E Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT ei J. NOIR Deuxième
série
. tome XXII 1906. Avec : 2 Iig'I11 ? ,1 : 111<
e Historique, critique et définition. Messieurs, Cette nouvelle
série
de conférences sera consacrée à l'étude des éta
la conception actuelle delà Folie MMU ! Mg-6 ? rg.s- AncllIY¡ ? 2'
série
19Ce, '. XXII 1 2 CLINIQUE MENTALE. sive, j
e basant sur de (1) MAGNAN.- Recherches sur les centres nerveux, 2°
série
, 1893, 499. DE LA FOLIE MANIAQUE-DÉPRESSIVE
etentissement en France. Sérieux a pourtant pris le soin,dans une
série
de pu- blications du plus haut intérêt et dont
é- gulier (Arnaud). Inversement, chez d'autres sujets, on voit la
série
des accès de mélancolie être interrompus de tem
colie inLermitlcu6c,iu Presse Médicale, 1902, p. 4G2. Archives 2-
série
, 190G, t. XXII. 1. 2 18 CLINIQUE MENTALE. n
eur a paru liée, d'une parla a l'état cuto-toxiqne ré- ARCIllVES,2-
série
, 1POG, L. XXII. 3 34 REVUE D'ANATOMIE ET DE P
anatomiques et cliniques, il de-, ient nécessaire de rechercher la
série
des troubles tabétiques dans tous les cas de dé
I ? Aj3Rir. - le ne suis pas d'avis que l'on rende cet Archives, 2°
série
1906 t. XXII. 4 50 SOCIÉTÉS SAVANTES. arrêt
e et plus proche de la stupeur. La continuité est appréciée par une
série
de calculs de tête : l'attention n'est soutenue
on (imagination). Les souvenirs du mélancolique sont conser- vés en
séries
, mais le malade ne peut guère dissocier ces série
t conser- vés en séries, mais le malade ne peut guère dissocier ces
séries
pour en extraire un souvenir isolé ; il y a eff
nt la douleur morale et l'anxiété. La pre- mière est composée d'une
série
de sentiments plus simples, in- quiétude, crain
accord est dû, en partie au moins, au fait que, tanllisque toute la
série
de questions importantes qui se rapportent à la
dès l'abord mais déjà il laisse entrevoir la nécessité de toute une
série
de recherches supplémentaires dirigées contre l
ilibre ou de l'orientation. Le crâne était asymétrique Archives, 2'
série
, 11 : 'C6, t. XXII. 5 6 ANATOMIE PATHOLOGIQUE
pariéto-limbique antérieur ( -p la). Quant au pli oc- ARCHIVES, 2°
série
1906 t. XXII. 6 82 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. c
la vision, in Traite de patho- logie générale, 1904. Archives, 2'
série
, 190f, t. XXII. 7 . 98 CLINIQUE MENTALE. là
erche des microbes porta sur 206 cas que l'on peut diviser en trois
séries
: une première série comprend les recherches fa
ta sur 206 cas que l'on peut diviser en trois séries : une première
série
comprend les recherches faites sur le cadavre d
crobes précé- demment décrits comme pathognomoniques. La deuxième
série
porte sur 64 cas d'affections diverses des centre
là encore, à des fautes de technique. Enfin, dans une troi- sième
série
de 46 cas d'examens de sang de malades, présen-
nclure et quelques résultats discordants s'annulent dans de longues
séries
. Quant à la question des variétés leucocytaires
suite delà disparition des gaines de myéline ; la cou- nRCIIWES 2-
série
, 1900, t. XXII. 8 114 CONGRÈS DES MÉDECINS AL
ychiatrie. - 1° L'état mental des vieillards. - On trouve toute une
série
d'états de transition entre la conservation par
ible de se borner à classer l'humanité en deux blocs : Archives, 2'
série
, 1906, t. XXII. 9 130 CONGRÈS DES MÉDECINS AL
piré. Très généralement, on voit leréllexede la toux déterminer une
série
d'expirations courtes et saccadées qui, n'ayant
ie d'une expiration forte, bruyante, et saccadée, sont formés d'une
série
de petites expirations courtes que n'interrompe
a durée de l'excitation ; -, 2° le pouvoir de reproduction pour une
série
d'images acous- 142 REVUE d'anatomie et de PH
t plus faible si ces images sont longues et complexes ; 3° dans une
série
acoustique, les paroles apprises au début et à
à la fin sont mieux retenues que celles qui sont au mi- lieu de la
série
; 4° le pouvoir de reproduction d'une série d'ima
sont au mi- lieu de la série ; 4° le pouvoir de reproduction d'une
série
d'images acoustiques et usuelles de la parole e
oles qui peuvent être répétées après l'audition où la lecture d'une
série
, ne peut guère avoir d'influence sur les éléments
ne série, ne peut guère avoir d'influence sur les éléments de cette
série
, dont toutes les parties sont également liées ent
outes les parties sont également liées entre elles ; 6° si dans une
série
visuelle s'intercale une parole citée d'une aut
e parole citée d'une autre personne, c'est toujours le milieu de la
série
qui est retenu ; 7° le pouvoir de reproduction
eu de la série qui est retenu ; 7° le pouvoir de reproduction d'une
série
d'images vi- i- suelles de la parole est fortem
rébrale s'associe toujours une hémiatrophie crânienne. Une nouvelle
série
d'expé- riences l'amena ensuite à formuler les
la voûte et de la base. , L'auteur procéda ensuite à une nouvelle
série
d'expériences pour rechercher l'origine exacte
'origine exacte de cette hémiatrophie crânienne : Dans une première
série
d'expériences, il pratiqua l'ablation plus ou m
hé- miatrophie cérébrale et crânienne. Enfin, dans une troisième
série
, il pratiqua l'ablation de la voûte sur une plu
côté gauche de la face, du cou et de l'épaule gauche, remplacer une
série
d'accidents hystériques antérieurs qui ont comm
t plus d'un mois, tous les après-midi, présente à la même heure une
série
de hoquets avec soulèvement des épaules ci agit
onnée à un adulte devient une dose forte (Toulouse). Archives, 2'
série
, 1900, L. XXI I 11 162 THÉRAPEUTIQUE. C'est
CHES SUR LE TRAITEMENT DE L'ÉPILEPSIE. 163 Ce furent, dès lors, une
série
d'accidents un peu analogues il ceux que nous a
taire, licencié s sciences, est étudiant en philoso. .lttcnrvrs, 2'
série
, 1OG, 1. XXII 12 178 CLINIQUE MENTALE. 1 ]'
toujours professé pour elle le plus grand res- pect. « Voici une
série
de faits : « 1° Sans raisons plausibles, M. G.
possibilité de la lévitation. A ce fait se rattacherait la première
série
d'hal- lucinations : la jeune protestante vient
élire dont le point de départ et la trame sont constitués par une
série
d'interprétations erronées, et, d'une manière e
périeurs, c'est le pied droit qui est le plus agité. archives, 2'
série
1906 t. XXII. 13 194 RECUEIL DE FAITS. Réfl
vis de MM. Brissaud, Raymond et Ballet. Il résulte cependantd'une
série
de travaux allemands et anglais sur ce sujet, qu'
rappelle que, l'an dernier. an Congrès' de Rennes, il a montré une
série
de photographies concernant deux groupes bien d
mille qu'ils illustreraient et sur lesquels ondoitmar- Arciiives 2°
série
, )9(M, t. XXII. 14 210 CONGRÈS DES MEDECINS A
signes de rage. Ce n'est que, par suite, grâce aux inoculations en
série
, que le diagnostic bactériologique rabique a pu
système nerveux. On comprend donc la nécessité des inoculations en
série
qui seules permettront des conclusions fermes d
ensuite l'occasion de rencontrer en ville et à l'hôpital toute une
série
de neurasthéniques où le fer a donné d'excel- l
éningite cérébro-spinale, par GAUSSEL. Les ponctions lombaires en
série
au cours de la paralysie géné- rale, par A. Mar
de la paralysie et de sa rétrocession après deux mois. Il est une
série
d'observations pour lesquelles on doit invoquer
stigmates de dégénérescence physique et d'infériorité Archives, 2,
série
, 100G, t. XXII. 15 220 REVUE DE PATHOLOGIE NE
te complètement les idées de notre collègue et les renforce par une
série
de notes relatives à l'organisation des asiles
cérébrales intellectuelles, guérissent, au dire de M. Archives, 2'
série
, 1())G, t. XXII. 16 242 pathologie mentale.
le même délire et par les mêmes phases de ce délire. Archives, 2'
série
, 1906, t. XXII 17 258 PATHOLOGIE MENTALE. L
on gré la nature vivante et qui domine dans son ensemble toute la
série
des êtres organisés ·. Mais alors, à quoi bon in-
ont été les mêmes autant que possible. On a tou- jours commencé les
séries
par une épreuve normale sui- vie par une altern
t-à-dire une épreuve normale et une épreuve avec du brome, dont les
séries
de 100 réactions avec choix alter- naient avec
dont les séries de 100 réactions avec choix alter- naient avec des
séries
de 100 réactions verbales. La méthode pour obte
s étant de 4 et 5 syllabes en allemand. De cette manière on a une
série
de SOmots à 4 syllabes chacune. A chaque interv
ttent en activité. Toute altération de l'opéra- tion, dans les deux
séries
des phénomènes, peut conduire à des conclusions
cela que les deux épreuves avec du brome ont été précédées par une
série
normale préliminaire, de sorte qu'il y a ici se
rogressive jusqu'à i'ia . Cette frap- pante analogie entre les deux
séries
de recherches doit légitimer ici les mêmes conc
les intervalles et pauses - deux heures. On a com- mencé avec une
série
de réactions avec choix. La dose de 4 gr. de br
hoix. La dose de 4 gr. de brome a été prise après l'exécution d'une
série
de réactions verbales et avec choix. Dans cet
pération cau- sée par la prise du médicament. Dans des prochaines
séries
de réactions verbales et avec choix, l'influenc
Les deux épreuves normales du sujet lIo. et la seconde Archives, 2'
série
1006 t. XXII. 18 274 , étude CRI-] IQUE. ép
e. 275 niques. L'expérience a consisté dans la mémorisation de 12
série
de chiffres et syllabes sans signification, d'apr
dans la dernière demi-heure l'opéra- tion est la même dans les deux
séries
: normale et avec du brome. 278 ÉTUDE CRITI
chiffres une habitude progressive avec le trouble dans la première
série
, plus rapide et moins évi- dente dans la second
la première série, plus rapide et moins évi- dente dans la seconde
série
, de sorte que le travail aug- mente pendant, ai
nception en est peut-être rendue difficile ; 4° La mémorisation des
séries
de chiffres est évidem- ment rendue plus diffic
(1) et (1) Esquirol. Des maladies mentales, vol. II. Archives, 2°
série
, 1906, t. XXII. I. 10 200 PATHOLOGIE INTERNE
depuis 1002 (date du Congrès d'Anvers) jusqu'à nos jours. Toute une
série
de rapports formant autant de monographies cons
e patronage familial des aliénés guéris doit s'occuper Archives, 2°
série
, 1006, l. XXII. 20 300 CONGRÈS INTER A1T0NVL
puis apprend l'ébénisterie. Bon ouvrier, estimé de ses Archives 2-
série
190G 1. XXII. 22 338 CLINIQUE MENTALE. patr
nons de signaler, nous constatons chez D ? l'existence de toute une
série
de troubles aphasiques plus ou moins accentués
mais il présente toujours les troubles du caractère si dncnlvss, 2'
série
1906, t. XXII. ·'3 354 CLINIQUE MENTALE. fr
(1) XI Congrès d'hygiène et de démographie, août 1900. Archives, 2'
série
, 1506, t. XXII. 24 37Q PATHOLOGIE INTERNE b
Asiles-Hospices parla création d'As'ilcs-Villages.. Archives, 2-
série
, 1906, t. XXI. 25 386 REVUE D'ANA10MIE ET DE
grand nombre de nomenclatures existantes, de la grande Aucun LS, 2,
série
, 1906, t. XXII. 2û 402 REVUE DE PATHOLOGIE ME
ique. L'augmentation numérique, l'amélioration des (1) Une première
série
de conférences a été faite par M. Charon stii-1
ge périphérique de la fa- tigue. Le sujet en expérience fournit une
série
de cour- bes ergographiqucs avec un intervalle
ense, tout à fait remarquable. Les vaisseaux courent à Archives, 2*
série
, 1900, t. XXII. 2 .) - 100 clinique Mentale.
édical 190 : î, il' 34, p. 120 el Archives de Neurologie, 1903, l, 2"
série
, l. xn, p. 2,i2.) ; C'est, avec les cerveaux et
un peu d'arrière en avant ; partant de l'aile blanche Archives, 2'
série
1906, t. XXI 30 4GG REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
e dégagent : pacliyméninâite et méningo-myélilo. Dans la première
série
d'observations, les accidents nerveux sont à lo
ictement si l'on veut transformer certains asiles, Aiieiii\Ls,2- 2'
série
, 1SOG, l. XXII. 31 132 LÉGISLATION ET ASSISTA
baix, p. 23. dans l'état de mal, par Friedel. p. 158. Les - - en
série
au cours de la paralysie générale, par A. Ma-
les céphaliques qui ne sont évidemment que la continuation de la même
série
de phénomènes. Tels sont, s'il s'agit par exemp
toujours dans le même ordre à chacune des attaques qui composaient la
série
. Suzanne N..., dans une série d'attaques que no
acune des attaques qui composaient la série. Suzanne N..., dans une
série
d'attaques que nous avons occasion d'obser-ver le
t raconté le sujet de ses hallucinations. 17 juillet 1879. Dans une
série
d'attaques présentant les caractères décrits préc
s de la phase gaie de l'hallucination. Cette phase se compose d'une
série
de tableaux qui sont d'une précision et d'une rég
es 20, el elle n'a rien perdu de sa violence. Elle est composée d'une
série
d'attaques qui se succèdent et dans chacune desqu
période épileptoïde, et se reproduit à peu près de la même façon. La
série
ne s'est terminée qu'à onze heures. On voit, pa
e triste revêt un caractère effrayant. Je l'ai vue un soir, après une
série
d'attaques, alors que la camisole avait été enlev
attaques, même dans celles qui se répètent pour composer les grandes
séries
qui durent plusieurs heures, la quatrième période
81. Quatrième période. Zoopsie. Gen... 26 février 1878.— Après une
série
de 14 attaques, survient le délire de la 4e pério
e se répète plusieurs fois de suite, pour former ce qu'on appelle des
séries
d'attaques, parfois fort longues. C'est l'état de
ois fort longues. C'est l'état de mal hystéro-épileptique. Dans les
séries
, les attaques se succèdent de deux façons : 1° El
nouvelle attaque. La quatrième période ne se montre qu'à la fin de la
série
. 2° Les attaques sont séparées par un intervall
e toujours chez Gl..., qui, entre cha-cune des attaques composant ses
séries
, jouit d'un repos de dix minutes à un quart d'heu
e période est représentée. Le nombre des attaques qui composent une
série
peut être con-sidérable, de vingt à cent, quelque
e peut être con-sidérable, de vingt à cent, quelquefois davantage. La
série
se pro-longe pendant quatre, cinq heures et même
longe pendant quatre, cinq heures et même un jour entier. Enfin les
séries
elles-mêmes peuvent se succéder, ne laissant par
de mal épilep-tique : « Si, dans l'état de mal épileptique à grandes
séries
, la tem-pérature s'élève très rapidement à un hau
graves, au contraire, dans l'état de mal hystéro-épileptique à longue
série
, la température ne dé-passe guère le chiffre norm
r de l'inquiétude. » (Charcot). Les attaques qui composent une même
série
ne sont pas toutes d'égale durée, ni parfaitement
les attaques se montrent violentes et précipitées ; vers la fin de la
série
, au contraire, elles se prolongent et semblent ga
sujet, voici comment, dans la généralité des faits, se comporte une
série
d'attaques dont la durée est de plusieurs heures.
repos. C'est en quelque sorte le fastigium ou la période d'état de la
série
; la durée en est plus ou moins longue. Puis la vi
exemples de la façon dont se modifient les attaques vers la fin de la
série
. 14 mars. — Gl... I. 1° Période épileptoïde..
ingt lorsque nous observons la malade. Nous sommes au plus fort de la
série
, qui se termine à onze heures. Voici la durée et
ième période se prolonge. L'on voit dans la seconde moitié de cette
série
les hallucinations de la troisième période se s
es du matin. Elles se succèdent sans interruption pour constituer une
série
, ou état de mal hystéro-épileptique. Jusqu'à 10 h
e la 4e période. Cette modification des attaques présage la fin de la
série
. 26° attaque. — lrc période, consistant surtout
e se détend peu à peu, et les douleurs sont moins vives. Dans cette
série
d'attaques nous avons vu, vers la fin, les grands
Nous lui donnons du chloroforme. Il est cinq heures et demie. — La
série
d'attaques a duré deux heures et à été composée d
enne de chaque attaque a donc été de quatre minutes. A la suite des
séries
d'attaques, la malade est courbaturée, mais elle
idents qui viennent d'avoir lieu. Même chez les hysté-riques dont les
séries
sont fréquentes, la santé générale ne paraît pas
e retrouver dans le mode de succession des attaques qui composent une
série
. Un exemple bien curieux nous en est donné depu
est donné depuis quelque temps par Wit... Les attaques composant la
série
ne se ressemblent pas. La série compte quatre att
ar Wit... Les attaques composant la série ne se ressemblent pas. La
série
compte quatre attaques qui se succèdent ainsi qu'
ème période manque, comme dans l'attaquen° II. Après cette première
série
commence immédiatement une se-conde série, exacte
II. Après cette première série commence immédiatement une se-conde
série
, exactement semblable à la première, et ainsi de
e, et ainsi de suite. En résumé, l'attaque entière est composée d'une
série
de séries. Cet ordre est tellement invariable q
si de suite. En résumé, l'attaque entière est composée d'une série de
séries
. Cet ordre est tellement invariable que si par
du matin. Selon l'habitude, les attaques se succèdent pour former une
série
. Nous en notons plusieurs : I. — a). La période
ttaque arrêtée par la compression. Pour sus-pendre complètement cette
série
d'attaques qui se prolonge, nous soumettons notre
Suzanne N... est en attaque depuis 11 heures jusqu'à 3 heures 20. La
série
s'est composée de vingt-six grandes attaques comp
emblable à la première. Les crises se succèdeut ainsi pour former une
série
. Au réveil, quand l'attaque est terminée, Suzan
ttaque. Nous quittons la malade. Mais il est facile de prévoir que la
série
touche à sa fin, ce qu'indiquent suffisamment et
es sont suspendues par le fait de la compression ovarienne. Dans la
série
d'attaques qui vient d'être rapportée, on observe
. Les deux autres périodes offrent un remarquable développement. La
série
suivante offre beaucoup d'analogie avec celle-là,
entent quelques-uns des caractères de l'état cataleptique. Dans les
séries
d'attaques que nous avons pu observer chez cette
ues. 25 septembre. Math... a déjà eu, de 8 à 9 heures du matin, une
série
d'at-taques à la suite de laquelle elle demeure p
barre de fer, et la respiration devient stertorcuse. Vers la fin des
séries
, cette phase sterloreuse avec contracture général
gros rats noirs avec de longues queues et des yeux rouges. Voici une
série
d'attaques prise dans tous ses détails : 26 sep
us l'observons à 11 h. 1/4. Les attaques se succèdent pour former une
série
, et présentent toutes la même physionomie. On peu
issance par la compression ova-rienne, la malade dit qu'elle voit une
série
de fantômes blancs passer devant elle. Ils sont c
Bourges pour consulter à Paris et se faire traiter à Passy. La longue
série
d'accidents qui marquent sa maladie appartiennent
udes de frayeur. — Les attaques ainsi composées se reproduisaient par
séries
d'une durée fort longue. Enfin à la suite des att
ne, on ne produit, à quelque moment d'ailleurs que l'on opère, qu'une
série
non interrompue d'éclats de rire convulsifs qui n
me période qui commence. Un second effet de la compression dans les
séries
d'attaques, c'est le pas-sage subit à la période
autres fois elle a poussé des éclats de rire. Dans toutes les autres
séries
d'attaques la figure de la malade revêt le masque
lors la tête entre les épaules et se pelotonne d'effroi. Après une
série
d'attaques, lorsque l'accès touche à sa fin, j'en
ée à la deuxième période que j'ai déjà dépeinte. Les trois der-nières
séries
d'attaques surtout ont été effrayantes comme cris
our me reposer les rares moments qui séparaient chaque fraction de la
série
d'attaques. Avant de devenir ma cliente, mademo
e plus ou moins longue durée, et, trois fois par mois en moyenne, des
séries
d'attaque qui se prolongeaient pendant cinq, six
x participent à ces mouvements convulsifs; la bouche est agitée d'une
série
de petites secousses qui la font s'ouvrir et se f
se frotte ensuite les yeux, passe les mains sur le visage, pousse une
série
de soupirs et ouvre les yeux. La connaissance est
lors, plus ou moins fré-quemment pendant environ trois mois. Voici la
série
des symptômes qu'ils présentoientordinairement :
. (3° pé-riode) . Enfin les accès se répétaient formant ainsi des «
séries
. y Dans certains accès, quelques phénomènes qui
Girard (de Lyon). Paris, 1841, p. 55. 2. Ann. médic.-psycholog., 3e
série
, t. I, p. 531. Paris, 1855. 1ucher. — Hystéro-é
lle a des accès d'épilepsie isolés, mais pas très com-plets. Dans les
séries
maladives, l'hystérie et l'épilepsie se combinent
ce stade. richer. — Hystéro-épilepsie. 17 « Puis il survient une
série
remarquable de mouvements pendant lesquels le mal
iendrons plus loin. Il y est parlé de convulsions consistant en « une
série
de mouvements rapides » ; de spasme opis-thotoniq
e mal hystéro-épileptigve. Celle dernière dénomination s'applique aux
séries
d'attaques composées de leurs quatre périodes. En
rt d'heure, une demi-lieure, une heure..., ou bien ce sont de petites
séries
de deux, trois ou quatre attaques, qui se répèten
souvent l'état de mal épileptoïde se prolonger 4 ou 5 heures, et les
séries
composées de 50 à 60 attaques épileptiformes ne s
début que toutes celles que j'ai ob-servées. Elles consistent en une
série
de spasmes opisthotoniques, pendant lesquels le c
ectuelles. » ..... Il n'est pas rare que la commotion se répète par
séries
: il peut n'y en avoir que deux ou trois ainsi
Delasiauve, nous retrouvons sous une forme un peu différente la même
série
de phénomènes. 17 nov, 1878. — U y a une heure
nns le service du docteur Pepper, les convulsions consistèrent en une
série
de mouvements rapides, produits pendant que la ma
burgh, med., and surg. journal, judlet ti^38; Arch. gén. de med., 'ò^
série
, t. iv, p. 'iiÒ. Cité par Landoazv. Traité comple
ncement des dents, qui rcpiTsetile la période épileptoïde. Toute la
série
de ces accirlents bizarres pouvait cire provoquée
ette variété spéciale de la grande attaque d'hystérie, composée d'une
série
d'attitudes passionnelles. Marie Bergadieu, dit
ns que notre remarque n'est pas sans quelque importance. » Voici la
série
des phénomènes que nous observons » Le pouls es
ou dresser la tête, les yeux grands ouverts, faire coup sur coup une
série
de cinq ou six grandes inspirations par le nez et
camarades, aux surveillantes ou aux médecins, etc., etc. Toute cette
série
d'actes déraisonnables, dont on trouve le germe d
i ce que je pourrais appeler l'ordre chronologique. Dans une première
série
d'expériences faites en 4878, nous nous attachâme
s différents états ner-veux qu'ils servent à caractériser. PREMIÈRE
SÉRIE
D'ORSERVATiONS ^ PREMIÈRE ORSERVATION. — INFLUE
nomie. Les traits reflètent l'expression du geste. t. CeUe première
série
d'observations date de l'année 1878, et la plupar
s l'état léthargique en leur fermant les yeux et repro-duire toute la
série
des phénomènes babituels. A une certaine époque l
olonté, et nous ajoutons sans grande fatigue pour la malade, toute la
série
des expériences reproduites plus haut. Dans cet
ce qu'on a appelé le sommeil magné-tique ^ (Voy. obs. IV et V de lalP
série
.) DEUXIÈME SÉRIE D'OBSERVATIONS Dans cette se
e sommeil magné-tique ^ (Voy. obs. IV et V de lalP série.) DEUXIÈME
SÉRIE
D'OBSERVATIONS Dans cette seconde série d'obser
de lalP série.) DEUXIÈME SÉRIE D'OBSERVATIONS Dans cette seconde
série
d'observations ^, nous avons plus par-ticulièreme
Il peut se développer alors, sous des influences variées, toute une
série
de phénomènes psychiques plus ou moins inconscien
ujet cataleptique est attirée \ il devient susceptible d'exécuter une
série
d'actes inconscients qui se pro-duisent à la mani
être variées de bien des façons. G. Voici en dernier lieu une autre
série
de phénomènes d'au-tomatisme plus compliqués, par
la description qu'onlui en donne, et transforme immédia-tement en une
série
d'images le simple récit qu'on lui en fait; son a
sans s'écarter, en quelque sorte, du thème imposé, se déroule en une
série
de développe-ments qui n'ont d'autre source que l
Léonore fl... traduit les hallucinations qu'on lui suggère par une
série
d'attitudes longtemps soutenues et saisissantes p
s qui précèdent et celles chez lesquelles nous avons étudié la longue
série
des phénomènes que j'ai décrits dans les observat
nombre de cas, la persistance partielle des sens (Obs. I, II, III, 2'
série
) ^ Au sortir de membres peu de temps après la m
as le moins intéressant est le phénomène de la suggestion (Obs. 1,1'"
série
). Tels sont les signes de cet état qui nous par
on brusque de l'agent qui a produit la catalepsie (Obs. I, V, VI, 1'"
série
) amène la production de la léthargie avec hyperex
résente l'état cataleptique simple, celui qui répond à l'obs. I, l''"
série
, c'est-à-dire que l'automatisme et les hallucinat
en avant, les bras fléchis, elle sent son esprit envahi par toute une
série
d'idées d'humilité, de contrition ; la tète haute
cette différence toutefois que, dans cette dernière circonstance, la
série
des hallucinations suit son cours fatal qu'aucune
un certain degré de catalepsie incomplète et partielle (Obs. VII, 1''
série
), qui cède à la friction (état cataleptiforme).
taleptiforme). T Toujours hyperexcitabilité musculaire (Obs. I, 1'"
série
). Pos-sibilité par l'excitation mécanique de prov
ient aux frictions exercées pendant le sommeil provoqué (Obs. III, 1"
série
). Nous trouvons dans Baillif un fait analogue.
oici quelques exemples : 20 juin. — A cinq heures et demie du soir,
série
d'attaques convulsives ordinaires qui se succèden
, que j'étais près d'elle depuis quelque temps et me raconta toute la
série
d'expériences que j'avais faites sur elle avant s
milieu de tout ceci, la parole est entrecoupée par instants, mais la
série
des lamentations n'est point interrompue. La pres
s 1. Falret, De la catalepsie, Archives cjén. de médecine, 1857; 5°
série
, t. X, p. 206. signes cataleptiques, sans que p
ie et de toutes sortes de couleurs. Dans une autre attaque de la môme
série
, elle voyait le ciel! les anges, bleus, rouges, b
t nous venons de retracer les différentes phases peut débuter par une
série
de phénomènes qui rappellent le début d'une attaq
s sont tout à fait semblable^ à la première, elles sont suivies d'une
série
d'autres attaques qui sont tellement rapprochées
la grande hystérie compte, au nombre de ses manifestations, toute une
série
de phénomènes variés qui par leur longue durée et
els il a le mérite d'avoir attiré l'attention ont été l'origine d'une
série
de recherches fécondes en découvertes imprévues.
tour à l'état normal s'ef-fectuait toujours par l'intermédiaire d'une
série
d'oscillations entre l'élévation et la diminution
, le phéno-mène du transfert est souvent suivi, sinon toujours, d'une
série
d'oscillations. II. — Ces oscillations ne sont,
ouvait au début de l'expérience, mais elle n'y demeure point. La même
série
de phénomènes se reproduit un certain nombre de f
une des couleurs. Nous avons ainsi obtenu des tracés composés d'une
série
d'on-dulations, dont chacune correspond à une osc
oyen, reproduire avec la même constance et la même précision toute la
série
des phénomènes dont il est question. L'influenc
le des malades ne paraît pas souffrir. La grande attaque, les longues
séries
elles-mêmes ne laissent le plus souvent après ell
Alphonsine Ba...,nousa donné des résultats identiques. Dans plusieurs
séries
d'attaques, nous avons vu les accès s'arrêter sou
de l'appa-reil a été appliqué très souvent, soit pour interrompre une
série
d'attaques, soit pour prévenir les attaques. La m
la compression a interrompu complètement et pour plusieurs jours une
série
d'allaques qui venait de commencer; cela à différ
n quoi consiste ce mode de traitement : Après avoir déterminé par une
série
d'essais le métal auquel la malade est sensible (
3» Hémianesthésie. A. L'application est faite sur le côté sain. Même
série
de phénomènes que dans le n" 1 avec cette différe
n de la sensibilité sur l'éloignement des attaques et cela dans des
séries
d'expériences répétées à divers intervalles. Clie
usieurs fois de suite, à la façon de ce qui se passe dans les grandes
séries
d'attaques hys-tériques. « Pendant que le frère
contorsion avec attitude de Varc de cercle, et l'autre se livre à une
série
d'extravagances qui portent bien le cachet de la
ns probant. Il montre que les attaques se succédaient quelquefois par
séries
. (S Je fus transportée dans le cimetière et sur
e partie des assistants, et principalement chez les femmes, toute une
série
de phéno-mènes physiques et intellectuels qui, pa
ystème nerveux, périphérique et central, apparaît constitué par une
série
de neurones superposés, ne communiquant entre eux
e à une stimulation ' . Au sur et à mesure que l'on s'élève dans la
série
zoologique, l'organisme se complique soit par l
orsqu'on s'élève dans l'échelle zoologique, on trouve dans toute la
série
des Ixvkhtéumés, ces deux ordres de neurones ne
commis- s, constituées par les fibrilles nerveuses. )ans toute la
série
des Invertébrés, les neurônes centraux entourent
e l'élément principal de sa supériorité. Dès qu'il apparaît dans la
série
zoologique, le système nerveux J*011-( ? ,dil r
e d'avoir inauguré une nouvelle méthode, celle des coupes minces en
séries
, pratiquées après dur- cissement. Les travaux d
re aujourd'hui d'une importance fondamentale. Méthode des coupes en
séries
. - La méthode des coupes en séries est basée su
damentale. Méthode des coupes en séries. - La méthode des coupes en
séries
est basée sur l'examen histologique et à un fai
on après l'avoir débité en coupes sériées. La méthode des coupes en
séries
a, du reste, subi, entre les mains des succes-
u microtome est venue simplifier singuliè- remcnt la confection des
séries
. Enfin la coloration des coupes par le carmin (
différences de coloration en étudiant, par la méthode des coupes en
séries
le cerveau, le bulbe et la moelle, dans les der
] t j ( Importance de la péthode de Gudden. Ii dans la
série
animale tout entière, il existe un rapport consta
rifie. On fait durcir le système nerveux central, et on le coupe en
séries
au microtome, d'après les procédés ordinaires.
r les hémisphères séparés l'un de l'autre sur la ligne médiane, une
série
de coupes dans dif- férents sens, - horizontale
dedans en dehors, la substance blanche de chaque hémisphère par une
série
de coupes successives, et à diviser ensuite les
phère reposant sur sa face interne et dépouillé de sa pie-mère, une
série
de coupes vertico-transversales et parallèles au
e grand avantage de pouvoir, une fois la pièce durcie, la couper en
séries
de haut en bas au microtome, et de pou- voir ai
érescences secondaires, qu'au moyen de pièces durcies et coupées en
séries
au microtome. Voici comment, à Bicêtre, dans le
au microtome, les segments antérieur et postérieur sont débités en
séries
dans le sens vertico-transversal et en entier,
à l'état frais, les deux mor- ceaux sont également cou- pés en
séries
toujours dans le sens horizontal. A l'aide de
pinière, on la divisera, si c'est nécessaire, à l'état frais en une
série
de segments, dont la surface de coupe passera ent
aire, pour obtenir un bon durcissement, de séparer la moelle en une
série
de fragments, mais, ainsi que nous l'avons dit,
des coupes est très précieuse lorsqu'on veut obtenir des coupes en
série
, mais n'est pas applicable aux microtomes dans le
e procédé qui nous a permis d'obtenir très facilement des coupes en
séries
d'un hémis- phère entier est le suivant : Lorsq
e la région sous-optique et même de la capsule interne. coupes en
séries
. Différents procédés ont été indiqués pour obteni
tant très flexible, il se replie sur lui-même trop facilement. La
série
des papiers une fois préparée, on procède de deux
océdés de coloration. Le nombre de coupes que l'on montera dans une
série
, variera nécessai- rement suivant le but que l'
au microtome de Gudden, sont colorées et Méthode des cou- pes en
série
. Procédé de Dark- schewitch. Emploi du proc
eau. Nombre des coupes quo ,1'on colorera et moulera dans une
série
. 32 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Méthodes de
argent. Pour obtenir une triple imprégnation, on recommence la même
série
de manipulations. Méthode de Golgi au sublimé (
ème ventri- cule. Modifications que subit le cervelet dans la
série
des verté- brés. 1-ior, forment de chaque côt
pplique la lingula du vermis superior. Le cervelet présente dans la
série
des vertébrés de très grandes modi- fications.
crâniens du bulbe et de la protubérance, est la môme dans toute la
série
des vertébrés. Mais, si l'origine réelle est inva
eau. L'origine réelle des nerfs crauiens ne va- rie pas dans la
série
des vertébrés. Variabilité du vo- lume et d
uvrent complètement les tubercules quadriju- seaux. Dans toute la
série
des vertébrés, la structure et les connexions de
tits tubercules quadriju- rneaux des mammifères; mais dans toute la
série
des vertébrés, le uerf op- tique se termine dan
alement dans la constitution du ruban de Reil, existe dans toute la
série
des vertébrés. Ce ganglion forme chez les mammifè
s de vo- lume des tubercules quadrijumeaux anté- rieurs daus la
série
des vertébrés. Lobes optiques des oiseaux.
particularités rappelant son origine ventriculaire. Dans toute la
série
des vertébrés, les parois latérales du cerveau in
ils donnent naissance de chaque côté, iL un ganglion constant dans la
série
des vertébrés, le ganglion de l'habenula qui re
me mois. Modifications que subit le cerveau an- térieur dans la
série
des vertébrés. Chez les poissons cartilagin
iques, la vésicule du cerveau antérieur est celle qui subit dans la
série
des vertébrés les plus grandes variations. Chez
le manteau cérébral ou pallium. Le corps strié forme, dans toute la
série
des vertébrés autres que les poissons cartilagi
sidérable chez les mammifères. Chez les mammifères inférieurs de la
série
et chez les petits mammifères d'un même ordre,
inencé- phalon de Turner; son existence est constante dans toute la
série
des mam- mifères, et les termes de lissezzc-p7a
dio-ventral qui continue la corne antérieure, se rattache la longue
série
des racines de l'hypoglosse; au groupe latéro-d
neuroblastes à protoplasma presque homogène, on rencontre toute une
série
d'intermédiaires (Vignal). Elles revêtent bientôt
des cellules motrices. Au sur et à mesure que l'on s'élève dans la
série
des Invertébrés, la cellule sensitive périphéri
elques invertébrés. Archives de zoologie expérimentale et générale.
Série
2, t. I, 1883. - Du même. Accroissement des tub
contient, au contraire, ainsi que Ranvier l'a décrit et figuré, une
série
de granulations, disposées en cercles concentri
a terminaison péri- phérique : elle est formée au contraire par une
série
de segments super- posés, les segments iiîleg,-
nous reparlerons en étudiant le tissu conjonctif des nerfs et d'une
série
de croix latines de petites dimensions, dont les
laire sont quelquefois d'égale dimension, mais le plus souvent une
série
de segments de même longueur est interrompue pa
nerfs cérébro-rachidiens. Le nerf olfactif n'est formé dans toute la
série
des Vertébrés que par des fibres sans myéline,
ètre dans le corpuscule et s'y divise et subdivise, pour former une
série
d'arborisations plus ou moins distinctes et des
s et le long des ligaments z.îilei-0-s-sei(x. Ils sont formés d'une
série
de corpuscules emboîtés, qui entourent une cavité
entent de très grandes varié- tés, quoique reliés entre eux par une
série
de transitions, et doivent être considérés, d'a
- SU1'lltion de la capacité du crâne (Mém. de la Soc. d'Anthrop. 2°
série
, t. I, 1813).- sm'stM't de <a capact' d : t
sm'stM't de <a capact' d : t o'ane (Mëm. de ia Soc. d'Anthrop. 2''
série
, t. I, 1873). DARESTE, Sur les rapports de la m
cerveau en particulier (Mém. de la Soc. d'Anlhr. de Paris, 1885. 2e
série
, t. III). - Du même, Le poids proportionnel du ce
ils sont quelquefois constitués, en partie ou en totalité, par une
série
d'inci- sures isolées plus ou moins obliques :
eproduit exactement les phases successives du développement dans la
série
des primates (Hervé). Plus ou moins rudimentaire
es sujets, les circonvolutions sous-calleuses se continuer avec une
série
de petites circonvolutions, qui toutes occupent l
rkandl et Giacomini, pren- nent un très grand développement dans la
série
des mammifères, en parti- "c- culier chez les s
travaux sur le lobe limbique et sur l'importance de ce lobe dans la
série
des Vertébrés, Broca rat- tache cependant dans
ion que nous avons adoptée pour nos ligures de cerveaux ou pour nos
séries
de coupes soit microscopiques, soit macroscopique
cérébrales. Le grand lobe limbique et la scissure limbique dans la
Série
des mammifères. Revue d'Anthropologie, 1878, p. ,
). Chez l'homme et chez les autres mam- mifères plus élevés dans la
série
, la commissure de Meynert n'apparaît jamais Lcp
u'elle entoure (ainsi que nous le verrons plus loin en étudiant les
séries
des coupes veî,tico-1î,aîîsveisateY, horizontal
u locus niger et. représentent un fais- ceau constant dans toute la
série
des Vertébrés, le faisceau basai du cerveau ant
es du cerveau pratiquées en différents sens. Face inférieure. Une
série
de coupes vertico-transversales et sagit- . lai
E DU CERVEAU . i-\ ? lt)] ? COUPES MACROSCOPIQUES SÉRIÉES Dans la
série
des figures suivantes, reproduisant grandeur natu
Ces coupes macroscopiques sont au nombre de 56 et comprennent trois
séries
, correspondant à l'axe horizontal, vertico-transv
ansversal et sagittal de l'hémisphère. Pour la confection de chaque
série
, nous avons débité, au microtôme de Gudden et e
d'épaisseur, un hémi- sphère entier. Nous avons choisi dans chaque
série
, pour les faire dessiner, les coupes des région
es l'endroit exact où elle a été pratiquée. C'est ainsi que dans la
série
des coupes horizontales, l'hémisphère ayant été
seconde à 75 millimètres du bord supérieur de l'hémisphère. Dans la
série
des coupes vertico-transversales, l'hémisphère ay
deuxième à il : 37 millimètres en arrière du polo frontal. Dans la
série
, des coupes sagittales enfin, l'hémisphère ayant
millimètres de cette face interne. Du reste le repérage de chaque
série
de coupes est encore indiqué par ' des figures
IQUES DU CERVEAU. 387 A. COUPES HORIZONTALES MACROSCOPIQUES Cette
série
se compose de 1G coupes, pratiquées de haut en ba
écipito-fl'ontal), En avant, ce faisceau se retrouve dans- toute la
série
des coupes horizon- tales, jusqu'au niveau de l
OUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 39 ? lion verticale, et dans celte
série
sont sectionnées perpendiculairement, mais ni m
omme étranglée, et ce fait est impor- lant à retenir. Dans toute la
série
des coupes horizontales, macro et microsco- piq
pocampe (H). B. COUPES VERTICO-TRANSVERSALES MACROSCOPIQUES Cette
série
se compose de trente coupes, pratiquées d'avant e
part il peu prés égale la constitution de la face externe de cette
série
de coupes. La coupe n° 30 passe en avant du gen
bord externe du ventricule latéral et on peut le suivre dans toute la
série
des coupes vertico-transversales, le long de l'
yau lenticulaire. Substance blanche. Dans la masse blanche de cette
série
de coupes FiG. 23'J. Coupe vcrtico-transversale
55 (fig. 243). La partie supérieure du cingulum forme dans toute la
série
des coupes vertico- transversales, un épais fai
rconvolution frontale au lobe pariétal et au lobe temporal. Sur une
série
de coupes vertico-transver- sales il se présent
t lenticulaire. 446 Av : ITOVI1)J DES CENTRES NERVEUX. Dans cette
série
de coupes, ainsi que dans toutes celles qui suivr
sange oolo-1),doiietil(iiï,e. Écorce. -· A la face externe de cette
série
de coupes, nous trouvons au niveau du lobe fron
temporal et limite la corne sphénoïdale en avant. Dans toute cette
série
de coupes, nous trouvons, en dehors du noyau lent
e centrale (Sgc) et n'appa- raît, comme noyau distinct, que dans la
série
des coupes suivantes. Le noyau externe (Ne), au
de particulier il noter, elle ne diffère de celle des coupes de la
série
précédente, que par le volume moins considérabl
sceaux d'association, le cingulum. (Cing) ne change guère sur cette
série
de coupes; le faisceau arqué (Arc), n'est intéres
a convexité de ce lobe. C. COUPES SAGITTALES MACROSCOPIQUES Cette
série
comprend dix coupes, très légèrement obliques en
pe horizontale de l'hémisphère droit avec-lignes de repère, pour la
série
des coupes sagit- tales. Chaque ligne indique e
che optique, c'est la veine du corps strié (Vcst). Dans toute cette
série
de coupes sagittales, l'insertion des plexus chor
de Luys, s'étale en arrière le locus niger (Ln) qui délimite, avec la
série
des quatre noyaux précédemment indiqués, un esp
en dedans de la coupe. (Comme nous l'avons indiqué plus haut, cette
série
de coupes est très légèrement oblique en bas et e
erne (Cia); les unes (celles qui sont surtout apparentes dans cette
série
de coupes sagittales) se dirigent eu bas et en
t aux centres infra-corticaux. Les autres (visibles surtout dans la
série
des coupes horizontales) appar- tiennent au sys
d du pédoncule cénrGral (P), mais elle présente toujours dans cette
série
de coupes une extrémité postérieure libre, le pul
t coudé, de façon à présenter un angle ouvert en dehors. Cette même
série
de coupes sagittales fait comprendre éga- lemen
aire, pour se porter de là dans la calotte du pédoncule* La seconde
série
de fibres appartient il la couche optique et cons
queue du noyau caudé (NC'). Au-dessus du noyau caudé on trouve une
série
de libres il direction arciforme, dont le segme
de 46, dont nous donnons plus loin les figures, comprennent quatre
séries
de coupes à direction vertico- transversale et
oint exacte de toutes les parties de la préparation. I. La première
série
de coupes, à direction vcrtico-transversale, inté
ntillées) sont très légèrement obliques en bas et en arrière. Cette
série
est intéressante à étudier : comprenant toute l'é
erne et le pied du pédoncule cérébral. On pourrait reprochera cette
série
de coupes vertico-transversales, de ne pas comp
t des noyaux gris centraux. Nous y suppléons largement par nos deux
séries
de coupes horizontales, particuliè- rement dest
ues soit vertico-trans- versales, intermédiaires entre celles de la
série
I, soit sagittales, destinées à montrer une par
convolutions frontales. La coupe F, enfin, qui appartient à la même
série
, n'intéresse que le lobe temporal; elle passe au-
gitudinal inférieur avec le noyau amygdalien... III. La troisième
série
comprend 1 coupes à direction horizontale (voy.
irection horizontale (voy. fig. de repérage 299) et parallèles à la
série
des coupes horizontales macrosco- piques. Ces c
, de la calotte et du pied du pédoncule cérébral. IV La quatrième
série
, enfin, comprend 13 coupes horizontales égale-
Gratiolel. I. - COUPES VERTICO-TRANSVERSALES MICROSCOPIQUES Cette
série
se compose de 12 coupes, correspondant aux lignes
uge) et le locus nir;e'; leur existence est constante dans toute la
série
des Vertébrés, où elles portent le nom de faisc
microscopiques de la capsule interne et de la région sous-optique,
séries
III et IV), montre qu'elles se portent en arrière
oupe passe par la ligne VI de la fig. 278 et appartient à une autre
série
que les coupes précédentes. Vertico-trans- vers
e de dehors en dedans et ne présente pas l'ampleur des coupes de la
série
précédente. La partie supérieure de la coupe ne
r (Ln). Coupe no VII (fig. °38). - Cette coupe appartient à la même
série
que la coupe précédente et passe par la ligne V
macroscopique n° 80 (f1g. 2â1). Cette coupe appartient à 1 a même
série
que les coupes I, II, III, IV, V. Elle intéress
é son individualité. II. COUPES HORIZONTALES MICROSCOPIQUES Cette
série
, destinée à l'étude du trajet des longs faisceaux
- ticulier à noter, nous y reviendrons du reste en détail, dans les
séries
de coupes III et IV. Notons toutefois l'aspect
de la région sous-optique de la capsule interne, nous renvoyons aux
séries
de coupes suivantes (séries III et IV). Coupe C
la capsule interne, nous renvoyons aux séries de coupes suivantes (
séries
III et IV). Coupe C (fig. 295), passant par la
ar la ligne F de la fig. 294. Cette coupe qui appartient il la même
série
de coupes que les trois précédentes, passe au-d
CÉRÉBRAL). Les 1 5 coupes horizontales suivantes font partie d'une
série
de 390 coupes pratiquées de haut en bas sur un
dessinés à un gros- sissement de 12 diamètres. Les coupes de cette
série
ont été pratiquées sur un hémi- i- sphère gauch
ment marquée il la face externe du thalamus ; elle est formée par une
série
de gros fascicules de fibres, coupés perpendicu
attirons l'attention, sur une très grande hauteur. En examinant une
série
ininterrompue de coupes de la région, traitées
d interne. Ces faits, que l'examen de coupes nor- males étudiées en
séries
rendait déjà probables, démontrent que le faiscea
er postérieur du trigone ou fimbria (Tgp[Fi]) affecte sur toute cette
série
de coupes un aspect caractéristique ; il se pré
sur et à mesure que l'on considère les coupes inférieures de cette
série
. Le ventricule sphénoïdal (Vsph) lui fournit un d
ur les coupes présentant une obliquité différente de celle de cette
série
(voy. fig. 331) on voit la commissure de Forel ré
A LA BANDELETTE OPTIQUE. Les 13 coupes suivantes font partie d'une
série
de coupes destinées à l'étude de la région sous
de la région sous-optique de Forel. Horizontales comme celles de la
série
précédente, elles sont en-outre obliques en bas e
uvera, mais sous un aspect un peu différent que sur celles des deux
séries
précédentes (Il et III), les noyaux gris centra
de faire nous permet donc d'être brefs dans la description démette
série
; aussi n'insisterons-nous que sur quelques fai
ièrement facilitée par l'obliquité de ces coupes. En outre, dans la
série
actuelle, il ne faut pas perdre de vue que les
ique. Elle correspond, en arrière, à la coupe n° 7 (fig. 306) de la
série
précédente, et en avant à la coupe n° 9 (fil'. 30
érie précédente, et en avant à la coupe n° 9 (fil'. 308) de la même
série
. Il résulte de l'obliquité même de la coupe que l
e la couche optique (Th) est moins étendue que sur les coupes de la
série
précédente, et que la tête du noyau caudé (NC),
nettement différenciés; on voit en outre, plus nettement que sur la
série
précédente, la continuation du noyau externe (N
dedans les libres de la bandelette diagonale de Broca (bd). Cette
série
de coupes n'est pas, comme la série précédente, p
diagonale de Broca (bd). Cette série de coupes n'est pas, comme la
série
précédente, parallèle Il la substance innominée
nous renvoyons pour la description de ce pédoncule aux coupes de la
série
précédente, plus favo- rables à son étude (Voy.
pes microscopiques de la capsule interne, fig. 313 et 314). Dans la
série
de coupes que nous étudions ici, la surface de se
cclusion du ventricule latéral rendent extrêmement facile sur cette
série
de coupes la com- préhension de la partie extra
doncule cérébral). Pour nous, nous basant sur l'étude des coupes en
séries
et sur l'étude des dégénéscences secondaires, ces
ondeur, elle présente, ainsi que Baillarger l'a montré en 1840, une
série
de zones concentriques, au nombre de six, alter
us- épendymaire. Ce fais- ceau, que nous avons désigné dans nos
séries
de coupes sous le nom de faisceau occipito-fron
c les fibres du forceps major du corps calleux : en exa- minant une
série
de coupes vertico-transversales, on voit en effet
au-dessous de- la partie recourbée de la queue du noyau caudé (Voy.
séries
I, II, 111, p. 33fi, fig. 283 à 288, 292, 293 e
remière circonvolution temporale (Ti) (fig, 386) (Voy.- aussi : les
séries
de coupes horizontales III et IV, p. z587 à 657
nous désignerons sous le nom de fibres temporo-thalamiques. Sur une
série
de coupes horizontales, heureusement orientées
nt et de dedans en dehors (plus obliques encore que celles de notre
série
IV, p. 633, fig. 316 à 328), on peut intéresser p
ux points symétriques des hémisphères. Elle appa- raît déjà daus la
série
des Vertébrés inférieurs, alors que le corps call
ieure n'est pas parallèle à celle de la bandelette optique; sur une
série
de coupes parallèles à la Commissure ;mOi· ri
0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. direction de cette dernière (voy.
série
IV, p. 631, fig. 316 à 323), la com- missure an
ionnée obliquement et se présente sous l'aspect d'un ovale; sur une
série
de coupes horizontales parallèles à un Al, anse
ue. plan passant parles commissures antérieure et postérieure (voy.
série
III, p. 877, fig. 310, 312), la commissure anté
Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT Er J. NOIR Troisième
série
, tome I. 1907. Avec 36 ligures dans le LexLe.
ccompagné ou précédé de quelques heures à vingt-quatre Archives, 3'
série
, 1907, t. I. 2 18 CLINIQUE MENTALE. heures
ique ; comme chez ce dernier, nous avons noté la déco- Archives, 3'
série
. 107, L. XXIII. - 3 34 CLINIQUE MENTALE lorat
l p. 268. RAYMOxn. Leçons sur les maladies du système nerveux. 1"
série
1894-95. « Les délires ambulatoires et les fugues
res et les fugues » p. 592. Grasset, Leçons de clinique médicale, ?
série
(1895-98) p. 137. LES FUGUES DANS LES PSYCHOSES
re plus métaphysique que scienti- fique. ' IL M, C. .\CIII' s, 3'
série
, 100 î, 1. 1. 4 50 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
erses phases : elle a appelé A l'état normal et B, B2, B'1, etc. la
série
des états anormaux, tout en reconnaissant qu'il
des statistiques individuelles, comme celle de Rieger Archives, 3-
série
1907, t. I. 5 00 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
e dé- généré de 11 ans, né de parents tarés et présentant toute une
série
d'anomalies psychiques et en particulier dans l
ans un état fort grave : des injections de morphine calmèrent cette
série
d'attaques qui se terminèrent par une crise vio
t nerveuses, M. Forel divise ces formes en 4 groupes : .lncmvta, 3°
série
, 1907, 1. I. 6 82 BIBLIOGRAPHIE. 1° maladies
cause une foule de questions et rendre indirectement au malade une
série
de services dont celui- ci ne peut même se dout
uvent employé, que les parents d'un aliéné riche puis- ARCHIVES, 3'
série
, ]907, t. L. 8 1 £ f . z LÉGISLATION. -, sent
ce invincible, est angoissé tant qu'il n'a pas exécuté Aucun-ES, 3'
série
, 1007, t. 1. 9 130 clinique mentale. l'acte d
sont à surveiller à cette époque,car, activement ou Archives, : 1°
série
1907, t. I. 10 Ho REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
et (lit que pour ses partisans, l'humanité ne forme qu'un bloc, une
série
, allant du plus sensé au plus fou : «Alors, con
s degrés divers »..Mais il nous semble que le fait d'admet- tre une
série
d'un point à un autre n'entraîne pas la négation
arme ! dans un quartier spécial de prison ou de mai- .IRCIIIVES, 3'
série
, 1907, t. I. 11 162 ISii3LiOG1lrtPüli : : son
Clerniont (Oise). Imprimerie Daix frète : ) etl'htron. Vol. 1. 3-
Série
. Mars 1907. 1 Nô 3 ARCHIVES I i WT E U 1-L 0, 0
leur existence, a gouverné exclusivement l'évo- lution de toute la
série
à partir des Phytozoaircs (et même l'évolution
iques ne subissent non plus aucun entrecroisement. t. Archives, ;1'
série
l'JO ? t. 13 194 rsrc>ioLOCm. On sait qu
Le substrat physiologique des différences d'aptitudes Archives, ;J'
série
, 1907, I. I. 14 210 PSYCHOLOGIE. et de tendan
nce ou prédominance alternative se traduit par l'apparition de deux
séries
d'états de conscience. Il est évident, d'autre
effet du moi conscient. Si donc les sensations s'unissaient en deux
séries
ditiiitéà,élià- que co-être aurait sa notion sp
en fonction des deux moitiés. En le suivant du bas au sommet de la
série
des Artiozoaires, on voit que sa complexité cro
ction, et les variétés que présentent ces 'entrecroisements dàns la
série
des Ver- tébrés. " " \\.. ... It- Au point
et physiologique du système ner- veux et surtout du cerveau dans la
série
des Vertébrés. Il est enfin incapable d'expliqu
l'occident (1) Cu travail élail terminé lorsqu'on me communique une
série
d'articles parus dans" la Ui'p('che »11l' Toulo
ef, 14 infirmières, 3 soeurs pour le magasin, la cui- .lr,cntvss,3°
série
, 1907, t. I. ]0 l'asile suisse de mindrisio A c
t Henri de ROTHSCHILD. {Société de Biologie, mars 1907.) Dans une
série
de recherches antérieures, nous avons mon- tré
de l'aliéné, conformément à l'article 26 ci- après. Archives, 3'
série
, 1007, t. 1. 17 58 SOCILLS savanies. ART. 9.
d'absence comportant l'oubli de quelques actes faisant partie d'une
série
bien coordonnée. BIBLIOGRAPHIE VI. -Rapport
. Clermont (Oise). Imprimerie 1)aix Itères et. itnron. Vol. 1. 3e
Série
. Avril 1907. No 4 ARCHIVES DE ..NEUROLOGIE CL
grés et sous tous les aspects cliniques. On peut rencontrer sur une
série
de malades différemment atteints ou suivre sur
eur. L'auteur met en évidence avec beaucoup de finesse clinique une
série
de nuances spéciales il la démence précoce. o
chent à le tromper et que l'empereur a parlé de lui. Archives, 3'
série
, 1007, t. I. , 19 290 CLINIQUE MENTALE. A son
au jugement dernier ; l'en- fer. Examen de l'intelligence par une
série
de chiures. ,le ne veux pas répéter, je vais éc
ment s'évoquer réciproquement : elles auront constitué une nouvelle
série
; mais cette série restera indéfiniment indépen
proquement : elles auront constitué une nouvelle série ; mais cette
série
restera indéfiniment indépendante de la premièr
estera indéfiniment indépendante de la première : le lien de chaque
série
ou état de conscience est représenté par le sen
nt que le sujet a de son identité personnelle depuis le début de la
série
présente. Celle-ci peut prendre fin et céder la
ésente. Celle-ci peut prendre fin et céder la place,ouàune nouvelle
série
,ou et plus souvent, à la série antérieurement c
in et céder la place,ouàune nouvelle série,ou et plus souvent, à la
série
antérieurement commencée.La cause de ce chan- g
en écoutant son mterlocuteur, n'ont pas deux consciences, mais deux
séries
d'associations, séries dont, le plus souvent, l
uteur, n'ont pas deux consciences, mais deux séries d'associations,
séries
dont, le plus souvent, l'une est réglée d'avanc
ociation du- rable de ces groupements soit entre eux, soit avec une
série
donnée d'états de conscience, c'est-à-dire une
e fait affectivement souvent et pour des causes multiples, avec une
série
synthétique d'états de conscience suc- cessifs,
représentations organiques est dominé par une idée mhibitrice, la
série
consciente jointe à ce groupement s'accompagnera
nent en même temps. L'exemple est aussi bien connu du rappel d'une
série
donnée d'états de conscience par la suggestion de
a simulation quelquefois très difficile. L'alliance entre certaines
séries
d'états de conscience etcertams troubles organi
isphère peut avoir son « caractère » et régir à lui seul une longue
série
d'états de conscience. Le lien est évident; nul
alors de l'acteur ou de l'orateur ? L'Auteur dira-t-il Archives, 3'
série
, 1907, t. 1. 20 300 PSYCHOLOGIE. que, chez ce
trie bilatérale du Corps. z constate, dès les premiers degrés de la
série
, do puissantes commissures et des entrecroiseme
anée et de l'attention volontaire, mais la',tliéoi-i(3 Archives, 3'
Série
, 1f07, L, I. 1. 21 3S2 psychologie. dupliste
s ou moins fréquent des accès ou des actes de démence. Archives, 3°
série
, ¡9C7, t. 1. ` ? .3 338 LÉGISLATION. ART. 18.
. Clerniont (Vise). Imprimerie' Dalx frères et Thiron. Vo'. 1. 3e
Série
. Mai 1907, ? S 5 ARCHIVES DE-NEUROLOGIE CLINI
exemple montrera (1) Paris, I élixAlcan,15J7, 2 vol. Archives, 3*
série
, 1007, t. 1. 23 354 CLINIQUE NERVEUSE. mieux
pas de règles déterminées, logiques, et qui est constituée par une
série
de petits procédés plus oumoins ingénieux et qu
tout le secret de ses organes les plus profonds » (p.113). Cette
série
un peu longue de citations met en pleine lumièr
en d'autres termes, ces actes se répartiraient eux-mêmes en deux
séries
distinctes inconnues du moi, c'est-à-dire inconsc
s élevés de choix et de volition ; intégration de ces faits en deux
séries
distinctes, dont l'une est quelquefois de son c
tion entre les coêtres) ; ,- mais soudure intermittente de ces deux
séries
: cette soudure est nécessaire pour expliquer l
ent, le Moi connaîtra tout le contenu de la vie psychique, les deux
séries
n'en feront qu'une seule. Mais ici, malgré les
Si je supposais, au contraire, que les états supérieurs, ceux de la
série
appelée plus haut l'état pre- mier, se soudent
t à la reconnaissance de la sensation,à la perception et à toute la
série
d'actes psychiques dont elle peut être le point
us abstraites paraissent souvent intervenir seules,on passe par une
série
d'intermédiaires, sur lesquels il est inutile d
n n'enlève rien à la force de l'argument dirigé contre Archives, 3'
série
, 1007, t. 1 25 386 PSYCHOLOGIE. I la libert
l critique très intéressant de M. le Dr Bourdin 1\ nr.III1'I ? : 1'
série
, ]937, I. I. 20 402 ' LÉGISLATION. lorsque no
nissent un notable contingent de névrosés, d'excentri- Ancntvrs, 3"
série
, 1907, t. I. 27 .1 418 revue DE pathologie me
est plus qu'une condition ou un état d'esprit et que la somme d'une
série
de phénomènes psychiques, et qu'elle comprend un
de phénomènes psychiques, et qu'elle comprend un état physique, une
série
de conditions physiques dont les signes diffè-
nécessaire,dans l'étude de la folie, de considérer séparé- ment la
série
des phénomènes psychiques et la série des phénomè
de considérer séparé- ment la série des phénomènes psychiques et la
série
des phénomè- nes physiques. La série psychique
es phénomènes psychiques et la série des phénomè- nes physiques. La
série
psychique à notre portée est très courte, et co
acité.L'auteur pense que l'étude des phénomènes psychiques ou de la
série
psychique, doit être dans une grande mesure, l'
re, pour étudier systématiquement la folie, d'étudier séparément la
série
psychique et la série physique, sans confusion
matiquement la folie, d'étudier séparément la série psychique et la
série
physique, sans confusion ou transmutation des t
série physique, sans confusion ou transmutation des termes. Dans la
série
physique, il est indispensable de considérer no
apparaissent ; et c'est seulement lorsqu'on abordera l'étude de la
série
physique que l'on sera fondé à s'occuper de l'é
début ; la toux est rare le jour, plus commune la nuit Archives, 3,
série
, MOT, l. 1. 23 434 asiles d'aliénés. et le ma
t connues, on peut affirmer que commence l'anomalie. Une première
série
de 5 courbes (en noir), où les différences régi
le nombre des faisceaux radiaires par mil- limètre. Une deuxième
série
de 10 courbes, où chaque région est repré- tée
le dimanche 26 mai à 10 heures (section Ilamhuteau) une nouvelle
série
de conférences cliniques sur les maladies mentale
EvlLLE. Clermont (Oise). Imp. DAIX frères et I'IIIRON. Vol. 1. 3e
Série
. Juin 1907. N° 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINI
nant seulement certaines parties de l'écorce cérébrale. A;cames, 3°
série
, 1907, t. I. 29 450 CLINIQUE NERVEUSE. modifi
tablissement des fonctions, et à ce dernier point de vue il y a une
série
de petits moyens sur lesquels je n'ai pas à ins
que sommeil, l'état où se trouve plongé un individu présentant une
série
de troubles somatiques et psychiques, lorsqu'en
ysie. Quand il reprend son acti- vité, ce retour s'accompagne d'une
série
de sensations qui se présentent dans un ordre e
prit scientifique souscrira à cette manière de voir. Archives. 3'
série
1907, t. I. 30 466 CLINIQUE NERVEUSE. En résu
propre qu'il attribue à chaque moitié de l'organisme. Continuant la
série
de ses raisonnements, il a attri- bué à tort à
s un seul centre de souvenirs les éléments d'une opération ou d'une
série
a'opérations qui toutes, par hypothèse, auraien
-être même plus de précision aux images de souvenir. Archives, 31
série
, 1907, t. I. 31 482 PSYCHOLOGIE Que l'on cons
rébral chez l'hystérique hypnotisée, Soc. Biol., 8 juillet 1882, 7e
série
, vol. IV, p. 515 à 521. 1 DUMONTPALLIER. Indépe
es unilatérales et al- ternantes, Annales médico-psychologiques, 8e
série
, tome XVIII, p, 11 à 27, 1903. Résumé in Année
es observations publiées de neuro-fibromatose généralisée dans la
série
animale : cette affection y est rare, mais les ca
particulier à trait a un malade dont l'autopsie révéla Archives, 3'
série
, 1907, t. I. 32 119S REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
hémianopsie M. Rossi et Roussy ont étudié le cas par des coupes en
série
où l'on voit un gros foyer allant de la région
lieu, en 1904.) Dans l'un et l'autre de ces journaux il a donné une
série
d'articles, de mé- moires, d'un incontestable i
ment des comparaisons géométriques : les chapelets de suggestion ou
séries
de suggestionnés;la soudure de ces chapelets cond
NOVITCH. (Bulletin médical, n° 58, 1906.) C'est la première d'une
série
de leçons faites par l'auteur sur ce sujet à l'
ur quelques aspects de la question des - coloniaux ; Archives, 3°
série
, 1907, t. 1- par A. Marie, p. -131. La sur- v
me lui, grands ama- teurs d'antiquités. L'entretien roulait sur une
série
d'inscriptions trouvées à Rome sur des pierres
tes anciens, aux manuscrits grecs et de la renaissance, une seconde
série
de sources, de beaucoup plus précises, les docu
us trouvons dans l'église St-Apollinare Nuovo de Ravenne, toute une
série
de représentations de miracles et de guérisons, s
ne certaine tendance à l'imitation de la nature. En dehors de cette
série
de mosaïques, nous avons de cette époque un ivo
vier, Article Main-bote du Dictionnaire encycl. des se. médicales, 2e
série
t. IV, 1876, p. 17G, 144 HUET ET INFROIT il
ions, trois nous intéressent spéciale- ment. Elles représentent une
série
de guérisons de démoniaques, et nous pourrons l
cemment. Parmi les nombreuses compositions, nous trouvons toute une
série
de représentations pathologiques inégalement ré
ble. J'ai pu noter dans cette cathédrale de l'Assomption, toute une
série
de guérisons. Il m'a été malheureusement, impos
ensuite à l'Hôtel-Dieu, dans le service du professeur Panas, où une
série
d'injections intra-fessières d'huile biiodurée
quelle portion du néoplasme elles appartenaient. Toutefois sur une
série
de coupes portant à la fois sur la périphérie et
rocessus, et les cellules subir une évolution marquée par toute une
série
d'étapes, dont la disposition périlacunaire sembl
UMEUR CÉRÉBRALE 187 ture très particulière. Elle est formée par uue
série
de cellules allongées, pa- rallèles, dont les l
sence de greffes secondaires. Celle description est illustrée d'une
série
de fort belles plan- ches très explicites. Cr
as seulement aux tumeurs des séreuses. Il existe en effet toute une
série
d'observations où ce terme s'adresse à des néopla
rganique, au sens restreint du mot. Ils doivent être rangés dans la
série
des concrétions. Ils augmentent ultérieurement pa
variable. A côté de la dégénérescence graisseuse, il est toute une
série
de cas où le noyau présente des vacuoles, tandis
ie. Cet auteur a retrouvé des altérations identiques dans toute une
série
d'affections d'ordre toxi- infectieux : rage, b
rveuse, le même phénomène phagocytaire se cons- tate dans toute une
série
d'affections où la cellule nerveuse est atteinte
pre du ver intestinal, et Chanson a même essayé sur les cobayes une
série
d'ex- périences avec le suc ascaridien (1). On
re pour le coude, l'avant-bras, le poignet et surtout la main. lle,
série
d'observations. Températures prises avec le the
0-. Température de la salle : au début : 21° ; à la fin : 21°. 2e
Série
d'observations (28 déc. 1900). 4. - Température
oit. Poids de 2 grammes : id. II. - Sensibilité thermique. Première
série
d'observations (12 déc. 1900). 1. - Sensibilité
timètres au-dessus de la pointe de la malléole interne. Deuxième
série
d'observations (15 février 1901), -10 Sensibilité
tres plaques d'hyperesthésie pour le chaud ont disparu. Troisième
série
d'observations (23 février 1901).- 1° Sensibilité
l'état des plastides primitifs (spermatozoïde et ovule) et, dans la'
série
phylogénique, de l'état de l'amibe. Mais j'es
NTROSPECTION MENTALE PAR N. VASCHIDE ET Cl. VURPAS I Dans une
série
de recherches et d'observations que nous avons fa
ison. Les cellules cartilagineuses se multiplient, s'ordon- nent en
séries
rectilignes (cartilage sérié), s'ouvrent les unes
s important sur leurs causes depuis qu'on lésa fait rentrer dans la
série
des syndromes hystériques, mais le mécanisme même
ne semble pas avoir été approfondi. Il aurait fallu pour W.... une
série
assez longue' d'investigations hypnotiques, pou
la phys., 1901, p. 291). 328 féré constituée par une ou plusieurs
séries
de reprises erâoâraphiques, les séries d'ergogr
stituée par une ou plusieurs séries de reprises erâoâraphiques, les
séries
d'ergogrammes sont séparées par des repos de cinq
arées par des repos de cinq minutes, et les 4 ergogrammes de chaque
série
ne sont séparées que par des repos de une minut
e série ne sont séparées que par des repos de une minute. Dans la
série
de recherches qui ont précédé immédiatement celle
série de recherches qui ont précédé immédiatement celles-ci, douze
séries
de 4 ergogrammes exécutant un repos, ont 'donné e
sensorielles peuvent être utilisées (2). On s'est servi dans cette
série
un peu longue d'excitations de l'odorat qui ont
on a fait durer l'excitation pendant toute la durée de la première
série
de quatre ergogrammes et pendant les repos de u
ne indique le rapport du travail total des quatre ergogrammes de la
série
moyenne au repos 22 kil. 53= 100. ..Dans un p
DORAT 329 Exp. I. - Excitation commençant avec le travail.' « 1re
Série
: Odeur d'essence de cannelle. 330 FÉRÉ Exp.
RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 331 3e
Série
: Sans excitation, 332 FÉRÉ repos insuffisant
supérieur à celui de la première : Dans l'expérience V, la seconde
série
faite dans les mêmes conditions, montre une exc
Cette excitation secon- daire on la retrouve dans les 2e, 3e et 4e
séries
de l'expérience VI. Cette exaltation secondaire
il n'est que passagère : le tra- vail est devenu très faibledans la
série
S de l'expérience VI ; mais il. re- monte d'une
l'expérience VI ; mais il. re- monte d'une manière remarquable à la
série
suivante sous l'influence d'une excitation répu
ne un déficit définitif. Nous avons entrepris dans ce but une autre
série
d'expériences avec une autre essence aussi réputé
aussi réputée pour son action tonique, l'essence d'absinthe. Cette
série
a été précédée et suivie d'une expérience de co
Exp. VIII. - L'excitation commence en même temps que le travail. po
Série
: Odeur d'essence d'absinthe. RECHERCLIES SUR L
RECHERCLIES SUR LA FATIGUE PAIt LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 335 7e
Série
: Sans excitation. 336 . FÉRÉ 4e Série : Sans
TIONS DE L'ODORAT 335 7e Série : Sans excitation. 336 . FÉRÉ 4e
Série
: Sans excitation. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PA
nne e travail au tra- soulèvements kilogrammètres vail normal ire
Série
: Odeur d'essence d'absinthe. IOEClfEIIcm;s SUR
fEIIcm;s SUR LA FATIGUE PAII LES EXCITATIONS DE L ODORAT 33 ! J' 4.
Série
: Sans excitation. 340 FÉRÉ Exp. XII. Excitat
kilogram- moyenne du travail au ments mètres travail normal 1 r.
Série
: Odeur d'essence d'absinthe. RECHERCHES SUR LA
RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 3 li 1 7°
Série
: Sans excitation. 342 FÉRÉ 3e Série : Sans e
IONS DE L'ODORAT 3 li 1 7° Série : Sans excitation. 342 FÉRÉ 3e
Série
: Sans excitation. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PA
RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 343 9e
Série
: Sans excitation. 0 ta. a- Fio. 1. I. Sé
'ODORAT 343 9e Série : Sans excitation. 0 ta. a- Fio. 1. I.
Série
d'ergogrammes pris au repos sans excitation donna
citation donnant un travail total de 22 kilogrammètres 14 (première
série
de l'expérience XIV). RECHERCHES SUR LA FATIGUE
RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 34 ? 31
Série
. zig FÉRÉ - 9° Série. RECHERCHES SUR LA FAT
UE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 34 ? 31 Série. zig FÉRÉ - 9°
Série
. RECHERCHES SUR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS
UR LA FATIGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT , . 347 Fig. 2. zizi.
Série
d'ergogrammes pris au repos et une heure après 2
d'absinthe, donnant un travail total de 15 1. 21 (Exp. XV). - III.
Série
d'ergogrammes pris au repos une heure après 4 min
ant un travail de 14 k. 31 (Exp. XVI). 348 - '' FÉRÉ Cc. 3. - IV.
Série
d'ergogrammes pris au repos, et une heure après 8
d'absinthe, donnant un travail total de i r h. 16 (Exp. XVII). V.
Série
d'ergogrammes pris au repos et une heure après 12
re. 352 -) FÉRÉ Après 45 minutes de repos, on a fait une nouvelle
série
d'ergogrammes qui a donné les résultats suivant
inés par les émanations des tubéreuses (J. de chimie méd., 1843, 2=
série
. T. IX, p. 294). (3) P. TISSU ? La fatigue et l
u syndrome des tumeurs cérébrales. Cette analogie générale des deux
séries
cliniques a été indiquée par Babinski (1). Cet
. Med., 1898) etdeNoelke (Deutsche med. Wochensch., 1897). Mais une
série
d'autres cas d'urémie cérébrale a fourni des ré
pathogénique commun, qui présiderait à l'apparition, dans les deux
séries
, de symptômes analogues : et ils tentent de rap
même impossible à admettre anatomiquement, la cause de cette riche
série
d'accidents qui composent le syndrome diffus de
rieurs, en relevant brusquement la paume de la main on provoque une
série
de petites secousses successives absolument analo
res des os de la jambe sont normales dans la maladie de Paget). Une
série
de coupes la scie pratiquées sur ce même tibia
nouveaux. Je me suis servi de l'ergographe de Mosso. On procède par
séries
de quatre ergogrammes : les séries sont séparée
ographe de Mosso. On procède par séries de quatre ergogrammes : les
séries
sont séparées par des repos de 5 minutes et les
nt séparées par des repos de 5 minutes et les ergogrammes de chaque
série
par des repos de une minute. C'est le médius qu
de 3 kilogr. Des expériences antérieures ont montré que la neuvième
série
donne un travail égal ou un peu inférieur il 50
a première. Dans les expériences récentes le travail de la première
série
oscille, en général, pour le médius droit entre
res. pour le médius gau- che entre 15 et 16. Le travail total des 9
séries
varie pour le médius droit de 143 à 150 kilogra
aison avec les expé- riences suivantes. Les rapports du travail des
séries
sont établis relative- ment au travail de la pr
il des séries sont établis relative- ment au travail de la première
série
à 100, pour le médius droit et pour le médius g
l'activité d'autres MUSCLES 437 7 gue s'est montrée de nouveau à la
série
suivante malgré l'association des mêmes mouveme
féré . TABLEAU II Représentation proportionnelle du travail de 9
séries
de 4 ergogrammes dans des conditions diverses.
. 91 ki- logrammètres, 79 = 100. - Décroissance lente ; la dernière
série
donne un travail de 46,37 0/0 du travail normal
k. 23. - Décroissance plus rapide qu'à l'état normal : la dernière
série
ne donne qu'un travail de 25,01 0/0 du travail no
ssance irrégulière et moins rapide qu'à l'état normal : la dernière
série
donne un travail de 50,93 0/0 du travail normal.
ain droite : 128 k.94.- Accroissance lente du travail : la dernière
série
donne un travail de 69,66 0/0 du travail normal.
be gauche, 122 k. 82. - Décroissance lente du travail ; la dernière
série
donne 61 0/0 du travail normal. FIG. 6 b. - Tra
de mouvements de flexion de la jambe droite : 98 k. 22. La dernière
série
donne encore 36,17 0/0 du travail normal. L'I
s 1 a (Exp. I) qui représente le travail du médius droit dans les 9
séries
norma- les et 1 b (Exp. II) qui représente le t
MUSCLE DE L'ACTIVITÉ D'AUTRES MUSCLES 447 448 FÉRÉ Dans les deux
séries
suivantes, on associe aux mouvements de flexion
orielles et aux poisons nerveux, la décroissance est rapide, et les
séries
terminales sont tou- jours au-dessous de la nor
tionné assez pénible en lui- même. Le travail total pour les neuf
séries
d'ergogrammes du médius droit sous l'influence
l'alcool et du tabac sur le travail (Arch, de neurologie, 1901, 2°
série
, t. XII, p. 378). (5) Note sur l'influence du h
certains cas le trophoedème chronique peul être la résultante d'une
série
d'oedèmes aigus circonscrits. La malade de M. M
liothèque de Bologne, enrichie de miniatures représentant toute une
série
d'opérations chirurgicales. (1) Voy. Difformes
te. On pourra aisément remarquer, en examinant dans notre pl. 12 la
série
comparative des cerveaux d'Homme et de Singes, l'
cérébraux. 11 serait utile d'examiner successivement chacune de ces
séries
partielles. De cette comparaison attentive de tou
us, dans un prochain travail, l'étude du cerveau des Carnassiers, nos
séries
étant, sur ce point, plus complètes. Ce ne sera q
res, les lignes grises transparentes correspondant, au contraire, aux
séries
des points rétrécis. Notre habile anatomiste pr
. % Ainsi les plis cérébraux indiquent, d'une manière fidèle, les
séries
des points où les fibres rayonnantes de l'axe son
ation, ici par excès de simplicité. Les deux termes extrêmes de cette
série
ne Deuvent donc servir de type à l'anatomiste.
nduit à préférer, comme type de ma description, un animal moyen de la
série
des Singes. Or M. de Blainville, mon illustre maî
comprise, conviendra, dans sa généralité, à tous les animaux de cette
série
, en sorte que, dans chaque genre, nous n'aurons p
sable dans quelques cerveaux. Je ne connais, jusqu'à présent, dans la
série
des Guenons, que le cerveau du Patas où ce pli so
frontal de sa suprématie. Nous avons, en remontant les degrés de la
série
zoologique des Pithèques, étudié le cerveau des G
ons. Descendons maintenant jusqu'aux degrés les plus infimes de cette
série
, et passons à l'étude des plis cérébraux des Maca
n le Macaque ordinaire et le Bonnet chinois paraissent terminer cette
série
. § XVÏIL PLIS CÉRÉBRAUX DES CH ROPITHÈQUES OU
occipital, ils sont aisément séparés des uns et des autres. Dans la
série
des Chœropithèques, les Papions semblent marcher
xième pli ascendant. Si nous nous laissons inspirer par une idée de
série
et par les classifications des plus célèbres zool
er à côté des Macaques ou des Cynocéphales. Mais, dans cette grande
série
, à quel groupe peut-on plus immédiatement le comp
r le grand Gorille du Gabon, dans les Ann. des sciences naturelles 3'
série
, tome XVI, 1851. vernoy. Il serait donc superfl
point autoriser le rapprochement de ces trois genres. Chefs de trois
séries
différentes, en recevant, si je puis m'exprimer a
xprimant une vérité absolue cette ingénieuse proposition que, dans la
série
entière comme dans chaque groupe naturel considér
Cèbes (i), forment, à côté des Singes de l'Ancien Monde, une nouvelle
série
, à la fois très-voisine et très-distincte de la p
nt ressortir. Toutefois, considérée dans son ensemble, cette deuxième
série
des Singes se développe dans un plan inférieur. A
développe dans un plan inférieur. Ainsi les premiers animaux de cette
série
sont moins élevés que les premiers Pithèques, et
t occuper le premier rang parmi les Singes américains. Cette nouvelle
série
n'a, en effet , ni Orangs , ni Gibbons, ni Chimpa
èle et du Lagotriche. Ces plis offrent un type tranché. Toutefois, la
série
de mes observations n'étant point complète, je n'
aits épars dans la nature se disposent, aux yeux de l'observateur, en
séries
régulières, simples et intelligibles (1). (1) L
. Mais c'est à tort qu'on a cru pouvoir déterminer nettement, dans la
série
des phases que parcourt le cerveau humain dans so
oire les conditions où s'arrêtent toutes les espèces qui composent la
série
des Primates? Toutes ces questions peuvent être p
s plis l'emportent dans les animaux. L'Homme étant le sommet de cette
série
, nous attribuerons aux plis qui dominent dans son
portion radiculaire, fort simples dans tous les Singes de la première
série
, à l'exception de VOrang-Outang, chez lequel la b
s les Cynocéphales connus. Singes américains. — Dans cette nouvelle
série
, même absence d'ordre dans le développement. Très
Cynocéphales, VOrang et le Chimpanzé parmi les Singes de la première
série
, et parmi ceux de la seconde, dans les plus élevé
existe à peu près seul. Au-dessus d'eux on le retrouve dans toute la
série
des Singes; mais plus on s'élève dans chaque séri
ouve dans toute la série des Singes; mais plus on s'élève dans chaque
série
partielle, et plus son épaisseur diminue. C'est a
s avons enfin terminé cette longue analyse des plis cérébraux dans la
série
entière des vrais Primates ; nous nous sommes att
braux m'a suggérée. Ces plis, avons-nous dit ailleurs, indiquent la
série
des points où les expansions fibreuses de l'axe e
on plaça Tb. à Necker où elle resta deux mois. D'abord, elle eut des
séries
d'attaques presque tous les jours : l'une d'elles
ue éclate. Description des attaques. — Les attaques se montrent par
séries
qui durent plusieurs (l) Archives de physiologi
core à 11 h.; à ce moment, T. Y. 38°; P. 120. — 18 oct. Début de la
série
à 9 h. 3/4; à 10 h. 1/2 : T. V. 37°, 8. — 28 oct.
pendant cinq ou six minutes, après quoi la malade a été reprise et la
série
n'a cessé définitivement qu'à midi et demi. Quelq
Retour rapide de la connaissance. Délire, chants. Attaques par
séries
durant k à 5 heures. Accès d'cpilepsie. Pas d
(Planche XIII). 21 mars. — Les attaques se présentent sous forme de
séries
et leurs caractères,ainsi que la description suiv
e, et que, la malade recouvrant connaissance, dit être soulagée. La
série
a commencé à 5 heures et demie et n'a cessé qu'à
ée au bras droit : le sang a coulé en jet. 18 octobre. — Durant une
série
d'attaques T.V. 38°,2. 21 octobre. — G .. est t
mplement de Y analgésie. 1874. 5 janvier. — Délire consécutif à une
série
d'attaques : G... casse quatorze carreaux. — Les
jet d'un moineau {%) une discus- (1) G. ., dans l'intervalle de ses
séries
d'attaques, est très-laborieuse^ travaille à la c
empêcher de se blesser dans sa chute; c'était le début d'une nouvelle
série
d'attaques. La tète est dans l'extension ; la f
dirais rien. » La compression estarrètée: attaques. — Voyant que la
série
continuait nous administrons le nitrite d'ample.
let, G... n'a pas eu d'attaques. Le 23, nous assistons à une nouvelle
série
, dans laquelle la période destertor est plus accu
durée variable et ne sont pas suivies de pertes blanches. Durée des
séries
. — Les attaques, chez G-..., de même que chez bea
ent isolées, comme le sont les accès d'épilepsie ; elles viennent par
séries
qui se prolongent pendant des heures et se compos
s dans l'observation, nous ajouterons les suivants : Le 7 avril 1877,
série
de 10 heures ; — le 8, série de 4 heures , — le 1
outerons les suivants : Le 7 avril 1877, série de 10 heures ; — le 8,
série
de 4 heures , — le 12 et le 29, série de 3 heures
7, série de 10 heures ; — le 8, série de 4 heures , — le 12 et le 29,
série
de 3 heures. (2) On donne le nom de clou hystér
Ces secousses, qui portent également sur les deux côtés, viennent par
séries
séparées par un court intervalle. Durant ce temps
etc., ont chacune un certain nombre de sujets qui reviennent à chaque
série
d'attaques. Cependant cette fixité n'est pas abso
n que ses fréquentes visites attiraient sur leurs familles... » Une
série
d'affaires fixèrent encore davantage l'attention
prit une voiture pour reconduire M... chez son père ; elle donna une
série
de fausses adresses et se fit promener pendant un
, ainsi que son père nous l'a déjà dit. 1871 (1). Description d'Une
série
d'attaques. — La malade est camisolée, maintenue
! papa ! » mots qui, suivant la surveillante, annoncent la fin de la
série
. En effet, la malade se réveille et, interrogée,
se plaint d'envies de vomir, de fatigue et de battements de cœur. La
série
a duré une heure. P. plein, régulier, à 130 ; T.
pètent cinq ou six fois de suite. Une heure après le début de cette
série
, composée d'attaques dans lesquelles la période d
vril. — Attaques. Première période. Souvent la première attaque d'une
série
débute sans cri ; les attaques consécutives s'ann
miction est normale. 3 octobre. — Nous assistons aujourd'hui à une
série
d'attaques qui, tout en étant composées des mêmes
I et XXVII),ont subi de nouvelles modifications. Nous assistons à une
série
de ces attaques : 10 La période tonique ou épilep
machinalement. La Planche XXXIX représente la malade à l'issue d'une
série
d'attaques. Cette photographie a été prise dans l
myle.Ce médicament, sauf une fois (page 126), a toujours mis fin à la
série
d'attaques. 22 nov.— Contractures passagères da
ul-tatvraiment précis, il faudrait compter, d'une part, le nombre des
séries
, avec leur durée et,d'autre part, le nombre des a
rée et,d'autre part, le nombre des attaques qui composent chacune des
séries
. années 1867 1868 1869 1870 1871 18
ce, du thorax et dû membre supérieur droit; et, à partir de 1874, uñe
série
d'autres manifestations : a) contractures, b) cra
et Yéther qui ont été donnés un grand nombre de fois pour arrêter les
séries
d'attaques. Quoi qu'il en soit de la part qui r
131, 133.— Caractères généraux et secondaires des —, 109. — Durée des
séries
d' —, 89. — Mode de notation des —, 143 — Modific
E Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT ET J. NOIR Deuxième
série
, tome XII. 1901. Avec 19 figures dans le texte.
ons. L'alcool produit surtout des hallucinations de la Archives, 2e
série
, t. XII. 1 2 CLINIQCE MENTALE. vue, la cocaïn
uement. L'histoire des théories des fonc- tions psychiques, dans la
série
des êtres vivants, est surtout une histoire des
chant la structure et le développe- ment du système nerveux dans la
série
des vertébrés. Sur- prendre, comme à l'état nai
e épinière, le cervelet et le cerveau moyen, ne présentent, dans la
série
, que des différences non essen- tielles, il n'e
inger, aucune autre partie du cerveau qui, si l'on remonte toute la
série
, présente de beaucoup des changements aussi con
ifférentes régions du névraxe, du cerveau en par- ticulier, dans la
série
animale, forment, selon nous, le plus sûr fonde
psychologie, demande Edinger ? On a souvent tenté de suivre, en une
série
continue, les structures de l'appareil , nerveu
cons- cience immanente à la matière, et qui progresserait avec la
série
animale, manque d'autant plus de fondement que ri
oît ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. 33 progressivement dans la
série
jusqu'à ce qu'elle atteigne chez l'homme le plu
des actions volontaires, appelées tropismes, dépendent Archives, 2e
série
, t. XII. 3 34 REVUE CRITIQUE. certainement, c
et 4 août la malade l'ait son testament. Le 20 août, mort après une
série
de petits ictus qui ne touchèrent l'intelligence
i ne savent par encore. Cette institution devrait être Archives, 2°
série
, t. XII. 4 50 ASILES D'ALIÉNÉS. complétée par
ès accusées. Des déformations vertébrales réellement t Archives, 2°
série
, t. XII. 5 66 SOCIÉTÉS SAVANTES. svringomyéli
on ne résultent que de la manière dont s'entrecroisent les diverses
séries
de représentations. Les fusions donnent lieu aux
faisons entrer 3 malades qui présentaient des troubles Archives, 2'
série
, t. XII. 6 82 CHIRURGIE DES ALIÉNÉES. génitau
nous avons signalé qu'il n'y avait pas de coupure brusque entré la
série
des faits oubliés et celle des faits dont le so
le nom de continue. Or, ce psychologue distingué a montré, par une
série
d'ob- vations très fouillées, la relation qui e
laive isolée, quoique plus communé- ment elle en provoque toute une
série
, combinée en vue d'un but défini, et cela, sans
r Archives de Neurologie, n° fii, 1901, t. XII, p. 28. Archives, 2°
série
, t. XII. 1 98 , REVUE CRITIQUE. conditions ex
nt entre eux les mécanismes nerveux à complexité croissante dans la
série
expliquent ces faits. Le mode de cet accroissem
parée, de la constitution anatomique de l'écorce cérébrale dans la
série
des vertébrés, a pour la psychologie une portée
pparaît comme volonté libre, n'est que le stade ultime d'une longue
série
de processus qui a débuté, à quelque moment don
s observés se peut passer. Ce n'est que lorsqu'apparaîtront dans la
série
des modes d'activité qui ne seront plus explica
ux des invertébrés et des verté- brés, l'histoire comparée, dans la
série
des vertèbrés, des organes des sens, des centre
is et conscients, de concevoir ce qui se forme à peine Archives, 2'
série
, t. XII. 8 114 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
décapsulés; par Fauazzi. (Il 1900, mars.) L'auteur a pratiqué une
série
d'expériences sur le lapin : non opéré, décapsu
d'un côté, privé de ses deux capsules ; dans cha- cune de ces trois
séries
, quelques lapins ayant été gardés comme témoins
au-dessus du coude une petite tumeur non douloureuse, Archives, 2°
série
, t. XII. 9 leO7 REVUE ^ DE ; PATHOLOGIE. MENTAL
t suffisamment les points impor- tants ; nous reproduisons ces deux
séries
de remarques dont la première porte surtout sur
ue malgré 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lui, peut-être par une
série
de fausses manoeuvres et de malen- tendus, s'il
dance des nerfs craniens sont rarement atteints et les Arcuives, 26
série
, t. XII. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
ENDER présentent l'hémisphère droit du malade mort à la suite d'une
série
de crises d'épilepsie jacksonienne gauche. Ce m
le dégonfler et provoquer une très abondante diurèse. Ahuuves, 2°
série
, t. XII. 11 t '1G BIBLIOGRAPHIE. M. Félix Reg
paru intéressante, et c'est pourquoi, sur les conseils Archives, 2'
série
, t. XII. 12 el78 CLINIQUE NERVEUSE. de notre
e vient d'apercevoir une lueur dans l'oeil droit. On recommence une
série
de douches et peu à peu l'acuité semble revenir
erical liemianeslhesia. (Brain, 1883, p. 4G3- Gi.) , Archives, 2°
série
, t. XII. 13 194 CLINIQUE NERVEUSE. est incomp
ns à l'appareil visuel, et nous serions très disposés à admettre la
série
des phéno- mènes suivants : . le' stade. - Cé
'avance par de la tristesse et du refus de nourriture. Archives, 2"
série
, t. XI 1. 14 '210 PSYCHOLOGIE 11ORBIDE. Il -a
8r). La section de la queue de cheval chez les animaux Archives, 2e
série
, t. XII. la 226 revue d'anatomie ET DE physiolo
de. Son volume était diminué. A l'examen microscopique, on nota une
série
de modili- ,cations, dont l'ensemble dénote une
liyinaue uses. ' L'inhibition est une manifestation tardive dans la
série
des transformations évolutionnelles de l'espèce
e, et sommes-nous arrivés à déterminer la nature de la Archives, 2°
série
, t. XII 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. seconde ? S
estomac, ce qui confirme l'excellence de cette méthode Akchives, 2'
série
, t. XII. 17 î 258 SOCIÉTÉS SAVANTES. de trait
nt très rares. Il meurt à l'âge de 38 ans, après avoir présenté une
série
d'accès convulsifs suivis de délire violent. A
s jambes. Marche difficile. Réflexes rotuliens exa- illiCIIIIES, 2e
série
, t. XII. 18 274 4 SOCIÉTÉS SAVANTES. gérés. Q
ire de cocaïne n'est pas due, comme le pensaient cer- ARCIIIVES, 2'
série
, t. XII. 19 290 PHYSIOLOGIE. tains auteurs, à
rla caractérisé l'hystérie dans les définitions qu'ils Archives, 2'
série
, t. XII. 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
ation dans les Archives de neurologie, le malade est mort après une
série
d'attaques épileptiformes et que les lésions ma
NTES.. 313 tique, aujourd'hui bien établies, n'appartient à la même
série
de faits que la paralysie générale survenant en
; 3° chez le singe, les centres des réflexes tendineux Archives, 2°
série
, t. XII. 21 Fig. 7. M2 SOCIÉTÉS SAVANTES. s
définitives de physiolo- gie nerveuse chez l'homme. Conclure de la
série
animale à ce der- nier est une tendance bien na
e et de l'exagération des réflexes tendineux est démontrée par deux
séries
de preuves. La première comprend des preuves cl
lcoolisme. L'enfant subit les conséquences de l'alcoolisme sous une
série
de formes : 1° l'alcoolisme chronique du père ou
l'idée un rôle toujours prépondérant dans l'obsession. ARUnrves, 2'
série
, t. XII. 22 338 SOCIETES SAVANTES : , Inverse
n rénale et nous constatons des perturbations qui nous Archives, 2e
série
, t. XII. 23 354 SOCIÉTÉS SAVANTES. mettent su
; 60 pré- sence d'acétone ; 'il, présence de corps appartenant à la
série
aro- matique, probablement la tyrosine ; 8° enf
braux chez l'homme. (Ibid., p. 143.) De l'influence de Archives, 2a
série
, t. XII. 2 370 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. - t
roit soulève unpoids de trois kilogr. chaque seconde. On fait des
séries
de 4 ergogrammes qui ne se terminent que quand le
and le poids ne peut plus être soulevé dans le temps convenu. Les
séries
sont séparées par des repos de cinq minutes, les
parées par des repos de cinq minutes, les les ergogrammes de chaque
série
par des repos de une minute. Neuf séries de ce
les ergogrammes de chaque série par des repos de une minute. Neuf
séries
de ce genre, sans excitation d'aucune sorte et
3 à 150 kilogram- mètres. Dans une expérience récente, une première
série
au repos, sans excitation, a donné 22kil. 47. C
e chiffre qui nous servira de comparaison pour le travail de chaque
série
. Du reste, nous allons rapporteur intégralement
TRAVAIL. 373 374 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Le travail total des 9
séries
est est de 144 kil. 94. C'est le travail ordina
l variant entre 143 et 150. Expérience II. Au début .de la première
série
on ingère un mélange de 0,10 cm3 d'alcool absol
RAVAIL. 381 eS7 1 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. 4 - . début de la 14°
série
la même quantité du même mélange qui sera rejet
faibles d'esprit des imbéciles et des idiots... f . . Archives, 2°
série
, t. XII. 25 386 . CLINIQUE MENTALE. Voici ce
La même année paraissaient dans la British and Foreign Archives, 2°
série
, t. XII. 26 Il. 0 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
[t. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) Au cours d'une
série
de recherches sur la pression artérielle chez l
, ce qui est une supériorité vis-à-vis des infirmiers. Archives, 2e
série
, t. XII. 27 418 SOCIÉTÉS SAVANTES. J'estime q
de- cins de l'asile voisin, avec assistance de tous les élèves, par
séries
, aux visites des médecins qui devraient leur do
éde- cin en chef de l'infirmerie spéciale des aliénés, reprendra la
série
de ses conférences cliniques de psychiatrie méd
ème nerveux, hospice de la Salpêtrière, années 1898-1899, cinquième
série
. Iu-8» de 680 pages, avec 77 ligures et 5 planc
at de vingt-quatre heures a été ainsi formulé : « État Archives, 20
série
, t. XII. 23 ,450 1 CLINIQUE MENTALE. démentie
te cinq minutes avant le travail et on continue pendant la première
série
d'er- gogrammes (une cigarette caporal ordinair
rette 5 minutes avant le travail et on continue pendant la première
série
d'er- gogrammes (une cigarette). INFLUENCE DE
er 15 minutes avant le tra- vail et on continue pendant la première
série
d'ergogramme (trois cigarettes). INFLUENCE DE
le primitive. Annales médico-psy- cytologiques. 50' année. 1892. 71
série
, t. XVI, p. 225-273. On trouvera là une observa
yeux en allongeant rapidement le bras droit et en prononçant une
série
de mots incompréhensibles; l'autre était un tic a
ê- trière, 1893-94. 21' leçon. 0. Doin, Paris, 1895. Archives, 2'
série
, t. XII. ' 32 498 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le déb
e la Société médico-psychologique. Séance du 28 mai 1894, t. XX. 7°
série
, p. 123. 504 - PATHOLOGIE NERVEUSE. '\ tiqu
rio. Des paralysies dynamiques ou nerveuses, 1859. - " Archives, 2e
série
, t. XII. 33 514 CLINIQUE NERVEUSE. teurs du X
siques ont un caractère mal défini, et peuvent être disposés en une
série
dont ni le commencement ni la fin ne sont défin
ité n'est pas précise; 2° l'effet de l'or- gane sensoriel sur cette
série
dont on vient de parler est précisé- ment de lu
ses à l'intelligence par des cen- tres définis de perception. Par
série
psycho-physique, l'auteur entend désigner une sér
perception. Par série psycho-physique, l'auteur entend désigner une
série
physique, telle qu'elle apparaît à l'esprit : c
a démontré entre autres choses, que la névroglie se compose de deux
séries
d'éléments, et non pas d'une seule. La névrogli
orme un milieu général de soutien : l'au- teur y a trouvé une autre
série
de cellules qu'il appelle cellules de la mésogl
de l'auteur sont les suivantes : 1° les doses toxi- .lrscurvES, 2'
série
, t. XII. 3+ 530 ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. que
' est admis à faire valoir ses droits à la retraite. Archives, 2'
série
, t. XII. 35 546 avis A NOS abonnés. COURS DE
re de la rédaction : J.-B. CIIAIlCOT Dessinateur : LEUBA Deuxième
série
, tome IV. 1897. Avec 27 figures dans le texte.
elle, lumineuse, unique et permanente dans la fixation Archives, 2e
série
, t. IV. 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. du regard ci
ans l'écorce cérébrale, et aussi aux procès psychiques Archives, 2°
série
, t. IV. 2 18 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. conscient
aquelle il a été versé, aux exercices préparatoires ' qui ont, ' La
série
de ces exercices préparatoires consiste en une im
Goguillot : Comment on fait parler les sourds-muels. Archives, 2e
série
, t. IV. 3 34 THÉRAPEUTIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQUE.
EUTIQUE MÉDICO-PÉDAGOGIQUE. - Les verbes peuvent donner lieu il une
série
d'exercices variés : ordres donnés par le maîtr
ns des limites assez étendues d'un moment à l'autre. Archives, 2e
série
, t. IV. - l'i ? 2. ù REVUE DE PATHOLOGIE NERV
nde actuelle d'internement pur et simple. F. BOISSIER. Archives, 2e
série
, t. IV. 5 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ MÉDICO-P
Rossolimo. G. RossoLmo, N. SCIIATALOFF, A. FOKARSKY. Archives, 2e
série
, t. IV. 6 BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des mala
6 BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des maladies du système nerveux (2°
série
); par le professeur RAYMOND (1897. 0. Doirr, éd
ladies du système nerveux (hospice de la Salpêtrière, 1895-1896; 21
série
). Recueillies et publiées par le D' E. Ricklin.
e réno- ' Faites du 7 au 24 mai 1897. - Leçons de clin, nécl., 3e
série
, p. 247, 1897. 3 On trouvera un bel exposé de l
et à l'oeuvre d'une époque, in Clin, des @lit sysl. ne ? ? 189G, 1"
série
, p. 28 à 187. Archives, 2''surie, t. IV. 7 98
ladie aiguë (fièvre typhoïde et grippe), in Leç. de clin, méd., il,
série
, p. 414. Etiologie infectieuse de l'hystérie, i
414. Etiologie infectieuse de l'hystérie, in Leç. de clin, méd., 2.
série
, '1806, p. 557. 3 Raymond. Etiologie générale d
pement des névrites périphériques, in Clin, (les du syst. nerf., 9c
série
, lss7. , iuo CLINIQUE NERVEUSE. tables à une
intoxication ou à une infection unique, bien définie, il y en a une
série
d'autres dans lesquels ce même genre de causes
p. 337 : « L'étiologie est des plus obscures. » Il y a ensuite une
série
de chapitres qui ne contiennent même pas de par
sion médullaire. Donc, dans le tabès non compliqué, il y a déjà une
série
de lésions éparses, discontinues, disséminées.
lour. sur le coet'. (monts. méd., 1880, XLIV, 483). Aucuives, 2e
série
, t. IV. 8 114 CLINIQUE NERVEUSE. D'autres cau
arthritique, un alcoolique ou un paludéen, Leçons de clin, méd., 3°
série
, 1897, p. 301. MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 117
abes ou telle autre sclérose médullaire. 1 Leçons de clin, méd., 2c
série
, 1890. p. 671. 118 8 CLINIQUE NERVEUSE. Tout
et d'après lui, disions-nous' que l'artérios- 1 Leçons de clin, Ire
série
, p. 522 et 535. 122 CLINIQUE NERVEUSE. cléros
avons déjà cité, paru depuis ces leçons, Brault étudie, dans une
série
de chapitres, la question de savoirs'il existe un
les images auditives fussent complètement détruites. Archives, 2e
série
, t. IV. 9 130 RECUEIL DE FAITS. VOMISSEMENTS
connues, les experts ont tou- jours basé leurs conclusions sur une
série
d'autres symptômes con- comitants. Il faut évit
les circonstances ne s'y sont pas prêtées. A. Marie. Archives, 2e
série
, t. IV. 10 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
n consenti à suivre un traitement intégral, on lui fit Archives, 2C
série
, t. IV. Il t 162 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. pren
tabès médullaire parait être, avant tout, une maladie Archives, 2e
série
, t. IV. 12 178 pathologie NERVEUSE. · de la r
ive des champs endogènes, descendant ou ascen- dant. Archives, 2e
série
, t. IV. 13 de coloration dit de Weigert-Pal. 11
nconvénients signalés plus haut persistent. Le système Archives, 2°
série
, t. IV. 14 - 210. ASILES D'ALIÉNÉS. ' du "Dl'
de régime, ou la viande est réduite. Il n'est pas jus- Archives, 3'
série
, t. IV. 15 226 REVUE DE pathologie NERVEUSE.
re 16 lettres qu'il énoncera assez bien. Ecrira bien les nombres en
série
et aussi sous la dictée, quant aux unités et au
l manquait à la chaîne qui unit leurs théories aux nôtres toute une
série
d'an- neaux intermédiaires que le temps et l'ex
e déférence pour le désir du plus éminent de nos hôtes Archives, 2°
série
, t. IV. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. mais fort m
x affections organiques du cerveau, est caractérisée par une double
série
de symptômes psychiques et physiques en rapport
l'enfance avec celle de l'adolescence ou de la puberté Archives, 2e
série
, t. IV. 17 -1 258 SOCIÉTÉS SAVANTES. et, de m
nt dans les asiles de la pro- vince, doit rapidement construire une
série
d'asiles bisexués de cinq cents malades dans un
mme autre conséquence que nos asiles grands ou petits, Archives, 2°
série
, t. IV. 18 274 SOCIÉTÉS SAVANTES. ne peuvent
e qui est restée légendaire : « Un directeur se trouve Archives, 2e
série
, t. IV. 19 9 290 asiles d'aliénés. ' placé à
ait normale. Je n'entendais plus parler de cet enfant, Archives, 2e
série
, t. IV. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE lorsque, un
s l'atrophie persista plus longtemps surtout au niveau Archives, 2e
série
, t. IV. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
démontrent que cette division n'est pas théo- rique. Archives, 2e
série
, t. IV. 22 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. De la folie
on et une intoxication d'origine interne et externe. Archives, 2e
série
, t. III. 3 354 SOCIÉTÉS SAVANTES. Les dégénér
te insipide. 1 Voir Archives de Neurologie, no 22. . Archives, 2e
série
, t. l1'. 21 r 370 CLINIQUE NERVEUSE. Malheure
ravail, en tête de mes observations, j'ai su du moins relever une
série
de faits se succédant chez le même enfant à plusi
in par jour paraît une dose très raisonnable au paysan Archives, 2e
série
, t. IV. 25 386 CLINIQUE NERVEUSE. du Bocage.
définis. Quelles sont les. causes et de la forme et de Archives, 2"
série
, t. IV. 26 402 REVUE CRITIQUE. l'étendue de l
la proportion énorme des guérisons complètes et pratiques, dans la
série
rapportée par l'auteur de vingt-deux cas traités
iscussions contradictoires. En fait, chaque section a constitué une
série
de congrès natio- naux successifs, et le plus s
cience et d'intensité, enseignent et démontrent. » . Archives, 2e
série
, t. IV. 27 418 sociétés savantes. S'il en est
nante. Ce sont les obsessions proprement dites. On a donc ainsi une
série
d'états obsédants, qui, partis de la forme la p
u'à déterminer une paraplégie définitive, nous avons pu observer la
série
des altérations légères que ces anémies transi-
logues, divers expérimentateurs, précède incontestablement toute la
série
des modifications bien connues que subit la cel
s cette première période est due à Nissl, qui a montré Archives, 2e
série
, t. IV. 28 434 SOCIÉTÉS SAVANTES. que la sect
uement, les symptômes observés jusqu'à la mort apparte- naient à la
série
syringomyélique; l'atrophie musculaire, extrê-
rouve le plus grand nombre de fibres accélératrices; dans une autre
série
d'expé- riences j'ai coupé la moelle au-dessus
chez les hommes et chez les femmes, se trouvent soumis à toute une
série
de conditions géné- rales et individuelles et n
tomatologie de la syringomyélie. 1 M. Maixner (de Prague). Dans une
série
de cas où la syringo- myélie se présenta sous l
rictions, qui sont le procédé de choix, sur les trois, Archives, 2e
série
, t. IV. 29 450 SOCIÉTÉS SAVANTES. mois de tra
s indications complémentaires utiles. Au même groupe appartient une
série
de moyens externes : révulsifs, chloroforme, ea
hysiologie, publiées par MM. Bouchard, Ciiauveau, MAREY et GLEY, 5°
série
, t. IX, Masson, éditeur. Voici les titres des t
ont plus fréquentes chez la femme et l'enfant que chez Archives, 2e
série
, t. 1 V, 30 466 CLINIQUE NERVEUSE. l'homme (B
pre- mières heures après les repas, sont des malades en cours de
séries
et dont les séries le plus souvent on\.-débuté pe
es après les repas, sont des malades en cours de séries et dont les
séries
le plus souvent on\.-débuté pendant les période
e constater de très grandes différences individuelles. A côté d'une
série
d'épileptiques donnant : aie. du sang.= VI et a
s prati- quées quotidiennement et pendant assez longtemps sur une
série
de huit épileptiques, soumises de la façon la plu
les 1, 2, 5, 8, 9,;i l, 12 septembre; les attaques reparaissent en
séries
très nombreuses (voir tableau plus loin). Pas d
r d'excitation maniaque. , Une augmentation du nombre des attaques (
série
très nom- breuse à la fin dès expériences). Elé
mois elle a été atteinte d'un accès d'agitation très violente, avec
série
d'attaques très nombreuses, troubles sensoriels
réactions. Etat de subexcilation persistant. Pas d'attaques. Le 14,
série
de sept attaques violentes (de 10 heures à midi).
taques n'ont reparu que pendant la première quinzaine d'octobre, en
séries
nombreuses. Au commencement de novembre, à la s
en séries nombreuses. Au commencement de novembre, à la suite d'une
série
très nombreuse, B... est tombée en état de mal
nérescence physique, stigmates hystériques, attaques hystériques en
séries
de 25 à 80 par vingt-quatre heures. Caractère i
eures. Caractère irritable, sournois, trodinll1 vitoe. En 1894, les
séries
d'attaques augmentent progressivement, alternat
1895, les attaques du type hystérique ont complètement disparu. Les
séries
épileptiques sont de plus en plus nombreuses. L'é
restauré. L'état mental est amélioré. Il se produit en moyenne deux
séries
par mois, variant de 100 à 200 attaques. Chaque
moyenne deux séries par mois, variant de 100 à 200 attaques. Chaque
série
débute le plus souvent de 10 heures èt midi ou de
, injection de 40 cent, cubes (5 h. s.), immédiatement suivie d'une
série
brusque de 7 attaques sans aura. Aie. = 111 penda
s. Le 11, injection de 30 cent, cubes, sans troubles consécutifs.
Série
de 41 attaques, de 10 heures il midi. Au moment d
cent. cubes. Pas de troubles consécutifs. Le 23, sans prodromes,
série
de 261. attaques débutant à 5 Il. m. Une deuxiè
prodromes, série de 261. attaques débutant à 5 Il. m. Une deuxième
série
de 105 attaques commence à Il. s. Ale. = IV. Le
e 105 attaques commence à Il. s. Ale. = IV. Les jours suivants, les
séries
d'attaques continuent. Aie. = II1, immédiatemen
s séries d'attaques continuent. Aie. = II1, immédiatement avant une
série
. Les 26, 27, 29, injections de 30 cent. cubes.
ment avant une série. Les 26, 27, 29, injections de 30 cent. cubes.
Série
de 177 attaques le 28. , Le 30, 6 attaques.
sique bon. Débilité mentale na- tive. Les attaques se produisent en
séries
peu nombreuses, tous les quinze jours environ.E
e façon générale : diminution des attaques isolées, aggravation des
séries
. Augmentation du nombre total des attaques dans
nombre des attaques isolèes et de provoquer leur rassemblement en
séries
. Elles ne diminuent pas le nombre total des attaq
ns angoissantes. ni sur l'insomnie; il en a été de même de toute la
série
des hypnotiques. Nous avons alors pensé à la mé
al, chirurgical .ou médical, du syndrome basedowien. Archives, 2e
série
, t. IV. 32 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXI
1 ; par M. Bielsciiowsky. (iYetM'0. CezlralLl., XV, 18cJ6.) Trois
séries
de symptômes : 1° Troubles moteurs ; atrophie e
e idée acceptée est une suggestion. L'hypnotisme n'est Archives, 2e
série
, t. IV. 33 rus14 SOCIÉTÉS SAVANTES. pas un ét
Ces cas simples sont relativement peu communs : dans les grandes
séries
de trépanation, on doit compter des cas très nomb
é qui abroge l'arrêté ministériel du 8 octobre 1879. Archives, 2e
série
, t. IV. 34 530 asiles d'aliénés. A l'occasion
ent des testicules, ligature du cordon ou ligature du- Archives, 2e
série
, t. IV. 35 546 varia. canal déférent ? 6° Que
érébrales du nerf optique et de leurs curieuses modifications dans la
série
animale, ont été les principales conséquences de
veux principaux sont logés au côté dorsal, dans le canal formé par la
série
des anneaux supérieurs des vertèbres. La relati
thique. Mais nous donnerons une attention toute particulière à cette
série
des ganglions supérieurs que les anatomistes ont
our les autres. Mais on ne saurait généraliser cette proposition à la
série
entière des vertébrés. En effet, le volume du mem
.Foville a représentées dans ses planches; elles offrent rarement une
série
aussi complète. C'est dans le plan qu'elles compo
l'étude de l'homme, mais remonter en passant par les quadrumanes, la
série
des mammifères. Les trois masses, dont nous ven
composés d'un certain nombre d'anneaux qui semblent faire suite à la
série
des lames du cervelet latéral. Je compte douze an
nt beaucoup de variations. L'étude comparée de ces variations dans la
série
des mammifères aune grande utilité en tant qu'ell
nalogues. L'étude des particularités que le cervelet présente dans la
série
des mammifères serait d'un haut intérêt pour la z
e sur les circonvolu~ lions du cerveau, dans Ann. des Sciences wi, 4e
série
, lorn. Ill, page 83, 2° Plis de la face in';rne
pouvoir la résoudre ainsi. La commissure blanche est formée par une
série
d'entrecroisements continus dans toute la longueu
2) Philosophical transactions. Trad, dans Ann. des Se. nat., deuxième
série
, torn. V11I, page 175. (3) Le corps calleux, di
uperficie de l'hémisphère. Ainsi, ces plis indiquent immédiatement la
série
des points dans lesquels les fibres rayonnantes d
réalisé d'une manière très-différente dans les groupes divers dont la
série
des mammifères se compose? Ne semble-t-il pas que
ire, comme un répartiteur d'impressions et de réactions dans toute la
série
des segments du corps. Ces faits, bien simples, n
u spinal, qui est bien certainement un nerf moteur, s'éloignent de la
série
des racines antérieures des nerfs spinaux et des
oyens, le long des corps restiformes, appartient évidemment à la même
série
que les racines du spinal. (d) Nerf crotaphytic
gne médiane avec celles du côté opposé. Ces fibres paraissent être en
série
avec celles du facial. 6. Deuxième paire, paire
Sixième paire de Willis et de Sœmmerring. Si le nerf facial est en
série
avec les racines du spinal, le moteur oculaire ex
es du spinal, le moteur oculaire externe appartient au contraire à la
série
normale des racines de l'hypoglosse. Il s'implant
limites du faisceau latéral, oblige d'ailleurs de les rattacher à la
série
du spinal et du facial, et dans ce cas l'anomalie
l en soit, ce nerf appartient évidemment, par ses origines, à la même
série
que l'hypoglosse et le moteur oculaire externe.
ommun forment, avec les racines antérieures des nerfs rachidiens, une
série
normale intermédiaire aux faisceaux antérieurs et
ique et le crotaphytico-buccinateur de Paletta, composent une seconde
série
qu'on pourrait dire exceptionnelle. Cette série e
composent une seconde série qu'on pourrait dire exceptionnelle. Cette
série
est intermédiaire aux faisceaux moyens proprement
RANIENNES. Ces nerfs, comme les nerfs moteurs, se partagent en deux
séries
. La première, normale, correspond à la première s
tagent en deux séries. La première, normale, correspond à la première
série
des nerfs moteurs et représente les racines posté
rachidiens. La seconde est exceptionnelle, et correspond à la seconde
série
des nerfs moteurs crâniens. Ai Première sêtie,
la seconde série des nerfs moteurs crâniens. Ai Première sêtie, ou
série
normale. Elle comprend les divisions du nerf tr
n latéral postérieur. Ainsi cette racine du trijumeau appartient à la
série
des racines postérieures des paires spinales. A
à la cinquième paire, l'une plus petite qui part de la B. Deuxième
série
, ou série exceptionnelle. Cette série correspon
uième paire, l'une plus petite qui part de la B. Deuxième série, ou
série
exceptionnelle. Cette série correspond à la sec
qui part de la B. Deuxième série, ou série exceptionnelle. Cette
série
correspond à la seconde série des nerfs crâniens
série, ou série exceptionnelle. Cette série correspond à la seconde
série
des nerfs crâniens moteurs. Elle comprend le Glos
avant, continuerait le sillon collatéral postérieur de la moelle, une
série
de filets dont les plus élevés appartiennent au G
llèle préexiste à toutes les autres. Il m'a semblé, par suite d'une
série
d'observations conscien-ii. 16 cieusement étudi
ents de l'encéphale, a cru pouvoir déduire de ses observations que la
série
des formes transitoires qu'amènent ces développem
formes transitoires qu'amènent ces développements, est parallèle à la
série
des formes typiques de l'échelle des vertébrés. «
e mammifère, car les oiseaux ne feraient pas aisément partie de cette
série
. A bien considérer cette proposition de Tiedema
rmonie d'organes. Or, ce parallélisme qu'il essaye d'établir entre la
série
des formes spécifiques et celle des formes fœtale
ropositions sont d'autant plus vraies qu'on descend davantage dans la
série
des singes, les vermis latéraux atteignant chez l
ponse est aisée à faire ; il est certain que non. En efïet, dans la
série
des singes, en supposant par une abstraction perm
leur mode de développement doit être le même dans le fœtus et dans la
série
animale. A cet égard, leur étude présente un faib
t, d'autre part, à distinguer dans la suite de ses développements une
série
d'états intermédiaires, reproduisant toutes les f
, reproduisant toutes les formes que revêtent les hémisphères dans la
série
des Primates. Une étude approfondie des faits n
vé. Voyez Pl. VII, VIII, IX. Voilà une différence capitale. Dans la
série
des singes, l'achèvement de la forme générale pré
aucune manière. 11 y a à cet égard un ordre dans les singes rangés en
série
, et un autre ordre dans l'homme. Chose remarqua
ions, quelle que soit d'ailleurs l'exiguïté de leur taille. Or, cette
série
comprend, d'une part : l'Ours gigantesque de la C
ait rien. Il est donc absolument faux de dire, soit qu'on étudie la
série
des formes de l'échelle animale, soit qu'on envis
é de la ligne médiane on remarque, à sa face inférieure, deux petites
séries
longitudinales de houppes vasculaires que l'on a
à la moelle et le sommet aux parois du sac formé par la dure-mère. La
série
de ces dentelures, au nombre de 21 ou 22, s'étend
variations. Les points d'attache des dentelures sont compris entre la
série
des racines antérieures et celle des racines post
s artificielles du crâne (Annales d'hygiène publique. Paris, 1855, 2e
série
, tomes I et 11). si habilement traité. Il me su
privés, conclusion évidemment ridicule. Enfin, comme en descendant la
série
, les lobes frontaux se réduisent plus que les par
rtibus (1) Marshall-Hall. Annales des sciences naturelles, deuxième
série
, t. VII. (2) M. Flourens écrivait en 1824 ce pa
u système nerveux chez quelques Anne-Hdes. Dans Ann. des se. nat, 4me
série
t. V et VI.) — Au sujet des fonctions de ces gang
lph. de Saint-Germain, dans Annales mèdico-psycholotjiques. Troisième
série
, t. II, p. 613. Cf. Morgagni, De sed. et caus. mo
partie de cette importance dans les animaux les plus élevés de cette
série
, car leur développement est, en général, en raiso
ction n'est pas nette, parce que dans la plupart des bêles il y a des
séries
d'actions ordonnées que l'automatisme n'expliquer
pourrait distinguer aucune inégalité, une figure circonscrite par une
série
de points plus chauds ou plus froids, pourrait êt
ge de la vue, par une parfaite intelligence des objets, enfin par une
série
assez compliquée de jugements que l'habitude rend
-elle au contraire, la tête se dilatera (1). Plateau a conclu d'une
série
d'expériences analogues « que, « lorsqu'un organe
ète ne réveille pas seulement l'idée de faits pris au hasard, mais de
séries
de faits. Une idée qui ne se rattache à aucun ord
e, par une sorte de calcul, les termes au premier abord oubliés d'une
série
dont elle a repris le fil. On se souvient par acc
lus faciles qu'ils appartiendront à un ensemble mieux défini, à une
série
plus régulière et plus intelligible. C'est ainsi
régulière et plus intelligible. C'est ainsi que des sons disposés en
séries
musicales se gravent plus facilement dans la mémo
ne mémoire propre, c'est-à-dire une tendance acquise à reproduire les
séries
d'actes qu'ils ont plusieurs fois exécutés. Ce fa
ducation de l'automate. Si les mains ont souvent exécuté une certaine
série
de mouvements, il suffira de vouloir cette série
exécuté une certaine série de mouvements, il suffira de vouloir cette
série
et les mains l'exécuteront à l'instant sans qu'il
er. Ainsi, plus le musicien aura l'habitude d'un nombre très-grand de
séries
, et moins souvent son esprit aura besoin d'interv
e d'habitudes, au souvenir automatique m 30 d'un si grand nombre de
séries
, que l'âme, en régnant sur des groupes, puisse ré
e, et ainsi de suite; en sorte que dans une modification présente, la
série
entière des modifications antérieures est à certa
ns la nature n'arrive sanscause. Maisquel sera cet ordre? Par quelles
séries
d'états intermédiaires les centres nerveux élémen
se manifeste par une suite d'oscillations, en raison desquelles la
série
entière des modifications antérieurement éprouvée
ent et le passé. Aussi le développement des sons et des mouvements en
séries
régulières aident-ils merveilleusement à ces phén
cutives. 7° Lorsque des sensations sont habituellement ordonnées en
séries
, il suffît que les premières soient reproduites d
t que les premières soient reproduites dans la sensation, pour que la
série
entière s'ensuive dans l'imagination. Lorsque la
ntière s'ensuive dans l'imagination. Lorsque la pensée rapporte cette
série
d'idées à la il m cause qui l'a pour la premi
ce de causes déterminées, reproduisant les premiers termes de quelque
série
auparavant oubliée. Un poète compose; les premier
sous sa plume : aussitôt, en conséquence de la loi d'associations en
séries
, le vers tout entier revient automatiquement à l'
ire ou éviter. 11 y a vision lorsqu'on voit en rêve se dérouler une
série
d'événements, qui s'accompliront plus tard de la
de tous les jours. Qu'ils soient « égaux, mais opérant chacun sur une
série
particulière d'ob-o jets, voilà un désaccord, une
comique que sa colère de (1) Ann. des sciences naturelles, première
série
, t. XXII, p. 399. (2) In principiis philosophiœ
r ceux du naturaliste. L'homme intelligent n'est pas un genre dans la
série
des êtres animés, c'est bien un règne comme le ve
la rédaction : ,1.. Il. Cil" IICOT Dessinateur : LEUISA Deuxième
série
, tome VI. 1898. Avec 30 figures dans le texte e
té morbide ' Congrès des aliénistes. Toulouse, 1897. Archives, 2e
série
, t. VI. t 2 CLINIQUE MENTALE. différente. B
d'un tabes incipiens. Mais c'est surtout, en suivant exactement la
série
des étages, que l'on arrive à se convaincre que
d'identifier la systématisation actuellement observée Archives, 2G
série
, t. M. 2 18 CLINIQUE MENTALE. avec celle du
ques importants, sauf une notable asymétrie faciale. Archives, 2e
série
, t. VI. 3 34 PATHOLOGIE MENTALE 11 ? II...
t s'ar- rêter à n'importe quel cran, et donner lieu par suite à une
série
indéfinie de déficiences psychiques. Lorsque
nt n'être pas sans danger pour des cerveaux peu résistants. Par une
série
d'efforts continus, on peut bien atteindre pour u
e, une inquiétude vague, puis l'hémorrhagie survient ; Archives, 2°
série
, t. VI. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
nt contre le symptôme ataxie et n'agit que sur lui; il comporte une
série
de pratiques destinées il refaire l'éducation d
in, directeur de l'asile Sainte-Geneviève, par Angers. Archives, 2e
série
, t. VI. 5 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ MÉDICO
ion, août 1897. Comptes rendus. basson, Paris, 1898. Archives, 2e
série
, t. VI. 6 82 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. tenant
recueillies au hasard des nécropsies. Pour prendre rang dans notre
série
, il leur suffi- sait de provenir de sujets noto
clinique. Nous ne l'avons pas fait et nous avons écarté de notre
série
les cas de ce genre, ne pouvant affirmer que les
aité de médecine Charcot et Brissaud. Art. OUVRITES. Archives, 2c
série
, t. VI. 7 f 98 ANATOMIE PATHOLOGIQUE d'un
onditions, le traitement galvanique de la névralgie du Archives, te
série
, t. VI. 8 114 REVUE DE pathologie nerveuse :
illon crucial), ou encore les segments des première et Archives, 2e
série
, t. VI. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
, descendant jusqu'aux premières lombaires. L'auteur rapporte une
série
d'observations dans lesquelles cette méthode a
: 1SNE. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° 1, 1898.) Nouvelle
série
de 21 malades traités par la méthode des auteurs.
itabilité en respectant sa continuité. A. Fenavrou. Archives, ` ? °
série
, t. VI. 10 () NÉCROLOGIE. Auguste-Félix Voi
Hôpital Saint- Eloi de dlonlpellier (novembre 1895 à mars 1898). 3°
série
. - Volume in-8° de viu-826 pages; 20 planches.
lrie de Moscou dans la séance du 28 novembre 1897. - ' Archives, 2e
série
, t. VI. 11 f 162 CLINIQUE NERVEUSE. qu'à la
ôt en fente oblongue, ramifiée ou étoilée ; en étu- diant toute une
série
de préparations successives, on peut voir comme
t ce tissu est extrêmement friable, ce qui a donné lieu à toute une
série
de trous et de manques de substance artificiels
érentes chez la même malade, c'est-à-dire au moment des attaques en
série
, et au moment des espaces intercalaires. Ces di
e la qualité toxique des urines, et s'entendre sur la valeur du mot
série
, différemment compris par les auteurs. Nous ent
féremment compris par les auteurs. Nous entendons par attaques en
série
, non seulement les accès séparés les uns des autr
précédentes recherches chez les malades présentant des attaques en
série
, nous avons constaté que le maximum d'éliminati
ion de bleu pen- dant la période des attaques, mais au moment où la
série
allait prendre fin et où la malade allait entre
montré, la malade présente un état saburral, indice d'une prochaine
série
d'accès. Ainsi chez Vaud..., après une injectio
ns noté chez la malade un état saburral très prononcé, indice d'une
série
d'attaques qui commen- cèrent vers la 80° heure
YSIOLOGIQUE N° 7. Ba… Injection de 0 gr. 10 le 21 juin. Attaques en
série
. ELIMINATION DU BLEU DE METHYLENE 199 N° 8.
N° 8. Co…, trente ans. Injection de 0 gr. 10 le 15 juin. Attaques en
série
. 200 CHIMIE PHYSIOLOGIQUE. raître francheme
.. (quarante-trois ans, moyenne des accès par mois. 8), attaques en
série
. Pas trace de bleu à la 29° heure, tandis qu'à
\° 8. Go... (30 ans, moyenne des attaques par mois, 3), attaques en
série
. Col. vert foncé à la 3° et 4° heure , nulle à
me et Cazeux se rangeaient à l'opinion de Dupuytren. Archives, 2e
série
, t. VI. 14 210 SOCIÉTÉS SAVANTES. I En 1865
ique, mais se présente sous la forme d'un système constitué par une
série
d'interprétations délirantes, portant sur le prés
cidives sont fréquentes, souvent sous la même forme. Archives, 2e
série
, t. VI. 15 226 SOCIÉTÉS savantes. Par leurs
me avec ou sans troubles psychiques, de nanisme. Ces deux dernières
séries
rappellent les photographies présentées par M.
au début tout au moins, que les plus petits vaisseaux. Archives, 2°
série
, t. VI. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. De ce que
u système nerveux, il est, en revanche, considérable dans toute une
série
d'accidents qui doivent être considérés comme l
'un coup de hache; tel ce dégénéré hypocondriaque qui, Archives, 2e
série
, t. VI. 17 7 258 SOCIÉTÉS SAVANTES. après a
cale. 1893). 'Medical AlI1wal, art. Leprosy. 1897. Archives, 2e
série
, t. VI. 18 274 CLINIQUE NERVEUSE. la même l
rait mal que le larynx et le voile du palais, destinés Archives, 2°
série
, t. VI. 19 290 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.-
es cylindraxes et des cellules ner- veuses intacles. Archives, 2e
série
, t. VI. 20 306 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
ouvements convulsifs à gauche, attaques se manifestant peu à peu en
séries
subsistantes et accompagnées d'une céphalée gén
ées d'une céphalée générale persistante. Mort au cours d'une de ces
séries
d'attaques. A l'autopsie on découvre une tumeur
onstale encore l'absence de symptômes cliniques en rapport avec une
série
d'altérations analomiques marquées. P. KERAVAL.
des cellules soumises à un agent toxique. A. Marie. Archives, 2e
série
, t. VI. 21 t REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1
eptembre, 27 attaques. Elles sont violentes, reviennent surtout par
séries
et sont géné- ralement précédées ou suivies d'a
1er avril, démence épileptique. Le 10, il fut- combe le soir à une
série
d'attaques épileptiques qui a débuté le matin.
spirées par le sentiment le plus délicat. Je suis heu- Archives, 2°
série
, t. VI.9 22 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. reux de
Démo- niaques, des Malades et des Difformes dans l'art, une longue
série
d'études du même ordre et du plus haut intérêt.
travaux qui lui avaient déjà conquis,la notoriété, il entreprit une
série
de recherches qu'il réunit dans sa magistrale A
en bronze, vint orner les galeries du Muséum. Depuis il a édité une
série
de bustes d'étude, représentations pathologique
sur 10.000. Les chiffres donnés ci-dessus ont été obtenus par une
série
d'observations faites dans tous les établissement
de chez les suicidés. Les arthritiques ont souvent une Archives, 2°
série
, t. \'1. 23 354 CLINIQUE mentale. prédispos
es autres relatives à son mari qu'elle accuse de faire Archives, 2e
série
, t. VI. 24 '370 CLINIQUE MENTALE. le mal, d
iles publics d'aliénés de la Seine. Ce mémoire est le premier d'une
série
destinée l'élude des principaux symptômes physi
héréditaires inconnus, débilité mentale. Marié vingt- Archives, 2e
série
, t. VI. 26 402 . REVUE DE. PATHOLOGIE NERVEUS
ar DE ARGANCELIS. (Riv. sp. di frein., fasc. 2, 1897.) Archives, 2.
série
, t. VI. 27 418 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. VI
put la dissociation d'un nerf nou encore terminée. Mais pour chaque
série
de préparations qu'il ne faut pas faire trop no
prodiguer pendant notre séjour à son laboratoire. Archives, '.le
série
, t. VI. 28 434 pathologie NERVEUSE. Autopsi
aftl. Médian, leslschrift Rutlolf Virchow's. Bd. Il. ARCHIVES. 2e
série
, t. VI. 29 450 PATHOLOGIE NERVEUSE. 1. Les
ce qu'on appelle l'influx nerveux est né. Il chemine à travers une
série
de neurones qui le conduisent à l'écorce cérébr
pigmenté de la rétine envoie entre les cônes et les bâtonnets une
série
d'expansions protoplasmiques (i'ig. 26). Lorsque
ner. I. Adaptation musculaire . Nous trouvons en premier lieu une
série
de contractions des muscles intrinsèques et ext
'associations intra et inter-hémisphériques, et passe ainsi par une
série
de neurones d'association avant d'être définiti
inutile de pousser plus loin cette analyse : l'écorce Archives, 2e
série
, t. VI. 30 fit. 30. Structure schématique de la
é- rence. Nous avons vu que l'attention était constituée pour une
série
de réflexes superposés, grâce auxquels l'influx
s sous l'une de ses faces ', nous apparaît comme constituée par une
série
de processus physiologiques, se produisant tous
xcitations nerveuses de la périphérie au centre; nous savons qu'une
série
de fibres partant de la peau, des muqueuses et
l'auto-intoxication appartiennent, en tant que causes, à la seconde
série
, et servent, dans l'immense majorité des cas, d
x processus l'un de l'autre. Qu'il y ait, comme le dit Archives, 2e
série
, t. VI. 31 482 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
e à la première partie du premier problème, l'auteur a pratiqué une
série
d'expériences portant sur 16 chiens (série A, a
l'auteur a pratiqué une série d'expériences portant sur 16 chiens (
série
A, ablation bilatérale complète et en deux temps
dérable d'une seule capsule surrénale suffit au maintien de la vie (
série
B, décap- sulation partielle. Réponse à la deux
nse à la deuxième partie du premier pro- blème). Dans une troisième
série
d'expériences (série C, a \ianeâ- gio »), l'aut
tie du premier pro- blème). Dans une troisième série d'expériences (
série
C, a \ianeâ- gio »), l'auteur a fait subir à hu
(Réponse au deuxième problème.) - Les résultats d'une quatrième (
série
d'expériences (série D, transfusion réciproque et
e problème.) - Les résultats d'une quatrième ( série d'expériences (
série
D, transfusion réciproque et substitution sangu
n GEHUCIITEN. .%tl9')t. de Neurologie, 1898, nos 14 et 15.) D'une
série
de recherches expérimentales pratiquées chez le
ns contrôle pour le facial de l'homme. Il résulte enfin d'une autre
série
d'expériences de M. van Gehuchten que les fibre
ième de la substance essayée. Les corps étudiés dans cette nouvelle
série
de recherches sont des bromures (aloïdes), des
iniens. (Voir lrcla. neurol., 1896.) F. BoISIrn. A RCH 1 \"FS, 2°
série
, t. \'I. 32 498 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIO
ne provision de traces de mots, due à de nombreuses associations de
séries
de sons et de bruits (mots) avec les mouvements
nctionnelle. Aphasie motrice satis alexie ni agraphie. Archives, 2°
série
, t. VI. 33 514 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
Icr décembre. Les candidats sont MM. Noir, Boissier, ARCIIIVES, 2e
série
, t. VI. 34 530 AVIS A NOS ABONNÉS. Londe, E
u quatre jours. Les attaques seraient devenues plus fréquentes et les
séries
plus prolongées, depuis l'apparition des règles.
clownisme). Période de délire. — Mêmes caractères. Pendant cette
série
qui a duré une demi-heure, nous avons vu survenir
... Viens vite!... Mon Dieu, Blanche, viens vite ! » A la fin de la
série
, W... se plaint de douleurs à la tête et par tout
ervalle.) Juillet. — Uanesthésie est devenue générale. 23 août. —
Série
d'attaques, arrêtée par le nitrile d'amyle. 25
T. V. 38°,2. La sécrétion vaginale a paru un peu plus abondante. — La
série
(vingt et une attaques) a fini à une heure et dem
opales : elle pâlit, s'affaisse et perd connaissance. 9 décembre. —
Série
de cinquante-quatre attaques en six heures. 187
et vagin peu humides. Le compresseur étant retiré, nous observons une
série
d'attaques. ire attaque. —A. Période épileptoïd
septembre. — Sommeil provoqué. — 1° Phase de Vhyperex- * Dans cette
série
, nous avons observé des modifications des pupille
pupilles, particulièrement dans la période de délire ; dans d'autres
séries
, il nous a semblé qu'elles conservaient les mêmes
d exprime l'épouvante, puis la menace. Elle parle bas. Durant cette
série
, nous avons pratiqué plusieurs fois la compressio
inales ; alternatives de pâleur et de rougeur du visage. Durant les
séries
, les attaques sont en général annoncées par des s
. C'est ainsi que, durant quelque temps, nous avons vu s'ajouter à la
série
ancienne, deux attaques nouvelles : la période de
vons énumérés, le nitrite d'amyle est le plus efficace : avec lui, la
série
est d'ordinaire arrêtée d'une façon définitive, t
r conscience (somnambulisme). Elle aurait eu, aussi, à la suite d'une
série
d'attaques, un sommeil cataleptique qui aurait du
e distingue qu'une ombre. 24 janvier. — La malade a été prise d'une
série
d'attaques ce matin à 8 heures et demie. Dans l'i
à ce matin, 9 heures et demie; alors, elle a été prise d'une nouvelle
série
d'attaques. Une heure après le début : T. V. 37°,
ations de chloroforme arrêtent les attaques. Dans la soirée, nouvelle
série
qui finit à minuit après la 82e crise. 26 janv.
e. carnaval, elle a dansé beaucoup hier soir. Ce matin, à 8 heures,
série
de 33 attaques en moins de 3 heures. 6 et 7 mar
8 heures, série de 33 attaques en moins de 3 heures. 6 et 7 mars. —
Séries
d'attaques. — 10 mars. — En 3 heures, 38 attaques
. On essaie en vain de faire causer ou chanter la malade. 22 mai. —
Série
d'attaques. Après la 10e, inhalation de valérate
umes de Y Iconographie. servant qu'un peu de fatigue, tandis qu'une
série
aussi prolongée d'accès épileptiques laisse toujo
en arc, que nous n'avons jamais vu dans les accès d'épilepsie, et les
séries
d'attaques ayant été suivies d'hallucinations, le
Mort subite. — Résultats négatifs de l'autopsie. 1879. 8 janvier. —
Série
d'attaques pendant deux heures.— 15 janvier. La s
eil, qui n'était alors qu'une sorte de terminaison particulière de la
série
. Nous devrions maintenant résumer les symptômes
e, lui aurait dit qu'elles devenaient plus fortes. A la suite d'une
série
d'attaques, survenues à vingt-deux ans, s'est mon
s. Il est assez commun aussi d'observer des vomissements à la fin des
séries
d'attaques. 1875. — 6 avril. —H... a engraissé
dinaire. Elle se plaint d'être courbaturée par tout le corps et d'une
série
de phénomènes douloureux : mal dans la poitrine q
t est nouveau la chose ne l'est guère. Dès l'antiquité, on trouve une
série
de phéno- 20 m.ènes qui ne sont explicables q
e hallucina tion semblable. Elle poursuit l'oiseau et accomplit une
série
d'actes automatiques se rapportant à l'acte qu'on
VIII.) Enfin on produit chez elle avec la plus grande facilité, une
série
d'hallucinations : l'oiseau qui s'envole (Fig. 14
compression ovarienne. 9 septembre. — Nous assistons à une nouvelle
série
d'attaques dans lesquelles les trois périodes se
malade. 10 septembre. — Les attaques ne se sont pas reproduites. La
série
a été jugulée par le nitrite d'amyle. S... a pris
t à peu près exclusivement à gauche. Les attaques se présentent par
séries
, durant 2, 3, 4 heures et même davantage, se comp
Yéther, et le chloroforme, et surtout le nitrite à'amyle arrêtent les
séries
. — On a noté, en outre, des accès de colère et pl
a Vierge, les saints. La scène primitive est le point de départ d'une
série
de scènes qui en découlent assez naturellement. Q
n hémi-catalepsie. 18 avril. — S... N... a eu, en trois heures, une
série
de 22 attaques épileptiformes : elles se sont pré
ur de la période de délire. Les attaques se montraient en général par
séries
durant souvent quelques heures (états de mal hyst
et, que quand les hystériques sont revenues à elles, à la suite d'une
série
plus ou moins prolongée, elles éprouvent des sens
rédaction : J.-B. CHARCOT et J. NOIR Dessinateur : LEUBA Deuxième
série
, tome X. - 190 0. Avec tonsures dans le lexte.
mala- dies connues sous le nom d'apoplexie méningée. Archives, 2'
série
, t. X. 1 "2 CLINIQUE NERVEUSE. rencier des au
rares, et cependant nous avons pu cons- tater chez notre malade une
série
do crises absolument typiques d'épilepsie jacks
s choses intéressantes sur lesquelles l'attention n'a Aiiciuves, 2e
série
, t. X. 2 18 CLINIQUE MENTALE. pas été, croyon
sance, rien de particulier. Signes d'idiotie à l'âge de trois mois.
Séries
de convulsions il trois mois : regard plus obsc
ds ont commencé à se dévier il sept ans. » Les accès venaient par
séries
durant plusieurs jours, puis il y avait des arr
nt, à une infection ayant les escarres pour origine. Archivas, 2e
série
, t. X. 3 34 RECUEIL DE FAITS. 20-26. Aggravat
lorsqu'il est plus calme, on lui donne un lit sur les Archives, 2'
série
, t. X. 4 50 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. côtés duq
dix-sept cas observés par lui il n'a trouvé le rhuma- Archives, 2°
série
, t. X. 5 (il) SOCIÉTÉS savantes. tisme qu'une
7 gr. 1 Flechsig. Neurolog, cenlralbl., 1893, p. 229 Archives, 2'
série
, t. X. 6 82 THÉRAPEUTIQUE. par jour. Cette do
des améliorations passagères suivies, au bout de quelques mois, de
séries
d'attaques et d'un retour à l'état antérieur. Il
a relevé 8 décès au cours du traitement. Ce : are Rossi', dans une
série
d'expériences sur l'excitabi- lité corticale du
(22) des épilep- tiques de notre service de Dicètre. Une première
série
(juin 1898) comprenait 12 malades, tous adultes
En 1899, l'un de nous a soumis à la cure de Flechsig une nouvelle
série
de 10 malades. L'un d'eux, arrivé à 0,40 d'ex-
rivé à Os ? 60 d'opium, est mort, dans une nuit, à la suite d'une
série
d'attaques, sans avoir présenté auparavant aucun
on. Il avait, d'ailleurs, fréquemment, au- paravant des attaques en
série
. Un troisième malade, arrivé à 0,70 d'extrait d
rompre le traitement. Ainsi, chez tous les malades de cette seconde
série
, l'admi- nistration de l'opium provoqua des sym
lancée par maladresse. Peu d'instants après se serait déclarée une
série
de crises convul- sives ayant duré cinq heures,
u deux par an, en mars et en juillet ordinairement, survenaient des
séries
d'attaques constituant un véritable état de mal
, les poings fermés, la tête et les yeux déviés à gauche, après une
série
de mouvements cloniques arrivait une période de
s était moyenne; de une à trois fois par mois, de temps en temps en
série
de trois ou quatre, les séries les plus fortes la
s fois par mois, de temps en temps en série de trois ou quatre, les
séries
les plus fortes lais- sant presque toujours apr
s d'hébétude ; enfin en décembre crises convulsives complètes et en
série
. Le 7 janvier 1892 survint sans crises un accès
situation reste identiquement la même ; crises revenant par petites
séries
de loin en loin, nombreuses attaques isolées ou
s crises et ont nécessité son internement à l'asile de Archives, 2'
série
, t. X. 8 114 RECUEIL DR FAITS. Villejuif. Voi
nos autopsies aussi complètement que possible. (f3.) Archives, 2°
série
, t. X. 9 130 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
a paraffine avec addition d'nn grain de cire. On pratique alors une
série
de coupes de 5 t d'épaisseur soudées sur lamell
le prolongement nerveux de tout petits grains nombreux, ordonnés en
séries
distinctes que l'on peut souvent suivre loin ju
en groupes, mais très souvent elles apparaissent distinctement en
séries
et, dans ce cas, on ne peut se refuser à admettre
ibrilles primitives intracellulaires autrement que sous la forme de
séries
de granulations plus ou moins.denses. Or, la mé
lralblatt f. Neruerzheilk., 1899 : déjà analysé. P. K. Archives, 2'
série
, t. X. 10 1 W REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XXII. C
ras et la jambe droits sonttrès affaiblis. Pendant plusieurs jours,
séries
d'attaques convulsives qui finissent par dispar
es douleurs névralgiques. L'auteur fait remarquer que la première
série
des faits a à son actif : au début, des douleur
serait, d'après Boeumler, d'origine articulaire. Dans la seconde
série
de faits, on signale l'hérédité, un trauma- tis
trant, par des faits, l'inutilité de la craniectomie. Archives. 2
série
, t. X. 11 162 SOCIÉTÉS SAVANTES. Maladies men
LIOGRAPHIE. VI. Clinique des maladies du système nerveux (quatrième
série
) ; par le professeur RAYMOND. In-8° de 606 page
es et 2 planches en couleurs. (Libr. 0. Doin, 1900.) La quatrième
série
des Leçons cliniques du professeur Raymond cont
t-docent de neuropathologie, à Prague (Bohême). On the Archives, 2'
série
, t. X. 12 178 varia. evolution of folie du do
vues de l'esprit, comme des entreprises hasardeuses ? Archives, 2°
série
, t. X. 13 194 ENSEIGNEMENT. Telles sont le no
riminels. La première villa renferme trois salles de réunion et une
série
de chambres particulières. , La deuxième vill
u'il semble, des piles réversibles, des accumula- teurs disposés en
série
. Selon Marinesco, leur trophoplasma est une sub
interprétation ? Les neurones se comportent comme des Archives, 2
série
, t. X. il t : 210 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. a
semaine. Gâtisme. 16 janvier 1870. 11 succombe aujourd'hui à une
série
de crises épileptiques qui se sont succédés, pe
-persécuteurs, des dégé- nérés obsédés et impulsifs. Archives, 2'
série
, t. X. 16 2 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MEDECINE.
ques d'une lésion des centres trophiques du névraxe. ARCHIVES, 2.
série
, t. X. 17 î 211;8 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MEDE
s les asiles d'alié- Ili-0g)-ès médical, no 1898. Archives, ` ? °
série
, t. X. IS 274 THÉRAPEUTIQUE. nés russes, ma
du docteur Govséiew dont les rapports ont ainsi inspiré toute une
série
de communications sur la question. Il s'en suivit
on formée de ne plus employer la camisole de force a créé toute une
série
de moyens, qui appartiennent au côté dit positi
'ai en vue les cellules de l'ancien type) qui doit faire naître une
série
de mesures positives et le perfectionnement du
s maladies mentales. Nous avons bien depuis quelque temps toute une
série
d'observa- tions prises sur des aliénés traités
tait resté découvert), à la partie antérieure des lobes Archives, 2
série
, t. X. 20 306 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE
de l'asile d'aliénés de Lancashire à fiainhill, que nous devons une
série
de dessins de préparations microscopiques faite
qu'a paru l'observation de Heschl2 (de Vienne) suivie de toute une
série
de recherches appar- tenant à Chiai3, Potto\ Ma
dinaire d'une part, la paralysie générale infantile et juvénile une
série
d'intermédiaires difficiles à catégo- riser et
aiguës commencent à disparaître, sans tendance vers la AncmvEs, 21
série
, t. X. 21 e'2'.I, CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDE
es centraux des zones d'association (surtout la partie Archives, 2°
série
, t. X 22 338 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE.
s modifications dues à l'àge avancé. Sans aucun doute, il reste une
série
de troubles psychiques qui peuvent apparaître a
Clinical lectures ou pttrttlysis. 2° édition, p. 125. Archives, 2'
série
, t. X. 23 354 -THÉRAPEUTIQUE. contre le trait
'est par elle que nous commençons la rééducation du bras. Toute une
série
de mouvements, ayant pour but de provoquer la m
mploi de l'électricité chez les hémiplégiques. J'admet Archives, 2'
série
, t. X. 21 370 THÉRAPEUTIQUE. parfois l'emploi
caserne. Les quartiers de malades, au lieu d'être répartis dans une
série
de pavillons distincts, sont en effet compris t
n à peu près rectangulaire, avec 130 mètres de façade. Une première
série
de constructions, séparée de la rue par un jard
a démontré, contrairement à l'opinion alors régnante, Archives, 2e
série
, t. X. 25 386 ENSEIGNEMENT. que le cerveau ét
eur. Dès que celui-ci exerce sa traction on fait périodiquement une
série
d'excitations et, si le poids est bien choisi,
le sens de la variation est rendu plus manifeste. Dans la première
série
d'expériences Capriati a employé la gal- vanisa
jusqu'à localiser les différents tons dans des régions .lncmvrs, 21
série
, t. X. 26 402 revue d'électrophysiûlogie .et L'
INTERNATIONAL DE MÉDECINE. bon marché, il faut d'abord publier une
série
de dessins assez giands, représentant des coupe
des médecins qui veulent s'occuper de l'anatomie du cerveau par une
série
de démonstrations pra- tiques où on leur montre
(procédé de Mal'chi) ; par Paul Sain- ion (de Paris). Archives, 2
série
, t. X. 27 418 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE
les raisons qui le font croire à la genèse pathologique de l'autre
série
des cas, décrits comme état criblé. M. le profe
oin d'un affûtage se fait sentir, sans perdre une seule coupe de la
série
; enfin le prix de l'appareil est relativement
. Cette circonstance profondément perturbatrice est l'origine d'une
série
de représentations mentales, d'associations d'i
ement de l'acte, il n'est pas trop de toute l'énergie Archives, '2*
série
, t. X, 28 434 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE
frapper l'esprit du magistrat et c'est bien souvent après toute une
série
de condamnations que le per- verti sexuel compa
s le sadisme simplement symbolique ou psy- chique, il y a toute une
série
d'échelons qui, parcourus un à un, nous mènerai
les classer. J'en ai choisi quatre-vingts, et je les ai divisés par
série
de dix individus : dans chaque série, j'ai pris
ngts, et je les ai divisés par série de dix individus : dans chaque
série
, j'ai pris un chef qui a eu pour fonction de ré
Frappés, non seulement par la pénurie des travaux sur Archives, 2°
série
, t. X. 29 - 150 CLINIQUE NERVEUSE. cette dern
rendus de Bicêtre de M. Itour- neville (1880-1900). Archives, 2°
série
, t. X. 30 466 - ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE SPÉCIAL
es de la ville, sans mur d'enceinte ni grilles, il se compose d'une
série
de dix pavillons séparés (Cottage-System), dont
er et trois assistants, dont l'un est Privat-docent. Archives, 2°
série
, t. X. 31 482 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE
'un simple coup sur le tendon patellaire peut provoquer toute une
série
de secousses rythmiques. D'autre part, l'activi
cun cas nouveau n'est venu infirmer jusqu'à présent la Archives, 2"
série
, t. X. 32 498 CONGRÈS international DE médecine
L'application de la méthode de Marchi à l'étude systématique d'une
série
de cas de lésions récentes corticales ou sous-cor
artie des racines antérieures de la moelle ; sous l'influence de la
série
des réactions Archives, 2e série, t. X. 33 51
la moelle ; sous l'influence de la série des réactions Archives, 2e
série
, t. X. 33 51.4 REVUE D'ANATOMIE ET DE'.PHYSIOLO
inés par guérison. M. Babinski. M. Lévi est peut-être tombé sur une
série
heu- reuse, puisqu'il accuse le phénomène du pi
e. Tous les jours, Mmo Diettrich et sa fille portent le Archives, 2
série
, t. X. 31 Í 530 FAITS DIVERS. malheureux sur
E Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT ., J. NOIR Deuxième
série
, tome XV. 1903. Avec 11 figures clans le texte.
ptique interstitielle qui en évo- luant fait subir à la papille une
série
de modifications allant de la simple pâleur à l
er. - Après inclusion dans la celloïdine, nous avons pratiqué une
série
de coupes longitudinales passant par le nerf opti
s de cellules névrogliques qui, normalement, se trouvent rangées en
séries
le long de la surface externe des faisceaux ner
droit. Après inclusion dans la celloïdine, nous avons pratiqué une
série
de coupes longitudinales passant par le nerf op
térations de la couche des cellules nerveuses caractérisées par une
série
de modifica- tions : gonflement nucléaire, dési
munication, M. Pierre Janet émet aussi le même avis. AITCIIIVES, 2-
Série
, t. XV. 3 34 CLINIQUE MENTALE. Ici, comme en
este l'idée qu'elle fait une fausse couche, suivie rapidement d'une
série
d'idées, de teinte mélancolique, franchement déli
tions, en effet, consistent surtout dans la recherche de mots ou de
séries
de lettres qui sont imposés à la patiente comme u
n en peut faire à chaque cas particulier, il ne peut pas exister de
série
immuable d'exercices appli- cables à tous les m
même, mais ces méthodes demeurent indépendantes et né Archives, 2°
série
, t. XV. g Q6 THÉRAPEUTIQUE. rentrent pas dire
la mesure de l'amélioration que tous les malades sont Archives, 2"
série
, t. XV. 6 82 THÉRAPEUTIQUE. en droit d'espére
t le point de vue morphologique pur, nous avons réalisé plusieurs
séries
d'expériences qui paraissent trancher le débat da
ort tuberculeux et n'ayant présenté comme seul signe clinique de la
série
tabétique que le signe d'Argyll-Robertson. Il n
s plus que l'enfant qui va à l'école avec de l'eau-de- AnciuvES, 2»
série
, t. XV. 8 114 BIBLIOGRAPHIE. vie dans son pan
II6Pilaux, Annales naécl. psyclc., 1885, p. ? 1 ? ). Archives, 21
série
, t. XV. 9 130 CLINIQUE MENTALE. ce genredefol
et va coucher à l'hôtel, car elle ne peut plus dormir. Archives, 2°
série
, t. XV. 10 146 CLINIQUE MENTALE. Sa mère infl
n d'un ou de plusieurs centres psychiques en état d'éréthisme. La
série
des phénomènes morbides se présente de mille ma
des actes accomplis. Chez les hystériques, elles constituent une
série
d'actes désordonnés, nés d'un désir bizarre, d'un
t de nouveau dans son esprit et la tourmentèrent à tel point que la
série
des troubles réapparut dans son entier : second
l'idée d'homicide, mais l'idée d'y toucher la faisait Archives, 2'
série
, t. XV. il 16l PATHOLOGIE MENTALE. fuir. Elle
iculeux de tous les organes, et, en particulier des os Archives, 2-
série
, t. XV. 12 n8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l
ajersztajn. (Voyez Archives de Neurologie, t. IV, p. 501. 189-1. 2°
série
.) On l'a aussi appelée : paralysie bulbaire san
ires de débauche et d'excès alcooliques. Il s'agissait Archives, 2"
série
, t. XV. 13 194 ik revue DE médecine légale. d
plètement guéries, mais les pieds restent tombants. Surviennent une
série
de rechutes, avec amélio- rations de plus en pl
rs : L'évolution des sentiments et des fonctions psychiques dans la
série
animale. les samedis à cinq heures et demie, à
al., mai 1898). -Gallois (I3ullelin néclical, 1898). Archives, 2'
série
, t. XV. 14 210 CLINIQUE MENTALE. est de montr
e raconte que sous le chloroforme, elle croyait sentir Archives, 2o
série
, t. XV. la 226 CLINIQUE MENTALE. sa tête empo
mental était redevenu normal. Actuellement, aprèstoute cette noire
série
pathologique pendant laquelle l'urine examinée ré
e veut pas dire l'influence du froid ou de l'humidité, Archives, 2°
série
, t. XV. 16 242 CLINIQUE NERVEUSE. mais le pas
t qu'à ces époques de transi- tion, on voit les malades revenir par
série
consulter et déplorer le retour de leurs crises
particularités d'ordre clinique que nous avons pu relever chez une
série
de malades atteints de névralgie du trijumeau.
e de réapparition de douleurs, ne soit revenu réclamer une nouvelle
série
de séances, et tous nous ont assuré que parmi l
un soulagement aussi marqué que le courant continu. archives, 20
série
, t. XV. 17 258 CLINIQUE NERVEUSE. G. Mode d'a
e manifestait quelque temps après les couches. E. B. Archives, 2»
série
, t. XV. 18 274 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
foudroyante, 3 à 5 p. 100; -20 Coma mortel par suite d'attaques en
série
, 23 p. 100; 3° Accidents concomi- tants à l'att
B. LXVII. Tic et fonction ; par le D1' Meige. Si l'on envisage la
série
des actes qualifiés de fonctionnels, 286 6 REVU
de mercure et deuxcentigrammes d'iodure de potassium, Archives, 2'
série
, t. XV. 19 ,2 ci 0 sociétés savantes; - disso
chez qxelques aphasiques. 11\I. \I,mE et VASCIIIDE communiquent une
série
de recherches expérimentales sur la vie mentale
e de voir clinique et anatomique généralement adoptée. Archives, 2e
série
, t. XV. 20 306 SOCIÉTÉS SAVANTES. N'y avait-i
qui peut apparaître comme l'un des chaînons terminaux de la longue
série
des formes morbides provenant de la syphilis.
ages. Prix : fi-aiics. GnAssET(J). Leçons de clinique médicale, 4 ?
série
. 1 vol, iii-80 de 756 pages. Librairie Masson e
ogie des religieuses; les religieuses de Port-Royal. ' (Cinquième
série
de cinq observations). Par le Dr Cwo.ns BINET-S
épens de l Compagnie. MUCCLJ, Il. 3 Vies, 11, 3G4. Archives, 2-
série
, t. XV. 21 322 HISTOIRE ET CRITIQUE. graphe l
uinze jours auparavant cependant, elle s'était aperçue Aucmvn.s, 2"
série
, t. XV. 22 1- 338 CLINIQUE NERVEUSE. d'une ce
le signe précurseur, puis un engourdissement général; ensuite une
série
de secousses, électriques, brèves, puis la douleu
une demi-minute. Lorsque j'ai un accès, cet accès est composé d'une
série
de crises analogues PARTICULARITÉS CLINIQUES DE
e de rattacher cette névralgie à une cause précise. Il Archives, 2e
série
, t. XV. 23 3 ? j 4 CLINIQUE NERVEUSE. faut no
s périodes très violentes. Bien entendu la malade a épuisé toute la
série
des médicaments et des moyens usuels depuis l'a
scarres au sacrum et de marasme progressif. 6 mai. A la suite d'une
série
d'attaques la malade, profondé- ment cachectiqu
beaucoup plus tard. Les différents instincts s'établissent dans la
série
animale suivant un ordre qui constitue une hiér
d'un mois, et les deux autres fois elle a été plus ou Archives, 2-
série
, t.- XV. 24 370 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
s étudiés, et chez les quelques personnes examinées en dehors de la
série
, l'écart néces- saire pour sentir deux contacts
fait passer à cette occasion, sous les yeux de ses col- lègues, une
série
de dessins émanant d'une aliénée dont le délire,
puberté. Ils sont sujets à des rêves érotiques coïncidant avec les
séries
de crises; la série aboutit à une ou plusieurs im
jets à des rêves érotiques coïncidant avec les séries de crises; la
série
aboutit à une ou plusieurs impulsions terminale
de 384 SOCIÉTÉS savantes. ces deux derniers auteurs. Une nouvelle
série
de recherches a donné à M. Widal 36 lymphocytos
en de spécifique. Il était seulement intéressant après une nouvelle
série
de recherches d'affirmer une fois de plus sa co
sont très affaiblies; dit plusieurs mots seulement; la Archives, 2o
série
, t. XV. 25 386 SOCIÉTÉS SAVANTES. mémoire peu
cun malade, qui a supporté l'une des maladies sus-nom- Arcuives, 2-
série
, t. XV. 26 402 CLINIQUE mentale. mées, que ce
, car le matériel de consultation externe est raréfié par toute une
série
de malades qui n'ont pas besoin de séjour à l'h
e pour l'avenir, soulève au contraire brusquement en elle toute une
série
de pro- blèmes qu'elle n'avait pas envisagés au
gie des religieuses; les religieuses i. de Port-Royal. (Cinquième
série
de cinq observations). Par le D1' Chaules BINET
Ubid. 25. - 8 Pierre Thomas du Fossé. Loc. cil. 21 . Ancmvss, 2*
série
, t. XV. 27 418 HISTOIRE ET CRITIQUE. plaignan
. Loc. cil., 168. Vie de .11. Thomas du Fossé, XVII. Archives, 2e
série
, t. XV. 28 434 HISTOIRE ET CRITIQUE. Royal, e
ontrent nettement l'identité 1 Bullet. de l'ficacl. de Médecine, 3°
série
, t. 1LVIII, 2S octobre 1902, p. 340. , 444 si
ble enfant du siège (Féré), est un dégénéré phy- ' Thèse IL Larger.
Série
11. Obs. 51, 52, 5a; - p. 43. ! Thèse II. Large».
se IL Larger. Série 11. Obs. 51, 52, 5a; - p. 43. ! Thèse II. Large».
Série
A. Obs. 20, 21, 2 ? p. -il. 448 REVUE CRITIQUE.
nique pelvienne jusqu'à la biologie générale. Mais il est toute une
série
d'autres faits non moins démons- tratifs et qui
résen- tations successives, normales en OIGA. 1 Thèse Il. Larger.
Série
A. Obs. 157; p. 29. Thèse Il. Larger. Sériel, e
Thèse Il. Larger. Sériel, et Da. Obs. 127-14; p. 29. Archives, 2'
série
, t. XV. 29 4SO REVUE CRITIQUE. . Deuxième ama
erpérale. 1 On sera forcé de reconnaître que, devant cette dernière
série
de faits, il n'est plus possible de faire inter
s pour qu'il en soit tenu compte pratiquement. ' Thèse H. Larger.
Série
1., et Da. Obs. 127-14; p. 29. REVUE D'ANATOMIE
mptitude les malades aigus renoncent à toute tentative Archives, 2°
série
, t. XV. 30 466 asiles d'aliénés. violente pou
e perfection remarquable. Elles exécutent dans un ordre parfait une
série
de mouvements succes- sifs, elles savent faire
acte d'une attitude est chose impossible.il en est de même ponr une
série
de mouvements consécutifs. L'ordre de la succes-
du : cet état psycho- logique est constitué essentiellement par une
série
de modifica- tions dans le système nerveux du s
auxmceursel,veruersiozzsdzzsensgénilal,1898, p. 268. Arscmves, 2·
série
, t. XV. 32 498 CLINIQUE NERVEUSE. On est très
DERNIÈRES CONCEPTIONS ET DEFINITIONS DE L'HYSTÉRIE. 5O gnostic « en
série
morbide » permettant seul de vérifier si tous l
ographiques sont très employées pour l'enseignement. En outre d'une
série
de coupes physiologiques et pathologiques des div
ivisions ; leur modèle a été emprunté à Alt-Scherbitz. Archives, 2*
série
, t. XV. 3t 830 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
age, de l'intelligence. Infantilisme héréditaire d'origine toxique.
Série
d'infections infantiles pendant les pre- mières
Cettral6l. XXII. 1903). L'auteur possède actuellement en tout 52
séries
de coupes d'encé- phales de foetus et d'enfants
ux hâtifs, exis- tent aussi des sillons précoces. » Les coupes en
séries
donnent l'impression que les faisceaux de la co
- ciale, est chargé du cours de médecine légale psychiatrique, 3°
série
de conférences, les mercredis et les samedis à 1
ne figure moulée de la joue et de la mâchoire inférieure et d'une
série
de photographies concernant la malade en question
ties, dont la première est consacrée à l'étude du cer- veau dans la
série
animale (depuis t'aethaiium jusqu'aux anthro- p
e, il s'est porté plusieurs coups de rasoir. Le meur- ARCIIIVES, 2°
série
, t. XV. 37 578 VARIA. trier a rendu le dernie
nules. Enfin la pathologie avait fourni son appoint, et toute une
série
de faits avaient laissé entrevoir quel rôle peu
f pos- sède une artère propre, qui reçoit, de place en place, une
série
d'anastomoses des vaisseaux voisins : de là des
qui compliquent si souvent les varices du membre inférieur; sur une
série
de coupes du scia- tique, il avait fait voir la
se bifurque pour s'unir en anse à une branchiole voisine, d'où une
série
d'arcades accolées au nerf et qui correspondent
d'où une série d'arcades accolées au nerf et qui correspondent à la
série
des artérioles affé- rentes. 4 . ANATOMIE.
ance de sa terminaison, que de ses branches irra- diées émanent une
série
de ramuscules récurrents des- tinés au pneumoga
continuent sur ses deux branches de bifurcation, naissent d'une
série
d'af- fluents, tous obliques en bas et en arr
ras, l'humérale qu'il ac- compagne en satellite lui abandonne une
série
de branches; plus bas, c'est la collatérale i
lombaires, de l'iléo-lombaire, de l'iliaque externe, dessinent une
série
d'anses entre les cordons nerveux, s'insinuent
e croisent obliquement, pour devenir le point de départ d'une autre
série
d'arcades. Ainsi divisés, les vasa nervorum ram
artériole, qui leur reste accolée, et qui se prolonge grâce' à une
série
d'ar- cades. Ils forment ainsi les principales
rcades dans son épaisseur. Plus bas il est aisé de retrouver la
série
des rameaux qui se détachent des vaisseaux ti
nerfs, très nombreuses et très'riches, se ren- dent toutes dans une
série
de veines perforantes (A. A. A.), qui traver-
rne, le long du musculo-cutané, on voit émerger de l'aponévrose une
série
de veinules, ou plutôt de petits groupes artéri
longitudinal chemine de chaque côté de l'artère, et reçoit toute la
série
de ces branchioles transversales; de loin en lo
le entre les deux ganglions, et reçoit, à droite et à gauche, une
série
de ramuscules émanés des plexus péri-ganglion-
fondeur des membres, les unes et les autres se réunis- sent en une
série
de petits troncs, qu'on pourrait qualifier de v
sin. La figure 13 mon- tre ainsi le médian, au bras, émettant une
série
de ramuscules qui se jettent dans le réseau
? i5) : Des nerfs du plexus, richement vascularisés, émanent une
série
de troncules, dont la direction semble, de prim
veines circon- flexes et, sur tout leur trajet, reçoivent toute la
série
des veines qui se détachent des muscles ambiant
s artères. L'étude qui vient d'être faite nous a révélé toute une
série
d'analogies entre la circulation des nerfs péri-
t et largement avec les veines musculaires, et, de là, naissent une
série
d'appareils névro-musculaires, analogues à celu
sur le modèle de la toux. La toux consiste, vous- le savez, en une
série
d'expirations brusques produisant un bruit part
e constatez, en petites secousses respiratoires qui se groupent par
séries
de quatre (rythme quaternaire). Les séries en q
ires qui se groupent par séries de quatre (rythme quaternaire). Les
séries
en question sont séparées les unes des autres p
est occupée à lire à haute voix ; mais à peine a-t-elle fini que la
série
TOUX ET BRUITS LARYNGÉS CHEZ LES HYSTÉRIQUES, E
sives et délirantes aujourd'hui disparues; mais qui ont inauguré la
série
morbide ; il est représenté encore par la prése
e l'émission de chaque bruit et un peu auparavant, il se fait une
série
de mouvements, toujours systématiquement les mê
ervir de documents à l'étude de cet organe, M. Boursout apporte une
série
d'observations comprenant quatre cas d'atrophie
ur reprendre l'étude de ces rapports que l'auteur nous présente une
série
d'observations de la forme aiguë prises dans la
mentale comme un des modes de réaction du cerveau valide contre une
série
d'influences défavorables et de la placer avec
' t ' ' Deux' ou' trois fois par an, à la suite ordinairement d'une
série
d'attaques convulsives, il est pris brusquement
elle des tabé- tiques. Le moment est venu de mettre en relief une
série
de symptômes qui semblent propres à la glycosur
pres à la glycosurie de l'ataxie locomotrice progressive. C'est une
série
de phénomènes bulbaires, et cela devait être, é
inutieusement tous les détails de sa sépul- ture : d'où souvent une
série
de testaments d'un aspect tout particulier, et
ut être en quelque sorte interprété comme un état de petit mal, une
série
de petits accès psychiques. Il peut précéder le
age àl'eau suffit. Si l'on a affaire à des coupes épaisses et à des
séries
incluses dans la celloïdine, ce traitement prod
l'attaque. Autopsie : Examen attentif du cerveau par des coupes en
série
. On trouve un ancien foyer de ramollissement oc
souvent quand on veut dessiner les préparations cérébro-spinales en
séries
des coupes embryogéniques. L'appareil à project
reaux du Progrès médical, Paris, 1891. Ce livre, le premier d'une
série
qui promet d'être intéressante, comprend un cer
Assistance publique a formulé, dans sa seconde session de 1891, une
série
de proposi- tions dont voici le texte : , Soc
d'ammoniaque, de quinine, de zinc, dans la période d'accalmie... la
série
des crises ne fut point interrompue, peut-être
tres supé- rieurs. Parfois, enfin, ce n'est plus un mot, mais une
série
de faits divers, tout un discours qu'elle devai
. J. Falret, Bazin étudiant surtout l'albuminurie dans les accès en
série
, la considère comme fréquente; il reconnaît sa
le petit mal; 3° Le délire; 4° Pen- dant et à la suite des accès en
série
; 5° Dans l'état de mal. ' ALBUMINURIE POST-PA
ès isolé, mais à fortiori, à l'albuminurie consécutive aux accès en
série
et à l'albumi- nurie dans l'état de mal. Nous n
tude de l'albuminurie chez les épileptiques présentant des accès en
série
au sens classique du mot série. Nous donnerons
épileptiques présentant des accès en série au sens classique du mot
série
. Nous donnerons d'abord les observations des ma
anormal. Le même jour, 30 août, Lem..., quarante-deux ans, entre en
série
. Ses règles sont terminées depuis deux jours.
, entre en série. Ses règles sont terminées depuis deux jours. La
série
actuelle a été précédée de troubles gastriques. D
lbumine. Dans la 4e et la 5° urine, pas d'albumine. 3 septembre. La
série
s'arrête. Le 4, on recueille, vers 9 heures du
e urine. Les autres ne présentent rien d'anormal. 5 septembre. La
série
de Lei... continuant, on recueille, après une a
it précédente. L'examen de l'urine de Lei..., fait en dehors de ses
séries
, ne fait pas constater d'albuminurie. Le 3 se
es; rien dans la 5e urine. Les urines d'Albruz..., en dehors de ses
séries
, ne contiennent pas d'albumine. Le 5 septembre,
erches sur l'albuminurie chez les malades pré- sentant des accès en
série
, nous croyons pouvoir conclure : En même temps
é espacés sur neuf heures ; c'est à peine si l'on peut admettre une
série
vraie pour cette malade. . Quant aux deux autre
athogénie de l'albuminurie chez des malades présentant des accès en
série
nous semble être absolument la même que pour l'
l'épilepsie, aussi bien après les accès rares qu'après les accès en
série
. A la suite des vertiges et du délire, elle par
- yeuses des groupements qui les préparent à des actions ou à des
séries
d'actions combinées, lesquelles se' traduisent pa
à des séries d'actions combinées, lesquelles se' traduisent par des
séries
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 411 définies de mouvements visibles. Des
séries
définies de mouvements, non observées antérieur
uire une période d'inhibition du mouvement; des combinaisons et des
séries
de mouvements sont dues à des cou- rants effére
e, c'est qu'il en résulte de nouvelles combinaisons et de nouvelles
séries
de mouvements. (80). Action diatactique et pens
cte psychique, qui ne nous est connu que par une combinaison ou une
série
de mouvements, est physiquement représenté, ou,
es ils déter- minent de nouveaux groupements, et ainsi de suite, de
série
en série, jusqu'à ce que, du dernier groupe, pa
r- minent de nouveaux groupements, et ainsi de suite, de série en
série
, jusqu'à ce que, du dernier groupe, partent des c
e par les mouvements qui lui sont consécutifs, nous distinguons une
série
d'actes dont les rapports sont complexes; ces a
uite d'hyperhémies persistantes, représentent le fait initial de la
série
des lésions histologiques du cerveau, dans la par
sion d'une élection, il but un peu, et fut repris tout à coup d'une
série
de crises convulsives d'une très grande intensi
propres. Une méthode d'investigation des malades étant donnée, une
série
de maladies nouvelles seront déterminées; mais
(2) Professeur RAYMOND, Clinique des maladies du système nerveux, ! r
série
, p. Õ20. 6 RAYMOND maladies familiales. Mais
constatations de Rutimeyer furent confirmées dans la suite par une
série
d'autres auteurs, notamment par MM. Blocq et Mari
our lequel il fal- lut suspendre le traitement susdit et donner une
série
de purgatifs qui amenè- rent de copieuses débâc
arent. On le recherche en faisant par exemple exécuter au sujet une
série
de mouvements rapides de pronation et de supinati
mental sur la locomotion, Ann. des sciences naturelles, 1872j t. 51
série
. 52 LAMY P. Richer, à ce sujet, dit, après av
caractéristique que l'on peut très facilement, à l'inspection d'une
série
de photographies instantanées du pas, juger, d'a-
nsi, par celte simple inspection, déterminer rigoureusement dans la
série
de photographies instantanées du pas, quelle est
l'examen du nu, sur la comparaison de photographies instantanées en
série
d'un sujet mar- chant, vu de face. C'est évid
ce ». Ainsi en est-il dans la marche. Elle n'est autre chose qu'une
série
d'oscillations alternatives d'un pied sur l'aut
bassin (1). Lane (2) insiste (1) DALLY, Dictionnaire Dechambre, 1"
série
, t. XXVI, Paris, 1882, art. Déformations, pp. 1
chantérien. Il va de soi que les chiffres les plus élevés de chaque
série
d'indices dont l'en- semble traduit cependant e
ndividu à l'autre et par suite modifie la moyenne des indices d'une
série
donnée. Abandonnant maintenant les membres infé
caractères communs énumérés plus haut, on peut constater toute une
série
de symptômes dont la valeur diagnostique est évid
, 1881, p. 715. (5) Henocque, Dit. Dechambre. Art. Osléomalacie, 2e
série
, t. XVIII, pp. 530-531. Paris, 1882. 86 MOCQU
1880, pp. 436-448 ; Het denreicii. Art. Os, in Dict. Deehambre, 2.
série
, t. XVIII, Paris, 1882, pp. 193 et sui- vantes
istinguer deux grandes catégories d'observations. Dans une première
série
de faits, le syndrome, ordinairement suscité pa
peu et s'évanouit après une évolution passagère ; dans une seconde
série
d'observations, le syndrome se dessine en une é
issable, dans le tableau clinique des démences organiques. Ces deux
séries
de cas permettent de distinguer un puérilisme a
enin que ne fait la ventouse. » aintenantje vais vous exposer une
série
de faits invraisemblables que Paré a em- prun
at général. Après avoir consulté divers médecins et suivi plusieurs
séries
de traitement électrique, il entre à la Salpêtriè
ux autopsies de maladie de Friedreich. (2) RAYMOND, Cliniques, 3e
série
. NOUTIILLE Iconographie DE la Salpêtrière T.
lui que nous poursuivons aujourd'hui, ce qui explique pourquoi ces
séries
sont incomplètes. Nos observations se subdivi
la rendent presque voyante. Cette crainte est motivée par toute une
série
d'hallucinations de la vue. En décembre 1900 ce
ns le tissu nerveux (fig. 6). Point de réaction inflammatoire. La
série
de coupes que nous reproduisons montre que la tum
sition pour être examiné. Mais dans le tronc encéphalique, coupé en
série
, nous avons constaté partout les altérations décr
a malgré le petit volume du néoplasme. Examen du cerveau coupé en
série
(Dr. Papadaki). Les ventricules latéraux sont d
(4) It.wwo;vo, Leçons cliniques des maladies du système nerveux, VIe
série
, 1903. SYNDROME DE LA CALOTTE PÉDONCULAIRE 169
été intéressant de savoir l'état des pituitaires dans cette double
série
d'expériences. Roussy et Gauckler viennent de r
ocale ap- paremment parfaite, souvent après une poussée ou bien une
série
de pous- sée d'oedèmes circonscrits passagers,
arçon dans la période prodromique d'une dothiénentérie apparaît une
série
de poussées d'oedèmes de Quinke qui se prolongè
ltérations du côté de l'appareil circula- toire ou rénal. Après une
série
d'oedèmes circonscrits, oedème dur persistant a
, d'ailleurs, l'avis de notre confrère berlinois, qui utilisait une
série
des exercices kinésithérapiques pour combattre
vail, publié dans le Wralch de 1901, il donne une description d'une
série
d'exerci- ces, dont le but est de corriger l'at
e, musculaire des exten- seurs nous faisons suivre le massage d'une
série
d'exercices, dont le but serait de faire travai
confrère Thiol de Riga a publié dans les Archives de Neurologie une
série
d'exercices, faits avec un appareil spécial, en f
etit sac eu un mot, un récipient quelconque, capable de contenir la
série
des poids, qu'on y met. La PI. XXX montre la disp
sivement aux différentes phalanges et on pose dans le récipient une
série
de poids, en commençant, suivant le cas, par 50
sède facilement l'écriture avec la main renversée nous répétons une
série
d'exercices avec la main en position ordinaire; d
u près toujours dans la main gauche, nous leur faisons exécuter une
série
de mouvements analogues aux déplace- ments de l
s ainsi obtenus s'interprèlentsans difficulté et peuvent éviter une
série
de photo- graphies distinctes. 1 Ils sont sur
ans doit être conservée : Wesphal, après avoir exa- miné plusieurs
séries
de moelles de paralytiques généraux dans des mé-
formes assez fréquentes et il succomba le 26 octobre à la suite d'une
série
d'attaques, présentant seulement un commencemen
on, qui s'accentue progressivement jusqu'à sa mort. Il présente une
série
d'attaques convulsives du côté gauche (12 janvier
1903), du côté droit (24 mars 1903). Du 12 au 1S juin, il eut une
série
d'attaques convulsives des deux côtés avec état
SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 233 une
série
comme la nôtre montre toutes les modalités de tra
l'autre, comme des corps étrangers, et achève de se coucher par une
série
de mouvements de torsion du tronc aidés par le
nt des lésions anatomiques, notre cas appartient sans conteste à la
série
des myasthénies graves pseudo-paralytiques, auxqu
uvrière. 23 ans. Pas d'hystérie. Santé générale parfaite. Après une
série
d'oedème d'une durée variable, mais toujours cour
le trophoedème, si pour l'évolution nous pouvons établir toute une
série
de cas de passage pour lesquels nous pourrons p
l'aedème de Quinke, de ce dernier au trophoedème de Meige, toute une
série
d'observations lesquelles forment une échelle d
hoedème sans lésion démontrable du système nerveux,' nous avons une
série
d'observations dans lesquelles les lésions anatom
l faut se souvenir que dans l'épaisseur des tissus, il y a une double
série
de vaisseaux : les capillaires du sang et les c
plus grands physiologistes allemands, Hei- denhain (91), exposa une
série
d'expériences lesquelles causèrent de nou- vell
r tous. Nous désirons seulement remarquer que cet auteur trouva une
série
de substances qu'il appela lymphagogues : ces s
aissons d'un côté les oedèmes par stase dans lesquels toutefois une
séries
des données expérimentales [Magnus (93), Hamburge
es, l'extrait de fraises, certaines toxines microbiennes ; bref une
série
de corps qui sont en cause principale dans l'ét
ha- gogues de la première catégorie (à laquelle appartient toute la
série
de substances dont l'absorption joue un rôle ét
l'absorption des lymphagogues de la première catégo- rie. Toute une
série
d'expériences de Ostroumoff (102), confirmées et
est susceptible d'une action bien certaine et bien prouvée dans une
série
de phénomènes qui est commune à l'urticaire et
es. Les auteurs classiques unissent' 4 eek manifestations une autre
série
de phénomènes, à savoir les crises de gasi : iZ=,
possibles, se présenter de façons diverses : mais il y a toute une
série
de cas de passage par lesquels on peut passer d'u
onctionnelles sous l'influence des intoxications. Dans une deuxième
série
de sujets les mêmes désordres fonctionnels se p
ique pour la lympho-sécrétion, mais plutôt qu'il doit exis- ter une
série
de centres métamériquement disposés. Pour la pl
pendant l'écriture. Ce n'est qu'au bout de huit semaines, après une
série
de frictions à l'alcool sur la colonne vertébra
cumenté porte en grande par- tie sur l'aplasie claviculaire dans la
série
animale ; mais ces travaux sont fort incomplets
sie claviculaire. Il semble que l'anomalie se soit atténuée dans la
série
familiale suivant la remarque de M. P. Marie. P
ue je me suis attaché à rechercher par l'étude sys- tématique d'une
série
de foetus pseudencéphaliens et anencéphaliens. J'
t qu'un tissu peu épais, à la surface duquel se distin- guaient une
série
de filets blanchâtres, courant longitudinalement
sée à ce degré. Bien au contraire, il est possible d'établir tout une
série
allant de ces cas extrêmes à ceux où, toutes le
secon- daire. Hannover, parmi les crânes qu'il met faussement en
série
comme représen- tant divers degrés d'anencéphal
un par un séjour prolongé dans le for- mol et se décomposant en une
série
de colonnettes cylindriques n'ayant plus aucune
a qu'une différence de degré. On peut relier l'une et l'autre par une
série
de transitions ménagées. II. Tissu CÉRÉBRO-SP
au a été détruit tout au début de l'in- vasion méningitique par une
série
d'hémorragies se succédant rapidement ; consécu
raxe se détache au centre de sa gaine de myéline. On y découvre une
série
de points qui représentent la coupe des fibrill
uspect, à incriminer la névrose s'il s'agit d'une tille. Dans notre
série
actuelle il y a 3 garçons sur 6 cas et, chose b
sur 6 cas et, chose bizarre, pour les 3 torticolis ; mais c'est une
série
anormale et la plus grande fréquence chez la fi
régions on peut en observer d'identiques, et nous relatons ici une
série
de six cas, traités en quelques mois à l'hôpital
brusque, de thaumaturge, dont nous n'avons pas d'exemple dans notre
série
actuelle. Mais l'un de nous a soigné il y a dix a
uérison instantanée. Chez les malades que nous venons d'observer en
série
, ce fut moins brillant quoique encore très rapi
, dans une communication à la Société d'anthropologie puis dans une
série
d'articles ultérieurs, sépara' le premier d'une f
ications de l'espèce. Regnault (1901) examine à ce point de vue nne
série
de squelettes conser- vés au Musée Dupuytren, J
chés les uns des autres et tendant de plus en plus à se disposer en
séries
linéaires, les cellules cartilagi- neuses, larg
faire défaut et être remplacé, comme nous l'avons observé, par deux
séries
de lames osseuses, ver- ticales, plus ou moins
r signature anatomique. 1° Nanisme toxi-infectieux. - Il existe une
série
de causes toxi- infectieuses, bien étudiées dan
énérescence et considèrent ces malades comme le dernier terme d'une
série
de dégénérés. A l'appui de cette conception, on p
rogressive. Cette donnée indiscutable est le fondement de toute une
série
de découvertes sur les localisations médullaires
s vaisseaux. Je ne crois pas non plus à un rachitisme foetal. Une
série
d'auteurs nient même son existence l Schildovik
voie pédonculaire est très bien colorée sur toutes les coupes de la
série
. Sur la coupe sagittale S 6, qui tombe en plein
arquer qu'ici, comme dans tant d'autres affec- tions nerveuses, une
série
de causes prédisposantes se sont réunies pour f
? cerne un bâtiment qui est aujourd'hui la maison d'école. Suit une
série
d'actes de vente en faveur de l'hôpital nouvell
s externes et internes des clavicules gonflées et parse- mées d'une
série
de petites aspérités. Au niveau de la jonction de
iveau de la jonction des côtes et des cartilages costaux existe une
série
de gonflements semés également d'aspérités. Les
rmal. L'omoplate droite présente une ex- ostose sus-épineuse et une
série
d'exostoses dans la fosse sous-épineuse ; mais
palper on sent nettement jusqu'au niveau des épines antérieures une
série
d'exostoses formant une véritable chaîne mame-
eur à la réalité, car on n'a pu faire entrer en ligne de compte une
série
de rugosités et d'éminences peu distinctes les
opie constatée chez le ma- lade. Cervelet. Nous y rencontrons une
série
d'altérations similaires mais plus accentuées e
ls peuvent prétendre. En particu- lier, il exécute en se jouant une
série
de mouvements des bras et des épaules à la barr
rbon- nel-Salle, les omoplates ailées ne se rencontrent pas dans la
série
ances- trale ni dans l'anatomie comparée (anthr
en effet, l'action motrice ne laisse prise à aucun doute. Toute une
série
de dispositions morphologiques portant sur le crâ
ment ; mais elles concorderaient avec des recherches faites sur des
séries
plus étendues par trois auteurs allemands. Il e
ou le système nerveux. Son origine peut remonter assez haut dans la
série
des générations, aussi bien dans la ligne paterne
d'être constantes, et pour ma part, je n'en ai relevé aucune sur la
série
des sujets dont l'étude fait l'objet de ce trav
éphale. Annales de Gynéco- logie et d'Obstétrique, octobre 1905, 2°
série
, t. II. e Il s'agit de l'examen d'un seul cas e
nières eaux-fortes politiques à double sens, telles que la dernière
série
de « Malheurs de la guerre », et « los Proverbi
n peut parcourir, comme je l'ai fait, à l'Académie San Fernando, la
série
par ordre de dates, de ses compositions gravées,
ocations tauromachiques et de l'inquisition ou de la sorcellerie à la
série
des horreurs de la guerre, de l'échafaud et des
Secrétaires île la rédaction : J.-B. CHARCOT et J. NOIR Deuxième
série
, tome XIV. 1902. Avec 36 figures dans le texte.
sont très nombreux, a son premier accès aujourd'hui, précédé d'une
série
de [vertiges. Pendant cinq minutes, elle est re
mme dans les expé- riences antérieures, on (l'auteur) travaille par
séries
de 4 ergogrammes; des repos de cinq minutes, sé
séries de 4 ergogrammes; des repos de cinq minutes, séparant les
séries
, et des repos d'une minute séparant les ergogramm
éries, et des repos d'une minute séparant les ergogrammes de chaque
série
: le médius droit soulève chaque seconde un poi
kilogrammes. Rappelons qu'en général, à l'état normal, une première
série
faite après repos complet donne un travail de 2
s repos complet donne un travail de 22 à 23 kilogrammètres et que 9
séries
succesives donnent un travail total de 143 à 15
donnent un travail total de 143 à 150 kilogram- mètres, la dernière
série
donnant de 40 à 50 p. 100 du tra- vail de la pr
l'alcool et du tabac sur le travail (drch. de Neurologie, 1901, 2°
série
, t. XII, p. 372). 24' PHI810LOGIE.... Expérie
ES V.1LRL1N1TES. 29 30 PHYSIOLOGIE. 1 1 Immédiatement après la 9°
série
, on prend de nouveau 0 gr. 25 d'extrait de valé
T DES VALÉRIANATES..31. 32 PHYSIOLOGIE. Immédiatement après la 9°
série
, c'est-à-dire cinq minutes avant la 100, on a r
puis disparaît tout à fait dès le début. Le travail total des neuf
séries
d'ergo- grammes après avoir augmenté, diminue,
ALÉRIANATHS. 41 42 PHYSIOLOGIE. ' ' ' Immédiatement avant la f 0°
série
, on reprend 9 gr. 10 de valé- rianate d'ammonia
NATES. 45 ,46 PHYSIOLOGIE. Immédiatement avant le début de la 10e
série
, 0 gr. 05 de valé- rianate de soude. 1 ACTION
lblatt, XXI, ? 190). L'auteur a étudié par la méthode des coupes en
séries
colorées au moyen des procédés de Weigert et Wo
les indications de M. Dupont par la maison Mathieu. Archives, 2°
série
, t. XIV. 5 66 BIBLIOGRAPHIE. teau-pilon actio
e point de vue, notre cas devient des plus importants, Archives, 2'
série
, t. XIV. t 6 82 CLINIQUE NERVEUSE. r sinon mê
es entourant un tractus vasculo-conjonctifet s'agrandissant par une
série
de bourgeons externes. Les cellules néoplasiques
les cylindriques néoplasiques ; or ces cellules sont rangées en une
série
de papilles envahissantes à pointes dirigées vers
par cet auteur, l'asynergie, il est vrai, occupait.les Archives, 2-
série
, t. XIV. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. membres du c
la mère des deux enfants qui font le sujet des observa- ARCHIVES, 2
série
, t. XIV. 8 114 PATHOLOGIE NERVEUSE tions V et
des mictions nocturnes *. Nous nous trouvons donc en présence d'une
série
de malades' chez lesquels le tremblement bien l
n pourrait, en se basant sur la complexité du syndrome, établir une
série
de types morbides plus ou moins complexes et su
mblent en effet présenter les premiers chaînons de cette nombreuses
série
de maladies congénitales dont ,1e cadre nosolog
faciale, mouvements incoordonnés des membres. Plus élevés dans la
série
morbide nous paraissent être les nystagmus avec
i représenterait le terme le plus élevé et le plus complet de cette
série
morbide. w En résumé et bien qu'il manque à not
ors des limites de la raison », dit-elle à son confes- Archives, 2a
série
, t. XIV. 9 130 L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE'
XIX, 1900.) Application de la méthode d'examen de l'ouïe de Bezold (
série
continue de divers diapasons et flûtes formant
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. qu'à la ménopause, sont condamnées à une
série
ininterrompue de grossesses, d'accouchements et
14 décembre 1901.) On sait que la sensation est constituée par une
série
très com- plexe de fonctions, dont chacune se m
en présence de phénomènes nettement hystériques, on ne Archives, 2*
série
, t. XIV. il 162 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
allet. Je considère le souvenir comme uniquement consti- 'tué d'une
série
de représentations mentales. Même dans l'expé-
et complète d'une pyramide avec hypertrophie énorme de Archives, 2e
série
, t. XIV. 12 17$SO.CIÉTÀS savantes : la pyrami
des aliénés attiraient l'attention de Jules Falret. Il publiait une
série
de mémoires sur la Colonie d'aliénés de Gheel (
fréquentes dans lesquelles elle peut trouver son emploi. - Dans une
série
de 25 observations personnelles, l'auteur apporte
tain degré de développement physique. Elle se caractérise par une
série
de phénomènes connus dont un seul est capital : c
rnement, s'était caractérisé par un état de surexcita- Archives, 2'
série
, t. XIV. 14 1% ig. 13 à 16. 210 0 CLINIQUE NE
de toujours avec les époques ou les quelques jours qui Archives, 2e
série
, t. XIV. 15 226 6 RECUEIL DE FAITS. précèdent
appelons que le Comité d'organisation était ainsi com- Archives, 2°
série
, t. XIV. - t6 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. posé : P
l'utilité des mouvements en miroir pour corriger cer- ÂRCuivEs, 2°
série
, t. XIV. 17 258 SOCIÉTÉS SAVANTES. tains tics
mêmes, des mots singuliers répétés hors de propos avec Archives, 2*
série
, t. XIV. 13 274 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'acharnem
ée (Archives générales de médecine, septembre 1877). Archives, 2-
série
, t. XIV. 19 290 CLINIQUE. MENTALE. contagion
passer dans le dortoir où sont soignés par la méthode ARCHIVES, 2a
série
, t. XIV. 20 306 RECUEIL DE FAITS. de l'alitem
L'écriture est informe; prié d'écrire son nom, le malade trace une
série
de signes incompréhensibles dont la première le
rme d'un sentiment de refroidissement ; puis elle a la Archives, 2°
série
, t. XIV. 21 322 L'HYSTÉRIE DE SAINTE THERESE
s apportées pendant cette période et les progrès réalisés. Enfin la
série
des Loats est close par M. Vallon, qui porte la s
e négliger aucune indi- cation opératoire. M. A. Marie montre une
série
de moulages de calottes crâniennes trépanées.
a Commission de surveillance des asiles de la Seine. Archives, 2c
série
, t. NIV. - 21 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. aggrave
e ce doit être en pareil cas la conduite du médecin. Archives, 2'
série
, t. XIV. 23 3 5 li . SOCIÉTÉS SAVANTES. M. LE
en trouvera l'analyse dans les Archives de Neurologie, t. XIII, 2°
série
, 11" 78, juin 1902, p. 494. Après avoir exalté le
érations de la couche des cellules nerveuses, caractérisées par une
série
de modifications : gonfle- ment nucléaire, dési
propagée à l'écorce des circonvolutions temporales, en poussant une
série
de prolongements qui avaient bouleversé l'archite
nts, tous, sauf un peut-être, plus ou moins nerveux et Archives, 2*
série
, t. XIV. * 21 370 SOCIÉTÉS SAVANTES. impressi
à la pudeur, les faux, les abus de confiance, les vols et toute une
série
d'infractions moins graves, leur sont coutumièr
nten- tât pas d'une simple question, mais demandât au prévenu une
série
de calculs simples, comme de réciter la table de
métrie dans la durée de la tache blanche observée dans Archives, 2'
série
, t. XIV. 25 i 386 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'hémipl
tologie. Ménage pauvre ; misère. Pas d'al- coolisme. Archives, 2'
série
, t. XIV.. 2U 402 CLINIQUE MENTALE. Début de d
a juste remarque de 1 Morandon de montre], loc. cit. AnctuvEs, 2°
série
, t. XIV. 27 418 RECUEIL DE FAITS. Lasègue et
ales. Les auteurs ont cherché à élucider ces divers points dans une
série
d'observations détaillées et accompa- gnées de
l'évolution chronique en quatre ou cinq ans. L'auteur rapporte une
série
de six observations cliniques dont plusieurs av
les des cornes antérieures. « Il existe donc, conclut l'auteur, une
série
morbide constituée par l'atrophie musculaire my
tions sont assez fré- quemment confondues ; il existe cependant une
série
de signes qui i permettent de les distinguer :
ausée par une chute sur les pieds ou sur le siège. ' Archives, 2e
série
, t. XIV. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
médier à ce fâcheux état de choses, l'auteur indique et propose une
série
de mesures à la fois minutieuses et judicieuses
'antipyrine ; par FÉRÉ. (Journal de Neurologie 1901, n° 22.) Neuf
séries
de quatre ergogrammes séparés par une minute de
solides études médicales, terminées par la soutenance Archives, 2'
série
, t. XIV. 29 Le Dr H. DAGONET Médecin honorair
écis, et avec l'autorité que lui donnait une longue expérience, une
série
de voeux destinés àassurer la garantie des inté
e de médecine, mention honorable au Prix CI Vl'leux. Archives, 2°
série
, t. XIV. 30 . 466 ? CLINIQUE MENTALE. représe
gique. La mémoire n'en fait plus seule les frais ; elle suppose une
série
d'anomalies préexistantes, elle est un phénomèn
mental. L'idée obsédante peut se modifier et se transformer par une
série
d'évolutions successives. Ainsi que nous l'avon
, sans signes de dégénérescence net- tement accusés. Archives, 20
série
, t. XIV. 31 482 RECUEIL DE' FAITS. Une partic
mais reste fixe chez le même patient. Cet automatisme Archives, 21
série
, t. Y1\'. 1 32 498 REVUE D'ANATOMIE ET.DE PHYSI
luiii-As. (Journ. de Vreuro- logie, 1902, n° 9). A la suite d'une
série
de recherches et d'expériences très ingé- nieus
wE CLnr. XI. L'état présent de la science mentale (le premier d'une
série
de mémoires qui traiteront de la localisation d
bibliographie étendue du sujet. R. DE Musgrave-Clay. Archives, 2e
série
, t. XIV. 3S 5'14 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
on mentale, mais de sa folie avant les accidents termi- Ancmvrs, 20
série
, t. XIV. 34 ' 530 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
t deviendra riche et possédera beaucoup de boeufs. » Archives, 2°
série
, t. XIV. 35 846 AVIS A NOS ABONNÉS. Un assass
de la rédaction : J.-It. CII¡\ nCOT Dessinateur : LEUBA Deuxième
série
, tome III. 1897. Avec 8 ligures dans le texte e
e point important, c'est le fait psychopathologique. Archives, 2°
série
, t. III. 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. on le sait,
alade se plaigne de digestion lente, un peu pénible. Archives, 2"
série
, t. III. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE. ne rougiss
sychique aura sa pathologie comme sa physiologie et que toute une
série
de formes morbides, classées aujourd'hui parmi le
mentale des réflexes vaso- 26 . CLINIQUE MENTALE. moteurs dans la
série
des divers états psychiques qui caracté- risent
personnalité, p. I 13. 4 De la volonté, p. 131-132. Archives, 2°
série
, t. III. 3 34 CLINIQUE MENTALE. a L'extase, s
sie; finalement, à de courts intervalles, bruits répé- Archives, 2°
série
, t. III. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. t
eux, sont des organes nerveux purs. P. Ii6R.IVAL. Aucun es, 2°
série
, t. 111. 5 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ MÉDICO-
s parents et les amis, les visites des familles, comme Archives, 2e
série
, t. III. G 82 asiles d'aliénés une chose d'un
ychiatrie Klinlk d. Erkrank. d. Vo/'del'hÏ1'IIS, 1892. Archives, 2°
série
, t. III. 7 98 PATHOLOGIE NERVEUSE. raies », q
olon- gement descendant, assez espacées et d'ordinaire disposées en
série
comme les cellules de l'url : iuje du cervelet.
ible d'admettre que les cellules nerveuses des centres Archives, 2°
série
, t. III. 8 114 PATHOLOGIE NERVEUSE nerveux in
ale pré- domine l'innervation cérébrale affaiblie. Dans son cas une
série
d'éléments émotionnels ont déprimé la cérébrali
qui servent à constituer la chaîne nerveuse, l'excita- Archives, 2°
série
, t. III. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
a décharge de l'énergie du neurone antécédent. C'est donc comme une
série
de bouteilles de Leyde qui se déchargent succes
mbre d'exa- mens isolés, pratiquer un grand nombre d'expériences en
séries
; c'est en accumulant ces examens qu'on corriger
ou 2, 4, 6, 8. 10. Dans ces conditions on constate dans la première
série
d'expé- riences (n° 1) une accélération de la r
a différence maxima est de près d'une demi-seconde. Dans la seconde
série
d'expériences (n° 2), les mêmes allures se retr
ima est de près de trois quarts de seconde. Enfin dans la troisième
série
(n° 3) l'accélération et le ralentissement sont
des asiles publics ou privés consacrés aux aliénés. Archives, 2°
série
, t. III. 10 146 REVUE DES THÈSES DE BORDEAUX
ry of the s1l1',r¡eon.gcnel'al's office, Uailed State Arnzy. Second
séries
, vol. 1 (A.-Azzurri). Vol. in-t°, relié, de 828
niques sur les maladies mentales et nerveuses, p. 107, Archives, 2c
série
, l. III. 11 i 162 PATHOLOGIE MENTALE. et à d'
359. 2 Schùle. Traité des maladies mentales, p. 155. Archives, 2°
série
, t. III. 12 178 CLINIQUE MENTALE. natoires d'
de plus en plus fréquents. - Escarres et gâtisme consécutifs à une
série
. Altitude voûtée et inclinaison du corps de plu
res consécutives au décubitus et au gâtisme qui a débuté pendant la
série
d'accès qu'il a eue au mois de janvier. Pupille
sance n'était pas revenue, elle n'est pas revenue non plus entre la
série
du matin et la série du soir. L'amaigrissement a
enue, elle n'est pas revenue non plus entre la série du matin et la
série
du soir. L'amaigrissement a faitt des progrès a
des depuis quelques mois; le malade élai- affaibli et ses dernières
séries
l'ont achevé. 3 accès. T. R. 37 ? J. Soir : T.
dans les dix derniers mois de la vie. Les accès se présentaient par
séries
, ainsi qu'on l'ob- sclérose cérébrale hémisphér
es microcéphales que l'idée étiologique de compression Archives, 2°
série
, t. III. 14 210 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. doit
cienneté et sa durée, ne résiste guère (sauf la scia- tique), à une
série
de quatre à six séances ; mais il faut que le som
hyroïdienne : NOTE complémentaire basée SUR ' L'ÉTUDE D'UNE SECONDE
SÉRIE
DE soixante cas; par LEWIS-C. BRUCE. (1'he Jour
DE DÉMENCE paralytique; par le 1) IRwING Neff. L'auteur donne une
série
de tableaux statistiques sur 368 cas de démence
t le goitre exophtalmique, on retrouve bien la dégéné- Archives, 2e
série
, t. III. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
cas, il pouvait y avoir là une simple coïncidence; mais d'autres
séries
de faits semblables ont été observées par divers
hez les' aliénés ; nombre d'e troubles psychiques sont Archives, 2e
série
, t. III. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. provoqués
une prédisposition aux maladies mentales, mais on connaît toute une
série
de cas dans lesquels il se compliquait de trouble
ce qu'en disent quelques auteurs dans leurs traités : Archives, 2e
série
, 1. HT. 17 î 58 CLINIQUE NERVEUSE. Vulpian 1,
la langue et des muqueuses. Dans un cas il y avait en Archives, 2e
série
, t. III. 18 274 CLINIQUE NERVEUSE. outre une
s, rendent impossible la poursuite anatomique de l'une Archives, 2°
série
, t. III. 19 9 290 REVUE CRITIQUE. d'elles. En
l'intermédaire de ses collatérales nerveuses, influer sur plusieurs
séries
de cellules pyramidales moyennes et petites sit
tion et répartition des éléments chromatiques du cytoplasma dans la
série
phylogénique aussi bien que dans le développement
, d'où partent toutes les fibres motrices : l'écorce représente une
série
de centres, dont chacun reçoit des fibres sensi
etc.). III. On peut admettre, avec quelque réserve, que, dans la
série
animale, les fonctions psychiques sont liées aux
es prolongements protoplas- miques. - V. - Plus on s'élève dansla
série
animale, plus la « cellule psy- chique grandit
ou substance cellulaire (Zellp1'Otoplasma) « d'où ces Archives, 2e
série
, t. III. 20 306 REVUE CRITIQUE. fibres tirent
réellement et bien exclusivement de l'état diabétique, Archives, 2e
série
, t. III. 21 j" : 2 revue de pathologie NERVEUSE
al est l'intoxication. Il cite toute une 330 SOCIÉTÉS SAVANTES. ,
série
de recherches expérimentales qui appuient sa mani
s par MM. His et Forel à l'aide d'autres méthodes, ont Archives, 2e
série
, t. III. 22 2 338 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. prou
aliser nos recherches nous nous sommes procurés dans le commerce la
série
des papiers à passer les plus em- ployés. La co
le cas présent, n'offrait aucun inté- rèt pour nous. Mais toute une
série
formant une gamme colo- rée allant du jaune ver
res supérieurs vers les membres inférieurs. G. Deny. Archives, 2°
série
, t. 111. 23 354 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
omparaison les moyennes établies par le D'Talbot d'après de longues
séries
d'examens et de mensurations des mâchoires, a e
éservation DES coupes EN sÉRIe; par le D'' VORCESTER. Les coupes en
série
sont du plus grand intérêt pour l'étude de l'an
r la coupe. La coupe choisie, toujours accompagnée de son papier de
série
, peut être colorée et éclairée. (Amel'ican jour
. L'âge de ces femmes variait entre vingt-cinq et qua- Archives, 2°
série
, t. III. 24 370 REVUE DE pathologie mentale.
même absurdes, excès de toutes sortes). Cependant, il est toute une
série
de cas dans lesquels, malgré une analyse précis
-ce pour cela un cas de paranoïa ? Non pas. Il y a encore toute une
série
de psychoses qui présentent des conceptions dél
antes sont des symptômes qui peuvent se rencontrer dans toute une
série
de psychoses différentes. Le mode de début, le dé
nombre des accès : encore deux d'entre eux eurent-ils plus tard une
série
d'accès. Un de ces derniers avait été précédemmen
sch. f. Psychiatrie, t. LUI, fasc. 4.) Paul Sérieux. Archives, 2e
série
, t. III. 25 386 SOCIÉTÉS SAVANTES. XXVII» CON
s de l'humeur (tristesse, idées de persécution), accom- pagnant une
série
d'accès épileptiques; 2° modifications de l'humeu
le de la paralysie générale avec laquelle la catatonie a encore une
série
de rapports remarquables (rémissions survenant
l'hiver, des cours doivent être faits aux infirmiers. Archives, 2e
série
, t. III. 26 402 sociétés savantes. 12. Les mé
ons peuvent être tardives, précoces ou congénitales. Archives, 2e
série
, t. III. 27 418 5 bibliographie. Aujourd'hui
ique médicale faites il l'Itô- pital Saint-Lloi de Monlpelliel' (3"
série
, 'a fascicule). - Volume in-8", de 133 pages. M
au et de ses mem- brantes. Paris, Gabon et C", 1826. Archives, 2°
série
, t. III. 28 434 PATHOLOGIE MENTALE. mouvement
de sept années, on ne peut guère objecter qu'il corresponde à une
série
exceptionnelle. J'ai déjà présenté sur ce sujet
aut bien une signature, sauf à la regretter plus tard. Archives, 2°
série
, t. III. 29 450 RECUEIL DE FAITS. En résumé,
on) pouvait être invoquée dans les deux tiers de n'im- porte quelle
série
de cas de chorée pris en bloc. R. DE IUSGR : 1V
hénie. L'auteur fait valoir les expériences acquises à Archives, 2e
série
, t. III. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
e, composé d'un tissu muqueux qui subdivise l'organe en question en
série
de lamelles à forme triangulaire. Les nerfs s
'un diverticule provenant d'une anomalie de développe- Archives, 2°
série
, t. III. 31 482 SOCIÉTÉS savantes. ment du ca
sthénie et l'hystérie ont, comme la terreur et l'anxiété. toute une
série
de symptômes communs. Il n'y a que quatre sympt
même en Irlande. On peut donc admettre, en se basant sur toute une
série
de recherches statistiques, qu'en Grande-Bretag
et les normaux, par Camp- bell, 36. Coupes. Préservation des - en
série
, par Worcester, 359. Couronne rayonnante. Nou
e de la rédaction : J.-Ii. CIIAItCOT Dessinateur : LEUBA Deuxième
série
, tome V. 1898. Avec 7 ligures dans le texte et
lisation que de la nature des désordres anatomiques. Archives, 2°
série
, t. V. " 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. La richesse s
ns cette observation, non seulement le diagnostic pen- Archives, 2e
série
, t. V ? 2 18 CLINIQUE NERVEUSE. dant la vie,
s de Vallon (hommes) et Briand (femmes) à Villejuif. Archives, 2e
série
, t. V. 3 34 CLINIQUE MENTALE. dimension d'une
cuisse, vient des deuxième et quatrième racines lom- Arciiives, 2e
série
, t. V. 4 je REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
de l'azote total et de l'azote représenté par l'acide urique et la
série
xanthique, l'alloxane ou les corps qui en fourn
ppement du sque- lette, syndactyle, etc. P. KERAVAL. Archives, 2e
série
, t. V. , 5 66, REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
, depuis trois ans, sous la direction du professeur Lacassagne, une
série
d'enquêtes psychologiques, l'une sur le langage
édicament avant ou en même temps que l'alimentation. Archives, 2°
série
, t. V. 6 82 sociétés savantes. Un thermomètre
acles, en donnant comme preuve de son état d'aliénation mentale une
série
d'actes absurdes qu'il avait commis à la même é
ines et comme l'ont démontré les inves- tigations pendant toute une
série
de procès morbides (typhus abdo- minal, pneumon
t à fait. z la suite de ces injonctions réitérées il a constaté une
série
de réactions rap- pelant celles qui suivent le
s accidents, y compris l'état de somnambulisme. De cette nouvelle
série
d'expériences, corollaire de la première, M. So
les cas où les 1 Voir Archives de Neurologie, n° 25. Archives, 2e
série
, t. V. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. - lésions sont
ptôme cérébral ; portant leur action sur une substance Archives, 2c
série
, t. V. 8 11 Il CLINIQUE NERVEUSE. cérébrale m
pellerons que l'ictus apoplectiforme mortel, dernier terme de notre
série
, n'est pas exceptionnel dans les tumeurs gommeu
renté dansladénomination à leur affecter ; c'est ainsi Archives, 2e
série
, t. V. 9 130 CLINIQUE MENTALE. que l'on a cré
rne avec vertige, trouble de la conscience, tendance à la chute, et
série
d'hallucinations qui impressionnent le malade a
ès redouté). Dans la plupart des cas toutes ces causes Archives, 2e
série
, t. V. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. pe
ralement le fait de souvenirs vivaces de quelque événement ou d'une
série
d'événements ayant particulièrement impressionn
mitées à trois chroniques qui n'ont pas été améliorés. Archives, 20
série
, t. V. ` 11 162 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Il n'
f ' ' . ,, 3 Loc. cit., p. 821. , . , . au , . , .. Archives, 2e
série
, t. V. 12 178 CLINIQUE mentale. se parcheminé
n paralytique général. (Rev, deméd. de l'Est, 1890.) Archives, 2e
série
, t. V. , 13 194 CLINIQUE MENTALE. vations son
nisme et de gigantisme s'accompagnant de cryptor- chidie. Dans la
série
des caractères relevés, un caractère primor- di
t en faisceaux de plus en plus petits qui se perdaient Archives, 2'
série
, t. V. 14 F;. ? , 't. 1, Portion cylindrique; 2
ont une structure granuleuse ; les granulations y sont ordonnées en
séries
, celles d'un prolonge- ment étant parallèles à
ent des deux yeux dans la vision binoculaire, et passe en revue une
série
d'expériences qui mettent ce fait en lumière (e
ouble du rythme respiratoire se modifia pour être constitué par une
série
d'inspirations régulières, peu profondes, sacca
on semble avoir été provoquée par le surmenage (allai- Archives, 2"
série
, t. V. 1S 226 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. t
psychiques chez cet individu. M. Sommer a appliqué ce schéma à une
série
d'individus atteints d'affections différentes (
estiarè4 ! 1e. De plus, tandis que d'ordinaire, elle débute par une
série
d'accès comprenant chacun une phase douloureuse
quelque valeur. L'alcoolisme n'est pas un effet simple, mais une
série
d'effets aux multiples aspects. Les causes sont a
D' Legrain, délégué officiel de la France au Congrès. Archives, 2e
série
, t. V. 16 242 hygiène sociale. cussion infini
ussant qui s'y noie, de le relever, de le guérir, souvent après des
séries
de rechutes et de repêchages qui ne lassent jam
t réussi que bien incomplètement. En tout cas, la note Archives, 2e
série
, t. IV. 17 258 BIBLIOGRAPHIE de M. Zakrewsky
aux. (Revue phi- osophique, 189î, t. XLIII, p. 494.) AHCI11VC, 2e
série
, t. V. 18 274 CLINIQUE MENTALE. agissant sur
idéré les absences et les accès mélancoliquescomme appartenant à la
série
épileptique et leur éloignement sous l'influenc
. Les fiançailles et leurs suites furent pour elle l'occasion d'une
série
d'angoisses. La consommation du mariage lui inspi
sanguine, d'aspect intelligent. Sa tête est de dimen- Archives, 2e
série
, t. V. 19 290 RECUEIL DE FAITS. - sions moyen
er et choir devant la puissance du jour : le cabaret ? Archives, 2e
série
, t. V. 20 306 HYGIÈNE SOCIALE. C'est donc une
des altérations histologiques identiques. A. Marie. Archives, 2e
série
, t. Y. - 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
tations ayant une évolution progressive et se caractérisant par une
série
de symptômes qui depuisla simple amyesthénie et a
les secondes aux états mélancoliques qu'elles relient par toute une
série
de degrés au délire de persécution-type. (Annal
ns qui, jusqu'à l'exposition de Chicago, n'avaitjamais Archives, 2e
série
, t. V. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. us
es de persécutions, avec hallu- cinations, il commença dès lors une
série
de pérégrinations, tout en s'occupant toujours
Cotard. OEuvres complètes, p. SOS. ' lbid., p. 26. . Archives, 2e
série
, t. V. 23 354 pathologie mentale. Si on analy
t aussi Maudsley2, a une ' Janet. Annales médico-psychologiques, 50
série
, t. XX, septem- bre 1878. ' Pathologie de l'e
sensations nouvelles 362 PATHOLOGIE MENTALE. ne trouvent plus de
séries
antérieures où elles puissent s'em- boîter ; le
res, l'une correspondant aux anciennes acquisi- tions, l'autre à la
série
des nouvelles perceptions anormales et des impu
es : l'une corres- pondant aux anciennes acquisitions, l'autre à la
série
des nouvelles perceptions anormales et des impu
fondément les différents éléments de la mentalité. De là, toute une
série
d'intermédiaires entre les formes aiguës simple
exercent les impulsions maladives sur les différentes régions de la
série
psychique se traduisent par l'idée d'une influe
M. P., z6 mars 1880, et Olruvres complèles, p. 375. Archives, 2e
série
, t. V. 24 370 PATHOLOGIE MENTALE. « Il faut s
périeure du trijumeau, racine motrice, comme en témoi- ARCHIVES, 2e
série
, t. V. 25 386 REVUE CRITIQUE. gnent, dit-il,
t, dès les premiers jours de son admission, elle est atteinte d'une
série
de crises nerveuses que la compression de l'ova
ué plusieurs milliers de coupes (exactement 6.555 préparations), en
séries
de 20 à 100, sur les différentes parties du sys
se d'erreur, on peut tirer les conclusions suivantes : Archives, 2e
série
, t. V. 26 402 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
l'oculo-moteur commun); par le professeur Grasset. A l'aide d'une
série
d'arguments physiologiques, cliniques et ana- t
solution froide de bleu de méthylène de Nissl, puis on continue la
série
des opéra- tions comme d'ordinaire. La colorati
Nissl. M. G. Ballet fait passer sous les yeux de ses collègues une
série
de dessins reproduisant fidèlement les lésions
ut autre procédé. Cette méthode per- met en outre de distinguer une
série
de transformations par lesquelles passent les c
du délire aigu est peut-être variable ; mais il s'agit Archives, 2e
série
, t. V. 27 418 SOCIÉTÉS SAVANTES. toujours, co
islation des aliénés. Il a publié avant et depuis ce journal, une
série
d'autres mémoires parmi lesquels nous citerons
rie d'autres mémoires parmi lesquels nous citerons les suivants : A
séries
ofAi ? 2eîie(iii Cli- nical Lectures; The Diagn
e devient complète; apparition de l'oedème des membres Archives, 21
série
, t. V. 28 434 ANAT0M1E PATHOLOGIQUE. inférieu
e vue clinique, le syndrome de Brown-Séquard conserve ARCIIIVES, 2'
série
, t. Y. 29 450 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Les sens
émonomane. L'ancien damné est maintenant possédé jusqu'à ce que les
séries
d'impulsions réitérées et multipliées submergen
confirmatives aux anciens démonographes et nous terminerons par une
série
de faits cliniques. « Il n'est pas rare, dit Gr
psychologique se trouve dans les cas, qui ne sont pas rares, où les
séries
d'idées, à mesure qu'elles arrivent, s'accompag
xvf. Il. Bognet. Discours des sorciers. Lyou, 1G03. Archives, 21
série
, t. V. 30 466 PATHOLOGIE MENTALE. tamment ent
ons au chapitre de la démo- nomanie d'Esquirol, nous y trouvons une
série
d'observations remarquables par leur analogie e
ontaire mis en jeu par une excitation perçue, l'auteur Archives, 2e
série
, t. V. ' 31 482 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
uitter par surcroît de tout ce qui concerne leurs fonctions dans la
série
des opérations du langage écrit. Les actes par le
arie suivant les individus (Archives de Neurologie, t. I et III, 3"
série
, p. 37b et 131.) De Monakow avait déjà signalé
'es- thésie accompagnée (I'hype ? ,algésie. G. DENY. Archives, 2e
série
, t. V. 32 498 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
e branches nerveuses, l'auteur a eu l'occasion d'observer toute une
série
de cas, à systématisa- tion plus ou moins évide
, on fera bien d'économiser le moins possible, car les Archives, 2e
série
, t. V. 33 514 asiles d'aliénés. coussins de p
leur-géranl : BOURNEVILLE. EXPLICATION DES PLANCHES. A nom es, 2e
série
, t. V. 3 'k PLANCHE 1 . Hydrocéphalie. Face
moelle dans 1' , par Clatke, 210; par Lenoble, 239. Archives, 2e
série
, t. V. Anesthésies consécutives aux lésions d
es dont nous nous occuperons encore, nous retrouvons toujours la même
série
d'accidents : 1° Convulsions affectant les allure
Lefè... Augustine (Obs. inédite), les accès se présentent par petites
séries
et la température monte à 38° ou 38°,5 et même 39
dant ce temps, elle a eu des accès « qui revenaient souvent, » et une
série
d'abcès sur le bras et la jambe paralysés. Les
phalangette du pouce sont souples. On trouve sur le bras droit une
série
de cicatrices froncées, déprimées, adhérentes aux
sur la marche de la maladie. A partir du 14 novembre, P... a eu une
série
de crises hystériformes : 14 nov. . . 13 19 nov
la première attaque, à 17 ans et demi, V... aurait eu 7 ou 8 fois des
séries
d'attaques, dont la durée ne dépassait pas une he
dans une maison de convalescence rue Notre-Da-me-des-Champs. Là, une
série
d'attaques étant survenue, on conduisit V... à la
Pitié, qu'elle quitta au bout de 8 à 9 semaines, n'ayant eu que deux
séries
, pour aller au Yésinet. On la conserva six semain
'urine remontant à 5 ou 6 jours. — Constipation depuis le début de la
série
. — Toute trace de contracture a disparu. — Les rè
as changé ; la période clonique est beaucoup plus accusée que dans la
série
décrite plus haut : mouvements du ventre qui se s
ir, elle a mangé de la salade ; jusqu'alors, depuis le début de cette
série
, elle n'avait pris que du bouillon. Constipation
tent ; ils soût même plus forts, au moins momentanément, après chaque
série
d'attaques. Mouvements brusques, assez rares, de
sulfate d'atropine 0 gr. 025. 1er décembre. — Début d'une nouvelle
série
, ce matin, à 6 heures et demie. Pas de cris au dé
é par la compression ovarienne. — A 2 h. 1/2, chloroforme ; fin de la
série
; en tout, 39 attaques. 15janvier. — Injection
ie assez prononcée. Les attaques sont plus rares ; V... n'a pas eu de
séries
depuis le mois de février, mais elle a eu 1 attaq
composées seulement de la première période. Chloroforme: arrêt de la
série
. La nuit a été tranquille. Ce matin, à la suite
provoquer la trépidation Les attaques se montrent généralement par
séries
, constituant un état de mal hystéro-épileptique.
état de mal hystéro-épileptique. Nous avons vu que V... avait eu des
séries
en juin, juillet, septembre, octobre, décembre 18
juin, juillet, septembre, octobre, décembre 1877. Le 14 janvier 1878,
série
de 39 attaques. En mars, on note trois faiblesses
oïde des attaques complètes. Les attaques complètes se montrent par
séries
de 15, 20, ...185 attaques, qui s'étendent sur un
d'autres fois, au contraire, elle diminue ou disparaît à la suite des
séries
. Nous avons vu, à diverses reprises, des malades,
'écume et de miction involontaire.Enfin ,au mois d'avril dernier, une
série
d'attaques aurait laissé après elle une paralysie
les attaques. Quand elle a recouvré connaissance, L... déclare que la
série
, qui vient de se terminer, a été précédée non pas
arrêtée parla compression ovarienne gauche. — T. R. 38°,5. \kjuin.—
Série
d'attaques. L... a revu le charriot des morts. Qu
agent détermine un délire semblable à celui qu'on observe durant les
séries
d'attaques : loquacité, confidences involontaires
tanément sur les deux zones, on provoque une attaque. \Q juillet. —
Séries
d'attaques durant lesquelles ont été prises la pl
he sa figure dans les mains, pleure, parle bas... et se réveille : la
série
est terminée. En juillet, août, septetnbreet oc
n rien la situation (Fig. 8). 1er décembre. — X... a, ce matin, une
série
d'attaques qui ne changent pas l'aphonie. Inhalat
1 attaques épileptilbrmes. Rappelons que les attaques se montrent par
séries
, constituant des états de mal hystéro-épileptique
s épileptif ormes sont isolées, tantôt elles apparaissent par petites
séries
de même que les grandes attaques. Chez quelques m
ie de la vessie (d'où Y incontinence d'urine) et sous l'influence des
séries
convulsives, il survenait une contracture du col
séparées par des rémissions de 2, 3 mois ou même davantage. Après une
série
, la malade assure avoir eu une contracture de la
mes qu'elle voit dans son état de veille. taquesqui constituent les
séries
, que le clou hystérique et la rachialgia sont le
est encore sous le coup de son mal. Les attaques se présentent par
séries
, durant plusieurs heures; quelquefois, elles se s
e. Cet aliment provoque, avant que le morceau soit avalé, toute une
série
de processus physiologiques : sécrétion de la sal
ge du morceau dans les centres de la vue est l'origine de toute une
série
de processus psy- chiques, conscients ou incons
alisation de Lime a été, grâce à Magendie et Flourens, exclue de la
série
des questions dont la solution devait avoir lie
intégrité des mouvements du membre supé- rieur. En suivant sur la
série
des coupes les lésions de la région paracentrale,
secondaires. - Nous avons fait remarquer plus haut qu'en suivant la
série
des coupes histologiques on ne pouvait retrou-
roupe des gangrènes symétriques des extrémités on a réuni toute une
série
de faits encore mal classés et d'étiologie obscur
ous-cutanée et cutanée, et la forme sous laquelle elle se dessine :
série
de bandes parallèles, horizontales, alternative
imer sérieusement une idée. Tous obéis- saient, en se parant, à une
série
de motifs légers, dont les principaux étaient l
ur maxil- laire inférieur. Deux autres mascarons appartenaient à la
série
des- spas- mes glosso-labiés si bien étudiés pa
queue de cheval et du segment it/'érieur de la ntoelle.Cliniques, 4
série
, 1900. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1
résen- tent des dilatations fusiformes plutôt légères, disposées en
série
(fig. 9). Seu- lement dans quelques fibres ces
CATOLA désagrégées et représentées exclusivement par des boules en
série
, de volume variable, colorées plus ou moins int
ux, 1896. 49. Rwfoxr'. Clinique des maladies du système nerveux, 2°
série
, p. 126-144, 1897. 50. ASTIIt De la névrite amy
04 ; c'est alors que survinrent les premières attaques de toute une
série
; chacune de ces attaques aiguë et douloureuse lai
nt : le myxoedème et le goitre exophtalmique, chefs de file de deux
séries
cliniques, la série myxoedèma- teuse et la séri
le goitre exophtalmique, chefs de file de deux séries cliniques, la
série
myxoedèma- teuse et la série basedowienne, dans
s de file de deux séries cliniques, la série myxoedèma- teuse et la
série
basedowienne, dans lesquelles l'on peut ordonner
s dans le syndrome de Basedow. De plus, certains symptômes des deux
séries
basedowienne et myxoedémateuse peuvent s'as- so
istesse, sont symptômes fréquents,qu'ils soient isolés ou rangés en
séries
. Ces sujets présentent donc souvent ce que L. Lév
re, troubles menstruels, nervosisme. On arrive ainsi à la fin de la
série
décroissante des troubles qui ne sont plus suff
en deux classes, syndromes de Basedow classiques et syndromes de la
série
basedo- wienne ou d'hyperthyroïdie. Les syndr
es syndromes d'hyperthyroïdie, qu'on appelle encore syndromes de la
série
basedowienne, mériteraient peut-être mieux ce nom
wiens ne paraît plus contestable. Sa démonstration s'appuie sur une
série
de faits cliniques et expéri- mentaux. Chez c
n qu'on retrouve dans les psychoses des troubles mentaux de la même
série
que les nuances psychiques des basedowiens, qu'
-thyroïdiennes. 2. Les troubles psychiques dans les syndromes de la
série
basedowienne ou d'hyperthyroïdie. A côté des
d'hyperthyroïdie. A côté des basedowiens typiques il est toute une
série
de malades qui ne présentent que quelques-uns d
res du syndrome et qui néan- moins paraissent s'y'rattacher par une
série
d'intermédiaires. 222 LAIGNEL-LAVASTINE E Les
asedow fruste au point qu'on peut n'y reconnaître qu'un signe de la
série
basedowienne. Ce sont ces faits que je réunis d
aires par un nervosisme plus spé- cifié, composé de symptômes de la
série
basedowienne (tremblements, battements de coeur
ire. Disséminée, elle consiste en quelques symptômes atténués de la
série
basedowienne, cou un peu fort, regard brillant,
ces symptômes psychiques font partie intégrante des syndromes de la
série
basedowienne et, d'autre part, sur les résultat
x troubles de la thyroïde entraînant des symptômes aussi bien de la
série
myxoedémateuse que de la série basedowienne. On
înant des symptômes aussi bien de la série myxoedémateuse que de la
série
basedowienne. On trouvera dans leur livre plusi
gissant non seu- lement sur les troubles nerveux ressortissant à la
série
myxoedémateuse, mais aussi parfois,quand elle e
ite dose,sur les accidents paroxystiques nerveux ressortissant à la
série
basedowienne, il y a toute une série d'indicati
ues nerveux ressortissant à la série basedowienne, il y a toute une
série
d'indications thérapeutiques qu'il faudra désorma
yroïdienne entraîne-t-elle des effets pathologiques en dehors de la
série
basedowienne. Quoi qu'il en soit, les syndromes
sorte à l'opposé les uns des autres, selon qu'ils font partie de la
série
myxoedémateuse ou de la série basedowienne. L
autres, selon qu'ils font partie de la série myxoedémateuse ou de la
série
basedowienne. Les psychoses, dont les diverse
it pas de nature organique. Comme conclusion : tandis que toute une
série
de maladies organiques impriment à la marche de
pour l'appliquer à nouveau contre le thorax, le malade exécute une
série
de secousses, de soubresauts qu'accompagnent en o
des cas de microgyrie et plusieurs auteurs ont essayé de grouper en
séries
homogènes les différents types de celte curieus
exis- tence d'une légère parésie faciale droite. L'enfant subit une
série
de frictions à l'onguent napolitain, sans modif
ECIITEREV et RAYMOND, Cliniques des maladies du système ne ? veux, 5,
série
, p. 564. (2) BECHTFRFW, Nouvelle observation
ns et achilléens existaient, à. l'exclusion des autres signes de la
série
tabétique. Babinski admet qu'il s'agit non de t
re isolée, il sent au contraire au bout d'un instant les piqûres en
série
; retard à la sensibilité manifeste. Sensa- tio
terai ceux de Burchardt (6), de Gavalas (7) ; le mien com- plète la
série
. Je ne veux ici traiter de-la palhogénèse de l'
aque jour les urines soigneusement recueillies. Lors de la première
série
de recherches sur le premier malade, l'urée éli
hore s'éliminèrent en quantité petite, mais plus grande que dans la
série
antérieure. En résumé le bilan total a donné un
ique de Florence, sont instructifs à cet égard. Les bilans des deux
séries
de recherches dans mon premier cas d'acro- méga
oit est de 35 : 30 à peu près (Résultat obtenu par l'addition d'une
série
de coupes équidislantes, mesurées au planimètre
rtrait t organique dans les profondeurs de l'être complexe. Par une
série
de transformations de l'énergie, ce qui était e
et cette énergie elle-même est susceptible de passer par toute une
série
de transformations équivalentes. La suggestion a
évrose la mieux caractérisée, l'intervalle est comblé par toute une
série
de cas intermédiaires, si bien qu'il est impossib
ençante jusqu'aux changements pathologiques les plus manifestes, la
série
est continue. -Il n'y a pas de division tranché
voici la description résumée, photographiée pour ainsi dire dans la
série
régulière de ses mouvements suc- cessifs. .' .
e atavique, le cubitus étant un os fréquemment rudimentaire dans la
série
animale ; dans la théorie nucléaire de Français
l'altération des séreuses seraient surtout responsables dans cette
série
de cas. D'autres auteurs (Lereboullet, Ilayem)
tions anatomo-cliniques ont montré dans des cas appartenant à cette
série
des lésions légères ou même l'intégrité de la g
celui du squelette en particulier. Selllaeim a déterminé toute une
série
de modifications de la structure osseuse du crâ
genèse de l'ostéomalacie puerpérale, mais que néanmoins' toute une
série
de faits ne sauraient s'expliquer sans invoquer
vénile peuvent être une cause d'arrêt de la croissance. Toute nne
série
d'auteurs croit à l'origine testiculaire de l'inf
u corps thyroïde; Hertoghe a voulu attribuer à Phypothyroïdisme une
série
si riche de symptômes pathologiques les plus di
s des lésions thyroïdiennes,surtout quand nous savons que toute une
série
de compensations mutuelles peut s'établir entre l
IBUTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 445 une nouvelle
série
de dystrophies différentes sous le nom dehriararz
borde de tous côtés et nous devons accepter la création de toute la
série
habituelle des cas frustes, combinés, mixtes inte
et que cette amaurose s'est dé- terminée rapidement avec toute une
série
d'autres symptômes d'hyperten- sion endocrânien
cheveux, pauvreté de poils, dystrophies unguéales, etc. ' Une autre
série
de cas présente pour nous un plus haut intérêt ;
copie d'une naine des lésions tuberculeuses de l'hypophyse. Cette
série
de faits si intéressants est beaucoup plus fréque
alp., janv-fév. 1907. Leçons clin. sur les mal. nerveuses, 1899, 2'
série
, p. 440. BNOUARDEL. Acad. de Méd. de Paris, 21
issance. Bull. de l'Acad. roy. de méd. de Belgique, 1896, Bd. X, 4'
série
. - . »- Nouvelles recherches sur l'infantilisme
ssance. Bull. de l'Acad. roy. de méd. de Belgique. Bd. XI, 1897, 4'
série
. 1 - Die Rolle der Schilddrttse bei Slillstand
e leur guérison, nous ne pouvons manquer de nous rappeler une autre
série
d'altérations de la peau qui présente des analo
antes avec les ma- nifestations cutanées de notre malade. A cetle
série
appartiennent : a) le mal perforant des tabétique
e, toute possibilité de simulation étant écartée. Mais une deuxième
série
de considérations nous donne la démonstra; tion
ra. Les manipulations photographiques courantes consistent en trois
séries
d'opérations absolument distinctes qui sont néces
s la pratique on se sert aussi fréquemment du mot cliché. Ces trois
séries
d'opérations doivent se faire dans des locaux spé
gement des châssis et le développement dans le laboratoire noir et la
série
des autres opérations dans le laboratoire clair.
ions rapides d'objectifs. On peut monter les divers objectifs sur une
série
de différentes planchettes identiques ou se servi
ou bien il faudra recommencer à nouveau la mise au point et toute la
série
des opérations. Lorsqu'il s'agit d'un malade qu
'objectif se place sur le corps du milieu. Le corps d'avant porte une
série
d'intermédiaires destinés à recevoir des clichés
otre objectif apla-nétique; le type que nous adoptons est celui de la
série
C, n° 2 ou 3 suivant le diamètre de l'objectif.
ue, et pour éviter tout tâtonnement, il faut exiger de l'opticien une
série
de diaphragmes numérotés d'après les décisions du
t d'un excellent usage et permettent de laver en même temps toute une
série
de clichés. Un des meilleurs modèles est la laveu
s rétrécies, mais si ce caractère se retrouve invariablement chez une
série
de malades, on pourra évidemment déterminer le fa
us les huit jours l'ascension des points en question. C'est ce que la
série
d'épreuves obtenues montre d'une manière éviden
ctes. PHOTOGRAPHIE INSTANTANÉE. Nous venons de parcourir toute la
série
des opérations que l'on devra faire pour obtenir
cès de carbonate, le tout pour obtenir de la douceur. C'est dans la
série
des maladies du système nerveux que nous trouvons
ner l'impression perçue par notre œil. Celui-ci voit, en effet, une
série
non interrompue de mouvements très l'approchés, c
exemple montre bien, à notre avis, la différence qu'il y a entre les
séries
d'images reçues successivement par l'œil et l'épr
le, une malade atteinte de chorée rythmée (Jîg- 27); elle exécute une
série
de mouvements combinés du corps et des membres, m
du mouvement observé, il sera toujours plus avantageux d'obtenir une
série
d'épreuves successives, qui en représenteront tou
bien la chose. Dans l'étude de la grande hystérie, on rencontre une
série
d'états particuliers, tels que la léthargie, la c
alpébral supérieur (courant fort). (courant fort). Nous donnons une
série
de croquis exécutés d'après nos photographies et
a Physiologie (fig. 36). Nous avons exécuté, avec le Dr Richer, une
série
d'expériences dont toutes les phases ont été rigo
sans raison la période du clownisme; en effet, la malade effectue une
série
de tours de force, de mouvements illogiques qui r
uire et que nous avons dénommé photo-électrique, 'nous employions une
série
d'objectifs montés en couronne sur une chambre no
et la contracture revient comme elle était au début. A la suite d'une
série
d'oscillations de ce genre, la contracture dispar
ira de remettre un autre châssis et de cette manière on obtiendra une
série
aussi longue qu'il sera nécessaire. Pl. VIII.
ar des procédés variables, soit la tête en avant, soit en arrière. La
série
des mouvements qu'il exécutait était curieuse à c
e des rayons calorifiques ; pour concentrer les rayons lumineux, deux
séries
de lentilles plan-convexes; enfin un miroir à sur
de. Les trajectoires ne seront plus continues mais bien formées d'une
série
de points plus ou moins rapprochés, suivant la vi
ie. Lorsque la guérison surviendra, une dernière épreuve terminera la
série
. Nous donnons (PL JC) un spécimen de ce genre. Il
u même combinées avec les plaques isochromatiques. Il devra faire une
série
d'essais préliminaires qui lui indiqueront le dis
filtre blanc. On portera sur la boîte les deux numéros extrêmes de la
série
qui y est renfermée. Ces boîtes seront rangées
e lésions organiques des nerfs, où l'on peut voir apparaître toute la
série
des affections périphériques que nous avons appri
ous l'ai fait pressentir, nous allons voir se reproduire ici toute la
série
des affections que nous venons à l'instant de pas
ous rencontrons dans ces circonstances, à peu de chose près, toute la
série
des lésions trophiques que nous avons déjé dé-cri
l'ex-ploration clinique l'a souvent démontré, le premier terme d'une
série
de phénomènes qui aboutissent dans certains cas,
, commence à subir, jusque dans ses ramifications les plus ténues une
série
d'alté-rations qui ont pour conséquence intime la
bout d'un temps relativement fort long. Il serait à désirer qu'une
série
de recherches fût instituée dans le but spécial d
ité électrique, l'atrophie hâtive des muscles et, en un mot, toute la
série
des phénomènes que dévoile l'obser-vation cliniqu
lité électrique, serait le précurseur et comme le premier terme d'une
série
de lésions plus profondes qui amènent graduelle-m
vous présenter, nous retrouverons, à quelques nuances près, toute la
série
des affec-tions que nous avons vues se manifester
ons douloureuses que le malade compare à celles qu'occasionnerait une
série
de piqûres. — Membre inférieur droit. Tous les mo
aris, 1871). 3. P. 92 et 93. 4. Gull. — Guy'sHospital Reports, 3'
série
. t. IV, 1858. Obs. XXXII. 5. Gull. — Idem. Obs.
lia. Wochensch., p. 19, 1864. PARTIE THÉORIQUE Messieurs, dans la
série
d'études qui précède, nous avons eu maintes fois
59, p. 274. — Gharcot, in Mou-vement médical, 1872, n0" 25 et 26; P'e
série
, n° 1, nouv. série. 3. Voir la thèse de M. Benn
ot, in Mou-vement médical, 1872, n0" 25 et 26; P'e série, n° 1, nouv.
série
. 3. Voir la thèse de M. Benni. — Recherches sur
1867, obs. V, XI, XXII. 4. Gl.Bernard. —Revue scientifique, LU, 2e
série
, 1872. — Schiiï. — Diges-tion t. I, p. 252. 5.
lùger's Archiv, t. V. p. 53 et Journal of Anatomy and Phy-siology, 2e
série
, n° de mai 1872, p. 480. 2. Vulpian. — Physiolo
as le mal dont elles sont atteintes. Au contraire, dans une seconde
série
de cas, letremblement est continu, permanent , il
ntes l'une de l'autre. Toutes 1. Archives générales de médecine, 5e
série
, t. XV, 1860, p. 702. 2. G.-V. Swieten. — Comme
il s'amende ou même disparaisse. Mais plus tard, consécutivement aune
série
d'amendements et d'exacer-bations alternatifs, il
e articulaire chronique primitif. leurs diverses articulations, une
série
de flexions et d'exten-sions alternatives, de man
mme du couru d histologie, 1864, p. 46. —Diction, ency-clopédique, 2e
série
, t. I, l,e part., art. Lamineux, p. 284. 2. Vir
uoi consiste l'affection de la névroglie qui marque le début de cette
série
de désordres? Il est facile d'y retrouver tous le
en ceinture. Vous venez de reconnaître, dans cette énuméralion, la
série
presque fout entière des phénomènes qui servent à
ie vraie, résultant de laformation 1. Société de Biologie, I. I. .•
série
, 1869-1870, p. 145. actuelle d'un foyer cérébra
de M. Vulpian que nous avons également rapportée (p. 138, i! yen! une
série
d'améliorations et d'aggrava-tion? alternatives.
s je ne veux pas m'arrêter 1. Mémoires delà Société de Biologie, 5e
série
, t. I, p. 107. Paris, 1870. 2. Voir ce que M. C
prennent parfois des proportions énormes et consécutivement toute la
série
des accidents qui se rattachent à cette complicat
loppement, dans sa progression, soit ascendante, soit descendante. La
série
symptomatologique 237). Dans le courant de cett
insular of Sclerosis the Brain and spinal Chord. (Ginfs Hosp. Rep. 3°
série
, t. XXI, London, 1875). (Note de la 2e édi-tion,
de reprendre et de compléter dans les confé-rences de cette année la
série
d'études que nous avions entre-prises, il y a deu
re insignifiante, à peu près nulle. Parfois même, il y a, pendant une
série
de plusieurs jours, suppression com-plète d'urine
domicile à l'ischurie hys-térique. Aprèsavoir consacré àce sujet une
série
d'articles (1), où il relate deux observations or
par la bou-che. Vous voyez, Messieurs, que c'est constamment la même
série
, — quels que soient le pays, le siècle, où les ob
aux normal. V. Tels sont, Messieurs, les résultats de la première
série
d'é-tudes qui nous ont décidé à entreprendre la r
part des phé- 1. Liégeois. — Mémoires de la Société de Biologie, 3e
série
, h 1, p. 274. nomènesqu'elles onlprésentéset do
Skey, qui à cet égard s'est fait le continuateur de Brodie, dans une
série
très intéressante de leçon s sur les formes local
es céphaliques qui ne sont évidem-ment que la continuation de la même
série
de phénomènes. Tels sont, s'il s'agit, par exempl
énomènes céphaliques), je viens de vous rappeler, Messieurs, toute la
série
de phénomènes obtenus dans l'expérience de Schutz
dans la région ovarienne ne fait que reproduire artifi-ciellement la
série
des symptômes qui se développent sponta-nément ch
quelque préoccupation qui lui aurait fait négliger d'inscrire dans la
série
des phénomènes de l'aura la douleur iliaque initi
hez Ler..., mérite d'être signalée. Elle a eu, comme elle le dit, une
série
cle 1. Valentiner ((Th.). — Die Hystérie ujnd i
tat de mal des épileptiques, à dis-tinguer ce qu'on nomme les petites
séries
, composées de 2 à 6 accès, et les grandes séries,
on nomme les petites séries, composées de 2 à 6 accès, et les grandes
séries
, où l'on compte jusqu'à 20, 30 accès oumêmeplus d
tout ce qui précède, que si dans Y état de mal épileptique, à grandes
séries
, la température s'élève très rapi-dement à un hau
plus graves, aucontraire, à-msYélatdemalhystéro-épilep-tique à longue
série
, la température ne dépasse guère le chifïre norma
qui a recommencé à se produire, s'accentue davantage. Telle est la
série
de phénomènes qui, depuis une dizaine de jours, s
igité esttransitoire, de très courte durée, et bientôt re-commence la
série
des mouvements d'extension et de flexion. Remar
jets, est, au contraire, dans ce cas, à peine esquissée. Telle est la
série
des phénomènes qui, constamment, dans toutes les
d'ordre moteur, para-lysies, con raclures des membresappartenant à la
série
hysté-rique ordinaire. Je relèverai encore que la
ogique, des équivalents, pouvant se substituer l'un à l'autre dans la
série
des affections hystériques ? Cet arrêt si remar
ssion à quatre ou cinq reprises, et chaque fois vous voyez toute la
série
des phénomènes se reproduire exac-tement comme da
ent, tantôt l'une, tantôtl'autre phase de l'attaque et quelquefois la
série
touten-tière. Or,uneattaque, àun moment donné, ch
ée pendant plusieurs mois. En 1873, étant àtaSatpêtrière, elle aune
série
à'attaques épilep-tiformes, avec écume à la bouch
rvice, la malade est gauchère. —Habituellement les animaux passent en
série
et courent rapidement, venant de derrière la mala
ne d'un quart d'heure ; mais elle peut se répéter pour constituer des
séries
d'attaques dont le nombre varie de vingt à deux c
oque de la Renaissance. Paris, 1873, art. Pèlerinages, p. 433). Une
série
de femmes, soutenues chacune par deux hommes et p
E Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT er J. NOIR Deuxième
série
, tome XIX. 1905. Avec 26 figures dans le texte
se plaint de la gorge qui est rouge ; pas de fièvre. Archives, 2°
série
, 1905, t. XIX. - 2 18 RECUEIL DE FAITS. Le 6
té après le pre- mier état de mal, se serait aggravée après choques
série
con- vulsive, jusqu'à l'âge de 4 ans. Après la
s notable des circonvolutions; l'atrophie prédomine au Archives, 2,
série
, 1905, l. XIX. 3 34 RECUEIL DE FAITS. niveau
ie est constituée surtout par des accès se présentant sous forme de
séries
, quelquefois d'état de mal, mais si le malade n
Fickler réplique par le résumé de plusieurs centaines do coupes en
série
. « Les fibres dit-il, qui s'élèvent le plus au-
ent ici qu'une place secondaire. Sur des coupes longitu- dinales en
séries
, on voit très bien que la décadence de la myé-
aite le cerveau par la méthode do Marcbi, finalement on le coupe en
séries
perpendiculaires et transversales continues. L'
extei-ies du pied du pédoncule cérébral, ou 2)es leit- Archives, 2-
série
1905, l. XIX. 4 GO revue d'anatomie ET DE PHYSI
musicale. Un imbécile agité, jadis atteint d'épilepsie, chante une
série
d'ac- cords sans fin qui imprègnent il ce point
ues. Seulement ici la période latente est de 7-12 an-, Archives, 2-
série
, 190p, l. XIX. 5 66 REVUE lIE PATHOLOGIE MENTAL
'nlxeillr, \\1', \. I. \lll, 190 ? . ) Groupons les accidents par
séries
chimiques : série ¡ ! l'a'51', sé- rie aromatiq
I. \lll, 190 ? . ) Groupons les accidents par séries chimiques :
série
¡ ! l'a'51', sé- rie aromatique, alcaloïdes.
'a'51', sé- rie aromatique, alcaloïdes. 1. -- Ll's composés de la
série
grasse qui produisent le plus SOU\ L'IÜ lies tl
fonctions sexuelles. Au dessous de l'écorce cérébrale existent une
série
d'or- (1) Des centres cérébraux dirigeant l'ére
testicules {Revue neurologique, 29 lévrier 1904)... , Archives, 2'
série
1905, l. XIX. 7 08 CLINIQUE MENTALE z gancs s
montré le haut intérêt de ces l'aits, et toute une leçon de sa 2''
série
des « Centres nerveux » est consacrée aux multi
ensémincnts et combien d'esprits simples mais justes , Archives, 2'
série
190 ? t. \)X. 8 114 ASILES D'ALIÉNÉS. 11'tolu
. (Reçue med. de la Suisse Ro- mande, 1905, n»<2 et .1.) D'une
série
d'expériences, l'auleurtirelcsconclusions suivant
des cumul- sions Ioniques. Chez les mammifères moins élevés dans la
série
animale (lapins et cobayesi, de même que chez l
inotfcnsif entre les mains de médecins compé- tents. Archives, 2°
série
, 1005, t. X1X, 11 jus soc ? 11 : : 3$,\\',\ : \
es efforts déployés. 1 1 - M. Wahl montre, en finissant, quelques
séries
photographiques - représentant des idiots depui
de (1) Clinique Psychiatrique de Genève, avril 1901. Archives, 2°
série
, t. XIX 12 178 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cortex
tion à l'étude des stéréotypies (21 i-ch. de Vell- rologie 1901, 2°
série
, p. 476). (3) Hicci. Le stéréotypie nelle démen
la façon des tailleurs. Les stéréotypies du décubitus complètent la
série
. A côté des nombreux malades qui passent une pa
r d'elle comme si son attention était successivement captée par une
série
d'objets étran- ges ; il lui arrive même de lai
mieux se représenter l'ensemble du mouvement qu'en imaginant une
série
de menues affirmations greffées sur une large n
ou surveillantes que M. M..., et Mlle 13..., ébauchèrent ainsi une
série
de fugues, sans prendre aucune précaution pour
es pour autrui, à l'époque où ils avaient un caractère Archives, 2°
série
1905, t. XIX. 14 210 CLINIQUE MENTALE. intent
Mme G.... pose à toutes les personnes qu'elle rencctn- , .. tre unc
série
de questions : « Comment vous appelez- vous ? Q
et les répétant à satiété d'une manière automatique. Elle fait une
série
de remarques à son interlocuteur : « Vous avez
nce au service de mouvements suffisamment simples et se répétant en
séries
. Il n'est même pas exception- nel de voir un ge
re, spé- cialement pour la forme ogivale. J. SÉGLAS. Archives, 2"
série
, 1905, l. XIX. 15 226 REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
raxe ; de plus, la rétroces- sion de la plupart des symptômes de la
série
tabetique par le traitement mercuriel dans un c
évolution et dissolution, 2" édit , 1J02, p. 3J0. .\ncIIIY¡¡', 2»
série
, I. XIX. 1 -1 258 physiologie me des excès qu
rs moteurs. Le corps strié est l'organe de l'hémisphère qui dans la
série
des vertébrés conserve par excellence son 'aspe
- 13RAY. (JOUI'I1, de Neurologie, 1903, no 20.) De l'examen d'une
série
de travaux, dont la plupart ont été pu- bliés à
en revue, en un style clair et précis, le clrrelop- lJement dans la
série
des vertébrés des voies conductrices et îles ce
nir compte des tonnes, elle apparaît dans 53 % des cas Archives, 2'
série
, 1903, l. XIX. 20 30G REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
un grand - nombre de paralytiques généraux (31J % et 54 % dans deux
séries
de malades). XX. Un cas de démence précoce ca
abituelle atteints d'angine simple, d'indigestion, de diarrhée. Une
série
analogue a été publiée par Dopter en 1901. Le z
puisque dans rétablissement d'ttalie où elle est plus Archives, 2'
série
, 1905, I. XIX. 21 322 revue de thérapeutique.
térique chez une fillette de 12 ans (1), nous avons essayé, par une
série
d'expériences et d'observa- tions, de suivre pa
te et passa- (1) Archives de neurologie, 1901 n° G9. Archives, 2'
série
, 1905, t XIX. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE. gère,
ent recherché dans ces conditions, chez notre sujet, avec toute une
série
de tests, en particulier ceux de Java ! , nous
binoculaire au sens physiologique du mot. C'est pourquoi, dans la
série
d'expériences que nous avons mentionnées plus h
xpériences que nous avons mentionnées plus haut, on doit faire deux
séries
: 1° Celles où vraiment la vision binoculaire e
bino- culaire proprement dite, nous avons institué une nou- velle
série
d'expériences. Nous avons vu c'est classique qu
amène cette occlusion .Nous avons dans ce hul institué unc nouvelle
série
d'expérien- ces. Expérience ? )^. - L'<eil
s problèmes de la bIO- logie générale, 1903, y. 537. Archives, 2'
série
, 1905, t. XIX, " 24 370 ' PSYCHOLOGIE. Prison
ltérables ceux dontla diffé- renciation est la plus récente dans la
série
llhylognicjue. ; Alors que les métamères sous-e
eurone est jeune, plus il se rapproche do l'état de l'amibe dans la
série
phylo- génique, de l'état du spermatozoïde et d
pourquoi ce cours mérite à peine le nom de cours. C'est plutôt une
série
de conférences que je vais vous faire. Je me co
constituent le syndrome catatonique sans parler de toute une autre
série
de phénomènes délirants, obsessifs, hallucinato
microcéphale de 17 ans (photographie), mort en janvier Archives, 2'
série
l(JO : 5, t. XIX. 1~> 38(i REVUE DE PATHOLOG
ntriloque, lequel fait la théorie de son art et explique par quelle
série
d'exercices variés il est par- venu à posséder
éoccupation de lutter contre la tuberculose. Dès 1901, une première
série
démesures étaient prises, les quartiers pourvus
rs. Nous n'avons pas cru devoir nous en tenir là el, poursuivant la
série
des mesures propres à combattre le redoutable f
s à les (1) Voir ce travail dans les Archives de Nell1'olo : .ie, ?
série
, 1003, t. XVI, p. 403. - Archives, 2' série,
de Nell1'olo : .ie, ? série, 1003, t. XVI, p. 403. - Archives, 2'
série
, 1005, l. XIX. 26 402 BIBLIOGRAPHIE. améliore
s, est décerné à I. le Dr Paul Sérieux, de Ville-Evrard pour, une
série
de mémoires ayant trait à la thérapeutique des ma
sortes d objets, et le musée du pavillon de chirurgie contient une
série
intéressante de corps étran- gers les plus dive
olie anxieuse et à l'insu du personnel une de ces lon- Archives, 2°
série
, 1905, t. XIX 28 434 CHIRURGIE DES ALIÉNÉS. g
o-scléreux portant du même côté un myosis avec diminu- Archives, 2'
série
1903, t. XIX. ' 29 450 SOCIÉTÉS SAVANTES. tio
ons organisé, même pour les incurables elles chroniques agités, une
série
de promenades quotidiennes, isolées ou par grou
iologischen Psychologie von M'undt 190.) P. KERAVAL. Archives, 2'
série
, 1905, 1. xix. 30 NECROLOGIE Le monde médical
t parfois de reconnaître qu'il lui était impos- , AnCII1\'T : O, 2-
série
, 1. XIX. 31 482 NÉCROLOGIE. ' sible de soluti
es Agnus qui, aussitôt, donnèrent des leçons aux enfants divisés en
séries
. Elles commencèrent par sept enfants et, à la f
on procède : quatre fois par jour, les enfants gâteux sont mis par
séries
de sept sur les sièges d'aisances, puis lavés,
ment combattue par Bri- quet, a été définitivement renversée par la
série
considé- rabledes observations publiées, autant
ous trouvons dans les antécédents personnels de ce jeune garçon une
série
de conditions analogues à celles qu'on observe
s le long du corps. D'autres fois, le malade exécute rapidement une
série
de mouvements d'extension et de flexion du tron
use. Terminaison. Lorsqu'il s'agit de la del'l11ère attaque d'une
série
, le délire est suivi de quelques instants de calm
t de la description précédente. A. Attaques spontanées.-26 janvier.
Série
d'attaques se succédant à environ une demi-minu
s yeux n'ont présenté aucune direction fixe ; la durée totale de la
série
a été de 35 minutes. 3° Pas de délire. 27 janv.
fréquent et dur. C'est ainsi qu'a débuté la première attaque de la
série
et le même état se représente dans les interval
3e période (Délire). Après ces contorsions, l'enfant exé- cute une
série
de grimaces exprimant la joie ou la terreur. Bi
alle entre chaque attaque est ordinairement de 3 à 4 minutes. Cette
série
s'est terminée de la manière suivante : à la fi
ie d'une période clonique à grands mouvements, l'enfant exécute une
série
d'arcs de cercle dans lesquels le tronc est sou
s des paupières et un état singulier de la lan- gue qui exécute une
série
de mouvements de va-et-vient d'avant en arrière
e malade était, croyait-on, atteint concurremment (1). La durée des
séries
est très va- riable et oscille entre une demi-h
heuse sur la nutrition générale et le développement. Telle est la
série
des phénomènes cliniques observés chez cet enfa
us avons entrepris, à Bicêtre, durant une période de deux mois, une
série
d'expériences sur des épileptiques et des hysté
de con- traction et de resserrement de l'iris soumis ainsi à une
série
d'oscillations de près d'un mill. ; il ne paraît
éral et les différents appareils. A. -Sur un total de plus de vingt
séries
de températures, il a été observé, pendant l'in
vé plusieurs fois ce fait à Bicêtre, chez des sujets en proie à une
série
d'attaques hystériques (vagues abdo- minales, s
et présente des plis de cicatrices de la muqueuse formant comme une
série
d'étages. La voûte palatine, le voile du palais
ur, s'étendent au membre inférieur; mais il est rare d'observer une
série
d'accès sans en voir plu- sieurs où les mouveme
t général, lorsque l'entant fut pris, le 5 juillet au soir, d'une
série
d'accès de plus en plus rapprochés. Le G au matin
e plus épais, on s'assure facilement qu'elle est constituée par une
série
de feuillets stratifiés, dont quatre au moins s
70 cent. - QUESTIONNAIRE pour le 1" examen de doctorat. Recueil de.
séries
d'exa- mens subis récemment (en 1876) à la Facu
ecine de Paris, indi- quant : 1° La composition du jury pour chaque
série
; 2° La préparation anatomique de chaque candida
dû répondre ensuite ; 4° Enfin le résultat de l'examen dans chaque
série
; suivi de questions sur les accouchements, recue
e la température, déterminée par la suggestion, ouvrait la voie à une
série
d'expériences nouvelles de même ordre et permetta
er ne cesse de se consacrer tout entier à ses études favorites, et la
série
de ses communications est loin d'être close. Ré
ambaud, Eid, Bilhaut, Gorodichze, Desjardins de Régla ont continué la
série
des toasts par des allocutions pleines d'à-propos
teur. M. le Dr Bianchi a fait, à l'Institut psycho-physiologique, une
série
de conférences. Parmi les médecins qui ont suivi
il ne suffira pas du récit d'un seul crime à sensation, il faudra une
série
de lectures, qui peu à peu augmenteront la prédis
n'est autre chose qu'un acte réflexe, dont le point de départ est une
série
d'excitations anormales, dues à l'instabilité du
té, fera une conférence sur : L'évolution de l'amour maternel dans la
série
animale. [Psychologie comparée). Jeudi 18 Févri
ort médico-légal, par le D' Bclard. Annales médico-psychologiques. 5e
Série
,T. V1H", 30' année, 18*12, p. 2?0 poussé, int
z lui les différents états du sommeil. J'ai fait avec lui plusieurs
séries
d'expériences, principalement pendant la première
té, fera une conférence sur : L'évolution de l'amour maternel dans la
série
animale. [Psychologie comparée). Jeudi 18 Févri
s les yeux : Essai sur quelques questions de grammaire raisonnèe : i"
série
, langue grecque ( i 877). — de la placerespectice
omatique : extrait des Bulletins de l'Académie royale de Belgique, 2e
série
, tome xxi, n° 5. — Mégamicros, ou les effets sens
une réduction proportionnelle des dimensions de l'Univers; ibidem, 3*
série
, t. XXV n*6; Paris, 1893. — L'ancienne et les nou
rphy, dans la seconde édition de son livre (Habit and intelligence, a
séries
of essays on the Latcs of Live and Slind), London
uble; nous voyons les fonctions intellectuelles se développer dans la
série
animale et dans l'individu, etc. Enfin, le septiè
idus, c'est celui du libre arbitre. (2) Bulletins de l'Académie, 3*
série
, L 1-, p. 463, 1882.— Déterminisme et liberté'. I
ciences, de l'Agriculture et des Arts de Lille, année 1878, t. VI, 4e
série
. (6) M. Boussinesq a répondu à M. Bertrand dans
it ainsi, il y aurait des effets sans cause. Supposons que, après une
série
de changements, l'univers dût revêtir un des (1
t revêtir un des (1) Bulletins de l'Académie royale de Belgique. 3*
série
, t. III, n° 2, 1882. (2) Revue philosophique, 1
second mouvement, puis une cellule C d'où troisième mouvement. Cette
série
en cascade explique bien le mouvement complexe co
e dernier peut être très compliqué ; une sensation donnant lieu à une
série
d'actes complexes, toujours suivant le même mécan
t prendre au maître son chapeau, pense qu'il va sortir et exécute une
série
d'actes qui indiquent sa pensée : il gambade, reg
chapeau est associée à l'idée de sortir, et cette idée détermine une
série
d'actes habituels. Le rôle de l'encéphale parai
représentation cérébrale de l'acte est nécessaire pour déterminer une
série
de mouvements destinés à reproduire l'acte. Ainsi
c. Supposez les cellules intellectuelles associées en cascade ou en
série
, au lieu de l'être, comme précédemment, en batter
(comme en électricité les bouteilles de Leyde peuvent s'accoupler en
série
ou en batterie). Comme nous l'avons vu pour l'act
anisme typique. Questionnez le malade, il déroulera ses réponses en
série
mathématique ; si on lui demande chez qui il a tr
té, fera une conférence sur : L'évolution de l'amour maternel dans la
série
animale. (Psychologie comparée). Jeudi 18 Févri
°, 142 p. Extraits des Bulletins de l'Académie royale de Belgique. 8°
série
. I. XIII. n° fi. 2. Paris, Alcan, br. in-8°, 32
. 2. Paris, Alcan, br. in-8°, 32 p. Extrait des mêmes Bulletins, 3-
série
, t. XIX, n° 4. suggestion1. Là, l'idée de la
. 36. 2. Extrait des Bulletins de l'Académie royale de Belgique, 3e
série
, t. XXVIII, n° 12, pp. 521-553, 1894. 3. Séance
XXII, p. 155: Mémoires de l'Académie de Stanislas, de Nancy, 1884, 5e
série
t. 11, p. 249. considérable, qui a paru à la
ns le perforer. Son œuvre n'a été — mais c'est quelque chose — qu'une
série
de puits de mine, de sondages d'ingénieur, pratiq
e l'ivrognerie. D'un autre côté, il aurait pu avoir affaire à une
série
de cas tels que les suivants, ce qui auraient pu
par désœuvrement. On voit jouer. On voit gagner. On entend parler de
séries
qui sortent, de côté qui gagne toujours. On joue
utes, prendre brusquement congé de vous. Il parle de combinaisons, de
séries
, tient le langage le plus fantastique. Un tel êtr
nt que non seulement les crimes, mais les procédés criminels vont par
séries
: femmes coupées en morceaux, victimes mises en c
té, fera une conférence sur : L'évolution de l'amour maternel dans la
série
animale. [Psychologie comparée). Jeudi 18 Févri
dans l'erreur; aussi, manifesta-t-il son intention de recommencer une
série
d'expériences sur de nouveaux patients, de manièr
23. — Les fails de fausse-mémoire se sont-ils présentés chez vous par
séries
.— Si oui, quel était alors à peu près l'intervall
parant chaque fait du suivant, et qu'elle était la durée totale de la
série
? 24. — Quels sont chez vous les états émotionn
tudes de psychologie expérimentale. Le cours est donc complet en deux
séries
de leçons. M. le D' Bérillon a commencé, le mar
u noir ou d'aucun papier, parvenir à fixer dans sa mémoire de longues
séries
de chiffres et à effectuer de si difficiles opéra
à effectuer de si difficiles opérations ? Lorsqu'on lui propose une
série
de chiffres, il les traduit aussitôt en images vi
aissent jamais que comme successifs ; il font partie intégrante d'une
série
qui se déroule dans le (1) Ce problême revient,
our la conserver, il a dû renoncer à ses études. Ainsi, retenir des
séries
de chiffres et combiner mentalement ces chiffres
stitut psycho-physiologique L'Evolution de l'amour maternel dans la
série
animale par M. Eugène Gaustier, agrégé de l'Uni
nce de psychologie comparée : l'Evolution de l'amour maternel dans la
série
animale, sujet qu'il a traité avec une rare érudi
ces exemples si instructifs, qui s'observent à tous les degrés de la
série
animale, et qui s'offrent à nos méditations comme
n en expérience. On pourrait employer cette méthode dans les accès en
série
. Charcot conseillait l'application de glace sur l
aient une aura cardiaque. M. Féré a obtenu la suspension d'accès en
série
chez des malades en leur appliquant des bottes de
ans l'ignorance de ce qui s'est passé. Enfin, si les accès étaient en
série
, si un véritable état de mal se produisait, il fa
nerveux normal, la castration totale aurait vraisemblablement clos la
série
des troubles abdominaux. Toutefois, une récidiv
diants inscrits. — Le musée psychologique vient de s'enrichir d'une
série
de documents concernant la criminologie et l'hist
), par le D' Lloyd- Tuckey, de Londres, 207. Amour maternel dans la
série
animale (l'évolution de l'), par M. Caustier,
ond au bord externe du noyau caudé. Ce prétendu pied, formé par une
série
de points, de sortie ou d'en- trée, n'existe pa
DE LA TOURETTE. En 1881, nous rapportions, d'après le Dr Beard une
série
de faits particuliers observés aux Etats-Unis,
kenheil d'Allemagne, nouspréférons apporternotre contingent à cette
série
d'observations connexes. Nous obser- vons en ef
uteur apporte deux observations de guérison par ce moyen. Une autre
série
de cas aurait entre ses mains témoigné soit d'amé
ct continu avec les pieds, l'opérateur applique l'autre pôle en une
série
de régions du corps. On commence par la région
ementation désirée par M. Parant rencontrerait dans la pratique une
série
de difficultés qui la rendraient inapplicable.
des bâtiments de l'hôpital d'Oslo et de son temple, ainsi que d'une
série
de maisons par- ticulières. Son édifice princip
traité didactique des maladies du système nerveux, c'est plutôt une
série
d'études sur quelques points spéciaux de telle ou
hallucinations sont sautées en quelque sorte, et l'on assiste à une
série
parfois fort longue d'accès épileptoïdes, qui,
De plus, chez la plupart des malades, les accès se sont montrés par
séries
consti- tuant un véritable état de mal, analogu
toujours normale, tandis que le pouls était à 120 ou à 130. Cette
série
de 8,000 attaques terminée, la malade ne pré- s
moyenne tous les mois, cent attaques qui se montraient toujours par
séries
de dix à douze, et étaient suivies d'un repos d
ter aux manifestations épi- leptiformes. En effet, à la suite d'une
série
d'accès épileptoïdes, nous voyons apparaître de
nt quelques jours huit à dix petits accès épileptoïdes en une seule
série
; mais ces accès sont tout à fait avortés ; ils
it, et la malade ne tarde pas à se lever. Du 3 octobre, début de la
série
des accès au '28, c'est-à-dire en vingt-six jou
pêtrière où elle reste deux années, pendant lesquelles elle a trois
séries
d'accès, séparées les unes des autres par un in
unes des autres par un intervalle d'environ six mois : la première
série
dura trois semaines, les deux autres, quatre mo
it recueillies sur elle en 1881. DES ATTAQUES DHYSTÉRIE. 1 45 !
séries
. Nous indiquerons successivement les caractères d
aque accès pris isolément, la succession de ces accès dans une môme
série
, l'enchaînement des séries. a. Description des
la succession de ces accès dans une môme série, l'enchaînement des
séries
. a. Description des accès. L'accès est d'habitu
efiet,szrnosnotéslespârticularitéssuivantes, qui se rapportent à la
série
d'attaques : qui, en novembre 1882, a précédé l
..., étaient tantôt isolés : tantôt et plus ordinairement réunis en
séries
; ils se succédaient alors à intervallestcourtsou
éries; ils se succédaient alors à intervallestcourtsou nuls, chaque
série
comprenant un grand nombre d attaques, comme on
bleau ci-dessous, qui indiquera- lai fois l'époque d'apparition des
séries
d'accès.'et le : nôubrefds accès constituant ch
tion des séries d'accès.'et le : nôubrefds accès constituant chaque
série
.,( ? r - 1 1 14S CLINIQUE NERVEUSE. Il est un
seszilait ? s'atténuant, 'pour disparaître tout à fait, une fois la
série
.d'accès, terminée, f. usLdrqué,rilaima.lade. a
aralysies telle qu'elle figure dans nos notes relatives à L'une des
séries
d'attaques : la malade vient .d'avoir. plusieur
e de plusieurs semaines ou même' de plusieurs mois qui séparait les
séries
d'accès, l'état de là-malade n'e ? pi'ê- sentai
l. La malade succombe en novembre 1882, à'Ia-suita'jdf'uno longue
série
d'accès. ; «-ne ! «>i(< us ) 1fnmoi6)fuoi.h
et' dues s a étandis enfin que Rosa G... survit après la formidable,
série
DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 1 ' k t ,151 de
de dégager les notions in- discutables qui vont être exposées. La
série
des replis qui nft au-dessous du lobule pariétal
rmes située au-dessous de la cinquième couche. · En comparant une
série
de douze coupes de la substance corti- cale che
s de la substance corti- cale chez des paralytiques généraux et une
série
de douze autres coupes de la même substance che
it à un degré plus ou moins marqué dans tous les cas de la première
série
, tandis qu'elle faisait absolument défaut dans
343.) . a L'auteur de ce mémoire, connu depuis longtemps par une
série
d'intéressants travaux sur la paralysie général
aiblesse, il a promptement'des^eschares^tendues-.puis survient -une
série
d'attaques epileptuormes^fL^malade^meurt.^ pqarl0
randeur;71némoirerpaesque entièrement perdue ? Deurrimois plusrtard;
série
: d'attaques.iJIort.r.aZ7ErIq Mb noitBmm6llni9Jri
s conceptions délirantes, même chez les déments, car il suppose une
série
de réflexions dont un haut degré d'infirmité in
eu sont les fauteurs coutumiers. Chez les déments et les idiots, la
série
des mouvements nécessaires dans l'acte de goûter
ns le malin plaisir d'imitation que se donnent les garçons assis en
série
pour être examinés (Meyer); qu'on parera à tout
artiers de malades et les constructions agricoles consistent en une
série
de bâtiments disséminés, la plu- part à un étag
n, l'habitation du gardien et de la gardienne en chef, ainsi qu'une
série
de chambres pour les ma- lades demi-agités avec
ise d'attaques, à plusieurs reprises. Ces attaques revien- nent par
séries
, et se reproduisent en grand nombre pendant DES
ndant DES ATTAQUES D HYSTERIE. 281 plusieurs jours. La première
série
d'attaques s'est montrée en mai 1882, une deuxi
a même année ; en février, juillet et octobre 1883, trois nouvelles
séries
d'accès. I. Description des attaques. a) Aura.
ux. Mais lorsqu'on surprend un accès isolé ou l'accès initial d'une
série
, on se convainc, à l'aide des renseignements fo
a eu des varian- tes. En novembre 1882, par exemple, a eu lieu une
série
d'accès : quelques-uns de ces accès différaient
en face d'un accès d'épilepsie partielle ou, mieux encore, d'une
série
d'accès, les éléments symptomatiques accessoire
e fausse épilepsie partielle se mon- trent en effet d'ordinaire par
séries
, quelquefois con- sidérables, constituant alors
les accès. Depuis son entrée à Bicètre, il aurait eu trois fois des
séries
; il se plaint souvent à sa mère de douleurs de
phénomènes de l'aura. Notre malade a eu, à plusieurs reprises, des
séries
d'accès; il eut de plus, en 1874, un état de ma
, les cinquième et sixième mois sont consacrés de concert avec la
série
des deux sortes d'entraînement précédents, à l'as
atre premières observations rapportées par Schultze con- cernent la
série
des altérations de la moelle consécutives à des
rès la mort et traite indistinctement toutes les pièces par la même
série
de manipula- lions. Il constate alors que la fo
tation. Agitation sans but, vio- lences, gâtisme ; à la suite d'une
série
de fortes attaques, elle tombe dans un état de
E Secrétaires de la rédaction : J -B. CHARCOT ET J. NOIR Deuxième
série
, tome XVI. 19 03. Avec 39 figures dans le texte
ales par l'éli- 1)ilialion pi-ovoqziée, Masson 1900. Archives, 2-
série
, t. XVI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. nous avons in
3). DÉLIRE ET PETIT BRIGHTISME. 9 peut provoquer par lui-même une
série
d'auto-intoxications parmi lesquelles l'insuffi
épaules, un bonnet. Leur traitement est, au début, de Archives, 2°
série
, t. XVI. 2 Rapport de surveillance du pavillon.
aide de leur exécution par l'expérimentateur). M. Sommer a fait une
série
d'essais, en combinant le cinémato- graphe avec
issances primaires. 1'0\I : Date : Heure : , 1. Alphabet : . 2.
Série
de chiffres : 3. Noms des mois : 4. Jours de
le. NOM : Date : Heure : I. Alphabet : a, v, g, 1, f, n, z. II.
Série
de lettres : a-s-p-c-t-r. 111. Série de chiffre
t : a, v, g, 1, f, n, z. II. Série de lettres : a-s-p-c-t-r. 111.
Série
de chiffres : 7-3-9-5-2-6. IV. Mots d'une sylla
iffres : 7-3-9-5-2-6. IV. Mots d'une syllabe : pam, vin, pied. V.
Série
de mots d'une syllabe : pain-pied-vin. VI. Mots
à terre assez facilement un petit objet quelconque. Archives, 2°
série
, t. XVI. 3 Fig. 1 et H. RACHITISME- CONGÉNITA
'est qu'il se trouve intercalé par son rang de naissance entre deux
séries
de produits normaux. L'hérédité semble donc hor
us les exercices, surtout pour les leçons de choses. Archives, 2»
série
, t. XVI. i l'ig. 10. Lem..., (Georges) en octob
sorte de commandement sur le reste de l'appareil ner- AkCHIVRS, 2°
série
, t. \Vl. 5 66 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
que l'hypertrophie osseuse fronto- pariétale droite, ou trouva une
série
de tumeurs duremériennes, dont une plus volumin
tare quelconque ? Qui par exemple pourrait se flatter que, dans la
série
de ses ascendants, en remontant jusqu'au xvt° siè
xiste non pas une conscience absolue sans contenu, en soi, mais une
série
d'états conscients. Nous ne connaissons pas la
il y signale l'influence de l'hérédité manifestée par Archives, 2e
série
, t. XVI. G 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. certains sig
taxiques. Il ne suffit pas, en effet, d'enseigner à ces malades une
série
d'exercices méthodiques; il est nécessaire d'exig
lisations motrices spinales ont été mises à l'ordre du jour par une
série
de recherches anatomo- pathologiques et expérim
on. Cependant, lorsqu'on le leur a enseigné, ils arrivent après une
série
d'efforts à corriger leurs fautes. Comme il n
^intellectuel ; parole très lente; voix aigre, etc. ' Archives, 2-
série
, t. XVI. 7 98 . RECUEIL DE FAITS. 1893-1894.
nts qu'envoie en arrière la T' (PLAaCUE I). ' Nous avons publié une
série
de ses photographies en 1839 et en 1896 (Voir .
hyperhémié. Rein gauche lobulé, très conges- tionné, présentant une
série
de dépressions circonscrivant 4 ou 5 gros lobes
e dépressions circonscrivant 4 ou 5 gros lobes. Signalons aussi une
série
de petits kystes variant d'un pois à une tête d
lexus sont beaucoup moins ser- rées que normalement. Archives, 2«
série
, t. XVI. 9 130 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. La c
arche est dif- ficile. Quand il est debout, le malade exécute une
série
d'oscillations involontaires dues à des contrac
alcoolique, épileptique, entré à Gicétre le 26 août 1900, pour une
série
d'attaques épileptiformes, raconte tous les évé
s lésions progressives de pacby-méningite chronique. Archives, 2°
série
, t. XVI. 12 17 SOCIÉTÉS SAVANTES. Trois cas d
lui-même alcoolique et mentalement très débile et offrant toute la
série
des symptômes d'un tabes à la période d'incoordin
des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Paris. Sixième
série
: année 1900-1901. Un volume grand iti-80, de 6)8
la Salpétrière, le professeur Raymond faisait paraître une première
série
de leçons didactiques délivrées au cours de la
l'épreuve qui lui était soumise. Il est dit. en effet, page 12, 6"
série
que DI11. Landouzy et Déje- rine ont eu tort de
évolution des obsessions et leur passage au délire. Archives, 2-
série
, t. XVI. ' 13 . 194 CLINIQUE MENTALE. tardive
avec l'un ou l'autre de ces symptômes la coexistence de toute une
série
de processus psychiques obsédants les plus variés
négalité d'âge de plus de onze ans (mère plus âgée). Archives, 2e
série
, t. XVI. 14 210 RECUEIL DE FAITS. 1 Trois enf
e, la catatonie ne serait qu'un syndrome morbide commun à toute une
série
d'affections mentales et nerveuses. Enfin un troi
ction de M. le D'' PEETERs, médecin directeur, Bctcck- Arscmvrs, 2°
série
, t. XVI. lj 22G SOCIÉTÉS SAVANTES. mans, méde
dis que ces der- nières s'accusent de moins en moins dans la longue
série
des cas, par rapport à ce qu'elles sont dansles
, ont fait remarquer non sans une pointe d'iro- nie. Archives, 2=
série
, t. XVI. 16 242 '). SOCIÉTÉS SAVANTES. Au poi
tait indifférente à tout. · Ses accès et vertiges survenaient par
séries
; l'enfant, traitée au bromure de camphre et pa
lation, sur la nutrition et sur le système nerveux. Les AHCmn.s, 2°
série
, t. aVI. 17 258 SOCIÉTÉS SAVANTES. rayons bla
avec des variations d'intensité, les malades qui font l'objet d'une
série
de neuf obser- vations résumées succinctement c
recons- tituer entièrement l'odyssée de cet individu, de relater la
série
si nombreuse de ses méfaits, afin de faire ress
-vingt-dix, vigoureux, il est porteur de quelques stig- AKOnvES, 2'
série
, t. XVI. ' 19 290 MÉDECINE LÉGALE. mates de d
ant généralement acceptées par les médecins anglais. Archives, 2"
série
, t. XVI. 20 306 THÉRAPEUTIQUE. Ce n'est cepen
aquelle la seconde n'est pas proportionnée. Il a tâché Archives, 2e
série
, t. XVI. 21 322 SOCIÉTÉS SAVANTES. de schémat
r des basedowiens : l'épilepsie seule attirait l'at- AIICIIIVES, 2'
série
, t. XVI. 22 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. - tention.
mentalité ou stade de l'enfance. Cet état morbide se marque par une
série
concordante et symétrique de manifestations psych
précédemment observés, croyons-nous pouvoir dire que : Archives, 2°
série
, t. XVI. 23 354 SOCIÉTÉS SAVANTES. A côté des
arfait; ils sont chez l'homme rarement isolés et appartiennent à la
série
des tics variables ; comme l'ont montre SOCIÉTÉ
sa valeur thérapeutique. En automne 1889, Wettestrand a fait une
série
de conférences devant un auditoire nombreux compo
fois cette dernière constituée, elle entretient l'hys- Arscmees, 2-
série
, t. XVI. 21 370 SOCIÉTÉS SAVANTES. térie, en
le périmètre de main. ;Fig. 20 et 2l,dex. et sin.) qui Archives, 2"
série
, t. XVI. 2G Fig. : n. 402 THÉRAPEUTIQUE. do
ù les malades pour- ront se reposer et séjourner l'hiver ; puis une
série
de cham- bres d'isolement spécialement aménagée
t été auscultés et trouvés atteints de tuberculose.. Cela fait, par
séries
plus ou moins nom- breuses, par mutations succe
ger sourire non motivé, regard fixe, sans expression ; Archives, 2°
série
, t. XVI. 21 418 CLINIQUE MENTALE. se tient im
aravant et nous avons réexaminé en juin 1903 les survi- vants de la
série
examinée en 1902. 1 Communication au Congrès de
s cru également devoir examiner le fond de l'ceil chez une nouvelle
série
de malades. La grande fréquence des lésions obs
ale. Le résultat de l'exanzenolhtitali2oscopiqite de notre nouvelle
série
, qui comprend quarante-quatre paralytiques- gén
raités dans des conditions inverses. Si l'on obtient de la première
série
une postérité vigou- reuse et indemne d acciden
inférieur, contient quelques caillots presque unifor- aACUn'es, `3°
série
, t. XVt. 28 1131 RKVUK L',\'A'i'OIfE E'1· DE PH
ans Ig chaos des maladies nerveuses, reconnut, à leur démarche, une
série
d'ataxiques réunis à cette station. La sélectio
ulée à l'hospice de la Salpêtrière, fut entraîné vers l'étude d'une
série
de maladies nerveuses, caractérisées par des lési
tandis que la plupart des fibres réservées à la. AItClll\'H5, ` ? ^
série
, t. a\'l. HO 466 pathologie nerveuse. percept
ue le précédent pour un même individu. Tel aliéné, tel Archives, 2'
série
, t. XVI. 31 482 CLINIQUE MENTALE. paralytique
e l'ouie tle cause externe (Annales Me<Hco ? c/tO<., 1883, 6"
série
, tome 10). HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 503 éléme
cesse, la tête tend à reprendre sa position en torticolis, par une
série
de petites secousses brusques très apparentes.
s voisines et les villes, que les influences alcoolique Akcmvra, 2°
série
, t. XVI. 33 - 5 1 ! 1 1 ASILES d'aliénés. et
eur automatisme mental ne peut pas évoluer ou s'adapter à une autre
série
d'images : il est immobilisé et il contribue à
risme de 4° pour les droits supérieur et inférieur, et Archives, 2»
série
, t. XVI. 34 530 SOCIÉTÉS SAVANTES. à 8° pour
s recherches, c'est que successivement nous nous sommes butés à une
série
de difficultés. En premier lieu, les chiens éth
calcarine. - Planche 111 Voir la légende, p. 119. Archives, 2»
série
, t. XVI. 3· T : 113Lh Dh.S 31ATlÈItFS .lm : i
masand, Halltou et Meige. 263. Acres psyciiiqles. Les - dans la
série
animale, yat Ilaeiret-Souplet, 181. f. .1(.EN
bâillement, ce sont là, remarquez-le bien, des phénomènes de la même
série
. Les antécédents personnels sont plus riches :
après les attaques, tombe dans un profond sommeil. Voilà certes une
série
d'accidents qui, au premier chef, révèlent l'hyst
e névrite a été rendue plus accentuée encore et plus évidente par une
série
importante d'observations ad hoc qu'on doit à M.
homme une véritable asthénie neuro-musculaire. — Voici l'exposé d'une
série
d'autres phénomènes que notre enquête nous a perm
régionhypéresthésiquedu flanc gauche et, consécutivement, de toute la
série
des phénomènes de l'aura que nous décrivions tout
embres. IL s'agit encore de rechercher avec minutie la présence d'une
série
de caractères cliniques concomitants de l'impuiss
eux-mêmes suffisamment significatifs ; mais nous pouvons allonger la
série
. Relevons en premier lieu la non-participation
très affaiblie; goût nul du côté droit de la langue. Voilà toute la
série
des stigmates classiques qui se déroule devant no
que le « sommeil hystérique » est en quelque sorte l'équivalent d'une
série
plus ou moins prolongée d'attaques régulières. J'
me vous le prétendez que l'attaque de sommeil soit l'équivalent d'une
série
d'attaques convulsives hystériques, d'un état de
us ai dit dans le temps à propos de la très longue durée de certaines
séries
d'attaques hystéro-épileptiques, vous reconnaître
us trouverez là l'histoire très authentique d'attaques hystériques en
série
, qui ont duré quinze jours (8.000 accès) et vingt
de mal. En décembre 1885 (Voy. Bl. Edwards, loc. cit.) elle a eu deux
séries
d'accès : la première qui a duré treize jours et
démontré, la température centrale ne s'élève pas notablement dans ces
séries
interminables d'attaques convulsives qui presque
ue l'attaque de sommeil représente une attaque ou plus exactement une
série
d'attaques hystériques « transformées ». Il y a
ptée et soutenue, me paraît applicable â l'interprétation de toute la
série
de faits que nous venons d'exposer. Elle consiste
ement sera toujours le même : le malade prendra pendant deux ou trois
séries
de quinze jours ou trois semaines, séparées par d
de l'hôpital Laënnec qui se déroule devant les yeux de son esprit, la
série
se termine de la sorte, mais elle peut se reprodu
rées sans complications, terminées parla mort. Arch. de Méd. 1853, 2°
série
) et avec le Dr Sturges [Chorea as a fatal disease
ifs deviennent nombreux et ils s'enchaînent de façon à constituer une
série
à peu près ininterrompue. La température s'est él
slhénie et hystérie combinées. Le Progrès médical, 1888, t. VIII, 6me
série
, p. 58. 3* et 4e Malades (Deux jeunes malades
ce des douleurs cubitales associées à quelques autres symptômes de la
série
, tels que la diplopie par exemple ou la parésie v
sion, quelque jour, de nous arrêtei avec insistance. Je continue la
série
de nos investigations. Nous savons désormais dans
-toïde fait défaut — et, enfin, attitudes passionnelles. La durée des
séries
de crises ne s'étend pas au delà d'une demi-heure
quée à l'étude des fonctions oculaires, elle devait révéler toute une
série
de faits inattendus et conduire ainsi à démasquer
té conduit à mettre en valeur dans l'examen de notre malade toute une
série
de phénomènes qui autrement seraient restés clans
n rétrécissement unilatéral très net du champ visuel et aussi par une
série
d'autres phénomènes dont il sera question dans un
r se reproduire, sous une forme plus grave encore peut-être, toute la
série
des accidents paralytiques d'autrefois. Or, messi
t moins prolongées. Celles du soir se reproduisent habituellement par
séries
presque ininterrompues, de façon à occuper une bo
e car, dans l'espace de six mois, les symptômes les plus divers de la
série
tabétique avaient presque atteint leur apogée. Au
ats, quels-qu'ils soient, que nous aurons obtenus dans cette nouvelle
série
de recherches. Suivant en cela l'exemple de M.
ins, avec le secours de la méthode graphique,paraît constitué par une
série
d'oscillations.de trépidations menues, brèves, se
M. Marie, Associé à la tachycardie et à quelque autre phénomène de la
série
, tel que « les crises diarrhéiques », par exemple
e cas qui ne soit à peu près de connaissance vulgaire. Mais voici une
série
de phénomènes qui, si je ne me trompe, n'ont pas
celle-ci s'est montrée maintes fois pendant cette longue période, par
séries
de 15, 20 jours et plus, marquée par des températ
n a vu il y a deux ans s'effacer, au moment même où se développait la
série
de Basedow, ont repris comme de plus belle, depui
particulière de paraplégie qu'il conviendra peut-être d'ajouter à la
série
déjà longue de ceux qui se rattachent plus ou moi
s 1. Les dangers de l'hypnotisme, Annules médico-psychologiques, 7e
série
, tome 9, Paris, p. 103. caractères informes ; o
u mourir. D'autres fois, ce sont des animaux étranges qui marchent en
séries
. Interrogé à l'improviste sur la question de savo
mange avec un certain appétit, mais par contre on voit apparaître une
série
d'attaques hystéro-épileptiques parfaitement cara
n'y faut pas voir autre chose qu'une grande attaque, ou mieux qu'une
série
de grandes attaques modifiées dans leur forme ext
l'attaque de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu dans les
séries
d'attaques hystéro-épilepti-ques (1). Mais c'en
et par conséquent à ramblyopie.Habituellement,les animaux passent en
série
et courent rapidement venant de derrière la malad
s, de déterminer la place que le cas de Men... s doit occuper dans la
série
de l'automatisme ambulatoire, et nous serons cond
ntales, et, ce qui est fort remarquable également, c'est que, dans la
série
classique des phases de l'attaque, le somnambulis
par leur association avec un ou plusieurs des autres syndromes de la
série
tabétique, ces troubles gastriques si particulier
tabès se trouvent nécessairement associées aux autres syndromes de la
série
tabétique qui remplissent cette période, et cette
Les réflexes rotuliens ont persisté : en un mot, aucun symptôme de la
série
tabétique n'accompagne les crises. M. Debove conc
ier, qui a bien décrit les cas de ce genre, par la « succession d'une
série
de douleurs véritablement crampoïdes, c'est-à-dir
publiée dans le Journal de médecine de Bordeaux appartient à la même
série
(2). Le sujet est unhomme de 50 ans chez lequel l
rs de l'œil, des crises vesicales et de bien d'autres symptômes de la
série
qui peuvent n'exister que passagèrement, bien que
iques se sont trouvées associées à quelques symptômes univoques de la
série
tabétique, de manière à constituer un complexus
es comme de l'écriture, et si on lui fait, sur une page, dessiner une
série
de cercles en lui disant de s'efforcer de les fai
tpellier médical, sur un cas d'hystérie mâle avec astasie-abasie, une
série
de leçons qui exciteront certainement un vif inté
, l'épilepsie avec les accès qui ia caractérisent. Voilà certes une
série
d'événements qui se succèdent et s'enchaînent sui
r envahie. A. la vérité,lorsque cet envahissement s'est opéré,la même
série
de phénomènes et, en particulier, l'atrophie prog
néral, les crises d'hystéro-épilepsie, vous le savez, s'enchaînent en
séries
. Voilà ce qu'on appellel'hystéro-épilepsie à cris
es par des entr'actes d'amor-phinisme, alors les malades accusent une
série
de troubles qu'il faut bien connaître. Notre mala
rs la moindre modification. Messieurs, M. Boudin auquel on doit une
série
de travaux intéressants concernant la foudre, con
temps-là, il n'était pas homme à prendre peur de l'orage. Dans cette
série
d'aventures que nous venons d'énumérer et dont qu
numéros du Bulletin mensuel de la Société météorologique italienne. (
Série
II. vol. V. n° VIII. Agosto 1885 p. 125 et série
ologique italienne. (Série II. vol. V. n° VIII. Agosto 1885 p. 125 et
série
II, vol. I n" X. 1881, p. 215.) 3. Galli, loc.
et fut étourdi pendant quelque temps. (Pr Galli. Bolletino mensuale.)
Série
II, vol. 1, n° 10,p. 214 :1881. 2. Sestier t. I
rvée. Sestier ne cite que deux cas 1. Dict. de Dechambre, t. VI, 4e
série
, p. 285, 287. 2. Zur Lehre von den Wirkungen de
ctéristique des paralysies par fulguration, mais voici maintenant une
série
de faits qui sortent évidemment du cadre. En po
, professeur à Prague, qu'on doit d'avoir, à partir de 1882, dans une
série
de travaux importants, appris à rattacher à la lé
ssique de l'hystérie. Un troisième groupe de symptômes répond à une
série
de lésions cutanées ou sous-cutanées, osseuses ou
développement de celle qui nous occupe actuellement, si ce n'est une
série
de bronchites vers l'âge de 24 ans, et une pleuré
ues d'une collision. Le premier de ces malades n'appartient plus à la
série
traumatique. Son cas doit être rangé dans la caté
n : .J.-H. (;11/\lIeo'l' et J. NOIR Dessinateur : LEUB.1 Deuxième
série
, tome VIII. 1899. Avec 6 figures dans le texte.
faire remarquer que le terme est passé tel quel dans Archives, '2"
série
, t. VIII. 1 2 CLINIQUE MENTALE. toutes les la
rs, contre soi ou à l'égard de ses semblables, qui représentent une
série
d'idées fixes. Le désir de parvenir, l'image
l'a conçue. Elle est l'aboutissant régulier, naturel, de toute une
série
d'associa- tions d'idées combinées et convergea
. Ces conditions sont particulièrement claires quand il s'agit de
séries
d'idées qui peuvent, pour l'homme, devenir des
thologiques, à des souvenirs de n'importe quel évé- nement ou d'une
série
d'événements particulièrement trou- blants, tel
physiologi- que, ou de la disjonction de l'ordre préétabli dans la
série
des idées, qui devient en un mot l'idée prévale
s tardé à reconnaître que, dans le cadre même de cette Archives, 21
série
, t. VIII. 2 lao CLINIQUE mentale. théorie du
rchives de Neurologie, n° 40, t. VU, 1899, p. 257. AnclII\'I : s,2o
série
, t. VIII. 3 34 PATHOLOGIE MENTALE. mânes de c
on tendineuse ou musculaire dans un pareil cas. > Archives, 2"
série
, t. VIII. 4 sol REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
eur, c'est-à-dire pendant trois ans, cette jeune fille présenta une
série
ininterrompue de crises et de rémis- sions touj
éventualités morbides d'ordre chirurgical ou médical. Archives, 2e
série
, t. VIII. 5 66 SOCIÉTÉS SAVANTES. Il est illo
rantes ; il n'y a pas d'idées spéciales de persécution. Toute une
série
fixe de conceptions en rapport avec une exagérati
artifices d'imagination; l'aboutissant est toujours, forcément, une
série
de conclusions vicieuses. L'idée fixe, déraison
ne un délire. circonscrit, roulant sur la même idée ou sur une même
série
d'idées pour le même individu. Puis, l'or- gani
ce qui se dit, tout se qui ce fait ; et dans toutes choses, par une
série
de raisonnements plus ou moins logiques, il décou
mpêchait de gagner sa vie, on voulut l'assassiner. ' Archives, 2"
série
, t. VIII. 7 98 CLINIQUE MENTALE. C'est vers c
n homme d'abord simplement défiant et ombra- geux, arrivant par une
série
d'interprétations délirantes à Vidée fixe qu'on
ébat, en toute connaissance de cause, que Raton y Cual inaugure une
série
d'études sur la structure comparée des diverses
ques et aux corps cellulaires des cellules pyramidales disposées en
séries
verticales ; il estime donc vraisemblable que c
projetée et transformée en sensation. » Jules Souri. Archives, 2'
série
, t. VIII. 9 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. I. Le tri
t par la décision de la cour était tout à fait affligeant. Dans une
série
d'articles presque quotidiens, où toute mesure ét
z les sains d'esprit et chez les aliénés; par le De l'iLCZ. D'une
série
d'observations faites sur ses propres rêves depui
l'ataxie dans les mouvements des membres inférieurs. Archives, 2°
série
, t. VIII. 10 146 SOCIÉTÉS SAVANTES. A l'exame
où l'habitude n'était pas encore prise et eut prévenu, croit-il, la
série
de déplorables mésaventures qu'il a eu à subir.
et de l'inégalité pupillaire ainsi que des accès épileptiformes en
série
. Quelques mois après elle succombait et on trou
est bien une parah tique générale, c'est qu'elle avait des accè= en
série
, qu'on ne rencontre pas chez les épileptiques et
ons organiques. M. DoorsEUEVr n'a observé au contraire les accès en
série
que dans l'épilepsie essentielle. Us sont relat
la vessie avant chaque coït et renforcé par suggestion Archives, 2°
série
, t. VIII. Il 162 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'action
urasthéniques traitées par auto-suggestion. M. Lépinay rapporte une
série
de phobies qu'il a observées sur un homme de tr
et idées fixes; par le professeur F. RAYMOND et le Dr l'. Janet. 2°
série
, grand in-80 de 500 pages, avec 9 figures dans
9 figures dans le texte. Paris, F. Alcan, 1898. ZD Cette deuxième
série
pour laquelle M. Raymond s'est joint à BIBLIOGR
es et trophi- ques, viennent complètement terminer cette attachante
série
de faits. Chacun de ces 152 cas forme un tout q
s et des fibres centrifuges mélangées. Les secondes ne Archives, 2°
série
, t. VIII. 12 178 8 PHYSIOLOGIE. communiquent
ase; puis, en même temps qu'une sen- sation consciente pénible, une
série
de mouvements des pau- pières destinés à l'expu
mps en temps le clignement se produisait normalement ; Archives, 2»
série
, t. VIII. 13 194 PHYSIOLOGIE. son regard se f
iment de faiblesse, le malade présente de la céphalée, Archives, 2°
série
, t. VIII. 14 210 PATHOLOGIE NERVEUSE. des vom
ativement à l'oreille moyenne droite ou gauche. Diminu- ascuwra, 2'
série
, t. VIII. 15 226 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. tion
façon à disposer d'une baignoire pour deux ou trois malades; chaque
série
de deux ou trois baignoires sera séparée de la su
de Courmelles propage une erreur. Dans un autre ordre Archives, 2'
série
, t. VIII. 1tj 242 BIBLIOGRAPHIE. ' d'idées je
à la Société de Chirurgie. Séance du 1" mars 1898.) Archives, 2'
série
, t. V111. 17 ï 258 CLINIQUE MENTALE. les cas
es plus divers ». Ils sont le résul- tat de l'action combinée d'une
série
de causes d'ordre psy- chique ou physique sur d
. et dont voici quel- ques fragments, textuellement reproduits (Les
séries
de points indiquent les pauses faites par le ma
rononcée à abuser du vin et des liqueurs fortes. Pendant une longue
série
d'années, il a pu, à son gré, satisfaire sa pas
ibuent un rôle prépondérant dans la genèse de ces trou- ÀRCmvES, 2'
série
, t. VIII. 18 i 4 CLINIQUE MENTALE. bles psych
-opératoire ». Chez cer- tains prédisposés, l'action combinée d'une
série
de causes d'ordre physique ou psychique relevan
re gaie ou triste, sur la manière d'être du sujet, ont provoqué une
série
d'alternatives irré- gulières d'agitation et de
nne n'aurait pas lieu. Mais, outre qu'il est difficile Archives, 20
série
, t. VIII. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. d'imagine
ie faciale également produite par un coup sur la tête, Archives, 2°
série
, t. VIII. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
adultes devenues démentes à la suite d'accès répétés d'épilepsie en
série
et qu'un examen superficiel eût pu faire prendre
de l'abaissement de l'excitabilité électrique, en pro- Archives, 2°
série
, t. VIII. 22 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. portion d
ième attaque. A partir du printemps 1898, les accès se répètent par
séries
. Chaque accès est suivi d'exci- tation avec con
embre, la malade eut six attaques. A partir de ce jour survient une
série
d'accès apoplectiformes et épileptiformes avec
i. Le 7 avril 1898, le malade est apporté à l'hôpital Archives, `3°
série
, t. VIII. 23 354 CLINIQUE NERVEUSE. complètem
tobre 1898. 3 Roger et Josué. Presse médicale, 1898. Archivas, 2»
série
, t. VIII. 't 370 CLINIQUE NERVEUSE. nobles ne
es antérieures et transversales demeurent libres. Sur les coupes en
séries
trans- versoperpendiculaires on voit que le cor
Mignault. (Union mé- dicale du Canada, n° 5, 1899.) ' Début d'une
série
de conférences ayant pour but d'exposer l'ana-
sur les modifications nutritives intracellulaires pré- Archives, 21
série
, t. VIII. 27 418 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. coce
petite contradiction est à relever dans le mémoire des Archives, 2.
série
, t. VIII. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. auteurs,
exceptionnel ; les affections organiques incidentes ne Archives, 21
série
, t. VIII 29 450 THÉRAPEUTIQUE. passent plus i
t et crée le niut Be/tbehandlung9. Il poursuit sa campagne dans une
série
de publications 10. 1 Paetz. Berichl ilber die
une notion complexe, formée par la succes- sion dans le temps d'une
série
de notions de position en sorte qu'on aurait la
1850. . Lelarbucle des Physiol. Psychologie I, 1893. Ancuwua, 2°
série
, t. VIII. 30 466 REVUE CRITIQUE. qui est celu
en plus des sensations habituelles qui indiquent la résistance, une
série
d'impressions de même nature, mais de sources d
, avant-bras) se trouvaient entravées dans leurs mouve- AncmvES, 2°
série
, t. VIII. 31 482 '2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
rmer des hypothèses controversables. P. 11LR : 1Y1L. Archives, 2"
série
, t. VIII 3 : 498 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
cellules à petites granulations, à noyau périphérique, ordonnées en
séries
. Au lieu de nerfs on trouve des cellules gra- n
n séries. Au lieu de nerfs on trouve des cellules gra- nuleuses, eu
séries
régulières, séparées par des tractus de subs- t
postérieurs du chien, on peut amener une dilatation du Archives, 20
série
, t. VIII. 33 514 4 SOCIÉTÉS SAVANTES. canal c
Et puis, l'art de la suggestion est très complexe ; il comporte une
série
de précautions parfois négligées ; ainsi le mal
ette base indiscutable de toute activité physique ou psychique. Une
série
de déductions montre ensuite le mécanisme de la
e et de géométrie. (La Fronde du 24 octobre 1899.) 0 Archives, 2"
série
, t. VIII. 3t : 5 : 30 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
a transition n'en est pas moins apparente et se trahit déjà par une
série
de détails révélateurs. OBs. III. P... Marie, 5
ptiques comprennent, en même temps que leur traitement médical, une
série
d'adjuvants, d'auxi- liaires. L'auteur, après
dans toute sa pureté un trouble psychique élémen- taire. Toute une
série
fixe de conceptions en rapport avec une exa- gé
me psychique élémentaire caractérisé par l'exagération de certaines
séries
de conceptions. Mais avant de qualifier cet éta
estée huit heures sans connaissance. Elle a eu successivement une
série
de crises de maladie de Raynaud, toutes survenu
ar lui sur le chien, avec l'aide de son assistant, Dr Kirby, en une
série
d'expériences dont il a donné connaissance, en
dialogue singulier qui est comme la projection saisissante de deux
séries
d'images verbales. sensorielles et motrices. X...
sang recueilli par la saignée, chez un paralytique, au début de la
série
d'ictus qui l'ont entraîné. Le sang s'est montr
ier cas, il s'agit d'un homme de trente-neuf ans, qui pré- sente la
série
des phénomènes suivants : Exagération des réflexe
stérique et neurasthénique âgée de vingt-trois ans qui présente une
série
d'autres phénomènes vaso-moteurs. 0 Ajoutons un
ement des stigmates de neurasthénie et d'hystérie, à la suite d'une
série
de chagrins. Cette association, je l'ai trouvée
r la transformation de cette émotion en idée fixe subconsciente une
série
d'accès subintrants. Elle peut disparaître ou s
pect extérieur, il est indispensable de l'étudier sur des coupes en
séries
. Ces coupes sériées peuvent être macrosco- piqu
x méthodes. Le cerveau est d'abord étudié topographiquement sur une
série
de coupes faites suivant trois directions : ver
scopiques sériées. Ces cou- pes sont au nombre de 46, divisées en 4
séries
. La première série est à direction vertico-tran
es cou- pes sont au nombre de 46, divisées en 4 séries. La première
série
est à direction vertico-transversale, les trois
e est d'autant plus grande, qu'ils précèdent les accès isolés ou en
série
et permettent ainsi de les prévoir et même parf
fait un signe précieux ; elle permet d'affirmer ou non la fin d'une
série
d'accès ou de trouble mental consécutif. Chaque
est prochaine. Les jours suivants, en effet, on voit survenir une
série
de vertiges, un ou plusieurs accès, de l'agitatio
urs sous la forme isolée, il est fréquent de les voir se grouper en
séries
. Dans ce cas les choses se passent 1 Jules Vois
tre, et ainsi de suite. On est dès lors en présence d'une véritable
série
. La série doit être admise ici, dans son accept
nsi de suite. On est dès lors en présence d'une véritable série. La
série
doit être admise ici, dans son acception la plus
els qui ont une suite non interrompue d'accès, la détermination des
séries
est très simple, elle s'im- pose à l'observateu
dant un laps de temps va- riable, pour disparaître ensuite quand la
série
se termine. Ce moment est d'ailleurs marqué par
quarante-huit heures sans accès, on peut être porté à penser que la
série
est terminée, de sorte que des accès revenant a
accès revenant après un ou deux jours sont attribués à une nouvelle
série
. Or, cette interprétation des faits est complèt
et augmente même, et cela suffit pour per- mettre d'affirmer que la
série
n'est pas terminée ; en effet, après ce moment
tro-intestinaux disparaissent que l'on peut dire avec certitude une
série
terminée. Il est des accès isolés et des accès
stomac à diverses périodes, tantôt avant l'accès, tantôt pendant la
série
, pendant le trouble mental et, enfin, quand les
on de l'accident épileptique, que ce soit un vertige, un accès, une
série
d'attaques ou une période d'agitation ; ensuite
ils disparaissent si l'accès est isolé, ou persistent quand il y a
série
. Eux aussi, facilitent la détermination en séri
stent quand il y a série. Eux aussi, facilitent la détermination en
série
des attaques comitiales, quand il y a vingt-qua
in, un de nous a fait avec M. Péron, interne des hôpi- taux ' , une
série
d'expériences sur ce sujet qui nous ont conduit
et les hystériques. Enfin, en 1891, avec Péron6, un de nous fit une
série
d'expérimentations qui nous amenèrent- à 1 Jule
comme les troubles gas- triques, permet de déterminer les accès en
séries
, lorsqu'il y a des intervalles de* vingt-quatre
este hypotoxique, et l'hypertoxicité ne se manifeste que lorsque la
série
est réellement achevée. - Au Congrès de~médecin
accordé que, de même que le mal de Bright était caractérisé par une
série
de symptômes plus ou moins accen- tués individu
SLLN . La confusion mentale primitive. (Annales médico- psycholog.,
série
]X", t. XVI, p. 22 ? ) DELASL1UVE. Dit diagnost
ux de tête puis des convulsions localisées, caracté- risées par une
série
de spasmes cloniques, affectant primitive- ment
ans les régions les plus extérieures : il semble'qu'il y ait là une
série
de plans superposés et dont les fouc ? tions de
rmal. , . ` Discussion. M. Siemerling. Ce ne sont pas les coupes en
séries
qui peuvent dénier avec certitude l'origine du
e fonctionnelle de la glande thyroïde. z ' M. Struempell montre une
série
de préparations microscopiques témoignant d'une
ions propres à démontrer l'effi- cacité de la nouvelle méthode. Une
série
de coupes montrent d'une façon extrêmement nett
a faites sur bien des noyaux de la couche optique. Voici une autre
série
qui présente les altérations régres- sives des
· 1 ,·111 : ^n;f : ·. t ,An longtemps satisiaisante, mais après des
séries
d'accès il n'est il #m SJL-y 'j ? 4 1 .Jl.·,bll
e sont succédé' rapidement ét'surtout'quànd'il''v''a''eù de grandes
séries
ou un état de mal ? ) .. ' -, t. - ...0 tnn .· ?
et demi sait bien lire et écrire. Les accès augmentent; elle a une
série
après laquelle elle est presque démente. La série
ntent; elle a une série après laquelle elle est presque démente. La
série
terminée, elle recouvre son intelligence, mais
ce sont des phénomènes passagers ; après chaque paroxysme ou chaque
série
ils vont en s'atténuant ou dispa- raissent pour
t en s'atténuant ou dispa- raissent pour surgir de nouveau après la
série
suivante; mais à la longue il n'y a plus de dis
qui n'est pas extrêmement rare, se produit généralement pendant une
série
d'accès, dans un état de mal le plus souvent. E
ptiques à six ans. A partir de neuf ans, elle a des accès. Dans une
série
de crises elle eut une hémiplégie gauche qui se m
d'exécuter un mouvement donné, elle le fait, mais accompagné d'une
série
d'autres qui ne paraissent avoir aucun but. La
choses marchent par saccades sous l'influence de nouveaux accès en
séries
surtout ou d'un nouvel état de mal, comme d'ail
che, réduit les siens à la misère et compromis sa situation par une
série
d'actes répréhensibles. Arrêté pour délit de gr
on voit qu'en définitive le symptôme confusion se présente dans une
série
de troubles mentaux les plus différents. 11 peu
able ; elle est précédée d'un petit perron auquel on accède par une
série
ÉLÉMENTS COMMUNS. 419 de marches ; c'est très
it de jeter un coup d'oeil sur les antécédents héré- ditaires d'une
série
de malades pour voir entrer en ligne les névrop
n- dance ; l'excès du mal devenant un remède, en mettant fin à la
série
de la dégénérescence. Bien entendu, ce ne sont qu
un état de santé parfaite. Tantôt, c'est un accès isolé, tantôt une
série
de paroxysmes qui dure plus ou moins longtemps,
trouble mental ou d'agitation d'une durée variable. Mais, quand la
série
a pris fin, le malade ne présente plus rien de
ns certains cas, il n'y a qu'un accès isolé, dans les autres, des
séries
véritables; cela dépendra d'une part du degré de
on l'état saburral, prenons le cas où les attaques se présentent en
série
et sont suivies de trouble mental, de folie épi
y aura des accidents quelconques. C'est surtout lorsque dans une
série
, il y a un ou deux jours d'intervalle sans accè
eaux paroxysmes. Cet état saburral de la langue est un signe que la
série
n'est pas épuisée; donc, pendant toute la durée
avec M. Péron; c'est-à-dire que l'urine qui précède l'accès ou la
série
est hypotoxique, et que cette hypotoxicité persis
s, S4, Tue Huguerie, Bordeaux) afin de recevoir en temps utile la
série
des documents et indications préparatoires, dont
rédaction : J.-B. CHARCOT ET J. NOIR Dessinateur : LEUBA Deuxième
série
, tome XI. 1901. Avec t3 figures dans le texte e
nt ces fibres ? On l'ignore complètement. Provisoire- Arciiives, 21
série
, t. XI. ' ' '1 1 2 REVUE CRITIQUE. ment, on d
e la dégénération tabétique. Qu'on suppose un cas dans lequel une
série
de racines soient affectées d'ordinaire ce sont
lle des lépreux. Revue neu- rologique, 1698, p. 751. Archives, 2°
série
, t. XI. 2 CLINIQUE NERVEUSE. Épilepsie et fiè
ture prise toutes les trois heures ; X, une attaque; XXXX, attaque en
série
; 0, injection de sérum artificiel 500 grammes;
ès le bain d'un quart d'heure a 24°, X, une attaque; XXXX, attaque en
série
; 1 P. C. C., potion cordiale avec 0,50 de caféi
cliniques psychiatriques. Le prix de revient du lit a Archives, 2°
série
, t. XI, 3 '34 ENSEIGNEMENT. presque partout d
es bons résultats. Nous crûmes devoir attirer l'attention, dans une
série
de publications (1894-99), sur le repos au lit
ation usuelle dans la clinique. Cependant i. Sommer a déjà fait une
série
d'essais avec le cinématographe combiné au stéréo
lui des projections photographiques. M. Sommer nous a fait voir une
série
de coupes physiologiques et pathologiques des d
ement défectueuses : l'habitude d'insister sur une idée Archives, 2
série
, t. XI. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. san
nt de vue, rentrent dans des groupes qui prennent la disposition en
série
, ou si l'on veut, celle d'un arbre. Au bas de l
sposition en série, ou si l'on veut, celle d'un arbre. Au bas de la
série
, on trouve a) les arrêts profonds (aphrénies, i
2 moyennes dues à une hydrocéphalie moins développée. Archives, 2"
série
, t. XI. 5 66 SOCIÉTÉS SAVANTES. Une étude sys
HER (de Paris). Le Dr Paul Richer présente quelques spécimens d'une
série
de bustes et de statuettes consacrés à la repré
avec anesthésie en selle. L'auteur a eu l'occasion d'ob- server une
série
de cas avec une lésion probable de la substance
1 dégénérescence résultant du processus de myélite. Archives, 2°
série
, t. Xt. 6 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' Comme trait
mmation aiguë typique et l'intoxication aiguë véritable, existe une
série
ininterrompue de transitions, sui- vant la natu
rois cas de folie gémellaire connus jusqu'à ce jour. ' Archives, 21
série
, t. XI 7 98 CLINIQUE MENTALE. de les isoler e
e. Et cette cause a en effet existé, ce sont les excès Archives, 20
série
, t. XI. 8 114 CLINIQUE MENTALE. alcooliques,
rite signalée par Nageotte la cause de cette lésion. Archives, 2'
série
, t. XI. 9 130 - - REVUE CRITIQUE. : - . posté
publié par Klippel dans les Archives de Neu- rologie, 1897, III, 2°
série
, : ! 1>i-281 : Des troubles du goût et de l'od
palustres, surtout des accès pernicieux, ou bien alterner avec des
séries
d'accès, ce qui est dans ce cas un bon moyen de
ion du canal central par la prolifération des cellules ARCHIVES, 2'
série
, t. XI. 10 146 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
mais à l'état primitif, de sorte que progressivement à la suite des
séries
d'accès une véritable démence et une contractur
s avons cru pouvoir conclure, que ce symptôme de relation divise la
série
tout entière de troubles visuels dans les malad
tielle; ils les lisent même jusqu'aux numéros les plus élevés de la
série
. Les hystériques au contraire sont arrêtés du p
litique avec gommes osseuses sur les tibias et traités Archives, 2*
série
, t. XI. 12 ')78 ' " SOCIÉTÉS SAVANTES. par l'
e la plante du pied.. Dans cer- tains cas il est nécessaire par une
série
de tentatives de « charger » le malade. Iuverse
e retarder cette publication ; car il nous sera pro- , Archives, 2°
série
, t. XI, 13 194 CLINIQUE NERVEUSE. bablement i
. Russe, 1899. Revue -eunol., 1900, obs. II, p. 285. Archives, 2«
série
, t. XI. 1 1 210. ' CLINIQUE >NERVEUSE : -
tenir au courant des progrès de la science. Souvent il existe deux
séries
parallèles de Feriencurse : les uns sont des co
'en 1896 à l'Université de Leipzig, ont commencé, le 5 octobre, une
série
de dix-neuf cours faits par des privat-docenten
La démence précoce : A. Formes hébéphréniques. B. Formes lncmvcs,28
série
, t. XI. 13 i 12j ENSEIGNEMENT. « L'enseigne
zi. - Notes sur l'enseignement de la gynécologie en Alle- magne (2°
série
). Paris, 1887. î. P. Sérieux. La nouvelle class
névralgies; 3 de lumbago, 14 d'épi- lepsie, 21 de chorée (deuxième
série
), 4 d'insomnie, 2 d'ataxie locomotrice, 3 de cr
et des yeux) avec idée fixe corrélative servir de préam- bule à une
série
de décharges convulsives généralisées. Dans la
it contenir une petite quantité de liquide (sans qu'on Archives, 21
série
, t. XI. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
sur elle, mais Laehr surtout l'a très complètement étudiée sur une
série
de soixante cas. Elle se présente sous la forme
ouleurs rhumatismales. Il y a un autre symptôme qui est Archives, 2
série
,- t. 11. f7 i 258 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
méningite. ' Revue de médecine, 1888, p. 462 et S52. Archives, 2
série
, t. XI. 18 274 " ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' · P
plus longtemps. A partir de là, il aurait eu quotidiennement deux
séries
de convulsions; leur durée était de quarante-cinq
de céphaléenoelurne ayant duré quelques nuits à peine. Archives, 2'
série
, t. NI. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. La maladie
Lereboullet, dans le service de Barlh, où, à la suite de toute une
série
de circonstances, on porta le diagnostic d'urém
vec le trooc. ! Sappey. Anal. Deser., t. 111, p. 42. - Archives, 2'
série
, t. XI. 20 306 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
té où il est de fixer longtemps son attention sont comparables à la
série
des symptômes que l'on observe souvent dans la
fonction avec les modalités de structure que l'on rencontre dans la
série
animale. L'anatomie et la psychologie comparées
rieux et instructif de remarquer que jamais, dans n'im- Ancmves, 2'
série
, t. XI. 21 " 322 ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
siles (Lancashire (Angle- terre et Illinois). Simon. Archives, 2e
série
, t. XI. 22 338 asiles d'aliénés. XIII. L'État
e des infections, intoxications et parasites ont voulu Archives, 2°
série
, t. XI. 23 354 BIBLIOGRAPHIE., voir dans cett
aux élèves : devant les six fenêtres de la salle sont disposés une
série
de microscopes pour les démonstrations. La deux
jets, des animaux supé- rieurs et en particulier celui qui, dans la
série
animale, se tient le plus près de l'homme, le s
t. V (sous presse), du professeur F. llaymond. ' ? ' ARCHIVES, 2-
Série
, t. XI. 24 .370 CLINIQUE NERVEUSE. muscles, p
inges et la paroi crânienne. D'autres ont incriminé la Ancltmes, 28
série
, t. Xf. 25 386 CLINIQUE NERVEUSE. compression
ille de dix-huit ans, sans tare héréditaire ou acquise Archives, 2°
série
, t. XI. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
rsuivi et en danger de mort. Cette perversion sexuelle Archives, 2'
série
, t. XI. 27 '418 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
l'auteur en étudie avec soin et compétence le développement dans la
série
animale, puis il examine quel en est le siège che
est tirée hors de la bouche (elle n'est pas déviée au Archives. 2"
série
, t. XI. 28 434 SOCIÉTÉS SAVANTES. - repos). L
antité de graisse est diminuée. L'examen microscopique de toute une
série
de muscles latéraux de la colonne vertébrale (d
icité et partant avec clarté. ' P. B. XVIII. Irritabilité dans la
série
animale; par le De DENIS COURTADE. (Scientia, n
80j et Académie de médecine, séance du 20 mai 1893.) , Archives, 2«
série
, t. XI. 29 450 CLINIQUE mentale. d'aliénistes
ui de l'Association française pour l'avancement des sciences, une
série
de plusieurs cas curieux de fractures dans la par
les étaient intactes. ' Dictionnaire encyclopédique. Archives, 2'
série
, t. XI. 30 d 466 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE.
rations thyroïdiennes agissent pour amener la guéri- AiDVi.s, 2* 2*
série
, t. Y1. 31 '482 'revue DE thérapeutique. son
maladies mentales il donnera des résultats avantageux; 26° Dans la
série
de cas étudiée par l'auteur, des malades qui ont
à temps. Il en est chez lesquels la lumière électrique engendre des
séries
de sensations désagréables. Nombreux exemples.
parfois quelques secousses généralisées ; 3° après des attaques en
série
, ce liquide produit très généralement à la SOCI
i rend le mieux compte de l'évolution des symptômes. Archives, 2°
série
, t. XI. 33 514 sociétés savantes. Pression ar
ccuser de diplopie. On trouve dans les antécédents de la malade une
série
d'autres phénomènes hystériques (paraplégie, an
: 30. Inhibition. Sur 1' , par Mellzer, 396. Irritabilité dans la
série
animale, par Cuurtacle, 442. Langue. Hématrop
Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT et J. NOIR . Deuxième
série
, tome XX. 1905. Avec 20 figlll'(, dall 1" 1(-xl
side dans un état de faiblesse plus ou moins manifeste Archives, 2"
série
, 1903, l. XX. 1 2 ' CLINIQUE N8RVEUSE. des fa
IE DU REGARD. 19 (( Depuis l'âge de 12 ans je souffris de toute une
série
de mala- dies pulmonaires..Jusqu'à l'âge de 18
ités, les oblige de huisseries yeux, et provoque chez eux toute une
série
de symptômes nerveux : la respiration gênée, le
bilité d'excès et contre la malveillance en s'entourant de toute la
série
des garanties avec les- quelles on doit, dans l
pouvait être établi que par un stage et une tutelle. Archives, 2°
série
, 1905, t. XX, 3 34 asiles d'aliénés. , C'est
une solution aqueuse de tannin aussi vieille que pos= Archives, 2,
série
, t. XX. 4 50 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
). BIBLIOGRAPHIE. 65 Fic. 5. - Nanisme rachitique. Archives, 2"
série
, 1905, Le XX. 5 66 BIBLIOGRAPHIE. Fio. 6. Nan
ebielen der Mcdicin und Chirurgie, 1903, XI Bd.) , . Archives, 2°
série
, 1905, l, XX, 6 82 CLINIQUE NERVEUSE. ,rurgie
leux peu abondants. Des granulations noirâtres, fines, disposées en
série
, abondantes surtout là où la lésion radiculaire
é. Traité pratique des maladies mentales, Paris, 1802. Archives, 2°
série
1905, t. XX. 7 98 CLINIQUE MENTALE. Le mauvai
mé- dicale de l'Ouest, 1904.) L'auteur étudie, sous ce fifre, une
série
de troubles trophiques accompagnant ordinaireme
détachent sur celles qui sont normales. P. KERAYAL. Archives, 2,
série
, l. XX. 8 114 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
ans les veines chorotdiennes. (Voy. Archives de Neurologie, L. VL ?
série
, page 307.) , P. KERAVAL. 1l'l.- Contribution
HTEREW le mieux, afin d'obtenir le bourrelet musculai- Archives, 2°
série
, 1905, l. XX, ' 9 130 SOCIÉTÉS SAVANTES. re,
rapport de M. Pique prouve que le chirurgien a un rôle Archives, 2°
série
, 1905, t XX. 10 146 bibliographie. important
écanisme automatique, c'est-à-dire par le pas- sage successif d'une
série
d'impressions du domaine conscient dans celui d
s delà coordination (ata- xie). La méthode consiste il employer une
série
de manoeuvres précises pour lutter contre l'inc
surveillance de Saint-Méen ; Gaspaillard, conseiller à Archives, 2-
série
, 1003, I. XX. 11 103 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIEN
délire des négations, états extrêmes reliés entre eux par toute une
série
de chaînons de l'hypochondrie. 1ï5 intermédia
prétend que, chez ces trois malades, les préoccupa- Aur,IIIVES, 2,
série
1905, t. XX. 12 178 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENI
'une vive émotion, des tics de la face et de l'épaule remplacer une
série
d'accidents hystériques antérieurs, carac- téri
dant un mois, toutes les après-midi, aux mêmes heures, présente une
série
de secousses convulsives dans les bras, les épa
douleur ne fontjamais défaut. Ils occupent le pre- mier plan de la
série
morbide. Toujours perçues, mais par- fois suppo
cellulaire ambiant, en- tourant le tissu nerveux). - Archives, 2°
série
, t. XX. , 13 194 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTE
flexe rotulien. La méthode de recherche a été très simple : sur une
série
de sujets, j'ai cherché le seuil du réflexe ave
g est fré- quent dans la paralysie générale, et si l'on examine une
série
dt malades arrivés à la période finale, il est
ques l'étude du liquide céphalo-rachidien à l'aide des ponctions en
série
et de l'albumo-diagnostic. Comme MM. Marieet Du
dernier auteur en a tracé les règles et fixé les indi- Archives, 2"
série
, 1905, t. XX. 14 210 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉN
is plusieurs années un grand nombre d'élèves libres sont venues par
séries
assister à nos leçons et, devant nous, admi- ni
it se contenter de l'installer dans un seul service. Archives, 2°
série
, 1005, t. XX. 15 22 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNI
ions présenté, l'an dernier, M. Taty et moi, au Congrès de Pau, une
série
de coupes portant sur le cerveau et le cervelet
totalement dégénérés. Ces recherches confirmaient chez Archives, 2°
série
, 1935, t. XX. 16 242 CONGRÈS DES MRDECINS ALIÉN
0. Il (le 1).tLliologie iiieiit;tlc de Gill)ert BtlIeL Archives, 2«
série
, 190.ï, t. XX. 17 258 CLINIQUE MENTALE. boliq
sortir du sommeil. Elle peut aussi être continue, pro- Argihves, 2°
série
, 1905, L. XX. - 18 274 PATHOLOGIE MENTALE. lo
pensent qu'elle doit exis- ter, à l'état embryonnaire dans toute la
série
des êtres et que la monère détient une partie d
nglions de la base. En résumé, la cons- cience se développe dans la
série
animale, en fonction du cortex et des voies dir
,4 et 99.)' · (2) Prêter. L'âme de l'enfant, p. 206. Archives, 2°
série
1905, t. XX. 19 290 PSYCHOLOGIE . à la main u
système ner- veux central;il existe également très développé dansla
série
des vertébrés et ses fibres s'entourentd'unc ga
ifester est conforme à la théorie de l'évolution comprise comme une
série
d'é- tapes graduelles et non comme une progress
n'a pas le droit de rompre un contrat. La loi n'a pas Archives, 2*
série
, t. XX. 20 300 asiles d'aliénés d'effet rétro
hiques nullement en rapport avec la gravité du' trauma- AncmvES, 2°
série
, 1905, t. XX. 21 322 REVUE d'anatomie ET DE PHY
ule que les cavités médullaires syringomyéliclues reconnaissent une
série
de facteurs pathogéniques de natures fort diffé
Toute impression, pour se graver dans l'esprit, se traduit par une
série
d'opérations à l'intérieur du cerveau qui lui cor
s par d'autres processus (voy. Archives de Neurologie, t. \1'III, °
série
, p. 338 ; psychophysio- logie du négativisme).
rieurs au mariage, e6 dui ont augmenté progressivement Archives, 2-
série
, 1905, t. XX. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE. (vin,
tères verté- brales connue une cause tic répilepsie. Archives, 2°
série
, 1905, t. XX. - 23 35-1 -1 clinique nerveuse.
té de Liège, ont été acclamés présidents du Congrès. Archives, 2°
série
1905. t. XX. 24 370 sociétés savantes. Mlle Y
femmes paralytiques. <-'i° Chez la femme comme chez Archives, 2'
série
, l. XX. 25 38G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. l
Oboréni psichiatrii. VIL 1902. Ana)\se in Archives de Neurologie, .
Série
.) P. 1\. X. Note sur le rôle pathogène de la
rome analogue a la maladie dePaget, mais distinct tou- lnclnvES, 2°
série
, 100,ï, t. Y. 20 402 REVUE DU PATHOLOGIE NERVEU
particulière, le malade estropiant le texte, mettant à la place des
séries
de mots dépourvus de sens el n'ayant aucun rapp
rétrécissement du canal vertébral provoqué par la cy- AncmvES, 2'
série
, 1005, ) t XX, 27 418 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE.
3. 1898. (3) Hunn. Midical News, 1893, II. pu»-. 539 Archives, 2"
série
, t005, l. XX. , 28 434 pathologie nerveuse. ,
de nombreuses ! ! ranu- l,llions plus fines, disposées souvent en'
série
. z Dans les cordons antéro-laléraux, il existe
ultat de cet examen de sang comparé au sang normal : Archives, 2'
série
, 1903, l. XX. 30 466 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
r 9 examens du sang pratiqués sur 5 épileptiques ayant des accès en
série
ou du délire, un seul examen a paru posi- tir :
ilatation se répètent et se succèdent rapidement. C'est comme une
série
de coups de piston que l'on peut rapprocher, ce m
ès médical, 1903, n034, p. 120, et Archives de neurologie, Hj03, 2°
série
, t. \'I, p. 2 : > : 1. - Nanisme mongolien,
l degré que la fonction 'de la glande fut atteinte ou Ancn ives, 2'
série
, 1 \J03, l. XX. 31 FIG. 26. Walh.. à 13 tii,. (
- quer d'une façon plus ou moins systématique et persévérante une
série
de mesures palliatives. Il paraît indispensable,
et dernière partie du volume est consacréeà l'exa- men d'une autre
série
de productions artistiques également inté- ress
ne de M. Launois, il entreprit soit seul, soit avec ce- lui-ci, une
série
d'études sur le gigantisme. Gigantisme et infan
as de goitre exophtalmique chez un garçon de 4 ans 1/2 Archives, 2"
série
, 1903, t. XX. 32 498 NÉCROLOGIE. avec la tria
délivrés il lalin du cours aux personnes qui en réclameront. Trois
séries
de leçons du même genre sont faites tous les ans
PINO-I11USCUT..111;E. Nouveau phénomène - - chez les Archives, 2'
série
, 1005, t. XX gens normaux, par Mac Car- thy,
-) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. implicitement ou explicitement, toute la
série
. des phénomènes qui conduisent le tube nerveux
s 6 et 7. 2° Phase de restauration. En regard de cette pre- mière
série
de modifications que peut subir le seg- ment in
mpte, le segment inter- annulaire ancien se trouve remplacé par une
série
plus ou moins longue de segments minces et cour
oie de dégénération. - C, segmentinterannu- laire' remplacé par une
série
de segments courts et minces limités par des ét
présentant une' portion' de segment large A, intercalée entre deii-
séries
'(le 1 seg- ments interannulaires minces et cou
ration, le segment interannulaire ancien se trouve remplacé par une
série
de segments minces et courts. - A, A, pourvus d
erne persiste autour du cylindre d'axe ; entre A et D se voient une
série
de segments interannulaires minces et courts (p
ntes à des titres divers, et que nous utiliserons peu à peu dans la
série
de pu- blications qu'inaugure ce mémoire. Dans
toreuse et écume sanguinolente. Les accès viennent d'habitude par
séries
, elle en a eu six cette nuit et deux ce matin.
qualification : épilepsie hémiplégique. Les accès se montraient par
séries
, et, ainsi que nous avons eu maintes fois l'occ
st ce qui a eu lieu chez cette jeune fille. Dans l'intervalle des
séries
dont nous avons parlé, l'enfant revenait à ses
rielles et sensitives; par M. Schiff. (A1'chiv. de Phys. 4 870, 1ro
série
, III° année, fasc. z, z,, 3, 4.) La température d
iences, séance du 30 août 1877, tenue au Havre ; - Gazette hebd. 2°
série
, XIV. 7 septembre 4877; Revue scientifique 2° sér
azette hebd. 2° série, XIV. 7 septembre 4877; Revue scientifique 2°
série
. 15 septembre 1877; Progrès médical, 1877, n° 3
btenus au moyen du stéréographe. Ces profils sont divisés par une
série
de lignes concentriques au conduit auditif extern
eprésenter graphiquement le siège du maximum obtenu. Dans une autre
série
de diagrammes on emploie des quadrillages analo
au les aires trouvées par la thermométrie, M. Amidon a établi une
série
très complète de centres corticaux. Nous renverro
on peut être considéré à juste titre comme le point de départ d'une
série
de recherches intéressantes. 122 REVUE CRITIQUE
e de M. Féréol, MM. Duval et Laborde avaient entrepris avec lui une
série
de recherches expéri- mentales, en même temps q
ns et naturalistes à Baden-Baden, 1879.) . L'auteur a entrepris une
série
d'expériences d'extirpation REVUE DE PHYSIOLOGI
DES maladies mentales ; par M. le professeur BALL. En ouvrant la
série
de ses leçons cliniques M. Ball a voulu faire c
GUËS CHEZ LES ALIÉNÉS; par M. DuFOUR. Des observations relatant une
série
de lésions anatomo-pa- thologiques se prêtent p
u premier venu ; les exhibitionnistes de M. Lasègue, et toute cette
série
de libidineux de l'un et l'autre sexe adonnés a
devra donc s'attendre à trouver dans le travail de M. Landouzy une
série
de mono- graphies se succédant chapitre par cha
générale dans toute la thèse, se trouve divisé et subdivisé par une
série
de chapitres secon- daires, et ce n'est pas san
n état semblable à celui où nous mettrons les muscles sains dans la
série
d'ex- périences que nous allons rapporter. ,
par le deuxième sommet'de la courbe. On peut encore définir cette
série
d'excitations réciproques en disant que : la co
au deuxième sommet, , ? s On peut reproduire sur la grenouille une
série
d'ex- F ? g. 5 ? leeaozrceceéclu tendon chez !
st facile de reconnaître sur le tracé ainsi obtenu {fig. 6, A), une
série
de petites oscillations qui sont dues à la' réa
atement l'avant- bras et la bande de caoutchouc sont agités par'une
série
d'oscillations rythmiques que nous avons pu' in
- Cherchons maintenant à nous expliquer comment se produit cette
série
de secousses musculaires dans les 4 1 1 14g e
ontraction du biceps, et ainsi de suite. Il se fait de la sorte une
série
de raccourcissements et d'allongements alternat
·II· ? ' çvit.m ? '' cousse bigéminée (comme dans la 5), mais une
série
de secousses dont le nombre variera avec l'état
l'application directe d l'excilanféleclrique sur 'le biceps. Cette
série
de se- cousses' peut déjà être' considérée comm
que^l'on perçoit est la contracture du biceps, puis survient une
série
de secousses dues à la contraction du triceps. To
es variations d'intensité (bande de caoutchouc), elle détermine une
série
de contractions réflexes, toujours rhythmées, e
t périodiquement tous les mois ou tous les quinze jours par petites
séries
de trois ou quatre dans les vingt-quatre heures
re une preuve à l'ap- pui de,.cette opinion dans l'existence de ces
séries
de noyaux englobés dans des masses protoplasmiq
its relatifs aux applications métalliques, dont l'étude a ouvert la
série
des recherches actuelles. Ces recherches ont, d
tal,' peuvent' être, avec plus de simplicité, obtenus par toute une
série
d'autres moyens, et, d'autre part, que ces effe
d'observer le 'fait suivant : un'nialàde1, dans' le'coiïr's1 d'une
série
d'explorations ou d'un traitement métallique inte
assez pour anéantir sa puissance. On sera averti du danger par une
série
de phénomènes prémonitoires, qui permettent de
irritation produite par la section des cordons nerveux. La nouvelle
série
do recherches a été entreprise sur des escharre
bilité de la folie, le docteur Thurnam, admet, en se basant sur une
série
de 344 observations, qu'il ne guérit guère plus d
uviendra que ces dernières ont une nuance uniforme et n'ont pas une
série
de nuances dégra- dées passant du violet au jau
par les deux mains le dynamomètre de Burq, on obtient également une
série
de chiffres, de plus en plus forts d'un côté, d
pour l'autre, il y a une inversion entre le rouge et le bleu, et la
série
se présente ainsi : violet, vert, bleu, jaune,
tre la fin de l'expé- rience, il se produit presque constamment une
série
de phé- nomènes des plus remarquables. C'est un
ns d'une pendule. Elles sont toujours moins nombreuses lorsque la
série
doit se terminer par la disparition complète de l
illations de l'achromatopsie. M. Charcot a fait représenter par des
séries
de cercles colorés les change- ments successifs
e de la sensibilité, on fait rapidement sur la région explorée deux
séries
de piqûres, l'une dans le sens lon- gitudinal,
s, gymnastes, etc.) - Les résultats ont été très curieux dans une
série
d'états pathologiques : 1°les hémiplégiques peu
risberg est un des filets du glosso- pharyngien, c'est-à-dire de la
série
des nerfs mixtes pneuno- gastriques du glosso-p
e l'une à l'autre les transitions se font progressi- vement par une
série
indéfinie d'états intermédiaires. Du mo- ment q
endant démontré que cette décussation est soumise à une innombrable
série
de modes différents; que, dans certains cas, le
right avait observé de même à la moitié supérieure de la moelle une
série
de lamelles osseuses appendues à la pie-mère pa
uand les impulsions motrices, d'ordre pathologique, résultent d'une
série
d'actions isolées, ininterrompues, toujours ident
Brissaud a rassemblé les matériaux de sa thèse, complétant ainsi la
série
d'études remarquables inspirées parM. Charcot s
permettre, nous avons, pour un but utile à con- naître, composé une
série
de quatrains, dont nous indiquerons brièvement
nt formé par une , . . iMH.îfn : "} r-ii'ij é' tu '" ' ;' '1t , ,
série
de stries empilées les unes sur les autres, plus
n ? » 'n t. ? i,|i,.«li'/1 ! ;1 ? 1 elles procèdent par crises, par
séries
, constituant de véritables accès d'une durée d'
fixent sur un point et s'y succèdent avec l'instantanéité d'une i
série
, de décharge^ électriques,. Elles, jappaçais^se^p
de divers agents. Il faudrait pour cela essayer sur chaque sujet la
série
entière des oestliésiogènes. Mais on comprend,
azâtrie.) . Le professeur Sehuitze fait remarquer, qu'il existe une
série
de cas d'arrêts jde' développement fissuraux ou
déglutir et de relever la paupière supérieure de l'oeil droit, une
série
d'érythèmes dé couleur sombre passagers sur la
neuses du membre inférieur atteint ; le bras contracture, après une
série
de couvulsions, se paralyse à son tour. A cette
ments d'hérédité. P. K. REVUE DE pathologie NERVEUSE. 603 LXXXIX.
SÉRIE
DE cas DE paresthésie, principalement DES mains
part (Equivalenten de Samt), ou plutôt un genre englobant toute une
série
de faits (Krafft-Ebing). Enfin est-on autorisé
asiles d'aliénés. M. J. Curwen a l'intention de reprendre, dans une
série
d'articles, l'étude de ces diverses proposition
lles sont cir- conscrites à une moitié du corps, se manifestent par
séries
, composées des trois périodes classiques de l'é
fois elle augmente avant les attaques ou elle disparaît après une
série
. L'hystérie n'a pas de relation nécessaire avec
'. l' '- 0 , ! \. ? Soûscë titré l'auteur a réuni en un volume une
série
d'articles ''publiés en ! 11880'1 dans"la Revis
n voie de dégénération.C, segment interannu- laire remplacé par une
série
de segments courts et minces limités par des ét
t présentant une portion de segment large. A, intercalée entre deux
séries
de seg- ments interannulaires minces et courts,
ration, le segment interannulaire ancien se trouve remplacé par une
série
de segments minces et courts. A, A, pourvus de
terne persiste autour du cylindre d'axe; entre A et D se voient une
série
de segments interannulaires minces et courts (p
articulier n'avait fixé notre attention et nous avions pratiqué une
série
de cautérisations ponctuées de chaque côté de l
mais eu de rhumatismes. Sans incitation appréciable, S. exécute une
série
de mouvements tout particuliers, localisés et g
est rapidement tirée en haut et en de- hors ; le malade exécute une
série
de grimaces auxquelles ni les yeux ni la langue
arurent de plus belle. Au commencement de l'année 1883, apparut une
série
toute nouvelle de phénomènes. En même temps que
son attention. Lorsque le malade est debout et marche, ce sont des
séries
composées de deux ou trois sauts sur place acco
les parents s'aperçurent qu'il faisait des grimaces ; il avait une
série
de tics de la face auxquels on ne fit pas at- t
amais les mots ne sont prononcés sans qu'il y ait en même temps une
série
de secousses convulsives des muscles de la face
En 1866 3, M. Benedikt publiait un second mémoire ; cette nouvelle
série
se composait en général d'épileptiques peu favo-
eur a exa- miné 2,403 garçons de six à treize ans. Sur une première
série
de 1 Progrès médical, le 10 juillet 1880. REV
sistances, et en fai- sant intervenir les décharges d'ouverture par
série
de trois (An au sternum ou dans la main gauche,
i ré- sulte de l'excitation farado-cutanée, est peut-être due à une
série
d'excitations rapides et successives sur les or
de s'éteindre, l'auteur organisa rapidement, tant bien que mal, une
série
de leçons. Le nombre decesleçons fut de dix-huit
s avaient été trop élevées pour la moyenne des élèves. La seconde
série
de leçons faite d'une façon plus utilitaire fut
nsula (observation de l'auteur). Les voies MB et AB se composant de
séries
de trousseaux émanés de sphères sensorielles va
ue durée (folie s3stéma- tique). L'auteur réussit à enregistrer des
séries
prolongées, continues,de recherches sur l'assim
es du côté de la mémoire, de desordre dans les idées; pendant les
séries
d'accalmie, la conversation est possible et norma
st. Ses allures frappent le directeur de la prison. Ici commence la
série
des rapports médico-légaux contradictoires, lon
à ce que l'auteur termine sa communication. Plus tard, lorsque la
série
de recherches se sera grossie des bénéfices d'une
erveau majeur. Les tuber- cules quadrijumeaux sont abordés par deux
séries
de coupes; les unes à la hauteur du tube quadri
histologique des masses grises du tronc. On y rencontre d'abord une
série
de coupes tranverses et verticales à la région
quelque ordre de connaissance qu'elles soient empruntées. Une autre
série
de coupes pratiquées dans le même sens porte su
organique et spécialement sur les organes cérébro- vaseulaires. 2°
série
, t. 111. 1876. Recherches expérimentales sur le
1876. Recherches expérimentales sur les gaz iiiti,(t-ai@té-iels. 2°
série
, t. IV. 1877. Recherches sur les effets curdio-
ches sur les effets curdio-vasculaircs des excitations des sens. 2°
série
, t. IV. Depuis son séjour au Brésil, il a publi
itation de l'écorce grise du cerveau du singe. (Arclc. de phys., 2°
série
, t. VI.) 4880. Recherches sur la température pé
que et quelques conditions de ses variations. (Ai-cit. de phys., 2°
série
, t.VU ) Sur les lésions corticales du cerveau.
t.VU ) Sur les lésions corticales du cerveau. (Arclv. de plzys., 2e
série
, t. VIII.) 1883-1884. Le cerveau moteur. (Arch.
série, t. VIII.) 1883-1884. Le cerveau moteur. (Arch. de phys., 3e
série
, t. Il et III.) Il a adressé de plus quelques n
me de notre consultation sous l'influence de l'émotion, il a eu une
série
d'accès. Ainsi la seule variation que l'on puisse
mouve- ments n'existent parfois que tous les quarts d'heure, par
séries
, toutes les heures ou même moins, suivant les c
éciser; c'est certainement le symptôme qui vient le dernier dans la
série
, et comme il s'entre- mêle à ceux qui préexiste
mes conditions physiques et morales que celui qui est en proie à la
série
des symptômes au grand complet et qui, son espr
vertiges persistaient et ve- naient environ tous les deux jours par
série
de trois ou quatre; on lui donna du bromure de
s. -llctllucitzn- tions et accès de manie avant et après les accès.
Séries
; états de mal. - Affaiblissement intellectuel.
droite. Il ii2ai. L'enfant est à l'infirmerie depuis deux jouis en
série
d'accès ; le 9 mai, il a eu un accès; dans la n
nes qui l'entouraient. Appétit à peu près nul depuis le début de la
série
. 12 - T. R.3S ? Soir : 'f.1 ? 35 ? r. 13 mot.
ée, la figure rose. - Cu- rare et sirop d'iodure de fer. 20 murs.
Série
d'accès (20) T. R. 39°,2. Soir : T. R. 38°,S. I
accès (20) T. R. 39°,2. Soir : T. R. 38°,S. I 3 wril. - Début d'une
série
d'accès cette nuit (12 accès) ; ce matin à la f
uitz. Amélioration. 20 juin. Hydrothérapie. ? 8 jatitz. - Vouc eile
série
d'accès (14 dans la nuit, 2 avant la vi- site);
on, se met à pleurer; usage rouge, couvert de sueur. 26 iiiillet.
Série
d'accès (12, nuit du ? : i-` ? 6); 4 accès le 26.
l aime à se rapprocher des infirmières. f88t. 8 janvier. Nouvelle
série
d'accès avec excitation ma- niaque. Légère mors
fant va mieux, bien qu'il soit un peu agité. 21 février. Nouvelle
série
d'accès. T. R. 40 ? Soir : T. R. 391. - 22 févr
llucinations, excitation maniaque, etc.). Les accès se montrent par
séries
. Nous avons même noté un véritable état de mal.
nte : ce n'est pas là une anomalie rare ' ; et il existe 1 Sur deux
séries
de "vingt sujets examinés à ce point de vue, nous
nation et la nutrition générale. Nous avons institué à ce sujet une
série
de recherches que nous ne pouvons songer à rapp
ique; par MONA- r,ow. (Arclc. f. Psych., XIV, 3.) 1. D'abord deux
séries
d'expériences chez les lapins et les chats nouv
2) entreprit, dans la clinique du professeur Lussenbauer, toute une
série
de tractions nerveuses, dont trois du sciatique
t conformes aux lois de l'optique. Que par suggestion on colore une
série
de cartons blancs, et qu'on apprenne à l'hypnot
alysie générale d'origine saturnine. Annales médico-psychologiques.
Série
111, t. III, p. 54); Boettger et de Gellliorn(A
ie partielle des dix fractions très larges un demi-milliampère. Une
série
de tampons installés sur la plate-forme du bas
ers auteurs, on arrive à conclure que le tabes dorsal résulte d'une
série
des causes différentes (refroidissement, fatigues
s tabé- tiques se répartiraient en trois tableaux. Dans la première
série
, à antécédents syphilitiques certains (14 cas),
sseaux néoplasie vasculaire hypergenèse de noyaux). Une troisième
série
comprend les cas rares à marche traînante : ici i
ris, bureaux du Progrès médical. Ce volume est le quatrième de la
série
et comme les précédents est divisé en deux part
érente, par des voies opposées, à un seul et même dénouement, à une
série
sans fin de nouvelles catastrophes, dût leur tr
on : J.-Il. CIIAII( : 11T et J. NOIR Dessinateur : LEUBA Deuxième
série
, tome VII. 1899. A\ect6 figures dans le texte e
acial supérieur est paralysé, au même litre et au même ,lttcumrs, 2
série
, t. VII. I 2 CLINIQUE NERVEUSE. degré que l
ion, il suffit de faire répéter au malade, sans inter- ruption, une
série
de mouvements d'abaissement et d'éléva- tion de
nt les à-coups dans la contraction, le retard du mus- jRciiivEs, 2°
série
, t. VII. 2 18 CLINIQUE NERVEUSE. cle paraly
passivité, ne se mouvant et ne marchant pas, n'accom- Arciiives, 21
série
, t. VII. 3 34 PATHOLOGIE MENTALE. plissant
egard fixe; la figure triste, déprimée; les extrémités Archives, 2°
série
, t. VII. 4 50 RECUEIL DE FAITS. un peu cyan
le moyen de constater l'hypotonie et d'en mesurer le degré pour une
série
de groupes de muscles (extenseur de la jambe, a
sibilité du muscle à la compression, entre les doigts, Archives, 2e
série
, t. VIL 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
successivement l'éloge du Maître. M. le ministre LEYGuEs a clos la
série
des discours. En montrant le visage grave et ex
que des maladies du système nerveux ; par le professeur Raymond (3°
série
). Doin, éditeur. Le professeur Raymond fait par
e). Doin, éditeur. Le professeur Raymond fait paraître la troisième
série
de ses leçons cliniques, professées pendant l'a
conséc. aux maladies du cerveau et de la moelle. (B.) Archives, 2*
série
, t. VII. 6 8 : 2 BIBLIOGRAPHIE. pour la com
expressions de 1 Ne2vrologisles Cenlralblall, 1894. Archives, 2e
série
, t. VU. 98 CLINIQUE MENTALE. douleur, voire
ait que la maison voisine prit feu. Après l'accouche- .lncEnves, 2°
série
, t. VII. 8 114 PATHOLOGIE MENTALE. ment, so
uelques détails qui suivent sur la malade elle-même. Archives, 2e
série
, t. VU. 9 130 RECUEIL DE FAITS. R..... 11..
ration médico-administrative. Il a, nous dit M. le D1' Toulouse une
série
d'obligations administratives dont voici les pr
al (American Journal of insanity, avril 1898.) E. B. Archives, 2'
série
, t. VII 10 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
iant comparativement le développement des centres cérébraux dans la
série
des vertébrés, on voit que les centres céré-
a guérison définitive est assez rare, les rechutes, au Archives, 2°
série
, t. VII. Il 162 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. con
ite pendant une période de six semaines à deux mois eu moyenne, une
série
de desquamations des mêmes organes glandu- lair
Elude sur l'épilepsie alcoolique, 1877. - , ' ' - - - Archives, 2°
série
, t. VU. 12 178 physiologie pathologique. de
Régis qui dans le journal l'Encéphale, 1883, ont fait paraître une
série
d'articles sur le môme sujet. PREMIÈRE PARTIE
rd. '1;iitish ? ed.,8 8 septembre 1898.) L'auteur étudie dans une
série
de paragraphes successifs le dia- gnostic et le
it sa tète en bonne position, la contraction du sterno- AncmvES, 2"
série
, t. VII. la 226 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
une hypothèse toute psycho-physique. Il compare les neurones à une
série
de grains métalliques noyés dans une gangue iso
en particulier aux travaux de la ferme et des champs. Archives, 2e
série
, t. VII. 16 242 REVUE D'ASSISTANCE ET DE LÉGI
oques de myxoedème, des altéra- tions rachitiques du squelette, une
série
de signes de dégénéres- cence, un manque de dév
transverses, a provoqué, en dehors de la note de M. Minor toute une
série
de contestations de la part de van Gehuchten, B
vail du M. Marinesco. En outre, M. Minor a remis à M. Marinesco une
série
de prépara- tions se rattachant à ce travail, e
; dans quelques cas, on voit le prolongement se désagréger en une
série
de petits tronçons, ayant l'aspect de gouttelette
mou il y a un an. Pendant un séjour à la clinique a pré- senté une
série
des troubles du côté de l'appareil neuro-muscu-
ogie, 1896-1897, n" 12, 13, 15, et 1898, n°5 29 et 30. Archives, 21
série
, t. Vil. 17 2S8 CLINIQUE mentale. par Calme
rétrospectivement, de faire cette distinction avec des Archives, 1°
série
, t. VII, is 274 CLINIQUE MENTALE. documents
ngénital. Mais entre les deux types extrêmes on rencontre toute une
série
d'intermé- diaires parmi lesquels se rangent la
congénital. Mais entre les deux types extrêmes où remonte toute une
série
d'inter- médiaires parmi lesquels se rangent la
erranci, 1894 (Compte rendu de la Tribune médicale). Archives, 2°
série
, I. VII. 19 290 pathologie mentale. de voir
ité et à dater de ce moment, devint le point de départ de toute une
série
de déductions s'y rattachant. Le malade se croy
ENTALE. yeux étranges, qu'on le soupçonnait d'être la cause d'une
série
de catastrophes, les unes réelles auxquelles il a
: 5<NKdiYe : < ? 'oM<, janvier 1898.) E. B. Archives, 2°
série
, t. VII. 20 306 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIO
e interne de la vitrée. Ce dispositif persistant à travers toute la
série
des vertébrés et dès le début de la phase foeta
rarement. (Revue neurologique, sept. 1898.) 1 ? 1. B. Archives, 2'
série
, t. VII. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
éressante, renforcée d'une observation personnelle, se dégagent une
série
de conclusions, qui constituent la synthèse de
... présente un délire particulièrement incohérent, activé- par une
série
de troubles sensoriels multiples et variés, avec
on aux questions qu'on lui pose; en même temps, elle se livre à une
série
de mouvements désor- donnés : lève les jambes e
par des mouvements brusques, malcoordonnés, véritableg Archives, 2°
série
, t. l'II, . 22 338 CLINIQUE MENTALE. réflex
s fixés vers un point qu'elle désigne du doigt, elle se livre à une
série
de mou- vements de défense plus ou moins désord
plète depuis le niveau de l'articulation coxo-fémorale Archives, 20
série
, t. VII. 23 354 RECUEIL DE FAITS. jusqu'aux
n effet, à Marseille, sans parler plus longtemps de ce Archives, 2"
série
, t. VII. 24 370 SOCIÉTÉS SAVANTES. qui n'es
: respect absolu des maîtres, confraternité pratiquée Archives, 2"
série
, t. VII. 25 386 SOCIÉTÉS SAVANTES. sans déf
a bouche sûrement, sans trembler, et, même en répétant cet acte une
série
de fois, elle le fait correctement. .Mais si, l
étaillée de cette très inté- ressante communication. Archives, 2°
série
, t. VU. 26 402 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Vallon
animaux, des pièces anatomiques et des dessins. Dans la première
série
de ses expériences, Versiloff procédait à des e
épileptiques; la manière d'observer les épileptiques. Arcuimis, 2°
série
, t. VII. 27 418 ô BIBLIOGRAPHIE. Nous trouv
i ne saurait se produire, mais des solutions de continuité, dans la
série
des aperceptions. La vie psychique normale ne
s ou anxieux, ne sont plus regardés aujourd'hui comme ARCIIIVES, 2°
série
, t. vII, 28 434 Il PATHOLOGIE MENTALE. atte
point un réflexe; c'est un processus psy- chique consistant en une
série
d'associations qui s'accomplis- sent dans l'éco
re sortir de la bouche, puis la faire rentrer. Cepen- AiiciuvES, 2"
série
, t. VII. 30 466 RECUEIL DE FAITS. dant il p
tudes nécessaires, enfin de ne pas laisser prendre des Archives, 2°
série
, t. VII. 31 482 SOCIÉTÉS SAVANTES. malades
ire une expertise sur un jeune homme arrêté au Havre pour toute une
série
de vols. Il présentait les caractères les plus
place ; ailleurs, elle a un aspect granulo-graisseux. Archives, 2c
série
, t. VU. 32 498 SOCIÉTÉS SAVANTES. Parfois l
re vers son centre, il s'amincit sur les bords ; il est formé d'une
série
de strates et porte l'empreinte des circonvolut
. A l'e;Mm6) : ? ? ttcr<M- copiqtie de cet hématome, on voit une
série
de feuillets fibrineux stratifiés en rapport av
'écorce grise du cerveau d'une éclamptique qui a succombé après une
série
d'attaques (30 en deux jours) étudiée par les p
nt attribuées à l'abus des boissons alcoo- liques. ' Ai;cfmHa, 2°
série
, 1. VU. 3-' FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés.
LE Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT . J. NOIR Deuxième
série
, tome XIII. - 1902. Avec 31 usures dans le text
athologique. [Presse médicale, 10 mai 1899, p. 218.) Archives, 2'
série
, t. XIII. 1 2 " CLINIQUE NERVEUSE. étage de l
aud. Leçons sur les maladies nerveuses, 1893, p. 1 47. Archives, 2°
série
, t. XIII. 2 18 ô THÉRAPEUTIQUE. innombrables
esseur Raymond : Clinique des maladies du système nerveux. Deuxième
série
, 1897. . 2 W. E. C. Die Therapie des tabès. (Sa
à remédier à cette brutalité, causée par la pendaison et toute une
série
de modifications du procédé de Motchouskowsky l
, par lequel on ne produit qu'une traction cervicale au moyen d'une
série
de poids, qu'on pose au sur et à mesure sur un
ule sur la gorge de la roue et se termine par un réceptacle pour la
série
des différents poids (fig. 5). Le malade est as
a colonne vertébrale. L'autre extrémité de la corde est munie d'une
série
de crochets, sur lesquels nous appliquons au su
du point d'application de la force de traction, c'est-à-dire, la
série
des poids doit correspondre à peu de chose près à
ez les ataxiques, atteints du relâchement des muscles, Archives, 2.
série
, t. XIII. 3 34 - ' THERAPEUTIQUE. étudiés par
patient jouisse encore de la faculté de marcher. R. C. Archives, 2'
série
, t. XIII. 4 HO 0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
ifs de la face antéro-externe de la cuisse gauche. ' Archives, 2°
série
, t. XIII. 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
s indifférent qu'on soit en mesure de différencier une Archives, 2'
série
, t. XIII. 6 82 SOCIÉTÉS SAVANTES'. poliomyéli
tantinople). La multiplicité des chirurgiens auxquels est due cette
série
la rend particulière- ment intéressante. Sur
lon la doctrine jadis admise par Charcot. M. Long (de Genève) une
série
de photographies myopathiques. Quatre cas d'hém
la capsule externe avec hémianesthésie. M. ToucHE sur une première
série
de onze hémorrhagies de la capsule externe a tr
externe a trouvé huit fois l'hémianesthésie, dans cette der- nière
série
il la trouve quatre fois sur quatre. L'hémiplégie
un cas d'oedème de la joue gauche. Avec ces trophoedèmes figure une
série
de photographies montrant l'amélioratien progres-
u'alors aucune espèce de manifestations névropathiques Archives, 2e
série
, t. XIII. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. et n'ayant
im. Notre confrère Ostankoff a entrepris tout récemment toute une
série
d'expériences sur des chiens pour éclairer la que
trécissement des artères et par conséquent une éléva- AIICHIVES, 2'
série
, 1.' XIII. ' 8 H4 THÉRAPEUTIQUE. tion de la p
l'extension supprime de nombreux inconvénients, qui ont formé la
série
des contre-indications, dont nous parlerons plus
constaté le moindre inconvénient. La malade la supporte Ancmvns, 2e
série
, t. XIII. 9 130 THÉRAPEUTIQUE. . < sans
Le jeu et la continuité du processus sont révélés par les coupes en
séries
. Ce ne sont pas des tumeurs locales et circonsc
ux toxines de l'écorce grise), cliniques (analogie des Archives, 2°
série
, t. XHI. 10 146 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
surgissent plusieurs questions. Comment un cylindraxe, sorti d'une
série
de cellules, entre t-il en rapport avec une cel
ès. · M. BItISSAUD. Suis-je par un hasard favorable tombé sur une
série
heureuse, ou bien le tabès complet avec grande in
e liquide aux animaux fut sans résultat. F. Baissier. Archives, 2
série
, t. XIII. 11 162 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ D
le et pathologique, sous la direction du Dr Toulouse.) Archives, 21
série
, t. XIII. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. phal dans
é sotte et grossière, niais afin de puiser en moi des AnclII\'F. 2'
série
, I. XIII. 13 194 CLINIQUE MENTALE. forces de
ets de cette catégorie, peut-être sommes-nous tombés sur une petite
série
exceptionnelle. L'état normal est de beaucoup
é ici dedans (protubérance occipitale externe) + Pro- AnclllvEs, 2.
série
, t. XIII. 1 f 210 RECUEIL DE FAITS. gression
cette idée s'était présentée à son esprit, le malheureux, après une
série
de mauvaises nuits, avait vu en songe ce profes
au facteur de durée dans les sections de la moelle. Archives, 2*
série
, t. XIII. J ü 242 SOCIÉTÉS savantes. Vitiligo
e générale des aliénés; parH.-W. LEWIS. Observations prises sur une
série
de 200 malades admis à l'asile de Claybury. Sur
s Aliénistes et Neurologisles. Limoges, août 1901. - Archives, 2'
série
, t. XIII. 17 238 PATHOLOGIE MENTALE. bides, m
sations), mais son intervention serait seule capable de produire la
série
desmodifications vasculaires, respiratoires, sé
re et d'une qualité déterminée, suivant qu'il s'intercale dans. une
série
à déroulement aisé ou pénible. Ce ton affectif
souvenir, c'est à dire le fait cérébral qui met en branle toute la
série
. « La conscience de l'émotion, dit J. Soury, n'
phé-- nomène extrêmement complexe, intéressant à la fois, par une
série
d'actions et de réactions, toute la vie mentale e
t la première fois que je quittais Riga où je laissais Archives, 2"
série
, t. XIII. 18 S 274 4 CLINIQUE MENTALE. une so
ce dans le travail intellectuel. Très instable, il veut Ancumrs, 2e
série
, t. XIII. 19 290 RECUEIL DE FAITS. · - change
é très passagers. Les résultats ont été médiocres et en réalité, la
série
des crises convulsives a été peu influencée par
oubles à des variations individuelles dans la force de Archives, 2'
série
, t. XIII. 20 306 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
l'on continue plus longtemps l'éclairage de l'organe. Une seconde
série
d'expériences pratiquées chez l'homme à l'aide d'
a « mydriase sautillante (S pringende Mydriasis) est fréquente. Une
série
de courbes qui enregistrent le diamètre pupillair
ed de la première frontale gauche. L'examen microsco- Arciiives, 26
série
, t. XIII. 21 322 sociétés savantes. pique mon
liques. Depuis deux ans et demi accès fréquents d'épi- ARCHIVES, 2-
série
, t. XIII. 22 338 SOCIÉTÉS SAVANTES. lepsie pa
riodes de trois à quatre mois, à un régime absolument constant, des
séries
d'épileptiques dont les urines furent analysées
remarquait qu'elle perdait presque toutes les semaines Archives, 2-
série
, t. XIII. 23 3 3tVt CLINIQUE NERVEUSE. quelqu
res cas. L'an dernier, au Congrès de Limoges, nous avons montré une
série
de photographies et de radio- graphies relative
de faire des réserves sur cette interprétation (B.). · Archives, 2°
série
, t. XIII. 24 370 RECUEIL DE FAITS. vient à dé
t toniques, qui, presque toujours, n'apparaissent qu'au AHCmvrs, 2'
série
, t. XIII. 23 386 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
, aucun des caractères cliniques de dystrophie muscu-' Archives, 21
série
, t. XIII. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
Je vous.rappelle que l'hémianopsie est dite homonyme, Archives, 2'
série
, t. XIII. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. quand ell
oire que, dans la suite, à partir de l'année z1597, d'A... a eu une
série
d'attaques d'épilepsie, avec cri initial, morsure
chiasma, auquel font suite les bandelettes optiques : Archives. 2'
série
, t. XIII. 29 Fig. 2.5. Cga, corps genouillé ext
tait le cas chez les deux malades présentés en premier Archives, 2'
série
, t. XIII. 30 466 CLINIQUE NERVEUSE. lieu. Or,
laquelle il est bon de mettre en garde, c'est la sui- ARCIlIVES, 2'
série
, t. XIII. 31 48 " PSYCHOLOGIE. vante : on pre
est dangereuse, car elle isole artificiellement un syndrome ou une
série
de faits du milieu, de l'ensemble des phénomène
devient plus étroite que la droite restée immobile. Archives, 2e
série
, t. XIII. 32 498 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
ement mercuriel (tremblement directement organique, ou Archives, 2'
série
, t. XIII. , 33 514 SOCIÉTÉS SAVANTES. tremble
es et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900 : c'est le 21° de la
série
. La première partie du volume est consacrée à l
s traités dans ce très intéressant volume qui continue dignement la
série
de ses devanciers; la collection forme un vérit
athologie interne. On admet actuellement qu'il y a une 528 varia.
série
d'espèces cliniques dont les particularités sont
dérations qui précèdent, Kraepelin a recueilli pendant cinq ans une
série
d'observations, afin de pouvoir jeter un coup d
lus prolongé des observations permet de constater l'existence d'une
série
d'accès plus ou moins graves, maniaques ou dépr
E Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT KT J. noir Deuxième
série
,, tome XVII. 1904. Avec 15 figures dans le text
ueillie et publiée par MM. les D6 Philippe et Lejonne. Archives, 21
série
, t. XVII. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. Il s'agit d'
représentation régulière, du temps et de l'endroit où Archives, 2°
série
, t. XVIT. 2 18 CLINIQUE MENTALE. il il se tro
nons encore 'à cette conclusion en nous basant sur des Archives, 2-
série
, t. XVII. 3 34 CLINIQUE MENTALE. combinaisons
'intonation variable avec laquelle les malades prononcent toute une
série
de mots sans liaison ou quel- .quefois toujours
PATHOLOGIQUES. z yeux qui dépendent des excitations lumineuses. Une
série
de colla-, térales de ce faisceau, qui vontau n
ceaux principaux ont souffert dans leur intégrité. Une ArscmvHs, 2'
série
, t. XVII. 4 50 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
? ! 0)'. de la . Salpétrière, n° 6, 1902). Les auteurs, dans une
série
de recherches histologiques com- portant quelqu
u début de l'affection. Bientôt il se ranime un peu et Archives, 2'
série
, t. XVII. 5 66 REVUE DE pathologie NERVEUSE.
'influence d'excitants divers ou de médicaments, l'auteur, dans une
série
d'expériences portant sur les bromures de potas-
d'une crise d'asystolie due à une sthénose aortique. Les coupes en
série
de la moelle ont montré une dégénération systémat
ice et trophique aiguë, flasque, avec exagération des. Archives, 2°
série
, t. XVII. 6 82 SOCIETES SAVANTES. réflexes te
énie qui me semble être celle de l'épilepsie vraie, de Archives, 2'
série
, t. XVII. 7 98 ' CLINIQUE NERVEUSE. l'épileps
es épilepsies et les épileptiques. Paris, Alcan, 1890. Archives, 20
série
, t. XVII. S 114 ' CLINIQUE NERVEUSE. grins, p
ntermédiaires, ils n'en existent pas moins et voici, développée, la
série
nécessaire : , 1° Vous vous en remettez à moi,
lioration de la monoplégie bra- chiale). IL est entendu que cette
série
de raisonnements, de reflexions, de réponses du
t schématique. Aussi ne nous étendrons-nous pas longue- Ascmves, 2°
série
, t. XVII. 'J 130 ' REVUE CRITIQUE. ment sur c
ts, de citrons surtout. Sensations respiratoires : il y a toute une
série
de sensations qui se rattachent à la respiratio
s sont corrélatifs aux divers états que l'on observe dans une autre
série
pathologique, à savoir, la surdité corticale, la
ment des maladies men- tales. - R. de MUSGRAVE-CLAY. Archives, 20
série
, t. XVII. 10 146 ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
de la lombo-ponction dans l'urémie cérébrale est d'actualité, et la
série
des cas défavorables ne peut lui faire perdre u
s réflexes; impulsions et leurs caractères. Confusion. Archives, 2'
série
, t. XVII. 11 162 SOCIÉTÉS SAVANTES. Négativis
cun déficit psychique. L'absence de certains signes cardinaux de la
série
tabétique, dans ce tabes indiscutable, s'expliq
peut provoquer une guérison surprenante. Une récente Archives, .-3a
série
, t. XVII. 1 178 b bibliographie. expérience m
il chez les paralytiques géné- raux = (.4rclzivestle Neurologie, 2*
série
. 11°' 85 et 9.°3, janvier et août 1903.) Yoy. a
evue Neurologique, Il' 16, 3L août 1903, page 826. ' Archives, 2'
série
, t. XVII. 13 194 -il CLINIQUE mentale. de dép
rand nombre de ' Thiébierge. Loc. cit., page 17, - . Archives, 21
série
, t. XVII. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE. cas d'épi
c., amenant une aggravation très manifeste de l'épilepsie; accès en
séries
, accès subintrants, état de mal. - Epilepsie grav
n peut arriver facilement à déterminer la pathogénie des accès en
séries
et de l'état de mal. D'où des indications thérape
taques depuis un certain temps. Survienne une crise, et surtout une
série
de crises, le tableau change ; ils tombent dans
t dite, dont elles ne revêtent, le plus souvent, que I Archives, 2'
série
, t. XVII. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE. quelques
yringomyélie (Revue neurologique, février 1901). E. B. Archives, 21
série
, t. XVII. 16 242 .REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIO
droit, nerfs sus et sous orbitaires des deux côtés. Archives, 2°
série
, t. XVII. 17 '288 SOCIÉTÉS SAVANTES. Le volum
dant son évolution, quoiqu'étrangère embryologiquement Archives. z
série
, t. XVII. 18 274 clinique NERVEUSE. au systèm
rent, A partir de ce moment l'évolution devint plus rapide et une
série
de symptômes nouveaux firent leur apparition. En
-vis des colorants ordinaires des réactions variées. Archive», 2-
série
, t. XVII. 19 4 1 Fig. 8. Fascicule nerveux au v
ie. pathogénique découlant de semblables observations. Archives, 2'
série
, t. XVII. 20 l'ig. 15. Racine postérieure envah
tabès 'est une méningite syphilitique. M. Nageotte démontre par une
série
de coupes que l'épaississement et surtout l'inf
e folie circulaire ; dès son premier accès, elle présente toute une
série
de phénomènes hystériformes qui en imposent pou
cle russe de l'Obozrélzié psichiatrii, analysé dans les Archives 2°
série
, XIII, p. 502, 1902. P. Keraval." XL\'II. Histo
e optique } et le corps strié en étaient couverts. ! j Archives, 2'
série
, t. XVII. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
urdon sur la distinction des sensations des deux yeux, et enfin une
série
de mémoires dus à M. A. Binet sur la sensibilité.
é de l'Espagne, de l'Océan et des Pyrénées a permis d'organiser une
série
d'excursions faciles, variées et intéressantes.
motrice non définie, pour ainsi dire, le sujet exécutait toute une
série
de mouvements stéréotypés sur le même cliché in
, in Revue Neurologique, no 18, 30 septembre 1902. ' Archives, 2'
série
, t. XVII. 24 370 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ra
l Science, juillet 1903.) De ses propres recherches et de plusieurs
séries
d'observations recueillies par d'autres auteurs
circulation cérébrale, et d'admettre que l'hypertro- AnC ! l1VE. 2°
série
, t. XVII. 23 386 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
on de dix-sept ans entré à l'asile comme épi- leptique : après deux
séries
de crises d'épilepsie (l'une de 36 et l'au- tre
béphrénie » a été employé par Stecker et Kahlbaum pour désigner une
série
de phénomènes mentaux pathologiques commençant
s une forme plus insidieuse de début, le sujpt devient Archives, 2'
série
, t. XVII. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
sans aucun rapport intrinsèque qui s'établissent entre les diverses
séries
de représentations. {Annales Me</t'eo-p(;/<
e deux fois passagers; or des poussées d'incoordina- ARCII1\'ES, 2'
série
, t. XVII, 27 ï 418 SOCIÉTÉS SAVANTES. tion pe
' Travail fait dans le service de M. le Dr Sérieux. Archives, 2'
série
, t. XVII. ' ? 8 . 131· li CLINIQUE MENTALE. f
ut toutefois, me semble-t-il, s'expliquer. Je donne ici la première
série
de mots et les représentations qui l'ont accompa-
s, bien qu'à un moment donné il fasse des efforts pour sortir de la
série
dans laquelle il est engagé; la durée est alors p
arrer certaines let- tres d'un passage déterminé,je lui ai lu vingt
séries
de six chiffres en le priant de les répéter imm
, etc.; bien que celles-ci soient rares chez lui. i. Archives, 2'
série
, t. XVII. 2'.) . 450 CLINIQUE MENTALE. d'un
e médicale de la Suisse romande, no 12, décembre 1903. Archives, 2-
série
, t. XVII. 30 4G6 RECUEIL DE FAITS. I. - Psych
marquer, il faut l'at- tention consciente pour que l'on obtienne la
série
successive des violentes décharges musculaires.
ses par les systèmes pyramidaux. Nous pourrions alors expliquer les
séries
successives de violentes décharges mus- culaire
e cerveau comme le grand or- gane de coordination des mouvements en
série
, et le cervelet comme l'organe de coordination
s la manie chroni- que, la mélancolie et la démence. Archives, 2'
série
, t. XVII. 31 482 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
ation de dix-huit mois ; les douleurs reparaissant, on pratiqua une
série
d'injections de 1 centig. decocaïue an point do
crises se sont reproduites, qui cèdent actuellement à une nouvelle
série
d'injec- tions. Il est intéressant de signaler
suite le pied et la jambe gauches. Première apparition Archives, 21
série
, t. XVII. ' 32 498 SOCIÉTÉS savantes. de trou
de stupeur catatonique sont caractérisés par un engorr- AHCmvrs, 2'
série
, t. XVII. 33 514 BIBLIOGRAPHIE. dissement cér
lepsie. guérie par l'hypno- t'ule, par Viviani, 420. Archives, 2«
série
, t. XVII. Catatonie. Histoire de la -, par Ar
E Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT et J. NOIR Deuxième
série
, tome XXI. - 1906. Avec G·1 figures dans le lex
il gauche depuis les premiers jours de la naissance. Archives, 2°
série
, 1906, L. XXI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. A par
baisser (12 ans) et il devient complètement aveugle en Archives, 2"
série
, 1906, I. XXI. 2 18 CLINIQUE NERVEUSE. l'es
t, dans le personnel, le découragement et le dégoût. Archives, 2'
série
, 1906, I. XXI. 3 34 ASILES DALIl.NI : S. J'
mure » pour la paralysie sur un organisme déjà prédia- Atscmvr ? 2^
série
, 1900, l. XXI. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
précisé. Une définition doit être analytique et s'appliquer à une
série
nettement limitée de faits. Ce qu'on- désigne sou
adresser une requête, à demander un service, à imposer Archives, 2*
série
1906, t. XXI. 66 SOCIÉTÉS savantes. leur pr
05 inclusivement, prise dans nos bureaux, est de 150 fr. ; la 2<
série
de 1896 à 1905 est de 100 (l'. (Voir les annonc
0-10mhail'e. (1) F. Rosi : . Thèse de Paris, 1905. ' Archives, 2.
série
, 100(3, t, XXI. li 82 CLINIQUE NERVEUSE. La
ier mois de séjour à l'Asile, on note un accès quo- tidien avec une
série
de 6 le jour de l'apparition des règles ; puis
LEPSIE CONSÉCUTIVES A UN KYSTE. 93 variant de 17 à 21 par mois sans
série
et à des espacesassez régu- liers jusqu'au mois
à décembre 1891, les accès redeviennent plus nombreux avec quelques
séries
de 4 à 5 crises quotidiennes. 91 CLINIQUE NER
il l'aine et a été traité à l'iodure de potassium par Archives, 2'
série
1900; t. XXI. 8 114 CLINIQUE MENTALE. M. Il
reMt'ë psichialrii 'IX, 1904. Analysé in Archives de neurologie, 2e
série
,p. 43,1905.) P. 11ERA'AL. i'1.- Contribution
lan du réflexe de de Soeldet'(\ oy, .l ? 'chi¡;es de Neurologie, 2.
série
, t. XVI, p. 430). Il s'agirait pour lui, non d'un
commissure antérieure et de la commissure del'hippocampeesl, dansla
série
des vertébrés, direc- Pl()I)()"[ iol, ]]el au d
auses sus- énoncées, devient par là même génératrice d'une nouvelle
série
morbide. L. Wahl. XI. La myoclonie familiale
re prinfitive d'origine bulbaire. Bruns aurait olr AncuivE ! ? , 2'
série
, 1906, t. XXI. 10 14G REVUE DE PATHOLOGIE NER
1905 inclusivement, prise dans nos bureaux, est de 150 fn. ; la 2°
série
de 1 S'J6 à 1905 est de 100 fr. [Voir les annon
t, en effet et avec raison, que la sitiophobic dans la Archives, 2,
série
, 1906, t. XXI. 11 162 clinique mentale. dém
sez facilement, mais c'est à ce mo- ment que commence chez elle une
série
de stéréotypies qu'il faut éviter de contrarier
est restée unique. Auparavant, les attaques se re- produisaient par
séries
de deux il cinq, plus courtes et incomplètes.
ophie du tissu con- jonctif. L'auteur rapporte d'ailleurs toute une
série
d'observa- tions qui montrent le passage d'une
néral, toutes les modifications vaso-motrices se vérifient dans une
série
de diverses pulsations; il n'y a pas de réactio
t plus ou moins lente. La phase de réintégration est précédée d'une
série
de pulsations variables de forme et de volume.
)c ! -ion organique toujours possible. G.' Carrier. Archives, 2'
série
, t906, t. XXI. 14 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
travail abandonné depuis plusieurs années. L'auteur insiste sur une
série
de con- sidérations d'un intérêt pratique, qu'i
ouvements automatiques et réflexes. Celte dissociation archives, 2-
série
1006, t. XXI. la 22G SOCIÉTÉS SAVANTES. ent
tementales d.l11jinniè- et d'infirmiers de la Seine. Archives, 2-
série
, 1906, t XXI. 1G 242 THÉRAPEUTIQUE PEDAGOGIQU
un tic quel- conque et qu'on le gronde il s'arrête. Archives, 2'
série
, 1006, I. XXI. 17 258 . THÉRAPEC 1 IQUE PEDAG
qui était illisible est meilleuie; il fait aussi moins Archives, 2.
série
, 100G, t. XXI. 18 274 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQ
eaucoup amélioré intellectuelle- ment et moralement. Archives, 2°
série
, 1906, t. XXI 19 290 THERAPEUTIQUE PÉDAGOGIQU
M. le D' Mollet sur les traumatismes crâniens, 1905. Archives, 2"
série
, 1903, t. XXI. ? 0 306 clinique mentale. La
teur étiologique accessoire commun, comme tant d'autres, à toute la
série
des psychoses diverses ? » La vérité semble dan
e nosographique de folie traumatique, mais il ajoute : « Il est une
série
de cas où il semble que le traumatisme imprime
émence commençante, et le malade mourut dans le coma qui suivit une
série
de crises avec agitation intercalaire, le 23 no
, jambe gauche. Varicocèle. Pas de hernie. Hémoptysies autrefois.
Série
de vertiges le 18 janvier et crises fortes noctur
crises fortes nocturnes suivies d'automatisme ambulatoire. Nouvelle
série
et coma suivi de mort en mai (1901, le 19). Pèr
rale considérée comme 314 ' CLINIQUE MENTALE. consécutive à une
série
de chutes professionnelles sur la tête : des fr
tre malade, toucheur de bestiaux, a subi, durant son existence, une
série
de rhumatismes graves en rapport avec sa profes
A' segment. Quant au groupe postérieur, il innerve le Archives, 2°
série
1906, t. XXI. 21 322 REVUE d'anatomie ET de P
hser- vations qu'ils rapportent, les auteurs ont constaté toute une
série
de localisations et de combinaisons de sclérose
os félicitations. (Petit Provençal, 27 mars 1906.) . Archives, 2"
série
, 1906, t. XXI. 22 SOCIETES SAVANTES SOCIÉTÉ
avec Son fusil d'ordonnance ; une autre fille se jeta à l'eau. La
série
n'est pas finie. Deux tantes de la i'emme Schuhin
1905 inclusivement, prise dans nos bureaux, est de 150 fr. ; la 2°
série
de 1896 à 1905 est de 100 Ir, [Voir les annonce
s idées sombres, des pho- (1) Voir n.12-1, page 305. Archives, 2'
série
, 1906, l. XXI. 23 354 CLINIQUE MENTALE. hie
poir et font prévoir des résultats encore meilleurs. Archives 2°
série
, 1906, t. XXI. 25 TRAITEMENT MÉDICO-PÉDAGOGIQ
KRAm ? (Aline), 8 ans, atteinte d'idiotie tlz11ct;dé- .\RCIIIVES,2.
série
, 1906. t. XXI. 20 402 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQ
. 11 y aurait donc, au début, une poussée tuberculeuse Archives, 2-
série
1906, t. XXI. 23 418 REVUE DE PATHOLOGIE NERV
u trijumeau et injection d'alcool. MM. LHVY et BAUDOIN montrent une
série
de malades atteints de névralgies faciales grav
hique avec autopsie. (Revue ncurolobique,30 mai 1905.) Archives, 2°
série
, 1906, l. XXI. 30 434 CLINIQUE MENTALE. Des
pointe est d'abord déviée à gauche et ce n'est qu'à la suite d'une
série
d'ondulations partielles qu'elle revient dans l'a
art, que la dégénération des cordons latéraux, dans la Archives, 2.
série
, 1906, t. XXI. 31 450 CLINIQUE MENTALE. mal
1) F. Raymond. Clinique des maladies du système nerveux, pre. mière
série
, Paris, 1896. ANATOMIE PATHOLOGIQUE Note su
ellement (1904), nous constatons chez cette enfant une Archives, 2'
série
, 1906, t. XXI. 32 466 THÉRAPEUTIQUE PÉDAGOGIQ
restait indifférente à tout. Ses accès et vertiges survenaient par
séries
et étaient assez nombreux. L'enfant, trai- tée
ives des cellules pyramidales. (1) Voir Bourneville. Archives, 2-
série
1906 t. XXI. 34 z198 REVUE D'ANATOMIE et de P
trophie abarticulaire. Un cas d' par Deroubaix, 4f¡. Archives, 2.
série
, l'JUG, l. XX. 35 514 TABLE DES MATIERES.
à tous les exercices scolaires, nous intervertis- sons l'ordre des
séries
chaque somaine, c'est-à-dire que la série du ma
rtis- sons l'ordre des séries chaque somaine, c'est-à-dire que la
série
du matin devient la série du soir au bout do 8
éries chaque somaine, c'est-à-dire que la série du matin devient la
série
du soir au bout do 8 jours. Les maîtres, MM. Le
tour subdivisée en un certain nombre de groupes correspondant à des
séries
d'âge et à des catégories d'infirmités (3). L
ituation toute particulière des enfants idiots, être pourvu de deux
séries
de lavabos et do cabinets d'aisances, avec tous
ention de 6,000,000 de francs a été votée en 1881 pour commencer la
série
de ces travaux. L'emploi do cette somme est act
M. le Directeur dans son mémoire, on commencerait par une première
série
de travaux s'élcvant à 1,380,000 fr.. auxquels
u d'offices et de laveries, où l'on devra utiliser les enfants, par
séries
, dans la mesure de leurs aptitudes. Un lavabo s
a grande et de la petite école. La petite école sera divisée en une
série
de classes pour les leçons de choses, la lectur
apprendre aux enfants à se servir de leurs mains, à exécuter une
série
de mouvements élémentaires, etc. Entre la petit
matif dressé par l'architecte, en vue de l'exécution d'une première
série
do bâtiments et montant à 1,380,216 fr. 83 c. C
udget de 1883. Le Conseil de surveillance propose, il est vrai, une
série
de travaux qui absorberaient cette somme et au de
mandé comment il pourrait être procédé a l'exécution de la première
série
de travaux, la plus importante. en réalité. Ell
ion extraor- dinaire. Pour faire face aux dépenses de la première
série
de travaux, il reste il trouver G00.000 francs.
é d'avancement suffisant pour qu'on fût assuré de mener la première
série
des travaux à bonne fin sans avoir besoin de no
te réponse, qu'on faisait signer à M. Ch. Quentin, reposait sur une
série
d'erreurs : 1° Le Conseil municipal, en votant
les accès. Depuis son entrée à Bicêtre, il aurait eu trois fois des
séries
; il se plaint souvent à sa mère de douleurs de
phénomènes de l'aura. Notre malade a eu, à plusieurs reprises, des
séries
d'accès ; il eut de plus, en 1874, un état de m
En 1866 3, M. Benedikt publiait un second mémoire ; cette nouvelle
série
se composait en général d'épileptiques peu favo-
vertiges persistaient et ve- naient environ tous les deux jours par
série
de trois ou quatre; on lui donna du bromure de
s. -l1allucinu- tions et accès de manie avant et après les accès. -
Séries
; états de malt Affaiblissement intellectuel. -.
droite. Il mai. - L'enfant est à l'infirmerie depuis deux jours en
série
d'accès; le 9 mai, il a eu un accès; dans la nu
nes qui l'entouraient. Appétit à peu près nul depuis le début de la
série
. 42mai. -T. R.38 ? Soir : T.R.38°,4. 13 mai.
lée, la figure rose. Cu rare et sirop d'iodure de fer. 20 mars. -
Série
d'accès (20) T. R. 39°,2. - Soir : T. R. 38°,8.
cès (20) T. R. 39°,2. - Soir : T. R. 38°,8. 43 avril. - Début d'une
série
d'accès cette nuit (12 accès); ce matin à la fi
2 juin. Amélioration. 20 juin. - Hydrothérapie. 28 juin. Nouvelle
série
d'accès (14 dans la nuit, 2 avant la vi- site)
, se met à pleurer; visage rouge, couvert de sueur. 26 juillet. -
Série
d'accès (12, nuit du 25-26); 4 accès le 26. T.
aime à se rapprocher des infirmières. 1884. 8 janvier. - Nouvelle
série
d'accès avec excitation ma- niaque. Légère mors
fant va mieux, bien qu'il soit un peu agité. 21 février. Nouvelle
série
d'accès. T. R. 400. - Soir : T. R. 39°. - 22 fé
llucinations, excitation maniaque, etc.). Les accès se montrent par
séries
. Nous avons même noté un véritable état de mal.
nonobstant les particularités distinctives, elle puisse offrir une
série
très grave de symptômes. Une observation du Dr
ologie) in Dictionnaire encyclo- pédique des sciences médicales, 3°
série
, t. III, p. 172. Bourneville, 1884. 10 146 '
Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT Er J. NOIR Troisième
série
, tome II. 1907. Avec 8 figures dans le texte.
BUREAUX DU PROGRÈS MÉDICAL 14, rue des Carmes. 1907 Vol. II. 3e
Série
. Juillet 1907. No '1 i ARCHIVES DE NEUROL09Ji
ien que pour les adultes, il est impossible de prévoir Archives, 3°
série
, 1907, l. II. 1 2 ASSISTANCE. , dans tous les
es faits des conclusions qui me paraissent bien graves Archives, 3'
série
1907, t. 11. 2 ils PSYCHOLOGIE. sur l'indépen
uction, et les variétés que présentent les entrecroisements dans la
série
des vertébrés ». Mais vraiment M. Bonne me comb
été le plus souvent différent de celui de Chabry ». Le Archives, 3"
série
, 1907, t. II. 3 34 PSYCHOLOGIE. - plus souven
mères primitifs en leur développement poursuivi comme à travers une
série
de pugilats et d'étreintes ! Ce n'est plus seul
vidus qui, au cours de leur développement contigu, auront, dans une
série
d'accollements et de réaccollements successifs
t dubitatives. pouvoir être attri- buée à un co-être humain dans la
série
phylogénique. J'ai pu me convaincre que dans l'
s dans la paralysie générale (Thèse de Paris, 1903). Archives, 3'
série
, 1907, t. II. 4 50 RECUEIL DE FAITS. Le 25 ma
malades présentaient en outre le signe de Babinski. Une nouvelle
série
d'examens permit à M. de compléter ses pre- miè
toutes les autres ra- cines, y compris la 8e. Après section d'une
série
ininterrompue de racines postérieures correspon
bres centrifuges diminue régulièrement à mesure que l'on remonte la
série
animale, je tiens pour plausible jusqu'à plus a
s d'une attaque légère d'épilepsie. Schiff, en compri- Arcuives, 3-
série
, 19C7, t. IL 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
rise unique, alors que dans un au- tre elle donnera naissance à une
série
de crises, voire même à l'état de mal. Sauf d
leur vie tout entière, ils n'auront qu'une seule crise ou une seule
série
de crises. C'est aussi un fait très commun de v
sivement de la céphalalgie, surtout nocturne, des vomissements, une
série
d'ictus, et finalement une paralysie de tous le
avant : il y a entre l'aliéné simple et le criminel banal toute une
série
de transitions dans lesquelles resteront les al
E. Clermont (Oise). Imprimerie Daix frères et Thiron. Vol. II. 3e
Série
. Août 1907. 1 N° ARCHIVES- DE NEUROLOGIE MEDE
EH, ibid., 1W î. 1'uou.;t. Académie des sciences mort. Archives, 0'
série
, 1907, l. IL 7 '.{8 MÉDECINE LEGALE. A cette
nt la couche corticale n'est pas en- core excitable. Archives, 3°
série
, 1907, t. II. 8 111 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNI
nfidentiellement au conseil qui l'a appelé après avoir Archives, a.
série
1907, t. il. 9 130 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNIS
de rattacher l'état de santé à la maladie de Basedow par toute une
série
d'états intermédiaires de ner- vosisme : hypert
tiquei, une phrase qui m'a fort étonné. J'y trouve, en Archives, 3°
série
, 1907, t. IL 10 140 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNI
s oublier, en effet, que l'organisme est l'aboutissant d'une longue
série
de formations et que nous ne pouvons le compren
51. le Dr Long (Genève; fait défiler en projections une nombreuse
série
de coupes d'une moelle épinière pour ser- vir d
faveur de la guérison pro- chaine et qui sont basés sui l'examen en
séries
du liquide céphalo-rachidien : substitution tra
ns des cas comparables par M. et 1\11110 Dé- jerine. Archives, 3'
série
, 1907, l. II. 11 102 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉN
E. Clermont (Oise). Imprimerie Daix frères et Thiron. Vol. II. 3e
Série
. Septembre 1907. N° 9 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
ec les fonctions vi- stielles. Thèse de Paris, 1885. Archives, 3'
série
, 1907, L. II. 12 178 clinique nerveuse. entre
parativement des cerveaux de tuberculeux et des cer- Archives, 3°
série
, 1907, t. II. 13 194 REVUE CRITIQUE veaux de
égrité apparente de la troisième frontale. A l'examen des coupes en
séries
microsco- piques, toute la projection frontale
uite des paralysies guéries du moteur oculaire externe Archives, 3°
série
, 1sot, l. II. 14 210 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉN
par une période de dépression absolue, d'inertie,de archives, : 1"
série
1907, t. Il. lô -) 226 CONGRÈS INTERNATIONAL DE
e certaines parties du service telles que : 1° l'infir- ARCmves, 3'
série
, 19C7, t. II. 1G 242 législation. meric, priv
l avait des attentions pour une autre femme ; mais les Archives, 3°
série
, 1907, t. II. 17 258 CLINIQUE MENTALE. rappor
tribution A l'étude DES perversions sexuelles 259 qu'au moyen d'une
série
de questions spéciales qu'on a pu éta- blir che
n pourrait s'y attendre pour son âge, est venu me consulter sur une
série
de symptômes neuras- théniques banals (irritabi
lade comme un acte sexuel, qui est tout à fait analogue à Archives,
série
, 1907, 1. II. 1S 274 CLINIQUE MENTALE. l'acte
tituée ainsi qu'il a été dit plus haut, il nous a paru Archives, 3'
série
, 1907, L. II. 19 290 LÉGISLATION. qu'il y aur
elconque, inoffensif et inactif en lui-même. L'alcoo- Arciiives, 3'
série
, 19C7, t. II. 20 306 SOCIÉTÉS SAVANTES. lique
e. Clermont (Oise). Imprimerie Daix frères et Thiron. Vol. II. 3=
Série
. Novembre 1907. N° Il ARCHIVES DE NEUROLOGIE
ent dans une affaire industrielle, crut se rétablir ne Archives, 3'
série
. 1907, t. II. 21 322 CLINIQUE mentale falsifi
eut être que ses visites aux gens d'église. Elle appartient à cette
série
des aliénés encore tranquilles bien connus du 5
e amis ou amies, elle est plus rare encore (pas un seul cas sur une
série
de 72) ; alors que entre soeurs elle est de 28
sibilité générale, elle ne connaît pas non plus l'écho Archives, 3°
série
, 1907, l. 11. 22 338 ' ' CLINIQUE MENTALE. de
'une façon toute particulière. Ainsi, un jour, l'homme Archives, 3'
série
, 1907, l. II. S3 354 PATHOLOGIE MENTALE. lui
hydrocéphalie ventriculaire. Chiens et chats d'un mois : les mêmes
séries
de lésion n'entraînè- rent que des résultats bi
absolue des fibres pyramidales dans le pont, le bulbe, Archives, 3°
série
, 1901, t. II. il 370 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHY
un simulateur et chez lequel un examen attentif révèle Archives, 3'
série
, 1907," I. Il. 25 386 REVUE de Pathologie nerve
s souffrances moralesou physiques. LeDr Dupouy rapporte toute une
série
d'épidémies de ce genre, jusqu'en 11110, ainsi qu
forme de folie religieuse, l'hystéro-démo- nopathie, on notait une
série
de troubles sensitifs et moteurs particuliers à
. Clermont (Oise). Imprimerie Dalx' frères et Thoron. Vol. II. 3-
Série
. Décembre 1907. N° 12 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
nts très fréquents et très tenaces : d'abord de ,\Clll\ï : S, 3' 3"
série
, 100T, 1. Il. 2G 402 CLINIQUE NERVEUSE. natur
agit de l'em- (1) Les intoxications, 1961, p. 360. . Archives, 3"
série
, 1907, t. Il. 7 ho CLINIQUE NERVEUSE. poisonn
le retombe à 39°4 à 7 heures. - Ail heures du matin, une nouvelle
série
d'accès reprend la malade et jusqu'à 7 heures d
de et jusqu'à 7 heures du soir on peut en compter 82, pendant cette
série
la température se maintient en plateau aux envi
ve comprend nous le répétons un grand nombre de cas. Archives. 3-
série
, 1PC7, t. II. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. Dan
tions de sérum antidiphtéri- que. Ces injections seront répétées en
série
plusieurs jours de suite, 3, 4, 5 ou 6, suivant
, par Ingcgnieros, p. 75. Sur un cas d' apraxie, par Archives, 3*
série
, 1907, t. II Hollander. p. 76. Du siège ana-
des accès de convulsions, du côté paralysé. A la suite d'une dernière
série
de convulsions, elle meurt, avec une élévation]co
. Cases of Aneurism of the cérébral vessels. (Guy's Hosp. Reports, 3«
série
, t. V.) Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hémorragie
t observer, en l'absence de complication inflammatoire viscérale, une
série
de modifications de la température centrale répon
la température rectale ne s'élève pas au-dessus de 37°,2. Dans une
série
d'expériences, nous avons déterminé chez des chat
rtébrales ou directement sur la moelle épinière elle-même. Première
série
d'expériences. — Injections sous-cutanées avec le
edeviennent flasques et la température redescend à 39°, 2. Deuxième
série
d'expériences. — Injections d'extrait de fève de
es et demie, jusqu'à 37°.6. La mort survient à ce moment. Troisième
série
d'expériences. — Téianisaiion par des courants in
les travaux. M. Calmeil range les faits qu'il a observés en plusieurs
séries
; ceux de la première série sont à peu près dégag
les faits qu'il a observés en plusieurs séries ; ceux de la première
série
sont à peu près dégagés de toute circonstance acc
production membraneuse est assez limitée. (Au-banel, Obs. I.) 2. 5e
série
. Des cas où l'on a trouvé entre autres lésions in
intégrante et nécessaire de leur évolution, même dans des cas 1. 6e
série
. Cas où l'on a trouvé entre autres lésions intra-
uses remplies de sang dans les cavités de l'arachnoïde cérébrale. (4a
série
, loc. cit.) originales, lanl cliniques que micr
avons rien trouvé qui put s'y rapporter. Nous avons compulsé toute la
série
des Bulletins de la Société anatomique et la coll
nt plusieurs semaines, ou même pendant plusieurs mois, présentant une
série
indéfinie d'exacerbations et de rémissions (1). E
rps est frappé. Si dans ce cas on vient à appliquer sur un membre une
série
de pièces de 20 francs reliées entre elles, au bo
ies datant de dix ans, dues à des lésions cérébrales, montrer la môme
série
de phénomènes; des applications de pièces d'or on
un jour au plus, et bientôt l'anesthèsie reparaît. Il se passe là une
série
de phénomènes hors de proportion avec tout ce qu'
goût ont été également affectés. « Cette malade appartient à cette
série
que M. Charcot appelle série bleue. Elle est du n
tés. « Cette malade appartient à cette série que M. Charcot appelle
série
bleue. Elle est du nombre des hystériaues chez le
M. Vigouroux a commencé, en outre, dans le service de M. Charcot, une
série
de recherches sur les mêmes malades, mais en empl
re le métal approprié? 11 faut pour atteindre ce but, se livrer à une
série
de recherches. On commence par essayer le métal q
onté, et nous ajouterons sans grande fatigue pour la malade, toute la
série
des expériences reproduites plus haut. V. Sur
ur la faire disparaître, il faut faire repasser la malade par la même
série
de préparations qui nous a servi à la mettre prim
ypnotisme représente clinique-ment un groupe naturel, comprenant Line
série
d'états nerveux, différents les uns des autres, c
s demeure immobile, pendant que le style du triceps crural marque une
série
d'ondulations qui suivent le choc porté sur le te
vu parfois, alors que le choc répété des tendons ne produisait qu'une
série
de secousses musculaires, sans tendance manifeste
et peu accusée, c'est un simple frémissement musculaire, ou bien une
série
de petites convulsions cloniques qui se rapproche
ître considérable. En me fondant sur ces résultats, constants pour la
série
, j'avais été amené à conclure, provisoirement tou
ant à présent. Quoi qu'il en soit, les résultats obtenus dans celte
série
de recherches, tout contradictoires qu'ils parais
ues hypnotisées. C'est qu'en réalité l'hypnotisme comprend une longue
série
d'états nerveux très divers, différents les uns d
accidentée, marquée par instants de grandes oscillations disposées en
séries
(Fig. 29, 1). Fig 29. — Tracés obtenus chez un
s de M. Londe, chargé du service photographique à la Salpètrière, une
série
de photographies, dont nous avont fait reproduire
Si, malgré cela, la contracture résiste, on en viendra à bout par une
série
de transferts successifs de la contracture, ou en
té témoins de ce phénomène singulier. Enfin, il y a quinze jours, une
série
d'hypnofisations successives a été pratiquée pend
Vous voyez qu'il suffit de quelques tours du plateau pour obtenir une
série
d'étincelles de cette longueur. Avec les piles, d
mètre, li Machine'de lloltz-Carré modifiée» il faudrait réunir en
série
38.600 éléments. Par contre, Faraday a trouvé que
la Salpêtrière. Il y a environ quatre ans, nous poursuivions ici une
série
d'expériences relatives aux applications métalliq
ais évident que l'électricité statique a droit à une place dans cette
série
des moyens physiques de traitement. A la vérité,
accidentée, marquée par instants de grandes oscillations disposées en
série
. Il existe des différences analogues en ce qui
cette époque, l'état cataleptique a pris définitivement piace dans la
série
des phases hypnotiques. La présence de divers s
ue est donc variable, et il y a lieu de reconnaître l'existence d'une
série
d'états Intermédiaires entre la forme type et la
e. 2. Loco citato, p. 55. 3. Loco citato, p, 96. conduits à une
série
d'erreurs singulières qui no leur permettent plus
t il est possible de produire chez les malades de cette catégorie une
série
de symptômes caractéristiques qu'on ne retrouve p
tion peut tout produire, il devrait commencer par démontrer, dans une
série
d'expériences correctes, qu'il est possible de su
e le bacille de Koch (lupus dans ses différentes variétés), y a une
série
de dermatoses que l'on tend de plus en plus, pr
cte des cachexies ou des maladies du coeur, des reins, il reste une
série
confuse de faits disparates où l'on rangeait dans
nique hystérique. A Henry Meige revient le mérite d'avoir, dans une
série
d'études (1), en créant un mot et en isolant un
u'elle aura parcouru un certain nomhre de fois avec l'avant-bras la
série
des positions qui s'échelonnent entre la flexion
et en « formule biologique » (p. 146) et tire de celte dernière une
série
de propositions qu'il voudrait faire passer pou
o-physiologiste est de dé- terminer les équivalences entre ces deux
séries
de phénomènes, comme celle du linguiste est de
s parallèles le cours de la pensée et ce que nous connaissons de la
série
des événements cérébraux, nous arrive- rions à
Chacun, d'ailleurs, pourra facilement vérifier sur lui-même quelle
série
de représentation de toute nature met en jeu la
oin, pour se révéler à notre conscience, de faire appel à toute une
série
de représentations hétérogènes ou même homogènes
Elée, qui niait la réalité du mouvement en le définissant comme une
série
de repos successifs... » (bourgeon, Sens musculai
es l'hommage que je leur avais promis, en fai- sant connaître cette
série
de documents figurés : une trentaine de pein- t
bientôt entourés de cellules jeunes, pénétrant comme eux en longues
séries
perpendiculaires à la surface de l'encéphale. L
tion, son caractère est resté gai. Le 14 juillet 1902, B... a une
série
de crises épileptiques et tombe dans le coma ;
e de l'espace nécessite le rappel d'images visuelles et tactiles en
séries
; il faut qu'il y ait relation entre toutes ces
entations visuelles et tactiles ne peuvent plus être reproduites en
séries
; le lobe occipital a presque toujours perdu se
é nerveuse bien accusée, on comprendra que nous le rangions dans la
série
des cas mixtes où le sys- tème nerveux doit sûr
ur face antérieure. C'est à t'age de 38 ans que les symptômes de la
série
tabétique ont dé- buté. Ces symptôn1èsSOfiC ? '
jambe est également gonflée d'oedème; mais, en outre, on y voit une
série
de dépressions cupuliformes assez profondes. Se
attaque hystérique, en un mot de tous les accidents possibles de la
série
hystérique, de même si nous faisions de ce trem
rkinson. Dans nos -deux cas, nous avons, au contraire, à prévoir la
série
psychasthénique avec les agita- tions, les tics
22°-25e le- çons. (2) D'ailleurs, l'un de nous ayant consacré une
série
de travaux à l'étude des Infan- tiles, nous ne
lonne osseuse, elle est intercalaire, intéressant l'un des os de la
série
linéaire. En outre, elle n'atteint pas cet os t
n moyen, sulcus medianus) qui part de la première (plus extérieure)
série
des papilloe cii-cti ? nvallatoe et se poursuit
l et y correspond exactement : mais au lieu d'arriver à la première
série
des papilloe vallata ? ,comme celui-ci,elle s'y,
vure représentant rien de semblable. La Pharmacie fait partie d'une
série
de petits tableaux dus à l'habile pinceau de Pi
s sa juridiction. Nous connaissons les nos 1, 2, 3, 7 et 8 de cette
série
, plus une estampe non numérotée, soit six estampe
six estampes ; Meige signale aussi, comme faisant partie de la même
série
, un tableau représentant un charlatan diseur de
estimer à huit ou neuf le nombre total des ta- bleaux composant la
série
. Tous ces tableaux ont dû être gravés ; nous co
Et le jeune seigneur à perruque, le mari, comme nous le démontre la
série
des gravures, a-t-il lui-même un air assez anxi
lui. Le tableau de Longhi mérite donc d'être attribué à cette rare
série
d'am- vres d'art qui concernent la syphilis et
art qui concernent la syphilis et ses diverses manifestations. Rare
série
; en effet, puisque Charcot et Richer (2) n'ont pu
e deux docu- ments artistiques rentrant dans celte catégorie ; rare
série
, puisque P. Richer, dans son beau livre l'Art e
r de Hooch, etc. Voici encore un document qui vient compléter cette
série
. C'est une gravure de Joachim Ottens, très prob
t que, sous cette dénomination, Henry Meige a proposé de réunir une
série
d'observations d'oedème blanc, dur, indolore, à r
celte analyse il y aurait donc une surproduction des éléments de la
série
lymphogène. Ajoutons que la ponction lombaire n
récentes et d'un caractère moins archaïque. Je veux parler d'une
série
incomplète de tapisseries citées à l'inventaire
latant et expliquant les tableaux qu'elles soulignent. C'est en une
série
de tableaux les faits saillants delà vie du saint
rie de la cathédrale de Reims, et des possédés qui figurent sur une
série
de peintures sur bois de l'église de Malines re
lques figura- tions de possédés, qui viennent t grossir la longue
série
des images de ce genre signalées antérieu- re
sion active par les neuroblastes périphériques jouant le rôle d'une
série
de petits postes intercalés se transmettant indiv
es-unes ont une disposition mo- niliforme et semblent formées d'une
série
de petits segments fusiformes courts, unis bout
e Jeandelize (1). Il existe à l'asile d'aliénés de Rennes toute une
série
de malades qui présentent les signes manifestes
peuvent indubitablement souvent manquer. Cependant, récemment, une
série
d'observations ont signalé la possibilité de co
nt. « Les fatigues l'exaspèrent » (H. Meige et Feindel) ; après une
série
d'étapes, Rasoir éprouve du dégoût pour la nourit
a langue sont rarement isolés chez l'homme ; ils appartiennent à la
série
des tics variables (II. Meige et Feindel, p. 275)
possède une écorce cérébrale qui lui permet d'exé- culer toute une
série
d'actes, qui pour être très simples et susceptibl
(que la tradition nous montre nus sous le ventre de la louve), une
série
de documents permet de montrer que celle mode s'e
ts pris aux divers âges de la peinture italienne que de montrer une
série
de tableaux du même artiste ou de la même époque
on, je puis ajouter les indications suivantes relevées au cours d'uue
série
de voyages. La figure ci-contre est la reprod
vants devaient donner successivement les reproductions de toute une
série
de peintures ou de sculptures inspi- rées par l
és par ce genre de recherches, sont venus accroître cette précieuse
série
de documents ; M.Heitz,avecsa critique des figu
maladies, un certain nombre de travaux de Henry MEME complètent la
série
que ce dernier a publiée dans la «Nouvelle Icono-
s Médecins, les Variétés chirurgicales, l'Hygiène, les Médicaments,
série
de volumes de ALFRED FRALIRLIN (1891-1894, chez P
e de la rédaction : J.-II. CHARCOT Dcssinatell1' : LEUBA Deuxième
série
, tome II. 1896. .\\CG ligures clans le texte et
et les résultats thérapeutiques qu'elles comportent. Archives, 2"
série
, t. II. 1 2 THÉRAPEUTIQUE. 1. Un point à peu
NCE D'URINE PAR SUGGESTION. ils en admettant qu'elle représente une
série
exceptionnellement heureuse, elle n'en démontre
l n'en est rien, puisque l'infirmité devient continue. Archives, 2°
série
, t. Il. 2 18 ô THÉRAPEUTIQUE. Il est beaucoup
ssait de la relire de peur d'avoir commis des erreurs. Archives, 2e
série
, t. II. 3 34 RECUEIL DE FAITS. Souvent, il av
ahi jusqu'au pouce. Cette affection s'est établie par le fait d'une
série
de zones développées successivement, chaque éru
dans les parois du troisième ventricule. Cette colonne n'est qu'une
série
de centres successifs, desti- nés aux divers mu
d'obsessions relève d'une cause spécifique très ana- ' Archives, 2e
série
, t. IL 4 80 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. log
eut expliquer certains cas de folie du doute, tels'que Archives, 21
série
, t. IL 5 66 SOCIÉTÉS SAVANTES. ceux où le suj
Voii Lenhossek. JDer feinere l3art des Xervensyslems. Archives, te
série
, t. IL 6 82 ANATOMIE. de la moelle, dénommées
acée par les zones cornu-commissurales dont nous avons Archives, 2"
série
, t. II. 7 98 ANATOMIE. ' indiqué les différen
une consistance plus ferme et plus dense qu'à l'état ordinaire. Une
série
de sections méthodiques ne montrent aucune lési
éditaire, mais sont provoquées par une cause occasionnelle, choc ou
série
de chocs moraux, chagrins, soucis, surmenage. S
s seulement un peu de diarrhée; dans leurs iule rvalle Archives, 2°
série
, t. II. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. le
ousses dans les membres inférieurs, secousses qui se manifestent en
séries
tous les deux ou trois mois. Cette malade a pré
KDEL. Des considérations de l'orateur précé- dent il résulte qu'une
série
de psychoses différentes peuvent pré- senter ce
oin qui s'accompagne d'une certaine mégalomanie. Voilà Archives, 2°
série
, t. II. 10 1 iG SOCIÉTÉS SAVANTES. la note ma
(Paris, 1896, 0. Doin, éditeur.) M. le professeur Raymond publie la
série
des leçons qu'il a pro- fessées à l'hospice de
résumant une année d'enseignement à la Salpêtrière. Cette première
série
de leçons est divisée en deux parties dis- tinc
es tlonsualis. Berl. Min.. Wochènschr., 1892, n° 17. Archives, 2°
série
, t. Il. 11 i 162 CLINIQUE NERVEUSE. remarque,
il devra exécuter successivement dans l'ordre de leur complexité la
série
des mouvements suivants : .- 1° Flexion, exte
s de traitement ce malade pouvait à l'aide d'une canne Archives, 2°
série
, t. II. 12 - 178 clinique NERVEUSE. circuler
retrouvons (mai 1893) en pleine dépression mélancolique, après une
série
d'accès. Enfin le 3 mars 1896, dans l'impuissance
si on les envisage dans l'ensemble de leurs manifestations dans la
série
entière de' leur évolution. Remarquez, en effet
que l'on ignore, » conclut-il en ter- minant. , < Archives, 2°
série
, t. Il. 14 210 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Vallon.
ue; la représentation mentale se transforme progressivement par une
série
d'opérations pour aboutir à l'hallucination; or
M. A. Voisin donne ensuite lecture au nom de M. le Dr CLAUDE, d'une
série
d'expériences sur les animaux, au sujet des myéli
Raynaud, dans sa thèse inaugurale, en 1862, a le premier décrit une
série
de troubles circulatoires aboutissant à la gang
RouBY cite un cas d'hallucination analogue à celui de ARCHIVES, 2°
série
, t. H. 18 226 SOCIÉTÉS SAVANTES. ]\lUe Couesd
MACQ. - On dit qu'une partie du corps tremble quand elle décrit une
série
d'oscillations rythmiques de part et d'autre de
sujet de ces derniers, il signale l'amélioration entreprise par la
série
de colonies familiales d'hospitalisation. On pe
entre autres à Nancy, est'vraiment déplorable. On les Archives, `3
série
, t. II. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. conduit au
éparé; un moulage en plâtre de la tête fait avant l'autopsie et une
série
de photographies représentant le sujet avant et
ois- sance et en particulier sur la taille. - L'auteur présente une
série
de tracés de la température, du poids et de la
; un troisième est mort de la diphtérie en bas âge. Archives, 2e
série
, t. II. j 7 2§8 · CLINIQUE mentale. A. K... a
l'extension complète au-devant de l'abdomen et de la poitrine, une
série
de [flexions et de déflexions saccadées et rapi
quement projetée en bas, en avant et un peu en dedans; toutefois la
série
des mouve- ments à grande amplitude décrits par
s avec la continuation de sa phrase qui parvient à sa fin après une
série
d'interruptions. Parmi les lettres, aucune n'a
ile. (On pousse en Amérique le scrupule des mots assez Archives, 2°
série
, t. II. 18 274 asiles d'aliénés. loin pour qu
isons sanitaires en faveur de cette substitution ? Voilà donc une
série
de 60 questions auxquelles doit répondre chacun
ils plus réservés dans l'avenir. B. (A suivre.) Archives, ` ? °
série
, t. II. 19 9 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XX
r veut contrôler expérimentale- ment. Il a, pour cela, institué une
série
d'expériences directes sur des chiens, afin de
e sur la cornée ; champ visuel très rétréci à gauche ; Archives, 2e
série
, t. II. 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
s convulsions et l'amnésie sont dues aux modifications Archives, 2°
série
, t. II. 21 322 REVUE d'anatomie ET DE physiolog
nt pas quand il urine, ni quand il a fini d'uriner. Il Archives, 2e
série
, t. IL 23 3S4 CLINIQUE NERVEUSE. faut qu'il v
s de l'ouïe ; 5° extrême agitation, idées persistantes Archives, 2°
série
, t. II. 25 386 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. d
icide; mais au point de vue spécial de la décision pénale, les deux
séries
de symptômes sont indispen- sables et se complè
nés correspondant à quatre modalités du langage : le . Archives, 2°
série
, t. IL. 26 401 BIBLIOGRAPHIE. centre de Broca
é pratique des maladies mentales. Paris, 1862, p. 366. Archives, 2e
série
. t. IL 27 418 CLINIQUE MENTALE. police et cet
et les Possédés vrais. Fernel, dans l'édition de 1679, donne une
série
d'observa- tions personnelles d'individus obséd
sensorielles. » 1 Séglas. Idées de négation, 21. ans. Méd. l'sclt.,
série
7, t. X, juillet 1889. DES PSYCHOSES RELIGIEU
formes modernes, où le malade arrive à se croire Dieu mais par une
série
de déductions délirantes sans phénomènes psycho
a coexistence de plusieurs délires, obs. XIII, 1886. Archives, 2e
série
, t. II. 28 434 CLINIQUE MENTALE. ciel un vais
ésolution de cette inte- ressante question et ils ont entrepris une
série
d'expériences dans ce but, mais leur technique
ations secondaires ressemblent à celles que réalise la Archives, 2"
série
, t. II. 30 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. s
mis à ce dernier de montrer que les prétendus prolon- Arciiives, 2°
série
, t. II. 31 482 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOG
ue de la moelle, des coupes ont été pra- tiquées de bas en haut, en
séries
, à partir de la quatrième paire cervicale. A ce
cavité qui le suit et avec laquelle il finit par se confondre. Une
série
de petits trous, disposés sur la ligne médiane
nconvénient à ce que ce cours soit suivi en même temps Archives, 2°
série
, t. II. 32 498 faits divers par les hommes et
E Secrétaires de la rédaction : J.-B. CHARCOT et J. NOIR Deuxième
série
, tome XVIII. - 1904. A\eci7 ligures dans le tex
uis M. Grasset dans le Spiritisme devant la Science. Archives, 2'
série
, t. XVIII. 1 2 CLINIQUE mentale. cation ratio
mais elle n'ose pas le supprimer et réécrit déesse. Archives, 2'
série
, t. XVIII. 2 l'ig. - Dessin médianimique (novem
t donc d'attirer l'attention et nous espé- pérons que l'étude d'une
série
de crânes ayant recouvert des cerveaux atteints
et hypoesthésie cutanée, phénomène qui permet de le ranger dans la
série
des cas mixtes où le système nerveux doit sûrem
secondaires a engagé les auteurs à publier leur cas. Les coupes en
série
n'ont révélé que quelques fibres dégénérées dan
ou torpide. (Revue neurolo- gue, octobre 1903.) E. B. AMENES, 2'
série
, t. XVIII. 5 66 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
ié par les auteurs. 3° Dans le troisième type le crâne présente une
série
de bosselures et de dépressions; au palper on a
ouvenir du mécanisme de l'éternuement. D'ailleurs les réflexes en
série
qui répondent aux excitations afférentes s'obse
ité du nerf est une transmission active s'effectuant comme dans une
série
de petites piles. Elle peut exister en dehors d
ulagement; deux séances d'hypnotisme suffisent à faire Archives, 2"
série
, t. XVIII. 6 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. disparaîtr
e par le "' COi7S1'EMSOUX, chef de clinique adjoint. Archives, 21
série
, t. XVIII. 7 98 clinique nerveuse. été, au mo
doigt, mais loin que leur volume soit régulier, ils présentent une
série
de nouures irrégulièrement réparties et qui leu
rices de brûlures, surtout au voisinage des malléoles. Archives, 2-
série
, t. XVIII. 8 . li. '1 114 CLINIQUE NERVEUSE.
s ai dit l'amélioration importante et régulière dont t Archives, 2'
série
, t. xV111. 9 130 CLINIQUE MENTALE. a bénéfici
- - phie ou mieux à la théomanie, ce qui nous amène à la deuxième
série
de nos remarques. Mysticisme. - Cam... était au
, il se sentait encore plus changé qu'après son coup de AncmvLS, 2«
série
, t. XVIII. 10 146 . CLINIQUE MENTALE. soleil,
que ordinaire; mais si l'on compare les symptômes toxiques de cette
série
avec ceux des cas dans lesquels on'avait l'ait
organiques graves du système nerveux. P. IiEnAVAL. z Archives, 2-
série
, t. XVIII. 11 162 SOCIÉTÉS SAVANTES. XXXVII.
transformée en besoin, et finalement en obsession continuelle. Une
série
de mouvements analogues et également obsédants
enus depuis quatre ans,et qui portent sur 319 malades. Archives, 2.
série
, t. XVIII. 12 178 SOCIÉTÉS SAVANTES. Alcooliq
théâtre et voit jouer Faust. A la suite de cela, elle présente des
séries
d'attaques hystériques avec délire hallucinatoi
e Médecine, de Brouardel et Gilbert, tome III, p. 840. Archives, 2-
série
, t. XVIII. 13 194 PATHOLOGIE. souvent, sur le
tion, et pour le maire de sa capitale, auquel, person- Archives, 2'
série
, t. XVIII. 9 4 210 SOCIÉTÉS SAVANTES. nelleme
instantanément, elles s'élancent hors deleur lit et recommencent la
série
des extra- vagances signalées plus haut. Leur
ladie, qui n'aboutit xà la perte complète des facultés qu'après une
série
de crises paroxystiques et de rémissions, on ne
lules conjonctives). « Les délires et les démences vésa- AMtnvM, 2'
série
, t. XV111. 15 226 SOCIÉTÉS SAVANTES. niques s
naux analogues à ceux de la fièvre typhoïde, MM. Dou- ARCIIIVES, 2'
série
, t. XVIU. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. trebente
lictueux. Et il passe en revue toute une SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 255
série
de procédés efficaces. Pour prévenir les crimes d
esures que je réclame. Actuellement, ces individus sont Archives, z
série
, t. XVIII. 17 258 SOCIÉTÉS SAVANTES. maintenu
quée et steppage. Il a de l'abolition des réflexes rotuliens et une
série
de phénomènes qui font penser à une maladie de
s, Kornhold, Bernardt, Noguès et Sirol, Rossolimo. Ils Archives. 2'
série
, t. XVIII. 18 274 -il SOCIÉTÉS SAVANTES. sont
t du bras droit. A la fin de la crise, somnolence. A la suite d'une
série
de ces crises, il reste une légère parésie de l
sur Paul Hervieu et sur le contrôle de la graphologie, une curieuse
série
d'observations de Lécaillon sur le sens materne
dans ce même tome X une innovation qui sera très goûtée ; c'est une
série
de revues an- nuelles, sur des sciences voisine
ue ces distingués observateurs ont constaté dans notre Archives, 2'
série
, t. XVIII. 19 290 . CLINIQUE mentale. pays, e
érente; cela dépend, premièrement, du contenu des pro- Archives, 2'
série
, t. XVIII. 20 306 . CLINIQUE MENTALE. cessus
tenu de notre conscience. Le monde extérieur n'est pour nous qu'une
série
de sensations des sens, cela veut dire qu'il ém
sons seule. Le monde con- tient, comme notre propre conscience, une
série
de processus psychiques, exerçant les uns sur l
e que celle-ci possède des groupes d'idées déterminées Archives, 2-
série
, t. XVIII. 21 322 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIO
t jamais à d'autres, de même la conscience universelle contient une
série
de membres complets, ayant une existence autono
ditions où ce der- nier était pénible. P. KERA V AL. Archives, 2«
série
, t. XVIII. 2 338 REVUE d'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
r des mouvements brusques en éclair. Parfois on observait toute une
série
desecousses successives d'un muscle déterminé.
uscles, de tendons isolés, l'absence de symétrie et de Archives, 2'
série
, t. XV111. ' 23 351 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
de notre ' Voir 190f, n- 98, p. 97 ; n° 99, p. 206. Archives, 2"
série
, t. XVIII. 24 370 ' CLINIQUE NERVEUSE. interp
mme nous l'avons dit, avoir des conséquences plutôtfâcheuses, une
série
d'incitations nuisibles sur l'encéphale ainsi que
la nourrir à la cuiller. Le réflexe de la déglutition Archives, 2»
série
, t. XVIII. 2 386 PHYSIOLOGIE. est conservé. E
s sont dus à une seule et même cause la perte du sen- ARCIIIVES. 2.
série
, t. XVIII. 26 402 revue d'anatomie et DE physio
optique, ainsi que par celle des fibres radiées. G. D. Archives, 2'
série
, t. XVIII. 27 418 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
travaux de la Société libre de l'Eure, année 1901). Archives, 2'
série
, t. XVIII. 29 450 MÉDECINE LÉGALE. ' ' " écla
demi, apparurent des accès épileptiques. Ces accès survenaient par
séries
, surtout au moment des changements de températu
e de l'intelligence simienne ne peut pas être atteinte Archives, 2'
série
, t. XVIII. 31 ,482 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
ar le facial.-c) Les secousses sont toujours cloniques, groupées en
séries
arrivant par- fois à la production de véritable
de, pituitaire, surrénales, sexuelles; ou bien la ma- ARCIIlVES, 21
série
, t. XVIII. 32 498 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
r des connaissances antérieures qui, néanmoins, persistent. Par une
série
de questions simples, on arrive à faire ressortir
ppée subitement d'une attaque épileptiforme, nous avons observé une
série
de symptômes ménin- giliques : attitude en chie
hommes pensionnaires. Les gardiens le retrouvèrent là, Archives. 2'
série
. t. XVIII. 33 Hi r 514 -il VARIA. le ramenè
... LE martyrologe DES asiles. L'attentat de l'Asile clinique. La
série
rouge dont nos asiles s'ensanglantent se poursuit
on hypnotique, par fililo de Majewska, 181. Deux cas Archives, 2°
série
, t XVIII. de - aigu traités avec succès par l
maintenant, espérer une guérison relative. Si l'on se représente la
série
de ces phénomènes, on devra con-venir qu'il y a l
ner la mort par apnée. Par suite de ces obstructions, surviennent une
série
d'en-gorgements veineux (poumons, cavités droites
rsistent d'une ma-nière indélébile, et présentent à l'observateur une
série
de phéno -mènes qui mérite de nous arrêter d'une
t directement la substance dans le tube digestif. Dans une première
série
d'expériences portant sur plusieurs gre-nouilles,
s expériences, aucune des grenouilles n'a survécu. Dans une seconde
série
d'expériences, nous avons injecté 2 gout-tes d'es
on titre Etudes psychologiques sur les hommes célèbres, indiquant une
série
de no-tices semblables, nous a paru, après lectur
70, M. Muron, interne des hôpitaux, communique à la même société, une
série
de faits établissant de la manière la plus éviden
0 juillet 1871, M. Parrot a communiqué à l'Académie des sciences, une
série
de recherches d'où il résulte que : « Dans l'état
. XIII. Digitale et digitaline, par Gourvat. — M. Gourvat, dans une
série
de communications faites à la Société de thérapeu
ticulation. La faire primitivement, c'est enlever au malade toute une
série
d'ac-cidents qui peuvent le faire mourir : septic
ondant sur ces faits qu'un professeur d'Alfort, M. Goubaux, après une
série
d'expériences très-consciencieuses, a cru pouvoir
n de reprendre et de compléter dans les conférences de cette année la
série
d'études que nous avions entreprises, il y a deux
re insignifiante, à peu près nulle. Parfois même, il y a, pendant une
série
de plusieurs jours, suppression complète d'urine.
domicile à lïschurie hystérique. Après avoir consacré à ce sujet une
série
d'articles (the Edinburgh medical and surgical Jo
s par la bouche. Vous voyez, messieurs, que c'est constamment la même
série
— quels que soient le pays, le siècle, où les obs
taux normal. V Tels sont, messieurs, les résultats de la première
série
d'études qui nous ont décidé à entreprendre la ré
à Vienne l'année prochaine,la villede Lyonajugô utile de reprendre la
série
interrompue du Congrès médical de France et nous
ension. La résistance qu'un seul élément ne pourra pas surmonter, une
série
d'éléments pourront parvenir à la surmonter. De m
ie d'éléments pourront parvenir à la surmonter. De même supposons une
série
de locomo-tives dont la force motrice pour chacun
es résistances seront surmontées. Il en est de même pour la pile; une
série
d'éléments, réunis en tension, ne donne pas plus
un récipient R (Fig. 5) rempli d'eau, mis en com-munication avec une
série
de tubes par un tuyau NO, muni d'un Fig. 5. r
me pour les polypes des fosses nasales, par M. Petrini Mi-chael ; une
série
d'appareils destinés à obtenir la guérison des fr
n pratiquée sur une partie en pleine suppuration ; on ouvre alors une
série
de vaisseaux lymphatiques dans lesquels le foyer
-chlorure de fer, après les résultats de M. Bourgade, eut d'abord une
série
heureuse, mais bientôt des faits nouveaux le cond
ubstances ayant entre elles des combinaisons chimiques, et enfin, une
série
innombrable de petits appareils électriques. Quel
luence prédominante. Comme un cours d'eau rapide qui traverserait une
série
de cours d'eau moins rapides et de sens divers, i
rant cesse, il se produit dans les tissus qu'il a traversés une autre
série
de phénomènes, que nous avons observés dès nos pr
triques, et la transmission de l'influence nerveuse se ferait par une
série
d'orientations électriques; en un mot, il a cherc
n courant extérieur sur l'action chimique de chaque élément, dans une
série
d'éléments formant un circuit fermé. Pour cela, n
re côté, la nutrition n'est autre chose qu'un phénomène chimique, une
série
d'oxydations; les substances albuminoïdes brûlent
Il y a trois ans déjà, avec M. le docteur Legros, nous avons fait une
série
d'expériences qui nous ont fait découvrir ce résu
Comme toute espèce de mouvement moléculaire, l'électricité subit une
série
de métamorphoses et apparaît avec des formes et d
; c'est l'appareil de polarisation de Thomsens. Il se compose d'une
série
de lames de platine par lesquelles passe le coura
raire, comme dans cet appareil, je fais traver-ser le courant par une
série
de petites auges renfermant de l'eau, il y aura u
nt lieu à un cou-rant qui aura une grande tension ; ainsi, avec cette
série
de transfor-mations, j'aurai obtenu, avec deux ou
ie. C'est là un résultat 1 Yoy. dans le Mouvement médical (nouvelle
série
, n°3 3, 4 et 5) la leçon sur VHyperesthéste ovari
rent de manière à constituer ce que, pour l'épilepsie, on appelle les
séries
ou l'état de mal. 11 y a d'ailleurs, dans cet é
état de mal des épileptiques, à distinguer ce qu'on nomme les petites
séries
, composées de 2 à 6 accès, et les grandes séries,
on nomme les petites séries, composées de 2 à 6 accès, et les grandes
séries
, où l'on compte jusqu'à 15, 20 accès ou même plus
out ce qui précède, que, si dans l'état de mal épileptique, à grandes
séries
, la température s'élève 1res-rapidement à un haut
graves, au contraire, dans l'état de mal hystéro-épileptique à longue
série
, la température ne dépasse guère le chiffre nor
difficile; enveloppe épaisse; surface du rein mamelonnée, offrant une
série
d'infarctus. Les deux sub-stances sont confuses.
t physiologiques actuelles: Io Les sensations spontanées ouvrent la
série
des phénomènes morbides; elles sont de deux espèc
où le col avait subi cette transformation érectile. Dans une autre
série
de faits, nous trouvons un col hypertrophié dans
nie a fait une communication à l'Académie de médecine, relative à une
série
d'expériences entreprises pour reconnaître exacte
ont la conséquence ultime est la gangrène à divers degrés. Si à cette
série
de modifications du sys-tème circulatoire, on ajo
et en particulier par la suggestion, de provoquer chez les sujets une
série
d'états nerveux spéciaux, essentiellement différe
pertise médico-légale est ordonnée. Admettons que, par une première
série
d'expériences, les experts aient mis hors de dout
du moins, ni me voir, ni m'entendre — se dérouler à peu près toute la
série
des suggestions qui peuvent être faites à l'état
crier, il n'eût été projeté sur le parquet. Pour mettre fin à cette
série
d'épreuves, je dis à haute voix: a Camille, vous
s voisins. Cet état ou ces états (car on verra qu'il y en a toute une
série
) sont assez difficiles a définir, car il est cert
et va au delà. J'ai déterminé, a plusieurs reprises, trois ou quatre
séries
de léthargies et de réveil apparent après l'état
rf acoustique et à la sensibilité auditive. Tantôt ils produisent une
série
de sons articulés, et incitent, itérativement, le
re ainsi simultanément sur plusieurs sujets à la fois. Dans la même
série
d'idées, j'ai eu encore recours, comme moyen succ
uatorze ans. Suivant Bourdin. les enfants abandonnés fournissent â la
série
un contingent considérable. De son côté, Motet (1
Discussion à la Société médico-psyCÂohgiquc. Ano. modico-psychol. C*
série
. T. IX, p. a8i, i883. Paris. térique adulte.
jet paraissait ne pas entendre les autres personnes. Dans la première
série
d'expériences, M. Smith tenait l'une des mains du
es étaient connus de la malade et nous avons voulu, dans une deuxième
série
d'expériences, nous entourer d'une sévérité rigou
é rigoureuse, scientifique. ! • M. Luys nous dit que. dans les deux
séries
d'expérience*, nous avons obtenu une symptomaiolo
ait se passer. En effet, nous pouvions le constater. Dans une seconde
série
, au milieu d'une ignorance parfaite et d'un silen
ongrès scientifiques en 2839. Il y aura en iSSo, a Paris, toute une
série
de Congrès pendant l'Exposition internationale :
rieurs et qui mériteraient d'être classés a un rang supérieur dans la
série
. Ainsi, l'instinct des abeilles et des araignées
sification met bien au-dessus d'eux, par la raison qu'il s'agît d'une
série
artincieHe,créee par l'homme, et non d'une série
n qu'il s'agît d'une série artincieHe,créee par l'homme, et non d'une
série
progressive établie par la nature elle-même. Par
a constamment simulé le sommeil, mais qu'il ne dormait pas. Par une
série
d'expériences auxquelles il veut bien se prêter,
lement de souvenirs que nous cherchons a rappeler. Nous possédons une
série
de souvenirs a l'état latent que nous n'avons pas
petites opérations et dans des accouchements. La longueur de cette
série
n'est pas conforme à l'opinion reçue. Beaucoup de
t ils ont essayé la médication nouvelle. S'ils ont eu la chance d'une
série
heureuse, leur conviction s'est faite, et rien ne
lier, un jeune' élève, hypnotisé par ses camarades, fut atteint d'une
série
de troubles nerveux qui l'amenèrent à la Salpètri
un médecin hypnotiseur. où cet observateur distingué expose toute une
série
d'acciicnis qu'il a provoques alors qu'il manquai
confrères, ovouc, dans son livre sur le nouvel hvpnotisme. toute une
série
d'accidents dus ù l*hyp-notisation, accidents que
d'un nombreux auditoire de collègues et d'éléves. — Il a commencé une
série
de leçons sur la folie de la persé-cution, sujet
eux des breuvages; faire défiler sous ses yeux complaisants toute une
série
d'objets imaginaires ou de personnages fantastiqu
Autre différence avec le sommeil naturel. — La malade présente une
série
de contractions spasmodiques des paupières, elle
t un statu quo d'animal hibernant. Une seule fois une hystérique en
série
d'attaques eut une température de 3p degrés : trè
ropsic, nous croyons devoir rappeler aussi brièvement que possible la
série
des phénomènes morbides présentés par le sujet. L
s, docteur GuiUabert, et par nous-mêmes à diverses reprises. Toute la
série
des médications ordinairement employés en pareil
. Examiné une nouvelle fois au préalable, Lance nous présente bien la
série
de phénomènes à plusieurs reprises déjà constatés
rigueur d'analyste incomparable, Arsène Meunier (2ï passe en revue la
série
entière des procédés auxquels, « tyrannisé lui-mê
la Clinique des maladies nerveuses, 55, rue Saint-Andrc-des-Arts, une
série
de leçons cliniques sur les applications de l'hyp
nement va augmenter encore si Ton se met à représenter mentalement la
série
des phénomènes psychiques et somatiques simultané
un son voulu, un mouvement précis de la main, et que, par suite, une
série
de signes écrits sur la partie musicale représent
ite, une série de signes écrits sur la partie musicale représente une
série
de mouvements spéciaux, et non d'autres, à exprim
la clinique des maladies nerveuses, rue Saint-André-des-Arts, 5?. la
série
de ses leçons cliniques sur les applications thér
ommencé le dimanche 10 mars, en présence d'un nombreux auditoire, une
série
de leçons cliniques sur les maladies mentales et
ans. le chirurgien ou le médecin quia atteint l.i plate-forme par une
série
d'épreuves, a souvent perdu son originalité et sa
ns à l'hypnotisme thérapeutique (2) et porté à votre connaissance une
série
de faits observés, les uns. dans la clinique, les
l, car le petit hypnotisme c'est l'hypnotisme de Nancy), comprend une
série
d'états encore mal définis et mal classés : on po
oir sur leur nature et sur la place qu'ils méritent d'occuper dans la
série
. » Je dois vous paraître, ce moment-ci. bien ma
'hypnotisme représente cliniquement un groupe naturel, comprenant une
série
d'états nerveux différents les uns des autres, ch
un terrain de conciliation clinique. Examinons d'abord la première
série
d'objections que les deux Ecoles se font l'une à
e son traitement fut plus pénible que la première; elle passa par une
série
d'altcrnation, d'amélioration cr d'aggravation, e
e les états décrits sous ce nom ne sont que les premiers degrés d'une
série
de phénomènes étudiés depuis longtemps par les ma
[Qui est sensitif. ou ne l'est pas?), Reichenbach passe en revue une
série
d'expériences et formule ainsi l'interrogatoire q
ir tantôt avec l'un, tantôt avec l'autre, pendant le cours d'une même
série
de mouvements dissociés. Sa vision est donc toujo
à 10 heures et demie, trois accès coup sur coup, formant une petite
série
. Il en aurait presque toujours été ainsi pendan
ours été ainsi pendant la nuit et la matinée : mais, entre chaque
série
, il y avait une rémission plus ou moins longue, d
lade a eu d'abord, pendant vingt-quatre heures environ, plusieurs
séries
composées de trois accès. En semblable circons-
ant, notre malade n'é- tait pas sérieusement en danger. Bientôt les
séries
se sont rapprochées et les accès ont fini par s
revient à son chiffre normal. Il en est de même après les petites
séries
, semblables à celles que nous avons signalées au
elles sont toutes, (1) Les résultats observés déjà dans une seconde
série
de cas, nous sem- blent devoir confirmer cette
endant quelques jours à deux des quatre malades qui composent cette
série
; 0 gr. 04 à une autre et 0 gr. 09 à la dernièr
de respirer le nitrite d'amyle ; 2° dans les cas d'accès venant par
série
, de telle sorte que, les malades étant confinés
ser aucun effroi, se termina par un léger vertige. Puis survint une
série
de véritables accès d'épilepsie, toujours précé
le spasme des vaisseaux de se produire, on écarte par là même la
série
des accidents consécutifs. « Un accès empêché,
lications de glace sur l'épine dorsale. Le il février, C... eut une
série
continue d'accès et tomba dans un coma profond.
la porte. Elle se réveilla en sursaut, eut peur et fut prise d'une
série
d'alla-. ques qui aurait continué deux jours.
oforme qui lui donne des « rêves agréables. » ' \. \ 27 décembre.
Série
d'attaques ; T. R. 37°, 8. Nitrite d'amyle : le
grand nombre d'hystéro-épileptiques, les attaques se mon- trent par
série
durant plusieurs heures, ou même toute une jour
n'est qu'après la quatrième inhalation (en tout 35 gouttes) que la
série
d'attaques se termine. Pendant plus de cinq mi-
ons, sans tomber dans des répétitions inu- tiles, rappeler toute la
série
des phénomènes qu'on voit se dérouler successiv
A l'origine de son séjour dans cet établissement, L... avait des
séries
d'attaques d'une violence extrême, qu'aucun avert
ardent en haut et à droite. L... pousse un cri prolongé formé d'une
série
de petits cris ; puis, la perte de connaissance
s secousses sont moins fréquentes. 7 mars, - Hier, de ü à 9 heures,
série
d'attaques qui ont laissé le bras gauche fléchi
re est le siège de fourmillements. t2 2 mars, - De midi à 4 heures,
série
d'attaques pendant lesquelles on a. remarqué qu
barres de son lit ; c'est durant cette période qu'on assiste à une
série
d'actes bizarres. Ler... crie : « mon Dieu ! mo
i et se terminent par de l'écume à la bouche. , T. R. : ! 8°. Cette
série
d'accès a duré jusqu'à quatre heures du ` soir.
ements et de douleurs dans le membre supérieur droit. Pendant cette
série
d'attaques qui a duré trois jours, on a noté un
ent une seconde attaque. Elle se décompose, pour ainsi dire, en une
série
de crises succes- sives. La malade reste durant
thode d'analyse que ce physiologiste venait de publier. » Après une
série
de 12 dosages, M. Gréhant obtint la moyenne de
cas d'ischurie à l'Hôtel-Dieu, faisait exécuter par M. E. Hardy une
série
d'analyses qui démontrait la disparition presqu
surface le cerveau, le cervelet et le bulbe rachidien. Une seconde
série
de coupes est faite suivant un plan horizontal, p
horizontal, portant sur les deux lobes à la fois; enfin une troisième
série
est pratiquée, dans le plan vertical transverse,
ontées entre deux lames de verre (2), et ont servi de (1) Les trois
séries
de coupes ont été faites avec mon cérébrotome à d
thématiquement déterminés. — Il est important de remarquer que chaque
série
provient d*un seul et même cerveau frais qui a ét
eur, indiquée par les vis micrométriques. Par conséquent, dans chaque
série
, les coupes se correspondent exactement et représ
ent pour la détermination de certains détails très délicats. Chaque
série
de coupes, faite dans l'un des trois plans, const
ription entière; mais certains détails ne sont pas visibles sur telle
série
, tandis qu'ils apparaissent mieux sur celle-ci et
a zone superficielle de la substance corticale est constituée par une
série
de cellules nerveuses pyramidalest de volume vari
lenticulaire est convexe, elle est criblée de pertuis vasculaires en
séries
linéaires et constitue à la base du cerveau la su
ovoïdes de couleur jaunâtre, pourvues d'un gros noyau, dispo-sées en
séries
sur le trajet des racines postérieures, qui s'épa
stance grise donne naissance aux nerfs rachidiens ou spinaux par deux
séries
de racines, qui prennent leur origine l'une dans
phalique du névraxe donne naissance, comme la portion spinale, à deux
séries
de fibres radiculaires : les racines motrices et
vers le niveau des racines moyennes du glosso-pharyngien, on voit une
série
de fibrilles se détacher de la substance grise du
rieures décapitées. La substance gélatineuse qui l'entoure émet une
série
de fibres nerveuses se dirigeant en dehors et en
s de la moelle jusqu'aux régions les plus antérieures du cerveau, une
série
en parfaite continuité d'éléments nerveux en conn
céphale précédent à un milli-mètre en dehors du plan médian. (Cette
série
de coupes est faite sur un même cerveau frais, du
es fibres convergentes et commissurantes, nettement apparent dans la.
série
des coupes horizontales et verticales transverses
passant au niveau de la face supérieure du corps calleux. (Cette
série
de coupes est faite sur un même cerveau frais, de
erticale transverse passant par le bourrelet du corps calleux. (Cette
série
de coupes est faite sur un même cerveau frais, du
ibres con-vergentes des régions postérieures (voir ce faisceau sur la
série
de planches horizontales), 6. — Section de la s
, Pl. XLVI et PL XLVII). Ces troncs nerveux sont en rapport avec la
série
d'artérioles fournies par l'artère cérébrale anté
artère sylvienne, que l'on aperçoit dans la scissure de ce nom; cette
série
d'artérioles pénètre par les trous de l'espace pe
mauvais exemple, (le n'était pas le seul qui lui eût été donné. Une
série
de faits analogues justilieraient fort bien l'idé
publications qu'il dirigeait, le savant clinicien est l'auteur d'une
série
d'admirables études bien connues des praticiens d
où l'on est de faire «les efforts pour diriger la pensée. Jamais la
série
des images de mes rêves n'a présenté un ordre que
applications cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Une
série
de leçons commencera le 5 octobre. Ou s'inscrit à
applications cliniques de Ut suggestion et île Chypnotîsinc, etc. Une
série
de leçons commencera le 19 octobre-On s'inscrit à
élix Alcan. éditeur.) Cette étude sur l'Idiotie a été l'objet d'une
série
de leçons faites à la Salpétrière au commencement
par exemple, ou encore en un diagramme, consistant eu des lignes, une
série
de chilires ou un espace d'une teinte particulièr
iculière. Ainsi tel se représentera les jours de la semaine comme une
série
de parallélogrammes ayant des grandeurs différent
par exemple, l'audition d'un bruit, éveille dans notre organisme une
série
de modifications vaso-motrices et autres, dont no
n certain étal émotionnel, lequel consiste, physiologiquement. en une
série
de troubles dans notre circulation, dans notre in
e grand somnambulisme sont rarement isolés ; ils se groupent dans une
série
de crises à périodicité régulière, qui se succède
les applications cliniques de la suggestion et de riiypnolisme, etc.
Série
de leçons commencera le 25 novembre. On s'inscrit
, ses diverses formes cliniques (Ann. médieo- psvchol.. t. XVII, 7e
série
. 3. 1893). freud (S.). —Quelques considérations p
un cas d'hérai-choréc post-hémorragique méd.- psychol.. t.XVIII, 7°
série
. I. 2). Paul SeRieux. — Sur un cas de surdité ver
r.. 27). MoBEAO. — Le crime à deux (.Ann. médico-psyeh., t. XVIII, 7e
série
, I, 2). Simelaioxe (R.). — La cause du « Libre «l
l Commando j, cas de folie à cinq (Ann. médico-psych., t. XVIII, 7'
série
. 3). Erratum. — Dans quelques numéros, l'annonc
aîne psycho-motrice qui nous apparaît aujourd'hui souk la forme d'une
série
d'opérations physiologiques. mais qui n'était con
ition. Dans de telles conditions, il se produit un conflit entre deux
séries
de phénomènes de mouvement à l'étal naissant, don
l'étal naissant, dont l'une finalement prévaut, et se traduit par uue
série
de phénomènes actuels de mou veulent. Chaque séri
se traduit par uue série de phénomènes actuels de mou veulent. Chaque
série
de phénomènes naissants de mouvement guise produi
cle à celle phase ultime île l'acte volontaire. De l'excitation d'une
série
d'images à l'acte linai, il existe une chaîne phy
érie d'images à l'acte linai, il existe une chaîne physiologique, une
série
ininterrompue de phénomènes mécaniques dans laque
ais un facteur véritable. Il n'y a pourtant aucun élément ajouté ù la
série
physiologique psycho-motrice, mais il est restitu
ique psycho-motrice, mais il est restitué à l'un des processus île la
série
quelque chose dont la théorie opposée ferait un é
nce auquel je ne trouvais aucune place, aucun rôle à assigner dans la
série
des phénomènes psycho-moteurs. L'inaction de cett
un objel idéalement ». Suivant Bain « l'image d'un bâtiment est une
série
d'impressions retenues dans l'appareil optique et
les applications cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc.
Série
de leçons commencera le 25 novembre. On s'inscrit
termination puisque c'est le résultat même de cette cohésion. Dans la
série
des états de conscience qui précèdent les act
abord par tous les psychologistcs. Elle correspond exactement à une
série
de remarques très importantes de Herbert Spencer
ques cas d'hystérie màlo cl de neurasthénie. {Montpellier médical, 2«
série
, t. XVIII. 1891.) (5) îii RM i on : Neurasthéni
eutenant de l'en dispenser. C'est alors que commencèrent pour lui une
série
de tribulations dont il ne se souvient qu'avec un
er le degré de suggestibilité de ce sujet en lui faisant réaliser une
série
d'actes assez coinpliqilés et je lui dis : • Made
degré l'action de la suggestion indirecte. J'entrepris une nouvelle
série
d'expériences qui montrent très nettement cette a
vidu est en raison directe du nombre de ceux qui l'entourent. Dans la
série
animale les mêmes effets sont observés. Les indiv
a Sorièlé dex Voyages pratiques a été autorisée à organiser toute nue
série
d excursions en Italie, eu Grèce et eu Tunisie, s
les applications cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc.
Série
de leçons commencera le 25 novembre. On s'inscrit
que ou stomacale. Là. si le milieu est bien préparé, se formeront une
série
de colonies qui, plus ou moins rapidement, infect
ysée se disant le Tzar! Nous verrons de même que le crime affécte par
séries
diverses formes : autrefois les empoisonnements,
sec. Son défi ne fnt pas relevé, ce n'était que la suite d'une longue
série
de poursuites qu'il avait entreprises coulre les
ures, à ('broie d antrhropologie, 15. rue de l'Ecolc-dc-Medecine, une
série
de conférences sur les déformations crâniennes co
ttes ardentes entre deux écoles célèbres n'était que le prélude d'une
série
de discussions plus importantes. Le lendemain une
constituerait gardienne volontaire de la moralité du peuple ; et une
série
de conférences dans lesquelles les médecins alién
r que j'ai est une peur folle, par conséquent je suis fou. Et par une
série
de semblables raisonnements il linissait toujours
rigibles. Pour mieux dormir Le Dr Wilhem Fischer a fait toute une
série
de recherches pour établir quelle est la façon la
après l'accident. Chez le quatrième malade, le seul homme de cette
série
, bien qu'il fut très affirmatif sur la'présence d
tut, dans son remarquable Traité d'anatomie humaine, a représenté une
série
de figures originales concernant la circulation v
malade, à cause du petit accident qui avait interrompu notre première
série
d'expériences. Notre seconde malade, la nommée
angue). Il fait une grimace en grinçant des dents. Dans une seconde
série
d'expériences, quelques différences se sont produ
face est animée de petits mouvements. Le lendemain de cette seconde
série
d'expériences, on suggère au malade, pendant la
roite- (1) L'observation complète clo ce malade se trouve, avec une
série
d'autres, dans mon Mémoire sur lo somnambulisme h
ne malade de la Salpêtrière (1) qui, dans son accès, se livrait à des
séries
incoordonnées d'actes ; elle se dressait en sursa
ours poursuivre un rêve en action, rêve qui comprend une ou plusieurs
séries
d'épisodes très distincts. Le noctambulismo appar
es dont chacun réalisait objectivement les différents termes de cette
série
qu'il établissait. On sait que cette troisième
encent généralement dans le même ordre, et il en résulte une sorte de
série
. Or, de même que la première phase (épilep-toïde)
'accident et pendant les quinze jours qui suivirent la malade eut une
série
d'attaques convulsives, précédées d'une aura clas
i cette lampe? emportez-la, c'est gênant à la fin ! » Puis, seconde
série
de contorsion des mains; le malade cherche à déch
eut une attaque de nerfs, puis, après huit jours de tranquillité, une
série
d'autres pendant quatre jours. On l'envoya alors
espèce de malaise général a précédé presque toutes les crises ou les
séries
de crises qui se sont produites depuis quelque te
r ce point de départ le somnambule hystérique se crée un tableau, une
série
d'hallucinations qui s'enchaînent les unes aux au
c.), il se trouve dès ce moment en proie à une hallucination ou à une
série
d'hallucinations enchaînées, qui tiennent toute l
tant extérieurement de cette façon encore mieux l'hallucination ou la
série
d'hallucinations successives, auxquelles elle est
olonté de l'opérateur, l'impression reçue en une hallucination ou une
série
plus ou moins complexe d'hallucinations. D'autr
Burot. — Op. cit., p. 140 et suivantes. ans, qui, à la suite d'une
série
d'attaques hystériques accompagnées des stigmates
s'agissait là d'attaques hystériques subintrantes se reproduisant par
séries
ininterrompues de huit, quinze, vingt jours et mê
té a toujours été parfaite. Je dois cependant vous mentionner ici une
série
de petits accidents survenus dans ces trois derni
eurs mois de lettres anonymes et de menaces. Telle est, en résumé, la
série
dos petites misères qui ont peut-être pu préparer
de voir. Les choses vues ou en- (1) La malade a eu aujourd'hui une
série
d'attaques de nerfs occasionnées par une frayeur
blable manière de voir, et nous pourrons du reste les appuyer sur une
série
d'observations cliniques. Dans une leçon récent
étique. Mère. Hystérique. Fils. Diabétique. Voici enfin une
série
de tableaux que nous devons à l'extrême obligeanc
de celle des tabétiques. Le moment est venu de mettre en relief une
série
de symptômes qui semblent propres à la glycosurie
ropres à la glycosurie de l'ataxie locomotrice progressive. C'est une
série
de phénomènes bulbaires, et cela devait être, éta
aux, depuis un an hebdomadaires. Accès caractéristiques, souvent en
séries
. Aura : Mouvements involontaires de salutation,
es deux mois environ, aujourd'hui tous les huit jours, quelquefois en
séries
. Aura jachsonnienne faciale, à début lingual. L
typiques ; très fréquents, deux à trois par semaine et quelquefois en
séries
; plus souvent diurnes que nocturnes. Aura : Tr
XIV. Ab... Julia, 31 ans. Début à l'âge de 5 ans et demi, par une
série
d'accès survenue dans la nuit, après une frayeur
nocturnes, puis diurnes depuis l'apparition des règles (14 ans) ; par
séries
mensuelles de 7 à 8 accès. Aura consistant en u
e interne de l'œil droit. Début, à l'âge de 7 ans, par des accès en
séries
très fréquents. Puis intervalle de 4 ans ; enfin
Ils se produisent, avec des intervalles d'un an à dix-huit mois, par
séries
donnant lieu à de véritables périodes d'état de
n des premières règles. Accès au début quotidiens, actuellement par
séries
mensuelles de sept à huit. L'aura ne s'est prod
vec les premières règles, retour des grands accès qui se répètent par
séries
tous les quinze jours, sauf un intervalle de quat
n an, grands accès, au début très fréquents, toutes les semaines, par
séries
de 3 à 6 ; puis moins fréquents dans la suite (to
e le plus souvent dans l'hystérie. En tous cas, dans cette première
série
, on ne rencontre aucun des autres phénomènes qui
e de la sienne. Accès diurnes re- lativement rares: quatre accès ou
séries
d'accès en deux ans. Accès nocturnes un peu plus
troisième grossesse, à la suite de la peur d'un incendie. Accès par
séries
mensuelles principalement matinales, à l'époque d
its sur le modèle de la toux. La toux consiste, vous le savez, en une
série
d'expirations brusques produisant un bruit partic
le constatez, en petites secousses respiratoires qui se groupent par
séries
de quatre (rhythme quaternaire). Les séries en qu
oires qui se groupent par séries de quatre (rhythme quaternaire). Les
séries
en question sont séparées les unes des autres par
e est occupée à lire à haute voix ; mais à peine a-t-elle fini que la
série
reprend comme de plus belle. Un effort de volonté
ulsives et délirantes aujourd'hui disparues, mais qui ont inauguré la
série
morbide ; il est représenté encore par la présenc
ne hémianesthésie alcoolique, c'est-à-dire appartenant en propre à la
série
des accidents nerveux de l'alcoolisme chronique ?
rédaction : J.-B. CHARCOT tr J. NOIR Dessinateur : LEUBA Deuxième
série
, tome IX. 1900. Avec 13 figures dans le texte e
'aidait tout en le surveillant. Cette surveillance lui Archives, 2°
série
, t. ]X, 2 18 MÉDECINE. LÉGALE. pesait, comme
distinct de celui des autres fibres de la sensibilité Archives, 2'
série
, t. IX 3 34 4 REVUE CRITIQUE. générale, ou si
de la paralysie générale chez l'homme et chez la femme dépend d'une
série
de conditions générales, locales et individuell
à celle de l'hébéphrénie, ou de la stupeur aiguë, et ont Archives,
série
, t. IX. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' g
on l'expression de 111. Hartenberg. Le traitement a consisté en une
série
d'exercices (combinaisons de mouvements de flexio
d'une malade de vingt et un ans, atteinte de sclérose Archives, 21
série
, t. IX. 5 66 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. en plaqu
randes variétés d'émotions, la tristesse et la peur, comprenant une
série
.de variétés secondaires qui en sont comme des
gulier. Pendant trois ans, ou même davantage, il faut donner quatre
séries
d'injections de salycylate de mercure par an. On
e moitié pour ceux qui sont plus sensibles au médicament. Entre les
séries
d'injections du sel de mercure, on donnera troi
trois jours après la suppression du médicament il pré- Arcuives, 2e
série
, t. IX. 6 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. sente tous le
à la Société médicale de Genève, le 4 octobre 1899. Archives, 21
série
, t. IX. 7 98 PATHOLOGIE NERVEUSE. similaires
nt, une tentative de suicide en s'empoisonnant avec de Archives, 2'
série
, t. IX, 8 114 r PATHOLOGIE NERVEUSE. l'arseni
ns la liqueur de Marchi et en pratique des coupes ininterrompues en
séries
. Voici les conclusions relatives au trijumeau,
e vingt-trois ans, et que, par suite, on ne peut plus Archives, `3e
série
, t. IX. 10 '1 IG REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
nimaux; par DOELLKEK. (Neurolog. Centralbt., XVII, 1898.) Coupes en
série
transverso-perpendiculaires, horizontales, et a
'irritabilité corticale jusqu'au moment où la tonicité Archives, 2°
série
, t. 11. 11 162 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. vascul
our démontrer cette variabilité, M. Brunet a réparti ses pesées par
séries
de 50 grammes. Il trouvé que le poids de l'encé
é- dente, disloque tout le tissu nerveux, et le transforme en une
série
de petits tronçons qui s'émieltent progressivemen
le rôle de l'écorce céré- brale et la psychologie comparée dans la
série
animale; puis les centres sensitivo et sensori-
ette question complexe, qui pourront servir, pour leur Archives, 2*
série
, t. IX. 13 194 CLINIQUE NERVEUSE. petite part
897, p. 165 ; ou bien : Leçons sur les maladies nerveuses. Deuxième
série
. p. 505.) POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTÉRIQUES.
diminué, le malade n'arrive pas, ou arrive très lentement après une
série
de tâtonnements à mettre le bras gauche dans la
douze minutes le 10. En mai : un accès de dix minutes le 12 et une
série
de trente-cinq minutes le 23 (4 accès). - Rien
des deux côtés ; cinq ou six cas, dans lesquels Bour- AnCII1YES, 2*
série
, t. IX. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. n
d'un homme de trente ans, d'une santé magnifique qui, Archives, 2»
série
, t. IX. 17 258 SOCIÉTÉS SAVANTES. à la suite
e la clinique psychiatrique de l'Université de Moscou. Archives, 2'
série
, t. IX. 18 274 ik ANATOMIE PATHOLOGIQUE. le l
la paralysie générale. (Annales médico-psychologiques, 1898, n° 1,
série
VIII, t. VIII.) AZOULAY. - Psychologie histolog
est particulièrement fréquent si j'en crois ma propre Archives, 2e
série
, t. IX. 19 290 CLINIQUE MENTALE. expérience,
n'avait pas empêché l'apparition de l'épilepsie. B. Archives, 2*
série
, t. IX. 20 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
ns inhérentes au protoplasma. Généralisant son assertion à toute la
série
animale, il. Bethe ajoute que la cellule, organ
moire est un état ; qu'une onde excitatrice vienne iL parcourir les
séries
de molécules grou- pées d'une manière déterminé
du canal de droite. La malade, dont provient cette pièce, avait une
série
de troubles nerveux des plus graves, mais pas d
ention sur la muraille. Or, chaque fois que le patient Archives, 2*
série
, t. IX. 21 322 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
re la suggestion comme une dérogation radicale, un AncI ! l\'r.s,2-
série
, t. IX. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
ce. MM. COCHEZ et SCIIERB. M. Meige communique pour les auteurs une
série
de photographies relatives à ce cas. Névrite cu
et état de surdité ver- bale, presque complète, qui avait suivi une
série
d'attaques épilep- tiformes et apoplectiformes,
s de ces malades n'étaient pas toujours très complets, Archives, 2*
série
, t. IX. 23 354 BIBLIOGRAPHIE. ce qui ôte tout
oolisme chronique. Compte rendu de la Société de Biologie, t. I, 5e
série
, 1869. Infarctus multiples avec ramollissement
re du ventricule gauche. Compte rendu de la Société de Biologie, 4e
série
, t. IV, 1867. En collaboration avec Magnan.)
ieurs, un regret de plus à ajouter, pour la Société de Archives, 2°
série
, t. IX. 21 r 370 NÉCROLOGIE. Biologie, à ceux
epmann, un des premiers, observa cette hyperesthésie : Archives, 2'
série
, t. IX. 25 . : 386 CLINIQUE MENTALE. il fit n
enu pour quelque temps dans l'organisme. Pendant cette Archives, 2°
série
, t. IX. ' 26 402 CLINIQUE NERVEUSE. période d
tre permet d'établir une lésion du crâne avec destruc- Archives, 2'
série
, t. IX. 27 418 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
u postèro- médian de la moelle lombaire et sacrée ? Voici une autre
série
de pièces anatomiques empruntées à un adulte ay
vulsifs, et qu'il est aisément soulagé précisément par Archives, 2'
série
, t. IX. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. l
la racine du mal. Il est remarquable de voir de quelle manière une
série
de crises épilep- tiques est interrompue par un
car je n'en ai retrouvé que 16 cas. M. Babinski a dû tomber sur une
série
heureuse. M. Déjerine a rarement vu à l'hôpital
ssent d'abord d'une façon irrégulière et se divisent ensuite en une
série
de tronçons très courts. 5) Les noyaux de la ga
rêt principal de cette triple observation consiste dans Archives, z
série
, t. IX. 29 450 SOCIÉTÉS SAVANTES. ceci que no
urs conséquences, familiales ainsi que le crime et la folie dans la
série
animale, questions neuves et du plus haut intér
le d'Armentières le 4°r septembre 1899, il est atteint Archives, 2'
série
, t. IX. 30 46G PATHOLOGIE NERVEUSE. de démenc
umons plus nombreux aux sommets. Les ganglions du cou, Archives, 2'
série
, t. IX. 32 498 RECUEIL DE FAITS. des aines, d
dans l'alcool absolu. Inclusion dans la celloïdine. 1 741 coupes en
série
que l'on colore au moyen de la méthode de Wolte
membre thoracique, soit du membre abdommal. G. Deny. Archives. 2°
série
, t. IX. 33 M4 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
pendant l'état de veille, principalement la catalepsie Archives, 2'
série
, t. IX. 34 530 SOCIÉTÉS SAVANTES. élastique o
s donne in extenso les lois intéressant l'enfance cri- minelle. Une
série
d'observations empruntées au service du D'Bour-
e Temps du 25 mars 1900.) COURTADE (D.). - L'irritabilité dans la
série
animale. - Volume in-8., cartonné de ZiG pages.
ar erreur P sur la planclie. (0) - Se - (') Al j - ARCHIVES, 26
série
, t. IX. 3ti 546 EXPLICATION DES PLANCHES. PLA
action : J.-n. CIIAHCOT et G. GUINON Dessinateur : LEUBA Deuxième
série
, tome I. 1896. Avec 30 figures dans le texte et
iotie JIIyxoedémaleuse (ca- chexie pac/t(7e/'Mtue. , Archives, 2e
série
, t. I. 1 2 THÉRAPEUTIQUE. - nutrition, par su
laire et a gagné en étendue, L'enfant qui, le 14 juin, Archives, 2e
série
, t. I. 2 L ? ig. 11.. \Va... en septembre 189
ons de Tizzoni, de Fleiner, de Balès et Kalindero et aussi dans une
série
d'autres maladies de la moelle où elle semble u
ion de la fonction rénalé et à l'hyperpyrexie. A. 111. Archives, 2e
série
, t. I. - 4 50 -REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
es autres de l'enfance et de l'âge adulte. 1)" A. M. Archives, 2°
série
, t. I. 5 66 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE : XI. Mala
'usage de la parole, et qui, une fois au moins, se renouvelèrent en
série
durant plusieurs jours consécutifs; il reprit e
'étant dangereux, il devait être envoyé dans ,un asile Archives, 2°
série
, t. I. 6 - 83 SOCIÉTÉS SAVANTES. d'aliénés. C
le nombre des cabarets, et celui des cas d'alcoo- lisme étaient des
séries
de faits indépendants. Ceci parait, en effet, r
vons que des renseignements excellents, peut-être même Archives, 2e
série
, t. 1. 7 98 CLINIQUE MENTALE. trop optimistes
l'ouïe de cause externe. (Annales nzéclicu sclcolu71yues, 1883, Go
série
, t. X, 412.) LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 1
maximum qui est atteint avant le maximum d'excitation. Archives, 2°
série
, t. I. 8 114 Il REVUE d'électricité médicale.
littéraire, une école technologique, une école de gymnastique, une
série
d'ate- liers et une organisation militaire ; le
rle isolée de l'une ou l'autre de ces deux facultés. Archives, 2°
série
, t. I. 9 '130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Op
surveillée et améliorée le plus promptement possible. Archives, 2e
série
, t. I. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Il
ternes n'ont qu'une faible participation au service. Archives, 2°
série
, t. I. 1l t z) asiles d'aliénés. D'autres mes
de Moscou, 1887, p. 300, 301. ' , Idem, p. 307. ' Archives, 2e
série
, t. I. ' 12 178 s ANATOMIE PATHOLOGIQUE. nogr
. Reverdin, d'un côté, et Rocher, de l'autre, ont démontré, par une
série
d'observations, qu'un certain nombre d'individu
de porce- laine en suivant le procédé de d'Arsonval. Archives, 2°
série
, t. I. 13 194 THÉRAPEUTIQUE. M. Gley a encore
: elle a été soutenue d'une manière intéressante par Luys dans une
série
d'articles de l'Encé- phale en 1888. Déjà, en
sillon de Rolando (troisième frontale). Son enveloppe AnCaIVES, 2e
série
, t. I. 14 zizi REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
isons, 21; B. Morts, 17; C. Autopsies, 13. - En réunissant les deux
séries
, les 300 cas qui servent de base à cette étude
s plus importantes des remarques que l'au- teur a déduites de cette
série
considérable d'observations. Hémorrhagie. - Les
Robertson et de Westphal subsistent tels quels. P. K. ABCIIIVE9. 2"
série
, t. I. 15 5 226 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
is affectent : des granulations, des filaments de granulations, des
séries
et des groupes de granula- tions, des fils de t
ses collègues qui l'ont choisi pour vice-président. Archives, 2°
série
, t. I. 16 242 asiles d'aliénés. Une page de l
ret) ; Brissaud déclare que le ramollissement cérébel- ARCHIVES, 2°
série
, t. I. 17 258 CLINIQUE mentale. Jeux est enco
rmine son travail par le résumé de quatre observations Archives, 2°
série
, t. l. 18 274 . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
égie spasmodique qui, au bout de quelque temps, devint Archives, 2e
série
, t. I. 19 290 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. , fla
es. Il a suivi deux principes. Le premier était de chercher dans la
série
des animaux les scissures complètes. Il a recon
Il a reconnu alors que ces scis- sures complètes consistent en une
série
d'éléments indépendants l'un de l'autre, qui pe
liénés pauvres dans les habitations particulières, de- Archives, 2"
série
, t. I. 20 306 asiles d'aliénés. meure aujourd
système nerveux. - Hospice de la Salpêtrière (année 1891-1895), 1°
série
. - Volume in-8° de 653 pages, avec 103 figures
si peu nombreuses qu'il ne serait pas inutile je crois Archives, 2e
série
, t. I. 21 322 ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. de déc
l relatives à l'inhumation des suicidés. Ces pénalités Archives, 2e
série
, t. I. 22 338 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. même
peuvent alterner comme dans la folie circulaire. A. M. Archives, 2e
série
, t. I. 23 z354 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .
incurable. Puis hyperthermie, ostéite multiple, otite Archives, 2e
série
, t. I. 24 370 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. t
ollicitations physiologiques de la rétine de sorte que Archives, 2e
série
, t. I. 25 386 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
ur insiste sur le parallélisme qu'il y a entre les éche- lons de la
série
du développement des manchons, de myéline et ce
de la série du développement des manchons, de myéline et ceux de la
série
des dégénérescences secondaires des systèmes de
e étude, c'est que l'alcool qui était réputé le moins toxique de sa
série
détermine cependant des lésions accentuées sur
spinales ; par E. DE AIASSARY. L'auteur a pratiqué des coupes en
séries
de racines dorsales, lombaires ou sacrées de ci
subjectif accom- pagnant cette modification. Donc étant donnée une
série
d'excita- tions de grandeurs 1, 2, 3, 4, 5, et
donnée une série d'excita- tions de grandeurs 1, 2, 3, 4, 5, et une
série
correspondante de sensations 1, 3, 5. 6, 7 ; ce
3e acte) ? Pour répondre à cette question, l'auteur a entrepris une
série
d'expé- riences graphiques sur la rétine, le mu
ransmission des impressions sensitives. F. BoISSrER. Archives, 2°
série
, t. 1. 26 '402 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOG
ralysie de la musculature interne de l'oeil droit, des coupes en
série
furent faites et colorées par la méthode de Pal a
ôpital Sainl- Éloi de Montpellier (novembre 1890, juillet 1895), 2°
série
. Volume in-8°, de 787 pages. Prix : 12 francs.
ccasion toute la reconnaissance que nous lui devons. Archives, 2°
série
, t. I. 27 418 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. patholog
etc. , La chaîne des neurones de la sensibilité présente donc une
série
assez longue de neurones. Parmi ceux-ci le téléne
e méd. expérimentale et d'anal, palh., janvier 1891.) ARCHIVES,'2'=
série
, t. I. 28 434 . ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Nous n
tribution il l'élude de la syringomyélie, 1890, p. 72. Archives, 2°
série
, t. I. 30 466 RECUEIL DE FAITS. dernières leç
téral. La dégénérescence des fibres radiculaires émer- gentes d'une
série
de nerfs craniens, celle aussi d'un très grand
nt certainement incontestables dans les psychoses hys- Archives, 2e
série
, t. I. 31 482 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. té
. Etiologie infectieuse de l'hystérie. M. Grasset défend dans une
série
de leçons une théorie générale qui, dit-il, lui e
ag von G. Fischer. Le rédacleur-gérant : BOR\EVILLE. Archives, 2e
série
, t. 1. 32 TABLE DES MATIERES Abcès intracrani
cune des familles, et même dans chacun des individus qui composent la
série
animale, l'état du système nerveux et celui de l'
des auteurs qui m'ont devancé ; j'ai compris dans mes études toute la
série
animale, et j'ai procédé comme si rien encore n'a
orales de l'homme et des animaux. Ayant ainsi réuni devant moi deux
séries
de faits, les uns matériels, puisés dans l'étude
et suiv.). 36. Recherches sur l'épilepsie (Archives de médecine, 4e
série
. 4843, t. II, p. 32). 37. Note sur une sonde
. Paris, i83?, in-8, p. 66. (2) Voy. Annales des se. naturelles, 2e
série
, t. 1. Zoologie. Paris, i834; récemment encore,
t habile micrographe, le système nerveux serait composé dans toute la
série
animale, de fibres canaliculées ou de tubes. Ces
graduellement croissante, le nerf optique de l'escargot, j'ai vu des
séries
de globules nerveux se diriger parallèlement les
signification dans le développement comparé du système nerveux de la
série
animale? Ces questions importent beaucoup à mon s
valeur des différentes parties du système nerveux, considéré dans la
série
animale, et cette idée, si elle n'est pas mise au
la moelle épinière des vertébrés. Le long de cette chaîne, règne une
série
de ganglions correspondant au volume et au nombre
est de même; ehI bien, du maïa au talitre, le passage s'opère par une
série
de crustacés, dont le système nerveux va progress
aleines. Les baleines, dont la peau sert ainsi de domici^à Une double
série
de mollusques, se nourrit elle-même d'une autre e
ifères. Les naturalistes qui ont coordonné les animaux dans une seule
série
, ont trouvé des embarras qu'ils n'ont pu surmonte
sous beaucoup de rapports. Pour éviter ces embarras on a imaginé des
séries
parallèles, et Ampère, l'un des auteurs qui ont r
et classé les animaux de la manière suivante (1) : Vertébrés. ire
série
. ' Mammifères Oiseaux. Reptiles. \ Poissons Mol
Brachiopodes acéphales, j Ascidiens simples \ Ascidiens composés 2e
série
. Arachnides. Insectes. Myriapodes. Crustacés.
phrodites. | Rayonnes. Le rang élevé qu'occupent, dans la seconde
série
, les arachnides et les insectes, rendra moins éto
ptés, car sur ce point je n'ai pas de certitude complète), il y a une
série
de fibres longitudinales et une série de fibres t
certitude complète), il y a une série de fibres longitudinales et une
série
de fibres transverses. Nous retrouverons le même
les des mollusques, comme les fibres composant tous les nerfs dans la
série
animale : si on les comprime on en fait sortir de
SUMÉ. 1. Le système nerveux des animaux articulés est formé de deux
séries
de fibres ; les unes longitudinales qui vont de l
ils sont attaqués, ils savent se prêter mutuellement secours. Dans la
série
des invertébrés, ces insectes sont les premiers;
la série des invertébrés, ces insectes sont les premiers; et dans la
série
des vertébrés, y compris le singe et même l'éléph
sée ou de leur union naturelle et simple, mais lorsqu'on retrouve des
séries
entières de ces liaisons de pensées, et d'idées,
ont des femelles non destinées à la génération, sont divisées en deux
séries
, les unes chargées de la construction des alvéole
de n'y pas voir la preuve d'une véritable intelligence. 6. Dans la
série
des animaux articulés, les facultés se développen
atifs et rien de plus. La différence générale qui résulte de ces deux
séries
de faits, c'est que, chez le brochet, la moelle é
/300 de millimètre. Comme M. Bauer, c'est avec ces globules réunis en
séries
parallèles, qu'il a vu formées les fibres nerveus
moelle, sont toujours très pe- don considérée dans l'ensemble de la
série
animale, in-8°. Paris 1837 p.567. (1) Op. cit.
fourmis et des abeilles. Ampère a placé sur le même échelon, dans des
séries
parallèles, les crustacés et les poissons ; les i
et en même temps que la configuration, le volume. Nous arrivons à une
série
de vertébrés dont il nous est souvent possible d'
nerf placé au-dessous de lui, et toutes ces fibres sont disposés par
séries
longitudinales, de sorte qu'il n'en entre pas en
que des degrés d'une même échelle, l'homme, placé le premier dans la
série
animale, n'aurait qu'à regarder au-dessous de lui
s propositions. «Dans l'espèce humaine, dit-il (4), ainsi que dans la
série
animale, le développement des circonvolutions m'a
ature nous offre, » mine par ceux qui le sont le plus; mais dans la
série
des groupes ou familles que j'établis, il y a des
plus en plus considérable au fur et à mesure que l'on s'élève dans la
série
animale. Mais on aurait tort d'induire de là que,
sont telles qu'à la condition d'être applicables non-seulement à une
série
de faits et à une espèce particulière d'animaux,
, mais à tous les faits de nature identique, considérés dans toute la
série
animale; mais je répondrai que ni Gall ni ses par
c comparée; dans les Archives de médecine, année i838, 3e et nouvelle
série
, t. i et t. i r. ses prédécesseurs. Gall et Spu
plus petit, excessivement développé, et qui place dans la science une
série
d'observations que l'enthousiasme ou la crédulité
à la suite les chats, les ours, les mangoustes; alors j'ai repris la
série
des herbivores, pour arriver jusqu'à l'éléphant e
n'avais pas eu à coordonner les quatre groupes des carnivores dans la
série
des autres groupes; si la facilité de faire compr
ses organes extérieurs, pas plus que son cerveau. Ici se termine la
série
des animaux carnivores. Ce ne sont pas les plus n
ue les phrénologistes prétendent puiser leurs ar-gumens dans toute la
série
animale, puisqu'ils mettent en opposition les uns
e des dessins; car la moindre erreur de burin entraînait de suite une
série
de conséquences erronées, et portait la confusion
aite des dessins, puisque la moindre erreur de burin entraînerait une
série
de conséquences erronées qui porteraient la confu
s de M, Vimont. burin a, comme on devait s'y attendre, entraîné une
série
de conséquences erronées, et une véritable confus
: « le nombre et la perfection des facultés intellectuelles, dans la
série
des espèces et dans les individus de la même espè
la structure du cerveau, la cause qui fait varier à l'infini, dans la
série
animale, les penchans, les habitudes, les mœurs,
maux entre eux, afin de savoir quels rapports existent, dans toute la
série
animale, entre le système nerveux et les facultés
ymond. Art. Tabes dorsalis in Dicl, encyclop. des sciences méd., 3e
série
, t. XV, p. 293. DU VERTIGE DES ATAXIQUES. 7 P
it, cette fois, contre l'arcade dentaire inférieure, qui termine la
série
des secousses musculaires de la face. Pour le m
uerait une sensation de démangeai- son dans le dos, terminent cette
série
de contractions. Parfois, le mouvement convulsi
jours presque sans intervalles, l'apparition après une ou plusieurs
séries
d'attaques du délire, la présence des zones hys
s son état. Ses attaques journalières sont devenues des attaques eu
série
; en même temps l'intelligence commença à se rév
Z LES ÉPILEPTIQUES. 67 68 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. 2° Pendant la
série
, cet abaissement persiste moins marqué que dans
be tend déjà à se relever (voir la courbe de Hug...); 3° Après la
série
, la toxicité urinaire se relève, dépasse la nor
la série, la toxicité urinaire se relève, dépasse la normale si la
série
est finie. Si la série n'est pas terminée, le c
urinaire se relève, dépasse la normale si la série est finie. Si la
série
n'est pas terminée, le coefficient ne s'élève p
te hypotoxicité est un élé- ment de diagnostic pour affirmer que la
série
n'est pas finie et que certains cas quotidiens
des cas isolés, doivent être considérés comme faisant partie d'une
série
durant plusieurs jours. Cette hypotoxicité persis
nant l'hypotoxicité des urines s'accuse de plus en plus pendant une
série
et s'ac- centue avec l'intensité de cette série
en plus pendant une série et s'ac- centue avec l'intensité de cette
série
pour disparaître ensuite dans les espaces inter
sommes témoins. C'est ainsi qu'elle nous donne l'explication des
séries
et de l'état de mal. L'élimination ne s'effectuan
RTS AVEC L'HÉRÉDITÉ NÉVROPATHIQUE; par le Dr CULLERRE. ' Dans une
série
de vingt observations, l'auteur met en relief un
le milieu des territoires du renflement lombaire qui renferment une
série
de centres de réflexes des organes du bassin ; il
. DE GUDDEN. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVIII, 1, 2.) Voici une
série
complète de coupes transverses et perpendicu- l
re dans les parties les plus inférieures de la moelle cervicale; la
série
des coupes commence à la hauteur de la cinquièm
ormation des fibres de la racine ascendante. Au surplus, la seconde
série
des préparations (lapins) montre le rapport pat
l'enveloppe extérieure de ces éléments donne naissance à toute une
série
de décharges isolées qui, séparées les unes des
rieure du filament étant détruite, il faut qu'il se forme toute une
série
d'échanges physico-chimiques, etc. Quoi qu'il e
périphérique. - Une Archives, t. XXV. 9 130 SOCIÉTÉS SAVANTES.
série
d'expériences faites par l'auteur sur des cobayes
e Muller et traité par le liquide de Marchi, on en fait ensuite une
série
de coupes continue. L'examen microscopique de c
ivaient de vingt à vingt-sept jours après l'opération. L'examen des
séries
ininterrompues des coupes ho- rizontales amène
lle formation, après avoir été substitué par un os décalcifié ? Une
série
d'expériences y répond affirmativement. L'exame
rdonnés complexes, multiples, et reproduisant constamment la même
série
de mouvements, l'absence plus ou moins complète d
délirants. Ainsi Carti..., épi- leptique, pris de délire après une
série
de crises, répétait tout ce qu'on disait, bien
se développent successivement, chacun d'eux contrôlant un groupe de
séries
inférieures, l'attention se développe et se div
finitivement établie d'une façon satisfaisante, la réexcitation des
séries
des centres nerveux qui y concourent devient aisé
urs, que, lorsqu'elles durent depuis longtemps, il y a au moins une
série
constante de poids normaux et très souvent une
nte cellules; ils sont contenus dans un coffre en gutta-percha, par
séries
de dix cellules. Chaque cellule ou chambre se c
u de disjoindre les uns des autres les compartiments cellulaires en
série
de 5, 15, 30. Au moyen de deux appareils de rés
délire. Puis plus aucun accident. Le cinquième jour brusquement une
série
d'accès d'épilepsie francs; puis plus aucun acc
L. Laquer. D'une forme particulière de paresthésie des extrémités.
Série
d'observations caractérisées par des accès d'en-
malades provenant de divers établissements pénitentiaires. L'autre
série
, de 47, embrasse des aliénées ayant déjà subi une
e sont passés, et Lady Abdy a fait défiler devant les tribunaux une
série
de témoins, tailleurs, coiffeurs, cuisinières e
is cependant, elle est très tenace et rebelle, résistant contre une
série
des moyens qu'on applique et reste sans chan- g
son corps la position ver- ticale qu'en prenant sur ses jambes une
série
de points d'appui avec ses mains, ce qui lui pe
beaucoup de névropathologues contemporains ont consacré toute une
série
d'études à ces maladies et nous ont donné leur pr
t malade dès son enfance et que sa maladie s'est déclarée comme une
série
d'attaques d'un caractère assez uniforme : sans
die ne durait que quelques jours, mais il était suivi par toute une
série
d'accès semblables qui duraient cependant plus
délire des négations est de date récente : c'est eu effet dans une
série
de travaux publiés de 1880 à 1888 que Cotard à
cription de Cotard et dont l'intérêt est d'autant plus grand qu'une
série
de lettres écrites par la malade non seule- men
ience, avril 189.) L'auteur a résumé ou rappelé dans ce mémoire une
série
de documents intéressants sur l'histoire et l'a
s ses rapports avec la paranoia et cela, en faisant l'analyse d'une
série
de formes intermédiaires entre le délire sensor
a substance grise de la moelle de l'homme. - L'orateur présente une
série
de préparations emprun- tées à divers individus
t fils. Avis A NOS lecteurs. Avec ce numéro nous commen- çons la.
série
des numéros mensuels des Archives DE NEU- ROLOG
ons d'idées trop faciles deviennent le point de départ d'une grande
série
d'accidents en apparence corporels3. D M. Strum
. Le sujet n'a pas dans l'esprit la repré- sentation de toute cette
série
de phénomènes, il les ignore même puisque, dans
solue et un phénomène qui a été pro- voqué dans l'une par toute une
série
d'associations d'idées peut apparaître brusquem
s faits « spiritiques », reconnus par ce savant comme réels après une
série
d'expériences avec le médium napolitain Eusapia P
y fit, dans la maison du célèbre peintre Henri Siemiradzld, toute une
série
d'expériences avec Eusapia Palladino, dont il fit
e titre « Excursion pour chercher des vérités nouvelles » et dans une
série
d'articles intitulés « Une nouvelle catégorie des
décida de combattre « ce retour au moyen-âge » et commença toute une
série
de relations, des polémiques souvent violentes. L
s très simples et purement mécaniques. M. Ochorowicz répondit par une
série
d'articles polémiques : « Encore un peu plus de l
e désir des assistants. La lévitation commence et termine toujours la
série
des phénomènes » (1). C'est ainsi que, sans parle
a table s'accrochait au dynamomètre par un autre croc, vissé dans une
série
d'expériences près d'un bord de la table, et dans
une série d'expériences près d'un bord de la table, et dans une autre
série
au centre de la planche. Dans le premier cas les
iété. M. Dumontpallier, membre de l'Académie de médecine, a ouvert la
série
des toasts en montrant les progrès réalisés par l
llules corticales du cerveau que l'on appelle conscience isolée d'une
série
plus ou moins grande d'idées ayant une relation :
nt de M. Pouchet, décédé. Le programme de notre confrère comprend une
série
de leçons sur la psychologie et l'hypnotisme. C
postase à la suite du fait général de la pensée, par le doublement de
séries
psychiques, on peut employer ce fait, dans un ind
on pourrait accorder à un individu autant de « moi » qu'il possède de
séries
psychiques. On comprend le peu de valeur de ces c
ent une grande crise convulsive. C'est le commencement d'une nouvelle
série
d'accidents hystériques. Les crises se multiplien
taines circonstances pathologiques, sa reviviscence rappelle toute la
série
des événements psychiques qui se sont succédé au
s. Eh bien, j'ai constaté, avec la sûreté et la netteté complètes, la
série
suivante des phénomènes : Eusapia exécutait, comm
idus atteints de certaines anomalies psychiques on peut constater une
série
de phénomènes que l'auteur range les uns après le
cembre, à 10 h. i/2, à sa clinique, 49, rue Saint-André-des-Arts, une
série
de leçons sur les applications de l'hypnotisme à
faisant l'expérience, m'a frappé énormément. Il appelait une nouvelle
série
d'observations. La malade avait une douleur dans
ant sur un événement antérieur et amenant la reviviscence de toute la
série
des états émotifs qui se sont succédé au moment d
'a rien de très étonnant. Il rentre — au moins par analogie — dans la
série
des phénomènes qui se passent dans les suggestion
uérisons miraculeuses découvertes à Epidaure. Revue archéologique. 3-
série
, T. V, 1885, p. 265.Vercontre. — La médecine sace
iques. En possession de matériaux cliniques, il se borna, pendant une
série
d'années, à vulgariser en France, dans des revues
ncours médicaux que des autres. » La difficulté de répondre à cette
série
d'arguments mettait la section de médecine du con
désertent actuellement ce concours. Il sera bientôt convaincu que ces
séries
interminables d'épreuves ont surtout pour résulta
réatrice comme conclusion dernière de ses leçons de physique. Or, une
série
de phénomènes peut être profondément altérée sans
dont les phases successives traduisent bien ces rétablissements d'une
série
de passages précédemment interrompus par rétracti
s, Dieu m'iait donné, Je n'iâ pus. Il serait facile de continuer la
série
de ces pratiques bizarres ; j'en citerai encore u
pte contre vous? Pour atteindre l'impunité, il faudrait surmonter une
série
d'impossibilités matérielles dont la moindre sufï
premier, il considéra la moelle, non comme un organe, mais comme une
série
d'organes fusionnés en apparence, mais en réalité
calisations cérébrales, ce fut lui qui en démontra la réalité par des
séries
d'autopsies dans lesquelles les lésions et les sy
ièvre. Le Médical Record a, il y a deux ou trois ans, publié tout une
série
de cas de ce genre. Les faits sont sans doute exa
dit-il, que cette habitude m'est très nuisible et je lui attribue une
série
de troubles gastro-intestinaux ; je crois égaleme
ue des hautes études, commencera le samedi 27 avril, à 10 heures, une
série
de conférences sur la psychologie des sensations.
d'un centre donné (de même que la dernière des billes d'ivoire d'une
série
se met en mouvement sous l'influence de celui de
iasmer, par amour de la nouveauté, mais de s'efforcer d'accumuler une
série
de faits qui puissent permettre de conclure par l
écroué. On trouva sur lui un calepin où il avait inscrit bêtement une
série
de petits larcins que, depuis peu, il venait de c
et très impressionnable. A ce moment, elle éprouva successivement une
série
d'émotions violentes; elle vît son père perdre un
douze ans, après l'entrée de M... à la pension, ce qui a provoqué une
série
d'émolions et d'ennuis : elle ne s'accompagne d'a
que forme d'une vision d'ensemble, mais décomposée mentalement en une
série
de mouvements consécutifs simplifiés jusqu'à la d
diverses directions, arrivait assez vite a deviner et reproduire des
séries
longues et compliquées 4e mouvements qui avaient
ent à imposer au médium l'exécution de sa pensée, qui consiste en une
série
de mouvements simples et voulus successivement :
ou la peau de son poignet. Allons jusqu'à former le terme de cette
série
avec les phénomènes télépathiques, les états path
sous l'influence des besoins vitaux. L'instinct, je je veux dire une
série
de mouvements coordonnés vers un but défini et se
accidentée, marquée par instants de grandes oscillations disposées en
séries
(fig. 3, II). Les tracés fournis par le pneumog
ère elle-même ou l'arcade sus-orbitaire. Mais, voici où commence la
série
des phénomènes étranges. La pression exercée par
nce. Cela a duré deux heures, ce qui semble indiquer qu'il y a eu une
série
d'attaques qui ont présenté cette particularité q
équente notre clinique, depuis quelques semaines, et qui présente une
série
d'accidents nerveux assez intéressants. Tous ces
pileptiformes existaient, en effet, mais elles faisaient partie d'une
série
d'autres manifestations ; elles étaient suivies d
puis brisée, finit par présenter de grandes oscillations disposées en
séries
, b. Les tracés fournis par le pneumographe sont e
la poitrine ou de l'abdomen et surtout le flanc gauche. 4° Enfin la
série
des phases de la grande attaque hystéro-épileptiq
es, dans notre cas. Mais il nous faut insister actuellement sur une
série
de faits qui se sont produits environ trois mois
ait défaut et n'ont pas encore reparu à l'heure actuelle. Voilà une
série
d'accidents qui, je le répète, accusent incontest
aque et du trochanter du côté droit; il en résulte pour le bassin une
série
d'oscillations à grand rayon, très particulières
. de Paris, 1*8!, p. 627. 3. YVorms. — Bull, de l'Acad. de méd., 2°
série
, t. IX. — Drasche. Dia-ôelische neura/gien- In Wi
i la cécité verbale. S'il peut lire, c'est à l'aide d'un artifice. La
série
de mouvements qui concourent à la représentation
venu en lui, M. X... doit, pour apprendre par cœur quelque chose, une
série
de phrases, par exemple, lire à haute voix plusie
xé,;. Prié d'écrire les alphabets grec et allemand, il a omis dans la
série
plusieurs lettres, ainsi en grec, O^s.Ccp,^. Ces
-là fort négligée. Autrefois, quand il voulait apprendre par cœur une
série
de phrases, il lui suffisait de les avoir vues un
loppée et discutée suivant les règles, en faisant intervenir toute la
série
des documents que comporte une question de cette
toute interprétation, car je me demande à quoi ils répondent dans la
série
des actes physiologiques. En même temps, la malad
narticulés : bientôt après, elle se roulait par terre, présentant une
série
d'attaques hystériques caractérisées surtout par
elques grognements, rit, mais ne parle pas, Celle-ci se compose d'une
série
d'accès analogues à celui que je viens de décrire
es d'entre elles durent jusqu'à deux heures. Il présente nettement la
série
des phénomènes du peiit et du grand mal hystériqu
Mais, le plus souvent, les phénomènes précédents sont suivis par une
série
d'accès caractéristiques constituant une attaque.
se montre à nouveau, et l'attaque se trouve ainsi constituée par une
série
d'accès avec enjambement ou prédominance variable
et enfin va se jeter sur son lit où se termine ou bien recommence une
série
d'accès qui durent rarement plus d'un quart d'heu
. La proposition que je faisais aux parents contenait elle-même une
série
de considérations thérapeutiques que je dois ma
z-vous qu'elle avait en moyenne tous les jours, de 4 ou 5 attaques ou
séries
d'attaques qui duraient de une demi heure à une h
successivement un certain nombre de fois de manière à constituer des
séries
; jamais, en pareil cas, la température rectale n
mencèrent. Elles eurent lieu d'abord tous les jours, se présentant en
séries
de 8 ou 10, quelquefois on comptait deux séries d
urs, se présentant en séries de 8 ou 10, quelquefois on comptait deux
séries
dans la môme journée ; puis elles diminuèrent peu
n général, plusieurs attaques se succèdent, de façon à constituer une
série
plus ou moins nombreuse. Chez ce sujet, je me b
suivit son entrée à la Salpêtrière, il se produisit spontanément une
série
de cinq attaques successives auxquelles il ne nou
au grand axe du membre, située à quelques centimètres au-dessus de la
série
des articulations métacarpo-phalangiennes, tandis
et qu'il a fallu, pour la mettre en évidence, faire appel à toute une
série
d'épreuves et d'arguments qu'une étude clinique a
le marque, si l'on peut ainsi parler, la transition, et nulle part la
série
n'est un instant interrompue. Nous avons donc s
yeux de l'hynoptisée une existence réelle au point de mettre enjeu la
série
correspondante d'idées et de mouvements : enfin,
ue la paralysie que nous venons de déterminer chez Greuz...., par une
série
de suggestions successives, reproduit jusque dans
vue le but principal que nous nous proposons d'atteindre, dans cette
série
de leçons, je reviendrai dans un instant sur les
e vais répéter chez une autre hystérique, la nommée Mesl..., toute la
série
des phénomènes que nous venons de produire chez l
s des résultats les plus importants que nous avons obtenus dans cette
série
d'études 1 : L'existence d'une paralysie motrice
uïe du même côté ; de l'anetsthésie du pharynx ; en un mot, toute une
série
de stigmates qui ne laissaient aucun doute sur l'
ui viennent d'être passés en revue représentent les termes d'une même
série
et que l'explication qui conviendrait à l'un d'en
et dûment démontrée que dans ces dernières années, grâce à la double
série
de preuves qu'apporta M. le professeur Charcot (L
rale, d'après cette observation (voyez PI. I, B). Si l'on étudie la
série
des coupes depuis la partie la plus inférieure de
ntre les deux côtés peut être constatée dans les coupes de toute la
série
, jusque dans la région supérieure du pont de Ya-
lüte appartenant à la collection Méheu. Le malade fait partie de la
série
que nous étudions comme le montre la photograph
ion du ballonnement dit ven- tre. Rec. de mém. de méd. milit., IIIe
série
, t. XVIII, p. 166, 1861 (suivi d'une note de Pé
eur btanc-jaunutre. La caractéristique en était 74 P. PIOLLET une
série
de cordons blancs, durs, très irréguliers qu'une
PIERRES DE TÈTE » ET « PIERRES DE VENTRE » PAR HENRY MEIGE. La
série
des documents figurés consacrés par les artistes
N GOITREUX Gravure de DENou (1788). Cette imago se rattache il la
série
des Goitreux dans l'Art (2). C'est une gravure
peut-être pour rester dans la réalité stricte, réduire la première
série
a 400 ou moins encore, car un nombre assez cons
- ques lignes et ce sont des documents d'une valeur douteuse. La 2"
série
comprend des observations plus étendues mais bi
ent au sommeil ou au coma j'arrive au chiffre de 32 surina première
série
de ces cas, c'est-à-dire approximative- ment 8
u'ils ont confondu les différentes espè- ces de sommeil. Pour ma 2"
série
on trouve 38 cas de somnolence pour 336 ; c'est
ler s'est trouvé un phénomène excessive- ment rare dans ma première
série
de cas. On peut dire que les cas de som- meil v
és sous l'étiquette éminemment élastique de somnolence. Dans ma z2'
série
de cas le sommeil est au contraire fréquent : 28
eance, nous pouvons donc ajouter deux observations nouvel- les à la
série
précédente, Nous avons divisé ces divers docume
la série précédente, Nous avons divisé ces divers documents en deux
séries
. La première comprend les observations avec aut
s la description des pièces du musée de la Salpêtrière. La deuxième
série
renferme les do- cuments cliniques sans contrôl
par deux petites moulures osseuses et tapissée daus le fond par une
série
de colonnettes minuscules verticales. La troi
timètre et demi de base environ, dont le côté postérieur termine la
série
des festons tracés par les bords des deux vertè
'en doute et sans qu'il, en souffre, et dans l'aine il constate une
série
de petites glandes dures. En octobre 1898. la t
alade s'est rétabli peu à peu. Ces. VIII. - Raymond, Leçon XXII, 4°
série
. P... âgée de 26 ans. Pas d'antécédents. Syphil
huile grise ou de calomel, chaque traitement comprenant environ une
série
de 10 piqûres hebdomadaires et nous n'avons jamai
it en se mettant devant l'autre pour marcher, le second embrasse la
série
de mouvements qui s'exécutent entre deux positi
asis névropathiquede Mathieu), doivent-ils être groupés en une même
série
morbide. Observations (Suite). Uss. XIII (P1.
la Haye). L'arracheur de dents, dessin (musée du Louvre). A cette
série
dont la valeur artistique est de premier ordre, i
t à les fixer en quelques traits fermes et précis. De là, toute une
série
de croquis, « d'instantanés » si l'on peut ainsi
esprit de l'opéré (2). H. M. (1) Une troisième gravure de la même
série
, intitulée Le Médecin,représente un doc- teur a
iles à provoquer et une excita- tion légère suffit à déterminer une
série
de secousses. Il y a parfois pen- dant la pério
l devait encore réfléchir à l'usage dudit objet et enfin, après une
série
de longues réflexions, il finissait par se coiffe
p- tomatique nouvelle. Le fait suivant rentre sans doute dans une
série
connue, celle des frac- tures dites spontanées
à facies démoniaques. 3° Enfin nous noterons en terminant la longue
série
, chez la mère et chez la fille, de grossesses g
OBSERVATIONS CLINIQUES SANS AUTOPSIES. En tête de cette deuxième
série
, nous plaçons les trois cas publiés déjà en 188
, de deux seulement à droite. La palpation se rend mal compte de la
série
des apophyses épineuses, elles sont peu dévelop
marche dans l'hémiplégie hystérique. Ce n'est là que la suite d'une
série
d'articles de l'auteur sur la marche dans les m
pitre de pathologie. En outre j'ai dû en- treprendre à ce sujet une
série
de recherches sur la marche normale dont la phy
oulu prêter à nos recherches, nous avons eu à notre disposition une
série
d'animaux auxquels nous avons réséqué le nerf p
véhicule sont alors facilement évités. Nos coupes sont collées en
séries
continues (comme on a coutume de le faire pour
méthylène; nous possédons en effet depuis tantôt deux ans de belles
séries
qui sont aussi nettes qu'au premier jour, tandi
-spinaux. Si l'on examine un ganglion normal, on y trouve toute une
série
de types cellulaires, comme les recherches de L
es quelqu'abondants qu'ils soient. Du reste, on peut observer une
série
de formes de transition entre l'ordon- nance de
utefois possible de distinguer quels blocs ont diffusé. Après une
série
de transitions insensibles, nous atteignons un ty
re comparatif, les mensurations obtenues pour les cellules des deux
séries
après l'étude des coupes du ganglion gauche b)
à coup sûr la rage. Nous avons constaté ces mêmes lésions dans une
série
de ganglions cérébro-spinaux de lapins morts de
DAME Nous n'avons rencontré aucune cellule vacuolaire dans toute la
série
des coupes de nos deux ganglions plexiformes.
n, notre attention n'ayant pas été attirée à cette époque sur cette
série
d'expériences qui peut être d'une si grande utili
inclusion et enrobement dans la celloïdine, la pièce est coupée en
série
sur le microtome de Gudden ; les coupes (coupes t
soit enfin la production de courbures anormales. Les deux premières
séries
de ces déviations s'exécu- tent dans le plan an
et les lombes (obs.VII). Ces phénomènes, au lieu de constituer une
série
unique, peuvent se ré- péter à des intervalles
re d'indo- lence complète. En terminant, nous devons ajouter une"
série
de symptômes fonction- nels, qui ont été peu ét
duire pour obtenir l'effet dé- siré. En examinant dernièrement la
série
des mas- carons grotesques de la cathédrale de
amen histo- logique fait surgir dans cette question aussi toute une
série
de nouvelles recherches. Nous aurions voulu dan
rthropathies tabétiques. Notre cas vient à point, pour continuer la
série
. Voici l'observation résumée : * . " Albert
ndon d'Achille droit, n'a guère offert, de tous les accidents de la
série
tabétique, que quelques troubles sensitifs lége
on de synarthroses.Elles sont disposées du même côté et forment une
série
super- posée et décroissante de diminutifs. Ell
vertèbres et les unissant solidement entre elles. Pour compléter Ja
série
vertébrale, disons en terminant que le coccyx e
te pression s'exercera en des points symétriques superposés dans la
série
vertébrale : ce sera l'extrémité antérieure de
étiques des os longs. Nous avons ainsi la raison pathogénique d'une
série
clinique dont nous n'avons pu faire cependant l
s suffiront à rectifier le diagnostic. Mais il est toute une longue
série
de déviations rachidiennes symptomatiques d'affec
lle les objets sont sortis de la solution de formol et durcis dans la
série
des alcools progressivement concentrés. Le tr
ce liquide plusieurs fois renouvelé les pièces sont durcies par la
série
des alcools de plus en plus concentrés. Traitem
dant deux années H y a cinq ans environ, elle eut la dernière d'une
série
d'attaques particulières,ayant un caractère épi
oth a grave à l'eau forte. Ce tableau faisait; dit-on, partie d'une
série
intitulée les Cinq Sens, et symbolisait Le Touc
es internes, MM. Partron, Goldstein et Georgesci : Si on soumet une
série
de lapins à la réfrigération ou au traumatisme ré
ente, servile, trait pour trait ; elle reproduit successivement une
série
de formes isolées et très simples dont l'ensemb
avait remarqués chez son malade. En 1888, Lawford communique une
série
de cas familiaux d'ophtalmo- plégie complète. L
tion de la sensibilité tactile, mais Raymond n'a-t-il pas réuni une
série
de cas dans lesquels des sy- ringomyélies authe
ives à cet égard. En effet, si nous étudions attentivement, dans la
série
des coupes, les noyaux moteurs dorsal et ambigu
hode de Nissl. Depuis l'emploi du bleu de méthylène une nouvel le
série
de chercheurs ont étudié par cette méthode la v
dmettre.» Malgré son jeune âge, l'opérateur appartient déjà à cette
série
de den- tistes, consciencieux et prudents, qui
. ). A. Franklin,dans ses Variétés chirurgicales (1), recueilli une
série
de documents écrits contemporains sur les arrac
a mâchoire. (1) N- 461. T. 5 : 1-r7. - Ce tableau fait partie d'une
série
dans laquelle se rouve encore un Charlatan, dis
entres supérieurs. - Parfois, enfin, ce n'est plus un mot, mais une
série
de faits divers, tout un discours qu'elle devai
élire alcoolique et de délire épileptique (Ann. 7 ? ? co-Mye/M ? 7°
série
, t. II, 1885, p. 235.) DE L'ONOMATOMANIE. 7 L
t pendant -la nuit; il ne peut s'empêcher de se laisser aller à une
série
infinie d'interroga- tions, se demandant s'il n
violentes et surviennent irrégu- lièrement, mais avec tendance à la
série
. Au dire du père, depuis dix-huit mois, il avai
is, il avait souvent, tous les douze ou quinze jours envi- ron, une
série
de cinq, six et même sept attaques dans une journ
des renseignements fournis par la famille : pen- dant le mois, une
série
de cinq attaques dans un jour, un inter- valle
agers, qui sur- viennent quelquefois, très rarement, à la suite des
séries
d'accès. Le sujet alors n'est pas réellement ag
ration et pendant les premiers jours qui la suivirent, il y eut une
série
d'attaques d'épilepsie : neuf le jour de l'opér
les perturbations produites dans la circulation cérébrale par cette
série
d'attaques. 60 RECUEIL DE FAITS. . Il y a mai
din et non comme un désé- quilibré irresponsable. Il rentre dans la
série
des malades dont je vous entretenais à une séan
tre aide, vous n'obtiendrez rien; il vous faut mettre en oeuvre une
série
de procédés afin d'engendrer des phénomènes psy
tif. ' Les deux maladies ne seraient alors que les extrêmes d'une
série
de cas formant transition de l'une à l'autre. Les
ont les réflexions qui nous venaient à la lecture de cette nouvelle
série
de leçons cliniques. Elles se présenteront sans n
tous ses efforts pour chasser le mot de son esprit, il marmotte une
série
de mots insignifiants : histo, histoire, histor
anchir et pour débarrasser son esprit du mot funeste, il répète des
séries
de syllabes et de mots. Beaucoup de dégénérés s
77 Il a également du doute et ne peut affranchir son esprit d'une
série
d'interrogations mentales. Pour toute sorte d'obj
omprimé à l'estomac, il suf- foque. La crainte du feu complète la
série
de ces syndromes et il défend même pendant l'hi
'épilep- tiques. Dans une première note (26 avril), il rapporte une
série
d'expériences faites sur un seul malade, à la s
ait nouveau n'a été apporté; depuis l'année dernière cependant, une
série
de travaux ont été publiés dans une voie parall
vulsifs isolés ; 2° Avant, pendant et après les accès convulsifs en
série
; 3e Avant, pendant et après l'état de mal ;
atives à ces cas. Nous avons recherché des malades qui avaient, des
séries
fréquentes et ils nous ont permis ainsi de reco
ont permis ainsi de recommencer souvent nos expé- riences. Le mot
série
pour nous n'a pas la même valeur que celle qu'o
les livres. On dit dans les livres qu'un épileptique a des accès en
série
quand dans une même journée il a plusieurs accè
à dix jours bien portants et recommencent au bout de ce temps leur
série
dans les mêmes conditions. Les expériences que
c'est que vrai- ment le malade est atteint d'accès isolé et non de
série
. La recherche de la toxicité urinaire est un mo
nt absolu- ment démonstratifs. Nous insistons sur la donnée de la
série
, car elle seule nous permettra de comparer entr
petit mal. La toxicité des urines des vingt-quatre heures, avant la
série
, pendant la série, après elle, est donc la ques
cité des urines des vingt-quatre heures, avant la série, pendant la
série
, après elle, est donc la question que nous nous
s garde- robes. On notera l'abaissement à 400 c. c. la veille de la
série
du 10 et Il octobre : 190 PHYSIOLOGIE PATHOLO
que du deuxième accès, à l'aide de la sonde, l'urine de Dem... La
série
a commencé hier soir (se reporter au tableau).
au tableau). Dem... n'a pas eu d'autre attaque dans la journée, la
série
était terminée. L'urine injectée, a été recue
mentale avec épilepsie. Père alcoolique, mère hystérique. Accès en
série
. Urines post-paroxystiques. 4 ? avril. Gauth...
uite d'une erreur commise par la surveillante qui ne croyait pas la
série
terminée, on n'a recueilli l'urine que le 20 à pa
e service depuis plu- sieurs années. Elle a des accès quotidiens en
série
, suivis de délire avec agitation maniaque penda
Le 3 avril elle sent les « secousses qui, chez elle, précèdent la
série
des accès. Urines Q = 2000 c. c. du 3 avril 7 h
heures matin au 4. Acides claires. Filtrées. Le premier accès de la
série
est survenue le 4 à midi. Lapin de 2020 gramm
. On profite de la période d'obnubilation qui suit immédiatement la
série
de Hug... pour recueillir l'urine des vingt- qu
tions, dans laquelle une simple migraine périodique avait ouvert la
série
des troubles nerveux, est re- marquable. Plus t
particulier, 246 THÉRAPEUTIQUE. l'épilepsie peut consister en une
série
de spasmes confinés au groupe musculaire corres
il était assez bien en apparence ; mais le sixième jour il eut une
série
de convulsions commençant dans le côté gauche d
ntales de l'animal correspondant. Snell a déterminé s et p pour une
série
d'animaux. 266 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
léments de la grande hystérie représentent les points ultimes d'une
série
continue de variantes dans lesquelles on trouve
l'atrophie musculaire, et venant à ce point de vue s'ajouter à une
série
d'au- tres (Gullière, Westphal, Magnan, Voisin,
les photographies de leur cerveau. Par opposition à cette première
série
de cas, M. Bourneville fait voir les photograph
es de sou corps, distingue les couleurs, etc., etc. Cette seconde
série
de faits conclut M. Bourneville, nous parait to
progrès et d'humanité. M. le Dr GASSOT, de Chevilly, a terminé la
série
des toasts en buvant à l'union constante du cor
vateur, et Chauffard. L'auleur termine enfin cetle brochure par une
série
d'intéressantes citations toutes en l'honneur d
ue temps, ils peuvent entendre répéter, sans trop d'inquiétude, des
séries
de noms propres qu'ils laissent passer sans che
connaissance des différences qui existent entre les symptômes de la
série
organique et ceux de la série hystérique. D'une
existent entre les symptômes de la série organique et ceux de la
série
hystérique. D'une manière générale, dans chacun d
; à présent, il n'y a de tous ces phénomènes alarmants que les deux
séries
de crises, lesquelles se manifestent deux ou tr
Il reprend son métier; après huit mois de bonne santé, une nouvelle
série
d'attaques se représente; il rentre alors pour
ort en bonne santé le 11 février. Au commencement d'avril, nouvelle
série
d'attaques, il rentre à la Charité où on le tra
oint. 3° La paralysie survenue après la première attaque, dans la
série
qui s'est présentée à la fin de mai, disparut com
éexistante, comme il est arrivé dans notre cas. 4° Dans la dernière
série
d'attaques, il est encore à remar- quer la part
) plus petit que celui de l'autre côté. J'ai dans ma collection une
série
de préparations normales dans lesquelles cette
lume de Lx-240 pages, avec 16 figures et 10 planches. Tome XI de la
série
.- Prix : 6 fr.; pour nos abonnés, prix : 4 fr. Au
rés. Entre le corps calleux et la base du cerveau se trouve toute une
série
d'appareils (centres et conducteurs), dont la rép
r du corps calleux qu'on observe parfois sur les coupes verticales en
série
. TRI. Trigone cérébral. — Delà face inférieure
onto-hmbique (tiF) n'offre alors qu'une dimension très réduite. Cette
série
de modifications dans la répartition des anfractu
nc verticales, horizontales ou sagittales. La méthode des coupes en
série
n'a été vraiment inaugurée que par Yésale. On sai
criptive du cerveau, il est nécessaire de pratiquer successivement la
série
des coupes verticales, la série des coupes horizo
ssaire de pratiquer successivement la série des coupes verticales, la
série
des coupes horizontales et la série des coupes sa
a série des coupes verticales, la série des coupes horizontales et la
série
des coupes sagittales. Cela implique qu'il faut a
ure de la lésion; néanmoins, le plus souvent et en règle générale, la
série
verticale présente les plus grands avantages. Les
le de rapporter la région sectionnée à la région correspondante de la
série
horizontale ou de la série sagittale. Les coupe
ectionnée à la région correspondante de la série horizontale ou de la
série
sagittale. Les coupes horizontales sont préféra
ptionnels, et d'ailleurs la même détermination est réalisable avec la
série
verticale, si l'on a soin de repérer exactement c
tants. Les planches de notre atlas (de XI à XXXIII) reproduisent la
série
des coupes verticales de l'hémisphère depuis la r
pitale jusqu'à la région frontale. Quiconque voudra pratiquer la même
série
de coupes pourra constater que les repères, dans
, XXXVI, XXXVII et XXXVIIl reproduisent les surfaces de section de la
série
horizontale. Ici les coupes ont été faites parall
isphère. La dernière planche (XLIIl) représente quatre coupes de la
série
sagittale. Elle est exclusivement destinée à mont
destinée à montrer comment on peut s'orienter sur les coupes de cette
série
, lorsqu'on est obligé, en raison jle circon sta
e : on attaque l'hémisphère par sa face externe, et l'on pratique une
série
de coupes ce, coi'iis calleux ; Tlil, trigone
capsule interne n'occupe pas une situation fixe sur les coupes de la
série
hori zuñíale. Son siège varie suivant, le nivea
érieur (GMA). GMP. Le gyrus métopique postérieur ne présente pas la
série
de sillons horizontaux qui forment dans leur ense
me n'en être qu'une subdivision. Cette disposition entraine toute une
série
de compensations secondaires. sP. La scissure s
grand nombre de cerveaux dont on pratique les sections verticales en
série
d'arrière en avant, il faut arriver parfois jusqu
un nombre suffisant d'hémisphères durcis, de façon à entreprendre la
série
des coupes sur celui qui paraît le plus favorable
avité occipitale s'étend jusqu'à l'écorce, il suffit de pratiquer une
série
de coupes horizontales de bas en haut, suivant de
e. Elle est aussi plus épaisse ; mais il faut considérer sur toute la
série
des coupes vertico-transversales que son épaisseu
: on en peut juger par les coupes suivantes. Lorsqu'on pratique la
série
des coupes verticales de l'hémisphère, d'arrière
facile de les suivre tout le long de leur parcours, en commençant la
série
des coupes verticales au contact du splenium et e
FOi. Le faisceau inférieur du forceps (fig. 28) se compose de deux
séries
de fibres, les unes situées au-dessus, les autres
pas sur les coupes 51, 52, 55. Cela tient à ce qu'il se compose d'une
série
de plans imbriqués et ondu-leux, dont nous donnon
horizontal. D'autre part, nous savons que le fascia dentata forme une
série
de saillies godrormées à la surface de la ce, c
manquer de se produire à un moment donné sur les coupes verticales en
série
, permet de voir la face postérieure de la frontal
rface et dans la profondeur du thalamus (fig. 54). Mais en suivant la
série
des coupes, on s'aperçoit que trois faisceaux pri
) et du bras du pulvinar (BP) nous semble suffisamment établie par la
série
de nos coupes verticales et de certaines coupes o
directe entre les deux couches optiques. Les coupes 66 et 67 de notre
série
verticale semblent démontrer que l'opinion d'Arno
rne de l'opercule. Lorsqu'on fait des coupes vcrtico-transversales en
série
, on arrive toujours à distinguer, comme sur la co
ur tous les cerveaux dont on fait les coupes vertico-transversales en
série
. C'est par hasard que le couteau a divisé ici cet
lument impossible, ne peut ôtre mis en évidence que par les coupes en
série
très méthodiques, aussi parallèles et aussi fines
médiatement à partir du moment où les coupes vcrtico-transvcrsales en
série
entament le genou de la capsule interne. La racin
emment formées de substance blanche, et qui, sur toutes les coupes en
série
, apparaissent d'une façon identique. Nous verrons
oisons verticales (MLE, MLI) présentent leur plus grande netteté ; la
série
des coupes arrive à la région du genou de la caps
e du cerveau, décrit une courbe à convexité supérieure. Les coupes en
série
horizontales permettent cependant de le suivre, d
sensitif externe n'est pas une véritable cloison continue; c'est une
série
de faisceaux blancs, venus de la capsule, mais di
erché à suivre le trajet de ses fibres sur les coupes horizontales en
série
. Tous ont remarqué que ce faisceau, remarquableme
du thalamus (ThA, fig. 129). Sur les coupes vertico-transversales en
série
, pratiquées d'arrière en avant, le putamen dispar
aire; psp, pédoncule du septum lucidum. rieure du cingulum (Cm). La
série
des coupes que nous étudions, procédant d'arrière
epère sont bien observés. Pour pratiquer des coupes horizontales en
série
, il n'est pas indispensable de faire passer la pr
segments externes du noyau lenticulaire, disparaît le premier sur la
série
des coupes horizontales faites de bas en haut. Il
récédentes. Mais sur la coupe 12, la dernière et la plus élevée de la
série
, ces deux portions du même noyau, la tête et la q
moins à notre connaissance, par la méthode des coupes horizontales en
série
. Il est vrai que la disposition qu'on remarque su
E LA RÉGION OPTO-STRiÉE Ces quatre coupes, bien qu'appartenant à la
série
horizontale, ne sont pas absolument parallèles au
LOBE SPHENOÏDAL Les douze figures de cette planche représentent la
série
des coupes horizontales du lobe sphénoïdal, prati
sphénoïdal (fig. 12). Il est excessivement difficile de réaliser la
série
des coupes de cette planche, d'une façon absolume
mé par un bourgeon ; de même que le tronc peut se subdiviser en une
série
de métamères perpendiculaires à son axe et corr
ale, 1896. (3) Voy. Brsssaun.Leçons sur les maladies nerveuses, 1,8
série
. Salpêtrière (1893-1894). UN CAS DE MYOPATHIE
atypiques se fait sentir dans la publication, pendant 5 ans, d'une
série
de travaux dont le dernier, remarquable par la
if des altérations du faisceau hypertrophié ; on peut noter sur une
série
des faisceaux graduellement amincis une teinte
es sur les figurations nou- velles qu'on peut découvrir. A la belle
série
des Démoniaques dans l'Art, nous avons déjà eu
siècle) représente, au-dessous de la Vierge entourée de Saints, une
série
de scènes de la vie de Saint Bar- thélémy. Le s
et grisâtre laissant ainsi sur la surface même des noyaux gris une
série
de taches miliaires. L'étude histologique nous
nous reprocher de n'avoir pas pratiqué de coupes rigoureusement en
séries
. Il est vrai que nous n'avons pas suivi cette m
i du ventricule latéral le long de laquelle ils se disposent en une
série
linéaire ininterrompue rappelant l'aspect d'un
de l'Infantilisme a suscité, dans ces dernières an- nées, toute une
série
de nombreux et inléressants travaux (1), parmi le
a parlé qu'il 2 ans 1/2. On relève, dans les antécédents, toute une
série
de maladies : coqueluche, scarlatine, une affec
fantilisme héréditaire, d'origine toxique. Ensuite, surviennent une
série
d'infections infantiles; et, à 5 ans, une fièvr
orax du foetus. A l'appui de cette théorie on peut faire valoir une
série
d'argu- ments : la participation globale de tou
u moins étendues du système nerveux. En t8S2, Little publiait une
série
d'observations relatives à des ma- lades présen
t-à-dire, je le répète, dans la repré- sentation pathologique d'une
série
d'attitudes, représentation d'autant plus vive
succession de contacts déterminera un frot- tement, perçu comme une
série
continue de contacts, diversement localisés. On
faut dans ces cas, c'est la conscience des attitudes, isolées ou en
séries
, et non leur image même. « Il y a, dit M. Clapa
vec les coordonnées rectangulaires. En effet : . 1° Dans toute la
série
des vertébrés, l'Homme compris, on ne trouvera pe
urni à ce besoin d'un espace idéal qui semble caractériser toute la
série
des êtres organisés et dont l'Homme seul, j'en ju
désirer, en vouloir la réalisation; un geste n'est pour nous qu'une
série
d'attitudes à variation continue ; tout ceci ne s
XXIII). L'industrie des médecins urologues a donné naissance.à une
série
d'aeu- vres figurées, tableaux ou gravures qui,
ne sont pas nettes, elle envoie dans la substance sous-jacente une
série
de pe- tits prolongements qui l'y fixent complè
en nous importe, assez simple pour que la préparation des coupes en
séries
ne réclame pas un temps ex- cessif et des manip
e cervical ont été débités en coupes perpendiculaires à l'axe et en
série
ainsi que les racines postérieures, depuis leur
L'examen du premier ganglion dorsal coupé perpendiculairement et en
série
, et coloré soit par la méthode de Weigert, soit p
u- dinalement suivant le grand axe, et un perpendiculairement et en
série
. Coloration par la méthode de Weigert, par l'hé
. Un ganglion et ses racines ont été coupés transversalement et par
série
. Sur toutes les coupes, la racine postérieure p
sur cinq ganglions dorsaux coupés perpendiculairement à l'axe et en
série
, après coloration en masse par le picrocarmin e
monaire, en 1899. Examen ANATOMIQUE.- Un ganglion lombaire coupé en
série
et à la paraffine, après coloration par le Marc
nt de pré- sents qu'il en pouvait rêver, lui fit subir une longue
série
d'outrages; un jour Açano, affolé par une suprê
colonne vertébrale. Cette forte proportion ne semble pas due à une
série
particulièrement heureuse ; car, au cours de no
beaucoup plus intense que chez plusieurs malades de notre première
série
(parkinsoniens avec déviation). Au contraire, l
ut le muscle; CFP, au contraire, est moins rapide, elle produit une
série
de dépressions et de reliefs, une sorte d'ondulat
ultats obtenus par les précédents auteurs et dans la plupart de nos
séries
de coupes l'atro- phie radiculaire pouvait être
s remonte jusque dans le ganglion ; sur quelques racines coupées en
série
dans des cas de tabes peu avancé, l'un de nous (3
ormaux elle fait complètement défaut ; et d'autre part sur quelques
séries
de coupes de racines tabétiques l'atrophie pos-
430). , Fig. 1. - Diagramme représentant le travail normal de neuf
séries
de quatre ergogram- mes. Chaque colonne vertica
es de quatre ergogram- mes. Chaque colonne verticale représente une
série
. Les figures se lisent de gauche à droite. AC
poids de 3 kilog. jusqu'à épuisement. On répète le même effort par
séries
de quatre ergogrammes ; les ergogrammes de chaq
effort par séries de quatre ergogrammes ; les ergogrammes de chaque
série
sont séparés par une mi- nute de repos et les s
ammes de chaque série sont séparés par une mi- nute de repos et les
séries
sont séparées par 5 minutes de repos. Neuf séries
ute de repos et les séries sont séparées par 5 minutes de repos. Neuf
séries
successives donnent respectivement un travail t
? 12,93, - 42,30.La fatigue s'accumule graduellement et la neuvième
série
dépasse encore la moitié de la première. Le dia
ère. Le diagramme 1 (fig. 1) représente le tra- vail total des neuf
séries
. Ce travail a varié dans les expériences faites d
atement, mais elle cesse dès le deuxième ergogramme, et la première
série
est au- dessous de la normale. Exp. V. - Immé
464 FÉRÉ ACTION PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES BROMURES 465 première
série
comme avec la même dose de bromure de potassium.
érable de la capacité de tra- vailler : à l'état normal la neuvième
série
donne encore à peu près la moitié du travail in
moitié du travail initial normal, tandis qu'avec les bromures cette
série
ne donne quelquefois pas un dixième du travail
ique de la valériane et des valèrianates (Arch. de Neuro- logie, le
série
, t. XIV, p. 22). (4) Note sur l'action physiolo
e d'une légion d'artistes et créa une école, en peignant une longue
série
de fres- NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA ? w CR1ÈPE.
es d'un dixième de millimètre. Toutes les coupes ont été montées en
série
, et si quelques défauts d'im- prégnation au cen
les arté- rioles qui en partent, sont épaissies et thrombosées. Une
série
de coupes montrent que la lésion est en partie
de cellules ovales à noyau pâle et à 1 ou 2 nucléoles. Sur les deux
séries
de. coupes nous notons une intégrité très évident
et au toucher (1 cm. 1/2 de différence). A 15 ans, à la suite d'une
série
de crises subintrantes il avait présenté une hé
gistes, Capitan (3), Papillault (4), ont fait sur son squelette une
série
de mensurations aussi précises que variées. Plu
ssement des jeunes sujets (Bull- de l'Acad. de méd., 9 mai 1899, 3'
série
, t. XLI, p. 481). (2) Lancer, loc. cit. NOUV.
, mais sans qu'il y ait trace de tétanisa- tion. Dans une autre
série
d'ex- périences, nous avons enre- gistré la c
ne du ventricule latéral. Un peu plus en arrière, nous trouvons une
série
d'îlots légèrement grisâtres, de consistance rela
es tendances aux espiègleries . Le Dr Hamilton donne le récit d'une
série
de crises dont il fut témoin, et qui débuta par
Pendant les deux heures qui sui- virent son admission, elle eut une
série
de convulsions; depuis elle a toujours eu de se
is l'occasion d'assister aux différentes phases de l'attaque ou des
séries
d'attaques qui se prolongeaient quelque- fois p
erdit connaissance et la respiration sembla s'arrêter. Suivit une
série
de violentes convulsions. Son corps entier était
ière. Une nouvelle détente survint, mais ne dura pas longtemps. Une
série
encore plus remarquable de grands mouvements co
'air pendant une minute et même plus. Cet attitude fut suivie d'une
série
de sauts dans les- quels le corps s'arquait par
écartent et s'en approchent symétriquement, de manière à former une
série
d'ovales : elles se terminent en une seule anas
t dans la moelle épinière, au ni- veau de sa face antérieure, trois
séries
d'artérioles nourricières qui la traversent et
pagnent et sortent au point où elles entrent. C'est en avant de ces
séries
de veinules que s'étendent verticalement leurs
graphie CR.N10- cérébrale; par CH. Féré. [Revue d'anthropologie, 2e
série
, t. IV.) Ce travail est divisé en six chapitr
érant une importanceplus grande à mesure que l'on des- cend dans la
série
animale de l'homme aux insectes, en passant par
ment du pont de Varole.) Y a-t-il là com- binaison fortuite de deux
séries
de lésions, ou bien sont-ce les manifestations
ombaire qui est loin d'être la règle dans le tabès ne permet qu'une
série
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. lût d'hypothèse
Vous trouverez peut-être dans les antécédents propres de Z..., une
série
de bizarreries peu importantes au premier abord
une par mois, sans rapport avec les règles. En général, elle a des
séries
de huit à douze jours pendant lesquelles le ver
air, comme dans la première de nos épreuves, on pratique la seconde
série
d'expériences diagnostiques dont j'ai parlé.
entes cependant l'observateur a donc pu produire à volonté toute la
série
des effets que les pressions centripètes, plus
tôt qu'on cessait de presser la poire à air. Vingt fois, dans cette
série
de trente et un cas, on a pu observer l'absence
près la mort dans les troncs nerveux altérés. C'est donc une simple
série
de faits relatifs à l'histoire des névrites pér
téressées transversalement à leur direction et représentées par une
série
de sections circulaires. - Si, à l'aide d'un fa
cet état cataleptique singulier, pour arriver au récit d'une autre
série
de crises hystéro- épileptiques, un peu différe
passionnelles. La malade ouvre lentement les mains et commence une
série
de gestes, très difficiles à analyser. Néanmoin
dix heures du matin. Pendant cette période, la malade a eu quatre
séries
d'attaques absolument analogues à l'attaque du
lle des attaques les hallucinations ont persisté. . 7 octobre. Deux
séries
d'attaques : une de neuf heures à onze heures,
ohn Gorham. (Titt,, Brain, t. IV, p. 467.) M. Gorham, conclut d'une
série
d'expériences que, si une rétine est saturée d'
à ses poumons en quantité suffisante. De cette expérience et d'une
série
d'autres analogues, M. A. Flint tire les conclu
bulbe; 2° dans la respiration normale, calme, il part du bulbe une
série
d'excitations qui produisent à intervalles régu
ur proie ; la mastication n'est chez eux que le dernier terme de la
série
. Chez le chat, le centre des yeux est éloigné d
istreur chargé d'un léger poids, il provoque la contraction par une
série
de secousses électriques qu'il lance en plaçant
atrophiés, et cependant absence de réaction dégénérative. Après une
série
de mieux et de plus mal, de crises doiloureuses
x nombreux tracés qui sont joints à ce mé- moire. Dans une première
série
d'expériences, l'auteuraenregis- tré les contra
before the medico-legnl Society of z from ils organisation. (Second
série
). New-York, 1882. JVe)'(;6-t) : '6t'u<M ? :
lumineua stir,, tout le ? àueliel Ils piésént(3lit leur surface une
série
de -raliu ? il, lations, dont1 Ua- grosseur var
s-se cqn- -. i.I - . "ii-Tiq 1 La dissection est facilitée par la
série
de préparations suivantes : le hydrotomie sous
ant avec diffé- rence de conductibilité des métaux pour, cet agent (
série
.dé- croissante de Au, Pt, Ag, Fe, Cu, Zn, Sn,
. Psyeb. zc. psych. gerichtl. Medicin. XXXVIII, 1.) Basé sur deux
séries
d'observations, ce mémoire envisage : , 1° les
re des considérations cliniques par lesquelles l'auteur rattache la
série
des accidents, y compris l'aphasie et la polydi
accidents qui persistent à peu près aussi longtemps que la première
série
(trois mois environ). En somme, disparition de
rition des réflexes tendineux; on concoi tf (j Li' i 1, tv,, aiine,
série
,d'in" connue 's a. dégager, quoique 14Î;CIaus
nomènes disparaissent en quelques semaines. Deux ans après environ,
séries
d'agitations, laissant après elles de l'affai-
milieu de jan- vier 1879, pour se rouvrir quatorze jours après; une
série
d'inci- sions, le drainage et le pansement anti
e dépression, l'autre d'excitation ou réciproque- ment. La longue
série
de dénominations qui lui ont été appliquées, in
par des accès isolés, soit par des accès combinés; mais formant des
séries
séparées les unes des autres par un intervalle lu
ente que par sa durée (io à 20 jours), consécutive en général à une
série
d'attaques, elle ressemble beaucoup à un accès
le et chirurgicale. Parmi ses principaux travaux, nous citerons une
série
de mémoires FAITS DIVERS. 425 5 sur l'hypnoti
iante, ou d'ostéoartlaropathie d.slapertroplaiatte acromélique, une
série
de dystrophies progressives et de début généralem
des douleurs digitales annoncent le début du mal ; le malade a une
série
de petites poussées pseudo-rhumatiszzzales : on a
érite d'avoir le premier soulevé cet impor- tant problème. Dans une
série
de travaux, Parhon a discuté et indiqué les moy
r dans la cirrhose hépatique ordinaire. Ensuite il y a une grande
série
de cas, où la maladie nerveuse évolue, le plus
orme ovoïde, dont la partie centrale est caséifiée. Par l'examen en
série
des coupes, suivies de haut en bas, on voit appar
produite à distance par des produits toxiques. Ainsi, en suivant la
série
des figures 1 à 5, qui représentent plusieurs éta
ervicale et l'isthme de l'encéphale jusqu'à la couche opti- que. La
série
des figures 7-22 nous dispensera d'une descriptio
e autre explication s'impose : Nous voyons, en effet, en suivant la
série
des coupes, que ces fascicules se détachent très
ndante du glosso-pha- ryngien (IX d). Il n'est pas très aisé sur la
série
des coupes (fig. 12-14) de délimiter la termina
enirs précis. En 1907, il cesse tout tra- vail pour se livrer à une
série
d'actes stéréotypés dans l'ordre rituel (génu-
d la nature de sa difficulté lui fut expliquée, nous projetâmes une
série
d'exercices qui amenèrent sa guérison en un mois.
manifestation artistique ; c'est la synthèse plastique d'une longue
série
d'études sur la configuration du corps féminin,
ou au lobe temporal (2 cas). Etant donné que dans les cas de cette
série
négative les lésions étaient non seulement anci
noyau principal, ou le nucleus parvocellularis de Hatschek. Dans la
série
animale, le noyau principal augmente de volume
tudinal inférieur et la voie géniculo-calcarinienne, Cette dernière
série
d'observations com- prend dix cas de ramollisse
Les autres détails n'ont guère changé. La dernière coupa de cette
série
(Fig. 4), prise au niveau du pôle antérieur Fic
ale du noyau rouge. En raison de la forte coloration de toute cette
série
par l'hématoxyline, on se rend difficilement co
pes ultra fines que nous avons réussi à obtenir dans chacune de nos
séries
. Bien que nos résultats n'aient pas été aussi s
ouge, joue un rôle très important dans le déterminisme de toute une
série
de désordres de la motilité. Ce que nous venons
s besoins de manger et de boire. Ses excès alimentaires amènent une
série
de symptômes, flatulence, pesanteur ; augmentat
ez marquée (le malade pèse 98 kil. pour une taille de 1 m. 76), une
série
de symptômes dystrophiques d'une très grande nett
s neutrophiles est notée par Vlaieff, Sabrazès et Bonnes. Dans la
série
rouge, les constatations ont été trop contradicto
s mononucléaires z0 0/0), sans que nous ayons pu constater dans les
séries
blanche ou rouge l'apparition d'éléments anorma
laire très dense, mais dont les fibres à myéline sont d'une finesse
Série
normale Série ohs, I - Fm.2 2 TROUBLES DES MO
se, mais dont les fibres à myéline sont d'une finesse Série normale
Série
ohs, I - Fm.2 2 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIF
ntégrité de la capsule interne. La couche optique montre la défor-,
Série
normale Série obs. 1 Fn,.3 3 TROUBLES DES MOU
capsule interne. La couche optique montre la défor-, Série normale
Série
obs. 1 Fn,.3 3 TROUBLES DES MOUVEMENTS ACTIFS
sez parti- culiers. La pigmentation de la peau est apparente, une
série
de taches chamois ou café au lait clair crible
et non en large avec céphalée, troubles intellectuels, signes de la
série
diabolique : polyphagie, polydypsie ; il n'incrim
aucoup plus bas qu'à l'ordinaire. Les mêmes au- teurs signalent une
série
d'anomalies relatives à l'insertion et à la dispo
à sécrétion interne. Toutes les observations ont été faites sur des
séries
de malades, dont je connaissais bien les partic
es, au début séparément, plus tard en préparations combinées. Cette
série
d'expériences, qui prirent beaucoup de temps, e
n accidentelle, tandis que par l'administration rectale, une grande
série
de malades fut, après un temps plus ou moins lo
t différente, il est nécessaire en premier lieu d'écarter toute une
série
d'affections, qui sont bien caractérisées par l
pour pouvoir être regardées comme épileptiques. Au nombre de cette
série
d'affections il faut compter : l'hy- drocéphali
es épi- leptiques. Après avoir écarté toutes ces maladies, et cette
série
n'a pas la moindre prétention d'être complète i
dans l'état de mal épileptique ou, tout au moins, en cas de grandes
séries
d'at- taques. On a signalé, toutefois, des cas
lle. Quant à ce qu'on appelle les « petites attaques se répétant en
série
» (kleine Gehaufte Anfalled'Heilbronner), il fa
un cas (papillite évidente, etc.), petites attaques se répétant en
série
. Petites attaques multiples d'Heilbronner, deux
psie cérébrale primitive ; hors de ce groupe, il reslait une petite
série
de cas d'hystérie, épilepsie affective, etc., et
e petite série de cas d'hystérie, épilepsie affective, etc., et une
série
de 30 maiacles (18 hommes, 12 jeunes filles et fe
e et des glandes parathyroïdes : je dispose maintenant d'une grande
série
de malades, qui sont, par l'admi- nistration re
onques, depuis longtemps exempts de tout phénomène morbide. Cette
série
se compose de : 2 malades exempts d'attaques depu
une seule attaque, relativement peu de temps après l'opération, des
séries
complètes d'attaques, aboutissant à un état de
. A la cuisse sur le droit antérieur la percussion donne lieu à une
série
de contractions qui peuvent persister de quelques
rs membres appartenant à une même famille. Il existe pourtant une
série
de questions se rattachant à celle nouvelle aff
t de paraitre. - E. Brissaud, Leçons sur les maladies nerveuses (2°
série
, hôpital Saint-Antoine), recueillies et publiées
e Médecine. Dans un travail antérieur l'un de nous (1) publiait une
série
d'obser- vations tendant à démontrer que si la
eurs de l'avant- bras droit, au-dessus du poignet, on détermine une
série
de contractions dans les doigts de la main corr
ques qui ont précédé l'oreille dans LE TABES LABYRINTHIQUE 141 la
série
animale, est ce'que j'ai appelé l'orientation sub
e représentation sensorielle. Un mouvement est re- présenté par une
série
ininterrompue d'images d'attitudes. Les téguments
laquelle ma variation aboutira, - et aussi la représentation de la
série
des attitudes par lesquelles je passerai de l'a
un sens musculaire, de ces circonvolutions centrales est partie une
série
de réflexes comme il en part de tout autre point
ritable secousse; si le mouvement con- tinue, l'oeil fait ainsi une
série
de sauts dans le sens de la rotation ; au momen
es observées dans la proportion des troubles auditifs dans les deux
séries
de malades peuvent encore tenir aux différences d
r, et ce mouvement de retour beaucoup plus lent, montre au sujet la
série
des objets que rencontre successivement l'axe v
xième paire, ni de la quatrième, enjamber, dans son irradiation, la
série
des noyaux de la troisième paire et épuiser tou
ntrée à l'hôpital ; pendant son séjour il continua sous nos yeux la
série
de ses accidents hystériques : il se plai- gnit
e ses accidents hystériques : il se plai- gnit successivement d'une
série
de zones hystérogènes à l'épigastre, dans le do
rçût et mal- gré lui : cette incontinence d'urine succédant à cette
série
de manifesta- tions hystériques était certainem
par les gravures de N. Weydmans, D. Teniers, Th. de Bry, etc. Cette
série
déjà longue n'est pas encore close, car nous avon
de mélancolie, les médecins du XVII° siècle, désignaient toute une
série
de malaises ou de maladies « sortes de rêve- ri
rable de la chlorose. Nous aurons aussi à passer en revue toute une
série
de pâ- moisons qui semblent bien se rattacher a
6 HENRY MEIGE pour qu'on puisse songer à rattacher ce tableau il la
série
que le maître hollandais a consacrée au mal d'a
a rendre répugnante aux plus libertins ? nent vraisemblablement à a
série
des malades d'amour. Il est possible que certains
e. .. Un des exemples les plus caractéristiques de cette nouvelle
série
d'ob- servations imagées est fourni par un élèv
médication, les fris- sons reviennent. Elle présente, du reste, une
série
complète de phéno- mènes hypothyroïdiens, surto
études plus détaillées. ' . .. Je fais suivre mon mémoire d'une
série
d'observations. 1° Adultes. Uns. I. - Gastral
ssant. Mme H... se plaint d'éprouver depuis trois a quatre mois une
série
de phénomènes qui ont fini par l'inquiéter. Elle
. 332). Note sur un cas de canitie rapide (Progrès médical, 189 ï, 3e
série
, t. V, p. 49). (2) CoLonAx, Les ll'ouhles tro
les trophiques de la paralysie générale (Arch. de Neurol., 1898, 2e
série
, t. V, p. 32). (3) IhGNAi : D, Deux cas de mala
onzée dans le cours de la para- lysie générale (Gaz. hebd., 18G5, 2
série
, II, p. 184). (4) Cil. Flué, Faits pour servir
anesthésie sur la région thoracique où il se plaint de douleurs par
séries
à de certains jours. Il se plaint toujours de dou
peint une autre scène médicale qui certainement appartient à notre
série
. Elle se trouve actuellement à Vienne, dans la co
ent atteintes, à coup sûr, elle est bien la plus charmante de notre
série
. Chez elle, la faculté concupiscible, comme on
rocher cle celui du musée de la Haye. Il s'ajoute d'ailleurs à la
série
des peintures inspirées par les effets de l'amo
- ses .dont chacune comporte un enseignement. A ce seul titre, la
série
d'images que nous venons d'examiner peut comp-
et les interprétations qui précèdent. La seule comparaison de celle
série
d'image montre bien qu'un même lien de parenté
ve d'origine myélo- pathique, bien caractérisés; l'intérêt de cette
série
réside surtout dans leur rapprochement, chacun
s tous les muscles, surtout dans ceux de la cuisse et du tronc, une
série
d'ondulations et de frémissements musculaires.
ête humérale (fig. N). A la périphérie de l'articulation existe une
série
d'ostéophytes siégeant au niveau des tendons pé
us avons l'ophtalmoplégie nucléaire progressive. Il existe donc une
série
morbide constituée par l'atrophie musculaire my
SE) LE MAL D'AMOUR (Suite et fin) PAR HENRY MEIGE X De la
série
des oeuvres d'art que nous venons de passer en re
TENIERS LE Vieux au musée des Offices, de Florence. Et toute une
série
de peintures que son fils, DAVID TENIERS LE Jeune
nécessaire. Mais les détails communs abondent dans l'une et l'autre
série
. Elles ne peuvent que gagner à être mises en co
'auteur, devait être signalé ici. Il semble bien ap- partenir ci la
série
des pâmoisons que peut engendrer le mal d'amour.
Dlzior (Haute-Marne). 12° Année N"6. Novembre-Décembre E Dans une
série
de récentes leçons, M. Pitres (1) a repris l'élud
toïde, mais la percussion du tendon rotulien donne lieu à toute une
série
de secousses. La pupille gauche est un peu défo
té plus haut. Les deux hémorrhagies sont presque symétriques. Une
série
de coupes par la méthode de Pitres montre la loca
elles mais en partie détruites (1). (1) M. Pitres dans une nouvelle
série
d'articles tout récents, discute la question à
veut lui faire subir un examen ; elle s'excite alors, prononce une
série
ininterrompue de lam- beaux de phrases paraphas
pu être mises en cause dans notre famille d'oedémateux. Toute une
série
d'observations se rapportent encore aux oedèmes d
n l'âdème prend une consistance plus ou moins graisseuse et dans la
série
des oedèmes nêvropathiques on trouve tous les i
A l'appui de cette hypothèse, les arguments ne manqueraient pas, La
série
des anomalies de l'évolution corporelle semble in
e ce syndrome n'est pas isolé en réalité et qu'il coexiste avec une
série
plus ou moins longue de stigmate de dégé- néres
e maladie Trélat. - Des causes de la folie. (Aitit. méd. psych., 3"
série
, t. Il, 1856, p. 7 et 17".) 'Marcé. - Traite
la paralysie générale citez 1rs héréditaires. (Ann. méd.psych., 0e
série
, t.`I, 1879, p. 22G.) 1 Bail et Régis. - Les fa
deux sexes et en parti- culier chez l'homme. (Ann, méd. psych., 6e
série
, t. VI, p. 192.) . Legrand du Saulle. - Les hys
uze. /iec/terc/iMSM;' la folie pénitentiaire. (Ann. med. psych., 3'
série
, t. 111, 1857, p. 28.- Hurel. -Quelques obs. pour
his- toirc de la folie pénitentiaire. (Ann. méd. psrlcla., 1875, 48
série
, t. XIII, p. 161,374.) LA FAMILLE NÉVROPATHIQ
at psychologique des criminels. (Ann, )/te'6<. psycrt., 1872, 5°
série
, t, VIII, p. 321.) ' Howard. The Somalie etiolo
la psychologie morbide, 1872. « Lunier. Ann. méd.. psych., 1872, b'
série
, t. Vit, p. 257. 3 Mundy. laid. l&Ca8Sâ1l
men- tales et les autres maladies nerveuses. (Ann. méd. psych., 4e
série
, t. IX, 1867, p. 193. 4 G. Doutrebente. Etude
locomotrice dans l'aliénation mentale. (Ann. méd. psych., 187 ? lie
série
, t. XIV.) 3 Gruet. - Etudes cliniques sur les t
ive à une atrophie musculaire progrea- sive. (Ann. nzéd. psych., 6"
série
, t. II, 1879, p. iS.) 38 PATHOLOGIE GÉNÉRALE.
zaine qui suivit. Enfin, du- rant le mois de mai 1880, il y eut une
série
de trois ou quatre crises consécutives dans un
ntenant à relever brièvement les résultats obtenus dans la nouvelle
série
d'essais. On peut, en définitive, par la résect
ments, assister depuis ma communication à la Société à une nouvelle
série
de z1,700 attaques convulsives, dans l'espace d
ble et d'une grande coquetterie. Le 2'2 j janvier 1883, commença la
série
de 8,0U0 attaques dont j'ai parlé dans ma premi
urs normale, tandis que le pouls était à 120 et 130. Cette grande
série
de 8,000 attaques terminée, la malade ne présenta
de quatre-vingts à cent attaques par mois, se montrant toujours par
séries
de huit à dix dans l'espace d'une journée, avec
lucinations terrifiantes. Elles se produisent soit à la suite d'une
série
d'attaques convulsives, soit d'emblée, après un
vés à 1,351 la veille, tombent à 3;i0; c'est la lin de cette grande
série
. Nous voyons donc que, jusqu'au 19 oc- tobre, a
t restée latente pendant très longtemps, et,, ce n'est qu'après une
série
de crises épileptoïdes fort longues que se sont
t-six jours '. Rosa G... n'a plus d'attaques depuis hier; la grande
série
d'accès à laquelle nous venons d'assister paraî
nnée 1883, dépasse 30,000. , SOCIÉTÉS savantes. 131 La première
série
de 8,000 attaques offrait un élément de diagnosti
mes ; mais il n'est pas rare que les hystéro-épileptiques aient des
séries
purement épileptoïdes : quelquefois cette forme
n grand nombre d'attaques, qui plusieurs fois se sont succédées par
séries
, durant plusieurs jours. En présence du tableau
les névroses et principalement avec la folie. (AmI. méd. psych., 4e
série
, 1866, t. VIII, p. 21 et 201.) 2 Durand. - Cont
aire, l'ischurie est plus ou moins permanente et peut persister des
séries
de jours; DES TROUBLES URINAIRES. 225 alors,
;'/temor<'/<a ? e cérébrale. (arcs. de ph ! ls. et yath. ; 2'
Série
, t. III, p. 85, 1876. ' , Communication orale d
urs jours, sont constituées par des accès composés eux- mêmes d'une
série
de chocs douloureux qui se répètent plus ou moi
malades la comparent à une sensation de fer rouge, de rasoir, d'une
série
rapide d'étincelles électriques. Plus rare- men
dans le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. po3 sang du diabétique une
série
de décompositions chimiques dont nous ne connai
ieu n'a eu d'utilité pour le malade, mais toutes ont occasionné une
série
de désagréments très pénibles à son frère, dont
colline boisée dont la , pente, douce , incline, vers la mer : une
série
de constructions de belle, prestance, dont les
econd étage des deux ailes latérales les plus externes contient une
série
de chambres à coucher pour malades calmes de la
t l'histoire pathologique des deux fillettes qui complètent cette
série
ne prêtent à aucune déduction. L'auteur dégage
de mouvements sympathi- ques dans l'extrémité droite. La seconde
série
de faits concerne l'asphyxie locale des extrémité
gique de la démence paralytique avec démonstrations. Une première
série
de préparations concerne la disparition des fibre
ve méritentsimplement d'être prises en considération. Une seconde
série
de préparations met en lumière la dispari- tion
act. Il en appelle à Magnan, Mierzejewski. Lubimoff. Il a épuisé la
série
des coupes recommandées par Westphal, il a mul-
d'une paralysie générale, celte autre n'en provient pas. La seconde
série
des coupes de Tuczek, pro- voque de sa part cet
salle des fêtes. Non loin du quartier des agités, on rencontre une
série
d'édifices quijouentle rôle d'autant d'hospices
par la vapeur. A côté se trouve le châ- teau : on y a installé une
série
d'ateliers pour les hommes, l'habi- tation de l
d'aplomb au bout de deux minutes. Ensuite, nous avons entrepris une
série
d'expé- riences, en poussant le balancement jus
es. Pression sanguine et balancement sur notre avpareil. Dans une
série
d'expériences sur la pression sanguine, DU VERT
. - -Au mois de juillet de 1887, nous avons entrepris la dernière
série
de nos expériences sur le vertige ma- rin. Nous
sont pas douloureux à la pression. Le malade se plaint de toute une
série
de symptômes subjectifs ; pesanteur continuelle
Dans les muscles de la main gauche on observe de temps en temps une
série
de mouve- ments fibrillaires et un petit trembl
es lobes ant. du cerv. (Acad. des se, 1825. Arch. gén. de méd., Ire
série
, t. viii, p. 25.) Broca. Remarques sur le siège
ies d'une observation d'aphémie. (Brcll. de la Soc. anat., 1861, 2e
série
, t. VI, p. 330) ; Nouv. observations d'aphémie pr
es pièces, le morphinique, en se demandantleur cause, a conçu une
série
de délires passagers, mobiles, pour les expliquer
vaincre en lisant le procès-verbal officiel. (Ann. méd. lisych., 7e
série
, t. V1, 1). 415 et 455.) D'ailleurs il me semble
comprimés comme le montre la diminution de leur volume, toute cette
série
de troubles de nutrition s'est effectuée et les
P)'ëSM<6[<tOt ! d6 O'dMMpftt/tO- logiques. - Il s'agit d'une
série
de pièces appartenant à l'ancien et au nouveau
au fournit, chez les reptiles, les matériaux de développement à une
série
de cellules ner- veuses ganglionnaires qui form
tions. Le système des fibres en question ne s'entoure dans toute la
série
animale que très tard de myéline. Il n'a encore
uchement qu'il se développe dans la région des manchons de myéline (
séries
de coupes relatives aux animaux cités). C'est p
étranger à ces matières pour ne plus savoir que ce n'est paspar une
série
d'inler- rogatoires faits pendant les trois ou
aru dans les « Annales d'hygiène publique et de médecine légale (2e
série
, t. XXXI, p. 274-286, 1869). Le contenu d'un mé
suivant lui, les deux autres sont incomplètement guéris. Enfin, une
série
de neuf observations termine la description de
état, il remet son casque pour faire la septième immersion de sa
série
. Mais dès qu'il se prépare à quitter l'échelle du
ovoqué le 26 juillet 18S3 par la cinquième immersion de la deuxième
série
. Une autre série de 5 immersions a été faite an
let 18S3 par la cinquième immersion de la deuxième série. Une autre
série
de 5 immersions a été faite antérieurement sans
du travail de ces immersions. Comme il n'a- vait pas encore fini sa
série
, il fait une 6e immersion à 25 brasses de profo
ous examinons dans le groupe des cas de gliomatose spinale , quatre
séries
de symptômes fondamentaux se dessinent plus n
ent dès le début de la maladie (OBs. IV). Enfin, dans .la troisième
série
d'observations, il peut exister une analgésie p
tion carac- téristique de ces dernières. Enfin, dans la troisième
série
des cas les nôtres n'en présentent pas l'anesth
e le tableau fondamental se complique ou s'obscurcit même par une
série
de symptômes de lésion diffuse ou en foyer des
troisième couche, celle des grandes cellules, ne pré- sente que des
séries
de cellules petites, à fins noyaux sphériques,
ulement groupées sans ordre apparent, au lieu, d'être disposées en,
séries
verticales comme à l'état normal. Les couches s
-Franck et Pitres. Art. Encéphale du Dict. Dech. Charcot et Pitres,
série
de mémoires. Revue mens. 1877, 79, 83. Ci. de Boy
s rentrent dans les catégories de AI. Schuele. M. MESCHEDE cite une
série
d'exemples de folie systématique partielle incu
emps remarqué que les événe- ments surviennent en quelque sorte par
séries
; un événement, qui a produit pendant quelque te
'empêcher. » Elle est surprise au milieu de la conversation par une
série
de Gilles de la Tourette. L'hypnotisme et les é
le fait timidement, et parfois elle doute; son esprit passe par une
série
de fluctuations bien fortes pour démontrer le p
provoqué le 20 janvier 1884 à la quatrième immersion de la deuxième
série
, trente brasses de pro- fondeur, vingt minutes
jour, quarante secondes de décompres- sioiz. Il avait déjà fait une
série
de sept immersions sans accidents, vingt-trois
ondeur et dix à douze minutes de séjour, il fait la quatrième de sa
série
dans les mêmes conditions du tra- vail. Immédia
dents, quand le 15 mars 1879, il fait la première immer- sion de sa
série
à une profondeur de vingt-deux à vingt-trois br
.). Une telle disposition n'exclue pas il est vrai une lésion d'une
série
de ra- cines d'un côté une rhenitis primitive o
que de laquelle j'ai con- sacré ma communication, nous présente une
série
de taches, d'énigmes, de contrastes et de parad
nom et par l'extérieur. Par ce pro- cessus la nature fait toute une
série
d'expériences, dont l'étude promet de répandre
ve. ! 12,') On observe souvent chez les hystériques, à la fin des
séries
d'attaques surtout, des accidents procursifs, u
soit à courir en avant (Scélolyrbe festinans), soit à accomplir une
série
de mouvements involontaires de la tête, du tron
différentes phases de son évolution formatrice, aussi bien dans la
série
animale que chez l'embryon humain. Ce point e
nnées de la doctrine transformiste et a pleinement réussi. Dans une
série
de chapitres très fournis de faits et d'idées ori
étages frontaux, et la circonvolution de Broca n'apparaît dans la
série
animale qu'à partir des anthropoïdes, en même tem
de la circonvolution de Broca reproduit le déve- loppement dans la
série
zoologique. Celle du côté droit apparaît BIBLIO
ntaire minima. Les graphiques nombreux obtenus, dans cette première
série
de recherches, nous ont tous démontré ceci : l'
tal précédents. Au contraire, un même individu normal, dans la même
série
d'expériences ou dans des expériences diffé- re
tive. IV. Les constatations graphiques exposées dans cette deuxième
série
de recherches peuvent se résumer ainsi : 1° D
ire par exemple est assez fréquente chez eux (5). Dans une première
série
nous l'avons trouvée chez 11 paralytiques sur 28,
z 11 paralytiques sur 28, soit sur 39, 28 pour 100 ; dans une autre
série
de 62 paralytiques généraux, je l'ai ob- servée
lle dans la station de plus de 1 centimètre en moyenne ; dans trois
séries
de 31, de 29 et de 34 paralytiques généraux, la d
sée où des accents heurtés nécessitent le recul, fait partie d'une
série
de scènes fantastiques et bizarres, trop souven
s ramifications fines terminales de ces dentrites portent toute une
série
de gonflements et d'épaissisements divers de fo
nous essaierons de montrer comment les lésions peuvent expliquer la
série
des symptômes ; nous esquisserons enfin une hypot
1902. (3) Iconographie de la Salpêtrière, 1901. (4) Cliniques 3e
série
), p. 110 ; Thomas, Le Cervelet (Thèse, Paris, 189
etrouve les symptômes les plus importants que Soca (1) a appelés la
série
de Friedreich : la démarche titubante et ataxique
PAR le D' Marco Levi BIANCHINI, Vice-Directeur. Par suite d'une
série
de causes insuffisamment élucidées par la recher-
une loi naturelle : - mais ils trouvent leurs résolutions dans une
série
d' « actes » souvent insensés ou rudimen- taire
ication la plus complexe et la plus élevée, est la résultante d'une
série
ininterrompue d'états de conscience et de volit
E 139 tous les deux, dans leurs composants plus élémentaires, à une
série
d'actes moteurs,\\ est une loi fondamentale de
t dirigé vei-sitn but précis,crée l'habitude » ; c'est-à-dire : une
série
d'actes moteurs, coordonnés et répétés daus un bu
stionnâmes. Leur délire, pour absurde qu'il soit, coexiste avec une
série
très nombreuse d'associations conscientes et de j
lus dangereux que dans le Nord : nous les adaptons facilement à une
série
de travaux légers et faciles. Plusieurs aliénis
tin est encore représentée dans le livre de P. Richer par toute une
série
de figures dépossédés, qui provien- nent du man
s'impose. Nous avons signalé dans notre article de 1901, toute une
série
de documents médicaux qui figurent dans le merv
miniatures du Mont-Cassin, forment ainsi,aux xe etxi9 siècles, une
série
de documents médicaux qui se distinguent par de
umeurs dor- sales du carpe). - Et il faut aussi ranger dans celte
série
le type décrit par Gilbert et Gar- nier sous le
ur d'une lentille. Tumeurs des nerfs. Il n'existe pas de tumeurs en
série
le long des bran- ches nerveuses sous-cutanées
dans le but de vérifier les résultats obtenus par Nageotte dans une
série
de travaux antérieurs, résultats qui avaient am
mages dues au crayon et au burin de ce dernier, enfin l'inépuisable
série
de photographies faites dans le service par M.
ue médicale des oeuvres d'arl. Nous lui devons en particulier une
série
d'études sur des Ca- ricatures satiriques contr
es dans un mélange du liquide de Millier et de formol, cou- pées en
séries
et colorées par la méthode de Weigert, de Weigert
'aiguille, elles reportent automatiqnementsur le canevas tantôt une
série
de croix, tantôt une série de points, en se laiss
automatiqnementsur le canevas tantôt une série de croix, tantôt une
série
de points, en se laissant distraire à tout inst
de moyen qui tient de la broderie et du -manuscrit. Après toute une
série
d'ouvrages analogues, absolument satisfaisants
ntoure et lui donne une fausse in- terprétation. Pendant une longue
série
d'années la diminution générale de l'activité m
ec- tion est surtout réservée à l'enfance. Mais il existe toute une
série
d'acci- dents choréiformes de l'adulte qui offr
uffrances dont il était alors accablé. Et il est possible que cette
série
d'explosions dansantes aient été favorisées par
ésenté à une commission de réforme, est en somme constituée par une
série
de spasmes, survenant par crises, portant sur l
a montré, outre des signes de ramollissement des deux sommets, une
série
de râles dissé- minés dans toute l'étendue de l
e transversale d'un des muscles, on observe qu'il est divisé eu une
série
de faisceaux de dimensions très inégales ; (1)
coupes longitudinales, l'aspect présenté est tout autre ; on voit une
série
de bandes conjonctives parallèles aux fibres mu
par la méthode de Pal après fixation au Millier. Elle a été coupée en
séries
de façon à pouvoir comparer les noyaux des musc
d'une part,renferment de très nombreux noyaux arrondis formant des
séries
linéaires et rappelant ainsi les noyaux multiplié
mot syringomyélie le sens de cavité dans la moelle, admet- tent une
série
de causes -pathogéniques disparates. A ces dernie
'hui une syringomyélie, mais des syringo- myélies reconnaissant une
série
de facteurs pathogéniques (gliomes, anomalies d
de trois ans. Ce fait valait de vous être signalé. Pour clore la
série
de ces malades, je veux encore vous montrer ce pa
les paralytiques généraux ne sont pas des liseurs. Voici donc une
série
de malades à qui je viens de faire subir devant
spense de lout travail d'idéation, elle n'en comporte pas moins une
série
d'opérations mentales nécessitant un travail d'
là, îlots de vésicules adipeuses, mais non disposées en groupes ou en
séries
paraissant répondre à des fibres disparues. Les
rises des troubles de la circulation périphérique qui amenèrent une
série
d'ac- cidents, déjà observés aux cours de l'hys
t placer dans le service du docteur Maignan : elle y fait toute une
série
d'accidents : cécité, surdité, idées de persécu
; elle avait eu, durant son séjour, une paraplégie transitoire, une
série
de crises à grand spectacle, une phase d'anorex
in-Beaumetz, Société médicale des hôpitaux de Paris, lSi5, t. XVI, 2e
série
, p. 179, (4) E. Hirtz, La maladie angio-spasm
avons-nous dit, une écorce cérébrale qui lui permet d'exécuter une
série
d'actes intellectuels, qui pour être très sim-
uivant la méthode des nosographes. à classer les divers phénomènes en
séries
naturelles, de façon à établir dans ce grand grou
ant admis, l'auteur n'a plus eu qu'à les combiner pour en déduire une
série
très nombreuse de conséquences qu'il a vérifiées.
stations les plus convaincantes du dédoublement de la mémoire dans la
série
des phénomènes hypnotiques... Tels que : l'examen
irrécusable de l'invariabilité des troubles de la mémoire dans la
série
des phénomènes hypnotiques, et nous conduisent à
six heures. V... est pris de vomissements, avec stran-gurie, puis la
série
des convulsions toniques et cloniques commence. l
monte en voiture, se place a Senvient chez un jardinier. Après une
série
de spasmes, sa jambe gauche reste en extension, s
treize heures et ne reprend conscience à Lafond qu'après une nouvelle
série
de crises. D'ailleurs, dans ces déroulements di
bien ï n'est-ce pas là un phénomène bien étrange que de voir, dans la
série
des expansions de l'émotivité que nous allons exp
en tranchées. Elles sont silencieuses ou loquaces. Dans la première
série
, suivant la constitution du sujet, suivant son im
potassium produisent des réactions de cette espèce. Dans la seconde
série
de faits, alors que la susceptibilité du sujet es
nt localisée sur les régions intellectuelles. I. — Dans la première
série
de faits, alors que les sujets en expérience rest
fonds qui ont bouleversé son système nerveux. II. — Dans la seconde
série
des expériences, les manifestations expressives o
s à chacun des sujets mis en expérience. Voici maintenant une autre
série
de phénomènes non moins surprenants que les précé
mains coupables et qu'elles ne pourront pas ainsi ouvrir une nouvelle
série
de crimes silencieux qu'on ne pourra poursuivre,
vec des bois, des résines, du verre; nous, nous avons cherché dans la
série
médicamenteuse et toxique. Or, un médicament, un
'esprit (i). Sous ce titre, le Dr Paul Regnard vient de publier une
série
d'études très intéressantes sur les aberrations d
rès les possédées de Loudun viennent celles de Louviers, et la triste
série
continue jusqu'en l'année 1682, où Louis XIV met
conseillé, dans ce sens, plusieurs ménages désireux d'interrompre la
série
d'enfants mâles ou femelles qu'ils avaient eue ju
devant les autres chefs de service, les internes et les externes, tue
série
de démonstrations expérimentales sur l'action a d
de résolution bilatérale. La séance du soir s'est terminée par une
série
de suggestions post-hypno-tiques. Une suggestion
fesseur (Brown-Séquard) a commencé devant l'Académie des sciences une
série
de lectures destinées à résoudre l'importante que
es. pendant le mois d'octobre, dans l'amphithéâtre de la Charité, une
série
de démons-trations sur l'action 4 distance des su
arer, par une tierce personne qui n'assistera pas à l'expérience, une
série
de substances à actions nettement définies dans d
Renterghem réclame pour l'hypnotisme une place prépondérante dans la
série
des médications fonctionnelles adoptées par la mé
es dès le début. Il hante tout de suite l'imagination du lecteur. Une
série
d'interrogations se posent d'elles-mêmes devant l
Ayant à sa disposition des sujets très sensibles, il a institué une
série
d'expériences qui l'ont amené à se convaincre que
d'elle. Elle ne sait rien de ces expériences. On approche d'elle une
série
de médicaments renfermés dans des flacons bouchés
a mère, se couche dans son lit. Presque aussitôt se font entendre une
série
de bruits très distincts, imitant soit les coups
T PROFESSEUR A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS I La remarquable
série
d'expériences faites par M. Janet, au Havre, et e
assez peu vraisemblable d'après ce qui précède et ce qui suit, d'une
série
de coïncidences, on ne peut s'empêcher de suppose
ut dire que les résultats sont satisfaisants, et que ce n'est pas une
série
de coïncidences fortuites qui fait que constammen
: mais elle ne me paraît pas acceptable, car il faudrait admettre une
série
, tout à fait peu probable, de coïncidences heureu
pothèse d'une simulation machinée de longue main et avec art, par une
série
de trucs et de supercheries adroitement combinés.
rrive et ramène de nouveau l'immobilité. Alors commence la longue
série
de médicaments prescrits par des conseillers ou c
la plus haute compétence. Le chapitre IX concerne le processus, la
série
des phases du magnétisme chez les sujets en expér
rs le même. Ce qui frappa surtout la commission dans cette nouvelle
série
de recherches et avant l'ouverture des plis cache
inconsciente, toute réflexe, qui la pousse à exprimer malgré elle une
série
d'impressions mauvaises avec une intonation de vo
huit heures d'une paralysie hystérique datant de six mois. Dans une
série
de cours que je viens de faire à ta Faculté de Mo
culier, un-jeune élève, hypnotisé par ses camarades, fut atteint dune
série
de troubles nerveux qui l'amenèrent à la Salpêtri
qui importent en éducation. Les mauvais maîtres ont bientôt épuise la
série
, si longue qu'elle soit, de même qu'ils atteignen
pose, il ne répond pas. Pendant le sommeil, on lui fait exécuter une
série
d'actes : descendre du lit, marcher dans la salle
x non seulement une traînée d'émotions et de névroses, mais toute une
série
d'adeptes qui peuvent faire indéfiniment des recr
uivant la méthode des nosographes. à classer les divers phénomènes en
séries
naturelles, de façon à établir dans ce grand grou
ant admis, l'auteur n'a plus eu qu'à les combiner pour en déduire une
série
très nombreuse de conséquences qu'il a vérifiées.
stations les plus convaincantes du dédoublement de la mémoire dans la
série
des phénomènes hypnotiques... Tels que : l'examen
irrécusable de l'invariabilité des troubles de la mémoire dans la
série
des phénomènes hypnotiques, et nous conduisent à
six heures. V... est pris de vomissements, avec stran-gurie, puis la
série
des convulsions toniques et cloniques commence. l
monte en voiture, se place a Senvient chez un jardinier. Après une
série
de spasmes, sa jambe gauche reste en extension, s
treize heures et ne reprend conscience à Lafond qu'après une nouvelle
série
de crises. D'ailleurs, dans ces déroulements di
bien ï n'est-ce pas là un phénomène bien étrange que de voir, dans la
série
des expansions de l'émotivité que nous allons exp
en tranchées. Elles sont silencieuses ou loquaces. Dans la première
série
, suivant la constitution du sujet, suivant son im
potassium produisent des réactions de cette espèce. Dans la seconde
série
de faits, alors que la susceptibilité du sujet es
nt localisée sur les régions intellectuelles. I. — Dans la première
série
de faits, alors que les sujets en expérience rest
fonds qui ont bouleversé son système nerveux. II. — Dans la seconde
série
des expériences, les manifestations expressives o
s à chacun des sujets mis en expérience. Voici maintenant une autre
série
de phénomènes non moins surprenants que les précé
mains coupables et qu'elles ne pourront pas ainsi ouvrir une nouvelle
série
de crimes silencieux qu'on ne pourra poursuivre,
vec des bois, des résines, du verre; nous, nous avons cherché dans la
série
médicamenteuse et toxique. Or, un médicament, un
'esprit (i). Sous ce titre, le Dr Paul Regnard vient de publier une
série
d'études très intéressantes sur les aberrations d
rès les possédées de Loudun viennent celles de Louviers, et la triste
série
continue jusqu'en l'année 1682, où Louis XIV met
conseillé, dans ce sens, plusieurs ménages désireux d'interrompre la
série
d'enfants mâles ou femelles qu'ils avaient eue ju
devant les autres chefs de service, les internes et les externes, tue
série
de démonstrations expérimentales sur l'action a d
de résolution bilatérale. La séance du soir s'est terminée par une
série
de suggestions post-hypno-tiques. Une suggestion
fesseur (Brown-Séquard) a commencé devant l'Académie des sciences une
série
de lectures destinées à résoudre l'importante que
es. pendant le mois d'octobre, dans l'amphithéâtre de la Charité, une
série
de démons-trations sur l'action 4 distance des su
arer, par une tierce personne qui n'assistera pas à l'expérience, une
série
de substances à actions nettement définies dans d
Renterghem réclame pour l'hypnotisme une place prépondérante dans la
série
des médications fonctionnelles adoptées par la mé
es dès le début. Il hante tout de suite l'imagination du lecteur. Une
série
d'interrogations se posent d'elles-mêmes devant l
Ayant à sa disposition des sujets très sensibles, il a institué une
série
d'expériences qui l'ont amené à se convaincre que
d'elle. Elle ne sait rien de ces expériences. On approche d'elle une
série
de médicaments renfermés dans des flacons bouchés
a mère, se couche dans son lit. Presque aussitôt se font entendre une
série
de bruits très distincts, imitant soit les coups
T PROFESSEUR A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS I La remarquable
série
d'expériences faites par M. Janet, au Havre, et e
assez peu vraisemblable d'après ce qui précède et ce qui suit, d'une
série
de coïncidences, on ne peut s'empêcher de suppose
ut dire que les résultats sont satisfaisants, et que ce n'est pas une
série
de coïncidences fortuites qui fait que constammen
: mais elle ne me paraît pas acceptable, car il faudrait admettre une
série
, tout à fait peu probable, de coïncidences heureu
pothèse d'une simulation machinée de longue main et avec art, par une
série
de trucs et de supercheries adroitement combinés.
rrive et ramène de nouveau l'immobilité. Alors commence la longue
série
de médicaments prescrits par des conseillers ou c
la plus haute compétence. Le chapitre IX concerne le processus, la
série
des phases du magnétisme chez les sujets en expér
rs le même. Ce qui frappa surtout la commission dans cette nouvelle
série
de recherches et avant l'ouverture des plis cache
inconsciente, toute réflexe, qui la pousse à exprimer malgré elle une
série
d'impressions mauvaises avec une intonation de vo
huit heures d'une paralysie hystérique datant de six mois. Dans une
série
de cours que je viens de faire à ta Faculté de Mo
culier, un-jeune élève, hypnotisé par ses camarades, fut atteint dune
série
de troubles nerveux qui l'amenèrent à la Salpêtri
qui importent en éducation. Les mauvais maîtres ont bientôt épuise la
série
, si longue qu'elle soit, de même qu'ils atteignen
pose, il ne répond pas. Pendant le sommeil, on lui fait exécuter une
série
d'actes : descendre du lit, marcher dans la salle
x non seulement une traînée d'émotions et de névroses, mais toute une
série
d'adeptes qui peuvent faire indéfiniment des recr
ans, à l'asile depuis deux ans et demi. Agitation consécutive à une
série
d'attaques épileptiformes, calmée par l'associa
près les auteurs (Voir Dict. Encyclop. des sciences médicales, 1 le
série
, t. XIV, page 303), sont un des symptômes const
et de la mélancolie, et caractérisée par l'apparition primitive de
séries
d'idées déli- rantes particulières de contenu m
de ce système, non en même temps, mais par étapes successives, par
séries
de faisceaux de diverses sortes. On constate qu
les (de Goll) et cunéiformes de Burdach). De ces noyaux émanent une
série
de tractus ascen- dants : 1° le noyau des faisc
aux grosses olives, sans venir de la moelle. Flechsig ajoute qu'une
série
de coupes portant sur le plan médian montrent q
s cette méthode, on mesure certains actes psychiques à l'aide d'une
série
de représentations, qui se succèdent dans un or
ans un ordre déterminé. L'auteur a choisi pour ses expériences la
série
des représentations visuelles. Si l'on fait naî
ntation simple ou composée simultanément'avec un des éléments, delà
série
(visuelle), le problème se réduit à mesurer ave
itation. Le moment d'ex- citation est déterminé par l'élément de la
série
avec lequel on a fait naître simultanément la r
ation momentanée, et le moment d'aperception par l'élément de cette
série
avec le- quel elle a été simultanément aperçue.
faisant varier la vitesse avec laquelle les repré- sentations de la
série
se succèdent, à déterminer son influence sur la
etc., est tou- jours aperçue avant la représentation visuelle de la
série
avec laquelle on l'a fait simultanément naître.
s. Et pour arriver à cette transformation le second élément de la
série
met plus de temps que le troisième et ce dernier
cho-pa- thique est tellement net et défini que l'on peut prédire la
série
des phases successives que'va parcourir le déli
statistique externe et simplifier le schéma. C'est après une longue
série
d'années, qu'il conviendrait de répondre, du mo
s troubles rétrogradent. Conclusions analomiques : 1° Dans toute la
série
des mammi- fères, on constate un rapport déterm
génitaux qui pré- sentent des dispositions spéciales à produire une
série
de concep- tions délirantes plus ou moins nette
ucinatoires, affaiblissement psychique, se pro- duisant parfois par
série
de poussées. Enfin les psychoses sont analogues
s de mou- vements involontaires, quelquefois isolés, quelquefois en
série
et rappelant un tremblement. Depuis lors ces se
ont souvent isolées ; quelquefois cependant elles se produisent par
séries
non rythmiques dans le même muscle ; elles sont
dans les quadriceps fémoraux, quelquefois isolées, quelquefois par
séries
agglomérées et souven sans être tout au plus un
n effet que tout changement de position du corps amène aussitôt une
série
de secousses. Dans ces cas, les secousses ont d
ment aucune action sur la température du corps du patient, mais les
séries
d'accès répétés, dont cependant les effets, dev
saire. Car, ainsi que nous venons de le dire, dans d'autres petites
séries
d'accès la fièvre fait complè- tement défaut ou
nous avons publié dans le Progrès Médical (1886, n0848 et n9 ) une
série
d'explorations thermométriques faites sur 6t ma
a main qu'on met a une certaine hauteur, il n'y arrive qu'après une
série
de mouve- ments oscillatoires désordonnés. Lui
malade de porter son index à son nez, il ne peut y arriver sans une
série
de mouvements désordonnés, exagérés aussi à gau
, 1.) L'auteur a institué dans son asile, depuis l'été de 1879, une
série
d'expériences prouvant, selon lui, que, tantôt
des paralysies de même nature par l'exercice musculaire. Dans une
série
de communications faites à la Société de Biolo-
eure pourquoi), et alors je remplace l'excitation prolongée par une
série
d'excitations très courtes produites en passant s
ment le verre rouge devant les yeux plusieurs fois desuite,'chaque
série
durant de deux à quatre minutes au plus. Dans une
deux à quatre minutes au plus. Dans une première séance, après deux
séries
de ces excitations séparées par un inter- valle
e pour le rouge a persisté. Alors, par quatre reprises, je fais des
séries
d'excitation comme l'avant-veille. A la suite,
ses sont restées en état; dans cette troisième séance, je fais deux
séries
d'excitations à la suite desquelles la malade a
nuances les plus variées qu'elle classe d'elle-même sans erreur par
séries
et par gradation de teintes, même les plus clai
blyopie complète, j'ai substitué au mode d'excitation précédent les
séries
d'excitations répétées, mais très courtes, de q
ui-même ;'et la commission dit et cela- nous^ engagera-1 dans une';
série
de dépenses incalculables'= la commission, dit
is Pinel, la science et l'expérience moderne l'ont établi. ' 1 La
série
des rapports des inspecteurs généraux, lorsqu'il
QUE et Hervé. L'éditeur Lecrosnier a entrepris la publication d'une
série
d'ouvrages d'anthropologie, qui méritent d'être
vivement édifiant (qu'on nous passe cette expression), formé d'une
série
de tableaux écoeurants, mais instructifs en nou
des névroses et des psychoses est suffisamment appréciée par une
série
des-travaux modernes et par des données statistiq
'hui, le New England Journal of Medicine and Surgery, vol. XI, 3°
série
, vol. I, p. 351, Boston, 1822. » A la prière de
tions de réception favorables, on trouverait en Allemagne toute une
série
d'établissements dans lesquels le système en qu
17 qui ne peuvent travailler, ont fréquenté les ateliers par grande
série
. Onze possédant le serti- ficat d'études, forme
et de développer leur parole, ont été envoyés suc- cessivement, par
séries
, au nomhre d'une vingtaine,- (1) A ce même exam
s, des chants de gym- nastique, des rondes, des fables et toute une
série
de chants scolaires. En maintes circonstances e
mesure de pro- fiter de cet enseignement. 120 élèves divisés en 2
séries
y ont participé. Le cours donne lieu il deux en
élèves ont participé il cet enseignement ; ils sont divisés en deux
séries
. La première série est composée des élèves qui
il cet enseignement ; ils sont divisés en deux séries. La première
série
est composée des élèves qui ont suivi les cours
s et épileptiques, il faire tous les jeudis une conférence dont les
séries
do vues énu- mérées plus haut donnent une idée
es déguisements du Mardi-gras et de la Mi-caréme. Menuiserie. 4
séries
complètes des objets servant à l'enseignement. -
mont. Il donne aux jeunes filles, au nombre de 30, divisées en deux
séries
, une leçon tous les jeudis de 8 1/2 à 9 heures
résumé qu'il nous a remis pour 1903 : 30 fillettes divisées en 2
séries
ont participé à cet enseignement. La première s
divisées en 2 séries ont participé à cet enseignement. La première
série
est composée des élèves qui ont suivi le cours
qui ont suivi le cours de dessin l'année précé- dente. La deuxième
série
est composée de jeunes débutantes, que nous esp
de laurier et des motifs d'ornement. Chant, danse. cxi Dans la
série
des objets usuels, nous avons pris comme modèle
es par l'Administration. En plus des apprenties qui travaillent par
séries
régulières, 30 ont travaillé une heure par jour
ose; 1 pour contusion du front; 8 pour embarras gastrique ; 40 pour
séries
d'accès; 10 pour abcès ; 5 pour conjonctivite ;
Les labiales (l, p, f,) paraissent tout indiquées pour commencer la
série
, leur émission étant, pour ainsi dire, plus vis
e pharynx (végétations adénoïdes.) (Voir Archives de neurologie, 2e
série
, 1903, vol. xvi, p. 367). Exercices d'applica
Cleumont (OISE). CLXIX y envoyant, soit isolément, soit par petites
séries
, vos enfants au sur et à mesure de leur dévelop
s chefs d'ateliers, vous pourriez également les envoyer par petites
séries
. Plus les enfants sont jeunes, plus ils sont éd
ont susceptibles, de recevoir. Ces enfants seraient groupés en deux
séries
selon que leur développe- ment intellectuel est
llectuel est tout à fait nul ou simplement rudimen- taire et chaque
série
aurait des heures de classe et un pro- gramme à
nt maternels. De sa propre initiative, divisant ces enfants en deux
séries
, elle leur a fait l'école, leur donnant des leç
x à la section des garçons. 3° Les enfants seraient groupés en deux
séries
, selon leur développement intellectuel, chaque
oupés en deux séries, selon leur développement intellectuel, chaque
série
aurait des heu- res de classe et un programme à
olence. Ces accès revenaient généralement tous les deux jours par
série
de trois. La mère s'est alors décidée à placer l'
n'est dessinée. La face postérieure des cuisses présente toute une
série
de plis horizontaux qui la bossellent irréguliè
s médical, 1903, no 34, p. 120, et Archives de neurologie. 1903, 2*
série
, t. XVI, ]1,2;,2. 150 De quelques FORMES DE nan
té après le pre- mier état de mal, se serait aggravée après chaques
série
con- vulsive, jusqu'à l'âge de 4 ans. Après la
pilepsie est constituée surtout par des se présentant sous forme de
séries
, quelquefois d'état de mal, mais si le malade n
ent donc d'attirer l'attention et nous espé- rons que l'étude d'une
série
de crânes ayant recouvert des cerveaux atteints
demi, apparurent des accès épileptiques. Ces accès survenaient par
séries
, surtout au moment des changements de températu
des bases solides. Ces cas graves et ces cas difficiles forment la
série
des faits intéressants qu'on est toujours sûr d'y
e inaugurale', à l'aide de la méthode graphique, la marche dans une
série
variée de maladies nerveuses. Nous ne décrirons p
la colonie imaginaire de Port-Breton. C'est alors que commence une
série
d'aventures presque extraordinaires. Dénué de res
si s'ap- puic-t-il au minimum sur ce pied et progresse-t-il par une
série
de petits sauts sur un seul pied, lançant le tr
bjectif, le fond du sillon médian est géné- ralement occupé par une
série
de saillies nodulaires, d'un relief va- riable,
xistent pas moins dans la station verticale. La crête formée par la
série
des apophyses épineuses est la seule partie de
région sacro-coccygienne. Mais la ligne formée en arrière par la
série
des apophyses épi- neuses ne suit pas exactemen
philis reste silencieuse; le malade en profite pour se livrer à une
série
d'excès de toutes sortes, vénériens surtout. Le
s. Ce furent des vomissements qui inaugurèrent, il y a deux ans, la
série
de ces accidents. Tous les ingesta quels qu'ils
ses mouve- ments sont saccadés, incertains, et son pied décrit une
série
de festons de droite à gauche ou de gauche à dr
conde grossesse qui se suivirent de très près, la mère présenta une
série
de vomissements incoercibles ressemblant assez bi
bouche, la main plane et n'arrive à atteindre son but qu'après une
série
d'oscillations. De môme, elle ne peut mettre prom
es. Enfin, chez un épileptique qui présente de temps en temps des
séries
de secousses de tout le corps, j'ai réussi à insc
rigé dans le sens de la- jambe. Ce rameau émet sur son parcours une
série
de rameaux cutanés assez déliés, puis, parvenu
epointde vue àquelqu'un des degrés' d'évolution dont il parcourt la
série
successive ° D. Dans un mémoire consacré à l'ét
u bassin en avant. En résumé, phé- nomènes les plus légitimes d'une
série
de petites attaques d'hystérie qui ne durent pa
n'y a pas de trace de dicrotisme. Quelque- lois, le tracé forme une
série
d'ondulations à peu près régulièrement demi-cir
s qu'elle nous fournit. Il faut ajouter qu'au mois d'août 1885, une
série
d'abcès se développèrent dans les ganglions cer
serait bien inexact de dire que sa démarche est constituée par une
série
de zigzags. La démarche cérébelleuse serait au
à autre (et surtout quand le malade marche, s'émotionne, parle) des
séries
de mouvements antéro-posté- rieurs assez rapide
pendant un quart d'heure. Ces crises se produisaient quelquefois par
séries
qui duraient vingt-quatre heures. A six mois, à
trer plus de vingt en une demi-heure; souvent ils se produisent par
séries
continues. Cette exploration, que j'ai faite à
brusque expiration (fig. 73). Lorsque le bâillement se produit par
séries
, les bâillements successifs peuvent être séparé
r une large et brusque expiration (lig. 75). C'est surtout dans les
séries
que l'inspiration et d'expiration du bâillement
'hui au musée de South Kensington. Elle l'ait partie de la première
série
de tapisseries destinées à la chapelle Sixtine et
e paralytique du Sacrifice de Lystra, une autre composi- tion de la
série
desActes des apôtres. Ici le miracle est consommé
etites secousses apparaissent, quelquefois isolées, quelquefois par
séries
: elles cessent pour recommencer un moment aprè
st donc énorme. Pourquoi ? C'est peut-être une vulgaire question de
série
et rien de plus, et je ne serais pas étonné que
main gauche présente d'une façon très notable à sa face dorsale une
série
de dépressions correspondant aux espaces intero
rme de troubles cérébraux chroniques, appartien- nent-ils à la même
série
pathologique que les autres ? 2 Pour moi cela n
tal. D'après les faits observés dans cet hôpital pendant une longue
série
d'années, il conclut que, dans les cas graves,
r avec soin les restes visibles de ce traumatisme. Il y a toute une
série
de témoignages indi- rects qu'il convient de no
ts, j'entends les expériences originales qu'il a instituées sur des
séries
de chiens et de singes, expériences dont les pr
estent seules, chez l'homme, l'importance de ce sens dans la longue
série
ancestrale des vertébrés. Si notre conception a
concorde nullement avec Annales d'hygiène et de médecine légale, 1°
série
, t. I, p. 2Íl-27 ! J 1851. 1. Archives, t. XV
s effets physiologiques de l'air comprimé (A unalcs d'hy- giène, 2e
série
, 1. 1, année 1854.) DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI
8 CLINIQUE NERVEUSE. brisant les petits vaisseaux, et produisant la
série
des redoutables accidents que nous avons rappor
droit une asystolie par ' Gaz hebd. de méd. et de chir., t. XII, 21
série
, 1875. '106 CLINIQUE NERVEUSE. distension, ch
ptique de Munk chez les animaux adultes. M. Danillo a entrepris une
série
d'expériences analogues sur de petits chats et
hangement dans ces zones pendant la compression. Dans une seconde
série
d'expériences, les auteurs ont cherché à se ren
h., 1888, no 26. Ce procédé n'est pas utilisable pour les coupes en
séries
. Il ne fait pas ressortir non plus les fibres de
'agit d'un homme de quarante trois ans, suc- cessivement atteint de
séries
d'accidents apoplectiformes, qui finalement éta
ement après la guerre de 1870-1871 que ces patients éprouvèrent une
série
d'altérations psychiques et de mani- festations
son trpjet. Supposons, par con- séquent, chez un individu donné une
série
spéciale des trajets ner- veux d'après lesquels
itations internes, naît telle ou telle disposition qui provoque une
série
particulière d'idées, de passions, et, finalement
araît normale; les cellules nerveuses sont nombreuses, disposées en
séries
; beaucoup ont leur forme pyramidale et des prol
des autres causes qui sont également intervenues'. Il n'est qu'une
série
de cas, où il semble que le traumatisme imprime
les cas, cette question resta non décidée et donna naissance à une
série
de nouvelles recherches. En même temps apparure
destination une fonction spéciale, dont l'absence a pour suite une
série
d'altérations nerveuses. Une des malades d'Ord
(ltmtiglisc7tes statistisches Bu- reatt), 51. Guttstadt dresse une
série
de tableaux très utiles à consulter. En somme,
e. Cela a duré deux heures, ce qui semble indiquer qu'il y a eu une
série
d'attaques qui ont pré- senté cette particulari
nt augmentés et dispersés. Les cellules au lieu d'être disposées en
série
régulières, bout à bout, limitées par les libre
ar les libres d'origine de la substance blanche, présente ces mêmes
séries
morcelées par disparition de cellules intercala
troi- sième couche, celle des grandes cellules, ne présente que des
séries
de cellules petites, à fins noyaux sphériques,
seulement groupées sans ordre apparent, au lieu d'être disposées en
séries
verticales comme à l'état normal. Les couches s
aques, parsemées de noyaux plus abondants, rompant l'ordonnance des
séries
longitudinales et prenant les trois premières c
contact les unes des autres et se présentent au contraire comme une
série
de points isolés, mais assez rapprochés. Les ce
. Le nombre des éléments parait sensiblement accru et il existe une
série
de points ou taches de désintégration se toucha
ombreux et dilatés, les cellules nerveuses ne sont pas disposées en
séries
, mais dispersées et globuleuses. Celles des cou
gitudinale de la substance grise est encore assez visible, mais ces
séries
sont occupées par des cellules inters- titielle
us est beaucoup plus avancé; les cellules ne sont plus disposées en
séries
, mais elles sont dispersées, raré- fiées et iso
étude. Il en est une autre. Comme nous ne pouvions traiter par une
série
de réactifs, les pièces que nous possédions, de
es-nous bornés à un travail purement des- criptif, à l'examen d'une
série
d'aspects. C'est tout ce que nous a permis de f
- Physiologie. Dictionnaire des sciences médicales de Dechambre, 2"
série
, XII, 577. Cf. Leçons sur les fonctions motrices
belles expériences semblables de Llitzij. ' V. Arch. dephjsiol., 3°
série
, Il[, 1884, 176. = L. Bianchi.- Cozzlribuione s
te et aux reins. T. R., 38,2. - 20 aoÛt, - La veille, il a eu une
série
d'attaques de 8 à heures du soir. Dans le délir
aphasique (type Broca). M. Wiedersiieim (de Fribourg) présente une
série
de maquettes en cire de cerveaux de vertébrés,
dinger (de Francfort). Du développement du manteau cérébral dans la
série
animale. Comment se comportent l'ensemble des cir
medico-legal Society of New- York, (7'Ù7/ ! ils urganization first
séries
. Volume in-8" de 572 pages. New- York, 1889. -'
e donne, en millimètres, la moyenne des dimensions trouvées sur une
série
de coupes. Les rayons a, b, c, d, e, /, ont été m
re gauche, rapprochées de la ligne médiane ; e' et /' sur une autre
série
de 10 coupes passant plus en F ? 3. PARALYSIE
it flasque et les cas'de parkin- sonisme nous rencontrons toule une
série
de cas intermédiaires ; 2° dans un même cas, de
n musculaire même. Répétons qu'en clinique tous ces cas forment une
série
ininterrompue avec des chaînons multiples. Qu
; mais malgré ces troubles, le malade est capable de continuer une
série
de mou- vements simples, ce qui n'est pas le ca
qualité que par leur quantité; et qui s'accompa- gnent de toute une
série
dégradée de petites modifications dont la valeur
les fonctionnels, c'est-à-dire se manifestant en dehors de toute la
série
des signes physiques reconnus caractéristiques d'
Neurologique de la Ile Armée, ' Nous réunissons sous ce titre une
série
de faits absolument disparates, qui n'ont aucun
ciété de neurologie de Paris, 29 juillet 1915. 126 LÉRI Toute une
série
d'oedèmes des pieds et des jambes ont été constat
ors excellemment démontré et précisé la valeur réelle par toute une
série
d'arguments anatomo-cl iniques.1V1. Leri- che a
être très précoce. Le pied effilé peut être constaté aussi dans une
série
d'autres lésions douloureuses du même nerf (con
uloureuses du nerf. Les figures de la planche XXXI représentent une
série
de formes doulou- reuses, causalgiques, de lési
monstruosité digitale de G... cadre tout à fait avec les cas de la
série
mégalique congénitale. Si nous notons également
igt cubital à chacune des deux mains, et d'un orteil prolongeant la
série
des premiers au pied gauche. Le pied droit est
apportées ici appartiennent, ainsi que je l'ai déjà indiqué, à deux
séries
: 1° Une série de 10 observés coup sur coup, la
rtiennent, ainsi que je l'ai déjà indiqué, à deux séries : 1° Une
série
de 10 observés coup sur coup, la première entrée
'observation 1 le 1er mai. Les deux chasseurs à pied de la deuxième
série
étaient entrés le 3 et le 21 août 1915. La ma
teints de myélite épidémique que j'ai observés au cours de ces deux
séries
de malades, de mai 1916 et juillet-août 1915. M
anche et-Ménardoù le malade atteint par la syphilis avait reçu deux
séries
de six injections d'huile grise de 7 grammes de
grise de 7 grammes de mercure. Il y avait 6 semaines entre les deux
séries
. Pendant la deuxième série (en février), des do
e. Il y avait 6 semaines entre les deux séries. Pendant la deuxième
série
(en février), des douleurs généralisées ont com-
juger autre chose que l'intervalle entre les deux premières cures ;
séries
d'injections ? Nous ne .pouvons dire exactement
ercure et par suite, l'intervalle entre la deuxième et la troisième
série
d'injections de mercure s'est mal- heureusement
insolubles de mercure. Pour ce qui est des inter- valles entre les
séries
différentes d'injections dans ce cas, je regarde
e l'intervalle de un mois seulement entre la première et la seconde
série
des injections comme une déviation nette des rè
ervalle de deux semaines seulement entre la seconde et la troisième
série
d'injections a été encore plus dangereux pour le
lade. Certes, c'est vrai, mais il y a cette différence que la seconde
série
d'injections a été donnée seulement dans un but
12, p. 105. RAYMOND. - Clinique des maladies du système nerveux, 4*
série
. Paris, 1900. Rosa (J.) and BuBY (J.-S.). - A t
rnes ; le jambier antérieur et l'extenseur des orteils présentent une
série
continue de contractions et de relâchements.
men' 320 INGVAR tionné, on ne peut, malgré l'emploi de coupes en
série
et les recherches les plus minutieuses, découvr
u réflexe oculo-cardiaque connu dans ces derniers temps grâce à une
série
de tra- vaux français qui ont montré l'importan
e hypertrophique classique se caractérise : a) Par des signes de la
série
tabétique (Romberg, ataxie des membres supérieu
s, signe d'Argyll), ici limités au minimum. b) Par des signes de la
série
cérébelleuse (asynergie, tremblement in- tentio
ires, et des troubles moteurs différents. é) Par des signes de la
série
névritique (steppage, amyotrophie distale) qui
e que le sujet ne présente actuellement aucun symptôme objectif de la
série
tabétique. A 34 ans, une poussée d'accidents
ux et Delmas, Parhon et Goldstein, Dupré et Pagniez ont apporté une
série
de faits, qui viennent à l'appui de l'idée que
nalicules séminifères ne se sont pas développés, les cellules de la
série
séminale n'étaient pas différenciées, mais égalem
ore pour nous des mystères. ' J'ai recueilli jadis à ce sujet une
série
de documents figurés dont chacun, isolément, ét
pproché de locutions populaires, nous permet de retrouver toute une
série
de manifestations de cette zoopathologie vésaniqu
re, à peu près de la même époque que la première, fait partie d'une
série
d'illustrations exécutées par Théodore de Bry, né
cette nouvelle variété d'Urologue qui vient s'ajou- ter à la longue
série
que nous avons publiée (1). Il y manquait un uro-
bien. Sur une autre de ses illustrations qui fait partie de la même
série
et dont j'ai donné le commentaire, il y a quelque
, le surlendemain, nous avons demandé qu'on nous amenât la première
série
, il nous a été ré- pondu que, auparavant, M. Fé
ertoni et Tizzoni', Herzen, Fuhr5 confirment 1 Schiff. Résumé d'une
série
d'expériences sur les effets et l'ablation des
augmentés et dispersés. Les cel- lules au lieu d'être disposées en
séries
régulières, bout à bout, limitées parles fibres
es fibres d'origine de la substance blanche, pré- sentent les mêmes
séries
morcelées par disparition de cellules intercala
araît normale; les cellules nerveuses sont nombreuses, disposées en
séries
; beau- coup ont leur forme pyramidale et des pr
88 EXAMEN HISTOLOGIQUE. paraît sensiblement accru, et il existe une
série
de points ou taches de désintégration se toucha
ombreux et dilatés; les cellules nerveuses ne sont pas disposées en
séries
, mais dispersées et globuleuses. Celles des cou
ngitudinale delà substance grise est encore assez visible, mais ces
séries
sont occupées par des cellules interstitielles
est beaucoup plus avancé ; les cellules ne sont plus dis- posées en
séries
, mais elles sont dispersées, raréfiées et isolées
corps. Sur sa face infé- rieure et externe, le moignon présente une
série
de petits mamelons arrondis ou elliptiques ; le
ère, dans le Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, 38
série
, t. III, p. 154, 1876. TUMEUR SARCOMATEUSE. 205
E, P. B1UCON et L'histoire des vieux épileptiques offre souvent une
série
de particularités intéressantes, non seulement
ment aucune action sur la température du corps du patient, mais les
séries
d'accès répétés, dont cependant les effets devr
dans les accès isolés d'épilepsie, puis durant et après les petites
séries
. Cette tâche accomplie, nous examinerons les si
is, une démonstration aussi nette, en ce qui con- cerne les petites
séries
d'accès et l'état de mal épilep- tique. Concl
épilepsie se présentent tantôt à l'état isolé, tantôt sous forme de
séries
. Dans ce dernier cas, durant la même journée, s
ter 2, 3, 4 semaines ou même plus longtemps sans avoir de nouvelles
séries
. Nous avons vu que les accès isolés déterminaie
ement aucune action sur la température du corps du malade, mais les
séries
d'accès répétés, dont ce- pendant les effets de
accès : T. R. 37°,5. 6° Vass... : Après le quatrième accès d'une
série
: T. R. 37°,9; un quart d'heure après : 37°, 6.
heures : T. R. 38°,5. Le lendemain matin : 37°,6. Dans toutes ces
séries
variant de 2 à 7 accès, nous avons noté une lég
é,car il contribue, avec l'absence d'hyperthermie, à distinguer les
séries
d'accès de l'état de mal épileptique. Bournev
du soir, dont l'un correspond fréquemment à la phase d'acmé de la
série
des accès et l'autre à la période maxima du sopor
vent des- cendre plus bas. Parfois, on assiste à doux et mémo trois
séries
nettement séparées, la courbe de la température
p. 159.. En 1872, nous avons publié dans le Mouvement médical, une
série
d'articles sur ce sujet (juillet-septembre) qui
elier do me- nuiserie. 20 mars. Revacciné sans succès. 27 mars.
Série
d'accès pour laquelle il entre à l'infirmerie.
ntre à l'infirmerie. Exeat lo lendemain. 3 1 ? na ? 's . Nouvelle
série
d'accès pour laquelle il rentro à l'in- firmeri
velle série d'accès pour laquelle il rentro à l'in- firmerie. Cette
série
a déterminé un peu d'excitation, avec hallucina
une sorte de paresse que le personnage principal supprime toute une
série
de sensa- tions, celles qui lui sont le moins i
générées. » Et M. Tabaraud ajoutait : « De là it dire que l'h ! ls-
série
fait en quelque sorte partie de la dégénérescence
eux, la distribution de ses vaisseaux et la relation entre ces deux
séries
de faits et les circonstances de la lésion. Nous
s paralysies. Nous croyons à un parallélisme parfait entre ces deux
séries
. Ainsi s'il n'y a pas une grande facilité de di
s cons- tante, et quand elle existe, elle serait constituée par une
série
d'ar- cades situées en arrière des trous de con
rment les bords postérieurs de ces anneaux, forment entre elles une
série
d'arcades continue sverticalement placées en ar
onjugaison : elle repose de chaque côté de la ligne médiane, sur la
série
des lames vertébrales et des ligaments jaunes.
ou plutôt y sont représentées par les veines vertébrales. De cette
série
d'arcades, quelques auteurs ont fait un vaissea
nent entre eux à leurs deux extrémités. C'est avec cette deuxième
série
d'arcades veineuses, que quel- ques anatomistes
matité sur la poignée du sternum. En outre, on cons- tate toute une
série
de symptômes cérébraux et spinaux, tels que cép
é dans les différentes classes de la société; - sur la vision de la
série
des nombres ; - le suicide ; - la dégénéres- ce
dre dont il vient d'être question ; l'ensemble prend l'aspect d'nne
série
de grosses papilles coniques, parfois ramifiées
a périphérie du néoplasme, en avant de celui-ci ; sur des coupes en
séries
, pratiquées au-dessous de ce point, on voit que l
veux d'un neurogliome. En pratiquant un grand nombre de coupes en
séries
j'ai pu en suivre plusieurs jusqu'à l'entrée des
e gliome fibrillaire. Si l'on prend un terme de comparaison dans la
série
des tumeurs mésoder- miques, on voit que' le'gl
n.l ·, ' i, ,I91 'rfJ()1Tf 9a '111.I ? no- 1 ·a;r ayant succédé des
séries
d'attaques convulsives. 'Pup.lIIe ,gauche dilat
ères sont morts de la poitrine. Son état actuel a été précédé d'une
série
de crises hystériques accompagnées d'hallucinatio
nsons que la postérité confirmera ce jugement et il restera dans la
série
des âges l'un des plus grands parmi les médecins.
a duboisine; aussi nous poursuivons en ce moment, sur ce point, une
série
de recherches qui seront sous peu l'objet d'un
des urines chez les épileptiques aliénés. Dans les cas de crises en
série
, il y a tout d'abord prodromiquement hypotoxici
série, il y a tout d'abord prodromiquement hypotoxicité pendant la
série
, la toxicité tend à se relever vers la normale.
pendant la série, la toxicité tend à se relever vers la normale. La
série
terminée, dis- parition de l'hypotoxicité et te
urs, un chiffre unique pour une maladie qui dure des mois, mais une
série
de moyennes. Il est encore une cause d'erreur à
ate de l'animal. Le procédé de la mort médiate ne peut°servir à une
série
de recherches, car on ne peut fixer la quantité
ors faire le même jour des injections de quantités dif- férentes en
série
; encore ce moyen, sans bases fixes, ne peut-il
l'urée, des chlo- rures et de l'acide phosphorique. Dans une autre
série
d'analyses 248 sociétés savantes. moins démon
nelles physiques et même morales. Après avoir entendu lecture d'une
série
d'observa- tions de folie brightique rentrant d
xtricable pour les aliénés libres. L'auteur signale à ce propos une
série
de faits per- sonnels de ce genre. M. Roubino
à lui faire admettre une polarisation fluide des corps vivants. Une
série
de dessins très curieux dus à des malades hysté
les pièces relatives à Charmes... Cheval... Noiret... ainsi qu'une
série
de photographies concernant un enfant de son se
drocé- phalie semble avoir rétrocédé. L'auteur montre ensuite une
série
de photographies concernant une petite fille, n
is en 1889. Aussi recommandions-nous d'échelonner graduellement une
série
d'expériences, tendant à acclimater l'assistanc
alité individuelle chez le patient et déter- minent ainsi toute une
série
de conceptions morbides (Meynert, Wernicke). Vo
sée : l'action motrice suspendue est remplacée par la formation des
séries
de groupes iieuriques. Il faut noter en outre q
UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 357 vrant en sautoir. Sur une
série
de coupes transversales de la pro- tubérance on
es la sclérose des pédoncules cérébelleux moyens et des olives. Une
série
de travaux nous a renseignés sur la destina- ti
lié aux fonctions motrices. Il nous reste maintenant à étudier une
série
de symptômes beaucoup moins communs dans la pat
e. Celle-ci pourra être le surmenage, les intoxications et toute la
série
des provocations secondaires. c C'est ainsi que
eurologie, 1892), et Magnan, Recherches sur les centres nerveux, 2e
série
. Paris, 1893. PERVERSIONS SEXUELLES A FORME O
la multiplicité des efforts qu'exige un projet déterminé et de la
série
de travaux préparatoires, des plans subordonnés a
sal; par A. KRWSS, (Archiv. f. Psychiat., XXIII, 23.) A. Première
série
de quinze cas (étude clinique et anatomo- patho
ONS CLI- NIQUES A l'hémianopsie corticale ET A l'alexie (nouvelle
série
); par G. DE MoNAnow. (Arclaiv f. Psychiat., XXIII
r reparaître plus loin et ainsi de suite ; en d'autres temps il y a
série
de scotomes inégaux et irréguliers. Leur nombre e
esseur S. S. Korsakov. Moscou, 1893, 604 p. (en russe). Après une
série
de travaux remarquables touchant aussi bien à l
t avaient lancé des rats à sa poursuite. Et enfin, pour clore cette
série
lugubre, un Dijonnais, Henri Gautier, a été éga
et aujourd'hui elle en est convaincue. Sa conviction repose sur une
série
de troubles intellectuels dont les plus saillan
ndant de longues années n'avaient pu améliorer. Avant de clore la
série
de mes observations, je voudrais pourtant dire
chez le même individu, c'est-à-dire que les valeurs moyennes d'une
série
d'examens ,sont plus ou moins constantes ; 3° l
ause de leurs infirmités, se procurer une situation quelconque. Une
série
de cottages, on l'espère, sera occupée, et chacun
rgeur sur 0 m. 31 cent. de longueur, dans lequel sont disposées une
série
de plaques de 0,10 centimètres sur 0,05 centimè
tin par la leçon de gymnas- tique. Les enfants sont divisés en deux
séries
: une du matin, une du soir et, afin que l'ense
soit à peu près égal pour tous, tant à l'école qu'à l'atelier, la
série
d'élèves du matin, dans la première semaine du
rie d'élèves du matin, dans la première semaine du mois, devient la
série
du soir durant la seconde semaine. Les jeunes t
s inégale, nous avons cru devoir divi- ser nos observations en deux
séries
. A. Malades A antécédents héréditaires PEU MA
; si ce n'est qu'une présomption pour les malades de notre première
série
, c'est une certitude au contraire pour ceux de
le d'héré- dité directe, et c'est l'observation VII de la seconde
série
qui nous le fournit. Dans les observations de P
gai et n'a plus d'accès. 15 octobre. Depuis quatre jours, nouvelle
série
d'accès. Les questions restent sans réponse; lé
raphie. Mémoire assez bonne. Caractère doux. 9 décembre. Nouvelle
série
d'accès. Retour à l'infirmerie. Vacciné sans su
autour de lui; il se dispute souvent et cherche à mordre. 4 mars.
Série
d'accès qui continue jusqu'au 18 mars (du 14 ma
usqu'au 18 mars (du 14 mars au 18 mars, 98 accès). - '27 mai. Autre
série
. 15 juin. Agitation à la suite des accès. L'enf
ons lentes. Affaiblissement des jambes plus prononcé à la suite des
séries
d'accès. Description fl'L172<'ICCS.-8... s
pour y remonter le 10 janvier. Il a eu, à partir de cette date, une
série
d'accès. Il paraissait se remettre de cette sér
e cette date, une série d'accès. Il paraissait se remettre de cette
série
lorsque, dans la nuit du 22, sont survenus les
de plus en plus violent. En général, les accès se sont montrés par
séries
; c'est à la suite d'une de ces séries que l'enf
les accès se sont montrés par séries; c'est à la suite d'une de ces
séries
que l'enfant a succombé dans un accès, probable
us devons insister sur la marche de la température durant l'une des
séries
, celle du mois de janvier et sur celle de l'un
f 13 qui ne peuvent travailler, ont fréquenté les ateliers par grande
série
; 14 possédant le certificat d'études, forment une
ts et de développer leur parole, ont été envoyés successi-vement, par
série
, au nombre d'une vingtaine, à 17ns-lilulion natio
nement. Voici des notes. 1° Grande école. -— 70 élèves divisés en 2
séries
y assistent. Le cours comprend : 1° l'enseignemen
25 élèves ont participe à cet ensei-gnement; ils sont divisés en deux
séries
. La première série est composée des élèves qui
e à cet ensei-gnement; ils sont divisés en deux séries. La première
série
est composée des élèves qui ont suivi les cours d
ves qui ont suivi les cours de dessin l'année précédente. La deuxième
série
est composée de jeunes débutants. Los premiers
le et 15 pour l'école complémentaire. Ces élèves sont divisés en deux
séries
et travaillent en trois groupes différents. Le
érés et épileptiquos, à faire tous les jeudis une conférence dont les
séries
de vues énumé-rées plus haut donnent une idée suf
remplins, une poutre avec support, barre fixe, sautoir, 4 tableaux, 5
séries
de lettres et chiffres, 10 marteaux ; 8 rangs, 2
teints A'état de mal épileplique dont 1 a été suivi do décès; — 59 do
séries
d'accès; — 6 enfants ont été traités pour broncho
le restait indifférente à tout. Ses accès et vertiges survenaient par
séries
et étaient assez nombreux. L'enfant, traitée par
rofiter de cet enseignement. 30 fillettes, dit-il, divisées en deux
séries
y ont participé. La première série est composée d
llettes, dit-il, divisées en deux séries y ont participé. La première
série
est composée des élèves qui avaient suivi le cour
s l'exécution des ombres elles ont montré un goût réel. La deuxième
série
exécute déjà de jolis dessins faits d'après nat
926 fr. 45 427 fr. 10 En plus des apprenties qui travaillent par
séries
régulières, 32 ont travaillé une heure par jour.
ma-tismales ; 8 pour tuberculose; 6 pour embarras gas-trique; 42 pour
série
d'accès; 15 pour abcès; 3 pour conjonctivite; 4 p
pour finir chez le maître tailleur. Nous y avons été précédés par les
séries
de travailleurs, les séries d'écoliers se rendant
illeur. Nous y avons été précédés par les séries de travailleurs, les
séries
d'écoliers se rendant à leurs classes respectives
n-guer et nommer les couleurs principales, on peut aborder toutes les
séries
de nuances L'enfant apprendra en se jouant à comp
bjet. Dans les dortoirs, dans les jardins, dans le ciragier, autres
séries
de cartons,d'étiquettes dont l'usage est le même.
personnel sus désigné comprenant 22 personnes a été divisé en quatre
séries
de G personnes, M. Mesnard en tète de la première
sé en quatre séries de G personnes, M. Mesnard en tète de la première
série
, la dernière n'en comptant que 4. Les visites o
s ont eu lieu en décembre et en janvier au nom-bre de six pour chaque
série
, particulièrement pour la pre-mière, en commençan
urs de cette année : "'est vous dire que nous allons entreprendre une
série
d'é- 1 Leçons publiées par Bourneville dans le
Cet anato-miste distingué s'est livré dans ces dernières années à une
série
d'études concernant la structure normale du poumo
aitement lisses, celles des conduits alvéolaires sont parsemées d'une
série
de petits renflements qui font en quel-que sorte
i encore, très accentuée ; mais elle n'est plus continue et forme une
série
de petits sphincters sur les dernières bronchiole
t s'étend aux cellules voisines, et l'on peut reconnaître là toute la
série
des modifications successives sur lesquelles j'ai
nce à se dessiner la structure du corps de Wolff. — On voit alors une
série
de tubes contournés s'aboucher dans le canal de W
lo-bulaires. En même temps, la colonne cellulaire ou autrement dit la
série
de cellules cubiques qui, désormais la représente
point de départ de la formation d'un îlot épidermique. b) Une autre
série
d'expériences est plus propre encore, peut-être,
uelques maladies du pou-mon chez les enfants (Arch. gén. de méd., lrc
série
, t. IV. p. 55, 184, 235, 1844). c'est en 1884 s
servât, on pneumonía and ils conséquences (Guy's Hospital Reports, 2e
série
, 1843, p. 363}. 3 Loc. cit. 1 Voir un bel exe
es tubes aérifères, dont la ré- i Archiv. génér. de méd., t. II, 2"
série
, 1838. * Barth (27 fois sur 30). — Recherches s
des sur la profession de mouleur en cuivre, in An-nales d'hygiène, 2°
série
, ÎSU, t. II, p. 1. « Et peut-être aussi des parce
Observ. on Pneumonia and its Conséquences {Guys Hospital Reports, 2"
série
. 1843, p. 365). 3 Grey induration (Addison). *
partenir à ce genre de pneumonie chronique ; leur analyse montrera la
série
des lésions graves qui peuvent se produire en par
une coloration rougeâtre sur les bords ; mais jamais on n'observe la
série
des couleurs rouge, jaune, orangée, comme cela ar
avait travaillé le malade, on pouvait reconnaître la présence de ces
séries
de dépressions et de trous. Il s'agissait de char
et en particulier du pigment d'origine hômatique. On sait par qu'elle
série
de modifications le sang épanché dans les tissus
s que subissent les globules rouges consiste dans la production d'une
série
de granulations de diverses couleurs, en même tem
inion de Cruveilhier, Ilérard et Cornil ; — de M. Charcot. Dans une
série
de leçons professées en 1877, à la Faculté de méd
-dessous du taux normal. La surface de la ca-verne présente aussi une
série
de transformations successives. Dans la quiesce
apport avec les tendances d'évo-lution. Aussi aux deux extrêmes de la
série
se trouvent, d'une part, les tubercules qui about
an-cher. « Quoi qu'il en soit, dit M. Charcot, en terminant cette »
série
de leçons, rien ne me paraît mieux établi que l'e
me phénomène se produise vers l'extré-mité opposée qui manque dans la
série
de nos coupes, l'élé-ment sera fusiforme ; si on
, t. III, p. 283. * Archives générales de médecine, 1847, t. XV, 4"
série
, p. 514. toujours partielle, et l'on n'y rencon
bord libre des valvules auriculo-ventriculaires gauches présente une
série
de végétations volumineuses, transparentes, très
ptes rendus et Mémoires de la Société de Biologie, 1^51, t. III et 2e
série
, J855, t. IL (Voir p. 363 et suivantes). — E. Lan
ème veineux. Nous n'avons pas l'intention de présenter ici toute la
série
d'arguments sur lesquels s'appuie celte théorie,
e ensuite avec une intensité toute nouvelle. Ds constituent alors une
série
d'accès plus ou moins tranchés. L'existence de ce
et. De l'aortite terminée par suppuration. In Arch. yèn. de med. , 5°
série
, t. IL, p. 573, 1861 . II. Atherome et dégénéra
traitement des anévrismes de l'aorte. In Ann. gén. de méd., 1839, 3e
série
, t. V. — Dubreuil (de Montpellier). Observations
e pratique, art. Aorte. — Moreau. Archives générales de médecine, lr'
série
, vol. XIX, p. 457. — Nivet. Bulletin de la Soc.an
can Journ. of Med. Sc , nov. 1848. — Bouillaud. Arch gén. de méd., 4e
série
, vol. XV, p. 248. — Follin. Bull, de la Soc. anat
XXVI ; 1831. Turnam. On Aneurism, etc., in Lond. Med. Chir. Trans. 2e
série
, vol. XXIII ; 1840. — Smith. Spontaneous varicose
Med. Journ., vol. XVII, p. 154; 1840. — Cossy. Arch. gén. de méd. 4e
série
, t. IX. p. 33. — Valleix. Guide du médecin pratic
Case of Pava-plegia from obstructed Aorta. In Guy's Hosp. Reports. 3i
séries
, vol. III,. p. 311 ; 1855. YI. COiNCHÉTIOiNS FI
d'un crin de Florence. mitfente ou fonctionnelle du membre, par une
série
de symp-tômes d'ordre neuro-musculaire, lesquels,
ration des parties voisines, ce qu'on peut aisément constater par une
série
de coupes faites à diverses hau-teurs. Les méning
de Paris, 1828, no 74. — Duplay. Avchiv. générai, de Médec, t. I, 2e
série
, 1833, p. 177, 178, etc., etc 2 Virchow. — Trau
ouveau dans un mémoire lu à la Société de biologie en 1855 (t. II, 2e
série
, p. 163) : une matière amorphe de nouvelle format
puis cessent brusquement au deuxième ou au troisième jour. C'est une
série
analogue de faits que l'on observe au milieu des
) 1 Bulletin de la Société médicale des hôpitaux de Paris, deuxième
série
, tome II, 1865, p. 86 et 90. PLANCHES EXPLICA
ts doivent être évidemment considérés comme appartenant à la même
série
. Ils ne sauraient être tout à fait séparés. Vie
mitée en haut par uue ligne circulaire supérieure et parallèle à la
série
des têtes des métacarpiens ; 2° un territoire sen
pensons que c'est à l'immobilisation des quatre membres durant une
série
d'attaques convulsives et délirantes que doiven
ngements. Lorsque la moelle est de- venue assez dure, j'ai fait une
série
de coupes dans le but, premiè- rement : d'étudi
inière. Cependant, j'au- rais pu affirmer cette supposition par une
série
d'expérimen- tations de contrôle, c'est pourquo
laire. Tubercules mamillaires. Luys. « Leur développement dans la
série
des vertébrés est proportionnelle à celui de l'
Elle reçoit la racine grise olfactive, et son développement dans la
série
des vertébrés est propor- tionnel au volume de
» Tubercules mamillaires. - Luys «... Leur développement dans la
série
des vertébrés est proportionnel à celui de l'hipp
cées, puis de plus en plus fréquentes. Ces crises se produisent par
séries
et durent parfois des journées entières. Enfin,
le système intellectuel et les centres du bulbe. Elle suit, dans la
série
animale, un développement parallèle à celui de
verse, produit du côté opposé, soit une convulsion unique, soit une
série
de convulsions toniques qui ne survivent pas il l
- TRIQUE par L. MI1\OR. - Même sujet par E. WIEDA1\N, - Coupes en
série
A la phytoxyline ou f.RLL01DI1F.; par Ai.. OBBEGI
omatose de la partie cervicale de la moelle épinière, et expose une
série
de coupes microscopiques de cet organe, qui pré
re stéréotypique ; douleurs dans le ventre, donnant naissance à une
série
d'illusions qui, à leur tour, causent un délire
te de M. Minor, qui a déjà doté la littérature spéciale russe d'une
série
de travaux très importants relativement à la pa
la moelle eût atteint une consistance satisfaisante on en fait une
série
de coupes trans- versales prises aux différents
ennent dans la moitié opérée; pour cela, j'ai dû faire une nouvelle
série
d'expérimen- tations etje vais parler des plus
lus probable, nous ne le savons, pas; la résolution exige toute une
série
de différentes opérations, dont, par certaines
paralysie générale comme absolument distincte de l'alcoolisme, une
série
de 22 observations où le diagnostic reste en susp
, mais de l'espèce, et la pathogénie en doit être envisagée dans la
série
; 238 SOCIÉTÉS SAVANTES. il y aurait lieu de m
e l'attaque épileptique de l'attaque épileptiforme, les attaques en
séries
et les attaques subintrantes. Il se limite à l'
s épithéliomas, se touchent au noyau et par leur partie supérieure,
série
de prolongements qui s'entre- croisent et prenn
its par l'auteur. Ce groupe annulaire comprend cinquante à soixante
séries
de cellules à l'état normal. Or, dans un cas pa
il a été en- voyé à l'infirmerie du Dépôt. , Enfin, pour clore la
série
, le même magistrat a eu à envoyer au Dépôt, un
lable manière de voir et nous pourrons du reste les appuyer sur une
série
d'observations cliniques. Dans un leçon récente
f sympathique; en même temps, elles se rattachent étroitement à une
série
d'observations dans les- quelles, bien que la p
embres supérieurs. C'est la pre- mière depuis le commencement de la
série
. - A 8 h. 26, vingt et unième attaque. Arc de c
e attaque. Il devient raide, pousse un'cri aigu, et est agité d'une
série
de secousses tétaniformes de plus en plus rapid
s étendus; 4° stertor. A 10 h. et demie placé dans son lit il a une
série
d'attaques très violentes, toujours semblables
rien faire et il empêche les autres de travailler. 1 cr octobre ?
Série
d'attaques depuis hier. Il est assez fatigué ce
elques jours le malade a de nombreuses atta- ques se présentant par
séries
le soir. Il n'en a plus après 9 heures et demie
En 1885, M. le professeur Baumann (de Fribourg) a décou- vert une
série
de nouveaux composés auxquels il a donné le nom
conservent une largeur constante; celles des nerveux subissent une
série
de rétrécissements et de de dilatations d'une o
firmer que : La partie inférieure du rnban de Reil se compose d'une
série
de seg- ments de libres appartenant à divers sy
sant la période de trente ans comprise dans ces recherches en trois
séries
de dix années, on constate que le nombre des admi
elques caractères tranchés ? Il semble qu'il en soit ainsi. D'une
série
d'observations, dont deux, particulièrement instr
ant un certain degré de débilité mentale et ayant encouru toute une
série
de con- damnations pour des actes empreints d'u
i est d'une virilité médiocre tant au physique qu'au moral et cette
série
de laits monstrueux, accomplis brutalement, san
obtenir un double front avec une double rangée de cellules, chaque
série
de cellules s'ouvrirait sur un seul corridor; m
s, chaque centre' sensoriel est un cerveau primitif. Enfin, dans la
série
des vertébrés on constate, dans la sphère du sy
che; le bien, n’iraporle par quelles mains. TOME DIX-HUITIEME. 2«
SÉRIE
. PARIS. BUREAUX; RUE DE BEAUJOLAIS, 5 (pala
ons auxquelles ces expé- rimentateurs sont arrivés par une longue
série
de résultats concordants : (, 1“ I-e mouvement
'a fait Trousseau? 11 a fait prendre aux élèves de son cours toute la
série
des remèdes ho-mœopathiques, et pas un d'eux n'a
p que je frappais sur le roc, l'éboulcment Tome XVII. — N» 50. — 2«
Série
. — 25 Janvier 1859. 2 des terres sur mes trav
oir que : une substance médicamenteuse, après avoir été soumise à une
série
de divisions et de manipulations dans un menstrue
fique, veulent dire que« une substance « médicamenteuse soumise à une
série
de divisions et de « manipulations clans un n
tromper d'une manière aussi grossière, surtout lorsqu’à celte longue
série
nous ajoutons encore : Cabanis , de la Motte, Guv
se déclarent et mettent sa vie en danger. Suit l’énumération d’une
série
d’accidents arrivés à l’intéressante malade et de
suffire pour ôter toute espèce de crédit à ses Tome XVIII. — 5«. — 2«
Série
. — 25 Février 1859. 13 chroniques passées, pr
ecteurs ont lu l’aualyse dans le numéro du 10 février 1859, n° 51, 2e
série
, page 68. « La dénomination de somnambulisme
ues, il n’aurait, je pense, pas hésité un instant à le rattacher à la
série
de phénomènes qui sont du domaine de cette belle
es aussi peu dignes d’elle. « Ainsi se trouve à peu près épuisée la
série
des systèmes sur lesquels les disciples de Mesmer
départ; puis, pour préciser dans quelles limites s’est restreinte la
série
de mes observations. Toutes mas recherches person
nner naissance, lorsque l’on sait en tirer un parti convenable, à une
série
d’actes physiologiques qui paraissent surnaturels
ste sympathique, des paroles de consolation... En avançant dans cette
série
d’actes, à quel terme devra-t-on fixer la limite
oup dans une chambre voisine de celle où il Tome XV11I. — N° 54. — 2»
Série
. — 25 Mars 1859. 6 se trouvait, tombe à la re
aire n’étaient que des tètes de chapitre, mais Tome XVIII. — as. — 2*
Série
. — 10 Avril 18-VJ. T suffisantes pourtant pou
par magnétisme. C'est une force. Son action sur le corps humain. I.a
série
de phénomènes physiques qu'il livre à l'observati
uue mention, quelquefois même à entrer dans Tous XVIII. — N» 5«. — 2*
Série
. — 25 Avril 1850. 8 des développements. Après
attestations de ces divers» cures. I!: i. Toue XYI1I. — K° 57 — 2»
Série
. — 10 Mai 1859. 9 trième jour, au grand étonn
nes attribués au magnétisme animal. Nous donnerons sous peu, dans une
série
d'article«, le complément de la pensée do l'auteu
ente a diminué le nombre des bons esprits Touk XVIII. — Ko 58. — 2«
Série
. — 25 Mai 1859. 10 écoles officielles. Nous n
ve, les molécules se séparent et reprennent leur liberté. Une autre
série
de phénomènes où se montrent des effets bien déci
prendra le nom de Biod; c’est par ce dernier que nous commencerons la
série
de nos études. ÉTUDES. UNE INITIATION. DÉTA
on ne vient trouver que les gens de cœur. Tome XVIII. — N® 59. — 2«
Série
. — 10 Juin 1859. H La foi, l'amour, la raison
t D’aussi frappant qu'un coup de poing. Jobard. Nous abrégeons la
série
des toasts et des discours. Plusieurs de ces dern
ui n’a reculé devant aucun sacrifice pour découvrir la vérité. . La
série
des discours étant épuisée, les sons du piano se
au cabaret ; elle l’engagea à le prendre en Tohe XVIII. — N» «*. — 2*
Série
. — 25 Juillet 1858. H particulier et à l’accu
i il tire du casier le nom de Sorti, imprimé qui faisait partie de la
série
des noms propres. L’expérience est renouvelée
pour entrer franchement dans la question. Tome SVltt. — N° 65. — 2»
Série
. — 10 Aoci 1859. (5 (i Depuis que nous nous l
usque sur sa volonté. Le somnambule a perdu Tome XV111. — N» 6*. — 2*
Série
. — ïa Aoui 1Ï59. 10 on quelque sorte sa perso
de la création, et que comme, entre le minéral et l'homme, il y a une
série
d’êtres graduellement croissants en propriétés, f
, facultés et intelligence, de même entre Dieu et l’homme, il y a une
série
d’êtres graduellement croissants en intelligence.
Dans le dernier numéro, nous avons donné à nos lecteurs la première
série
des Songes de M. Conrot, nous publions aujourd'hu
, aidée de cette petite aumône quotidienne, Tome XV1I1. — N° 03. — î»
SÉRIE
. — 10SgPTIHUII1159. n lui fit surmonter le pé
n se manifester pendant la séance et répondre aux interrogations. Une
série
de coups suivit et fui interprétée comme réponse
onner, par ce grand concours de peuple, de la renommée à la lama-
série
, et de l'enrichir des nombreuses offrandes que le
velle, et les superstitieux criaient au scan-Toiib XVIII. — N° ee.—î»
Série
. —25SEriEHiKi 1859. ir dalcetàla magie. Les s
avenir du magnétisme se réalisent. Qu’on ne Tojik XVI». — N° 07. — 2*
Série
. — 10 Octobre 1859. 19 se laisse point effray
’en «serait-il pas ainsi au-dessus de nous? Pourquoi, dans «l’immense
série
des êtres créés, n’y en aurait-il point de « plus
rdaire dans une de ses conférences. « Dieu créa deux lignes ou deux
séries
d’êtres, une série « descendante du côté du néant
es conférences. « Dieu créa deux lignes ou deux séries d’êtres, une
série
« descendante du côté du néant, une série ascenda
ou deux séries d’êtres, une série « descendante du côté du néant, une
série
ascendante du «côté de lui-même. L’une vous est c
’entre-croisent avec les trois antérieurs droits eu formant ainsi une
série
d’;c, qui s étayent de bas en haut ; de sorte que
i règne encore dans leur esprit. Aussi Béclard, après avoir épuisé la
série
des faits avancés par la science, s’écrie-t-il en
il arriva à substituer, chez cette dame, un accès plus intense à une
série
d'accès, et à éloigner considérablement les accès
deux ans déjà, à Sa Majesté Napoléon III. Tomk XVIII. - N° 90. — a»
Série
. — as Noyeiwie 1850. âi gnoiis-nous désormais
té du personnage, j'évitai systématiquement de citer son nom dans une
série
d'articles publiés par la Revue des Questions sci
est fondée sur ce fait, « que le lecteur des pensées saisit toute la
série
des mouvements musculaires inconscients exécutés
, dans le Rousskié Wédamosti. Ce savant émincnt a inventé toute une
série
d'appareils simples pour faire inscrire sur un cy
préhensibles lui avaient été suggérés; après avoir fait instituer une
série
d'expériences, le parquet a fait mettre celte fem
de toutes les autres catégories de sensations, ainsi que de toute une
série
de mouvements généraux, qui écarteraient la possi
erveuse, se manifeste, subjectivement, par l'apparition en nous d'une
série
de sentiments, de sensations, de représentations,
des représentations, etc., l'excitation nerveuse provoque en eux une
série
de phénomènes qui mènent au développement de sens
ps et de mouvements inconscients. Premièrement, il existe toute une
série
de mouvements réflexes, qui ne se compliquent d'a
sensibles aux voies motrices, et provoquent, par cela môme, toute une
série
de différents mouvements purement réflexes. Ces m
xpectant-altention des Anglais). Que les idées, qui consistent en une
série
de représentations, puissent servir de motifs et
elles sous l'influence de la suggestion. Dy a à ce point de vue une
série
de cas intermédiaires entre l'état d'hypnotisme p
ez-moi de vous citer l'opinion exprimée un jour devant moi, après une
série
d'expériences du genre de celles dont je viens de
« vue et à la portée de tous; ils laissent derrière eux... toute une
série
d'adeptes « qui peuvent faire indéfiniment des
-André-des-Arts. — Le samedi 10 octobre, à dix heures, commencera une
série
de leçons pratiques sur les applications clinique
an autre suicide, accompli le plus souvent dans les mêmes conditions (
série
de suicides par pendaison au même crochet d'un co
duisissent dans les conditions de spontanéité la plus absolue; ei une
série
de contrôles et de vérifications, dont quelques-u
t constant. Mais, à côté de ces cas peu fréqueuts, quelle innombrable
série
d autres cas, qui appartiennent aussi à l'hystéri
it la base de toute la nosographie de l'hypnotisme. El quelle autre
série
sans fin de cas d'individus trouvons-nous, qui n'
es phénomènes musculaires ne formaient qu'un ensemble symptomatique à
série
constante, mais ils se manifestaient détachés, fr
eprésenteraient, pour me servir des mêmes expressions de Charcot, une
série
d'états différents les uns des autres, pourvus ch
'hypnotisme et l'emploient dans les cas où ils le jugent utile. Une
série
de cas d'une même maladie traités par un seul rem
meil hivernal. Cette considération conduisit J. Marie à instituer une
série
d'expériences hypnotiques qui se montrèrent effic
ère et transmise par elle, est sufiisante pour produire plus tard une
série
de changements dans le développement du fœtus.
ouvent le nom d'Artena, et son histoire peut se résumer en une longue
série
de crimes. Aujourd'hui, on dirait que le banditis
tré meilleures preuves de la loi de l'hérédité. En France, dans une
série
de bourgs disposés sur la lisière des forêts de l
Béard ne fit pas son mot sur une hypothèse physiologique mais sur une
série
d'observations cliniques ; c'est que, en effet, i
l'organisme excité est tombé au-dessous de sa tension normale par uno
série
d'épuisements consécutifs à des excitations antér
ails possibles, et vous trouverez toujours dans leurs antécédents une
série
d'excilatious supérieures à leur force individuel
e n'aurais jamais songea ca:égoriser le malade de M. Bernheim dans la
série
de Béard. Il n'en possède ni l'étiologic ni l'all
et il est pour le moment très précieux, car il permet de classer une
série
de malades qu'il est encore difficile aujourd'hui
as là, toujours présents à l'appel, chez le même sujet, mais toute la
série
labétique ou hystérique n'est pas nécessaire pour
ochaine séance, apportant à l'appui de ces affirmations générales une
série
de faits que j'ai eu l'occasion d'observer durant
estations. Presque en même temps, s'élève sur la ligne centrale une
série
d'élovures blanches, ortiées, dont la réunion for
onne qui apparaissait presque à ras de l'alvéole, et enfin, après une
série
d'efforts, extirpa la racine de sa cavité; non sa
s sans doute, d'une femme qui avait commis aux Magasins du Louvre une
série
de vols. Il fut établi que cette femme était une
leçon clinique. Le Dr Bérillon fera, à partir do samedi 14 mai, une
série
de leçons sur la Psychologie de l'enfant et les a
Monsieur le Directeur, Permettez-moi dappor.er un nouveau fait a la
série
de ceux sur lesquels vous vous appuyez pour conda
s â jamais disparaître pour le bonheur de l'humanité! Qui n'a lu la
série
des beaux discours religieux prononcés à Paris pa
es, dans la salle des Cours, section Bambuteau, à la Salpétrière, une
série
de leçons sur les maladies mentales et nerveuses.
ozier de Beauvais. Ce dernier pense que cette déformation, avec une
série
d'autres, reconnaît pour cause la verticalité ou
ue, a donc cet intérêt qu'il a peut-être été l'origine de toute une
série
de com- positions similaires. C'est au musée
au de ces dernières cellules, la chroma- tine est agglomérée en une
série
de granulations centrales, les unes assez gross
t le noyau ont disparu. Le nucléole se fragmente et se réduit à une
série
de granulations d'inégal vo- lume (Planche XIX,
la topographie crânio-cérébrale (Revue d'Anthro- pologie, 1881, 2e
série
, t. IV, p. 486). (3) Cii. Féré. les stigmates l
t les neurones moteurs. Un métamère, du reste, est l'ensemble d'une
série
de neurones moteurs et sensitifs qui (1) Brissa
t de para-myoclonus mul- tiplex. (1) Leçons de Cliaiq, méd,ic., 1
série
, 1891, p. 138 et 471. Voir aussi la 40 édition du
ier de la tête et des membres gauches, in Leç. de clin, médic., Ire
série
, 1S91, p. 466. Voir aussi notre Traité, t. II,
lier de la tête et des membres gauches, in Leç. de clin. rnéd., 1re
série
. 1891, p. 466 et 483. TIC DU COLPORTEUR 229 m
actères : parole volontaire, écri- (1) Leçons de clinique médit, 3e
série
, 1er rase., 1896. Des diverses variétés cliniques
issaud veut en faire un tic mental, (1) Leçons de cliniq. médit, 1"
série
, 1891 : l'hystéJ'o-tl'a/l1nalisme, p. 101 ; deux
fièvre typhoïde et grippe), p. 436. (2) Leçons de cliniq. médit, 2°
série
, 1896 : Etiologie infectieuse de l'hystérie, p. 5
infectieuse de l'hystérie, p. 563. (3) Leçons de cliniq. »tédic., 3
série
, terfaseic, 1896 : L'automatisme psychologique,
ction (Duchenne). Après la crampe des écrivains, on en a décrit une
série
d'autres types : dans le chapitre que nous avon
us loin. Depuis lors, nous avons eu l'occasion d'observer toute une
série
de cas analogues, à systématisation évidente ch
supérieure allant obliquement en haut. Ce naevus est formé par une
série
rayonnante de bandes légèrement obliques de dehor
de comprendre une né- vrite qui intéresserait systématiquement une
série
unilatérale de nerfs; de même, dans le second c
de nerfs; de même, dans le second cas, une névrite intéressant une
série
symétri- que de nerfs. Au contraire, ces na;v
d'où altérations trophiques se 278 G. ÉTIENNE manifestant par une
série
successive de nævi (cas de 8.vietchska, etc.).
rqué ou faire complètement défaut. Lorsqu'on l'étudié sur plusieurs
séries
d'hémi- plégiques on la trouve presque constant
trophie plus ou moins prononcée de la face (2). D'après la première
série
de faits que j'ai examinée (3), j'ai admis que
asmodique infantile (Dict. encycl. des sciences médicales, 1884, 4°
série
, t. XIII, p. 219). (3) Ch. Féré. Les épilepsies
dentaires comme stigmate de dégénérescence (Ann. méd psych., 1894, le
série
t. XX, p. 361). - V. Giuffrida-Ruggeri, Intorno
i. Féré, Note sur un cas de canitie rapide. Progrès médical, 1897, 3'
série
, t. V, p. 49. NOTE SUR UN CAS DE MÉLANODERMIE
ée dans le cours île la pa- ralysie générale. Gaz. hehd., 486'i, 2e
série
, II, p. 181. - Févue, Observation de ni- gritie
bservation de ni- gritie chez un aliéné. Ann. méd. psych., 1877, 5e
série
, t. XVII, p. 375. (8) L. A. Vulpian, Des mélano
4 mai il était retombé dans son état de dépression, et il a eu une
série
d'accès, il ne pesait que 45 kilogrammes. La peau
ans l'état pathologique des cellules nerveuses on observe toute une
série
de modifications dans la disposition de la substa
SERGE SOUKHANOFF La découverte (le cette méthode suscita toute une
série
de travaux rela- tifs aux différentes affection
euses. Mais on ne peut considérer comme chose indiscutable toute la
série
des données nouvelles histo-pathologiques,puisq
deux à trois fois par an, elle a des accès plus forts ou plutôt des
séries
d'accès subintrants qui durent plusieurs heures
e genou droit. S'agirait-il d'arthrite tuberculeuse ? (1) A cette
série
il faut ajouter un cas inédit de M. M. Roques, pè
èse agrégation médecine, 11. 390 PAUL LONDE Nous joignons à cette
série
le cas suivant : Chipault a trouvé chez une fem
sclérose en plaques observée par M. Bourneville se rattache à cette
série
. - Dans la paralysie agitante nous ne connaissons
rouvait rapidement détruit. (2) RAYMOND, Voir Leçons cliniques, ire
série
. - BUZZARD, Clinical lectures on di- seuses of
es de médecine en 1869. Cependant il semble bien qu'il existe une
série
de cas de tran- sition entre la macrodactylie i
là ne peuvent guère se rapporter qu'à des Lépreux. Enfin, toute une
série
d'estropiés, privés d'un ou plusieurs segments
On sait que les cartons de celle composition, ainsi que ceux de la
série
qui lui font suite, destinée aux tapisseries de
en rapport avec le sujet de son tableau. N'y avait-il pas toute une
série
de réflexions morales à tirer de l'état des Lép
, mais simplement une mauvaise répartition de l’énergie nerveuse, une
série
d’actes physiologiques ou d’innervations musculai
hologues. F.ntre ces deux espèces d’actes si opposés, il existe une
série
d’autres actes, dont l’étude a été possible, grâc
volué; elle met en jeu les sentiments et les idées: elle provoque une
série
d’actes en vue d’un but. Mais, comme l’imitation,
l'hypnotisme, mais il n'est pas le seul. L'hypnotisme détermine une
série
d’états cérébraux très particuliers, dont l’étude
fugues de ces gens qui marchent pendant des jours, accomplissent des
séries
d’actes, puis, revenant à leur état naturel, ne s
résultats obtenus sont sensiblement les mêmes que ceux de la première
série
d’expériences. Sept hommes et trois femmes se c
pnotique (I). I'ar M. le professeur Raymond. Cet homme présente une
série
de phénomènes qui relèvent de ses habitudes alcoo
ue d'hypnotisme et de psychothérapie M. le Dr Bérillon commence une
série
de leçons pratiques d’hypno-logie et de psychothé
ion, il a fait avec la collaboration du docteur Bierens de liaan, une
série
d’expériences d’hypnotisme très intéressantes, su
, à l’aide de suggestions, j’ai très bien réussi à produire toute une
série
d'états intermédiaires, entre une grande gaîté et
prévenus, je dus le faire assister dans le service de Verneuil, à une
série
de chloroformisations. Un non-lieu s’ensuivit, ma
faire Lévy, dentiste à Rouen 'Ann. d'hyg. et de »¡éd. légale. 1879,3*
série
, t. I, p. 39). 19 août 1878, malgré une éloqu
d’hypnotisme et de psychothérapie M. le Dr Bérillon a commencé une
série
de leçons pratiques d’hypnologie et de psychothér
il introduisit l’expérimentation dans les phénomènes psychiques. Une
série
de faits nouveaux nous fut ainsi révélée : ils se
llaire, une sensation peut amener non seulement un mouvement mais une
série
de mouvements qui aboutissent à un acte coordonné
mais comme elle éveille des émotions et des idées, elle provoque une
série
d’actes en vue d’un but. Ceux-ci s’inspirent de s
e neurone -J- et ce seul changement me donne l’acte suggéré; puis une
série
de neurones 7 me montrent l’acte volontaire. Le
bulisme n'est que la suggestion poussée à son maximum, provoquant une
série
d’actes extrêmement complexes. Le somnambule donn
fugues de ces gens qui marchent pendant des jours, accomplissent des
séries
d'actes, puis revenant à leur état naturel ne se
t très tendue et très érectile; l’état d’attente se prolonge dans les
séries
représentatives du sommeil ; dès lors, les pensée
écrit-il, supposent arbitrairement : i° que les premiers termes de la
série
des désordres {¿ont de nature exclusivement biolo
out simplement à une auto-léthargie. Il y aura à réaliser toute une
série
d'éludes extrêmement intéressantes qui s'imposero
de l'Université. Objet du cours : Les fonctions psychiques dans la
série
animale. Les jeudis à cinq heures, à partir du
itique, constituer l'unique trouble : les malades racontent alors une
série
d’événements chimériques, sérieux ou sans importa
X..., chirurgien-adjoint a l’hôpital Z.., proposa de recommencer une
série
de mouchetures ce qui fut fait séance tenante, et
tumeur diffuse, mal limitée et empâtée, très douloureuse. — Nouvelle
série
d’incisions par le Dr X. (huit en tout) et nouvea
rofesseur a toujours grand soin de vous le recommander. Toute cette
série
de faits indique que les phénomènes vaso-moteurs
ique à convexité supérieure. Dénudation du pariétal. A l'aide d’une
série
de couronnes du trépan, nous limitons un espace e
té. Objet du cours : Le neurone et les fonctions psychiques dans la
série
animale. Les samedis à cinq heures et demie,
intrication de conducteurs innombrables, dont chacun se compose d’une
série
de neurones placés bout à bout. Chacun de ces con
epuis la conception jusqu'à l'âge adulte, reproduit l'évolution d'une
série
complète de ses ascendants, depuis le premier êtr
istant une quinzaine de jours environ, après avoir passé par toute la
série
deteintes que présentent successivement les ecchy
t se dérouler, toujours les mêmes et toujours dans le même ordre, une
série
d’images hallucinatoires se rapportant à cette co
remière et à la plus forte décharge, la période des contorsions à une
série
de décharges moins violentes. 11 est probable q
e, le rêve de l'état de veille. Les uns et les autres découlent d'une
série
d'idées qui naissent, surgissent d'une manière mé
même qu'il n'existe pas une volonté substantielle, mais seulement une
série
d'actions voulues, il n'y a pas une conscience ex
ctions voulues, il n'y a pas une conscience existant en soi, mais une
série
d'états conscients. Nous ne connaissons pas la co
mpire d'un sentiment d'identité qu'éprouve l'individu à l'égard d'une
série
d'états conscients, qui ont laissé chez lui des t
er. En effet, l'enfant n'apprend que par l'intermédiaire de toute une
série
d'expériences à distinguer son moi du non-moi, et
ne tare quelconque ? Qui par exemple pourrait se flatter que, dans la
série
de ses ascendants, en remontant jusqu'au XVI· siè
sa valeur thérapeutique. En automne 1S89, M. Wetters-trand a fait une
série
de conférences devant un auditoire nombreux compo
de quelques mois, la Société d'hypnologie de Moscou a vu naître ,une
série
de communications des plus intéressantes, parmi l
se que celle du Dr Rybakoff et enfin il a pu se trouver en face d'une
série
favorable de malades. Alcooliques accidentels
ant brièvement ma façon de procéder. Mon institut est composé d'une
série
de chambrettes donnant sur une vaste galerie bien
ie. Enumérer les travaux de Charcot, c'est passer en revue toute la
série
des conquêtes de la neurologie moderne : Conquê
les animaux de tous genres et de toutes races. Danilewsky faisait une
série
d'expériences sur les poules, les serpents, les c
. Essai sur les caractères distinctifs des actes psychiques dans la
série
animale. * par M. P. Hachet-Souplet. Directeur
, nécessaire même. Elle montrerait qu'il existe actuellement, dans la
série
animale, des états psychiques gradués, suffisamme
raits du tableau que je voudrais dresser des actes psychiques dans la
série
animale. Les vues que j'ai acquises sur ces quest
, t. II. ; par loPr. PaulKovALEwsKi.CJ Ce volume, le deuxième de la
série
des cours faits à l'Université de Saint-Pétersbou
un intéressant travail de Biernacki (';, qui a inauguré une nouvelle
série
de recherches sur l'hypnotisme. L'auteur s'est pr
/' Le fœtus fécondé d'un des animaux supérieurs, soumis à toute une
série
de métamorphoses depuis la cellule embryonnaire j
propres aux deux sexes, aux deux cotés du corps et à toute une longue
série
d'aïeux paternels et maternels, séparés du temps
ble, d'arrêter l'attention et de servir de point de départ ajoute une
série
d'expériences fécondes qu'il m'est toutefois fort
cours : Les fonctions psychiques et l'expression des émotions dans la
série
animale. Les samedis à cinq heures et demie, à pa
). M. Lf.pinay, professeur. Objet du cours : Le cerveau dans la
série
animale. — Psychoses chez les animaux. La rage et
dler. Une femme de 28 ans présente, pendant plusieurs semaines, des
séries
d'attaques de sommeil qui durent de 48à 68 heures
nde et la petite hypnose chez les grenouilles. Nous avons vu qu'une
série
de recherches entreprises par les physiologistes
té avec celles qui ont été fraîchement capturées dans les marais. Ces
séries
de comparaisons ont fait ressortir ce fait capita
ction de l'hypnose est favorisée chez les personnes affaiblies. Une
série
de faits énumérés dans ce travail permettent de s
Ceci est très visible au théâtre ; les spectateurs assistent à une
série
d'événements, qu'ils suivent en esprit, sans cepe
ersonne unique, se fabriquent actuellement par la collaboration d'une
série
d'individus, de tempéraments et d'idées divergean
ans son aspect d'ensemble, en effet, rien n'est moins différent d'une
série
de chiffres qu'une autre série de chiffres. Le nu
ffet, rien n'est moins différent d'une série de chiffres qu'une autre
série
de chiffres. Le numéro, d'ailleurs, n'a rien de s
crises. Il y a deux ans, son père meurt et aussitôt apparaissent des
séries
de grandes crises: il y a deux mois, elle en avai
sous forme d'exsudat. Le dermographisme est le point de départ d'une
série
de troubles qui peuvent aller jusqu'à la gangrène
lication illustrée. Dans notre prochain numéro nous commencerons la
série
des études psychologiques illustrées par un trava
hervin, p. 185. Caractères distinctifs des actes psychiques dans la
série
animale, par Hachet-Souplet, p. 153. Camphoroma
n pratique alors, à un centimètre de distance l'une de l'autre, une
série
de huit coupes allant depuis la corne frontale ju
ques, nous avons opéré que sur des malades qui avaient des accès en
série
ou du délire, nous avons suivi la méthode que v
n d'un produit toxique accumulé dans le sang. M. Doléris dans une
série
de communications faites à la société de biologie
'idées hypo- condriaques, de persécution, etc. L'auteur a réuni une
série
d'ob- servations intéressantes de ces formes co
e l'impression du mouvement est la résultante de l'excitation d'une
série
d'endroits voisins de la rétine par les rayons
de un au nombre proposé. Il lui est impossible de lire de longues
séries
de nombres. Elle calcule très mal. Au début, l'éc
s labiales (b, p, f,) paraissent tout indiquées pour com- mencer la
série
, leur émission étant, pour ainsi dire, plus vis
inistré de bonne heure, dès le début de l'état gastrique. Quand une
série
d'accès est com- mencée, les purgatifs sont enc
urgatifs sont encore utiles ; nous avons vu, dans plusieurs cas, la
série
prendre rapidement fin sous leur influence, mai
tisanes diurétiques. Quand les malades entrent malgré cela dans une
série
d'accès il faut alors faire des injec- tions de
est la marche que suivent chez eux les accidents (accès isolés, en
série
, survenant régulièrement ou irrégulièrement) et
ucoup : elle a perdu la mémoire. Le 3 août 1893 elle entre dans une
série
d'accès, dans un véritable état de mal avec une
ans leur disposition. Très nombreux dans le sarcolemme, ils sont en
séries
linéaires ou en tas, accolés à cette enveloppe. P
Nouvelle iconographie de la Salpêtrière, le premier chapitre d'une
série
d'articles sur les myopathies et sur les athrop
de l'état civil, les chiffres sont les suivants : pour une première
série
de 102 cas, on trouve 59 femmes mariées (y comp
7,9 p. 100, et 43 céli- bataires, soit 42,1 p. 100. Sur une seconde
série
de 120 cas, on trouve 94 femmes mariées, soit 7
ercule composé de cellules épithéloïdes et de leuco- cytes. Dans la
série
des coupes, on peut se convaincre que ce tuber-
les entourent et enfin comment elles suivent leur cours. Dans la
série
des coupes, on voit l'amoindrissement des infiltr
. , SOCIÉTÉS SAVANTES. 22o M. CHRISTIAN tire ensuite d'une longue
série
d'observations de psychoses séniles des déducti
chives, t. XXX. 15 226 SOCIÉTÉS SAVANTES. les autres, on aura une
série
de phénomènes identiques consécutifs; si quelqu
ptique de l'acte délictuel incriminé. L'auteur cite à ce propos une
série
d'observations dans lesquelles des épi- leptiqu
complexe. Dans ce qu'on a décrit sous le nom de fugue, il y a trois
séries
de faits : 1° Parmi ces sujets, les uns seron
nfants normaux et anormaux, par E. SÉGuiN, nous avons reproduit une
série
de documents qui marquaient les diverses phases
rcons- 278 CLINIQUE NERVEUSE. crivent par leur juxtaposition, une
série
de petites logettes fusi- Observation I. Coupe
ssie, ni plus infiltrée en arrière qu'en avant. Pour compléter la
série
des faits semblables, nous devons men- tionner
3) ; il faut ajouter que le malade avait présenté un symptôme de la
série
tabétique, une ophtalmo- plégie transitoire. Le
surtout les juges de paix, sont fréquemment amenés à côtoyer cette
série
d'in- firmes de l'esprit, recrutés particulière
elles n'aboutissent qu'exceptionnellement au crime, entraînent une
série
d'actes préjudiciables à autrui. . Parmi ces ac
ésente dans la suite des crises d'épilepsie jacksonienne. Après une
série
de ces crises, on constate chez lui de l'hémian
é la santé des dames. M. Doutrebenle, médecin à Blois, a terminé la
série
en prononçant un toast très applaudi. Le déje
ément pour l'étude de ce point d'histoire que l'auteur présente une
série
de vingt-trois observations personnelles. La cou-
à une jeune femme ner- veuse ou à un alcoolique font provoquer une
série
d'accidents peu graves, mais désagréables. Il y
, la substance blanche est plus grenue, les cylindraxes forment une
série
de renflements volumineux, ronds ou fusiformes
d'euphorie. Par l'action physiologique de l'alcool s'expliquent une
série
de phénomènes cliniques : l'ivresse, la fureur
s fonctions de tel ou tel type de cellules nerveuses. Dans toute la
série
des vertébrés chaque territoire du système nerveu
x et ' leur fonction est bien établi pour les cellules qui, dans la
série
entière des vertébrés, occupent des territoires
vateurs,-a, à l'oc- casion d'un prétendu préjudice, épuisé toute la
série
des juridic- tions : déboutée de ses revendicat
'agit donc d'une oeuvre essentiellement didactique composée d'une
série
de monographies, ayant chacune un développement a
pour ainsi dire l'existence qu'il y avait menée précédem- ment. Des
séries
de souvenirs se présentent il sa conscience plus
rte d'exal- tation', d'hypertrophie du « moi ». Dans une première
série
la paranoïa morale, autrement dit la folie mora
r restant encore capable d'un certain développement. .Une seconde
série
comprend ceux chez qui des tendances dégé- néra
nce accusée du tronc du moteur oculaire commun droit. Des coupes en
série
de la région des noyaux du pathétique et du ner
culté de médecine, chargé par M. le professeur Joffroy de faire une
série
de conférences sur l'étiologie de la folie, a réu
ce sens que chaque contraction reste isolée, n'est pas suivie d'une
série
d'autres. Chez le choréique rythmé, qui salue u
vie d'une série d'autres. Chez le choréique rythmé, qui salue une
série
de fois, sans interruption, pendant un temps pl
ar un certain intervalle, et n'est pas immédiatement' suivi par une
série
de contractions du même ordre. En un mot, il s'
ommes en présence, non point d'un tic isolé et passager, mais d'une
série
ininterrompue de formes symptomatiques variées,
ES TICS ET TREMBLEMENT. 39 Vous m'excuserez si je vous rapporte une
série
d'expressions « fin de siècle » qui ne rentrent
si la baptiser mélrophilie, mais je préfère bountétrie. JI Suit une
série
d'autres formes dont j'emprunte la des- criptio
ses, elles n'offrent pas d'altéra- tion évidente. En examinant la
série
des coupes au-dessus du foyir principal, vers l
nes, les méninges n'offrent pas d'altérations. Si l'on examine la
série
des coupes pratiquées en se dirigeant vers l'ex
ur de GUDDEN. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. 89
Série
de coupes méthodiques sur le segment de moelle hu
n postérieur et le cervelet. Il s'agit particulièrement ici de deux
séries
de coupes transverses émanant : l'une, d'un foe
ermés, couché sur le côté droit, comme pour dormir, il provoque une
série
de tableaux par le mécanisme en question, qui c
Babé, éditeurs, Paris, 1890. L'auteur a précédemment entrepris une
série
d'études d'anthro- pologie sociologique dans le
ur et à mesure que ceux-ci se répètent. Quand la malade exécute une
série
de fois un mouvement volontaire, la trépidation
ouvement volontaire, la trépidation se manifeste dès le début de la
série
, mais ne s'exagère pas dans la suite. C'est là
ns-nous de son lit, elle débite, avec une volubilité excessive, une
série
de phrases préparées à l'avance et ne manquant
f. Nervenh., 1886.) Observation de Pierson. - Tous les huit jours,
série
de gon- flements avec tension et raideur articu
ectrique, l'intensité de chaque tuméfaction diminue, la durée de la
série
d'accès est réduite à trois mois et les accès d
au carmin, il a procédé ensuite à l'inclusion dans le paraffine, en
séries
. 1'. K. ' 266 revue d'anatomie ET de physiologi
aques, les anxieux, les syndromiques (obsédés, impulsifs), toute la
série
en un mot des mélancoliques avec conscience. M. S
érieur DE L'AFRIQUE. - La conférence anti-esclavagiste a adopté une
série
de mesures tendant à interdire le trafic et la
s-dentistes de Paris-Square à Luds, le 28 mars, pour assister à une
série
d'opé- rations chirurgicales et dentaires faite
ininterrompus de notre maître M. Charcot, qui a démontré, dans une
série
de travaux successifs, que les manifestations d
, est au contraire, comme l'a établi M. Charcot, constituée par une
série
de phases méthodiquement réglées, qui se déroul
ons crues terminées, nous avons été forcés d'instituer une nouvelle
série
d'ex- périences, ce qui a retardé la publicatio
éthode employée. Aussi nous avons cru nécessaire d'entreprendre une
série
de recherches faites au moyen de nos procédés p
devient à peu près constante. - Cette courbe fut obtenue dans une
série
d'expériences instituées par la méthode des om-
t très inégales. Effectivement, pour tracer ces courbes d'après une
série
des valeurs accessoires. il faut que le malade
proposons dénommer « symptôme de relation ». Ce symptôme divise la
série
toute entière de troubles visuels dans les mala
tableaux et cela presque jusqu'aux numéros les plus élevés de la
série
, les seconds sont arrêtés du premier coup par les
ses rapports avec la vision périphérique. Nous avons entreprisune
série
de recherches, afin de déterminer le rapport en
e ne les retrouve qu'avec un certain effort d'attention, et par une
série
de raisonnements, et encore n'est-elle jamais abs
vait en fait de couture : elle ne faisait plus, pour coudre, qu'une
série
de mouvements incoordonnés. Voici donc des symp
lles recherches sur la physiologie du cerveau, vient de publier une
série
de nou- velles leçons dans lesquelles il expose
t le plus l'approché de cette con- dition est Gollz2 qui a fait une
série
d'observations attentives sur des chiens pendan
conviennent même pour les individus normaux. En associant les deux
séries
, et en faisant fabriquer trois ou quatre sphère
résumées. " Le plancher du quatrième ventricule est occupé par une
série
de points qui répondent à l'excitation électriq
lors qu'ils sont au repos. Dans la station debout il se produit une
série
de saccades qui s'accentuent par l'occlusion de
parties indiquées et dans ces cas l'éphidrose est précédée d'une
série
d'étourdissements. Si l'on fait manger le malad
Fr. Franck. Art. Grand Sympathique, du Dict. encljclop¡}¡[¡qlle, 3e
série
, t. 1X, p. fi7. DES ÉPHIDROSES DE LA FACE. go
ieu de l'apparition et du développement des autres phénomènes de la
série
hystérique ? Cette question en amène une autre
ement les premières en date dans l'évo- lution des phénomènes de la
série
hystérique chez un même sujet. Ces accidents
pas consécutivement à une attaque isolée, mais bien plutôt à une
série
d'attaques dont les symptômes fréquemment frustes
ne sont que très rarement le symptôme de début des accidents de la
série
hystérique, chez le sujet qui les présente actu
l'entéralgie constituant des accès accompagnés de fièvre élevée.
Série
d'exacerbations et de rémissions des accidents ps
t après elles de l'hémiparésie droite. Quelques mois après, seconde
série
deconvulsionssui- vies d'hémiplégie gauche. D'a
sur' la moi- tié droite du corps. Après l'apparition de dix à douze
séries
, mort à l'âge de quatorze mois. Autopsie. Abond
eusement l'attention. (Voir Progrès médical, 1887, 186 et suiv., 2e
série
, t. VII.) LES ALIENES DANS LES MAISONS DE CHARI
ntaux, caractéristiques de la gliomatose de la moelle épinière. Une
série
d'autres symptômes qui s'associent à ceux-là av
bdominaux sont nettement accusés des deux côtés. Sensibilité. Une
série
d'altérations subjectives : le malade se plaint
emps que le malade a passé à l'hôpital il se plaignait de toute une
série
de sensations subjectives : tantôt de céphalalg
de». Les soubresauts persistent ; pendant l'examen on observe une
série
de mouvements de flexion et d'extension non ryt
est à remarquer que ce malade aussi nous a fait entendre toute une
série
de plaintes de sensations indéfinies et pas bie
e NERVEUSE. en avant et en arrière ou de droite à gauche, par une
série
d'efforts, pour maintenir l'équilibre, qui dépas-
e impulsion unique de la volonté suffit pour provo- quer une longue
série
de mouvements périodiques qui se succèdent jusq
xtes de nerfs, est fréquemment intéressée. Alors apparaît toute une
série
de phénomènes sensitivo-vaso-moteurs qui vienne
avait un accès par semaine. Depuis mai z, il a eu en outreplusieurs
séries
. Le maximum des accès, cette année, en vingt-qu
refuse jamais de faire ce qu'on lui ordonne. Motilité. Avant ses
séries
d'accès, le malade marchait, en chancelant un p
à l'école, ou chez ses parents, le tout en pleurant. - 6 Décembre :
Série
d'accès (7 de jour et de nuit). 1885. Pendant l
les. Souvent, l'individu s'endort à la suite d'une attaque ou d'une
série
d'attaques convulsives; quelquefois, il est fra
. Bourneville ont assigné à la température pendant l'attaque ou les
séries
d'attaques hystériques. « L'attaque hystérique
REVUE CRITIQUÉ. 'délirant, ce qui s'observe également au sortir des
séries
d'at- taques convulsives, tant il est vrai que
ouvent les con- vulsions qui rompaient le sommeil. Dans toute une
série
de faits étudiés par M. Achard, le sujet sort d
ces complications, car il faudrait passer en revue presque toute la
série
des phénomènes hystériques. Nous insistons 1 Pr
nte d'hystcre avec crises de sommeil. (Ait- nales Medieo ? c/i., Ce
série
, t. II, janvier 188t, p. 83.) 300 REVUE DE THÉR
faiblissement psychique s'accrut progressivement. Au début de mars,
série
de syncopes avec pertes de connaissance assez p
ture des cadavres de malades ayant présenté de leur vivant toute la
série
des symp- tômes typiques de l'ataxie locomotric
nérative, dont l'intensité plus ou moins marquée se traduit par une
série
de modifications dans les réactions électriques
nt des chiens avec les yeux bandés. - Etudions maintenant une autre
série
d'expériences. Pour nous assurer si la vue avai
- Réapparition des tracés respiratoires. Nous allons relater une
série
d'expériences dont les résultats ont été bien
- ration. Vers la fin d'avril 1887, nous avons essayé, dans une
série
d'expériences sur des chiens et des lapins, l'a
-11. Charcot : Gaz. des hôpitaux, t88t,et Progrès médical, 1887, 2'
série
, t. V, p. t53, - Voir aussi dalls les Archives de
ensité du courant galva- nique, a fait fabriquer par Hirschmann une
série
de lames dis- coides pour électrodes qui sont g
lésions secondaires, c'est qu'il n'y en a pas. M. OTTO présente une
série
de préparations rares. Ce sont d'a- bord trois
nt d'une pile, on a une secousse brusque, simple; 2° s'il y a une
série
de clôtures ou de ruptures du courant, on obtient
Des escarres succédèrent àces phlyctènes, et à leur chute succéda une
série
de symptômes inflammatoires avec réaction fébrile
la pathologie laryngienne. C'est ce que nous démontrerons dans une
série
d'articles sur cette matière. Nous continuerons
t implantée sur le bord libre de la grande lèvre, et séparable en une
série
de tumeurs plus petites qui représentent des type
de débarrasser la malade de cette masse énorme de végétations par une
série
d'excisions partielles. Nous tiendrons les lecteu
ège anatomiquede l'épilepsie, a fait part à l'Académie d'une nouvelle
série
d'observations confirmant celles qu'il avait déjà
riocéphale large, a fait savoir qu'il venait de terminer une nouvelle
série
d'expériences importantes. Il en résulte que l'em
ème observation; 3° qu'on voit parfois la sciatique alterner dans une
série
d'attaques avec des manifestations rhumatismales
llection de l'hôpital. On trouve aussi dans la galerie du musée une
série
d'aquarelles offertes par M. le professeur Bazin,
aitement de l'épilepsie, par le docteur Legrand du Saulle.— Après une
série
d'expériences très concluantes sur les bons effet
iser, pour emprunter une comparaison à la langue du théâtre, en une
série
d'actes et d'entr'actes successifs de la façon su
conséquences pratiques qu'elles lui semblent contenir. Une première
série
d'expériences contient quatre cas de pro--duction
ar injection hypodermique avec une seringue de Pravaz. Une deuxième
série
comprend cinq cas d'inoculation au moyen d'un fil
milieu du tissu adipeux circonvoisin. Il se décompose lui-même en une
série
de lobules séparés par des trabécules de tissu co
ent être le plus rapproché possible du polype. Après avoir fait une
série
d'expériences sur le cadavre, à l'hôpital Beaujon
essus de cette partie, et sur une hauteur à peu près égale, règne une
série
de châssis vitrés qui sont tous mobiles et se rel
t peut-être à un résultat différent; mais elle permet d'instituer une
série
d'expériences. La première consiste à reprendre
invariablement la routine des devanciers et décrivaient dans une même
série
de chapitres les mêmes éléments. Entre les traité
premiers, a publié des recherches intéressantes. Vient ensuite une
série
de leçons sur les tumeurs (tumeurs érectiles, adé
que nous avons déjà indiquées, le troisième fascicule en contient une
série
sur les maladies des yeux. Elles sont précédées d
PORAIRE DE WEBER AVEC HÉMIOPIE PERMANENTE 3 prend naissance par une
série
de dix à douze filets qui se réunissent et vien
ule, comme du reste pour la protubérance et pour le bulbe toute une
série
d'observations où les symptômes consta- tés pen
t été surtout améliorés. Nous rap- portons aujourd'hui une nouvelle
série
d'observations faites dans le service de la Cli
perdu le sens musculaire dans cette jambe. Notre malade a eu une
série
d'attaques, et en est mort, dans l'état de mal
rolandiques moteurs" sont des psycho-moteurs. Il faut concevoir une
série
d'étapes entre les centres de perception de cha
ressions recueil- lies à la périphérie arrivent jusqu'à eux par une
série
de neurones cen- tripètes superposés et de là s
équilibre au mem- bre ainsi déplacé. On constate en effet, sur la
série
des images chronophotograpliiques d'un homme qu
ue, de prime abord, il est peut-être difficile, en présence de la
série
chronophotographique de la marche à reculons, d
mais, en y regardant de près et surtout en la comparant avec les
séries
de la marche en avant, il est aisé de relever d
xécuté devant notre objectif cette dernière dé- marche et, sur la
série
des pho- tographies, nous relevons des ca- ra
re (Extrait des Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris, 2"
série
, t. IV), QUELQUES VARIÉTÉS DE LA MARCnE ET DE L
tenus par le commandant de Raoul. Ils ont constaté, par l'étude des
séries
chronophotographiques, que les al- lures en fle
rer pour l'étiologie nerveuse de la maladie. Jacquet cite toute une
série
de cas de lichen ruber, dans lesquels on employ
i se sont montrées après de fortes émotions (colère). Donc, dans la
série
des cas de lichen ruber que nous avons cités, on
t du bras gauche jusqu'à la région pectorale et s'enchaînent en une
série
de stries étroites longitudi- nales. En passant
il faut certainement compter le lichen ruber. Gaule, par toute une
série
d'expéri- mentations sur les ganglions inter-ve
ement marquées dans le.sys- tème musculaire ; et, se basant sur une
série
de traits typiques anatomo- pathologiques et cl
une prolifé- ration remarquable des noyaux; ils étaient rangés par
séries
jusqu'au nombre de 6 ; dans le droit antérieur
es jusqu'au nombre de 6 ; dans le droit antérieur de l'abdomen, les
séries
étaient plus longues, dans une seule fibre, on
un fragment ossifié, enlevé au biceps, on pouvait voir au mieux la
série
des tissus musculaire, conjonctif, cartila- gin
e est capable de satisfaire les uns et les autres. A ces litres, la
série
d'études sculpturales appliquées à la pathologi
1880, M. Besnier publiait dans les Annales de Dermatologie (3) une
série
d'observations de sclérodermie généralisée et u
uté un peu plus tardivement, on a remarqué, après la naissance, une
série
de phénomènes analogues : apparition de noyaux,
prendre un verre, il le saisit facilement, mais son bras présente une
série
de mouvements successifs, qui diminuent d'ampli
les en- robait, le troisième jour on pouvait déjà obtenir toute une
série
de coupes de la moelle. Il faut encore mentionn
RY MEIGE. Une étude publiée, il y a trois ans, a fait connaître une
série
de docu- ments figurés, peintures, dessins ou g
relativement peu élevé. Une Opération sur la tête manquait celle
série
chirurgicale. Le Vieux Chirurgien du musée de C
cervelet. Le cas en question va me servir de point de départ d'une
série
de leçons que je compte faire dans le courant d
l'àge de 10 ans, à la suite d'une légère contrariété, X... a eu une
série
d'attaques de nerfs, pendant la durée desquelles
(I) F. Raymond, Clinique des maladies du système nerveux. Deuxième
série
, p. 709 et suivantes, Paris, Doin, 1897. SUR
e ans, née d'un père syphilitique. - L'autopsie révèle sur elle une
série
de malforma- tions crâniennes consistant surtou
pect général du « bois rongé par les vers ». · On y distingue une
série
considérable, confluente, de dépressions pénétran
siques et provenant du sol). Elle se compose également de toute une
série
de lacunes très fines et de tractus vermiformes p
ïde, au larynx et au sternum. Thorax aplati. On y voit en avant une
série
de bandelettes et d'épines qui correspondent en p
n droit et sur la 11° côte gauche. Le 8 janvier 1886, on trouve une
série
de nodosités apparemment situées le long des bo
rices lymphatiques appréciables. Au palper, on a l'impression d'une
série
d'inégalités qui sont sans doute des pelotons a
rs, ce principe domine en quelque sorte l'oeuvre de la création. La
série
animale nous montre une superposition d'espèces q
en se perfectionnant; or, au sur et il mesure qu'on s'élève dans la
série
, on voit se multiplier les appareils et les org
diés séparément, par des méthodes spéciales et ils constituent deux
séries
dis- tinctes ; mais celles-ci doivent être comp
Presse, 1879, XX, 1238. , Munchmeyer. Ztsch. f. rat. med, 1869, 3°
série
, t. XXXIV, 9-40, Nicoladoni. AVien. med. Bl., 1
ESSIVE 491 Testelin et DEàl]311ESSI. - Gaz. med. de Paris, 1839, 2e
série
, VII, 170-172. Virchow. Les luineuis, t. Il.
de méd., 26 mai 1896. Wilkinson. -The London med. gaz., 1846, new,
série
, III, 993. WcLeN. - Lancet, 1892, p. 1485. Ze
')))',<HtLcar<)))pC ? h)s lard autour de ce dernier toute une
série
de formes el de variétés se- (,olldaircs ? Ce p
, rustre au liez il demi figé par le froid : il fait parlie d'une
série
de types nationaux dessinés par Char- ('11l I
reux où il existe des paralysies oculaires à répétition. Dans cette
série
de cas, il faut signaler entre autres les tumeu
provoquée (épilepsie spinale) est manifeste, le pied exécutant une
série
d'oscillations régulières après l'effort que no
autre que les purgatifs salins répétés; le 30 mars, on commence une
série
d'électrisations au moyen des courants continus
es que la lésion descendante s'est produite, c'est-à-dire par cette
série
de fibres qui, parties de l'étage inférieur (ou
omanie, et toute leur vie intellectuelle n'est véritablement qu'une
série
d'épisodes étranges qui font de cette catégorie
e- ment résultant pour lui non d'un produit déterminé, mais d'une
série
de transformations dans le sang, dont les différe
one, éther ou acide éthyl ou acétylacétique; ou bien c'est toute la
série
des corps intermé- diaires entre le sucre, l'ac
t déterminé et toujours le même, et non de l'empoisonnement par une
série
de substances se métamorphosant et se détruisan
la rapidité des changements que subissent les substances de cette
série
, Frerichs reconnaît l'impossibilité de toute démo
ue le jour où, expérimentant successivement chacun des termes de la
série
chimique, on en aura trouvé un dont les effets
it vis-à-vis à une chambre de surveillant intercalée entre les deux
séries
de chambres de malades. Les pavillons de troisi
le de par les faisceaux d'entre-croisement à la calotte, former une
série
de ' Voy. Archiv. ? Psych., XI, 2. SOCIÉTÉS S
postérieurs. L'auteur fait passer sous les yeux de l'assistance une
série
de dessins et préparations microscopiques 11 l'
t de nouveau la compression. Ainsi se produit alterna- tivement une
série
rapide d'élévations et d'abaissements de la par
ÉTÉS SAVANTES. Séance du 26 mars 1885. M. Meynert montre, sur une
série
de coupes verticales antéro- postérieures prati
dans l'aine et au 'Art. Tabes dorsalis, in Dict. e ? icyclol3., 3e
série
, XV. DU TABES COMBINÉ. 175 jarret, comme des
s) et des peurs imaginaires; deux mois après, survient une nouvelle
série
d'accès, pendant lesquels elle aurait perdu par
août 1885 ; remarquons qu'au lieu d'accès, nous devions plutôt dire
séries
, car à chacune des reprises du mal comitial, il
favorable à la malade, notre description résulte d'une des petites
séries
que nous avons vues et des renseignements de se
ces occasions, l'exploration se faisait quatre heures après une des
séries
et l'acuité visuelle était à peu près normale.
à la suite d'une attaque d'hémianopsie accompagnée d'aphasie, d'une
série
de sensations subjectives; en même temps il se
ns la mesure du possible par l'association d'un asile central à une
série
d'édifices agricoles. E. KIFLLBERG. Du rôle d
territoire pour pouvoir développer le travail agricole. Zwiefalten.
Série
de transformations dans ces dix dernières année
, elles produisent toujours dans la structure du tube nerveux une
série
de modifications aboutissant à l'atrophie plus
ute l'étendue qu'elles occupent dans la préparation et montrent une
série
d'altérations ne différant en rien de celles qu
ine tendent à disparaître. Le tube diminué de diamètre présente une
série
de renflements où sont accumulées quelques sphè
matière homogène, d'un jaune ambré et aussi des noyaux disposés en
série
linéaire (fig. 6, PI. II). Le cylindre-axe n'y
egments normaux. Fig. 2. Segment dont la myéline est réduite en une
série
de grosses sphères remplies de fines granulatio
oient qu'on peut démon- trer avec grande probabilité, qu'une grande
série
de ces phénomènes variés et énigmatiques qu'on
écier HYSTÉRIE ET MORP ! 1[OMAN1E. 399 autrement qu'il le fit une
série
d'actes aussi simples; et, n'ayant aucun rensei
XV. UN CAS ATTRIBUÉ A LA MANIE AIGUË, TERMINÉ PAR LA MORT APRÈS une
série
d'attaques PILEI'TIFORfES par W. E. R : 1'JiSDEN
e, on la choisit plate et grosse, et on la promène lentement sur la
série
des endroits voisins. C. Méthode polaire symétr
ns la perception externe, avons-nous dit, une sensation éveille une
série
d'images. L'hypnotisme montre que, quand on sug
nt personnelles. Plusieurs dessins, dans le texte, représentent une
série
de coupes de la moelle échelonnées de haut en b
egments normaux. Fig. 2. Segment dont la myéliue est réduite en une
série
de grosses sphères remplies de fines granulatio
meure immobile, pen- dant que le style du triceps crural marque une
série
d'ondula- tions qui suivent le choc porté sur l
arfois, alors que le choc répété des tendons ne produisait qu'une
série
de secousses musculaires, sans tendance manifes
t sur la sensibilité. De cette façon, il put constater que, dans la
série
ascendante des degrés, il y a alter- nativement
-dire celle qui existe entre la première et la dernière pièce de la
série
, est la somme algébrique des tensions consécuti
or d'une pièce d'argent, métal qui n'agit pas chez notre malade, la
série
des contacts est : peau, or, argent. En vertu d
es phénomènes provoqués, l'in- fluence réciproque des métaux, et la
série
des oesthésiogènes, nouveaux ou restaurés. Re
phère cérébral de l'autre côté, et vice versa. P. K. V. NOUVELLE
série
d'expériences SUR la détermination DES fonction
corps : ainsi en fléchissant brusquement le pied, on obtient une
série
de petites trémulations que M. Waller désigne sou
125 rotulien, on obtient, non plus une secousse unique, mais une
série
de contractions ; de même, on peut n'avoir à la c
scence des races humaines. La dégénérescence est constituée par une
série
d'états de dégrada- tions organiques successive
a impérial maritime customs; médical 7< ? /jor<sll. Spécial
séries
, no -1, 1880, Shanghaï.) Le kakké est une malad
che toute spéciale, caractéristique de cette circonvolution dans la
série
animale, et formée de noyaux ou petites cellule
u ac- cusée, c'est un simple frémissement musculaire, ou bien une
série
de petites convulsions cloniques qui se rap- pr
copier ; si ,on liai donne à lire quelque chose, il émet toute une
série
de syllabes qui ont quelque rapport avec ce qui
igri, a des syncopes fréquentes. En même temps que se produit cette
série
de symptômes alar- mants, les muscles atteints
mporales et sphéno-occipitales avoisinantes. La destruc- tion de la
série
alternante des couches médullaires et corticales
ue et d'un' rhumatisme arti- culaire'aigu consécutifs ; après, une'
série
d'accidents d'une durée de six semaines, la mal
e. (Ihe journal 0/ psycholoqical medicine and mental patholoqy. New
séries
, ? vol Vi, pârt 2,`p; 169). ,a ? ,8 *" ? m E.IeTY
lirtntts qfjpij r4·,u rro d at"r. n1 j., -rj)|f '[rnff - sib Une
séries
de} recherches , instituées dans le double but de
ation de l'énergie,' sont les suivantes : lq jll.y a dans, toute la
série
animale une centralisation graduel- lement'croi
et Zacher sont désignés comme secrétaires. M. Furstner commence la
série
des communi- cations par la lecture d'un mémoir
' M. Wood'a commencé 'par confirmer' ces* recherches dans les deux
séries
d'expériences suivantes' : dans'le premier cas,
dh *-" ! il »*» - U -.iqi.in- iiii/iid'ii ' pt tlDanst lai première
série
, on ? eut,les.résultats suivants Expé- riencg 4
rt en''un' quarto d'IicureJ T.' de la serre ,590'; dans'la deuxième
série
, (celle de l'échauffement limité au crâne) on eut
ue'lés recherches plus'récéntes de'Redard (Arch. gén'. dejiliéà ! 6"
série
; 'XIX ? 35) ont`aussi démontré ? l'àlgidité' es
ouvement du) par Ra- gosin et Mendeissohn, 191. Cerveau (nouvelle
série
d'expérien- ces sur les fonctions du), par Go
se sont soudées sur la ligne médiane, et, en passant en revue, des
séries
de coupes échelonnées d'avant en arrière, on sa
mouton, et les suivants d'après des encéphales de rongeurs; mais la
série
nous paraît avoir été, dans ces conditions, suf
iés sous ce titre : Aphasie , Iténti- plégie gauche, on trouve deux
séries
de faits : 1° Ceux où des lésions multiples exp
ue (le milieu de 1878), le Dl Sigerson faisait à la Salpêtrière une
série
do visites dont il a rendu compte dans le Brit.
te. Pendant les quatre mois que dure cotte phase, on constate : une
série
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 89 d'accès d'ag
ermine cette période par un calme absolu. Bientôt après c'est à une
série
de crises convulsives généralisées alternant avec
mars, à la fin de ses règles, elle était agitée ; j'ai provoqué une
série
d'attaques par la pression sur son point vertéb
ar la pression sur son point vertébral, elle n'a pas eu de nouvelle
série
jus- qu'au 5 avril. Toutes les nuits, elle rê
pendant ou après ses règles ou sesmétrorrhagies ; ainsi elle a une
série
de cinq attaques le 3 janvier, ses règles viennen
aques la veille et quatre ce jour là, mais elle avait eu d'au- tres
séries
le 6 et le 8; au mois de février, elle a ses règl
et le 8; au mois de février, elle a ses règles le 3, et elle a une
série
le 6 et le 7, et est tranquille tout le reste d
est tranquille tout le reste du mois ; au mois d'avril, elle a une
série
le jour des règles. Elle a commencé à avoir d
dans la demi-flexion et le bras gauche bat seul le matelas. Cette
série
de mouvements terminée, elle pousse quelques cr
lis sans passer parla phase épileptoïde du début, et fait aussi des
séries
de mouvements analogues à ceux que nous venons
côté droit et s'endort bientôt. Les attaques se sont présentées par
séries
de le à 1 depuis qu'elle est soumise à notre ob
est soumise à notre observation et toutes se ressemblent. Dans les
séries
d'attaques, c'est-à-dire lorsqu'on est prévenu
is tout rentre dans l'ordre,ou l'attaque recommence pour former une
série
plus ou moins longue. Pondant cette phase de re
mais les attaques qui les constituent sont toujours identiques. Les
séries
ne laissent après elles aucune hébétude, la mal
es, sur une douzaine de villages ( ! ,5u0 habitants), relate deux
séries
d'observations. Les unes empruntées en partie au
M ? 'Ma/o/'PsyeAooy<ea/meK'M ! 6<M</ mental Palhology. New
séries
, vol. VI, part. 2, p. 222.) Il s'agit d'un jeun
sa disposition par la Commission des Eaux. On passe ensuite à la
série
des communications qui suivent : Professeur FÜR
e faire pratiquer par un potier dans des plaques en terre cuite une
série
de dépressions. Ces plaques de cinq espèces, po
ubstratum anatomique l'état local de cette membrane. Or, une grande
série
d'observations lui ont depuis démontré que les
la lymphe sur les organes centraux, par le Dr Th. Rumpf. La double
série
d'expériences envisagées ici a trait a la moelle
spasmo- diques des sphincters. MM. Ott et Smith ont entrepris une
série
d'expériences dans le but de déterminer si ce fai
LOGIE NERVEUSE. 355 Deuxième partie. -Ici M. Prévost rapporte trois
séries
d'ex- périences qu'il a entreprises dans le but
er la question de la nature du réflexe tendineux. Par la première
série
de recherches, il a confirmé les faits suivants
it Tschiriew, on sectionne le sciatique lui-même. Dans la seconde
série
d'expériences, M. Prévost étudie l'effet du cur
d'une ! injection intraveineuse de chloral. Enfin dans la troisième
série
de ses expériences, M. Prévost, emploie un proc
ice, car sur les schémas où les lésions sont re- présentées par une
série
de teintes superposées ou juxtaposées, le champ
es mouvements redevien- nent complètement libres. Si, au lieu d'une
série
de mouvements se sui- vant les uns les autres,
Effet produit : au début de la première excitation (composée d'une
série
de chocs d'induction se succédant au nombre de 2
e- condes. Parole. En le faisant parler on voit immédiatement une
série
de grimaces se produire comme s'il faisait un e
t qui sont en abduction forcée l'un par rapport l'autre. Dans cette
série
de contractions, les doigta jouissent d'une ind
les quinze jours, tantôt tous les mois, mais quelquefois aussi par
séries
de 6 ou 7 par jour. En général il n'est pas préve
LADIE DE THOMSEN. (De la Réaction myotonique). - (suite '). La 3e
série
d'excitation', (C. lig. 1) a été faite sur le mêm
'excitation', (C. lig. 1) a été faite sur le même muscle que la Il,
série
, mais après un repos de 20 minutes. Ici les inter
cle se détend, mais ici au lieu de voir se produire, comme pour les
séries
précédentes, des secousses de contractions isolée
scle à l'état de repos. Nous pouvons remarquer sur cette dernière
série
de tracés que le mus- cle, qui parait à l'explo
du cou- rant afin de pouvoir réunir sur une même feuille les trois
séries
d'ex- plorations). Snr chacune de ces planches,
rtificiellement les symptômes qui constituent ce que j'appelle « la
série
tabétique » ; ils sont au nombre de 18. 20. On le
, il n'est aucun des dix-huit ou vingt symptômes ou syndromes de la
série
tabétique qui ne puisse à lui seul ouvrir la scèn
123 ces circonstances délicates, c'est que tous ces syndromes de la
série
tabé- lique ont quelque chose de spécial, de sp
icales ou rectales. Il en est de même des autres syndromes de notre
série
et no- tamment de ceux de la catégorie des trou
me présente encore un autre phénomène qui appartient lui aussi à la
série
ta- bétique. Mais celui-ci se serait montré ava
déformation ver- tébrale manifeste. Il est évident qu'une semblable
série
négative n'aurait pu résulter d'investigations
auche, une demi-heure après l'inscription sur d'autres tracés d'une
série
de mouvements ondulatoires ; la bobine induite, à
t rapetissée, les jambages des lettres sont sinueux, formés par une
série
de lignes brisées. La démarche avec propulsion
le il n'y a pas que des mouvements athéto- siques, il y a toute une
série
de mouvements involontaires que l'on pour- rait
appelons athétoïdes) et de plus qu'ils ne s'accompagnent pas de la
série
de symptômes dont l'en- semble constitue le com
nt le Dr Gabriel Buccola pendant les années 1882 et 1884 une longue
série
d'expériences thérapeutiques sur des cas variés
uel nous ren- voyons (1). Pendant son séjour à l'hôpital il eut une
série
d'accidents, de panaris qui nécessitèrent l'amp
ell' atetosi doppia (Collezione ilaliana di letture sulla medicina,
série
V, n° 3). R. Mitchell. Athetosis and athe- toid
proportion de sept têtes et demie. (1) Revue d'anthropologie, 3''
série
, t. IV, 1889, pag. 38, et Gazelle des beaux-arts,
lles, M. Topinard plus long, et M. Sappey tient le milieu avec deux
séries
de mesures, l'une dans laquelle le membre su- p
tre. (1) P. Marie, Dict. encyclopédiq. des se. médicales (1888), 4'
série
, t. 13, p. 206. v. 23 346 NOUVELLE ICONOGRAPH
laquelle viennent les phénomènes auquels nous assistons. Dans une
série
d'intéressantes expériences, le professeur de la
s prononcée le matin que le soir; elle est plus prononcée après une
série
des mouvements et après les efforts. Cela indiq
sation vaso-motrice. L'état du malade est encore meilleur après une
série
de séances. Mais le succès est plus ou moins co
dans les cas les plus graves des résultats satisfaisants après une
série
de séances. ,' L'atrophie musculaire décrite pa
uent ordinairement qu'ils sen- tent mieux qu'après une assez longue
série
des séances. Je n'ai pas besoin de justifier ic
oelle. L'a- taxie, les douleurs disparurent pour toujours après une
série
de séances. Le sujet mourut 7 ans après à la su
iac ; 31. le Dr Lauinonier. Enfin 31. le Dr Jules Voisin a clôturé la
série
des toasts en faisant ressortir l'esprit scientif
toujours en elle-même un enseignement utile, à plus forte raison, des
séries
d'observations, groupées et comparée s méthodique
as seulement d'un baccalauréat . ès-Iettres. mais encore de la longue
série
des examens de droit jusqu'au doctorat inclus..
de bons psychologues avaient su discerner dans le fatras voulu d'une
série
de publications absolument contradictoires et inc
sentiments affectifs dénaturés ou pervertis, et de cette innombrable
série
des fatigues professionnelles, des émotions répét
a et les fruits de son jardin. D'où vient qu'il espère le succès. Des
séries
d'expériences lui ont appris que la nature lui vi
nne » est représentée couramment dans le langage scientifique par une
série
de termes expressifs où l'appétit et le désir occ
atériel que comportera l'expérimentation instrumentale. C'est par une
série
de tâtonnements que l'espérance opère ses créatio
de notre élan vers le mieux-être indéfini. C'est également par une
série
d'essais que procède l'organisme créateur. A prem
tout dans ses règnes inférieurs, la nature opère, sans se lasser, des
séries
de formations qui ne diffèrent entre elles que pa
ien que l'étude sommaire qui précède demande à être complétée par une
série
d'applications et de vérifications logiques, nous
tous les éléments de l'axe nerveux d'établir entre leurs apports une
série
d'associations coordonnées et progressives au pro
ment d'information le renseignera mieux sur ce point. Continuons la
série
de ses reproches. Il serait, d'après moi. inter
incomplètes. Les erreurs dont ils sont les victimes proviennent d'une
série
de causes dont les principales sont les suivantes
é ayant subi une dérivation. » Ainsi, c'est après avoir employé une
série
de manœuvres propres à provoquer l'état d'hypnose
ou racines ; il y est tout à fait décidé et accepte, d'avance, cette
série
d'extractions, comme la chose la plus simple du m
de fondement. 2° La réalité de ces phénomènes est démontrée par une
série
de faits. 3* Le somnambulisme dans lequel les s
rêt, je ne regretterai pas d'avoir négligé mes hésitations. Dans la
série
des animaux domestiques, je fais, pour les besoin
'il est quelquefois brusque, peut d'autre fois être constitué par une
série
de transitions infinies au cours desquelles les i
poraire, passager ou accidentel, mais tout un système élaboré par une
série
de générations de paysans qui se sont habituées à
re des corps en contact et si on a plusieurs de ces corps disposés en
série
, la distribution de l'électricité est réglée par
e de M. Schiff. MM. Tamburiui et Seppilli firent en 1881 une longue
série
d'expériences sur les modifications plus importan
t le phénomène du « transfert » avec le seul aimant. Dans une autre
série
d'expériences j'ai essayé ce qui avait déjà essay
membres inférieurs s'arrêtent aussitôt et l'on n'observe plus que la
série
des phénomènes vulgaires de l'hypnose provoquée d
ccidentellement compromises. « Il me semble Inutile de prolonger la
série
des Impressions que j'ai recueillies h l'hôpital
ndant l'amabilité de nous faire savoir que les dégénérés forment deux
séries
bien distinctes : les uns de race inférieure, pre
ille, et y reproduire, surtout à la seconde échéance (septénaire) une
série
de phénomènes automatiques, depuis le rêve jusqu'
ès du malade, je le trouvais absolument inconscient et en proie à une
série
d'attaques subintrantes de 20 à 30 secondes de du
pénétration lui paraissent se succéder, ainsi que des ondes, toute la
série
des rythmes qu'il observe dans la vie psychique :
Dr Pévnizky, d'Odessa D'après les savantes recherches de toute une
série
d'auteurs allemands (Freud, Bleuler, Jung, Stecke
sychothérapeutes de Munich. DT Lowenfeld et Seif, j'ai communiqué une
série
d'observations sur la même question Aujourd'hui
ffit pour la guérir puisqu'elle connait la cause de son mal. Toute la
série
de ses raisonnements était juste, mais leur point
s du nombre des Leucocytes) : nous avons été amené à entreprendre une
série
d'expériences sur 5 sujets très hypnotisables de
timents qui dominent le plus habituellement ses actes. De là, par une
série
de déduotions, nous pourrons arrivera connaître c
lanuit, avec chute sur le lit. Sirop polybromuré. 1888. Nouvelles
séries
d'accès, lesquels, au dire du père seraient ram
31 mars. On continue jusqu'à la fin de juillet en avril les mêmes
séries
de doses progressives, entre lesquelles on laisse
e petites taquineries. 24 avril. - Angine pultacée. 15-16 juin. -
Série
de 13 accès. 18 août. -- Fumeur, joueur, cache
raît normale ; les cellules nerveuses sont nombreuses, disposées en
séries
; beaucoup ont leur forme pyramidale et des prol
nt augmentés et dispersés. Les cellules au lieu d'être disposées en
série
régulières, bout à bout, limitées par les fibre
ar les fibres d'origine de la substance blanche, présente ces mêmes
séries
morcelées par disparition de LÉSIONS HISTOLOGIQ
troi- sième couche, celle des grandes cellules, ne présente que des
séries
de cellules petites, à fins noyaux sphériques,
seulement groupées sans ordre apparent, au lieu d'être disposées en
séries
verticales comme à l'état normal. Les couches s
aques, parsemées de noyaux plus abondants, rompant l'ordonnance des
séries
longitudinales et prenant les trois premières c
contact les unes des autres et se présentent au contraire comme une
série
de points isolés, mais assez rapprochés. Les ce
. Le nombre des éléments parait sensiblement accru et il existe une
série
de points ou taches de désintégration se toucha
ombreux et dilatés, les cellules nerveuses ne sont pas disposées en
séries
, mais dispersées et globuleuses. Celles des cou
gitudinale de la substance grise est encore assez visible, mais ces
séries
sont occupées par des cellules inters- titielle
sus estbeaucoup plus avancé; les cellules ne sont plus disposées en
séries
, mais elles sont dispersées, raré- fiées et iso
étude. Il en est une autre. Comme nous ne pouvions traiter par une
série
de réactifs, les pièces que nous possédions, de
es-nous bornés à un travail purement des- criptif, à l'examen d'une
série
d'aspects. C'est tout ce que nous a permis de f
te et aux reins. 'l'. H. 38»,2. 20 août. - La veille, il a eu une
série
d'attaques de 8 à 9 heures du soir. Dans le dél
s, chez des malades encore jeunes2. . Schiff (.\1.). Résumé d'une
série
d'expériences sur les effets de l'ablation des
ssi docile qu'auparavant. Quelques mois plus tard, à la suite d'une
série
d'ictus, est survenue une phase d'excitation av
on pendant quelques jours, au bout desquels il fut emporté dans une
série
d'ictus épileptiformes. En regard du négativi
suit sans cesse sous forme de monologue, ne fait que reproduire une
série
d'idées très limitées et toujours les mêmes. On
mencement de 1896) elle est tout à fait bien portante; mais la même
série
de symptômes se reproduit; elle sent peu à peu
ôté sur le genou de l'autre; on note, avant d'atteindre le but, une
série
de mouvements peu amples qui tiennent du trembl
rance et du bulbe. Pour une étude comparative nous avons coupé en
séries
horizontales un cer- velet normal, comprenant l
t, elles sont devenues classiques. (1) CHARCOT, Leçons du mardi, 2°
série
, 30 octobre 1888, p. 21. UNE RÉVOLUTION ANATOMI
stes que peut réaliser le corps humain ; mais la connaissance d'une
série
de positions et de mouvements élémentaires suff
amelles épidermiques dessé- chées,due à l'application récente d'une
série
de treize vésicatoires. En plus, des placards h
t vraisemblablement due à l'irritation lo- cale causée par toute la
série
de vésicatoires que l'on venait de poser,et qui
est basée sur l'impression clinique que nous ont laissée toute une
série
de faits voisins personnellement observés. D'ab
ction d'un influx nerveux vicié, agir irrégulièrement sur toute une
série
d'éléments sympathiques du même métamère d'abord,
colorations à t'hématoxytine'éosine et au van Gieson. L'étude de la
série
des coupes de ce cas va nous permettre de faire l
e du foyer, comparé entr'elles les moitiés gauches des coupes de la
série
avec celles du côté droit passant exactement au m
e ce noyau. A partir de la coupe représentée figure 6, sur toute la
série
des coupes du pédoncule et jusqu'à celle représ
quelles sont les dégénérations qu'il a provoquées. L'étude de la
série
des coupes montre qu'il s'agit d'un vaste foyer d
artie la plus externe. Il existe enfin, sur toutes les coupes de la
série
, une atrophie nette du champ de Wernicke et du
itié antérieure elles sont plus rares et nettement décolorées. La
série
des coupes de la capsule interne montre que cette
ns atrophiques très nettes. En effet, ces noyaux sont, sur toute la
série
des coupes du bulbe, moins développés que ceux du
ibres arciformes interréticulées du. côté droit, et cela sur toute la
série
des coupes intéressant l'entrecroisement pinifo
e l'ésérine sur cette mydriase, nous avons été conduits à faire une
série
d'expériences que nous allons rapporter mainten
y sont nom- breuses mais petites ; il y en a entr'autres toute une
série
de fraîches dans la partie médiane de Th. opt.
mimélie vraie de l'amputation congénitale, nous faisons précéder la
série
des observations d'hémimélie, d'un cas type d'a
mélie bi-abdominale. Progrès médical, 28 octobre 1893, t. XVIII, 2'
série
, no 43. Sujet mâle, 39 ans. Le fémur se termi
Pendant cette déglutition laborieuse, on peut assister à toute une
série
de symptômes alarmants : la malade devient cyan
ntre les deux manifesta- tions. Sur un fond jaunâtre, s'étalent une
série
de larges placards violets, con- tusiformes, gr
probable dans la deuxième observation de la thèse de Faisans (1) :
série
de trois ecchymoses, l'une très vaste couvrant
par action d'un influx nerveux vicié, agir irrégulièrement sur une
série
d'éléments sympathiques du même métamère ou des
l'aide de celui-ci, en collaboration avec le Dr Altoukhoff (2), une
série
de cartes topographiques des grands hémi- sphèr
de latitude. ' Pour celle transposition il faut exécuter toute une
série
de changements de place de l'arc mobile et du r
tête rasée, à l'aide du crayon de la goupille, un seul point ou une
série
de points dans la direction des sillons intéressé
e, mais d'au- tres fois très longue à obtenir et exigeant toute une
série
de luttes et de ma- noeuvres. Au cours des exer
jours à la même heure, jusqu'à 4 heures, pour faire à 4 h. 1/2 une
série
d'exercices. Hier, j'ai recommencé. Je fais en
, ces applications étant la répétition hors miroir de mouvements ou
séries
de mouvements, qui, très difficiles à obtenir m
e notes que j'ai jour- nellement dressé à Paris, reprendre toute la
série
d'exercices comme si je commençais mon traiteme
tantôt plus, tantôt moins, et m'arrêtant aux défaillances après une
série
d'efforts infructueux. Il me semble que je ne sui
vant même à tracer ainsi que quelques lettres dans l'intervalle des
séries
de mouvements pendant les exercices. LES PÉRIPÉ
e : Lever à 6 heures, petit déjeuner (lait) et promenade, ou plutôt
série
de sta- tions au grand air jusqu'à 8 heures.
rer aux exercices. De 9 à 10, exercices avec, dans l'intervalle des
séries
de mouvements, essais de lecture ou tracés de q
ment déjà plusieurs, je compte arriver bientôt à accomplir toute la
série
correctemeut. Je termine chaque séance par quel
nne exécution ont disparu peu à peu et j'accomplis aujour- d'hui la
série
complète avec la même aisance que j'avais à Paris
is mois, en n'y insistant cas trop. J'exécute en ce moment toute la
série
des mouvements simples, sauf la rotation à droi
tifs à l'enseignement primaire, pour lesquels nous nous servons d'une
série
de tableaux spéciaux, de l'Alpha-bet du dessin de
., Ricqu.., Pelle, et Félu.. On trouvera plus loin (p. ] à 136) une
série
de Noti-ces sur les enfants améliorés à la petite
f 16 qui ne peuvent travailler, ont fréquenté les ateliers par grande
série
; 16 possédant le certificat d'études, tonnent une
ts et de développer leur parole, ont été envoyés successi-vement, par
série
, au nombre d'une vingtaine, hl'Ins-titution natio
monologues. Les accès étaient assez nombreux, 2 et 3 par semaine, en
série
. Peu à peu, grâce aux soins qui lui ont été donné
nement. Voici ses notes : 1° Grande école. — 75 élèves divisés en 2
séries
y assistent. Le cours comprend : 1° l'enseignemen
25 élèves ont participé à cet ensei-gnement; ils sont divisés en deux
séries
. La première série est composée des élèves qui
é à cet ensei-gnement; ils sont divisés en deux séries. La première
série
est composée des élèves qui ont suivi les cours d
ves qui ont suivi les cours de dessin l'année précédente. La deuxième
série
est composée déjeunes débutants. Les premiers e
e et 15 pour l'école complémen-taire. Ces élèves sont divisés en deux
séries
et travaillent en trois groupes différents. Ces é
érés et épileptiques, à faire tous les jeudis une conférence dont les
séries
de vues énumé- rées plus haut donnent une idée
Mi-carême. Menuiserie. 2 coffres, 10 châssis pour le jardinier, 6
séries
de lettres et chiffres pour les classes, 1 casse
es. — 11 enfants ont été atteints d'état de mal épileptique ; — 45 de
séries
d'accès ou d'accès successifs ; — 1 de série de v
l épileptique ; — 45 de séries d'accès ou d'accès successifs ; — 1 de
série
de vertiges ; — 1 de secousses ; —? 2 enfants ont
fiter do cet enseignement. « 40 fillettes, dit-il, divisées en deux
séries
, y ont participé. La première série est composée
lettes, dit-il, divisées en deux séries, y ont participé. La première
série
est composée des élèves qui avaient suivi le cour
l'exécution des ombres, elles ont montré un goût réel. «La deuxième
série
exécute déjà de jolis dessins faits d'après natur
20 517 fr. 05 427 fr. 10 En plus des apprenties qui travaillent par
séries
régulières, 35 ont travaillé une heure par jour ;
ulose; 12 pour migraine; 4 pour escharres; 1 pour maux d'yeux; 8 pour
séries
d'accès; 3 pour bronchites ; 2 pour diarrhée; 1 p
u médiastin. Tuberculose pulmo- Opposition à l'autopsie, nairc.
Série
d'accès. Opposition à l'autopsie. Noms. Ages.
le restait indifférente à tout. Ses accès et vertiges survenaient par
séries
et étaient assez nombreux. L'enfant, trai-tée par
tir dès la fin de la première année; mais il fallut compter avec la
série
ininterrompue de Concours par lesquels se trouv
te assertion, on pourrait citer en exemple le chapitre qui, dans la
série
de ces méthodes d'examen, est généralement consi-
t article difficile, s'en est tiré d'élégante façon en écrivant une
série
de chapitres isolés sur les points les plus impor
'insuffisance du muscle parésié. Ensuite, il joint par une ligne la
série
des points et obtient ainsi une ligne appelée lig
e à propos de la recherche de l'acuité visuelle. Essayez d'abord la
série
des concaves, ensuite la série des convexes. La
'acuité visuelle. Essayez d'abord la série des concaves, ensuite la
série
des convexes. Laissez devant-l'oeil, pour pours
e d'accommodation. Continuez, dans ce dernier cas, à monter dans la
série
des verres concaves, prenez les nos 2, 5, 4, 5,
urer méticuleusement la sensibilité cornéenne, on peut utiliser une
série
de cheveux de grosseur variable, avec l'extrémité
e jusqu'à ce que le cheveu s'incurve. Pour chacun des cheveux de la
série
, on a' déterminé à l'avance le degré de pressio
sions du nerf. L'examen avec les diapasons, non plus isolés mais en
série
, mis sur- tout en oeuvre pal' Bezold, a égaleme
ccès qui durent de une à dix minutes ; les accès se reproduisent en
série
pendant deux ou trois heures. Les séries se rép
es accès se reproduisent en série pendant deux ou trois heures. Les
séries
se répètent, avec des intervalles plus ou moins p
se décèlera par sa sptenomegatie. La peau peut présenter toute une
série
d'indices, de premier ordre parfois : diabetidcs,
vue, le malade endormi demeurait inerte, passif en un mol. Dans une
série
de faits tout différents, la période; de sommeil
ats seconds ». Ces sommeils artificiels peuvent se, grouper en deux
séries
, selon qu'ils s'accompagnent ou ne s'accompagne
employer, mais il est incapable de les prononcer. C'est là toute la
série
des anarthries auxquelles viennent s'ajouter le
Enfin, la parésie des muscles bucco-pharyngés, détermine toute une
série
de troubles à proprement parler dysarthriques.
prénom, le nom de sa femme, de ses enfants. Faire dire des mois en
série
: Jours Mois Saisons Alphabet. Faire compter ju
dont l'expression, la formule rappelle des notions religieuses, une
série
, de croyances dans lesquelles le sujet a été él
murs et quelquefois des grands tics qui peuvent consister dans une
série
de mouvements diuerents constituant tout un acte
mais d'une notion acquise, d'un jugement fondé d'une part. sur une
série
de sensa- tions organiques locales, et, d'autre
Parfois les douleurs sont continues, parfois le malade ressent une
série
d'élancements survenant à des inter- valles trè
d'extension du pied sur la jambe, mais est le point de départ d'une
série
de mouvements rythmés et saccadés d'extension d
e la protubérance ou du bulbe ; on peut en un mot observer toute la
série
des hémiplégies alternes. Il arrive cependant,
onnel. Il s'agit ici encore d'une lésion pédonculaire. Une lon- gue
série
de syndromes alternes, tous exceptionnels, ont ét
t de nouveau à la région cervicale. Le muscle est constitué par une
série
de faisceaux qui présentent ce caractère commun
rtèbres cervicales. Le 11111ltifide du rachis est constitué par une
série
de faisceaux qui prennent naissance à la région
x internes ou épineux du long dorsal, il se termine en haut par une
série
de faisceaux sur le sommet des apophyses épineuse
peu de celui de l'hyperesthésie- : il faudra recourir en outre à la
série
des médicaments nervins préconisés dans le trai
.] 654 - MALADIES DU LARYNX. formes dites essentielles, il y a la
série
des cas symptouialiques, ce qui n'empêche pas d
tendance à considérer la myotonie congénitale, reliée par toute une
série
d'échelons à la myopathie classique, comme une
peuvent se combiner entre elles; on observe non seulement toute une
série
de formes intermédiaires aux différents types,
Quand ils sont couchés, ils ne peuvent se lever qu'en exécutant une
série
de mouvements tout à l'ait typiques qui ont été m
nnue; , 2° Une cypho-scoliose parfois très pro- noncée ; 5" Une
série
de symptômes d'origine médullaire plus ou moins
te ou de dystrophie muscu- laire hyperplast ique (Talma), toute une
série
de faits dissemblables tant parleur localisatio
ister de façon précoce. Dans ce but, Fourniera recommandé toute une
série
d'épreuves qui constituent ce que l'on a appelé «
rticulier du membre supérieur, main et doigts. Elle consiste en une
série
de saccades dans les mouvements volontaires, ma
les (Menzel), les pieds quittent le sol et s'y re- posent par une
série
de petits déplace- ments ; ces déplacements s'a
constituantes élémentaires; le malade est incapable de combiner la
série
des déplacements qui, dans un mouvement composé,
ommande ensuite d'allonger de nouveau son membre inférieur, la même
série
de mouvements se repro- duira en sens in- ver
ment volitionnel des cérébelleux. L'écriture, qui nécessite une
série
de mouvements successifs, de changements de dir
n, est rapidement altérée, irrcgulière et anguleuse, formée d'une
série
de lignes brisées ; mais elle ne présente pas
coup moindre que l'ataxie. Elle peut n'être décelable que par une
série
de recherches et d'épreu- ves que l'on peut qua
s et du tronc, d'où perte de l'équilibre. . b) Petite asynergie :
série
de petits signes décelables dans les mouvements
vir d'exemple pour la pratique que nous signalerons les principales
séries
d'exercices préconisées par Frenkel. ™^ TECHNIQ
e marche. L'importance relative qu'il convient de donner à ces deux
séries
d'exercices varie naturellement sui- vant le de
trois quarts de pas ou des quarts de pas en avant : pas séparés ou
séries
de pas. Faire des demi-, trois quarts et quarts
ds l'un devant l'autre, sur la bande étroite. Marcher en zigzag, en
série
régulière. Changer de direction, tourner : l'un
quant, en partant du centre, la place de la pointe du pied dans une
série
de petits pas en avant, en arrière, à droite et
imultanés et très variés des deux mains. Une planchette portant des
séries
de chevilles permet de procéder non seulement à
léaires purs : l'hémiplégie croisée fait défaut. 11 est d'abord une
série
de cas où le trouble bulbaire porte exclusiveme
ogres- sif. Il ne survient dans cette dernière maladie qu'après une
série
de troubles spastiques et atrophiques intéressa
eux ictus nécessaires à la constitution du syndrome, mais toute une
série
de petits ictus, souvent peu nets, délicats à rep
niques et en cloniques. Cloniques, elles sont constituées par une
série
de contractions muscu- laires alternatives que
ues, les convulsions doivent être soigneusement différenciées d'une
série
d'autres troubles moteurs, dont voici les princi-
deux grandes névroses convulsives, l'épilepsic et l'hystérie, d'une
série
de circonstances cliniques où le praticien pour
de supination et de pronation pour l'avant-bras : il en résulte une
série
de mouvements irréguliers qui sont tout à fait di
omme l'a montré Brissaud, ce tremblement est toujours le fait d'une
série
de contractions successives des extenseurs et des
90 à 150 expirations à la minute était, en réalité, composée d'une
série
d'actes respiratoires subdivisés en 2 ou 5 temps.
rissaud a écrit dans ses « Leçons sur les maladies nerveuses a. (2"
Série
, 1899), une variété de chorée qu'il a appelée cho
e s'observent ces myoclonies, M. Ray- mond (Leçons cliniques, 1 rI'
série
) a montré que toutes les myoclonies se développ
rire qui lui ouvre largement la bouche et qui est décomposé par une
série
de mouvements spasmodiqiies des muscles respira
remiers, de beaucoup les plus fréquents, se caracté- risent par une
série
de mouvements brusques, intermittents ; les secon
suivant les cas et suivant les moments. Dans chacun de ces accès la
série
des contractions musculaires successives est es
Dans le troisième stade, on fera exécuter alternativement les deux
séries
d'exercices précédents, en même temps que des mou
pas nous arrêter. HYPERTHERMIE. U55 D'autre part, il existe une
série
de, troubles fonctionnels qui sont plus évident
usent de se laisser convaincre. Peu il peu ils se reconnaissent une
série
de sym- ptômes : troubles digestifs, faiblesse
u par compression, la radiographie et l'oesophagoscopic donnent une
série
de renseignements absolument démonstratifs. Il va
, et leurs efforts redoublent. Finalement éclatent soit des rots en
série
, soit une éructation unique mais prolongée. Le
ut caractéristique par le fait qu'elle ne rentre aucunement dans la
série
des atti- tudes qu'on donne normalement il la
on aura fait oeuvre inutili- sable. Comment comparer, en effet, des
séries
dans lesquelles on ignore si le D. ant.-post. m
l l'esprit la notion suivante : les moyennes sont établies avec des
séries
dont les chiffres extrêmes sont parfois fort él
e imper- sonnelle. Examen du sujet. Il vaudra mieux commencer une
série
complète de mensurations par celles qui nécessi
elques jours d'intervalle, alors que l'on aurait oublié la première
série
de chiffres. Le compas glissière ne sera point
orme polycyclique dans laquelle la cicatrice est constituée par une
série
d'arcs de cercles réunis bout à bout. D) La for
ennes multiples systéma- tisées d'une façon homologue pour une même
série
de dents sur tout un groupe d'incisives ou de c
rompra alors le traitement durant dix jours et on fera une nouvelle
série
de vingt frictions. Ce même traitement pourra è
environ, d'après Sicard, et dans une proportion semblable, dans une
série
de soixante ponctions lombaires que nous avons pr
l, Sicard et Itavaut (son. Neurologie, 2 avril 190), ont publié une
série
d'observations de paralytiques géné- raux, de t
es de substances toxiques, en plaçant en même temps deux animaux en
série
sur le trajet du courant, on ne détermine des e
ns thérapeutiques. Ces appareils ont l'avantage de provoquer chaque
série
d'excitations avec des courants dont l'énergie
premier employé cette combinaison. On associe les deux courants en
série
, et, pour cela, on relie la bobine faradique et
ocède de la même façon que dans le premier. Au lieu d'être faite en
série
, l'association des deux courants pourrait, être
mps, surtout s'il parait avoir quelque efficacité, en procédant par
séries
de traitement de plu- sieurs mois entrecoupées
cédant par séries de traitement de plu- sieurs mois entrecoupées de
séries
de repos plus ou moins prolongé. Pendant ces pé
crochet du rachitome ou la pince-davier de Farabeuf pour enlever la
série
des apophyses épineuses et des lames vertébrales
grand x avantage de pouvoir, une fois la pièce durcie, la couper en
série
de « haut en bas au microtome et de pouvoir ain
en coupes micro- scopiques sériées. On découpe préalablement une
série
de feuilles de papier à filtre dont la surface
ant leur numéro d'ordre, elles sont ensuite colorées et dans chaque
série
l'on monte un plus ou moins grand nombre ou la to
vue de l'histologie normale du système nerveux de l'homme et de la
série
ani- male, mais elles n'ont aujourd'hui qu'une
es indications sont méthodiquement réparties de façon il former une
série
de fiches bibliographiques que les travailleurs p
philitique. Dans ces conditions, il fut soumis immédiatement à deux
séries
de 15 frictions avec 2 grammes d'onguent mercur
de 15 frictions avec 2 grammes d'onguent mercuriel double, les deux
séries
séparées par un intervalle de 8 jours. Pendant
ndre de 0 gr. 30 à 0 gr. 50 d'iodure de potassium : faire ainsi trois
séries
en laissant un intervalle d'un mois entre chaqu
la paralysie générale pouvaient s'associer. Puis Westphal, dans une
série
de travaux, apporta à l'étude de ces rapports une
nifestations spinales précoces offre la plupart des symptômes de la
série
tabétique. UN ALGÉS1MÈTRE APPAREIL POUR MESUR
t de la mamelle. Au moment de la crise, il se produit localement la
série
des phénomènes vaso-moteurs, qui vont de la con
XVII contiennent des exemples parfaitement concluants pris dans les
séries
chrono-photographiques faites récemment, avec M
de l'antagoniste toute faible qu'elle soit paraît évidente sur nos
séries
chronophotographiques (PI. XVI, Hg. 1). Si l'on c
gera guère quel que soit le sens du mouvement. ' Dans la deuxième
série
des mouvements lents, ceux qui se passent dans le
ogie du système ner- veux des animaux, même des plus élevés dans la
série
: les interventions chirurgicales réservent, à
ur ce sujet, dressé une sorte d'échelle symptomatique et établi une
série
de groupes distincts, chaque groupe symptomatique
1. 172 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAn'ÈTiUÈUE tre dans toute une
série
de cas el que, dans beaucoup d'entre eux, on ob
iques. Eu même temps, nos obser- vations démontrent, dans toute une
série
de cas, la coïncidence de l'eczéma avec l'hysté
t à fait extraordinaire, constituée, si je puis ainsi dire, par une
série
de zonas étages. 1 L'interrogatoire de la malad
et coloré par le même procédé que la moelle, le bulbe fut coupé en
série
dont nous donnons dans le dessin ci-joint trois e
cathédrale de Malines une Guérison de Possédé qui fait partie d'une
série
de vingt-cinq panneaux sur bois, peints par un
ttaques qui autrefois étaient isolées, se montrent main- tenant par
séries
de 2 ou 3, qui laissent en général après elles un
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Depuis lors le malade a encore eu deux
séries
de trois crises, mais la chute des cheveux ne s
arriérées. Le myxoedème tardif entraîne en outre chez la femme une
série
de modifications qui semblent faire subir à son
s et les Difformes dans l'Art. Mais ils sont loin d'avoir épuisé la
série
des documents figurés qui touchent de près ou de
'autres fois, après une ère de créations raisonnables, apparaît une
série
des productions progressivement incompréhensibles
des tampons pour arrêter les hémorrhagies. N'est-ce pas plutôt une
série
de corps étrangers extirpés avec succès par l'o
ont; montré que cette colonne grise se com- pose, en réalité, d'une
série
de centres successifs, destinés aux divers musc
ps, guéri de sa toquade. Ce dernier tableau de Jan Steen termine la
série
des documents que j'ai recueillis concernant le
eur est émoussé; à la surface convexe du lobe droit on aperçoit une
série
de petites dépressions arrondies, du volume d'u
de la syphilis médullaire, car elle représente un type extrême de la
série
, variée à l'infini, des formes anatomiques et c
tomiques et cliniques de cette affection. A l'autre extrémité de la
série
nous placerons l'observation d'atrophie mus- cu
héma clinique presque parfait de la maladie de Parkinson. Dans la
série
des représentations figurées des principaux types
FRACTURES DU CRANE DE BÉRENGER DE CARPI 375 cràne, puis toute cette
série
de variétés de fractures aux noms barbares et d
Le traite- ment général consiste, d'après Bérenger, dans toute une
série
de précau- tions sur lesquelles il insiste avec
du bassin et des membres inférieurs. M. le Dr Clozier pense que la
série
des déformations qu'il signale reconnaît pour c
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