nguification et foyer delà chaleur animale, — n'est à peu près que du
sang
desséché et épaissi, mais c'est à un médecin angl
aissent dans les espaces, celles de la mélanémie, cette altération du
sang
, liée aux maladies palustres, dont le point de dé
ncs ou dans les cellules épithéliales vascu-laires, circulent avec le
sang
, spécialement dans le système de la veine porte.
s). — On conçoit que le pigment charrié par les corpuscules blancs du
sang
, dans le système porte, en cas de mélanémie, vien
nature. — Action sur l'or-ganisme de la cholestérine retenue dans le
sang
. — Travaux de M. Flint fils. Messieurs, Je me
le proces-sus de génération de la chaleur animale. Ceci accomplit le
sang
reconstitué, régénéré, se rendait au cœur droit p
de Austin Flint fils (1868) (1). La Cholesterine se trouve dans le
sang
. Mais, sa présence dans le liquide sanguin, depui
ue le foie n'est pas son foyer de forma-tion. Sa préexistence dans le
sang
est établie, dans le tra-vail de M. Flint, sur le
ablie, dans le tra-vail de M. Flint, sur les données suivantes : Le
sang
de la veine porte contient ce principe en telle q
é qu'on l'y trouve parfois sous forme de paillettes. Au con-traire,le
sang
de la veine sus-hépatique en renferme beaucoup mo
fer. Or, consécutivement, la Cho-lesterine s'était accumulée dans le
sang
. Ainsi, tandis que chez un chien, avant l'expérie
dans le sang. Ainsi, tandis que chez un chien, avant l'expérience, le
sang
contenait 0, 8 à 0, 9 de Cholesterine sur 1000, —
rès, il en renfermait 3, 96 sur 1000. B. Mais, ce n'est pas dans le
sang
que prend naissance la Cholesterine que le foie é
vient des centres nerveux, M. Flint a fait une analyse comparative du
sang
de la carotide d'un chien et du sang de la veine
fait une analyse comparative du sang de la carotide d'un chien et du
sang
de la veine jugulaire du même animal. Or, tandis
ang de la veine jugulaire du même animal. Or, tandis que pour 1000 le
sang
de la carotide donnait 0, 967 de Cholesterine, ce
u trop forts, que la Cholesterine est au cerveau ce que l'urée est au
sang
(Gauthier), en supposant que ce soit la désassimi
st au sang (Gauthier), en supposant que ce soit la désassimilation du
sang
qui produise l'urée. Quelle est l'action sur l'
n cas de cirrhose, où il y avait accumulation de Cholesterine dans le
sang
, M. Flint a été conduit à attribuer les accidents
Koloman Muller (1) a avancé qu'une injection de Cholesterine dans le
sang
provoque des accidents nerveux mortels. Mais, de
stin avec la bile ; 2° que l'accumulation de la Cho-lesterine dans le
sang
, à la suite de certaines lésions fonction-nelles
éaction de Gme-lin.—La bilirubine provient de la matière colorante du
sang
; preuves à l'appui de cette opinion. — Rôle et pr
vez, est un produit qui prend naissance dans les cas d'épanchement de
sang
au sein des tissus ; c'est à elle, par exemple, q
ais y est-elle formée par un acte sécrétoire, ou, préexistant dans le
sang
, est-elle simplement éliminée comme l'est la Chol
st la Choleste-rine ? Le fait est qu'on ne la rencontre pas dans le
sang
normal, ou tout au moins que la chimie, jusqu'ici
ar Moleschott et Kunde, le pigment biliaire ne s'accumule pas dans le
sang
. Néanmoins, il y a tout lieu de croire que la b
e la bilirubine prend naissance aux dépens de la matière colorante du
sang
, des globules rouges, et, par conséquent, en vert
entre Vhématine, produit de décomposition de la matière colorante du
sang
ou hémoglobine et la bilirubine. L'héma-tine ne d
e-ment d'un épanchement sanguin, supposeraient une grande quantité de
sang
épanché. Or, on sait que les épanchements sanguin
mettre en liberté l'hémoglobine, lorsqu'elles sont injectées dans le
sang
, ont pour effet de faire passer la matière colora
ois, suivant cet auteur, si l'hémo-globine dissoute, injectée dans le
sang
, ne détermine pas — il l'affirme du moins — le pa
rouges. Le fait peut être constaté en comparant à ce point de vue le
sang
de la veine porte à celui de la veine hépatique.
. Feltz et Ritter (1), les solutions de bilirubine, injectées dans le
sang
, n'occasionneraient chez les animaux aucun phénom
— Effets toxiques dus à la sura-bondance des acides biliaires dans le
sang
. — Ictère grave. Rôle physiologique de la bile.
lésions de canalisation plus ou moins graves, mais pénétrant dans le
sang
, à dose quelque peu concentrée, sous l'influence
lles peuvent, comme nous allons le voir, exercer sur les glo-bules du
sang
une action dissolvante ; elles peuvent aussi, sel
foie, très certainement. Jamais on n'a constaté leur présence dans le
sang
normal et l'on sait, d'ailleurs, par les expérien
uilles (Moleschott, Kunde, MullerJ qu'ils ne s'accumulent pas dans le
sang
après cette ex-tirpation. Aux dépens de quels élé
ans le sang après cette ex-tirpation. Aux dépens de quels éléments du
sang
et suivant quel mécanisme ces acides prennent-ils
, les acides biliaires sont capables d'exercer sur divers éléments du
sang
une action dissolvante et, mêlés au sang, dans un
ercer sur divers éléments du sang une action dissolvante et, mêlés au
sang
, dans un certain degré de concentration, ils peuv
on dissolvante de la bile et des acides biliaires sur les globules du
sang
: elle ne fait pas l'ombre d'un doute ; c'est l'u
ets toxiques, qui se produisent en conséquence de la présence dans le
sang
des acides biliaires, à un certain degré de conce
xpérimenta-lement chez les animaux par les injections de bile dans le
sang
. M. Rohrig a montré de plus, par une sorte d'an
reste MM. V. Dusch, Leyden et quelques autres — que, injectés dans le
sang
, à dose concentrée, les acides biliaires détermin
ue, en sécrétant la bile, le foie exerce une action épuratoire sur le
sang
qu'il débarrasse de certains produits. Ce dernier
ns, les maladies dans lesquelles il y a une altération de la crase du
sang
fournissent de nombreux exemples appartenant à ce
xiste pas à l'état normal dans la bile, s'y montre dans les cas où le
sang
en contient 3 sur 1000; pour que le sucre apparai
que le sucre apparaisse dans l'urine, il faut qu'il y en ait dans le
sang
4 sur 1000 (Cl. Bernard, Ch. Robin). Suivant Mosl
ue, suivant Mosler, l'injection d'une notable quan-tité d'eau dans le
sang
a pour résultat de faire apparaître l'albumine da
isme. On l'a (1) Renies Zeitsch., Bd. 31, p. 144. trouvée dans le
sang
, dans la lymphe et le chyle (Wurtz), dans la sueu
erches pro-venait bien du parenchyme hépatique lui-même et non pas du
sang
qui l'imbibe, car les animaux mis en expérience a
rmation de l'urée chez les mam-mifères. Du foie, l'urée passe dans le
sang
; nous savons qu'on ne la rencontre pas dans la bi
rappelle les conditions vitales. On fait passer par la veine porte le
sang
de l'animal qui a servi (1) M. Munk a avancé ré
sang de l'animal qui a servi (1) M. Munk a avancé récemment que le
sang
contient plus d'urée que le foie et qu'il n'y a p
d'urée. Voici le résultat de deux expériences : lre Expérience. —
Sang
qui n'a pas traversé le foie sur 100 ce........
ui n'a pas traversé le foie sur 100 ce.................. 0,09 gr.
Sang
qui a passé une fois.... 0,14 2e Expérience. —
nclut qu'il y a production réelle et rapide d'urée dans le passage du
sang
à travers le foie. Tel est pour le moment, Mess
urique. — Excrétion normale. — Accumulation de l'acide urique dans le
sang
des goutteux : lithémie ou uricémie. — Démons-tra
u uricémie. — Démons-tration de la présence de l'acide urique dans le
sang
à l'état physiologique ; — sa production dans le
uelle l'acide urique, sous forme d'urate de soude, s'accumule dans le
sang
et figure, comme élément essentiel, dans toute le
grand facteur de la goutte, l'accumulation de l'acide urique dans le
sang
, ou, ainsi qu'on l'appelle encore, la lithémie ou
aire ressortir que l'acide urique, de même que l'urée, existe dans le
sang
des mammi-fères à l'état normal, bien qu'en quant
tte que je signalais tout à l'heure. L'acide urique, accumulé dans le
sang
, ainsi que je le rappelais et comme l'ont établi
x parler de Faccroissement de la proportion de l'acide urique dans le
sang
qui, suivant les recherches de M. Garrod, com-men
lle du foie que l'acide urique, formé là en excès, s'accumule dans le
sang
et la saturation qui se produit ainsi, à un mo-me
iale favorise dans la goutte l'accumulation de l'acide urique dans le
sang
, c'est l'existence ordinaire, en pareil cas, d'un
ravaux de M. Garrod, que l'acide urique s'accumule facilement dans le
sang
chez les saturnins alors même qu'ils ne sont pas,
sans pouvoir y constater la moindre trace d'acide urique, le sérum du
sang
et la sérosité de vésicatoires prove-nant de suje
trer liée quelquefois à l'existence d'un excès d'acide urique dans le
sang
(Rayer). M. le docteur Bail m'a communiqué l'obse
re « le foie empêche ou modère l'en-trée du sucre alimentaire dans le
sang
. » Ce rôle particulier du foie, à l'égard du su
g. » Ce rôle particulier du foie, à l'égard du sucre apporté par le
sang
de la veine porte, a été depuis longtemps mis en
, d'après quelques auteurs, auraient un excès de cholestérine dans le
sang
. On trouve les concrétions, pour ainsi dire à l
'autres hémorragies paraissent relever de l'altération de la crase du
sang
ou tout au moins de l'altération des vaisseaux sa
onstance, l'action dissolvante des acides biliaires accumulés dans le
sang
. Malheureusement, une simple remarque montre qu'i
ions les plus défavorables, la quantité des acides biliaires mêlés au
sang
semble être insuffisante pour engendrer les accid
très élevées , chez un chien auquel M. Yulpian avait injecté dans le
sang
jusqu'à 90 grammes de bile de (1) Leyden. — Pat
, comme celle de Yangiocholite, résulterait de l'introduction dans le
sang
de l'agent pyrétogène hypothéti-que provenant de
es après par synco-pe. On trouva à l'autopsie un grand épanchement de
sang
coa-gulé dans l'épaisseur de l'épiploon gastro-hé
-loppement d'une circulation supplémentaire, par suite de laquelle le
sang
veineux porte, trouvant obstacle du côté du foie,
développement de cette circu-lation supplémentaire qui fait passer le
sang
veineux porte dans le système des veines caves et
adhérer les deux organes. Les membranes diaphragmatiques reçoivent du
sang
des vaisseaux diaphrag-matiques,branches apparten
veine cave; les néo-membranes hépatiques, au contraire, reçoivent le
sang
de la veine porte par la voie des veines capsulai
nt étudié cette question, des tubes de sûreté permettant le reflux du
sang
de la veine porte dans le système de la veine cav
tient à Rindfleisch (1) : la veine porte étant oblitérée, le cours du
sang
s'opérait par les veines très dilatées du plexus
a circulation hé-patique persiste dans certains troncs volumineux, le
sang
pourra passer par l'intermédiaire de cette voie d
e de cette voie dans le sys-tème général, dans les cas où le cours du
sang
est inter-rompu dans les lobules hépatiques. Ces
r anomalie ou redevenu* perméable par suite de l'obstacle au cours du
sang
dans h veine porte. Mais la dissection montre, et
ne présente aucune anastomose au niveau des parois abdominales. Le
sang
qui reflue dans ces veines dilatées les parcourt
la cirrhose vulgaire. Symptômes de la cirrhose vulgaire. — Stase du
sang
, ascite, catarrhe gastro-intestinal, hémorragies
inal, hémorragies statiques : altération hypothétique de la crase du.
sang
. — Tuméfaction de la rate — Absence habituelle de
'é-prouve, en cas de cirrhose, dans son passage à travers le foie, le
sang
qui de l'intestin et des annexes se dirige vers l
nt en une trame fibroïde offrant un système vasculaire dans lequel le
sang
afflue par les artères et sort par les voies supp
z grand nombre de lobules contenant des cellules hépati-ques et où le
sang
pénètre dans les capillaires intra-lobulaires en
sur les divers phénomènes, déjà suffi-samment étudiés, de la stase du
sang
dans les vaisseaux portes abdominaux. Je ne parle
t avait invoqué, pour en rendre compte, une altération de la crase du
sang
. Mais, en quoi consiste cette altération et quell
iliaire, laquelle semble dériver elle-même de la matière colorante du
sang
, soit rendue en excès quand la bile est sécrétée
ce en distance, des veines se forment dans ces réseaux et ramènent le
sang
dans les veines interlobulaires qui, parallèles a
ue tous les vasa recta proviennent des vaisseaux afférents, et que le
sang
qui y circule a, par conséquent, déjà traversé le
es de l'urine, tels que l'urée et l'acide urique, préexistent dans le
sang
: c'est un fait depuis longtemps reconnu, et que,
nité toute spéciale pour l'in-digo; en effet, si l'on injecte dans le
sang
d'un animal une solution très peu concentrée de s
en grand nombre par dos amas cylindriques formés par des glo-bules de
sang
agglomères et plus ou moins profondément altérés,
à une transsudation des hématies, rendue possible par l'altération du
sang
, toujours est-il que, par suite de l'oblitération
'oblitération d'un certain nombre de canalicules par les infarctus de
sang
concrète, il peut se dé-velopper des accidents ur
es paraît tenir, dans ces cas, à l'action des acides biliaires sur le
sang
; car Leyden les a observés dans l'urine des anim
le sang ; car Leyden les a observés dans l'urine des animaux dans le
sang
desquels il avait in-jecté des acides biliaires.
te un aspect hyalin, vitreux, et se colore à peine par le carmin ; le
sang
n'y pénètre plus et la capsule épaissie est imméd
que, dans ceux des glomérules qui fonctionnent encore (la quantité de
sang
restant d'ailleurs la même), la pression du sang
core (la quantité de sang restant d'ailleurs la même), la pression du
sang
sur les parois artérielles et sa vitesse doivent
s les glomérules, et d'un autre côté, l'excès momentané d'eau dans le
sang
résultant de l'imperméabilité rénal produit dans
l'urée, ainsi que les autres principes extractifs, s'accumule dans le
sang
. D'ailleurs, cette accumulation est d'autant plus
té anormale d'urée qui, non excrétée suffisamment, s'accumule dans le
sang
; aussi dans ce cas, la mort survient-elle rapide
urs, que l'acide urique, en pareille circonstance, s'accumule dans le
sang
, sous forme d'urate de soude, et telle paraît êtr
remier effet est de déterminer la rétention de l'acide urique dans le
sang
, qu'est due la fréquence de la goutte tophacée ch
pertrophie du cœur et de la tension exagérée à laquelle est soumis le
sang
dans le sys-tème artériel. On rattache volontie
ut notablement altéré; elles avaient le volume des globules blancs du
sang
et étaient distendues. L'apparence qui vient d'êt
ltration des tissus affectés par une substance formée d'abord dans le
sang
, ou bien la matière amyloïde se forme-t-elle sur
a signaler ; je ferai seulement remarquer que, jusqu'ici, l'é-tude du
sang
chez les sujets atteints de l maladie lardacée, n
on peut donc avoir pour effet, d'après M. Dickinson, de soustraire au
sang
de l'albumine et des alcalis; la fibrine deviendr
ne apportée, dans la veine émulgente par exemple, à la circulation du
sang
veineux, ces veinules, comme d'ailleurs les autre
rminées chez l'homme en conséquence d'un obstacle apporté au cours du
sang
dans la veine rénale. Nous verrons que l'urine ra
ne rénale, la circulation artérielle restant libre. Par la canule, le
sang
s'écoule avec une certaine vi-tesse. L'urine elle
s, reçoit une veine, véritable veine porte rénale, qui lui apporte le
sang
prove-nant des parties inférieures du corps, et p
venu renalis adve-hens. Les capillaires qu'elle fournit déversent le
sang
dans un autre tronc veineux qui porte ajuste titr
vehens. Celle-ci, par des chemins plus ou moins détournés, conduit le
sang
qui a baigné les canalicules du rein dans la vein
en effet, chez la grenouille, on lie ou comprime l'artère rénale, le
sang
ne pénètre plus dans le glomérule ; et le gloméru
ge d'une circula-tion en retour par la voie de l'artère afférente, le
sang
trou-vant un écoulement plus facile par la voie d
et Y'acide urique. Cette eau provient incontestablement du plasma du
sang
dont elle se sépare, as-sure-t-on, par un simple
uelque sorte, que l'urée et l'acide urique existent préformés dans le
sang
et qu'ils sont simplement amenés à concentration
l'urée et l'acide urique, l'acide hippurique ne préexiste pas dans le
sang
, même chez les herbivores où il se rencontre dans
orme de toutes pièces, aux dépens de substances préexistant dans le
sang
, mais dont la nature est restée jusqu'ici inconnu
après les expériences de Schmiedberg et Koch, si l'on injecte dans le
sang
d'un chien du glycocolle et de l'acide benzoïque
uretère, une certaine quan-tité d'acide hippurique s'accumule dans le
sang
. D'autre part, on peut se convaincre que cet acid
e les vaisseaux du rein, on ne trouve plus d'acide hippurique dans le
sang
. b) Voici une expérience peut-être plus frappan
s, et si, à travers l'artère principale de ce rein, on fait passer du
sang
conte-nant de l'acide benzoïque et du glycocolle,
conte-nant de l'acide benzoïque et du glycocolle, il se forme dans le
sang
de l'acide hippurique. Cette synthèse peut se fai
orme de toutes pièces l'acide hippurique qui ne préexiste pas dans le
sang
. DEUXIÈME LEÇON Sécrétion de l'eau urinaire.
de l'in-gestion du blanc d'œuf non cuit. Identité des albumines du
sang
et des albumines contenues dans les urines — Fi
logiquement, s'élimine le sucre accumulé en certaine quantité dans le
sang
. C'est en-core par le glomérule que, dans des con
transsudent des variétés d'albumines étrangères à la constitution du
sang
et qui y ont pénétré accidentellement, celle du b
vasculaires décrites par Cohnheim, et qui, au moment de la rentrée du
sang
, en déterminent la stase (si l'arrêt de la circul
is heures), n'ont pas eu le temps de se produire. Donc, le cours du
sang
se rétablit aussitôt et la conclusion qu'on peut
produire immédiate-ment, puisque rien n'est changé dans le filtre. Le
sang
artériel, en rentrant dans les vaisseaux du glomé
qu'élément mécanique, que la diminution de Vitesse intervient ici. Le
sang
artériel sous pression, arrêté au milieu des tiss
fonction glomérulaire, le sucre ne passe plus, il s'accu-mule dans le
sang
. B. Mais j'ai hâte d'en venir à la sécrétion de
que, chez un animal en expérience, on injecte cette substance dans le
sang
. L'albu-minurie ne se produit pas si l'albumine a
e ne se produit pas non plus s'il s'agit d'une solution d'albumine du
sang
. Dans ces cas, l'albumine qu'on retrouve dans l'u
rie normale temporaire, elle présente les caractères de l'albumine du
sang
. C. Ce que je viens de vous dire de la différen
latifs aux caractères distinctifs des diverses variétés d'albumine du
sang
et des urines, tant au point de vue physique qu'a
e, d'une façon générale, toutes les albumines qu'on rencontre dans le
sang
et qu'on sait y distinguer se retrouvent avec les
au moins très vraisemblable, que les diverses espèces d'albumines du
sang
peuvent passer dans l'urine sans y subir de modif
ne, à savoir : 1° la serine (c'est à proprement parler l'albu-mine du
sang
) ; 2° la globuline. Je ne m'arrêterai pas à dév
ne du blanc d'œuf, laquelle, comme vous le savez, n'appartient pas au
sang
. En premier lieu il convient cle faire ressorti
fférentiels. De tous, le plus connu, c'est que l'albumine du sérum du
sang
, coagu-ée par l'acide nitrique, se redissout tota
s seulement dans le sérum ; on la trouve encore dans les glo-bules du
sang
, dans le cristallin, et c'est là même qu'elle a é
d'Arsonval tendent à établir que, dans certaines circonstances, le
sang
delà circu-lation générale contient dans son séru
e peptones, et qui se trouvent en quelque sorte en permanence dans le
sang
de de la veine porte. Suivant M. d'Arsonval, ce s
tre les diverses espèces d'albumines qu'on distingue dans le sérum du
sang
et celles qu'on trouve dans les urines des albumi
ouvent avec leurs carac-tères chimiques et physiques dans le sérum du
sang
normal. Ce fait capital rend déjà très vraisemb
ate la présence dans les urines, et qui nécessairement proviennent du
sang
, ne sont autres que les diverses albumines connue
iennent du sang, ne sont autres que les diverses albumines connues du
sang
normal, et le rein, qui les élimine, ne leur fait
lanc d'oeuf cru, totalement étrangère d'ailleurs à la constitution du
sang
, passe dans les urines quand on l'ingère en assez
n ! il y a lieu de rechercher si cette albumine de l'œuf, éliminée du
sang
, passe effectivement, ainsi que nous l'avons décl
it plus de l'albumine du blanc d'œuf, mais bien de l'albumine même du
sang
passant dans les urines, c'est-à-dire, qu'en pare
t albumineuse. D'autre part, il est clair que cette albumine vient du
sang
, et il y a lieu de re-chercher dans quelle partie
la grenouille. Après avoir lié l'artère rénale, on injecte dans le
sang
une certaine quantité d'urée qui passe naturellem
le entraîne avec elle toutes les par-ties contenues dans le plasma du
sang
, y compris l'albumine. Mais cette albumine ne pas
cipaux : 1° Tantôt on invoque une altération préalable de la crase du
sang
, dont l'albuminurie serait la conséquence immédia
rie hématogène, on sup-pose l'existence d'une altération préalable du
sang
, dont l'al-buminurie serait la conséquence immédi
nviron, comme cause de l'albuminurie, l'existence d'une altération du
sang
due à la présence dans ce liquide d'une quantité
r et quelques autres. Ces expériences consistaient à injecter dans le
sang
des animaux une certaine quantité d'eau, et, pres
sont teintées en rouge, elles renferment généralement des globules du
sang
ou tout au moins la matière colorante du sang, c'
alement des globules du sang ou tout au moins la matière colorante du
sang
, c'est-à-dire l'hé-moglobine. Deux choses peuvent
étant soudainement distendus, se brisaient et laissaient échapper du
sang
en nature, et, ainsi, provoquaient l'albuminurie
xpériences d'injection d'eau suivie d'hémoglobi-nurie, la dilution du
sang
est poussée fort loin et se présente dans des con
ès cela, que l'albuminurie ou mieux l'hémoglo-binurie par dilution du
sang
, n'existe pas chez l'homme, mais je dirai, ên pas
érimentale; hémo-globinurie. — Modification supposée de l'albumine du
sang
; les lésions rénales seraient consécutives. — Th
aractères différentiels de l'albumine de l'urine et de l'al-bumine du
sang
. — Recherches de Becquerel et Vernois concluant à
nurie ne peut pas dépendre d'une modification chimique ou physique du
sang
. — Albu-minuries anormales : Travaux récents de M
tantôt on invoque, en effet, une altération préalable de la crase du
sang
, altération dont l'albuminurie serait la consé-qu
ne passe dans les urines que si la quantité d'eau introduite dans le
sang
est relativement énorme. Il se produit alors une
te jamais comme conséquence immédiate d'une altération primordiale du
sang
. C'est une opinion très ancienne déjà, que, dan
e, mais bien dans une altération préalable que subirait l'albumine du
sang
. Cette albumine altérée, modifiée dans sa constit
e cherchée dans une disposition anormale, spécifique de l'albumine du
sang
. Cette disposition qui consiste probablement dans
e doit avoir pour cause primordiale une modification de l'albumine du
sang
, il faut nécessairement avoir acquis la certitude
g, il faut nécessairement avoir acquis la certitude que l'albumine du
sang
, dans la maladie de Bright, diffère de l'albumine
albumine du sang, dans la maladie de Bright, diffère de l'albumine du
sang
normal. Or, cette démonstration, vous le comprene
e. Sa tentative n'a pas été heureuse. Il a re-connu que l'albumine du
sang
, chez les brightiques, sè redis-sout dans un excè
, mais il croyait que cette propriété la distinguait de l'albumine du
sang
ou sérum. Bien au contraire, c'est là un caractèr
dis-tinguer nettement de l'albumine de l'œuf, substance étran-gère au
sang
dans l'organisme sain. Pour ceux d'entre vous q
la réaction chimique, l'existence d'une altération de l'albumine du
sang
, dans les divers cas d'albuminurie organique ou f
urines, en pareille circonstance, ne diffère en rien de la serine du
sang
normal. Mais il ne suffit pas, suivant M. Stokv
inuriques jouit des mêmes propriétés physiolo-giques que la serine du
sang
normal. Voici ce qu'il faut enten-dre par là. L'a
t, à ce propos, on peut remarquer que cette albumine injectée dans le
sang
passe non seulement à travers Pépithélium du rein
œuf. Au contraire, l'albumine du sérum, lorsqu'on l'injecte dans le
sang
, ne passe pas dans l'urine. Stokvis en conclut qu
ologiques aussi bien que par ses carac-tères chimiques, l'albumine du
sang
diffère absolument de l'albumine du blanc d'œuf.
uf. On comprend maintenant que si l'albumine des urines et celle du
sang
chez les albuminuriques étaient, comme le veut la
nalogues à l'albumine de l'œuf, et, comme celle-ci, injectées dans le
sang
des animaux, elle devraient passer dans les urine
et par M. Slokvis. L'albumine d'un albuminurique est injectée dans le
sang
d'un certain nombre d'animaux ; et, précisément,
lade ne passe pas dans les urines. En second lieu, de l'albumine du
sang
provenant de mala-des albuminuriques est injectée
provenant de mala-des albuminuriques est injectée sans succès dans le
sang
de quelques animaux ; et il en est de même de la
hli-que. Ainsi, vous le voyez, celle albumine soi-disant altérée du
sang
, dont la présence est invoquée comme une conditio
ble du blanc d'œuf. Eile ne se distingue au contraire de la serine du
sang
normal par aucuns caractères chimiques ou physiol
dans une modification de la constitution chimique ou physiologique du
sang
. Cette conclusion, Messieurs, je n'y contredis pa
caractères chimiques et physiques, des albumines connues du sérum du
sang
. On sait, par exemple, que, chez les sujets att
-ment également temporaire de la quantité d'albumine dissoute dans le
sang
. D'autres invoquent une augmentation momen-tanée
e peut se refuser à admettre ici que cette albumine modifiée vient du
sang
; et il est clair que ce n'est pas dans le rein l
modification. Donc, c'est une albumine préalablement modifiée dans le
sang
qui, en pareil cas, a passé dans les uri-nes. Ce
tendre à trouver une forte quantité de peptones alimentaires clans le
sang
. Il faut donc admettre une modification préalab
Il faut donc admettre une modification préalable de l'albu-mine du
sang
; et, c'est à ce propos que Gerhardt suppose que,
une proportion plus considé-rable de transsudats quand la pression du
sang
augmente dans ces vaisseaux. Ainsi, en dehors du
diminue à loisir au moyen d'un instrument spécial. En pareil cas, le
sang
est ralenti, mais il persiste pendant toute l'e
sion sanguine diminue dans le glomérule en môme temps que le cours du
sang
y est ralenti. En un mot, il y a stase sanguine a
doit admettre que d'un côté il existe un obstacle à la circulation du
sang
vei-neux, tandis que, de l'autre, aucune modifica
, aucune modification n'étant survenue dans la pression cardiaque, le
sang
continue à-affluer dans le glomérule. La situatio
'élément constant est — V, c'est-à-dire le ralentissement du cours du
sang
; ce qui revient à dire que les conditions qui rep
par la formule + P -f" V, car, en pareille circonstance, le cours du
sang
de-vient plus rapide dans le rein en même temps q
ment sur lequel il ne saurait y avoir de discussion est la xdtesse du
sang
, qui est évidemment ici diminuée (— V). d) L'ét
capillaires, ce qui est une condition dé-favorable pour le reflux du
sang
veineux. Il est donc probable que la pression est
ralentissement du courant sanguin et partant le séjour prolongé d'un
sang
peu oxygéné dans les capillaires rénaux. Nous ret
défaut. Ainsi sont les choses en réalité. Donc, quand la pression du
sang
dans le glomérule est accrue et que la circulatio
lomérules complètement atrophiés et, en grande partie imperméables au
sang
. Ceux-là sont en quel-que sorte hors de cause, il
comme dans l'expérience dernière d'Overbeck, obstacle à la sortie du
sang
veineux. Mais l'action du cœur persistant telle q
, la pression artérielle n'est en rien modifiée, et en conséquence le
sang
, retardé dans son cours, s'accumule sous forte pr
e citée d'Overbeck, car, dans ce cas, s'il y a ob-stacle à l'issue du
sang
, veineux, dans le rein, comme dans les autres vis
ue du sang, veineux, dans le rein, comme dans les autres viscères, le
sang
, en raison de l'affaiblissement considérable de l
lomérule se trouvent dans des conditions physiologiques spéciales. Le
sang
veineux n'y reflue pas facilement, et ainsi que l
ue ces phénomènes se produisent dans des circonstances où le cours du
sang
à l'intérieur du giomérule se ralentit, que la pr
ce qui vient à l'appui de l'opinion déjà émise, que la circulation du
sang
ne s'y fait pas sous une forte pression. Quoi q
albumine dans les urines ne peut être attri-_ buée au mélange soit du
sang
, soit du pus, l'albuminurie, dans quelque circons
, à la destruction de ces cel-lules et à la transsudation du sérum du
sang
à travers les pa-rois non organisées des tubuli.
contorti mais bien par la voie du glomérule que filtre l'albumine du
sang
; qui montrent en outre que le passage de, l'albu
nature. — Action sur l'or-ganisme de la Cholesterine retenue dans le
sang
. — Travaux de M. Flint Iiis......................
action de Gmelin. — La bilirubine provient de la matière colorante du
sang
; preuves à l'appui de cette opinion. — Rôle et pr
— Effets toxiques dus à la sura-bondance des acides biliaires dans le
sang
. — Ictère grave. Rôle physiologique de la bile.
urique. — Excrétion normale. — Accumulation de l'acide urique dans le
sang
des goutteux ; lilhémie ou uricémie, — Démons-tra
u uricémie, — Démons-tration de la présence de l'acide urique dans le
sang
à l'état physiologique ; — sa production dans le
s la cirrhose vulgaire. Symptômes de la cirrhose vulgaire. — Stase du
sang
, ascitc, catarrhe gastro-intestinal, hémorragies
tinal, hémorragies statiques : altération hypothétique de la crase du
sang
. — Tuméfaction de la rate — Absence habituelle de
do l'in-gestion du blanc d'œuf non cuit. Identité dos albumines du
sang
et des albumines contenues dans les urines — Fibr
érimentale; hémo-globinurie. — Modification supposée de l'albumine du
sang
; les lésions rénales seraient consécutives. — Th
aractères différentiels de l'albumine de l'urine et de l'al-bumine du
sang
. — Recherches de Becquerel et Vernois concluant à
nurie ne peut pas dépendre d'une modification chimique ou physique du
sang
. — Albu-minuries anormales : Travaux récents de M
, 202. Acides biliaires, 78,85136.—Effets de leur rétention dans le
sang
, 80. —Urique (Formation et élimination de 1'),
, 274. Fonction désassimilalrice, 93, 277. G Globules rouges du
sang
(Action dis-solvante de la bile sur les), 79. G
la figure 4 ? des masses de grappes enveloppées dans des caillots de
sang
; la figure 4 des grappes naissant du chorion, et
icules; car nous voyons tous les jours que l'interception du cours du
sang
, soit dans les veines, soit dans les artères, a p
e voir que ce changement de couleur et cette densité étaient dus à du
sang
concret, décoloré, et en partie résorbé, contenu
voiement persiste : hémorrhoïdes douloureuses qui donnent beaucoup de
sang
. Le malade s'épuise peu à peu; il est pris d'une
le bassinet. Dans plusieurs de nés poches se voyaient des caillots de
sang
faisant suite à de petites masses carcinomateuses
es tumeurs cancéreuses comme tout l'individu ; il peut bien donner au
sang
des principes moins acres, moins stimu-lans ; mai
époque peu connue de l'inflammation où le pus commence à remplacer le
sang
, à dissocier les mailles des tissus, sans pourtan
e liquide lie de vin épais P, formé comme par un mélange de pus et de
sang
. La fig. 4 représente la coupe de cet organe fa
ns sa substance. Il était aisé de reconnaître dans ces concrétions du
sang
coagulé dépouillé de sa matière colorante. Aprè
es de la respiration et de la circulation, comme un animal vertébré à
sang
froid, et présentait le singulier assemblage des
le reptile, le poumon vésiculeux, au lieu de recevoir la totalité du
sang
pour le revivifier (oiseaux, mammifères, homme),
vivifier (oiseaux, mammifères, homme), ne reçoit qu'un petit filet de
sang
veineux par l'artère pulmonaire rétrécie, analogu
es, avec cette différence que les branchies des poissons reçoivent le
sang
de toutes les parties du corps ; tandis qu'ici le
eo-pu 1 mon aires ne portaient au poumon qu'une très-petite partie du
sang
de l'aorte. Enfin, de même que dans les poissons,
e partie du sang de l'aorte. Enfin, de même que dans les poissons, le
sang
qui a été revivifié dans les branchies vient se r
pouvons cou sidérer comme un second cœur, chargé, non de pousser le
sang
dans toutes les parties du corps, mais seulement
te : « Dans les reptiles, les poumons ne reçoivent qu'une partie du »
sang
provenant de l'aorte, et les branches aortiques d
tion, le muscle sollicité à la contraction commencera à agir: plus de
sang
, une plus grande quantité de fibrine et d'influx
érieure de ce muscle. Ce plaqué rouge était dû à de petites masses de
sang
. Les vaisseaux n'avaient pas encore eu le temps d
****** t, riiiduration lie de vin clair I'S' formée par un mélange de
sang
et de pus concret ; l'induration blanchâtre PPP f
grande quantité de liquide. Les vaisseaux du foie étaient gorgés de
sang
, et cependant sa substance était pâle. Les organe
ouloureux. Il était onze heures du matin lors de leur application; le
sang
coula tout le jour et toute la nuit. C'était le l
e 3i octobre 1828, dans l'état suivant : face violacée; crachement de
sang
pur, mais en petite quantité, tantôt vermeil, tan
percussion n'apprennent rien de plus que la veille. Expectoration de
sang
noir, toujours en petite quantité. Le 2 novembr
eil invincible. A chaque expectoration, la malade amène une gorgée de
sang
noir coagulé. Mort pendant la nuit. Ouverture d
. Déchirés, ces foyers sanguins présentaient un aspect granulé ; le
sang
coagulé qui les constituait, infiltré dans les ce
i en traversaient quelques-unes ( fig. 2 ) , on eut dit un caillot de
sang
concret. Au reste, la macération, en enlevant cou
frangible, compacte, non crépitant. Tout autour étaient des foyers de
sang
, ici plus, là moins considérables. Cette coïncide
n admettre que la pneumonie avait été précédée d'une extravasation de
sang
? Je ne le pense pas, car la pneumonie observée da
récissement de l'orifice auriculo-ventriculaire entraine le reflux du
sang
dans les veines pulmonaires d'abord, puis dans le
n nombre d'observateurs ; j'avais moi-même rapproché l'épanchement de
sang
avec déchirure du poumon de l'épanchement de sang
hé l'épanchement de sang avec déchirure du poumon de l'épanchement de
sang
avec déchirure du cerveau (*). L'analogie est si
uscultation médiate, tomel, pag, 388. remplacés par des caillots de
sang
, dans les muscles des mollets, de la cuisse chez
artères et des veines étant changé, sous le rapport de la qualité du
sang
: dans un cas d'apoplexie pulmonaire, suite de ma
guine de l'hémoptysie, de la ménorrhagie, etc., sans admettre dans le
sang
une dilatation active. Je suis convaincu que les
le sang une dilatation active. Je suis convaincu que les qualités du
sang
doivent aussi souvent contribuer à ces hémorrhagi
e malade; que, d'une autre part, la plèvre déchirée peut permettre au
sang
de s'épancher dans la cavité thoracique. Tel est
jouit de la meilleure santé. « On vit la cavité droite « remplie d'un
sang
coagulé ; tout le poumon droit en était gorgé com
-litre de sérosité sanguinolente, et une livre environ de caillots de
sang
noirâtre dont une partie était contenue dans L'ép
us forme de débris auxquels était entièrement uni et comme combiné un
sang
noir, encore liquide en quelques points, coagulé
de demi-asphyxie, la petitesse extrême du pouls avec expectoration de
sang
noir, voilà les signes de l'apoplexie pulmonaire
et la résolution avoir lieu. Apoplexie du cœur avec épanchement de
sang
dans le péricarde. Dilatation avec hypertrophie d
uverture, on trouva le cœur enveloppé de tous côtés par une couche de
sang
concret, laquelle s'était exactement moulée sur c
qui partent du cœur ou qui s'y rendent. Il existe en outre un peu de
sang
liquide dans le péricarde. La couche de sang enle
xiste en outre un peu de sang liquide dans le péricarde. La couche de
sang
enlevée, on vit sur la face antérieure du cœur, a
plusieurs ecchymoses noirâtres, ou plutôt plusieurs petits foyers de
sang
FS, FS' (lig. i ), oblongs pour la plupart, placé
t dans la cavité du ventricule gauche, ce qui put faire penser que le
sang
épanché provenait de l'intérieur même de ce ventr
r; si au contraire le foyer se fut ouvert au dedans du ventricule, le
sang
du ventricule aurait fait irruption dans la petit
du cœur qui reste intacte fût suffisante pour résister à l'effort du
sang
; alors existerait une petite poche anévrysmale d
des parois du cœur : cette poche, sans cesse irritée par l'effort du
sang
qui à chaque contraction est poussé avec une forc
parois d'une artère; ce petit foyer s'ouvre au dedans du vaisseau, le
sang
s'y introduit, une poche anévrysmale existe petit
ris immédiatement après d'oppression, de fièvre, et de crache-mens de
sang
qui se renouvelèrent à plusieurs reprises. Pendan
Hémoptysie considérable pendant la nuit du cinq au six janvier. Le
sang
était rutilant, spumeux , sans odeur. Le 6 janvie
ire au bras.) Les 7, 8, jusqu'au 12 , tantôt le malade expectorait du
sang
vif pendant la nuit, et le jour, des mucosités sa
ression. Pendant la nuit du 28 au 29, expectoration très-abondante de
sang
rutilant. Le malade était mourant à la visite du
ture du cadavre, je trouve la cavité droite de la poitrine remplie de
sang
en partie coagulé et présentant tous les caractèr
he 11, 111e livraison), de laquelle s'échappait, avec des caillots de
sang
CS, CS, un lambeau gangreneux ou escharre E. La
bercules, etc.). La gangrène survient toutes les fois que le cours du
sang
est intercepté, soit par un obstacle mécanique, u
errompue dans tous les vaisseaux de la partie; dans le second cas, le
sang
n'arrive ni par le tronc artériel principal, ni p
latéraux ; dans le troisième, il n'arrive pas davantage, parce que le
sang
ne peut plus s'écouler par les veines. L'artérite
de gangrène que lorsqu'elle s'oppose entièrement à la circulation du
sang
veineux, et connue les voies de la circulation ve
rable. Il était facile de deviner que ce caillot communiquait avec le
sang
en circulation ; et en effet une sonde de femme i
il présente une cavité hérissée de mamelons blancs et remplie par du
sang
et qui donne à ce foyer l'aspect marbré. Il commu
e foyer l'aspect marbré. Il communiquait, comme le précédent, avec le
sang
en circulation, récemment coagulé. Autour de chac
a face interne aréolaire, comme étagée, sans cesse en contact avec le
sang
, semblait peu à peu entamée ou plutôt accrue par
tion successive et inégale de parties concrètes formées aux dépens du
sang
. Je ne puis mieux comparer ces concrétions concen
éjà cette poche était en partie décollée au voisinage du sternum ; le
sang
s'insinuait entre elle et les couches celluleuscs
par une pellicule mince ou fausse membrane, laquelle séparait l'os du
sang
en circulation. Les cartilages de la première et
ate : donc cette usure n'est pas le résultat d'une action chimique du
sang
. Tout le lobe inférieur du poumon droit était p
rétrécis, car c'est au niveau des orifices que se brise la colonne de
sang
, et conséquemment c'est autour d'eux que se voien
e l'ampoule aortique offrent une résistance moindre. Tout l'effort du
sang
se concentre pour ainsi dire sur ce point ou sur
ve les couches les plus profondes, les déchire, d'où une poche que le
sang
remplit bientôt; ce sang se concrète, forme une e
rofondes, les déchire, d'où une poche que le sang remplit bientôt; ce
sang
se concrète, forme une espèce de bouchon qui prév
and nombre d'anévrysmes ; mais ce bouchon, incessamment frappé par le
sang
en circulation, agit à la manière d'un coin pour
l'artère n'est pas entamé, il n'y a pas de caillots ; mais à peine le
sang
est-il en contact avec un autre tissu que la pell
et de l'artérite, de même que de la phlébite, c'est la coagulation du
sang
. Je signalerai comme les points les plus suscepti
à peu et de la matière colorante et de la portion la plus liquide du
sang
. Ces concrétions s'organisent-elles? Leur disposi
roportion du danger de cette rupture. Mais quelquefois l'impulsion du
sang
l'emporte sur leur résistance, et alors ce liquid
lieu des concrétions; dans d'autres cas, plus abondant, il se mêle au
sang
ou aux concrétions altérées qu'il convertit en un
n abcès, ouvrit le sac anévrysmal; du pus s'écoula; pas une goutte de
sang
; l'individu succomba au bout de quelques jours, m
rs celui delà mort, à moins que, la perforation étant très-petite, le
sang
ne filtre goutte â goutte ; c'est ainsi qu'on a v
er avant la rupture définitive. L'altération spontanée des couches de
sang
concret, devenu corps étranger, pourrait donner l
ait donner lieu à l'inflammation des parois; niais il m'a paru que ce
sang
ne s'altérait que consécutivement à l'inflammatio
.) Un individu meurt subitement en vomissant une grande quantité de
sang
sans avoir jamais donné aucun signe de maladie. A
de la bronche gauche BGP, en sorte qu'un jour plus tard peut-être le
sang
aurait fait irruption tout à la fois dans l'œsoph
est sujet tous les quinze jours, tous les mois, à des vomissemens de
sang
, dont le premier s'est manifesté un an après l'ac
lit sur un autre, cet abcès s'ouvrit et donna une grande quantité de
sang
. Je me suis assuré que le sang ne venait pas de l
ouvrit et donna une grande quantité de sang. Je me suis assuré que le
sang
ne venait pas de l'intérieur de la vessie. Ouve
sence que par un sentiment de gêne habituel et par des vomissemens de
sang
, lesquels étaient provoqués par les boissons spi-
rsent dans la poche le liquide qu'ils contiennent. On y trouverait du
sang
, si les parois vasculaires ne devenaient pas adhé
e 17, dans la nuit, le malade fut pris d'un vomissement abondant d'un
sang
noirâtre , que M. Duméril reconnut à sa nature po
érieurs de la moitié gauche de la moelle sont à ce niveau pénétrés de
sang
, légèrement soulevés, dissociés et non déchirés ;
, qu'il s'est opéré dans le cas actuel une espèce de transsudation du
sang
à travers un éraillement de la pie - mère qui rec
ui recouvre le foyer sanguin FAP, et que la partie la plus liquide du
sang
s'est épanchée dans le tissu cellulaire sous-arac
s la ligne médiane; mais cette ligne médiane est déjetée à droite; le
sang
semble être à nu sous la pie-mère. Il n'y a pas s
tion de ces fibres ; et les filets des racines antérieures, teints de
sang
, paraissent réduits à leur névrilème, ou du moins
space aussi circonscrit, mais qu'il y avait au centre de la moelle du
sang
nouvellement épanché ; j'ouvris donc cette moelle
et 3') que la substance grise de la moelle avait été remplacée par du
sang
concret qui occupait toute la longueur du cordon
la moelle épinière tout entière était convertie en un canal plein de
sang
. C'était au-dessus et au-dessous du foyer apopl
u-dessous du foyer apoplectique FAO (fig. 3 et 3') que la quantité de
sang
épanché était la plus considérable j elle allait
foyer apoplectique jusqu'à l'extrémité inférieure de la moelle. Ce
sang
offrait tous les caractères d'un épanchement réce
et le brun-marron; les mailles de cette trame étaient remplies par du
sang
concret très-noir. FAO (fîg. 3 ) et FAO (fig. 4)
stomac et les intestins sont tapissés dans toute leur étendue par. du
sang
noir, morcelé, décomposé, au-dessous duquel on tr
e jaune-serin qui tapissait le canal médullaire (fig. 3 et 3'); 3° le
sang
coagulé qui remplissait la totalité du canal (fig
sang coagulé qui remplissait la totalité du canal (fig. 3 et 3'). Le
sang
coagulé ne date que de quelques jours. La lame ja
elluloso-fîbreux ne date pas moins de plusieurs mois. Je pense que le
sang
concret et noir qui remplissait les mailles de ce
llesse presque pulpeuse de cette substance grise explique pourquoi le
sang
épanché dans un point s'infiltre dans toute la lo
ppose une barrière invincible dans beaucoup de cas à l'épanchement du
sang
au dehors. Cependant il peut se faire que la déch
nt sanguin se produira avec beaucoup d'im'pctuosité dans un point. Le
sang
s'épanchera alors entre la moelle et la membrane
lulaire sous-arachnoïdien (fig. 1'), que la partie la plus liquide du
sang
s'est fait jour dans le tissu cellulaire à traver
t-être, ou le jour même de la mort, qu'avait eu lieu l'épanchement de
sang
qui remplissait la totalité de ce canal. Si nou
peuvent avoir lieu dans l'apoplexie de la moelle. Si l'épanchement de
sang
est peu considérable, il doit, par une dispositio
lle peut être convertie en bouillie, remplacée pour ainsi dire par du
sang
dans une étendue plus ou moins grande, et c'est c
y avait un peu d'eau dans les ventricules du cerveau. Il s'écoule du
sang
assez abondamment. Rachis. « Ce liquide coula d
is l'enveloppe dans laquelle je trouvai comme une bouillie d'un rouge
sang
de bœuf « et qui se voyait depuis la partie infér
s-foncé; en voulant la « fendre dans sa longueur pour connaître si le
sang
avait pénétré dans son intérieur et l'avait teint
e canal vertébral et deux autres canaux mais membraneux, remplis de «
sang
. » « Thorax. Tous les organes de cette cavité é
nciés, il est constant, i° qu'il y avait une assez grande quantité de
sang
dans la cavité de l'arachnoïde ou entre l'arachno
nce blanche a été réduite en bouillie et s'est comme combinée avec le
sang
; de là, la promptitude de la mort; la désorganisa
u hématémèse, et que les intestins étaient tapissés par une couche de
sang
, et j'adopte volontiers l'explication donnée par
s'opposer à un nouvel épanchement; i° pour faciliter la résorption du
sang
épanché ; 3° pour maintenir dans de justes bornes
si-k nage de ces deux épanchemens était un peu ramolli et infiltré de
sang
. » 4e. Livraison. Pl. Ire MALADIES DE l'ESTOM
, une quantité considérable de mucus filant et limpide, et parfois de
sang
pur, jamais de matières noires. Du reste, intégri
t lorsqu'ils étaient assoupis. Le 3o septembre 1828, vomissemens de
sang
pur qui se renouvellent à plusieurs reprises pend
plusieurs reprises pendant vingt-quatre heures, au bout desquelles le
sang
est remplacé par des mucosités filantes. Aux vomi
les limites ont été franchies , la matière cancéreuse roule, mêlée au
sang
, dans le torrent circulatoire ; elle est présenté
bien plus considérable encore chez d'autres individus ; les taches de
sang
qu'on observe quelquefois à la peau autour d'une
nd nombre des veines et sinus de l'utérus VU, VU, étaient pénétrés de
sang
concret, quelques-uns de pus, et seulement ceux V
épaisseur de l'utérus, autour d'une veine remplie de pus, un foyer de
sang
FS, FS, une sorte d'apoplexie de l'utérus ; le sa
pus, un foyer de sang FS, FS, une sorte d'apoplexie de l'utérus ; le
sang
n'était pas ramassé en foyer, mais bien infiltré
, en contact avec une matière putride, produit de la décomposition du
sang
ou de débris placentaires, ne se propagera-t-elle
mmunication cesse entre cette portion et la circulation générale ; le
sang
se coagule. Je regarde même la coagulation du san
tion générale ; le sang se coagule. Je regarde même la coagulation du
sang
comme le premier effet de Vinflammation dans les
mine par résolution bien plus souvent qu'on ne l'imagine, et alors le
sang
est résorbé, le calibre du vaisseau se rétablit o
d'abord sanieux, parce qu'il se trouve mêlé à la matière colorante du
sang
, puis il devient louable lorsque cette matière co
es extrémités de la portion de veine enflammée, ou bien il se mêle au
sang
: dans le premier cas, tantôt ce pus sera absorbé
aîné par le torrent du liquide qui l'entoure. Alors le pus se mêle au
sang
, et à l'instant apparaissent les symptômes les pl
la consistance caséeuse. Mais le pus en nature, mêlé immédiatement au
sang
, altère sa crase, suivant l'expression des ancien
pression des anciens, embarrasse sa marche, favorise la concrétion du
sang
, s'arrête dans les capillaires et détermine simul
bserver de tous les degrés de l'inflammation, depuis la concrétion du
sang
jusqu'à l'ulcération des veines, prouve surabonda
inion des observateurs qui, faisant circuler avec nous le pus mêlé au
sang
dans le torrent de la circulation, admettent cont
eur, à parois résistantes, sans aucune ramification, qui contenait du
sang
dans divers points de sa longueur et se terminait
points de sa longueur et se terminait en s épanouissant. Des îles de
sang
IS, IS, IS se voyaient çà et là. Les unes tenaien
unes tenaient aux parois des cellules à l'aide de petites traînées de
sang
, les autres étaient complètement isolées, absolum
te couleur jaunâtre ou brunâtre, trace indélébile d'un épanchement de
sang
antérieur. Y a-t-il eu ramollissement blanc, pulp
fig. 1 ) existait dans l'épaisseur de la couche optique gauche CO. Un
sang
concret et noir remplissait ce foyer. Les ventric
uns ont été déchirés et les autres disséqués en quelque sorte par le
sang
épanché. En dehors du foyer apoplectique se voi
ers mouvemens fluxionnaires que nécessite ce travail. La couleur du
sang
, la couleur rouge du foyer, la couleur rouge des
gé , jaune serin, tandis qu'une autre partie semble encore imbibée de
sang
, comme dans le foyer récent de la figure ï : la d
que la coloration jaune orangé, trace indélébile d'un épanchement de
sang
antérieur, avait fort bien pu se développer dans
isseaux qui animaient la portion du cerveau remplacée par le foyer de
sang
. La même figure i' représente quelques ramificati
decin, qui doit sans cesse se représenter son malade avec un foyer de
sang
dans l'organe central de toute sensation, de tout
endant long-temps. Ferait-on marcher un malade qui aurait un foyer de
sang
dans l'épaisseur de la cuisse ou de la jambe? T
n saine PS et celle de la portion malade PM. De très-petits foyers de
sang
concret se voient çà et là dans cette dernière po
urs cotylédons étaient parsemés de petits foyers apoplectiques, et le
sang
avait subi dans ces divers foyers les séries de t
, les conditions dans lesquelles se trouve l'économie, l'infection du
sang
par une cause miasmatique extérieure, ou bien par
s les ganglions mésentériques d'un rouge intense et comme pénétrés de
sang
, sans augmentation sensible de volume. X. C'est
sme absorbé est porté dans le torrent de la circulation et infecte le
sang
. Quelquefois il agit de suite ; d'autres fois, se
désordonnés, ataxiques comme on le dit, gardez-vous bien de tirer du
sang
: la plus petite évacuation sanguine peut détruir
anchâtres ; dans tous ces ganglions, il y avait évidemment mélange de
sang
et de pus, et la prédominance de l'un ou de l'aut
on stelliforme. La base du poumon gauche était noirâtre, infiltrée de
sang
et comme splénifiée. Le tissu cellulaire ôonG-ara
e du fiel contenait une bile vert-pré. Poumons spongieux infiltrés de
sang
noir. Réflexions. — L'entérite folliculeuse aig
ien, les vaisseaux cérébraux injectés; les poumons étaient engoués de
sang
noir et maculés de sang à leur base; la rate volu
raux injectés; les poumons étaient engoués de sang noir et maculés de
sang
à leur base; la rate volumineuse et la substance
par MM. Chardel et Leroy. Aucun autre calcul ne fut senti. Un peu de
sang
s'écoule. Le malade pansé fut placé dans son lit
onomie. IL Le premier effet de toute phlébite est la coagulation du
sang
qui adhère plus ou moins fortement aux parois du
u vaisseau; et, pour le dire en passant, je regarde la coagulation du
sang
comme le premier phénomène, le phénomène fondamen
t sanguin. III. Comment se rendre compte de ce mélange de pus et de
sang
coagulé? Ce pus est-il formé au sein du caillot s
a-t-il été pris dans tout autre point de l'économie, charrié avec le
sang
dans les vaisseaux, et déposé dans les sinus ? ou
utes pièces dans les veines : le pus en nature, mêlé immédiatement au
sang
, altère sa crase, suivant l'expression des ancien
pression des anciens, embarrasse sa marche, favorise la concrétion du
sang
, s'arrête dans les capillaires et détermine simul
d'abord sanieux, parce qu'il se trouve mêlé à la matière colorante du
sang
; puis il devient louable lorsque cette matière co
s extrémités de la portion de veine enflammée , ou bien il se mêle au
sang
. Dans le premier cas, tantôt le pus est absorbé e
tache, entraîné par le liquide qui l'entoure. Alors le pus se mêle au
sang
, et à l'instant apparaissent les symptômes les pl
émontrer physiquement et chimiquement la présence du pus au milieu du
sang
en circulation m'a conduit à faire quelques expér
remière période, c'est-à-dire, par l'effet de la seule coagulation du
sang
; d'autres succombent dans le cours de la seconde,
veines principales du cerveau ; par eux doit nécessairement passer le
sang
qui revient de cet organe; et si cette voie est i
plus ou moins long-temps après l'expérience, on trouve des foyers de
sang
, de véritables foyers apoplectiques dans l'épaiss
ions qui sont parvenues à ma connaissance, il y avait tantôt stase du
sang
dans les veines cérébrales et exhalation de séros
les veines cérébrales et exhalation de sérosité, tantôt exhalation de
sang
dans la cavité de l'arachnoïde ; quelquefois larg
auche, et les veines cérébrales supérieures, étaient distendus par un
sang
noir et adhérent j et on trouva dans l'épaisseur
érieur et les veines cérébrales supérieures étaient distendues par du
sang
coagulé et adhérent-, en même temps X. Si l'inf
ntité de sérosité. Le sinus longitudinal supérieur SS est rempli de
sang
coagulé fortement adhérent aux parois de ce sinus
re ou horizontale des sinus latéraux, sont également distendus par du
sang
coagulé et adhérent, au milieu duquel se voit une
ion large du cerveau, probablement par un épanchement considérable de
sang
, soit à la surface du cerveau, soit dans la cavit
ix lignes de profondeur à l'aide d'un bistouri; il ne s'écoule que du
sang
. J'agrandis l'ouverture; j'exerce une légère comp
ssion sur la tumeur : il s'échappe au milieu d'une grande quantité de
sang
noir une matière rougeâtre , granulée, vasculaire
matière rougeâtre , granulée, vasculaire, que je pris d'abord pour du
sang
coagulé ou altéré, mais que je reconnus bientôt p
vaisseaux; une couleur brun-jaunâtre indiquait qu'il y avait eu là du
sang
extravasé comme dans les foyers apoplectiques. La
ers apoplectiques. La matière contenue était pultaeée, semblable à du
sang
à moitié décomposé, à moitié décoloré,, mais sans
pseudo-membraneuses parsemées de vaisseaux sanguins et de plaques de
sang
. Du reste, la cicatrice s'est faite lentement, et
qu'elle avait acquis tenait à lepancbement d'une certaine quantité de
sang
qui avait subi diverses altérations. Ainsi le c
formées par un amas de synovie, d'autres par du pus, d'autres par du
sang
. La membrane synoviale, comme d'ailleurs toutes l
ne laissant au malade de repos que celui nécessaire pour réparer son
sang
; ce traitement ayant échoué, les vésicatoires, le
t s'imbiberaient les tissus morts et qui, agissant directement sur le
sang
contenu dans les vaisseaux, lui imprimerait cette
u'on a peine à concevoir comment ils ont pu suffire à la respiration.
Sang
noir et non coagulé dans les cavités gauches comm
là des hématémèses plus ou moins fréquentes; et comme, d'une part, le
sang
séjourne plus ou moins dans l'estomac et que , d'
ateurs. Au reste, cette couleur est commune à tous les vomissemens de
sang
qui ne suivent pas immédiatement son extravasatio
éral le força à se mettre au lit. Immédiatement après, vomissement de
sang
dont la quantité peut être évaluée de cinq à six
smes aux pieds. Le Ier mai, le malade n'a qu'un seul vomissement de
sang
peu abondant; le pouls s'est relevé avec les forc
nt cicatrisés, excepté dans le point AP, d'où s'élevait un caillot de
sang
en forme de mamelon; un stylet porté dans l'artèr
? Cela est probable. Un caillot salutaire aura arrêté l'écoulement du
sang
, une cicatrice solide se sera formée après deux m
'épigastre contre le dos d'une chaise. De temps à antre il rendait du
sang
par les selles. Des bains long-temps continués ,
mme de coutume, lorsque tout-à-coup il a rendu une grande quantité de
sang
par le haut et par le bas. Le malade est oppressé
uit suivante au milieu d'une syncope et après avoir rendu beaucoup de
sang
par la bouche et par l'anus. A l'ouverture du c
avaient une couleur livide ; elle était due à une grande quantité de
sang
contenue dans leur cavité. L'estomac présentait c
ontractée avec le pancréas. Je l'ouvre : il était également rempli de
sang
et présentait (fig. 3, pl. 6) sur sa paroi postér
u à la surface du corps peut être résorbé, circuler en nature avec le
sang
, et se déposer également en nature dans l'épaisse
mortels ouvrages il semble pressentir l'importance de l'altération du
sang
. Une métaphore, un mot heureux, prit la place (
tissu cellulaire du membre. Les grosses veines sont distendues par du
sang
concret et adhérent; les veinules correspondantes
nt; les veinules correspondantes aux foyers sont également pleines de
sang
concret, tandis que les veinules correspondantes
s remplacent les foyers sanguins en même temps que le pus remplace le
sang
coagulé dans les veines. J'ai simplifié cette exp
ulation. Mais comme le pus ne peut être reconnu lorsqu'il est mêlé au
sang
, il fallait, pour donner à la démonstration toute
du canal médullaire est un réseau osseux, dans les mailles duquel le
sang
est déposé ; je ne regarde donc pas ce passage co
du mercure du corps caverneux de la verge dans le système veineux. Le
sang
déposé dans les mailles osseuses ouvertes et infl
doivent donc avoir lieu dans un certain nombre de cas d'infection du
sang
. Tous les systèmes capillaires, le système capill
remplissent pas seulement le rôle subalterne de rapporter au cœur le
sang
qui a servi à la circulation artérielle, et qui e
uides, on conviendra que si le transport et le mélange du pus avec le
sang
dans le cours de la phlébite ne sont point matéri
iaque externe, puis primitive. Du pus sera formé; ce pus se mêlera au
sang
, et si nous observons les mêmes phénomènes conséc
veines, bien que la présence matérielle du pus en circulation avec le
sang
soit impossible à démontrer, nous serons fondés à
rigueur des expériences physiques, que le pus en circulation avec le
sang
est arrêté dans les divers départemens du système
la consistance caséeuse. Mais le pus en nature, mêlé immédiatement au
sang
, altère sa crase, suivant l'expression des ancien
tré dans l'intérieur du vaisseau ; la sortie d'une grande quantité de
sang
s'opposait évidemment à l'attraction : le moyen d
e de concession (p. 182, tom. xix, Archiva) : le pus une fois mêlé au
sang
n'est plus du pus, mais bien un corps irritant :
autre chose qu'un tissu caverneux à parois osseuses, dans lequel le
sang
veineux circule incessamment : dans les os larges
te ordinaire, car ce sont aussi des veines que ces aréoles pleines de
sang
du tissu spongieux des os. Peut-être même la supp
ts obturateurs est rompue, aussitôt qu'a lieu le mélange du pus et du
sang
, il se manifeste immédiatement des symptômes typh
concentrer dans la première période, la période de la coagulation du
sang
; car une fois la suppuration déclarée, une fois
suppuration déclarée, une fois que le pus est en circulation avec le
sang
, la médecine est généralement impuissante. Or, de
sans aucun résultat avantageux : elles soustraient sans doute avec le
sang
une partie de la cause matérielle de la maladie,
térielle est incessamment renouvelée, et le malade est privé avec son
sang
des moyens de réaction : c'est alors qu'on devra
a phlébite ne marche pas nécessairement dans la direction du cours du
sang
, mais peut s'étendre dans tous les sens, du côté
vons ici réunis tous les degrés de la phlébite : i° la coagulation du
sang
avec adhérence aux parois des vaisseaux; i° du pu
olides très-adhé-rens, là par des caillots morcelés, plus loin par du
sang
décomposé et comme diffluent : une pellicule minc
en exprima un pus visqueux et rougeâtre mêlé de quelques caillots de
sang
. Les veines jumelles étant remplies de concréti
é dans l'intérieur dune veine n'infecte donc pas toujours la masse du
sang
. Circonscrit par des caillots qui l'entourent de
re partie du corps ; ce qui constitue son danger, c'est Vinfection du
sang
. Y. Je dois faire observer ici que, dans la phl
ue dans un certain nombre de cas, le vaisseau redevienne perméable au
sang
. Ainsi, sur des chiens chez lesquels j'avais enfl
ation, que c'est là la seule médication rationnelle; car, la masse du
sang
une fois infectée par le mélange du pus, et cette
tronc même de l'artère pulmonaire, qui, comme on le sait, charrie du
sang
veineux, et, par conséquent, représente sous ce p
fications assez ténues. Il était facile de voir que la coagulation du
sang
avait commencé par le tronc artériel pour s'étend
u de pus formé dans les vaisseaux utérins et pelviens se soit mêlé au
sang
, pour expliquer les foyers inflammatoires de la b
eines, lesquelles tantôt s'oblitèrent et tantôt restent perméables au
sang
. III. On guérit donc d'une phlébite utérine com
les soulève. En soumettant ce poumon à la macération, j'ai vu que le
sang
et le pus étaient infiltrés dans le parenchyme pu
n gauche ; crachats visqueux, roussâtres, adhérens au vase, striés de
sang
. Saignée de dix-huit onces, sans amendement. Le
ient ramollies et infiltrées de sérosité; quelques-unes infiltrées de
sang
. Les couches les plus profondes de l'utérus étaie
ulse par le mécanisme de l'accouchement, au milieu d'un écoulement de
sang
plus ou moins abondant. Il peut arriver alors q
expulsa, au milieu de douleurs utérines, d'efforts et d'une perte de
sang
, un corps aplati qu'on me présenta comme une faus
usse membrane, que d'autres personnes regardaient comme un caillot de
sang
organisé, et qu'il me fut facile de reconnaître p
aisseaux Sanguins qui traversent le tissu du foie sont sains, mais le
sang
qu'ils contiennent est séreux; les canaux biliair
ntiennent de la bile ; les veines sont libres, mais rétrécies ; et le
sang
qu'elles contiennent est séreux. 12e. Livraison
ande facilité, et deviennent la source soit de petits épanchements de
sang
qui donnent à la tumeur un aspect truite, soit de
ou gélatiniforme, la conversion en bouillie, la gangrène. Souvent le
sang
qui s'épanche au sein de ces tumeurs, subissant d
cette forme de cancer. Toutes ces tumeurs e'taient comme macule'es de
sang
; plusieurs offraient l'aspect de petits foyers ap
mme s'ils avaient été injectés. Je les ouvris : ils étaient pleins de
sang
noir coagulé. La membrane muqueuse était très for
oviales. Il semble qu'un levain sans cesse renaissant circule avec le
sang
; et peut-être , dans beaucoup de cas, l'une des
re la coupe des veines utérines, V U, V U, pleines pour la plupart de
sang
coagulé: cette portion si éminemment vasculaire d
centa. Tout le système veineux de l'utérus était sain: la présence du
sang
coagulé dans les veines,n'est un caractère de l'i
dans les veines,n'est un caractère de l'inflammation, que lorsque ce
sang
est adhérent aux parois. Je me suis assuré que la
sang est adhérent aux parois. Je me suis assuré que la coagulation du
sang
dans les sinus veineux qui répondent au placenta,
des vaisseaux lymphatiques, VL, V L ; les autres vides ou donnant du
sang
noir, ce sont les veines, V V, lesquelles étaient
oute circulation du pus contenu dans ce vaisseau, il y a infection du
sang
; le pus arrêté dans telle ou telle partie du syst
il de même de la présence du pus dans les vaisseaux lymphatiques ? Le
sang
serait-il infecté par le pus lymphatique, de même
s le système lymphatique, n'arrivent pas en effet directement dans le
sang
: ils traversent nécessairement un ganglion lympha
née. D'après les renseignements cjue j'ai recueillis, l'évacuation du
sang
obtenue par les sangsues, avait été très-considér
pseudomembraneuse ; les veines de ces cotylédons étaient remplies de
sang
. Les ovaires, les trompes, tous les organes de
sée par des vaisseaux veineux très considérables, V, V, V, remplis de
sang
concret. Cette tumeur était ramollie ; les petite
ne asphyxie, une fièvre pernicieuse algide ? Son siège est-il dans le
sang
, dans la membrane muqueuse gastro-intestinale, da
es, a présenté tous les caractères physiques ou chimiques du sérum du
sang
. Ce fait coïncidant avec la diminution ou l'absen
ant avec la diminution ou l'absence presque complète du sérum dans le
sang
des cholériques, a suggéré l'idée d'administrer d
a glace. Quinze sangsues à l'épigastre; on favorisera l'écoulement du
sang
. Le 28, selles involontaires cholériques. Trois
laquelle on compté quarante-sept petits calculs. Le foie est gorgé de
sang
. Les deux poumons sont sains , sans engouement.
poumons sont sains , sans engouement. L'un d'eux contient beaucoup de
sang
. Les cavités droites et l'oreillette gauche du
cavités droites et l'oreillette gauche du cœur sont distendues par du
sang
liquide et quelques caillots. Le ventricule gauch
ois lente, suspirieuse, mais toujours incomplète, et n'imprime pas au
sang
une revivifieation pleine et entière : ce défaut
une revivifieation pleine et entière : ce défaut de revivification du
sang
tient moins à la lésion de la respiration dans se
s de laudanum de Rousseau ( la saignée a donné à peine trois onces de
sang
: on ne l'a ni répétée ni remplacée. Il y a autan
es sur l'épigastre. Le soir , une saignée de sept ci huit onces. ( Le
sang
coagulé présente un caillot vermeil et dense et d
s, mais sans coloration bleue; les contractions du cœur projettent le
sang
jusqu'aux extrémités de l'arbre circulatoire. Les
eines sont vides; si on les ouvre, il ne sort que quelques gouttes de
sang
contenues dans le vaisseau; bien plus, la section
ais qui est presque nulle, sous le point de vue de la revification du
sang
; la peau, livide, a perdu toute sa tonicité, si b
dernier soupir amène un enfant mort, dont les organes sont gorgés de
sang
. Ouverture du cadavre. Estomac sain; intestin g
tous les vaisseaux abdominaux* artères et veines, sont remplis d'un
sang
noir. Les autres appareils sont dans le même état
ur est due à l'action de l'acide que contient le suc gastrique sur le
sang
infiltré dans l'épaisseur de la membrane muqueuse
ayé de la saigner, mais à peine avait-on pu avoir trois cuillerées de
sang
. Vingt sangsues ¿1 l'anus. Quatre sinapismes aux
leur rouge foncée, comme si toutes les tuniques étaient infiltrées de
sang
: aussi ce n'est que par une demi-dessiccation qu
lle blanche, en raison de la couleur des mucosités et de l'absence du
sang
. 3° Plusieurs cholériques ont éprouvé le ténesm
ues-uns ont rendu des selles sanguinolentes, des mucosités teintes de
sang
; et dans le cas de mort, j'ai rencontré, dans le
outre, dans la journée, une petite saignée, qui amena trois onces de
sang
. Ce sang coagulé présente une petite quantité de
ans la journée, une petite saignée, qui amena trois onces de sang. Ce
sang
coagulé présente une petite quantité de sérosité,
réfaction du cadavre est lente, comme chez tous les sujets épuisés de
sang
, La putréfaction du canal alimentaire, est au con
le avait une couleur rosée , évidemment due à la matière colorante du
sang
; la muqueuse était tapissée par une couche épaiss
muqueuse est Lieu différente de celle qui résulte de la stagnation du
sang
dans les vaisseaux veineux, à la suite d'obstacle
noires, qui ne sont autre chose que le résultat d'une infiltration de
sang
dans le tissu cellulaire sous-muqueux ou dans le
e, beaucoup moins facile à déchirer que de coutume : on dirait que le
sang
en a été exprimé. Le foie est gorgé de sang mai
tume : on dirait que le sang en a été exprimé. Le foie est gorgé de
sang
mais inégalement, ce qui lui donne un aspect marb
tes et l'oreillette gauche sont distendues par une grande quantité de
sang
. Le ventricule gauche est tantôt médiocrement dil
ent resserré sur lui-même , qu'il ne contient pas une seule goutte de
sang
: on dirait d'une hypertrophie concentrique porté
effacement complet de la cavité. Les grosses artères sont pleines de
sang
liquide, les petites artères n'en contiennent pas
ystème veineux abdominal, en est gorgé. Les propriétés physiques du
sang
sont si remarquables qu'elles ont fixé l'attentio
iétés m'ont paru à peu près les mêmes, et sur le cadavre, et sur le
sang
retiré des vaisseaux par la saignée : l'absence d
des vaisseaux par la saignée : l'absence de sérum, la consistance du
sang
, assez semblable à celle de la gelée de groseille
e du sérum s'explique par la déperdition énorme et rapide que fait le
sang
pour fournir à la sécrétion de la muqueuse intest
selles ou les vomissemens, présentait tous les caractères du sérum du
sang
. L'absence du sérum n'est pas un caractère spécif
d'une part , j'ai rencontré une certaine quantité de sérosité dans le
sang
retiré par la saignée, chez des cholériques bien
st pas fort rare, dans des maladies autres que le choléra, de voir le
sang
présenter les caractères physiques assignés au sa
oléra, de voir le sang présenter les caractères physiques assignés au
sang
cholérique. On a exagéré, lorsqu'on a dit que l
e ou croûte vient à se dessécher. Plusieurs médecins, plaçant dans le
sang
la cause du choléra, ont soumis ce liquide à tout
et les résultats auxquels les chimistes sont arrivés, par rapport au
sang
dans le choléra, peuvent être comparés à ceux obt
asmatiques ou autres productrices de cette maladie. Les globules du
sang
des cholériques, soumis à l'inspection microscopi
n microscopique, ont paru aux uns identiquement les mêmes que ceux du
sang
le plus .naturel; aux autres, ils ont paru offrir
s expériences physiologiques tentées sur les animaux vivants, avec le
sang
des cholériques, ont donné des résultats purement
artériels et veineux contiennent une plus ou moins grande quantité de
sang
noir. La muqueuse bronchique présente une couleur
ie. Appareil nerveux. Cerveau et cervelet sains, mais injectés de
sang
, comme dans l'asphyxie; la pie-mère est plus ou m
es individus qui ont succombé dans la période asphyxique. 4° Que le
sang
présente un état particulier à peu près constant
aire croire à une inflammation de ces ganglions. 3° L'altération du
sang
que la plupart des observateurs regardent comme c
omènes. Suivant ces derniers, c'est par ses qualités délétères que le
sang
porte la mort dans tous les tissus. Suivant les p
e la mort dans tous les tissus. Suivant les premiers, l'altération du
sang
est un effet qui devient cause à son tour, le san
s, l'altération du sang est un effet qui devient cause à son tour, le
sang
dépouillé du sérum devenant impropre à circuler e
ont cru pouvoir expliquer l'injection de la muqueuse par le stase du
sang
veineux dans les capillaires. 6° L'absence de l
la contraction, réduite à un simple frémissement, ne projette plus le
sang
que dans les gros vaisseaux. Dire quelle est la l
ur obtenir l'effet purgatif, que dans le but de remplacer les sels du
sang
trouvés dans les évacuations alvines: or l'hydroc
chapper au collapsus que par l'émission d'une très grande quantité de
sang
; que les saignées timides, incomplètes, sont seul
ée à la période de concentration ; c'est l'impossibilité d'obtenir du
sang
: vous piquez largement la veine; quelques goutte
aud; des pressions exercées; des mouvements imprimés pour exprimer le
sang
des capillaires; et rarement ai-je pu obtenir au-
aires; et rarement ai-je pu obtenir au-delà de quelques cuillerées de
sang
. Je n'ai jamais essayé de l'artériotomie ; mais
ère brachiale , coupée en travers , n'a donné que quelques gouttes de
sang
. Après la saignée, j'employais constamment les
ternum et sur les côtes ; et à leur chute, j'activais l'écoulement du
sang
à l'aide de ventouses répétées et laissées à deme
dans le double but et de stimuler directement le cœur et de rendre au
sang
les principes qu'il perd incessamment par les éva
vraison, planche l) EXPLICATION DES PLANCHES. Fig, 1. Caillots de
sang
autour du cervelet et des lobes poste'rieurs du c
autour du cervelet et des lobes poste'rieurs du cerveau. Caillots de
sang
adhé-* rents à la dure-mère qui revêt le pariétal
téguments du crâne et tissu cellulaire sous-jacent CC, très injectés.
Sang
liquide entourant la moelle épinière. Fig. 2 et
Sang liquide entourant la moelle épinière. Fig. 2 et 3. Caillots de
sang
dans les ventricules du cerveau chez un fœtus de
s nouveau-nés a pour caractère anatomique constant, un épanchement de
sang
liquide dans la cavité de l'arachnoïde. Le plus s
certains cas, le cerveau et le cervelet sont couverts d'une couche de
sang
, dont il n'est pas toujours facile de découvrir
es cas que j'ai observés, la dure-mère spinale était distendue par du
sang
liquide contenu à la fois et dans la cavité de l'
sidérables entre le périoste et les os du crâne. Une fois, j'ai vu du
sang
concret épanché tout le long du sinus longitudina
étaux et de l'occipital était séparé des os par une couche épaisse de
sang
coagulé. Ce décollement, qui a quelquefois lieu i
ait pas plus considérable. Le foie, la rate, sont également gorgés de
sang
. La muqueuse gastro-intestinale est très injectée
nt naturel qui a duré seize heures. A l'ouverture, grande quantité de
sang
noir autour du cerveau et du cervelet. Sang plus
rture, grande quantité de sang noir autour du cerveau et du cervelet.
Sang
plus liquide et d'une couleur moins foncée dans l
mine l'accouchement. L'enfant vient mort, Epanchement considérable de
sang
dans les ventricules du cerveau, dont les parois
ventricules du cerveau, dont les parois sont lacérées. Epanchement de
sang
sous l'arachnoïde qui entoure le bulbe raehidien.
Epanchement de sang sous l'arachnoïde qui entoure le bulbe raehidien.
Sang
liquide dans la cavité de l'arachnoïde spinale.
e-mère rachidienne très distendue et bleuâtre; moelle nageant dans du
sang
liquide. Une couche mince de sang entourait le ce
et bleuâtre; moelle nageant dans du sang liquide. Une couche mince de
sang
entourait le cerveau; une couche plus épaisse ent
. Son extraction fut laborieuse. La tête resta au passage. Ouverture.
Sang
liquide autour du cerveau, du cervelet et de la m
avaient refoulé sur les côtés les deux pariétaux. Une couche mince de
sang
était épanchée à la base du cerveau. Sixième fa
ès. L'enfant vint mort; il était fortement constitué. Des caillots de
sang
concret sont placés tout le long des sutures : d'
s téguments sont très injectés. Cerveau très injecté. Couche mince de
sang
autour du cerveau et du cervelet. Poumons noirs d
uche mince de sang autour du cerveau et du cervelet. Poumons noirs de
sang
et compacts. Foie noir de sang et paraissant prêt
rveau et du cervelet. Poumons noirs de sang et compacts. Foie noir de
sang
et paraissant prêt à se rompre. Rate également go
noir de sang et paraissant prêt à se rompre. Rate également gorgée de
sang
et très distendue. Le sang en ruisselle comme d'u
prêt à se rompre. Rate également gorgée de sang et très distendue. Le
sang
en ruisselle comme d'une éponge. Sérosité sanguin
lutôt d'un travail morbide inflammatoire ancien ; que les caillots de
sang
attestaient un épanchement produit, soit pendant
ct squirrheux. Fig. 4. Les deux poumons, P D, PG, sont infiltrés de
sang
et de sérosité, dans la presque totalité de leur
rieures, et en général tous les muscles étaient parsemés de taches de
sang
, qui contrastaient avec la décoloration des fibre
on assez complète. Ouverture du corps. Face infiltrée et monstrueuse,
sang
concret infiltré dans le tissu cellulaire subjace
ées, qui simulent des tubercules, mais qui ne sont autre chose que du
sang
incolore, coagulé et infiltré dans les mailles du
ois ventriculaires, dont elle ne pouvait se détacher; en sorte que le
sang
passait tout aussi librement du ventricule dans l
e pu se maintenir pendant cinq jours? il n'arrivait pas une goutte de
sang
aux poumons parle ventricule droit; je pense que
e de sang aux poumons parle ventricule droit; je pense que l'abord du
sang
dans les poumons se faisait incomplètement par le
in de la Société anatomique, rédigé par M. Maréchal, secrétaire. du
sang
et de l'air dans les poumons dont l'organisation
n effet, pour l'enfant naissant, une fonction nouvelle, si peu que le
sang
soit revivifié, la vie pourra se maintenir; tandi
que chez l'adulte. Observation 1. Lobules pulmonaires infiltrés de
sang
, et disséminés (Fig. 1, pi II, XVelivr.). Enfant
ut de quarante-huit heures. Lobules et masses de lobules infiltrés de
sang
au milieu de lobules sains. îl serait possible qu
oque de la naissance seulement. Observation 2. Poumons infiltrés de
sang
et imperméables dans les trois quarts de leur éte
e induration rouge-noire, humide, qui paraît être une infiltration de
sang
et de sérosité; on voit çà et là, au milieu du re
ater du moment de la naissance. Observation 3. Poumons infiltrés de
sang
dans leur presque totalité. Cet enfant né faible,
nte dans les plèvres. Les deux poumons étaient indurés , infiltrés de
sang
qui découlait comme d'une éponge; un seul poumon
filtration séro-sanguinolenie : l'un de ces lobules était infiltré de
sang
pur ; la trachée, les bronches et leurs divisions
ère la multitude des nuances que peut revêtir la matière colorante du
sang
. Un grand nombre d'enfants morts avec des pustu
ce. Observation 9. Pustules cutanées. Poumons infiltrés çà et là de
sang
et de sérosité. Un enfant né avec des pustules sy
urut au bout de quelques heures. Le tissu du poumon était infiltré de
sang
et de sérosité. Cette infiltration avait lieu par
staient assez que cette matière noire, qui n'était autre chose que du
sang
altéré, provenait de leur surface. Réflexions.
Lobstein, auquel sont confiées tout à la fois et la revivihcation du
sang
et la transmission des matériaux nutritifs; le pl
rencontre le tissu du placenta dense, fragile ou friable, gorgé d'un
sang
noir, offrant tous les caractères de l'hépatisati
t qui contenait plus d'une verrée d'une ma-» tière purulente mêlée de
sang
. Ce foyer occupait la face interne du placenta qu
ontre quelquefois dans l'épaisseur du placenta déchiré, des foyers de
sang
en plus ou moins grand nombre et à divers degrés
xacte de la manière dont étaient disposées les différentes couches du
sang
coagulé et de la coloration de ces couches. Il y
nde quantité de sérosité sanguinolente, mêlée de quelques caillots de
sang
, s'est écoulée à l'ouverture de cette membrane. S
ésentait un réseau à mailles très déliées, parsemé de gouttelettes de
sang
. Réflexions. — La forme de péricardite que je v
on d'îles sanguines et quelquefois de foyers sanguins, de traînées de
sang
dans leur épaisseur. Or, on conçoit que, dans une
es. Suivant les uns, le pus formé dans les veines enflammées, mêlé au
sang
, est déposé en nature dans le foie comme dans tou
oute inflammation. Suivant les autres , le pus de la phlébite mêlé au
sang
et retenu dans le système capillaire veineux du f
mons doivent recevoir les premiers l'influence du pus veineux mêlé au
sang
. Le nombre des abcès du foie est plus ou moins
ation est déclarée, prévenir, s'il est possible, le mélange du pus au
sang
, par un bandage compressif, pour remplacer en que
suppuration et le reste du système veineux. Lorsque l'infection du
sang
a lieu, soutenir la force de résistance à l'aide
de la tumeur, est dû à son ramollissement et à une grande quantité de
sang
qui pénétrait son tissu devenu spongieux. C'est
gane. Une autre cause d'hypertrophie, c'est un obstacle au cours du
sang
dans les veines auxquelles est principalement con
niformément dans tous les points de la circonférence du vaisseau , le
sang
circule librement, il n'y a pas de varice; mais s
férence des vaisseaux s'altère dans sa structure, s'il cède, alors le
sang
y est retenu; une petite poche sphéroïdale se for
che sphéroïdale se forme, à parois minces, plus ou moins altérées. Le
sang
s'y coagule, devient adhérent aux parois, se déco
onctions relatives à la circulation, que dans l'autre il y a stase du
sang
, maladie. Il suit de ces considérations, que da
ans les veines profondes, et a pour but le rétablissement du cours du
sang
; aussi n'est-il pas rare de voir ces veines acqu
r-tout chez quelques individus, et il serait possible que l'effort du
sang
qui vient frapper incessamment contre les limites
ue réduite à la moitié de ses dimensions, mais perméable et pleine de
sang
, chez un enfant de 7 ans et chez un homme de 10
r Cabrol, et enfin le cas de Coschwitz qui a vu cette veine pleine de
sang
chez une femme de 96 ans. Un fait de persistanc
présentait des valvules disposées de manière à favoriser le cours du
sang
vers le foie. La portion supérieure à l'ombilic é
étéphilomalique, jarr\f. 1813. XVIe LIVRAISON. 2 veine charrie un
sang
vivifiant puisé dans le placenta, tandis que chez
a, tandis que chez l'adulte, la veine ombilicale perméable charrie un
sang
venu de l'individu lui-même. 11 pourrait se faire
du foie, en ce sens que ce vaisseau serait bien plus apte à porter le
sang
du foie vers d'autres organes que de le transport
es nuances de coloration qui dénotent manifestement un épanchement de
sang
antérieur. Dans l'un et l'autre cas, la sérosité
rine. Difficulté du cathétérisme. Ecoulement d'une grande quantité de
sang
. Guérison temporaire. Symptômes de pierre et de c
de vessie. Dépérissement. Mort. Pierre ayant pour noyau un caillot de
sang
. Perforation de la végétation prostatique par la
nt 24 heures (c'était toujours la sonde d'argent). Un écoulement de
sang
peu considérable eut lieu dans le premier moment
ieu dans le premier moment ; il augmenta beaucoup pendant la nuit; le
sang
coulait en partie par la sonde, en partie entre l
té une sonde de gomme élastique à la sonde d'argent. Un écoulement de
sang
très abondant continua pendant huit jours. Je m
considérablement développée. D'une autre part, la grande quantité de
sang
qui s'écoulait, présentait trop d'analogie avec l
de sangla remplissaient presque immédiatement; et l'aspiration de ce
sang
, les injections d'eau tiède ne pouvant rien pour
atérale gauche de la tumeur. sonde à demeure malgré l'écoulement de
sang
auquel elle donnait lieu, car sa suppression que
ieurs fois était toujours suivie de rétention d'urine. Cependant le
sang
cessa bientôt de couler; la sonde fut maintenue p
e et sans douleur, M. L... a vu s'écouler une très grande quantité de
sang
par le canal de l'urètre, écoulement tout-à-fait
demain 3 juin , à la suite d'une émission pénible d'urines teintes de
sang
: rétention complète d'urine. J'arrive à 9 heure
é par un obstacle. Je cherche à le tourner ; vains efforts. Un peu de
sang
paraît. Le doigt introduit dans le rectum reconna
furent trouvées dans l'épaisseur des muscles, les unes formées par du
sang
noir en partie coagulé, d'autres par du sang lie
les unes formées par du sang noir en partie coagulé, d'autres par du
sang
lie devin, d'autres par un pus phlegmoneux encore
lie devin, d'autres par un pus phlegmoneux encore mêlé de caillots de
sang
; quelques-uns (i) Dictionnaire de i Médecine et
dans le cerveau : les muscles qui avaient été seulement infiltrés de
sang
et non déchirés, présentaient eux-mêmes cette cou
mis à un régime antiphlogistique extrêmement sévère. La résorption du
sang
épanché se fit rapidement, il ne se forma point d
parsemée sont les conséquences ordinaires d'un choc trop impétueux du
sang
contre les parois artérielles, attendu que les ar
tricule. 3° Non-seulement l'impulsion trop énergique communiquée au
sang
par le ventricule gauche a déterminé la dilatatio
nts moins résis-tans, ces points céderont sous l'influence du choc du
sang
qui agit d'une manière égale sur tous les points
Ces points soulevés peu-à-peu constituent une poche dans laquelle le
sang
se coagule et qui communique avec l'aorte dilatée
is irréguliers : Ici la tumeur ou petite poche préexiste à l'abord du
sang
dans sa cavité : les points correspondans aux tum
é : les points correspondans aux tumeurs n'ont pas cédé à l'action du
sang
, de manière à être soulevés en poche à large ouve
t jour dans la cavité du vaisseau par une ou plusieurs ouvertures; le
sang
a rempli la poche qui s'est progressivement agran
i a subi lui-même des altérations secondaires, tels qu'épanchement de
sang
, suppuration, décomposition d'une partie des liqu
taient saines. Crâne. Une tumeur encéphaloïde ordinaire pénétrée de
sang
occupait la convexitéda cerveau, du côté opposé à
carbone , que M. Barruel regarde comme étant la matière colorante du
sang
. On trouve d'ailleurs dans le pigmentum mélanique
. Clarion etLassaigne, de l'albumine, de la fibrine, tous les sels du
sang
, c'est-à-dire les mêmes matériaux que dans la plu
l, a émis le premier Pidée que la mélanose n'était autre chose que du
sang
épanché et modifié , avec une grande proportion d
couleur de bistre, des matières vomies, est bien évidemment due à du
sang
versé dans l'estomac et altéré par l'action des a
roduit artificiellement cette couleur de bistre en mêlant un acide au
sang
. J'ai rencontré plusieurs fois des kystes ovari
l'estomac est constitué par xixe livrarsoN. la matière colorante du
sang
qui est, tantôt simplement déposée ou infiltrée à
eau, qui n'est autre chose que le dépôt sous-épidermique de taches de
sang
, est bien distinct de la couleur mélanique propre
e et, comme elles, y supposent la présence de la matière colorante du
sang
modifiée. Les colorations jaune-serin , jaune ora
e état du côté droit et du côté gauche ; une assez grande quantité de
sang
était épanchée autour des fragmens : le périoste,
tantôt une matière adipeuse, consistante, tantôt de la fibrine ou du
sang
liquéfié. Les coupes ce pratiquées dans la tumeur
explication des figures. La fig. i représente le péricarde plein de
sang
d'une vieille femme de la Salpêtrière qui mourut
ration du cœur qui ne livrait passage qu'aune très petite quantité de
sang
, de même une très petite perforation spontanée po
ils de l'autopsie cadavérique. Il existait plusieurs petits foyers de
sang
placés immédiatement sous le feuillet séreux du p
ai que la cause de la mort était un épanchement de xxe livraison.
sang
dans le péricarde, et la source de cette hémorrha
de M. Prus, le péricarde, fortement distendu, contenait huit onces de
sang
liquide et quatre onces de sang en caillots; le c
ent distendu, contenait huit onces de sang liquide et quatre onces de
sang
en caillots; le cœur avait son volume ordinaire ;
de cette paroi, en sorte qu'avant de s'épancher dans le péricarde, le
sang
avait dû parcourir un trajet oblique de bas en ha
urface du cœur et la surface interne du péricarde a été rempli par le
sang
. (1) (1) D'après mes observations, l'intervalle
eines qui viennent s'aboucher dans ce sinus sont dures et remplies de
sang
noir, décoloré seulement dans quelques points, et
, et adhérent à leurs parois. Les sinus latéraux contiennent aussi du
sang
couenneux et adhérent. Les méninges enlevées, o
sérosité (œdème cérébral et sous-arachnoïdien), tantôt exhalation de
sang
dans la cavité de l'arachnoïde, quelquefois de la
gauche et les veines cérébrales supérieures étaient distendus par un
sang
noir et adhérent; et on trouva dans l'épaisseur d
supérieur et la veine cérébrale supérieure étaient distendues par du
sang
coagulé et adhérent. En même temps existaient une
substance grise; et on voit qu'il y a en quelque sorte pénétration du
sang
et de cette substance. N'ayant pas pu retrouver
t très étendu du cerveau et un foyer apoplectique avec pénétration du
sang
dans les ventricules. J'inclinais cependant pour
imitives, c'est-à-dire le résultat de différences dans la quantité de
sang
épanché; tantôt consécutives, c'est-à-dire le rés
substance cérébrale se trouve combinée avec une certaine quantité de
sang
. 2i° Sous le point de vue de la consistance, l'
s membranes, comme si la substance cérébrale avait été broyée avec du
sang
noir. Le ramollissement blanc se présente sous l'
e à la présence d'une certaine quantité de pus qui aurait remplacé le
sang
. La maladie datant de trois jours, l'altération o
nent du premier moment, car le cerveau s'habitue à la compression, le
sang
est résorbé, il se dissémine. Dans le ramollissem
ou bien le malade peut succomber à une succession d'hémorrhagies : le
sang
épanché dans l'estomac est habituellement rendu p
les selles qui ont la couleur de l'encre; il est probable qu'alors le
sang
fourni en petite quantité est en quelque sorte di
is de mai, le malade est pris, sans cause connue, d'un vomissement de
sang
noir cailleboté qui se renouvelle plusieurs jours
s et les ob-servations de M. Charcot sur les maladies des poumons, du
sang
, do cœur et des vaisseaux. La réunion en un même
eu des tractus rouges qui forment les vaisseaux sup. posés remplis de
sang
ou de matière à injection. Dans cha-cune de ces f
é. Dans les cas dont il s'agit, la constitution du sujet, la erase du
sang
, doivent avoir, on le conçoit à priori, la plus g
aire, remarquable surtout par la prédominance des éléments colorés du
sang
l. Il est probable que ces variétés de la pneumon
geaient à rester chez lui, il a eu plu-sieurs fois des crachements de
sang
pur. Il y a deux ou trois mois, le malade fut f
xion de poitrine, pendant laquelle il y aurait eu des vomissements de
sang
abondants. A cette époque, les vésica--toires ont
e au froid, elle fut prise de fièvre et rendit une petite quantité de
sang
mêlé aux crachats. Elle fit peu attention à cet a
ven-touses scarifiées sur la partie droite du thorax). 22 et 23. Le
sang
n'a pu être examiné. Le pouls est à 120 ; la resp
, confinée dans le lymphatique, il peut, en résulter une injection du
sang
par le pus ; enfin la lésion peut se propager au
nt d'origine hômatique. On sait par qu'elle série de modifications le
sang
épanché dans les tissus finit par donner naissanc
es alvéoles pulmonaires : 1° un cer-tain nombre de globules rouges du
sang
sont libres dans la cavité alvéolaire ; 2° d'autr
rconstance, le pigment, bien que déri-vant de la matière colorante du
sang
, se présente au dernier terme de ses transformati
ses. Telle est, par exemple, la mélane'mie, altération pigmentaire du
sang
consécutive à l'intoxication palustre. Dans ce ca
vraisemblablement dans la rate, aux dépens de la matière colorante du
sang
, car, à côté des corpuscules noirs, qui sont les
rouges (Planer). Ces par-ticules pigmentaires en circulation dans le
sang
peuvent s'ar-rêter dans les organes et y former d
heveux, la silice n'est aussi abondante que dans les poumons. Dans le
sang
, il n'en existe que des traces1. Dans le foie, la
dans le vaisseau, avec incorporation de cellules rondes provenant du
sang
, ou du revêtement endothélial du vais-seau. Mais
oilée (ou cellule géante) renferme quelquefois des globules rouges du
sang
, dans des conditions où le cordon lui-même n'en r
ent et tels qu'ils ne sauraient donner passage aux globules rouges'du
sang
. C'estlà, sans doute, une des circonstances qui f
sation aiguë, surtout quand la maladie a revêtu la forme typhoïde, le
sang
se présente habi-tuellement dans un état de disso
une certaine quantité de sérosité rougie par la matière colo-rante du
sang
. Ce caractère de la tuberculisation aiguë n'a pas
athologique (1855, t. Ier, p. 301). Or, cette dissolution profonde du
sang
prédispose évidemment à la production des hémorra
s organes dont les fonc-tions paraissent avoir sur la constitution du
sang
une influence si grande; ou bien encore, elle dér
ont un des effets les plus habituels est de produire dans la erase du
sang
une modification profonde. Parmi les maladies de
époque, on apprit de lui qu'il avait de-puis quelque temps craché du
sang
à plusieurs reprises, et nota-blement maigri. 11
l'inappétence, éprouvé une grande faiblesse et n'a cessé de rendre du
sang
en allant à la garde-robe, plusieurs fois par jou
Crâne. — Les veines de la surface convexe du cerveau sont gorgées de
sang
noir. Les circonvolutions cérébrales sont aplat
ide; mais celle du ventricule droit contient une certaine quantité de
sang
très liquide : on n'y rencontre pas trace de cail
pour cause principale une modification particulière de la fibrine du
sang
, désignée par Vogel sous le nom d'mo-pexie.Vú rec
séquent, qu'à invoquer l'influence d'une altération particulière du
sang
analogue à celle qui, lorsqu'il s'agit du sang ve
ration particulière du sang analogue à celle qui, lorsqu'il s'agit du
sang
veineux, permet de comprendre l'existence si fréq
par une maladie de longue durée. TROISIÈME PARTIE Altérations du
sang
. Leucocythémie et Mélanémie. ALTÉRATIONS DU S
Altérations du sang. Leucocythémie et Mélanémie. ALTÉRATIONS DU
SANG
LEUCOCYTHÉMIE. — MÉLANÉMIE. L Observation d
. — MÉLANÉMIE. L Observation de Leucocythémie1. L'altération du
sang
, caractérisée par l'augmentation de la proportion
Autoi'sie. — Enfoncement du pariétal. — Rate volumineuse. — Etat du
sang
. — Examen microscopique de larale et du sang. L
e volumineuse. — Etat du sang. — Examen microscopique de larale et du
sang
. Le nommé Martin (Louis), âgé de 45 ans, peintr
ïdien ren-ferment, au niveau de la fracture, une certaine quantité de
sang
à Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 21
ur et à peu près la consistance d'un foie sain ; elle contient peu de
sang
: elle ne présente, d'ailleurs, à l'œil nu, aucun
ns les plèvres; poumons sains, cœur sain, de volume normal. État du
sang
. — Le sang contenu dans le ventricule droit a une
res; poumons sains, cœur sain, de volume normal. État du sang. — Le
sang
contenu dans le ventricule droit a une couleur ac
semblable à des grumeaux de lait caillé, lesquels s'écoulent avec le
sang
et n'adhèrent nullement aux parois ventriculaires
nt avec le sang et n'adhèrent nullement aux parois ventriculaires. Le
sang
se mon-tre avec les mêmes caractères dans toute l
grumeaux nombreux et volumineux. Dans les veines du système porte, le
sang
est seulement louche, trouble et d'une couleur ro
sang est seulement louche, trouble et d'une couleur rouge brique. Le
sang
que contient le cœur gauche est d'une couleur noi
était oblitérée par des caillots décolorés. Examen microscopique du
sang
et de la rate, par M. Robin. — Le sang recueilli
rés. Examen microscopique du sang et de la rate, par M. Robin. — Le
sang
recueilli dans le cœurgauche, et qui présentait u
let foncé, était celui qui renfermait le moins de globu-les blancs du
sang
. Là, ces globules blancs étaient moins nombreux q
encontrait quelques cristaux losangiques, en très petite quantité. Le
sang
pris dans le ventricule droit avait une colora-ti
de description spéciale. Nous décrirons d'abord: A, les globules du
sang
, puis, B, les glo-bules blancs proprement dits.
2. Us ont, d'ailleurs, tous les caractères qu'ils présentent dans le
sang
nor-mal ; leur diamètre est régulièrement de 0,00
'étude de cette action de l'acide acétique sur les globules blancs du
sang
,, comparativement aux globules de pus : Ch. Robin
ent aux globules de pus : Ch. Robin. Examen com-paratif des Taches de
sang
, de rouille, etc., dans Briand, Chaude et Gaultie
s globules que nous venons de décrire et ceux qu'on rencontre dans le
sang
à l'état normal, c'est l'existence, au centre des
pr. 1851. 24-26. V. Virchow, Arch., V. 1. On rencontrait, dans le
sang
du ventricule droit, mêlés aux glo-bules blancs,
. 50, 3. V. Bennet \ p. 305. II. De la mélanémie, altération du
sang
par des granules et des corpuscules de pigment
à une altération toute spéciale et jusqu'alors non encore décrite du
sang
et des viscères, viendrait se joindre un ensemble
t se joindre un ensemble de symptômes particuliers. — L'altération du
sang
consiste essentiellement dans la présence, au sei
ier les cas dont il s'agit, en raison de l'altération particulière du
sang
, qui est un de leurs traits les plus caractéristi
Dès 1847, II. Meckel3 rencontra des corpuscules de pig-ment dans le
sang
d'un aliéné qui avait succombé à la phlhisie pulm
rès, M. Virchow6 observa de nom-breuses cellules pigmentaires dans le
sang
d'un homme qui était devenu hydropique à la suite
ède aucune expérience person-nelle. Le pigment qu'on trouve mêlé au
sang
, dans la mélanémie, se montre sous plusieurs aspe
rappe-laient par leur forme et par leur aspect les globules blancs du
sang
. Cette observation de Virchow a été confirmée par
ré aussi, dans un cer-tain nombre de cas, et, en particulier, dans le
sang
de la veine porte, des corpuscules pigmentaires q
nstatées, alors qu'on extrait, pendant la vie, une petite quantité de
sang
, par le moyen d'une légère piqûre ou d'une scarif
elle. Outre les corpuscules de pigment, on trouve encore, dans le
sang
des meianemiques de petits caillots hyalins qui n
it qu'ils peuvent aisément passer inaperçus. — Les globules rouges du
sang
ont diminué de nombre ; ils ne pré-sentent, d'ail
certains cas, une augmentation de proportion des globu-les blancs du
sang
. Mais cela est loin d'être constant, et, dans la
002 J à 0^,002 de diamètre. Les corpuscules colorés que renferme le
sang
des mélané-miques sont doués, comme on l'a vu, de
e, de la métamorphose régressive que subissent les globules rouges du
sang
dans certaines circons-tance pathologiques. De pl
sent à la formation des granules de pig-ment, s'opèrent aux dépens du
sang
extravasé dans l'épais-seur d'un tissu, d'un pare
stagnation et favorisent sans doute les métamorphoses des globules du
sang
; elle renferme souvent, même dans l'état physiol
ut ainsi dire, de la défor-mation des divers éléments constitutifs du
sang
. La mélanémie se développe à peu près exclusive
pas le seul or-gane où s'opère la destruction des globules rouges du
sang
. (Loc. cit., p. 329.) les cas de pyémie, de typ
allusion dans son Traité d anatomie pathologique, et dans lesquels le
sang
contenait un certain nombre de cor-puscules de pi
eurs, on peut, sur le cadavre, rencontrer l'altération pigmentaire du
sang
et des vis-cères, même à un degré assez marqué,,
es coma-teuses. L'obstacle qu'une pareille lésion apporte au cours du
sang
prédispose évidemment à la formation des foyers d
ctères clini-ques, les cas de cette espèce. L'examen microscopique du
sang
, pendant la vie, rendrait, sans doute, ici quelqu
t des corpuscules pigmentaires semblables à ceux qui existent dans le
sang
. L'altération pigmentaire de la substance corti
ette opinion assez probable. La gêne mécanique qu'éprouve le cours du
sang
, dans son trajet à travers le tissu du système cp
mais l'influence de l'obstacle mécanique sur la production du flux de
sang
n'était certainement pas très grande dans ces cas
de corpuscules pigmentaires. — C'est à la présence du pigment dans le
sang
qui circule à travers les vaisseaux capillaires d
rts avec la mélanémie; de rechercher, par exemple, si l'altération du
sang
par les corpuscules de pig-ment accompagnent cons
-là paraît l'être, sous la dépendance d'une altération pigmentaire du
sang
. L'examen microscopique en décidera; mais, à prio
des autres viscères qui se lie toujours à l'altération pigmenlaire du
sang
, et qu'on ne trouve pas signalée dansles observat
, p. 659. III. Note sur des cristaux particuliers trouvés dans le
sang
et dans certains viscères d'un sujet leucémique,
présence d'une très grande quantité de cristaux particuliers dans le
sang
, cristaux dont nous donnons les principaux ca-rac
— Nécroscopie d'un sujet leucémique. — Cristaux particu-liers dans le
sang
et dans certains viscères. — Nombre considérable
isseaux du système porte, en un mot, sont énormément distendus par du
sang
à demi coagulé, présentant une couleur chocolat t
roit et gauche, sont fortement distendus par une certaine quantité de
sang
à demi coagulé et présentant la colora- tion do
colora- tion dont il a été parlé plus haut. — Deux épanchements de
sang
, présentant les mêmes caractères, existent, l'un,
l'extirpation des viscères. Examen microscopique. — On a examiné le
sang
et les viscères le jour même de l'autopsie, vers
ux résultats que nous allons exposer. Nous nous occuperons d'abord du
sang
, puis, nous dirons quelques mots du foie, de la r
, puis, nous dirons quelques mots du foie, de la rate et des reins.
Sang
. — Le sang, le jour môme de l'autopsie, contenait
s dirons quelques mots du foie, de la rate et des reins. Sang. — Le
sang
, le jour môme de l'autopsie, contenait déjà quelq
pas accru ; et même on n'en trouve plus au bout de six se-maines. Le
sang
était en caillots dans le fond de ces tubes. Ces
jours. Dans quelque endroit qu'il ait été pris (nous avons examiné le
sang
du cœur droit, celui du cœur gauche et celui de l
cœur droit, celui du cœur gauche et celui de la veine splénique), le
sang
contenait une grande proportion de globules blanc
l nous a semblé que cette proportion était plus considé-rable dans le
sang
de la veine splénique, mais nous n'oserions l'aff
différence n'étant pas très grande. Nous avons à considérer dans le
sang
: 1° les globules rouges; 2° les globules blancs ;
ns la fig. 41, a. Les globules blancs étaient encore visibles dans le
sang
conservé, au bout d'un mois. Quinze jours plus ta
oyait encore un certain nombre. 3° Autres éléments visibles dans le
sang
. — Outres les glo-bules, soit rouges, soit blancs
— Outres les glo-bules, soit rouges, soit blancs, on aperçoit dans le
sang
une très grande quantité de petites granulations
re plus nombreux. Fig. -il. — Cristaux oclaédriques trouvés dans le
sang
d'un sujet leucémique, a, Cristaux et globules bl
70° centigrades; ils se dissolvent aussi à cette température dans le
sang
qui les contient, et si on les a fait ainsi disso
on les a fait ainsi dissoudre en exposant à une chaleur convenable du
sang
disposé entre deux lames de verre pour l'examen m
fig. 41, e. A une tem-pérature inférieure à 60°, et égale à celle du
sang
vivant, c'est-à-dire à 38°, 40° centigrades, ces
s l'alcool froid ou bouillant (on les a re-trouvés après un séjour du
sang
dans l'alcool pendant quinze jours), et pareillem
it nous a été indiqué par M. le docteur Vidal, qui a examiné aussi ce
sang
. Nous l'avons vérifié immédiatement. Nous avons v
azotique est considérante. Les cristaux se retrouvent encore dans du
sang
mêlé à de l'acide azo-tique et laissé en contact
ance des cristaux (fig. 41, d). L'acide azotique bouillant détruit le
sang
et les cristaux qui y sont contenus. Les crista
x qui y sont contenus. Les cristaux sont également nombreux dans le
sang
des divers points dans lesquels nous l'avons exam
lesquels nous l'avons examiné. Six semaines après la nécropsie, le
sang
est devenu liquide, bru-nâtre; on n'y reconnaît p
jaunâtres, formées probablement aux dépens de la matière colorante du
sang
, et enfin des cristaux. 1 Les cristaux qui ont
ranuleuse, amorphe, pareille à celle que nous avons conslalée dans le
sang
. Cette matière, qui se voyait aussi à l'état libr
rès nombreux éléments microscopiques analogues aux globules blancs du
sang
. Reins. —Tissu très mou, tubuli bien conservés,
ve à l'état des globules rou- ges, et l'autre à la présence dans le
sang
de cristaux nom-breux et formés, selon toute appa
Il n'est guère possible de s'en faire une idée exacte, car l'état du
sang
dans la leucémie, l'abondance des globules blancs
s premiers des seconds. Les cristaux que nous avons trouvés dans le
sang
nous pa-raissent formés par une substance organiq
ubstances minérales cristallisables qu'on pourrait rencontrer dans le
sang
. Nous avons consulté un assez grand nombre de fig
de figures pu-bliées par divers auteurs, et relatives aux cristaux du
sang
, et nous n'y avons pas rencontré des formes sembl
tue ces cristaux semble donc n'a-voir pas encore été signalée dans le
sang
, du moins en dehors des conditions dans lesquelle
lte même substance, et à rapprocher, par consé-quent, des cristaux du
sang
de notre leucémique, ceux qui ont été vus dans le
es cristaux du sang de notre leucémique, ceux qui ont été vus dans le
sang
d'un autre sujet mort de la même maladie par l'un
ythémie, par MM. Char-cot et Robin, p. 45) \ « On rencontrait dans le
sang
du ventri-» cule droit, mêlés aux globules blancs
contrés dans un plus grand nombre de cas si l'examen microscopique du
sang
et des viscères avait été fait plusieurs heures a
substance qui forme ces cristaux est, eneffet, en dissolution dans le
sang
, et elle paraît demander un temps assez long pour
ces cristaux. Quoi qu'il en soit, le nom-bre de ces cristaux dans le
sang
et dans les viscères indique que cette substance
s cristaux devront-ils être considérés comme propres exclusivement au
sang
des sujets leucémiques? L'un de nous1 a eu l'occa
s, arrondis, puriformes; quelquefois d'une teinte rousse et striés de
sang
, sentiment d'oppression ; voix faible, mais sans
iments. — Même état les jours suivants. Le 24 juin, des caillots de
sang
noir se rencontrent pour la pre- mière fois cla
ulmonaire et dans ses branches principales, entourées d'une couche de
sang
noir à peine coagulé : nulle part elles ne présen
ointe dans ces deux derniers points, il est enveloppé d'une couche de
sang
noir à peine coagulé. — La section du caillot déc
ns le poumon, la concrétion est pâle, de stucture fibreuse, striée de
sang
, dans le sens de sa longueur; libre dans la plus
à l'an-gle postérieur, rentrant, du ventricule droit par une masse de
sang
noir coagulé, lequel forme presque à lui seul le
es arrondis, pâles, un peu plus volumineux que les globules rouges du
sang
. Ces globules contiennent un certain nombre de gr
de globules dits pyoïdes, mais bien de véri-tables globules blancs du
sang
. Foie.— Volume à peu près normal; légères bosse
tus fibrineux, de granulations moléculaires et de globu-les blancs du
sang
. Ce ne serait d'ailleurs pas la première fois q
ne serait d'ailleurs pas la première fois que les globu-les blancs du
sang
auraient, en se rassemblant dans divers points du
cependant que des filaments fibrineux mêlés à des globules blancs du
sang
. Et en dehors du système circula-toire une matièr
n-fermeraient non pas du pus, mais bien un amas de globules blancs du
sang
mêlé à de la fibrine désagrégée. Je fais allu-sio
ranulations protéiques, de glo-bules graisseux, de globules blancs du
sang
plus ou moins al-térés, et enfin, d'un détritus a
urface légèrement rugueuse, libre et immédiatement en contact avec le
sang
artériel dans la plus grande partie de son étendu
ses et semblables pour l'aspect et le volume à des globules blancs du
sang
altérés; 5° cristaux aciculaires dont la nature n
si elles venaient à se rompre et à mêler tout à coup leur contenu au
sang
en circulation? Ce sont là autant de questions
he ne recevait et n'émettait, (à chaque batte-ment,) que la moitié du
sang
artériel sur lequel il agit d'habi-tude; mais l'o
r; dans tout le reste de son étendue elle est libre et baigne dans le
sang
du ventricule ; elle a environ 5 centimètres dans
de. ressemblant fort bien à du pus phlegmoneux, mélangé d'un peu de
sang
. La surface interne du kyste est mamelonnée, co
ons graisseuses et ayant l'aspect et le volume des globules blancs du
sang
(ce sont, tout porte à le croire, des globules bl
ancs du sang (ce sont, tout porte à le croire, des globules blancs du
sang
altérés); 5° des cristaux en aiguille dont la nat
côté gauche ne contenaient pas de caillots, mais seulement un peu de
sang
fluide. Obs. II. — Anévrisme partiel de la poin
les graisseux de volumes divers, très nombreux; 4° globules blancs du
sang
ayant subi la dégéné-rescence graisseuse. L'end
sse avec avidité, rend des excréments liquides jaunâtres et teints de
sang
. La veille de sa mort, il éprouve quelques vomiss
tion, dérivent d'une intoxication déter-minée par la présence dans le
sang
d'un poison morbide spé-cial qui se formerait inc
dû à la mise en liberté d'une certaine quantité d'a-cide urique. — Le
sang
retiré parles ventouses s'est coagulé, mais les c
contractions vesicales); pas de teinte bleue par l'acide azotique. Le
sang
retiré par les ventouses a les mêmes caractères q
bules purulents à noyaux, ni glo-bules pyoïdes. On a examiné aussi le
sang
contenu dans le ventri-cule droit, et surtout cel
il ne fautpas faire intervenir, pour une certaine part, le passage du
sang
d'un ventricule dans l'autre au travers du canal
le consiste à admettre que le premier était produit par le passage du
sang
au travers de la perforation lors de la systole a
aire (souffle le plus faible) et que le second était dû au passage du
sang
, en sens contraire, par la même perforation, lors
culatoire pulmonaire et passer dans la circulation générale mêlées au
sang
artériel; ces particules, en vertu de leurs quali
aillot à l'arlérite ou à toute autre altération des solides, c'est le
sang
lui-même qu'on a surtout incriminé. Quelques aute
aux de l'urine, et en particulier de l'urée, aura bien pu agir sur le
sang
, à la manière des fer-ments, pour en déterminer l
utres 3 ont fait observer avec raison que la coagulation spontanée du
sang
dans les vaisseaux a surtout lieu chez les indivi
chroniques, ou encore dans l'état puerpéral. Or, chez ces sujets, le
sang
présente souvent, comme on sait, une altéra-térat
» n» 16. — liasse, Patholog, Anat., 1, 41. la crase particulière du
sang
des cachectiques peut expliquer quelquefois la fo
ir fait remarquer que, chez la plupart des sujets oùla coagulation du
sang
dans l'artère pulmonaire ne dépend pas d'une lési
trait leur volume et viendraient enfin s'y encla-ver. L'altération du
sang
ne seraitici qu'un élément accessoire. C'est là,
rale, iliaque externe et hypogastrique du côté droit sont remplies de
sang
noir à peine coagulé. Examen de la poitrine. —
té ; 4° globules de graisse libres, de volumes divers; 5° globules du
sang
déformés et diversement altérés. Les grumeaux fib
sections, on remarque que des vaisseaux il s'échappe des caillots de
sang
en partie mo-difié. Le cœur ne présente pas de lé
uriforme2. On sait depuis longtemps que la coagulation spontanée du
sang
dans les veines, principalement dans les veines d
, la lu-mière des vaisseaux est à peu près libre ; ils contiennent du
sang
liquide, et çà et là des fragments fibrineux de c
esseur Virchow, à savoir, que, dans tous les cas où la coagulation du
sang
dans l'artère pulmonaire ne dépend pas d'une lési
alement celles du ventricule droit. Ce ventricule contenait un peu de
sang
noir. Les deux branches de l'artère pulmonaire co
Les deux branches de l'artère pulmonaire contenaient des caillots de
sang
qui remplissaient presque complètement le cali-br
de gra-nulations moléculaires, de globules graisseux, de globules du
sang
diversement altérés; ils présentaient, en un mot,
ver, par suite, tout à fait libres dans la cavité d'un vaisseau où le
sang
circule encore, et enfin, les circons-tances aida
nt presque jamais assez volumineux pour interrompre la circulation du
sang
dans le vaisseau où il siège. Aussi, lorsque son
mement ténues, qui se déta-chent de la masse principale, se mêlent au
sang
et s'y dé-truisent: conséquemment, le caillot pro
e et l'aorte ne reçoivent plus qu'une quantité extrême-ment faible de
sang
chargé d'oxygène; les artères coronaires en parti
cet organe s'arrête dans la diastole. En même temps, il y a stase du
sang
veineux dans le cœur droit, dans les veines coron
e cesse tout à coup de recevoir du pou-mon une quantité suffisante de
sang
. Ce qui, suivant cet au-teur, démontre qu'il en e
les sujets des expériences ; c'est ensuite la très petite quantité de
sang
que contient, en pareil cas, le cœur gauche, tand
illaire, mais par une sorte d'infiltration de la matière colorante du
sang
. » Il reconnaît, en outre, qu'il est souvent très
hoïde et les maladies qui s'accompagnent d'une altération profonde du
sang
; aussi ne reconnaît-on, de nos jours, qu'un simpl
iques (Crisp) est une preuve nouvelle de la facilité avec laquelle le
sang
abandonne aux tissus ambiants les matières colora
'une affection spéciale, et pour ainsi dire idiopathique du système à
sang
rouge, dont l'origine serait entièrement indépend
ent considérable de corps granuleux et de globules -graisseux dans le
sang
même, à une distance très considéra-ble du point
ment ce transport des par-ticules athéromateuses qui voyagent dans le
sang
, lorsqu'on se reporte aux conditions anatomiques
énérale, et que la pré-sence de cet excès de matières grasses dans le
sang
donne naissance à des lésions viscérales; mais il
t ajouter que la rupture de la poche anévrismale, et l'épanchement du
sang
sous les téguments de la poitrine, ou dans le tis
ots dits passifs, qui résultent purement et simplement de la stase du
sang
. Nous n'aborderons pas les discussions relative
gé les os. En général, les membranes artérielles ont disparu, et le
sang
vient directement baigner les surfaces osseuses.
s les plus singuliers de ce genre est celui de Stokes, dans lequel le
sang
s'était répandu entre le péritoine et le muscle t
dans un au-tre vaisseau, ou dans une partie quelconque du système à
sang
noir, n'amène pas une mort instantanée, mais seul
deux bruits. Bellingham croit que le premier est dû au frottement du
sang
contre les parois du sac, le second à la régurgit
elle sera instantanée, quand la rupture du sac aura versé un flot de
sang
dans le canal ra-chidien (Laënnec). On a vu quelq
t, en pareil cas, que la tumeur ait la forme d'un sac, et permette au
sang
de sé-journer assez longtemps dans son intérieur,
rragie a eu lieu par rupture du sac, il faut s'empresser d'étancherle
sang
par des applications de charpie imbibée d'alun, d
delhérap., 1862.) — Marey. Physiologie médicale de la circula-tion du
sang
. Paris, 1863. — Leudet. Recherches sur les lésion
incipe, que le décollement de la tuni- que extérieure permettait au
sang
de s'infiltrer entre celle-ci et la moyenne. Nich
a tu-nique celluleuse comme incapable de résister seule à l'effort du
sang
. Les liquides injectés avec force, dans une artèr
ière, la tunique celluleuse est décollée, les deux autres rompues: le
sang
s'est exlravasé au-dessous de la membrane externe
consécutif. Une fois l'ouverture produite, l'impulsion, incessante du
sang
achève de séparer les tuniques. Les choses se p
mi-nuée en raison même de leur friabilité. La fente par laquelle le
sang
s'est extravasé présente habi-tuellement une dire
es de celle-ci (Morga-gni, Nicholls, Hodgson.) Deuxième degré. — Le
sang
s'est frayé un passage entre les lamelles de la t
les Communications anormales établies entre l'aorte et le système à
sang
noir, qui ont pour la première fois attiré l'atte
anormale éntrele tronc artériel, et un point quelcon-que du système à
sang
noir. Dans les observations rapportées parThurn
it. Il est aisé de comprendre que sur tous les points où le système à
sang
noir se trouve en rapport avec l'aorte, des commu
verture. Avant de s'ouvrir dans une branche quelconque du système à
sang
noir, la tumeur anévrismale lui fait éprouver une
vie extra-utérine que le conduit de Botal cesse de livrer pas-sage au
sang
. Le mécanisme de cette oblitération a été expli-q
la naissance, le développement des fonctions respiratoires oblige le
sang
tout entier à se rendre dans les poumons ; c'est
e ventricule gauche, recevant par les veines pulmonaires une masse de
sang
bien plus considérable qu'au-trefois, envoie à tr
vie fœtale s'oppose à ce qu'ils deviennent un lieu de passage pour le
sang
de toute l'économie, l'isthme de l'aorte n'éprouv
écessiter la conservation du conduit de Botai, pour livrer passage au
sang
. Ce sont ces anomalies qui ont fait admettre aux
mplètement abolies, indiqueront la présence d'un obstacle au cours du
sang
dans la partie inférieure de l'aorte. Enfin, l'au
ie humaine. Quand l'oblitération des collatérales ne permet plus au
sang
de refluer au-dessus de l'obstacle, il se produit
e l'exis-tence d'une oblitération de l'aorte. Au reste, le cours du
sang
se rétablit plus facilement chez les sujets attei
dont les parois étaient parsemées de pla-ques athéromateuses ; et le
sang
de l'artère fémorale ren-fermait des gouttelettes
e, avaient versé leur contenu à l'intérieur de ce vaisseau : aussi le
sang
artériel, examiné sur plusieurs points, offrait-i
la fibrine altérée peuvent détermi-ner, une fois transportées dans le
sang
, des accidents analo-gues à ceux des infections g
pendamment des animalcules qui peuvent existera l'é-tat libre dans le
sang
, on rencontre, chez les animaux, des helminthes,
la rupture des deux autres, a pu momentanément résister à l'efTort du
sang
: la mort n'est survenue qu'au moment où elle a cé
observe le plus souvent ce décolle-ment des membranes, qui permet au
sang
de s'infiltrer dans leur interstice. Les faits ch
lissement qui laisse à découvert la membrane interne : la pression du
sang
suffit alors pour la déchirer. Ainsi, M. Bucquoy
he, qui était elle-même perforée ; il y eut plusieurs vomissements de
sang
, avant la mort. Un cas analogue a été observé p
, il fut pris tout-à-coup, en sortant de dîner, d'un vomissement de
sang
de couleur ruti-lante, non mélangé aux aliments ;
langé aux aliments ; puis il rendit par l'anus une grande quantité de
sang
noir et poisseux, et tomba en syncope. Il s'ensui
tions habituelles. Mais dans ces derniers temps, les vomisse-ments de
sang
et l'entérorragie ont reparu à plusieurs reprises
orsqu'il est revenu à lui, il rend en vomissant une pleine cuvette de
sang
rouge, en partie liquide, en partie coagulé. Les
orte de bouillie de couleur lie de vin, évidem-ment constituée par du
sang
altéré. L'estomac contient une cer-taine quantité
tuée par du sang altéré. L'estomac contient une cer-taine quantité de
sang
d'une coloration moins foncée. Les autres viscè
, à l'accomplissement desquels la présence d'une certaine quantité de
sang
chargé d'oxygène est tout à fait nécessaire. Lors
dant le repos, et exigent, par conséquent, l'afflux d'une quantité de
sang
artériel plus considérable, dans un temps donné.
et de l'imperfection de la circulation supplémentaire, la quantité de
sang
qui parvient aux muscles, suffisante, tout au plu
, 1667. 2 Brown-Séquard. — Mémoires sur les propriétés et usages du
sang
rouge et du sang noir, 1858. Dans l'expérience de
-Séquard. — Mémoires sur les propriétés et usages du sang rouge et du
sang
noir, 1858. Dans l'expérience de Stenson, il se d
cte et indirecte, quand on enlève la ligature, ou quand on injecte du
sang
d'un autre animal. D'après llermann (Die Reguliru
er pendant le temps de l'effort, cela est bien connu, une quantité de
sang
supplémentaire. Or, dans la claudication ischémiq
mique, en raison de l'oblitération du tronc principal, la quantité de
sang
qui peut suffire à l'entretien de l'organe pen-da
ucune modi-fication dans l'état du malade: notons, en passant, que le
sang
est un peu plastique, et que le caillot est recou
presque exclusivement composées de muco-pus et de glaires striées de
sang
. Le 14t juin, le malade est pris d'un délire br
pèce de glaire, contenant çà et là du muco-pus plus ou moins strié de
sang
. La plupart des grandes articulations ont été o
umi-neux. Le ventricule droit est distendu par une grande quantité de
sang
noir, comme poisseux, à demi-coagulé. Ses parois
trophié : les parois sont très épaisses, la cavité contient un peu de
sang
noir à peine coagulé. Les valvules mitrales sont
e, ni même érodée. Les autres membranes artérielles sont im-bibées de
sang
et friables, mais pas autrement altérées. Plus ba
me et les veines d'un calibre moyen, sont fortement distendues par du
sang
noir à demi-coagulé. Toutes les parties du memb
e, un peu ramollis. Leurs plus gros vaisseaux contiennent beaucoup de
sang
noir; on remarque aussi une infiltration sanguine
un peu molle, d'une coloration foncée. Il laisse écouler beaucoup de
sang
noir quand on l'incise. Il renferme çà et là un c
effet, outre la fibrine amorphe et les granulations, des globules du
sang
, par-fois en grand nombre, et présentant divers d
orés à la longue, par suite de la disparition des éléments colorés du
sang
, si la malade eût pu résister plus longtemps à l'
uivant toute probabilité, n'étaient autres que des globules blancs du
sang
. Il paraît que ces globules résistent beaucoup pl
s longtemps à la destruction qui s'empare tôt ou tard des éléments du
sang
sortis des vaisseaux, que ne le font les globules
athéromateuses ou os-seuses qui, véritables corps étrangers mêlés au
sang
et circu-lant avec lui, viendraient déterminer l'
détachées par une cause quelconque et ont déterminé la coagulation du
sang
dans les artères de la jambe gauche et aussi la p
quelle a pu être la cause première de cette coagulation spontanée du
sang
dans les ar-tères des membres inférieurs. La rigi
autre qu'une modification survenue dans les propriétés plastiques du
sang
, et supposer que ce liquide a acquis une tendance
ticulière àla coagulation; mais d'où proviendrait cette altération du
sang
? Serait-elle primitive, ou, au contraire, faudrai
ment à reconnaître que, dans l'en-gorgement hémoptoïque du poumon, le
sang
est épanché dans la 1 Extrait de la Gazette hebdo
partent et les artères qui s'y rendent sont habituellement gorgés de
sang
ou même remplis de caillots plus ou moins volumin
ulaire. Les tuyaux bronchiques eux-mêmes sont souvent obstrués par du
sang
coagulé. Mais quelle est la signification de ces
uantes du parenchyme pour en modifier la texture intime, avant que le
sang
ne se soit répandu au dehors de ses voies naturel
nifestent le plus souvent dans des circonstances où la coagulation du
sang
dans les vaisseaux est évidemment la conséquence
normale; les vaisseaux seuls paraissent quelquefois distendus par le
sang
. A ces caractères, on ne saurait méconnaître, sui
s. Dans le cas où un gros vaisseau s'est ouvert dans les bronches, le
sang
pénètre sous l'influence des lois de la pesan-teu
près. En effet, dans l'infarctus, ainsi qu'on l'a vu, les globules de
sang
sont mêlés à des cellules épithé-liales granuleus
cancer........................ 308 TROISIÈME PARTIE Altérations du
sang
. — Leucocythémie et mélanémie. I. Observations
............................. 317 II. Delà mélanémie, altération du
sang
par des granules et des cor-puscules de pigment..
....... 326 III. Note sur des cristaux particuliers trouvés dans le
sang
et dans certains viscères d'un sujet leucémique e
Craquements humides, 265. Chinons, 565. Cristaux particuliers du
sang
dans la leucocythémie, 349 ; — carac-tères, '352.
du—) 518. Leucocythémie (Observations de —) 317, 349; — foie, rate,
sang
dans la —, 322; — globulins, globules blancs, 323
lancs, 323, 352; — globules blancs à noyau, 324, 351 ; — cris-taux du
sang
, 349. Lobules pulmonaires, Il ; — indé-pendance
aire 421 ; — lésions des tuniques arté-rielles, 422; — altérations du
sang
, 422; — étiologie, 422; — théorie de l'embolie, ^
— anatomie pathologi-que, 5fi8. s Sarcome angioplastique, 269.
Sang
(formation et déformation des éléments du —), »35
olidation des fractures, les uns à la lymphe plastique, les autres au
sang
épanché entre les fragmens et autour d'eux , ce r
cipal était sous le grand fessier ; de ce foyer comme d'un centre, le
sang
s'était infiltré, d'une part, entre le grand droi
cia lata. Les vastes interne et externe étaient eux-mêmes pénétrés de
sang
. La première idée que faisait naître la vue d'u
intéressé, mais les vaisseaux principaux examinés parurent sains : le
sang
viendrait-il des os fracturés? Cette présomption
qu'il y avait entre les fragmens multiples de la fracture un foyer de
sang
coagulé, que ce foyer communiquait avec le foyer
utour du grand trochanter, sous le grand fessier; que des caillots de
sang
infiltraient toutes les parties molles quientoura
ouraient la fracture. La pièce débarrassée des parties molles et du
sang
, nous avons vu que la fracture était du genre des
ion par un des points de la solution de continuité, car il y avait du
sang
épanché dans la cavité articulaire. Vue antérie
et divisé lui-même par une fracture verticale : une cavité pleine de
sang
était comme creusée entre le col et le corps du f
tissu caverneux, dont les parois seraient ossifiées. Un écoulement de
sang
est la suite de la fracture du tissu spongieux; m
st la suite de la fracture du tissu spongieux; mais cet écoulement de
sang
est généralement peu considérable, peut-être en p
té n'était pas exactement fermée, mais fournissait une issue libre au
sang
. Rien ne s'opposait donc à ce que les (1) Toute
érer comme un tissu érectile, à parois inflexibles, ne fournissent du
sang
, sinon en abondance, du moins d'une manière conti
us l'aspect de végétations irrégulières qui entourent ce fragment. Le
sang
épanché entre les fragmens, qui, suivant les uns,
capsule fibreuse (fig. 1), CF, CF contenait une certaine quantité de
sang
: sa face interne en semblait pénétrée. La frac
des os. Il semble en la touchant qu'on porte la main sur un animal à
sang
froid. La malade affirme encore que depuis l'in
avait de profondes racines, et que la malade avait perdu beaucoup de
sang
. Au bout de deux mois, la plaie était tout-à-fa
ie, et miscible à l'eau. Un certain nombre de cellules contiennent du
sang
concret. Vue dans son ensemble, cette coupe offre
s. L'identité était surtout incontestable pour les géodes remplies de
sang
. On pouvait, en effet, s'assurer que ces géodes c
réoles fibreuses, très inégales pour la capacité, étaient remplies de
sang
. Plusieurs de ces tumeurs, la tumeur du genou, la
ntes , d'une mollesse élastique. Ces tumeurs divisées présentent du
sang
liquide, contenu dans des aréoles d'inégales capa
angue en particulier, qui était fendillée, comme rôtie et souillée de
sang
; et comme la malade paraissait être aussi bien q
veine jugulaire externe était, à sa sortie de la parotide, remplie de
sang
coagulé et adhérent. Les veines contenues dans l'
qu'éprouvent dans les canaux si divers qu'ils parcourent, les gaz, le
sang
, les produits de sécrétion, les matières aliment
couleur de suie, adhérente, qui n'était évidemment autre chose que le
sang
coagulé et chimiquement altéré dans sa couleur, p
e l'estomac. Celles de ces érosions qui n'étaient pas remplies par du
sang
étaient à bords rosés et à fond grisâtre. Sur u
ières : ces points ou taches noires de suie étaient constitués par du
sang
déposé dans des ulcérations ou érosions de la muq
sant par un pédicule long et grêle : cette tumeur divisée présenta du
sang
infiltré dans le tissu de la muqueuse. On renco
lle tend sans cesse à augmenter le volume, en s'opposant au retour du
sang
veineux et en déterminant des extravasations sang
intestin grêle d'une couleur noirâtre, comme s'il avait été rempli de
sang
, j'ouvris cet intestin qui contenait une grande q
i de sang, j'ouvris cet intestin qui contenait une grande quantité de
sang
couleur de suie. J'annonçai que nous trouverions
sang couleur de suie. J'annonçai que nous trouverions la source de ce
sang
dans l'estomac ; et en effet, sous une couche épa
ces taches sont légèrement proéminentes, formées par une lentille de
sang
dense, noir de suie foncé, adhérent, dont l'ablat
effet des stries noires s'échapper pour ainsi dire de ces plaques de
sang
qui peuvent être considérées comme un obturateur
L'acide gastrique doit être un moyen hémostatique, car il coagule le
sang
au fur et à mesure qu'il est versé, et si le sang
, car il coagule le sang au fur et à mesure qu'il est versé, et si le
sang
ne fait que suinter, sa coagulation doit être imm
mot d'hématémèse aux vomissemens, et le mot melœna aux déjections de
sang
, distinction qui serait sans but et contraire à l
couleur résulte de la présence dans l'estomac d'un acide qui, mêlé au
sang
5 lui imprime immédiatement le même changement de
t le même changement de couleur qu'un filet de vinaigre, versé sur du
sang
qu'on vient d'extraire de la veine : la couleur n
u'on vient d'extraire de la veine : la couleur noire est le cachet du
sang
qui a séjourné dans l'estomac, soit que ce sang v
oire est le cachet du sang qui a séjourné dans l'estomac, soit que ce
sang
vienne des parois de l'estomac elles-mêmes, soit
uvent les conditions nécessaires pour ce changement de coloration. Le
sang
a beau séjourner dans l'intestin grêle ou dans le
férieures, et je ne saurais dire quelle est celle de ces voies que le
sang
gastrique suit le plus souvent. Ce qu'il y a de c
mmédiatement après son dîner, avec les alimens, une pleine cuvette de
sang
couleur de suie. Je soupçonnai un cancer latent;
t-à-fait semblable à celle de l'estomac, avec cette différence que le
sang
n'avait pas la même nuance de coloration, et qu'i
ogue à la matière pulmonaire dans les follicules noirs, et mêlés à du
sang
dans ceux qui sont d'un rouge violet. La cavité d
tée, et d'autres qui, violacés à leur face extérieure, contenaient du
sang
dans leur cavité. L'inflammation a pu déterminer
'opposent en partie au resserrement de l'anneau en faisant refluer le
sang
dans les vaisseaux ombilicaux. Hernie ombilical
-même lorsque les vaisseaux ombilicaux ont cessé d'être perméables au
sang
, comme l'alvéole dentaire après l'avulsion ou la
te une masse épiploïque considérable qu'on retranche sans effusion de
sang
. Le doigt introduit dans le sac fait reconnaître
matières stercorales ; le liquide était teint de quelques gouttes de
sang
: la sécrétion urinaire se maintenait; point de h
membrane au-dessous de laquelle se voyait une couche assez épaisse de
sang
coagulé qui la séparait du péritoine. La dissec
s couches celluleuses qui séparent ces tuniques étaient infiltrées de
sang
, et que cette infiltration occupait surtout le ti
ns amènent une petite quantité de matières noirâtres, semblables à du
sang
décomposé, brûlé, suivant l'expression de la femm
s précurseurs, qui puissent faire admettre une infection primitive du
sang
, dont l'inflammation folliculeuse des intestins n
bitué à observer ce genre de maladie. Relativement à l'infection du
sang
dans l'entérite folliculeuse aiguë, la dénominati
ves positives? Quant à moi, j'admets rationnellement l'infection du
sang
dans toutes les maladies fébriles, dans le rhumat
l'admets, parce qu'il ne peut pas en être autrement, car c'est par le
sang
et sur le sang qu'agissent nécessairement toutes
qu'il ne peut pas en être autrement, car c'est par le sang et sur le
sang
qu'agissent nécessairement toutes les causes morb
nflamme, ce ne peut être qu'en conséquence des qualités irritantes du
sang
qui circule et qui stagne dans cet ordre de vaiss
le d'un jeune enfant mort de je ne sais quelle maladie. Il y avait du
sang
dans la cavité intestinale; le sang pénètre toute
ais quelle maladie. Il y avait du sang dans la cavité intestinale; le
sang
pénètre toute l'épaisseur de l'intestin. Les foll
seur de l'intestin. Les follicules agminés sont eux-mêmes pénétrés de
sang
. Cette altération, qui était indépendante de tout
plus grande partie de l'intestin grêle : cet intestin était rempli de
sang
. La couleur noire de cet intestin et son épaisseu
ang. La couleur noire de cet intestin et son épaisseur sont dues à du
sang
infiltré entre ses membranes, et surtout dans le
les continuelles, involontaires, sanglantes, horriblement fétides; le
sang
est mêlé de quelques mucosités ; pouls petit, peu
estinale. L'hémorrhagie a été une fois tellement considérable, que le
sang
coulait par l'anus5 comme par un robinet. Lorsqu'
eux d'aller à la selle, bientôt suivis de dévoiement et d'émission de
sang
fétide, et, bien qu'aujourd'hui il y ait six sema
paisseur des parois de l'intestin plusieurs varices V, V, remplies de
sang
concret très noir. La fig. 2 montre les détails
, coupés à pic, donnant un ichor horriblement fétide, souvent mêlé de
sang
: au fond de cet ulcère infundibuliforme se voyai
pendant 24 heures. Bientôt, s'apercevant qu'elle rendait du pus et du
sang
par l'anus, elle entra à l'Hôtel-Dieu où on la tr
deux espèces d'œdème reconnaissent pour cause un obstacle au cours du
sang
déterminé par l'obturation de l'artère pulmonaire
elle fut prise d'envies continuelles d'aller à la selle, et rendit du
sang
pur avec de grands efforts. Ce flux de sang avec
à la selle, et rendit du sang pur avec de grands efforts. Ce flux de
sang
avec épreintes, pour lequel rien ne fut fait, ne
pont qui les séparait; aussitôt s'écoula une assez grande quantité de
sang
, mais en nappe. On l'arrêta de suite en introduis
ce travail inflammatoire qui amène le gangrène, de ces épanchemens de
sang
, de ces foyers apoplectiques qui font quelquefois
l'apoplexie capillaire, c'est-à-dire à une apoplexie dans laquelle le
sang
est infiltré dans le tissu au lieu d'être ramassé
éseau veineux, dans lequel une grosse artère est chargée de verser le
sang
que rapporte au foie une grosse veine, qui forme
apporte au foie une grosse veine, qui forme à elle seule la moitié du
sang
de la veine-porte. Les lésions de la rate peuvent
r constaté le siège dans le système veineux. A cela je réponds que le
sang
, infecté par son mélange avec le pus, paraît trav
organe dansl'infection cancéreuse comme aussi dans tous les cas où le
sang
est le véhicule de principes hétérogènes destinés
modifications tout-à-fait semblables, au moins quant aux qualités du
sang
, à celles que présentent les foyers sanguins ordi
émorrhagie, c'est la rupture de la poche sanguine et l'épanchement du
sang
dans la cavité du péritoine. V1ÏI. Les masses c
attribuée à l'obstacle mécanique que ces masses apportent au cours du
sang
, l'hydropisie péritonéale peut être le résultat d
euses sont développées. Dans l'un et l'autre cas, il y a infection du
sang
. Masses encèphaldides du foie présentant l'aspe
'hôpital de la Charité, M. Rayer, avec un épanchement considérable de
sang
dans la cavité péritonéale. La source de cet épan
e altération de la matière encépha loïde tenait à son mélange avec le
sang
. Il est bien remarquable que les foyers enkysté
diaphragmatique étaient tapissées par une fausse membrane couleur de
sang
. Dépouillé de cette fausse membrane, le diaphra
dont j'abattais vainement quelques-unes; que la maladie était dans le
sang
comme on le dit, que c'était dans le sang qu'il f
ue la maladie était dans le sang comme on le dit, que c'était dans le
sang
qu'il fallait l'atteindre. Mais à l'aide de quels
ui fut suivie d'une longue syncope, dont elle se releva très bien. Le
sang
était très couenneux. Le soir, la douleur a dis
utonné. Il s'écoule d'abord du pus blanc, grumeleux, louable, puis du
sang
bien pur, que je crus d'abord venir du foyer, mai
es parois abdominales: quatre assiettes ordinaires furent remplies de
sang
vermeil qui se coagula à l'instant même. Craignan
AISON. 1 Le i3, au matin, je retire la mèche, il s'écoule encore du
sang
avec le pus ; j'obturai de suite pour éviter l'ac
diminué d'une manière sensible, ce qui tient probablement à ce que le
sang
colore un peu plus la peau que les jours précéden
es forces semblent renaître. Je me demande quelle est la source de ce
sang
corrompu, sanieux, horriblement fétide. Y a-t-il
nieuses et fétides, s'est échappée parla plaie une grande quantité de
sang
rutilant, de cail lots sanguins. Le malade faibli
cédens, et n'y aurait-il d'autre différence entre ces deux espèces de
sang
que dans la durée du séjour, le sang vermeil s'éc
érence entre ces deux espèces de sang que dans la durée du séjour, le
sang
vermeil s'écoulant immédiatement après sa sortie
vermeil s'écoulant immédiatement après sa sortie des vaisseaux, et le
sang
fétide ne s'écoulant qu'après un séjour plus ou m
veur d'une légère compression. Forcé de s'accumuler dans le foyer, le
sang
exercera contre les parois une compression qui su
up de précaution au bout de quarante-huit heures , a donné issue à du
sang
putride, et, depuis ce moment, la poche s'est vid
éminemment irritable, à une grande souffrance, à une grande perte de
sang
, et peut-être à une nourriture trop stimulante. M
Traitement. Ventouses scarifiées sur la région du foie : six onces de
sang
. Cataplasmes, bains, lavemens. Sérum ; limonade c
pas de résistance. Vain espoir, il ne sortit que quelques gouttes de
sang
. Le malade parut insensible à cette opération, la
e-vin, tapissée par une couche pseudomembraneuse, épaisse, maculée de
sang
, organisée dans ses couches les plus extérieures,
montré qu'elle était constituée en grande partie par une bouillie de
sang
, de pus et de matière encéphaloïde. Il était évid
égénération avait lieu après la mort. Réflexions. L'intoxication du
sang
, qu'on ne saurait nier dans le typhus puerpéral p
oration qui dépendent des diverses nuances de la matière colorante du
sang
n'expliquent-elles pas la coloration noire, qui e
est le dernier terme. L'action d'un acide sur la matière colorante du
sang
donne une idée aussi exacte que possible de la nu
du diagnostic. Souvent je demande à ces malades si elles crachent du
sang
: elles répondent que non; alors, les faisant tous
sont la cause la plus fréquente de la pneumonie, introduisent dans le
sang
des hétérogènes qui, déposés dans le système capi
t tenté de saigner Je malade ; mais les vaisseaux ne donnèrent pas de
sang
: on fut obligé d'y suppléer par des sangsues.
ux de nouvelle XXIXe LIVRAISON. a formation et par des macules de
sang
. Ces vaisseaux de nouvelle formation et ces macul
base du poumon est recouverte d'une pseudo-membrane PSI, infiltrée de
sang
. La figure 2 représente la coupe du lobe supéri
n positif établit d'une manière incontestable que c'est la qualité du
sang
et non la qualité des parois vasculaires qui déte
ence au centre, pénétré de sérosité et nullement de suc cancéreux; le
sang
qui suinte des vaisseaux présente des globules ap
. Voici ces degrés : i° tissu caverneux ou érectile, dans lequel le
sang
est en circulation comme dans le tissu caverneu
omme dans le tissu caverneux de la verge. a° Tissu caverneux avec
sang
concret arrondi en globules ou diversement config
hlébolithes se voient très communément dans les varices avec stase du
sang
, de la saphène, de la vessie, des ovaires et du r
teurs; son excessive, son indomptable gravité lorsque le pus, mêlé au
sang
, va infecter toute l'économie; voilà des faits fo
uppurative non circonscrite, les accidens résultent de l'infection du
sang
: ce sont des phénomènes généraux extrêmement grav
ns grande quantité, d'autres le laissent passer, de telle sorte qu'un
sang
infecté peut parcourir un très grand nombre de fo
e par tel ou tel émonctoire des matières hétérogènes qui infectent le
sang
, en neutralisant par des movens internes leur act
casion de toute autre maladie chronique, par suite de l'altération du
sang
. La phlébite des membres inférieurs, suite du c
s caillots obturateurs soit franchie: alors,le suc cancéreux, mêlé au
sang
, ira porter partout l'infection. Je me propose de
Je crois que toute la clef de la pathogénie est dans l'altération du
sang
et dans l'action de ce sang altéré sur les capill
de la pathogénie est dans l'altération du sang et dans l'action de ce
sang
altéré sur les capillaires veineux des organes, m
VH, du côté gauche, et un peu plus haut, du côté droit, on voyait du
sang
récemment coagulé S G, S'C', S"C" intermédiaire à
re à des caillots plus anciens et aux parois veineuses. La couleur du
sang
de la veine iliaque externe gauche VIE est remarq
cérébrales qui ont un mois ou deux d'ancienneté. Du côté droit, le
sang
coagulé s'arrête à l'origine de la saphène VS et
ur de la veine saphène VS, en présentant des cylindres alternatifs de
sang
décoloré et de sang récemment coagulé : on voit a
ne VS, en présentant des cylindres alternatifs de sang décoloré et de
sang
récemment coagulé : on voit aussi des caillots dé
és dans la veine fémorale profonde VP du même côté. Les caillots de
sang
ne se continuent pas dans les veines collatérales
ien le foyer purulent supérieur FP se serait ouvert et le pus mêlé au
sang
aurait déterminé tous les accidens de la résorpti
s veines qui ont été enflammées peuvent-elles redevenir perméables au
sang
? Le fait représenté planche 4? m a permis de cons
marquable, qui consiste dans le décollement du caillot sanguin par le
sang
apporté à l'aide des collatérales ; on doit suppo
aillot : que si on me demande l'explication du fait de la présence du
sang
le plus liquide au centre du caillot, je répondra
capillarité de ces caillots sanguins qui se laissent traverser par le
sang
le plus liquide. Mais le plus habituellement le
ste les efforts que fait la nature pour le rétablissement du cours du
sang
. Chez ce sujet, il existait une variété anatomi
unes étaient d'un noir bleuâtre, couleur due à la grande quantité de
sang
qui distendait leurs cellules; c'était le plus gr
fraient un aspect rougeâtre, comme celui des corps caverneux vides de
sang
et exposés quelque temps au contact de l'air; d'a
étroites, là très amples, formant de vastes sinus oblongs, remplis de
sang
: j'ai trouvé trois phlébolithes dans l'épaisseur
tion, et leur aspect contraste avec la couleur des aréoles pleines de
sang
. Le nerf médian avait été envahi, ou plutôt la
cancéreux, et qu'on le place à côté d'un tissu variqueux dépouillé du
sang
, qui remplissait ses mailles, il est impossible
ariqueuse, c'est un tissu cancéreux dont les mailles sont remplies de
sang
. La grande différence, c'esl que le tissu varique
tissu variqueux n'a en lui aucune puissance d'infection. Que peut le
sang
? Il se concrète ; il est remplacé par des phlébo
bite adhésive pouvant être franchies, et le suc cancéreux se mêler au
sang
en circulation. La seule analogie qui existe entr
es ampullaires d'un certain volume, sont presque toujours remplies de
sang
coagulé. Dans le cas représenté planche 5 , figur
lies de sang coagulé. Dans le cas représenté planche 5 , figure i, le
sang
était récemment coagulé: il y avait phlébite adhé
te adhésive légère; car je crois avoir démontré que la coagulation du
sang
avec adhérence, quelque faible qu'elle soit, est
hlébite. Qu'on ne croie pas que les veines qui sont ainsi remplies de
sang
coagulé restent à jamais impropres à la circulati
est vaincue dans un des points de la circonférence du vaisseau par le
sang
en circulation ; bientôt le caillot est rejeté de
ive entre ce caillot et les parois du vaisseau. Joignez à cela que le
sang
coagulé revient peu-à-peu sur lui-même, qu'il sub
récissent le calibre. — J'ai vu des varices ampullaires perméables au
sang
et tapissées par une couche pseudo-membraneuse ja
he sous-épidermique de la peau, le derme lui-même étaient pénétrés de
sang
noir dans toute leur épaisseur. Le tissu adipeux
détachent pour traverser le tissu adipeux, étaient distendues par du
sang
noir coagulé et adhérent. La veine saphène inte
ère d'une corde: elle était entourée d'un tissu cellulaire pénétré de
sang
. Ce sang était épanché et non contenu dans ses va
corde: elle était entourée d'un tissu cellulaire pénétré de sang. Ce
sang
était épanché et non contenu dans ses vaisseaux.
ait au-devant de la symphyse. Toutes ces veines étaient remplies de
sang
coagulé et adhérent: aussi leur dissection a-t-el
névrysmes. Ce cylindre était en quelque sorte tout prêt à recevoir le
sang
. La veine iliaque externe et la veine fémorale
Il était manifeste que ce n'était que lentement et péniblement que le
sang
s'était fait jour dans ces canaux oblitérés par l
ation ; car le cylindre nouveau n'était pas parfaitement régulier. Le
sang
décrivait de longs détours et même circulait en s
que par une espèce de détroit presque capillaire ; dans d'autres, le
sang
remplissait la totalité du vaisseau. La veine p
ibiales et péronières étaient d'un très petit calibre, et remplies de
sang
concret. Reflexions. Cette observation présente
ux parois veineuses avait été vaincue dans quelques points, et que le
sang
, qui était parvenu à s'insinuer entre le cordon e
uscles, enfin sous le périoste. J'ai même rencontré plusieurs fois du
sang
dans les articulations du membre inférieur. Quelq
une couleur noire parfaitement circonscrite. Membres inférieurs. Le
sang
infiltre la couche cutanée sous-épidermique: il i
s paquets adipeux sous-cutanés sont séparés les uns des autres par du
sang
extravasé. Il y avait une couche de sang entre ce
és les uns des autres par du sang extravasé. Il y avait une couche de
sang
entre cette couche adipeuse et l'aponévrose jambi
entre cette couche adipeuse et l'aponévrose jambière. Epanchement de
sang
sous cette aponévrose jambière, à la surface des
t dans l'épaisseur de ces muscles. On voyait, en outre, une couche de
sang
au devant du ligament interosseux. Hémorrhagie
cellulaire sous-cutané.—-Absence d'ecchymose cutané.— Epanchement de
sang
dans l'articulation tibio-tarsienne. —¦ Epancheme
hement de sang dans l'articulation tibio-tarsienne. —¦ Epanchement de
sang
sous le périoste. Une vieille femme est entrée,
c une tuméfaction douloureuse des jambes et des pieds , sans tache de
sang
et ecchymose superficielle. Il était aisé de voir
cielle. Il était aisé de voir que cet état tenait à un épanchement de
sang
sous-cutané, mais que le tissu propre de la peau
sous l'aponévrose. Dans l'articulation du coude-pied, épanchement de
sang
, caillots adhérens à la synoviale. Il m'a semblé
st décollé de la couche osseuse subjacente , laquelle est pénétrée de
sang
. Au genou, coloration ardoisée des franges synovi
reux, et j'avais annoncé qu'il y avait probablement un épanchement de
sang
sous le périoste, et, en effet, le périoste était
s le périoste, et, en effet, le périoste était décollé. Une couche de
sang
très dense le séparait de la surface de l'os. T
auche. On aurait dit d'une très forte contusion, avec infiltration de
sang
considérable dans le tissu cellulaire sous-cutané
dissection du membre inférieur montre qu'il existe un épanchement de
sang
noir, à demi coagulé: i° sous l'épiderme, 2° dans
es celluleux intermusculaires, 5° dans l'épaisseur des muscles, où le
sang
infiltré occupe le tissu cellulaire qui sépare le
res elles-mêmes. On dirait que les fibres charnues sont infiltrées de
sang
. Un épanchement de sang existait: i° dans l'art
que les fibres charnues sont infiltrées de sang. Un épanchement de
sang
existait: i° dans l'articulation tibio-tarsienne,
poplitée, tibiale postérieure et péronière étaient distendues par du
sang
coagulé. Le cœur et les autres parties du systè
tération des artères, assez complète pour qu'il y ait interruption du
sang
artériel dans une partie, a pour résultat la gang
oduit la gangrène que lorsqu'elle intercepte complètement le cours du
sang
artériel. Les expériences suivantes établissent
e des vaisseaux artériels ; que pour peu que quelques gouttelettes de
sang
artériel arrivent de loin à loin dans un membre,
rène est survenue partiellement, parce que l'interruption du cours du
sang
artériel a été partielle. La ligature d'une art
t la gangrène, que parce qu'il est excessivement rare que le cours du
sang
artériel ne se rétablisse pas dans le membre à l'
llatérale ait eu le temps de s'établir. Si l'interruption du cours du
sang
est subite, dans une certaine longueur du vaissea
térite, comme la phlébite, a pour résultat immédiat la coagulation du
sang
dans tous les points correspondant à la surface i
rte par gangrène sénile, il y avait oblitération, par des caillots de
sang
, des petites artères qui naissent des tibiales et
l'opinion des anciens, qui avaient parfaitement vu la coagulation du
sang
dans le cas de gangrène sénile, mais qui la regar
sus des limites de la gangrène, n'étaient pas suivies d'écoulement de
sang
, partageait la même opinion. On peut donner pou
e la membrane interne des artères est ininjectable, au moins quant au
sang
, et qu'on n'y a pas encore démontré de vaisseaux
que dans le cas où l'artérite étant ancienne, la matière colorante du
sang
a imprégné les membranes internes, à peu de chose
ans les foyers sanguins. Quant à l'argument déduit des altérations du
sang
, et de la possibilité de la coagulation spontanée
inflammation vasculaire est immédiatement suivie de la coagulation du
sang
contenu dans sa cavité. Toutefois, je ne nie pas
ation du sang contenu dans sa cavité. Toutefois, je ne nie pas que le
sang
ne puisse être le véhicule de la cause de l'infla
tendent à l'établir; mais cette cause ne détermine la coagulation du
sang
que consécutivement à l'inflammation des parois a
on de la membrane interne des artères est quelquefois produite par un
sang
irritant, il arrive plus communément peut-être qu
r l'économie les conséquences les plus graves, si le pus se mêlait au
sang
et en infectait toute la masse; il est probable q
est misérable. Les extrémités des doigts sont décolorées comme si le
sang
n'arrivait pas aux capillaires. Commémoratifs —
'injection dans toute leur longueur; cette injection était mêlée à du
sang
liquide. Du côté droit, où il y avait gangrène
de l'artère radiale. L'artère cubitale contenait un petit caillot de
sang
; les deux artères étaient d'ailleurs libres dans
s de mort. On conçoit que, d'une part, les artères ne portant plus de
sang
dans les membres, et, d'une autre part, les veine
n , que si la circulation veineuse et lymphatique est empêchée, si le
sang
et la sérosité sont en grande quantité, il y aura
à priori, on peut dire que toutes les causes qui empêchent l'abord du
sang
artériel dans une partie sont cause de gangrène:
flammation de la membrane interne et par conséquent la coagulation du
sang
. MALADIES DES ART EUE S. Livraison PL 5 (
ques artérielles sont dans l'état le plus parfait d'intégrité , et le
sang
n'est nullement coagulé; la continuité des valvul
al, lequel est rempli de couches stratifiées, au milieu desquelles le
sang
cherchait à se frayer une route. Ces caillots str
aillots mamelonnés. On reconnaît que ces caillots sont creusés par le
sang
en circulation , qui auront fini par se faire jou
Cette dilatation avec amincissement n'était pas un anévrysme; car le
sang
n'était pas coagulé à son niveau. Je le répète,
é et la grande courbure à la convexité de l'aorte ; la circulation du
sang
était parfaitement libre du côté de la concavité
nstration. (2) Une femme de la Salpêtrière éprouve un crachement de
sang
: le soir nouveau crachement de sang; menace d'asp
pêtrière éprouve un crachement de sang: le soir nouveau crachement de
sang
; menace d'asphyxie : face violacée; lèvres bleuât
vrysme connue sous le nom d'anévrysme disséquant : grande quantité de
sang
en caillots contenus dans la cavité de la plèvre,
ssé contre le médiastin comme dans le cas d'hydrothorax. La source du
sang
était dans un anévrysme très considérable de l'ao
carotides et les crurales, battaient faiblement, et que la colonne de
sang
qui les parcourait était d'un diamètre extrêmemen
que cette partie, simplement dilatée, était tout-à-fait perméable au
sang
et suffisait à la circulation; on voit même, en e
leuses anciennes, et remplie par des caillots récens. Ces caillots de
sang
, qui ne se sont probablement formés qu'après la m
au milieu même de la tumeur, et qu'à chaque systole ventriculaire ce
sang
devait éprouver une impulsion qui donnait à la tu
rusque et vif qui nous a permis de diagnostiquer l'anévrysme. Déjà le
sang
avait pénétré entre plusieurs des couches de lame
ssaient immédiatement la poche, et le temps n'était pas éloigné où ce
sang
allait atteindre la couche la plus extérieure de
poche ; car elle aurait rendu inutile la digue contre l'impulsion du
sang
, formée par la couche de lamelles intermédiaires
impulsion du sang, formée par la couche de lamelles intermédiaires au
sang
en circulation et aux parois. Nous avons vu que
ion sur les concrétions radiées R(fig. i, planche ni) que présente le
sang
renfermé dans la poche droite, et sur les différe
ur s'explique par la présence des caillots qui amortissent le choc du
sang
contre ses parois. Le diagnostic, dans le cas qui
en quelque sorte et recevoir d'une manière plus immédiate le choc du
sang
. Dans le cas suivant^ la paraplégie a été le pr
et pourtant, au moment de cette chute, il n'y eut qu'un suintement de
sang
. La digue contre l'hémorrhagie n'était autre chos
ement troublée par suite d'un obstacle aussi considérable au cours du
sang
dans le principal vaisseau de l'économie. XLe L
ntenait une demi-cuillerée de sérosité sanguinolente et un caillot de
sang
. On aurait pu croire au premier abord à une perfo
offraient divers degrés de consistance; on voyait même des couches de
sang
noir concret récemment déposé, intermédiaires à d
était le siège d'un travail morbide. Il est plus que probable que le
sang
n'aurait pas tardé à faire irruption entre le cai
, dénomination que je regarde comme impropre, car elle suppose que le
sang
de la poche est contenu dans une cavité étrangère
entre la résistance des parois artérielles et la force d'impulsion du
sang
) l'artère dont la résistance est encore diminuée
is-je, se dilate dans ce point en tumeur conoïde ou hémisphérique; le
sang
se coagule dans cette partie dilatée et enflammée
coagule dans cette partie dilatée et enflammée, car la coagulation du
sang
est le premier effet d'une inflammation des vaiss
ion du sang est le premier effet d'une inflammation des vaisseaux. Le
sang
coagulé forme quelquefois une digue suffisante po
des ventricules du cœur se contractent simultanément pour chasser le
sang
dans le système artériel, que cette contraction s
l, que cette contraction s'accompagne d'une percussion ou pression du
sang
contre les parois de la poche contractile : c'est
nt été tapissées par un tissu spongieux aréolaire à travers lequel le
sang
est comme exprimé, tamisé, de telle façon qu'il a
ce contractile que les parois du cœur résistent à cette percussion du
sang
. Or, supposons qu'un des points de la circonfér
rie, évidemment c'est contre ce point que s'exercera tout l'effort du
sang
; cet effort du sang deviendra une cause d'irrita
contre ce point que s'exercera tout l'effort du sang ; cet effort du
sang
deviendra une cause d'irritation qui aura pour ré
tient aux efforts que le cœur doit faire pour expulser la quantité de
sang
plus considérable que de coutume qu'il reçoit, et
, je prescris une petite saignée explorative , dont le produit fut un
sang
très séreux. La bouffissure et l'oppression m'aya
l'action de la saignée , j'en prescris une seconde le i5 octobre. Le
sang
me parut tellement séreux , que je désirai connaî
ortion de sérum et de caillot. Voici le résultat : Sur ao5 grammes de
sang
, 145 grammes de sérum; Go grammes de caillot: pro
, tient exclusivement aux poumons, à une revivification incomplète du
sang
, de sorte que le sang revient presque noir dans l
aux poumons, à une revivification incomplète du sang, de sorte que le
sang
revient presque noir dans les cavités gauches du
miner le cœur vide et flasque, il faut examiner le cœur rempli par le
sang
, et en place; il faut insufler les poumons, et vo
abituer au changement léger qu'elle apporte au mode de circulation du
sang
, il y a eu guérison durable; lorsqu'au contraire
érale et uniforme des quatre cavités, qui sont pleines de caillots de
sang
récemment coagulé. Point d'altération des valvule
tubercules noirs disséminés dans leur épaisseur. Foie brun, gorgé de
sang
, sans augmentation de volume. Rate petite, encroû
a nuit. Ouverture. Cœur énorme. Toutes les cavités sont remplies de
sang
. Le ventricule gauche est hypertrophié en même te
ans presque toute leur étendue. Les lobes inférieurs sont pénétrés de
sang
et de sérosité. Foie sain. Rate petite et dure. M
séparation des couches superficielles du cœur a permis de voir que le
sang
infiltré dans l'épaisseur des parois de cet organ
ien dans le cerveau. Péricarde distendu et bleuâtre : des caillots de
sang
remplissaient tout l'intervalle qui sépare le pér
par rupture du sommet du ventricule gauche du cœur. — Infiltration du
sang
dans l'épaisseur des parois de ce ventricule.— Tr
uis la chute. A l'ouverture: péricarde distendu par des caillots de
sang
; cœur notablement hypertrophié dans son ventricul
ait considérable, son trajet direct; le tissu du cœur était maculé de
sang
dans la moitié environ de la hauteur du ventricul
de sang dans la moitié environ de la hauteur du ventricule gauche. Le
sang
infiltré le long des fibres charnues constituait
ur présentait une couleur jaune de bois qui contrastait avec celle du
sang
infiltré dans l'épaisseur de l'organe. Diverses
voisines. Dans l'observation qu'on vient de lire, l'infiltration du
sang
dans l'épaisseur des parois du cœur atteste que l
est le résultat d'une apoplexie du cœur. La présence d'un caillot de
sang
adhérent et contenant à son centre une matière sa
ois opérée, cette pointe n'opposera plus qu'une résistance passive au
sang
comprimé par tout le reste de la poche contractil
concrétions sanguines décolorées et très denses en même temps que du
sang
liquide. Les parois de la tumeur étaient formées
dont quelques-unes très inégales étaient en contact immédiat avec le
sang
: on voyait sous quelques-unes de ces plaques une
s-unes de ces plaques une matière comme purulente noirâtre séparée du
sang
par une pellicule mince qui était lacérée dans qu
e cas représenté Pl. 2, xxe livraison. Le péricarde contenait et du
sang
liquide qui s'écoula au moment de l'ouverture de
iquide qui s'écoula au moment de l'ouverture de cette membrane, et du
sang
coagulé qui s'était moulé sur la surface du cœur.
vironnées d'un cercle d'ecchymoses sous-séreuses. Plusieurs taches de
sang
et des ecchymoses sous-séreuses se voient dans l'
on consiste dans une lacération considérable du tissu du cœur, que le
sang
s'est infiltré de bas en haut entre la séreuse do
ure du cœur__Le péricarde est distendu, autant que possible, par le
sang
qui occupe tout l'intervalle compris entre le cœu
la percussion, diagnostiquer un cas de rupture du cœur. Quantité de
sang
contenue dans le péricarde. — La quantité de sang
cœur. Quantité de sang contenue dans le péricarde. — La quantité de
sang
la plus considérable qui ait été signalée est de
considérable qui ait été signalée est de 11 onces, savoir: 8 onces de
sang
liquide et 4 onces de caillots. On a lieu d'être
souffrances très vives, présenta dans son péricarde un épanchement de
sang
de 3 livres. Pour expliquer ce fait, il faut néce
dmettre une rupture de l'oreillette droite, et cependant la source du
sang
était dans une rupture spontanée de l'aorte. Ru
on dortoir, et mourut subitement. A l'ouverture, péricarde plein de
sang
. Une perforation de l'oreillette droite me parut
is une circonstance insolite me frappa : c'est que, indépendamment du
sang
épanché dans le péricarde, il y avait infiltratio
le péricarde, il y avait infiltration d'une assez grande quantité de
sang
dans lemédiastin antérieur jusques autour de la r
ent du poumon gauche. Je pus croire d'abord que cette infiltration de
sang
était consécutive à l'épanchement dans le péricar
ées:1a tunique celluleuse moins fragile avait résisté; l'impulsion du
sang
avait décollé , disséqué cette tunique celluleuse
seulement que la perforation avait eu lieu. Du reste , la quantité de
sang
épanchée entre la tunique celluleuse des artères
de l'artère. 11 suit de ce qui précède que l'obliquité du trajet du
sang
doit être prise en grande considération dans l'ét
t né- (i) Morgagn. Epist. xxvn. n. 8. cessaire pour réagir sur le
sang
. C'est dans cette dégénérescence que réside , sui
ntre lequel cet organe a eu sans cesse à lutter pour faire arriver le
sang
dans les dernières ramifications artérielles: mai
erforation du cœur puisse avoir lieu directement sans infiltration de
sang
dans l'épaisseur des fibres charnues; le feuillet
fibres charnues; le feuillet séreux du péricarde résiste seul , et le
sang
s'infiltre à une distance plus ou moins considéra
ur de l'organe, mais seulement dans ses couches les plus internes, le
sang
peut s'infiltrer dans l'épaisseur des fibres char
jaune de bois contraste d'une manière remarquable avec les lignes du
sang
infiltré, disposition qui donnait à la coupe du c
. '2 Il est possible que , dons quelques cas, cette infiltration du
sang
dans l'épaisseur des parois du cœur, soit consécu
'il devrait en résulter un épanchement en rapport avec la quantité de
sang
contenu dans le foyer et le calibre du vaisseau,
contraction ou systole du ventricule, car la résistance qu'oppose le
sang
à la contraction du ventricule peut entraîner la
est fragile et d'une contractilité faible, de même que l'impulsion du
sang
poussé par l'oreillette dans le ventricule. On
doit commencer par les fibres qui reçoivent les premières Faction du
sang
, et ces fibres ce sont les plus internes. On co
ans un organe en suppuration, d'où il a été charrié en nature avec le
sang
et transporté avec lui au centre circulatoire dan
ttre, pendant la vie. une analyse spontanée avec le mouvement dont le
sang
est agité? Comment cette analyse spontanée, soit
rt, aurait-elle pour résultat un liquide qui ne se trouve pas dans le
sang
, savoir le pus. Les longues agonies n'expliquent
comme un corps capable de se pénétrer de la vie. Ainsi une couche de
sang
, interposée aux deux lèvres d'une plaie , s'oppos
x deux lèvres d'une plaie , s'oppose à la réunion immédiate; ainsi le
sang
, épanché dans les cavités séreuses, est résorbe,
e a été déchiré par suite des contractions du cœur et du mouvement du
sang
qui les suit : doit-on penser avec M. Legroux que
ar suite de deux causes bien distinctes, savoir, par la stagnation du
sang
et par l'inflammation ; les caillots par stagnati
n sont toujours adhérens. Comme il est fort rare que la stagnation du
sang
dans une étendue plus ou moins considérable ne so
de Xadhérence organique. Dans l'adhérence mécanique, les caillots de
sang
sont maintenus par les prolongemens qu'ils envoie
rculation du cœur une gêne mécanique considérable , rendre l'abord du
sang
plus ou moins difficile dans la cavité du cœur, e
ses divisions, y rester engagée et entraver plus ou moins le cours du
sang
. Mais ce n'est là qu'une série d'hypothèses, comm
ougeâtre : la pression des parois de ces poches en faisait suinter du
sang
. Ce cas (disais-je dans la note qui suit cette
disais-je dans la note qui suit cette description) prouve-t-il que le
sang
soit susceptible de s'enflammer et de suppurer ?
j'ai vu qu'il présentait dans son épaisseur des taches ou macules de
sang
de diverses dimensions, qui ressemblaient assez b
pus. Au voisinage de l'adhérence, ses parois sont comme tachetées de
sang
. En divisant à-la-fois les parois du ventricule
écessaire la persistance du trou de Botal, vu le reflux inévitable du
sang
du ventricule droit dans l'oreillette corresponda
ète, sans la contraction incessante du ventricule droit, projetant le
sang
entre les bords libres des valvules et y maintena
orts redoublés du ventricule pour chasser dans l'artère pulmonaire le
sang
qu'il a reçu : dans tous les cas observés, le ven
our s'être débarrassé dans les derniers in-stans de la vie de tout le
sang
qu'il contenait. Si un ventricule complètement vi
tant l'étroitesse de l'orifice, il se soit débarrassé complètement du
sang
qu'il contenait. La dilatation avec hypertrophi
e droite s'explique encore par l'obstacle que le ventricule oppose au
sang
qui afflue de l'oreillette; les veines caves doiv
e bruit de soufflet par suite du frottement qui résulte du passage du
sang
à travers un orifice étroit, bruit de soufflet id
même que celui du rétrécissement de l'orifice aortique ; le reflux du
sang
dans les veines caves et l'infiltration générale
aves et l'infiltration générale par suite de l'obstacle qu'éprouve le
sang
dans les cavités droites; une respiration incompl
piration incomplète parce qu'elle ne s'exerce pas sur une quantité de
sang
suffisante; une cyanose directe, par suite du mél
tité de sang suffisante; une cyanose directe, par suite du mélange du
sang
rouge et du sang noir, lorsque persiste le trou d
isante; une cyanose directe, par suite du mélange du sang rouge et du
sang
noir, lorsque persiste le trou de Botal; tels son
entraine divers phénomènes; les uns sont relatifs à la circulation du
sang
, considérée dans le cœur lui-même, et les autres
ceptaient d'une manière plus ou moins complète (fig. 1) le passage du
sang
de l'oreillette dans le ventricule. Deux de ces k
ibre, mais encore par sa face externe, peut céder sous l'impulsion du
sang
dans les intervalles moins résistans de ces corda
riculo-ventriculaire gauche : cet orifice livrant un libre passage au
sang
pendant la systole de l'oreillette , tandis qu'il
dant la systole du ventricule, il suit que, d'une part, le passage du
sang
de l'oreillette dans le ventricule gauche est ren
, l'immobilité des valvules endurcies a pour conséquence le reflux du
sang
du ventricule dans l'oreillette; on peut même dir
lux du sang du ventricule dans l'oreillette; on peut même dire que le
sang
a autant de facilité pour passer du ventricule da
conçoit que l'oreillette gauche ne pouvant se débarrasser de tout le
sang
qu'elle a reçu, se dilate en proportion de l'obst
s considérable dans la circulation pulmonaire, obstacle au passage du
sang
de l'artère dans les veines pulmonaires, dilatati
, dilatation des cavités droites du cœur, et par conséquent reflux du
sang
dans les veines caves et leurs dépendances; tandi
t leurs dépendances; tandis que le ventricule gauche, recevant peu de
sang
et en transmettant une quantité proportionnelle à
sain. Le cerveau est sain. Les poumons sont très sains, gorgés de
sang
: point de tubercules. Le cœur qui a été représ
rité des sillons qui séparent ces lobules ou mamelons, les macules de
sang
que présente leur surface; on voit parfaitement l
à son plus grand diamètre: la coupe MGCest blanc grisâtre, striée de
sang
dans quelques points. La tumeur adhère intimement
ir, et c'est là la chose fondamentale pour l'entretien de la vie ; le
sang
pouvait pénétrer dans l'oreillette : i° de la vei
en soulevant l'espèce de soupape qui s'engageait dans son orifice. Le
sang
pouvait passer de l'oreillette dans le ventricule
Traitement. Saignée de seize onces, diète, gomme, sirop de sucre. Le
sang
de la saignée est couenneux, et le caillot est en
au coude et au poignet du même côté. Deuxième saignée de seize onces.
Sang
couenneux, moins riche en caillot que le sang de
saignée de seize onces. Sang couenneux, moins riche en caillot que le
sang
de la première saignée. — Le 24, douleurs à l'art
dépasse pas quatre-vingt-douze. Troisième saignée de douze onces :
sang
couenneux ; diminution notable dans la proportion
e quatre onces, deux vésicatoires à la partie interne des cuisses. Le
sang
est aussi couenneux que celui des saignées pratiq
t donne issue à un verre environ de sérosité sanglante : on dirait du
sang
presque pur. Cette sérosité n'est pas libre dans
Les fausses membranes péricardiques et cardiaques étaient maculées de
sang
, et les macules résistaient au lavage. Lorsqu'on
correspondante du cœur se couvrait d'une multitude de gouttelettes de
sang
, preuve bien évidente de la communication des vai
es aux jambes, saignés au bras), tout-à-coup, pendant l'écoulement du
sang
delà saignée, la malade porte la main droite à la
de son étendue par un tissu vasculaire spongieux érectile, pénétré de
sang
, dans l'épaisseur duquel se prolongeait l'ossific
'absence de toute coloration établit l'absence de tout épanchement de
sang
antérieur. Il y a donc eu ramollissement de la
soin de frotter l'appartement, ce qui lui faisait souvent cracher le
sang
. L'affaiblissement des membres débuta, il y a d
ient, du côté de la surface adhérente, de grandes taches oumacules de
sang
: et de la surface devenue libre, de la plèvre cor
ndante qui n'était nullement épaissie, suintaient des gouttelettes de
sang
. Du reste, le poumon est affaissé, flétri, mais d
qui ne sont autre chose que des érosions recouvertes d'une couche de
sang
noir. De ces érosions les unes sont très petites,
était formé aux dépens de la substance grise seulement. La couleur du
sang
était lie-de-vin foncé dans la plus grande partie
leur continuité avec la couche optique ; une très grande quantité de
sang
était épanchée à la base du cerveau, dans le tiss
oncules cérébraux et du plan supérieur de l'isthme de l'encéphale. Le
sang
remplissait les ventricules : la protubérance pro
tantôt l'hémorrhagie constitue de petits noyaux pisiformes, tantôt le
sang
épanché forme des stries disposées linéairement s
elà protubérance et même de l'isthme de l'encéphale; alors, tantôt le
sang
reste cobibé dans un kyste à parois lacérées; tan
antôt le sang reste cobibé dans un kyste à parois lacérées; tantôt le
sang
se fait jour soit à l'extérieur sous l'arachnoïde
la-fois. On conçoit que, dans le cas de déchirure de l'arachnoïde, le
sang
doit pénétrer dans la cavité de cette membrane. C
uccombé. Ouverture du cadavre.—Les tégumens du crâne sont gorgés de
sang
; la voûte du crâne enlevée, le sang s'écoule enco
tégumens du crâne sont gorgés de sang; la voûte du crâne enlevée, le
sang
s'écoule encore par gouttelettes nombreuses de la
erne de la dure-mère. La dure-mère est distendue et soulevée par du
sang
qui lui donne un aspect bleuâtre. Entre la dure
rachnoïde, dans la cavité même de l'arachnoïde, se voit une couche de
sang
de deux lignes d'épaisseur, moitié liquide, moiti
cerveau, le cervelet et la protubérance sont entourés d'une couche de
sang
. La protubérance (1) Observation recueillie par
xxie livraison. volumineuse, convertie en une poche remplie par du
sang
noir à sa surface, présente une teinte violacée.
tie latérale droite, est une petite déchirure qui fait communiquer le
sang
de la surface du cerveau avec le sang contenu dan
chirure qui fait communiquer le sang de la surface du cerveau avec le
sang
contenu dans l'épaisseur de la protubérance. L'ar
tère basilaire et ses rameaux principaux sont sains. Non-seulement le
sang
avait fait irruption du foyer delà protubérance à
ème et dans le troisième ventricules, qui sont remplis de caillots de
sang
, tandis que les deux ventricules latéraux contien
crut devoir pratiquer une deuxième saignée: à peine quelques onces de
sang
, et le pouls devint filiforme et dépressible. On
a protubérance se présentait sous l'aspect d'une poche fluctuante. Le
sang
demi fluide était contenu dans un foyer qui envoy
eu fréquent, déglutition impossible. Ouverture du cadavre.—Foyer de
sang
noir, coagulé, occupant l'épaisseur du pédoncule
un point. La substance cérébrale, qui est en contact immédiat avec le
sang
, est déchirée, rougeâtre et ramollie dans l'épais
ubérance et du bulbe. On voit qu'indépendamment de l'extravasation du
sang
, il y a augmentation notable de volume et ramolli
cérébrales, les sinus de la dure-mère gorgés d'une grande quantité de
sang
. Le lobe antérieur de l'hémisphère droit était oc
ion au premier degré , c'est-à-dire la contusion avec infiltration de
sang
, est à la contusion au deuxième degré, c'est-à-di
ion au deuxième degré, c'est-à-dire à la contusion avec collection de
sang
; i° que des degrés insensibles conduisent de l'a
espèce de pulpe semblable à de la substance cérébrale broyée avec du
sang
; 4° que des degrés insensibles conduisent égaleme
haux : l'absence de coloration dans la cicatrice atteste l'absence du
sang
dans l'altération primitive; i3° que les cicatric
ière entre le bord postérieur du poumon et la gouttière des côtes. Le
sang
, qui paraissait pur, sauf sa liquidité, avait une
sa liquidité, avait une couleur noire, comme dans les épanchemens de
sang
d'un mois de date. Des flocons pseudo-membraneux
e sang d'un mois de date. Des flocons pseudo-membraneux , pénétrés de
sang
, étaient appendus à tous les points de la surface
circonvolutions postérieures. Les parois du foyer étaient teintes de
sang
lie-de-vin, et cette teinture par pénétration occ
ace du cerveau ou enfoncé dans son épaisseur. Chaque gouttelette de
sang
, épanché hors de ses réservoirs, laisse sa trace.
es: l'un en avant, l'autre en arrière. Ce n'étaient pas des foyers de
sang
, mais bien des déchirures du cerveau sans foyer p
lutions étaient détachées l'une de l'autre, leurs parois tachetées de
sang
et couvertes de petits caillots. Le corps calle
chymoses, tantôt sous celui de petits foyers miliaires ou globules de
sang
, les uns superficiels, qui apparaissent immédia
des varices cérébrales qui en diffèrent en ce que, dans celles-ci, le
sang
est contenu dans les veines dilatées, tandis que,
t contenu dans les veines dilatées, tandis que, dans les premiers, le
sang
est épanché hors de ses réservoirs. Quelle que
lanc était blanc dès sa première période; que la matière colorante du
sang
laissait dans tous les lieux où elle avait été dé
tre, espèce de tatouage morbide, attestait toujours un épanchement de
sang
antérieur. J'ai décrit un mode particulier d'apop
ères présente à sa surface des plaques hémorrhagiques, formées par du
sang
infiltré dans la substance grise, qui a presque c
e, qui résulte d'une sorte d'attrition de la substance grise mêlée au
sang
. Ailleurs ce sont de petites xxxvie livraison.
ngitudinal supérieur, veines cérébrales supérieures distendues par du
sang
concret et adhérent, d'un noir de jai. La date ré
l'absence du pus au centre des caillots et par la coloration noire du
sang
concret. Plusieurs foyers d'apoplexie capillaire
s. Dans la cavité de l'arachnoïde, sous la dure-mère, couche mince de
sang
coagulé, récemment épanché, qui occupe toute la s
nante des sinus latéraux. Cette phlébite est caractérisée: ici par du
sang
coagulé, adhérent, mais sans changement de couleu
du sang coagulé, adhérent, mais sans changement de couleur; là par du
sang
décoloré; en arrière, le caillot décoloré a la co
Les veines cérébrales supérieures sont également distendues par du
sang
coagulé , adhérent et en partie décoloré. La phlé
t de ces larges plaques lie-de-vin qui résultent de la combinaison du
sang
avec la substance cérébrale, on voit à la surface
elle montre les variétés de l'apoplexie capillaire depuis la tache de
sang
jusqu'au petit foyer. Réflexions. Il est donc d
était mou, encéphaloïde. La coupe, fig. 2, offre de petits foyers de
sang
qui attestent cette nature encéphaloïde. Les tu
était exactement semblable à celle du tissu caverneux: à la place du
sang
, c'était une bouillie épaisse et blanche qui n'ét
dans un cas, la tumeur de la dure-mère était entourée d'une couche de
sang
dont la source était une déchirure spontanée de q
opinion sur sa nature ; on croyait qu'elle n'était autre chose que du
sang
dégénéré. Sa consistance était celle d'un caillot
d'un caillot sanguin décoloré, et la présence d'une couche épaisse de
sang
coagulé motivait cette manière de voir; mais déga
le corps strié externe. Point d'épanche-ment dans le ventricule. Le
sang
contenu dans le foyer est coagulé, d'un noir brun
es plus voisines : dans ces couches, j'ai trouvé de petites taches de
sang
comme dans l'apoplexie capillaire. Dans l'épais
rne le plus bas possible, et il en sortit une très grande quantité de
sang
, ce qui le força d'avoir recours au cautère actue
nt molles, quelques-unes fluctuantes, et contiennent à leur centre du
sang
lie devin. Dans plusieurs le sang est enkysté ; j
es, et contiennent à leur centre du sang lie devin. Dans plusieurs le
sang
est enkysté ; j'ai trouvé deux kystes dans la mêm
tait retirée fortement noircie près de son bec, et en outre teinte de
sang
, quelque précaution que l'on mît à le sonder, et
t; on crut être arrivé jusque dans la vessie, mais on n'obtint que du
sang
. Le malade fut pris le lendemain d'un œdème de la
eau. La dure-mère incisée, je trouve , à droite , une couche mince de
sang
dans la cavité de l'arachnoïde; mais c'était sous
mesure qu'on approchait de la base de la scissure de Sylvius. Tout le
sang
infiltré était concret. La petite quantité de san
e Sylvius. Tout le sang infiltré était concret. La petite quantité de
sang
contenue dans la cavité de l'arachnoïde était au
t les bords de la scissure de Sylvius, je vis un très gros caillot de
sang
, qui comprimait fortement et avait, pour ainsi di
avait chez M. Delisle apoplexie des circonvolutions, infiltration du
sang
dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien , comp
cupait les circonvolutions ou le voisinage des circonvolutions, et le
sang
s'était fait jour sous l'arachnoïde. L'absence d'
L'absence d'hémiplégie s'explique par le défaut de circonscription du
sang
épanché, et par l'intégrité de la couche optique
couche optique et du corps strié. C'est à l'irriiaiion exercée par le
sang
sur l'arachnoïde que je rapporte la céphalalgie a
par des caillots ou des fausses membranes; le passage du pus dans le
sang
est donc impossible. D'un autre côté, se fondant
e, il va jusqu'à dire que,même en admettant le passage du pus dans le
sang
, on ne peut expliquer par ce mélange les altérati
grand nombre de faits et d'expériences qui établissent l'infection du
sang
par le pus formé dans une veine enflammée, déposé
quelle théorie a substitué M. Tessier ? La théorie de l'altération du
sang
par la diathèsepurulente. Mais qu'est-ce que la d
'inflammation veineuse, il ne peut pas y avoir passage du pus dans le
sang
; i° les mêmes altérations que l'on a vues assez s
ébite suppurée, suite de plaies ou d'opérations chirurgicales. Que le
sang
puisse s'infecter directement par d'autres voies,
auvaises conditions atmosphériques puissent infecter indirectement le
sang
dans des circonstances particulières, ce n'est pa
on n'a pas trouvé de phlébites initiales, comme source d'infection du
sang
, dans tous les cas d'abcès viscéraux, suite de pl
que des cellules blanchies par le pus à côté de cellules remplies de
sang
non coagulé; que dans un certain nombre de cas j'
agulé; que dans un certain nombre de cas j'ai trouvé le pus séparé du
sang
en circulation par un caillot disposé en membrane
mplète, ne serait-il pas possible d'expliquer le mélange du pus et du
sang
autrement que par une large communication ouverte
une large communication ouverte entre le foyer veineux purulent et le
sang
? L'infection du sang ne pourrait-elle pas avoir l
on ouverte entre le foyer veineux purulent et le sang? L'infection du
sang
ne pourrait-elle pas avoir lieu par un simple phé
peut-il pas s'imbiber à travers le caillot obturateur et se mêler au
sang
liquide? Ne voit-on pas tous les jours un phénomè
arice ou dans le tissu cellulaire, par cela seul qu'il est coagulé,le
sang
ne donne plus signe de vie, à plus forte raison n
n'y a pas de différences réelles entre eux et les globules blancs du
sang
. Que le pus vienne du sang, que les globules du
lles entre eux et les globules blancs du sang. Que le pus vienne du
sang
, que les globules du sang vivant, du sang en circ
ules blancs du sang. Que le pus vienne du sang, que les globules du
sang
vivant, du sang en circulation se transforment en
ang. Que le pus vienne du sang, que les globules du sang vivant, du
sang
en circulation se transforment en globules purule
rais admettre. Quanta la démonstration de cette proposition, que le
sang
coagulé est incapable de toute vitalité, qu'il se
t pas mon opinion, de citer un seul fait positif qui établisse que le
sang
coagulé ait été capable de maladie, c'est-à-dire
é ait été capable de maladie, c'est-à-dire dévie ; sous ce rapport le
sang
coagulé diffère essentiellement des fausses membr
ures. Je conclus que, pour expliquer le mélange direct du pus et du
sang
dans la phlébite suppurée, il n'est pas nécessair
ncer fungiforme de la muqueuse gastrique ou intestinale, se voyait du
sang
qui se présentait sous trois états bien distincts
bien distincts : i° ici des gouttes globuleuses, de petites taches de
sang
disséminées au milieu d'un tissu blanc; 20 là, pe
sang disséminées au milieu d'un tissu blanc; 20 là, petits foyers de
sang
sans parois; 3° vaisseaux noueux, tantôt suivant
culaires, mais que j'ai vainement cherchées. Je ferai observer que le
sang
était liquide et qu'il s'écoulait en totalité lor
aspect avec la pulpe cérébrale, et cette pulpe, pénétrée de foyers de
sang
, avait elle-même beaucoup d'analogie avec l'aspec
t du poulet. Au milieu de ce tissu apparaissent d'abord des points de
sang
, des gouttelettes, des caillots, puis des vaissea
ésultat la gangrène : les hémorrhagies s'expliquent par les foyers de
sang
dont est creusée la tumeur, et leur intensité s'e
t creusée la tumeur, et leur intensité s'explique par la liquidité du
sang
. Ces hémorrhagies, que je regarde comme veineuses
it de gros vaisseaux veineux qui ressemblaient à de petites masses de
sang
, et cette disposition vasculaire s'observait surt
é dans l'épaisseur de certains lobules : on y voit des épanchemens de
sang
, des espèces d'insula?, des multitudes de petits
plutôt qu'à un travail morbide, fournissait une certaine quantité de
sang
; de petits tubercules carcinomateux existaient l
sées par des membranes vasculaires présentant, ici des concrétions de
sang
, là des espèces de dilatations ou varices. Tous c
d'un fœtus : 011 voyait en outre, dans quelques points des foyers de
sang
pur, à la manière d'un foyer apoplectique ; dans
des ramuscules. Chez quelques individus, l'infection cancéreuse, le
sang
cancéreux, si je puis m'exprimer ainsi, se manife
le intensité. A l'écoulement séreux continuel succèdent des pertes de
sang
; dépérissement rapide. Mort le 8 décembre. Ouv
seaux et des prolongemens fibreux : au centre était un petit foyer de
sang
. Organes génito-urinaires. — L'utérus, le vagin
la sécrétion de ce mucus est très abondante, lorsqu'une exhalation de
sang
se fait en même temps dans la cavité de l'utérus,
t été le siège d'une phlébite adhésive, car ils sont distendus par du
sang
coagulé et adhérent. La mollesse de ces corps fib
es du col utérin qui a voisinent la partie gangrenée sont maculées de
sang
. Le reste de l'utérus est volumineux et hypertrop
apoplexie du tissu de l'utérus qui est ramolli, déchiré, infiltré de
sang
, lequel est rassemblé en foyer dans quelques poin
3, s'observe souvent sur des femmes qui n'ont éprouvé aucune perte de
sang
dans les derniers temps de la vie : or, cette abs
paru s'annoncer par aucun symptôme particulier autre qu'une perte de
sang
ou un suintement de mucosités sanguinolentes. Je
xtrêmement développé, qu'il est constitué par des veines gorgées d'un
sang
, ici liquide, là coagulé, lesquelles s'entrecrois
rtes de directions : bientôt se voient des points blancs au milieu du
sang
coagulé; c'est la matière puitacée ou cancéreuse
pas de se livrer à ses travaux habituels. En janvier i834, perte de
sang
suivie d'une perte en blanc qui n'a pas discontin
ère. Depuis 18 mois, perte blanche considérable ; point de perte de
sang
. Ses souffrances sont médiocres. Elle ne se plain
r de petits foyers sanguins; ailleurs par une sorte de combinaison du
sang
avec le tissu cérébral. Cette altération était bo
et qui, sans doute, n'eût pas tardé à être envahie, était maculée de
sang
. Gangrène primitive. — Destruction de l'utérus
a couche vivante subjacente à la couche gangreneuse était pénétrée de
sang
et un peu ramollie; sa surface était très inégale
ncéreuse, et que les couches adjacentes soient simplement maculées de
sang
. Je terminerai par deux observations, dont l'une
e qu'elle attribue aune chute sur le siège. Trois ou quatre pertes de
sang
dans l'espace de deux ans. A son entrée à la Sa
éduit à un pertuis extrêmement fin qui donne difficilement passage au
sang
des règles lorsque la malade est réglée. Enfin,
ien qu'ayant soumis le foie à la macération, de telle manière que, le
sang
d'une part et le suc cancéreux de l'autre, fussen
ladie de l'utérus qui a débuté, il y a dix mois, par un écoulement de
sang
remplacé au bout de quelque temps par un écouleme
s rétrécissaient de manière à devoir gêner plus ou moins le retour du
sang
. Quoique très durs, ils étaient pénétrés de suc c
ge. Elle est le résultat de la combinaison de la matière colorante du
sang
avec le tissu. Or, tantôt elle coïncide avec une
phlébite purulente, le pus est toujours ou presque toujours séparé du
sang
en circulation par une espèce de kyste que consti
ainsi isolé. Entre les deux caillots , la veine était remplie par du
sang
récemment coagulé et adhérent. La veine-cave in
et avec la phlébite, ne prouve-t-elle pas une altération profonde du
sang
, et ne vient-elle pas à l'appui des idées des anc
n une poche à parois molles, recouvertes d'une couche d'eschare et de
sang
, et présentant un aspect rugueux très prononcé; s
placentaire. Le tiers interne de cette même poche était rempli par du
sang
altéré. Les figures 3, 4 et 5 représentent le f
tonite. Une masse encéphaloïde énorme, divisée en lobules, maculée de
sang
, remplissait l'hypogastre, les fosses iliaques ,
ombre était le siège d'une phlébite caractérisée parla coagulation du
sang
adhérent aux parois veineuses. Cette masse encéph
utres d'une date ancienne,annoncée par l'altération qu'avait subie le
sang
. Du reste, il n'existait aucun tubercule dans t
hlébites, car j'ai trouvé un grand nombre de ces vaisseaux remplis de
sang
coagulé et adhérent. Je ferai remarquer combien
l'absorption intestinale. 2e liv., pl. 1, p. 3.— Sur l'absorption du
sang
dans les foyers apoplectiques. 5e liv., pl. vi, p
. i, p. 4 — Apoplexie du cœur. Apoplexie du cœur avec épanche-ment de
sang
dans le péricarde. 3e liv., pl. i, p. 4. — Apople
pl. v, p. 3. — L'artérite a pour résultat immédiat la coagulation du
sang
dans les points correspondans à la surface intern
mort-nés; elle a pour caractère anatomique constant un épanchement de
sang
liquide dans la cavité de l'arachnoïde. 15e liv.,
lacentaires 1" liv., pl. 1,11, p. 3. COAGULATION. La coagulation du
sang
est le premier phénomène de toute inflammation. 8
e premier phénomène de toute inflammation. 8e liv., pl. iv, p. '.— Le
sang
coagulé est incapable dévie et par conséquent de
me côté. 3e liv., pl. 1, / ./.— Apoplexie du cœur avec épanchemenl de
sang
dans le péricarde. Dilatation avec hypertrophie d
n par rupture du sommet du ventricule gauche du cœur. Infiltration du
sang
dans l'épaisseur des parois de ce ventricule. Tra
tures du cœur. Etat du péricarde dans la rupture du cœur. Quantité du
sang
contenue dans le péricarde. 30e liv., pl. iv, p.
ons cornées. 24eliv.j pl. m, p. 5. DÉCOLORATION. La décoloration du
sang
Coagulé est un des effets de la phlébite. 8e li
z le fœtus. 15^ 11y., pl. u, p. 4. — Lobules pulmonaires infiltrés de
sang
. Poumons infiltrés de sang et imperméables dans l
, p. 4. — Lobules pulmonaires infiltrés de sang. Poumons infiltrés de
sang
et imperméables dans les trois quarts de leur éte
les dans les trois quarts de leur étendue. Mort. Poumons infiltrés de
sang
dans leur presque totalité. 15e liv., pl. n, p. à
lexie pulmonaire. 3e liv., pl. 1, p. 4. HÉMORRHAGIES. La qualité du
sang
doit aussi souvent contribuer aux hémorrhagies sp
ée du tissu cellulaire sous-cutané. Ecchymose cutanée. Epanchement de
sang
dans l'articulation libio-tar-sienne. Epanchement
nchement de sang dans l'articulation libio-tar-sienne. Epanchement de
sang
sous le périoste. 35e liv., pl. v, p. 4. — Caract
veloppées dans le cerveau. 32e liv., pl. iv, p. 5.—Sur l'infection du
sang
dans l'entérite folliculeuse aiguë,: 38e liv., pl
uë,: 38e liv., pl. n, ni, iv, p. 4. INFLAMMATION. La coagulation du
sang
est le premier phénomène de toute inflammation. 8
u tissu du poumon. = Pustules cutanées. Poumons infiltrés çà et là de
sang
et de sérosité. = Pustules cutanées. Pneumonie lo
tération des artères, assez complète pour qu'il y ait interruption du
sang
artériel dans une partie, a pour résultat la gang
avec intégrité du périosjte. 20e liv., pl. 1, p. 2. — Epanchement de
sang
sous le périoste. 35e liv., pl. v,p. 4. PÉRITOI
pus ; elle ne marche pas nécessairement dans la direction du cours du
sang
. 11e liv., pl. 1, n, m, p. 14. — Observation de p
e partie du corps : ce qui constitue son danger, c'est l'infection du
sang
, lie ijv. . pj, J} „ j m,^. iy. —L'obltéraiion de
icale. 17e liv., pl. n, p. 2. — Pierre ayant pour noyau un caillot de
sang
. 17e liv., pl. 11, p. 4. Voyez Calcul. PLACENTA
z le fœtus. 15e liv., pl. n, p. 4. — Lobules pulmonaires infiltrés de
sang
, disséminés, au milieu d'un poumon sain d'ailleur
sséminés, au milieu d'un poumon sain d'ailleurs. Poumons infiltrés de
sang
et imperméables dans les trois quarts de leur éte
les dans les trois quarts de leur étendue. Mort. Poumons infiltrés de
sang
dans leur presque totalité. 15R liv. , pl. n, p.
u tissu du poumon. = Pustules cutanées. Poumons infiltrés çà et là de
sang
et de sérosité. = Pustules cutanées. Pneumonie lo
rine. Difficulté du calhétérisme. Ecoulement d'une grande quantité de
sang
. Guérison temporaire. Symptômes de pierre et de c
de vessie. Dépérissement; mort. Pierre ayant pour noyau un caillot de
sang
. Perforation de la végétation prostatique par la
. iv, p. / ; 36e liv., pl. v, p. 2, 3. — Sur sa présence au milieu du
sang
en circulation. 8e liv., pl. iv, p. 2. — Mode de
préciation de son Muséum anato-micum. lre liv., Avant-Propos, p. iij.
SANG
. Ses qualités doivent contribuer aussi souvent au
tat des parois vasculaires. 3e liv., pl. 1, ». 3. — La coagulation du
sang
est le premier phénomène de toute inflammation. 8
mmation. 8e liv., pl. iv, p. i. — Sur la présence du pus au milieu du
sang
en circulation. 8e liv., pl. iv, p. 2. — Ce qui c
2. — Ce qui constitue le danger de la phlébite, c'est l'infection du
sang
. 11e liv., pl. 1, n, m, p. /7. — La présence du s
t l'infection du sang. 11e liv., pl. 1, n, m, p. /7. — La présence du
sang
coagulé dans les veines n'eslun caractère de l'in
lé dans les veines n'eslun caractère de l'inflammation que lorsque ce
sang
est adhérent aux parois. 13e liv., pl. 1, n, m, »
13e liv., pl. 1, n, m, ». 3. — Caractères et propriétés physiques du
sang
des cholériques. 14e liv-, pl. 1, n, m, iv, v, p.
nisés ni vivans. 28e liv., pl. iv, p. i, 2. — Coloration que subit le
sang
épanché dans l'estomac ; cause de celte coloratio
é dans l'estomac ; cause de celte coloration. 31eliv., pl. 1, p. — Le
sang
coagulé est incapable de vie et par conséquent de
onséquent de suppuration. 36e liv., pl. v, ». 3. — Sur l'infection du
sang
dans l'entérite folliculeuse. 38e liv., pl. n, m,
que..7e liv., pl. 1, 11, m, iv, p. /, 6. SÉRUM. L'absence du sérum du
sang
n'est pas un caractère spécifique du choléra. 14e
. 4- — Cas de superfélation. 6e liv., pl. vi, p. f. SUPPURATION. Le
sang
coagulé est incapable de vie et par conséquent de
lulaire sous-cutané. Absence d'ecchymose sous-cutanée. Epanchement de
sang
dans l'articulation tibio-tarsienne. Epanchement
anchement de sang dans l'articulation tibio-tarsienne. Epanchement de
sang
sous le périoste. 35é liv., pl. v, p. 4. — Caract
la crase des humeurs, où la présence d'une matière morbifique dans le
sang
. Dans la suite des temps, l'observation analyti
altérer leur forme, l'oxyde de carbone enlève aux globules rouges du
sang
le pouvoir d'absorber l'oxygène. Ils roulent dès
on profonde qu'ils ont subie. Une altération analogue des globules du
sang
ne peut-elle pas être au moins soupçonnée, dans c
uccombé ra-pidement, dans le cours du rhumatisme articulaire aigu, le
sang
, la sérosité contenue dans le péricarde et les sy
animal les phénomènes de la fièvre traumatique, en injectant dans le
sang
le liquide recueilli chez un autre animal, à la s
traité de la fièvre muqueuse, de comparer sérieuse-ment un globule du
sang
au globe terrestre, parce que tous deux sont rond
des artères dont elles occupent les parois; et leur contenu, mêlé au
sang
, peut être entraîné par le torrent circulatoire,
alacie sénile, l'atrophie sénile du cerveau, certaines altérations du
sang
(!•), l'asystolie sénile, enfin l'athérome artéri
contraction des vaisseaux capillaires superficiels, la température du
sang
s'élève de plusieurs de-grés au-dessus du taux no
sés d'urate de soude. — L'acide urique existe à l'état normal dans le
sang
. — Il se trouve en excès dans le sang des goutteu
existe à l'état normal dans le sang. — Il se trouve en excès dans le
sang
des goutteux. — Procédé du fil. — L'acide urique
eux. — Procédé du fil. — L'acide urique n'existe pas en excès dans le
sang
des rhumatisants. — La goutte n'est pas la seule
cette altération. — Modifications accessoires dans la composition du
sang
, chez les goutteux. — État des urines dans la gou
particulier ; en effet, la présence d'un excès d'acide urique dans le
sang
constitue un des principaux caractères de la mala
damment de ces affections articulaires, et de cet état particulier du
sang
, la goutte peut donner lieu à des affections visc
le cortège obligé ; et comme dans cette affection générale l'état du
sang
semble dominer toute la situation, nous allons to
eterre, MM. Rayer et Cruveilhicr en France, ont émis l'opinion que le
sang
des goutteux devait contenir de l'acide urique. M
1848). A l'état normal, il existe des traces d'acide urique dans le
sang
; mais, pendant l'accès de goutte, le sang peut en
aces d'acide urique dans le sang; mais, pendant l'accès de goutte, le
sang
peut en con-tenir de 0«r, 05 à 0sr, 17 sur 1,000
uer d'une manière précise la quantité d'acide urique contenue dans le
sang
, permet d'en constater la présence. On dépose 5 g
le en effet la présence à'un soixante-millième d'acide urique dans le
sang
. (Gar-rod.) Lorsqu'on n'a pas de sang à sa disp
llième d'acide urique dans le sang. (Gar-rod.) Lorsqu'on n'a pas de
sang
à sa disposition, on peut le rem-placer par la sé
ans quelles circonstances se pro-duit un accès d'acide urique dans le
sang
. Ce phénomène existe d'une manière permanente dan
onditions, car l'analyse révèle la présence de l'acide urique dans le
sang
. Par contre, le rhumatisme articulaire aigu (Ga
pliquer un vésicatoire au malade, ou de lui tirer quelques grammes de
sang
, pour s'as-surer si c'est à la goutte ou bien au
Ubaldini) (2). Il nous reste à nous demander si, dans la goutte, le
sang
ne présente pas d'autres altérations dans sa.comp
uë ; du moins, les saignées sont couenneuses ; 3° Que l'albumine du
sang
diminue dans la goutte chroni-que, s'il existe un
pareil cas, on ren-contre un excès d'urée ; 4° Que l'alcanilité du
sang
est toujours diminuée, ce qui semble favoriser la
emble favoriser la production des dépôts tophacés ; 5° Enfin que le
sang
renferme quelquefois des traces d'acide oxalique.
ce produit, coïncidant avec une augmentation de sa proportion dans le
sang
. Dans l'intervalle des accès, les urines n'ont
our démontrer qu'il y ait un excès réel d'acide uri-que, soit dans le
sang
, soit dans l'excrétion urinaire. Dans la goutte
thèse goutteuse, il existe une surabondance d'urate de soude, dans le
sang
et les humeurs, pour parler le langage de l'ancie
évolution, la goutte coïncidait avec un excès d'acide urique dans le
sang
. Nous allons aujourd'hui vous montrer que les a
ontrer des cas où il sera utile d'avoir recours à l'étude chimique du
sang
, lorsqu'on veut arriver à une précision absolue d
te-ment exemptés. Pour ce qui touche aux liquides de l'économie, le
sang
con-tient des quantités notables d'acide urique,
er, dès cette époque, la présence d'un excès d'acide urique dans le
sang
. Au reste l'ensemble symptomatique que nous venon
ies. Nous savons déjà qu'il existe ici une altération permanente du
sang
et des urines, qui nous explique, jusqu'à un cert
n doute, lorsqu'on aura constaté la présence de Vacide urique dans le
sang
. Il nous reste maintenant le second groupe, cel
udaine et violente de la vessie, par du ténesme, et par l'émission de
sang
el derfluco-pus par l'urèthre, même en l'absence
rattache quelquefois à la présence d'un excès d'acide urique dans le
sang
. — Corrélation réelle ou supposée entre la gout
mps signalé, dans plusieurs des ma-ladies qui impriment à la erase du
sang
une modification profonde, une disposition partic
lus complexe que l'auteur anglais ne paraît le supposer ; la erase du
sang
doit y jouer un grand rôle. On peut affirmer, du
Remarquons enfin que ces deux acides peuvent se ren-contrer dans le
sang
des goutteux (3), dans la sueur et dans les urine
t assez naturel d'admettre que l'acide urique existe en excès dans le
sang
, lorsque les sédiments urinaires se forment non p
asion de constater l'absence complète d'acide urique dans le sérum du
sang
, chez des sujets non goutteux qui rendaient habit
gravelle se rattache à l'existence d'un excès d'acide urique dans le
sang
. M. le docteur Bail m'a communiqué l'observation
régnation saturnine provo-que une accumulation d'acide urique dans le
sang
, surtout dans les cas avancés, où il existe de la
s de Garrod. — Il démontre que l'acide urique existe en excès dans le
sang
des goutteux. — Origine de ce produit excrémcntit
eur célèbre soutient que l'existence d'une matière morbifique dans le
sang
n'est nullement démontrée. Il considère les tophu
utte et la gravelle, émet l'opinion que l'acide urique existe dans le
sang
des goutteux; en 1797, Tennant et Wollaston établ
de pléthore, sans aucune relation avec l'excès d'acide urique dans le
sang
; pour lui, les tophus sont un phénomène exception
admis, théoriquement du moins, la présence de l'acide urique dans le
sang
, et ont bien compris l'importance de ce fait capi
l, pathologique, 4e livraison, planche III. existe en excès dans le
sang
; 2° que dès le premier accès, l'urate de soude se
ipaux résultats. I. La présence d'un excès d'acide urique dans le
sang
ne cons-titue par la goutte (1), mais crée seulem
Liebig, semble offrir une solution facile du problème. C'est dans le
sang
même, c'est aux dépens des matières albumi-noïdes
composent les tissus, et ne se formeraient jamais directement dans le
sang
. B. — Quels sont donc les organes, quels sont l
imilation de ces parties s'exagère, il en résultera une saturation du
sang
par ces produits, en d'autres termes, une diathès
Elle se fonde surtout sur la présence de ces deux substances dans le
sang
normal : mais on ne les y trouve qu'en proportion
les uretè-res d'un chien, vous aurez une accumulation d'urée dans le
sang
; il n'en sera rien, si vous pratiquez l'extirpat
rment dans le rein même, et n'existent pas d'a-vance dans la masse du
sang
. Nous ne trouvons donc, dans cette voie, aucune
imminente. Les unes ont pour effet d'accumuler l'acide urique dans le
sang
, soit en favorisant directement la formation de c
es). Les autres s'attaquent à la solubilité de l'acide urique dans le
sang
, en diminuant l'alcalinité de ce liquide; telles
capital de la goutte, à savoir, la présence de l'acide urique dans le
sang
. Mais puisque la réalité de ce fait est expérim
r effet de détruire l'urate de soude, et qu'à la suite d'un accès, le
sang
contient une proportion moins considé-rable de ce
mptomatiques de cette maladie : nous voulons parler de Valtération du
sang
par excès d'acide nrique. Nous ne trouvons, pour
séro-san-guin se forme dans la jointure; on y trouve même parfois du
sang
liquide. La synoviale est injectée, ecchymosée, q
rès caractéristique, par une altération très prononcée de la crase du
sang
(augmentation du chiffre de la fibrine et diminut
. cit., p. 53. 2. Marey. — Physiologie médicale delà circulation du
sang
, p. 545. 3. Williams. — Principles of Medicine,
gique du rhumatisme articulaire aigu et suraigu La composition du
sang
dans le rhumatisme articulaire diffère considérab
able du taux des glo-bules rouges. Sous ce rapport, la composition du
sang
dans le rhumatisme articulaire aigu peut être con
le rhumatisme articulaire aigu peut être considérée comme le type du
sang
inflammatoire, et diffère essentiellement de la c
es goutteux. Ajoutons enfin que, chez les rhumatisants, le sérum du
sang
est alcalin, que la proportion d'urée est normale
mpossible d'exagérer. Mais, dans le rhumatisme articulaire aigu, le
sang
ne pos-sède-t-il pas quelques caractères spéciaux
s phlegmasies ordinaires, qui impriment cependant à la composition du
sang
des modifica-tions du même ordre ? De nombreuse
ecins ont fait dépendre le rhumatisme d'une acrimonie particulière du
sang
, d'une rétention des acides et des sels que les r
urs cas graves un état tout opposé. On trouve alors, à l'autopsie, le
sang
liquide et noir (1) ; il ne rougit plus au contac
es cas. On sait du reste que l'inopexie (tendance à la coagulation du
sang
) est une conséquence habituelle du rhumatisme, ai
lopper des substances délétères qui vont infecter au loin la masse du
sang
, en don-nant lieu à des symptômes typhoïdes. On d
squ'à présent donné que des résultats négatifs. Musgrave dit que le
sang
est couenneux; il l'est effective-ment dans les f
mais on n'y trouve jamais d'acide urique : j'ai moi-même examiné le
sang
dans trente-cinq cas de rhumatisme articulaire ch
és des os étaient gon-flées, ce qui n'a point lieu dans la goutte. Le
sang
et les uri-nes ont été examinés, et l'on a trouvé
tion notable de la proportion normale de phosphate de chaux ; dans le
sang
, au contraire, il existait quatre fois plus de ph
e urique coexister avec le rhumatisme noueux chez une femme ; mais le
sang
examiné dans ce cas, à plusieurs reprises, n'a ja
tion par excellence serait ici, non-seulement de modifier la crase du
sang
, mais encore d'empêcher la formation d'acide uriq
iète appropriée. Mais une fois qne l'acide urique est formé dans le
sang
, on peut combattre les effets qui résultent de sa
Bunsen et Kirchoff d'en constater la présence dans le lait et dans le
sang
de l'homme. Ce n'est donc pas une substance étran
de fous les urates. Quel sera le mode d'action des alcalins sur le
sang
dans la goutte? Ils n'ont aucun pouvoir pour amoi
pas inutile, à ce propos, de dire que les dangers de la saturation du
sang
par les alcalins ont été fort exagérés, en ce qui
cent 0,10 — pareil cas, ni l'anémie profonde, ni la dissolution du
sang
, ni les hémorragies multiples, auxquelles on aura
eux. Jamais je n'ai vu se produire les symptômes d'une dissolution du
sang
, comme souvent avantageux, d'après les médecins
ures élevées. — Expériences phy-siologiques. — Combustion exagérée du
sang
. — Médication antipyrétique. — Dangers de l'aba
être une rapide métamorphose, ou mieux, une combustion exagérée du
sang
, des tissus, laquelle s'opère un peu partout dans
échets organiques, urée et matières extractives, s'accumulent dans le
sang
et circulent avec lui. Ils doivent, de toute néce
il pourra y avoir anoxémie, accumulation d'acide car-bonique dans le
sang
: ou, s'il s'agit de l'hépatite aiguë paren-chyma
gane, les matériaux destinés à former la bile, seront retenus dans le
sang
, et il y aura acholie. Mais je ne veux pas entrer
us l'influence des excitations, est devenu désormais impossible. Le
sang
, lui aussi, présente, dans sa constitution, des a
é-vation considérable de la température, est survenue rapide-ment, le
sang
a été trouvé tantôt dans un état de fluidité extr
é dans les cavités du cœur. Boerhaave supposait que la coagulation du
sang
dans les vaisseaux est une cause de mort dans la
ue, en partie à la faiblesse cardiaque résultant de l'accumulation du
sang
à la périphérie. Mais si la section faite avec pr
putréfaction. La plupart des substances putrides introduites dans le
sang
, dans l'expérimentation physiologique, ont pour e
ravers les parois des lymphatiques et des veines, et se mêleraient au
sang
. C'est ainsi qu'ils développeraient l'état fébril
a également démontré qu'injecté dans les veines d'un animal sain, le
sang
provenant d'un animal fébricitant détermine la fi
ile de prévoir, à coup sûr, quelle substance putride injectée dans le
sang
produira la fièvre, quelle autre, au contraire, d
incipes, il en est un cer-tain nombre qui, injectés isolément dans le
sang
, ont pour effet d'abaisser la température du corp
bre. 11 est avéré, vous le savez, qu'alors même que la circulation du
sang
s'est complètement arrêtée dans un membre frappé
areil cas, suivant l'expression de Williams, une nécrémie, ou mort du
sang
. Quoique conservant leur caractère physique les g
C'est ce qui arrive pour la bile. Chaque fois qu'elle pénètre dans le
sang
en certaine quantité, elle détermine à la fois un
t entière ou tout au moins les principes fondamentaux passent dans le
sang
dans l'ictère simple, tel qu'il est déter-miné pa
ctère spontané, comme dans l'ictère expérimental, on retrouve dans le
sang
et dans l'urine, ces éléments fondamentaux de la
sent les battements du cœur, la présence des acides biliaires dans le
sang
pourra produire un abaissement de température. Ma
nt démontré qu'ils ont aussi la propriété de détruire les globules du
sang
, et ce dernier effet contribue sans doute pour un
ure sous l'influence de l'introduction des matières septiques dans le
sang
, vous ne vous étonnerez pas de retrouver ce même
ue est poussé jusqu'aux der-nières limites, comme dans la syncope, le
sang
traverse les capillaires sans s'y modifier, et ap
modifier, et apparaît dans les veines avec la coloration rutilante du
sang
artériel. Or, dans les cas de ce genre, la tempér
s citer comme exemple un fait de rupture du cœur avec épanche-ment de
sang
dans le péricarde que nous avons observé en-sembl
ènes nerveux qui se rattachent à la diminution des parties solides du
sang
. On observe souvent, même en dehors des exacerb
des jointures malades, pa-raissent le plus souvent comme imbibées de
sang
, friables, ra-réfiées ; elle se laissent aisément
rs parois sont amincies, mais le tissu spongieux n'est pas infitré de
sang
, ses vacuoles sont comblées par une sorte de grai
ouchement, au commencement d'octobre, la malade, étant encore dans le
sang
, se rend, par un temps froid, à une source où ell
e ne tousser que depuis un mois envi-ron, et n'avoir jamais craché le
sang
. Il y a dix jours, qu'à la suite de frissons, il
ecins étrangers. Dans son remar-quable travail sur les altérations du
sang
et de l'urine dans la goutte et le rhumatisme (Me
accès arthritiques bien caractérisés ; chez plusieurs d'entre eux le
sang
et l'urine furent soumis à l'examen chimique, et
à l'hémisphère gauche, on remarque des îlots rouges, comme imbibés de
sang
,saillants, irréguliers, disposés sous forme de pl
, sous forme de lignes fibreuses très apparentes, dures et privées de
sang
. La muqueuse du bassi-net épaissie présentait des
e docteur Garrod, dans son remarquable travail sur les altérations du
sang
et de l'urine, dans la goutte et le rhumatisme (2
articulations,la synoviale était fortement injectée et d'un rouge de
sang
dans tous les points où elle était respectée par
sée, en particulier par l'existence d'un excès d'acide urique dans le
sang
. 1. Medico-chirurgical Transactions, vol. XXXVI
ie de plomb bien déterminée, — colique ou para-lysie saturnines, — le
sang
fut examiné, dans le but de savoir s'il ne conten
ient autrefois éprouvé un ou plusieurs accès de goutte ; chez eux, le
sang
fut, en effet, trouvé riche en acide urique,, et
seulement exceptés, les réactifs démontrèrent qu'il existait dans le
sang
de l'acide urique en excès. D'après ces résultats
c la goutte qu'elle produirait, comme cette dernière, l'altération du
sang
par excès d'acide urique. Dans cette altération d
altération du sang par excès d'acide urique. Dans cette altération du
sang
, due aux affections saturnines, y a-t-il, en réal
istence de ce qu'il appelle l'imprégnation saturnine. L'altération du
sang
par un excès d'acide urique, élément né-cessaire
e la goutte elle-même, soit dans la production de cette altération du
sang
par excès d'acide urique, rencontrée chez certain
mbre d'exemples, que jamais l'acide urique n'existe en excès, dans le
sang
, chez les individus atteints de rhumatisme articu
ami M. Vulpian, et en suivant le procédé décrit par M. Garrod, si le
sang
con-tenait un excès d'acide urique. Le résultat d
es trois cas. il e ,t vrai que nous n'avons pas opéré sur le sérum du
sang
, mais bien sur la sérosité obtenue par l'applicat
e ne tousser que depuis un mois envi-ron, et n'avoir jamais craché de
sang
. Il y a dix jours qu'à la suite de frissons, il é
étiologiques, souvent même les résultats de l'examen microchimique du
sang
, de-vront, de toute nécessité, être invoqués par
ombre d'exemples, que jamais l'acide urique n'existe en excès dans le
sang
, chez les individus atteints de rhumatisme articu
i jamais constaté ta présence de l'acide urique soit dans le sérum du
sang
, soit dans la sérosité obtenue par l'application
ui précède, on voit que la présence d'un excès d'acide urique dans le
sang
sépare nettement la goutte, non-seulement du rhum
-même (Loc. cit., Med.-chir. Irans., t. XXXI, que cette altération du
sang
se rencontre d'une manière habituelle dans la for
sans pouvoir y constater la moindre trace d'acide urique, le sérum du
sang
et la sérosité de vésicatoires provenant de sujet
trer liée quelquefois à l'existence d'un excès d'acide urique dans le
sang
(Rayer). Mon ami M. le docteur Bail m'a communi
variable d'albumine, et quelquefois, en outre, des globules rouges du
sang
. II. En second lieu, on rencontre les lésions r
octeur Vulpian, et en suivant le pro-cédé décrit par M. Garrod, si le
sang
contenait un excès d'acide urique. Le résultat de
les trois cas. 11 est vrai que nous n'avons pas opéré sur le sérum du
sang
, mais bien sur la sérosité obtenue par l'applicat
pôts uratiquos. 10° Pour ce qui touche aux liquides de l'économie, le
sang
renferme une forte proportion d'acide urique, et
goutte. — Voyez aussi Rayer (Rapports des alté-rât, de l'urine et du
sang
; in Traité des malad. des reins. Paris, 1839, t.
dans le défaut de cette sécrétion dans l'autre. » (p. 362). Etat du
sang
dans l'intervalle des accès de goutte. — Dans Un
ues recherches nouvelles qu'il a entreprises relativement à l'état du
sang
dans l'intervalle des accès de goutte : « 1° Dans
es attaques de goutte, il n'y a pas surabondance de l'acide urique du
sang
; 2° on a noté une diminution très-prononcée de l
é une diminution très-prononcée de la proportion de l'acide urique du
sang
chez plusieurs malades observés au sortir d'une a
ortir d'une attaque de goutte aiguë ; 3° dans la goutte chronique, le
sang
examiné dans l'intervalle des accès a toujours ét
jointures, on a reconnu la présence d'un excès d'acide urique dans le
sang
. » (p. 368). Même sujet. — Cette observation eû
vé sous le coup de l'intoxication saturnine dans le temps même où son
sang
a été soumis à l'exa-men ; car, par le seul fait
ette intoxication et indépendam-ment de toute affection goutteuse, le
sang
peut, comme on l'a vu, se trouver chargé d'acid
e précédent à démontrer que, sous la seule influence de la goutte, le
sang
renferme un excès d'acide urique antérieurement a
pli-quées aux tempes, alors qu'existaient les accidents cérébraux, le
sang
obtenu fut examiné : on y trouva une forte propor
ns produire d'accidents graves, les sels de potas-se injectés dans le
sang
de ces mêmes animaux se montrent, au contraire, é
urnée; au-dessous, le tissu osseux paraît raréfié, friable, imbibé de
sang
. Mais en même temps, des végétations ou stalactit
sés d'urate de soude. — L'acide urique existe à l'état normal dans le
sang
. — Il se trouve en excès dans le sang des goutteu
existe à l'état normal dans le sang. — Il se trouve en excès dans le
sang
des goutteux. — Procédé du fil. — L'acide urique
eux. — Procédé du fil. — L'acide urique n'existe pas en excès dans le
sang
des rhumatisants. La goutte n'est pas la seule ma
cette altération. — Modifica-tions accessoires dans la composition du
sang
, chez les goutteux. — Etat des urines dans la gou
rattache quelquefois âla présence d'un excès d'a-cide urique dans le
sang
. — Corrélation réelle ou supposée entre la goutte
s de Garrod. — Il démontre que l'acide urique existe en excès dans le
sang
des goutteux. — Origine de ce produit excrémentit
tures élevées. — Expériences physiologiques. — Combustion exagérée du
sang
. — Médication antipyrétique. — Dangers de l'abais
; — vésicatoires, 279, 541. Acholte, 308. Acide oxalique, dans le
sang
des goutteux, 53, 122: — inique : dans le sang, 4
cide oxalique, dans le sang des goutteux, 53, 122: — inique : dans le
sang
, 49,' 50, 52, 123, 154, 159; — re-cherches de T —
42, 147; —aie et porter, 142. 147, 148. Bile (Action de la—) sur le
sang
, 339. C Calorification des vieillards, 13. Ca
mes de la —, 308 ; — cause des dangers de la —, 308; — alté-ration du
sang
, 342. Fièvre intermittente svmptomatique, 30, 1
s, 46,47; — observations, 503 ; — caractères généraux, 46 ; — état du
sang
, 47; — irrégulière, 48; rétrocédée, remontée, mal
glo-bules sanguins dans la —, 52; — fibrine, albumine, alcalinité du
sang
, 52; — état du sang dans l'intervalle des accès,
dans la —, 52; — fibrine, albumine, alcalinité du sang, 52; — état du
sang
dans l'intervalle des accès, 538; — état des urin
Hématologie pathologique de la goutte, 49 ; — acide urique dans le
sang
, 50, 51 ; — proportions des globules, 52; augment
ine, 53 ; — diminution de l'alcalinité, 53 ; — acide oxalique dans le
sang
; 53 ; — du rhumatisme articulaire aigu et subaig
e articulaire aigu et subaigu, 204 ; — absence d'acide urique dans le
sang
, 205 ; — acide lactique dans le sang, 206 ; — ino
— absence d'acide urique dans le sang, 205 ; — acide lactique dans le
sang
, 206 ; — ino-pexie, 206 : —du rhumatisme noueux,
nique, 193, 562; — arthropathies multiples, 196, 197;— altérations du
sang
, 197; — état gé-néral dans le —, 199; — fièvre, 1
1,205; — salive, 201 ; — urines, 202, 203 ; — anémie, 203 ; — état du
sang
, 205 ; — acide lactique dans le sang, 205 ; — rap
203 ; — anémie, 203 ; — état du sang, 205 ; — acide lactique dans le
sang
, 205 ; — rapports avec la diathèse hémorrha- pi
umatisme aigu, 201. Salpètrière (organisation médicale de la —), 4.
Sang
: acide urique dans le —, 49, 123, 153, 155; — ac
ont le caractère principal réside dans une altération particulière du
sang
qui se traduit morphologiquement par la pré-sence
hensible que possible. La microcythémie désigne la présence dans le
sang
d'un nombre considérable de microcytes, comme le
bres inférieurs. — Douleurs dans les mem-bres inférieurs. — Examen du
sang
. — Amélioration. — Une jeune dame, sans maladie a
alysie des membres augmenta, et avec elle l'atrophie musculaire. Le
sang
fut examiné quatre fois aux dates suivantes : 25
-piques. Les globules blancs sont un peu moins nombreux que dans le
sang
ordinaire ; le diamètre ne dépasse pas 0mm,010. —
ne, et les symptômes s'amendèrent peu à peu. — Au 8 avril dernier, le
sang
ne montre plus un seul microcyte, mais les globul
l'atrophie jaune et la pyléphlébite. 5° Altération morphologique du
sang
. C'est là le signe le plus important,; nous y avo
ls existaient, dans la quantité d'examens microscopiques, auxquels le
sang
a été soumis, aussi bien à l'état de santé qu'à l
s globules rouges échappent naturellement à cette transfor mation, le
sang
de la veine splénique apporte au foie un mélange
leur rare apparition dans le champ du microscope, quand on examine le
sang
veineux ou capillaire de la peau. Mais que Y acti
vation du chiffre des microcytes se manifestera immédiatement dans le
sang
de la veine splénique et consécutivement dans la
ytes échappés au foie achèvent leur dissolution dans le cours même du
sang
; mais quand leur chiffre se trouvera exagéré, et
ous forme à'urophéine, mais une autre partie ne pourra aban-donner le
sang
qu'en se déposant dans les tissus mêmes après avo
encore au pouvoir dissolvant du plasma ; de là leur présence dans le
sang
. 5° Altération de l'urine. Les caractères princ
suffocation, qui favorisait l'accumulation du gaz carbonique dans le
sang
et l'anesthésie, enfin pour l'extraction duquel i
quatre ans, avait rendu, le 4 mai, au dire de sa mère, trois onces de
sang
par l'urèthre. Jamais de rétention d'urine, ni de
lle aurait eu la rougeole (?) il y a un an. Le 8 et le 16 mai, pas de
sang
dans lu- rine. Le 17 mai, il s'écoule environ 5
ang dans lu- rine. Le 17 mai, il s'écoule environ 50 centilitres de
sang
* rouge clair, dans lequel le microscope fait reco
ale. La surveillante remarqua que le premier jet était semblable à du
sang
, qu'il coulait d'une façon continue, et sortait p
précoce, car l'examen, fait à ce moment par l'in-terne, montra que le
sang
ne s'échappait pas de la vulve, mais bien de l'ur
6 juillet, jour de sa sortie de l'hôpital, l'enfant n'a plus rendu de
sang
avec les urines (the Lancet, 1870, vol. II, p. 55
tait bien. Elle fut mise au bain. Bientôt on remarqua que la perte de
sang
allait en diminuant, en même temps que les seins
fièvre, de l'oppression, des cra-chats muqueux quelquefois striés de
sang
, et parles signes physiques suivants : à la percu
quelques secondes, on voyait les vaisseaux se di-later et le cours du
sang
devenir manifestement plus rapide qu'avant l'inje
carotide, résultat de l'attitude vicieuse, augmente le frottement du
sang
sur les parois vasculaires et diminue la force de
l'intoxication urineuse sont dus à la pénétration de l'urine dans le
sang
, soit par une plaie, soit par l'absorption au tra
une en-vie d'uriner violente et douloureuse ; il s'écoula beaucoup de
sang
avec l'urine. Cet accident n'eut pas de suite. —A
n diminue brusquement la pression à laquelle est soumis un vertébré à
sang
chaud, jusqu'à l'abaisser à 15 ou 18 centimètres
e l'absorption. IX. Des variations de la proportion des gaz dans le
sang
artériel, par Mathieu et V. Urbain.— Dans la même
repris sur les circonstances qui font varier la proportion des gaz du
sang
dans le système artériel. Ces travaux établissent
s élevée dans le contenu du vaisseau le plus volumineux ; — 5° Que le
sang
artériel des animaux à température constante cont
érature constante contient plus d'O. en été qu'en hiver ; — 4° Que le
sang
artériel contient davan-tage d'O. et de CO2 lorsq
— 6° la régularisation, l'uniformité et le ralentissement du cours du
sang
; Comme action médiate : 7° La sédation du sy
des fonctions de l'hématose, de la combustion et de la Hbrination du
sang
, en un mot, modération des fonctions bémato-poïét
nsécutive des battements cardiaques ; — 5° l'accélération du cours du
sang
; — 6° l'augmentation du chiffre des mouvements
ent pratique de son mémoire» M. Muron se demande ce que va devenir ce
sang
ainsi épanché au loin dans les tissus. Ici deux f
loin dans les tissus. Ici deux faits peuvent se produire : ou bien le
sang
est résorbé et ce sont là les cas heureux ; ou bi
s d'une syncope causée, soit par le chloroforme, soit par la perte de
sang
qu'il venait de subir. — On dut aussitôt le place
lle très-développée et devant probablement donner lieu à une perte de
sang
rapide et abondante, il serait sage, aussitôt apr
'ac-tion du chloroforme et peut-être aussi à la perte considérable du
sang
veineux, des manœuvres actives ont dû être faites
t, se dessinent dans le gauche d'une manière très-nette et donnent du
sang
à la coupe. La tête de l'épididyme offre un point
te circonstance particulière, par suite de la difficulté du retour du
sang
veineux. Dans les cas pathologiques comme dans le
é du retour du sang veineux. Dans les cas pathologiques comme dans le
sang
de rate des animaux ruminants, il en est très-sou
un chien dont l'abdomen est ouvert et auquel on i -jecte une pinte de
sang
augmente de volume, et que si, au con-traire, on
ut ce qui active la circulation, ou bien tout ce qui entrave celle du
sang
veineux, fait augmenter le volume de la rate. I
r la question de savoir si oui ou non la rate détruit des globules du
sang
. La rate du cheval, de la chèvre, celle du porc
, dans cette affection générale, la rate est hypertrophiée, gorgée de
sang
noir ; son tissu se déchire avec la plus grande f
grande faci-lité; il en est de même des ganglions mésentériques. Le
sang
est profondément modifié dans ses caractères phys
de des lésions cadavériques, c'est l'altération profunde subie par le
sang
, et la rate, quelquefois démesurément grossie com
d aussi d'une lésion profonde de la nu-trition et d'une altération du
sang
. Ce qui la caractérise, en effet, c'est la pâleur
rissemenL, la fai-blesse, les infiltrations séreuses. Les globules du
sang
sont altérés; la partie séreuse de ce liquide est
omme. Quand les animaux succombent aux suites de l'empoi-sonnement du
sang
par le miasme paludéen, on trouve à l'autopsie un
encore plu-sieurs maladies générales, dans lesquelles l'altération du
sang
est le fait principal, et faire voir que toujours
moindre pression. Les vaisseaux du foie étaient également gorgés 'de
sang
. Rien du reste de saillant dans les autres organe
0 centimètres cubes, donna 5«r,699 d'urée. Afin de déterminer si le
sang
de notre malade renfermait une plus forte proport
ormir la malade. M. Grôhant obtint 0sr,036 d'urée pour 100 grammes de
sang
obtenu chez Etchevery, et 0er,034 pour 100 gramme
grammes de sang obtenu chez Etchevery, et 0er,034 pour 100 grammes de
sang
d'une personne saine, examiné comparativement. On
pareille occurrence, d'analyser comparativement, jour par jour, le
sang
et les urines afin d'y déterminer la proportion d
le point le plus déclive de la tumeur; il sortit quelques gouttes de
sang
, mais pas de sérosité; on recon-nut alors qu'elle
ité. L'opéra-tion dura environ trois quarts cl heure ; 300 grammes de
sang
s'écoulèrent par les lèvres de la plaie. Le poids
et 17 ans, elle a eu, jusqu'ici, ses menstrues très-régulièrement. Le
sang
qu'elle perdait était rouge et abondant. La durée
8 et 10 jours, la malade a été quelquefois effrayée de la quantité de
sang
qu'elle perdait. A l'âge de 19 ans, devenue gro
omplement en 13 ou 14 minutes, il ne s'écoule que quelques gouttes de
sang
. L'utérus devenu libre remonte aussitôt, et il es
le placenta inséré près du col et détaché par le ballon, la sortie du
sang
serait modérée et la formation d'un caillot obtu-
-cale, 1872. ) — Par le fait même de la grossesse, la masse totale du
sang
augmente chez la femme enceinte: il en résulte un
ésultante de la contraction exagérée du cœur sera une accumulation de
sang
dans l'oreillette gauche et dans les poumons. De
vinrent fétides, et huit jours après l'accouchement, un écoulement de
sang
survint tout d'un coup. On envoya chercher la sag
hement. Cette membrane présentait deux petits pertuis par lesquels le
sang
s'écoulait, quoique difficilement, au moment des
mplies de sérum, clair ici, trouble là, rougeâtre ailleurs et mêlé de
sang
; un cercle rougeâtre et œdémateux les entourait.
'une fracture de la base du crâne Rupture traumatique). Le mélange du
sang
artériel et du sang veineux détermine la plupart
base du crâne Rupture traumatique). Le mélange du sang artériel et du
sang
veineux détermine la plupart des symptômes que l'
ion des tissus contus doit être ainsi expliquée : Une intoxication du
sang
résultant de l'absorption des produits septiques
ts septiques qui se trouvent à la surface des plaies. Suivant lui, le
sang
, empoisonné par les matières infectieuses puisées
le produit nouveau, c'est que la sonde qu'on en retire est chargée de
sang
et de pus. Les ganglions de l'aine et surtout c
ives ; pas de rigidité musculaire. Le crâne et ses viscères gorgés de
sang
; circonvolutions postérieures un peu aplaties ;
ormale, à parois de consislance ordinaire. Pont et moelle injectés de
sang
rouge grisâtre sale. — Poumons injectés et œdémat
, d'ailleurs normal, comme les intestins. — Reins fortement gorgés de
sang
; concrétion du volume de la moitié d'un pois dan
artir de ce moment, il n'a plus coulé, pour ainsi dire, une goutte de
sang
. La masse en tombant laisse à découvert une vaste
e, placé sous le champ du microscope, renferme des globules rouges du
sang
avec quantité de corps granuleux, au milieu d'une
ait craindre une exécution longue, laborieuse et surtout une perte de
sang
considérable, capa- REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES
lentement à la vérité, mais sans le moindre accident. La totalité du
sang
perdu dans les divers temps de l'opération n'a pa
Les éléments anatomiques vivent dans un milieu intérieur qui est le
sang
; leur vitalité est tout entière subordonnée à ce
Le professeur établit la distinction classique entre les animaux à
sang
chaud et ceux à sang froid; il préfère les expres
lit la distinction classique entre les animaux à sang chaud et ceux à
sang
froid; il préfère les expressions : ani-maux à te
bitable que la proportion d'O et de CCf2 est fort différente dans les
sangs
artériel et veineux chez l'animal vivant, et que
s les sangs artériel et veineux chez l'animal vivant, et que c'est le
sang
veineux qui renferme le plus de CO2, c'est-à-dire
'en 1872. —Des faits anciens, il résulte que, tantôt on a trouvé le
sang
artériel plus chaud que le sang veineux, tantôt l
résulte que, tantôt on a trouvé le sang artériel plus chaud que le
sang
veineux, tantôt le sang veineux plus chaud que le
a trouvé le sang artériel plus chaud que le sang veineux, tantôt le
sang
veineux plus chaud que le sang artériel. Y. Apr
s chaud que le sang veineux, tantôt le sang veineux plus chaud que le
sang
artériel. Y. Après avoir analysé les expérience
. Cl. Bernard passe à la conclusion [qui] résulte de ses travaux : Le
sang
veineux est plus chaud que le sang artériel. VI
[qui] résulte de ses travaux : Le sang veineux est plus chaud que le
sang
artériel. VI. Emploi des anesthésiques et du cu
ication de Heidenhaim et Karner attri-buant la chaleur plus élevée du
sang
dans le ventricule droit à une cause de simple vo
ette leçon « étabiissenf'claire-ment que la température des animaux à
sang
chaud n'est pas abso-lument fixe comme on pourrai
Néanmoins, dans les conditions ordinaires ou normales, les animaux à
sang
chaud maintiennent la fixité relative de leur cha
e, par une prédominance constante et in-cessante de la température du
sang
veineux sur le sang artériel dans le cœur. » XI
nce constante et in-cessante de la température du sang veineux sur le
sang
artériel dans le cœur. » XII. La température du
veineux sur le sang artériel dans le cœur. » XII. La température du
sang
artériel. — Le sang artériel est-il partout sembl
artériel dans le cœur. » XII. La température du sang artériel. — Le
sang
artériel est-il partout semblable à lui-même? « L
rtériel. — Le sang artériel est-il partout semblable à lui-même? « Le
sang
éprouve une réelle dimi-nution de température en
n s'éloignant du cœur vers la périphérie. i XIII. La température du
sang
veineux. — « Dans la périphérie du corps et aux e
u sang veineux. — « Dans la périphérie du corps et aux extrémités, le
sang
veineux est constamment plus chaud que le sang ar
et aux extrémités, le sang veineux est constamment plus chaud que le
sang
artériel; en pénétrant dans les cavités splanch-n
ette manière pour l'équi-libre de la chaleur animale. » XV. Rôle du
Sang
dans le phénomène calorifique. — îl ne faut plus
ique. — îl ne faut plus localiser la production de la chaleur dans le
sang
soit au sein du poumon, soit dans les capillaires
ène est le contact et l'échange entre les tissus élémentaires et le
sang
, au moment où se produi-sent les actions chimique
comme des organismes élémen-taires. Ils respirent, ils empruntent au
sang
l'oxygène qui lui est combiné, et ils exhalent de
nique, c'est la respiration élémentaire.)) Quelles modifications le
sang
et la circulation éprouvent-elles pendant la cont
raction musculaire, la combustion augmente. XVII. La température du
sang
veineux au moment de la contrac-tion musculaire e
usculaire est-elle due à la combustion du tissu ou à la vei-nosité du
sang
? Elle est surtout due aux phénomènes chimiques qu
développe la chaleur. On constate en outre, expérimentalement, que le
sang
qui sort des organes cérébraux est plus chaud lor
de. Le tissu du cœur, quand il est contracté, est plus chaud que le
sang
qu'il contient. De toutes ces considérations, nou
mpoisonnement par l'acide carbonique sont : 1° La coloration noire du
sang
, de tous les vais-seaux et du cœur; — 2° L'élévat
la corde du tympan. XXIX. Les nerfs vaso-moteurs et la pression du
sang
. — « Tous les tissus, tous les organes, sont-il
ve surabondamment. XXX. Les nerfs vaso-moteurs et la circulation du
sang
. — « Il y a des phénomènes nerveux réflexes vaso-
hique d'autre part. XXXII. Le nerf de'presseur et la circulation du
sang
. — L'appareil d'équilibration de la circulation,
n. » XXXVIII. Influence du grand sympathique sur la constitution du
sang
. — « L'inertie et la suractivité du grand sympath
orrhagie ou apoplexie delà rate est con-stituée par un épanchement de
sang
dans le tissu de l'organe ; on rencontre cet état
très-amincie, on voit la coloration rouge avec un reflet bleuâtre du
sang
. Les autres bosselures plus récentes, qui se trou
s artères qui se rendent dans le tissu morbide et qui l'alimentent de
sang
sont : 1° La branche externe de l'occipitale, q
mpression de la carotide et de l'occipitale pour diminuer le cours du
sang
. Le perchlorure de fer pénètre bien : au bout de
a marché en bas vers le tronc de l'occipi-tale, de telle sorte que le
sang
qu'apportait cette branche artérielle n'arrive pl
gie. Coagulation dans la partie supérieure; on arrête l'écoulement de
sang
par un petit tam-pon imbibé de perchlorure de fer
e du pavillon de l'oreille vers l'arcade zygoma-tique. Cette perte de
sang
est arrêtée par unbourdonnet de charpie imbibé de
Mais le soir, par ce même point, il se produit brusquement un jet de
sang
très-violent et de la grosseur du petit doigt. On
compressif difficile à établir et surtout à maintenir. La perte de
sang
peut être évaluée de 400 à 500 grammes. Frisson a
le lac vasculaire, qui donne lieu à l'hémorrhagie. Comme la perte de
sang
n'est pas arrêtée, tampon de charpie et perchloru
de bourgeons charnus el ne laissait se produire aucun suintement de
sang
. Pour être maître de l'hémorrhagie il suffit de r
admettre qu'ils pussent provenir d'une extravasa-tion des éléments du
sang
? (Archiv. de Virchow, 1872.) XII. Considération
de l'opération sont très-simples : écoulement de quelques gout-tes de
sang
dans la journée. Comme prescription : repos au li
atiquée avec le bistouri ; l'opération fut rapide, et il coula peu de
sang
. Une heure après, une hémorrhagie. Le sang avait
rapide, et il coula peu de sang. Une heure après, une hémorrhagie. Le
sang
avait coulé abondamment ; l'opérée était très-pâl
n-cipalement dans la circulation abdominale et dans la composition du
sang
, modifications qui expliquent les accidents auxqu
quel elles se rendent, sont plus volumineuses, dilatées et gorgées de
sang
. Mais, nous le répétons, cette disposition n'es
ses internes. Quand il revint, après une demi-heure, il la trouva en
sang
et sans pouls ; il fit alors une nouvelle tentati
lement blanc par le vagin ; cet écoulement était quelquefois teint de
sang
. Quand elle est assise, elle éprouve un malaise a
dehors. Avec des ciseaux forts je divisai la base en trois traits. Le
sang
coula bientôt en assez grande quantité pour exige
r la plaie ne suffit pas. J'appliquai le spéculum et vis nettement le
sang
sourdre du milieu de la plaie, sous forme de jet
portai à différentes reprises sur le point d'où je voyais jaillir le
sang
. Loin d'arrêter la perte, on aurait pu croire qu'
ait rempli de caillots, et, dès qu'ils étaient reti-rés, il venait du
sang
en nappe. Je tamponnai alors avec de la charpie s
°par des troubles constants causés par la présence de la bile dans le
sang
et par son absence dans l'intestin; et 2° par des
la grande lèvre droite chez une nou-velle accouchée, 17S. Gaz (voy.
Sang
). Giraldès, 33. Girard, 254. Gombault, 75,
lier, 255. Richelot (G ), 65. Roque (F.;, 64, 160, 240, 320, 350.
Sang
artériel (Des variations de la pro-portion du gaz
rée d'avant en arrière entre une roue de voiture et une pierre ; du
sang
s'écoula par le nez et la bouche ; on porta le
l n'est pas nécessaire de dire quel rôle important joue l'examen du
sang
dans les conditions normales et pathologiques. To
olution d'étudier la ques- tion des modifications morphologiques du
sang
dans la pellagre. Dans ce Il je me suis servi c
ils sont bien simples et d'une noto- riété générale. On obtenait le
sang
au moyen d'une piqûre d'aiguille, on l'étalait
dans mes descriptions tout ce qui est naturel il la morphologie du
sang
. Mes observations ne sont-point terminées, mais
a pellagre.*elles ne sont point privées d'une SUR LA MORPHOLOGIE DU
SANG
DANS LA PELLAGRE 95 signification sérieuse d'au
'année courante ; manifestations cutanées-intestinales. L'examen du
sang
présente : beaucoup de leucocytes basophiles, a
ans ; malade mois, manifeste les trois formes de la pel- ladre. Le
sang
contient beaucoup de mononucléaires menus, des le
R., âgée de 35 ans ; malade 4 mois de 3 périodes de la pellagre. Le
sang
donne les mêmes tableaux, on y remarque des cellu
ils. Malade 3 ans de trois formes pellagriques. On a trouvé dans le
sang
: des leucocytes basophiles, quelques-uns avec de
demi ; forme cutanée, intesti- nale et nerveuse d'une pellagre. Le
sang
contient des leucocytes vacuolisés et des lymph
Malade 4 ans, a été atteinte de psychose pellagrique ; l'examen du
sang
présente : des leucocytes, des lymphocytes en qua
près 5 mois des formes cutanées- ititestiiiiles de la pellagre. Le
sang
contient beaucoup de gros lymphocytes à un noya
t 4 mois ; forme cutanée-intestinale et nerveuse d'une pellagre. Le
sang
contient : un petit nombre de myéloblas- tes et
s. Malade 4 mois d'une même forme pellagrique. On a trouvé dans, le
sang
des myéloblastes, 1-2 myéloblastes, des leucocyte
(i° Y. M., âgé de 8 ans. Malade de toutes les formes pellagreuses. Le
sang
contient : beaucoup de mononucléaires et des le
de 6 mois ; toutes les manifestations de la pellagre. Le contenu du
sang
est le même que dans le cas précédent. 18° Y. 0
0., âgée de 4 ans, Malade 4 mois. Pellagre cutanée intestinale. Le
sang
contient des mononucléaires. 1rJ^ Y. F., âgée d
ans. Malade 1 au de la pellagre. Manifestations de la cachexie. Le
sang
contient beaucoup de mononucléaires. 20° M. K.,
e avait des manifestations cutanées intestinales de la pellagre. Le
sang
coutient beaucoup de mononucléaires menus. 21°
ée ; aujourd'hui il y a quelque temps que la maladie a récidivé. Le
sang
contient beaucoup de gros lymphocytes et des my
nt psychique un mois ; se trouve depuis deux semaines à l'hôpital. Le
sang
contient des leucocytes d'une couleur presque p
lagrique : Depuis un mois à l'hôpital ; deux mois après l'examen du
sang
il en est sorti. Le sang contient beaucoup de lym
à l'hôpital ; deux mois après l'examen du sang il en est sorti. Le
sang
contient beaucoup de lympho- cytes menus et de
ut en peu de temps ; pendant t la maladie on a fait l'examen de son
sang
. Le sang contient beaucoup de gros lymphocytes
de temps ; pendant t la maladie on a fait l'examen de son sang. Le
sang
contient beaucoup de gros lymphocytes avec un c
lymphocytes avec des vacuoles. 25° S. K., psychose pellagrique. Le
sang
a été 'examiné 5 jours après la rentrée. Il mou
nt les manifestations d'une faiblesse progressive avec diarrhée. Le
sang
contient beaucoup de menus et un petit nombre d
s faiblement granulés. 26° D. S., psychose pellagrique. L'examen du
sang
a été fait deux semaines après la rentrée. Il e
la rentrée. Il est sorti. La quantité des petits lymphocytes dans le
sang
Z) s'est augmentée. On a trouvé un myéloblaste.
myéloblaste. 27° M. G,, psychose pellagrique. On a fait l'examen du
sang
10 jours après SUR LA MORPHOLOGIE DU SANG DANS
ue. On a fait l'examen du sang 10 jours après SUR LA MORPHOLOGIE DU
SANG
DANS LA PELLAGRE 97 . la rentrée. Sortie ulté
E DU SANG DANS LA PELLAGRE 97 . la rentrée. Sortie ultérieure. Le
sang
contient de grands lymphocytes, des promyélohla
tes avec ou sans vacuolisation. 28° A. G., psychose pellagrique. Le
sang
a été examiné le jour suivant après la rentrée.
Le sang a été examiné le jour suivant après la rentrée. Sortie. Le
sang
contient de gros lymphocytes, rarement des pro-
yélocytes. - 29° S. S., psychose pellagrique. On a fait l'examen du
sang
5 jours après la rentrée. Le malade tombe gradu
rentrée. Le malade tombe graduellement dans un état d'imbécillité. Le
sang
contient de gros lymphocytes et un petit nombre
petit nombre de promyélocytes. 30° S. B , psychose pellagrique. Le
sang
a été examiné 5 jours après la ren- trée. Sorli
rique. Le sang a été examiné 5 jours après la ren- trée. Sorlie. Le
sang
contient de gros lymphocytes, des promyélocytes,
acuolisés. 31° 0. Fli., psychose pellagrique. On a fait l'examen du
sang
5 jours après la rentrée ; la malade se rétabli
ours après la rentrée ; la malade se rétablit. On rencontre dans le
sang
des grands et des petits lymphocytes, parfois d
vacuolisées. 32° M. R., psychose pellagrique. On a fait l'examen du
sang
25 jours après la rentrée ; le malade est faibl
examen du sang 25 jours après la rentrée ; le malade est faible. Le
sang
contient de grands lymphocytes, un myéloblaste
e ; il est mort d'un court épuisement pel- lageique. On a obtenu le
sang
de la rate tout de suite post mortem ; nous renco
ent une faiblesse progressive après quoique la malade est morte. Le
sang
présente le même tableau que dans le cas précéd
é de coccus est bien moindre. 35° A. G., psychose pellagrique. Le
sang
a été examiné post rnorlem. Le malade était mor
orlem. Le malade était mort d'un accès de faiblesse progressive. Le
sang
obtenu de la rate contient par ci par là les mê
quée par un typhus pellagreux, du- quel il est promptement mort. Le
sang
a été obtenu post mortem. Le sang de la rate pr
quel il est promptement mort. Le sang a été obtenu post mortem. Le
sang
de la rate présente les mêmes phénomènes que da
ènes que dans le cas précédent. 37° M. S., psychose pellagrique. Le
sang
a été obtenu une semaine après la rentrée. La m
emaine après la rentrée. La malade est très inquiète et excitée. Le
sang
contient de grands et gros lymphocytes, quelque
cuolisation nettement exprimée. 38° D. G., psychose pellagrique. Le
sang
a été obtenu le jour suivant après la rentrée.
a été obtenu le jour suivant après la rentrée. Elle est sortie. Le
sang
contient de grands lymphocytes. 39° B. R., psyc
grands lymphocytes. 39° B. R., psychose pellagrique. On a obtenu le
sang
un mois après la ren- trée. Elle est sortie. Le
On a obtenu le sang un mois après la ren- trée. Elle est sortie. Le
sang
contient beaucoup de lymphocytes. 40° A. S., ps
ntient beaucoup de lymphocytes. 40° A. S., psychose pellagrique. Le
sang
a été obtenu une semaine après 98 KOZOVSXY la
e semaine après 98 KOZOVSXY la rentrée. Sortie ultérieurement. Le
sang
contient quelque augmentation des lymphocytes.
augmentation des lymphocytes. 41° S. IL, psychose pellagrique. Le
sang
a été examiné une semaine après la rentrée. Sor
é examiné une semaine après la rentrée. Sortie. On a trouvé dans le
sang
quelque augmentation des lymphocytes. - 42° D
n des lymphocytes. - 42° D. E., psychose pellagrique. L'examen du
sang
a été fait le jour suivant de la rentrée. Sorti
examen du sang a été fait le jour suivant de la rentrée. Sortie. Le
sang
présente une augmentation en nombre des gros ly
gros lymphocytes. 43° 0. D., psychose pellagrique. On a examiné le
sang
un mois après la rentrée. Aucune amélioration d
ang un mois après la rentrée. Aucune amélioration dans la santé. Le
sang
présente une augmenta- tion en nombre des gros
on en nombre des gros lymphocytes. 41° Z. N., psychose. L'examen du
sang
a élé fait un mois après la rentrée. Sortie. Le
e. L'examen du sang a élé fait un mois après la rentrée. Sortie. Le
sang
idem ; quelques myéloblastes. 45° M. B., psycho
éloblastes. 45° M. B., psychose, idem que dans le cas précédent. Le
sang
présente une faible augmentation des lymphocyte
ible augmentation des lymphocytes. 4G, F. P., psychose. L'examen du
sang
a été fait 5 jours après la rentrée.. La malade
été fait 5 jours après la rentrée.. La malade ne se remet point. Le
sang
contient do grands lymphocytes, un ou deux prom
lymphocytes, un ou deux promyélocytes. , 47° A. N., psychose. Le
sang
a été examiné deux semaines après la rentrée. E
la rentrée. Est morte en manifestant une faiblesse progressive. Le
sang
présente une aug- mentation des lymphocytes.
aug- mentation des lymphocytes. 48° B. G., psycliose. L'examen du
sang
a été fait 2 semaines après la ren- Li ée. Les
ée. Les derniers temps la malade était cachectique est malpropre. Le
sang
ne présente rien de particulier. 4')° S. 0.,
e présente rien de particulier. 4')° S. 0., psychose. L'examen du
sang
a été fait une semaine après la ren- trée. Sort
xamen du sang a été fait une semaine après la ren- trée. Sortie. Le
sang
ne présente rien de particulier. 50, G. G., psy
présente rien de particulier. 50, G. G., psychose. On a examiné le
sang
deux semaines après la rentrée. La malade est d
s la rentrée. La malade est dans les derniers temps bien faible. Le
sang
ne présente rien de particulier. 51° A., psyc
ng ne présente rien de particulier. 51° A., psychose. L'examen du
sang
a été fait deux semaines après la ren- trée. Es
semaines après la ren- trée. Est mort d'une paralysie du coeur. Le
sang
présente une certaine auâ mentation des gros ly
. La semaine dernière elle tomba malade d'un typhus pellagrique. Le
sang
contient princi- palement une grande quantité d
ment récents, qui se manifestent sans psy- chose on observe dans le
sang
: des grands et des petits lymphocytes, une qua
ompliqués de psychose, on observe le même ta- SUR LA MORPHOLOGIE DU
SANG
DANS LA PELLAGRE 9U bleu ; mais généralement on
hocytes. 3° Enfin dans les cas d'un typhus pellagrique (cas 2f¡) le
sang
contenait beaucoup de grands lymphocytes avec u
ations obtenues des malades pellagreux à côté des préparations d'un
sang
normal, alors l'augmentation relative des lymph
ut etc... (P. 67, 79) ; la même augmentation; SUR LA MORPHOLOGIE DU
SANG
DANS LA PELLAGRE . 101 des grands lymphocytes p
bien rare. Notons que, d'après « Rechetillo », on y trouve dans le
sang
des pellagreux aussi quelque quantité augmentée d
dans un état plus mûr. Ce fait témoigne la modification présente du
sang
(p, 328). Ferrata joint les cellules de Fürex, ou
cerne la vacualisation des cellules, quoiqu'elle se rencontre dans le
sang
normal, elle possède pourtant une signification
en est particulièrement grand. Ainsi le résultat de modification du
sang
dans la pellagre peut être résumé : dans tous l
res maladies, dans lesquelles on 102 KOZOVXY. SUR LA MORPHOLOGIE DU
SANG
DANS LA PELLAGRE observe le même phénomène, nou
tes est en rapport avec les éléments toxiques qui circulent dans le
sang
. Du moins une conclusion pareille est juste pour
causes. La trouvaille la plus importante c'est la présence dans le
sang
de la raie des para- sites. Je noierai que ces
ction dans une forme âprement exprimée par une accumulation dans le
sang
de grands mononucléaires. Considérons ensuite q
fasse attention à ce que, peut-être, les investigations futures du
sang
répandront, en dét11l, une plus grande clarté s
dique l'état anormal du neurone périphérique soit par altération du
sang
, soit par altération en un point des voies cérébr
tômes rénaux et cardiaques, d'altération des centres nerveux et du
sang
, puisqu'il s'agit d'un homme jeune et robuste d
en 24 heures). Parallèlement, il n'a été possible de doser dans le
sang
que des traces d'acide urique. Cette constatation
égaliques. Nous nous sommes appliqués à étudier systématiquement le
sang
de notre malade. Si l'hématologie de l'acroméga
es résultais concordants. Les modifications des,éléments figurés du
sang
portent, on le sait, le plus souvent sur les él
ces (Vlaieff, Silva. Marie et Marinesco) on a vu apparaître dans le
sang
des hématies nucléées et des myélocytes. Ajouto
lement une légère (1) \LAIFFF, Modifications mo ? to/"<yïf/MM du
sang
d ns Cnciomégnlte et sa mode- fi,afinll biologi
sse Néd., 10 avril 1907, p. 232. (2) SAaItA2ÈB et Bonne*, Examen du
sang
dans l'acromégalie. Bulletin de la Société de b
e de Lyon. Seance du 19 décembre 1s10. (5) SAKORRAPHOS, Examen du
sang
. dans l'acromégalie. Bulletin de la Société de
05, p. 831. 242 . CLUZET ET LÉVY diminution de la masse totale du
sang
, sans modification qualitative ap- préciable de
s rares « moyens mononucléaires ». Le Wassermann pratiqué dans le
sang
, le 3 avril, fut négatif. Une radiographie des
mission à l'hôpital, le malade succombe. La réaction de Wassermann (
sang
, liquide cérébro-spinal) est positive. Autopsie
eil droit et 1/3 pour l'oeil gauche. Le Wassermann pratiqué dans le
sang
et dans le liquide céphalo-rachidien a été néga
tion lombaire donne goutte à goutte un liquide clair avec un peu de
sang
. « Le 8 juillet, une deuxième ponction donne av
ement l'écorce cérébrale pour la circulation de sa lymphe et de son
sang
veineux, alors elle sera empoi- sonnée par ses
eloppement, elle peut entraîner un obstacle sérieux au transport du
sang
veineux et causer ainsi indirectement des attaq
ïe, de l'odorat ou du goût. Réaction de Wassermann négative dans le
sang
et dans le liquide céphalo-rachidien ; réaction
elons lipoïdes ; comme on le sait, les substances antitryptiques du
sang
se composent de la combinaison des lipoïdes avec
g se composent de la combinaison des lipoïdes avec les albumines du
sang
et, par conséquent, au cas d'un processus céré-
re) une augmentation évidente des substances antitryptiques dans le
sang
(Pour de plus amples détails sur les lipoïdes,
sin, la glande thyroïde favoriserait la formation d'alexine dans le
sang
aÏ'\lsi que le pouvoir hémolytique et bactéricide
e dans le sang aÏ'\lsi que le pouvoir hémolytique et bactéricide du
sang
. Walter établit expérimentalement que la régénéra
la rate, les testicules el le cerveau ; par contre, le coeur et le
sang
ne contiennent que peu de ce ferment. L'influen
l (chien) ; dans d'autres cas elle tomba au quart et au tiers. Le
sang
contient peu de nucléase, seulement 1/15 environ
u- coup de nucléase ou bien il faut prendre de grandes quantités de
sang
, car, comme la méthode d'Abderhalden est bien c
- drait la valeur un peu douteuse, si l'on prenait des quantités de
sang
trop petites ; c'est pour cela que la méthode d
si l'on enlevait la glande thyroïde, les qualités antitryptiques du
sang
tombaient au-dessous de la normale. Les qualité
bien regrettable que pour le moment, avec de petites quan- tités de
sang
, la détermination quantitative des ferments comme
nisme : le métabolisme des albu- minoïdes et du sel est diminué, le
sang
devient plus riche en acide carbonique, les mou
les produits toxiques du métabolisme cellulaire circu- lant dans le
sang
. Un de leurs arguments est le fait que la glande
infusion avec une solution physiologique de sel de cuisine, avec du
sang
ou du sérum sanguin, le jeûne, un régime lacté
ées et qu'il.ii'y avait encore que peu ou pas d'antitoxines dans le
sang
; ensuite il s'était formé assez d'antitoxines
carbonate d'ammoniaque en urée). Carlson trouva lui aussi, dans le
sang
des chats atteints de tétanie, une teneur augment
ins, marmottes) de violents spasmes ; on peut dire la même chose du
sang
et-de la sueur (Ardin- Deiltel entre autres). L
reins et la peau, de grandes quantités de toxines. Probablement le
sang
se débar- rasse le premier de ses toxines (rein
peau) et ensuite le cortex cérébral donne une partie des siennes au
sang
, qui à ce moment est for- tement appauvri de to
s, le processus de purification dans les poumons est accéléré et le
sang
est débarrassé,"en tout. cas, de son excès d'ac
es attaques comme des déblayeuses de substances nuisibles : si leur
sang
et leur cortex cérébral sont saturés de toxines
int un certain degré que se produit un refoulement de lymphe et de,
sang
dans les foyers et dans les parties situées au-de
mme une réaction de l'organisme pour se débarrasser des toxines. Le
sang
se débarrasse de' ces toxines au niveau des rei
la peau, plus tard le cortex cérébral en évacue une partie dans le
sang
, à ce moment dépourvu de toxines. 6* Dans l'é
ux pyramidaux, par Coyon et Barré, 81. - Pellagre (Morphologie du
sang
dans la ), par KOZOVSXY, 94. Polydactylie et
ations peu communes chez une dé- mente, par Marchand et Usse, 52.
Sang
dans la pellagre, par RoiovsKr, 94. Sclérose mé
les des mem- bres, 333. KozovsKY (A.-D.l. Sur la morphologie du
sang
dans la pellagre, 94. Lantuéjoul, Souques et BA
ssent à la fois comme agens incitateurs, presidenta la réparti tiondu
sang
, et, par eux-mêmes dirigent l'exercice des foncti
rajet des courans veineux, comme si elle n'était qu'une exsudation du
sang
que renferment ces vaisseaux , C'est cette couche
oler dans les canaux ostéo-fibreux, inextensibles, les grands amas de
sang
noir dont la pression aurait été funeste à la sub
de la non coagulabilité du fluide nutritif, et d'où il résulte que le
sang
défibriné, ou rendu trop fluide, transsude au tra
des liquides épais ou plastiques, le pus dans les abcès profonds, le
sang
dans les lésions des vaisseaux, les matières tube
sertion, vient la théorie des abcès froids et par congestion. Pour le
sang
, en raison de sa plasticité et de la transsudatio
on, ne sont pas moins sensibles chez un même individu, entre les deux
sangs
artériel et veineux. Mais si, déjà, l'infiltrat
t au périnée. Les épancliemensdes divers liquides, soit la bile, le
sang
ou le pus, fusent dans la gouttière lombaire form
estes qu'utiles, dans ce sens qu'il est bien rare que des fluides, le
sang
, le pus, ou la substance cérébrale amollie, excep
orrhagies d'autant plus redoutables, qu'elles fournissent beaucoup de
sang
, et qu'il est souvent très difficile d'en arrêter
x articulaires, dont la dilatation accidentelle facilite le retour du
sang
dans le tronc tibio-péronier, après la ligature o
, et, dans la plupart des cas, est accompagnée ou suivie de pertes de
sang
plus ou moins consi- T. VI. dérables. Consécu
, les moyens de diminuer la douleur, la suspension locale du cours du
sang
, le manuel opératoire, les préoccupations qui con
e de l'appareil est toujours à sa droite. 2° Suspension du cours du
sang
, et moyens de diminuer la douleur. Nous ne faison
es parties à enlever, écarte celles que l'on doit ménager, étanche le
sang
avec l'éponge, fait la ligature des vaisseaux, pr
ppuie juste qu'autant qu'il est nécessaire pour suspendre le cours du
sang
, et une fois l'opération terminée, quand vient le
dre vivement la compression, s'il est besoin d'indiquer par un jet de
sang
une artère que l'opérateur a de la peine à trouve
s élémentaires. La syncope est ordinairement produite par la perte de
sang
, combinée avec la frayeur qu'imprime l'opération
ompagne certaines opérations. Souvent aussi la terreur et la perte de
sang
y contribuent pour une part considérable. Dans ce
ncs brachio-céphaliques. 2° Lue petite quantité d'air mélangé avec le
sang
entraîne d'abord un grand trouble circulatoire; m
ée, les derniers soins du chirurgien consistent à arrêter le cours du
sang
et à procéder à la réunion des parties et au pans
de M. Magendie, sur les causes et les effets de l'incoagulabilité du
sang
, on commence à comprendre le mode de formation de
enti-millimètre), de la denticule moyenne, équivalant à un globule de
sang
, est encore bien considérable relativement à celu
i est située inféricurement, afin d'être moins gêné par l'émission du
sang
dans le cours de l'opération. Les incisions ell
ion a également pour objet de donner issue à des liquides, le pus, le
sang
, la sérosité, ou les divers mélanges qu'ils forme
mbraneuses ; son objet est d'arriver prompteinent et sans effusion de
sang
à isoler, dans une grande étendue, les parties su
ar la circonférence la portion de tumeur dont on suppose que vient le
sang
. Enfin , si à la base de la tumeur se trouvait te
rs éreetiles, fongus hématodes, etc., gorgés d'une grande quantité de
sang
, d'un tissu mou et lâche, facile à déchirer, et d
dant que l'on opère la striction, la tumeur se gonfle sous l'abord du
sang
artériel, qui s'effectue encore, quoiqu'on moindr
'effectue encore, quoiqu'on moindre quantité, tandis que le retour du
sang
veineux est interrompu. Dès que la ligature est f
et absterger avec soin la surface de la plaie, les divers fluides, le
sang
, la sérosité, le pus, dont l'humidité neutraliser
damment de la douleur, pourrait donner lieu à une hé-morrhagie. Si du
sang
fourni par des vaisseaux capillaires s'écoulait a
eur doit être une turgescence avec rougeur déterminée par l'afflux du
sang
et une douleur un peu vive. Cette excitation arti
en contact dans les fractures; à suspendre et à ralentir le cours du
sang
dans le vaisseau principal de la partie sur laque
le plus utile est, sans contredit, comme moyen suspensif du cours du
sang
; il trouvera sa place dans l'hémostatique chirurg
ne végétation vasculaire, un amas de graisse ou de divers fluides, le
sang
, le pus, la sérosité; soit un dépôt morbide donna
néral, la cicatrisation ne s'opère que sur des surfaces perméables au
sang
. Elle s'effectue immédiatement entre les lèvres d
pal et un fait distinct, la certitude de se rendre maître du cours du
sang
passant avant toute autre considération. Pour l
Vigo et F. d'Aquapendente. MOYENS PROPRES A EMPÊCHER L'EFFUSION DU
SANG
, ou HÉMOSTATIQUE CHIRURGICALE. L'hémostatique
clans son acception la plus étendue, s'applique à tout écoulement de
sang
hors des vaisseaux destinés à le contenir. Ainsi,
les tissus très vasculaires, par le fait de la perméabilité, quand le
sang
, incoagulable ou défibriné, est devenu trop fluid
nes et pléthoriques, de l'hémorrhagie passive ou par transsudation du
sang
chez les sujets faibles, scorbutiques et cacochym
. Cette dernière, dont l'effet est d'ajouter à l'excès de fluidité du
sang
qui l'avait causée d'abord, est souvent le désesp
troncs, branches, rameaux d'un volume assez considérable pour que le
sang
soit projeté par saccades isochrones aux batte-me
s diffèrent suivant que la section est plus ou moins complète, que le
sang
peut couler librement au-dehors, ou que sa sortie
ion totale du vaisseau un écartement entre les deux bouts divisés. Le
sang
cependant s'échappe au-dehors ; mais il coule en
oitié cle son diamètre. Lorsqu'on n'a pu se rendre maître du cours du
sang
, soit que le malade se trouve abandonné à lui-mêm
e est d'un grand volume, telle que la carotide, l'axillairc, etc., le
sang
s'écoule immédiatement par un flot considérable j
le ou l'une des tibiales, après une première hémorrhagic abondante le
sang
s'arrête de lui-même; au bout d'un certain temps,
ériences de M. Magendie, la fluidité progressive par défibrination du
sang
devant avoir pour effet naturel d'abord la tendan
2° Sections variées avec obstacle à l'issue du liquide. Lorsque le
sang
ne peut se foire jour au-dehors, il s'infiltre da
des vaisseaux. Bell admet que ce phénomène est dû à l'épanchement du
sang
dans le tissu cellulaire voisin. Le docteur Jon
e dénomination toutes les artères d'un assez petit volume pour que le
sang
en jaillisse par un jet sensiblement continu, lor
etites hémorrhagies, d'autant qu'à mesure que, par la soustraction du
sang
, ce liquide devient aqueux. l'hémorrhagie récidiv
le plus tôt possible les moyens propres à s'opposer à l'écoulement du
sang
. lésion des capillaires. L'hémorrhagie traumati
écutive. Cependant il est une espèce d'hémorrhagie capillaire où le
sang
peut être fourni en nappe , dans une abondance as
s communes de celles qui proviennent des capillaires ; la quantité de
sang
qu'elles fournissent et la fréquence de leurs réc
lume. L'hémorrhagie veineuse se reconnaît à certains signes : i° Le
sang
est d'une couleur brune rougeâtre, très différent
st d'une couleur brune rougeâtre, très différente du rouge vermeil du
sang
artériel. i° Le liquide, au lieu de sortir par sa
ement des parois en regard, et conséquemment de suspendre le cours du
sang
par une oblitération provisoire. Quel que soit le
ement la compression, pour indiquer, dans l'intervalle, par un jet de
sang
, une artère difficile à trouver. i°. Compressio
blis et très irritables, où l'on doit éviter le moindre écoulement de
sang
et de trop vives douleurs. En opposition, le ga
rculation des veines comme celle des artères, et de faire pleuvoir le
sang
veineux à la surface de la plaie tant que dure la
uspendre et rétablir la pression, s'il est besoin de donner un jet de
sang
; (e) comme conséquence de la pression des nerfs e
errompre la circulation sur le bout terminal est motivé par le jet de
sang
en retour que fournissent fréquemment les anastom
it être ménagée avec lenteur, en se contentant de diminuer l'abord du
sang
artériel sans l'interrompre entièrement. Artère
impraticable; (b) Lorsque, le grand tronc artériel étant comprimé, du
sang
est fourni par des branches provenant d'autres or
ns. Enfin, dans certains cas d'ablation de tumeurs qui fournissent du
sang
en nappe par un grand nombre de petits vaisseaux,
nnaît deux causes principales : i° Un obstacle mécanique au retour du
sang
vers le cœur, et ordinairement, dans les opératio
t ou le compresseur; il suffit alors, pour faire cesser l'effusion du
sang
, d'enlever ou de diminuer la compression. 2° Une
ncipale, le premier soin du chirurgien est d'obvier à l'écoulement du
sang
par les orifices béans des vaisseaux flivisés. Po
tions, comme moyen subsidiaire pour diminuer ou suspendre l'afflux du
sang
, combinée avec la compression directe, lorsqu'on
ment trop lâche, l'artère, qui n'est plus assez comprimée, fournit du
sang
. Ces inconvéniens de la ligature médiate sont cau
gnalées d'elles-mêmes, pendant le cours de l'opération, par un jet de
sang
sur lequel un aide a dû appliquer le doigt ; leur
ession du tronc principal. Reste une artère connue, ne donnant pas de
sang
, et qui n'aurait pas pu être trouvée ; suspicion
successivement, souvent il arrive néanmoins qu'il s'échappe encore du
sang
en nappe, toute compression étant enlevée. Dans l
g en nappe, toute compression étant enlevée. Dans la suspicion que ce
sang
soit fourni par de petites veines, on fait faire
gus, de tumeurs érectiles et cancéreuses; en un mot, toutefois que le
sang
s'écoule en nappe par une surface très étendue. L
calibre, rompue par arrachement, ne donne lieu à aucun écoulement de
sang
. La cause de ce phénomène gît dans la rétraction
u'à ce dernier nombre. Renversement. Pour mire obstacle au cours du
sang
et faciliter la formation d'un caillot, on a imag
dont le résultat serait de rendre le vaisseau impropre à recevoir le
sang
, quoique non oblitéré. Le procédé d'introduction
ILLAIRE. Après la ligature de toutes les artères qui fournissent le
sang
en saccades, il est assez commun cpie ce liquide
as assez forte pour empêcher d'appliquer l'appareil. Au suintement de
sang
succède une exsudation de lymphe coagulable; puis
malades au contraire, précédemment très affaiblis et chez lesquels le
sang
n'exsude que parcequ'il est devenu trop fluide, l
utes les substances molles, spongieuses, susceptibles de s'imbiber de
sang
, ou des poudres inertes pouvant former avec ce li
charpie, imprégnés de colophane qui se mêle et sèche en magma avec le
sang
, se transforment en une masse à mille pointes sol
enduit de gomme arabique. 8° Le vaccin se mêle difficilement avec le
sang
. Examen microscopique. Sous le microscope, à un
ffleuré; la blessure des capillaires serait suivie d'un écoulement de
sang
qui pourrait rejeter le vaccin hors de la plaie.
rictionne avec un linge imbibé de vinaigre pour y appeler l'afflux du
sang
, pui? on applique l'emplâtre vésicatoire, que l'o
contraire la turgescence bleuâtre du lambeau, due à l'accumulation du
sang
noir, qui survient dans les premières heures, le
e peu d'artérioles qui existent dans le lambeau y faisant pénétrer du
sang
en plus grande proportion qu'il n'en revient par
vacuation de liquide, ce sont les ventouses simples; ou avec issue de
sang
au dehors, ce sont le bdellomètre et les sangsues
on générale : soit par l'ensemble des capillaires, sans évacuation de
sang
, ce sont les grandes ventouses de M. Junod; soit
TIONS QUI AGISSENT SUR LA CIRCULATION LOCALE. i° Sans évacuation de
sang
. VENTOUSES SIMPLES. L'application de toute vent
dérivatif ou révulsif, et s'appelle ventouse sèche. Ou l'on évacue le
sang
au dehors au moyen d'incisions superficielles à l
proportionnée à la diminution de la pression. 20 Avec évacuation de
sang
. VENTOUSE SCARIFIÉE. Elle ne diffère de la pr
leur lieu, pour faciliter le saignement, on applique la ventouse : le
sang
pleut immédiatement à la surface par toutes les c
ion élastique, l'équilibre de pression ne tarde pas à se rétablir, le
sang
ne coule plus et la cloche se détache. C'est ici
es succions répétées, à mesure que la pression diminue, de remplir de
sang
la cavité de la cloche. Cet effet obtenu, l'équil
dent volontiers; mais leur piqûre n'est pas suivie d'un écoulement de
sang
assez abondant. Du reste, les caractères les plus
u siège de la maladie, de son étendue, et par conséquent du volume de
sang
que l'on doit ou que l'on peut évacuer. ( tomme é
gement de l'opérateur, il estbon de savoir quelle quantité moyenne de
sang
fournit une sangsue. On l'a évaluée à deux ou tro
trois gros, approximation assez exacte en tant qu'elle comprend et le
sang
absorbé par l'annélide et celui qui coule de la p
piqûre. D'après M. Moquin-Tandon, une sangsue aspirerait un poids de
sang
égal au sien. M. Vernière a modifié cette évaluat
trois dimensions donne soixante-dix grains ou sensiblement un gros de
sang
pompé par chaque sangsue pendant !e temps de la s
on peut considérer chaque plaie comme donnant lieu à un écoulement de
sang
qui estime fois et demie la quantité absorbée par
'autre, deux gros et demi représenteraient définitivement le poids de
sang
évacué par chaque sangsue ; ce qui fait sensiblem
llaire à des âges opposés , on conçoit que, pour une même quantité de
sang
évacué, le nombre de sangsues devrait être diminu
sucrée, pour l'humecter et en enlever les impuretés : on y attire le
sang
par des frictions. Application. i° A la surface
ns ou des cataplasmes émolliens. Si l'on veut obtenir une quantité de
sang
un peu considérable, il faut avoir soin d'enlever
d'enlever de temps en temps les caillots. A l'aide de ces moyens, le
sang
continue souvent plusieurs heures de couler en na
s assez, d'autrefois, au contraire, l'écoulement trop considérable du
sang
constitue une véritable hémorragie, et l'affaibli
que la ventouse. Il agit ainsi à deux ou trois fois jusqu'à ce que Ie
sang
.ne coule plus. Ce procédé, en lui-même, est asse
, en lui-même, est assez singulier , car il s'appuie, pour arrêter le
sang
, sur un moyen employé pour en faciliter l'écoulem
t déjà très affaibli, son premier effet étant un nouvel écoulement de
sang
cpii peut être d'autant plus considérable que ce
ons qui agissent sur la circulation générale. i° Sans évacuation de
sang
. GRANDES VENTOUSES. (Pl. 28.) Jusqu'à ce jour
t, clans une étendue considérable du système capillaire, une masse de
sang
d'une à plusieurs livres , que l'on retient tempo
membres ou à la surface et d'y retenir à volonté plusieurs livres de
sang
! Or, si cet effet n'est pas niable, pensez-vous
nt d'être adopté par le Conseil des Hôpitaux. 2° Avec évacuation de
sang
. PHLÉBOTOMIE. La phlébotomie est l'opération
e plaie à une veine dans le but thérapeutique de diminuer la masse du
sang
générale ou locale. Appareil. i° L'instrument s
une veine superficielle, et lorsqu'on veut donner une large issue au
sang
. La seconde espèce, ou à grain d avoine, forme un
gature de drap rouge ou simplement de linge, un vase pour recevoir le
sang
, une compresse avec une autre bande roulée pour l
et dont le volume est assez considérable pour fournir la quantité de
sang
voulue. Comme réunissant plus complètement ces co
appliquée en travers ou à plat, des pressions graduées, en amenant le
sang
des rameaux vers le tronc sur lequel on agit. D
veine, qui paraissait d'un certain volume, fournit d'abord un flot de
sang
volumineux qui n'est suivi que d'un mince fdet, q
onne les tégumens après l'incision, le parallélisme est détruit et le
sang
s'infiltre dans le tissu cellulaire. Pendant ce t
in, par des pressions légères des rameaux vers les troncs, refoule le
sang
vers les parties supérieures; le pouce alors s'ab
environ au-dessous de la ligature, comprime la veine distendue par le
sang
et la maintient immobile. La main qui doit saigne
rapide extension des doigts on perce subitement jusqu'à la veine : le
sang
jaillit aussitôt sur les côtés de la lame. Ce pre
n de la peau forme la base élargie, et la veine le sommet tronqué. Le
sang
jaillit au dehors aussitôt que l'on retire la lan
i fait environ cinq palettes. Lorsque l'on juge qu'on a tiré assez de
sang
, on applique sur la plaie le pouce de la main qui
constances influent sur l'abondance et la rapidité avec lesquelles le
sang
est chassé au dehors. Les principales sont : i° L
la veine. La plaie longitudinale du vaisseau ne produit qu'un jet de
sang
faible et qui s'arrête promptement. Les plaies en
cle la plaie. Lorsque l'incision cutanée est trop étroite, le jet du
sang
est très délié; ce liquide se coagule, bientôt à
ions brusques, que clans un moindre laps de temps la même quantité de
sang
s'est écoulée avec plus de rapid ité. 5° Le degré
constriction de la ligature. Elle doit être modérée : trop faible, le
sang
suit son cours habituel et sort à peine par la pl
bstacles à l'opération. Fréquemment il arrive,après la piqûre, que le
sang
ne vient qu'en très petite quantité ou qu'il n'en
quantité ou qu'il n'en vient pas du tout. L'incision sans émission de
sang
est nommée vulgairement saignée blanche. Cet acci
picpier ailleurs. Les causes qui amènent la suppression du jet cle
sang
sont assez nombreuses, i" La ligature est trop se
par tâtonne-înens. 70 Chez les malades pusillanimes, la suspension du
sang
reconnaît souvent pour cause l'émotion. On doit a
ration, mais alors, crainte de syncope, il vaut mieux tirer moins cle
sang
à la fois, sauf à pratiquer plus tard une nouvell
iquer plus tard une nouvelle saignée. Enfin, il n'est pas rare que le
sang
se supprime sans cause connue. On rapporte assez
émotion du malade, ou elle est produite par la perte considérable cle
sang
. Dans les deux cas, on asperge de l'eau froide au
rolapsus du cœur. Ecchymose ou thrombus. L'infiltration sanguine du
sang
veineux est rarement assez considérable pour donn
vient plus souvent encore lorsqu'on arrête brusquement un fort jet de
sang
par compression directe du pouce sous l'influence
brusquerie ni lenteur. L'incision faite, on facilite l'écoulement du
sang
en ordonnant au malade de tourner entre ses droit
assure, de temps à autre, en amenant le pied au dehors, que le jet de
sang
continue. L'inconvénient de la saignée dans le ba
n facilite la réplétion de la jugulaire, et par suite l'écoulement du
sang
, en faisant faire au malade des mouvemens de mast
long, mais utile dans certains cas. La piqûre faite, ordinairement le
sang
s'écoule en nappe; on le reçoit sur une carte plo
nde, un peu serrés, suffit ordinairement pour arrêter l'écoulement du
sang
. Dans les cas néanmoins où l'hémorragie continue,
le à pratiquer et dangereuse par la difficulté de se rendre maître du
sang
. M. Janson a généralisé cette indication en propo
ù ce moyen peut être employé, de saigner les veines qui rapportent le
sang
d'une partie enflammée; toutefois si ce précepte
alique du pouce. Les veines de l'avant-bras peuvent encore fournir du
sang
suffisamment pour une saignée; mais il n'en est p
une bande, des éponges, de l'eau tiède, un vase destiné à contenir le
sang
, une carte roulée en gouttière pour diriger le fl
en retirant à soi de manière à couper l'artère en travers. Un jet de
sang
rouge, saccadé et isochrone aux battemens du cœur
indicpie la section du vaisseau. Lorsque l'on a obtenu la quantité de
sang
voulue, on en arrête la sortie en comprimant avec
serrés suffisent ordinairement à empêcher tout écoule- 38 ment de
sang
ultérieur. Parfois, cependant, L'hémorragie conti
ntolérable, peut avoir les effets les plus graves par la rétention du
sang
veineux, qui reproduirait précisément la congesti
que plus étroite; l'écartement, outre qu'il favorise l'écoulement du
sang
, facilitant les recherches et les manœuvres du ch
remier genre sont: la phlébotomie, déjà décrite, et la transfusion du
sang
que l'on a commencé à réhabiliter dans ces dernie
le traitement des varices et des ulcères variqueux. Transfusion du
sang
. Ce n'est pas sans une grave hésitation que nou
s pu songer à ranimer un malade par l'injection, dans ses veines , du
sang
artériel d'un animal. Le liquide doit être dû san
ns ses veines , du sang artériel d'un animal. Le liquide doit être dû
sang
humain pris sur un individu sain et jeune ou au m
aide au-dessous et au-dessus : au-dessous pour empêcher la sortie du
sang
en retour, et au-dessus pour fermer à l'air l'acc
e à trente-cinq degrés centigrades, à peu près équivalente à celle du
sang
dans les veines des membres. Le tube de la sering
l'air, de coiffer préalablement une canule avec l'autre, pour que le
sang
, arrivant immédiatement à l'orifice du tube de ca
que, chasse l'air, par la pression du piston, pour faire affleurer le
sang
à l'extrémité du tube et insinue le bec de gomme
occasionner un choc trop fort au dedans du vaisseau. A mesure que le
sang
pénètre, on facilite sa transmission dans les vei
avec beaucoup de rapidité. C'est surtout à recevoir et à injecter le
sang
que l'on doit se hâter pour ne pas donner le temp
ue nous avons indiquées. Ordinairement il suffit de quatre onces de
sang
pour prévenir une syncope mortelle par anémie. Né
prévenir une syncope mortelle par anémie. Néanmoins si la quantité de
sang
ne parait pas suffisante, on a recours à une nouv
temps différens et qui consiste à faire évacuer, par la pression, le
sang
qui gonfle les vaisseaux variqueux. L'évacuation,
iste. Les veines étant coupées en travers, on exprime par pression le
sang
qu'elles contiennent et on panse à plat avec de l
er le parallélisme avec la section de la peau et faciliter l'issue du
sang
au dehors. On fait ainsi plusieurs incisions sur
bre de vaisseaux, de manière à restreindre les voies circulatoires du
sang
veineux, il y a à craindre l'œdème du membre. T
a peau et un peu de tissu cellulaire, etn'empêche pas l'ondulation du
sang
dans la veine; la seconde application se fait, tr
une oblitération temporaire, et, après quelques mois, l'ondulation du
sang
clans le vaisseau ne tarde pas à prouver sa permé
oide, que l'on maintient appliquée quelques secondes pour absorber le
sang
et nettoyer complètement la surface des tissus, p
l'extension du pied. Sur le vivant, le fouettement des muscles et le
sang
épanché rendent tellement difficile la recherche
e qui suit : en dedans et en bas, la veine axillaire qui se gonfle de
sang
à chaque expiration ; cette veine est recouverte
d nombre de vaisseaux; et quelque soin que l'on mette à absterger, le
sang
néanmoins qui recouvre les parties en rend la dis
crochet mousse. Ordinairement, des artérioles coupées fournissent du
sang
; les lier, s'il est besoin, ou les rejeter latéra
ans une plaie directe, peu profonde ou largement ouverte, et alors le
sang
s'écoule entièrement au dehors; 2° ou la plaie ét
la plaie étant étroite et oblique, le parallélisme'est détruit et le
sang
s'épanche et s'infiltre entre les tissus. Ce dern
nte, c'est de déterminer dans quel cas il convient de donner issue au
sang
épanché. Le liquide infiltré dans le tissu cellul
ature, il a été établi en principes généraux : i0 Si la quantité de
sang
épanché est peu considérable on en abandonne la r
mpression et l'application de topiques résolutifs. 2° Si le volume de
sang
épanché est considérable, on se conduit différemm
édiaire d'une veine à une artère blessées en commun, donne passage au
sang
de l'une dans l'autre ; et l'anévrisme proprement
ou anévr1sme PROPREMENT DIT. La dilatation des tubes vasculaires à
sang
rouge, qui joue un si grand rôle dans l'histoire
a pour conséquence favorable la diminution de la force d'impulsion du
sang
, d'un autre côté il résulte positivement des effe
nces directes de M. Magendie, qu'il a pour effet la fluidilication du
sang
, condition en apparence très défavorable au trava
'anévrisme, on ouvrit largement le sac et on le vida soigneusement du
sang
et des concrétions fibrineuses qu'il contenait; o
dessous; diviser ensuite dans toute la longueur du kyste, le vider du
sang
et des caillots fibrineux qu'il contient, laver e
des accidens des piqûres, et sans qu'il s'écoule une seule goutte de
sang
. En procédant avec lenteur et ménagement, on arri
nt n'incise davantage. Le pus s'écoule aussitôt, mélangé de stries de
sang
en quantité proportionnée à la vascularité de la
les points où ils offrent le plus de volume et de saillie. Un flot de
sang
s'écoule, qui détermine aussitôt l'affaissement d
e, l'ouvrir, par une petite incision latérale, pour en faire vider le
sang
par la plaie. Comprimer circulairement avec une é
fine, de la circonférence vers le centre, pour achever d'exprimer le
sang
contenu dans les canaux ou les aréoles du tissu v
a tumeur afin d'y maintenir une compression permanente qui empêche le
sang
d'y aborder; faire cesser alors la compression du
ais depuis il y a renoncé. Dans le premier moment aucun écoulement de
sang
n'a lieu, l'épingle remplissant exactement son tr
et la plus redoutable. L'objet que l'art se propose est d'empêcher le
sang
d'arriver à la tumeur par la section ou la ligatu
valle. 8° Si le lieu de l'opération permet de suspendre le cours du
sang
par la compression temporaire du tronc artériel p
, comme à la tête où le danger est d'autant plus grand que souvent le
sang
coule par des artères coupées encastrées dans des
ère. Elle donne lieu ordinairement à l'issue de fluides bouillonnans,
sang
, sanie, pus, que l'on absterge prornptement de la
omme opération, et sur l'expérience démontrant que des épanchemens de
sang
ont pu se résorber complètement par un traitement
uteurs prétendent pouvoir reconnaître à la sciure rouge et imbibée de
sang
qu'on divise le diploé, et plus tard à la sciure
le cadavre, cette distinction est impossible sur le vivant à cause du
sang
qui s'écoule et rougit toutes les parties. Il con
e sternum avec succès pour donner issue à desépanchemens de pus ou de
sang
développés clans le médiastin; aujourd'hui des fa
des pinces à torsion, pour tordre les artérioles qui fourniraient du
sang
. 3° Des bandes, des compresses, des lanières de
ès doit toujours être muni d'eau et d'épongés fines pour absterger le
sang
, afin de reconnaître la couleur des os. Il est ég
ion, lier ou tordre successivement les artérioles qui fourniraient du
sang
et gêneraient l'opérateur. Pansement. Il consis
iculation étant mise à découvert, lier les artères qui fournissent du
sang
; puis, saisissant la cuisse, la porter en dedan
de l'orbite. Pansement (pl. 64, fig- 4)- artères qui fournissent du
sang
ayant été tordues ou liées et la partie convenabl
evée, en ce qu'elle expose moins à la suffocation par l'écoulement du
sang
dans l'arrière-gorge ; et par la rétraction convu
s parties molles sont tordus ou liés; si l'artère dentaire fournit du
sang
, on l'arrête avec une petite boulette de cire ou
nsuite les chairs du mollet afin d'éviter une trop grande effusion de
sang
, remontait les chairs avec la manche afin de coup
il faut tailler le dernier, afin d'éviter une trop grande effusion de
sang
. Modifications diverses. Elles sont en grand no
ent les gros vaisseaux ; on évite ainsi au malade une grande perte de
sang
, et à l'opérateur une gêne véritable. C'est exact
minales d'anastomose radiale et cubitale, mais qui peuvent fournir du
sang
de chaque côté et doivent être liées. La plaie, d
es peu usitées, 148, 149. = Artériotomie , 149, 150. Transfusion du
sang
, 150, 151. = Varices : procédés de compression, 1
platissement étant suffisante pour réduire presque à rien le cours du
sang
, la compression des autres organes, mais surtout
ilité trop évidente de pouvoir se rendre maître à volonté du cours du
sang
dans le membre thoracique, surtout d'après la rem
umens (b), en saillie dans son intérieur, et donnant lieu à un jet de
sang
par chaque piqûre, (c) est un robinet latéral, au
, fermée par un bouton (i). Cet orifice est destiné à donner issue au
sang
et à la vapeur sanguine renfermés dans l'intérieu
son de son petit volume la branche artérielle ne fournit pas assez de
sang
, on a proposé (voyez dans le texte) d'inciser au-
te en dessins, montre clairement les voies par lesquelles le cours du
sang
s'est effectué de l'artère iliaque primitive dans
umeur, que les mouvemens du biceps ont fait graduellement remonter le
sang
entre ce muscle et le brachial antérieur, et ont
l est placé sous la première branche digitale, qui pourrait donner du
sang
en retour par son anastomose avec l'arcade profon
ulaire, de manière à pouvoir, au besoin, se rendre maître du cours du
sang
. La lumière est donnée par un aide de gauche de l
, dans le cas assez ordinaire où il est nécessaire de donner issue au
sang
ou au pus épanché à la surface de l'hémisphère cé
encore l'artère fémorale sur le pubis pour empêcher l'écoulement du
sang
par les petites artères, les troncs principaux n'
eau, les vaisseaux fémoraux , et suspendre provisoirement le cours du
sang
. Au dernier temps de l'opération, représenté sur
dans les opérations sur de grandes surfaces, pour éviter la perte du
sang
, après les sections terminées, va de suite à la r
ressort fixe; de manière que, faisant cesser toute compression, si le
sang
ne coule de nulle part, il n'a plus qu'à tirer à
matin au soir. Écou-lement d'un liquide fétide par le vagin ; pas de
sang
. Traitement ut supra. 18 octobre. Pas de change
ie avec un stylet, sans en retirer aucun corps étranger, et, comme le
sang
sortait abondamment, on fit une compression avec
jaune médiocrement foncé, et ne paraissant pas contenir de pus ni de
sang
. On recueille environ 50 grammes de ce liquide da
de la sensitive, sur le tic, le tournoie-ment, sur la transfusion du
sang
, etc. MM. Bert et Jolyet nous ont donné deux mémo
rde et Leven; nous trouvons aussi des remarques sur la transfusion du
sang
, présentées par M. Brown-Séquard, à propos d'une
eure, les vei-nes iliaques et utéro-ovariennes sont distendues par du
sang
noir en partie fluide, en partie coagulé. — La su
heures 20 minutes) : P. 124; T. V. 59°,5, La ma-» lade a perdu peu de
sang
. 5 heures. Pas d'accès depuis l'accouchement. P
libre des lèvres, les gencives présentent des croûtes brunes, sèches (
sang
et mucosités). La langue est gonflée, turgescente
ante, excision qui ne provoque aucune douleur et pas d'é-coulement de
sang
. Application de compresses humectées d'eau fraî
iculté ; l'iris qui fait hernie est excisé, et une petite quantité de
sang
s'épanche dans la chambre antérieure ; elie en es
ant-bras droit qu'il tranchait d'un coup de sabre, faisant jaillir le
sang
de toutes parts. A ce moment, elle bondit sur son
Urémie ; attaques éclamptiques, coma, mort. — Altération urémique du
sang
; lésions cérébrales. — Héloïse Watre-metz, 56 ans
rsent encore le corps. L'haleine expirée est chargée d'ammoniaque. Le
sang
d'une saignée contient, pour 100 grammes, 172 mil
mation locale il se forme des produits de dénutrition absorbés par le
sang
et portés par lui dans toute l'économie. Ces prod
la température du corps, M. Hirtz signale certains états toxiques du
sang
entravant l'oxydation chez les ivrognes, et surto
pliquer tant par l'évacuation du pus lui-même que par l'écoulement de
sang
auquel elle peut donner lieu. Mais cette rémissio
, rempliront cette indication. BIBLIOGRAPHIE De la transfusion du
sang
défibriné. Nouveau procédé pratique, par de Bel
époque où Jean Denis pratiqua pour la première fois la transfusion du
sang
sur l'homme, grand nombre d'auteurs se sont occup
ce, et que nous pouvons réunir sous forme de propositions : I. — Le
sang
, recueilli et mis en contact avec l'air à une tem
es globules rouges saturés d'oxygène sont le principe revivi-fiant du
sang
. La fibrine n'est pas une partie essentielle. C'e
troduction de caillots dans la circulation, que l'on doit préférer le
sang
dé fibrine ci celui qui con-tient encore sa fibri
sang dé fibrine ci celui qui con-tient encore sa fibrine. III. —Le
sang
dé fibrine d'une espèce, transfusé à un individu
a transfusion, révivifier le système nerveux affaibli par la perte du
sang
; il remplit toutes les fonctions du sang primitif
eux affaibli par la perte du sang; il remplit toutes les fonctions du
sang
primitif normal et en subit toutes les lois physi
physiologiques. De la même façon, on peut combattre une altération du
sang
en pratiquant une déplélion préalable et remplaça
ration du sang en pratiquant une déplélion préalable et remplaçant le
sang
vicié par du sang sain. IV. — Le sang des anima
pratiquant une déplélion préalable et remplaçant le sang vicié par du
sang
sain. IV. — Le sang des animaux peut révivifier
on préalable et remplaçant le sang vicié par du sang sain. IV. — Le
sang
des animaux peut révivifier, mais seulement d'une
présenté à la Société de chirurgie, le 20 décembre 1865, pense que le
sang
d'un animal peut être transfusé à un animal d'une
et non avec la seringue, car dans ces cas on évite la coagulation du
sang
, coagulation qui expli-que les phénomènes convuls
dans les vaisseaux d'embolies multiples résultant de l'injection d'un
sang
en partie coa-gulé. M. Brown-Sôquard pense égal
s animaux de différentes espèces. A propos d'un cas de transfusion du
sang
dont M. Thaon a fait part à la Société de biolo-g
février 1869), ce professeur a rappelé qu'il avait démontré que le
sang
d'un animal de la même espèce n'est pas né-cessai
anière définitive, des chiens exsan-gues, au moyen d'une injection de
sang
de batraciens, d'anguille, d'oiseau, etc. Sans do
; mais il n'en est pas moins vrai qu'on peut réussir en employant le
sang
d'animaux d'espèces fort éloignées ; à l'homme, i
x d'espèces fort éloignées ; à l'homme, il est inu-tile d'injecter du
sang
humain : le sang d'un mammifère, tel que le mouto
éloignées ; à l'homme, il est inu-tile d'injecter du sang humain : le
sang
d'un mammifère, tel que le mouton, par exemple, s
on de très-près, et il n'admet pas l'innocuité dans la transfusion du
sang
pro-venant d'animaux de différentes espèces; pour
on peut rétablir l'activité des nerfs et des muscles, mais bientôt le
sang
est évacué en partie par hémorrhagie, ou en parti
i-tion des globules et des sécrétions urinaires. Quand la quantité de
sang
transfusé est un peu considérable, elle amène rap
devra surtout éviter : la présence de corps étrangers venant salir le
sang
; la formation des caillots ; l'introduction de l'
emi de diamètre. Ce flacon est construit pour recevoir 250 grammes de
sang
. 2° Une pompe à air comprimé, composée de deux
eil terminée, voici comment on procède. On commence par défibriner le
sang
à l'aide de baguettes de verre tordu ; puis on le
e incision d'un cen-timètre de long. Lorsque l'on s'est assuré que le
sang
du flacon est bien en communication avec le troca
ha-que pression sur le ballon fait venir environ 20 à 30 grammes de
sang
que l'on fait couler dans la veine d'une façon sû
doit demander, et c'est ce qu'il faut chercher, car la transfusion du
sang
est avant tout une opé-ration physiologique par e
t des moyens appropriés. Déjà avec cet appareil, et en employant du
sang
défibriné, M. de Belina a obtenu trois succès cer
as d'anémie profonde, suite d'hé-morrhagie utérine. La transfusion du
sang
peut encore être em-ployée dans d'autres cas, et
efficace. M. de Belina préconise avec conviction la transfusion du
sang
; il la croit appelée, et nous sommes de son avis,
serait à désirer que les nouvelles expériences sur les pro-priétés du
sang
, ainsi que sur la transfusion, servissent d'encou
ères, se dérangent; la malade a de temps en temps des vomissements de
sang
; son ventre est le siège d'un ballonnement consi
econd calcul, pesant un peu plus de 40 milligrammes, était souillé de
sang
à l'extérieur, parce qu'il avait été chassé d'un
Le lendemain, après quelques tentatives inutiles pour avoir encore du
sang
de cette seconde saignée, engourdissement et four
la rate, d'ailleurs, est toujours accompagnée de la présence dans le
sang
de matière pigmentaire que l'on trouve souvent au
e ancienne tradition, il se formerait parfois dans la rate et dans le
sang
de la veine porte des matières noires pouvant dev
on observa des affections où il se forme dans la rate, aux dépens du
sang
dé-composé, des substances noires que l'on retrou
n sombre des organes dépendait d'une accumula-tion du pigment dans le
sang
. Un peu plus tard, Heschl et Planer continuèren
s glandes lymphatiques. —Le pigment existe aussi en abondance dans le
sang
qui le porte dans les divers organes et les tissu
i fut lié et coupé, mais les malades perdirent une quantité énorme de
sang
pendant la dissection ; les veines su-perficielle
t le reste. Le malade, que nous avons vu opérer, perdit très-peu de
sang
; malgré l'état de cachexie dans lequel il se tro
étéchies au cou, au dos et au ventre. Le canal vertébral est gorgé de
sang
; les enveloppes de la moelle sont pâles ; la moel
sanguins d'un volume tel, qu'à la coupe il en sort des caillots et du
sang
liquide ; ils sont surtout volumineux au sommet d
anifestement fluctuante ; une ponction exploratrice en fait sortir du
sang
noir collecté au sommet de la tumeur (4 oc-tobre)
en. Cette ablation s'est effectuée sans trop cle difficulté; peu de
sang
a coulé, quelques ligatures ont été jetées sur de
e 5 centi-mètres venait d'être achevée, lorsqu'une grande quantité de
sang
noir, sortit à travers les lèvres de la plaie. On
es, M. Trélat met immédiatement son doigt à l'endroit d'où sortait le
sang
; il l'y maintient, pendant qu'on essayait de rani
sus de la lumeur. Le tronc de la veine jugulaire externe est gorgé de
sang
noir jusqu'à son embouchure dans la sous-cla-vièr
ant de nombreuses sinuosités à la partie anté-rieure du médiastin. Le
sang
noir qu'elle contenait était divisé en plusieurs
vrit sous l'eau ce ventricule; il sortit une quantité considérable de
sang
, mêlé à six ou huit bulles d'air qui venaient écl
xécutée sur le ventricule gauche et l'auricule ne donna issue qu'à du
sang
. Le cœur n'est nullement putréfié. La veine cardi
'est nullement putréfié. La veine cardiaque antérieure est remplie de
sang
noir. La postérieure est éga'ement pleine de sang
eure est remplie de sang noir. La postérieure est éga'ement pleine de
sang
, mais, vers la partie moyenne de son trajet, on r
n : les veines iliaques, porte et cave inférieure, sont remplies de
sang
noir épais, mais ne contiennent pas de bulles d'a
ation de volume de la rate produite par l'accumu-lation temporaire du
sang
dans l'organe, sans altération de tex-ture. I.
quelquefois un peu plus ferme en raison de la quantité plus grande de
sang
emprisonné dans les espaces vasculaires. —La coul
autres. D'une manière générale, comment se fait cet afflux exagéré du
sang
vers la rate pendant ces maladies? « Dépend-il d'
nous ignorons. » Un fait tout aussi obscur, c'est la manière dont le
sang
infecté peut altérer la tonicité du pa-renchyme s
i ceux-ci, principalement dans la rate vu son extrême sensibilité, du
sang
que l'ischémie de la peau fait refluer vers les p
de gêne mé-canique, alors qu'elle est très-commune chaque fois que le
sang
est altéré dans l'économie. IV. Symptômes et di
es symptômes surtout dans des maladies générales avec intoxication du
sang
, puisque nous avons vu que les maladies lo- cal
des maladies paludéennes toxiques, septi-ques, ou des altérations du
sang
auxquelles les fébrifuges et les antiseptiques co
de structure spongieuse, peu résistant, habituellement pénétré par du
sang
, de sorte que la rougeur, la congestion ne sont p
friable ; le pa-renchyme est plus serré, il paraît comme infiltré de
sang
noirâtre coagulé, et déjà on remarque, par places
is de la substance ra-mollie de la rate, des fragments de fibrine, du
sang
; cela est vrai dans un grand nombre de cas, mais
e et la section de quelques tractus. Il ne s'écoula pas une goutte de
sang
. La plaie qui en résulte a un bon aspect. Un peti
se produit dans sa cavité. Dans le cas actuel, il est probable que du
sang
s'est épanché dans l'articulation de l'épaule, et
grande partie par les vaisseaux de la tumeur, amène un écoulement de
sang
assez abondant, qu'on arrête facile-ment en maint
ement, sinon distendue, du moins remplie par une quantité variable de
sang
plus ou moins fluide. Le plus souvent, c'est l'hy
uvent, c'est l'hypo-chondre gauche qui est occupé par des caillots de
sang
noir, entourant et masquant quelquefois l'organe
. Quelquefois les caillots occupent le petit bassin. La quantité de
sang
épanché est plus ou moins considérable, depuis qu
: le tissu cellu-laire sous-périlonéal est ordinairement infiltré de
sang
. On peut trouver des traces de péritonite partiel
tre heures, il est curieux de constater l'innocuité de la présence du
sang
à la surface d'une séreuse, sous le rapport de l'
ite aiguë, par Scaglia (anal. F. Villard), 157.— Do la transfusion du
sang
délibriné, par de Bélina (anal. G. Peltier), 188.
lèvre posté-rieure qui est la plus déclive, et qui serait couverte de
sang
si on attacjuait d'abord la lèvre antérieure. L'a
ns salines ne viennent à rendre son extraction douloureuse, ou que du
sang
et du pus ne bouchent ses ouvertures. En la fixan
mps. — Placer un tampon d'amadou dans le vagin. Il sert à absorber le
sang
qui pourrait suinter de la su-ture ; on y passe u
t, on absterge avec des éponges fixées sur de longs manches, et si le
sang
continue à couler, on injecte de l'eau froide.
ment la hernie de la vessie à travers la fistule ; de faire tomber le
sang
dans la vessie ; de faciliter le décollement des
angers. La première se pratique lorsque l'utérus est dis-tendu par le
sang
cpi s'y est accumulé ; on tâche de recon-naître l
fonce le trocart en le diri-geant vers la cavité utérine ; l'issue du
sang
noirâtre ou altéré indique qu'on est bien arrivé
de provoquer une fausse couche, soit d'agir sur des tissus gorgés de
sang
veineux, cause prédisposante à la phlébite et à l
essie et du vagin une seule cavité qui reçoit à la fois l'urine et le
sang
des menstrues dont l'urèthre devient le conduit e
ie, de telle sorte que l'urine ne passe plus par le vagin, et c|ue le
sang
des menstrues coule de l'utérus dans la vessie et
reconnaît une cavité au-dessus de l'insertion du vagin, réceptacle du
sang
et de l'urine. Avec quelques autres variétés dans
forme bien déterminée ; c'est un vrai cloaque qui reçoit l'urine, le
sang
des menstrues, les liquides leucorrhéiques' du va
ncisa le col; ces opérations donnèrent issue à une grande quantité de
sang
noirâtre qui était retenu dans l'utérus; les règl
seil de M. Huguier et commencer par scarifier le col; puis lorsque le
sang
est bien abstergé, ou encore le lendemain de la s
us de la sonde ; en continuant l'aspira-tion on détermine l'afflux du
sang
et souvent il s'en écoule un peu dans la sonde. S
ongestionné, on scarifie et on réapplique la ventouse pour aspirer le
sang
. Il y un scarifica-teur à plusieurs lames disposé
vements de latéralité, ce qui provoque souvent un léger suintement de
sang
. D'au-tres fois, pendant qu'on est encore dans la
ables. Si l'accumulation et la coagulation d'une certaine quantité de
sang
sont dues à l'atonie des parois et à un agrandiss
ouverture laisse habituellement suinter un mucus filant et parfois du
sang
au moment des règles. Tous ces caractères font qu
it pas dès la première fois. Dans la dysménor-rhée et la rétention du
sang
menstruel, lorsque la maladie peut être attribuée
upérieur du col, à la dilata-tion de la cavité utérine qui retient le
sang
coagulé ; la sonde morcelle ce caillot et réveill
ntractilité de l'or-gane. Dans le cas où l'obstacle à l'écoulement du
sang
est dû non à la perte de la contractilité, mais à
rt on absterge avec des boulettes de coton le liquide icho-reux et le
sang
qui s'en écoule ; et lorsque le col est lui-même
la longueur du col donnent heu à l'écoulement de quelques gouttes de
sang
seulement. Si au contraire on pratique une incisi
voir cesser sa stérilité. Mais ordinairement les règles existent; le
sang
ne peut sortir; à chaque époque il y a du malaise
. Une autre terminaison consiste dans la ddatation des trompes par le
sang
qui reflue de l'utérus; mais ce n'est guère une v
'utérus; mais ce n'est guère une voie de salut car le plus souvent le
sang
finit par s'échapper par le pavillon et tombe dan
onheur cle voir une terminaison heureuse grâce à l'enkystement cle ce
sang
épanché et à son expulsion ultérieure par le rect
g épanché et à son expulsion ultérieure par le rectum. Quelquefois le
sang
en distendant la trompe forme une tumeur considér
re qu'elle présente. L'indication est fort claire : donner issue au
sang
en créant un canal utéro-vaginal ; il ne faudrait
iberté des mouvements dont jouit alors l'instrument et à l'issue d'un
sang
noir et souvent sirupeux. On complète l'opération
ent le canal ainsi rétabli, et on s'occupe d'assurer l'écou-lement du
sang
accumulé dans l'utérus et la persistance de l'ouv
après la ponction, la canule qu'on a laissée en place, donne issue au
sang
noir caractéristique, on presse sur l'hypogastre
différents de ceux que nous avons décrits plus haut. Ce n'est plus du
sang
qui s'ac-cumule dans l'utérus mais seulement des
x; ordinairement elles sont beaucoup moins abondantes que ne l'est le
sang
dans l'hématométrie, 200 grammes le plus souvent;
menstruation ayant congestionné la membrane muqueuse de l'utérus, le
sang
qui sort des vaisseaux ne peut s'échapper facilem
s cavités utérine et cervicale et cpielquefois y forme un caillot. Ce
sang
ainsi enfermé dans l'utérus pro-voque des efforts
tes; elles peuvent être très-violentes, elles cessent aussitôt que du
sang
liquide ou un caillot a été expulsé. Comme cons
huit ou dix jours. Une conséquence secondaire, c'est le suintement de
sang
par les pavillons des trompes de Fallope et par l
ôté opposé ; maintenant l'utérus fixé par le ténacu-lum, j'étanche le
sang
avec une éponge et il ne reste plus qu'à passer u
Quand on n'inté-resse pas l'orifice supérieur du col, l'écoulement du
sang
s'arrête habituellement en 5 ou lo minutes, sous
chlorure de fer, ou à un tamponnement serré; mais une légère perte de
sang
, loin d'être un danger, est au contraire utile, c
us qui en précède la section et fait qu'elle a lieu sans effu-sion de
sang
. On remarquera que la chaîne se détache à ses deu
ine d'opérations dans lesquelles il ne s'est pas écoulé une goutte de
sang
, offre beaucoup plus de garanties qu'un instrumen
ner par la supérieure afin d'éviter la gêne que produit l'effusion du
sang
. Il importe de surveiller attentivement les pre
insertion du vagin. Sou-vent l'excision est suivie d'un écoulement de
sang
considéra-ble ; si l'on ne juge pas à propos de c
de tanche. Cette amputation fournit souvent une grande quantité de
sang
; on doit lier les artères au fur et à mesure qu'
r le corps de tumeurs très saignantes, quand on redoutait la perte de
sang
que la manœuvre, quelquefois longue, du placement
nt encore quand on opère sur un sujet déjà épuisé par des pertes de
sang
. La vive lumière du cautère électrique est d'un p
e du péritoine ; il serait même utile d'y laisser une mince couche de
sang
afin d'agglutiner les anses intestinales entre el
ns ayant fait irruption en dehors à plu-sieurs reprises, de l'air, du
sang
et d'autres liquides avaient pénétré dans la cavi
t incontestable que le contact de l'air favorise la décomposi-tion du
sang
et des liquides épanchés ; mais ces inconvénients
. C'est un accident des plus graves et des plus fréquents. Parfois le
sang
vient de gros vaisseaux qu'on a coupés sans avoir
gie peut être alors foudroyante. Souvent c'est par le pédicule que le
sang
est fourni, ce qui tient à ce qu'il a été mal étr
qui tient à ce qu'il a été mal étreint par les instruments. Quand le
sang
vient des ca-pillaires des adhérences, ou des vis
né des succès, même dans une déchirure du foie qui laissait couler du
sang
et de la bile. La torsion expose trop au retour d
s à pression continue et l'acupressure valent mieux, surtout quand le
sang
vient de la paroi abdomi-nale. 8° Complications
anglée, la compression pro-duite sur l'intestin par un épanchement de
sang
ou de pus. M. Kœberlé en a signalé une autre, le
alors espérer qu'elle résiste au choc de l'opération et à la perte de
sang
qui a tou-jours lieu. L'âge avancé doit également
de la trame de Povaire; souvent elles sont infiltrées de sérosité, de
sang
épanché, de pus; d'autres fois on y rencontre des
rien ne s'écoule, on ferait une injection d'eau tiède pour chasser le
sang
ou les mucosités qui l'obstruent. Cette sonde doi
s le soin de la peau, ce qui doit le plus préoccuper, c'est l'état du
sang
; on lui donnera de la plasticité par l'emploi des
à ne pouvoir apprécier si les adhérences divisées laissent suinter du
sang
, accident qui donnera lieu à une péritonite morte
e, et enfin il ne faut pas laisser issue au plus petit suin-tement de
sang
, quelle qu'en soit l'origine. Quand tout est ter-
illeurs lorsque la cicatrisation est complète, il ne s'écoule plus de
sang
par le pédicule. Quant aux craintes que la fixati
ive que, pen-dant cette cautérisation, on voit s'échapper beaucoup de
sang
, il ne faut pas s'en effrayer, car il vient ordin
ky. Puis on retire lentement le clamp, et si alors on voit sourdre du
sang
, on le serre de nouveau et on applique en-core le
outes les précautions, on conserve des craintes pour un suintement de
sang
consécutif, on doit placer dans l'angle inférieur
très-heureux d'obtenir 3o à 5o guérisons pour loo. Quand la perte de
sang
dépasse i,ooo grammes, la mort est presque certai
soit due k l'épuisement des forces et à la perte de la plasticité du
sang
, ou bien à un commencement de péritonite, ou bien
ovariotomie des dangers de deux sortes : l'épuisement par la perte de
sang
, la décomposition du sang dans la cavité abdomina
deux sortes : l'épuisement par la perte de sang, la décomposition du
sang
dans la cavité abdominale, et que sur i5o cas de
isit dans une pince à pansements l'artère ovarique qui fournissait le
sang
, et serra cette pince de toutes ses forces de man
péritonite aiguë simple, lorsqu'elle a pour cause un épanche-ment de
sang
, mais lorsqu'elle se développe sans autre cause q
ps étrangers liquides qui s'infiltrent dans tous les replis, comme le
sang
des hémorrhagies, le pus venant du pé-dicule ou d
l'aspect gangreneux, ou quand des produits morbides pénètrent dans le
sang
; cette septicémie, soit seule, soit jointe à la p
il est évident que l'orifice du col de l'utérus sera fermé, et que le
sang
des règles cheminera de la cavité du col dans cel
en arrière de cette paroi il y a un cloaque qui reçoit l'urine et le
sang
des règles. Suppléments à la Médecine opératoir
suture sagittale, et fut ramassée à quelque distance, couverte de «
sang
et de cervelle ». Le patient fut d'abord étourd
suite d'un coup, dans la membrane du cerveau, répand quelque peu de
sang
, et cette veine se rompt par la secousse violen
primé, la compression jouant le rôle d'agent mécanique repousse le
sang
des tissus périphériques comprimés, qui se port
ule de cette fa- çon aux cavités profondes. Cet influx central du
sang
donne naissance à des congestions viscérales qui
re fois par MM. Pol et Watelle eux-mêmes. Or, ce refoule- ment du
sang
, d'après cette théorie, ayant lieu aussi bien p
ns pendant la compression doit être attribuée à la ruti- lance du
sang
veineux, à la suroxgénation. Voici leur réponse
ses, et cela est hors de doute quand c'est un obstacle au retour du
sang
qui les occasionne. Mais en est-il de même lors
itue résiderait-il exclusivement dans les ca- pillaires veineux; le
sang
noir, en un mot, comme le veut le médecin itali
on veuille bien admettre que c'est plutôt à l'action stupéfiante du
sang
noir qu'elles doivent d'être pernicieuses qu'à
suivra que si l'inspiration d'un excès d'oxygène artérialisait le
sang
veineux, les congestions, selon le quantum, de-
os mineurs; d'une part congestion sans accident aucun, d'autre part
sang
veineux rutilant. « Et comme contre-épreuve, qu
cide car- bonique et l'azote, tenus en simple dissolution dans le
sang
, doivent augmenter avec la pression, et si la c
Dalton veut que la quantité de chacun de ces gaz absorbée par le
sang
soit proportionnelle à sa pression dans l'air c
n respire. Dans l'état ordi- naire l'acide carbonique et l'azote du
sang
ne sont pas puisés dans l'air inspiré, ils sont
eusement, la loi de Dalton, mais leur quantité pon- dérante dans le
sang
varie nécessairement dans le sens indiqué par c
nt et après la décompression, tous les gaz dissous en excès dans le
sang
par suite de la condensation de l'air, tendront
Et comme les gaz dissous en excès se séparent des humeurs comme du
sang
, il en résultera une tendance générale à l'emph
s condensés, et les pressions de plus en plus affaiblies. Mais le
sang
contenu dans les tissus superficiels trans- met
sion; il se produit un effet analogue; une nouvelle distribution du
sang
et un nouvel équilibre s'établissent. L'effet t
uilibre s'établissent. L'effet total est une plus grande masse du
sang
dans les tissus et les organes profondes ; on a
eau et la moelle doit s'en aller par les passages étroits par où le
sang
sort de ces organes. Les canaux osseux dans les
e ventouse monstre, qui chercherait à accumuler dans l'abdomen le
sang
des autres organes, et en effet l'allé- mie gén
énérale se produit. « Cette réplétion des organes abdominaux par le
sang
n'est cependant pas l'occasion d'hémorrhagies,
ubir aux organes du ventre une pression positive qui expul- sera le
sang
emmagasiné dans leur intérieur et le lancera subi
re qui recourt aux idées de MM. Rameaux et Bucquoy sur les gaz du
sang
, comme on peut le constater au passage sui- van
cette congestion subite, et comme par contre-coup, au moment où le
sang
reflue de l'abdomen vers les autres organes, n'
dissolvent dans les liquides proportionnellement à leur tension; le
sang
d'un homme qui est resté pendant plusieurs heur
ion extérieure diminuera. Si la décompression se fait lentement, le
sang
en pas- sant par les poumons, pourra exhaler le
cit.), qui, repoussant la théorie du développement de gaz dans le
sang
attribue la genèse des accidents en ques- tion
bsolument insoutenable. 5° Théorie du développement des gaz dans le
sang
. En voici la vraie théorie, la théorie qui a ét
les causes de la mort, dit : « Mais' avant .que la circulation du
sang
cessât entièrement dans les poumons, l'air qui
ang cessât entièrement dans les poumons, l'air qui est mêlé dans le
sang
se dégageait des interstices, se rassemblait, s
depuis plus d'un siècle remarqué et le développement de gaz dans le
sang
comme agent pathogène et les embolies gazeuses.
avait aussi constaté très nettement la formation des bulles dans le
sang
, dans les autres liquides et dans les parties m
bulles, qui, lorsque l'air ambiant est suprimé, se forment dans le
sang
, dans les autres liqueurs et dans les parties m
et en d'autres, res- serrer les vaisseaux qui portent dans tout le
sang
et la nourriture, Collection académique, 1755.
invisiblement retenu dans les pores non seulement de l'eau, mais du
sang
, du sérum, do l'urine, de la bile et des autres
euses ou aériennes, qui sont retenues en abondance dans la masse du
sang
, gonfleront naturellement ce liquide, pouvant a
aisseaux, et changer notablement la rapidité de la circula- tion du
sang
dans les artères capillaires et les veines. Que p
ent en général combien est important le rythme de la circulation du
sang
, quoi- que, quant à ses effets particuliers, je
hypothèse de l'influence funeste des gaz du Ut CLINIQUE NERVEUSE.
sang
puissamment combattue par le travail de M. Gi-
mprimé est arrivé à la conclusion, que voici : « Chez les animaux à
sang
chaud, il se dégage du gaz dans l'intérieur des
es. » Non seulement cet auteur a confirmé le dégage- ment de gaz de
sang
, mais c'est à l'obstruction du vais- seau par l
et à son tour sous forme d'hypothèse la dé. gagement du gaz dans le
sang
lors de la décompression, ce qui a été ultérieu
ultat de la tension exagérée des gaz libres, en dissolution dans le
sang
, par suite de la pression considérable à laquel
deur est considérable, plus la durée du séjour se prolonge, plus le
sang
doit se charger d'un excès de gaz libres à l'ét
surface, si la décompression est trop peu graduée, les gaz dont le
sang
est sursaturé tendent à se dé- goger avec effer
deux enveloppes également incompressibles ; par con- séquent, le
sang
refoulé de la surface entière du corps et des c
démontré péremptoirement par la voie expérimentale la présence du
sang
mousseux dans les veines, le système porte, les
- périences, qui ont établi la présence des bulles de gaz dans le
sang
en cas de diminution rapide de la pres- sion. V
ériel, l'artère qu'on pique, quelle qu'elle soit, laisse sourdre du
sang
mélangé de bulles gazeuses en quantité vraiment
raiment considérable. Dans les veines à l'ouverture on voit bien du
sang
mousseux, mais la quantité de bullettes est moind
embolies de 1 et demi à 2 centimètres de longueur constiuées par un
sang
coagulé et intimement battu avec des bulles d'air
- A la suite des sections diverses, ces organes laissent sourdre du
sang
mélangé d'une quantité considérable de bulles g
iques. Poumons. - Cet organe sectionné à son tour nous fournit un
sang
mousseux. Nous constatons un infarctus hémorrhagi
ment remplie d'eau. La ponction du ventricule gauche fait sortir du
sang
mélangé d'un certain nombre de petites bullette
au fraîche, je ponctionne le ventricule droit qui laisse sourdre du
sang
battu de bullettes, mais en bien moindre quantité
aide de la loupe de fines bullettes de gaz intimement mêlés avec du
sang
sur plusieurs points du système Expérience V (7
nsibilité abolie. Amidi, je tue l'animal par l'ouverture du thorax.
Sang
mousseux aussi bien dans le coeur que dans les
sifflant. Le coeur, aussi bien le gauche que le droit, est plein de
sang
mélangé d'une énorme quantité d'air; pas de throm
es ner- veuses ; il n'y a aucune trace d'hémorrhagie. Viscères. -
Sang
mousseux, pas d'hémorrhagie; il n'y a pas de ga
les aussi, d'une manière évidente le développement de gaz dans le
sang
aussi bien dans le système veineux que dans le
ion. D'autres bulles restant dans les capillaires y ralentissent le
sang
plus directement, enfin, les centres myélencéphal
e d'une quatrième question. Est-ce tous ou un seul des trois gaz du
sang
qui redeviennent aériformes lors de la décompre
dans le mélange. Mais lorsque ces gaz se trouvent en présence du
sang
, le phénomène est plus multiple et plus com- pl
sion de 2 à 5 atmosphères n'a pas beaucoup^ plus d'oxygène dans son
sang
qu'à la pression normale. « Si cependant la p
e du gaz libre est constituée par de l'azote qui, dissous dans le
sang
et dans les divers liquides de l'organisme en e
ir très pauvre en azote et qu'on décomprime ensuite brusquement, le
sang
de ces animaux ne doit contenir que peu ou pas
Dans le sixième et dernier chapitre, l'auteur étudie l'influence du
sang
et de la circulation sur les phénomènes de la vie
orte, qui résulte du traumatisme (fracture du crâne, épanchement de
sang
, 204 PATHOLOGIE MENTALE. esquilles, etc.), -
ogène, en augmentant ainsi directement la quan- tité de gaz dans le
sang
. La seconde catégorie est constituée par les ca
LOI DES SCAPHANDRES. 201) lui tation de la quantité des gaz dans le
sang
, qui fera éclater toute l'Iliade de maux dont d
oute na- turelle plus de gaz deviendra libre, se dégagera dans le
sang
lors de la décompression. La profondeur ayant u
termes plus la compression dure, plus de gaz sera dissous dans le
sang
et en conséquence plus de gaz deviendra libre, et
en conséquence plus de gaz deviendra libre, et sera dégagé dans le
sang
; d'où l'imminence morbide, qui dans l'immense m
ésultat final serait l'augmentation de la quantité de gaz dans le
sang
, c'est-à-dire que ces causes aboutissent en fin d
in- testin, en augmentant ainsi indirectement sa quantité dans le
sang
; en d'autres termes, dans le premier cas, le ga
duit lors de la décompression est en plus grande quantité dans le
sang
parce que son élimination a été entravée ou mêm
bécillité. L'état de ces malades est proche de celui des animaux à
sang
froid' dont la circulation est soumise à un mécan
e autre raison : la substance de la glande thyroïde passant dans le
sang
, par suite de sa résorption, intoxiquait tout l
n de la glande thyroïde la quantité de mucine dans les tissus et le
sang
s'agrandit considérablement, et nous voyons app
ation finale et s'arrêtent dans l'état mucoïde. De cette manière le
sang
changé ne donne plus la nutrition indispensable
ur résultat d'amoindrir la quan- tité de corpuscules rouges dans le
sang
; Ilorsley trouva que la quantité de corpuscules
à un état paralytique qui finissait par la mort. La transfusion du
sang
de ces animaux malades à d'autres, donna des ré
ande thyroïde, des produits toxiques inconnus de la métamorphose du
sang
et sous ce rapport le professeur Paschoutin est
les sels alcalins et par les liquides animaux alcalins tels que le
sang
. Il l'est également par l'albu- mine avec laque
par suite de la singulière volupté qu'il éprouvait à voir couler le
sang
: c'est ainsi qu'il prenait plaisir à couper la
it constituées surtout par des vaisseaux très dilatés et remplis de
sang
; les veines sont particulièrement énormes; les ca
eaux, et un élargissement particulier des conduits lymphatiques. Le
sang
de ces malades présente une quantité amoindrie
a température était de 30°, 2-36°, c. Avec cela, grande pauvreté de
sang
, insomnies, hallucinations de la vue et de l'ou
bie, mais encore à l'état particulier soit des vais- seaux, soit du
sang
, chez celui qui la subit. Mais en dehors de l'hé-
er deux ou trois fois d'une façon très nette, c'est l'apparition du
sang
dans l'urine sans aucun traumatisme préalable.
LOGIE NERVEUSE. cédant à la pression, ne tarda pas à se rompt et le
sang
se répan- dit entre les muscles. Ce cas est un
compri- mant les vaisseaux encéphaliques, s'opposerait au retour du
sang
de la veine centrale de la rétine. Cette théori
«purgeons les humeurs.» — «Xes maladies ontpourprincipe un vice da
sang
: » — «Prenez des dépuratifs. » —*« Vous n’v êtes
feu en activant l’incendie. Affaiblissez le malade, tirez-lui du
sang
. — Bien, tirez-lui encore du sang. —Et puis apr
blissez le malade, tirez-lui du sang. — Bien, tirez-lui encore du
sang
. —Et puis après, tirez du sang ; et quand vous
du sang. — Bien, tirez-lui encore du sang. —Et puis après, tirez du
sang
; et quand vous l’aurez affaibli à fond, rafraîch
tracer de drame bien noir; heureux celui qui n’a point fait couler le
sang
humain et porté la douleur dans quelques familles
ce monde il faut lutter sans cesse, il le faut ! Je m’arrête, car mon
sang
court déjà plus vite, et je craindrais d’avoir la
de la tète a été brisé par la chute, et dans le cas d’épancheraent de
sang
au cerveau, la mort serait inévitable. M. Lewis
us : Har-vey luttant trente ans pour faire admettre la circulation du
sang
; l'inoculation proscrite par la Faculté en 17/|5,
culièrement entre les âmes unies par l’amitié, l'amour, les liens du
sang
. Il y a là des réalités historiques expérimentale
prêtresses et les poussait à se déchirer, à s’entre-tuer, à verser le
sang
, etc., et on verra dans ces faits autant de preuv
ssons fermentées, les esprits animaux s’accumulent nu cerveau avec le
sang
, au point que le cerveau est troublé dans ses fon
r, appelé à contrôler les apparitions de Lourdes ou de La Salette, le
sang
de saint Janvier ou la Madone de Roniini, ne fera
c extrémités glacées, semblant provenir d’un défaut de circulation du
sang
. La malade soufflait de ce mal depuis une année.
assez considérable, ce qui augmentait encore de beaucoup la perte de
sang
éprouvée pendant ce laps de temps. Tous les moyen
ans 1 antiquité païenne, les sorciers de Thessalie écrivaient avec du
sang
humain leurs oracles sur ces miroirs, et les orac
e serais perdu : piquez-moi le petit doigt de la maia gauche jusqu’au
sang
et je reviens à la vie. « Je le piquai donc aus
avéré et connu aujourd’hui que le fluide magnétique circule comme le
sang
dans notre organisme, qu'il pénètre et vivifie to
sacré, s’entr’ouvre le ventre dans toute sa longueur. Pendant que le
sang
coule de toute part, la multitude se prosterne de
itation de leurs prières. Le bokle recueille, dans sa main droite, du
sang
de sa blessure , le porte à sa bouche , souille t
utenaient qu’elle était d'eau, de feu, plusieurs la plaçaient dans le
sang
, et, chose étonnante, dans des temps beaucoup plu
veloppe se forme de la quintessence de vos esprits vitaux et de votre
sang
. » (P. 506.) Ce sont là des hypothèses en l’air
âmes avides et criminelles, elles peuvent aspirer la quintessence du
sang
des personnes endormies du sommeil naturel, et tr
le cercueil, l’âme privée d’organes peut agir sur des corps, sucer le
sang
, et même bouleverser les meubles , battre les viv
1857. 513) ; il est tout aussi difficile de comprendre comment le
sang
sucé par l’âme séparée du corps, peut être transp
dormant a dormi cent ans, c’est que la lumière astrale a coagulé son
sang
et ses humeurs, suspendu les forces vitales et em
déjà eu le privilège de soulever bien des tempêtes, la circulation du
sang
, et voyons si l’od n’y révélerait pas également s
de l’homme et des mammifères consiste dans le mouvement incessant du
sang
dans toutes les parties du corps au moyen d'un sy
de canaux ramifiés. Le cœur, à l’aide de ses contractions, chasse le
sang
dans les artères. Celles-ci, en se ramifiant de p
un cœur droit. En regardant le cœur comme le centre des mouvements du
sang
, on est fondé à dire qu'il y a une double circula
nom de petite circulation ou circulation pulmonaire. La direction du
sang
des artères est centrifuge, celle du sang des vei
pulmonaire. La direction du sang des artères est centrifuge, celle du
sang
des veines est centripète. Le sang artériel ne di
s artères est centrifuge, celle du sang des veines est centripète. Le
sang
artériel ne diffère pas du sang veineux seulement
du sang des veines est centripète. Le sang artériel ne diffère pas du
sang
veineux seulement par la direction de son cours,
son cours, mais encore par ses caractères physiques et chimiques. Le
sang
qui va du cœur aux organes par les artères est ro
œur par les veines est d’un rouge brun. C est dans les poumons que le
sang
bran est revivifié ou oxygéné et redevient vermei
é inférieure ou ventricule gauche; il en est de même de la droite. Le
sang
est projeté de l’oreillette dans le ventricule et
e repos ou diastole des quatre cavités. Pendant ce temps de repos, le
sang
veineux entre librement, par suite de l’impulsion
impulsion qui lui est donnée, dans l’oreillette droite, tandis que le
sang
rouge qui revient des poumons pénètre dans l’orei
: alors survient la systole ou contraction auriculaire qui chasse le
sang
brun dans le ventricule droit et le sang rouge da
on auriculaire qui chasse le sang brun dans le ventricule droit et le
sang
rouge dans le ventricule gauche ; enfin arrive la
ntricule gauche ; enfin arrive la systole ventriculaire qui chasse le
sang
veineux dans les poumons et le sang artériel dans
stole ventriculaire qui chasse le sang veineux dans les poumons et le
sang
artériel dans l’aorte, d’où il se distribue dans
re ce qui nie reste à dire des lois qui président à la circulation du
sang
. Une chose m’a frappé, comme elle a frappé sans
I.e cerveau ne peut fonctionner que par suite d’une excitation que le
sang
exerce sur lui. Cette excitation ne peut-être pro
ang exerce sur lui. Cette excitation ne peut-être produite que par le
sang
vivifié par la respiration. Ici, d’une part, il e
u fonctionnement des deux autres, et que c’est dans la circulation du
sang
, entretenue par le jeu des poumons, que réside le
gistes pour apprendre sur quel principe repose le double mouvement du
sang
du centre vers la périphérie et de la périphérie
hes ; la force od négative à l’oreillette et au ventricule droits. Le
sang
vivifié et oxygéné dans les poumons et par co
’ondée artérielle, subit son mouvement de systole, au moyen duquel le
sang
est poussé dans l’aorte. Le vide fait aussitôt ce
cule; et ce mouvement alternatif continue ainsi sans interruption. Le
sang
parvenu dans l’aorte se répand par suite de cette
clairer, c’est celui de savoir en vertu de quelle autre influence, le
sang
parvenu dans le réseau capillaire retourne de la
et surtout ceux de la locomotion sont propres à accélérer le cours du
sang
: mais si nous songeons que, d’après les calculs
ngeons que, d’après les calculs consciencieux faits sur la vitesse du
sang
, ceux de Hering par exemple, il résulte que le sa
sur la vitesse du sang, ceux de Hering par exemple, il résulte que le
sang
met environ 25 à 30 secondes à parcourir le cercl
rent à un sommeil de 9 à 10 heures, ne courent le danger de voir leur
sang
se figer dans leurs veines. Je ne parlerai pas da
pas trouver une explication plus vraisemblable. Nous savons que le
sang
parvenu dans les vaisseaux capillaires, subit une
c quelque raison que, vu cette perle d’oxygène, la polarité odique du
sang
s'est modifiée et que, de négatif, il est devenu
s nerveuses od positives par opposition à l’encéphale, rencontrant le
sang
également positif, un choc a lieu, les capillaire
alement positif, un choc a lieu, les capillaires se contractent et le
sang
repoussé se précipite dans les vaisseaux veineux,
apillaires, privés de leurcontractilité, se laissent distendre par le
sang
: les parties dans lesquelles se répandent ces ar
éseau capillaire représente la la ligne neutre. Aussi le mouvement du
sang
assez lent en traversant ce réseau augmente-t-il
x veineux, et est-il encore plus rapide dans le voisinage du cœur. Le
sang
veineux arrivant dans l’oreillette droite produit
me mouvement a lieu l’instant d’après dans le ventricule droit, et le
sang
se rend dans les poumons. Les poumons (nous sauro
droit du cœur; ils sont od négatifs, aussi attirent-ils avec force le
sang
veineux; mais aussitôt que le sang, par suite de
, aussi attirent-ils avec force le sang veineux; mais aussitôt que le
sang
, par suite de l’acide carbonique exhalé et de 1 o
ce. Un premier fait reconnu en physiologie, c’est que la tension du
sang
produite par la contraction ventriculaire du cœur
rent d’opposition polaire où se trouve chacun des ventricules avec le
sang
qu il chasse dans les artères qui lui servent de
elles du ventricule gauche, seraient néanmoins capables d’imprimer au
sang
une tension égale à celle que le ventricule gauch
ang une tension égale à celle que le ventricule gauche produit sur le
sang
artériel. Du reste il ne faut pas oublier qu’en v
ce ventricule doit être moitié moindre. Nous ferons observer que le
sang
artériel qui arrive des poumons, étant par la ric
ule gau;;he od positif une contraction beaucoup plus puissante que le
sang
veineux, lequel étant encore chargé de 25 parties
ntraction, ce sont les modifications qu'on observe dans la tension du
sang
après l’administration de la digitale, du tabac,
par MM. Poiseuille, Lud-wig, Spengler, Valentin, etc., la tension du
sang
est à peu près identique dans tousles points de l
identique dans tousles points de l’arbre artériel. Mais la tension du
sang
veineux est loin de présenter la même uniformité,
, à l’aide de l’appareil de MM. Ludwig et Spengler, que la tension du
sang
de la jugulaire fait équilibre au maxiraun à une
u maxiraun à une colonne mercurielle de 13 millimètres; tandis que le
sang
de la veine brachiale soutient une colonne de 15
g de la veine brachiale soutient une colonne de 15 millimètres, et le
sang
de la veine crurale une colonne de 23 millimètres
cours une direction centripète relativement à la terre, la tension du
sang
devait y être supérieure à celle des deux autres
e avait avancé qu'une des causes qui contribuent le plus au retour du
sang
veineux, à part celle de la contraction musculair
ons d’abord la veine brachiale. D’après les expériences de M. Mogk le
sang
de cette veine soutient une colonne mercurielle d
ce mouvement comme lo terme moyen de la force de tension imprimée au
sang
veineux par l'action répulsive des filets nerveux
imée au sang veineux par l'action répulsive des filets nerveux sur le
sang
des réseaux capillaires. Le sang de la jugulaire
répulsive des filets nerveux sur le sang des réseaux capillaires. Le
sang
de la jugulaire ne fait au contraire équilibre qu
cependant ici la loi de (apesanteur vient encore en aide au retour du
sang
vers le centre. Je serais même porté à croire que
de partie de cette force de tension est due au poids de la colonne du
sang
, d’autant plus que les veines cérébrales sont dép
r, la pesanteur fait sentir ses effets avec une grande énergie, et le
sang
s’accumule promptement dans les veines cérébrales
ndérance de l’encéphale, centre principal de la polarité négative. Le
sang
qui parvient dans les réseaux capillaires cervica
une polarité positive, il y a équilibre entre les deux-forces, et le
sang
ne retourne vers le cœur qu'en vertu des lois de
ésulte de la rencontre des deux pôles semblables, porte la tension du
sang
veineux des membres inférieurs, malgré les obstac
ition odique, ou chimique si vous le préférez, avec la composition du
sang
qu’elle est destinée à recevoir, et qui lui impri
tinée à recevoir, et qui lui imprime son mouvement de contraction. Le
sang
qui vient des poumons étant plus riche en oxygène
ion. Le sang qui vient des poumons étant plus riche en oxygène que le
sang
veineux, est od négatif, le cœur gau-doit être né
rterai textuellement : elle prouve mieux que tout le reste que le
sang
artériel seul est propre à stimuler les contracti
ue par conséquent il y a un rapport essentiel entre la composition du
sang
et les battements du cœur, (. Tuez un animal à
composition du sang et les battements du cœur, (. Tuez un animal à
sang
chaud; attendez que les mouvements respiratoires
persister pendant quelques heures. Ce phénomène tend à prouver que le
sang
doit être considéré comme le stimulus naturel qui
rel qui met en jeu la contraclilité du cœur. Il prouve de plus que le
sang
veineux qui abonde au cœur, lorsque la respiratio
établissant une respiration artificielle, on redonne pour un temps au
sang
veineux les qualités du sang artériel. La circula
rtificielle, on redonne pour un temps au sang veineux les qualités du
sang
artériel. La circulation, qui n'était plus entret
e que par de faibles contractions du cœur, conduit vers cet organe un
sang
revivifié par l'air atmosphérique : bientôt l’act
second coup de bistouri j’entame une artériole qui donne beaucoup de
sang
; nous essayons inutilement d’en faire la ligatur
tilement d’en faire la ligature ou la torsion. Sur ma remarque que le
sang
nous empêche de voir, la malade me dit de faire u
ppe, ce qui arrache à la malade un cri de détresse. Nous épongeons le
sang
qui coulait à flots et je îlis à la malade : « Le
s épongeons le sang qui coulait à flots et je îlis à la malade : « Le
sang
nous empêche de voir le ver. » Elle me répond ave
Le premier fragment a fait sur le papier, en rampant, une traînée de
sang
de 3 à h millimètres de longueur. — Nous fermons
laie et y appliquons de l’eau hémostatique de Freppel pour arrêter le
sang
. — Après le pansement, la malade demande un quart
nsecte dans de l’eau, nous les laissâmes sécher sur le papier avec le
sang
dont ils étaient entourés. «Le 6 novembre. La m
s une chute que je fis sur la tête, il s’est formé dans un caillot de
sang
. « Neuvième question__Quelle est la forme de l’
ors : « .Mes règles devraient venir le 10, elles ne viendront pas. Le
sang
me travaille. Les mêmes symptômes reparaîtront au
— Qu’avez-vous? « Réponse. — Je suis malade, j’ai des vertiges, le
sang
me travaille. « Deuxième question. — Quel rappo
te apoplexie ? « Réponse.—Peut-être. Je mange trop, je fais trop de
sang
. (La malade a effectivement beaucoup engraissé de
t une le 5 janvier. « Le 27. La malade aperçoit quelques gouttes de
sang
menstruel. o Le 28. Léger point de côté. «Le
apismes aux mollets, et je pratique une large saignée. « Dès que le
sang
coule, lamalade rouvre les yeux, ses joues se col
male et la malade nous parle. Nous laissons couler 7 à 800 grammes de
sang
et fermons la saignée. Le sang est noir et épais.
ous laissons couler 7 à 800 grammes de sang et fermons la saignée. Le
sang
est noir et épais. Bientôt après, la malade a une
hez donc un peu d'y trouver quelque métairie afin de rafraîchir votre
sang
avec du petit lait et de pouvoir vous reposer sUr
rouvé des épreintes et du ténesme rectal. Elle aurait même rendu du
sang
dans les selles. Mais elle avait probablement d
SALPÊTRIÈRE V... n'a pas de sueurs nocturnes, mais elle a craché du
sang
il y a un an environ, au moment de ses époques.
nfin il transpire quelquefois la nuit, mais il n'a jamais craché de
sang
., La percussion ne nous révèle qu'un peu de subma
cipitent à son secours et ramènent vers sa tente « Enée, couvert de
sang
, marchant,avec grand' peine, en s'appuyant sur
ramollissement. La pie-mère présente des vaisseaux distendus par le
sang
et, çà et là, de peti- tes suffusions hémorrhag
. Entre cette bande et la pie-mère, on voit des lacunes remplies de
sang
qui forment un anneau isolant la moelle de son re
erniers quartiers de la lune, lui survenaient des vomisse- ments de
sang
qui se répétaient pendant deux ou trois jours.
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE , tait jusqu'à battre ses soeurs « jusqu'au
sang
» ; puis, elle pleurait ellau- des larmes, en i
r Geneviève pour vomir un gros caillou « qui lui mit le go- sier en
sang
». A vrai dire, le bon curé ne vit pas le caillou
assez bien l'espace de 22 mois après lesquels elle jeta beaucoup de
sang
par le ne ? et parla bouche; cette liémorrlia-i
lle de Langres, mais elle recommença à jeter des humeurs^ mêlées de
sang
écumeux avec syncopes, serrements de dents, raidi
5, âgée de 19 ans, Geneviève Martin fut attaquée d'un crachement de
sang
pur, sans mélange d'aucune humeur : au lieu des s
larait à chaque déclin de lune, conjointement avec le crachement de
sang
dont il a été parlé plus haut, et qui l'avait p
uelquefois en deux jours la malade perdait jusqu'à quatre pintes de
sang
, malgré les saignées du pied et du bras qu'on lui
s, depuis sa sortie de chez son premier maître, les vomissements de
sang
les plus abondants se terminaient par une érupt
ouverte de charbons. Ces deux accidents, savoir le vomissement de
sang
et l'éruption dartreuse ont été alternatifs pen
ine, lesquels venaient sans effort et étaient suivis d'une perte de
sang
par les parties naturelles. En même temps, il s
dans un de ces vomissements de pierres, qui lui mirent le gosier en
sang
, il s'en est présenté de trop gros- ses pour po
dans les voies uri- naires. Enfin, « la malade n'a jamais uriné de
sang
». Pour qu'elle ait résisté à tant d'efforts et
ham, dit expressément : « Les violents et fréquents vomissements de
sang
, accompagnés de spasmes épileptiques, les érupt
inauguré sa maladie. v A Page de seize ans, elle « jeta beaucoup de
sang
par le nez et par la bouche » ; tantôt ce sang
e « jeta beaucoup de sang par le nez et par la bouche » ; tantôt ce
sang
était « pur- », tantôt « écumeux », tantôt « mê
orrhagies par en haut et par en bas. Au début « les vomissements de
sang
se renouvelaient assez régulière- ment à tous l
pour la première fois, et, pen- dant une année, les vomissements de
sang
cessèrent. LA MALADIE DE LA FILLE DE S\r : "<
a bouche fut telle que la' malade rendit jusqu'à « quatre pintes de
sang
, malgré les saignées du bras et du pied qu'on l
ntinua à donner des pierres, dont plusieurs étaient même teintes de
sang
: elle en donna jusqu'à 18, mais les dernières,
sible. Une ponction exploratrice pratiquée dans la tumeur ramène du
sang
. Les jours suivants, la progression de l'épanch
e la tumeur. Il s'écoule alors un liquide hémorrhagique, presque du
sang
pur, très abondant, 1 litre 1/2 environ, conten
e, est constitué par de la sérosité citrine ne contenant ni pus, ni
sang
, ni flocons albumineux. » - (1) Marie, Traité
), de Muller (5)', on trouve, soit du liquide sanguinolent, soit du
sang
pur venant envahir l'articulation après une pre
ction évacua- lrice faite par M. le Dr Chaput ramena 300 grammes de
sang
/ Chipault parle, dans l'Iconographie de la Salp
én(, purulent, {iÍ1Jîiiènt, ceux où le liquide est constitué par du
sang
. Il ne reste rien ai ajouter aux études qui ont
iné à la cavité articu ! aire."t ! omm6 dans l'hydarthrose simple, le
sang
peut fuser au loin après rupture de la synovial
» 1 jeune ecchymose sons-cutanée peut faire pensera la présence du]
sang
dans l'articulation. Ennrrje'tiquide-fuse-p))tS
? Dans les cas que nous avons en vue, il ne s'agit pas toujours de
sang
pur ! il peul y avoir mélange de syno- vie et l
rent la synoviale épaissie, vascularisée, avec vaisseaux remplis de
sang
et dilatés, c'est une pachysy- novi te. - , A
umière semble mieux élargie, parfois elle est entièrement gorgée de
sang
. On trouve ces mômes altérations dans les gros
pas d'épaississement de leurs parois et y sont en général gorgés de
sang
. Le canal central est tapissé d'un bon épithélium
ramollissement. La pie-mère présente des vaisseaux distendus par le
sang
et çà et là. de petites diffusions liémorrliigi
s. Entre cette bande et la pie-mère, on voitdes lacunes remplies de
sang
qui forment un anneau isolant la moelle de son re
et en relief beaucoup de détails concernant le tissu conjonctif, le
sang
, etc. ` Les cordons blancs ont été étudiés par
ables dans leur aspect mais perméables et le plus souvent gorgés de
sang
, pour les vaisseaux radiés, on reconnaît bien leu
erveux et dans lequel courent des vaisseaux plus ou moins gorgés de
sang
. Elle adhère faiblement par sa face interne à l
t au septum du .sillon médian antérieur; Tarière en général vide de
sang
, plus ou moins aplatie, la veine plus arrondie, l
el des bourses irrégulières sonl creusées, plus ou moins pleines de
sang
, vaisseaux néoformés qui cherchent à suppléer l
x est intéressant à noter. Les artères contiennent assez souvent du
sang
, les veines peuvent être plus ou moins distendues
ence de véritables thromboses leucocytiques ; il semble que dans le
sang
même au milieu des globules rouges il y ait des a
qui fini[ par oblitérer complètement-leur calibre, la lumière vide de
sang
ne contient plus que des cellules à noyaux allo
s des exemples remarquables où tous les vaisseaux béants, gorgés de
sang
donnent aux coupes des aspects absolument étrange
avité arachnoïdienne ; celle-ci sert de barrière pour ainsi dire au
sang
, mais elle finit par se lais- ser forcer et le
r ainsi dire au sang, mais elle finit par se lais- ser forcer et le
sang
pénétrant dans l'espace sous-arachnoïdien s'infil
nt les racines et par la distension de tous les vaisseaux gorgés de
sang
. Les cordons blancs, les cellules de cornes gri
grand nombre de noyaux et surchargé de vais- seaux distendus par le
sang
. Les vaisseaux spinaux antérieurs sont noyés au
latéral sont le siège d'altérations marquées ; l'artère contient du
sang
comme la veine; leur lumière est irrégu- lière,
ules rouges, entourant presque entièrement la moelle d'un cercle de
sang
. Leurs parois sont minces, réduites pour ainsi
de thrombose leucocytique absolument remarquable ; ce n'est plus du
sang
que contient le vaisseau, mais 308 NOUVELLE ICO
grossissement, c'est la distension de tous les vaisseaux gorgés- de
sang
. Sur une coupe, en particulier, le septum média
e vraie ceinture conjonctive épaisse, d'énormes capillaires pleins de
sang
refoulent les tubes nerveux, et dans les minces
tissu fibreux qui les entoure, l'artère est aplatie, elle contient'du
sang
, les limites de sa lumière sont sinueuse, ses p
n° III bis (région lombaire) il y a eu déchirure et hémorrhagie. Le
sang
s'est répandu d'une part entre la pie-mère et l
veines dans le trou de conjugaison ; il n'y a d'abord presque pas de
sang
dans le canal rachidien proprement dit, mais à
ais à mesure que l'on descend vers les parties plus inférieures, le
sang
envahit tout l'espace laissé libre entre la dur
re entre la dure-mère et l'arachnoïde, celle-ci est refoulée par le
sang
, elle s'avance en festons entre les racines ner
, elle s'avance en festons entre les racines nerveuses, sans que le
sang
s'échappe cependant. Région lombaire. L'arachno
nt. Région lombaire. L'arachnoïde a cédé en quelques points, car le
sang
a filtré entre les racines qui sont absolument
absolument entourées par les globules rouges. Queue DE CHEVAL. - Le
sang
a tout envahi, enserrant de toutes parts les ra
térieurs sont représentés par des cavités anfrac- tueuses, vides de
sang
, aux parois indistinctes, creusées dans l'épaissi
térieurs qui sont le plus atteints, l'artère très grosse, gorgée de
sang
montré des tuniques presque normales, mais la vei
es parties les plus internes, il y a une endophlébite manifeste. Le
sang
contenu dans le vaisseau possède une proportion
est libre, bien isolée des parties voisines, niais elle est vide de
sang
et ses parois sont très épaisses, l'hématoxyline
non macéré. Cerveau. -Vaisseaux des méninges très distendus par le
sang
. Sur la partie postéro-supérieure de l'hémisphè
y a rien à signaler que l'é- normité des vaisseaux distendus par le
sang
soit dans la moelle proprement dite, soit dansi
-les parois vasculaires ont cédé et tout l'espace est rempli par du
sang
libre. Dans le canal rachidien il n'y a rien qu
is onduleuses, festonnées : coupes de vaisseaux néoformés gorgés de
sang
. ' Les gros vaisseaux spinaux antérieurs sont d
ètres. Aspect lavé de tous les organes, à la coupe aucune goutte de
sang
ne s'é- chappe. Apparence normale à part cela.
Les sinus veineux de l'encéphale sont extraordinairement gorgés de
sang
et distendus. Le sinus latéral, le sinus longit
r passage dans les trous de conjugaison. En certains points il y a du
sang
épanché entre l'arachnoïde et la dure-mère (rég
Moelle, région cervicale : distension de tous les vaisseaux par le
sang
. Pie-mère mince, peu infiltrée, mais séparée de
très fins parcourant la masse en tout sens, mais semblant vides de
sang
, noyaux plus volumineux, plus clairs, rappelant
érable. Tout semble noyé dans les capillaires monstrueux, gorgés de
sang
, qui occupent presque tout l'espace laissé [libre
aplatie, veine spinale antérieure double, bien arrondie, pleine de
sang
. De même pour veines spi- nales postérieures, e
actères normaux ; les vaisseaux sont seulement très distendus et le
sang
qu'ils contiennent est très riche en leuco- cyt
sseur exagérée de la dure-mère. Les vaisseaux sont distendus par le
sang
mais leurs parois sont normales, leur lumière par
mière aplatie, rétrécie, défigurée ne permet pas le cours normal du
sang
, leurs tuniques sont infiltrées de cellules ron
duit son pinceau humoristique et réaliste. Le bistouri, le filet de
sang
tranchant sur la peau brune ne sont la que pour
ées peuvent être ramenées à trois chefs : 1° La tension exagérée du
sang
dans les vaisseaux de l'encéphale ; 2° La dimin
trophie du ventricule gauche du cœur ; l'exagération de la tension du
sang
, consécutive à l'atrophie rénale ou à la sclérose
t de millimètre. La couleur de ces anévrysmes varie suivant l'état du
sang
qu'ils contiennent, et suivant l'état de la paroi
mince, l'anévrysme est d'un rouge violacé plus ou moins foncé, si le
sang
qu'il renferme est liquide ; si, au contraire, le
s foncé, si le sang qu'il renferme est liquide ; si, au contraire, le
sang
concreté depuis longtemps s'est déjà transformé e
s, surtout dans les parties centrales, l'anévrysme est bleuâtre si le
sang
qu'il renferme est liquide ; grisâtre, si les glo
une gangue granuleuse qui ne laisse plus qu'une place peu étendue au
sang
normal ; brunâtre, si le contenu a déjà subi les
mpant sous l'influence de la moindre pression et laissant échapper un
sang
dont les caractères extérieurs sont peu modifiés
souvent les dimensions d'un grain de chénevis ; ils sont violets ; le
sang
qui les distend n'est recouvert que par une très
e par une très mince pellicule membraneuse. Alors, si l'on expulse ce
sang
en pressant le petit globe entre deux lames de ve
entre un anévrysme semblable aux autres, mais rompu et entouré par le
sang
qui distendait la membrane d'enveloppe, qui n'est
un anévrysme volumineux, il n'y a, en réalité, qu'un épan-chement de
sang
dans la gaine dilatée avec un anévrysme véritable
e partie du caillot ; mais pour cela, il ne convient ni d'emporter le
sang
avec le dos d'un scalpel, ni de le chasser par
dilater tout-à-coup en forme d'ampoule sphérique contenant encore du
sang
à son inférieur, mais fendue sur une partie de so
lquefois à la paroi de l'anévrysme. On aperçoit par transparence le
sang
dont les éléments normaux paraissent mélangés à d
i l'on presse sur la lamelle de verre qui recouvre la préparation, ce
sang
s'écoule parles deux bouts de l'artère ou s'échap
On trouve à côté d'une partie plus liquide, constituée à la façon du
sang
normal, une autre partie moins fluide, grenue, tr
grenue qui les entoure, peut en augmentant, amener une stagnation du
sang
dans l'anévrysme ; ce sang subit alors plus compl
ut en augmentant, amener une stagnation du sang dans l'anévrysme ; ce
sang
subit alors plus complètement les métamorphoses r
seuses. Dans les cas où un anévrysme rompu antérieurement a laissé le
sang
distendre la gaîne sans la déchirer, sans former
une manière diffuse autour de lui, et les produits de métamorphose du
sang
infiltrent un tissu de nouvelle formation, résult
uche. Ce dernier a fait irruption sous la prémère. On trouve aussi du
sang
épanché dans le quatrième ventricule. Les parois
ps strié gauche et l'étage supérieur du pédoncule cérébral gauche. Le
sang
a fait irruption dans les cavités ventriculaires.
e une coloration jaune très foncée due à l'imbibition par le sérum du
sang
chargé des matériaux de la bile. On trouve plusie
oies biliaires. — Une inondation sanguine de ce cancer a injecté d'un
sang
noir toutes les divisions du canal hépatique. La
e dans le lobe droit et s'étendant à une grande partie du gauche ; le
sang
, après avoir déchiré les circonvolutions à la par
une hémorrhagie dans l'épaisseur de la protubérance avec irruption du
sang
dans le troisième et le quatrième ventricule. — O
t entre la couche optique et le corps strié de l'hémisphère droit. Le
sang
, par une déchirure, a fusé dans le ventricule lat
a déchiré la face supérieure de fa couche optique, ce qui a permis au
sang
de s'épancher dans ie ventricule latéral droit et
s derniers sont suspendus à la même artériole ; ils sont rompus et le
sang
extravasé a disséqué, puis déchiré la gaine, et s
ans les ventricules. Le quatrième ventricule seul ne contient pas cle
sang
. On constate dans chaque corps strié l'existence
n du lobe frontal droit. Il a la grosseur d'une noix et est rempli de
sang
noir, coagulé. On trouve dans le corps strié droi
, que l'on remarquait sur fe sac de l'anévrysme, avait donné issue au
sang
. — La substance cérébrate autour du foyer n'était
mple du cœur, la seule qu'on puisse accuser d'accroître la tension du
sang
dans le système artériel. Ce n'est donc encore là
brune; au dessous le panicule graisseux paraissait partout imbibé de
sang
noir. Plus profondément, dans toute son épaisseur
pendant, on n'y voyait voyager qu'un très-petit nombre de globules du
sang
. L'eschare des hémiplégiques se rencontre dans
ntraction musculaire seule qu'est due l'augmentation de la chaleur du
sang
. En dirigeant des courants interrompus à traver
le produit de la chaleur, et cette chaleur se communique du muscle au
sang
qui le traverse. L'élévation de la température ce
à une rupture des vaisseaux du feuillet viscéral de l'arachnoïde ; le
sang
épanché, soit par suite d'une modification de ces
sanguinolente; à droite, l'incision m et à nu un vaste épanchemeni de
sang
coagulé, d'une couleur très-foncée, presque noir,
uche de fibrine renfermant, en certaines proportions, fes éléments du
sang
et présentant une coloration acajou. A gauche d
rachnoïdienne du côté droit ; l'épanchement était vaste et composé de
sang
coagulé ; le liquide séro-sanguinolent qui s'est
uche devait évidemment son aspect au mélange d'une petite quantité de
sang
provenant du foyer principal, et qui avait passé
roche ces diverses circonstances de l'état dans lequel on a trouvé le
sang
épanché dans la cavité arachnoïdienne, on n'hésit
ère la plus nette dans l'ouvrage classique de MM. Hardy et Béhier, le
sang
épanché aurait excité le feuillet pariétal de l'a
lles on aurait pu demander l'explication de la présence simultanée du
sang
et des produits membraneux dans la cavité arachno
était fondée ici, l'exsudat fibrineux, extravasé en même temps que le
sang
, aurait montré tout au plus, au bout de treize jo
ttaque, dirait-on, a été occasionnée par une hémorrhagie méningée: le
sang
, étendu sous forme de nappe à la surface des hémi
disposés à se rompre très facilement sous l'effort de la pression du
sang
. 111. Une fois constituées, les néo-membranes
échirures vasculaires s'opèrent à un moment donné, et il y a issue du
sang
au sein de la néo-membrane ; plusieurs cas peuven
uvent alors se présenter : tantôt épanché en très faible quantité, le
sang
forme seulement de petites collections interlamel
nfin, les parois qui limitaient l'épanchement peuvent se rompre et le
sang
se répandre alors dans la cavité de l'arachnoïde.
pour peu qu'il y ait eu épanchement rapide d'une notable quantité de
sang
. Le cas dont nous avons présenté l'histoire peu
achnoïdien correspondant. Cette fausse membrane tantôt est maculée de
sang
, tantôt contient de petits foyers dans son épaiss
s la cavité arachnoïdienne une quantité plus ou moins considérable de
sang
. C'est à cette fausse membrane, source de l'hémor
e fausse membrane, source de l'hémorrhagie, qu'est dûl'enkystement du
sang
, et cetenkystemeiitsefait aux dépens de la fausse
d'adhérences avec le feuillet viscéral de l'arachnoïde, tandis que le
sang
subit toutes les altérations qu'ilprésente dans l
s lésions mira-crâniennes, des poches pseudo-membraneuses remplies de
sang
dans les cavités de l'arachnoïde cérébrale. (4a s
s opinions qui nous paraissent discutables. Ainsi, pour M. Brunet, le
sang
, dans l'hémorrhagie intra-arachnoïdien ne, serait
ns épaisse de la néo-membrane. Pourquoi supposer dans ces cas, que le
sang
a été fourni par les vaisseaux de la partie la pl
de la néo-membrane, de manière à permettre l'issue d'une quantité de
sang
rela tivément considérable, se serait consécuti
cée, au point de ne plus laisser de traces. Enfin, dans les cas où le
sang
épanché siège dans la cavité même de l'arachnoïde
éjà fortement constituée, formée de laines nombreuses et épaisses, le
sang
se fera place entre ces lames avec d'autant plus
it que les vaisseaux des parois de ce kyste pourront se rompre, et le
sang
extra* vasé se mêler, par suite, en proportions v
ûr de trouver au milieu de la vésicule qu'elles représentent, soit du
sang
, soit de la sérosité, soit des liquides purulents
e pleurésie et de péricardite dites hémor-rhagïques, dans lesquels le
sang
est évidemment fourni par l'appareil xrasculaire
ocèles vaginales étudiées par M. Gos-selin ; car, dans ces cas-là, le
sang
épanché au sein de la cavité séreuse paraît prove
ils dépendent de l'irruption plus ou moins brusque d'une quantité de
sang
plus ou moins considérable entre les lames de la
e région quelconque de l'encéphale. Que ces modifications du cours du
sang
soient produites par l'embolie artérielle, par l'
rtout le droit, sont très fortement congestionnés et comme imbibés de
sang
à leur partie postérieure. Les différents viscère
ur des surfaces diarthrodiales un repli turgescent, violacé, gorgé de
sang
, qui rappelle le chémosis. Les cartilages diarthr
oute particulière et paraissent comme imbibés de matière colorante du
sang
. Ces diverses altérations deviennent surtout frap
face postérieure par de nombreux vaisseaux fortement distendus par le
sang
. (Pl. VI, fîg. 6.) Ces vaisseaux siègent principa
ment, des piqûres très profondes. Ces plaies ne donnent pas ou peu de
sang
, à cause de la constriction énergique des vaissea
ur, et la ligature étant maintenue au bras pour empêcher le retour du
sang
, les paupières . sont fermées et la malade de nou
elques instants après, nous enlevons la ligature. L'obstacle levé, le
sang
reprend son cours et la coloration du membre augm
bras, lorsque l'ouverture semblait insuffisante pour donner un jet de
sang
bien détaché, on voyait, en plaçant le malade sur
taché, on voyait, en plaçant le malade sur le tabouret électrique, le
sang
s'élancer avec vigueur en s'éparpillant en goutte
ire rompu. B, Gaine lymphatique déchirée. C, Caillot formé par le
sang
extravasé qui a distendu, puis déchire la gaine l
ement l'attention. Développement intellectuel normal. L'examen du
sang
a confirmé le diagnostic du mal de Hodgkin (pseud
corda » dans l'infirmerie du profes- seur Rocha Paria ; l'examen du
sang
, fait par le Dr Oscar- Clark, a donné les résul
e, présentent une quantité de petites vacuoles. Vaisseaux gorgés de
sang
; la veine- du corps strié est énorme. Espaces pé
au de sa partie moyenne. Il s'aperçut de sa blessure en voyant le
sang
couler. SEIZE déformations PARATONIQUES DE la m
e phalange de l'index droit. Il s'aperçut par hasard, en voyant son
sang
, qu'il venait d'être blessé. On constate une pe
il apprit qu'il était blessé par la douleur locale et en voyant le
sang
couler. 2. Conséquences immédiates. - La main s
onstances ne nous ont per- mis aucune analyse chimique des humeurs,
sang
ou urine, ni même aucune radiographie. Toutefoi
cuir chevelu alopécique, sourcils rares. Cependant, la réaction du
sang
de Bordet-Wassermann chez lui s'est montrée nég
. La propreté physique de certains est grande. Mais ceux qui ont du
sang
arabe sont très malpropres. Quelle ne fut pas n
gments de substance suspecte néoplasique. Ventricule droit plein de
sang
. Légère congestion des poumons. Adhérences pleu
Les leptoméninges partout d'une épaisseur normale, leur quantité de
sang
n'est que médiocre, mais celle-ci augmente à la p
te granuleuse. Moelle épinière. - Les méninges minces ; l'afflux du
sang
médiocre. Coeur de grandeur et consistance norm
et aérien. Le lobe inférieur du poumon gauche montre une quantité de
sang
augmentée et dans les parties postérieures quel
sâtre opaque ; les pyramides de Malpighi montrent une quan- tité de
sang
augmentée. M. le professeur Quensel conclut qu'
tée, la réaction de Wassermann douteuse, mais fortement positive au
sang
; pas de lymphocytose. Auparavant, une période
rman, négative. Examen des urines, rien de remarquable. Examen du
sang
, rien de remarquable. Examen radiographique, il
ôme absolument certain d'une hémorragie méningée est la présence de
sang
dans le liquide céphalo- rachidien, obtenu à la
liquide céphalo-rachidien sanguinolent est celui-ci : Le mélange de
sang
dépend-il d'une lésion des vaisseaux ménin- gés
écou- verte d'un liquide céphalo-rachidien sanguinolent, est que le
sang
a pénétré dans l'espace sous-arachnoïdien par u
et physiques, on peut, d'après notre avis, conclure que chaque cas de
sang
ayant pénétré dans l'espace sous-arachnoïdien e
sous-arachnoïdien est démontré à la ponclion lombaire sous forme de
sang
dans le liquide ponctionné. De si bonnes condit
empérature : 37 ? Le pouls ; 95 à la minute, rythmé. La pression de
sang
(selon Riva-Rocci et avec une large manchette) 16
ylin- dres granuleux. A cause de l'augmentation de la pression du
sang
, des symptômes d'hyper- trophie du coeur ainsi
50 millimètres. On fait écouler 17 centimètres cubes. Le mélange de
sang
se révèle tout il fait homogène et aussi fort au
examen au microscope on a trouvé un nombre important de globules de
sang
rouges, paraissant morphologiquement intacts, ain
; 10 centimètres cubes du liquide se sont écoulés. La coloration du
sang
est moins forte que la fois précédente. Le micr
e liquide sédimentaire d'un janne légèrement brun. Aucun caillot de
sang
dans la sérosité. Globules blancs dans le sang
un. Aucun caillot de sang dans la sérosité. Globules blancs dans le
sang
: 8.700 par centimètre cube. Facultés psychique
rrive à peu près sans marquer de sensations de douleur. Pression du
sang
: 135 millimètres mercure. La température du so
côté et étendue sur pres- que^tout l'hémisphère une mince couche de
sang
noir et des caillots sombres, humidement brilla
uche de sang noir et des caillots sombres, humidement brillants. Le
sang
se laisse partout facilement essuyer et dans le
ussi dans les scissures et les sillons un très large épanchement de
sang
, qui devient évidemment plus riche aux environs
osse de Sylvius droite et de la base du lobe frontal. Là encore, le
sang
a le même caractère sombre .et humidement brillan
rrespondant à l'espace perforé antérieur droit, une infiltration de
sang
coagulé dans les leptoméninges, qui est ici dis
dans l'endroit précédent, et de couleur plus brune. Les caillots de
sang
entourent complètement le commencement de l'art
en sont très abrupts et très aigus. A l'enlèvement des caillots du
sang
, on a constaté aussitôt derrière le trigone olf
space perforé, aux bords inégaux, causé par l'irruption violente du
sang
. A l'examen microscopique du cerveau, on a obse
déchirures de la substance cérébrale avec des masses'de globules de
sang
répandus dans la substance cérébrale 'ou agglom
dehors de ce centre une large zone concentrique, où les globules de
sang
ont des contours aigus et sont vivement colorés
Les symptômes d'hypertrophie du coeur, la pression un peu élevée du
sang
, ainsi que la présence dans les urines d'albumine
de à la clinique, par l'interven- tion des règles. L'épanchement de
sang
, constaté à la ponction lombaire, ne contrariai
émor- ragies méningées à l'état urémique avec pression surélevée du
sang
, que l'on trouve décrits dans la littérature.
interstitielle. Au con- traire, elle a démontré que l'irruption du
sang
dans les membranes céré- brales était la vraie
mort. Les caractères différents que pré- sentaient les caillots de
sang
, d'un côté plus brillants et plus frais, etde l
l n'est pas difficile de comprendre que les considérables masses de
sang
au-dessus el au-dessous de l'hémisphère droit p
e. SUR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES 321 L'importante infiltration de
sang
dans la bandelette optique droite expli- que su
mianopsie sont expliquées par la différence de pression des masses de
sang
dans différentes occasions. Quant à la cause
volutions et gît au-dessus du pédoncule olfactif ? A notre avis, le
sang
s'est glissé de l'espace perforé antérieur dans
enne et l'adventice ont élé assez fortes pour résister aux flots de
sang
. Cependant, l'endartère eu parvenu à développer
tout du côté droit. Le sinus lon- gitudinal supérieur est rempli de
sang
abondant fluide. La face interne de la dure-mèr
ide clair, légèrement teint de rouge, celui de droite un caillot de
sang
sombre, qui recouvre entièrement la convexité de
homogène, épaisse de 3 ou 4 millimètres environ. Ce cail- - lot de
sang
se dégage d'une manière extraordinairement facile
e, entraîné par son propre poids. Aucun rapport entre le caillot de
sang
et les méninges, ne peut être observé aux endro
es deux côtés. Les ventricules sans aucune particularité, libres de
sang
. , Le cerveau prélevé, avec de grandes précauti
élevé, avec de grandes précautions, on a constaté que le caillot de
sang
ci-dessus mentionné, dans. cavité sous-durale, se
observé, avant qu'on eût en aucune façon touché à ces parties, que le
sang
SUR LES HEMORRAGIES MÉNINGÉES 323 sombre liqu
rès l'entrée. On a pratiqué une saignée de 275 centimètres cubes de
sang
. La ponction lombaire n'a pas été faite. Î Au
e et l'arachnoïde, un épais revêtement, sombre, humide et brillant de
sang
coagulé. Ce revêtement se continue en descendan
en dessous une importante infiltration, également ininterrompue, de
sang
coagulé dans les leptoméninges. Cette altération
Le sac est complètement enveloppé par la coagulation. La. masse de
sang
coagulé, qui a pénétré dans l'extrémité du lobe
e recueilli dans trois, éprouvettes différentes a la même teinte de
sang
dans chacune. Dans les trois éprouvettes s'est pe
-même sans signes de particularité. Dans l'espace sous-dural pas de
sang
. Les leptoméninges sèches si surface. Dans leurs
s leptoméninges sèches si surface. Dans leurs mai t tes, on voit du
sang
en plusieurs endroits dans les deux hémisphères,
t été ouverts, on a trouvé dans tous un liquide fortement coloré de
sang
, mais nulle part coagulé, et dans le ventricule l
e déchirure de t'épendyme. Ici, il y u une grande cavité envahie de
sang
. Le cerveau ayant été conservé dans le formol,
en outre une grande partie du centre ovale de Vieussens voisin. Le
sang
est coagulé, sec, presque noir. A la coupe, on
ébrale et pénètre dans le ventricule laté- ral. Les deux couches de
sang
, trouvées à l'autopsie dans le grand foyer, qui
auche. Les'confluents sous-arachnoïdiens de la base sont remplis de
sang
liquide, épais et sombre, en partie coagulé, qu
u trou Magendie. Tous les ventricules sont complètement pleins d'un
sang
liquide rouge sombre entremêlé de caillots. '
de caillots. ' Après un prudent lavage afin d'enlever les masses de
sang
des ventricules latéraux, on découvert dans la
ouvailles démontrent la difficulté deretrou- ver, dans les flots de
sang
épanchés la fissure, dans beaucoup de cas sans
titutionnelles. Dans les diathèses hémor- ragiques, lés maladies de
sang
comme la leucémie, le purpura, etc., des hémorr
es dans les maladies qui amènent une augmentation de la pression du
sang
, surtout les néphrites chroniques. A l'éclampsie
exagérée du sac durai et à l'influence irritante de l'inondation de
sang
sur les méninges. Les symptômes locaux de la pe
u contraire, dépendent surtout de l'effet traumatique que le jet de
sang
produit aux environs de la rupture, mais aussi
environs de la rupture, mais aussi de la pression que les masses de
sang
exercent là où elles . sont le plus compactes.
cas. Il en énonce la conjecture qu'elle dépendait de la pression du
sang
épanché sur la bandelette optique. Dans mon cas I
ragies méningées, Lépine et Widal ont démontré que « l'irruption de
sang
provoque une attrition de la substance nerveuse
ortante dans les hémorragies des artères basales, parce que le jet de
sang
peut ici s'échapper plus facilement dans les gr
t toutes les deux des hémorragies basales, démontrent que le jet de
sang
peut même ici déchirer la pulpe. Dans l'observa
pronostic des hémorragies méningées dépend largement delà masse de
sang
épanchée, de sorte qu'il en fail le une consi-
Le symptôme le plus important d'une hémorragie est la découverte de
sang
dans le liquide cérébro-spinal, obtenu à la ponct
l'apparition d'un liquide sanglant, tous les chemins par lesquels le
sang
peut atteindre l'espace sous-arachnoïdien. Si q
iquide cérébro-spinal en plusieurs portions. Le mélange homogène du
sang
, l'absence absolue du coagulum fibrineux et un
es liquides céré- pro-spinaux récemment obtenus, dont le mélange de
sang
était sûrement artificiel, où une grande partie
ipide, ce que nos observations n'ont pas confirmé. Pour l'état de
sang
, sans exclure l'aspect pâle de la peau, il n'y a
orps est de 36 à 36°5 dans les cas de ce genre. Quant à l'étal du
sang
, on a,observé avec une certaine fréquence l'aug-
avait en même temps des maux de tête, et il aurait vomi et urine du
sang
pendant les trois ou quatre premiers jours. Il
cué sur Reims, Rouen et Trouville. A Trouville, il a encore vomi du
sang
; ses douleurs dans la région lombaire étaient
ite. Les trois premiers jours qui suivirent l'accident, il urina du
sang
. Il resta alité pendant trois semaines environ;
urs qui se trouvait à 300 mètres, où il aurait eu un vomissement de
sang
. De là il a été dirigé sur une ambu- lance où i
ntiment de chaleur dans le visage et de congestion, l'affluciice do
sang
vers la tète. Dans la solitude le malade se sen
tion, ce sont les arthritiques dont l'acide urique séjourne dans le
sang
, les uricémiques. L'appari- tion d'un eczéma pe
la position du coeur, et des artères qui nourrissent le cerveau, le
sang
arrive à l'hémisphère gauche par une route un peu
la première après l'ascension ra- pide d'un escalier ; il vomit le
sang
il flots; les jours suivants il aurait conlinué
e profusion de globules blancs, même en tenant compte du mélange du
sang
au liquide céphalo-rachi- dien. Etat complèteme
&t frappante quand iln'y a pas mélange d'une grande quantité de
sang
. La prééminence des lymphocytes paraît plus accen
trii, VU), 1903.) A petites doses, par exemple en injectant dans le
sang
1 à 2 112 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. gr. delà so
le anémie préalable passagère. Elle élève la pression gé- nérale du
sang
. Par la voie gastrique, elle agit beaucoup plus l
en faut des doses bien plus grandes que si on l'intro- duit dans le
sang
; mais, en revanche, son effet sur la pression
pa- rois etsont destinés iL faire pénétrer le liquide nourricier du
sang
; 2° un réseau de canaux sans parois destinés à
conséquent les principes toxiques épileptogènes contenus dans le
sang
des épileptiques doivent être considérés comme sp
drapé d'un linceul blanc, brandissant un couteau d'où ruisselait le
sang
, apparut aux yeux elfrayés des agents et des co
, sous l'inspiration du docteur Séglas, notre maître, d'examiner le
sang
d'othé- matome récemment produit.Avec toutes le
toutes les précautions asep- tiques ordinaires, nous prélevâmes du
sang
d'othématoriies chez des paralytiques généraux
chiatrie : Etude cyto- logique, bactériologique et expérimentale du
sang
chez les aliénés ; rapporteur : A9.DIDE ? yeiwo
(Illoxiléi711e.En outre, l'accumulation d'acide carbonique clans le
sang
a une action excitante ; l'action toxique de l'ox
e de l'esprit puisque j'ai constaté l'existence de microbes dans le
sang
des psychoses hallucinatoires à évolution chron
ce gnalée antérieurement, d'espèces microbiennes diverses dans le
sang
des sujets atteints de démence précoce, permet de
res. II. La constatation fréquente d'espèces microbiennes dans le
sang
permet d'affirmer l'existence d'une infection, qu
de chercher ces mêmes propriétés dans le sérum de malades dont le
sang
n'a pas été ensemencé, ou bien, dont l'ensemen-
tion siégeant dans le bulbe et mis en activité par l'influence du
sang
chargé d'acide carbonique, on doit admettre aussi
s'est assuré par la réaction de \\ïdal, l'examen pa- thologique du
sang
, l'examen du liquide céphalo-rachidien que le d
niques, des substances anormales, la toxicité urinaire, l'examen du
sang
, etc., chez les épilepti- REVUE DE pathologie n
sutures persistent toutes. sont linument dentelées et(/0)'- gées de
sang
. La partie médiane de l'occipital est légèrement
. Ce rapprochement est juste. La biluribine, qui fusionne avec le
sang
dans la cholémie. est un toxique. Chez le sujet
nous est arrivé de ne rien découvrir dans les urines, tandis que le
sang
nous apportait quelques éléments. Cela s'expliq
oit à cause de la petitesse de ces ramifications, soit parce que le
sang
peut toujours trouver une porte ouverte, dans l
e-mère, très légèrement épaissie, a sesveines fortement remplies de
sang
, à parois légèrement épaissies, mais, comme 11'
gement perméables, ¡'¡ calibre plutôt dilaté que rétréci remplis de
sang
, surtout les reines : aucun ne paraît thrombose
n dehors d'un léger épaississcmcnl, sont bien perméables. gorgés de
sang
; dans aucun d'eux il n'existe trace de thrombo
Ly ltillucs : les vaisseaux sont large- ment perméables, pleins de
sang
, à parois légèrement épaissies sans être infilt
olue en dehors de la moelle. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE . '1 Le
sang
dans l'acromégalie et le gigantisme (.1 1)-OI)O
gan- tisme, examiné particulièrement au point de vue de l'état du
sang
. La Société m'a chargé de résumer le travail de
occupés, la Société de Biologie (séance du 15 avril) de l'examen du
sang
, dans deux types ex- trêmes d'acromégalie. Le c
s dimen- sions exagérées delà face. Des troubles visuels comme Le
sang
dans l'acromégalie et le GIG.1N l'1SMI : . 4Ü5
Dr Sakorraphos a porté son attention particu- lière sur l'examen du
sang
. « Le sang, disent MM. Sabrazèsel Bonnes, s'éca
s a porté son attention particu- lière sur l'examen du sang. « Le
sang
, disent MM. Sabrazèsel Bonnes, s'écartait de la
En un mot, il y avait une légère diminu- tion de la masse totale du
sang
, une oligémic (de o ? Yo;, peu, et "'1 ? sang)
de la masse totale du sang, une oligémic (de o ? Yo;, peu, et "'1 ?
sang
) sansaucunc disproportion enttc les éléments ce
? sang) sansaucunc disproportion enttc les éléments cellulaires du
sang
. Telle est, en substance, la très intéressante
l'occasion de la note de M. Sakorraphos, pratiqué l'examen de son
sang
avec M. Lematte, mon collaborateur. Voici le ré
c M. Lematte, mon collaborateur. Voici le résultat de cet examen de
sang
comparé au sang normal : Archives, 2' série,
collaborateur. Voici le résultat de cet examen de sang comparé au
sang
normal : Archives, 2' série, 1903, l. XX. 30
hives, 2' série, 1903, l. XX. 30 466 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. LE
SANG
DANS L'ACROMÉGALIE ET LE GIGANTISME. 467 - 60 N
férentes à l'un et l'autre trouble somatique. Les prélèvements du
sang
ont été multiples et nous avons eu soin de les
et pourne pas mettre au compte du gi- gantisme des modifications du
sang
qui se pourraient référer à d'autres causes,nou
e communication z l'Académie des Sciences (1), je signalais dans le
sang
des épileptiques la présence d'un microcoque qu
EslEUR (4) (de Lyon) ont examiné au point de vue bactériologique le
sang
des épileptiques en état de crises. Leurs reche
ent négatives et soit dans leurs cultures, soit dans les examens du
sang
àl'état frais, ils n'ont jamais trouvé de micro
microbes décelables. (1) 13a. De la présence d'un parasite dans le
sang
des épilep- 1Ï([nps, C.-R. de l'Académie des sc
de Neurologie,1902, p, 30. c (2) l3tt. Du parasse trouvé dans le
sang
des épileptiques. Re- vue neurologique, ne 10,
. 1902, p. 309. (4) Lannois et LESIEUn. - Examen bactériologique du
sang
des épileptiques. Soc, médic, des Hôpitaux de L
ar cetteso= ciété de faire un rapport sur mes recherches,examina le
sang
de 5 épileptiques aussi bien au moment de l'att
au moment de l'attaque que dans les intervalles. Il fit l'evamen du
sang
frais, du sang avec co- loration et des ensemen
attaque que dans les intervalles. Il fit l'evamen du sang frais, du
sang
avec co- loration et des ensemencements sur dif
ment),quoiqu'on put constater la présence de ce parasite dans le
sang
du lapin. Résultat négatif aussi sur la sou ris.E
us fréquente de ce micio- coque au milieu d'autres microbes dans le
sang
des mala- ' * des qui présentent une activité m
nq examens sur cinq épileptiques;il cons- tata la présence, dans le
sang
, de microorganismes correspon- dant à la descri
s seulement, il est arrivé aux au- teurs de remarquer à l'examen du
sang
frais à peine extrait' de la veine « des corpus
et mélangés à de nombreux microcytes. » Et, comme il s'agissait de
sang
recueilli immédiatement ou peu après les accès,
if, même en ce qui concerne l'existence de ces granulations dans le
sang
frais ; le second « peu d'heures après un accès
- ture. En résumé, MAI. Tirelliet Brossa ont bien observé dans le
sang
de quelques épileptiques des granulations d'aspec
es considérer comme des fragmentations d'éléments morphologiques du
sang
. (1) nllA, Du parasite trouve dans le sang des
éments morphologiques du sang. (1) nllA, Du parasite trouve dans le
sang
des épileptiques. Re- vue neurologique 11* 10,
ileptiques palustres, il avait à plusieurs reprises observé dans le
sang
des points réfringents extrê- mement mobiles do
er sur trois points principaux : 1" rareté des cas où l'examen du
sang
se montre positif; 2° résistance des éléments « a
épôt renfermant les « éléments problématiques » renfermés dans le
sang
. Je vais passer en revue ces différentes object
e ces différentes objections : . a). Rareté des cas oit l'examen du
sang
se montre posi- tif. Cette rareté me semble pro
onnées au début. Un schéma trop schématique- des photographies d'un
sang
trop profondément infecté et renfermant, en con
et Petit (L'épilepsie, Paris 1897, pages l39-Lo). Sur 9 examens du
sang
pratiqués sur 5 épileptiques ayant des accès en
ibué, sans doute, à ce que l'on s'attendit à trouver, à l'examen du
sang
, autre chose que ce qui est. Aussi, je crois ut
choses au point et je précise : Les formes du neurocoque dans le
sang
se réduisent à ceci : cocci isolés ou en diploc
ent compte de ce que l'on rencontre le plus ordinaire- ment dans le
sang
des épileptiques. Comme je l'ai fait observer,
locoques et chaînettes Fixe. 23. Les éléments du neurocoque dans le
sang
comitial. Cocci isolés et diplocoques, courte c
itifs à un moment donné. L'es- sentiel est de répéter les prises de
sang
. Les épilepti- ques cachectiques il vertiges co
infection presque permanente. - Je rappelle que pour l'examen du
sang
, les prélève- ments par piqûre du doigt ou du l
ux supposés para- sitaires » à la coloration. Les parasites dans le
sang
se colorent, il est vrai, insuffisamment par le
dépôt renfermant les « éléments problématiques rencon- trés dans le
sang
. On sait la difficulté que présente généralemen
ue présente généralement la culture des microbes contenus dans le
sang
et qui provient en partie de ce que le coagulum
ents mi- crobiens. Dans l'épilepsie, comme dans les infections du
sang
en général, de fréquents insuccès paraissent dus
nsuccès paraissent dus à ce processus fibrineux. La culture dans le
sang
même du malade, préconisée par MM. Roger et Wei
constants que l'en- semencement direct, même en grande quantité, du
sang
recherches MICROI3101.OGIQ1 : 1 : S sur l'épile
ion d'une veine du pli du coude, au moins cinq centimètres cubes de
sang
. On vide le contenu de la seringue dans un tube
nant quelques perles de verre et l'on défibrine immédia- tement le
sang
en agitant le tube pendant cinq minutes. On por
ingt-quatre heures en vingt-quatre heures, on prélève une goutte de
sang
dé- fibriné qu'on examine après étalement sur l
e la croissance en masse des microbes par le changement d'aspect du
sang
qui, de rouge qu'il était, prend une teinte bru
ouge qu'il était, prend une teinte brun-sale. Cette culture dans le
sang
défibriné sert à ensemencer des tubes de bouill
cile de l'exalter soit par (1) 1311 \. - Du parasite trouvé dans le
sang
des épileptiques. Revue neurologique, 30 mai 19
une atrophie remarquable de la rate et de la vésicule biliaire ! Le
sang
du coeur donna une culture pure du neurocoque.
ne culture pure du neurocoque. La persistance du mi-, crobe dans le
sang
est extrêmement remarquable. ' Je reviendrai su
sulter que les cultures du neurocoque favorisentla coagulation du
sang
. La vitesse delà coagulation du sang pris chez
ue favorisentla coagulation du sang. La vitesse delà coagulation du
sang
pris chez le lapin inoculé est, en effet, beauc
op d'ense- mencements pour ne' pas être convaincu que l'examen du
sang
et la culture suffisent d'ailleurs amplement au d
tions qu'on lui inflige, les bourreaux qui se désaltèrent avec son
sang
et finalement son triomphe dans une sorte d apoth
rieur ; par Lannois, p. 399. Absinthe, p. 413. Acrohégalif. Voir
Sang
. Affections cérébro - spinales. Voir timibles
ynx. Voir Troubles. Rhumatisme chronique, par Gauckler, p. 492.
Sang
. Le dans l'acr01négn- lie et le gigantisme, par
atisme chronique. Il passe successivement en revue les altérations du
sang
, les moyens de les reconnaître, les altérations l
e joignent aux précédents ; ce sont : l'apparition à deux reprises de
sang
noirâtre dans les selles; l'impossibilité pour le
constric-tion et d'étouffement ; enfin la présence du pus mélangé au
sang
dans les crachats. Les jours suivants, les même
u déeubi-tus horizontal sans imminence de suffocation, la présence du
sang
et du pus dans les crachats, la faiblesse progres
uru¬lents, et le malade rend chaque fois une assez grande quantité de
sang
variant entre 50 et 100 grammes. " Il reste pre
hier le malade a rejeté beaucoup de crachats fortement colorés par le
sang
, au milieu desquels se trouve un caillot rendu pe
ieu desquels se trouve un caillot rendu pendant la nuit, et un peu de
sang
rouge, spumeux, expectoré récemment. Même état gé
tion qu'il éprouve dans cette position. Il continue d'expectorer du
sang
pendant deux ou trois minutes, puis la syncope ar
u point où celles-ci existent s'échappent des caillots noirs, avec du
sang
liquide de même teinte, le tout ayant une odeur i
le tout ayant une odeur infecte. Au milieu de ces caillots et de ce
sang
se trouve un corps étran¬ger, lequel est un épi p
cerveau sont un peu athéromateuses ; l'encéphale enlevé, on trouve du
sang
fluide et noirâtre épanché à la base de la cavité
; les circonvolutions de la base des hémisphères sont af¬faissées, le
sang
épanché les a comprimées ; des coupes de l'en¬cép
de reconnaître l'état des ventricules laté¬raux, qui sont remplis de
sang
noirâtre, à demi coagulé ; la cloi¬son interventr
ette large fente sont irréguliers, fortement colo¬rés en rouge par le
sang
qui les a imbibés ; dans le foyer hémor-rhagique,
es a imbibés ; dans le foyer hémor-rhagique, on rencontre mélangés au
sang
des cellules et des tubes nerveux brisés ; des co
Le pédoncule cérébral droit, déchiré, s'est laissé traverser par le
sang
épanché. Dans le corps strié gauche, il existe
a partie moyenne, on remarque les vaisseaux capillaires injectés d'un
sang
très-foncé. Les lèvres ont éprouvé un changement
nombre de 3 à 500 par minute ; D. Et enfin la force d'impulsion du
sang
(liémo-dynamométrié). Le faible volume de cet i
verre constitue en outre une artère transparente où les mouvements du
sang
ou de l'organe sont rendus visibles à l'œil par l
é un petit index en cuivre, destiné à mesurer la force d'impulsion du
sang
. Nous expli¬querons bientôt son rôle. 1 Au lieu
dex en cuivre placé le long du tube indiquait la force d'impulsion du
sang
évaluée en grammes. Pour l'obtenir, il faut app
chaque impulsion au-dessus de zéro indiquera la force d'ascension du
sang
évalué en grammes chez le sujet en ex¬périence ;
donna issue à deux cuillerées à bouche d'un liquide jaunâtre, mêlé de
sang
et contenant de petits grumeaux blan¬châtres. P
peut être interprété diversement. On peut penser à une coagulation du
sang
dans les artères, par l'action directe du feu, ou
hénomènes physiologiques de la menstrua¬tion, excepté l'écoulement de
sang
. Les organes génitaux externes étaient bien confo
s le fond du vase. — Cœur : oreillettes et ventricule droit gorgés de
sang
noir coagulé. — Tube digestif: estomac à demi rem
ité de l'hémisphère droit; — injection très-prononcée, épanchement de
sang
dans les muilles de la pie-mère, qui revêt la par
etmoyennede la convexité de Y hémisphère gauche; on trouve encore du
sang
épanché clans la pie-mère au niveau de la face in
moelle cervicale, quelques vaisseaux sont distendus et renferment du
sang
coagulé; sur la face antérieure, vascularisation
rien de particulier. —Cœur: oreillette et ventricule droit remplis de
sang
noir coagulé. — Tube digestif : estomac distendu
CSt CCllO impulsion, simple en apparence, que le cœur communique au
sang
, lequel vient remplir les artères en dilatant leu
ient le pouls superficiel de la peau et des chairs, le pouls moyen du
sang
et des nerfs, le pouls profond des os. Chaque org
'élasticité des parois du système artériel, tour à tour di¬laté parle
sang
, puis se resserrant pour le chasser à la périphér
saillie, peu prononcée ; elle doit correspondre au choc en retour du
sang
de la veine pulmonaire sur les valvules du cœur d
deuxième pulsation reste toujours produite par le choc en re¬tour du
sang
et des valvules aortiques. Les petites pulsatio
s la cloison et se manifeste le pre¬mier à cause du court trajet du .
sang
. Ne dure qu'un instant; à peine le ventricule a
c enrc-\Déjà décrit, agit sur le cœur gauche à travers la cloison. Le
sang
aorlique, retombant sur les valvules sygmoïdes, l
refoule avec claquement du côté du cœur, pro¬duisant un flot dans le
sang
resté dans le ventricule gauche. Produisent à leu
ariés et apprécia¬bles, et que, par conséquent, la circulation de son
sang
permettait aussi d'apprécier une différence de te
de compensation et d'équilibre, destiné à assurer à la circulation du
sang
une régularité parfaite. Dans certains casa"asp
n autre genre de tracés conjugués, c'est l'évaluation du temps que le
sang
met à par¬courir les artères du corps humain. P
c. En admettant donc que la pulsation du cœur battît la seconde, le
sang
mettrait 550 millièmes de seconde pour arriver au
e des battements du cœur. La connaissance du temps exact que met le
sang
à venir du cœur au pouls est importante pour le d
s ; car, ainsi que l'a constaté expérimentalement le Dr Up-ham, si le
sang
met un temps à peu près égal à parcourir deux vai
deux lambeaux renversés et appliqués l'un à l'autre ; l'écoulement de
sang
, à la suite de l'avivement de la lèvre et du lobu
es et des vomisse¬ments : ces derniers sont aqueux, parfois striés de
sang
. — L'amai¬grissement fait des progrès rapides ; l
logie ; — traitement des cachexies, surtout tenant aune altération du
sang
: hydrothérapie ; — traitement des cachexies, surt
cru¬rales lombaires. Le liquide contenu paraît être de la sérosité du
sang
, renfermant quelques globules graisseux et des gl
té du sang, renfermant quelques globules graisseux et des globules de
sang
décolorés ou déformés. " 3° L'épanchement traum
'y rendent? Cl. Bernard n'a-t-il pas vu aussi que " la température du
sang
de la glande s'élevait d'un demi-degré,quand la g
locale peuvent être dues à une lésion des parois des vaisseaux, ou au
sang
lui-même, ou encore à une altération du milieu ex
s, est au quatrième mois de sa grossesse. Depuis un mois elle perd du
sang
1 Voir pages 155, 176 et 216. de temps en tem
elle assure ne pas tousser habituellement et n'avoir jamais craché de
sang
. L'auscultation des poumons ne fait, au reste, en
is, douleur suivie presque aussitôt d'un écoulement assez abondant de
sang
par les parties génitales. Ces douleurs prennent
n est de même du thymus. — Le cœur est sain; ses ventricules vides de
sang
. — Foie à l'état normal, ainsi que la raie et les
ple, ou dans la goutte? Rien autre chose qu'une modalité inhérente au
sang
ou aux tissus du ma-lade, et intransmissible à un
les autres). Mais on doit bien veiller ici à ce que j'écoulement du
sang
ne soit pas trop abondant, si l'on ne veut pas vo
débilitation profonde des convalescents, l'état subfibrineux de leur
sang
, sont autant de circonstances qui favorisent l'ap
ées, derniers vestiges de l'exanthème pétécfiial. HÉMATOLOGIE. Le
sang
de six malades atteints de typhus fever a été, en
Becquerel et Rodier) Traité de chimie pathologique, p. 128, 1854). Le
sang
, extrait par la saignée, au début de la maladie,
tres, et vomit une ma. tière noire, semblable à du marc de café ou du
sang
moins altéré. La teinte ictérique est alors pouss
e l'organe s'opère au con-traire très lentement ; les vomissements de
sang
, plus ou moins altéré, appartiennent surtout à la
semblent indiquer une modification profonde survenue dans la crase du
sang
. — On peut les voir paraître sur presque toutes l
e. Les cavités de l'estomac et des intestins sont parfois remplies de
sang
liquide ou en partie coagulé. e. Il y a enfin u
e. Il y a enfin une plénitude remarquable du système vas-culaire à
sang
noir. B. Lorsque la maladie s'est prolongée au-
ion; le tissu cellulaire qui les entoure est infiltré de sérosité, de
sang
ou même de pus. Si le bubon est inguinal, ce sont
e, triplée de volume et ramollie ; le foie est volumineux et gorgé de
sang
; les reins sont parfois comme immergés dans du sa
ineux et gorgé de sang; les reins sont parfois comme immergés dans du
sang
, qui s'est épanché dans le tissu cellulaire qui l
ans chaque cas, ou peu s'en faut, avec aux altérations que subit le
sang
dans la peste; sur les cada-vres, on le trouve, e
t ramollie; le cœur droit et les gros troncs veineux sont gorgés d'un
sang
noir, comme sirupeux ; les membranes muqueuses et
maladie a marché moins rapidement. (Delafond, Traité de la maladie de
sang
des bêtes bovines, Paris, 1848, p. 179; — Heusing
rticulier par l'existence fréquente de la toux et des cra-chements de
sang
. Elle paraît d'ailleurs s'être développée dans le
la matière rendue devient tout à fait noire ; elle peut être mêlée de
sang
coagulé et contenir des masses fibrineuses décolo
lus remarquable, que les autres organes renferment en général plus de
sang
que dans l'état ordinaire. — L'altération du foie
à peu près vide. Quelquefois on y trouve des caillots sanguins ou du
sang
mêlé à la bile (Louis). 1. Lors de l'épidémie d
aide des réac-tifs, l'existence du principe coloré de la bile dans le
sang
, dans l'urine et dans la sérosité des vésicaloire
la paralysie des capillaires, soit encore un véritable épanchement du
sang
, en dehors des vaisseaux. (Desmoulins, Sur létal
chymose plus ou moins généralisée. y. On trouve des épanchements du
sang
sur la nature des-quels il ne peut, cette fois, e
de phlogose. L'estomac et l'intestin renfer-ment quelquefois, soit du
sang
presque pur, soit encore du sang qui a subi diver
tin renfer-ment quelquefois, soit du sang presque pur, soit encore du
sang
qui a subi divers degrés d'altération, mais cepen
matière. Mais, suivant toutes pro-babilités, ce n'est encore laque du
sang
profondément altéré,, et l'on partagera difficile
rande quantité de bile mêlée aux liquides de l'es-tomac. D. Etat du
sang
. — Le sang qu'on lire pendant la vie, chez les in
ité de bile mêlée aux liquides de l'es-tomac. D. Etat du sang. — Le
sang
qu'on lire pendant la vie, chez les individus att
u à un précipité d'albumine coloré en bleu verdâtre (Dutroulau). — Le
sang
des cada vres est gé-néralement fluide et noirâtr
le plus souvent aucune altération notable. — Les reins sont gorgés de
sang
, tantôt la vessie est pleine d'urine, tantôt au c
roduit, en conséquence, est due à une sorte de filtration du sérum du
sang
qui se fait à travers la mince couche de cho-rion
mineux assez abondant, La diarrhée persiste, et il s'y mêle un peu de
sang
sous forme de caillots. L*algidité persiste ; le
t à coup presque sans agonie le 25 septembre 1857. Une gouttelette de
sang
, tirée d'un des doigts de la main, par une légère
datides brisées. La rate est volumineuse, très friable et gorgée de
sang
; elle ne contient pas de kystes. Charcot. Œuvr.
lement reçue, provient d'une métamorphose de la ma-tière colorante de
sang
, dans la cavité de vésicules hydatiques parfaitem
e. Un tel kyste ne peut, en effet, recevoir qu'une faible quantité de
sang
; et les hydatides s'y trouvent sans doute dans d
ans le cou, en suivant le trajet de l'œsophage. Il n'a jamais vomi ni
sang
pur, ni matières noires. Ses selles n'ont jamais
il in-dique des cordons durs sous-cutanés formés par les veines où le
sang
s'est coagulé. A partir de ce jour, le malade n
nt point montrés chez ce malade; c'est ainsi qu'il n'a jamais vomi de
sang
pur ou altéré et que ses ma-tières fécales n'ont
thorax, malgré la distension de l'abdo-men; 4° Obstacle au cours du
sang
dans le foie, et peut-être aussi dans la veine
istait pas, d'ail-leurs, de caractères de la coagulation spontanée du
sang
dans les veines iliaques, et d'un autre côté, le
un peu friable, et il était imprégné d'une assez grande quan-tité de
sang
. L'examen microscopique qui en a été fait par M.
cavité du péritoine est remplie d'une quantité assez considérable de
sang
noir, en grande partie coagulé (20 à 25 grammes e
rate, que le caillot est surtout volumineux. Une certaine quantité de
sang
liquide a pénétré dans la tunique vaginale droite
as altéré, mais manifeste-ment exsangue. — Les reins sont sains. Le
sang
dont l'abdomen était rempli, chez ce fœtus, prove
ci ont dû suivre immédiatement l'accident. Dans cette hypothèse, le
sang
infiltré dans le tissu cellu-laire sous-cutané et
duits qu'elles devaient éliminer sont retenus et s'accumulent dans le
sang
dont la contamination provient ainsi d'une double
n parti-culier, l'étude chimique des évacuations, comparée à celle du
sang
, à l'époque des crises et aux différents temps de
iguë, expec-toration muco-purulente très abondante, parfois un peu de
sang
dans les crachats ; coliques, diarrhée ; violente
ent dans les veines, ce qui les met immédiatement en con-tact avec le
sang
; le second consiste à les administrer par le tub
ls exer-cent sur l'organisme, après avoir pénétré directement dans le
sang
. I. Effets produits par l'injection directe des
er effet de l'injection est une action chimique sur la composition du
sang
, dans laquelle l'influence du système nerveux n'e
yxie par écume bronchique, mais d'une décomposition toute spéciale du
sang
, ainsi que le démontrent les ecchymoses qu'on ren
ction coagulante bien connue que les acides exer-cent sur le sérum du
sang
. Nous avons entrepris, dans le courant de l'ann
e en lumière l'action toxique des sels d'argent mêlés directe-ment au
sang
, indépendamment de toute action chimique sur ce l
démateuse des poumons, et la présence d'un mucus écumeux et teinté de
sang
dans les bronches. En affaiblissant les doses,
ques, 296. R Rate, rupture de la — chez un fœtus, 297; — issue du
sang
dans le péritoine, 298, 299. Relapsing fever, 8
osses nasales, la bouche étant fermée. L'issue de quelques gouttes de
sang
par la narine correspondante, ou d'un peu de sang
quelques gouttes de sang par la narine correspondante, ou d'un peu de
sang
spumeux et mêlé d'air par la plaie, indique que l
our l'une ou l'autre paupière. Le lambeau mis en place, étancher le
sang
avec une éponge imbibée d'eau froide et réunir pa
s angles, enlever le lambeau cutané inter-médiaire; puis absterger le
sang
, rapprocher les deux bords de la division et les
l'ouverture pupillaire par un dépôt accidentel de pus, de lymphe, de
sang
, etc., mais ces distinctions n'ont pas prévalu.
de certaines productions anormales plastiques: telles que du pus, du
sang
, une lymphe coagulable, qui se déposent dans les
n-contre, tels que des épanchemens séreux ou purulens (Val-salva), du
sang
coagulé (Morgagni), du mucus épaissi semblable à
mais bien par l'obstruction des issues d'une cavité dans laquelle le
sang
, se trouvant renfermé, se coagule et s'oppose ain
Pour pratiquer ce tamponnement, on passe par la narine d'où vient. Je
sang
soit une sonde de Bellocq, soit une sonde de gomm
e antérieure comme on a déjà fait de l'autre. Si, ce qui est rare, le
sang
venait par les deux narines, on pratiquerait le t
it être interrompue jusqu'à ce qu'on se soit rendu maître du cours du
sang
par tous les moyens. Cet accident et la syncope f
es enfans, qui, sui-vant la remarque de Platner, sucent et avalent le
sang
dans une quantité qui, dans des cas rapportés par
, Garengeot, où l'opéra-tion a pu se faire presque sans écoulement de
sang
. Telles sont aussi ces tumeurs de trois à quatre
ronc carotidien. Après (pie l'hémorragie artérielle est supprimée, le
sang
coule en-core quelque temps en nappe par les vein
paroi de la cavité buccale. A peine s'il s'écoule quelques gouttes de
sang
; aucun pansement n'est nécessaire, et la maladie
us à craindre, aprèsla lésion des veines ranines, que l'enfantsuce le
sang
etl'avale à mesure. On cite plusieurs cas, où des
avance dans l'opération, on suspend de temps à autre, pour éponger le
sang
et permettre au malade de respirer et de se garga
on avait cherchées impunément sans pouvoir les lier : l'écoulement du
sang
ne re-parut plus , et la plaie guérit d'elle-même
me acidulé ou de quelque application styptique; quand l'écoulement de
sang
est plus considérable, mais seulement en nappe, o
ne dans l'inspiration étant immédia-tement suivie d'un refoulement du
sang
veineux, qui vient par-tout pleuvoir à la surface
eines coupées qui auraient un certain volume; quant à l'écoulement du
sang
provenant des veinules, il s'arrête de lui-même p
t traumatique , soit une balle, un fragment d'étoffe, des caillots de
sang
, etc. On cite même un fait d'extraction d'une s
elles aient fait cesser ou du moins beaucoup diminuer l'écoulement du
sang
. J'avoue que, dans un point si près des troncs ve
r. Toutefois, après la section de la trachée , il peut arriver que le
sang
coule et soit aspiré dans ce canal, soit qu'il pr
piration d'appliquer sa bouche sur la plaie trachéale et d'aspirer le
sang
contenu dans la trachée et les bronches. Il sauva
commence à la détacher de bas en haut pour éviter d'être gêné par le
sang
, si on procédait en sens contraire; on l'enlève r
ge, derrière le bistouri, pour découvrir les sources d'où provient le
sang
. Toutes les manœuvres du chirurgien et des aides,
e celle produite par une plaie du pou-mon. La sortie de l'air avec le
sang
par la plaie prouve bien que le poumon est lésé,
ontrent, constituent les cas les moins graves, sont le jet saccadé du
sang
au dehors et la vue directe de la lésion artériel
r recours, il convient de faire évacuer, autant que possible, tout le
sang
qui peut être accumulé dans la cavité de la plèvr
nd indistinctement à toute collection fluide, le pus, la sérosité, le
sang
, et même les fluides élastiques, l'air atmosphéri
i une portion s'en ré-sorbe, et surtout quand le liquide épanché , du
sang
, du pus , est plastique et irritant, des zones d'
ut pratiquer la ponction. Variétés d'épanchement. i° Épanchement de
sang
. Quelle que soit la nature de l'accident, lésion
toute pression, se remplissant de nouveau, au fur et à mesure que le
sang
s'écoule au dehors. Ce n'est qu'après un certain
des vaisseaux et seulement aussi, dit M. Vel-peau, dans les cas où le
sang
non résorbé, devenu putride, menace de donner lie
la chaire de méd. opérât. -Paris 1841. donner sur-le-champ issue au
sang
épanché, lorsque par sa pré-sence il menace d'une
épais, grumeleux ou floconneux comme le pus, ou en caillots comme le
sang
. Outre l'instrument de ponction, l'ap-pareil cont
grande densité du poumon ordinairement engorgé, le retour brusque du
sang
dans l'organe peut néanmoins causer une syncope.
arpie introduite entre ses lèvres , sauf à donner de nouveau issue au
sang
, avec ménagement, si la suffocation l'exige. Tâch
aracentèse. Nous regardons, comme la plus probable, l'accumulation du
sang
qui se fait clans les vaisseaux abdomi-naux, deve
seaux pour les éviter. Néanmoins lors-que la ponction étant faite, du
sang
s'écoule en certaine abon-dance, on tâchera de s'
rdinairement clair et transparent, est quelquefois trouble et mêlé de
sang
; il est plus abondant et sa présence est surtout
rties par le double effet et de l'inflammation et de la stagnation du
sang
dans les ca-pillaires. Il importe au chirurgien d
de sangsues sur la tumeur pour y soustraire une certaine quantité de
sang
, les purgatifs , les lavemens de tabac et autres;
n avec les mors d'une pince suffi-sent pour suspendre l'écoulement de
sang
. Le chirurgien divise donc toutes les lames qui r
Sans doute il n'est pas tou-jours besoin de lier ces vaisseaux, et le
sang
qu'ils peuvent fournir n'est pas toujours assez a
mation du péritoine, et si, par malheur, une artère était ouverte, le
sang
versé au dehors, ou tout au plus clans le tissu c
ême quand on en a la certitude , de mettre un terme à l'écoulement du
sang
. Gunz, Bertrandi, Richter, A. Cooper, Scarpa, Law
ne fut point guérie. Ajoutons que Walter a conseillé d'injecter du
sang
dans la cavité du sac. Une seconde méthode de M
charpie imbibées d'une solution styptique pour suspendre le cours du
sang
, qui, du reste, tend à s'arrêter delui-même. Mais
on fait faire au malade quelques efforts d'expulsion pour évacuer le
sang
épanché dans le rectum; on enduit de cérat les bo
haut possible ou du moins jusqu'au-dessus delà surface d'où pleut le
sang
; ce dont au reste , il faut s'assurer en absterge
e de risquer, en restant, sur le lieu précis de l'hémorrhagie, que le
sang
ne puisse passer dans l'intestin au-dessus du tam
us important en cas d'hémorrhagie, avertit s'il s'épan-che ou non, du
sang
dans l'intestin , après le tamponnement. L'orific
ffisante ou n'a pas porté assez exactement sur le point d'où vient le
sang
. C'est ici que se montre la supériorité de l'appa
que instant, sans toucher en rien à l'appareil, s'il existe ou non du
sang
dans le rectum. Que s'il est vrai, comme on le di
re est porté rapidement sur les points des plaies qui four-nissent du
sang
de manière à ne faire qu'en effleurer la surface,
n les signes généraux et locaux pour s'assurer qu'il ne vient plus de
sang
. Ainsi pratiquée, la cautérisation offre des avan
t que delà douleuret se dissipent d'elles-mêmes, elles fournissent du
sang
pendant les efforts que fait le malade dans l'act
Le même phénomène se maintient un temps plus ou moins long , puis le,
sang
se supprime de lui-même. Jusque-là les engorgemen
dée que tournent toutes les opinions secondaires , soit la station du
sang
dans des vacuoles cellulaires après la rupture de
upture des veines anales ( Ribes) ; la transformation d'un caillot de
sang
en vaisseaux ( Abernethy ) ; une hypertrophie de
tissu fibreux et vasculaire plein ou renfermant une cavité remplie de
sang
noir. 11 serait à désirer qu'on les soumît à l'ét
des matières amollies, mêlées d'une plus ou moins grande quantité de
sang
. Les phénomènes, au reste, ne sont pas invariable
vec la lancette ou le bistouri et d'en exprimer, par la pres-sion, le
sang
qu'elles renferment dans leur tissu et le caillot
en même temps qu'on fait rendre au malade, avec l'eau d'injection, le
sang
amassé dans l'intestin, les plaies redeviennent s
n vue, le chirurgien cautérise immédiatement les points d'où vient le
sang
avec le cautère en roseau chauffé à blanc. A no
ur la lier. De cette façon, il ne coupe rien qu'après avoir arrêté le
sang
, et n'a point à redouter l'hémorrhagie. Appréc
Les vaisseaux qu'on divise pendant l'opération donnent beau-coup de
sang
: ce sont les hémorrhoïdales inférieures, l'hémor-
second d'épuisement le septième jour, un troisième avec une livre de
sang
épanché dans le haut du rectum; le qua-trième et
mps, la maladie connue sous le nom d'héinatocèle, ou l'épanchement de
sang
dans les tuniques du testicule, et principalement
ésence d'une hématocèle ancienne. Quelquefois la matière colorante du
sang
se résorbe , et le liquide qui reste dans la tu
le. Lorsque la maladie est récente et aigué, on peut espérer que le
sang
épanché dans les enveloppes du testicule, et dans
t des cas. Injection. Procédé de M. Velpeau. Toutes les fois que le
sang
contenu dans la tumeur est encore fluide et peut
e, délier l'artère ou les artères faciles à reconnaître à leur jet de
sang
, et de terminer par la sec-tion du canal déférent
elle coupait les parties elle se desserrait, et pou-vait permettre au
sang
de s'échapper par les vaisseaux encore perméables
nd, et j'ai été obligé d'inciser la cicatrice pour don-« ner issue au
sang
ou au pus épanché; d'autres fois une partie « de
qui, revenus de l'état de spasme où ils étaient plon-gés, versent du
sang
plus ou moins abondamment; en pareil cas, il ne f
é de M. Coster. Le gland, qui est un organe spongieux, étant gorgé de
sang
par suite de l'étranglement qui existe derrière s
en allant à petits coups et avec une grande lenteur ; on absterge le
sang
avec une éponge, afin de ne pas arriver sur les c
longent ou se rétractent suivant qu'ils sont gorgés d'une quantité de
sang
plus ou moins considérable. 3° La disposition des
is qu'elles sont liées, la moindre compression suffit pour arrêter le
sang
qui s'échappe du tissu spongieux. Quand il ne cou
r le sang qui s'échappe du tissu spongieux. Quand il ne coule plus de
sang
, il faut placer une sonde en gomme élastique dans
nal. Chez les vieillards, au contraire, le tissu spongieux gorgé de
sang
par des érections plus ou moins fréquemment répét
un malade il ne vit rien sortir parce que la vessie était remplie de
sang
. D'un autre côté on rencontre des circonstances
récissemens inflammatoires résultent de l'afflux plus considérable du
sang
dans le tissu spongieux, et dans la mem-brane muq
belladone. Si le canal est très douloureux et s'il laisse écouler du
sang
, il faut suspendre toute manœuvre pour la reprend
ns l'ouverture du rétrécissement. Alors les mucosités du canal, ou du
sang
qui sort quelquefois avec beaucoup de facilité, m
t entre les parois de cet instrument et celles de l'urètre, chasse le
sang
qui résulte de l'o-pération. Deux jours après l'o
cle, Gilbert d'Angleterre qui recommande de faire avaler au malade le
sang
d'un bouc nourri avec des plantes prétendues lith
la déchi-rure trop étendue, il n'en résulte qu'un léger écoulement de
sang
, et rarement une cystite. — La perforation de la
saignée de précaution sert à diminuer la pléthore, la plasti-cité du
sang
et la tendance aux inflammations. Mais c'est prin
ite des incisions pratiquées au travers, laissent écouler en nappe du
sang
qu'on ne peut arrêter, ni par la ligature, ni par
dont les autres seront destinés à contenir de l'eau ou à recevoir le
sang
. - 10° On aura le soin de se munir de bandes de l
e la plaie écartées , avec une canule qui comprime le point par où le
sang
s'écoule. Quelquefois les petites pierres, poussé
pierre étaient considérablement dila-tées et remplies de caillots de
sang
; quant à la pierre, elle avait la forme d'une cal
Velpeau donne les signes suivans comme moyen de diagnostic : « Si le
sang
s'échappe de « l'angle supérieur de la plaie, ou
re et en dehors qu'on trouverait la source de l'hé-« morrhagie. Si le
sang
est fourni par la division des plexus « veineux,
ujours possible, même avec leur aide, de dire par quels vais-seaux le
sang
est fourni. Au reste, de quelque point que vienne
, car les adultes vigoureux peuvent perdre quatre ou cinq palettes de
sang
sans le moindre inconvénient; cette perte produit
eau est superficiel, il est facile à trouver, tandis que plus tard le
sang
peut couler en nappe, auquel cas le tam-ponnement
quel cas le tam-ponnement est le seul moyen propre à l'arrêter. Si le
sang
venait d'une artère profonde, et qu'on ne pût la
le doigt d'un aide appliqué sur le point d'où l'on présumerait que le
sang
sortirait. Immédiatement après l'opération , on e
arpie ou l'agaric soit en contact avec les parties qui fournissent le
sang
. Chez les sujets maigres, le doigt indicateur suf
rend son effet très incertain, surtout si le vaisseau qui fournit le
sang
est profond , car la compression s'exerce plus fo
lui échappent complètement; alors le vaisseau continuant à verser du
sang
qui ne peut s'échapper au-dehors, à cause de la f
e de taille médiane qui avait été faite quelques jours auparavant. Le
sang
coula en abondance. Aussitôt que l'opération fut
este surtout chez les ma-lades qui ont perdu une certaine quantité de
sang
pendant l'o-pération. L'écoulement, en effet, s'é
eut tamponner, est de bien s'assurer que la vessie ne contient pas de
sang
liquide ou caillé, et, s'il y en a, de l'enlever
nt à ce que des cail-lots sanguins obstruent la plaie et empêchent le
sang
de s'échap-per à l'extérieur, ou bien à ce que l'
e compression n'agit pas assez sur le vaisseau ouvert pour arrêter le
sang
. La pâleur du malade, l'affaiblissement de son po
istension augmente, et qui n'est autre chose que la vessie remplie de
sang
. En pareil cas, il faut commencer par vider la ve
par l'hypogastre, il survint dans la poche urinaire un épanchement de
sang
assez considérable, pour l'obligera pratiquer la
. Velpeau pense , et il nous semble avec quel-que probabilité, que le
sang
a pu être fourni par les artères qui remontent su
pération, il seraitfacile de rechercher le vaisseau qui fournirait le
sang
, et de le tordre ou de le lier, à moins que l'hém
cas on pourrait tenter une légère cautérisation. Si l'écoule-ment de
sang
arrivait quelque temps après l'opération, il faud
ns les tissus des contusions, des déchirures et des extravasations de
sang
qui compliquent toujours gravement l'opération. L
la cautérisation. La ponction ne peut convenir que dans les cas où le
sang
contenu dans le kyste est encore à l'état liquide
it de préférence sur la face externe. Une fois l'incision faite et le
sang
évacué, il suffit d'appliquer sur la tumeur des
seulement percée d'une ouverture insuf-fisante pour donner passage au
sang
des règles, ou bien à ce que le canal vaginal est
mes qui annoncent l'établissement de la menstruation, et cependant le
sang
des règles ne s'écoule pas au dehors, parce qu'il
certain temps les douleurs augmentent par suite de l'accumula-tion du
sang
dans les parties, l'utérus se distend, le volume
excise les quatre angles; aussitôt que cette ouverture est faite, le
sang
s'échappe quelquefois avec force et en formant un
en ou d'exercer des pressions suiT'hypogastre pour hâter la sortie du
sang
, parce que l'utérus et le vagin , distendus depui
rompte-ment sur eux-mêmes pour empêcher que l'air ne prît la place du
sang
et, en se mêlant aux liquides, dont il altérerait
presse; mais lorsque la menstruation voudra s'établir, que l'amas du
sang
causera de vives souffrances, et menacera la vie
s quelques-unes de ses parties. Si l'on s'était servi du tro-cart, le
sang
qui sortirait par la canule indiquerait sûrement
c plus de violence ; la muqueuse s'é-railla, et il s'écoula un peu de
sang
; il s'arrêta, replaça l'éponge, et recommença de
tres de profondeur. Il était alors facile de sentir la fluctuation du
sang
accumulé dans la partie supérieure du vagin, car
, entourée de linge dans les cinq sixièmes de son étendue. Lorsque le
sang
fut écoulé, il plaça dans le con-duit nouveau une
ce, pour qu'on ne néglige pas de la pratiquer lorsque la rétention du
sang
menstruel détermine de graves accidens. FENTES
ta sur la cica-trice qui fut ainsi déchirée. A dater de ce moment, le
sang
et les urines sortirent par le vagin, et l'opérat
e; puisque, lorsque la cica-trice fut déchirée, il sortit du vagin du
sang
et de l'urine. Ensuite, quant aux concrétions cal
néral l'hémorrhagie n'est pas à redouter; et s'il s'écoulait un pende
sang
, les astringens, la compression avec de la charpi
Lorsqu'on opère pour la rétention des règles, il peut se faire que le
sang
ne puisse pas sortir, ou parce qu'un caillot bouc
pas sortir, ou parce qu'un caillot bouche la canule, ou parce que le
sang
est trop épais pour la traverser : alors on peut
artificielle qu'on vient de faire doit rester permanente, pour que le
sang
cpii viendra par la suite puisse trouver une issu
eau pense que ces tumeurs résultent assez souvent d'un épanchement de
sang
, d'une concrétion fibrineuse qui s'est peu-à-peu
cée; les vaisseaux superficiels se déchirent, et lais-sent écouler du
sang
; mais aux hémorrhagies, qui ne sont jamais très a
masse utérine sur les plexus nerveux hypogastriques. L'écoulement de
sang
a été peu considérable, et il n'y a point eu d'hé
u bien avec un pinceau bien doux et bien fin. S'il s'écoule un peu de
sang
, on l'absterge, puis on cautérise toute la surfac
nt du col de l'utérus est toujours accompagné d'une certaine perte de
sang
qu'on éva-lue de trois à six palettes. M. Lisfran
uivant lui, les chances d'inflammation sont d'autant moindres, que le
sang
s'est écoulé en plus grande quantité. Si cependan
ent ne serait pas aussi commun. Ainsi, Sanson dit que l'écoulement de
sang
est en général modéré, et s'arrête de lui-même. M
ence de MM. Camus et Varennes, n'a vu s'écouler que quelques onces de
sang
. 3° Quant à le phlébite, nul doute qu'elle ne pui
r pénétrer jusqu'à l'ovaire; lier les petits vaisseaux qui donnent du
sang
, car il n'est pas sup-posable qu'on atteigne la v
Si pendant l'incision, quelques vaisseaux de la ma-trice versaient du
sang
en abondance, les aides devraient placer les doig
au dehors avec tout ce qui constitue la dé-livrance. En ce moment, le
sang
s'échappe souvent en assez grande quantité; c'est
plaie se réduit à 5 ou 6 centi-mètres (2 pouces), et l'écoulement du
sang
cesse, sinon en tota-lité, du moins en grande par
s où un gros caillot avait bouché le col et où il s'était accumulé du
sang
dans la matrice, Guénin, de Crépy, après avoir en
ertion du vagin, et ne sont jamais accompagnées d'une grande perte de
sang
. 2" Ouverture artificielle à la paroi antérieur
rtébral, revient à sa rectitude. S'il se manifestait un écoulement de
sang
assez abondant pour affaiblir la femme et pour ca
la conjonctive; une pince plate garnie d'une éponge pour absterger le
sang
; un crochet mousse propre à glisser sous le muscl
ormale. On fait ensuite quelques lotions d'eau froide pour enlever le
sang
, et on fait ouvrir au malade les deux yeux pour s
ouper de bas en haut dans l'étendue convenable ; il éponge ensuite le
sang
et laisse re-tomber les paupières : tel est le pr
es paupières : tel est le premier temps. Deuxième temps. Lorsque le
sang
est arrêté (ce qui peut durer long-temps), l'opér
S CONSÉCUTIFS. Pendant l'opération un aide est chargé d'étancher le
sang
avec une petite éponge portée par une pince à res
largement ouverte. On y remédie par une pression légère qui évacue le
sang
, au besoin par une piqûre ou contre-ouverture et
Hémorrhagie. Ordinairement il ne s'écoule pas une petite cuillerée de
sang
. Néanmoins on cite quelques cas malheureux d'hémo
rait été obligé de pratiquer la transfusion de cinq onces et demie de
sang
, après laquelle le petit malade aurait guéri. 3
elle de plusieurs autres. Il s'est à peine écoulé quelques gouttes de
sang
. 3° Procédé de M. Bonnet, de Lyon. Voici la des
, pour la faire céder, de la tirer un peu fortement avec la pince. Le
sang
jaillit des deux blessures latérales comme s'il f
gros tronc d'artère, et la langue se tuméfia bientôt par la masse du
sang
qui s'accumulait dans le vide pro-duit par la sec
xactement les bords de la plaie et suffisent pour arrêter la perte de
sang
assez abondante. Toutes ces opérations sont sui
résultent de la rétraction du lambeau postérieur et de l'affluence du
sang
dans la bouche et le pharynx; enfin des immenses
s fois exécuter cette section qui fournit à peine quelques gouttes de
sang
. Avec ces soins continués pendant tout le temps n
lques secondes, est terminée. Il s'écoule ordinairement fort peu de
sang
; quand rhémorrha-gie dure au-delà de quelques min
trempée, si on le juge convenable, dans du vinaigre, et la source du
sang
se tarit spontanément. » Le procédé de M. Baude
ment le ténotome pénètre dans la bouche, ce qui amène une effusion de
sang
qui oblige d'interrompre l'opération. Si cet acci
ie des plus opiniâtres arrivée à un enfant de douze ans ; la perte du
sang
fut intermittente pen-dant une huitaine de jours
ouge fut appliqué, et, chose remarquable ! pendant cette opération le
sang
paraissait jaillir sur les côtés du cautère avec
s de charpie couvertes de poudre alumínense suffisent pour arrêter le
sang
. Il faut respecter le caillot sanguin noirâtre et
r étroitesse, ou encore par les obstacles qu'on oppose à sa sortie du
sang
. M. Baudens (pag. io4) ne cite qu'un cas, à la su
a plaie. Si pourtant il survient une petite hémorrhagie, on évacue le
sang
à mesure en l'amenant de la pro-fondeur vers l'or
que possible, en laissant intacte la peau cpii les recouvrait. Peu de
sang
s'écoula au dehors; une pe-tite quantité de ce li
tion; chimique, en n'alté-rant pas les principes de la composition du
sang
; vitale, en lais-sant à ce fluide sa consistance
Un aide, à gauche du chirur-gien, est chargé de suspendre le cours du
sang
; avec le pouce de la main gauche (a) il comprime
onctifs, ou autour des vaisseaux assez dilatés et souvent gorgés de
sang
. Bref, sans vouloir entrer ici dans une discuss
ent donc être rap- portées à une cause commune, la présence dans le
sang
d'agents toxiques, et l'hypothèse ancienne doit
lammation à la répion olfactive ou d'une compression exercée par du
sang
épanché de quelque vaisseau sangum accidentelle
ssibilité d'exercer son action sur le coeur et sur la pression du ,
sang
. Mais le liquide thyroïdien conservé, mélangé ave
ue de Korsakoff paraissant nettement en rapport avec l'infection du
sang
causée par la toxine 'pyohémique. L'examen mi
n mélancolique avec quelques, préoccupations hypochondriaques; « le
sang
, disait-elle, ne se renouvelait plus dans son c
physiologistes, que, chez les animaux en expérience, les pertes de
sang
favorisent la pro- duction des mouvements réfle
l'animal par les parties sexuelles, qu'elle lui arrache. Un flot de
sang
s'écoule alors; le taureau se retourne furieux
le pénis. Il porte une main au sommet de sa tête pour empê- cher le
sang
d'entrer par un trou qu'il a sur le vertex, et de
n trou qu'il a sur le vertex, et de l'autre serre le gland. Mais le
sang
traverse la main posée sur la tête et 1 Journal
n (peau et reins notamment) et, par suite, une accumulation dans le
sang
de produits de sécrétion de glandes à sécrétion
n grande partie à cette cause même, accumulation en excès dans le
sang
de principes nuisibles ou excitants, que seraient
re ; 2° accumulation forcée de ces sécrétions et de toxines dans le
sang
par diminution de l'activité des glandes excrét
le mode d'accumulation en excès de pro- duits de sécrétion dans le
sang
, cet excès rend le sang toxi- que pour le systè
en excès de pro- duits de sécrétion dans le sang, cet excès rend le
sang
toxi- que pour le système nerveux, voilà ce qu'
ubles. On comprend aisément que si l'on envoie, en outre, dans le
sang
un autre poison, alcool ou poison d'origine alime
aient antérieurement plus facilement. Quelle est l'action intime du
sang
chargé de la matière toxique sur les cellules n
, et maintenant nous savons com- ment se produit la modification du
sang
qui amène les exci- tences épileptogènes du cer
ésultats de l'expérimentation in vitro, une très minime quantité de
sang
aurait été détruite de ce fait. Il est donc pro
le défaut d'oxygénation, car il n'y a aucun signe de cyanose et le
sang
est facilement artérialisé par agitation à l'ai
hytoïde ? Ces phénomènes sont-ils dus à un poison circulant dans le
sang
, poison neutralisé chez l'animal normal par les c
n tétanique à la suite de thyro-parathyroïdectomie, on transfuse du
sang
d'un chien normal, les symptômes disparaissent
ptômes disparaissent rapidement ; et évi- demment cette dilution du
sang
ne pourrait expliquer l'améliora- tion s'il s'a
tte amélioration n'est d'ailleurs pas due à l'introduction, avec le
sang
normal, de la sécrétion parathyroïdienne en cir
g normal, de la sécrétion parathyroïdienne en circulation dans ce
sang
car le même résultat s'obtient par la transfusion
essaire, mais en neutralisant quelque toxine en circulation dans le
sang
. Il n'est d'ailleurs pas nécessaire que la glan
une substance,~laquelle neutralise des poisons cir- culant dans le
sang
. Quels sont ces poisons ? Sachant que la téta-
re une substance, neutralisant des poisons en cricu- lation dans le
sang
, poisons qui sont évidemment des substances sti
ffisante de la sécré- tion paraihyroïdienne encore présente dans le
sang
et les sucs des tissus de l'animal parathyroïde
cause organique qui la détermine. Lorsque, tout à coup, un'flot de
sang
pur fera irruption sous une pression de 150 à 2
ité vasculaire n'existent plus. Cependant, le malade respire et son
sang
circule. L'ébranlement s'est pro- pagé jusqu'au
arenchyme. L'expectoration est abondante, jaunâtre, il n'y a pas de
sang
dans les crachats. Somme toute vous devez reten
quentes, pénibles ; à plusieurs reprises, suivies de crachements de
sang
; malheu- reusement les renseignements sur l'asp
cette thérapeutique, l'état ne s'améliore pas ; les crachements de
sang
sont plus fréquents, sans être abon- dants, l'o
hoïde avec rejet de crachats blanchâtres, muqueux parfois striés de
sang
. La dyspnée est continue. Par la percussion on
pathogéniques mises en avant par les auteurs : la déshydratation du
sang
, la théorie réflexe, enfin la théorie toxique d
qui parait être spécial à un streptocoque court, qui a été isolé du
sang
dans un cas de kata- tonie. 3° En infectant des
bromhydrate neutre de quinine. D. Mezincesco. Les modifications du
sang
après 'l'extirpation du corps thyroïde. N. Vasc
de rencontrer dans les recherches sur l'évolution de la pression du
sang
. Le- sujet avait le facies d'une personne très
sgrave-Chï. LVII. Observations bactériologiques et cliniques sur le
sang
dans les cas de manie aiguë continue; par Lewis
s examens médicaux en vue d'assurances sur la vie. 3° L'examen du
sang
constitue un secours précieux pour le pro- nost
. fasc. 1, t. II). L'auteur conclut de ses recherches que dans le
sang
des épilep- tiques, en même temps qu'une autocy
que n'est pas soluble dans le plasma vivant, mais se trouve dans le
sang
à l'état latent, incorporé dans les éléments ce
le sang à l'état latent, incorporé dans les éléments cellulaires du
sang
lui- même, et dont il ne se libère qu'à la suit
ites infantiles par la réaction du liquide céphalo-rachidien sur le
sang
du porteur (procédé de M. Bard) ; par MM. Weill
rd : hématolyse par la réaction du liquide céphalo-rachidien sur le
sang
du porteur. Cette méthode repose sur le princip
e la pression osmotique du liquide céphalo-rachidien par rapport au
sang
du malade. Le procédé de M. Bard est basé sur l
ur les changements qui se pro- duisent lorsqu'on met en présence le
sang
du malade et le liquide céphalo-rachidien patho
de la cytologie, de la cryoscopie et du séro-diagnostic positif du
sang
qui établit la nature tuberculeuse d'une méningit
le conduit à admettre une manie homicide, une soif particulière de
sang
, un besoin brutal d'ôter la vie pour le simple
ne maladie des reins et l'anémie perni- cieuse comme une maladie du
sang
. Une pathologie de cette sorte a pu être utile,
nsilive, sous nne simple variation de pression ou de composition du
sang
(action chimique) qui agit directement sur un c
, qui le trouvèrent étendu dans, la grange, au milieu d'une mare de
sang
, la gorge coupée à l'aide 't'un couteau de jard
troupement et en même temps la femme en question, toute couverte de
sang
, qui cherchait à se réfugier dans une pharmacie
res du matin, on pénètre chez elle et on la trouve dans une mare de
sang
. On la conduit à la policlinique où on pro- cèd
e de comprendre que le traumatisme d'une part et la grande perte de
sang
de l'autre aient provoqué le délire tremens par
é ou de maladie du sujet, et suivant la qualité et la quantité du
sang
qui alimente le système nerveux et l'écorce céréb
quivalents thermiques et chimiques .(chaleur et CO') enlevés par le
sang
? Cette dernière hypothèse expliquerait la fati
ors sur ceux d'intégration. L'action des poisons existant dans le
sang
peut être élective et se porter sur certains sy
ge de cette tumeur. R. de nIUSGR.1'E-CL4S'. LXXX. L'alcalinité du
sang
dans les maladies mentales; par ' Robert Pucu.
Voici les conclusions de cet important mémoire : 1° L'alcalinité du
sang
est physiologique dans la manie chroni- que, la
du degré de l'alcalinité dans la période inter-paroxystique, d) le
sang
reprend progressivement son alcalinité normale da
aque, f) il est impossible d'élever ou de maintenir l'alcalinité du
sang
dans des limites physiologiques et pour un temp
et 0 gr. 50 p. 1000; elle est la moitié du taux du glycose dans le
sang
et le tiers du glycose du sérum sanguin. Elle c
upe centrale de la fibre coupée. Présentation des préparations du
sang
des épileptiques. A.-N. BEUXSTEIN. Récemment vi
de BnA qui a trouvé une espèce particuliere du diplococcus dans le
sang
des épileptiques. Par la proposition du rapport
des exa- minés jusqu'à ce temps on a trouvé des diplococcus dans le
sang
, qui a été pris pendant l'accès épileptique.
s. S'10 sociétés savantes. Sur la question de la parasitologie du
sang
dans l'épilepsie. B.-A. GUlLIrIROVSIiT. Au comm
n micrococcus particulier qu'il a observé sur les prépa- rations du
sang
des épileptiques; il était toujours présent dans
rations du sang des épileptiques; il était toujours présent dans le
sang
pendant l'accès épileptique, et souvent dans les
s les intervalles entre ces derniers. Sur la préparation fraîche du
sang
ou dans la culture pure le parasite se présente
iénés, le rapporteur prenait pour l'examen à plusieurs reprises le-
sang
de 5 épileptiques pendant les accès et aussi hors
ucun phénomène morbide, et les micrococcus se multiplièrent dans le
sang
de ces animaux, sans produire d'influence marqu
avant; la culture pure, identique à celle qui a été trouvée dans le
sang
a pu être cultivée immédiatement de l'air. Encore
tement de l'air. Encore le même micrococcus a été manifesté dans le
sang
d'un choréïque chronique et chez plusieurs mala
s marquée. Ainsi, donc, la présence du micrococcus de Bnn dans le
sang
desépiteptiques renseigne non pas sur lasignifica
lepsie, mais sur ce que l'activité musculaire très exagérée rend le
sang
plus accessible aux cultures de ce micrococcus et
t que lorsque lui et le rapporteur se sont occu- pés de l'examen du
sang
des épileptiques, ils ont pensé le moins à réfu
u- lièrement la de l'adolescence, par Bruce, 3sî. - aiguë. Voir
Sang
. Médecin. et institutrice, 527. Médiummte. Vo
- infantiles par la réaction du liquide céphalo- rachidien sur le
sang
du porteur, par Weill et Péhu, 392. tuber- cu
evues scientifiques, 192. ! {nu;.Lefouprudromique.nar Feront. le,
Sang
. Observations bactériologiques et cliniques sur
La parole est à M. Maurice DIDE pour l'exposé de son rapport. Le
sang
chez les aliénés. Dans un préambule net et conç
xpose les traits généraux de son travail : Le poids spécifique du
sang
est légèrement augmenté dans les états démentie
densité revient d'ailleurs très vite à la normale. L'alcalacence du
sang
s'abaisse dans les états toxi-infectieux el dan
augmentés pendant les accès.Puis il étudie les éléments figurés du
sang
: 1° L'hypoglobulie avec abaissement de la vale
bulie est la traduction d'un état de con- centration moléculaire du
sang
; 3" Il est intéressant de voir l'abaissement d
lobulaire coïncider souvent avec la diminution de l'alcalesccnce du
sang
; 4° La polynu- cléose avec hyperleucocytose s'
vés puisse être considéré comme spécifique. Les germes retirés du
sang
en dehors des périodes hyper- thermiques peuven
e leurprésence soit négligeable,car le passage de bactéries dans le
sang
est un fait anormal. Ces germes acquièrent une
es. Des germes habituellement pathogènes peuvent circuler dans le
sang
des aliénés à l'état de saprophytes. C'est un fai
olo- giques et de culture identiques peuvent être trouvés dans le
sang
des aliénés soit à l'état de saprophytes, soit à
e directe de la cellule pensante par des toxiques char- riés par le
sang
. Les psychoses toxi-infectieuses subaiguës sont
et. Il demande à M, Dide s'il a eu l'occasion de rechercher dans le
sang
le spirochaete pallida. Trois examens de foie q
- ration de Laignel-Lavastine et Rosenthal, en cherchant, dans le
sang
et dans les humeurs, une explication des troubles
s microbes se trouvaient dans les vaisseaux, par conséquent dans le
sang
, et présentaient les mêmes caractères que des m
technique. Enfin, dans une troi- sième série de 46 cas d'examens de
sang
de malades, présen- tant des maladies aiguës di
écrit une vingtaine d'espèces microbiennes banales trouvées dans le
sang
de ses opérés. 11 est d'accord avec M.' Dide su
d'accord avec M.' Dide sur l'influence des toxines charriées par le
sang
, alté- rant les fonctions et la morphologie des
es recherches très complètes sur la composition et les réactions du
sang
d'un certain nombre de sujets atteints d'affect
s été frappé, d'autre part, de l'insignifiance des modifications du
sang
par rapport à l'énormité de la tare nerveuse et
ue ledé- but d'une telle vésanie s'accompagne de modifications du
sang
, imputables il ces causes plutôt qu'à la tare ner
GISTES. Mais les modifications des organes hématopoiétiques et du
sang
sont purement transitoires. Il est vrai quelestar
nota- blement le milieu sanguin. Aussi, à l'acné des vésanies, le
sang
peut-il se révéler cytologiquement normal, bien e
ou dans une certaine dépendance vis à-vis d'elle, influent sur le
sang
des aliénés : les agents médicamenteux, la thérap
roublent pas d'une façon sensible la composi- tion morphologique du
sang
, lequel subit par contre, chez les aliénés comm
dans la défense contre les toxi-infections. Les globules blancs du
sang
n'y interviennent que dans cer- taines infectio
té qu'aux modifications en plus ou en moins des éléments figurés du
sang
correspondaient toujours des mo- difications de
erché également, sansle moin- dre succès, le tréponème pâle dans le
sang
et au niveau des centres nerveux d'un sujet qui
la recherche du spirochæte pallida est toujours négative dans le
sang
et les organes des paralytiques généraux. Les c
Liseré hémorragique aux gencives. Urines rouge-orangé contenant du
sang
et de l'urobiline. Teinte li- vide des tégument
line. Teinte li- vide des téguments du tronc et surtout de la face.
Sang
noi- râtre, très fluide, et donnantrapidementun
facilement. Teinte livide des téguments, surtout marquée à la face.
Sang
noir, poisseux, très coagulable, caillot rétrac
halo-rachidien parallèlement à l'albu- mo-diagnostic et l'examen du
sang
et des urines, il a cherché à reconnaître la pr
en- core du cerveau tout entier..1. SKGLAS. XV111. La toxicité du
sang
des aliénés. (Contribution à la pathogénie des
[n Rivista di neurologie, tapies, 1905, fascicule VL) L'examen du
sang
des malades atteints de psychoses aiguës a fait
ur Blanchi, a cherché à déterminer le pouvoir toxique du sé- rum du
sang
dans les psychoses aiguës, comment ce pouvoir '
ncolie, manie, paralysie générale) et le coefficient de toxicité du
sang
a varié de 5 0/00 à 11 0 00 : l'examen bactériolo
ivement fort que nous avons provoqué mécaniquement. L'exa- men du
sang
que nous avons effectué, en effet, le lende- ma
dans l'urine ; staphylocoques dans le pus des abcès. Inoculation de
sang
à l'oreille d'un lapin; pas de réaction locale,
t, les recherches que nous avons entreprise : : sur les qualités du
sang
des épileptiques 212 CONGRÈS DES MÉDECINS ALI
NEUROLOGISTES. nous ontmontréquele bacille de Koch poussait sur le
sang
gélosé de ces malades avec la même facilité que
sur le sang gélosé de ces malades avec la même facilité que sur le
sang
gélosé du lapin. [En 1898, l'un de nos élèves
s centrifuges de la 7e paire. Sur la présence de la choline dans le
sang
au cours des maladies du système nerveux. M.
importance, au point de vue séméiologique. à la pré- sence, dansle
sang
elle liquide céphalo-rachidien des mala- des at
ce défaut d'oxydation dû à une insuffisante quantité de fer dans le
sang
et les viscères vienne à se prolonger, les trou
ans. G. D. XVI. Propriétés thérapeutiques spécifiques du sérum du
sang
d'animaux immunisés avec le sérum d'animaux - t
ale de la glande thyroïde, avec in- jection consécutive de sérum de
sang
de lapin ou de chèvre im- munisés. De ces expér
pour ainsi dire ins- tantanée à la suite de l'injection de sérum du
sang
de lapin ou de chèvre immunisés contre le sérum
même très profonde, donnait à peine une toute petite gouttelette de
sang
. Il était porté en écharpe. Huit ans plus tard,
5, l\eggio Emilia. \'ol. XXXI. fasc. IL) On commence par traiter le
sang
par une nouvelle méthode, laquelle consiste pri
tères des principes toxi- ques et antitoxiques naturels du serum du
sang
des épi- leptiques ; par;\1. le D1' Carlo Ceni
de des principes toxiques l'amène à considérer que : 10 le sérum du
sang
des épileptiques, au point de vue de son degré
ses épileptiques. 5° L'apparition de l'hyperloxicité du sérum du
sang
chez un épileptique peut précéder de quelques jou
ux. '7" La substance toxique spécifique contenue dans le sérum du
sang
des épileptiques résiste à la chaleur ; on doit a
ce sensibilisatrice ; 8° cette propriété hypertoxique du sérum du
sang
, propriété très étendue etneltementspéciuque pour
iques, l'auteur conclut que : 9° le pouvoir antitoxique du sérum du
sang
des épileptiques repré- sente probablement une
les corollaires sui- vants sur la nature des principes toxiques du
sang
des épilepti- nues : 10 De l'intime analogie qu
ime analogie qui existe entre les propriétés toxi- ques du sérum du
sang
des épileptiques, en particulier du sérum hyper
epuis surtout que l'on a vu la propriété du sé- rum hypertoxique du
sang
des épileptiques, il faut admettre que le princ
'on rencontre dans le sérum est intime- ment lié aux corpuscules du
sang
, et que la plus grande partie de ce principe ci
histologique des fibres musculaires sur le vivant, l'cxa- men du
sang
, etc., etc., et finalement l'examen microsco- p
ants,par Ceni, p. 149. -; p. 239. Aliénés. Voir Condamnés. Voir
Sang
. Voir Scorbut. Voir Température. en liberté,
ues des -, d'après Binet, par Decroly, p. 402. Antitoxiques. Voir
Sang
. Aphasie. Voir Hystérique. Aphonie. Voir Hyst
ir Cel- lules nerveuses. Choline. Sur la présence de la dans le
sang
au cours des ma- ladies du système nerveux, par
tiques. Voir Tuberculose. Hospitalisation des -, p. 330. - . Voir
Sang
. ERB-GOLDFLA ? 11. Voir Myasthenia gravis.
de la au diagnos- tic et à la thérapeutique, par lline, l', 29,
Sang
. Le - chez les aliénés, par Dide, p. 105. La to
, p. J 32. Sérum. Propirétés thérapeuti- ques spécifiques du du
sang
d'animaux immunisés avec le - d'animaux thyro
d'animaux thyroidectomi- sés, par Ceni et Besta, p. 229. - . Voir
Sang
. Sommeil. L'origine du -. Sur les relations e
eulement ont été faites. Mais il s'est écoulé une notable quantité de
sang
par des petits vaisseaux qu'il eût été trop long
euse et insupportable du pneumo-gastrique. L'interruption du cours du
sang
dans la carotide primitive n'a pas été suivie, da
s cuisses ;— suppuration abondante, verte ou rosée, souvent striée de
sang
; quelquefois même véritables hémorrhagies ; — tro
t contre l'utérus et prévenir, autant que possible, la pénétration du
sang
dans le péritoine. Cette compression fut très hab
la même longueur que la plaie extérieure. — Il s'était écoulé peu de
sang
. Les membranes furent rompues et le fœtus fut a
nta, qui fut bientôt extrait à son tour. Pendant cette extraction, du
sang
avait coulé en abondance, mais bientôt l'écouleme
é de couleur safranée, dont la coloration n'est pas due au mélange du
sang
et qui tache fortement le linge ; 4° Ce symptôm
dans un cas de rétention des règles par imperforation de l'hymen, le
sang
fut évacué lentement et il évita l'infection putr
fréquente chez les hommes en contact avec les animaux ; et quoique le
sang
des animaux morts ne contienne pas de bactéries i
as moins contagieux. Les animalcules se retrouvent d'ailleurs dans le
sang
des lapins inoculés. M. Bouley a étudié le mal
la vulve, son mal avait empiré. Elle rendait du pus et quelquefois du
sang
avec des matières diarrhéi-ques, elle souffrait e
re, blanche, irrégulière (5 gr.). Le cœur ne contient ni caillots, ni
sang
fluide. Pas de lésions valvulaires ; tissu friabl
e interne du caillot, forment latéralement une sorte de rainure où le
sang
devait circuler sans peine. Le caillot 'est dur,
ans leur organisation (Vidal). Les autres les font circuler avec le
sang
dans les capillaires, dans les profondeurs de l'o
artificielle, d'autant plus que la cavité du larynx était remplie de
sang
. Mais j'attache une importance particulière au fa
aison de la béance des voies aériennes dans lesquelles peut couler le
sang
fourni par ce vaisseau. La prédilection de Desa
gr. (sans le péricarde) ; quelques plaques laiteuses à la périphérie.
Sang
noir, en partie coagulé dans le ventricule droit;
Liebreich, après s'être assuré de ce fait, a pensé que les alcalis du
sang
suffiraient à produire cette réaction, et dès lor
suivantes : i° Le chloral introduit en suffisante quantité dans le
sang
d'un animal, produit Y anesthésie chez ce dernier
nesthésie, mais à un degré moindre que si elle est introduite dans le
sang
. Il y a dans ce cas un peu d'excitation avant l
nt rapidement l'hématosine ; ils se repaissent des globules rouges du
sang
, puis ils meurent dès le début de la réaction et,
acquis, il sera indispensable de rechercher dans quelques gouttes de
sang
pris chez un fébricitant, pendant le frisson, si
s. Ici, le champ sera plus restreint, puisque les éléments normaux du
sang
sont connus. On fera une recherche semblable sur
s normaux du sang sont connus. On fera une recherche semblable sur du
sang
pris pendant une période d'apyrexie, entre deux
hoïde très prononcé. La malade a rendu par le nez quelques gouttes de
sang
. Elle répond et comprend bien quand on lui parle.
son volume normal. L'oreillette et le ventricule droits renferment un
sang
fluide, lie de vin, qui a imbibé les points avec
es, contenant une bouillie noi râtre composée en grande partie par du
sang
coagulé. Dans le rein gauche, un infarctus volu
ivisions dont nous venons de parler, la première a trait à l'étude du
sang
et de sa circulation. Le sang se meut, sous l'inf
arler, la première a trait à l'étude du sang et de sa circulation. Le
sang
se meut, sous l'influence du système nerveux, dan
tte des gaz dans l'acte de la respiration. Sous ce premier chef, le
sang
, on voit donc se ranger des actes multiples dont
respiration est suivie de remarques sur les diverses modifications du
sang
et sur l'équilibre des recettes et des dépenses d
u magnétisée. Cette crise fut une quantité de près de trois litres de
sang
rendu en trois différentes fois par la voie des u
’un médecin qui pensait que le mal de celte femme venait d’un amas de
sang
fixé au côté gauche, car on y sentait une dureté.
bulisme et fut immédiatement soulagée. Elle dit que son mal venait du
sang
, et-qu’il fallait neuf magnétisations pour la gué
e. Il demeure à Clesle (Marne). • Bécot, affecté de vomissements de
sang
qui reparaissaient Ions les deux jours, soigné pa
do voire course. Eh! messieurs, vous avez nié lu circulation , el le
sang
circule; l'inoculation se pratique toujours, malg
ont elle se piqua le bout du doigt, il en sortit une petite goutte de
sang
. « C’est bien, dit-elle, il va venir. » En effet,
rnière expérience paraît l’avoir éveillé. En voyant sa main tachée de
sang
, il dit que la piqûre qu’on lui avait faite à la
meil naturel, et alla pour arranger ses cheveux à la glace. Voyant du
sang
autour de sa bouche, elle appela son mari pour lu
prêtres féroces, qui, au nom d’un Dieu de paix inondaient la terre de
sang
humain; des doctrines impies, des lois barbares :
vons pu constater l’avantage que l’on retire quelquefois d’un bain de
sang
à sa sortie de (1) Aperçu sur le Magnétisme.
nous en croyons l’opinion des somnambules les plus clairvoyants , le
sang
, à sa sortie du corps, contient une grande quanti
s s’endormirait facilement en s’exposant à la vapeur qui se dégage du
sang
à sa sortie de la veine. » Une étude plus appro
e sympathie de santé, de même qu’une infection morbide. L’esprit du
sang
, d’après Nicolas de Locques (5), possède des vert
ubtililale, lib. XVIII. (i) Ouvr. cité. (5) Vertus magnétiques du
Sang
, p. 22. proviennent d’un animal sain et rempli
dividu en viciant tous les fluides de son corps, et principalement le
sang
. Lorsque l’attaque est à son plus haut degré d’in
e foudroie pour ainsi dire le malade ; la circulation est arrêtée, le
sang
se décomposant presque instantanément, ainsi que
ont d’abord troubles, rouges, laissent en dépôt quelques pe-lottes de
sang
, des petits grains rougeâtres, et une espèce de m
de l’acide sulfurique, du fer et du phosphore; en se décomposant, le
sang
s’épaissit, reste dans les veines, et tous les pr
dans les reins, et communiquent des coliques aux intestins; alors le
sang
se trouvant vicié, épais, dépourvu de principes v
ris. Dès lors l’état cataleptique cessa, et après un vomissement de
sang
noir, d’environ deux cuillerées, elle toussa deux
malade sortit encore de sa léthargie, en vomissant deux cuillerées de
sang
noir, et toussant deux ou trois fois. Elle but, c
s n’a plus ¿té paralysé. De la a6 à la 7e séance, elle vomissait du
sang
et toussait en s’éveillant. A la 8e séance, tou
oir lit voir à deux personnes qu’on y avait conduites, des mares de
sang
, des instruments de supplice, des sacrificateurs.
s puissances vitales qui luttent contre le poison qui circule dans le
sang
et prive le système nerveux de son électricité pr
on siège, se lève, s’approche tout tremblant, et s’écrie : Je vois du
sang
, des cadavres, leurs entrailles sont arrachées. S
eune femme est bientôt attirée; saisie des mêmes terreurs à la vue du
sang
répandu, elle voit des entrailles humaines dans u
he un temps d’arrêt. Que vos moyens , surtout, soient pacifiques : le
sang
appelle du sang, et tout peut se faire aujourd’hu
rêt. Que vos moyens , surtout, soient pacifiques : le sang appelle du
sang
, et tout peut se faire aujourd’hui sans martyre.
vidence, A loi l'œuvre du Seigneur ' Essuie à ta noble épie I,c
sang
dont elle est trempée ; Ferme l'èrc des combats
ses ayant leurs racines dans ce qui constitue notre être ; dans notre
sang
, nos nerfs ou nos humeurs? L’extérieur, les force
augmenta; les plaies formées par les vésicatoires ne rendaient que du
sang
: mon enfant souffrait comme un malheureux. Dix
présent à l’expérience craignant que, par suite de la coagulation du
sang
, la mort ne s’en suivit, engagea d’une manière pr
aordinaire, il ne pouvait y avoir aucun danger pour la coagulation du
sang
. La peau, pendant toute cette opération, était hu
alytiques avaient été guéris par l’immersion de leurs membres dans le
sang
d’animaux égorgés depuis peu, à quoi on peut ajou
’elle a maintenant régulièrement. Elle a eu plusieurs vomissements de
sang
noir, aux approches du flux périodique; une toux
aux approches du flux périodique; une toux sèche, occasionnée par le
sang
qu’elle allait rendre par le nez, une fois avec u
usage de ces paroles sacramentelles (i). Homère (2) atteste que le
sang
qui sortait de la plaie d’Ulysse fut arrêté par d
sur des linges que l’on avait eu le soin d’imbiber extérieurement du
sang
ou du pus sorti d’une blessure ou d’un abcès. Cet
gie, page 168. trer qu'en projettant simplement cette poudre sur le
sang
retiré d’une plaie, la guérison ne se faisait pas
e fontaine. Il faisait infuser dans cette solution le linge maculé du
sang
sorti de la blessure que l’on voulait guérir. Lor
culé du sang sorti de la blessure que l’on voulait guérir. Lorsque le
sang
était encore humide , il se contentait de saupoud
nte. « La lumière, ajoute-t-il, emportant les atomes de vitriol et de
sang
, et les dilatant à une grande étendue dans l’air
; il suffisait d’enduire de celte pommade les armes encore teintes du
sang
de la victime. Un linge trempé dans le sang, un m
s armes encore teintes du sang de la victime. Un linge trempé dans le
sang
, un morceau de bois enfoncé dans la blessure, suf
ntrer l’efficacité, sur cette raison bien singulière : « Lorsque le
sang
sorti du corps se corrompt, la portion d’esprit q
elle appartenait. Yoilà pourquoi, lorsqu’on applique le remède sur le
sang
retiré d’une blessure, ce remède agit sur la bles
ie, dôht la lumière s’affaiblissait avec la vie dii malade; le sel de
sang
, qui se terhlssait à la mort de l’individu ; l'al
anciers. Le médecin écossais Maxwell (2) en avait composé une avec du
sang
, de l’urine, de la sueur et de la fécule. 11 l’ap
ou se dissipaient suivant le désir de l’exorciste. La circulation du
sang
chez la malade , s’accélérait oit s’arrêtait à vo
tranchants, et voyaient avec la plus grande impassibilité couler leur
sang
abondamment. Cette relation bien incomplète des
is caves superposées, et l’on a découvert sur les murs des gouttes de
sang
qui étaient échappées jusqu’ici à toutes les inve
i par des ordonnances médicinales. Cette somnambule déclara voir du
sang
congestionné dans tous les organes, principalemen
anes, principalement dans les intestins et à la gorge; selon elle, le
sang
était trop liquide el altéré. Traitement. — Inf
vous marchez dans l’obscurité; chaque fois que vous vous heurtez, le
sang
coule, cl, plus qu'en aucun temps, bientôt, vou
, 72, 133. Tuméfaction, 643. Vers intestinaux, 69. Vomissement de
sang
, 72. VARIÉTÉS. $ I. Théories, études, phénomè
des vaisseaux, nous trouvons une paroi très mince, fibrillaire ; le
sang
présente d'assez nombreux globules blancs qui s
vrai que le corps thyroïde agit en détruisant certains poi- sons du
sang
ou bien en produisant une sécrétion interne néces
s d'état de nuire. C'est la faillite, devant une force inconnue, du
sang
, de l'autorité paternelle, de l'éducation. L'impu
trapa. et engagea une lutte avec lui, ce qu'indiquent des traces de
sang
marquant sur plusieurs points la route ; il l'a
ue par l'autre main; elle était rouge, un peu tuméfiée parce que le
sang
circulait mal. Il boitait assez fortement de la
sines. Si abondam- ment qu'un centre puisse être être baigné par un
sang
pur, la con- dition premitère de son métabolism
on de celle qui est excrétée.' L'acide .urique se dissout dans le
sang
alcalin et s'élimine par les reins. Mais qu'il
n- fluence de l'intoxication urique. L'acide urique dissous dans le
sang
a pour effetde provoquer la contraction desarlé
aucune lésion, seraient dus à une intoxication urique suraiguë, le
sang
devenu soudain plus alcalin dissoudrait une gra
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. diaque et l'augmentation de la pression du
sang
et des mouvements respiratoires complètent le d
générale (amaigrissement, pâleur, anémie) précisés par l'examen du
sang
et des urines ; 3° dans ces trois cas la suggesti
action diurétique de l'urée elle-même quand elle s'accumule dans le
sang
. Cette hypothèse trouve une confirmation dans l
s le sang. Cette hypothèse trouve une confirmation dans l'examen du
sang
, car le taux de l'urée trouvée diminue graduell
e cas de paludisme. M. Aug. Vosix. M. Rey a-t-il fait l'examen du
sang
? Quel était l'état de la rate ? M. REY. L'ex
amen du sang ? Quel était l'état de la rate ? M. REY. L'examen du
sang
a permis quelquefois, mais pas toujours, de ret
6 SOCIÉTÉS SAVANTES. de ces altérations dans l'auto-intoxication du
sang
, comme suite d'un dérangement de la nutrition s
dans le tissu ramolli. Les vaisseaux sont hyperplasiés, remplis de
sang
; les espaces périvasculaires sont remplis de le
des injections. La moitié caudale de la moelle allongée reçoit son
sang
par des artères spino-bulbaires, tandis que la
tière toxique qui, contenue entièrement à un moment donné dans le
sang
d'un animal, tuera fatalement 1 kilogramme de mat
hyrinurie est due à des hémorrhagies stomacales et intestinales; le
sang
doit alors séjourner assez longtemps dans le tu
lement sur un objet déterminé' (phobie du velours et des fruits, du
sang
, des armes tranchantes, du feu, de l'eau, des hau
localisée à la mâchoire inférieure. On y voit suinter'une goutte de
sang
ainsi que du pus. La sensibilité au toucher ain
rieure et la limite interne de la colonne de Clarke. L'irruption du
sang
dans les cordons latéraux doit être considérée
lisés consiste avant tout et le plus souvent en une accumulation de
sang
pur sous forme d'hématomyélie centrale ; ensuit
r une simple a désintégration cen- trale », avec ou sans mélange de
sang
. Enfin dans quelques cas l'hématomyélie préexis
de la colonne vertébrale remontant à plus de deux ans. Le foyer de
sang
épanché en pleine substance grise, dans la moit
domaine clinique, des observateurs ont éta- bli que l'alcalinité du
sang
diminue dans les états diathé- siques (diabète,
r des faits nom- breux, ont constaté que, chez les épileptiques, le
sang
pré- sente une diminution de l'activité de rédu
auto-intoxication (Greffelhs, Mairet) ou à l'ac- cumulation dans le
sang
de carbamide acide d'ammoniaque qui devrait, à
tations convulsives et les variations du degré de l'alcalescence du
sang
. Pour nous éclairer sur cette question nous avo
r Landois et qui consiste à mélanger succes- sivement une goutte du
sang
à examiner avec des solutions acides titrées et
X. On se sert d'un tube capil- laire jaugeur gradué et on essaie le
sang
obtenu à l'aide d'une simple piqûre, successive
numéro de la pre- mière solution qui n'est plus neutralisée par.le
sang
, repré- sente son degré d'alcalescence. L'émine
ces de Peiper éta- blissent que le degré moyen de l'alcalescence du
sang
= V ou VI chez l'adulte, IV chez l'enfant. Po
u temps, le mouvement quotidien des variations de l'alcalescence du
sang
et le mouvement des variations numériques des a
Tableau Il. - Variations quotidiennes du taux de l'alcalescence du
sang
. (Examens répétés à différentes heures sur 21&g
en de la réaction urinaire, pratiqué concurremment * aux examens de
sang
, a permis de constater de très grandes différen
individuelles. A côté d'une série d'épileptiques donnant : aie. du
sang
.= VI et acid. urinaire = 1,75, 7,5, 4,5, etc.,
ice d'une relation de cause à effet entre l'état de l'alcalinité du
sang
et le phéno- mène convulsif. Et nous nous somme
, injection de 30 cent. cubes. Degré maximum de l'alcales- cence du
sang
constaté 30 minules après l'injection = VI. Degré
epris leur fréquence habituelle. Degré maximum de l'alcalescence du
sang
, après les injections = VI. Les attaques se pro
s expériences). Elévation transitoire du degré de l'alcalescence du
sang
à la suite des injections. A partir du jour de
jection de 30 cent. cubes. T. 38,4. Excitation. L'alca- lescence du
sang
mesurée il 5 heures du soir (heure du mini- mum
violente. Pas d'attaques. Fonctions régulières. l'alcalescence DU
sang
CHEZ LES épileptiques. 475 nombreuses que penda
es antérieures. Elévation transitoire du degré de l'alcalescence du
sang
la suite des injections. Après la cessation d
de dépression mélancolique. Du 1er au 7 juillet 1890, l'examen du
sang
et des urines donne les résultats suivants :
0 cent. cubes. Rien à signaler. Pas d'attaques. L'ALCALKSCHXCH du
sang
chez les épileptiques. 477 1 attaque vers l'âge
irritabilité. Menstruation régulière. Etat général bon. L'examen du
sang
et des urines, pratiqué du 1 ? au 7 juillet, do
des attaques. Élévation transitoire du taux de l'alcales- cence du
sang
après les injections. Trois mois après, la mala
, elles se produisent isolées à raison de 4 à 6 par mois. Examen du
sang
et des urines du ,1 cr au 7 juillet : -. l'alca
du sang et des urines du ,1 cr au 7 juillet : -. l'alcalescence DU
sang
CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 479 En résumé, 33 inject
des attaques. Elévation , transitoire. du taux de l'alcalescence du
sang
après les injec- tions. Observation VI. Dela.
upe régulièrement. Facile à diriger. Etat physique bon. Examen du
sang
et des urines du 1 ? au 7 juillet : 480 CLINIQU
tervalles la malade est facile à diri- ger et s'occupe. Examen du
sang
et des urines d1l1e.' au 7 juillet : l'alcalesc
amen du sang et des urines d1l1e.' au 7 juillet : l'alcalescence DU
sang
CHEZ LES épileptiques. 481 Les 2, 5, 8, 9, 11,
ivie de dépression. Augmentation transitoire de l'alcales- cence du
sang
à la suite des injections. Observation VIII Ba.
lentes. État physique assez bon. Fonctions régulières, Examen du
sang
et des urines du 1 ? au 7 juillet : TABLEAU III
ent plus violentes. Elé- vation fugace du taux de l'alcalescence du
sang
à la suite des injections. Les modifications
es fois que les injections ont été pratiquées entre deux examens du
sang
, il a été noté après l'injection une élé- vatio
ès l'injec- tion, elle avait disparu. Le degré de l'alcalescence du
sang
n'a pas autrement été modifié, ni pendant les i
d'attaques pendant la première heure qui a suivi l'alcalescence du
sang
CHEZ les épileptiques. 48b "a ces injections. L
rs de chaque révolution quotidienne le degré de l'alca- lescence du
sang
subit des variations constantes avec minima "et
ones et en rapport inverse avec les variations de l'alcalescence du
sang
. 3° Les injections répétées de solutions alcali
i- fient pas d'une façon permanente le degré de l'alcalescence du
sang
. Elles produisent seulement une élévation très fu
'y a pas lèpre, car on ne trouve aucun commémoratif de ce genre; le
sang
et le sérum des endroits excoriés ne renferment
ssent entièrement quelques heures avant celles de la circulation du
sang
. M. le D1' UYCC Drrcr(\vol1.TH (de Londres). Je
où les fonctions respira- toires cessent avant la circulation du
sang
, par Duckworth, 527. Cerveau. Symptomatologie d
s médecins dans la répartition des aliénés, par P. Garnier, 68.
Sang
. Alcalescence du chez les épileptiques, par Cha
nterprétation applicable à tous les cas. Restent les altérations du
sang
lui-même ; on en a décrit trois principales : d
cémie avec déshydra- tation des tissus ; la surcharge graisseuse du
sang
avec embolies capillaires. Pour ce qui est des
ont fort discutables; car la plupart des auteurs qui ont examiné le
sang
pendant la vie n'ont rien constaté d'anormal da
ur un fait vrai, la présence en excès de matières grasses dans le
sang
des diabétiques. Dans trois cas de coma diabétiqu
. Dans trois cas de coma diabétique, ces auteurs ont observé que le
sang
, après la mort, se séparait par le repos en deu
FEMMES. 55 organes. Voit et Hertz ont constaté cet état lipémiquedu
sang
dans deux autres cas de coma diabétique. Starr
ans les cas de Sanders et Hamilton il est dit expressément que le
sang
exhalait une forte odeur d'acide acétique. Or, la
cide acétique. Or, la présence de matières grasses en excès dans le
sang
étant un fait com- mun chez le diabétique, n'es
L'absorp- tion de l'acétone formée en excès et son passage dans le
sang
détermineraient l'explosion des accidents. Gehr
depuis admis que l'acétone pouvait se produire directement dans le
sang
même, aux dépens de l'éthyldiacétate de soude.
que l'acétone, passant d'une manière continue et prolongée dans le
sang
, amène à la longue un empoisonnement chronique
d'un produit déterminé, mais d'une série de transformations dans le
sang
, dont les différents stades intermédiaires nous
que cette intoxication est due à la pré- sence de l'acétone dans le
sang
. Quelles objections a-t-on, en effet, opposées
ien d'autres auteurs. Lambl a trouvé l'acétone dans l'estomac et le
sang
, 60 REVUE CRITIQUE. Morler dans la salive ; i
poumons; elle continue à se former dans le tube digestif et dans le
sang
, et à impré- gner l'organisme. Le diabétique ac
anche de la moelle épinière. Cas dans lequel un gros épanchement de
sang
isolé dans le tissu de la pie- mère spinale, si
aire. Autopsie. Poids du cerveau = <,62C grammes. Epanchement de
sang
tout récent sous-arachnoidien, en lame, à la co
1 l'appui. SOCIÉTÉS SAVANTES. 103 M. Gaasnsr. Sur le mouvement du
sang
dans le crâne. Il est généralement reconnu que
mouvement du sang dans le crâne. Il est généralement reconnu que le
sang
circule à l'intérieur du ci âne. en des conditi
on qui, comme l'on sait, estégale.'i la résistance que rencontre le
sang
dans les sinus et dans les veines jusqu'à ce qu'i
pression extérieure positive. Par conséquent, c'est la pression du
sang
à l'intérieur des capillaires ou des grosses ve
conipressibilité des uns ou des autres. On sait que la pression du
sang
dans les capillaires est supérieure il la press
ssion du sang dans les capillaires est supérieure il la pression du
sang
dans les grosses veines cérébrales; par suite,
nt les règles avaient toujours été peu abondantes, tardives et d'un
sang
trop aqueux, qui, depuis quelques jours déjà, a
ade déclare n'avoir jamais eu ni de crachats, ni de vomissements de
sang
, ni de saignements liémorrboïdaires. La menstru
xpliquent très probablement par l'état de dyscrasie où est resté le
sang
à la suite de l'action de l'agent palustre; c'e
sociation à l'aiguille et d'a- jouter aucun ingrédient chimique. Le
sang
de l'animal constitue- rait un liquide presque
; sinus longitudinal supérieur, de largeur modérée, contient peu de
sang
coagulé. Le cerveau apparaît comme projeté en a
n'avait pu s'introduire dans les bronches que de la salive mêlée au
sang
(morsures de la langue). M. IDELER a observé,
ses. (En allemand.) Les altéra- tions de la constitution normale du
sang
constituent la source la plus féconde en pertur
ns, enfin, sont formés par des bactéries, qui modifient la crase du
sang
, tantôt rapidement, tautot lentement, et générale
me spé- ciale. Il faut enfin tenir pour des dyscrasies ces états du
sang
qui se forment dans le corps lui-même ou du cor
d'excrétion (cholémie, uré- mie). Emploi de l'analyse spectrale du
sang
pour le diagnostic des dégénérescences hématiqu
leurs épigastriques et vomissements fréquents, quelquefois mêlés de
sang
. En même temps faiblesse des extrémités infé- r
tubérance et la moelle. Le quatrième ventricule contenait un peu de
sang
noir et fluide. Le cervelet tout entier était c
paraissent comporter. R. M. C. XXI. Observations cliniques sur LE
sang
des aliénés ; par S. Ru- THERFORD A1.4CPII : 11
use de folie, il n'en est pas moins vrai que l'état ané- « mique du
sang
est incontestablement, dans un grand nombre de
nd nombre de « cas, intimement lié aux maladies mentales. « 2° Le
sang
, chez les déments des asiles contient une quantit
la normale, et cette K détérioration augmente avec l'âge. «3° Le
sang
chez les malades connus pour se livrer à la mastu
er à la masturba- M tion subit une détérioration marquée. « 4° Le
sang
est au-dessous de la normale dans la paralysie gé
onstate bien chez les épileptiques une altération delà « qualité du
sang
; mais cette infériorité n'est pas aussi marquée
la qualilé du sang- « î° L'agitation prolongée a sur la qualité du
sang
une influence « détériorante. « 8° Chez la mo
° Chez la moyenne des malades, au moment de leur admis- '. sion, le
sang
est considérablement au-dessous de la normale.
IE MENTALE. 433 « 9° Chez les malades qui guérissent, la qualité du
sang
se mo- « difie dans un sens favorable pendant l
sens favorable pendant le séjour à l'asile, et à « leur sortie, le
sang
n'est plus que très légèrement inférieur à la «
l'augmentation « du poids du corps, l'amélioration de la qualité du
sang
et la « guérison mentale. « 110 11 y a, dans
a, dans tous les cas, une amélioration bien nette « dans l'état du
sang
, pendant la convalescence mentale, mais « cette
olés ou combinés, « se sont montrés les plus utiles pour ramener le
sang
à sa qualité « normale, peuvent être classés da
s cas observés, l'arsenic s'est montré peu utile « comme tonique du
sang
; ni la quassia, ni l'huile de foie de « morue n
Le rapport étroit qui existe entre l'amélioration de la «qualité du
sang
, l'augmentation du poids du corps et la gué- «
nde suivante, à 11 h. 10, le premier occupant fut trouvé couvert de
sang
: le soldat l'avait tué à coups de pied; très c
avait tué à coups de pied; très calme, les bras croisés, couvert de
sang
, il répondit dans deux interrogatoires successi
ar Meynert, 116. Criminalité et folie, 123. Crâne (mouvement du
sang
dans le), Gi,asli( ? 103. Curarine (action th
ntelligences qui sont en nous; voyons ces transmutations en chyle, en
sang
et en chair de tout ce qui est ingéré dans nos or
ache la disposition au sommeil à la plus ou moins grande liquidité du
sang
, et admet conséquemment des nuances et des degrés
l lucide aura pareillement son échelle de proportion. La liquidité du
sang
étant un signe d'appauvrissement de ce liquide, l
le même motif, un guérirait le somnambule naturel en épaississant le
sang
par un régime approprié. dette opinion n'est pa
aire est souvent imparfaite, par suite d’une espèce de coagulation du
sang
. « Sitôt qu'on est apte à la concentration occa
nt d’opérateurs jusque-là si puissants : au lieu de bouillonner, leur
sang
se figeait dans leurs veines. « Il me semble qu
t des visions, des songes allégoriques et prophétiques, des sueurs de
sang
, etc. La première visite qu’il reçut de l’archa
èbre magnétiseur, la cause du sommeil lucide est dans la liquidité du
sang
; les somnambules, qu’il désigne sous le nom d'fpo
il désigne sous le nom d'fpoptes, sont d’autant plus lucides que leur
sang
a moins de densité. Cette idée, sur laquelle il r
a profession, de constater un grand nombre de fois que la pauvreté du
sang
, c’est-à-dire la prédominance de l’eau dans ce li
: puisque le bruit de souffle est souvent l’indice de la pauvreté du
sang
, si la proposition de l’abbé Fa-ria est vraie, ce
onne, même étrangère à la médecine, plus facilement que l’aquosité du
sang
dont il n’est d’ailleurs que l’expression. Le b
loroliques, hommes ou femmes, c’est-à-dire chez des individus dont le
sang
contient de l’eau en excès, tandis que les globul
tation inaugurale : u Les causes qui tendent à diminuer la masse du
sang
, telles que les pertes utérines, les saignées, la
ndent en même temps à diminuer la proportion relative des globules du
sang
, et par contre à augmenter celle de l’eau. » (1
cuiraient, après avoir été saignés, dans la catégorie de ceux dont le
sang
esl pauvre, ce qui suppose nécessairement le brui
gne, n° 9, âgée de vingt ans; tempérament lymphatique; dit avoir le
sang
très-pauvre, est sujette aux pertes utérines; bru
e, qui était d’un tempérament lymphatico-nerveux, me déclara avoir le
sang
très-pauvre, ce que confirmaient tous les signes
is plus haut trouverait ici son application, car il est prouvé que le
sang
du placenta est plus riche en globules et moins a
placenta est plus riche en globules et moins aqueux que 11e l’est le
sang
fourni par les veines du pli du bras, ce qui rend
ui rend les femmes enceintes plus ou moins chlorotiques, puisque leur
sang
est plus pauvre. 11 ne serait alors pas étonnant
der et à vérifier si un état morbide passager, en modifiant l’état du
sang
, ne s’opposerait pas à la manifestation de la sen
le côté droit, j'y éprouve parfois des douleurs ; dans ce moment mon
sang
devient plus épais, et je perds ma lucidité. »
z elle avait entièrement disparu. Elle avait un point pleurétique; le
sang
étant alors fibrineux, était devenu moins liquide
yant démontré que l'acide acétique étendu a la propriété de rendre le
sang
plus liquide (1). XII. —Je ne puis, celte occas
cide acétique, puisqu'il dissout presque complètement les globules du
sang
. à la malade, firent en môme temps disparaître
breux que j’ai observés, je crois devoir conclure que la liquidité du
sang
, le bruit de souffle et la sensibilité magnétique
citant surnuméraire? Les poumons recevant une plus grande quantité de
sang
à élaborer, ne doivent-ils pas précipiter leurs m
s pas parcourus, dans un temps donné, par une plus grande quantité de
sang
? Si, d’un côté, le grand sympathique, affecté d'u
yeux, j’aperçus mon père debout près de moi, et je sentis couler mon
sang
le long de mon cou. Je me suis assise dans mon li
avons en nous et fflii circule dans nos nerfs tou l aussi bien que le
sang
dans nos vaisseaux, quoi que d’aucuns disent, per
aux seuls rayons du soleil ; vous dont les larmes coulent ou dont le
sang
se fige au récit du moindre événement, vous me de
essieurs, l’erreur de la science officielle; cette science a versé le
sang
que les batailles avaient épargné ; mais notre am
re persévérance, la nature sera vengée de tant d’outrages, de tant de
sang
versé inutilement, l’humanité aura recouvré ses d
joindre les graves sentences fulminées jadis contre la circulation du
sang
, l’émétique, la vaccine, les aérolithes. La cause
le place plus près de notre cœur ; s'il tient à nous par les liens du
sang
ou de l’amitié, et surtout par cet autre lien qui
provenant de cette rupture donna issue à une assez grande quantité de
sang
et d’eau. Pendant les quarante-huit heures qui su
substantielle et une magnétisation quotidienne, afin de lui donner un
sang
riche et vivifiant, et par suite améliorer sa con
n se fait très-mal depuis deux ans que cette dame habite Paris, et le
sang
est on ne peut plus pauvre. Nous vîmes la malad
d’un mot chacune, il se trouva si fatigué qu’il ne put continuer : le
sang
lui montait à la tête. Le plus incrédule de cet
ectricité, une autre des peaux de lapin ou de mouton, et des bains de
sang
chaud. « Pourquoi ordonnez-vous l'électricité ?
up qu’il avait reçtt à l’épigastre, où il s’était formé un caillot de
sang
qui gênait la respiration au point que l’on enten
main , le malade me fit demander, me montra des linges tout tachés de
sang
, et me raconta en ces termes ce qu’il avait éprou
dai de la lumière ; je vis alors que mes draps étaient tout tachés de
sang
à la hauteur de ma poitrine , et que les linges n
à terre. » Je les regardai, ils étaient littéralement imprégnés de
sang
. « Mais, chose extraordinaire, continua-t-il ap
t aucune trace sur l’étoupe à travers de laquelle avait dû filtrer le
sang
. — On enlève l’emplâtre, et là encore aucune trac
là encore aucune trace ; aucune tache sur l’épiderme n’indique que le
sang
a trouvé une issue en cet endroit ; — et pourtant
n’était-elle donc autre chose qu’un commencement de décomposition du
sang
amassé en cet endroit?... C’est probable.... Je n
thérapeutique assez actif pour opérer la décomposition de cet amas de
sang
, l’attirer dans une partie du corps assez sensibl
gnétiseur, v de coordonner normalement la distribution irrégulière du
sang
, absolument de la même manière qu’on diminue la q
genoux, en entraînant aux extrémités ; de cette manière j’empêche le
sang
de se porter à la tête; puis, partant de cet apho
région hypogastrique et se communiquaient l’estomac et au cerveau. Le
sang
, qui ne pouvait s’exhaler naturellement, se porta
puis le haut des cuisses jusqu’aux genoux, amenèrent un écoulement de
sang
très-peu coloré. Le ventre perdit un peu de son v
encore un peu forte, mais les accidents apparurent moins violents. Le
sang
menstruel se présenta plus pur, et avec son écoul
i à l’ensevelir, qu’elle avait enveloppé le cœur, et qu’il y avait du
sang
. « Revenant sur l’événement delà mort, elle déc
dont elle venait de raconter la mort, et qu’il y avait des taches de
sang
. «Un chapeau lui fut montré aussi ; elle dit qu
l’eût porté le jour de sa mort, bien qu’il y eût aussi des taches de
sang
. « D’abord elle n’avait pas rattaché ce qu’elle
ie pour cacher tes haillons; mais les plaies sont saignantes, et le
sang
et le pus passent à travers les plus riches étoff
es cris et les mouvements brusques du corps. Pendant le sommeil, le
sang
lui coule de la bouche comme coulerait la salive
in d’insectes grouillants. Le malheureux improvisateur frissonna, son
sang
se glaça; dans son désespoir, il se jeta sur le g
lons le cœur battre dans la poitrine de la jeune fille ; il voyait le
sang
en sortir, jaillir jusqu’à la racine des cheveux
ses yeux semblaient prêts à sortir des orbites et étaient injectés de
sang
d’une manière effrayante ; tout son extérieur ann
e nos propres yeux. — Comment s’opère sa circulation ? — Comme le
sang
, il a ses vaisseaux propres, qui son1 de plusieur
le de justifier ces procès de sorcellerie qui ont fait couler tant de
sang
innocent, de pervertir toutes les notions de droi
-ci par-là, quelques esprits vigoureux encore, quelques corps dont le
sang
n’est point refroidi. Ceux-là sont tout disposés
ner jusqu’au cœur par une impression que * rien ne peut rendre. Mon
sang
se figeait dans mes veines. * Tout à coup, une
nt insensible ; on y enfonçait des épingles comme dans une pelote; le
sang
n’y venait point -et elle ne sentait absolument r
sera le même que celui de ses victimes. »0 mon Dieu, mon Dieu! que de
sang
! que de sang! « C’est affreux. » « Elle cacha
que celui de ses victimes. »0 mon Dieu, mon Dieu! que de sang! que de
sang
! « C’est affreux. » « Elle cacha ses yeux ave
in, on les fera mourir de mort, on les as-t sommera de pierres ; leur
sang
est sur eux. * « — 11 est vraiment très-heureux
de cruelles blessures. — Je le sais; mais la peur avait glacé leur
sang
, ils manquèrent de résolution et de courage. —
e cordonnerie, se cache et s'ampute toute la verge; l'écoulement de
sang
très abondant et la douleur qu'occasionne cette
ment. Notre malade. A la conception, le père dit « qu'il avait le
sang
en révolution », ce qui était dû à des ennuis; la
utres cas. L'examen bactériologique de l'exsudat des méninges et du
sang
de divers organes, pratiqué après l'autopsie de
ne prenant pas le Gram. M. Assimis a retrouvé ce même agent dans le
sang
de trois malades pendant leur vie. Ce microbe a
yroïde était ou atrophiée ou in- férieure à la normale. L'examen du
sang
ne montra aucune modi- fication de la forme ou
e le diable vou- lait vendre ses enfants pour leur faire prendre le
sang
. Il n'a pas d'hallucinations auditives. 11 avai
et que la santé générale est améliorée par son usage. L'examen du
sang
de ses malades avant et après le traitement thyro
ormait Henriette Faldein la trouva morte, baignant dans une mare de
sang
. Elle alla aussitôt prévenir le commis- saire d
ARCHIVES DE NEUROLOGIE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. LA TOXICITÉ DU
SANG
DANS L'ÉPILEPSIE; Par le Dl P. COLOLI : 1\T, ·
ai-oxystiqtie, Arch. de Neurologie, n° 69, 1890. LA TOXICITÉ DU
SANG
DANS L'ÉPILEPSIE. 179 Puis on s'est occupé de l
echerches sur la toxicité des différents milieux épileptiques. Le
sang
, le sérum sanguin des épileptiques ont été égale-
étudiés. MM. Voisin et Petit ont fait l'examen bactério- logique du
sang
, et se sont demandés si, en dehors de l'auto- i
taphilocoques qui , insuffisamment éliminés, s'accu- mulent dans le
sang
et y déterminent des altérations £ . D'autres a
Nos expériences étaient simples . Elles consistaient à prendre du
sang
d'un épileptique, à laisser reposer ce sang vin
nsistaient à prendre du sang d'un épileptique, à laisser reposer ce
sang
vingt-quatre heures afin d'obtenir du sérum, qu
été mises en pratique : les parties d'où l'on devait recueillir le
sang
étaient lavées et aseptisées avec soin ; le fla
ang étaient lavées et aseptisées avec soin ; le flacon contenant le
sang
, était bouché par un petit tampon de ouate hydr
tique et conservé dans un endroit frais. Nous prenions d'abord le
sang
directement dans les veines au moyen d'une seri
; puis, craignant des embolies, nous avons essayé de recueillir le
sang
au moyen de ven- touses scarifiées : ce système
et l'on met un flacon à large embouchure au-dessous du doigt. Le
sang
coule lentement. Ce sang est poisseux, noirâtre
large embouchure au-dessous du doigt. Le sang coule lentement. Ce
sang
est poisseux, noirâtre et se coagule très facilem
uée par les auteurs, elle est bien semblable à la mo- dification du
sang
qu'on observe dans diverses intoxications ou in
ns diverses intoxications ou infections. Pendant qu'on recueille le
sang
, il faut de temps en temps, avec la pointe du b
emps, avec la pointe du bislouri, faire tomber les LA TOXICITÉ DU
SANG
DANS L'ÉPILEPSIE. 181 caillots qui se forment d
Au bout de dix, quinze, vingt minutes, on obtient suffi- samment de
sang
, ou du moins nous en avons assez obtenu pour no
ns expérimenté chez l'homme sain, afin de comparer la toxicité du
sang
chez le sujet bien portant et chez l'épileptique,
st de 15 ce. Nous étions donc bien au-dessous. II. La toxicité du
sang
des épileptiques pendant l'intervalle des attaq
que, injecté à souris de 15 gr. Survie. D'après ces expériences, le
sang
des épileptiques parait peu toxique dans l'inte
e ci-dessous, nous ne trouvons pas non plus une forte toxicité au
sang
d'epileptique. Expérience IX. 3 août, lapin 555
s, Nos expé- riences très peu suffisantes ne nous le disent pas. Le
sang
de l'épileptique paraît toxique, mais nous igno
à quelle dose il peut tuer un kilog. d'animal. III. La toxicité du
sang
immédiatement avant l'attaque ep<7e ? Me.
l rendait difficile toute recherche cadavérique. LA TOXICITÉ DU
SANG
DANS L'ÉPILEPSIE. 183 Expérience Il 23 mai, 2 h
n'avons que ces deux cas, et nous ne pouvons dire, en outre, que le
sang
fût immédiatement d'avant l'attaque. Nos deux m
os expériences comme précédant immédiatement l'attaque. Pourtant ce
sang
paraît assez toxique, plus toxique que chez l'h
es pupilles et irrégulariser sa respiration. Quant à la toxicité du
sang
ait moment même de l'attaque, nous ne la connai
l'on arrive toujours trop tard auprès du malade. IV. Toxicité du
sang
immédiatement après l'attaque épileplique. Ex
rès l'attaque épileplique. Expérience XII. 29 avril. 1 ce. sérum du
sang
recueilli une heure après une attaque épileptiq
leptique le 20 mai. Vingt minutes après la crise nous avons pris du
sang
. L'injection du sérum, 4 ce, a été faite le 21
heures de l'après-midi. Dix minutes après l'attaque nous prenons le
sang
. Le 4 juin, à 5 heures, nous injectons 5 ce. du
.. a eu un vertige le 7 septembre, à 5 h. 20 du soir. Nous avons le
sang
15 minutes après le vertige. Le 8 septembre, à
ur bat très vite. Cette attaque épileptiforme dure LA TOXICITÉ DU
SANG
DANS L'ÉPILEPSIE. 1 8o quelques secondes ; immé
(XII et XIII) sur les souris ne prouvent qu'une légère toxicité du
sang
épileptique après la crise. Et ce sang a été re
qu'une légère toxicité du sang épileptique après la crise. Et ce
sang
a été recueilli une a deux heures après l'attaque
at des autres expériences est plus satisfaisant, plus concluant. Le
sang
recueilli de dix à vingt minutes après l'attaqu
et la mort (exp. XIII). Ainsi, d'après ces quelques expériences, le
sang
des épi- leptiques paraît toxique. Et c'est ici
uin d'un individu bien portant n'ont absolument rien provoqué. Le
sang
des épileptiques paraît donc plus toxique en géné
495. Il faut donc pour tuer un kilog. d'animal : LA TOXICITÉ DU
SANG
DANS L'ÉPILEPSIE. 187 D'autre part, le professe
nvoque la congestion cérébrale, la lésion rénale et l'altération du
sang
pour expli- quer l'éclampsie puerpérale. M. Del
ner par les reins atteints, d'où accumulation de toxi- cité dans le
sang
. MM. Doleris 3 et Blanc 3 ont pu isoler des mic
re cherchée ni dans l'acide urique ni dans son accumulation dans le
sang
. L'élimina- tion de l'acide urique doit sans do
for- ment, probablement au carbamate d'ammonium qui reste dans le
sang
et s'y accumule jusqu'à ce qu'il produise une cri
le il est introduit dans le tissu cellulaire sous-cutané ou dans le
sang
, l'ammoniaque est transformé dans l'organisme e
amate d'ammonium par l'action du carbonate de soude contenu dans le
sang
; mais, selon toutes probabilités, c'est sous la
coupé la tête, là, près de son lit ; « Parbleu, je l'ai bien vu le
sang
qui coulait ! ... »- La nuit suivante, sans hyp
familles urbaines qui ne savent pas se régénérer par des apports de
sang
rural. Fausse angine de poitrine consécutive ci
correspondant à la partie cervicale et lombaire sont infiltrées de
sang
noir, en partie liquide ; il est très abondant
rigine 6leztzorrleagiqtce. Présence du bacille pyocy unique dans le
sang
veineux recueilli vingt-quatre heures avant la
ie des membres inférieurs a encore aug- menté. Hébétude, délire. Le
sang
puisé avec toutes les précautions d'usage dans
rsuit par les recherches modernes sur l'état gastrique, l'urine, le
sang
des épileptiques avant, pendant et après les accè
'liystt',iie et l'idiotie, par Bourne- ville, '99. - La toxicité du
sang
dans l' -, par Coldiiiiii, 1-17. - jakcsomenn
té et la vie à un organisme épuisé, soit en renouvelant la masse du
sang
, soitpar sa force balsamique vitale d'après les
près les principes mé- caniques en augmentant la force élastique du
sang
. Les jeunes filles qui possèdent du sang vif et
tant la force élastique du sang. Les jeunes filles qui possèdent du
sang
vif et généreux, qui sont rem- plies d'esprits
es effluves bal- samiques, agiles, élastiques capables d'exciter un
sang
lent et paresseux. Leur souffle absorbé par un
t les esprits, ces mêmes vapeurs se mêlent à l'instant même avec le
sang
du vieil Hermippus. De là passant à travers son
ippus. De là passant à travers son coeur, elles corroborent ce même
sang
, de façon que nous pourrions dire presque sans
nt participer de la matière et de la nature dece même fluide. Or le
sang
des jeunes personnes est doux, onctueux, balsam
rvée beaucoup plus com- plète chez certaines espèces de vertébrés à
sang
froid soit seulement pen- dant les premières pé
uée un nombre de fois incalculable. Elle a fait couler des Ilots de
sang
et des fleuves d'encre. Elle a probablement soula
Peut-être ont-ils redouté l'effet désagréable produit par la vue du
sang
épanché. Ils n'é- taient cependant pas ennemis
paume de la main. Au bras, une ligature sera faite pour empêcher le
sang
de refluer par les veines superficielles. Mais,
opératoire, et des palettes ou poilettes pour mesurer' le volume de
sang
extrait. Nous ne voyons pas non plus les lancet
rudimentaire. D'ailleurs son plat à barbe est là pour recueillir le
sang
; il en connaît la capacité, à quelques onces prè
aisément à l'effet, l'ouverture de la veine et le jaillissement du
sang
, mais bien cette manoeuvre préparatoire, assez dé
out des sarcomes par l'aspect des vaisseaux. Comme chez ceux-ci, le
sang
traverse des espaces que dessinent les cellules
osition aucune de parois conjonctives ; comme dans les sarcomes, le
sang
circule au milieu des élé- ments cellulaires, e
line ; sur les coupes, on voit alors une cavité centrale remplie de
sang
, entourée par des cellules déjà compactes, mais
ses à bords déchiquetés, et qui semblent produites par un afflux de
sang
artériel. Elles se produisent aussi sous l'infl
pour le chaud. Toutefois, bien que d'ordinaire l'accumulation du
sang
veineux dans la peau diminue la sensibilité the
plus forle raison les capillaires se sont laissées distendre par le
sang
. Il en est résulté la formation d'un réseau de
le. Cette coloration se fonce naturellement dans tous les cas où le
sang
afflue à la peau (effort, froid, chaud, etc...).
ais d'enfant. Quelques mois après son mariage elle eut une perte de
sang
abondante qu'elle avait considérée comme une fa
; aucune -vascularisation spéciale. La bande d'Esmarch enlevée, le
sang
s'écoula, comme d'une main normale, par les art
ait entendu parler dans les histoires de revenants. Il a horreur du
sang
; du sang des autres, et non du sien. A six ans
u parler dans les histoires de revenants. Il a horreur du sang ; du
sang
des autres, et non du sien. A six ans il est to
fendu la tête sur des rochers et il rentrait chez lui la figure en
sang
, sa mère était très effrayée, lui point, et il
coupé la main, W... ne put lui donner aucun secours ; la vue de ce
sang
lui faisait tourner le coeur. Il ne peut voir a
corps embryonnaires ; les vaisseaux sont très dilatés et gorgés de
sang
. Quelques fibres semblent avoir disparu, celles
e. Il semble cependant d'une façon générale que les épanchements de
sang
vont en dimi- nuant d'abondance de haut en bas
de leur étendue. Dans l'intérieur des vaisseaux sanguins gorgés de
sang
on observe soit dis- séminés soit réunis sous f
ans un des cas d'Hoffmann où il y avait en même temps des sueurs de
sang
et de l'angine de poitrine hystérique, les deux
ley Cooper (Delbet) et enfin on a pu voir un écoulement spontané de
sang
se faire par le mamelon, soit que celui-ci vînt
e remarque Chipault en rapportant le cas indiqué plus haut et où le
sang
était assez abondant pour traverser plusieurs ser
taient pas une contre-indica- tion. « On saignait pour l'excès de
sang
; mais on saignait aussi pour l'in- suffisance.
ation vient d'avoir lieu. Par terre, dans une palette de cuivre, le
sang
tiré fait une tache ruti- lante ; à côté git l'
pâmoison. La saignée a-t-elle été trop copieuse, ou bien la vue du
sang
a-t-elle suffi pour faire perdre ses sens à la
membre inférieur gauche conduisit M. E. Dupré à rechercher dans le
sang
la filaire de Wucherer, Des piqûres furent répé
naevus, ni de taches naeviformes. La piqûre des téguments donne du
sang
. Le système pileux semble un peu plus apparent
hlorose n'est-elle pas le retentissement de l'inanition ferrique du
sang
? Il y a certainement des inanitions thyroïdien
de la main gauche il tient lui-même le bassin destiné à recevoir le
sang
. On voit au- dessus du pli du coude le lien des
u- dessus du pli du coude le lien destiné à interrompre le cours du
sang
, et le gros bâton que l'opéré serre de la main
e temps que par la pression dont il est l'objet, il fait refluer le
sang
des parties profondes vers la veine ouverte (1)
ont un aide tient l'autre bout. Du pli du coude jaillit un filet de
sang
qui tombe dans une écuelle que présente l'aide.
ade (tant pour luy soustenir le bras que pour aider le roulement du
sang
en le contournant et en serrant) doit estre ron
avo- ble ; les barbiers ce jour-là faisaient couler des tonneaux de
sang
. Bien fin qui pourrait trouver les lois de ces
ent par la lancette, aux jours malades on jours de la muni- tion de
sang
. . « Ce n'était pas là une mortification, dit d
en faiblesse ». Il ne faut pas qu'elle soit'effrayée par la vue du
sang
, de même qu'il faut se garder d'en laisser tomb
tes, et même avant la saignée, et si par hazard quelques gouttes de
sang
allaient salir et déranger leur parure, elles n
s que cela m'embarrassât. » Dans une saignée faite avec élégance le
sang
devait jaillir en arcade. Une belle parabole ru
e un seau plein d'eau de puits bien fraîche et faisoient jeter leur
sang
dans cette eau aussitôt qu'il était sorti ; ell
sorti ; elles prétendoient que par l'aven- ture de la sympathie le
sang
qu'il leur restoit en était rafraîchi. » Après
il leur restoit en était rafraîchi. » Après l'opération, l'issue du
sang
était arrêtée par un bandage. Et ce bandage ava
est tétée par l'enfant, plus elle a de lait ; le sem- blable estdu
sang
et de la saignée » , La majorité des documents
eines. Pour Sénèque, vieilli, affaibli par un régime très sobre, le
sang
ne s'é- coulait qu'avec lenteur. Seneca,quoniam
n bras gauche, au lieu d'élection, l'ouverture de la veine, d'où le
sang
jaillit. Un des disciples, Statius Annoeus, sou
us Annoeus, soutient ce bras, et à l'aide d'une ligature empêche le
sang
de refluer par les veines humérales superficielle
qu'on n'imagine un homme affaibli par de longues privations, et le
sang
s'échappe en un jet suffisamment fort. ' Nous
it sur le pied droit une incision à la naissance du gros orteil. Le
sang
coule dans un grand bassin doré. o Signalons en
cin de la Salpètrière; et Raymond PETIT, interne des hôpitaux. DU
SANG
. L'état du sang a déjà été l'objet de plusieurs
ère; et Raymond PETIT, interne des hôpitaux. DU SANG. L'état du
sang
a déjà été l'objet de plusieurs recherches; nou
nombre des globules. Enfin, à la suite des accès, on trouve dans le
sang
un certain nombre de globules rouges, sphériques,
tervention, nous avons échoué à cause de l'état tout particulier du
sang
. Les veines sont assez apparentes au pli du cou
logie, n°' 98, 99, 100. DE L'INTOXICATION DANS l'ÉPILEPSIE. 15 de
sang
suffisant quelles que soient d'ailleurs les dimen
t quoi que l'on fasse l'écoulement est faible ou ne se fait pas. Le
sang
a un aspect particulier, il est noir, épais et
de sérum assez minime comme nous avons pu le voir en recueillant du
sang
à l'aide de ventouses scarifiées. Cette modific
ant du sang à l'aide de ventouses scarifiées. Cette modification du
sang
rap- pelle celle que l'on attribue généralement
Strauss dont le piston est stérilisable. Quand on a une quantité de
sang
suffisante, on retire brusquement l'aiguille et
aiguille ou de la seringue et on laisser tomber quelques gouttes du
sang
recueilli. Cet ensemencement doit être fait sur
e gélose nutritives. I. SOLIv'... Premier examen. Les lamelles de
sang
examinées au microscope, ne laissent voir aucun
e du point d'ensemencement que nous pensons devoir être attribué au
sang
lui-même ou à son albu- mine. Deux tubes d'agar
r ne semblent pas avoir poussé non plus. Trois centimètres cubes de
sang
inoculés dans le péritoine d'un cochon d'Inde e
t les vingt-quatre heures suivantes. 2° Examen. - Les lamelles de
sang
restent négatives tout au moins incertaines à l
que ceux de la gélatine ci-des- sus. 4e Examen. - Les lamelles de
sang
examinées immédiatement restent négatives. Un t
glées, qui prennent le Gram. LEP... Premier examen. Les lamelles de
sang
, examinées immédiatement, restent négatives ou
à la température normale et a guéri. 2e examen. - Les lamelles de
sang
restent négatives. Un tube de bouillon (tempéra
c- cus prenant le Gram, disposés en zooglées. JAcQ... Lamelles de
sang
. En quelques points, il semble y avoir sur ces
n'ont pas poussé non plus. DuaAi3... Premier examen. - Lamelles de
sang
. L'examen de ces lamelles reste négatif. Un t
oscope, on voit de petits coccus en zooglées ou isolés. 2e Examen. (
Sang
pris immédiatement après la mort dans la veine
Un flacon d'Erlenmeyc1' contenant de l'agar est ensemencé avec le
sang
. Trois jours après, il a poussé abondamment en îl
s en zooglées. ARN.... vingt-deux ans, épileptique. Les lamelles de
sang
exa- minées directement, ne laissent voir aucun
ngestion cérébrale ; 2° névrose; 3° lésion rénale; 4° altération du
sang
. Il semble donner la préférence à cette dernièr
e rénal empêche l'élimination d'un produit toxique accumulé dans le
sang
. M. Doléris dans une série de communications fa
s d'isoler un microbe pathogène dans les urines ainsi que dans le
sang
de ces malades. M. h'avre en étudiant le même suj
résultats de leurs expériences et con- cluent à la présence dans le
sang
de staphilocoques aureus et albus surtout, et i
, ce qui explique très bien qu'on ne retrouveras le microbe dans le
sang
d'une façon constante. ' Delore. Congrès de Blo
s qui ne sont pas suffisamment éliminés et qui s'accumulent dans le
sang
pour y déterminer les altérations que nous avon
ons que nous avons signalées ! Si dans quelques cas les cultures de
sang
restent négatives, si les lamelles le sont auss
faut pas s'en étonner. On sait que très rarement l'examen direct du
sang
peut révéler la présence de microorganismes. Il
ganisme ou sécrété par un microbe dont la toxine s'accumule dans le
sang
, ce n'en est pas moins l'action toxique qui ent
s expériences que nous avons en- treprises sur les urines et sur le
sang
de ces malades, nous pa- raissent péremptoires
nouvelles observations confirmatives. P. K. XIII. DE la TENEUR DU
sang
EN hémoglobine ET DE SON POIDS SPÉCIFIQUE CHEZ
lobine. Dans ces conditions, même si les malades sont anémiques, le
sang
reste dans les conditions normales ou présente
eulement sans provoquer de la douleur, mais même sans écoulement de
sang
. De ce même côlé le froid n'est plus senti et l
e et cherchant à faire prendre l'hémorragie post-puerpérale pour le
sang
de ses règles. Nous observerons enfin que rien
ladie. (American journal ofinsanity, janvier 1895.) E. B. XXXIV. LE
sang
CHEZ LES aliénés; par le Dr BURTON. De l'examen
XXXIV. LE sang CHEZ LES aliénés; par le Dr BURTON. De l'examen du
sang
au microscope, dans diverses formes men- tales,
e, la pie- mère présente un aspect louche, les sinus sont gorgés de
sang
, la substance cérébrale est dissociée et fortem
ares. Ce qu'on observe plutôt c'est une gêne dans la circulation du
sang
et pas autre chose. Il reproche à M. Roubino- v
voisinage des vaisseaux qui sont dilatés et remplis de beaucoup de
sang
. Les parois des vaisseaux sont de même infiltré
s se débiter que par voie veineuse en pénétrant directement dans le
sang
. Je supposais, en outre, que le produit de la t
les vaisseaux sanguins de distribution. Les veines sont gorgées de
sang
. Les lymphatiques, avec leur endothélium festonné
requête à l'Empereur pour lui demander qu'on cesse de répandre le
sang
des ensorcelés et des possédés ; il défend la mêm
specte les fonc- tions du coeur et les propriétés physiologiques du
sang
; son pouvoir toxique est faible. Après ingest
artères se trouve être tel que des voies multiples sont offertes au
sang
arrivant par l'artère; la résistance au passage
offertes au sang arrivant par l'artère; la résistance au passage du
sang
par ces différentes voies varie selon le degré
degré de contraction ou de béance des vaisseaux; la distribution du
sang
dans les différentes parties de l'organe subit
ale existe et reconnaît pour causes l'abaissement de la pression du
sang
et la dilatation des artères dans tout le systè
ue de la démence paralytique : 1° les éléments nerveux reçoivent du
sang
un apport insuffisant de matériaux nutritifs :
coupée le doigt en mangeant une pomme; elle demande aussitôt si le
sang
coulerait b en fort en se faisant au cou la mêm
elon foute probabilité, les substances toxiques qui empoisonnent le
sang
et le système nerveux, agissent de préférence sur
urte et l'issue fatale; bactériologiquement par la présence dans le
sang
et les centres nerveux d'un bacille particulier
vraiment reconnaissable qu'au moyen de l'examen bactériologique du
sang
. Dans les autres formes de délire aigu et de ma
rapport biologiqne entre la forme clinique et leur présence dans le
sang
, en ce sens qu'ils disparaissent ou diminuent b
Iticci, 170. Ruban de HEIL, Anatomie du -, par Iloesel, 385.
Sang
chez les aliénés, par Vorster, 43 ; par Burton,
qu’il procure est non moins intense quoique beaucoup plus fugace. Le
sang
rouge devient également noir sous son influence,
uses étaient tellement enflammées que les yeux paraissaient pleins de
sang
; la mère me déclara que cet état durait depuis pl
même temps, le cadavre parut trembler d’un mouvement convulsif, et un
sang
frais et vermeil coula de sa blessure. Le jeune
che brilla dans l’air, et retomba aussitôt avec bruit. Un ruisseau de
sang
jaillit sur l’estrade, et se confondit avec celui
r le pavé rougi, roula jusqu’aux pieds de Charles, qu’elle teignit de
sang
. Jusqu’à ce moment la surprise l’avait rendu mu
ntôme lui répondit lentement et d’un ton solennel : « Charles roi! ce
sang
ne coulera pas sous ton règne.... (ici, la voix d
moins distincte) mais cinq régnes après. Malheur, malheur, malheur au
sang
de Wasa ! » Alors les formes des nombreux perso
ron dix minutes. Les draperies noires, la tête coupée, les flots de
sang
qui teignaient le plancher, tout avait disparu av
J’étais malade depuis huit mois. Les médecins me tiraient beaucoup de
sang
et ne me donnaient pas de santé. (On rit.) Je con
fusé : les principes de la conservation des êtres. Soyez bénis, votre
sang
comme celui d’autres martyrs nous a affranchis d’
et les devoirs de- tout homme qui veut être son ministre. Assez de
sang
, assez de meurtres, plus de poisons. La médecine
d’entreprendre une opération majeure, entraînant une grande perle de
sang
, sur une personne élhérisée, avant d’avoir obtenu
au teint foncé le plus animé. D’un tempérament lymphatique, ayant le
sang
épais et lourd, tout m’annonce un désordre organi
douleurs du ventre ramènent les règles plus abondantes que jamais. Le
sang
et les humeurs mis en mouvement déterminent des e
près deux autres séances; les oreilles ont rendu de l’eau mélangée de
sang
et de matières... Homme de 55 ans, douleurs atr
maladie, et de chercher les moyens de la combattre, elle s’écria : Du
sang
, du sang, je vois du sang...— Quoi, lui dis-je, m
et de chercher les moyens de la combattre, elle s’écria : Du sang, du
sang
, je vois du sang...— Quoi, lui dis-je, madame, es
s moyens de la combattre, elle s’écria : Du sang, du sang, je vois du
sang
...— Quoi, lui dis-je, madame, est-ce (pie vous se
vois, réveillez-moi, j ai peur. — Je voulus la calmer, mais la vue du
sang
lui revenant avec plus de force, je l’éveillai, e
ait trait à sa prévision, elle me dit d’elle-même : Je vois encore du
sang
. Apercevez-vous cet assassin revêtu d'un manteau
Jl doit frapper sur.......homme que nous aimons tous. Voyez-vous le
sang
couler de sa poitrine, il est frappé a mort. — C’
, on apercevait au fond de son regard une arrière-pensée de prince du
sang
. Il se livrait à tous les accidents d’une révolut
la circonstance indiquait, en se fiant, du reste, à l’avenir et à son
sang
, était toute sa politique. Machiavel ne l’eût pas
igue pour abattre l’homme tant redouté; voici venir avec eux le vieux
sang
des siècles qui reprend place et lieu en la grand
fouet sanguinolent du Seigneur revient en la grande Ville et le vieux
sang
quitte la grande Ville. Dieu seul est grand, il a
itte la grande Ville. Dieu seul est grand, il aime son peuple et a le
sang
en haine, (1) Le Pape. — (*) Paris. — (3) Lite
e guerre : c’est fait de l’homme de mer. Voici encorevenir le vieux
sang
(1^ de la Cap.Dieu veut la paix et que son saint n
chemine dans l’ombre par vue de compagnie maudite, et le pauvre vieux
sang
de la Cap quitte la grande Ville et moult gaudiss
e est purgée par le feu, le grand ruisseau a conduit toutes rouges de
sang
ses eaux à la mer, et la Gaule vue comme délabrée
à la fleur blanche, venez. Ce qui est prévu, Dieu le veut : Le vieux
sang
des siècles terminera encore de longues divisions
s sont faits, les saints vont souffrir. L’homme du mal arrive de deux
sangs
, prend naissance. La fleur blanche s’obscurcit pe
èche, et les vomissements, qui furent quelquefois marqués de fdets de
sang
, allèrent jusqu’au nombre de quatorze dans la jou
desquels, en occasionnant la contraction des ventricules, fait que le
sang
est refoulé dans le système, tandis que le second
tème, tandis que le second, qui en opère l’expansion, fait revenir le
sang
vers le cœur. Le cerveau, composé d’une substance
ait une aussi à certaine époque de dire que la terre tournait, que le
sang
circulait, qu’il tombait des aérolithes. Réjoui
des bronches est enflammée; en d'autres termes, elle est injectée de
sang
, ses fonctions sont troublées, la sé-crétiondu mu
tout mon corps est en feu, ma soif est ardente : je me fais tirer du
sang
en quantité proportionnée aux nombreuses considér
ons acides, et je suis mieux. La doctrine homœopalhique reprochera ce
sang
versé, mais, pour preuve qu'il fallait en perdre,
ble, il se fait des hémorrhagies, presque toujours nasales, pertes de
sang
qui jugent la maladie. Le médecin qui est attenti
urce d’où se sont écoulées les erreurs qui firent couler des flots de
sang
humain. Nous arriverons ainsi aux hallucinations
paraître dans un instant sur son bandeau, en gros caractères comme de
sang
, ces mots : Jésus, Marie, Joseph. » On lit enco
ns douloureuses s accrurent à tel point qu’elles me firent cracher le
sang
et me mirent dans un état des plus alarmants. A
se mourait, et il mourut, quoiqu’on ne lui eût pas tiré une goutte de
sang
. Tel est l’effet de l’imagination sur le corps.
ues de la respiration. D’après celte théorie, le fluide formé dans le
sang
par la combinaison de l’oxj'gène de l’air avec le
Où est votre mal? — A l’estomac. — Qu’y a-Hl à l’estomac? — Du
sang
extravasé. — Qui a causé cet épanchement? — U
a causé cet épanchement? — Un coup de pied que j’y ai reçu. — Ce
sang
partira-t-il? — Oui; si vous continuez de me ma
agnétisation; rien de nouveau. « Le iG, jourindiqué par elle, où le
sang
répandu depuis si longtemps dans l’estomac devait
ac devait enfin être évacué, je lui demandai, endormie : — Quand ce
sang
sortira-t-il? — Aujourd’hui. — A quelle heure
un quart d’heure, et furent suivies de selles contenant un morceau de
sang
coagulé, du poids de 5 à 6 onces, noir comme du c
s et l’interrogeai de nouveau. — Qu’y a-t-il à la place où était le
sang
? — C’est tout ulcéré, et me fait mal. — Quel
autre méthode; qu’elle avait cinq maladies réunies : l’épilepsie, le
sang
au sein , un dépôt à l’estomac, une rétention d’u
pénétrait dans mon cachot ; j’ai adressé des plaintes signées de mon
sang
, au roi Guillaume, une pétition aux États-générau
e les voir et de les considérer; puissent les hommes conserver leur
sang
froid et ne point mêler à leurs récits les produi
; plus de trente ans aux médecins pour reconnaître la circulation du
sang
qu’une seule expérience suffisait à démontrer. Ce
lement du péritoine sans « déchirure. La rate ne fournit pas assez de
sang
à « l’estomac pour la digestion, ni au foie pour
incipe. Les saignées locales qui ont été « pratiquées ont appauvri le
sang
et sont cause de l’af-« fection chronique de la r
aladies comme « dans bien d’autres, les saignées sont nuisibles. Le «
sang
ne pèche jamais par sa quantité, mais bien par
de trouver des moyens pour rétablir « les qualités et l’équilibre du
sang
, de reconnaître « quelle est la nature de la mati
a; d’ailleurs l’inflammation consiste dans un « défaut d’équilibre du
sang
, et les saignées, quoique « locales, agissent non
ablir la transpiration, et la malade au-« rait guéri. Aujourd’hui, le
sang
a perdu sa vigueur, « le foie s’est affaibli ains
résulte encore une pauvreté dans le chyle et par « conséquent dans le
sang
. Il s’agit donc de fortifier le « foie et la rate
à balancer; j’ouvris la veine et laissai couler deux cents grammes de
sang
. Le lendemain elle s’ordonna encore une saignée
ement, point de crayon pour le retracer quand les quelques gouttes de
sang
qui tachaient ses draps lui révélèrent que tout é
je n ose le croire, que tu eus peur à son approche, qu’il te glaça le
sang
; ordinairement pourtant il échauffe la bile. C’e
répercussion de transpira-« tion. La rate ne fournissant pas assez de
sang
à l’es-« tomac pour la digestion ni au foie pour
c’est que le patient attendit qu’elle fût contractée pour rejeter le
sang
hors de sa bouche. Le magnétisme est une chose
aité de visionnaire le célèbre Harvey, qui enseignait la cir-ation du
sang
? N’a-t-on pas persécuté Christophe Colomb qui déc
s empêcherons par nos travaux l’exploitation de l’homme malade. Et ce
sang
humain inutilement versé, ce sang dont on pourrai
ploitation de l’homme malade. Et ce sang humain inutilement versé, ce
sang
dont on pourrait faire un grand lac chaque année,
umaines. Car, vous le savez, Messieurs, notre terre fut rougie par le
sang
humain. Les hommes se ruèrent sur leurs frères, l
us lui ouvrez la veine, et la soustraction d'une certaine quantité do
sang
est suivie d’une amélioration très-sensible. En c
le. Il a la ferme croyance qu’on doit le saigner. Je lui fais ôter du
sang
, mais seulement en quantité minime, soixante à qu
squ’alors glacées et lui fit dire: « Oh ! tenez, je sens courir » mon
sang
dans mes jambes ; » le ‘22, elle s’écriait en cou
n degré donné d’îvresse, on pourrait certainement les piquer jusqu’au
sang
sans qu’ils en eussent con- science. On n’a moi
est pas le Pérou!... » Les corps savants, etc. On leur dit : « Le
sang
circule! » Harvey n’était que trop franc; Il
tait que trop franc; Il fut trouvé ridicule, Et se lit du mauvais
sang
.... Les corps 3;rvants, etc. Un jour, d’la va
e troisième degré ; 2° Trois contusions graves, avec épanchement de
sang
, dont le magnétisme active prodigieusement la rés
utorise et leurs plaintes seraient vaines. Quand nous demandons votre
sang
, votre or, c’est à vous d’obéir et de courber la
rnières convulsions du gladiateur expirant, il contemple avidement ce
sang
humain qui rougit l’arène, et, presque aussitôt,
pas parlé. On voit là des hommes tout criblés de coups et couverts de
sang
, et lorsque ces malheureux s’arrêtent un moment p
fanes, quand les Césars et le peuple romain, échauffés par l’odeur du
sang
et le contact de la foule et les rayons du soleil
e fut intéressée, lin instant le chirurgien eut l’espoir d’arrêter lo
sang
en faisant respirer la malade de manière à dilate
rsqu’on « l’enfonçait dans l’uno ou l’autre desdites marques, « et le
sang
ne sortait point des piqûres quand on en « relira
rcher à la calmer. Je dégage seulement la tète où tend à se porter le
sang
. La crise a lieu dans l’épi— gastrc. 28 mai. —
ctée par les urines, qui contien-« dront en outre une forte partie de
sang
. » 20 juillet. — Accomplissement de ces prévisi
Do vives contrariétés viennent assaillir la malade et font porter le
sang
au cerveau. Pour arrêter cet effet, elle se recom
ir d’une vive contrariété qu’éprouve la malade a fait refluer tout le
sang
au cœur. Elle étouffe ; des crachements de sang s
fait refluer tout le sang au cœur. Elle étouffe ; des crachements de
sang
surviennent; la figure est pourpre; la fièvre se
u’à l'âge de 12 ans; elles disparurent, «et avec elles ma santé... Le
sang
me gêna... c’est n alors qu’un animal de médecin
l de médecin me lit des saignées réi-« térées. Il appauvrit encore un
sang
déjà pauvre ; «je tombai dans un état de langueur
ôme bêle qui me soigna... Le poumon « gauche était ulcéré, engorgé de
sang
... j’éprou-« vais de violentes palpitations de cœ
crevé intérieurement ; car les dernières selles contenaient un peu de
sang
. » Endormie, elle me donna l’assurance du fait.
physiques et vous n’êtes plus qu’un esprit. On vous pique jusqu’au
sang
, vous n’éprouvez aucune douleur; on vous demande
smérienne et hahnemanienne. M. Burnet relate la guérison d’un coup de
sang
par une magnétisation d’un quart d’heure, sur la
suite de ceux qui ont nié le mouvement de la terre, la circulation du
sang
, et mille autres vérités aussi palpables. Mais
près, son service, le trouva gisant sur la voie publique, perdant son
sang
avec abondance, et saisi par le froid au point de
nt à pénétrer ses secrets par des moyens violents, qui répandaient le
sang
humain. L’épreuve a-t-elle été assez complète, fa
Clairvoyance. 23, 43, 145 Confessions d'un magnétiseur. 28 Coup de
sang
guéri. 265 Défense Idéologique du magnétisme pa
sionnaires s'avisent de croire qu'ils sont destinés à laver dans le
sang
la tache originelle du péché, car on en a vu plu-
lle de subir le même sort que par ce que l'on appelle le baptême du
sang
ou le martyre. Il essaie d'abord de commettre u
é; que sa mission spéciale est de sauver le monde par le baptême du
sang
et que tous les potentats réunis de la terre ne
ssitôt dans la rue, portant encore dans sa main l'épée fumante du
sang
de son frère; puis, d'une voix effrayante : « La
oronaires de se remplir plus facilement. La tension moins grande du
sang
dans les artères excite moins les nerfs du coeu
auteur est de cet avis qu'il faut donner à un coeur ainsi malade un
sang
contenant beaucoup d'hémoglobine pour produire
mbe bientôt atteint à la joue gauche par un verre cassé, perdant le
sang
. Les consommateurs s'affolent, appellent les ga
ion, peut être, dans une certaine mesure attribuée à cette perte de
sang
. Relevons la disparition de l'aura psychique, l
coup de feu dans la maison. Il y courut et vit sa mère couverte de
sang
qui tomba comme une masse. « Elle en tient ! »
e progressive n'est pas seulement en rapport avec un épanchement de
sang
abondant, mais encore que la localisation de l'
sains, ces derniers phénomènes en rapport avec la pénétration du
sang
dans le ventricule. Les trois observations nouv
ion du corps calleux, il s'écoule de l'intérieur des ventricules un
sang
noir comme de la pulpe de rate, très abondant.
ntricules un sang noir comme de la pulpe de rate, très abondant. Le
sang
s'écoule du ventricule latéral de l'hémisphère
sula. Les parois ventriculaires sont ramollies et dilacérées par le
sang
. - . Les coupes verticales, suivant le procédé
hirure, parfois considérable, s'échappe un caillot volumineux et du
sang
noirâtre. Si l'on fait, avant que la déchirure
ent déprimer et l'on voyait s'échapper au niveau de la déchirure du
sang
coagulé et liquide. Dans l'observation II, il e
à la surface. 212 PATHOLOGIE NERVEUSE. On peut encore trouver du
sang
dans la scissure de Syl- vius, dans l'espace in
ce interpédonculaire, mais du côté opposé à la lésion. En effet, le
sang
venant des ventricules latéraux, passe à traver
de vacuité, tantôt remplis par une quantité plus ou moins grande de
sang
noirâtre partiellement coagulé. Broadbent fait
âtre partiellement coagulé. Broadbent fait remarquer que lorsque le
sang
a envahi les ventricules latéraux, la corne des
s latéraux, la corne descendante du côté lésé est toujours vide, le
sang
ne pou- vant y pénétrer par suite de la pressio
dant on a observé que cette corne pouvait aussi être envahie par le
sang
(obs. III et obs. IV de Gull). Lorsqu'on fait
r le sang (obs. III et obs. IV de Gull). Lorsqu'on fait sortir le
sang
des ventricules, la surface du cerveau s'affais
ait les expliquer par ce fait que jusqu'au moment où la quantité de
sang
devient très considérable, il n'y a en réalité
l'hémorragie. La pression exercée sur la substance cérébrale par le
sang
extravasé est empêchée par la proximité de la s
ui faisait saillie du toit de la cavité produite par l'irruption du
sang
. Rien de particulier dans le reste du cerveau.
e du sac sans rupture brusque. Au début, une lente extravasation de
sang
pourrait se faire entre les fibres de la substa
ac anévrysmatique et à son ouverture par usure avec passage lent du
sang
dans la substance cérébrale au voi- sinage d'un
r source dans l'atrophie des rameaux : \ : artériels qui portent le
sang
dans l'extrémité céphalique de l'embryon, d'aut
liotis (Démétrius). Les troubles visuels graves après les pertes de
sang
. Margoliès (11°l Hebecca), née Iiaménetzky. Tro
voleur; il l'a injurié maintes fois. Un jour, il a vu une espèce de
sang
; d'un homme, on voulait en faire deux ; son fi
omme anémique ; elle a longtemps avalé du fer, du jus de viande, du
sang
, tout ce qui, dans son milieu, passe pour accro
Les recherches bactériologiques dans notre cas ont porté- sur le
sang
pendant la vie et sur le système nerveux après la
dant la vie et sur le système nerveux après la mort. a) Examen du
sang
pendant la vie a été absolument négatif. Le san
rt. a) Examen du sang pendant la vie a été absolument négatif. Le
sang
avait été recueilli, la veille de la mort, dans u
un gaillard d'une taille peu commune, la prit, toute dégouttante de
sang
et souillée de boue, à demi nue, l'enleva et la
peler les forces « chez les malades affaiblies, émaciées et dont le
sang
était devenu trop fluide ». Le repos au lit dev
XVII, 1898.) Dans la neurasthénie grave on constate parfois que le
sang
, 484 F REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. quoique
himiquement et physiologiquement normal, met autant de temps que le
sang
défibriné à déposer et forme alors un plus gros
ligoplasmie par pauvreté de substances fibrinogènes. En réalité, le
sang
récem- ment tiré de la veine est très dillicile
Inversement chez une hystérique atteinte de mutisme et robuste, le
sang
con- tenait deux fois plusde fibrine qu'à l'éta
i M. Biernacki a étudié méthodiquement la rapidité avec laquelle le
sang
dépose spontanément en deux couches : celle du
nt en deux couches : celle du plasma et celle du sédiment rouge (du
sang
non coagulé), dans le sang défibriné. Il en exp
du plasma et celle du sédiment rouge (du sang non coagulé), dans le
sang
défibriné. Il en expose les allures normales et m
es fibrinogènes, leur t) ans-formation cl leur régénération dans le
sang
mort sont, comme le rapport de la quantité de fib
sont les substances fibrinogènes ? Ce sont des corps qui donnent au
sang
les propriétés du tissu vivant, régularisent sa
ères albuminoïdes en voie d'oxydation. Si donc le dépôt spontané du
sang
indique des anomalies dans le quan- tum des sub
es d'oxydation. Chez certains neurasthéniques la coloration vive du
sang
vei- neux, rapprochée du nombre normal des héma
, de la teneur normale en eau et en hémoglobine et de la couleur du
sang
non coagulé presque semblable à celle du sang a
e et de la couleur du sang non coagulé presque semblable à celle du
sang
artériel défibriné, indique qu'il y a excès d'o
ont des ano- malies de toute nature quant à l'oxygène libre dans le
sang
, quant à l'hypercoagulabilité du sang, quant à
ant à l'oxygène libre dans le sang, quant à l'hypercoagulabilité du
sang
, quant à la rapidité ou à la lenteur de la sédi
tatives d'empoisonnement de la part d'une servante. Vomissements de
sang
, affaiblissement néces- sitant l'alitement pend
mmençante qui, se greffant sur un mauvais état général, a altéré le
sang
, en a aug- menté la coagulabilité. et provoqué
du côté gauche du crâne. Il demeure sans con- naissance, et perd du
sang
par le nez, la bouche, l'oreille. Trois quarts
laisanter; connaissance indemne. Rien au fond de luit, rien dans le
sang
. Intégrité de la rate et des viscères. Le 2 jui
vent du plai- sir à la vue de la souffrance ; aiment voir couler le
sang
; sont en général durs pour eux-mêmes bien qu'il
oeuvres d'ablation, il s'écoule 330 gr. de liquide mole d'un peu de
sang
. L'encé- pyrale et la dure-mère presque entière
re-grand-père paternel mort à quatre-vingt- quatre ans d'un coup de
sang
. - Arrière-grand'mère mater- nelle, morte à soi
rnelle migraineuse. - Arrière grand-père paternel mort d'un coup de
sang
. Arrière-grands'mères paternelles mortes l'une
dans ces derniers temps. - Grand-père paternel, mort d'un coup de
sang
à l'âge de 82 ans, sobre. - Grand'mère paternelle
nte du service s'est aperçue qu'elle présentait quelques gouttes de
sang
au niveau de la vulve, dont l'ori- gine paraiss
ien de particulier. - Coeur 1250 gr.) en systole; dans les cavités,
sang
liquide et caillots noirs, Imbibition des valvu
s veines du front deviennent turgescentes : les yeux s'injectent de
sang
; ils tournent à droite et à gauche, en même te
de ouverte, le pouls est très faible, l'oeil gauche tout injecté de
sang
. - Le matin : T. R. 36°, 4. Mort à deux heures
scu- larisé, d'aspect violet foncé, laissant échapper beaucoup de
sang
à la coupe. La vésicule biliaire est très dilatée
eignements sur l'action de l'ingestion de la glande thyroïde sur le
sang
. M. L. Gutaov. Les injections sous-cutanées d'e
est là un point iL éclaircir (1). Relativement aux modifications du
sang
, nous avons eu la bonne fortune d'obtenir de n
pérée chez elles par la médication thyroïdienne. XII. Examen du
sang
de sujets myxoedémateux ; Par M. II. VAQUEZ (1)
Bourneville a bien voulu s'en remettre à nous du soin d'examiner le
sang
de sujets myxoedéma- teux et de noter les modif
lle que l'on voit d'ordinaire dans les processus de rénovation du
sang
. Cela est en rapport avec l'accroissement du no
ant à la numération sur des chiffres impor- Fig. : : 0. Examen du
sang
. 181 tants de leucocytes (300 à 400), comme l'a
on de la divergence des auteurs, relati- vement à la composition du
sang
chez les myxoedé- mateux. Tout d'abord il est
ar Mendel, Lichtenstcin, Schotten, Masoin et nous-même. L'examen du
sang
de 13... donne un résultat conforme à ce qui a
bine, par million de globules rouges, passa de 27 . ye. Examen du
sang
183 à 38 ? g ? dans le deuxième de 32 p. g. à 3
globine soit diminué, d'une manière absolue et rela- tive, dans le
sang
des m5-xcedémateux et qu'un des premiers effets
ntation de volume constatée ne peut pas tenir à la concentration du
sang
, car elle diminue lorsque le chiffre des globul
résent, parmi les altérations cons- tatées par les auteurs, dans le
sang
des myxoedéma- teux. Nous avons, d'autre part
ttiré l'attention sur la présence de globules rouges noyaux dans le
sang
de ces malades. Nous l'avions signalée dans le
ore dans la première de nos ob- servations. Avant le traitement, le
sang
de 13... conte- nait, en très petit nombre il e
sait, ne se retrouvent jamais, ou pour ainsi dire jamais dans le
sang
, après la naissance. En dehors de l'anémie ex-
s a été impossible de retrouver des globules rouges nucléés dans le
sang
de nos malades. Quant aux variations des globul
- philes ne nous a pas paru présenter de modifications, Examen du
sang
. 185 si ce n'est chez un myxoedémateux adulte o
quez. Je ne saurais dire si la présence de globules nucléés dans le
sang
des m5-xcedématem est véritablement constante.
en bonne santé (37 ans), sobre. (2) Elle a perdu non seulement du
sang
liquide mais de gros caillots et son médecin au
une admirable contagion, la même fièvre d’enthousiasme allumait notre
sang
qui battait à l’unisson dans nos artères. J’aurai
parler. Beaucoup de vivants portent avec eux dans leurs os, dans leur
sang
, la cause inévitable d’une mort prématurée, et si
ugmenter les contractions du cœur, et, par suite, amener un afflux de
sang
plus considérable vers le cerveau qui est déjà
s du cœur auront pour effet nécessaire, fatal, d’envoyer un afflux de
sang
au cerveau déjà surchargé, et l’on aggravera forc
s veineux fournissent un écoulement suffisant, ont laissé épancher le
sang
qui n’appartient plus au torrent circulatoire, et
lexie cérébrale ! Le cœur qui ne bat plus n’envoie plus au cerveau le
sang
dont le cours régulier entretient sa fonction com
ion point d’innervation. Il est évident que l’envoi trop énergique du
sang
aux artérioles cérébrales encore ouvertes ou disp
érioles cérébrales encore ouvertes ou disposées à laisser échapper le
sang
, augmenterait le danger. Mais ileét certain, d’au
de réveiller les mouvements du cœur saus les exagérer. D’ailleurs, ce
sang
épanché, qui constitue l’accident premier patholo
une pompe à soufflet aspirante et foulante) aidera à la résorption du
sang
extravasé. « Autre raison qui milite encore en
nous soutenons ici ; le relâchement des artérioles, qui permet au
sang
de s’extravaser, exige l’action nerveuse du cerve
ons sur le cœur et des passes descendantes énergiques pour attirer le
sang
aux extrémités. « Quant à la divergence d’opini
magnétiser avec une volonté âpre le cerveau pour y attirer le peu de
sang
qui reste au sujet, afin que l’action réparatrice
accident physique, traumatique, électrique ou thermique ; lorsque le
sang
abondant chez le sujet s’est retiré des extrémité
raction artérielle qui empêche la circulation capillaire et arrête le
sang
dans les gros vaisseaux trop distendus. Cela est
de leurs vastes connaissances. Bientôt on n’introduira plus dans le
sang
de l’innocent un poison funeste pour détruire un
a sagesse divine apparaît. La vérité nouvelle ne fera point couler de
sang
humain : elle s’établira doucement, tranquillemen
plupart à nous et à la vérité. Malheur à ceux qui ont fait couler le
sang
humain, se disant apôtres de vérité ! Dieu a rend
d’abondance dans des vaisseaux, ce qui en a produit la rupture, et le
sang
s’est porté avec abondance dans l’estomac , de là
dans l’estomac , de là des vomisse-nientsdivers, particulièrement do
sang
; ils’est dirigé dans les voies basses. Je crois
il fallait que le cheval mourût. A la vérité , c’était une maladie du
sang
produite par une espèce d’engorgement, d'inflamma
le moindre sourcillement. C’était à ce point d’insensibilité que le
sang
, emplissant la bouche s’en étant allé sur la glot
t cessa ! La gorge étant, comme le reste du corps, insensible, le
sang
avait pu se glisser dans le larynx et obstruer la
obstruer la voie de l’air; d'une passe , la sensibilité revint, et le
sang
fut chassé (1). Peut-on faive cesser ainsi l'ac
ussitôt un cri de terreur, croyant la voir sur la table et sentir son
sang
couler. En passant la main devant la tète d’une p
eurs mains et leurs pieds percés comme ceux du Christ, et desquels le
sang
ne cessait de couler. Le jansénisme, pendant sa c
a distension prodigieuse des muscles, souffrance atroce, effusion de
sang
: un individu dans cet état est certainement inca
qui persistait vers la pointe supérieure de l’omoplate, ainsi que du
sang
extravasé des ecchymoses vers l’articulation de l
vait en être ainsi. Les Espagnols, pour la plupart, portent en eux le
sang
de cette race arabe si célèbre par sa tendance à
imple, facile, exempt de tous médicaments, rétablit la circulation du
sang
et des humeurs, porta le calme dans le système ne
e redoute notre savant secrétaire et ami, M. le docteur Louyet, et le
sang
reprend plus promptement sa circulation normale.
a température très-humide que nous subissons depuis longtemps, et mon
sang
, qui est très-épais et qui ne circule pas facilem
s par la magnétisation « qu’elle active ou ralentit la circulation du
sang
. » Quelques doutes ayant été émis sur l'exactitud
nons l’état d’insensibilité , et tant que cet état dure, persiste, le
sang
ne jaillit jamais des piqûres faites au patient ;
e cas, il y a ralentissement de circulation, au moins de la partie du
sang
qui parcourt les vaisseaux capillaires, et que, p
onc également : La magnétisation active et ralentit la circulation du
sang
. S......ce 20 avril 1857. GUIBERT DE CLELLES.
vez vous souvenir qu’elle vous l’assurait de son vivant), bien que le
sang
vous tourmente parfois, vous ne mourrez pas de ce
tion de a l’espèce humaine, faible par la liquidité extraordinaire du
sang
, est a préférable à l’autre. Elle donne d«très-gr
olles substances de l’organisme, se nourrit de la partie cruorique du
sang
; tandis que l'albu-mi.ic de ce liquide sécrète q
ccumulation du liuidc nerveux; accumulation aussi réelle que celle du
sang
au parenchyme des tissus enflammés, quoique non v
que le pain et le vin de la « messe ont été déclarés son corps et son
sang
. u Rappelons-nous qu'à l’époque même où un Egyp
savoureux, et très-rcchercliés dans l'iode. « il frottait de .«on
sang
le morceau de bois. A chaque fois « qu’il sc rele
celui-ci cesserait d’exister; cependant tu continues à respirer; ton
sang
circule toujours; ton pouls se fait sentir, toute
ragile dans l’homme, à cette partie de lui que travaille la fièvre du
sang
, la fièvre de la pensée. La tradition populaire n
ragile dans l’homme, à cette partie de lui que travaille la fièvre du
sang
, la fièvre de la pensée, et il conclut que ce son
e. Et d’ailleurs qu’est-ce que cette assimilation de la fièvre du
sang
à celle de la pensée? Qu’y a-t-il de commun entre
selon que la malade vous conseillera ; moi pourtant qui ai horreur du
sang
humain ainsi versé , j’eusse été représenté comme
nt l’oreille aux nouvelles découvertes , telles que la circulation du
sang
et la chylification, et il eut assez de crédit po
qui sont la honte de l’humanité, et qui ont fait couler des flots de
sang
innocent. M. de Résie juge avec sagacité ,les pro
je les rends à peu près comme je les ai pris. Je rendais beaucoup de
sang
autrefois, aujourd’hui il est plus rare, mais il
rès-forte diarrhée et de vomissements violents, glaireux et striés de
sang
; en môme temps, les extrémités devinrent glacées
illement est l’arrêt de la circulation du fluide, et ne dérive pas du
sang
; la voix s’éteint par contraction spasmodique du
ux heures. Son ventre était gros, mais elle dit avoir perdu plus de
sang
que d'eau. A la naissance pas d'asphyxie, pas de
croscopiques chez l'homme, conclue à une altération particulière du
sang
con- sécutive à l'altération ou suppression des
s capsules surrénales. C'est ainsi que dans la maladie d'Addison le
sang
se caille difficilement et l'es globules ne se
iv f. Psychiat., XXVI, 2.) La syphilis peut agir directement sur le
sang
, les parois vascu- laires (artério-sclérose), l
tive et vaso-tonique d'un produit spécial de la glande et dérivé du
sang
. A. MARIE. XII. Sur la nécessité DE pourvoir d'
manières, soit par un trouble vaso-moteur, soit par l'irrigation de
sang
vicié, soit par une lésion, une modification lé
de céphalo-rachidien dont on connaît les connexions intimes avec lè
sang
. Il est donc impossible à l'auteur d'adopter l'
port entre la réaction de l'écorce et l'excita- tion et l'apport du
sang
, montre qu'il y a parallélisme dans les cas de
u thé et de l'opium. Les allé- rations de la composition normale du
sang
auraient pour consé- quence première une modifi
ue la névrite multiple est provo- quée par une auto-intoxication du
sang
et par un dérangement particulier de la nutriti
'1 92 THÉRAPEUTIQUE. riences faites sur la toxicité des tissus, du
sang
et de l'urine, par Gley, Lamori, Masoîn, Ragowi
ns voulues ; cet extrait se présente avec la belle couleur rubis du
sang
frais, ce qui écarte toute idée d'altération.
auteur, la cause déterminante du myxoedème, en s'accumulant dans le
sang
. Le véritable produit de la glande serait un fe
che d'ail- leurs ni de mordre, ni de pincer son infirmière jusqu'au
sang
, ni de lui donner des coups de pied. Elle sait
il serait intéressant d'examiner au point de vue bactériologique le
sang
extravasé que l'on rencontre dans les cas récen
énérale. La perte consécutive de conscience due soit à, la perte de
sang
soit à la compression exercée par le sang épanché
e due soit à, la perte de sang soit à la compression exercée par le
sang
épanché, est suivie ou non d'un retour passager
de nutrition des tissus, ou, en d'autres termes, des caractères du
sang
et de l'état des vaisseaux qui le distribuent.
bien des causes, mais la plus importante parait être la toxicité du
sang
ZD (alcool, syphilis, ptomaïnes ou autres agent
elle qu'un agent chimique contenu dans les ventricules ou dans le
sang
. L'irritation constante de l'épithélium détermine
ut encore se demander si la circulation des agents toxiques dans le
sang
est capable de produire l'épilepsie vraie, comm
s terminales ; le noyau de l'oculo-moteur commun ne reçoit donc son
sang
que de ces vaisseaux. Voilà trois conditions dé
Welischaïnow. Il en résulte que pendant les accès d'épilepsie, le
sang
artériel afflue en quantité prodigieuse au cervea
sidérable, incisée, elle donne issue à environ 400 à 500 grammes de
sang
cailleboté. Le lavage de la cavité laisse voir
isante. Les artères aorte et pulmo- naire sont dilatées, gorgées de
sang
liquide, parsemées de plaques atl1éromaleuses.-
incisée donne issue à environ 00 grammes 260 CLINIQUE MENTALE. de
sang
rouge provenant des artères carotides et vertébra
arotides et vertébrales béantes et dures. Les sinus sont remplis de
sang
: le système veineux'péri- phérique est vide. -
rrigation du membre supérieur gauche on a retiré une gouttelette de
sang
à l'aide d'une piqûre sur la face dorsale des d
les rapports des globules blancs aux rouges était de 1 : 2 200. Le
sang
du membre gauche, malade contenait 95 p. 100 d'
pu trouver, de même que dans les veines, aucun obstacle au cours du
sang
. Le panicule adipeux sous-cutané a presque comp
ns favorables au développement t de l'oedème, car la circulation du
sang
dans les veines est due non seulement à l'actio
oracique, mais aussi à la contraction des muscles qui chas- sent le
sang
des veines pourvues de valvules dans une seule
aussi une diminution de la vis a lergo des artères qui chassent le
sang
dans les veines. La stase primitive retentit di
bleu noirâtre des téguments, elle s'explique par la même stase de
sang
veineux dont les capillaires sont gorgés, par l'a
g veineux dont les capillaires sont gorgés, par l'apport moindre de
sang
artériel. Là aussi réside la cause principale de
principale de l'abaissement de la température locale. L'analyse du
sang
capillaire chez mon malade a démontré qu'il pos
llaire chez mon malade a démontré qu'il possédait des propriétés du
sang
veineux. Dans les cas passagers d'oedème bleu l
rmanente. Dans cet état, les conditions qui favorisent le reflux du
sang
veineux, telles que le massage, la position éle
une alté- ration des vaisseaux, ou, peut-être, une modification du
sang
. Il est vraisemblable que ces trois facteurs on
évacuations alvines sont aqueuses, fréquentes et ne contiennent ni
sang
, ni excès de mucus; ordinairement il n'y a ni f
jours de symptômes généraux graves : elles contiennent souvent du
sang
, du mucus, des lambeaux de muqueuse : la terminai
comprend les individus de race africaine, qu'ils soient nègres pur
sang
ou demi-sang. D'après divers témoignages, les m
nversement, l'accélération d'un ralen- tissement. 3° La pression du
sang
augmente. 4° La respira- tion, quelquefois d'ab
ions secondaires; ils succombent le plus souvent à une infection du
sang
et rarement du fait de la syphilis seule. Il fa
morceau de la peau fine et blanche d'une jeune fille et de boire le
sang
qui coulerait de la plaie. Ce malheureux suivit
ession de toute action émotive; 5° suppression de toute effusion de
sang
(aiguille très épaisse à cône piquant de dimens
t ment., . n° 1, 1896.) LXXXVIII. SUR l'examen bactériologique DU
sang
.dans LE délire aigu; par le Dr Clemeute CADITT
anchi « délire aigu bacillaire », les examens bacté- riologiques du
sang
sont restés négatifs. J. S. 480 REVUE DE PATHOL
le plus souvent l'effet de sub s- tances toxiques circulant dans le
sang
, et qui peuvent être des produits de l'infectio
directement par l'action des substances toxiques contenues dans le
sang
. Le pro- cessus s'étend à tout le système nerve
production de la folie et de l ? par Bullen, 224. Circulation du
sang
dans le cerveau pendant un accès d'- expéiiment
e cérébrale, par Bielscbowsky, 387. Trajet du , par Jakob, 388.
Sang
dans le délire aigu, par Cabitto, 479. Sarcom
si je perdais subitement le contrôle de mes membres, par manque de
sang
, car je deviens très pâle,» dit-il lui-même. Qu
sse alors en lui : J'ai de ces coups parfois, comme si c'était le
sang
qui s'arrê- tait contre un obstacle, parfois je
rê- tait contre un obstacle, parfois je ne sens pas cette action du
sang
, mais simplement un fort choc. Je deviens moins
meurt le 26, à minuit. Autopsie. On trouve dans tous les organes un
sang
difiluent et acide et un ramollissement dans la
des premiers phénomènes qui succèdent à l'interruption du cours du
sang
est la mortification, le ramollissement résulta
Clarke. On ne rencontre nulle part ni extravasation, ni pigment du
sang
, ni hématoïdine, etc., etc. Pour moi, il n'y
oblitérer un certain nombre d'artères spinales et à priver ainsi de
sang
artériel tout un segment de moelle. L'ischémie
euse. Un autre phénomène qui succède à l'interruption du cours du
sang
est l'hémorrhagie due à l'intensité de l'hyperh
phénomènes, qui tous les deux tiennent à l'interruption du cours du
sang
, peuvent coexister, ce qui est arrivé chez les
ral ayant été ouvert dans toute sa longueur, une grande quantité de
sang
entre la dure-mère et le canal osseux (les vert
hérente, comme elle l'est à la surface interne des os du crâne), du
sang
demi-coagulé, et du rouge noirâtre, émanant sans
ns cette région. La surface externe de la dure-mère humectée par le
sang
épanché était d'une couleur rouge-noir et infil
par le sang épanché était d'une couleur rouge-noir et infiltrée de
sang
extravasé. La sur- face interne après la sectio
férieure de l'espace sous-arachnoïdien exis- tait un épanchement de
sang
d'un rouge foncé, demi-coagulé, en grande quant
e complète. L'urine extraite par la sonde est légèrement colorée de
sang
. Les mouve- ments réflexes sont très diminués;
ine est trouble, alcaline, de mauvaise odeur, légèrement colorée de
sang
et contient un peu d'albumine. L'état général est
e, mais on ne pouvait constater ni entre elles ni autour d'elles de
sang
extravasé, de bols de pigment, etc., etc. Ces a
ndiqué. Nous savons très bien que les gaz deviennent libres dans le
sang
, dans tous les liquides et dans les intervalles
MPLOI DES SCAPHANDRES. / / On sait qu'avec ces faibles pressions le
sang
artériel devient plus riche en oxygène ; il rés
nétrer dans le cheveu, soit de l'air atmosphérique, soit des gaz du
sang
, soit des deux sources à la fois. On peut donc
ces hémorrhagies sous-cutanées si fré- quenles dans le purpura. Le
sang
rendu par l'urèthre fut examiné au microscope;
t retrouvés dans l'urine à aucun autre moment. Il se pouvait que le
sang
fût venu du rein gauche ; le malade, avant son
traire dans l'anémie, ce qui démontre la part de la distribution du
sang
dans les tissus pour en modifier la densité. »
uées au sujet du rapport de la glande thyroïde avec la formation du
sang
, et pour laquelle mes adversaires m'ont critiqu
, porté trop d'attention à l'origine des éléments corpusculaires du
sang
, d'une observa- tion plus facile que la source
s du plasma; et, en vérité, le terme hoemapoiesis ou formation du
sang
n'était employé que quand on parlait provisoireme
dant les processus métaboliques et d'un changement constant, que le
sang
non seulement favorise, mais encore auxquel il
ous considérons une série d'organes contribuant à la formation du
sang
, destinés à la production d'un tissu fluide infin
lecteurs. Peut-être sera-ce plus clair si j'ajoute que le plasma du
sang
n'est pas seulement fortifié par les produits a
es tissus qui influent d'une manière plus spéciale sur le plasma du
sang
, je mettrai en première ligne, comme en z, la g
ans ce sens, je crois qu'elle mérite d'être appelée « formatrice du
sang
. » Si elle manquait à son devoir, il en résulte
voir, il en résulterait sûrement la plus grave désorganisation du
sang
, car les corpuscules ne sont pas nécessairement i
s d'une objection puisse y être faite, le terme : « de formation du
sang
, employé jusqu'ici, ne paraît pas devoir tombe
se, il y a une intoxication du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 241J
sang
qui peut expliquer l'éclosion des troubles cérébr
ipe d'ouvrir le ventre des animaux dans un bain à la température du
sang
et contenant à doses physiologiques une quantit
une imbécile, à la suite d'une saignée artérielle de 300 grammes de
sang
pratiquée à la temporale. M. Peretti rapporte u
urface du crâne. Le cerveau pesait 1,349 grammes; il était gorgé de
sang
un peu ramolli. En terminant son travail, Irela
s sur le parquet, les crânes étaient fracassés, la cer- velle et le
sang
avaient rejailli sur les murs. Une aliénée se ten
e symptômes graves. Peut-être, dans ces cas-là, existe-t-il dans le
sang
, outre le sucre, certains produits particulière
une dilatation des vaisseaux dont les parois sont infiltrées par du
sang
. Ces infiltrations hémorrhagiques existent surt
unes, et dont les parois sont infiltrées de la matière colorante du
sang
. Ces dernières altérations sont spéciales, et n
maladie, six mois d’un délire continuel accompagné de vomissements de
sang
, épuisée par les émissions sanguines et par les r
les sécréteurs repoussent de leur tissu, après les avoir séparées du
sang
, les substances électrisées comme eux ; il a donc
luide électrique qu’y produisent surtout les séciéteurs au contact du
sang
et l’envoyer, à l’aide des nerfs, là où le réclam
dit-il : « Vous me demande-« rez peut-être si Albertini fit tirer du
sang
; il en avait fait « tirer immédiatement après le
uelquefois, qu’après des affections 1110-ii raies de cette nature, le
sang
est porté à se coaguler. » Ainsi Sanctorius nous
diminuent la transpiration insensible ; Morgagni nous apprend que le
sang
des personnes qui viennent d’être effrayées s’épa
rentra dans son appartement, elle se sentit tout le corps glacé ; le
sang
avait reflué au cœur et au cerveau, suivant ce qu
On envoie le malade au bain chaud, puis au bain froid. On lui tire du
sang
, on lui donne des douches, etc., etc. Rien ne le
eine marcher, tant elle est indolente et remplie d’humeur. Jamais son
sang
ne s’était assez échauffé pour qu’il en résultât
air furieux, armé de toutes pièces, monté sur un cheval et couvert de
sang
. Abdallah se montre à moi comme un homme et un am
gane, dont le mécanisme serait mis en mouvement par la circulation du
sang
et le jeu compliqué de la vie? Dans cette hypothè
nature inflammatoire et toutes celles dont le principe repose dans le
sang
. Magnétisme ; pour le traitement des affections
rs courants des fluides qui circulent dans le système nerveux avec le
sang
; sur la manière dont ces fluides vont, au fur et
second coup de bistouri j’entame une artériole qui donne beaucoup de
sang
; nous essayons inutilement d’en faire la ligatur
tilement d’en faire la ligature ou la torsion. Sur ma remarque que le
sang
nous empêche de voir, la malade me dit de faire u
e, ce qui arrache il la malade un cri de détresse. Nous épongeons les
sang
qui coulait à îlots, et je dis la malade : «Le sa
ous épongeons les sang qui coulait à îlots, et je dis la malade : «Le
sang
nous empêche de voir le ver»; elle me répondit av
Le premier fragment a fait sur le papier, en rampant, une traînée de
sang
de 3 à h millimètres de longueur. Nous fermons la
laie et y appliquons de l’eau hémostatique de Freppel pour arrêter le
sang
. Après le pansement, la malade demande un quart d
nsecte dans de l’eau, nous les laissâmes sécher sur le papier avec le
sang
dont ils étaient entourés. Le 6 novembre, la ma
s une chute que je fis sur la tête, il s’est formé dans un caillot de
sang
. — Quelle est la forme de l’insecte? — Je ne
rs : « Mes règles devraient venir le 10, elles ne viendront pas; le
sang
nie travaille. Les mêmes symptômes reparaîtront a
agnétise. « Qu’avez-vous? — Je suis malade; j’ai des vertiges, le
sang
me travaille. — Quel rapport y a-t-il entre vot
venir cette apoplexie ? — Peut-être. Je mange trop. Je fais trop de
sang
(la malade a effectivement beaucoup engraissé dep
in et le 5 janvier. » Le 27, la malade aperçoit quelques gouttes de
sang
menstruel. Le 28, léger point de côté. Le 29,
sinapismes aux mollets, et je pratique une large saignée. Dès que le
sang
coule, la malade ouvre les yeux, scs joues se col
ale, et la malade nous parle. Nous laissons couler 7 à 800 grammes de
sang
, et fermons la saignée; le sang est noir et épais
us laissons couler 7 à 800 grammes de sang, et fermons la saignée; le
sang
est noir et épais. Bientôt après la malade a une
ix-neuvième siècle, et le sarcasme voltai-rien s’est infiltré dans le
sang
de toute la génération qui en a récolté les fruit
yens une modération dans l’attaque qui n’exclut pas la fermeté, et un
sang
froid dans la défense qui n’a rien d’incompatible
me prescrivit trente sangsues, sans doute afin de me tirer le peu de
sang
qui me restait, en me disant : Voilà l’abcès inte
e pus constater dès lors combien l’action du fluide magnétique sur le
sang
avait été énergique. Une autre fois que cette mêm
ennent pas de la même cause que l’autre jour? Cette bis là c’était le
sang
qui vous fatiguait, aujourd’hui ce sont les nerfs
j’étais enflé de tout, le corps et couvert de gros boutons remplis de
sang
. Ils étaient aussi rapprochés que le sont les pus
m’évanouirais pas ; que c’était l’effet du passage trop précipité du
sang
dans le cœur, et que je ne devais pas seulement y
ur; elle fut seulement un peu efirajée, lorsqu’au réveil, elle vit du
sang
sur son fichu. Deux jours après, tout était rentr
comme vos prédécesseurs ont à répondre de celle de la circulation du
sang
, de la vaccine, de l’émétique et de tant d’autres
’articulation du genou gauche, — avec la v olonté de faire affluer le
sang
et concurremment la chaleur au pied gauche. Le
oici suivant saint Marc : V, 25. « Une femme qui avait une perte de
sang
qui durait depuis douze ans, 26. « Avait été to
ent son vêtement, et je serai guérie; 29. « Et aussitôt son flux de
sang
s’arrêta, et elle sentit en elle-même qu’elle éta
Dans l’intervalle d’une semaine, elle perdit de dix à douze litres de
sang
; c’est ce que me confirmèrent les personnes qui
lambeau, qu’il excisa avec circonspection. Il y eut à peine perte de
sang
. Cinq aiguilles de fils furent passées par les bo
« Ils n’admettent pas, dit-il, que le corps humain ait jamais trop de
sang
, et ils disent que si le sang circule mal et déte
que le corps humain ait jamais trop de sang, et ils disent que si le
sang
circule mal et détermine par lit des congestions
re du moins, vous montrer que ma chaleur n’est point éteinte, que mon
sang
bouillonne comme au jour où je vis pour la premiè
nt du gang chaud d'un agneau que l’on vient de tuer; demeurer dans ce
sang
tant qu’il gardera de sa chaleur: s'y faire fricl
strophe imminente allait suspendre en moi les fonctions de la vie. Le
sang
avait cessé de circuler librement dans les artère
e bien singulier, nie dit-il. Vous veniez d’être frappé d’un coup (le
sang
. Je vous voyais étendu sur votre lit et luttant e
e malade. Lorsqu’ils emploient cette force, dit-il, elle affecte leur
sang
et leurs esprits animaux, qui, par une évaporatio
’avait été environ à la moitié de sa longueur. 11 coulait beaucoup de
sang
, les moignons étaient déchirés, et les extrémités
eil; les règles ne paraissaient qu’un jour et en petite quantité ; le
sang
était pauvre, le teint marbré et d’un rouge viola
xtrémité digitale, car quelques-uns se rongent les téguments jusqu'au
sang
sans manifester la moindre douleur, L'onvchophage
nterne et presque dans la cavité utérine, avec écoulement abondant de
sang
Je prescris des hémostatiques avec le décubitus
tion sans que la malade pro-férât une plainte, mais je pus arrêter le
sang
qui coulait à Ilots, en lui suggérant qu'elle n'a
it à Ilots, en lui suggérant qu'elle n'avait pas d'hémorragie, que le
sang
ne coulait pas. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE E
de sa sœur qu'il aimait beaucoup : il l'avait vue, morte, couverte de
sang
et en avait éprouvé une impression épouvantable.
eillait en sursaut et restait dans son lit les yeux ouverts voyant le
sang
couler du corps de sa sœur ; il prenait, en imagi
îte pour essayer la sensibilité ne donne issue à aucune gouteletle de
sang
. En même temps que la paralysie la malade a vu
le. Les mouvements limités ont persisté. Enfin elle m'avertît que ses
sangs
lui sont revenus avec une extrême abondance, re q
e tout spontané. Par la piqûre, la malade accuse une douleur, et le
sang
coule. Je pratiquai deux autres massages, après
ipe que l'homme civilisé a, par un sentiment instinctif, l'horreur du
sang
. Il n'en est pas ainsi cher les peuples sauvages
hez les races civilisées, l'homme a de I horreur et du dégoût pour le
sang
versé autrement que dans les combats ! Au temps
ule de gens qui ne peuvent sans se troubler voir verser une goutte de
sang
; ils se détournent avec horreur, ils pâlissent, f
.. vît sa grand'mère saigner un poulet dans la cuisine et à la vue du
sang
, il tomba raîde, pâle, inanimé. Puis après quelqu
s cependant jusqu'à 21 ans. il resta fort impressionnable à la vue du
sang
: si quelqu'un se coupait quelque part devant lui
lait pas quand îl achevait une perdrix, ou un lièvre blessés, dont le
sang
se répandait à ilot sur ses doigts, et les teigna
t les teignait en rouge. Je l'ai revu, il y a deux ans, sa crainte du
sang
versé a complètement disparu, et tout symptomc de
de l'hématophobie ne s'explique pas, maïs, généralement, l'horreur du
sang
est, comme, le dit le professeur Mendés de Barcel
e) et qui est cependant incapable de supporter la vue d'une goutte de
sang
. 11 courrait à perdre haleine et ferait dix lieue
e, réservé, taciturne sortait de son étroite cellule quand il voit du
sang
jaillir de la narine d'un de ses compagnons de ré
ope à chaque saignée, même lorsque le médecin l'empêchait de voir son
sang
couler. Plus tard, ce fut bien pis, la syncope su
'intensité puisqu'il suffisait chez ces personnes d'évoquer l'idée du
sang
prêt à couler pour susciter le spectre de l'hémat
susciter le spectre de l'hématophobie depuis l'horreur instinctive du
sang
, jusqu'à la syncope complète. On pourrait citer
pe complète. On pourrait citer des milliers d'exemples où la vue du
sang
inspire les mêmes affres et le médecin qui exerce
intaines s'offrit pour remplir le rôle d'aide. Il n'avait pas peur du
sang
, même versé par torrents, disait-il. L'opérateur
t à faire l'incision de la peau sans se presser; mais aussitôt que le
sang
eut jailli de l'incision... changement complet de
ement et réussit fort bien. C'est ordinairement en voyant couler le
sang
que l'hématophobie se révêle, mais une simple tac
couler le sang que l'hématophobie se révêle, mais une simple tache de
sang
sur la manche d'un opérateur suffit pour faire fr
t une tache sur une manche de linge blanc, s'imaginant que c'était du
sang
... Or ce n'était qu'une simple tache de nitrate d
t plus haut que l'hématophobie ne survenait pas seulement à la vue du
sang
humain et nous avons cîté mon client se trouvant
r un poulet ou couper le cou d'un canard. Il est rare que la vue du
sang
menstruel puisse la déterminer; beaucoup de jeune
pendant connu une jeune fille qui s'évanouissait quand elle voyait le
sang
de ses règles, aussi prit-elle le parti pour évit
r l'hématophobie quand les sujets se sentent mal à l'aise a la vue du
sang
, mais on ne peut la diagnostiquer réellement que
cimés par la mitraille ou blessés par un coup de sabre et couverts de
sang
tomberait-il à côté d'eux, impuissant, sans conna
sans sourciller le triste spectacle si saisissant jadis pour lui, du
sang
et des misères humaines. l/hématophobie est dun
ugmentation des vomissements, les matières expectorées contiennent du
sang
en grande abondance, la malade s'épuise notableme
te à l'esprit, il y a simultanément un changement dans la pression du
sang
, dans la tension des muscles. Ce mouvement est in
ue. s'étant mis à rire, il sortit par sa plaie plus de deux litres de
sang
épanche, et qu'il se rétablit parfaitement. FIE
s chroniqueurs, ou égorgea d abord quelques personnes, puis la vue du
sang
, bientôt l'ivresse qu'il produit, excitèrent la f
sanguin, buvait sec et était sujet â des congestions, à des coups de
sang
, comme on dit vulgairement. Sumère était morto pa
ès méchante. Cette femme dénxturéc avait fait avaler à son gendre des
sang
*ucs. qu'elle avait jetées dans une potion de miel
t une actiontdece.genre : rTouta Li ce·quiraugmenteslatoxicité du :
sang
augmente,·par.tlà`même;ir la toxicité des uriné
s partyes, les lui ouvroit de force et luy fit rendre quantité de
sang
clair et en caillotz ». Elle déclara en outre, qu
ara que Barbe Buvée avait donné une cédule au diable, signée de son
sang
; une autre enfin avoir entendu dire à soeur Col
dant quelques jours, sans pouvoir affirmer si elle eut une perte de
sang
; mais le chirurgien ordinaire des Ursulines, P
u soeur Buvée tenir à la main un vase " « dans lequel il y avait du
sang
», alors qu'elle sortait de sa chambre, vers on
uvée ouvrir la fenêtre de sa chambre et verser un vase' « rempli de
sang
dans lequel il y avait une peau qui s'attacha à
le n'était pas malade, et en outre, la possibilité de distinguer du
sang
à quatre heures du matin en hiver, à la distanc
nt levée, elle avait trouvé dans son lit une pièce de chair ou de
sang
caillé, gros comme le poing, qu'elle avait jeté d
as apporté à cette intention. Même con- tradiction pour la perte de
sang
, qui, de'trois quarts d'heure devant l'official
à l'of- ficial avoir trouvé, dans son lit, une peau de chair ou de
sang
caillé ; de peur qu'on ne pût en tirer des prés
a grande joie), accompagnées, comme elle le déclara elle-même, d'un
sang
clair et en caillots. Le livre de la phar- maci
s. ^ t , On 'recherché1 le "bacille de* Hanse, sans succès, dans le
sang
, dans'1 la' sérosité d'un vésicatoire, dans le'
couteau et -celles d'ûnrlivèé'c Il cônclut'à' l'origine humaine du
sang
examiné. Dans le' numéro précédent, deux 'étude
n=-a;bJ' f, " ` Tul"' M. ,VORSTER. Etat du poids spécifique, du,
sang
chez les, aliénés. L'auteur a étudié la densité
n constate souvent une' ascension considérable des dëux'elémènts du
sang
'(densité ? hémoglobine); la dépression', lors-
rvé. J'ai pu m'en convaincre par des recherches microscopiques du
sang
, surtout chez les capitaines qui voyagent entre
ien. La quantité de l'hémoglobine et le nombre des hématies de leur
sang
sont normaux ou à peu près. Parfois, ils ont le
cu dans un pays à malaria, pour avoir le germe du paludisme dans le
sang
, germe qui peut rester silencieux, sans causer
ca- ractère. La présence presque constante des plasmodies dans le
sang
Z) et les effets promptement curatifs de la qui
ur mes 50 cas, 41 présentaient constamment les plasmo- dies dans le
sang
. Je dois ces recherches microscopiques, faites
sang. Je dois ces recherches microscopiques, faites surtout sur le
sang
frais, à l'obligeante assistance de M. le docte
as, où nous avons pu constater la présence des plasmodies dans le
sang
, chez 39 il y avait toujours des plasmodies non p
é intéressante que presque tous ces malades ne présentaient dans le
sang
que des plasmodies non pigmentées, et les mêmes
et le paludisme franc ; et la quinine, qui fait vite disparaître du
sang
les plasmodies pigmentées, est loin d'avoir la mê
existent souvent ensemble avec les plasmodies pigmentées dans le
sang
des paludiques à accès francs, et on rencontre en
s- thénie palustre et ayant des plasmodies non pigmentées dans le
sang
. Un jour cette malade, pour provoquer ses règles
ort accès de fièvre, qui a duré quarante-huit heures. A l'examen du
sang
pendant l'accès on ne voyait que des plasmodies
a belle découverte de Laveran, la pré- sence des plasmodies dans le
sang
; car cette neurasthénie peut parfaitement resse
m'est arrivé d'observer la per- sistance de ces plasmodies dans le
sang
après la dixième injec- tion de 0,80 à 1,20 de
res dorsales un peu douloureuses à la pression. Foie, rate normaux.
Sang
: hémoglobine 100. Plasmodies non pigmentées, u
so-moteur. Aucun igne d'hystérie. Foie et rate normaux. Examen du
sang
. ,- Plasmodies sans pigment. Hémoglobine, .0,07
te un certain cachet de paludisme. Plasmodies sans pigments dans le
sang
, hémoglobine 0,95; hématies 4,400,0000. , Tra
hénopie. Aucun stigmate hystérique. Plasmodies sans pigment dans le
sang
, hémoglobine 0,85. Je lui prescris la quinine p
disparu. Son foie déborde à peine le rebord costal, et l'examen du
sang
donne des résultats négatifs. Cette guérison
tate plusieurs stigmates neurasthéniques, et des plasmodies dans le
sang
sans altération hépatique ni splénique. Le soir
us les organes négatif. Présence de plasmodies sans pigment dans le
sang
, pas de . · plaques vertébrales, céphalée en ca
de la sensibilité générale. Foie légèrement engorgé. Rate normale.
Sang
: plasmodies sans pig- ment, hémoglobine 0,70,
le rhumatisme dans ses antécédents et dans son hérédité. Examen du
sang
.- Hématies 3.100.000; hémoglobine 0,80; plas- m
res, même neurasthénie. Les plasmodies n'ont jamais manqué dans son
sang
, même après les injections de qui- nine et aprè
moi- gna n'en rien sentir du tout, estant commendée d'arrester le
sang
, l'espingle fut retirée de la playe sans tirer du
'arrester le sang, l'espingle fut retirée de la playe sans tirer du
sang
. estant commandée de le laisser couler, il coul
la teste dans les doigts, sans qu'il y parust ny de douleur, ny de
sang
, sans que la fille parust ny malade, ny assoupi
un instant escript sur son bandeau en gros charactères, comme de
sang
, IESUS, MARIE, IOSEPH, ce bandeau ayant esté veu
, qu'apparemment elles en dévoient estre offencées avec effusion de
sang
, sans qu'il ayt paru n'y meurtrissure, n'y cont
e cachée sans sentimen, et l'ayant retirée, il n'en sortit point de
sang
, sinon la grosseur d'une petite espingle, et pu
n agent toxique ou sont le résultat d'une altération dyscrasique du
sang
: c'est de cette seconde classe des névrites qu
so-motrice les faits multiples signalés d'absence d'écoule- ment de
sang
, aux piqûres faites à lapeau des possédées.Tous
le des artères encéphaliques néces- saires au mouvement régulier du
sang
dans le cerveau et au fonc- tionnement de cet o
de la carotide commune, provoquant une diminu- tion de l'afflux du
sang
vers la parotide, on constate que le réseau cel
ique les phénomènes de la maladie de Basedow, par une altération du
sang
produite par le fonctionnement vicieux du corps
rtaines glycosuries, c'est-à-dire à une maladie par altéra- tion du
sang
consécutive au mauvais fonctionnement d'un organe
SALIVAIRE, étude de la sécrétion , par Milavsky et Smirnoff, 486.
Sang
, examen microchimique du , par J. Joues, 55; ét
microchimique du , par J. Joues, 55; état du poids spécifique du
sang
chez les alié- nés, par Vorster, 61. Sclérose
s toute la mâchoire droite et dans l'oreille de laquelle sortait du
sang
en abondance. Il dit que sa bouche était étirée
pation opiniâtre, avec des déjections très rares entremêlés avec du
sang
, de l'anorexie et une prostation générale très gr
. pour se délivrer de la dalle qui lui été tombée sur le ventre; le
sang
extravasé aurait irrité les méninges, en provoq
t penser que tous ces troubles doivent être dus à l'intoxication du
sang
par rétention de produits toxiques ou par défau
des toxines est entravée et qu'il y a surchage de toxines dans le
sang
. Ces toxines retenues dans l'économie excitent le
M. Chambrelent 1 a montré que chez les éclamptiques, le sérum du
sang
est plus toxique pendant les attaques et que les
hypotoxiques. Nous n'avons pas fait d'expériences avec le serum du
sang
des épileptiques mais nous pouvons avec les don
ambrelent a trouvé chez les éclamptiques, conclure à la toxicité du
sang
pendant les paroxysmes. Cette toxicité du san
e à la toxicité du sang pendant les paroxysmes. Cette toxicité du
sang
explique les troubles mentaux et phy- siques qu
es sont le résultat da l'élimination des toxines accumulées dans le
sang
. Cette élimination est plus ou moins prompte et
dant l'accès, hypotoxicité des urines, c'est-à-dire intoxication du
sang
, et après l'accès, hypertoxicité des urines, c'
, hypertoxicité des urines, c'est-à-dire élimination des toxines du
sang
. Nous avons vu que cette élimination ne s'effec
nt les expériences de Chambrelent, qui ont rapport aux urines et au
sang
des éclamptiques, c'est-à-dire à ces malades qu
e ». Au bout de quarante jours, elle est prise de vomissements de
sang
qui se répètent fréquemment et s'accompagnent de
QUE PSYCHOLOGIQUE. faisoient distiller une quantité considérable de
sang
par le bout du sein sans la guérir ni même la s
une légère albuminurie, une augmentation des corpuscules blancs du
sang
et une désintégration, de nombreuses altérations
m- mon. P. K. IV. CONTRIBUTION 9 la QUESTION DE la circulation DU
sang
dans l'encéphale pendant LES attaques d'épileps
dis qu'elle diminue dans les extrémités centrales des carotides. Le
sang
afflue donc au cerveau et en dilate les capilla
tire l'attention du rapporteur sur les modifications du chymisme du
sang
chez les femmes en couches et enceintes. Il est
conditions, il peut avoir lieu une agglomération de toxines dans le
sang
en dehors de tout processus pathologique. M.
aussi les émotions violentes Ce sont les modifications chimiques du
sang
, les modifications de la circulation lymphatiqu
modifiant les conditions de la circulation, la constitution même du
sang
, diminuant la résistance del'organisme à l'infect
ons, de la tension électrique, des excrétions, de la composition du
sang
, de la moti- lité, toutes modifications que l'o
mêmes mou- vements, à produire dans la partie un afflux abondant de
sang
et par suite un gonflement considérable. La gra
ière de voir. J. Séglas XXI. Sur l'action bactéricide ET toxique du
sang
DES aliénés; par le Dr G. d'ABUNDO. (Itiv. sp.
NDO. (Itiv. sp. di fr'en., t. XVIII, fasc. 2, 1892.) La toxicité du
sang
a été trouvée augmentée dans la démence paralyt
la démence paralytique progressive. Dans la démence, la toxicité du
sang
fut constamment diminuée et d'une façon très ma
de nature dépressive, déterminent une diminution de la toxicité du
sang
, s'ils sont de nature maniaque, provoquent au c
augmentée. Dans la manie et l'excitation maniaque, la toxi- cité du
sang
s'élève. Dans l'idiotie, à côté de cas dans lesqu
y a augmentation, abso- lue ou relative, de l'acide urique dans le
sang
: il n'est pas probable que cette augmentation
at d'une inflam- matiou mais sont uniquement dues à une effusion de
sang
sous la dure- mère. Ce n'est que postérieuremen
ue, en s'épanchant à travers elle dans la cavité arachnoïdienne, le
sang
ne fait que suivre la voie où la résistance est
la résistance est moindre. Dans ces conditions, si l'épanchement de
sang
sous-arachnoïdien arrive seul sans pénétrer dan
ent n'a pas d'influence nocive. M. CRAMER, - Etat de la pression du
sang
dans les anomalies pl'imi- tives de l'humeur. V
tteint de folie circulaire, M. Cramer a constaté que la pression du
sang
diminue quand le stade de gaité survient (dans le
nitrite d'amyle dilate les vaisseaux et fait baisser la pression du
sang
; la clinique a permis de constater que ce médi
considéra- blement augmentée. 11 en résulte une sorte de reflux du
sang
vers le coeur, la circulation de l'artère étant
é trouvée ce matin, sur la route de Laruac, gisant dans une mare de
sang
, la tête affreusement fracassée et détachée du
crosse d'un fusil por- tant des éclats de cervelle et des taches de
sang
. 31G faits DIVERS. - 'Un nommé Fort, homonyme
grand nombre de bacilles particuliers dans le foie, les reins et le
sang
des per- FAITS DIVERS. 317 Î sonnes mortes de
production de l'héma- tome de l'oreille est que cet épanchement de
sang
est consécutif à un traumatisme, quelquefois fo
ondent sont moins fortes, par suite d'une diminution de l'afflux du
sang
au cerveau. Il en résulte une rupture d'équilib
Mairet et Bosc, 101. Aliénés, action bactéricide et toxique du
sang
des -, par d'Abundo, 252 ; salaire des , par Me
! 1S;- température dans l ? par I)éiié- dickt, 95; circulation du
sang
dans l'encéphale pendant les accès d' , par 1
illiam, 466. Rumination chez les aliénés, par Christiani, 25.
Sang
, pression du - dans les ano- malies primitives
au bas d’une montée où elle fut relevée blessée, laissant échapper du
sang
par le nez. Une troisième reçut sur la joue de la
-Sacrement, en perçant l’hostie par le milieu et que l’hostie jeta du
sang
; de plus, elle confessa s’être fait avorter et a
s maléfices avec des crapauds, de vilaines poudres, et le corps et le
sang
de Jésus-Christ. Madeleine confessa, de plus, q
; que les magiciens ayant donné des coups de couteau dans le précieux
sang
de Jésus-Christ, le vin, devenu sang, ruissela ju
oups de couteau dans le précieux sang de Jésus-Christ, le vin, devenu
sang
, ruissela jusqu’à terre; que Pieu parut, selon so
appa de sa foudre pendant que les deux saints ramassaient le précieux
sang
qui avait coulé à terre (1). Boullé, incriminé
la bouche des hosties consacrées, les piquèrent, en firent jaillir du
sang
, puis échangèrent entre eux les quatre hosties, q
e donnée au diable diverses fois par billets et cédules signés de son
sang
, voire même d’être retombée en cette abomination
e de long, ces mots : I)' MayhcW. Les lettres étaient rouges comme du
sang
, et si fortement en saillie qu’on eût dit qu’une
purgatifs les plus énergiques. Ainsi encore, il y a dcsaliérations du
sang
produisant l'affection dite chlorose, et qui, à u
t tous les mois, était la conséquence d’une trop grande plasticité du
sang
, le flux menstruel ne pouvait s’établir convenabl
es symptômes, elle les a vu disparaître comme par enchantement, et le
sang
, redevenu liquide sous l’empire de la magnétisati
aux tentations de saint Antoine. Si l'on eût fait alors l'analyse du
sang
de Surin, ou eût certainement remarqué une grande
t trouve le somnambule sur pied, occupé à essuyer quelques gouttes de
sang
qui découlaient de son nez. Il avait, en outre, u
oudun ; on aurait évité de recourir à de pauvres jésuites qui ont sué
sang
et eau pendant plus de deux ans, et ont fini par
x et l’élaboration des aliments, la vivification et la circulation du
sang
, la distribution et la réparation des forces vita
sur les maladies et la santé... Bientôt on n’introduira plus clans le
sang
de l’innocent un poison funeste pour détruire un
n sur l’organisme est très-puissante ; tels le fer qui reconstitue le
sang
appauvri; l’antimoine, l’arsenic, le. mer- cu
chute ; maintenir la jambe dans la position horizontale pour (pie le
sang
ne puisse se porter sur la plaie avec trop d’abon
ce. — Le but principal de ce traitement, dit-elle, est de déterger le
sang
des humeurs dont il se trouve mélangé. A la con
t pas assez grands pour donner passage aux immondices des villes , au
sang
corrompu de leurs habitants. Les clartés de l’â
d'une espèce de mélancolie religieuse avec angoisse et congestion de
sang
, a éprouvé de suite, après trois séances, un sou
es moyens de la science magnétique d'une amaurose avec engorgement de
sang
, dont je souf-Irais cruellement et pour laquelle
le, facile, exempt de tous médicaments, m'a rétabli la circulation d«
sang
et du fluide nerveux, et m’a enfin guéri dans l’e
, préparant ainsi la voie à ceux qui se flattaient d’étouffer dans le
sang
du novateur des théories inconciliables avec l’or
e ès-prisons du Saint- Office. Harvey qui découvrit la circulation du
sang
et ruina d’un coup l'antique physiologie, fut jug
Le foie.—Bon.—Le col de l’utérus. —Enflammé. —Le colon. — Encombré—Le
sang
. — Noir et épais; mais pas de saignée, pas de pur
hes, beaucoup boire d’eau gazeuse, avec peu de vin, pour liquéfier le
sang
. Ayant quitté la main en ce moment, l’ouïe abando
comptes-rendus hebdomada'res contient une note sur la circulation du
sang
. Je discute volontiers les mots : ils représenten
upposer quelque chose qui circule. On dit fort bien la circulation du
sang
, et l'on entend par là, le sang, c’est-à-dire un
e. On dit fort bien la circulation du sang, et l'on entend par là, le
sang
, c’est-à-dire un liquide particulier circulant da
Peut-on dire la circulation nerveuse, comme on dit la circulation du
sang
? Voyons. M. Flourens met à nu, sur un pigeon, t
ement pas un liquide circulant dans des canaux particuliers, comme le
sang
dans les veines et les artères. Je sais bien que
e nerf agit sur la « fibre... tous les fluides animaux étant tirés du
sang
par sé-« crétion, il n’y a pas à douter que le fl
ines médicales. Celui-ci, semblable à Dracon, ne fait que verser le
sang
de ses victimes. II attaque le principe de la vie
anglante qui a fait répandre, au dire d’nn grand médecin, plus de
sang
par la Faculté que n’en avait versé la grande rév
ne fois ébranlés par des assauts, et les luttes féodales ont teint de
sang
le pavé de ses cours et le bois de son pont-levis
sentir leur mauvaise influence, ceux surtout venus avec notre premier
sang
, avec le rudiment de vie que nous transmirent nos
taine d’années, dont les clie-veux gris et hérissés étaient rouges de
sang
; il avait la poitrine nue, et sa gorge ridée éta
soleil qui ont lieu sur la face, ces rougeurs soudaines attribuées au
sang
? Voilà un grand estomac placé dans un petit corp
régimes guérissent bien rarement de cette maladie. Vous avez trop de
sang
,dites-vous àcelui-ci,... vous en tirez quelqu
doigts de la gauche ; par ce moyen, une portion du plus pur de votre
sang
passera dans mon corps. Votre main gauche perdra
ux de mon estomac pendant cinq minutes; elle pompera tout mon mauvais
sang
, elle deviendra brûlante , et les cinq minutes éc
alit de ses onguents; vous apercevrez votre intérieur, circuler votre
sang
, tous les rouages de votre machine fonctionnant :
Le (lamine prend un coulcau, se fait au bras une large entaille, le
sang
coule, puis, un instantaprès, il ne reste aucune
s soldats du Christ, iit pourtant n’est-il pas à déplorer que tant de
sang
ait été versé pour un malentendu? Les chrétiens n
nt où ils cherchaient à changer plusieurs billets de banque tachés de
sang
. Une fois en prison, ils avouèrent leur crime, en
rrible endroit, le diable apparaît, et avec une plume trempée dans le
sang
du petit doigt, écrit le nom de l’audacieux sur s
au génie du mal, obligés d’aller les chercher au loin dans un lac de
sang
corrompu d'où les animaux les plus immondes n’ose
physiciens qui imitent parfaitement le miracle de la liquéfaction du
sang
de saint Janvier et celui de la Vierge de Ritnini
j]J-) ? )*))"1', .. 1 4 1 'I ? De la présence d'un parasite dans le
sang
des épileptiques ; L o*,41 ? - 1 p : tt-M.M.BRA
1 ? - 1 p : tt-M.M.BRA. 1 0- - ! ° ' - ' , f, Des,prélèvements de
sang
par ponction des veines de l'avant- bras, opéré
Magnan, à l'Asile clinique, et de ji'tn /. Eléments parasitaires du
sang
comitial. Schéma. (II. Chaussé, del.) 52 REVU
s incomplètes, les absences, les vertiges, on examine une goutte de
sang
frais avec un grossis- sement d'au moins 500 di
ns leur continuité des grains plus volumineux, polymorphes, Tig. 2.
Sang
d'épileptique immédiatement avant une crise convu
s périodes et les individus, que ces uermt'CM/M font défaut dans le
sang
et que seulement on rencontre les cocci isolés
dans les phagocytes. ' Examen avec coloration. Les préparations du
sang
desséchées et fixées dans le mélange alcool et
olongée, soit dans le bleu de Kûhne, soit dans la thionine Fitl. 3.
Sang
d'épileptiques pendant une crise incomplète. Alté
rasite se colore assez faiblement, et rien ne vaut -31. l'examen du
sang
frais ? \. , - ' '. ! << '>. j Ensemen
. ! << '>. j Ensemencements et cultures. * En prélevant le
sang
à l'approche i) des attaques convulsives, penda
Chaussé, à isoler 60 fois sur 100 le microorganisme observe dans le
sang
. p Au' sortir de la veine, le sang est réparti
microorganisme observe dans le sang. p Au' sortir de la veine, le
sang
est réparti largement dans des s tubes de bouil
ou à leurs extré- ii mités, les grains polymorphes observés dans le
sang
. Les chaînettes sont animées des ondulations qu
chaînettes sont animées des ondulations qu'elles présentent dans le
sang
. ^ Gélatine. Par piqûre, léger trouble à peine
dans les cultures les réactions colorantes v qu'il présente dans le
sang
. Il se colore par les solutions'hydro- alcooliq
es, répétée à diverses reprises xi chez le lapin, reproduit dans le
sang
les formes parasitaires type- 1 ques du sang co
pin, reproduit dans le sang les formes parasitaires type- 1 ques du
sang
comitial. Il paraît s'agir, en somme, d'un stre
ie, on trouve le système veineux tout entier littéralement gorgé de
sang
; le coeur était augmenté d'un tiers dans toute
t que le gauche, et par une légère fente, située vers le milieu, du
sang
avait récemment coulé vers le quatrième ventri-
er- - veux (fibres et cellules névrogliques), d'éléments figurés du
sang
; 'elle est traversée par un vaisseau qui en con
des cellules néoplasiques, présente au centre un vaisseau rempli de
sang
avec des parois plus ou moins nettes; autour du
continuellement, crache parfois, sue par- fois la nuit, a craché du
sang
. Il a fait une bronchite il y a cinq ans. N'a j
Il a eu la coqueluche à deux ans et demi : à ce moment il a vomi du
sang
. A la même époque il eut une rougeole. En 1897
ès la disparition des phénomènes immédiats, peut persister, dans le
sang
, comme le prouve la réaction de Widal, ne saura
des muscles résultant de lésions vasculaires et de modifications du
sang
(Spring, Blocq, Lemke). Il est certain, dit M.
tin avec la tête lourde, la langue douloureuse, l'oreiller taché de
sang
, le lit mouillé, et il a travaillé dans ces con
dure-mère et les veines de la pie-mère et de l'arachnoïde gorgés de
sang
noir fluide. La moitié ou les deux tiers inféri
cinq jours sans manger ! (Indicateur de Cognac, 9 mars 1902.) ,' LE
sang
humain contre l'épilepsie (VIII, 648). Relative
t à la phrase de FRANCK : « Sur le traitement de l'épilepsie par le
sang
d'un supplicié », que cite àt. le D BnËMONT dan
pilepsie : -. « Plusieurs recommandent comme un remède excellent le
sang
d'un homme sain et décollé, pris intérieurement
, et en notre païs on regarde comme un secret contre l'épilepsie le
sang
même de celui qui en est attaqué. Ou lui tire u
sie le sang même de celui qui en est attaqué. Ou lui tire un peu de
sang
du bras pendant le paroxysme qu'on lui donne à
. 749. - ' . ' , La phrase de Franck fait boire à un épileptique le
sang
d'un' supplicié, versé par le bourreau. Ne vous
n du bourreau, au moins comme sacrificateur versant réel- lement le
sang
, qu'il n'administrait probablement pas lui-même à
gauche avec enfonce- ment des parois crâniennes correspondantes. Le
sang
provenant des blessures ne dépassait pas 50 gra
man. On alla chercher la police. Dans la cuisine une large trace de
sang
allait jusqu'à la porte de la chambre à coucher
ieu de la chambre. Sur le parquet, Minodier gisait dans une mare de
sang
, ayant une large blessure au cou, faite avec un
euses au niveau de Rolando à gauche. Vaisseaux piémériens gorgés de
sang
, avec quelques points de suffusions sanguines.
el- lules rondes. Les vaisseaux dans les méninges sont remplis de
sang
et leurs parois sont infiltrées. Dans la substanc
ieur déclara l'homme, et j'ai envie.de tuer quelqu'un, de boire son
sang
. Tenez, d'ailleurs, voici un tranchet qui m'a déj
alement sur un objet déterminé (phobie du velours et des fruits, du
sang
, des armes tranchantes, du feu, de l'eau, des h
HOLOGIE MENTALE. Il.-19 d'un cataclysme, du pétrole, de l'huile, du
sang
, etc. ; l'ob- session religieuse et scrupuleuse
re-mère-mère. qui est normale, sous l'arachnoïde, un épanchement de
sang
abondant, qui se répartit par plaques sur les r
cardiaque, et il admet l'hypothèse étiologique d'une altération du
sang
. Leube admet cette altération chimique et l'inf
on du sang. Leube admet cette altération chimique et l'influence du
sang
ainsi modi- fié sur certaines parties du systèm
ut, suivant lui, faire penser à une altération de la composition du
sang
. R. nr.111USGUAV-CLaY. XXX. Phtisie et folie :
par Bournemlle et Ambanl, I. De la présence d'un parasite dans le
sang
des épilep- tiques, par Bra, 51. Nécessité de
ribution a la pathogénie .rie l' -. par ftyohows Ly, 162. -. Voir
Sang
humain. - . Voir Idiotie. La pathogéine de l'
des obsté- 'tncales, par Ballet et Bernard, 435. Parasite. Voir
Sang
. Pathologie mentale. Etude de . par Ilelanrl,
illon de -, par AntonuWhkv, 496. Sainte Thérèse. Voir Hystérie.
Sang
. De la présence d'un parasite dans le des épile
ntracrâniens, ayant exagéré la circula- tion et modifié le cours du
sang
, de telle sorte que la séance des trous a été r
rfois 41°, des vomissements incoercibles et quotidiens, présenta du
sang
et de l'albumine dans les urines et qui malgré
eurologique, janvier 1903). E. B. 111. Du parasite trouvé dans le
sang
des épileptiques. Son aggluti- nation par le sé
nostic de l'épilepsie : 4° La recherche directe du parasite dans le
sang
. 2° Le procédé des cultures (ensemencements de
s le sang. 2° Le procédé des cultures (ensemencements de 1 cent. de
sang
dans 10 cent, de bouillon). 3° La séro-réaction.
rches, l'auteur con- clue que le degré de hauteur de la pression du
sang
et ses change- ments éventuels n'ont pas, jusqu
. L'intérêt serait plus grand si nous connaissions la pression du
sang
avant le traumatisme et si nous pouvions le pours
e l'hypérémie et des hémor- rhagies plus ou moins étendues. Dans le
sang
on trouve de la leucocytose, une anémie légère,
midable coup de bâton qui étendit à terre l'individu qui perdit son
sang
; comme il essayait de se relever, Maleville co
XXVIII. Autocytotoxine spécifique et anti-autocytotoxine dans le
sang
des épileptiques ; par C. CirNi. Contribution à l
elques propriétés soi-disant toxiques et thérapeutiques du sérum du
sang
des épileptiques ; par G. Sala et T. Rossi. - (
l'égard de l'alexine circulant déjà chez l'épilep- tique. - Dans le
sang
des épileptiques circule en même temps, qu'une
ependant point en solution dans le plasma vivant; il existe dans le
sang
à l'état latent; il adhère aux éléments cellulair
dans le sang à l'état latent; il adhère aux éléments cellulaires du
sang
dont il est détaché par un processus phagolytiq
rication est inconnue, mais qui n'en sont pas moins versées dans le
sang
du malade. Genèse de la paralysie générale. -1
individuelles la formation d'antitoxine et son introduction dans le
sang
sont de faible quantité, on a l'état de mal épi
mpruntés àdes animaux infectés par des inoculations progressives de
sang
de paralytiques généraux, d'épileptiques, et de
égale- ment sevrés de tout traitement anti épileptique; c'est à ce
sang
qu'était emprunté le sérum soigneusement recuei
tion, on observe une élé- vation marquée de la pression générale du
sang
. 2° On observe une hyperémie marquée du cerveau
seaux du cerveau avec chute et élévation de la pression générale du
sang
, qui dépendent des divers moments de cet acte.
d'hyperémie de cet organe. 5° Après la fin du coït, la pression du
sang
générale tombe notablement, l'animal est moins
ar des vaisseaux et des cavités excessivement élargis et remplis de
sang
; une quantité de foyers hémorrhagiques se trou
e que je commets une mauvaise action. Alors, la honte m'envahit, le
sang
reflue vers le coeuret et un grand froid me fai
ai souffert à toute heure du jour, j'ai versé la nuit des larmes de
sang
, j'ai désespéré de tout. Et voilà quinze ans que
, M. Lhermitte (de Paris).- Nous avons examiné, avec lf. Camus le
sang
de 30 malades atteints de démence précoce à diffé
régions occipitales et une partie des régions temporales) reçoit le
sang
du système artériel postérieur par l'entremise
s cérébraux, cervelet et bulbe avec la protubérance, reçoivent leur
sang
exclusivement du système postérieur (artères ba
à l'hyperémie corticale : à la suite de l'attaque, la pression du
sang
tombe dans le cerveau, celui-ci est en état d'ané
e par les produits de la fermentation putride, ou un épanchement de
sang
dans le cervelet sous l'influence des efforts d
rganisme se réparant, les substances de pré- servation naturelle du
sang
reprirent leur empire, et les cellules des noya
diminuer l'accu- mulation de secreta (agents d'excitences) dans le
sang
, soit ÉPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉ
S. 371 par un traitement qui aura pour but une sorte de lavage du
sang
, soit par une régularisation de l'activité de tou
echercher une médication capable de prévenir l'accumulation dans le
sang
de sécrétions glan- dulaires, qui, trop abondan
lon ou de queues de cerises, ce sel assure une sorte de lava- ge du
sang
qui prévient l'accumulation dans le sang de pro-
e une sorte de lava- ge du sang qui prévient l'accumulation dans le
sang
de pro- duits de sécrétion de la glande thyroïd
allanza arrivèrent, ils trouvèrent Frédéric couché dans une mare de
sang
auprès du corps de son père et de sa mère. On l
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. 481 XCIV. Recherches bactériologiques sur le
sang
des épileptiques; par MM. Lwnois et LESfKUR. (S
3° La fixité de ce chiffre, qui est la moitié du taux du glycose du
sang
normal, et le tiers de celui du sérum, est un arg
la stupeur, etc. SIUOiJ. , . 1 - CVIII. Contribution à l'étude du
sang
dans la folie maniaque dégressive; par Yessie-W
les. 3° Conclusions : a) pas de modifications pathognomoniques du
sang
dans les phases maniaques de la folie maniaque dé
égénérescences nerveuses, à la fois d'après l'étude du métabolisme (
sang
et urine), du liquide cérébro-spinal, et du tissu
e frontal gauche, rompu sous les mé- ninges qui étaient inondées de
sang
. , 111 yocysmie. M. Marie désigne par ce voca
et demie du matin, il constate qu'un écou- lement très abondant de
sang
avait eu lieu par les narines et que de l'emphy
. Bibliolh. Charpentier. 516 VARIA. pieuse et soudaine horreur du
sang
et du crime. Que le ciel les bénisse ! Dans cha
age, menaçaient même, cher- chaient à se relever ; mais la cause du
sang
était perdue; le cri qui dominait, c'était : «
cteurs héréditaires dans l ? par Doran, 505. , EPILEPTIQUES. Voir
Sang
. - Voir Alltocytotoxine. - Voir Sang. Voir Ba
n, 505. , EPILEPTIQUES. Voir Sang. - Voir Alltocytotoxine. - Voir
Sang
. Voir Bains. L'assistance publique des -, par
trations sur la maniaque dé- pressive, par Thomsen, 418. - 1 Voir
Sang
. puerpérale, par Jones, 505. Fou. Un furieux,
ni- berg, 342. SAMUEL. Le prophète -, par Binet- Sanglé, 179.
Sang
. Du païasite trouvé dans le - des épilepiidues.
z sa mère, d'hémorrhagies; il sent le besoin de vomir et il rend du
sang
par la bouche et le nez. - Son carac- tère a to
- ment à l'endroit où bientôt vont apparaître des gouttelettes de
sang
, formant les quatre lettres de son nom (lettres d
rd une rougeur, puis du gon- flement ; et enfin des gouttelettes de
sang
dessinent la lettre A, sur la partie médiane du
erémie dans la boîte crâniene produit une diminution de pression du
sang
dans les artères, et nécessite une impulsion ca
sement du pouls et des battements du coeur. Cette accumula- tion du
sang
et du liquide céphalo-rachidien dans la boite crâ
qu'à l'état de veille, ce qui semble indiquer un apport moindre de
sang
artériel dans la masse encéphalique. D'autre pa
rition; ils ralentissent les phénomènes d'oxydation : 1° les gaz du
sang
sont plus riches en oxygène et moins riches en
trique, po- reuse et friable. Les sinus de la base sont gorgés d'un
sang
noir et fluide. Le poids du cerveau est de 1,34
s violente à la suite de laquelle il vomit une grande quantité de
sang
noir; on l'apporta à la Charité dans le service d
pas plus d'une chopine par jour. Boit habituellement deux verres de
sang
le matin, depuis qu'il est à Paris. Pas de syph
nq ans, les hémorroïdes se déclarèrent chez le malade; au début, le
sang
coula en petite quantité; mais au bout de trois
IL DE 1A1'l'S. malade, elle donna une fois environ Jeux cuvettes de
sang
. Le malade s'affaiblit tellement qu'il ne pouva
cavités intra-crâuiennes, le liquide céphalo-rachidien n'exsude du
sang
que dans les limites exactes de l'espace laissé
PACHYDERMIQUE. 311 t neux. Le ventricule gauche contient un peu de
sang
liquide. Les deux orifices auriculo-ventricuiai
rsqu'on enlève le cerveau, il s'écoule une assez grande quantité de
sang
et de liquide céphalo- rachidien. La partie qui
gr. La dure-mère est assez adhérente au crâne : elle est gorgée de
sang
. - La pie-mère de la base est légèrement vascu-
l'aorte on remarque quelques petits vaisseaux dilatés et gorgés de
sang
et même de petites ecchymoses. Le coeur est dis
surface et de sa faiblesse. Bruits du coeur normaux mais faibles.
Sang
. - Le sang examiné par le Dr Montagu-Murray au mo
de sa faiblesse. Bruits du coeur normaux mais faibles. Sang. - Le
sang
examiné par le Dr Montagu-Murray au moyen de rh
blancs ou globules rouges estde 1 à 90; que les globules rouges du
sang
en proportion à l'échelle normale est de 86 p. 10
l y a encore beaucoup de graisse. Les veines du cou sont gorgées de
sang
. Les intestins sont météorisés. La séreuse de l
du coeur faiblement développé. - Dans le coeur gauche, beaucoup de
sang
liquide, masses cruoriques rares, foncées. A droi
rouge; le poumon contient de l'air, est oedémateux, assez riche en
sang
. Quelques sugillations pleu- rales. - Poumon dr
yme très épais. L'écorce et surtout les pyramides sont injectées de
sang
veineux. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 3
sont très accentués par suite de l'oedème des méninges. Quantité de
sang
moyenne dans la dure-mère. L'arachnoïde est bri
que des organes fait par le Dr Nauverk. 358 CLINIQUM NERVEUSE. 1°
Sang
normal, autant qu'on eu peut juger sur le cadavre
Bruns admet que le corps thyroïde joue un rôle dans la formation du
sang
, soit un éliminant des substances nuisibles, soit
çon à ne point diviser les gros troncs artériels qui fournissent le
sang
à cette portion du cuir chevelu. Ceci peut être f
ès utile de voir quelles sont les parties du cerveau privés de leur
sang
. On doit ensuite observer les altérations dans
formisation du malade, j'ai montré qu'on pouvait éviter beaucoup de
sang
par l'emploi de la morphine. Peut-être qu'en co
. Durant les premières 2t heures, il y a un suintement continuel de
sang
et de fluide séreux des sur- faces incisées. Ce
. De l'importance du liquide cérébro- spinal pour la circulation du
sang
dans le crâne. - L'an dernier, cet auteur montr
de liquide que l'on dirige continuellement dans ce tuyau [image du
sang
et de sa pression) entraîne des vibrations toutes
, sous l'iniluence, par exemple des modifications de la pression du
sang
ou du diamètre des vaisseaux exlen-ibles, voilà
s en mauvais état. La peau du crâne est très épaisse et gorgée de
sang
, le crâne petit par rapport au corps, et un peu
très épaissie surtout vers le frontal, elle contient beau- coup de
sang
et à l'intérieur elle est rude au toucher et vill
fossettes antérieures. Les sinus de la base sont tous pleins d'un
sang
noir liquide. Poids du cerveau sans la dure-mèr
moyenne du sillon post central ( ? ) La masse du cerveau gorgée de
sang
et assez molle. Autres organes. Pas d'adhérence
s des ventouses purent seules la convaincre qu’on lui avait retiré du
sang
. » SOMNAMBULISME naturel. On lit dans le Jour
se sous le cœur... « C’est donc là votre mal? Qu’y a-t-il donc ? — Du
sang
... il y en a bien trois cuillerées. 11 est liquid
il l'aut que je dorme toute la nuit sans sentir nies sangsues ni le
sang
qui coulera jusqu'au matin. » « Cette intention é
s avaient disparu. Nouvelle magnétisation ; M11® Rose ne voit plus de
sang
au cœur, mais elle aperçoit dans son ventre une g
mac qui est distendu par des glaires, ses membranes sont piquetées de
sang
. Ces désordres l’affligent. Tout à coup elle dit
grosseur que j’avais dans la poitrine, à droite... C’est une boule de
sang
caillé môlé d’humeur, grosso comme une noix; elle
e s’est beaucoup fondue par votre magnétisme ; demain je cracherai du
sang
et do l’humeur. » « Il survint, en effet, une exp
humeur. » « Il survint, en effet, une expectoration muqueuse môlée de
sang
coagulé; les urines furent très-abondantes, glair
e .¡jette maladie, c’est-à-dire de fréquents accès de vomissements de
sang
et des selles de môme matière, ^’inflammation des
nte, détermine l’effet que nous appelons gravité ; comment ce fluide,
sang
êtfo élastique, concourt à Y élasticité; comment,
uvette sous le menton, mais il ne fit aucun mouvement pour rejeter le
sang
qui coulait par la commissure des lèvres, jusqu’à
de plus. « Bientôt après son réveil il aperçut la cuvette pleine de
sang
, et, portant instinctivement les doigts à la bouc
té si long, si laborieux, qu’il m’avait occasionné des crachements de
sang
. L’autre sujet avait été guéri d’un cancer de l’e
machine. (Noie du directeur.) Tous les liquides connus, tels que le
sang
, la bile, le suc gastrique, la salive, les larmes
rer avec intention, se ter- mina nu bout de six ou sept minutes. Le
sang
coulait en abondance ; on mit de la charpie, on b
t-être aussi était-il trop tard; car, dans ces affreuses maladies, le
sang
est souvent corrompu, et alors l’opération retard
e siècles, il est esssenliel de rappeler ici celui du peuple juif. Le
sang
juif n’est à la vérité pasmôlé, el, par ce fait,
quitta. Une autre somnambule, après avoir touché un malade dont le
sang
était corrompu par un virus syphilitique et scrof
r souvent d’elle et de la toucher, j’eus une espèce d’é-panchement de
sang
dans tout le tissu cellulaire des paupières. Je n
trouve le somnambule sur pied, occupé à essuyer quelques gouttes de
sang
qui dégouttaient de sou ne/.; il avait en otilre
eux de son intelligence, comme la colère, l’impatience font monter le
sang
au cerveau el font passer des éblouissemens devan
du l’enfant, il lui perce l'oreille avec une longue épingle d'or; lu
sang
coule el l’enfant n’a pas fait le moindre mouveme
me les affections de poitrine anciennes, qui retiennent, empêchent le
sang
de se porter vers le bassin. Cependant, contre to
extrêmes, la nature, par un puissant effort, détermine quelquefois le
sang
à prendre cette direction. Seulement dans cc cas
ent ce que c’était, elles jetaient des cris d’effroi en apercevant du
sang
aussi distinctement que s’il eût été sous leurs y
l’endroit où il avait reçu le coup, qui était dans les reins, d’où le
sang
paraissait encore couler. Après ccla, le fantôme
.iil-elle mieux traitée que celle de la vaccine, de la circulation du
sang
, cl du mouvement de la terre autour du soleil? To
cet enfant fui pris de convulsions à la vue du corps sans tôle el du
sang
qui l’inondait. Une passe transversale faite dans
, laissa ii découvert la plus grande partie du tibia et du péroné. Le
sang
coulait en abondance. Les deux lambeaux furent in
, des pleuréti-ques, etc.; les vomissements, les crachements, mémo de
sang
et do pus, les régurgitations , le hoquet, les ro
s, le sein supurera malgré les cau-« tères; il faut aussi attaquer le
sang
, car il y a « diathèse cancéreuse. » On alla ch
oup, se coagulait aussitôt, et provoquait alors des vomissements; les
sangs
no venaient pas régulièrement. Voyant que les r
ees comme « vous. — De plus grandes dames! quoi! les prin-« cesses du
sang
?.... — De plus grandes dames en-« core. » Ici un
sistance opiniâtre; elle a élé, elle est et sera toujours la môme. Le
sang
humain a souvent coulé pour satisfaire des passio
s causes, telles par exemple, que l'interrup-tion brusque du cours du
sang
artériel, la fibre musculairepeut éprouver plus r
ans la présente leçon, p. 41. Charcot. Œuvres complètes, t. i. 5 Le
sang
se répand surtout dans l'axe gris, qu'il envahit
existent, dit-il, à l'état normal entre les parties constituantes du
sang
et les tissus vivants sont profon-dément modifiée
alité des parties paralysées, et en second lieu, la présence, dans le
sang
, d'agents morbides. Or, l'influence irritante de
yer d'élimination par d'autres agents préalablement accumulés dans le
sang
. J'ai moi-même communiqué dans le temps, à la So-
quant la moelle lombaire, il se produit quelquefois un épanchement de
sang
dans les capsules surrénales (2). J'ai cru devoir
paraît résulter uniquement de l'afflux d'une plus grande quantité de,
sang
. Vous savez qu'en outre, dans toute l'étendue du
our qu'une piqûre pratiquée à la peau ne donne pas même une goutte de
sang
(1). Les parties dans lesquelles le spasme vascul
l'hypothèse adoptée par M. Cl. Ber-nard, ilfaut expliquer l'afflux du
sang
artériel, si remarquable, qui se fait dans la gla
la glande et les fait se contracter. L'augmen-tation de la tension du
sang
consécutive à la contraction vei-neuse serait, da
e seul fait qu'elle exagère momentané-ment dans la glande l'afflux du
sang
artériel. Cet argument est invalidé par le résult
nomé-triquedans le canal de Wharton est supérieure à la pression du
sang
dans les conduits artériels. D'ailleurs, l'hypers
du corps. Ajoutons enfin ce fait très remarquable que la salive et le
sang
veineux qui sortent de la glande sous-maxillaire,
t montré MM. Ludwig et Spiess (1), une température plus élevée que le
sang
artériel entrant dans la glande (2). D'après l'
traction que les éléments sécréteurs de la glande exerceraient sur le
sang
; « de sorte qu'à la force connue jusqu'à ce jour
sorte qu'à la force connue jusqu'à ce jour comme aidant le retour du
sang
en circulation vers le cœur et que l'on nomme vis
que les tissus peuvent exercer, dans de certaines conditions, sur le
sang
en circulation. Je citerai deux faits de ce genre
ce point une vascularisation tellement abondante que presque tout le
sang
vient s'y rendre. A la vérité, cette hypérémie, c
l'affinité chimique est le plus intense pousse l'autre devant lui. Le
sang
artériel ayant plus d'affinité pour les tissus qu
nt lui. Le sang artériel ayant plus d'affinité pour les tissus que le
sang
veineux saturé des produits de désintégra-tion, i
eux saturé des produits de désintégra-tion, il doit s'ensuivre que le
sang
veineux sera repoussé. Il suffirait, dans cette h
ue les tissus soumis à l'influence de certains agents exercent sur le
sang
, est, vous le voyez, un fait constaté expérimenta
vomissements. Analyse chimi-que des matières vomies, des urines et du
sang
. — Suspension des acci-dents. Retour de l'ischu
centimètres cubes, donna 3 gr. 699 d'urée. Afin de déterminer si le
sang
de notre malade renfermait une plus forte proport
mir la malade. M. Gréhant retira 0 gr. 036 d'urée pour 100 grammes de
sang
obtenu chez Etchv..., et 0 gr. pour 100 grammes d
00 grammes de sang obtenu chez Etchv..., et 0 gr. pour 100 grammes de
sang
d'une per- 1. The Lancet, nos 1 et 2, t, II, 18
térisée dans les cas intenses, par la difficulté qu'il y a à tirer du
sang
des parties anesthésiées à l'aide d'une piqûre d'
ique, je remarquai que les piqûres fournissaienttrès difficilement du
sang
du côté anesthé-sié, tandis qu'elles en donnaient
nstrument piquant, tel qu'une épée, ne fût pas suivie d'écoulement de
sang
, il suffisait, vous le comprenez d'après ce qui p
ères, se dérangent; la malade a de temps en temps des vomissements de
sang
(1) ; son ventre est le siège d'un ballonnement c
ives ; pas de rigidité musculaire. Le crâne et ses viscères gorgés de
sang
; cir-convolutions postérieures un peu aplaties :
male, à parois de consistance ordinaire. — Pont et moelle injectés de
sang
rouge grisâtre, sale. — Poumons injectés et œdéma
é, d'ailleurs normal comme les intestins. — Reins fortement gorgés de
sang
; concrétion du volume de la moitié d'un pois dan
erre, la Commune, des assassinats, etc. ; presque toujours, il y a du
sang
répandu. 4° Période terminale. Enfin la malade
vomissements. Analyse chimi-que des matières vomies, des urines et du
sang
. — Suspension des acci-dents. Retour de l'ischu
430, 433. Vomissements hystériques, 289, 296, — urémiques, 296;— de
sang
, 353. Z Zona, 23, 30, 32 ; — dans l'ataxie lo
saisissent par les che-veux et se mettent en devoir de la scalper. Le
sang
coule à Ilots sur le visage de l'infortunée, qui
Elle pleure en se cachant le visage de ses mains... « MonDieuL. le
sang
coule!.....» Puis elle a des attitudes provocan
ui la ramenait à l'hospice et qui lui touche de près par les liens du
sang
, l'avait fait monter en voiture et avait essayé d
s !... (Geste de menace.) Ils vont le tuer, tant mieux... Oh! tout ce
sang
!... c'est bien fait. » 10 h. 22. La pression ov
e enlève l'oreiller avec les dents. 10 heures 49. c). « Oh! tout ce
sang
! ces plaies!... C'est le champ de bataille! Quel
russiens!... » Si je pouvais en tuer, quel bonheur! Je boirais leur
sang
... On va les enterrer comme des bêtes, tous pêle-
chant! Brutal.....Ils vont la tuer... Tas d'assassins !... Voyez le
sang
qui coule... oh ! lâches...Tas defaquins, de vaga
mèrent presque complètement, et survinrent alors des vo-missements de
sang
supplémentaires. On recourt à l'hydrothérapie a
perçoit plus les couleurs. « On combat toujours les crachements de
sang
par les sangsues appli-quées après chaque époque.
umer ainsi : ap-pétit nul; vomissements alimentaires; vomissements de
sang
supplémen-taires; aménorrhée; pertes blanches; ri
e pieds sinapisé. Elle s'écrie qu'elle ne veut pas prendre un bain de
sang
. Elle reconnaît peu à peu les assistants, et la
très douloureuse. Les règles se montrent très régulièrement, mais le
sang
est pâle et elles s'accompagnent d'une exa-cerbat
t de sa mère, car elle s'écrie : «.Je vois des assassins; étanchez ce
sang
. » Ces exclamations sont accompagnées de gestes d
on. On y retrouve sans peine les diverses périodes. La malade voit du
sang
pendant la période des hallucinations. Nous sav
ractérisée, et il y avait un écoulemeut de salive écumeuse teintée de
sang
. Un léger trouble des idées et du vertige succé
i observé plusieurs malades qui vomissaient fort souvent des flots de
sang
durant leurs attaques. » La durée des attaques
riction, se tuméfie parfois énormément; les veines, distendues par le
sang
, font une saillie con-sidérable sous la peau; la
oxyde d'azote, auquel on attribue une influence extraordinaire sur le
sang
. Cet auteur parle d'une femme dont l'ob-servation
ommença à voir des fantômes sanglants; il lui sem-blait apercevoir du
sang
partout où se fixaient ses regards; elle fut de n
lui eut administré des purgatifs et soustraitde huit à neuf livres de
sang
(Journal VExpérience, octobre 1844, n° 383). «
apparaissent tous les vingt-six jours, elles durend. trois jours, le
sang
est bien coloré. Elles se sont établies pendant l
croise les bras, menace de la tête : « il m'en fait faire du mauvais
sang
!... J'it^ai sitôt que je pourrai... Tu m'envoies
t au bras droit une blessure fort grave qui donna lieu à une perte de
sang
extrêmement abondante. Au dire des parents, madem
sez grave au poignet en brisant un carreau de vitre, perd beaucoup de
sang
... On s'empare d'elle et on la conduit à l'hospic
ondance que son matelas en fut traversé. Elle vomit aussi beaucoup de
sang
, et ne s'en trouva pas plus faible. Le lendemai
ait d'être soumise, a déterminé un vomissement de quelques gorgées de
sang
. Après quoi, elle s'est cachée sous ses couvertur
e plus les piqûres du côté anes-thésié ne donnent que peu ou point de
sang
. Mais les faits eux-mêmes plaident contre la théo
ient exsangues, ne tardent pas à laisser suinter des goutte-lettes de
sang
; et même sans faire de piqûre on constate, à la
t parmi eux assurer qu'ils s'étaient crus plongés dans un ruisseau de
sang
et que c'était pour cela qu'ils sautaient si haut
ée. Depuis aussi, lorsqu'on Fexorcisait, elle jeta grande quantité de
sang
par la bouche, sans que pour l'heure il lui en ad
t la perça d^outre en outre avec une épingle, sans qu'il en sortit du
sang
, ou que la fille en fît paraître aucun sentiment
; nonobstant je les pressai de rechef, et par la présence du Corps et
Sang
précieux de Jésus, ds vinrent fondre à mes pieds,
ants, et cela sans témoigner aucune douleur et sans qu'il paraisse ni
sang
, ni contusion. » L'état du corps dans une postu
haut en bas d'un escalier. Cette chute est suivie d'un vomissement de
sang
. En mai 1728, deuxième chute. « Étant montée po
e la toile... elle retombe une seconde fois..., elle rend aussitôt le
sang
par la bouche avec une affreuse abondance ; et un
, des étouffements, des accès de toux acre suivis de vomis-sements de
sang
et l'impossibUité de prendre aucune nourriture.
en peu de temps réduite à la dernière extrémité ; les vomissements de
sang
con-tinuent, elle ne peut rien prendre. On essaie
à la tenir, et ces agitations ne cessaient que par un vomissement de
sang
clair tirant sur le violet, et extrêmement écumeu
uillet nouvelle attaque à la suite d'un « prodigieux » vomissement de
sang
. Le 16 juillet, la malade se fait porter au tom
sissait, sa boiiclie tournait, ses lèvres devenaient bleuâtres, et le
sang
lui sortait par les ongles de la main gauche et l
chesne est prise d'une attaque qui se termine par des vomissements de
sang
et qui offre plusieurs traits de l'attaque épilep
it de violents efforts qui aboutirent à lui faire vomir une espèce de
sang
extrêmement liquide et mêlé d'eau..... Pendant
ses esprits... » Ce jour lâ elle fut guérie de ses vomissements de
sang
, et de retour chez elle put manger. Une autre a
, c'est-à-dire depuis l'époque ou se sont montrés les vomissements de
sang
, les règles avaient été complètement supprimées.
convulsion-naires les appréhendent), donnent sur les endroits d'où le
sang
et les esprits peuvent recevoir plus de force, de
douloureuses. Il est à remarquer que les piqûres ne rendaient pas de
sang
habituellement. Le second point consiste dans la
long; ce marchepied est soutenu par des consoles; il ne coule pas de
sang
des blessures faites aux mains, mais seulement d'
uelle le directeur m'a dit qu'elle perdait quelquefois deux pintes de
sang
. On découd sa cheînise, on lui découvre la chair
e; ehe dit amen. Le prêtre relire la lame. Je juge par la. marc[ue de
sang
, qu'elle est entrée de deux lignes et demie, près
la plaie est moins longue que celle d'une saignée, il ne sort pas de
sang
. Deux minutes après, Françoise den)ande à boire
ssuyer le milieu des mains avec un linge, effrayée comme un enfant du
sang
qu'elle y aper-cevait. Ces stigmates se montrèren
ir et le vendredi, toutes ces plaies laissaient couler par gouttes un
sang
ordinairement clair. Les autres soirs, elles étai
nt clair. Les autres soirs, elles étaient recouvertes d'une croûte de
sang
desséché. Marie garda le plus profond silence sur
e est abandonnée à elle-même, les plaies des mains et l'écoulement de
sang
dont elles sont le siège lui rendant le travail p
udre. Les stigmates saignaient abondamment aux mains et aux pieds; le
sang
suintait du front et de la tête, suivant un cercl
l des stigmates : le fronl couronné de son diadème sanglant d'où le
sang
descend en fdets le long des tempes et des joues,
une plaie mystérieuse, d'où partent comme des rayons, des traînées de
sang
; placez en face de cet étrange spectacle des grou
ment : « A moi, mes frères ! Tenez, venez ! La gloire, la gloire ! Du
sang
, du sang ! Amen ! Amen ! Cela dure une heure enti
A moi, mes frères ! Tenez, venez ! La gloire, la gloire ! Du sang, du
sang
! Amen ! Amen ! Cela dure une heure entière. S'ad
onheur humain que tels héros dont les noms s'inscrivent en lettres de
sang
sur les pages de l'histoire. Méthodes pour l'em
recueillit patiemment avec ferveur et surtout avec la prudence et le
sang
froid du savant qui cherche à se convaincre avant
chimistes. Quand Harvey annonça sa découverte de la circulation du
sang
, il fut traité d'insensé et d'imposteur par ses p
En 16-12, nous voyons la Faculté de Médecine de Paris déclarer que le
sang
ne circule pas (3),et trente ans après soutenir q
tion chère à Bismarck d'une Allemagne homogène créée par le fer et le
sang
parait maintenant surannée, même en Prusse ; et l
milieu par les cloug ; les plaies n'ont provoqué ancnn épanchement de
sang
et la cicatrisation s'est effectuée sans que la r
la poitrine. L'anesthésie était totale, mais elle perdit beaucoup de
sang
et s'évanouit. La maîtresse de la maison la trouv
tagan le ventre do l'homme et pût constater ainsi qu'il en sortait du
sang
mêlé de lait. Pour aboutir à un non-lieu ou à un
approchait, j'ai confié à mon protecteur Saint Jean la membrane et le
sang
béni recueilli des plaies de mon fils, quand nous
amèrement le jour de la circoncision par grande compassion à cause du
sang
que Jésus Christ avait dû perdre dans sa plus ten
belle, âgée d'environ treize ans Et elle vit que dans son utérus, du
sang
qui existait autour du cœur [in utero ejus ex san
VIII La saignée de cette fille Un jour que Agnès fut saignée, son
sang
bouillait de chaleur, de sorte que même le saigne
e chaleur divine et réchauffe cette ame ébouillantée, de sorte que le
sang
en est si chaud. Agnès elle-même, pendant les vis
la concupiscence infecte de leur cœur. Leurs mains étaient tachées de
sang
et le sang en dégouttait. CHAPITRE C.XXXIT Des
cence infecte de leur cœur. Leurs mains étaient tachées de sang et le
sang
en dégouttait. CHAPITRE C.XXXIT Des moïses ses
n de son drame. La figure principale de sa pièce est celle du pasteur
Sang
, dont le type do croyant et d'apotre rayonne d'un
par tous tes temps, même par les froids les pins rigoureux le pasteur
Sang
est appelé hors de sa demeure à des distances sou
it une malade atteinte de grande hystérie. Piqué au vif, le pasteur
Sang
prend la résolution de rendre a sa femme le servi
e espéré, c'est-à-dire la guérison définitive de la malade. Un ami de
Sang
, le pastenr Bratt mêle la fol a- celle des antres
, notre rédacteur en chef exposait le mécanisme par lequel le pasteur
Sang
arrive à exercer une si profonde influence sur le
l'hypnotisme sur l'appareil eardio-vascu-laire et sur les éléments du
sang
. Discussion MM. Bérillon, Preda. Paul Magnin, B
l'hypnotisme sur l'appareil cardio-vasculaire et sur les éléments du
sang
. par M. le Docteur Preda. (de Bukharest). En
odifications de la pression sanguine artérielle sur la morphologie du
sang
) : de Decastelle et Czinner (Ueber den Einflnss v
lations entre les variations de la pressionartérielle et la teneur du
sang
en leucocytes et en hématies); de V. Ellermann et
auteurs qui s'occupent d'hypnotisme. 2° Examiner la composition du
sang
. 3° Signaler les troubles fonctionnels et les m
gnaler les troubles fonctionnels et les modifications des éléments du
sang
après une émotion suggérée. Voilà la façon dont n
té enregistrée avec le sphyg-mosignal de Vaquez. 3° L'extraction du
sang
par M. le Dr Parvu qui avec son habileté -connue,
ans la circulation sanguine et-consécutiyement dans la composition du
sang
. Avec beaucoup de réserve, nous mettons ces mod
résumé ne pouvant pas penser à une nouvelle formation des éléments du
sang
parles organes hématopoïetiques (Moelle osseuse,
t en particulier l'Emotion comme cause des variations des éléments du
sang
étant démontrée par Erlandsen et Ellermann. nous
il résulte : 1° Que la différence de réaction entre les éléments du
sang
, (leucocytes, hématies) nous montre une fois de p
que. Les dénégations des médecins consultés depuis, l'analyse même du
sang
faite par un médecin réputé ne changent en rien s
t semi-patriarcales : la société fondée sur la puissance des liens du
sang
, a pour base la famille. Celle-ci est, pour cela,
l'hypnotisme sur l'appareil cardio-vascu-laire et sur les éléments du
sang
. Discussion : MM. Bérillon, Preda, Paul Magnin,
trine du talion admettant la compensation pécuniaire pour la dette de
sang
occasionnée par le meurtre d'autrui, constitue un
pnotisme sur l'appareil cardio- vasculaire et sur les éléments du
sang
(Influence de l'), par Preda, p. 338. Huchard
s plus jeunes, plus entreprenants, car l’âge semble avoir glacé votre
sang
. » Nous ne voyons qu’un homme qui se serait for
le positif dans toules les antres im-p: essions permanentes. Ainsi le
sang
artériel est un foyer vital irradiant, à travers
mpressions négatives desquelles dépend l'exercice de leurs fonctions (
sang
veineux au poumon et au foie, fibre musculaire, a
ore, tous ces impressifs envoient du fluide électro-négatif vers le
sang
, pour en exciter l’impression. Tel est le mécan
grands coups à scs oreilles : môme immobilité. Je le pinçai jusqu’au
sang
, j’enfonçai une grosse épingle dans ses chairs :
de fluxions variées. Les émirs lisaient avec une rare patience et un
sang
froid imperturbable sur chacun d’eux, et à très-p
nous serons autorisés à faire l’ouverture du cadavre pour analyser le
sang
s’il en reste. Ce droit, que nous exerçons daus l
rs' instants de notre vie, opéra les transmutations de la matière, du
sang
et des autres humeurs pour en former cet assembla
gtemps sur le sommet de la tète, du côté droit, ainsi qu’une poche de
sang
fixée à l’épigastre. « Elle ne s’est indiqué qu
comme dit Lisfranc dans son langage pittoresque. La métacoloration du
sang
, qui s’échappe noir des artères, arrêtera peut-êt
mouvoir en nous « des sucs d horreur et de crainte? » « L’espril du
sang
sC fige en la'veine quand ès mains prenons le fro
causes morales, les médecins consultés ne virent qu’une abondance de
sang
et conseillèrent d’abondantes saignées, qui furen
te. On appliqua quarante-cinq sangsues autour du cou, et on laissa le
sang
couler pendant plusieurs heures. Onmit force cata
quentes ; d’ailleurs les sangsues avaient tiré une grande quantité de
sang
, et la maladie n’en avaitpoint été affaiblie. Des
ée de pois sortit par la bouche, mélangée dç membranes et d’un peu de
sang
. Le pus, sur les derniers temps, semblait venir d
eur, une demi-heure après son ablation, pesait 103 pounds, et avec le
sang
, les liquides qu’elle conte- nait, elle fut éva
qu’il écrivait à cette princesse, et pe lui écrivait jamais que deson
sang
. Le jour même qu’il apprit la nouvelle de la mort
. » Les peuples et les Gaulois comme tigres s’entregor-« geront. Le
sang
du vieil roi de la cape sera le jouet » des noire
eront occis. Le lys maintenu; « mais les derniers rameaux du -vieil
sang
seront encore « menacés. » Ainsi guerroyeront e
insi paix dura vingt-cinq lunes. «Dans Lutetia, la Seine rougie par
sang
; suite de « combats à outrance, étendra son lit p
contreux maillotins, qui doivent encore une fois rougir la Seine de
sang
, quels sont-ils? —Et cet homme qui fera partout r
e un voile, et frappa huit coups de suite à la place de la tête... Le
sang
a été pompé par l’étoffe et a fait dessus de gran
d’étoffe désigné avait presque entièrement disparu sous les taehes de
sang
. « Toutes les ressources d’un interrogatoire ha
Oui, il nie l’a fait voir.... Il est venu tout pâle et tout plein de
sang
; il m’a prise par la main et il me montrait tout
et de toute sa force le poignet, j’ai prié d’arrêter au moment où le
sang
allait jaillir du bout de mes doigts. Tenez, voye
es cette masse tuméfiée et difforme. Cinq artères sont coupées, et le
sang
qui jaillit par cinq bouches ouvertes s'élance au
la pauvre patiente, sa main dans la sienne, ses vêlements inondés de
sang
, et mêlant ses larmes et ses prières aux vœux de
, avec une fermeté au-dessus de son âge, que l’armée avait horreur du
sang
versé ailleurs que sur les champs de bataille, et
allaient nous submerger; nous avons eu besoin de mettre un fleuve de
sang
entre les tyrans et nous ! A l’avenir, taisez-vou
i, divisant les chairs, a occasionné la sortie de quelques gouttes de
sang
. Monsieur le docteur R..., vous nous devea votre
crâne on trouva des adhérences à l'arachnoïde, les lobes piquetés de
sang
, les méninges très-gonflées. M. Richer, qui ava
sans résultat. Cet état d’inaction lui avait arrêté la circulation du
sang
, et elle était menacée d’une hydropisiepour laque
a su habilement la débarrasser des eaux froides qui lui glaçaient le
sang
, ensuite est parvenu à rétablir la circulation du
i glaçaient le sang, ensuite est parvenu à rétablir la circulation du
sang
dans toutes les parties malades, et rétablir la c
uvait des maux de cœur et des coliques affreuses, occasionnées par le
sang
, et en quelques séances que vous avez daigné lui
alheur à lui! Le poignard le frappe au cœur; il tombe baigné dans son
sang
, et l’assassin disparaît. » Outre ces maraudeur
On lui apporta les cheveux. • Oh ! dit-il, il est très-malade, le
sang
se porte violemment à ses poumons, il étouffe. Oh
eur, malaise général.) 152. Marie, née Ducasse, de Pau. (Perle de
sang
continue. Depuis six semaines ‘elle gardait le li
rir.) 2. Bernard Mai.arpk, d’Assat. (Une de ses vaches perdait du
sang
depuis qu'elle avait mis bas; les mamelles donnai
rdait du sang depuis qu'elle avait mis bas; les mamelles donnaient du
sang
au lieu de lait; dans deux jours elle a été guéri
rès la ligature des artères. Son pouls étant très-faible par suite du
sang
perdu, je crus utile de lui administrer un cordia
trop tard ; je suis en rapport avec l’opérateur (il était couvert de
sang
et de sueur). Parce qu’on a empêché M"1’ Valette
ondant pendant qu’on la pansait éveillée ou qu’elle voyait couler son
sang
). Pour prouver que l’article que vous avez insé
e. Mais Je 27 octobre une chute que je fis détermina une injection de
sang
dans les yeux, et je suspendis tout travail. Un t
lux et de reflux qui se fait sentir dans tous les corps, qui agite le
sang
comme les eaux de la mer, il ne reconnaît aussi q
veil- lant de me pincer à l'improviste. Je laissais pincer jusqu'au
sang
sans bouger, quoique ressentant très bien ce qu
a chambre et avec une petite écorchure au bras, j'écrivais avec mon
sang
, rela- L'ODYSSÉE D'UN DÉLINQUANT SIMULATEUR. 15
de sulfure; urine pâle, peu dense, d'odeur douceâtre. Rien dans le
sang
. IL Troubles Mft'MMa ? a) Par contact direct :
laint tout il coup de boutons de soufre qu'il a dans le cou, de son
sang
qui s'arrête au coeur, de son estomac. En même
ants issus de parents consanguins que pour ceux,issus de parents de
sang
étranger, à la condition que les parents soient
seul fait que les parents étaient reliés ensemble par les liens du
sang
. En somme, ce qu'il y a à attendre d'un mariage
n du fémoro-cutané, qui se montre criblé de varicosités, pleines de
sang
lorsque la cuisse est fléchie, vides lorsqu'elle
uarts de la chaleur musculaire, en régularise la proportion dans le
sang
. Il en arrête l'excès. Et lorsque cette proport
quelle on a frappé est toute bleue d'ecchymoses et laisse couler le
sang
. Les dents claquent, le visage est jaune, humide,
infiltrées, oedémateuses. Les sinus et le réseau veineux gorgés de
sang
fluide et noir. La pie-mère n'adhère nulle part
ont béants et profonds. Il n'y a pas d'adhérences à la base. Peu de
sang
; les ar- tères sont souples, non athéromateuses
l fait pénétrer sa main dans l'arrière-gorge qu'il laboure jusqu'au
sang
; une fois il avança la langue entre les dents
ouis Ferrand, fut atteint à la poitrine et tomba, baignant dans son
sang
. Un garçon laitier, qui descendait de sa voitur
ssage de sondes amènent quelques sensations douloureuses, un peu de
sang
dans les urines, mais rendent au jet son calibr
ées et décrites depuis longtemps. J. Séglas. XVIII. L'alcalinité du
sang
dans quelques maladies mentales ; par Lambranzi
e. L'auteur fait remarquer que les altérations de l'alcalinité du
sang
qui peuvent se manifester dans les premières form
sans avoir rien constaté cliniquement, on a trouvé à l'autopsie du
sang
dans un certain nombre d'articula- tions. Au co
ardiens de la paix maintinrent le jeune homme, qui était couvert de
sang
, et M. Cuvillier, commissaire de police, se rendi
otides, mais des modi- fications moins grossières de circulation du
sang
qui mènent à la diminution de la capacité d'att
ns la région du sein droit; prétend qu'elle ne peut digérer, que le
sang
l'étouffera, que le médecin lui a prédit qu'ell
ng l'étouffera, que le médecin lui a prédit qu'elle mourrait par le
sang
. La langue demeure légère- ment saburrale, la p
avec efforts de vomissements : elle rend environ une cuillerée de
sang
rouge et très clair, puis a une syncope. A sept h
nouvelle syncope. A dix heures et quart, vomissements abondants de
sang
pur que l'on 298 CLINIQUE MENTALE. peut éva
eux de la grosseur d'une noisette. Estomac énormément dilaté par du
sang
liquide et des caillots. Une ligature est jetée
'estomac ouvert suivant la petite courbure est absolument rempli de
sang
fluide au milieu duquel flottent quelques caill
à l'état d'hyperhémie ou d'anémie, à la distribution différente du
sang
dans le tissu nerveux. C'est seulement quand la
les veines d'alcool augmente l'activité du coeur et la pression du
sang
: il en résulte un hypé- rémie généralisée du c
émie généralisée du cerveau. Puis le coeur s'arrête, la pression du
sang
diminue, les ondes du pouls deviennent plus rares
ites doses d'alcool déter- mine de l'augmentation de la pression du
sang
et assez égale- ment de l'hypérémie cérébrale ;
de de traitement préventif de la tuberculose par l'inocu- lation du
sang
capillaire d'un congénère et elle s'attend à être
rice de l'écorce. P. KERAVAL. LXII. La protection du territoire, du
sang
et de la circulation du bulbe ; par A. AD : 11K
face antérieure de la moelle lombaire et charrie de bas en haut le
sang
, le long de la ligne médiane de la moelle. C'es
de la ligne médiane de la moelle. C'est dans celte direction que le
sang
va aux artères spinales laté- rales d'Adamkiewi
ouvements ondulatoires violents et des variations de la pression du
sang
qui seraient là plus dangereux qu'ailleurs. Pou
gine centrale. Pool\rd. LXVII. Notes sur les propriétés toxiques du
sang
dans l'épilepsie ; par C.-A. HERTER. (Journal o
C.-A. llerter a fait de soigneuses recherches sur la toxicité du
sang
des épileptiques, mais elles n'ont pas permis de
entation de toxicité ne fut pas constatée. Dans un cas seulement le
sang
était plus que normalement toxique. Il est perm
méthode, suffisante pour dé- montrer l'augmentation de toxicité du
sang
dans la pneumonie, l'urémie, n'est peut-être po
nt suffisante pour indiquer de légères variations de la toxicité du
sang
. Ce sont ces considérations qui empêchent l'aut
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tence ou l'absence de la toxicité du
sang
chez les épileptiques. D'intéressants détails s
mme et les deux chanteuses de psaumes se lavèrent les mains dans le
sang
de la victime, puis, pour compléter le sacrifice,
né, et les vingt membres de la secte se sont lavé les mains dans le
sang
. » (Le Temps, 9 février 1900.) Le Siècle du 12
ALCOOLISME AIGU. 485 et sensible à l'excès : s'évanouit à la vue du
sang
, ne peut voir un homme saigner du nez. Il a des
que de l'urine on trouve des cellules épithéliales, des globules de
sang
et de pus. Les jours suivants la raideur des mu
ions consécutives dans le - et le cer- velet, par Duganello, 307.
Sang
et circulation du -, par Adam- kiewicz, 419.
d' - jacksonnienne hys- térique, par Crocq, 331. l'roprlé- tés du
sang
dans Il , par Har- ter, 425.' Attaques frustes
les ? par Arndt, 52. - familiales, par Trénel, 166. Alcalinité du
sang
dans quelques , par Lambranzi, 234. .Maladi
de la circulation, le chlorhydrate d'ammoniaque comme résorbant du
sang
épanché. Nous continuons les lotions générales
sirant toujours vomir, avec gran- des sueurs froides ; et jetant le
sang
par les oreilles, nez, bouche, par le siège. Il
S FOUS 113 la miche la valeur d'une simple ribotte; mais soudain du
sang
jaillit jusqu'au plafond ! ... « 0 femme avaric
t sans doute au type sarcome et la présence d'amas de pigment et de
sang
nous fait admettre qu'il s'est produit des hémorr
sion n'ayant pas occasionné de troubles graves de la circulation du
sang
, mais bien de celle de la lymphe. Ces troubles
uvent occupés par des extravasations de date plus ou moins récente (
sang
et pigment). Ils sont en général fusiformes (cou-
ions ils lui donnent un aspect criblé. Les vaisseaux sont gorgés de
sang
. A proximité de la tumeur ou dans les endroits
tement dilatés, même autour des capillaires (fig. 12), contenant du
sang
frais ou du pigment. Il n'est pas rare de renco
qui souffre le plus et non pas par altération de la circulation du
sang
, mais bien de celle de la lymphe (Obs. 1 et 3).
lons plus haut soit nécessairement liée très étroitement à celle du
sang
, nous ne pouvons pas admettre que la stase lymp
oration ; après trois semaines dans un effort de toux, il crache du
sang
et doit s'aliter pour une quinzaine de jours. A
Quintes prolongées et pénibles amenant la cyanose et des rejets de
sang
noir par la bouche et les oreilles. (1) Nous
e pulmonaire. Tension au sphygmomanomètre de Potain 12. Examen du
sang
, fait par M. Clunet, externe du service : Globu
oisement d'une veine et d'une artère un mouvement de progression du
sang
dans la veine qui est trop faible pour donner n
ement l'impression du pouls veineux. Ce mouvement de progression du
sang
se voit aussi dans les artères. La papille prés
a- mais de phénomènes semblables du côté des muqueuses. L'examen du
sang
plusieurs fois répété ne montra pas d'altératio
microscopique et biologique des uri- nes, du sérum, des éléments du
sang
. L'intéressant pour nous, c'est de dire que cha
refois plusieurs « fluxions de poitrine v. Il aurait même craché du
sang
à plusieurs reprises. Mère vivante et de santé
ul procédé d'hémostase connu à l'époque. Malgré ces précautions, le
sang
coule à flot dans un baquet. Quelques accessoir
cellules rondes, extrê- mement congestionnées, elles contiennent du
sang
en nature. Les vaisseaux sont en dégénérescence
- éosine, la pie-mère apparaît épaissie et infiltrée de globules de
sang
et de pus ; elle est recouverte d'une couche de
qui recouvre les hémisphères cérébraux est épaissie et injectée de
sang
. Elle est extrêmement adhérente au niveau des lob
es dans lesquels les cellules rondes sont mélangées aux globules du
sang
. Il n'y a pas d'altérations cellulaires appréci
e intense. Les vaisseaux intra-médullaires sont élargis, remplis de
sang
, mais il n'y a pas d'infiltration dans leur par
scence de leur paroi, ni péri-artérite. Ils sont dilatés, gorgés de
sang
, et, dans certains points, se voient des hémorr
n bas. 2" Etude NÉCROPSI1UE. Le malade fut sacrifié par effusion de
sang
et l'autopsie pratiquée immédiatement après la
'inflammation et à l'embolie locale des substances contenues, dans le
sang
, est complètement tombée dans l'oubli. Pour l
e nous ne pouvons même songer à une altération de la circulation du
sang
; il s'arrête nettement aux plis des membres et
s tissus, il y a une double série de vaisseaux : les capillaires du
sang
et les capillaires de la lymphe. Entre ces deux
la formation de la lymphe aurait été due à une simple filtration du
sang
à travers les parois des vaisseaux sanguins. L'
ion causée par une augmentation de pression dans les capillaires du
sang
du fait de la [stase dans le système veineux. A
ique son savait exister entre le liquide de l'oedème et le sérum du
sang
. Mais à ce moment un des plus grands physiologi
extrait des muscles de ces animaux et en fit une injection dans le
sang
. Il observa alors que le courant lymphatique augm
tances qu'il appela lymphagogues : ces substances injectées dans le
sang
augmentent la production de la lymphe indépendamm
à l'animal et il a vu que les vaisseaux se dilatent, la pression du
sang
augmente, mais la quantité de la lymphe directe
la sécrétion de la lymphe de la vasodilatation et de la pression du
sang
; tandis qu'elle nous prouve que dans le nerf i
un rôle étiologique important dans l'ur- ticaire) rendent aussi le
sang
moins coagulable. L'étude de la deuxième forme,
de leur masse. Douées d'un énorme pouvoir osmotique, en passant du
sang
aux tissus, ils y attirent une grande quantité d'
bstances apportent une modification dans la composition chimique du
sang
dont elles abaissent l'équivalent endosmotique.
de l'absorption de l'eau qui des espaces lymphatiques passe dans le
sang
; d'où une augmentation de la quantité de la lymp
mêmes, est une conséquence de la diminution du pouvoir osmotique du
sang
, ce fait étant général à toute la masse du sang
ouvoir osmotique du sang, ce fait étant général à toute la masse du
sang
qui se porte dans tous les tissus, on pourrait
dité produit un manque d'équilibre passager entre la circulation du
sang
, LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 2
s de ce genre, ont compris que les altérations de la circulation du
sang
n'étaient pas suffisantes pour expliquer toutes
décalcifier. Mais l'expérimentation a montré que l'alca- linité du
sang
diminue par l'ingestion d'acide chlorhydrique (3)
t. VII, p. 149, a diminué d'une façon considérable l'alcalinité du
sang
chez les lapins en leur faisant absorber de l'aci
uer ? Nest-ce qu'une cause ad- juvante, qui diminue l'alcalinité du
sang
comme le font la vieillesse, l'al- coolisme, la
nce d'une gaîne vasculaire composée de vaisseaux dilatés, gorgés de
sang
, entourant une moelle presque indemne de toute lé
ns les interstices desquels quelques vaisseaux dilatés et gorgés de
sang
témoignent d'un processus inflammatoire à son d
-mère, épaissie, englobe de nombreux vaisseaux dilatés et gorgés de
sang
. Dans l'intérieur de la moelle se trouve une bo
e d'accident ; elle avait paraît-il, craché à plusieurs reprises du
sang
, elle était sujette aux bronchites. Pas d'autre
rai dire, les images ne manquent pas de malades alités vomissant un
sang
rutilant dans une cuvette, d'écrasés, de noyés, d
organes. Pas d'adhérences pleurales, Poumons fortement injectés de
sang
veineux, mais toutes leurs parties flottent sur
fortement injectée ; face interne lisse. Le sinus long, contient du
sang
liquide. Les sinus de la base ne sont pas thrombo
injectée.Les artères de la base non sclérosées, paraissent vides de
sang
, alors que les veines en sont gorgées. Circonvolu
adhérences méningées et en cet endoit la pie-mère est infiltrée de
sang
. A la coupe on reconnaît que les ventricules so
t. Dans tout le cervelet et sa méninge les vaisseaux sont gorgés de
sang
; quel- ques-uns prennent une coloration rouge
meur. C'est par la stase du liquide céphalo-rachidien et non pas du
sang
que cette pression exagérée se transmet partout
oins, sont capables de traverser le mince endothélium qui sépare le
sang
de la mère de celui du foetus. D'autre part, on
action des agents phlogogènes éventuellement en circulation dans le
sang
maternel ». Il serait intéressant de savoir d'où
'habitude. L'oreillette 38 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. droite renferme du
sang
liquide noir et quelques caillots fibri- neux.
lques caillots fibri- neux. Le ventricule gauche contient un peu de
sang
liquide. Les deux orifices auriculo-ventriculai
rsqu'on enlève le cerveau, il s'écoule une assez grande quantité de
sang
et de liquide céphalo- rachidien. La partie qui
r. - La dure-mère est assez adhérente au crâne : elle est gorgée de
sang
. - La pie-mère de la base est légèrement vascu-
l'aorte on remarque quelques petits vaisseaux dilatés et gorgés de
sang
et même de petites ecchymoses. Le cceur est dis
surface et de sa faiblesse. Bruits du coeur normaux mais faibles.
Sang
. - Le sang examiné par le Dr Montagu-Murray au mo
de sa faiblesse. Bruits du coeur normaux mais faibles. Sang. - Le
sang
examiné par le Dr Montagu-Murray au moyen de l'
lancs ou globules rouges estde i à : i0; que les globules rouges du
sang
en proportion à l'échelle normale est de 86 p. 10
l y a encore beaucoup de graisse. Les veines du cou sont gorgées de
sang
. , Les intestins sont météorisés. La séreuse de
du coeur faiblement développé. -- Dans le coeur gauche, beaucoup de
sang
liquide, masses cruoriques rares, foncées. A droi
rouge; le poumon contient de l'air, est oedémateux, assez riche eo
sang
. Quelques sugillations pleu- rales. - Poumon dr
yme très épais. L'écorce et surtout les pyramides sont injectées de
sang
veineux. 84 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. La substance
sont très accentués par suite de l'oedème des méninges. Quantité de
sang
moyenne dans la dure-mère. L'arachnoïde est bri
ait par le Dr Nauverk. - CACHEXIE PACHYDERMIQUE OPÉRATOIRE. 85 4°
Sang
normal, autant qu'un en peut juger sur le cadavre
Bruns admet que le corps thyroïde joue un rôle dans la formation du
sang
, soit en éliminant des substances nuisibles, soit
ernier enfant, c'est- à-dire depuis trois ans, elle a des pertes de
sang
qui l'af- faiblissent beaucoup. Avant, elle éta
u niveau du chiasma des nerfs optiques. Ses veines sont remplies de
sang
frais. Les hémisphères cérébraux sont symétriqu
e cerveau est di- laté. Les vaisseaux de la pie-mère sont gorgés de
sang
. Au niveau du vertex, l'espace sous-arachnoïdie
l'épaisseur du parenchyme. Les vais- seaux sont béants, remplis de
sang
; le tissu du foie est pâle et jaunâtre, les lob
t adhé- rente aux os; le sinus longitudinal supérieur renferme du
sang
et des caillots. La calotte et la base du crâne p
it constituées surtout par des vaisseaux très dilatés et remplis de
sang
; les veines sont particulièrement énormes ; le
ue complètement clair. Le cccur (30 gr.) en systole contient peu de
sang
liquide et quelques caillots noirâtres. Le trou
ement cicatrisée. La plupart des viscères contien- nent très peu de
sang
. Tête. - Le cuir chevelu n'offre rien de notabl
; enfin, dans quelques foyers, on trouve encore des globu- les de
sang
épanché ; le pigment de ces globules rouges a é
le cer- velet et l'isthme 170. (La différence de 10 gr. est due au
sang
et au liquide céphalo-rachidien). Hémisphère
e mourut le 28 janvier 1894. Autopsie. Les méninges sont gorgées de
sang
dans toute l'étendue de la surface du cerveau,
t de la hauteur insignifiante du cône, la piqûre ne donne jamais de
sang
. L'examen ne demande pas beaucoup de temps. Enfin
ai obtenu des cultures pures d'une espèce carac- téristique avec du
sang
de cet homme recueilli après la mort (2). Elles
moi à un lapin, chez qui la maladie s'est dévelop- pée, et dans le
sang
duquel le Dr Russell a obtenu des cultures du mêm
arquer que l'une de ses malades avait, en même temps, des sueurs de
sang
et de l'angine de poitrine hystérique. Cette as
uie ». Au bout de quarante jours, elle est prise de vomissements de
sang
qui se répètent fréquemment et s'accompagnent d
smes, lesquels lui faisoient distiller une quantité considérable de
sang
par le bout du sein sans la guérir ni môme la sou
à fait blanche et lisse. Dans le sinus longi- tudinal, on trouve du
sang
liquide et quelques caillols rouges. Il y a un fo
tissu adipeux sous-péricardique. Le coeur contient passablement de
sang
liquide et des caillots rouges et couon- neux.
pour qui les « couleurs verdâtres » étaient dues à la rétention du
sang
des règles, doctrine qui fut admise sans contes
e étant sous la dépendance d'une altération des éléments figurés du
sang
. C'est, pour employer le mot- un peu rébarbatif,
u'elles sont susceptibles d'être extirpées sans grande ell'usion de
sang
, sans dangers et sans trop vives douleurs. .
extraite. On peut la voir, la toucher, et le patient aveuglé par le
sang
, ahuri par la douleur, reste convaincu que ce m
issante aux misères humaines ; mais il est cuirassé contrera vue du
sang
et les cris de douleur. Tout en opérant, il doi
as encore venue. L'individu qui se lamente et qu'émeuvent la vue du
sang
et les gémis- sements de l'opéré se retrouve da
des chirurgiens en plein air. Le corps étranger qui baigne dans le
sang
de l'incision fron- tale est peut-être une de c
s chaque main, il laboure froidement le front de son client dont le
sang
coule à (lois sur l'épaule droite. Ni la large bl
tre, a l'avantage de ne pas exposer la pauvre femme à la vue de son
sang
et de celui des autres opérés. D'ailleurs, au c
pour la fièvre, et l'on saignait contre la fièvre, pour l'excès de
sang
et pour le défaut de sang. On saignait t pour c
aignait contre la fièvre, pour l'excès de sang et pour le défaut de
sang
. On saignait t pour chasser la maladie, et les
chez ce petit garçon, des toxines introduites et charriées dans le
sang
soient venues exercer leur action délétère sur la
er. Pendant cette attaque, il n'avait pas d'écume aux lèvres, ni de
sang
dans la bouche. Les antécédents du côté des asc
mois, sans interruption des règles, elle a tout à coup une perte de
sang
abondante pendant 15 jours. Au bout de 9 mois d
e sens du boniment. Celui-ci s'attendrit à l'idée de la douleur et du
sang
répandu; les yeux de celui-là brillent de l'esp
ensemencements, pratiqués tant avec la pulpe médullaire qu'avec le
sang
des veines vésica- les thrombosées, n'ont fourn
upe pratiquée dans cette région on voit sourdre des gouttelettes de
sang
noir d'une multitude de vaisseaux dilatés; les co
nie. Dans toute l'étendue de la lésion les vaisseaux sont gorgés de
sang
et énormément dilatés, sauf dans quelques point
s que fort peu de noyaux colorables ; leurs vaisseaux sont vides de
sang
et affaissés ou remplis par un coagulum amorphe
llement riche en capillaires que, lorsque ceux-ci sont rem- plis de
sang
, on croirait avoir affaire à un angiome. Ces trav
oplasma tellement mince qu'on ne le voit pas, proviennent ou non du
sang
et pénètrent par effraction à tra- vers les par
e assez considérable pour mettre un obstacle quelconque au cours du
sang
. Si en certains points il s'est fait des obstruct
t- être certains nerfs : de quelle veine advint la mort, à cause du
sang
pu- tréfié en un point non reconnu : et cette e
que s'ils le savaient ils pourraient ouvrir le crâne et émonder le
sang
et la sanie et guérir leur malade ». Après ce
t'd'au- tres, ils réconfortent le cerveau et retiennent les flux de
sang
». Le vin peut être permis de 'temps en temps.
ermet d'éliminer toute cause organique. Dans le cas d'hématemèse le
sang
est tou- jours rouge, Lies dilué et mêlé a des
vasculairc par contraction spasmodiquedes capillaires ou passage du
sang
par paralysie; la question n'est pas résolue. I
s deux côtés. Le microscope montre que les vaisseaux sont gorgés de
sang
; les leu- cocytes se pressent contre leurs par
ïdes ; par places, la gaine lymphatique déchirée a laissé passer du
sang
exlravasé dans le tissu. Hémorrhagies minuscules
, l'urémie. Ce cas démontre encore qu'un poison circulant dans le
sang
peut non seulement porter ses effets sur un systè
es symptômes du goitre exophtalmique sont dus à la présence dans le
sang
d'un excès de la sécrétion thyroï- dienne qui a
même temps qu'on galvanisera le cou pour rétablir la circulation du
sang
. Résultats généralement favorables dans le cour
qu'il a démontré qu'on détermine une augmentation de la pression du
sang
, à la suite d'une période latente plus ou moins
du diabète sucré. En effet, la composition chimique de l'urine, du
sang
, voire de tous les organes, peut s'écarter cons
rganisme. Pendant des années donc, les muscles ont été alimentés de
sang
fortement sucré ou imbibés d'un liquide forteme
e à leur action sur le déplacement du Cl. En tout cas, l'analyse du
sang
montre que la plus grande partie du Br est rete
du sang montre que la plus grande partie du Br est retenue dans le
sang
; dans un cas où la teneur en Cl du sang fut R
e du Br est retenue dans le sang; dans un cas où la teneur en Cl du
sang
fut REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 14) déterminée
ec un rasoir. Désarmé, il a été transporté à l'hôpital, perdant son
sang
en abondance. Dans le tra- jet, le malheureux a
llaire est par places mollasse, les parties centrales imbi- bées de
sang
; à la coupe tranversale, la substance grise ne se
mplètement : il n'en reste que quelques îlots épars dans un amas de
sang
et d'éléments néoplasiques. Tout le reste de la c
laires, à parois absolument saines, mais très dilatés et remplis de
sang
; par places, ces capillaires forment un amas si
est traversé d'énormes vaisseaux, à parois infil- trées, remplis de
sang
; en plusieurs endroits on aperçoit de grands f
vastes territoires d'ex- sudat, toutes les veines sont bouffies de
sang
; et c'est ici que commence la cavité inférieure
pression. En réalité, le liquide céphalorachidien est un produit.du
sang
artériel et de la pression de celui-ci dans les
n'est pas. Comment donc circule-t-il ? Si l'on empêche le retour du
sang
veineux, son écoulement du crâne : mieux que ce
ommunication parfaite entre les réservoirs de ce liquide et ceux du
sang
veineux dans le crâne. Cela prouve encore que l
ication entre les réservoirs du liquide céphalorachidien et ceux du
sang
veineux doit avoir lieu par les os du crâne. C'es
face animée et quelquefois vultueuse ; tout indique que chez lui le
sang
se porte violemment vers la tête. Deuxième ob
imes entre la dure-mère et les parois crâniennes ; sinus remplis de
sang
noir; les circonvolutions du cerveau sont aplat
rnit aucun renseignement intéressant et l'examen bactériologique du
sang
, de la pulpe splé- nique et de la substance cér
parait pas altéré. Ces derniers ren- ferment en général beaucoup de
sang
, et leur paroi des cristaux d'hématine. Autour
précédente; que dans son évolution l'extravasation des éléments du
sang
est insigni- ' Friedmann, Zur Histologie und P0
ans ces foyers, avant toute extravasation des, globules blancs du
sang
, les cellules névrogliques sont déjà en état de p
l bio-chimique capsulaire entraîne une altération '1ua- litative du
sang
. Faut-il, pour ce qui regarde l'étiologie de la
s : A, celle qui attribue à la capsule une action dépurative sur le
sang
; B, celle qui regarde cette action comme stimul
imitif : l'altération du système sympa- thique ou l'intoxication du
sang
. Il serait donc plus exact et plus logique d'ét
ession entraine l'accumulation rapide de substances toxiquesdans le
sang
; -, il reste à déterminer la nature de ces-subs
préciable dans les vaisseaux du membre inférieur. Les mouvements du
sang
dans le cerveau pendant le sommeil, consécutifs
ellent délire aigu bacillaire, on ne rencontre pas toujours dans le
sang
le bacille spécifique qu'ils ont décrit. Dans q
crit. Dans quelques cas, en revanche, l'examen bactériolo- gique du
sang
ne fait que révéler la présence d'autres germes p
rapide, pour reconnaître la présence de l'oxyde de carbone dans le
sang
, est donc indispensable au médecin expert. Celle
solution d acide tannique au 3/100 et on secoue forte- ment. Si le
sang
examiné contient de l'oxyde de carbone, le préc
méthode de manière à n'avoir pas besoin de mettre en comparaison du
sang
normal avec le sang suspect d'être vicié. Ils s
n'avoir pas besoin de mettre en comparaison du sang normal avec le
sang
suspect d'être vicié. Ils soumettent à l'épreuve
de l'oxyde de carbone est rougeâtre, la présence de ce gaz dans le
sang
expérimenté est certaine. Des conditions psyc
ntéressée ». Je lui citerai le cas des Ossèthes, où la vengeance du
sang
est le principe de toute répression. Un acte quel
l'autorité qui a saisi un meurtrier doit le remettre au vengeur du
sang
, pour l'exécution du jugement. Il en était ains
x. Le réseau veineux est très marqué; les vaisseaux sont remplis de
sang
noir, liquide. Les artères tortueuses, béantes et
ines. Dans le voisinage se voient jres très dilatées et remplies de
sang
. Les régions voisines dans le noyau ral du thalam
hes optiques les artères sont dilatées et les capillaires gorgés de
sang
. Il y a des extravasations sanguines et dans le
es des parties postérieures du thalamus sont dilatées et pleines de
sang
. On constate à gauche une extravasation sanguine
es et des extravasations sanguines. Les capillaires sont gonflés de
sang
. On constate une atrophie des faisceaux de fibres
tissu est sillonné de capillaires et de petits vaisseaux gorgés de
sang
. Au sein de ce tissu dans la presque totalité d
très dense. Ils sont parcourus par de nombreux vaisseaux gorgés de
sang
. Un ne trouve dans leur tissu ni fibres à myéline
l'accélération des battements du coeur. L'analyse des urines et du
sang
a été l'objet de recherches peu nombreu- ses. M
n très exagérée des chlorures et très faible de l'urée. L'examen du
sang
, chez son malade, a révélé une augmentation du
é ; chez trois malades où nous avons pu faire un examen détaillé du
sang
, nous avons été frappés de la rareté des petits g
its globules blancs mono- nucléaires ; chez un quatrième malade, le
sang
ne présentait aucune alté- ra lion digne d'être
a qu'une légère augmentation du nombre des globules blancs; mais le
sang
est remarquablementpeu riche en leucocytes de l
lade les tumeurs changent de volume de temps à autre. L'examen du
sang
et de l'urine ne révèle rien de particulier. Le d
a des fentes étoilées ou quel- quefois ovales, ne contenant plus de
sang
, mais qui sont limitées par une ligne endothéli
ux ou quelque enragé. Les cahots du chemin lui ont mis le visage en
sang
et il tire lamentablement la langue. Mais qu'impo
gien lui ouvrit une de ses petites tu- méfactions des doigts, et du
sang
s'en écoula. En l'année 1865, à l'hôpi- tal Si-
- riels. Le fait qu'une incision a permis de constater l'issue du
sang
d'une des tuméfactions nous rend possible l'éli
iome.Ces derniers siègent rarement dans ces régions et la présence du
sang
dans le contenu des lymphangiomes est relativem
se trouvait en de- hors et au delà du foyer d'artérite, ramenait le
sang
dans la cérébralepos- térieure. Quelle était
t de recherches ultérieures. Dans quelques cas on a recherché si le
sang
ne contenait pas de filaire; nos investigations,
sa forme et aussi dans son point d'application. Tantôt une perte de
sang
lui succède, s'écoulant par la plaie, par les nar
coulement sanguin très minime. Une heure ou deux après,elle rendit du
sang
noir par la bouche. Elle ne semble avoir eu auc
reconnaître pour de la ma- tière cérébrale et qui est mélangée à du
sang
provenant d'un épanchement intra-crânien. La
a pas de déviation oculaire, il n'existe ni ecchymose, ni perte de
sang
soit par le nez ou la bouche, soit par les oreill
ésir ardent d'être débarrassé des tumeurs de son cou. « L'examen du
sang
a été pratiqué par ]II. le D S(ibi@azès,au labora
it il y a quelques semaines, n'a rien décelé d'anormal. Examen du
sang
: Globules rouges, 6,262,000 ; globules blancs, 1
blancs, 10,800. On ne trouve pas d'embryon de filaire à l'examen du
sang
recueilli le jour ou la nuit. . ORS.1VI (PI.
uit ans : mari mort subitement, à l'âge de trente ans, d'un coup de
sang
( ? ) ; il était fort, vigoureux, robuste. Mari
elu et peut-être une fissure du crâne,car il eut de l'écoulement de
sang
par l'oreille gauche : il eut, en même temps, u
sisle ? Glasgow médical Journal, 1880. (5) Nonne, 10C. cil. (6)
SANG
E Il- Il IIOW.-4, On hereditary alaxu wilh a seri
fragment de charbon avait la grosseur d'une noix. L'écoulement de
sang
au dehors n'est jamais bien conséquente dans ces
te et plus complète. Il se fait alors une accumulation graduelle du
sang
à laquelle le cerveau est incapable de s'accomm
oite et remplissait en arrière les deux concavités occipitales ; le
sang
pénétrait également dans le ventricule surtout du
plus obscures qu'en cas de lésion il se forme une sorte de magma de
sang
et de substance cérébrale. Mais, en s'aidant de
toussé, maigri pendant deux ans et à plusieurs reprises a craché le
sang
). Un frère est mort à l'âge de (rois ou quatre
née. Elle a perdu, au cours de ses règles, des quantités énormes de
sang
. II en a été de même après cha- que accouchemen
es « fait sortir la pituite » qui comme la bile est un excrément du
sang
. Le cerveau n'est que fort peu ou point évacué
un ecclésiastique vint me consulter : il avait les yeux injectés de
sang
, larmoyants, et craignait de perdre la vue. J'i
ecin doit distinguer l'état de l'organisme. Les vieillards, dont le
sang
trop épais reste stagnant et dont les extré- mi
t, peut-être, dépend-elle à son tour d'un trouble de circulation du
sang
et de modifications vasculaires. Les modificati
ccident, il a rendu par le nez DE l'hémiplégie traumatique 535 du
sang
et des mucosités. Il croit qu'une balle est sorti
e relevèrent aussitôt. Il était sans connaissance, il ne perdait de
sang
ni par le nez, ni par la bouche, ni par les ore
ible à toute excitation, de la narine gauche s'é- coulait un peu de
sang
. Le pouls était faible, mou et dépressible, il n'
ur de la plaie, on voit un trou dans le pariétal droit d'où sort du
sang
mélangé à de la substance cérébrale. Dans les par
7 centimètres de long sur 4 de large. La dure-mère est souillée de
sang
et dans la moitié antérieure de sa sur- face in
ente un abondant pointillé rouge, indiquant les points de sortie du
sang
. Dans le 4° ventricule, un peu de sérosité purule
elle est boursouflée, la substance grise injectée et même striée de
sang
. La lésion, quelle que soit la forme de la myél
puscules brillants ayant habituellement la grandeur d'un globule de
sang
de forme ronde ou ovoïde et qui se teint très bie
qui n'a lieu que très rarement lorsque le microbe est lancé dans le
sang
. Dans ce dernier cas, pour qu'une vraie localis
ns probable, que les microbes dont une partie sont détruits dans le
sang
, agissent sur la moelle par l'intermédiaire de ce
li commune dans la moelle quelques mois après son injection dans le
sang
. Après avoir étudié les différentes lésions his
es, surtout lorsque ces dernières empêchent la libre circulation du
sang
dans les vaisseaux. - La lésion la plus légère
quel sont déposés ses deux yeux, avec quelques discrètes gouttes de
sang
. Une autre, Sainte Agathe sans doute, porte à l
e bain; le pouls est dicrote à 125, la diarrhée profuse contient du
sang
, les urines recueillies difficilement, sont for
aiblit, bat 125, la température se maintient au- dessus 'de 40°; le
sang
persiste dans les selles diarrhéiques ; on le d
xaminées par M. Gigon, interne en pharmacie, ne contiennent plus de
sang
, mais de la bile en quantité assez nota- ble, 1
plus de crépitation, le fragment ne surnage pas. On fait sourdre un
sang
noir à la pression. Le lobe moyen est splénisé; l
entrée, il a le visage couvert de contusions, une plaie au nez, du
sang
coagulé dans l'oreille gauche ; il a l'air éblo
aumatisme ; celui-ci a déterminé la rupture des capillaires dont le
sang
s'est mélangé à la sérosité préexistante, provo
processus inflammatoire. Le virus est apporté dans la moelle par le
sang
et produit la lésion dégénératrice, les vaisseaux
nerveuse peut être, contrairement à la règle, inférieur à celui du
sang
qui est, comme on sait, 0°,56. Nous l'avons vu to
que la tension osmotique de cette solution est voisine de celle du
sang
, et qu'elle a, par suite, pour point de congéla
ltre par le glomérule a une tension osmotique inférieure à celle du
sang
, hypothèse confirmée par les expériences de Starl
ganes abdominaux. 12° Cette dernière ne modifie pas l'écoulement du
sang
par une jugulaire. 13° La diminution de pressio
médecin-expert a-t-il. par exemple, à faire l'examen d'une tache de
sang
et à fournir un rapport sur ce point ? Après avoi
bstlratum, l'état de la température, il devra d'abord rechercher le
sang
: 1° sur le lieu du crime; 2° sur le sol; 3° su
cédé spectroscopique de Florence est décrit en détail. La preuve du
sang
étant faite, il restera à établir son origine. Pa
s conclusions. Nous avons pris pour exemple l'examen d'une tache de
sang
: nous pourrions aussi bien prendre l'examen mé
iquide du lavage était épais et de couleur anormale et contenait du
sang
altéré et du mucus. Une solution faiblement ant
due à l'épuisement. A l'aùtopsie, on trouva une grande quantité de
sang
dans les tissus musculaire et connectif au nive
mais elle était extérieure à la dure-mère : il est probable que le
sang
s'était répandu dans le canal vertébral au mome
ps vertébraux. La dure-mère était intacte et ne ren- fermait pas de
sang
. La moelle, même au niveau de la fracture était
on névralgique, comme le résultat d'un excès d'acide urique dans le
sang
, enfin, et c'est peut-être la théorie la plus g
e ce signe, il faut avoir recours à la bactérioscopie : 1 examen du
sang
montrera, parmi les corpuscules sanguins, des dip
pour les deux cas précédents on trouva la filaire perstans dans le
sang
avec des larves de niaria diurna. Même léthargie,
ns les ganglions lymphatiques ni dans le canal thoracique ; mais le
sang
des sinus de la dure-mère et celui du coeur con
oups violents sur la tète et sur la figure lui mettant le visage en
sang
. Aux cris de M. D..., des voisins accoururent e
re le timon d'une voiture. Elle s'est évanouie et a perdu un peu de
sang
. Cet accident a occa- sionné une cicatrice de 3
se séparer. Au moment de l'autopsie, les sutures étaient gorgées de
sang
et comme distendues par lui, lésions que nous a
eaux de la pie-mère nous apparaissent énormes, tortueux, gonflés de
sang
. Lu pie-mère se détache facilement du cerveau,
petits points d'un rouge sombre; tous ces points laissentsuinter du
sang
, à tel point qu'au bout de quelques secondes, la
ppe mince d'un rouge sombre. Un filet d'eau enlève cette nappe de
sang
et laisse réapparaître les points rouges qui, b
ce blanche. Les noyaux opto-slriés. un peu ramollis, sont gorgés de
sang
et les coupes failesali niveau des noyaux, donn
g et les coupes failesali niveau des noyaux, donnent abondamment du
sang
. Mêmes particularités sur les coupes du cervele
t donc perdu z0 grammes de son poids, ce qui représentait autant de
sang
diffusé dans l'eau ; il est probable qu'après u
mais peu après en retournant le soir, il le trouva dans une mare de
sang
il venait de s'arracher la langue, que le surve
mélancolie, avec un tableau , montrant les résultats de l'examen du
sang
dans cinquante- sept cas ; par B. C. Loveland.
ept cas faite par l'au- teur c'est que dans la période initiale, le
sang
bien loin d'être au- dessous du taux normal d'h
digestives qui accompagne inévitablement un pareil état mental, le
sang
devient plus pauvre en matière colorante, et pl
, 29 fois; des intoxications ou excès, li fois ; des altérations du
sang
, 16 fois ; enfin une pre- mière émotion ou aucu
n reste mystérieuse malgré la constante découverte d'un ver dans le
sang
des malades. L'affection reste endémique dans l
contraire la présence de la filaria perstans est constante dans le
sang
, et la maladie semble avoir la même répartition
richocéphales, d'ascarides lombricoïdes et d'anlcylostomes; dans le
sang
Ciliaires perstans. Pression artérielle très bass
pie-mère et de l'écorce dévelopé exagérément, vaisseaux gorgés de
sang
, diapédèse et en même temps 7,exis des globules b
,exis des globules blancs et rouges constituant des épanchements de
sang
dans l'écorce et la sub- stance blanche. Espace
anal spinal, extérieurement à la dure-mère fut trouvé rempli par du
sang
fluide, avec quelques 408 REVUE DE PATHOLOGIE N
le elle- même, ou peut-être dans ces deux tissus par l'abondance du
sang
épanché : il est démontré que l'irritation des
levé et on a omis de le lui rendre, on lui a aussi ôté le coeur, le
sang
, les viscères et les organes génitaux et les orga
montagnes et ajoute que par le poison juif, ses urines puent et son
sang
est bouilli. Délire génital expansif très accusé
venue de sa stupéfaction, je lui expliquai que ce qui empêchait son
sang
de couler c'était exactement ce qui empêchait s
n à l'état de veille, l'obsession qui jouait le rôle d'arrêt, et le
sang
avait coulé comme coule l'eau quand on ouvre le
27 février.) Tentative de suicide. On a trouvé, baignant dans son
sang
, la femme Vastine, née Henriette Touet, quarant
e dans les espaces lymphatiques péricellulaires et parvient dans le
sang
par la voie lymphatique. Les parathyr seraient do
de la chorée et de l'épilepsie dans un état toxique ou microbien du
sang
. La grande fréquence de ces névroses et des fol
t le métabolisme des centres nerveux, et non pas le 'métabolisme du
sang
, qui est au fond des névroses de développe- men
-HUGG¡ ? \I. (RIV. cp. di (1'en., 1900, fasc. 1.) XLI. Influence du
sang
des épileptiques sur le développement embryonna
de l'épilepsie; par Cené. (Riv. -"p. difren., 1899, fasc. 3-4). Le
sang
des épileptiques, en général, contient constammen
oppement de l'embryon. Le degré de cette propriété tératologique du
sang
se maintiendrait constante et uniforme pour cha
s la sphère motrice correspondrait une propriété tératologique du
sang
moins accentuée que celle qui accompagne'tes'mant
portion de la veine spinale postérieure très dilatée et' remplie de
sang
veineux très foncé. Au-dessus de la dilatation,
; 4° le séjour au lit, très favorable à la circulation en retour du
sang
veineux les faisait presque entièrement dispa-
ctions des organes non musrulaires dépendent de la cir- culation du
sang
, laquelle dépend elle-même de l'action muscu- l
le coeur batte avec une rapidité extrême, chas- sant ainsi plus de
sang
qu'il n'en faut pour l'action normale des organ
lle de petits bâtonnets et de corpuscules punctiformes. L'examen du
sang
lu révéla aussi la diminution des globules roug
matériels. En 1n93, Bianchi i <iLt ? CC ! n i n o examinèrent le
sang
de deux ma- lades morts de délire aigu. Les ens
ng de deux ma- lades morts de délire aigu. Les ensemencements de ce
sang
don- nèrent des cultures où ils trouvèrent des
rent des bacilles disposés en chaîne formant de longs filaments. Le
sang
d'animaux (chien-lapin) inoculés avec ces cultu
j'aie été le premier à signaler la pré- sence d'un bacille dans le
sang
de certains délirants aigus. Pour soutenir cett
ec laquelle on a pu trouver, et si facilement, des bacilles dans le
sang
, l'écorce cérébrale, le liquide céphalo-rachidien
u nez. Le 16, dans un.accès très léger, à la période congestive, le
sang
a coulé de l'éraflure, -formant une sorte de tr
auparavant, dans un grand accès, ce n'est pas quelques gouttes de
sang
que nous avons vues sous l'influence de. la conge
nous avons vues sous l'influence de. la congestion de la face ; le
sang
a giclé d'une excoriation antérieure. Z> Ces
ardemment désiré. Il s'opère de la même façon que l'épanchement de
sang
sous la con- jonctive, que le suintement ou le
t de sang sous la con- jonctive, que le suintement ou le giclage du
sang
d'une éraflure ou d'une excoriation au cours de
e modérée et un état vacuolaire des fibres musculaires. L'examen du
sang
, des urines et des matières fécales a été fait
, sans coma, ni convulsions. Ce dernier malade présentait dans le
sang
examiné la veille de sa mort, des coli-bacilles
gnée de 800 grammes. L'interne ne peut lui tirer que 200 grammes de
sang
. Il succombe à deux heures de l'après-midi, au
parler écrire, l'obligent à se casser la tête et à écrire avec son
sang
s'il résiste. Ses écrits offrent de beaux types
qui sont écrites en rouge. Ce sont celles qui sont tracées avec son
sang
. La signature est. invariablement la même : De
même : De Senez de Mésange. Grand prince Napoléon, grand prince de
sang
royal et impérial de l'univers entier, grand am
la terre. Le mouvement, qu'il se donnait en travaillant, agitait le
sang
, le brisait, le rendait plus fluide et les nerf
une imprécation. « Il est probable, dit Bartholin, qu'un grumeau de
sang
ou une pituite épaisse s'était arrêté à l'entré
ais que le mou- vement de colère,'où il s'était mis, avait agité le
sang
, l'avait brisé et avait détruit l'obstacle '. »
molles; mais dans le cas actuel comme dans celui du D' Beadles, le
sang
était surtout fourni par la céré- brale moyenne
. Si l'on donne à la lécithine la possibilité de péné- trer, par le
sang
, dans la substance cérébrale, on favorise le réta
nière indication, et un troisième tableau enfin indiquant l'état du
sang
avant et après le traitement. De l'étude des docu
lirantes cessent dès qu'on la soumet au traitement dit de lavage du
sang
. Les injections sérum bro-- muré ou ioduré, res
r Nikitine, 61. Sur la parole des -, par Clark, 137. Inlluence du
sang
des-sur le développement embl yonnail'e" par
eaux : sanguins augmentés en nombre. Ils sont dilatés et remplis de
sang
. Quelques vaisseaux ont leurs parois un peu épa
méninges sont normales. Leurs vaisseaux sont dilatés et remplis de
sang
. On ne constate pas de foyers inflammatoires, n
n des dernières côtes à gauche est douloureuse, A la percussion, le
sang
est plus mat de ce côté qu'à droite. La peau de
reste toujours couché. Tout mouvement lui est pénible. L'examen du
sang
(Dr Klein) montre qu'il y a : Gaz 0/0 de leuc
entre autre au niveau de la XII8 dorsale et lombaire. L'examen du
sang
montra qu'il s'agissait de myélome lymphoplastiqu
des vaisseaux sanguins qui sont dilatés en même temps que gorgés de
sang
. Sur les coupes colorées par'l'hématoxyline et l'
sculaires sont par place épaissies, les vaisseaux dilatés gorgés de
sang
. Les cloisons de la pie-mère accompagnent les v
Les fractures des os longs parlent en faveur des tumeurs.Examen du
sang
: une leucocytose parle en faveur du néoplasme,
nie les paroles réconfortantes des médecins. Il n'a pas beaucoup de
sang
, son cas est très grave ; il ne peut pas vivre av
sang, son cas est très grave ; il ne peut pas vivre avec si peu de
sang
. Il pré- tend qu'il va mourir dans quelques mom
on et d'im- mortalité apparaissent. M. A. prétend qu'il n'a plus de
sang
, plus d'estomac ; il peut vivre sans manger et
tifs se localisent surtout du côté radial. T. = 38°5. L'examen du
sang
démontre 14,160 leucocytes. Rétention d'urine. Da
epuis les dernières côtes jusqu'aux Ve-I ? espaces intercostaux. Le
sang
contient 14.160 leucocy- TUMEURS DE LA MOELLE É
n du cou-de-pied et au genou. 17 juin. On a remarqué aujourd'hui du
sang
dans l'urine (lavages de la vessie). 19 juin.
tous les cordons et les vaisseaux des méninges dilatés et gorgés de
sang
. Avec un fort grossissement on constate dans la z
iphérie de la moelle et des méninges sont très dilatés et gorgés de
sang
. Parois non épaissies. ^Dans la substance grise l
élargis. Racines médullaires normales (vaisseaux dilatés et gorgés de
sang
). Méninges normales. On observe des lésions a
mes intermédiaires. Au milieu du foyer, vaisseaux dilatés gorgés de
sang
. Dans le foyer gauche on voit encore des cercle
ns élargies dans toute la coupe contiennent des vaisseaux gorgés de
sang
. Dans les espaces péricellulaires on voit des cor
s ; les- méninges normales. Les vaisseaux y sont dilatés, gorgés de
sang
. La moelle conserve sa configuration interne et e
sa périphérie sont augmentés dénombre. Ils sont dilatés, gorgés de
sang
. Mais pas d'épaississement des parois ou de thr
indraxes modifiés. Les vaisseaux sont partout élargis et remplis de
sang
(aussi bien dans le tissu nerveux que dans les mé
étudié et dé- montré l'influence des troubles de la circulation du
sang
dans le cerveau sur l'étiologie des maladies me
des centres nerveux, qui régissent le système de la circulation du
sang
. D'un autre côté, étant donné que le mécanisme du
pèces de sensibilité. Examens particuliers. Examen des urines et du
sang
: rien de remar- quable. Examen ophtalmoscopi
i- lis, car le patient ne voulut absolument pas se laisser tirer du
sang
. Examen radiographique : Crâne. - L'examen radi
peu à la démarche du canard. Examens particuliers des urines et du
sang
. -Rien de remarquable. Examen radiographique de
èces de sensibilité. Examens particuliers. Examens des urines et du
sang
, rien de particu- lier. Examen ophtalmoscopiq
ion positive. Pour le premier cas nous n'avons pu obtenir le peu de
sang
nécessaire pour pratiquer la séro-réaclion de W
t le monde l'admet, peut nous permettre de déceler dans le sérum du
sang
et; dans certains cas, dans le liquide céphalo-
donne un ré- sultat positif. La même preuve faite avec le sérum du
sang
tiré à la veine d'un bras donne également un ré
le aussi bien qu'au sein du tissu nerveux sont dilatés et gorgés de
sang
. Leur nombre est augmenté. Il n'y avait pourtant
l'éosine montrent une dilata- tion des vaisseaux sanguins gorgés de
sang
. Il faut appuyer tout spécialement sur ce point
mbre diminué. Les vais- seaux sanguins y étaient dilatés, gorgés de
sang
et augmentés en nombre. Nulle part pourtant de
et au-dessus de ce ni- veau. Les vaisseaux sont dilatés, gorgés du
sang
.Pas de signes d'inflammation. Ce cas est donc,a
isons élargies qui renfei ment des vaisseaux dila- tés et gorgés de
sang
. Les parois vasculaires sont un peu épaissies. Le
rale, on voit un grand nombre d'espaces veineux dilatés, remplis de
sang
. A côté, on voit dans le sein de la tumeur des
ar place des es- 344 FLATAU paces veineux très larges, remplis de
sang
. Du côté de la moelle la tumeur, dans une grand
rée).- 3. Arachnoïde recouvrant la tumeur. 4. La veineuse remplie de
sang
. . Tumeur. 6. Dure-mère. 1. Racine antérieure (
oit des espaces vides et des espàces veineux entièrement remplis de
sang
. Dans la partie proximale on voit une dégénéres
umeur avait une structure caverneuse. Les cavernes sont remplies de
sang
dans la partie supérieure TUMEURS DE LA MOELLE
égénérescence des fibres ner- veuses ; vaisseaux dilatés remplis de
sang
. A part çà on remarque deux petits foyers ronds
es pouls radiaux, carotidiens et cruraux sont normaux. Un examen du
sang
ne révèle rien de particulier. A 20 ans, la m
lément) : négatif pour la syphilis. Examen chromoctttomélrique du
sang
. Globules rouges : 5.000.000. Leucocytes -.12.
e : très abondants ! Rien d'anormal dans le sédiment. L'examen du
sang
n'a pu être fait, car nous ne pûmes persuader not
s nettes. Sédiment : nul élément patho- logique...... ' Examen du
sang
. - Globules rouges : .4.800.000. Leucocytes : 9.
aux et en néo- vaisseaux. Ces capillaires sont dilatés et gorgés de
sang
. La plupart ont une paroi très mince, souvent à
rie des plaques. Les vaisseaux sont en ces points dilatés, gorgés de
sang
et présentent presque tous de l'infiltration ce
ve sont parfaites chez nos deux nains. Les examens des urines et du
sang
nous ont permis de mettre en relief les faits s
mme dans notre cas,r6ntgénisation de la région thyroïdienne, sérum,
sang
ou lait d'animaux éthyroïdés) ne serait indiquée
mpression dune lésion empêchant, ou du moins entravant l'arrivée du
sang
dans le système artériel. La matité car- diaque
asculaires : capillaires rompus, substance nerveuse « noyée dans le
sang
», sans alté- ration appréciable des cellules n
angage habituel que l'homme élabore de la bile ou qu'il projette le
sang
dans les diffé- rentes parties de son corps, ma
envisage l'homme tout entier quand il s'occupe de l'élaboration du
sang
? J'insiste sur ce point. Je ne connais pas de me
nt, d'une manière importante, les conditions locales de pression du
sang
, la vitesse de circulation de ce dernier, et la t
conjonctives et des vaisseaux capillaires à paroi mince, gorgés de
sang
. On trouve, en grand nombre, des cellules conjonc
x sont distendus par les globules sanguins ; en certains points, le
sang
fait même irruption hors des vaisseaux, et l'on
uffirait à légitimer, ne semble pas apporter d'obstacle au cours du
sang
, qui remplit le vaisseau, dont le calibre n'est
s, ordinairement employée pour la numération des globules blancs du
sang
. Nous avons calculé que cette cellule mesure 5 mi
mple que les erreurs dans nos méthodes denumération des globules du
sang
, mais toutefois, les erreurs dans la numération
ite. La pression était 100 milli- mètres ; le liquide était mêlé de
sang
, et à cause de cela une numération des éléments
du malade est maintenant bon. La numération des globules blancs du
sang
donne un nombre de 10,600 par millimètre cube.
és droites paraissent un peu dilatées ; elles ne contiennent que du
sang
noir sans caillots. Il n'existe aucune lésion v
'altérations. Hypophyses Des capillaires très nombreux et gorgés de
sang
forment des travées radiées qui s'arrêtent à un
ASTINE ET BOUDON es vaisseaux, même les capillaires, sont gorgés de
sang
. En ce qui concerne l'élément glandulaire, il e
vi; la partie relative à l'étude chimique de l'échange matériel et du
sang
revient surtout à M. G. Franchini. 450 ETTORE
échange matériel et de la composition chimique et histo- logique du
sang
analogues à celles qu'on trouve dans l'acromégali
mides il est vrai ; Jacquin (3) voit dans le naevus le « mélange du
sang
menstruel avec la liqueur prolifique », et Aliber
sanguins de la substance blanche fait tomber de grosses gouttes de
sang
. Les vaisseaux sont sclérosés. Le diaphragme es
use par des cellules rondes. Ses vaisseaux sont dilatés, remplis de
sang
; leur paroi est épaissie, infiltrée par des ce
e de la dure-mère une série de petits vaisseaux calcifiés, vides de
sang
. Sur une coupe transversale, ils se présentent so
les. Le foie et la rate sont dans les limites normales. Examen du
sang
. Hémoglobine (Fleischl) 30 ; globules rouges 2.32
e sur l'hypotrophie musculaire par inactivité et sur les examens du
sang
et des urines ; ils n'ont pas donné de résultats'
galie des altérations du pancréas. Passons maintenant à l'examen du
sang
: 576 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI - pré
de montrer qu'il n'est pas exact de parler d'alcalinité à propos du
sang
, qui d'après la théorie des ions doit être cons
éaction neutre. Il est préférable donc de parler de la propriété du
sang
de s'approprier à un degré plus ou moins élevé
plus ou moins élevé les acides de l'organisme. L'examen chimique du
sang
nous a donc donné les résultats suivants : Tabl
trait de pituitaire il y avait une augmentation de la chaux dans le
sang
. Les auteurs en déduisent que la glande pituitair
cutable de l'hypophyse on a trouvé augmentation de la chaux dans le
sang
; nous sommes en conséquence autorisés à admettr
y- roïde, aient une grande importance pathogénique. Le contenu du
sang
en gras est supérieur à la normale, de telle faço
dent aussi dans notre cas; ce n'est donc pas surprenant que dans le
sang
aussi bien que dans les autres organes les gras
'a pas été faite dans le gigantisme. Examen chromocitométrique du
sang
. Rien de spécial aussi bien dans l'acromégalie
n dans l'acromégalie que dans le gigantisme. Examen histologique du
sang
. Acromégalie. Gigantisme. Augmentation fréque
ophilie. 580 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI Examen chimique du
sang
. Augmentation de l'alcalescence du sang. Le
HINI Examen chimique du sang. Augmentation de l'alcalescence du
sang
. Le résidu sec et l'eau sont en quan- tité no
eaucoup d'analogies ; en outre l'examen histologique et chimique du
sang
nous donne dans ces deux maladies pres- que les
sur l'échange matériel, les examens chimiques et histologi- ques du
sang
, tout en somme nous montre un tableau tout à fait
bdominale et en ressortant. Des deux blessures tombent des gouttes de
sang
kid de chaque côté de l'ombilic, et l'ensemble
aussi peu poétiques que possible. C'est ainsi qu'il aime la vue du
sang
et que l'égorge- ment d'un mouton l'emplit de j
, il s'approche de l'animal au moment où on le saigne, recueille le
sang
dans ses mains réunies, le boit chaud et s'en b
e soir est revenu. J'ai faim de chair de femme, Et j'ai soif de ton
sang
... et mon désir se pâme. Il est minuit : je sui
et est plein d'un liquide trouble, contenant de nombreux globules de
sang
. Le diamètre antéro-postérieur du kyste est de
rtrophié. Les vais- seaux sont, par ci par là, dilatés et pleins de
sang
. Les follicules situés à la périphérie de la gl
tion, qui correspond plus Il la mienne. 674 PETREN ET EHRENBERG
sang
, maladie où l'on peut expliquer la répartition ty
es mala- dies nous a fait conclure que les formules cytologiques du
sang
et des autres liquides du corps constituent des
que d'hormones. Sécrétés dans un tissu, ils sont transportés par le
sang
dans un autre organe dont ils excitent les foncti
hormonique qui, par l'intermédiaire du placenta, se répand dans le
sang
maternel et arrive aux mamelles dont elle provoqu
influence de l'acide chlorhydri- que, passerait directement dans le
sang
, sans apparaître dans la lumière du tube digest
t plus vraisemblable que les substances chimiques contenues dans le
sang
doivent jouir logiquement de la propriété d'exc
est acquis à l'espèce et se transmet aux descendants par la voie du
sang
, puisqu'il n'a d'autre effet que de traduire l'
sueur sur toute la face ; les lèvres se recouvrent d'écume mêlée de
sang
. Une émission involon- taire d'urine et de mati
i appartiennent à des fibres lisses ; la veine est distendue par le
sang
. Mais en d'autres points l'infiltration, au lieu
rgence du nerf moteur oculaire commun droit ; gomme de la paroi; le
sang
filtre 1 travers les éléments embryonnaires alt
OLOGIE NERVEUSE. tunique interne est envahie, détruite, et alors le
sang
fuse à tra- vers des éléments embryonnaires, pl
rculeuse des poumons ; le péricarde . renferme" li'rie quantité de*
sang
liquide dont la quantité peut être évaluée1 à l
te, au-dessus de la lèvre inférieure. Le bois a perforé la joue. Le
sang
a jailli'en abondance. Le professeur a été rame
·a-t-il débute, amené lui-même par une circulation delectueuse,du
sang
dans des vaisseaux malades, et doit-il être. cons
iques peuvent être considérées comme l'effet de la rétention par le
sang
des substances toxiques, résultant du défaut de
ômes rares : céphalalgie et vomissements. Genèse. Crase spéciale du
sang
chez une femme grosse, MM pllerv (' ? ). REVUE
au sur toute la hauteur de la moelle. L'autopsie montre en effet le
sang
ensaucissonîîé dans le canal central qu'il a dila
les gaines lymphatiques adventices; quand celles-ci se rompent, le
sang
s'épand dans le tissu ambiant qui, à son tour, se
souvent ecra enieiit,, la,p IÏ o-p 1 ia ut,ie. L'examen clinique au
sang
a ) "k J'l..91 t ? t -' '*I"'d*ii'uti6* 'dé l'hém
il semble démontré que le poison diphthéritique qui circule dans le
sang
peut engendrer directement soit des ramollissem
emier cas, on trouvait une seille poche membraneuse, contenant \ du
sang
fluide; sans aucune trace'de caillot organisé;
as,' il ' existait deux poches membraneuses, la gauche contenant du
sang
fluide, la'seconde ne renfermant que du sérum l
oche gauche, et rien n'indiquait qu'elle eût été en contact avec du
sang
épanché : on peut bien à la vérité objecter que l
i était-elle plus mince et plus délicate que celle qui contenait du
sang
? Pourquoi même existait-il une poche ? Pour- q
t-elle qu'un sérum limpide ? Et pourquoi n'y avait-il plus tracé de
sang
? ? ,il ' '' ' ' , it, Au point de' vue cliniqu
augmentation de lence de la matière infectante,' car la rate et'le
sang
des animaux morts au bout de peu de temps, inoc
GIE PATHOLOGIQUES : ° après l'inoculation d'une quantités minime de
sang
. L'exaltation de la virulence ne se;maintient p
ut opposées d'anémie céré, brale1."1 A'la suitéedegïan'despertes de^
sang
/dans l'inanition, après'" des jeûnes /prolongés
-autre côté, puisqu'il suffit d'un écart de régime, d'une, perte de
sang
, d'unTJeunedequelque durée,kde l'ingestion de,
idives ? a P £ »[mio C est par 1 intermédiaire d une altération; du
sang
que.Ieimiasme palustre paraît produire ,cettef
EELE. '8 ,, L n t ye ? 750 ? Y - S-... ', z L'auteur a examiné le
sang
de douze malades mélancoliques et cette analyse
la mélancolie puisse ne pas être causée'parun appauvrissement du
sang
, un tel appauvrissement' très invariable'- existe
dé sa femme qui' gisait sur le parqueti au milieuod'une mares de
sang
. M-0 V... était; depuis 1 ongteiiip ? hantée par/
es de la subs- tance grise; les veines sont dilatées 'et pleines de
sang
; çà et là, autour d'elles, on remarque de véri
t .11, -1 ? 1.1 -1 ? ? ./On, i " ? d ? -lui, j 1 par le nez et du
sang
. clair, et en caillots qu elle rendit par les p
y dés dûrèté`z`dë'seiri'pai-°la''coilféssiôn;"ârresté des pertes de
sang
par l'eorcisrrie,'=faict``céssér désenffùrès de
'a'qu'un seul agent qui puisse jouer un rôle aussi'rapide,'c'est le
sang
dès vais- seaux cérébraux, soit qu'il y ! ait c
rficiels de la dure-mère une' transsudation des éléments fluides du
sang
. Quelquefois même il se fait de petites hémorrhag
ondantes, leur volume varie d'une tête d'épingle à un pois aussi le
sang
est-il aisément retenu par la membrane fibri- n
substance grise,; ou la surface. se,, trouve^en.) contact avec du,
sang
chârgé,,d'oxy=ène ? ils'élahlit, progressivémen
ulosta21ce grise, siège de la.combus- tion, emprunte sa^ couleur au
sang
, qui, s'étend jusqu'à la profon-, deur de la me
régulateur de pression, et qu'il'constitue la voie;par laquelle le
sang
se débarrasse d'un'grand nombre de poisons. : CUa
strait lentement en même temps que , d'autres liquides provenant du
sang
, te résultat '.serait , un ..collapsus* accompa
t aussi le procédé employé. Le massage général accélère le cours du
sang
et de la lymphe, favorise-les échanges nutritifs,
physiologie' générale1 et là physiologie des muscles, du cceur, du
sang
, de la peau et des viscères, sur la cha- leur a
avec délire des 0 qnégations, par Séglas et Sourdille, -\ 46 ; le
sang
dans la , par Steele, .' 288; aiguë avec,tentat
s a des attaques d'hystérie s accompagnant toujours de crachements de
sang
et qui, maintenant, reviennent presque quotidienn
nt, il est pris d'un hoquet et rend, sans effort, quelques gorgées de
sang
. Cet état dure deux minutes et les grandes convul
me par régurgitation, en deux ou trois fois, environ un demi-verre de
sang
rouge, légèrement spumeux. Il souille sa chemise
ent spumeux. Il souille sa chemise et sa poitrine. Ordinairement ce
sang
est projeté contre le mur auquel son lit est ados
rs précédents, il s'était plaint d'avoir des étouffements. « C'est le
sang
qui m'étouffe, disait-il, j'ai besoin d'en rendre
taques. « Seulement, lui dis-je. si vous avez des étouffements. si le
sang
vous gêne, vous pourrez en rendre un peu le 16 ja
seulement, le 16, dans la matinée, il rendit environ un demi-verre de
sang
sous forme de vomique. mais sans la moindre crise
Conférence, au palais du Trocadéro, par M. le docteur Hénocque: « Le
sang
, sa composition, son analyse. » Jeudi 8, à 3 he
ôte En même temps une femme qui..depuis douze ans. avait une perte de
sang
, sa'approcha.de lui par derrière. et toucha le. B
abondantes. Elle avait depuis huit jours perdu une telle quantité de
sang
que sa vie était en danger et qu'elle n'avait plu
, réveillée, écrit le lendemain à M. Bérillon qu'elle a mangé, que le
sang
s'est arrêté des notre départ. Nous allons lavoir
ille. Si l'opérateur a l'air de se donner beaucoup de peine, s'il sue
sang
et eau pour endormir son sujet, celui-ci peut se
ton, Canada), dans cette fête si cordiale, ne peut oublier qu'il a du
sang
français dans les veines, que le Canada est une a
il ?? battu, lui a donné un coup de poing sur le nez, si bien que le
sang
a jailli. Vous étiez là » . Je réputé une seconde
, se précipitant sur lui, lui appliquant un violent coup de poing, le
sang
coulant du nez, la sœur Claire et lui-même accour
coulant du nez, la sœur Claire et lui-même accourant pour arrêter le
sang
, etc., etc. J'ai beau lui dire alors que ce n'est
vu qui donnait un coup de poing sur le nez de Charles, si fort que le
sang
a jailli. ». — « Qui est-ce qui a commencé ? » —
uels on ne peut absolument rien et qui naissent avec le crime dans le
sang
. Mais beaucoup de criminels seraient éducables.
motrice qu'est dû le phénomène. L'artère est rétrécie ; l'apport du
sang
est moins considérable et le refroidissement beau
ents de femmes-soldats, ou laire flotter son canot sur une rivière de
sang
humain. L'effet d'une telle situation sur le ca
hlak, nous dit-il, aimait surtout à taire des présents et à verser le
sang
. A la porte de son palais, on voyait toujours que
it complètement dépourvu de pitié ». Il hésitait si peu à répandre le
sang
qu'on aurait pu croire que son but était d'exterm
da que le souverain était tenu à dédommager la partie adverse pour le
sang
qu'il avait versé, et la sentence fut exécutée. D
rt, et qu'ils n'avaient aucun droit à vivre, ni à se plaindre de leur
sang
répandu, en ce monde ou dans l'autre. Ils écrivir
dent la mort, par la loi du Koran : les apostats, ceux qui versent du
sang
Musulman et les doubles adultères ». Le roi dit :
d (1). « Ça été la coutume dans les temps précédents de répandre le
sang
des Mahométans dans les circonstances futiles, de
vaisseaux du cerveau et remplit la tète d'une trop grande quantité de
sang
: de là l'écartement des parties. la douleur, la
« — Apoline que fais-tu là? « — Je suis ici pour mon chef, pour mon
sang
et pour mon mal de dents. » « Apoline, retourne
on mal de dents. » « Apoline, retourne-toi ; si c'est une goutte de
sang
, elle tombera, si c'est un ver, il mourra. » «
des arguties qu'un médecin n'a pas plus le droit de laisser couler le
sang
d'un blessé,lorsqu'il peut faire la ligature de l
e anxiété. Il dit que le chien est là. qu'il sent sa morsure, que son
sang
coule : il en parle froidement et d'un air indi
nt de folie. Et. en effet, bien des testaments portant l'empreinte du
sang
froid, d'une volonté sérieuse et d'une grande luc
tou» tes jours des hémorragies de ta peai; tout A coup des jouîtes de
sang
s'écoulent, une petite plaie se forme, elle est l
use, enflammée pendant un ou deux jours; puis l'épidcrmc s'enfeve, le
sang
sort par gouttelettes c* une excoriation se forme
e sa crédulité, d'imaginer les pires comédies, de se frapper jusqu'au
sang
et de se livrer à des exercices de ventriloquie q
apporté des cas où, quand leur exaltation tombe, dès qu'ils voient le
sang
, alors ils s'évanouissent. Dans tous ces cas, i
e du sommeil. Le sommeil dépendrait d'une modification de l'afflux de
sang
au système nerveux central, lequel entrerait dans
uirait une contraction des vaisseaux, laquelle diminuerait le flux du
sang
vers le cerveau (1), et réciproquement, tout ce q
st vrai qu'ici la fusion intime des systèmes circulatoires amenait un
sang
peu oxygéné dans le cerveau de celle qui était év
ouffle insensible, le pouls ne bat presque plus et la circula-lion du
sang
s'est grandement rallentie. Le travail de reconst
aissé ; toutefois la perte de chaleur est atténuée par le fait que le
sang
se retire de la périphérie dans les vaisseaux sit
ait de respirer. Bientôt je rendis des crachats sanguinolents puis du
sang
pur. Je pris (car j'en avais sous la main) une pi
de cerf, ce qui me fit diminuer la douleur, puis après un drachme de
sang
de bouc. Le quatrième jour le crachement de sang
après un drachme de sang de bouc. Le quatrième jour le crachement de
sang
cessa ; une petite toux rare persista cependant a
i, ne peuvent se putréfier dans un organisme vivant. II a distillé du
sang
, il peut l'affirmer. Et Galien se trompe étrangem
affirmer. Et Galien se trompe étrangement quand il dit que lorsque le
sang
se putréfie, il devient de la bile. Puisque la
st changé en vinaigre, tout vif argent en or, tout œuf en poule, tout
sang
en ultime aliment. » C'est encore un ferment qu
luie qui lui a servi de point de comparaison. Enfin, il distille le
sang
et y trouve un esprit volatil et salé analogue à
aire, de sorte qu'à côté de l'anémie cérébrale par défaut d'afflux du
sang
artériel, il convient également de compter avec l
es horribles serpents. En voici une autre qui respire la flamme et le
sang
; elle dirige son vol vers moi, portant ma mère en
nfant tombe à la renverse et, en expirant, il couvre le marbre de son
sang
. Hercule pousse un cri de joie, et d'une voix tri
oment, l'infortuné, d'un bien triste sommeil, après s'être souillé du
sang
de ses enfants et de sa femme. Je ne crois pas qu
tive, mais faible encore. Pour donnera Dieu quelques gouttes de son
sang
elle se liait les doigts et s'y plantait des aigu
'heure même donation de son sacré cœur « qu'il me fit écrire avec mon
sang
et me dicta lui-même » ; je le signai ensuite sur
ne savait pas que le cœur n'est que la pompe aspirante et foulante du
sang
dont les artères et les veines sont les tuyaux. O
s pendant lequel la température a agi. Si l'on inocule à un animal du
sang
charbonneux chauffé à 50° pendant 8 minutes, la m
sente, et Jésus-Christ imprime sur ce cœur sa face divine couverte de
sang
et de plaies, comme on graverait un cachet sur la
ébarrassées de leur enveloppe matérielle et entraînées par la voix du
sang
, retourneraient à la source suprême de toute éner
t enfin : parle au nom du maître de la création qui a fait l'homme de
sang
condensé. L'idée monothéiste apparaît déjà en c
a position de la tête appuyée pendant le sommeil, d'un seul côté ; le
sang
afflue dans les parties déclives, la circulation
e rechercher une autre cause physiologique du rêve, que cet afflux du
sang
dans certaines parties du cerveau et des bourdonn
ux. On peut admettre qu'il est de deux ordres : 1° le passage dans le
sang
de certaines toxines do fermentation qui ont une
contre-coup de marteau, aurait été pris d'un violent crachement de
sang
) ; elle était en assez bons termes à ce moment
tous les mois ou toutes les six semaines. - On lui a fait boire du
sang
de boeuf (il y a quatre mois), les accès sont dev
ture du crâne). Observation. - Père alcoolique, mort d'un coup de
sang
. - Grand'mère paternelle hémiplégique. - Oncle
ier 1881). - Père menuisier, mort en 1862 à 55 ans « d'un coup de
sang
» ; vigoureux, intelligent; excès alcooliques aya
d'absin- the. Au mois d'août 1880, il fut pris de vomissements de
sang
, survenant sans efforts, pendant son travail ; le
rts, pendant son travail ; les ma- tières rendues étaient tantôt du
sang
pur, tantôt du sang mêlé à des caillots qui, di
vail ; les ma- tières rendues étaient tantôt du sang pur, tantôt du
sang
mêlé à des caillots qui, dit-il, avaient de la
caillots qui, dit-il, avaient de la peine à sortir; la quantité de
sang
rendue à la fois dépassait souvent un verre. Pe
e solitude à mesure que l'attaque approche. 2° Aura immédiate. Le
sang
remonte à la tête, les tem- pes battent, l'orei
ge et l'arra- che ; on l'arrête, il se débat et se met à cracher du
sang
abondamment. On le porte à l'infirmerie; une fo
it s'il était gonflé), les lèvres couvertes d'écume sanglante et de
sang
. On le conduit au gymnase, les bras toujours ro
mais, dès les premiers spasmes, il rend quelques cuille- rées d'un
sang
rutilant qui ne vient pas de la bouche, comme o
il dit : « Lorsqu'on l'exorcisait, elle jeta une grande quantité de
sang
par la bouche, sans qu'elle en tombast pour l'h
agne. Les jours suivants, l'obsession continue, Mme C... se sent le
sang
à la tête, des palpitations de coeur; il lui se
nnées unastomotiquesperinetteut de com- prendre comment le cours du
sang
dans l'intérieur de la moelle est constant et c
pression exercée dans la cavité cérébelleuse entravera le cours du
sang
. Ces faits s'expliquent par l'hypothèse suivant
g. Ces faits s'expliquent par l'hypothèse suivante, à savoir que le
sang
de la portion cervicale et dorsale supérieure d
u transsudat d'hémostasie, d'au- tant plus accentuée que l'arrêt du
sang
est plus notable. Lorsque la masse gélatineuse
qu'il se sentait poussé à tuer son petit frère, pour voir couler du
sang
. Le fond de cette histoire, qui a fait tant de br
t de nez, il se sentit attiré par le désir de voir encore couler du
sang
, et profitant de l'absence de sa mère, il renve
se produisit, le jeune malade se sentit poussé à aller ramasser le
sang
pour s'en frotter les mains. « Je veux tuerie p
toutes les questions posées à son arrivée. « Je veux voir couler du
sang
, répé- tait-il sans cesse, il n'y a que cela qu
s incisions pourdécouvrirle cerveau donnent issue à une quantité de
sang
qu'on peut évaluer à près desdeux tiers d'un verr
nière blanche, sur laquelle sont inscrils ces mots en lettres de
sang
: Joie, honneurs, richesse. Ils s'avancent vers m
atoires, est dû purement et simplement au défaut d'oxygène clans le
sang
qui arrose le bulbe; 2° dans la respiration nor
ve inférieure, à la base des dents, un suintement incessant' de '
sang
noirâtre ! La' lingue est 'épaisse,' peu- mobile,
ndues plus vives encore par le moindre mouvement. L'écou- lement du
sang
par le bord libre des .gencives est incessant;
ulcérations noirâtres, par lesquelles suintè-sans cesse' un peu' de
sang
. f'·t9tn,>'` ·''mm-'(tr1h111 ,,ltrl· ? tI 1,
;"[ ? I lu/'i'1 41 v W t1n17a ? f . . L'examen, microscopique., du,
sang
montre une modification 'V i J. i-ij^L^j 'faJUJ
t,rplus abondante qué les,joürs prëé(lelits ? le maldéllà rempli de
sang
plusieurs crachoirs.' T.37j°,2; pouls, ti.J·,1 r
dli- portées jusqu'au travaille M.' l'arrot (Etude sur, la sueur de
sang
et les IECf)20t't'IL(IJZCS RCUI'Ol)rltlt jttgsc
, qu-otidicii, de photophobie,' de rougeur et de' I larmoiement' de^
sang
,' accidents qui' disparaissent'au bout' de huit
mais, après maints tâtonnements, il finit par prononcer le mot «
sang
». Sa femme pensa qu'il s'agissait d'une saignée
osé à la Société médico-psychologique une Étude sur l'Altération du
sang
dans le délire aigu qui lui a valu une récompen
expose les motifs qui l'ont amené à penser à un état infectieux du
sang
; ils sont puisés dans l'analyse des symptômes
démontrées dans l'autre. L'examen des modifications qualitatives du
sang
précède celui de leur cause. L'auteur expose se
précède celui de leur cause. L'auteur expose ses recherches sur le
sang
au point de vue de la diminution de nombre des
blissement que se rencontrent surtout ces lésions qualitatives s du
sang
. « Quelle est la cause de ces altérations ? C'e
tissu conjonctif de l'intestin dans les infarctus du rein, dans le
sang
des vaisseaux de la main, dans les capillaires
t qu'aucun de ces organismes parasitaires ne se rencontrent dans le
sang
à l'état normal. L'auteur, sur sept cas de délire
ar jour les résultats de l'analyse qualitative et micrographique du
sang
sont opposés aux symptômes. Le candidat ne s'es
er les expériences faites sur le surmenage chez les animaux dans le
sang
desquels les mi- crobes ont été constamment con
eints de délire aigu, il ne pouvait constater leur présence dans le
sang
des autres aliénés placés à la même époque dans
ation du', pho- nétique par le sens du toucher), 257. Larmes de
sang
, par Damalix 353. Localisation dans les centres
lande thyroïde ne leur donne que bien peu de sa substance. C'est le
sang
qui fait les frais de tout ; et nier que la .pa
st le sang qui fait les frais de tout ; et nier que la .pauvreté du
sang
entraîne un retard quelconque dans le développe
être subordonnée, dans une large mesure, à la libre circulation du
sang
, qu'on appelle couram- ment, non sans raison, l
oissance, obéit à une influence tout autre. Bref, la circulation du
sang
est une condition néces- saire au développement
il ne s'est pas transformé en homme, ce n'est donc pas parce que le
sang
lui manqua, ni cette stimulation trophogène du
ce. C'est bien autre chose qui lui a fait défaut. La circulation du
sang
offre tout simplement la matière première, mais
e qui actionne et dirige la matière, apportée par la circulation du
sang
, dans le développe- ment individuel, qui modèle
dans des cas rares, il semble que, sous l'influence continuelle du
sang
asphyxique, une extrémité entière s'agrandit d'un
sant sécrétion interne, c'est-à-dire la faculté de déverser dans le
sang
un produit, absolument nécessaire pour le dévelop
ous les symptômes acromégaliques au même facteur : à l'infection du
sang
et des tissus par des produits chimiques ; acide
; acide carbonique, toxines de la syphilis, composition altérée du
sang
par suite d'une fonction glandulaire in- suffis
rne, qui, à son tour a mené à une altération dans la composition du
sang
et d'autres sucs, qui chimiquement, ou, ce qui
rculose latente, des produits chimiques (toxines) circulant dans le
sang
, agissent sur certaines parties du corps, en gu
dépressible, difficile à percevoir. La numération des éléments du
sang
donne : hématies, 2.820.000 ; leucocy- tes, 4.5
ion radiale à peu près normale, égale 14. L'examen microscopique du
sang
donne : globules rouges, 3.870.000, globules bl
otain. L'anémie constatée dès l'abord, est vérifiée par l'examen du
sang
; il existe ? 550.000 globules rouges au millimèt
r globulaire est de 0,70 à l'hémocliromountre de Hayem. L'examen du
sang
sur lames montre l'absence de tout élément anor-
écembre 1889. 166 RUDLER la maladie fût relativement ancienne, le
sang
n'avait subi aucune modification notable ; la p
tissu plus ferme. Par cette ouverture s'échappait un petit filet de
sang
. , Le cerveau a été débité en coupes sériées ;
vasculaires sont occupés par des amas de cellules cancéreuses ou du
sang
. Bientôt il ne subsiste plus qu'une fine bandel
ujet le coeur était en état d'atrophie manifeste et pesait, vide de
sang
170 grammes ; les parois du ventricule gauche ava
as eu d'ictus, elle n'avait pas de phlébite, elle n'a pas craché de
sang
, mais « elle est morte vivement » ; c'est tout
l'iodure de potassium, de sa propre autorite « pour se purifier le
sang
». Il ne dit d'ailleurs pas quelle cause exacte l
tre des pédoncules avec la protubé- rance est légèrement teintée de
sang
. OBS. II. Auz..., âgé de 47 ans, est un malade
nt des granulations grosses et fines de myéline, et des globules de
sang
. Dans les deux bouts de la sec- (1) STROEIJE, Z
ent une accumulation con- sidérable de leucocytes et de globules de
sang
. Dans la substance grise, même dans cette masse
ussi des cellules spongieuses, des lym- phocytes et des globules de
sang
. Plus bas encore, on rencontre de grands vais-
. Il a même refusé de se laisser piquer le doigt pour recueillir du
sang
dans le- quel nous nous proposions de recherche
paroi vasculaire ; ces vaisseaux sont de petite dimension, gorgés de
sang
, ne présentent aucune inflammation et leur paro
Il n'existe aucun signe clinique de chloro-anémie. ' L'examen du
sang
fournit les données suivantes : Globules rouges
des selles dîarrhéiques, entremêlées par périodes de glaires et de
sang
. Les côlons sont légèrement douloureux. L'appar
de chromatolyse ; les vais- seaux, largement perméables, pleins de
sang
, présentent un léger épaississe- ment de leurs^
don latéral. Les vaisseaux sanguins largement perméables, pleins de
sang
, présentent peut-être un léger épaississement d
t largement perméables, les veines plutôt dilatées, sont pleines de
sang
. OBs. VI (no 755). Mal de Pott sans gibbosité,
inges molles que dans la moelle elle-même et, en.général, pleins de
sang
. 522 ALQUIER Dans tous les cas, le canal épen
suite, dit-il, de l'évacuation par l'anus, d'une grande quantité de
sang
et de pus. 5 mois après le début, il fut admis
légère des cellules nerveuses, les vaisseaux sont dilatés, pleins de
sang
. Ces. XIII (n° 798). Mal de Poil dorsal chez un
oelle, sclérose des méninges molles. Vaisseaux largement remplis de
sang
, plutôt dilatés. Lésions dégénératives diffuses a
ant de nombreux vaisseaux sanguins artériels et veineux, remplis de
sang
, et largement perméables ; en dehors de la dure-m
ule cérébelleux inférieur droit, en même temps qu'on voit un peu de
sang
diffusé entre ses fibres. Les coupes transversa
ccident, je gardai le lit pendant neuf mois, j’eus des crachements de
sang
, et le traitement à l’eau froide ayant été appliq
es taches bleues sur le visage; le onzième, un violent regorgement de
sang
; le douzième une crise, avec raideur cataleptique
ambes se paralysent ; j’eus alors une toux violente, un crachement de
sang
continuel, dix à douze syncopes par matinée, avec
(Xole de I* rédaction.) plusieurs jours, elle a des crachements de
sang
. Le magnétisme continue deux fois par jour, une s
rd’hui frais et l iant. 2 mars. — Expectoration fortement striée de
sang
. 5 mars. — La malade annonce, sous le sommeil,
** ait eue pendant toute sa vie) ; elle perd environ deux livres d’un
sang
très-noir et épais. 6 mars. — Le soir, douleurs
rofonde, à la suite de laquelle surviennent plusieurs vomissements de
sang
(ce que la malade appelait des regorgements), qui
t fourni, dans l’espace d'une demi-heure, au moins un demi-litre d’un
sang
rouge foncé et spumeux; le soir, douleur vive à l
e, la malade, interrogée à ce sujet, dit : « Je cracherai encore du
sang
; depuis le dernier accès de toux survenu à quatre
2S mars. — Douleurs de tête, saignée du bras d'une livre et demie. Le
sang
est de bonne nature. La céphalalgie diminue seule
ol de.l’utérus, en nous aidant du spéculum. Elles ont fourni peu de
sang
; après l'application des sangsues, une première c
i déroula ses nombreux anneaux et entr’ouvrit sa gueule d’un rouge de
sang
. « Ici encore la peur nous domina. Ce fut une d
, renonçant au mépris avec « lequel elle accueillit la circulation du
sang
, la transfusion « des métaux, l’antimoine, l’élec
ue de mon moyeu, j’eus la satisfaction de voir la plaie, suinter un
sang
vermeil, et à partir de ce moment il recouvra le
Je lui demandai si elle voyait ce qu’il fallait faire pour arrêter le
sang
. « Je ne vois pas. » Appliquant ma main à pla
stéthoscope. Cette particularité, qui est un indice de la pauvreté du
sang
, coïncide très-souvent avec la pâleur des gencive
ius disent qu’on guérissait les épileptiques en leur faisant boire du
sang
tout chaud de gladiateur égorgé. A part les vertu
nutritives du caillot, je ne vois dans ceci qu’une chose : Y aura du
sang
, le magnétisme qu’il contient... c’était comme de
oup de poing sur le mollet ; une autre fois, qu’on le piquât jusqu’au
sang
avec une aiguille ; tantôt en réclamant l’applica
règles. » Le premier médecin qui observa une irruption anormale du
sang
menstruel se faisant jour par les oreilles, par l
mis à une tractibilité féline, le sujet était effrayant à voir, et le
sang
eût coulé si l’effet produit n’eût été suspendu p
ainsi d’une manière inconcevable, aussi simple que la circulation du
sang
déclarée impossible et antiscientifique dans son
e lui rappelle ces terribles histoires ; on 11e se doute point que )e
sang
humain ruisselait en Y honneur du diable, et que
esprit en repos? Je ne puis rien sentir sans le bouillonnement de mon
sang
; jusque-là je vois le mal avec indifférence; mais
partie spirituelle, celle par qui la matière s’organise en chair, en
sang
, en mille fluides différents qui font et feront t
s hommes s’excitera au carnage.... partout des hécatombes, partout du
sang
répandu en honneur de faux dieux, partout des bla
re qui s’établit. Voici de nouveaux dieux, créations éphémères.... Du
sang
en leur honneur.... pourtant ces dieux sont mécha
iècle.... L’Inde, l’Égypte, Rome et les Gaules ver-sentie plus pur du
sang
humain.... Je suis saisi d’effroi! — Ne crains
e vois des empires détruits, des royaumes disparaître... un fleuve de
sang
coule jusqu’àmes pieds.... Oh! faites cesser cett
s la retrouvons souvent; elle est venue s’opposer à la circulation du
sang
, à la vapeur, au magnétisme vital, partout enfin
er totalement. Tous les malins, vomissements de pourriture mêlée de
sang
. Ne consultant que mon dévouement, je fis ce qu
sez donc des statues à Para-celse, à Van Helmont, ù vous qui lisez de
sang
froid les élucubrations facétieuses des faux sorc
al durait depuis dix mois, et Mme P..., perdant chaque jour un peu du
sang
qui lui restait, attendait avec résignation sa fi
nze minutes, dans l’intention bien soutenue d’arrêter l’écoulement du
sang
._ « Dès la première séance la malade sentit dan
térisés par la pré- sence d'un grand nombre de protozoaires dans le
sang
périphérique, lorsque le parasite se localise d
ie trés accentuée. L'inoculation du liquide céphalo-rachidien et du
sang
périphérique de ce malade à des cobayes, a révé
énergique ; cependant toujours très nerveux. Point de crachement de
sang
, de toux, ni de maladies vénériennes ; usage mo
ns auparavant, maladie des reins ; pas de toux, pas de crachements de
sang
. Enfants bien portants, sa femme n'a eu ni faus
urait eu tendance à se fixer peut disparaître sous l'intrusion d'un
sang
étranger, dans les familles dynastiques et surt
r degré de sclérose ainsi que des capillaires dilatés et remplis de
sang
. Les cellules sont pour la plupart éosino- phil
franchement spongyocytaire. On observe des capillaires injectés de
sang
. Le pigment n'est pas abondaut. La médullaire c
al, ainsi que l'examen laryngoscopique ; la réaction de Wassermanu (
sang
) est négative. On ne peut donner un jugement ce
dernière, les caractéristiques à la charge des organes internes et du
sang
. Rien donc ne pouvait déposer pour l'infection
ulation du liquide. Selon l'expérience de cet auteur, aussi bien le
sang
que le liquide cérébro-spinal ne présentaient l
faiblement. Les vaisseaux de la pie-mère sont distendus et gorgés de
sang
. Troisième cas. G., juif, âgé de 40 ans, entre
on qu'ils ont constaté les vaisseaux tantôt vides, tantôt gorgés de
sang
. Wollenberg a noté que cer- tains faisceaux des
ans tous nos propres cas les vaisseaux étaient dilatés et gorgés de
sang
, surtout dans le second cas. Quelques vaisseaux
ns appartenant à ces cas on pouvait même observer un épanchement du
sang
entre la substance médullaire et la pie-mère, d
mentation des sels phosphatiques. L'examen chromocytométrique du
sang
a donné une diminution du nombre des hématies (
bumine ni réaction cytologi- que. La réaction de Wassermann dans le
sang
fut trouvée fortement positive. La malade fut s
e ni albumine dans l'urine, qu'il n'y a ni cylindres ni caillots de
sang
blancs ou rouges et que la quantité d'urine, me
spécifique. Il n'y a rien d'anormal au fond de l'oeil. L'examen du
sang
montre aussi qu'il n'y a rien d'anormal, qui puis
equel se trouvent des vaisseaux très nombreux, dilatés et gorgés de
sang
. Sur toute l'étendue il y a une infiltration des
d'urée contenue dans ce liquide est égale à celle contenue dans le
sang
. Il n'y a donc pas urémie au sens propre du mot
au sens propre du mot, ce terme signifiant rétention d'urée dans le
sang
elles hu- meurs. Etant donné que nous pouvons
coagulum fibrineux massif. Réaction de Wassermann négative dans le
sang
et le liquide céphalo-rachidien. SUR LU SYNDROM
tuméfaction. faite deux reprises, n'a rendu que quelques gouttes de
sang
.... On ne constate nulle déformation de la colonn
chidien représente le même phénomène que celui qui se passe dans le
sang
après toute émission sanguine. Une substance al
n de ces éléments permet l'invasion dessubstances albuminoï- des du
sang
clans le liquide céphalo-rachidien. En première l
est vrai qu'en de telles circonstances presque tous les éléments du
sang
envahissent les espaces sous-arachnoï- diens, m
tre ces chiffres et les quantités notées par Moral et Doyon pour le
sang
(1 gr. 18; 2 gr. 15 pour le chien), nous montre q
rachidien surpasse dans ces cas pathologiques le taux de fibrine du
sang
. Au point de vue du mécanisme de l'épanchement
méningée, rendant au liquide céphalo-rachidien tous les éléments du
sang
, mette en liberté aussi le fibrinogène. El pour
, àcausedeJ"augment¿ltion du nombre des polynucléaires, de celle du
sang
, enfin les lésions des vaisseaux méningés, trou
chnoïdien n'étant pas tout à fait coin-' promise, la coagulation du
sang
peut-être écartée. Sicard et Descomps. admetten
elle attire dans une solution solide feste Losung) le fibrinogène du
sang
, et parallèlement le passe au liquide céphalo-r
rine surpassent de beaucoup les autres subs- tances albuminoïdes du
sang
et quant-au syndrome de la coagulation massive,
s général, dans laquelle viennent s'accumuler les éléments issus du
sang
(par voie trans- sudative ou hémorragique) ;
rent les curieuses recherches du célèbre Harvey sur la circulation du
sang
? (1) Rapports du physique et du moral de l'bom
lui, dans les vertus magnétiques de la momie ou esprit balsamique du
sang
. H.-C. Agrippa faisait résider dans l’eau le ge
colas de Locques un traité fort curieux sur les vertus magnétiques du
sang
(i). • Quoique l’esprit magnétique ou la momié du
assigné* » (1) Rudiments de la Philosoph. natur. — Vertus natur. du
sang
. (2) De Magne te, magnet.que corp. (3) Magnel
aussitôt que le chien se présente devant lui, il éprouve un raptus de
sang
à là tête, si bien qu’il l’a fait éloigner et qu’
t une atmosphère nerveuse qui serait entretenue par la circulation du
sang
; car ces filets nerveux s’arrêtent à l’endroit d
et retombait avrc le diaphragme. On a pensé que sans l’évacuation du
sang
, la pulsation aurait pu avoir lieu. On a touché e
4). M. Andral (5)est convaincu que la sensibilité s’épuise comme le
sang
, et que cette perte peut occasionner la mort comm
de Pathol. générale. (6) Dictionnaire de Médecine. nerveux sur le
sang
, el réciproquement du sang sur l’agent nerveux.
Dictionnaire de Médecine. nerveux sur le sang, el réciproquement du
sang
sur l’agent nerveux. Nous lisons dans un ouvrag
s les lois dé la A&luttè, il doit, comme I«b -antres fluides k le
Sang
, par èxetüpie, se modifier suivant chaque organis
me lui" même; dans un frère, on lui fil souvent voir un ennemi, et le
sang
inonda le soi que ses sueurs avaient hWWft^i in6B
rvir, Monsieur, détend les nerfs, calme les muscles, fait circuler le
sang
plus régulièrement dans les veines, assouplit les
régiments formant environ mille hommes ; les princes et princesses du
sang
; les ducs, comtes, barons, chevaliers; les dames
es prêtres de èette religion portaient le mouton et le cabri, dont le
sang
mélangé devait servir â préparer le wangha. « A
alors que l’on a égorgé les trois animaux, que Soulouque a bu de leur
sang
, et qu’il a fait, avec, les signes cabalistiques.
’a tortillé les genoux; il m’a tant martyrisée, que j’en ai craché le
sang
pendant toute la nuit, il m’a prescrit de manger
étaient persuadés que nos maux viennent de notre seule ignorance, le
sang
ne serait plus versé, et la vraie fraternité régn
chée, Oui parle avec le crime, et dit tout lias: • Celte voit, de
sang
est tachée.... ! » .le suis ce feu sacré qui mè
jet des trois étages de caves, et par là fait découvrir des taches de
sang
inaperçues jusque là... Ils se réjouissent surtou
ose si ce n’est d’apporter des aliments que la digestion décompose en
sang
et la respiration en chaleur? Et ce sang, et cett
ue la digestion décompose en sang et la respiration en chaleur? Et ce
sang
, et cette chaleur ne sonl-ils pas les éléments
d secret de la médecine était renfermé dans les vertus magnétiques du
sang
. « L’esprit magnétique du sang, dit Niocolas de
fermé dans les vertus magnétiques du sang. « L’esprit magnétique du
sang
, dit Niocolas de Locques (3), n’est autre chose q
1) Aphor. de Mesmer, 285-28G. (2) Aphor. 309. (5) Vertus magn. du
sang
, p. 45. (4) De la cure magu. des plaies. la p
moitiés de la calotte crânienne. - Dure-mère saine; sinus gorgés de
sang
noir. - Les circonvolutions sont marbrées de pl
eur désassimilation n'avaient pas été repris immé- diatement par le
sang
; la première théorie nous paraît la plus vraise
agissent réellement qu'en ? se combinant aux matières albuminoïdes du
sang
et surtout Ides tissus, soit que cette combinai
e 15 ans. A la seconde menstruation, ignorant que cet écoulement de
sang
était naturel, elle se baigna dans une fontaine
ents que cette substance apporte dans les éléments qui composent le
sang
, comme l'a fait avec tant de précision M. Cl. B
ventre ; elles sont encore assez irrégulières, peu abondantes, elle
sang
est peu coloré; jamais de ménorrhÓ1giu, Intelli
ulation mais aussi, selon toute probabilité, dans la composition du
sang
: les changements si remarquables qui survienne
t comme si elle eut été sa fille. On lui fit prendre des bains de
sang
et bientôt elle put marcher (6 ans). Jamais elle
paralysie. Un frère, curé, a succombé en deux heures à un « coup de
sang
. » Sa mère, tisserande, n'a jamais offert d'acc
plus, à partir du mois de mars 1868, elle eut des vomisse- ments de
sang
, quelquefois très-abondants : ils étaient presque
la première fois, on relire, en la sondant, des urines mélangées de
sang
. 10 octobre. Chloroformisation sous l'influence
sujet dans les mémoires sui- vants : Parrot, Etude sur la sueur de
sang
et les hémorrhagies ¡¡évropa- thiques. Paris, 1
rhagies ¡¡évropa- thiques. Paris, 1869. - Ferran, Du vomissement de
sang
dans l'hystérie, Paris, 1874. - Bourneville, Lo
ts en contenaient 3 gr. 699. Or, cette urée s'amassait-elle dans le
sang
? Ici encore, M. Gréhant donna la solution du p
le sang ? Ici encore, M. Gréhant donna la solution du problème : le
sang
d'Etch....' contenait exactement la même quanti
s permettent de reconnaitre un grand nombre de vaisseaux remplis de
sang
et dont la paroi est épaissie. La moelle présen
Vaisseaux nullement athéromateux. Le canal rachidien est rempli de
sang
fluide en dehors de la dure-mère, au niveau des
- sclérose généralisée, les artères sont suffisamment pourvues de
sang
à l'état de repos, mais insuffisamment à l'état d
ul atteint : ces subs- tances ne sont donc point de purs poisons du
sang
; 2° l'alcoolisme antérieur renforce la récepti
an dormait... La jus- tice saisit une bûche et une hache pleines de
sang
, la première près de la porte, l'autre sur le l
semblent s'ignorer. Simoun. ' IV. Numération des globules blancs du
sang
dans quelques cas de paralysie générale ; par C
odes de la paralysie générale. L'auteur procédait au prélèvement du
sang
par ponction du lobule de l'oreille. Analyse de
ou- gir qui suffisait parfois, non toujours à,provoquer l'afflux du
sang
au visage. A partir de 1889 (date qui marque
état neutre. Le choc se produit. Une bouffée de chaleur, un flot de
sang
au visage. Mon coeur bat fort et vite. Je l'ent
e à un regard particulier des hommes suffisait à me faire monter le
sang
aux joues en un clin d'oeil et à provoquer l'an
s duquel je devais passer, alors je ne savais plus me contenir : le
sang
me montait au visage et je perdais presque le s
e de la présence des autres, cela me devenait si désagréable que le
sang
mye montait à la tête, me causait parfois du tr
rieure. Je me sentais envahi par l'angoisse et le tremblement et le
sang
me montait à la tête à tel point qu'une connais
le jour par mon manque complet d'énergie et ma susceptibilité ; le
sang
me montait à la tète ; je restais de longues he
j'ai maintenant une coloration habituelle par suite de l'afflux du
sang
aux joues; on peut dire que mon sang est él'élh
uelle par suite de l'afflux du sang aux joues; on peut dire que mon
sang
est él'élhisé, J'ai rarement des saignements de
t toujours rouge et il serait difficile de remar- quer un afflux de
sang
passager sous la rougeur artificielle. Ce conse
énique, une diminution dans la quantité d'acide urique excrétée. Le
sang
d'un épileptique prélevé pendant la crise et in
rme après deux ou trois minutes. La présence d'acide urique dans le
sang
expliquerait des symptômes neurasthéniques tels
série, t. XIII. 23 3 3tVt CLINIQUE NERVEUSE. quelques gouttes de
sang
; 'elle n'y fit d'abord guère attention, puis e
inze jours environ, il s'écoule quotidiennement quelques gouttes de
sang
des parties génitales. Seigle ergoté (3 x 0,3).
mbres et les verti- ges ont disparu, de même que les écoulements de
sang
. - Cessation des poudres de seigle ergoté. 3
re présence, lorsque les symptômes généraux habituels (tachycardie,
sang
à la tête, chaleur de la peau) nous avaient fai
iminution de pression agissant par voie de modification chimique du
sang
; il ajoute que ni la température ni la lumière
température ni la lumière n'agissent d'une manière évidente sur le
sang
. Il prétend que la diminuation de pression . ob
te pression atmosphérique diminuée, il pénètre plus d'azote dans le
sang
. Tout en admettant ce fait, l'auteur sait parfa
r le-fait que l'azote des matières protéiques existant déjà dans le
sang
circule plus librement vers la périphérie ; en
e mode d'action chimique, l'un venant de l'atmo- sphère, l'autre du
sang
lui-même. L'expérience chimique nous apprend au
qui se passe d'ordinaire en pareil cas, la ponction donne un peu de
sang
et une ecchymose, malgré la pâleur de la peau.
rée du tronc, et il ne s'en fallait pas de beaucoup à la vérité. Le
sang
coulait abondamment d'un vaisseau profond (qui fu
des efforts de la victime pour s'emparer du cou- teau. La perte de
sang
avait été considérable (près d'un litre et demi
idérable de la quantité d'acide carbonique dans la pièce et dans le
sang
et une énorme diminution d'oxygène. Ces phénomè
in, l'autre au bras droit. La pauvre femme tomba, baignant dans son
sang
, pendant que Mlle Beloz courait prévenir des ga
gne du membre supé- lieur, par Jean Gauraud, 97. - Générale. Voir
Sang
. associée des globes oculaires, par Cestan. 1
zowski, 232. Salivation d'origine nerveuse, par Bechterew, 138.
Sang
. Numération des globules TABLE DES MATIÈRES J11
e compte que l'origine de cette particularité est la coagulation du
sang
dans les canaux du diploé. Les vaisseaux méning
, les- sutures fro71to-I)i),iétztle ? sont sinueuses, imbibées de
sang
, transparentes. La suture iltteo-pariélale est tr
2. Entérite, ictère, syncopes; mort. AUTOPSIE. - Sutures gorgées de
sang
, distendues. Crâne asymétrique (Plagiocéphalie)
et dans le voisinage de cette dernière. Les sutures sont gorgées de
sang
et la partie osseuse voisine est considérableme
II. IDIOTIE congénitale. Sommaire. Père, quelques excès de boisson,
sang
endormi. Renseignements insuffisants sur la fam
ue la lambdoïde dans toute son étendue. Les sutures sont gorgées de
sang
et ne présentent aucune trace de synostose, soi
ucune trace de la suture métopique. - Dure-mère peu épaisse, pâle ;
sang
fluide dans les sinus latéraux. Les différentes
provoquant la formation de nouvelles cellules par l'apport dans le
sang
de maté- riaux nouveaux (1). Les guérisons ou
es. Letrou occipital n'est pas rétréci. - Dure-mère couve l'te de
sang
, distendue fortement par le cerveau; ses sinus so
sang, distendue fortement par le cerveau; ses sinus sont gorgés (le
sang
rouge. - Pie-mère congestionnée. Sur la base et
ion du cerveau donne lieu à l'écoulement d'une grande quantité de
sang
; de même l'incision de la tente du cervelet donne
itile a son aspect habituel. -Les plexus cho- roïdes sont gorgés de
sang
. Une coupe pratiquée sur la protu- bérance mont
nne. A la base, la dure-mère est injectée, les sinus sont pleins de
sang
, l'adhérence aux os est normale. Lorsqu'on enlè
ou de Dotal. Les cavités cardiaques sont remplies de caillots et de
sang
noir. Les valvules des orifices auriculo-ventri
uses ecchymoses intra-muqueuscs. -Tête. Le cuir chevetnest gorgé de
sang
qui s'écoule abon- damment durant la section ;
s vaisseaux pie-mériens et les sinus de la dure-mère sont gorgés de
sang
. Les vais- : seaux et lés nerfs de la base ont
d'âge de 5 ans. Accident au 1er mois de la grossesse. - Perte de
sang
au 7« mois. Circulaire autour du cou. - Muguet
elle perdit environ durant deux heures une assez grande quantité de
sang
. Cette perte fut précédée de deux légères lipot
cination qui, d'après le médecin qui le vit alors, aurait vicié son
sang
. On lui donnait de l'huile de foie de morue, du
. CRANE : ET cerveau. -* 319 de liquide céphalo-rachidien mêlé de
sang
. La dure-mère est mince et très pâle. La dure-m
le noeud du cordon n'avait pas tenu et que l'enfant perdait tout son
sang
. Le petit resta de 3 heures jusqu'à 6 heures sa
e de l'oxycéphalie ; alors les sinus de la dure-mère sont gorgés de
sang
, hypothèse confirmée par le fait que chez plusieu
s les fragments osseux furent enlevés et quelques vaisseaux d'où le
sang
s'échappait furent ligaturés, après quoi on tam-
(3). Il avait été très frappé de la découverte de la circulation du
sang
par IIarvey (1G` ? 8) dont il avait accepté les
t peu heureuse. On sait qu'il n'admetta.it pas que la propulsion du
sang
fût causée par la contraction du muscle cardiaque
ion du muscle cardiaque, mais qu'il l'attribuait à la dilatation du
sang
qui s'échauffe en arrivant dans la 1 cavité du
du système ner- veux ce qu'avait fait Harveypour la circulation du
sang
. A la physiologie du temps il emprunta la notio
tuent la partie la plus ténue, la plus subtile et la plus légère du
sang
, et s'en séparent alors que celui-ci s'est échauf
p. 49. 178 SAINTON ET DAGNAN-BOUVERET ties les plus subtiles du
sang
. Or, fait remarquer Descartes, ce sont « tou- t
tes les plus vives, les plus fortes elles plus subtiles parties de ce
sang
[qui].... se vont rendre dans les concavitez du
mouve- ment en 1 igne droi te » (1). Quelle va être l'action de ce
sang
et des esprits animaux dans le cerveau ? Une pa
ngrandnom- bre de petits trous, par où les plus subtiles parties du
sang
qu'elles con- tiennent, se peuvent écouler dans
u coeur, ou bien qui agitent telle- ment les autres parties d'où le
sang
lui est envoyé, que ce sang y étant ra- rénéd'a
telle- ment les autres parties d'où le sang lui est envoyé, que ce
sang
y étant ra- rénéd'aulre façon, que de coutume,
que je tiens pour importante. 202 MARINESCO Chez les animaux à
sang
froid, et j'ai en vue surtout la grenouille, on
s). Au nom du Père, du Fils, du Saint-Esprit ! ... Laisse couler le
sang
du Seigneur. Ce n'est pas « de la physique... n
corne pos- térieure, les vaisseaux à paroi peu épaisse et gorgés de
sang
du côté sain, à paroi très épaisse et presque v
vaisseaux ont leurs parois très épaissies et sont presque vides de
sang
. Quant aux cordons blancs, leur intégrité parai
part la pression exercée provoquant une circulation irrégulière du
sang
, de la lymphe, du liquide céphalo-rachidien dan
la cellule de Nageotte. Réaction de Wassermann. - Négative dans le
sang
et dans le liquide céphalo-rachidien. Réactio
oir par le Pal. Quant aux petits vaisseaux, perméables et gorgés de
sang
du côté sain, ils sont extrêmement réduits, mai
[/aorte présente des plaques discrètes d'athérome.Elle est imbibée de
sang
. Le foie est gras, onctueux, saignant peu à la
. En remarquant les chiffres donnés par l'analyse de l'urée dans le
sang
, dans le liquide céphalo-rachidien, chiffres qu
ravité du tableau clinique avec la faible rétention uréique dans le
sang
? Répondre à cette question, c'est aborder un d
chiffres paradoxaux révélés par l'analyse chimique des urines et du
sang
, devaient faire prévoir l'échec d'un traitement
e ; l'oedème est plus ou moins mou ; on trouve des filaires dans le
sang
. L'éléphantiasis ii osti-as, d erm i Lech i,oii
sible par les volumineuses masses lipomateuses du cou. Une prise de
sang
a été faite : nous n'en donnons le résultat que s
ont à l'encontre de celte théorie. Il en est de même des examens du
sang
, mais il est vrai de dire que ceux-ci ont génér
e qui est plus ferme, qui s'accompagne de cachexie et de lésions du
sang
; L'adéno-lymphocèle où l'on constate des dilat
ræ ne peut être utile à chacun, disait-on, parce qu'il réchauffe le
sang
des pléthoriques et accélère la circulation. A
er plus que la nature exige, et que le fait que la circula- tion du
sang
s'accélère par l'électrisation n'est pas contre l
é- gories : dans les yeux, dans le larynx et dans les vaisseaux. Le
sang
est électrisable et d'autres particules interne
es particules internes du corps sont électriques. Des frôlements du
sang
qui circule dans les vaisseaux proviennent des mi
fisante d'acide carbonique s'est accumulée dans les tissus et dans le
sang
, il en résulte une parésie de la région en questi
. Pendant celui-ci, l'acide carbonique continue à s'accumuler dans le
sang
; lorsque sa proportion est suffisante, le centre
le réveil. Un cas de jeûne prolongé chez la vacne. Les animaux à
sang
chaud peuvent digérer on quelque sorte, leurs dif
la peau se paralysent; les veinules n'arrivent pas à débiter tout le
sang
et elles se distendent ; il y a alors diapédèse d
taque, elle est prise d'hémoptysies, et, sans tousser, elle crache un
sang
rutilant et écumeux. Il n'y a aucun symptôme stom
macal, mais ello éprouve, dans la suite, des douleurs de poitrine. Le
sang
expectoré est tantôt très abondant, tantôt en pet
Le membre anesthésié est exsangue et, quand la sensation revient, le
sang
reparait également. M. Jules Voisin. — J'ai pu,
ive leur criminalité ne va pas plus loin. Bien rarement les crimes de
sang
mettent leurs tâches rouges dans leur vie. Le
i servit à la purifier... fut une toux accompagnée d'un crachement de
sang
» En effet, le 23 octobre 1659 (16 ans), « U lui
uld d'Andilly, une fort grande toux, et en même tems un crachement de
sang
dont celles qui étoient avec elle s'apperçurent a
elle le dit. Cela fut si violent qu'elle jeta dix à douze palettes de
sang
pendant qu'on étoit venu nous avertir » (3). Cett
art d'heure après. Je commençai pour lors à douter de sa vie, tant le
sang
l'étouffoit, dont elle jetta pour le moins vingt
s), et on lui donna d'autres petits remèdes » (°). « Ce crachement de
sang
lui reprit plusieurs fois pendant deux ou trois j
« Vers la mi-carême (même année 1659), elle recommença à cracher le
sang
, et quoique cela ne dura guère, elle en demeura b
2:. (4) La pâlotte était un petit récipient destine à recueillir le
sang
, et qui en contenait d'ordinaire l?ô gr. ¦L'hémop
alette avant qu'elle fût complètement pleine. Bien que la quantité de
sang
expectorée dans l'hémoptysie tuberculeuse ne dépa
dérable. LaCanec parle d'un jeune homme qui perdit ainsi 5 kilogr. de
sang
en 21 heures. (5) C'était la saignée dérivative
t une appréhension naturelle à être saignée » (3). Le crachement de
sang
dont il est question plus haut détermina chez ell
me celles intermittentes. II guérit une femme malade d'une perte de
sang
depuis douze ans (Mat , IX, 20 : Luc, VIII, 43 ;
. Le coup de lance qu'on lui aurait donné n'aurait pu faire sortir du
sang
s'il avait été réellement mort. III A. Debay :
ut reproche au point de vue scientifique, (il niait la circulation du
sang
), qu'il était enclin à la médisance, et qu'enfin
posséderait, ouircle prépuce do Jésus-Christ, de ses cheveux, do son
sang
, un morceau de sa robe, le linge avec lequel 11 e
son cœur; il peut activer ou ralentir à son gré la circulation de son
sang
. II y a d'ailleurs longtemps que les physiologi
ns ses yeux et lui touchions le front, la malade se contracturait, le
sang
affluait à ses joues et sa figure exprimait de l'
tions VII et VIII ont pour point de départ l'arrêt des règles. Par le
sang
menstruel, en dehors de la ponte des œufs, la fem
lles du corps entier, les transformant en cellules nouvelles grâce au
sang
qui afflue. Outre cela, l'oxygène facilite la for
e la période menstruelle. Les vaisseaux étaient nombreux et gorgés de
sang
; les glandes hypertrophiées et dépourvues à peu p
bat fait y à Orléans en 1631 ; de la cendre d'une Hostie brûlée, » du
sang
et de la se... dudit Grandier ; par lequel » Lévi
es convulsion-naires ne souffraient pas et qu'il ne s'écoulait pas de
sang
quand on enfonçait les clous dans la main et le p
d du côté gauche, tandis qu'elles semblaient souffrir et perdaient du
sang
quand on transperçait la main et 1@ pied du côté
des prêtres crucifiaient eux-mêmes, n'avaient ni douleur, ni perte de
sang
. Des faits nombreux, observés à la Salpétrière,
de mai, Geneviève, dans son délire, s'est saignée au bras droit : le
sang
a coulé en jet. 18 octobre. — Durant une série
iseaux. Pour atteindre son but, elle s'y est reprise à trois fois: le
sang
a coulé en assez grande quantité. 23-28 novembr
nez une écume abondante, d'abord blanche, puis fortement mélangée de
sang
. Le ronflement, sifflant à l'origine, devient ens
la perçait d'outre en outre avec une épingle, sans qu'il en sortit du
sang
ou que la fille en fit paraître aucun sentiment (
qui la ramenait à l'hospice et qpilui touche de près parfdes.diens du
sang
, l'avait fait monter en voiture et avait essayé d
qui veulent la violer; comme elle résiste, les hommes la scalpent, le
sang
coule en abondance ; M... crie..., les hommes s'e
étaient devenues sensibles à la piqûre superficielle et profonde, le
sang
coulait des piqûres,et au-dessus et au-dessous de
démontra, conformément à l'assertion de notre illustre maître, que le
sang
coulait moins du côté insensible que du côté sain
ne batterie d'artillerie dans laquelle on faisait passer les cuirs au
sang
de bœuf. Les hommes ainsi équipés, bien entraînés
nt donné lieu, dès le commencement de l'opération, à un écoulement de
sang
extraordinaire. Aussi la mobilisation du volet du
dut-elle être réalisée aussi vite que possible, tellement la perte de
sang
provenant de l'os était inquiétante. Dès que le
n putjuger qu'il n'avait été fait aucune blessure de la dure-mère. Le
sang
commença, comme on l'observe toujours en pareil c
es constater par l'impression exercée sur certains animaux. La vue du
sang
produit le même effet. L'excitation rouge peut do
corps qui reste là. Sa tête et ses intestins s'en vont pour sucer le
sang
de ceux auxquels elle veut nuire, partout où ils
artout où ils se trouvent. Les gens qu'elle attaque ainsi meurent. Le
sang
et le liquide qui dégouttent de ses entrailles to
que son corps en est tout brisé. La Penanggalan se plaît à sucer le
sang
des femmes en couches ; aussi, lorsqu'il y a dans
une Penanggalan étant venue une nuit chez quelqu'un pour lui sucer le
sang
, ses entrailles s'accrochèrent à des épines près
eu me préserve d'y croire. Quant au Polong, il provient, dit-on, du
sang
d'une personne morte de mort violente. On introdu
it-on, du sang d'une personne morte de mort violente. On introduit ce
sang
dans une fiole, en accomplissant des cérémonies e
homme ou une femme. Tous les jours il faut ainsi le nourrir de son
sang
. Le père du Polong en tire profit s'il en veut à
ainsi pendant un jour ou deux, puis le malade meurt. Une fois mort le
sang
lui sort à flots de la bouche et tout son corps e
moment de son premier sommeil. Une vision assez commune est celle du
sang
ou d'une scène sanglante quelconque chez les pers
a douleur, ils commencent à se taillader la tête à coups de sabre. Le
sang
coule à flots, ruisselle le long des vêtements et
lka ». Pour avoirdu prestige, les modernes sorciers doivent exiger du
sang
. Et c'est ainsi que, ces jours derniers, aux en
cette lettre apparaître très rouge et recouverte de petites bulles de
sang
. (i) Voir Annales médico-psychologiques 1887, p
préparatifs de cette saignée, le récipient dès-line à recueillir son
sang
, et tous les accessoires. Puis on lui banda les y
e récipient qu'un aide tenait à son côté. Croyant entendre couler son
sang
, il s'affaissa graduellement, devint de plus en p
défendre. Mais bientôt sa pensée se reporte sur les guerriers dont le
sang
généreux a abreuvé les champs de bataille. De sa
hlak, nous dit-il, aimait surtout à faire des présents et à verser le
sang
. A la porte de son palais, on voyait toujours que
tait complètement dépourvu de pitié. Il hésitait si peu à répandre le
sang
humain qu'on aurait pu croire que son but était d
da que le souverain était tenu à dédommager la partie adverse pour le
sang
qu'il avait versé, et la sentence fut exécutée. D
ntes : « Ce fut la coutume dans les temps précédents de répandre le
sang
des Mahométans dans les circonstances futiles, de
ibre accès des poumons et permet leur absorption et diffusion dans le
sang
. La fatalité veut que l'habitude de fumer la ci
de la portion latente. La cérébrale antérieure fournit également du
sang
, sinon toujours, du moins souvent, à ces mêmes
-spinales, on explique tout par une soi-disant action spécifique du
sang
altéré (urémie, ammoniémie, urinémie, etc.) sur
pas de la même manière sous l'in- fluence de la même altération du
sang
, ce ne peut être qu'en raison de prédisposition
al, conséquence immédiate de la grossesse; 2° empoisonne- ment du
sang
exagérant cette irritabilité; 3° excita- tion p
ngé : toute l'eau en est sortie, elle avait trop de veines, trop de
sang
et il s'est formé partout des nerfs. Son front
.. essaya de se couper les veines du jarret pour laisser couler son
sang
qui était décomposé et le renouveler. Janvier
avoir le corps absolument changé; elle n'a plus de muscles, plus de
sang
, plus de veines. Elle a senti toutes ces modifi
aimer sou mari, ni son enfant qu'elle dit maudite, sans veines ni
sang
comme elle. Cependant toutes ces souffrances ac
.. ne fait que répéter qu'elle n'a plus de veines, de muscles, de
sang
. Tout son corps est changé en nerfs, elle n'est p
vaisseaux contiennent de grandes quantités de matière colorante du
sang
(pigment congloméré en globules). Eu conséquenc
s nerveuses. Peut-être, vu la présence de la ma- tière colorante du
sang
dans les vaisseaux , serait-on autorisé a pense
ur le Délire aigu, faisait des réserves au sujet des altérations du
sang
que j'avais signalées aune certaine phase de ce
ion, et m'opposait l'observation d'une paralytique générale dont le
sang
contenait aussi des bactéries. Le cas rapporté
s com- mune, la fièvre typhoïde, qui m'a conduit à rechercher si le
sang
n'était pas altéré dans le délire, aigu, comme
ettement infectieux qui me conduisirent à examiner au microscope le
sang
de ces malades. Une diminution dans le nombre d
s altérations portent sur la quantité et la qualité des globules du
sang
qui diminuent de nombre, perdent de leur hémoglob
quatre sous forme de chapelets. Ces organismes se montrent dans le
sang
des malades ne pré- sentant aucune solution de
nt le contenu est transformé en hématoïdine, les autres, remplis de
sang
, rutilants. Il n'est donc pas douteux, pour n
ut de la substance même de notre mémoire. On sait, en effet, que le
sang
nutricierdes irradiations cap- su)aires conduct
, on .entamera).dure-mère, il a'écoule alors environ 120 grammes de
sang
, en partie liquide, en - partie coagulé.. L'hém
è de "la'duré°-mère : Le sac contenait une quantité considérable de
sang
caillé, mou, noirâtre ; on a vu comment s'était
ative de viol, Ang... fut prise d'une attaque de nerfs et cracha du
sang
. Les crachements de sang, qui semblent dus à de
rise d'une attaque de nerfs et cracha du sang. Les crachements de
sang
, qui semblent dus à des hémoptysies, se sont repr
ramme et demi; consécutivement, cinq garde-robes pâteuses rayées de
sang
. Le lendemain, pas d'in- jections : quatre gard
et demi, et l'on ne note plus que trois garde- robes dépourvues de
sang
. P. K. XLIX. SUR la PERTE DE force DES membres
e moins intense, mais dans laquelle la malade rend par la bouche un
sang
fétide. Un soulagement plus marqué s'annonce. J
, une plaie à la région frontale gauche, et les narines remplies de
sang
coagulé; tout à côté une large plaque de sang s
narines remplies de sang coagulé; tout à côté une large plaque de
sang
s'étale sur les dalles en briques du corridor.
pas connaissance ( ? ). On attribuait ces accidents à la « force du
sang
» ; ils cessèrent à la suite d'une couche. Très
cé, nacré ; le sterno-mastoïdien est déprimé et on nj trouve pas de
sang
extravasé et coagulé entre les muscles de la ré
un peu oedématiés. A la coupe, il s'échappe une notable quantité de
sang
, surtout des lobes inférieurs. Pas d'em- physèi
trois piliers. Les dépressions de la base du crâne sont inondées de
sang
à gauche. L'existence d'une suffusion sanguine
sans connaissance. Quelques heures après, il eut un vomissement de
sang
(ceci se passait le 29 mai). Le lendemain micti
sait le 29 mai). Le lendemain miction involontaire, vomissements de
sang
, délire. Le il, juin, le malade est plus tranqu
ation égale des pupilles, on constate que, dans les ventricules, le
sang
ou le sérum sont disposés de manière à provoque
ux traumatismes du crâne ; Briand pour une Etude des altérations du
sang
dans le Délire aigu; Régis pour un travail sur
le gosier 'retiré, qu'elle n'a plus d'estomac, qu'elle n'a plus de
sang
; elle ne mourra jamais, elle n'est ni morte ni
jambes, qu'on lui ouvre le corps pour s'assurer qu'elle n'a plus de
sang
et que ses or- ganes n'existent plus. Cette m
lement. M. A... dit que tout son corps est pourri, qu'il n'a pas de
sang
, qu'il n'a pas de pouls, que son coeur ne bat p
pour cause à cette lassitude la nutrition vicieuse du muscle parle
sang
chargé de sucre, ce qui n'explique pas ses loca
rencontrent le long des vaisseaux et dans les- quelles on trouve du
sang
extravasé ou des cristaux d'hématine indiquant
tion des rayons visuels. (.Millier4). « C'est à la lac- tescence du
sang
(insuffisamment alcalin), s'opposant à la trans
. Qu'il y ait ou non albuminurie concomitante, les altérations du
sang
, celles des vaisseaux, avec l'aide peut-être d'un
e bref sur les théories. On a invoqué la sur- charge graisseuse, du
sang
(Becquerel et Rodier, Sanders et Hamilton, Iüss
ne point par le coma dyspnéique. La présence de l'acétone dans le
sang
, soupçonnée par Pctters et confirmée par Kaulich,
éique ne s'obsprve pas dans d'autres états, où la déshydratation du
sang
est également très manifeste. Du. dépouillement
mp de distribution des artères commissurales : elles fournissent du
sang
à la partie grise centrale de la moelle épi- ni
é parfaite de corps et d'esprit, et l'on facilite la circulation du
sang
par une respi- ration méthodique, notamment en
saient douter de Dieu, car ils montraient les lettrés plus altérés de
sang
, plus féroces que les tigres et les hyènes, et c’
sieurs célèbres médecins moururent sans avoir cru à la circulation du
sang
; leurs confrères aujourd’liui ne veulent point cr
aientlesaiçuments de contradicteurs d’Harvey contre la circulation du
sang
qui ne cessa point de circuler ? Et s’il me falla
’il était impossible de tranquilliser ma somnambule, que d’aüleurs le
sang
commençait à affluer vers la tête, les carotides
es douleurs. Ce dernier fât, c’est-à-dire l’écoulement si rapide d’un
sang
extravasé, paraîtra peut-être incroyable ; mais b
ent repoussée ou enrayée depuis qu’elles existent : la circulation du
sang
, la vaccine, les pommes de terre, les bateaux à v
ments dans les intestins , mouvements provoqués par la circulation du
sang
et du fluide, qui se traduisent par des gargouill
.squ’à )a fin , on remarquera, pendant la défécation, l'évacuation du
sang
pw le rectum, comme si on avait des hémoirlioïdes
énies Jiommes aujourd’hui nieraient la vaccine et la circulation du
sang
si on venait leur soumettre ces deux découvertes;
propriétés de la vitalité humaine qui, de même que la circulatioa du
sang
, l’électricité, l’élecCro-magnétisme, la puissanc
lui-même;il ne voit, n’entend plus personne; on croitqu’ilaun coup de
sang
, on le porte sur son lit, on le frotte avec de! e
rtuaire dans lequel on la presse bien pour lui faire rendre le peu de
sang
qui pourrait être resté, puis on la met dans un v
vie. On se tromperait en opérantsurdes poissons ou autres animaux à
sang
froid i nous dirons un jour pourquoi i on ne nous
rou leur vampire ne pouvait plus sortir du tombeau pour leur sucer le
sang
. il ne sera pas difficile de retrouver des trac
de foute qui le pressait. 26. Alors une femme malade d'une perte de
sang
depuis douze ans, 26. Qui avait beaucoup souffe
nt ses habits, je serai guérie; Si). Et au mCme instant la perte de
sang
s’arrêta, el elle sentit en son corps qu'elle éta
, ne peut sc soustraire i la rage irrésistible de se gratter jusqu au
sang
, afin de modifier l'état de ses souffrances, tant
eptique décrit par vision interne le mécanisme de la circulation du
sang
..... Elle goûte les objets déposés sur son épig
rieure icongestion sanguine, action d'un narcotique introduit dans le
sang
, etc.), s'accordent avec la nature des attributs
ns le concours et le mouvement accéléré d’un fluide éla.tique mêlé au
sang
? Ce concovirs, une fois admis, vous en concevei m
sur les aberrations du flux mensuel cbez les femmes. On dirait que le
sang
obéit à la volonté du magnétiseur sans pouvoir s’
t les jambes ; la respiration était très-gênée, et je reconnus que le
sang
se portait vers les flancs et s’accumulait vers l
aucune douleur nulle part, et qu’elle me remerciait bien. Comme le
sang
n’avait pas paru, je lui dis de revenir le lendem
manqua pas l’heure de la magnétisation ; mais, ce jour-lù encore, le
sang
ne revint pas, seulement aucun symptôme de douleu
ter. Tout à coup elle fait un mouvement de surprise et me dit que son
sang
coule avec abondance,qu’elle ne le voit pas, mais
revins, elle me dit, toute joyeuse ; — Monsieur, je suis guérie, mon
sang
est revenu ; mais, maintenant, je voudrais bien q
n très-controversée, c’est admettre que dans tout travail d’esprit le
sang
afflue au cerveau, et cependant un ancien adage d
arlomont est en contradiction fla- grante avec lui-inôme. Il pari^,
sang
le vouloir, mon opinion à propos du fluide ntiign
r le plateau d'une bascule, je pèse exactement et /opère l'altrnclion
sang
contact; féquilibre est rompu immédiatement. Que
. «Si vous ne mangez la chair du Pils dc i'Homme, el ne liiiveï son
sang
, vousn'aureïpoint I.-Í vie en votis-mèines. » (.V
.) De semblabli^s exemples sont surtout communs dans les animaux h.
sang
froid, parliculièrement dans les Insectes et les
jeune fille, trouvant que ces rougeurs étaient un indice d'excès de
sang
, lasaignait ! Un traitement tonique et des bain
e^sensation vague d'avoir dans la poitrine une certaine quantité de
sang
en trop : un verre environ. Ce sang serait prêt
itrine une certaine quantité de sang en trop : un verre environ. Ce
sang
serait prêt à monter à la face., Quand la rouge
eur avorte, ce qui arrive quand la cause cesse,, le, .trop-plein du
sang
semble s'être arrêté à la gorge, puis. redescendr
de rue, ou bien il revient sur ses pas. Pour empêcher l'afflux du
sang
au visage il arrête son souffle après une forte i
mais le plus souvent le moyen ne réussit pas et il sent affluer le
sang
. Dans les cas les plus ordinaires, il éprouve,
lesse de coeur qui monte jusqu'aux tempes et produit l'agitation du
sang
et des picotements comme des pointes d'aiguille
iolem- ment. Puis sa respiration devient oppressée, haletante. Le
sang
lui monte violemment à la tête. Ses oreilles bour
nes pâles, dont la figure ne rougit jamais, et d'autres chez qui le
sang
afflue pour un rien au visage. Pourquoi ces dif
ue pour un rien au visage. Pourquoi ces différences ? Est-ce que le
sang
est plus éloigné de la peau chez les uns que ch
faible, qu'il n'y a pas chez lui équi- libre entre le cerveau et le
sang
». Il se croit « un malheureux martyr par la so
quatre sangsues dans la région mastoïdienne et on laisse couler le
sang
assez abondamment. Le lendemain, le malade se s
ouvelle. « La carotide, dit-il, a réussi dans un genre parce que le
sang
monte moins, mais le cerveau est toujours très
lité extrême à rougir. Un regard suffisait pour lui faire monter le
sang
à la tête. Elle est atteinte d'asthme=. II. Ant
et alors même que j'ignore si ce quelqu'un y est ou non, je sens le
sang
me monter à la tête. De même, si je suis à caus
toujours soin d'avoir un journal à côté de moi et, quand je sens le
sang
qui commence à me monter la tête, vite je prend
ace de moi, mais à ma gauche, afin que, au moment où je sentirai le
sang
commencer à me monter à la tête, je puisse me c
y a des affiches à la porte et que, au moment d'entrer, je sente le
sang
qui commence à me monter à la tête, je fais sem
Immédiatement le sujet éprouve un choc au coeur, comme un arrêt du
sang
, avec oppression, tressail- lements, angoisse,
e sent enfin ins- piré par une « voix intérieure que la chair et le
sang
ne com- prennent pas ». Il a senti cette voix c
ngeurs, les vampires la dévorent intérieurement... on lui prend son
sang
, etc. Malgré tout cela, elle a triomphé. - « On
. SUR LA VALEUR SÉMÉIOLOGIQUE DE L'EXAMEN DES HÉMATOBLASTES DANS LE
SANG
DES ALIÉNÉS; par le D GIOV,1NYI DOTTO. (A177t. de
le foie. Le foie malade n'exerce plus son action dépurative sur le
sang
, et c'est ce liquide vicié, en particulier peut
n de particulier. Coeur (250 grammes) en systole; dans les cavités,
sang
liquide et caillots noirs. Imbibilion des val-
mine ou du sucre ; 3° la présence d'éléments étrangers ou anormaux (
sang
, pus, micro organismes divers, surtout bacille de
veux mal équilibré est d'avis que l'altération de la circulation du
sang
du cerveau peut être la cause immédiate de l'affe
ssi l'administration d'un mélange de moelle rouge des petits os, de
sang
et de glycérine. R. DE Musgrave-Clay. XXXVIII
aire du ganglion est très développé. Les vais- seaux sont gorgés de
sang
. La sclérose du ganglion est douteuse. - Nerf
ellules de névroglie, et éventuelle- ment les corpuscules rouges du
sang
dans les vaisseaux; elle ne colore ni le protop
ait autrefois à l'hy- perpyrexie sont rattachés à l'intoxication du
sang
. Telle est évidem- ment l'étiologie du cas rapp
forment seraient dangereux si on les injectait directement dans le
sang
et l'auto-intoxication doit jouer un rôle prépo
Porta avait trouvé les vaisseaux des nerfs largement dilatés par le
sang
, dévié de sa route normale, et deux faits de Ho
rioles afférentes décrit donc une anse à con- vexité interne, et le
sang
que charrie la sous-clavière n'aborde les tronc
arsemé d'un riche réseau vascu- laire et comme bai- gné dans le
sang
; aussi, quand la dé- rivation collatérale s
dans les centres ner- veux, empêchent l'afflux direct et brusque du
sang
artériel, se retrouvent pour les nerfs. a. Qu
lit seule, et qui se voient bien aussi, simplement injectées par le
sang
, sur les cadavres frais d'enfants, convergent v
it bien comment l'expulsion mus- culaire, en accélérant le cours du
sang
dans le tron- cule commun, active aussi la circ
lé- ments nerveux du choc de l'ondée artérielle ou de la stase du
sang
veineux. Le nombre des artérioles qui s'échelon
cades interfasciculaires, etc., arrêtent toute irruption brusque du
sang
, du reste, réduit à des colonnes très fines. Ma
xemple du rôle qui est dévolu au jeu musculaire dans la marche du
sang
veineux. Les veines des nerfs superficiels se r
vro-musculaires, analogues à celui qui est représenté figure 2 : le
sang
, qui se précipite, chassé par le muscle, entraî
harnent après lui; les unes, les hargneuses de nuit, lui glacent le
sang
, lui empêchent le sommeil; les autres, les harg
uatre coups de couteau à la tête. Mais l'acte accompli, à la vue du
sang
, le sentiment de la réalité lui revint et, rede
s quoi il est sorti, a lavé son gilet, parce qu'il était souillé de
sang
, et est rentré parce qu'il pleuvait. Pas une se
des microorganismes pathogènes et notamment un bacille emprunté au
sang
du coeur d'un jeune homme mort de noma, l'orate
ème obser- vés par lui, il a constaté des altérations constantes du
sang
qui pourraient bien tenir à la suppression de f
alies indiquant un trouble profond dans la constitution chimique du
sang
chez les mêmes malades; il les décrira. Quelles
oxicité indéniable provoque quand ils subsistent tels quels dans le
sang
, une perturbation chronique dans la composition d
core beaucoup de fibres. Les vaisseaux rétiniens sont ici gorgés de
sang
, là tout à fait vides. - Dans la choroïde au ni
cet état général grave, on pratique une saignée de 350 grammes. Le
sang
est liés noir et rougit difficilement à l'air.
damment, le mur de la cellule est ensanglanté et il y a une mare de
sang
par terre. On est obligé de le fixer solidement
les petites filles riaient de moi. J'aurais dû verser des larmes de
sang
. » Aujourd'hui elle se présente marmottant des
i. Elle trouve qu'elle a des bras de poitrinaire ; quel- quefois le
sang
lui vient à la bouche. Et comme on lui fait remar
lasticité des parois, et la compressibilité des éléments figurés du
sang
, quelle que soit aussi sous l'influence des réa
e ce dernier, le liquide qu'ils renferment n'a rien à faire avec le
sang
; c'est de la lymphe. Voilà, conclut M. Kronthal
méfiée des paralytiques, on voit que les capillaires sont gorgés de
sang
et que les cellules des parois vasculaires prolif
e de la substance grise du cerveau des vertébrés à sang' froid ou à
sang
chaud et de l'homme. Les auteurs dénomment cell
avec prognathisme de la mâchoire inférieure.' Pâleur de la peau. Le
sang
contient 98 p. 100 d'hémo- globine (d'après Fle
cou avec un couteau de poche. Quelques instants après, couverte de
sang
, la malheureuse dé- meule se présentait à sa fi
ive. Le coeur est normal et en systole; il est complètement vide de
sang
. On n'observe rien de spécial dans les autres vis
al, sauf au niveau de l'incision, où elle est un peu colorée par le
sang
. La suture au catgut tient très bien et ne lais
contenant des névromes de régénération avec des vaisseaux gorgés de
sang
. Membrane onduleuse séparant partout le tissu c
voie de dégénérescence lyaliue; le \aisseau n'est plus perméable au
sang
et à peine reconnaisstible; des granulations pigm
vasculo- conjonctif, qui contient en outre des vaisseaux remplis de
sang
(co- loré en noir par l'liématoxyline) et des g
i(sont sectionnées,5 et,'vous'le voyez, il n'a été perdu qu'un, peu
sang
. Le * périoste est maintenant-à découvert,, je
terrompu nous donnent la satisfaction de voir les jeunes infuser un
sang
nouveau à notre Société et nous laissent espére
engorgés. Fonctions digestives normales. Urines normales. Examen du
sang
: hémoglobine 0,65. Plasmodies pigmentées en ab
iable. Foie et rate restent engorgés. Plasmodies pigmentées dans le
sang
en moindre quantité. Etat général excellent. Tr
urait assez souvent dans la folie toxicité inverse de l'urine et du
sang
; dans la manie, notamment, le sang est parfois
oxicité inverse de l'urine et du sang; dans la manie, notamment, le
sang
est parfois d'autant plus hypertoxique que l'urin
ne, qui est saine, les veines de la dure-mère paraissent gorgées de
sang
noir; la dure-mère, également saine, étant inci
nt, il reprend sa force normale. P. KERAVAL. XXI. SUR L'ISOTONIE du
sang
chez les aliénés; par C. AGOSTINF. (Riv. sp. di
pouvoir isoto. nique (résistance spécifique des globules rouges du
sang
) est un Archives, t. XXVI. 21 322' REVUE/DE P
és. , 6° Il est possible qu'elle ait pour cause une modification du
sang
déterminée par une excitation maniaque de longu
de l'éviter, c'est le surmenage. , R. M.-C. LIV. RECHERCHES sur LE
sang
et l'urine DES aliénés; par W. Johnson SMYTH. (
ons de ce mémoire qui sont les suivantes : A. En ce qui touche le
sang
: Chez les aliénés on constate une notable dimi
e insignifiantes ; 6° Si l'on tient compte de la densité normale du
sang
, du chiffre normal des glo- bules rouges, de la
mala- dies mentales, où nous constatons que le poids spécifique du
sang
est plus élevé qu'à l'état sain, et où il y a u
fusion mentale asthénique, tiennent également à une intoxication du
sang
par des ptomaïnes analogues à l'intoxi- cation
oyait à elle-même des yeux gros comme le poing et rouges comme du
sang
. Elle voyait souvent aussi plusieurs personnes au
érie de sa pleu- résie, elle conserve une toux opiniâtre, crache le
sang
fréquemment, n'a pas d'appétit, dépérit à vue d
rs l'action du coeur et les forces (en modifiant la constitution du
sang
) sollicitent presque tou- jours le besoin de bo
ent l'état mental, notamment la stupeur (en relevant la pression du
sang
, dont ils améliorent la composition, et, par su
1 vl .Ï ? s'"c at m l(l,^ r.. 1 / rji1 ? r · LXI. La circulation du
sang
ET DE la lymphe dans le CRANE ,1, PENDANT LE SO
tiennent à de l'anémie, cérébrale par suite d'un afflux exagéré du
sang
aux viscères abdo- minaux. Au sur et à mesure q
'assislance familiale des -, par A. Bothe, '269; recherche sur le
sang
et l'urine des =, par Smyth; 393; sur. le poi
tiques, par dc'Betcherew,'321. nf ! ' t . 1/ f < C ;l(hH -.4 ,
Sang
? sur'l'isotonie 'du ? chez les '"aUénés,'par-A
thropologie de Paris, legs Fauvelle, 270. Sommeil. Circulation du
sang
et de ¡ fia lymphe dans ,1e crâne pendant le
antements et sorcelleries.....J'ay veu quelqu'un qui arrestoit le
sang
de quelque partie du corps que ce fust, bourdon
r les garçons ; puis, qu'elle n'a .plus de saignements de nez, que le
sang
prend son cours naturel, qu'au lieu de venir par
écialistes de la capitale qui examinent, l'un ses urines, l'autre son
sang
, un troisième son suc gastrique, le palpant et le
mal ne peut résister aux puissantes modifications que j'imprime à son
sang
et à son système nerveux ; je lui démontre, les v
examiner par le médecin de la localité qui constate un épanchement du
sang
dans la chambre antérieure, masquant les deux tie
ue, le matin, elle s'était plainte d'avoir, pendant la nuit, rendu du
sang
par les yeux. J'examinai l'œil, la cavité conjo
ouvant expliquer une telle hémorragie; l'oreiller avait été rempli de
sang
. La journée se passa sans phénomène d'aucune so
e assez pâle ; la nuit, le même phénomène se reproduisit : un flux de
sang
assez abondant pour couvrir largement l'oreiller.
ésence des stigmates hystériques bien connus, des pleurs ou larmes de
sang
. Damalix, dans un article écrit en 1882 dans les
our un phénomène de compensation. Il fallait savoir cependant si le
sang
accusé par la malade ne provenait pas de quelque
mes. Le lendemain je trouvai le pansement entièrement traversé par du
sang
; la bande extérieure, la rondelle de gaze appliq
larant que la guérison me semblait assurée. Depuis lors les pleurs de
sang
ne se produisirent plus, au moins tant que la mal
prononcés, même de nature organique en apparence, comme les larmes de
sang
. Il n'y a pas de raison pour que les mêmes moyens
oit touché, comme si elle raisonnait. Il en est de même des animaux à
sang
chaud, si on a la précaution de leur lier les car
r l'albuminurie post-paroxystique, la toxicité uri-naire et l'état du
sang
, expériences dont il a déduit une conception path
e curative lorsqu'il donne au principal héros de la pièce, le pasteur
Sang
, lu pouvoir de guérir ceux qui l'entourent par sa
inspirer la confiance, comme cela se présente dans le eus du pasteur
Sang
, celui-là. par sa seule présence, détermine en no
se montrent les plus disposés à recevoir la suggestion. Si le pasteur
Sang
exerce une telle influence sur ceux au milieu des
férieurs, contractures contre lesquelles l'action curative du pasteur
Sang
ne se manifeste que d'une façon passagère. Les
revenue de sa stupéfaction, je lui expliquai que ce qui empêchait son
sang
de couler était exactement ce qui empêchait ses u
ion à l'état de veille, l'obsession qui jouait le rôle d'arrêt, et le
sang
avait coulé comme coule l'eau quand on ouvre le r
paquets que j'allais lui remettre à raison d'un par jour pour que le
sang
arrive infailliblement à la fin du troisième jour
issait tout seul, quand quelqu'un tombait ou quandil voyait couler du
sang
, quand sa sceur avait des crises, et surtout quan
int de vue, eut révélé des particularités inté- ressantes, celui du
sang
, n'ont pas été pratiqués. Archives, t. VII. 4
ment cherché dans le contenu intra-vasculaire, c'est-à-dire dans le
sang
. Or, les produits nuisibles susceptibles de per
e fille n'a- vait pas la sensation de boule, mais « elle sentait le
sang
lui mon- ter à la tête»; elle avait le temps de
iptorius..Toutes ces expériences furent faites sur.ldes animaux à t
sang
chaud (lapins, chiens) ;.mais, comme' Heubel,1
icule latéral un peu dilaté, contenant une assez grande quantité de
sang
. Sur des coupes pratiquées suivant la méthode d
irconvolutions entièrement saines. Ventricule latéral rempli par du
sang
coagulé; ses parois sont déchirées et tout enti
t Oulmont4 ont publié une observation dans laquelle le pissement du
sang
était consé- cutif à des crises qui avaient sur
eur pense qu'il s'opère dans le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. po3
sang
du diabétique une série de décompositions chimiqu
, devinrent prédominantes. M. P... prétendait qu'il n'avait plus de
sang
, que tout son corps était pourri, qu'il allait
siblement dévié la direction du sinus, sans que la circula- tion du
sang
; ait été visiblement troublée. ' Virchow's Arch
re-mère est luisante et polie; ses sinus et ses veines regorgent de
sang
, surtout dans la partie antérieure; la face int
ographique a dû exercer une influence marquée sur la circulation du
sang
dans le cerveau. Pour bien se rendre compte de
jusqu'à 11 millimètres. Dans le foramen ceecum, le sinus reçoit le
sang
des veines nasales (ordinairement chez les enfa
s cérébrales supérieures, de 10 à 12 de chaque côté, qui portent le
sang
de la face externe et de la partie antérieure d
ent en partie dans les veines extérieures et en partie versent leur
sang
dans le sinus. L'une d'elles, la veine diploïqu
rme supérieur, En outre, pour faciliter la répartition régulière du
sang
, il existe les veines émissaires pariétales, qu
es frontaux et pariétaux, vienne diminuer le calibre du canal, le
sang
, rencontrant un obstacle et ne pouvant passer par
x des enveloppes et dans la substance du cerveau, une stagnation du
sang
. Ce phénomène se traduit anatomique- ment par l
malade peuvent être expliqués par les troubles de la circulation du
sang
, provoquée par la tumeur. Il est vrai que Wer
dit que III. Briand avait constaté la présence de microbes dans le
sang
d'aliénés atteintsdedélire aigu.Jenecroispas 35
rt, j'ai eu dans mon service une femme paralytique générale dont le
sang
montrait à l'autopsie des bactéries; mais cette m
rculation veineuse et, par suite la pré- sence de bactéries dans le
sang
de la malade. A une précédente séance et à prop
ntre de leur en- clos. Les vaisseaux tantôt vides, tantôt gorgés de
sang
, sont entourés de masses jaunâtres semblables,
endant l'alimentation impossible, et sont accompagnés d'émission de
sang
pur rutilant. En outre, les phénomènes cardiaqu
malade a présenté des vomissements très abondants avec émission de
sang
pur rutilant, et une dyspnée purement nerveuse, à
ales et il attribue l'oedème au ralentissement de la circulation du
sang
et de la lymphe causé par l'importance de l'atrop
s- seaux, aux variations de pression, au ralentissement du cours du
sang
qui en sont la conséquence que l'on doit surtou
n'ont montré aucune diffé- rence appréciable dans la composition du
sang
recueilli dans ces deux membres; voici d'ailleu
dans ces deux membres; voici d'ailleurs l'examen hématologique :
Sang
de la jambe droite malade : G. R : 3.150.000.
z-vous si souvent des carreaux ? R. Parce qu'alors je pense que mon
sang
ne circule pas. Le sang se trouve accumulé dans
rreaux ? R. Parce qu'alors je pense que mon sang ne circule pas. Le
sang
se trouve accumulé dans la main, comme un abcès
anger la soupe, etc. ; ce sont aussi des idées obsédantes (arrêt du
sang
dans la main) qui produisent ses impulsions. Le
. On voit : dans la méninge, l'artère spinale antérieure remplie de
sang
; dans la subs- tance blanche, une' couronne de
iveau du canal épendy- maire, qui, perméable mais non envahi par le
sang
au niveau et au-dessous du foyer de la fracture
stinctement la phrase suivante : « le monde entier, le tzar par mon
sang
et par la puissance de mon amour sont sauvés »,
u se constituer une petite hémorrlJ3gie expliquant t l'existence du
sang
contenu dans la fente. Ce qui surtout est remar
et l'arrière- main est fréquent (Cheval normand, descendance du pur
sang
The Flying Dutchmann). Les dépressions thoraciq
ante régularité dans toute la descendance de Bilbery, cheval de pur
sang
(Bivouac, Bilboquet, Billet doux, Biscaïen). Le
édis II, par Dollar et Villefranche) et de Clover. La jument de pur
sang
la Revanche (par Light et Sentence) était remarqu
toire de la jument Houlette, petite-fille d'Archiduc, étalon de pur
sang
, «' ardent propagateur des tares osseuses qu'il
torchidie. La cryptorchidie peut être héréditaire ; l'étalon de pur
sang
Master Wagg, cryptorchide à gauche, a engendré qu
es d'actes impulsifs relevant de la volonté motrice. Le cheval de
sang
Faublas (par Orphelin et Miss Finch) avait hérité
sur l'hippodrome « il se battait un peu lui-même. » On attribue au
sang
d'Ar- on6[M< le fait que la plupart de ses d
t sur l'obstacle était légendaire. Enfin, Anglo-Saxon,cheval de pur
sang
, était sujet à « de véritables accès de férocit
ué le tempérament nerveux ou ce qu'on appelle métapho- riquement le
sang
du déséquilibre nerveux observé chez les psychopa
séquilibre nerveux observé chez les psychopathes. « L'expression de
sang
, synonyme d'énergie, n'a rien à voir, disions-nou
Madzja (par Fitz Gladiator et Mimie) et la plupart des pouliches du
sang
d'/7c)'MH6 qui étaient « démesurément nerveu- s
siste,chez tous lesdesceudants de Pa7,tleil,célèbrej ti ment de pur
sang
(Partisan, Perle, Plutus, Mercédès, Jeune Premièr
u de s'étonner que nous empruntions à l'histoire des chevaux de pur
sang
la plupart des documents relatifs aux stigmates p
on que nous établissons entre le tempérament nerveux des chevaux de
sang
et le déséquilibre nerveux des équidés psychopath
muns que sur des chevaux de race. Il est certain que les chevaux de
sang
offrent, plus que tous les autres, des tares ps
ur des chevaux d'arme communs, et d'autre part, tous les chevaux de
sang
ne sont pas des dégénérés. Ces derniers présent
mouvement, du bruit, de l'impériosilé indiscutable, de la lutte, du
sang
; le militarisme est un rêve facile, accessihle
développée aux dépens d'uue branche de l'artère sylvienne.Pleine de
sang
et de caillots strati- fiés, elle est plus volu
nction lombaire, faite par M. Boidin, et qui ne donne issue qu'à du
sang
, est en faveur de ce diagnostic, impliquant un ce
mation subaiguë et la sclérose, montrent au milieu de la méningite du
sang
épanché à la face interne de la dure-mère, et d
ent négatifs. Les vaisseaux de la pie-mère sont tous très gorgés de
sang
, mais leurs parois et la zone périvasculaire sont
it claire, normale en quantité, et elle ne contenait ni albumine ni
sang
, ni pus, ni sucre; l'examen microscopi- que ne
purent être palpées étaient normales ; le maximum de la pression du
sang
dans l'artère brachiale prise en différentes oc
le de trouver de signes évidents de maladie de Raynaud. L'examen du
sang
ne mon- tra rien de spécial. Les globules rouge
queuse malgré que quelques-unes sem- blaient dilatées et gorgées de
sang
. La partie supérieure de la jambe était normale
rétions internes, dont les produits s'échappent directement dans le
sang
par le pôle vasculaire de la cellule, pendant q
istaux de triplophosphate et d'assez nombreux leucocytes. Examen du
sang
, février 1907. NOUVELLLE Iconographie DE la SAL
Les examens souvent répétés des urines, des matières fécales et du
sang
nous démontrent un état parfaitement normal.
ormal. Les réflexes plantaires sont vifs, en flexion. L'examen du
sang
montre une légère anémie simple. L'examen des f
t en correspondance de la moitié interne du champ visuel. Examen du
sang
. On note un certain degré ,'d'éosinophilie et une
Examen des urines. Rien de particulier. Même chose pour l'examen du
sang
. Absence de réaction myasthénique. Pression artér
est normale. Examen des urines. Rien de particulier. Examen du
sang
. - Erythrocythémie évidente (plus de 7 millions d
se. Examen IIEJIATOLOGIQUE dans l'acromégalie. Jusqu'à présent le
sang
dans l'acromégalie a été peu étudié ; dans la d
-être a-t-on pensé que telle investigation était inutile, et que le
sang
dans l'acromégalie ne devait pas être altéré. M
ns le premier des cas décrits ci-dessus, à l'examen histologique du
sang
, on remarque une augmentation des éosinophiles, l
que dans plusieurs cas d'acroméga 1 ie on a constaté des lésions du
sang
; il serait bon de les étudier avec suite afin
ganes et les sti- mulent d'une façon anormale. Examen chimique DU
sang
dans l'acromégalie. -, Sur cette question rien
aux trois cas dont j'ai donné l'histoire dans cet article. Dans le
sang
tiré en quantité suffisante des veines du bras pa
e augmentation de l'alca- lescence, du résidu sec et des cendres du
sang
, ce qui est encore en partie causé par la quant
séquences, il ne faut pas oublier que les substances miné- rales du
sang
, et dans les échanges en général, jouent un grand
s obscure.Seulement je veux faire remarquer que Fischer (1) dans le
sang
diabétique, en outre d'une augmentation des grais
anche et y gêne la circulation lymphatique encore plus que celle du
sang
; il se forme peu à peu de vastes destructions
e la circulation, que le moindre exercice de calcul fait affluer le
sang
dans l'encéphale, etc., etc. (1). L'étude de la
ie fondamentale (infantilisme), mais des examens souvent répétés du
sang
454 ETTORE LEVI de Marguerite ne nous monlrèr
e pouls faible et fréquent. Le soir même elle a des vomissements de
sang
noir. La malade jure n'avoir pris aucun médicam
a ma.ade était complètement ictérique, les selles étaient noires de
sang
, le coeur était très faible, la température recta
est constituée par des granules que M. Rémak* compare aux globules du
sang
de la grenouille ; elle forme la base des cornes
dans ces anfractuosités la condition d'une plus riche distribution du
sang
dans le cerveau (1). La pie-mère ne touche poin
eau. Dans la base de ces replis existent des lacunes qui reçoivent le
sang
des veines cérébrales et sont connues sous le nom
eineux, réduits à leur paroi épithéliale. D'une part ils reçoivent le
sang
des veines encéphaliques, et de l'autre ils le dé
intérieures et peuvent enfermer dans leur cavité des organes dont le
sang
baigne les parois. Les uns et les autres n'en son
s. Les uns et les autres n'en sont pas moins de véritables veines. Le
sang
les parcourt dans un sens déterminé, et s'ils n'o
, assuraient par leur multiplicité une large voie à la circulation du
sang
. Leurs fréquentes anastomoses, d'où résulte un va
préviennent des congestions dangereuses en donnant à l'écoulement du
sang
un plus grand nombre d'issues. B. Dure-mère rac
ases bien solides; l'âme, je veux dire la substance qui pense, est le
sang
pour les uns, pour les autres c'est un feu, un so
ivisible? C'est, dit Willis, un feu subtil et délié qui brûle dans le
sang
. Cette opinion est fort ancienne (2). Ainsi, le s
ui brûle dans le sang. Cette opinion est fort ancienne (2). Ainsi, le
sang
est pour ainsi dire la matière première de l'âme,
deux propriétés Willis fait deux parts. La chaleur se propage par le
sang
, quant à la lumière, elle se répand dans les nerf
une troisième part est séparée comme une épiphyse de l'âme vitale du
sang
et préside à la conservation de l'espèce. La pa
ide à la conservation de l'espèce. La part lumineuse est séparée du
sang
par l'action des couches encéphaliques; de là, el
difficilement explicables. Peut-être tiennent-elles aux mouvements du
sang
ou, comme certaines variétés du vertige, aux impr
y, assis sur une chaire, ayant le visage « tout couuert de gouttes de
sang
, et me sembloit que ce fust « tout ainsy que l'on
la perception d'un certain bruit; que le mouvement des artères et du
sang
soit perçu sous forme de bourdonnements; que des
acré, s'entr'ouvre « le ventre dans toute sa longueur. Pendant que le
sang
coule « de toutes parts, la multitude se prostern
alion de leurs prières. Le Bokte recueille dans sa main droite « du
sang
de sa blessure, le porte à sa bouche, souffle tro
pables d'amener le délire; voilà enfin comment les empoisonnements du
sang
, les méningites et les encéphalites périphériques
la veine, et un filet d'eau, reçu dans une cuvette, imita le bruit du
sang
qui s'échappe d'une veine ouverte. Or, l'opératio
blessure grave, et soudain il sent couler sur sa poitrine une lame de
sang
. Il le sent manifestement, et cependant la peau,
certains jours consacrés par une pieuse tradition, laisser couler du
sang
(1). Ici la physiologie n'ira pas (1) Nous croy
abandonné à l'air, deux onces de graisse humaine ; ajoutez-y mumie et
sang
humain, demi-once; huile de lin; térébenthine; bo
e vase le fer qui avait fait la blessure ou tout autre objet taché du
sang
qui s'en échappait. Le blessé se bornait à laver
tre elle. Cet objet est d'ailleurs assez indifférent. C'est tantôt du
sang
de pigeon ou un morceau de viande, tantôt une lim
é que cette suite d'opérations par lesquelles la digestion prépare un
sang
nouveau, source de rénovation et de vie pour tous
indre que je devinsse fou. Quatre ou six semaines après, le mauvais
sang
que je m'étais fait (pour me servir d'une expre
i le rein devient insuffisant, à l'accumu- lation du poison dans le
sang
. Cette hypothèse me paraît confirmée par une ob
servation accom- pagnée d'expérimentation physiologique à l'aide du
sang
recueilli par la saignée, chez un paralytique,
un paralytique, au début de la série d'ictus qui l'ont entraîné. Le
sang
s'est montré hypertoxique : il jouissait au pre
été reproduites chez trois lapins par l'injection intra-veineuse de
sang
défibriné d'un paralytique. M. BRIAND a fait au
ans le labo- ratoire du regretté Quinquand et a pu constater que le
sang
des paralytiques généraux, recueilli après les
sai- gnées sont inutiles. M. Vallon se demande si la toxicité du
sang
ne résulte pas du travail musculaire qui accomp
dans un état physiologique trop précaire pour qu'on leur retire du
sang
. M. LEGRAIN. Une petite saignée ne saurait avoi
état de mal et hypertoxiques après. Il croit, à une intoxication du
sang
. Ce qui confirmerait cette hypothèse c'est, que
aux ont le caractère de l'éclamp- sie et sont dues à la toxicité du
sang
; mais le plus souvent elles reconnaissent pour
tre, se complaît à faire souffrir les animaux et à voir couler leur
sang
. Il éprouve, en assistant à leurs convulsions,
présidant à l'innervation vasculaire. L'interruption de l'afllux du
sang
dans les petits vaisseaux est le résultat d'un
es et aux veinules. Ces vaisseaux en se resser- rant font passer le
sang
qu'ils contiennent dans les veines des mains et
Les artérioles restant spasmodiquement resserrées, tout afflux de
sang
étant impossible dans les capillaires, on a le
celle des veinules moins riches en fibres musculaires disparaît, le
sang
noir reflue des grosses veines dans les veinule
e de quelques noyaux de la névroglie. Dans les vaisseaux remplis de
sang
, on est frappé de l'abondance de leucocytes. Ce
ongements ; noyau difficile à voir, nucléole ; vaisseaux gonflés de
sang
, entourés de magmas de cellules rondes. Cordon
e nouvelle 'attaque d'épi 1 ep§io. Immédiatement tout écoulement de
sang
,fut arrété,et,,cela,pendant,touté : laldurbe DE
lle''éstblês"séè : ' Ellërhërs'eh'raperçoit'quë lorsqu'elle yoit'du
sang
. Deux' eures après l'accidenfnous' lâvoyons'et"n6
nfin indépendamment des lésions que nous avons lol)servéà-s dans'le
sang
-dé ces' malades et'dont nousr relatons les' obse
vant depuis longtemps; ceux-là préfèrent infuser continuellement un
sang
nouveau. A l'asile de Neustadt, les religions o
est tombé en poussant des cris de douleur et en perdant beaucoup de
sang
. Tu m'as fait mal, Baptiste, disait-il, dans de
t'offrir. Bientôt, il eut quelques convulsions dernières, écuma du
sang
et ne bougea plus. Je l'appelai doucement : Alpho
qu'il pourrait y avoir pendant la nuit des accu- mulations dans le
sang
de matières convulsivantes, ce qui expliquerait
gique une altération vaso-motrice de l'encéphale, avec afflux de
sang
dans la cavité crânienne, il est légitime de dimi
de l'écorce par le bro- mure, et en même temps de faire circuler le
sang
par le relèvement de la pression artérielle et
chez les paraly- tiques généraux à grandes attaques, la toxicité du
sang
peut être augmentée. Dans ce cas, il y aurait t
utiles découlent de cette conception de la pathogénie; décharger le
sang
d'une partie de ses produits toxi- ques ; saign
dirons qu'il s'est produit en vous certain mou- vement impétueux du
sang
, lequel a reflué des ventricules du cerveau ver
sir sur le front de son client la pierre traitresse, toute rouge du
sang
de l'in- cision. 11 semble d'ailleurs fort sati
le front du malheureux à grands coups d'un scalpel gigantesque. Le
sang
coule à flots. Peu importe : il reste encore à ex
pendant les dix années qui ont précédé sa mort des vomissements de
sang
, cela régulièrement tous les trois mois. Une
ymptômes que l'on décrit en- core dans la chlorose. La rétention du
sang
dans la matrice, et, d'une façon générale, les
Ambroise Paré n'en doutait pas : « A d'aucunes, dit ce dernier, le
sang
menstruel ne s'écoule, à cause que les vaisseau
suffocation utérine, « procédant d'une vapeur maligne s'élevant du
sang
menstruel corrompu ». « La cause de celle mal
in, continue M. Dalclié, rattache les accidents à une altération du
sang
ou des parois vasculaires dépendant de poisons, d
excessives qui carac- térisent le myxoedème. Ces femmes perdent du
sang
en quantité in- 276 E. HERTOGHE croyable au
s varices, qui veut qu'elles ré- sultent d'un obstacle au retour du
sang
, ne tient pas ici. Il doit y avoir autre chose.
te. On ne connaît pas la quantité de thyroïdine que déverse dans le
sang
une glande saine. A fortiori ne sait-on point l
'état naissant, et si nous pouvions la déverser directement dans le
sang
des hypothyroïdiens, nos résultats seraient plus
e six mois. Au bout d'un temps très court, la matrice se relève; le
sang
menstruel s'en dégage plus facilement. Je ne dema
s trouvé bien de faire agir la thyroïdine après avoir alcalinisé le
sang
par quelques doses répétées de bicarbonate de sou
y a neuf filles. L'aînée a été longtemps malade et perd beaucoup de
sang
. La seconde présenta plusieurs fausses couches av
commander, il diriger ses affaires de ménage. Elle a facilement le
sang
à la tête. Le teint est très haut en couleur. Les
e fille est sujette à des saignements de nez fré- quents. Elle a le
sang
facilement à la tête et le visage fortement color
montré plus haut. Il y a deux ans, Mme M... a eu un crachement de
sang
extrêmement abon- dant et qui ne s'est pas répé
ns certains cas morbi- des généraux, où il existe une altération du
sang
, comme dans le diabète, la goutte, dans l'ictèr
e si on admet que le trouble peut être attribué à une altération du
sang
serait plus plausible si, dans les trois cas, le
té'davantage, tant les médecins d'alors se montraientpro- digues du
sang
de leurs malades. L'anémie, la pâleur, la perte p
êter' dans leur fureur phlé- botomique. On saignait pour l'excès de
sang
; mais on saignait aussi pour l'insuffisance. U
ur expliquer les atrophies consécutives aux fractures, admet que le
sang
épanché au niveau du foyer de la fracture peut jo
moins bonne, plus sèche, plus maniérée, beaucoup moins réaliste. De
sang
, on ne voit pas trace, ni sur le couteau, ni sur
t ce bassin de cuivre à demi rempli d'un liquide rutilant. C'est du
sang
. Et regardez le bras droit de la malade. Vous y
e, comme une ligature faite avec un linge blanc. C'est de là que le
sang
provient. Tout s'explique alors : le docteur vi
, on constatait des épanchements pleuraux et péricardiques. Dans le
sang
, on trouvait l'hémoglobine réduite. Tcbirkoff c
abandonner à l'intempérie de ces entrailles, à la corruption de son
sang
, à J'àcreté de sa bile, et à la féculence de se
es variations de pression sanguine, des changements de composition du
sang
, des aciions chimiques, etc., en dehors de toute
sensilive, sous une simple variation de pression ou de composition du
sang
(action chimique) qui agit directement sur un
lement d'une écume sanglante formée de mucus bronchique teinte par le
sang
qui suinte des muqueuses. Toutefois, n'étaient
tit, et si lent qu'il battoit à peine cinquante fois par minute ; son
sang
était si gluant qu'il ne couloit que goutte à gou
tourner en ridicule ceux qui tiraient, jusqu'à complet épuisement, le
sang
des veines de leurs malades. Cela, joint à ses su
ès énergiques. « Un jour, la malade perdit une certaine quantité de
sang
par la bouche et par le nez ; à partir de ce mome
augmentent par les irrégularités de la circulation intra-crénienne du
sang
, dont voici le mécanisme. Lorsqu'on agite plus
space le corps des passagers d'une façon qui n'est pas habituelle, le
sang
contenu dans les artères et dans les veines est s
stin, puisque la hauteur suivant laquelle ces gaz, ces liquides et le
sang
auront à se mouvoir se trouvera fortement diminué
s, alors que le sommeil n'est pas terminé, « boivent l'âme, gèlent le
sang
, font gonfler la rate, détruisent toutes les bonn
omme dans un village. Ceux qui ont été désignés pour payer l'impôt du
sang
s'y sont soumis sans murmure; par un long joug, c
point d'honneur : tout affront demande vengeance, réparation dans le
sang
. Aussi, lorsqu'après la guerre sino-japonaise,
ion, il faut qu'il soit convaincu que. à partir d'un certain degré de
sang
impur les hommes méritent ou bien ne méritent plu
... Or, d'après la loi des croisements successifs, on a: 1e Des 1/2
sang
, mulâtres ici. 2° Des 3/4, 7/8, 15/16, 31/32...
la race noble, en ce sens que 31/32 est apparemment identique au pur
sang
initia!. Nous en reparlerons. 3° Des 1/4, 1/8,
2' de tâche originelle; 2* Seront de la deuxième caste les 15/16 de
sang
noble ou semi-oclavons ; 3° Seront de la troisi
noble ou semi-oclavons ; 3° Seront de la troisième caste les 7/8 de
sang
noble ou octavons ; 4* Seront de la 4* caste le
7/8 de sang noble ou octavons ; 4* Seront de la 4* caste les 3/4 de
sang
, c'est-à-dire les quarterons. En raisonnant tou
ent, Kabbalisliquement, pourrais-je dire à rejeter hors caste les 1/2
sang
et a fortiori tous ceux qui sont au dessous de co
a caste nourricière des agriculteurs n'est pas bien symbolisée par le
sang
nourricier et le vin généreux du Bacchus indien p
donc, vous dis-je. Le cœur est la coupe merveilleuse qui contient le
sang
, le sang est un vin sublime qui abreuve la vie de
us dis-je. Le cœur est la coupe merveilleuse qui contient le sang, le
sang
est un vin sublime qui abreuve la vie de tous nos
castes Inférieures. Il est vrai que la couleur du cœur viscéral, du
sang
artériel et du rouge-llard (denier de cuivre] ser
de trouver la solution de quelques petits problèmes. Hans est un pur
sang
d'origine russe. Son maître, M. Van Os-ten assura
un jour et sont constituées par un liquide muqueux à peine teinté de
sang
. L'amaigrissement est énorme, elle pèse trente ki
ntinue. Pendant son séjour dans notre service, plusieurs examens de
sang
sont pratiqués et nous prouvent que la pâleur n
unes. Les vaisseaux de la partie centrale sont abondants, gorgés de
sang
. Leur paroi est notablement épaissie. Sur certain
sseaux lymphatiques. Les vaisseaux du corps thyroïde sont gorgés de
sang
. Par places, on ob- serve des foyers hémorragiq
assez nombreuses de notre pays. Ajoutons d'ailleurs que l'examen du
sang
est resté à ce point de vue complètement négati
é par les Pilaires se reconnaît par la présence du parasite dans le
sang
. L'origine exotique du malade peut, dans le cas
seaux ; congestion des bases. ' Coeur. Pas de bulles d'air dans le
sang
ni dans les vaisseaux. Mésentère. Les grands va
la substance blanche on voitça et là de petits amas de globules du
sang
(c'est-à-dire des petits foyers hémorragiques don
aussi bien que leurs ramifications fines sont dilatées, pleines de
sang
, thrombosées ; leurs parois sont infiltrées de le
osé on voit des petits foyers d'hémorragie. Les vaisseaux gorgés de
sang
présentent de la diapédèse leucocytaire. Dans
e tissu cérébral cède donc déjà à une pression moindre que celle du
sang
. Cette destruction locale est une sauvegarde, car
es parois vasculaires se sont laissé dilacé- rer par la pression du
sang
». Cette hypothèse me paraît difficilement ad-
t même ceux des capillaires ; on y voit des éléments cellulaires du
sang
et du pigment. Le plexus choroïde est riche en
rtagent bientôt le sort de leurs devanciers. Le sol est imprégné de
sang
et couvert de membres humains. Il est impossible
à une compagnie où il y avait eu des cas de typhus récur- rent, le
sang
fut examiné et nous y trouvâmes spirill2cna febri
ue, constitué par la bande de vésicules d'herpès zoster remplies de
sang
. Mais un phénomène de vasodilatation peut-il ar
ryon des mammi- fères, qui se comportait à la manière des animaux à
sang
froid. L'opinion de ce maître concluant à l'amp
t observée bien plus complète chez certaines espèces de vertébrés à
sang
froid, soit seule- ment pendant les premières p
a dépendance des organes auxquels ils apportent l'innervation et le
sang
. Si les organes se forment d'une manière incomplè
ophiée. Deux ou trois artères qui donnaient une grande abondance de
sang
ont été liées sur le champ. Le premier lambeau
re que celle-ci est très épaissie, que les vaisseaux sont gorgés de
sang
, et que la paroi de la cavité est formée par un
st la conséquence directe de la . diminution de la coagulabilité du
sang
. « Il considère du reste les urti- caires et le
ion font appel aux sels de chaux, diminuant de ce fait la teneur du
sang
. Les fruits non murs, acides, les lavements de
rticaire soit due simplement à la diminution de la coagulabilité du
sang
, car. dit-il, si dans les observations de Roos et
l'urticaire coïncidait avec une diminu- tion de la coagulabilité du
sang
, n'y eut rien de pareil dans l'observation pers
e. Il serait intéressant de connaître l'état de la coagulabilité du
sang
dans le trophoedème. Nous n'avons pas pu malheu
phaedéme dans l'épilepsie-ou d'après Besta (11) la coagulabilité du
sang
est diminuée. (L'un de nous observe en ce momen
certainement en rapport avec la di- minution de la coagulabilité du
sang
.) Il semble donc qu'on peut supposer que le tro
roissance, la carie dentaire, la diminution de la coiglilabilité du
sang
, tant de faits qui sont certainement en rapport
es troubles de la croissance, de la dentition, de la coagulation du
sang
et en partie du système pileux, la constipation d
mbre. L'au- topsie révèle que les vaisseaux méningés sont gorgés de
sang
, les 62 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATH
rtains cas la présence de mucine dans tous les tissus, y compris le
sang
. Il est donc inté- ressant de chercher, chaque
u centre desquels sont des artères à parois hyalines, remplies de
sang
et autour desquelles se voient également des corp
m sanguin d'un autre épileptique, ou le sérum sanguin de son propre
sang
, mais en laissant entre la saignée et l'injecti
ptiques n'est mis en possession de ses propriétés actives que si le
sang
, après avoir cessé de circuler dans l'organisme e
rmalement est probablement adhérente aux éléments morphologiques du
sang
. Elle n'est mise en liberté et n'acquiert ses p
e en liberté et n'acquiert ses propriétés d'actiou,- que lorsque le
sang
cesse de circuler, quand les éléments morpholog
que le sang cesse de circuler, quand les éléments morphologiques du
sang
ne vivent plus. Voilà pourquoi l'épileptique ne
iosclérose. Pouls petit, non tendu, fortement intermittent. Rien au
sang
. Urine quelque peu albumineuse : 0,23 pour 1000
coloration semble due à un pigment spécial normal dans le sérum du
sang
, la lutéïne. R. LEMY. 166 REVUE DE PATHOLOGIE N
f du liquide céphalo-racliiJien, l'absence de toute polynucléo-e du
sang
ramènent le professeur à l'idée d'une tumeur en
trer soit l'examen bactériologique des urines, soit la toxicité du
sang
et les troubles de l'équilibre leucocytaire combi
ce qui est la règle habituelle d'après mes recherches. L'examen du
sang
des paralytiques, que j'ai pratiqué avec M. Lef
onfirmer ces vues théoriques. Au début, l'équilibre leucocytaire du
sang
est SOCIÉTÉS SAVANTES. 237 troublé par une pl
chi- miquement et l'on ignore comment ils se répartissent, dans le
sang
'g des animaux opprés,*entre les éléments figur
part, respecterait au maximum les substances les plus instables du
sang
, et qui' d'autre part, emprunterait aux élément
sur la peau détermine une tache blanche qui s'efface'tentement; le
sang
accède donc difficilement aux capillaires. L'ex
sés souvent par la vision du rouge (objets rouges ou tableaux où le
sang
ruisselle). Les hystériques dorment, mais d'un
connu, certaines leucomaïnes de désassimi- lation circulant dans le
sang
et empoisonnant ainsi nos cellules nerveuses. E
e àl'une de ses extrémités, et l'on voit la membrane, rougie par le
sang
, se dégager peu à peu du sillon interhemisphériqu
men- tionnées du côté droit. Il en resta, quoique t'épanchement du
sang
fût résorbé, des cicatrices entre les dura et p
chiilt-il). VI, 1901. Conclusions. 1° Sous la pression constante du
sang
, la rate se contracte et se dilate alternativem
un certain point en provoquant l'hypopression ou l'hyperpression du
sang
. 4° L'écorce des hémisphères cérébraux donne na
ns sur le traitement, qui doit être surtout dirigé contre l'état du
sang
, et il relate six observations intéressantes. I
des méninges, des lacs souvent considérables est dis- tendus par le
sang
, mais elles possèdent des parois suffisam- ment
-vous fini ? Vous vou- driez m'usurper mes titres, mes conquêtes du
sang
... mais je suis l'empereur, le grand César... J
ui appartient à ce jour de grand bonheur... Qui oserait répandre le
sang
d'un roi ? Ralliez- vous ! C'est triste d'être
dis cela car je suis malade. -On a besoin de respirer, on crache le
sang
, on n'est pas le malade... on l'est malade, mai
ec l'autorité de leur talentd'expérimentateurs. Le produit total du
sang
d'animaux éthyroïdés qu'ils nous présentent nou
récie et elle ne parait pas non plus nota- blement distendue par le
sang
. Substance blanche. - Autour de ces vaisseaux,
ions que dans la substance blanche : ils sont modérément remplis de
sang
. Il existe une prolifération nucléaire abondant
Au microscope, on voit que les vaisseaux sont épaissis, gorgés de
sang
: des corps amyloïdes se rencontrent dans les deu
ai de l'inflam- mation; ils sont dus uniquement à un épanchement de
sang
au- dessous de la dure-mète, les hématomes ains
stion de la pupille; pol3urie ; incontinence d'urine; albu- mine et
sang
dans l'urine ; oif intense. - Guérison rapide des
x infirmiers blessés par les éclats d'assiette avaient la figure en
sang
et Jol... proférait des menaces de mort contre
lissements du cer- veau ? Pour Klebs, qui a injecté à des chiens du
sang
saturé d'oxyde de carbone, il y a dégénérescenc
lquefois tardive des accidents après que le poison a été éliminé du
sang
ne peut être PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR D
tenté d'expliquer ces paralysies par les altérations' que subit le
sang
sous l'influence de l'oxyde de carbone. Il se p
veau du premier espace interosseux. Il n'y a qu'un écoulement de
sang
insignifiant. Quelques instants après, S..., que
né- rale et est retenu dans la rate et le foie, encombrant ainsi le
sang
et déterminant la céphalalgie; l'excès d'excrét
uit pas, ou rarement, lorsque le sujet présente un état anémique du
sang
, un arrêt de développement du cerveau, des névr
de s'être étendu longuement sur certains faits rares, les sueurs de
sang
, et au contraire de passer assez rapidement sur d
(Sur le rapport de l'oedème avec la quantité de l'hémoglo- bine du
sang
), par D. Benezur, et A. CsnTanY. (Extrait des D
avoir s'il existe un rapport de causalité entre la concentration du
sang
(quantité d'hémoglobine) et l'intensité de l'oe
l'intensité de l'oedème chez les né- phritiques. Ils ont examiné le
sang
de trois néphritiques et ils ont observé que la
pour faire varier les oedèmes chez leurs malades. L'hémoglobine du
sang
a été examinée à l'aide de la méthode spectroph
hy- drémie ne dépend pas de l'intensité de l'oedème. La teneur du
sang
en hémoglobine baisse, c'est-à-dire que t'hydrémi
re, la mère et la jeune fille étaient étendus au milieu de mares de
sang
infect. Désespérée de l'état d'idiotie de sa fi
emise, luttant au milieu de la chambre. « Thomas était couvert de
sang
. A la vue de Bro, le fou aban- donna Thomas et
plus très courageux, lutta vaillamment avec Chabrier que la vue du
sang
rendait encore plus furieux. Blessé, sentant se
On ouvrit la porte et l'on trouva le gardien Thomas baigné dans son
sang
. Le malheureux avait cessé de vivre. Quant au f
445 ; rapports de l'eedème avec la quantité de l'hé- moglobine du
sang
, par Benezur et Catsary, 546. BLÉPH.\ROPTOSE,
it augmentation d’aliment et de nutrition, à cause qu’elle relient le
sang
, et les esprits qui ont esté par ¡celle attirez,
. Joui s d’émotion, vous ne reviendrez plus; je ne sentirai plus le
sang
, bouillonnant dans mes veines, me monter au visag
heureux, la saisissent au passage ; lorsque le bouillonnement de leur
sang
a donné naissance à cette émanation de lame, ils
me cogne d’un côté, Monsieur de l’autre, que je viens d’en cracher le
sang
à la porte, que vous pouvez aller voir si vous vo
us savez; alors elle m’a ordonne de me laver la tète avec du rhum, du
sang
, et les tempes avec du cassis. Les autres témoi
le moyen-âge; oublions sa sanglante histoire, écrite partout avec du
sang
humain. Les prêtres alors apparaissaient comme de
ronie, ces levains empestés ont pénétré jusqu’à mes os, ont agité mon
sang
. Quoi ! voilà soixante-dix ans qu’on leur dit d’a
illir sa déposition : J’éprouvais depuis longtemps des crachements de
sang
. J’ai consulté Mme Rose, qui ne m’a fait aucune
a duré une heure; cette toux était accompagnée de crachats pleins de
sang
. jo° m. binet, instituteur à Charbonnières. Jai
20° m. médard, de Nogent. Je rendais l’humeur par tout le corps, mon
sang
était décomposé, les médecins m’avaient abandonné
e la rne Saint-Lazare la guerre civile qui désolait la capitale et le
sang
qui coulait à flots : on sait que sa clairvoyance
maladies à une cause unique, Gallien au vice des humeurs, d’autres au
sang
, Raspail aux animaux parasites dont noire corps e
l répare la nôtre ; comme le bon pasteur, il prodigue sa chair et son
sang
. Aucun salaire n’est donc plus légitime ; et comm
aimant. La vertu attractive de l’air se portait au poumon , celle du
sang
au foie, celle des sécrétions aux reins, et celle
aution. (2) Opéra chimica. Tractatus 2. (3) Vertus magnétiques du
sang
, p. 2. suffisante pour déterminer nne crise tou
peuvent même donner naissance à des accidents. Elles font refluer le
sang
vers le centre de la circulation et particulièrem
gnétisée, avec l’intention prescrite. « Il me semble que je bois du
sang
, me dit-elle; cette boisson me fortifie.... « M
pour harmoniser son concours utile dans cc cas avec la transfusion du
sang
ou de son principe excitateur. Mais là n’est pas
théories à lui sur tout : l'électricité terrestre, la circulation du
sang
, etc. Ce soir, il doit parler de Vac-quiswitè, or
de regarder, jusqu’à ce que leur chair finit par s’émou-voir, et leur
sang
à bouillonner de manière à ne pouvoir plus se con
mmode de rappeler le médecin qui, celle fois, prescrivit les bains de
sang
, et ne fut pas plus heureux qu’auparavant; un aut
une magie diabolique, et c’est elle qui a fait couler des torrents de
sang
humain. Cette expression demasíe vient ücmages,
s avoir flotté entre toutes les théories, après avoir laissé de voire
sang
aux ronces du chemin, après avoir sali vos mains
l se produisit par les oreilles un écoulement abondant d’humeur et de
sang
en plus grande quantité. Le médecin nous fit bien
lutaire que prompt dans ces cas, et les douleurs, les vomissements de
sang
, la toux, cessent comme par enchantement, en même
faut lui appliquer deux cautères au-dessus des épaules; qu’elle a du
sang
dans l’estomac, de l’embarras dans le ventre, un
t M“c Otom , un venin qui a été puisé dans l’air et qui s’est mêlé au
sang
et aux nerfs.... Ce venin circule dans tout le co
de terre où est placée la France. Cette terre fut jadis couverte de
sang
humain versé par l’ignorance et le fanatisme ; de
lle se croit entourée d’individus prêts à la frapper ; elle verra son
sang
couler, des personnes accourir à son secourè, et
ue, si bien que la pointe en sortit dans l'intérieur de la bouche. Le
sang
se fit jour aussitôt par les deux ouvertures de l
he qui était demeuré, pendant l’examen, la bouche ouverte, remplie de
sang
, et le fer dans la blessure ; allez vous guérir.
cité devient l’âme du monde et le moteur universel qui fait couler le
sang
dans nos veines, monter la sève dans les végétaux
Cependant, il arrive souvent que des individus unis par les liens du
sang
ne sont pas attirés les uns vers les autres par d
e morale du monde entier sans torturer personne, sans faire couler le
sang
humain. Notre patrie aura un jour cet honneur ins
Pendant trente ans, Hussites, Taborites, Calixtins ont arrosé de leur
sang
de martyrs les champs de la Bohême plutôt que de
n fluide qui n’est pas te sien propre. Je le vois, en outre, dans son
sang
. » Ce fait à lui seul suffirait, il me semble,
s, mais son action était insuffisante pour opérer la recomposition du
sang
d’une part et pour.ramener les forces musculaires
quelle il est affecté qui sera transmise au centre sensitif. Que le
sang
vienne affluer en trop grande abondance et surexc
) La colère nous fait rougir ou pâlir, c’est-à-dire fait affluer le
sang
au cœur, ou le fait refluer vers la périphénie, e
rs jusque-là été tremblante et glacée, se réchauffa sensiblement : le
sang
parut revenir en bouillonnant dans les veines de
it, sont un fragment même de la personne, des cheveux, un crachat, du
sang
, etc. L. LAMOT1IE. Il se publie, depuis quelq
sympathique de l’organe, ce qui détermine à cet endroit un afflux du
sang
et du fluide nerveux. Il en résulte chez vous une
était épouvantée par la vision d’émeutes, de combats ; elle voyait le
sang
couler, les mourants tomber par milliers. La ma
de sa menstruation, elle lava dans de l’eau froide; la circulation du
sang
s’arrêta tout à coup ; on fit appeler le médecin,
matin ma cousine fut débarrassée ; il s’échappa même des caillots de
sang
par l’utérus en assez grande quantité ; cette gué
« Cependant il arrive souvent que des individus unis par les liens du
sang
ne sont pas attirés les uns vers les autres par d
M. (.auvain,dans le Constitutionnel, du miracle de la liquéfaction du
sang
de saint Janvier, cherchait à l’expliquer par l’a
nsable, avant tout, de s’assurer si le contenu des fioles est bien du
sang
; car si ce n’était par hasard qu’une graisse fus
s, ne l'empêche pas d’avancer. « Il m’en coûtera, dit-elle, un peu de
sang
; mais ces misérables n’échapperont pas à la main
tre, blasphémant le nom de Dieu et des Saints, désirant l'effusion du
sang
humain , ayant tout à fait dépouillé la pudeur de
n’égala dans les fastes de l’humanité. Elle mourut martyre, mais son
sang
, plus que ses exploits encore, sauva le peuple fr
ieuses que déraisonnables , qui avaient déjà fait couler des flots de
sang
?... Hélas ! la catastrophe de Rouen a élé malheu
ctes du tribunal qui, pendant plusieurs siècles, a versé des flots de
sang
, a exercé les tortures les plus odieuses, a été l
théâtre Carignan à Turin , parodiait le miracle de la liquéfaction du
sang
de S. Janvier et celui de la Madone de llincini q
les dont un ou deux ont été inci- sés : l'incision donne issue à du
sang
. La surface externe de l'hémisphère droit du ce
peut distinguer de nombreuses cavités plus petites. Il n'y a que du
sang
dans ces nodules et cavités : du reste, aucune
té du cerveau est amoindrie; 4° que l'opium augmente la quantité de
sang
con- tenue dans le cerveau, ce qui a pour résul
ou de vin, il est considéré dans son milieu comme très sobre. « Le
sang
à la tête, voilà son point faible », une colère
rence pathologique de la dure-mère aux os. Les sinus sont gorgés de
sang
noir. La dure-mère présente au premier abord un
au premier abord un aspect tendu et une coloration ardoisée (due au
sang
épanché au-dessous et vu par transparence) ; in
formaient une couche plus profonde que les caillots noirs. Tout ce
sang
est contenu dans une poche membraneuse qni tapiss
la même étendue ; il y a de part et d'autre près de 300gram- mes de
sang
caillé. Les vaisseaux de la néomembrane ne [sont
exercée des deux côtés de dehors en dedans et de haut en bas par le
sang
auquel il a dû céder une large place, est refou
-protubérantielle toute récente, constitués par quelques gouttes de
sang
encore rouge exlravasé et infiltré dans le tiss
flammation de la dure-mère était due à l'irri- tation causée par le
sang
épanché. Après Baillarger2, avec Hescl, Virchow
tiquée, en 1889, un chirurgien, dans ce pseudo-phlegmon, et d'où du
sang
pur s'était seul écoulé. D'ailleurs maintenant
coulé. D'ailleurs maintenant les piqûres ne laissent sourdre que du
sang
noir. La face palmaire est également enflée, car
écrétion nasale exagérée. Les émotions dans lesquelles il sent « le
sang
lui monter à la tête », peuvent déterminer : so
aphisme, à la paralysie des artérioles, suivie de ralentissement du
sang
dans les veinules et de diapédèse, avec effacem
bacille de Loeffler. Puis on nous montra que l'injection, dans le
sang
d'animaux bien portants, de certains bouillons
ives de A'ct'o/oyt'e, 1896. SOCIÉTÉS SAVANTES. 221 circulation du
sang
dans les veines est due non seulement à l'actio
thoracique, mais aussi à la contracture des muscles qui chassent le
sang
des veines pourvues de valvules dansune seule e
nt à l'hôpital ? 30. Fait-on (et dans quelle mesure) les examens du
sang
et de l'urine ? Dire aussi comment on procède p
'examen de l'urine, à l'admission, est à peu près général. Celui du
sang
est rare. (Dans un rapport, on lit : « Nous ne so
et à une température très agréable, c'est-à-dire à environ celle du
sang
. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS DANS L'ÉTAT DE NEW-YORK
jours après un violent traumatisme du sein, eut des vomissements de
sang
et des faiblesses, puis son sein gauche devint
bstance grise. Dans toute son étendue, les vaisseaux sont gorgés de
sang
, mais cette congestion ne dépasse pas les limit
rait être hypertrophié. On ne peut songer à un souffle anémique, le
sang
examiné ayant été trouvé normal. Le professeur
étruit leurs organes, qu'on leur arrache les os, qu'on leur suce le
sang
, ou que leurs ennemis sont entrés en possession
produit la paralysie vaso-motrice dans le rein, on injecte dans le
sang
des microbes pathogènes, ces microorganis- mes
ganismes pathogènes qui peuvent se trouver accidentellement dans le
sang
. Comme corollaire : l'immunité d'un tissu, par ra
e chute faite sur l'estomac, et à la suite de laquelle il cracha le
sang
pendant cinq mois. (Ann. de la Soc. de méd. de
nt; pas d'excès de boisson, aurait eu à dix-huit ans « un coup de
sang
» et le « sang brûlé ». Pas de syphilis. [Père, s
ès de boisson, aurait eu à dix-huit ans « un coup de sang » et le «
sang
brûlé ». Pas de syphilis. [Père, soixante-dix-
e fille n'a- vait pas la sensation de boule, mais « elle sentait le
sang
lui mon- ter à la tête»; elle avait le temps de
mère, par transparence, montre là un foyer hémorrha- gique, avec du
sang
coagulé au centre, se continuant à la pé- riphé
tique. Toute l'épaisseur de l'écorce cérébrale est en- vahie par du
sang
plutôt infiltré que collecté en foyer. Ce- pend
près, une métrite puerpérale, attribuée au contact du liquido et du
sang
coagulé contenus dans la tumeur et sortis par l
e, l'enfant se trouve mal pour des motifs insignifiants : la vue du
sang
, par exemple; la figure de- vient alors pâle pe
e école. Diarrhée assez fréquente, glaireuse, renfermant souvent du
sang
. Juin. Poids, 24 kil. 500; taille, 1 mètre 25.
oujours très fréquentes, mais peu abondantes ; elles contiennent du
sang
; on en compte une dizaine par jour ; elles ne
La diarrhée persiste toujours, ' séreuse et ne conte- nant plus de
sang
. L'amaigrissement est extrême; salacité; pas d'
s, à la fois peu abondantes et fré. quentes, contenaient souvent du
sang
, elles ne se sont jamais accompagnées de ténesm
ercés d'un couteau de boucher ; de la plaie s'écoulent des gouttes de
sang
. Dégénéré alcoolique arrêté à la suite de tentati
et qui éprouvait une angoisse extrême à la vue de quelques gouttes de
sang
. Son état fut promptement modifié à la suite de q
ux pour amortir la pression des tissus et faciliter la circulation du
sang
, et, après avoir ainsi écarté toutes causes de di
I indique, en outre, que la moelle reçoit une plus grande quantité de
sang
. Il y a une importance toute spéciale dans la gra
ouver les centres moteurs, en raison de l'augmentation de l'afflux de
sang
artériel. Enfin Krarup montre que les diverses mé
« Son frère, qui habite Werschetz, vomissait depuis quelque temps du
sang
, et les médecins ne savaient s'il s'agissait d'un
lorsqu'il lui arrivait d'être changé en léopard il devenait avide de
sang
. « Après chaque meurtre, il reprenait la forme
Le lever aura lieu à 6 heures. Le sommeil trop prolongé alourdit le
sang
et l'esprit. La meilleure position pour dormir es
llules vivantes s'emparent de ces molécules inertes, charriées par le
sang
, pour leur communiquer les vibrations vitales et
ies avec de l'onguent pris sur des Indiens tués à la bataille. « Le
sang
, précieux liquide, source de vie, passe, cuit ou
de, comme sa victime, qu'elle voit étendue à terre, baignant dans son
sang
. On lui demande si ce n'est pas moi qui lui aurai
ce qu'elle était belle. Que Mme G... voie M. P... baignant dans son
sang
, c'est plus que douteux; j'ai les mains pleines d
es excrétions des marmottes en hivernation, mais l'analyse des gaz du
sang
m'a donné des résultats très importants, au point
la respiration des hivernants, la quantité d'oxygène contenu dans le
sang
artériel est à peu près la même dans l'état de ve
est toujours élevé : on en trouve, en moyenne, 0 ce 16 pour 100 ce de
sang
. La quantité totale des gaz est beaucoup plus for
culation. L'accumulation d'une quantité aussi forte de gaz, dans le
sang
, s'explique non seulement par la lenteur de la ci
issement progressif, mais encore, et surtout, par la concentration du
sang
, facile à prou, ver par l'augmentation du nombre
de la densité, et par la dessiccation. Il y a donc déshydratation du
sang
. On pourrait employer, pour les marmottes, une ex
les individus somnolents, apathiques : elles ont, en hivernation, le
sang
lourd, épais. Pendant le réveil, une partie de
la veille ou du sommeil. L'accumulation d'acide carbonique dans le
sang
et la déshydratation de ce dernier suffisaient à
reins.) Cet exercice a une fâcheuse influence sur la composition du
sang
, sur les fonctions des viscères abdominaux, sur l
et de précipation pour que la lèvre inférieure fut mordue jusqu'au
sang
. Tous les traitements furent essayés et échouèr
nné naissance. Maladie du poumon, du coeur, du rein ; altération du
sang
, sans oublier les différentes maladies nerveuse
du système vaso-moteur, l'afflux d'une quantité supplémentaire de
sang
dans ces pallies, absolument comme s'il s'agissai
ce ner- veuse, ne doit pas se marier. Quoique le croisement avec un
sang
pur produise d'heureux résultats, le célibat es
onvulsions est, dans de larges limites, indépendante de l'apport du
sang
artériel à l'écorce du cerveau, de l'excitabili
, qui s'étaient déjà éteintes, reprennent. L'excès d'uxyène dans le
sang
fait disparaitre les pauses mterconvulsives de
son maximum (orthopnée). Intégrité des organes splanchniques et du
sang
. Absence de menstruation. Tous les toniques lee
quelques ruptures vasculaires, la présence de quelques globules de
sang
dans la gaîne des petits vaisseaux, le mécanism
morrhagiespinale, nous devrions plutôt voir dans l'extravasation du
sang
un effet su- perflu de la commotion, qui, même
ductibilité des éléments de l'encéphale et dans la répar- tition du
sang
au sein de ce centre nerveux. P. K. XXIV. Inver
it et en dehors des maladies infectieuses et de l'apauvrissement du
sang
qui peuvent en résulter, la phthisie pul- monai
LA MOELLE ÉPINIÈRE. 309 exigerait l'accumulation d'une quantité de
sang
con- sidérable, on peut penser que la distincti
e assez rapidement pour qu'on puisse expliquer par la résorption du
sang
, la disparition quelquefois très rapide des acc
n de la colonne vertébrale), on trouva encore un épan- chement de
sang
abondant entre la dure-mère et le canal osseux,
vier d'Angers, mettent la chose hors de doute. Le plus souvent, le
sang
s'épanche en nappe mince plus ou moins étendue,
rtèbres inférieures le blessé mourut en quatre heures. On trouva du
sang
extravasé dans le canal rachidien, avec intégri
ocarde, l'endocarde sont normaux. Les cavités contiennent un peu de
sang
liquide sans caillots. On trouve quelques plaqu
cé ; sensation de piqûres dans le côté gauche et vomisse- ment d'un
sang
épais foncé; rien dans la poitrine ni dans les
permettant le passage à travers elles des parties constitutives du
sang
. Delà l'idée d'ins- tituer des expériences capa
nces capables de produire une hyperémie assez puissante pour que le
sang
surmonte la résistance des parois vas- culaires
oit de reste, opposent de plus grands obstacles à la circulation du
sang
que le réseau vasculaire parcimonieux fourni pa
phes, dût leur triomphe s'acheter de toute la fortune et de tout le
sang
de la France; dussent-ils se disputer et s'arra
d'action est l'is- chémie ; la substance cérébrale reçoit moins de
sang
que normalement; elle est en imminence morbide,
ne grande partie de l'encéphale, dans le second il y a irruption du
sang
dans les espaces sous-arachnoïdiens et dans la
cas analogue, Furbringer fit la ponction après la mort et retira du
sang
presque pur. Dans un cas d'hémor- ragie bulbair
rébelleuse, la ponction faite pendant la vie lui donna également du
sang
presque pur. Freyau, dans deux cas d'hématomes
e cette tumeur offrait un sac à parois minces rempli de caillots de
sang
, dont les uns étaient tout à fait décolorés et
s artères n'assurant plus que d'une façon irrégu- lière l'apport de
sang
à la substance cérébrale. Furstner répartit en
stime que les données de l'expérimentation (toxicité de l'urine, du
sang
) ne sont pas encore édifiantes et que de nouvelle
ral. L'absence de microorganismes dans le liquide exsudé ou dans le
sang
semble prouver qu'il ne s'agit pas d'une infectio
directe, mais plutôt de l'action de toxiques en circulation dans le
sang
, provoquant de la vaso-dilatation. Les accidents
vaire, de testicule, de glandes surrénales. Toujours les examens du
sang
et les tracés du pouls ont donné des résultats né
; -Influence des différents processus psychiques sur la pression du
sang
chez l'homme, par Binet et Vaschide; -Période réf
davériques, dans toute la région du dos. La circulation arrêtée, le
sang
s'agglomère dans les parties les plus basses et y
e part un obstacle au 230 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. retour du
sang
veineux et détermine l'accumulation de ce sang
NERVEUSE. retour du sang veineux et détermine l'accumulation de ce
sang
veineux dans les capillaires du cerveau et de l
es du cerveau et de la moelle allongée. L'opinion de Meynert que ce
sang
veineux agit alors comme agent toxique et produ
C'est peut-être aussi la présence de toxines ou de poisons dans le
sang
, lesquels poisons n'agissent sans doute qu'en p
e ;. c'est : l'état d'équilibre instable de la cellule nerveuse. Le
sang
de ces malades, noir, poisseux, se coagulant pr
isent à leur début par un excès ou une diminution de la quantité de
sang
qui circule dans les centres nerveux. Delà l'
indiqué dans toutes les formes spasmodiqhes en chassant l'excès de
sang
des cellules nerveuses motrices et, en détermin
doivent se prêter un mu- tuel appui pour l'étude de la toxicité du
sang
et des excréta chez les aliénés. Il est nécessa
tives étant affaiblies, émoussées par les toxines contenues dans le
sang
. (American journal of insq ? zity, avril 1897.)
consultation d'un mage ; pointes, correspondances astrales, rôle du
sang
dans les cérémonies magiques; rituel de Ch'. Ba
ent détermi- nées par les substances toxiques qui circulent dans le
sang
de certains diabétiques. Elles constituent, san
simulacre qui restera éternellement sur la terre. Elle n'a plus de
sang
, elle est insensible (analgésie). La quatrième
Père ; je ne pouvais plus dire : Ceci est mon corps... ceci est mon
sang
... je prononçais Belzébuth... -Lorsque je faisa
faut d'oxygène dû à l'entrave qu'apporte la corde à l'écoulement du
sang
veineux, à son retour du crâne ; il en résulte
un examen physique et mental complet (analyses chimiques, examen du
sang
, etc., renseignements du médecin de la famille,
sont fili-formes et tout à fait insuffisantes à rétablir le cours du
sang
dans le cas d'obli-tération. Certaines anomalies
assez heureux pour bien faire, ressortir que le système vasculaire à
sang
rouge domine pour ainsi dire la situation dans le
s considérons, par opposition, une ar-tère à anastomoses, le cours du
sang
se rétablit en général avec facilité, au-dessous
nt, contrairement à l'opinion généralement répandue, l'épanchement de
sang
, — ainsi que M. Gendrin l'avait depuis longtemps
à la compression que, dans les premières périodes, un épanchement de
sang
ne manque jamais de produire, à une certaine dist
on toute récente d'un foyer d'hémorrhagie dans le lieu d'élection. Le
sang
se sera donc épanché, en dehors du noyau lenticul
insula, de Tavant-mur et de la capsule externe, résisLe à l'effort du
sang
extravasé, tandis que les noyaux gris sont le plu
ns de ces artères ainsi altérées, — et ce cas est très fréquent, — le
sang
se répand dans le ventricule virtuel dont nous pa
ollée. De cette façon, se forment ces foyers aplatis, qui, lorsque le
sang
épanché s'est résorbé, se présentent sous la form
encore comme l'a montré Cl. Bernard, par une modification chimique du
sang
qui a traversé ce muscle. Ainsi, la quantité d'ox
i a traversé ce muscle. Ainsi, la quantité d'oxygène contenue dans le
sang
artériel qui pénètre dans un muscle étant représe
s un muscle étant représenté par 7, Il % la quantité contenue dans le
sang
veineux à la sortie du muscle en contraction n'es
ntité d'oxygène du sang-veineux devient donc presque égale à celle du
sang
artériel. Mais, dans le muscle à l'état de simp
té représente presque le tiers de la quantité totale contenue dans le
sang
des vaisseaux afférents. Je vous rappellerai qu
ans doute affectés simultanément par la strychnine introduite dans le
sang
en circulation. Mais ceux-là réagis-sent naturell
▲