ces malades supportent très aisément les priv
touchera son cor ni y appliquer un pansement quelconque, désireux de
savoir
combien de temps durerait l'analgésie provoquée p
iter les morts ; chez les Grecs, Hercule, Chiron, Empédocle, Esculape
savaient
ressusciter les morts. Apollonius de Tyane réve
s. — J'avoue que j'entends la médecine, « répondit Rhazès, mais je ne
sais
pas rendre la vie aux morts, c'est l'ou-« vrage d
. IX, p. 6) {1). Jésus guérit des lépreux, mais il est difficile de
savoir
à quelle maladie on donnait le nom de lèpre. Dans
a question et de provoquer ainsi un échange d'observations qu'elle ne
saurait
manquer de vous suggérer. Les fausses grossesse
rames les plus poignants qu'on puisse rencontrer? Cela ne me parais-«
sait
pas possible à première vue; l'air candide de la
même les ingénues à terme ont du ventre et celle-ci ne parais- a
sait
pas en avoir. Je priai le père de me laisser un m
n communiqué officiel de la légation de Serbie à Paris, nous avons pu
savoir
que la grossesse nerveuse avait été occasionnée p
nsignifiant ; par exemple, une dizaine de lignes. C'est que nous ne
savons
pas employer notre volonté. Nous ne savons pas
nes. C'est que nous ne savons pas employer notre volonté. Nous ne
savons
pas utiliser la puissance que nous avons de voulo
savons pas utiliser la puissance que nous avons de vouloir. Nous ne
savons
pas faire rendre à la volonté tout le travail don
ection mentale qu'il importe le plus au point de vue du traitement de
savoir
reconnaître, car un trouble hystérique peut guéri
u de nous surprendre. « Ils attestent, dit la Sentence du miracle :
savoir
, le dit Hamon avoir traité et médicamenté depuis
ontre: Io Le prépuce de Jésus-Christ dans huit églises différentes,
savoir
: à Rome, à physio-psychologie des religieuse
nne alors rendez-vous pour le surlendemain. . Au jour dit, on me fait
savoir
que la malade est incapable de venir me voir et l
is, mais elle a pu supporter la boisson que je lui avais prescrite, à
savoir
un œuf bien battu à neige et délayé dans du lait
ge sur un terrain prédisposé. » Le traitement de l'épilepsie, on le
sait
, consiste à donner du bromure. COURS ET CONFÉRE
anisme « anatomique, il faut opposer l'organisme fonctionnel. II faut
savoir
a que nombre de maladies débutent par un trouble
bois; M. Tarde qui présida, l'an dernier, cette séance d'ouverture et
sut
avec de si encourageantes paroles louer votre mét
ensée. Cet enseignement a donc pour sanction la thérapeutique. Vous
savez
combien celle-ci est négligée, combien sont peu c
plus complexes. Il faudra aussi se garder des explications hâtives et
savoir
accumuler un grand nombre de documents avant d'es
car aujourd'hui l'observateur, le médecin véritablement instruit doit
savoir
se mettre à l'abri de toute intervention active d
u'on soumet un grand nombre de sujets aux manœuvres hypnogéniques, on
sait
que, même chez les hystériques, on obtient des ré
qui êtes coupable, c'est le démon qui vous pousse sans que vous le
sachiez
. » En effet, ce jeune homme ne savait pas qu'il é
i vous pousse sans que vous le sachiez. » En effet, ce jeune homme ne
savait
pas qu'il était possédé : aussi lui arrivait-il d
eaucoup d'autres conditions, satisfaire au moins à la suivante, à
savoir
l'absence de tout contact. Comme dans les expérie
opérera de même pour la suite de l'expérience. Or, ce qu'il faut bien
savoir
, c'est que le conducteur conduit peu ; il ne sugg
prit inventif du sujet. Celui-ci, en effet, au risque d'échouer, doit
savoir
passer successivement en revue toute la série des
saccadées, en utilisant la fatigue et l'énervement du conducteur, il
saura
soutirer de celui-ci toutes les indications utile
fin de démontrer qu'on devait dissocier et distinguer deux facteurs à
savoir
la suggestion mentale pure, d'une part, les mouve
« Saint Adhelme fut un moine anglais dans le vin" siècle, que son ¦
savoir
et sa piété élevèrent à l'épiscopat. Le plus gran
le dédoublement des personnes et sur les matérialisations, que je ne
saurais
envisager sérieusement) dont on n'a pas encore tr
s sont et seront toujours nombreux. a. i.::.:;:-:.'.:.'!.!. Je ne
saurais
trop appeler l'attention des lecteurs les plus sé
les travaux de M. F. Myers {de Cambridge) par M. Marcel Mangin. On
sait
que sous le nom de « Conscience subliminale * M.
occuper. Il va s'agir de suggestion. Laissons de côté la question de
savoir
si nous sommes tous ou quelques-uns seulement ce
ne façon ou d'une autre entendre et reconnaître la voix de M. A. pour
savoir
qu'il ne l'entend pas. Bien loin d'être absorbée
ant laquelle nous pouvons quelquefois mettre la machine en train sans
savoir
comment elle marche. Il est donc important de fai
pas de supposer une mémoire des parties impressionnées. Notre cerveau
sait
situer ses impressions. Chez le sujet hypnotique,
valeur de la première expérience. Dans celle-là, le sujet ne pouvait
savoir
ce que l'observateur attendait de lui pas plus d'
la Salpétrière, tout comme ultérieurement à la Pitié, on a très bien
su
, quoiqu'on en ait pu dire, se mettre à l'abri de
ient, de par ce fait, pouvoir être reproduits par suggestion. Or nous
savons
fort bien qu'il n'en est pas ainsi. Pour n'en cit
sont que des degrés d'une même affection, degrés entre lesquels il ne
saurait
y avoir de transition brusque. L'hypnotisme doi
érivés du somnambulisme, de la catalepsie et de la léthargie, et nous
savons
combien sont multiples les degrés du sommeil admi
ne présente point de stigmates manifestes d'hystérie. Cependant nous
savons
que les maladies inflammatoires, fébriles, infect
n aura constaté quelqu'une de ses causes provocatrices habituelles, à
savoir
maladie inflammatoire, ou infectieuse, intoxicati
fond chagrin de n'avoir pas d'enfants et comme elle insistait pour en
savoir
la cause, je lui proposai de l'examiner. Ses me
tième mois. Elle me dit: a Mes règles ont reparu chaque mois, mais je
sais
que bien des femmes continuent à voir pendant tou
lle a mangé ses petits, mais en spécifiant bien, toutefois, qu'ils ne
savent
comment la béte a été couverte et qu'ils ne s'en
roue avait passé. Y a-t-il eu fracture de côte ? Ce que nous pouvons
savoir
, c'est qu'on lui a laissé autour du thorax un app
riphérique ou dermalgie. Quand cette malade guérira-t-elle? Je n'en
sais
rien. Si l'on mè demande un certificat, je décrir
cie. Comme vous l'avez dit en une de ces formules lapidaires que vous
savez
si bien trouver et exprimer: à la méditation sur
la médecine : « C'est une œuvre divine que de guérir les malades, de
savoir
calmer la souffrance humaine et de garder son cœu
point capital, à noire avis, est de les guérir. Or, tous les médecins
savent
que les symptômes de l'Hystérie sont souvent plus
lade a la certitude de ne pas aliéner sa personnalité et, de plus, il
sait
exactement tout ce qui lui a été suggéré ; or, ce
ence du médecin auprès « du malade opère souvent des miracles. Chacun
sait
qu'en « prescrivant de l'eau distillée ou des pil
disparaissait du champ de la conscience supraliminale. Mais comment
savons
-nous si une acquisition psychique est pour toujou
n nom oublié, aprôï avoir fait des efforts volontaires inutiles, nous
savons
tous que le mi«ux est de ne plus chercher. Laisso
amp presque débarrassé d'hypothèses que je vous propose la mienne : à
savoir
qu'un courant de conscience passe au fond de nous
al, et la suggestion extérieure une aide à la croyance du sujet. On
sait
qu'un malade qu'on a eu toutes les peines du mond
. Cela tient à ce fait que j'ai montré, il y a bien longtemps déjà, à
savoir
qu'on peut obtenir des effets œsthésiogènes en se
e traitement qui donne de si remarquables et de si durables effets, à
savoir
la douche rectale froide, prise quotidiennement à
— A ce propos, que devient votre constipation? — Oh ! pour ça, je
su
,is enchantée ^je ne sais pas comment s'est opéré
vient votre constipation? — Oh ! pour ça, je su,is enchantée ^je ne
sais
pas comment s'est opéré ce changement, mais mes m
battants aux charlatans et aux rebouteurs de toutes sortes ; rien ne
saurait
échapper à cette tolérance, non seulement médical
es joues, le menton ; enfin, -elle met en relief un fait inattendu, à
savoir
, Vaugmentation de la précision sensorielle vers l
professeur Nicbforo, de Lauzanne On croitgénéralement que lorsqu'on
sait
par cœur les quatre ou cinq cents articles qui co
avec une certaine quantité, plus ou moins lourde, de prison. II faut
savoir
pourquoi l'homme devient criminel, pourquoi on co
e devient criminel, pourquoi on commet des crimes. En un mot, il faut
savoir
quelles sont les causes générales et spéciales de
gles qui, en mécanique, gouvernent le parallélogramme de forces. Vous
savez
qu'un corps quelconque, mis sous la pression de f
té, etc., etc., ne sont que des choses abstraites soufflées par je ne
sais
qui dans le cerveau humain. Mais ceux qui se défi
plaire, plaire, etc. On n'a pas besoin de compter sur les doigts pour
savoir
combien de fois on répète mentalement l'auto-sugg
la malade parle sur tout sujet, elle cause à un être imaginaire, sans
savoir
ce qu'elle dit; elle n'a pas le contrôle de ses s
nt le marche-pied offre une certaine difficulté d'ascension, comme le
savent
les médecins de campagne. Je suis la fillette p
érée ou saine ? Voilà donc la contradiction. On est forcé, — (je ne
sais
avec quel critérium) à établir que quatre ou cinq
e, les Samoyédes connaissent en détail la vie des ours blanca. Ils en
savent
mieux, que tous les naturalistes, les habitudes e
avant que celle-ci ait soupçonné l'approche de son ennemi. « Je ne
sache
pas que, jusqu'à présent, aucun naturaliste ait f
la connaissance d'un sous-officier. Celui-ci est très jaloux et veut
savoir
ce que fait sa maîtresse. Comme elle parle, la nu
rsqu'il est employé par des amateurs qui manquent d'expérience qui ne
savent
pas où ils vont et sont incapables de limiter leu
lié par une infirmité de race, alors qu'on serait puissant si l'on se
savait
capable d'agir... Il est pernicieux de proscrire
de la raison. Et il mourut en évoquant les grandes images de ceux qui
surent
partir avec sérénité, sans regrets aux faux biens
s, je n'hésite pas à le dire, une institution qui, dans son genre, ne
saurait
guère avoir de rivale. J'espère être assez heureu
our le clinicien appelé à recon-naître ces affections, la question de
savoir
quelle a été la circon-scription du système nerve
nerfs. Et cependant la physiologie la plus avancée enseigne, vous le
savez
, que, à l'état normal, la nutrition des différent
s directs sont tirés du domaine de la physiologie expérimentale. Vous
savez
que, après la section des nerfs qui s'y rendent,
s, n'ont rien de sont pas sous l'influence directe des nerfs. Il ne
saurait
s'agir là d'une influence des nerfs sur les tissu
ait comparables à ceux que produit la section du nerf sciatique. Vous
savez
que les lésions de l'œil qni se montrent chez les
s diverses d'irritation et d'inflammation. Tous les expéri-mentateurs
savent
, en effet, que les lésions traumatiques, même les
paire est expressément notée. 11 est clair, par conséquent, qu'on ne
saurait
ici, comme dans les faits de Snellen et de Buttne
rition du rein, les lésions des nerfs qui se rendent à cet organe. On
sait
que parmi les expérimentateurs, les uns (Krimer,
nt si par suite de circonstances que rien ne fait prévoir et qu'on ne
sait
pas encore reproduire à volonté, l'inflammation v
articulations et les os. La dernière guerre d'Amérique a été, vous le
savez
, l'occa-sion d'études très importantes sur ce suj
se n'a pas encore permis de dégager. Cela con-traste avec ce que nous
savons
des lésions qui surviennent, dans les parties élo
moins vive. —Le cancer delà colonne vertébrale peut amener, comme on
sait
, un ramollis-ment des vertèbres poussé à un tel p
erfs. Le processus morbide initial consiste, dans ce cas, comme on le
sait
d'après les importantes recherches de M. Virchow
nières lésions acquièrent un haut degré d'intensité, on peut, vous le
savez
, observer quel-quefois la perte d'une partie d'un
s mammifères. » Nous avons également reconnu, d'il M. Vulpian (Leçons
su
?- la physiologie du système nerveux, 1866, p. 239
s et des membres.Ces dernières résultent le plus souvent, comme on le
sait
, de la compression brus-que, de la contusion, de
ontraire les caractères les plus nets d'un processus inflammatoire, à
savoir
: une hyperplasie pJus ou moins prononcée du tissu
— Lehrbuch der Spec Pathologie und Thérapie. 7e aufl. 2 Bd. p. 356.
sais
aussi qu'on peut voir survenir, en pareille circo
ent. L'affaiblissement ou la perte de la contractilité est, vous le
savez
, après la paralysie motrice qui, dans la grande m
perd toujours son excitabilité au bout de cinq ou six jours. Or, nous
savons
qu'il n'en est pas ainsi. D'un autre côté, il n'e
xcitabilité électrique observée à la suite de la lésion d'un nerf, ne
saurait
être rattachée tout entière à l'alté- 1 Dans le
nerveux, loc. cit.. p. 209, de reconnaître que cette conclusion ne
saurait
être admise sans réserve. Nous trouvons en partic
entre les effets de la section et ceux de l'irrita-tion des nerfs ne
saurait
plus être, d'après cela, maintenue dans les terme
is-ceaux, tant que la condition expresse qui vient d'être signalée, à
savoir
l'intégrité des grandes cellules nerveuses se tro
it rayonné, aune certaine distance, dans toutes les directions. On ne
saurait
admettre, d'un autre côté, que l'irritation se so
lésions trophiques plus ou moins profondes (2). Quoiqu'il en soit, on
sait
que la di-minution ou la perte même de la contrac
face interne des genoux, des jambes ou des cuisses. Or.il importe de
savoir
reconnaître la signification deces vésicules et d
s retenue dans les parties les plus déclives sujet n'a guère,que je
sache
, à quelques rares exceptions près (1 ), arrêté le
peu qu'elles aient acquis une certaine étendue, constituent, vous le
savez
, de redoutables foyers d'in-fection; et, de fait,
d'une pression qui ne s'exerce que depuis deux ou trois jours ? On ne
saurait
, non plus, invoquer le contact irritant des urine
l'hypérémie neuro-pa-ralytique, laquelle se révèle toujours, vous le
savez
, d'une fa-çon plus ou moins accusée, sur les memb
fois le siège en conséquence de la para-lysie vaso-motrice (2), on ne
saurait
décider, quant à présent, si elle est alors prése
us aigu et dequelques autres troubles trophiques de cause spinale. On
sait
, par les travaux de M. Brown-Séquard, qu'à la sui
est partagé sans doute par les faisceaux blancs postérieurs, car nous
savons
que les irritations de certaines partiesdeces fai
nt les cornes antérieures, dont les lésions, par contre, ont, vous le
savez
, l'influence la plus décisive sur la nutrition de
nnaissant l'exactitude des descriptions cliniques de M. Alison, je ne
saurais
souscrire à la théorie palhogénique qu'il a propo
rement en conséquence de l'hémorrhagie intra-encéphalique. sible de
savoir
si autrefois elle avait été atteinte de goutte ou
exclusivement dans les jointures des membres pa-ralysés ; mais, je ne
saurais
trop le répéter, les faits de ce genre forment ex
ontrent suf-fisamment que l'interprétation, proposée par Wolkmann, ne
saurait
avoir qu'une portée très restreinte. L'influence
s viscères, eux aussi, peuvent être in-fluencés par ces lésions. On
sait
que certaines altérations de l'encéphale, celles
on d'une cause accessoire, ce qui n'est nullement nécessaire, vous le
savez
, dans le cas des lé-sions trophiques ordinaires.
la fuberculisation pulmonaire, qui sur-viennent fréquemment, comme on
sait
, dans le cours de cer-taines affections encéphali
équemment une altération ra-pide. Dupuylren a fait remarquer, vous le
savez
qu'en pareil cas, les sondes mises à demeure pour
nent d'être citées con-tiennent un renseignement dont l'importance ne
saurait
vous 1. Leçon IIP, p. 108. —2. Id., p. 108. —3.
, spontanées ou traumatiques de la moelle épinière? Évidemment, on ne
saurait
faire intervenir, ici, du moins comme élément pat
es vibrions. En effet, l'introduc-tion des vibrions dans la vessie ne
saurait
être qu'une circons-tance aléatoire, tandis que l
phénomènes que l'observation nous a permis de constater. Car si nous
savons
le mode de l'altération initiale ainsi que son si
e sont, à notre point de vue, particulièrement dignes d'intérêt. Vous
savez
que la partie ré-pondant au nerf sectionné présen
lter uniquement de l'afflux d'une plus grande quantité de, sang. Vous
savez
qu'en outre, dans toute l'étendue du territoire h
otrice (2). Quoi qu'il en soit, cette interpréta-tion pathogénique ne
saurait
avoir qu'une application très limitée, car le déc
nerfs vaso-moteurs, n'est pas la cause des troubles trophiques, il ne
saurait
évidemment en être autrement de cette même paraly
e du nerf qui se rend à la glande sous-maxillaire, nerf fourni, on le
sait
aujourd'hui, par la corde du tympan, on observe l
ssi. Mais peut-être l'irritation du nerf glandulaire qui a, vous le
savez
, pour effet d'amener la dilatation des artères, d
larisation très nette de la membrane ombi-licale. En ce moment, il ne
saurait
être question de la moindre influence nerveuse. S
e par irritation des tissus se présente, au premier abord, avec je ne
sais
quel dehors d'une conception métaphysique. Mais i
votre attention sur la théorie dite des nerfs trophiques qui, vous le
savez
, à défaut des autres hypo-thèses reconnues insuff
é émise, devait vieillir rapidement. Cela est arrivé en effet : on ne
saurait
admettre aujourd'hui, par exemple, que les nerfs
est une vue, entre autres, à laquelle on ne s'est par arrêté, que je
sache
, et qui mériterait peut-être d'être prise en cons
, il y a quelques années, par l'un des rares auteurs modernes qui ont
su
main-tenir la distinction des deux espèces de tre
té, parleur variabilité même, viennent encore appuyer notre opinion à
savoir
que, jusqu'ici, la paralysie agitante ne reconnai
nts convulsifs des paupières supérieures, mouvements que la malade ne
saurait
maîtriser. Le regard est en quelque sorte sans ex
llent ensemble, nies lèvres » (B.). lancé au LroL. Toutefois, on ne
saurait
voir évidemment dans ces deux cas, qu'un phénomèn
les. Il s'agit là de contractions musculaires dynamiques. Or, vous le
savez
, les contractions musculaires statiques seules, a
r l'atrophie cérébrale sénile; or, celle-ci peut exister, comme on le
sait
, sans qu'il y ait jamais eu le moindre tremblemen
ractères de la dégénération graisseuse, deux lésions signalées, on ne
sait
trop pourquoi, dans la version adoptée, dans sa l
toire clinique de la paralysie agitante, en vous exposant ce que nous
savons
relativement à l'étiologie et à la thérapeutique
ou presque immédiatement l'influence de la cause. Celle-ci, qu'on le
sache
encore, n'impose aucun carac-tère spécial à la ma
par la plupart des médecins qui ontécrit sur la paralysie agitante,à
savoir
Y irritation de certains nerfs périphériques, en
tiques, olfactifs et de la 5e paire. Quant aux nerfs rachidiens, nous
savons
seulement que des plaques ont été vues sur les ra
r de plein pied dans l'examen des lésions intimes. Toutefois, vous le
savez
, l'anatomie histologique des centres nerveux est,
armin est ici un réactif précieux. Grâce à lui, certains élé- 1. On
sait
que les premières études sur la gangue conjonctiv
e épinière remontent à 1810 et sont dues à Keuffel ; mais ce que l'on
sait
moins c'est que Cruveilhier, dans son article Apo
e transparent, où flottent quelques éléments figurés, sépare, vous le
savez
, cette gaine delà tunique adventice. Vous reconna
onjonctive tend à s'effacer de plus en plus (1). c) C'est — vous le
savez
— dans la région centrale de la plaque scléreuse
nstances. Voyez aussi Mokilansky, iu Beriçtit der Akad. der Œissench.
su
Wien, I. XXIV, 1857. médullaire ou myéline et p
tissus voisins. Mais cela n'a rien qui puisse surprendre lorsque l'on
sait
que les tubes nerveux de la moelle ^sont dépourxm
3. Charcot. — Ibidem. 1868. transition. Or, sur ces points, vous le
savez
, le processus mor-bide est en pleine activité : c
ti-vement accomplie. Evidemment la coexistence des deux phénomènes ne
saurait
être fortuite, et tenant compte de tout ce qui pr
? Elles disparaissent vraisemblablement par voie.de résorption ; vous
savez
qu'on n'en retrouve plus les traces dans les part
tielles. Ces faits n'étaient guère d'accord avec ce que Ton croyait
savoir
de la struc-ture de la névroglie (voir la note p.
alysie agitante, afin de mieux faire ressortir les contrastes (1). On
sait
commentM. Or- 1. Sur la paralysie agitante et l
atomie pathologique, livraison, 38, Pl. I et II. rieurs ; mais nous
savons
déjà qu'il peut agiter la tête,le tronc, les memb
s'observe environ dans la moitié des cas. On ne le rencontre, que je
sache
, que très excep-tionnellement dans l'ataxie. Vous
est prise très fréquemment, et sans motif, d'accès de rire qu'elle ne
saurait
maîtriser. Sujette déjà avant sa maladie à des mo
a sensibilité tactile a diminué d'une manière notable », La malade ne
sait
pas indiquer, les yeux fermés, l'attitude qui a é
s des symptômes qui n'appartiennent qu'à l'induration multiloculaire,
savoir
: le tremblement des extrémités, Y embarras de la
uvent être ramenées, si je ne me trompe, à deux types fondamentaux, à
savoir
: 1° les attaques apoplectiformes (pseudo-apoplex
tes consécutives à l'hémorragie ou au ramollissement du cerveau. Nous
savons
, d'un autre côté, que, dans la sclérose multilocu
érations perma- nentes, à évolution lentement progressive. Elles ne
sauraient
par conséquent, sans le concours d'autres lésions
a cause, se porterait sur telle ou telle partie de l'encéphale. Je ne
saurais
, pour mon compte, souscrire à cette hypothèse. Po
t clair que ces indices, même avec le concours de tous les autres, ne
sauraient
fournir encore que des renseignements assez vague
la paralysie complète et à la contreture permanente. B. Ce que l'on
sait
concernant les conditions qui président au dévelo
e sont venus brusquement inter-rompre les tristes événements que vous
savez
Au moment où nous avons dû nous séparer, par un
schurie et impossibilité d'uriner, dans la langue tech-nique, vous le
savez
, c'est tout un. La signification des mots is-chur
ntion d'urine dans la ves-sie, fait vulgaire chez les hystériques. On
sait
que très commu-nément, en pareille circonstance,
ier celles de MM. Cl. Bernard et Barreswil, nous apprennent, \rous le
savez
, que, dans ces mutilations, il s'opère par l'inte
aque convulsive a éclaté en 1855. Dans quelles circonstances, nous le
savons
. 11 \ a là tout un roman, une affaire de viol (?)
is là la meil-leure police, celle des femmes par les femmes; car vous
savez
que si les femmes font des complots entre elles,
-il, dans notre cas, d'une oblitération spasmodique des uretères ? On
sait
que ces conduits jouissent de propriétés contract
Les recherches expérimentales de M. Max Harmann démon-trent, vous le
savez
, que la proportion de l'urée diminue dans l'urine
ès cet auteur, 70 cas pour le côté gauche et 20 pour le droit. Vous
savez
de quoi il s'agit en pareille circonstance. Les d
os, articulations). L''hémianesthésie hystérique se montre, vous le
savez
, sous deux aspects principaux : elle est complète
donnaient comme d'habitude du côté sain. Grisolle qui était, vous le
savez
, un observateur très sage et très sévère, avait c
Broadbent, H. Jackson (2) et surtout par L. Tûrck. Seul, ce dernier a
su
donner, relativement au siège que les lésions enc
assimilée à l'axe gris de la moelle épinière ; celui-ci, comme on le
sait
, continue à transmettre ces impressions, alors mê
ce, les faits réunis-sant toutes ces conditions-làsont, autant que je
sache
du moins, excessivement rares. On peut citer tout
ste à la réalité, se rencontrerait surtout dans le côté droit. Vous
savez
que, en France, Schutzenberger, Piorry etNégrier
e, de manière à satisfaire à la description de M. Briquet; mais je ne
saurais
trop le répéter, ainsi limitée aux phénomènes ext
uel un aide venait s'asseoir. Son exemple n'a guère été suivi, que je
sache
, que par Négrier, directeur de l'École de médecin
^)2*1 ans, atteinte d'hystéro-épilepsie depuis l'âge de 16 ans. On ne
sait
trop à quelle cause il faut, chez elle rattacher
. Geneviève)cst née à Loudun ; singulière coïncidence! C'est, vous le
savez
, le pays où s'est passé le triste drame dont Urba
e le pied, abandonné à lui-môme, a repris son attitude primitive.Vous
savez
que cettemême.trépida-tionfse rencontretrèsjhabit
tion de la langue, lorsque celle-ci est tirée hors de la bouche. Vous
savez
que ces phénomènes elle se lie à des maladies d
re hystérique, terminée brusquement par laguérison, montre qu'elle ne
saurait
être rattachée toujours à l'existence d'une lésio
ansition, à la suite d'une attaque. Ce n'est pas de la sorte, vous le
savez
, que procède la contracture tardive dans l'hémipl
ue signe qui permette d'indiquer, à coup sûr, le caractère du cas, de
savoir
par exemple si la sclérose a définitivement ou no
déjà, mais il peut arriver que demain, dans un instantpeut-être—on ne
saurait
rien prévoir à cet égard —- ils aient cessé d'exi
u'elle distingue encore fort nettement les cou-leurs périphériques, à
savoir
le rouge, l'orangé, le jaune et le bleu. Acettehé
core au-dessous et au-dessus dans une certaine étendue. Ilest,vous le
savez
, suivant les observations de M. Burcq— observatio
tériques antécédents ou concomitants, la forme môme des accidents , à
savoir
surtout : l'harmonie, la régularité des mouvement
e terminer, il est encore un point sur lequel je dois insister. Je ne
saurais
dire, quant à présent, si toutes les cho-rées ryt
. 11, p. 63-122. rarement dans votre pratique. Mais le clinicien ne
saurait
dé-daigner les cas exceptionnels, anormaux, qui l
le premier, en 1817, a sérieusement attiré l'attention sur elle. On
sait
que M. Charcot s'est efforcé de séparer nettement
jouté d'autres qui n'ont pas encore été signalés. M. Briquet, on le
sait
, a depuis longtemps mentionné l'exis-tence de div
ulementpour l'œil du côté opposé, la notion des couleurs centrales, à
savoir
, au premier chef, le violet, puis le vert. On com
auche, et encore seulement par moments, les couleurs périphériques, à
savoir
le bleuet le jaune. Cette combinaison s'est prése
,cependant, à sa connaissance du moins,n'a pas encore été signalé. On
sait
que des hallucinations très accentuées et très va
es réunies dans le foyer où ont été re-cueillies nos observations. On
sait
depuis longtemps que l'imi- talion peut avoir u
hystérie vulgaire. Il résulte clairement de ce rapprochement qu'on ne
saurait
sé-parer ces deux affections pour en faire deux m
d'hystérie locale. II. Traumatisme et paralysie agitante ». 1. On
sait
que certaines affections, subordonnées à une ma-l
heà l'étude des faits de cegenre, pourlepointde vue chirurgical. On
sait
moins peut-être que certains phénomènes locaux de
parler hystériques. Les phénomènes qui viennent d'êtres décrits, à
savoir
: l'hémia-nesthésie, la paralysie, l'ovarie, les
s les plus singuliers de Vhystérie infantile. Il n'est pas rare,on le
sait
, devoir chez les petites filles de 10 à 12 ans, p
paraître avec tout son cortège de phé-nomènes désormais classiques, à
savoir
: hémianesthésie sen-sorielle et sensitive, ovara
en effet, de ce que vous devez entrepren dre que ce dont « vous devez
savoir
vous abstenir. » II. Ce n'est pas dans l'hystér
tre Trêves et. Luxem-bourg', autour de la tombe deSaint-Willibrod. On
sait
que ces processions ont été ajuste titre considér
Epilepsia saltatoria. Chorea Magna, seu Germanorum. Elle est,comme on
sait
absolument et foncièrement distincte de la maladi
ur sont-ils des caractères cer-tains de possession? » etc., etc. On
sait
que la docte Faculté répondit avec raison, qu'il
.Delahaye a- Lecrosnier, Editeurs, Charcot. Œuvres complètes, t. i.
SU
PLANCHE II PARALYSIE AGITANTE Attitude de l
ait pas seul, ne parvenait pas il porter la cuiller à sa bouche, ne
savait
ni s'habiller, ni se laver. Caractère entêté,
rimés. Il établit bien la relation entre le chiffre et la quantité,
sait
écrire les nombres jusqu'à 100. commence à se f
e manger, le laver, l'habiller ; qu'il est gâteux, ne parle pas, ne
sait
même pas, par signes, exprimer ses besoins. Son
ole, apte à profiter de plus en plus des leçons de choses, qu'on ne
saurait
trop multiplier, puis à aborder l'instruction p
ue enfant ait été élève et moniteur il son tour. 50 enfants environ
savent
lire les notes et en connaissent la valeur. »
exercices ont le don de former l'oreille musicale de l'enfant et il
saura
distinguer les différentes intonations des note
sin ; presque tous les enfants, sauf les élèves récemment entrés,
savent
et dessinent les premières notions de géométrie.
e école et 15 de la petite école y prennent part; sur ce nombre, 95
savent
danser la polka, 30 connaissent la polka, la ma
arriération intellectuelle, épilespie. - Travaille bien en classe,
sait
appliquer les règles de gram- maire et fait peu
cl1c aux enfants, mais encore pour la bonne direction morale qu'ils
savent
leur imprimer. Le tableau suivant met en éviden
er* nous désirerions vivement suivre nos malades après leur sortie,
savoir
ce qu'ils deviennent, si l'amélioration réalisé
la température à l'entrée, durant les cinq premiers jours (1) pour
savoir
si l'en- fant n'est pas sous le coup d'une affe
l'entrée. Monsieur le Directeur. Mon attention a été appelée, vous
savez
à la suite de quelle circonstance (a), sur la n
nsavaient-elles été produites 11 Bicêtre ou à l'Asile clinique, on ne
savait
. LXX Maladies intercurrentes. Le personnel d'
nter- miteux), est devenu vif et expressif. Au début, l'enfant ne
savait
ni marcher, ni causer sauf quelques syllabes in
sure de ses petites forces. Elle commence à connaître l'alphabet,
sait
compter jusqu'à 20 sans hésitation et place les c
t place les chiffres d'une façon remarquable. Elle, qui à l'entrée,
savait
à peine marcher, trotte maintenant comme un pet
gymnastique, exécute par- faitement les quatre premiers mouvements,
sait
de même lacer, boutonner, agrafer, se prête vol
éposés devant elle, il était impossible de la tenir propre, elle ne
savait
se donner et ne voulait recevoir aucun soin con
ue et le corps prend de la souplesse. Elle connaît les couleurs, en
sait
faire la diffé- rence, sait lacer les souliers,
ouplesse. Elle connaît les couleurs, en sait faire la diffé- rence,
sait
lacer les souliers, agrafer et boutonner, autant
commence à rassembler ses lettres, connaît également les chiffres,
sait
les placer exactement, s'intéresse à tout ce qu
ire, fait bien une copie, commence quelques devoirs de grammaire et
sait
faire l'addition. Son caractère, quoique suscep
en instruction primaire, ne connaissait ni lettres, ni chiffres, ne
savait
môme pas tracer des basons sur l'ardoise. Ajout
est parvenue il écrire très lisiblement, fait une copie, connaît et
sait
faire les chiffres et lit par syllabes. Tout do
brosser leurs vête- ments. Aux repas, on surveille les enfants qui
savent
manger seules et on corrige leurs mauvaises hab
Ù la déglutition. Sur 222 enfants présentes à la lin de l'année, 50
savent
se servir de la cuiller, de la fourchette et du
a cuiller et de la fourchette ; 52 de la cuiller seulement; 38 ne
savent
pas manger seules. 180 enfants ont fréquenté l'
de la surveillante. - 16u enfants ont pris part à ces exercices; 98
savent
danser la polka, 70 connaissent la polka, la ma
ries régulières, 40 ont travaillé une heure par jour ; 95 enfants
savent
faire complètement les layettes ; 3U du crochet
re complètement les layettes ; 3U du crochet et de la dentelle ; 15
savent
marquer ; 15 savent faire de la tapisserie; 5 s
layettes ; 3U du crochet et de la dentelle ; 15 savent marquer ; 15
savent
faire de la tapisserie; 5 savent tricoter. Le t
dentelle ; 15 savent marquer ; 15 savent faire de la tapisserie; 5
savent
tricoter. Le tableau suivant donne mois par moi
))utaat'[n[ ! rme['ie générale de Bieêtre et, malgré son jeune âge,
sut
s'attirer l'estime et la bienveil- lance de ses
uceur envers les enfants, il son intelligence, il sa fermeté, avait
su
pleinement conquérir notre confiance. Elle hési
Mademoiselle 13EllTIIE LANGLET. l'encourageâmes et elle obéit. Elle
sut
prendre de suite une autorité réelle sur les en
les enfants .et sur son personnel. Ferme, mais bienveillante, elle
sut
se faire aimer de tous comme en témoignent les
part. Connaissant à fond tous ses enfants, elle no nous fournis-
sait
que des renseignements parfaits et scrupuleusemen
s. En dehors de son service administratif et médical, Mllc Berthe
savait
encore trouver des heures libres pour s'occu- p
des bosses, des ecchymoses, des plaies. Des faits de ce genre ne
sauraient
être assez connus, pour qu'on ne porte pas à la
nels, ni sur les oncles et tantes. - Un frère est mort jeune, on ne
sait
de quoi; un autre serait bien portant et n'aura
On arrivait assez facilement à fixer son attention; elle parais-
sait
écouter lorsqu'on lui parlait ; était « timide »,
; selles régulières ; gâtisme. 8 Idiotie mongolienne. Mer... ne
sait
ni s'habiller, ni se déshabiller, ni se laver.
rée à sa partie moyenne, son extrémité est comme rongée. On ne peut
savoir
si M.. s'est mordue ou si la lésion est duc à l
cérébrale; variqueuse. -Grand-père paternel mort à 49 ans, on ne
sait
de quoi. Grand'mère paternelle morte assez âgée
à des pertes d'argent. Grand'mère maternelle morte à 55 ans, on ne
sait
de quoi ; aurait eu des pertes utérines. Un frè
n père a eu sa pre- mière dent à 8 mois). Dentition complète, on ne
sait
. Elle a marché à deux ans (son frère à 13 mois)
t, se lave la figure, se sert du couvert, essaie d^ coudre, mais ne
sait
pas, enfiler son . Antécédents personnels. 27
mémoire auditive. Marcelle n'a jamais pu rien apprendre; elle ne
sait
aucune lettre, et ne peut pas tenir un crayon;
Fait les couvertures dans son dor- toir, commence à faire son lit.
Sait
dire la couleur d'un objet donné. Elle est plus
camarades. Juin. Suspension aux anneaux et aux barres parallèles.
Sait
écrire 1, 2 et 4. La parole est plus libre, M...
combinaisons en syllabes simples et en mots usuels; copie des mots,
saurait
écrire d'après modèle n'importe quel mot. Notio
jette une ser- viette au feu.- Balaye, essuie, range. 1900. Mars.
Sait
lire v et ch dans les syllabes simples et les m
ladresse une casse- role de lait, qu'elle avoue avoir voulu boire.-
Sait
tenir un passe-lacet et une aiguille à tapisser
oute seule, Traitement niI : DICO-I'T;D : 1GOGIQU. 31 . Juin. -
Sait
lire d, f, au, ou, ai et les mots formés de ces é
- Sait lire d, f, au, ou, ai et les mots formés de ces élé- ments.
Sait
donner un nombre de boules jusqu'à concur- renc
En classe, quelques progrès, écrit sous la dictée les mots qu'elle
sait
lire : donne des boules jusqu'à 30. Fait du cro
n, du bois, du cuir, des principaux métaux et des unités de mesure.
Sait
compter jusqu'à 100, connaît les chiffres. Sait
unités de mesure. Sait compter jusqu'à 100, connaît les chiffres.
Sait
lire et écrire tous les mots formés de syllabes
e migraine, ni de convulsions. Son père, est mort à 40 ans, on ne
sait
de quoi : les renseignements sont insuffisants.
dans cet état, il ne peut provenir Que des enfants sourds et qui ne
sauraient
vivre. . (MOLIÈl1E : l'Ampllytl'iol1.) Aux 2.
rents. Oncles et tantes paternels et maternels, nul détail. On ne
sait
si leurs enfants ont eu des convulsions ou des af
nerveuse ; a eu 9 enfants dont 3 ou 4 sont morts en bas-âge, on ne
sait
de quoi. Les survivants sont normaux. La second
éruptive. Il n'a présenté aucun accident scrofuleux. Les parents ne
savent
à quelle cause attribuer la maladie. Examen de
us le verrons tout à l'heure, ce que sa soeur attribuait à ce qu'il
sait
qu'il prononce mal les mots. Il coud avec une c
e et son point est régulier, Il n'aide en rien pour sa toilette. Il
sait
le nom de la plupart des objets qui l'environne
onné les lésions cellulaires précé- dentes, les fibres nerveuses ne
sauraient
être intactes. Partout, on note une diminution
1897-1902 : Développement progressif de l'intelligence, l'enfant
sait
lire, écrire, faire les premières règles, etc. -N
donné la mère de ses enfants il y a deux ans, et serait mort, on ne
sait
de quoi, peu de temps après la séparation. Il n
ucoup d'amélioration dans les exercices sco- laires : il commence à
savoir
tenir la plume, à faire des C et des 0. Il a fa
ps de talon, prenait les chaises, les projetait au loin et les bri-
sait
. A table, elle cassait les assiettes à coups de f
ait tant de bruit, le jour (jamais la nuit), en s'agitant, elle di-
sait
tant de grossièretés que les voisins, gênés autan
- 2cllc· sont mortes, l'une d'une maladie de coeur, l'autre on ne
sait
de quoi. Un oncle aurait disparu depuis environ 1
ux enfants, le second a G enfants dont l'un serait strabique, on ne
sait
s'il a eu des convulsions. Quatre scetc·.5 : un
ue c'était - liez son grand-père ; il a eu peur, a crié. Quand il a
su
que feu n'était pas chez son grand-père, il s'e
été. Aucune des taches n'est le siège de démangeaisons. Mme V... ne
saurait
dire si les régions décolorées suent plus ou mo
ie partielle sous le uom de mèche de Sylla. Pourquoi ? Mme V... n'a
su
nous le dire. Plutarque (2) raconte de Sylla qu
n domicile qu'à minuit. Il ne fume pas; boit très modérément. On ne
sait
s'il a eu des convulsions dans l'enfance. Quelq
tées. Même diiliculté pour la faire manger. T. R. 37 ? t et : nu,3.
Su
)tbna) ! gramme; bains, douches. 1 : i mars. Suz
On a terminé par la Marseillaise je me suis levé puis assise, je ne
savais
comment faire puis on s'est mis en groupes je s
t l'on se montrait des photographies et différentes choses et je ne
savait
ou me mettre. Puis M. Bourneville nous a dis al
la famille. Ici je voudrais aider mais c'est tellement granp je ne
sais
jamais par quel bout commencé. Mais il me semble
bout commencé. Mais il me semble que tout ce que je- t'écris tu le
sais
. Si tu viens demain ici avec papa et maman je v
vaises confessions, l'idée de culpabilité. La jeune fille, elle, ne
sait
à quoi attribuer son aliénation mentale. V. N
e et demie. Comme les premières, elles étaient généralisées ; on ne
saurait
dire si elles prédo- minaient d'un côté. - Les
a nulle appétence pour le vin, préfère l'eau. Il est très gourmand,
sait
parfaitement reconnaître un bon plat d'un mauva
t préfère de beaucoup les mets sucrés aux mets salés. L'enfant ne
sait
ni s'habiller, ni se déshabiller seul. Il est p
la bouche entr'ouverte. Il ne connaît ni lettres, ni couleurs, ne
sait
ni nouer, ni lacer, ni boutonner; ne fait pas de
, du lait, du chloral. Lorsqu'on a satisfait tous ses désirs, il ne
sait
plus que Fia. 33. - Ler.. (1<'.) (Otoure 190
fesse et de toute la région. Vu le gonflement il est impossible de
savoir
s'il y a fracture du bas- sin. Le gonflement di
ices. Le moignon de l'oeil gauche a été enlevé au milieu des tis-
sus
graisseux de l'orbite, le globe oculaire est repr
blessant la face, la tête. Avait-il des idées de sui- cide ? On ne
sait
. La manie cle se mordre les lèvres s'observe qu
et de ceux du précédent. Une tante paternelle est morte âgée. On ne
sait
rien des oncles et tantes mater- nels. Un frère
es oncles et tantes mater- nels. Un frère, mort à 5 ou 6 ans, on ne
sait
de quoi. -Deux soeurs mariées avec les deux frè
se, cultivateur, sobre. Grand'mère pater- nelle, morte jeune, on ne
sait
de quoi. - « Mon grand-père paternel s'est mari
ugeole : papa, maman, caca. Avaitde la connaissance, reconnais-
sait
tout le monde et les re- connaîtrait encore. "
ulté. N'au- rait jamais dit autant de mots que René. Reconnais-
sait
sa mère, attendu qu'il ne voulait manger qu'ave
ait manger qu'avec elle. A les yeux un peu déviés en bas, on ne
sait
depuis quand. Aurait eu aussi des mou- veme
, d'abcès ni de fractures. - DESCRIPTION DES malades. 239 On ne
sait
à quoi attribuer la maladie des deux enfants, L
nts d'idiotie complète. La première question qui se posait était de
savoir
s'il s'agis- sait là d'une affection familiale.
. La première question qui se posait était de savoir s'il s'agis-
sait
là d'une affection familiale. Suivant Pauly et Bo
explicatif et descriptif des planches XVII à XXXII. Le lecteur nous
saura
gré de placer en tête de ce volume la Notice que
ont la nature et les conditions sont presque entièrement ignorées. On
sait
que l'intelligence ne se manifeste jamais sans le
nimale, l'état du système nerveux et celui de l'intelligence, afin de
savoir
si une organisation donnée coïncide toujours avec
aits m'ont paru incomplètement observés ou en trop petit nombre, j'ai
su
douter. N'ayant aucunement la prétention de tout
etit nombre, j'ai su douter. N'ayant aucunement la prétention de tout
savoir
et de tout dire sur le sujet que j'ai entrepris d
pas reçu le bienfait de l'instruction, avait le goût et le respect du
savoir
; elle désirait vivement en faire acquérir au moin
e son âge et de sa constitution l'exposait plus que les autres. On ne
saurait
exprimer de quel désespoir son frère fut accablé
l'ayant intimement connu, se rappellent la faiblesse de ses bras, et
savent
qu'il n'avait de bonheur qu'au milieu d'amis écla
z, frère du professeur de la Faculté des lettres d'aujourd'hui. Ayant
su
, par une confidence du vaguemestre de la légion,
temps, selon les lieux, selon l'état des esprits, selon l'enfance du
savoir
ou sa virilité. Aucune des assertions ci-dessus r
es Annales d'htjgiène et de médecine légale, avec toute l'autorité du
savoir
, cette question d'irresponsabilité des aliénés, t
aison que M. Esquirol a fondée et qu'il dirigeait avec l'élévation du
savoir
unie à celle du caractère, il s'établit à Bicêtre
aventure se trouve tout au long dans la préface de l'ouvrage : on ne
saurait
dire les choses avec plus de courtoisie; mais cel
t de continuer l'impression de son livre. Celui qui s'exprimait ainsi
savait
que cette guérison était impossible ; mais ses pa
euret s'était occupé du service des aliénés avec l'entraînement qu'il
savait
mettre à tout ce qu'il voulait, el dans le cour
ait le nom qu'il aimait à lui donner, sans qu'elle en ait jamais rien
su
, il ne manqua pas de lui conter l'aventure, mai
lique douceur qui ne s'effrayait et ne se troublait de rien : « Je ne
saurais
vous entendre, dit-elle, mais je puis prier pour
bation sans examen est une chose qui a droit d'étonner, et dont on ne
saurait
assez se garantir, quand on cultive les sciences
ies, animaux placés par Cuvier dans la première fa- (i) Ce que l'on
sait
du système nerveux des héléropodes montre qu'il y
irevient la question dont je parlais en finissant l'article précédent/
savoir
, si la différence dans la fonction des nerfs tien
un mot des injections de nerfs des mollusques pratiquées par Poli. On
sait
que cet anato-miste, croyant avoir découvert et i
airement par ce nerf, y fut bien tracé ; 3° Que, sur la question de
savoir
si l'audition s'opère chez les poissons par le mo
comme alimens à des animaux plus parfaits : c'est là tout ce que nous
savons
du but de leur existence. D'autres mollusques n
, attirés par l'odeur au milieu de la plus profonde obscurité (3). On
sait
peu de (1) Rem. sur les coquillages à deux coqu
e avec celui des cordons latéraux. » A de semblables caractères on ne
saurait
reconnaître des nerfs, et la comparaison faite pa
ent de la chaîne ganglionaire dans les intervalles des ganglions : on
sait
que Gall s'est efforcé de prouver que la substanc
t et de l'abdomen. Le ganglion céphalique donne cinq paires de nerfs,
savoir
: les nerfs antennaux, les nerfs optiques, et tro
invertébrés, c'est l'encéphale ; la moelle ou chaîne ganglionaire ne
saurait
être un prolongement rachidien chez les animaux d
du cerveau, fournit lui-même des faits qui concourent à l'établir. On
sait
que, chez les vertébrés , la moelle épinière se t
l'animal? A ces difficultés, les uns ont répondu avec Montaigne : Que
sais
-je? les autres ont opposé des croyances qui ne pe
si différente de la texture de l'ouïe du lion, que ces corpuscules ne
sauraient
pénétrer dans l'oreille du lion sans les déchirer
enu de se servir pour désigner le mobile qui fait agir les animaux ne
saurait
leur être appliqué, à moins qu'on ne le donne éga
té de l'organisation des annelides doit faire présumer que si l'on ne
sait
pas tout ce qui peut avoir quelque rapport avec l
Les crustacés sont, pour la plupart, au-dessus des annelides ; ils
savent
se défendre et surtout attaquer, chercher et sais
710, des bas et des mitaines faits de soie d'araignée, Réaumur voulut
savoir
comment on pourrait s'y prendre pour conserver de
L'existence de plusieurs organes des sens, chez les aranéï-des , ne
saurait
faire l'objet d'aucun doute, ces animaux sentent,
'aucun doute, ces animaux sentent, ils entendent et ils voient; on ne
sait
pas s'ils odorent ou s'il leur serait départi que
urnit rien dont ils puissent se nourrir, et, s'ils sont attaqués, ils
savent
se prêter mutuellement secours. Dans la série des
milière, j'allais dire de peuplade à peuplade, des guerres acharnées,
savent
faire servir à la satisfaction de leurs besoins d
oint : en voici un où l'on verra que l'ouvrière découvrit l'erreur et
sut
la réparer. ce Un mur d'attente était élevé et
on des premiers travaux, de ceux qu'elles doivent entreprendre; elles
savent
tontes ébau cher, continuer, polir ou reloucher
par goulleleltes, de l'anus des galle-insectes et des pucerons; elles
savent
même, lorsque ces gouttelettes ne sortent pas aus
elles fuient, le plus souvent elles s'avancent pour combattre. On ne
sait
pas si les fourmis d'une même fourmilière se font
rriture dont elles leur apportent une partie. Les fourmis amazones ne
savent
ni construire, ni trouver à manger, ni élever leu
rent elles-mêmes dans leur habitation. «Nous étions très curieux de
savoir
ce que deviendraient les autres cellules royales
ompliqué que parce qu'il dépend de plusieurs milliers d'individus? Ne
sait
-on pas que tout rapport, tout désordre même, pour
es sont, dit-on, plus ingénieuses qne les guêpes, que les frelons qui
savent
aussi l'architecture, mais dont les constructions
t la source de la désolation et du trouble de leur société. » On ne
saurait
prendre au sérieux plusieurs de ces allégations.
ence de ses actions, que seul il est libre, tandis que les animaux ne
savent
en aucune manière comment ou pourquoi ils agissen
vent en aucune manière comment ou pourquoi ils agissent, ou qu'ils le
savent
tout au plus comme nous le saurions dans un rêve.
s le saurions dans un rêve. Pour ce qui concerne les animaux, on ne
saurait
disconvenir que leurs actes ne soient infiniment
ir apprises; l'homme au contraire apprend une partie de ce qu'il doit
savoir
ou faire par la suite, il est éducable. Sous ce r
onduit à une conclusion tout-à-fait analogue à celle de M. Ritter. On
sait
qu'elle a été autrefois l'influence des prophètes
re le perfectionnement du système nerveux. En effet, tout ce que nous
savons
des mœurs, des habitudes, des instincts propres a
de la Société' de Harlem, 176a.— Mémoires de l'Académie des Sciences,
savons
étrangers, t.vr, 1774. (3) Elemenla physiologiœ
es, quelque bons qu'ils soient, ne profitent réellement qu'à ceux qui
savent
en soumettre la substance au contrôle de l'observ
ns voir une partie du nerf de la cinquième paire s'y implanter, on ne
saurait
douter qu'ils n'appartiennent à ce nerf, ils sont
t il a donné les dimensions de ce nerf, chez vingt poissons. Si je ne
savais
combien M. Serres est sujet à se tromper, des ass
oint, on n'est pas encore arrivé à une détermination rigoureuse. Nous
savons
que le poids comparé du cerveau et du corps des m
me des nerfs encéphaliques des mêmes animaux. Par voie directe, on ne
saurait
obtenir la mesure des diamètres de l'encéphale, p
aux n'existent pas aussi constamment, et M. Serres qui, autant que je
sache
, en a parlé le premier, a peut-être eu le tort de
ru tout d'abord le procédé de M. Bauer, je l'ai mis en usage, afin de
savoir
ce qu'il me donnerait. J'ai fait macérer dans l'e
j'ai à discuter une question que je n'ai pas encore abordée, celle de
savoir
s'il existe réellement, dans le'système nerveux,
scriptive, 4 vol. in-8. Paris, i835. t. îv, p. 6oi . moelle ; je ne
saurais
dire si elles allaient aussi se rendre dans la su
encement de putréfaction. Moi aussi j'ai vu des globules : mais je ne
sais
pas s'ils étaient en dehors ou en de- (i) Op. c
her de Chalcédoine, pour eux si profitable , le nom de corne d'or. On
sait
que généralement les poissons se dirigent vers la
âle et la femelle? c'est ce que les observateurs n'ont pas dit, et ne
sauront
probablement jamais. La plupart des peintres qu
ués les poissons, tout court qu'il soit, résume cependant ce que l'on
sait
d'essentiel sur ce sujet : la difficulté d'observ
r quel rapport il y a entre Ces variations ou, en d'autres termes, de
savoir
si une certaine capacité intellectuelle correspon
iers animaux présentent seulement de très légères dépressions : je ne
sache
pas que l'on ait examiné sous ce point de vue, le
s poissons, d'une manière aussi malencontreuse que la phrénologie. On
sait
que Camper tirait une ligne qui, partant du front
organique, par des recherches microscopiques que nous parviendrons à
savoir
d'une manière certaine, quels liens unissent entr
té, et tout près du sillon médian spinal, se trouve un sillon presque
su
perflcíel dans lequel pénètrent les racines spi
nouveau ; dès-lors, mon attention étant fixée sur ce point, je voulus
savoir
au juste ce qu'il fallait penser du phénomène qui
les racines des nerfs rachidiens , mais elles sont si ténues queje ne
saurais
dire si elles se continuent dans ces nerfs. 2.
pénétré jusqu'à l'animal par des pores ou des fissures qu'on n'a pas
su
découvrir. J'ai, moi-même, enfermé des crapauds d
u'ils habitent ensemble, les animaux dont il vient d'être question ne
sauraient
être regardés comme vivant en société : excepté à
comme elles trouvent presque toujours en abondance des animaux qui ne
savent
pas se défendre et dont elles font leur nourritur
rochets. Toutes les vipères sont venimeuses, et il paraît qu'elles le
savent
, car souvent elles se cachent pour épier une proi
l'autre dans une même étreinte. Ils joignent la ruse à la force; ils
savent
attendre un ennemi, le menacer, le fuir, et saisi
ssais; je ne connais pas les sept cents observations de M. Vimont; je
sais
trop combien Gall et Spurzheim avaient négligé l'
ait principal restera tout aussi impénétrable qu'auparavant ; on n'en
saura
pas mieux comment l'organe produit le phénomène
chez l'homme , le nerf optique naît à-la-fois d'une triple éminence,
savoir
, les deux tubercules quadrijumeaux i) Op. cit.
ui regarde les nerfs, c'est la seule manière d'opérer, parce qu'on ne
saurait
isoler ces organes dans toute leur étendue, les e
est capable de progrès. Quelques espèces vivent de chasse; celles-là
savent
éviter certains pièges, et il n'est pas facile de
rité de la nuit. Cuvier a distingué sept espèces d'oiseaux nocturnes,
savoir
: les hiboux, les chouettes, les effraies, les ch
s, qui répandaient, dans cette chambre, une odeur fétide. Comme on ne
savait
pas précisément dans quel endroit se trouvait le
très vorace ; on le compare sous ce rapport à la loutre qui, comme on
sait
, fait de très grands ravages dans les étangs. Le
attendant (pie quelque petit animal vienne à portée de son bec; elle
sait
manger, mais elle ne sait pas chasser. Le buzard
tit animal vienne à portée de son bec; elle sait manger, mais elle ne
sait
pas chasser. Le buzard est un peu moins stupide;
ieux. Les vieux ne se copient pas servilement les uns les autres, ils
savent
accommoder leur travail aux exigences du lieu qu'
oiseanx voyageurs, soit qu'ils viennent de l'Afrique ou du Groenland,
savent
le retrouver. On s'en est assuré plusieurs fois,
tion d'un nid donne à l'oiseau le sentiment de la propriété; l'oiseau
sait
que ce nid lui appartient, et si un voleur vient
ue l'oiseau : s'il est né pauvre, il n'a pas même d'habitation, il ne
sait
pas où reposer sa tête; le partage a été fait d'a
i le distinguent-ils très bien de tous les animaux. Les chasseurs qui
savent
cela, se cachent quelquefois dans une espèce de b
ier, il naît un nombre de mâles supérieur à celui des femelles. On ne
sait
pas quel est le sort des mâles qui ne trouvent pa
rtiennent pas, lorsqu'ils viennent croiser ses recherches (1). Chacun
sait
que la poule est intrépide quand il s'agit de pro
entre le mâle et la femelle. Parmi les animaux , les oiseaux seuls
savent
chanter et parler; ils ont un chant qui leur est
seaux adroits et rusés quand il s'agit de s'emparer de leur proie, ne
savent
pas échapper aux pièges qu'on leur tend ; ils son
endez-vous, s'ils veulent faire bonne chasse. On prétend que la pie
sait
compter jusqu'à cinq ; Buffon ne le nie pas ; G
entré six, le sixième peut rester sans qu'elle s'en doute : elle ne
sait
pas compter jusqu'à six. » (1) 11 y a des oiseaux
existence des facultés regardées comme primordiales de l'entendement,
savoir
: la sensation, l'attention, la mémoire, l'imagin
active chez les oiseaux voyageurs qui se reconnaissent entre eux, qui
savent
retrouver leur ancien domicile, etc. Mais elle at
ment dans des choses très simples, et que j'appellerai sensuelles, ne
saurait
êlre refusé aux oiseaux, surtout à ceux qui sont
faculté de reconnaître les autres oiseaux, les hommes, les lieux, de
savoir
les saisons et les heures ; les qualités nécessai
s sentinelles , prévenir d'un danger qui menace, donner des signaux ;
savoir
aimer d'amour , ressentir la tendresse d'un ami;
l'oie el l'autruche ne sont pas des animaux stupides, el ce que nous
savons
d'elles nous oblige à les regarder comme supérieu
e. Des deux tableaux qui précèdent, on peut tirer celte conclusion,
savoir
: que le cerveau, comparativement au cervelet el
t bien plus souvent étudié le crâne que le cerveau, ce en quoi ils ne
sauraient
être excusés, car lorsqu'on a la prétention de mo
eignée par ces auteurs, ceux même qui ont écrit depuis 1829, n'on pas
su
tirer parti de la découverte de Rolando. Les figu
l'organe de la douceur dans les sinus frontaux , et celui du courage
su
les muscles qui vont s'insérer à l'occipital. » V
end, ou plutôt ce que l'on doit entendre par circonvolutions, afin de
savoir
si, comme je l'ai dit précédemment , on peut les
ne ondulation, et leurs divisions présentent le même caractère. Je ne
saurais
dire s'il faut en compter, à l'extérieur, trois p
de bélier, protubérance cylindroïde, est la plus considérable de ces
sait
lies; elle est comme un relief intérieur de la
du mouton, etc.). Entre les quatre parties dont je viens de parler,
savoir
: la commissure antérieure, la commissure molle e
t d'être parlé. Deux commissures appartiennent à la couche optique,
savoir
la commissure molle, dont l'existence passe pour
éveloppement tel qu'à chaque lobe correspond un de leur prolongement;
savoir
, la corne antérieure au lobe antérieur, la corne
entre les deux lobes cérébraux, comme chez les autres mammifères. On
sait
d'ailleurs que le corps calleux n'est pas seuleme
rtagent ainsi en trois lobes (1, 2, 3, pl. iv, renard, fig. 2, etc.),
savoir
: un lobe moyen, ou ver du cervelet, dont l'extré
ainement plus multipliées chez le cheval que chez le bœuf; mais je ne
saurais
indiquer la différence qu'il y a, sous ce rapport
en communication avec la moelle allongée par trois ordres de fibres,
savoir
: celles du corps resti-forme (pl. vu, fig. 2, c.
s le résultat qui nous a paru assez clairement donné par les oiseaux,
savoir
, que le volume relatif du cervelet au cerveau est
veau, du cervelet et de la moelle allongée de quarante-trois chevaux,
savoir
: dix chevaux entiers, douze jumens et vingl-el-u
tions aussi favorables. Quoi qu'il en soit, sur cinq nerfs mesurés,
savoir
: l'optique, le moteur commun des yeux, le pathét
x un grand nombre de crânes d'animaux, est arrivé à cette conclusion,
savoir
: que la forme des crânes, dans le règne animal, e
ucoup, quant à leur volume, chez les différens mammifères, mais je ne
saurais
indiquer les limites de leurs variations. La pl
du volume des nerfs avec celui de l'encéphale, chez cinq mammifères,
savoir
: le chien, le cheval, l'âne, la martre, le chat e
, l'obligeaient à pratiquer les animaux,et les faits qu'il raconte ne
sauraient
être mis en doute. Quant à ses déductions, nous d
nt, une sorte de convention tacite entre les chiens et lui. Mais nous
savons
combien les chiens comprennent avec facilité la p
retrouver dans un autre. Enfin, au bout de quelques années, le chien
sut
prononcer environ une trentaine de mots. De ce no
es chiens retombent dans les fautes pour lesquels on les a punis; ils
savent
par des gestes et des cris sur la signification d
et il apprend vile à en tirer parti. Un lion enfermé dans sa cage ne
saura
que rugir, et si la force ne lui suffit pas pour
e, ni de courage, ni d'intelligence; elle évite les chiens, mais elle
sait
lutter avec eux, et pour la chasser des lieux qu'
donc moins de faire une classification exacte des mammifères, que de
savoir
si les transitions d'organisation qui existent en
dation entre ies intelligences. Ce que je cherche, eu effet, c'est de
savoir
si cette gradation existe, et quels en sont les c
rc-épic, lapin, lagomys, cahiai, agouti, paca, eochon-d'Inde. On ne
sait
que peu de chose de l'aye-aye. Tlvit dans un terr
e. Au rapport de Gesner,la sentinelle est la dernière à rentrer; elle
sait
qu'elle est chargée de veiller à la sûreté de ses
ent. Les rats d'Egypte étaient dans le même cas, et c'était, comme on
sait
, une des plaies de ce pays. Les gerboises au no
s tours d'adresse comme battre du tambour et sauter en cadence. On ne
saurait
dire qu'ils s'attachent à l'homme, car si, aidés
de les loger et de les nourrir, cela n'a rien qui doive nous étonner.
Savent
-ils que nous prenons tant de soin pour eux? le pe
er. Savent-ils que nous prenons tant de soin pour eux? le peuvent-ils
savoir
? Une longue habitude de la domesticité en modifia
tés et leurs mœurs. Le moufflon est vif, fort, léger à la course ; il
sait
se défendre contre un ennemi, soit en le heurtant
ed ; tandis que le mouton est lent; le moindre bruit l'effraie, il ne
sait
pas veiller à sa conservation, il n'a pas le sent
endre à cet animal ce qu'on venl qu'il fasse, et il devient, quand on
sait
l'élever, non pas l'esclave, mais le compagnon de
quand on les conduisait au faubourg Saint-Marceau, qui est, comme on
sait
, un des quartiers les plus pauvres et les plus ma
yant, se montrait avide de caresses. Docile à la voix de l'homme , il
savait
se faire obéir de ceux dont il se reconnaissait l
rte : ce qui paraît certain, c'est que les phoques se connaissent, et
savent
au besoin se défendre contre un ennemi commun. Le
une grande patience, l'éléphant qui a le sentiment de sa force et qui
sait
combien l'homme lui est inférieur à cet égard, n'
près avoir subi des contrariétés ou de mauvais traitemens, l'éléphant
sait
se venger. Il est arrivé plus d'une fois que des
oire cependant, que les singes reconnaissent les femmes habillées, et
sachent
les distinguer des hommes; ils sont également lub
font partie de la collection de Gall, nombre qui est de 3 seulement,
savoir
: une tête de tigre, une tête de lion et une tête
e cette fois d'une manière précise le siège de l'amour des petits; on
sait
de quelle circonvolution cérébrale il veut parler
ais sans désignation d'organe. (4) Op. cit., t. iv, p. 329. Je ne
sais
à quel genre de distraction attribuer ce passage
es la croyance établie par leur maître. Eh effet, M. Casimir Brous-
sais
, faisant l'éloge du grand ouvrage publié récemmen
le chat et chez le chien? Et s'il en est ainsi, comment M. Vimont le
sait
-il? On se perd en conjectures, parce que l'auteur
ous comparerons l'homme aux animaux et les animaux entre eux, afin de
savoir
quels rapports existent, dans toute la série anim
nde turbulence, il suit avec assez d'idée les exercice* de la classe.
Sait
se laver seul, s'habille un peu mieux, mais a gar
ée; l'enfant raconte ce qu'il voit faire et interroge sur ce qu'il ne
sait
pas. Il travaille assez bien à la classe,-sait no
erroge sur ce qu'il ne sait pas. Il travaille assez bien à la classe,-
sait
nouer, lacer, boutonner et faire les trois premie
t de jour en jour plus intelligible. Aujourd'hui il s'habille seul,
sait
lacer, boutonner, nouer. Il nomme les différentes
beaucoup plus rapides si sa mémoire était plus fidèle: mais ce qu'il
sait
parfaitement un jour est oublié le lendemain, ce
XVlII) a beau-coup gagné pour la parole et l'adresse de ses mains. Il
sait
lacer, nouer, boutonner, distingue les couleurs,
s. Si on lui posait une question, il s'empressait de dire: Oh moi, je
sais
et lorsqu'on s'adressait à lui, il était incapabl
ien faire attendu qu'il est fou. Nous qui vivons dans son intimité et
savons
ce qu'on peut obtenir de lui nous nous rendons pa
qu'on peut obtenir de lui nous nous rendons parfaitement compte qu'il
sait
très bien ce qu'il dit et ce qu'il fait, et que c
chez eux, l'imitation et partant Y attention, il faut les habituer à
savoir
vouloir, toutes choses qui chez l'enfant normal e
Ne perdant jamais de vue que nous avons affaire à des malades qui ne
savent
pas parler ou qui parlent mal, qui ne commencent
s qui ne savent pas parler ou qui parlent mal, qui ne commencent qu'à
savoir
regarder et imiter, nous faisons acquérir toutes
ns avec des normaux, enfants ou adultes, avec des sujets qui peuvent,
savent
et surtout veu-lent ? Nous aussi, nous menons d
ibles, surtout en fran çais. Les principales règles de grammaire sont
sues
et assez bien appliquées. Les fautes d'orthograph
écillité. — Fauc... Progrès sensibles en français et en arithmétique.
Savait
à peine lire et compter il y a 2 ans. Suit la d
opérations fondamentales de l'arithméti-que, fait bien la dictée, et
sait
déterminer le rôl3 des mots dans une phrase. Il a
l persiste avec la même application. Fait mieux les devoirs écrits et
sait
faire l'addition, la soustraction et la multiplic
point de vue primaire. Ne connaissant aucune lettre de l'alphabet, il
sait
maintenant lire de petites phrases ne comportant
ultés et par une aplication soutenue aprrivera aune lecture courante.
Sait
faire l'addition et a commencé la soustraction, a
école ont pris part aux leçons do solfège etsur ce nom- 10 enfants
savent
à peu près lire la musique, connaissent la valeur
fare comme élève piston.— Lesuc.. Lec-ture assez bonne, cet enfant ne
sait
pas lire, mais est arrivé à lire la musique assez
, Carn.., Dufo.. et Corn... commencent à lire la musique.— Gard... ne
sait
pas lire la musique, mais il retient bien le nom
e sait pas lire la musique, mais il retient bien le nom des notes, il
sait
qu'il a la note do sur lui (le dos), que l'on mar
t connait aussi la valeur des notes des musique et de silences. Rog..
sait
lire la musique.— Benni... Assez bonne lecture, c
rapiques soient insulisantes ou nulles dans les pensionnats, quand on
sait
qu'elles sont mauvaises dans la plupart des établ
ion. Ils devraient en conséquence être utilisés en proportion de leur
savoir
dans les ateliers de la maison. Il est loin d'en
ions vivement suivre nos malades après leur retour dans leur famille,
savoir
ce qu'ils deviennent, si l'amélioration réalisée
ns la température à l'entrée, durant les cinq premiers jours (1) pour
savoir
si l'enfant n'est pas sous le coup d'une affectio
'cnlréc. Monsieur le Directeur. — Mon attention a été appelée, vous
savez
à la suite de quelle circonstance (a) sur la néce
ns avaient-elles été produites à Bioétre ou à l'Asile clinique, on ne
savait
, D'où la circulaire ci-dessus. un infirmier du
x bru-yants ; rôdait un peu partout et, malgré son insuffisance, elle
savait
s'y prendre pour venir en classe le moins possi-b
-blement, fait des copies, apprend la grammaire, récite des fables et
sait
faire des additions et des soustractions. Elle es
ut de prononciation, ni de bégaie-ment. Elle construit des phrases et
sait
tenir une petite conversation; répond directement
re ses lettres, à syllaber et maintenant lit presque couramment. Elle
sait
écrire et fait des copies ; elle commence à compt
, mais ne se servait que de la cuillère ; elle ne gâtait pas, mais ne
savait
se donner aucun soin de propreté ; il fallait l'a
ence, elle ne parlait pas, ne marchait pas, ne mangeait pas seule, ne
savait
pas tenir sa cuillère et barbotait dans les assie
preté. Le caractère était hargneux, toujours grognon, en un mot on ne
savait
comment la prendre. Au réfectoire, elle ne savait
on, en un mot on ne savait comment la prendre. Au réfectoire, elle ne
savait
nullement se servir de la cuiller, jetait de tous
eçons de choses. Quant au calcul, elle a plus de difficultés, elle ne
sait
faire que des additions sans retenue, mais c'est
le ne faisait que des copies, connaissait à peine l'addition. Elle ne
savait
rien faire comme ouvrage manuel : couture, repass
laisir, elle possède même une certaine délicatesse de sentiment. Elle
sait
aussi se faire aimer de toutes ses compagnes qui
la réclament dans leurs jeux et dans leurs diverses occupations. Elle
sait
mettre la paix quand il y a une dispute, de même
, à brosser leurs vête-ments. Aux repas, on surveille les enfants qui
savent
manger seules et on corrige leurs mauvaises habit
ni corps étrangers. Sur 230 enfants présentes à la fin do l'année, G5
savent
se servir de la cuiller, de la four-chette et du
de la cuiller et de la fourchette; 55 de la cuiller seulement; 40 ne
savent
pas manger seules. Divers procédés, maintien de b
elles peuvent avoir des périodes d'excitation. Et alors elles doivent
savoir
que le médecin doit être prévenu. Enseignement
par séries régulières, 32 ont travaillé une heure par jour. 6 enfants
savent
faire complètement les layettes ; 16 du crochet e
faire complètement les layettes ; 16 du crochet et de la dentelle; 4
savent
faire de la tapisse-rie ; -4 savent tricoter. Le
6 du crochet et de la dentelle; 4 savent faire de la tapisse-rie ; -4
savent
tricoter. Le tableau suivant donne mois par mois
gère palmature. Sur les 230 enfants qui existent à la Fondation; 65
savent
se servir de la cuillère, de la fourchette et du
e la cuillère et de la fourchette; 55 de la cuillère seulement; 40 ne
savent
pas manger seu-les. Sept d'entre elles ont appris
e et des programmes appliqués dans nos écoles ordinaires, mais qui ne
sauraient
non plus être confondus avec les idiots et les cr
ment comme une auxiliaire dans l'accomplissement d'une tâche qu'il ne
saurait
décliner, et que lui seul d'ailleurs peut embrass
es praticiens auxquels il fera appel lui apporteront le concours d'un
savoir
, d'une expérience, d'un dévouement (1) C'est «c
e chez son porc, cultivateur, parce qu'en raison cle sa myopie, il ne
saurait
se garer des animaux. Ce cas est à rappro-cher cl
d'arriération. Il restera dans la première divi-sion jusqu'à ce qu'il
sache
parler, faisant la gymnastique des échelles, appr
s répètent constamment et l'ont répéter le nom, que l'enfant avant de
savoir
lire les reconnaît imperturbablement. J'ai fait l
le samedi de cha-que semaine à partir de 2 heures 1/2. Le personnel
sus
désigné comprenant 22 personnes a été divisé en q
aient élèves depuis cinq ans. A la fin de l'année scolaire, 17 élèves
savaient
lire, écrire et compter. Actuellement, sur les 24
présents à l'hospice de Montreuil-sous-Laon, sont au nombre de 25,
savoir
: Il n'existe pas de personnel pour l'éducation
re excès de valsions. 1 g. détraqué. boisson. 1 fille morte on ne
sait
de 1 g. très faible de constitu-quoi. tion. N.
ts. ningite. N. m., imbécillité, épilepsie boisson. I g. mort on ne
sait
de quoi. 1 fausse couche à 5 mois. Hor.........
pilepti-que. Simon.......... Peintre en bâtim. » 3 2 g. morts on ne
sait
de quoi. N. m., imb. et épileptique. » Môzié...
ant. » culcuse. N. m., Imbécillité. I Fille morte à 3 mois, on ne
sait
de quoi. Fria............ » Photographie. 2 » N
humatisme. Mort en 1901 des suites d'une pleurésie avec hémoptysie.
Su
famille. — Son père buvait beaucoup (vin) et sera
père est mort de la rupture d'un anô-vrisme do l'aorte, sa mère on ne
sait
de quoi. Il on est de mê-me pour ses rjrands pare
en portant. Aucun n'aurait eu de convulsions. Notre malade. — On ne
sait
si la conception a eu lieu en état d'ivresse. — L
le mais n'hésite pas à se défen-dre si on le taquine. Sens normaux. —
Sait
lire, écrire, faire les trois premières opération
tellec-tuellement. Il ne peut presque plus s'occuper en classe. Il no
sait
jamais retrouver sa place. Il perd ses crayons, p
use. Novemtoe. — La déchéance s'accentue, 13... ne peut plus Vous
savez
, mon camarade X.., c'est ma mère et il rit aux éc
'il en Fig. 9. — Bar,., en novembre 1807, ait un devant lui. « Il
sait
, dit-il, et veut faire comme les autres. » Il rép
ningite tuberculeuse avec cécité ; Par bourneviixe et peruisî. On
sait
que sous le nom d'idiotie on englobe un grand nom
s de renseignements. De môme pour les grands parents maternels. On ne
sait
s'il y avait des oncles paternels ou maternels. N
t, mais sa colère ne dure pas; point de migraines. — [Père mort on ne
sait
de quoi. — Mère morte à 63 ans, de la rupture d'u
par la mère. Sevrée à 21 mois. Première dent à 14 mois. Impossible de
savoir
à quel âge la dentition fut complète. D... commen
iste, ne voulait jouer avec personne, restait assise « à penser je ne
sais
à quoi, » dit la mère. Elle courait après les ani
sauts dans le lit. Elle a bonne mémoire, raisonne et parle bien, elle
sait
lire et écrire. Les sentiments affectifs sont ass
— L'enfant est tombée hier, étant assise, la face contre terre, on ne
sait
pourquoi. Elle a crié après, s'est débattue, remu
ordait pas avec sa femme; l'a quittée il y a 12 ans et, depuis, on ne
sait
Cfe qu'il est devenu, s'il est mort ou vivant; pa
urs toutes très myopes; l'une particulièrement voyait à peine ; on ne
sait
si elles ont eu des enfants. — Dans le reste de l
et tantes nombreux et bien portants, ils habitent la Pologne ; on ne
sait
si leurs enfants sont atteints d'affections nerve
ileptique, a eu un garçon mort d'un chaud et froid en 15 jours. On ne
sait
, si elle est morte dans un accès. Un frère, buv
hute de la hauteur d'un mètre environ et tombe dans les orties. On ne
sait
si la chute s'est faite sur la tête, ni si l'enfa
de nystagmus; accommodation normale. La vue paraît bonne, l'enfant ne
sait
distinguer les couleurs. Voûte palatine ogivale,
demande à aller aux cabinets le jour. Commence à s'habiller, mais ne
sait
toujours pas se donner les soins de toilette et p
r les commissions adminis-tratives, les conseils g'énéraux, etc. On
sait
qu'il y a deux modes de placement pour les aliéné
sée. Cet enseignement a donc pour sanction la thérapeutique. « Vous
savez
combien celle-ci est négligée, combien sont peu c
oc moral des plus violents. Etant en compagnie d'un parent qu'elle ne
savait
pas atteint d'épilepsie, elle fut témoin d'une at
recours n auront aucun effet dans la plupart des cas si le médecin ne
sait
donner à sa prescription toute l'autorité désirab
, faire accepter et même désirer l'application du traitement que nous
savons
parfaitement être non seulement utile mais nécess
e, et me demanda si je n'aurais pas peur du Diable. Je fus curieux de
savoir
ce qu'il me voulait dire et à quoi aboutiraient s
Elle en sortit enfin définitivement en 1725, et termina sa vie on ne
sait
ni où ni comment. Hyperacuité olfactive et visu
me une paralysie faciale du côté gauche. On a beaucoup discuté pour
savoir
si, dans le cours de l'hystérie, il est possible
e adjuvante spéciale a déterminé la variété symptomatique actuelle, à
savoir
le bavardage nocturne. Son mari est très jaloux
ait bénin. Néanmoins on ne peut fixer de date à une guérison que nous
savons
certaine. Je garde le souvenir d'une enfant du se
e d'anatomie. Les amulettes n'ont jamais été plus en faveur, comme on
sait
, et il est difficile de rencontrer une personne q
ien de ce qu'il a fait en dormant, ceux qui ont été hypnotisés ne
savent
ensuite point ce qui s'est passé à leur égard, ou
semblent fort aux moyens employés pour appeler le sommeil, et l'on ne
saurait
méconnaître la conformité que présentent en maint
ccomplissons d'une manière consciente. Il parait que ces fonctions ne
sauraient
rester en activité d'une manière non interrompue
d'expériences antérieures. L'imagination, même la plus émancipée, ne
saurait
inventer quoi que ce soit qui ne soit pas composé
ique parfois très lent, très sourd, mais réel. En second lieu, l'on
sait
que, pendant le sommeil, notre sensibilité intern
ient de tous leurs vœux. Les prêtres du paganisme ont très habilement
su
les provoquer et les interpréter. Les herbes les
devait. Quand il meurt, on la réclame de nouveau à son fils. Celui-ci
sait
que cette somme a été versée, mais il ne possède
uissance, de suspendre notre jugement, de n'avoir point d'opinion, de
savoir
ne pas savoir, et de ne point affirmer quand les
uspendre notre jugement, de n'avoir point d'opinion, de savoir ne pas
savoir
, et de ne point affirmer quand les raisons d'affi
e Dr Bonnet, médecin en chef de l'asile de Saint-Robert ; 3° le grand
savoir
et l'esprit philosophique que nous avons été part
ile de Saint-Robert, dont il est le distingué médecin en chef. Il a
su
, en artiste qu'il est, marier, dans l'emploi de v
temps, les riants paysages avec l'austérité de vos discussions. Il a
su
mettre, autant que possible, de la variété dans v
ttre, autant que possible, de la variété dans vos occupations, car il
sait
que ce que vous aimez, avec raison, à rencontrer
pensée, il ramène tout à l'étude objective de la nature, parce qu'il
sait
que ses réalités tangibles et palpables sont les
bêtise qu'il leur attribue ? quand je me joue à ma chatte, « qui
sait
si elle passe son temps de moi, plus que je ne fa
cette mentalité médicale, dont je parlais tout à l'heure et que vous
saviez
trouver ici. Si vous n'avez pas de diplôme prof
lerait que la simulation pourrait n'être pas étrangère à la chose; on
sait
, en effet, que certains animaux simulent à mervei
e proprement dite de l'hypnose et de la suggestion, parce que nous ne
savons
pour ainsi dire rien de l'état de conscience de l
a seulement appris à discuter avec plus ou moins d'artifice, qu'il ne
sait
rien ou tout au moins que ce qu'il sait ne lui se
ou moins d'artifice, qu'il ne sait rien ou tout au moins que ce qu'il
sait
ne lui sert à rien, qu'il est « nu comme Adam apr
e Louvain. « J'eus, dit-il, la présomption d'enseigner ce que je ne
savais
pas, adaptant tour à tour Houllîer, Tagaut, Guy d
Il refuse de prendre le titre de maitre-ès-arts, prétendant qu'il ne
savait
rien, mais surtout parce que très orgueilleux, il
eux fois les œuvres de Galien — une fois celles d'Hippocrate, dont il
sait
par cœur presque tous les Aphorismes. Il cite sou
nsuffisance, l'incertitude et l'état conjectural de la médecine. « Je
savais
, dit-il, discuter théoriquement sur n'importe que
adie et étais incapable de guérir un mal de dents ou la gale. » On ne
sait
pas guérir les lièvres ; elles guérissent seules
s informe et entend une voix qui lui dit : « Qu'il n'y a que Dieu qui
sait
tout, que lui ne sait rien, qu'il n'a qu'à s'occu
e voix qui lui dit : « Qu'il n'y a que Dieu qui sait tout, que lui ne
sait
rien, qu'il n'a qu'à s'occuper de son salut. »
ostérité. De son temps, ses amis le considèrent comme un Dieu qui a
su
guérir des malades que d'autres médecins n'avaien
ussion. M. Bérillon. — Lorsqu'on tente d'hypnotiser un malade on ne
sait
pas toujours exactement quel est le résultat obte
abitants de Favières, qui probablement l'ignoraient, pour la plupart,
sauront
qu'ils ont lieu de s'enorgueillir d'un éminent co
raille les spirites. — Le Fétichisme des spirites. — Les spirites ne
sauraient
être considérés comme des observateurs.— Le Médiu
te m'est défendu. Mais voir « ce qui s'appelle voir » est une chose ;
savoir
en est une autre, et qui implique le contrôle. Qu
ni un professeur, mais un isolé, une sorte de génie mal équilibré qui
sut
cependant, grâce à ses idées générales, établir u
les fièvres quartanes, aucun traitement n'est nécessaire ; il faudra
savoir
en attendre patiemment le terme. Pour les autre
héorie de la lièvre d'où nait le vitalisme, le rôle important qu'il a
su
découvrir dans les ferments et les premiers essai
cette transformation. De môme l'aphonie ouvrait la voie à la toux. On
sait
que chuchoter est bien plus fatigant que parler à
ntends parfaitement la voix de mon mari et celle de « mes enfants, je
sais
à quoi m'en tenir ». Nous faisons venir sa famill
jamais venir, il se trouve tout à coup couché sur elle, sans qu'elle
sache
comment la chose s'est faite ; pressé sur sa poit
e du côté des jambes et il se crée de môme un tic des jambes. Elle ne
sait
pas se rendre maîtresse de ses sensations, elle l
lle-ci livrée à elle-même, fouilla dans la bibliothèque sitôt qu'elle
sut
lire et s'empara d'un Agrippa dont elle se délect
agie et repentante fut rendue à la liberté. Elle termina sa vie on ne
sait
, ni où, ni comment. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE
rès courte. Pour expliquer les phénomènes signalés ci-dessus, on ne
saurait
évidemment invoquer la suggestion, puisque les pr
e serait pas seule en cause. La compression de la carotide interne ne
saurait
, en effet, avoir lieu sans entraîner une compress
'expriment ainsi ; « Il est mou, dans ce qu'il est. — Il n'a jamais
su
ce que c'était que d'avoir une volonté à lui. —
Grecs. La folie d'Oreste n'est donc pas, comme a pu l'écrire je ne
sais
comment Gasquet, dans son étude pourtant très doc
e ; puis il réclame la vérité sur tout ce qui s'est passé et qu'il ne
sait
plus. Lorsqu'il l'a apprise, il pousse des gémiss
vaux comme s'il eût eu un fouet à la main. Ses serviteurs troublés ne
savaient
s'ils devaient rire ou trembler; ils se regardaie
pour qu'il y croie. Et alors, désespéré, il réclame la mort. Je ne
sais
où est née la légende de l'épilepsie d'Hercule, l
nomanie du collectionneur ne connaît jamais le découragement. Rien ne
saurait
la vaincre ou la détourner du but qu'elle poursui
bébé, retenu à son usine, a déjà téléphoné trois fois à sa femme pour
savoir
si j'ai vu l'enfant et ce que j'en pense. La mama
on craint pour lui une coxalgie et il réalise comme il peut, comme il
sait
, la symptomatologie de l'affection qu'on lui sugg
de ricin ? — « Mais, Docteur, s'écrie la maman, jamais mon enfant ne
saura
la prendre, il la vomira certainement. D'ailleurs
joux. Ainsi habitué, il deviendra grognon, capricieux, exigeant et ne
saura
rien supporter. Je connais un enfant pour leque
ux tranchants; elle vaut pour le bien et pour le mal : le tout est de
savoir
en user. . PSYCHOLOGIE HIÉROLOGIQUE Marie Ala
s pouvoir marcher ; les os me perçaient la peau de tous « côtés ». On
sait
combien sont nombreux les exemples d'hystérie dév
« tout le temps que « dura cette vision, je ne me sentais plus, je ne
savais
plus où j'en étais. « Lorsqu'on vint me retirer d
ui brûle d'amour tantôt pour son Dieu, tantôt pour son amant. Elle ne
savait
pas que le cerveau seul est le siège de nos senti
ite crânienne pour les faire brûler dans son encéphale divin. Elle ne
savait
pas que le cœur n'est que la pompe aspirante et f
puis une « fois te tenir en ma présence, je te ferai sentir ce que je
sais
faire : je te « poursuivrai partout, » Il me semb
t mon « esprit dans une tristesse et un abattement si grand que je ne
savais
« que faire et il m'ôtait le pouvoir de le déco
ulation théorique et de la scolastique. Il est temps que les juristes
sachent
aussi ce qu'est l'homme, ce qu'est l'homme crimin
là, fort heureusement. « Certes, dit avec raison le Dr Salomon, nous
savons
que les magnétiseurs se vantent, et que tout leur
Dans la vie ordinaire, il n'est pas plus suggestible qu'un autre, il
sait
résister aux suggestions d'autrui. En présence du
t qu'il les rendit sensibles aux notions du bien et du juste. Je ne
sais
si la scène suivante de l'expédition des Argonaut
mais ne donne aucun résultat appréciable. La famille découragée ne
sait
plus à quel saint s'adresser. Je crois bien qu'en
tions habituelles, et qu'au, moment où nous écrivons ces lignes, nous
savons
que la douleur n'a pas reparu. PSYCHOLOGIE HIÉR
à ce que nous pourrions nommer un comble, le comble de la folie. On
sait
que presque toujours les hystériques, ayant attei
es et d'émaux ; elle paraît d'une solidité à toute épreuve, mais nous
savons
que ses puissants piliers de marbre et ses coupol
menses, masse monumentale dont s'enorgueillit une ville superbe, nous
savons
dis-je, que cette cathédrale des doges est bâtie
peuvent être guéries par une suggestion quelconque. C'est parce qu'il
savait
la puissance de la suggestion que le docteur Char
on pas de lésion organique, mais d'un accident purement hystérique, à
savoir
d'amaurose hystérique. On me demande, au sujet
e de l'auto-intoxication. A vrai dire, des phénomènes aussi divers ne
sauraient
s'expliquer par une cause unique; ils sont « poly
située entre 45° à 51°. A 65°, la rétraction ne se produit plus. On
sait
que les radicules des plantes ont la propriété de
lente entre 110° et 121°qu'à la température ordinaire (Pasteur). On
sait
enfin que le développement de tous les végétaux e
t connus par l'observation psychologique de la vie ordinaire. L'on ne
saurait
demander davantage, car les faits psychologiques
jusqu'ici à toutes les explications physico-chimiques et ce que nous
savons
du fonctionnement physiologique du système nerveu
tains problèmes relatifs à l'hypnotisme, ceci pourtant est certain, à
savoir
, que nous ne nous trouvons pas ici en présence d'
é quanta l'explication de l'hypnose que du temps de Braid; mais on ne
saurait
nier qu'il y a encore bien des recherches à faire
science est moins une explication qu'une description, puisque l'on ne
sait
absolument pas ce qui fait que telle action du ce
constatâmes à notre visite : Intelligence peu développée, — cet homme
sait
à peine lire et écrire. Il est manœuvre, il sert
on sur les organes sexuels et les organes digestifs. Les vétérinaires
savent
que les vaches taurélières (vaches qui paraissent
ques, évidemment moins faciles à observer que chez les humains. Je ne
sache
pas que pareille observation ait été faite pour l
a connaissance vraie des lois les plus générales de la nature, ne
saurait
demeurer la propriété d'une caste privilégiée de
une heureuse étoile. Cela tient assurément au choix heureux qu'elle a
su
faire de ses parrains. Je me fais donc un devoir
stion sous toutes ses formes, ainsi que l'hypnotisme, jouent, vous le
savez
, un râle fondamental dans la propagation des idée
t. Enfin, comme rien de ce qui intéresse les amis de cette école ne
saurait
nous laisser indifférents, nous saluons avec joie
d'une science profonde, j'apporte au moins de la bonne volontés et je
sais
que pour justifier la confiance de mes collègues
s, mais rien que des mots : c'est la négation la plus parfaite que je
sache
de tout esprit scientifique. Or, la solution des
histoire qui résulte d'une erreur d'observation nous montre qu'on ne
saurait
être trop méfiant en matière de témoignage-Elle n
précision par des observateurs ayant une éducation scientifique, qui
sauront
éviter le danger si fréquent de mélanger à un fai
ogie zoologi- que sont grandes, car il nous est bien difficile de
savoir
ce qui se passe dans la conscience animale. Et pu
de donner lieu à de longues discussions dans la presse. Il s'agit de
savoir
si réellement les petits oiseaux enfermés dans un
ntal que l'on puisse appliquer aux animaux. Prenons un exemple : On
sait
que si une fourmi pénètre dans une colonie qui n'
ise à mort. Les fourmis se reconnaissent donc entre elles. On a voulu
savoir
alors par quel mécanisme physiologique ou psychol
r suite chez l'œuf humain. Et comme, depuis Lamarck et Darwin, nous
savons
que cette continuité protoplasmique s'étend bien
métaphysique d'une autre terra incognita de la physique générale. On
sait
que le principe fondamental de la conservation de
la destinée de l'homme, ses origines et ses fins dernières. Vous le
savez
. Messieurs, le fondateur de cette Ecole est en mê
ra la gloire des maîtres qui l'ont fondée et qui la dirigent, d'avoir
su
écarter de vous ces périls de la science en vous
illeurs purement accidentel, la chute du pollen sur le pistil, ne
saurait
l'en faire séparer que par des savants imbus du p
affegeau, médecin de l'Etablissement hydrothérapique du Vésinet. On
sait
combien les enfants sont faciles à suggestionner,
opédie morale l'exactitude d'une formule que je me plais à répéter, à
savoir
qu'hypnotisable veut dire curable : Etant donné u
n entraînement méthodiques de leur volonté. Et à ce propos, je ne
saurais
trop m'élever contre l'erreur grave des nombreux
cela rasséréna Théo. Le lendemain, Sainte-Beuve me dit : « Si l'on
savait
cela, on se moquerait de nous. » C'est ce qui
, avait survécu à l'effondrement de la force physique. C'est qu'il ne
saurait
être question dans cette élude que des modificati
circonstances. Quand on parle des caractères dans les maladies, on ne
saurait
trop se rappeler cette loi primordiale. Les car
Il en est bouleversé; il se demande ce qu'il va devenir et cherche à
savoir
de quelle maladie elle est morte. II se met alors
adies du système nerveux de la Salpétrière. monts de sa main ; il
sait
qu'il écrit et ce qu'il écrit ; il pourrait l'exp
us forme d'un homme et lui dit : « lis » ; mais il répondit : « Je ne
sais
pas lire ». Alors Gabriel l'étreignit si fort qu'
sance de la parole. Voici ce qu'il dit (ch. XIV, 3. 29 à 31) : « Ne
savez
-vous pas à quoi Dieu compare la bonne parole? C'e
de guerre, et celle-ci assura ainsi dès le début sa prééminence. On
sait
le rôle que joue le facteur moral dans la guerre
er. Mais cette hypothèse n'a pas été justifiée jusqu'à présent, et ne
saurait
expliquer un rêve que l'on fait en dormant assis,
. Tout le temps que dura cette vision, je ne me sentais plus, je ne
savais
plus où j'en étais. Lorsqu'on vint me retirer du
rie Alacoque. Et pendant tout ce. temps je ne me sentais pas, ni ne
savais
plus où j'en étais. Lorsqu'on vint me retirer de
e puis une fois te tenir en ma présence, Je te ferai sentir ce que je
sais
faire, je te poursuivrai partout, « Il me semblai
eux une lois tenir en ma puissance, je te ferai bien sentir ce que je
sais
faire, je te nuirai partout. « Et quoiqu'ilme pit
rement à juger l'autre. Il ne semble pas indifférent, par exemple, de
savoir
qu'elle fut deux ans, maîtresse des novices, et q
t il commença à les acquitter de suite. Sœur Claude-Angélique, qui ne
savait
rien de sa négligence, se trouva tout à coup déli
conservée dans la bibliothèque du couvent. A Paray-le-Monial on n'en
sait
rien ; j'ai écrit à Annecy pour demander s'il exi
'ailleurs est fort incomplet, et le résumé fait par M. le D' Rouby ne
saurait
tenir lieu de la narration de Mgr Languet, qu'il
t se passe en ordre et avec méthode. L'élève doit étudier, apprendre,
savoir
et démontrer son savoir. Toute cette organisati
vec méthode. L'élève doit étudier, apprendre, savoir et démontrer son
savoir
. Toute cette organisation n'est ni imposée, ni
ve en avant du sillon de Rolando dans l'hémisphère gauche. Or, nous
savons
par les expériences de Vulpian (Académie des Scie
pratique, l'atrophie de la moitié correspondante de l'encéphale. On
sait
quelle importance joue le grand sympathique dans
tomacaux racontent que, brusquement réveillés pendant la nuit, ils ne
savent
plus où ils se trouvent et qu'il leur faut plusie
ue la pauvre Marguerite-Marie fit servir sa langue à l'usage que vous
savez
? Quoi d'étonnant alors lorsque la Mère Supérieur
s grandes sur l'honnêteté du médium ou sur la manière d'expérimenter,
savoir
: les Drs Harusewicz, Higier, et Watraszewski ; M
t terminé par trois conclusions, auxquelles se rallièrent 15 membres,
savoir
: 1. « Que l'hypothèse expliquant tous les phén
l contiendra les opinions des autres observateurs ; d'ailleurs, on ne
sait
pas encore quand paraîtra le livre de M. Ochorowi
de vomissements, ni de contractures, ni de paralysie. Certes je ne
saurais
considérer cette malade comme étant complète-ment
, morphinomane invétérée, s'est décidée à se guérir le jour où elle a
su
que ses héritiers escomptaient sa fin prochaine.
ayante et nullement pénible, malgré l'aridité du sujet. M. Gélineau a
su
, en effet, grâce à des recherches historiques pat
bsurdité de sa peur, il la qualifie lui-même très sévèrement; mais il
sait
par expérience que lorsqu'il se trouvera dans les
le de l'auto-suggestion dans la production des. phobies. Les médecins
savent
à quoi s'en tenir à ce sujet. Combien d'entre eux
ts des divers surmenages intellectuel; moral, physique, sensoriel, ne
sauraient
être légitimement confondus avec les manifestatio
e que la guérison des troubles psychiques dans les neurasthéniques ne
saurait
être obtenue qu'au prix d'une patience infini et
e patience infini et d'une énergie qu'aucune défaillance du malade ne
saurait
décourager. EXPÉRIENCES MÉDIANIQUES DE VARSOVIE
nt assuré à plusieurs reprises du réel état de cette anesthésie. On
sait
que tout le monde n'est pas sujet à être hypnotis
, qui exerçait le métier de tailleur, est mort il y a deux ans ; nous
savons
qu'il était buveur et alcoolique, mais nous n'obt
eignements suivants: le malade a été à l'école jusqu'à treize ans, il
sait
lire et écrire ; il est d'un caractère entêté, me
épendraient de circonstances accidentelles. Les attaques qui, on le
sait
, constituent une manifestation paroxystique très
ables, bien cachetées et faites de papier épais et opaque (Eusapia ne
sait
pas lire), et contenaient autant de feuilles de p
nveloppes, qui contenaient les nombres connus, mais je ne pouvais pas
savoir
ensuite laquelle contenait chacun de ces nombres.
s une des enveloppes, dont les trois nombres m'étaient connus ; je ne
savais
pas, pourtant, lequel se trouvait dans l'envelopp
e mien, je devinai que nos deux pieds étaient unis par le même corps,
savoir
un des pieds d'Eusapia, dont le talon reposait su
de suggestion. Heborle dans un écrit d'une brièveté dont il faut lui
savoir
gré, présente une vue d'ensemble de l'état de la
social et font ainsi de nombreux prosélytes. D'un autre côté, on ne
saurait
se figurer l'influence que la célébrité exerce su
Il poussait seulement l'état hypnotique, jusqu'au point où les sujets
savaient
encore ce qui se passait autour d'eux. Ses résult
ment. (Delboeuf avait rapidement déchargé le revolver sans qu'elle le
sût
). Il résulte de cette intéressante observation qu
peuvent tous s'expliquer par un adage de philosophie admis de tous, à
savoir
: a L'idée est un principe de mouve- ment. » To
Werschetz, vomissait depuis quelque temps du sang, et les médecins ne
savaient
s'il s'agissait d'une hémorrhagie stomacale ou d'
ces, le fait brutal est la mort de la jeune fille. La question est de
savoir
si elle a été causée par l'hypnotiseur ? J'en dou
lle ne serait pas morte même si on ne l'avait pas endormie? Vous n'en
savez
rien ni moi non plus. C'est pourquoi il ne faut p
veillantes, peuvent comporter quelques inconvénients. L'hypnotisme ne
saurait
échapper à cette loi générale. Le médecin dispose
r lui tous ceux qui n'ont qu'une préoccupation, élargir les bornes du
savoir
humain. Les altérations de la faculté musicale
a ainsi appris à connaître les diverses lettres de l'alphabet qu'il a
su
recohnaitre ensuite, lettre par lettre, dans d'au
it dans la rue. — Là, qu'a-t-elle fait? que s'est-il passé? Elle n'en
sait
rien ; elle n'en a aucun souvenir. Il y a dans so
l'état de veille aussi bien qu'à l'état d'hypnose provoqué, la malade
sait
très bien que son enfant est vivant, qu'il n'a
modifier, par suggestion, le délire consécutif à ses attaques. « Vous
savez
, bien, lui dis-je un jour, après l'avoir hypnotis
tat passif physiologique dont je parle. Autrefois, lorsque je voulais
savoir
si les sujets que j'avais à traiter par la thérap
mation de ma part. Mes suggestions lui furent-elles utiles ? Je ne le
sais
, ne l'ayant jamais revue. Mais on s'arrête rare
Si, au contraire, la suggestion est formulée par quelqu'un qui, à son
su
ou à son insu, l'applique sur lui-même, comme le
a force considérée comme mouvement ('} et appelée loi de réciprocité,
savoir
: si dans certaines conditions la force A peut ca
mais, quelques instants après, les blessures disparaissent. » Qui ne
sait
que dans l'hystérie les blessures saignent peu ou
proverbe chez les Zoulous que le corps que l'on rem- constamment ne
saurait
percevoir les choses secrètes. C'est aussi par le
es rêves effrayants, des visions qu'il a tout éveillé, des airs qu'il
sait
chanter sans les avoir jamais appris, une sensati
fférents traitements usuels. Or, une thérapie qui sous ces conditions
sait
produire une amélioration notable dans 35 cas, un
e personne sur laquelle ils puissent en toute conscience se fier, qui
sache
les comprendre et les conduire. Dans le traitem
ormeur que chez le malade qui ne dort pas, il faut pouvoir raisonner,
savoir
saisir le côté faible et opérer au moment physiol
e idée. Il faut, dès le début du traitement, inculquer aux malades de
savoir
se contenter d'une amélioration plus ou moins con
e du malade, à lui servir d'ami et de guide. Armé de ces qualités, il
saura
relever le moral du patient dans ses moments de f
el ou dans une des nombreuses variétés du sommeil hypnotique? Je n'en
sais
rien. Le fait en lui-même n'en est pas moins fort
arité, l'idée me vint de faire quelques expériences sur les rêves. On
sait
déjà, depuis longtemps, qu'on peut suggérer des r
est désagréable de le voir. » Et pourquoi ? lui demanda-t-on. « Je ne
sais
pas, ajouta Louise G..., je l'aimais bien pourtan
que dans l'état de veille et dans l'état d'hypnose provoqué la malade
sache
parfaitement que ces états émotifs sont injustifi
nue du caractère des hystériques. Les malades de ce genre sont, on le
sait
, extrêmement changeantes dans leurs affections. E
huitième année une hallucination obsédante à l'état de veille : on ne
sait
quels yeux expressifs, la regardant de derrière u
120 coups par minute et devient extraordinairement vigoureux ; je ne
sais
pas si cette préparation est faite avec conscienc
dans les médiums des malades hystériques, et l'hystérie, comme on le
sait
, est souvent accompagnée d'une passion d'induire
ux sexes est venue confirmer une opinion que j'avais déjà exprimée, à
savoir
que l'onycho-phagie et les habitudes du même ordr
observé d'accidents fâcheux à la suite de l'hypnotisme, mais il faut
savoir
hypnotiser, et effacer, avant le réveil, toutes l
est en même temps un exposé de la doctrine que soutient M. Podmore, à
savoir
la télépathie. Qu'est-ce que la télépathie ? Selo
ait une branche de la pathologie où tout était à remanier ou à créer,
savoir
: la pathologie des centres nerveux. Cet enseigne
a pensée et la graver profondément dans l'esprit de ses auditeurs, il
savait
faire appel à toutes les ressources de son imagin
pathologie des centres nerveux. Doué d'une érudition étonnante, il
savait
se borner, en ce sens qu'il n'utilisait sa connai
ccès de son enseignement, du nombre d'élèves et de travailleurs qu'il
sait
réunir autour de lui, et des travaux qu'il publie
oi ne pas donner à tout candidat qui présenterait les aptitudes et le
savoir
nécessaires, le droit d'enseigner à ses risques e
ès modernes, de s'outiller en vue des perfectionnements à apporter au
savoir
que l'on donne : à quoi bon? Tous ces arguments
e premier article de la proposition soutenue par M. le Dr Bérillon, à
savoir
: le concours de l'agrégation est supprimé. Mais
rand neurologiste dont les travaux l'avaient souvent inspiré. Charcot
savait
lui-même, mieux que personne, qu'il n'avait acqui
gie, en otolo-gie, en art dentaire (t), en gynécologie, tout ce qu'on
sait
, on le doit à l'enseignement libre. (1} il y a
obin, et au Collège de France par Ran-vier, on ne se préoccupa pas de
savoir
s'ils étaient pourvus d'une agrégation quelconque
gne. Son talent est donc de plaire, d'attirer. On n'attire que par un
savoir
lumineux, attachant, productif. L'étudiant va au
x recherches personnelles, sans lesquels aucun enseignement fécond ne
saurait
exister. Ce serait une grave erreur de croire q
être observé, vérifié comme tout phénomène expérimental, mais qui ne
saurait
être scientifiquement déterminé, c'est-à-dire rat
essayé, à différentes époques, d'abandonner son habitude, qui, il le
savait
, était défavorable à sa santé, mais il lui avait
aussitôt une moisson de journalistes — dont la spécialité est de tout
savoir
— raccommodent à l'intelligence de leurs nombreux
, avouera de bonne foi l'avoir accomplie de son propre mouvement? Qui
sait
si des faits semblables, ne se sont pas déjà prod
egarde comme fort problématique ce que je jugeais alors réalisable, à
savoir
qu'un scélérat qui médite un crime, puisse facile
a? — Tiens ! une orange ! Elle est belle, cette orange. Ma foi, je ne
sais
pas comment elle est venue là. »— M. Bernheim int
r tromper la galerie, à tirer sur sa mère avec un pistolet qu'elle ne
sait
pas n'être pas chargé? » Je rétorque tout de su
de marcher droit devant lui dans une chambre encombrée de chaises, il
saura
éviter les chaises ; ou, si l'on a cherché à pous
l'acteur que les spectateurs. M. Liégeois affirme que Mlle E... ne
sait
pas que le pistolet n'est pas chargé. Je n'en cro
t ce qu'on lui dit. Mais s'il écoute la voix de son hypnotiseur, s'il
saura
, pour accomplir l'ordre, faire des choses qu'on n
xions sur la nature de la chose qu'on lui demande? Pourquoi N.... qui
sait
qu'on le soumet à des expériences, ne se dirait-i
en. Elle n'a rien vu, rien fait, n'adonné à boire à personne; elle ne
sait
pas de quoi on veut lui parler. » Encore une fo
ersaient son esprit au moment où elle donnait à boire à M. D... Je ne
sais
pas si elle n'aurait pas répondu comme Mlle E...,
ellule nerveuse, mais par l'articulation à distance des prolongements
sus
indiqués (Voir: Morat, Revue scientifique, 24 nov
ations terminales de ses prolongements, est confirmée par ce que nous
savons
du mode d'agir du curare exclusivement sur l'arbo
ives sont considérées aujourd'hui comme des cellules nerveuses, et on
sait
que leurs prolongements périphériques, homologues
issent aujourd'hui sans raison d'être, ou se réduisent au problème de
savoir
si on pourrait, après avoir sectionné un pseudopo
je crois que je perds la clarté. — Non fait, mère Marie, non fait, ne
savez
-vous pas cette belle oraison qui guérit de l'ongu
s). C'est le Manducus des Romains. (Comm. de M. Alfred Haron). Je
sais
une chanson, Sans terme, sans pareille ; Avant le
dre de spéciales. L'abonnement est de 10 francs par an ;. ou paie, en
sus
, 0,05 centimes par fiche bibliographique communiq
onsidérer comme un objet contaminé et nous conduire en conséquence, à
savoir
: « 1° Etre toujours muni soit d'un porte-monna
t sa thèse de doctorat sur « l'ataxie locomotrice » indiquait déjà un
savoir
étendu; En 1865, il était nommé chef de cliniqu
e s'accumule depuis le commencement du sommeil jusqu'à la lin. Or, on
sait
qu'en faisant respirer des mélanges convenables d
hypnotisés. Pour juger de la portée de l'expérience, il faut encore
savoir
que J... est une fille courageuse et résolue. Ell
voleurs. J'aurai pu m'en assurer en rappelant ses souvenirs. Mais je
sais
que ceux qui combattent ma thèse récusent, non sa
par terre. Il est clair qu'elle a estimé le jeu dangereux. Si j'avais
su
à l'avance comment il tournerait, j'aurais pris l
s'adresser. C'est avec hésitation que je donnais ce conseil, car je
savais
que le milieu auquel je m'adressais, quoique d'id
ne même famille. En raison de cette intimité, il nous était facile de
savoir
qu'elle avait été son existence pendant sa jeunes
d, il était favorisé par la nature de son enseignement; le premier il
sut
en profiter, ses successeurs en profiteront, mais
ivit ses études; elles eurent le retentissement et le succès que vous
savez
. Son œuvre si considérable ne peut tenir en ce
s élèves qui fussent à son image. Il exerçait une influence que je ne
saurais
définir, une influence de contact. Vous connaisse
jourd'hui.'Il ne suffit pas desavoir, il faut encore montrer que l'on
sait
; vous ne pourrez pas le faire si vous n'avez pas
rirait, beaucoup de vocations seraient peut-être découragées, et l'on
sait
pourtant quel intérêt présente le recrutement du
'accerteuer que par toi le tyran de France doit être mis à mort. » On
sait
ce que fît frère Jacques. Dans le même travail,
auvait de la maison paternelle et elle volait, elle répond qu'elle ne
sait
pas pourquoi et qu'elle n'éprouvait aucune satisf
faire ses besoins. m'expliquer le mécanisme de son habitude : « Je
sais
, dit-il, que cette habitude m'est très nuisible e
tre et sa conduite est normal, à l'exception de son onycho-phagie. 11
sait
que c'est fort mal de se ronger les ongles ; mais
ue de ses réflexes.Et cependant il a conscience de son état puisqu'il
sait
, et quand l'idée vient, il a conscience de ne pos
d'arrêt positif qui vient se substituer à un arrêt négatif. Nous ne
savons
pas si la suggestion simple aurait suffi à rétabl
cordance existe. Examinons dans ce sens le cas de notre sujet. Nous
savons
qu'il avait conscience de son état, il y avait do
s réflexes; car alors l'idée première, l'état conscient primitif — il
savait
que c'était mal — aurait suivi son cours normal e
roblématique. Que j'aie été ou non victime d'une illusion, je ne le
sais
; mais il importe de résoudre cette intéressante q
chologie; mais, pour faire comprendre qu'en pareille matière, il faut
savoir
nettement ce que l'on veut et ce que l'on cherche
ge intérieur de votre sujet? quelle est sa formule endo-physique ? On
sait
que Charcot a découvert que tout homme lisait, en
i le phénomène de la transmission sans contact existe, il faut : 1°
Savoir
si l'inducteur ou l'induit ont la même formule, c
jeune homme qui se trouvait devant la maison. Et ce jeune homme, nous
sûmes
plus tard que c'était N... En admettant pour le
tout. Pour que ces remèdes eussent toute leur efficacité, il fallait
savoir
les envelopper de paroles disertes et assurées. T
re, le premier des cliniciens et savants qui m'a appris le peu que je
sais
, etc., etc. » On remplit ainsi parfois deux ou tr
ir aux maîtres qui pourront leur être utiles. « Mais vraiment je ne
sais
pourquoi je conte tout cela. Ce sont faits connus
xercice puéril. Elle donne lieu à un trafic honteux. Il y aura, je le
sais
, des gens pour la défendre. Un abus est toujours
uis tous ceux qui tiennent au passé, parce que c'est le passé, sans
savoir
pourquoi. La thèse fait vivre du monde. Argument
Cette étude des idées lixes dans l'hystérie a commencé, comme vous le
savez
, avec les travaux de Charcot sur Us accidents tra
eler un médecin de son quartier pour soigner un de ses enfants. Je ne
sais
ce que notre collègue avait de séduisant et d'irr
rs de la volonté du malade (1). Mme A..,, tout en déplorant son état,
savait
très bien qu'elle pensait tout le temps au Dr X.
urde qui ne se rattache à rien de précis. Je connais la malade, et je
sais
combien elle est suggestible, combien elle a eu d
cune idée obsédante et qu'elle n'a jamais réve à un vertige ; elle ne
sait
même ce que nous voulons dire en parlant d'idées
mais elle déclare qu'à ce moment elle ne pensait pas à boire. Elle ne
sait
aucunement ce qui s'est passé ensuite, et elle ne
mentales sont, chez toutes ces malades, extrêmement importants, vous
savez
même que chez ces malades hystériques les trouble
malades et chercher une autre explication de leurs accidents? Nous
savons
aujourd'hui que notre conscience ne saisit pas to
rque est encore bien plus vraie quand il s'agit des hystériques. Vous
savez
qu'il existe dans leur esprit des sensations qu'e
cientes dans la moitié en apparence insensible de sa rétine (1). Vous
savez
que ces malades ont également des souve- (1) Pi
bresaut qui la réveillait. Elle se sentait alors tomber en avant sans
savoir
pourquoi, et éprouvait cette impression de vertig
s; d'après les observations que j'ai déjà faites de ses accidents, je
sais
qu'ils disparaîtront très facilement quand je mod
ennent, d'un côté, à renforcer ces capacités naturelles, de l'autre à
savoir
se mettre dans les meilleures conditions pour ass
mitée à une petite portion de la face dorsale de l'avant-bras. Vous
savez
, Messieurs, combien il est rare (pour ma part, je
i arrive de venir à pied de chez elle à Narbonne (20 kilomètres) sans
savoir
pourquoi. Du côté du père s'explique la tare ra
aurait-il spécificité élective pour des. centres déterminés ? On ne
sait
. Les délirants mystiques théomanes ont des visi
lettre qu'il écrit à cette époque. « Mon cher docteur, ' « Je ne
sais
pas comment se fait que je sens la langue, les de
en toi mon Bob chéri. Je ne com- prends ce qui m'arrive, mais je ne
sais
qui m'arrive, écoute, en somme je ne souffre pa
s je ne sais qui m'arrive, écoute, en somme je ne souffre pas et je
sais
que nous nous adorons, depuis plus de quatre an
que tu ne m'as jamais trompée, ni moi non plus, je te le jure tu le
sais
maintenant, tu restes je ne sais pas pour- quoi
moi non plus, je te le jure tu le sais maintenant, tu restes je ne
sais
pas pour- quoi : je sais qu'un homme qui s'appe
ure tu le sais maintenant, tu restes je ne sais pas pour- quoi : je
sais
qu'un homme qui s'appelait le D'' Marie te reçut
père ; nous serons deux différents et je crois qu'il le pense ; tu
sais
nous pensons qu'il y a chose magique dans cette
lque d'obscur et extraordinaire dans ce qui nous arrive. Au fond tu
sais
mon Bob aimé que au fond on peut nous faire deu
rogressivement jusqu'à cinquante ans où elles sont seules. Chacun
sait
le rôle énorme de l'instinct génital dans la ge
ité au toucher, sensibilité à la douleur. Or avec la première il ne
saurait
de toute évidence exister de rapports qu'à titr
tionnelles à l'intensité des troubles moteurs qui est, comme chacun
sait
très variable à ces deux phases initiales selon
troubles moteurs étaient moins accusés. 24 CLINIQUE MENTALE. On
sait
combien à la seconde période surtout certains par
in de Francfort- sur-le-Mein a résumé tout ce qu'il est possible de
savoir
et d'écrire aujourd'hui touchant la structure e
ment, selon nous, le plus sûr fondement de ce qu'il est possible de
savoir
touchant l'histoire de la vie psychique, ou de
ne peut que s'orienter dans le domaine de la conscience, elle ne
saurait
étudier le monde lui-même. » Les sensations, voil
ature et des rapports de ce qu'on appelait l'âme et le corps, il ne
saurait
plus être question. Le savant doit connaître la
rimer, c'est que, si l'observateur ne veut s'en tenir qu'à ce qu'il
sait
, sans rien de plus, son rôle est uniquement d'e
fection celles qu'il a observées chez les lézards vivants qu'on ne
saurait
, à l'en croire, échapper à l'idée qu'un mécanisme
n d'autre qu'à leur structure et à leurs pro- priétés. » Edinger ne
saurait
pourtant suivre Loeb jusqu'au bout. Pour ce der
cellulaire, doctrine de Mari- nesco. C'est toujours une question de
savoir
, du moins pour les novateurs vers lesquels incl
és anatomiques, qui meurent et dégénèrent individuellement, on ne
saurait
leur dénier une individualité vraie, quand même
gens, mais encore seule si quelqu'un l'attend; bien plus, si elle
sait
que, sans l'attendre, quelqu'un sait qu'elle urin
n l'attend; bien plus, si elle sait que, sans l'attendre, quelqu'un
sait
qu'elle urine2. La miction ne se produit que da
couler quand elle était devant le monde, qu'on l'attendait ou qu'on
savait
qu'elle urinait. « N'ayez plus peur d'être gros
laira son esprit; en me servant de l'anomalie urinaire dont elle se
savait
atteinte pour lui expliquer le mécanisme de son a
deux doigts du suicide et vit heureuse, riche et consi- dérée. Qui
sait
ce qui serait advenu de cette jeune et jolie femm
té subjective et la responsabilité objective, déclarant que nous ne
savons
rien de sûr de la première, mais que la seconde
giner le thème brillant et brillamment développé que M. Bechterew a
su
fournir, mais scientifiquement il ne nous appre
ts avantageux et ce musée serait également instructif pour ceux qui
savent
déjà et pour ceux qui ne savent par encore. Cet
également instructif pour ceux qui savent déjà et pour ceux qui ne
savent
par encore. Cette institution devrait être Arch
liments destinés aux malades qui pourraient en avoir besoin et l'on
sait
que rien ne favorise le sommeil comme l'ingestion
rait à des cas où ma technique n'a pas été intégralement suivie. On
sait
, en effet, que je juge essentiel pour le résult
lequel tous les symptômes de la syringomyélie sont très accusés, à
savoir
, arthro- pathies, cyphose,, scoliose, etc. M. l
'a composé avec l'aisance d'une expérience des plus riches; qu'il a
su
éviter toutes les complexités, tous les écueils
es de surdité, M. Dussouchetl, président du Congrès, a parfaitement
su
conduire les débats, et, grâce à la concision a
a table, on a trouvé une lettre dans laquelle il déclare « qu'il ne
saurait
survivre au désespoir de voir la flotte françai
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
, un seul avait été opéré. C'est là une situation grave et qu'on ne
saurait
trop tôt envisager. Certes quand il s'agit d'op
tristés de leur état, sollicitent une opération nouvelle dont ils
savent
d'avance le résultat aléatoire. Nous faisons allu
ro. La mémoire visuelle de son appartement est mieux conservée : il
sait
le nombre des pièces, deux chambres et une cuis
nsi il se croit en 1898, trois jours après il dira 92 ou 03 « je ne
sais
pas au juste », il ne peut préciser la durée de s
e passée, les détails de son mariage, de son séjour à Bruxelles; il
sait
qu'il est venu une première fois à Paris à l'âg
demain, ne se rappelant pas aujourd'hui le nom d'un camarade qu'il
saura
retrouver demain. Mais les événements qui ont i
je n'ai jamais cherché à me tuer », dit-il, et il est sincère, « je
sais
seulement que j'avais des idées noires, ne pouv
r aujourd'hui ce qu'il a mangé la veille ; conduit au dortoir,il ne
sait
pas les premiers jours retrouver son lit, de mê
article concernant la guerre du Trans- vaal ; la lecture finie, il
sait
qu'il est question des Boers, et c'est tout. Un
t à diverses reprises raconté toutes les péripéties, R... finit par
savoir
qu'il a cherché à se tuer et qu'il a été à l'hô
érentes. Resterait à trouver la cause immédiate de cette amnésie, à
savoir
comment un empoisonnement aigu par l'Oxyde de c
ci le champ est largement ouvert à toutes les hypothèses. Nous ne
savons
que trop peu de choses encore sur le mécanisme in
tre chose que des possibilités plus ou moins ingénieuses. Nous ne
savons
même pas au juste quelles transformations l'oxyde
ons, écrivait-il, que l'écrevisse a « conscience » du danger ou «
sait
» que la viande est bonne à manger, nous ne pouvo
phy- siologique est un syllogisme en acte. C'est une question de
savoir
si, pour être souvent inconscient, il n'a jamais
recherches spéciales sur ce sujet seraient pourtant fort utiles; on
sait
toutefois qu'après la décapitation, ne fût-ce q
ît chez un autre animal une structure et une fonction analogues. On
sait
très peu de chose encore des fonc- tions des pa
sé Alexandre Bain, ce dont il n'existe aucune preuve. Tout ce qu'on
sait
nous force d'admettre que « ce qui nous apparaî
aux vertébrés inférieurs encore privés d'écorce cérébrale : « Nous
savons
cependant qu'il y a des circonstances où, par l
orte de nuage mystique, la conscience. Certes, « la cons- cience ne
saurait
apparaître tout d'un coup ». Edinger le confess
arté ou d'obscurité consciente, c'est-à-dire de connaissance, je ne
saurais
le mettre un seul instant en doute. Le subconsc
t que simple phénomène d'accompa- gnement des processus nerveux, ne
saurait
d'ailleurs modi- fier en quoique ce soit le dét
t de l'enfant ce qui est dans le sien. A vrai dire le seul moyen de
savoir
ce qui se passe dans l'esprit d'un enfant, ce s
leur origine et leur sens primitif sont absolu- ment physiques. On
sait
parfaitement aussi que les facultés men- tales
tient von Gehmhten et la seule constatation de ces modifications ne
saurait
suffire pour affirmer l'existence d'une lésion
ttent d'affirmer que Léonard de Vinci était gaucher, et ce que nous
savons
de son enfance et de son caractère autorise à a
x de la nutrition, troublée par l'infection paludique chronique. On
sait
du reste combien cette infection est apte à pro
que leur évolution permit de rattacher à l'hystérie. Il est bon de
savoir
que cette dernière névrose peut produire de vér
e et ^spécialement chez les épileptiques. Tractus sensoriels : on
sait
que dans la mélancolie, davantage dans la manie
ans nécropsie, le diagnostic de la nature des lésions primitives ne
saurait
être qu'hypothétique; quant au pronostic, quelle
s des; deux épaules, comprenant le deltoïde, le grand pectoral, les
sus
et sous-épineux, et la partie inférieure du tra
nt le type des lésions secon- daires qui consistent, ainsi qu'on le
sait
. dans la chromatolyse périnucléaire avec émigra
sa carrière à la suite de la , fameuse hallucination de Londres. On
sait
comment cette dernière se produisit, préparée p
stiques de théosaphes, dit que : « leur objet est le même » ; Dieut
su
, vu, et atteint. «Mais le mysticisme va du sent
ncroyable actualité ? Peu importe. L'essentiel, et ce qui est bon à
savoir
, c'est que la pièce était désopilante et qu'elle
urs et les lui montre pour la distraire en lui demandant si elle en
sait
le nom ; Marthe les reconnaît toutes sans difficu
ou encore la fusion au stéréos- cope, vis-à-vis duquel le malade ne
sait
pas ce qu'il doit voir, en restant presque indi
ue anatomo-physiologique, peut n'être pas perçue par le sujet, nous
savons
que la sensation qui en résulte demeure alors i
availlait sans aucun succès à son instruction. Actuellement elle ne
sait
même pas écrire ; elle réussissait assez bien d
édent, lui restions familiers, elle ne nous reconnaît plus, elle ne
sait
plus qui nous sommes, elle nous prend pour des
i avec notre figure habituelle. En ces moments, dit-elle, elle ne
sait
plus ce qu'elle fait, elle ne raisonne plus, ne p
ur cet état le diagnostic de confusion mentale hallucinatoire. On
sait
que la confusion mentale présente elle-même plu
d'hallucinations. Les illusions demeurent un certain temps; G... ne
sait
plus où elle est. Quand nous lui deman- dons qu
ans la série des transformations évolutionnelles de l'espèce. On ne
sait
pas exac- tement à quelle période de l'évolutio
nt, leur abnégation, qu'ils honorent la science par l'éclat de leur
savoir
ou de leur enseignement. » Je ne saurais mieux
ience par l'éclat de leur savoir ou de leur enseignement. » Je ne
saurais
mieux faire que de m'approprier les éloges qui
de m'approprier les éloges qui vous étaient ainsi adressés, car je
sais
combien ils sont mérités. .....................
connaissances, et auquel notre pays a pris, avec les noms que vous
savez
, une part incontestablement prépon- 240 * SOCIÉ
ses maladies ne pouvaient être des maladies comme les autres. On
sait
à quelles pratiques conduisit ce parti pris à peu
de choses que nos ainés, ce n'est pas seu- lement parce qu'ils ont
su
mieux gouverner leur intelligence, c'est parce
des ganglions centraux et de toutes les parties du mésencé- phale ?
Savons
-nous seulement par quel mécanisme intime le cou
e nous ayons le droit de nous tenir pour satisfaits du peu que nous
savons
. Se borner à opposer la prédisposition, cette e
ien établies. Pour avoir chance de prévenir le danger là où il est,
sachons
éviter avec résolution de le signaler là où il
it, sinon toujours notre force matérielle, au moins notre prestige.
Sachons
rester fidèles aux destinées que l'histoire nou
n de le représenter au XIe congrès des médecins aliénistes et je ne
saurais
vous cacher que je suis personnellement heureux
leurs futurs. Votre oeuvre, après l'épreuve concluante du passé, ne
saurait
maintenant s'amoindrir ni disparaître, elle ne
leur propre érudition, seront certainement heureux de puiser. Je ne
sais
si cet appel a été entendu et si l'invitation a
à nouveau, bien persuadés, qu'en face du résultat à obtenir, il ne
saurait
y avoir de la part de l'administra- tion des as
re du jour cette question si complexe du délire aigu-LA. ,Carriera-
su
réunir en un faisceau compact et avec la plus gra
périencéphalite. Briand n'y ajoute pas une telle importance et l'on
sait
aujourd'hui que ce n'est qu'une lésion réaction
s ces symp- tômes, je voudrais insister sur certains d'entre eux, à
savoir
: la céphalalgie, les troubles des fonctions or
êve. Il est fréquent de constater des idées fixes post-oniriques, à
savoir
qu'une idée délirante fixe persiste chez le mal
res aigus masquant une lièvre typhoïde ou une pneumonie, qu'il faut
savoir
attendre et \ s'abstenir autant que possible de
général du malade que la lécithine améliore l'état nerveux. Elle ne
saurait
donc être considérée comme un médicament spéci-
ique, on peut lui assigner une localisation précise et exclusive, à
savoir
les couches corticales du cerveau : l'amblyopie
prédilection pour l'hystérie ; il n'y en a pas qui soit indemne. On
sait
que l'hystérie est plus fréquente chez les fem-
n sait que l'hystérie est plus fréquente chez les fem- mes, mais on
sait
aussi maintenant que le sexe masculin n'en est
édical Journal, 28 avril 1900.) On a eu raison de dire que quand on
sait
la syphilis et l'hystérie, on sait toute la méd
a eu raison de dire que quand on sait la syphilis et l'hystérie, on
sait
toute la médecine, car la syphilis détermine des
demande d'abord ce qu'il faut entendre par hystérie : cela on ne le
saura
que quand on saura toute la psychologie, toute l'
qu'il faut entendre par hystérie : cela on ne le saura que quand on
saura
toute la psychologie, toute l'histoire des rela
he, 3. 3. La proportion élevée du chiffre des aliénés d'Ambialet ne
saurait
donc être considérée comme un fait de hasard, p
n mécanisme simple du tonus et par suite de la contracture. On ne
saurait
dire, par exemple, que le centre du tonus est pur
pourtant la paraplégie était spasmodique. La théorie de M. Crocq ne
saurait
donc expliquer tous les faits cliniques. Con- t
des maladies spasmodiques. Quant à la contracture hystérique, on ne
saurait
encore l'assimiler à la contracture organique.
e pourrai peut-être vaincre de la sorte cette obsession. Mais je le
sais
par expérience, quand j'y serai parvenue, une a
uiai pas guéri mon (motivité, qui se portera sur autre chose. On ne
saurait
, à mon sens, mieux indiquer ce qui se passe dans
classe est bon, il écrit assez lisiblement, commence à syllaber et
sait
le nom des objets usuels, fait sur le cahier des
r pain, ci barre pour à boire, mimmin pour maman. Aucune notion, ne
savait
pas s'habiller, se déshabiller, se nettoyer, ne
otion à son entrée, Il ne prononçait que les mots papa et maman, ne
savait
pas s'habiller, se déshabiller, se net- toyer,
tie profonde et d'épilepsie, était grand gâteux, ne parlait pas, ne
savait
pas manger seul. L'attention était difficile à fi
vêtements, était, à son entrée, dans l'impossibilité de lire, il ne
savait
pas non plus écrire et avait peu de notions sur
re). Il était grand gâteux, la parole était nulle, et à table il ne
savait
pas manger seul (même avec les mains.) - Actuelle
n coup, ne criait pas, ne se plaignait pas et il était difficile de
savoir
où et comment il l'avait recu. Son caractère so
sement modifié. Il prend part maintenant aux jeux de ses camarades,
sait
se plaindre et même se défendre lorsque ceux-ci
895. A son arrivée, il était atteint d'idiotie complète, gâtait, ne
savait
pas s'habiller, mangeait à pleine main, était d
nt quelques réserves, montrent qu'il est une cause plus sim- ple, à
savoir
: les altérations du nerf facial dans l'oreille m
Paris, Baillière, 1900. SOCIÉTÉS SAVANTES. 353 a décrit, comme on
sait
, en 1874, un état pathologique constitué à la f
il s'agit des rapports de la Catatonie avec l'auto-intoxication. On
sait
déjà, par des faits publiés par Brinaud et Laur
e sel inusitée auparavant. Cette substitution n'étonne pas quand on
sait
que l'action excitante immédiate de l'alcool, si
ons obtenus qui font l'objet de ce mémoire. I. On désigne, comme on
sait
, sous le nom de del'11w- graphie un phénomène p
Au rang supérieur après l'hystérie vient la sénilité qui comme nous
savons
n'a pas d'altérations en plus. Les deux autres
dit qu'il a les idées brouillées, qu'il a la tête perdue, qu'il ne
sait
pas où il est. Il pleure, se lamente sur son sort
plus conscience de rien, c'est malheureux d'être comme cela. Il ne
sait
plus même son âge. Il marche difficilement; les m
malades appartenant à quelques catégories sociales défectueuses, à
savoir
: les idiots, les imbéciles, les faibles d'espr
ions qui reçoivent des enfants idiots, imbéciles ou épileptiques, à
savoir
: 131cètrc, la colonie de Vaucluse, la Salpêtri
me dans les conclusions suivantes que nous reproduisons' : « Nous
savons
qu'il y a plusieurs points que nous n'avons fait
aladie, à l'exception de ce qui concerne une seule de ses formes, à
savoir
, la paralysie générale associée au tabes vrai.
une question très embarrassante en pathologie mentale que celle de
savoir
comment se produisent les états d'exaltation et
e quelques affec- tions cutanées peu nombreuses chez les aliénés, à
savoir
: les ano- malies de pigmentation, la pseudo-pe
écessité de leur donner des soins, il est donc indispensable qu'ils
sachent
ce qu'ils ont à faire ; par suite, ils devraien
es services de l'asile; on aura alors en eux des agents capables de
savoir
quelle attitude ils doivent adopter' en présence
nel secondaire et le personnel inférieur. M. Ballet répond qu'il ne
saurait
être question du personnel administratif, mais
pes séparés et en détail. MM. Guérin, avec une amabilité dont on ne
saurait
trop les louer, ont fourni aux visi- teurs tous
uérison des malades. Un tel résultat ne peut être atteint que s'ils
savent
comment ils doivent se comporter envers les ali
Le jury sera composé, par voie de tirage au sort, de sept membres,
savoir
: Quatre médecins en chef désignés parmi les mé
tront les auto-suggestions nuisibles. L'affection et le respect que
saura
inspirer tout maitre digne de ce nom, ménageront
situé derrière la maison d'habitation. Cette jeune fille ne jouis-
sait
pas de la plénitude de ses facultés et avait été
noïdien. Ici; le diagnostic de délire aigu- d'origine urémique ne
saurait
même être discuté, en présence des révélations de
servation, on est conduit à une hypothèse des plus intéressantes, à
savoir
que le mauvais fonctionnement des reins, en d'a
ôpitaux présente cepen- dant des avantages réels sur lesquels on ne
saurait
trop insister. . Au point de vue du fonctionn
e mouvement ou l'acte, corrélatifs sont aussi conscients. Le malade
sait
pourquoi il agit, il en donne-une raison valabl
t, nous dit sa femme, « ce n'était pas un imbécile, il aurait voulu
savoir
davantage; mais;ça n'entrait pas, et il souffra
savoir davantage; mais;ça n'entrait pas, et il souffrait de ne pas
savoir
». Histoire de la maladie actuelle. La maladie
d'hallucinations vraies de l'ouïe ou de la vue. Il disait : « Je ne
sais
pas ce que j'ai dans la tète. Je me figure tout c
t jamais été conscients, ni volontaires. Les malades n'ont jamais
su
la raison pourlaquelle ils les exécutaient;' d'em
s et de la parole pendant quatorze recouvrées subitement. - On ne
saurait
trop admirer les ouvrages du Tout-Puissant au s
car s'il est sujet à des maladies nom- breuses et chroniques, Dieu
sait
les guérir subitement et à l'im- proviste, quan
'année 1G81. , · LE MUTISME HYSTÉRIQUE DANS L'HISTOIRE. 509 On ne
saurait
douter de la véracité de cette histoire puisque,
lente émotion; une autre émotion l'a guéri. Une pareille chose ne
saurait
nous surprendre. C'est le Witson. Philosoph. Ir
ost mortem si le sujet dont provenait les pièces anatomiques jouis-
sait
pendant la vie d'une parfaite santé mentale ou s'
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. III. - Puisqu'on ne
sait
différencier les tissus corticaux des gens sain
. Nissl se rallie sans réserve aux conclusions du rapporteur. On ne
saurait
être trop sceptique, les espérances de la premi
u- bérance était molle et désorganisée, mais la moelle ne parais-
sait
pas altérée. · 524 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
sme tendineux a la même signification que le réflexe de Babinski, à
savoir
une perturbation dans le sys- tème pyramidal. '
plus invariable. - Ce phénomène clinique, rapproché de ce que nous
savons
sur la bactériologie du canal intestinal paraît
endre de services. L'insomnie est difficile à combattre, et l'on ne
sait
à quel narcotique s'adresser tant leurs effets so
rgonophasie incompréhensible, s'occupe raisonnablement. Il voudrait
savoir
si ces cas sont fréquents. 112. DupkiN répond q
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
, à brosser leurs vête-ments. Aux repas, on surveille les enfants qui
savent
manger seules et on corrige leurs mauvaises habit
-ments non digérés. Sur 229 enfants présentes à la fin de l'année, 60
savent
se servir des trois objets : cuillère, fourchette
la cuillère et de la fourchette, 65 de la cuillère seulement et 29 ne
savent
pas manger seules. Divers procédés, maintien do b
i ont une belle écri-ture, suivent une dictée et, en arithmétique, ne
savent
faire que l'addition; quelques-unes apprennent la
les chiffres qui ne les intéressent que fort peu. Lorsque l'enfant
sait
parler d'une façon compréhen-sible, car la parole
e, on leur apprend les lettres, puis les chiffres avant même qu'elles
sachent
syllabcr. Nous sommes là au début de notre enseig
ces physiques. L'enfant connaît les chiffres, compte jusqu'à 100 et
sait
écrire jusqu'à ce nombre, nous suivons ensuite la
e en haut de chaque colonne. Après bien des devoirs de ce genre elles
savent
faire une addition. On arrive ensuite à la sous
'ateliers, les agents des services généraux devrait suivre les cours,
savoir
donner les premiers secours, être secouriste, con
avoir des pério-des d'excitation. Et alors les institutrices doivent
savoir
que le médecin doit être prévenu. Enseignement
andes filles, qui sont à la Fondation Vallée depuis plusieurs années,
savent
faire un ménage comme de grandes personnes ; il s
ar séries régulières, 35 ont travaillé une heure par jour ; 5 enfants
savent
faire complètement les layettes ; 12 du crochet e
faire complètement les layettes ; 12 du crochet et de la dentelle ; 4
savent
faire de la tapisse-rie ; 2 savent tricoter. Le t
2 du crochet et de la dentelle ; 4 savent faire de la tapisse-rie ; 2
savent
tricoter. Le tableau suivant donne mois par mois
ques imbéciles. Sur les 229 enfants qui existent à la Fondation; 65
savent
se servir de la cuillère, de la fourchette et du
e la cuillère et de la fourchette; 40 de la cuillère seulement; 24 ne
savent
pas manger seu-les. Cinq d'entre elles ont appris
ur les enfants citées ci-dessus, dont la lecture est courante. Toutes
savent
ce qu'elles écrivent, quelques-unes suivent des d
ues-unes es-saient même de reproduire certaines images, avant même de
savoir
faire les bâtons : les murs de la cour et de nos
près cela, on ne sera pas étonné, lors-que nous dirons que 18 enfants
savent
écrire, font une copie, malgré qu'elles sachent à
dirons que 18 enfants savent écrire, font une copie, malgré qu'elles
sachent
à peine syllaber, d'au-tres même ne connaissent p
ù sa mère était internée). Elle avait fait de notables progrès ; elle
savait
lire presque couramment et écrire très lisiblemen
alcul tout était à peu près-nul, elle ne se rendait utile en rien, ne
savait
ni coudre, ni laver, ni repasser. Aujourd'hui n
concerne les exercices classiques, s'habillait tant bien que mal, ne
savait
pas se débarbouiller, elle avait quelque-fois de
écrit assez lisi-blement, commence à faire des additions orales. Elle
sait
se débarbouiller, fait elle-même son lit; l'incon
ement par voies et par chemins; très affectueuse de son naturel, elle
sait
faire oublier ses mo-ments de dissipation et d'es
e autour d'elle, elle parle bien. Elle prend goût à la classe, elle
sait
assembler les lettres et lit quelques syllabes;
de ses mauvaises habitudes et de son instabilité, de sorte qu'elle ne
savait
ab-solument rien. Elle était très turbulente, dér
sont autour d'elle ; elle est, en un mot, très babillardc. L'enfant
sait
maintenant bien s'exprimer; elle est devenue tout
ns elle essaie de manger avec la cuiller, tout porte à croire qu'elle
saura
se servir de cet objet dans le courant de l'année
an. Elle a appris à écrire, fait aujourd'hui de petites dictées, elle
sait
faire l'addition avec retenue. En somme, ses prog
c èpilepsie, hémiparésie, strabisme gauche. A son entrée en 1904, son
savoir
était nul pour la classe, elle connaissait à pein
répétait les mots tant bien que mal. Elle s'habillait sans goût et ne
savait
pas se débarbouiller. Elle ne pouvait tenir une a
ence à syllaber, a appris à écrire malgré son tremblement, connait et
sait
faire les chiffres. Elle procède elle-même à sa
reçu au front en tra-vaillant un coup quilaissa une cicatrice, on ne
sait
s'il a perdu connaissance, mais il serait resté d
ère est mort à 77 ans. n'avais jamais été ma-lade, cultivateur, on ne
sait
s'il a fait des excès de boisson. — Sa mère vit e
émeutes de 1848. — La grand-mère paternelle est morte à 30 ans, on ne
sait
de quoi. — Les grands-parents maternels morts de
d'oncles ni de tantes. — A eu sept sœurs toutes mortes jeunes, on no
sait
si elles ont eu des convulsions. Rien à signaler
im-ples mots: «maman, papa », qui sont prononcés correctement Elle ne
sait
se servir d'aucun objet, il faut la faire manger
re comprendre. Au réfectoire, la tenue est déplorable, la malade ne
sait
même pas tenir un morceau de pain, il faut la fai
ents nerveux. — Son grand-père pater-nel, boulanger, est mort elle ne
sait
de quoi. Sa grand'mère paternelle est morte de vi
i paraly-tique ni démente. — Son grand-père maternel est mort elle ne
sait
de quoi. Sa grandJinère maternelle, morte à l'hos
t le grand-père paternel du père de l'enfant; boulanger, mort elle ne
sait
do quoi. Sa grand- mère maternelle, m-';-: li v
ses jambes. Il n'a commencé à saisir les objets qu'à 18 mois ; il ne
sait
rien porter à sa bouche, il prend un objet et le
rdait toujours en l'air, ne nous reconnaissait ni l'un ni l'autre, ne
savait
rien tenir dans ses mains. » C'est à 18 mois seul
la main et le porte à la bouche; il peut saisir une cuillère mais ne
sait
pas s'en servir. — Traitement : exercices de marc
développésles mains et les poignets sont froids et violacés. L'enfant
sait
prendre les objets et porter les aliments à sa bo
enfant sait prendre les objets et porter les aliments à sa bouche; il
sait
aussi prendre sa timbale, mais il ne sait pas se
es aliments à sa bouche; il sait aussi prendre sa timbale, mais il ne
sait
pas se servir ni de cuiller ni de fourchette.— Me
urs ; les pieds sont comme les mains, violacés et froids. L'enfant ne
sait
pas marcher seul, ni se tenir debout contre une c
ation bonne, pas de vomissements, selles régulières; mais l'enfant ne
sait
pas manger seul. Gâtisme complet. — Respiration e
: il n'a plus de gâtisme, n'a plus le tic de se balancer, mange seul,
sait
prononcer quelques mots usuels et sait même prend
ic de se balancer, mange seul, sait prononcer quelques mots usuels et
sait
même prendre part à quelques petits soins du ména
eureusement a disparu main-tenant. IV. L'enfant qui, à l'entrée, ne
savait
pas se tenir de-bout, était gâteux, avait appris
propre, ni marché, ni parlé. Il ne reconnaît pas du tout sa mère. Il
sait
cependant reconnaître lorsqu'on apporte la nourri
ec deux autres enfants qui sont normaux ; or, cette alternance, on le
sait
, est loin d'être rare dans les familles qui compt
('). C'est grâce à l'initiative de M. le (') Il est juste de faire
savoir
que MM. Bourneville et Regnard avaient déjà utili
directe. Il est même des hypothèses dans lesquelles l'œil lui-même ne
saurait
percevoir les mouvements par trop rapides; il en
MM. P. Richer et Gilles de la Tourette. Mais ce n'est pas tout : on
sait
maintenant l'importance prise en France et à l'ét
e de la mobilité du sujet. Comme celui-ci sera généralement nu, il ne
saurait
être question d'opérer en plein air, à moins d'av
it des ouvertures en chicane qui le laissent entrer librement mais ne
sauraient
laisser passer le moindre filet de lumière. En
uire des objets présentant des différences de plans considérables. On
sait
, en effet, que, dans cette hypothèse, les points
mps que l'on peut réduire avec certains dispositifs, mais que l'on ne
saurait
supprimer complètement. Qu'arrive-t-il alors si l
nt, peuvent cependant présenter un réel intérêt dans certains cas. On
sait
que, grâce à la vision binoculaire, nous voyons l
t, dans une certaine limite, de faire des épreuves rapides mais il ne
saurait
convenir à l'obtention de véritables instantanéit
s de déterminer la sensibilité absolue d'une nouvelle plaque, mais de
savoir
seulement si elle est plus ou moins rapide que ce
'ouverture de l'objectif ou mieux de son diaphragme et du foyer. On
sait
que les temps de pose sont proportionnels aux car
es fort rapides. 3. Influence du diaphragme. — Le diaphragme, on le
sait
, est une lamelle métallique percée d'une ouvertur
Mais, à côté de ses qualités, il a un inconvénient grave que l'on ne
saurait
passer sous silence, car, au fur et à mesure qu'i
................ 3,36 5. Influence de la coloration du modèle. — On
sait
que les préparations employées en Photographie ne
purement locales qui peuvent avoir également une importance qu'on ne
saurait
passer sous silence. Ainsi le voisinage de gran
pour celui qui opère toujours dans des conditions identiques, il n'en
saurait
être de même ici où nous allons nous trouver aux
ou un pinceau doux. Le bain tel qu'il est constitué actuellement ne
saurait
développer l'image latente, mais il permet, penda
-à-dire lorsque les blancs du négatif auront tous leurs détails. On
sait
, en effet, que le cliché est une image dans laque
orure d'argent. Ce cliché lui servira de type d'intensité moyenne, il
saura
alors que pour le platine il faudra des clichés p
cas, bien qu'il y ait repos, il est des attitudes que le modèle ne
saurait
garder un temps suffisant pour qu'un artiste ait
en. L'objectif tout indiqué dans l'espèce est le rectilinéaire ; nous
savons
en effet que c'est celui qui permet de travailler
vantage, si l'on peut le faire, de la méthode de la surexposition. On
sait
, en effet, que l'action de la lumière sur la prép
ois plans : celui du nez, celui des yeux et celui des oreilles. Or on
sait
que l'objectif photographique ne donne des images
une physionomie tout à fait caractéristique. Si ces ressemblances ne
sauraient
échapper à un médecin exercé, il n'en est pas moi
disions au début de cet Ouvrage, que la meilleure des descriptions ne
saurait
, dans certains cas, remplacer une bonne épreuve p
Ceci montre bien qu'une observation, si bien faite qu'elle soit, ne
saurait
remplacer le document photographique. Cet individ
ode, les caractères spéciaux qui constituent le faciès acromégalique,
savoir
, l'augmentation considérable du nez et le dévelop
ages assez réduites par rapport à l'original; de telles réductions ne
sauraient
être employées pour le nez, la bouche, les yeux o
Le tirage de la chambre se trouvera considérablement allongé, car on
sait
que, pour obtenir une reproduction à même taille,
te qu'il est très rare de voir de bonnes épreuves de mains, car on ne
sait
comment les placer commodément à la fois pour le
ispositif pour la photographie des pieds. Maladies de la peau. — On
sait
que les maladies de la peau sont très nombreuses;
if photographique peut révéler des choses que l'œil le plus exercé ne
saurait
percevoir. Que l'on trace un mot sur une feuille
rver une image durable et de les étudier ensuite à tête reposée. On
sait
que chez les hystériques tout bruit violent et in
rviendra pour garder la trace de ces phénomènes trop peu durables. On
sait
les belles expériences de Duchenne (de Boulogne)
ie, comme si elle voulait dépenser un excès de force (fig- 3g). Il ne
saurait
être question de vouloir amener la malade dans ce
rche normale, nous constaterons une confusion que l'auteur lui-même a
su
éviter par des dispositifs fort ingénieux. C'est
ux ou autres animaux choisis de la même couleur. En Médecine, il ne
saurait
être question d'user de ces artifices, et il est
ve, d'obtenir une vitesse suffisamment grande. Sous ce rapport, il ne
saurait
être rapproché des beaux appareils de Marey. Ma
Jîg- 53). Nous avons conservé dans cet appareil le même principe, à
savoir
: la variabilité des intervalles et celle des tem
es différentes maladies du système nerveux, a une importance qu'on ne
saurait
méconnaître. On n'a qu'à se rapporter pour cela a
. Ils constituent tout d'abord la catégorie des sujets auxquels on ne
saurait
demander l'immobilité, à cause, d'une part, de le
a netteté de l'image aussi bien que dans un appareil ordinaire; il ne
saurait
être question d'employer les procédés de mise au
on delà chambre d'arrière en avant et un numérotage spécial permet de
savoir
exactement le nombre de plaques employées. On peu
mp d'études. PHOTOGRAPHIES DE L'INTÉRIEUR DE CERTAINS ORGANES. On
sait
que, grâce à l'emploi d'appareils spéciaux, le mé
pour ne pas compliquer les graphiques obtenus, vie animale qu'on ne
saurait
analyser directement avec assez de précision : c'
sseur Marey rendent tous les jours les plus grands services, et il ne
saurait
être question d'appliquer à ces éludes les méthod
ser quelques secondes, et ce sera quelquefois beaucoup trop, car nous
savons
qu'avec les malades il ne faut pas trop compter s
nous avons fait l'expérience suivante qui mérite d'être rapportée. On
sait
que, sous l'influence des vibrations lumineuses s
ant qu'il ait subi aucune opération pour obtenir son durcissement. On
sait
l'importance qu'a prise aujourd'hui la question d
t de la Chirurgie est indiscutable. Avant de songer à guérir, il faut
savoir
quel est le mal et où il se trouve. Sans diminu
accident est toujours à craindre. Il est assurément regrettable de
savoir
que des documents de grande valeur sont destinés
Modifications à apporter à l'éclairage. — Le lecteur n'est pas sans
savoir
que les procédés photographiques employés couramm
ion de la matière est faite dans l'émulsion même. Mais ces plaques ne
sauraient
suffire dans tous les cas et l'on peut être condu
fficultés sérieuses pour retrouver l'éclairage le plus convenable. On
sait
, en effet, que dans quelques études on ne peut di
le fixeront d'ailleurs rapidement. Nous pouvons cependant lui faire
savoir
comment nous avons opéré dans le travail que nous
ne se borneront pas les études que le médecin sera appelé à faire. On
sait
le rôle important que les divers microbes remplis
science relativement jeune encore, mais qui a une importance qu'on ne
saurait
nier : c'est la Microbiologie. L'étude de ces m
e et exacte de l'image perçue par l'observateur. Les dessins que l'on
saurait
faire peuvent être plus ou moins fidèles, et nous
hotographique coupera court à toutes ces controverses et nous croyons
savoir
que c'est dans ce but que MM. Cornil, Doyen et Yv
iner successivement les divers plans dans l'épaisseur de la coupe. On
sait
en effet que les objectifs microscopiques n'ont q
omatiques et obtenir, par suite, des résultats plus satisfaisants. On
sait
, en effet, que, par l'introduction de certaines s
rations obtenues est dans la note rouge ou jaune, couleurs qui, on le
sait
, sont antiphotogéniques. Néanmoins les préparatio
saire d'avoir des tirages à grand nombre : les procédés à employer ne
sauraient
donc être les mêmes. D'autre part, il nous paraît
le médecin a une publication à faire, il est intéressant pour lui de
savoir
quelles sont les ressources que la Photographie l
de vue de l'exactitude du rendu des nuances de l'original; mais il ne
saurait
l'égaler au point de vue de la praticité, car il
a pose d'après la valeur du cliché et arriver après quelques essais à
savoir
le temps d'exposition le plus juste, on pourra tr
mais cet intervalle pourra compromettre la netteté de l'épreuve : on
sait
, en effet, qu'il est nécessaire dans tous les mod
rations est le même. Mais vient alors la question du séchage. On ne
saurait
, en effet, mettre dans la lanterne à projection u
ime : on peut en tirer quelquefois des conclusions intéressantes pour
savoir
s'il s'agit, pai exemple, d'un crime ou d'un suic
ra court à toutes les discussions qui pourraient s'élever et qu'on ne
saurait
plus désormais trancher d'une manière définitive,
i chez certains malades l'action du froid est indé- niable, elle ne
saurait
être admise chez beaucoup d'autres ; il en est
stence d'une tare nerveuse héréditaire chez l'individu frappé. On
sait
aujourd'hui qu'une prédisposition nerveuse cons
quement il y a cinq jours ; les parents, pas plus que la malade, ne
savent
à quelle cause rapporter le mal ; la malade ne
syphilis. Il y a cinq jours, hémiplégie faciale droite. M. B... ne
sait
à quelle cause attribuer le mal, il ne se rappell
enant brusquement ; la malade ne s'est pas exposée au froid et ne
sait
à quelle cause imputer l'hémiplégie. Il s'agit bi
nsibilité habituelle, se rap- prochent des hystériques vrais. Je ne
sache
pas que cela ait jamais été fait, mais je suis
cas précédents. Il y a quelques années, un médecin américain fai-
sait
connaître un procédé d'anesthésie générale assez
ration. Je n'ai pas eu l'occasion d'appliquer ce procédé, mais je
sais
qu'un de nos confrères de l'armée, le Dr Accola
et le jeûne rigou- reux est commun. Il serait bien intéressant de
savoir
d'une façon exacte si chez eux l'hystérie de l'
ilité s'accompagne d'un phénomène com- mun chez les hystériques. On
sait
que sur les membres anesthésiés, fréquemment le
ention d'être invulnéra- bles ; ils affirment que leurs épreuves ne
sauraient
entraî- ner de conséquences fâcheuses.Or, c'est
le danseur, par ordre du chef, prit du repos dans un coin. Je ne
sache
pas que l'on ait attiré l'attention sur ce poin
imés, mais tous les plexus du ventre sont comprimés de la sorte; on
sait
même que les infirmières réduisent souvent la c
sseyant sur le ventre de la patiente. Il serait très intéressant de
savoir
quel genre de sujets se livrent à ces pratiques
vrent à ces pratiques d'Aissaoua. Il est plus difficile que l'on ne
saurait
croire de se procurer de ces renseignements, et
en proverbe; on dit : « Manger comme un Aissaoua. J'aurais voulu
savoir
si le fait des convulsions au cours de la danse
ices. Il en avait vu plusieurs s'en plaindre. Il y aurait intérêt à
savoir
quelle nature d'individu on rencontre parmi les
rderais bien d'en déterminer le caractère intime. Mais il suffit de
savoir
qu'ils existent pour conclure qu'ils indiquent,
même ton, les accroissements a, p, y, capables d'être perçus. Nous
savons
déjà, par l'expé- rience de chaque jour, que l'
tation nous n'entrerons pas dans ces détails, d'autant plus on ne
saurait
se le dissimuler, - que les déduc- tions psycho
ttait rapidement le visage avec les mains. En revenant à lui, il ne
savait
rien de ce qui s'était passé. » Eraste en ces q
ente cette observation est moins complète que celle d'Eraste. On ne
saurait
classer parmi les cas d'épilepsie procursive, c
e à une autre, sans pouvoir se retenir, d'autres fois de sauter. Il
savait
parfaitement ce qu'il faisait, et il pouvait de
e trouvait d'un côté bordé de précipices. La terreur que lui cau-
sait
un mouvement si extraordinaire et le danger visib
'avoir une description plus précise des caractères de l'accès et de
savoir
si ses accès se seraient par la suite modifiés.
« Le moi a une conscience directe des phénomènes de volition; il
sait
immédiatement qu'il y a eu un stimulus volontaire
ments en question ne peuvent être exécutés qu'à une condi- tion, à
savoir
qu'un autre sens vienne remplacer celui-là. Ce
rdés plutôt comme des centres du toucher. Ferrier répond à cela : c
Savoir
si la sensation est excitée avant que se produi
e région entièrement différente (des centres moteurs) du cerveau,
savoir
de la région de l'hippocampe, ou centre de la sen
it associés à des impressions visuelles qui s'y rapportent. Cela ne
saurait
produire que la plus grande confusion, si l'on
ux de la ma- lade, elle perd complètement l'usage de son bras et ne
sait
plus le trouver. Au contraire, elle s'en sert à
ici de phénomènes indiquant un substratum organique de la lésion, à
savoir
: de la cyanose, de l'oedème, de l'augmentation
ter catégorique- ment l'hypothèse d'hystérie ? Non certainement. Ne
sait
-on pas que cette névrose peut se manifester que
es, qui depuis un an était sujet a des crises épileptiques qu'on ne
savait
à quoi attribuer. L'examen des oreilles dénota
'appeler le délire chronique : théorie sédui- sante, mais que je ne
saurais
accepter sans réserve et à laquelle je vous dem
aadopté ici le système du patronage familial, consistant, comme on
sait
, en ce qu'un certain nombre des malades chro- n
'un simple hasard. Au point de vue clinique aucune distinction ne
saurait
être établie entre ces deux genres d'aliénés, d'o
. Mais malgré l'adoption de l'ordre chronologique les auteurs ont
su
classer aussi leurs documents suivant certains gr
agerie religieuse- n'offrent guère qu'un in- térêt historique et ne
sauraient
fournir aucun document sérieux à l'appui de la
rd seul n'a pu réunir, et des traits si précis que l'imagination ne
saurait
les avoir inventés. (Fig. 9, 0, il.) .) Bien
« retenu par contrainte », mais « en traitement ». M. Lacombe. Je
sais
très bien que l'article 7 ne prévoit pas le cas
rrais, cette considération qui a déjà été émise dans ce débat. L'on
sait
combien il est douloureux de venir dé- clarer q
d'un délit correctionnel et passible d'amende et de prison ! Je ne
sais
pas si vous trouveriez un tribunal pour appliquer
oit être établie; nous ne sommes séparés de lui que sur le point de
savoir
dans quelle mesure cette surveillance doit s'ex
tion qu'il est néces- saire de trancher immédiatement, est celle de
savoir
si l'Etat doit remplir un devoir de surveillanc
d'intervenir d'office pour protéger les biens de l'aliéné. Or, vous
savez
com- bien sont rares les demandes d'interdictio
rétendus précédents empruntés aux législations étrangères, qu'on ne
saurait
sans une discussion très approfondie voter ce p
a aucune indication de ce genre et il est absolument impossible de
savoir
à quels individus s'appliquent ces séquestratio
arrivé quelquefois; mais combien de fois ? Voilà ce qu'il faudrait
savoir
. Les séquestrations se sont, en effet, très souve
dus arrêtés, et vous prétendez qu'il vous importe, à vous, Etat, de
savoir
s'ils sont traités comme ils ne doivent pas l'ê
ous cherchez à vous en emparer de plus en plus. Aliéné ! Mais qu'en
savez
-vous ? Com- ment ! voilà un homme qui n'a pas c
raison, il y a presque impossibilité d'arriver à la guérison. Mais
savez
-vous à quel moment a commencé le traitement dans
e, soit public, soit privé, suivant les circonstances, mais vous ne
savez
pas, quand on vous remet un aliéné ou un prétendu
e public est là ! Est-ce que vous croyez que dans une commune on ne
sait
pas vite si un aliéné est séquestré ou ne l'est
l'opinion publique ? Est-ce que les voisins ne sont pas là, et Dieu
sait
s'ils parlent, les voisins, et les voisines sur
d'établir les bases sur lesquelles cette taxe sera établie, il faut
savoir
si la taxe elle-même sera acceptée par le Sénat
ma com- pétence, et je comprends volontiers que les physiciens ne
sachent
à quoi s'en tenir sur ces deux versions. En pre
. La manie DE construire DES asiles EN ECOSSE. - On dit des Ecos-
sais
qu'ils sont très portés à l'économie. On ne le cr
s pour avoir pris droit de domicile dans la pathologie courante. On
sait
ac- tuellement que tous les ébranlements qui im
le système nerveux dans un état de vibration spéciale ; mais on ne
saurait
méconnaître le rôle de la morsure, si légère fû
n- servés, mais la main était devenue extrêmement faible et lais-
sait
tomber les objets. Depuis deux mois, il existe qu
à lui seul suffisait pour faire affirmer la paralysie nerveuse, à
savoir
la terminaison brusque en manchette circulaire,
ques ou vasomoteurs dont le membre anesthésié était le siège. Nous
savons
aujourd'hui que ces troubles de nutrition sont
oit encore une preuve confirmative de la nature de la maladie. Nous
savons
qu'un certain degré d'atrophie muscu- laire n'e
ux ans avant de se manifester par l'un de ses symptômes capitaux, à
savoir
la paralysie motrice. Par exclusion, et faute d
e question, d'un inté- rêt plus immédiat et plus pratique, c'est de
savoir
si, depuis qu'elle est connue, la maladie a aug
e créer des ressources nouvelles pour vivre. Toutes ces causes ne
sauraient
être invoquées actuellement; celle notamment à
giques 6, etc.). Si incomplets que soient ces chiffres, - et l'on
sait
combien les questions d'hérédité sont difficile
genre, peu- vent déterminer directement la paralysie générale. On
sait
qu'à la suite de certaines affections aiguës, tel
mes observations. Il est évident qu'en pareille ma- tière, on ne
saurait
jamais se flatter d'arriver à l'exactitude abso
s de convulsions; 5° garçon, mort à l'àge de six ans et demi, on ne
sait
de DE l'épilepsie PROCURSIVE. 237 quoi. -- Il
Il avait en- core ses courses en avant à son entrée Bicètre. On ne
sait
pas exactement à quelle époque elles ont dispar
ne s'est jamais développée, il n'a pu apprendre que ses lettres, ne
savait
pas compter spontanément ; il répondaitassez ma
n progressive des accès avec aura procursive en accès vulgaires. On
sait
, du reste, que les épileptiques à aura voient l
scurcissait peu à peu et la raison ne se développa pas. » Nous ne
savons
quelle foi il convient d'ajouter à cette étiolo-
ouvent de s'échapper en courant et qu'une fois l'accès passé, il ne
savait
plus où il était et ne se souvenait de rien; il
à grand rayon, évitant les personnes, les arbres, etc. Son père ne
saurait
dire si la rotation s'opérait toujours dans le
de potassium. 2 mai. Traitement hydrothérapique. Mémoire confuse,
sait
ses nom et prénoms, ignore le jour, le mois et l'
corriger sans provoquer une très grande irritabilité qui se tradui-
sait
par des cris inarticulés, des morsures, etc. Ju
ravées à l'occasion du service. Dans aucun cas, ces para- lysies ne
sauraient
conférer des droits à la retraite, puisqu'elles
es, les frictions et surtout le massage doivent être employés. On
sait
combien les pianistes ont de difficulté à faire m
l l'espère) de lui donner un renseignement d'ordre scientifique, il
saura
désormais qu'aliénation mentale est un terme tr
lière. Peut-être cela prendrait-il pour lui plus d'importance, s'il
savait
que ces « petits symptômes » dont on rit si agr
t d'après lequel, lorsqu'il avait pris la fuite, son état mental ne
saurait
être tenu pour normal. Connu jadis pour un homm
e les vaisseaux de l'encé- phale et ceux du corps thyroïde. Quant à
savoir
si ces symptômes sont une complication ou dépen
sont une complication ou dépendent de la tumeur cérébrale, on ne
saurait
en décider encore. (lllg. Zcilsch1-. f. Psych., X
stupeur notable s'ac- compagnant de mutisme. La stupeur, comme l'on
sait
, peut durer assez longtemps, mais il n'est pas
Les fonctions préparatoires de la mémoire, telles que la faculté de
savoir
, d'apercevoir, etc., sont soumises aux simples
é l'objet. » Voilà ce que dit un homme singulièrement compétent. Je
sais
bien qu'il y a des réserves. Mon Dieu, nous con
senté lui-même; il l'aurait fait avec plus d'autorité que moi. Vous
savez
que M. Clément est un peu plus modéré que moi.
in, cette plaque de marbre, qui vous rappellera que la République
sait
rendre hommage à tous les dévouements et qu'elle
us vous avons décernées montrent que vous aspirez à l'imiter. Je ne
saurais
trop vous répéter que ces malades, ces fous son
cette fréquentation quotidienne, l'intelligence, même affaiblie,
sait
reconnaître les sentiments affectueux et les acte
soufflait dans ma tête. Le diable y est pour quelque chose. Vous ne
savez
pas combien est horrible ce vertige. Là, tous l
me coucher. Une autre fois, je l'entendis marcher, mais comme je
savais
que c'était le diable, je n'y fis point attention
nd on lui demande pourquoi elle est venue, elle répond qu'elle n'en
sait
rien et s'excuse de déranger M. Grasset. On r
e, elle échappe pendant plus d'un an à notre observation, mais nous
savons
par les médecins (MM. Bringuier et Mossé) qu'el
es, être rendu perceptible, grâce à deux actions diffé- rentes, à
savoir
: ' 1° Une modification dans son intensité lumi
'autre, on mesure deux fonctions différentes de l'appareil visuel à
savoir
la perceptibi- lité différentielle ou l'acuité
ne pas cesser d'être perceptible. Il n'est donc pas indifférent de
savoir
pour quel éclai-; rage absolu l'on mesure la pe
e fond. Une semblable méthode de calcul, cela s'entend de soi, ne
saurait
prétendre à l'exactitude mathématique, mais au
e qui se répétait souvent dans les observations citées plus haut,
savoir
: de l'anesthésie thermique et analgésie partiell
... aban- donna sa place à Moscou et partit pour la campagne. Je ne
sais
rien sur son état ultérieur. Ce cas satisfait
t de la petite vérole; l'autre frère est mort à soixante ans, on ne
sait
de quoi. Deux soeurs bien portantes; l'une a tr
, ni d'attaques; n'est pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort on ne
sait
de quoi. Mère, morte en couches à vingt-sept an
é lontemps au pas- sage : « ses accouchements étaient longs»; on ne
saurait
dire s'il était asphyxié. Elevé au sein par sa
tend le tic tac d'une montre à 40 ou 50 c. de l'oreille. Dern... ne
sait
pas i 392 RECUEIL DE FAITS. le nom des odeurs
ives aux excès; pas de migraines; pas de maladies de la peau; on ne
sait
s'il a eu la syphilis; pas d'angines, d'ulcérat
gent et très vif; apprend bien ; 5° garçon mort à trois jours on ne
sait
de quoi, était né à terme; pas de convulsions;
sans rien de particulier. , Thorax large, bien conformé. Les creux
sus
et sous-claviculaires sont très accusés. Pas de
ments continuels pour exprimer son contentement de montrer ce qu'il
sait
faire. Sa marche est gênée considérable- ment p
t se rend un compte exact de tout ce qui se fait autour de lui ; il
sait
très bien diffé- rencier ce qui est bien de ce
caliser le centre rotateur dans le pied do la deuxième frontale. On
sait
que d'autres auteurs (Grasset, Landouzy, Charco
t la pression sanguine. Et les hémisphères cérébraux renferment, en
sus
des faisceaux pyramidaux, des fibres corticales
instituées par l'ordonnance de 1839. La commission du Sénat a voulu
savoir
quels résultats on avait obtenus par ce dernier
ment ont été instituées. On a trouvé aucun document qui permette de
savoir
comment elles ont fonctionné. En résumé, messie
commission du Sénat s'est trouvée en présence de cette situation, à
savoir
que la double surveillance prévue mais non assu
le concours. Toutes' garanties, par conséquent, au point de vue du
savoir
sont données. C'est ce médecin qui jouera le pl
grosse question que M. Combes indique dans son amendement, celle de
savoir
si ce n'est pas à l'autorité judiciaire qu'il a
, messieurs : responsabilité d'une part, honora- bilité de l'autre,
savoir
enfin, voilà les conditions qui permettent à ce
able M. Combes et plusieurs de ses collègues. Cette partie, vous le
savez
, se réfère à la création, au chef-lieu du dépar
n, au point de vue des personnes, suffisait abso- lument à tout. Je
sais
très bien que, dans la pratique, les procu- reu
êt suprême - tout le monde, d'ailleurs, le comprend - à ce qu'on ne
sache
pas que tel de leurs membres a été touché par u
touchait pas, je le répète, à ce sanctuaire de la famille qu'on ne
saurait
trop res- pecter ! Les abus ? - Je vous défie
ue criminelle; mais la statistique criminelle ne nous fait même pas
savoir
à quelles personnes s'appliquaient les délits d
c'était des séquestrations d'aliénés, et c'est là ce qu'il faudrait
savoir
. 11 peut y avoir d'autres séquestrations que des
agents expérimentés découvrent les côtés accessibles des ma- lades,
savent
gagner leur confiance et parviennent à les dirige
ans un grand asile, un malade était atteint de folie furieuse. Vous
savez
qu'en pareil cas, les malades déploient souvent
été confié pendant de longues années le service des aliénés; on ne
saurait
donc trop vous engager à redoubler de zèle et d
pour qu'il ait la conscience, le sentiment de ses devoirs et qu'il
sache
les remplir ; on a voulu enfin, en ins- tituant
Ceux d'entre vous qui ont vécu quelque temps au milieu des aliénés
savent
parfaitement toute l'influence qu'ils peuvent exe
peuvent expliquer la raison. Le malade est triste, dit Morel, il ne
sait
pas pourquoi, il cherche la cause de son mal, s
ur de la santé. La crainte, l'inquiétude, l'angoisse, sont, vous le
savez
, des sentiments pénibles, qui suppriment toute
firmiers et les infirmières actuellement en fonction. L'externat ne
saurait
donc vous préoccuper outre mesure. Vous pouvez
logement et 36 fr. par an ! Ce serait à peine croyable, si l'on ne
savait
dans quel abandon douloureux étaient laissés le
ddoe demande que des recherches soient faites dans ce pays, afin de
savoir
si ce phéno- mène continue à se présenter parmi
ans tous les Manuels de médecine men- tale. Qu'il vous suffise de
savoir
que dès la plus haute an- tiquité, les médecins
s entre les accès de l'une et ceux de l'autre. À la vérité, on ne
saurait
se montrer surpris qu'en présence de deux étals
dans une série de pu- blications du plus haut intérêt et dont on ne
saurait
trop le louer, de mettre en valeur la nouvelle
Magnan, sera discutée ulté- rieurement, mais d'ores et déjà ils ne
sauraient
être acceptés sans réserves, Gilbert Balle» ! l
es choses doivent se passer comme nous venons de les exposer. On ne
saurait
nier, en effet, que l'excitation du maniaque et
ue une méthode d'exploration d'une précision extrême pour celui qui
sait
s'en servir : depuis, la radiothérapie, sastrur c
ce précoce ; par le ]> Crocq (Jourox. de neurologie, n° 7.) On
sait
que (ïahlhaum a décrit sous le nom d'héboï<lop
d'un déficit irrémédiable de l'intelligence, la démence précoce ne
saurait
faire exception à cette règle. Mais la profon-
ifférentiel est des plus difficiles à étahlir.C'est une question de
savoir
s'il existe une pseudo-paralysie générale falar
d'une véritable tachycardie lorsque la courbe thermique s'abais-
sait
. Sociétés SAVANTES. 47 Il 11 ObSCI'\"l) tl'
lérer la rapidité du fonctionnement de la justice qui, comme chacun
sait
, est, plus que jamais, atteinte de claudi- cati
quaient d'après discus- sions dans les milieux aliénistes, il avait
su
faire de la nouvelle entité morbide une lumineu
apparent, dit Massclon, car elles ne divergent que sur le point de
savoir
quelle place on doitattribuer,dans une classifica
disposition affective, est en- core pauvre dans son sein ». Reste à
savoir
si le trouble del'évo- cation est primitif ou l
ans son analyse ; mais il est si documenté et capti- vant, qu'on ne
saurait
en donner une idée en peu de mots; en- core ce
t qu'il doit l'en- (le soins ; mais, d'un autre côté, il faut qu'il
sache
égale- ment que ce malheureux, dès qu'il le cro
do ces fléau),. VARIA. 61 Ces efforts techniques des savants ne
sauraient
, toutefois, at- teindre leur but sans la coopér
nomique entre les Nations,celle-là gagnera la partie qui aura mieux
su
pourvoir à la conservation, à l'augmentation et a
ine pour « épilepsie avec, attaques rares et débilité mentale ». Il
savait
lire et écrire. Quelques mois après l'entrée, i
759) ont rencontrée dans un cas d'agénésie du corps calleux. On ne
saurait
la confondre, malgré certaines analogies (plus
(¡¡ po), situé sur le bord de l'hémis- phère, unit P' à 01 : on ne
saurait
cependant l'homo- loguer au pli pariéto-occipit
dégénérative. D'autre part, l'agénésie fut absolument latente : on
sait
que les connexions de cha- cune des masses gris
ixer approximativement l'époque do l'arrêt de développe- ment. On
sait
que le vermis, partie du cervelet a plus ancien
nu des faisceaux de fibres pyramidales coupés transversalement. On
sait
d'ailleurs que l'atrophie croisée de la protubé
u corps calleux, les nombreuses anomalies des circon- volutions. On
sait
, d'autre part, que les lésions éten- dues d'un
MENTALE. vers le milieu du quatrième mois ; peut-être le proces-
sus
qui a créé les anomalies des hémisphères n'a-l-il
termine en rappelant qu'il semble qu'il y a, en ce (1) Nos lecteurs
savent
la part importante qui revient dans ces réforme
DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Aujourd'hui tout le monde
sait
que les aliénistes, comme les neurologistes, ét
taque. Les variations des éléments minéraux ont été peu étudiés, on
sait
seulement que, dans l'épilepsie, pendant les in
o- logie. Les altérations des para-thyroïdes n'ont jamais, que je
sache
. été signalées chez les aliénés. Les constatati
e de dégénérés hystéri- ques, de kleptomanes, l'irresponsabilité ne
saurait
être mise en doute. La solution est bien plus d
tencore plus complexe. Cette associationest assez fréquente, car on
sait
combien les désé- quilibrés ont une appétence s
a muqueuse et des parties profondes ne permet plus de contrôler, ne
savent
plus maintenir la glotte ouverte pour la respir
e t3UCK et Deroubaire. (JOlll'l1. de Neurologie, 1\JOG, n° 9.1 On
sait
que nombre d'auteurs mettent en doute l'autonomie
rve des lésions nucléaires. Un point reste douteux : c'est celui de
savoir
les lésions des éléments nerveux sont primitive
e volume VU contient les articles suivants : 10 Doit. 1 ). Franilu.
Su
le vie dit conduzione nervosa extra- cellulari
ux ma- lades une dose de KBr. inférieure à celle indiquée ci-des-
sus
et toujours la même, les accès demeurent très fré
quent,dans les cas de compression,on guérit assez sou- vent si l'on
sait
intervenir chirurgicalement à temps, comme dans
és. Notre cas peut entrer dans cette catégorie, seulement nous ne
savons
et nous ne pouvons pas dire quelle a été la cau
lle, qu'il aime tout ce qui la touche, tout ce qui vient d'elle. Il
sait
qu'il doit la quitter bientôt, mais se consolo
ué dans le train, pensai-je en moi-même, quelqu'un de ma famille le
saura
. Il me reçoit d'une façon assez vague, me dit q
« 5" A Limoges, une paysanne avec un grand panier rempli de je ne
sais
trop quoi, monte dans le train, se met à côté de
que la comtesse, ce à quoi il lui est répondu que la comtesse n'en
saura
rien. Il accepte et l'hallucination génitale es
est ordonné de se jeter par la fe- nêtre, injonction à laquelle il
sait
parfaitement résister : « Ce qui m'a sauvé, « d
e C.. a été préparé, enveloppé par sa filiation, même parce qu'on
savait
et qu'on sait qu'il serait et qu'il est catholiqu
éparé, enveloppé par sa filiation, même parce qu'on savait et qu'on
sait
qu'il serait et qu'il est catholique ultra- mon
da pas ensuite à décliner et d diminuer. Quand je dis délire, je ne
sais
si j'emploie ce mot à contre-sons : j'entends,
mmes en possession d'un autre élément d'information, puisque nous
savons
que le malade commet ou a commis des ex- cès al
ndre ces deux formes. Nous ne pensons pas qu'il soit indifférent de
savoir
si oui ou non existent des hallucinations chez
çon vague, sans que la malade puisse préciser ses souffrances, sans
savoir
le pourquoi, sans même se plaindre sérieusement
nt (en apparence). Le tabétiqueatteintdeces troubles du tronc, ne
saurait
être comparé, pour la séméiologie, au tabétique
des crânes de 24 21, 36 ans. Pour être affirmatif, il faudrait donc
savoir
si la suture métopique s'observe sur les mongol
les à la tuberculose. Ces constatations concordent avec ce que nous
savons
de la fréquence de la tuberculose dans les asil
e type central myéli- tique avec une évolution brutale aiguë qui ne
saurait
par- donner. Les auteurs attirent également l
llement de la médication ferrugineuse toutes les pseudo-anémies, il
savoir
: 1° Les inanitions atmos- 21C REVUE D'ANATOM
et qui sont peut-être la cause de la neuras- thénie, ou que nous ne
savons
seulement que d'une façon imparfaite quel est l
oubles oculaires l'indication d'une intervention immédiate. 11 faut
savoir
attendre l'apparition de symptômes plus caractéri
n nombre de cas, la cause efficiente des phénomènes convulsifs : on
sait
d'ail- leurs combien est riche la symptomatolog
de l'inspecteur général président. Elles seront au nombre de six,
savoir
: . 1° Une question écrite portant sur l'anatom
es de tous les pays manifestent la tendance fâcheuse, que rien ne
saurait
ni justifier ni expliquer, de réunir sous le même
, comme nous, restent fidèles à la vieille défini- tion du terme ne
sauraient
les approuver et nous espé- rons établir que la
LA FOLIE GÉMELLAIRE. 251 il n'y en a qu'une dans ce mémoire. Qui
sait
ce que leur réserve l'avenir et si la clinique
ais commune à toute vésanie iden- tique des jumeaux est à ajouter,à
savoir
: la nécessité non pas seulement d'une prédispo
toutes ses souffrances morales et physiques ; d'un autre côté nous
savons
également que la vraie folie gémellaire survien
eule une grande réunion de cas tranchera définitivement ; or nous
savons
la vraie folie gémellaire très rare, il faudra
iques, elles n'expliquent pas du tout le fait essentiel, capital, à
savoir
: la folie. Tous les jumeaux se trouvent dans l
à, PaulBert a démontré que la consanguinité ne crée rien, elle ne
saurait
donc pas plus engendrer la folie gémellaire que
uand nous avons quitté l'Asile de Toulouse, un an après, nous avons
su
par la mère que tout s'était bien passé et que
l'explication ne peut être que celle que ce dernier en a donnée, à
savoir
: que la prise des deux grammes de brome produi
réactions a peu d'importance ici, car on 270 étude critique. ne
sait
pas combien on doit en attribuer aux sujets, et
ause de l'influence qu'ils subissent de la partdu brome. Comme onle
savait
, l'influence du brome s'exerce de la manière la
dans le 4e quart d'heure, la somme du travail augmentant au-des-
sus
du maximum des jours normaux, dans les jours sui-
prononciation. Cependant cette dernière influence est, comme on le
sait
, beauconp plus insignifiante, moins sûre. Con
e. La salle à manger lui a paru jolie, le parc superbe, oui, mais
sait
-il que, derrière un mur près duquel on l'a fait
prenant l'air que sur une cour brûlante l'été, glaciale l'hi- ver,
sait
-il que,dans cette cour,s'agitent des malades terr
s les gardiens d'asiles en risquent autant. Eh bien, ô étranger !
sais
-tu la cause de ces accidents ? sais- lu que si
s que l'on t'a mon- trés, il se passe de terribles histoires, tu le
sauras
maintenant, mais tu ne changeras rien à ta vie
nterrogatoires médicaux et la mise à jour des observations. On ne
saurait
trop louer la clarté, la précision et la simplici
e la commune est transmise à la direction de la colonie, qui fait
savoir
aux autorités que, d'après les renseignements fou
elles-mêmes ne tarderaient pas à s'éteindre tout à fait,. » Un ne
saurait
trop insister sur le travail manuel et les exerci
de 18, 20 et 22 frcs nous proposerons ? 0, 22 et 25 frcs. Ces prix
su
rapprochent dos salaires que gagnent les gens du
rtout chez les alcooliques ; aussi persiste-je à croire que l'on ne
saurait
retenir trop longtemps à l'asile les alcoolique
du mari, attendent son interne- ment pour introduire l'instance. On
sait
que le divorce pour cause d'aliénation n'est po
lus la maladie est récente, plus elle a de chances de guérir; on ne
saurait
trop le répéter, car les maires, les fa- milles
ossible le placement des aliénés. » L'expérience prouve que l'on ne
saurait
être trop rigoureux sur la durée de la convales
e 1)' Dulin, appelé d'urgence, ne put que constater le décès. On ne
sait
pas les motifs exacts qui ontentrainéle jeune v
« voir qu'il était arrangé comme ça )'. D ? se mit à pleurer, il ne
sut
pas souper. « Pourvu que ça ne traîne pas trop lo
mine de chercher et de ne pas se souvenir. Il fait signe qu'il ne
sait
où il est ; il comprend ce que nous lui disons, m
eureusement pas fait écrire ce jour-là, si bien que nous ne pouvons
savoir
s'il présentait l'agraphie que nous avons pu co
rs mal là ». 342 CLINIQUE MENTALE. D. Depuis quand ? - R. Je ne
sais
pas. ' D. Depuis quand parlez-vous ? R. Hier ap
n montrant le creux sus-sternal. D. Où êtes-vous ? R. Maintenant je
sais
depuis hier que je suis à l'hôpital, mais comme
uis hier que je suis à l'hôpital, mais comment j'y suis venu, je ne
sais
pas. Je ne me rappelle de rien, je ne sais pas
ent j'y suis venu, je ne sais pas. Je ne me rappelle de rien, je ne
sais
pas depuis quand je suis ici. - Il ne se souvie
rs précé- dents, ne nous reconnaît pas. D. Qui suis-je ? R. Je ne
sais
pas,je vous ai vu avec un autre Monsieur ? dire
e ne sais pas,je vous ai vu avec un autre Monsieur ? dire où, je ne
sais
pas. Il ne se souvient pas qu'il ne pouvait par
il. La mémoire est toujours très affaiblie, il nous reconnaît bien,
sait
qu'il nous a vu samedi, mais ne se souvient plu
inent l'histoire de notre malade. Dès son entrée à l'hôpital, il ne
sait
où il est, ne reconnaît personne. Le 9 avril.
ersonne. Le 9 avril. Il ne souvient pas de ce qui s'est passé, ne
sait
plus que l'avant-veille il ne pouvait parler; bie
l'amnésie rétrograde embrasse une période de plusieurs mois , il ne
sait
plus qu'il est venu à l'hôpital en janvier et qu'
n il y a quelques années. R. Je ne me rappelle pas de tout çà. Il
savait
de nombreuses chansons, et ne se souvient plus
coeur tout triste, dit-il, cette mémoire qui ne revient pas, je ne
sais
plus en quel endroit je travaillais en dernier
main, aussi je prends courage ; mais de trois à quatre jours, je ne
sais
plus rien. » Il peut nous dire immédiatement le
. Parle un peu plus haut mais est incapable de crier 13 avril. Ne
sait
pas encore crier; montrant le creux sus-sternal
s de nommer l'objet. Il cherche et ne peut. Nous lui demandons s'il
sait
ce que c'est : il répond affirmativement. D.
certains de ses outils de charpentier, il les voit devant les yeux,
sait
à quoi ils servent, doit réfléchir un moment po
Surdité musicale. Le 12 avril, D ? nous déclare spontanément, « Je
savais
des chansons plein des sacs ; je ne m'en rappel
ir de la Lune le malade dit qu'il entend bien siffler mais qu'il ne
sait
pas du tout ce que c'est. Siffle- t-on la Mar
'il l'avait oubliée, ouvrier assez intelligent il nous montra qu'il
savait
ce qu'était le prestige. 18 mai. D ? déclare qu
e. - Cécité verbale. 9 avril. Nous écrivons lisiblement : Vous ne
savez
plus écrire ? Il met plus d'une minute à lire c
avril. « J'ai le coeur tout triste aujourd'hui, nous dit-il, je ne
sais
pas pourquoi, cette mémoire qui ne revient pas;
ue nous demandons au malade d'écrire son nom. Il y renonce. « Je ne
sais
pas comment commencer, ça ne revient pas, il n'
Après Armenfiè, il arrête quelques secondes pour réfléchir. « je ne
savais
plus comment finir, pourtant je l'ai fait ce ma
avril. D ? met plus d'une minute pour écrire le mot civilité, il ne
savait
plus comment faire un c. 13 avril. Il met 40 "
onne, Dubar par exemple, il doit alors s'arrêter après le b « il ne
savait
plus former l'a et l'r qu'il voyait pourtant de
mai. Pensant à un outil : « je le vois devant les yeux, dit-il, je
sais
à quoi il sert, après quelques instants, j'entend
il, si les patrons voudront encore de moi, ça me casse la tête de
savoir
qu'on dit en ville que je suis fou; mes enfants s
e j'essaie de lire le journal, j'ai du chagrin, l'idée de ne plus
savoir
lire, l'idée de n'avoir plus de mémoire, je ne sa
ée de ne plus savoir lire, l'idée de n'avoir plus de mémoire, je ne
saurai
plus travailler, on me mettra à la porte) ' La
s défiant. Il est triste, verse des larmes, soupire : « je voudrais
savoir
la maladie que j'ai, je me dis que je suis aban
Hippo- crate où nous trouvons déjà la notion de sa curabilité, on
sait
que Laënnec et, vers la même époque, Carswell (
ns un pays où il est parfaite- ment organisé, la Belgique. On
sait
quels sont, pour les aliénés, les avan- tag
n épileptique l'autre, par des cau- ses individuelles inconnues. Un
sait
seulement que l'epilcpti- que, très sensible à
comme très vraisemblable l'hypothèse formulée par ces auteurs, à
savoir
que le faisceau pyramidal se termine dans la moel
e mal de mer. M. Paul Farez. i\I.IlegnauIt dit que la suggestion ne
saurait
guérir un mal de mer vrai que chez les hystériq
tion est si intense que le mal de mer est supprimé chez tous. On ne
saurait
soutenir que tous étaient des hystériques ou qu
le moins du monde hystériques, qui avaient une volonté vaillante et
savaient
se dé- fendre de l'auto-suggestion. La suggesti
; avant d'instituer le traitement suggestif, nous aurions besoin de
savoir
si le cas est imaginaire' ou vrai, c'est-à-dire
arrive, à chaque instant, d'instituer le traitement suggestif pour
savoir
si tel symptôme est d'origine organique ou d'orig
rçaient à mettre le feu pour venger ses enfants victimes de nous ne
savons
qu'elle persécution. Il terminait en demandant
fier la signification attribuée à la constante positive b, car l'on
sait
que l'alcool à peti- tes doses exerce une actio
els, si ce n'est qu'une tante maternelle est morte à 13 ans « on ne
sait
de quoi ». Trois frères : l'un mort en nais- sa
escend péniblement les degrés de l'escalier. Au réfectoire, elle ne
sait
pas se tenir à table et ne se sert d'aucun des
leur apparition permet de les assimiler à un véritable choc. Or on
sait
l'action déséquilibrante que les chocs peuvent
e les établissements prives le soient tous les mois. Ces visites ne
sauraient
évidemment t être de simples formalités, car, a
es registres de la maison. Ces pièces seront transmises de suite, à
savoir
: par les Présidents des tribunaux civils aux
posent la protection et la défense de la liberté. Rien en effet, ne
saurait
mieux démontrer la nature exceptionnellement ri
onséquence, je vous invite à m'adresser désor- mais deux fois l'an,
savoir
du 15 octobre au 1er novembre, puis dn,15 avril
e mouvement de la population de l'asile dans le dernier se- mestre,
savoir
: le nombre des entrées, décès, transferts, évasi
encore, que l'on se déclare aujour- d'hui prêt à libérer « si l'on
savait
ce qu'ils deviendraient le lende- main», qu'on
des plus essentielles. Je compte que vous y travaillerez ; je vous
saurai
un gré particulier des efforts personnels que vou
exposé, si scientifique, si adapté au but moral du livre, que nulne
saurait
y voir de tendances porno- graphiques. A côté d
c ardeur dans cette voie (3 exemples avec figures) ; la France ne
saurait
rester en arrière ! Si la prophylaxie de la tuber
3 0/0 prélevés par la poste, et nos abonnes n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rappe
re violente qu'avait fait naître son fils. Il se rappelle avoir gardé
su
sensibilité. On l'a soigné en ce moment pour une
ce que nous disions ici même, dans notre communication de février, ù
savoir
que lo termo agoraphobie plus général convient mi
ent et retomba dons son premier état. Ainsi il a traîné misérablement
su
vie ne pouvant faire deux pas sans être accompagn
ez-moi de vous remercier do tout mon cœur du changement que vous avez
su
opérer dans l'état de mon mari ; il est complètem
erai plus spécialement lo professeur Régis. Or, comme une vérité ne
saurait
jamais s'appuyer sur un trop grand nombre de fait
ormaux sont peut-être normaux, mais cryptoides, c'est à dire qu'on ne
sait
pas encore les mettre en évidence au moyen d'un r
sans les voir, à côté de phénomènes qui sont éclatants et que nous ne
savons
ni observer ni provoquer. Plus la science poursui
en danger, on recourt au moyen suprême, auquel pas un accouchement ne
saurait
résister : une séance de marionnettes; dans laque
de filet : les démons ne peuvent manquer de prendre la fuite, car ils
savent
que c'est avec de tels instruments qu'ils sont pi
reme, d'une p&leur effrayante. Pourtant son pouls bat plus de
SU
pulsations. Elle est couchée les mains jointes ;
une au to-suggestion ? 11 désire retrouver l'usage de son membre, il
sait
qu'on veut le guérir, il croit que l'application
uccessivement des membres inférieurs. En second lieu, puisque je ne
savais
pas moi-même ce qui allait se passer, je ne pouva
S'agit-il d'une guérison définitive? Je n'oserais l'affirmer. Chacun
sait
, en efTct, que les résultats obtenus par une inte
de produire et que la nature nous offre tout réalisé. A nous donc de
savoir
en tirer parti. La suggestion pendant cet état
ence, il prend pour du neuf ce qui n'est plus déjà qu'un souvenir. On
sait
le rôle important qu'il fait jouer aux humeurs et
r^pas les petits enfants par le ne%(3),ils deviendraient punais. On
sait
qu'on trouve chez les enfants atteints d'ozène, u
de ce Congrès, les résultats du premier Congrès de l'hypnotisme. On
sait
qu'au moment de l'organisation des Congrès intern
donc un état expérimental essentiellement physiologique. Cet état ne
saurait
devenir pathologique que par le fait de fautes ex
nce de mouvements exécutés dans une intention donnée. Comme vous le
savez
, Guinon a défini le tic convulsif comme ·. un mou
s auteurs n'en disent pas un mot. M. Grasset pense que « cet agent ne
saurait
avoir aucune action sur la maladie des tics propr
son frère sur Charlotte dcRoannez, qu'elle voyait souvent, et qu'elle
sût
, pendant la persécution, mettre en rapport avec S
nt à une amie sortie du cloître l'étrange service qu'elle avait reçu,
sut
à son tour la détourner du mariage. Sur ces entre
oncle Biaise pour maître, ce fût le seul des enfants de Gilberte qui
sut
résister un peu aux suggestions qu'on lui fit sub
Louis, qui avait été un enfant enjoué et bouffon, et qui à sept ans
savait
à peine son Pater, dévint très dévot, fut doyen d
r la réflexion cn toutes choses, et qui comprendront, non que nous ne
savons
rien, mais que nous ne savons pas tout, et que ce
s, et qui comprendront, non que nous ne savons rien, mais que nous ne
savons
pas tout, et que cette religion du mystère est la
mène tandis qu'elle estplongéc dans cet état second, elle marche sans
savoir
où elle est ni où elle va. Son lils, dans une not
elle et sort de cet état second comme d'un profond sommeil ; elle ne
sait
plus ce qui s'est passé durant ce temps Tenons-
quand on lui en parlait, quand on lui nommait la Tour Eiffel, elle ne
savait
ce que cela voulait dire. Elle ne reconnaissait p
es épilep-tiques. 71 importe maintenant à propos de chaque malade, de
savoir
, d'après le caractère intrinsèque de ses crises,
e ; elle se rendait compte de ce qui se [passait autour d'elle ; elle
sait
que ces crises-succédaientà la colère, elle ne se
le sujet peut en faire la critique. La suggestion en est, comme on le
sait
, le seul traitement efficace. Phénomènes de iié
qui constituent la foule ou l'assemblée, » Nous serions heureux de
savoir
si M. Tarde partage l'opinion de M. Haraucourt su
du romantisme individualiste auto observateur et subjectif, qui « ne
sait
que son âme » et ne veut décrire qu'elle, au natu
e nous étudions ont amené la réalisation littérale de ce vœu, et vous
savez
les grands services que la philosophie et la méde
entend, et ne se souvient plus de ce qu'il a entendu, il parle, et ne
sait
plus ce qu'il a dit, il voit, et perd le souvenir
sychologique d'identifier la mémoire et la conscience. En effet, on
sait
que, grace à l'hypnotisme, on peut, des profondeu
l par jour à un enfant par rapport à un adulte ? En vérité, nous ne
savons
pas ce qu'est le sommeil dans son essence physiol
t, sans en avoir conscience, à construire son édifice organique. Nous
savons
, en effet, que cet enfant qui vient de naître va
ssement plus rapide des animaux élevés au repos, dans l'obscurité. On
sait
également que les animaux hibernants, grace à une
it, en même tempsjqu'un certain degré d'anesthésie auditive : et l'on
sait
que la coïncidence de ces deux symptômes est un d
t; arrivé au dernier période pour te rétablir en troi3 jours. Je ne
sais
si cette cure vraiment admirable réussit. Mais la
age est suggéré d'une manière involontaire et même Inconsciente. Ou
sait
déjà combien les enfants sont disposés à reconnaî
lui, en fait, l'électeur vote pour un hommedontle plus souvent il ne
sait
rien, sinon qu'un groupe de tapageurs (comité éle
Wagner et à Frédéric Nietzche. Certainement ses critiques portent; il
sait
trouver, dans une œuvre, le point faible, le dctr
cation de Beaunis ne répond pas entièrement à l'objection de Janet, à
savoir
que tel laps de temps est simplement une abstract
ps pourrait-il être mesuré avec précision ? Aucun autre changement ne
saurait
établir que le temps est échu ni associer tel mom
rties atélecta-siées des poumons ; 3° un effet psychique excellent, à
savoir
que les malades gagnent beaucoup de confiance par
ion, c'est l'influence personnelle. Chaque médecin, dans la pratique,
sait
jusqu'où il peut réussir auprès de ses malades pa
and intérêt. Tout médecin qui a traité l'asthme dans plusieurs cas,
sait
que l'accès peut souvent être coupé si l'on attir
ai guéri la malade et ceci vous prouve, comme je désirais que vous le
sachiez
, que la suggestion est un moyen très efficace con
e Rock. Elle m'écrivit n'avoir pas assez de copie pour le journal. Je
savais
que trois à quatre jours se perdraient à lui écri
key. Welterstrand, etc. Bechterew insiste sur ce point particulier, à
savoir
que l'hypnotisme peut rendre des services, même e
t avec laquelle la conférence à été suivie : a Ce que tout le monde
sait
, c'est que Duchêne était médecin, médecin pratici
sait pas illusion sur l'eiflcaeité infaillible de sa complaisance, il
savait
du moins qu'une expérience, est toujours instruct
le de Claude Bernard, font des expériences a pour voir ». Et comme il
savait
très bien voir, il pouvait quitter l'hôpital deux
bienfaits réels ont été reconnus surtout après lui, mais qu'il avait
su
prévoir clairement ; c'est le caractère d'utilité
us avais dit, répond-elle, n'était pas juste. — « Comment avez-vous
su
que le moment auquel vous avez exécuté mes ordres
nes personnes peuvent s'éveiller à une heure déterminée, que d'autres
savent
toujours quelle heure il est, que les sauvages on
par Del-/page> page n="174"> bœuf et par moi-même. S'il ne
sait
pas compter au-delà de 5, comment sa faculté pour
cience arrive à le faire à l'état de veille. La conscience hypnotique
sait
exactement quand l'échéance est arrivée et, laiss
compris entre renonciation de l'ordre et sa mise à exécution, elle ne
savait
ni combien de jours s'étaient écoulés, ni combien
s semble que l'on ait jusqu'à présent négligé un facteur important, à
savoir
la suggestion, voulue ou non, mais certaine, que
oureuses que nous allons exercer sur sa mâchoire. Du reste, il nous
sait
infiniment gré de l'assurance, parfois mensongère
ivant les aptitudes individuelles de l'opérateur et l'ascendant qu'il
sait
prendre sur son patient? Dans l'application de
que tout se passera bien. En ce qui concerne notre spécialité, je ne
saurais
mieux faire que d'emprunter au Df Abraham (de Ber
aisant qu'il n'a rien remarqué de cette cérémonie effrayante. On ne
saurait
donc négliger dans la pratique de l'anesthésie un
d'être désignée aux psychologues, car cet esprit sagace et prudent a
su
grouper non seulement les preuves en quelque sort
bservation la voyante. D'une part, il la désigna â la police, afin de
savoir
si M. Pipers, le mari, ne recevait pas des rensei
est une question très discutée parmi les physiologistes, que celle de
savoir
si le travail mental cause une sensible élévation
avait connaissance de l'hypnotisme. Trousseau répondit : «- Xon,je ne
sais
ce que vous voulez me dire: mais c'est quelque ga
pas de renseignements précis sur la cause de cette peur. Nous croyons
savoir
, cependant, qu'elle a été due à un accident arriv
mbreux traitements. Le diagnostic n'était pas difficile. 11 restait à
savoir
quelle était la cause de celte hyperhidrose extra
dification du derme, on eut Recours à une médication plus violente, â
savoir
les pointes de feu profondes et les scarification
à la question de psychologie comparée que je voudrais examiner ici, à
savoir
si la faculté de Rire a été étroitement départie,
tement le principe de l'automatisme. « Jamais, dit-il, les bêtes ne
sauraient
user de paroies ni d'autres « signes, comme nous
Fouillée, pour expliquer ces mouvements impulsifs, serait l'appétit,
su
sens le plus large de l'expression. a · Sans
Marey, étant un instrument de laboratoire difficile h transporter, ne
saurait
être très pratique pour le clinicien ou le psycho
jour à Paris pour s'initier à la pratique de l'hypnotisme, et l'on ne
saurait
irop les en louer. Valeur de l'êlectro-diagnost
ncé auquel Azam était parvenu l'avait done éloigné de nous; maie nous
savions
que son esprit remarquablement cultivé continuait
talent et son caractère, lut dit par ma bouche un dernier adieu. Nous
savions
tous combien il l'aimait ; et nous garderons chèr
;Q. (2) Lettre du 5 novembre i6*8./page> page n="228"> On
sait
qu'il suffit de faire prendre â certains sujets,
see prédications, la secte de3 Houvillistes. Biaise Pascal, qui avait
su
toucher par/page> page n="230"> ses pie
enre devant lui, je ne le préviens pas que je fais une expérience. Je
sais
qu'il est allé la veille faire une visite à M. C.
se trouvait tout près du bureau. D. — Que faisait-il? R. — Jo ne
sais
; il semblait lire, il a pris quelque chose sur le
s do dangers si l'on s'enquiert au préalable, de l'état du cœur. Nous
savons
, en effet, que les chances de mortalité, dans l'i
ue l'un fait suite à l'autre sans démarcation. !I serait curieux de
savoir
si, sans la réveiller, on pourrait la faire repas
icamenteux duns leurs rapports avec la suggestion. Tout d'abord, on
sait
que pendant le sommeil chloroformîque, par exempl
l est possédé d'un rut insatiable. Dans ces moments de passion, il ne
sait
plus ce qu'il lait ni ce qu'il dit : il est certa
étre admiré pour son habileté, mais il ne fera pas pleurer, car il ne
sait
pas pleurer lui-même. Le Mathématicien. Le ma
les signaler. Commentaire. Vouloir c'est pouvoir. Mais il faut
savoir
s'y prendre. Il faut connaître les règles de la v
es ignorantes comme les religieuses de Maubuisson, dont la plupart ne
savaient
ni lire, ni écrire, des imbéciles comme Louise de
nir en silence autant qu'on peut et ne s'entretenir que de Dieu qu'on
sait
être la vérité; et ainsi on se le persuade à soi-
s mon Histoire, sur 66 suggestionnées, j'ai relevé 36 femmes, et l'on
sait
que, dans l'assistance des cérémonies religieuses
nes oculo-pu-pillaires occupent une importance de premier ordre. On
sait
que, pour le Professeur Fournier, le tabes et la
-ce que le symptôme le plus important et le plus fréquent du tabes, à
savoir
le signe d'Argyll-Robertson ne se rencontrerait p
s des fakirs, les nestées des païens et le ramadan des mahométans. On
sait
que, dans la religion catholique, le jeûne est ob
d'œuvre de l'architecture de tous les pays et de tous les temps. On
sait
quel luxe on apporte dans l'ameublement des églis
e délire de persécution, consécutif au traumatisme psychique que l'on
sait
, est venu se superposer un état de plus en plus d
'excellents résultats, en laquelle j'ai pleine confiance et que je ne
saurais
trop recommander, j'ai recours au chloral, au sul
cas ressemblerait donc de plus en plus à ceux de M. Marie? Reste à
savoir
, pourtant, si le sucre décelé par l'analyse du 20
ant le traitement la déclarent tout ù fait transformée; « si on ne le
savait
pas, on ne dirait jamais qu'elle a été malade. *
n, pour les mordre, de même que sur le patient, et, comme on le chas,
sait
, il se précipita sur les chiens et les volailles
notre patient se présente également sous une forme particulière. On
sait
, en effet, que dans la rage, une simple insufflat
nifeste, et dans ce cas tout traitement est superflu, comme chacun le
sait
, ou bien nous n'avions à nous occuper que d'une r
ue laissent souvent après elles les maladies infectieuses et que nous
savons
être justiciables de la psychothérapie. CHRONIQ
s agréables sont plus persistantes que nos sensations pénibles, je ne
sais
jusqu'à quel point cette physiologie s'accorde av
arable à un accumulateur, comme l'accumulateur Planté par exemple. On
sait
que, dans cet appareil, l'eau étant décomposée pa
is-je ou ne vais- ¦ pas jeter cet objet ? » Dès le cinquième jour, il
sait
so décider à jeter au vent une adresse de lettre
sion à propos d'un travail supplémentaire qu'on lui a confié et on ne
sait
plus encore ce qu'il devient pendant trois jours.
lout en éloignant la cause qui a déterminé et entretenu ses fugues, à
savoir
les travaux supplémentaires. Jadis, je vous aï
aractère essentiel, des bords orbitaires très peu développés, et l'on
sait
que les femmes ont, d'ordinaire, un goût très mod
la science mathématique : dame Nature leur a refusé ce don et Ton ne
saurait
le leur reprocher. Démence épileptiqce ¦ paraly
eux-ci sont, vers 12 ou lô ans, semblables à des enfants normaux; ils
savent
lire, écrire, calculer; ils sont alertes et agile
évolution rétrograde se retrouve même dans la vie journalière ; il ne
sait
plus ni lire, ni écrire, ni s'habiller, ni manger
énérés et chez ces malades la moindre résistance au crime. Aussi ne
saurait
-on mieux faire que d'adopter la réforme proposée
nvestigation, elle est le moyen nécessaire pour la vérification, pour
savoir
ce qu'il faut croire et ce dont il faut douter.
précieuse annotation du livre de lîarlels, des recherches nombreuses
sut
* l'urémie et les néphrites et sur la perméabilité
ise Pascal FiR- 2 Encore celui-ci cst-il fort incomplet, car nous
savons
que Biaise Pascal dirigeait la piété de « gens de
a biographie des sujets (1) C'est parce qu'en science Biaise Pascal
sut
se dégager des autorités, qu'il fut uo mathématic
réaliser l'application d'un art difficile, délicat, pour lequel on ne
saurait
acquérir d'aptitude sans un entraînement spécial.
ne pouvait être ici question du traitement pastorien, qui n'a, on le
sait
, qu'une action préventive et non curative. Nous
e des livres traitant de la rage. Le surlendemain, le maire faisait
savoir
que le malade se trouvait toujours dans le même é
é, j'ai l'honneur de vous proposer de vouloir bien aviser le Maire de
su
commune qu'il n'y a plus à redouter, chez co névr
itement si efûcace fût connu et vulgarisé comme il le mérite. On ne
saurait
trop recommander aux étudiants et aux praticiensd
xiste quelquefoischcz l'hindou une disposition anatomique spéciale, à
savoir
un écart notable entre le premier et le second or
suite établi que les enfants complètement invalides et gâteuses ne
sauraient
retirer aucun bénéfice de leur pla- cement en c
udimentaire, elle parvient se l'aire assez bien comprendre. Elle ne
sait
ni lire, ni écrire. Placée dans un des villages
t aussi tôt le récif à celles des personnes qui 4 ASSISTANCE. ont
su
gagner sa confiance ; tout l'intéresse, elle ques
ner sa confiance ; tout l'intéresse, elle questionne sur tout, veut
savoir
le pourquoi elle comment de chaque chose. Ces d
lui avaient même valu à l'hospice le surnom de « Concierge ». Elle
sait
écrire son nom, connaît l'addition des 3 ou 4 p
arrivée ici, et déjà la pauvre Germaine ...... avait commis je ne,
sais
quelle incartade quilui avait va- lu une giffle
s habi- tudes d'onanisme très accentuées. Elle est bien développée,
sait
un peut lire, écrire, compter et coudre. Mise e
physiquement, elle a pris en affection l'enfant de la maison et ne
sait
que l'aire pour lui être agréable; elle est douce
plus dé. sobéissantes : très gâtées par leur « grand'père » elles
savent
trouver en lui un défenseur inlassable, toujours
âteau, le prix de journée accordé aux nourriciers est 1 fr. ; on le
sait
fort bien à Dun. De là certaines réclamations.
t celui de Germaine c'est la difficulté pour les nourricières, de
savoir
occuper et distraire les enfants et de rester dou
l cependant que sur les 11 enfants que nous avons actuellement, '.)
savent
écrire d'une façon presque suffisante, une dixi
2° Que la Société ne peut subsister sans règles morales 3° Qu'il ne
saurait
y avoir de morale sans quelque libre arbitre. Or
bles pour responsables du tort que chacun pouvait causer. Or, il ne
saurait
y avoir de responsabilité là où il n'y a pas de
ion qui d'après lui avait réduit à néant. Cette démonstration, nous
savons
mainte- nant qu'elle n'a jamais été faite. Aujo
série des vertébrés ». Mais vraiment M. Bonne me comble ; et je ne
saurais
trop 1er e- mercier du soin avec lequel il me p
ar exemple. , Poumons. -J'avais dit du poumon, ce que tout le monde
sait
, qu'il constitue un organe double chez l'adulte
ble au niveau du canal neuranténique qui fait communiquer, comme on
sait
, l'extrémité inférieure du tube médullaire avec
s deux co- êtres. En science naturelle on raisonne de ce que l'on
sait
à ce que l'on ne sait pas. Cette méthode expose
science naturelle on raisonne de ce que l'on sait à ce que l'on ne
sait
pas. Cette méthode expose à des erreurs ; mais en
nne y paraît tenir, étudions le tube digestif en ses origines. Nous
savons
déjà que lorsque mon critique le déclare formé
iane simple, il n'a avancé qu'un fait sans signification réelle. En
sus
nous est avis qu'il s'est trompé. Nous croyons
est originellement dou- ble : Le tube digestif est, comme chacun
sait
, un organe impair et médian avant les torsions
reste une équivoque : La question, en effet, n'est pas tranchée de
savoir
si les individus monstrueux obtenus dans les ex
ais il croit l'avoir posée. Je renvoie à mon livre ceux qui veulent
savoir
comment par le Duplicisme la vie psychologique
n erreur. Ce service M. Bonne, malgré une bonne volonté dont je lui
sais
gré, ne me l'a pas rendu. Camille SABATIER. U
ieure des feuillets ou organes qui dérivent de chaque substance. On
sait
encore que la première segmentation est suivie
ane, il y a une dizaine d'années, ne le mentionnent même pas. Je ne
sais
si depuis il a été fixé. Mais, puis- que l'A. t
l'entoderme se rejoignent après énucléa- tion de la corde, comme il
savait
que le coeur est double,'à l'instar du foie, du
, modeste autant qu'ingénieux, il ne dit que « ce que tout le monde
sait
» grâce à une expérience journalière. C'est mér
co-êtres ; encéphale= moi supérieur. C'est un peu vague, mais l'A.
sait
préciser. Le duplicisme est avant tout une doct
On me renvoie à vingt auteurs ; mais ceux-ci n'étaient pas, que je
sache
, initiés,et n'avaient nulle cure des tendances
la philosophie, ni la sociologie ». Je ne chercherai pas non plus à
savoir
comment la Doctrine explique, mieux qu'aucune a
Ctrbl. XXV, fasc. 9, p. 386 à 391, 3 fig., 1er mai 1906) (1). On
sait
que la section des racines postérieures produit d
à la perte de la sensibilité ou à la maladresse des mouvements. On
sait
, d'autre part, que, chez les mammifères, les ra
nsibi- lité ; par Noic.l. (Journ. de Neurologie, 1906, n° 24.) On
sait
que les auteurs sont divisés sur la question de s
06, n° 24.) On sait que les auteurs sont divisés sur la question de
savoir
si ce sont les mêmes éléments nerveux ou des él
opathique ;ces données servent de base à la thèse qu'il soutient, à
savoir
: que l'épilepsie est une maladie qui survient ch
'une aura ». 3 Injection infra-veineuse de substances huileuses. On
sait
depuis bien des années que l'injection intra-ve
upérieur gauche.-Atrophie des deux tiers inférieurs du trapèze, des
sus
et sous-épineux, deltoïde, grand et petit rond,
t de la mélancolie constituant la psychose maniaco-dépressive ; qui
sait
même si cer- tains cas de cette psychose ne rel
par Vander VLOET. (Journal de Neurologie, 1906, n ? 23 et 24.) On
sait
que Liepmann a décrit sous le nom d'apraxie certa
cédente, il a déclaré que la place des pervertis moraux lui parais-
sait
être la prison plutôt que l'asile,mais en l'absen
Grasset sur la thérapeutique des maladies du système nerveux. On
sait
déjà que dans l'esprit de ces auteurs la neurolog
ur ! Ma petite Charlotte est morte seule ; trouvée « morte, je l'ai
su
.lls m'ont privée d'aller l'embrasser une dernière
ous en parler, je craignais que ce soit vrai ; ce- «pendant je veux
savoir
..le trouve très drôle que l'on m'eût ame- canée
rie, Monsieur le Directeur, de me dire la vérité, vous « devez tout
savoir
, j'étais furieuse mardi (puisque je me croyais
a incendié chez elle... C'était bien beau ; elle me l'a dit. Si tu
savais
comme cela fait peur... c'est pénible, pourtant.
geance. Si elle éprouve, au fond, des sentiments de ce genre, elle
sait
, comme toute personne normale, les dis- simuler
tre malade au moment où elle a commis l'incendie en question, es-
savons
de reconstituer l'enchaînement des faits. Mme X.
t de l'immensité non moins que de la légitimité de ses griefs, elle
sait
qu'il est mal de se venger, elle possède en son
et rend hommage à Pinel, ce grand bienfaiteur de l'humanité, qui a
su
briser les chaînes dont, jusque lui, on avait c
r- nier mot et ce sont des réunions comme celle d'aujourd'hui qui
sauront
donner aux pouvoirs publics des avis éclairés et
lgré la modicité de ses ressources financiè- res, ce petit canton a
su
, entre autres, élever un asile d'aliénés digne
sset ou des mastoïdes de M. Lombroso. L'existence de demi-fous ne
saurait
être contestée que par des théoriciens,M. Balle
s âges et leurs différences actuelles dans les divers pays. Je ne
saurais
cependant suivre M. Ballet quand il soutient z
l restera seulement entendu pour les médecins qu'en aucun cas il ne
saurait
impliquer une idée philosophique, de métaphysiq
lic et le jury considère comme une et même question. Tout conseil
sait
que les médecins en général ne sont pas disposé
int de vue de la question qui divise actuellement les aliénistes, à
savoir
si désormais nous devons substituer l'expressio
olie» et cela avec d'autant plus de raison que ce terme de folie ne
saurait
en aucune fa- çon s'appliquer à la grande major
cale occupe chez le singe et chez l'homme la région ro- landique, à
savoir
les circonvolutions frontale et pariétale ascen
que, conformément aux recherches expérimen- tales et histologiques
sus
citées, il faut revenir aujourd'hui des données
férieure à la science française, et le co-rapporLcur de M. Claude a
su
tout aussi bien que l'agrégé de Paris intéresse
rtier, ma on..., à la fièvre, pendant deux ou trois jours. » Vous
savez
tous, messieurs, l'influence qu'à la campagne o
Bon (Rome) a fait une enquête dans tous les hôpitaux de Paris pour
savoir
1° si les chefs de service pourraient lui montr
Cabanes. Witkowsky, Villardet autres ? l. Régis, dont tout le monde
sait
la vivacité curieuse de l'esprit, vient d'ajouter
s) proteste contre cette double assertion du distingué président, à
savoir
que tous les neuro- logistes repoussent le trai
Ch. Bonne. Aussi bien, les histologistes, auxquels il est destiné,
sauront
-ils l'apprécier. Mais nous avons tenu à tenter
osomes (corps de la cellule) et des dendrites ; ou plutôt, ce qu'on
sait
, tend à faire penser, comme le dit l'auteur, qu
apportée à leur confection, dit l'auteur, des revues de ce genre ne
sauraient
dispenser toujours de recourir aux originaux. A
une voiture sur son chemin, il lui semble voir deux voitures, et ne
sait
de quel côté se garer. Colorées ou non, ces vis
le est la durée du temps écoulé entre le décès et l'au- topsie ? On
sait
maintenant l'importance de la rapidité des fixa
Or tous ceux auxquels l'histo- logie fine du cerveau est familière
savent
l'inconstance de certaines méthodes et la varia
e loi, qu'ils aientété rémunérés par les communes ou par l'Etat. En
sus
des retenues réglementaires qu'ils devront subi
bafouer l'autorité du médecin et où l'on arrive peu à peu à ne plus
savoir
s'indigner devant les camisoles, les entraxes et
est interdite à toute personne non éduquée eomme 'i1¡firmière; nous
savons
tous combien désastreuse est l'influence des do
édecin, dont la bonté de coeur est au-dessus de tous éloges, et qui
sut
comprendre que l'assistance des aliénés doit êt
ignées des paralysies oculo-motrices. M. ANTOtELLI (de Paris). - On
sait
que les paralysies du nerf de la sixième paire
e congrès,se manifester, par les faits cette conviction commune ; à
savoir
: que le psychiatre le neurologue, le psycholog
rs et en particulier des lésions cuta- nées comme du pemphigus.Vous
savez
que beaucoup d'auteurs re- fusent de considérer
processus mental est considérablement renforcé, beaucoup au-des-
sus
de l'intensité moyennne. 7. L'intensité du proc
Léonard DA Vinci avait 25 ans quand le grand artiste est né ; on ne
sait
pas quel âge avait sa mère ; Léonard DA VINCI é
ire ; par M. Raymond. (Académie de médecine, 5 février 1907) · On
sait
que le nerf vestibulaire,l'une des branches de la
longue grâce aux centres musculaires d'Ewald ; on conçoit qu'il ne
saurait
en être de même si la lésion est bilatérale. L.
es malades. « Notons enfin l'apparition du scorbut qui, comme on le
sait
, se manifeste surtout chez les individus vivant
Est-ce une fugue ' ? D'aucuns volontiers l'avanceraient. Mais on
sait
que le disparu était épileptique. N'aurait il pas
à peu, et une fois arrivée à son maximum d'énergie, elle aboutis-
sait
à une éjaculation. Quelquefois le malade ligotait
les pour le sujet même. Le malade dit que dans son enfance un je ne
sais
quoi attirait son attention sur les récits « du
s, je ne pensais pas avoir à mon tour à exprimer une opinion que je
sais
ne m'être pas exclusivement person- nelle. J'at
decin plus d'ingéniosité pratique que de véritable expérience et de
savoir
raisonnné. Les observations qu'elle provoque so
le. Nous dissertons moins sur les qualités de l'esprit, mais nous
savons
mieux que l'esprit est affecté par les maladies d
ls et sans guides. Si l'on veut que les médecins de nos asiles le
sachent
, suffisamment pour le pratiquer dans leurs servic
x scientifiques ? Nous n'avons à cet égard aucune illu- sion ; nous
savons
tous que, pour un malade, c'est une tare que d'
ne demande de conseils,de donner une consulta tion ? De fait, je ne
sache
pas que certains de nos collè 284 LÉGISLATION.
r affectation spéciale et non l'exercice de leur profession. Chacun
sait
qu'ils ne gagnent rien à ces efforts et que cha-
le nom d'écoles de perfec- tionnement, deux types d'établissements,
savoir
: 1° Des classes spéciales qui seraient annexée
e chef de l'établissement et nom- més par le Préfet. Art. 8. - En
sus
des émoluments légaux, le personnel des 294 LÉG
l'infection générale à laquelle elles servent de porte d'entrée. On
sait
que Gudden les attribua exclu- sivement au manq
es. Cependant l'affirmation de Gudden est trop péremptoire ; nous
savons
aujourd'hui que, par exemple chez les para- lyt
u sud-ouest, à Baden- Baden, 26-27 mai 1906.) D'après Bach, on ne
sait
pas encore si l'immobilité réflexe de la pupill
é de l'im'm. réfl. et des lésions des cordons posté- rieurs et l'on
sait
que dans la partie supérieure de la moelle cervi-
emande à l'assemblée de se pronon- cer tout d'abord sur le point de
savoir
s'il y a lieu de créer au- jourd'hui cette asso
rôle effacé de ce fonctionnaire qui a déjà donné les preuves de son
savoir
scientifique par des concours, celui de l'interna
femme de 43 ans, débile, persécutée mélancolique et réticente, di-
sait
à propos des injures que lui adressaient dans la
riguées, nous cherchions d'où pouvait venir cet espionnage, nous ne
savions
326 CLINIQUE MENTALE. rien, nous pensions que
e, plus résignée, était aussi plus silen- cieuse. Elle n'a pas fait
savoir
qu'elle entendait des mots grossiers, ni qu'on
je vous dise, elle a au Crédit Lyonnais un coffre-fort. Mais je ne
sais
si tout le contenu lui appartient, à plusieurs re
avait livré. trop de secrets. Un procès a lieu en ce moment, on ne
sait
pas bien à quel sujet, mais l'ingénieur Briquet
orel a de tout ce roman une connaissance très impar- faite. Elle ne
sait
pas si on tracasse 1\I"'E Granet en raison de ses
fait une pétition aux fins de lui voir donner congé, et qu'elle le
sache
, elle n'a contre eux aucune haine. Cet état d
ucher ». « On a dit aussi qu'on connaissait mes pensées, mais je ne
savais
que croire, ce n'était peut-être qu'une idée à
« Songez qu'à la fin elle dialoguait avec son réveil. Elle se di-
sait
une criminelle, elle croyait qu'on lui avait coup
de cet appoint, l'échéance morbide pouvait être ajournée ou ne pas
su
produire. Dans l'espèce, l'appoint fut fourni
l'importance de ses affirmations quant aux faits hallucinatoires, à
savoir
la facilité avec laquelle elle transforme ses i
nt bêtes dans l'appartement proche du lien ». Elle répond : « Je le
sais
bien, j'en ai été malade. » . Certains numéro
té^ à la Conciergerie ? en prison ? Je ne me le rappelle pas, je ne
savais
pas, je ne l'ai pas dit, j'ignore ce qu'ils son
rmation du souvenir, nous semblent avoir un lien originel commun, à
savoir
l'instabilité des synthèses élé- dentaires. Cet
lui impose-t-on ces épreuves ? Elle cherche, cherche, mais elle ne
sait
au juste. Peut-être désire-t-on la remettre ave
que par difficulté de précision : « je me doute, Je me doute, je ne
sais
au juste», répètc-t-elle 'e toujours, quand on
tout cela cesse ; elle finirait par se ven" ger ou se tuer. Elle ne
saurait
affirmer, que M.Paul A.. est la cause de tous s
ancien sergent de ville retraité actuellement employé de banque, il
sait
tout celui-là et elle nous dit ce qu'elle a rem
d, et les gestes, les signes qu'elle observe. Il est diffi- cile de
savoir
exactement quelles sont les premières en date p
ositions et il devient tout rouge. « II se disait sans doute que je
savais
tout, réfléchit- elle ; mais c'est bien vrai, j
oute que je savais tout, réfléchit- elle ; mais c'est bien vrai, je
sais
tout ». Un soir, dans celle maison, elle était
a entendu une voix et elle a re- connu la voix de son mari. Elle ne
sait
pas ce qu'il a dit, mais elle a reconnu sa voix
pour des ouvrières d'une grande maison de couture et elle réali-
sait
de gros bénéfices. Mais elle était à peine depuis
e père de la maîtresse de M. A., qui lui faisait la cour, l'embras-
sait
par surprise ou de force dans la cuisine, derrièr
dans toutes ces places, partout on a exécuté les gestes que nous
savons
. Depuis quelque temps, deux ou trois mois, elle p
de et Paul celui du brasseur. Qu'est-ce que cela signifie ? Elle ne
sait
pas au 356 PATHOLOGIE MENTALE. juste ce qu'il
rnièrement, elle a cru à un empoisonnement. Elle a déjeuné, sans le
savoir
, dans le même restaurant qu'un des parents de son
er et se mettre presque nues, mais dans les journaux achemina», "Je
sais
tout»,qu'elle regardait parfois chez ses amis l
Est-ce pour la marier avec telle ou telle autre personne ? Elle ne
sait
au juste ; il n'y a là rien de fixe, rien de pr
ne voit jamais de telles idées chez les persécutés persécuteurs qui
savent
avec précision ce qu'ils veulent et où ils vont
Nervenh. u.Psychi., XXIX, f. 209, p. 209 à 216, 15 mars 1906.) On
sait
que les excitations périphériques peuvent produir
e excitabilité des terminaisons nerveuses intramusculaires, qui, on
sait
, s'épuisent toujours avant le nerf, ainsi le fa
iodes de repos entre les périodes d'effort ; ils auraient besoin de
savoir
aussi que la fatigue résiduale que pré- sentent
orption d'énergie, puis l'énergie va de A à B., c'est là le proces-
sus
d'association proprement dit ; il y a dérivation
hut,une sorte de caput mortuum dans lequel on classe ce que l'on ne
sait
où placer. Il faut aussi distinguer, au point d
0 p. Couronné par l'Acadé- mie de Médecine. F. Alcan, éditeur. On
sait
qu'il n'y a pas une mémoire mais des mémoires et
et en revient à l'é- tude des impulsions. 11 se pose la question de
savoir
si l'impulsif pur avec lutte peut résister à so
e même, et ainsi se trouve résolue par l'affirmative la question de
savoir
si l'homme est responsable. On nous permettra c
ensemble de règles morales qui consti- tuent le bien ; mais comment
savoir
si ce sont pas aussi des idées innées, détermin
rgumentation nouvelle con- tre le déterminisme. Le libre-arbitre ne
saurait
être établi qu'a- natomiduement, par la preuve
908, pour l'emploi de médecin adjoint des asiles publics d'aliénés,
savoir
: Président. AI. le docteur Drouineau, inspec-
tites, les branches « pro- fondes » des nerfs contiennent, comme on
sait
, les fibres centripètes et centrifuges d'une fo
est mort à 77 ans, n'avait jamais été ma- lade, cultivateur, on ne
sait
s'il a fait des excès de boisson. Sa mère vit e
utes de 1848. - La grand- mère paternelle est morte à 30 ans, on ne
sait
de quoi. Les 1 grands-parents maternels morts d
ncles ni de tantes. A eu sept soeurs, ï toutes mortes jeunes, on ne
sait
si elles ont eu'des convulsions. f Rien à signa
re comprendre. Au réfectoire, la tenue est déplorable, la malade ne
sait
même pas tenir un morceau de pain. Il faut la f
commence avant que la personne soit folle et c'est alors qu'il faut
savoir
la recon- naître et pouvoir la traiter. Une fou
sultats de cette méthode- que nous signalons à nos collègues,car on
sait
combien sont faibles les ressources de la théra
est pas de mise sur le terrain pratique, où la question se réduit à
savoir
si le trau- matisme a occasionné la P. G. sans
eurdu langage; cei faines énumérations ' 461 1 SOCIÉTÉS SAVANTES.
sues
par coeur, réminiscences veibales et surtout cons
rophmdème chronique. Observation rapportée par M. Couhtellemont. On
sait
que les cas de trophoedéme chronique peuvent êt
aquineries et même aux mauvais traitements ; ils sont faibles et ne
savent
pas se défendre. La vie de ces déshérités devie
'ingénient il dissimuler ou il nier les habi- tudes alcooliques. On
sait
maintenant (c'est à ce qu'il me paraît, ici, le
l'asile d'aliénés de Prémontré. Depuis, il vit dans les bois. On ne
sait
au juste de combien de vols à main armée, avec ef
s bactériolo- giques, ponction lombaire, par et Jambon, p. 234.
SAI
,-IION. \'oir .Syphilis. Schaefer. Voir Réflexe.
·175. Bériel, 235. Bérillon, 90, 91, 307, 4fui8. Bernheim, 1(
SU
. Biante, 317. Bichelonnc, 3 78. Bloch, -171
aime les jeux bruyants, est très adroite pour les travaux manuels,
sait
faire marcher la machine à coudre. A la gymnast
était continuellement préoccupée par la santé de son mari. Elle ne
sait
pas exactement àquelle époque elle a senti remu
ette à de violentes colères et à des crises épilep- déserteur on ne
sait
pourquoi, à été condamné à la prison (belge). M
ppartient à la moitié antérieure des lobes frontaux. .1 1 1 Il ne
saurait
être question de troubles moteurs, de troubles se
es écrites sont éliminatoires. Les épreuves sont au nombre de cinq,
savoir
: 1° une question écrite portant sur l'anatomie
. Les avancements de classe pourront être accordés par le ministre,
savoir
: aux directeurs mé- decins et médecins en chef
embolie cancéreuse venir se loger dans le pédoncule, alors que nous
savons
que dans le cerveau la sylvien'ne est l'artère de
t persister, dans le sang, comme le prouve la réaction de Widal, ne
saurait
en pareil cas impres- sionner d'une façon nuisi
eu près bien à dix-huit mois, va à l'école depuis deux ans déjà. Ne
sait
pas.lii-e encore. Il est gai et joue bien. Cet
ue. Un troisième enfant est mort à l'âge de vingt jours. Le père ne
sait
pas s'il tremblait des yeux. Chez Yves M... le
de la tête peu accentué, mais nettement pendulaire. Nous n'avons pu
savoir
des parents si le nystagmus a existé dès la nai
t on a remarqué chez lui une certaine paresse de cette fonction. Il
sait
lire et écrire, son TREMBLEMENTS INFANTILES ET
assification n'a évidemment d'autre mérite que sa simplicité. On ne
saurait
en effet regarder ces types comme les représent
M. Achard, que l'hypothèse d'un trouble primitivement musculaire ne
saurait
être admise dans la plu- part des cas. Le rôle
ons sanguines : l'anémie pernicieuse protopathique, par exemple. On
sait
depuis Kôlliker que les divers faisceaux blancs
ire, asymétrie faciale, exagération des réflexes. Toutefois on ne
saurait
rattacher ce vice de fonctionnement du système ne
. Note sur un cas de délire épileptique; Par le D' A. PETIT. On
sait
depuis les travaux de Magnan et de son élève Re
ion épileptique, ce malade avait un « état cérébral » qui le fai-
sait
se préoccuper et à juste titre de sa santé, et co
ense doivent s'incliner tous les hommes ayant assez de science pour
savoir
, ayant assez d'intelligence pour com- prendre,
nt charmer l'esprit et amollir le coeur des religieuses affamées de
savoir
et de tendresse. Sainte Thérèse y prenait un pl
à en chercher un inutilement ». Comment un confesseur aurait-il pu
savoir
ce que seul pouvait démêler un médecin ; son co
le eut à l'égard de ce dernier un mot touchant : « Le malheureux ne
sait
pas aimer ! » . LA VIEILLESSE. Puis la vieilles
Dieu seul; comme les oiseaux, à qui on apprend à parler et qui ne
savent
que ce qu'on leur enseigne ou ce qu'ils entendent
pouvais m'aidçr à rien qu'avec le secours des autres, encore on ne
savait
pas où me prendre ». 6° Des anesthésies et de
uit, si on lui tenait sur la face un linge mouillé d'eau froide. Je
sus
qu'elle s'était réveillée au cou- cher du solei
s yeux et rentrer dans l'immobilité accoutumée; je lui dis que je
savais
maintenant qu'il simulait la mort, que c'était un
ité, le réveil de la motilité précède celui de la sensibilité. On
sait
d'autre part que chez les parturientes, en gradua
en retard, elle ne peut apprendre ni à lire ni à écrire, mais elle
sait
compter. Elle s'occupe un peu du ménage, mais e
ac CASKEY. Tite nez I'orlc Médical Journal, 14 décembre 1901.) On
sait
que la sensation est constituée par une série trè
es éléments que l'on se représente bien dans l'image, mais que l'on
sait
empruntés à d'autres images et rapportés à celle-
assez élevé (étudiants,' artistes, médecins). M. Vallon voudrait
savoir
si l'intensité de la mémoire à une influence su
pas la, dispo- SOCIÉTÉS SAVANTES. 167 sition de la page, mais je
sais
qu'en haut de la page le mot dic- tionnaire est
aractères au début des articles. Ceux-ci doivent être courts. Je ne
sais
pas s'ils sont signés du nom de leur auteur. En
vateur s'atralyse mal quand il vous dit : « Je ne vois pas. mais je
sais
». N'est-ce pas, en effet, grâce à l'interventi
s défenseurs d'un classement purement empirique. La question, on le
sait
resta ouverte. La psychialrie est une branche d
euis étèves représentaient d'abord à eux seuls la minorité, mais on
sait
combien l'expérience leur donna finalement rais
hamp d'observations, la Maison de santé de Vanves et l'hôpital ; il
sut
mettre à profit l'un et l'autre, et il publia d
Dans les discussions, où il était un redoutable contradic- teur, il
savait
avoir raison avec discrétion, et il y apportait u
eusement à se sauver; quant à la mère elle a pris la fuite et on ne
sait
ce qu'elle est devenue. Cette femme doit avoir
la lumière. 'La parole est paralytique. La malade combine mal, ne
sait
pas, quand elle est arrivée de la campagne, rem
raient, en cette circonstance, leur gracieuse bienveillance et leur
savoir
. 'i ? De ces cinq observations, je rapprocherai
vecteur des incitations dystrophiques ou déformantes, mais on ne
saurait
, ce semble, accorder ici au ganglion de Gasser le
mitée, qu'elle siégeait à la partie déclive de la cornée, ce qui ne
saurait
cadrer avec un all'ais- sement du globe oculair
ur de ses yeux. Dès que je voulais le faire, la vision disparais-
sait
ou bien son regard si puissant me faisait tomber
serviteurs de Dieu, écrit-elle, s'étaient assemblés à mon sujet; je
sus
démon confesseur qu'ils s'accordaient à dire qu
: « Étant un jour en oraison, il me sembla que je me trouvais, sans
savoir
comment, toute vivante en enfer. 2q6 L'HYSTÉRIE
un enfer espagnol. Mais la sainte, disons-le, mieux que le Dante, a
su
montrer sa bonté de coeur, en offrant sa vie po
e force si grande me SOCIÉTÉS SAVANTES. 241 1 soulever, que je ne
sais
à quoi la comparer ; ma frayeur était excessive
le de Saint- Robert, dont il est le distingué médecin en chef. Il a
su
, en artiste qu'il est, marier, dans l'emploi de
temps, les riants paysages avec l'autorité de vos discussions. Il a
su
mettre, autant que pos- sible, de la variété da
, autant que pos- sible, de la variété dans vos occupations, car il
sait
que ce que vous aimez, avec raison, à rencontre
ensée, il ramène tout à l'étude objective de la nature, parce qu'il
sait
que ses réalités tangibles et palpables sont le
la bêtise qu'il leur « attribue ? quand je me joue à ma chatte, qui
sait
si elle passe « son temps de moi, plus que je n
cette mentalité médicale dont je parlais tout à l'heure et que vous
saviez
trouver ici ? Si vous n'avez pas de diplôme pro
manifestation pathologique est sans objet, le malade l'éprouve sans
savoir
pourquoi, il est. anxieux malgré lui. Les états
e des troubles mentaux est très grande mais les troubles moteurs ne
sauraient
être négligés. Le tic pure- ment mental (tic ps
gligés. Le tic pure- ment mental (tic psycho-mental de Cr'uchet) ne
saurait
être admis; le rapporteur refuse de faire rentr
agnostic des tics et des chorées, nous rappellerons que les tics ne
sauraient
davantage prendre place dans le chapitre des my
siques; nous avons déjà indiqué que les crampes professionnelles ne
sauraient
êtres assimilées aux tics. 1X. Bvoluliorz des
elle est de nature à confirmer ce fait insuf- fisamment reconnu, à
savoir
que la plupart des tics sont non pas des accide
Montpellier). Je n'étudierai qu'un point de la question des tics, à
savoir
leur pathogénie : de tous les travaux SOCIÉTÉS
ntal enfin. Et si nous pensons qu'il est mental, nous chercherons a
savoir
, en dernière analyse, s'il est d'origine hystér
urgit lorsqu'on veut passer à l'explication des faits, est celle de
savoir
si ce sont les mêmes élé- ments nerveux ou des
ement que cette localisaticn soit identique chez l'homme. M. Pitres
sait
même mieux que personne que les fonctions dévol
l'explication de cet arrêt. On fait de la pneumothéra- pie sans le
savoir
. Les spasmes, au contraire, sont souvent justi-
ychiques, de répétitions mimiques monotones, nous devinons un je ne
sais
quoi de spasmodique ; à vrai dire, quand nous e
urs exerçant un contrôle insuffisant sur leurs actes moteurs, on ne
saurait
assez multiplier les moyens de per- fectionner
e puits. En considérant l'empreinte des pieds nus sur le sable, ils
savent
dire s'il s'agit d'une per- sonne jeune ou viei
ne, nous n'avons rien dit à personne... Vous êtes les premiers à le
savoir
... C'est là le mot ! ... Vous l'avez bien dit.
a plus volon- taire. Elle se vante d'une mémoire hors ligne. « Je
sais
, dit-elle, quel jour nous sommes entrées dans tel
d'écrire, elle demeure intraitable. Sur le reste, elle cède et.fait
savoir
à ses soeurs qu'elles doivent, sur-le-champ, l'
t elle qui met le plus d'insistance à affirmer leur honnêteté. Elle
sait
la valeur de son droit d'aînesse, elle a pris l
ent carrément devant elle : « Vous avez abusé de sa faiblesse. Vous
saviez
à qui vous parliez ». C'est, au total, une pers
La foule parisienne nous insulte. C'est effrayant d'être dehors. On
sait
sur nous des choses que nous ne connaissons pas.
propriétaire s'est servi du nom de Clotilde sur des actes, nous ne
savons
pas lesquels. Il a fait, croyons-nous, un bail au
- « honnêtes. » Clotilde. « Alors, je me suis creusé la tête pour
savoir
ce que .nous pouvions être. Nous nous le sommes
pliqué plus tard. On nous faisait allusion à des choses que nous ne
savions
pas. D. « Laquelle d'entre vous, la première, s
Il. - Tout le monde pourra vous le dire, sauf nous. Tout le monde
sait
notre histoire, sauf nous. Le peu que nous en sav
s. Tout le monde sait notre histoire, sauf nous. Le peu que nous en
savons
, nous l'avons appris par intuition. Ce sont les
r » c'est un emblème ! D.Emblème de quoi ? . R. (Chorus). Nous ne
savons
pas ! Nous ne l'avons demandé à personne. Peut-
nous avons cru bien faire. Clotilde. Vous êtes les premiers à le
savoir
! Chorus. Cela, nous le jurons; vous en avez no
es des « Castors». Une ligue s'est formée contre nous sans que nous
sachions
par qui ni comment. C'est injuste, nous sommes
e chose, mais il n'en a pas eu la force. La concierge rue Letort le
savait
aussi. Mais, voilà ! ... toujours des allusions
. Monsieur, votre père était-il aussi un « Castor » ! R. Nous ne le
savons
pas. Lui-même ne l'a peut-être pas très bien su
R. Nous ne le savons pas. Lui-même ne l'a peut-être pas très bien
su
. Mais nous avons eu parla suite les preuves d'un
aussi ses prénoms. Pourquoi ? ... Dans quel but ? ... Il devait le
savoir
... D. A quel moment avez-vous eu les preuves d'
sance et destinées à être malheureuses toujours, lorsque nous avons
su
que nous étions des Castors, nous aurions dû nous
conduit correctement, recon- naît les personnes qui le soignent et
sait
différencier leurs attri- buts ; il parle avec
gne, les Etat-Unis lui appartiennent. L'intelligence a baissé; G...
sait
que nous sommes au mois de mars, mais se croit en
urs s'aggravent et l'autopsie ne laisse plus aucun doute. Quant à
savoir
si l'on a eu affaire à ce que M. Klippel nomme
s, collées à ce divin côté, appliquées à ces divines mamelles et ne
savent
plus que jouir. » Ainsi parle sainte Thérèse, d
ne sont autre chose qu'une jouissance de Dieu. L'âme en cet état ne
sait
si elle parle ou si elle se tait ; si elle rit
vrai jardinier se récrée à sentir le parfum des fleurs. » Si nous
savons
lire entre les lignes, sainte Thérèse a eu rais
« Il m'est arrivé quelquefois, au sortir de cette oraison, de ne
savoir
si c'était un songe ou une vérité, mais me voyant
xcuse et si on. doit lui pardonner, comme on pardonne à ceux qui ne
savent
ce qu'ils font, il n'en est pas moins vrai ou'i
nu les merveilles ! ' - Le vin qu'on doit boire à genoux, Vous le
savez
mieux que personne. IV ? vuqnait-il pas devant
es depuis l'apparition des premiers accès. Quant à l'icliolie, on
sait
que son traitement chirurgical reposait sur une
devient très délicate pour l'expert. 11 importe donc que le médecin
sache
que dans la mélancolie sans délire, alors que l
vêtements. Etait à son entrée dans l'impossibilité de lire ; il ne
savait
pas non plus écrire et avait peu de notions sur
r pain, à barre pour à boire, minmin pour maman. Aucune notion ; ne
savait
pas s'habiller, se déshabiller, se nettoyer, ne
l'influence du système nerveux sur l'état général de l'organisme ne
saurait
être contesté, et-ses lésions placent ainsi les m
On a pu m'objecter, en présence de cette identité, qu'il s'agis-
sait
là d'accidents hystériques. Mais il n'en est rien
individu. La chose était inexacte, mais il nous fut impossible de
savoir
où il s'était procuré le couteau. Il s'est évadé,
e a été observée. Une question enfin a sollicité notre attention, à
savoir
la parti- cipation à de telles tumeurs des élém
nent les congressistes. Ils les remercie de leur apporter ce que ne
sauraient
leur donner ni la splendeur des Alpes Dauphinoise
pour les apercevoir; le magistral, dont ce n'est pas l'affaire n'y
saurait
rien découvrir, il est tenté, au contraire.' de
pas indiquer le quantième du mois et le jour de'la semaine, il ne
saura
pas ce qu'il a mangé à son déjeuner du matin et à
assage tiendra compte des réactions propres au tabétique, lequel ne
saurait
être massé comme un homme bien portant. Le pétr
accuse. Fausse grossesse dans la paralysie générale. M. Dupré. On
sait
que chez les paralytiques généraux (hommes ou f
(hommes ou femmes) les délires de grossesse ne sont pas rares; on
sait
également que chez les hystériques les cas de fau
hatu- rie et diminution de la quantité d'urée. La question est de
savoir
si la catotonie est, selon l'opinion de Régis,
ngitudinale peut donner naissance à des fibres très grêles, mais ne
saurait
, à elle seule, entraîner l'atrophie du muscle,
l était unilatéral, toujours ils ont trouvé la règle de Babinski, à
savoir
pour l'coit malade, disparition du réflexe pupi
392 SOCIÉTÉS SAVANTES. de favoriser les mariages entre géants, ne
sauraient
trop être déconseillées. Leurs conséquences ira
s jours derniers, M. le pro- fesseur Brissaud vous dire : « Nous ne
savons
rien, nous ne con- naissons rien au fond, nous
éments les plus impor- tants qui sont : les composés azotés. Vous
savez
, messieurs, avec quelle facilité les alcaloïdes s
de tendre, tout en protestant, à établir qu'elle les mérite. Il ne
saurait
être question ici d'idées de culpabilité décou-
a rue, vous invecti- vent ? R. C'est tout le monde. Tout le monde
sait
notre histoire. On nous envoie des allusions, s
nt ainsi. Nous vou- lions ne nous compromettre avec personne, je ne
sais
si nous avons réussi. Un fiacre n'étant pas un
entaires. Annette proteste contre leur internement. Nous n'avons pu
savoir
rien de précis quant à leurs hallucinations.
récocité fut effective, car elle était surtout forte en style et ne
sut
jamais « apprendre à faire une règle » (sic).
es, disparut : fusillé par l'ennemi ou noyé dans la Seine, on ne le
sut
jamais. Mu J... resta veuve, et gratifiée d'un
fils, qui perdait la tête. » « Il a des idées noires, dit-elle, il ne
sait
plus ce qu'il fait et il a grand besoin d'être
mique (1) ; un oncle et une tante maternels morts en bas âge, on ne
sait
de quoi. Ni aliénés, ni épileptiques, ni diffor
e mens, c'était forcé, bien sûr on croira papa, qui voulez-vous qui
sache
lequel des deux ment, il n'y avait pas de témoins
e surtout pour les troubles objectifs et il en résulte que, si l'on
sait
que dans le tabes les anesthésies, analgésies, ra
ent principal. Ils estiment que l'exis- tence de cette affection ne
saurait
être mise en doute ; d'après eux, il est vraise
es auteurs une loi générale qui ne subit que de rares exceptions, à
savoir
que les différentes régions de la peau atteinte
l est à remarquer qu'ici aussi il existe un phénomène ana- logue, à
savoir
: les cellules corticales chez les choucas nouvea
ceux qui ont expérimenté le traitement clas- sique de Weir Mitchell
savent
que, la frontière de la folie une fois franchie
s par quelques médecins russes au traitement par le repos au lit, à
savoir
que les malades traités au lit perdent de leur
temps, il éprouvait un impérieux besoin d'avaler, auquel il obéis-
sait
fréquemment par la déglutition d'une faible quant
premier éducateur, affirme avec autorité qu'un médecin aliéniste ne
saurait
se confiner étroitement dans des étude spé- cul
ter bien des esprits. Mû par les sentiments les plus libéraux, il a
su
formuler avec talent, en termes précis, et avec
chlorose, l'uré- mie, la méningite non tuberculeuse; par contre on
sait
l'insuccès de la méthode dans le tabes, la para
u 8 octobre 1902). Asiles d'aliénés : distractions aux malades On
sait
, dit le Journal du 15 février, quelles profondes
-Victor, il s'y trouva si bien qu'il dit au commissaire : . Je ne
sais
comment vous prouver ma reconnaissance... Je vo
a presque pas crié, la mignonne ! Puis je suis allée me noyer. Je
savais
qu'on voulait me séparer d'elle. Je l'aimais trop
en pleine crise, ne peuvent laisser aucun doule à cet égard et nous
savons
qu'ils sont d'accord pour accuser cette sensati
héréditaires ou personnels nous apprennent fort peu de choses. Nous
savons
seulement qu'il a eu deux fluxions de poitrine.
vons . que faire des suppositions à ce sujet. Il faudrait d'abord
savoir
si T... s'est introduit les corps étrangers dans
es même aussi importants que le réflexe patellaire et achilléen, ne
sauraient
, on le sait depuis longtemps, être regardés com
ortants que le réflexe patellaire et achilléen, ne sauraient, on le
sait
depuis longtemps, être regardés comme absolumen
flexes tendineux aux percussions répétées ? Il s'agit simplement de
savoir
s'il diminue ou augmente chez un malade donné dan
ale de cet état saute aux yeux. Le malade peut commettre, sans le
savoir
, des crimes, et son désordre mental, par suite de
tomique des désordres psychiques offre le plus grand intérêt. Il ne
saurait
être question ici de localisation, ce terme éta
pas. Il faut aussi'se défier de deux termes généraux très usités, à
savoir
: dégénérescence et hérédité. Le mot dégéné- re
e générale. Marshatko a étudié avec beaucoup de soin la question de
savoir
si la syphilis tertiaire est ou n'est pas causé
guère de risque de devenir paralytique général. Mais la question de
savoir
si la paralysie générale est due à la syphilis
ractères les plus constants et les plus importants de la maladie, à
savoir
les impulsions soudaines, symptôme qui domine la
igmates de cette névrose faisant défaut chez le malade. Celui-ci ne
saurait
davan- tage être considéré comme un dément préc
ce. Octobre 1')01). C'est une question très importante que celle de
savoir
s'il y a un REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE; 823
». Cette manière de voir de M. Crookshauh est trop dogmatique et ne
saurait
être acceptée : la population générale se compo
as de rapport direct avec les troubles moteurs. En somme on ne peut
savoir
par la seule inspection de la motricité si le p
es observe dans des circonstances où aucune espèce de suggestion ne
saurait
être invo- quée. BIBLIOGRAPHIE. 539 M. Jule
stupeur); 3° enfin les symptômes d'état durant la v : e entiéfe, à
savoir
l'affaiblisse- ment intellectuel rapide, les sy
ilité au froid, par Mac Cas- key. 160.-Voir Sein. Considéra- tion
su
: '1 ? par Joire, 280. La causedes phénomènes h
einre. o t ™,,jk ? ;,v^i sel gront Rrf ? h i 1) -à ' « ' Mais je ne
sache
pas que parmi ces accidents uremiques consécuti
ation'. Il sou re, crie; dit'q;z'tiü veut lui faire du mal. j 11 ne"
sait
où'il^est, veut'descendre, mais sans savoir où al
lui faire du mal. j 11 ne"sait où'il^est, veut'descendre, mais sans
savoir
où aller.1 Obtu- ,sion mentale profonde : T. s.
? ii ps* : naJ(Dfv av nv aJuTtun vh ai'q )e- ? un» iji-j 6 mentale
SUS
NTOU v30 décembre]^ Tq m. 36,9 ? A°trûisheures'
avant la procession, le jour de Saint-Simon et de Saint-Jude, elle
savait
que soeur Buvée serait accusé de magie et de so
pas les membres flexibles' 1 » ; qu'elles avaient rendu des sorts,
savoir
: deux petits serpents de cire entrelacés avec
e dit Nouvelet coucha dans ` la même chambre dans des litz séparez,
savoir
: le dit Nou- velet seul; elle, sa mère et le p
ndue^, possession ! ne reposait en réalité que sur une hypothèse, à
savoir
que soeur Buvée étant magicienne, elle aurait e
rte.de connaître ces REVUE'DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 41 faits et de
savoir
les distinguer pour éviter, comme ici, d'impor-
es exactes des sujets que leurs auteurs avaient devant les yeux. On
sait
que'Charcot et 11. Richet ont'récûeilli un' gra
ait Charcot en 1885, à propos des différents types de, myopathie, à
savoir
que les trois types, connus sous les noms de :
nile se confondait avec la paralysie pseudo-hypertrophique, et l'on
sait
maintenant que la forme de Erb se confond égale
lement : les membres supérieurs ont perdu de leur force. On ne peut
savoir
si la marchel est ataxique, des lésions articul
ur. Ce cas est fruste, le diagnostic un peu hasardé, car on ne peut
savoir
si la marche est ataxique. Mais noter qu'une soeu
éments nobles. Ceci concorde avec le principe généralement admis, à
savoir
que les néoformations syphilitiques ont REVUE '
t depuis l'enfance, ils ont essuyé les,, éléments,, nocifs que l'on
sait
? ^d1' n,-OwtYlf, jb j- jj i ! ->m m P. K. - &
omme ayant agi sous l'empire du délire alcoolique. Dans ces cas, on
sait
que le prévenu peut 'être interné duriiig her b
ntes dé- 64 SOCIÉTÉS SAVANTES. taillées, restent bien ordonnés et
savent
ce qu'ils veulent ; parfois ils ont conscience
ement comme j'en ai quelquefois; que s'est-il passé alors ? Je n'en
sais
rien ou plutôt je ne le sais que par le récit qu'
is; que s'est-il passé alors ? Je n'en sais rien ou plutôt je ne le
sais
que par le récit qu'on m'en a fait. » 11 ajoute
nts auxquels il serait sujet. La ques- tion qui se pose est donc de
savoir
si X...a réellement par inter- valles des troub
e d'une impul- sion épileptique, c'est-à-dire inconsciemment, il ne
saurait
donc en être rendu responsable. M. Falret a o
e 3 0/0 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
ique des maladies mentales). La méthode histologique de Golgi, onle
sait
, a, dans ces der- niers temps, donné des résult
tes que celles qui concernent le foie, le poumon ou le rein. Nous
savons
, à l'heure actuelle, comment se terminent dans l'
par les procédés habituels, nous constatons des traits com- muns, à
savoir
l'atrophie des protoplasmas cellulaires, les ch
eurs' reprises par le professeur Joffroy et par d'autres auteurs, à
savoir
que dans cette maladie, c'est d'abord, et avant
devenir apathique, triste sans raison, émotive; elle pleure - sans
savoir
pourquoi, est très irritable de caractère. Elle s
stitution, a le faciès pâle, l'expression' triste; elle pleure sans
savoir
pourquoi; elle a du dégoût pour tout. ce qu'il
.- Elle présente tous les troubles de la neu- rasthénie palustre, à
savoir
: état psychique, amyosthénie, troubles 'vaso-m
cette époque, la malade présenta quelques symptômes hystériques à
savoir
: la boule hystérique, des accès de rire et de pl
nte presque tous les symptômes d'une neurasthénie très accusée, à
savoir
: impotence cérébrale, la malade ne peut pas fair
e nous dire les moyens pour détruire ces enchantements ? R. Tu ne
saurais
les détruire parce qu'il faudrait faire les cho
t un autre langage. Leur attitude vient surtout de ce qu'ils nous
savent
désarmés contre eux. Martel BMAND. SOCIÉTÉ PS
on est remarquable par sa genèse ; la seconde par son évolution. On
sait
en effet que la théorie de Zeller et de Griesin
pleines mains, dans les trésors infinis de leur érudition, de leur
savoir
et de leur vaste expérience. Qu'il me soit permis
avait à peine trente-huit ans il avait donné la mesure de son vaste
savoir
,1 il s'était déjà fait remarquer par l'original
ses longues sorties ? Se perdait-elle dans les rues ? Je n'ai pu le
savoir
. Ce qui est soir c'est qu'elle ne pouvait se li
de la Somme et quelquefois à Rouen. On a lu plus haut qu'elle ne
sait
pas exactement quand son père et sa mère sont mor
ls amis, étaient à la fête, qu'elle prétend avoir eu lieu ? Elle ne
sait
pas. Parmi ses amis, elle cite deux ou trois no
sont encore moins solides, parce qu'elles servent moins. Ma malade
sait
très peu de choses en histoire. La mort de Napo
es malades me citent parfois les rois de la première dynastie et ne
savent
pas ce qu'était Gam- betta, Thiers ou Ferry. C'
qui ne peut me dire pour quelles maisons elle travaillait à Rouen,
sait
que Bordeaux est une grande ville du sud et un
plus grande difficulté une sensation nouvelle ? On a vu qu'elle ne
sait
pas le nom des médecins, ni celui de son quarti
Cette amnésie a des conséquences sur ses jugements. Ainsi elle ne
sait
jamais exactement la saison ni l'heure actuelle.
ous sommes en automne et l'après-midi. ' ' ' > · De même elle ne
sait
pas apprécier le temps, qu'elle raccourcit géné
par d'autres malades sont à elle et qu'ils lui ont'été volés. Elle
sait
en effet qu'elle avait un petit mobilier et que
a d'ailleurs par- faitement conscience de sa situation mentale, et
sait
qu'elle a perdu la mémoire, ce qui la chagrine
erdus chez ma malade et qu'ils ne* pourront, jamais revenir ? On ne
sait
pas encore 'assez comment les sen- sations f s'
importantes y ont été dirigées par les Beaux-Arts. , . o ? « . On a
su
également, quand il s'est agi d'élever des quarti
Bour- neville, mais au prix de grands sacrifices que notre Maître a
su
.,r , : , . '.A noter encore une défectuosité
'enfants au milieu d'aliénés adultes a les inconvé- nients que l'on
sait
, mais au point de vue purement médical, il n'im
194 . asiles d'aliénés. . Services généraux. Ateliers. Ferme. On
sait
que derrière l'asile se trouvent la cuisine, l'
une certaine étendue, un nombre presque illimité de malades. Or, on
sait
com, bien ce travail en plein air est précieux
inférieur ; et dans la conclusion qui s'en dégage légitimement, à
savoir
que les deux lésions ont dû se développer sous l'
des, les vains discours sont moins qu'ailleurs à redouter. Si je ne
sais
pas être concis, je serai bref, tout au moins. Av
résout en mémoires partielles dont chat > cune a son habitat. On
sait
, à n'en plus pouvoir douter, quels sont, les po
ision le lieu anatomique- de l'aphasie motrice et de l'agraphie. On
sait
dans quels groupe- ments ganglionnaires arriven
t ami, le professeur Joffroy, ne me démentira pas ce temps où, pour
savoir
avec certitude où se trouvaient les origines ré
Vulpian, Duchenne (de Boulogne), tels furent les trois maîtres qui
surent
créer et faire vivre à la Salpêtrière une école
unes et indivisibles, il faut encore aller plus loin, plus haut et
savoir
quelle est l'essence de ces phénomènes fugitifs
onnaît possi- bles, ou des actions dynamiques que, seule, la chimie
sait
expliquer. ' Le dynamisme cellulaire, considéré
es déviations les plus variées de l'intelligence. Que dis-je ? nous
savons
, depuis les travaux de Bouellard, que la cellul
noso- logique. Etudier les rapports de l'hystérie et de la folie ne
saurait
plus consister à énumérer simplement les troubl
phénomène dont le sens intime nous donne une idée plus juste que ne
saurait
le faire une définition quel- conque. Quand nou
tions qu'il élabore et à l'exécution de ces volitions. Mais il faut
savoir
que la conscience de la sensa- tion, du souveni
vies en partie double, ces dédoublements de la personnalité ? Nous
savons
que ce qui caracté- rise l'hystérie c'est l'ins
portent l'empreinte de la dégénérescence. Ces variétés de folie ne
sauraient
être plus longtemps confon- dues avec les manif
ec les manifestations propres de la névrose. C'est pour n'avoir pas
su
les mettre à leur véritable place dans le cadre n
tions, il en est quelques-unes que nous ne ferons qu'indiquer. On
sait
combien il est fréquent de voir l'hystérie se jux
l est fréquent de voir l'hystérie se juxtaposer à l'épilepsie *. On
sait
d'autre part combien chez les hystériques les i
i constituent une forme fruste de l'attaque. Il s'agit seulement de
savoir
si les accès de manie hystérique sont assez car
d'affirmer l'indemnité absolue des centres nerveux. En effet, nous
savons
que dans la polynévrite le cerveau est souvent
à cet égard les ganglions spinaux jouent un rôle important. Nous ne
savons
encore rien ou à peu près rien de la manière do
istologiques. Ces deux hypothèses présentent ce caractère commun, à
savoir
que toutes deux impliquent l'idée qu'il ne s'ag
toutefois que ce dernier argument n'est pas absolument décisif. On
sait
, en effet, qu'à la suite de lésions expérimenta
oujours pour ce motif la préférence aux familles d'abstinents. Nous
savons
que cer-1 taines sociétés de bienfaisance, à Ge
ù ces Sociétés les ont pro- voquées et préparées. Mais il faut bien
savoir
que ces sociétés ne donnent un résultat que si
conditions d'infériorité de leur organisation céré- brale. Elle ne
saurait
être excusable lorsque ces individus savent qu'
n céré- brale. Elle ne saurait être excusable lorsque ces individus
savent
qu'ils ne peuvent pas boire sans danger, et ce
t pas appliquées et man- quent par conséquent aussi leur but. On ne
saurait
blâmer les tri- bunaux qui hésitent à condamner
itent à condamner un ivrogne à une détention pro- longée, quand ils
savent
que cette' mesure est inefficace et même injust
SOCIÉTÉS SAVANTES. prendra l'urgence d'une loi semblable lorsqu'il
saura
que l'alcoo- lisme est la-plus fréquente de tou
nes qu'on arrête tous les jours et qu'on nous envoie parce qu'on ne
sait
pas où les mettre. M. Legrain (de Paris). La cr
Vous avez réclamé, dites-vous, une enquête auprès des médecins pour
savoir
quelle était la proportion des malades qu'on pour
nt les alcooliques qu'on devra placer dans cet asile spécial ? Nous
savons
qu'il y a une quantité d'individus qui sont des
fraude n'est pas étrangère à la recrudescence de l'alcoolisme. Nous
savons
que l'alcool exerce sur l'organisme une action
rdeaux). Plusieurs auteurs, surtout étrangers, ont décrit, comme on
sait
, des troubles mentaux de la polynévrite. Ces tr
r lesquelles il ne donne que des renseignements très vagues ; il ne
sait
ce qu'il a fait la veille et dans la journée; i
nt chronique proteste et se défend. Il examine, il cherche, il veut
savoir
et ce n'est qu'après un siège de plusieurs anné
ion, car ce serait une erreur de croire que le délire en dépend. On
sait
combien de malades à lésions encéphaliques circ
ur le Loir. On a ainsi utilisé une chute d'eau qui, autrefois, fai-
sait
mouvoir un moulin et, par suite, on a évité les f
100 de 10 à li p. 100, pourcentage moyen des années antérieures. On
sait
que pendant cette année néfaste, la variole a r
ismes articulaires aigus, 3 cas ; fièvres typhoïdes, 3 cas. Veut-on
savoir
à quelles affections ont succombé les 50 aliénés
et dents noirâtres, démontraient un empoisonnement arsenical. On
sut
, d'autre part, qu'avant de mourir elle avait décl
sances que le sieur inten- dant ne peut avoir; en effect s'il avoit
su
que les sieurs Bretin, Pelletier et autres s'ét
n avoit plusieurs qui estoient dans une grande simplicité d'esprit,
savoir
: Pierrette Boileau, Anne Mol, Marie de Laramis
re elles, comme on l'a vu, les exorcismes et tout ce qui s'y fai-
sait
, et l'on ne peut qu'être frappé de la similitude
st très fréquente), fit son apparition avec les caractères que l'on
sait
; ce qui explique parfaitement les premières de
c est très difficile à établir en dehors du caractère familial. 'On
sait
, d'ailleurs, que celui-ci aurait été rencontré
ogie générale, comme le disait hier mon maître et ami M. Falret, ne
saurait
servir de base à la classifica- tion des maladi
LLE. Ma communication a surtout un but clinique et thérapeutique, à
savoir
la démonstration de la possibilité d'amé- liore
us arrivons maintenant au but principal de cette com- munication, à
savoir
l'exposé du traitement médico-pétiagogiqzie qui
renseignements les plus intéressants au point de vue clinique. On
sait
que dans toute perception nette la perceptibilité
migraine ophtal- mique qui se présente immédiatement à l'esprit. On
sait
, en effet, SOCIÉTÉS SAVANTES. 339 que certain
être en contradiction avec les idées actuelles sur la névroglie. On
sait
qu'après beaucoup d'hésitations et de discussio
Cajal, à cette opinion que j'ai émise le premier en 1881 : c'est à
savoir
que la cellule névroglique est une cellule neuro-
la législation des aliénés, ne me- naçait pas les asiles privés. Il
savait
, en effet, que c'était sur nos instances que la
renseignements et le temps qu'il faut pour les recueillir, leur en
sauront
certainement gré et les absoudront d'avoir péch
ues les 350 FAITS DIVERS. plus récentes. Etudiants et médecins ne
sauraient
faire de lecture plus instructive, lecture du r
e fait cette réponse caractéristique : « Comment voulez-vous que je
sache
tout cela, ce que deviennent mes bras, mes jamb
il. Elle ignore absolument tout : la date, ce qui s'est passé. Elle
sait
seulement que son père a voulu la faire revenir
sée par le Dépôt de la Préfecture de police et l'asile Sainte-Anne,
sait
seulement qu'elle était à Paris chez sa tante. De
nter sur elle ce que l'on appelle l'expérience de Strumpell. Vous
savez
, en effet, Messieurs, qu'une anesthésique totale
ur le jour et.qu'elle semble ignorer. De cette façon nous pouvons
savoir
dans quelles circons- tances est apparue son am
journée à l'état de veille, mais « sans s'en rendre compte, sans le
savoir
» . 1 Elle dit également y rêver la nuit dans s
tanée et des plus simples. La chose n'a rien d'éton- nant, car nous
savons
qu'il existe, même chez les hystériques suggest
'importance de cette res- triction et il croit que la peptonurie ne
saurait
être invoquée ' Rabenau. Analyse des urines des
dués; mais il s'agit exclusi- vement ici de l'exposé de ce que l'on
sait
aujourd'hui en psy- chologie physiologique, et
e son droit de gage, mais voilà qu'ayant sauvé ce mobilier, elle ne
sait
plus qu'en faire et ne peut dès lors recourir q
s, à des courses répétées et fatigantes, à un dévouement dont on ne
saurait
trop la remercier, a pu obtenir vingt fois la m
la sorte la marche des maladies et les migrations des malades : on
saura
où les trouver quand on voudra surveiller l'ass
ne fixe guère, éprouve de la difficulté à se servir des objets, ne
sait
plus raconter ce qu'il savait en regardant ses
a difficulté à se servir des objets, ne sait plus raconter ce qu'il
savait
en regardant ses images (assonance incohérente),
u fond des entrailles. Dans les folies systématisées, il y a, on le
sait
, deux espèces de conceptions délirantes très di
ce mot dans son sens le plus large, est encore un élément dont faut
savoir
reconnaître l'impor- tance au point de vue de l
s d'aliénés, les thèmes empruntés à la médecine légale, ce que l'on
sait
du mode d'action des narcotiques constituent le
'agit d'admettre des enfants comme visiteurs. Il convient encore de
savoir
si les visites de tels ou tels font plaisir ou
a ville est à proximité, plus les malades sont visités, et plus ils
savent
que les voyages sont faciles, plus ils sont SOC
- veau invoquées à coup de statistiques dont aucune conclusion ne
saurait
encore être tirée. Les mesures à prendre contre l
formes mentales. Mais, je vous l'ai dit, le caractère du délire ne
saurait
à lui seul servir de base à la création de groupe
breuse s'ourdissait autour de lui. Mais s'il est persécuté, il veut
savoir
quels sont ceux qui le persécutent ainsi, par q
qui l'enveloppe. Bientôt il n'hésite plus, la lumière est faite. Il
sait
quel per- sonnage déterminé est responsable de
dresse, ne la protègent point. Depuis environ dix-huit mois, elle
sait
que son principal per- sécuteur est « le Parisi
mari, et se consacra tout entière aux cinq enfants qu'il lui lais-
sait
; économe, ordonnée et sage, elle put élever sa p
mandent un prix exorbitant, pour l'empêcher d'en posséder un ; elle
sait
cependant que le fumigore ne vaut pas plus de 2 f
e. L'épaule est notablement atrophiée, au niveau du deltoïde et des
sus
et sous-épineux ? Le trapèze et les pectoraux s
bout d'une demi-heure, en suçant des morceaux de glace qu'il cas-
sait
dans le ruisseau pour tromper sa soif. Il se préc
sultent, il ne s'arrête que chez des gens qui le connaissent et qui
savent
son infirmité. Lorsqu'il monte en omnibus, d'es
ous lui suggérons d'uriner moins. Dans le somnambulisme, nous avons
su
qu'il avait remarqué, qu'après un excès alcooli
e chronique qu'il faut rechercher cette origine. Voici pourquoi. On
sait
que les boissons éthyliques, prises à dose modé
de leur passé, l'origine d'une manifestation actuelle. Or, on ne
saurait
dénier à l'incontinence nocturne d'être un fait s
anatomiques et physiologiques, et qui est justifiée par ce que nous
savons
sur l'oedème hystérique. Les résultats que nous
atique, etc., doivent au- jourd'hui rentrer dans son cadre. Elle ne
saurait
cependant englober tous les cas de polyurie sin
es dernières années, l'in- suffisance de moyens d'investigation. On
sait
positivement aujourd'hui que des lésions consid
ent par quelques bons esprits portés au doute par la prudence : à
savoir
que la syphilis peut très bien n'avoir ici qu'une
mode des affections similaires indépendantes de la syphilis. Nous
savons
, au contraire, combien les symptômes ménin- gés
Caractères spécifiques des mé21121go-myéli«tes syphilitiques. On ne
saurait
guère les rechercher que dans les lésions récen
lire cohérent, systématique, organisé, cristallisé, primitif, il ne
saurait
y avoir qu'unanimité. L'interprétation ne peut
êtée. 484 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Il ne
saurait
donc y avoir de papille étranglée (par reflux) en
pen- dant quelque temps; ces dénominations sont prématurées. Nous
savons
tous, par exemple, que les éléments morbides tels
emps que la démence. (P. K.) 494 SOCIÉTÉS SAVANTES. voient; or on
sait
qu'elles ne manquent jamais dans la folie s3·sté
inuant leur intelligence. Les proces- sifs qui présentent, comme on
sait
,'Ia plus longue résistance, et les hypocondriaq
en vain de démasquer chez eux la débilité mentale, parce qu'ils ne
savent
pas juger leur juste valeur les actes stupides,
ellule, qui débute par des hallucinations isolées de l'ouïe. , On
sait
que, quand dans un complexus morbide prédominent
ale (Veriviri,theit) et paranoïa (folie systématique), mais il faut
savoir
qu'il s'agit de deux formes proches parentes. Il
ne peut-on toujours le démontrer. A une période plus avancée on ne
sait
plus ce qui se passe en eux et par suite on ne
forme des réponses sont autant d'éléments qui vous frappent, et ne
sauraient
être attribués à la suppression secondaire de l
tat. Mais il y a à cela une cause plus profonde. Avant Westphal, on
savait
que dans le cours de psychopathies très diverses,
velopper, qu'elles peuvent être soit dépressives, soit exaltées. On
savait
également que ces symp- tômes apparaissent dans
par Fin. variabilité du texte de ces conceptions morbides. Westphal
savait
fort bien que cette généralité clinique ne tran
ée par Moebius, Renaut (de Lyon) et Chevalier (de Mont- pellier), à
savoir
que la maladie de Basedow se ratache soit à un
la fois concise et claire était une tâche délicate que M. Sérieux a
su
mener à bien sans enlever à l'enseignement du m
tuer des examens de psychiatrie et des épreuves pratiques. Le demi-
savoir
est un danger ; la théorie est nuisible. Mieux va
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
de l'année, 5 enfants ont été rendus propres (2) ; 7 enfants qui ne
savaient
pas lire ont appris (1) Voir Compte-rendu de Ta
elle aux enfants, mais encore pour la bonne direction morale qu'ils
savent
leur imprimer. Bien des fois nous avons insisté
onvenablement. Sur 130 enfants que nous avions en fin d'année, 48
savent
se servir de la cuiller, de la fourchette et du
au ; 40 de la cuiller et de la fourchette ; 20 de la cuiller; 16 ne
savent
pas manger seules. Dol... et Bossug... ont appr
ons en détail sur cette question. c) Mastication. Aux idiots qui ne
savent
pas mâ- cher, ou qui mâchent difficilement, on
plets n'étaient capa- ble d'en faire preuve (1), mais si nous avons
su
provo- quer en eux l'attention, nous la ferons
ller trop loin pour la fré- quence de la mise sur le siège, il faut
savoir
gar- der une mesure, sous peine de faire contra
l : 2.383 francs ; soit 101 francs de plus qu'en 1893. 20 enfants
savent
faire la layette, 15 du crochet, 15 savent marq
qu'en 1893. 20 enfants savent faire la layette, 15 du crochet, 15
savent
marquer, 6 commencent à faire de la tapisserie.
enfants nerveux de l'hospice de Bicêtre. Vous qui nous lisez et qui
savez
quel soin scrupu- leux nous apportons dans nos
ara ne pouvoir nous don- ner de détails, mais que si nous tenions à
savoir
ce qui s'était passé à Cempuis nous n'avions qu
ayant fait partie du personnel de Bicêtre et ayant eu occasion de
savoir
ce qui se passait dans le service; ces personnes
es au point de vue scientifique ? Ils restèrent silencieux. Nous ne
savons
ce qui se passe à Bicêtre que par ce que le dir
bois. Ce qui veut dire qu'il n'en est pas resté dans l'anneau. Vous
savez
tous, Messieurs, de quelle importance il est po
vez tous, Messieurs, de quelle importance il est pour un médecin de
savoir
comment un malade urine. M. Alpy. Lisez'clonc l
t où il écrit cet article. M. Prache. Je vous demande pardon ; il
savait
qae le procès-verbal de la Commission de survei
approcher ce procès-verbal de l'article du « Progrès médical » pour
savoir
si le docteur Bourneville n'avait pas été plus
entrer dans cet orphelinat. Je les examine pour le vaccin et pour
savoir
s'ils ne sont pas atteints de maladies conta- g
rmation la plus nctle. Je n'ai pas l'habitude d'accuser quand je ne
sais
rien, et, quand je ne crois pas devoir accuser,
and je ne crois pas devoir accuser, je n'insinue pas (2). Or, je ne
sais
rien clans cet ordre d'idées. Dans cette deux
rsonne qui puisse trouver mauvaise cette manière de faire ; et nous
savons
que pour examiner les malades tous les médecins
ir ? » Le mot « voir » est souligné. Encore une fois, personne ne
saurait
prétendre que l'examen par la vue n'est pas légit
€ moins de notes détaillées. » (2) M. Deville ne parait pas, alors,
savoir
la signification du motc insinuer. ï Peut-être
la dépend dans quelle mesure (1). Mes- sieurs, je déclare que je ne
sais
pas encore en quoi consiste, d'une manière préc
ille. Je ne suis pas moins préoccupé pour le moment de ce que je ne
sais
pas exactement des observa- tions exposées que
es écarts du chef de service à Cempuis. M. Levraud. Mais vous ne le
savez
donc pas ? M. Deville. Si je le savais, je ne l
M. Levraud. Mais vous ne le savez donc pas ? M. Deville. Si je le
savais
, je ne le demanderais pas. M. Levraud. J'attend
ane, en le pal- pant, etc. (3). (1) Et ce Monsieur prétend ne pas
savoir
ce que c'est qu'une insinuation ! Basile doit e
idiots que sur des individus sains. En réalité, Messieurs, vous ne
savez
pas exactement, d'une façon absolue, le degré d
s et des infirmières, cela devient particulièrement dangereux. Vous
savez
que vous avez eu quelquefois à vous plaindre de
suivre l'évolution de la puberté, il ne faut pas être médecin pour
savoir
que c'est dans l'idiotie une époque critique et q
ur de l'Assistance publique. Si j'avais voulu, ou plutôt si j'avais
su
équivoquer, ce que je ne sais pas faire, j'aura
Si j'avais voulu, ou plutôt si j'avais su équivoquer, ce que je ne
sais
pas faire, j'aurais dit que les enfants de Bicê
contre les doctrines qui viennent d'être exposées. M. Weber. Nous
savons
que vous voulez ramener les soeurs. M. Leroll
il s'agissait d'une ques- tion de haute moralité ; il s'agissait de
savoir
si l'on peut faire sur des enfants certaines ex
de ne pas avoir été appelé devant la Commis- sion. Tout ce que nous
savions
, c'est que M. Robin prétendait que ces examens
'unique matelas par deux ou trois petits matelas suivant 32 Rapport
SUT
l'orphelinat Prévost. la taille des enfants : l
ite du mois de novembre. Cette visite a été ajournée, comme vous le
savez
, parl'inten- tion que vous aviez de m'accompagn
'hiver, en offre l'été. Ajoutons que le sol se trouve infecté. Vous
savez
que tous les hygiénistes, et avec raison, s'acc
ts ont été pris; n'aurait jamais été nerveuse. Trois frères : on ne
sait
ce qu'est devenu l'un d'eux ; il aurait fait de
orte à 83 ans. paralysée et démente. Deux frères morts jeunes on ne
sait
de quoi. Une cousine est morte folle à 25 ans.
) 40 Imbécillité morale. à 4 ans, il n'a jamais rien appris et ne
sait
môme pas tracer des bâtons. Dès ses premières
idon, traitement tonique. Juin. École. Lecture presque courante, il
sait
faire la multiplication, sa conduite est moins
e assez prononcé. 1892. Janvier. Et... a du goût pour l'étude. Il
sait
les quatre règles et fait de petits problèmes s
e est propre, il conserve ses vêtements en bon état. A l'atelier il
sait
faire sa chaise entière ; il demande à être van
ensé qu'il devait, sinon dépasser, au moins imiter ce qui se fai-
sait
clans les pays que nous venons cle citer. Il a fo
cinations ; elles doivent essayer de saisir ce que dit l'enfant, de
savoir
ce qui lui fait peur et inscrire ce qu'elles on
s d'une excellente santé. Quatre frères dont deux sont morts, on ne
sait
de quoi, les deux survivants et leurs enfants s
ère, morte d'une pneumonie, à la suite d'un refroidissement ; on ne
sait
rien de plus sur elle. Aucun détail sur les gra
ue de paralysie ; il a eu 6 enfants, 3 bien portants, 3 morts on ne
sait
de quoi. Une soeur est morte à 15 jours. Deux o
noyée par accident. Un oncle paternel est mort après (iO ans, on ne
sait
de quoi; un autre, ancien commandant, est mort
(S mois. l'as de laule maternelle. Un frère mort à 2 mois, on ne
sait
de quoi. 3 .sn'itcs, l'une morte à il ou 4 mois
peut dire à quelle époque elle a eu toutes ses dents ; ce que l'on
sait
, c'est qu'elle a encore ses dents de lait. Elle
he que celle du nez et des joues. A un centimètre et demi au-des-
sus
de l'extrémité externe du sourcil gauche, on cons
mollet est gros. Marie 13... marche lentement, lourdement, et ne
sait
pas courir. - Le pied est assez court et assez
ans ligne de démarcation avec le cou élargi jusqu'en bas. Les creux
sus
et sous-claviculaires sont remplis et marqués p
e n'aime que le poulet. Constipation habituelle. Marie Boy..., ne
sait
pas s'habiller ni se déshabiller, mais elle che
is elle cherche à aider les personnes qui s'occupent d'elle. Elle
sait
boutonner, lacer, fait très bien les rosettes. Sa
et de ses vêtements. - Elle distingue toutes les couleurs. Elle ne
sait
pas coudre mais tient bien son aiguille. Lectur
ectiligne et n'offre des plis de passage qu'à ses deux extrémités à
savoir
: en haut, un pli de passage postérieur avec le
rme de grappes, d'aspect très luisant, comme humide, dans les creux
sus
et sous-claviculaircs ainsi que dans la région
rs commençait le 2ô juillet. A la question que nous avons posée, de
savoir
ce que le Conseil général entendait parce mot :
plutôt de l'eau-de-mort. Il est certain que la Préfecture de police
sait
que ce sont des poisons. Pourquoi tolère-t-elle
lles a été fait à la chamhre noire, et à l'éclairage oblique. On ne
saurait
s'entourer de trop de précautions avant de parl
lle était normale, ou seulement très faiblement diminuée, ce qui ne
saurait
se concilier avec l'idée d'un oedème d'origine
à peu près la moitié des vagabonds. Il serait très intéressant de
savoir
si les vagabonds se recrutent parmi les malades
léger (Schwachsinn). Les épileptiques eux-mêmes ne parlent pas sans
savoir
où ils vont. l'our citer l'exemple si connu rappo
i, parti du Havre, se retrouva sur un bateau en vue de Bombay, sans
savoir
comment il y était venu, avaiL évidemmenL,en ét
avait fait fait et la façon dont ils'était rendu à Limoges, il n'en
savait
absolument rien. Tout souvenir s'était effacé d
Dans l'hypnose provoquée, le souvenir peut être rap- pelé, on le
sait
, d'actes accomplis par les alcooliques en LES F
e » chez des psychasthéniques ; il les classe parmi les « proces-
sus
obsédants» de Thomsen (2) (Zwangsvorgange) par op
me les en- fants auxquels une discipline rigoureusement uniforme ne
saurait
être ni applicable ni utile en raison même de l
onctions cérébrales supé- rieures, et par conséquent la question de
savoir
s'il faut ou s'il ne faut pas donner d'hypnotiq
re ou que l'on ait constaté des signes nettement apocryphes. Maison
sait
que les crises sont souvent identiques chez un mê
mé l'objet principal des recherches au Laboratoire des Asiles Ecos-
sais
par les D" Roberston, M. Rae, Jeffrey and Théodor
s, il est nécessaire de distinguer deux façons de boire opposées, à
savoir
les excès de boisson qui sont associés à des co
sans contradictions, car les règles d'hygiène du système nerveux ne
sauraient
être com- prises sans la connaissance exacte de
us, mais surtout l'élite des an- ciens élèves dont l'instruction ne
saurait
être considérée comme terminée, nous maintiendr
la direction du courant nerveux. Au moyen de l'hypothèse ci-des-
sus
, Stcherback se croit en mesure d'expliquer les di
pporté la défunte, avait reconnu en elle la solliciteuse, dont elle
savait
qu'une soeur -lllme Cusson était domiciliée Che
mposition du jury du concours. Le jury est composé de cinq membres,
savoir
: un docteur en médecine, délégué de-)Ion- sieu
e qui a dé- ter miné la discussion du projet Dubief. Nos lecteurs
savent
que ce projet date de 1902. Depuis 1862, il est
possible parfois, du moins toujours plus tardif. Or la folie, on ne
saurait
trop le répéter, n'a chance d'être curable qu'à
bjecte pas que le placement provisoire sera facile : les familles
sauront
que dans la quinzaine, interviendra un juge- me
l'expérience, et la bonne foi et la sincérité de leurs auteurs ne
sauraient
faire doute. Elles méritent donc d'être prises
té de cette définition avait été entrevue par le Sé- nat qui, on ne
sait
pourquoi, s'était borné à définir le but des ét
as tout de déclarer que l'asile ne recevra que des aliénés, il faut
savoir
ce que la loi entend par aliéné. L'article Ier
mode de traitement, qui en effet serait des plus dé- fectueux. Nous
savons
tous que la première condition, pour la curabil
ne, que donner mon approbation complète à cette dis- position. Nous
savons
tous trop bien combien d'aliénés sont secrèteme
decin, n'ont rien à proprement parler de médical. Aussi devons-nous
savoir
gré, ce me semble, à M. Mirman d'avoir réussi à
encore dans divers quartiers d'hospices consacrés aux aliénés : on
sait
fort bien, au ministère, les résultats qu'il a
mission de surveillance doit-elle donner son avis ? Mes confrères
savent
que la question n'est pas oiseuse. Es pérons qu
ts d'office est donc maintenue. J'avoue que j'aurais préféré, et je
sais
que plusieurs confrères partagent mon opinion,
is de la personne qui a de- mandé le placement ? On n'a jamais bien
su
ce que ve- nait faire ici le conseil de famille
ON DE LA LOI DU 30 JUIN 1838. Il9 personnelle mais sur des faits, à
savoir
les actes commis par le malade soit au dehors ?
ntre bien que j'avais raison de dire que le mot certificat suffi-
sait
. Un reproche que j'adresserai au nouveau texte,
à son état ? A moins que l'on ne veuille ad- mettre qu'il y a je ne
sais
quoi d'infamant à avoir sé- journé dans un asil
ses fugues n'avaient pas démolit'. « Pourquoi il est parti, il n'en
sait
trop rien lui-même », et il est curieux de voir
nent à se enfin, il disparait et reste ab- sent quatre jours. Un ne
sait
ce qu'il est devenu lorsqu'on reçoit une carte-
ces fugues des débiles : ils partent subitement,se donnent un but,
savent
où ils veu- lent aller, ont un souvenir net de
. Ce- pendant il est des cas où la véritable cause de la fugue ne
saurait
passer inaperçue. Un de nos malades, entré tout
t de boue, se rappelait vaguement avoir couché dans un champ, il ne
savait
où. Il avait sous le bras un disque de chemin d
e pour découvrir un appareil photo- graphique perdu la veille il ne
sait
oit La conscience des malades pendant leurs fug
dresse, errent au hasard toute la nuit ; ra- menés chez eux,'ils ne
savent
dire oùilsont été. Certains déments séniles son
ue la surveillance se relâche, ils prennent la clef des champs etne
savent
plus revenir. Ces faits sont très communs ils n
Le traitement consiste à mettre de la glace sur la tête, des sang-
sues
aux mastoïdes, des lavements purgatifs, des botte
ts; en effet, en dehors du côté purement scientifique, il s'agit de
savoir
si une paralysie générale peut-être créée ou hâ
égation pure- ment intellectuel, la lésion des centres corticaux ne
saurait
être invoquée. La question de l'influence de la
met ou défend la loi civile... » (Oh ! combien de fous, archi-fous,
savent
pourtant qu'il est défendu de tuer, de voler !
ues. (Mais où sont ces neurones ? et comment sont- ils malades ? le
savons
-nous ? ). Et cependant M. Grasset conclut que l
ur l'appareil ut'éro-ovarieii est théoritluementratiunnelle, car on
sait
que les plosés iscerales sont la caractéristique
le plan qui doit être suivi dans les Ecoles de Rerlin. « Veut-on
savoir
maintenant où en est l'Allemagne dans cet ensei
nés; colle 170 varia visite leur est même recommandée ; mais nous
savons
, de source certaine, que les nombreuses el ince
mental. Comment avait-elle déterré les trois morts' ? On ne put le
savoir
; on croit qu'elle a dû pénétrer dans le cimetièr
ui- tamment et retourner la terre avec une' pioche. Toutefois, on
sait
que la démente se nomme Marie Paret, âgée de tren
e d'intelligence, de mauvaise foi, manifes- tant très bien quand il
sait
ce qu'on veut de lui, tâtonnant et don- nant la
e lui, tâtonnant et don- nant la moitié du temps à côté quand il ne
sait
pas au juste, de- meurant tranquille dès qu'on
en- sibilité est répartie d'une façon opposée pour les deux régions
sus
et sous-ombilicales du corps. Il en résulte que
différentes périodes de l'hypnotisme sont opposés pour les régions
sus
et sous-ombilicales ; mais... nous ne mentionnero
ur un modus vivendi, une délibération continuelle sur « le point de
savoir
, par exemple, en quelle mesure la satisfaction
t. t. Archives, ;1' série l'JO ? t. 13 194 rsrc>ioLOCm. On
sait
que chez les Vertébrés il n'en est plus de même;
nt progressivement partiel. On connaît l'hypothèse de Cajal et l'on
sait
que, pour la vision en particulier, elle consid
assent chez les Rayonnés. 2° «Dualité blastomérique » (p. 14). On
sait
que le pre- mier plan de division de l'oeuf en
tant pour la genèse des sentiments et l'évolution des tendances, on
sait
que ses fibres, avant même de formes plexus pou
superficielle n'est pas strictement pareille» » (p.24 et 25). «Nous
savons
que... les deux co-êtres se différencient l'un
elles impliquent la synergie des deux moitiés, il ne cherche pas à
savoir
comment cette synergie constante qui intéresse
perdra bientôt si les anciennes conditions se rétablissent ? 7 On
sait
que. dans les mouvements unilatéraux,t'asynergie
s dans l'hémisphère gauche à côté des images verbales visuelles. On
sait
, d'autre part, que tout ébranlement sensoriel m
, la part du côté non impressionné soit absolument négligeable ; on
sait
, par contre, que, non seulement pour la percept
un dés deux individus réduit pu suppri- me son concours ». et l'on
sait
que leur présence ou prédominance alternative s
laboration synergique dé plusieurs fonctions périphériques. Nous ne
savons
pas et ne saurons jamais 'quelle 'est là contri
le moindre symptôme de rechute. Et ils auront beau jeu, nous ne le
savons
que trop, à faire partager leur opinion à une a
ongé. Et précisément la difficulté s'est présentée immédiatement de
savoir
qui recevrait l'argent. Le curateur ? C'est ina
'asile les buveurs six mois, un an ou même davantage,c'est que nous
savons
qu'eux aussi sont généralement des prédisposés,
us mes rapports annuels,l'expé- rience est là pour prouver qu'on ne
saurait
être trop sé- vère sur la durée de la-convalesc
ort rares, car pour mon compte je ne me souviens pas avoir jamais
su
qu'un curateur ait été désigné à l'un des malades
du tribunal. Cet administrateur datif est une super- fluité et nous
savons
trop par expérience ce qui se passe dans les co
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. est composée de six membres,
savoir
: deux conseillers généraux élus par le Conseil
se confondent intimement avec l'aprosexie, si grande, comme on le
sait
, chez ces malades et le rùle de la rééducation de
es cas d'alcoolisme pré- sentant l'un ou l'autre de çes caractères,
savoir
: que le cas soit compliqué de dégénérescence o
ections de l'âme on rencontre une période triste, la mélancolie. On
sait
actuellement que cette opi- nion ne correspond
s portent l'empreinte de l'état mental démentiel. Les tentatives de
su
: cide marquent souvent le début de la démence
déficit appréciable. Elle e>l, complètement désorientée. Elle ne
sait
Ila· où elle est, elle ne se rend pas compte qu
j'étais faible pour bien juger; je dois aller chez lu médecin pour
savoir
si je 'vais être sauvé ou sije vais mourir..le
ut les entendre. J'ai perdu mon nom, je suis dans un vrai enfer, je
sais
, je dois expier tout ce que j'ai fait, j'avais
e que j'ai fait, j'avais tout à l'heure un trouble de la pensée, je
sais
, que ce que je viens de dire ne partait pas du co
je n'aime pas les écrire, parce que je veux écrire spontanément, je
sais
queje ne suis plus bon pour le monde, je suis c
seau, cette « cons- cience, conscience ! voix divine ! »que nous ne
savions
où placer d'ailleurs. Il nous en faut deux main
ue d'admettre que son semblable qui sera doté du même privilège, le
saura
de science certaine, en sorte que le phénomène
cette manière de voir est devenue très plausible « depuis que l'on
sait
que les hémisphères peuvent agir indépendamment
s êtres « faibles d'intelligen- ce...manifestant très bien quand il
savent
ce qu'on veut t d'eux » (Pouchet). Dans plusieu
roubles du 314 PSYCHOLOGIE. . raisonnement et des volitions, on
sait
que Ces troubles ne sont pas primitifs, mais se
forcément un fait complexe^ susceptible d'êtrcenvisagé sous'plu-
SU
)) LA SYMÉTRIE' BILATÉRALE DU CORPS. 317 sieurs
est-à-dire d'un animal simple idéal, est possible, l'Auteur n'a pas
su
démontrer cette conscience chez l'animal conjug
maine de la motilité, de la sensibilité tactile .. » (p. 78). On ne
saurait
douter, dit-il encore, qu'il y ait, chez le coê
e dé- sirs,d'inclinations,.d'instincts et de passions» (p. 76). (On
sait
que les Rotifères sont bien mieux partagés ! ).
s quarante-huit heures de l'admission. Si l'auteur de la demande ne
sait
pas écrire, celle-ci est reçue par le fonctionn
duire un rapport détaillé, conformément aux dispositions ci-des-
sus
, sous l'une des peines portées à l'article 63 ci-
pièce propre à constater son identité sont suffisantes. Si elle ne
sait
pas écrire, la demande est reçue conformément aux
e la sortie est requise par l'une des personnes ci-après désignées,
savoir
: 1° Le curateur à la personne de l'aliéné ; 2
REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. coce dans la paralysie générale, où nous
savons
que la lésion prin- cipale porte sur cette régi
ide pas avec le maximum de folie, tandis qu'il coïncide,comme on le
sait
, avec le crime, et com- me l'auteur essaye de l
Sorties : 104 guérisons (j4 Il. d0 F.); améliorations : 31. « Un
sait
que la nouvelle législation doit s'occuper des al
s donneront aussi une habitation aux gardiens qui, au- paravant. ne
savaient
ou se réfugier durant leurs heures de li- berté
du le pouvoir de repré- sentation dos mouvements de son bras. Il ne
saurait
exécuter des mouvements qu'il ne peut se représ
énergique,il arrive-dans certains cas à le mouvoir. La volonté ne
saurait
se dissocier déjà sorte, et ces- ser d'exister
que de l'hystérie ? La question se pose d'ailleurs immédiatement de
savoir
si la paralysie peut dépendre de toutes ces dif
tL. ' .359 ceptions psychologiques aient été bien fameux. Il n'en
saurait
être autrement d'une méthode dont la valeur est
s ingénieux et qui ne sort p as à la portée de tout le monde. On ne
saurait
donc prendre la théorie psycholo- gique de l'hy
notre exemple de tout à l'heure, de la pa- ralysie d'un bras. Nous
savons
que le centre moteur de ce bras est non seuleme
comme s'il s'agissait d'une question personnelle entre nous. Je ne
sais
si j'ai mis de 1' « acharnement» à défen- dre m
et j'ai admiré plus que personne, la merveilleuse analyse qu'il a
su
faire de l'état mental des hystériques. Où j'ai t
eux que M. P. Janet ne, l'a fait. Mais l'évolution d'un symptôme ne
saurait
constituer une explication pathogénique de la m
sommeil, leur somnambulisme si fré- quent, leurs aveux qu'elles ne
savent
si elles dorment ou sont éveillées, qu'elles se
on ne peut pas dormir deux fois ; d'autres me répondaient qu'ils ne
savaient
jamais s'ils dormaient ou s'ils étaient éveillé
théorie que je donnais plus haut de l'in- somnie des hystériques, à
savoir
qu'elle était due à ce qu'ils étaient plongés d
étant donnés une sensation, un trouble sensitif quelcon- que, de
savoir
à quel degré est atteint le centre de l'or- gan
ues avec des domaines périphériques essentielle- ment distincts. On
sait
comment, grâce aux successives associa- tions f
ment la part de chaque dualisme. Nous verrons ensuite si l'Auteur a
su
concilier d'une façon logique et acceptable ave
, pas plus par le titre que par le contenu du chapitre.on ne peut
savoir
à qui appartient la« conscience » à chaque étap
t pourvue d' « appétits et d'instincts », capable d'acquérir, on ne
sait
par quelle voie, des notions nouvelles pour les
ssentiellement médical. Nous ne trai- terons pas ici la question de
savoir
, si un médecin peut administrer sans perdre ses
cteur général Constans, en 1888, a longuement traité la question de
savoir
s'il convenait mieux pour les asiles grands ou
r, Abadie, Lalanne, et Anglade,rapporteur, tous médecins dont on ne
saurait
nier la compétence;nommée récemment par la Soci
mande surtout de l'habileté et de l'adresse; et dans la pratique on
sait
qu'il en est le plus souvent ainsi. On pourrait
la critique et la synthèse, que par les conclusions que l'auteur a
su
en tirer et dont plusieurs sont déjà universell
explique et développe ces assertions : je voudrais seulement avoir
su
montrer avec quel art il a groupé la masse de f
st encore bien moins fait que sur la définition de l'hystérie. Nous
savons
un peu mieux ce qu'est un centre cortical, ce q
fibres nerveuses qui le relient aux organes pé- riphériques ; nous
savons
un peu mieux quelles sont les réactions mo- tri
et complétée par moi, du réveil des hystériques vigilambules. Je ne
sais
comment appe- ler autrement que sommeil, l'état
r, \\ sort de cet état et cesse de présenter ces trou- bles,- je ne
sais
pas comment appeler autrement que sommeil, l'ét
er- ses hypothèses et je préfère avouer tout de suite que je n'en
sais
pas plus là dessus que sur le sommeil hypno- ti
ue chose en vérité. M. Claparède pense que toute la question est de
savoir
en quoi consiste ce sommeil. Cela peut être int
question secondaire ; lors- qu'un homme dort, je n'ai pas besoin de
savoir
en quoi consiste le sommeil pour reconnaître qu
savoir en quoi consiste le sommeil pour reconnaître qu'il dort, et
savoir
458 CLINIQUE NERVEUSE. comment le réveiller.
es, je n'ai pas encore be- soin d'avoir une théorie du sommeil pour
savoir
qu'il est réveillé. Or,quand il s'agit d'hystér
utrement du genre de sommeil dans lequel elles étaient plongées. Je
sais
seulement que c'est une sorte de som- meil, mai
l'hystérie. M. Cla- parède nie-t-il que ce soit un sommeil ? Il ne
sait
pas ce- pendant en quoi il diffère du sommeil n
non plus, et cela pour une bonne raison, c'est que ni lui ni moi ne
savons
en quoi consiste le sommeil naturel. Cela nous
vons en quoi consiste le sommeil naturel. Cela nous empêche-t-il de
savoir
que le sujet dort, et de savoir comment on le r
aturel. Cela nous empêche-t-il de savoir que le sujet dort, et de
savoir
comment on le réveille ? Je n'ai pas été cepend
Est-ce là la théorie classique du sommeil ? Ilyena tant que je n'en
sais
rien. Cela importe peu d'ailleurs. J'ai pensé q
ompte de ce qui fait le caractère des manifestations hystériques, à
savoir
leur caprice, leur mobilité, leur systématisati
On a dit encore : cette théorie s'applique aux grands sujets. Je ne
sais
pas quelle différence il y a entre un grand et
fallu qu'elles -connussent ce que j'attendais d'elles. Or, je ne le
savais
pas moi-même. Et même encore aujour- d'hui il m
oment où la régression de leur personnalité va com- mencer. Quant à
savoir
où elle s'arrêtera, je le constate, mais je ne
la portée de l'obser- vation : le sujet direct de l'observation ne
saurait
être autre qu' « une nation, considérée isoléme
constater comme fondement d'une- méthode sociolo- gique nouvelle, à
savoir
que l'homme va se sentir auto- risé à juger dès
te mê- me chez le déterministe ou l'épicurien pratiquants, qui se
savent
capables de prévoir et de modifier, souveraineté,
parfaite conviction de la nature illusoire du sentiment de liberté,
sait
que les notions qu'il retire de l'étude et du t
es, en cas de faute, seront prises pour excuse. Le déterministe qui
sait
que son sentiment de responsabilité, une fois d
t pas à des connaissances nouvelles, mais se réduit à des proces-
sus
inductifs ou déductifs très simples, par lesquels
e, supposition déjà par elle-même infiniment in- vraisemblable ; on
sait
que chaque centre de souvenirs, primaire ou sec
ses alors timidement sur la nature de la spondylose rhizomélique, à
savoir
que cette affection est une ostéopathie infecti
ut à fait opposées à ce qui est généralement admis en la matière, à
savoir
: la paralysie des béquilles n'est pas une para-
ier, sans ambition, modeste comme tous les vrais sa- vants. Il aura
su
trouver dans la culture de la science, qu'il ad
par semaine aux jours et heures pa- raissant le plus convenables à
savoir
le mardi et le vendredi à 3 heures du soir. En
ent. Pour l'hygiène nous nous sommes borné au strict nécessaire à
savoir
: hygiène de la salle de malades au point de vue
itablement un métier on y con- tribuera sans doute. C'est là, on ne
saurait
trop le dire, une amé- lioration urgente destin
Zola, puis il aborde ce problème de l'hérédité que l'auteur pen-
sait
ou peut-être prétendait avoir scientifiquement me
histoire et un exposé, une discussion et un plan de trav ail. On
sait
que, d'après lui, il faut distinguer, chez l'homm
i. , La première édition de cet ouvrage date de 1846, nous devons
savoir
gré à M. Bourneville d'avoir fait revivre dans ce
e 3 0]0 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
géné- ration collaté'-ale de ner- veuses terminées par des mas-
sues
de croissance, iL J'état pa- thologique et à l'
onage scientifique. En faisant à cette Revue un hon- neur dont elle
saura
se rendre digne, la Société de Neurologie de Pa
estion dans cet am- phithéâtre, il y a déjà dix années (2). Vous le
savez
, l'hérédité nerveuse peut être définie : l'apti
ronique et la loi d'hérédité homoto- pique. A vrai dire, et ceci ne
saurait
vous surprendre, en pathologie, nous ne devons
de l'anatomie pathologique de la maladie de Friedreich est celui de
savoir
s'il y a vraiment sclérose des faisceaux pyrami
dégéné- ration, l'altération des fibres pyramidales elles-mêmes ne
saurait
être mise en doute, car jamais les fibres cordo
sants pour esquisser un commencement de diagnostic topogra- phique,
savoir
: 1° L'hémiparaplégie gauche. 2° L'hémidysest
lle cepen- dant l'attention des cliniciens ne me semble pas, que je
sache
, avoir été éveillée et qui n'en mérite pas moin
our cette forme qui, accidentelle dans ses causes et ses effets, ne
saurait
comporter une évolution absolument fatale et in
r à l'état normal de la substance médullaire ? C'est possible, nous
savons
que le cylindraxe a souvent la vie dure, mais peu
ieurs. Instruit par le spectacle de cette évolution mor- bide, nous
savons
nous armer pour l'avenir, les yeux fixés non seul
rs, brusques, saccadés quand le malade est debout. Il plane au-des-
sus
de l'épingle qu'il doit saisir ; l'écriture dont
ation. Une brusque et légère secousse suflit à le faire tomber. Il ne
sait
pas corriger immédiatement par son cerveau, le
s que si on les attache, il peut encore se tenir debout, mais il ne
saurait
marcher. Il n'a plus ses balanciers. M. Babinsk
sement limité du vermis supérieur. Ce diagnostic de localisation ne
saurait
évidemment être définitif. Rétros- pectivement
e cuiller ? - Je le pourrais bien dire. A quoi cela sert-il ? Je ne
sais
pas. Est-ce pour écrire ? - Non. Est-ce pour
- Levendre. C'est Legendre ? Levendre. Quel âge avez-vous ? Je ne
sais
plus Où êtes vous née ? Je ne sais plus. Avez
re. Quel âge avez-vous ? Je ne sais plus Où êtes vous née ? Je ne
sais
plus. Avez vous vos lunettes ? - File les cherc
u le premier et décrit le phénomène qui fait l'objet de cette note,
savoir
: la contraction énergique et très évidente de
le bassin de son côté : l'élévation du bassin du côté oscillant ne
saurait
se produire que par un mouvement de rotation au
ulier que cela paraisse, l'accord n'est pas fait sur la question de
savoir
si le bassin s'élève ou s'abaisse du côté du memb
es; ces éventualités sont fréquentes. Dans ces cas évidemment on ne
saurait
parler de pseudo-Paget. Une des déformations qui
Frappent droit dans le coeur aux heures de souffrance, Comme ils
savent
rouvrir les fleurs des temps passés Et nous ens
barbier, passa ensuite trois ans à l'Hôtel-Dieu. On s'est ingénié à
savoir
à quel titre il y fut attaché ; ce n'est pas comm
s autopsies. C'est ainsi qu'il fit son éducation pratique. « Faut
savoir
, dit-il, que par l'espace de trois ans j'ai résid
d'expérience chez un homme de son âge, il ajoute : « Le bonhomme ne
savait
pas que j'avais demeuré trois ans à l'Hôtel-Die
xvie siècle, les corporations médicales ne s'inquiétaient guère de
savoir
quels chirurgiens accompagnaient les armées, et
séances, mais au do- micile du plus âgé de ses examinateurs. Nous
savons
qu'il fut reçu; respectons ce huis clos. Quatre
ns, écrit-il, qui excellent aux oeuvres de l'art, il en est (chacun
sait
de qui je veux parler, sans qu'il soit besoin que
parler, sans qu'il soit besoin que je les nomme), il en est qui ne
savent
pas décliner leur propre nom. Nous les avons vu
ue les oeuvres d'Ambroise Paré, « homme très impudent et sans aucun
savoir
», disait- elle, ne pussent être mises en vente
aient été vus au préalable et approuvés par la Faculté. » Nous ne
savons
pas comment finit le procès, mais il est permis d
ors l'étendue d'icelle, et qui appartient proprement au Médecin. On
sait
assez ce qui est arrivé sur ce sujet, sans que
Galien, et pour mon'particulier qui m'a enseigné et donné ce peu de
savoir
que je désire communiquer aux autres. » La Facu
hirurgien Guillemeau, sous prétexte qu'étant chirurgien, il ne peut
savoir
le latin. Elle déclare dans sa séance du 15 déc
choses : « l'ignorance en est docte, dit Paré, et l'appétit de les
savoir
est une espèce de rage ». Pour y avoir touché plu
l'homme est mu par des passions politiques ou religieuses, et je ne
sais
pourquoi je distingue des passions qui dans la pr
ssi en trempait-on un morceau dans la coupe où le roi buvait. On ne
sait
où les marchands se procu- raient cette denrée,
luth monté avec des cordes faites de boyaux de brebis et de loup ne
saurait
être accordé. C'est le comble du désaccord.....
ntéressent et que nous les relevons si soigneu- sement, cherchant à
savoir
quels sentiments, quels préjugés, quelles er- r
0 femme avaricieuse, dit Menoux simplement, les eaux de la Rose ne
sauraient
laver cette souillure. » Une autre fois, dans u
nom et les vertus du Saint ne tomberont pas dans l'oubli, car il a
su
inspirer un apologiste érudit, M. l'abbé Moret.
. Il fallait qu'ils puissent répondre aux lazzis des fous et qu'ils
sachent
supporter leurs mauvaises raisons. Ces deux hom
es fous, et de célébrer sa vie, son martyre, ses prodiges. Et qui
sait
? ... Un jour, peut-être, verra-t-on, par un nouv
ux croi- sés et des cordons postérieurs ; mais vous n'êtes pas sans
savoir
qu'il existe' des variations importantes de cet
d'atrophie dégénérative qui paraît en pleine évolution. Ce proches-
sus
ne s'accompagne pas de sclérose névroglique appré
tal Mauriziano le 20 avril 1901. Père mort à l'âge de 50 ans, on ne
sait
de quelle maladie, mère vivante, un frère en bo
onstater les divers systèmes de fibres et de cel- lules détruites à
savoir
: la masse ganglionnaire de la substance grise de
une coupe au niveau de la partie moyenne de la protubérance au des-
sus
de l'origine du trijumeau, on ne voit plus trace
e la latéralité, on y trouve la confirmation de cette hypothèse : à
savoir
qu'une lésion placée dans cet endroit, petit rete
abord, faire penser à un processus de même ordre, d'autant plus qu'on
sait
au- Fig. 5. - Surrénale. un voit la fibreuse
des ex- trémités dans la maladie de Marie, il était intéressant de
savoir
s'il y avait trace d'une reviviscence de la moe
ire une dépendance directe de l'acromégalie ; (1) CARLO MARTINOTTI,
Su
alcune particolarita di struttura della fibra mus
les tumeurs malignes, les sarcomes, les épithéliomas. Il importe de
savoir
s'il existe un rapport constant entre l'acromégal
thérome chez des lapins thyroïdectomisés. Il eût été intéressant de
savoir
l'état des pituitaires dans cette double série d'
ta à la consultation de l'hôpital le S juillet J.901 : il nous fait
savoir
que depuis quinze jours il souffre d'anorexie,
e nous avons posé le diagnostic de « maladie de Quinke », nous n'en
savons
pas beaucoup plus que le malade lui-même qui sa
ke », nous n'en savons pas beaucoup plus que le malade lui-même qui
sait
nous dire que sur la peau de son corps se forme
dessine sur le ventre une courbe à concavité à droite. Les creux
sus
et sous-claviculaires droits sont très accusés.
thogénie de cette bizarre affection sont encore peu éluci- dées. On
sait
seulement que c'est au moment même que la personn
usculaires des muscles de l'avant-bras et de la main intéressée ; à
savoir
: les interosseux et les muscles de l'éminence th
age chez les tabétiques et sur le traite- ment des hémiplégiques, à
savoir
: masser les muscles en hypotonie et laisser tr
urera-t-il ? » le médecin n'a rien à répondre, si ce n'est qu'il n'en
sait
rien. » En dehors des rechutes, le traitement d
LTERNANTE AVEC L0119B0-SCIATIQUI; DROITE PAR HENRY MEIGE. .On
sait
que des déformations du tronc accompagnent souven
e qu'on se rapproche du bulbe ou du renflement lom- baire ; elle ne
saurait
donc être mise sur le compte des lésions cortical
perdu une soeur morte jeune de tuberculose pulmonaire. Sa femme ne
sait
que peu de choses concernant son état de santé av
définies peut être produite par diverses maladies infectieuses. On
sait
d'ailleurs que la maladie des chiens se lo- cal
ont sans doute susceptibles de provoquer les mêmes désordres. On ne
saurait
nier, en tout cas, l'intérêt -que présente la con
faisaient songer à une hémiplégie de l'enfance alors qu'il- s'agis-
sait
en réalité d'une hémiplégie survenue à 62 ans et
verbale. Cette femme n'ayant jamais appris à lire et écrire, il ne
saurait
être question d'agraphie ou d'alexie. L'aphasie
he parfaitement paral- lèle aux phénomènes cutanés. De plus, nous
savons
tous que les maladies par infection peuvent être
dans les cas idiopathiques (c'est-à-dire dans les cas dont nous ne
savons
pas trouver la cause),dans les observations bie
ranulations du tympan par du coton imbibé d'acide chromique produi-
sait
la formation d'oedèmes circonscrits à la langue,
mes. Pathogénie. Nous croyons avoir bien démontré nos assertions, à
savoir
que les trois formes en question sont liées par
les différences que dans les propriétés chimiques et biologique son
savait
exister entre le liquide de l'oedème et le séru
production de l'urticaire. Cela nous ex- plique un fait capital ; à
savoir
l'association fréquente (mais non constante) de
s non constante) des oedèmes avec les phénomènes vasomoteurs ; nous
savons
que si les centres trophiques, vasomoteurs et s
bien par voie réflexe à la suite d'excitations périphériques, nous
savons
aussi que l'action lympha- gogue peut s'expliqu
urticaire est facilement expliquée par la connaissance d'un fait, à
savoir
que la plus grande partie des lympha- gogues de
ent aussi le sang moins coagulable. L'étude de la deuxième forme, à
savoir
de l'oedème de Quinke, nous confirme dans notre
dème de Quinke, nous confirme dans notre idée. A ce propos, il faut
savoir
que Cassirer dans sa monographie avait déjà rel
ports étroits par lesquels cette forme est liée à l'urticaire. Nous
savons
que dans l'urticaire « l'oedème passager de cer-
e évolution parfaitement identique, guérir dans le même temps. Nous
savons
aussi que l'oedème de Quinke vrai, c'est-à-dire
ement les données expérimentales indiscutables. A ce propos il faut
savoir
que les deux auteurs sont parfaitement d'ac- co
ues unissent' 4 eek manifestations une autre série de phénomènes, à
savoir
les crises de gasi : iZ=, succorée [Collins (10
ues aux phéno- mènes contemporains de la peau dans un autre sens, à
savoir
qu'il s'agit pour tous d'une excito-sécrétion.
é des caractères morphologiques. Il y a toutefois une différence, à
savoir
que, tandis que dans le trophoedème « chaque segm
productidn de la lymphe, qui retentit sur le tissu intermédiaire, à
savoir
sur le tissu conjenctif. La conclusion de notre
décrits par Oypenlaeiala (134.), par Loepel' et Croupon (135), nous
savons
qu'ils n'appartiennent pas à cette catégorie ni a
is que le reste de la peau du corps en est parfaitement libre. Nous
savons
enfin que le trophoedème chronique'eut aussi être
- lent (Crocq) et l'épanchement aigu ou chronique du genou que nous
savons
appartenir à cet ordre de phénomènes. La variat
(décembre 1903) l'amélioration persistait presque entière. Nous ne
savons
pas si elle persiste encore, car nous n'avons plu
spects variables suivant l'incidence des rayons, comme s'il s'agis-
sait
d'une lamelle osseuse aplatie (PI. XLI). On ne vo
, 1904. 310 M. VILLARET ET FRANCOZ Elle est née à terme ; elle ne
sait
pas à quel âge elle a commencé à marcher. Elle
as de Shermann la deltoïde est très atrophiée ainsi que les muscles
sus
et sous-épineux. Le reste du muscle est presque
tre dans son autopsie un muscle sous-clavier hypertrophié qui nais-
sait
de la face postérieure du ligament remplaçant la
Ce dernier se base sur la tardive soudure des fonta- nelles ; nous
savons
quelle est' la valeur de ce signe méconnue par ce
me une symphyséotomie (Varnier)(9 ). De même chez notre femme, nous
savons
que si deux de ses accouche- ments ont été norm
individus soumis à mon examen appartenaient au sexe léminin. Je ne
sais
si cette observation a une importance quelconque.
que des variations absolument superficielles, sur lesquelles on ne
saurait
fonder aucune conjecture, quant à l'état des tiss
z l'un quelconque des sujets que j'ai examinés. Les adhérences, on le
sait
laissent après elles des traces indubitables, s
ucéphalie et des productions congéni- tales objet de ce mémoire. On
sait
que ces rapports sont considérés comme très étr
ant à cette masse ; ils les ont décrit avec un soin minutieux. Nous
savons
ainsi que l'on retrouve tous les troncs habituels
cessus intervient, qui est infiniment plus actif ; c'est le proces-
sus
hémorragique que l'on observe constamment dans la
re des lésions. Telle est, dans son ensemble, la marche des proces-
sus
que l'on observe dans la moelle. Ces processus so
ais ils n'ont pas exactement localisé le point de départ du proces-
sus
en portant le diagnostic de polio-encéphalo-myéli
s'impose à la vue. Les compressions anormales de l'accouchement ne
sauraient
produire les hémorragies que nous constatons, a
relatives à l'anatomie pathologique de la méningite ; mais cela ne
saurait
en aucune façon être un élément de doute relati
conjonctif péri-ganglionnaire et quelques capillaires dilatés. On ne
saurait
trop insister sur cette intégrité presque absol
pouvait en être autrement, car cette tumeur vasculo-conjonctive ne
saurait
être vraiment comprise que si l'on a suivi pas
peut renfermer encore une certaine qnantité de tissu nerveux. Il ne
saurait
y avoir aucun doute sur la réalité du phénomène
sième chapitre, qu'il intervient certainement un autre fac- teur, à
savoir
la localisation initiale de l'inflammation. Il no
estruction à l'état de tumeur constituée, la continuité des proces-
sus
est suffisamment nette, pour qu'il soit indéniabl
teur entre seul enjeu dans ce cas particulier, c'est ce que l'on ne
saurait
affirmer sans réserves. Il n'en reste pas moins q
out autre processus dans les cas ordinaires, il est sans intérêt de
savoir
quels faisceaux sont ou ne sont pas atteints. Les
doublant un épiderme très altéré, mais sur l'identité duquel il ne
saurait
y avoir aucun doute. · Les faisceaux nerveux
et sphincters normaux. Intelligence un peu lente, enfantine ; mais
sait
lire, écrire. Instabilité men- tale. Mémoire
H... est celui queWestphal publia en 1883, et qui est connu, on ne
sait
trop pourquoi, sous le nom de pseudo-sclérose e
illain, de Pauly et Bonne, y est signalé comme léger et il faudrait
savoir
s'il s'agit d'un tremblement analogue à celui de
t nullement maître de ces convulsions et qu'un effort de volonté ne
saurait
ni retarder leur apparition ni les abréger d'une
e à celui qui ré- sulte de l'électrisation d'un nerf moteur ; je ne
sache
pas qu'expérimenta- lement chez l'animal on soi
e paraît être la suivante, qui n'a point encore été proposée que je
sache
. La guérison de la paralysie faciale s'est fait
u facial pour remé- dier à une section accidentelle de celui-ci. On
sait
que, dans ces condi- tions, on peut voir les co
re qui entoure l'avant-bras, et qu'ensuite on palpe les os par des-
sus
la peau, on a certainement l'impression qu'ils so
e chez l'enfant. Bornons-nous à dire que, grâce à ces résultats, on
sait
, aujourd'hui, que tous les âges y sont soumis el
r chez les descendants l'éclosion de la névrose. Malgré ce que nous
savons
sur l'hystérie mâle, on aura plus de ten- dance
ibre musculaire. Et ce fait vient corroborer la notion d'étiologie, à
savoir
que le trauma n'est pas nécessaire : quand il e
e soit par- tout indolente à la pression localisée. Car nous devons
savoir
qu'une ar- thrite quelconque, et surtout tuberc
certain : sans elle nous fussions restés embarrassés, quoique nous
sachions
que l'hystérie de l'en- fant a l'habitude d'êtr
, à la suite d'un traumatisme dans les trois cas. Cependant il faut
savoir
que certaines arthrites rhumatismales des ver-
nettement localisées à l'endroit lésé, et d'ailleurs ces lésions ne
sauraient
provoquer une contracture aussi prononcée des mus
ement par suspension ? Le bassin est alors bien horizontal et il ne
saurait
être question d'attitude hanchée. Nous ne conte
chronique, une tuberculose osseuse ou articulaire, la grand'mère ne
sait
pas au juste. On n'a aucun renseignement sur le
e 7 ans et la grand'mère, qui s'occupe d'elle depuis cette époque, ne
sait
ab- solument rien de ses premières années. Dura
ne foule de petits détails qui laissent déjà dans l'esprit un je ne
sais
quoi de suspect au point de vue névropathique.
, et nous vîmes une ligne épi- neuse parfaitement droite. Mais nous
savons
que parfois la paraplégie,par tuberculose d'une
ure hystérique des accidents, peut-être provoqués par la grippe, ne
saurait
être mise en doute. Mais comment expliquer les tr
LES ENFANTS 469 tique que pathogénique, ressort un fait capital : à
savoir
que les manifesta- tions musculaires de l'hysté
r en série, ce fut moins brillant quoique encore très rapide. On ne
saurait
dire que chez notre scoliotique il fallut trois
es fut de 27 en quelques mois et de 110 la troisième année, nous le
savons
par les publi- cations de M. Constans, de M. Ku
moire après la crise est loin d'être complète chez plusieurs : « Je
sais
que le diable a dit ou fait telle chose ; mais
CROMÉLIES CONGÉNITALES 487 que favorisent les éleveurs, mais qui ne
saurait
aboutir une race par suite de l'état d'inférior
t le gauche 21, tandis que le cubitus avait 22 centimètres. On ne
saurait
, croyons-nous, être actuellement trop circonspect
importe de les connaître, de les avoir pré- sentes à l'esprit et de
savoir
qu'elles peuvent simuler jusqu'à un certain point
qui prêtent à une plus facile confusion avec l'achondroplasie. On ne
saurait
, du /reste, trop attirer l'attention sur ces de
et que ce sont des individus normaux, bien proportionnés, qu'on ne
saurait
, en aucune façon, rapprocher des êtres difformes
famille lorsqu'ils ne sont ni achondroplasiques, ni rachitiques, ne
sauraient
, pour cela être considérés comme normaux et doi
ar incurvation des os grêles et souvent fracturés. Toutefois, on ne
saurait
trop rappeler l'existence de formes frustes qui p
i peuvent être simulées par d'autres affections, et combien l'on ne
saurait
rester encore sur une trop grande réserve vis-à-v
l'achondroplasie comme un rachitisme compliqué de crétinisme. Nous
savons
aujourd'hui que la synostose prématurée de la b
orbides qui peuvent (accidentel- lement coïncider, mais que l'on ne
saurait
plus confondre aujourd'hui. Vargas soulève la q
et toute autre maladie sclé- 1 rasante pourront agir de même. On ne
saurait
donc regarder l'achondroplasie comme une lésion
t, et il est de stature moyenne. Sa mère est morte, nous n'avons pu
savoir
de quoi. Eu tout cas elle n'a pas souffert d'un
e de ses connaissances assez limitée. Il n'a aucune culture ; il ne
sait
ni lire ni écrire, ce qui d'après lui serait la
nt. Pas d'hallucinations. L'orientation allopsy- chique altérée. Il
sait
écrire. Il a été cabaretier et en même temps recé
ent tandis que là ils se sont arrêtés dans leur développe- ment. On
sait
d'autre part que dans le gigantisme ce sont les s
t suffisamment expliquer l'apparition de l'achon- droplasie, car on
sait
que les ovaires (comme les testicules) ont une ac
, a repris ces faits, expérimenté lui- même et exposé tout ce qu'on
savait
de l'action du testicule sur la crois- 558 PARH
ujet, plaide pour l'hypothèse d'une cause unique. En tout cas, nous
savons
que la radiographie nous permet une étude des a
mbulant traîné dans une charrette par un chien terre-neuve. Il faut
savoir
encore qu'à la même épo- que, le chirurgien lui
aussi pendant la période embryonnaire, il existe la même faculté, à
savoir
que, à la suite d'une irritation prolongée des
emontons aux premières périodes du développement de l'embryon. Nous
savons
que les membres se montrent à la fin de la 4e sem
os dans l'échelle animale, les partisans de la théorie atavique ne
sauraient
trouver ici l'application de leurs idées. Seul
culation du genou date d'une époque antérieure à la naissance. Nous
savons
en effet que, au commencement du troisième mois d
ation paradoxale », selon l'appellatif de Lannois et K1¿SS. « Il ne
saurait
y avoir, en effet, de luxation proprement dite ;
présentaient l'ab- sence de quelque doigt. Ce fait d'observation, à
savoir
que dans les cir- constances de même nature on
s doigts est très habile et présente très facilement un arrêt. Nous
savons
en effet que presque toujours les difformités c
- ner de renseignements précis sur ses antécédents héréditaires. Il
sait
seule- ment que sa mère est morte à 23 ans de f
é des stigmates indélébiles ont donc une valeur probatoire qu'on ne
saurait
exagérer : ils démontrent avec évidence que le ty
1898)j PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 603
sus
observés ; nous pourrons ainsi comprendre les div
au-delà des limites ordinaires ; cette prolongation, à son tour, ne
saurait
avoir lieu si l'or- ganisme ne présentait une r
ues. Il est incontestable, en effet, que la régulation thermique ne
saurait
être exactement établie chez un nou- veau-né dé
. Lorsque la squelette est par- faitement rigide, cette tendance ne
saurait
être suivie d'effet permanent et la contraction
re, en bon état. L'intégrité de la base, phénomène très général, ne
saurait
surprendre : la méningite débute sur la face co
ieur. Ce prognathisme est, on le voit, tout à fait relatif et l'on ne
saurait
in- voquer, comme on l'a fait quelquefois pour
. Des membranes osseuses, les lésions se propagent à la peau : nous
savons
que, d'une façon très générale, la destruction cu
érales de l'occipital fait défaut,le trou occipital existe,-et l'on
sait
que Isidore Geoffroy- Saint-Hilaire a fondé sur
mbre d'autres. Là où n'existe aucun vestige d'os de membrane, il ne
saurait
être question que de la vitesse suivant laquell
fermé en bas et ouvert en haut répondent au phénomène général. Nous
savons
, en effet, que la soudure des lames vertébrales
née établie par les recherches cliniques et anatomo-patholobiques, à
savoir
l'affinité toute spéciale des lésions pour les
ique. Sur son corps cependant, on compte 32 tumeurs exostosiques, à
savoir
: Une 1'° au-dessus et en dehors de l'articulat
a précédente, 7 ans ; jamais malade. Dès les premières années on ne
sait
préciser on commença à observer sur elle deux tu-
deux tu- meurs de mêmes caractères que celles des cas précédents, à
savoir
: circons- tance pierreuse, forme ronde, indole
mme une noisette, de consistance osseuse, indolente. La malade ne
sait
donner aucune indication précise sur l'époque de
d'une vraie exostose, il devait s'agir d'un gros enchondrome. Nous
savons
, en effet, que dans toutes les régions où de co
xostoses, peuvent aussi se déve- lopper des enchondromes; mais nous
savons
encore que sur le même indi- vidu on peut simul
e, par l'évolu- tion ultérieure des deux formes en question. Nous
savons
, en effet, que l'accroissement du volume des exos
eur de l'une ou de l'autre en- tité morbide. D'un autre côté, on ne
saurait
exclure d'une manière absolue que du stade prim
elette est complète, e'est-à-dire vers les 25 ans. Broca dit : « On
sait
que l'accroissement en longueur des os longs se
e gaine complète. On a ici l'impression de la continuité du proces-
sus
méningé et du processus épendymaire. La méninge
compose de sept membres dont cinq sont atteints d'ophtalmoplégie, à
savoir
: la mère, trois de ses enfants et l'enfant d'u
n à relever. Le développement intellectuel est faible, la malade ne
sait
ni lire, ni écrire ; caractère irritable. - E
s les portions avoisinantes du champ ophtalmoscopique. La malade ne
sait
pas lire ; elle compte les doigts à environ un mè
ébile, une intelligence rudimentaire. Cependant elle a été à l'école,
sait
lire, écrire et un peu compter. Lorsqu'on l'exa
ce du système nerveux sur les premiers temps du développement, nous
savons
, par les recherches expérimentales de Scha- per
ut admettre que le système nerveux joue le rôle de régulateur. Nous
savons
, par les récentes recherches de Wintrebert, qu'
différenciation des parties ? Est-ce une action nécessaire ? On ne
saurait
évidemment établir un parallèle absolu entre des
à la disparition du cerveau et de la moelle ? C'est ce que nous ne
savons
pas davantage. Toutefois, il serait assez surpr
particulier, celui de la syphilis (3). La question se pose alors de
savoir
si la pseudencéphalie n'est pas une manifestation
e, et avec une ingénuité vraiment charmante, ils affirment qu'il ne
saurait
y avoir in- flammation puisqu'il n'y a pas syph
nt en circulation dans le sang maternel ». Il serait intéressant de
savoir
d'où vient cette vulnérabilité spéciale de l'am
male, à laquelle il ne manque parfois aucune partie. Aucun doute ne
saurait
subsister. Les foetus qui nous occupent ne sont p
elettiques marchent de pair avec ces variations anatomi- ques. Nous
savons
cependant que la dégénérescence préalable de la m
la vie extra-utérine des foetus pseudencéphaliens.La survie, on le
sait
, peut être assez longue et atteindre 6 à 8 jours
ion motrice, sensible, trophique sur l'ensemble des organes ; on ne
saurait
être surpris qu'il prouve à un foetus dépourvu
n'y eûtlà qu'une manifestation géniale d'un romantisme échevelé. On
sait
que Goya, au déclin de sa vie, fut frappé de céci
cumentaire et symbolique que ne possède aucune autre. 1 . , On ne
saurait
s'appuyer sur les évocations cauchemaresques d'un
lois com- 706 MARIE munes qui les relient.L'artiste véritable ne
saurait
inventer l'irréel ; pour bien peindre le malade
d'être repêchée et de subir les manoeuvres du sauvetage. Elle ne
sait
pourquoi elle est prise de rires, ni pourquoi il
les voix nasales. Tous les centres perceptifs encéphaliques, on le
sait
, quoique indépendants les uns des autres, commu
entre à l'asile clinique (Sainte-Anne), le 2 novembre 1891. On ne
sait
rien de précis sur la famille du père, mais un on
orcé de me surveiller constamment, mon excita- tion augmente. Je ne
sais
parfois si j'ai parlé ou non, car, quelque biza
t le malaise qu'elle produit absorbe tant mon attention que je ne
sais
qui croire de mes oreilles ou de mes lèvres. La
urs fois aussi, elle se sentait poussée à tuer ses enfants, elle ne
sait
comment ces idées lui venaient, mais elle en étai
ROY, Professeur à la Faculté de médecine de Lille. . \ l - - On
sait
que Duchenne (de Boulogne) a groupé sous le nom
t devenue très difficile, sinon impossible pour le moment, car on
sait
maintenant que le syndrome paralysie générale s
endroit où sont situés ses pieds. Avant, il lui était impossible de
savoir
à quelle distance on écartait ses membres infér
ais c'est au médecin,' ainsi que je vous le' disais l'autre jour, à
savoir
démêler ce qui est véridique et à ne pas condam
cette époque, nous pouvons le constater encore tous les jours. Vous
savez
par exemple qu'il est parfois diffi- cile de pr
ou les connaissances néces- saires pour un certain métier, elles ne
savent
plus broder ou coudre, elles perdent le langage
ibre dans la sta- tion verticale et dans la marche' ». Le malade ne
sait
plus se ' Paul Blocq. Sur une affection caracté
ves, t. XXIV. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE. servir de ses jambes, il ne
sait
plus marcher. Nous ne pou- vons entrer dans le
asion de voir cette maladie de l'esprit sous sa forme typique. Vous
savez
qu'il y a ici dans le service de M. Charcot un
ière, et après une minute ou deux, au plus, elle déclare qu'elle ne
sait
où elle est et qu'elle se croit encore à Cognac
u telle des opérations composantes. Il n'est pas sans importance de
savoir
avec précision quel est le phé- nomène altéré :
e hystérique et dont elle sort par des convulsions. Elle n'a jamais
su
au réveil ce qui se passe pendant cette période
à de certains moments, donc ils sont toujours bien conservés. Vous
savez
comment M. Charcot s'est aperçu pour la premièr
qu'elle n'avait pas autrefois cette peur des chiens, et qu'elle ne
sait
pourquoi elle les re- doute ainsi maintenant :
peu de chose pour avoir une mémoire normale. Mais tout ce que je
sais
, c'est que M. Souques, pendant deux mois et moi-m
ne trouve pas et se déclare incapable d'écrire un nom qu'elle ne
sait
pas. Procédons autrement, je m'écarte d'elle et j
a vus et m'a demandé de vous les présenter. Il faut dans la science
savoir
être recon- naissant, pour que nos faibles trav
achromatopsie de l'oeil gauche et surdité de l'oreille gauche. Vous
savez
ce qu'il faut entendre par ces anesthésies. En ré
ez elle, un peu long et délicat à produire. Cela dépend, comme vous
savez
des sujets et de leurs dispositions. L'un de ce
récents ou anciens et n'a plus de lacunes dans ses souvenirs ; elle
sait
tous les som- nambulismes artificiels par où el
mieux dans les variations de la sensibilité consciente. Mais nous
savons
que cette explication est très particulière et qu
c les indications et les contre- indications qu'il y a lieu de bien
savoir
établir. Ce nou- veau chapitre de pathologie es
utà coup pris d'une impulsion ; il s'en rendait très bien compte et
savait
qu'il faisait mal, mais l'impulsion était plus
uelques ins- tants après, sous la même impulsion il redescend. « Je
sais
, dit-il, qu'il ne faut pas que j'y aille, que j
ce qu'il a, il dit simplement : t je sens que je suis malade, je ne
sais
pas ce que j'ai. » L.... se rappelle très bien
pulsion dominait tout; il fallait qu'il marchât. Donc, il part sans
savoir
où, sans connaître le chemin; c là où les chemi
il était midi et est rentré dans un res- taurant pour déjeuner. Il
sait
que ce restaurant est situé dans la rue de Join
e, mais il ignore ou ne se rappelle plus le nom du restaurateur. Il
sait
parfaitement qu'il a mangé une soupe, du boeuf,
st un dégé- néré héréditaire, la dipsomanie n'étant, ainsi qu'on le
sait
, qu'un syndrome épisodique de la folie des dégé
. fOFFIioY. V... est un fou, c'est entendu; il s'agit maintenant de
savoir
s'il a accompli son crime pendaut une période de
lexus clinique de cette maladie pré- sente une évolution dont on ne
saurait
méconnaître le type ; c'est 1 Voyez Archives de
e accompagnée de troubles psychiques se termi- nant par la mort. On
sait
en effet que tous les cas de chorée ne sont pas
épartements (Loender), venant en aide aux communes, ' M. Gauster en
sait
quelque chose, puisqu'il a été médecin en chef et
ochondrie, redoutent perpétuellement le ramollissement cérébral, ne
sauraient
être internés dans un asile d'aliénés, car le s
- sable pour l'existence en société. Il est indiscutable qu'il ne
saurait
y avoir de prédisposition à commettre des actes
présence de maladies morales ; contre elles les asiles d'aliénés ne
sauraient
être le moyen vrai; en revanche, quand les idée
° Il existe une caté- gorie de criminels qui, sans être aliénés, ne
sauraient
être tenus pour des individus normaux; ce sont
urement civil et administratif ou d'ordre pénal ? Conclusion. On ne
saurait
punir les dipsomanes. Leur inter- diction exige
pour buveurs est le fait d'une illusion, car il est impos- sible de
savoir
ce que sont devenus la plupart des buveurs mis en
t suivre les mêmes errements que celle des aliénés; cette mesure ne
saurait
être prise avant qu'on ait entendu un ou plusie
que ces petits pavillons sont trop difficiles à surveiller. Or, on
sait
combien dans ces établisse- ments il faut surve
c une adaptation architecturale à trouver. D'autant plus qu'il faut
savoir
ménager les ressources dont on dis- pose. On ne
questions nous montre que c'est à l'Etat ou à la province, qui ont
su
se montrer si actifs en matière d'assistance de
s accès de dépression ou de mauvaise humeur qu'il faut connaître et
savoir
manier. Il n'y a pas d'autre traitement à appli
ppose la direction morale. Quel est le moralisateur non-médecin qui
saura
utiliser et développer les forces intellec- tue
balterne. La clinique et l'anatomie pathologique sont, comme chacun
sait
, les bases de toute la méde- cine, à quelque fo
. On n'a malheureusement pas encore de statistiques permettant de
savoir
combien d'épileptiques on aura à hospitaliser dan
digent le moins curable abesoin du discernement médical ; ilfaut
savoir
, suivant son état morbide, lui dispenser les soin
paraphasie est, à cet égard, particulière- ment intéressante. On ne
saurait
méconnaître que, lorsque la fonc" tion du son c
plus tard, par M. Sommer, et il trouve que les symptômes actuels ne
sauraient
être rattachés à un trouble de la mémoire encor
ÉTÉS SAVANTES. direction. Voici un objet qui frappe mes regards, je
sais
ce que c'est, j'en ai l'idée, la notion précise
essaie la thérapeutique psychique. Elle peut agir de deux manières
su
ries phénomènes matériels qui président aux anoma
es, organisées, cristallisées de la paranoïa et de la mélancolie ne
sauraient
céder. MM. KaOEMER et Siemens se plaignent de c
tiquer une incision à ce niveau, répétant en quelque sorte, sans le
savoir
, le procédé préconisé par M. Quincke. Le cas de
ritable- ment oiseux d'en parler. Nous croyons cependant qu'on nous
saura
gré d'avoir indiqué où se trouvent réunis tous
artiennent à notre profession. Et pourtant là encore M. Char- cot a
su
constituer un corps de doctrines s'appuyant sur d
lacons- tatation anatomique. Le chef de l'Ecole de la Salpêtrière a
su
s'an- nexer tant de contrées inexplorées avant
re a su s'an- nexer tant de contrées inexplorées avant lui qu'on ne
sait
trop ce que l'on doit le plus admirer : de son
Progrès Médical. Le livre est connu. Il présente, ainsi que chacun
sait
l'image de la clinique (imaginem belli) avec to
qu'au centre de l'observation (empirisme ra- tionnel) le clinicien
sache
mettre l'ensemble des connaissances de tous ord
aphie. M. Charcot les possède au plus haut degré. C'est ainsi qu'il
sait
discerner d'entre les nouvelles doctrines la no
essaire à un ouvrage d'enseignement, mono- graphie à laquelle on ne
saurait
adresser .que des critiques de dé- tail. Plutôt
e le grand bien que nous pensons de ce volume, ou M. Gaj- kiewicz a
su
réunir le suc, pour ainsi dire, des travaux les p
mportants parus sur la matière, avec un sens critique dont on ne le
saurait
trop louer. Paul BLOCQ. VARIA Statuts DE la S
Atteinte d'aliénation mentale, elle se croit dévorée par des sang-
sues
que des êtres imaginaires mêlent à ses aliments.
3 p. 100 prélevés par la poste et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rappe
A dix-huit ans, obsédée par le voeu de ne pas se marier, elle ne
sait
comment accepter une demande de mariage qui lui a
ontrent le rapport de l'affection avec l'épilepsie. Tout le monde
sait
, en effet, que l'épilepsie à elle seule peut dé
pie transitoire avec l'hystérie. Pour esquisser ces rapports, je ne
saurais
mieux faire que de m'en tenir à l'excellent Tra
ans un autre cas, la pression d'une zone ovarienne gauche produi-
sait
le scotôme, comme en d'autres circonstances elle
duisaient que dans des crises un peu forles, nous dit le malade, je
savais
que c'était le prélude de la fin de l'attaque.
un frémissement au bout des doigts de la main gauche, et, comme il
sait
que c'est le signe précurseur de l'accès, 1 Je
ès les attaques, mélancolie, plears, idées de suicide. Le malade ne
saurait
pas préciser, en ce qui concerne le scotôme dan
hysiopathologique sur laquelle repose l'amblyopie transitoire. Nous
savons
, en effet, que le substratum anato- mique de la
ur la topo- graphie du cortex sont bien loin d'être complètes; nous
savons
bien que les circonvolutions sensitives siègent
ment. Quant à l'agraplie, il est difficile d'en juger car le malade
sait
à peine écrire. Cependant il signe son nom sans
mps que d'aphasie motrice. La réalité de ce symptôme surajouté ne
saurait
infirmer notre titre d'aphasie motrice pure, ca
ur la première fois le malade, un mois et demi après l'accident. On
sait
que tout ictus, c'est-à-dire tout processus bru
mineuse et démons- trative l'application de faits que n'avaient pas
su
prévoir eux- mêmes, les auteurs de la découvert
la nature a bien voulu dévoiler à ses louables sollicita- tions. Il
sait
que la plaie la plus profonde dont. souffre l'hum
DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 241 concerne leur puissance, on ne
saurait
encore la définir. » (Trans. Internat. Med. Con
en thérapeutique que de connaître l'étendue de notre puissance ; de
savoir
ce que nous pouvons faire, aussi bien que de ne
pouvait sensément dériver que du sensorium et des divers proces-
sus
moteurs. Il enseignait aussi que les phénomènes
iquement établie entre l'aphasie et la lésion de la région que nous
savons
maintenant être le centre de l'articula- tion e
ations symptomatiques, souffrirait beaucoup dans sa réputation. Qui
sait
même, si en cas de mort, on ne mettrait pas sur
ns lapré- sence de ces invisibles et mortels ennemis, dont Lister a
su
nous débarrasser avec un si plein succès. Les
et l'enfant aujourd'hui vivant, est en par- faite santé. - On ne
saurait
trouver un plus bel argument en faveur de la chi-
., N. F., t. II, 1891.) 1 Faire voir les aveugles en leur faisant
savoir
qu'ils ont devant eux, ou qu'ils vont avoir dev
quée contre elle, et enchâssée dans le même anneau que le tamis; on
sait
que la lumière provoque, par action sur le sélé
bstance grise et, morphologiquement, sont identiques aux autres. On
sait
aussi que, dans toutes les racines postérieures
nes plus tard, l'hémiplégie a presque disparu, mais le deltoïde, le
sus
et le sous-épineux présentent une atrophie évi-
t de la syphilis, à la période du premier exanthème, alors qu'il ne
saurait
être question de gommes, exostoses, etc... Quat
us avancée de la mélancolie. Dans tous les cas, cliniquement, on ne
saurait
les confondre et prati- quement on doit se comp
eut se résoudre théoriquement, mais par des faits. Peu importe de
savoir
si Cotard a voulu établir, oui ou non, une entité
e. En dehors de ces deux circonstances, la vio- lation du secret ne
saurait
guère être incriminée; elle est du reste monnai
emblent de plus en plus à un hôpital; mais ce n'est guère là, je le
sais
, qu'une utopie, car il faudrait supprimer la lé
r). En principe, nous sommes partisan de toutes les réformes, on le
sait
du reste; cependant, nous avons quelques remarq
es, me semblent tout à fait extraordinaires, alors qu'en général on
sait
que les parents font tous leurs efforts pour l'
rdinairement agressif et révolté. Les distinctions fondamentales ne
sauraient
être trop mises en lumière; cependant elles ne so
la paralysie générale. A mon avis, la pseudo-paralysie saturnine ne
saurait
être considérée comme une entité morbide distin
une autre ; l'autre personne qui regarde agir et faire; mais je ne
sais
trop laquelle des deux est celle qui souffre. E
ection intelligente du docteur chef actuel de l'établissemenl. Nous
savons
apprécier son zèle et les heureuses innovations
ire prochainement, est la première de son espèce qui, autant que je
sache
, ait été accom- plie dans ce pays. Elle n'a été
ses. Elle parait contente d'avoir son chapeau sur la tête, car elle
sait
que c'est pour elle le signe qu'elle va sortir. T
normal dans le développement des os du crâne. D'un autre côté, nous
savons
que le développement du crâne augmente avec celui
r- cher à deux ans et à trois ans à dire quelques mots; mais elle
savait
les employer à propos. A treize mois, rougeole. A
ait très peu sage et augmenterait de beaucoup la mortalité. Reste à
savoir
si deux opérations latérales seraient plus effi
portion frontale du crâne ne se développa pas, et l'enfant parais-
sait
idiote. L'effet général de la nutrition ne se pro
très basse, mais les termes dans lesquels on donne les résultats, à
savoir
: amélioration générale, sont vraiment trop vague
omie ne se sont pas préoccupés sérieusement, avant d'intervenir, de
savoir
, par un examen anatomique des crânes, si les su
par le chirurgien. Et si nous disons très minutieux, c'est que nous
savons
par expérience, qu'il n'est pas toujours aisé,
fforcé de faire une étude médico-psychologique, d'indiquer ce qu'on
sait
ou croil savoir des amnésies, et plus encore pe
e une étude médico-psychologique, d'indiquer ce qu'on sait ou croil
savoir
des amnésies, et plus encore peut-être tout ce
S... est allée à l'école, mais elle apprenait difficilement et elle
sait
à peine lire et écrire. Depuis un an, on s'aper
lutter contre ces idées folles par des idées aussi absurdes. J'avi-
sais
de me servir du nombre 13 lui-même comme engin de
e ; toutefois, les tentatives sont assez rares, ces malades lucides
savent
qu'ils peuvent s'améliorer et se raidissent ain
aient d'une façon tout à fait distincte et indépendante. Or, l'on
sait
que l'hystérie peut s'associer à toutes les ma-
devenant toujours plus limitées; ainsi à l'heure présente elles ne
sauraient
se distinguer en rien des paresthésies, qui ont é
itre a décrit sous le nom de « diathèse d'amiosthénie D. Or, l'on
sait
que celle-ci peut être généralisée. Y a-t jl à s'
il n'y a dans cette interprétation rien d'étonnant. En effet, l'on
sait
que la cachexie et le marasme peuvent, dans l'h
a tuberculose de l'écorce cérébrale, c'est le lobule paracentral, à
savoir
les centres excito-moteurs de la jambe, tandis
les autres phénomènes de cette maladie sont absents; en outre, l'on
sait
que son début au delà de trente ans est très ra
aïeuls maternel et paternel sont morts à un âge très avancé, il ne
sait
si c'est par maladie ou par vieillesse. Son pèr
a langue, qui arrivait constamment dans toutes les attaques. Or, on
sait
que c'est là un phénomène presque caractéristiq
isemblable; en effet, l'accès comitial n'est jamais précédé, que je
sache
, par la diplopie : pour ce qui est de la scléro
utés tous les phénomènes de l'aura hystérique au grand complet, à
savoir
la boule qui remonte à la gorge, la sensation de
n a observé des exemples. Pour ce qui est de l'aphasie motrice nous
savons
ce qu'il faut en penser. Elle peut s'observer d
erveau, et d'un autre côté la présence des stigmates hystériques, à
savoir
l'anesthésie complète tactile, à la douleur et
absents les signes les plus caractéris- tiques de la fulguration, à
savoir
le délire et les troubles de la sensibilité, de
oir agi dans ce cas à la manière de toutes les autres infections, à
savoir
en débilitant - toutes les fonctions organiques
er aux lésions hémisphériques corticales ou sous-corti- cales. Nous
savons
que plus la lésion est proche de l'écorce (dans
qu'il s'agit de spasme vaso-moteur. 436 . CLINIQUE NERVEUSE. Nous
savons
, en effet, que le spasme des vaisseaux ne pourr
que le trouble visuel a, dans ce cas, la forme hémiopique, et nous
savons
que, dans l'hémiopie, la ligne de démarcation e
rd avec l'amblyopie croisée d'origine corticale et avec ce que nous
savons
sur l'anesthésie rétinienne (ou pour mieux dire
s réels et l'objectivité apparente des objets ne tiennent, comme on
sait
, qu'à la précision et à la complexité des images
e reproduire devant vous. Vous avez déjà vu cette jeune fille, vous
savez
qu'elle a vingt-trois ans, qu'elle est à la Sal
disparue de la conscience, mais qui existait latente, comme nous le
savons
, s'estréveillée, s'est rattachée à la conscienc
par les sensations que nous éprouvons, par tout ce que nous pouvons
savoir
du lieu et du temps où nous nous trouvons. Si,
ire partie de son rêve. D'après ses réponses, vous voyez qu'elle ne
sait
plus rien, ne se souvient plus du lieu où elle
Il me semble que je marche, que je parle, disait Berthe, mais je ne
sais
pas ce qui marche, ce qui parle en moi, car moi
ncore constaté chez deux malades du service de M. Charcot. Je crois
savoir
que M. Séglas l'a constaté aussi de son côté, s
es-moi cela. » Il n'y a presque rien à faire, mais ce rien elles ne
sauront
jamais le faire toutes seules. Elles viennent s
dans l'esprit de la malade, la notion de sa personnalité : Il faut
savoir
que c'est elle, à tel âge, dans telle situation
ention se détourne un moment, une seconde, et je suis perdue, je ne
sais
plus rien, je suis absorbée dans ce que vous me
complet que je vous ai fait constaté dernièrement chez Wiltm. Vous
savez
que l'on peut la maintenir pendant quelque temp
tion des choses présentes est extrêmement diminuée. Messieurs, vous
savez
qu'il est impossible de faire ici, en une séanc
ide/si bien que le malade ne tarde pas à revenir à Paris. Mais on a
su
qu'il avait été paralysé et l'on hésite à lui c
t à la Société médicale des hôpitaux (séance du 8 avril). S'agis-
sait
-il de délire hystérique ou de délire alcoolique ?
un résultat aussi rapide et aussi frappant ? Evidemment non, car on
sait
combien l'hystérie mâle est d'ordinaire tenace
die, ne résistent pas à l'examen : faiblesse de volonté;-ces sujets
savent
être très sobres quand c'est leur intérêt égare
placer ail- leurs. ' M. Marandon DE Montyel. Ma communication ne
saurait
s'appli- quer qu'à l'ivresse délirante que je d
rapports de 1883 sur ce sujet ('t; ! H'o<. Ccn- tralbl.). Il ne
saurait
reconnaître de valeur électro-diagnostique à la
ssaire d'utiliser pour l'étude des hallucinations mais qu'il faudra
savoir
interpréter. . - M. Liégeois a présenté une étu
e on contact successif avec les objets les plus divers. Tout le monde
sait
le rôle important attribué, dans la production de
ire que les onycho-phages sont maladroits de leurs mains et qu'ils ne
sauraient
en général être des ouvriers très habiles. Dans l
e. Il leur donnait en plus l'exemple de cette mauvaise habitude. On
sait
qu'une des propriétés les plus remarquables du sy
Cette démonstration imprévue venait inopinément continuer ce que nous
savions
déjà. D'ailleurs, dans beaucoup de pays, le senti
la mettre à exécution. Il en Cl part à sa grand mère dans les termes
su
i vauts : C'est siegjlier. j'ai à chaque instant
e en donnant Elle a uriné au lil toutes les nuits jusqu'à l'âge de 10
sus
: actuellement elle n urine que tons les 15 jours
père esl marchand de vins, c est-à-dire buveur professionnellement :
su
mère esl nerveuse. La malade a élé en retard dans
e de l'hahitude dans. l'a g's mûr. Les dégénérés doués, comme ou le
sait
.d'une résistance moindre pour réagir contre les i
faisait des reproches. Elle répondait presque naïvement : « Je ne
sais
pourquoi je dis tout cela ; ça nie vient tout seu
n de lin- leur destinée dans les astres, par les astres ils pouvaient
savoir
la direction à imprimera leur vie pour conserver
scienta amara présente divers inconvénients qu'il faut, tout d'abord,
savoir
reconnaître. La vulgarisation des choses de la
alades anonymes ne pourrions-nous guérir de leurs obsessions, si nous
savions
nous attacher davantage il leur en découvrir nett
s notions exactes et incontestées de la science, surtout parce quelle
sait
élaguer toute description embrouillée pour s'en t
ts entre les anciens et les modernes, que vieux et jeunes médecins ne
sauraient
plus se comprendre sans interprètes. Ce rôle d'in
terprètes. Ce rôle d'interprète semble dévolu au vulgarisateur : s'il
sait
le remplir, il sent récompensé bientôt par le suc
ons ! K» le» ilr-i touillant de la majesté du verbe, le vulgarisateur
saura
les restreindre à une domination plus modestes, t
iences psychiquess désireux aussi de voir la vérité se faire jour, de
savoir
si parmi ces liseurs de pensées, ou prétendus tel
que quelques-uns semblent affecter encore vis-à-vis de ces éludes ne
saurait
être considéré que coin me un scepticisme puremen
itique scientifique, qui ne s'attarde pas aux petites considérations,
saura
éliminer d'une seuvre géniale les exagérations in
rlai ni «le mes soupçons ni de la suggestion d'insensibilité. Je ne
sais
s'il est en Allemagne comme en Belgique, et. en p
momie, renverse ceux qui se trouvent sur son chemin, rien au momie ne
saurait
la retenir. Il lui semble qu'elle mourrait si on
de leur faire sentir «pu- leurs malaises sont dus .. ce qu'ils ne
savent
pas vouloir, a ce qu'ils se tinssent aller, il ce
perdez, ainsi la possibilité de guérir votre malade parce que vous ne
savez
pas lui faire accepter le remède. Il faut mettre
n bureau du Crédit Lyonnais qui ne l'a jamais approchée, dont elle ne
sait
pas le nom et qu'elle voit en passant de son bure
aisonneuse avec sa mère, lui dit qu'elle se mêle de choses qu'elle ne
sait
pas et menace de se suicider, si «m ne la laisse
l hypnotique, peu profond, aidé de la simulation du chloroforme. Je
savais
déjà, par expérience, que la suggestion pouvait a
parce que je l'avais déjà fait servir à l'extraction des dents. Je
savais
déjà, par expérience, que la suggestion pouvait a
feu sombre, lu lèvre dédaigneuse, se levait et prenait la parole dans
su
clinique de lu Salpétrîère dont il avait su faire
et prenait la parole dans su clinique de lu Salpétrîère dont il avait
su
faire le rendez-vous des sommités médicales du mo
le rendez-vous des sommités médicales du monde entier et où il avait
su
grouper une légion de jeunes savants dont il étai
médullaires. l'aphasie, la folie, l'hystérie. etc. Ce sont, ou le
sait
, les admirables leçons du maître sur cette derniè
les, passionné la curiosité de tant d'observateurs. Sans chercher à
savoir
cependant ici si les conclusions tirées dans cet
fixée d'avance, et qu ils -'éveillent à cette heure; quand soumises ù
su
volonté. les infirmières endormies de M. le profe
nt nullement conscience de cette idée toute existante qu'elle est. On
sait
, depuis longtemps, qu'une sensation n'est perçue
ent elle couvrait de mots, et fébrilement, sans s'interrompre et sans
savoir
ce qu'elle écrivait, plusieurs grandes pages de p
ait bien un esprit qui conduisait sa main et pas elle, puisqu'elle ne
savait
absolument rien de ce que sa plume écrivait. Dans
dent tous de la pensée, seraient mieux compris, si les physiologistes
savaient
les rapporter à leur source psychique, à la pensé
t les impressions venant du grand svmpathïque sont parfois perçues au
su
du cerveau, même à l'état de veille. C'est ensuit
nément, j'ai franchi de grandes distances, cl pendant longtemps je me
su
» vu chercher mon chemin dans les carrefours inext
plupart des dormeurs somnambules. Dans quelles proportions ? Je n'en
sais
rien. Quoique, à ce point de vue. je n'aie pas ex
e, à une philosophie. — C'est ce qu'a fort bien fait M. Dumas. Il a
su
condenser en quelques formules simples une truvre
de cet ordre, de conduire à des tentavives de suicide. Resterait à
savoir
s'il est nécessaire, pour que la caféine ait ce r
l de Home. en octobre. La force des mains chez les nouveau-nés On
sait
qu'un des caractères les plus marqués, chez les s
sautant de branche en branche, elle ne s'occupe pas de son petit, qui
sait
s'accrocher à la fourrure de sa mère et ne reste
es sous les rayons d'un pale soleil. Une fois enfin, transporté je ne
sais
comment, dans une localité de Trance où j'ai habi
entement, ce qu! prouve qu'avant de la déclarer impuissante. ¡1 finit
savoir
persévérer dans son emploi. U s'agît d'une dame
application à la thérapeutique des maladies; 2° Il serait utile de
savoir
, et de faire savoir, quelles sont les con -dition
érapeutique des maladies; 2° Il serait utile de savoir, et de faire
savoir
, quelles sont les con -ditions requises pour obte
N'a-t-on pas consulté la Commission médicale? M. Masoin. — Je n'en
sais
rien. M. Vas Ermengem. —Voilà la question.
-elle été consultée ? M. Masoin. — Mais, je vous le répète, je n'en
sais
rien. M. Gille. — L'arrêté dit qu'il y a eu une
en imposer aux autres ! C'est fort dangereux ! M. Masoix. — Vous ne
savez
seulement pas à quelle instruction il a été procé
l'idiotie. On y trouvera tout ce qu'il est nécessaire au praticien de
savoir
sur les causes, l'anatomie pathologique, les symp
est la cause de celte différence dans l'influence suggestive ? Je ne
saurais
pas l'expliquer, en tout cas, cette différence ex
aissance et qu'on relie l'effet à la cause. Quant au Pronostic, il ne
saurait
être bien grave ; il dépend surtout des condition
lusieurs lois l'expérience île M. de Hochas qui consiste, comme nu le
sait
, à transférer la sensibilité du sujet dans un ver
travail sont dépensés, disséminés en articles signé» ou non et il ne
saurait
laisser après lui d'œuvre durable scientifique ou
e sa volonté énergique pour atteindre son but: il vous prouvera qu'il
sait
au besoiu déployer une certaine somme d'intellige
a bien touché le flambeau, en a bien enlevé les bougies, mais n'a pas
su
trouver la pièce. Avant qu'on l'arrêtât, a demand
Je ne trouverai donc pas, » a-t-il dit. De cette particularité il ne
saurait
, d'ailleurs, donner aucune explication, mais, qua
l, î-avez-vous bien co que vous voulez? Me commandez-vous bien? Je ne
sais
ce que c'est. » Au bout de plus d'une heure d'elT
ération de l'acuité «les autres sens chez les sujet» hypnotises. L'on
sait
en effet que bien souvent les sujets hypnotisés e
. Ensuite, je lui dis, de la même manière qu'auparavant : Katie, Je
sais
que vous désirez me dire quelque chose ; qu'est-c
étendue bien au delà de la France sur tout le monde scieutiGquc.
Su
personnalité, sa conduite, son influenceavaienl q
syphilitiques. Les voici dons toute leur saveur : « Docteur, je ne
sais
ce que j'ai, mais ça ne va pas. Je ne suis plus c
traire, je sais bien, moi, qu'on n'en guérît jamais. Mes amis (qui ne
savent
pas ce que j'ai) me l'ont bien dit. Récemment enc
rnier, le D' Louise Fiske Bryson appelle l'attention sur ce point : à
savoir
, qu' existe, dans l'opinion du public, deux e
e leur succès à la sage éducation qu'ils ont reçue de pareuts qui ont
su
ne pas trop sacrifier au sentiment, et qui, tout
'est cause de rien. Dans l'autre la volonté devient une force, qui ne
saurait
manquer d'èlre cause de quelque chose et qu'un pu
psyr ho-moteur, il n'v a pas a rejeter la question posée par Munie de
savoir
comment un «je veux » peut l'aire mouvoir nos mem
et processus moteur. L'autre manière de voir soulève la question de
savoir
quel est le siège île lu conscience qui accompagn
n sont réduits à la déclarer dangereuse et à la proscrire sans en
savoir
même le premier mot; mais c'est bien en vain !
Et. pour s'être avancé dans un de ces chemins pleins de péril, on ne
saurait
trop féliciter MM. Gurney. J. Myers et l'odmore (
e ? » A toutes nos questions elle répond non avec assurance ; clic ne
sait
pas même si elle a fait quelque chose ; elle ne c
que conlir-mer le fait que j'ai énoncé au mois de juillet dernier, â
savoir
qu il peut se produire une extériorisation sugges
conque propagée suivant les processus associatifs dans lesquels on ne
saurait
attribuer un rôle à In volonté, il arrive qu'un c
onse ait paru péremptoire. car, on n'y a pas insisté- Pourtant, je ne
saurais
la juger telle. N'arrive-t-il pas souvent je l'ai
ts, 11 nov. 1888. «jour? j'irai vous voir vendredi. « Elle ms pou
su
il assurément « pas. ajoute le témoin, mourir que
s les premiers temps de sa maladie, quand il voyageait encore, nul ne
saurait
dépeindre tout ce que son esprit ingénieux lui su
ilement en français; la difficulté qu'il a pour dire certains mots ne
saurait
nuire à son entreprise, elle donne à son langage
t point un sot. Il a fort gracieusement donné une répétition de son
savoir
— d'autres diraient de son pouvoir — chez le doct
es mouvements de la main, la pensée intérieure qui les anime. Sans le
savoir
, sans le vouloir, ils guident avec une grande for
ent scientifique se présente à chaque instant la question pratique de
savoir
quelle conduite on doit tenir ù l'égard de l'aute
ment après délibération, sans que cette délibération ait pourtant été
su
disante. Alors on dit que l'on a voulu à la vérit
a sociologie pour les expliquer.En ce qui concerne cette dernière, on
sait
le rôle capital qu'Herbert Spencer fait jouer à l
s Nous avons vu quelqu'un, dirent les apôtres a Jésus, qui chas-
sait
les démons en voire nom et qui no vous suit pas.
'être envoûtés. Enfin nous voyons les juifs discuter la question de
savoir
s'il est permis de guérir le jour de sabbat (chap
aissaient inexplicables. Cette constatation n'est pas oiseuse, car on
sait
qu'il existe une école qui uîe l'authenticité des
s. COU Camahaiiks, Suivant un adage célèbre, les Présidents doivent
savoir
.Vf soumettre ou se démettre. La formule étant
nt le Beaume de Fioraventi, topique fumeux contre les engelures. Je
sais
, vous le voyez, reconnaître les mérites de mes ad
divulgation de deux détails d'histoire, cpie vous ignorez peut-être,
savoir
: que le gidbanum fut ordonné à Marguerite de Nav
- voyons cette (telle vérité dans le volume signe Pouchel: « Chacun
sait
l'influence exercée sur l'appétit et la lionne di
r le plus puissant de la santé, elle peut tenir lieu de tout, rien ne
saurait
la remplacer : plus l'ennui a d'accès facile dans
es quatre membres. Pendant cetle crise, je lui dis doucement : « Vous
savez
; cela est votre dernière crise, » ReVenoe â el
s semaines au plus; on réussit toujours, je puis l'affirmer, quand on
sait
manier son sujet: et pour cela, je le répète, il
voir une certaine expérience. Pour acquérir celte expérience, il faut
savoir
se dégager de toute idée a priori, cl le D Friedr
ors et lui dis : — Qui a mis mon chapeau sur votre tète ? — Je ne
sais
pas. — Happelez-vous bien. — Je vous assure q
ne sais pas. — Happelez-vous bien. — Je vous assure que je ne le
sais
pas. — Mais c'est vous qui avez agi sous mon im
ude de sa raison. Dans la majorité des cas je ne m'inquiéterai pas de
savoir
si je suis en présence d'un responsable ou d'un i
t, ou bien y a-t-il réellement échange de fluide magnétique ? Je n'en
sais
rien et ne chercherai point il l'éclaircir. Si no
e quelle façon les maladies passent d'un organisme à un autre, que de
savoir
comment le soleil fait pour nous éclairer ou nous
conuus; mais il leur manque le contrôle de l'expérimentation. Nous ne
savons
pas, en effet, sous l'influence de quel agent les
duu eu 1632, enfin les convulsionnaires de Saint-Médard en 1724. On
sait
que certains savants ont vu dans les névroses : h
D'ailleurs celte démonstration n'est pour ainsi dire pas â faire ; on
sait
, et nous aurons bien des exemples à citer dans le
Mai», dit alors le client, je »ni» allé cher, le II' V... pareeque je
savais
qn'il a été cotre ehel de clinique ¦ Bouillaud lu
vait publiées sur les paralysies et les convulsions réflexes. On ne
saurait
passer sous silence l'ardeur avec laquelle le sav
ait venu, il mettait tout son cœur â leur prêter un puissant appui.
Su
vie a été celle d un savant -— son nom restera at
mps, et sous d'autres rapports, une intelligence d'élite, et qu'il le
sait
, on ne s'étonne pas qu'il considère comme des fou
point de départ; il est vrai que pour M. Xordau ce point de départ ne
saurait
etro discuté par un homme: sain. En tous cas on
soit. Mais affreux ? C'est ce que vous ne me ferez jamais croire. Je
sais
cela mieux que vous. Ils m'émeuvent profondément
sciences proviennent de l'attention. Elle embrasse tout ce qu'on peut
savoir
de l'âme et des facultés humaines. Mais les fac
lorsqu'ils se trouveront réunis en certain nombre dans un caractère,
savoir
celui qui produit son action ? Il faudrait pour
ons graphiques différentes. Chacune de ces formes nous permet donc de
savoir
de suite en face de quel orgueil nous nous trouvo
e que le maréchal de Clérambaul, parce qu'il n'y avait que lui qui en
sût
la raison. Il se mit donc à crier au inaitre d'hô
auquel cas. il fallait les renfermer soigneusement ; on n'a jamais pu
savoir
pourquoi, mais probablement avait-il une peur fol
fois ces pseudo-phobies se sont transmises de la mère à l' enfant. On
sait
que la malheureuse mère de Jacques I", roi d'Angl
tions d'ensemble. Il faut d'abord concevoir le monde physique et nous
savons
par expérience que notre connaissance est bornée,
ientifique qui, comme le disait noire regretté maître Claude Bernard,
sait
conserver à l'hypothèse toute sa valeur en rejeta
e s'accentue, plus se complique la fonction. Notre organisme, on le
sait
, est un merveilleux enregistreur des divers modes
rk Herald, le mouvement se continue, malgré cette expulsion, et on ne
sait
comment l'enrayer. Une suggestion criminelle
ion persiste lorsque le malade est couché. Il serait intéressant de
savoir
ce que cette déforma- tion devient pendant le s
qu'il est bon de ne pas encore se prononcer à ce point de vue. On
sait
, en effet, que, lorsque l'attention n'a pas été
s l'agraphie, par exemple. Dans l'a- graphie motrice pure, comme on
sait
, l'impuissance motrice n'est pas due à une para
étude approfondie. M. Charcot rappelle à cette 1 Charcot et Richer.
Su
di una forma speciale d'impotenza motrice degli
E l'astasie ET DE l'abasie. 47 7 de la marche revient en partie. La
SU
C-"CSI i 0 Il est l'épétée plusieurs fois penda
tra- ditionnelles de l'observation unie à l'expérimentation, ont
su
tirer du-chaos et grouper en bon ordre les faits
du trijumeau. M. Débrousse- Latour en rapporte dans sa thèse. On
sait
de même que dans la migraine, on peut observer
frères DE L EPILEPSIE PROCURSIVE. 7 < migraineux, morts on ne
sait
de quoi. Pas d'épileptiques, etc., dans la fami
D. Qu'est-ce donc que la Terre sainte ? R. Rli ! eh ! eh ! je ne
sais
pas. D Lisez donc. - R. Mais ce n'est pas écrit
pyramides d'Egypte, je crois C'est des palmiers peut-être. Je ne
sais
pas On ne peut pas dire. C'est un pays où l'on n'
eci (l'obélisque) ? R. Diable : ce n'est pas un doigt coupé - je ne
sais
. Je ne suis pas encore entré au service. On lui
ou des expressions dubi- tatives telles que : peut-être ; ou, je ne
sais
pas : c'est le monde ; je ne peux pas ; puis, i
i entend rester dans la stricte limite des obligations légales. Qui
sait
, même, si, comme le fait s'est présenté dans le d
ysique ou morale : cette surveillance anonyme et bienveillante ne
saurait
froisser personne. En terminant, disons-le bien
gatoire de D. Mistral. D. Comment vous appelez-vou= ? - li. Je n'en
sais
rien. U. Avz-vous oublié votre nom ? R. Mon nom
le vaut : i00-000 fr.; quand les gens se f... d'un 5° étage, ils ne
savent
plus que dire. D. Connaissez-vous M. Fournier
car ceux qui le devoyeut excuser, c'estoyent ceux qui luy couroyent
sus
: et DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 93 o
é des observations de sommeil hystérique, mais nul mieux que lui ne
sut
les rapporter à leur véritable cause. On en tro
ne sentait rien. Son maître la nappait à coups tte verges, et, pour
savoir
si elle était morte, on Jui lit mettre le feu aux
intérêt qui ressortira encore mieux ultérieurement, mais, il faut
savoir
se borner en pareille matière, etnous renvoyons a
ur les antécédents héréditaires des sujets. L'hystérie, comme on le
sait
, appar- tient à la grande famille neuro-patholo
ic raisonné de la plus haute importance. Toutefois, il faut aussi
savoir
que cette étude des anamnes- tiques n'est pas t
x premières périodes de la grande attaque. » Néanmoins, comme on le
sait
, les phénomènes convulsifs toniques et clonique
rie de plusieurs minutes à plusieurs jours quant à la durée » on ne
saurait
raisonna- blement lui refuser d'avoir observé u
rendre des notes. Ses phrases sont en- fantines pour ces motifs. Ne
sait
compter que jusqu'à dix et se montre incapable
e projetée au dehors. C'est là une doctrine contre laquelle on ne
saurait
trop s'élever. Pas d'hallucination sans cause mat
séquent l'idiotie incombe à la médecine et à la pédagogie; 3° il ne
saurait
être question de guérison absolue; - 4° diriger
, les allures d'un appareil sensoriel qui, d'après sa structure, ne
saurait
être comparé qu'à un oeil impair; cet oeil, jad
m. D'ailleurs, il supposait qu'il serait difficile, en l'espèce, de
savoir
si la difficulté d'écrire, qui eût pu se manife
sation des bacilles syphilitiques. Quand, par exemple, il s'agit de
savoir
si la syphilis est guérie ou demeure latente, l
après un concours public ». M. B.nnoux. Monsieur le président, vous
savez
que je me suis expliqué sur ce point à l'articl
à propos de l'ar- ticle 12 que nous devons examiner la question de
savoir
comment on rémunérera l'administrateur provisoi
voté par le Sénat. Le Sénat ne s'est pas occupé jusqu'à présent de
savoir
quelles seraient les fonctions de l'administrat
e, dont la nomination est ainsi prévue par l'article 11, et nous ne
savons
pas encore quelle sera au juste sa mission...
bien, ce sera encore peut-être une question à débattre que celle de
savoir
si l'admi- nistrateur provisoire sera désormais
is 144 SÉNAT. je préfère me contenter de poser une question, pour
savoir
quelle est l'appréciation, soit de l'auteur de
Le Sénat me permettra de lui soumettre encore une observation. Vous
savez
que, d'après l'article 7, les aliénés qui sont
t-il la parole sur l'article 14 ? ' ! M. DE Gavardie. Je désirerais
savoir
si M. le commissaire du Gouvernement... M. LE
entend pas. AI. de Gavardie, à La tribune. Messieurs, je désirerais
savoir
si M. le commissaire du Gouvernement accepte ce
érieux. Nous avons des inspecteurs 'généraux des préfectures ; vous
savez
ce qu'ils font : ils sont titu- laires de fonct
ar ALB1N Rousselet.) I : DUC1TION DES ENFANTS FAIBLES D'ESPRIT On
sait
qu'un grand nombre d'enfants sont incapables de r
urs sont morts à des âges différents. Dans sa famille, autant qu'il
sache
, il n'y a eu ni scrofule, ni syphilis. Personne d
la région de la distribution des cordons nerveux séparés ; 3) on ne
saurait
admettre l'action de quelque cause locale d'ori
deux de nos sujets. Ajoutons que la bénignité de cette affection ne
saurait
être sans doute applicable à tous les cas; il s
ent de l'affection porte à croire à une paralysie psychique. Or, on
sait
que la paralysie hystérique se présente sous de
- compagnaient. » Il nous arrive à tous de lire à haute voix sans
savoir
ce que nous lisons et d'écrire un mot pour un a
a dixième), l'affection aurait été primitivement médul- laire. On
sait
, en effet, par les détails de l'observa- tion,
oir fait disparaître le trouble par suggestion on lui dit : « Tu ne
sais
plus marcher, » CI... présente une incoordination
la phrase «Tu Archives, t. XV. I i 210 pathologie nerveuse. ne
sais
plus marcher » suggère l'idée seulement d'une i
s provocatrices de l'af- fection qui nous occupe. Or, justement, on
sait
qu'une émotion un peu vive, la peur eu particul
se mon- trent d'une façon très accentuée chez les animaux et l'on
sait
, entre autres, que le singe terrifié ne peut pl
motives. DE l'astasie et DE l'abasie. 211 n'avoir pas existé ? On
sait
aujourd'hui, et Leibnitz savait déjà, qu'il exi
abasie. 211 n'avoir pas existé ? On sait aujourd'hui, et Leibnitz
savait
déjà, qu'il existe des phénomènes de cérébra- t
voies distinctes pour les fibres irido-dilatatrices (suivant on le
sait
, le 216 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. cordon sympath
coup de vers étant jeune. Pas d'onanisme. Pas de traumatisme. On ne
sait
à quoi attribuer sa maladie. Trai- tement : Bro
udrais bien voir ma mère. » Caractère très doux, très obéissant. Il
sait
e nom des objets usuels. Les premiers jours de
me scissure temporale est très irrégulière et tronçonnée. - On ne
saurait
distinguer de troisième circonvolution temporale,
ture. II répond à peine aux questions et par monosyllabes : a Je ne
sais
, mon lit, etc., » puis il s'endort paisi- bleme
ues précédant l'accès suivis de mouvements rotatoires, mais l'on ne
saurait
assimiler ces actes à l'épilepsie procursive pr
on cherche à rapprocher ces attaques du sommeil phy- siologique. On
sait
que pendant celui-ci la résolution muscu- laire
globes oculaires s'observent éga- lement et fréquemment comme on le
sait
, dans les autres va- riétés de la grande attaqu
ar des crises convulsives. Mais un fait très intéressant, serait de
savoir
combien de temps un individu dormant du sommeil
a cheville, au genou et dans la région inguinale gauche. » Or, on
sait
, aussi que ces points hypéresthésiques sont sou-
peuvent aussi se développer pendant sa durée; du reste, comme on le
sait
également, elles ne sont pas toujours fixes et
bilité générale que dans celui de la sensibilité spéciale et nous
savons
que dans le plus grand nombre de cas, celle-ci es
ouve plus en présence d'un même état de mal hystéro-épileptique. On
sait
en effet que l'hysté- rique fait presque toujou
la mort. Cette opinion n'a pas toujours été adoptée, mais il faut
savoir
aussi que les auteurs dont nous allons parler éta
n matin tous les symptômes d'une attaque d'apoplexie céré- orale, à
savoir
: hémiplégie complète accompagnée d'hémianes- t
s publions la nécropsie et celle-ci fut * négative. Or, comme on le
sait
, c'est un des caractères les plus impor- tants
ésente des caractères qui lui sont tout à fait particuliers. Nous
savons
d'abord que l'hémianesthésie hystérique est pre
oujours, ou à peu près, à la fois sensitive et senso- rielle ; nous
savons
aussi (Keser) que l'anesthésie sensorielle ' Et
peut être croisée par rapport à l'anesthésie sensitive, ce qui ne
saurait
avoir lieu dans l'hémianesthésie organique. Déplu
s aux esthésiogènes et aux phénomènes de transfert par l'aimant. On
sait
, en effet, que l'application d'un aimant ou l'e
de l'hyperexcitabilité musculaire spéciale à ce dernier état. Nous
savons
néanmoins que l'hypnotisme peut être spontané,
E CRITIQUE. la nature de ce syndrôme) et la léthargie hystérique ne
saurait
être longtemps hésitant. La seule possibilité d
a léthargie était survenue à la suite d'une prétendue chute et l'on
sait
.le rôle que joue le traumatisme dans l'appariti
nt chronique des dégénérés. Malgré certains signes communs, l'on ne
saurait
assimiler, sans erreur, deux étals distincts, s
ouvait donc être considéré comme délirant chronique. bl. SAunv ne
sait
pas si son malade aurait pu être confondu avec
e aurait pu être confondu avec un délirant chronique, mais ce qu'il
sait
, c'est que MM. Da- gonnet et Ball ont produit d
cives eut déterminé une rechute; par suite se posait la question de
savoir
si la guérison qui, remarquez-le bien, n'était
s quarante-huit heures de l'admission. Si l'auteur de la demande ne
sait
pas écrire, celle-ci est reçue par le fonctionn
dont on parle se sont passés dans les asiles publics. Je voudrais
savoir
, par exemple, si jamais dans un asile privé, et
sait qu'on ne faisait qu'enchaîner les aliénés comme des criminels,
savez
-vous ce qui se passait ? Je prends, par exemple,
vriez discuter que le paragraphe 3 de l'article ; mais, comme je
sais
que vous deviez parler sur l'ensemble, il est bie
y a dans la loi de 1838... mais c'est à vous faire bondir.au-des-
sus
de la tribune (Hilarité) il y a, dans la loi de 1
es, on rencontrait de leur part une résis- tance provenant, vous le
savez
, de certains préjugés qui n'exis- taient pasau
soldats. Cela arrive quelquefois dans les casernes, les militaires
savent
cela. Déjà, cette terrible con- tagion du suici
ncontreront les figures bestiales des gardiens ! Et puis, vous ne
savez
donc pas que, lorsqu'on met les aliénés en cont
saisissante tirée de l'art militaire. On parle aujourd'hui, vous le
savez
, de ce qu'on appelle l'ordre dispersé, qu'a ren
rdre dispersé; l'aliénation sévit sur eux comme l'artillerie sévis-
sait
autrefois sur les rangs compacts. Voilà, messieur
s ces conditions sont d'une appréciation très délicate, et qu'on ne
saurait
assez préciser en raison de leur intérêt de pre
conditions d'infériorité de leur organisa- tion cérébrale. Elle ne
saurait
disparaître tout entière, surtout lorsque ces i
ne saurait disparaître tout entière, surtout lorsque ces individus
savent
qu'ils ne peuvent pas boire sans danger pour eu
i ont figuré au tableau clinique si net et si saillant du malade, à
savoir
: les vertiges, le tremblement pendant les mouvem
it que cette sensation est un peu lente à se produire. Tandis qu'il
sait
toujours la position dans laquelle on place ses
tion pré- paratoire dans laquelle on recueille des documents sans
savoir
à quelle synthèse ils pourront servir plus tard.
avoir pris froid la veille du jour où elle a été paralysée; elle ne
sait
toutefois, ajoute-t-elle, si c'est à un refroidis
is d'octobre dernier; la malade ne s'est pas exposée au froid et ne
sait
à quelle cause elle doit rapporter la paralysie
: Père mort depuis dix ans à la suite d'une maladie nerveuse ( ? ).
Su
mère, qui souffrait habituellement de mi- grain
x; interrogé sur les causes de sa paralysie, C... nous dit qu'il ne
sait
a quoi l'attribuer; il n'a pas pris froid et l'hé
s mentionné deux exemples dans notre premier travail : il s'agis-
sait
dans l'un des cas d'un malade qui, après avoir eu
ne s'agit pas ici d'une hémiplégie faciale d'origine tabétique; on
sait
, en effet, que l'hé- miplégie de la septième pa
e 5 février 1887 sans cause connue. Ni la malade, ni les parents ne
savent
à quoi rap- porter l'hémiplégie. Antécédents
USE. leur combinaison avec les névropathies n'est pas rare, on le
sait
. Les deux observations qui vont suivre en sont
les fréquentes. La paralysie faciale date de cinq jours, lamaladene
sait
quelle cause incriminer; le 28 octobre, elle s'
alade date de trois semaines; il ne s'est pas exposé au froid et ne
sait
à quelle cause la rappor- ter ; l'exploration é
ose des cordons postérieurs fait exception à cette règle, mais ne
sait
-on pas que les troubles psychiques sont fréquen
une mala- die s'accompagnant de lésions anatomiques qui, nous le
savons
, consistent en une altération totale ou par- ti
ans. [Père, journalier, mort à l'âge de soixante et onze ans, on ne
sait
de quoi. Mère morte de vieillesse ( ? ) à l'âge
crise ne débordait pas»; s'il s'accrochait à quelque chose il pous-
sait
un soupir et c'était fini quand on arrivait à tem
l'exemple des autres auteurs, qui se sont occupés de la question, à
savoir
de donner un terme théorique, toujours contesta
sation n° 2, nous avons obtenu les lignes droites sans courbures, à
savoir
l'arrêt complet de respira- tions. Enfin, nous
peuvent aussi être surajoutés aux états maniaques (Lagardelle). On
sait
d'ailleurs que dans les formes plus graves d'ex
n général, nous en disons ce qu'il dit de la melancolia attonita, à
savoir
qu'elle ne doit pas être consi- dérée comme une
des yeux n'a pas d'influence. On n'a pas encore observé, que nous
sachions
, dans l'athé- tose les troubles viscéraux (cris
osurie dans la paralysie générale n'a rien qui doive surprendre. Ne
sait
-on pas, en effet, que le travail cérébral peut
ia- gnostic eût été possible, le certificat immédiat étant, vous le
savez
, délivré dès l'entrée de l'aliéné à l'asile, en
nsé- quemment, une hérédité chargée chez un délirant chronique ne
saurait
le faire entrer dans le groupe des héréditaires d
nt deux ou trois mois de l'année et néanmoins elle a appris et elle
sait
lire. « Elle jouait, dit-on, presque toujours s
gente, à la parole facile, aux réponses nettes et pré- cises ; elle
sait
lire et n'offre pas traces d'anomalie sexuelle, e
la tête en pain de sucre, la tête acrocéphale dans laquelle, on le
sait
, le bregma soulevé devient saillant en entraîna
laver et je n'en éprouvais, du reste, nullement besoin. » Or, vous
savez
, messieurs, combien est pénible la crainte du tou
u dont le caractère sera iné- gal, emporté, violent, etc. Non, nous
savons
que l'un ou l'autre de ces signes considérés is
us savons que l'un ou l'autre de ces signes considérés isolément ne
saurait
impliquer la dégé- nérescence et qu'une intelli
'ils soient hypo- chondriaques d'abord; or, l'hypochondrie, nous le
savons
, est le plus souvent une manifestation des héré
on fort importante pour le clini- cien, puisque le premier, nous le
savons
, est incurable tandis que le second peut guérir
me décimal et portent leurs numéros respectifs sur leurs hampes. On
sait
que M. Erb choisit pour électrode normale un ca
. Ceci persiste des mois avec de légères rémissions. Finalement, en
sus
, parésie faciale à droite, et, à plusieurs repr
le plus élevé de cette ligne. En somme, il n'est guère possible de
savoir
ce qui est advenu du radial mais une paralysie
rticle 16. Une demande signée par elle est suffi- sante. Si elle ne
sait
pas écrire, la demande est reçue conformé- ment
er un de ses membres malades dans les conditions terribles que vous
savez
? Mais c'est souvent le seul moyen d'assurer pr
des garanties suffisantes. Et d'ailleurs, est-ce que la famille ne
saura
pas choisir ? ... Je dis que cet article est mauv
, existent non seulement en Belgique, mais ailleurs ; - M. Testelin
sait
ce qui se passe du côté de la Baltique - on envoi
appartiennent, pas plus que celles du pays où ils sont internés ne
savent
dans quelles conditions se trouvent ces aliénés
'il y eut un moment, dans la vie de notre collègue regretté, où il ne
sut
pas s'arrêter, où. présumant trop de ses forces,
unité et la beauté de l'espèce. Le psychologue raisonne autrement. Il
sait
trop ce qu'il doit à la comparaison. Cette opérat
'une composition dans laquelle l'imagination créatrice de l'artiste a
su
jouer le plus grand rôle. Ce que nous avons sous
ver les moyens d'exciter la suggestibilité de son système nerveux, de
savoir
le placer dans les conditions les plus favorables
s les conditions les plus favorables à cette excitation et surtout de
savoir
profiter des circonstances qui peuvent le mieux y
ggestibilité de l'individu. Tout le secret de l'hypnotisme est là :
savoir
faire naître et saisir les circonstances propices
'avais un service d'hôpital ; j'ai fait, dans les conditions que l'on
sait
et que j'ai décrites (Impressions de campagne), l
la veille sur le rêve ; il me semble que l'autre face de la question,
savoir
l'influence du rêve sur les phénomènes psychiques
rêves, il y a aussi une réaction inverse du rêve sur les idées. On
sait
quel rôle considérable jouaient les songes chez l
de l'Adoration du Sacré-Cœur, qui a transformé le catholicisme,et on
sait
quelle est aujourd'hui l'influence de cette doctr
; ses formes vigoureuses et elle est bien proportionnée. VIT. Elle ne
sait
pas la date exacte de sa naissance et n'a pas bea
jugement exprimé par Marcus Palavinus, au sujet des femmes à barbe, à
savoir
qu'en général elles seraient de complexion amoure
yrol. 11 parait que le père était originaire des lies Canaries. On ne
sait
comment ces gens vinrent s'établir dans le Tyrol.
er la permission de s'en aller pour une chose urgente. J'insiste pour
savoir
de quoi il s'agit. Alorsil me fait connaître, tou
arsk. Elle est muette et ne peut même pas prononcer une voyelle. Elle
sait
à peine écrire et ne s'exprime que par signes. Sa
towsk Dneonik, M. Lissovski). A !0heures du matin,M.Tampioner, qui ne
sait
rien de la suggestion que j'ai faite la veille au
s verrez bien. Cette réponse ambiguë me donna fort à penser, car je
savais
que ma brave cliente venait le plus souvent me ch
, n'approche pas! « Alors il cracha vers moi sans m'atteindra. « Tu
sais
, lui cria sa mère, si tu continues, je vais te ba
ns médecin, était accourue chez moi. Je connaissais l'enfant; je le
savais
poli, aimable, serviable. Sou caractère était cha
on d'une chose vraie. Dire à cet enfant son mal, lui montrer que je
savais
ce dont il souffrait, c'était lui donner confianc
de Barbara Urslerin. On ne connaît pas l'âge auquel elle mourut. On
sait
seulement qu'elle vivait encore en 1668. James Ca
mment plusieurs langues, en particulier l'espagnol et l'anglais. Elle
savait
chanter avec assez de justesse et d'expression, d
ainsi qu'à la municipalité de Nancy. M. le professeur Liégeois fait
savoir
, en outre, à la Société qu'il a pu réaliser récem
ement contractée ; mais le plus léger contact, l'impression de l'air,
su
disent à les faire se convulser en haut, en strab
est. L'application du thermomètre la rend inquiète et elle désire
savoir
pourquoi on fait tout cela. A ma question : « A
lus de trente ans. Elle ignore si on lui a enlevé des dents; or, je
savais
, et c'était la raison de ma question, que deux an
nombreuses infirmeries destinées au traitement des alcooliques. Vous
savez
à quel point ce fléau s'est développé en Russie.
spondant à ceux décrits à propos de l'action esthésio-gène des métaux
savoir
: anesthésie de retour, anesthésic post-métalliqu
n seulement aux hystériques, mais à tous les individus, en général, à
savoir
que toute sensation, pourvu qu'elle soit homogène
s est le plus souvent une erreur. Si l'on démontre à un sclércux,
su
moyen d'exercices auditifs, par exemple, qu'il en
Traitement spécial de la Merphinomanie. Le nombre des malades admis
su
traitement devant être : - limiu», on est prie de
teelaWrt Setal-lUrtte. I! IU-'-f e'«f «m. litVUTlt.:.'. b. Hasuauna L
su
'It kMTU.lt, 1^. boale».«e« lUUxea. ¦mMil, rn.ru«
ans les Hôpitaux LV-xtui-ftidu (* l'itilfalr in yi-- 1.13 SfiL lui.
Saura
¦¦¦ r . Maladies nerveuses, etc-Drsgées de * â S
ortants. Sa mère, morte depuis plusieurs années, était normale. On ne
sait
rien de précis sur les ascendants. Toutefois, une
sens se remet à fonctionner régulièrement, sans excès ni défaut. Elle
sait
se tenir debout sur les jambes et tourner sur ell
pontanément, à brève échéance, si la chiquenaude sensorielle que l'on
sait
n'en avait préci-pilé l'apparition. Reste h exp
nous avons affaire, semble-t-il, a des espèces d'un même genre. Nous
savons
déjà que les intoxications, & elles seules, f
quoi consiste la maladie présentée par notre sujet ? Comme vous le
savez
, la question n'est pas encore complètement résolu
e dentiste et que l'extraction de la dent a eu Heu sans douleur. J'ai
su
, ensuite, que le dentiste lui avait fait une inje
rps. Cette jeune fille souffre d'une angoisse presque constante et ne
sait
comment s'en débarrasser. La mémoire a beaucoup d
ient un nouvel élément, l'Imitation inconsciente. Tous les médecins
savent
que dans une salle d'hôpital, de femmes surtout,
tend tout ce que je lui suggère; mes suggestions, me déclare-t-il, ne
sauraient
, dans ces conditions, être efficaces.il faut donc
ficier public, c'est MH* Lefort qui est appelée en ce moment. — Je le
sais
, répliqua ce prétendu Monsieur, c'est pour cela q
la forme de la barbe, sa couleur correspondent si exactement qu'il ne
saurait
y avoir aucun doute à ce sujet. Il est dans la de
qui prétendait découvrir aux autres les secrets de l'avenir, n'avait
su
prévoir qu'ils resteraient indifférents à son app
e ce dernier comporte, suivant les diverses affections pathologiques,
savoir
: les hallucinations hypnago-giques, les rêves el
ils restaient levés. Si je lui demandais où elle était, elle ne le
savait
pas. Je lui fis donc, pendant son sommeil, les
mbreuses que revêt la rupture fonctionnelle du système nerveux, et ne
saurait
constituer une maladie véritable comme celle du s
ur des causes variées, paralyse l'ensemble de notre activité. Il ne
saurait
non plus être confondu avec l'état de distraction
« qui ne laissait tomber à terre aucune de ses paroles s (*), et l'on
sait
que la rêverie chronique est très fréquente dans
urs quelque chose d'impulsif : « Dès qu'il vil Schaoul, Iahvé lui lit
savoir
ceci : * Voilà l'homme dont je t'ai « ainsi parlé
es déclarations : * La médecine confine à la religion plus qu'on ne
saurait
le croire. On prononce fréquement le mot de mirac
. — |??1???11« llurlho. lr* mcJUnur» connus.) ??????? — Fronçai* el
Su
*-li>l-. Me*«» vitiraioire. Gjimi^, Sailo d'arm
ont même le plus contre leurs intérêts vilaux. Du côté russe, on ne
saurait
dire que l'idée de patrie, telle que nous la comp
transportée à des milliers de lieues de son territoire natal. Elle ne
sait
même pas au juste pourquoi elle combat. Un pe
ns haine il faut châtier l'insolent, le succès est assuré car rien ne
saurait
résister, d'après un slave, à la forte et sainte
majorité des Russes so rendait compte de ce qu'étaient les Japonais,
savait
prononcer le nom de ces prétendus sauvages. Elle
s le cerveau influencé, suggestionné par l'idée de vengeance, rien ne
saurait
l'arrêter dans ses idées de meurtre, le délire at
son de haine fit frémir le peuple tout entier et les chefs du pouvoir
surent
habilement l'entretenir et le fortifier, entraîne
presque marcher de suggestion en suggestion, si les juges du pouvoir
surent
influencer le peuple, à leur tour, ils furent ass
ulter, puis, rassurée, elle reprit : * Je serai franohe avec vous. Je
sais
que je puis guérir sans remèdes parce que mon pèr
puis guérir sans remèdes parce que mon pèro était guérisseur ; et je
sais
que vous pouvez faire ce que faisait mon père.
ui certes, sans aucun doute. Toutefois, il faut s'entendre; il faut
savoir
sortir des bornes voulues de l'hypnotisme expérim
on, d'imagination et d'invention, de combinaison et de réflexion. Ils
savaient
que la beauté du corps et de l'esprit est le résu
ue notre auteur a prétendu indiscutablement établir ; toutefois on ne
saurait
affirmer qu'elle sera du goût des intéressés et q
araissent bien plutôt comme des quintescences d'humanité. Ce que l'on
sait
des réactions du physique sur le moral et récipro
i fous, et tous préparés & le devenir complètement! ¦ — Mais non*
savons
qu'il était désolé, désabusé, l'Ame en deuil de s
ulez bien, une ploceà l'observation et faisons un rapprochement. Vous
savez
que maintes formes de folie sont curables. Le fai
, tout comme existe la prophylaxie de la neurasthénie. Le tout est de
savoir
s'y mettre et de s'y mettre assez à temps : cela
re ou bien à refréner tes mauvais instincts naturels ? Personne ne le
saurait
soutenir. Il est parfaitement inutile de perdre
trouverons la môme scénologie, le même tableau, chez les nerveux. N'e
sait
-on pas combien est grand le nombre des personnes
les genres. Ces états latents se dévoilent et s'exaspèrent, nous le
savons
, sous l'influence des facultés, mais surtout de l
ty for psychical Research, de Londres, a une signification dont on ne
saurait
trop faire ressortir l'importance. Outre que cett
e présenter t l'étoile barbue. » Ce fut Barnum qui l'emporta, et elle
savait
à peine parler qu'elle commençait à parcourir te
t toujours court ne lui permettait pas de satisfaire ces goûts. On ne
saurait
s'imaginer jusqu'à quel point les exigences de la
uve un besoin irrésistible de se porter en avant. Les personnes qui
savent
manier le haschich et ses dérivés obtiennent de c
au-de-vie. Les Russes, surtout en haut lieu, ne l'ignorent pas. Ils
savent
que si ces substances ont le pouvoir de produire
supplices de l'Extrême-Orient le témoignent assez. Avoir du muscle,
savoir
s'en servir, n'est pas suffisant, si on ne possèd
st pas suffisant, si on ne possède pas une volonté ferme, et si on ne
sait
pas l'imposer aux autres. Est un véritable chef c
e de tout sommeil. Elle est réelle et n'est même pas très rare. On ne
saurait
croire à quel point cette insomnie totale est bie
ins civils ou militaires en situation de le faire. De toutes, vous le
savez
, il ressort que les mesures de jurisprudence mili
vincible, le transfert du sujet dans une arme à pied, mesure que vous
savez
prescrite par les règlements. II est presque am
t-il tout bonnement punir celui qui prétend, pour les motifs que vous
savez
, échapper totalement ou partiellement aux injonct
vouloir, par scrupule de conscience ou autre, apprendre ce qu'il faut
savoir
, en temps de guerre, pour donner des coups et tâc
ment clairsemée, des propagandistes révolutionnaires. Ceux-là, nous
savons
ce qu'ils font dans les régiments : ils prêchent
invincibles sont exceptionnelles. Dans ce dernier ordre d'idées, ne
sait
-on pas qu'il est fréquent de voir des enfants de
côté, le soldat, enhardi par la bienveillance sur laquelle il peut et
sait
pouvoir compter, demande et reçoit tout ce qu'il
ses belles recherches sur les origines de l'alchimie. Mais nous ne
savons
lequel nous devons lo plus admirer en lui ou du g
et d'orateur à combattre loyalement les idées de ses adversaires, il
sait
respecter toutes les convictions dés l'instant qu
fait ici. Il nous vu donne aujourd'hui une nouvelle preuve. Le maître
sait
tout notre affectueux respect. Vous connaissez
veau champ d'étude, où tout était a trouver. ¦ Il est de fait qu'il
sut
. comme l'a si justement écrit le professeur Raymo
s c'est une psychologie à l'eau de roses qui ne peut servir beaucoup.
Savoir
que nouB avons des facultés diverses, ce n'est pa
n de la famille, comme dans la direction du gouvernement. Personne ne
sait
plus commander, personne se sait plus obéir. »
rection du gouvernement. Personne ne sait plus commander, personne se
sait
plus obéir. » Les médecins ont aussi poussé le
ui répondit : « Vous me connaissez fort mal. Apprenez que si ma chair
savait
jusqu'où mon courage la portera tantôt, elle tran
isait : « Tu trembles, carcasse ; lu tremblerais bien davantage si tu
savais
où je vais te mener tout à l'heure. » Ces exemp
ypnotisme qui est, comme on l'a dit, l'état d'hypersuggestibilité. On
sait
avec quelle irrésistibilité les individus et les
s. Témoin le vieux proverbe rappelé par Euripide : o Honnête homme ne
saurait
naître de père malhonnête ». Dans un autre de ses
de l'expérience, mettait en mouvement l'aiguille de l'appareil. On
sait
que tout corps vivant produit de l'électricité, e
rtant dans l'application du traitement psychothérapique, mais il faut
savoir
qu'elle varie sous l'influence de diverses causes
Traitement spécial de la Morphinomanie. Le nombre des malades admis
su
trallemenl devant Aire parfois limite, on est pri
menl devant Aire parfois limite, on est prie de s'adresser par avance
su
Médecin-Directeur : LVHcary Lemesle, a Loches, ou
lle santé morale ne sont acquises qu'a certaines eon-diuons : 11 faut
savoir
être heureux de ce qu'on est et non de ce qu'on a
ns. Je n'y crois pas non plus. Voilà qui est catégorique. ¦ Nous ne
savons
pas si le terme de métapsychique fera fortune et
Le Tarot des Bohémiens n'est plus ici qu'un prétexte... Il s'agit de
savoir
... dans quelles limites l'esprit de l'homme peut
Il s'agit de savoir... dans quelles limites l'esprit de l'homme peut
savoir
... Admettons que les infortunés Parias de lTnde
par persuasion. Une chose me frappe de suite dans celte définition,
savoir
: l'opposition qui est faite entre la suggestion
Ce sont ces malades à caractère contrariant, ergoteurs, voulant tout
savoir
, tout connaître, parlant et jugeant de tout sans
ire allusion, peuvent être difficiles à hypnotiser; mais II faut bien
savoir
qu'il n'y a pas là d'impossibilité. Et, d'aille
le, exister qu'entre les mains des maladroits et des ignorants qui ne
savent
pas un mot de la question. La considération qui
emier acte de l'Escalade, la pièce de Maurice Donnay, se passe, on le
sait
, dans un Laboratoire de psychologie physiologique
tète de l'écrivain. La psycho-physiologie existe en réalité, comme on
sait
. Bien que relativement neuve, c'est une science
On a dit que le père du P' Murri avait trempé dans un crime : je n'en
sais
rien. Mais je connais Tullio Murri, son fils, c'e
naturelles que tel de leora confrères suisses, les médecins francala
savent
ajouter quand il convient la pratique de Inypnoti
e la prose, notre auteur bernois foreît-il de l'hypnotisme... sans le
savoir
! Los Femmes à. ba rbe : Étude psychologique et
pas favorisé le développement du système pileux. Tous les chirurgiens
savent
, en effet, que les malades immobilisés pendant pl
anuel db Geuebrtau, de Gotherabourg (Suède). Il existe, comme on le
sait
, diverses opinions parmi les bypnothéra-peutes, t
quelles je lui ai fait des suggestions variées contre la rétention, à
savoir
qu'il pourra uriner instantanément après l'hypnos
rnière importance, dans le traitement des névroses fonctionnelles, de
savoir
si une méthode agit en tant que telle ou par sugg
nt pour les passagers une bonne fortune d'avoir a bord un médecin qui
sache
par l'hypnotisme inhiber le mal de mer; cela se r
est complète au bout de cinq séances. Dans les cas analogues, il ne
saurait
plus être question de recourir au chloroforme pou
devant le vœu de la nature et d'accepter avec philosophie ce qu'on ne
saurait
empêcher. Dans quelques cas, chez lesquels l'appa
édents; elle est au désespoir ; elle ne voit aucun moyen de sortir de
su
position lamentable; une cruelle angoisse s'empar
résultat. D'après los renseignements que j'ai eus par hasard, j'ai
su
qu'un des alcooliques habituels que j'ai traité p
lcool depuis trois ans, après 6 mois et demi de traitement. Enfin, je
sais
très exactement que 2 alcooliques habituels et 2
hylique. Il est cependant si complet et si caractéristique qu'elle ne
sait
jamais, au réveil, si je lui ai fait ni où je lui
sujet se soit trouvé dans l'hypnose partielle de Wundt. Du reste, on
sait
fort bien que la sommation hypnotique n'est autre
ureuses, on pouvait constater la réapparition de l'énergie morale. On
sait
d'ailleurs que la suggestion hypnotique exerce un
chez le cheval ; Hans nous montre avec quelle habileté son dresseur a
su
utiliser cette aptitude. De plus, ce cas apporte
pporte une preuve de plus à la théorie de Stricker, d'après qui on ne
saurait
pensera une lettre ou ù un chiffre, sans que l'ha
nement autour d'elle. Les séances ayant lieu dans mon cabinet elle ne
sait
pas où elle se trouve, elle reconnaît sa mère qui
reconnaissances : or tel est le cas des facultés musicales. » On ne
saurait
mieux dire. Les deux méthodes, d'une part l'obser
malades en arrivent à se sentir épuisés ; ils s'adressent à ce qu'ils
savent
être la source de l'énergie, à l'alimentation et
té envoyés aux ateliers com- me apprentis dans le cours de l'année,
savoir
: 2 me- : nuisiers, 5 cordonniers, 2 vanniers e
hospice pour les infirmiers et les infirmières. GRANDE ÉCOLE. VII
savoir
par coeur; le second groupe comprend une série de
elle des enfants, mais encore pour la bonne direction morale qu'ils
savent
leur donner. Aussi serons-nous heureux de voir
tailleurs, la plupart des autres le deviendront. Autrefois, ils ne
savaient
rien faire ; maintenant, grâce à l'enseignement
oyés par l'asile; « Une pharmacie avec tisanncrie -quatre magasins,
savoir
: une boucherie, une cave, une paneterie, un ma
teints d'affections contagieuses. Organisation proposée. LXXI à
savoir
l'étude des voies et moyens permettant une util
quels avec leur affectation actuelle. M. TRÉLAl1. J'estime qu'on ne
saurait
placer des enfants dans les bâtiments actuels s
ait toutefois être choisi, partie parmi le personnel de Bicêtre qui
sait
déjà quels sont les soins qu'il convient de don
inistère de l'Instruction publique n'est jamais intervenu, que je
sache
, dans les affaires de l'Asile clinique. Je ne pen
Conseil, - Vu la lettre par laquelle M. le Préfet de la Seine fait
savoir
que le nombre des enfants que doit recevoir l'I
ut les lui montrer souvent, sans cela, il les oublie rapidement. Il
sait
se laver, s'habiller, mange pro- prement, se se
transversal allant au lobule pariétal inférieur, puis elle continue
su
chemin jusqu'au sillon occipital trans- verse.
e son protecteur, etc. » Grands parents maternels morts âgés, on ne
sait
de quoi. Une soeur, de santé délicate, a eu -12
taques hysté- Tiques). - Grands parents maternels morts âgés, on ne
sait
de quoi. Un frère mort à 39 ans de tuberculose
On n'a jamais pu lui ap- prendre à s'habiller ou se déshabiller. Il
savait
à peine se ser- vir de la cuiller pour manger.
oma de la face à 67 ans. Grands parents maternels morts âgés, on ne
sait
de quoi. 3 oncles paternels, l'un mort acci- Bo
-Bave en mangeant. Pas de rumi- nation. Intelligence nulle. Il ne
sait
ni lire, ni écrire. Il arrive cepen- dant à rec
lit mais pas très couramment. Son écri- ture est assez lisible. Il
sait
faire les additions. L'intelli- ge ? iceestpeud
L'enfant tient sa tète plus droite, il se soulève un peu au-des-
sus
de son lit mais le gâtisme persiste. Après un séj
ubérance. IV. La mort étant survenue dans les conditions que l'on
sait
, l'autopsie a confirmé en effet ce diagnostic :
ait que sa soupe, d'ailleurs il ne pouvait pas mâcher et n'a jamais
su
se servir de ses dents pour la mastication. Pas
entr'elles un espace vide. Gencives en assez bon état. Tron... ne
sait
pas saisir les aliments avec les lèvres; on est
constaté un strabisme convergent très net, et il était important de
savoir
si ce trou- ble était attribuable à une lésion
est relativement rare et dans l'espèce il est fort diffi- cile de
savoir
à quoi la rapporter. Il n'existe pas chez la mè
ort avec les lésions cérébrales uni- latérales ou bilatérales. Nous
savons
au contraire que dans certains cas, il se produ
d'une bronchite, faisait des excès de boisson. - Mère, morte on ne
sait
de quoi. Deux frères bien portants, l'un àdeux
, n'ayant jamais eu de convulsions. Deux SOJ1Jrs l'une, morte on ne
sait
do quoi, était bossue; l'autre est bien por- ta
Parfois l'enfant restait sans connaissance pendant longtemps. On ne
sait
si ces convulsions prédominaient d'un côté. Ell
e sont déformés. A l'entrée, gâtisme complet, parole nulle. J... ne
savait
pas manger avec la cuiller, ni se laver; comme
ez ses descendants, donner lieu à des accidents notables. Nous ne
savons
pas si le grand-père de Jans... a souffert des
de rêves ni de cauchemars. Il n'a jamais pu apprendre beaucoup : il
sait
lire et écrire, mais ne met pas l'orthographe.
que, sur la voie publique. C'est à ce mo- ment (1876) que sa mère a
su
réellement que c'était de l'épi- lepsie, Il ent
blique. Depuis 4 mois, il reste chez sa mère à ne rien faire. On ne
sait
rien de bien précis sur la fréquence des accès
- lences. Cependant son caractère s'aigrissait un peu; il ne fai-
sait
pas d'excès; chaque fois qu'il voyait des femmes,
cher longtemps encore et môme «se casser la fête contre un mur sans
savoir
ce qu'il fait. » En revenant lui, il se sent to
, les journaux des articles cle médecine : il vaille beaucoup son
savoir
et l'instruction qu'il a reçue. Très difficile à
critures chez-- un coulissicr. Il possède une certaine instruction,
sait
l'an- glais, etc. 1-IYSTÉRO-tPrLEPSIr, 105
rveuse, rhumatismale, ni dartreuse. Grand-père paternel, mort on ne
sait
de quoi. Grand- IICROCÉPH ? L'E. 1.21' mère p
ortants de même que leurs enfants. Une tante maternelle morte on ne
sait
de quoi, sans enfants. Trois frères et une soeu
e, âgée de soixante-dix ans. Grands parents paternels morts on ne
sait
de quoi. maternel mort à soixante-quatorze ans,
devenant parfois très abondante. Première dent à un an ( ? ) On ne
sait
à quel âge il a eu ses vingt dents. Il n'a jama
piqûre, parait peu vive. Il est difficile, à un premier examen, de
savoir
à quoi s'en tenir exactement sur l'ouïe, la rue
à Bicêtre, on s'est adressé au directeur de l'Asile clinique pour
savoir
s'il y avait des cas de diphtérie dans cet asile.
e, croupalc, un peu aboyante; la respiration est gênée. L'enfant ne
sait
pas cracher et déglutit les mucosités que la to
'elle cor- respondait à un espace plus ou moins vide et ne subis-
sait
aucune pression du dedans au dehors. La théorie
e. Cinq soeurs : deux mortes, l'une « hydropique », l'autre « je ne
sais
comment ni à quel àge » ; les trois autres sont
maladie de peau, etc. - [Père mort, à quatre-vingt-deux ans, on'ne
sait
de quoi, iln'é- tait pas en enfance. Mère, mort
a toujours été gâteux. Vers un an il a eu des convulsions : pous-
sait
de petits cris, tournait les yeux. Ceci s'est pré
de tics; suce ses doigts. 1879. Grand gâteux en robe. (PL. VII). Ne
sait
ni se laver, ni se vêtir; commence à se servir
émoire est assez bonne. Il connaît la plupart des objets usuels. Ne
sait
encore que faire des bâtons, ou quelques lettre
. Il trace de lettres en gros caractères, commence àsyllaher; il ne
sait
pas l'heure. Il n'a pas eu d'idées tristes depu
out le monde. Je lui ai rendu sa giffle. Il n'est pas possible d'en
savoir
plus long : elle m'a rendu fou , dit-il. 21 o
urie les infirmières. Depuis sa dernière affaire il se préoccupe de
savoir
si le surveillant et si Mlle B..., une sous-scr
s'habille assez bien, mais ne veut jamais nouer ses souliers qu'il
sait
cirer. Il a le regard dur, et prononce à chaque
battu. Sept frères ou soeto's : quatre sont morts tout petits on ne
sait
de quoi, le cinquième s'est enfui du pays parce q
ier est notre malade ; la seconde, d'un autre père, est morte on ne
sait
pas de quelle maladie ; elle aurait eu des conv
nombre exact. La dernière fois on avait cru qu'il était mort On ne
sait
à quel âge il a parlé ; mais à son retour, il p
l l'a quittée sans pleurer et n'en a pas parlé dans la suite. On ne
sait
à quel àgo il a marché et été propre. On croit
sonnette électrique l'ayant réveillé, il a sauté de son lit; il ne
savait
plus où il était, voulait se sauver, cherchait
on des gourmandises. Use débarbouille assez mal, se lave les mains,
sait
s'habiller et se déshabiller et le fai t prompt
ans. [Père, mort à quarante-trois ans d'une maladie de foie; on ne
sait
s'il faisait des excès de boisson. Mère, grand-pè
e en est difficile, il attend qu'on lui dicte les lettres. Mar...
sait
lire. On s'en est aperçu non à ce qu'il prononçai
tefois M... n'aide en rien pour s'habiller et se déshabiller et ne
sait
pas se servir de la cuiller. Il est affectueux et
fait propre ; il marche et court; il mange et se déshabille seul ; il
sait
pro- noncer le nom de toutes les parties de son
on) a rassemblé récemment dans une excellente revue tout ce qu'on
sait
sur ce sujet en apportant lui-même quelques nou
l. Nous pensons qu'on doit revenir à cette conception et qu'on ne
saurait
comparer entre elles deux lésions aussi dissemb
ste et sont coupées à pic en certains points comme par un proces-
sus
destructif. Une membrane fibreuse tapisse le fond
- [Père, bien portant, sobre. Mère, morte à vingt trois ans on ne
sait
de quoi.- Grand père paternel, mort d'accident à
s. Grand père paternel, forgeron, mort à soixante treize ans, on ne
sait
Antécédents. 171 i de quoi ; non paralysé. Gr
ar an, et toujours siégeant presque exclusivement à droite. Il ne
sait
pas se scrvir de ses mains et il faut le faire ma
- L'enfant, hémiplégique à droite, ne marche pas, ne parle pas, ne
sait
ni se laver, ni s'habiller. L'appétit est médio
ni s'habiller. L'appétit est médiocre, il mange ses excréments. Ne
sait
rien porter à sa bouche; pas de bave ni de succ
utre des suites d'une couche, une autre poitrinaire, le reste on ne
sait
de quoi, mais pas de maladies nerveuses. Pas d'
ares colères. On a toujours été obligé do l'habiller, toutefois, il
sait
manger pro- prement. On l'envoya à l'école où i
: « Maman, mal, -0 ? l ? Partout ? C'est tout ce qu'on pou- vait
savoir
. Aucun cri n'annonçait le début de l'accès ; la r
nçait le début de l'accès ; la ri- gidité aurait générale, et on ne
sait
si les secousses prédo- minaient d'un côté. Pen
schelling toutes les pièces d'argent sans distinction. Bien qu'elle
sache
que l'argent sert à acheter des sucreries, des
'a aucune idée de sa valeur relative. Elle ne compte que jusqu'à 4,
sait
son nom, son Age, mais rien de plus sur la vie.
anquille. Torpeur. Le niveau intellectuel est plus bas; l'enfant ne
sait
ni lire ni écrire. T. 36°, 1. L'auteur donne
semble à une arriérée de 4 à 5 ans. Elle lit de petits mots mais ne
sait
pas écrire. Sa mère prétend que l'in- telligenc
ements sur ses antécédents et sur ceux de sa famille. Tout ce qu'on
sait
, c'est qu'il a été envoyé à l'asile par l'hospi
orte de rainure au niveau de la suture fronlo-pariélalo, mais on ne
saurait
afl1rmer la persistance d'une partie de la font
ne péri- clitera pas, car Charcot fut un chef d'École et ses élèves
sauront
perpétuer son oeuvre. Nous sommes certains d'
la douleur de tète s'accompagne de certains troubles de la vision, il
savoir
obnubilation du champ visuel à droite. Il ne vo
sède pas d'examen régulier du champ visuel pendant l'accès et je ne
sais
si il existe des observationspouvant établir le f
il ne m'a pas paru exister des symli- 8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
SAI
.PÊTK1ÈHE tomes oculaires; ces observations sont
ement plus lard sous forme d'accès. Il n'en est rien en effet, nous
savons
par nos leçons de l'an passé, que certaines lésio
donc bien en présence des signes d'une paralysie dettoïdienne. Vous
savez
tous, je suppose,. que la contraction du deltoïde
ntinuer de s'élever jusqu'à la verti- cale, il faut,' comme vous le
savez
, que le grand dentelé intervienne. Mais continu
ntrer que c'est bien là, en ell'et, le mécanisme à invoquer. - Vous
savez
que le nerf circonflexe est une des branches term
lleurs, en parfait accord avec cette remarque de Cruveilhier (1), à
savoir
que si, le plus souvent, le trajet des nerfs es
n partielle de dégénérescence. Cette réaction dénote, comme vous le
savez
, que les muscles paralysés sont le siège d'alté
e époque, les membres inférieurs firent eux aussi des progrès : ail
savoir
que l'enfant les souleva mieux du plan horizontal
e du renflement sont gravées des petites lignes verticales, au-des-
sus
de ces lignes se trouvent gravés les chiffres des
e aussitôt dans l'alcool et examinée quelques semaines après. On ne
saurait
donc considérer les lésions comme des altératio
III et IX). Quant aux muscles trapèzes, rhomboïdes, grands dentelés
sus
et sous-épi- neux, ils ne sont pas touchés. Le
ant en soi les reflets des idées et des moeurs de son époque, on ne
saurait
négliger de faire valoir ces diverses influence
lois mystérieuses qui régissent cette dou- ble évolution. Mais nous
savons
qu'elle peut être arrêtée ou pervertie, et que
de qui réalise ce dernier cas, et j'espère vous convaincre qu'il ne
saurait
être question pour un médecin instruit de confond
queue de cheval, avec quelques dé- veloppements. ' Cette étude ne
saurait
être bien comprise de vous qu'autant que vous a
du ren- flement lombaire, connu sous le nom de cône terminal. Je ne
saurai
donc les séparer l'une de l'autre. 1 \ / \
saurai donc les séparer l'une de l'autre. 1 \ / \ 1 / ' Vous
savez
que sous le nom de queue de cheval, on désigne un
gine dé ces mêmes nerfs. Je dois vous prévenir toutefois qu'il ne
saurait
convenir au clinicien. Je vous mon- trerai qu'e
uatre premiers vont former le plexus lombaire, s'échappent, vous le
savez
, par les trous de conjugaison du segment lombai
Naturellement les malades se fatiguent très vite. Il faut que vous
sachiez
aussi que dans les affections de la queue de ch
bien des cas, dominent la scène pathologique. Ce qu'il importe de
savoir
et de retenir, c'est que jamais on n'observe de
estations des affections de la queue de cheval ? c'est ce que je ne
saurais
vous dire. Je constate donc simplement que l'élec
constances dans lesquelles l'intervention opératoire est justifiée, à
savoir
: Déformation du rachis, avec compression de la
ose dès lors, question d'une haute im- portance pronostique, est de
savoir
quelle partie de ce contenu intra-rachi- dien e
ntourage, des personnes atteintes de cancer de la ma- melle et l'on
sait
combien, en matière d'hystérie, la contagion nerv
uses, s'exalte la zone de la région mammaire, le ou les seins, nous
savons
combien la bilatéralité est rare, deviennent sp
se confondirent bientôt pour former une rougeur uniforme qui dépas-
sait
un peu de tous côtés la mamelle sans s'étendre da
de l'accès convulsif qui plus tard fit rarement défaut ». - On ne
saurait
être plus explicite. Ces phénomènes, entretenus,
presque toujours fort tenace et sa durée peut être fort longue. On
sait
, du reste, combien il est difficile parfois de dé
si l'on lient compte des particularités que nous avons exposées, ne
saurait
guère être hésitant. Toutefois pourra-l-il ne plu
aussi gros que celui de la mamelle droite ». ' D'après ce flue nous
savons
aujourd'hui des troubles trophiques dans l'hyst
E DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT (1). PAR PAUL RICHER L'on
sait
quel rôle important le muscle joue dans les mouve
arés par des sillons dus à la cloison fibreuse qui les sépare et ne
saurait
se distendre en proportion. Ces sillons, indice
rps humain en mouvement, c'est que la saillie que fait un muscle ne
saurait
à elle seule constituer un indice certain de l'ét
pas sans intérêt pour l'étude que nous poursuivons en ce moment de
savoir
exactement quelle est la valeur de l'effort muscu
qu'alors le biceps est inactif au moment de l'extension et qu'il no
saurait
plus être question de contraction frénatrice. Aus
ut. D'où il résulte que, dans les mêmes circonstances, l'artiste ne
saurait
donner au membre qui se fléchit d'autres formes q
ROITE' RÉSECTION INTRA-RACHIDIENNE DE CETTE RACINE ET DES RACINES
SUS
ET SOUS-JACENTES. GUÉRISON OPÉRATOIRE ET FONCTION
jusqu'à la tôle du 5e métacarpien, et dont la courte branche croi-
sait
à leur base le petit doigt, l'annulaire et le méd
et la fréquence des crises ne furent nullement modifiées. Nous ne
savions
plus que faire lorsqu'un nouvel examen vint subst
du névrome consécutif à la section du cubital,névrome que l'on fai-
sait
rouler sous le doigt sans la moindre douleur (fig
le ganglion, résection complétée par celle des racines postérieures
sus
et sous-jacentes, pour se conformer à la don- n
éséqué non seulement la racine malade, mais encore les deux racines
sus
et sous-jacentes. Nous avons agi ainsi parce qu
étention d'urine. Or c'est là un phénomène capital sur lequel je ne
saurais
trop appeler votre attention. Un médecin, mandé a
nt limitée aux domai- nes cruro-fessier et ano-périnéo-génitaL Vous
savez
pareillement que cetle anesthésie est bilatéral
ta)e. Les choses persistent dans cet état jusqu'à la mort du sujet.
Savez
-vous ce qu'on a trouvé à l'autopsie ? Un foyer d'
Clinique des Maladies du Système Nerveux, à la Salpèlrière. L'on
sait
, et les arlisles en particulier le savent mieux q
x, à la Salpèlrière. L'on sait, et les arlisles en particulier le
savent
mieux que personne, combien il est difficile, p
able ou tout au moins exemple de véritables tares. Mais ce que l'on
sait
moins, c'est quelles sonl les imperfections ou, p
érieure et des déviations qu'elle peut subir dans le sens latéral. On
sait
d'ailleurs qu'on a décrit une courbure latérale
é de niveau des épaules; mais remarquable par son siège inusité (on
sait
, d'après les auteurs, que la scoliose la plus fré
usive de certains groupes musculaires. Mais celle interprétation ne
saurait
être prise en considéra- tion pour deux raisons
ur les Beaux- Arts, la plupart d'origine italienne et, comme chacun
sait
, en dehors des séances de pose, incapables d'au
erveuse, et de l'autre, il n'a pu exactemenl décider la question de
savoir
si cette altération de la sensibilité était un ph
l'illustie observateur el professeur, le regretté Dr-Charcot, nous
savons
que l'hystérie peut entraîner de pro- fonds dés
ans, a évolué une déformation thoracique que présente la malade, à
savoir
: scoliose très accentuée à convexité gauche, p
ris, il va trouver le commissaire de police de son quartier afin de
savoir
si le procureur cle la République ne l'aurait p
mètre de diamètre. Ajoutons que ces nerfs siègent au milieu de tis-
sus
oedématiés d'une façon chronique, ce qui pourrait
illustres re- présentants de l'art national des Pays-Bas. Chacun
savait
, suivant sa manière, utiliser ces données banales
e, penseurs profonds sans austérité, les Flamands et les Hollandais
savent
adoucir les tristesses par leur bienveillante p
a douloureuse réalité, n'excite que médiocrement la compassion ; on
sait
que cette souffrance, quelqu'exaspérante qu'elle
chant de si près au grand ressort de la machine humaine. Mais il ne
saurait
en être question dans les peintures qui nous occu
squels on croit reconnaître des indices certains de trépanation, on
sait
qu'llippocrate a décrit deux trépans : le trépa
galement par Franco, prêtait à la critique humoristique. Mais il ne
saurait
en être question dans notre cas : la pièce d'or
les traitements les plus invraisem- blables. Les charlatans adroits
savent
la puissance de leurs suggestives propagandes,
posés. Ceux-là s'appellent aujourd'hui les neurasthéniques et l'ont
sait
qu'une céphalée atroce et persistante est un de
en dénué de scrupules, empirique ignorant, mais exploi- teur malin,
savait
merveilleusement tirer parti de leur crédulité et
OPÉRATIONS SUR LA TÊTE 243 Connaissant les croyances populaires, il
savait
que ceux dont on disait t qu'ils avaient « une
un petit garçon prépare dans un panier des pierres de réserve qu'il
saura
faire passer au moment opportun. Tant de naïv
flétrir les péchés et les vices, ce répertoire imagé que les prêtres
savaient
employer si il propos pour jeter l'épouvante da
repos : c'est un petit balai fixé au dos du fauteuil avec lequel il
saura
la fustiger, jusqu'à ce qu'elle en- tende raiso
mais l'abaissement normal. Dans l'oeil droit, l'abaissement se fai-
sait
également bien, tandis que .l'élévation' et les '
ènes. Ainsi, en mars 1895, deux signes nouveaux étaient survenus, à
savoir
, un nystagmus provoqué par les mouvements d'élé
s du nerf facial. C'est, en effet, dans cette région, comme vous le
savez
, que se fait cet entrecroisement. La face doit do
Quanta la pathogénie de cette amyotro- phie des hémiplégiques, vous
savez
comme moi qu'elle est encore mal élu- cidée. D'
que ces derniers ne sont pas irrigués par les mêmes ra- meaux. Vous
savez
que la protubérance reçoit ses vaisseaux du tronc
a glotte rentreraient donc dans le cadre de cette affection. Or, on
sait
que ces attaques de spasmes ont parfois un pronos
souvent, n'offrira en général aucune difficulté, aujourd'hui qu'on
sait
attribuer à la névrose ce qui lui appar- tient.
ocateur très manifeste de la crise est l'émotion. Dès que la malade
sait
qu'on va la voir, dès que la visite des élèves a
queuse philosophie. 1 Le dessin original existe-t-il encore ? Je ne
sais
. Mais l'excellente gra- vure qu'en possède M. l
obligeant directeur général du Rijks Muséum d'Amster- dam, m'a fait
savoir
qu'il existait au Cabinet des Estampes de ce musé
doctoral re- hausse encore sa taille et son prestige. La commère
sait
son métier et ne néglige aucun des accessoires. C
é réellement, ou n'est-ce là qu'une fantaisie de P. Bruegel ? Je ne
sais
. Ce qui est certain, c'est que les femmes pre-
iffures, la maudite tumeur. Il en est un, coiffé d'une boite, on ne
sait
pourduoi, qui fait une affreuse grimace. Un oei
destinée, pour la plus grande satisfaction des hardis compères qui
savent
les extraire à propos. A gauche de la gravure,
ecins de campagne, docteurs en chambre et charlatans en plein vent,
surent
favo- riser cette croyance pour leur plus grand
ers qu'il s'agit d'une scène jouée sur quelque théâtre ambulant. On
sait
que cette plaisanterie faisait souvent les frais
cin-là a une réputation bien établie, une clientèle de choix, et il
sait
, se mettre (1) Voy. PAUL Richer et fiExnY Mi :
était tombée dans la pratique courante, et les barbiers de village
savaient
, eux aussi, en tirer profit, comme en témoigne
ssisté d'un jeune homme et d'une vieillefemme. Les, barbiers, on le
sait
, pratiquaient couramment la saignée, et l'on in-
avid Teniers a encore représenté deux opérations sur la tête. Je ne
sais
s'il s'agit de dessins ou de peintures, ni dans q
nt le reproche. Ne doit-on pas plutôt s'en féliciter, puis- qu'il a
su
puiser dans ces agapes familières tant de sujets
compositions pleines d'humeur et de verve. Nul, mieux que lui, n'a
su
personnifier le type du Sganarelle. Fréquemment
s et jolies. Il affectionnait ces « malades d'amour auxquelles il a
su
donner une si intéressante langueur, avec un si
vieille que nous montre Jan Steen soient fort peu séduisants. On
sait
d'ailleurs qu'au moyen âge, la pratique de la chi
d'un comique inimitable. C'est qu'elle aussi est du métier, et elle
sait
toute l'importance de la gravité professionnelle.
e, à moins d'être aveugle, nul ne peut s'y laisser prendre. Et, qui
sait
? peut-être^ce tour de passe-passe ne sera-t-il p
e tableau de van Bosch, un autre dans le Teniers du Prado. Reste il
savoir
si cet oiseau qui « ne veut pas voir » symbolise
pied de l'espèce des barbiers, physiciens, rebouteux, mires, etc.,
surent
en tirer de lu- cratifs profits. - Déjà en us
limites nettes et irrégulières montrent jusqu'à l'évidence qu'il ne
saurait
être question d'une altération parenchymateuse
avec la structure intime de la substance grise qui, ainsi qu'on le
sait
, permet 'facilement le cheminement des liquides
dénomi- nation de Gilbert et Lion qui me paraît fort juste. On ne
saurait
trop insister sur ce fait que les troubles circul
élirante, d'une « impulsion morbide à la déambulation ». M. X... ne
saurait
donc être rendu responsable de cette « fugue'inco
connaissance et mouvements désordonnés ; sur ces attaques lui-même ne
sait
donner aucun renseignement, il avait perdu le s
riceps brachial, le long supinateur, les ra- diaux, pendant que les
sus
et sous-épineux, les sous-scapulaires, les mus-
distribution, l'association aux troubles des orga- nes des sens ne
sauraient
laisser de doute, combien même on n'aurait pas
icaux caractérisés en ce moment par l'inconti- nence des urines. On
sait
combien peu fréquente est l'incontinence d'u- r
ée (1). Un seul fait semble anormal : c'est la crainte du froid. On
sait
en effet que les Parkinsoniens se plaignent tou
ronation de l'avant-bras est contracté, fait paradoxal puisque nous
savons
que normalement le biceps n'inter- vient dans l
: et cette espèce de lésion est mauvaise parce que les médecins ne
savent
le lieu de la veine et que s'ils le savaient ils
arce que les médecins ne savent le lieu de la veine et que s'ils le
savaient
ils pourraient ouvrir le crâne et émonder le sa
ure capillaire du crâne, chez qui m'étant servi de raspatoires pour
savoir
si elle pénétrait jusqu'à la face interne du cr
es points où convergent les veines et les nerfs ». Il faut du reste
savoir
, non seulement les employer, mais les employer
lle capillaire, c'est-à-dire pour mieux parler, douteuse, car on ne
sait
jamais si celte fracture est pénétrante ou non, o
nsibilité tactile après la perte des autres sensibi- lités), on ne'
saurait
trop affirmer leur fréquence dans les paraplégi
faces antérieures et postérieures. En l'absence d'autopsie on ne
saurait
dire si la compression s'est exercée ici de dehor
égard, bien sûrs de nous rencontrer avec M. Van Gehuchten si nous
savons
nous faire comprendre. Pour notre part nous ne
é, ont été portés à l'apogée par le monde entier. . Tout le monde
sait
que si la suspension fut appliquée dans le trai
a que quatre qui méritent d'être étudiés en détail. Tout le monde -
sait
en quoi consiste le procédé primitif, dit procé
présente un inconvénient, qui n'existe point dans la pendai- son, à
savoir
: la résistance produite par le contact continuel
inférieurs. P... se plaint de l'insomnie et des cauchemars. Il ne
sait
pas reconnaître son lit et va se coucher dans cel
i- ci, si le médecin est suffisamment assidu et'persévérant, s'il a
su
gagner un certain ascendant et la confiance du
en face d'un acte passionnel com- mis par un individu sain. Si nous
savons
que la passion trouble profondément l'équilibre
t besoin de limites précises. Or un homme est dit fou : quand il ne
sait
pas ce qu'il fait, quand il n'a plus la connais
tellectuelles ; n'est-ce pas proprement le cas des récidivistes qui
savent
cependant ce qui résulte du manquement aux lois
rapporte un cas de cécité verbale constaté chez un jeune soldat qui
sait
très bien écrire, mais pas du tout lire. Il - c
ne annuelle des malades admis est montrée avoir décru quelque peu
savoir
de 7,6 p. 100 à 7,3 p. 100. Le pourcentage des ép
renseignements donnés nous paraissaient d'ac- cord avec ce que nous
savons
de l'influence des grands cataclysmes sur la pr
p.'100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
NERVEUSES. 12o liorantle signe de Romberg et l'incoordination. Nous
savons
maintenantque grâce à la gymnastique raisonnée,
l'iean Journal of Insunity, juillet 1899, p. 101 à 103.) - 1 On
sait
que la théorie de la rétraction, telle qu'elle es
x, il meurt douze heures après sans avoir repris con- naissance. On
sait
seulement de lui qu'il est depuis quelques années
mieux en vue. Leur constatation soulève une question importante, à
savoir
: l'atrophie parenchymateuse primitive du cerve
rdons antérieurs et latéraux. pour monter au cerveau. Ces fibres ne
sauraient
encore être sûre- ment distinguées de celles qu
Le singe auquel on a enlevé les lobes frontaux, et qui avant cela
savait
distinguer, à l'aide de ses sens, un morceau de c
spécifique continue à faire son métier. Je suis encore indécis à
savoir
si le traitement spécifique agit ou non. M. Bab
ce qu'à la période de début. Quand la névrite est constituée, il ne
saurait
plus avoir aucune action; il doit être aidé par d
s indications symptomatiques s'adressent à la douleur; mais il faut
savoir
les appliquer à chaque cas particulier. Aussi l'a
n cabinet lorsqu'elle entend du bruit. Son seul miracle est d'avoir
su
attirer à elle des pièces blanches qui ont perm
ION DE LA ROUGEUR OU ÉREUTHOPHOBIE. 181 teste. Ce n'est là, nous le
savons
, qu'un très infime point d'histoire : encore ét
la claustrophobie, l'onomatomanie, etc. Toute la question est de
savoir
si l'obsession de la rougeur méritait, elle aussi
s que la part prépondérante revient à l'émotion. Pour nous, on le
sait
, l'obsession est avant tout non pas une maladie d
rrible. Je sens au plus profond de mon moi sourdre une angoisse. Je
sais
ce que cela veut dire. J'entre en lutte. Je com
. Autre exemple : je suis invité à dîner. Ma préoccupation est de
savoir
si j'aurai la lumière dans les yeux. S'il en est
. Ces résultats auxquels nous arrivons sont conformes à ce que nous
savons
de la vitalité de la peau aux âges avancés. Le
s eu tête pour la débilité mentale et la démence. V. - Comme chacun
sait
, on réunit sous la dénomination de vésanies des
mal. Je le comprends moins pour la double forme composée comme on
sait
de deux états aigus, maniaque et Iypémaniaque, qu
loqué et je lui répondais que tout était débloqué. Seulement, je ne
sais
pas qui me par- lait. 9. Sentez votre nez : L
sur la tête et ça ne veut pas se déblo- quer -Où êtes-vous ? Je ne
sais
pas + La tête me fait bien mal - Crise de contr
terre ? Huit jours .après, au jour de l'an, il m'a pris mal - Je ne
sais
pas ce dne j'ai eu - Où êtes-vous ? 'Je suis au
dne j'ai eu - Où êtes-vous ? 'Je suis aux Pennes. Quel jour ? Je ne
sais
pas +Je vais travailler au Vallon de l'Assassin-)
que je suis tout autre que hier -j- Vous criez de bien loin ? Je ne
sais
pas où je suis + Je ne suis pas à Marseille, je
bile de M. M... qui fait : teuf, teuf, tuf - C'est mercredi + Je ne
sais
pas où je suis + Je me souviens de ma première
roi me donnait une douleur à gauche et me levait le souffle + Je ne
sais
pas l'âge que j'ai + Crise de contracture ? Le
19, Louis a présenté de la confusion mentale. Où êtes-vous ? Je ne
sais
pas. Quel âge avez-vous; Je ne sais pas. Criez
mentale. Où êtes-vous ? Je ne sais pas. Quel âge avez-vous; Je ne
sais
pas. Criez fort. Je n'entends pas. Sentez votre c
+ Tu me donneras une planche pour faire des cages aux tortues + Tu
sais
, M. P..., que, le mois prochain, nous allons en
l fait frais ici, là-bas très chaud + J'ai 12 ans et demi + Si je
savais
où il est celui-là, je lui ferais bien la peau +
vous gagner ? -Je vais travailler un jour et vous verrez ce que je
sais
faire. Quel âge avez-vous ? Dix-sept ans. Combien
re. Quel âge avez-vous ? Dix-sept ans. Combien ? trente francs. Que
savez
-vous faire ? Rien, parce que je sais tout. Tien
Combien ? trente francs. Que savez-vous faire ? Rien, parce que je
sais
tout. Tiens, voilà un cigare. - N : li ! toi, e
e mois prochain, je tire au sort - Je tire au sort aujourd'hui +-Tu
sais
? Je tirerai le numéro z - Et j'ai tiré le 3 +
resse de M. Vial + Olt ! 01 ! Que te fait-on à Marseille ? Je ne le
sais
plus + Il y a encore là-bas dans le fond quelqu
demi. Vous êtes Monsieur l'instituteur; jesuisà à Ain-Turc ; je ne
sais
pas encore lire et écrire. Je viens de France,
crire. Je viens de France, des Pennes, banlieue de Marseille. Je ne
sais
pas quel canton, vous demanderez à mon père, en
es membres, se frotte les yeux et me dit : Oh ! il fait chaud, vous
savez
; il me semble que je viens de rêver; j'étais ma
ac. -+- C'est collé là -f- Soubresaut avec cri de douleur ? Si vous
saviez
les douleurs atroces qu'il y a là-dedans ! ? Gr
n trouve des causes accumulées (alcoolisme, insolation, etc.) on ne
sait
au juste le processus et la vraie cause. On peu
oute, la maladie psychique survit à la guérison pliysique. Mais que
savons
-nous de la chimie cellu- REVUE DE PATHOLOGIE ME
as même les mau- vaises notes qu'il avait eues. ' Or on finit par
savoir
que la veille où cette idée s'était présentée à
t du professeur; l'élève alors frappe, ses yeux se troublent, il ne
sait
ce qu'il fait, il continue à frapper à mort. Il r
on fait d'anomalies ou de monstruosités, aucune classifi- cation ne
saurait
être rigoureusement exacte. Recherchant la cause
observe dans la partie périphérique du nerf : seulement le proces-
sus
a pris plus haut un aspect particulier en vertu d
s de condenser en un volume destiné à la vulgarisation ce ^que l'on
sait
sur une morale basée unique- ment sur la connai
le principal accusé dans l'affaire de Margueritte, qui, comme on le
sait
, semble manifester des signes d'hallucination c
r, une « émotion systématisée ». Dès lors, se pose la question de
savoir
quel est, dans l'obsession, le plus important, de
tant à un fait qui les a vivement impressionnés. D'autre part, on
sait
qu'il n'y a pas de rapports fixes entre l'impor
part, et il suppose prouvé ce qui, précisément, est en question, à
savoir
qu'une idée est toujours incapable de produire
'elle nous fait trembler. Mais pour- quoi la vue d'un ours que nous
savons
-empaillé (impression visuelle indcntique) ne n
) ne nous fait-elle pas. trembler ? C'est évidemment parce que nous
savons
que cet animal empaillé est indITensif et, par
ent le travail cérébral, mais ces modifications, à elles seules, ne
sauraient
créer l'émotion. Leur suppression laisse subsis
es, un troisième est poursuivi jusqu'à l'anxiété par la question de
savoir
« pour- quoi les arbres sont verts, pourquoi le
angoissantes qui accompagnent si souvent l'obsession, mais elle ne
saurait
créer l'obsession. Elle n'est vraisemblablement
st vraisemblablement elle-même qu'une conséquence de l'aboulie On
sait
que les abouliques ont conscience, au moins à q
si je prenais mon chapeau pour sortir, déjà l'angoisse m'envahis-
sait
! Si je voyais même de loin un groupe d'hommes pr
e loin un groupe d'hommes près duquel je devais passer, alors je ne
savais
plus me contenir : le sang me montait au visage
rs amis et même de ma soeur, et personne ne 276 CLINIQUE MENTALE.
savait
me venir en aide : je lâchais de conserver une me
angoissantes. Cela alla même si loin que dans tout ce que je fai-
sais
, dans les choses même les plus simples, se présen
e prenais plaisir à aller en voiture, à monter à cheval, je me fai-
sais
réveiller de bonne heure je restais douze à quinz
théâtre, bref, la plus grande incapacité à penser et à agir et Dieu
sait
ce qui me serait arrivé, si je n'avais pas eu à
suffisamment aussitôt que s'installait cet état torpide, mais je ne
sais
quel est l'état le plus à redouter. L'angoisse da
plusieurs jours à la suite d'emprunts ou de vols. On n'a jamais pu
savoir
comment il pas- sait son temps et où il dépensa
te d'emprunts ou de vols. On n'a jamais pu savoir comment il pas-
sait
son temps et où il dépensait l'argent. A toutes l
parait nous aimer, mais il est si hypocrite et si faux, que nous ne
savons
s'il nous aime réellement ». Les observations q
ce de ceux qui vivent auprès de lui. A des idées religieuses, qu'il
sait
exagérer en temps opportun, mais elles ne sont
racontant il tout le monde qu'il a chez lui un violoncelle, dont il
sait
jouer, qu'on va le lui envoyer et qu'il est cha
s sottises. Je com- mence à en avoir assez de cette vie-là et veux,
savoir
le fin mot ». On le remonte par des paroles d'e
réaction dégé- nérative de la trichinose et de l'hystérie, il n'en
saurait
être ques- tion ici. C'est l'empoisonnement c
yramide du rocher, et, par suite, contusion de ces nerfs. Mais nous
savons
par expérience que dans ces conditions l'oculom
copiait les modèles d'écriture qu'on lui mettait sous les yeux sans
savoir
ce qu'il écrivait. Il aurait donc été possible de
uses sont corré- latives l'une de l'autre. Toute la question est de
savoir
quelle est la primitive. l'our M. Solfier c'est
mangé du poisson, des coquillages, des fraises, etc. M. JOFFRoy ne
sait
si le dermographisme est plus fréquent chez les
ut, aussi bien dans la paralysie générale que dans les vésanies, ne
saurait
être comparée au délire de négation car il ne s
é de liquide continue il être injectée à heures fixes. Le malade ne
sait
donc jamais quand le traitement a été commencé.
x ou trois premiers jours de suppression. - M. TI ! IVET voudrait
savoir
si la méthode de M. Joffroy donne les mêmes rés
dates, pose des dilemnes, s'empare du fait le plus insignifiant et
sait
l'adapter adroitement aux besoins de sa cause.
cerveau atteint d'un genre de sclérose d'aspect rugueux et qu'il ne
sait
tiop comment classer. N'est-ce pas de la scléro
epter l'ogillion que nous avons soutenue, M. Charpentier et moi, il
savoir
que le signe de liôbertson parait dénoter la sy
oites avec la syphilis ; cela n'est plus dis- cutable. Il s'agit de
savoir
actuellement si les troubles en question boni s
nt été publiées, n'apprendraient rien de nouveau ; la discussion ne
saurait
être reprise avec intérêt que le jour où l'on v
u carbaminate de lithine et du carbonate d'ammoniaque. Or, comme on
sait
que les bromures sont innocents par eux-mêmes e
-ci n'y est pour rien. Quant à la présenta- tion du livret, elle ne
saurait
être considérée comme une « opéra- tion ». Les
uinzeb... (Alphonse-Désiré), né le 11 mai 1849, bobineur, indigent,
sait
lire et écrire, entre àl'asile d'Armentières, l
. Son frère jumeau, Quinzeb... (Jules Victor), filtier, indigent,
sait
lire et écrire, entre à l'asile d'Armentières, le
es avant que les troubles mentaux devinrent très apparents. « Il ne
sait
plus ce qu'il dit ni ce qu'il fait, déclare sa
on, par les mêmes phrases, mêmes réactions, même évolution. Il ne
saurait
être question de folie induite dans ce cas par
nt. Il existe une paralysie du musculo-cutané, seul atteint, qui ne
saurait
être attribuée qu'au surmenage, à moins qu'on a
très marqués, et, lorsqu'il existe, est souvent si faible qu'on ne
saurait
dire qu'il y ait diminution pathologique. Natur
méfiants. Il nous manque en effet un travail préliminaire. Nous ne
savons
encore pas exactement quelles sont celles des alt
! ' (Onuf¡'owicz) (The New-York Médical Journal, 11 mai 1901.) On
sait
combien il est fréquent de voir la sypliilis rete
trois observations importantes conduisent à * la même conclusion, à
savoir
: que la diminution de la pression atmosphériqu
ètre plus d'azote dans le sang. Tout en admettant ce fait, l'auteur
sait
parfaitement que la nutrition est aussi amélior
ogénique de son origine primiti- vement et uniquement musculaire, à
savoir
l'abolition des réflexes tendineux malgré l'int
ion ou délusion, sous l'influence d'une impulsion homicide pure. On
sait
qu'il est habituel dans les asiles que deux ou tr
rtir une impul- sion homicide. Quelques malades peuvent à ce moment
savoir
que l'acte qu'ils commettent ou vont commettre
ne part d'instinctivité existe dans la criminalité juvénile et nous
savons
quelle est, le plus ordinai- rement, sa provena
e géné- rale. Cette topographie de la lésion confirme ce que l'on
sait
sur la localisation du centre de l'auditiou. Le
r des préparations convenables, une particularité intéres- sante, à
savoir
: que les filaments chromatophiles de certains
s salles, trois malades atteints d'hémianopsie. Sous ce nom,vous le
savez
sans doute, on désigne l'abolition de la percep
; on était obligé de l'ali- menter à l'aide de la sonde. On n'a pas
su
, au juste, ce qu'elle avait eu. v Un an plus
de la voie optique. Tout à l'heure, je vous rappellerai ce que nous
savons
du trajet de la voie optique considérée depuis
ge unilatéral du processus mor-, 448 CLINIQUE NERVEUSE. ' bide, à
savoir
: l'hémiparésie droite et l'aphasie motrice ant
point de vue de la pathogénie de l'hémianopsie, l'important est de
savoir
que toute lésion qui désorganise la voie optique
iquent le caractère diffus des lésions en cause. Dès lors, elles ne
sauraient
être locali- sées dans la portion de la voie op
s de la vue, qui n'ont pas besoin de com- mentaire, car, tous, vous
savez
ce qu'on entend par ces termes. Vous avez eu so
tiplicité des troubles du lan- gage, que l'on constate chez lui, en
sus
des troubles de la vision. SUR TROIS cas d'hé
cre, lisait quotidiennement un journal, avant de tomber malade ; il
savait
écrire. Il ne semble pas que son intelligence a
nom. A cause de son manque d'instruction, il nous est impossible de
savoir
s'il présente des troubles du langage * intérie
onvolution occi- pitale. On n'est pas encore fixé sur le point de
savoir
s'il existe un centre spécial dont la destructi
de relais, placés sur le trajet de la voie optique. Autant que je
sache
, on ne connaît pas encore un seul exemple d'hém
ne seule bandelette, elle produira une hémianopsie unilatérale, à
savoir
: 470 CLINIQUE NERVEUSE. Une hémianopsie temp
en, nous ne connaissons pas encore exactement leur rôle ; mais nous
savons
pertinem- ment que les unes et les autres dégén
nt des choses qui ne sont pas vraies. » Ce dont elle s'accuse, elle
sait
, « que c'est elle qui a fait ces choses soit en r
es choses soit en réalité, soit en rêve, soit en cauchemar. Elle ne
sait
pas comment est sa tête ». Parfois,voyant qu'
pensait mal, connais- saient toutes ses pensées, que tout le monde
savait
ses vilaines idées, qu'elle même savait être fa
pensées, que tout le monde savait ses vilaines idées, qu'elle même
savait
être fausses. C'est parce qu'on aurait su qu'el
idées, qu'elle même savait être fausses. C'est parce qu'on aurait
su
qu'elle avait dans l'idée de telles pensées et qu
tous ceux qui passent à côté d'elle ou qui rentrent dans sa chambre
savent
ce qu'elle se dit à elle-même. .Maintenant el
naît ma pensée; ce que je pense n'est plus secret, tout le monde le
sait
. Me vient-il une mauvaise idée à la pensée, l'idé
passent en dehors d'elle. Elle est hypnotisée, dit-elle, on doit
savoir
tout ce qu'elle dit puisque, « elle est la seul
s facilite largement la confirmation expérimentale de nos idées ' à
savoir
l'explica- tion et le mécanisme de la structure
anisme et leur genèse intime une explication toute psychologique, à
savoir
l'introspection délirante du langage intérieur.
te sur ses antécédents personnels est impossible et nous ne pouvons
savoir
si au cours de ses quinze années d'excès' alcoo
heures dans les escaliers, sans lumière, et lorsque quelqu'un pas-
sait
elle le tirait par ses effets sans rien dire. Ass
on chez le 492 RECUEIL DE FAITS. mari, elle était en démence : ne
sait
ni ce qu'elle dit ni ce qu'elle fait, ne veut p
us caractéristique des alté- rations au début du nerf optique. Pour
savoir
si le malade présente quelques altérations path
l est en proie à une attaque d'épilepsie. Puis, le voilà, sans trop
savoir
comment, dans sa chambre à coucher tournant le
aralysie agitante fortement teinté de tabes, auquel s'ajouterait en
sus
une légère démence. 11 faut en rapprocher les d
à-vis, je me sens au plus haut point troublé, décontenancé, ; je ne
sais
où diriger mon regard, mes yeux se remplissent de
sur le thymus et la glande thyroïde chez les enfants anormaux. L'on
sait
l'inlluence néfaste des professions insalubres
mérite et d'avoir osé entreprendre une oeuvre difficile et d'avoir
su
la mener à bonne fin. 11 convient de le louer de
motrices et d'ignorance des mouvements, puisque l'enfant n'a jamais
su
parler. L'auteur met en évidence l'intérêt prat
qu'en raison des difficultés particulières de notre tâche, nous ne
savons
pas encore utiliser pratiquement notre matériel d
es. Nous n'avons d'indications précises que sur ce second point. On
sait
que les poisons, l'alcool, la morphine, la coca
é de notre pronostic que reposent la confiance du public dans notre
savoir
, notre crédit auprès des tribunaux, enfin la po
attention, en général, qu'à ce qu'on connait déjà, et on croit tout
savoir
quand on a classé un certain nombre de cas typi
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
u poignet, du coude et de l'épaule). Ce n'est pas la règle, vous le
savez
, dans les tumeurs cérébrales ; il est commun au
question qui ne peu^ encore, être tranchée pour le moment; il faut
savoir
attendre. Asiles d'aliénés. - Mouvement de no
assassiner; quelquefois s'en allait de la maison et zô.lrrit on ne'
savait
où; sa, mère, avec laquelle il se comportait très
le questionne sur le sujet, il répond « pour- quoi est-ce que je le
sais
». Il manifeste un négativisme très mar- . que
x questions qu'on lui adresse, il répond : « pourquoi est-ce que je
sais
cela » ou bien : « le diable le sait » et sourit
ond : « pourquoi est-ce que je sais cela » ou bien : « le diable le
sait
» et sourit sans raison. ' Février 1-14, 1897
coin, il prenait, à l'instant même, l'une de ses poses favorites, à
savoir
, il restait couché sur le dos, les jambes rappr
naturels, le malade sort de son coin sans qu'on le lui rappelle, et
sait
toujours trouver le che- min des cabinets d'ais
nt au jardin, il ôte ses chaussures et reste nu pieds. Le malade ne
sait
où il se trouve, ni ce qui l'entoure et n'a aucun
dit pas, mais il sourit quand on le lui demande. Lorsqu'on a voulu
savoir
, n'est-ce pas, sous l'influence de quelles visi
mbes, en marchant il prend une pose artificielle très compliquée, à
savoir
: son bras droit est relevé (faisant un coin dr
de la maladie doit être exclu. Restent encore deux autres formes, à
savoir
: l'anzeiîtia de Meynert et la démence précoce.
de Meynert et les formes qui ont une connexion avec cette lésion, à
savoir
, la psychose hallucinatoire aiguë et la dé- men
ce qu'on lui donne. Sa conscience est profondément troublée ; il ne
sait
pas ni où il se trouve, ni ce qui l'entoure, ni
e malade présentait un tableau typique du ; syndrome de Kahlbaum, à
savoir
: des poses stéréotypes incom- ' molles, des ph
l'asile de réception, cet état a été déjà constaté encore avant, à
savoir
, au mois de janvier 1885. Ici, nous nous rencon
ements concernant l'ori- i gine de la maladie sont incomplets. Nous
savons
qu'en 1882 a, (c'est-à-dire dix ans avant l'ent
de dégénérescence, connues sous le nom de démence précoce. Nous ne
savons
pas si le malade avait des phénomènes catatoniq
niques durant son séjour à l'hôpital militaire (en 1882), mais nous
savons
qu'en 1887 on pouvait constater chez lui conséc
vint tri-te et com- mença à manifester un délire d'autoaccusalion à
savoir
: une iufi- délité à son mari. De certain motif
cience est troublée, elle ne peut s'orienter dans son entourage, ne
sait
pas qu'elle se trouve dans un hôpital; la chamb
fet, nous avons ici presque tout le symptomocomplexe catatonique, à
savoir
: début de la maladie par un délire mélancoliqu
s ennemis de l'indépendance de la catatonie font deux objections, à
savoir
: pr mlènemrnt, l'existence des symptômes catat
t des fonctions. Nous nous décidons à affirmer tout le contraire, à
savoir
: ce sont, des symptômes d'innervation cortical
atato- niques, nous voulons nous arrêter encore sur l'un d'eux, à
savoir
, sur la flexibilité de cire (catalepsie). Vu l'ét
re par le trouble gé- néral de l'activité psycho-motrice. Mais nous
savons
d'après les observations des autres auteurs, qu
le explication aussi nous donnons aux cas de négativisme partiel, à
savoir
: au mutisme. Nous passerons à présent au sympt
vant qui est le plus difficile à expliquer de notre point de vue, à
savoir
: aux actions impulsives des catatoniques et à
be frontal : il en a été de même danp le cas présent. Tout le monde
sait
que des lésions cérébrales peuvent rester silen
uns des faits sur lesquels ]'auteuritalien édifie; son hypothèse, à
savoir
: « Que la dégénérescence du tabes con- « sisie
sité des fibres nerveuses » et de ce que Fort Hobert- son a désigné
sus
le nom de « réactivité des lisons ». - fi. de V
auteurs ont fait des expériences avec l'algésimètre de Cheron pour
savoir
si l'asymétrie des fonctions sensorielles s'éte
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 71 - La question se pose actuellement de
savoir
si la topographie habituelle des troubles de la
ans la paraphémie, il sera bon d'étudier le rôle de l'attention, de
savoir
si, par exemple, la lecture machinale, en cas d
sabilité pénale d'un épileptique pour des actes déterminés, mais ne
sauraient
justifier, à elles seules, son interdiction.
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
port avec le développement des fonctions de glandes, et ce que nous
savons
du développement chez le crétin de cer- taines
t si peu dangereux pour la société, puisque apathiques, inertes, on
sait
qu'il en est tout autrement de l'épileptique, q
éres de l'épilepsie et du crétinisme ou du myxoedème et ce que nous
savons
.des modifications opposées que l'on observe al
eu à soigner chez eux d'accidents propres à cette maladie. Mais on
sait
assez que cette raison n'est pas suffi- sante p
al. Ceux-là manieront avec fruits la thérapeutique suggestive qui
sauront
habilement comprendre l'intelligence, le psychism
elligence soit paralysée. Un malade atteint de la maladie du doute,
sait
parfaitement que ses angoisses, ses scrupules s
'un état hallucinatoire, l'un des premiers points à examiner est de
savoir
si les hallucinations s'étendent d'une manière
divers états que l'on observe dans une autre série pathologique, à
savoir
, la surdité corticale, la sur- dité psychique e
s;- Sur 76 cas on a pu avoir des indications nettes sur le point de
savoir
si l'affection avait débuté par une phase de méla
1901). - - - ... Ce trouble de la sensibilité consiste, comme on
sait
, en ce que l'excitation nerveuse effectuée sur
ns d'un asile, ne sont pas quand même à considérer comme normaux, à
savoir
des formes plus légères de la folie circulaire et
aucune objection sur ce principe, dont il s'était fait l'apôtre, à
savoir
que la prédisposition expliquait, à elle seule,
même commotion, un seul tombera dans la neurasthénie alors que nous
savons
que la neu- rasténie frappe presque exclusiveme
que entre les réflexexes tendineux, qui sont exa- gérés comme on le
sait
, et les réfles cutanés, qui seraient affaiblis
ie générale peuvent paraître épuisés à force d'être discutés, on ne
saurait
en dire autant des troubles trophiques de cette
lolian parus en 1898 dans les Archives de neurologie. Il faut- donc
savoir
gré à notre jeune confrère d'avoir comblé cette
été. lia avoué ; mais quand on lui demande pourquoi il a tué, il ne
sait
pas, il balbutie des explications incohérentes
iles, son horreur de son propre forfait paraissent sincères ! Je ne
sais
pas comment ça s'est passé, dit-il ; je n'ai pa
ophthalmoscope, papille gauche normale, papille droite floue et, en
sus
, bord externe (image renversée) imprécis. Obs
egré de désorientation ; la malade ignore le jour de la semaine, ne
sait
depuis combien de temps elle est à l'asile. ' ,
ientation complète; la malade qui se dit âgée de vingt-deux ans, ne
sait
où elle se trouve. Signes physiques très marqués;
nes considé- rables de la mémoire; désorientation complète; elle ne
sait
où elle se trouve, ne peut indiquer le quantièm
accuse-t-il pas toujours une altération du corps thyroïde, que l'on
sait
aujourd'hui exercer une influence presque capit
'important est que nous connaissions le comment, et maintenant nous
savons
com- ment se produit la modification du sang qu
me habituel (alimentaire ou autre) ne peut pas être incriminé; nous
savons
qu'ils ont toujours en eux une sécrétion dont l
serait plus jus- tifiée pour désigner ces cas. Voyons ce que l'on
sait
, ce que l'on pense généralement au sujet de l'a
lsif ou vertigineux, opinion d'aliénistes qui groupent, comme on le
sait
, dans la même famille, épilepsie convul- sive,
trouble sérieux, les jeunes avec apparition lente du myxoedème. On
savait
aussi que les symptômes aigus survenaient chez
ce REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 23-1 sans le
savoir
. Mais d'autre part les voyant s'hypertrophier,dan
lmique était vraiment dû à une insuffisance parathyroïdienne, il ne
saurait
, avec ses allures de maladie progressant gradue
sont centripètes et déprimés. Comme dans la vie, l'homme froid qui
sait
se maîtriser affecte une attitude verticale et
maniaque, était un type. de démence paranoïde qui est, comme on le
sait
, une variété de démence précoce. ' Le Dr Webe
assez long arrêté du Tribunal fédéral ; dans cet arrêté on lui fait
savoir
qu'il est atteint d'idées délirantes, d'halluci
'entérite tuberculeuse sévit avec intensité, où les malades, qui ne
savent
pas cracher, répandent partout leurs matières féc
observations personnelles avec deux figures. - Conclusions : On ne
saurait
attribuer à la tricho- tillomanie d'origine phy
dans l'ensemble. 13° Quelle serait l'influence de ce système sur le
savoir
et l'expérience des prati- ciens en matière de
ciel à droite, nerf auriculo-tem- poral et nerf facial droit, nerfs
sus
et sous orbitaires des deux côtés. Archives,
ées quelque fois apparaissent des phénomènes nerveux passa- gers, à
savoir
: diplopie, parésie du nerf facial périphérique,
moire couronné au concours de Salamanque, le 23 octobre 1882. » On'
sait
que pour rehausser l'éclat du troisième centena
les qui caractérisent l'alcoolisme chronique chez un impulsif. Bédu
sait
que l'alcool lui fait mal, et cependant il s'in
tout de suite : les douleurs dont je viens de parler peuvent être,
sachez
le bien, la première manifestation d'une carci-
ère sont morts jeunes; elle ignore dans quelles conditions, elle ne
sait
même pas si elle avait des frères ou des soeurs
sieurs, de discuter la nature intime de l'affection. Aucun doute ne
saurait
exister dans votre esprit. Aussi ne m'attardera
essus cancéreux. Quoi qu'il en soit le pronostic d'un tel état ne
saurait
être que fort sombre et c'est la mort au milieu
éprouvées par la carcinose. Ces phénomènes consistent comme vous le
savez
en une z chromatolyse centrale avec état vésicu
tes du sympathique avec le pre- mier ganglion dorsal. Ce signe ne
saurait
donc exister que lorsque la lésion atteint la p
corps vertébraux et la compression consécutive des racines. Nous
savons
que le tassement osseux se produit tardive- men
pour que l'on ne puisse encore saisir le mode d'évolution du proce^-
sus
ces lésions, dis-je, semblent être eu rapport é
rer comme une moda- lité du type classique Aran-Duchenne. Déjà l'on
sait
que le type complet Aran-Duchenne est un des mo
fois ont été atteints. Comment expliquer ces localisations ? On ne
sait
pas encore quelles règles y président : tantôt
tait antérieurement des troubles marqués de thermo- analgésie et on
sait
que ceux-ci sont surtout marqués aux mem- bres
- reux qui a succombé à une attaque d'urémie avec délire. Reste à
savoir
si ce délire de la période terminale a eu une ori
bres et avaieut envahi les muscles de la colonne et de la nuque. On
sait
que c'est une forme sévère, entraînant rapidement
eptiformes observées sont symptomatiques de l'hys- térie. Reste à
savoir
si la folie circulaire est une complication ou un
mauvais esprits qui le persécutent, puis les bons prennent le des-
sus
, lui prédisent un grand avenir et lui enseignent
ew et corrobore l'opinion de 346 SOCIÉTÉS SAVANTES. ce dernier, à
savoir
que, dans les maladies organiques du système ne
de nos pupilles. Nous le pouvons aussi par l'accommodation. Vous
savez
tous que l'accommodation est la faculté que nou
fet que 27 cas de lésions du fond de l'oeil chez nos 227 malades, à
savoir
: 22 lésions papillaires (atro- phies complètes
vait le facies d'une personne très émue,il tremblait et se complai-
sait
dans le plein épanouissement de son activité ment
rmuler une conclusion, ressortant nettement de celte observation, à
savoir
que les grandes émotions sexuelles paraissent s
e travail parait avoir été l'ait avec le plus grand soin, et ion ne
saurait
trop louer la réserve des conclusions : il y a ex
parM.Morat dans les ganglions spinaux de la grenouille. Il s'agis-
sait
de gouttelettes de graisse de dimensions variable
et à la faculté d'adaptation du tissu de suppléance, lequel, on le
sait
, est fourni principalement par l'hyperplasie et l
at beaucoup plus pratique, si chacun veut bien ne dire que ce qu'il
sait
et ne se servir que de chiffres exacts; il prot
par W.-R. Dawson. (The Journal of Mental Science, avril 1903.) On
sait
que le mot d' « hébéphrénie » a été employé par S
duquel nous sommes cons- cients de telle ou telle sensation ? Nous
savons
que dans les cen- tres moteurs les plus élevés,
et les recherches sont conduites avec beaucoup de soin ; mais il ne
saurait
être analysé ; étant 406 REVUE DE PATHOLOGIE ME
e lui reconnaît M. Clouston sur le développement des bactéries : on
sait
parfaitement aujourd'hui que la résistance RE\U
lules rondes qui infiltrent la substance cérébrale dans les proces-
sus
pathologiques. Il discute la nature et la signi
délires urémiques, soit dans les méningites, soit dans les proces-
sus
infectieux fébriles, soit enfin de celles produit
ôle de l'inspecteur général président. Elles sont au nombre de six,
savoir
: Il, Une question écrite portant sur l'anatomi
s. Les avancements de classe peuvent être accordés par le ministre,
savoir
: aux directeurs- médecins et médecins en chef,
es membres, il est vivement ressenti par tous les autres. Aussi, ne
saurais
-je vous dire la peine que m'a causé dimanche so
s en face d'une victime du devoir, au même titre que s'il s'agis-
sait
d'un de ceux qui remplissent leurs fonctions quot
usac est mort simplement, en faisant son devoir. « Ses camarades le
savent
, ils en sont convaincus etj'aiétép1f' ticulière
influence magnétique de gens qui ont voulu le iaire enfermer, il ne
sait
lesquels, il ne l'affirme pas d'ailleurs; c'est
nre de vie, sur son premier internement. Il reconnaît Ville-Evrard,
sait
l'année, le .. mois, ignore la date. Le malade
l est entré à la maison de santé. 11 n'a pas de désorientation et
sait
parfaitement'où il est. Enfin les idées de pers
l me dit que ma question l'avait surpris, et il m'interrogea pour
savoir
s'il pouvait reprendre la vie commune : pour lui,
il considère son séjour ici comme un séjour dans un sanatorium, il
sait
qu'il aura une fin un jour, d'ailleurs, il est
que peu adonné aux pratiques amoureuses. Il est assez difficile de
savoir
ce qu'étaient les désirs sexuels avant 1890; le
quelqu'un qui pourrait le faire disparaître sans que personne n'en
sache
rien. Il craignait qu'on ne l'engageât à des ac
arait pas avoir de troubles de la mémoire; il n'est pas désorienté,
sait
par- faitement où il est, se rend un compte exa
, sait par- faitement où il est, se rend un compte exact du milieu,
sait
tout ce qui s'y passe, n'a aucun trouble de la
pas plus loin l'analyse psycholo- gique de ses troubles, si l'on ne
savait
pas ce qu'il était avant son premier accès, et
e cérébral qui lui est habituel. Expérimenter sur un tel sujet pour
savoir
ce qu'il pense habi- .tuellement, pour constate
entendu un bruit de voix : « Je serais, dit- il, bien embarrassé de
savoir
ce que vous avez lu. » Il se refuse a faire l'e
tention .-«; le dessin pendant l'exposilitlit ? » « Oui, mais je ne
sais
pur quel côté le prendre, je ne puni ns pas à v
le prendre, je ne puni ns pas à voir ccrnament il est 1(iii. Je ni'
sais
111ême pliS si je parviendrais à le repro luire
tion. Sans doute, je n'ai pas assisté au début de la maladie, je ne
sais
pas exactement ce qu'a été cette phase aiguë qu
ans. Excès alcooliques; quant à la syphilis il a été impossible de
savoir
s'il l'avait contractée, mais sa femme a eu une
dans les OBs. I et III. Dans l'Ons. II, il nous a été impossible de
savoir
d'une façon précise si ces hallucinations exist
n précise si ces hallucinations existaient. Il importerait aussi de
savoir
si ces idées de persécution chez les paralyti-
lme pendant la nuit. A la visite du matin, elle est mieux orientée,
sait
qu'elle se trouve à Bel-Air, mais elle ne se so
des médecins. Ignore qui l'a conduit à l'asile et prie qu'on fasse
savoir
à son frère où elle est. Dans l'après-midi du m
OTT. (The Journal of Mental Science, octobre 1902.) Tout le monde
sait
que le stimulus est indispensable à la géné- ra
dans l'étiologie des maladies nerveuses et de la folie ; mais on le
sait
surtout d'une manière générale et sans données
te manière de voir pour des raisons que l'auteur développe. 4° On
sait
que, chez un enfant né à terme, la gaine de myéli
les cellules des ganglions spinaux postérieurs. Ces cellules, on le
sait
, sont unipolaires, et. leur unique prolongement
es sur les animaux inférieurs peuvent être des guides utiles, on ne
saurait
en appliquer les résultats au cerveau de l'homm
centres inférieurs, exagéra- tion due à l'absence de contrôle ; on
sait
aussi que les animaux privés de leurs hémisphèr
: « Pour nous tous, il est indispensable de modifier ce que nous
savons
sur les folies aiguës : c'est un enseignement à i
ns, et les résultats de leur emploi prolongé sur l'orga- nisme : on
sait
aussi que le réveil du sommeil provoqué par l'o
autre, comme on ampute un membre pour sauver une existence. Il faut
savoir
en le donnant que l'on accepte un met, en vue d
o[\. (Bull. de la Soc. de méd. ment, de Belgique, 1903, n° 113). On
sait
que la bromipine est une combinaison de brome ave
et après l'effet produit sur le nerf par la toxine diphtéritique, à
savoir
: . Après la section. - 1° La fragmentation et
ré- coce a été constatée une amélioration plus ou moins marquée à
savoir
dans les cas où il n'y avait point de tare hérédi
n- fluence du patronage sur les ci-devant malades de l'hôpital, à
savoir
, leschroniques ; bien des phénomènes pathologique
duire, que si les auteurs sont un peu divisés sur la question de
savoir
si l'influence paternelle agit plus puissamment s
question qui : sous cette forme, est très difficile à résoudre. On
sait
toutefois que, bien que l'enfant puisse présent
aborde ensuite une question de la plus haute impor- tance, celle de
savoir
si une modification de la structure du corps, o
s c'est plutôt la consta- tation d'un fait qu'une explication. Nous
savons
que si ces élé- ments sont trop uniformes, le r
résultat est encore fâcheux ; et c'est à peu près tout ce que nous
savons
. Quant aux causes générales des variations, nou
voir intellectuel, qui l'est peut-être moins que l'augmentation du
savoir
ne nous le fait croire. Mais si des millions d'an
principe ne fut pas mis en questions, mais seulement la question de
savoir
s'il convenait d'établir l'hôpital psychiatri-
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
irmer un degré plus ou moins avancé d'imperméabilité rénale et l'on
sait
d'autre part que d'après les expériences de M.
iatrie, 1897). DÉLIRE ET PETIT BRIGHTISME. 1 mentation sévère, et
savoir
reprendre le lait au moindre symptôme avant-cou
arçon de bureau et il est marié depuis une vingtaine d'années. Nous
savons
par sa femme qu'il a été bien portant dans sa j
e, qui ne permet pas seulement d'étudier une faculté déterminée, le
savoir
en calcul, mais qui peut donner la solution des
er dans la démence sénile. Les pa- rents de notre sujet sont morts,
savoir
: la mère, le 23 décembre 1893 par suite de fiè
achitisme lui-même. Mais il reste à interpréter ce rachitisme. On
sait
que les cas de rachitisme intra-utérins sont peu
1897-1902 : Développement progressif de l' intelligence, l'enfant
sait
lire, écrire, faire les premières règles, etc. No
donné la mère de ses enfants il y a deux ans, et serait mort, on ne
sait
de quoi, peu de temps après la séparation. Il n
ucoup d'amélioration dans les exercices sco- laires : il commence à
savoir
tenir la plume, à faire des C et des 0. Il a fa
t depuis sa naissance de para- plé-ie spasmodique primitive ; il ne
savait
ni lire ni écrire, mais il marmottait quelques
il marmottait quelques mots, et jusqu'à un certain point, parais-
sait
savoir ce qui se passait autour de lui, et arriva
marmottait quelques mots, et jusqu'à un certain point, parais- sait
savoir
ce qui se passait autour de lui, et arrivait, moi
suggérée par cet état cérébral, et par l'état mental du malade - de
savoir
s'il y a un rapport, et quel est le rapport, en
les tiqueurs. Sans eux le tic, maladie psychique par excellence, ne
saurait
exister. (Revue neurologique, avril 1901). E. B
très rares qui, par suite de particularités assez importantes, ne
sauraient
être classées dans aucune des formes précitées.
ait à 1\ew-Iork : plus tard il se réveille à Denver (Colorado) sans
savoir
comment il y est venu, et sans avoir gardé aucu
'organisme (ce qui parait nécessaire) avec un agent sur lequel nous
savons
relativement peu de chose. Nous sommes, au cont
l'hémiatrophie faciale de ilomberg, car ils représentent un proces-
sus
de même ordre, mais inverse, dont sans doute, on
t a parlé M. Brissaud à propos des aptitudes cataleptoïdes. Et nous
savons
que chez les tiqueurs, le contrôle de l'écorce
t applicable aux sujets atteints d'affections paralytiques. Rien ne
saurait
être plus préjudiciable pour un hémiplégique ou
plice pleinement responsable : La Société. » La Société qui n'a pas
su
ou voulu se protéger contre eux et leur enlever
la thérapeutique psychique, son utilité ne 88 SOCIÉTÉS SAVANTES.
saurait
être contestable. Assurément, cette thérapeutique
jo. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
onné les lésions cellulaires précé- dentes, les fibres nerveuses ne
sauraient
être intactes. Partout, on note nue diminution
e il prétend avoir une très jolie voix et il chante, il se vante de
savoir
très bien danser, il quitte son ht pour faire u
gtemps, à l'âge de huit ans, et ne l'a vu de- puis que rarement. Il
sait
seulement que notre malade ayant couché trois j
lmants, d'être agité, de sortir de son lit, qu'il faisait et défai-
sait
continuellement, déchirant sa literie et ses vête
eur état pathologique s'aggrave. 150 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Nous
savons
d'autre part que lorsqu'on injecte aux épileptiqu
inions des auteurs. Les délits ou crimes d'ordre sexuel sont, on le
sait
, communs au début de la paralysie générale sur-
oxication saturnine (Devouges, Régis); 3° Affections viscérales. On
sait
que le délire hypochondriaque est presque toujo
observe en effet. A l'exception peut-être de ce dernier groupe, on
sait
que la dépression paraly- tique est soumise aux
données certaines sur la psychologie de la grossesse : ce que nous
savons
c'est qu'elle s'ac- compagne souvent d'une gran
cas de cet ordre : dans ce nombre on compte seize filles-mères. On
sait
com- ment les choses se passent en pareil cas :
iction et que les deux processus puissent évoluer parallèlement. On
sait
que la moindre irritation s'accompagne d'une diap
iagnostic est certainement ici compression intrv-crC7aienzzc. On ne
saurait
songer à l'urémie, car la scarlatine ancienne n'a
, en reprenant conscience d'elles-mêmes, dans un lieu éloigné, sans
savoir
comment elles y sont venues. Elles n'ont com- m
ale qu'entraînent souvent ces.différentes formes d'amnésie. On ne
saurait
trop féliciter M. Maxwell, et- comme juriste, et
Elle ne veut pas travailler et se sauve lorsqu'elle le peut. Je ne
sais
pas alors ce qu'elle fait. Le président, à la p
nt bien intéressant à élucider dans l'étude de l'ob- session est de
savoir
si, comme l'enseigne M. Magnan, celle-ci n'évol
rième enfant d'une famille indemne de toute névropathie et que j'ai
su
longtemps après être héréditaire vésanique par
'elle restait parfois immobile disant qu'elle allait mou- rir. J'ai
su
par son oncle, quinze ans après, qu'elle était to
ort sans le vouloir; interrogations incessantes sur tous actes pour
savoir
s'ils ne peuvent pas porter préjudice à autrui.
êter sur les idées obsédantes de jalousie pathologique. Comme on le
sait
, la jalousie pathologique peut être l'un des sy
ps de talon, prenait les chaises, les projetait au loin et les bri-
sait
. A table, elle cassait les assiettes à coups de f
ait tant de bruit, le jour (jamais la nuit), en s'agitant, elle di-
sait
tant de grossièretés que les voisins, gênés autan
le Mi- nistre de la Justice, et de trois médecins de la Colonie, à
savoir
: le médecin-directeur et les deux médecins de
mière. Ces lésions n'offrent aucun caractère de spécificité. On n'y
saurait
déceler aucun de ceux qui ont été assi- gnés au
ion. L'une des questions qui a le plus préoccupé les auteurs est de
savoir
par quel tissu névro- glie, vaisseaux ou élémen
sont souvent altérés, alors que la névroglie, à peine augmentée, ne
saurait
en aucune façon rendre compte de leurs lésions.
par conséquent, il est aussi difficile de conclure ici que là. On
sait
que la cellule nerveuse est un organe complexe, c
lésée, un nouveau problème se pose aussitôt et dont l'importance ne
saurait
échapper. La maladie est-elle une lésion primit
re du jour l'étude des variétés correspondantes de la diapédèse. On
sait
que, dans la paralysie, on rencontre, dans les
y revenir encore. . En ce qui concerne les affinités régionales, on
sait
que, si la paralysie générale est une maladie c
ous fait voir quelque chose de plus et cela de très bonne heure à à
savoir
la réaction névroglique. Les cellules endothéli
tient M. Anglade, il est non moins certain que cette ménin- gite ne
saurait
exister sans encéphalite concomitante. La simul-
otion classique. 1894. L'enfant commence à s'habiller seul, mais ne
sait
pas en- core lacer, boutonner et nouer. 1895.
montre les différentes parties de son corps et de ses vêtements,
sait
faire la différence de la longueur, la largeur et
le nombre, fait l'application de l'addition et de la soustraction,
sait
faire la multiplication et ébauche même la divi
s le jour, mais urine souvent au lit. I ! s'ha- bille seul, mais ne
sait
pas encore nouer. 1900. Il place les lettres, l
isible : il établit une relation en- tre le chiffre et la quantité,
sait
faire l'addition simple. 1903. Notre élève est
nnus de lui, tels que les jours de la semaine, les mois de l'année;
sait
distinguer le mascu- liti du féminin, le singul
adressées. Elle ne pouvait ni s'habiller, ni se désha- biller ; ne
savait
ni lacer, ni boutonner ; elle était tout à fait i
uffit à elle-même, et aujourd'hui elle aide même les petites qui ne
savent
pas s'habiller. 246 SOCIÉTÉS SAVANTES. Le car
est lisible et assez bien formée, elle fait des copies, connaît et
sait
faire les chiffres. Ses progrès n'ont pas été m
à un degré très bas. Entrée en 1898. à l'âge de treize ans. elle ne
savait
absolument rien, ne connaissait même pas ses let-
e savait absolument rien, ne connaissait même pas ses let- tres, ne
savait
même pas tracer des bâtons. sur une ardoise, ne
- tres, ne savait même pas tracer des bâtons. sur une ardoise, ne
savait
même pas compter jusqu'à 10; elle connaissait la
mnastique; elle y a toujours mis de la bonne volonté, parce qu'elle
savait
très bien que cet exercice était nécessaire-à son
tions de la grossesse ont- elles été trouvées dans l'étiogénie ? On
sait
, en effet, que M. Da- reste produit des monstru
gyrique, récem- ment publiés, sont peu nombreux. D'autre part, nous
savons
que, dans 60 p. 100 des cas, le tabes a une ten
les aliénés sitiopliobes a soulevé de nombreuses controverses pour
savoir
quelle était la meilleure méthode : la voie nas
énomènes vaso-moteurs de longue durée présentés par leur malade. On
sait
en effet que c'est aux lésions de cette région
draient pour une part importante dans les actes psychi- ques. Il ne
saurait
, en effet, en être autrement, puisque la vie vé
entres moteurs des membres. La physiologie n'y contredit pas ; on
sait
, en effet, queles centres moteurs des membres s
organes, aussi bien qu'en pédagogie et en orthopédie morale. On ne
saurait
trop recommander la psychotérapie dont les appl
l chez lui est très variable. L'insomnie est typique telle qu'il ne
sait
pas au juste s'il dort ou veille. Ces malades ne
t un des précédents experts, le docteur Rist, de Versailles, a bien
su
faire ressortir que D... avait en partie hérité d
C'est qu'en effet; peudant son séjour à Bonneval, D... apparais-
sait
tel qu'il est réellement. Vantard, hypocrite, fla
des suppléments en raison, dit-il, de sa faible constitution, il ne
sait
qu'inventer pour mal faire; tantôt il met des cai
préoccupé de se défendre, il porte souvent des accusa- tions qu'il
sait
absolument fausses, persuadé qu'en chargeant les
e ces types de malades. Nous connaissons son hérédité morbide, nous
savons
qu'il a eu à dix-huit ans une insolation qui pa
lui donne le nom de « mal sacré » quoiqu'il fût assez éclairé pour
savoir
que cette maladie n'est ni plus divine ni plus
éritable de l'agitation soit seulement soupçon- née puisque nous ne
savons
pas d'une façon précise quels éléments anatomiq
minué dans sa quantité, mais bien aussi troublé dans sa qualité. On
sait
qu'il existe une courbe tout à fait régulière d
i ce n'est au point de vue des accidents qui peuvent y survenir. On
sait
que les accès ne troublent pas le sommeil, et que
ques contre l'insomnie. C'est l'état de la circulation sanguine. On
sait
le rôle qu'on a fait jouer aux phénomènes circula
ment la théorie de l'anémie cérébrale comme cause du sommeil. On ne
saurait
trop répéter que celte anémie en parait non la
ulation générale dans ses rappotts avec les troubles du sommeil. On
sait
que dans le sommeil la fréquence du pouls dimin
tement de l'agitation. Il l'ait remarquer que ces enveloppements ne
sauraient
être assimilés à un moyen de contrainte, à une
nt le Congrès, font observer, malgré l'absence de l'auteur qu'on ne
saurait
interpréter ni accep- ter comme un axiome défin
Comme le malade vivait malgré la fréquence de ces accès, je pen-
sai
que la plupart d'entre eux n'étaient que des copi
uivant le pro- 344 SOCIÉTÉS SAVANTES. grès de la science. Il faut
savoir
nous dégager aujourd'hui de cette conception tr
l'on en pouvait espérer et qui, trop simple et trop imparfaite, ne
saurait
plus, actuellement, qu'ap- porter des entraves
loin encore, l'auteur rappelle ce fait d'obser- vation vulgaire, à
savoir
que, chez l'homme normal, même lors- que l'espr
es amis : il était, disait-il, « bouleversé par tout le monde », il
savait
qu'il allait mourir, on le traitait de lâche et
e malade, semblent en rapport avec l'affec- tion médullaire. Ils ne
sauraient
être en effet considérés comme indépendants de
c., y contribuent largement. Pour réus- sir, il faut que le médecin
sache
inspirer une confiance entière a son malade et
début, ces suggestions sont peu nombreuses une ou deux seulement, à
savoir
: Soyez calme et tran- quille, vos fonctions s'
son domicile particu- lier. Quatre pièces leur sont destinées, à
savoir
: 1° une salle d'attente; 2° un cabinet de trav
II y a plus. En dehors des indications précises énoncées ci-des-
sus
, la narcose somnoformique constitue, pour toute l
e qu'on a traitée par la morphme. Il est surtout indispensa- ble de
savoir
que les hystériques sont plus sujettes que les au
nous avons obtenu connaissance de cet objet. Voilà la base de notre
savoir
. ' Mais, qu'est-ce qui aura lieu dans l'écorce
n. 374 SOCIÉTÉS SAVVNTES. Une troisième glande, l'ovaire, dont on
sait
les relations étroites avec la thyroïde, parait
erviteurs qui sont auprès de ta per- sonne chercheront un homme qui
sache
jouer de la harpe, afin qu'il en joue lorsque l
peint la folie, dans la facture large de l'apogée de son génie qui
savait
rendre le tout des choses par la seule expression
érale, ses réponses sont le plus souvent vagues, indécises, « je ne
sais
pas » ou « je ne me rappelle pas », elle ne fai
s si longtemps, qu'elle présente encore de temps en temps : « Je ne
sais
pas, je n'en sais rien, » répond-elle à toutes le
'elle présente encore de temps en temps : « Je ne sais pas, je n'en
sais
rien, » répond-elle à toutes les ques- tions re
uatre ans, en 1899 (exact). Pourquoi vous a-t-on placée ici ? Je ne
sais
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA CATATONIE. 419 p
CATATONIE. 419 pas. Même question, répétée avec insistance ? Je ne
sais
pas, je ne peux pas dire. - Avez-vous été malad
i jamais eu de grosses maladies. Pourquoi ne pKte-BOMSpas ? Je n'en
sais
rien. 70Mrtj' ! (o<nemttt;tez-tOt; pas ? Je
? Je n'en sais rien. 70Mrtj' ! (o<nemttt;tez-tOt; pas ? Je n'en
sais
rien. Pourquoi refusiez-vous tous les ali- ment
'en sais rien. Pourquoi refusiez-vous tous les ali- ments ? Je n'en
sais
déjà rien, probablement parce que je n'avais pa
vais pas faim. Même question avec insistance particulière ? Je ne
sais
pas du tout, je n'avais probablement pas d'appé.t
urais-je pas mangé autrement ? -4 quoi pensiez-vous ulors ? Je n'en
sais
rien. Pensiez-vous à vos enfants ? - Non, je ne
nt, vous savez bien que l'on pense toujours à quelque chose ? Je ne
sais
pas à quoi je pouvais penser, mais je ne pouvai
e pouvais penser, mais je ne pouvais rien faire. Pour- quoi ? Je ne
sais
pas du tout. (Aucune réticence dans ses répon-
une première fois à l'hôpital, il y a une dizaine d'années ? Je ne
sais
pas, probablement parce que je ne mangeais déjà p
de ce mutisme, de cette inertie soudaine, elle m'affirme qu'elle ne
sait
pas pourquoi elle s'est trouvée ainsi dans l'im
partie moyenne du segment postérieur qui est la plus active. '7° En
sus
de conducteurs vasomoteurs, l'écorce donne nais
genou ont présenté chez ces malades des conditions vanées, mais on
sait
que sauf dans les affections midullaires, ce so
des mêmes paroles, soulève une question plus difficile, celle de
savoir
comment se fait du côté physique, cette révivisce
lades du Maître, qui ont dû à son coup d'oeil, à sa sagacité, à son
savoir
, la conservation de leur vie, le soulagement de l
ssitôt : « Le terme de maladies incu- a râbles, cela va de soi, ne.
saurait
être pris dans le sens absolu : « car s'il s'ap
ée philosophique de l'homme, enfin, qui, parmi ses contemporains, a
su
. l'un des mieux, affranchir la pensée humaine..
re que siègent les centres de la toni- cité spiiiiitérienne et nous
savons
que le malade a eu, dès le début, îles troubles
motion ou phase d'excitation. Le second caractère du monologue, à
savoir
celui d'être fait en public ou dans la solitude
n oeut dans ma poche je ne peux pas fumer. « Voilà un anglais, il
sait
limer, il sait plaquer la lime. Je suis blond c
a poche je ne peux pas fumer. « Voilà un anglais, il sait limer, il
sait
plaquer la lime. Je suis blond couleur des chev
anc comme un mort. ' « Cons. Un saint qui m'est apparu. « Inc. Il
sait
te comprendre. « Cons. Je ne comprends pas, je
ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 481) « C. Moi je ne
sais
que dire. « C. Je suis innocente... J'ai peur q
vrer en se promenant dans la cour, à un monologue des plus décou-
sus
: « Vous porterez pince-nez, M. Bonse. Il est t
tation de ce que l'on a appelé le lcazgcge ·é/lexe (B,obertson). On
sait
qu'en ce dernier cas, le malade parle, émet des
iens voilà la surveillante, qu'est-ce qu'elle vient faire là. Je ne
sais
pas, etc.. » Comme on le voit tout le fond de c
outi, àjamais perdu. Suis-je assez gredin, docteur ? At, si j'avais
su
, j'auraissoigné cette vérole, j'aurais pris mon p
uel. Ma punition est épouvantable. Quelle situation. Ah, si j'avais
su
, j'aurais soigné ma vérole. Il n'est plus temps
expliquant ainsi par un simple fait d'associations d'idées. » On ne
saurait
mieux dire, mais faut-il eu déduire que les cas
rer au malade le bien-être, les soins, et la surveillance. Mieux on
sait
soigner les aliénés, moins on a besoin de les enf
application de la méthode, dont ces raisons toutes particulières ne
sauraient
diminuer l'excel- lence reconnue. Tout le monde
nde est d'accord pour reconnaître qu'il y a certains malades qui ne
sauraient
être spignés par des femmes, mais tous ceux qui
ar des femmes, mais tous ceux qui ont loyalement tenté l'expérience
savent
combien ces cas là sont exceptionnels. L'auteur
nt. Naturellement, il y a quelquefois des malades bruyants, il n'en
saurait
être autrement, puisque, après tout, c'est un a
s est mouillé, une enquête est faite pour déter- miner la cause, et
savoir
si c'est la surveillance qui a été en défaut. D
vesde'i ne l'est pas avec les malades d'autres asiles : l'auteur ne
saurait
accepter l'objection, car les opinions qu'il avan
médecins appren- nent ainsi précisément ce qu'ils auront besoin de
savoir
plus tard, le diagnostic et le traitement des m
mbres. De la sélection négative. M. TouTiciiKi,NE(deKharkoff). On
sait
que les questions de t'hé- rédité pathologique
l'hérédité morbide double du côté du père et du côté de la mère. On
sait
que, selon Clrarcot, les nerveux se recherchent
re, son coeur excellent, son dévouement sans bornes pour ceux qu'il
savait
ses amis. Le professeur Ilaymond, qui avait pou
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
374. Si ict - 1'liétioitieile de . par Aldiie et fliouzon, 170.
Su
.G ! ! STinm')E. De la -, observa- lion de pycho
y, 18t. Lenoble, 68. Leprmcr, 183. Lelehoullet, 75. 180, 2În.
SU
. Leloy(li.), 13. Lvtuuuueux, 90 I,evt, 5 ?
idiolie et d'ins- tabilité mentale. Pris à son arrivée, l'enfant ne
savait
pas exprimer ses besoins et souillait journelle
s clas- siques. Il a appris à s'habiller et à se déshabiller seul ;
sait
lacer, boutonner; noue encore imparfaitement. I
111 ? Bonnet une ving- taine d'enfants qui, pris à leur arrivée, ne
savaient
absolument rien et qui maintenant font tous les
tions et ceux de la. grande école en trois sections. Aucun d'eux ne
savait
lire la musique et ne possédait de notions sur
aine d'enfants appartement à la fanfare. Presque tous les enfants
savent
, aujourd'hui, lire eux-mêmes les notes, en conn
élémentaires de la théorie de la musique. Quand les enfants sont
su
! 11samÚlCl1t avancés pour hien lire un morceau
n de nos instituteurs. 70 enfants y participent; sur ce nombre 45
savent
danser la polka, 32 connaissent la polka, la ma
aujourd'hui toutes les figures. Une série nouvelle de Il-) enfants
sait
les deux premières ligures. Société de gymnas
truments ; il est à craindre que les enfants n'oublient ce qu'ils
savent
. Plusieurs fois et en vain, nous avons réclamé
elle aux enfants, mais encore pour la bonne direction morale qu'ils
savent
leur im- primer. Le tableau suivant met en évid
t, à nettoyer leur dortoir. Aux repas, on surveille les enfants qui
savent
manger seu- les et on corrige leurs mauvaises h
chette, etc. Sur 189 enfants présentes à la fin de l'an- née, 45
savent
se servir de la cuiller, de la fourchette et du
savent se servir de la cuiller, de la fourchette et du couteau; 72
savent
se servir de la cuiller et de la fourchette 49
e la cuiller et de la fourchette 49 de la cuiller seulement ; 30 ne
savent
pas manger seules. 160 enfants ont fréquenté
redi de 4 à 5 heures. 70 enfants ont pris part à ces exercices ; 55
savent
danser la polka ; 45 connais- la polka, la mazu
régulières, 45 enfants ont travaillé une heure par jour. 25 enfants
savent
faire complètement les layettes ; 40 du crochet
enfants savent faire complètement les layettes ; 40 du crochet; 15
savent
marquer; 12 savent faire la tapisserie ; 10 com
re complètement les layettes ; 40 du crochet; 15 savent marquer; 12
savent
faire la tapisserie ; 10 commencent à tricoter.
ion des enfants crétins et idiots, en Suisse, a été fondé, comme on
sait
, en 1840 par le D'' Guggenbuh ! (de Glaris), su
ar les enfants, ou, si l'on préfère le mot, par les jeunes gens. On
sait
que le Code pénal a fixé a seize ans l'âge au-d
rice. Mère en bonne santé. Grand-père paternel mort à 65 ans, on ne
sait
de quoi. - Grand'mère paternelle morte a 71 ans
oir perdu sa femme. Grand'mère ma- ternelle, morte il 65 ans, on ne
sait
de quelle maladie. 8 grand-oncles paternels et
- Migraines assez fréquentes. [Famille de la mère : Aucune tare ne
saurait
y être signalée.] Trois enfants (1) : 1° Garçon
nt sénile de la tète et des membres. Sa mère, morte à GG ans, on ne
sait
de quoi, était ordinairement bien portante. Emp
syn- copes, etc.). - [Son père, cultivateur, mort à 73 ans, on ne
sait
de quoi, avait eu, 5 ans auparavant, une attaque
sobre; sans autre anté- cédent nerveux. - Mère, morte jeune, on ne
sait
de quoi. - Aucun renseignement sur les grands-p
lors, il n'a jamais cu d'autres convulsions. L'enfant n'a jamais
su
se tenir debout, n'a jamais marché mieux qu'il
mais marché mieux qu'il le fait actuellement, c'est-à-dire qu'il ne
sait
que se traîner par terre ou marcher en s'appuya
a seul aux cabi- nets. Il a bavé jusqu'à 3 ans. - Pet... n'a jamais
su
se bien ser- vir de ses mains : s'il saisit un
de succion, pas de régurgitation, pas de rumination. Il n'a jamais
su
s'habiller ni se déshabiller seul : Ne sait ni bo
rumination. Il n'a jamais su s'habiller ni se déshabiller seul : Ne
sait
ni bouton- ner, ni nouer, ni lacer ses vêtement
: Ne sait ni bouton- ner, ni nouer, ni lacer ses vêtements ; il ne
sait
pas non plus se nettoyer seul, mais parait cont
ul eu gymnastique. Marche de la maladie. 31 1 28 décembre. Pet...
sait
s'habiller et se déshabiller seul ; dans la jou
ces que l'on exécute devant lui ; place bien les lettres, mais ne
sait
pas les nommer; reconnaît les couleurs, commence
pre ; il est arrivé à s'habiller et se désha- biller, sauf qu'il ne
sait
boutonner; l'attention s'est développée ; le ca
ement; se sert des trois objets, mâche et digère convenablement. Il
sait
se laver, s'habiller, se déshabiller, lacer, bo
mer des bouts de cordon, du jonc et du tabac qu'il se procure on ne
sait
comment. Comme il devient de plus en plus viole
1892. Janvier. - La lecture est presque courante. En calcul, C...
sait
faire l'addition et la soustraction. Son carac-
cordonnerie dans l'ate- lier de coulure, il est très courageux. Il
sait
faire les coutures et les boutonnières. Il comm
portante, sobre, a eu 4 enfants; deux sont morts en nourrice, on ne
sait
de quoi; les autres, en bonne santé, ont des en
lement du père ». - Quatre soeurs, toutes mortes en nourrice, on ne
sait
de quoi. Dans le reste de la famille du père, p
en nourrice. Une tante mater- nelle décédée à l'âge de 9 ans, on ne
sait
de quoi. - Cinq frères, tous morts en bas âge :
merci. » Elle éprouve une grande joie à sentir les pommades et les
savons
qu'elle a également reçus. 21 auoil. - Altern
i revient le souvenir de ses extravagances, elle craint qu'on ne le
sache
au dehors. - Elle a augmenté en poids de 4.950
etc. Elle veut toujours do- miner les autres enfants, prétendant en
savoir
plus qu'elles et veut toujours avoir raison. El
que jamais, après vingt minutes de travail, ça ne va plus. On ne
sait
à quoi attribuer ces accidents. Durant l'année
era... je veux me tuer ! ... ne me fais pas voir au médecin, car tu
sais
, tant pis, je frapperai et tu verras... lâche-m
est occupée n'a même pas pu lui établir un livret. Tout ce que l'on
sait
au sujet des antécédents hérédi- taires de Pint
e, ni du fonctionnement des organes des sens. Parole. - L'enfant ne
sait
pas parler, il ne prononce que la syllabe « ima
s'en sert cons- tamment en criant et en pleurant. Marche. - Il ne
sait
pas marcher, ses jambes ne peuvent le supporter
es. L'enfant Cachexie progressive. 95 est gâteux complet. - Il ne
sait
prendre aucun soin de lui- même et pleure lorsq
Son Père, 75 ans, huissier retraité du ministère des finan- ces, ne
sait
pas lire. Bien portant ; caractère faible, sujet
ment dilatées, réagissant bien il la lumière ; il est impossible de
savoir
si elles réagissent de même à l'accommodation,
es de l'alphabet, sauf j-r-x. Usait endosser ses vêtements, mais ne
sait
ni se boutonner ni se lacer seul ; il ne sait p
es vêtements, mais ne sait ni se boutonner ni se lacer seul ; il ne
sait
pas non plus se laver. Sa tenue à table est bon
able d'attention. Il connaît, avons- nous dit, les lettres, mais ne
sait
pas les arranger pour en faire des syllabes ; i
sylla- ])ci-, il reconnaître les chiffres, à compter au boulier. Il
sait
de même les jours de la semaine, les mois, les
en à la lumière et à l'accommodation ; l'enfant a bonne vue mais ne
sait
pas dis- tinguer les couleurs. - Nez aquilin, a
octobre. - L'état de déchéance ne fait que s'aggraver; l'enfant ne
sait
plus prendre soin cle lui, est continuellement
des journées entières. Il erre sans cesse de côté et d'autre sans
savoir
où il se dirige et sans chercher à se sauver. 1
établi pour tous les malades atteints dans le cours de l'épidémie ;
savoir
: régime lacté, potion de Todll, deux lavements
? il novembre. - Le malade entre à l'infirmerie. Interrogé, il ne
sait
dire où il souffre, mais il marche plié en deux,
Considérations générales. )H5 avons eu à enregistrer : le fait ne
saurait
être mis en doute pour Pep... (Ons. XVI), mort
tracter le germe de sa maladie. Or, après information, nous avons
su
qu'il n'avait pas bu d'autre eau que celle de C
n bonne santé, sobres. Grand'pèa·e paternel mort vers 75 ans' on ne
sait
de d.ûoi. = Graa2tl'wére paternelle morte à sa
cle, ni tante maternels. - Trois frères morts dans l'enfance, on ne
saurait
dire s'ils ont eu des convulsions. - Dans le re
ettait la tête entre les mains comme quelqu'un qui souffre. On ne
saurait
dire si les oreilles devenaient rouges : en revan
rovoqués sont naturels. -I1 n'y a pas de contracture. L'enfant ne
sait
pas se servir de la cuillère, prend plaisir à m
est tout à fait nulle. - L'enfant n'aide en rien il s'habiller, ne
sait
rien faire avec ses mains, elle est très colé-
oté oppusé. Face externe - Cinq noyaux de sclérose hypertrophique
su
rie 10befJ'onlalqui transforment son aspect ordin
ons. l. L'héaéclilé est peu chargée, au moins d'après ce que nous
savons
sur la famille. Du côté paternel, nous relevons
ations pouvaient donc relever d'un de ces deux fac- teurs. Pour qui
sait
la multiplicité des formes que revêtent les alt
s éléments conjonctifs et nevroglntues proliférés : Gr. - 251 diam.
su
26 6 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. la lésion est ext
inte mélancolique, franchement déli- rantes. Elle est enceinte sans
savoir
de qui ni comment. Elle est une prostituée; ell
es maladies nerveuses qui ne connaisse la rééducation motrice et ne
sache
que, grâce à cette méthode, il est désor- mais
basé sur cette idée, exacte en elle- même mais un peu trop vague, à
savoir
que l'exercice per- fectionne, tant au point de
adresser à un grand nombre de syndromes différents depuis qu'elle a
su
opposer aux divers symptômes des techniques app
n'est que depuis qu'on connaît leur origine psychopa- thique qu'on
sait
aussi les soigner et les guérir ; c'est encore
emples de suppléances ner- veuses ne sont pas rares non plus : nous
savons
maintenant que les malades aphasiques par destr
la question essentielle au point de vue qui nous inté- resse est de
savoir
, en cas de troubles fonctionnels, s'il y a alté
diverses, la question se posera, souvent difficile à résoudre, de
savoir
par quel mécanisme le tonus est altéré. Enfin, on
tion motrice, quoique certains points soient en discussion, nous en
savons
néanmoins assez pour que l'analyse des anomalie
ce long travail d'analyse des diverses anomalies des mouvements ne
saurait
être fait avec trop d'exactitude pour chacun de
d'avoir recours. C'est lui encore qui établira le pronostic : nous
savons
par exemple que l'hypotonie se corrige moins fa
el- lement chroniques et elles-mêmes J'origine nerveuse, aussi ne
saurait
-on compter alors sur les réactions spontanées, et
inions contre lesquelles nous nous élevions au début de ce travail,
savoir
que la rééducation consiste en une vague gymnas
ctuel. Le temps n'est plus où le traitement de l'ataxie se rédui-
sait
aux exercices monotones d'une gymnastique très gé
c'est-à-dire de la fonction qu'on veut rétablir. 5° Enfin il faut
savoir
quand on peut appliquer, comment il convient de
les ataxiques chez qui la fibre musculaire n'est pas altérée et ne
saurait
être rendue responsable des incorrections des m
mplitude et la fréquence des mou- vements involontaires, enfin nous
savons
que la sensibilité musculaire est capable de su
onstituera la seconde partie de la rééducation. Ici encore, il faut
savoir
procéder méthodiquement, du simple au complexe.
'est même par cette étude qu'il convient souvent de commencer, on
sait
alors quels erreurs de statique on a à combattre,
ntent, on le conçoit, toute la première partie du traitement, on ne
saurait
leur consacrer trop de temps et d'attention, pu
moment opportun pour lui conseiller la rééducation. Depuis que nous
savons
mieux traiter le tabes, nous ne considérons plu
xer à une période quelconque et parfois de façon définitive, nous
savons
aussi que, quand la maladie évolue, c'est moins p
observés, leur nature, leurs localisations et leur intensité : nous
savons
que l'incoordi- nation même très accentuée, que
malade. Si la plupart des tabé- tiques se fatiguent rapidement, on
sait
aussi que, chez d'autres, cette sensation de fa
ses conditions d'existence. Une question souvent posée est celle de
savoir
si la réé- ducation motrice est compatible avec
ominéral. Pour ce qui est de l'élongation, toute la question est de
savoir
à quels procédés on a recours car, si certains
s devant le danger de la sclérose radicu- culaire postérieure; nous
savons
que nos moyens thérapeu- tiques ne sont pas étr
l'hérédité physiologique y sont également intéressées, car elles ne
sauraient
avoir un mécanisme différent. Les expérimentate
que la chose serait faite et le triste résultat obtenu. Mais chacun
sait
qu'il n'en est rien et qu'il faut toujours empr
re et qui, de plus en plus, dépasse notre compétence. Ils ont voulu
savoir
si la cytolysine correspondant à un parenchyme
culaires des os longs, des vertèbres. L'auteur estime que ce cas ne
saurait
rentrer dans un cadre nosographique actuellement
sur les organes sexuels et les organes digestifs. Les vétérinaires
savent
que les vaches tauré- lières (vaches qui parais
es, évidemment moins faciles à observer que chez les humains. Je ne
sache
que pareille observation ait été faite pour les
tes à être nom- més médecins-adjoints des asiles publics d'aliénés,
savoir
: MM. les Drs Mercier, Capgras, Simon, Lagriffe
e de légumes donnait des signes de dérangement cérébral : « Je ne
sais
pas ce que j'ai, disait-elle parfois à ses voisin
pour le Sauvage de r4t)e'o ? t et par nous pour des idiots qui ne
savent
pas lire mais reconnaissent l'image du mot, comme
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellemont. Nous leur rap
oit faire un héritage d'un million d'une tante de Honneur. » Elle
sait
en effet, que sa mère a été internée, mais elle e
Elle a bien reçu des lettres de sa mère qui est à Dun, mais elle ne
sait
que croire. Malgré ses affirmations, ses idées
nts généra- lisés, troubles vasomoteurs, rougeur de la face, sueurs
sut
le front, etc., à la longue la volonté et le ju
idée de suicide la tenaille à nouveau; elle marche longtemps sans
savoir
de quel côté elle se dirige et arrive dans une fo
avoir de quel côté elle se dirige et arrive dans une forêt (qu'elle
sut
être plus tard près de Versailles) ; elle y resta
te pour lequel elle a été " amenée à l'asile, elle répond : « Je ne
sais
pas, l'idée de me tuer m'est venue tout d'un co
ingles, des aiguilles; dans la rue, une force irrésistible la pous-
sait
à lancer avec les pieds les pierres qui se trouva
quatre numéros des coins. Dans sa crainte de le faire, elle ramas-
sait
des ordures, légumes ou autres objets, les rongea
demandait qu'on la punisse de suite pour le crime dont on l'accu-
sait
. Trente jours après, la malade est sortie complèt
- sie et l'examen microscopique montrèrent en somme qu'il s'agis-
sait
d'une sclérose générale fort accentuée, accompagn
essants, pose, devant la Société de médecine légale, la question de
savoir
si l'on est auto- risé, dans certains cas, à te
s cités montrent que la solution est loin d'être simple et qu'on ne
saurait
tirer de conclusion ferme en restant dans les g
it assurément d'un trouble fonctionnel de' l'accommodation, et l'on
sait
que les tiqueurs sont particulièrement aptes à ad
paces en rapport avec les racines postérieures. M. Raymond voudrait
savoir
jusqu'à quel point est réelle la certi- tude su
a psychose post-opératoire, une seule était réelle et efficiente, à
savoir
la prédisposition héré- ditaire ou acquise. M
neurasthénique post-opératoire, il est évident que là encore, on ne
saurait
nier l'influence de ces prédispositions hérédit
se. La psychose post-opératoire en elle-même est un fait qu'on ne
saurait
nier; ce qui est une légende, c'est la doc- tri
ir qu'aurait l'opéra- tion de créer seule la psychose, puisque nous
savons
aujour- d'hui, grâce à de nombreux travaux, que
morbides et les délires de persécution. 216 CLINIQUE MENTALE. de
savoir
que chez une classe de dégénérés, l'opération peu
qui ressortissent à des lésions anatomiques bien définies; on ne
saurait
évidemment y faire rentrer le cas du malade cité
t de vue nosologique pur, le rapprochement peut être soutenu, il ne
saurait
être de même dans la pratique. La réunion de ce
e certaine personne qu'elle a rencontrée souvent, mais dont elle ne
sait
même pas le nom, de vouloir sa mort. Elle aperc
ssable. Quand on lui demanda dans quel hôpital il était : « Je n'en
sais
rien, je ne me rappelle plus ; je sais que j'ét
hôpital il était : « Je n'en sais rien, je ne me rappelle plus ; je
sais
que j'étais là.- Et maintenant où êtes-vous ? J
lui commande. « C'est pour cela que je ne peux plus manger... Je ne
sais
rien du tout... Je ne sais pas, par moments je
cela que je ne peux plus manger... Je ne sais rien du tout... Je ne
sais
pas, par moments je perds la tête. » Pas d'inég
t des doigts. « Je travaillais, mais je tremble... je tremble je ne
sais
pas pourquoi», répond-il, quand on lui eu deman
eur de mourir. Angoisse. « Je n'ai fait de mal il personne... je ne
sais
pas... je ne sais pas. » 28 avril 1898. - L'éta
oisse. « Je n'ai fait de mal il personne... je ne sais pas... je ne
sais
pas. » 28 avril 1898. - L'état du malade a été
luci- nations survenus chez une débile. Il eût été intéressant de
savoir
si la malade avait présenté d'autres délires avan
crises plus ou moins rapprochées les unes des autres, et nous ne
savons
guère quelles sont les causes qui en provoquent l
cadrait assez mal avec la névralgie faciale palu- dique, qui, on le
sait
, affecte le plus souvent le type léger, et se l
e métal soit exactement parallèle à la sur- face du tégument. On ne
saurait
oublier en effet que l'on agit sur une région o
' de la, névralgie n'est pas, pas spécifié, et il est impossible de
savoir
auquel des deux types appartient l'affection tr
L'étiologie de la maladie de Friedreich est des plus obscure. On
sait
que c'est une maladie familiale; on sait aussi qu
h est des plus obscure. On sait que c'est une maladie familiale; on
sait
aussi que souvent c'est- l'hérédité qu'il faut
articularités anatomiques qui y sont relevées, cette observation ne
saurait
à elle seule faire conclure à la nature organiq
en dehors de toute altération organique du sys- tème nerveux, on ne
saurait
lui accorder la même valeur patho- gnomonique q
-il identité entre le vitiligo et la sclé- rodermie. Les auteurs ne
sauraient
l'affirmer, mais ils signalent les analogies qu
ent aortiques dans le tabes, se pose naturel- lement la question de
savoir
si, par hasard, la lésion du système nerveux ne
duction extérieure de ces deux 'qualités, qui expriment la vie, à
savoir
la dynamogéuie et le repos, se succédant périodiq
ellent beaucoup le délire par insuffisance hépatique. Je désirerais
savoir
dans quel état se trou- vait le foie des malade
is Delherît. Les neurologistes ne sont pas d'accord sur le point de
savoir
si le clonisme du pied, ou comme on dit encore
die morale l'exactitude d'une formule que je me plais- à répéter, à
savoir
qu'hypnotisable veut dire curable. Beaucoup qui
malade des symptômes de compression de certains nerfs crâniens, à
savoir
: des nerfs auditif, trijumeau et oeulo-inoteui,
t ans et comment est survenue la maladie actuelle, on n'a pas pu le
savoir
. A l'entrée, on signale une confusion mentale,
Société médico-psychologique, séance du 26 décembre 1898 ? Rapport
su
), les asiles unisexués, sur la Société de patro
auraient à répondre. ».« Le cordonnier a soixante-dix-huit ans, ne
sait
ni lire, ni écrire et se trouve forcé d'avoir r
lo-motrices graves et à la perte de l'oeil. La question est donc de
savoir
actuellement, si, en pré- 336 CLINIQUE NERVEUSE
ade a une vague conscience ; elle répète à chaque instant : « Je ne
sais
pas... je ne sais plus... je n'ai plus d'idées
nscience ; elle répète à chaque instant : « Je ne sais pas... je ne
sais
plus... je n'ai plus d'idées ». C'est sa seule
accueille par cette invariable formule « J'ai grand faim ; si vous
saviez
comme j'ai faim ». On continue aussi à constate
absolument négative. Les viscères n'ont pas été examinés. Nous ne
savons
si, en dehors de l'alcoolisme, il y a lieu d'in
découragerait et dans lequel les conditions spéculatives que l'on
sait
empêcheraient que l'on s'occupât d'eux ; 3o il fa
peutiques basées sur l'inoculation de cultures microbiennes dont on
sait
aujourd'hui faire varier la virulence, et dont
es les mêmes caté- gories'que pour les hallucinations bilatérales à
savoir
des halluci- nations élémentaires et différenci
constants, surtout s'il existe chez un malade nerveux, dégénéré. On
sait
, en effet, que ce symptôme peut exister dans la .
t le pont qui relie les tics et les idées fixes. II faut, en effet,
savoir
se borner, car tout est transition dans la nature
ants à utiliser comme le massage et la mécanothérapie, dont il faut
savoir
trouver les indications. L'électrothérapie, quand
fants idiots. La très grande majorité des médecins ont oublié ou ne
savent
pas exactement quelles sont les conditions à re
ychiatrique de Moscou presque depuis son existence de quinze ans (à
savoir
, depuis le mois de novembre 1887, jusqu'au 9 se
uteurs, exigent, certes, des explications ; premièrement, il faut
savoir
, dans quoi consiste la cause de telles diversités
l matériel, où on ne pouvait pas parler d'aucun choix artificiel, à
savoir
, dans l'investigation des données du dénombreme
bitudes sexuelles, elles ont été de tout temps régulières, et on ne
saurait
, dans le cas actuel, incriminer nullement une c
uvois néanmoins bien discerner en quel lieu j'étois, mais ce que je
sais
c'est que j'étois en un état de souffrances bie
tuma peu à peu à ce qui lui avoit d'abord paru insupportable. Je ne
sais
rien de plus humiliant que ce remède... Cependa
ours à la mort, et au bout de huit jours hors de danger. Il s'agis-
sait
probablement d'une pneumonie. Quant à la paraly
pourroit se réfugier, se trouva au milieu des gens de guerre, sans
savoir
que devenir. Elle s'alla jetter aux pieds du ca
1. et H. Larger, la dégénérescence paraissait s'arrêter, sans qu'on
sût
pourquoi et sans qu'on y eût surtout porté atte
sou- levé les plus vives critiques de la part des accoucheurs. On
sait
que ces derniers attribuent les présentations ano
es mâles. Ces chiffres sont donc relativement considérables. Nous
savons
, en effet, combien il est difficile de rechercher
anamnestiquespeu connus, même dans la classe éclairée. Le lec- teur
sait
-il comment il est né ? Si son placenta était bien
même entraver la production d'une présentation anormale; elles ne
sauraient
la créer. En un mot, ce ne sont là que des causes
égénéré puisse engendrer une fille douée d'un bassin vicieux, on ne
saurait
admettre que deux maris différents aient une in
e retiendront les neurologistes ? Ils ne s'inquiéteront pas trop de
savoir
si la loi de l'accommodation de Pajot doit gard
firmer cette notion, si bien qu'une conclusion paraît s'imposer, à
savoir
que le corps strié et surtout la tète du noyau ca
erhémisphérique, on détermine sur le cerveau quatre points fixes, à
savoir
les extrémités supérieure et inférieure de la s
e sort s'il nous fal- lait errer aussi avilis, aussi méprisés, sans
savoir
que faire, en spectacle à la multitude. » P. KE
nce. Il ne faut pas trop en vouloir aux serviteurs d'asiles, ils ne
savent
pas comment on doit traiter les fous, et d'aill
créé, a pu, par un procédé inverse, être supprimé. Tout le monde
sait
qu'il y a dans l'épilepsie une période où le mala
rer au malade le bien-être, les soins, et la surveillance. Mieux on
sait
soigner les aliénés, moins on a besoin de les enf
application de la méthode, dont ces raisons toutes particulières ne
sauraient
diminuer l'excel- lence reconnue. Tout le monde
nde est d'accord pour reconnaître qu'il y a certains malades qui ne
sauraient
être soignés par des femmes, ', mais tous ceux
des femmes, ', mais tous ceux qui ont loyalement tenté l'expérience
savent
combien -ces cas là sont exceptionnels. L'auteu
nt. Naturellement, il y a quelquefois des malades bruyants, il n'en
saurait
être autrement, puisque, après tout, c'est un a
s est mouillé, une enquête est faite pour déter- miner la cause, et
savoir
si c'est la surveillance qui a été en défaut. D
avesden ne l'est pas avec les malades d'autres asiles : l'auteur ne
saurait
accepter l'objection, car les opinions qu'il avan
t dans un ordre parfait une série de mouvements succes- sifs, elles
savent
faire des mouvements isolés, elles savent ralen
ments succes- sifs, elles savent faire des mouvements isolés, elles
savent
ralentir et accélérer le mouvement. Dans les de
du cavalier ; celui-ci doit faire preuve d'art, de compétence et de
savoir
, il utilise une machine intelligente de laquelle
infirmiers et infirmières un stage dans les services d'aliénés. Ils
sauront
mieux ce qu'il convient de faire, à l'hôpital e
de masturbation ne lui procuraient aucun plaisir. Elle ne connais-
sait
la satisfaction complète que par les rêves de chi
tenues particulièrement par M. Bern- heim. Pour ce dernier, nous le
savons
déjà, l'hypnotisme est un état physiologique, c
ager ce qui est organique et ce qui est hystérique : « Le clinicien
saura
par une étude approfondie, démêler cet écheveau
étude approfondie, démêler cet écheveau symptomatique, complexe, et
savoir
ce qui est primitif, ce qui est consécutif. Il
tourent les jardins servent seulement de limite au domaine, mais ne
sauraient
être considérées comme pouvant em- pécher les é
postérieure. Aucun des deux ne se trouve dans les cir- convolutions
sus
et sous-angulaires : disposition spéciale (radiai
amps corticaux n°" 35 et 36 de 1901 anciens 40 et 38 de 1898. Il ne
saurait
donc plus avoir de doute sur l'existence d'un )
lui, l'esprit de sa défunte (femme) qui le fait écrire; mais il ne
sait
jamais d'avance ce qu'il va écrire, etc. AI. Do
centres moteurs des membres. La physiologie n'y contredit pas ; on
sait
, en effet, que les centres moteurs des membres
tent. On peut observer des phénomènes plus inté- ressants encore, à
savoir
: la disparition du signe de Babinski et l'appa
git d'une famille exceptionnelle, d'une famille de dégénérés. Il le
sait
et le dit. D2. Trenga oublie de dire qu'il pein
de l'énumération même des causes précitées : il faut que les Juifs
sachent
remonter le courant qui les a conduits à cette
cience, ni aux gens du monde. Le premier n'y trouvera rien qu'il ne
sache
, les autres et j'en ai fait l'expé- rience- le
ale il se couchent à huit heures et se lèvent à six. La question de
savoir
si ce séjour au lit ne pourrait pas être utilem
si un épileptique étouffait, c'était un malheur, mais tout le monde
sait
qu'il arrive des malheurs. Il n'en est plus ain
l de nuit dans la proportion de deux à dix ou douze, la question de
savoir
comment ou surveillera ce personnel s'impose à
consécutive Main en pince », par de Léon. 77. Nouveaux dé- tails
sut
la - asthénique, dont une observation avec auto
evait de son lit croyant qu'on frappait à la porte. Nous n'avons pu
savoir
si les hallucina- tions auditives étaient unila
pourrait influer sur la dendrite voisine d'un autre neurone. Nous
savons
déjà, que la substance protoplasmique demeure t
ance protoplasmique, correspondent aux deux tempéraments opposés, à
savoir
, au tempérament cholérique et au tempérament ph
à modifier l'opinion de M. Raymond, ou plutôt à la compléter. Nous
savons
que dans la couche moléculaire supérieure de l'
ous servir pour expliquer certains phénomènes hallucinatoires. Nous
savons
que nos organes sensoriels sont sujets à trois
i sont comme en contra- diction avec les règles fondamentales. Nous
savons
par exemple, que la connexion des neurones entr
motrices et ignorance des mou- vements puisque l'enfant n'a jamais
su
parler. 2 Ladreit de Lacharrière, in Annales de
à développer l'attention auditive. Pour apprendre à parler, il faut
savoir
écouter. Comme on le sait, l'action des sens es
itive. Pour apprendre à parler, il faut savoir écouter. Comme on le
sait
, l'action des sens est pour ainsi dire nulle, d
retirait le doigt, la langue quittait la position voulue et D... ne
savait
plus articuler le gn. Enfin, grâce à de nombreu
e chez le jeune sourd-muel, IS9r, librairie G. Carré. Paris. 1 On
sait
que c'est par la vue et le loucher que les sourds
ire les choses absentes, les actions morales et abstraites qu'on ne
saurait
représenter, alors on explique les choses et le
ertaine mesure, et sans concevoir de trop grandes espérances, on ne
saurait
néan- moins dire jusqu'à quelles limites l'espr
serait la cause de nombreux cas d'épilepsie. Il importe surtout de
savoir
dépister la nature des accidents du petit mal.
pré- coce, fortifie les muscles capables de se contracter. Il faut
savoir
que certains muscles parésiés répondent mieux à
gastrique, ou sur un autre élément inconnu ? C'est ce qu'on ne peut
savoir
encore. L'électricité reste sans action, sauf p
so- ciées à un élémentspasmodique; le diagnostic elliiiiquq, n,fi :
saurait
Fif ! . 7, 1 ItE1'UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE,
s de Vulpian, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. raz de M. Déjerine ne
sauraient
aller contre l'évidence des faits. Mais l'exist
vait pas la moindre trace de sclérose de ses cordons latéraux. Nous
savons
du reste que normalement cette sclérose est rem
t rien négliger daus les enquêtes faites à cet égard parce qu'on ne
sait
pas quelle sera, plus tard, la valeur de faits
. 1° on y trouve des changements assez marqués de la sensibilité, à
savoir
: du goût et de la vue. Ces changements, sont e
ge débute par une étude très remarquable des polyné- vrites. Chacun
sait
l'histoire de cette affection, niée par les uns,
ques (celles-ci sont essentiellement douloureuses). BIBLIOGRAPHIE
su
Quelle que soit la variété de polynévrite en fa
rochée de la polynévrite; cependant pour le clinicien il importe de
savoir
différencier nettement l'une de l'autre, car av
inique ; les recherchet dirigées avec l'habileté, la patience et le
savoir
universellemens reconnus àM. Marinesco font de
Us devront, en même temps que les indications spécifiées ci-des-
sus
qui les concernent, donner celles qui sont relati
ttre au juge d'instruc- tion, dresse ces états de service, et je ne
sais
rien de plus tragique que le cas d'un père qui,
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
en rapport le symptôme et sa lésion, et en déduit tout ce que vous
savez
pour la géographie du système nerveux. Cette mé
s trouvez, article Paralysie labio-glossolaryngée, p. 3U4 : « On ne
sait
rien de certain concernant l'étiologie de cette
est fort obscure. Sclérose latérale amyotrophique p. z0 : « On ne
sait
rien sur les causes de cette maladie. » - Sclér
le nombre de points encore obscurs. Il y a donc quelque intérêt à
savoir
si réellement, comme je le crois, il y a dans b
nuité nécessaire, ni même habituelle entre les diverses lésions. On
sait
depuis longtemps que la lésion du nerf optique
pour le tabes, comme pour la sclérose multiple disséminée ; vous
savez
, en effet, que cette multiplicité étiologique est
infections et des intoxications dans l'étiologie de ces états. Vous
savez
qu'il est classique de dire que les grands élém
e heures antrainant avec elle le délire, le coma, puis la mort. Qui
sait
si en utilisant la suggestion chez cette femme
r défaut de prolifération. Mais l'arrêt de développement que nous
savons
être l'un des facteurs de la folie n'est pas, en
ses enfants, crevé les yeux de son mari. Des renseignements pris on
sut
que l'homme avait été quelque temps auparavant
FORD HOBERTSON. (The Journal of Mental Science. Janvier 1897.) On
sait
que Weigert, à l'aide de méthodes de coloration n
rendre aux ataxiques à faire les mouvements qu'ils ne peuvent ou ne
savent
plus exécu- ter, a été appliquée par l'auteur d
pendant beaucoup plus rare qu'après l'emploi du sulfonal et l'on ne
saurait
affirmer qu'elle est réellement due à l'action
l of Mental Science, avril 1896.) Aux États-Unis chaque État, on le
sait
, a ses lois particulières; dans le Colorado, la
et dans les « bars » du voisinage. Puis il demanda au malade s'il
savait
pourquoi on l'avait amené là, et, sur sa réponse
rets d'un asile. - 5° Exercices pratiques. Prendre une température;
savoir
lever et porter les faibles; enlever les vête-
M. Serrie ! ·, trésorier ; Mme Legrain, secrétaire des séances. On
sait
que la mission de cette ligue est exactement de p
royant modérés parce qu'ils ne s'enivrent pas s'intoxiquent sans le
savoir
. Elle comprend des membres bienfaiteurs et adhé
ertains samedis soir, les postes sont encombrés d'ivrognes qu'on ne
sait
où cou- cher. Les pétitionnaires demandent que
ardera à deux fois avant de servir un homme en état d'ivresse, s'il
sait
que son bénéfice de quelques centimes sur un ve
me est le même que pour une cirrhose du foie, par exemple : il ne
saurait
suffire d'énoncer que cette cirrhose est une sclé
h1stologiques du processus tabétique. En effet, il ne suffit pas de
savoir
sur quels systèmes de libres ou de cellules ner
le clinicien ont intérêt à connaître les caractères de ce proces-
sus
. Est-il primitivement parenchymateux, frappant l'
espèce de fibres on rencontre plus spécialement à chaque étape. On
sait
, en effet, que, depuis la classification de Sin
es fibres radiculaires et leurs collatérales. ' Mais il nous faut
savoir
où se trouvent plus spécialement, dans ce champ
ut développée au niveau des ren- flements, lombaire ou cervical. On
sait
que la zone, dite cornu-commissurale, occupe l'
ns postérieurs; mais celte constatation, qui n'est pas nouvelle, ne
saurait
suffire en l'espèce : aussi notre but a-t-il ét
xes dès le début du tabès (réflexes tendineux, rotulien, etc.) : on
sait
, en effet, qu'un grand nombre deces fibres radi
de cliniciens tels que Duchenne, Charcot, Erb, Westphal, etc., ont
su
rigoureuse- ment établir. Ces syndromes constit
me que posait déjà Pierret en z1871, sans le résoudre complètement,
savoir
: la superposition de chaque syndrome tabètique
e il faudrait qu'ils le soient. En second lieu je serais curieux de
savoir
quels sont les aliénistes qui accepteront de re
nts, mais non pas des protecteurs sérieux et de les utiliser et qui
sait
, d'un confrère pris précisément parmi les refus
e le ministre aura soin de ne choisir que des hommes supérieurs, il
sait
aussi bien que moi que pour ces places données
très grande partie la guérison ou l'incurabilité de ceux-ci, on ne
saurait
donc y regarder de trop près. La raison est le
lesquelles celles-ci passent. Il suffit de les voir à l'oeuvre pour
savoir
si leur affaire a été examinée par le service d
i soignés ni observés. Ensuite, dit le distingué rapporteur, qui ne
sait
d'autre part que pour être un bon aliéniste il
dépendance directe de certains états maladifs physiques qu'il faut
savoir
discerner, mais parce que les aliénés sont suje
out à la fois médecin, chirurgien, gynécologiste, accou- cheur, que
sais
-je, sera peut-être tout cela à la fois, mais ce
scientifique est devenue de nos jours la condition indispensable du
savoir
et du progrès. Certes le Dl' Dubief a raison qu
les fièvres exanthéma- REVUE DE pathologie NERVEUSE. 229 tiques,
savoir
la marche de toute la maladie, l'immunité acquise
urs éminents compatriotes, initiateurs tous deux dans le domaine du
savoir
comme dans celui de la bienfai- sance ? « Qu'
ent la partie la plus vivante, la plus durable. « S'ils n'ont pas
su
les interpréter comme nous, s'ils n'en ont pas
rs élèves. En- thousiastes du bien comme du vrai. Pinel et Esquirol
surent
com- muniquer leur enthousiasme; ils firent éco
ec bonheur par le savant président de ce huitième Congrès, et je ne
saurais
rien ajouter aux paroles de l'honorable M. Ritt
des dents » et de la « coutracture des sterno-mastoïdiens ». Je ne
saurais
dire à quelle cause il faut rapporter cette dim
es et les autopsies semblent justifier cette manière de voir. On ne
saurait
nier aujourd'hui la transformation du tabès asc
ien plus, les médecins adonnés à la pratique de la psy- chothérapie
savent
qu'il convient de réveiller le malade sur des i
trois faits ont été publiés, et encore un médecin compétent aurait
su
guérir le sujet en une seule séance d'hypnotisa
régionaux, entre les docteurs en médecine âgés moins 1 Nos lecteurs
savent
que ce sont là des idées que les Archives de Ne
prendre quelque chose chez nous, les choses avaient bien changé. Je
sais
combien il con- vient d'être modeste, combien i
raitement de la médecine mentale est à l'état embryonnaire. Nous ne
savons
pas ce que ça donnera à l'essai. Esquirol ne vou-
nt à leur dis- position pour amener la guérison des cas curables, à
savoir
l'isole- ment. N'est-ce pas bien souvent pour ê
tra- vaux de M. Magnan et de son école, est déjà si vaste qu'on ne
sait
plus où il commence, ni où il finit. L'homme de
l d'être fugitives et mobiles comme les causes qui les créent et ne
sauraient
être confondues avec celles plus fixes, durables
besoin, pour cela, d'en faire table rase, pour se jeter dans je ne
sais
quel inconnu qui ne vaudra probablement pas ce qu
ési- gnation de directeur n'a pas l'inconvénient d'éveiller je ne
sais
quelle tendance ambitieuse. Elle les porte sans c
ou dans le service médical qu'il dirige; il connaît ses malades, il
sait
quels sont leurs besoins, il est l'âme de son s
rrait toujours s'entendre (bien qu'ils subissent presque tous je ne
sais
quel entraîne- ment qui les pousse à voir, dans
nt réservé d'en faire l'objet d'une communication spéciale. On le
sait
maintenant, l'hystérie ne connaît pas d'âge, de
es connaissances acquises : il a perdu le souvenir. Sa mère n'a pas
su
me dire s'il aurait pu écrire, cal- culer ; ell
mmeil profond et calme. A-t-elle eu des convulsions ? On ne peut le
savoir
. Le matin, au réveil, on va au lit de la poupon
ce une méningite ? Est-ce, en raison de l'hérédité nerveuse dont je
savais
la famille entachée, une pseudo-méningite ? Je
était la quantité d'urine rendue par jour ? Il est difficile de le
savoir
d'une façon exacte, les parents l'évaluent à 8 ou
HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 31 ï jours tout avait disparu. Nous
savons
donc maintenant que notre diabétique hydrurique
cette année, j'écris aux parents de me l'amener, j'étais curieux de
savoir
ce qu'il devenait. Je vois un enfant qui n'avait
aisons qui avoisinent l'école (il habite assez loin de l'école), on
sait
d'avance ce qu'il vient chercher, on lui présen
ce et de nombreux autres cas ont été observés à l'étranger. On ne
saurait
trop conseiller à tous les médecins d'examiner so
nte : le traitement préliminaire des préparations; l'auteur le fai-
sait
à l'aide du formaline, d'où il transportait les p
la moelle épinière, principalement dans les cornes antérieures, à
savoir
: gonflement, contours peu clairs, disparition de
ne relation entre les névrites et les modifications des cellules, à
savoir
: le poison diphtérique pour la plupart n'est p
Joffroy est arrivé à une conséquence de la plus haute importance, à
savoir
que : « dans les boissons alcooliques fortes le
le proprement dite. C'est une lacune regrettable, mais que l'auteur
saura
bientôt combler, nous n'en doutons pas; le gran
même un chiffre approximatif; est-ce titres ou 5 litres, elle ne le
sait
; mais à chaque instant le bébé urinait, c'est tou
, telle l'histoire de la clef que j'ai rapportée plus haut; elle ne
sait
pas ce que je veux lui dire quand je lui parle
pas dans le cours de ce travail, en tête de mes observations, j'ai
su
du moins relever une série de faits se succédan
aussi fréquente que chez les adultes. L'est-elle davantage ? Je ne
saurais
le dire. HYSTÉRIE INFANTILE EN YE ? \DÉE. 379
e athrophique, elle copiera la coxalgie, elle n'a pas donné, que je
sache
, l'image de la sclérose .en plaques, sclérose l
r. L'anesthésie pharyngée existe- t-elle, que l'enfant par peur (on
sait
combien il redoute l'exa- men de la gorge) sera
pitre Etiologie de l'hys- térie en général, car l'hystérie, nous le
savons
, est une dans son étiologie comme dans son esse
ue portion du corps et des ramifications de ces neurones est, on le
sait
, enveloppée par une espèce distincte d'arborisa
t aussi nettement aux deux dimensions verticale et 'horizontale, ne
saurait
mieux s'effectuer que dans un organe étendu en
ies des pyramides, en traversant le pont de Varole, émettent, on le
sait
, des collatérales qui s'arborisent entre les ce
rôle physiologique. Les commissures ne servent pas non plus, on le
sait
, à relier des parties symétriques ou homo- logu
lent et continu de la phylogéniede la forme du cerveau, si l'on ne
saurait
exclure l'influence des variations individuelle
tes. Il conservait d'ailleurs toute sa lucidité d'esprit et faisait
savoir
qu'à la suite d'une attaque antérieure, il était
oprement dite). - La première question qui se pose ici est celle de
savoir
si l'obsession est souvent, comme nous le pensons
rme d'obsession particulière, caractérisée par des . impulsions, ne
saurait
être admise, toute idée, nous l'avons vu, étant
r. Un second point, qui touche de près au précédent, est celui de
savoir
si les obsédéscèdent, et s'ils cèdent souvent à l
la cellule, ce qui confirme l'opinion que j'ai émise le premier, à
savoir
que les lésions de la substance achromatique entr
est ignorée, cette affection peut devenir plus fréquente, quand on
saura
distraire du domaine des encéphalo- pathies inf
e, qui arrivait d'ailleurs précédé d'une excellente réputation ; je
savais
qu'à l'Ecole prépara- toire de médecine de Limo
ord, qui suis privé d'un collaborateur dévoué ; par les malades qui
savaient
apprécier la douceur et l'aménité de son caractèr
s manifestations convul- sives ? C'est ce que nous avons cherché il
savoir
au moyen d'expériences faites à diverses époque
t nés cinq enfants dont trois sont encore vivants et bien portants,
savoir
: un garçon de quatorze ans, une fille de huit
adie avec d'autres affections qu'on pour- rait confondre avec elle,
savoir
le myxoedème, la maladie osseuse de Paget, l'él
e était plus accentué pendant les périodes de digestion pénible. On
sait
l'influence de l'estomac sur le caractère '; no
it d'une persécutée fort hallucinée. « On observe ses pensées, on
sait
ce quelle fait, on la regarde se déshabiller le s
la regarde se déshabiller le soir. Elle sent dans le pénil un je ne
sais
quoi qui lui indique que sa femme de chambre a
unilatérale. Il en serait de même pour ce qui concerne les yeux. On
sait
depuis longtemps qu'une [excitation au niveau d
rchant, sur la grand'route, voit une ville devant lui, y entre sans
savoir
le nom de cette ville, et s'y promène par les r
malade fut arrêté il errait depuis deux semaines sans qu'on puisse
savoir
ce qu'il a pu faire pendant ce temps. (American
ication ne peut davantage être alléguée. Le système vasculaire n'en
saurait
être non plus rendu responsable : pourquoi effe
ccasion manque d'y procéder, le patient déchire ses vête- ments. On
sait
que d'ordinaire ils se bornent à des impulsions
onnaissons point quelles sont ces toxines, causes du tabes; nous ne
savons
pas davantage quel est le mécanisme de leur act
eutiques de chacun d'eux. 4. Il trai'e enfin d'un nouveau préparat,
savoir
du Valériuiante de,11éthyl, qu'il a nommé Algon
la section du lobule pariétal comme sur celle de l'occipital. Nous
savons
que le girus angulaire paraît intervenir dans l
ans un cas pareil la souffrance n'était pas dyscrasique, il s'agis-
sait
d'un kyste hémorragique consécutif au traumatisme
orme à la phy- siologie et à l'anatomie même (Fr. Franck), je ne le
sais
, ou, pour mieux dire, c'est probablement la peu
ui est arrivé pour le cas rapporté par l'auteur et sur lequel on ne
saurait
trop appeler l'attention des nouveaux législate
femmes) ce qui fait des sections de 35 malades au maximum. Reste à
savoir
comment ces services seront répartis au point d
éciales annexées aux écoles primaires pour les enfants arriérés. On
sait
que cette question est actuellement à l'ordre d
erradiques, fanatiques, schismatiques, et toutes les attaques qu'on
saurait
dire, auxquelles on ne trouve remède, pour purgat
ux, il se trouva en un lieu écarté, où la nuit le surprit, qu'il ne
savait
où se retirer, fors qu'il tourna et vira lant p
i donner le couvert pour cette nuit, pource qu'il fai- varia. 541
sait
froid et mauvais temps. L'hôte le laisse entrer e
de 544 ' varia. défense de Marseille de tous les progrès qu'il a
su
réaliser et des réformes qu'il a su apporter en
lle de tous les progrès qu'il a su réaliser et des réformes qu'il a
su
apporter en faveur de l'enfance coupable et mal
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien el payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
Souklianofl, 15. Soury, 397. Stewart, 105. Slrumpell, 504.
Su
th erland, [¡1(j. Taguet, 289. Targowla, 158.
S PARALYSIES SYPHILITIQUES 3 stigmales hystériques, autant que nous
sachions
; ils furent recherchés au régiment, et il n'en
et à notre travail précédemment cité. La démonstration nous parais-
sait
suffisante pour établir des conclusions basées su
a forme juvénile et la paralysie pseudo-hypertrophique. On connais-
sait
avant lui l'atrophie dans la paralysie pseudo-hyp
li. 15 laire n'est plus mise en doute par personne. D'autre part on
sait
qu'elle peut manquer complètement dans certaine
ien là la caractéristique de la paralysie pseudo-hypertrophique : à
savoir
des muscles gros et durs qui fonctionnent mal o
pseudo- hypertrophique pure décrite par Duchenne de Boulogne (3), à
savoir
: tout d'abord les gastrocnémiens et ensuite le
r, aux yeux d'un critique pointilleux, présenter un point faible, à
savoir
que le faciès myopathique n'était pas absolumen
qu'il rattachait à tort aux amyotrophies myélopathiques et que l'on
sait
aujourd'hui n'être autre chose que la forme fac
Marie et moi émettions dans noire précédent travail sur ce sujet, il
savoir
que dans la'maladie myopathique, le volume du m
veut-on reprendre le traitement bromure, la mère s'y oppose, on ne
sait
pourquoi : tout traitement suivi est d'ailleurs i
smodique infantile, à 24 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
savoir
le jeune âge du sujet, la participation de l'écor
vu plus haut, par la considération de l'hémiplégie en elle-même. On
sait
sans doute que l'hémiplégie hystérique peut ell
la règle dans l'hé- miplégie spasmodique infantile. La question de
savoir
si une hémia- nesthésie complète ne peut dépend
pourrait simuler. -1. Lésions irritatives a). Convulsions Il ne
saurait
être question ici des convulsions de l'épilepsie
nd on veut s'expliquer l'origine des attaques épileptiformes, on ne
saurait
la trouver dans la lé- sion organique, puisque
pêtrière sur la diallièse de contracture chez les hystériques. Nous
savons
encore que cette contracture atteint d'emblée son
brusque de l'affection ne font que confirmer ce diagnostic et il ne
saurait
être ébranlé ni par l'apparition de la céphalée
etite fille était devenue subitement muette ; jamais ils no purent en
savoir
la cause et la nourrice qui s'étaient probablem
obablement trouvée en défaut de surveil- lance ne paraissait pas en
savoir
davantage ou du moins ne voulait pas le dire. C
NDROMES HYSTERIQUES SIMULATEURS DES MALADIES DE LA PROTUBÉRANCE. On
sait
que la protubérance on pont de Varole est le rapp
niennes). Mais cette proposition, si elle est vraie en principe, ne
saurait
être géné- ralisée dans la pratique. Il est évi
e, ainsi que des centaines de personnes, fait cette observation : à
savoir
que cet enfant montrait dans l'église une agita-
crièrent ; « cette femme est notre voisine ». Je l'interrogeai pour
savoir
si elle leur avait jeté le sort de la possession.
RECENTE EXORCISATION EN BAVIÈRE. 61 quand tu t'en iras. « Je ne le
sais
pas », s'écria-t-il avec mépris. Enfin je dis a
fin je dis au diable de me dire son nom et il répondit : « Je ne le
sais
pas ». J'étais entièrement épuisé et très grand
fant qu'il serait bientôt obligé de quitter. Une autre fois, il di-
sait
: « il vient maintenant une lettre de l'évêque ;
se catholique. Qni n'admirera la sagesse de Dieu qui d'un tel mal a
su
tirer un si grand bien ! (D) Phénomènes consécu
urieux vers moi ; prenais-je de l'eau ordinaire ce qu'il ne pouvait
savoir
- il demeurait tranquille. De même, si je prono
t besoin d'insister, le fait est bien connu. Dans les luxations, on
sait
aussi qu'une extrémité osseuse déplacée peut co
Dans quelles proportions a-t-il été atteint ? Voilà ce que nous ne
savons
pas. A-t-il été contus, tiraillé, sectionné com
iques analo- gues à ceux des névrites. Cette affection est, vous le
savez
, caractérisée par des lésions centrales consist
entes communications de M. le Dr Zambaco à l'Académie de Médecine. On
sait
que pour cet auteur la maladie de Morvan ne ser
survenir des troubles trophiques du membre supérieur ; il faut alors
savoir
reconnaître pour cause de ces lésions ulcérativ
st l'élongation que j'ai pratiquée sur notre premier malade et vous
savez
quel succès nous a donné cette première opé- ra
consi- dérer ce cas comme une maladie de Friedreich. Nous nepouvons
savoir
en effet si cet enfant est ataxique, puisqu'il
En conformité avec ce que l'on observe dans les autres organes, on
sait
aujourd'hui que la syphilis peut donner naissan
tiques de l'un parce que l'on connaît celles de l'autre, et l'on ne
saurait
appliquer intégralement aux produits gommeux du
endues d'ailleurs, que présentent les racines nerveuses. Le proces-
sus
offre ici une analogie complète avec celui que no
n que beaucoup de troubles moteurs oculaires sont indécis, qu'on ne
saurait
préciser souvent celui des deux états qui domine,
ALPÊTRIÈRE l'intégrité de la musculature interne de l'oeil qu'on ne
saurait
le confon- dre avec le même syndrome de nature
cées, l'in- terrogatoire n'ajoute aucun renseignement à ce que l'on
sait
de l'apparition des premières règles depuis 8 j
les d'arsenic pour détruire des insectes nuisibles, ce qui lui cau-
sait
parfois, dit-il, des coliques violentes. Vers l
et entre autres M. MOlTo\\' (10) ont voulu leur attribuer et on ne
saurait
plus tabler sur elles pour asseoir un diagnosti
dans un bon nombre de cas de syringomyélie de telle sorte qu'on ne
saurait
leur accor- der une très grande valeur dans le
d'où nutrition insuffisante, atro- phie des grandes cellules. On ne
saurait
dire avec précision quelle est l'o- rigine de l
semblait être la règle. 2° Altérations microscopiques importantes,
savoir
: leptoméningite et arachnite spinales avec par
ngagée sur ce sujet, et elle n'est certes pas close aujourd'hui. On
sait
que, pour Heubner, la lésion débute vers l'endart
est tout à fait oblitérée par un thrombus ancien et organisé. On ne
saurait
dire avec certitude s'il s'agit d'une artère ou d
iffuse delà substance blanche, dont l'origine méuingo-vascuiaire ne
saurait
faire de doutes. La prédomi- nance des lésions
ment dans la démence apathique, mais aussi dans d'autres affections
savoir
: 1° dans les polioencéphalites et dans les polio
ansformations fournissent des données certaines dans la question de
savoir
quels sont précisément les muscles qui sont aff
t beaucoup plus. Il est évident qu'une partie du système musculaire
savoir
: les muscles de la face, n'ont pas reçu de la na
ise, dans la démence par exemple. Les deux genres de l'hyperkinésie
savoir
: l'hyperkinésie ophthalmoplégidue et l'hyperki
varia- tions dans la circulation et la nutrition des tissus mêmes,
savoir
: dans le derme, dans la couche sous-cutanée. T
re, il est vrai, les principaux plis aux points extrêmes du muscle,
savoir
: à ses points d'attache aux tendons, aux fasci
core aux transformations physionomiques que nous venons de décrire,
savoir
: des variations dans la circulation et aussi peu
ues et mimiques de la démence, il y a une corrélation qualitative à
savoir
: l'âme du malade ayant conservé la faculté de
écu pendant ces longs voyages ? Rarement de leur tra- vail : ils ne
savent
pas ou ne peuvent pas travailler. La charité publ
ter les médecins en renom. Un des leurs a-t- il été guéri ? Tous le
sauront
; et, au cas échéant, chacun sera prêt à es- sa
une forme spé- ciale et recouverts d'un petit bonnet persan. Il ne
savait
pas un mot de français, et c'est par une lettre
part chez nos voyageurs, à la facilité avec laquelle les Israélites
savent
se déplacer ; mais il ne serait pas juste d'attri
lésions méningées s'étendent à toute la périphérie du bulbe. On ne
saurait
en détacher les ménin- ges, sans enlever le tis
pas d'établir entre eux une distinction radicale. SYMPTOMES Il ne
saurait
être question, en l'étal actuel, de décrire chacu
tte particularité n'est pas non plus sans analogie avec ce que l'on
sait
de la céphalée syphilitique. C'est ainsi que chez
nerveux. Il a pris alors des pilules et des médicaments, dont il ne
saurait
dire le con- tenu. En 1887, un ptosis de l'oe
es. Il existe actuellement un peu de ptosis des 2 côtés; mais on ne
saurait
admettre une relation entre la syphilis et ce pto
te il ce moment un médecin qui lui fit prendre des pilules (elle ne
sait
dire de quoi) et de l'iodure de potassium. Il se
que les mouvements du pouce. Au bras et à l'avant-bras gauche on ne
saurait
dire avec précision si l'atrophie l'emporte dan
parfois il la maladie une physionomie tellement singulière qu'on ne
saurait
en méconnaître la nature, même en dehors de tou
il me parlait du maître qu'il avait pourtant surpassé. Rayer qui le
savait
pauvre l'avait placé près d'une riche famille q
la thèse de son adversaire, il se ressaisit, fort qu'il était d'un
savoir
qui n'avait pas besoin pour briller d'emprunter d
thode des types. Il observe, et avec quel soin, ses élèves seuls le
savent
, un malade, une série de malades, en recueille
plus gain de cause. Hélas ! il ne l'a pas dit en chaire, mais je
sais
pertinemment qu'il re- gretta sa victoire, car
tait quand je l'ai connu ; mais je crois aussi qu'il n'avait jamais
su
parler pour ne rien dire. Charcot, pour son ens
s nous faire douter de la nature spécifique de ces paraplégies : ne
sait
-on pas que le ramollissement cérébral par artérit
tôt que la na- lure de celle-ci ? Toutefois l'analyse clinique ne
saurait
être faite de trop près ici ; et, ne fussent-el
Père mort tuberculeux. Le malade connaît assez mal sa famille, et ne
saurait
dire s'il a des antécédents nerveux. Personne
musculaire relative, et non il un défaut du sens musculaire. On ne
saurait
voir là rien de semblable au signe de Romberg : l
es périscapulaires du côté gauche présentent une atrophie évidente (
sus
et sous-épineux, grand pectoral princi- palemen
es, bien connue depuis les travaux de M. le professeur Fournier. On
sait
également que ces (1) Oppenheim. Zur Kentniss d
s et d'une paraplégie syphilitique conforme au type vulgaire. On ne
saurait
préciser la nature de la lésion qui tient ici s
membres supérieurs. Le réflexe massétérin semble fort ; mais on ne
saurait
dire s'il est exagéré d'une façon pathologique,
vement à l'époque d'apparition des complications médullaires, on ne
saurait
formuler de loi absolue, ne considérer que les fa
ce de lésions exclusivement veineuses suffit à indiquer que l'on ne
saurait
assimiler, dans tous les cas au moins, les altéra
brusquement et quitta la Russie. Il avait alors 15 ou 16 ans et ne
savait
aucun métier. Dès cette époque, il se mit il er
Un pli profond le sépare des joues et sa mobilité est telle qu'on ne
sait
jamais si cet homme va rire ou pleurer. Il ma
sur un ton lamentable, presque toujours en allemand; et cependant il
sait
t l'anglais, le turc, le russe et l'hébreu. D
vitait, le fuyait, redoutant son triste bavardage, il disparut. Qui
sait
vers quels nou- (1) C'étaient surtout des pollu
ransporté. Il n'a conservé aucun souvenir de ce que s'est passé. Il
sait
, mais seulement par ce que lui a raconté W...,
riginal du livre d'A. Cruce, c'est le côté iconographi- que ; on ne
saurait
se figurer l'innombrable quantité de trépans, de
ties molles, en manchettes de dentelle, le petit doigt levé XLI. On
sait
du reste combien la trépanation était alors à la
monde cite les 28 trépanations que subit Philippe de Nassau, mais on
sait
moins que les grands seigneurs ne dédaignaient
e. Un cocher, l'autre jour, se cassa la tète : il le trépana. Je ne
sais
s'il aurait pu réchapper, mais ce qu'il y a de
; je me contente de signaler ce fait important, trouvé par eux, il
savoir
que des excitations sensorielles quelconques peu-
au malade, de sentir, la contracture, jusqu'ici absente, apparais-
sait
tout de suite, etc. Je dois déjà faire remarque
Examinons maintenant l'oeil gauche, qui est atteint, comme nous le
savons
, de cécité hystérique. Malgré cet état nous pouvo
ale se résout au même point où les membres sont devenus tétaniques,
savoir
à 780. Après avoir fait disparaître la contract
e la rétine droite sont situées les deux séries de points inverses;
savoir
, les points qui donnent une hémiconlracture droit
trique ; et particulièrement dans le cas présent, ou, comme nous le
savons
, il y a un rétrécissement concentrique considér
e la rétine, mais j'en veux retenir seulement le fait suivant. Nous
savons
, que cette faculté de la rétine de percevoir la l
au jour, grâce à ces mystérieux subsides que les Israélites voyageurs
savent
obtenir de leurs coreligionnaires, elle apparut
méticuleusement les sensations pénibles qu'elle éprouve. - Elle en
sait
plus, dit-elle, que bien des médecins ; et elle
F-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 351 lueurs d'espérance quand un médecin a
su
gagner leur confiance. Leur état s'améliore ; m
nservent leur conscience, ou à peu près, pendant leurs voyages. Ils
savent
où ils vont et ce qu'ils font; mais ils ne marc
ve éga- lement des pérégrinations étranges ? Assurément. Et il faut
savoir
faire le Diagnostic. - En première ligne, il fa
t eu en France au commencement du XVIIe siècle, un homme d'un grand
savoir
et d'un esprit vraiment supérieur auquel nous dev
ntelligent, tenace, passionné pour les idées neuves el belles. Il
sut
l'attirer il la cour et le fil nommer médecin ord
la disposi- tion de Renaudot les secours de leur bourse et de leur
savoir
. Alors furent instituées les Consultations Char
eur obole; mais ces libéralités n'étaient pas considérables et l'on
sait
pertinemment que l'entretien des consultations
cc le siège, avec le niveau plus ou moins élevé de l'hémisection, à
savoir
: De l'incontinence cl'zcricte et des matières
illi dix observations, y compris la nôtre. Dans celle variété, nous
savons
que le monstre, privé de membres, présente cepe
x à sang chaud est assimilable il un animal à sang froid, or qui ne
sait
que la propriété de repousser est nor- male che
r origine nerveuse a été soutenue par bien des auteurs, ce que nous
savons
de la tendance qu'a la syphilis congénitale à f
de l'étincelle obtenue, on constate qu'avec l'interrupteur ci-des-
sus
elle est presque le double de celle que donne la
r une douleur intolérable, sinon au Barbier dont les mains expertes
savaient
conduire avec sécurité les instruments tran- ch
se du Barbier, fut ainsi l'origine de sa fortune chirurgicale. Ne
sait
-on pas que, dans les premiers examens de cadavres
chirurgie rudimentaire était quelquefois bienfaisante. A défaut de
savoir
, ils mettaient, pour un salaire problématique, le
vents du Moyen Age où se trouvaient des salles de bains, les moines
savaient
appliquer les ventouses. Les Barbiers-Etuveurs
re, toujours plaisant, parfois tri- vial, n'est jamais malsain. Ils
savent
mettre à profit tous les épisodes de la vie joy
passion reste grande au malheur d'autrui. En nous divertissant, ils
savent
encore nous apitoyer, tant leur raillerie est tem
rmi les nombreuses scènes médicales qu'il nous a laissées, nulle ne
saurait
mieux donner la mesure des qualités d'observati
us, attestées par les succès des cures anté- rieures. Le chirurgien
sait
son métier et fait précéder l'application de so
fit-il pendant cette crise ? -Il était incapable de le dire. Il ne
savait
s'il s'était débattu, mais il affirmait ne pas s'
estion d'une épilepsie réflexe d'origine intestinale. Bref, nous ne
savions
trop quelle étiologieinvoquer... et cependantno
adies de l'encé- phale. La crâniectomie bilatérale, en tout cas, ne
saurait
être conseillée comme un procédé de diagnostic.
de dimensions notables. Or, les papilles étaient intac- tes, et on
sait
qu'en l'absence de la stase papillaire, le diagno
ssurément non. ' Lorsque les convulsions sont généralisées, nous ne
savons
, non seu- lement sur quelle région de l'hémisph
sion - si l'on considère la bénignité de la trépanation simple - ne
saurait
passer pour radicale, même aux yeux des plus « co
ontre le pectoral gau- che ne l'est pas davantage que le droit. Les
sus
et sous-épineux sont atrophiés des deux côtés.
se ployaient. Pendant l'hiver ses mains se tuméfiaient, mais il ne
saurait
préciser à quelle gpoque ce phénomène a commenc
s, du coraco-brachial et du triceps. DE LA MAIN SUCCULENTE 95 Les
sus
et sous-épineux sont atrophiés, peut-être à un de
e 65 ans. Au point de vue de la fréquence de ce type de main, je ne
saurais
produire des chiffres précis. J'ajoute cependan
'est à la lésion de la substance grise postérieure qui, comme on le
sait
, est altérée, dans la sy- ringoméylie, qu'il fa
des preuves présomptives en faveur del'opinion quenous soutenons, à
savoir
qu'il existe dans les cornes postérieures, des
muscles extenseurs et dans les mus- cles fléchisseurs du tronc. On
sait
qu'il est de règle, dans les contractures hysté
ent l'école buis- sonnière, de telle sorte qu'à l'âge de 14 ans, il
savait
à peine lire et écrire. A partir de cette époqu
rs reprises, chez cette ma- lade, avec un résultat analogue : je ne
sais
s'il a fini par être définitif. En somme, l'apo
plus curieux représentants de l'école du maître de Haarlem dont il
sut
appliquer la méthode aux sujets de petite dimensi
dessin est complètement retourné par rap- port au tableau. Et nous
savons
d'autre part que la peinture de Brouwer a été g
iers et de J. Steen. Son profil n'est pas sans finesse. A défaut de
savoir
, il doit être malin. ' Tout autrement semble im
ntraste avec l'allure martiale ou théâtrale de son costume. Brouwer
sait
varier à l'infini les modulations de la douleur
j'ai fait (fig. 5) ne donne qu'une silhouette des personnages et ne
saurait
prétendre à reproduire la facture si personnell
cien vénérable qui, s'il n'est pas plus lettré que ses confrères, a
su
du moins se donner des allures de vieux savant.
vaient sur eux l'avantage d'employer une médication indolore et ils
savaient
merveilleu- sement mettre il profil la crédulit
nts, etc.), ainsi que l'un de nous l'a récemment démontré (1). On
saura
à l'occasion l'associer, sous cette forme particu
aucune sélection n'était faite parmi les mala- des traités. Il faut
savoir
respecter certains cas de tabes. Tous les méde-
n protoplasmique qui forme la membrane cellulaire. La ques- tion de
savoir
si ces particularités du protoplasma ne seraient
t au plus pourrait-on dire qu'il s'agit de doigts-bots ; mais je ne
sache
pas que cette expression ait droit de cité dans
elles sont très mobiles dans le sens de la flexion ; mais elles ne
sauraient
être étendues au delà d'un certain point, quels
édicale faites à l'hôpital de la Ckct·ité,1867. 190 EMILE BOIX On
sait
quel chaos a longtemps été le groupe du rhumatism
éformant. Enfin, il supposer qu'il se soit agi d'une névrite, je ne
saurais
en saisir la cause dans l'histoire du malade. U
ndre explication physiologique. En effet aucun groupe musculaire ne
saurait
, par sa contraction, déterminer cette inclinais
re, plus difficiles mettre enjeu, plus faciles il fatiguer. Nous ne
savons
pas ce qu'est la maladie de Parkinson. Mais, tout
applicable également à l'atrophie musculaire dans cette maladie. On
sait
combien est étroite la relation entre les neuro
ce antérieure et postérieure du tronc. C'est Charcot, comme on le
sait
, qui pour la première fois a décrit celte * att
urnit pas moins un élé- ment intéressant pour le diagnostic et vous
savez
du'il ce point de vue rien n'est à négliger. »
cs. Donc, il n'est pas oiseux de se poser maintenant la question de
savoir
si, au point de vue de l'analyse symptomatique,
ssaud (1) fixera ces caractères du tic dans votre mémoire. « Vous
savez
qu'en 1717 vint à Paris un marin russe célèbre do
s pas nous, méridionaux, qui contesterons cette proposi- tion. Vous
savez
que dans le midi on réussit toujours la petite ex
rie. 1891, p. 466 et 483. TIC DU COLPORTEUR 229 monsieur, je n'en
sais
rien du tout. Permettez-moi de les compter, je
. Ceci nous a tout de suite paru un renseignement important. Vous
savez
en effet qu'un mouvement répété, une fonction lon
demment constituer une dystrophie à l'égal de l'infantilisme. Il ne
saurait
, par définition, exister chez la femme à titre de
tion insensible de nuances. J'en retiendrai simplement une chose, à
savoir
: que c'est bien à l'infan- tilisme myxoedémate
pas de descendance. Ne sont-ce pas des my- xoedémateux ? Nous ne le
savons
au juste : il ne nous a pas été donné d'exa- mi
ient à ce qu'elle relève d'une seule cause, assez rare elle-même, à
savoir
: l'atrophie spontanée du corps thyroïde. En résu
254 E. BRISSAUD depuis longtemps perdu tout espoir de grandir. Vous
savez
même que M. Hertoghe a pu déterminer par la rad
e thérapeutique ne se laisse parfois en- traîner un peu loin. Je ne
saurais
trop vous conseiller la prudence, et quand vous
tés relèvent-ils de la variété thyroïdienne ou de l'autre ? - Je ne
saurais
vous dire; mais ce qu i est certain c'est que l
rès souvent on a fait mention d'anomalies du squelette (1). Or vous
savez
qu'il n'y a guère d'exemples d'une anomalie isolé
elles aptitudes spéciales de la glande. Il y a mieux encore. Nous
savons
que glande thyroïde de l'homme se compose de de
iologie de cette névrite foelale,hypothétique mais pos- sible, nous
savons
qu'une maladie infectieuse maternelle peut soit i
as la localisation excessive, la ténuité de la lésion, puisque l'on
sait
que préci- sément dans le premier âge les altér
s, sont aussi une manifestation de la segmentation du corps. » On
sait
que le métamère est toute portion de l'être encor
e 2 centimètres au moins la circonférence du membre touché. Il faut
savoir
, en effet, qu'en absence et en dehors de cette
tres à gauche. Encoche il la place du biceps. Exagération des creux
sus
et sous-épineux, sus-claviculaire. L'atrophie e
radui- 292 GILLES DE LA TOURETTE sant par des méplats deltoïdien,
sus
et sous-scapulaires, sous-claviculaire. Dans le
lle reste dans les limites trophiques de l'articulation lésée. On
sait
, à ce point de vue, que chaque articulation comma
iante parmi les éléments de comique empruntés à la pathologie. On
sait
que les bossus ont payé de tous temps un tribut c
l d'autres notes caricaturales sans lesquelles l'effet grotesque ne
saurait
être obtenu. En somme, quelle qu'en soit la rai
t, au détriment de la vérité naturelle. Un autre tableau de lui, au
sauraient
passer pour récentes. La plupart sont entourées d
de profils sur lesquels est appliqué un oeil vu presque de face. On
sait
que cette faute est faite couramment par les dess
N ÉPILEPTIQUE APATHIQUE . PAR CH. FÉRÉ Médecin de Bicêtre. On
sait
combien la circulation de la peau et la contracti
de ; à ce niveau adipose très marquée envahissant aussi les régions
sus
et sous-épineuses, sous-claviculaire. Avant-bras
ule droite. Atrophie des muscles de la ceinture scapulaire, méplats
sus
et sous-épineux, sous-claviculaire, deltoïdien.
ier. Reste maintenant à connaître la nature de l'arthrite. , Nous
savons
que les membres hémiplégies sbnt, du fait de la p
e la scissure longitudinale posté- rieure dans la région dorsale, à
savoir
: dans les parties internes des cor- dons de Go
ehuch- ten, etc., ont constaté indiscutablement le fait suivant : à
savoir
qu'après la lésion du prolongement cylindre-axi
ations primitives insignifiantes ont pu dépendre de trois causes, à
savoir
: 1° d'une éléva- tion assez considérable de la
Kowalioff (Pl. XXXVIII). Il devint bientôt à son tour un apôtre et
sut
grouper autour de lui un grand nombre de personne
un décret papal proclama la cano- nisation d'un miséreux. qui avait
su
gagner le ciel en se vêtant de gue- nilles et e
u disparaîtront dans un éternel oubli. . Fort heureusement, l'Art
saura
perpétuer la mémoire des pouilleux. , Par, sans
t existé réellement. A vrai dire, aucun de ces monuments figurés ne
saurait
pré- tendre à la documentation scientifique. Le
il y chasse la vermine et le gibier doit y être abondant, car nous
savons
, depuis A. Paré, que « les petits enfans sont f
ulent et engendrent beaucoup d'excrémèns. » Le Pouilleux de Murillo
sait
se défendre contre les para- sites : c'est pour
simple, figures naïves, scène hien vulgaire, mais dont Gérard Dow a
su
composer un ensemble harmonieux, tendre el délica
le montrent. ' Quelle est l'origine de tous ces troubles ? Nous ne
savons
pas grand'chose sur la famille, sauf qu'une soe
e'surtout à l'arthropathie névritique (1). III. L'HÉMARTHROSE. On
sait
combien est fréquente't'hémarthrose dans l'arthro
alon du cam- pi41.Úe est capable de maintenir la tête, la malade le
sait
. Mais la fixation des petits papiers n'est pas
nces l'après-midi. Elle connaît les exercices qu'elle doit faire et
sait
en inventer de nouveaux. De mois en mois, elle
la rectitude. Puis, le malade nous quitta pour Lourdes, et nous ne
savons
ce qu'il est devenu. Un troisième malade adre
modique, le sterno-cléido-mastoidien droit. Lorsque le malade appo-
sait
la pulpe de son index gauche sur son menton, le s
onde, avec une incroyable malignité. Aux âges bibliques, Moïse, qui
savait
reconnaître les taches, les érup- tions et les
épreux, et qui se consacraient uniquement à soigner ces malades. On
sait
que Saint Louis donna, en Palestine, l'exemple de
vations du passé. Tels sont les documents figurés, car déjà l'Art a
su
, par plus d'un chef- d'oeuvre, immortaliser les
ère on ne peut parler des phénomènes subjectifs, sur lesquels on ne
saurait
être renseigné. Il faut se résigner à laisser de
la forme en sont parfois très vagues, soit que le peintre n'ait pas
su
ou voulu les préciser, soit que le temps ait alté
rouveront réunis plusieurs des stigmates pathologiques que la Lèpre
sait
imprimer sur le corps humain. V Les figuratio
l'école du grand réformateur de la peinture en Italie, Giotto, qui
sut
le premier rompre avec la tradition byzantine, po
res (1). L'auteur de la peinture qui, par tant d'autres détails, a
su
prouver la sincérité de son talent, n'a pu lais
e jatte. (2) Loc. cit., p. 57 et 147. 430 ' HENRY MEME - - Nous
savons
que de semblables déformations sont fréquentes ch
tout entière, et qui, par les progrès d'un mal en- core incurable,
savaient
leur corps fatalement voué à l'anéantissement,
demander si sa bouche et ses yeux ne sont pas anormaux. Mais on ne
saurait
rien en conclure. Il n'en est pas de même du
e décrire quatre images de Lépreux dont le réalisme pathologique ne
saurait
(1) Raphaël a traité de main de maître la Guéri
infirmes par saint Pierre et saint Paul il la porte du Temple. On
sait
que les cartons de celle composition, ainsi que c
erait la singulière déformation du pied gauche que le rachitisme ne
saurait
produire à un si haut degré. Il s'agirait d'une
degré. Il s'agirait d'une rétraction tendineuse telle que la Lèpre
sait
en créer aussi bien aux pieds qu'aux mains, Qua
h de Hongrie accomplissant les Sept OEuvres de la Miséricorde. On
sait
que, sous cette désignation, on comprenait autref
nt gardé sa position nor- male ; mais le droit, à la suite de je ne
sais
quelle dislocation, estvenu se placer à rebours
re, cette monstrueuse déformation n'est pas irréalisable : la lèpre
sait
encore muti- ler plus cruellement. Sur ce pie
rosses et de petites taches d'un brun rougeâtre. Une jambe qu'on ne
sait
pas au juste à qui rappor- ter, présente de mêm
e vivement cette parole de Charcot et Paul Richer : . . « Nous ne
savons
ce qu'il faut admirer le plus dans l'oeuvre d'Hol
les jambes ramenées sous lui et enve- loppées de bandelettes qui ne
sauraient
masquer leur état d'extrême maigreur ni la défo
a façon la plus évidente les marques de l'a- trophie musculaire. On
sait
que l'atrophie musculaire chez certains lépreux
vant-bras sur le bras persiste encore à un certain degré ; or, nous
savons
aujourd'hui qu'un des muscles qui président à c
ces paralysies avec contracture et atrophie musculaire que la Lèpre
sait
réaliser. MATTHIAS GuUNEWALD . (commencement
quiconque a vu de près des Lépreux, l'examen de ces difformités ne
saurait
entraîner le doute. - La Lèpre mutilante est bi
es avec une si scrupuleuse vérité, correspondent bien à ce que nous
savons
des effets destructeurs de la Lèpre. Et,si l'
sur nature par l'auteur du tryptique du Jugement dernier. ' Nous
savons
enfin que la Lèpre trophoneurotique se manifeste
épreux : l'infirme en question tient à la main une sonnette. Or, on
sait
qu'au temps où les Lépreux circulaient librement
un aveugle. Cela n'infirmerait pas qu'il soit un Lépreux, car nous
savons
que dans les cas où la Lèpre s'atta- que au vis
ités humaines. Cependant, dans le cas présent, un tel diagnostic ne
saurait
être qu'une simple hypothèse. Non loin du gro
, nous l'avons vu, peuvent être mis sur le compte de la Lèpre. Ne
savons
-nous pas en outre que la tradition plaçait fréque
s ou de l'alté- ration de la voûte palatine, mais il ne fait jamais
savoir
si le rhinopharynx de ses sujets a été examiné.
LOT'I I y aurait eu augmentation de la pression endocranienne. L'on
sait
aussi que plusieurs auteurs, se rapportant à la
itime, je dois aborder la question du cranio-tabes rachitique. L'on
sait
que les lésions du cranio-tabes sonl dans la plup
laires, une diminution de la vision, surtout à gauche. Le malade ne
sait
préciser l'époque du début de ces troubles. L'exa
peut plus supporter ses souffrances, qu'il est indispensable que nous
sachions
tout ce qu'on lui fait et que s'il s'est tu jus
-il en pleurant, le trahit. Tous ses parents sont conlie lui et il ne
sait
pas pourquoi, car il n'a fait de mal à personne
fait de ce qui s'est passé pour lui dans les derniers temps, il ne
sait
pas exactement la date du mois, interrogé il di
discute ses hallucinations, il dit que nous n'y croyons pas, qu'il
sait
que nous rions de lui, car les hommes de scienc
elle, et même de migraine pour obtenir des indications sérieuses el
savoir
s'ils peuvent être mis, à l'exemple de Riehold,
jà avancé de l'aïeule en question, en sorte qu'il est impossible de
savoir
si cette démarche était autre chose qu'une mani
malade ni chez ses deux enfants. ' Antécédents personnels. -- On
sait
peu de choses sur ses antécédents per- sonnels,
ied, le caractère familial. En ce qui concerne ce dernier signe, on
sait
qu'il est inconstant dans la maladie de Frime..
yenne. Les autres territoires radiculaires des cordons postérieurs,
savoir
la zone radiculaire antérieure, les champs postér
érieures. Dans notre cas, ce faisceau était intact, mais ce fait ne
saurait
apporter aucune contribution nouvelle à la ques
estion, puisque, dans l'une et l'autre hypothèses, son intégrité ne
saurait
surprendre. Notre observation n'apporte non plu
rne étant la seule lésion constituée au moment de l'examen, nous ne
savons
pas où aurait porté la première des altérations
Nageotte donne la définition suivante des tabès incipiens : « Nous
savons
que le labes est une affeclioit radiculaire ; nou
: « Nous savons que le labes est une affeclioit radiculaire ; nous
savons
de plus que dans sa première phase, c'est une a
stphal peut manquer, apparaître précocement ou tardivement. On ne
saurait
aborder la physiologie pathologique des réflexes
ces cas de retour des réflexes, l'explication proposée plus haut ne
saurait
convenir intégralement. L'influence du traitement
qu'on aurait voulu prolonger. Il n'en reste pas moins vrai qu'on ne
saurait
s'entourer de trop de considérations, s'il en est
te porte appa- rait alors une seconde voisine curieuse également de
savoir
ce qui se passe dans la boutique du barbier. Ce
und près Stockholm, M. Blomqvist, engagé volontaire n° 27, qui fai-
sait
le service de marqueur fut atteint par une balle
fin de cette même semaine il reprit connaissance. Tout d'abord, il ne
savait
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SLPE'1'R1GRE. If
sée à une région dont l'importance dans la topographie cérébrale ne
saurait
être méconnue, c'est-à-dire à la partie postérieu
d'octobre, au moment où commencèrent les examens méthodiques, il ne
savait
encore rien de son congé passé dans sa famille
t effacé de sa mémoire ; c'est parles récits de son entourage qu'il
sait
que, le 17 août, il prit part aux exerci- ces d
e régiment : cette notion s'était effacée de son souve- nir ; il ne
savait
pas, non plus, indiquer le rang d'un tel personna
colonel, les insignes de son grade, etc. Une semaine plus tard B...
savait
répéter immédiatement ces mots et ex- pliquer l
ande de les énumérer en sens inverse, il n'y réussit point. B... ne
saurait
réciter aucune des prières qu'on fait habituell
oit l'aspect du dessin. Il appela « table » un cube esquissé, et ne
sut
ni nommer, ni dé- finir des cercles et des tria
ce et reste incapable de prononcer le nombre d'un seul trait; il ne
saurait
non plus plus écrire de mémoire le nombre complet
sa faculté de lire : il peut écrire les mots et parties de mots qu'il
sait
lire, mais rien de plus. Lorsqu'on lui soumet l
t d'un mot, et si en outre, à l'aide de sa mémoire des formes, il a
su
deviner la suite, alors la réalisation écrite n
ce. On est probablement fondé à prétendre que seuls les mots que B.
sait
complètement écrire forment de véritables excepti
HANSSON ET FBOEDlm;;TIW1 une dizaine, et les lettres isolées que B.
sait
lire et écrire ne sont pasplus nombreuses. Le
r contre, B. arrive presque toujours à recopier les lettres qu'il a
su
déchif- frer immédiatement avant ; souvent il l
s sa vie affective. Il reste toujours d'un tempérament sémillant et
sait
voir le côté humoristique de ses propres débili
recouvre aujourd'hui d'une moustache fine et légère, il est bon de
savoir
que cet ornement masculin est d'apparition très
crises on l'entend s'écrier fréquemment : « Je suis possédé, je ne
sais
pas ce que j'éprouve ; va-t-en ! va-l-eaz ! tu me
, il y a cinq ans, et elle le reconnaissait première vue. Elle ne
sait
ni lire ni écrire,mais elle a voulu montrer un jo
L'opothérapie reste néanmoins sans effet, peut-être parce qu'on ne
sait
encore quelle glande il faut employer, ou plutô
eusement un achondroplasique au point de'vue mental, en cherchant à
savoir
si les troubles psychiques observés dans cette
ypothèse se montre encore plus diffi- cile à conserver lorsque l'on
sait
que dans la plupart des cas d'absence unilatéra
gique. L'abolition pathologique des réflexes, en effet, comme on le
sait
et comme il ressort des graphiques I et II, augme
et d'adapter à ses doctrines philosophiques leurs découvertes. Nous
savons
, en effet, que, non seulement il s'était de tout
r quelques points et d'une manière d'ailleurs fort peu heureuse. On
sait
qu'il n'admetta.it pas que la propulsion du san
t le sommeil (fg.4) sommeil constamment accompagné de rêves, car on
sait
que, pour Descartes, l'homme ne cesse quasi com
t possibles grâce à la disposition anatomique de la glande, et nous
savons
qu'il faut fort peu de chose pour l'incliner en
ment sa main contre nos yeux, comme pour nous frapper, quoique nous
sachions
qu'il est notre ami,qu'il ne fait cela que par je
tout l'assemblage de ses organes, comme il pa- roit de ce qu'on ne
sauroit
aucunement concevoir la moitié ou le tiers d'un
ore d'autres ob- jections moins bien fondées. La glande, dit-il, ne
saurait
être le siège de Famé car elle est si petite qu
tions autour de lui. Sensible et cha- ritable à l'excès » (4). On
sait
d'ailleurs l'influence dans le psychisme de la pl
croscope. Néanmoins cet auteur affirme que la théorie alvéolaire ne
saurait
s'appliquer qu'à une partie des recherches de B
i examiné le foetus hu- main qu'à partir du quatrième mois et je ne
sais
pas comment ces granu- lations se présentent pe
atophiles. Nous louchons à une question extrêmement intéressante, à
savoir
la préexistence de l'appareil neurofibrillaire
iques. Aussi la question qui s'impose dans ces condi- tions,c'est à
savoir
si les images ainsi obtenues sont celles des neur
ans la cellule et qu'elles seraient un produit de coa- gulation. On
sait
, en effet, que la coagulation de gels fluides com
et, que la coagulation de gels fluides comporte certaines phases, à
savoir
: apparition des granules ultramicroscopiques,
ure à une heure, on constate deux particularités curieuses. C'est à
savoir
: 1° l'apparition d'un nucléole lumineux dont l
ause de leur diaphanité et si leur noyau n'était pas visible, on ne
saurait
pas si l'on a devant soi des cellules nerveuses
de calcium en solution isotonique. Le vice-versa est aussi vrai : à
savoir
les modifications des cellules traitées tout d'ab
otre ori- gine ancestrale ; aucune science mieux que la médecine ne
saurait
y répon- dre. Les anomalies peuvent atteindre
- taires n'a le moindre rapport avec cette anomalie. Le malade ne
sait
s'il avait cette disposition en naissant, il se r
ur l'ensemble delà colonne et non sur un segment seulement; elle ne
saurait
être satisfaisante pour justifier les variation
, celle théorie ne peut expliquer que la disparition d'une vertèbre
sus
sacrée avec apparition d'une autre vertèbre suppl
sante, satisfaisante même pour de nombreuses observations ; elle ne
saurait
tout expliquer. Rosemberg avait supposé que ces
s en passant la nécessité d'admettre l'association des deux proces-
sus
, il en est de même dans d'autres cas, et ceci jus
l verlébral, ou de certaines anomalies comme le spina bifida, on ne
saurait
admettre qu'il intervienne pour diminuer ou augme
ns les belles expériences de Dareste (1) sur les oeufs de poule. On
sait
que cet auteur, perfectionnant les procédés autre
imple inspection à l'oeil nu s'impose, dans d'autres cas il faut bien
savoir
les analyser. On sait d'ailleurs que, quel qu
s'impose, dans d'autres cas il faut bien savoir les analyser. On
sait
d'ailleurs que, quel que soit le type de la march
ant tout d'abord accuser d'autres symptômes de maladie, du moins au
su
de son père et de ses frères ; ceux-ci ne savaien
e maladie, du moins au su de son père et de ses frères ; ceux-ci ne
savaient
pas non plus si, à cette occasion ou plus tôt,
nce néfaste sur la santé psychi- que de Caroline ; à la question de
savoir
si l'éclosion de la maladie avait coïncidé avec
se nourrir ; seulement, par déférence pour la famille, elle parais-
sait
peu encline discuter ce sujet. Lorsque, le 3 av
avait fait à la maison et comment celle-ci avait été aménagée. Elle
savait
très bien ce qui s'était passé durant son court
demi-douzaine de camarades qu'elle n'avait plus jamais revus; elle
savait
décrire minutieusement la route à suivre pour a
emières règles lorsque la maladie éclata. Un jour d'hiver - elle ne
saurait
préciser la date - comme elle s'en retournait s
elle n'avait pas remarqué l'alternance entre le jour et la nuit, ne
savait
pas qu'elle avait mangé ni qu'elle s'était remu
seulement après sa guérison qu'elle avait appris tout cela.Elle ne
savait
rien des changements qui étaient survenus dans
veil- ler à la vie brusquemeut, car elle prétend absolument ne rien
savoir
de ce qui s'est passé les jours qui i ont pl éc
sur le corps », ce qui avait duré jusqu'au cours de l'été. Caroline
savait
lire et écrire, mais à part cela, ses connaissanc
, mais à part cela, ses connaissances étaient plutôt limitées. Elle
savait
le nom du roi et do la reine qui régnaient lors
nt lors de son enfance, et ceux du roi et de la reine actuels. Elle
savait
quel endroit habite le préfet de son départemen
ographiques se bornaient à la région immédiatement voisine, elle ne
savait
même pas indiquer la situation de Stockholm.
ultiplication elle ne connaissait que les nombres les plus bas Elle
savait
définir correctement un certain nombre de notions
, il resta absolument amnésique au sujet de sa vie antérieure et ne
sut
dénommer d'autres objets que ceux qui l'avaient t
qu'il n'y a pas eu de destruction du substratum organique. On ne
saurait
nier que, sous plusieurs rapports, les s\mptûmes
onjorecli'qPrifascicxclai·e et inlerfasciculaire. Vasa nervorum. On
sait
qu'à l'état normal, les enveloppes conjonctives n
le territoire des dernières racines médullaires L °, S', S ', S ',
Su
est complètement anesthésique à tous les modes (V
minutes sans connaissance. Quelques mois après, les parents, qui ne
savent
pas fixer exactement l'époque de ce fait, s'aperç
d- met cette seconde hypothèse, il ne faut pas s'en étonner, car on
sait
que, xxv 22 330 M1NGAZZINI surtout dans les
e la Salpétrière ; nous avons préféré attendre quel- que temps pour
savoir
si l'affection s'étendrait ou nonets'onenteraitve
die de Paget localisée ? Pour répondre à cette question il faudrait
savoir
d'abord ce qu'est la maladie de Paget et à quoi e
abord ce qu'est la maladie de Paget et à quoi elle est due; or nous
savons
seulement qu'il s'agit d'une ostéopathie chroniqu
ée, certains auteurs ont voulu ne voir qu'une cause unique, et l'on
sait
que- c'est à la syphilis que Fournier et Lannel
te dans la production de troubles trophiques observés dans les tis-
sus
et les organes tant de facteurs différents, l'hér
rys, sorcier des Roches Noires, 16, Rue de l'Echiquier. Sa tante ne
sut
la chose que plus tard, par une voisine. Il ne le
ture qui a fait cela. » Il n'était pas confus, car il nous dit : « Je
savais
«où j'étais quand j'avais peur ; je savais que
, car il nous dit : « Je savais «où j'étais quand j'avais peur ; je
savais
que j'étais à St-Jacques, mais je xxv 23 « ou
tais à St-Jacques, mais je xxv 23 « ou G BENON ET FROGER « ne
savais
pas comment j'y étais venu. Je croyais que j'étai
vait des taureaux ; je recevais tous les coups de cornes. Je pas- «
sais
dans la mer polaire, dans les mines de houille..
sont morts... ils sont dans la terre... on mange tout cela sans le
savoir
. » Effrayé, il ajoute : « Je vois ces cadavres da
ns que nous lui posions'de question : «Oui, oui, mal- a heur, je ne
sais
pas comment faire.... ali ! ici... pour faire quo
gie ? R. « Oui, je veux bien, « mais comment ? ... Que faites-vous,
savez
-vous le mystère ? ... Je sais tout... » qui me
« mais comment ? ... Que faites-vous, savez-vous le mystère ? ... Je
sais
tout... » qui me commande et qui m'a créé. Tant
ut... » qui me commande et qui m'a créé. Tant que je lirai cela, je
saurai
tout jus- ce qu'aux plus secrètes pensées. » Et
qui sera la plus forte.... il faut quitter la médecine si vous voulez
savoir
... « Vous avez de bons esprits, mais vous n'ado
d même sans voir. « Oh ! les images qui disent des tas d'affaires !
Savent
-ils ce qu'ils sont ceux « qui sont morts ! r11
es affaires de malheur qui se « passent sur la terre... Ils veulent
savoir
ce qui se passe ! Le firmament ! ... « Vous ne
de de la circulation médullaire fournit un peu plus de clarté. L'on
sait
que la moelle est irriguée : d'une part, par les
tion à un ou deux segments médullaires, nous montrent déjà qu'il ne
saurait
s'agir d'une oblitération de l'artère spinale a
la sulco-commissurale la chose est plus difficile à affirmer. L'on
sait
en effet depuis les recher- ches de Kadyi que l
poraire de l'aorte abdo- 362 P. MARIE ET FOIX minale du lapin (On
sait
que cette ligature temporaire détermine un ramo
pées par amas irréguliers de trois, quatre ou cinq éléments ; il ne
saurait
être question d'un processus néoplasique. Le sa
méninges ou des vaisseaux n'est pas la conséquence du gliome. On ne
saurait
affirmer encore une fois les rapports inverses, m
e de voir : les végéta- tions conjonctives existent dans les étages
sus
et sous-jacents et ont pu exercer une répercuss
indiquer ni la date actuelle, ni la date exacte de sa naissance. Il
sait
cependant son nom et son âge appro- ximatif.
xistence passée et sur des faits récents de notoriété courante : il
sait
cependant qu'il a eu un accident dans sa jeunesse
ons fébri- les, souvent convulsives, du jeune âge, qui, comme on le
sait
actuellement, conditionnent souvent des lésions
parésie et les phénomènes spasti- ques-des membres inférieurs. Nous
savons
en effet que la syringomyélie, surtout localisé
usieurs endroits. La partie gauche paraît être le plus comprimée, à
savoir
la partie postérieure de la ceinture circulaire d
du même côté. Il se plaint aussi d'une confusion à la tête, qu'il ne
sait
pas préciser. Il a eu des vomissements. Ils o
commencé à sentir une impression désagréable à la tête, qu'elle ne
sait
pas décrire, et une sensation de froid au front.
qui sont en rapport avec l'ankylose des genoux. Il est difficile de
savoir
la date exacte à laquelle remonte cette amyotroph
t sa force, le malade avait beaucoup de peine pour écrire, il lais-
sait
tomber les objets, et était très gêné pour les ra
objets, et était très gêné pour les ramasser, surtout s'il s'agis-
sait
d'un objet de petite taille. La main gauche n'a j
dénué de force, les mouvements d'opposition très difficiles. Elle
sait
qu'elle a toujours eu de l'atrophie de l'éminence
trouvé comme travail d'ensemble se rapportant directe- temen t à ce
su
jet que l'article récen t de Ramsay Hunt que nous
ide en faveur d'une lésion centrale, médullaire ou radiculaire. (On
sait
cepen- dant qu'il existe des névrites chez les
la face. Cependant la malade, plongée dans un état de torpeur, cau-
sait
par intervalles, pour retomber ensuite dans une a
us les énumérons en dernier lieu. 1. - Le premier point consiste il
savoir
si le coma et les crises convul- sives constaté
on peut penser à un certain degré d'insuffisance testiculaire et on
sait
que celte dernière peut constituer une cause d'
ophiles indique également une grande activité fonctionnelle, car on
sait
que certains auteurs, tels que BENDA, pensent que
l aiderait à ruiner l'hypothèse émise par Marçais, dans sa thèse, à
savoir
que les tumeurs du genre de celles que nous avons
'affection qui nous occupe, elle répond à un type clinique qu'on ne
saurait
confondre avec : . Les lipomes congénitaux, qui
un représentant, un « sosie » pOlit « mieux dirc, qu'il noua faudra
savoir
démasquer. à J.-11. Charcot, Leçons du mardi (2
u système nerveux. Pour ce qui concerne la pathologie cérébrale, on
sait
aujourd'hui que la névrose peut revêtir le masq
LA SALPÊTRIÈRE. Et pour revenir au problème que nous avons posé, à
savoir
: dépis- ter la simulation hystérique, en outre
dera peut-être toujours un souvenir indélébile de la névrose. Si on
sait
quand et comment on tombe dans l'hystérie, il e
epris ses sens, il était paralysé du côté droit et aphasique- 11 ne
sait
pas si sa figure était déviée. Consécutivement il
l est tombé par terre « comme une masse », sans connaissance. II ne
saurait
dire ce qui s'est passé, car il a repris ses sens
la parole qui manque aujourd'hui a jadis existé. Et pourtant il ne
saurait
être question de sclérose multiple. Ce malade e
ssance qui aurait été précédée de bouffées de chaleur au visage. Il
sait
seulement qu'il n'avait pas bu. Trois ou quatre
ns hysté- rique, et les divers symptômes que nous avons signalés ne
sauraient
aucunement être rattachés au mal comitial. 1.
abilité. Pendant la marche, le tremblement augmente et le malade ne
saurait
aller bien loin sans tomber, car il présente un
, en dessous, avec tendance au rire sans motif. Et néanmoins, il ne
saurait
s'agir ici de sclérose cérébro- spinale. En eff
érit spontanément. En présence de tous ces symptômes, l'hystérie ne
saurait
être mise en doute, malgré l'absence des stigma
ucune névrite périphérique. L'absence de toute lésion spécifique ne
saurait
autoriser à admettre que le tabes soit une névr
ons et les infections chroniques méconnues. Et, comme enseignement,
savoir
qu'il est désormais nécessaire de recher- cher
tômes, qui ne se sont jamais démentis et qui sont permanents, on ne
saurait
bien longtemps songer à l'hystérie. Nous sommes
quelque dégénéré plus ou moins vésanique. Dans tous les cas, il ne
saurait
être question ici de sclérose en plaques, et il
rmie et stupide ; la bouche est enlr'ouverte. Il parait insensé, ne
sait
ni le mois ni l'année, il sait pourtant où il s
enlr'ouverte. Il parait insensé, ne sait ni le mois ni l'année, il
sait
pourtant où il se trouve. Le langage est hésita
guéri, » répond-il. Ses réponses sont sensées et justes quoiqu'il ne
sache
ni le nom du médecin ni celui de ses voisins de
ait encore là, dit-il, d'une névrose. Il serait fort intéressant de
savoir
si, dans ce cas, les stigmates de l'hystérie ont
elle était couverte d'une peau de che- vreau. Fréquemment, elle ne
sait
où est'sa jambe ; et, quand elle se lève de son
seignements bien précis sur ces crises. Cependant on peut arriver à
savoir
qu'elles étaient précédées d'une toute petite a
est assez énergique. A l'épaule, diminution extrême de la force des
sus
et sous-épineux, des sous-scapulaires. Perte pr
faci- lement. De ce côté deux tantes et un oncle dont le malade ne
sait
rien dire. Pas de renseignements sur les grands
stoire. Pour un motif que nous soupçonnons, il tenait à ce du'on ne
sache
pas, quand il est entré à l'Hôtel-Dieu, qu'il sor
ble. Nous n'avons pu tenter d'impressionner l'organe visuel, car on
sait
que l'occlusion des yeux est complète pendant l
lle va pleurer. Ether camphré. - Contentement, léger sourire. (On
sait
que cer- taines hystériques aiment assez la gri
malade, elles varient considérablement d'un malade à l'autre. On ne
saurait
donc dire qu'il existe des impressions sensoriell
tente de donner de ces phénomènes, le fait n'en reste pas moins, à
savoir
que l'on peut donner dans la phase cataleptique
Ticrocéplaalie proprement dite. Je ne soulèverai pas la question de
savoir
si l'ossification prématurée des sutures est l'un
s est l'unique cause de l'arrêt du développement de l'encéphale. On
sait
qué cette doctrine séduisante, qui paraissait e
spèces différentes. Traumatisme. Le traumatisme y a sa part et l'on
sait
que la com- pression dite obstétricale se produ
se hypertrophique, font aussi' partie du groupe qui m'occupe. Je ne
saurais
m'arrêter plus longtemps ici sur ces affections,
de médecine opératoire (Ci ? l'1-If)). Mais avant d'en parler je ne
saurais
dissimuler la satisfaction que j'éprouve en voy
l'hémorrhagie. Une épaisseur du crâne parfois très considérable ne
saurait
être considérée comme une complication, mais el
révèle. Peut-être en est-il de même chez d'autres hystériques ? On
sait
en effet que beaucoup présentent ce phénomène d
e avec l'instantanéité que nous avons observée chez notre sujet. On
sait
également que certains hystériques suggestibles p
de la fréquence des oscillations qui composent les tremblements, ne
saurait
toujours suffire à elle seule pour indiquer leu
tremblement de la sclérose multilocu- laire. Celui-ci, comme chacun
sait
, toujours s'apaise et cesse dès que le malade p
up d'ouvriers redoutent, attendent leur tremblement. Et les patrons
savent
fort bien qu'un ouvrier trembleur dans leur ateli
dire que le malade allait si bien que sa femme lui avait écrit pour
savoir
s'il ne fallait pas s'effrayer d'une si rapide
e par mal de Pott. Dans ces conditions, la trépanation du rachis ne
saurait
tarder à occuper, à côté de la trépanation du c
qui contre- indique toute espèce d'intervention chirurgicale. Il ne
saurait
être question, jusqu'à nouvel ordre, d'extirper
ode somnambulique, et sans qu'elle s'en aperçoive, sans qu'elle ait
su
de quoi il pouvait bien s'agir, nous frappons u
ues », suivant l'expression caractéristique de M. Charcot. Elles ne
sauraient
répondre, disons-nous, à une lésion de la moelle
ussade, tout l'agaçait. Il se mettait tout à coup à pleurer sans trop
savoir
pourquoi. Constamment préoccupé de son état de
ligence paraît intacte. Par contre, sa mémoire est affaiblie; il le
sait
et il s'en plaint. « Il y a des jours, dit-il,
ouloureux (elle s'élait couchée), elle perdil connaissance. Elle ne
sait
plus ce qui s'est passé. Elle s'est éveillée le
édée de la série des prodromes qui caractérisent l'aura hystérique, à
savoir
: sensation de boule partant de l'aine gauche e
trumentation est, comme vous le voyez, des plus simples, mais je ne
saurais
trop vous recommander de bien vous assurer de l'e
nard 1. EXAMEN M.0RPH0L0GIQUE CHEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 21a
savoir
si une tête est grosse ou petite, mais cela ne no
nor- male. Les muscles sont pris isolément et non par groupes : on
sait
que c'est ainsi que procède l'atrophie dans la
nté- ressants, quelque contradictoires qu'ils puissent paraître. On
sait
qu'il est de règle de constater dans l'atrophie
tion se rapproche de la réaction de dégénérescence par un point, il
savoir
la non-excitabilité du nerf, mais s'en éloigne so
bre musculaire saine. Donc l'assimilation absolue entre les deux ne
saurait
être faite. D'autre part dans les atrophies d'o
si la réac- tion de dégénérescence se rencontre le plus souvent, on
sait
cependant qu'elle peut manquer quelquefois. Dan
'avouer notre ignorance à cet égard. Mais quoi qu'il en soit, on ne
saurait
tirer de cette absence d'anomalie des réactions
ns aucune autre maladie : faciès d'Hutchinson et amyotrophies. On
sait
quelle obscurité règne encore sur l'étiologie de
s suivantes comme appartenant à la phase de début de la maladie, il
savoir
: l'hyperhémie colossale du noyau oculomoteur a
'esquisse, Napoléon agit; dans le tableau il joue son action... Qui
saura
décider si la vérité, dans son énergie, valait mi
éâtrale, il est vrai, touche non pas la poitrine, ainsi que le pen-
sait
Ch. Blanc, mais bien l'aisselle d'un pestiféré qu
écessaire d'y regarder à deux fois pour reconnaître que ce geste ne
saurait
être en aucune façon le salut d'un 1. M. le bar
te de la désigner du nom de l'observateur pénétrant et habile qui a
su
la faire sortir du chaos et lui donner la vie c
UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE. 257 ce sujet sont très incomplets : il ne
sait
rien de ses grands-parents et de ses collatérau
te très expérimenté; on n'a pas pu non plus résoudre la question de
savoir
si le malade voyait double. L'appétit a complèt
eure de l'oeil ne se termine pas toujours aussi malheureusement; on
sait
depuis long- temps que les paralysies oculaires
t. Il a un peu de mémoire, saisit assez bien tout ce qu'on lui dit,
sait
lire et écrire. Mais c'est à peu près tout, car
e la racine de l'hélix). Mais les auteurs ne sont pas d'accord pour
savoir
lesquelles doivent être rattachées à l'atavisme
palpébale est plus ou moins étroite, plus ou moins rectiligne. Vous
savez
que dans certaines races, l'oeil revêt un aspec
sitivo- sensorielle gauche complète. En outre, on trouve des points
sus
et sous- mammaires gauches, ovarien et lombaire
de une à trois secondes. Le sens musculaire est moins atteint, elle
sait
assez exactement la position imprimée à ses mem
plus grande vérité et la plus scrupuleuse exactitude. On reconnais-
sait
à première vue les signes caractéristiques de cet
ant, du' fameux lépreux du chef incontesté de l'école allemande. On
sait
que Hans Burgkmair, peintre et graveur, était l
de renseignements sur le sujet porteur de cette mal- formation : on
sait
seulement que celle-ci était congénitale; sa pro-
. Eggel a obtenu un résultat contraire. Le thorax en entonnoir ne
saurait
en aucune façon être mis sur le compte du rachi
entraîne pas une déformation des car- tilages costaux voisins. On
sait
que l'hypertrophie des amygdales est accompagnée
tudiées pour la première fois par Dupuytren (1828) ; cette cause ne
saurait
être incriminée chez nos malades dont les amygd
n. Celle qui se contente de faire intervenir une cause mécanique ne
saurait
expliquer le fait de la coexistence fréquente a
le même individu de déviations multiples du développement normal ne
saurait
s'expliquer que par l'existence d'une cause per
ngénital de la malformation) ou dans la pre- mière enfance. Or nous
savons
que parmi les plus puissantes des causes qui pe
re du sternum, dont les points d'ossification ne se montrent, on le
sait
, que huit ou dix mois après la naissance et sou
ètes de M. Charcot, t. IX, p. 453. DIATHÈSE DE CONTRACTURE. 319
saurait
trouver une plus élégante démonstration de la nat
e temps les doigts se défléchissent, la contracture disparaît. Je
sais
que les cas aussi nets et aussi tranchés sont rar
mènes analogues à ceux que je viens de citer se rencontrent. On ne
saurait
certainement en déduire des lois en vertu desquel
duire des lois en vertu desquelles toute con- tracture provoquée ne
saurait
être détruite que par le procédé qui lui a donn
Jacohi 8, etc., en ont mentionné des exemples indiscutables. Il ne
saurait
être ques- tion ici de supercherie, la malade é
euse ne pardonne pas quand elle atteint une si haute gravité. Il ne
saurait
être davantage question de paraplégie tubercule
tte malade est probable- ment atteinte de paraplégie hystérique. Je
sais
que nulle part ni moi ni mon excellent chef de
nt, n'avons trouvé de plaque d'anesthésie, si limitée soit-elle. Je
sais
qu'en ce moment il n'existe aucun autre symptôm
n'existe aucun autre symptôme bien caractéristique d'hystérie. Je
sais
que la malade a eu la syphilis et que vous tous e
retour du mal vertébral et de la paraplégie par compression. Pour
savoir
si l'on a affaire à un syndrome hystérique, à une
éparément les deux ordres de faits qui se présentent en clinique, à
savoir
: 1° les paraplégies hystériques avec stigmates;
er les stigmates de l'hystérie. Les rencontre-t-il ? Il lui reste à
savoir
si tout relève d'un syndrome hystérique ou s'il s
moelle. Traduct. française, 1879, p. 85. 7. Charcot ct Il. Richer,
Su
di.una forma spéciale d'impotenza... (Jledic. con
inaire, elle coexiste avec d'antres troubles simula- teurs. Il faut
savoir
en effet que les douleurs siégeant dans les membr
aucun des signes spéciaux du tabes, aucun « stigmate tabétique », à
savoir
: atrophie papillaire, signe de Robertson, de W
puis douze ans, c'est-à-dire depuis l'âge de vingt-cinq ans. Or, on
sait
que les tabes précoces sont ordinairement des t
pie et achroma- topsie, signe de Romberg, etc. Et cependant il ne
saurait
être question de tabès. Le malade est d'abord h
st qu'hystérique. Les troubles moteurs, l'incoordination motrice ne
sauraient
donner le change; ils ne rappellent que de loin
vantage l'hystérie virile avec l'hystérie féminine, où, comme on le
sait
, ces accidents oculaires sont fréquents. Le rétré
apis sous les pieds. Le sens musculaire est complètement aboli; il ne
sait
pas, les yeux fermés, la position de ses membre
s a semblé aussi qu'il y avait un peu d'ophthalmoplégie, mais on ne
saurait
être trop affirmatif à ce sujet, l'examen n'aya
ion du fond de l'oeil, qui n'a pas été faite. Néanmoins le tabes ne
saurait
ici être mis en cause. Sans doute, il y a des dou
ent dans la névrose hystérique. Reste le signe de Westphal. Mais on
sait
que les réflexes rotuliens peuvent manquer chez u
t pas d'un état infectieux, d'une névrite toxique; mais celle-ci ne
saurait
expliquer la distribution de l'anesthésie, l'abse
éro-organique » sont justiciables d'une interprétation identique, à
savoir
que deux membres de la famille névropathique coex
s d'hystérie mortelle sont excep- tionnels, et, à cette question de
savoir
s'il n'est pas des cas d'hystérie grave qui pui
que nous voudrions faire prévaloir en pareille matière est, vous le
savez
par ce que nous avons dit maintes fois sur ce suj
ssociations hystéro-organiques en général. 1° A cette question de
savoir
s'il ne s'agirait pas là d'une forme ÉTUDE DES
ettre de soupçonner l'affection dont elles sont les avant-coureurs,
savoir
attendre que de risquer des interprétations gratu
Cette distribution semble bien particulière au tabes dorsal. On ne
saurait
la confondre avec l'anesthésie hystérique qui, gé
ains cas. Mais généralement la méprise est facile à éviter; il faut
savoir
que cette incoordination peut disparaître dans la
ns les syndromes hystériques simulateurs du tabes. Du reste elle ne
saurait
avoir grande valeur. En effet, c'est là un phéno-
ut et qui n'a d'autre soutien ;que ses bé- quilles. » Ce conseil ne
saurait
s'adresser qu'aux malades riches. Mais la sente
r le mode grave : « Puisque l'homme a péché, l'homme doit souffrir.
Sachez
-le bien, la vie est remplie de misères. » J.-M.
de nombreux exemples. Quelque rebelles qu'ils puissent être, on ne
saurait
cependant les comparer, à ce point de vue, avec
rmes : « 1° L'atrophie est plus ou moins considérable, mais il faut
savoir
' qu'elle peut atteindre d'assez fortes proport
ux catégories d'atrophies n'existe plus, et l'électro-diagnostic ne
saurait
avoir, dans l'espèce, de valeur différentielle
le pathogénique de la moelle dans la production de ces accidents ne
saurait
être mis en doute. La démonstration ana- tomo-p
t perdu le souvenir de ce qui s'est passé durant cet accès; elle ne
sait
que ce qu'on lui a raconté. Le surlendemain, elle
tuel à celui que nous avons observé il y a deux ans passés. 11 ne
saurait
être question ici d'amyotrophie organique spinale
peut être démasquée par la seule évolution des accidents ; elle ne
saurait
résister à la lecture de l'observation clinique p
lle peut aussi reproduire les symptômes poliomyéliques mé- dians, à
savoir
des troubles vaso-moteurs, des oedèmes, la scolio
de Roth, est un accident fréquent dans la syringomyélie. Enfin, on
sait
que les déviations de la colonne vertébrale ne so
ré- cises de ce champ visuel il l'état normal. Ce rétrécissement ne
saurait
donc avoir de valeur pratique. ·if4 NOUVELLE
taques convulsives à laquelle M. Roth attribue une grande voleur ne
saurait
avoir cette importance. Les attaques manquent, so
défaut. La dissociation syringomyélique existe en réalité. Mais ne
sait
-on pas, depuis les exemples qu'en a cités M. le
« schock » nerveux ressenti dans un accident de chemin de fer... à
savoir
: paralysie agitante, vésanie, épilepsie, scléros
la syringomyélie que dans les syndromes hystériques, mais elles ne
sauraient
avoir la valeur diagnostique que leur attribue
médecins qui ont obtenu de bons résultats du nouveau traitement ne
savent
pas faire le diagnostic entre le pseudo-tabes e
s venons de dire. S'il y a des divergences c'est sur la question de
savoir
si c'est tel ou tel symptôme qui sera amélioré pl
aoutchouc traversé par une canule en verre ou en métal qui établis-
sait
une communication entre la cavité de la rigole et
e de cet allonge- ment, était parfaitement établi. Il s'agissait de
savoir
si on pouvait appliquer à l'organisme vivant le
effet, quand on débouchait le manomètre et que la dure-mère subis-
sait
de nouveau la pression atmosphérique qui venait d
suivante, dans le goût de l'époque : Ci-gît ce pauvre Gébelin Qui
savait
grec, hébreu, latin. Admirez tous son héroïsme,
ncières qui frisent l'escroquerie. La question seule se poserait de
savoir
s'il croyait son fluide capable de guérir un ca
ortait certainement, pourvu qu'il en tirât des béné- fices, et nous
savons
que ceux-ci furent considérables. (A suivre.) G
calmant, comme le dit la malade, des douleurs d'es- tomac, nous ne
savons
, l'état mental du sujet ne nous permet pas d'él
répond à toutes les questions : « Je ne suis pas coupable, je ne
sais
de quoi vous me parlez ? » L'examen direct ne sau
poir d'échapper par la fourberie aux poursuites judiciaires ? Je ne
sais
, mais ce que je sais bien c'est leur dissimulat
imbéciles; incapables de la moindre ana- lyse psychologique, ils ne
savent
rendre compte des modifications de leur moi au
rit qu'elle maîtrisait et se bornent à répondre au médecin : «Je ne
sais
pas, c'est une idée qui me passait parla tête »
ons d'un de ces troubles, celui qui nous occupe, la pyromanie, ne
saurait
s'appliquer aux autres. Quand le crime d'in- ce
e la manifestation essentielle, carac- téristique de la maladie. Je
sais
qu'une telle forme morbide a été niée; les fait
e la preuve dans mes observations. Les liqueurs fortes, chacun le
sait
, ont la dangereuse propriété, à la première pério
ce faible, et c'est le propre de la dégénérescence psychique, on le
sait
, de donner nais- sance à des impulsions. Le ter
ceux enfin qui sont frappés de déchéance intellectuelle. Nous le
savons
, ..ce sont ces derniers qui alimentent la pyrom
bsence d'hérédité, quand les quatre autres facteurs sont réunis, ne
saurait
entrer en ligne de compte. Immédiatement après,
assurance. Je lui déclarai brusquement un matin à la visite que je
savais
tout, qu'il avait mis le feu non pour nuire à a
avait agi sans mobile, car il fut prouvé par l'instruction qu'il ne
savait
même pas à qui appartenaient les meules qu'il a
.... était un enfant abandonné, élevé par l'hospice de Dijon; on ne
savait
rien de sa famille. Tous les maîtres qu'il avait
a voulu mettre le feu chez ses maîtres, il DE LA PYROMANIE. 51 ne
sait
pas pourquoi, mais cela lui répugnait. Il expli-
s idées sont encore l'objet, un inoubliable titre de gloire d'avoir
su
remonter au principe même de cette différentiat
'au terme choisi pour la désigner. Je crois, pour ma part, qu'il ne
saurait
donner lieu à une confusion qu'auprès de ceux q
. Tout médecin familiarisé avec l'étude de la pathologie mentale ne
saurait
se méprendre sur la véritable valeur terminolog
des persécutions et le délire des grandeurs, ou mégaloman- nie, ne
sauraient
être envisagés comme des entités morbides irréd
ra suivre les célibataires remis en liberté, à l'extérieur, afin de
savoir
combien d'entre eux se marieront; les employés ou
ssion héréditaire, l'instruction parait le seul moyen utile et vous
savez
combien peu de résultats elle donne sous ce rap
en réalité presque tous besoin de soins minutieux, et les gâteux ne
sauraient
être exclus de ce quartier. Cette surveillance
es grave, ou des malades tendant au suicide; mais ces patients ne
sauraient
être mélangés aux paralytiques généraux; seulemen
r prêter la main la nuit en cas de besoin. Le cabinet d'aisances ne
saurait
être placé en dehors, sous peine de compliquer
u bulbe, sans autre mutilation, entraine l'atrophie désirable '. On
sait
que l'acoustique se compose au moins de deux sy
. Le centre de la vue lui-même (couche grise la plus supérieure) ne
saurait
être tenu pour altéré; les bandelettes et nerfs
ouvements, il subit un arrêt de développe- ment physique marqué, ne
sait
plus lutter pour l'existence et exige des soins
ai réussi, ainsi que le prouvent les pièces anatomiques, mais je ne
sais
si je n'ai pas détruit davantage. Chez un lapin q
intervertit l'ordre, de ne jamais perdre de vue l'anatomie. Ils ne
sauraient
au surplus s'appliquer de but en blanc à l'homme,
insuffisants pour démontrer la principale proposition de la thèse à
savoir
que la présence des idées de suicide doit faire
n connaître le cas de la jeune fille et d'en parler sciemment, pour
savoir
depuis combien de temps elle avait cessé de pre
nous allons rapporter comment, d'après nos études et ce que nous
savons
; comment elle était l'hiver. Nous partîmes donc
ans cette enceinte, personne qui ne la méconnaisse, personne qui ne
sache
que la loi en préparation est destinée à régler
iculté de sa tâche et, par consé- quent, de sa responsabilité. Nous
savions
tous que nous avions à préparer une de ces lois
loi de 1838 est un devoir rigoureux ; ils sont convaincus qu'on ne
saurait
en faire une meilleure et que pour la rendre pa
. Son inter- vention est commandée par la nature même des choses.
Savoir
si un individu est fou ou ne l'est pas, s'il est
les; les seconds, parce que, tout irresponsables qu'ils sont, ou ne
saurait
H4 SÉNAT. oublier qu'ils ont commis un premie
int d'une extrême délicatesse quand il faut résoudre la question de
savoir
ce qu'il faut faire d'un aliéné criminel alors
un asile a été décidé, résiste de vive force à cet internement. On
sait
le bruit et l'émotion causés récemment par un f
ur. Il ne s'agit pas d'empêcher l'aliéné de résister ; il s'agit de
savoir
si, en présence de sa résistance, il ne faut pas
la loi. Est-il bon de placer dans les lois des prescriptions qu'on
sait
ne pouvoir être exécutées ? Je ne fais qu'indiq
les plus éclairés et les mieux intentionnés, M. le ministre n'a pas
su
dire à la commission : Je repousse votre oeuvre
n'y a que cela à faire. On vous parlait des abus... Mon Dieu ! vous
savez
toutes les exagérations qu'on trouve dans les j
e près : voilà tout ! Il faut donc avoir confiance dans les hommes.
Savez
-vous ce que je trouve dans la Revue des Deux Mo
endant à reconnaître les bonnes intentions de M. le ministre, et je
sais
, par quelques rares occasions où j'ai pu le con
dans les bureaux ministériels pour qu'il recon- naisse qu'elles ne
sauraient
être considérables et ne peuvent fournir un arg
cet accessoire, deviendrait écrasant pour ce magistrat; mais il ne
saurait
en être de même pour l'agent dont il constitue la
ccès l'organisation administrative et médicale du nouvel asile et a
su
mériter les féli- citations du ministre et du c
s. On vient de créer un asile pour traiter les ivrognes à Milan. On
sait
qu'il existe plusieurs asiles de ce genre en Am
grand du Saulle et leurs élèves, le syndrome aphasie a, comme on le
sait
, été décomposé en syndromes plus simples, l'aph
es : « Un individu atteint de surdité des mots entendra les sons,
saura
les rapporter à l'objet qui les produit, mais n
p. 158. DE LA SURDITÉ VERBALE. 185 n'ait pas été examiné, que je
sache
, dans la forme de surdité verbale qui nous occu
Bernard. Loc. cit., p. 20. DE LA SURDITÉ VERBALE. 191 celle-ci ne
saurait
être attribuée à une atteinte du centre des ima
nément devant lui « chapeau » ? Il répète et écrit chapeau, mais ne
sait
,pas de quoi il s'agita Tantôt le malade répète
eux ? Il répète : « Ça va-t-il mieux », et ajoute : « Mais oui »,
Savez
-vous le nom de cet objet ? « Savez-vous le nom
eux », et ajoute : « Mais oui », Savez-vous le nom de cet objet ? «
Savez
-vous le nom de cet objet ? c'est un mouchoir. »
t lieu au langage articulé. La mise en jeu d'organes musculaires ne
saurait
en aucune façon être confondue avec l'appréciat
fort clairsemées d'après les indi- cations mêmes de Bourneville, ne
sauraient
entrer en ligne de compte, et l'on doit rattach
fection nouveau du système nerveux central et des nerfs (proces-
sus
chronique) ; il est donc bon de mettre ce cas en
ant à l'incomplet développement de la parole et au strabisme, on ne
saurait
se prononcer. Le malade vit encore. , , P. K.
'application d'un diapason en vibration sur l'émer- gence des nerfs
sus
et sous-orbitaires faisait reparaître la sensi-
mblyopie hystérique; d'ailleurs ce fait n'a rien d'étonnant, car on
sait
que, même l'état normal, les sens se développen
'est nulle- ment question d'attribuer au délire chronique ce qui ne
saurait
lui appartenir. Que M. Falret se rassure donc s
à se porter sur le caractère essentiel de cette maladie mentale, à
savoir
sa marche systémati- quement progressive par st
iaire, mais l'opinion publi- que était émue. Sans doute les lois ne
sauraient
être parfaites. Mais remettre à l'Etat l'autori
nce d'une statistique internationale, quand ce ne serait que pour
savoir
si l'aliénation mentale s'accroît, la question de
nos populations urbaines et aussi de nos populations rurales. Je
sais
qu'en ce moment il y a des écrivains qui soutienn
ont on ne remar- que pas assez toutes les conséquences funestes, ne
saurait
être maintenue plus longtemps dans un pays vrai
és épileptiques à côté des condamnés deve- nus aliénés. Lorsqu'on
sait
, messieurs, qu'une maladie qui se propage sur-
une grosse question : une question de droit administratif, celle de
savoir
à qui incombe l'obligation d'assister. Nous c
paragraphe de l'article 4er, sans soulever la grosse ques- tion de
savoir
si l'obligation de l'assistance sera imposée à l'
ent ». Dans la pensée deM. de Gavardie, il s'agissait, je crois, de
savoir
si la faculté de réglementation par décret rend
t. Je ne veux pas soulever actuellement la question fort grave de
savoir
s'il est bon de conserver le régime de l'autorisa
il importe d'être bien fixé sur le , système de la commission et de
savoir
si ceux de ces établissements qui n'au- ront pa
s SENAT. 295 conditions prévues au paragraphe précédent... » Vous
savez
que ce sont des parents qui peuvent être appelé
le délai d'un mois. En résumé, la question qui se pose est celle de
savoir
si l'aliéné traité dans sa famille sera soumis
il était alors maigre et ché- tif, ne marchait ni ne parlait, on ne
sait
s'il avait eu des con- vulsions, la nourrice n'
n descendant de l'infirmerie, 1 Les malades de la Sûreté s'occupent
su
) tout à fabriquer des cou- ronnes pour les dist
ord en pierre et à la demande de ce qu'il a eu il répond qu'il n'en
sait
rien. 2 juillet. -Dans un accès, Grandid....
e moment le dos à la salle. Le veilleur qui l'a saisi en arrière ne
sait
dire si Grand.... semblait se disposer à reveni
naissance, sans coma, ni bave, ni urination involontaire, se fai-
sait
promptement. Ces accès, répétés plusieurs fois
santé. Trois soeurs : deux sont mortes, l'une à quatre mois, on ne
sait
de quoi, l'autre, à neuf ans d'une fièvre typho
à trois ans de la coqueluche ; 12° fille morte à dix mois, on ne
sait
de quoi; 13° fausse couche de deux mois ; 14° et
ois il renversait la table, une chaise et passait par dessus. On ne
sait
dire si, en revenant, il suivait exactement la
8; à cette époque elle était ouverte ; V... travaillait facilement,
savait
lire et écrire. Actuellement il ne sait la date
. travaillait facilement, savait lire et écrire. Actuellement il ne
sait
la date de sa naissance, il ignore dans quel mo
ire préciser la marche exacte de cette sensation. On peut seulement
savoir
qu'au niveau de la lèvre supérieure gauche, il
'accroissement progressif du nombre des accès or- dinaires. On ne
saurait
dire si l'extirpation du durillon du pied gauch
celui qui fait l'objet de cette observation. Très peu instruit, F.
sait
à peine lire, non sans erreurs; il n'a jamais s
peu instruit, F. sait à peine lire, non sans erreurs; il n'a jamais
su
écrire; les sens, sauf celui de l'ouïe, ne prés
exercé à lire dans la première de ces langues, et par suite il ne
saurait
avoir la mémoire de ses images écrites. Je conc
olontaire, soit involon- taire (rêves, rêverie). On n'a pas, que je
sache
, tenté de le faire pour le malade de M. Giraude
ression de sa physionomie : * avant qu'elle m'ait parlé, dit-il, je
sais
ce qu'elle veut dire. » Pour un homme de sa con
l'imagination orale, sans trouble de l'articulation des mots. On ne
saurait
prétendre dans les cas de X. F... et de B. L...
aux le saisirait très net- tement en tant que mot, mais ne pourrait
savoir
quel est l'objet auquel il se rapporte. Comme
ne pouvons qu'en signaler la nécessité pour résoudre la question de
savoir
si la sclérose latérale amyotropique a toujours
eurement', M. Monakow établit les conclusions sui- vantes : On ne
saurait
prétendre que chez l'homme, des centres optiques
radial, des nerfs intramusculaires. Prolifération des noyaux du ti,
su
interstitiel des muscles triceps de la cuisse et
moyenne il a acquis avec difficulté une instruction élémentaire, il
sait
toutefois lire, écrire et compter d'une manière s
ers sa septième année. Il n'a pu recevoir aucune instruction, il ne
sait
pas lire, il a été incapable d'ap- prendre un m
lques cellules épi- théliales. La palpation des régions inguinales,
sus
et sous-pu- biennes, de même que le toucher rec
r rectal, ne décèlent pas la pré- sence de testicules. Le malade ne
sait
pas dire si, lorsqu'il se masturbe, il sort du
renseignement sur l'état psychique de l'enfant. Tout ce qu'on peut
savoir
c'est que le sujet fréquentait de préférence un
malades est-il un asile de traite- ment ou un asile-hospice. On ne
saurait
les confier à un asile de traitement parce que
nd chose. M. IIITZIG. Il s'agit en cela, comme en autre chose, d'en
savoir
faire un emploi judicieux. M. Siemerling. Le
tème en question serait applicable. Il serait encore intéressant de
savoir
de quel milieu viennent les gardiens. Peut- êtr
opension à s'évader mais de leur insociabilité. Bien des aliénés ne
sauraient
être traités par le système des portes ou- vert
arrière. Pour apprécier le système des porter ouvertes, il faudrait
savoir
quels malades y sont soumis. Les asiles mêmes y
2. Siemerling (Archiv. f. Psychiut. XVII. 3, se pose la question de
savoir
si à Woodilee il y a des malades qui tendent à
ce pas ce qu'on fait dans les asiles allemands ? Et cependant on ne
saurait
s'y passer de clefs. En outre, des malades cura
formation qui ne lui paraît point nécessaire.- M. TuczEK voudrait
savoir
combien d'aliénés sur mille habitants sont séqu
épileptiques dans des établissements de traitement spé- cial. On ne
saurait
leur imposer raisonnablement l'obligation de fa
tes les maladies. On est atteint d'une maladie, mais on ne peut pas
savoir
, à son début, quelles en seront les suites, que
ille, dans une maison, confie ce malade à un tiers : alors qu'on ne
sait
en aucune manière quelles seront les suites de sa
gner, on la guérira, qui en pourrait douter ? Mais plus tard, si on
savait
! Alors on loue un pavillon dans un jardin, le
à la restriction que j'apporte à la rédaction de la commis- sion. à
savoir
qu'il faut ajouter au premier paragraphe : « Est
érer. Mais voici, sans entrer dans des énumérations de faits qui ne
sauraient
avoir ici leur place, le résultat indiscutable
puis tout d'abord signaler ce premier résultat de l'expé- rience, à
savoir
que, tandis que les souffrances des malades ord
commençant, cet article sera défendu avec plus d'autorité que je ne
saurais
en avoir par le Gouvernement qui l'a introduit da
ation éloquente qu'il a empruntée à M. le doc- teur Blanche. Nous
savons
que les familles riches peuvent aisément entourer
re, à des familles pauvres ou voisines même de l'indigence, et nous
savons
que dans ces familles il n'y a pas moyen de don
l, dont plusieurs du meil- leur goût, étaient très réussies et nous
savons
plus d'une de nos élégantes mondaines qui n'eus
de la Salpêtrière. Les résultats obtenus, grâce à son zèle et à son
savoir
, justifient pleinement la création de ce servic
tailleurs, la plupart des autres le deviendront. Autrefois, ils ne
savaient
rien faire; maintenant, grâce à l'enseignement
e coulure a .été pourvu d'une machine à coudre et plusieurs enfants
savent
déjà s'en servir. MOUVEMENT- .D-E LA POPULATION
7. Monsieur le Directeur, Vous avez eu l'obligeance, dont je vous
sais
infiniment gré, de me faire demander un exposé
angereux ; d'où des accidents possibles. - n Et puis, les enfants
savent
que là aussi, il n'y a souvent pas de place lib
ublique est un prisonnier. (Exclamations). M. Navarre, rap ? Vous
savez
fort bien, M. Després, que ce que demandait M.
e vous voudrez. Je ne cherche que la vérité, Il faut que le Conseil
sache
comment, sans la rectitude très louable de M. N
réputés incurables, et, à ce propos, on a même posé la question de
savoir
s'il était bien nécessaire d'assister, et surto
atière toute spéciale qu'il DISCOURS DE M. JACQUES. LIX traite et
savoir
par son caractère inspirer à tous une confiance
ttait rapidement le visage avec les mains. En revenant à lui, il ne
savait
rien de ce qui s'était passé. Eraste en ces que
ente cette observation est moins complète que celle d'Eraste. On ne
saurait
classer parmi les cas d'épilepsie procursive, c
e à une autre, sans pouvoir se retenir, d'autres fois de sauter. Il
savait
parfaitement ce qu'il faisait, et il pouvait de
e trouvait d'un côté bordé de précipices. La terreur que lui cau-
sait
un mouvement si extraordinaire et le danger visib
'avoir une description plus précise des caractères de l'accès et de
savoir
si ses accès se seraient par la suite modifiés.
, il était alors maigre et chétif, ne marchait ni ne parlait, on ne
sait
s'il avait eu des con- vulsions, la nourrice n'
rd en pierre et à la demande de ce qu'il a eu, il répond qu'il n'en
sait
rien. 2 juillet. - Dans un accès, Grandid ...
e moment le dos à la salle. Le veilleur qui l'a saisi en arrière ne
sait
dire si Grand.... semblait se disposer à reveni
naissance, sans coma, ni bave, ni urination involontaire, se fai-
sait
promptement. Ces accès, répétés plusieurs fois
nté. - Trois soeul's : deux sont mortes, l'une à quatre mois, on ne
sait
de quoi, l'autre, à neuf ans d'une fièvre typho
trois ans de la coqueluche ; - 120 fille morte à dix mois, on ne
sait
de quoi; - 13e fausse couche de deux mois; z- 140
s il renversait la table, une chaise et . passait par-dessus. On ne
sait
dire si, en revenant, il suivait exactement la
78; à cette époque elle était ouverte; V... travaillait facilement,
savait
lire et écrire. Actuellement il ne sait la date
. travaillait facilement, savait lire et écrire. Actuellement il ne
sait
la date de sa naissance, il ignore dans quel mo
re préciser la marche exacte de cette sensation.. On peut seulement
savoir
qu'au niveau de la lèvre supérieure gauche, il
'accroissement progressif du nombre des accès or- dinaires. On ne
saurait
dire si l'extirpation du durillon du pied gauch
ouvent de s'échapper en courant et qu'une fois l'accès passé, il ne
savait
plus où il était et ne se souvenait de rien; il
à grand rayon, évitant les personnes, les arbres, etc. Son père ne
saurait
dire si la rotation s'opérait toujours dans le
otassium. 2 mai. - Traitement hydrothérapique. - Mémoire confuse,
sait
ses nom et prénoms, ignore le jour, le mois et l'
de convulsions; - 5° garçon, mort à l'âge de six ans et demi, on ne
sait
de quoi. Il vomissait depuis longtemps. - Pas d
avait en- core ses courses en avant à son entrée à l31cctre. On ne
sait
pas exactement à quelle époque elles ont dispar
ne s'est jamais développée, il n'a pu apprendre que ses lettres, ne
savait
pas compter spontanément ; il répondaitassez ma
n progressive des accès avec aura procursive en accès vulgaires. On
sait
, du reste, que les épileptiques à aura voient l
obscurcissait peu à peu et la raison ne se développa pas. » Nous ne
savons
quelle foi il convient d'ajouter à cette étiolo-
leuse à répétition. Elle s'exprime bien sans défaut de langue. Elle
sait
épeler, mais n'a jamais pu apprendre à lire; el
rte du choléra. - Une soew' et trois frères migraineux, morts on ne
sait
de quoi. Pas d'épileptiques, etc., dans la fami
coup de vers étant jeune. Pas d'onanisme. Pas de traumatisme. Un ne
sait
à quoi attribuer sa maladie. Trai- tement : Bro
udrais bien voir ma mère. » Caractère très doux, très obéissant. Il
sait
le nom des objets usuels. Les premiers jours de
me scissure temporale est très irrégulière et tronçonnée. - On ne
saurait
distinguer de troisième circonvolution temporale,
ture. Il répond à peine aux questions et par monosyllabes : a Je ne
sais
, mon lit, etc., » puis il s'endort paisi- bleme
ues précédant l'accès suivis de mouvements rotatoires, mais l'on ne
saurait
assimiler ces actes à l'épilepsie procursive pr
s. - [Père, journalier, mort à l'âge de soixante et onze ans, on ne
sait
de quoi. - Mère morte de vieillesse ( ? ) à l'â
se ne débordait pas. ? ; s'il s'accrochait à quelque chose il pous-
sait
un soupir et c'était fini quand on arrivait à tem
nements. - Grand-père maternel, mort à quatre-vingt-huit ans, on ne
sait
de quoi. - Un frère mort à trente-trois ans ; o
e convulsions ; - 2° garçon, mort à quatre mois, en nourrice, on ne
sait
de quoi ; - 3° fille, mort-née ; - 4° notre mal
lus faible que le droit. Il parle, mais en trem- blant beaucoup; il
sait
épeler, sait encore écrire, mais illisible- men
e le droit. Il parle, mais en trem- blant beaucoup; il sait épeler,
sait
encore écrire, mais illisible- ment ; il connaî
il ne gâte pas, se nettoie seul, cire lui-même ses souliers ; il ne
sait
pas très bien se vêtir. (Fig. 3). 30 mars. - Co
érance et le bulbe concurrem- ment intéressés et, à part cela, nous
savons
que tels accès peuvent aussi affecter une fréqu
la protu- bérance des pédoncules cérébraux et du corps strié. On
sait
que la galvanisation de la protubérance produit
s marqués par le refroidissement des corps striés (Beaunis). Nous
savons
, d'un autre côté, qu'on a observé chez le chien
de la petite vérole; - l'autre frère est mort à soixante ans, on ne
sait
de quoi. - Deux soeurs bien portantes : l'une a
, ni d'attaques; n'est pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort on ne
sait
de quoi. - Mère, morte en couches à vingt-sept
é lontemps au pas- sage : « ses accouchements étaient longs»; on ne
saurait
dire DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLIT
nd le tic tac d'une montre à 40 ou 50 c. de l'oreille. - Dern... ne
sait
pas le nom des odeurs, mais il distingue les ag
ives aux excès; pas de migraines; pas de maladies de la peau; on ne
sait
s'il a eu la syphilis; pas d'angines, d'ulcérat
igent et très vif; apprend bien;-5° garçon mort à trois jours on ne
sait
de quoi, était né à terme; pas de convulsions; -
s, sans rien de particulier. Thorax large, bien conformé. Les creux
sus
et sous-claviculaires sont très accusés. Pas de
isir la viande. Selles régulières, volontaires, tous les malins. Il
sait
se faire comprendre quand il a besoin d'assista
t se rend un compte exact de tout ce qui se fait autour de lui ; il
sait
très bien dilîé- rencier ce qui est bien de ce
des yeux n'a pas d'influence. On n'a pas encore observé, que nous
sachions
, dans l'athé- tose les troubles viscéraux (cris
fort clairsemées d'après les indi- cations mêmes de Bourneville, ne
sauraient
entrer en ligne de compte, et l'on doit rattach
avons pas trouvé signalé le degré de fréquence du phimosis. Mais on
sait
que normalement la plupart des enfants en prése
disions plus haut, et ce que les chiffres d'ailleurs indiquaient, à
savoir
que les épileptiques présentant un certain degr
ujets qui la présentent ne s'étant jamais livrés à l'onanisme. On
sait
que les dégénérés supérieurs présentent assez f
fréquemment aussi des anomalies génitales. Il serait intéressant de
savoir
dans quelle proportion, on parti- culier pour l
re, il s'amusait boire les potions qu'on ordonnait aux aliénés pour
savoir
l'effet que cela produirait sur lui. Pas de mig
ela, pour aller dans la rue, ça lui est égal d'être propre; elle ne
sait
pas s'arranger ; elle mettrait par exemple un c
e ne se rend pas compto de ce qu'elle lit. Elle écrit, mais mal, ne
sait
pas faire les additions, et n'a jamais pu appre
ie, disposi- tion que l'on rencontre chez quelques animaux. On ne
saurait
dire, toutefois, ce qu'entend Cruveil- hier (1)
e Cruveilhier ait réellement vu le repli cystico-côlique, ce qui ne
saurait
nous étonner, vu sa fréquence ; mais le texte e
ue. - Traité d'anatomie chirurgicale, tome II, p. 30J, 1859). Je ne
sais
si un fait semblable a jamais été observé. ri (
en plus souvent que les érosions, avec les convulsions ; mais on ne
saurait
davantage voir entre ces deux choses une relati
igraines ni de rhumatismes. Sobre. [Père mort à 73 ou 74 ans; on ne
sait
de quoi. Journalier aux champs. Il s'était rema
soeur dont on n'a pas de nouvelles; elle se conduit mal et on ne
sait
si elle vit encore. - Ni aliénés, ni épileptiques
erveuse, mais emportée. - Grand père paternel morttrès vieux, on ne
sait
de quoi.-Grand'mère paternelle, pas de renseign
draps. Se masturbait-il, ou avait-il des per- tes nocturnes, on ne
sait
? Il était assez grand déjà à cette époque, aya
nt des menaces contre ses parents. Sa cousine, qui l'avait reçu, ne
savait
rien de co qu'il avait eu (1) Les expressions r
le m'infor- mèrent d'un fait que j'avais ignoré jusqu'ici et que je
sus
alors que ma mère, de complicité avec mon père,
: Monsieur le Commissaire de Police, Je vous prescris de me faire
savoir
dans le plus bref délai, si vous avez en dépôt
sur la che- mise. Le malade nie cependant qu'il se masturbe. Il ne
sait
qui a fait ces taches, ne sait pas d'où ça vien
e cependant qu'il se masturbe. Il ne sait qui a fait ces taches, ne
sait
pas d'où ça vient. Il ne subit plus l'incorpora
, être enceintes des oeuvres de leurs amants- divins. Tout le monde
sait
que, quand ces ma- lades ont une certaine instr
pathologiques diverses, dont la bouche est le siège', est, qu'il ne
saurait
y avoir deux palhologies : une pour les organes
féminine et prendre une retraite 'désormais fatale, Mme de X... ne
sut
pas se résigner et manqua 1 DE L'OBSESSION dent
l'ai dit, Mme de X..., qui abondait dans mon sens, lorsque je cau-
sais
avec elle, a peine sortie de chez moi, oubliait s
que à un automatisme inconscient est la loi universelle, l'homme ne
saurait
s'y soustraire dans un avenir que l'on peut rêv
ensées de certains savants, qui imaginent pour notre espèce je ne
sais
quelle éternité, comme s'ils n'imaginaient même
ce) l'équiva- lent de la convulsion des mouvements. La volonté ne
saurait
réfréner le tumulte des con- tractions musculai
les con- tenir, bref, le pouvoir d'inhibition motrice, est, on le
sait
, un caractère d'organisation supérieure : l'inten
le seraient, à l'état fort, si un mouvement véritable se produi-
sait
. Trois phases caractérisent, selon Tamburini, l
a circulation du sang avec les fonctions du cerveau comptent, on le
sait
, parmi les plus solides et les plus originaux d
ptions ou ne font-elles que les accompagner ou les suivre ? Pour le
savoir
, Morselli et Bordoni-Uffreduzzi ont exécuté- un
e conscient » est-elle occupée par un noyau; or, « tout ce que nous
savons
en anatomie générale autorise à penser què ce n
- chet considère comme nerveux, qui me ferait reculer ; car on ne
saurait
imaginer de rapport nécessaire d'au- cune sorte
lobe occipital, suivant les hypo- thèses de Munk et de Scbafer. On
saurait
ne dire aujourd'hui quela chose soit bien prouv
chiasma dans le diamètre antéro-posterieur ou sagittal ne produi-
sait
une perte complète de la vision dans aucun oeil.
erne ou d'autres régions sen- sorielles de l'écorce. La question de
savoir
si, après la destruction de toute la sphère vis
des ascendantes; de plus, la question des troubles de nutrition ne
saurait
être agitée puisque les cellules sont demeurées
ue. 11 croit toutefois devoir signaler la remarque qu'il a faite, à
savoir
que les actes solitaires sont fréquemment suivi
térie, mais ces faits négatifs viennent il l'ap- pui de ce que nous
savons
, c'est-à-dire du lôle important de l'élé- ment
toire. M. Charpentier répond que, parlant à des aliénistes, il ne
saurait
y avoir confusion dans l'esprit de personne sur
umatisants ou des typhiques; la question n'est pas là. Il s'agit de
savoir
s'il existe une relation de cause à effet entre l
génieuse. M. Cnmsrmn ne serait pas convaincu par la statistique. On
sait
en effet que la paralysie générale se développe
ui, à leur tour, engendrent des vaisseaux de nouvelle formation. On
sait
, en effet, que l'espace cndol) mphatique en quest
plan inférieur tout près de la ligne mé- diane et descendent on ne
sait
où. 138 SOCIÉTÉS SAVANTES. Le toit du cerveau
de vérités scientifiques ; plus rares en- core ont été ceux qui ont
su
, comme lui, les entourer d'une dé- monstration
aussi scrupuleux que sagace. De là sa force et sa grandeur. Je ne
saurais
avoir la prétention, dans ces courtes pages, d'an
up d'analogie avec le rêve ; sous le masque de la stupeur, il avait
su
découvrir un état morbide des plus actifs de l'
intermittentes, et des mémoires bourrés de faits obser- vés, comme
sait
observer l'auteur, relatifs à l'influence de l'ét
alytique. Cette par- tie anatomo-pathologique du volume renferme en
sus
trois écrits importants : l'un constatant que l
es symptômes de la forme maniaque de la paralysie générale. Je ne
saurais
, dans cet article bibliographique, engager une di
quelques mots, mon sentiment. Il y a douze ans, j'écri- vais : Qui
sait
si la démence paralytique n'est pas aux folies
. et dont notre maître se sert souvent pour ses démonstrations. Ils
savent
qu'ils sont dus à M. Paul tâcher et sont pour l
téro-épilepsie où l'artiste et le clinicien luttent de talent et de
savoir
. Depuis cette première publication, M. Paul Ric
BLIOGRAPHIE. " 149 prétention de donner des leçons aux artistes. Il
sait
parfaitement, et pour cause, que la science n'a
res s'impose non seulement au chirurgien qui doit imperturbablement
savoir
à quoi correspond la saillie dans laquelle il v
elle il va plonger son bistouri, mais aussi aux médecins. c Je ne
saurais
trop, Messieurs, disait avec sa haute autorité
t discuter les conceptions théoriques qui ont guidé l'auteur, on ne
saurait
ne pas reconnaître les grandes qua- lités d'obs
un peu sombre depuis une dizaine de jours; il était, sans qu'on le
sût
, obsédé par la pensée de faire un acte qui obli-
tous les médecins qui ont eu des morphinomanes dans leur clientèle
savent
combien cette lacune est regrettable. (Bull, mé
érieuse avait souvent été faite dans le traitement de l'ivrognerie,
savoir
, que l'on n'observait pas assez longtemps le ma
de l'hôpital Saint-Antoine, agrégé de la Faculté. Messieurs, Vous
savez
en quoi consistent, le plus souvent, les paralysi
ans, bien constitué, n'ayant jamais été « malade de coeur »; vous
savez
ce qu'il faut entendre par là. DES CENTRES TROP
nt sa maladie. Ce qu'il ne nous a pas dit d'abord et que nous avons
su
par la suite, c'est qu'il est grand buveur de v
, c'est la parfaite limitation de l'ecchymose ou du purpura - je ne
sais
lequel de ces deux mots convient le mieux, aux
, innervés par le petit nerf sciatique, ont été respectés. Or, vous
savez
que le petit nerf sciatique tire surtout ses or
des paralysies partielles augmente de jour en jour, à mesure qu'on
sait
mieux reconnaître l'origine de la maladie 1. Vo
paralysie du circon- flexe, voire même de paralysie faciale2. Vous
savez
, d'autre part, qu'il existe des paralysies géné
IQUES DE LA MOELLE 178 tômes fondamentaux consistent, comme vous le
savez
, dans une atrophie musculaire, liée ou non à di
e M. Charcot sur les atrophies musculaires des hystériques, et vous
savez
que l'hystérie est, par excellence, la maladie
de dynamiques. Laquelle de ces deux hypothèses prévaudra ? Nousn'en
savons
absolument rien. En Allemagne, Erb et Eisenlohr
ne peut appartenir à la substance grise du lobule, car celui-ci ne
saurait
avoir deux écorces blanches, une à sa face supé
t même exister sans qu'on aper- çoive le relief des tractus. Nous
savons
déjà que ces nerfs sont une émanation de la bra
t l'autre, au moins dans leur partie postérieure, sans qu'on puisse
savoir
jusqu'où s'étend, d'arrière et avant, la zone a
r qu'une fonction ne soit localisée dans cet organe. Reste donc à
savoir
la signification physiologique. C'est une quest
en raison des descrip- tions différentes qui en sont données, je ne
saurais
l'affirmer. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'
bius. La pathogénie des auteurs français est basée sur ce que nous
savons
de l'organisation des mouvements acquis. Le plus
groupe cellulaire où résiderait le mécanisme d'exécution 2. - On
sait
généralement que la peur peut paralyser les jambe
rait une impuissance motrice complète, après l'injonc- tion « Tu ne
sais
plus marcher », il y avait seulement une im- pu
n devient agora- phobique en même temps que neurasthénique, et l'on
sait
que féquemment la neurasthésie s'associe à l'hy
nière opinion. VIII. Je terminerai par ces quelques remarques. On
sait
qu'il existe une séparation très nette entre le
apprendre à marcher à deux pieds, par esprit d'imitation, et on ne
saurait
dire où leur faculté d'imi- ter et d'apprendre
: le muscle s'échauffe, donc il ne produit pas de travail. Or on
sait
déjà que, dans la « phase dynamique » de la con-
d'une perte de chaleur, c'est là une loi de la thermo-chimie. Nous
savons
que la chaleur ab- sorbée dans la décomposition
vaso-moteur dû à des influences psychiques. Selon Seppilli', on ne
saurait
nier qu'il existe quelque rapport entre la temp
e font chez les singes qui possèdent le sens de l'ouïe ; mais on ne
saurait
affirmer que l'absence de réaction des oreilles
son voisinage, de sorte qu'on était dans le doute constamment pour
savoir
s'il était complètement sourd ou non. On consid
et l'animal sain, la seule question qu'on pouvait se poser était de
savoir
s'il n'avait pas du tout de réel sens de l'ouïe
e temps apathique. Il ne faisait attention à rien de ce qui se pas-
sait
autour de lui et était indifférent aux plus grand
ns. Il devint évident que lorsqu'on laissait l'animal tout seul, il
savait
qu'on l'appelait, il était averti du bruit de l'o
mais quand quelqu'un était dans le laboratoire et que l'animal fai-
sait
attention à lui, il ne montrait nullement qu'il e
érique qu'on peut rapprocher des mêmes névrites observées, comme on
sait
, au cours d'autres maladies infectieuses Est-ce
fant est plus sensible à l'action du virus rabique que l'adulte. On
sait
, comparativement, que, chez l'animal, Vincubatton
veau ne suit aucunement la marche du développement du crâne ; il ne
saurait
donc y avoir correspon- dance entre l'asymétrie
n observe dans les deux cornes antérieures; du reste, tout le monde
sait
qu'on trouve assez souvent des déviations de la
de M. Rendu tiennent amplement les promesses de leur titre, et nous
savons
particulièrement gré à leur auteur de cette exc
re. Oui, certainement tout cela est simple, sans aucun doute. Mais,
sachez
-le bien, cela n'en est que plus grand et plus b
que vous avez aimés, moralises même, et plus d'une fois, qui ne le
sait
? sans autre mission que celle que vous confère
a souffrance; il devient morphinomane. Rien d'étonnant à cela. On
sait
depuis longlemps que les médecins, qui connaissen
t été FAITS DIVERS. 315 faite dans le traitement de l'ivrognerie,
savoir
, que l'on n'observait pas assez longtemps le ma
si le même syndrome par un autre mécanisme, mais il faut que vous
sachiez
que certaines lésions du pédon- cule, localisée
les cérébraux avec la protubérance et les or- ganes adjacents. Vous
savez
que les deuxpédonculescéré- braux émergent de l
cule avec l'oculo-moteur commun. Le pédoncule cérébral est, vous le
savez
, un tractus complexe dont l'étage inférieur se
comprime le nerf oculo-moteur, le second élément de ce syndrome, à
savoir
la paralysie directe de la troisième paire, ser
habituellement intéressés et cette lésion se traduit, comme vous le
savez
, par la paralysie du facial inférieur et par la
s avons reconnu aisément la démarche de Todd qui est, comme vous le
savez
, le propre de l'hémiplégie hystérique. Et, phén
rs, médirez-vous, en l'absence de ces caractères habituels, comment
savoir
s'il s'agit d'un spasme ou d'une paralysie ? Qu
pasme hystérique où il n'avait passé inaperçu que parce que nous ne
savions
pas le voir. C'est là un signe que je crois app
oteurs des membres du côté opposé, était si imprévue qu'elle fai-
sait
naître dans l'esprit des déductions fâcheuses. Ac
re. Un jour de sor- tie, il s'est échappé et depuis vingt ans on ne
sait
pas ce qu'il est devenu. Quant aux collatéraux,
s nerveuses, et SOPHIE WOLTKE (d'Odessa), docteur en médecine. On
sait
que les attitudes passionnelles qui caracté- ri
es en général par des hallucinations, le plus souvent visuelles. On
sait
aussi que cette troisième période de l'attaque
... Quelle fleur est-ce ? je ne pourrais pas dire au juste... je ne
sais
pas... Qu'est-ce que tu veux ? T'es aussi bête qu
iers, je les ai en horreur... Léonie, viens nous voir chez nous. Tu
sais
, je te le dis à toi, ici j'aurais pour d'être m
out cà, parbleu ; j'ai été à la Salpêtrière... Bien sûr que je n'en
sais
pas autant que toi, mais enfin les petites chos
n, de sucré... une grenadine au kirsch. Non, je n'en veux pas, papa
sait
que j'aime ça. - C'est très bon, tu sais, très
on, je n'en veux pas, papa sait que j'aime ça. - C'est très bon, tu
sais
, très raffraichissant quand on asoif... Ecoute, n
..- Viens ici, tu es la plus gentille de toutes... Viens vite... Tu
sais
que tu grandis beaucoup... T'es gentille. Piqûr
iments. Sulfure de carbone. Il accuse un de ses amis de n'avoir pas
su
commander à ses sphincters. Et comme celui-ci s
Comme elle, il est absolument indifférent aux objets extérieurs. On
sait
que c'est là une carac- téristique d'une des fo
ayement vulgaire pour borner mon examen aux trois autres symptômes,
savoir
: les troubles respiratoires, 1 inter- mittence
rie des bégaiements causés par de fortes émotions qui, comme chacun
sait
, et comme le dit M. Pitres lui-même, peuvent am
de M. Ballet. Aussi bien s'il ne s'agis- 372 PATHOLOGIE NERVEUSE.
sait
que de l'observation même de M. Pitres, ma tâche
e. La question, pour moi, se ramène, en l'état actuel des choses, à
savoir
s'il est une expression qui puisse caractériser
le langage courant. Ceux qui sont au fait des choses de la clinique
savent
ce qu'elle signifie. Et c'est là la qualité ess
a été ensuite repris par Horsley et Schafer' qui, autant que je le
sache
, sont les seuls physiologistes qui ont répété mes
parce que des médecins, dont la compétence en pathologie mentale ne
saurait
être contestée, auront été contrôlés par des ma
asile spécial. » Mais que faire des aliénés criminels guéris ? On
sait
quel est l'embarras du médecin lorsqu'il s'agit
rer dans une petite ville ou dans un village, parce que l'entourage
sait
qu'un tel sort d'une maison de fous, et parce q
es troubles de la digestion et en particulier ceux de l'estomac. On
sait
que chez les mélancoliques et les hypocon- dria
ons les plus variables et les plus opposées. L'idée fixe est, on le
sait
, le symptôme essentiel du délire de per- sécuti
'emblée la victime de telle ou telle personne, l'hypochondriaque ne
sait
, au début, à quoi attribuer les symptômes qu'il
e hallucination, c'est toujours la même cellule qui vibre. » Nous
savons
aussi que l'hallucination, dans l'aliénation, est
euses et insultantes prononcées; il ne les a pas entendues, mais il
sait
qu'elles l'ont été; il se les imagine et il sai
entendues, mais il sait qu'elles l'ont été; il se les imagine et il
sait
ce que l'on a dit, puisque c'est du mal qu'on a
- dus, c'est que si l'aliéné voyage en pays étranger, tant qu'il ne
sait
pas la langue du pays où il se trouve, il n'est
lé délire qui accompagne ou suit les fièvres. Mais aujourd'hui l'on
sait
que la distinction entre le délire fubiile et c
t de loi ne satisfait pas, il est vrai, les aliénistes.mais il faut
savoir
faire des concessions aux préjugés des milieux
ôté où commencent les phénomènes con- vulsifs pendant l'attaque. On
sait
qu'avant on supposait que l'asy- métrie fronto-
ence dans l'in- tensité de l'innervation. Tous les anthropologistes
savent
combien sont difficiles les recherches de cet o
'une part, la pathologie des nerfs périphériques d'autre part. On
sait
que les interventions chirurgicales deviennent de
résumé de psychologie physiologique. Il faut louer l'auteur d'avoir
su
rendre facile par une exposition claire et inté
de médecine psychologique. Société DE psychologie PHYSIOLOGIQUE. On
sait
que, dans cer- tains cas, mal déterminés encore
ifficiles, plus la voix devenait pressante et nette; mais Cam... ne
savait
à qui l'attribuer, quand un nouveau sujet de ra
a qu'elle sentait que la voix allait parler. En effet, sans qu'elle
sût
d'avance ce qu'elle allait dire, « la voix parl
dit la voix, donné cette femme si pure et si bonne, et tu n'as pus
su
lui donner le bonheur, tu ne l'as jamais compri
piété constituent les matériaux. Elle voudrait trouver un homme qui
sût
l'aimer selon ses sentiments à elle, mais cet a
seulement au cours de nos causeries, elle avait demandé si nous ne
savions
rien de l'existence de « consciences parlantes
avons appris ce qui s'était passé en réalité dans cette période, et
su
qu'elle avait encore au sanatorium entendu spon
e qu'elle n'a jamais entendu ni lu ce nom antérieurement. Mais nous
savons
qu'elle a lu les oeuvres de Loti ; ce mot est r
encore à la portée de son appel. Si la voix ne répondait pas, elle
savait
que la table parle- rait et elle avait des envi
lle de ces facultés divinatoires. Cam... nie sincèrement avoir rien
su
antérieurement de tout cela, ce qui est fortnat
ui parle, mais elle n'ose pas; elle consulte Deus en elle-même pour
savoir
ce qu'elle doit faire. C'est le Dieu ascétique
don pour causer avec ses esprits, mais elle est maintenue au lit et
sait
qu'on ne lui permet pas cette pratique. C'est a
nant le christianisme continué dans le « Kamianisme. Celle-ci sera (
saura
pas aujourd'hui - inutile). » Elle s'est brusqu
e Deus se refuse de rien dicter de plus, il ne veut pas que nous en
sachions
plus long. Nous insistons pour qu'elle obtienne
aire et d'étudier et d'interpréter les faits. Ce qu'il importe de
savoir
c'est que seul un cas de synos- tose complète e
nienne a été insuffisamment impressionnée et les'mensura- tions ne
sauraient
traduire un arrêt de développement minime. Da
ur les modes de production de l'épilep- sie dans lesquelles elle ne
saurait
être invoquée. . H. DE V1USGItdVE-CL : 1Y. 11
n syphilitique du système lymphatique postérieur de la moelle. Nous
savons
, en effet, avec quelle fréquence et quelle préd
professeur Lépine, et d'en faire l'examen histologique; il s'agis-
sait
de deux fibromes. La symptomatologie de ces tumeu
brilles dans les centres, constatée par R. Y Cajal avec l'aspect ne
saurait
infirmer les résultats de Agathe et Bethe par l
si un réseau central infirme le neurome, l'absence de ce réseau ne
saurait
infirmer la conception du lobule nerveux polyce
astomoses vraies d'Apathey. La question de suppléances nerveuses ne
saurait
être invoquée et ne cadre pas avec le neurone.
phénomènes décrits à propos de l'action esthésiogène des métaux, à
savoir
l'anesthésie de retour, l'anesthésie post-métal
seulement aux hystériques, mais à tous les individus, en général, à
savoir
que toute sensation, pourvu qu'elle soit homogè
es sont représentés par une rétention marquée de certains éléments,
savoir
: Il existe une rétention constante et générale
me le malade prenne 3 grammes de bromure par vingt-quatre heures, à
savoir
400 grammes de pain. En outre, un litre et demi
. - Mais non, mais non, chère amie, répondit l'ouvrier. - Si, je le
sais
, ne mens pas, s'écria alors Mme Justier. Je sui
marches pour faire interner sa femme, aliénée. Il serait curieux de
savoir
si ce n'est pas, auprès du même commissaire de
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
était érythémato-papuleuse, prédominait du côté droit et intéres-
sait
surtout le nez dont le volume avait notablement a
es anesthésies, n'étaient pas étudiés; 3° qu'enfin on ne connais-
sait
pas la syringomyélie. » Or, toutes les études ult
encontrés chez nos malades et la question se pose par conséquent de
savoir
si nous n'avons pas affaire à la syringomyélie.
bien des cas de cavités médullaires. Mais un pareil dia- gnostic ne
saurait
être maintenu si on veut tenir compte de< au
lades il en est un qui certainement a dû frapper votre attention, à
savoir
l'hypertrophie des nerfs périphériques; or nous
udorale, l'hypersécré- tion sébacée à laquelle les anciens médecins
savaient
déjà reconnaître la plus grande importance, enf
oins grand de cylindraxes. La question se pose enfin, Messieurs, de
savoir
jusqu'où peut remonter l'infection spécifique d
à l'état normal, de ces deux groupes d'espaces ; toutefois on ne
saurait
assimiler l'envahissement microbien à une infec-
directement la moelle en épargnant l'espace sous-arachnoïdien. Nous
savons
que, dans le tétanos, la toxine remonte de la p
aillit une pure flamme Vers celui qu'on ne voit pas Et qui, seul,
sait
guider nos pas. Maître du Monde et de l'Atome,
ires de *e spiritisme auxquels elle se livre spontanément sans rien
savoir
sur ce sujet don telle a seulement eu fendu que
'évoque quand même en cachette et le consulte même quelquefois pour
savoir
s'il l'autorise à nous faire certaines confiden
nt chrétienne et théosophique. Elle est devenue théosophe sans rien
savoir
non plus de la MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 143 théo
et de réformes morales de la société, avec quelques amis qui n'en
savaient
guère plus que lui et mélangeaient dans leurs thé
son d'aliénés. Il y est devenu de plus en plus délirant. Nous avons
su
qn'il avait été excessivement violent et avait
admises, jusqu'ici nous offrent peu d'élé- ments utilisables. On ne
saurait
admettre l'existence de l'atrophie simple ; on
faits peu . connus de déviation opposée méritent l'attention. On ne
saurait
en effet leur appliquer la théorie récemment ém
iste sur quelques points spéciaux de l'enseignement de Liébeault, à
savoir
sur les applications non seulement thérapeutiqu
; et aucun isolement, aucune psycho- thérapie à l'état de veille ne
sauraient
influencer le malade. Mais, précisément, l'hypn
nt obtenus à l'état de veille, ils ont fait de l'hypnotisme sans le
savoir
, et sans s'en douter. Les neurasthéniques dans
TENBERG Un des éléments essentiels de la timidité consiste, on le
sait
1, dans le souci qu'ont les sujets du jugement d'
rgent de poche : je souffrais de ces imperfections. Mais bientôt on
sût
dans tout le collège que j'appar- tenais à cett
mal et perds le fil de mes idées. C'est pis lorsqu'on me parle ! Je
sais
qu'un regard me couve et que je ne puis souteni
dèrent l'étudient avec une intention malveillante. ;)Imq F... ne
sait
pas si elle rougit sensiblement au moment de so
s'agit en effet d'Elisabeth de Bavière, impératrice d'Autriche. On
sait
que l'infor- tunée souveraine qui devait trouve
apparition des phé- nomènes de stéréotypie qui consistent, comme on
sait
, dans la répétition incessante et indéfinie des
s déments paranoïdes exceptés) n'ont aucune notion du temps; ils ne
savent
ni leur âge, ni le millésime de l'année; leur l
choses; mais il faut reconnaître qu'aucun d'eux, pris isolément, ne
saurait
être considéré comme pathognomonique, et que c'
n doit être élevée au rang d'entité nosologique nouvelle. » On ne
saurait
nier que, de l'enquête étiologique faite par diff
en tant que types nosologiques, on voudra bien reconnaître qu'il ne
saurait
y avoir à proprement parler de démences post-ma
oniques, il faut étudier le contenu de ces délires qui, comme on le
sait
, est presque toujours à bases d'idées hypo- con
tude, chez l'homme, la fonction de chacun des noyaux. Ce que l'on
sait
, c'est que les noyaux cellulaires sont infiniment
prendre quelque mesure hâtive, on expéri- mente ce qu'on a déjà, à
savoir
l'établissement de Gaillon. On vote; la majorit
positions médico-administratives. . M. Pactet (de Villejuif). Je ne
saurais
me rallier aux conclu- sions du rapport de M. K
x et souvent criminels, l'asile spécial s'impose. Par contre, on ne
saurait
assimiler aux criminels vrais, ni con- sidérer
une alimentation spéciale et à l'hydrothé- rapie tempérée. Nous ne
savons
pas si ces formes sont liées à l'évolution fébr
han). Pas n'est besoin d'être depuis longtemps dans les Asiles pour
savoir
à quoi s'en tenir sur le sort fait aux Médecins
ses, etc. Cet état d'illusionisme euphorique se marque, comme on le
sait
, chez ces malades, par le caractère souriant et
tel-Dieu dans un élat désespéré. (L'Aurore, 26 juillet 1904). On ne
saurait
trop recommander aux agents ou aux per- sonnes
ratiques signalées par M. Freud comme la cause spécifique du mal ne
sauraient
être incriminées. D'après M. Pierre Janet, une
aussi bien que par les leurs qu'elles confirmaient d'ailleurs, j'ai
su
qu'ils coïtaient plutôt trop souvent, que le co
je promis une guérison complète. Je n'ai plus revu X..., mais j'ai
su
quelques mois après qu'il s'était tué. Voilà do
me dans un cabinet, la porte fermée, la miction est impossible s'il
sait
que quelqu'un attend qu'il ait fini pour prendr
le questionner, etc. : mais le malade ajoutait tout de suite qu'il
sait
et qu'il comprend bien que cela n'a jamais été. E
une manière obsédante l'acte du coit; d'autres fois, il lui parais-
sait
qu'il s'évacuait sur la tête de ses parents ou su
ute l'ineptie de telles pensées et de telles repré- sentations ; il
savait
qu'il est malade, priait de lui aider et disait
CHIQUES ET ÉTATS MÉLANCOLIQUES. 311 la question abordée par nous, à
savoir
, des associations psychiques obsédantes de cont
même ouvrir les yeux; elle sent qu'elle est réveillée, mais elle ne
sait
pas où elle est; incapable d'un effort conscient
u'on lui fasse ouvrir les yeux. « Dès que mes yeux sont ouverts, je
sais
où je suis et alors je suis bien. » Pour la rév
- raissent. Demandez à la malade si réellement elle dort : «Je ne
sais
pas, mais dès que j'ai les yeux fermés j'étouffe
fermés, perd abso- lument la notion de temps et d'espace : elle ne
sait
plus où elle est, elle ne sait plus son âge, el
otion de temps et d'espace : elle ne sait plus où elle est, elle ne
sait
plus son âge, elle n'a plus aucune notion sur s
it plus son âge, elle n'a plus aucune notion sur son corps, elle ne
sait
plus où sont ses bras et ses jam- bes, si elle
isque vous le dites.... mais faites-moi ouvrir les yeux et alors je
saurais
». Demandez lui si elle dort « je suis éveillée
r debout. Demandez-lui où elle est et fer- mez-lui les yeux elle ne
saura
plus. En sorte que par cet acte simple, l'occlu
peut se soulever sur son lit mais sans s'en rendre compte, sans le
savoir
; on dirait que les connexions cérébro-bulbaire
lus aucune perception consciente tant externe qu'interne qu'elle ne
sait
plus ce qu'elle fait, qu'elle croit ne plus exis-
s de repère disparaissant de ce fait, elle perd conscience, elle ne
sait
plus si elle vit; chez elle tout ce réduit donc à
d'importance. 10. Quand on lie la carotide interne, il importe de
savoir
que la cérébrale postérieure peut émaner de la ca
aduelle. 6° L'hyperexcitabilité de la région corti- cale motrice ne
saurait
être attribuée à l'hyperexcitabilité des nerfs
iminution de l'odorat et de la sécrétion de la muqueuse nasale : on
sait
que la cinquième paire communique avec les bran
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 335 Les propriétaires de haras
savent
que, pour provoquer la multi- plication des mâl
aire est susceptible de fournir une plus grande somme d'é- nergie ?
Sait
-on au reste exactement l'étendue de la dépression
terminales péricellulaires directes d'axones venus de loin ? On ne
sait
. Le procédé rend visible les cylindraxes des fibr
ns le cervelet sous l'influence des efforts de vomissements ? On ne
sait
. En tout cas- le syndrome ataxie cérébelleuse a
complètement absente par trois méthodes distinctes de recherches, à
savoir
: 1° Les selles contenaient une quantité consid
du préfacier Bonfigli, pro- mettant qu'il sera utile et à celui qui
sait
, en tant que compen- dium excellent de toutes l
llent de toutes les connaissances sur la matière, et à celui qui ne
sait
pas, en tant que guide facile et clair pour l'étu
se. S'il en était autrement, le bromure guérirait toujours; or nous
savons
que des doses colossales, de même que des doses
t, dans son ascendance ou de l'épilepsie ou de l'alcoolisme et l'on
sait
avec certitude 'que plus de moitié des cas d'ép
ce des attaques au moment des règles chez les épileptiques, et l'on
sait
aussi que la première attaque d'épilepsie éclat
on, autant que possible actuellement, en usant de l'action que nous
savons
pouvoir excercer sur des organes dont l'activit
à la suite de quelles circonstances le phénomène apparut, mais nous
savons
que A. D... était devenue à cette époque beauco
gée d'Arnold. Comme il appert que la lésion n'atteignait guère, en
sus
du segment antérieur et du genou de la capsule in
parties du cerveau, permettent d'exprimer l'opinion que voici. On
sait
que l'excitation des centres de l'écorce engendre
oive relever des tubercules quadrijumeaux mêmes. L'essentiel est de
savoir
que le foyer affecte la région sise en avant de
ter ; par le Dr DE Bues. (Journal de Neurologie, 1904, n° 9.) On
sait
que certains psychopathes se plaignent assez souv
eption physiologique qui porte son nom et qui consiste, comme on le
sait
, à considérer cette névrose comme le résultat d
de rechercher le point de départ de l'angoisse et principalement de
savoir
si elle est d'origine somatique ou psychique ;
dyspnée et finalement succomba dans une crise de suffocation. On
sait
que le tétanos céphalique est dû à l'introduction
M. Naecke répond... Qui niera que l'expert digne de confiance en
sache
plus long qu'un profane ? Ce profane doit donc se
yé en injections hypodermiques, et qu'en outre il coûte cher, il ne
saurait
, pense M. Abraham, être introduit dans la prati
et des programmes appliqués dans nos écoles ordinaires, mais qui ne
sauraient
non plus être confondus avec les idiots elles c
nt comme une auxiliaire dans l'accomplissement d'une tâche qu'il ne
saurait
décliner, et que lui seul d'ailleurs peut embrass
praticiens auxquels il fera appel lui apporteront le concours d'un
savoir
, d'une expérience, d'un dévouement auquel aura ét
ment, l'a-t-il rendue malade ? Pourquoi cette complication ? ` ? Je
sais
... Les gens qui prétendent interpréter, de scienc
r llaegllen. Galld, - Siccaiuu (1'IEIlo-DIEGo). - Co7zsicle7ocio7zi
su
la fisiopalolonia c su 1(t leoria del lie. lit-
Siccaiuu (1'IEIlo-DIEGo). - Co7zsicle7ocio7zi su la fisiopalolonia c
su
1(t leoria del lie. lit-8- de 32 pages. MarcheI
des incendiaires est, en effet, tout spécial. Les médecins légistes
savent
que, dans l'immense majorité des cas, les préve
it toujours dans des circonstances mystérieuses et les gendarmes ne
savaient
sur qui faire porter les soupçons lorsque, en i
a question des aliénés criminels a été longuement traitée, comme on
sait
, en août dernier, au Congrès des aliénistes et
erne de l'asile-hôpital. Que l'on ne nous objecte pas qu'on ne peut
savoir
si ces aliénés sont particulièrement dangereux,
e le médecin d'asile, après un certain temps de séjour d'un malade,
sait
parlaitement si ce malade est à redouter; c'est
nte-huit; pas de détails sur eux. Une tante paternelle, morte on ne
sait
de quoi, aurait eu deux enfants bien portants.
ne jouait plus et paraissait triste. Son sommeil resta bon.. On ne
sait
à quelle cause attribuer ces convulsions. Il n'y
ort de sa mère (il y a un an) « parce qu'il est trop vieux »; il ne
sait
ni lire ni écrire.1 Aucune aptitude particulièr
La volonté est faible, l'enfant se laisse guider avec docilité. Il
sait
syllaber mais non lire couramment; il écrit pas
es ordures et des tripailles, et de mettre d'autre manière, sans le
savoir
, sa vie en danger, par des actions dénuées de s
QUES. 483 D° 13obertson déclare qu'il n'a été fait, autant qu'il le
sache
, aucune section de cuirs chevelus anormaux. L
Un résumé des recherches anté- rieures de même nature, de ce qu'on
sait
actuellement de la 804 REVUE DE PATHOLOGIE MENT
te d'éprouver l'un ou l'autre sentiment; avides à chaque instant de
savoir
, de croire quelque chose d'étrange; éprouvantle
nt pour entrer dans ce vaste corps et le faire mouvoir. C'est à qui
saura
le mieux répandre les bruits les plus propres à e
mouvements en faveur de l'une ou de l'autre intention ; c'est à qui
saura
le plus à propos trouver les nouvelles qui exci
empèrent, mettre enjeu les espérances et les craintes ; c'est à qui
saura
trouver le cri qui, répété de bouche en bouche,
docteur lui avait montré au bas de la fameuse ordonnance que l'on
sait
, et qu'il lui avait fait sonner à l'oreille. -
cris, tantôt criant de toute la force de ses poumons les mots qu'il
savait
devoir être les mieux accueillis, ou que quelqu
n. Ferrer monte ensuite; la portière se ferme. Le peuple entrevoit,
sait
, devine ce qui est arrivé, et il envoie un brui
n et demi, gâtait jour et nuit, s'habillait très imparfaitement, ne
savait
.ni nouer ni boutonner. Il est devenu absolument
au lit la nuit. Il s'habille complètement seul, se lave les mains,
sait
aujourd'hui lacer, nouer et bou- tonner. Très p
(Henri), pris à son arrivée, il y a un an, gâtait jour et nuit, ne
savait
ni s'habiller, ni se déshabiller, ne jouait jam
ns une reprise de respiration beaucoup trop fréquente : l'enfant ne
sait
pas ménager son souffle et le conserver afin d'
ent : la 13oo... (Louis), nature apathique, esprit très fermé, ne
savait
qu'épeler les syllabes décomposablcs il y a deux
Mille Bonnet, une vingtaine d'enfants, qui, pris à leur arrivée, ne
savaient
absolument rien et qui main- tenant font tous l
ions et ceux de la grande école en trois sections. Aucun d'eux ne
savait
lire la musique et ne possédait de notions sur
aine d'enfants appartenant à la fanfare. Presque tous les enfants
savent
, aujourd'hui, lire eux-mêmes les notes, en conn
gé de ces exercices. 60 enfants y participent, sur ce nom- bre 60
savent
danser la polka, 37 connaissent la polka, la ma
ellr aux enfants, mais encore pour la bonne direction morale qu'ils
savent
leur imprimer. Le tableau ci-après met en évide
iles ou épilep- tiques, dits aliénés et 5r) réputés non aliénés. On
sait
qu'il s'agit lit d'une distinction purement adm
t, à nettoyer leur dortoir. Aux repas, on surveille les enfants qui
savent
manger seules et on corrige leurs mauvaises hab
fourchette, etc. Sur 186 enfants présentes à la fin de l'année, 57
savent
se servir de la cuiller, de la fourchette et du
la cuiller et de la fourchette; 41 de la cuiller seulement; 2,-) ne
savent
pas manger seules. 140 enfants ont fréquenté l'
redi de 4 à 5 heures. 60 enfants ont pris part à ces exercices ; 50
savent
danser la polka ; 40 connaissent la polka, la m
régulières, 50 enfants ont travaillé une heure par jour. 20 enfants
savent
faire complètement les layettes ; 30 du crochet
enfants savent faire complètement les layettes ; 30 du crochet; 12
savent
marquer; 10 savent faire la tapisserie. Le tabl
re complètement les layettes ; 30 du crochet; 12 savent marquer; 10
savent
faire la tapisserie. Le tableau suivant donne m
çades sans coupes : correspondantes. Pour ces motifs, déjà, il ne
saurait
être conservé parmi les concurrents. D'ailleurs
ation inté- rieure, d'ameublement, l'échange d'idées outre eux ne
saurait
qu'être fructueux. Souhaitons que nulle influen
nd'mère maternelle, « méchante au possible, » morte à 72 ans, on ne
sait
de quoi. Elle avait eu 14 enfants. - Une tante
teur de Bicètre, le Rappel ter- mine ainsi : « Enfin, il faudrait
savoir
si G... peut faire son service militaire, s'il
t été en traitement dans le service du docteur Bourneville. Je ne
sais
pas si M. Bourneville a intérêt à prendre dans so
s, n'a pas d'ona- nisme, est affectueux et reconnait sa mère. On ne
sait
à quoi attribuer l'idiotie. État actuel, Tête
il sur sa mère, morte à 77 ans. - 10 frères et suceurs. morts on ne
sait
de quoi. Pas d'antécédents héréditaires nerveux
dans son patois auvergnat ; pas d'embarras de la prononciation; ne
sait
pas s'habiller; grande répulsion pour l'eau ; a
se rendre un compte exact de l'influence de l'hérédité. Ce que nous
savons
peut se résumer ainsi : père peu intelligent, b
it la mémoire : parfois il avait de rares éclaircies. Dcmeme, il ne
sut
bientôt plus manger proprement, ni s'habiller;
ous il ne dit que « bonjour, monsieur, madame, papa, maman ». Il ne
sait
pas s'habiller, mais s'aide un peu quand on l'h
ans, de vieillesse. - Grand'mère paternelle morte très jeune, on ne
sait
de quoi. Grand'mère maternelle, morte à 24 ans
Fourchette saillante. Région anale normale et glabre. L'enfant ne
sait
pas manger seule et bave ; il n'y a ni ruminati
nger seule et bave ; il n'y a ni rumination, ni salacité. - Elle ne
sait
ni s'habiller, ni se déshabiller, et constammen
oup, grince des dents, se balance en avant et en arrière. - Elle ne
sait
pas manger seule et ne mâche pas ses aliments;
lle qu'on pourrait s'étonner que la malade ait survécu si l'on ne
savait
, d'après la remarque judicieuse de Cru- veilhie
; caractère nerveux, emporté, se déchirant les ongles quand il ne
sait
que faire. - [Père, aurait contracté la syphilis,
s'est aperçue de la faiblesse intellectuelle de son enfant. Elle ne
sait
à quelle cause attribuer sa maladie. A l'âge d'un
iation de la colonne vertébrale. Rien à l'auscultation. . Membres
SU
]Jé1'iew's bien développés, ne présentant rien d
parole, l'enfant ne prononce que les mots « papa, maman ». Elle ne
sait
se servir d'aucun objet, met les mains clans so
ut d'acci- dent, il en eut trois enfants qui sont morts, deux on ne
sait
de quoi, l'autre, à 22 ans, de tuberculose pulm
cauchemars ni hallucinations. Ecolage : Il connaît les voyelles, ne
sait
pas écrire, assez d'attention. Maladies infec
odation. L'acuité visuelle est normalement développée. Le malade ne
sait
pas reconnaître les couleurs. Pas de rétré- cis
nsibilité générale con- servée. Ecole. - A son entrée, Debr... ne
savait
que les voyelles; en décembre 189G, il connaiss
cédents héréditaires ET PERSONNELS. 97 Mère, morte très âgée, on ne
sait
de quoi. - Grands parents paternels, pas de ren
n'est qu'un oncle maternel et deux tantes sont morts jeunes. On ne
sait
s'ils ont eu des convulsions. La mère de l'enfa
r assise en classe. A la gymnastique on n'a rien obtenu ; elle ne
sait
pas saisir les bâtons des échelles. Elle crie et
a 20. - Il a toujours été gâteux, n'a jamais mar- ché et n'a jamais
su
se servir de ses mains ; il passait la jour- né
re, âgée de 72 ans, est toujours souffrante et garde le lit on ne
sait
pour quelle maladie; elle est aussi emportée et v
otes de fin d'année : deux pendant chaque classe, en moyenne. Il ne
sait
plus ses quatres règles. Son écriture est moins
onti- nue à décheoir. Il a maigri beaucoup, est devenu gâteux, ne
sait
plus manger, ni s'habiller seul. Juillet. Démen
blement de la langue. Réponses ditliciles, incohérentes ; D... ne
sait
plus ni la date de sa naissance, ni la date du jo
140), ce qui confirme une fois de plus l'opinion émise par nous, à
savoir
l'élt;f'[I ? lion de la température centrale da
sur la même marche, avant de descendre la marche sui- vante. Il ne
sait
pas sauter et court 1< peine. Il est diffici
u'il entende. Le toucher paraît normal. -Aucune notion scolaire, ne
sait
pas tenir un crayon.. Il semble s'attacher aux
agnés de pâleur de la face (indigestion). Il s'habille seul mais ne
sait
pas atta- cher ses chaussures. Du reste il n'a
ur la PA gauche qu'on la retrouve ; à gauche, le sillon de Rolando (
SU
) est coupé en son milieu par un large pli de pa
aite. - Accès de colère. - Oph- talmie. - Septembre 1884 : l'enfant
sait
marcher. 1885 : Développement de la parole; dim
is après avoir eu des con- (1) Mort en 1891 à Page de 77 ans, on ne
sait
de quoi : ni démence, ni para- lysie. (2) Mar
rères et soeurs ou les autres enfants quand ils l'approchent. On ne
sait
pas s'il a eu des convulsions en nour- rice. Il
x mots : papa, maman, non, qu'il prononce assez distinc- tement. Il
sait
assez bien se faire comprendre quand il désire
-septembre. Ophtalmie légère il deux reprises. L'enfant, à présent,
sait
marcher. 1885. Janvier-mars. - Otite. Août. -
e. Mars. - D... est devenu maintenant 11()III ? L-flit propre. Il
sait
se laver, se déshabiller et s'habiller seul. Il s
mieux, compte Jusqu'à 60. Ses connaissances usuelles augmentent. Il
sait
dire son âge, son nom, celui de ses parents, le
1895. Janvier-Juin. - L'amélioration continue ; D.. com- mence à
savoir
la table de multiplication ; il est soigneux, se
ile à la gymnastique. A l'atelier de couture, progrès sensible : il
sait
faire l'habillement com- plet et travaille à la
pas, en effet, au médecin véritablement instruit dans ces matières de
savoir
dépister la fourberie partout où elle se produit
, comme une trame serrée, dont les mailles étroites, impénétrables ne
sauraient
céder la moindre place aux créations de la fantai
que quelques-uns semblent affecter encore vis-à-vis de ces études ne
saurait
plus être considéré que comme un scepticisme pure
ses proclromiques l'avaient confinée et la légèreté de son costume ne
saurait
l'ar-rêter. Bien mieux, quand elle est vêtue, ell
ture envahit, et Gen..., comme poussée par une force irrésistible, ne
saurait
s'arrêter; elle saute sur un pied. La contractu
entendre à gauche. Quelquefois les voix semblent sortir du nez. Elle
sait
fort bien qu'elle est le jouet d'hallucinations,
insiste, elle se fâche en répétant qu'elle n'est pas folle et qu'elle
sait
fort bien se rendre compte de ce qu'elle voit. «
venir jus-qu'ici?—Cette porte-là n'est jamais fermée... Et puis je ne
sais
pas comment il s'y est pris; tout ce que je sais,
mée... Et puis je ne sais pas comment il s'y est pris; tout ce que je
sais
, c'est qu'il est venu. » Les hallucinations noc
Sa conviction depuis est tellement profonde qu'aucun raisonnement ne
saurait
l'en dissuader ; elle a réponse à toutes les obje
modifiées par les mêmes agents, ce qui ne veut pas dire que l'une ne
saurait
exister sans l'autre. L'anesthésie cutanée peut e
je viens d'indiquer (fig. 9, n°8 et 8'). L'assimilation toutefois ne
saurait
être complète. La douleur ovarienne a pour siège
ogènes n'affectent avec î'hémianesthésie aucun rapport constant. Nous
savons
, il est vrai, que le plus souvent l'ovarie siège
on et le nombre de leurs zones hystérogènes, et le résultat obtenu ne
saurait
changer. CHAPITRE II PREMIÈRE PÉRIODE. — PÉRI
pendant la pé-riode épileptoïde, sa réponse est invariable : elle ne
sait
rien, elle n'a rien vu, elle ne se souvient de ri
elques « Ah! ah! » gutturaux. Mais aue:un de ces bruits différents ne
saurait
être qualifié de cri. Ce n'est pas à dire que l
côté du corps. La tête elle-même participe à ces mouvements, qu'on ne
saurait
mieux comparer qu'à ceux produits par une commoti
e se produit aucun mouvement, et l'aiguille immobile du myo-graphe ne
saurait
tracer qu'une simple ligne droite située au ni-ve
r les fléchisseurs, et se rappro-che en cela de l'opisthotonos. On ne
saurait
cependant confondre la contorsion hystérique avec
du pied. Fig. .40. Contorsion. —Variété de l'arc de cercle. On ne
saurait
trop insister sur cette forme de la contorsion hy
bord calme devient bruyante, elle se précipite de plus en plus, et ne
saurait
être mieux comparée qu'au bruit de la vapeur d'un
aux grands mouvements. Nous avons, à plusieurs reprises, cherché à
savoir
si une hallucination quelconque ne présidait pas
.) Fig. 73. — Attitude passionnelle. Mais ces scènes terribles ne
sauraient
durer. Le côté gai de l'hallucination doit avoir
né-gresse de Marc... Ler... est une femme sans instruction, elle ne
sait
ni lire ni écrire et n'a jamais rien appris. Elle
té de succes-sion des diverses périodes de l'attaque qu'une malade ne
saurait
in-venter, je rappellerai la présence de l'anesth
e coutume et pleurait souvent. A force d'insistance, nous parvînmes à
savoir
que, peu auparavant, Marc... était sortie en vill
aurait jamais COnnu de liaison, môme platonique. En résumé, si l'on
sait
faire la part des émotions violentes sous l'influ
je voudrais que tout cela finisse... Fais-moi mourir... Personne n'en
saura
rien... Donne-moi quelque chose pour me faire mou
i-voix : « Je n'irai pas à l'école du soir... Vaut autant ça que de
savoir
écrire... Ça fait autant de bien... Si papa me de
rien, elle ne sent rien. Rien de ce qui se passe en dehors d'elle ne
saurait
influencer son délire. Dans la quatrième période,
e de coutume et dont voici quel-ques exemples : « Ah! non!... je ne
savais
pas ce que cela voulait dire... J'ai promis de ne
st affreux ! Ça me fait penser à toutes sortes de choses : Ah ! si on
savait
, etc. » A la suite d'une nouvelle attaque, la q
tait mal vraiment. Éclat de rire.)... Ah! maman, maman, j'ai vu je ne
sais
quoi, etc. » Si le délire de la quatrième pério
. « Où que je suis? Ote-moi donc toutes ces bêtes-là. Y a que toi qui
sais
arranger cela... Cache-moi, c'est le principal...
eure du matin et se laisse ramener sans difficulté, disant qu'elle ne
sait
pas trop comment elle est là, ni ce qu'elle y fai
s pauvres gens! Moi, je ne m'en moquerai jamais, non, jamais... On ne
sait
pas comment elles sont arrivées là. D'abord, moi,
attention.) Les chevaux sont, encore plus beaux que les hommes. Je ne
sais
pas pourquoi, mais les soldats ne sont jamais bea
s les oreil-lers, en poussant des cris si aigus, si perçants qu'on ne
saurait
mieux les comparer qu'à ceux d'un porc que l'on é
aru. L'existence de l'hystérie chez l'homme est une question qui ne
saurait
aujourd'hui être révoquée en doute. Des exemples
moins par la forme que revêtaient les accidents convulsifs et qui ne
saurait
se rapprocher davantage de la description que nou
fut débarrassée d'un ténia par une seule prise de kousso. Je n'ai pu
savoir
si la tête a été rendue. Dès la guérison survinre
espérons montrer par ces quel-ques exemples que la grande hystérie ne
saurait
avoir changé avec le temps. Les faits restent c
s, il est facile de reconnaître que l'attaque dont il est question ne
saurait
être autre que celle dont nous avons donné la des
La malade voit du sang pendant la période des hallucinations. Nous
savons
que le vertige épileptoïde, comme nous le démon-t
secondes, mais sans éblouissements ni tintements d'oreilles. On ne
saurait
trouver une description d'attaques pins conforme
et de mouvements convulsifs dans le gauche. Il est très difficile de
savoir
si la connaissance est entièrement abolie pendant
ferons plus loin des variétés de l'at-taque hystéro-épileptique. L'on
sait
, en médecine, l'importance qui s'attache à l'étud
, décembre 1878, p. 527. type morbide. En matière d'hystérie, il ne
saurait
en être autre-ment que pour les autres maladies,
et celle que Jes auteurs ont donnée de l'hystérie vulgaire, qu'on ne
saurait
séparer les deux affections pour en faire deux ma
premières périodes (période épilep-toïde et période de clownisme) ne
saurait
être mieux faite. Et leur invasion dans une même
e l'au-tre névrose; mais pour tous les cas moins bien tranchés, et on
sait
combien ils sont nombreux dans ces affections, la
membres pendant plusieurs heures. » C'est là une description qui ne
saurait
convenir qu'à une partie seulement de l'attaque h
variété constitue en génétTil ces sortes d'at-taques mixtes qu'on ne
saurait
rapporter ni à l'hystéro-épiiepsie ni à la petite
s altaqucs nerveuses. Quel caractère avaient elles à La Havane? je ne
saurais
le dire, elles ne de-vaient guère différer de ce
une teinie particulière; elle soupire, chancelle, perd ses forces, ne
sait
|)lus ce qu'(dle veut, C(; qu'elle fait; accuse d
'ATTAQUE Dans cette catégorie, la véritable nature des accidents ne
saurait
échapper. On voit se joindre aux troubles cérébra
je te jure que je n'ai rien dit à la Salpêtrière... Je voudrais bien
savoir
qui a.pu te le dire?... Une vieille femme?.-. On
lui raconte son frère). Et puis?... Eh bien ! tant mieux! papa va le
savoir
, et (die en recevra des camouflets... Tu as les y
é à des actes répétés d'onanisme à ce moment, c'est ce qu'il faudrait
savoir
». M... sortit de Sainte-Anne le 16 novembre, r
hébraïque, grecque, latine et française, et ces langues, elle ne les
savait
plus après le paroxysme. Obs. II. Ilortense G..
, elle est calme, ses ré-ponses sont à peu près raisonnables; elle se
sait
indisposée; elle se préoc-cupe surtout de ses enf
ôt l'enfant revint à elle; elle était fatiguée, épuisée, mais elle ne
savait
rien de ce qui s'était passé, et disait seulement
i disait : « Va-t'en, es-prit immonde, retire-toi de cette enfant! Ne
sais
-tu pas qu'elle est ce que j'ai de plus cher? » Pu
cas dont il s'agit ici, la véritable nature des troubles cérébraux ne
saurait
être mise en doute. Si l'on se rappelle que l'a
eur bon sens, les rendre à elles-mêmes. Elles conviennent qu'elles ne
savent
ce qu'elles disent, qu'il n'y a rien de réel dans
dant lequel la malade accomplit des actes avec une adresse qu'elle ne
saurait
retrouver à l'état de veille, ce Quel-quefois, di
ois aux questions qu'on lui pose avec plus de précision qu'elle ne le
saurait
faire dans son état normal; il semble que l'intel
e fois que cette expérience fut tentée chez notre malade B.... nul ne
savait
au juste quel résultat l'on pouvait attendre, et
antla fumée à intervalles presque égaux, à la manière des gens qui ne
savent
pas. Cette expérience montre que, dans cet état d
l'expérience et l'habitude, mais elle n'apprend rien de ce qu'elle ne
sait
pas. Au lieu de tabac, nous mettons entre les m
s, puis désappointée fait un haussement d'épaule et répond qu'elle ne
sait
pas. Enfin elle rejette les pincettes. La même
spéciale de la volonté ou de la personnalité de l'obser-vateur. Il ne
saurait
y avoir rien de mystérieux dans son mode de produ
res. Je n'entreprendrai pas ici l'exposé de ces faits dont l'étude ne
saurait
être abordée qu'avec beaucoup de circonspection e
était conservée dans une certaine mesure. B... lit dans un livre, et
sait
très bien le remettre en son vrai sens quand on l
trismus. Il conserve très longtemps les mouvements imprimés; on ne
sait
s'il veille ou s'il dort, dit Cerise. Cependant i
inations suit son cours fatal qu'aucune excitation venue du dehors ne
saurait
modifier. Nous avons vu quelquefois une scène pro
signes y sont également, comme on peut le voir par ce qui suit. Nous
savons
que dans l'état léthargique avec hyperexcitabilit
prestesse et précision les différents actes qu'on lui commande. Nous
savons
en outre que, chez cette malade, le siège de la p
pressant très légère-ment les mains, très douloureuses comme nous le
savions
; bientôt ses mairs revin-rent à leur état ordina
l ne soit pas question d'hyper-excitabilité musculaire, ce sommeil ne
saurait
être autre chose que la léthargie dont nous avons
mener sur la terre : « Tu es toujours comme cela, me disait-il, tu ne
sais
seulement pas comment nous ferons pour redescendr
hystérique (L... Marie, 23 ans) à l'épreuve de l'aimant, sans qu'elle
sût
ce qui allait lui être fait, nous commençâmes par
rvint, ni sommeil ni anesthésie, nous mîmes (toujours sans rien faire
savoir
àia malade) les pôles de l'aimant en contact avec
u fut retiré, et nous y prenant de telle manière que la malade ne pût
savoir
ce qu'on lui mettait sur le ventre, nous remîmes
s ont, avec la léthargie hystérique provoquée, des analogies qu'on ne
saurait
méconnaître. Nous avons vu que, dans la létharg
tité de nature entre la catalepsie et l'hystérie. Il nous suffit de
savoir
que le symptôme cataleptique se ren-contre dans u
lé la cata-lepsie synergique. On lui lève les deux jambes en l'air. «
Savez
-vous où sont vos jambes? » — Elle élève légèremen
ymp-tôme de vapeurs, métamorphose nouvelle, dont aucun auteur, que je
sache
, n'a fait mention. Les doigts, les phalanges des
ait le visage de son drap et se cachait sous la couverture, par je ne
sais
quel instinct ou perception qui la servait sans l
est bien timbrée, mais la conversation est incohérente. La malade ne
sait
ni où elle est, ni à quel moment de la journée on
l le prouve sura-bondamment, et ce fait est connu depuis longtemps, à
savoir
que la plupart des somnambules dites magnétiques
érogènes comme on peut le voir sur la figure 9, et d'autre part, nous
savons
que les points hystérogènes échappent facilement
missements nerveux. Au mois de mai, madame X. était guérie. On ne
saurait
méconnaître ici le lien qui réunit le somnam- b
vec la troisième période de la grande attaque, des affinités qu'on ne
saurait
méconnaître, et qu'il se montre de préférence mêl
e qu'ont commencé les accidents qu'elle éprouve encore aujourd'hui, à
savoir
: somnambulisme spontané et crises hystériques ép
indiquent suffisamment que la névrose dont est atteinte la malade, ne
saurait
être autre que l'hystérie. Les accès de somnamb
outient la conversation. La malade connaît ce détail et m'a dit: « Je
sais
que je suis lucide. » Du reste, il y a perte comp
oi; c'était alors une sensation effroyable, un cauchemar dont rien ne
saurait
approcher; car, outre le poids de sa masse inform
cet endroit. Je buvais un verre de limonade, puis tout à coup je ne
saurais
dire à pro-pos de quoi l'imagination, ma gracieus
-gulièrement placé, et je regardais le bonnet d'une dame présente; je
savais
qu'elle était là réellement, tandis que B*** n'ét
malades en sont rare-ment gênés. Beaucoup sont anesthésiques sans le
savoir
. C'est un signe qui demande à être cherché et sur
ENTS .«STIIÉSIOGÈNES EST SUSCEPTIBLE DE QUELQUES VARIATIONS Il faut
savoir
que les hystériques deviennent en général réfrac-
e hystérique,du traitement chirurgical dont les diverses pratiques ne
sauraient
que tendre à l'aggravation du mal, en sollicitant
e. Il en est de même de la contracture hystérique, dont la cause ne
saurait
résider dans le muscle lui-même et dont il faut r
ale. D'après lui, la dé-génération scléreuse du faisceau pyramidal ne
saurait
être la cause efficiente de la contracture perman
té des hysté-riques qui, sous peine d'être accusées de simulation, ne
sauraient
manquer à cette double règle : a) une malade qui
) une malade qui ne voit pas le rouge ou le bleu, suivant les cas, ne
saurait
distinguer aucune des autres couleurs; h) une mal
cte, soit par l'exci-tation des rameaux nerveux qui les innervent, ne
saurait
être l'ob-jet de la simulation de la part de suje
s et leurs propriétés physiologiques. c) \Jattitude cataleptique ne
saurait
être gardée par un homme à l'état normal au-delà
yeux (voy. p. 371), sont autant de faits inattendus qu'une malade ne
saurait
imaginer. é) L'influence de l'état cataleptique
uvent inventer des malades dont les connaissances physiologiques ne
sauraient
aller jusqu'aux localisations cérébrales (voy. p.
ces iden-tiques et avec les mômes caractères, un observateur attentif
saura
trouver des éléments de certitude suffisants pour
sants pour le mettre en garde contre la supercherie de malades qui ne
sauraient
avoir d'autre règle que la fantaisie et le capric
. L'attention expectante, dont l'action réelle dans certains cas ne
saurait
être niée, obéit à des lois qui sont encore entou
vue spécial qui nous occupe en ce moment, l'atten-tion expectante ne
saurait
être invoquéecommela cause unique et constante de
signent sous le nom d'« cxpectant atten-tion », joue un rôle qu'on ne
saurait
méconnaître, mais dont il faut se garder d'exagér
s-térie vulgaire; que, sous des dehors variés, ces deux affections ne
sauraient
diiTérer de nature et qu'il n'y avait entre elles
ité dans l'hystéro-épilepsie. Malgré la vogue de ce médicament, je ne
sache
pas que l'on ait obtenu dans les cas d'hystérie q
e magnétisme, les pressentiments, la seconde vue, surtout ce que l'on
sait
de plus positif en pathologie du système ner-veux
dure tout le temps de l'accès s'étend à la sensibilité spéciale. Nous
savons
que les inhalations d'ammoniaque, la colo-quinte
l'hystérie, le fait que nous avons dès le principe mis en lumière, à
savoir
que l'électricité statique est le plus énergique
ire. Le premier point est d'avoir de bons appareils; le second est de
savoir
résister au désir d'arriver immédiatement à un ré
tant de titres de la chorée vulgaire d'aujourd'hui, si bien qu'on ne
saurait
reconnaître dans ces deux affections les degrés d
orée rhytmique, dont nous avons dit quelques mots plus haut et qui ne
saurait
être confondue avec la chorée vulgaire, doit être
atteintes de grande hystérie n'a pas changé. De nos jours encore nous
savons
que ces mesures constituent l'un des adjuvants le
rut, )) Et comme résolument elle persistait dans le dessein sans le
su
et l'aveu de son confesseur, elle s'aperçut souda
que malices. Elle lit encore les mêmes déclarations deux jours après,
savoir
le 7 du mois ; et elle passa si avant cette derni
s possédées ; 2° faire connaître le sorcier auteur de tout le mal (ou
sait
quel sort l'attendait); 3° faire dé-couvrir et re
elle passait. »... L'exorciste passa ensuite â une autre question,
savoir
: Quel est le plus fort de tous les liens qui tie
s plane le soupçon de simulation ou de supercherie. II nous suffit de
savoir
que dans la grande hystérie, dont l'existence che
oufflait fort souvent, etc.. Ce procédé fut bientôt suivi d'un autre,
savoir
des fortes convul-sions, suspensions et raideurs
d'esprit, fureur et plusieurs idées de blasphème contre Dieu. Elle ne
sut
ni n'osa plus regarderie soleil dans lequel était
d'être... » Enfin je fus tellement battue de toutes parts, que je ne
savais
plus de quel côté me tourner... » Une nuit, éta
s fort amou-reux; alors je demeurai fort interdite d'étonnement et ne
savais
que dire. Néan-moins j'ai pensé qu'il n'était pas
ai tout ce que cet ange m'en avait dit. Il demeura tout étonné, et ne
savait
que me dire sinon qu'il me réphqua : « Ma fille,v
né, et ne savait que me dire sinon qu'il me réphqua : « Ma fille,vous
savez
qui je suis et qui sont mes parents; je vous lais
eurer; elle lui dit : « Laisse-moi aller, chien de pénitencier, je ne
saurais
plus de-meurer auprès de ces bigots-là, je ne les
cier, je ne saurais plus de-meurer auprès de ces bigots-là, je ne les
saurais
souffrir » ; et en se débattant étran-gement, met
e pouvant souffrir ce discours, s'enfuit, et dit en criant : « .Je ne
saurais
écouter ce chien-là, c'est le successeur du père
présomptueuse, me disant : « Bonjour, mon-sieur le Gauffre, je ne te
saurais
voir ni souffrir, » et en se retirant criait : «
xièmepériode (grands mouvements et contorsions) (voy.p. 303). On ne
saurait
en trouver une plus fidèle peinture que celle qu'
barrassés eu leur discernement lorsque mdie personnesleur auront fait
savoir
qu'ordinairement les démons, après leurs contorsi
)) ... La sœur Louise de l'Ascension, possédée par Orphaxat..., comme
savent
plusieurs, a été travaillée presque tous les jour
. le Péni-tencier pour yêtre présent, et dis à ce démon : « Va, tu ne
sais
ce que tu veux dire je ne comprends pas cela; si
ais ce que tu veux dire je ne comprends pas cela; si tu as à me faire
savoir
quelque chose parle plus clai-rement, » et lui to
eviennes en cette maison pour confesser ces reli-gieuses, afin que tu
saches
et apprennes voyant le fond de leur âme, que ce n
oppée par l'instruction (c'est à peine si un dixième de la population
sait
lire et écrire) les habitants sont d'ailleurs dou
citerai quelques exemples dans lesquels la présence de l'hystérie ne
saurait
être révoquée en doute. En 1726, Marguerite Fra
sions. » La nature hystérique de semblables attaques convulsives ne
saurait
échapper. Les grands mouvements de la deuxième pé
leur simplicité, et de les faire tomber dans quelque faute; elles ne
sauraient
donc trop se défier de leurs ruses. Ainsi ces imp
ecine y connaît, et que l'usage n'a que trop fait connaître ; mais on
sait
la pratique de quelques femmes romaines quand ell
, de morlificadon. Cette sangle est assez simple, mais épaisse; je ne
sais
s'il n'y avait rien au dedans, ou si le tissu tou
t de cet amas confus de créatures humaines? Aucun mot de la langue ne
saurait
les rendre : hoquets hystériques, sanglots convul
que la grande hystérie, la névrose qui sévissait dans les revivais ne
saurait
compter au nombre des manifestations ordinaires d
gner la névrose qu'ils caractérisent sous son véritable nom et qui ne
saurait
être autre (jue l'hystérie. Notre opinion ne di
rarement quand le malade était seul, et presque jamais la nuit. Je ne
sache
pas qu'aucun malade se soit plaint d'avoir ressen
mentale ordinairement chronique, d'un caractère particulier. On ne
saurait
mieux dire en ce qui concerne le pronostic de la
es à Notrc-Seigncur, qui resplendirent et la nuit et le jour, c'est à
savoir
frère Hugues de Digue de révé-rende mémoire, lequ
Dieu la visita en bénédicdons de douceur. En l'âge d'enfance quand ne
savait
encoi-e oraisons ni lettres, au temps qu'ils habi
us, et joignait ses mains, et regardait au-dessus dans ie ciel, et ne
savait
chose {rem, ren, rien) dire; ce n'en était pas mo
e Seigneur voudrait faire de lui le champion de son Église ; et qu'il
sût
pour certain qu'il aurait victoire et lèverait le
grande révérence. Aussi lui mandait-elle aucunes fois et lui faisait
savoir
par ses lettres que Dieu se tenait pour mal payé
s et absconses, dont le roi s'émerveillait fort comme elle le pouvait
savoir
. Ainsi lui faisait-elle savoir moult fois les c
merveillait fort comme elle le pouvait savoir. Ainsi lui faisait-elle
savoir
moult fois les choses qui lui devaient advenir,
t lui prendrait mal, et il perdrait gravement; qu'elle le lui faisait
savoir
pour certain. Après un peu de temps, quand la s
s furent interdites par l'autorité. Le prince évêque de Trente voulut
savoir
la vérité pour en informer le gouvernement, et il
sion en la reprodui-sant, ou plutôt la reproduit en la méditant, sans
savoir
ce qu'elle fait. D'abord le mouvement quila soulè
es signes ; et quand cela ne suffit pas, semblable à un enfant qui ne
saurait
pas encore parler, elle regarde son confesseur et
ntiers au badinage, par ce que le tact sûr et délicat qu'elle possède
sait
écarter tout ce qui pourrait paraître inconvenant
e de la maladie de Louise Lateau ; à notre point de vue, son récit ne
saurait
donc être suspect. On y trouvera une succession
deux points : au niveau du cervelet et du facial, qui la traver-
sait
de part en part ; partout ailleurs elle était abs
ssus voisins, que des rapports de contiguïté. Le point de départ ne
saurait
se trouver par conséquent qu'au niveau des deux
fais- ceaux nerveux sont dissociés et comme étouffés par le tis-
su
fibreux ; un faisceau nerveux, demeuré visible au
64 ans, de fluxion de poitrine; Oncles et tantes paternels : on ne
sait
pas. Deux oncles maternels, mariés, ont des enf
devient toute blanche. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle
sait
un peu lire et écrire; elle n'a été mise à l'éc
traîne un peu et dont le pied est un peu tourné en dehors. L'enfant
sait
monter et descendre un escalier, de même que sa
couleur, sauf au début des accès, où elle devient violacée. ' Elle
sait
se débarbouiller et se peigner seule, et aussi
auche; elle est attentive en classe. Elle aime assez la couture, et
sait
faire les ourlets. Elle est nulle on gymnas- ti
SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 37 firme ce que nous avons dit à
savoir
que les épileptiques qui tombent en déchéance p
coïncidait une inégalité de poids des hémisphères cérébelleux ; on
sait
, parles statistiques publiées à diverses repris
lules de l'épendyme ont le plus proliféré, plus que dans les zones
sus
et sous-jacentes. Les fissures de la corne antéri
ortante ». 11. Cartels se montre d'abord éclectique. Pour lui on ne
sait
encore exactement ce que l'on colore. Est-ce un
e le petit nombre des fibres régénérées qui peut-être s'y trouve nu
saurait
entrer comparativement en ligne de compte. La p
t ? alr·mu·nL lt·un intérêt. Sur le mode d'action des alcaloïdes on
sait
peu de choses. L'étude clinique parfaite des ps
le fonctionnement général des muscles alteinls..Ie rapnellerai v ce
su
·jeL un plténomi·ne para- doxal analogue que j'a
pour les passagers une bonne fortune d'avoir il bord un médecin qui
sache
par t'hypno- notisme inhiber le mal de mer; cel
et d'humeur excen- Il'illue ; celle-l'i, 1llOI'Ie jeune, avaitduns
su
jeunesse des attaque- d'bvstérie. IL .. est s
tension génésique. théo- rie d'ailleurs généralement combattue, ne
saurait
être invoquée dans l'espèce. Dans nos observati
isse ; l'excitation du cen- tre cortical des fonctions sexuelles ne
saurait
avoir de retentissement organique que par l'int
'insuffisance des centres modérateurs du manteau cortical. Or, nous
savons
que les fonctions intellectuelles supérieures q
citation maniaque inler cu rre u te. A partir du mariage que l'on
sait
, avec un homme de 14 ans moins âge yu'elle, Jla
LANCOLIE, ETC. 103 jamais eu beaucoup d'instruction ; il n'a jamais
su
très bien lire ; il sait tout juste tracer son
is eu beaucoup d'instruction ; il n'a jamais su très bien lire ; il
sait
tout juste tracer son nom ; mais ce défaut parait
15 à 2j ans elles étaient fréquentes au point que « tout le monde »
savait
qu'il tombait ainsi. Mais par la suile (vers 30
e et 11na- lement a pris le parti dote quitter. Il y a ans qu'on ne
sait
l plus où elle esl. - Après ce départ, ses id
e ce genre sont fréquents dans la pratique psychiatrique,mais on ne
saurait
trop y revenir et insister sur leur importance,
personnel médi- cal des Asiles », il désirait surtout qu'on lui fit
savoir
: 1° si ce personnel est suffisant ou non ; 2°
tudier un projet... Peut-être nom- nrcra-t-on une Commission ? Nous
savons
ce que cela veut dire. - La seconde constatat
emment, à un frais promu directeur-méde- cin : « Franchement, je ne
sais
plus dans quel siècle nous vivons ! Les adjoint
uête que fait en ce moment M. ]3oilpiieville, étant donné ce que je
sais
de- voir contenir certaines réponses, m'incite
asiles où les fonc- tions sont réunies. Et n'est-ce pas fatal ? On
sait
que le directeur-médecin, bien que nommé par le
sont très bien organisés et due le personnel est suffisant ! Il ne
saurait
faire d'autre réponse il Bourne- ville, puisqu'
rappe- ler due la médecine mentale, encore à ses débuts, parais-
sait
si ingrate, que nul ne songeait à se spécialiser;
ins-adjoints actuels ont été nom- més à la suite d'un concours ; on
sait
,d'autrc part, que le programme de ce concours,
es ! Mais, monsieur, je nerveux pas vous en donner des malades ! Ne
savez
-vous pas que j'ai seul charge d'eux, que je doi
re race ne se sont point perdues : d'un seul élan, le jour où ils
sauront
qu'avec des soins on peut guérir les fous, les
ence d'altérations ophl a 1111l1ro pi qU(' Il la 1''1 11l"I ? Un ne
saurait
toujours expliquer la genèse de la papille élran-
sez large, incurvé intérieurement, et muni d'un robinet. Au-des-
sus
du trop-plein, la paroi du vase a été marquée d'u
indique à peu près la hauteur à laquelle s'élève le liquide au-des-
sus
du niveau du trop-plein quand on y plonge 'l'encé
. des imagesauditives idenli(|ues. Celle seconde particularité ne
saurait
cependant être encore considérée comme prouvée, c
es conditions anatomi- ques y sont peu favorables. Tout ce que nous
savons
, c'est que )'atexie-sous-corticabj vraie procèd
s actives et très anciennes de persécution. 1.'l'HIVG1'. - Chacun
sait
que les simulateurs sont le plus sou- vent des
en sommeil hypnotique, que je faisais durer autant qu'il yc Idui-
sait
. l. 1ti('1111C .louaoea (de Marseille1. - .l'ai
z le cheval : Halls nous montre avec quelle habileté son dresseur a
su
utiliser celle ai)ti- tule. De plus, ce. cas ap
pporte une preuve de plus la théorie de Stricker, d'après qui on ne
saurait
pensera une lettre ou à un chiffre, sans que lï
le. L'éducation morale, telle qu'elle esl donnée généralement, ne
saurait
convenir aux anormaux : elle est trop abstraite ;
ut que tirer bénélice de la pédagogie anormale, l'instituteur qui
saura
qu'il existe des enfants anormaux, sera moins (en
ments (1),de constater avec quelle méthode scrupuleuse M. G. Demeny
savait
exposer les principes d'édu- (1) Archives de Ne
« Quel tige avez-vous' ? - 11 ne faut jamais rien lui dire ; je nc
sais
pas ; 22 ans. « Quelle est volre profession ? S
« Pourquoi èles-wus ici - ? - Sans se troubler ; sans céder ; je ne
sais
pas. « \'oull'z-\oUS partir ? ' ? Oui ; je ne s
céder ; je ne sais pas. « \'oull'z-\oUS partir ? ' ? Oui ; je ne
sais
pas ; sans se troubler; sans céder. - « Vuull
dire. « Pourquoi rulpélez-ous sans cesse les mêmes mots ? - Je ne
sais
pas ; il ne faut jamais rien lui dire. On obser
e de rapides oscil- lations de haut en bas, de telle sorte qu'on ne
saurait
mieux se représenter l'ensemble du mouvement qu
proposition se déduit naturellement de cette vérité gé- nérale, à
savoir
que notre vie affective est la grande dis- pens
pour affirmer la stéréotypie constituée chez ces malades, il faudra
savoir
interpréter « l'équivalent intel- lectuel a de
e vue spécial, la question peut être posée sur un autre terrain. On
sait
en effet,que le dément pré- coce n'est pas voué
mentiel, avait une valeur pronostique de fu- neste augure. Or, nous
savons
la fréquence toute parti- culière des attitudes
ons donc pouvoir déduire de ce qui précède cette notion générale, à
savoir
que : si les altitudes fixes et les mouvements
e comme un- « moignon » d'activité mentale. Ce moignon, il faudra
savoir
l'exploiter, et en tirer le maximum d'avantages,
fortune a bien voulu lui laisser. si mi- sérable soit-il. Or, nous
savons
que l'activité automati- que et à formule unifo
phénomènes de déficience dus à des troubles du sens musculaire. Un
sait
ce qu'on entend en physio- logie par ces mots.
construction du < corps pituitaire ; nulle part, en effet, on ne
saurait
trouver le moindre indice du tissu normal de la
ubstance blanche respectées par la dégénérescence secondaire. On ne
saurait
attri- buer cet état à un vice de technique, d'
observations personnelles dont la première a Irait à la question de
savoir
s'il s'agit d'une hystérie traumatique ou du fo
astie Ilobtcin- Gottorp. Le « mal de PuLL (lont on parle est, on le
sait
, une des formes les plus désastreuses de la tub
présents à l'hospice de \Iontreuil-sous-Laon, sont au nombre de 25,
savoir
: STATISTIQUE ET ENSEIGNEMENT DES EN1-ANTS IDIO
tieda constate que ses propres expériences confirment que nous ne
savons
rien des fonctions du noyau caudé. Les procédés d
pas convenir à cet organe dont on ignore du reste la catégorie. On
sait
, en effet, que le corps strié est déjà développ
sation. - n. C. L'11.-Contribution à l'étude du trophoedème; pal'
SAI
! \TO)l et Voisin. (Nour. Iconogr.de la ,5'rrlp
n^ 3 î.) , Très intéressant résumé des notions aujourd'hui acquises
su
ri es dangers de'la syphilis héréditaire, aussi
de faiblesse générale, de dyspnée, de sueurs nnc- turnes ; rien ne
saurait
faire soupçonner une méningite. Trois mois plus
rend trois médecins. MM. Duhief,Caulhiel' (de-l'Aude) et Jlerluu.Un
sait
que M. le D" Dubief a appartenu comme directeur
jours; et l'oeil qui, à l'ombre et pendant le déjeuner, ne lui fai-
sait
plus mal, recommence à lui piquer avec l'air vif
ble de se récupérer en partie, grâce au rouge qui est. comme chacun
sait
, la couleur de prédilection de l'hystérique. No
ience 40. - Etant donné le fait mentionné dans l'rxp{'- rinuce 31,ù
savoir
qu'un verre noir placé devant 1'(eil gauche ou-
e l'oeil sain et privent ce dernier de la lumière du jour. Quant il
savoir
pourquoi la lumière blanche, en im- pressionnan
e l'authenl ici té des rai ls a l'CC unc COI1\ ic- lion que rien ne
saurait
ébranler. « Celle Luce, nous dit-elle, ne remon
siles spéciaux qu'on appelle les monas- tères. Je m'engage, je le
sais
, sur un terrain brûlant. Sans doute l'humanité
ne demande qu'il apprendre la vie, nous les condamnons, sous je ne
sais
quel prétexte de gymnastique cérébrale, à l'étu
machine vivante moins parfaite que la première. Le milieu, nous le
savons
, est complexe. C'est l'ensemble des forces auxq
dimentaires, se sont. dans l'évolution embryogéniquc,qui est, on le
sait
, parallèle il l'évolution phylogénique, arrêtés
rôle dans la transmission de la sensibilité vibratoire, et qu'il ne
saurait
être question de la localisation exacte de la sen
- seux récent, mais de nouvelles recherches sont nécessaires pour
savoir
s'il existe une sensibilité osseuse spéciall ? 1
ès les auteurs, d'une hémorrhagie cérébrale d'origine emboliqne. On
sait
actuel- lement, depuis les recherches de Ponfic
tion, la volonté n'existant pas en tant que faculté spéciale, il ne
saurait
y avoir à proprement parler de troubles de la v
tout mouvement passif. Il arrête le mouvement, il ne veut pas ou ne
sait
plus vouloir. Un barrage empêche la volonté de se
ts normaux, quand ils seront plus développés, répondront : « .le ne
sais
pas », s'ilsne comprennent pas la question ; les
ées qui ont le droit de devenir grosses et d'accoucher, et qu'on ne
saurait
humainement exiger d'elles un travail normal'pe
ns- tamment dépassé; et qu'on l'augmente même tous les ans, je ne
sais
pourquoi, sans pour cela augmenter les moyens de
DE COBOURG. A la suite du décès du docteur Paul Garnier qui, on le
sait
, avait été un des médecins désignés pour procéd
ternative n'atteint qu'un oeil,notre méthode nous permet encore de
savoir
si le trouble unilatéral fut persistant ou s'il
'inertie totale que la périencéphalite chronique progresse. -Nous
savons
que chez 21 de nos 14') paralytiques, un seul o
ons déjà donnée plus haut à propos de notre tableau géné- ral, il
savoir
la très courte durée, il la phase ultime, de l'
s,les déments et les idiots. L'aliéné paralytique, a-t-on dit, ne
sait
pas manger. 11 prend ses aliments avec voracité
o-bullaire, et, en particulier. cortico-faciale, ou bien il y a, en
sus
de la voie, cor- tico-bulbaire, caractérisée pa
ement à partir de douze il treize ans qu'on nous les envoie. Or, on
sait
, et c'est l'opinion de spécialistes autorisés q
attend toujours trop longtemps avant d'interner les malades. On ne
saurait
trop demander que l'inter- nement soit ordonné
l'entérite tuberculeuse sévit avec intensité, où les malades qui ne
savent
pas cracher, mais sou- vent gâteux, répandent p
nnant ainsi un excellent exemple que l'Administration supérieure ne
saurait
trop encou- rager. n. XII. Rapport médical su
ut guérir ; elle guérit môme très sou- vent quand on peut, quand on
sait
la traitera temps. » Une thé- rapeutique intell
. C'est la meilleure voie des économies. « A ce point de Mie, je ne
saurais
trop insister sur les avantages qu'il y aurait,
employons irréguliôrementou d'une façon passagère, à titre d'es-
sai
et comme moyen de traitement, aux travaux des cha
cepter cette ingrate et pénible fonction. Or, il faut bien qu'on le
sache
, outre les insultes et les accu- sations injust
t osé riposter, la plupart du temps, bibliographie. - 465 car ils
savent
qu'il leur est expressément défendu de se livrer
voie que les circonstances lui tracèrent, et que ses dons naturels
surent
utiliser dans la suite, au profit d'une carrièr
aitson modèle en s'imprégnant de sa manière professionnelle, de son
savoir
et de son talent. C'est en 1 SSG que Paul Garni
lèbres, et sa science fit autorité dans plus d'un procès fameux. On
sait
qu'il avait été chargé dernièrement, par la cou
en dilettante amoureux de son art. L'intérêt quasi-dramatique qu'il
savait
donner àl'examen public des malades devait atti
saillies toujours spirituelles : c'était un diseur aimable, et l'on
savait
qu'en venant l'écouter, on trouverait à se dist
u mort bien aimé et firent tour à tour la veillée des adieux. Ayant
su
s'attirer des dévouements réels, Garnier les a
droit d'en attendre. Nos regrets sont d'autant plus amers que nous
savons
mieux quel fut le prodigieux effort de Garnier.
aquelle il étu-, diait le malade, les faits, et par la clarté qu'il
savait
met- tre dans ses conclusions. Ce furent ces qu
e », il les désirait, au contraire, parce qu'elles appellent, di-
sait
-il, « d'une séance à l'autre, ces répliques où le
ne sont pas il redouter, car de leur choc naît la lumière ; mais il
savait
intervenir à propos lorsque, dans la chaleur du
on concours nous était précieux; on faisait volontiers appel il son
savoir
étendu, à sa vaste expérience. L'oeuvre scien
tises médico-lé- gales, et nous en tirions de sérieux profits. Nous
savions
. en effet, avec quelle intelligence clinique, a
ter à cette grande réunion scien- tifique. L'étude de la folie ne
saurait
se cantonner dans l'exclu- sif examen clinique
cir e connaît bien, mais qu'il n'est pas en son p 1 .pliquer, il ne
saurait
mieux faire que de reche. soin les procédés thé
ui y abondent. 11 fallait voir avec quelle dextérité clinique, il
savait
écarter les broussailles qui encombraient le che-
e ces malheureux à leur famille ; la charité de l'excellent docteur
savait
trouver les paroles d'espoir qu'il faut dire.po
était délicate entre toutes ; il l'assumait avec l'autorité de son
savoir
, affir- mant résolument et démontrant avec l'ex
fice l'internement d'un ma- lade : c'est que PI..le Docteur Garnier
savait
faire la part de toutes les considérations qui
il a reçu les idées directrices qu'il a conservées toute sa vie : à
savoir
que les maladies mentales font partie des malad
nion dans votre rapport sur les médecins dans les asiles. ' J'ai
su
par M. Lande que le Conseil supérieur de l'A. P.
sable de ce service ! ' (1) C'est là une vérité sur laquelle on ne
saurai
trop insiste)'. (13.) ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE
e 3 % prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rappe
l'in- fluence des - les uns sur les autres, par Naecke, 62. Es-
sais
de traitement des - sans la cellule et au moyen
(1899), 110 pages. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX S
savons
seulement que la spasmodicité avec exaltation des
x à limites perpendiculaires) est, aujourd'hui, abandonnée. On ne
saurait
, à l'heure actuelle, tenter une classification an
sement du côté dès membres inférieurs. Un mois plus tard, apparais-
sait
la rétention d'urine, puis, rapidement, une parap
e, de douleurs radiculaires dont l'importance pour le diagnostic ne
saurait
être trop mise en évidence. Les troubles nerv
trai- tement antisyphilitique qu'avec une'extrême prudence, car on
sait
quels effets néfastes il exerce sur la tubercul
e, de rares exemples. Et cependant, il y aurait un intérêt énorme à
savoir
reconnaître, le plus tôt possible, cette variét
soit aujourd'hui bien reconnue de tous, médecins et chirurgiens, à
savoir
l'immobilisation : du sujet par le décubitus, o
NDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 33 relativement fréquent que les cliniciens ne
savaient
pas reconnaître parce qu'il n'avait pas été suf
vec ou sans résection de la tête articulaire, il serait nécessaire de
savoir
si à un moment donné elle peut être recommandab
rocessus raréfiant primitif est préalable- ment éteint ; or nous ne
savons
encore quelle peut être la durée respective de
imperfections des organes génitaux. , Et ce n'est pas tout. On
sait
que l'infantilisme de Lorain repose le plus souve
érescence spé- ciale, une dégénérescence à type infantile, qu'on ne
saurait
pas nier sans forcer les faits cliniques. Si
poque normale. Commença son éducation littéraire avec une tante, et
savait
lire à 5 ans, ce qui avait permis de fonder sur
l se fit une telle confusion dans son esprit », qu'il oublia ce qu'il
savait
du portugais ; et, pendant deux ans qu'il vécut
après la grippe, et pendant la convalescence, il s'imagina qu'il ne
savait
pas le caté- chisme, et pour s'en assurer il se
pelait tout facilement; mais, malgré cela, il lui semblait qu'il ne
savait
pas les prières aussi bien qu'il le fallait, et
ne grande peur envahit son esprit; c'était une peur vague, qu'il ne
savait
pas préciser. Lui, qui auparavant aimait à se pro
us de net- teté. Il avait peur d'être voué à l'enfer, pour ne pas
savoir
le catéchisme. Devient triste, se renferme dans
perd l'appétit. Pas d'idées de culpabilité (excepté celle de ne pas
savoir
le catéchisme), pas d'idées hypochondriaques, p
st plaint dernièrement, sont dues aux remords. Main- tenant, que je
sais
tout, il lui semble qu'il est plus soulagé, et me
lisme, l'accroissement normal de la taille, tout bien considéré, ne
saurait
l'ex- clure. Encore un fait à mentionner : je
'intelligence et du caractère me semble irrécusable et encore on ne
saurait
pas le nier,de la dégénérescence psychique.En eff
'y aurait pas d'infantilisme nyxoedéma ? teux. » Mais il s'agit, de
savoir
si ce que nous avons est ass6z ? K)urin ? carac
tut Pasteur de Porto, et du Dr Carteado Mena, médecin assistant. On
sait
que la radio- graphie a fourni des renseignemen
roissance de l'appé- tit sexuel et de la pilosité masculine ? On ne
saurait
se renseigner à ce sujet d'une façon aussi préc
ité de conditions étiologiques, à la convergence de causes qu'on ne
saurait
pas doser ni même spécifier. Mais tout cela n'emp
s qui amènent à l'infantilisme anangioplasique; soitpeut- être (qui
sait
? ), en s'adressant aux autres glandes trophogène
us et les capsules surrénales. Ces ! son action indirecte, qu'on ne
saurait
pas mettre en doute. Mais, en vue des malformat
le cas présent. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 75 On ne
saurait
donc pas nier l'hérédité neuro-pathologique comme
s son lit, gêné et de travers, les genoux en flexion, comme s'il ne
savait
pas où mettre les jambes, ou comme si le lit ét
ent quelque chose d'anormal. Après avoir mentionné que notre malade
sait
très bien distinguer le goût du doux, du salé e
du coeur semble participer à la myasthénie générale. Au moins je ne
saurais
expliquer autrement la cyanose et les signes d'
ts et de l'expérience. Eh bien, jusqu'à présent l'esprit humain n'a
su
lever qu'un tout petit bout du voile, qui couvr
roidea, hypophysis cerebri ( ? ), testes ( ? ), ovarium ( ? ). Vous
savez
, Messieurs, que la théorie selon laquelle certain
juin 1904. - Imbécillité. Ses notions sont très restreintes ; elle ne
sait
pas son âge ni le lieu de sa naissance ; n'a au
arac- tères imprimés, elle commence A. B. C ; de D elle va à H ; ne
sait
pas écrire. Elle fait preuve de certains sentim
a myéline pour les fibres de certains territoires bien délimités, à
savoir
: la lèvre inférieure de la scissure calcarine,
vii0 siècles louent le talent d'observation des artistes grecs, qui
savaient
si bien faire res- sortir cette différence dans
és aux mets ordinaires)... E fanne a modo di spetie sottile e uxane
su
ogni tuo cibo... Allapiaga fresca apertaper cyr
l'adolescence, et surtout, il s'est formé avec la rapidité que l'on
sait
, une gibbosité extrê- mement marquée. Cette bos
s-là la parole revenait petit à petit et l'état normal se rétablis-
sait
peu à peu. Ces crises ont duré jusqu'au moment
noire apparaissait au-dessus du sein gauche » puis elle disparais-
sait
au bout d'une demi-heure. Examen de la malade,
ntaux) se lie très souvent à un trouble du développement même. On
sait
que chez beaucoup de ces sujets on observe une as
iaque, mais surtout l'infection, origine de la lésion cardiaque. On
sait
depuis les travaux de Potain, de P. Teissier, d
e malade des dystrophies tuberculeuses décrites par M. Landouzy. On
sait
que des travaux récents ont établi solidement l'e
truit et que le frère aîné et la soeur étaient de bons élèves. R...
sait
lire. écrire et compter; élève médiocre cependant
lexus lui-même qui fût malade. Et même alors, il serait possible de
savoir
si la paralysie affecte les racines ou bien le
et l'oeil, on observera phénomènes oculo-pupillaires et faciaux, à
savoir
: étroitesse de la pupille, rétraction du globe o
les grand dentelé, rhomboïde, angulaire de l'omoplate et encore les
sus
ou sous-épineux, tous muscles qui reçoivent leu
e du grand dentelé, du rhomboïde, de l'angulaire de l'omoplate, des
sus
et sous-épineux, muscles, qui reçoivent leurs inn
aralysies sont des paralysies radiculaires, il est évident qu'on ne
saurait
invoquer le mé- canisme de la compression, ains
ojection (radiations thalami- ques) et fibres d'association. Nous
savons
que les fibres calleuses se rendent au tapetum et
de partie. Les couches sagittales sont plus volumineuses et l'on ne
saurait
isoler maintenant le faisceau optique central.
rnold », mais il existe à cet endroit bon nombre d'autres fibres, à
savoir
, les fibres de la lame cornée, des fibres que n
nd en réalité le « stratum proprium cunei » de ce même auteur. Nous
savons
que pour certains auteurs, pour Déjerine en parti
bes dans ce cas ; ceux qui ont coupé beaucoup de moelles tabétiques
savent
en effet combien sont nombreuses les variétés d
nts, état moniliforme). Cette lésion est banale dans sa forme; nous
savons
en effet de longue RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
la fibre atteinte (Pl. XXXV, fig. 3 et 5). Il serait intéressant de
savoir
comment se comportent les fibrilles au niveau d
Pal, n'a pas été traitée par la méthode de Cajal ; aussi ne puis-je
savoir
si cette lésion remontait jusqu'à l'extrémité s
ntient presque plus de fibres à myéline, autant il est difficile de
savoir
la signification de certaines fibres en particuli
ation relative, dans le tabes, des zones qui portent son nom ; nous
savons
aujourd'hui que ces zones sont endogènes, mais la
ollatérale présente un certain volume, il est souvent impossible de
savoir
s'il s'agit d'une division de fibre régénérée,
ntéressante que soit cette différen- ce, si elle se confirme, on ne
saurait
trouver une raison de rejeter une analogie que
terminées en massue dans la substance grise de la moelle. Les mas-
sues
sans indication proviennent de,l'obs. IV; celles
ement,à côté de l'état sain primitif (I),tes deux phases du proces-
sus
; en II le cylindraxe radiculaire est détruit ; e
r les moyens dont nous disposons, il existe déjà de nombreuses mas-
sues
de régénération dans les ganglions (1). Régénér
agération d'un processus qui existe à l'état de santé normale. On
sait
que Ramon y Cajal a donné récemment une descripti
at psychique fut beaucoup meilleur vers la fin de la vie et l'on ne
saurait
nier une relation étroite entre ce fait et celu
s, une importance considérable au point de vue du traitement, il ne
saurait
être indifférent t de le poser avec précision p
ent ici, comme dans toutes les manifestations de sénilité, l'âge ne
saurait
être considéré comme une cause efficiente, mais p
fection se dissimule pendant longtemps, et l'époque de son début ne
saurait
être exactement précisée. Assez souvent toutefois
endineux et cutanés sont normaux, l'intelligence in- tacte. On ne
saurait
non plus constater bien nettement d'amyotrophie d
traduit par des trou- bles de sensibilité, de vaso-motricité qui ne
sauraient
passer inaperçus. Quant à la polymyosite hémorr
men des articulations est ici de la plus haute importance puisqu'on
sait
que dans certains cas, ces phénomènes de rétracti
nterne du sarcolemme et se tei- gnent en brun par le Marchi ; on ne
saurait
les confondre avec les granu- lations graisseus
ord par Krusing pour les myopathies, cette infiltration adipeuse ne
saurait
être rapprochée de la dégénérescence graisseuse a
té marié et a eu une enfant qui a succombé à l'âge de 8 mois, il ne
sait
pas de quoi. Sa femme n'a pas fait de fausses cou
fait des conférences à Nancy et dans la région ; nous n'a- vons pu
savoir
comment elles étaient faites. Il a fait partie du
e côté droit nous apparaît en état d'infériorité manifeste. Nous ne
savons
pas si ce malade était gaucher dans le sens com
re remarquer une fois de plus la variété que le maître hollandais a
su
introduire dans les scènes de ce genre. Les peint
t principalement des 5e à 9e racines thoraciques, par suite au-des-
sus
des racines sectionnées chez le chat V. ' Les d
s'accorde avec ' les conclusions du travail récent de Paviot (2), à
savoir
que les lésions ménin- gées sont selon toutes p
appli- cables utilement à l'étude de la pathogénie du tabes. On ne
saurait
, en effet, assimiler les conséquences d'une lés
té sur les maladies de la moelle épinière lorsqu'il écrit : « Je ne
saurais
admet- tre, comme le font la plupart des auteur
reste encore à enre- gistrer un autre fait non moins important : à
savoir
que persistance des cylindraxes plus ou moins d
documentent suffisamment sur le fait que nous vou- lions démontrer,
savoir
que les foyers de la sclérose syphilitique peu-
CALES 363 plus le même chez les « lettrés musicaux », chez ceux qui
savent
lire et écrire la musique, et qui ont éduqué, e
icularités observées au cours des aphasies ». Nous verrons qu'on en
savait
un peu plus, grâce au même Charcot. Dans les
aient compléter le groupe clinique des amusies, d'après ce que l'on
savait
déjà des aphasies. Ses études se ressentent pour
e pure est rare ; nous ignorons qu'on en ait décrit aucun cas. On
sait
que l'agraphie verbale pure' est extrêmement rare
rtielles. Quelques malades ne peuvent écrire une seule lettre et ne
savent
que tracer des lignes informes, d'au- tres écri
nie des états psychologiques indéfinis. Pour cela, tout ce que l'on
sait
des aphasies peut, dans ses lignes géné- rales,
elle (l'audition musicale est parfaitement con- servé : le sujet ne
sait
pas lire la musique, mais il conserve la lecture
, tànt expérimentales que cliniques n'ont pas abouti. Cependant, on
sait
que de telles élévations thermiques se rencon-
ez la femme que chez l'homme : 70 0/0 des cas au lieu de 88 0/0. On
sait
que l'arthrite est au contraire beaucoup plus f
t la pathogénie de cette arthropathie sont obscures. Ce que nous en
savons
, c'est que son apparition est indépendante des co
d'abord l'hypertrophie des mains et des pieds était manifeste. On
sait
qu'il existe deux types de chiromégalie : l'un da
rvico- dorsale qu'il est classique dedécrire chez ces malades. On
sait
que parfois le thorax est augmenté de volume dans
nt aussi l'hypertrophie ou l'a- grandissement de l'hypophyse. Je ne
savais
comment expliquer la manière ,dont la fonction
landes, et dans le cas présent, de la glande hy- pophysaire. L'on
sait
que dans la plupart des cas d'acromégalie et de g
de'satisfaisants puisque aucun des buts proposés n'était atteint, à
savoir
: diminution de la croissance et amélioration p
res périodes du traitement je n'avais ob- tenu aucun résultat. On
sait
que le corps thyroïde favorise le développement e
e, opinion soutenue par MM. Brissaud 406 IiUDOVERN1G et Meige. On
sait
que ces auteurs supposent la même cause pathologi
servant aux armées le maximum de leurs effectifs. 1 Jusqu'ici, on
savait
qu'une armée en campagne avait en moyenne de 4
phie de la Salpêtrière tient à ajouter modestement le sien. Elle ne
saurait
oublier que la tradition qu'elle s'efforce de per
tait pas de donner li- bre essor à toute sa fantaisie, M. Brateau a
su
réaliser un bijou délicieux, bien marqué au coi
iré l'une et l'autre des oeuvres d'une rare originalité, où l'on ne
sait
s'il convient de louer davantage la partie pure
de Chartres, dont la sincérité avait séduit le maître Dalou ; je ne
saurais
contempler avec in- différence le Bûcheron qui
nsi sa haute approbation à un talent dont, depuis long- temps, nous
savions
tout le charme et toute la puissance. C'est la pr
out inférieur nous trouvons les mêmes phéno- mènes que plus haut, à
savoir
; l'existence de massues terminales dont quel-
cicatriciel. Le bout inférieur présente à son extrémité plus de mas
sues
terminales que le bout supérieur ; certaines d'en
présentait tous les signes d'une section complète de la moelle ; à
savoir
: abo- lition des réflexes cutanés et tendineux
conservées de la substance blanche (Fig.6). Par conséquent, le tis-
su
de nouvelle formation est constitué par un systèm
s des granulations sériées qui leur donnent un aspect strié ; je ne
saurais
affirmer s'il s'agit là ou non d'un produit art
tour et deviennent de plus en plus minces. Malgré ce double proces-
sus
de régénérescence médullaire el. radiculaire, la
ie, le diagnostic de lèpre ne peut être écarté d'une façon absolue on
sait
que, dans un cas analogue de MM. Pitres et Sabr
Elle est incapable de la plus simple opération de calcul ; elle ne
sait
pas écrire sous la dictée un nombre de 3 chiffres
la voûte ogivale, l'examen fait au doigt, tout nous le confirme. On
sait
que les adénoïdiens sont des terrains tout prép
toniques, était comme la plupart des eunuques d'une stature au-des-
sus
de la moyenne malgré une légère incurvation de la
urd'hui un symp- tôme qu'il ne ressentait que rarement autrefois, à
savoir
, le dérobemeut des jambes (Giving way of llae l
ur, tous les troncs nerveux des membres accessibles la palpation, à
savoir
: le' cubital au coude, le radial dans la goutt
ertrophique de celle du tabes classique, affection où, ainsi qu'on le
sait
, les paralysies laryngées sont loin d'être rare
ifier ce qui avait été constaté au cours de la première autopsie, à
savoir
que les nerfs présentent des altérations qui, d
les résumant, deux autres obser- vations du reste déjà publiées, à
savoir
celle de la soeur du malade de l'ob- servation
décrites dans le faciès myopathique par Landouzy et l'un de nous, à
savoir
: le rire transversal, la difficulté de faire la
adhère nettement à la dure-mère. Pour les quatre autres cas, il ne
saurait
être question de compression os- seuse. Mais, d
eprésenter un élé- ment négligeable. ' Dans les autres cas, il ne
saurait
être question de compression osseuse. Compressi
IV) ; une autre fois (obs. X) le syndrome de Brown-Sé- quard. On
sait
combien le pronostic des accidents nerveux du mal
accidents nerveux du mal de Pott pré- sente de difficultés ; on ne
sait
trop sur quels éléments se baser. Les troubles
ce postérieure des Ve et VIe corps vertébraux ; c'est dire qu'on ne
saurait
compter sur elle pour le diagnos- tic des carie
occipital, soit a la couronne rayonnante du lobe temporal. » On ne
saurait
être plus clair ; malgré son enchevêtrement avec
mmes chaud partisan de son principe cardinal dans cette question, à
savoir
: « Que les couches sagittales externe et inter
vées intéressées par le foyer du bord inférieur de l'hémisphère. On
sait
com- bien ces fibres sont abondantes à cet endr
ongitudinal inférieur). » Cela nous paraît très important, car nous
savons
que certains ra- mollissements sont lents et pr
e temporale et à la partie inférieure de la capsule externe. « Nous
savons
, eu effet, qu'à ce niveau temporal les fibres de
ster et exercer une certaine influence sur l'avenir du neurone. Que
savons
-nous des échanges nu- tritifs au niveau du prol
que le résumé d'une doctrine universellement admise aujourd'hui, à
savoir
: que dans les lésions centrales circonscrites, l
les terminaisons ont été l'objet des plus vives controverses ? Ne
sait
-on pas que cette éclosion de travaux de si fraîch
ussi d'une certaine fraction de la dégénérescence rétrograde ? L'on
sait
que la méthode de coloration de Weigert-Pal nou
ise eu ont débarrassé de bonne heure la science contemporaine. On
sait
, depuis 1893, que l'étage antérieur du tronc encé
e passer par la capsule du corps genouillé externe ; noyau que l'on
sait
joliment plus gros que ne le laisse soupçonner
éduit à ce qui reste de l'ancien faisceau longitudinal inférieur, à
savoir
, le « laisceau optique central ». Il suffit de se
totalité, ce qui équivaut à « cou- che sagittale externe », et l'on
sait
que sur ce point nous aimons à diverger de la m
verions encore un puissant appui. Il s'agit d'un principe et l'on
sait
que ['Anatomie des centres nerveux demeure fidè
le noyau amygda- lien, renferme surtout des fibres corticipètes (on
sait
que le pied du pédoncule cérébral est, par cont
pour ainsi dire, le faisceau moteur périphérique ou trophique. Nous
savons
cependant qu'il existe également dans la moelle,
e termine en partie dans le corps quadrijumeau postérieur. Or, nous
savons
que le pulvinar et le tubercule quadrijumeau anté
c, de par son siège, l'équivalent sensitif de la voie optique. On
sait
que le lobe occipital envoie de nombreuses fibres
de la sensibilité ; l'intimité des relations est telle que nous ne
savons
pas encore quelle topographie affecte ce que l'
, il reste un détail digne d'être compris dans notre comparaison, à
savoir
. la dé- cussation optique. Il importe de s'y ar
noyaux du thalamus. Ainsi, nous revenons à notre idée première, à
savoir
, l'origine exclusive- ment genouillée du neuron
le grand facteur c'est le degré de dilatation ventriculaire et l'on
sait
combien cette dilatation est variable et inconsta
fibres sagittales au niveau du globus pallidus lenticulaire ? Nous
savons
ce que répondrait Burdach, mais nous ferons plu
s sur l'observation d'autres milieux (Algérie, Tunisie), mais on ne
saurait
attribuer à ces dernières une portée définitive
énération collatérale des fibres nerveuses terminées par des mas-
sues
de croissance, à l'état pathologique et a l'éta
mes qui les accompagnent et des lieux où elles siègent1. » Mais on ne
saurait
s'incliner ici sans discussion devant l'autorité
mie pathologique ne s'est réellement constitué ; j'ajouterai qu'il ne
saurait
jamais l'être parce qu'un tel isole-ment n'est pa
l'organe préexistants, l'état pathologique, sur ces divers points, ne
saurait
être dégagé de l'état normal que par le rap-proch
limite qui sépare l'anatomie pathologique de la clinique1 !. Je crois
savoir
, de source certaine, que l'un des professeurs émi
erves, il est vrai, l'ennemi de ce qu'on appelle les spécia-lités. Je
sais
, par expérience, jusqu'à quel point les investiga
re-lativement à divers viscères, le rein, le foie, par exemple, vous
savez
combien la notion de l'arrangement lobulaire offr
ai dit alors je puis le répéter aujourd'hui à pro-pos du poumon. On
sait
, depuis fort longtemps, que le poumon est composé
sont assez minimes (1 p.), elles se montrent dans le poumon, vous le
savez
, comparative-ment colossales. Dans le poumon, les
lo-bules profonds revêtent des configurations si multipliées qu'on ne
saurait
guère les rattacher à un type commun. Tout à l'
queuses, ainsi qu'on les appelle encore. Elles sont creusées, vous le
savez
, par une cavité en capsule, s'ouvrant par un orif
ns les parois des bronches inlra-lobulaires dont le diamètre, vous le
savez
, est au-dessous de 1 u. 2° La couche musculaire
années, n'est plus mis en doute par personne. Il y a longtemps qu'on
sait
aussi que, chez l'homme, à l'état fœtal, et chez
l de la méthode des imprégnations argentiques, mise en œuvre, vous le
savez
, avec un grand suc-cès, par MM. Recklinghausen et
isseaux lymphatiques et sanguins et dont un caractère commun, vous le
savez
, est de se développer chez l'embryon aux dépens d
l'épithélium pulmonaire reproduit le type morphologique,est, vous le
savez
, de se développer chez l'embryon aux dépens du
du même coup une assertion que j'ai émise dans la dernière séance, à
savoir
que les lésions de ces éléments tien-nent une gra
éveloppement des poumons. A l'origine, les deux poumons sont, vous le
savez
, des bourgeons ou prolongements de l'œsophage. Dé
la démonstration d'une des propositions que j'émettais à l'instant, à
savoir
que sous l'influence de certaines causes patholog
emak dans le cas du développe-ment embryonnaire, l'est aussi, vous le
savez
, dans l'état pa-thologique. Or, Messieurs, ces
p. 459, fig. 307.) Dans le tissu conjonctif lâche, composé, vous le
savez
, de faisceaux fibrillaires revêtus çà et là de ce
s faites, M. Gombault et moi, sur la ligature du canal cholédoque. On
sait
qu'au-dessus du point rétréci ce canal subit alor
s simples pour déterminer l'altération dont il s'agit, est, vous le
savez
, la section des pneumogastriques, ou mieux des ne
roniques expérimentales, en quelque sorte trauma-tiques, ont, vous le
savez
, leur pendant dans la pathologie humaine. Buhl.
rie des modifications successives sur lesquelles j'ai déjà insisté, à
savoir
: gonflement de la cellule dont les limites devie
r l'une des proposi-sitions que j'émettais au début de cette leçon, à
savoir
que les altérations de l'épithélium pulmonaire pr
oles, entraînant la destruction des éléments spéciaux de la région, à
savoir
: fibres musculaires de la vie organique, faisceau
en mémoire les premiers linéaments du développement du poumon. Vous
savez
comment les deux bourgeons ou diverticules, appen
nin, rein granuleux, dénominations empruntées presque toutes, vous le
savez
, à la nomenclature anglaise 2. C'est, suivant m
ent par un certain nombre de symptômes analogues, circonstance qui ne
saurait
surprendre, puisqu'il s'agit de deux affections a
as, le processus fondamental est mutalis mutandis, le même au fond, à
savoir
: Retour à l'état embryonnaire des éléments nés d
dispensable de rappeler quelques traits de la structure du foie. Vous
savez
commentles canalicules biliaires forment, dansles
ue, a éternise dans tout son jour, par des expériences récentes. On
savait
depuis longtemps qu'à la surface d'une plaie en v
s descrip-tions de Remak et de Kôlliker. D'après ces auteurs, vous le
savez
, quand une glande naît au-dessous d'une surface c
ique, n'ont pas encore trouvé leur place dans la clinique. Mais on ne
saurait
guère douter qu'elles l'acquièrent quelque jour,
inflammation bron-chique. Sans lésion bronchique procréatrice, il ne
saurait
y avoir broncho-pneumonie. Mais la lésion pulmona
al, Chomel, Grisolle, Requin, Raymond et quelques autres, personne ne
saurait
nier qu'il existe une espèce particulière d'infla
oïdes de nouvelle formation, au sein du parenchyme pulmonaire. Or, on
sait
que les cellules fusiformes représentent les prem
être pri-mitive et précéder l'ulcération. Les relations intimes qu'on
sait
exister entre le ramollissement, l'ulcération et
plutôt que telle autre, menace de se constituer à Tétat chronique. On
sait
, en effet, par les observations de M. le professe
ntité plus ou moins considérable d'un mucus épais et verdâtre l. On
sait
les diverses opinions qui ont été émises concerna
t applicable à un cer-tain nombre de faits; mais certainement elle ne
saurait
être admise pour les cas très nombreux dont nous
ar M. Tardieu, chez les mouleurs en cuivre 1 ; ici, ce sont, comme on
sait
, des molécules de charbon2 venues du dehors, qui
guiseurs, les parties indurées du poumon peuvent d'ailleurs, comme on
sait
, se ramollir et se creuser d'excavations, ainsi q
, granulations qui peuvent présenter deux dispositions principales, à
savoir
: a. une infiltration gé-nérale ; S. une disposit
appellations, dit M. Charcot, toutes synonymes et de même valeur, ne
saurait
représenter qu'un terme générique, et les diverse
ctérisent le premier stade de ce genre de pneumonie interstitielle, à
savoir
l'indu-ration rouge du poumon : les cavités alvéo
chronicité. Le type clinique broncho-pneumonie aiguë n'a pas, on le
sait
, l'évolution régulière et fixe de la pneumonie lo
ons qui ont été étudiées, à propos de la broncho-pneumonie chronique,
savoir
: la sclérose du tissu conjonctif, la transformat
on et caractères micro-chi-miques du pigment d'origine sanguine. On
sait
que M. Zenker2 a proposé de réunir sous le nom co
its d'ordre pathologique qu'il s'agira d'envisager par la suite. On
sait
en effet que la plupart des poumons humains sont
our ne rien préjuger, a reçu le nom de matière noire pulmonaire. On
sait
, à l'heure actuelle, que cette matière noire n'es
duction dans l'économie, et on discute encore à l'heure actuelle pour
savoir
si ce charbon pénètre directement dans le poumon
ermettait même de reconnaître la nature du charbon dont il s'agit. On
sait
que le bois des conifères est composé de grandes
enances diverses et en particulier du pigment d'origine hômatique. On
sait
par qu'elle série de modifications le sang épanch
pour la partie clinique, que des renseigne-ments fort incomplets. On
savait
seulement que la malade avait succombé à des symp
te sur fes cuirasses, les canons de fusil, les baïonnettes, etc. On
sait
depuis longtemps que les ouvriers qui travaillent
lobaires, lobulaires, acineuses, infundibulaires ou alvéolaires. On
sait
que l'artère pulmonaire qui accompagne la bronche
s reins, les méninges, un peu partout. Dans les deux cas, comme on le
sait
déjà, l'analogie, au point de vue anatomique, est
a phtisie chronique. Yoilà, dans une esquisse rapide, tout ce qu'on
sait
de la mortification caséeuse du tubercule. Encore
e comme le vestibule de la caverne et en fait ainsi partie. Reste à
savoir
maintenant comment la matière caséeuse ra-mollie
égats tu-berculeux de guérison ; 3° des cavernes de guérison. Laënnec
savait
parfaitement que l'affection tuberculeuse n'est p
état rudimentaire, arrêtés dans leur dévelop-pement et tels qu'ils ne
sauraient
donner passage aux globules rouges'du sang. C'est
ion présente d'ailleurs tous les caractères du tubercule aggloméré, à
savoir
plusieurs centres de formation ou, autre-ment dit
eur du tubercule, l'élément caractéristique des parois alvéolaires, à
savoir
les fibres élastiques. D'ailleurs, quelques cellu
. Charcot, est ici, en quelque sorte, exclue du processus, et » il ne
saurait
être question de pneumonie caséeuse. C'est là, »
le est la doctrine de Laënnec, dans ses traits les plus généraux ; on
sait
comment elle a été en quelque sorte sup-plantée,
tuber-cule improprement dénommé tubercule réticulé ou cyto-gène. On
sait
qu'on entend par cellules géantes des corps volum
erches ultérieures pourront seules nous renseigner sur la question de
savoir
s'il y a, entre ces différents corps, identité de
affectent avec les autres parties de la néoplasie tuber-culeuse. On
sait
que la granulation visible à l'œil nu, bien loin
mination de tubercule réticulé qui lui a été imposée, dans ce cas. On
sait
aujourd'hui que, selon toute vraisemblance, il n'
tes, pourvues de plusieurs noyaux, et dont la structure cellulaire ne
saurait
faire aucun doute. L'étude de la cellule géante
constitués des équivalents en quelque sorte de la cellule géante. On
sait
, de plus, que cette transformation vitreuse des é
mme dans la gra-nulation vulgaire que la caséifîcalion envahit, on le
sait
, en marchant du centre vers la périphérie. Si c
e, la partie la plus inférieure de l'abdomen. Dans les membres, on ne
saurait
localiser ces douleurs sur le trajet d'un ou de p
s, le nombre de ces globules reste dans les limites normales. On ne
sait
rien de positif relativement au mode de réparti-t
intensité varient suivant le siège et l'étendue de la lésion. Reste à
savoir
s'il existe réellement entre ces lésions et ces s
nnaître. L'altération pigmentaire de l'encéphale, en particu-lier, ne
saurait
être évidemment considérée comme la cause unique
cette observation de l'illustre médecin anglais n'a pas été, que nous
sachions
, confirmée par les auteurs subséquents. Le doc-te
mons s'observe ra-rement, et elle est toujours très disséminée. On ne
saurait
mettre sur son compte la dyspnée, les hémoptysies
mptôme serait, aujourd'hui encore, inexplicable pour nous, si nous ne
savions
pas que la contracture s'observe parfois au milie
ntre la lésion et le symptôme simple coïncidence ? c'est ce que je ne
saurais
décider actuellement. Encore est-il que si la con
explication du double bruit du souffle cardiaque, il est difficile de
savoir
s'il ne fautpas faire intervenir, pour une certai
eu qu'un seul frisson, lequel a marqué le début de l'affec-tion. On
sait
, par un intéressant travail de notre collègue M.
catégorie : toutes, il est vrai, possèdent des caractères communs, à
savoir
, l'existence de caillots san-guins dans les tronc
at puerpéral. Or, chez ces sujets, le sang présente souvent, comme on
sait
, une altéra-tération particulière, dont un des tr
ane interne et contenant, à l'intérieur, un détritus puriforme2. On
sait
depuis longtemps que la coagulation spontanée du
la possibilité ; il devra môme, dans certaines circonstances données,
savoir
l'annoncer comme une éventualité probable. III.
aut-il penser de la proposition émise par M. le professeur Virchow, à
savoir
, que, dans tous les cas où la coagulation du sang
foncée, elle était plus molle et apparemment de date plus récente. On
sut
plus tard qu'avant l'accouchement la cuisse et la
incipales de l'artère pulmonaire par des caillots fibri-neux. Reste à
savoir
si cette obturation a été produite par embolie. L
us ne pouvait laisser au-cun doute sur la nature de la maladie. On ne
saurait
donc at-tribuer une grande valeur aux symptômes s
iel. In Mém. de la Soc. méd. d'observation. T. I, 1887. — Corneliani.
Su
/la. non infiammabilità della membrana interna dei
'hui comme toujours, une affection presque fatalement mortelle. On ne
saurait
oublier, d'ailleurs, que les travaux qui ont écla
d'ailleurs, se rattachent à l'étude des anévrismes en général, et ne
sauraient
être traitées ici. Disons seulement que les concr
mer la moelle épinière, et s'ouvrir dans le canal rachi-dien. On ne
saurait
expliquer, par une action purement mécani-que, ce
ec et de courte durée : il commence et finit brus-quement (flope). On
sait
que le battement et le souffle ané-vrismal double
es auteurs ; il a été ob-servé quelquefois, depuis cette époque. Nous
savons
déjà que la paraplégie peut résulter de la compre
ces lésions : la plupart des au-teurs en rapportent des exemples ; on
sait
d'ailleurs que les chutes d'un lieu élevé produis
lier, sont plus fréquents en Angleterre que sur le Continent. Nous ne
savons
s'il faut invoquer, pour expliquer cette prédomin
de la tumeur, au dehors, ne procure au malade aucun soulagement. Nous
savons
que le contraire a lieu quand l'aorte est le sièg
lui permettent point, dès le principe, d'abandonner tout espoir. On
sait
depuis longtemps que l'accumulation de couches fî
malade, mais seulement une induration calleuse en cet endroit. Nous1
savons
aujourd'hui que, dans la majorité des cas, quand
inférieur, il semble qu'une artère aussi volumi-neuse que l'aorte ne
saurait
revenir à l'état normal, sans offrir au moins que
qui ne tient compte ici que delà compression des voies aériennes : on
sait
en effet que souvent la dyspnée, chez les sujets
pondent à la paralysie des muscles tenseurs des cordes vocales, et ne
sauraient
être améliorés par l'opé-ration, car l'ouverture
énorme de l'artère mammaire interne, de la thyroïdienne, de vaisseaux
sus
et sous-scapu-laires, frappera nécessairement l'a
e rude au premier temps, ayant son maximum à la base du cœur. Nous ne
savons
pas si l'autopsie a confirmé le dia-gnostic. Le
le, qui avaient étudié avec intérêt la question à.es polypes du cœur,
savaient
aussi que des obs-tructions de ce genre pouvaient
plectiques et d'un état typhoïde, qui se ter-mina par la mort. Nous
savons
déjà que les végétations fîbrineuses implantées s
st pas le siège de sensations anormales. II nous a été impos-sible de
savoir
si, pendant les accès, la température s'y abaisse
st seulement au prix d'expériences cruelles et dont les conditions ne
sauraient
être reproduites chez l'homme, qu'on voit surve-n
cins éclairés ; les choses ont marché et l'issue a été celle que vous
savez
. Eh bien ! Messieurs, vous l'avez compris, ce son
l'expé-rience sur l'animal, qui chez l'homme, tout naturellement, ne
saurait
être faite, aggrave les résultats, les accentue e
ils fonctionnent. Or, quand un muscle fonctionne, se contracte, vous
savez
qu'il appelle à lui, pour s'alimenter pendant le
commun avec les fragments du poumon frap-pés d'hépatisation rouge. On
sait
aussi que les vaisseaux capillaires qui traversen
re, par le travail bien connu de Paget sur l'apoplexie du cerveau. On
sait
que, d'après ce dernier auteur, bon nombre d'hémo
paraissent quelquefois distendus par le sang. A ces caractères, on ne
saurait
méconnaître, suivant le docteur Heschl, qu'il s'a
t pas improbable que les modifications de texture qui y conduisent, à
savoir
la désa-grégation, la dissolution proprement dite
l'extravasation hémorragique. On peut d'ailleurs rencontrer, comme on
sait
, l'hémorragie et la gan-grène dans un même point
vre; son asthme qui lui interdisait toute course précipitée, parais-«
sait
avoir momentanément disparu. Arrivée au sommet el
e Lourdes comme de la Salette; mais ils ne pouvaient, à cette époque,
savoir
, comme aujourd'hui, ce qu'était le mal hystérique
ien assez de le faire à l'église. » « Bah, laissons-la; celle-là ne
sait
que prier Dieu ; » elles ne firent « plus attenti
tion tant interne qu'externe : elle ne se rappelle plus rien, elle ne
sait
même plus son âge, elle est incapable d'un acte v
ir n* de Juin 1905. perception consciente; c'est pourquoi elle ne
sait
ni où elle est ni dans quelle position elle se tr
e sait ni où elle est ni dans quelle position elle se trouve, elle ne
sait
même plus si elle vit. Par cet acte simple, l'occ
s et celles-ci ne correspondant pas à sa mentalité du moment, elle ne
sait
que penser : devient-elle folle ou se moque-t-on
re à sa réalité : a Si ce bruit était si fort que je l'imagine, je ne
sais
comment j'ai fait pour le supporter, car maintena
ous avez joué dans le même sens que MM. X..., Y..., Z... et vous n'en
saviez
rien, n MM. X..., Y..., Z..., en effet, sont
synthétiser les lois émises par toutes les sciences sociales. Mais il
sut
, plus humainement pour ainsi dire que Comte, que
caprices s'adressent au mâle efféminé, Endymionou Athys, dont elle ne
saurait
redouter ni domination, ni asservissement. Fig.
stacles, elle volait plutôt qu'elle ne courait vers la grotte où elle
savait
devoir jouir de joies ineffables. La physionomi
de joie. 11 m'est arrivé quelquefois au sortir de cette oraison de ne
savoir
si c'était un songe ou une réalité, mais en me vo
ne rosée céleste, je voyais que ce n'était pas un rêve (*). » On ne
saurait
mieux dire : Thérèse a admirablement décrit, troi
chappe nous disons prédisposition morbide héréditaire ou acquise sans
savoir
au juste ce qu'il faut entendre par là. Chez Mari
utritif instable qu'un simple trouble vaso-moteur pourra rompre. Nous
savons
, d'autre part, que les émotions ne sont que des t
s enfants. Nul des parents ou des éducateurs ne se préoc- cupe de
savoir
si un enfant ou un adulte est capable de faire fa
robablement à de la dégénérescence mentale. Il eût été intéressant de
savoir
dans quelles conditions s'est développée cette ph
droit de la grotte où elle croit voir la Sainte Vierge (a). » On ne
saurait
mieux constater l'extase. (1) Mgr de Ségcr : Le
deuxième degré ; de ceci on ne parle pas, c'eût été intéressant de le
savoir
; dans leurs crises, le fait est fréquent, des épi
front rayonnait; tous ses traits semblaient s'élever et prendre je ne
sais
quoi de céleste » (a). M. Henri Lasserre écrit
otidiens le rapportaient, une association de filous utilisait le réel
savoir
musical de quelques-uns d'entre eux pour permettr
dée superstitieuse, de nous les communiquer. Nous voudrions également
savoir
si la crainte du lapin existe chez d'autres péche
les variations de la force extériorisée chez les neurasthéniques. On
sait
combien celte maladie est protéïforme; nous allon
ès coup autour du corps d'un Christ mis en croix. Il est difficile de
savoir
à quels sentiments ont obéi les fidèles de Lucque
elle, était un vrai diable, qui nous faisait perdre la tête : nous ne
savions
comment faire pour l'empêcher de satisfaire ses c
tuse pour des faits miraculeux ont été exploités par des gens qui ont
su
faire admettre ces symptômes maladifs comme des m
Après quelques suggestions, le jeune homme revient à la santé. Je ne
saurais
toutefois vous dire si la guérison s'est maintenu
lateur. Il se montrait dans ses propos, homme d'un jugement sain et
savait
supporter son sort avec une philosophie pleine de
hacun des professeurs ou des collaborateurs de l'Ecole de psychologie
saura
faire sien le conseil si éloquemment formulé par
on lui conseilla d'aller voir l'évêque Laurent. Notons aussi qu'elle
sut
traduire des questions posées en latin et y répon
ire parler d'elle et de se couvrir de gloire. L'hystérie, comme on le
sait
, aime les mises en scène et la cathédrale, avec s
Didon-Astarté était représentée avec la barbe de Mclquart (•) et on
sait
, ajoute le dictionnaire des antiquités de Saglio,
lui fait réaliser des miracles de courage et de persévérance quand il
sait
n'avoir à compter que sur soi-même et qui, au con
gauche du visage. Il fait donc une grimace, toujours â son insu ; Il
sait
qu'il la fait, parce qu'on lui a dit qu'il la fai
é, ou bien la date à laquelle se place le moment où l'accidenté a
su
ou dû savoir quelles seraient la nature ou l'impo
n la date à laquelle se place le moment où l'accidenté a su ou dû
savoir
quelles seraient la nature ou l'importance de son
« Depuis une demi-année. » — « Comment t'appelles-tu? » — « Je ne
sais
pas. » Malgré les objurgations du Père, Satan r
'avoir colporté des billets doux : 0 vous, barbe à triple étage Qui
savez
le tripotage Du poulet et du message Mieux que Mo
le tripotage Du poulet et du message Mieux que Monsieur de Ménage Ne
sait
le tin du langage N'est-il pas vrai, la Pilou ? P
e contre la brutalité et pour faire valoir ses droits. • » » On
sait
qu'à l'époque de la ménopause, les caractères sex
illy dit Geoffroy de Vendôme III. Celui-ci assista à la bataille de
Sais
en 1113 ou 1115, fit le voyage de t St-Jacques de
scrupule : par exemple un virtuose, inquiet, douteur, se demande s'il
sait
son morceau, s'il n'aura pas d'absence de mémoire
evenir, subitement, un parfait articulateur ; il ne le peut, il ne le
sait
; nous sommes en présence d'une impotence réelle.
our lequel il n'y a pas eu d'apprentissage; de môme qu'un pianiste ne
saura
jouer de la flûte qu'après s'y être exercé et ent
ûte n'en jouera qu'après avoir appris à le faire. De même ceux qui ne
savent
pas user des images articulatoires, graphiques, e
s aspérités du sol, les trous, les endroits dangereux. Pour sauter il
sait
calculer la distance et y proportionner son effor
ce ; l'homme qui l'exerce est généralement doux, mais énergique, il a
su
imposer sa volonté à son cheval. Voudrait-il
sumé dans bien des circonstances nous hypnotisons les animaux sans le
savoir
, nous avons vaincu les résistances naturelles ou
lle santé morale ne sont acquises qu'à certaines conditions : il faut
savoir
être heureux de ce qu'on est en non de ce qu'on a
nd l'engagement de présider une de nos plus prochaines réunions. Xous
savons
, en effet, que nous pouvons compter sur ses encou
hacun des professeurs ou des collaborateurs de l'Ecole de psychologie
saura
faire sien le conseil si éloquemment formulé par
e, les meilleurs travaux parus sur le système nerveux. Notre maître
sait
combien nous attachons de prix à ses conseils et
e de placer notreceuvre de libre initiative sous l'égide de son grand
savoir
, de son expérience et de sa bonté. Discours du
e l'enseignement théorique, à côté des cours et conférences, dont ils
savent
si utilement varier l'intérêt, le Dr Bérillon et
de vous lire me semblent essentiellement justes. Mais, ici, vous le
savez
, nous avons pour habitude de nous placer surtout
lle est entrée dans la médecine par le domaine du merveilleux et vous
savez
comment l'hypnotisme s'est transformé, de par les
t l'aise. Lorsque vous aborderez le point spécial qui vous l'amène,
sachez
lui faire raconter toutes ses souffrances. Ecoute
l saisira parfaitement le sentiment qui vous a guidé et qu'il vous en
saura
le plus grand gré. Dès la seconde entrevue au p
ement. Qu'est-ce donc autre chose sinon faire de la suggestion que de
savoir
habilement relever le moral du malade et amener e
naturelles que tel de leurs confrères suisses, les médecins français
savent
ajouter, quand il convient, l'hypnotisme et l'app
roprier, puisqu'il ne sera l'objet d'aucune surveillance ; mais il ne
saurait
plus toucher au biend'autrui. Reconnaissant cette
bles. Voyez l'allure du fantassin revenant d'une longue marche et qui
sait
trouver, dans la foule qui se presse au passage,
nt le plaisir d'applaudir les beaux vers par lesquels M. Jules Bois a
su
exprimer si heureusement dans son hymne à Liébeau
conseils, ont été conquis par sa personnalité géniale, par son grand
savoir
psychologique, mais aussi par sa bonté et par sa
a psychothérapie, sont restés fidèles à la méthode scientifique. On
sait
que cette œuvre passa inaperçue. 11 n'en fut vend
provoqué l'hypnotisme, comme M. Jourdain faisait de la prose, sans le
savoir
. Enfin, alors qu'il était déjà depuis quelques
le dédoublement des personnes et sur les matérialisations, que je ne
saurais
envisager sérieusement) dont on n'a pas encore tr
ues douleurs. * * * Notre science, enfin reine de la Matière, A
su
régénérer les corps et les guérir, Mais l'Esprit
u geste sur l'expression de la physionomie. Réciproquement, vous le
savez
, Charcot et Richer ont démontré qu'on peut procéd
rsque Campanella, célèbre philosophe et grand physionomiste, désirait
savoir
ce qui se passait dans l'esprit d'une autre perso
qui agira et non l'influence personnelle de l'éducateur. » « On ne
saurait
mieux montrer, ajoute M. Grasset, auquel j'emprun
re. » Il y a en effet pour M. Grasset, deux psychothérapies. « On
sait
, dit-il, qu'il faut distinguer chez l'homme la fo
aire allusion, peuvent être difficiles à hypnotiser mais il faut bien
savoir
qu'il n'y a pas là d'impossibilité. Et d'ailleu
supérieure n'a pu réussir à leur procurer se soucient fort peu de
savoir
si la thérapeutique employée sur eux constitue un
quée constitue une méthode scientifique des plus rigoureuses. Mais,
sachez
-le bien, à quelque procédé que vous ayez recours,
onté. En présence du malade, ne pensez qu'au malheureux à secourir.
Sachez
, je vous le répète, lui inspirer confiance. Que l
se conformer à la recommandation qu'a souvent faite le DT Bérillon, à
savoir
, pendant le sommeil hypnotique, représenter au tr
vre crânement dans tous ses détails. Pour ce qui me concerne, je ne
saurais
assez répéter que, concurremment au traitement ps
heure, l'endormait comme moi, de répéter l'expérience. Cette personne
sait
hypnotiser, et vous voyez pourtant que mon malade
trangers à notre Société qui sont venus assister à notre réunion. Ils
sauront
maintenant quelle créance accorder aux adversaire
ogie et à la psychothérapie que le ministre a voulu récompenser. On
sait
avec quel courage et quelle ténacité le Dr Bérill
le docteur Bérillon, tout récemment décoré de la Légion d'bonneur. On
sait
son œuvre. Elle est d'une incontestable unité. El
les pas de son maître. H s'est avancé très loin sur sa route. On
sait
avec quel zèle il dirige la Revue de l'Hypnotisme
te. On sait avec quel zèle il dirige la Revue de l'Hypnotisme. On
sait
avec quelle impétueuse ardeur il intervient dans
ue de la science la belle formule de Frédéric Nietzsche : t II « faut
savoir
vivre dangereusement ». Autrement dit, « il faut,
ce qui se passe dans la production de l'hypnotisme qui, comme chacun
sait
peut résulter soit dune fascination visuelle, soi
ystérie, hypocondrie, dépression périodique, accès maniaques. On ne
sait
pas si le neurasthénique, l'hypocondre et ces mal
idité dans la classification et un plus grand souci de la réalité, ne
sait
plus ce qui est psychonévrosc et ce qui ne l'est
te, pour juger de la nature de la psychothérapie, il ne s'agit pas de
savoir
si l'on suggère un peu plus ou un peu moins de so
re sûr de l'absolu de façon que chacun en fut convaincu ! Mais nous
savons
combien sur ce terrain la certitude varie selon l
hothérapie sur ia philosophie et la psychologie. Il faudrait pourtant
savoir
si les déterministes sont tellement d'accord ? N'
actif, décrivez-les avec une éloquence convaincante. » On voudrait
savoir
aussi ce qu'il faut dire au malade qui ne guérit
répond : « D'autres hypnotiseurs, (dans sa pensée, les emballés), ne
savent
pas voir que si la suggestion et la persuasion so
illasse. A huit ans, elle a été mordue par un chien ; on n'a jamais
su
si celui-ci était enragé ; toutefois, par précaut
uvre s'est renouvelée, au grand étonnement de Mme J... Il restait à
savoir
si la chèvre, une fois son acte de vandalisme, ac
ccuse d'une façon tangible dans l'accomplissement de ces actes qui ne
sauraient
être mis sur le compte de l'instinct ; car, pour
si gentiment prêtée à une présentation forcément gênante, mais qui ne
saurait
lui nuire, au contraire, puisqu'elle ne peut qu'a
jorité des malades atteints de troubles fonctionnels; donc 51. Dubois
sait
très bien mettre en jeu I'auto-suggestibilité de
ctionnels justiciables d'un traitement pr.ychique. Il importe donc de
savoir
si réellement sa méthode satisfait aux exigences
te autre manifestation de )a grande névrose, le sommeil hystérique ne
saurait
comporter une symptomatologie univoque. m Mutis
onstipation ; règles normales. La famille m'avait fait appeler pour
savoir
si l'hypnotisme ne pourrait pas triompher de cett
ur l'accélération du mouvement intestinal cause de ces bruits. Nous
savons
que les organes de la vie végétative sont sous la
é; il dépassa en durée toutes les prévisions primitives ; nous allons
savoir
pourquoi tout à l'heure. Il dura en effet vingt-d
e pouvoir faire cette observation chez notre malade, mais ce que nous
savons
de ses antécédents est suffisant pour corroborer
eil des cellules nerveuses dites motrices, lesquelles , comme vous le
savez
, ont pour siège les cornes antérieures de la subs
période. 1° Le mode d'invasion de la paralysie infantile est, vous le
savez
, des plus remarquables. La maladie a un début bru
e jour. Je rappellerai, à ce propos, ce que je vous ai dit naguère, à
savoir
que, selon quelques auteurs, la contractilité'gal
temps dura-t-elle? Par quoi fut-elle en outre caractérisée? Il ne le
sait
; mais, à partir de là (en sortant des convulsions
oique son intelligence soit intacte et même assez bien développée. Il
sait
lire, écrire. L'expression de sa figure est plutô
thorax est manifestement aplati ; côtes saillantes, émaciation; creux
sus
et sous-claviculaires très-apparents. Les clavicu
années, telle sont les qualités qui distinguent cet ouvrage. Nous ne
savons
si l'avenir en adoptera toutes les conclusions, m
e manquent pas. On trouve des observations à chaque chapitre. On ne
saurait
donc contester la profonde croyance de l'auteur..
té. La patliogénie de ces déformations n'offre pas d'obscurités. Nous
savons
que l'atrophie n'est pas répan-due uniformément s
l'altéra-tion histologique des muscles font défaut. D'après ce qu'on
sait
, la majeure partie des faisceaux primitifs subira
ce du lissu fibreux ou encore celle du darfos. Userait intéressant de
savoir
si l'hyperpla-sie conjonctive interstitielle qu'o
rayonné, à une certaine distance, dans toutes les directions. On ne
saurait
admettre, d'un autre côté, que l'irritation se so
écutives a l'usage des rromures, par S. Weir Mitchel. — Tout le monde
sait
que les bromures peuvent produire des éruptions d
oute la certitude possible, le diagnostic de celte difformité. Vous
savez
que le torticolis peut être primitivement osseux,
eaucoup moins probable, à cause de l'âge où le mal a débuté. Car vous
savez
que le rhuma-tisme musculaire est infiniment moin
non-seulement chez l'homme, mais chez les oiseaux, qui, comme vous le
savez
, perchent presque tous sur le pied droit. Cette f
tendus. Elle portait une cicatrice au poignet, et, tout ce qu'on a pu
savoir
, soit de ses parents, soit d'une voisine, c'est,
Lasègue. Mais M. Brierre cite de telle façon qu'il est impossible de
savoir
, et le cas se représente souvent, si ce qu'on lit
d'une personnalité quelconque, ses œu-vres et sa vie, M. Brierre n'a
su
tirer qu'une esquisse assez effacée, à contours f
olution bien française, partant bien simple : c'est que Griesinger ne
savait
se faire « une conviction du-rable, » faute de te
pas dans une voie qui promet d'être féconde en résultats, et l'on ne
saurait
trop engager M. Magnan à y persévé-rer. On a conf
l'orifice de l'urèthre. — M. Reliquet condamne ce procédé, car si on
sait
où l'on va, si les points de repère sont justes,
d'autres. « La cause de cette divergence est celle-ci: les hommes qui
savaient
pratiquer la lithrotritie la vantaient, montraien
pelait accidents consécutifs à la lithotritie, et que maintenant nous
savons
être des manifestations de l'intoxication urineus
rande, il y a prédisposition à la hernie cérébrale ; mais celle-ci ne
saurait
se former qu'après la naissance, attendu qu'avant
t que, du reste, on n'est pas définiti-vement fixé sur la question de
savoir
si le rein a la double fonction d'être à la fois
opération entreprise dans d'aussi fâcheuses conditions. M. Pooley a
su
vaincre les difficultés chirurgicales mentionnées
ut cet ouvrage déjà très-condensé en lui-même, mais nos lecteurs nous
sauront
gré de leur en montrer quelques parties, et de le
ent méconnues et qui entraînent ainsi des fautes dont il est, sans le
savoir
, l'instigateur et le complice. « Que de fois, dit
lliance de ces deux éléments: fièvre intermittente, pneumonie. Quanta
savoir
s'il est fréquent que la pneumonie disparaisse et
ervations intéressantes, des réflexions sensées, et montre, ce qui ne
saurait
nous être indifférent, que l'usage du thermomètre
ces aux praticiens ; certaines maladies, comme la fièvre typhoïde, ne
sauraient
être traitées désormais sans thermomètre. Appla
eusées au sein de celte masse; mais, vu l'épaisseur des tissus, on ne
saurait
décider si ces cavités communiquent entre elles,
els, et il obtint de très-bons résultats. — M. Paul voulut à son tour
savoir
quelle était la valeur thérapeutique de ces bains
core quelques bains, et la malade sera parfaitement guérie. Nous ne
savons
pas si cette médication, qui a donné de si beaux
Béclard ne sont peut-être pas suffisants pour élucider la question de
savoir
si oui ou non la rate détruit des globules du san
s longtemps à la décomposition putride; mais ce qu'il importe de bien
savoir
, c'est que la rate subit très-vite les altération
ent. — BIBLIOGRAPHIE Lymphatiques utérins et lymphangite utérine.
Su
rôle que joue la lym-phangite dans les complicati
e sont venus brusquement, interrompre les tristes événements que vous
savez
. Au moment où nous avons dû nous séparer, par u
Ischurie et impossibilité d'uriner, dans la langue technique, vous le
savez
, c'est tout un. La signification des mots ischuri
ention d'urine dans la vessie, fait vulgaire chez les hystériques. On
sait
que très communément, en pareille circonstance, p
ier celles de MM. Cl. Bernard et Barreswill, nous apprennent, vous le
savez
, que, dans ces mutilations, il s'opère par l'inte
aque convulsive a éclaté en 1861. Dans quelles circonstances, nous ne
savons
. Il y a là tout un roman, une affaire de viol, da
s là la meilleure police, celle des fem-mes par les femmes ; car vous
savez
que si elles font des complots entre elles, il es
girait-il dans notre cas d'oblitération spasmodique des ure-tères? On
sait
que ces conduits jouissent de propriétés contract
ue. Les recherches expérimentales de MaxHermann démontrent, vous le
savez
,que la proportion cle l'urée diminue dans l'urine
e sérosité; on recon-nut alors qu'elle était entièrement solide, sans
savoir
toutefois quelle était exactement sa nature. Sur
e, ou même entre les cuisses, lorsqu'elle est plus accentuée. On ne
saurait
confondre cet allongement hypertrophique du col a
tumeurs dont il vient d'êlre question avaient de commun entre elles,
savoir
: 1° la figure conique, dont le moindre volume éta
ituelle à cet âge. 11. De la coexistence possible des hypertrophies
sus
et sous-vagi-nales du col. — Nous n'avons en vue,
léser la paroi vaginale. Observation I. — Hypertrophie des portions
sus
et sous-vaginales du col de Vutérus; chute du vag
larités sur lesquelles nous aurons l'occasion de revenir plus loin, à
savoir
: l'ulcération de la tumeur, l'absence d'hémorrha
d'eux, a observé les mêmes effets et a pu les comparer. La cause n'en
saurait
donc être douteuse. (Union méd., 1871, p. 551, n.
urgicalel. Cette discussion a mis en relief un fait considérable, à
savoir
que la grossesse imprime à toutes les tumeurs un
r. 11 en est ainsi de toutes les tumeurs fi-breuses, mais ce que l'on
sait
de l'hypertrophie du cœur chez les femmes grosses
s dans ce moment la preuve vivante des encoura-gements que M. Charcot
sait
donner indistinctement à tous ceux qui travaillen
nitial. D'après les faits que la télégraphie a permis d'ob-server, on
sait
que l'intensité du courant est plus faible au com
re constater très-facilement cet autre fait que je vous ai indiqué, à
savoir
que la contraction due au courant d'ouverture est
on des lésions traumatiques interstitielles. — Depuis John Hunter, on
sait
que les lésions traumatiques se comportent tout d
cavité naturelle ou accidentelle, dont le contenu agit sur les tis-
sus
d'une façon plus nuisible encore que l'air atmosp
qu'il voulait réparer, et sur laquelle le lambeau a repris. — Reste à
savoir
quand et comment devra être employée celte méthod
employée celte méthode pour donner les meilleurs résultats ; reste à
savoir
si, dans la plu-part des cas, la méthode d'autopl
sont les causes qui la produisent? Pour comprendre ce fait, il faut
savoir
que la rupture du cou-rant ne détermine d'action
abilité nerveuse et que les alcalis faibles l'augmentent, ce que l'on
sait
depuis bien longtemps, aussi bien que cet autre f
ne considérer que ce fait, qui à lui seul est déjà très-importanl, à
savoir
qu'il se forme partout et dans toute espèce de su
ins exact, et, dans fous les cas, il est important, selon les cas, de
savoir
employer les courants de la première hélice ou ce
vu ce qu'il en restait à la partie in-férieure. Il est impossible de
savoir
à la simple inspection si les corps caverneux son
sieurs faits intéres-sants ressortent de la précédente observation, à
savoir
: 1° la cause déterminante de l'hypertrophie qui
dificateur des sécrétions ne sont pas nouvelles. De-puis longtemps on
sait
que ce sel agit par son excès d'oxygène pour détr
cellulaire de la région et que l'existence du phlegmon péri-utérin ne
saurait
être mise en doute. (Académie de médecine, févrie
tonna pas, car nous n'étions qu'au deuxième jour de l'affection. Vous
savez
que, dans les paralysies faciales périphériques,
s également pu observer le fait que nous avait enseigné M. Charcot, à
savoir
qu'il y avait deux noyaux d'origine du nerf facia
constate les signes manifestes d'une paralysie du nerf facial gauche,
savoir
: effacement des rides de la moitié correspondant
rtant des études que nous avons faites jusqu'ici, et sur lequel on ne
saurait
trop s'appesantir, c'est la connaissance de l'ant
ation de température dans les pre-miers moments de l'asphyxie. » On
sait
aujourd'hui, d'après les expériences de M. Cl. Be
une irresponsabilité morale absolue serait peut-être exagéré, car ils
savent
se cacher pour voler, et ils ont en général l'ins
cé et a nécessité une ligature sans qu'on puisse élucider le point de
savoir
si la ligature a été faite en masse ou sur une br
vient négative à l'approche des orages et pendant les orages, et vous
savez
combien les personnes nerveuses ressentent viveme
ues et que ce soit lui-môme qui maintienne les tampons. C'est à lui à
savoir
la pression nécessaire, le point spécial qui doit
tampon d'un appareil élec-trique, qu'en hydrothérapie il est utile de
savoir
manier le jet d'eau, et personne ne soutiendra qu
res consécutives soient nuisibles. La question se réduit uniquement à
savoir
quel est le meilleur pro-cédé; est-ce celui qui c
la fibre musculaire pendant tout le passage d'un courant continu. On
sait
qu'en général, les courants continus ne détermine
e et sur le fonctionnement du système nerveux; il s'agit seulement de
savoir
à quel moment et comment cette action doit être d
avec saillie de celui-ci àla vulve. Deux faits frappèrent M. Hegar à
savoir
: l'âge avancé de la malade, qui avait 08 ans, et
et non de prolifération. « La belle découverte de Conheim, dit-il, ne
saurait
recevoir une plus éclatante vérifica-tion que dan
tées par les cellules ; il en résulte finalement un feutrage qu'on ne
saurait
con-fondre avec le tissu adénoïde proprement dit.
lésa esquissées suffisamment, et dans un style toujours agréable il a
su
faire voir les desiderata de la profession médica
; la sensibilité est très-faible ainsi que la force musculaire. Elle
sait
se déshabiller et s'habiller. Elle a soin d'elle,
shabiller et s'habiller. Elle a soin d'elle, raccommode ses affaires,
sait
tenir une plume, mais ne peut écrire son nom. E
ne, nous insisterons simplement sur deux complications impor-tantes à
savoir
: la péritonite chronique localisée et le phlegmo
essante : En avant, l'hypertrophie a porté à la fois sur les portions
sus
et sous-vaginales ; il en résulte que le bas-fond
xes de l'utérus et les parties avoi-sinant le cul de sac péritonal ne
sauraient
être considérées comme ayant été l'origine d'une
ons amènent si souvent la suppura-tion du tissu cellulaire pelvien ne
sauraient
ici être mis en cause ; l'ovaire droit ne contrac
la paroi vaginale postérieure sous l'influence signalée plus haut, à
savoir
l'irritation causée par le coït qui est toujours
traité d'accouchements que dans un mémoire de ce genre ; mais il faut
savoir
gré à l'auteur d'avoir si bien analysé et discuté
dies quelque chose d'occulte, un esprit malin, qui, intervenant on ne
sait
pourquoi dans le cours de ces maladies, leur donn
duit. Il paraissait d'ailleurs situé plus en arrière. Nous ne pouvons
savoir
s'il y avait un seul ou deux placentas, et si les
is pro-voquer l'accouchement chez une racbitique primipare, car on ne
sait
pas alors comment cette, femme accouchera. — Volu
ale, comme l'indique la Planche XXXVI, présente une double déviation,
savoir
: une convexité à droite qui, au niveau de la sep
udierons successivement en commençant par la forme la plus commune, à
savoir
: l'hypertrophie résultant, en quelque sorte, d'u
1864, je reçus un télégramme de M..., par lequel madame H... me fit
savoir
qu'elle viendrait me consulter le 1er octobre. Je
de santé. — On se rendit à l'hôtel; aussitôt installés, on me le fit
savoir
. A 5 heures du soir j'y étais arrivé, muni de t
gie, pathologie, l'auteur a mis à contribution toutes ces branches du
savoir
humain ; l'agent ner-veux, expression de la vie,
e n'est pas un des côtés les moins intéres-sants de cette thèse. — On
sait
, en effet, que l'Académie de méde-cine approuvant
ergot de seigle en théra-peutique. Cette partie n'est qu'ébauchée; on
sait
que, dans l'art des accouchements, l'ergot de sei
). La maladie de Thomsen se caractérise essentiellement, comme l'on
sait
, par des troubles des mouvements volontaires. «
le faire, la voiture en marche ; plusieurs fois il en a tenté l'es-
sai
, mais il est tombé lourdement sur le dos, raidi p
un certain degré d'irritation. Nous laissons ouverte la question à
savoir
si l'influence de la pression négative présente
il existe une autre cause de distension non moins importante. On
sait
que l'activité musculaire joue un grand rôle dans
à volonté telle ou telle frac- tion seulement du poids du corps et
savoir
approximativement, à un mo- ment donné, si c'es
on, je renonçai à l'électricité et j'eus recours à la suggestion, à
savoir
à la suggestion à l'état de veille, sans hypnose.
alors de lésion matérielle à proprement parler et l'explication ne
saurait
être trouvée que dans l'excitation fonctionnell
qu'il soit diffi- cile d'expliquer comment la lièvre se produit, on
sait
au moins qu'elle est un symptôme très commun da
us le combattons si c'est nécessaire, mais il termine sans que nous
sachions
à quoi l'attribuer. La fièvre qui se produit da
accès de fièvre nerveuse. Cependanl, il ne nous est pas possible de
savoir
si, sous celte dénomination, on prétend indiquer
ctuelles assez développées, manquent nonobs- tant de jugement et ne
savent
pas se diriger dans la vie. Elle avait été élev
i contribua peut-être à rendre l'éruption plus intense ; mais on ne
saurait
soutenir qu'elle en fut la cause unique, car nous
encée parce qu'on le regarde. Ecriture. Quand on le fait écrire (il
sait
signer son nom) il se raidit d'a- bord, fait de
nel, mort à 66 ans d'une pneumonie; grand'mère morte à 65 ans on ne
sait
plus de quoi. Pas de nerveux dans la famille. M
sions articu- laires, etc. Déviations de la colonne vertébrale. -On
sait
com- bien les déviations vertébrales sont fréqu
tout. En tous cas, déclare Audry, dans les faits précédents, on ne
saurai
! songer à incriminer les altérations osseuses
simulant celles du rhuma- tisme déformant classique. Aujourd'hui on
sait
très bien que Charcot et son école font précisé
mandes, et y répondent par signes, d'autres, en assez grand nombre,
savent
parfaitement lire et même écrire ». Les sujets
utant plus détestable et illisible que le malade est ob- servé ; on
sait
en effet que dans le cas de Charcot et Iluet, l'é
- tres étaient plus régulières que dans la chorée chronique. Nous
savons
parfaitement bien qu'en pareilles circonstances l
s elle-même à écrire, danse bien, montre du goût pour la musique et
sait
jouer du piano. Barrs. Intelligence claire. Émo
nte. Mémoire très bonne. Richardière. Enfant douce et intelligente,
sait
écrire et compte (Jeanne). - Idem. Intelligen
anque pas d'intelligence, sait bien lire. Rau. Malade intelligente,
sait
écrire. Mémoire bonne. Kussmaul et Scluecle. In
errompue et explosive, du reste le petit malade est imbécile, il ne
sait
dire que « Pppaul », « ourchette » (pour dire fou
vraisemblable que dans la majorité des cas les parents n'auront pas
su
faire la différence. Chez un de mes malades l'aff
tes là qu'au niveau des membres inférieurs d'après Massalongo. On
sait
que dans la maladie de Little, la contracture des
e 13. Mais ce qui se voit mieux sur les Iracés de la fignre Hi, par
su
i te dll trouble myotonique plus accentué du mu
riques répétées ou prolongées est ainsi des plus manifeste. Nous ne
savons
si la fatigue phy- siologique c'est-à-dire la f
avure du Musée du Louvre. Elles ne sont pas de même sens, mais nous
savons
qu'à cette époque les graveurs ne retournaient
est seule- ment au front qu'il accuse la sensation pénible que vous
savez
et ce symp- tôme, je vous l'ai déjà dit, serait
tomie des formes, il a imaginé un « canon » de l'homme normal. Vous
savez
qu'en termes d'art, on appelle « canon » le rappo
ataxi- que. L'étude du processus de ces arthropathies tabétiques ne
saurait
être détachée de celle des fractures de même na
ns en mesures absolues, métriques et prennent des moyennes. Je ne
saurais
m'étendre ici sur les nombreux travaux auxquels c
ous re- cherchons les rapports de la ligne épitrochantérienne. Vous
savez
que cette ligne, chez l'homme normal, répond en
is avec des matériaux forcément insuffisants, le présent travail ne
saurait
être qu'une simple ébauche. Si imparfait qu'il so
cancer des vertèbres, altérations qui entraînent souvent, comme on
sait
, des lésions médullaires consécutives. Les autres
termination des, causes exerçant une influence sur la déviation, de
savoir
s' LU existe une relation entre le sens de cett
t une loi qui souffre néanmoins des exceptions nombreuses et qui ne
saurait
être acceptée qu'après un supplé- ment d'enquêt
ment monstrueuse, relève bien et dûment de celle affection et il ne
saurait
être question d'une déviation indépendante, for
sorte que les malades en ignoraient l'existence; on ne pouvait donc
savoir
à quelle époque elle avait commencé. « L'exis-
, et si la contracture pouvait bien en être la cause, ce dont je ne
sais
rien, la paralysie, la parésie, l'atonie elle-mêm
'a- thétose double. Le côté intéressant de cette question, c'est de
savoir
si les alhétosiques doubles avec les déformatio
le ne s'adresse pas directement ni à l'athétose, ni aux spasmes. On
sait
qu'on a pratiqué contre l'athétose unilatérale, l
enfant et d'enlever les foyers hémorrhagiques qui sonl. comme on le
sait
, très fréquents au niveau des méninges. Iiorsle
eignements très in- complets sur ses antécédents héréditaires. Nous
savons
seulement que sa mère a toujours été nerveuse e
us le chloroforme permettrai de discer- ner les cas de ce genre. On
sait
aujourd'hui que la déformation peut dis- paraît
a déviation a sur- vécu quelque temps à l'affection première, on ne
saurait
conclure qu'elle (1) Voy. len»3, 1892. (2) Ch
ronc qui lutte contre les muscles gau- ches. Ceux-ci, paralysés, ne
sauraient
réagir contre cette double force; l'équilibre e
raux. Les déviations vertébrales sont en effet fréquentes, comme on
sait
, dans plusieurs affections spinales, et d'autre
n est ordinairement légère. Pour ce qui est de la pathogénie, on ne
saurait
, d'après Audry, mettre ici en cause des altérat
du ra- chis ait pu produire la scoliose de Balth..... D'abord il ne
saurait
être question d'un trouble bilatéral égal et sy
n vertébrale en pareil cas, on pourrait invoquer d'autres causes, à
savoir
, un certain état parétique et spasmodique des mus
ts que la scoliose des adolescents, capable d'en- gendrer, comme on
sait
, des déviations très accentuées, n'est pas justic
cependant, à notre avis, se faire déjà une opinion à cet égard. On
sait
que les partisans de la multiplicité des alhétose
re les mouvements ataxiques et les mouvements athétosiques. Mais on
sait
aujourd'hui que les ataxiques peuvent offrir de
Max Schaede, dans sa dissertation sur l'athetose, déclare qu'on ne
saurait
encore dire si celle-ci peul être transmise par
cidents qui traversent la grossesse maternelle peuvent, comme on le
sait
, agir d'une façon très fâcheuse sur le centre ner
rtant. Le rôle de l'accouchement est fort intéressant à étudier. On
sait
aujour- d'hui que les accidents qui l'accompagn
els les remèdes ordinaires agissent avec le peu d'efficacité que vous
savez
. III M. Gilles de la Tourette ne s'est pas bo
ainsi pratiquée ne soit un sédatif puissant du système nerveux. On
sait
que depuis longtemps les médecins aliénistes empl
t-on bien de couper la séance par une pause de quelques minutes. On
sai
combien est individuelle pour ainsi dire la malad
enir compteici des susceptibilités individuelles, mais il faut bien
savoir
aussi que la tolérance devient de plus en plus pa
gerais encore bien des choses qui ne nourrissent pas mais ce que je
sais
être nour- rissant, c'est ça que je ne veux pas
que je sais être nour- rissant, c'est ça que je ne veux pas. Si je
savais
que je ne deviendrai pas trop forte, j'aurais p
ntérieur de l'un ou l'autre pied. Entre temps, il s'est brûlé sans le
savoir
, à la face externe de la jambe droite ; cette b
Osier et Audry, que cette affection n'est pas si rare que çà. Nous
savons
, d'autre part, que plusieurs malades con- sidér
le. Mais les divergences d'opinions commencent, lorsqu'il s'agit de
savoir
quels peuvent être le siège et la nature des lé
l'enfant. Pas de tare nerveuse. Un frère est mort tout petit on ne
sait
pas de quoi ? Une soeur bien portante, sans accid
NOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. Les père et mère paternels morts on ne
sait
de quoi. Grand-père maternel mort à 91 ans. Gra
mort à 91 ans. Grand'mère maternelle morte il plus de 80 ans on ne
sait
de quoi. Un oncle paternel (le frère de son mar
aternels. Un mort de traumatisme. Un de la variole. Troisième on ne
sait
de quoi, mais pas d'ac- cidents nerveux. Leurs
turel. Il reconnaissait le monde. riait, il comprenait tout mais ne
savait
pas s'en servir. Son regard était hagard, il l'
r Athétose (Berl. Klin. TPoc7z., 1880). M. Porporati. Note cliniche
su
d'un morimento etc.. (Arch. Ital. per malattie ne
s lequel il consacre un curieux chapitre au canon artistique. Je ne
saurais
entrer ici dans la discussion des idées ingénie
v 21 314 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. supérieurs ne
sauraient
convenir à une figure de sept têtes et demie, et
ttes ne sont-ils que de petits squelettes amplifiés ? La réponse ne
saurait
être douteuse. Il est, en effet, d'observation vu
taille moyenne ou môme de petite taille. Le canon de huit têtes ne
saurait
donc lui être appliqué. La taille de la femme,
sont point stables, elles subissent de perpétuels changements et ne
sauraient
être séparées des phénomènes d'évolution et de
chez l'enfant, le rapport de la grande envergure à la taille ? Nous
savons
que chez l'adulte la grande envergure dépasse la
grande névrose. Aujourd'hui donc, quand il s'agit d'hystérie, il ne
saurait
plus être question de « protée insaisissable »,
n. Quelque intérêt qui s'attache à ces questions générales, on nous
saura
peut-être gré de les avoir écourtées pour entre
ionnabilité qui constitue le fonds même du caractère des enfants ne
saurait
suffire il nos yeux pour porler le diagnostic d
simulatrice; ses écrits restent toujours absolument vrais et on ne
saurait
trop les citer. Depuis, on a répété surabondammen
vons en vue ; celle-ci s'impose au sujet comme une maladie et il ne
saurait
la forger de toutes pièces, alors môme que l'im
st très atténuée chez l'enfant atteint d'hémiplégie spasmodique. On
sait
également que si la paralysie du facial inférie
érences qui tiennent d'abord à ce que la simula- tion hystérique ne
saurait
être absolue et qu'elle rencontre forcément des
i- que des centres nerveux. Mais les difficultés de diagnostic ne
sauraient
exister pour les cas extrê- mes. Nous ne discut
ie généralisée, avec les points hystérogénes suivants : 10 Région
sus
et sous-mammaire ; 2° Région pseudo-ovarienne ;
our ces deux couleurs, si l'on prolonge l'examen. A droite, il ne
saurait
être question de champ visuel (fig. 44). Examen
visite du matin, le malade est de très mauvaise humeur, sans qu'on
sache
pourquoi ; il ébauche devant nous une sorte de cr
Comme vous voyez, il est facile d'éliminer toutes ces causes et de
savoir
, si nous nous trouvons en présence d'une polyop
ons également en vérifier un autresur lequel on n'a pas à ce que je
sache
, appelé l'attention jusqu'à présent. Voici le f
on le rencontre seulement dans l'expérimentation hypnotique. Vous
savez
que lorsqu'un individu se trouve en état d'hypnot
ées de tout le cortège de mou- vements qui leur sont associés. Vous
savez
que ces manifestations persis- tent chez l'hypn
ntale. Mais / 36G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. vous
savez
que les phénomènes hystériques provoqués par un t
que je traite l'hémiplégie cérébrale causée par une hémorrhagie. Je
sais
très bien que ce traitement de l'hémiplégie doi
out à fait persistante, inaccessible au traitement quand le proces-
sus
morbide s'est achevé, et qu'il y a une relation e
être épuisée. La contracture des hémiplégiques est néanmoins, on le
sait
, per- manente. Je crois que toute contracture
u l'absence du bruit \ésiculaire, des râles sous-crépitants je pas-
sais
il la faradisation en posant les rhéophores au-de
as où il y avait crépitation, une crépitation plus grossière. Je ne
saurais
expliquer ces résultats qu'on peut trouver incroy
dans la région inférieure du cou que dans sa région supérieure. On
sait
que le pneumo-gastrique est un nerf (1) Compare
légie grave ne disparait jamais à la suite d'une séance, mais on ne
saurait
citer tant d'amélioration immédiate à la suite
constata que les cordons postérieurs étaient dégénérés. L'ataxie ne
saurait
disparaître si elle dépendait de la dégénératio
s que de raison, et le simple rapprochement que nous faisons ici ne
saurait
être considéré comme une preuve péremptoire. L'
ourent à mettre en lu- mière cette inconvenante 'exhibition. On, ne
saurait
nier la valeur artisti- que de cette statue, le
ire et de la cinquième paire étaient encore ignorées. Aujourd'hui, on
sait
que les mouvements des muscles de la face sont so
i se produisent pendant le jeu de la physionomie. B. Lavater, on le
sait
, s'était livré à l'étude de la physionomie au rep
fibres relâchées sur le cadavre. Ce moyen si simple, si fécond, je ne
saurais
dire qui l'a inventé, ni même qui me l'a appris
evrait expliquer ces mouvements, suivant cette assertion de Camper, à
savoir
: que les plis et les rides du visage sont nécess
it, l'utilité de l'illusion produite par certains traits de visage ne
saurait
être méconnue. En voici, je crois, les principaux
semblent se continuer les unes dans les autres, à tel point qu'on ne
saurait
assigner les limites exactes du plus grand nombre
laire de la face humaine est intimement liée à la psychologie ; on ne
saurait
certes le nier, lorsqu'on me voit, pour ainsi dir
une passion dont ils sont les uniques représentants, mais qu'ils ne
sauraient
peindre complètement. Dans un troisième ordre,
épendance des contractions musculaires instinctives ou réflexes. On
sait
avec quelle régularité tous les mouvements instin
plus compliqués, avec une facilité et une précision que la volonté ne
saurait
jamais égaler. On comprend donc comment chaque pa
vé par Galion à la physiologie expérimentale des anciens (2). On ne
saurait
contester l'utilité de l'anatomie morte appliquée
e dont nous ne pouvons admirer aujourd'hui que les débris? Si l'on ne
savait
le contraire, on ne manquerait pas de supposer un
s alors en honneur. Aussi avec quelle sévérité et avec quelle sagesse
savaient
-ils accuser les reliefs et les dépressions qui tr
re la situation , la forme et la direction des muscles de la face, de
savoir
que tel ou tel de ces muscles préside à l'express
on, de l'âge du sujet, etc. Les maîtres de l'art n'ont pas toujours
su
trouver ces lignes fondamentales : tantôt, après
issant leur travail, sans pouvoir les retrouver; d'autres fois il ont
su
les exprimer seulement d'un côté de la face. Je c
ement, quelle que soit la hauteur de son génie. Mais il faut que l'on
sache
qu'elles ne sont pas un simple ornement, une fant
seulement sous la dépendance des contours du visage, sur lesquels on
sait
que Lavater a fondé sa doctrine; elle est aussi c
'entrer clans des considérations anatomiques et physiologiques qui ne
sauraient
trouver place dans l'explication des figures d'un
recherches, il faut, au moyen d'une sage distribution de la lumière,
savoir
mettre en relief telle ou telle ligne expressive.
ient été faits sur mes négatifs primitifs d'un quart de nature. Je ne
sache
pas que ce genre de photographie ait été fait ava
eule a le pouvoir de les mettre partiellement en mouvement. Or, on le
sait
, le vieillard dont il a été question plus haut (v
ractère doux et inoffensif se reconnaît dans son portrait, fîg. 3. On
sait
que son sourcil est très mobile en tout sens et o
. Ce mouvement de la paupière inférieure, sans lequel toute joie ne
saurait
se peindre sur la face avec vérité, a besoin d'êt
la figure 36, parce que la contraction des palpébraux produite, on le
sait
, par le spasme des paupières, y est plus forte.
ombreux, que le sujet est plus avancé en âge. B. — Expression. On
sait
que les commissures labiales du sujet sur lequel
nsi qu'on l'observe chez les enfanls en général ; leurs lèvres, on le
sait
, se renversent en avant et se retroussent pendant
produites, dans certaines circonstances, par l'émotion du plaisir. Ne
sait
-on pas, en effet, que la nouvelle d'un grand bonh
t elles donnent à l'homme un air niais et ridicule. Cependant on ne
saurait
se défendre d'un mouvement de compassion à la vue
quel j'ai photographié ces expériences électro-physiologiques n'a pas
su
lui-môme imiter ces expressions, parce qu'il ne l
lui-môme imiter ces expressions, parce qu'il ne les sentait pas. — On
sait
que son intelligence est bornée. — Je l'avais eng
un gonflement spasmodique du cou et tirent les traits de la face, ne
sauraient
se peindre sur le vi sage cle 1 ' h om me. On a
de ces figures ajoutent certainement à l'effet de leur expression, On
sait
d'ailleurs que, dans l'effroi, la stupeur est tel
ts semblables à ceux qui existent sur les figures 23, 2/i et 25. — On
sait
que ces dernières figures représentent un jeune h
ossible, car aucune contraction musculaire, partielle ou combinée, ne
saurait
le produire. Les sillons et les reliefs qui régne
lice d'une manière aussi cruelle et pour un motif aussi frivole. — On
sait
en effet que c'est pour avoir osé défier Apollon
able pour les raisons suivantes. La tête du Laocoon do Bruxelles ne
saurait
convenir au groupe du Laocoon de Rome. En effet,
ues auteurs même, Phidias y aurait travaillé. Chez les Crées, on le
sait
, la beauté plastique était presque seule en honne
n'est pas la Niobé. Dans l'exécution de ce chef-d'œuvre, Praxitèle a
su
marier la perfection de la forme à la beauté de l
quillité contrastant avec le mouvement extraordinaire que Praxitèle a
su
donner à son geste et à son attitude, qui trahiss
us ou moins grande du sourcil s'observe dans la douleur; mais elle ne
saurait
sutïire à exprimer cette passion. Telle est, en e
t caractérisé par un ensemble de lignes et de reliefs inséparables, à
savoir
: l'obliquité du sourcil, le gonflement de sa tôt
tions de laine. » (Texte de l'album, page 6.) J'avais encore, on le
sait
, d'autres raisons pour donner la préférence à ce
bles. Elles ne peuvent l'être; car, en procédant de la sorte, je ne
saurais
avoir la prétention de les traduire toujours auss
l me semble l'entendre se lamenter. La figure 76 prouve que rien ne
saurait
remplacer, pour l'expression de la douleur, la fo
s, que l'on se rassure: loin de conduire à ce réalisme moderne qui ne
sait
nous montrer la nature qu'avec ses imperfections,
et même certains actes de l'intelligence. » De même l'art antique a
su
nous faire connaître la beauté plastique, la beau
sthétique. Il serait cependant utile que l'artiste la connût. 11 doit
savoir
, en outre, qu'entre le maximum de l'extase cyniqu
la douleur, combinaison qui constitue une expression discordante, ne
saurait
être longtemps soutenue sans blesser le sentiment
mélangé leur breuvage du soir, Que la vie et la mort contestent pour
savoir
S'ils sont morts ou vivants... C'est un sommeil d
cruelle la femme à qui Shakspeare a fait dire : «J'ai allaité, et je
sais
combien j'aime tendrement le petit » qui me tette
es pas embellir la physionomie.—Les traits qui accusent son action ne
sauraient
non plus être sympathiques. Cependant la terrib
prendre à mon modèle un costume en rapport avec la circonstance. — On
sait
que, dans cette scène, lady Macbeth devait être p
es émotions de l'âme ; enfin, que la joie fausse, le rire menteur, ne
sauraient
provoquer la contraction de ce dernier muscle.
ieux, et sa bouche veut se composer un sourire trompeur, comme elle a
su
faire entendre des paroles affectueuses et menteu
e et quelquefois spéciale. En somme, si les tableaux synoptiques ne
sauraient
suppléer les figures isolées de l'album, dont ils
u pyramidal et les fibres de ^hypoglosse (cas de Anna Goukowski).
savez
qu'à la suite de la section d'un nerf il se fait
porte- plume une règle une règle pour écrire..... un crayon..... je
sais
bien ce que c'est..... ah ! mon Dieu. » Elle s'
rcher à déterminer les lésions qui leur ont donné naissance. Nous
savons
déjà que l'hémiplégie gauche avec paralysie du mo
it. SYNDROME TEMPORAIRE DE WEBER AVEC HÉMIOPIE PERMANENTE 11 Nous
savons
aussi, d'après les notions admises actuellement s
res mêmes de la vision, c'est-à-dire dans le lobe occipital. Nous
savons
également que les troubles paraphasiques, tels qu
e puissent être la cause du syndrome de Weber, mais parce qu'on ne
saurait
expliquer de la sorte ni l'hémiopie, ni la para
t pas delà sorte l'évolution des symptômes, et en particulier on ne
saurait
comprendre, dans cette hypothèse, la disparition
raîtra peut-être très considérable. On s'en étonnera moins lorsqu'on
saura
que tous les ataxiques qui se sont présentés n'
t ne peut se baser que sur l'expérience directe lorsqu'il s'agit de
savoir
si, indépendamment des phénomènes observés, l'é
fournis par les recherches anatomiques l'élongation dans ces cas ne
saurait
avoir lieu. Pendant la flexion, pour ainsi dire
trop restreintes. Il est des sujets en effet chez lesquels elle ne
saurait
avoir lieu par suite d'une adipose très marquée
nt un instant mais il ne répond pas. Qui te l'a tordu ? - Je n'en
sais
rien. Le 19, il a criépendant toute la nuit : «
nimaux, quel que soit l'intérêt qu'ils présentent dans l'espèce, ne
sauraient
être appliqués sans contrôle la pathologie huma
érieure de la capsule interne ; ce qui n'est point, comme chacun le
sait
. Comme réponse aux conclusions de Luciani, on p
orce du cerveau. Ces cas sont de ceux qu'une critique rigoureuse ne
saurait
admettre sans réserve en matière de localisatio
vons-le en passant, ne détruit d'aucune façon notre conclu- sion, à
savoir
: que la partie antérieure du lobule pariétal sup
e sais bien, et je me hâte de l'avouer, qu'un néoplasme cortical ne
saurait
produire des accès de délire chez le premier venu
hé la sensibilité articulaire (chez les ataxiques par exemple) pour
savoir
qu'il faut à chaque instant se mettre en garde co
es sensations élémentaires X ayant disparu la sensation complexe ne
saurait
exister, pour localiser le sens stéréognostique
ien différente. Un point du moins est acquis défini- tivement, nous
savons
que la destruction de certaines parties de l'écor
e existant à l'exclusion de tout autre trouble de sensibilité, nous
savons
que la sensibilité articulaire, que la sensibilit
ue de la lésion, nous relèverons surtout cette autre con- clusion à
savoir
que ce sont principalement les sensations associé
st-il très prudent et s'abstient dit- il de discuter la question de
savoir
si les troubles sensitifs qu'il a cons- tatés s
a en Italie où il se fil remarquer par la facilité avec laquelle il
sut
s'approprier la manière des maîtres italiens, d
tifs. Il faut compter d'abord avec les variétés individuelles. Nous
savons
(I) Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, an
er sur la cuisse oscil- lante vers le milieu du pas antérieur. Nous
savons
qu'à ce moment, dans la marche ordinaire, il se
la marche ordinaire. La démonstration en est facile à faire. Nous
savons
, en effet, que, dans la marche ordinaire, la jamb
dre, mais parce que, dans les conditions où ils se trouvent, ils ne
sauraient
mar- cher autrement. De nos jours, M. le comm
ation des chocs produits par la pression du pied sur le sol. Or, on
sait
, disent-ils, que les a-coups et les oscillations
re, et, par suite, se trouve plus rapproché du membre portant. Nous
savons
que d'or- dinaire la retombée du pied sur le so
tte hypothèse s'appuie d'ail- leurs sur une base histologique. On
sait
en effet, que Ramon y Cajal (1) a divisé les fibr
ssant sur la peau nue, y prédispose. Kaposi dit de même que nous ne
savons
rien des causes du lichen ruber ; d'après ses o
e 10 ans; l'éruption envahit exclusivement le côté gauche du corps,
savoir
: la sur- face interne de l'extrémité supérieur
dans la caté- gorie des infantiles myxaedémateua. Infantile, il ne
saurait
l'être davan- tage ; myxoedématenx, il l'est as
yroïde soit restée indemne. Encore faut-il préciser davantage. On
sait
que le corps thyroïde de l'homme se compose de
masculin où ne sont qu'ébauchés les stigmates de la virilité, on ne
saurait
y voir un être demeuré enfant passé l'âge. Car sa
etit infantile est représenté dans une posture de pugiliste. Or, on
sait
que les anciens avaient coutume de figurer les
uet (rez, intern. de l'enseignement des sourds-muets, 189t, t. IX, p.
su
Cu. Féré, Remarques sur le traitement pédagogiq
nt une lésion si répandue. Quant à l'hérédité hétéromorphe, nous ne
savons
pas au juste en quoi elle consiste ; dans bon n
edreich, croient avoir affaire à une myopathie primitive, mais nous
savons
aujourd'hui qu'il ne-peut pas s'agir d'une myopat
it qui s'observe dans d'autres ossifications. Dans la myosite, nous
savons
que l'ossification progresse en général du cent
res cervicales où ils existent, mais sont très limités. Les muscles
sus
et sous-épineux sont atrophiés, et les fosses q
place pour son développement et ainsi survint ujie anencéphalie. On
sait
que la dure-mère est composée de deux feuillets e
de l'autre. Comment peut-on expliquer les anomalies en question, à
savoir
la fissure dans les cordons latéraux de la moel
fichu sur la tête, rébarbative et rechignante, sans qu'on puisse en
savoir
au juste la raison. Au fond, à droite,se tien
du panneau. Avec la même donnée et les mêmes personnages, Brouwer a
su
, par des chefs-d'oeuvre de réalisme, mettre en
eur, évitant les grimaces et les contorsions qui sont, comme chacun
sait
, le propre des petites gens. Il n'a eu qu'une s
rurgien, et de la vieille commère à lunettes. L'essentiel serait de
savoir
à quelle opération se livre cet inciseur de crâ
édecin traitant a prononcé le mot de méningite. Il est difficile de
savoir
, d'après les quelques renseignements que nous avo
ées ai se dérouler pour aboutir à l'état actuel, le dia- gnostic ne
saurait
prêter à de grandes hésitations. Il faut qu'il re
ections de l'encéphale qui, évoluant avec la progressivité que vous
savez
, se traduisent à la fois par des désordres de l
es tumeurs cérébrales qui puissent entrer en ligne de compte. Il ne
saurait
être question, dans le cas présent, d'une de ce
énérale ou un phénomène de compression locale. L'intéressant est de
savoir
que, presque toujours, la névrite oedémateuse est
schrift, 1892, no 1), . SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 223 Vous
savez
la position qu'occupe le cervelet, au-dessus du b
rconstances que nous envisageons peut viser deux buts différents, à
savoir
: des effets purement palliatifs; la guérison r
. 1 Étant donnée la gravité.de la situation, la question se pose de
savoir
s'il n'y aurait pas lieu de tenter une opératio
de la sensibilité de la peau. Notre ignorance actuelle au sujet de
savoir
à quel genre de sensibi- lité de la peau est de
aux destinés exclusivement il la perception.de la douleur. ' Nous
savons
que la température haute ou basse au delà des lim
importance capitale de par ce fait qu'elle n'a été signalée, que je
sache
, dans aucune autre affection que l'hérédo-syphili
appellent notre attention au point de vue de l'hérédo- syphilis. A
savoir
: L'angle postérieur du pariétal gauche est occ
lent bien dénoncer ce crâne comme celui d'un hérédo-syphilitique, à
savoir
: malformation générale; anomalies sutura- les
rente-deux ans. Cette syphilis se traduit par divers ac- cidents, à
savoir
: chancre induré de la rainure glando-préputiale,
qu'au titre de stigmate, je ne veux voir en elle qu'un symptôme, à
savoir
l'exagération dispropor- tionnée de la tête, en
un traitement mercuriel et ioduré il doses énergiques ; mais je ne
saurais
dire, n'ayant plus eu l'occasion de revoir cette
toujours bornée, au reste, à des accidents no- tablement bénins, il
savoir
: érosion chancreuse au début; puis sypliilides l
hi- litiques, d'avoir l'attention attirée vers un détail spécial, à
savoir
la dilata- tion de certains troncs veineux crân
agnostic vers la recherche de 1 'hérédo-syphi 1 is. « Resterait à
savoir
le pourquoi de ce phénomène en question. Qu'est-
tance blanche. Comment interpréter cette atrophie médullaire ? On
sait
que, pour expliquer les atrophies musculaires, su
a théorie de la dégénéres- cence rétrograde (thèse Paris, 1895). On
sait
actuellement, que, contrairement il la loi de W
un neurone produisant des modifications fonctionnelles des neurones
sus
et sous-jacents, l'atteinte du neurone mo- teur
a gauche. 16° Une masse osseuse qui s'unit au précédent et qu'où ne
sait
pas il quel muscle rapporter. 17o La portion
fication se produit- elle dans le tissu conjonctif du muscle, je ne
saurais
le dire. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 2
ssances sur les côtes. A l'épaule, des deux côtés, ossification des
sus
et sous-épineux; des ronds, des grands dorsaux
,et sans mouvements au niveau de l'articulation phalangienne. On ne
sait
pas si c'est par ankylose ou par absence d'une
e processus se montra à la région correspondante du côté droit; les
sus
et sous-épineux et la partie posté- rieure du d
que la gauche. Immobilité absolue des omoplates. Ossification des
sus
et sous-épineux. Les bras, fléchis à 130°, 140°,
t en cypho-scoliose. Les omoplates sont fixées ; atrophie des muscles
sus
et sous-épineux. Sacrum et coccyx munis de peti
le, d'aller à Anticyre : c'est ici qu'on enlève les taons. » Or, on
sait
qu'un dicton ancien conseillait d'envoyer les f
ication par lettre, la colonne cer- vicale demeure immobile : il ne
saurait
être question de mouvements de flexion ou de ro
di- sent Lancereaux, Leyden et Goldscheider et avec le peu que nous
savons
du cas autopsié par Bechterew, nous conduit à p
OGÉNIE DE LA CYPHOSE ET DE LA SOUDURE DES CUISSES EN FLEXION. On ne
saurait
être que très réservé quant à l'interprétation de
façon générale, devient écarlate quand on l'approche du feu. On ne
sait
si les sueurs sont exagérées à droite. En hiver
rice circulaire consécutive à un ulcère variqueux, par exemple : on
sait
qu'il se produit dans ces condi- tions une stas
teint dans l'éléphantiasis acquis. » Ce mécanisme pathogénique ne
saurait
être invoqué lorsqu'il n'existe pas, il l'origi
ture locale, etc. Les cas d'hémihypertrophie faciale congénitale ne
sauraient
, pensons- nous, être justiciables d'une semblab
sitif concernant l'étiologie de ces cas ; aussi est-il difficile de
savoir
si la syphilis joue un rôle dans cette maladie.
sion tout il fait normaux; mais, au lieu des hémisphères, apparais-
sait
une formation aplatie et arrondie ; veiitraleiiie
a pression exagérée du liquide d'amnios. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA
SAI
.pLrRIÈIOE. T. XI. 1'1. XLVI a b c d D
es. Ainsi donc l'hypo- thèse que nous avons faite antérieurement, à
savoir
que le développe- ment des cellules nerveuses d
ous les éléments de la 384 NICOLAS SOLOVTZOFF moelle épinière, il
savoir
: des cellules nerveuses, des fibres myéliniques
outes ces tumeurs siègent dans les muscles. Les muscles des régions
sus
et sous-épineuses, ceux des régions inter-scapula
lever suffisamment les bras. A la suite d'une chute qui porte on ne
sait
sur quelle région la tête de l'enfant se penche à
coupe. .. Examen microscopique. - Tissu embryonnaire très jeune, à
savoir
pas de grandes cellules étoilées avec des prolo
t l'atten- tion, c'est l'asymétrie considérable de ce visage. On ne
saurait
vraiment la mettre sur le compte d'une erreur d
ême tableau. Une telle déformation est certainement voulue. Reste à
savoir
si elle répond à une réalité patholo- gique. '
t. En des pages vibrantes d'émotion, et avec la compétence que l'on
sait
, Gilles de la Tourette a fait revivre pour nos
s témoignages. Aussi, la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière ne
saurait
-elle rendre un plus grand hommage au souvenir d
sous l'inspiration de Charcot, rien de ce qui louche il Charcot ne
saurait
rester étranger. Discours de M. le Professeur B
fique, c'est ici que nous avons voulu placer-son souvenir. , Nous
savons
, Monsieur le Président, que la Ville de Paris vei
lture à des mains françaises. Je leur confie l'exécution de ce vau,
sais
qu'ils l'accompliront et qu'en mémoire de leur
notre nature : la noble curiosité du vrai 1 Et combien ce besoin de
savoir
n'était-il pas plus vivement excité encore par
onsidérer les convulsionnaires comme les instruments du démon. Nous
savons
aujourd'hui que tous les phénomènes qui se produi
nt, je vous le répète, la portée est incalculable. Sans doute, nous
savions
déjà qu'il existe des affections du système nerve
edevables de cette notion. C'est à lui surtout que nous de- vons de
savoir
que la grande névrose, la névrose par excellence,
resque seules, les femmes sont victimes de la grande névrose ; nous
savons
aujourd'hui que les deux sexes lui paient un trib
t devenu une question d'hygiène individuelle et sociale, dont on ne
saurait
trop faire ressortir la portée. En dehors du tr
ent même reconnu que seuls les hystériques sont hypnoli- sables. On
savait
aussi, depuis assez longtemps, que les phénomènes
iques de l'hypnotisme donne encore lieu à des abus fréquents. On ne
saurait
en rendre responsable celui qui, en définissant l
nce et sans compromission, de tout le poids de l'autorité qu'il avait
su
acquérir. Il créa ainsi cette École de la Salpê
, l'épine de l'omoplate fait un relief très appréciable et les fosses
sus
et sous-épineuses présentent un méplat très vis
f de l'épine scapulaire est tout aussi accusé ainsi que les méplats
sus
et sous-épineux. On voit en outre le relief app
qu'à gauche, non seulement les reliefs du deltoide mais encore des
sus
et sous-épineux, éléva- teurs du bras dans ce c
à gauche, et toute difformité apparente s'efface, sauf les méplats
sus
et sous-épineux. Mais le Nom. ICOI;OGIeAl'ilil
e malade ne se plaint que de quelques tiraillements dans les fosses
sus
et sous-épineuses, se produisant surtout dans l
du trapèze, que cette exposition sommaire n'ait pas été faite. Nous
savons
, au demeurant, que Duchenne regardait comme des
de faire un choix dans la plupart de ces diverses observations, de
savoir
par exemple si tel cas se rapporte il une paralys
Le trapèze, qui présente également deux portions bien délimitées, à
savoir
, le trapèze supérieur ou descendant et le trapèze
sur aucune notion anatomique. De plus, une exception de ce genre ne
saurait
expliquer la fréquence de l'association paralytiq
médiane le bord spinal du scapulum, le second l'en éloigne. Mais on
sait
que, d'ordinaire, les muscles antagonistes se con
ong du corps. Cette élévation en masse est facile à concevoir. Nous
savons
, en effet, que tout muscle qui, par sa contrac-
ement, mais par un mécanisme indirect qu'il convient d'élucider. On
sait
que, dans l'élévation 4M A. SOUQUES ET P. DU VA
embres inférieurs, à la demi-idiotie et à l'épilepsie. D'une part, on
sait
que les lésions cérébrales (scléroses, porencép
aques de nerfs auxquelles elle est sujette. De ces attaques elle ne
sait
d'ailleurs absolu- ment rien, sauf quelques rar
un véritable coup de théâtre ? Tous ceux qui ont vu des pleurésies
savent
qu'un épanchement de 600 grammes ne peut absolu
le dans ce fait que nulle autre cause organique ou fonctionnelle ne
saurait
donner raison de phénomènes aussi singuliers. N
apeu- tique purement suggestive que nous avons faite un peu sans le
savoir
. Mais l'appareil respiratoire est-il complèteme
est possible, à la démonstration poursuivie dans ce petit travail :
savoir
que la dyspnée de notre malade est de nature hy
es-uns. Tous ceux qui ont été admis dans l'intimité de son père lui
sauront
gré d'un témoignage si naturel de vénération fi
pas une des moindres raisons de sa fortune scientifique que d'avoir
su
mettre au service de ses études médicales le te
itudes artistiques de son père, qui, dans son métier de carrossier,
savait
trouver de très ingénieux motifs d'art décorati
arole était sobre el précise. Jamais, dans sou discours, il ne lais
sait
échapper un ternie superflu. Les mots arrivaient
isiter celle province, cl en particulier la basilique de Vexday. Il
savait
là-dessus tout ce que l'on pouvait savoir. Quan
a basilique de Vexday. Il savait là-dessus tout ce que l'on pouvait
savoir
. Quant au fameux narlhex, il n'ignorait rien de s
même coup cl'mil, le clinicien diagnostiqua la maladie. Et l'on ne
sait
ce qu'il faut louer davantage, du réalisme de l'a
nu Charcot intime. Et quand longtemps on l'a vu de très près, on ne
saurait
mieux honorer sa mémoire qu'en le montrant tel
naturelle : géologie, botanique, ento- IIII)101C..1 t'entendre, il
savait
tout, sans oublier la médecine. VA Char- cot, q
aissables. Chacun, d'un trait de plume, est caractérisé. Et rien ne
saurait
mettre mieux en valeur la faculté critique de Cha
er. , ' Ce rapide coup d'n'il jeté slir l'artisle el sur l'homme ne
saurait
ajou- ter à une gloire désormais incontestée. S
oire désormais incontestée. S'il a permis de faire entrevoir El qui
sait
? ... Si, d'aventure, en ce lointain conseil de f
is dans l'oeil gauche ; mais cependant l'acuité visuelle ne parais-
sait
pas diminuée. Les vomissements qui n'avaient pas
; il est rarement couché, il se promène partout dans l'hôpital sans
savoir
où il va, et on est obligé de le surveiller de tr
e- nant le Gram et du même volume que ceux de la gélatine ci-des-
sus
. 4e Examen. - Les lamelles de sang examinées im
. Mais nous pouvons néanmoins essayer d'interpréter ces faits. On
sait
quelles analogies existent entre les crises convu
ves, si les lamelles le sont aussi, il ne faut pas s'en étonner. On
sait
que très rarement l'examen direct du sang peut
ons employés et à fournir les résultats de nos observations. Nous
savons
que l'accès paroxystique est généralement pré-
ons de nutrition de la substance nerveuse, et comme d'autre part il
sait
que les épileptiques, dans leurs accès, éli- mi
s observations analogues, ce qui l'aulorise à poser les conclusions
sus
énoncées. - CauUSET. XXI. Délire DE maigreur ch
s animaux), il est probable qu'il en est de même chez l'homme. On
sait
que Charcot a relaté d'assez nombreux cas de mort
très irritable, il aurait été condamné deux fois à la prison, on ne
sait
pour quel motif. Malgré cette absence d'hérédit
rnières phases de la puberté et d'une période prémenstruelle. Or on
sait
que la puberté est un puissant agent provocateu
les mêmes éléments nerveux soient lésés dans toutes les formes, on
sait
que de nombreux cylindre-axe échappent à la dég
e fait de la non-atrophie des muscles volontaires dans le tabes. On
sait
que quand l'atrophie musculaire existe, elle es
ésions médul- laires, on ignore encore quelles sont ces lésions, on
sait
seulement qu'il y a corrélation entre les troub
a corrélation entre les troubles sensitifs et trophiques. Quand on
sait
que le sujet est syringomyélique, le diagnostic d
rique. Trem- blement fibrillaire de certains groupes de muscles. On
sait
aussi que dans les névrites périphériques il pe
de dans la distension et la, compression des nerfs circonflexes. On
sait
que ces nerfs con- tournent le col chirurgical
responsabilité, du libre-arbitre et du droit pénal. Lombroso, on le
sait
, affirme qu'une partie des sujets con- sidérés
les cas que nous envisageons, manque le critérium de la maladie, à
savoir
le dommage infligé directement à l'individu par
résultats des recherches modernes sur l'anthropologie criminelle ne
sauraient
être condamnés par les conséquences pra- tiques
ponsabilité des infirmiers est établie, nous pensons que la justice
saura
punir avec la rigueur qui convient de pareilles a
ième Congrès dans cette ville. Le comité permanent des Congrès fait
savoir
, qu'une commis- sion d'organisation du cinquièm
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
dit entendre des roulements, des sifflements, des bruits qu'elle ne
sait
définir et dont elle n'arrive à rendre compte I
Séguin, parce TRAITEMENT ET ÉDUCATION DE LA PAROLE. 109 qu'ils ne
savent
pas se servir de leurs organes ? Il y a du vrai
pper la faculté du langage Pour apprendre à parler, il faut d'abord
savoir
écouter, d'où nécessité de s'assurer de l'intég
souvent à une obstination aussi bizarre qu'insurmontable. L'enfant
sait
et peut dire un mot puisqu'on a réussi à le lui
ssi quelque chose d'accessoire, puisque ce qu'il importe le plus de
savoir
pour André, c'est s'il sortira ou non. On pourr
arlent mal. Les idiots, dont nous allons main- tenant nous occuper,
savent
parler. Ils peuvent exprimer leurs besoins, leu
i R..., possèdent une langue toujours en retrait dans la bouche, ne
savent
émettre que des sons guttu- raux et sont incapa
te tentative d'amélioration. Si l'enfant est attentif, et qu'on ait
su
provoquer en lui l'imitation, il suffira de lui
uvent défaut. Si l'on se reporte au mécanisme de l'articulation, on
sait
que pour produire ce son « la base de la langue
t une explo- sion se produit ' ». La plupart du temps l'enfant ne
sait
pas relever la langue, et donne t pour k; le ma
nels et avec les siens, M. Schloess trouve que, * en général, on ne
saurait
nier qu'il n'y ait un accord remarquable entre
ibres inter- rompu, dans son trajet, par les olives inférieures. On
sait
aussi que celles-ci donnent naissance à de nomb
s de sortie. La question intéressante, pour le chi- rurgien, est de
savoir
à quelle apophyse épineuse correspond, pour une
s, non parce qu'il y a trouble de la motricité, mais parce qu'il ne
sait
où prendre les mouvements con- venables, les im
l'ingérence de notre société dans l'organisation du Congrès, je ne
sais
pas pour- quoi il vient aujourd'hui faire appel
t supposer l'existence de la tuberculose dans la moelle, mais on ne
saurait
en certifier le diagnostic. Enfin cet auteur dé
er dans le cours de la tuberculose en deux catégories distinctes,
savoir
: 1° Myélites chroniques, caractérisées anatomi
ion des racines postérieures expliquent les premiers symptômes, à
savoir
: le fourmillement, les picotements dans les pied
très loin de la vérité. LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 195
savoir
: a). 7 cas de méningite après carie des côtes ou
d). 2 cas de tubercules solitaires et enfin e). 1 cas où il s'agis-
sait
de la tuberculose de la dure-mère, après carie de
cervicalis ant. bei Tuberculose (Berl. kl. Wochenschr., 1891, 88). On
sait
qu'au contraire, dans les cas de tubercules sol
même dans la névroglie. L'infiltration de leucocytes et les proces-
sus
de néoformation peuvent se réunir pour faire naît
La structure des tubercules plaide pour la chronicité du proces-
sus
morbide, comme le prouve aussi la marche clinique
ent son dire. Autre exemple : trois semaines après son entrée, elle
sait
qu'elle est arrivée à l'asile le lundi 7 janvier,
saisit une boule d'acier, et s'en frappe à la tempe, parce qu'elle
savait
que là, un seul coup suf- fisait pour faire mou
ndra l'enlever. Elle a du reste absolument conscience de ses actes,
sait
très bien qu'elle est dans un hospice et se mon
quoiquelamalade conserve une certaine activité intellectuelle (elle
sait
son âge, son adresse, etc.), elle est cependant
e la ville et du département, et d'étudiants en médecine remplis-
sait
le bel amphithéàtre de la Faculté mis gracieuseme
vous m'avez fait un honneur dont je sens tout le prix et dont je ne
saurais
trop vous remercier. Je n'ai garde de penser qu
pant autour de lui toute une phalange de jeunes travailleurs, qu'il
savait
animer de l'amour de la science et du progrès,
a présence du jeune et distingué doyen, le professeur Pitres, qui a
su
en quelques années donner à la Faculté naissante
nt le plus souvent des formes latentes, insoupçonnées et qu'il faut
savoir
dépister. Tels sont, brièvement exposés, les élém
o-pathologiques spéciales d'où procède Pliyperthyroidation. Nous ne
savons
pas, dit-il, si, dans la maladie de Basedow, c'
un « thyroïdien » par excellence; mais encore peut-il importer de
savoir
sous quelle forme je le suis présentement. La t
résulte logiquement que le traitement qui convient au myxoedème ne
saurait
convenir au goitre exophtal- mique, malgré quel
êmes symptômes que l'on attribue à l'hyperthyroïdisation dont il ne
saurait
être question en l'absence de corps thyroïde. M
on est une de celles qui sont le plus contro- versées. Il s'agit de
savoir
si des individus qui n'ont jamais présenté aucu
nostic. Ce qui est plus important et souvent plus délicat, c'est de
savoir
, abstraction faite des accidents convulsifs de
sion additionnelle, soit dans le corps même du rapport, l'expert ne
saurait
manquer de signaler aux juges l'étroite connexi
us avez à résoudre, ne vous mé- nage point ses encouragements. On
sait
aussi que si le succès ne répond pas toujours à l
ont l'attitude loyale, la droite raison, les qualités de coeur, ont
su
réunir autour de son nom les sympathies populai
n faisant l'application du résultat annoncé par Haycraft en 1855, à
savoir
que le liquide buccal de la sangsue est anticoa-
expérimentales précieuses. Il fait une macération à l'aide de sang-
sues
dont on utilise le tiers antérieur du corps dans
. Ce qui est vrai, c'est qu'actuellement l'anatomie pathologique ne
sait
pas distinguer les affections syphi- litiques d
e comme ne devant être ni interdit, ni interné, ces affirmations ne
sauraient
être admises par les médecins compétents; 3° il
avait jamais pu apprendre une lettre; en moins de trois mois elle a
su
l'alphabet el lit des syllabes; elle parlait, ou
la ne pourra se modifier que quand, du ministère de l'intérieur, on
saura
donner partout une véritable impulsion aux réfo
de mélancolie, était prise d'attaques au cours des- quelles elle ne
savait
plus ce qu'elle faisait. C'est ainsi qu'un jour
e, pris d'un étourdissement, et se met à vomir, c'est tout ce qu'il
sait
de cet accident, mais depuis la céphalalgie est
era décrite dans les observations sui- vantes ; il est difficile de
savoir
si elle est plus ancienne que dans ces trois ca
ique pas néces- sairement que la lésion est très ancienne, car nous
savons
que des lésions semblables, plus ou moins arrêt
d'ailleurs rien à l'interprétation qui vient d'être donnée, car on
sait
que tous les éléments inflammatoires ou néoplas
aires peuvent se concentrer en un point de myélite (OBs. IV) qui ne
saurait
se distinguer au microscope d'un foyer de myéli
lle peut engendrer ; bien plus, il est actuellement impossible de
savoir
si elle seule est capable de lui donner naissance
à un processus histologiquement semblable; toute la question est de
savoir
si la tuberculose est capable d'évoluer avec un
tous nos cas, l'infiltration par des cellules absolument rondes ne
saurait
être confondue avec l'infiltration de leucocyte
rocessus diffus, et, de plus, commun à plusieurs affections, qui ne
saurait
entrer en ligne de compte dans la définition du
ques venaient à se multiplier, il faudrait bien en tenir compte. On
sait
depuis quelque temps que la myélite doit figure
vingt-trois ans, apporté à l'hôpital en état de coma, et dont on ne
sait
rien si ce n'est que depuis trois jours il a eu
, une fille de vingt ans, et une autre de quatorze ans, et qu'il ne
saurait
avoir d'opinion ferme à cet égard. Les tracés d
observation comprenant de multiples expertises médico-légales ne
saurait
être rapportée ici. Il les fait suivre de la rela
. Loin de se mettre en lutte avec les obstinés irréduc- tibles, ils
sauront
s'assurer à temps le concours du médecin alié-
tout avantage par le médecin lui- même. Mais ce dernier précepte ne
saurait
avoir rien d'absolu sauf dans la thérapeutique
ande importance, pour les médecins et aussi pour les magistrats, de
savoir
que les aliénés peuvent dissimuler, non seuleme
, leurs paroles ou leurs écrits, se sont montrés dange- reux. Il ne
saurait
être apporté trop de prudence par les médecins
t en dehors de ses lettres, quand ce dernier cas se présente. On ne
saurait
trop encourager ces malades à écrire. ' 7° En
i concerne les pyromanes, il faudra se préoccuper de leur hérédité,
savoir
si l'accusé est un faible d'esprit, s'informer de
s un porte-monnaie. Le président. Combien contenait-il ? R. Je n'en
sais
rien, je ne l'ai pas ouvert. » Le président lui
l'ignorance des médecins. La grande majo- rité de nos confrères ne
sait
rien ou à peu près rien des mala- dies mentales
ons, toujours plus ou moins arbitraires, une importance qu'elles ne
sauraient
avoir. La première de ces périodes com- prend l
ps à les faire traiter dans une'clinique de malades curables. Or on
sait
que ces atermoiements ont pour résultat d'entraîn
éveloppement en Allemagne de l'assistance familiale des aliénés. On
sait
que certains malades chroniques, tranquilles, n
tout jeunes, chez les épileptiques et chez les alcoo- liques. On ne
saurait
l'employer sous peine de voir apparaître les sy
er ne provient pas de la trépanation, mais de la lésion, il reste à
savoir
si l'opération présente quelque utililé. Dans l
us l'élongation de la colonne vertébrale, l'amélioration disparais-
sait
, pour reparaître avec une plus exacte adaptation
tout naturellement. Nous ne pouvons que signaler ce travail qui ne
saurait
être résumé, étant présenté sous une forme déjà
écutive. Durée : quelques heures à quelques jours. Cette maladie ne
saurait
être simulée, ni contagieuse en raison du fait
simulée, ni contagieuse en raison du fait que les Malais courent
sus
au furieux et le tuent. P. K. XLII. ETUDES stat
aître SOCIÉTÉS SAVANTES. 411 les fonctions de ces territoires, on
saura
par là même quelles sont les fonctions de tel t
l'écorce, on peut admettre le rôle moteur de ce dernier. Nous ne
savons
rien de précis sur les fonctions des cellules des
is sur les fonctions des cellules des ganglions spinaux : mais nous
savons
que les cellules du noyau de la racine descenda
hes ont porté surtout sur les fibres corticales du lobe frontal. On
sait
que ces fibres constituent trois couches : l'un
mentale, M. Longard fut chargé de l'expertise. L'accusé dit ne pas
savoir
ce que faisaient ses parents, ni où il avait pa
in, dont la volonté tient les fils. La science, encore une fois, ne
saurait
se désintéresser de pareille question; à elle d
es comportent. » Voyez-vous la science - c'est-à-dire des hommes de
savoir
, de haute probité, de conscience élevée et de s
nouveau et énergiquement l'interdiction de tels spectacles. Nous ne
savons
si nous serons entendus cette fois et à temps p
noms des D™ Bernheim, Liébault, Lié- geois, Engel, etc., qui ne se
savent
certainement pas invoqués à cet effet, on lit l
conditions elle rend des services si précieux qu'à mon avis on n'en
saurait
trop avoir. L'isolement nocturne est, en effet,
re que la fontaine soit solidement fermée. Mais il ne suffit pas de
savoir
de quels éléments se compose un quartier, ni mê
entraîner certaines dispositions absolument iden- tiques. Déjà nous
savons
que les deux quartiers n'ont pas d'étage et son
s, du moins en ce qui concerne ceux d'un usage un peu courant; ne
sauraient
être communs que les appareils d'un emploi exce
u fond des dortoirs dont toutes les portes s'ouvrent en dedans, que
sais
-je encore ! le préau est disposé de telle sorte
observation il n'y aura que des dortoirs et au premier étage. Je ne
saurais
trop m'élever contre la coutume de certains col
lle confond souvent encore. A la notion d'unité et de pluralité, ne
sait
compter que jusqu'à dix. d) Etat instinctif e
en lecture et en écriture; écrit a ses parents des lettres qu'elle
sait
lire; les spasmes persistent. Octobre. Suspen
voix dans le courant de la conversation le mot de Cambronne. Elle
sait
qu'elle fait mal en disant des paroles grossières
uf- fage) ; en grammaire, distingue le nom, l'adjectif et le verbe,
sait
mettre au pluriel les noms et les adjectifs, le
e, l'orthographe est meilleure, elle fait de petites soustractions,
sait
écrire les nombres de quatre chiffres. A la cou-
syllabes avec pauses entre les divers mots. - La langue ne parais-
sait
pas déviée. - Le 9 mars, le malade entre à l'hôpi
ès circumcursifs ne conservent pas toujours cette forme; on ne peut
savoir
s'ils provoquent plus tôt que d'autres l'appari
es. Comme pour l'épilepsie circumcursive, on est fort embarrassé de
savoir
s'il existe quelque rapport entre les accès pré
ne s'orientait plus dans sa chambre, ne retrouvait plus son lit, ne
savait
plus se servir des objets usuels, se servait de
de la moelle dans les cas de névrites est d'accord avec ce que nous
savons
aujourd'hui de la constitution histologique des n
ique de Heidelherg. Ces deux travaux roulaient sur le même sujet, à
savoir
l'action de l'alcool sur les phénomènes psychique
les chrétiens seuls en sont victimes dans la circonstance que l'on
sait
. Enfin les Grecs ont pu s'enivrer; mais ils n'ont
Le livre I étudie surtout la question de l'hérédité. Certes on ne
saurait
nier l'importance de ce facteur étiologique surto
locale sur l'organisme et récipro- quement. En particulier, on ne
saurait
, en aucun cas, laisser de côté l'in- fluence du
nre sont très communs. Souvent, la police est très embarrassée pour
savoir
comment elle doit s'y prendre pour s'emparer de
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
suis pas fou ; je me rends fort bien compte de ce que j'ai fait. Je
savais
fort bien ce que je faisais. Si j'avais voulu v
voir pris quelque chose. » C'est ainsi qu'elle arrive peu à peu à à
savoir
où elle avait pris les objets qu'on lui réclamait
« Je suis malheureuse, disait-elle avec la plus grande lenteur, je
sais
ce que je veux faire et ne puis le dire; les déta
arasite de l'érythrasma : le microsporon minutissimum. Le malade ne
sait
a quelle époque faire remonter le début de cett
ans sa marche que celui de la forme centrale spinale latérale : à
savoir
un mois environ après l'invasion de la para- pl
fois de plus cette loi négative que nous avons déjà formu- lée, à
savoir
que dans l'immense majorité des cas, les paraly
même pas le temps de faire le signal pour se faire remonter. 11 ne
sait
pas au bout de combien de temps il fut remonté,
uait pas de lui, il hésite à le croire. II parlait très bien; il ne
savait
ni lire ni écrire; en outre, il avait la tête un
tout diminuée. Toute la surface antérieure de la cuisse gauche, à
savoir
la région qui, à une époque antérieure, était l
e l'OrsRVATton XX, dont la cécité a presque les mêmes caractères, à
savoir
: brusque apparition, maximum de son intensité
aitement bien ce qu'on disait ». Il pouvait parler très bien, il ne
savait
ni lire ni écrire. d). Augmentation du volume d
tat de la tête coexis- tait avec d'autres symptômes cépllaliques, à
savoir
: perte de connaissance, rougeur de la face, in
rois observations ont revêtu la même forme que ceux de la vessie, à
savoir
: chez les deux premiers malades, incontinence
it, dit-il, qu'on lui parlait mais qu'il ne com- prenait pas. Il ne
savait
ni lire ni écrire. En même temps il était pris
tendais qu'on me parlait, mais je ne comprenais pas. « Le malade ne
savait
ni lire ni écrire. Ces espèces d'aphasie n'ont
arche rétrogressive de la monoplégie une fois arrivée à ce point, à
savoir
la possibilité de se tenir debout et de marcher
aient exaltés; mais, malgré cela, on peut l'affirmer, car cela ne
saurait
être autrement. L'exagération des réflexes chro
sibilité, par exemple, au niveau du membre opposé au paralytique, à
savoir
l'inférieur gauche (Ons. XXIV). Cette atténuati
é les symptômes qui dérivent de la lésion des cornes antérieures, à
savoir
: l'absence des réflexes et la myatrophie, les
VEUSE. clinique très simple, qui est le même pour tous les cas, à
savoir
: monoplégie d'un membre inférieur quel- conque
rmes d'accidents spinaux provenant de l'emploi des scaphandres, à
savoir
: polymorphisme du début, ou entrée en scène ém
sque jamais progressive, nous avons une affection spéciale qu'on ne
saurait
, sans la dénaturer, faire entrer dans une malad
s extrémités rappellent celles des gros pachy- dermes. C'est, on le
sait
, cette analogie, notée depuis longtemps, qui a
et de la cachexie pachyder- mique elle-même. Cette affection, on le
sait
, produit toujours, même chez l'adulte, une lési
'autres sujets. Rien de plus naturel que ces différences, lorsqu'on
sait
que les divers expérimentateurs n'emploient ni
plus subtil, de plus délicat, de plus difficilement saisissable, à
savoir
, les phéno- mènes intellectuels ; c'était comme
e, tandis que du côté des membres, ces paralysies sont, comme on le
sait
, très fréquentes. L'excitation mécanique des
r être ramenés, suivant M. Charcot, à trois types fondamentaux, à
savoir
: 1° l'état cataleptique; 2° l'état léthargique,
une question si simple en elle-même et où tout s'explique, quand on
sait
que la suggestion est la clef des phénomènes hy
e la somnolence, quelle garantie avons-nous de sa sincérité ? On ne
saurait
se faire aucune illusion à cet égard, nous ne p
- paraison de l'ensemble du tableau pathologique avec ce que l'on
sait
en psychiatrie. (Ce mémoire sera publié in extens
de des dispositions dont M. le Président vient de donner lecture, à
savoir
que dans les cas de transfèrement, l'admission
e la sortie est requise par l'une des personnes ci-après désignées,
savoir
: 1° Le curateur nommé en exécution de l'articl
pitaux ou hospices civils ordinaires, adû exami- ner la question de
savoir
si elle pouvait proposer de consacrer en princi
omie les médicaments. Provisoirement, comme ledit M. Moebius, on ne
saurait
consacrer que quelques mots à cette question. Ain
ence. » La sentimentalité n'a rien à voir ici ; il ne s'agit pas de
savoir
s'il faut, oui ou non, admettre la peine de mort.
terminé des accidents graves chez leurs sujets ; sur la question de
savoir
si les hypnotiseurs non médecins commettent oui
on nettement séparée des régions voisines, se divisent, comme on le
sait
, en deux faisceaux : l'interne ou celui de Goll
argument suffisant pour le diagnostic du tabès, puisque comme on le
sait
, ce phénomène s'observe dans une quantité d'aut
ur du rapport qui doit exister entre le tabès et la syphilis. Je ne
sais
pas si j'ai le droit d'affirmer aussi catégoriq
tabès chez des femmes, je me permettrai d'y relever encore un fait,
savoir
que deux de mes malades, atteintes de tabès, ét
; il ne pouvait être question d'abus de spiritueux (abus qui, on le
sait
, est excessivement rare chez les juifs) ; il n'
e que c'était, le ma- lade répondait : « Je ne puis dire le mot; je
sais
ce que c'est; c'est pour mettre de la monnaie.
fermés. Il vient d'écrire son nom; on lui dit de le lire : .< Je
sais
bien, dit-il, que c'est mon nom que j'ai écrit,
lant de lui, sa femme donnait le détail suivant au Du* Ross : «Je
savais
à peine que faire avec lui; il essaya de lire l
essaya de lire le journal, et continuellement disant : « Je ne «
sais
ce qu'il y a dans les journaux d'aujourd'hui; «
se ; 6, la forme de perte de connaissance. 1. FORME APHASIQUE. On
sait
déjà que, parmi les symptômes de la période du
ce qu'on lui disait, mais il ne pouvait y répondre. Le malade ne
savait
ni lire ni écrire. ' ' Dans l'après-midi, vers
, sans pouvoir y répondre, il n'émettait que des cris. Le malade ne
savait
ni lire ni écrire. Au bout de trois à quatre mi
observation de cette aphasie sensorielle qui est. la sui- vante. On
sait
déjà que la- surdité des mots a figuré à titre
XIV, cette faculté n'a été modi- fiée que dans un de ses éléments à
savoir
la mémoire des mouvements coordonnés qu'il faut
en outre de remarquer que cet homme n'était refroidi; il ne tous-
sait
pas et il n'avait pas mangé avant son immersion.
ves de bruits auriculaires (bourdonnements, tintements, etc.). On
sait
déjà que les troubles auditifs ont figuré une foi
il souffre et où ; il répond qu'il ne se porte pas bien, mais il ne
sait
pas ce qu'il a. On se met à le déshabiller pour l
e séjour au fond de la mer, il était atteint des mêmes accidents, à
savoir
une paralysie du membre supérieur tantôt gauche t
de 3 à 5 heures. Depuis 1882, étant persuadé qu'aucun accident ne
saurait
lui arriver, quand il n'aurait pas dépassé les ci
à spécialiser les paralysies cérébrales d'origine scaphandrienne, à
savoir
: 1° la brusquerie de l'invasion; 2° l'intensit
troverse s'est déplacée; elle ne porte plus sur ce point capital, à
savoir
si l'hypnotisme est une réalité ou une jongleri
sme est une réalité ou une jonglerie; elle porte sur la question de
savoir
quelle est la cause, quelle est la genèse des p
expérimentateurs qui appartiennent à l'École de la Salpêtrière'. On
sait
que par cette méthode, il est possible de donne
s temps sur ce qu'on pouvait appeler les suggestions organiques. On
sait
aujourd'hui qu'en employant la suggestion sur d
t, est encore plus pro- bant que l'hyperexcitabilité musculaire. On
sait
que si l'on presse mécaniquement sur un nerf mo
ie flasque ou spasmcdique; toutefois la suggestion simple n'agis-
sait
pas d'une façon plus active que les excitations m
et je m'en servais alter- nativement. Le malade ne pouvait donc pas
savoir
quel était le véritable aimant. Or, dans ces ex
t d'abord, j'insisterai encore une fois sur ce point essen- tiel, à
savoir
que cette assertion s'applique plus particulière-
encore en droit d'affir- mer que le sujet n'est pas hystérique. Ne
sait
-on pas que l'hystérie se traduit parfois par un
'un sujet mâle rejette donc a priori l'hypothèse d'hystérie. Or, ne
sait
-on pas aujourd'hui surtout depuis les travaux r
issie^, opaques, ont des adhérences nombreuses. Il est difficile de
savoir
si ce processus inflammatoire chronique est idi
tres symptômes essentiels. Dans l'observation IV, il s'y ajouta, en
sus
, des symptômes de lésion .cérébrale. Diagnostic,
confir- mation d'une idée qu'il émettait dans une autre société, à
savoir
que les paralytiques généraux qui commettent de
des armes plus savantes et plus sûres. Pratiqué par des hommes qui
savent
que leur droit de tout étudier a pour seule lim
: ' M. Tuczek. Traitement tonique simple. M. Eulenburg. M. Tuczek
sait
-il quelque chose de la chorée éllc- trique du N
qu'il existe une gros- sière altération de la forme du crâne (il ne
saurait
être ici question de finesse) diagnostiquer les
ales à uoyau vésiculaire. Parmi les fibres ascendantes, il faut, en
sus
des faisceaux longitudinaux postérieurs qui per
ANCE GÉNÉRALE M. VIn< : Irow. Du transformisme. Combien peu nous
savons
de l'essence même de l'hérédité. Ou en est rédu
s dangers qu'il peut faire cou- rir à la sécurité publique. Comment
savoir
si cet individu est ou non atteint d'aliénation
ente; or, il peut se faire qu'il existe des doutes sur le point de.
savoir
si cet individu acquitté est ou non dangereux pou
surtout des rêves, dont l'excitation persiste au réveil. Il faut
savoir
, en effet, que l'absorption même faible d'alcool,
, Déjérine, H. Martin et un grand nombre d'aliénistes. L'auteur a
su
montrer aussi, d'accord avec Trélat et Lasègue, q
bre instable, que peut renverser la moindre cause, et celle-ci ne
saurait
avoir un effet fatal sur un individu sain et pond
ée. 11 était intéressant, en résumant toutes ces observations, de
savoir
s'il fallait admettre avec M. Magnan une forme sp
nt l'un, malheureusement, est loin d'être complètement élu- cidé, à
savoir
: la médecine légale et la thérapeutique, dans le
dégénération se pose enfin. On estautorisé à croire que le proces-
sus
de début est purement passif, mais à la suite de
sonnes donnant à côté l'une de l'autre font de l'hypnotisme sans le
savoir
». Il est donc impossible, en conclut M. Coste, de
exemple : « Joséphine était la mascotte de Napoléon 101'. » Ou me
saura
gré de terminer par la seule énumération de ces
tifique des localisations cérébrales. Cette théorie repose, on le
sait
, sur le solide fondement de l'anatomie, delà phy-
teur du professeur Luciani, avec Maragliano et Riva. Il y a je ne
sais
quoi de grave et de touchant dans ces colla- bo
e susceptible de le suppléer. Mais c'est là l'exception, « comme le
sait
qui- conque a en ce genre de recherches une lon
théorie scientifique des localisations cérébrales chez l'homme ne
saurait
être uniquement édifiée sur les données de l'ob
rimentation physiologique , Charcot et Pitres ont revendiqué, on le
sait
, pour les recherches cliniques, une sorte d'aut
eur fait d'avoir voulu,dans le pays de Claude Bernard, élever on ne
sait
quelles murailles de la Chine entre les différe
Paris, 1883, p. 3. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 353 « Tout le monde
sait
, disent ces auteurs, comment Flourens et Magend
t à circonscrire les divers centres mo-. teurs de l'écorce, « on ne
saurait
prétendre à une précision géométrique » (1878-7
dans chaque cas parti- culier, le cours entier de la maladie, et de
savoir
si celle-ci a été d'assez longue durée pour qu'
unk, et avec raison, à la cécité psychique, état dans lequel, on le
sait
, l'animal continue à voir sans pou- voir reconn
pes de leurs passions, et demeurent toujours froids et lucides. Ils
savent
les faits; ils possèdent une méthode, et ne se
r aucun signe d'hérédité. Buvait, parfois même avec abus. Le malade
sait
lire et écrire, est intelligent et sensé, par con
sensations n'a pu être constaté dans les endroits où la piqûre fai-
sait
l'effet d'un simple contact. Quant à la tempéra
malade ressent à cet endroit un tiraillement douloureux, mais il ne
sait
absolument pas s'il se produit dans l'articulat
l'influence de la syphilis; l'in- toxication saturnine, comme on le
sait
, développe dans la plupart des cas, ses effets
elle revêtir d'autres types, et lesquels ? ... C'est ce que nous ne
savons
pas... 6. FORME VERTIGINEUSE Nous avons déjà
étaient parfaitement semblables à celui qui vient d'être décrit, à
savoir
: exaspération brusque des bourdonnements (fusill
at vertigineux permanent. A ce moment, nous nous trouvons , on le
sait
, en présence : 1° d'un état vertigineux per- ma
une nouvelle confirmation de la loi que nous avons déjà posée, à
savoir
: « Presque toutes les paraplégies prove- nant
é des accidents ner- veux survenant par l'emploi des scaphandres, à
savoir
ceux qui sont provoqués par la localisation de
l mqt, il criait. Il concevait très bien la parole entendue ; il ne
savait
ni lire ni écrire. A 5 heures du soir, ce malade
parfaitement bien ce que l'on disait autour de lui. Le malade ne
sait
ni lire ni écrire. -- i Au bout de vingt minute
mesure et sans profit de l'attention de notre lecteur. Il suffit de
savoir
que les cas complexes sont composés par des sym
mmersion faite sous les mêmes conditions que les six précédentes, à
savoir
24 brasses de profondeur, dix minutes de séjour
s remèdes et on lui fit des frictions ; mais il a été impossible de
savoir
au juste quel traitement on lui fit suivre. Un
bles; la vessie était complètement paralysée et le rectum n'agis-
sait
plus; les autres fonctions du corps étaient norma
nt sur ces accidents mortels. M. Leroy de Méricourt fait simplement
savoir
que trois plongeurs à scaphandre sont morts sub
n'est que la réflexion avortée des centres moteurs malades. On ne
saurait
expliquer autrement un tremblement qui relève d
ndrées par la cause qui agit encore de plus haut et de plus loin, à
savoir
le vice hérédi- taire. Morel avait été amené
s hallucinations ? Mais ce n'est là qu'un symptôme et tout le monde
sait
que, en faisant mention d'une psychose Systémat
oit être le terme de toute psychologie vraiment scientifique. On ne
saurait
trop l'en louer et il faut reconnaître que, fidèl
M. Arndt. Les dates sont inscrites au-dessous des tableaux ; on ne
saurait
mieux les comparer qu'aux planches démographiqu
on au 1 ? juillet 1889. C'est à l'initia- tive de M. Partisch qui a
su
stimuler le zèle des philanthropes que ce résul
anatomique- ment suivant qu'elle est syphilitique ou non ? je n'en
sais
rien, n'ayant eu à étudier jusqu'à présent que
contestablement moins nombreuses que dans la zone saine; de plus on
sait
qu'à l'é,tat normal les noyaux des cellules gan
lepsie s'ac- compagne de l'état mental qui lui est"propre,'et on ne
saurait
dire qu'il s'agisse d'imbécillité. En aucun cas
reconnu irresponsable, quand atteint d'aliénation mentale. i° Il ne
sait
pas quel acte il commet; , . 2°'I1 ne sait pas
tion mentale. i° Il ne sait pas quel acte il commet; , . 2°'I1 ne
sait
pas s'il fait bien ou mal. Cela ne suffit pas;
avec le pape,' a. un état netiropathique relevant de l'hystérie. On
sait
qu'après une vie sexuelle, des, plus accidentée
voquée'par la compression du due à l'hémorrhagie ultime ? 0 'z ? ba
Su
,s"1 /"' -4 ° c ? ', Quelques jours après je fai
la paralysie générale vraie tendant toujours vers la mort. Mais on
sait
qu'en réalité, il existe des rémissions plus ou
plètes, le malade amélioré ayant été perdu de vue; d'autre part, on
sait
que la paralysie générale vraie peut s'arrêter
n''homme du p'âys,3dépendantrdu'1suffrage'/dewl ses concitoyens, ne
saurait
pos- séder au mémerdegré. ·`-I ^ ') , LL . - ,
le Conseil supérieur de'l'Assistance'publique. etiollef ? <t'Après
savoir
critiqué' les nombreusessobjections faites'à l'in
mie ! tème un nom nouveau : celui de mesoneurium ou mésonèvre. Je
sais
qu'en thèse générale il convient de ne pas-introd
évidemment partie du groupe mésoneurial : mais cette appellation ne
saurait
être généralisée attendu que l'altération décri
une façon suffisamment explicite l'ensemble de leurs caractères : a
savoir
leur,locali- sation constante dans l'espace més
ormal"du système de Rehaut «%« ™ De J' ' * ? - - - ? t1f ? t ? nt
SU
? -,1 (i'S4n..rtrf.·à F`R K'»' P3 T{7t En prése
de Langhans en ce qui regarde la provenance des foyers. Ce que l'on
sait
déjà de leurs relations histologiques, joint à
ordre, le cas de Blocq et Marinesco. L'hypothèse neurogénique ne
saurait
en effet s'accorder ni avec l'aspect ordinaire de
galement signalé par Renaut vient encore à l'appui, de sa thèse : à
savoir
la localisation plus spé- ciale des fuseaux dan
paraisse'^ étroitement appliquée' contre le faisceau ner- veux, on
sait
qu'entre la , face profonde de la gaine et la s
ivise et se subdi- vise suivant un plan antéro-postérieur '. Or, on
sait
que les foyers composés méso- et périneuritique
orme plutôt que telle autre, c'est là une question à laquelle on ne
saurait
actuellement répondre d'une manière satisfaisan
voisinage du point de division et dont l'origine phlegmasique ne
saurait
être révoquée en doute. " ? ' ' De différents c
uée en doute. " ? ' ' De différents côtés on a agité la question de
savoir
si et dans , quelles limites les produits méson
ît en rien la conductibilité des éléments nerveux. Seulement, .pour
savoir
positivement à quoi s'en tenir à ce sujet, il f
, bien aussi par un corpus- cule d'apparence nucléaire" ? , .. En
sus
des formations qui viennent d'être énumérées, les
ns qui spécialisent la qualité structu- rale des foyers, mais on ne
sait
pour ainsi dire rien des circons- tances qui en
ent la même orientation. Le côté qu'ils occupent est tourné vers la
sut
face du membre. Le grand névricule de gauche, e
iables d'une syphilis ancienne. Celle-ci a pu être fort bénigne. Ne
sait
-on pas, depuis longtemps, ainsi que Fournier l'a
l n'y a actuellement nulle part : traces de -gommes; pourtant on ne
saurait
rapporter celui-ci à"" la tuberculose; il n'a p
. Quel est le lien, indiscutable, qui unit ces affections ? Je n'en
sais
rien encore. ,A'' ^ n " ' ' REVUE DE PATHOLOGIE
cueillir aucun renseignement sur l'hérédité morbide du sujet.. On
sait
d'ailleurs combien engénéral est difficile cette
fille publique. Je voulais me retirer, mais elle m'a retenu; je ne
sais
plus ce qui s'est passé après cela. Je me souvien
ez elle. Ce qui est ensuite advenu, je n'ensuis pas responsable; je
sais
très. bien que c'est mal, et je vous assure que
sans s'en rendre bien compte : c A un certain moment, je n'ai plus
su
ce que je faisais ; et vraiment je ne dois pas
un Léonidas ou d'un Jules César. » . Et un autre jour : « Vous ne
savez
pas ? ce que je vais vous dire est à garder sec
cret; c'est un fait qu'on ignore en France et que je suis le seul à
savoir
; eh bien- ! la France est directe- ment menacée
eul à savoir; eh bien- ! la France est directe- ment menacée, je le
sais
de source certaine. Les Anglais vont débarquer
ndante ». - Et il ajoute, sous l'empire des mêmes obsessions : a Je
sais
seulement qu'on fait des revues très importante
e de ma maladie. Ces revues ont été faites à cause de moi ; je ne
sais
cet avenir que depuis un an, depuis que je réfléc
cet avenir que depuis un an, depuis que je réfléchis; moi seul peux
savoir
ce qui doit se passer. » Il a toujours pré- sen
m'a dit qu'elle était démise ; était-elle cassée ou luxée ; je n'en
sais
rien. Le docteur m'a dit qu'il l'avait remise e
e ? je l'ai cru, puisqu'il le disait. Et parlant de son enfance : «
Savez
-vous ce que c'est que jouer aux barres ? Vous d
: « Savez-vous ce que c'est que jouer aux barres ? Vous dites oui ;
savez
-vous vraiment ce que c'est ? Je veux bien le cr
e croire puisque vous me le dites.,» Très souvent il dit qu'il ne
sait
pas, qu'il ne se souvient pas; sa mémoire est évi
ant : « Est-ce telle chose qui m'a produit telle impression ? Je ne
saurais
le dire. Je me souviens étant jeune d'être tomb
a un grand trouble,, il sentit . son courage surexcité, sans qu'il,
sût
trop pourquoi : peut-être l'idée de pointe évei
té excessivement sensible à la moindre observation qu'on lui fai-
sait
; alors même qu'elle n'était pas bien sévère, il
alade, appartient bien à cette classe, il le reconnaît lui-même, il
sait
formellement qu'il a des ions; i ? t.tu"'t t :
' , ' '- ? 'l' q,iom p4tr . r, ""-" ' ? - ? " '. *. ? fia très. Il
savait
très bien que ce n était pas son /voisin, le jete
x que. riôrn^alinent ? alTôusi ces synpt8rile's semblent bien lêtyè
sus
la.adependnéerd'ÿnel paalÿsdevâso-motrice général
oubles de la vue semblent être principalement responsables. Nous ne^
savons
ausurpluspas exacte- ment les points atteints '
a forme large se (montre plutôt dans les palais plats. -,9° Nous ne
savons
encore'rien de l'hérédité et du développement h
illet'et octobre 1833.) zJuah pib .. . ."T stàJro "'( Pinlifii-'inn
su
i ? v v -ln~ -, t .t r L'auteur se propose dans
M. Brough ait eu l'occasion de l'expérimenter - l'administration du
su
)fonal a été promptement suivie de'la"dispa- rit
us égards excellents, et'qui paraissent' être'entièrement dus à son
savoir
, a son habileté et à son dévouement ! 1" ? I R.-1
itue donc un admirable ins- trument de recherches, dont les initiés
savent
multiplier les ressources avec une habileté et
tous les jours sous nos yeux. La mine, est, inépuisable et si nous
savons
l'exploiter, avec méthode, nous serons ample- m
nouvelle; â nltrà-térréstre'y 4 " t ll'»-»«i- "> ruz d I On
sait
ce qu'il faut entendre par hallucination1 : * c'e
fidélité et de l'existence, de leurs,sensations nor- maies, .ils ne
sauraient
se résigner à mettre en doute la réalité object
-moi admettre,.aussi la réalité des. paroles qui me viennent, je ne
sais
d'où, car la réalité des unes et.des autres est
ement'sensible pour Moi 3 »l t ,. ? ., z On a beaucoup discuté pour
savoir
s'il existe une différence z entre l'hallucinat
pas hallucinés dans les mêmes conditions, et l'intérêt consiste à{
savoir
, non pas' quelle est la' fréquence relative des
6 PSYCHOLOGIE PATHOLOGIQUE.. 4 ,,alb).1'(ôa ? aliegénéyale;c= 1e ne,
sais
. comment on a pu sou- teni,)",qiie, les, paralv
e'dans l'autre : état; moléculaire sans 'doute, sur'.lequel nous ne
savons
, et de longtemps ne,sau- rons rien de positif;,
gue,. suffisaient. pour ^provoquer. eqe,, 9n,r j 9f, ? < ' On ne
saurait
r, attribuer aux hallucinations des rêves, des
sseur, de phy- siologie de la Faculté de médecine de Paris,elle ne,
saurait
être O · ? " ... à..t. lii e cor. écartée à p
entée 12 janvier,^ quelques' heures- auparavant,"^ qûéA ? ne peut
savoir
. Donc l'hallucination* de A ? ? est" véridiquemen
«>A«" : l«^«/ 3J*. ^*»« ? «;« ? «.0 ? ~~ ? ^. -^ - - - ->~i «
savons
ni observer ni provoquerai*. ^cote desquels nous-
, « i, ol, l*\rral.iT| 11.lrn li' ,1HM « nier 1 existence; nous ne
savons
'pas davantage sur la nature^ intime'du fluide
trigue ? nous, pouvons du. moins le forcer à se manifester, et nous
savons
quelles circons- tances étant'les mêmes* il se
rofession du spiritisme. En un mot, ce sont des ama- teurs, et Dieu
sait
le mal que les amateurs,'c'est-à-dire les gens
SER41)EjLAjTÉLÉPATHIE ? "267 t Quant» au±nombre 'des témoins, iline
saurait
avoir aucune, t signification.rCar ? qu`unehall
"~ "ii'noï'i^vnivi ? an ^, z ·' · (*.«, Pour moi, je 1 avoue, je ne
saurais
voir, la qu'une simple coïncidence, un pur hasa
choses' ' dontiil 'se fallait' garder ,a6n de n'être point trompé :
savoir
de prophéties, de miracles ? de révélations et
gnomonique.^^j ,« ? «. -, qfij ? ...,1P,...,-a, 3stq zszuizsvuo aei
sus
iaaus rasian3notr'sb s-m^'ibat, Ttb tB ! iup 29
e circonstance, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 277 1 les observations ne
sauraient
être trop7détaillées. Ce qu'il faut c'est un ta
s signes de criminalité ! et. de dégénérescence. La question est de
savoir
si . les premiers, les homicides, envisagés \ d
t "rattacher 'étiolo,i4ue' ment à" la pyrexie : loltoute psychose''
su
rvenaiit^âû" côùrs1"de8 la'convales- 'cencé;'2°
signification' dé dissolution totale de toutes les facultés, je ne
saurais
accepter une interprétation aussi radicale.1' ?
10 14 191 11l 2870 .n(Y VARIA. 311 tant plus surprenant que nous
savions
que quatre asiles au moins étaient privés de mé
mmeiles concours -des hôpitaux de Paris. De la sorte, les candidats
sauraient
à quoi s'en tenir et s'entraîneraient à l'exemp
t des or- ganes'des sens : Il'parle : mal' ourne parlepoint; il' ne
sait
point manger;'il'est gâteux : ? .1' D'où'1'indi
dividuelle; on s'adresse aussi à l'imitation. Cet enseigneiiientine
saurait
,- pour,. ce;motif, donner dans la famille un .p
ir page 210.) wy.* d9Stt ? ·t 292'S"'So ! 235 2SSJ15) 'c9svscnt·)Ie
su
->SStS)M Tub GR1. ia/,î,/IX J,.K9"t\ Si ? ?
esse. Interrogée, P... répond qu'on vient de lui causer : c-Vous ne
savez
pas,ce que ça.veut dire, a-t-ondit. » Nous lui de
'répond sous vos yeux à sont iuterlocu=I1 teur imaginaire ? a Je ne"
savais
rien;' on m'y'a amenée : » Sur*1' notre demande
s dents. ` Elle nous dit ensuite avoir demandé : c Je voudrais bien
savoir
qui z vous êtes ? » et on lui répond : « C'est
i... nous ne sommes pas las de vous faire souf- frir...,personne,ne
saura
où, nous sommes, et qui nous sommes B. P... s'é
ryth- mique c : . P... · obtient cette, réponse : « les médecins le
savent
bien.w. J;1 i - ? 1' ' , 1. 25 juillet. P ? s
s disparaissent. Le 21 août, la ma- lade'est très 'améliorée'; elle
sait
le quantième du mois; elle n'a plus" d'hésitati
hallucinations^motrices sont repris toute leur activité : aiellerne
sait
qui le fait.v»-d'J9y siz.ic.mx ? tl-sep<em6)'e
me parle,toute la nuit, oniiiie brise les dents... ces personnes-là
savent
tout, ce quüs'est,liasséici....c'est 'M. F ? qu
que pour mémoire certains points de détail de notre observation : à
savoir
l'alcoolisme du père; la syphilis^probable de l
<*f. *ot iti{w-81Hi*.ij» b ... -^ Sous ce nom on désigner on le
sait
? des hallucinations ver- ' baies d'une11 natur
avait bien' vu une des caractéristiques de ces hal- lucinations,à à
savoir
, l'absence d'images sensorielles auditives, et
e,la mâchoireinférieure, tension, du. plancher, buccal), et l'on ne
saurait
^ s'étonner de'les voir fonctionner synergiqueme
pendant`;que parlera voix intérienre ak(CHAftCOT) : -4alS il- faut
savoir
que ces mouve- ments-sont,parfois inconscients
culier, dans notre cas, et ce qui (,st.d'ac3b cord avec ce que nous
savons
au point de vue anatomique et, physiologique su
s)... , - i ti Li ii point plus intéressant doit nous retenir. : on
sait
, Un pont plus intéressant doit nous retenir. :
etenir. : on sait, Un pont plus intéressant doit nous retenir. : on
sait
, f ? ? «)'.Vf ? T ? r".L ? r...., -...-. ? }
? f,r< .) ? n Bf. j de A. Fovillé : ces auteurs pensaient, on le
sait
, que le grincé- .i ? - - i 1"' r(l'IrrVn ')' 7
etaient .très circscritia; et qu'elles sié- geaient symétriquement (
SUT
les deux hémisphères, intéressant, au niveau de
svmptomes observes pendant la vie avaient traduit 1 excitation,, a
savoir
: le centre sensitivo-moteur verbal (pied(ide,l
volontaires" qui jouent un rôle important dans la phonation or, on
sait
,que l'excitabilité dés'centres'moteurs paraît '
des réac- tions maniaques. La malade, complètement désorientée, ne
sait
plus où elle est, elle se croit dans un train q
et accès délirant, aigu, qui montre, dans un cas où l'alcoolisme ne
saurait
être mis en cause, quelle activité et quelle co
té- absolument hostile); et que, de leur côté, plusieurs méde- cins
surent
àipeuiprès dépister t l'hystérie ? malgré les.voi
" ^irtr ! £ *>Rin-»' ,t/Y' « Qu'elles leur ont prédict le futur,
savoir
que la~ soeur de e<rTrivrn,n. ? ruz, .l , -
- ment. le, couvent, en. confiant .à une religieuse, que s'il avait
su
cequ,il,savait,maintenânt,il aurait diable comm
couvent, en. confiant .à une religieuse, que s'il avait su cequ,il,
savait
,maintenânt,il aurait diable comme un chien.^ ;j
nié'r,"i'une'dé'ntre elles, raconta imprudemment, plus tard qu'elle
savait
, trois jours avant que la procession se fît,,qu
^d'une , réprobation ,. générale^ d'autant,, plus s grande qu'on la
savait
encore au courant des affaires tempo- relles du
al of Mental Science, avril et juillet 1893.) ^^"^j ? ^, (J ,' ' On
sait
que deux théories ont été proposées pour11 expliq
les vieillards et les paralytiques généraux, chez lesquels,' on le
sait
,'les troubles vaso-moteurs du cerveau- sont trè
comme dans lai-cirrhose du foie, estune.an- cienneconception qui ne
saurait
plus être, admise de nos jours,,il n'en est pas
, le sujet revient à lui. Il est des gens, qui,se ^retrouvent, sans
savoir
comment, dans une localité,située à une, grande
dipsomanes}* par, intermittence : 7 En proietau'déliré; il'èürüpô-
sait
ces hiatoiresterrifantes ? seljetânt'dans'1'horri
x exigences de la science, de l'expérience et de l'humanité; ils ne
sauraient
donc être tenus pour c des établis- sements pro
er d'asiles -spécialement destinés à telle ou telle religion. On ne
saurait
davantage choisir pour infirmiers ou infirmière
cables; 4° l'admission dans un, asile public ou privé ne peut et ne
saurait
dépendre de 1 interdiction préalable ; c'est ce
nts et par l'examen critique de leurs rapports qu'on peut arriver à
savoir
quelque chose. L'analyse psychologique ne céder
iques de, .a malade ne^rentrent^dans' aucune catégorie. eEllës ne '
sauraient
rét're assimilées 'aux 'crises que M ? Fournier
oof ' Gilbert BaUet. - 2.oc. c ? . ;-49» ? û-t V-V ? <n 1» ? 339
su
PARALYSIE GÉNÉRALE'A'FORME'DE TABES AU DÉBUT. 4
ade avait les yeux ouverts ou fermés. De cette particularité, on ne
saurait
conclure à l'existence du signe de Romberg, mêm
la. syphilis), il nous parait plus naturel d'admettre, un proces-
sus
extehsif anormal irritatif", (Rendu), tasculaire
faire .cesser, se contenta de commander'aux diables qu'il suppo-
sait
posséder ces filles, de jurer sur le Saint-Sacrem
il. commençajsaj procédure, 3 entendit trente-quatre L témoins ?
savoir
. : 1 les,, quatreréxorcistes,letl-lesl,trénte,rel
uc,' et'pressée de plus'en plus : " Je n'en sçay rien, va^je' n'en'
sais
rien]pour te le dire, et,'aittr-es" choses semb
ent les prêtres qui avaient exorcisé dans les condi- tions que l'on
sait
. Ils redoutaient tout au moins le ridicule et l
voir parlé et pressé plus d'une heure il convia les trois messieurs
sus
nommés de se joindre à luy et de presser ce dém
ons dans le nerf; ', 'f 11 - , ' par VEDENSAY ? 1 ' -' ? *-t.' On
sait
que cette question a fait l'objet de nombreuses t
ndif- féremment ascendants ou descendants, les électrodes qui me-
surent
150 centimètres carrés sont placées l'une à la ré
me les plus atroces, et un moyen de régénération. Ainsi que vous le
savez
, saisir à temps un possible délinquant ou un dé
t', chez la 'femme, double de ce 'qu'elle est chez l'homme.,1 On le
sait
. depuis longtemps.. Quelles étaient., les alté-
travaux français relatifs aux' différentes formes de l'Idiotie. On
sait
que par ce mot on désigne un état mental, physi
Pinel à. l'une des sociétés savantes de l'époque. En tout cas, nous
savons
que, pour, lui, le Sauvage de l'Aveyron était a
mérycisme expérimental dont il était resté atteint ? Tout lé monde
sait
qu'ila appliqué à lui- même^ jusqu'au dernier m
But-, lér Smythe, 301. >.i4.v,f. Masochisme, remarque sur- la
su
.je-)' tion des sexes et le -, par Krafft-- -
que. Archives, 2° série, t. III. 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. on le
sait
, d'un sentiment de trouble et de confusion. Ce se
rougeur ou l'empêcher, les voici : s'il se trouve avec des gens qui
savent
qu'il rougit pour un rien, il n'essaie pas de c
aleur à la face. S'il se trouve avec quelqu'un, il parle vite, sans
savoir
ce qu'il dit, afin de détour- ner l'attention d
ut si on a l'air de les regarder, ils se troublent, s'agitent et ne
savent
à quoi se résoudre pour se tirer d'embarras.
te de leur infir- mité, à s'analyser. L'un est préoccupé surtout de
savoir
« comment il se fait qu'il y ait des personnes
sujet des rapports que cela peut présenter avec ce qui nous occupe,
sachez
que longtemps avant et quelque temps après L'OB
nts derrière la nuque, aux oreilles, mes idées se brouillent, je ne
sais
plus exac- tement ce que je dis, ce que je fais
. Antécédents héérédiluires. - Peu de choses à dire. Tout ce que je
sais
, c'est que j'ai entendu dire plusieurs fois que m
ougissais cela ne paraîtrait pas. Or c'est précisément parce que je
sais
que cela ne paraîtra pas que je ne rougis pas.
l faut peut-être voir là l'explication de ce que je disais hier : à
savoir
que, devant une femme, je n'éprouve aucune espè
choix pour l'étude des rapports de l'idée fixe avec l'émotion, On
sait
qu'à l'heure actuelle un mouvement se dessine,
présentant la Vierge affligée ; mais, signe caractéristique, elle a
su
résister à tous ces malé- fices et les réparer;
aussi bien que la lecture de ses composi- tions, démontrent que son
savoir
dans les sciences physiques est très faible et
ps chez le malade. On voit que l'élément de la folie raisonnante, à
savoir
Je terrain de dégérescence mentale, existe dans
i, pour' se produire, a besoin d'une prédispositon héréditaire, à
savoir
une dégénérescence mentale. (Annales médico-psych
xes, et, par suite, qu'il est dominé par une force à laquelle il ne
saurait
résister. Par là, c'est un irresponsable, au mo
ction s'en exerce-t-elle sur de tels systèmes anatomiques ? Nous ne
savons
. Mais il ne faut pas oublier que 30 p. 100 de n
onus céphalique et nystagmus) sans qu'on puisse se prononcer; on ne
sait
notam- ment à quelle époque de la vie les faire
ées. Souscription au jubilé de Théophile Roussel. M. BRIAND. Vous
savez
, Messieurs, qu'on prépare un jubilé en l'honneu
t arrangé et terminé ! » L'homme de Dieu avait eu raison, sans le
savoir
, de ne pas quitter sa cellule. Présent, on eût pe
PERCY SIfITfI, (British Médical Journal, 28 septembre 1895.) . On
sait
que les asiles anglais peuvent admettre des alién
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien à payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
ssible de sa vie habituelle. Il est évident qu'une telle méthode ne
saurait
apporter aucune en- trave, ou à peu près, aux r
former. Cela importe d'autant plus qu'à moins d'être cruel, on ne
saurait
l'appliquer ainsi que je l'ai démontré plus haut,
i est un plaisir se changeât en indisposition. Et puis les gardiens
savent
quels sont les malades avec qui on collationne,
urd'hui je crois que toutes les appréhensions sont dissipées. Je ne
saurais
trop engager mes collègues à entrer dans cette
t ne pouvait rendre raison de ces différences de fonction : elle ne
saurait
même dire, suivant Golgi, si cette hétérogénéit
ondition de la synergie fonctionnelle de ces parties. L'anatomie ne
saurait
fournir jusqu'ici une seule preuve de la réalit
anes périphériques de la sen- sibilité générale et spéciale, ils ne
sauraient
être qu'indirectement en rapport avec des group
règle pour qu'on puisse en dégager une loi générale ». Bref, on ne
saurait
rien con- jecturer decerlain sur la fonction de
erveau, ici beaucoup plus considérables, la conscience corticale ne
saurait
prédominer. » Bref, « on doit éviter de cherche
n nouvelle de toutes pièces. comme s'exprime Wundt. La que.-lion de
savoir
comment du protoplasma primordial, avec sa seus
limites trop étroites les sphères visuelles du lapin ; ce que nous
savons
de l'étendue de ces sphères chez l'homme, le sing
ns terminales elles colla- térales de ces prolongements nerveux. On
sait
que, d'une manière indépendante, et sans doute
euses n'ayant absolument aucun rapport direct entre elles, elles ne
sauraient
intervenir ni dans la production des mou- vemen
re à l'observation directe de mieux voir ces rapports. Le peu qu'on
sait
autorise pourtant pleinement à croire qu' * une
es nerveuses et ceux des différentes provinces de ce système. Il ne
saurait
donc exister d' « aires centrales exactement déli
. Mais il révoque en doute, toujours d'après ce qu'il a vu ou croit
savoir
, bien des faits qui chaque jour prennent droit
sé. Pour donner une notion sommaire des localisations des proces-
sus
dégénératifs qui suivent l'ablation des circonvol
maladie a évolué comme évolue d'ordinaire l'ataxie locomotrice. On
sait
, qu'en dehors des délires toxiques, de l'hystér
bilité des deux fonctions. Eh bien ! la réponse à cette question ne
saurait
faire aucun doute. Ces deux fonctions sont inco
les centres cérébraux correspondants. Il est clair que celui qui ne
sait
pas lire et dont l'écriture ne se fait pas auto
en commerce intellectuel avec leurs sem- blables. Leur commerce ne
saura
jamais être représenté par de grandes entrepris
, il avait été atteint déjà de deux accès de délire toxique dont on
sait
uniquement qu'il manifestait des idées de gran-
c'est dans le délire alcoolique subaigu, où, comme tout le monde le
sait
depuis Lasègue, le délire diurne n'est autre ch
ces observées dans le second cas mais non avec celles du premier. A
savoir
: préférence d'hallucinations mimiques visuelles
terrain dégénératif plus net, dont les formes extrêmes du moins, ne
sauraient
prêter à confusion par la brusquerie, le polymo
même ordre à systémati- sation progressive type. Leur existence ne
saurait
être mise en doute, elle parait d'ailleurs admi
s correspond-elle au degré le plus marqué de débilité mentale. On
sait
que chez les dégénérés les obsessions sont fré-
tation des syndromes psychiques, joints aux stigmates physiques, ne
saurait
permettre de pronostiquer constamment et à coup
opre dans le jour. On l'envoya à l'asile : il apprenait assez bien,
savait
des prières, des chansonnettes. Il avait cinq
o ce TABLEAU DES ACCÈS ET DES VERTIGES 194 RECUEIL DE FAITS
sait
se laver, mange seul et ne gâte pas d'habitude. I
entier de D... La question qui nous intéressait surtout, c'était de
savoir
quel était le degré de l'arrêt de développement
judicieuse, il est presque invariablement utile, et l'auteur n'en
saurait
dire autant du repos. L'exercice physique muscula
iuls; craniectomie, avec 18 fig. (U). ? 1 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
sait
guère que cette opération, après tout fort simple
hésite pas à répondre négativement et, pour soutenir son opinion, à
savoir
qu'on peut être anarchiste et régicide sans êtr
t « oeil obscur », par où il comprend cette idée concrète : a Je ne
savais
pas ce que je faisais. » Si on cherche à savoir
concrète : a Je ne savais pas ce que je faisais. » Si on cherche à
savoir
plus exactement pourquoi il ne savait pas ce qu
je faisais. » Si on cherche à savoir plus exactement pourquoi il ne
savait
pas ce qu'il faisait, il répond que la vue lui
première a trait, suivant lui, à une paralysie de la naissance (on
sait
que Gowers désigne ainsi les lésions du système n
anser. La méthode d'examen psychiatrique. En première ligne il faut
savoir
que les aliénés sont des malades au point de vu
opos de l'interdiction des buveurs d'habitude, pose la. question de
savoir
si le nouveau code civil permettra au tuteur d'
grand'peine à reconnaître son médecin ; il ne retient aucun nom, ne
sait
retrouver ni sa maison, ni sa chambre, est sans
rospective que publie M. Wood garde, en plus de l'inté- rêt qu'il a
su
lui donner, le mérite de la nouveauté. R. M. C.
es, on pourra, en effet, se convaincre facilement du peu que nous
savons
du goût et de l'odorat dans le tabes. Voici ce
ons de ce sens, si elles existent, sont peu connues; cepen- dant on
sait
qu'il peut y avoir anosmie à divers degrés. On a
et du goût Ce sont là des manifestations insolites auxquelles on ne
saurait
, en l'état des choses, attribuer une grande imp
que le goût et l'odorat sont touchés beaucoup plus souvent qu'on ne
saurait
le croire en lisant les ouvrages classiques ? C
LES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 269 goût dans le tabes ne
saurait
se passer de lui faire une large place. Il es
ient d'uue façon précoce par rapport au début de la mala- die. On
sait
que dans la grande majorité des cas de tabes ce s
e olfactif au cerveau. Le ganglion de ce nerf est représenté, on le
sait
, par les cellules olfactives qui se trouvent da
influence dilatatrice des filets nasaux du maxillaire supérieur, on
sait
que l'innervation sécrétoire va de pair avec l'
ion terminale du cylindraxe et de ses collatérales est la règle. On
savait
déjà que les nerfs sensitifs périphériques se t
ci, les ramifications ultimes du cylindraxe de cette cellule. On
sait
aujourd'hui qu'une cellule nerveuse des ganglions
lasmiques existerait déjà au coui de la vie intra-utérine. Veratti.
Su
alcune parlicularita di slrutlura délia corlecc
ec quelques cellules pyramidales géantes. Un point sur lequel on ne
saurait
trop insister dans l'étude des fonctions intell
existence. Il en est autrement des cellules de la névroglie, on le
sait
, dans lesquelles la nucléine conserve toujours sa
ed de la lettre, ne manifestent aucune intelligence » (ce que je ne
saurais
accorder il Cajal), il n'y a point, d'après Edi
es aussi petites, isolées, délicates, que celles de la névroglie ne
sauraient
non plus servir de soutien (sustentaculo) aux c
épithélium des ventricules. » Depuis 1884, signal a démontré, on le
sait
, que la névroglie est d'origine ectodermique. Tou
connectif. L'unité de tous ces carac- tères est si nette, qu'on ne
saurait
admettre, selon Weigert, qu'une partie des fibr
ses et la. névroglie n'existent donc point. Quant aux vaisseaux, on
sait
depuis Virchow en quelle quan- tité considérabl
la fonction de la névroglie qu'invoquent les auteurs espa- gnols ne
saurait
, à coup sûr, exister dans les couches profondes
s prolongements et les corps cellu- laires de la névroglie, cela ne
saurait
assurément suffire pour nier absolument l'exist
on délicate, c'est qu'elle n'est pas saine elle-même, et qu'elle ne
sait
pas ce qu'elle parait savoir, mais qu'elle croi
n'est pas saine elle-même, et qu'elle ne sait pas ce qu'elle parait
savoir
, mais qu'elle croit le savoir. Ainsi, pour sauv
qu'elle ne sait pas ce qu'elle parait savoir, mais qu'elle croit le
savoir
. Ainsi, pour sauver cette théorie, qui ne le mé
mérite guère, on nous invite à forcer et à fausser le sens du mot «
savoir
» à lui faire signifier ce qu'il ne signifie pas,
s, et à dire que si un homme ne peut pas gouverner ses actes, il ne
sait
pas ce qu'il fait. On voit combien cette théori
ser- vation médicale préalable avant d'être déféré en justice - (On
sait
que le tribunal anglais desflagrants délits est
s quelques cas la corne anté- rieure demeure indemne, mais comme on
sait
aujourd'hui que la plupart des muscles sont pou
si dans des cas de tumeurs ou de compression de la moelle, qu'on ne
saurait
ranger dans le groupe des inflammations. On les
oupe des myélites comme l'indique déjà leur étiologie commune. Nous
savons
que, même dans les névrites typiques, le poison
ts toxiques ont joué un rôle dans la production de la psychose ; on
sait
d'ailleurs que l'ictère peut-être accompagné de
ans. Sa vie a été des plus actives. Pra- ticien distingué, il avait
su
s'attirer une nombreuse clientèle. Ancien inter
Ancien interne de la Maison nationale de Charenton il s'intéres-
sait
particulièrement aux questions relatives a l'alié
nc la nutrition de la cellule et de ses nombreuses dendrites ? Nous
savons
déjà qu'autour du corps cellulaire se trouve un
descend dans les régions sous-jacentes du système nerveux. Nous ne
savons
pas encore quelles sont les fonctions de ces ce
estigations nouvelles ont donné les résultats positifs. Ainsi, nous
savons
maintenant que le nombre des neurones visuels e
erve pour l'ama- dou nitré ou les mèches à briquet, qui sont, on le
sait
, impré- gnées de chromate de plomb. , La prés
n. Les radiations optiques de Gratiolet qui contiennent, comme on
sait
, les fibres reliant le corps genouillé externe, l
- ment des centres moteurs s'accorde avec les faits cliniques. On
sait
que chez l'homme tous les mouvements ne sont pas
n dorsale (neuvième vertèbre dorsale). Un doute per- sistait donc à
savoir
si ce faisceau de Schultze avait réellement sa
riences de Lanz sur les poissons, de Christiani sur les lézards; on
sait
que sur ces animaux la thyroï- dectomie amène u
rentes fonctions par l'absence de son pouvoir régulateur normal. On
sait
la facilité caractéristique avec laquelle idiot
nde un peu ironiquement, semble-t-il, au DI' Talbot si les médecins
savent
que les gens à qui on a enlevé les testi- cules
la perte des sentiments élevés et du jugement. Il est important de
savoir
que ces actes sont considérés souvent comme la
e que des faits analogues ont été observés dans d'autres asiles. On
sait
que le traumatisme est souvent un agent provoca
leur rapport avec les accès. Au point de vue médico-légal, il faut
savoir
que l'épilepsie peut débuter par un accès de dé
st plus accentuée le matin. - Dans les psychoses épileptiques il ne
saurait
être question, le plus souvent, d'une éclipse d
doit les remettre à leur possesseur qu'avec mon assentiment. Il ne
saurait
être question, dans toute cette organisation, d
doublement délicate quand on a affaire à une con- grégation ; on ne
saurait
trop insister sur ce point que seul le Directeu
vent rester l'exception. M. FÙRSTNER. La question importante est de
savoir
si le ménage de ces infirmiers est en dehors de
à un enchondrome, mais l'examen hislologique montra qu'il s'agis-
sait
d'une dégénérescence hyaline des vaisseaux et de
l; altérations très marquées du parenchyme des fibres musculaires à
savoir
: vacuolisation, gonflement, troubleet atrophie,
n complète, détaillée du type choisi de cellules. En tout cas, nous
savons
qu'il n'a pas été possible d'éclairer les cellu
tat des recherches de l'auteur à propos des lésions congénitales ne
saurait
laisser de doute : ayant étudié les moelles de
l'expose en un travail marqué au coin de l'intérêt persuasif qu'il
sait
attacher à ses écrits. C'est avec la conviction
es plus hauts et des plus difficiles problèmes de la vie humaine, à
savoir
la préservation et la restauration de la santé de
français. Kroepelin écrit qu' « à la période ultime, les malades ne
savent
plus ni se mouvoir, ni se tenir debout, et par
et les premiers auteurs les ont décrits très nettement. Mais je ne
sache
pas qu'on les ait mis en rapport avec telle ou
t le projet qui nous est sou- mis ne laisse rien à désirer, reste à
savoir
s'il est appli- cable, s'il ne constitue pas un
surveillant en chef, à qui incombe plus spécialement ce soin, ne
saurait
être partout, on ne serait pas longtemps à dire,
auteurs postérieurs à Landry comme caractéristiques de la maladie à
savoir
: une paralysie ascendante aiguë, causant la mort
sion se trouve en bonne concordance avec l'expérience géné- rale, à
savoir
que les lésions de la substance grise ont pour co
troubles de l'appareil digestif et des parties sexuelles. Comme on
sait
, les troubles des parties génitales ont été consi
ortance indirecte sous ce rap- port est en revanche très grande. On
sait
que les enfants d'alcoo- liques ont souvent un
n qui explique exactement les deux facteurs du syndrome clinique, à
savoir
l'hé- miplégie droite et la paralysie du moteur
ment ni oral ni écrit, mais elle se conduisait d'une façon normale,
savait
tenir un ménage, gagnait sa vie avec des travau
p. 100 prélevés par la poste, et nos abonnés n'ont rien il payer en
sus
du prix de leur renouvellement. Nous leur rap
Cubasch, Loss- mtzer, Peterson, Boehmert, 245. Inversion. Théorie
sut
1' du sens génital, par Havelock, 227. Ivrogn
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