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1 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
faux du cerveau. Les deux moitiés cérébrales, ou hémisphères, sont séparées l'une de l'autre par une fente médiane (la fente
et en arrière (schéma 2). Les circonvolutions orbitaires (FO*) sont séparées des circonvolutions temporales (T3) par une anfra
gauche s'écartent davantage les unes des autres; l'intervalle qui les sépare est limité en dehors, de chaque côté, par une lig
ie postérieure du tuber cinereum, au devant de l'espace angulaire qui sépare les pédoncules (PP) et qu'on appelle l'espace per
fait corps avec les circonvolutions, dont il n'est qu'imparfaitement séparé par un sillon (PRU), le sillon prse-uncique, diri
par la protubérance. Celle-ci, limitée en avant par le sillon qui la sépare des pédoncules (sillon pédon-culo-protubérantiel)
(sillon pédon-culo-protubérantiel) et en arrière par le sillon qui la sépare du bulbe (sillon bulbo-protubérantiel), est parco
encéphale, symétriquement, sur la ligne médiane. Mais d'abord il faut séparer le cerveau proprement dit de la protubérance, à l
au-dessous de la ligne moyenne. Le cerveau proprement dit une fois séparé du cervelet et du bulbe, on sépare l'un de l'autr
Le cerveau proprement dit une fois séparé du cervelet et du bulbe, on sépare l'un de l'autre les deux hémisphères. Pour cela
le est entamée i sa partie inférieure par une profonde dépression qui sépare le lobe routai du lobe sphénoïdal. Cette dépressi
n a appelé le seuil de Vhémisphère ou limen (schéma 8, A). Elles sont séparées de l'écorce, en haut, par un sillon qui s'enfonce
, la scissure calloso-marginale ou limbique (L). En bas, le limen est séparé de l'écorce par un sillon qui fait suite au sinus
détaché de la masse encéphalique, et que les deux hémisphères ont été séparés par une scissure médiane intéressant le pont de V
re gauche; on a sous les yeux l'hémisphère droit, et l'intervalle qui sépare le corps calleux de la partie antérieure du trigo
térieur (QA), immédiatement au-dessous du splenium (SPL), dont il est séparé par la fente de Bichat. Libre en arrière, où elle
t elliptique, dont le grand axe est oblique en haut et en avant. Elle sépare le pilier de la voûte du pied du septum lucidum.
oprement appelé ventricule de la cloison. C'est le septum lucidum qui sépare les deux ventricules latéraux au-dessus de la voû
el elle se confond souvent, mais dont elle est parfois très nettement séparée . En effet, si ces deux parties blanches sont diff
i occupe, dans l'espace perforé, une région plus antérieure. Elle est séparée du pied du septum par un intervalle d'un centimèt
pocampe (ce sillon n'esl représenté ici que par la ligne sinueuse qui sépare la substance réticulaire (LMA) et le fascia denta
posés en éventail au fond de la scissure de Svlvius. Les lobes sont séparés les uns des autres par les scissures. Les circonv
r les scissures. Les circonvolutions dont se composent les lobes sont séparées les unes des autres par les sillons. Il ne faut p
cisures continues sont les plis d'inflexion ou méandres. Les plis que séparent , sur une même circonvolution, les incisures isolé
diment de la scissure calcarine (K, schéma 15). Cette petite scissure sépare la région pariétale (P) de la région temporale (T
représente l'ébauche du corps godronné ou fascia dentata, et qui est séparé de l'écorce proprement dite par un sillon demi-ci
calcarine (K) s'étend, d'arrière en avant, un grand sillon (otK) qui sépare en deux étages ou en deux grands plis longitudina
uième temporale est appelée gyrus lingualis (O5). Le grand sillon qui sépare la quatrième circonvolution temporale (T*) de cin
(L), qui forme la limite postérieure du lobe para-central (Pa) et qui sépare la première circonvolution frontale (F1) de la ci
petit pli de passage fronto-limbique. Enfin, dans l'intervalle qui sépare le lobe paracentral (Pa) du lobe occipital (06),
ocampe. En avant, entre la quatrième et la cinquième, un sillon (PRU) sépare le pôle sphénoïdal (PO) du crochet de l'hippocamp
s postérieur (GQP) ; d'autre part, par la scissure sous-pariétale qui sépare le gyrus postérieur (GQP) du bourrelet du lobe ca
cipitale (Oe). Le grand sillon métopique (sME), la plupart du temps séparé du premier sillon sous-frontal (sF) par un pli ta
de quatre mois et demi (grandeur naturelle). volutions parallèles, séparées par deux sillons [t^ et fj), mais confondues dans
ule pariétal supérieur (P1) et le lobule pariétal inférieur (P2) sont séparés de la scissure de Rolando (R), chacun par un peti
us falciforme (GFA). Les trois plis de l'insula proprement dit sont séparés par deux sillons égalements convergents, partis d
de l'insula antérieur (PI). Les deux plis de l'insula postérieur sont séparés l'un de l'autre par une incisure qui n'atteint pa
stérieur (INP) et l'insula antérieur (IN) sont au contraire nettement séparés par un sillon plus profond, qui s'étend sur tout
ne rigole. Une rigole antérieure (IRA), dirigée en bas et en arrière, sépare la partie antérieure de l'insula de la partie pos
l'hémisphère (pTt) en arrière de l'opercule temporal (T1) dont il est séparé par une incisure à peu près constante (it) ; il s
en arrière. Arrivée au contact du pôle sphénoïdal (PS), dont elle est séparée parla vallée de Sylvius, elle se coude à angle dr
e manteau perpendiculairement au plan même des anfractuosités qui les séparent : problème presque irréalisable. Il faut se conte
nt avec le grand sillon métopique (sME). La scissure limbique (L) est séparée de lui par un large Schéma 29. — Face interne d
e forte branche ascendante; et c'est cette branche supplémentaire qui sépare les deux plis en question. De cette façon la di
s du premier gyrus sous-frontal (GSF). L'intervalle qui, à ce niveau, sépare le sinus du corps calleux [sC) et la scissure lim
ieur (pri). Le pied de la deuxième frontale, qui, dans l'état normal, sépare ces deux sillons, est donc séparé ici (pF2) de la
frontale, qui, dans l'état normal, sépare ces deux sillons, est donc séparé ici (pF2) de la frontale ascendante (F). Les troi
, qui devrait aboutir au sillon post-rolandique inférieur {p2),en est séparé par un pli d'anastomose qui relie le lobule parié
audé dans toute sa longueur, en le limitant sur son bord interne ; il sépare ainsi le noyau caudé de la couche optique. Nous é
ments porte le nom de noyau lenticulaire. Le noyau lenticulaire est séparé du noyau caudé et de la couche optique par une la
re un trajet de sept centimètres environ, la scissure de Sylvius (S') sépare la région fronto-parié-tale de la région temporal
nte seulement une incisure (it), Y incisure temporale de Sylvius, qui sépare la première circonvolution temporale (T1) du pied
(pTt). Quelquefois on voit encore une incisure tout à fait antérieure séparer la première temporale (T1) du pôle sphénoïdal (PS
as et en avant, décrit des sinuosités plus ou moins anguleuses : elle sépare la frontale ascendante (F) de la pariétale ascend
s ou moins près de la scissure de Sylvius. La portion de l'écorce qui sépare ces deux scissures est l'opercule rolandique de S
e disposition correspondante des deux circonvolutions que la scissure sépare ; on reconnaîtra ainsi toujours, et très facileme
érieure du premier sillon frontal (f{) qui, dirigé horizontalement, sépare les deux premières circonvolutions frontales (F1,
où il a encore une forme étoiléc. soe. Le sillon orbitaire externe sépare la partie la plus inférieure de la troisième fron
sillon post-rolandique supérieur, parallèle à la scissure de Rolando, sépare la circonvolution pariétale ascendante (P) du lob
ur (P*) jusqu'à un tronçon de la scissure occipitale externe (Oe). Il sépare deux régions bien distinctes qui appartiennent l'
erse. Dans la région inférieure, il envoie deux branches, l'une qui sépare le lobule pariétal inférieur (P2) du lobule du pl
le pariétal inférieur (P2) du lobule du pli courbe (GP) ; l'autre qui sépare le lobule du pli courbe (GP) du pli courbe (PC).
pariétal. ipi. L'incisure du lobule pariétal inférieur, verticale, sépare le lobule pariétal inférieur (P*) du lobule du pl
P). Elle paraît faire suite à la scissure de Sylvius, dont elle est séparée cependant par l'opercule (OS). igp. L'incisure
(OS). igp. L'incisure du lobule du pli courbe, également verticale, sépare le lobule du pli courbe (GP) du pli courbe lui-mê
, en arrière et en dedans, il émet une branche postéro-inférieurc qui sépare le deuxième pli de passage pariéto-occipital (tcP
sillon temporal, parallèle au premier, se compose de trois tronçons, séparés par des plis d'anastomose entre la deuxième circo
'elle envoie en haut et en arrière, au-dessus du pôle occipital. Elle sépare la première circonvolution occipitale (O1) de la
ariétal supérieur est accolé à la pariétale ascendante, dont il n'est séparé en avant que par le sillon post-rolandique supéri
t que par le sillon post-rolandique supérieur (p^. En arrière, il est séparé du pli inférieur (P'i) par le sillon pariétal tra
du lobule pariétal inférieur (ipi). GP. Le lobule du pli courbe est séparé du lobule pariétal inférieur par l'incisure de ce
tal inférieur par l'incisure de ce lobule (ipi) ; il est, en arrière, séparé du pli courbe par l'incisure du lobule du pli cou
ccipitale (O2) ; il envoie un prolongement à la première (O1). Il est séparé , par le premier sillon temporal (tti), du troisiè
li de passage (tïP) . 02. La deuxième circonvolution occipitale est séparée de la première par le prolongement supérieur de l
a, dans la fosse de Sylvius. La première circonvolution temporale est séparée de la deuxième par le premier sillon temporal (£t
ariétal supérieur (lJ1s). pr Le sillon post-rolandique supérieurest séparé du sillon post-rolandique inférieur (p2) par un p
pôle sphénoïdal jusqu'au pli courbe. A son extrémité postérieure, il sépare le pli courbe proprement dit (PC) du deuxième pli
p/) ; il en n^sulte que le lobule pariétal iuférieur {l") est à peine séparé du lobule du pli courbe (GP). j PC. Le pli cour
du pli courbe (GP). j PC. Le pli courbe, lui non jikis, n'est })as séparé du lobule du pli ' PLANCHE II DEUX HÉMISPHÈRE
tenant au cerveau schématique. Figure 1. L'hémisphère droit a été séparé de son congénère par une incision pratiquée au mi
C. Sinus du corps calleux. Toute la face convexe du corps calleux est séparée de la masse des circonvolutions qui l'entoure, pa
du corps calleux [sC] ne contourne pas le bourrelet (SPL). Il en est séparé (fig. 2) par le prolongement supérieur du tubercu
n. Le sinus du corps calleux représente la ligne de démarcation qui sépare les parties médullaires de l'encéphale et les par
is du lobe carré (GQA, GQP, BQ). Oi. La scissure occipitale interne sépare le lobe pariétal du lobe occipital. Elle s'étend
K. La scissure calcarine, horizontale, légèrement convexe en haut, sépare le cuneus (0'') du gyrus lingual (0^). Elle s'éte
re le sillon prse-uncique {PRU), qui, à l'extrémité du lobe temporal, sépare le pôle sphénoïdal (PS) du lobule de l'hippocampe
de l'hémisphère jusqu'au voisinage de la scissure limbique. Il n'est séparé de cette scissure que par un petit pli qui appart
u grand pli de passage fronto-limbique (tcF). Le sillon prse-ovalaire sépare le gyrus métopique postérieur (GMP) du lobule par
de la scissure limbique ; le moyen ou pli sous-ovalaire (PSO) est mal séparé du pli postérieur (PEN) ; cependant on le voit en
re 2 de la même planche. Le gyrus antérieur du lobe carré (GQA) est séparé du gyrus postérieur (GQP) par le sillon pariétal
le arrive jusqu'au voisinage du pôle sphénoïdal (PS), dont elle n'est séparée que par le sillon prse-uncique {PRU). Revenons à
que son absence. GSf. La deuxième circonvolution sous-frontale est séparée de la première circonvolution sous-frontale (GSF)
tangle frontal antérieur (Rf), avec le gyrus reclus (GR), et elle est séparée du rectangle frontal antérieur par le siRon rostr
rmédiaire du pli de passage cunéo-lim-bique (i:0®). Ce pli de passage sépare l'extrémité antérieure de la scissure occipitale
présentée par le pli de passage temporo-limbique (uT). En bas, il est séparé du lobule fusiforme (0'*) par le grand sillon occ
ion avec la quatrième circonvolution temporale (T*). En bas, elle est séparée de la troisième temporale (T") par le troisième s
déjà été question plus haut (voy. C et HL). PS. Le pôle sphénoïdal, séparé , en apparence, du reste du lobe temporal par le s
veau schématique. Figure 2. Ici l'hémisphère cérébral droit a été séparé de l'hémisphère gauche non par une section médian
tangente à la partie supérieure de la face interne. Le couteau a donc séparé de l'hémisphère toute la région pédonculo-protubé
l'entaille de Rolande {R) et le sillon pariétal transverse (pt). Elle sépare donc complètement toute la région sous-frontale e
sous-frontale et frontale de la région pariétale; d'autre part, elle sépare complètement la région frontale de la région limb
e complètement la région frontale de la région limbique. Mais elle ne sépare pas la région pariétale de la région limbique, at
rrompu par aucun pli d'anastomose sur aucun point de son parcours. 11 sépare absolument la masse corticale commune à la cinqui
ance; il n'a plus de continuité ; il se compose de tronçons isolés et séparés les uns des autres par de larges plis d'anastomos
DRorr Le développement du lobe frontal est énorme. La distance qui sépare le milieu de la scissure de Rolando (jR) et le si
do (jR) et le sillon rostral (SR) est plus grande que la distance qui sépare le milieu de Rolando et le pôle occipital (0^). C
, depuis le voisinage du pôle sphénoïdal jusqu'au pli courbe (PC). Il sépare la première circonvolution temporale (T') de la s
e ce lobule par sa partie moyenne au lieu de le circonscrire et de le séparer du gyrus métopique postérieur (GMP). D'ailleurs l
llon prae-ovalaire. GQA. Le gyrus antérieur du lobe carré n'est pas séparé du gyrus postérieur au niveau du bord supérieur d
ur de l'hémisphère, elle s'arrête et se bifurque. L'intervalle qui la sépare de l'extrémité supérieure I de la scissure de Rol
était conforme au type du cerveau schématique. C'est à peine si elle sépare le gyrus postérieur (GQP) du bourrelet du lobe ca
ent de la scissure limbique. pt. Le sillon pariétal transverse, qui sépare le gyrus antérieur (GQA) et le gyrus postérieur d
lobe carré (PEN), re monte obliquement en haut et en arrière, où elle sépare le gyrus postérieur et le bourrelet du lobe carré
nou du corps calleux (GG) par un pli d'une grande minceur. Elle n'est séparée du grand pli de passage fronto-limbique (xF) que
du lobe carré sont représentés par deux petits plis parallèles et que sépare BKISSAUD. 4 seulement une incisure peu profon
ut et en arrière, un tronçon isolé de la scissure sous-pariétale [sP) sépare le bourrelet (BQ) et le gyrus postérieur du lobe
GQA, GQP. Le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du lobe carré, séparés l'un de l'autre par le sillon pariétal transverse
e l'autre par le sillon pariétal transverse (pt), sont, d'autre part, séparés du bourrelet du lobe carré (BQ) par une profonde
e se jette en avant dans la scissure occipitale interne ; elle en est séparée par le pli de passage cunéo-limbique (i^O^) ; et
isse insinuer le cou teau à la partie externe de celle-ci, de façon à séparer le corps gcnouillé interne et le pulvinar (Pul).
olution de l'hippocampe, sans toucher le fascia dentata dont elle est séparée par un sillon, le sillon de l'hippocampe. En avan
trémité antérieure du lobe temporal ou pôle sphénoïdal (PS). Elle est séparée du pôle sphénoïdal par un sillon (PRU), le sillon
Le taenia semi-circularis est la petite bande de fibres blanches qui sépare la couche optique (Pul) de la queue du noyau caud
FACE INFÉRIEURE d'uN IIÉMISPUÈRE GAUCUE Cet hémisphère gauche a été séparé de l'hémisphère droit par une section sagittale s
limètres. Derrière le lobule de l'hippocampe, la fente de Bichat (Bf) sépare la masse protubérantielle (PV) de la circonvoluti
re sous-pariétale (sP), apparaît la scissure occipitale interne (Oi), séparée de la calcarine {!() par la pointe du cuneus (0")
Sylvius (S), qui, décrivant une vaste courbe à convexité antérieure, sépare le lobe frontal du lobe temporal. Cette vallée de
re, est repliée plusieurs fois sur elle-même ; en arrière elle semble séparée de la troisième circonvolution occipitale (0^) pa
temporal est une compensation évidente du sillon de communication qui sépare le lobule fusiforme (0^) de la quatrième circonvo
lon profond, qui, loin d'être perdu dans la région orbitaire externe, sépare nettement le lobule orbitaire proprement dit (F%F
Derrière le bourrelet du corps calleux, on voit le lobe carré (Q), séparé du cuneus (0®) par la scissure perpendiculaire in
ure de la face interne de l'hémisphère; c'est sa branche montante qui sépare , à cet endroit, le cuneus (0'') du pôle occipital
dent les trois circonvolutions temporales (T\ T, T) ; la première est séparée de la seconde par le premier sillon temporal {l^}
nt aussi, dans leur ensemble, la masse ovoïde du thalamus. Ils sont séparés les uns des autres par une sorte d'étoile blanche
es perpendiculairement à leur direction. Le noyau externe (NeC) est séparé de la couronne rayonnante par une lame blanche d'
nt la majeure partie du lobe frontal. La troisième circonvolution est séparée du lobule de l'insula (IN) par la rigole antérieu
rrière de ce sillon vient la troisième circonvolution (T^) ; elle est séparée :par le troisième sillon (L) du pôle occipital (P
La commissure blanche antérieure (CA) coupée sur la ligne médiane est séparée du tubercule de jonctiori par une petite émi-nenc
envoie des prolongements profonds jusque sous le lobule lingual qu'il sépare du lobule fusiforme. Cavité ventriculaire. Ic
nction derrière la scissure limbique (L). Mais en réalité elle en est séparée par les fibres du pied du septum, qui, étant ici
e interne (CIA). Les deux noyaux n'en font qu'un seul ; mais ils sont séparés l'un de l'autre, dans leur partie supérieure, par
e en dehors, occupe toute la région profonde de l'insula, dont il est séparé par trois couches distinctes : 1" la capsule exte
e blanche (MLE), cloison verticale externe du noyau lenticulaire, qui sépare le putamen des deux segments internes du noyau le
mant la paroi antérieure de la fente de Bichat. La fente de Bichat le sépare de la circonvolution de l'hippocampe (Hip). Le pu
i comme un noyau isolé et indépendant de ces deux derniers. 11 en est séparé en réalité par un autre noyau profond, le noyau m
s'étend, en dehors de la corne occipitale du ventricule, dont il est séparé par le tapetum (TAP), depuis le noyau lenticulair
pénètre ainsi derrière le lobe frontal, de dedans en dehors et n'est séparée de la scissure de Sylvius (S') que par le pôle de
ement dite. La fente de Bichat est précisément l'espace lacunaire qui sépare la pointe du crochet (Une) et la corne d'Ammon, d
rface blanche, qui appartient au faisceau sensitif (FS), et qui n'est séparée de celui-ci que par de très rares fibres du tapet
FS). Ce n'est là qu'une apparence. Le noyau amygdalien, en effet, est séparé de l'écorce par des lames blanches qui appartienn
les étudierons ultérieurement (voy. NA, Pl. XXIX et XXX). Il est même séparé du crochet, au moins en partie, par une petite cl
tué immédiatement au-dessous de la tête du noyau caudé, dont il n'est séparé que par le fasciculus uncinatus (FU, voy. plus lo
n a donné le nom de corne d'Ammon. — Le fascia dentata est d'ailleurs séparé de l'écorce de BUISSAUD. 6 l'hippocampe par u
u lobe occipital, où il devient tout à fait diflùs. En dedans, il est séparé de la queue du noyau caudé (NCC) par un petit tra
ar un petit tractus gris qui représente le tapetum. En dehors, il est séparé de l'écorce par le faisceau pariétal vertical (FP
es faisceaux dirigés d'avant en arrière vers le pôle occipital, étant séparés , au moins dans le sens vertical, par la fente ven
cérébral. Cette étroite fusion de fibres qui étaient distinctes et séparées dans une région plus antérieure, donne aux coupes
inférieure des lobules lingual et fusiforme (0% 0"). Il est nettement séparé de la calcarine par un faisceau vertical très bla
orce grise du cuneus, à laquelle on le voit s'accoler, et dont il est séparé seulement, de place en place, par la lame festonn
ante [sCu) à sa partie moyenne. Au-dessous, la scissure calcarine {K) sépare le cuneus (O'^) du gyrus lingual (0"'). Celui-ci
tion occi-pito-temporale (T^). Le troisième sillon teniporal, qui les sépare l'un de l'autre [oQ, n'a que peu de profondeur;
aître ici dans les deux plis du cuneus le faisceau compact du fornix, séparé de l'écorce grise, surtout dans le pli inférieur,
uche claire de la lame festonnée (LFE). La cavité ventriculaire est séparée du faisceau sensitif (FS) en dehors, et du faisce
s de la région occipito-temporale sont presque toujours distinctes et séparées , dans la totalité de leur trajet antéro-postérieu
des fibres plus ou moins obliques. Les fibres externes sont nettement séparées par le bord très accentué d'un nouveau faisceau d
e surtout la partie supérieure de cette circonvolution. 11 est encore séparé de la cavité du ventricule par les fibres inférie
érale. : Ici on voit que sa partie supérieure, effilée, est nettement séparée : du faisceau pariéto-frontal (FPF) et du faiscea
t j au-dessus de la paroi supérieure du ventricule, dont elles sont i séparées par les fibres inférieures du forceps (FOi). Elle
ésente d'une façon constante deux branches, un(i supérieure [Oi), qui sépare le lo-be carré de la masse hémisphérique ; une in
e la substance grise et le ventricule. L'intervalle qui, à ce niveau, sépare l'écorce de la cavité ventriculaire, contient, ou
eus nous retrouvons le gyrus lingual (0"j et le gyrus fusiforme (0^), séparés l'un de l'autre par le grand sillon occipito-temp
e pli inférieur du lobule pariétal supérieur (P4). Ces deux plis sont séparés par un prolongement transversal de la scissure pe
tale externe {Oe). Ce prolongement de la scissure occipitale est donc séparé du bord médian de l'hémisphère par le pli supérie
tomose avec la première circonvolution temporale (T*), et il n'en est séparé que par le fond du sillon parallèle. p. Le sill
, se divisant en deux branches, c'est la branche supérieure {ti^) qui sépare encore ici les deux lobules pariétaux ; mais elle
ranche inférieure, au contraire (^li), s'enfonce dans l'hémisphère et sépare la première circonvolution temporale (T') de la d
rs, parallèle au fond de la scissure occipitale (sQ), dont elle n'est séparée que par le reste des fibres du faisceau compact d
Pa), confondu d'abord avec la , pariétale ascendante (fig. 7), en est séparé sur les coupes 10,11 et 12 ! par l'extrémité supé
) ou gyrus lingual. Le quatrième sillon occipito-temporal (o/j, qui sépare le gyrus fingual (0^) du gyrus fusiforme (0''), s
), s'enfonce sous le plancher de la cavité ventriculaire, dont il est séparé par le faisceau longitudinal inférieur (FLI). A
ondent dans la circonvolution pariétale supérieure (P'). Celle-ci est séparée de la pariétale ascendante (P) par le sillon post
ce blanche. FS. Le faisceau sensitif (fig. 9, 11,12), très compact, séparé , en dedans, du ventricule par une lame blanche, e
ôme pour les parties centrales. Ici, malgré les faibles distances qui séparent les plans de section, des transformations s'accom
a face supérieure et au bord supérieur qu'à la face interne. Elle est séparée de la frontale ascendante par la scissure de Rola
'enfoncent plus l'une et l'autre qu'à une faible profondeur; elles se séparent au-dessous de la surface, de façon à permettre de
s suivantes (17 et 18). FOs. Le faisceau supérieur du forceps, bien séparé du faisceau moyen (FOm), décrit une grande courbe
fondeur. Ce petit système de fibres arquées, absolument constant, est séparé de la substance grise de l'écorce par le cingulum
ce dernier de haut en bas, sans qu'au cunc ligne de démarcation les sépare nettement. Un grand nombre de leurs fibres s'intr
limite inférieure de la circonvolution du corps calleux (C), qu'elle sépare du corps calleux (ce) (voy. fig. 17 et 18). Cav
plancher ventriculaire. Le faisceau diffus du fornix (FDF) est mieux séparé de lui à ce niveau. On voit ses fibres, disposées
Le faisceau inférieur du forceps qui, tout d'abord, s'était nettement séparé du faisceau moyen (FOm), change, ici encore, d'as
, d'aspect. La portion foncée diminue de largeur. L'intervalle qui le sépare de la cavité ventriculaire est notablement augmen
forceps (FOm) est plus foncé qu'à sa partie externe. Il est nettement séparé de la lame festonnée (LFE) par une ligne courbe à
dont le pentagone du lobe carré n'est que la région postérieure, est séparée du corps calleux (ce) par une incisure peu profon
calleux avec la paroi interne du ventricule; une très faible distance sépare l'angle supéro-interne de la cavité et le fond du
le ou sillon du subiculum. FOi. Le faisceau inférieur du forceps se sépare du faisceau moyen (FOm) au milieu de l'angle supé
le corps calleux pénètre de droite à gauche dans l'hémisphère. Il est séparé de l'écorce, en haut et en bas par un sillon que
e développent et s'enroulent. Sur les figures 32, 33, 54, elle semble séparer le fasciola cinérea (Fci) et la substance grise d
) et la substance grise de l'hippocampe (Hip). En réalité elle ne les sépare pas; elle les recouvre l'une et l'autre. Mais com
stance blanche (LMA), celle-ci, sur les coupes verticales, paraît les séparer là où elle s'enfonce entre elles. Leur base grise
la corne d'Ammon et qui est le fascia dentata. Ce fascia dentata est séparé du tubercule (Tf) par la lame blanche (LMA). Au c
(Fd) ne se continue plus avec le fasciola cinérea ; et il n'est plus séparé du tubercule (Tf). Donc toutes les parties grises
ninterrompue les unes avec les autres. La lame blanche qui semble les séparer ne fait que les tapisser uniformément; et elle-mê
t plus à proprement parler au forceps major, quoiqu'elles n'en soient séparées par aucune démarcation appré- Face supérieure d
rallèles, fera voir sur la surface de section trois plans horizontaux séparés par des lignes de démarcation très arrêtées. Une
n dedans à sa partie supérieure. Au-dessus du ventricule (dont il est séparé par le tapetum (TAP), lîg. 32), il semble même, a
rfaces de cassure correspondent aux sortes de surfaces de clivage qui séparent réellement les unes des autres les lames imbriqué
ascendante (P). Jusqu'à présent, ces deux circonvolutions avaient été séparées par le sillon post-rolan-dique (p^. Désormais, le
nerea se porte en dehors vers la paroi du ventricule, dont elle n'est séparée que par l'alveus (ALV). Elle longe cette paroi ju
ria FI, passant du lobe sphenoidal dans le tr1 gone (TRI). toujours séparé de cette paroi (fig. 40) par une lame blanche (AL
s un instant. ALV. L'alveus. Nous venons de dire que la fimbria est séparée de la paroi ventriculaire par l'alveus (ALV, fîg.
st, dans son ensemble, strié transversalement. Les stries foncées qui séparent les couches blanches et qui sont visibles seuleme
sceau longitudinal inférieur comme des faisceaux compacts, absolument séparés les uns des autres. Nous nous sommes déjà expliqu
portent en avant, au-dessus de la corne d'Ammon. Elles sont désormais séparées du hile du fascia dentata (Hfd, fig. 41) par une
circonvolution limbique. circonvolution de l'hippocampe ; qu'il est séparé de celle-ci par un sillon (sillon de l'hippocampe
l'hippocampe SH dans le sinus du corps calleux (sC). Ces deux sillons séparent du corps calleux (ce) les deux circonvolutions ho
n étranglement (hile du fascia dentata, hFd). La lamina convoluta est séparée de la cavité ventricu-laire par l'alveus (ALV). L
V). L'alveus se prolonge, en do-dans, sous la lamina convoluta, qu'il sépare du sillon ventriculaire inféro-interne (Dsu). L
lon ventriculaire inféro-interne (Dsu). LST, le stratum lacunosura, sépare la lamina convoluta de sa portion rentrante ou fa
inéale (G), couchée sur la gouttière médiane, antéro-postérieure, qui sépare l'un de l'autre les deux tubercules gauche et dro
bstance blanche en dehors (45, 44, 45) se présente ici comme un îlot, séparé de toutes les parties avoisinantes par ia grande
qu'il n'arrive jamais jusqu'à la surface môme du pul-vinar. Il en est séparé toujours par une couche de substance grise. Et c'
fondent ; 60, section du noyau caudé et de la queue du noyau caudé, séparés l'un de l'autre par les fibres de la couronne ray
t sectionné que dans sa partie supérieure. Sa moitié inférieure a été séparée transversalement de sa moitié supérieure avant la
à un peu plus en dehors, il se rapproche de la bandelette blanche qui sépare le corps strié de la couche optique et que nous a
r la face externe, le sillon prse-rolandique supérieur Oprs, fig. 61) sépare la première frontale (F1) de la frontale ascendan
loin. Il est situé au fond d'une gouttière plus ou moins profonde qui sépare le pulvinar (Pul) du tubercule quadrijumeau antér
oujours sur la circon volution de l'hippocampe (Hip), dont elle est séparée par la fente de Bichat (Bf). Cette autre saillie
tient pas au ruban de Reil superficiel, visible à l'extérieur. Il est séparé de la surface par le bras du tubercule quadrijume
eur du trigone (fig. 62), étalé à la surface du thalamus, dont il est séparé par la toile choroïdienne, est constitué par les
thalamus (fig. 66) s'étend donc depuis le tsenia (Tse, fig. 64), qui sépare en haut le noyau caudé (NC) du thalamus (Th), jus
ais bientôt on voit s'isoler un noyau interne (NiC, fig. 89) ; il est séparé de la masse commune par des faisceaux de la capsu
ne faible saillie à la paroi supérieure de la fente de Bichat. Il est séparé du noyau postérieur parle bras du pulvinar (BP, f
agglomérer de la substance grise au-dessus du sillon très profond qui séparait le pulvinar du corps genouillé interne. Cette sub
inal postérieur cessent bientôt d'être immédiats (fig. 74). 11 en est séparé par une commissure (CMT), dite commissure de Meyn
s'écarter de la commissure postérieure; il n'en est que momentanément séparé par un nouveau faisceau, descendu du ganglion de
res du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP, 69). Ces lames séparent le corps genouillé in terne de la portion du th
genouillé interne et avec le bras du pulvinar (BP, fig. 68) ; elle le sépare du centre médian. On voit sur les coupes suivante
le est toujours située au-dessus du plafond du ventricule sphénoïdal, séparé en bas de la fimbria (El, fig. 72), par le prolon
s. 11 va sans dire que ces trois sections de la lamina convoluta sont séparées entre elles par deux sections du stratum lacu-nos
. 78) est à l'angle supérieur et interne de la couche optique. Il est séparé du noyau externe (NeC, 78) par une bande de fibre
ne (LML, 78), qui proviennent de la capsule interne (CID, 76), il est séparé , en bas et en dedans, du centre médian (NmC, 75,
ent se confondre en arrière : la lame médullaire interne cesse de les séparer . Mais, à partir du point où la lame médullaire n'
us côtés par de la substance médullaire. En haut et en dehors, il est séparé du noyau externe du thalamus (NeC) par la couronn
quelle il fournit de nombreuses fibres; en haut et en dedans, il (ist séparé du centre médian (NmC, fig. 7(5) par le bras du p
6) arrive presque au contact du centre médian (NmC). Mais elle en est séparée par des fibres qui seront plus apparentes sur des
pl. XXIV, lig. 80). Nous avons signalé l'excavation fissuraire qui sépare le ganglion de l'habénule du thalamus et qui form
e XeC; noyau interne NiC; centre uiédian NmC); ils sont recouverts et séparés les uns des autres par des irradiations du stratu
rs elles sont limitées par le faisceau de Tùrck-Meynert (FM), qui les sépare delà surface latérale du pont. TP. Parmi les fi
, — il n'est pas rare de voir un certain nombre de petits fascicules, séparés les uns des autres, suivre le même trajet, toujou
jours adjacent à la lamina lateralis de Reil (Lmd). Il semble en être séparé par le faisceau de la commissure postérieure (FCP
ascendante (F) et la pariétale ascendante (P). Le sillon pariétal (p) sépare la pariétale ascendante de la deuxième circonvolu
corps godronné situé BaiSSAUD. 17 à sa partie externe; il en est séparé par une cavité anfractueuse. sorte de cul-de-sac
de Vhippocampe (RAII). Le sillon de l'hippocampe n'est d'ailleurs pas séparé de la surface corticale par le Profil schématiq
rne du thalamus (fig. 81) est, sur quelques points encore, assez bien séparé du noyau externe (NeC). Sur d'autres points, il l
Plus en avant (fig. 82), la substance grise du corps genouillé est séparée de tous les faisceaux qui l'environnent par une v
n bord supérieur, il est très régulièrement demi-circulaire; toujours séparé de la couche optique et du pédoncule (FM, fig. 83
ligne médiane, juste au-dessus des pédoncules cérébraux dont ils sont séparés par la Projection horizontale de la région de l
de Reil et la substance noire de Sœmmering. Une très faible distance sépare donc leur entre-croisement de la région de l'étag
et comme perdue au milieu de la substance blanche de l'isthme. Elle sépare absolument l'étage inférieur de l'étage supérieur
eynert (FM) et même une partie du faisceau pyramidal (FP) ne sont pas séparés par le locus niger des fibres de l'étage supérieu
noire de Sœmmering s'arrête précisément à la lamina medialis, qui le sépare de la ligne médiane. FM. Le faisceau de Tiirck-
eprésente la portion la plus postérieure du pied du pédoncule. 11 est séparé de l'étage supérieur et en particulier de la lami
-Meynert n'est pas en contact immédiat avec le locus niger. Il en est séparé en partie par des fibres du fais-' ceau pyramidal
de la circonvolution de l'hippocampe (Ilip, fig. 85). Mais il en est séparé par un intervalle fissuraire, qui n'est autre que
i-ci, sectionné sur des parties de plus en plus larges, mais toujours séparé de la circonvolution de l'hippocampe par le sillo
stance réticulaire sont partie intégrante de cette grande commissure. Séparées momentanément au-dessous du splcnium, elles se re
t avec la partie externe de la fimbria. La crête épendymaire qui l'en séparait devient de moins en moins saillante (fig. 88). Au
t, est ici tout à fait voisin de la cavité ventriculaire. 11 n'en est séparé que par une couche très mince de substance grise.
tué à sa partie externe. Le faisceau longitudinal postérieur (FLP) le sépare toujours de la surface ventriculaire. Lmd. La l
haut et de dedans en dehors sur la face interne de ce noyau. Elle est séparée de la couche optique (Th) par la lame médullaire
avec les fibres du faisceau sensitif externe. Désormais elles en sont séparées par la capsule externe (CE). Mais il ne faut pas,
blanche innominée, est cette petite bande de substance médullaire qui sépare le claustrum de l'écorce de la fosse sylvienne. N
94), limité en bas par le noyau rouge de la calotte (NR) dont il est séparé par le faisceau longitudinal postérieur (FLP), pr
urs au-dessus de la lamina tegmenti (LTE). Aucun autre faisceau ne le sépare encore du thalamus. Mais, à partir de la coupe 96
otte. 11 enveloppe celle-ci dans sa concavité externe, et il n'en est séparé que par le fasciculus retroflex. FRF. Le fascic
is il représente la surface pédonculaire elle-même. En dedans, il est séparé de la région de la calotte par une petite bande f
supéro-interne du putamen. La lame médullaire externe du thalamus les sépare du noyau externe de la couche optique (NeC). La
couche optique, jusqu'au voisinage de la ligne médiane, dont il n'est séparé que par la couronne rayonnante du faisceau longit
lus loin), adjacent à la capsule externe (CE. fig. 101) dont il est séparé par une fissure réelle, il adhère intimement à to
ied du pédoncule, en empruntant la voie des deux lames verticales qui séparent les trois noyaux. Elles sont toujours dirigées de
tact immédiat avec la substance grise de la couche optique. Il en est séparé par une mince lamelle blanche venue du faisceau t
us. FRF. Le fasciculus retrofiexus de Meynert (fig. 98, 99, 101) se sépare à présent du faisceau longitudinal postérieur auq
au longitudinal postérieur (FLP) et le faisceau rétroflexe (FRF) se séparent , un nouveau faisceau s'insinue dans leur angle de
ceau supérieur, accolé à la partie interne du noyau rouge (NR) ; elle sépare , à ce niveau, les fibres directes et les fibres c
noyau rouge, s'étale à sa partie interne (fig. 101, CAO), où il n'est séparé de la cavité ventriculaire que par le faisceau lo
i zona incerta). Ce qui est certain, c'est que le faisceau capsulaire sépare ici le corps de Luys (DL) du faisceau rubro-thala
ait que le ventricule latéral, dans sa région la plus antérieure, est séparé de la fente de Bichat (BF). Sur les coupes précéd
la substance grise du lobule de l'hippocampe. Enfin, en haut, il est séparé de la bandelette optique (BO, fig. 108) par la fe
s on ne saurait négliger ce fait que le noyau amygdalien est toujours séparé de l'extrémité de la queue du noyau caudé par les
Tae, fig. 108), borde la face externe du noyau amygdalien, de façon à séparer ces deux noyaux. PUT. Le putamen (fig. 103) pré
ration. Ce faisceau sensitif externe (FSe, fig. 107) en est cependant séparé déjà, mais sur quelques points seulement, par une
bandelette sous-optique et à la racine inférieure du thalamus qui les séparent du noyau amygdalien, pénètrent avec ces deux dern
) il était encore adhérent à la substance grise du putamen; il en est séparé maintenant (fig. 107, 108) par une lame blanche,
tes les figures de la planche XXVIII. Sur les coupes 104, 105, il est séparé du fond de la scissure lim-bique (L) par une couc
Il remonte vers le tubercule antérieur de la couche optique (NaC), séparé de la substance grise intra-ventriculaire (Th), p
re sur la coupe 105 au-dessous du faisceau rubro-thalamique. Il n'est séparé de la cavité ventriculaire que par une mince lame
cialement dans la portion externe de cette capsule. En dedans, il est séparé du ventricule par la racine inférieure de la couc
ontale (F2) présente un grand développement (fig. 109); et elle n'est séparée de la troisième frontale (F5) que par un sillon d
a coupe passe au-devant de cette fissure (fig. 114), il est nettement séparé de la lame blanche (TAP) qui formait le plancher
aisceau de Vicq-d'Azyr (FVA, fig. 109) par sa face inférieure; il est séparé du noyau externe par le stratum zonale (ZS, fig.
fibres de l'anse, en effet, se composent de deux plans superposés et séparés l'un de l'autre par le noyau de Vanse; or les f
l'anse pédonculaire en deux couches principales de substance blanche séparées par une lame de substance grise. Mais la diffic
ire. En dehors du noyau lenticulaire existe une cavité flssuraire qui sépare ce noyau de la capsule externe; CE, capsule exter
tangente à la circonférence du tubercule mamillaire. Mais elle en est séparée toujours par un petit espace de substance grise p
is se mélanger avec ce dernier faisceau. On voit en effet celui-ci se séparer bientôt du faisceau capsulaire, en formant avec l
avec l'extrémité inférieure du faisceau capsulaire (MF) ; il n'en est séparé que par les dernières fibres de projection du fai
rrêter (fig. 113, 114); elles sont, dans cette partie de leur trajet, séparées des trois segments du noyau lenticulaire par la s
e l'opercule et de la deuxième frontale. Mais elles sont, ici encore, séparées de cette dernière circonvolution par le faisceau
ons (sur la coupe 120) se confondent presque complètement, et ne sont séparées que par une incisure peu profonde. Cette incisure
en rapport avec la racine inférieure du thalamus (ThI), dont il n'est séparé que très incomplètement par les fibres les plus i
nt en avant et en dedans, au-dessus du noyau amygdalien (NA), qu'elle sépare de la substance grise de la circonvolution de l'h
compagnent la racine antérieure du thalamus (ThA), dont elles ne sont séparées par aucune ligne de démarcation. Sur les coupes h
de la capsula extrema. L'intervalle qui, au-dessus de lui (fig. 120), sépare le claustrum et l'écorce (c'est-à-dire la capsula
faisceau longitudinal continue, plus loin encore, toujours nettement séparé de la substance blanche sus-jacente au diverticul
25 et 126, où un petit sillon en crochet, à convexité supérieure, les sépare (T4 T3, fig. 126). La scissure de Sylvius s'enf
érieure correspond à la rigole inférieure de l'insula. Celle-ci n'est séparée de l'espace perforé qnc par une mince bande horiz
zontales de la planche XLI pour s'assurer que le noyau amygdalien est séparé de l'avant-mur par la capsule externe (CE, pl. XL
convolutions ; on peut dire même qu'il en est à peu près complètement séparé , en haut par le faisceau arqué, en bas par le f
sque tout entière, épanouie à la surface du noyau amygdalien, dont la sépare seulement la racine inférieure du thalamus. Tou
elle n'arrive pas jusqu'à la surface de l'espace perforé; elle en est séparée par le noyau de l'anse (GAP). Celui-ci est réduit
fasciculus uncinatus (fig. 121) sous-jacent à la capsule externe est séparé de cette lame blanche par le prolongement inféro-
du putamen. Le fasciculus uncinatus n'est plus alors aussi nettement séparé de la capsule, et il s'entre-croise avec les fibr
te accolée à la troisième frontale (F3). L'anfractuosité profonde qui sépare ce pli de l'insula et la troisième frontale (F3)
divisée dans toute son étendue transversale, et le lobe temporal sera séparé du reste de l'hémisphère. La paroi supérieure d
u corps calleux. Ainsi, le sinus du corps calleux (sC, fig. 130), qui séparait le corps calleux de la circonvolution limbique (C
30), qui séparait le corps calleux de la circonvolution limbique (C), sépare le rostrum (ROS, fig. 152) du tubercule de joncti
le sillon olfactif interne (Soi). Soi. Le sillon orbitaire interne sépare la troisième circonvolution du gyrus rectus (GR).
e du corps strié, ne forment pas la limite de ce ganglion. Elles sont séparées de la capsule externe (CE) par le prolongement te
ssant entre elles un intervalle libre. Ici la coupe sagittale qui a séparé les deux hémisphères a passé exactement par cet i
aire du carrefour (LMV) avec laquelle elle se confond : elle n'en est séparée que par un sillon tout à fait superficiel. Nous s
ent une lame horizontale, ou légèrement oblique en haut et en dehors, séparée par une ligne de démarcation bien arrêtée, de la
e (F^) volumineuse recouvre l'entrée de la scissure de Sylvius et est séparée de la partie antérieure de l'insula (IN) par la r
ntinue en dedans avec la portion de cette môme circonvolution. Il est séparé du lobe temporal par la vallée de Sylvius (S).
rosirum (ROS). Au-dessous du rostrum, le sinus du corps calleux (sC) sépare la circonvolution limbique du tsenia tecta (tec,
ur du ventricule latéral. Sur la coupe 133 la capsule externe (CE), séparée de la cavité ventriculaire par l'extrême sommet d
ouve à l'extrémité postérieure de la bandelette optique (BO) ; il est séparé du corps genouillé interne (GI) par un sillon où
é n'en forment* qu'un seul (voy. pl. XXXIX, fig. 1 et 2), ne sont ici séparés l'un de l'autre que par les fibres les plus infér
upes supérieures (1 et 2), le segment antérieur de la capsule interne sépare plus complètement le noyau caudé (NC) et le putam
me d'une traînée grise, en dehors de la capsule externe (CE) qui le sépare du putamen (PUT, fig. 3). A sa partie inférieure
is la partie postérieure du putamen jusqu'au pôle occipital; il n'est séparé de la cavité ventriculaire {VO, fig. 2) que par l
les autres prennent naissance dans le ganglion. NC. Le noyau caudé, séparé du putamen (PUT, fig. 4) par le faisceau d'Arnold
ration plus profonde du segment antérieur de la capsule interne (CIA) sépare de plus en plus le noyau caudé (NC) et le putamen
noyau caudé (NC) sur la coupe la plus inférieure (fig. 4). Il en est séparé plus haut (fig. 5 et 6) par le segment antérieur
idus (GLP, fig. 5). Seulement il est, sur la première coupe (fig. 4), séparé en partie du globus pallidus par la commissure an
se compose d'une grosse masse grise qui, à sa partie inférieure, est séparée du centre médian (NmC) par le bras du pulvinar (B
iculairement à son axe; situé en dedans du noyau rouge, dont il n'est séparé que par le faisceau rétroflexe (FRF), il partage
s au faisceau sensitif. NiC. Le noyau interne du thalamus (fig. 8), séparé du noyau externe (NeC) par la lame médullaire int
(LMI), semble se confondre avec le ganglion de l'habénule. Il en est séparé par les fibres du stratum zonale du ganglion de l
la coupe 8, on le reconnaît encore vaguement; une lamelle blanche le sépare du globus pallidus. NCC. La queue du noyau caud
icn. Dans cette portion ultime de son trajet, la queue du noyau caudé sépare le taenia des fibres du tapetum, réduites à une c
la queue, s'allonge en avant et va rejoindre la téte, dont elle n'est séparée que par les fibres les plus superficielles du t8e
epousse son écorce grise vers la cavité ventriculaire dont elle n'est séparée que par la lame festonnée (LFE). LMA. La substa
et qui, plus bas, deviendra le sillon de l'hippocampe. Ce sillon est séparé de la substance réticulaire par un nodule gris (t
es du corps calleux (ce). Sur la figure 2, la même face interne n'est séparée du corps calleux que par la fente du ventricule f
tat virtuel, sur la coupe de la figure 1, la lacune ventriculaire qui sépare le noyau caudé (NC) des fibres profondes du corps
c antéro-inférieur ; elle est réduite à une simple fente linéaire qui sépare de la face inférieure du corps calleux la convexi
le plan même de la bandelette optique, qui se trouve ainsi décollée, séparée de ses adhérences avec l'hémisphère; 7° Le sièg
upérieure, est limité en dehors par la capsule externe (CE). Il n'est séparé du noyau de l'anse (GAP) que par une mince traîné
première frontale (F') et la seconde (F^) sont intactes ; elles sont séparées en dehors par le premier sillon frontal (/",). On
CH), le tuber cinereum (TC), le tubercule mamillaire droit (TM), sont séparés de leurs congénères par l'incision sagittale inte
ieure du pulvinar (Pul). L'extrémité antérieure du lobe sphénoïdal, séparée du lobule orbitaire par la vallée (S), est sectio
couche blanche. Cette couche, qui lui forme une sorte de capsule, le sépare , en dedans, de la substance grise corticale; et c
bres terminales de la bandelette sous-optique (BSO). En dedans il est séparé de l'écorce de l'hippocampe par la capsule blanch
2 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
érale de la dégénération : « un tube nerveux dégénère lorsqu'il est séparé de son centre trophique » et, cette découverte
blanche qui le constituent, il faut pratiquer, sur les hémisphères séparés l'un de l'autre sur la ligne médiane, une série d
ptum ucidum en avant; il suffit de sectionner ces parties pour l'en séparer . On obtient ainsi et séparés l'un de l'autre :
it de sectionner ces parties pour l'en séparer. On obtient ainsi et séparés l'un de l'autre : d'une part, le manteau des le
t d'autre part, le tronc encéphalique avec le cervelet (fig. 4). On sépare ensuite ce dernier organe du tronc encéphalique
nte, et respecterles noyaux gris centraux. Dans ses pesées, Meynert séparait le manteau de chaque hémisphère en sectionnant
alleux, puis par une section passant par la scissure de Rolando, il séparait le lobe frontal du lobe pariéto-temporo-occipital
ons dans notre service de Biettre. Précautions à pren- dre pour séparer l'un de l'autre les deux hémisphères. Diffé
our voir s'il existe une dégé- nérescence secondaire. Ceci fait, on sépare l'isthme de l'encéphale d'avec le cerveau, en s
e dégénérescence du faisceau pyramidal ou du ruban de Reil, puis on sépare l'un de l'autre les deux hémisphères cérébraux.
de quel côté siège la dégénérescence. Les deux hémisphères une fois séparés l'un de l'autre, partant de ce principe qu'en a
rsque l'on veut faire durcir le cervelet, on aura soin de ne pas le séparer du tronc encéphalique, et on divisera chaque hémi
écédemment. 11 est nécessaire, pour obtenir un bon durcissement, de séparer la moelle en une série de fragments, mais, ainsi
as- sale. 1 Il est préférable, du reste, d'avoir dans des flacons séparés , des solutions d'acide oxalique et de sulfure d
s protover- tèbres (PV), plus larges en avant et en arrière, et séparées l'une de l'autre par une ligne claire, la gou
e (fig;. 1 ï.) et parait bientôt constitué par trois renfle- ments, séparés par deux légers étranglements. Les étrangleme
aux extrémités laté- rales de la vésicule, et la rétine droite est séparée de la gauche, par toute l'étendue de la lame te
avec celle de la vésicule encéphalique antérieure primitive, s'en séparent de bonne heure. Elles restent en communication
optique; leur partie supéro-postérieure est au contraire nettement séparée de cette vésicule. La vésicule oculaire primiti
que direct). Au niveau du pédicule oculaire, la crête basilaire est séparée de la crête latérale par une gouttière profonde (
nsensiblement avec la moelle épinière, tandis qu'elle est nettement séparée de la deuxième vési- cule encéphalique par une
phalique, par l'isthme du cerveau postérieur de Bis i Is), elle est séparée de la partie postérieure de la vésicule cérébrale
sse à la surface extérieure du cerveau intermédiaire, dont elle est séparée par un sillon semi-lunaire d'autant plus profon
arrière, elle se continue avec les deux sillons semi-lunaires, qui séparent de chaque côté le cerveau antérieur du cerveau in
mleuses dans leurs parties supérieure et postérieure, où elles sont séparées l'une de l'autre par toute la largeur du cervea
cerveau intermédiaire ; elles convergent en avant, et ne sont plus séparées que par l'étroite fente interhémisphérique qui lo
rolonge celle-ci en avant DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 71 et sépare un petit lobe étroit, le lobe olfactif, du reste
ique (futur chiasma) et l'em- bouchure des deux pédicules optiques, séparent la partie qui appartient au cerveau intermédiai
rallèle à celle du cerveau postérieur proprement dit, dont elle est séparée par une fente étroite mais très profonde, compa
llon de Monro, et se ter- minent au niveau du trou de même nom. Ils séparent , dans leur long trajet, la lame fondamentale en
s'é- tend du bord antérieur du faisceau ova- laire, dont elle est séparée par le sillon marginal de His (sm) (Randfurche)
la moelle épinière. Chez le nouveau-né et chez l'adulte il en est . séparé par toute la hauteur de la partie inférieure du b
e peu à peu sur la voûte de l'arrière-cerveau, dont elle n'est plus séparée que par une fente profonde et étroite, la fente
umeau. Ces noyaux ne constituent dans la protubérance que des îlots séparés , tandis que dans la région bulbaire, ils formen
mboïdale deHis (Lippenlheil, Rautenlippe). La lèvre rhomboïdale est séparée du segmen t jugal par un sillon à concavité ven
oncavité ventrale, le sillon labial externe de His (sic); elle est. séparée de la mem- brane obturatrice par un second sill
n sillon profond, le sillon restiforme, le délimite en dehors et le sépare de la lèvre rhomboïdale secondaire, ou lèvre memb
n du plancher du quatrième ventricule, et deux sillons latéraux qui séparent la lame fondamentale de la lame alaire, et qui
ieu du cin- quième mois. Ils sont alors constitués par deux étages, séparés par une cou- che de cellules nerveuses pigmenta
ijumeau antérieur. L'extrémité inférieure de l'arc thala- mique est séparée du tubercule mamillaire, par le corps genouillé i
ôté, dès la fin de la cinquième semaine, deux saillies longitudinales séparées par un sillon, le sillon de Monro (fig. 41 à 44
c la partie inférieure du trou de Monro rétréci. Le sillon de Monro sépare donc dans toute son étendue, la lame alaire de
ond, le sillon du frein ou sillon de ? <z6p ? « ? (sh), qui la sépare de la voûte du cer- veau intermédiaire (ig. 42,
MM6M ? est fortement déprimé par le chiasma des nerfs optiques, qui sépare la lame terminale embryonnaire. de la partie an
e. Il s'insère de chaque côté, sur la région sous-thalamique qui le sépare du sillon de Monro; en arrière il s'insère à l'
icule et réunit les deux couches optiques. Un sillon transversal la sépare en arrière du cer- veau moyen, en avant, elle s
ryon- naire qui appartient au cerveau antérieur, et dont elle n'est séparée que par un léger étranglement (fig. 41, 42, 43,
t donc pas dans l'intérieur de la cavité ventriculaire; ils en sont séparés par l'épithélium choroïdien, et affectent par con
ique, et donnent naissance il de petits diverticules latéraux, qui se séparent peu à peu de la paroi mère, et se transforment,
68, paFS) atteint l'extrémité antérieure du manteau cérébral et en sépare un petit lobe étroit et allongé, le lobe olfact
e externe, l'autre interne. La. paroi externe est convexe, elle est séparée de la base du cerveau antérieur par un sillon p
naissance aux lacis vasculaires ..... de la toile choroïdienne, la sépare du cerveau intermédiaire. Cette région thalamiq
serotina de His, limite 1er car- 1'efozl1' olfactif en avant et le sépare du gyrus fornicatus. Le lobe olfactif postérieu
térieure s'unit intimement à la base du corps strié, -dont elle est séparée toutefois en arrière, chez l'adulte, par une minc
a partie inférieure où il limite en avant le pédicule oculaire, est séparé dans sa partie supérieure de la couche optique au
face inférieure du cerveau, en arrière de l'incisura prima; elle sépare le lobe olfactif antérieur du lobe olfactif p
ne s'unit in- timement au lobe olfactif pos- térieur, dont il est sépare toutelois chez l'adulte, par une petite lamelle
lus petite, fait partie du plancher du ventricule latéral; elle est séparée toutefois de la cavité ventriculaire, par la pa
es blanches, la capsule externe, limite le putamen en dehors, et le sépare de l'avoent-mur, qui doit être considéré, avec
cérébral, se portent d'avant en arrière et de dehors en dedans, et séparent la tôle du noyau caudé du noyau lenticulaire. Ell
et les nerfs de Lancisi. Dans la région temporale, le trigone n'est séparé de la circonvolution godronnée que par un sillo
profond. Dans la région fronto-pariétale, ces deux formations sont séparées l'une de l'autre par le corps calleux, qui fait
une cloison médiane, le septum lucidum ou cloison transparente, qui sépare les têtes des deux noyaux caudés (fig. 64). L'a
lles contournent en arc la face interne de l'hémisphère, et ne sont séparées de la surface suturale opto-striée secondaire,
s ne sont donc pas libres dans la cavité ventriculaire, ils en sont séparés par une partie de la paroi interne des hémisphè
e toute la partie fronto-pariétale du pli marginal. Ces dernières séparent violemment et à la façon d'un coin, la circonvolu
es profondes du futur sillon de l'hippocampe. Le sillon ammonique sépare dans toute son étendue, la circonvolution godro
du lobe limbique de Broca : au niveau du sinus du corps calleux, il sépare le txnia tecta et le fasciola cinerea du gyrus fo
re circonvolution limbique; au niveau du sillon de l'hippocampe, il sépare la circonvolution godronnée proprement dite de la
le sillon calloso-marginal et le sinus du corps calleux, et le sépare de la ci2-- convolution frontale in- terne (n
celui-ci atteint le bord supé- rieur de l'hémisphère, et il est séparé du cu- neus par la scissure pa-. 1-iéto-occip
postérieure et s'étend du lobe sphé- noïdal au lobe occipital; elle sépare , dans la région sphénoïdale, la circon- volutio
lon de l'hippocampe dans la région occipito-temporale, et ce sillon sépare le lobe limbique de la circonvolution godronnée f
vers la fin de la vie intra-utérine, le sillon sous-pariétal et qui sépare le praecuneus du lobe limbique; dans la région
llon de l'hippocampe; la partie fronto- pariétale au contraire, est séparée tardivement du corps et du pilier antérieur du
gine de la bandelette de Giacomini. La bandelette de Broca n'en est séparée en effet, que par la circonvolution du crochet.
élimitent les circonvolutions de l'insula. L'insula est nettement séparé du reste de l'hémisphère cérébral par un sillon
tardive. Au sixième mois, apparaît la scissure de Rolando (R), qui sépare le lobe frontal du lobe pariéto-temporo-occipit
le, incise le bord supérieur et la face externe de l'hémisphère, et sépare le lobe pariétal du lobe occipital; vers la même
érieur de Wernicke, qui délimite en avant le lobe occipital et le sépare du lobe temporal. La face externe de l'hé- mi
fusionne avec le lobe occipital à la face in- férieure. Il en est séparé à la face externe par le sillon occipital-an-
, correspond au lobe limbique de Broca; elle est toujours nettement séparée de l'écorce environ- nante par un sillon consta
jetés de chaque côté du canal neural, se placent dans l'angle qui sépare le canal médullaire de la pro- tovertèbre ; i
les décrivent tous des courbes à peu près parallèles à la ligne qui sépare la corne postérieure du cordon postérieur, et s
opriété que possède la fibre nerveuse de dégénérer, lorsqu'elle est séparée de sa cellule d'origine ou lorsque cette cellul
. L'atrophie du bout central et de la cellule d'origine semble donc séparer complètement les résultats obtenus à l'aide de la
e de mince lame, elle se moule à la surface du cylindre-axe qu'elle sépare de la gaine de Schwann et s'étend dans toute ou
dans certaines conditions qui restent encore à déter- miner, se séparer du proto- plasma. 3" Cellules nerveuses. -
avec les cellules ou les fibres nerveuses, dont elles sont toujours séparées par une couche plus ou moins épaisse de fibres
ents super- posés, les segments iiîleg,-(i21îzîtlaiî,es de Ranvier, séparés les uns des autres par des parties rétrécies, q
es tubes nerveux isolés apparaissent sous forme de filaments noirs, séparés en 14 Gaine endothé- liale. Croix latines
oncentriques. Tantôt elle est formée de deux anneaux concentriques, séparés par une bande claire, l'interne étant le plus m
funicule. Chaque lame capsulaire est formée de fibres connectives, séparées par une substance amorphe et disposées en deux
tantôt ils contiennent des muscles et des nerfs, soit réunis, soit séparés par des cloisons. Tantôt enfin, ils présentent
il est recouvert par la partie postérieure du cerveau, dont il est séparé par une fente profonde et transversale, qui log
rieure, la grande scissure médiane ou inter-hémisphérigue (Sih), les sépare complètement au niveau de leurs parties supérie
centimètres; elle est moins étendue que l'extrémité postérieure, et sépare complètement les lobes frontaux dans leur moiti
cent.; elle est située en arrière du bourrelet du corps calleux, et sépare complètement les extrémités occipi- MORPHOLOGIE
Faces des hémi- sphères. cervelet qu'elle sous-tend. Cette base sépare donc complètement les extré- - mités occipitale
(fig. lui9). Le bord supérieur demi-circulaire, arrondi et mousse, sépare la face interne de la face externe (fig. 148) ;
a région temporo-occipitale, plus accentué dans la région frontale, sépare la face externe de la face infé- rieure (fig. 1
s hémisphères se touchent dans une petite étendue, où elles ne sont séparées que par des tractus conjonctifs et quelques vai
e externe de l'hémisphère sous le nom de scissure cle Sylvius. Elle sépare la face inférieure de l'hémisphère en deux partie
anfractuosités, en scissures qui limitent les lobes, en sillons qui séparent les circonvolutions clont se com- Scissures.
ns celle de la face externe du lobe frontal, dont elle ne peut être séparée . 1° ANFRACTUOSITÉS ET CIRCONVOLUTIONS DE LA FAC
161). L'éperon inférieur est généralement court et peu profond, il sépare la première cir- convolution temporale (T,) du
e- . ment (Variations de 64 à 82). Son extrémité supérieure est séparée de l'extrémité posté- rieure du lobe occipital
a circonvolution frontale ascendante (Fa). La scissure de Rolando sépare le lobe frontal du lobe pariétal; elle est t Ft
cheval sur la partie postérieure du bord supérieur de l'hémisphère, sépare le lobe pariétal du lobe occipital; elle appart
fond, le sillon fronto-mar- ginal de Wernicke (fm, fig. 15â, ·15 7) sépare la portion frontale du lobe de sa portion orbit
a branche postérieure de la scissure de Sylvius, dont il est toujours séparé par un pli anastomotique plus ou moins mince, s
). Le premier sillon frontal (f,), il direction antéro-postérieure, sépare la première circonvolution frontale de la deuxi
rière, entre les deux segments du sillon prérolandique, dont il est séparé en général par les pieds d'insertion des deux p
ères circonvolutions frontales. Un troisième pli anastomo- tique le sépare en gé- néral, en avant, du sillon ' f ? 'onto
illon prérolandique inférieur, il se dirige d'arrière en avant, sépare la troisième circonvolution fron- tale de la
deux pieds, situés très près de la scissure intrr-hémisphérique, et séparés l'un de l'autre par le sillon prérolandiquesupé
blée dans sa partie antérieure. Le sillon frontal supérieur (f,) la sépare de la première circonvolution frontale (F,), à
ÉRÉBRALE. 257 anastomotiques et le sillon frontal inférieur (fz) la sépare de la troisième cir- convolution frontale (F3)'
xtrémité inférieure du sillon prérolan- dique inférieur (pri) et le sépare de la scissure de Sylvius, puis s'insère finale
rbitaire recouvrent la face antérieure de l'insula, dont elles sont séparées par un sillon profond et vertical, le sillon marg
face supérieure de la région insulaire antérieure (la), dont il est séparé par un sillon antéro- postéricur, le sillon mar
e de Rolando correspond en général, dans ce cas, à la concavité qui sépare les deux genoux de ce sillon. La circonvoluti
u'à la face interne, où la scissure pel7Jendicu- laire interne le sépare du précunéus ou avant- coin. En haut, la fa
are du précunéus ou avant- coin. En haut, la face externe est séparée du lobe pariétal, par l'en- coche qui représe
nte la scissure pelpendicu- laire externe (po); en bas elle est séparée du lobe temporal par une autre encoche, l'inc
e tombe immédiatement en avant de l'incisure pré-occi- . pitale, et sépare le lobe temporal du lobe occipital son extrémité
er et deuxième sillons temporaux. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 2-il est séparée de la scissure perpendiculaire externe par le sil
té- rieur, parcourt toute la face convexe de l'hémi- sphère, et sépare nette- ment le lohe occipital du lobe pariéta
perpendicularis exlerna (Bischoff), à direction antéro-postérieure, sépare la première cir- convolution occipitale (0,) de
eur (Ecker), est un petit sillon antéro-postéricur superficiel, qui sépare la deuxième circonvolution occipitale de la troi-
ier pli de lia.s.wrrelirtniéto-occiyilrrl rlc Una- tiolet; elle est séparée du pli courbe (P c) ou deuxième pli, de passage d
la fois sur la face externe et la face inférieure de l'hémisphère, séparée de la circonvolution précédente par le deuxième
e postérieure ou verti- cale. Sa partie antérieure ou horizontale sépare la pre- mière circonvolution tem- porale (T,)
voire même trois > plis anastomotiques (fib. 4 70, 171, 17) ; il sépare la deuxième circonvolution temporale (T2) de la
a), ot, (Pansch), ot3 (Brissaud). Le troisième sillon temporal (t3) sépare nettement, à la face inférieure de l'hémisphère
e qu'une incisure de ce sillon (fig. 149). D'autres fois, il en est séparé par un pli de passage, qui relie la troisième c
aux usages reçus, nous les décrirons de bas en haut, afin de ne pas séparer l'étude de la face supérieure de la première circ
ieure de l'hémisphère, par le troisième sillon temporal (t3) qui la sépare du lobule fusiforme (Fus). Deuxième circonvolut
ar le deuxième sillon temporal (t2) , est le plus souvent nettement séparée de la première temporale par la scissure parallèl
le, la branche descendante. Le sillon occipital anté- rieur (oa) la sépare en arrière, des deuxième (02) et troisième circon
ution forme la lèvre inférieure de la scissure de Sylvius; elle est séparée de la deuxième circonvolution temporale (T.,), pa
de passage plus souvent profond que superficiel (fig. z); elle est séparée du pli courbe par le sillon intermédiaire de Je
en avant, recouvre la partie inférieure de l'insula, dont elle est séparée (fig. 173) par le sillon, marginal postérieur de
porales trans- verses de Heschl. Le sillon marginal postérieur (mp) sépare l'insula propre- ment dit, de la région rétro -
gne, le sillon temporal profond (tp) ou sillon temporal transverse, sépare la région rétro-insulaire d'avec la circonvolut
découpé' en dents de scie, se dirige horizontalement en arrière et sépare l'insula (I) de Y opercule sylvien. D'avant en ar
rière avec la circonvolution marginale supérieure (Gsm) dont il est séparé par l'éperon supérieur de la branche postérieur
il angle aigu -au sillon marginal supérieur; son segment postérieur sépare l'insula de la région rétro-insulaire de Broca,
e de Broca, que nous avons étudiée plus haut; son segment antérieur sépare l'insula de la face supérieure de la première cir
oit du sillon marginal supérieur; il est court, presque vertical et sépare l'insula (I) de la partie orbitaire de la troisiè
inaux antérieur et inférieur ne se réunissent pas en bas ; ils sont séparés l'un de l'autre par un espace d'un centimètre env
ntimètre environ, qui limite l'insula en bas et en avant, et qui le sépare de l'espace perforé antérieur : c'est le seuil
obe frontal. Il est longé par la racine olfac- tive externe, qui le sépare de la base du cerveau, et en particulier de l'es-
or), qui appartient au lobe temporal. Ces deux circonvolutions sont séparées l'une de l'autre par un sillon constant, le sil
autre, sans arriver se souder. Mais, la partie inférieure du sillon sépare toujours la région anté- rieure de l'insula qui
et le sillon principal de l'insula (i). Les branches de division sont séparées par deux à quatre sillons courts, peu profonds,
L'III;\IISI'H1 ? Itl : E La face interne des hémisphères se trouve séparée de celle du côté opposé par la grande fente int
éto-occipitale (po) forme la limite antérieure du lobe occipital et sépare à la face interne de l'hémisphère le cuneus (c)
ccupe la partie inférieure de la scissure pariéto-occipitale, qu'il sépare de la scissure calcarine. Il est généralement for
endue de la pointe occipitale au bourrelet du corps calleux, elle sépare le cu- néus du lobule lingual.Elle nait le pl
èvres de la scissure calcarine, pour s'assurer qu'elle est toujours séparée du sillon de l'hippocampe (h), par un mince pon
communication n'existe pas, et que ces deux scissures sont toujours séparées par un pli de passage, l'isthme antécalcal'inie
82), parallèle à la face supérieure du corps calleux, dont elle est séparée par toute l'épaisseur de la circonvolution limb
Dans sa partie antérieure et convexe, la scissure calloso-marginale sépare le lobe limbique de Broca (L,) de la circonvoluti
ns sa partie ascendante [scissure fronlo-pariétale de Pansch), elle sépare le précunéus (Pr C) du lobule paracentral (Parc)
détache au niveau du genou du corps calleux, se porte en avant, et sépare à la face interne la partie orbitaire de la pre
mine en avant de la scissure perpendiculaire interne, dont elle est séparée par un pli de passage, le pli de passage pariéto-
e pli de passage pariéto-limbique antérieur (-pla) (fig. 180, 177), sépare l'extrémité antérieure de ce sillon, d'avec la sc
eure du segment fronto-pariétal du lobe limbique de Broca, qu'elles séparent du lobe frontal et du lobe pariétal. Le segment
arallèle à la scissure cal- carine, appartient au lobe occipital et sépare le lobule lingual (Lg) du lobule fusiforme (1 u
lobule fusiforme (1 us). Dans sa moitié antérieure ou temporale, elle sépare ce dernier lobule de la circonvolution de l'hip
l. lingual (Lg) et le lobule fusiforme (Fus). Le lobule lingual est séparé du cunéus par la scissure calcarine (K), et du
, étroite en avant, comprise entre la scissure calcarine (K) qui la sépare du cuneus (C), et la partie postérieure ou occipi
ie postérieure ou occipitale de la scissure collatérale (ot) qui la sépare du loúule fusif/J/'me (Fus). Elle s'étend d'arriè
il n'atteint pas l'extrémité antérieure du lobe temporal, dont il est séparé par une distance de deux à trois centimètres (f
scissure collatérale limite le lobule fusiforme en dedans ; elle'le sépare du lobule lingual en arrière, et de la circonvolu
- tiques, à la troisième circonvolution temporale (T3), dont il est séparé par un sillon superficiel, fréquemment interrom
c,) ou sinus et par le sillon de l'hippocampe (h). Ces deux sillons séparent le lobe limbique d'une petite circonvolution av
issure calcarine (K) et l'on se con- . vainc ainsi facilement qu'il sépare la scissure calcarine du sillon de l'hip- pocam
LfI-Iest limitée en dehors par la scissure collatérale (ot), qui la sépare du lobule fusiforme (Fus), auquel elle est reli
de du subicu- lum et des circonvolutions sous-calleuses (Csc) qu'il sépare de la cÍl'convo- lution godrorzn.c·e (Cg) et de
lleux, le sillon de l'hippo- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 301 campe (h) sépare les circonvolutions sous-calleuses et l'isthme du
sure prima (ip) de His. Il loge l'artère céré- brale antérieure, et sépare la face profonde de la première circonvolution
lleux (Cc[SpIJ); elle est recouverte par un feuillet pie-mérien, et séparée de la circonvo- lution de l'hippocampe, par le
on godronnée (V oy. trigone. p.348). Un mince sillon peu pro- fond, sépare la circonvolution godronnée de la fimbria, ce sil
ette diagonale de Broca (bd). Le lobe olfactif antérieur (Lola) est séparé du postérieur par un sil- lon transversal, le s
olfactif de Broca. La base du tubercule olfactif de Broca (Toi) est séparée par un léger sillon, le sillon primaire de His,
a. dehors par la racine olfactive externe (Rôle) (fig. 183), qui le sépare de . l'insula(I), en avant et en dedans par le
ise, le globus pallidus et le 3" segment du noyau lenticulaire sont séparés de la lame grise qui recouvre l'espace perforé
se du cerveau, on pratique en général une section transversale, qui sépare le cerveau de l'isthme de l'encéphale, au niveau
ire. De chaque côté elle atteint la racine olfactive externe qui la sépare de l'insula; le lobe olfactif postérieur que nous
te optique, dont elle suit le trajet mais dont elle est constamment séparée par une mince lame de substance grise, elle se ca
ires. unis à la surface de l'organe, sont parfaitement distincts et séparés l'un de l'autre par une lame fibreuse. Sur les
eins ou creux, simples ou bifides, droits ou légèrement contournés, séparés d'un très riche lacis vasculaire par une membra
chez les mammifères; chez les autres Vertébrés, il en est nettement séparé . Ses fonctions sont aussi obscures, aussi peu con
6 millimètres de dia- mètre, très rapprochées delà ligne médiane et séparées l'une de l'autre par un sillon profond (fig. 18
amillaires, par ses bords latéraux aux pédoncules cérébraux dont le sépare un sillon assez profond, le sillon du, nerf moteu
un, le long duquel émerge la troisième paire (III). Le sillon qui sépare les deux tubercules mamillaires parcourt l'espace
branches du tronc basilaire et des cérébrales postérieures; ils sont séparés du sillon du nerf moteur oculaire commun par le
Le sillon du nerf nculo-motcnr et le sillon latéral de : l'isthme séparent , à la silritec dit 1)-doii- cule, l'étage inf
c le sillon médian de l'espace perforé postérieur et avec celui qui sépare les tubercules mamillaires. De chaque côté du s
rt lui a valu le nom de sillon du nerf oculo-moteur. Ce sillon, qui sépare le pied ou étage inférieur du pédoncule de la c
à la ligne d'émergence des racines antérieures de la moelle; il est séparé de MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 323 -1 l'espace per
isthme de l'I'ncéphale (sulcus lateralis mesf'l/Cf'phali) (si), qui sépare en dehors, le pied du pédoncule de la région de l
rface du pédoncule cérébelleux supérieur ou au niveau du sillon qui sépare ce pédoncule du pédoncule cérébelleux moyen, se p
trale et externe de la coupe des pédoncules cé- rébraux. Elle est séparée de l'étage inférieur (pied du pédoncule) par
uadriju- meaux, avec lesquels elle se confond, et dont elle est séparée artificielle- ment par une ligne trans- versa
al des tubercules quadrijumeaux, peu accentué sur la ligne médiane, sépare les tubercules quadrijumeaux antérieurs des posté
continue avec la partie externe de la bandelette optique. Nettement séparé du corps genouillé interne, mal délimité du - p
mble que sur une coupe médiane et sagittale (fig. 151 et ! 95), qui sépare l'un de l'autre les deux hémi- sphères cérébrau
ne c( ! î,( ? boal (Tg), adhérent au corps calleux en arrière, mais séparé de ce dernier, en avant, par une mince cloison
(VI) ou premier et deuxième ventricules cérébraux. Le noyau caudé, séparé de la couche optique par un petit sillon dit si
e nom de pied de la couronne- rayonnante (pCI3). La capsule interne sépare la couche optique et le noyau caudé d'un troisi
ères ; ils appartiennent au tronc encéphalique de Reichert, et sont séparés de l'écorce grise des circonvolutions, par une
e, plus rapprochée de l'extrémité antérieure du cerveau dont il est séparé par une distance dé trois centimètres, que de s
sale et de Sabatier (sec), la rainure du corps calleux de Broca, la sépare de la première circon- volution limbique (L,).
res propres de la première circonvolution limbique (L,), fibres qui séparent le cingu- lum de l'écorce grise du léeliici tec
a partie réfléchie, le splenium proprement dit, qu'un mince sep tum sépare de la partie précédente, et qui se termine en ava
l à la face inférieure du corps calleux; mais elles peuvent en être séparées par une fente étroite, qui communique sur les c
f lâche et à quelques vaisseaux; cette membrane fibro-vasculaire la sépare à la fois des couches optiques (Th) et du ventr
leur face supérieure, ils sont unis au corps calleux, dont ils sont séparés dans quelques rares cas par le ventricule de Verg
res et recouvrent la circonvolution godronnée (Cg), dont ils s sont séparés par le sillon fimbrio-godronné (fgl, (fig. 20 : i
e tronc et le genou du corps cal- leux (Cc[g]) d'autre part. Il sépare les deux ventricules la- téraux, et se pré-
les la- , téraux (VI), situés de chaque côté de la ligne médiane et séparés l'un de l'autre par le septum lucidum (SI), com
.-iep, insertion de l'épendyme ventriculaire. Cette ligne d'insertion sépare la partie du noyau caudé entouré par la masse b
rière à la bandelette demi-circulaire, la queue du noyau caudé s'en sépare en avant, et s'unit, au niveau du noyau amygdal
riculaire profond et très étroit, le diverticule du subiculum (ds), sépare la corne d'Ammon de la partie plane du plancher
e l'écorce du fond de la scissure calcarine dont elle n'est souvent séparée que d'un ou deux millimètres. Ses dimensions, son
entriculaire; ils ne passent pas par les trous de Monro, mais en sont séparés , dans l'un et l'autre cas, par l'épendyme ventr
u troisième ventricule. antérieur de l'aqueduc de Sylvius, et qui sépare deux cordons latéraux appartenant à la partie i
ongement de la pic-mère extérieure, est une membrane vasculaire qui sépare le cerveau antérieur du cerveau intermédiaire.
forme la limite supé- rieure du troisième ventricule, dont elle est séparée toutefois par la mem- brane obturatrice. Cette
ère qui entoure . la glande pinéale (Gp) (fig. 201 à 203). Ils sont séparés l'un de l'autre par les veines de Galien, qui s
· " permet pas davantage la pénétration dans les ventricules ; elle sépare , en effet, le cerveau moyen du cerveau interméd
rofonde et étroite, dont la forme rappelle celle du trigone, et qui sépare le cerveau intermédiaire du cerveau moyen. tie
u xvn" siècle par Willis, Riolan, Vieussens, etc. Willis le premier sépara les couches optiques des corps cannelés ou stri
ticulaire. 4" Les corpom striata infe1'11a exteriora et anteriora séparés du noyau lenticulaire par la commissure blanche
ait trois noyaux, les nuclei caudatus, lentiformis et tseniaformis, séparés par trois lames de substance blanche, les capsule
re le noyau lenticulaire et le nucléus tteniaformis. Ce dernier était séparé des circonvolutions de l'insula par la capsule
ge profondément dans la corne frontale du ventricule latéral qui la sépare du genou du corps calleux. Au-dessous de la cor
adhérente répond dans toute son étendue à la capsule interne qui la sépare du noyau lenticulaire. Au niveau de la tête, elle
e;. elle déborde le bord postérieur du noyau lenticulaire et en est séparée par le segment rétro-lenticulaire de la capsule
nférieure du troisième segment du noyau lenticulaire, dont elle est séparée par une zone de substance blanche comprenant la .
- iep, insertion de l'épendyme ventriculaire. Cette ligne d'insertion sépare la partie du noyau caudé entouré par la masse b
rigone où il est très rapproché de la ligne médiane, et où il n'est séparé de celui du côté opposé que par le septum lucidum
le septum lucidum ; il se di- rige ensuite en dehors et en arrière, séparé de la couche optique par la lame cornée, la vei
rement arrondie, très rapprochée de la ligne médiane, où elle n'est séparée de celle du côté opposé que par le septum lucid
7M ? 'cZ' qui occupe le segment externe du pied du pédoncule et qui sépare le noyau lenticulaire, du tapetum (Tap), de la
iculaire (PNL) (fig, 247). Plus en avant, le noyau lenticulaire est séparé de l'espace per- foré antérieur (Spa) par l'ans
laire repose sur l'écorce du pli falciforme de Broca, dont elle est séparée par les fibres les plus inférieures de la capsule
nterne du noyau lenticulaire se porte en dehors et en avant, il est séparé du noyau caudé (NC) par le segment antérieur ou s
ule interne (Cia). En arrière il se dirige en dehors et en arrière, séparé de la couche optique par le segment postérieur ou
et en dehors. Très rap- prochées à leurs extrémités antérieures que séparent seulement les piliers antérieurs du trigone, le
ge en arrière. Elle est recouverte par la toile choroïdienne qui la sépare du trigone cérébral et appartient à la surface ex
re postérieure et les tubercules quadriju- maux ; en haut, elle est séparée de la face supérieure parle tænia tltalami (tth)
onro à l'a- queduc de Sylvius, constitue sa limite inférieure et la sépare de la région sous-optique. Lès faces internes d
horizontales montrent qu'elle émet un faisceau volumi- neux, qui la sépare du noyau caudé et qui constitue la plus grande pa
rise qui tapisse le plancher du troisième ventricule, dont elle est séparée par le pilier antérieur du tri- Corps genouillé
capsule du noyau rouge. Le -t corps de Luys et le noyau rouge sont séparés de la face inférieure de la couche optique par
qui proviennent du lobe frontal, se dirige en arrière et en dedans, sépare la tète du noyau caudé du noyau lenticulaire, f
le tubercule antérieur de la couche optique. Le noyau externe est séparé des noyaux antérieur et interne par une lame de
rétro-flexus de Mey- ncrt. Centre médian de Lny". s. co la sépare nettement des noyaux externe et interne. Il reçoi
est limité par la lame médullaire externe du thalamus (Lme) qui le sépare de la zone réticulée et des segments postérieur e
du troisième ventricule au niveau de la commissure molle, il en est séparé en arrière par le fasciculus retroflexus de Mey
. Les lignes de repère indiquent, en millimètres, la dis- tance qui sépare chaque coupe horizontale du bord supérieur de l'h
le. Les lignes de repère indiquent, en millimètres, la distance qui sépare chaque coupe horizontale du bord supérieur de l'h
du cunéus (C), qui forme sur cette coupe un petit îlot complètement séparé du reste de l'écorce cérébrale. A la face externe
'avant en arrière, les trois circonvolutions frontales (F,, F2, F3) séparées par les premier et deuxième sillons frontaux (fl,
ie de la face interne. En avant et en arrière, le corps calleux est séparé de l'écorce de la première circonvolution limbiqu
volutions, dont il se distingue par ses contours assez nets. Il est séparé du ventricule par la substance grise sous-épend
ectionnée dans presque toute son étendue. Le corps calleux (Ce) est séparé en deux parties : une partie antérieure ou genou
rrelet limite en dedans le carrefour ventriculaire (VI) dont il est séparé par la substance grise sous-épendymaire (Sâ), réd
t antérieur de la capsule interne (Cia). Il est limité en dehors el séparé du segment postérieur de la capsule interne (Cipi
rrière ; la branche postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]) le sépare complètement du lobe temporal; en avant il est in
are complètement du lobe temporal; en avant il est incomplè- tement séparé de Yopercule frontal (OpF3)par 1'incisul'e fronta
e par les première et deuxième circonvolutions temporales (Tp '1 ), séparées l'une de l'autre par la partie infé- rieure de
ntinue en arrière avec le faisceau, longitudinal inférieur (Fli) et sépare le pu/amen de Y avant-mur (AM) et de J'écol'ce
ip); le noyau interne (Ni) présente un aspect plus homogène, il est séparé du noyau externe par la lame médullaire interne
du thalamus (Lmi) encore très peu apparente. La couche optique est séparée du noyau caudé par un sillon profond, dans lequel
MIE DES CENTRES NERVEUX. circzdaris ; elle est limitée en dehors et séparée du segment postérieur de la cap- , sule interne
laire est formée par la cir- . convolution temporale profonde (Tp), séparée de la première circonvolution tem- porale (T,)
la proprement dit (lobule de Reil, lobule du corps strié). Elle est séparée du putamen (NL3) par trois couches, une blanche
ii- sula est formé par quatre, quelquefois cinq circonvolutions, et séparé en deux parties inégales par un sillon constant
parties inégales par un sillon constant, le sillon insulaire (i), qui sépare la circon- volution insulaire postérieure (Ip)
la zone réticulée (Zr) et la lame médullaire externe (Lme), qui la séparent du segment postérieur (Cip) et du segment rétro-l
nvolution frontale (OpF3) en arrière par I'oc;'CM/e rolandique (OpR), séparé du précédent par incisure frontale de l'opercul
oblique en avant et en dehors ; le sillon temporal profond (tp) la sépare de la première circon- volution temporale (T,).
,). Celle-ci est intéressée dans une assez grande étendue; elle est séparée de la deuxième temporale (T,) par la scissure par
arrière, par le sillon occipital antérieur de lb'eraiclce (oa) qui la sépare du lobe occipital. A la face externe le lobe
ncourt en partie à la formation de la pointe occipitale, et qui est séparée de la première circonvolution occipitale (0,) par
droits, une fois en arrière, au niveau de son éperon supérieur, qui sépare le cunéus (C) de la première occipitale (0,); une
de la corne occipitale du ventricule latéral (Voc), dont elle n'est séparée que par une lame de substance blanche qui double
ans par le faisceau inférieur du forceps du corps calleux (Fm'), et séparée du stralzerrm calcal'iml1ll qui double la scissur
noyau caudé (NC) par quelques ponts de substance- grise ; il en est séparé par le segment antérieur de la capsule interne (C
capsule interne (Cia). La lame externe du noyau lenticulaire (lme) sépare le putamen (NL3) du segment externe du globus p
llaire externe du thalamus (Line) et la zone réticulée (Zr), qui le séparent du segment postérieur de la capsule interne (Ci
u ventricule latéral. La corne frontale (Vf), aplatie latéralement, sépare le noyau caudé (NC) du genou du corps calleux (Cc
tale (Voy. Coupes vcrtico-Uau.sveosales). La corne occipitale n'est séparée du fond de la scissure cal- carine (K) que par
enticulaire (NL) par quelques ponts de substance grise, elle en est séparée par le segment antérieur de la capsule interne
ne part, au bord libre du trigone et d'autre part, sur la ligne qui sépare le pulvinar (Pul) de la queue du noyau caudé (N
qui leur a valu le nom de globus pallidus. Ces trois segments sont séparés les uns des autres par des lamelles blanches, l
érent; le segment t antérieur (Cia), oblique en avant et en dehors, sépare le noyau caudé (NC) du COUPES MACROSCOPIQUES DU
he optique (Th), et déborde le noyau lenticulaire en arrière, où il sépare le pulvinar (Pul) du faisceau longitudinal infé
parlie au système du pied du pédoncule cérébral. Les fascicules sont séparés par des libres transversales qui traversent hor
iéto-occipilale (K + po) ' , 4t ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. qui sépare le lobule lingual (Lg) du pli Ctllléo-limbique (7
du trou de Monro, et le troisième ventricule (V.,) est complètement séparé de la corne frontale (Vf). La subs- tance grise
xtrémité anté- rieure. Écorce. Les circonvolutions frontales sont séparées les unes des autres, par les sillons premier et
lanc qui double l'extrémité antérieure du lobe limbique (L,), qu'il sépare de la partie profonde du genou du corps calleux
interne appartient aux etdeuxième circonvolutions frontales (1; "r) séparées par le premier sillon frontal (f,). La partie e
ale (T 2)' au conJraire, est sectionnée dans une grande étendue, et séparée des première et troisième circonvolutions tempora
continue avec la troisième circonvolution occipitale. (0,), dont la sépare le sillon occipital antérieur (oa) ; puis vienn
sociation. Ce sillon n'est autre que le sillon collatéral (ot), qui sépare le lobule f itsi fozwze du lobule lingual et qui
ccipital. La corne sphé- noïdale (Vsph) est aplatie latéralement et sépare la corne d'A 1111non (CA) du ta- petuzn (Tap) e
eg- ment du noyau lenticulaire (NL3), et n'en est qu'incomplètement séparée par le dernier vestige du segment antérieur de
antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip), qu'il sépare des derniers vestiges du segment antérieur (Cia
ec la capsule du noyau rouge. Les radiations- de la calotte (RC) le séparent du corps genouillé interne (Cgi). , Le noyau ro
d'un faisceau de fibres compactes et fines. Ces deux faisceaux sont séparés l'un de l'autre par un assez grand intervalle,
la queue du noyau caudé (NC'). La face antérieure de cette zone est séparée du pu/amen (NL.,) par les dernières fibres de pro
dé et le putamen ne cons- tituent pas deux noyaux gris complètement séparés ; ils sont réunis et fusionnés entre eux par la
al postérieur (Flp) ; la région inférieure ou pied du pédoncule (P) séparée de 426 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. la régio
ci sectionnée dans toute sa longueur; le pédoncule cérébral (P) est séparé de la base du cer- veau et il est facile de rec
u pédoncule (P); 20 l'étage moyen ou la région du noyau rouge (NR), séparé du précédent par le locus niger (Ln) et dans lequ
trouve la couche grise de la substance perforée anlé- rieure (Spa), séparée de la bandelette optique (II) par une rainure qui
ers vestiges de l'avat7t-nexc· (AM), que le faisceau uncinatus (Fu) sépare en avant et en arrière de l'écorce de l'insula (I
isième circonvolution frontale (oF.,) et le sillon en H (f3) qui la sépare en avant d'une languette appartenant à la deuxi
a face interne de la première circonvolution frontale (mF,); elle est séparée du seuil de l'insula (I) par une mince lamelle
ue en dedans avec le lobule lingual (Lg). Le sillon collatéral (ot) sépare le lobule lingual (Lg) du lobule fusiforme (Fus)
bule orbitaire et celle du lobe slÎcrid+;ta ocah· ? %' complètement séparées l'une de l'autre, par la vallée de ,Sr/loius(G ?
orbitaire de la première cir- convolution frontale en dehors, et la sépare de la partie orbitaire de la deuxième circonvol
te coupe. Une incisure postéro- interne appartenant au sillon en H, sépare la première circonvolution frontale (F,), de la
Lms), puis le lobule fusiforme (Fus), que le sillon collatéral (ot) sépare en avant de la circonvolution de l'hippocampe (II
convolution du crochet (U). En avant, le faisceau uncinalus (Fu) le sépare de l'écorce temporale. La partie postérieure de
émité antérieure de la circonvolution godronnée (Cg), dont elle est séparée par une lame blanche festonnée, la laminllinvolut
côté opposé au niveau du genou du corps calleux (Cc[g]), et en est séparée en avant (coupe n° 30), au-dessus et au-dessous
ent l'extré- mité antérieure, libre, du lobe temporal, complètement séparée du lobe frontal, par l'origine de la scissure d
9), plus étendue sur les coupes nos 40 et 43 (fis. 240, 241),-est séparée de la partie orbitaire de la troisième circon
abranche verlicale ascendante de la scissure de Sylvius S(v), qui sépare du pied de la troisième circon- volution fron
rconvolution du corps calleux), que le sillon calloso-marginal (cm) sépare en haut et en bas de la face interne de la prem
ontale (1111'\) et celle de la première circonvolution limbique (L,), séparées par le sillon calloso-margillal (cm), peu marqu
eclus (oF,[Gr]). " La première circonvolution limbique (L,) est séparé du genou du corps calleux par le sinus du cor
n rapport en dedans, avec le faisceau occipito-frontal (OF), qui le sépare sur la coupe n° 30 (fig. 237) du forceps antérieu
ées parallèlement, qui appartiennent au système du cingulum, et qui séparent le forceps antérieur du corps calleux (Foa) de
ette région le bord externe du ventricule latéral (VL), dont il est séparé par la substance grise sous-épendymaire (Sge),
pied de la couronne rayonnante (par) le recouvre en dehors. Il est séparé du cingulum (Cing) par toute l'épaisseur du corps
xième circonvolution frontale (F2) que le premier sillon frontal (f,) sépare de la circonvolution précédente, et que le sill
volution précédente, et que le sillon prérolandique inférieur (pri) sépare de la circonvolution frontale ascendante (Fa). La
me (1") et la deuxième circonvolution frontale (1"2)' dont elle est séparée par le sillon prérolandique inférieur (pri). Les
volution pariétale ascendante (Pa). L'opercule rolandique (OpR) est séparé du lobe temporal (T"T ? l'3) par la scissure de S
e les circonvolutions antérieures de l'insula (1). L'insula (I) est séparé de l'opercule rolandique (OpR) par le sillon marg
e face inférieure que le sillon parallèle (t,), profond en général, sépare de la deuxième circonvolution tempo- rale ('1'2
postérieure du lobule orbitaire et le tubercule olfactif (Tol), qui sépare le gyrus reclus (oF,[Gr]) de la partie orbitaire
. même avec celle dé la circonvolution du crochet (U) dont elle est séparée par Yincisure temporale (it) (fig. 243). L'écorce
fonde envoie au putamen (NL3) de nombreux ponts de substance grise, séparés par les fibres du segment antérieur de la cap-
Cia). La face externe du putamen est lisse, nettement délimitée, et séparée de l'avant-mur (AM) par une lamelle blanche, la c
terminale de la première circonvolution limbique (L1), dont il est séparé par le bec du corps calleux (Ce') et par quelques
') et par quelques rares fibres du cin- gulum. L'avant-mur (AM) est séparé de l'écorce de l'insula (1) par la capsule extrêm
e est entouré de la substance grise sous-épen- dymaire (Sge) qui le sépare du faisceau occipito-frontal (OF). ' . La masse
et le troisième segment du noyau lenticulaire (putamen) (NL3), sont séparés l'un de l'autre, par toute. l'épaisseur du segmen
us, qui représente un ganglion analogue à la couche optique; il est séparé du putamen par la lame mé- dullaire externe (lm
té- rieure (coa) le traverse obliquement en bas et en dehors, et le sépare en deux parties inégales. La commissure blanche
la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa), dont il est séparé par la commissure antérieure (coa) et par. une mi
ronc. Le noyau lenti- culaire présente trois segments (ïTL3, ? , 1) séparés par les lames médullaires externe et interne (l
e segment antérieur de la capsule interne (Cia) ; en dedans, il est séparé de la couche optique (Th) par le genou de la ca
appartiennent aux fibres du loenia semi-circularis ; en bas, il est séparé des fibres propres d'une incisure du sillon col
nue il la face interne (mF,), où le sillon calloso-marginal (cm) la sépare de la première, circonvolution limbique (J-'I); à
remière, circonvolution limbique (J-'I); à la face externe elle est séparée de la deuxième circonvolution frontale (1=), par
n rencontre les trois circonvolutions tempo- rales (T,, T2' T : ¡), séparées par les trois sillons temporaux (tp t2, ot-t- 1.,
ns antérieures delà corne d'Am- mon (CA) ; le diverticule supérieur sépare la corne du noyau amygdlliien (NA), l'inférieur
externe, convexe, que la capsule externe (Ce) et l'avant-mUl' (AM) séparent de l'insula (I), et une face supéro- interne, o
encore saillie dans la corne sphénoïdale (Vsph), il en est en efiet séparé par les fibres blanches de la lame cornée (le) (1
du noyau lenticulaire (PNL,), relie le au noyau amygdalien (NA) et sépare ce dernier noyau du globus pallidus (NL2, 1) (fig
ar sa face supérieure, où une mince lamelle de substance blanche la sépare du globus pallidus. La couche optique (Th) est
apport avec le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dont la sépare la zone réticulée (zr) (coupe n° 69, fig. 247).
ur ou thalamique (Fth) et le faisceau inférieur ou lenticulaire (FI), séparés par une mince couche de substance grise, la zon
qui le pénètrent. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) sépare le noyau caudé CSC) et la couche optique (Th) d
nterne de l'hémisphère et que le sillon calloso-lIwl' ! Jil1al (cm) sépare de la première circonvolution limbique (L,). A
upérieur (prs) l'incise profondément et la scissure de Rolando (R) la sépare de la circonvolution pariétale ascendante (Pa),
crochet (U). Le sillon de l'hippocampe (h) parait très profond; il sépare la circon- volution de l'hippocampe (H) de la c
stérieur du trigone (Tgp) qui la déborde en dedans et dont elle est séparée par un sillon peu pro- fond, le sillon fimbrio-
, du corps genouillé externe (Cge) ou du pzz.lvinar (Pul); elle est séparée de ces parties par la lame cornée : 1c) et les li
st divisée en deux noyaux, l'un interne (Ni), l'autre externe (Ne), séparés par la lame médullaire iuterne (Lmi) (coupe n° 78
ullaire externe (Lme) et la zone réticulée ou grillagée (Zr) qui le séparent du segment postérieur de la capsule interne (Ci
obliquement en haut et en dehors. Sa face supérieure, convexe, est séparée de la couche optique (Th) Fil;. 2 : -ij. - Coup
rs, représente le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et sépare le noyau lenticulaire (NL3) de la couche optique
troisième partie 464 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. (NL3), qui le sépare de la bandelette optique (II), de la lame cornée
'^ NERVEUX, ' ! % Ces îlots gris du noyau lenticulaire'. (NLJ- sont séparés par des fibres, faisant suite Fie.. 233. - Coup
a calotte du pédoncule cérébral; les radiations de la calotte (RC) la séparent du noyau rouge (NR) et du locus niger (Ln). Le
Sur la coupe n° 89 (fig. 255) le pulvinar le limite en dehors et le sépare du champ de ]Vei-iiicke (W). Le corps genouillé
pédoncule cérébral (P); sur la coupe n° 86 (fig. 253), elle en est séparée par le corps genouillé interne (Cgi) ; les deux
upes nos 95 et 97 (fig. 258 et 259), le sillon, de l'hippocampe (h) sépare la circonvolution godronnée (Cg) des quatre ou
DU CERVEAU. 'r7;i port avec sa partie interne. Sa face externe est séparée du noyau caudé (NC) par le tænia se1/l'lcil'cul
partie supérieure qui se confond avec le précunéus (PrC), dont il est séparé par la scissure sous-pariétale (sp), une partie
nsertion du lobule lillgual (Lg) sur le lobe lim- bique dont il est séparé par la branche commune aux scissures calcarine et
t forme sur. la coupe 137 (fig. 266) un îlot cortical, complètement séparé de l'écorce du lobe occipital par la scissure par
des scissures, la scissure paariéto-occipilale (po) en haut, qui le sépare du ]J/'écunéus (PrC) et la scissure calcarine (K)
pare du ]J/'écunéus (PrC) et la scissure calcarine (K) en bas, qui le sépare du lobule /uM6t<(Lg). Étroit et profond sur
correspond il l'isthme du lobe limbique (i) et il l'angle obtus qui sépare la face interne de l'hémisphère de la face infé
limite la première circon- valu/ion limbique (LI) en arrière et la sépare du\cunéus (C) et du lobule lingual (Lg). 48'6
-orbitaire de Broca, (so) la limitent- en 'haut et en avant et la séparent incomplètement du pré- cunéus (PrC), du lobul
n peu pro- fond, le sillon fronto-ma1'- ginal de Wernicke (fm), sépare la face orbitaire de cette circonvolution de sa
le sur le cunéus (C) et sur l'isthme du lobe limbique (i). Elle est séparée du premier par la scissure calcarine (K) et du se
ur la convexité du vermis su2erior du cervelet (V[Cu]), elle en est séparée à l'état frais par la tente du cervelet (non indi
nterne de l'hémisphère, et qui est située au-dessus du bord obtus qui sépare la face interne de la face inférieure. L'écor
e [Spl]), le caïy"ce^1 ? '. s'unit il la lyre de David (Ly) dont le sépare en avant le ventricule de Verga (Ver). La lyre
corps cal- lezuz·(Cc(g), en arrière par les plexus choroïdes qui le séparent de la face extra-ven- triculaire de la couche o
rieur du ventricule. Le trigone (Tg) et les plexus choroïdes (Pchl) séparent le ventricule latéral (VI) de la partie moyenne
plancher du ven- utricule latéral, on trouve la couche optique (Th) séparée du corps strié par le sillon, opto-strié (si).
et la région de la calotte du pédoncule. La couche optique (Th) est séparée des tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) par un fa
ance, au-dessous de l'espace perforé antérieur (Spa), dont elle est séparée par la vallée de Sylvius. Écorce. -11 y a peu d
s du corps calleux (sec), qui limite le fasciola cincrea (Fc) et le sépare du bourrelet. Le corps calleux présente il -peu
réduit de volume, occupe la partie inférieure du corps strié; il est séparé de la substance grise de l'espace perforé antér
genou de la capsule. (Voy. fig. 267.) La couche optique (Th) est séparée du noyau caudé (NC) par un sillon assez profond
la couche. optique (Na), qu'un dédoublement de slralum sonate (strz), sépare com- plètement des noyaux externe (N.e) et inte
en bas et en avant par l'anse du noyau lell- ticulaire (Al), qui le sépare de la. substance grise centrale (Sgc). Au-dessous
elle. A son extrémité postérieure, le sillon de l'hippocampe (h) la sépare des circonvolutions sous-calleuses (Csc) et de la
ssus de la couche optique (Th) pour former la queue du noyau caudé, séparée de la couche optique par le sillon opta-strié (
us pallidus (NLz, ,). Le putamen (NL.,) et le noyau caudé (NC) sont séparés par des faisceaux de fibres blanches, qui donnent
La couche optique repose sur le pied du pédoncule (P) dont elle est séparée par le corps de Lui/s (CL) et le faisceau thalami
e, deuxième et première circon- volutions frontales (oF ? oV ? oF,) séparées par le sillon en // (f3); puis à la face extern
face externe, la et la deuxième circonvolutions frontales (F,, F.,) séparées par le premier sillon frontal (1'1); le sillonp
ection n'est encore représentée que par un îlot de substance grise, séparé du pli iiibi (j lie par le sillon, collatéral (
ui s'épais- sit en avant et au-dessous de. la corne frontale et qui sépare la paroi externe de la cavité ventriculaire d'a
,) qu'elles traversent pour la plupart. La queue du noyau caudé est séparée de la couche optique (Th) par une laine de fibres
nt elle repose sur le pied du pédoncule cérébral (P), dont elle est séparée par la zone réticulée (zr). Les parties antérie
ongement du segment interne du globus pallidus (NL,), dont elle est séparée par des orifices vasculaires volumineux qui livre
le cérébral (P) et s'irradie dans le pulvinar (Pul). Ce dernier est séparé du segment interne du noyau lenticulaire (NL,) pa
le nom de lame médullaire moyenne (Lmm) ou de lamina invalida. Elle sépare l'écorce du sllúiwlll1/L de celle de la circonv
e ventricule latéral est encore formé par deux parties complètement séparées , la corne sphénoïdale (Vsph) en bas et en avant,
); il est entouré en haut et en avant par la zone réticulée (zr) et séparé du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2)
d antérieur de l'insu la (la) commence à se dessiner nettement. est séparé de la face operculaire de la troisième circon-
du ventricule latéral; son écorce grise forme un îlot complètement séparé du reste de l'écorce cérébrale, et entoure l'éc
re l'écorce grise de la circonvolution godronnée (Cg) dont elle est séparée par la lame médullaire moyenne. Ventricule la
eint presque l'extrémité antérieure du putamen (NL,,) dont elle est séparée par la capsule exlerne (Ce); en arrière, elle s
volution antérieure de l'insula (la) et le noyau lenticulaire. Il est séparé des circonvolutions insulaires par un faisceau
ceau d'association interlobaire, le faisceau uncinatus (Fu). Il est séparé [du noyau lenticulaire sur la coupe actuelle, n°
oupe, est formé par la troisième circonvolution occipitale (0 : )), séparée du lobule fusiforme (Fus) par le sillon colla 1
l est formée par les trois circonvolutions temporales (T3' T2, T,), séparées par les deuxième et premier sillons temporaux (
me circonvolution frontale (F.,). Le sillon marginal antérieur (ma) sépare l'insula de la portion orbitaire de la troisième
continue il angle aigu avec le sillon marginal postérieur (mp), qui sépare l'insula postérieur du lobe temporal. Dans le fon
(S [v]) et limite le cap de Broca (F., [C]) en arrière. La seconde sépare l'opercule rolandique (OpR) de l'opercule de la
en arrière avec la circonvolution frontale ascendante (Fa) dont la sépare le sillon prérolandique inférieur (pri). La circo
ro-pariétal, le sillon parallèle (t,), interrompu en deux endroits, sépare la première circonvolution temporale (T,) des aut
la première circonvolution frontale (oF,). Ce faisceau est toujours séparé du fond du sillon olfactif (1'4) par trois couc
'irradier au voisinage du gyrus reclus. Les fibres du cingulum sont séparées de l'écorce du lobe limbique (LJ par les fibres
ne (Ce) et de Y avant-mur (AM). Ces deux noyaux sont incomplètement séparés dans leurs 3/ supérieurs parle segment antérieur
calleux (Ce). Au-dessous du ventricule latéral, le noyau caudé est séparé de la substance grise du septum lucidum par des f
ngentielles qui tapissent le colliculus du noyau caudé (CNC) et qui séparent seules ce noyau, de la névroglie sous-pie-mérienn
chesse de vascularisation et le même aspect microscopique. Ils sont séparés l'un de l'autre par deux ordres de fibres, les
toure l'écorce du fond du sinus du corps calleux (sec), dont il est séparé par quelques fibres propres il la région, et re
système des radiations olfactives profondes. L'avant-mur (AM) est séparé du putamen (NL.,) par la capsule externe (Ce),
trigone (Tga). Le corps strié est formé de trois segments nettement séparés ; au putamen (NL3) et au noyau caudé (NC) qui a
oyau caudé (NC) et de l'angle inférieur du ventricule latéral. Elle sépare le segment antérieur de la capsule interne (Cia)
rieur de la capsule interne. Elles sont groupées en gros fascicules séparés par les pouls de substance grise qui relient le
n, on trouve le globus pallidus (NL2, NL,), formé de deux segments, séparés par les lames médullaires externe et interne du n
nt colorés par l'hématoxyline. se por- tent en haut et en dedans et séparent les languettes de substance grise qui relient l
noyau amygdalien (NA). Le faisceau longitudinal inférieur (Fli) est séparé de la partie morcelée de l'avant-mur (AM') par
la circonvolution du, cro- chet, la queue du noyau caudé (NC') est séparée du putamen (NLa) par une couche de fibres secti
de la paroi externe du ventricule sphénoïdal (Vsph), dont elle est séparée par les rares fibres du tapetum (Tap). En dehors,
en (NL3) on trouve les deux segments du globus pallidus (NL2, NL,), séparés l'un de l'autre ainsi que du putamen par les lame
nt externe (NL2) repose sur le noyau amyu- dalien (NA), dont il est séparé parles derniers vestiges de la substance innominé
e une surface de section losangique et occupe le fond du sillon qui sépare la circonvolution du crochet (U) du pied du péd
ion verticale, la lame médullaire externe du thalamus (Lme), qui la sépare du noyau externe. (Ne) de la couche optique. La
qui le sillon- nent de dehors en dedans. Le noyau externe (Ne) est séparé du noyau interne (Ni) par la lame médullaire in
n dedans par le troisième ventricule et l'espace interpédonculaire, séparés l'un de l'autre par une lamelle grise appartena
r. Réunis en dedans, ces deux faisceaux divergent en dehors et sont séparés l'un de l'autre par une lame grise, la zona inc
èmes internes du pied du pédoncule cérébral (J. Dejerine). Elles sont séparées de la partie interne du corps de Luys (CL) par
ent en haut et en dedans, passent au-dessous du putamen (NL3) et le séparent de la queue du noyau caudé (NC), des fibres de la
nfondre en dehors : c'est le faisceau longitudinal inférieur (Fli), séparé de la cavité vers COUPES MICROSCOPIQUES DU CERV
érébral n'est plus en connexion avec la capsule interne dont il est séparé par le corps genouillé externe (Cge). L'écorce
eil médian (Rm). Le pied du pédoncule cérébral (P) est complètement séparé de la capsule interne. Il est formé de fibres e
fibres nettement sectionnées en travers, groupées en fascicules et séparées par les fibres du tapetum qui vont s'irradier dan
spéciale et à la direction des fibres. Ces couches sagittales sont séparées de l'écorce de la sCzSsU7'e calcarine (K) par u
), et s'unissent en dedans à la tête du noyau caudé (CNC). Ils sont séparés par des fibres nettement parallèles, fortement co
edans à l'écorce de la circonvolution du crochet (U), dont il n'est séparé que par quelques rares fibres à direction langent
e d'Ammon (CAi et suivent toutes les digilalions de cette dernière. Séparées l'une de l'autre dans toute l'étendue de la cor
circonvidulion godronnée (Cg) est donc, sur cette coupe, complètement séparée de la corne cLllll1ll011 (CA) ; elle est intére
naturelle.) COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 379 est toujours séparé de l'écorce, par une couche plus ou moins mince d
- vêtrement de la masse blanche sous-corticale. Ces fascicules sont séparés les uns des autres par les radiations calleuses
du pied de la couronne rayonnante sont variables. En avant, elle est séparée des radiations calleuses par toute l'épaisseur
ayonnante (pfft). En arrière, les fibres calleuses sont net- lemenl séparées des fibres de projection , qui appartiennent déjà
nnent à la zone réticulée ou grillagée d'¡11'11f11cl (Zr); ils sont séparés les uns des autres par de gros fascicules de fibr
(Cia) et du segment postérieur (Cip) de celte capsule. Le genou qui sépare ces deux segments est il peine indiqué sur celte
és en deux endroits, ils subdivisent en trois segments l'espace qui sépare le corps calleux des corps opto-striés : les segm
sous le nom de lame médullaire antérieure du thalamus (Lma), et qui sépare le noyau antérieur (Na) du noyau externe du tlw1n
nne un aspect pointillé tout particulier. Le noyau externe (Ne) est séparé de la zone réticulée (Zr) qui constitue la limite
) et par le faisceau occipito-li'lil11al (OF). En arrière, elle est séparée de la couche optique par la lame cornée (lc), q
L'insula (la, Ip), sectionné au niveau de sa partie supérieure, est séparé de l'opercule de la troisième circonvolution fr
eur de l'iuszela; en arrière, le sillon marginal postérieur (mp) le sépare de la première cir- convolution temporale. (T,)
TOMIE DES CENTRES NERVEUX.' correspond à l'insula antérieur; il est séparé de la circonvolution postérieure de l'insula pa
des circonvolutions. Sur cette coupe, l'avant-mur est complètement séparé de l'écorce grise de l'insula. Il s'effile en a
s propres des deux circonvolutions antérieures de l'insula (la). Il sépare la couche des fibres propres de l'insula des fibr
, la zone réticulée (Zr) se réduit à une très mince lame grise, qui sépare la capsule interne (Cip) de la lame médullaire
;dullaÙ'p- antérieul'e (Lma) dépendance du ssfratuzn zonale (strz), sépare toujours le noyau antérieur (Na) du noyau externe
ur (PpTh) de la couche optique. Dans le sillon opto-strié (si), qui sépare la couche optique de la tête (NC) et de la queu
, et reçoit le deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2), qui le sépare du segment postérieur de la capsule interne (Ci
nt le deuxième segment du noyait lenticulaire (NL,). Ce dernier est séparé du pulamen (NL.,) par la lame médullaire externe
ourbe à concavité interne autour du noyau interne (Ni), dont il est séparé par la lame médullaire interne (Lmi). Le noyau in
e une situation inférieure il celle du noyau antérieur, dont il est séparé par toute l'épaisseur du noyau interne, et ne dev
oncavité la partie supérieure du premier segment (NL,), dont il est séparé par la lame médullaire interne du noyau lenticula
recouvre toute la largeur de la circonvolution godronnée dont il est séparé par un mince sillon, le sillon fimbrio-godronné
édullaire interne du thalamus limite le noyau externe en dedans et le sépare en avant, du noyau interne (Ni), en arrière, du
te sur cette coupe à peu près le tiers de la couche optique, il est séparé du centre médian de Luys (Nm) et du noyau externe
cule antérieur de la couche optique (PaTh). Les fibres postérieures séparent le noyau externe du thalamus (Ne), d'un noyau q
rrière, il se confond avec le centre médian de Luys (Nm), et il est séparé du ganglion de l'habénula (Gh) el du tubercule
s lequel il s'irradie. Ce bras du tubercule quadrijumeau antérieur, sépare le pul- vinar (Pul) du corps genouillé interne
rviligne, profondément enclavé dans la couche optique, et nettement séparé du pulvinar par le bras du tubercule quadrijume
ont moins pré- cises. Ses fibres radiaires les plus postérieures le séparent du noyau externe du thalamus (Ne). Un champ irr
he en fibres, la future région du ruban de lieil médian (rg Rm), le sépare du centre- médian de Luys (Nm) et du noyau semi
ui constituent les lamelles. Le corps genouillé c.r/e/'He (Cge) est séparé du pulvinar (Pul) par quelques rares fibres; il
en section transversale, sous forme de faisceaux ou de fascicules, séparés les uns des autres par des fibres il direction
(Cip), situé en avant du corps genouillé externe (Cge) dont il est séparé par le prolon- gement de la zone réticulée (Zr)
et ici les fibres qui constituent ce segment rétro-lenticulaire, se séparer du faisceau de 7'« ? 'c/; et se recourber en arri
dimi- nution du segment antérieur de la capsule interne (Cia), qui sépare très incomplètement le pzetamen (NL3) de la tèt
ques rares fibres du pédoncule antérieur du thalamus (PaTh), qui ne séparent que fort incomplètement les deux noyaux du 'C01
rel (Fth). Ce faisceau, 'allongé dans, le sens antéro-postérieur, est séparé en avant du pédoncule antérieur de la couche op
ptique (Path) par le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), en dedans il est séparé du champ du ruban delleilnzédian(rgRm), par le
alamus (Lmi), et par le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF). Il est séparé enfin en dehors, des trois cinquièmes postérieu
pédoncule antérieur de la couche optique. Ce système de fibres qui sépare , fort incomplètement du reste, le noyau caudé (NC
ère et en dedans avec le corps genouillé interne (Cgi), dont il est séparé par un petit faisceau triangulaire de fibres hori
hamp irrégulier qui appartient encore au ruban de Reil, dont il est séparé sur cette coupe par un léger intervalle. Sur les
brasse toujours en avant le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), et il est séparé du faisceau lenticulaire de Forel (FI) et du corp
'une antérieure, unie à la tête du noyau caudé (NC) dont elle n'est séparée que par des fascicules peu nombreux, appartenant
t (CM). Le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), séparé du faisceau de l'iil'ck (FT) par toute l'épaiss
, fig. 310) et contient beaucoup moins de fibres. En arrière il est séparé du ventricule sphé- noïdal (Vsph), par la lame
e et appartiennent encore au faisceau de Tùrck (FT) dont elles sont séparées sur cette coupe par la optique (II). Le premier
doncule cérébral proprement dit (P), que la bandelette optique (II) sépare de plus en plus de la base du cerveau. Par sa m
La partie antérieure, intimement unie au noyau caudé (NC), n'en est séparée que par des fascicules de fibres interrompus, rep
ayonnante (pCR); en arrière par la commissure antérieure (coa) qui la sépare du deuxième et du premier segment du noyau lent
ge), qui double la corne frontale du ventricule latéral (Vf) et qui sépare la tète du noyau caudé, du genou ou bec du corp
), unie, en dedans à la substance inno- minée de Reichert, (Sti) et séparée en arrière de l'extrémité antérieure de la queue
ui constitue déjà ici le pied du pédoncule cr·rz·Gral (l'); il en est séparé par la bandelette optique (II), lasuústance inn
creuse un passage il travers la substance innominée (Sti), dont la sépare la commissure de Meynert (CM). Le pédoncule céréG
out formé de fibres sectionnées transversalement ou obliquement, et séparées en fascicules par les fibres de l'anse du noyau
). Cette coupe passe, en effet, au niveau du sillon transversal qui sépare le tubercule quadrijumeau antérieur Au postérieur
e, la circonvolution godronnée (Cg), que le sillon fimbrio-godronné sépare sur la coupe n° 13 (fig. 312) du pilier postéri
açon d'une lame mince la circonvolution du crochet (U), dont elle est séparée par une couche de fibres très lâches, tout à fa
une couche de fibres très lâches, tout à fait comparable à celle qui sépare la circonvolution godronnée de l'écorce de la c
par les dernières fibres du pied de la couronne rayonnante (IiCR), et séparée -de l'écorce qui tapisse le fond du sillon olfa
sparu. Le locus niger (Ln) s'est étalé, il a augmenté de volume, et sépare seul maintenant Vêlage infé- rieur ou pied Au p
n trouve la section trans- versale du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), séparé du pilier antérieur du trigone (Tga) par toute
cui (Cia), est formé exclusivement par les libres horizontales, qui séparent le noyau caudé (NC) du noyau lenticulaire (NL : p
re externe; c'est le faisceau thalamique, de Forel (Fth). En avant et séparé de lui par la zone incerta (Zi) du même auteur,
oyau caudé (NC). Elles ne sont plus seules il occuper le sillon qui sépare la lame terminale embryonnaire (lt) de la premi
u caudé (NC), qui atteint la surface du cerveau, dans le sillon qui sépare la première circonvolution limbique de la lame te
cule quadrijumeau a>zlr·- rieur (BrQa), et entourent l'angle qui sépare ce tubercule du pulvinar (Pul); les moyennes se
VEAU. Ma en effet formée de fibres réunies en fascicules espacés et séparés par la substance grise du tuber cinereum (Te);
ommissure antérieure (coa), sectionnée transversale- ment et qui la sépare du pulamen (NL3), en avant par V avant-mur (AM) e
dehors, forme le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), et sépare , en s'enfonçant dans la couche optique (Th), le
du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl). Il est séparé de la zone réticulée (Zr) par le champ ou la zone
ernière, leur finesse extrême et leur réunion en fascicules serrés, séparés les uns des autres par des fentes longitudinale
ues fibres du ruban de Reil (Rm). La zone réticulée ou grillagée (Zr) sépare la zone de Wernicke (W) du segment rétro-lentic
st libre et tapissée par le stratum zonale (strz). Dans l'angle qui sépare le pulvinar de la tête du noyau caudé (NC), on tr
du segment rétro-lenticulaire (Cirl) de la capsule interne. Il est séparé de l'écorce grise du fond du sillon marginal po
à concavité posté- rieure et entoure le corps de Luys (CL), qui le sépare du noyau rouge (NR) et de la capsule de ce noya
lé interne (Cgi) s'est rapproché de la base du cerveau, dont il est séparé encore par le bras du tubercule quadrijumeau anté
ugmenté de volume, et dans la substance grise de l'aqueduc (Aq) qui sépare ces deux faisceaux l'un de l'autre, on trouve l
rradient dans le pulvinar (Pul). Une mince lamelle de substance grise sépare Cc. 324. - Coupe n° 9 x, passant par la ligne 9
uve les différents groupes des noyaux de la troisième paire (NIII), séparés par de gros fascicules de fibres, appartenant aux
e Meynert (Stri, Ilg. 193 et 297). En arrière, le locus niger est séparé du noyau rouge et de la capsule, de ce dernier,
de. la capsule dans la partie supérieure de la région sous-optique, sépare ce seg- ment postérieur du segment rétro-lentic
encore ici en continuité avec la bandelette optique (II); il en est séparé par la commissure de Meynert (CM) et par la parti
n arrière avec la circonvolution du crochet (U). Cette dernière est séparée du pied du pédoncule cérébral (P) par la bandel
ncule cérébral est sectionné au voisinage dn sillon transversal qui sépare le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) du posté
s), on trouve le faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui en est séparé par les libres de l'eil- de la caloltede Meyner
. Toute la région de l'étage supérieur ou calotte du pédoncule, est séparée du pied du pédoncule cérébral (P), par le locus
stance grise de l'aqueduc de Sylvius, pour émerger dans le sillon qui sépare le tubercule quadrijumeau postérieur, du pédonc
de la substance réticulée de la calotte (SR). Dans la zone claire qui sépare cette substance 'réticulée du ruban de Reil méd
jaunâtre (fig. 330). Ces deux couches grises, assez épaisses, sont séparées l'une de l'autre par une zone blanche, mince et
llons (Kaes). Immédiatement sous-jacente à la pie-mère, elle en est séparée par une mince couche de névroglie sous-pie-méri
couche comme dans la couche précédente (Cajal). Les intervalles qui séparent les petites etles grandes cellules pyramidales
ée par différents auteurs pour les désigner. Les lignes pointillées séparent les cinq couches cellulaires de Meynert et les qu
ment à la surface de l'écorce et forment une sorte de barrière, qui sépare l'écorce cérébrale de la substance blanche sous
x circonvolutions tient il ce que le sillon de l'hippocampe qui les sépare , au lieu d'être largement ouvert, comme pour le
oléculaire de la circonvolution godronnée sont adossées, et ne sont séparées l'une de l'autre, que par le feuillet pie- méri
une ligne passant par le point où la circonvolution godronnée n'est séparée du subiculum que par un seul feuillet pie-mérien
sées l'une à l'autre par leurs couches moléculaires (M) qui ne sont séparées l'une de l'autre que par le sillon de l'hippo- z
nt aux cellules épendymaires, qui limitent l'alvéus en dehors et le séparent de la corne sphénoïdale, elles forment une rangée
la circonvolution godron- née, elles occupent tout l'intervalle qui sépare les cellules pyramidales géantes de la couche d
l'observe dans les autres circonvolutions cérébrales ; elle en est séparée par une deuxième écorce, cérébrale possédant une
dossées l'une à l'autre par leurs couches moléculaires, qui ne sont séparées l'une de l'autre que par le sillon de l'hippocamp
ure; ces fibres entourent STRUCTURE DE L'ÉCORCE CEREBRALE. 733 et séparent les uns des autres, des îlots cellulaires formés
corce grise de la première circonvo- lution limbique, dont elle est séparée par les courtes fibres d'association de la régi
noyau caudé, au- dessous et en dehors du corps calleux; il est séparé de la cavité ventriculaire par la substance g
m et le faisceau arqué ou longitudinal supérieur de Burdach; il est séparé du cin- gulum par toute l'épaisseur du corps ca
eau occipito-fron- tal se groupent en effet en fascicules nettement séparés les uns des autres, et se colorent beaucoup moi
noms de couche sagittale interne, de radiations thalamiques, et qui sépare le faisceau longitudinal inférieur, du tapetum
intense coloration de ses fibres réunies en fascicules compactes et séparés les uns des autres : 1° par de fines fibres peu c
de fibres verticales, qui double l'écorce de l'ergot de Morand, la sépare du faisceau longitudinal inférieur et forme à e
t le fornix trans- verse de Forel. Ce dernier faisceau ne peut être séparé du trigone cérébral, FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET
orps calleux. Ces deux espèces de systèmes sont toutefois faciles à séparer l'un de l'autre par dissection, sur des cerveau
aucun rapport avec les fibres de la couronne rayonnante, elles sont séparées en effet des couches inférieures du segment ant
d'une couche mince et régulière . (Tap) fig. 290, p. 560), qui est séparée de la cavité ventriculaire par l'épen- dyme et
de Henle, fait un léger relief en avant du bec du corps calleux et sépare ce dernier de la lame sus-opticlue. Sur une cou
substance perforée antérieure et la tète du noyau caudé (ng. 316), il sépare ensuite le globus pallidus du putamen (fig. 229
une courbe analogue à celle de la bandelette optique, dont elle est séparée par la substance perforée antérieure et par l'ans
3 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
mbreux vaisseaux. L'interne est lisse et envoie des prolongements qui séparent , cloisonnent les diverses parties de l'encéphale.
que du cerveau et des localisations cérébrales. Ces deux zones sont séparées par un petit liséré blanchâtre dans les circonvol
s ner-veuses. Le plan le plus profond de la substance corticale est séparé du plan superficiel par une mince couche granuleu
e des régions antérieure et externe de la couche optique, dont il est séparé par un sillon curviligne qui loge la lame cornée,
raux (Pl. XVI, 5). Cette masse grise volumineuse est incomplètement séparée en deux portions inégales par le passage d'un lar
. La partie antérieure du noyau lenticulaire n'est pas complètement séparée de la tête du corps strié; de petites traînées de
au centre de la circonvolution, puis elles s'étalent en éventail, se séparent , se dissémi-nent isolément et abordent la base de
ivent d'abord le même trajet que les fibres commissurantes, puis s'en séparent au voisinage des noyaux opto-striés, pour plonger
n gros faisceau qui plonge dans la substance grise du corps strié, la séparent en deux segments, le noyau intra-ventriculaire et
un fascicule qui s'implante sur le bord externe du noyau caudé et le séparent du noyau lenticulaire (Pl. XVI, 4; XVII; XV11I, 6
subs-tance corticale, se sont condensés en un faisceau. Ces fibres se séparent de nouveau pour gagner leurs destinations respect
ventriculaire. L'autre partie se détache du faisceau principal, se sépare en deux groupes de fibres : l'un gagne la masse d
u-dessus de la commissure blanche antérieure, ces deux bandelettes se séparent , se roulent chacune en un cordon cylindrique [pil
le choroïdienne, en dessous de la veine de Galien, dans le sillon qui sépare les tubercules quadrijumeaux antérieurs. Composé
deux lobes latéraux réunis l'un à l'autre par un petit lobe médian et séparé des lobes occipitaux du cerveau par la tente du c
raversent la surface du cervelet, la divisent en lamelles parallèles, séparées les unes des autres par un repli de la pie-mère.
es triangulaires de 6 p. à 10 (a et de nombreux capillaires. Elle est séparée de la zone profonde par une couche de fibres nerv
énètrent dans les anfractuosités de la substance grise; les fibres se séparent de nouveau, s'épanouissent en fibrilles divergent
cérébelleux inférieurs, nées dans la cavité des corps rhomboïdaux, se séparent en deux groupes. Le groupe externe, sous l'aspect
ules cérébelleux supérieurs, dès leur sortie du corps rhom-boïdal, se séparent très nettement des deux autres faisceaux de fibre
ation de cordons antérieurs, cordons latéraux, cordons postérieurs et séparés les uns des autres par des prolonge-ments lamelle
grise des cornes antérieures [formation réticulée de Deiters) qu'ils séparent en deux parties, s'entre-croisent sur la ligne mé
es faisant partie d'une colonne grise, ou bien formant un amas isolé, séparé d'une colonne grise. Stilling a désigné le premie
suite, sur un plan plus élevé, au noyau propre du facial, dont il est séparé par le passage de fibres nerveuses. La base de
eur des pédoncules cérébraux, sous le nom de bandelettes optiques, se sépare progressivement en deux fascicules qui vont s'amo
III). A cette formation se rattache le noyau de substance grise qui sépare en haut, l'une de l'autre, les portions sensitive
téral du bulbe, demeure juxtaposée au tubercule cendré de Rolando, et sépare plus haut la corne antérieure de la corne pos-tér
érieur de l'olive bulbaire, une direction en arrière et commence à se séparer des pyramides antérieures. L'intervalle que ces d
terne ; elle tourne en dedans la concavité de son croissant. Elle est séparée de la portion motrice par la substance grise du l
ntre la corne postérieure et les débris de la corne antérieure qui le séparent de l'olive bulbaire correspondante ; il se contin
ondulé d'une flamme. Ce faisceau se dirige en haut et en avant; il se sépare en deux fascicules, suivant chacun une direction
boïdal (Pl. Vf, 19; XXXI). Les pédoncules cérébelleux inférieurs se séparent , dès leur sortie du cervelet, en une grosse porti
formes. d. Racine du nerf grand hypoglosse. e. Corne postérieure, séparée de sa base et déjetée latéralement. f. Faisceau
e latéralement. f. Faisceau latéral du bulbe. g. Corne antérieure séparée de sa base. h. Portion motrice des pyramides of
e Stilling. h. Portion sensitive des pyramides. i. Noyau gris qui sépare les deux portions sensitives et se prolonge ent
ive bulbaire. k. Portion motrice des pyramides. /. Noyau gris qui sépare les portions sensitives, s'interpose entre la p
Ces parois osseuses sont formées de deux lames de substance compacte, séparées par une substance spongieuse nommée diploé. La la
e de l'occipital; son corps renferme deux cavités, sinus sphénoïdaux, séparées par une cloison médiane verticale, communiquant a
ista galli et l'éminence médiane de la lame criblée de l'ethmoïde les sépare en avant; le corps du sphénoïde supporte la gland
es inférieures ; ils sont recouverts par la tente du cervelet qui les sépare de la face inférieure des lobes postérieurs du ce
obule frontal interne ou para-central, formé par deux circonvolutions séparées par un petit sillon médian horizon-tal. En arrièr
. 9. — Section médiane des pédoncules cérébraux, au point où ils se séparent à angle aigu pour se diriger en dehors et en avan
elle est bordée inférieurement par une couche de substance corticale, séparée en haut des circonvolutions précédentes par la sc
re ou cunéiforme, circonscrit par la scissure des hippocampes, qui le sépare du lobulus extremus de Ecker et du lobulus lingua
t verticalement par de petits faisceaux de fibres blanches ; elle est séparée de la cavité du quatrième ventricule par un group
Les fibres médullaires prennent chacune une direction propre qui les sépare en trois faisceaux distincts, désignés sous le no
e l'hippocampe; en bas la première circonvolution occipito-temporale, séparée en avant de la deuxième circonvolution temporale
commissurantes constituant le corps calleux ; une gouttière profonde sépare le corps calleux de la couche de substance cortic
ection de la portion arrondie du lobe sphénoïdal. Le corps calleux, séparé de la circonvolution cretée par le sinus corporis
contournée en arrière par les fibres spinales postérieures, qui sont séparées , dans le pédoncule cérébral, des fibres spinales
iculaire du corps strié que les fibres blanches de la capsule interne séparent du noyau intraventriculaire. Les fibres converg
un gros faisceau de fibres qui se dirigent d'abord en avant, puis se séparent : les unes se relèvent vers les pédoncules cérébr
des régions anté-rieures et inférieures (9) traversent sa masse et la séparent (10) de la substance grise du noyau lenticulaire,
la coupe de l'extrémité antérieure delà corne d'Ammon ou hippocampe, séparée , par un petit sillon, de la substance grise du ga
iculaire est réduite à sa portion supérieure et postérieure; elle est séparée delà couche optique parle taenia semi-circularis.
lenticulaire ont acquis à peu près tout leur développe-ment; ils sont séparés par une arcade blanche qui les a fait diviser en
al de cette circonvolution (13, Pl. X). En avant de la corne d'Ammon, séparée par un sillon, est la substance grise du ganglion
de fines traînées blanches dans sa substance. Le lobe sphenoidal est séparé du lobe frontal par la scissure de Sylvius. La
de scissures ou de sillons, atteintes par la section. La scissure qui sépare le lobe frontal du lobule de l'insula se relève v
es fibres commissurantes. Le corps calleux occupe tout l'espace qui sépare les deux extrémités de la scissure inter-hémisphé
erture artificielle, la face interne (6) du noyau intraventriculaire, séparée de la face supérieure de la couche optique (8) pa
est recouvert par les bandelettes géminées, ou trigone cérébral, qui sépare le ventricule de la voûte formée par le corps cal
stance grise, appartenant au corps strié, appelée avant-mur; elle est séparée du noyau lenticulaire par un faisceau de fibres c
gment externe du noyau lenticulaire du corps strié ou putamen. Il est séparé des circonvolutions de l'insula par une traînée d
rtient au corps strié. 14. — Centre antérieur de la couche optique, séparé du noyau intra-ventriculaire par les fibres du ta
, Pl. XX). A sa partie antérieure est le tœnia semi-circularis qui le sépare de la substance grise du noyau intra-ventriculair
corps strié. 11. — Apparition du segment moyen, noyau jaune. Il est séparé du segment ex-terne par une petite arcade blanche
distribuent à chacune de ces régions du noyau lenticulaire. Ils sont séparés l'un de l'autre par un filament blanc courbe form
; en dedans sont les deux noyaux jaunes (10). Ces trois segments sont séparés entre eux par deux arcades blanches, formées par
ieure ; il reçoit principalement les fibres spinales antéro-internes, séparées en deux gerbes bien nettement incurvées en arcade
vant, la section des fibres spinales anté-rieures ou étage inférieur, séparé par la substance grise du locus niger des fibres
corne d'Ammon ou hippocampe dans la cavité sphénoïdale. Un sillon la sépare de la substance grise du ganglion olfactif. 11.
eux lobules orbitaires du lobe frontal et les deux lobes sphénoïdaux, séparés transversalement par la scissure de Sylvius. Le
égions supérieures moyennes et postérieures. En haut, ces fibres sont séparées de la circonvolution crêtée par le sinus corporis
fusionnent avec les pédoncules cérébelleux inférieurs (17). Ils sont séparés l'un de l'autre par le sillon médian postérieur d
En avant et en dehors de la couche optique est la lame cornée, qui la sépare du noyau caudé du corps strié, situé plus en avan
eurs ou cordons de Goll, le sillon médian postérieur du bulbe qui les sépare . Sur leur bord externe, est un sillon très délié
ium, dépouillée de la toile choroïdienne, logée dans la gouttière qui sépare les tubercules quadrijumeaux antérieurs. 8. — S
gris au bord externe de la cavité des ventri-cules latéraux ; il est séparé de la substance grise de la couche optique par la
terminant en bas à l'embouchure du canal central du bulbe. Ce sillon sépare les deux colonnes grisâtres en rapport avec la ra
les cordons antérieurs delà moelle qui se sont inclinés en arrière et séparés l'un de l'autre pour laisser passer les cordons l
lus bas, sont formés par les cordons latéraux de la moelle ; ils sont séparés par un noyau de substance grise, situé sur les cô
psule interne. 5. —Substance grise du noyau lenticulaire ouputamen, séparée de Pavant-mur (6) par le faisceau de fibres qui f
ricule latéral. 11. — Centre antérieur de la couche optique. 11 est séparé du noyau caudé parles fibres du taenia semi-circu
ons postérieurs de la moelle, après leur entre-croisement. Elles sont séparées supérieurement par un noyau de substance grise.
ons supérieures, forment la région moyenne ou voûte du corps calleux, séparée de la circonvolution crêtée par le sinus corporis
de la moelle (cornes postérieures). 27. — Olive bulbaire. Elle est séparée de la portion sensitive des pyramides anté-rieure
en rapport en dehors avec les fibres du tsenia semi-circularis qui le séparent du noyau caudé ; il reçoit en dedans les pédoncul
externe du noyau lenticulaire. En dedans sont les deux noyaux jaunes, séparés par une arcade blanche. Le segment interne est su
enticulaire. 9. — Noyau lenticulaire présentant ses trois segments, séparés par les arcades externe et interne; sa masse est
térieure, c'est-à-dire les lobes frontaux. La scissure de Sylvius les sépare des derniers vestiges des lobes sphénoïdaux. Le
e du corps strié. 4. — Fibres convergentes des régions antérieures, séparées en fascicules isolés et stratifiés, en continuité
comme une cloison dans la cavité antérieure des ventricules, qu'elles séparent en deux cavités latérales. Ces lamelles se cont
est réduit à une mince couche de substance grise du putamen ; il est séparé de l'avant-mur par les fibres de la capsule exter
4 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
caudé au bord supérieur du putamen représente la limite fictive qui sépare la capsule interne de la couronne rayonnante.
ecouvre les fibres calleuses et le faisceau occipito-frontal qui le séparent de l'épendyme ventriculaire. Leur face externe
touche presque le fond des sillons principaux, tandis qu'il en est séparé chez l'adulte par une dislance toujours très ap
il forme un cône creux qui emboîte la corne occipitale et qui n'est séparé de l'épendyme ventriculaire que par le tapetum el
ar le corps genouillé externe (Cge) et la zone de Wernicke (W), est séparé du segment postérieur (Cip) par une mince lamel
r les coupes horizontales sériées quelques fascicules de fibres qui séparent , dans la ré- gion sous-thalamique, le noyau cau
il est en rapport de haut en bas : avec la zona incerla (Zi) qui le sépare du faisceau thalamique de Forel (Fth) et des pa
(Cip) et le corps genouillé externe (Cge) dont elles sont toujours séparées par l'étroite lamelle de substance grise apparte-
la queue (NC,) de ce noyau (Fig. 26). Le taenia semi-circularis le sépare de l'épendyme qui tapisse le carrefour et la vo
angulaire, que la queue du noyau caudé et le taenia semi-circularis séparent du carrefour ventriculaire. Sur les coupes hori
capsule interne (Cip), puis avec la bandelette optique (II) dont le séparent le ténia semi-circularis et le pédoncule du putam
niger et forment dans leur ensemble une couche de lâches fascicules séparés par de la substance grise et connue sous le nom d
, et convergent vers la face externe de la couche optique. Elles se séparent , à ce niveau, du reste des fibres de projection
concourent à la formation de la lame médullaire antérieure (Lma) et séparent le noyau antérieur (Na) des noyaux externe (Ne)
me avec cette dernière l'anse pé- donculaire de Gratiolet et en est séparé par une mince lame de sub- stance grise. 2. R
u corps genouillé externe et du tubercule quadrijumeau antérieur se séparent de la masse commune des radiations optiques de
passant par le noyau antérieur du thalamus. La substance grise qui sépare le. pédoncule inféro-interne du thalamus de l'a
passent au- dessus et en avant du corps genouillé externe qu'elles séparent du segment postérieur de la capsule interne (Ci
e faisceau interne du pied du pédoncule cérébral et la distance qui sépare , dans la région sous-tha- lamique, le faisceau
apsule inlerne (Cip), est sensiblement égale à celle qui, plus bas, sépare le faisceau dégénéré du bord interne du pied du p
re de la capsule (Cirl); dans la région sous-thalamique, elles sont séparées du segment rétro-lenticulaire (Cirl) par les fi
nstituantes retentit sur toutes les autres. Nous savons que si l'on sépare le cylindre-axe de sa cellule d'origine, la par
ules qui sont plus petits, plus serrés les uns contre les autres et séparés par très peu de substance grise. Méthode de Weige
champ de dégénérescence est constitué seulement par les fibres qui, séparées de leurs cellules d'origine, ont subi la dégéné
e dégénérée du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et la sépare du segment rétrolenticulaire de la capsule intern
stérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et sont séparées du segment rétrolenti- culaire de la capsule in
occupe le segment postérieur de la capsule interne (Cip); elle est séparée de la zone précédente par le faisceau de Tiirck (
n'y retrouve même plus les intervalles plus ou moins volumineux qui séparent , à l'état normal ou dans les lésions de l'adult
lamiclues et strio-sous-thalamiques- ne sont pas dans le cas Rivaud séparées les unes des autres par des intervalles plus ou
ire (Tm, Fig. 171). Méthode de Weigei t. 3/2 grandeur nature. sépare seule de la cavité du ventricule latéral (Fig
et empiète sur le 3° cinquième. Une large zone de fibres saines la sépare du faisceau interne du pied du pédoncule cérébr
de l'opercule sylvien, mais une vaste porencéphalie a complètement séparé la convexité des hémisphères des ganglions de l
e hémisphère on distingue un lobe frontal et un lobe sphéno-occipital séparés l'un de l'autre par une scissure de Sylvius trè
es pyramides font défaut et les olives bulbaires très saillantes sont séparées l'une de l'autre par un méplat médian qui loge
e interhémisphérique (sih), entoure les ganglions de la base et les sépare du fond de la scissure de Sylvius (SS). Remarqu
à myéline. 2° Les ganglions de la base du cerveau (Fig. 202 à 207) séparés l'un de l'autre par 'étroite cavité du troisièm
elié au putamen par de nombreux ponts de substance grise; il en est séparé par les segments Moteurs (Cia, Fig. 202) et pos
ce cerveau mal forint par la zona incerta (Zi, Fig. 20 el 205) qu sépare la région ventrale du thalamus du globus pallid
deux saillies ovoïdes, les ganglions de la base ou corps opto-striés séparés l'un de l'autre à leur partie postérieure par l
où un diverticule inférieur et médian de la cavité ventriculaire la sépare de la lame (lih), qui occupe dans la région orb
e, cette couche disparait et les deux faisceaux sont complè- tement séparés l'un de l'autre. Les coupes horizontales obliqu
ubstance grise. La partie inférieure, basale du septum lucidum (SI) sépare les deux noyaux caudés, et s'étend du pilier an
tal de la cavité ventriculaire unique (VI) la limite en avant et la sépare de la lame interhémisphérique (lih). Méthode de
au caudé, un noyau lenti- culaire et un thalamus bien constitués et séparés les uns des autres par les différents segments
aux deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire ou n'en sont séparées que par quelques fibres appartenant au faisceau
sur les autres chez le macaque; chez l'orang, par conlre, ils sont séparés par des aires inexcitables qui existent également
entrale est en général conser- vée, et la ligne de démarcation, qui sépare la moitié aveugle du champ visuel de la moitié
rne, longe le bord postérieur de l'espace perforé antérieur qu'elle sépare de l'insula, et peut tacitement être suivie jus
etits et serrés fortement coloriés parla laque héma- toxylinique et séparés les uns des autres par des îlots allongés de subs
d'insertion des plexus choroïdes de la corne sphénoïdale, et il est séparé du noyau caudé par le faisceau temporo-thalamique
Elles forment au thalamus une véritable couche limi- tante externe, séparée de la lame médullaire externe par la zone réticul
corps calleux corres- pond à la Lyre de David, au corpus psallodcs, séparé de la face inférieure du tronc du corps calleux
'autant plus étroit que l'on considère des coupes plus antérieures, sépare sa face inférieure en deux moitiés droite et ga
e et étroite cloison verticale et antero-postérieure, peu élevée, qui sépare à leur partie antérieure les deux ganglions de
u il peu du corps calleux auquel elles étaient adossées et dont les séparent le septum lucidum et les fibres perforantes de la
du trigone, les fascicules deviennent lâches et onduleux; ils sont séparés les uns des autres par des inter- valles plus o
ta au- dessous du corps calleux, recouvre la couche optique dont le sépare un feuillet pie-mérien et atteint presque en av
u distinct qui longe la face inférieure du corps calleux et qui est séparé du trigone proprement dit par toute l'épaisseur d
es, et recouvre la strie terminale ou taenia semicircularis dont la sépare toutefois la cavité du ventricule latéral. Comp
feuillet antérieur ou ventral et un feuillet postérieur ou dorsal, séparés l'un de l'autre par toute la longueur antéro-post
la partie ventrale réfléchie du bourrelet du corps calleux ; il est séparé de la partie dorsale du bourrelet par le fornix l
es par la laque hématoxylinique; il occupe d'abord l'intervalle qui sépare la partie supérieure de la partie réfléchie du bo
, Fig. 2-il), longe ensuite la face inférieure du corps calleux qu'il sépare de la corne d'Ammon, puis du psalterium venlral
re et concourt à former le plancher du troisième ventricule. 11 est séparé de la cavité ventricu- laire par la substance g
ION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 299 interne l'entoure complètement et le sépare de la substance grise cen- trale du troisième v
du ganglion interne sur lequel il se moule en général, mais dont le sépare une couche plus ou moins épaisse de fibres qui
le losange opto-pédonculaire, et un sillon plus ou moins profond le sépare alors du noyau interne. Le noyau externe est en
ière du pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh) qui le sépare du pilier antérieur du trigone (voy. Fig. 45),
égions pédonculaires inférieures au ruban de Reil médian, mais s'en séparent déjà dans les régions protubérantielles supérie
oyau lenticulaire, fibres radiées du noyau lenticulaire; les autres séparent les trois segments du noyau lenticulaire, et subd
upplémentaires. Lames médullaires. La lame médullaire externe (lme) sépare le puta- men du globus pallidus; elle décrit un
référence une direction verticale. La lame médullaire interne (lmi) sépare les deux segments du globus pallidus. Elle est
e de la capsule interne en particulier de la zone de transition qui sépare la région thalamique de la région sous-thalamique
. 323, 324), s'adosse au faisceau thalamique de Forel (Fth) dont le sépare la zona incerta (Zi) de cet auteur, puis s'ench
erveau. Les deux faisceaux constitutifs de l'anse pédonculaire sont séparés l'un de l'autre par une couche de substance grise
e variables, qui se fusionnent en parlie et qui sont incomplètement séparés les uns des autres par la lame médullaire interne
tes, étoilées et multipolaires, et réunies en petits amas réguliers séparés par d'étroits intervalles. Chez le chat, le l
le en fibres à myéline. Le noyau acces- soire ventral (ant. b.) est séparé du noyau principal par de volumineux fascicules d
mi), recouvert en dedans par la substance grise centrale (Sgc) qui le sépare du troisième ventricule, le noyau interne est i
Ni, noyau interne de la couche optique. - Nm, centre médian de Luys, séparé de la lame médullaire interne (Lmi') par le noy
7, 21, 43, 47, 310, 311, 323, 324. 325). La lame médullaire interne sépare le noyau interne du noyau externe. Sur les coup
loge la queue et l'extrémité antérieure du noyau antérieur qu'elle sépare des noyaux interne et externe et atteint de cha
e la partie postérieure de la lame médullaire interne s'accentue et sépare le centre médian de Luys (Nm) de la région du r
ire moyenne qui limite le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF) et le sépare en dehors du faisceau tlialamique de Forel (Fth
me médullaire interne (Lmi) limite le noyau exlerne en dedans et le sépare , d'avant t en arrière, du noyau antérieur (Na), d
nterne (Cip) auquel il correspond dans toute son étendue et dont le sépare la lame médullaire externe (Lmc) et la zone rét
t avec le noyau antérieur à limiter le trou de Monro (T1\J). Il est séparé de l'épendyme ventriculaire par les fibres du s
Fig. 21, p. 31 et u3 p. 63). Dans ces régions, le noyau externe est séparé du pul- vinar par le corps genouillé interne (C
st située dans l'épaisseur même du noyau externe et du pulvinar, et sépare de ces noyaux la zone réticulée ou gril- lagée
noyaux avoisinants. En dedans, la lame médullaire interne (Lmi) le sépare du centre médian de Luys; en dehors, une petite l
e médul- laire supplémentaire, la lame médullaire moyenne (Lmm), le sépare du faisceau thalamique de Forel (Fth); en arriè
recouvre toute la face externe du noyau externe et du pulvinar, et sépare ces noyaux £ de la capsule interne. Située en
chés, les cel- lules volumineuses sont régulièrement disséminées et séparées par de larges intervalles. Dans le segment post
la partie posté- rieure du pied du pédoncule cérébral (P), dont le séparent les corps genouillés externe et interne (Cge, C
olorées par l'héma- toxyline et qui, disposées en faisceaux serrés, séparés par des intervalles allongés, sont fort analogu
confins delà région sous-optique, le corps genouillé interne (Cgi) sépare le pulvinar des noyaux externe et interne du thal
Cip) et le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), sépare le faisceau de Turck des fibres de projection c
par l'héma- toxyline et qui sont réunies en faisceaux très compacts séparés par des fentes allongées. Elles sont en tous po
bandelette optique; elles se réunissent en faisceaux très compacts séparés par des fentes allongées et se terminent, comme
RTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 369 cule quadrijumcau antérieur (BrQa) le sépare en arrière du pulvinar, le bras du tubercule qu
u tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) le limite en avant et le sépare .de la partie inférieure ou ventrale du noyau ext
l'extérieur, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) le sépare en avant du ruban de Reil médian (Rm, Fig. 313).
postérieure se présente sous l'aspect de deux faisceaux parallèles séparés l'un de l'autre soit par la substance grise de
ructure. limité en arrière par le profond sillon sous-pinéal qui le sépare du tuber- cule quadrijumeau antérieur; en dehor
adrijumeau antérieur; en dehors, par le sillon de l'habenula qui le sépare du : pulvinar; en avant, par un tractus blanc qui
ventricule et en dehors par les fibres du lænia thalami, qui le séparent du noyau externe. Ses cellules sont caractéri
qué chez l'embryon (Voy. fig. 42, pg, 99, T. ICl')'que chez l'adulte, sépare la commissure interbabénulaire de la commissure
e et les veines de Galien que des rapports très lâches. Elle en est séparée en effet par un diverticule du troisième ventricu
a face interne est tapissée par la substance grise centrale dont la séparent incomplètement le faisceau de Vicq d'Azyr et les
ticulier les tubercules mamillaires, et l'espace intcr-pédonculaire séparent la région sous-optique droite de la gauche (Fig
laire (Cirl) occupe en effet une situation plus postérieure, il est séparé de la région sous- optique et de la région de l
te que des rapports éloignés avec le pulvinar, dont il est toujours séparé par le corps genouillé interne. La région sous-
OR'l'ICAU\ : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 393 laire de Forel sont nettement séparés l'un de l'autre par une milice lame FiG. 323. -
plus mince, en connexion avec la zone réti- culée du thalamus, qui sépare le faisceau thalamique du corps de Luys et de s
La zona incerta (Zi), située au-dessus de cette capsule de fibres, sépare le corps de Luys de la partie ventrale du noyau
nte du pied du pédoncule cérébral. Les fibres de la capsule interne séparent cette face de la bandelette optique et du segment
r de la capsule interne et du pied du pédoncule céré- bral, dont le sépare la partie supéro-externe du locus niger. L'extrém
se fusionne incomplètement à ce niveau avec le noyau nterne dont la séparent le pédoncule inféro-interne du thalamus, le fai
optiques basaux (Kulliker). Un diverticule du troisième ventricule sépare sur la ligne médiane les éminences latérales du
ceau rétroflexe de Meynert; le pédoncule du tubercule mamillaire la sépare de la partie interne du pied du pédoncule, à sa l
delettes optiques dont elle suit le trajet et dont elle est toujours séparée par une mince lame de substance grise. Chez l'h
rement onduleux, fortement colorés par la laque hématoxylinique, et séparés les uns des autres par de la substance grise. Ell
foncent dans sa profondeur ou se logent dans l'étroit sillon qui le sépare du pulvinar; elles contribuent à formcr le bras d
mais se cantonnent à sa périphérie supérieure et inférieure et sont séparés l'un de l'autre, en dedans par le faisceau nasal,
e surface de section plus ou moins polyédrique ou arrondie, et sont séparés les uns des autres par des Leur groupement da
uent pas toutefois des faisceaux rigoureusement fermés et nettement séparés les uns des autres. Par la méthode des dégénére
fonde scissure, la scissure semi-lunaire ou marginale anlérieure le sépare en avant et en haut de l'isthme postérieur, une
une scissure plus profonde encore, la fente cérébrale postérieure, le sépare du bulbe racliidien. Le cervelet représente don
s hémi- sphères cérébraux qui le recouvrent entièrement, et dont le sépare une profonde scissure : la grande fente cérébra
r la coupe dite de Meynert (Voy. T. 1er, Fig. 3 et 4), c'est-à-dir( séparer le manteau cérébral du tronc encéphalique et des
i semi-In- nau P. Vermis supérieur. l'isthme postérieur dont la sépare un repli pie-mérien; elle est connue sous le no
émisphères cérébel- leux qui le débordent en arrière, le vermis est séparé de chaque côté des hémisphères cérébelleux par
le sens antéro-postérieur comme dans le sens transversal, ils sont séparés l'un de l'autre par une profonde scissure sagit
RHOMBENCÉPHALE. 441 1 dans la cavité du 4e ventricule dont elle est séparée par l'épendyme ven triculaire, la toile et les
onvexes en dehors, les sillons longitudinaux (sli) droit et gauche, séparent de chaque côté le vermis inférieur des hémisphè
aillie, que nous désignerons sous le nom d'éminence occipitale, est séparée du reste de l'hémisphère cérébelleux par une em
r se continuer avec le sillon de même nom du côté opposé. Ce sillon sépare la face supérieure de la face inférieure de l'hé-
sectionne de chaque' côté les trois pédoncules cérébelleux et qu'on sépare le cervelet du tronc encéphalique, on constate qu
pédoncule cérébelleux inférieur. Les pédoncules cérébelleux moyens séparent le diverticule latéral du quatrième ventricule (P
plus profonds pénètrent jusqu'au noyau blanc central du cervelet et séparent les lobes et les lobules; les sillons superfici
ar exemple à la face inférieure du cervelet où les hémisphères sont séparés de chaque côté du vermis par un sillon sagittal
res appartenant à chacun de ces lobes ainsi que les sillons qui les séparent . A l'appui de cette classification des circonvo
cervelet. Limité en avant par la profonde incisure semi-lunaire qui sépare le cervelet des tubercules quadrijumeaux, de ch
ure, en arrière par le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) qui le sépare du lobe postérieur, le lobe supérieur constitue
Le sillon précentral est le moins profond et le plus antérieur; il sépare le lobe de la lingula du lobe central (Fig. 336
et devient rapidement superficiel sur ses parties latérales, où il sépare les ailes du lobe central des freins de la ling
arginal antérieur et se continue en haut avec le profond sillon qui sépare le cervelet des tubercules quadrijumeaux. Le si
cervelet des tubercules quadrijumeaux. Le sillon post-central (spo) sépare le lobe central du lobe du culmen; comme le sil
eint généralement la masse blanche centrale du vermis (Fig. 336) et sépare le lobe central de la branche verticale de l'arbr
eur. Il entaille profondément le monticule et le lobe quadrilatère, sépare le lobe du culmen du lobe du déclive, décrit un
Il atteint sa plus grande profondeur dans la région du vermis où il sépare , comme le montrent les coupes sagittales (Fig.
térieure (Fig. 336), est recou- verte par le lobe du culmen dont la sépare le sillon post-central. Le bord supérieur est l
lobe précédent, en avant du sillon supérieur de Vicq d'Azyr qui le sépare du lobe postérieur, le lobe du déclive représente
e et le développement considérable de ses parties hémisphériques. Séparé du lobe supérieur par le sillon supérieur de Vicq
vermis, plus superficiel dans la région des hémisphères, sillon qui sépare le lobe postérieur du lobe inférieur. Deux prof
noms de sillon supëro-posléricur, de sillon posl-clical (Schafer), sépare le lobe supérieur du lobe postérieur. Superficiel
q d'Azyr (scf)'(ri ? 310,31.` ? , 3t3) (Sulcus horiionlalis magnus) sépare les lobes de la face supérieure du cervelet de
melle profonde, qui unit en dehors les deux lobes semi-lunaires, le sépare du pédoncule cérébelleux moyen qu'il n'atteint
olonge sur le vermis, segmente les lames transversales d'Arnold, et sépare du tubercule valvulaire (Tv) le bourgeon terminal
ficiel en dehors, qui appartient aux hémisphères du cervelet et qui sépare le lobe semi-lunaire inférieur (Lsli) du lobe grè
n- tinue en dedans avec le profond sillon post-pyramidal (spop) qui sépare le lobe postérieur du lobe inférieur, et en par
eur (sma) à peu près à la hauteur du sillon supérieur (ssV) dont le sépare le pédoncule céré- belleux moyen. Le fond du si
ute la largeur de l'hémisphère. Un sillon interlobulaire profond la sépare en deux parties sensiblement égales qui compren
rieure du cervelet et se rencontre chaque fois qu'un profond sillon sépare la région vermienne de la région hémisphérique.
st peu étendue et comprend deux lo- bules plus ou moins développés, séparés par un sillon superficiel. A ce minime segment
ans et mince en dehors, l'autre mince en dedans et épais en dehors, séparés par un sillon oblique en arrière et en dedans et
(Fig. 333, 3f ). Il atteint en dedans la pyramide du vermis dont le sépare le sillon longitudinal inférieur, et en dehors
illons, les sillons post et pré-pyramidaux délimitent ce lobe et le séparent du lobe postérieur et du lobe inféro-interne ou u
pyramidal (spop) est très profond dans la région du ver- mis, où il sépare la pyramide du tubercule valvulaire et de la part
(sgr), se dirige de chaque côté obliquement en avant et en dehors, sépare les ailes de la pyramide du lobe grêle, puis ce
n pré-pyramidal (sprp), transversal dans la région du vermis, où il sépare la pyramide de la luette, décrit de chaque côté u
la luette, décrit de chaque côté une courbe à concavité interne qui sépare le lobe digastrique de l'amygdale (Fig. 344 345
iter le nid de pigeon ou d'hirondelle (nh, Voy. p. 473); elle n'est séparée du sillon post- pyramidal que par la mince crêt
petit lobe piriforme dirigé obli- quement en arrière et en bas, et séparé du tubercule valvulaire en arrière, et de la lu
iverticule latéral du quatrième ventricule; 2° le Ilocculus dont le sépare un profond sillon dans lequel on trouve les lob
gulièrement convexe, tapissée de lamelles à direction curviligne et séparée du lobe grêle par le sillon post- pyramidal (sp
nt excavée en arrière et loge la face externe de l'amygdale dont la sépare le sillon pré- pyramidal. Elle est tapissée de
, Fig. 345). Elle loge l'extrémité supérieure de l'amygdale dont la sépare un feuillet pie-mérien. Situés de chaque côté d
andis que la partie antérieure, formée par la valvule de Tarin, est séparée par le toit du qua- trième ventricule de l'oliv
èrement concave en arrière où elle s'applique sur la luette dont la sépare le sillon longitudinal inférieur. La face externe
effilé, est recouvert par le lobe digastrique ; le bord interne est séparé de celui du côté opposé par la vallée de Reil ; l
d d'hirondelle et fai saillie dans la cavité du 4e ventricule dont la sépare un feuillet pie-mérien et la valvule de Tarin (
upérieure de l'amyg- dale avec l'olive cérébelleuse dont elle n'est séparée que par une mince couche de fibres blanches app
sagittale, sont tapissés chacun de deux à cinq ou sept lamelles, et séparés par de profonds sillons inter-lobulaires. Ces l
ux du cervelet : 1° par sa petitesse; 2° par la grande distance qui sépare sa partie médiane Bords. Extrémité nitë- ne
masqué parla luette en avant de laquelle il est situé et dont le sépare le silloca po.st ? odulcrie(spon). Pour l'étu
eur, qu'il fait saillie dans la cavité du elle ventricule dont le séparent les plexus choroïdes, et qu'il présente une h
-ci fait, il est vrai, saillie dans le 4° ventricule, mais elle est séparée de la cavité ventriculaire par la toile choroïd
extra-ventriculaire est recouverte d'un feuillet pie-mérien qui la sépare de l'extrémité supérieure de l'amygdale. Le bord
cérébelleux moyen, et connues sous le nom de flocculus accessoire, sépare le floc- culus du lobe digastrique. La partie
llon pédonculo-protubérantiel ou 1),oliibé),ciiiiiel supérieur, qui sépare la protubérance des pédoncules cérébraux; en ar
oncules cérébraux; en arrière, par un léger sillon transversal, qui sépare les tubercules quadri- jumeaux postérieurs de l
Celte face repose sur la gouttière basilaire de l'occipital dont la séparent l'artère basilaire et un vaste con- fluent sous
illon probllbérantiel supérieur ou pédonculo- protubérantiel; il la sépare du pied des pédoncules cérébraux el forme sur l
as et en dedans et limiter en dehors la pyramide ' antérieure qu'il sépare du cordon antérieur de la moelle. Plus rarement,
De chaque côté de la ligne médiane, le sillon buibo-protubérantiel sépare la protubérance de la pyramide antérieure, puis d
arrière du cerveau moyen, au-dessus de la pro- tubérance dont la sépare la cavité du quatrième ventricule, en avant du
velet dont la face antérieure se moule sur la région, mais en est séparée par un double feuillet pie-mérien. Les sillon
dedans par le sillon d'émer- gence du nerf pathétique (IV) qui la sépare des tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp),
omme limite inférieure le fond du sillon précentral du cervelet qui sépare la lingula du lobule central. Les pédoncules
en un très fort faisceau qui entoure son extrémité supérieure et la sépare nettement du ruban de Reil latéral, fibres arcifo
indrique du Il bulbe; il commence au sommet du V épendy- maire, sépare les pyra- mides postérieures et se continue a
résente en effet une véritable fis- sure médiane (Fig. 447) qui sépare complètement les pyramides postérieu- res et
e ou bandelettes du quatrième ventricule, dont l'élude ne peut être séparée de celle de la toile choroïdienne inférieure.
pie-mérien qui s'invagine dans la fente cérébrale posté- rieure, et sépare le bulbe du cervelet. La partie postérieure de ce
1 Stries acoustiques. 1 du calamus à l'aqueduc du Sylvius. Ils séparent les noyaux d'origine des nerfs moteurs des noya
fortement pigmentées. Les fossettes supérieure et inférieure sont séparées l'une de l'autre par une saillie blanche et arr
te du quatrième ventricule sur la pyramide postérieure, mais en est séparée par l'area postrema de Retzius (ap Fig. 1üÕ), l'a
tend le long de la partie effilée de la pyramide postérieure et est séparée de l'aile grise par un fascicule blanc, que l'o
iculaire des noyaux des cordons postérieurs (Ncp); que le funiculus séparons correspond au faisceau solitaire du bulbe ou raci
ant supérieur présente trois bandes antéro-postérieures saillantes, séparées par deux sillons lon- gitudinaux. La bande médi
- trième ventricule; un sillon longitudinal, le sillon latéral, les sépare en haut du locus ca·ruleus et de la fossette su
le noyau du toit, très rapproché de la ligne médiane du vermis, est séparé de celui du côté opposé par une sorte de raphé an
E. 513 dedans du corps dentelé, en dehors du noyau sphérique qui le sépare da noyau du toit, en arrière du pédoncule céréb
au-dessus de l'amygdale et du nid de pigeon ou d'hirondelle dont le sépare une lame assez épaisse de substance blanche tap
de deux à trois. Ils mesurent 3 il 10 millimètres de longueur, sont séparés par de profondes incisures et pénètrent dans la
sinage du hile, elle atteint il peine un millimètre d'épaisseur et sépare le corps dentelé de l'épendyme ventriculaire, d
ijumeau, en un très grand nombre de fascicules épais et volumineux, séparés les uns des autres par une gangue de substance
nt à leur origine à former le nid de pigeon ou d'hirondelle et sonl séparés de l'extrémité supérieure de l'amygdale, en ava
érébelleux supérieur (Pcs) se rapproche de la ligne médiane; il est séparé du faisceau de même nom du côté opposé par la val
oupes H 3, H 2). Son extrémité postérieure est épaisse, arrondie et séparée de celle du côté opposé par la valvule de Vieus
la formation réticulée de la calotte protubérantielle et se trouve séparée de la partie externe du ruban de Reil médian pa
chent de volumineux fascicules ondu- leux, sensiblement parallèles, séparés les uns des autres par de la sub- stance grise
e racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) en avant, dont la séparent incomplètement et de haut en bas, les fibres ra
Fig. 366), l'olive apparaît formée de deux lames, unies en dehors, séparées l'une de l'autre en dedans par le hile, qui liv
ive que l'on rencontre quelques faisceaux de fibres verticales; ils séparent le hile de l'olive du noyau juxta-olivaire intern
uvre la moitié interne de la face postérieure de cette dernière, et sépare sa capsule des fibres longitudi- nales de la fo
re au noyau juxta-olivaire externe, il longe le hile de l'olive, le sépare de la couche inter-olivaire et représente une lam
rieure du pied du pédoncule cérébral en petits fascicules arrondis, séparés les uns des autres par la substance grise du locu
substance grise qui bordent le faisceau pyramidal en arrière, et le séparent de la capsule de l'olive bulbaire (coupes H 9,
lan-convexe; elle est cloisonnée de nombreux septa névrogliques qui séparent les lâches fascicules onduleux et enchevêtrés,
ure du cordon latéral de la moelle, où les fascicules sont en outre séparés par une mince trame de substance grise, en contin
i- nales ; la protubérance ne contient que des libres transversales séparées par les travées grises des noyaux pontiques; le
u corps genouillé interne (Cgi, Fig. 3 in, 37 i) dans le sillon qui sépare ce corps du faisceau do Tiirck et du bras du tube
le cervicale. Elle est limitée en dedans par le raphé médian qui la sépare de la région homologue du côté opposé; en dehor
trale tapisse la face postérieure de la for- mation réticulée et la sépare de l'épendyme ventriculaire. Elle contient un c
ibres longitudinales clairsemées de la for- mation réticulée qui le séparent du faisceau central de la calotle (Fcc, FiG. 3%
e le faisceau longitudinal postérieur (Flp) dont il est constamment séparé par une couche assez épaisse de fibres longitud
nte rapidement cle volume et atteint la périphérie du bulbe dont la sépare une capsule de fibres d'autant plus mince que l
al inférieur (Nci) limite en arrière la couche inter-olivaire et la sépare du faisceau longitudinal postérieur (Flp); plus b
veloppe elle noyau juxta-olivaire externe (\'oc); en dedans, il est séparé de la formation CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RI1
00) en dehors, il est limité par le corps restiforme (Crst) dont le séparent le noyau de Deiters (Cj) et la substance gélati
ses fibres longitudinales réunies en fascicules denses et compacts, séparés par de minces trabécules gris et croisés par d'ép
o-postérieur, s'étend du noyau juxta-olivaire interne (Noi), qui la sépare de la pyramide antérieure (Py) du bulbe, jusqu'à
presque en avant et en dehors la périphérie du bulbe ; elle en est séparée en arrière et en dehors par une Bibliothèque de
s gris des coupes précédentes diminue et s'effile; elle est bientôt séparée du reste de la substance grise centrale par le
ossées en haut el qui s'effilent en bas, où elles sont complètement séparées l'une de l'autre par les fibres des cor- dons p
pule par une épaisse couche de fibres du cordon posté- rieur qui la sépare , en dedans, du noyau de Goll, en dehors, de la su
l'aspect'.d'une massue aplatie dans le sens transversal, qui n'est séparée de la périphérie du bulbe que par une mince couch
s mal délimité, qui longe la face postérieure des pyramides dont le sépare incomplètement le noyau rélro-pyramidal (Nrp), et
. 396, 405, 365). Adossé aux fibres du stratum profundum (Strp), il sépare l'étage antérieur de la protubérance du noyau r
protubérantielle n'existe plus, et le ruban de Reil médian (Rm) est séparé du ruban de Reil latéral (RI) par de petits ama
ernières forment la limite interne de la capsule du noyau rouge, la séparent de la substance grise qui double l'espace perfo
ire limitée en arrière parles fibres arciformes profondes (fad), et séparée du faisceau de même nom du côté opposé par les fi
'sans limite nette avec le reste de la formation réticulée, dont le sépare un amas gris irrégulier, mais constant, qui s'ins
ntérieurs elles plus externes (NFlp). En avant, le Flp est toujours séparé du noyau réticulé de la calotte par une couche
ors la limite postérieure du faisceau longitudinal postérieur et le sépare de la substance grise centrale et du faisceau l
faisceau longitudinal dorsal qu'elle contient. En avant, le Flp est séparé du noyau réticulé (Nrt), et plus bas (coupe H7,
s fibres arciformes qui le traversent, le limitent en arrière et le séparent du genou du facial et de la substance grise cen
cle la commissure de Wernekink (coupe H2, Fig. 424, p. G2G), il est séparé en avant, du ruban de Reil médian (Rm), par les
Nci). Immédiatement au-dessous (coupe H 9, Fig. 366, p. z)), il est séparé du ruban de Reil médian (Rm) par l'olive bulbaire
rend la substance grise du cervelet, de la profondeur des sillons qui séparent les différents lobes du -ermis, etde l'exiguïté
spo) et transverse antérieur (sta). La branche horizontale (bh) est séparée de la branche verticale par le sillon transvers
rofonde, le trou borgne inférieur ou bulbo-protubé- rantiel (tb), sépare complètement l'ÉTAGE antérieur en deux parties;
en épais fascicules fortement colorés par la laque hématoxylinique, séparés les uns des autres par des traînées sagittales
réticulée. Un noyau gris allongé, le noyau central inférieur (Nci), sépare dans la région protubérantielle le ruban de Rci
être suivi jusque .dans le cordon antérieur (Ca) de la moelle ; il sépare , à la limite inférieure de la coupe, la pyramid
n haut, et s'insinue entre ces lobes et le bulbe rachidien, dont la sépare la toile choroï- dienne inférieure du quatrième
et profonds le long de sa paroi posté- rieure. L'olive bulbaire est séparée de la pyramide bulbaire par une traînée de subs
longée en arrière par le noyau juxta- olivaire externe (Noe) qui la sépare des fascicules longitudinaux de la formation ré
r la coupe précédente, surtout dans le stratum profundum (Strp), et sépare nettement les faisceaux de fibres transversales.
coupe S 2 2 (Fig. 410), la surface de la protubérance, mais en est séparée par une couche très dense et compacte de fibres
êle représente, dans toute la région de transition, un petit lobule séparé , sans connexion aucune avec la sub- stance blan
aucune avec la sub- stance blanche centrale et qu'un profond sillon sépare de la moitié pos- térieure de ce même lobe. L'é
NERVEUX. du globe grêle (slg, coupes S 5 et S 6, Fig. 413 et 4'l4) sépare , dans toute la région de transition, l'axe comm
cs); sa face inférieure, tapissée par l'épendyme ventriculaire, est^ séparée de l'amygdale par le diverticule angu- laire du
allèlement à leur axe. - La courbe décrite par l'olive cérébelleuse sépare nettement sur cette coupe le feutrage intra-cil
latères antérieur et postérieur et du lobe semi- lunaire supérieur, séparés par des sillons interlobaires et interlobulaires,
ué par un feutrage de fibres entre-croisées dans tous les sens, qui sépare les fibres différenciées (fibres semi-circulaires
328, T. du bord interne au bord externe du pied du pédoncule et ne sépare qu'incomplè- tement l'étage inférieur de l'étag
par une étroite lame de substance grise, le noyau latéral (NI), qui sépare le ruban de Reil du bord con- vexe du pédoncule
don- culaire (VP) et se disposent en fascicules presque parallèles, séparés les uns des autres par des traînées de substanc
gitudinales limite le noyau central supérieur (Ncs) en dehors et le sépare d'un segment de formation réticulée, pauvre en fi
on réticulée (SR) aux dépens des trabécules gris de cette dernière, sépare le faisceau central (Fce) du pédoncule cérébelleu
noyaux pontiques (SgPo) des deux moitiés de la protubé- rance sont séparés l'un de l'autre par un espace triangulaire à base
sectionnées obliquement ou perpendiculairement à leur direction, et séparées du reste des fibres du pédoncule cérébelleux moye
te (Fcc) s'est adossé au ruban de Reil médian (Rm) et n'en est plus séparé , comme sur la coupe précédente, par les trabécule
entricule (V,J et son extrémité postérieure, épaisse et arrondie, est séparée de celle du côté opposé par l'axe de la lingula
s de la voie pédonculaire (VP) se sont rap- prochés et ne sont plus séparés que par de rares fibres transversales du stratum
ur (Pci) s'est épaissi, les fibres semi-circulaires externes qui le séparaient du pédoncule cérébelleux supérieur (Pes) ont di
plus en connexion directe comme sur la coupe précédente, mais sont séparés par un noyau ovalaire, le noyau de la VIe paire
nt groupées en gros fasci- cules il surface de section polyédrique, séparés les uns des autres par des septa névrogliques ;
externe et l'extré- mité antérieure de l'olive cérébelleuse dont le sépare le feutrage ext1'a-ciliaÍ1'e (fec); son sommet
présentent les mêmes formes que sur la coupe pré- cédente. Ils sont séparés l'un de l'autre par deux noyaux arrondis, les noy
et en avant, irréguliers et déchiquetés en dehors. Ces noyaux sont séparés l'un de l'autre par Y entre- croisement des noyau
où il atteint l'olive supérieure ou protubé- rantielle (Os). 11 est séparé de celui du côté opposé par les fibres sagittales
i- zontales. Les fibres radiculaires du nerf vestibulaire (VIII) le séparent en avant et en dedans de la grosse racine sensi
p) et le lobe semi-lunaire supérieur. Ce dernier lobe, complètement séparé des autres par le sillon supérieur de Vicq d'A
nt indépendants de la substance blanche centrale des hémisphères et séparés du lobe quadrilatère posté7'iew' par le sillon su
re (fic); en dehors, elle est limitée par la valvule de Tarin (VT), séparée de l'olive cénébel- leuse (Oc) et de sa toison
cette disposition, que la moitié droite du bulbe est complète- ment séparée sur cette coupe de la substance blanche centrale
latéral du quatrième ventricule, et où le corps restiforme (Crst) est séparé de la substance blanche centrale des hémisphère
eux inférieur, incorporé dans le tronc encéphalique et complètement séparé de la substance blanche du cervelet par le pédo
lbe sont encore recouvertes par de nombreuses fibres transversales, séparées par des traînées de substance grise et qui appa
la structure. Les pyramides antérieures du bulbe, incomplètement séparées des fibres trans- versales de la protubérance,
s'adossant directement à la région de la calotte et n'en étant plus séparée comme dans la région protubérantielle par les fib
(Oi) et le faisceau central de la calotte (Fcc). En arrière, il est séparé du faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp) par
, occupe l'angle postero-externe de la calotte. Il est complètement séparé du reste du cervelet par les fibres horizon- ta
tion réticulée situées en avant et en dehors de ce faisceau, et les séparent de la sub- stance grise centrale du plancher du
tales du raphé particulièrement nombreuses à ce niveau; elle en est séparée par le noyau du raphé (Nr), mince et étroite lame
ais- ceau pyramidal est mieux délimité de l'olive bulbaire, dont le sépare un amas irrégulier de substance grise, le noyau
u pyra- rnidal (P3,), mal délimité du ruban de Reil, incomplètement séparé de l'olive (Oi) par l'irrégulier noyau i,étî-o-
'atteignent pas la périphérie posté- rieure du bulbe; elles en sont séparées par les fibres du corps restiforme (Crst) dispo
la grosse racine sensitive descendante du Irijumcau (Vsd); elles se séparent à ce niveau en deux groupes : les unes occupent l
icule compact et arrondi, mais par quatre à cinq petits, fascicules séparés par de la substance grise et par quelques fibres
le faire suite au noyau ,juxla-olivairc interne (Noi) dont il n'est séparé que par un petit intervalle comblé par des libr
Le sillon longitudinal postérieur se réduit une simple encoche et ne sépare pas profondément les deux noyaux du cordon de G
ramassée en un faisceau arrondi, volumineux, saillant en avant, et séparé de celle du côté opposé par le sillon médian an
re du bulbe, et atteint presque la péri- phérie du bulbe dont ne le sépare qu'une très mince couche de fibres section- née
rs avec le reste de la foimalion réticulée, la corne antérieure est séparée en dedans de l'enlre- croisement piniforme (xpi
rtenant à la grosse racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) sépare le tubercule de Rolando de la périphérie du bulbe
n'atteint nulle part sur ces coupes la périphérie du bulbe, dont la sépare une couche plus ou moins épaisse de substance b
rvicales supérieure et moyenne de la moelle épinière, la distance qui sépare TOME II. 44 't Fig. 433. La région cervicale
ne, grise ou moléculaire, l'autre inlerne, roui liée ou granuleuse, séparées par une mince couche claire, intermédiaire, qui
ur ces coupes la limite enlre le cervelet et le bulbe rachidien. Il sépare en effet le feutrage sous-lobaire du corps resti-
crit deux zones d'entre-croisement, l'une interne, l'autre externe, séparées par une zone intermédiaire (innerc et aussere L
épais fascicules des fibres semi- circulaires externes du cervelet séparent le feutrage sous-lobaire de la toison du noyau
nterstices (voy. Coupes C2 à C6, Fig. 433 à 437, p. 645 à 653), qui séparent les lâches fascicules des fibres semi-circulair
ame de substance grise sous-pie-mérienne, puis sous-épendymaire, le sépare du nid d'hirondelle et de la cavité du quatrième
nterne, et comprennent deux groupes, l'un interne, l'autre externe, séparés par l'olive cérébelleuse et ses feutrages intra
g. 437, p. G : 3); la couche sagittale de cette branche horizontale sépare donc un petit entre-croisement commissural poslér
situé au-dessus de l'olive cérébelleuse qu'il contourne et dont le sépare la toison. Sur les coupes sagittales qui passen
sural antérieur est situé au-dessus et en avant du noyau du toit et séparé du petit entre-croisement commissural postérieur
les fascicules du grand entre-croisement commissural antérieur sont séparés les uns des autres par de nombreuses fibres dendr
5 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
eu que ce congé serait nul, faute d'avoir été signi- fié par copies séparées , à chacun des époux Baetge, preneurs conjoints
nord par la rue Benserade, à l'est parla ruelle Jean- Louis, qui le sépare d'une ancienne carrière aujourd'- hui en grande
groupes de construction, et, dans la partie en retour, deux pièces séparées par un escalier étroit et incommode. Premier
rmé, au rez-de-chaussée, d'une chambre et d'une assez grande pièce, séparées par un escalier étroit et, au premier étage, de
Vallée. M. Caron. Quelle est. approximativement, la distance qui sépare Bicêtre de 1 : . colonie projetée de jeunes fille
M. le Dr Bourneville. Cette distance est moins grande que celle qui sépare Vaucluse de sa colonie. Il peut y avoir 500 mèt
gâteuses. Cette table scolaire est munie d'un banc de deux places, séparées par des bras en fer, et percé de deux trous au-
au de la partie postérieure du vermis inférieur, dans la région qui sépare les deux hémisphères cérébelleux. Cette tumeur,
spit notablement modifiée. L'épaisseurde la substance cérébrale qui sépare la paroi ven- triculaire delà surface convexe d
sont arrondies à noyaux a-ssez volumineux. Une masse granuleuse, G, sépare les celllules. Il n'existe pas de réticulum fib
eux parties sont sinueuses, présentent des sillons nombreux et sont séparées par un sillon assez profond et très sinueux qui
assez profond qui descend presque jusqu'à la scissure parallèle et sépare nettement le lobe pariétal infé- rieur du pli c
ont sinueux et assez bien développés. Le lobe occipital nettement séparé du lobe pariétal et tem- poral semble normal, m
rne, un peu béante, profonde, n'a qu'un contint, de longueur et est séparée Description DU cerveau. T9 de la scissure int
fonde et n'atteint pas la scissure parallèle frontale dont elle est séparée par des plis de passage presque à niveau se ren
rps calleux sans rejoindre la scissure perpendiculaire interne et sépare ainsi nettement le lobe temporo-occipital des par
ées, en assez grand nombre, des cellules rondes; l'autre externe, séparée de la première par du tubercule infiltré, recon-
u sont dénudés. Les sourcils de même couleur, sont assez fournis et séparés par un intervalle de 15 millimè- tres. Les orei
émisphère gauche. Sa forme est globuleuse. Le sillon de Ilolando le sépare en deux parties égales, et s'arrête en bas vers
dant. Les circonvolutions FA et PA sont bien développées. La I' est séparée de la V- par un sillon profond qui, à la partie
nte, et sur I par un gros pli de passage. Un second pli de passage, séparé du premier par un sillon à trois branches, réun
rieure quatre petits sillons superficiels dont le plus inférieur le sépare du lobe temporal. Ce dernier lobe est assez bie
e et se recourbe en haut et en avant. La F A est très développée, séparée en deux parties, vers- son milieu, par le sillo
oppée, séparée en deux parties, vers- son milieu, par le sillon qui sépare Fi de Fa. La l ! prend tiais sance sur la F A p
pare Fi de Fa. La l ! prend tiais sance sur la F A par deux racines séparées par un petit sillon à convexité supérieure. La
e. La F- prend naissance sur la F A par une grosse racine. Elle est séparée au hout d'un court trajet des trois quarts anté
uand il en voit deux se disputer ou se battre il va près d'eux, les sépare et les frappe tous deux. Pour compléter les des
nsère sur la frontale ascendante par deux insertions volu- mineuses séparées par un simple sillon ; la supérieure fait .part
oie aucun pli de passage à la circonvolution frontale dont elle est séparée par un sillon sinueux et profond. La 2e frontal
ue complètement à son origine avec la troisième, puis .elle en est. séparée par un sillon assez profond, et envoie un pli d
ond de cette dépression, sont fusionnées entre elles et nettement séparées des circonvolutions supérieures par un sillon pro
dernière bifurcation, est à peu près normal; les sil- lons qui les séparent sont superficiels. Le lobe temporal se compose
Le lobe quadrilatère est volumineux et composé de plis peu sinueux, séparés par des sillons superficiels. La scissure parié
saux à son origine, ensuite de deux plis antéro-postérieurs d'abord séparés par un sillon superficiel, puis en quelque sort
te soudés. Le dernier de ces plis, qui répond à la 2e frontale, est séparé en masses quadrilatères par des sillons tout à fa
asse de la frontale et de la pariétale ascendantes est irrégulière, séparée par un sillon presque rectiligne, seule- ment d
es subdivi- sent. Le lobe temporal se compose d'une masse ovoïde, séparée en avant et incomplètement par un sillon longit
blée dans une longueur de 2 cent. 1/2 par un pli plus petit dont la sépare un sillon assez profond ; l'un et l'autre à leu
on assez profond ; l'un et l'autre à leur extrémité supérieure sont séparés du reste de la cir- convolution par un pli tran
int, formant ainsi une sorte de tour- billon. Un sillon assez creux sépare en avant le lobe occipital de la partie postéri
rement quadrilatère, où il existe des sillons superfi- ciels qui ne séparent pas nettement les circonvolutions. Celles- ci o
la partie moyenne du sillon calloso- marginal. Les sillons qui les séparent , sauf deux, sont super- ficiels. Tandis que l
centimètres de long, cette seconde partie en mesure 5 1/2. Elle est séparée de la partie postérieure du cerveau par un sill
compose de circonvolutions relativement beaucoup plus volumineuses, séparées par des sillons profonds à direction tortueuse
ve l'encoche formant une sorte de dépression froncée. Cette encoche sépare la circonvolution frontale en deux parties. En
forme ovoïde, de circonvolutions à bords sinueux. Un sillon profond sépare cette masse d'une seconde, composée de circonvo
ures et un peu d'arrière en avant pour les postérieures. Elles sont séparées par des sillons profonds, très serrés, presque
fonds, très serrés, presque rectilignes. Un sillon large et profond sépare cette deuxième masse de la moitié postérieure d
de communiquer, en arrière de la couche optique, avec le sillon qui sépare la circonvolution de l'hippocampe de la 4c temp
pose de circon- PSEUDO-PODENctPHALOE. 185 volutions assez grêles, séparées par des sillons moyennement profonds. - La ci
a corne cZ ? 1 11l- mon est un peu déformée et un sillon profond la sépare , coin-- me nous l'avons vu, de la lit temporale
large, se divise bientôt de nouveau en deux autres circonvolutions séparées par un sillon, qui va également plonger en arri
La partie inférieure de la 1 ? frontale est étroite, sinueuse et séparée de la 2t,le frontale par un sillon profond. La 2m
gulière, vestige probable de la jrontale ascendante et, en arrière, séparée par le sillon de Rolando, le vestige de la pari
la scissure de Sylvius, et en arrière par un sillon profond qui la sépare d'une circonvolution plus volu- mineuse encore,
petits sillons verticaux. - Le lobule paracentral est très étroit, séparée de la 1 ? frontale et du lobule quadrilatère pa
rs. Un sillon profond, allant presque jusqu'à la fente cérébrale le sépare de l'avant-coin. Le lobe temporo-occipital est
avant par un pli de pas- sage avec la 1" et la 3me frontales ; bien séparée de la '1 ? fron- tale par un sillon profond. 3m
moitié inférieure environ du lobe frontal. Très sinueuse, elle est séparée en deux parties par un sillon verti- cal, qui r
ties par un sillon verti- cal, qui rejoint en arrière le sillon qui sépare la 2mo de la 3me frontale. La partie antérieure
al qui se coude à angle droit, pour se continuer avec le sillon qui sépare la lr0 de la 2me frontale. Au-dessus, elle se r
Les circonvolutions sont simples, peu sinueuses, peu nette- ment séparées par des sillons très superficiels. Le lobule pa
est assez large et forme le bord supérieur de l'hémisphère. Il est séparé en deux dans la partie anté- rieure par un sill
ur. Le lobule pariétal inférieur, comprend une masse triangulaire séparée de la partie moyenne de- la pariétale ascendante
squelles s'en trouve une troisième repliée. En bas, cette masse est séparée par la DESCRIPTION DU cerveau. 191 scissure d
très sinueuse, en S italique, petite en haut, très large en bas et séparée du lobe temporal par un sil- lon étroit continu
elle forme une masse commune avec cette 3"le temporale. Elle est séparée du lobe occipital par un sillon assez net. Le l
ait en avant du lobule. Lobule quadrilatère normal, bien développé, séparé du cuneus et du lobe occipital par un sillon ve
sse, et doublée d'une mince couche de la substance blanche qui la sépare du ventricule latéral et des noyaux gris. Il n'ex
lution sinueuse, réunie à là en avant par un gros pli de passage et séparée sur le reste de son étendue par un sillon profo
ur. Pariétale supérieure assez volumineuse, formée de deux masses', séparées par un sillon Bifide au milieu, et distinct du
surtout dans sa partie inférieure et, en arrière, elle est presque séparée de sa partie antérieure par un angle dans leque
Face interne. Première temporale très développée surtout en bas et séparée en deux circonvolutions par un sillon à digitat
e la le frontale. - Lobe quadrilatère petit, trapézoïde en avant et séparé par un petit sillon de la partie postérieure, q
de Bichat. 4e Temporale. Assez irrégulière comme diamètre, peu séparée en avant de la circonvolution .supérieure, très n
bifide en avant. Lobe occipital formé de petites circonvolutions séparées par des sillons étroits et peu profonds. 202
iI;NCPII : 11,IT. Circonvolution de l'hippocampe assez largo, unie, séparée en deux à sa partie moyenne par le sillon dont
li très tortueux appartenant h l.v 2e frontale, et le sillon qui la sépare de la 2. frontale n'existe que dans ses 2/ : 3
une circonvolution sinueuse se contournant avec la 1 ? frontale, et séparée d'une autre inférieure qui se contourne en avan
en forme de quadrilatère allongé verticalement et élargi en haut, séparé par un sillon très profond d'une dernière masse
ette frontale, au-dessus et au-dessous du sillon. La 3 frontale est séparée de la '2" frontale par un sillon, qui n'existe
es il la pointe antérieure du lobe. Très large en arrière, elle est séparée presque complètement par un petit sillon de la
erpariétale, le divisant ainsi en deux circonvolutions. -Pli courbe séparé du lobule du pli courbe par un sillon étroit; i
urbe par un sillon étroit; il est composé'de deux cir- convolutions séparées par un sillon vertical qui rejoint la scis- sur
e quadrilatère, une carrée au- dessous, et une triangulaire en bas, séparées par des sillons transversaux. La circonvolution
ntre la scissure perpendiculaire externe et un large sillon qui' la sépare des circonvolutions inférieures, les- quelles s
ule quadrilatère presque détaché du rente de la circon- volution et séparée du lobe paracentral par un sillon très creux. -
calleux, simple et étroite en avant, s'élargit en arrière. Elle est séparée de la partie postérieure par un sillon qui se c
ois circ.onvolu- 2Ô4 Porencéphalie ET pseudo-porencéphalie. tions séparées par des sillons verticaux assez profonds, qui a
e lobe occipital se compose d'une petite masse de cir- convolutions séparées par un sillon étoilé à quatre branches. Circonv
illons transversaux, superficiels. Une longue scis- sure étroite la sépare de la 2°. Celle-ci est unie, sans sillons super
6 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
les animaux trop semblables entre eux, les autres au contraire les séparent trop absolument. Ce sont là deux manières j d
és, peut-être le sont-elles aussi par leur structure ; elles seraient séparées , si un organe intermédiaire ne les unissait en un
tiés du corps s'unissent en un tout symétrique, et le plan médian qui sépare ces deux moitiés du système nerveux central coïnc
s; dans la plupart des insectes, les ganglions de la chaîne nerveuse, séparés dans l'origine, se confondent graduellement en ma
oir. En effet, le ganglion inférieur est divisé chez les vertébrés et séparé en deux moitiés symétriques dans tous les points
ces juxtaposées. Sauf ce point d'union, elles demeurent distinctes et séparées au-dessus et au-dessous de la commissure par des
ations toutes particulières, et nous en traiterons dans un paragraphe séparé . Suivons donc notre description h partir de la
la région lombaire, des cordons postérieurs nouveaux. Ces cordons, séparés d'abord l'un de l'autre par l'extrémité des cordo
sant. Les sillons, qui dans chacune des moitiés de l'axe médullaire séparent les cordons composants, doivent être considérés a
aversé un anneau de fibres blanches appelé protubérance annulaire, se séparent et divergent en deux faisceaux très-épais, désign
corps sont les derniers renflements de l'axe. Dans l'intervalle qui sépare les deux moitiés de l'axe, chemine le ventricule.
peu le dessus du « cerveau ou la voûte en devant, après l'avoir bien séparé du cervelet. » (Explication nouvelle et mécanique
qu'elle arrivent presque à se toucher. Un petit intervalle médian les sépare . Tel est le ventricule de Sylvius (cinquième vent
essus de Y aqueduc de Sylvius. La troisième, formée de deux moitiés séparées en forme de deux bourses symétriques, enveloppe d
'olive du bulbe. L'olive est très-rapprochée de la pyramide dont la sépare seulement une languette du cordon antérieur, dési
de l'olive n'atteint point au bord de la protubérance, dont elle est séparée par un intervalle plus ou moins grand. Comme l'ol
dré. Ce tubercule cendré du bulbe est compris dans l'intervalle qui sépare le faisceau moyen d'avec les cordons postérieurs,
dont il est beaucoup plus éloigné que l'olive. L'intervalle qui l'en sépare est rempli par une expansion de fibres blanches é
evoir en même temps que la face antérieure du bulbe. Leur saillie est séparée de celle de l'olive par une vallée que limite à l
ée est la fosse de Malacarne. Elle se continue avec la dépression qui sépare l'olive du pont de Varole, je veux dire de la pro
on aura une idée générale des pédoncules. L'intervalle médian qui les sépare est désigné sous le nom d'espace inter-pédonculai
eures de l'encéphale. Elle est établie par deux faisceaux parallèles, séparés par un intervalle quadrilatère, qui se portent, d
et, appelés aussi processus cerebelli ad testes. L'intervalle qui les sépare est rempli par une lame mince, grisâtre, à demi t
s axes divergeraient symétriquement. Deux sillons, disposés en croix, séparent ces quatre masses l'une de l'autre; l'un d'eux es
est curviligne, et sa courbe embrasse les tubercules antérieurs qu'il sépare des postérieurs. Dans le fœtus, ce sillon n'appar
t du par les habenœ elle gouvernait le corps entier (1). Les habenœ séparent nettement la face supérieure de la couche optique
roule sur le bord externe de la couche optique, dans un sillon qui la sépare du corps strié. Ce faisceau, connu sous le nom de
ue celui-ci forme le centre, l'autre formant la ceinture. Ils ne sont séparés l'un de l'autre que par les fibres du cornet pédo
. I. Des ventricules du cerveau. C'est dans l'intervalle médian qui sépare les deux axes pédonculaires, entre les deux couch
ement au-devant des tubercules quadrijumeaux, et marque la limite qui sépare Ya-queduc de Sylvius d'avec le ventricule intermé
che de vernis. Mais au niveau du tœnia semicircularis dont elles sont séparées par une veine, elles offrent un épaississe-ment c
l'un vers l'autre au-devant de lui, et, placés dans l'intervalle qui sépare les cornes frontales des deux ventricules latérau
oulèvements parallèles. Cette vallée répond à l'intervalle médian qui sépare les deux moitiés de l'axe; les soulèvements paral
ouchent point, sinon vers le genou postérieur; l'intervalle qui les sépare , assez petit en arrière, a, au-devant des piliers
ervelet. La grande échancrure du cœur ou plutôt la vallée médiane qui sépare ses lobes se prolonge donc à la face inférieure e
l, eu égard à la direction des parties. Ces sillons, très-rapprochés, séparent des feuilles', un groupe de feuilles, porté sur u
est remarquable par une particularité singulière. De l'interstice qui sépare l'un de l'autre ses deux anneaux supérieurs se dé
n lobe voisin en s'infiéchis- sant dans le fond des vallées qui les séparent , et dès lors, si l'on compte les feuilles des l
feuilles est dans certains endroits parallèle aux grands sillons qui séparent les lobes. Dans le corps du cervelet antérieur el
s de la face externe s'appellent circonvolutions, les vallées qui les séparent sont des anfractuosités. Les plis cérébraux son
s, comprend deux groupes de plis ou deux lobes. Ces deux groupes sont séparés par une anfractuosité verticale, qui est le sillo
re ici pour type, un sillon ou plutôt une scissure verticale profonde sépare , derrière la scissure de Sylvius, le lobe pariéta
z les autres mammifères. B. Du lobe frontal. Le sillon de Rolando sépare ce lobe d'avec le lobe pariétal. Ce sillon est co
issure longitudinale en deux plis secondaires. Le pli inférieur est séparé du précédent par une scissure profonde qui se bif
n'atteint point au bord supérieur de l'hémisphère. Un intervalle l'en sépare , que remplit une dilatation, ou plutôt un prolong
érieur. Une scissure profonde, parallèle à la scissure de Sylvius, le sépare du pli temporo-sphénoïdal moyen. Cette scissure,
ème pli, pli temporal inférieur. L'anfractuosité peu profonde qui les sépare , étant la plupart du temps remplacée dans l'homme
e ouverture de l'hémisphère. On peut y distinguer trois grands lobes, séparés par deux scissures fondamentales. 1 La première
L'étage supérieur qu'une anfractuosité flexueuse, mais peu profonde, sépare du précédent, est compris entre lui et le bord
st à peine distinct d'avec le pli temporo-sphénoïdal externe, dont le séparent tout au plus de petites hachures irrégulières la
a suture fronto-pariétale répond à peu de chose près, à la limite qui sépare le lobe frontal d'avec le lobe pariétal. Les sing
he, leur est toutefois si intimement appliqué, qu'à peine peut-on les séparer ; cette dissection, du moins, exige une grande att
des nerfs, mais des lobes encéphaliques; ces processus ne sont point séparés des hémisphères cérébraux comme le sont le cervel
an. Or, à partir de l'entrecroisement des pyramides, l'intervalle qui sépare ces deux points de repère, augmente graduellement
de ses noyaux accessoires paraît formée de petits ganglions gris que séparent les uns des autres de petits faisceaux de fibres
elles se terminent. Pour découvrir l'origine de ces fibres, il faut séparer l'une de l'autre les deux moitiés du bulbe en les
res arciformes. Je me suis efforcé d'aller plus loin. Pour cela, je sépare de dehors en dedans le cordon postérieur de chaqu
groupe du cordon antérieur que composent des fascicules très-petits, séparés les uns des autres par de petits intervalles où s
du bulbe; un raphe médian parcouru par les fibres antéro-postérieures sépare le cordon de droite d'avec celui de gauche. La tr
nce, soulèvent de chaque côté le plan superficiel, une vallée médiane sépare ces deux soulèvements ; telle est la manière de v
en qu'elles aient en leur faveur de fortes probabilités. Quand on a séparé par un écartement mesuré les deux moitiés du noya
nroulent, ainsi que nous l'avons déjà dit, en suivant le sillon qui sépare la couche optique du corps strié interne, sillon
elà des couches optiques sont les corps striés internes. Ceux-ci sont séparés des corps striés externes par la couronne de Reil
l'encéphale suivant son plan médian. Les deux hémisphères sont ainsi séparés l'un d'avec l'autre. Puis nous détachons le cerve
nous soulevons avec précaution le ruban fibreux de l'ourlet, nous le séparerons aisément du corps calleux, et nous découvrirons a
re, en suivant l'épaisseur de cette scissure. Ces deux faisceaux sont séparés par un intervalle que borne en avant la branche d
à de la surface du bulbe, dans l'épaisseur d'une cloison fibreuse qui sépare la masse des faisceaux antérieurs, de celle des f
, ma tour de Babel. J'ai cru m'élever vers le ciel, dont un infini me sépare , et de cette hauteur factice, j'entends déjà mont
ment des piliers de la voûte au fond des sillons semi-circulaires qui séparent du cerveau intermédiaire les vésicules du cerveau
, en conséquence, un rapport essentiel avec la dépression médiane qui sépare en deux moitiés distinctes les deux lobes des hém
e, ces bords correspondent précisément aux sillons de démarcation qui séparaient le cerveau intermédiaire d'avec les vésicules du
saillie qu'une dépression légère, rudiment de la scissure de Sylvius, séparait de la masse frontale. Les lobes olfactifs étaient
ame transversale du cervelet. Ainsi, l'espace qui, chez l'adulte, les sépare d'avec le cervelet et comprend, avec la valvule d
s du développement fœtal , c'est-à-dire pendant tout l'intervalle qui sépare le commencement du septième mois de la fin du neu
se rétrécit peu à peu. La seconde est le sillon de Rolando. Celui-ci sépare nettement, dès le sixième mois, les masses pariét
encore absolument lisse. Vers la même époque, une scissure transverse sépare , vers l'extrémité antérieure du cerveau, le lobul
de la voûte; ses bords, du moins chez l'adulte, suivent le sillon qui sépare la couche optique du corps strié jusqu'à l'extrém
ins lieux, et forme des replis qui, sous le nom de faux ou de tentes, séparent les deux hémisphères cérébraux l'un de l'autre et
e et constituent au-dessus du cervelet une cloison horizontale qui le sépare du cerveau. Dans la base de ces replis existent d
forme deux replis principaux. L'un de ces replis est horizontal, il sépare dans le crâne la région cérébrale d'avec la régio
endre réciproquement. Un deuxième repli médian, assez peu saillant, sépare incomplètement les fosses cérébelleuses l'une de
i médian falciforme est la faux du cerveau. Le petit repli médian qui sépare les fosses cérébelleuses est désigné parfois sous
euillets de la dure-mère, presque partout confondus dans le crâne, se séparent . L'un deux, le feuillet périostique, demeure adhé
s, se recourbent l'une vers l'autre, s'engagent dans l'intervalle qui sépare les deux lobes antérieurs du cerveau, et se recou
fre constamment chez les mammifères supérieurs deux cavités aériennes séparées l'une de l'autre par une l'loison médiane. Le mêm
s. (1) Les frères Weber ont déjà fait la remarque que la suture qui sépare la portion mastoïdienne du temporal dans l'os occ
rieures, la largeur maximum du frontal est donnée par la distance qui sépare ces deux crêtes. Mais, dans la race blanche, cett
ntrer en ligne de compte. nière courbe, que mesure l'intervalle qui sépare l'un de l'autre les centres d'ossification des de
e sommet de la scissure de Sylvius, et la grande scissure médiane qui sépare les deux hémisphères. Cette région est fort étroi
is, mens integerrima superest (1). Mais le segment postérieur ainsi séparé du cerveau conserve la vie qui lui est propre. Ch
ervations pareilles ont souvent été faites. Chacun sait que l'abdomen séparé du corps d'une guêpe ou d'un frelon réagit et fai
-vence, notre auteur divise longitudinalement la moelle, de manière à séparer le côté droit du côté gauche. À la suite de cette
er fait, sur les mouvements musculaires, dont les cordons antérieurs, séparés à la fois des cordons postérieurs et du cerveau,
ur pour la transmission des ordres de la volonté. Les cordons blancs, séparés de la substance grise, perdent toutes leurs propr
bles. Il fait remarquer toutefois qu'ils le sont moins quand on les a séparés des axes gris, ce que Van Deen et Stilling avaien
x qu'amènent les lésions du cervelet, qu'il n'avait pas eu le soin de séparer . Fodera (2) reproduit l'assertion de Lorry. « L
t : une part de chaleur, une part de lumière ; une troisième part est séparée comme une épiphyse de l'âme vitale du sang et pré
ang et préside à la conservation de l'espèce. La part lumineuse est séparée du sang par l'action des couches encéphaliques; d
Leibnitz n'a-t-il jamais conçu les âmes comme pouvant être absolument séparées des corps. Son système est, à coup sûr, très-supé
une substance divisible composée de parties qui peuvent toujours être séparées les unes des autres, ou qui même sont actuellemen
ours être séparées les unes des autres, ou qui même sont actuellement séparées et distinctes, il est évident qu'un système de ma
rait le résultat d'une multitude innombrable de sentiments intérieurs séparés et distincts. En résumé, la matière étant essenti
nsuite, les doigts peu-« vent s'étendre, se raccourcir, se plier, se* séparer et s'ajuster « à toutes sortes de surfaces, autre
, et dont les deux autres côtés sont fixes et égaux à la distance qui sépare les points « et 6 dans chaque image. Le maximum d
uit et demi centimètres. On noircit le cercle central. La zone qui le sépare de la deuxième circonférence est peinte en bleu ;
es mots qui leur ont été accidentellement associés, n'en seront point séparés , et seront retenus avec eux et par eux. Je me rap
le premier dans ce travail de dislocation intérieure où les idées se séparent plus ou moins difficilement les unes des autres,
ies aux nécessités de la vie et esclaves des liens du corps, elles se séparent de la société de Dieu. Aussi notre esprit ne joui
it évidemment dit sans aucun son, comme cela arrive, dit-on, aux âmes séparées des corps (1). Porphyre dit à peu près la même
puisqu'une duplicité absolue créerait deux individualités absolument séparées , et qu'en se jugeant double, l'esprit décide impl
Aussi ces mouvements furent-ils bientôt attribués à certains esprits séparés de leurs corps et errants dans l'espace. Ces espr
s. Serait-ce que la galanterie n'est pas naturelle à certains esprits séparés de leurs corps, et, par conséquent, de leurs pass
sont attribués à l'imagination (1). M. A.-L. de Jussieu, qui s'était séparé de la commission, exprime dans le sien des conclu
7 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
j'ai pu décomposer le corps des os longs ainsi atrophiés en lamelles séparées par des couches très minces de tissu spongieux.
sence complète du travail d'ossification du côté de la tête du fémur, séparée de son col, sa vitalité n'étant plus alors entret
taines fractures du corps du fémur, dans lesquelles les fragmens sont séparés l'un de l'autre, par un très grand intervalle, et
sence complète du travail d ossification du côté de la tête du fémur, séparée de son col, est un argument de bien plus grande v
cal, qui n'est «encore que cartilagineux est circonscrit et peut être séparé des muscles environnans; « cette séparation toute
es, lesquelles se continuaient avec les fibres musculaires et étaient séparées par des « couches de muscles. L'extrémité de ces
r. On remarque aussi que la partie supérieure du grand trochanter est séparée de l'inférieure par une fracture horizontale; une
r (observée fig. 1) se prolongeait en arrière et en bas, de manière à séparer les deux tiers postérieurs de cette éminence d'av
rentrant du fragment inférieur ; 4° le fragment du grand trochanter, séparé du corps de l'os et divisé lui-même par une fract
nt toujours au fragment inférieur est, dans cette espèce de fracture, séparé du corps de l'os, et fait partie d'une esquille p
ci d'une manière très prononcée, bien que le petit trochanter eût été séparé du reste de l'os. Quant au peu de raccourcissemen
flexueuse au niveau et au dessous de la fracture(1). L'intervalle qui séparait le grand trochanter de la crête iliaque, du côté
e iliaque, du côté malade, n'était que moitié de l'intervalle qui les séparait du côté sain: le muscle petit-fessier était décol
anter GT, c'est-à-dire la partie qui répond à la cavité digitale, est séparée de la partie antérieure de cette éminence par une
tre la face postérieure du col du fémur. Le petit trochanter PT est séparé du reste de l'os. On voit sur le fragment inférie
chanter PT, auquel est annexé un petit fragment osseux FO, qui en est séparé par une fracture incomplète. Un mot sur l'aspec
ostérieurs avec le tiers antérieur. Le petit trochanter est souvent séparé du reste de l'os, tantôt seul, tantôt supporté pa
es : tous les jours ne voit-on pas des esquilles presque complètement séparées , peut-être même complètement séparées des parties
esquilles presque complètement séparées, peut-être même complètement séparées des parties voisines , englobées au milieu du cal
colées : la profonde était en dehors. Deux travers de doigt seulement séparaient le grand trochanter de la crête iliaque du côté m
rochanter de la crête iliaque du côté malade; quatre travers de doigt séparaient le grand trochanter de la crête iliaque de l'autr
ture par la région trochantérienne. J'aurais cru que l'intervalle qui séparait la symphyse pubienne de la partie la plus excentr
ienne cavité cotyloïde, sont très amincis. En outre, l'intervalle qui sépare la symphyse du pubis de l'épine iliaque antérieur
unique toujours avec l'ancienne cavité eotyloïde : aussi l'espace qui sépare ces deux cavités est-il encroûté de cartilage etl
ui répondait au devant de l'ancienne cavité eotyloïde , dont il était séparé par le ligament capsulaire ancien se réfléchissai
sions irrégulières, superficielles et anguleuses ER. La surface qui sépare l'ancienne de la nouvelle cavité eotyloïde est li
sur le col. Le col très court présente supérieurement une rainure qui sépare la tête du fémur du grand trochanter. La capsule
n collier, fig. 4 ¦ COL, lequel est reçu dans la rainure profonde qui sépare la tête du grand trochanter. Le collier COL qui
muniquer l'ancienne cavité eotyloïde avec la nouvelle. L'espace qui sépare les deux cavités cotyloïdes est tuberculeux, rugu
ligamens odontoïdiens étaient extrêmement affaiblis; leurs faisceaux séparés par une substance rougeâtre; ils permettaient à l
ie dans la presque totalité de son épaisseur, et il n'est possible de séparer qu'une lame excessivement ténue. Cette coupe me
buleuse, mamelonnée. tuberculeuse, fort remarquable. Les lobules sont séparés les uns des autres par des sillons profonds, remp
la tumeur desséchée: c'est à l'aide de la scie que ce fragment a été séparé . Or, par le fait de la dessiccation, toute la por
antérieure. Cette tumeur est divisée en grosses masses ou lobules, séparés les uns des autres par des sillons profonds, et s
ns les intervalles des lobules et des mamelons ou tubercules pour les séparer . Les muscles et les aponévroses musculaires qui s
s grande légèreté. La figure 2 représente une tranche de cette tumeur séparée à l'aide de la scie. On voit la coupe de petites
irent leur origine de la couche superficielle des os, pourvu qu'on en sépare rigoureusement toutes les dégénérations de ces or
rmi les ostéophytes; mais j'avoue ne pas saisir la différence qui les sépare . « Les « périostéophytes, d'après M. Albers, sont
entamer plus ou moins profondément le tissu osseux, tandis qu'on peut séparer complètement l'ostéophyte , sans toucher à l'os l
eure preuve que je puisse invoquer en faveur de la différence qui les sépare . MALADIES DES OS 1Ac'livraison ni (Huméru
érent à la surface de l'os, dont il eût été extrêmement facile de les séparer par une traction peu considérable. Ces tumeurs po
s séparer par une traction peu considérable. Ces tumeurs pouvaient se séparer en lobules distincts unis par un tissu fibreux tr
mement denses, adhérens aux parois, dont ils pouvaient cependant être séparés dans une certaine étendue. Ces veines, d'une part
s anserinis. Ce cas-là est susceptible de guérison. Ainsi Dupuytren a séparé le médius de l'annulaire dans une circonstance se
itaux et urinaires. Le détroit inférieur, mesuré par l'intervalle qui sépare le sacrum des tubérosités de l'ischion, était d'u
mblable à lui-même? C'est que : les organes pairs et latéraux étant séparés l'un de l'autre par un intervalle plus ou moins c
rmédiaires, et c'est pour cette raison que les membres supérieurs que sépare le thorax n'ont jamais été trouvés réunis. Il r
s, l'une postérieure PP, l'autre antérieure P A. L'intervalle qui les sépare est formé par les tubérosités de l'ischion rappro
sans ligne de démarcation avec la région fessière, que le menton est séparé du sternum par un très grand intervalle, en sorte
allongé, semblant se continuer avec le thorax. Un sillon transversal sépare le menton de la lèvre inférieure; un autre sillon
n. De là plusieurs variétés. ire variété. Un seul orbite, deux yeux séparés par un ruban cutané. On trouve dans les cabinets
juxtaposés, jamais superposés, sont entourés de quatre paupières, et séparés l'un de l'autre par un ruban cutané, garni de que
uve deux cornées transparentes, juxtaposées, tantôt continues, tantôt séparées l'une de l'autre par un trait linéaire. L'iris su
suis obligé de les réunir par la section de l'espèce de pont qui les sépare , et alors j'extrais avec violence une masse très
icatrice, a rapidement détruit la faible épaisseur des parties qui le séparait du péritoine. Or, on sait que le péritoine , comm
déchiquetés, et même dans quelques cas, que ces bords sont libres et séparés des parties subjacentes par une sorte de rainure;
isse d'une ou deux lignes, qu'il a été facile, malgré sa densité , de séparer du péritoine, sous lequel rampaient des veines tr
ces de la pyramide, deux répondent aux régions temporo-pariétales que sépare en arrière et sur la ligne médiane un angle très
s du fœtus, et tellement identifiées avec lui qu'on ne pouvait les en séparer , et, d'une autre part, adhérentes aux parties voi
nt en quelque sorte à l'état naissant, présentaient des points blancs séparés les uns des autres par un tissu brun-ardoisé; que
tomac était sain. L'intestin rectum, vu du côté du péritoine, était séparé de la vessie, par un cul-de-sac demi circulaire t
ermiculaire, un repli falciforme VIC formé par la valvule iléo-cœcale séparée en deux orifices. En incisant la tumeur eylindr
s, l'anneau ombilical n'est pas situé juste au milieu de l'espace qui sépare l'appendice xyphoïde de la symphyse. Sa situation
ui, par rapport aux vaisseaux qui le traversent , à la peau qui s'est séparée circulairement du cordon ; mais non à l'égard de
es volumineuses; on dirait qu'une peau amincie, et demi transparente, sépare seule les intestins de l'air extérieur, et on a l
pendice de la tumeur principale. On débride l'ouverture annulaire qui séparait cette tumeur de la tumeur principale, quoique évi
ces circonvolutions et le sac herniaire. Le sac péritonéal put être séparé de la peau dans toute son étendue, excepté au niv
a composition de la tumeur; que la portion de foie déplacée H F était séparée du reste de l'organe par un étranglement circulai
s'accoler à la face postérieure de la membrane, sans pouvoir en être séparé . Du reste, il paraît qu'un travail de séparatio
onsidérable ^formée par le duodénum rempli de liquides, dont elle est séparée par un étrangle- (1) Observation et pièces path
Ces trois cylindres interceptent deux culs-de-sac aux limites qui les séparent . i° Un cul-de-sac séreux est formé par le cylindr
de laquelle se voyait une couche assez épaisse de sang coagulé qui la séparait du péritoine. La dissection des quatre membrane
tranche de la section, m'ont démontré que les couches celluleuses qui séparent ces tuniques étaient infiltrées de sang, et que c
rs comme ratatiné, et la muqueuse présente des saillies mamelonnées , séparées les unes des autres par des rides irrégulieres. C
efois un double cercle concentrique, une sorte de fraise dont il faut séparer et examiner successivement, une à une, les frange
res musculaires hypertrophiés ; celles-ci étaient comme disséquées et séparées les unes des autres sous la forme de brides circu
itué au stylet une sonde cannelée, il incisa l'espèce de pont qui les séparait ; aussitôt s'écoula une assez grande quantité de s
je reconnus qu'il présentait à gauche deux ouvertures, qui n'étaient séparées l'une de l'autre que par une bride. L'ouverture s
uchaient sans intermédiaire: dans d'autres points, ces foyers étaient séparés par une couche plus ou moins épaisse de tissu hép
de de petits tubercules encéphaloides, bien circonscrits, pisiformes, séparés les uns des autres par un tissu parfaitement sain
le du fiel ne faisait plus partie des voies biliaires dont elle était séparée par l'oblitération complète du canal cystique. Sa
te et fort douloureuse au toucher. Cette tumeur sort par l'espace qui sépare la huitième côte de la neuvième, à la réunion du
fibreux extrêmement étroit, qui semblait naître dans l'intervalle qui sépare la huitième de la neuvième côte. Séparée des pa
aître dans l'intervalle qui sépare la huitième de la neuvième côte. Séparée des parties environnantes, la tumeur présentait à
elle se présente. Imitons en cela les naturalistes qui scindent, qui séparent et établissent des variétés, des espèces et même
res de mieux extrêmement marqué et même d'apyrexie presque complète , séparent la première éruption de pneumonie de la seconde é
on rare chez l'homme, fréquente chez les animaux. C'est un sillon qui sépare de petites masses de lobules. D'une autre part,
ux sont sous la plèvre, les divisions dans les lignes cellulaires qui séparent les lobules, et les dernières ramilications sur l
haque vésicule représentant une granulation. Les lobules peuvent être séparés les uns des autres. Dans quelques points, un lobu
de le détacher sans entamer son tissu. Tout le reste du poumon était séparé des parois thoraciques par un épanchement considé
monaire, que les divisions pulmonaires gauches, au moment où elles se séparent du tronc d'origine étaient remplies d'une concrét
ternum carié et noir, et le cartilage de la troisième côte, qui était séparé du sternum. On voit aussi, au fond de la plaie, d
u portions de lobules, pleins d'air, vésiculeux, emphysémateux , sont séparés les uns des autres par des dépressions qui répond
couleur. 3° Guérison par enkjstement. Le tissu pulmonaire sain est séparé du tissu pulmonaire malade par une membrane cellu
masses blanches, sphéroïdales,marbrées de lignes et de points noirs, séparées par des lamelles fibreuses, noirâtres. Ces masses
é a présenté plusieurs foyers ou kystes purulens bien distincts que séparaient des cloisons complètes ; j'ai évacué le pus conte
'ampoule variqueuse est subdivisée en plusieurs cellules plus petites séparées par des brides. Ijes varices ampullaires peuvent
rices de la saphène comme d'ailleurs la veine saphène elle-même, sont séparées de la peau par un fascia superficiel assez résist
dans la longueur de plusieurs pouces une série de varices ampullaires séparées par des étranglemens, de telle façon que ces vari
à compartimens, il n'y a d'épaississement qu'au niveau des brides qui séparent les petites cellules. Que deviennent les valvul
s les varices? Il était rationnel d'admettre que les étranglemens qui séparent les cellules répondaient au bord adhérent des val
ent adhérent aux parois des vaisseaux, qu'il a été impossible de l'en séparer . Au milieu de ce cordon fibreux, j'ai trouvé une
e: il infiltre le derme. Les petits paquets adipeux sous-cutanés sont séparés les uns des autres par du sang extravasé. Il y av
en effet, le périoste était décollé. Une couche de sang très dense le séparait de la surface de l'os. Troisième observation. F
sseur des muscles, où le sang infiltré occupe le tissu cellulaire qui sépare les faisceaux musculaires, et même le tissu cellu
qui sépare les faisceaux musculaires, et même le tissu cellulaire qui sépare les fibres elles-mêmes. On dirait que les fibres
hysème du bord antérieur du poumon caractérisé par de vastes cellules séparées seulement par des brides. Les artères et les ve
auche OAC et de l'artère sous-clavière OASC, lesquels orifices nesont séparés les uns des autres que par une bride. La sectio
rte était constituée par les trois tuniques artérielles qu'on pouvait séparer les unes des autres, mais non sans de grandes dif
'efface et est réduit à l'épaisseur des parois de l'artère, lorsqu'on sépare la poche anévrysmale de l'aorte sur laquelle elle
nées, (i) La tumeur proéminait à droite du sternum, dont elle avait séparé le cartilage de la deuxième côte, séparé lui-même
du sternum, dont elle avait séparé le cartilage de la deuxième côte, séparé lui-même de la portion osseuse de cette côte. I
ôte et la deuxième côte elle-même étaient usés. Un pouce d'intervalle séparait l'extrémité de la côte de l'extrémité du cartilag
me dans l'apoplexie pulmonaire; la plèvre pulmonaire était en outre séparée du tissu du poumon comme dans la variété d'anévry
e diverse consistance ; ici, très adhérens aux parois de la poche; là séparés de ces parois par une matière brunâtre et comme p
ait telle, qu'il aurait fallu entamer le sac ou ces vaisseaux pour la séparer complètement. Le nerf pneumo-gastrique N P interm
elle paraissait circonscrite du côté de la clavicule, dont elle était séparée par un sillon profond. Il n'était pas moins évide
la manière des feuillets d'un livre. Les lamelles sur lesquelles se séparent les caillots sanguins sont d'une consistance asse
une consistance assez grande mais inégale, et peuvent facilement être séparées les unes des autres. La fig. 3 représente deux la
facile d'enlever par la dissection le feuillet séreux du cœur, que de séparer le feuillet séreux viscéral du feuillet séreux pé
avières donnent un bruit de souffle très fort, très grave, très bref, séparé du bruit suivant par un long intervalle : je me s
t bleuâtre : des caillots de sang remplissaient tout l'intervalle qui sépare le péricarde du cœur. Deux'déchirures linéaires
ne peut être ni complètement débarrassée du caillot, ni complètement séparée des parois du cœur, dont elle paraît former la co
ous quelques-unes de ces plaques une matière comme purulente noirâtre séparée du sang par une pellicule mince qui était lacérée
'est l'obliquité possible de la perforation, c'est le long trajet qui sépare souvent la perforation externe de la perforation
ne distance plus ou moins considérable au milieu de la graisse qui la sépare du tissu musculaire. Que si au contraire la fra
e ou ventriculaire, offre dans le premier sens trois freins ou brides séparées par autant de petits enfon-cemens ou sinus. La
ient au ventricule gauche, et que dans la préparation par laquelle on sépare les deux ventricules, une couche mince de la cloi
ane interne de l'oreillette était extrêmement épaisse et pouvait être séparée au moins en deux lames fort distinctes. J'insiste
a pas lieu pour les cavités droites, vu l'intervalle considérable qui sépare la valvule tricuspide des valvules sygmoïdes de l
uleuse ou mamelonnée, la profondeur et l'irrégularité des sillons qui séparent ces lobules ou mamelons, les macules de sang que
s droites du cœur OD,VD sont ouvertes et étalées : le péricarde a été séparé parla dissection du ventricule gauche auquel il a
ans,afin de faire coïncider la déglutition avec le temps de repos qui sépare l'inspiration de l'expiration. Faute de ces préca
induré avec vestige de tubercules anciens, qu'il fut impossible de le séparer sans lacération. Ce poumon était congestionné,œdé
t plus considérable que de coutume. Avant de l'ouvrir, ayant voulu le séparer des deux plèvres, je trouve au niveau du sommet d
t dans le creux irrégulier représenté fig. 4, a pu facilement en être séparé , en sorte que la tumeur m'a paru naître moins de
ises à l'action corrosive d'un acide, creusées de trous, de fossettes séparées par des espèces de ponts osseux fort irréguliers.
meur, partaient en divergeant des fibres osseuses rayonnées faciles à séparer les unes des autres, et se terminaient par une ex
t par une extrémité mamelonnée. Ces fibres osseuses étaient faciles à séparer les unes des autres, à raison d'une cellulosité m
ande exactitude la disposition en biseau des deux bouts de moelle que séparait une bouillie blanche. XXXIIe LIVRAISON. I cla
pied et dans la jambe du côté droit. Eclairs de douleurs très vives , séparés par de longs intervalles. La malade pouvait encor
aucune espèce d'altération. La figure 2 représente l'arc vertébral séparé du corps des vertèbres à l'aide d'un trait de sci
dégénération occupe, dans une assez grande étendue, l'intervalle qui sépare les racines antérieures des racines postérieures.
ccupait le tubercule quadrijumal postérieur gauche et l'espace qui le sépare du tubercule quadrijumal postérieur droit. Quel
erne de la dure-mère, dont il est cependant extrêmement facile de les séparer . Beaucoup de sérosité sous l'arachnoïde; elle r
s nerfs grands-hypoglosses, sont grisâtres; le bulbe rachidien semble séparé de la protubérance par une sorte d'étranglement.
ryngien et pneumo-gastrique, naissant, le premier, dans le sillon qui sépare les pyramides des olives; le deuxième, des corps
s olives; le deuxième, des corps restiformes à coté du sillon qui les sépare des olives, on ne sera pas étonné de l'affaibliss
ent dans l'épaisseur du lobe occipital, et que la couche mince qui la séparait des membranes a été atrophiée ou détruite. La s
membranes du cerveau, et qui, dans le reste de son étendue, en était séparée par une couche mince de substance cérébrale. Les
de la substance blanche ramollie dont il était très difficile de les séparer complètement. Le ramollissement de la substance c
artiennent au même ordre de lésions, et que, si on les trouve souvent séparés ,- on les trouve non moins souvent réunis, et quel
yer était formé aux dépens du corps strié externe, des radiations qui séparent le corps strié externe du corps strié interne, et
Le cerveau était bien loin de remplir la capacité du crâne; il était séparé de la voûte par une grande quantité de sérosité q
irconvolutions n'était pas même entamée : l'arachnoïde et la pie-mère séparaient d'ailleurs la tumeur de la surface du cerveau. Ce
ement adhérent à la substance cérébrale adjacente, qu'on ne peut l'en séparer sans déchirure. La couche cérébrale adjacente est
uche cérébelleuse subjacente est d'une densité remarquable. Lorsqu'on sépare les lamelles du cervelet, on voit que ces lamelle
ues que lorsqu'on a dépouillé cet organe de ses membranes, et qu'on a séparé les uns des autres non-seulement les lobules, mai
acération prolongée dans l'eau ramollit la substance des cornes, elle sépare les c fibres longitudinales qui les forment. Une
3); l'autre inférieure, concave, présente trois nervures saillantes, séparées par des rainures peu profondes. L'extrémité libre
ornée adhérait fort peu à la tumeur, dont elle était en grande partie séparée par une suppuration abondante : elle n'avait d'ai
extrémité libre qu'à la base; quelquefois, à la base, les fibres sont séparées par une matière d'apparence graisseuse, tandis qu
ement confondus avec les masses dégénérées, qu'on ne peut plus les en séparer par une dissection attentive, les coupes de ces m
es remplit à la manière d'une injection. Les grains glanduleux sont séparés par des couches musculaires extrêmement prononcée
ibre avait été entrevue à l'orifice de la vessie; les sillons qui les séparent . La prostate formait un cylindre complet autour
re lui. 3° La disposition lobuleuse de la prostate, les sillons qui séparent ces lobules expliquent la rétention d'urine et l'
oite. On trouva la tête du fémur usée, les trois pièces de l'os coxal séparées , et une carie de la portion de cavité colyloïde q
est tantôt en contact immédiat avec les parois de la veine, et tantôt séparé de ces parois par une pseudo-membrane mince. (i
veru-montanum. La prostate volumineuse était creusée de deux poches séparées par une cloison incomplète. Ces poches contenaien
tique, qui communiquait avec la vessie, était divisée en deux cavités séparées par une cloison incomplète : l'une de ces cavités
estige aucun de tissu propre du rein. Plusieurs de ces poches ne sont séparées les uns des autres que par des brides. L'une des
ion proprement dite. La tumeur commençait au dessous du foie, dont la séparait un sillon sonore et se terminait immédiatement au
éflexions. Ainsi, depuis quinze ans, gravelle, coliques néphrétiques, séparées par un état de santé parfaite. En octobre i83g, c
u'on ne trouve pas à la surface du rein, dans les points épaissis qui séparent les bases des cônes et les cellules, quelques tra
ang non coagulé; que dans un certain nombre de cas j'ai trouvé le pus séparé du sang en circulation par un caillot disposé en
n lobules plus petits, et bien qu'on ne voie par les cloisons qui les séparent , cependant, en pressant la tumeur, on éprouve, sa
continuité de tissu. J'ai pu, à l'aide d'une dissection très soignée, séparer dans la tumeur mammaire droite, ce qui appartenai
la peau et par la glande mammaire. Une couche mince de tissu adipeux sépare la peau de la glande altérée. L'altération de la
se utérine, de telle façon qu'il avait soulevé la couche mince qui le séparait de la cavité de l'utérus pour s'en former une esp
TF, développée dans l'épaisseur du fond de cet organe, était facile à séparer par énucléation : la densité, la couleur blanche,
le de telle manière que ses fragmens dissociés, mais non complètement séparés , puissent s'engager partiellement dans l'orifice
couche mince de tissu utérin, était une tumeur qu'il me fut facile de séparer par énucléation : cette tumeur était formée de ma
veloppe; enfin, s'il avoisine le péritoine, ce sont les fibres qui le séparent de cette membrane. Dans ces cas d'hypertrophie pa
vaient participé à la dégénération. La vessie hypertrophiée a pu être séparée du vagin par la dissection. Figure 2.— Gangrène
ntinué par les couches superficielles de l'utérus, lesquelles étaient séparées des couches plus profondes de l'organe; que l'hyp
lement on eût pu prendre pour un polype le moignon utérin disséqué ou séparé circulairement du vagin par un travail d'érosion.
ut en bas, par l'utérus qui se porte de bas en haut. L'intervalle qui sépare la portion de vessie déplacée du vagin et de l'ut
er utérin. Le rectum parfaitement sain et libre d'adhérences en a été séparé . Le tissu aréolaire qui occupe les côtés de la ve
étaient dans leur situation naturelle. Les auteurs ont complètement séparé , dans leurs descriptions, les hernies de l'ovaire
, dans la phlébite purulente, le pus est toujours ou presque toujours séparé du sang en circulation par une espèce de kyste qu
ans l'étude de l'anatomie normale, effacé la ligne de démarcation qui séparait les monstruosités des autres parties de l'histoir
rtie de la tête. Il n'y avait qu'un seul placenta : les deux cordons, séparés dans toute leur longueur, se réunissaient sur le
deux veines - caves inférieures ; il y a deux centres aponévrotiques séparés l'un de l'autre par des fibres charnues ; le diap
uis l'appendicexiphoïde jusqu'à l'ombilic, et qui furent heureusement séparées l'une de l'autre, d'abord à l'aide d'une ligature
e monstre prend le nom àihépatodyme complexe. Les deux foies sont-ils séparés , c'est un hépatodyme acomplexe : Les caractères d
8 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
, l'une supérieure, l'autre inférieure. Ces deux lames, primitivement séparées , se réunissent pour former le tube et constituent
rculaires. Ces paires de lames, comme celles du limaçon, sont d'abord séparées par un fente qui disparait par les progrès de l'â
ne (planum epitympanicum, mur de la logette). Une crête saillante les sépare (lèvre externe de la scissure pétro-squameuse int
sure au niveau du plan frontal passant par la ligne a la distance qui sépare la ligne de l'étage moyen du crâne de la ligne b.
le groupe des cellules limitrophes postérieures du conduit ; elle est séparée de la corticale externe par une zone d'étendue va
les cellules provenant de la portion pétreuse. Les deux groupes sont séparés par une lame osseuse, vestige de la séparation pr
élaient l'existence d'une pachy-méningite externe. Cette cavité était séparée de l'antre par une lame de tissu compact, de G mi
rizontale CD qui rase le bord inférieur de la lèvre tympan aie ; elle sépare le corps de la pointe de l'apophyse : 3° une lign
sigmoïde, en arrière et en dedans par le cervelet. La distance qui sépare l'antre de la corticale externe est variable, san
inal. Trois fois sur i 26 crânes, nous avons trouvé ces deux segments séparés par une cloison osseuse complète. Les dimension
supérieure à 10 millimètres. Sur ces mêmes temporaux, la distance qui sépare la fente unguéale du sillon sigmoïde était de :
e jugulaire et le limaçon. Sur la planche VI, fig. /|, on en voit une séparée de la cavité tympanique par une très mince cloiso
i antérieure de la pyramide et forme ainsi Veminentia arcuata; il est séparé de la fosse cérébrale moyenne par une lame osseus
mbrasse dans sa concavité l'aqueduc du vestibule ; la distance qui le sépare du bord interne de la gouttière sigmoïde mesure 8
cérébrale moyenne un peu en dedans de l'hiatus de Fallope: il en est séparé par une couche osseuse épaisse de 3-,'$ millimètr
u, dont l'axe est droit ou courbe. Un sillon plus ou moins profond le sépare en dehors du squamosal. Dans l'espèce humaine, ce
dactyle), la bulle et le tyrnpanal forment un seul bloc qui peut être séparé du rocher et de l'apophyse styloïde. En arrière e
e tympanique des mammifères. Ainsi que cette dernière, elle doit être séparée du tympanal et du rocher pour former, comme le ve
du canal carotidien, au devant de la loge cérébelleuse, dont elle est séparée par l'auvent jugulaire. Son axe est presque verti
anglion de Gasser, en dedans au conduit auditif interne dont elle est séparée par une couche diploïque épaisse de G millimètres
u sinus carotidien. On a signalé des déhiscences de cette paroi qui sépare la cavité tympanique du canal carotidien. Sur deu
tion du tympan. Rozier a vu aussi une déhiscence à bords irréguliers, séparée en deux parties par une lamelle osseuse et à une
n plan horizontal passant par l'apophyse externe du manche du marteau sépare la partie inférieure de la caisse ou atrium, de l
l'état frais par un repli muqueux. La tête, de forme variable, est séparée des branches par un étranglement ou col qui offre
eur. Une couche osseuse, dont l'épaisseur atteint 2-3 millimètres, la sépare de la fosse cérébrale moyenne. Portion tympaniq
l. Un segment osseux cunéiforme, dont la base mesure 3-/| millimètres sépare la fosse jugulaire de l'extrémité inférieure de l
descendante du trijumeau; tout à fait à la partie supérieure, il est séparé de la racine descendante du trijumeau et de la su
ure jusqu'à l'apophyse styloïde. Le conduit cartilagineux est ensuite séparé complètement du conduit osseux. On effondre alors
passage temporo-pariétaux. La deuxième circonvolution temporale est séparée de la précédente par le sillon temporal supérieur
hors par la scissure collatérale, ou quatrième sillon temporal qui la sépare du lobule fusiforme, et en dedans par le sillon d
u lobule fusiforme et la circonvolution inférieure du lobule lingual, séparées par la scissure collatérale. Le pôle occipital es
rior; les deux autres, plus ou moins horizontales, très flexueuses et séparées par le sillon interpariétal, sont la pariétale su
ieur est constitué par les deux premières circonvolutions temporales, séparées en dedans de l'insula de Reil par le sillon margi
e Reil par le sillon marginal postérieur ; la scissure de Sylvius les sépare , en haut et en arrière du gyrus supra-marginalis,
et en arrière du bulbe. On lui décrit deux faces : l'une supérieure, séparée du cerveau par le tentorium convexe transversalem
supérieure du cervelet, une saillie médiane à striation transversale, séparée des hémisphères par les sillons longitudinaux dro
rt au niveau de Yeminentia arcuata. Une très mince cloison osseuse le séparait de la fosse cérébrale moyenne. La branche postéri
suit la direction de la scissure de Sylvius ; sa portion horizontale sépare les première et deuxième circonvolutions temporal
de l'hémisphère, est interrompu en arrière par un pli de passage; il sépare les deuxième et troisième circonvolutions tempora
rnes. On remarque le grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr, qui sépare les lobes postérieur-supérieur et postérieur-infé
ection très oblique en bas et en dehors de la tente du cervelet. Elle sépare les lobes supérieurs du cervelet du lobule fnsifo
préoccipitale de Meynert). Le tentoriam, incliné en bas et en dehors, sépare les lobules fusiforme et lingual des lobes supéri
et. A droite, on remarque deux cellules mastoïdiennes postérieures, séparées par une large zone de tissu compact ; la première
La section de la pyramide pétreuse est quadrangulaire. Le tentorium sépare la face supérieure du cervelet des lobules fusifo
du muscle digastrique. Le tentorium, oblique en haut et en arrière, sépare la troisième circonvolution temporale des lobes s
9 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
dessins explicatifs dont la collection a formé par la suite un atlas séparé . De nos jours, Camper, Scarpa,Hesselbachet beauco
énérale il résulte que les diverses parties, supportées, contenues et séparées entre elles, forment au point de vue physiologiqu
de glissement, multiples pour les tendons et les muscles, dont elles séparent les faisceaux et les fibres. 4° Les tissus prop
fragmens de cylindres. Comme cylindres, elles se coniposentde parties séparées , distinctes pour la texture, mais confondues par
ur, les surfaces des os sont revêtues par la membrane médullaire, qui sépare le tissu de l'os lui-même des cavités qu'il renfe
ux qui leur sont antagonistes. De nouvelles aponévroses transversales séparent entre eux les divers groupes, puis des cloisons p
orifices et pénètre avec eux dans l'intérieur de l'organe, dont elle sépare le tissu, des conduits vasculaires. Cette disposi
pe d'Eustache. Une autre muqueuse, plus véritablement extérieure, est séparée de la première par la membrane du tympan qu'elles
loges à la surface des os. La membrane muqueuse pulmonaire, quoique séparée anato-miquement de la précédente par le vestibule
, par un produit sécrété, [épi-derme. Par sa face interne la peau est séparée de la couche musculaire ou aponévrotique sous-jac
lui-même d'un ou plusieurs muscles juxta-posés, les uns et les autres séparés par des cloisons aponévrotiques verticales et tra
vrotiques verticales et transversales d'autant plus épaisses qu'elles séparent des groupes antagonistes; d'autant plus minces, a
a base du crâne et la partie inférieure de la face; en bas le cou est séparé du thorax, entre le rachis et le sternum, par l'a
téro-postérieur, le cou se compose de deux fractions bien distinctes, séparées par l'aponévrose prévertébrale , figurant un plan
ont enveloppés par l'aponévrose commune pharyngienne postérieure, qui sépare les deux grands canaux aérien et alimentaire et l
ge du muscle sterno-masloïdien. La moitié cervicale postérieure est séparée de la précédente par l'aponévrose prévertébrale ;
u , et l'autre la séparant de l'abdomen. Les plèvres dans leur trajet séparent la cavité de la poitrine en trois compartimens :
par les parties molles, sont déterminées en haut parle diaphragme qui sépare l'abdomen de la poitrine, revêtu sur chaque face
tiques verticales et les deux os réunis par le ligament inter-osseux, séparent le cylindre vertical de l'avant-bras en trois gra
re, renferme les gaines des tendons fléchisseurs et de leurs annexes, séparées , par l'aponévrose profonde, du plan des muscles i
les fléchisseurs, et en dedans les adducteurs, les uns et les autres séparés par des gaines secondaires. 3° Jambe. (Pl. 12 e
e groupe profond, appliqué contre les os et le ligament inter-osseux, séparé du soléaire par une large aponévrose transversale
qu'un courant s'établit nécessairement au travers d'une membrane qui sépare deux liquides de densité différente, a nommé endo
nt les divisions factices qu'on lui impose, pour en former les cadres séparés de la médecine et de la chirurgie. Appliquant c
x localisée qu'elle sera située d'abord dans un lieu plus profond, et séparée des surfaces extérieures, ou tégu-nientaires, par
re et un magma intérieur qui maintiennent la continuité de l'os et le séparent des parties voisines, jusqu'au travail définitif
en pathologie, est la cause essentielle, tirée de l'organisation, qui sépare le plus nettement les maladies qui sont du ressor
uvant placés entre les aponévroses pharyngienne et pré-vertébrale qui séparent les deux moitiés antérieure et postérieure, la ca
bosse nasale ; au milieu et latéralement, par les deux orbites qu'il sépare ; en bas, par la naissance cle la lèvre supérieure
e l'orbite. Elle est inclinée un peu obliquement en bas et en dehors, séparée de sa congénère par l'interposition du nez et de
au. Lisse, unie, intimement adhérente aux muscles en avant, mobile et séparée des muscles par une boule graisseuse très abondan
Il est formé par la branche montante de l'os maxillaire supérieur qui sépare le masseter des ptérygoïdiens, et la région super
de la conque, au fond de laquelle s'ouvre le conduit auditif externe, séparé de la caisse ou oreille moyenne par la membrane d
re. A l'extérieur la nuque est partagée par le sillon vertical qui en sépare les deux moitiés. A la bosse occipitale correspon
ion. Située de chaque côté à la partie médiane et postérieure du dos, séparée de sa congénère par le grand sillon vertical, au
nt de chaque côté du plan moyen, à la partie supérieure de l'abdomen, séparée de sa congénère par le sillon médian de la ligne
transverse, dont les aponévroses s'unissent à chaque extrémité, et se séparent au-delà, pour former en avant la 1 Planche i, n
aisseur des parties molles en ce point, où la cavité abdominale n'est séparée de la couche sous-cutanée que par des aponévroses
e les deux sillons verticaux des bords externes des sacro-spinaux, et séparée en deux moitiés par le sillon lombaire médian. A
issu érectile aréolaire, dit corps caverneux. Ces deux cylindres sont séparés par une cloison fibreuse médiane, dont un prolong
x moitiés symétriques, formées chacune de plusieurs plans de muscles, séparés par des cloisons apo-névrotiques, les uns et les
uses internes, disposées en deux couches, sous-cutanée et musculaire, séparées par l'aponévrose périnéale. Les plus importantes
e, emprunte ce nom d'un renflement pyri-forme, le bulbe de l'urèthre, séparé de la peau par le muscle bulbo-caverneux. C'est c
os vaisseaux ou Yanneau crural, fermé par des adhérences fibreuses et séparé du canal inguinal par le repli aponévrotique lui-
mination de grand fessier, renfermés chacun dans une loge spéciale et séparés par une cloison aponévrotique; en plan profond le
délimitation. Cette région très importante en chirurgie, et dont nous séparons à dessein le creux de l'aisselle, est située au-d
avec les tuniques vasculaires, les muscles intercostaux et les côtes, sépare nettement la région sous-claviculaire du creux de
ère; ces divers muscles revêtus de leurs aponévroses d'enveloppe, qui séparent le creux axillaire sous-cutané des parties profon
texture serrée, adhérente aux os à la partie supérieure, elle en est séparée sur l'articulation par une bourse synoviale. Son
urs et des fléchisseurs de la main. Cette ligne fictive intermédiaire sépare les régions brachiales de celles du coude. RÉGI
mites de la saillie moyenne du biceps et du brachial antérieur qu'ils séparent de la masse des supinateurs en dehors, et de cell
ine est surtout à craindre par rapport aux vaisseaux profonds dont la sépare l'aponévrose bicipitalc. De chaque côté, sur l'ap
fférents, contenus au dehors par la grande aponévrose d'enveloppe, et séparés entre eux par des cloisons aponévrotiques vertica
Formée par le groupe des muscles pronatcurs et fléchisseurs, elle est séparée verticalement en dehors du groupe des supinateurs
l'autre, sa portion digitale. La main, en anatomie chirurgicale, se sépare en deux fractions : en dedans la charpente commun
érable en raison de la longueur du membre. De la région antérieure se sépare , en haut, la région inguino-fémorale, vu les cons
mée dans une gaine commune avec sa veine, qui la côtoyé en dedans, et séparée du nerf crural en dehors et en arrière par l'apon
l'extérieur, elle manifeste la saillie de ces deux masses musculaires séparées par celle du droit antérieur au milieu. Quant a
t antérieur; et, en arrière, par la cloison aponévrotique interne qui sépare les adducteurs de la cuisse des fléchisseurs de l
es ; et d'un plan profond formé de deux grandes masses triangulaires, séparées en diagonale par le grand sillon vasculaire. Ce s
petit, auxquels se rattache, en haut, le pectine ; ces divers muscles séparés entre eux par des cloisons aponévrotiques. 5° Vai
à la partie inférieure; transversalement, entre les deux sillons qui séparent le vaste externe, en avant, du droit antérieur, e
développé ; et latéralement , par les deux gouttières verticales qui séparent la rotule des saillies latérales déterminées par
ons ; elle est partagée verticalement par trois saillies musculaires, séparées par des sillons d'insertion commune. Parties co
auteur moyenne est le renflement déterminé par les muscles du mollet, séparés par le sillon médian des jumeaux; dans la moitié
moitié inférieure existe la saillie médiane du tendon d'Achille, qui sépare deux dépressions latérales triangulaires dont la
ament inter-osseux, et, en arrière, par l'aponévrose profonde qui les sépare du soléaire. 5° Vaisseaux et nerfs. Les vaisseaux
bornées en arrière par la dépression verticale triangulaire, qui les sépare du tendon d'Achille. Région malléolaire interne
mitée en avant par la saillie du tendon du jambier antérieur, dont la sépare le sillon déprimé intermédiaire à ce tendon et au
les malléolaires externes et les péroniers antérieurs et postérieurs, séparés profondément, sous le péroné, parle ligament inte
et fixe; l'autre antérieure ou digitale, formée par les cinq orteils, séparés et mobiles, en commun ou isolément. RÉGION CALC
elui où l'extrémité du manche repose clans le sillon interdigital qui sépare le pouce de l'indicateur. Dès que, dans la troisi
droit à maintenir à un aide. Appliquant ensuite dans l'intervalle qui sépare les doigts de l'opérateur et de l'aide le bistour
r dans un point, ou plus déclive quant à la position de la partie, ou séparé de l'ouverture par des sinuosités qui retardent l
er au-clehors les débris de tissu cellulaire que le travail morbide a séparés de la vie. (b) Ponction oblique. C'est celle qu
ssé par le lien, et d'amener la chute par gangrène des tissus qu'elle sépare de la circulation générale; 2° par construction,
de la tumeur. Pour diviser un point charnu dans un trajet fistuleux, séparer une petite tumeur autour des orifices cutanés, ou
iers moyen entre les trajets des fils et les deux intervalles qui les séparent au-dehors, et chacune des portions, entre le traj
llon circulaire suivant le plan sur lequel on veut agir, de manière à séparer le plus complètement possible les parties que l'o
à Y origine, les uns sont le produit de l'organisme, soit une partie séparée violemment de la vie, un séquestre, une esquille,
Procédés opératoires des sutures. suture entrecoupée ou a points séparés . — Premier procédé. On la pratique avec l'aiguill
tant la douleur, arriver à prolonger par arrachement la section, pour séparer complètement l'ongle en deux parties ; suspendre
a chirurgie dentaire constitue dans les grandes villes un art spécial séparé de l'exercice de la grande chirurgie. Néanmoins,
succès, on fait plusieurs piqûres, ordinairement trois à chaque bras, séparées par des intervalles d'un pouce environ; cette dis
e scarifiée, est mauvaise, car elle découpe la peau en autant d'ilôts séparés qui, se trouvant prives de leurs dégagement vascu
s qui réunissent, d'une manière anormale, des parties que la nature a séparées : telles sont les adhérences cutanées des doigts
bistouri droit qu'il plonge directement dans la couche celluleuse qui sépare le tendon de l'aponévrose tibiale postérieure, àl
tendon d'Achille. A quatre lignes de profondeur sous cette veine, et séparés d'elle par une aponévrose épaisse, sont situés le
ion oblique. Inférieure-ment elle s'écarte du peaussier dont elle est séparée par delà graisse, et disparaît en s'enfonçant sou
pte qu'il faut « oblitérer les veines dilatées clans plusieurs points séparés par cle courts intervalles ; » aussi a-t-il multi
eux avec l'extrémité de la sonde cannelée, introduite dans le sillon, séparer les muscles, par la rupture du tissu cellulaire,
e incision verticale au-dessus du condyle interne, dans le sillon qui sépare le vaste interne des muscles fléchisseurs de la j
t en arrière de l'artère, mais étranger à la gaîne vasculaire dont le sépare une lame aponévrotique épaisse. Le malade étant
d'abord sur son côté externe; soulever la gaine de l'autre côté, puis séparer l'artère de la veine, la dénuder sur son côté int
iaque. La peau et le pannicule adipeux étant divisés du premier coup, séparer avec la sonde cannelée les longues fibres du gran
isoler la veine avec la sonde cannelée dans le sillon externe qui la sépare de l'artère, la déjeter en bas et en dedans et l'
le tendon du scalène antérieur et les nerfs du plexus brachial qui la séparent du scalène postérieur, descend obliquement derriè
ère la clavicule et au - devant du tendon du scalène antérieur qui la sépare de l'artère. De la superficie vers la profondeur,
t à son côté externe le nerf pneumo-gastrique , dans le sillon qui la sépare de la jugulaire. De la surface vers la profondeur
écarter, avec le doigt et le bec de la sonde, le sillon cellulcux qui sépare le sterno-mastoïdien et les sterno- hyoïdien et t
nu, ne faire que l'entr ouvrir sur un pli à la partie inférieure, le séparer en dessous du péritoine avec le doigt, sur lequel
; appliquée en arrière sur les ligamens antérieurs du rachis'dont la séparent des ganglions et vaisseaux lymphatiques et les or
ue cinq à six centimètres de longueur jusqu'au point de bifurcation : séparée de la superficie de la peau par la paroi abdomina
s dans une portion plus ou moins étendue des grandes cavités séreuses séparée de l'ensemble et circonscrite par des adhérences.
is de tissu cellulaire que, dans la plupart des cas, l'inflammation a séparés de la vie. Après que le foyer est évacué, nombr
ès profonds. Lorsque la fluctuation obscure indique que l'abcès est séparé de la peau par une grande épaisseur de tissus, la
odes connues dont l'objet est de satisfaire à l'indication commune de séparer la tumeur de l'organisme. On y parvient par deux
se faire que les fragmens ne se correspondent plus du tout et soient séparés par des portions musculaires interposées entre eu
té mis à découvert par la division des parties molles, qu'ils ont été séparés de leurs moyens d'union et luxés en dehors de la
après l'auteur, est que ces aiguilles traversent le tissu fibreux qui sépare les deux bouts de l'os. Quoique cette méthode n'a
mmence un double travail qui a pour but de refaire un nouvel os et de séparer l'ancien de l'organisation pour l'expulser au deh
e. Il imagine un scalper excisorius pour enlever les ponts osseux qui séparent les ouvertures faites par le trépan ; et le ménin
aquement particulier, indice certain que la table interne de l'os est séparée . 3° Extraction de la partie osseuse détachée pa
iétant de moitié les unes sur les autres, elles se trouvent seulement séparées par des angles osseux de peu d'étendue, qu'il dev
t scier que la portion d'os malade, sans désarticuler le membre et le séparer du corps. » Presque dans le même temps Park, à Li
rse le fragment cle l'os réséqué d'avant en arrière en achevant de le séparer des parties molles. Lorsque l'ablation porte su
uer que les deux plaies résultant cle ces deux temps opératoires sont séparées par une partie de peau intacte qui occupe le dos
ale sur le bord externe du radius et sur le bord interne clu cubitus; séparer ensuite avec précaution les os des parties molles
ne reste plus qu'à détruire successivement leurs connexions, et à les séparer de leurs articulations en ménageant les organes v
travers de doigt de longueur chacune réunies en bas en forme de V et séparées supérieurement par un espace de cinq à sept centi
ion du scapulum qui dépasse supérieurement l'épine était saine, il en sépara d'un trait de scie toute la portion malade, en co
atiqua une incision horizontale au côté externe, comme s'il eût voulu séparer le dos du pied de sa plante; une seconde incision
ne médiane cle la face; de cette manière il dissèque un lambeau qu'il sépare des côtés du nez et de la bouche pour le déjeter
les parties recouvrant le dos du nez, ouvrit la narine de ce côté et sépara la lèvre supérieure en deux parties : joignant al
suture entortillée et à la partie inférieure avec une suture à points séparés , en ménageant toutefois, à la partie la plus décl
p tout le membre mortifié et attendait patiemment que la jointure fût séparée et que le membre tombât de lui-même. Que cette mé
avec la grande tenaille ; Verduin, Garengeot et Sharp conseillent de séparer toujours le doigt dans son articulation niétacarp
rpendiculaires à l'horizon, réunis latéralement par leurs extrémités, séparés dans le reste cle leur étendue par un intervalle
dérés en eux-mêmes, les muscles se présentent groupes en deux couches séparées par clu tissu cellulaire qui entraîne la formatio
t fortes, et, d'une autre, du tissu cellulaire lâche et abondant, qui sépare les diverses séries de muscles et accompagne les
squ'à l'os, et de les refouler le plus haut possible, après les avoir séparées de l'os avec le scalpel et avoir ratissé le pério
rtent un obstacle insurmontable si l'on n'a pris la précaution de les séparer ou de les diviser tout d'abord, il est important
caché par la masse de 1 eminenec thénar vers la face palmaire, n'est séparé de la peau que par les tendons extenseurs vers la
ésarticulation. En dedans une saillie de deux millimètres du trapèze, sépare le premier os métacarpien du second. La direction
uxer vers soi la tête du métacarpien , passer le bistouri derrière et séparer cet os de I'éminence thénar en coupant les partie
inence hypothénar, et, d'un autre coup de bistouri à plein tranchant, séparer l'os des chairs dans l'espace inter-osseux jusqu'
eux os de la surface de l'humérus et, glissant le couteau en arrière, séparer lolécrane par la section du tendon du triceps. Da
scie introduite dans l'écar-tement de l'articulation huméro-cubitale, séparer l'olécrane en conservant l'attache du tendon du t
erne de l'os, jusqu'au delà de l'articulation métatarso-phalangienne. Séparer avec le tranchant du bistouri les chairs sur le b
ort de luxation qui fait entendre un craquement assez fort. 4° Les os séparés , tirer un peu sur le bout du pied pour augmenter
placée de trois centimètres en avant; la moitié de cette distance la sépare du tubercule du cinquième métatarsien. Méthode
extension, piquer avec la pointe du couteau au milieu de l'espace qui sépare l'épine iliaque du grand trochanter, diriger la l
ette osseux ou aponévrotique, et par les bords des grands muscles qui séparent les groupes synergiques ou antagonistes. INDICA
rachial. On a conservé ce plexus pour montrer les rapports des nerfs, séparés des gros vaisseaux par l'aponévrose prévertébrale
l'avant-bras. E. Loge du grand supinateur et des radiaux. Elle est séparée de la précédente par : 18. Nerf radial. 19.
aire du jambier antérieur, et des extenseurs. Ces mus- cles ne sont séparés qu'en haut, dans une petite étendue, par une apon
et 12. Sutures. (a ) Suture à points passés. (b) Suture à points séparés . (c) Suture entortillée. (d) Suture enchevill
ôté droit, les troncs artériels forment une succession de dilitations séparées par des étranglemens que motivent les orifices de
é la section de la fraction médiane ; la dernière est encore intacte, séparée seulement, de la précédente par le trait de scie
pan, dont l'extrémité seule est dessinée, est celui de M. Charrière , séparé de la scie à molette. (Pl. 55, fig. 17.) Figure
ongitudinales. Dans cette manière d'opérer, les parties molles sont séparées en deux masses, antérieure et postérieure, où les
. Les chairs étant écartées du trajet de la scie , un premier trait a séparé la première rangée des os du carpe. L'opération e
ration est représentée au moment où, par un second trait de scie , on sépare d'un seul coup l'extrémité carpienne des os de l'
is le court péronier (d). Les muscles étant écartés de chaque côté et séparés de la surface de l'os mis à nu, un premier trait
ins (d, e) les lambeaux relevés; les mouve-mens du membre ( f ), déjà séparé de la vie, sont gouvernés par un autre aide. Le c
10 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
u nerf, et tous les systèmes anatomiques ne font que se dégager ou se séparer de la masse nerveuse. L'animal n'est que nerf : c
ec la situation des branchies, qui sont réunies dans les premières et séparées dans les secondes; Il fournit des nerfs aux branc
éunis entre eux dans une grande partie de leur étendue, mais qui sont séparés l'un de l'autre par une ouverture qui donne passa
au ganglion pédieux d'une manière assez intime, ces ganglions n'étant séparés que dans une partie de leur étendue,-par un vaiss
s'unir; ils sont d'abord comme agglutinés, mais ils finissent par se séparer sinon tous, au moins la plupart, et l'on peut alo
instrumens délicats on serait tenté de croire que l'on est parvenu à séparer un nerf en plusieurs parties, on n'a pas fait aut
arer un nerf en plusieurs parties, on n'a pas fait autre chose que de séparer ce nerf de son enveloppe, laquelle se résout en f
ne dépression placée transversalement sur le ganglion sus-œsophagien, sépare ce ganglion en deux parties : dont l'antérieure s
r volume et pour leur nombre, non pas avec l'encéphale, dont ils sont séparés dans le premier temps de leijr formation, mais av
nière et décisive ; le nerf optique des insectes et des mollusques se sépare isolément du ganglion céphalique; il n'est pas, à
classe des acéphales sans coquilles, après être restés quelque temps séparés , se réunissent et adhèrent ensemble tant que dure
rages des naturalistes (1). Quant aux céphalopodes, ils ont des sexes séparés , et en cela ils s'élèvent au-dessus des précédens
hes. Polypes simples. Polypes composés., !Animaux articulés à sexes séparés . IArticulés hermaphrodites. | Rayonnes. Le
ît en grande partie par l'allongement de la moelle. Une ligne médiane sépare la moelle en deux parties et sur les côtés naisse
entre eux, et vers le milieu du thorax, là où l'artère ster-nale les sépare , en allant gagner la face inférieure du corps.
six. Dans l'intervalle de ces ganglions, les colonnes nerveuses sont séparées naturellement ou très facilement séparables ; ell
ez les arachnides (2). La tête de ces animaux n'est pas distinctement séparée de la poitrine, les pattes sont, à leur insertion
le jusqu'à celui de papillon. Dans la chenille , douze ganglions sont séparés , à l'exception des deux derniers, par de longs co
utre à gauche, unissent entre eux ces ganglions; ils sont tout-à-fait séparés dans les quatre premiers espaces inter-ganglionai
fait séparés dans les quatre premiers espaces inter-ganglionaires, et séparés seulement en partie dans le reste de leur étendue
endrée a trois ganglions réunis par deux cordons nerveux distincts et séparés ; le pentatome gris, au contraire, a ses deux cord
utres. En les durcissant à l'aide de l'alcool on peut à la vérité les séparer , mais alors on a des fibres contractées, rétrécie
es dans une direction parallèle. Il ne m'a jamais été possible de les séparer , de les isoler, ce qui m'a empêché d'en connaître
oelle ventrale. Toutefois ces faisceaux quoique distincts ne sont pas séparés les uns des autres par le moindre intervalle, ils
de la moelle, cordons qui, dans certains endroits, sont naturellement séparés , et qui, dans d'autres, se séparent par la plus l
tains endroits, sont naturellement séparés, et qui, dans d'autres, se séparent par la plus légère traction. Trois paires de ne
n deux faisceaux latéraux distincts l'un de l'autre, et ordinairement séparés dans l'intervalle des ganglions. 3. Le croiseme
odorat et de la vue (3J. Parmi les annelides, plusieurs ont les sexes séparés , comme le lombric de terre; d'autres sont hermap
t de ses petits ; si elle est poursuivie, elle les emporte et ne s'en sépare que quand ils peuvent se défendre ou pourvoir à l
8j se mouvoir. Nous l'enlevâmes et nous la plaçâmes dans une ruche séparée ; les abeilles qui étaient formées en essaim, et
ganglions entièrement blancs chez une vieille carpe. Lorsqu'ils sont séparés ceux de droite de ceux de gauche, par un interval
ter l'un de l'autre les lobes ou ganglions cérébraux, la scissure qui sépare ces lobes est traversée par un petit filet blanc
'heure. Les lames optiques forment les parois d'un double ventricule, séparé , celui de droite de celui de gauche, par une peti
cilement, qu'elle suit la direction des nerfs optiques, dont elle est séparée seulement par un intervalle de deux ou trois mill
isolée, une origine que l'on peut apercevoir dans le court espace qui sépare à leur naissance, le nerf de la cinquième paire d
elle, au niveau du calamus scriptorius; on les voit de chaque côté se séparer l'un de l'autre en formant une sorte d'éperon, po
Au niveau de chaque trou de conjugaison, deux nerfs depuis long-temps séparés des autres sortaient du canal et allaient se conf
ck seul a parlé, sont très variables entre elles; les intervalles qui séparent les nodosités sont inégaux ; la forme des nodosit
tructure du système nerveux. On n'a jamais examiné que des portions séparées de la substance nerveuse, et il ne paraît pas que
oelle épinière, est-ce une chose si importante qu'elles soient ou non séparées les unes des autres par un névrilème9 Un fait bea
nent vers les organes auxquels ils sont destinés, au moment où ils se séparent du ganglion dont ils émanent. La matière granul
l'une spinale, l'autre fulcrale, et que l'on place ces parties ainsi séparées , entre les lames du compresseur, on voit après le
; l'encéphale de ces animaux une fois enlevé avec précaution , je le séparais en deux moitiés latérales, et je plaçais une de c
dans les deux cas. Au-dessous de la commissure existe une lame qui sépare d'avant en arrière la cavité que laissent au-dess
tique. Tissu linéaire, dense et serré; je ne puis, avec le scapel, le séparer en fibrilles ; la compression n'y fait pas dévelo
té jusqu'à présent et qui sera probablement toujours infranchissable, sépare l'homme des animaux invertébrés ; entre eux et lu
ral du côté droit de celui du côté gauche, on les trouve distincts et séparés l'un de l'autre dans les trois quarts antérieurs
àtrois piliers, les distingue l'une de l'autre, plutôt qu'elle ne les sépare . La surface interne du lobe , ou pour parler plus
plan que les nerfs pathétiques ; ces deux paires de nerfs ne sont pas séparés ici, comme chez les mammifères, par le pont de Va
s de démarcation organique tranchée, je dois dire dans quel lieu j'ai séparé ces parties, c'est immédiatement au-dessous de la
tie postérieure, car réunis en arrière par le corps calleux, ils sont séparés en avant, et laissent voir, à découvert, Vinfùndi
vivent sur la terre et qui grimpent sur les montagnes, ont des doigts séparés . La tortue de mer ou tortue franche se nourrit d'
lusieurs jours : puis quand elle est consommée, les deux individus se séparent l'un de l'autre et ne se reconnaissent plus. Ceux
pointe du cerveau. La substance cérébrale, vue à l'intérieur, ne se sépare pas en deux parties distinctes par leur couleur e
as vient avant, la perruche et le perroquet sont en tête de la liste, séparés cependant par l'oie. Dans un des tableaux suivans
anal qui commence au quatrième ventricule, s'ouvre dans le lieu où se séparent l'un de l'autre les faisceaux spinaux, et se term
let en est formé. Au cervelet, la substance dont il est question, est séparée de la substance blanche d'une manière aussi tranc
ême de la grive et de la perdrix. Le bouvreuil, dit-on, ne peut vivre séparé de sa femelle ou des camarades qu'il s'est choisi
un pour l'autre un attachement si profond et si durable, qu'ils ne se séparent qu'à la mort. Le pétrel est dans le même cas : le
ance, qu'il suivait partout ce domestique, et que quand il fallut les séparer , le jars en devint tout maigre et mourut de chagr
le et la femelle, d'une même espèce, comme deux espèces distinctes et séparées ». La possibilité de prendre le mâle et la femell
lui de l'homme ; il est composé, comme chez lui, de deux hémisphères, séparés par Un repli de la dure-mère, couvert de circonvo
. De chaque côté du sillon médian qui s'éten danl d'avant en arrière, sépare le cerveau en deux lobes, on voit une dépression
cinq, en raison de la netteté et de la longueur des incisions qui les séparent . Elles ont une direction très appro chant de la
ce4ndiquée par les chiffres i— n, une espèce de sillon. Lorsqu'on a séparé les deux lobes l'un de l'autre, on voit la circon
porte en arrière et en dehors du cerveau. Un sillon si., si., fig. 1, sépare l'une de l'autre les deux circonvolutions de la c
au-dessus de la circonvolution l 11 qui recouvre le corps calleux, sépare cette circonvolution de toutes les autres, depuis
convolution interne 1,1,1, qui se contourne sur le corps calleux, est séparée de la circonvolution antérieure, comme chez le ch
es de la baleine et même celles du cheval, et qui, si elles n'étaient séparées des circonvolutions antérieures par les circonvol
circonvolutions, il existe un sillon (S, R, fig. 2 et fig. 4) qui les sépare dans loute leur longueur, et dont l'existence est
ions, I P, II P, III P, dont les deux dernières ne sont distinctement séparées que chez les singes plus élevés en intelligence q
éral; elle est en arrière et en dedans de ce ventricule dont elle est séparée par la bandelette blanche du lobe d'hippocampe, e
sur elle que repose la voûte à trois piliers, dont toutefois elle est séparée par un prolongement de l'arachnoïde (toile choroî
ble faisceau suivent une même direction; mais là, elles divergent, et séparées qu'elles étaient du corps calleux, par la cloison
chacun d'eux; mais cela n'est pas possible parce que les limites qui séparent ces lobes n'ont rien de régulier ni de tranché. C
ché au-dessous du cerveau, comme dans l'homme, ces deux organes étant séparés l'un de l'autre par une cloison verticale qui div
maux, la saillie des tubercules quadrijumeaux au fond d'un sillon qui sépare le cerveau du cervelet. L'unau et l'ai ont le lob
pprocha d'eux, leur donna à chacun un vigoureux coup de patte qui les sépara . Si elle est mécontente d'eux, elle grogne et les
tres qui différaient beaucoup entre eux. Ainsi la chauve-souris était séparée de la roussette, et le castor se trouvait à côté
is ses rapports avec le lapin sont, si nom breux que je n'ai pas dû séparer ces deux animaux l'un de l'autre. Il vit solitair
ouvemens opposés, la direction de l'aller avec celle du retour, il se sépare de la terre par un bond, et se jetant de côté, il
que l'homme et le cheval ne forment qu'un, qu'au moment où l'homme se sépare du cheval, soit pour s'élancer en l'air, soit pou
ut, l'on dirait qu'une partie de l'homme-cheval ou du cheval-homme se sépare de son entier, et qu'au moment où le cavalier rev
ux animaux sauvages, retenus ordinairement dans des cages étroites et séparés des animaux de leur espèce, ils ne se présentent
Id., id., p. 399. circonvolutions placées vers la ligne médiane et séparées seulement par l'interposition de la partie antéri
par ces chiffres, chez le chat, et un seul sillon* le sillon crucial, sépare le chiffre 1 sur le cerveau du chien, des trois a
roupe, se placent les circonvolutions non fiexueuses, celles qui sont séparées les unes des autres par des lignes régulières, dr
nstinctives et les facultés intellectuelles, dans des circonvolutions séparées , en considérant que le cerveau de l'ours qui vit
circonvolutions cérébrales les moins sinueuses. Comme les sillons qui séparent les circonvolutions sont parcourus par des vaisse
11 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
la figure 1, en deux moitiés absolu- ment distinctes et semblables, séparées par une partie centrale qui comprend la cage de
DES ADULTES. Nous avons vu plus haut que nous avions espéré voir séparer la 3e section, composée d'enfants et d'adultes,
DES ADULTES ET DES ENFANTS. XLVII de constater que la distance qui sépare les bâtiments des adultes de l'infirmerie dos e
igner exactement M. le préfet do la Seine sur l'urgence qu'il y a à séparer la 3° section en deux, et de procéder à bref dé
ique, la luette est un peu reportée vers la gauche, l'arcade qui la sépare du pilier gauche est beau- coup plus étroite qu
e ascendante. La scissure perpendiculaire externe (Sc. p. e.) n'est séparée du pli courbe que par un pli de passage se diri
ranches transversales du double H, est très concave. L'incisurc qui sépare le lobule orbitaire de la deuxième CACHEXIE PAC
CHYDERMIQUE. 41 circonvolution frontale est très profonde, mais est séparée du sillon fronto-marginal par une portion isolé
i au lobule pariétal inférieur. Le lobe occipital (L 0) nettement séparé du lobe temporal est relié au lobule pariétal s
eur (p. p. p.) avec la circonvolution du corps calleux, dont il est séparé à sa partie médiane par une scis- sure sous-par
ez profonde, ainsi que la scissure frontale inférieure (Sc. f. i.), séparée de la scissure parallèle frontale par un pli de p
sinueux, très découpé, irrégulier; le sillon ver- tical (b) qui le sépare du pli courbe se prolonge en haut au delà de la
ter dans la scissure parallèle. Le lobe occipital (L, 0), nettement séparé des lobes pariétal et temporal, est par suite d
ière, une de ses por- tions isolées (sillon occipital antérieur (d) sépare nettement en se réunissant à l'incisure préocci
hérique, sans aller rejoindre la scissure calca- rine dont elle est séparée d'un centimètre. En arrière et paral- lèlement
me l'est encore davantage, et que ces deux choses ne peuvent être séparées . Nous appellerons encore l'attention sur les pl
on trouve, au bout de peu de temps, quêtons les os du crâne se sont séparés les uns des autres, ce qui indique que la soudu
iculations était' fort ii,com- plète. Les épipbyses des os longs se séparent également de la diaphyse avec une grande facili
ue, très forte pour la taille du sujet, présente deux plis profonds séparés par un bourrelet de chair. A ce niveau, la troi-
conséquent susceptible d'éducation. C'est la grande différence qui sépare , au point de vue moral, les crétins des idiots.
rtain nombre de cas. 74 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. M. Ball s'appuie pour séparer les crétins des idiots sur ce fait que les crét
rès amaigrie dans son quart supérieur. Elle est sinueuse, nettement séparée du pli pariétal supérieur, elle communique à 1
avec un sillon qui va presque rejoindre l'incisure préoccipitale et sépare le lobe temporal du lobe occipital. La deuxiè
du corps calleux. Le lobule paracentral, irrégulier, nette- ment séparé des parties environnantes est peu développé,. C
es plis pariétaux lim- biques, antérieurs et postérieurs, nettement séparés par des sillons assez profonds. La scissure p
elevé. A la partie antérieure, les trois frontales sont net- tement séparées du lohe orbitaire par un sillon assez pro- fond
lis do passage des 1 ? et 2e circonvolutions ; l'autre, antérieure, séparée par un pli des 2e et 3e frontales, de la fronta
faces, parait plus petit que le droit. Les deux hémisphères sont séparés sur la ligne médiane. Cette coupe, ainsi que pl
ramifiées avec EXAMEN HISTOLOGIQUE. 119 des fibrilles abondantes, séparées par une substance inter- cellulaire qui a dispa
arrive au contact de la protubérance, tandis que la droite en reste séparée par un fossé. L'écorce cérébrale présente une c
. partie crétacé, mesurant 7 à 8 mm. de diamètre. Sur la plèvre qui sépare les lobes, on voit des granulations tuberculeus
donne un pli de pas- sage à la troisième frontale. Les sillons qui séparent ces trois circonvolutions sont profonds. La sci
lière, mais assez grosse, coupée en quelque sorte par le sillon qui sépare les deux plis de passage dont il vient d'être q
en- core par une autre scissure parallèle et plus antérieure qui sépare le troisième quart du quatrième quart de la deu
mble continuer la scis- sure frontale supérieure (1), dont elle est séparée par un pli de passage transversal allant en ava
nt au moment de s'in- sérer sur la troisième frontale dont elle est séparée par une incisure profonde. - La troisième front
age formant une sorte de masse à la partie moyenne. Les sillons qui séparent les circonvolutions frontales, la scissure fron
exueuse et s'arrête au pied de la frontale ascendante dont elle est séparée par une incisure très longue et presque rectili
pariétal supé- rieur, en arrière, avec le lobe occipital ; elle est séparée du lobe temporal par une incisure profonde. L
supérieur qui va s'insérer sur la frontale ascen- dante dont il est séparé par un sillon léger, un second pli plus flexueu
ez développé. Le pli pariétal inférieur, de forme triangulaire, est séparé par un sillon profond du pli courbe avec lequel
t beaucoup plus distantes les unes des autres qu'à l'état normal et séparées par du tissu névroglique àpeu près dépourvu d'é
tant elles sont encore en nombre considérable. Dans les espaces qui séparent ces rangées de cellules, espaces par où £ t des
ient duré une demi-heure. Ces accidents sont revenus jusqu'à 6 ans, séparés par des intervalles do deux ou trois mois. Les
tinue ensuite presque jusqu'à la scissure parallèle dont elle n'est séparée que de 4 millimètres. Le lobule pariétal supéri
ution temporale est bien déve- loppée, sinueuse, elle est nettement séparée du lobule pa- riétal inférieur par une scissure
ulières. Toutes les circonvolutions du lobe temporal sont nettement séparées (il est même très rare de les voir aussi nettem
ale, dérivée de la première scissure tempo- rale, très zigzaguée et séparée de la scissure interpariétale par un pli de pas
e temporale, une sorte de confluent. Le lobe occipital, nettement séparé par les sillons précé- demment décrits du lobe
oupe la scissure occipitale supérieure, puis l'inférieure, et n'est séparée de la scissure parallèle que par un pli de pass
sage (antérieur et postérieur) à l'avant-coin normal, dont elle est séparée vers le milieu par une scissure sous-pariétale.
,qui s'insère par un pli de passage sur la frontale ascendante, est séparée oblique- ment de son tiers postérieur par une s
sous forme de séries. Dans ce dernier cas, durant la même journée, séparés par des intervalles plus ou moins longs, mais p
lés. Nous devons dire que chez tous les malades, chaque accès a été séparé du suivant par un retour de la connaissance. C'
plus bas. Parfois, on assiste à doux et mémo trois séries nettement séparées , la courbe de la température alors est d'ordi-
érieur et le pli pariétal inférieur sont bien développés, nettement séparés des parties environ- nantes auxquelles ils sont
deux plis secondaires à sa partie antérieure, simple en arrière et séparés nettement du lobe occipital. - Les circonvoluti
12 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
s sont formées de fibres propres constituant des plans parallèles que séparent des couches de substance grise. Ces couches de fi
u limbe des feuillets fibreux; les sillons plus ou moins profonds qui séparent les plis correspondent aux intervalles des feuill
peut déterminer leur position et leur figure. Parmi les sillons qui séparent les processus entéroîdes. Rolando signale, en pre
roîdes. Rolando signale, en premier lieu, la scissure de Sylvius, qui sépare le lobe antérieur du lobe postérieur. H décrit av
veilhier.) Entre ces deux circonvolutions il existe un sillon qui les sépare dans toute leur longueur, et dont l'existence est
iP, iiP, iiiP, fig. 4), dont les deux dernières ne sont distinctement séparées que chez les Singes, pks élevés en intelligence q
cales de Rolando; la troisième est la traverse occipitale. Ces lignes séparent sur la face externe de l'hémisphère plusieurs rég
s qui les composent, se développent dans l'ordre des Primates dont je sépare ici les Lémuriens que des analogies naturelles ob
ont très-simples, assez larges, à peine flexueux; les sillons qui les séparent sont, en général, très-profonds et descendent sou
visibles qu'en arrière. En second lieu, plusieurs plis irréguliers séparés par deux sillons longitudinaux, réunis le plus so
s tard, est l'un des plus importants. Les deux plis ascendants sont séparés l'un de l'autre par un sillon très-profond. Ce si
e ascendante, l'autre partie descendante. La partie descendante est séparée de la scissure de Sylvius par un pli fort épais q
parallèlement dans toute leur étendue; une scissure très-profonde les sépare . Cette scissure, qui est l'une des plus constante
ssez mal dessinés, forment, le plus souvent, trois étages superposés, séparés par deux sillons parallèles. Nous distinguerons
. § XL PLIS DE LA FACE INTERNE. FIGURE 3. Parmi les sillons qui séparent ces plis, nous distinguerons deux scissures prm-c
ccipital sont confondus par suite de l'absence de la scissure qui les sépare ordinairement dans le Callitriche. Mais ces dif
ccipital est fort réduit; deux scissures profondes le divisent. L'une sépare l'étage moyen de l'étage supérieur; elle répond à
aques à queue de Cochon et celui des vrais Macaques, desquels nous ne séparons point les Magots, qui s'en rapprochent par tous l
cilement distingué du cerveau des Guenons, et parmi les Macaques nous séparerons , par une ligne de démarcation tranchée, le cervea
la scissure des hippocampes et du lobule occipital, ils sont aisément séparés des uns et des autres. Dans la série des Chœrop
panzé, et nous n'en sommes plus au temps où on pouvait les confondre. Séparés par des espaces immenses à la surface de la terre
bule est subdivisé très-élégamment par un sillon assez compliqué, qui sépare deux plis, l'un externe et l'autre interne. Le pl
sieurs incisures parallèles au milieu desquelles domine le sillon qui sépare l'étage moyen 10 de l'étage supérieur 11. L'operc
le Gorilla. « 2° Dans le Chimpanzé, les deux fosses temporales sont séparées par un large « intervalle sur lequel ne se dévelo
et « elles remontent si haut, même dans la femelle, qu'elles ne sont séparées l'une de « l'autre que par une crête sagittale fo
récédent, dans le sommet du premier pli ascendant. Ces deux plis sont séparés par une scissure profonde bifurquée en arrière, e
pris en totalité. On doit remarquer la longueur de l'intervalle qui sépare la racine du deuxième pli, du sommet de la scissu
rt des Singes, coniine à la branche descendante du pli courbe, en est séparée , dans l'Homme, par un grand intervalle. Cet int
s postérieures, en sorte que sur le lobule occipital ils ne sont plus séparés que par de simples incisures. Ces faits font ress
à celui du Lagotriche et du Saï. On voit alors que la scissure qui sépare le lobe frontal du premier pli ascendant est situ
, en arrière, par la scissure des hippocampes. Un sillon assez marqué sépare les plis ou plutôt la face interne du lobe tempor
soulèvements, se dessinant de plus en plus, forment des collines que séparent des vallées plus ou moins profondes; nous donnons
qu'une scissure à peu près droite, scissure perpendiculaire externe, sépare du lobe pariétal. Les plis cérébraux sont marqu
raison, pli marginal postérieur. 2° Le pli temporal moyen. Ce pli est séparé du pli tem poral supérieur par un sillon très-p
me, l'Orang, le Chimpanzé et les Atèles, encore les incisures qui les séparent sont-elles peu profondes. Leur disposition est in
en. Ce pli interrompt la continuité de la scissure des hippocampes et sépare nettement la partie profonde de cette scissure de
13 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
tre une surveillance facile de l'extérieur. A l'intérieur, ils sont séparés entre eux par des dalles en Comblanchien poli d
des bancs de réfectoires d'un genre particulier : chaque place est séparée . par un appui et le siège, recouvert d'un couss
temps variable, ils sont réclamés par leur département d'origine et séparés , par conséquent, d'une manière complète de leur
nombre d'entre elles préfèrent reprendre leurs enfants que de s'en séparer pour toujours. C'est pour mettre fin à une '-pr
e de déterminations douloureuses, soit que la misère les obligea se séparer de leurs enfants, soit qu'elles les reprennent,
couchent au Dépôt. Au lieu de les faire coucher clans des cellules séparées ,' il arrive qu'on les fait coucher dans le même
elé, 7 h. 50, il a déjà eu quatorze accès consécu- tifs. Elles sont séparées les unes des autres par quatre ou cinq minutes
rain. Tandis qu'il ne restait plus de ces derniers corps que les os séparés les uns des autres et com- plètement dénudés, m
ment complètement corps. Après dessèchement à l'air, ces parties se séparent sous forme de couches concentriques plus ou moi
villon regardant presque directement en avant. Lobule non adhérent, séparé brusquement de l'hélix et de l'anthélix par une
eur de l'hémisphère, et se divise en deux petites circonvolutions séparées par un sillon superficiel pour aller enfin s'anas
loppée, et montre deux incisures dont l'une complète (l'inférieure) sépare cette circonvolution en trois parties dont une
entièrement le lobule pariétal inférieur et dont l'extrémité n'est séparée de la scis- sure interpariétalc que de 5 millim
vons décrites plus haut sont chagrinées, irrégulières, sinueuses, séparées par un sillon coupé par un pli de passage. Hémi
érieure de ce dédoublement s'unit à la l1'0 frontale. Le sillon qui sépare les deux circonvolu- tions précédentes est très
ne est profonde, bien marquée. Les circonvolutions occipitales sont séparées par des plis profonds : la première, dédoublée,
ale se joint en avant à la 3,ue, en arrière à la 11'0 dont elle est séparée par un sillon profond. La 3me occipitale, double
poro-occipilalc n'offre rien de particulier, mais les sil- lons qui séparent les deux circonvolutions sont profonds et sinue
rement bout 78 Examen histologique DU cerveau. à bout, en séries, séparées par les faisceaux des fibres qui gagnent la sub
'écart représentent le poids de liquide qui s'est écoulé quand on a séparé les hémisphères). Les deux hémisphères' cérébra
ariétale par un pli de passage très sinueux ; elle est complètement séparée du lobe du pli courbe ; ce lobe présente de nom
le cap est peu marqué. La circonvo- lution pariétale ascendante est séparée en deux parties, au même niveau que la frontale
e lobe antérieur est constitué par trois circonvolutions parallèles séparées par des sillons profonds et étroits. La Ire et
ux. Cette circonvolution de 2 el- environ d'épaisseur est nettement séparée , à son extrémité postérieure, du lobe pos- téri
puis se recourbe à angle droit pour le limiter en arrière, et le séparer ainsi du lobe occipital auquel il n'est contigu q
du reste avec cette circonvolution temporale. Le lobe occipital est séparé de cette dernière par un sillon profond qui tra
'la tète du corps calleux. La plus antérieure est assez large, bien séparée de la seconde par un sillon profond et étroit, et
llons peu profonds à -direction indéterminée. Le lobe occipital est séparé , comme nous l'avons dit, de la circonvolution p
convolutions ne présentent plus de forme déterminée. Ce lobe -est séparé du lobe postérieur par le porus, en dehors, et en
e lobe en dehors et rejoint, en arrière, la .`seconde dont elle est séparée par un sillon profond dans ses deux tiers antér
onde, plus étroite, se confond, en avant, avec la 3e, dont elle est séparée par un sillon assez large et profond. La 3e trè
ostérieure. La dernière enfin, de beaucoup la plus volumineuse, est séparée de la précédente par un sillon profond et divis
es circonvolutions y sont de volume ordinaire, très sinueuses, bien séparées les unes des Porencéphalie vraie. 105 autres
- pariétal supérieur est formé de nombreuses circonvolutions très séparées les unes des autres mais anastomosées entr'elles
e du pli courbe est bi-n développé. Les trois temporales, nettement séparées à leur partie postérieure, se confondent à l'ex
en arrière. Le lobule quadrilatère est volumi- neux, très nettement séparé du dernier par la scissure sous- frontale et du
cheveux sont noirs et abondants. Les sourcils sont bien plantés, séparés par un intervalle de 15 millim. La fente pal- p
14 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
isin, alternes, opposées, quelquefois très-rapprochées, d'autres fois séparées par un grand intervalle. On dit généralement que
ouvemens, les tractions allongeaient les espèces de pédicules qui les séparaient . Indépendamment des argumens irrésistibles opposé
e étaient dans leur situation naturelle-, la rate, volumineuse, était séparée du rein par une cloison membraneuse. La surface a
ent ovarique et la trompe utérine gauches. Après avoir complètement séparé l'uretère de la masse indurée, j'ai reconnu que c
ilité, tellement que l'effort, assurément très-léger, nécessaire pour séparer sa membrane d'enveloppe, a lacéré toute sa surfac
se et parsemée de longs vaisseaux veineux très-développés. Elle était séparée du tissu propre du rein , ici par une sérosité tr
ternatifs ; on eût dit une rangée de perles d'inégale grosseur. Ayant séparé avec beaucoup de bonheur les deux feuillets muque
lèles, unis entre eux par une sorte de matière glutineuse, peuvent se séparer avec la plus grande facilité. Je me suis assuré q
bord radial des avant-bras, sont situées dans le court intervalle qui sépare les jambes. La main et le pied du côté droit MD
ES , continues au moyen d'un cordon fibreux très-court et très-fort, séparaient ces deux ouvertures ( ) Cette pièce , présentée
ns sa direction naturelle, la jambe étant verticale. L'écartement qui sépare l'extrémité inférieure du tibia de la facette sup
crure formée en dedans par le scaphoïde et le calcanéum. Nul angle ne sépare la portion de tête de l'astragale qui est reçue d
té scaphoïdienne et la facette moyenne FM. Le prolongement osseux \ac sépare a quatre fois au moins la longueur qu'il offre da
intacte recouvrait ces parties comme de coutume, et conséquemment les séparait de la tumeur. Les nerfs moteurs communs et trijum
lots très-compactes dont elle était environnée, qu'on ne pouvait l'en séparer qu'avec beau-« coup de peine et en partie. » Ic
e, facilement reconnais-sable pour un fragment de poumon complètement séparé du reste de l'organe et infiltré de pus : on y re
un épi phénomène uniquement dû à la rapidité avec laquelle le mort se séparait du vif; en un mot, une hémorrhagie par rupture. M
x autres tumeurs, l'une inférieure T'A', l'autre supérieure T"A", que séparait un étranglement circulaire. Le poumon gauche, pro
e TA', T"A", lui était tellement uni qu'il m'a été impossible de l'en séparer sans déchirure. Déjà les couches superficielles d
térieure était comme creusée de plusieurs cavités ou grandes cellules séparées par des espèces de crêtes, cavités et crêtes, qui
étaient revêtues par une pellicule mince ou fausse membrane, laquelle séparait l'os du sang en circulation. Les cartilages de la
r un phénomène de capillarité à travers les couches réticulées qui le séparent de ces parois. La régularité des concrétions n'es
cier la structure, S la surface, C la coupe. On voit des granulations séparées par des espaces variables. Dans ces espaces, le f
es « vertèbres dorsales jusqu'au bas du sacrum, les membranes étaient séparées très-distinctement, de sorte « qu'on pouvait voir
sances, de végétations à base large VE, VF, formant de petites masses séparées les unes des autres; celle du duodénum VE", situé
ge dans une pseudo-membrane récente qu'il était extrêmement facile de séparer . Du reste, une multitude de lambeaux pseudomembra
phalangienne ankylosée du gros orteil ; les deux phalanges ayant été séparées avec effort, j'ai vu que les cartilages articulai
ition de cet acide, il devait se former du prussiate de soude. ) J'ai séparé la liqueur en deux portions ; j'ai versé dans la
ême légèrement recourbées, de manière à remplir tout l'intervalle qui sépare la huitième de la neuvième et la neuvième de la d
qu'en écartant les grandes lèvres, on voit deux orifices circulaires séparés l'un de l'autre par une crête antéro - postérieur
, la face antérieure et la face postérieure de l'utérus (fig. 4) sont séparés en deux parties parfaitement égales par une dépre
ui d'un utérus ordinaire, bien que les ovaires plus volumineux soient séparés en deux parties,tpar un rétrécissement circulaire
unique albuginée n'adhère nullement à ce corps fibreux, dont elle est séparée par une couche épaisse de liquide. A la partie su
résenta un très-grand nombre de tubercules TB, TB, TB, gris jaunâtre, séparés les uns des autres par une masse plus ou moins co
ée après ve livraison. i la naissance. M. Esquirol a cru devoir séparer complètement l'idiotie acquise de l'idiotie congé
et ne communiquaient pas non plus avec le ventricule iatéral dont les séparait une lame extrêmement ténue. Bien que les parois
âge. Les circonvolutions sont réduites à une lame extrêmement mince, séparées par la sérosité qui remplit les anfractuosités. L
a couche optique CO renversés, les tubercules quadrijumeaux droits TQ séparés des tubercules quadrijumeaux gauches. Les parois
ande quantité de tissu cellulaire séreux très-lâche, filamenteux, qui sépare l'arachnoïde de la pie-mère; là se trouve const
out en arrière. Les fibres les plus inférieures du corps calleux sont séparées et comme disséquées. Le cerveau ayant été renve
cérébrale ou formés aux dépens de la substance corticale. Mais ayant séparé avec précaution les méninges MG (fig. 5) de la su
ntion, il est facile de reconnaître dans l'épaisseur des cloisons qui séparent ces kystes, et plus souvent encore à la surface d
ces différens kystes, lesquels sont moulés les uns sur les autres et séparés par des cloisons plus ou moins épaisses, creusées
le long d'une plaque un peu considérable , et les intervalles qui les séparent parfaitement sains. Tantôt ces pustules sont rare
se se détachent à la manière d'un bourbillon, les plaques agminées se séparent à la manière d'une escarre; l'intestin peut être
qu'on abrégeât ses souffrances par la section des pédicules à moitié séparés par l'ulcération. Enfin ces productions se détach
isposition lamelleuse. Cette même figure 2' montre l'intervalle qui sépare l'ongle de la face dorsale de la phalange onguéal
pleines de pus concret qui formait de petits cordons blancs jaunâtres séparés par des caillots. Quelques-unes de ces veines pur
e, contenue dans la cavité de l'arachnoïde, occupait l'intervalle qui sépare l'extrémité antérieure du cerveau de la région fr
me était à peu près la moitié du volume de l'hémisphère gauche, était séparé des parois du crâne par un espace rempli de séros
devenait blanchâtre, puis présentait des bosselures ou renflemens que séparaient des rétrécissemens circulaires : les vésicules sé
rapèze qui s'articule avec le premier métacarpien (Ier M), et qui est séparé du radius par un petit os, vestige du scaphoïde.
aure, l'un de ses membres, ixe livraison. 2 La fig. 3 représente, séparés , le carpe et l'avant-bras. Les extrémités inférie
eur vers l'extérieur. Il y a d'abord simple écartement des fibres que sépare un mucus gélatineux, et par conséquent les parois
l'ai vue présenter sept à huit lignes d'épaisseur. On peut encore la séparer aisément des tuniques dégénérées ; plus tard, ell
traversent la tumeur et envoient des prolongemens secondaires qui la séparent en masses moins considérables ; ces masses elles-
ble dans cette observation, c'est le long intervalle de bien-être qui sépare les deux hématémèses. L'ulcère de l'estomac remon
ses plus ou moins ingénieuses ont été créées pour remplir le vide qui sépare ces deux ordres de phénomènes ; et là où il falla
i nous occupe ici, la phlébite, a rempli le vide immense qui semblait séparer la plaie qui suppure des abcès viscéraux. Or, une
ant à cet effet le bord interne du muscle couturier, j'éprouvai, pour séparer ce muscle d'avec le grand adducteur, une très-gra
e mince et rougeâtre tapissait le vaisseau, dont elle ne pouvait être séparée qu'avec effort et par fragmens ; cette pellicule
r qu'après l'accouchement, les corps fibreux, qui ne sont quelquefois séparés de la surface interne de l'utérus que par une cou
utre qui s'opère sans l'intermédiaire delà suppuration; la couche qui sépare la tumeur delà cavité utérine est usée, déchirée
u de tanche dans le vagin est facile à apprécier par l'intervalle qui sépare le pourtour de l'orifice utérin du cul-de-sac vag
eux ou autre développé dans l'épaisseur de l'utérus dont il peut être séparé par énucléation. L'identité entre le tissu de l'u
ion du foie est indépendante des granulations voisines, dont elle est séparée par une enveloppe fibreuse, en sorte qu'elle a en
r sur lui et y adhérer si intimement qu'on a beaucoup de peine à l'en séparer . On conçoit que cette adhérence est purement méca
moyen calibre, n° 6, parcourait assez librement l'intervalle qui les séparait . L'orifice duodenal du canal cholédoque était d'a
un million peut-être de tubercules blanchâtres, d'inégal volume, que séparait un tissu parfaitement sain ; chacun de ces tuberc
are de voir une portion plus ou moins considérable du canal biliaire, séparée rar un rétrécissement ou par une oblitération com
ment envahies, et qu'enfin toutes les couches de tissu cellulaire qui séparent les diverses tuniques auraient subi la même altér
ion se serait propagée le long des prolongemens celluloso-fibreux qui séparent les faisceaux musculaires, lesquels auraient été
Estomac ample et situé plus bas que de coutume ; le pancréas n'était séparé des parois abdominales que par l'épiploon gastro-
dirigeait-on en sens inverse, aussitôt se manifestaient des nodosités séparées par des enfoncemens circulaires qui répondaient a
ans la cavité du péritoine; dans le bassin, au fond du cul-de-sac qui sépare Putérus du rectum, il y avait un peu de pus bien
esse, contenaient plusieurs tumeurs fibreuses d'inégal volume, qui se séparaient par une véritable énucléation. La tumeur fibreu
même utérus ouvert par sa face antérieure. Une cloison verticale C C sépare la cavité utérine en deux poches parfaitement dis
l'une sous le péritoine T*F', l'autre sous le péritoine dont elle est séparée par une couche mince du tissu de l'utérus, T'F" ;
icile ; cependant, on saisissait aisément la ligne de démarcation qui séparait le tissu utérin du tissu de la tumeur. La sourc
us le sang que dans les gros vaisseaux. Dire quelle est la limite qui sépare les cas où la maladie est purement locale et se c
e autre fois, le péricrâne des deux pariétaux et de l'occipital était séparé des os par une couche épaisse de sang coagulé. Ce
i donné mes soins à un enfant dont la portion large de l'occipital se sépara en trois fragments qui furent successivement élim
ux gros grains glanduleux du foie cyrrhose. Les granulations, G G, se séparent les unes des autres avec la plus grande facilité;
duration est d'un blanc grisâtre. Les lobules peuvent être facilement séparés les uns des autres ; quelques points superficiels
ng du bord interne du muscle pectine, dans la ligne celluleuse qui la sépare du bord externe de l'adducteur superficiel. i°
e, comme tuberculeuse ou granuleuse,blanche, très cohérente, facile à séparer de la couche superficielle , mais assez intimemen
ficielle , mais assez intimement unie à la séreuse du cœur. Lorsqu'on sépare cette couche granuleuse de la membrane séreuse, o
Le grand fait de la phlébite a rempli le vide immense qui semblait séparer une solution de continuité souvent légère des abc
étaient situées entre la peau et une lame fibreuse très mince qui les séparait de la gaine des muscles droits. Cette lame était
Des prolongements fibreux et indurés de la peau au fascia superficiel séparaient les circonvolutions vasculaires. Du reste, ces
vastes poches sphéroïdales et oblongues. Une sorte d'étranglement les séparait des premières. Considérations sur les dilatatio
u reste , ces veines occupent le tissu cellulaire sous-cutané et sont séparées du muscle droit par les couches les plus profonde
rophie est très circonscrite, le liquide remplissant l'intervalle qui sépare deux circonvolutions flétries et déprimées, soulè
n avant. Mais, comme il est positif qu'aucune ligne de démarcation ne sépare cette portion moyenne des parties latérales, la d
ane. Le tissu de la glande se déchirait avec facilité et pouvait se séparer en sphéroïdes irréguliers dont les plus gros avai
illeurs de la manière la plus évidente une préparation qui consiste à séparer , après la section de la couche des fibres commune
P V formé par la plèvre. Ces deux feuillets accolés étaient faciles à séparer . Les branches nerveuses N, n, n, n, représentées
attachés des lambeaux de matière encéphaloïde : les cloisons qui les séparent sont extrêmement denses, presque cartilagineuses.
point subi d'altération dans son tissu , et dont il est facile de les séparer par énucléation. La couleur de ces tubercules, co
reste des parois, 1° elle est convexe et forme deux tumeurs TC, TC , séparées l'une de l'autre par un sillon vertical; 2° elle
grossesse présumée survinrent des douleurs, mais légères, courtes et séparées par de longs intervalles. Mùhlbeek appelé, ne tro
re 2e T O, située à droite et un peu au-dessous du niveau de la lre : séparées à l'aide d'une bride fibreuse verticales ces tume
pli par le sang. (1) (1) D'après mes observations, l'intervalle qui sépare le péricarde de la surface du cœur mesure exactem
pièce. Dans d'autres cas, les deux moitiés d'une circonvolution sont séparées l'une de l'autre par une cellulosité jaunâtre.
ubstance blanche des circonvolutions détruites était à nu, et n'était séparée de la pie-mère que par cette toile celluleuse. La
bite des sinus et des veines cérébrales, lésions que semblait d'abord séparer un intervalle considérable. Sous le point de vu
15 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
tits trous régulièrement placés à des intervalles à peu près égaux et séparés les uns des autres par de légers sillons, formant
seront complétées dans la première séance. Toutefois, avant de nous séparer , je voudrais vous montrer comment les notions déj
deux surfaces planes, regardant l'une en haut, la seconde en bas, et séparées par une arrête. Cette description, un peu aride
n est de même à peu près chez l'homme, une seule cellule, en général, sépare les capillaires. Fig. 3. — Schéma d'après Hering.
présenteront alors sous la forme de rangée de rectan-gles allongés, séparés de chaque côté par le calibre du vaisseau ; ces c
ires inter-lobulaires qu'on voit dans les espaces et les fissures qui séparent les lobules. Ici encore, l'épithélium offre la fo
cette paroi devrait être considérée comme formée de cellules plates, séparées par un ciment que colore l'argent. La paroi propr
t immédiat avec la paroi des vaisseaux capillaires, mais ceux-ci sont séparés de la cavité d'excrétion, ou autrement dit du cap
ew (1) et K'ôlliker, admettent l'existence d'une fente ou chambre qui sépare la paroi de la travée de cellules (1) Centralbl
nvironnés d'un fin réseau bleu et que, en même temps, les espaces qui séparent les vaisseaux capillaires des cellules, sont remp
paroi des canaux veineux sub-lobulaires. Le vaisseau est constamment séparé du lobule par une épaisseur plus ou moins grande
rment suivant le mode dichotomique ; b) les branches vaginales qui se séparent à angle droit des branches prin-cipales, même les
ns du foie sur la formation defu-rée. L'autre jour, au moment de nous séparer , je vous citais des exemples de destruction parti
e nom les fièvres composées d'accès, à retour plus ou moins régulier, séparés par des intervalles apyrétiques, lorsqu'elles ne
outre que, comme dans la fièvre intermittente simple, les accès sont séparés par des intervalles apyrétiques, ils sont marqués
ais vous faire reconnaître main-tenant qu'une différence radicale les sépare sur un point. Je vous rappellerai en premier li
inq ou six jours; on a compté une trentaine de ces accès. Ils étaient séparés par des intervalles où la température ne s'est ja
omposée tantôt de cholestérine, disposée en couches minces paraissant séparées , sur une coupe du calcul, par des stries de pigme
ossible que, dans l'écorce, on voie des couches de carbonate de chaux séparées par des dépôts de pigment. La plupart des varié
é de la vésicule, par suite de l'obli-tération du canal cystique, est séparée du reste des voies bi-liaires. Le calcul étudié p
ur effet, — et c'est là une remarque qui appartient à M. 0. Wyss — de séparer en quelque sorte la partie sécrétante du foie de
elle les accès ont cédé la place. Je vous ai proposé, Messieurs, de séparer la fièvre hépati-que, dont je viens de vous entre
nnaires qui, par leurs propriétés morphologiques, ne peuvent pas être séparés des leucocytes et sont probable-ment d'ailleurs,
d'un grain de chènevis, d'une graine de pavot. Ces granulations sont séparées par des trabécules de tissu fibroïde blanchâtre q
'on observe sur les coupes convenablement préparées. Les lobules sont séparés les uns des autres par des travées conjonctives p
n du canal cholédo-que ; le caractère tiré de la durée de l'affection séparerait aussi la tumeur liée à la cirrhose hypertrophique
épatite interstitielle avec hypermégalie, sans songer d'ailleurs à la séparer de la (1) Dernier cours d'anatomie pathologique
a forme de petites masses sphériques, ovoïdes, d'inégales dimensions, séparées les unes des autres par des sillons plus ou moins
ensions d'une petite noisette (hobnailed), d'une petite noix, et sont séparées les unes des autres par des sillons de plus en pl
stitué par une lame conjonctive relativement épaisse. Les travées qui séparent les granulations secondaires sont d'une (1) Atl
sseur ; enfin, toujours d'après Carswell, les lobules hépatiques sont séparés les uns des autres par des tra-vées très minces,
ds anneaux, dits de premier ordre, en-globent des groupes de lobules, séparés les uns des autres par des tractus ou anneaux de
inter-lobulaires, puisque, ainsi que nous l'avons vu, les espaces qui séparent les lobules ne sont pas le premier siège du mal C
s lobules, les cellules du foie et simultanément les capil-laires qui séparent les rangées cellulaires tendent à disparaître.
ne s'étendent pas par en haut jusqu'à la capsule rénale ; ils en sont séparés par une zone étroite qui n'est qu'un prolonge-men
nts sécréteurs et excré-teurs dans la substance corticale ne seraient séparés les uns des autres que par des vaisseaux capillai
onnexité, que la description de ceux-ci et de ceux-là ne saurait être séparée et doit être faite parallèlement. A. Les lympha
eux, soit avec les vaisseaux sanguins ; ces parties sont constamment séparées par des fentes, où il existe toujours une certain
nalogues à celles décrites par Schweigger-Seidel dans les espaces qui séparent les canalicules urinifères. Le glomérule tout ent
modifications par von Wittich, les glomérules serviraient seulement à séparer l'eau, et la sécrétion des principes spécifiques
nguent ces espèces dont je vous présenterai plus tard une description séparée . Toutes les espèces cpie je vais envisager ont
ait de la distension des bas-sinets doivent en être nosographiquement séparées . C. La troisième forme a été, dans tous les écr
ngleterre. Todd, Wilks, Quain et G. Johnson ont été les premiers à se séparer fran-chement de l'opinion courante ; le dernier s
). En Allemagne, M. Traube s'est efforcé, depuis longtemps déjà, de séparer anatomiquement et cliniquement de Ja néphrite par
l'heure, par des tubes très étroits quelquefois dilatés ça et là, et séparés les uns des autres par du tissu conjonctif embryo
existe aucune divergence parmi la grande majorité des auteurs qui ont séparé les deux formes de la maladie de Bright. Seul, M.
in granuleux; jamais on n'y voit de dépressions autres que celles qui séparent les grands lobes naturels ; et même la structure
l'une par le petit rein granuleux, l'autre par le gros rein blanc se séparent autant par le côté clinique que sous le rapport a
lules rondes. Celles-ci étaient répandues autour des tubules qu'elles séparaient , mais sans que l'épithélmm fut notablement altéré
. Cette eau provient incontestablement du plasma du sang dont elle se sépare , as-sure-t-on, par un simple phénomène de filtrat
sont en quelque sorte à nu dans la cavité capsulaire dont ils ne sont séparés que par une min-ce lamelle épithéliale — excellen
oujours appliquée contre la houpe vasculaire du glomérule, en est ici séparée par une masse amorphe, transparente, granuleuse,
16 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
orme, en arrière et en haut, la seconde circonvolution. Le sillon qui sépare la seconde et la troisième circonvolution, n'est
la troisième circonvolution, n'est jamais interrompu , mais celui qui sépare la troisième de la quatrième, l'est ordinairement
s'en rapprocher aussitôt et former par sa jonction avec le sillon qui sépare les lobes cérébraux, un enfoncement crucial très
circonvolution postérieure et à la circonvolution interne, elles sont séparées dans toute leur étendue. La continuité du sillon
e et en 'bas, jusqu'au lobe d'hippocampe. Un sillon non interrompu la sépare des circonvolutions qui lui sont superposées; nul
circonvolutions postérieures. si. si. Sillon antéro-postérieur qui sépare chaque lobe cérébral en deux moitiés; ce sillon s
me et quatrième circonvolutions postérieures. Ces deux dernières sont séparées par un sillon longitudinal, parallèle au précéden
ement avec les circonvolutions antérieures. A. A. Un sillon complet sépare ces circonvolutions l'une de l'autre, comme chez
Leur partie antérieure. si, si, si. Trois sillons complets qui les séparent . t. q. a., et t. q. p. Les tubercules quadrijum
Fig. 2. Face interne du lobe droit du cerveau. si, si. Sillon qui sépare la circonvolution interne de la circonvolution
indiquée en S. S. la scissure de Sylvius, et en S. R. la scissure qui sépare l'une de l'autre les deux circonvolutions supérie
et se dirige vers la première circonvolution antérieure dont elle est séparée par la partie la plus basse des circonvolutions s
llon de Rolando. S S S et S' S' S' S'. Circonvolutions supérieures* séparées Tune de l'autre par la scissure de Rolando. Celle
onvolution interne se fait en arrière. S. R. Sillon de Rolando, qui sépare les deux circonvolutions supérieures. -h Point
) S. R. Sillon de Rolando. SS.,S'S'. Circonvolutions supérieures, séparées l'une de l'autre par le sillon de Rolando. (Ell
à. Faisceaux postérieurs dans la région du renfle- ment lombaire séparés l'un de l'autre par deux petit cordons médians po
r. Extrémité antérieure des cornes frontales des ventricules latéraux séparées Lune de l'autre par le septum lucidura, formé de
es sont l'origine des fibres arciformes. e. Pyramides pédonculaires séparées l'une de l'au- tre au point de leur entre-crois
tent vers l'extrémité occipitale de l'hémisphère. 6. Intervalle qui sépare les fibres indiquées en a de celles désignées en
J. Lemaire: cerveau vu en arrière. C. C. Lobes latéraux du cervelet séparés par une dépression médiane et semblable à une lèv
e ventricule, déjà fort rétrécie. C. Parties latérales du cervelet, séparées par un sillon médian où ne se voit, encore aucu
voit, encore aucune trace de vermis. L, 0. Lobes optiques nettement séparés en deux masses latérales par un sillon médian.
17 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
amen complet était possi- ble. Or, si ce projet avait l'avantage de séparer les enfants des adultes, de concentrer une part
, 87). Le fond de cette cour est occupé aujourd'hui par un jardin séparé de la cour par un treillage : c'est dans la porti
d'une part aux ateliers, de l'autre au gymnase, ce qui permettra de séparer les enfants de la première caté- gorie en deux
ions : la première (1) L'expérience montrera s'il est nécessaire de séparer par des cloisons à mi-hauteur chacun de ces réf
s valides, gâteux ou non. La première division comprendra 4 classes séparées par des cloisons mobiles qui permettront le cla
20 lits. Les lits, rangés à gauche et à droite de la salle, seront séparés par autant de fenêtres ; les trumeaux correspon
ESCRIPTION DU NOUVEAU PROJET. cabinets d'aisances, avec deux sièges séparés et une chambre de débarras (1). (Plan, 101, 101
be d'air par chaque lit devra être de 50 à GO m. c. Chaque lit sera séparé du voisin par une fenêtre. A chaque extrémité :
accès, huit mois. 11 avait des étourdissements fréquents, au plus séparés par un jour d'intervalle. Dans un accès, il a eu
ement distincte avec un sillon assez profond, mais la seconde n'est séparée de la troisième qu'en avant. La première tempor
foyer ancien d'encéphalite très étendu, ayant presque entière- ment séparé l'hémisphère en deux portions. Lef... (Gustave)
remonte sur la face interne et sur la face convexe et semble avoir séparé complètement le lobe occipital du reste de l'hémi
ur toute sa hauteur; l'antérieur est moins marqué. Le sillon qui le sépare en avant de la première frontale n'atteint pas to
leux. Le lobe quadrilatère est bien développé, très sinueux; il est séparé du coin par lascifs- sure pariélo-oecipilale tr
de la scissure de Sylvius est très prononcé, très profond et n'est séparé que d'un demi-centimètre de la scissure frontal
premières maladies, tous établissent nettement les différences qui séparent la roséole de la rougeole, avec laquelle elle par
ôle, a mon avis incontestable. Un fait capital peut servir encore à séparer la roséole delà rougeole, comme il sépare la vari
tal peut servir encore à séparer la roséole delà rougeole, comme il sépare la varicelle de la variole : c'est qu'une attei
lui, elle ne serait pas suivie de desqua- mation. Il s'appuie, pour séparer la rubéole de la rougeole, sur l'absence de com
de vue, mais non identique, à la rougeole ou la scarlatine Elle se sépare de la précédente par une période d'incu- bation
est-à-dire en cal- culant l'espace de temps, le nombre de jours qui sépare le début de l'exanthème de la personne infectan
LO, de plus il reçoit un pli de PC. - Un sil- lon large et profond sépare ? 'de LO. - P2 très plissée, assez volumineuse,
ifurquées. Face interne. F', volumineuse, est composée de parties séparées par des sillons transversaux. Dans sa portion ho-
trié et de la couche optique. Il a touché la tête du corps strié et séparé le chiasma. La circon- volution du corps calleu
d'Amanoz, CA, ne présente rien de particulier. T* est net- tement séparée de CH mais confondue en arrière avec '1". - Le
e. FI est bien développée. LP assez volumi- neux est incomplètement séparé deF 1. SRqui est sinueux et profond ne forme pa
c CH par un large prolongement. - CH est lisse. T ' en- tièrement séparée de CH envoie à T 3 trois prolongements. Cceur.
e Le milieu de la courbure du fer à cheval repose sur le disque qui sépare la quatrième vertèbre lombaire de la cinquième.
nt de son bord inférieur et allant s'ouvrir à la scissure parallèle sépare le lobe occipital du lobe temporal. CIRCONVOLUT
flée ; elle s'attache par deux insertions au fond du sillon, qui la sépare de la frontale ascendante en formant une sorte
en 142 IDIOTIE CONGÉNITALE. bas et en retrait. - Les sillons qui séparent les circonvo- lutions frontales sont profonds.-
de la scissure parallèle partent en rayonnant quatre sillons qui séparent le pli courbe et le rendent ainsi irrégulier; ent
ondues et formées de plis transversaux; un sillon assez profond les sépare du lobule lingual. - La scissure parallèle est
olonge jusqu'au voi- sinage de l'extrémité de l'hémisphère et n'est séparée de la scissure perpendiculaire que par un pli é
en arrière et en haut. Le lobe carré est composé de plis grêles, séparés par des sillons profonds.- Le coin, assez peu d
18 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
breux types sont t venus s'ajouter au tableau primordial, réunis ou séparés , suivant les au- teurs, du type primitif, et je
aires ; à côté d'elle, mais il existe- rait, sur le même plan, mais séparée nettement par des différences essen- 16 Ô RAYMO
du sacrum à la 126 côte, au niveau de laquelle les deux muscles se séparent . Le sacro-lombaire, le plus externe des deux, s
e plus externe des deux, se porte de bas en haut, par des faisceaux séparés , sur toutes les côtes, au niveau de leur angle.
lombaire, ils n'en sont pas moins distincts et forment deux reliefs séparés chez cer- tains sujets. Superficiels dans leur
côté de la ligne mé- diane du rachis. Parfois les deux muscles sont séparés par un sillon vertical très appréciable sur le
d latéralement dans la région du flanc ; les autres, moins marqués, séparés par des bourrelets, sont situés au-dessus de lu
uie sur l'avant-bras de la Vierge, le gros orteil en extension très séparé des autres, la Sainta Familla dell'impanata, de R
surtout, suivant les familles. Mais, ce qui pour les dualistes peut séparer encore plus ces malades du type Friedreich, c'e
Le type Werdnig-Hoffmann est venu combler le fossé qui semblait les séparer et les modalités cliniques différentes se trouven
onsistance dure à surface noueuse, recou- verte de grosses veines ; séparé partout de la substance cérébrale par un épais
rossissement, n'est plus diffuse ; elle se compose de traits rouges séparés par des blancs, qui ne sont pas autre chose que
tunique moyenne est généralement épaissie. Dans les amas, ils sont séparés les uns des autres par une double rangée plus ou
es feuilles de papier.Nerf optique et carotide dilatée sont à peine séparés . Sur la gouttière basilaire, les deux artères spi
pathologique. Les au-teurs alle- mands s'opposent à ces idées ; ils séparent très nettement les deux formes et nient qu'elle
son bord antérieur. On commence par apprendre d'abord des bâtons séparés , /, /, /, /, /, /, /, /, /, /, après chaque bât
sur ma quatrième observation. Nous allons voir que les auteurs qui séparent l'urticaire de l'oedème de Quinke affirment que
), congestion oedémateuse paraurtica- rienne ». L'école allemande a séparé nettement les deux formes et elle a si bien réu
quoi Cassirer, qui a si bien étudié ces formes, veut absolument les séparer en se basant seuiement sur le caractère de la d
ment sur le caractère de la durée. Cet auteur ne veut pas seulement séparer les observations de la dernière variété établie p
e trophoedème s'arrête à une ligne de démarcation supérieure qui le sépare d'une région parfaitement saine. Il suffit d'aill
sont rapprochés, les extrémités internes des plateaux du tibia sont séparées par une distance de 18 cm. Les fémurs et les tibi
et en retrait sous lui, le front arrondi. Les bosses frontales sont séparées par un sillon ; les bosses pariétales et la sai
, vertical, large et profond surtout vers la racine des cheveux, le sépare en deux bosses frontales arrondies. Ce sillon e
de 77.64. Le front est olympien,les bosses frontales saillantes et séparées par un large sillon, les bosses pariétales très
rçoit un fragment osseux au-dessus du bord supérieur de l'omoplate, séparé du sternum par un espace libre correspondant pr
vidualisées sur- plombant la face qui est légèrement en retrait, et séparées par un sillon qui commence à 3 centimètres de l
rie sont les suivants : Le front est saillant, les bosses frontales séparées ,par un sillon plus ou moins profond, les bosse
HOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 355 et se trouve séparée de la peau dorsale, sur laquelle elle repose par
sont fort peu étalés ; les bords internes de l'écaille sont à peine séparés par un espace de quelques millimètres. Quoi qu'
ppui (2) (fig. 3). Le coronal existe, il est formé de deux portions séparées par la suture métopique ; chaque portion est une
HALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 363' vexité. Ses deux moitiés, nettement séparées par la suture métopique, sont deux lames planes
hors en dedans sur la base du crâne. La moitié droite est nettement séparée de la moitié gauche. Chaque moi- tié forme un t
- tir du sommet et, au niveau des masses latérales, ils se trouvent séparés par une distance de quelques centimètres. L'ouv
cellules, fort diminuées de nom- bre, notablement endommagées, sont séparées les unes des autres par un stroma conjonctif ab
dans tou- tes ses dimensions. Tout se passe comme si cette moelle, séparée de ses rela- PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE E
ant ainsi en deux l'épendyme. On a ainsi deux demi-canaux nettement séparés l'un de l'autre. Or, chez l'un de mes sujets, o
rale, le premier fait frappant, c'est la différence essentielle qui sépare le tissu examiné du tissu cérébral. Il n'existe
culaire se retrouve sur toute la périphérie de la tumeur ; elle est séparée de. la peau par une membrane conjonctive, assez é
céphale. Cette néo- formation présente deux régions assez nettement séparées : l'une superficielle où les vaisseaux sont pet
s qui en émanent. Pendant que se désagré- geait le tissu médullaire séparé de son centre trophique, l'inflammation s'est l
8 heures, après lavage à l'eau courante. Cerveau. - Les hémisphères séparés sont baignés dans le fixateur. Après 3-4 heures
sin, et le sommet de cet angle, marqué par un gros plis cutané, est séparé du bras pendant le long du corps, par un espace
d'en faire souffrir l'intérêt scientifique ». Quarante années nous séparent de cette époque et nous pouvons maintenant leve
. Chaussier au commencement du siècle dernier, puis Duménil avaient séparé du rachitisme des foetus à membres courts, épai
agissait de classer provisoirement un petit nombre de faits et de les séparer du rachitisme et de la syphilis, elle devient a
tres au niveau de la lre pha- lange, les doigts s'amincissent et se séparent vers leur extrémité, réalisant ainsi la main en
formées, s'évasant en cupule à leurs extrémités. Les diaphyses sont séparées des os voisins par un espace clair trop large i
rande partie de l'os, ne sont indi- quées que par l'espace vide qui sépare les extrémités osseuses. Déformation sigmoïde s
z un sujet de Il ans, note que l'épiphyse est encore très largement séparée de la diaphyse et que l'ossification n'est pas no
t. Longtemps encore les diaphyses élargies, comme écrasées, restent séparées des épiphyses par une ligne transparente. Chez
t régulières comme chez l'enfant sain, elles présentent des arrêtes séparées par des dépressions accusées et des surfaces d'
al de deux ans ses portions antérieures et postérieures sont encore séparées par du cartilage. Il y a sou- dure des condyles
eté. Il y a exagération des tubérosités et des saillies musculaires séparées par de larges et profondes gouttières. Ces sail
allongés dans le sens vertical, rapprochés les uns des autres, mais séparés par une quantité notable de substance interstitie
actement parallèles les unes aux autres, sont très rapprochées mois séparées , cependant, par de minces colonnettes de substa
cette ligne d'ossification. A ce niveau les cloisons hyalines, qui séparaient les colonnes dénudées par la libération des cellu
e se continuer insensiblement avec la zone de prolifération, en est séparé par pne bande transversale qui, partant du pé-
très nette. Les colonnes cellulaires, régulièrement disposées, sont séparées par une substance interstitielle hyaline plus '
ste qui donne naissance à des lames osseuses. Celles-ci sont encore séparées par des espaces assez larges qui diminuent dans
nt sur la face postérieure. -Ossification du crâne incom- plète, os séparés par des lacunes nombreuses semées de petites plaq
t pas de synos- tose prématurée ; le sphénoïde et le basilaire sont séparés par une charnière cartilagineuse. Les os de l
tes faisant paraître d'autant plus mince la portion de l'os qui les sépare . Quoique d'un aspect massif, ces os sont flexib
de multiplication les cellules sont parfois un peu plus espacées et séparées par une substance interstitielle dont l'homogénéi
plases. Marie, Apert ont bien montré les différences essentielles qui séparent ' ces deux types. Le myxoedémateux avec ses lèv
la base se forment plus tard que normalement; les os condyliens sont séparés du basilaire et de l'écaille occipitale, la' su
qu'elle a été différenciée avec le temps par les auteurs qui l'ont séparée des autres formes de nanisme et lui ont donné une
EMBRES 565 Les os du carpe de la main gauche ne sont pas aussi bien séparés l'un de l'autre comme dans la main droite. Mé
est uni aux deux orteils surnu- méraires. Il n'y a pas un scaphoïde séparé : ce dernier semble soudé à l'astra- gale qui a
eut pas imaginer comment des doigts ainsi superposés auraient pu se séparer l'un de l'autre. Pourquoi donc l'anomalie de la
or- maux. Les deux hémisphères, durcis dans le liquide de Müller et séparés du rhombencéphale par une coupe portée au nivea
le liquide de Millier, 101 grammes. L'hémisphère gauche du cervelet séparé par une coupe passant par le sillon latéral pès
art sur l'occipital, tendent constamment à diminuer la distance qui sépare leurs points d'insertion. Lorsque la squelette es
des aspects différents : tantôt les os de droite sont complètement séparés de ceux de gauche, les frontaux exceptés, xvni
l'occipital qui, chez ces individus sans hémicrânie, est constamment séparé en deux moitiés symétriques. Le mécanisme est v
la étant, la calotte crânienne ne cédant pas à la traction qui tend à séparer sa moitié droite de sa moitié gauche ne peut qu
sur et à mesure que l'ossification se poursuit. L'occipital seul se sépare en deux parties qui s'étalent en dehors; elles
ées. Sous cette action, les arcs neuraux cartilagineux de droite se séparent des arcs de gauche ; les uns et les autres, céd
s et appa- raissent creusées de cavités plus ou moins volumineuses, séparées les unes des autres par des travées osseuses. I
du tibia est de 27 centimètres, celle du péroné de 24. L'espace qui sépare normalement ces deux os s'est considérablement él
s travées osseuses deviennent plus épaisses et les mailles, qui les séparent , plus larges. En certains points existent même
d'un enduit purulent (fig. 5) de quelques millimètres d'épaisseur. Séparés de ce pus par une couche de tissu très infiltré
. Dans tout le pourtour des ventricules les fibres ner- veuses sont séparées par de petites vacuoles, rondes lorsque la coupe
au. Les deux angles inférieurs s'écartent, et la dis- tance qui les sépare est de 27 centimètres. L'ensemble des mouvements
tout au moins, sont capables de traverser le mince endothélium qui sépare le sang de la mère de celui du foetus. D'autre
rela- tivement au moment de l'invasion. Il est donc sans intérêt de séparer des formes qui ne correspondent à rien de réel
tion conjonctivo-vasculaire. Par là encore, la pseu- dencéphalie se sépare d'une production tératologique avec laquelle elle
19 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
rayons cathodiques et de la nature de l'ampoule,de la distance qui sépare le modèle de l'ampoule et de l'épaisseur de celui
droite. Une tresse de ruban passée en bandouillère sur la poitrine sépare les deux seins, petits, mais fermes et proémine
s, s'en distingue ce- pendant par l'existence, dans la zone qui les sépare , d'une infiltration luxuriante de cellules rond
en deux catégories utiles, pour les be- soins de la description, à séparer l'une de l'autre. La première comprend les enfa
ion dans le faisceau latéral gauche, immédiatement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure. Cett
ec une cavité phalangienne peu profonde, elle présente deux cavités séparées par une crête mousse et la phalange figure une tr
s, venir re- joindre le corps du défunt, pour n'en plus jamais être séparée . C'est afin de faciliter à l'âme la recherche d
l'oedème, ni le purpura n'ont reparu. Les accidents comitiaux sont séparés par des intervalles de plusieurs mois. Ons. V
rieure, les circonvolutions occipito-temporales et lin- guales sont séparées aussi distinctement des circonvolutions temporale
e le temps permet de le constater, atrophiques et qu'il y a lieu de séparer cette atrophie avec paralysie de la période de
coloration du faisceau latéral gauche, immédiatement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure. Ce
é, le contenu de la fibre est devenu uniforme, il est impossible de séparer le cylin- dre-axe des parties engainantes. La
oformées que nous étudierons plus loin, il est impossible de les en séparer . Pendant que le filum terminale ne présente qu'
le envoie entre les divers faisceaux, notamment le prolongement qui sépare le groupe de la racine antérieure et celui de l
recouvert par le grand ligament postérieur, mais elle est toujours séparée il moins d'épaississement pathologique de la pa
- arachnoïdien, les racines sont absolument libres, chaque faisceau séparé des autres par un espace vide et les travées dé
eau séparé des autres par un espace vide et les travées déliées qui séparent les fasci- cules entre eux ne montrent ni cellu
de la moelle, dans le sillon antérieur un prolongement plus épais, séparé du tissu nerveux et dans lequel courent des vai
faiblement par sa face interne à la moelle qui plus rétractée s'en sépare généralement régulièrement tout autour. Sur sa
nètrent. On peut voir comme dans la figure X les tractus déliés qui séparent les fascicules infiltrés par les cellules ronde
aru conserver leurs caractères nor- maux, elles forment des travées séparées par les faisceaux des racines pos- térieures qu
let méningé des cordons médullai- res voisins; tantôt au contraire, séparée d'elle par un exsudai depuis long- temps déjà s
es dans la pie-mère, dans la moelle, mais surtout dans l'espace qui sépare la dure-mère de l'arachnoïde, cavité arachnoïdien
lequel les vaisseaux sont difficiles à distinguer. Elle est nettement séparée de la moelle, mais en certains points il existe
de sang refoulent les tubes nerveux, et dans les minces travées qui séparent les fais- ceaux, de nombreuses cellules embryon
re aux vertèbres en avant et en ar- rière, latéralement elle en est séparée par un tissu extraordinairement vascu- laire où
gion dorsale moyenne, à la face postérieure de la moelle, nettement séparée d'elle cependant, une tumeur 310 NOUVELLE ICONO
e de la périphérie du canal rachidien, partout ailleurs elle en est séparée par du tissu conjonctif assez dense, très vascula
arseméedenombreux noyaux, elle n'adhère pas à la moelle mais en est séparée surtout eu arrière par un ex- sudat grenu sans
s. La dure-mère épaisse, fibreuse, sans infiltration nucléaire, est séparée des pa- rois osseuses par un tissu fibreux serr
épendant de la dure-mère au-dessous de laquelle il est situé, on le sépare au contraire plus difficilement de la pie-mère
ur l'épaule. Malgré leur petit nombre, ces figurations doivent être séparées de celles où l'intervention chirurgicale a lieu
érée de l'axe médullaire, sur le reste de la circonférence elle est séparée de la moelle par un exsudat grenu assez abondan
tous les vaisseaux par le sang. Pie-mère mince, peu infiltrée, mais séparée de la moelle par un exsudat grenu assez épais,
xe ner- veux, blanche, un peu plus terne que le tissu médullaire et séparé de la dure-mère très épaisse dont elle a à peu
copi- quement plus haut est tout entière comprise dans l'espace qui sépare la pie- mère de la dure-mère, l'arachnoïde rest
s contours et la pie-mère au lieu d'adhérer au tissu nerveux en est séparée par un exsudat abondant légèrement teinté en rose
ssu conjonctif très serré et très infiltré de cellules à noyau l'en sépare . La tumeur est, nous-l'avons vu, considérable;
uelés, indiquant le ramollissement de cette partie. Si l'espace qui sépare la pie-mère de la dure-mère est tout entier envah
ut entier envahi par la tumeur qui refoule les deux méninges et les sépare l'une de l'autre, celles- ci conservent leur st
u moins altéré. La tumeur a disparu mais les racines restent encore séparées les unes des autres par un processus embryonnai
este dans l'intérieur des racines le long des septa conjonctifs qui séparent les fascicules. Les ganglions ont une coque trè
l'espace sous-arachnoïdien, mais aussi en dehors dans l'espace qui sépare l'arachnoïde de la dure-mère, cavité arachnoïdien
pie-mère ne s'écartent en arrière que pour laisser l'espace qui les sépare se remplir de cellules embryonnaires. Celles-ci
est ainsi absolument rempli. Mais l'arachnoïde résiste' et reste séparée de la dure-mère par un espace cir- culaire vide
re épaissie, infiltrée de cellules rondes adhère à la moelle ou est séparée d'elle par un exsudat granuleux. Elle est en co
orsale de l'ongle figure assez bien, mais très atténuées, deux vagues séparées l'une de l'autre par une légère dépression inte
erme sous-unguéal avec lequel elle fait corps. Un espace variable sépare sa face superficielle de la face profonde de la c
edans et tend à s'incarner. La face dorsale présente deux ondulations séparées par une dépression. D'une teinte grisâtre, sale
e d'orteil mal soigné, son bord libre, irrégulièrement dentelé, est séparé de la matrice par une couche grise et grenue. C
20 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
çon à recouvrir toute la largeur du noyau caudé et le sillon qui le sépare de la couche optique. Au fond du ven- tricule,
nt répartis comme il suit : a) Face convexe : deux îlots voisins, séparés par une anfractuosité, au niveau du crochet del
osités indurées; sur le lobule pariétal supérieur, îlot volumineux, séparé par une scissure nette du lobule pariétal infér
mère, mariée à quinze ans, mère à 16 « de caractère volage, » s'est séparée de son mari et a disparu. Ni frère, ni soeur ;
s ; il n'y a pas de plis de passage. Des sillons assez profonds les séparent nettement les unes des autres. Notons aussi le
, de sorte que la deuxième circonvolution frontale est complètement séparée de l'étage orbitaire. A droite, une disposition
irconvolution orbitaire, la bran- che antérieure de Sylvius qui les sépare ordinairement se trouvant ici, sur la face infé
t est complet comme ici. La deuxième circonvolution orbitaire est séparée de la troisième par le sillon orbitaire externe;
e. A droite, la partie inférieure de la fosse sylvienne est presque séparée de sa partie supérieure par le rapprochement du
sommet du cap ne reste pas aigu et l'origine des deux branches est séparée par une distance de quatre à cinq millimètres,
omose de la première et de la deuxième circonvolutions pariétales sépare le sillon pariétal en deux fragments : l'antérieu
vertical et parallèle à la scissure occipitale externe dont il est séparé par le premier pli de passage superficiel. «L
le sillon pariétal, de six à huit mois, est formé de deux parties séparées par un espace où les deux circonvolutions parié-
viron. La première circonvolution pariétale droite est complètement séparée du lobe occipital, le premier pli de passage ét
lui- même est profond et la deuxième temporale est complète- ment séparée du lobe occipital ; le troisième pli de passage
e en outre avec la quatrième oc- cipitale une petite anastomose qui sépare le deuxième sillon temporal du sillon occipital
che, la quatrième et la cinquième circonvolu- tions temporales sont séparées par un sillon linéaire qui, en avant, s'arrête
ite, la quatrième et la cinquième circon- volutions temporales sont séparées par un sillon très long qui, en avant, s'étend
emporal, et, en arrière,se bifurque en deux branches dont l'externe sépare la quatrième de la cinquième circon- volution o
se fusionne avec la quatrième dans la partie postérieure et en est séparée en avant par un sillon étendu jusqu'à la vallée
r- convolutions temporales sont complètement fusionnées en avant, séparées en arrière (Broca, loc. cit., p. 85). Chez Eder
deux dernières circonvolutions temporales sont presque complètement séparées en avant; cependant,le sil- lon ne s'étend pas
e, tan- dis que, chez les hommes inférieurs, les circonvolutions, séparées en avant, sont fusionnées en arrière. En somme,
eure, continue comme d'ordi- naire avec la scissure calcarine, mais séparée anormale- ment de la portion postérieure de la
iales à la 74 ATAXIE LOCOMOTRICE; ÉPILEPSIE. lames concentriques, séparées par de profondes incisions. D'après cet aspect,
u foie forme une cloison verticale de 10 centimètres de hauteur qui sépare la partie supérieure de la cavité abdominale en
ord droit de son corps. La face antérieure de l'aile du Stcmm n'est séparée de la partie postéro-externe du fond de la cavi
t l'a frappée de plusieurs coups de pieds au ventre. Celle-ci s'est séparée de lui (mai 1879) et n'en a pas reçu de nouvell
21 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
de vue, un certain nombre de circonscriptions plus ou moins nettement séparées . La pathologie, à son tour, était venue confirm
s d'avant en arrière et un peu de dehors en dedans ; ces tractus sont séparés des cordons de Goll, en dedans, et des cornes gri
a lésion scléreuse se retrouve tout aussi prononcée dans l'espace qui sépare les points d'insertion des racines postérieures q
maximum d'intensité, surtout durant la nuit ; 4° Les rémissions qui séparent les accès peuvent être par-faitement libres ; les
la neuro-rétinite. — Ses formes, ses symptômes. — Différences qui la séparent de l'amaurose tabétique. — Faits cliniques démont
lement par des tractus ligamenteux. Partout ailleurs la dure-mère est séparée des parois osseuses par une couche de tissu adipe
insi, par exemple, que M. Brown-Séquard, suivi en cela par M. Schiff, sépare physiologiquement, d'une façon très nette, ce qu'
ons réunir sous une même ru-brique, avaient été jusqu'ici tout à fait séparées , en noso-graphie, comme s'il s'agissait là d'affe
adipeuses s'amassent en dehors du sarcolemme dans les intervalles qui séparent les faisceaux primitifs !. Ce tissu adipeux inter
fer-ment des amas de noyaux. Ces faisceaux primitifs, atrophiés, sont séparés les uns des autres par un tissu conjonctif fibril
au voisinage im-médiat des cellules que dans les intervalles qui les séparent ; de telle sorte que ces dernières paraissent com
temporaires décrites par Kennedy, et dont l'histoire ne saurait être séparée de celle de la paralysie infantile permanente.
de la paralysie infantile et elle contri-bue, pour une bonne part, à séparer nettement cette affection des diverses formes de
s faisceaux blancs qui à l'état normal, du moins chez l'adulte, ne se sépare par aucune li-gne de démarcation appréciable du r
e canal central est fermé en arrière, la masse embryonnaire tend à se séparer , Fig. 12. — Coupe de la moelle d'un embryon hum
on les voit apparaître vers la 6e ou la 8e semaine dans le sillon qui sépare encore latéralement les deux parties de la substa
ire la huitième semaine environ) se développent, dans le sillon qui sépare les zones radiculaires postérieures, deux pe-tite
m). En même temps, une formation analogue a lieu dans le sillon qui sépare les zones radiculaires antérieures. Elle est rela
sque à la substance grise postérieure. En dehors, toutefois, elle est séparée constam-ment de la couche corticéile de la moelle
, elle se rap-proche de la zone corticale delà moelle dont elle n'est séparée que par une languette très mince de substance bla
— Observations personnelles. — Documents à l'appui. Différences qui séparent cliniquement la sclérose latérale amyotrophique d
taux de cette affection 4. II. 1° Un premier trait distinctif qui sépare déjà foncièrement 1 J. Lockhart-Clarke. — Progr
W. Muller (loc. cit.) a insisté avec raison sur ce point. Mais je me sépare complètement de l'auteur que je viens de citer, l
con-jonctif— dépendant duperymisium internum — qui, à l'état normal, séparent à peine les faisceaux musculaires primitifs et le
lérose en plaques de forme spinale. Il peut, en d'autres termes, être séparé de toutes ces affections spinales qui, dans la de
tions, énergi- quement appliqués l'un contre l'autre, ne se peuvent séparer qu'à la suite d'efforts où les muscles qui s'insè
ffectés. En conséquence, le ventre est proéminent, dur à la pression, séparé de la base du thorax par un pli horizontal plus o
à produire une légère flexion dans l'articula-tion du genou. III. Séparer cliniquement le tabès spasmodique de l'ataxie lo-
sensibilité, de désordres de la vessie et du rectum : mais elle s'en sépare profondément, pour ainsi dire dès le commencement
vessie, de la prostate et des reins. Rien donc, sous ce rapport, ne sépare ceux-ci de ceux-là. 11 n'en est plus de même pour
it. Avant cette époque, les accès ont été durant longtemps distincts, séparés par des intervalles plus ou moins longs durant le
e vertige apparaît sous forme de crises dis-tinctes, de courte durée, séparées par des intervalles de calme absolu, pendant lesq
vue n'exerce sur eux aucune influence. Mais il est un caractère qui sépare foncièrement ces mou-vements choréiformes du trem
re et antérieure, une sorte de jetée triangulaire en forme de lamelle séparée de la face correspondante de l'os par un interval
à une forme clini-que distincte, et qu'il sera possible désormais de séparer en pratique, à l'aide de certains caractères, des
on dorsale; un lambeau de la dure-mère rattachait seul les deux bouts séparés de la moelle épinière. L'examen microscopique, fa
mineuses de 45 à 90a, toutes de dimensions à peu près égales, à peine séparées les unes des autres par un peu de tissu conjoncti
ent réduites en volume de 5 [j. à 35 p., de dimensions très inégales, séparées par des espaces conjonctifs relativement considér
des gaines fragmenté, formant des îlots rangés en séries parallèles, séparés les uns des autres et masqués en partie par des a
grise sans pénétrer dans son intérieur, tandis qu'en dehors elle est séparée de la périphérie par une bande étroite de tissu r
ce point, les faisceaux musculaires sont très pâles, très friables et séparés par de petits amas de graisse. La même altérati
njonctif (dépendances du perimysiitm internum), qui, à l'état normal, séparent à peine les faisceaux musculaires primitifs, et l
et à la physiologie pathologiques de la moelle épinière 6. Mais je me sépare complètement de l'auteur que je viens de citer, l
a, a, Tubes normaux dont la myéline est colorée en noir par l'osmium, séparés les uns des autivs par de larges faisceaux conjon
la neuro-rétinite. — ^es formes, ses symptômes. — Différences qui la séparent de l'amaurose tabétique. — Faits cliniques démont
— Observations personnelles. — Documents à l'appui. Différences qui séparent cliniquement la sclérose latérale amyotrophique d
22 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t tout à fait libre (en a), le reste correspondant au sillon qui la sépare de la cir- convolution précédente, et étant plu
ynert), c'est-à-dire qu'il va en s'amincis- sant vers le sillon qui sépare la circonvolution de l'hip- pocampe d'avec la c
e couche de cellules pyramidales, qu'on ne voit pas distinctement séparée , comme dans la plupart des autres régions de l'
uche médullaire de substance blanche. B. -Au niveau du sillon qui sépare la circonvolution godronnée de la circonvolutio
ans revêtement de substance grise corticale. D. Enfin le sillon qui sépare la circonvolution godronnée de celle de l'hippo
aisseaux, ne trouvant pas assez de place dans l'étroit sillon qui sépare les deux circonvolutions, viennent se loger dan
érieure de l'hip- pocampe. Ce sillon, c'est l'anfractuosité qui les sépare et que comble en partie le corps godronné dont
a sur- face est-elle de plus en plus cachée dans le sillon qui la sépare de la circonvolution de l'hippocampe ; mais en
à la démonstration des deux circonvolutions et du sillon qui les sépare . Quant à la figure 6, pour la rendre intelligib
est ici, comme dans la moitié inférieure de la formation ammonique, séparée , par un sillon pro- fond, étroit, contourné, pl
e à son stratum granulosum (b) ; vient ensuite (en e) le sillon qui sépare cette circonvolution du reste de la substance c
n corticale C H est limitée en dedans par un sillon (e), elle n'est séparée en dehors par aucune limite du reste de la subs
la face interne, la circonvolution godronnée et le sillon qui la sépare du reste de l'écorce. Sur cette figure 7, vu l'
dans' une coupe horizontale (fig. 7) la corne d'Ammon d'un côté est séparée de celle du côté opposé LA CORNE D'AMMON. 21
s deux circonvolutions (la godronnée et celle de l'hippocampe) sont séparées par une mince zone (e), dans laquelle on trouve
facilement, malgré son étroitesse, comme représentant le sillon qui sépare (fig. 7 et 8, e) la circonvolution de l'hippoca
isée par son stratum grand- loszinz (en b) : le profond sillon e la sépare du reste de l'écorce, dont la partie la plus vo
cependant pourvues, à leur face interne, d'une belle circonvolution séparée du reste de l'écorce par un profond sillon. On
ar exemple dans la figure 10, nous supposons effacé le sillon qui sépare la partie CH des parties a, b, c, il n'y aura p
fer à cheval) d'un ensemble constitué par deux circonvolutions que sépare un sillon. Cette dé- monstration, empruntée à l
ns le repli mésentéri- forme; 0, subiculum; e, entrée du sillon qui sépare la circonvolu- tion de l'hippocampe de la circo
b, stratum granulosum de la circonvolution godronnée; e, sillon qui sépare la circonvolution godronnée d'avec la circonvolut
pin, long de 36 millimètres; y, vaisseaux placés dans le sillon qui sépare deux plis, lesquels vont former les deux circon
ve une cloison de tissu cunjonctif de plus en plus accentuée, qui sépare les deux faisceaux de fibres nerveuses. Immédia
auditif interne, cette cloison se renforce encore davan- tage, et sépare entièrement les deux faisceaux en deux nerfs bi
bides, particulièrement avec la poly- sarcie adipeuse', elle en est séparée pour la première fois par sir William Gull '. L
ceux d'entre ces malheureux qui pouvaient payer leur pension furent séparés des prisonniers et placés dans des asiles avec
tra dans la période dite de réaction ? ce n'était pas assez d'avoir séparé les aliénés 'Criminels des .malfaiteurs sensés
" demi-agités ? des 'entrants;11 Chacun 'des locaux cellulaires est séparé du ' corps de logis respectif non ' seulement par
tion, procédant, pour ainsi dire, par deux poussées successives que sépare un inter- valle de temps assez notable, sont de
aits, puis, leurs amitiés éphémères sitôt mortes que nées, elles se séparent bien vite et se querellent ou se disputent pour l
de nature hystérique, et l'on comprendra quelles différences les séparent au point de vue mental : la, première ne verra pa
, de l'envoyer seule dans un établissement hydrothérapique et de la séparer ainsi de ses parents. Quelques semaines se pass
tuées l'une en avant, l'autre en arrière. La selle turcique qui les sépare , très peu profonde, est quasi plate à raison de
ne division longitudinale ou transverse. La con- vexité n'est point séparée en lobes. La base seule décèle un lobe postérie
uvent persister pen- dant la plus grande partie de l'intervalle qui sépare les crises ; 2° on peut observer des attaques é
une racine ventrale et une racine dorsale, demeurant com- plètement séparées et perforant isolément la lame criblée en deux
ption quasi complète du segment intermédiaire, si l'on a soin de le séparer de toute connexion nerveuse par la scission des
, mariée à quinze ans, mère à seize, « de caractère volage », s'est séparée de son mari et a disparu. Ni frère ni smtr; pas
res vont former en partie les tractus blancs antéro-postérieurs qui séparent les segments du noyau lenticulaire du corps str
ns la fosse cérébrale postérieure, l'arachnoïde et la dure- mère le séparent de la paroi osseuse. Parvenu au niveau du roche
solidement. Dans le sinus caverneux, un mince feuillet celluleux le sépare seul de la face externe de la caro- tide, rappo
n croit à une migraine simple. Les divers symptômes sont dissociés, séparés dans leur apparition par plusieurs jours. L'aph
s le repli mésentén- forme; - 0, subiculum; e, entrée du sillon qui sépare la circonvolu- tioii de l'hippocampe de la circ
stratum graiiulosum do la ciiconvolulion godronnée; - e, sillon qui sépare la circonvolution godronnée d'avec la circonvolut
pin, long de 36 millimètres ; ? vaisseaux placés dans le sillon qui sépare deux plis, lesquels vont former les deux circon
23 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
ar le Conseil général, demandant que les enfants de Bicêtre fussent séparés des adultes et qu'on créât pour eux une section
es lits. Ceux-ci, rangés à droite et à gauche de la salle, seront séparés par autant de fenêtres, les trumeaux correspond
peignes et les brosses; 3° les cabinets d'aisances avec deux sièges séparés , un bidet et 4° une chambre de débarras. Dans c
de chaque lit devra être de 45 à 50 mètres cubes. -Chaque lit sera séparé du voisin par une fenê- nôtre. Les fenêtres aur
bonde pour l'évacuation des eaux de lavage. Ces deux salles seront séparées par une salle de réunion pourvue de lavabos et
r central longitudinal, terminé à chaque extrémité par une fenêtre, séparera les deux dortoirs de la série des chambres. Les
mm. de long sur 10 mm. de large. Un léger épaissis- sement linéaire sépare ces deux zones. Une petite surface transparente
oute leur étendue. La scissure prérolandique est très développée et sépare complètement FA du reste du lobe frontal. Cette
'oesophage, qu'elle déborde un peu en arrière et à droite. Elle est séparée de la portion inférieure du thymus par les deux
que droit, deux tubercules également, de l'un desquels on ne peut séparer le nerf par la dissection. Le péricarde contient
t leur calibre normal. Les oreillettes et les ventricules sont bien séparés et, partant, le trou de Botal est oblitéré. A
ssaut au-dessus du front. - Sourcils peu fournis, arqués, largement séparés en dedans. Paupières supérieures égales et bien
ne connaît absolument personne de sa famille.] Mère, 3G ans, vit séparée de son mari sous prétexte qu'il l'a battue. Ele
t bordé par les circonvo- lutions frontale et pariétale ascendantes séparées par le sillon de Itolando. / Ce que nous avon
n distinctes. Leur volupté est presque normal. Le lobe pariétal est séparé du lohe occipital par une scissure perpendicula
circonvolutions frontales sont larges, étalées. Les sillons qui les séparent sont peu profonds. L'étage moyen occupé par le
ant le même aspect que la frontale. Ces cir- convolutions fortement séparées l'une de l'autre ne peuvent se réunir à leur pa
Les circonvolutions pariétales qui s'en détachent sont net- tement séparées des circonvolutions occipitales par une scis- s
e la face inférieure du lobe frontal, très rudimentaires et à peine séparées entre elles par de minces sillons peu accusés.
Les lobes frontaux sont un peu accolés à leur face interne. On les sépare d'ailleurs facilement. Sur la face convexe, pri
ité» Les circonvolutions frontales sont asse sinueuses et nettement séparées il leur origine. Dans leur .iers antérieur elle
lobe frontal ; que la scissure de Sylvius n'est pour ainsi dire pas séparée de la scissure de Rolando, puisque ces deux sci
aspect gélatineux, kystiforme. On dirait que la substance grise est séparée de la substance blanche. Ces circonvolutions so
ramolli et la périphérie caséeuse. Une zone résistante et blanche sépare ce magma caséeux d'une zone périphérique d'hepati
A l'état sec, on constate que les sutures sont comme distendues et séparées par une substance qui s'est rétractée légèremen
) Il l'aurait contractée en Angleterre, où il était allé après s'être séparé de sa première femme. (2) Elle allirme, contr
des paroxysmes spasmodiques. Les accès ont d'abord été complets et séparés par un court intervalle ; puis, ils sont bientô
droit est très peu divisée, et, dans sa partie moyenne, est à peine séparée du corps calleux. Rien dans les ventricules ni
auche est moins saillante et moins large que la droite. Lorsqu'on sépare les hémisphères cérébraux il s'écoule une assez
aximum. Le sillon de Rolando, très net etmoins oblique qu'à droite, sépare F A et P A, sclérosées sur tout leur parcours m
ntreles deux hémi- sphères cérébelleux, au niveau du sillon qui les sépare , existe un second kyste allongé dans le sens tr
. Deux ECARTEMENT DES SUTURES DU CRANE. 545 ' z petits sillons le séparent en deux parties, et lui donnent un as- pect bos
sont symétriques. - La protubérance est un peu aplatie. Lorsqu'on sépare le cerveau du cervelet, il s'écoule 70 gr. de l
est un sillon assez profond perpendiculaire au sillon de Rolando sépare ces deux régions. Le tobe pariétal est moins alté
ont bien contournées ; la scissure préfrontale est nette et F A est séparée ici des autres parties du lobe frontal. A sa pa
poche kystique principale est composée de lames de tissu conjonctif séparées les unes des autres par une quantité considérab
onctive très épaisse et enflammée. Ces espèces de glomé- rules sont séparés de la substance cérébrale par des interval- les
onto-pariëtales ne'sont pas soudées.et les différents, os qu'elles' séparent présentent une- mobilité relative; Le frontal e
wormiens à droite et une quinzaine à gau- che. - L'occipital semble séparé , au moins dans sa partie supérieure corresponda
A l'état sec, on constate que les sutures sont comme distendues et séparées par une substance qui s'est rétractée légèremen
gueur sur 10 millimètres de large. Un léger épaississement linéaire sépare ces deux zones. Une petite surface transparente
24 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
de la circonvolu- tion limbique. La région du ramollissement ne se sépare que par une mince Fig. 1 bIS. Hémisphère droit,
effet sur une coupe frontale on constate, qu'à partir du sillon, qui sépare Pj de P2 jusqu'au sillon, qui sépare Ti de T2,
te, qu'à partir du sillon, qui sépare Pj de P2 jusqu'au sillon, qui sépare Ti de T2, la substance blanche est com- plèteme
l parui tULciu-ùuucucmc uu 'il uutiic puoLCifcutc uc fctuucnc Il se sépare par une mince couche de substance nerveuse. L'éco
par une mince couche de substance nerveuse. L'écorce du coin, u se sépare par une mince couche de substance nerveuse. L'éco
t détruite par le ramollissement ; le foyer de la destruction ne se sépare que par une mince couche de la substance nerveu
squ'à la paroi interne de la corne pos- térieure, de laquelle il se sépare par une mince couche de la substance ner- veuse
terne de la troisième temporale. Le foyer du ramol- lissement ne se sépare que par une mince couche de la substance nerveu
e syndrome, mais la différence de l'évolution et de l'étiologie les sépare ; nous ne pour- rions donc le ranger dans ce ca
s'avance en bas vers la scissure de Syl- vius dont elle n'est plus séparée que par un centimètre. En arrière la scissure e
face profonde du kyste confine au ven- tricule latéral et n'en est séparée en haut que par 3 millimètres, en bas par un ce
très tranchés et qui dans leur disposition se montrent net- tement séparés l'un de l'autre. Le premier type est celui que Ni
continue avec la membrane qui tapisse l'intérieur du kyste. On peut séparer à la pince l'em- bryon avec sa membrane propre
e, immédiatement au-dessus de la scissure de Sylvius, dont il n'est séparé que par l'opercule pariétal, un kyste gros comm
uve 1 dans la substance grise de F2 deux kystes du volume d'un pois séparés par un ' sillon de 3° ordre; les kystes ne sont
p- portée récemment par Spillmann (1) montre bien la différence qui sépare ces deux groupes de faits : elle concernait un
guérir la maladie ou de prolonger la vie. Il faut nécessai- rement séparer des autres ce dernier art auquel il n'est pasperm
LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 119 séparées des hémisphères cérébraux ; dans les ventricules
partie postérieure de la moelle allon- gée, laquelle pourtant ne se sépare pas de la moelle épinière, mais reste directeme
ibres myéliniques, qui ne vont pas jusqu'à la moelle épinière et se séparent d'elle à la dure-mère ; ces fibres entourent da
dons postérieurs, seulement dans la partie anté- rieure, elles sont séparées des fibres horizontales par une zone pâle. Les fi
it en avant jusqu'à la commissure antérieure. Cette lamelle blanche sépare la moelle allongée en deux moitiés. Au bord de
de Ro- lando, recouverte par la racine spinale du nerf trijumeau et séparée de la périphérie de la moelle allongée par de f
myéliniques, situées dans une moitié, ne passent pas dans l'autre et, séparées par une blanche et étroite lamelle, sont réunie
ntral de la moelle épi- nière. Et la moelle épinière et l'allongée, séparées d'abord l'une de l'autre, ne se fusionnent pas,
ci les moitiés su- périeure et inférieure delà moelle allongée sont séparées l'une de l'autre subitement et on peut remarque
ie, mais dans le cervelet. Le cervelet est composé de deux moitiés, séparées l'une de l'autre par une fissure profonde, laqu
petit pois ; il paraît formé par l'épiphyse de la première phalange séparée de sa diaphyse. Nouvelle Iconographie de la SAI
. Ces deux doigts étaient réunis aussi par syndactylie, ils ont été séparés quelques années aupa- ravant par une opération.
é et de toute dimension. Nous avons déjà montré qu'ils peuvent être séparés des parois vasculaires par un petit espace, ou
e médiane de la cellule ; ordonnées en tourbillons concentriques et séparées en amas par 'des cloisons de tissu conjonctif;
lobes fibroplastiques. Cet auteur insiste sur la différence qui les sépare des tu- meurs cancéreuses : leurs caractères hi
vales semblables à des grains d'amidon. La seule différence qui les sépare , c'est la nature du contenu : les premiers renf
rconvolutions, qui se touchent l'une l'autre et sont diffi- ciles à séparer ; on a l'impression que les sillons sont effacés e
(1) Le champ visuel étant le champ du blanc, il n'y a pas lieu de le séparer des autres champs chromatiques. (2);h. BINET-
s ils ne sont qu'en rapport de contiguïté et dont ils pourraient se séparer momentanément. De là, suivant la résistance et
ent où la couche inter-olivaire paraîtra. Les cordonspostérieurs se séparent de la moelle épinière, et d'autres changements
à côté d'eux (Phot. 23). Au commencement les cordons postérieurs se séparent de la moelle épinière par un petit faisceau ; a
ostérieur, ayant une position penchée, les cordons pos- térieurs se séparent de la moitié voisine. En avant des cordons postér
d'un côté de la moelle épinière et fusionnée déjà avec elle, était séparée des cordons postérieurs du côté voisin par le s
es deux côtés de la moelle et contenant les raci- nes postérieures, sépare la partie dorsale du bulbe rachidien de la partie
39. La moelle est formée de deux moitiés, qui sont assez nettement séparées l'une de l'autre par une fissure latérale, où son
orps vaut 6 têtes, la hauteur du tronc 2 tètes 1/4, la distance qui sépare la crête iliaque du talon 3 têtes 1/4, dont 1 têt
ête 3/4 pour la cuisse et 1 tête 1/2 pour la jambe, la distance qui sépare l'acromion de l'extrémité des doigts, 2 têtes 1
bis. Le tronc mesure 2 tètes (chiffre normal), mais la distance qui sépare la crête iliaque du talon vaut 2 tê- tes 1/2 au
aux travaux de Winkler qui a nettement décrit les diffé- rences qui séparent le rachitisme vrai de l'achondroplasie. Le rachit
), s'ouvrent les unes dans les autres constituant ainsi des cavités séparées par des colonnes de substance intercellulaire (
s du carti- lage de conjugaison se passent dans des zones nettement séparées entre elles, se succédant régulièrement et n'em
e du squelette des achondroplases accentue encore la différence qui sépare celte affection du rachitisme. Sur les radiograph
maire on soupçonne à peine le sillon vertical qui, à l'état normal, sépare les deux doigts et qui est réduit ici à une lég
rs séries de reprises erâoâraphiques, les séries d'ergogrammes sont séparées par des repos de cinq minutes, et les 4 ergogra
repos de cinq minutes, et les 4 ergogrammes de chaque série ne sont séparées que par des repos de une minute. Dans la séri
ie de quatre ergogrammes et pendant les repos de une minute qui les séparent . Les résultats des expériences se lisent facile
ire qui touche la moelle s'étend aux racines dont les éléments sont séparés par place par des corps embryonnaires ; les vaiss
e interne, pour le ligament interosseux. Sa surface postérieure est séparée par une crête rugueuse en deux surfaces pour le
plies de tissu thyroï- dien profondément altéré. Les vésicules sont séparées les unes des autres par des bandes fibreuses pl
osso. On procède par séries de quatre ergogrammes : les séries sont séparées par des repos de 5 minutes et les ergogrammes d
plique avec grand soin à établir le diagnostic différentiel qui la sépare ou la rapproche des cas très divers qu'il a pu
par rapport aux bases au lieu d'être perpendi- culaire. - Si l'on sépare les corps vertébraux les uns des autres, on se re
25 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
ut et en de-hors la glande lacrymale, en dedans le canal d'excrétion, séparés l'un de l'autre par la surface de la conjonctive.
de la conjonctive à double surface oculo-palpéhrale ne sau-rait être séparé des voies lacrymales, puisque c'est pour lubri-fi
sa dissection ou à son énucléation, de manière à n'avoir plus qu'à le séparer en ar-rière. Le kyste enlevé en totalité, réunir
n: incurvé suivant une double courbure en S, dont les sinuosités sont séparées par des éperons alternes. Cette courbure, qui int
irectement avec le pharynx ; en dehors, la membrane du tympan, qui la sépare de l'oreille ex-terne, met obstacle à l'introduct
après quinze ou vingt jours qu'on peut, sans s'exposer à la gangrène, séparer le lambeau du crâne. On lui donne la forme conven
e du nez, qui est plus évasée, se compose de deux cartilages latéraux séparés par un troisième qui forme la cloison nasale : la
y pratique, et elle explique comment l'extrémité du nez, complètement séparée , a pu être réappliquée et se réunir très bien (Ga
(Garengeot). 2° Fosses nasales. Situées au-dessus delà bouche et séparées par une cloison ver-ticale, les fosses nasales so
à l'aide d'un bandage approprié. Lorsque la réunion s'est opérée, on sépare la base du lambeau; on la régularise pour simuler
trente jours, la réunion doit être opérée. On enlève le bandage et on sépare le lambeau vers sa base, en l'abaissant vers la s
versé. La dissection de la peau étant faite, il ne s'agit plus que de séparer avec précaution les deux cartilages nasaux pour a
'un petit an-neau, dit œil-d'oiseau, formé de deux segmens élastiques séparés par une petite fente. Dans ces anneaux est passée
terne. Une cloison médiane, as-sez irrégulière et souvent incomplète, sépare les deux sinus. Ils sont accessibles pardeux paro
, pénètrent assez sou-vent dans sa cavité, dont la muqueuse seule les sépare . Lorsque le sinus maxillaire est distendu par u
équés en dessous, des lèvres constituées avec des fragmens de muscles séparés de leurs insertions, privés d'une partie de leurs
asculaire, à l'exemple de Hezel on en ferait la ligature avant de les séparer . D'après M. Velpeau, l'absence de cette précautio
égénérescence il faut revenir sur les appendices que l'on n'aurait pu séparer d'abord après ligature; puis s'assurer, par un ex
ondément à l'aide d'une ai-guille, avec un ou plusieurs fils, pour la séparer en plusieurs por-tions dont la ligature se fait e
en prenant garde d'intéresser les vaisseaux voisins, et achever de la séparer en quelque sorte par énueléation ; rien ne s'oppo
es trois fractions se trouvent iso-lées entre elles, comme elles sont séparées par étranglement des tissus voisins à leur base.
es partielles pour obli-térer les vaisseaux, et pouvoir immédiatement séparer la tumeur, sans avoir à redouter l'hémorrhagie.
ns et sterno-thyroïdiens, tantôt accolés sur la ligne médiane, tantôt séparés par un intervalle celluleux de quelques millimètr
un second trait, diviser le sillon celluleux plus ou moins large qui sépare les muscles sous-hyoïdiens; puis écarter ces musc
que la section soit maintenue bien exactement médiane, de ma-nière à séparer les deux muscles thyro-arythénoïdiens et les cord
ectoral au grand dorsal, en haut sous le petit pectoral. Avant de les séparer , il est bon de lier préalablement en masse les va
dentelé, les gros vaisseaux et le plexus branchial dont elles ne sont séparées que par une aponévrose et du tissu adipeux toujou
ns, forment trois séries : i° Les épanchemens , les kystes, dont nous séparons à dessein ceux des ovaires, comme annexes des org
ne anse de fil assez longue, que l'on coupe pour faire autant de fils séparés . Les choses étant amenées à ce point, on peut ter
cette virole et les deux plus étroites ; i" les deux viroles étroites séparées par les anses des bords de l'intestin qu'elles ét
nière à réunir ensemble les trois viroles pour qu'elles ne pussent se séparer . Car l'incertitude de la continuation des rapport
nglement; 3° faire disparaître complè-tement la maladie. On peut donc séparer les moyens chirurgi-caux que nous possédons à cet
he graisseuse et les deux lames du fascia superficialis; i° qu'il est séparé du péritoine, en arrière, par une couche celluleu
e que par les bandages, il s'épar-pille assez souvent, et ses élémens séparés affectent des rapports différens avec la hernie.
e compris entre ces deux parties sur le squelette. Cet intervalle est séparé en deux portions par une lame aponévrotique conti
e l'artère et la veine fémorales sont situées dans son angle externe, séparés du muscle psoas-iliaque par le fascia iliaca. La
dhère pas assez fortement au contour fibreux, pour ne pouvoir en être séparé , les intestins pourront s'échapper par l'ouvertur
ment, dans la crainte de rencontrer l'intestin, qui n'est quelquefois séparé de la peau que par des couches très minces. Ce pr
encore les divers élémens du cordon spermatique et le canal déférent séparés . 3e Temps. Ouverture du sac. Dans le plus grand
en même temps par la même ouverture, ou, du moins, qu'elles ne soient séparées l'une de l'autre à leur racine que par une bride
les lambeaux ne continuent à faire obstacle, et que la fente qui les sépare ne soit trop étroite pour livrer passage aux fèce
es du bord de la branche mâle qui doit y pénétrer. Ces deux branches, séparées l'une de l'autre, peuvent être réunies à volonté
in, dont il n'est sé-paré que par de la graisse; au milieu , il n'est séparé que par le feuillet fibreux et des pelotons grais
est beaucoup plus court à cause duccecum et du foie. La distance qui sépare le colon lombaire gauche du rectum, ou l'S iliaqu
on passe à travers ses parois avec des aiguilles, deux anses de fil, séparées par l'espace de 2 centimètres ; puis les donnant
e et y faisant rejoindre l'autre par la section de la cloison qui les sépare , mais avec le soin d'en scarifier les orifices.
is, rassemblant les chefs des fils, il les noue par autant de sutures séparées . Il paraît que ce procédé a été fréquemment mis e
les faisceaux entre les lèvres des petites plaies , et les maintenir séparés avec de la charpie, des compresses et un ban-dage
ant. Sur la paroi antérieure, en effet, le cul-de-sac pé-ritonéal qui sépare le rectum du vagin, arrive jusqu'à cinq à six cen
rrive le plus souvent; aussi faut-il prendre plus de pré-caution pour séparer ces organes intérieurement dans l'étendue d'un ce
rs, dans ces parties, on se sert autant qu'on le peut des doigts pour séparer l'intestin des organes génito-urinaires, et on li
nce doivent être préalablement garnis de linge. « Une fois les veines séparées , dit M. Landouzy , un aide ou bien le chirurgien
en traversant la peau des deux côtés à une distance égale à celle qui sépare les trous pratiqués sur l'un et l'autre mors de l
in Runge tordait plusieurs fois le testicule sur lui-même avant de le séparer , et ne faisait point de ligature après la section
ors facilement opérer la ligature en masse ou la ligature des artères séparées . Comme on le voit par ce procédé, il n'y a aucune
les ligatures précédentes, et on les enveloppe dans un linge pour les séparer des autres pièces de l'appareil, puis on procède
aire ou bien avec une pince à griffes les lèvres de la plaie, pour en séparer un lambeau triangulaire. Procédé de M. Lisfranc
sur sa face dorsale depuis la couronne du gland jusqu'à son orifice, séparer par la dissection ses deux lambeaux du gland, les
a vu l'urètre occuper la partie infé-rieure de la prostate et n'être séparé du rectum que par une cou-che très mince de tissu
a partie membraneuse est placée sous l'arcade pu-bienne dont elle est séparée par un espace d'environ i5 à 20 millimètres, remp
par du tissu musculeux. En bas elle regarde le rectum, dont elle est séparée par un espace triangulaire, dont le sommet regard
ent par les muscles bulbo-caverneuxou accélérateurs de l'urine qui le séparent de la peau; ces muscles, unis par un raphé sur la
es les parties de l'urètre, elle fait suite à la précédente, n'en est séparée par aucune ligne de démarcation bien tranchée, et
rses et la fosse navi-culaire , et dans la troisième les bourses sont séparées l'une de l'autre par une fente sur la ligne média
it souvent le bout de bougie qui le supportait, et finissait par s'en séparer ; il était souvent difficile d'engager les goupill
passage à une sonde. Ce chirurgien commence par mesurer l'espace qui sépare le méat urinaire du calcul; puis il conduit dans
canule externe et d'une canule interne qui sort de la première et se sépare en deux portions représentant un pa-rallélogramme
ébranler et de désunir peu-à-peu ses molécules de manière qu'elles se séparent pour ainsi dire comme par l'effet d'un agent chim
ui le composent n'était trempée; 1" qu'il ne pouvait se fausser ou se séparer de manière à ce qu'il devînt impossible de le fer
rans-verses. Les muscles bulbo-caverneux, qui recouvrent le bulbe, se séparent en haut, se confondent avec l'aponévrose superfic
porté sur le col, et que sur quelques-uns l'urètre était complètement séparé de la vessie. Chez les femmes le vagin présenta c
de l'anus, et allant se terminer à-peu-près au milieu de l'espace qui sépare cet orifice cle la tubérosité de l'is-chion. La p
r son lithotome dans sa cannelure qui était dirigée vers l'espace qui sépare l'anus de la tubérosité de l'ischion et divisait
du cathéter, dont il amenait un peu la plaque vers lui. Alors il les séparait , touchait la pierre avec l'extrémité de son litho
les tenettes sont fermées, les extrémités de leurs mors doivent être séparées par un inter-valle d'environ 4 millimètres; car s
rtie postérieure et infé-rieure de la vessie, dont elle est seulement séparée en bas et en dehors par les vésicules séminales,
um et la vessie, on trouve que la portion moyenne de l'intestin n'est séparée , en haut, du réservoir de l'urine que par du tiss
éjacu-lateurs et la prostate. La partie inférieure de l'intestin est séparée de la prostate et de l'urètre par les aponévroses
jusqu'au bulbe de l'urètre, et pénètre dans l'espace triangulaire qui sépare l'urètre du rectum. Le doigt indicateur gauche, d
es pour ne pas dé-coller la vessie du tissu cellulaire ambiant, et la séparer de l'urè-tre ; lorsqu'on est parvenu dans sa cavi
res, des méthodes et de leurs résultats, nous avons cru ne pas devoir séparer par la classification ce qui est insépa-rable dan
ng accumulé dans la partie supérieure du vagin, car on n'en était pas séparé par plus d'un centimètre d'épaisseur. M. Amussat
ès les deux valves sont composées de baguettes longitudinales, enfer, séparées par des vides, il peut être facilement remplacé p
e vagin, vaste canal, ouvert au dehors par un large orifice , n'étant séparé que par deux cloisons, de la vessie, du rectum et
nt de moyen d'union, en sorte que, dans le principe, il est facile de séparer le polype de sa cocpie, de l'énucléer, en un mot,
re , en 1757 , était constitué par deux canules souciées ensemble, et séparées par une cloison (pl. 76, f. 33). Il faisait pénét
térines font corps avec le tissu de la matrice, et ne peuvent en être séparées que par une opération spéciale. TUMEURS FLOTTAN
les polypes, 1833). A cet égard, MM. Ribes et Velpeau s'étaient déjà séparés de l'opi-nion commune en admettant la possibilité
trument ou de simples tractions, on parvienne à le détacher, comme on sépare un noyau de fruit des parties qui l'enveloppent (
e couche très mince du tissu de l'utérus. Pendant les ma-nœuvres pour séparer la tumeur, cette crainte de blesser le pé-ritoine
trument nommé for* ceps-érigne : c'est une espèce de pince à branches séparées , comme celles du forceps ordinaire, et offrant à
toine; puis faisant en sorte de ne point ouvrir cette membrane, on en sépare soigneusement la matrice par énucléation, dans to
introduit l'index et le médius gauches jusqu'au cul-de-sac du vagin, sépare circu-lairement cet organe de l'utérus avec le bi
ar la section des ligamens lar-ges. M. Blundell préféra commencer par séparer le vagin de la ma-trice en arrière, fit culbuter
'anus, pour faciliter l'ex-traction, l'opérateur abaisse l'utérus, le sépare circulairement du vagin, et pratique, avec l'aigu
x lèvres de la plaie ; évacuer le liquide contenu dans son intérieur; séparer le sac du péritoine et des muscles auxquels il ad
cartilage couche par couche et avec précaution, on voit les pubis se séparer peu-à-peu, à mesure que les liens qui les unissen
os pubis est isolé du reste de l'os coxal, dont il fait partie, on le sépare de celui de l'autre côté parla symphyséotomie ord
demain, voyant que l'accouchement ne se terminait pas, il se décida à séparer l'autre pubis comme il avait fait le premier; la
f midwi-fery),Vhy sick ayant remarqué que le péritoine était facile à séparer de la vessie, et de la zone utéro-vaginale, chez
n il s'en dé-tache un petit faisceau supérieur, inférieur ou latéral, séparé de l'autre par un espace et qui s'insère à deux m
nt l'œil le plus affecté. « Pour consta-« ter, dit-il, cet état, nous séparons la face en deux parties, en « plaçant sur la lign
que. » M. Phillips reproche à ce procédé I interruption inutile qui sépare les deux temps. Une autre objection qui nous para
et si cet in-strument ramène une portion du muscle non divisée, il la sépare avec les ciseaux. » Nous aimons ce procédé de M
tendineux détaché de l'un des bords du tendon principal, dont il est séparé par un intervalle celluleux, et qui s'insère isol
ords écartés de l'angle interne, et les fixe par des sutures à points séparés (fig. 10). L'auteur a déjà pratiqué cette opérati
ontraire une induration en forme de deux petites colonnes verticales, séparées par un sillon mitoyen, et très évidentes, au touc
Aétius et à Fabrice de Hilden. Cette rencontre de trois chirur-giens, séparés par plusieurs siècles, qui, sans autre guide que
tte destinée à percer la peau, le muscle peaucier et l'intervalle qui sépare les digastriques et les inylo-hyoïdiens : 2° un t
convenable du menton , on se guide, d'une part, sur l'intervalle cpii sépare les deux incisives moyennes, de l'autre, sur le l
doigt introduit dans la bouche reconnaisse l'extrémité du téno-tome, séparée de lui seulement par la membrane muqueuse, et cel
eulement par la membrane muqueuse, et cela dans toute la distance qui sépare les dents incisives externes l'une de l'autre ; i
uscle est quelquefois tel dans cette condition qu'il est complètement séparé de plusieurslignes des parties profondes, et qu'o
ance du canal nasal se voit l'épaisseur de la cloison osseuse (8) qui sépare ce canal d'avec le sinus maxillaire. 9, 9. Frag
loppe étant coupée sur le contour. 18. Commencement du canal nasal, séparé du sac lacrymal, sur la figure, par l'anneau qu
dans le second, à diviser la capsule cristalline. Cette aiguille est séparée par un collet de rétré-cissement ( h) de la grand
rgien, qui dirige à pleine main la masse cancéreuse (c), achève de la séparer avec le bistouri ( d ). Figure 2. Surface de la
s les rapports des courbures on voit qu'à létat normal le pénis n'est séparé du bulbe de l'urètre que par l'épaisseur des sacs
Destruction de la prostate dont le lieu est transformé en une poche séparée de la vessie par une cloison. Un pertuis qui la t
la vessie, par M. J. Cloquet : une cloison intérieure, longitudinale, sépare les deux cou-rans. 2° RÉTBÉCISSEMENS DE L'URÈTR
s. Réunion du lambeau vaginal avec la peau par trois sutures à points séparés . Deux sutures semblables réunissent les bords lat
avec une pince (b) et un bistouri convexe (c) de longueur convenable, sépare du vagin l'utérus qui sera renversé en bas et en
ALE. Grandeur nature (Procédé de M. Dubled). L'utérus abaissé a été séparé circulairement du vagin. La ligature du tiers inf
26 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
x documentés. On y voit parfaitement soulignées les différences qui séparent les auteurs. Sano avait fait observer déjà que la
s membres ordinairement très fiasques. On avait essayé autrefois de séparer l'atrophie myopalhique pseudo- hypertrophique d
ophie visible, c'est-à-dire au-dessous de la ligne (jarretière) qui sépare le tiers inférieur des deux tiers supérieurs de l
n'aura pas tort. C'est évidemment un processus hémor- ragique qui a séparé les éléments-nerveux sur un espace linéaire et li
le tissu céré- bral altéré. Cette union a été rompue, l'artère est séparée du tissu qui la soute- nait ; elle est seule av
un peu différent du nôtre (1).Ils ont étudié les lacunes et les ont séparées en grandes et en petites cavités. Ils ont subdi
ns une première période le tissu se désagrège mais n'est pas encore séparé de son vaisseau , tandis qu'au 2e degré la sépara
intégration cérébrale tandis que ceux qui étaient en dedans étaient séparés des débris de myéline par la gaine lymphatique
'il n'y en a pas même normalement. Les faisceaux blancs sont plutôt séparés et écartés que sectionnés. On ne voit pas beauc
ctérisée par la perte de quelques gouttes de sang, à deux reprises, séparées par deux ou trois mois d'intervalle. Cet état r
fait entièrement défaut dans sa moitié interne; sa moitié externe, séparée du deltoïde par le sillon delto-pec- toral, est
partiellement adhérent ; elle présente des bosselures irrégulières séparées par des sillons dont la plupart sont disposés à
de elle se trouve constituée par trois grosses masses [principales, séparées par des sillons profonds, la postéro-supérieure
sistant, rappelant un peu celui des fibro-myomes utérins ; ils sont séparés en certains points par des travées de tissu conjo
a nuit du 9 au 10 mai, le malade a eu cinq crises épilepti- formes, séparées par des intervalles d'environ 10 minutes, la prem
relet du volume d'un gros pois (fig. B et C), à peau molle et rose, séparé dans sa partie mé- diane par un sillon au fond
e linéaire. Au niveau de la phalangine existe un gros bourrelet mou séparé de la phalangette par un petit sillon et de la
bord cubital de la main un auriculaire assez bien conformé (fig. B) séparé du moignon de la main par 224 4 UAUSHALTER ET B
pas relever. Cet appendice est creusé en un milieu par un sillon et séparé du moignon par un sillon assez large et profond.
ois plus développé que le gauche. - A droite, une distance de 1 cm. sépare l'occipital du pariétal ; de l'autre côté, 5 mi
gittale, dirigée d'avaut en arrière, à ligne inférieure horizontale, séparée de la première par une faille dirigée égale- me
hors du bourgeon nasal interne ou proces- sus globulaire de His, et séparé de lui par le sillon nasal se trouve le bourgeon
se branchent des sillons sans importance. Le sillon prérolandiqu e sépare la frontale ascendante Fa des premières frontales
caractères importants nous semblent être tout à fait différents et séparer cette akathisie de celle que l'on peut observer
qui se développe quand il est assis. Aux caractères précédents qui séparent cette akathisie d'une simple paralysie systémat
le résul- tat d'expériences, pendant lesquelles les sujets étaient séparés par un écran ; leurs respirations étaient enreg
yenne de la face interne, à la cuisse, et le pli longi- tudinal qui sépare à la partie postéro-interne de la jambe une gross
parties sous-jacentes sont effondrées, et la méninge n'en peut être séparée qu'avec une grande difficulté (Pl. XXXIII, fig.
ce, sur la coupe sagittale, que le foyer de la région calcarine est séparé du foyer de dégénérescence du splenium par le cin
cine est dans son épaisseur subdivisée en faisceaux secondaires que séparent des cloisons conjonctives minces, et qui sont in-
aisceaux se répartissent en un grand nom- bre-de petits fascicules, séparés entre eux par des fines cloisons (mésonè- vre),
nce à de nombreux fascicules ; là elle reste presque indivise et se sépare , seulement à son entrée, en quelques groupes. C
saire d'avoir, au préalable, bien orienté la pièce. Le mieux est de séparer le ganglion avec les racines attenantes et de le
isent en un cer- 304 THOMAS ET HAUSER , tain nombre de fascicules séparés , écartés même les uns des autres et entourés d'
. Nulle part on ne voit non plus les fibres de racines postérieures séparées par un tissu conjonctif plus abondant qu'à l'ét
loison conjonctive séparant les fascicules. Les fibres ne sont jamais séparées par des filaments conjonctifs. A ce point de vu
efois il fait complètement défaut et le fascicule radiculaire n'est séparé de l'anneau fibreux que par des noyaux disposés
u- lièrement par l'hématoxyline. Dans les cloisons conjonctives qui séparent les fascicules on remarque encore quelques foye
et les noyaux y sont très abondants : les capsules cellulaires sont séparées les unes des autres par un tissu conjonctif riche
de noyaux appartenant à des cellules conjonctives, les travées qui séparent les fascicules des racines postérieures à leur
in. Sur certaines coupes les fibres sont réunies par petits groupes séparés les uns de autres par un tissu d'apparence amor
rvée dans le second cas, constitue un caractère différentiel qui le sépare nettement des exostoses ostéogéniques multiples
ance le sacrifice de leurs vies, les quarante-sept résolurent de se séparer pour échapper à la surveillance de la police :
endent debout la sentence de mort. L'ordre officiel arrive : ils se séparent et vont s'ouvrir le ventre, avec une tranquillité
qui leur donne un aspect amorphe, parfois vitreux. L'intervalle qui sépare normalement la dure-mère de l'arachnoïde arrive
RES DU TABES 415 dans nombre de cas, l'hyperplasie des cloisons qui séparent (mésonévrite) et des gaines conjonctives qui en
e son centre a pour résultat la dégénéres- cence du segment qui est séparé du centre trophique : cette dégéné- rescence, s
séries de quatre ergogrammes ; les ergogrammes de chaque série sont séparés par une mi- nute de repos et les séries sont sé
que série sont séparés par une mi- nute de repos et les séries sont séparées par 5 minutes de repos. Neuf séries successives
,'une très considérable en arrière, l'autre plus discrète en avant, séparées par un espace relativement sain. Dans la zone p
avant la zone dégénérée répond au faisceau pyramidal, dont elle est séparée par la partie externe du faisceau thalamique de
la zona iacertc; en dehors elle s'adosse à la zone grillagée qui la sépare du segment rétro-lenticulaire de la capsule inter
les fibres de l'hy- poglosse. Au-dessous des olives ces fibres sont séparées du ruban de Reil 1 parle corps juxtaolivaire in
nt sur la corne anté- rieure qu'elles coiffent. Plus bas elles sont séparées du faisceau pyrami- dal direct par une mince li
l'audition. La parole est saccadée, explosive, lente, les syllabes séparées par de longs intervalles. (1) Ce petit malade
rieur du corps calleux : il est d'ailleurs relativement facile de les séparer . En arrière du chiasma il existe une petite pla
à-dire bordant en dehors la couche des grains, mais très nettement séparée d'elle, on trouve une couche régulière de cellu
stance ordinaires, les circonvolutions sont atrophiées, ratatinées, séparées par des sillons et des scissures très larges. B
lules nerveuses polygonales la plus superficielle est comme isolée, séparée de la couche des grandes cellules pyramidales ;
, on voit apparaître en dehors de la couche des grains et nettement séparée d'elle, une couche innominée de cellules ovales,
27 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
opinion, aucune limite fixe, précise, philo-sophiquement établie, ne sépare ce domaine des autres par-lies de la science biol
se trouvent constituées côte à côte, deux spécialités bien tranchées, séparées , quoi qu'on en dise, par une barrière quelquefois
spécialités étroites!... Qui pourrait cependant tracer la limite qui sépare l'anatomie pathologique de la clinique1 !. Je cro
rand lobule. De fait, chacun des lobules secon-daires ainsi formé est séparé de ceux qui l'avoisinent par une lamelle de tissu
. Ces logettes, qui, pour la plupart, ont des dimensions égales, sont séparées les unes des autres par de minces cloisons s'avan
autres, de façon à occuper le moins de place possible et sont à peine séparées par de minces tractus con-jonctifs. Le tissu conj
ensions des canaux aériens. Messieurs, Aumomentoùnous nous sommes séparés , ily a une douzaine de jours je m'efforçais de vo
demi circulaire de fines granulations (Fig. 15) 2. Les divisions qui séparent les cellules les unes des autres ne sont pas visi
iblir entre les epitheliums proprement dits et les endothe-liums déjà séparés , vous le voyez, parle siège de leur dévelop-pemen
pulmonaire, — En 1, le canal digestif a subi un étranglement qui l'a séparé en deux canaux, l'un supérieur, l'autre inférieur
et tous deux avec lé canal digestif. — En 4, ils se sont complètement séparés l'un de l'autre ainsi que du tube digestif, le mé
pulmonaire. — En i, le canal digestif a subi un étranglement qui l'a séparé en deux canaux, l'un supérieur, l'autre inférieur
tous deux, avec le canal digestif. ?— En 4, ils se sont complètement séparés l'un de l'autre ainsi que du tube digestif, le mé
llules épithéliales desquamées, petites et arrondies. Ces canaux sont séparés les uns des autres par des traînées de tissu conj
les canalicules biliaires forment, dansles espaces etles fissures qui séparent les lobules hépatiques les uns des autres, un rés
elle une couche conjonctive embryonnaire plus ou moins épaisse qui la sépare des vaisseaux avec lesquels elle était au-trefois
pas immédiatement sur la face épidermique de la cornée, mais en reste séparée par un espace. Or, bientôt la cavité en question
n'offrent pas un arrangement régulier, et, de plus, elles ne sont pas séparées du tissu au sein duquel elles plongent par une tu
otre attention sur les différences tant anatomiques que cliniques qui séparent les unes des autres les diverses formes de maladi
la vérité, ces diverses formes de pneu-monie chronique, parfaitement séparées au point de vue ana-tomo-pathologique, n'ont pas
ngtemps on n'a pas cherché à établir les caractères différentiels qui séparent la pneumonie lobaire de la broncho-pneumonie. Ril
étude parallèle de ces deux formes que la pneumonie lobaire doit être séparée anatomiquement et clini-quement de la broncho-pne
mples, en diffèrent cependant par les caractères les plus importants. Séparer la phtisie pulmonaire catarrhale de l'histoire de
ux sont en définitive formés par l'hypertrophie du tissu lamineux qui sépare les grands et les petits lobules. Ils paraissent
e ces corps fusiformes. La couche èpithéliale, qui dans l'état normal sépare le contenu des canalicules (vésicules) du tissu d
pé d'hépatisation chronique : « Dans le premier cas, deux excavations séparées l'une de l'autre occupaient la partie postérieure
tissu pulmonaire préalablement induré ; un fragment de poumon s'était séparé du reste de l'organe, et flottait dans une vaste
. une infiltration gé-nérale ; S. une disposition en amas ou mamelons séparés par des interstices presque à l'état normal. — Le
la tuberculose pulmonaire. Ces leçons ont eu pour but principal de séparer nettement, en fixant leurs caractères distinctifs
gauche, et une occupant le lobe supérieur droit. Les intervalles qui séparent les récurrences sont plus ou moins longs : suivan
mmédiatement en contact avec le revête-ment endothélial dont il n'est séparé que par l'épaisseur de sa propre paroi, composée
e, par la fumée des lampes, par la combustion de la poudre employée à séparer les blocs de charbon ; 2° pour les mouleurs en cu
ges qui elles-mêmes sont divisées en logettes. Les grandes loges sont séparées par de grosses travées qui, le plus souvent, ne s
t pas complètement de la ca-verne. Les logettes, au contraire, sont séparées par de petites travées souvent complètement lib
et les veines pulmonaires réunies, jusqu'au point où ces dernières se séparent des premières pour occuper les espaces interlobul
onnaire qui, limite la région caséeuse des nodules tuber-culeux et la sépare des régions où le poumon offre les lésions de l'i
grins, qui lui furent causés par sa femme, dont il se vit forcé de se séparer ; depuis ce temps, son moral est sans cesse affec
ilité. Il arrive parfois qu'un des sommets ou que les deux sommets se séparent du reste du cristal; d'autres cristaux se brisent
as de renseignements sur le malade. Caillot dans le ventricule gauche séparé des parois du cœur par une bande membraniforme ;
oche en proche, et le liquide ainsi produit ne se trouve bientôt plus séparé de la cavité ventriculaire que par une sorte de c
ulé, mais les caillots sont larges et mous, et il y a peu de sérum de séparé . — Six ventouses scarifiées sur la région du cœur
ou quatre millimètres du bord libre, et la partie de la valvule qui sépare l'ouverture de ce bord est très notablement ramol
ter Propf. libre et flottant dans un point du trajet vasculaire qui sépare de l'artère pulmonaire la veine primitivement aff
du torrent circulatoire, en perforant la membrane interne qui les en sépare , c'est alors que le microscope permet quelque-foi
a les trois membranes de l'aorte perforées : la tunique externe était séparée de la moyenne à ce niveau (Rokitansky.) Il est
fois l'ouverture produite, l'impulsion, incessante du sang achève de séparer les tuniques. Les choses se passent tout autrem
: les lamelles les plus internes se déchirent et ne tardent pas à se séparer des autres, d'autant plus aisément que l'adhérenc
ent adhérente aux pa-rois de l'aorte qu'il devient impossible de l'en séparer . Les vaisseaux afférents de la veine cave sont di
uité des tuniques vasculaires, ni une cavité entièrement distincte et séparée par un collet du canal de l'artère. Les dilatat
ses égales d'ailleurs, une secousse plus violente est nécessaire pour séparer les tu-niques d'une artère que pour les déchirer.
générale, tantôt, au contraire, sont rassemblées en amas ou mamelons séparés par des intervalles d'étendue variable. Souvent d
28 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
insi, par exemple, que M. Brown-Séquard, suivi en cela par M. Schiff, sépare physiologi-quement, d'une façon très-nette, ce qu
lons réunir sous une même rubrique avaient été jusqu'ici tout à fait, séparées , en nosographie, comme s'il s'agissait là d'affec
oici le procédé que j'ai employé : J'avivai les bords de la plaie, je séparai les parties molles de la branche de la mâchoire.
adipeuses s'amassent en dehors du sarcolemme dans les intervalles qui séparent les faisceaux primitifs2. Ce tissu adipeux interp
renferment des amas de noyaux. Ces faisceaux primitifs atrophiés sont séparés les uns des autres par un tissu conjonctif fibril
t au voisinage immédiat des cellules que dans les intervalles qui les séparent ; de telle sorte que ces dernières paraissent comm
plus de pigment qu'à l'état ordinaire. Par-tout, ces tumeurs étaient séparées des parties adjacentes par le tissu cellulaire so
semble forcée et répond au bord externe de l'indicateur. L'angle qui sépare le pouce de l'indicateur est aussi plus profond e
eux centimètres au-dessus du renflement, le tissu conjonctif fin, qui sépare immédia-tement les tubes nerveux les uns des autr
aine partaient des tractus fibreux entourant des tubes nerveux qu'ils séparaient un à un. Les plus voisins étaient très-atrophiés,
édicule, elle est libre et longe assez exactement la côte, en restant séparée d'elle par un intervalle de 1 centimètre en moyen
r une graisse jaunâtre très-molle. Les points les plus saillants sont séparés des fibres du grand pectoral par des bourses sére
deux lames épithéliales, existe une couche de cellules plates qui les sépare des tissus muqueux proprement dits. « Ces cellu
t détrompes. La vessie est adossée direc-tement au rectum et n'en est séparée que par une cloison recto-vésicale analogue à cel
t chez l'homme au-dessus de la prostate, et les deux viscères ne sont séparées que par une couche en général assez mince de tiss
aisceaux, on peut reconnaître que chaque élément fortement coloré est séparé de ses voisins par des espaces de substance hyali
rer que le tissu morbide, après avoir détruit la couche calcifiée qui sépare le cartilage de l'épiphyse osseuse, a fait hernie
paissies offrent en grand nombre des noyaux allongés. Entre les tubes séparés par une étendue de tissu plus considérable qu'à l
ion des fibres voisines du court ad-ducteur, dont il était, du reste, séparé , sans aucun artifice du scal-pel, par un espace l
ral. » Nous voyons ensuite les lymphatiques du corps de l'utérus se séparer des vaisseaux sanguins, pour se diriger vers la s
tristes événements que vous savez. Au moment où nous avons dû nous séparer , par une application de recherches préalables con
la vessie et une grande partie du cul-de-sac péritonéal. Après avoir séparé avec soin ces parties du col hypertrophié, M. War
chimique plus grande qu'en laissant les deux rhéophores complètement séparés ; mais cette action chimique eût cependant été bie
raison, les choses sont disposées de la même manière, et l'espace qui sépare les deux rhéophores est le même. Ces deux piles f
tissu mollasse ; elle donne à la main la sensation de petits lobules séparés par des cloisons comme fibreuses et est évidemmen
e ulcérée, qui présente des excroissances plus ou moins dé-veloppées, séparées par des sillons remplis de pus ichoreux, de matiè
répuce était assez long, recouvrait complètement le gland, dont il se séparait quelquefois avec peine, sans cependant qu'il y eû
flammation si généralisée. Par une dissection attentive le rectum fut séparé du vagin : on arriva alors dans un foyer purulèm,
pareil cas, ajoute-t-on, les accidents convulsifs restent distincts, séparés , sans s'influencer réciproquement d'une façon not
mple qui lui est personnel et dans lequel les accès étaient nettement séparés . Chez les malades de cette catégorie l'intelligen
ieurs, au point délicat. En quoi cette hystérie à crises complexes se sépare-t -elle de l'hystérie ordinaire, si elle s'en sépare
ises complexes se sépare-t-elle de l'hystérie ordinaire, si elle s'en sépare réellement? en quoi se rapproche-t-elle de l'épi-
s que la mort s'en soit suivie, ne montre-t-elle pas déjà qu'un abîme sépare l'épilepsie vraie de l'hystéro-épilepsie ? — « Si
. Les saillies de l'hélix et de l'anthélix et les dépressions qui les séparent , ainsi que la cavité de la conque, ne sont plus r
e composait de fibres musculaires lisses, disposées transversalement, séparées par quelques rares fibres élastiques. Autour des
te un aspect rose pâle : on aperçoit des traînées de tissu conjonctif séparées par un tissu spongieux et grisâtre, un tissu semb
nctif séparées par un tissu spongieux et grisâtre, un tissu semblable sépare également la muqueuse des parties sous-jacentes,
ne tête d'épingle. Au microscope, on voit les faisceaux musculaires séparés par de larges traînées de tissu conjonctif : on p
dies; l'infiltration augmen-tant, les fibres du tissu conjonctif sont séparées et écartées par les cellules ; il en résulte fina
s bosselés très-irrégulièrement, anasto-mosés entre eux par places et séparés les uns des autres par un stroma fort développé.
Les reins ont leur volume ordinaire ; leur enveloppe fibreuse s'en sépare aisément. Quand on l'a enlevée, la surface de l'o
q à huit minutes; elles seront répétées dix, vingt,, quarante fois et séparées l'une de l'autre par des pauses de une demi-minut
ui qui manque semble être le deuxième, si l'on considère l'espace qui sépare le premier des autres ; le cin-quième au contrair
ulement, sont à l'anneau inguinal interne ; l'épididyme en est un peu séparé . Les artères spermatiques naissent de l'aorte, im
thoracique et des membres supérieurs sont formés de rares faisceaux séparés par de nombreux éléments connectifs, œdé-matiés e
29 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
épinière se prolongeaient dans cette protubérance et au delà, ont été séparés de la protubérance. On a pris le plus grand soin
grand nombre des lobules des parties inférieures du cervelet ont été séparés des couches fibreuses sur lesquelles ils reposaie
, la coupe du fais-ceau postérieur; en P, la coupe du faisceau moyen, séparée comme le fais-ceau postérieur par la couche noire
rconvolution de deuxième ordre, correspondant à l'anfrac-tiiosité qui sépare à la face interne de l'hémisphère le groupe en cr
e de l'autre pour constituer cette cloison ; en D , le ventricule qui sépare les lames droites des lames gauches de la cloison
corps strié. La lettre F montre la coupe de la couche fibreuse qui sépare le coty-lédon ventriculaire du corps strié B du c
bre fibreux de l'hémisphère se combine avec la couche fibreuse F, qui sépare les deux co-tylédons du corps strié. La couche fi
equel la cou-che corticale, avec sa doublure fibreuse immédiate , est séparée des par-' ties superficielles du noyau cérébelleu
deux régions distinctes du faisceau postérieur. Y, couche blanche qui sépare ces deux régions du faisceau postérieur l'une de
arfaitement connus, présente en K K K la face interne de l'hémisphère séparée du noyau cérébral ; en V V la doublure fibreuse d
séparée du noyau cérébral ; en V V la doublure fibreuse de l'insula, séparée de la saillie centrale des faces latérales du noy
rap-ports naturels avec le noyau cérébral; celui du côté gauche a été séparé du noyau cérébral. La moitié gauche du noyau est
re. FIGURE 1". Dans cette figure, le noyau cérébral partiellement séparé de l'hémi-sphère , est vu de face. L'hémisphère
ostérieur. A A A, bandelette demi-circulaire émanée du même faisceau, séparée de la couche optique, et relevée. R R, rayonnemen
30 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
panchait de l'inté- rieur. La masse néoplasique fut scrupuleusement séparée de la cage tboraci- que, de la dure-mère et de
ndispensable d'inciser la dure-mère; on s'est bOl'l1ésimplemen t à en séparer la tumeur. En agissant ainsi on est parti de ce
ns que nous indiquons par .Sérieux et Capgras (1) qui ont nettement séparé le délire de revendica- tion du délire d'interp
devant englober des états semblables qui, auparavant, se trouvaient séparés . Mais avant celte époque, en 1881, une descript
ons musculaires de sa malade pro- duisaient des effets locomoteurs, séparer les deux types myocloniques. Raymond défend leu
me les cas de Kny, de Schultze, de Meinetz, etc., qu'on ne peut pas séparer du paramyoclonus multiplex avec lequel ils se con
e répètent arythmiquement avec de très petits inter- valles ou sont séparés par des intervalles de deux ou trois minutes. On
es états morbides, ont des caractéris- tiques suffisantes pour être séparées des chorées, des spasmes, des tics etc. Ces car
lié un cas de paramyoclonus avec contractions cloniques et toniques séparées . Sur la fréquence, l'importance de ces contract
ent se succéder avec une telle rapidité que les intervalles qui les séparent ne sont pas appréciables. Elles se confondent et
dernières études sur ce sujet il n'y a pas de raison pour qu'on ne sépare pas ces états morbides. Le tic est, d'après Hen
n leur cons- tant polymorphisme et leur séquence illogique pour les séparer des lies. Le diagnostic entre les deux états mo
- cile, mais ce que nous connaissons aujourd'hui est suffisant pour séparer , avec le critérium présenté, les tics des myocl
es avec l'épilepsie essentielle sont bien plus complexes. On peut séparer trois variétés : 10 la myoclonie épileptique in
lle de repos. Dans la myoclonie il y a des périodes de quiétude qui séparent les crises de secousses musculaires. On peut
néralement, de perturbations psy- chiques. - Ces caractéristiques séparent très nettement la chorée de la myoclonie ; mais
l'élément psychique qui leur donne l'origine, méritent bien d'être séparés de tous les autres mouvements convulsifs qui le
la présence d'idées fixes (Guinon). Ces derniers cas doivent être séparés des premiers. Ils ne présentent, généralement,
oclonie est acceptable. Elle signifie le symptôme principal et nous séparons ainsi ces hypercinésies des lies qui ont aujour-
tres 114 MONIZ hypercinésies. Dans ce chapitre général nous avons séparé les formes diverses qui onl été décrites avec d
éloignées de la surface de la glande et l'une des deux autres sont séparées de leur entourage par du tissu fibreux. L'une d
t très rares dans les interstices. Par-ci par-là seulement ils sont séparés par les capillaires. Les follicules forment ain
plus volumineuse que la première et est formée par deux corpuscules séparés l'un de l'autre par une cloison de tissu conjonct
troisième inclusion n'est pas supérieur à un millimètre. Elle n'est séparée de son entourage que par une bande étroite de tis
les autres, elle est même plutôt ovale et elle n'est pas nettement séparée de son entourage, surtout d'un côté. Dans les c
leurs phalan- ges proximales étant rapprochées, les distales soient séparées entre elles en reproduisant ainsi le type de ma
t alors, selon ? 11VI. Poral; et Durante, il n'est pas facile de la séparer de celle que produit l'achondroplasie : en généra
OPLASIE 187 La partie supérieure : 6 centimètres. La distance qui sépare l'ombilic de l'appendice xyphoïde : 24 centimètre
e niveau et présente de chaque côté une excavation. La distance qui sépare la proéminence de l'angle sternal et le pubis : 1
hondroplase et de 4 centimètres sur le crâne normal. La crête qui sépare les deux fosses occipitales inférieures a, an moi
it. Lecol fémoral est très courtde sorte que la tête fémorale n'est séparée du grand trochanter que par une distance de 1 c
s ». « Les deux angles inférieurs s'écartent et la distance qui les sépare est de 27 centimètres ». « Les omoplates sont a
e, mesurée à partir de l'épine dorsale est inégale. La distance qui sépare les apophyses vertébrales de l'angle supéro-inter
e la partie intramédullaire est constituée de fibres tumé- fiées et séparées les unes des autres. Cette tumescence est plus ma
l, leur partie intramédullaire pré- sentait des fibres tuméfiées et séparées les unes des autres. L'oedème est surtout marqu
uche avec la zone en ceinture plus haut dé- crite, étant par contre séparée de cette zone du côté droit par une bande étroite
ture - archi... tecture. Elle répète bien les mots en général; elle sépare chaque syllabe, mais n'a pas de troubles d'arti
e de deux ou trois mots usuels. Les mots usuels, écrits par lettres séparées , ne sont pas compris. Elle comprend bien la valeu
les prononcer, la plupart des mots écrits en syllabes ou en lettres séparées . Evocation des images auditives. - Améliorée ;
portion restante de la deuxième temporale. En dedans la cavité est séparée du ventricule latéral par un mince pont de subs-
palpébrale gauche est plus large que la droite, mais le sillon qui sépare la paupière inférieure de la joue est moins pro
al des paupières et offrira des intermittences égales aux temps qui séparent les clignements successifs entre eux. Sans péné
commissure buccale. Elles ne sont pas constantes mais intermittentes, séparées par des intervalles de temps irréguliers qui vo
S MULTIPLES DU CERVEAU ET DES MÉNINGES 401 Par une coupe médiane on sépare les deux hémisphères l'un de l'autre et, à la p
nt tout le lobe frontal. Le lobe pariétal et le lobe occipital sont séparés par une bande de sclérose qui a envahi tout le
mine ensuite la face interne des deux hémis- phères,après les avoir séparés , on constate sur chacun d'eux le fait suivant :
s la sensibilité spéciale à la pression, on ne sent pas l'épididyme séparé du testicule. Le testicule gauche, plus petit q
ois ulcérations déchi- quetées, peu profondes, à bords anfractueux, séparées par un intervalle de peau rouge et tuméfiée. Le
à la substance cérébrale étaient si fortes qu'on ne pouvait pas les séparer ; dans d'aulres endroits les adhérences étaient
nu, le gltnteliculttnt, ouïe gliaspongium - arec des centres vitaux séparés , les cellules névrogliques (Schulze, Kôiiiker. di
t placés l'un à côté de l'autre comme au centre delà figure, tantôt séparés . Par places leur protoplasma est envahi par des
ailles se rapprochant comme grandeur de la norme sous forme d'ilois séparés . Dans les endroits où le gliaspongium est à gro
. A la périphérie le gliaspongium s'est différencié en ilols isolés séparés par des espaces lymphatiques en fentes. Nous av
rand rond, ovale et petit rond, ces deux derniers trous se trouvant séparés sur un des crânes (crâne 7) par un prolongement
nges et la moelle étant adhérentes, il nous a été impossible de les séparer sans entamer en même temps la substance nerveus
31 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
iculaires verticaux de la corne postérieure des faisceaux arrondis, séparés par un réticulum de substance grise, qui oc- cu
ent même la commissure, sous la forme de petits fascicules arrondis séparés par un réticulum de substance grise. Ces fibres
gmenté de nombre; elles tendent à former un faisceau dense dans qui sépare la commissure du bord de la corne postérieure ;
ées, passent par cette languette et par la portion saine qui serait séparée des fais- ceaux de Burdach si l'on prolongeait
e quadrilatère s'adosse à la zone scléreuse du côté opposé, dont le séparent deux minces bandes relativement intactes de chaqu
ceaux cunéiformes. 4r° Lombaire. Les deux zones scléreuses sont ici séparées sur la ligne mé- diane par une bande saine beau
té du 3e jambage. Les jambages internes de droite et de gauche sont séparés par une mince bande conservée qui court le long
icale Ses deux bords externes sont curvilignes, à peu près égaux et séparés l'un de l'autre par un angle qui s'effile et se
ure en avant et pas tout à fait la périphérie en arrière ; elle est séparée de la corne postérieure par une bande saine trè
a partie inférieure du bulbe, entoure à distance le noyau cunéiforme, séparé du noyau et de la périphérie par deux zones d'a
ibres endo- gènes grosses que nous étudierons plus loin, et ils les séparent en tranches transversales, un peu comme les fib
eux systèmes différents, et peut-être un plus grand nombre, ne sont séparées l'une de l'autre qu'à la région lombaire ; à la
ès compliquée; elle constitue de chaque côté du septum un M qui est séparée de celle du côté opposé par un mince tractus liné
s territoires des deux cordons pyramidal et cérébelleux direct sont séparés par une très légère bande de fibres saines. D
e du faisceau py- ramidal croisé et du faisceau' cérébelleux direct séparées par le zone de fibres normales ou moins atteint
seudo-névralgique décrits récemment par M. Forestier (1), mais s'en sépare encore par l'absence d'ankylose. Le type respir
animaux; les tubercules quadrijumeaux postérieurs et anté- rieurs, séparés les uns des autres et des parties avoisinantes, o
La dure-mère présente une épaisseur et une dureté marquées ; on la sépare facilement du cerveau sauf en quelques points,
nterstitielle extrêmement intense. les faisceaux mus- culaires sont séparés les uns des autres, complètement disloqués en cer
Reins. - Néphrite interstitielle intense, les tubes contournés sont séparés par du tissu fibro-muqueux qui les comprime, pl
ntale trouve sa plus précise indication; mais elle ne doit pas être séparée du travail physique qui s'y joint comme sédatif
l est très épaissi et les capsules des cellules ganglionnaires sont séparées les unes des autres par de larges travées de ti
la grande quantité de tissu fibreux adulte dont les larges travées séparent les éléments cellulaires rares et disséminés :
dants, mais encore occupent deux domaines vascu- laires entièrement séparés (P. Marie). Les réactions cellulaires immédiate
périphérique restent tout à fait intactes. Cette dégénération reste séparée du faisceau de Goll par une bande même de fibres
EL tie moyenne de la corne antérieure ; une zone de fibres intactes sépare cette courbe d'un côté du sillon antérieur et d
cence longe la périphérie antérieure de la moelle tout en res- tant séparée de la substance grise par une mince bande de fibr
on peut remarquer une grande profondeur et largeur des sillons, qui séparent les circonvolutions cérébelleuses. La subs- tan
immédiatement sous-jacentes à la zone des cellules multipolaires et séparées seulement de la membrane hyaloïde du corps vi-
rnes ; la couche est parfois nettement subdivisée en deux cou- ches séparées sur une assez grande étendue par un espace clair
propre aux paranoïques et qui consiste en ce que tous les mots sont séparés les uns des autres par des croix. Les catastr
utres, plus nombreux, offrent au contraire des fibres plus fines et séparées les unes des autres par des tractus scléro-adip
e acétique, il existe une certaine prolifération du sarcoplasma qui sépare les fibrilles primitives, d'où exagération de la
AVEC RÉTRACTIONS 347 temps en temps, de fines fibres musculaires et séparées par des lits de tissu cellulo-adipeux. Ce tissu
ales, on peut voir de véritables bandes de stratification fibreuses séparées par des lits de vésicules adipeuses. Ces bandes f
traire, elles forment autour d'eux des dépôts considérables à zones séparées où les capillaires disparaissent plus ou moins
de diamètre. Au sur et à mesure que les nerfs s'atrophient; ils se séparent de leur gaine durale à laquelle les rattachent
la préparation, ces nodules scléro-vasculaires restent complètement séparés , mais dans l'es- pace qui les joint-on voit enc
e partent des bandes de sclérose qui enkystent, pour ainsi dire, et séparent les faisceaux super- ficiels du nerf. m) Nerf
encore sur la face supérieure. La gaine piale épaissie et sclérosée sépare et engaine, enkyste souvent sur la face inférieur
sont édités par l'interposition de vaisseaux. Un manchon névrogliquc sépare la lésion du tissu sain des comluns postéiieurs
état de leur tunique adventice. Elle leur forme une gaine trop large, séparée de la paroi par un espace lymphatique souvent d
irconscrire le vaisseau d'une tunique épaisse; un certain nombre se séparent du vaisseau, se portent dans le voisinage où ils
régresser, car on n'en dé- couvre plus trace et aucune barrière ne sépare plus la perte de substance, des fibres nerveuse
s bords du sillon postérieur). Il n'y a plus tant de raison pour la séparer de l'hydromyélie puisque ces deux affec- tions
cavité centrale entourée de sclérose névroglique, permettront d'en séparer les autres affections cavitaires qui peuvent la s
e des faits d'origine diverse. La syringomyélie doiten somme être séparée de toutes les cavités qui résultent d'une dilat
art par une formation très caractéristique, une membrane plissée, qui sépare le tissu ectodermique du tissu mésodermique. Ce
asculaire, soit irréductible à celui que nous en avons précédemment séparé . Sans doute, la pathogénie des cavités serait d
ées. Mais je ne saurais trop insister sur la difficulté qu'il y a à séparer ces deux ordres de phénomènes pathologiques. Co
Vous pouvez noter d'autre part que, non seulement les lettres sont séparées , mais qu'encore certaines d'entre elles ont néces
ement l'occasion de revenir sur les diffé- rences très notables qui séparent l'écriture des paralytiques généraux de celles
endue, mais on constate de plus une grosse lésion, incomplète- ment séparée de la précédente, qui occupe toute la partie anté
antéro-interne ; les deux foyers de la même corne sont complètement séparés . Masson et Ci, Editcuis NOUVELLE Iconographie
32 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
res, ciragier; - JO bains de pieds. Ces différentes pièces seraient séparées par des cloisons. La fenêtre vitrée à l'extrémi
ud sera transformée eu porte. Ces doux services seront complètement séparés de la partie centrale affectée au service du ch
rçons reçoivent l'enseignement en commun, bien que les sexes soient séparés dans les écoles bâloises, L'expérience a prouvé
aveugles, sourds, etc. : « Que les enfants arriérés devraient être séparés des écoliers ordinaires clans les écoles publiq
ourt et globuleux. - Lobe frontal. Circonvolutions bien contournées séparées par des sillons assez profonds et d'aspect Sain
tré- mité du sillon de Rolando et qui permet difficilement de les séparer en trois circonvolutions frontales parallèles. La
eur et inférieur sont formées de nombreuses petites circonvolutions séparées par de très nombreux sillons qui en rendent dif
tiol2 temporale (T3.) dédoublée il sa partie postérieure, nettement séparée des circonvolutions voisines. Circon- volulion
bien développé. - Coin et circonvolu- tions occipitales, nettement séparés . - Corps calleux et noyaux gris centraux, rien
remière circonvolution frontale (1), bien développée, est nettement séparée de la frontale ascendante par un sillon large e
éve- loppé, présente en son milieu un sillon assez profond qui le sépare presque en deux parties dont chacune d'elles offr
ée. - La frontale ascendante est assez étroite ; elle est nettement séparée des circonvolutions frontales par le sillon pré
oite surtout dans ses parties moyenne et supérieure ; elle est bien séparée des circonvo- lutions pariétales par la scissur
e ne rejoint pas, tout-à-fait le bec du corps calleux ; elle en est séparée par un pli de passage faisant communiquer la ci
rbillon; pas d'épi, ni de cicatrices ; bosses frontales saillantes, séparées par un léger sillon frontal assez appréciable a
s. Manie; guérison. 81 grissement et du retour de l'embonpoint, séparés par un plateau correspondant à un état stationn
ntes. La face est arrondie, les bosses fron- tales sont saillantes, séparées par une dépression de la partie médiane du fron
formant en quelque sorte une loge distincte de la corne frontale et séparée d'elle par les noyaux gris. La membrane qui rec
ades sourcilières peu saillan- tes, sourcils blonds, peu abondants, séparés par un intervalle de cinq c;entimi.·fres. Les f
lobe occipital peut être divisé en trois petites circonvo- lutions séparées par des sillons très peu marqués. Rien de parti
assage avec F2 qui semble continuer la circonvolution; une incisure sépare le quart postérieur qui se jette dans FA. F2 a
se termine à la partie antérieure du LPI., dont elle est néanmoins séparée par une fissure. T2 et T3 sont unies par de nom
ral. T, est régulière et bien développée. tu et Ta, assez nettement séparées , sont surtout il leur région pos- térieure le s
une configuration des plus irréguliè- res. Son tiers inférieur est séparé par une incisure et les 2/3 supérieurs sont aus
nvolution supplémentaire et volumineuse entre FI et 1 ? nettement séparée par un sillon. Le premier, antérieur, a 2 cm. 1/2
cotés, il existe dans le ventricule latéral, le long du sillon qui sépare la couche optique du corps strié, une trai- née
33 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
aire, est la couche optique; les couches optiques de chaque côté sont séparées par la profondeur du troisième ventricule. Ces
e, scissure perpendiculaire externe ou pariéto-occipitale (spe). Elle sépare nettementchez le singe le lobe occipital du lobe
sure pariéto-occipitale (op), comme je vous le disais tout à l'heure, sépare d'une façon très confuse, chez l'homme, en raison
circonvolutions est divisée très nettement en deuxbandes secondaires, séparées par une bande blanche que nous appelons aujourd'h
la partie horizontale du sillon calloso-marginal (Scm), sillon qui le sépare de la circonvolution dite du corps calleux (gyrus
iane de la première circonvolution frontale (C F) ; 2° au-dessous, et séparée de la précédente par le sillon calloso-marginal,
par interrompue, comme sur la face externe, par des plis de passage, sépare nettement le lobe carré (ou quadrila-tère) du lob
tent chacune un nom particuler. Ces bran-ches suivent les sillons qui séparent les circonvolutions de l'insula auxquelles elles
et l'inférieure, qui est aussi interne, le ventricule moyen. Elle se sépare difficilement par la dissection en raison de ses
ou crustra, étage inférieur. Le tegmentum ou étage supérieur, qui est séparé du pied par le locus ni-ger, entre en connexité s
x {Fig. 20 et 21), et sur lesquelles les territoires vasculaires sont séparés par des lignes ponctuées, vous rendront plus faci
s deux tiers anté- rieurs de la capsule, région où ce tractus blanc sépare l'extré-mité antérieure du noyau lenticulaire de
c'est, de plus, ainsi que cela ressort de la description, un faisceau séparé . Quelle est la destination de ces fibres nerveu
iste particulièrement sur ce dernier caractère, parce qu'il permet de séparer nettement le trouble fonctionnel dont il s'agit d
dernier groupe, qui sont l'objet particulier de notre étude, ne sont séparés de la cavité de la corne postérieure que par l'ép
: 1° En avant, se voient de chaque côté les cou- ches optiques que sépare le troisième ventricule ; 2° en ar-rière, les tub
e interne. Le foyer, qu consiste en une sorte de large caverne, n'est séparé du ventricule latéra que par la membrane épendyma
ment délimités, dont le sommet est di-rigé en dedans vers l'angle qui sépare les cornes grises antérieures des pos-térieures e
re à la substance gélatineuse, tandis que. en dedans, un petit espace sépare le sommet de ce trian-gle du processus réticulair
éticulaire. Quant à la base du triangle, diri-gée en dehors, elle est séparée de la pie-mère par une zone de substance nerveuse
hérique du faisceau pyramidal. l'adulte, cette partie est nettement séparée du tegmentum par une bande transversale de substa
s masses ganglionnaires internes (couche optique et corps strié) sont séparées de la masse ex-terne (noyau lenticulaire) par un
ieure,sous le nom de circon-volution pariétale ascendante. Elles sont séparées l'une de l'autre par un sillon que, depuis Leuret
ique ou pédiculo-frontale, passant d'un côté par la ligne fictive qui sépare les deux tiers antérieurs du seg-ment postérieur
ge de la corne altérée. L'îlot de dégénération était, comme toujours, séparé de la substance grise par un tractus blanc ; en d
dée sur ce fait général que lors-qu'on coupe un nerf, de manière à le séparer de son centre, ce nerf s'altère, chez les animaux
ple prolongement des tubes nerveux de ces faisceaux ; _(eiles en sont séparées par les cellules ganglionnaires qui sont leurs vé
il est limité par un autre tractus blanc, la capsule externe, qui le sépare de l'avant-mur {claustruni) et de la région de Yi
s faire remarquer que les divers modes d'activité réflexe spinale que sépare l'analyse pathologique, paraissent être représent
pyramidal, mais se mêlant à ses fibres. Ces tubes nerveux n'étant pas séparés de leurs centres trophiques, ne dégénére-raient p
s dans la moelle épinière, mais dans le bulbe, la grande distance qui sépare les pyramides antérieures des noyaux moteurs, on
34 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
térieure du vagin; il en résulte quelquefois un diverticule nettement séparé du reste de la cavité, de telle sorte qu'on a une
lambeau; puis on réunit les bords de la plaie par la suture à points séparés . L'étendue de la perte de substance varie avec le
estaurer le pé-rinée proprement dit, ou de refaire le pont charnu qui sépare chez la femme la vulve de l'anus. Ce pont n'avait
donnée à l'étendue de la cicatrice. Dans un second temps, l'opérateur sépare l'une de Pautre la paroi vaginale et la paroi rec
e ; près de la cloison déchirée, il a soin de respecter le liséré qui sépare la muqueuse du vagin de celle du rectum. De cette
on, il évite de pénétrer dans la couche de tissu cellulaire lâche qui sépare la muqueuse du rectum des autres tuniques de cet
ant, on engage les deux rhéophores dans un manche percé de deux trous séparés pour empêcher le contact des fils. L'un de ces co
d'ivoire porté sur un long manche et muni d'un embout qui a un manche séparé . Ce spéculum, quand l'embout est retiré, per-met
e du col, que, si l'on n'a grand soin de tenir les lèvres de la plaie séparées par des plumasseaux, elles se réunis-sent avec fa
que dans les instruments à cliquet et à crémaillère, la même distance sépare tous les crans, tandis qu'avec la vis et l'écrou
ille et sur le fil, on en-traîne la chaîne dans la même voie, et l'on sépare ainsi le pédi-cule en deux moitiés qu'on écrase s
avec le vagin renversé. Si l'on veut faire reparaître les limites qui séparent le col du vagin, il faut tâcher de réduire la tum
e à petits coups ; cpiand elle est achevée, on retire la sonde, et on sépare par la dis-section la vessie de la partie antérie
es articulées à charnière avec les branches, et pouvant en outre s'en séparer . Ces pointes peuvent être dissimulées par une piè
diquer. Procédé d'Amussat : énucléation. Ce chirurgien, après avoir séparé le corps fibreux de sa coque utérine, en se serva
es pendant que les ciseaux, guidés par l'index gauche, cherchent à en séparer un morceau pris sur la partie inférieure. Cette s
angers qui leur sont particuliers; souvent la couche de tissu qui les sépare du péritoine est extrêmement mince, et l'inflamma
parce qu'il est extrêmement difficile de distinguer la limite qui les sépare ; d'autres fois, sans que le bis-touri ait dépassé
imite de la tumeur et du tissu utérin. Une couche de tissu cellulaire séparait le corps fibreux (hi tissu musculaire de la matri
ppés ; les veines n'ont pas de valvules ; les fibres entrelacées sont séparées par un tissu cellulaire lâche. Dans la transforma
e l'utérus. Avant d'introduire l'aiguille il est bien entendu qu'on a séparé la vessie de la matrice jusqu'aux insertions du v
tites poches qui nageaient dans le liquide du kyste. Les cloisons qui séparent les loges des kystes multiloculaires sont épaisse
eut se faire soit sur la ligne blanche, au milieu de l'intervalle qui sépare l'ombilic du pubis, soit sur les côtés au point l
igent à faire autant de ponctions et d'injections qu'il y a de poches séparées ; d est prudent de ne les opérer que les unes apr
s'écouler le long des parois de la sonde et tomber dans l'espace qui sépare les deux kystes ; ces exemples montrent combien i
s adhérences avec le plus grand soin et le plus grand calme ; et f on sépare non-seulement celles qui unissent le kyste à la p
t le pédicule ; ensuite vient l'épiploon, quand on a été obligé de le séparer de la tumeur. M. Baker-Brown a vu une hémorrhagie
oite a chassé dans ce pessaire l'air contenu dans le réservoir, qu'on sépare alors du pessaire. Figure xxiii. Redresseur de
ui occupent des caviies profondes. Ce porte-cliaine de M. Matliieu se sépare complètement de 1 instrument principal. Figure
extrémité su-périeure desquelles on voit les fils engagés, peuvent se séparer du corps de l'instrument; on les place une à une
c celle du vagin est interrompue par deux cicatrices circu-laires que sépare une bride étroite. V vessie. P moitié droite du p
ne. DD épaisseur de la paroi abdominale antérieure. PP espace qui sépare cette paroi de l'utérus, ou cavité péritonéale.
ce que l'anse du fil vienne s'appliquer fortement sur la cloison qui sépare les deux trous, et on fixe solide-ment les deux f
emps de l'opération. Ponction de la peau. Une dissection sous-cutanée sépare la peau des fascia. Figure xiii. Coupe fictive
35 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
énérés sont tous deshéréditaires, et il est désormais impossible de séparer l'un de l'autre ces deux termes : dégénérescenc
diabétique, ces auteurs ont observé que le sang, après la mort, se séparait par le repos en deux couches, l'une inférieure
ces observations de collapsus nous semblent devoir être absolument séparées des cas de coma où ces deux signes se constaten
t dortoir médian, ou a mé- nagé un lavabo et un cabinet de toilette séparés de ce dortoir par une simple porte vitrée; à cô
esvieux criminels et les malades très dangereux sont rigoureusement séparés les uns des autres. Un gardien par six malades.
avec les tubercules mamillaires : ce sont des trousseaux de fibres séparés les uns des autres qui n'ont aucun rapport phys
'asiles d' aliénés-hospices et d'iisi- les d'aliénés de traitement, séparés les uns des autres. Cetteséparation est indispe
té ; elle possède réelle- ment deux existences intellectuelles bien séparées : une existence normale ordinaire et une existe
tage ici sur cette ressemblance, pas plus que sur la différence qui sépare ces deux cas, relativement à la nature des rapp
cer par les cas les plus simples, et c'est ce que l'on a fait. On a séparé les myélites systémati- sées et les myélites di
r. Ainsi (il vaut mieux le dire tout de suite), nous devrons nous séparer de l'Ecole française, pour admettre l'existence
proposons d'appeler tabès combiné. D'autre part, nous devrons nous séparer aussi de l'Ecole allemande (qui a beaucoup fait
résultat de l'extension de la lésion pos- térieure ; un espace sain sépare les deux ordres d'altération. A peu près à la
s deux formes de la maladie, coexis- tence de lésions ordinairement séparées . Il proclame enfin la nécessité de mieux étudie
en faisait le pivot d'une théorie de l'incoordination; mais il ne séparait pas de la grande majorité des ataxiques ces lat
ize ans, époque de sa première menstruation; l'inter- valle qui les séparait était environ de vingt jours. A dix ans, la cép
vrier 1884. De 1869 à 4874, les accès épileptiques se reproduisent, séparés par des intervalles dont le minimum a été de qu
x autres. Pendant le courant de 84, elle eut vingt-quatre accès que séparaient les uns des autres des intervalles variant de h
brilles de la fibre nerveuse sont des fils conducteurs isolés, qui, séparés dans le nerf, fusionnent dans la cellule; une e
fatale- « ment s'arrêter un jour, soit devant la limite absolue qui sépare « le cognoscible de l'incognoscible, soit devan
nous ne mettons pas au même niveau la ligne de démarcation qui les sépare . Il me semble aussi, conti- nue M. Falret, que
ie aussi étendue ? Ne serait-il pas bon d'y faire des divisions, de séparer les espèces et les variétés. M. Magnan a raison
illons sont orientés du sud au nord, en arrière les uns des autres, séparés par des jardins, mais reliés par un long corridor
té (Daigaku) de Tôkiô, il n'existe, pour le moment, pas de quartier sépare pour les affections psychiques : on garde simpl
ement défaut, et l'évolution en est tout autre. Ces cas sont donc à séparer de la paralysie générale classique, typique. Sa
collection de cellules nerveuses qu'il n'est pas toujours facile de séparer franchement du noyau de l'oculomoteur commun; dan
raux s'effectue en partant du coma réactionnel par étapes nettement séparées , on aurait constaté l'apparition simultanée de
llement intenses, des formes mixtes de délire. il convient aussi de séparer des phénomènes dûs à l'intoxication alcoolique,
bulbaire. Sur ce, les travaux du congrès sont dédales clos. On se sépare après avoir encore une fois désigné l3ade comme
, aérées, claires, de cours de séelusion avec des annexes également séparés ; d'une chambre de. bains propre à une division
s transmis à travers une ouverture pratiquée dans la muraille qui sépare la cuisine du réfectoire. Six gardiens les serven
a trois ans, on ajoutait I hectare de terrain au domaine de culture séparé de l'asile fermé par un chemin communal ; de là
produite à la fois sur deux points de la longueur d'une même fibre, séparés l'un de l'autre par un intervalle au niveau duq
SE. même fibre deux et même trois foyers successifs d'altération, séparés par des segments d'une intégrité parfaite(fig.6.
e sur la même fibre deux ou trois foyers successifs d'altération, séparés par des segments dont l'intégrité est parfaite.
mêmes procédés, en blocs volumineux, en boules grosses ou fines, séparées par un protoplasma granuleux et des noyaux. La
HOLOGIE NERVEUSE. ' Fig. 6. - Altérations segmentaires successives, séparées par des se,- ments ou des portions de segment e
latéraux et le domaine des cor- dons postérieurs étaient distincts, séparés , mais non contradictoires. Il reste un dernier
; mais la dure-mère, en avant de la selle turcique, ne peut-être ni séparée ni distinguée delà tumeur. A la surface inférie
par UN NÉOPLASME SANS APHASIE, CHEZ UN GAUCHER; par C. ŸESTPHAL ( Séparât abdruckans de)' Berlilt. E7j ? IVocheîischi ? no
s, segments normaux. Fig. 6. Altérations segmentaires successives, séparées par des seg- ments ou des portions de segment e
36 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t assez peu et s'effacent graduellement. Mais s'il est difficile de séparer cliniquement une lésion intra-cérébrale d'une l
les 30 autres elle a été intermittente, éclatant par périodes que séparaient des intervalles d'accalmie, voire même d'im- pu
x autres gros îlots précédemment signalés sur cette face ; ils sont séparés par un petit pli de passage de la circonvolutio
habituelle de petites tumeurs blanches et dures, sur le sillon qui sépare la couche optique du corps strié ; elle envahit l
n dans ses bâtiments que dans les terrains qui les entourent et les séparent . L'enseignement que les malades y reçoivent est
t la commissure, il prend de plus en plus d'importance et tend à se séparer du septo-marginal qui ne fusionne plus avec lui
l'olive recouvrant cette dernière jusqu'au niveau du sillon qui la sépare du pédoncule cérébelleux inférieur. Ce fait p
vre par derrière le canal vertébral dans la. région dorso-lombaire, sépare la moitié droite de la moitié gauche de l'organ
habituer les violents et les agités à l'alitement, c'est la chambre séparée ouverte et la suppression de toute contrainte ;
Quelquefois, on les voit aller humblement se coucher dans une pièce séparée . En cas de refus persistant, on place le lit da
de leurs impulsions. On est obligé de les coucher dans une chambre séparée , et, dans les moments critiques, de fermer la c
Inversement, l'épileptique, peu suggestible , obnubilé c'est-à-dire séparé du monde extérieur, échappe aux dangers per- ni
d'é&ucabtlité. Les idiots convul- sivants y seront complètement séparés des autres. Le régime du demi-temps (laolf-lime
our les arriérés proprement dits, des écoles d'enseignement spécial séparées des écoles ordinaires ; 3° Pour les épileptique
iques et les convulsivants de toute nature, des écoles complètement séparées des autres. G. D. XXVIII. Résultats du traiteme
Marthe Marie, vingt-sept ans, vit, à Fontaine-Etoupefour, forcément séparée de son mari, écroué en prison pour vol. Elle vi
entre à coups de couteau et le laissa pour mort. Une fillette a été séparée de ses camarades puis enlevée par le Vacher poite
contiguïté avec cette pièce, s'ou- vrent deux chambres d'isolement séparées par une cellule capitonnée. Ces trois chambres'
205 L'établissement se compose de pavillons détachés, de villas, séparées par de vastes jardins et disposées symétriquement
des idées de Schrbder van der Kolk et d'Hughlings Jackson. Je me sépare de ces auteurs en ce que : 1° Je n'assimile pas
niquant l'une avec une source électrique, l'autre avec la terre, et séparées par une lame isolante. Cet appareil est un cond
ù se forment-ils ? Peut-être entre les prolongements, momentanément séparés , de deux neurones contigus; peut-être dans l'in
s volontiers aux colonisa- tions agricoles avec villas ou bâtiments séparés et à une infirmerie pour les périodes de crises
z l'homme ou chez la femme surexcitation sexuelle inapaisée. Pour séparer la névrose d'angoisse de la neurasthénie, Freud
pro- nonce volontiers le terme de neurasthénie anxieuse. Or, pour séparer la névrose d'angoisse de la neurasthénie, on do
oyen du régime d'ali- tement était, au contraire, dans des chambres séparées aux portes qui ne ferment pas; les uns admettai
r exemple, qui con- sidèrent que le régime au lit dans des chambres séparées , aux portes ouvertes, est préférable à celui da
TIQUE. régime au lit. En outre, la surveillance dans les chambres séparées a souvent un caractère importun, agaçant, tandis
le régime au lit également 288 8 THÉRAPEUTIQUE. dans les chambres séparées , cela a dans le système en question une importa
le 1)' Beach, on a trouvé 3 pintes de liquide. Les os du crâne sont séparés par une pression interne toujours croissante, e
nt des éléments ganglionnaires. Une strie de la subs- tance blanche sépare , dans le cas de Meine, la quatrième couche de l
açon judicieuse, soit dans une des salles communes, soit en chambre séparée , la porte étant ouverte ou fermée, mais toujour
alités en commun, une chambre de réunion et deux ou trois chambres séparées . Les chambres doivent être disposées de façon q
'alitement eu commun on gagne de la place, les cham- bres à coucher séparées n'étant plus nécessaires pour nombre de malades
ines après, et ainsi plusieurs fois de suite. Dans l'intervalle qui séparait mes interventions sugges- tives, il se faisait
et demi, la malade pouvait déjà tra- verser seule l'énorme cour qui sépare l'infirmerie de la Sal- pêtrière de la clinique
détachés, à segmenter la clinique en un certain nombre de bâtiments séparés par des jardins. La clinique de Halle se compos
re, avec 130 mètres de façade. Une première série de constructions, séparée de la rue par un jardin assez étendu, se compos
en arrière de ce premier plan de bâtiments se trouvent deux villas séparées par le bâtiment des services écono- miques ; ce
de briques de 2 m. 50 de hauteur. Le quatrième côté, en façade. est séparé de la rue, non par un mur, mais par une grille pl
eux, un pour chaque sexe, sont reliés au bâtiment principal qui les sépare par uu couloir très court. Chaque pavillon de t
bre d'observation. L'office, les closets, la salle de bains en sont séparés par un corridor. Les cellules ont 5 mètres de l
cesser ainsi l'action du ressort, et les deux parties du bouton se séparent . (Dr 0. Snell. dlly. Zeilschr. f. Psychiatrie;
anée. La théorie de Kronecker, attribuant la trémulation des coeurs séparés du corps et privés de circulation à la contract
c'est le négatif. Les nombres obtenus en cherchant la distance qui sépare le rouleau de la pomme d'Adam au moment de l'ap
des écoles primaires (les élèves incorri- gibles des écoles seront séparés des jeunes vagabonds et occuperont dans les int
r d'enceinte ni grilles, il se compose d'une série de dix pavillons séparés (Cottage-System), dont deux sont consacrés aux
destinés à l'enseignement clinique de la psychiatrie devaient être séparés des grands asiles ordinaires et placés dans les v
u, ou d'une excitabilité accrue des éléments nerveux de la moelle séparée des centres supérieurs. 4° Le tonus musculaire
n peut obtenir celle réponse directe du muscle. Quand le muscle est séparé des neu- rones spinaux moteurs qui l'innervent,
r Pierre Marie (de Paris), et SwiT\LSKf (Lemberg). Il y a lieu de séparer nettement l'une de l'autre deux formes de tabes
37 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
conversation. Quand ces dispositions d'esprit sont intermittentes, séparées par des périodes de bonne humeur et de jovialit
ure perpendiculaire externe est très mar- quée et très profonde, et sépare complètement des lobes pariétaux les lobes occi
nes dont l'un peut correspondre au sillon olfactif. Le sillon qui sépare les trois frontales antérieures de la frontale
ondément divisé en deux moi- tiés par le prolongement du sillon qui sépare la frontale ascen- dante des trois frontales an
les unes contre les autres, aplaties et les an fractuosités qui les séparent sont peu profondes... Cet aplatissement est sur
par Calmeil et Thomeuf 'l, et par Nasse 1. - Les idées fixes, sont séparées de la Paranoia primitive, tout en étant classée
t. Gnauclcs (1S83) décrit une forme de Paranoia épileptique qu'il sépare de l'épilepsie en méconnaissant son caractère pa-
ome, mais un symptôme de mélancolie ou de folie systématique. Il se sépare de Krafft-Ebing, en ce que pour lui la mélancol
OLOGIE. 81 côtés, les circonvolutions occipitales sont anéanties ou séparées de leurs attaches périphériques; de plus, à gau
se confondre avec notre cordon ; chez le foetus de sept mois, il se sépare très nettement des autres parties de la formation
riphériques ne jouissent pas de la fonction vicariante. Tout muscle séparé de son conducteur nerveux ne continue à être an
le personnel des infirmiers, on les placera en des salles contiguës séparées simplement par une porte. Les malades alités n'
une porte. Les malades alités n'ont pas besoin d'une salle de jour séparée ; en installer une pour les malades dangereux po
taller une capitonnée. Il faut encore prévoir une quatrième chambre séparée dans le sens de sa longueur; la moitié, interne
pardeGudden est trop faible. Les paralytiques généraux doivent être séparés des malades atteints d'autres affec- tions soma
solement. En effet, il n'y a pas lieu d'organiser une salle de jour séparée dans le quartier de la surveillance continue, c
rtements, qui commandent à des fonctions diverses et sont nettement séparés . Les autres contestent cette répartition et dis
soins de propreté et d'alimentation spéciaux à chaque individu tenu séparé de ses compagnons. Du reste, aucun phéno- mène
té des parties du cerveau. Les champs de l'é- corce ne peuvent être séparés les uns des autres comme les losanges d'une mos
ie par le travail. 1 ' Sur ces entrefaites, quand la fille se vit séparée de sa mère, 128 VARIA. elle devint d'une gran
mine- rons, lors de la discussion de chaque article, les points qui séparent le Gouvernement et-la-commission. Je me content
messieurs, il est un très grand nombre d'asiles d'aliénés qui sont séparés du lieu où siégera la commission par des dis- t
omme absolument mauvaise. Voilà, messieurs, les trois points qui me séparent de la com- mission ; je les examinerai plus tar
s d'aphasie ? Je ne le pense pas. Si elles ont pour but, non pas de séparer les uns des autres des faits cliniques dont les
'2) ! 1 semblant à un accès ou bien enfin la fièvre en question se sépare nettement d'une façon bien déterminée, quant au
lus. Dans une première séance, après deux séries de ces excitations séparées par un inter- valle de repos, elle reconnaît di
au point de vue économique, en Hollande, la loi est déjà arrivée à séparer les établissements en établissements de traite-
bles aliénés. Le Gouvernement reconnaît qu'il serait utile de les séparer des aliénés et de les parquer dans des établiss
diate n'est pas absolument démontrée jusqu'ici. S'il est utile de séparer des autres aliénés les idiots, les crétins et l
dont nous nous occupons, il est absolument nécessaire de les tenir séparés des autres malades avec la plus vive sollici- t
l me semble qu'il y a quelque chose de très désirable : c'est qu'on sépare les jeunes idiots ou crétins, aussi bien qu3 le
servir les établissements construits sous la forme de maisonnettes séparées avec un intérieur se rapprochant autant que possi
moins, supprimés. Les hospices d'aliénés doivent être complètement séparés des maisons de santé. Auprès de chacune de cell
LttNO/r, Sinani et Jatschourjinsky il y aurait des inconvénients à séparer la maison de santé de la colonie agricole étant d
nt vu que tout était tranquille, ils auraient grimpé sur le mur qui sépare le préau des bains de celui de la Sûreté au moyen
uite en petits débris, et finalement le cylindraxe brisé en morceau séparés . Le cylindraxe résiste donc beaucoup moins dans
n communication avec le pénis par les deux brides masculines qui se séparent en bas pour em- brasser l'orifice. A trois mill
Le frère est atteint de manie intermittente, mais les accès sont séparés par de longues périodes d'équilibre intellectuel
mbre mais en les dis- séminant dans une quantité de petits ateliers séparés , ce qui permettrait de leur accorder une assez
bien des difficultés; de petits 432 SOCIÉTÉS SAVANTES. quartiers séparé » de trois à quatre malades ne sont pas sans in-
s-hospices; par conséquent, il y a lieu de les pourvoir de sections séparées , ou de petits établisse- ments séparés pour cri
de les pourvoir de sections séparées, ou de petits établisse- ments séparés pour criminels aliénés. Je ne vois rien non plus
-dix à quatre-vingts malades, il y en a un grand nombre qui ne sont séparés du contact du public qu'à cause, non de leur pr
38 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
Neuropathologie proprement dite : ces deux parties d'une même unité séparées par des néces- sités pratiques, mais devant, ph
produite à la fois sur deux points de la longueur d'une même fibre séparés ? un de l'autre par un intervalle au niveau duq
ue si, au point de vue de la description, il y a quelque avantage à séparer ces deux ordres de phénomènes, dans la réalité,
e la gaine de myéline; son bord externe est irrégulier, festonné, séparé de la gaine de Schwann tantôt par un espace cla
inces et courts. - A, A, pourvus de noyaux assez nombreux, B, B, et séparés par des étranglements annulaires. B, R, bien cara
d'un segment interannulaire terminé en b par une extrémité mince et séparé en R par un étranglement annulaire nettement re
ine de myéline dans la partie externe. - B qui a seule dégénéré est séparée de la gaine de Schwann par des noyaux entourés de
ue, par son évolution, son allure brusque, par son inconscience, se sépare nettement des deux autres modes de perturbation
t un aliéné ordinaire. Au début, quand les accès de dipsomanie sont séparés par de longs intervalles, l'ivresse seule les a
de classe des dégénérés, que Morel a NOTES SUR L'IDIOTIE. 69 déjà séparée des autres espèces mentales, qui fournit des ex
de celle de la frontale ascendante résulte une espèce d'encoche que sépare en quelque sorte le lobe postérieur du lobe ant
illimètres que la couche optique gauche. La tête du corps strié est séparée par une dépression assez profonde de la queue d
l est irrégulier; son 80 CLINIQUE MENTALE. sillon est vertical et séparé jusqu'au bord inférieur. - Le lobe carré, lui a
e et de l'atrophie de la pariétale ascendante résulte un sillon qui sépare encore plus profondément le lobe antérieur du l
e l'arrêt de développement du lobe frontal et du sillon profond qui sépare ce lobe de la partie de l'hémisphère restée sai
dures, et sont soudées dans leur moitié supérieure. Cette masse est séparée par un sillon transversal de la moitié infé- ri
ière. Ces résultats étaient peu étonnants si l'on songe que la tête séparée du tronc était exsangue et soumise au refroidis
s le début des recherches de thermométrie céphalique, il faudrait séparer la thermométrie réellement cérébrale de la thermo
l'aide de semblables arti- fices que l'auteur espère être arrivé à séparer l'action de chaque muscle. C'est là, on le ju
nt unis avant d'avoir donné la corde du tympan, puis ils continuent séparés et distincts. En s'aidant de réactifs et d'un g
es prolongements du ganglion, et la corde du tympan a pu aussi être séparée du lingual. A la suite d'expériences faites sur
en ce point des filets gustatifs, mais parce que le nerf subitement séparé de son support a reçu un tel choc qu'il subit l
t d'abord ressortir l'avantage qu'il y aurait pour le traitement, à séparer dans les asiles, les malades aigus des chroniqu
n de ce genre, M. Burman voudrait, dans chaque asile, un pavillon séparé , relié seulement au reste de l'établissement par
ffet, dans les autres parties du livre. Point de tableaux nettement séparés , indiquant une catégorisation méthodique. Ce so
est dans le corps même du livre qu'il faut les étudier, une analyse séparée et rigoureusement circonstan- cielle permettant
ant lorsque, par le fait de la névrite, le tube nerveux se trouve séparé de ses centres trophiques. NÉVRITE SEGMENTAIRE
de du nerf, au contraire, les tubes, faciles à dissocier, n'étaient séparés les uns des autres par aucune production accide
et présente une coloration chair de saumon. Dans les sillons qui séparent les circonvolutions malades, les replis de la p
lis de la pie-mère sont accolés l'un à l'autre et ne peu- vent être séparés , tandis que dans les parties saines, la pie- mè
ituel, persiste pendant trois jours pleins. Quand les accès étaient séparés par un intervalle suffisant, le calme revenait
à la protubérance occipitale interne, on mesure la distance qui le sépare des parois latérales du crâne, on trouve à droite
sidérable qu'à l'habitude. On trouve, en mesurant la distance qui sépare l'extrémité supérieure du sillon de Rolando de la
rès ' I ..J, J , I i ^ t. l' , t f 1 | , '-vT' si \ manifestement séparés l'un l'autrè'(Pr. V, fii '8). ' 1 '\11' 1 f ¡ l
'^nlt;9·t e-)'I(l unq ; .i -Viui" ? I te uW· 1 i ? fjJ) lvll tantôt séparées du vaisseau et ne lui étant reliées que; ('Hroo
e adduction des cuisses avec flexion des jambes. Toute tentative de séparer les genoux fortement pressés ou d'allonger les
s le cordon postéro-latéral droit, une tache triangulaire qui est séparée de la corne postérieure par les processus réticul
n frontal supérieur (PL. XI, (1), et l'inférieur (Pr,. XI, fz), qui séparent , l'une de l'autre, les circonvolutions frontales.
des mouvements du bras gauche, en pré- sence de la rémission qui a séparé la période d'excita- tion de celle de dépressio
A 6 mois, ! 7a eu, pendant trois mois consécutifs, des convulsions, séparées par quelques intervalles assez courts. Tandis q
irconvolution frontale ; c) un dans la partie moyenne du sillon qui sépare cette circonvolution de la troisième; -d) un gr
la cuisse avec lui, en passant sous l'arcade fémorale. Là, il s'en séparait pour se diriger transversalement en dehors, croi-
n de nos enfants aurait beaucoup à gagner si, le long du mur qui la sépare de la ire section des aliénées, on établissait
» paroi *âx1;Ï ! rïïeI'diiIIvé1nfrîcule', lëqitél,du`résts,7n'e`st séparé de la sur- 'f`ce9`dt`l'liélni§plièiôtfquéopâ un
iÉ ? )")f.)'jr ? ? ' 'f 1)1 fr f ? rr ? n "'i -11 du lobe central, séparés de la 'surtace 'cérébrale que par'une' mince la
ices qui .0')U*ya «Al q 4 tu rrt 0 1 - - ID t4 ? bcb 14 - r afr ? séparent ces stries' sont combles par des'traînées'de t
és ils se touchent, 4 11 Il' -,Iij) Ibli 'Ili,, A "3ïër, P-nrrf)q séparent complètement les deux noyaux; le segment supéri
gt;; ^'Kf'H'' ar '0 i.i y ? M jÀt)Mi) : \\ie ? (r^ . f>\ ip<- sépare de la, couche optique, ce grillage qui aboutit
de dupes, que beaucoup n'ont pas osé tenter l'aventure. L'auteur sépare du bégaiement le grasseyment et quelques autres
ourte durée qui se pro- duisent à de brefs intervalles; faut-il les séparer de la folie épileptique, faut-il en faire une f
minces et courts. A, A, pourvus de noyaux assez nombreux, B, B, et séparés par des étranglements annulaires, li, li, bien ca
d'un segment interannulaire terminé en b par une extrémité mince et séparé en li par un étranglement annulaire nettement r
dans la p< ! )'< ! ee.c<o'HC.B, qui a seule dégénéré, est séparée de la gaine de Schwann par des noyaux entourés de
tiques (c'est la face antérieure). s, mince lamelle de tissu, qui sépare , de la surface cérébrale, le ven- tricule latér
ante, qui pénètre dans le ventricule latéral. s, mince lamelle, qui sépare le ventricule latéral de la surface cérébrale.
39 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
Michel, on peut apercevoir que l'extrémité inférieure du radius est séparée de la diaphyse par une ligne sombre. Or il ne
s vrais ; c'est peut-être la seule raison de la divergence qui nous sépare . Les types clini- ques qu'on a groupés sous le
mmé cette forme rachitis micromelica. Mais c'est Parrot qui en 1876 sépare nettement du rachitisme la forme foetale, la cons
e côtes sont douloureuses des deux côtés, surtout dans l'espace qui sépare la ligne axillaire antérieure et postérieure. D
e sur la moitié droite du.sacrum et finit par un enfoncement qui la sépare d'une autre tumeur, 64 flatau ' allongée occu
allongée occupant le bord droit du sacrum. Ainsi il y a deux tumeurs séparées par une gouttière. La tumeur gauche occupe la m
ne naît à la suite de formes dures du cancer du sein. Le temps, qui sépare la tumeur primitive de sa métastase dans la colon
, Il ressort des considérations énoncées par nous que l'on ne peut séparer d'une façon par trop systématique les nombreuse
moins semblable, sans qu'il existe vraiment une possibilité de les séparer par une classification rigoureuse. L'on doit di
igt), en haut jusqn'à la branche du maxillaire, en arrière elle est séparée de quatre travers de doigt de la ligne médiane, e
aisceaux sterno-cléido-mastoldiens se tendre. L'omoplate droite est séparée de la ligne médiane par une distance de cinq tra-
ur gauche en avant, l'épaule s'élève en même temps et l'omoplate se sépare du tronc comme une aile. Les mouvements de ce m
t d'autres). Cependant nous pouvons dire que la plupart d'entre eux séparent nettement les L'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDIT
existence qu'ils doivent afTronter, sont le plus souvent entretenus séparés et éloignés les uns des autres, et par conséquent
e de ces malades, c'est-à-dire de les éloigner de leur pays, de les séparer et d'in- tervenir moyennant des cures médicales
Leriche avaient pensé que certains achondroplasiques devraient être séparés du groupe d'une achondroplasie pathologique déri-
jusqu'ici, je résumerai brièvement les suivantes, en ayant soin de séparer les observations corroborées par les données anat
SUR LA LÉSION OSSEUSE DU MAL DE POTT 311 intervertébraux qui les séparaient l'un de l'autre, et d'avec leurs voisins : la v
aux autres comme dans l'os normal, mais disposées en tous sens, et séparées par des intervalles irréguliers. Si nous ajoutons
depuis la partie inférieure de l'abdomen (à moitié de l'espace qui sépare l'ombilic et la symphyse pubienne). Le malade res
de la peau depuis la ne jusqu'à la Ve vertèbre dorsale. Après avoir séparé le périoste des Ille et IVe vertèbres dorsales
n soulevant la tumeur, on peut se persuader qu'elle est tout à fait séparée de la moelle. Vers le haut et le bas la tumeur
plus la disposition caracté- ristique en couches,mais elles étaient séparées par des bandes cicatriciel- les. Les cellules a
la présence d'une couche granuleuse interne très bien indiquée qui sépare la troisième de la cinquième. Ensuite nous voyo
r deux régions dis- tinctes : l'une antérieure, l'autre postérieure, séparées entre elles,en gran- departie,par un sillon au
udé du côté gauche ainsi que la por- tion de la capsule interne qui sépare ces noyaux. Examen microscopique. Réaction et d
terminales du 3" intercostal (More)). De la branche antérieure se sépare le nerf perforant latéral qui, au 2e nerf inter
soudés entre eux, sans qu'il y ait trace d'exostose ; le disque qui sépare le système cervical de la première dorsale est tr
tend la coupe latéralement on voit : 1° que la masse néoplasique se sépare nettement du tissu nerveux ; 2° qu'au sein de l
résoudre. Ces deux opinions émises à des époques bien différentes, séparées par un espace de temps correspondant au plus gr
iatement en (, anesthésie médullaire». Quelque- fois cette zone est séparée de l'anesthésie médullaire par une zone de sens
ié. Les deux moitiés du trigone et de la cloison transparente étant séparées et chacune d'elles incluse dans l'hémisphère co
et le faisceau arqué ou longitudinal supérieur de Burdach ; il est séparé du cingulum par toute l'épaisseur du corps call
tapétum. Sur des coupes horizontales on voit que le noyau caudé est séparé du pied de la couronne rayonnante par un faisce
lésions méningées. L'écorce est remplie de petits kystes arrondis, séparés les uns des autres par un tissu conjonctif asse
tique,cependant que ces deux formes cliniques doivent étrenettement séparées par les caractères cliniques très nets qui les di
n d'accord avec M. Von Hansemann surtout en ce qu'il veut nettement séparer la microsomie essentielle de l'infantilisme, deux
aucun rapport avec l'in- fantilisme vrai. Quanta la microsomie, il sépare la forme essentielle, pure et simple, de la mic
omen. -Le ventre est arrondi, mais à peine proéminent; la ligne qui sépare le ventre de la région inguinale est très netteme
les s'enfoncent ensuite dans la substance cérébrale dont elles sont séparées par une ligne sinueuse, irrégulière, mais très
t bien développée et s'unit en arrière au lobule lingual ; elle est séparée des autres circon- volutions médianes par l'ext
e de lobules cylindriques superposés, dirigés d'avant en arrière et séparés les uns des autres par des sillons très superfi
e, mais dont les dimensions sont des plus variables. Ces îlots sont séparés les uns des autres par de grêles fascicules de fi
affecte donc la forme d'une cavité étroite à direction oblique qui sépare la tête du noyau caudé des circonvolutions de la
et finit par s'étaler sur la surface du noyau caudé dont elle n'est séparée que par la paroi ventriculaire refoulée et aminci
ère sur toute sa longueur à la surface du noyau caudé dont il n'est séparé que par une ligne fibreuse irrégulière représenta
onfond au-dessous avec la partie laté- rale du trigone, mais il est séparé de ce dernier sur la ligne médiane par un prolo
ve fermée en dedans la cavité du ventricule latéral. Le trigone est séparé du faisceau sagittal sur la ligne médiane par une
râce à la présence d'un sillon profond et relativement large qui le sépare du corps genouillé externe. Un petit foyer de r
lles du faisceau sagittal médian. Ce dernier est en- core nettement séparé du trigone sous-jacent par un sillon profond sur
oudées formant une espèce de cloison fibreuse légèrement arquée qui sépare le noyau caudé de la substance profonde du lobe
rbent en dedans et se terminent brusquement au fond d'un sillon qui sépare la lame terminale (ou le rudiment de la cloison t
énètre dans l'épaisseur de la paroi ventriculaire interne et sert à séparer le faisceau sagittal médian du pilier antérieur d
s vraisem- blable, c'est que sur les coupes suivantes le septum qui sépare le trigone du faisceau sagittal médian est remp
s toujours en côtoyant la face interne de ce ganglion dont elle n'est séparée que par un repli de la toile choroïdienne. Il r
de l'hémi- sphère, recouvre en dedans le corps du trigone et n'est séparé de la circonvo- lution limbique, qui surplombe
uvent facilement dans les cas d'agénésie et qu'elles sont nettement séparées du faisceau sagittal atypique. Les cas d'agén
les symptômes fondamentaux généraux de l'infantilisme nous porte à séparer ces cas nettement et sûrement du syndrome infan
phies que les épiphyses inférieures du cubitus et du radius ne sont séparées de leurs diaphyses que par une mince lamelle cart
40 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
sont ajoutées de grandes attaques convulsives, qui étaient souvent séparées par un espace de plu- sieurs mois. Ces attaques
e particulière de mélancolie anxieuse ; et quel intérêt a-t-on à la séparer ? Les auteurs ont bien signalé chez certains mé
olonté s'ouvrir et se fermer; leurs croisillons, recouverts de fer, séparent des carreaux assez étendus : chez les agités, o
pal annuel de la direction supérieure au roi, l'objet d'un chapitre séparé très étendu. Matin et soir, avant et après le r
adjoint, un étudiant. Le premier habite avec l'intendant une maison séparée . Un pasteur dessert l'établissement, sans y rés
plus souvent les deux dernières périodes de l'attaque hystérique séparent de telle façon les unes des autres les phases é
reste deux années, pendant lesquelles elle a trois séries d'accès, séparées les unes des autres par un intervalle d'environ
s l'intervalle de plusieurs semaines ou même' de plusieurs mois qui séparait les séries d'accès, l'état de là-malade n'e ? pi'
s circonvolutions ascendantes frontale et pariétale; en bas, il est séparé du corps strié par un lit de substance blanche de
brunâtre, et DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 157 un foyer ocreux a séparé la partie autérieure du corps strié des circonv
de 1 millimètre ; avant-mur entier, un peu rejeté en dedans, il est séparé du foyer par une légère couche de substance bla
ut de son', affection. D'un caractère difficile, cette malade s'est séparée d'avec son mari après quelques années de mariaâ
alis exieî,22us et ? ? ? ediiis (Weissbacli). Une incisure profonde sépare , en dehors, le lobule orbitaire de la troisième
t attri- bué à la scissure perpendiculaire (interne et externe) qui sépare le lobe occipital du lobe pariétal; aussi devra
continue aussi, d'après Ecker, la scissure inter-pariétale , mais sépare simplement la première circonvolution occipitale
l existe, avec la scissure précédente, pour aboutir au même but; il sépare , comme la deuxième scissure, la deuxième cir- c
poralis inferior sive tertius (Ecker). Commune aux deux lobes, elle sépare la première circonvolu- tion occipito-temporale
, dans sa moitié postérieure à la scissure des' hippo- campes, elle sépare la première circonvolution occipito-témpor rale
et demi de diamètre; elle était enveloppée d'une mince capsule, et séparée de la couche optique et, en partie, de la corne
cette théorie ne nous donne pas la clef de la grande différence qui sépare la substance blanche de la substance grise (aspec
ntes des mélancoliques et des fous systématiques; la différence qui sépare ces deux genres d'a- liénalion mentale réside d
orme un autre angle droit, par rapport aux ailes latérales, dont le sépare un étroit corridor. Chaque section possède soit p
essonltrcs propres. Il existe des salles de jour et des réfectoires séparés très ornés de gravures et de Heurs, même pour l
haque côté en treize cellules. Salles de jour et de travail partout séparées . Les corridors, qui occupent la partie interne
accès, huit mois. Il avait des étourdissements fréquents, au plus séparés par un jour d'intervalle. Dans un accès, il a eu
ement distincte avec un sillon assez profond, mais la seconde n'est séparée de la troisième qu'en avant. La première tempor
e, surmonte le corps calleux et tourne tout autour de lui. Elle est séparée de sa congénère du côté opposé par la faux du c
Broca) ; mais il est à remarquer que ce sillon est le plus souvent séparé de la scissure callosomarginale par un pont de
t n'a pas de raison d'être chez l'homme, la fissure calcarine étant séparée de la fissura hippocampi par l'isthme de la cir
ue de Broca, se composerait de deux circonvolutions concentriques séparées l'une de l'autre par le sillon du corps calleux d
ta- tion perpendiculaire. Le lobe pariétal se trouve complètement séparé , à la face externe, du lobe occipital, par un gra
u inverses. Au reste, les courants galvanique et faradique arrivent séparés à la surface du corps et l'on tient, sans plus de
appendu un petit noyau gros comme un noyau de cerise, qui se trouve séparé du premier par l'expansion membraneuse du toit
couverte propre à Munk, il en est d'autres où c'est en vain qu'on a séparé , qu'on a même détruit, à l'aide d'une cu- rette
ring s'occupera de continuer ses essais; il s'inquiétera surtout de séparer au point de vue chimique le principe actif de l
e ici. Les détails sont réservés à une autre place'. L'assemblée se sépare , après avoir choisi de nouveau Bade-les- Bains,
41 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
ns-nous qu'en bonne méthode, il importe de maintenir systématiquement séparés , — bien qu'à titre pro-visoire — les deux points
ieurs, l'histologie pathologique, dont l'histochi-mie ne saurait être séparée , n'a pas seulement pour but de restreindre le nom
e langage un peu emphatique du xvme siècle. Aussi les différences qui séparent la pathologie sénile de la pathologie ordinaire s
vue du développement histologique, l'athé-rome artériel (1) tend à se séparer profondément des formes habituelles de l'atrophie
ne sorte de chapelet de petits accès enchaînés les uns aux autres, et séparés par des intervalles de rémission. Dès les premi
énéraux continuent à offrir la même intensité, et les intervalles qui séparent les accès sont libres de toute manifestation morb
qui rapprochent la goutte du rhumatisme, et les différences qui l'en séparent . Mais, avant de descendre sur le terrain de la
ne était fracturée, il survint un accès de goutte : les frag-ments se séparèrent , des ulcérations se développèrent, les os furent
n prématurée des théories chimiques et physiologiques. — Nécessité de séparer les Faits acquis des hypothèses qu'on cherche à l
igu. — Son analogie avec le rhumatisme chronique ; différences qui le séparent de la goutte. —Rhumatisme aigu; rhumatisme subaig
ssortir les analogies et les différences qui les rapprochent ou les séparent des arthropa-thies de la goutte. Nous les étudier
là, sans contredit, l'une des distinctions les plus im-portantes qui séparent les deux maladies. On sait que le caillot d'une
une seule et môme maladie. Il n'en est pas moins indispensable de les séparer , car la na-ture et l'enchaînement des symptômes,
intenant vous rappeler les différences les plus caractéris-tiques qui séparent ces deux formes d'une seule et même affection.
rden, parce que cet auteur est le premier qui ait senti qu'il fallait séparer ces lésions de la goutte. ( Quelle est, » dit-i
x diathèses ; et cependant, malgré les profon-des différences qui les séparent et que nous nous sommes ef-forcé de faire ressort
termittentes; et c'est là encore un des ca-ractères différentiels qui séparent la goutte du rhumatisme articulaire. Dans la form
ants, ils se répètent environ une centaine de fois par jour. Ils sont séparés par un coma de plus en plus profond, des escharre
maul a mis le fait dans tout son jour. Sous la peau d'un membre ainsi séparé , au moins en appa-rence, du reste de l'organisme,
les mains fléchies, à peine celles-ci ont-elles dépassé le point qui sépare la flexion de l'extension, qu'elles passent brusq
lle pour établir qu'en nosologie, la goutte ne saurait être nettement séparée du rhumatisme. 11 nous paraît indubitable, d'aprè
synoviale est doublée d'une couche fibreuse, très résistante, qui la sépare des ligaments articulaires proprement dits. Cette
c précaution, nous rencontrâmes une couche épaisse, fibreuse, qui les séparait de la synoviale. Quand cette couche eut été cou
l'épaississementdes parois artérielles, et des cloisons fibreuses qui séparent les glomérules et les tubes. Il n'y avait pas dan
énéralement plus opaques que le reste du tissu. Ces granulations sont séparées les unes des autres par des vaisseaux injectés, q
minces préalablement lavées au pinceau, on voit dans les tractus qui séparent les canalicules urinifères de très nombreuses gra
soit dans le boire, soit dans le manger. Depuis deux ans, il a dû se séparer de sa femme et de ses enfants, et les renvoyer da
synoviale est doublée par une couche fibreuse très résistante qui la sépare des ligaments articulaires proprement dits. Cette
précaution, nous ren-contrâmes une couche épaisse, fibreuse, qui les séparait de la synoviale. Quand cette couche eût été coupé
ficiels, les nodosités du rhumatisme « ne constituent pas des tumeurs séparées » ( Hay-garth); elles font corps avec l'os dont e
écède, on voit que la présence d'un excès d'acide urique dans le sang sépare nettement la goutte, non-seulement du rhumatisme
aussi est chargée d'urate de soude qui, dans la vésicule du fiel, se sépare sous forme concrète. Ces faits de pathologie ex
dans l'intervalle des accès de goutte : « 1° Dans les intervalles qui séparent les pre-mières attaques de goutte, il n'y a pas s
nt leurs caractères réunis sur un même sujet. Les différences qui les séparent sont dans l'expres-sion symptomatique, non dans l
rent et versent les cellules qu'elles renferment dans les sillons qui séparent les fibrilles. Celles-ci s'isolent de plus en plu
bile est chargée d'urate de soude, qui, dans la vésicule du fiel, se sépare sous forme con-crète (note, page 329 du Traité de
prématurée des théories chimiques et physiologiques. — Nécessité de séparer les faits acquis des hypothèses qu'on cherche à l
igu. — Son analogie avec le rhumatisme chronique ; différences qui le séparent de la goutte. — Rhumatisme aigu; rhumatisme subai
42 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
chroniques et irrépa- rablement destructives. Les différences qui séparent ce mode de destruction aiguë de la première pha
'ongle suivant une section longitudinale, et la partie malade était séparée de la partie saine par un sillon longi- tudinal
e la Prusse orientale qui a décidé (1895) de réserver un pavil- lon séparé de la maison de correction de la province aux cri
dité de la guérison. R. DE lluscaavH CLAY. XIX. Sur LE traitement séparé des cas récents ET curables D'ALlÉ- nation MENT
e fois de plus sur les avan- tages de toute nature qu'il y aurait à séparer les aliénés curables de ceux dont la guérison n
inguer, ou du moins on ne s'attache pas et il n'y pas intérêt à les séparer . Ainsi vous vous rappelez un alcoolique chroniq
visent en deux catégories : les curables et les incu- rables ; pour séparer ces deux catégories, pour rendre la première à
criminalistes contemporains. On a souvent dit que la frontière qui sépare le crime de la folie est étroite et mal précisé
ition des troubles psychiques dans la fièvre typhoïde ; Kraepelin a séparé les états délirants qui se montrent après l'inf
des collaborateurs indispensables dont on voudrait n'avoir pas à se séparer . C'est alors que, de la façon la plus malencont
trois années de la durée des fonctions, il oblige les médecins à se séparer de ceux de leurs élèves qui s'adonnent sérieuse
médecine légale. Ces détails suffisent pour montrer la distance qui sépare , au point de vue des attributions, le corps des
. Armentières (Nord). Le quartier comprend un corps de bâti- ment séparé pour recevoir 100 enfants (50 de chaque sexe). Le
bord antérieur du ventri- cule latéral de la cavité duquel il était séparé à la fois par sa mem- brane d'enveloppe et par
cules cérébraux. Toutefois il existe des districts vasculaires bien séparés . » C'est ce que montrent les coupes transverses
ndelette optique dans l'hémisphère cérébral opposé, mais elles s'en séparent avant d'entrer dans la région du tubercule biju
oisement incomplet des fibres pupillaires dans le chiasma; elles se séparent des fibres optiques non immédiatement en arrière
faits pathologiques confirment que des fibres pupillaires marchent séparées des fibres optiques sur une certaine étendue du
ète les fibres pupillaires, dans le 'trajet où elles sont justement séparées des fibres optiques. Travaux -sur ce segment de
des vésicules et de leur contenu, des travées conjonctives qui les séparent , des vais- seaux lymphatiques, a été étudié par
épilep- tiques ; mais dans les grands centres, il est préférable de séparer ces deux catégories de sujets, dans la mesure d
la tétanie est une affection suffisamment dis- tincte pour qu'on la sépare des autres formes de spasmes muscu- laires (et
er de trace, et sans passer par la desquamation. L'inter- valle qui sépare ces poussées cutanées varie de quelques jours à
rale de celle-là est représentée chez l'homme par la scissure, qui sépare la circonvolution d'hippocampe du lobe temporal e
t au pôle occi- pital (comme troisième scissure occipitale) où elle sépare la partie externe de la circonvolution fusiform
sylvienne correspond à la scissure frontale externe de l'homme, qui sépare le lobe frontal externe de la circonvolution or
verticaux sur la, scissure nommée. Chez l'homme il y a un arc qui sépare la circonvolution quadri- latère de la circonvo
est en général rudimentaire. Un autre arc transversal est celui qui sépare la circonvolution quadrilatère du lobe occipita
lioré ; 4° sur la nécessité de fournir au personnel un « chez soi » séparé des salles de malades, et d'encourager les jeux d
lus simple semble, à première vue, de construire des établissements séparés pour chaque sexe, comme on l'a fait en France,
alades; ces pavillons devront être aménagés de façon à pouvoir être séparés en deux sections de 25. Au pre- mier étage, les
rce du cerveau. Ce tiers est formé de quatre territoires absolument séparés l'un de l'autre par des centres d'association :
elles forment des trousseaux à fonctions centrifuges et centripètes séparées . Quel rôle maintenant jouent les prolongements
anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 391 antérieur; elle n'est séparée de la commissure postérieure que par une mince
érieur est concave, par places sa partie moyenne manque et elle est séparée en deux tronçons. Dans toute la substance grise,
ment réservé aux épileptiques. Il a été créé dans le but louable de séparer complètement les épilep- tiques des aliénés. Sa
que chaque cellule nerveuse, chaque neurone, est un petit organisme séparé , n'affectant avec ses voisins que des relations
ent en un point de son prolon- gement cylindraxe, les deux portions séparées vont présenter des lésions, celle qui constitue
é. La portion sectionnée du cylindraxe y compris ses collatérales séparée du reste du neurone s'altère profondément, sa lés
ie générale des aliénés, a établi les différences histologiques qui séparent ces deux variétés, au moins dans la majorité de
[Père mort à quarante-huit ans (fusillé au fort d'Ivry) ; il était séparé de sa femme, aussi ne peut-on donner d'autres r
trousseau radi- culaire. Ces deux trousseaux ne sont pas nettement séparés l'un de l'autre ; au niveau de la face latérale
leur fin prochaine et se rappelaient leurs parents dont ils étaient séparés . La phase aiguë de l'attaque n'a pas empêché pr
un enfant se terminer par la mort, les parents s'étant refusés à se séparer de leur malade. Une question importante est cel
sujets anormaux. Il est important, au point de vue du pronostic, de séparer l'hystérie de certains états relevant de la dégén
43 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
ison des caries superficielles étendues, espèce distincte que Boyer a séparée à tort du mal vertébral, auquel elle appartient é
es de bossus qu'il faut distinguer à tout jamais. Les différences qui séparent ces deux catégories vont vous sauter aux yeux. Je
l double, triple ; je veux parler des foyers pathologiques multiples, séparés par des vertèbres saines. Je signalerai encore le
n, consistant dans la formation de collections purulentes entièrement séparées de l'ancien trajet et de la source primitive du p
mais bien sur l'éminence ilio-pectinée et dans l'échancrure qui la sépare de Tépine antéro-inférieure, comme on le voit sur
grand trochanter. Ce ligament croise le premier faisceau, dont il est séparé par le col du fémur, et s'oppose à l'ascension de
-ci est le plus bel échantillon que je possède; les deux cavités sont séparées par une arête bien apparente; la pseudarthrose es
e est moins longue et plus serrée ; ses deux extrémités ne sont point séparées par une portion intermédiaire isolée. Les trousse
ment de la capsule. En voici un exemple : vous voyez une vaste cavité séparée en deux par une arêle visible. Il est probable
u'à plusieurs pouces, mesuré d'ailleurs par la distance verticale qui sépare le centre du cotyle du point que la tête fémorale
ns, est pour ainsi dire en miniature ; quelques millimètres seulement séparent le centre de la cavité cotyloïde du siège de la p
compare la distance (1) Douzième leçon, 3 août 1855. 8. qui les sépare . Si le sujet est couché, par exemple, on dispose
ur les premières, et les deux pouces sur les seconds. La distance qui sépare les deux doigts de chaque main est très-différent
u grand trochanter résulte de ce que cette éminence osseuse se trouve séparée de la ligne médiane du corps, chez les sujets att
igts est placé fort en arrière par rapport à l'autre. La distance qui sépare le grand trochanter de la ligne médiane du coccyx
des affections chroniques du système osseux. Mais je désire ne pas me séparer de vous sans avoir au moins abordé l'histoire cli
s est plus dévié ; il atteint le milieu de l'espace qui, normalement, sépare le centre de la pupille d'un des angles de l'œil.
r le pied bot. Nomenclature. — Malgré les grandes dissemblances qui séparent le pied et l'organe de la vision, on peut cependa
ppeler pieds larges les pieds plats de la première espèce, aûn de les séparer nettement de ceux qui ont un si grand rapport ave
iviser. Sa saillie postérieure, en le plaçant sur un plan tout à fait séparé , l'isole des vaisseaux et des nerfs profonds. Sa
ire se trouve ainsi divisée en plusieurs lames de substance compacte, séparées par ce tissu aréolaire. L'os devient alors plus l
à grand axe longitudinal. Ces îlots finissent par former des boyaux, séparés par des traînées transparentes, amorphes, dont le
es parois; de là la longue persistance des intervalles membraneux qui séparent primitivement les os du crâne. Or, comme le cerve
mais les rayons osseux eux-mêmes sont décomposés en petites aiguilles séparées par des intervalles membraneux. Ce fœtus, présent
genou gauche fortement dévié en dedans. Une longueur de k centimètres séparait le côté externe du genou d'une ligne droite tirée
, serrées les unes contre les autres ; les apophyses transverses sont séparées par des intervalles moins étendus ; les apophyses
oupée encore plus obliquement qu'à l'ordinaire, et le ligament qui la sépare de la (1) Journal des difformités, a0 2, 1825.
ervation inédite. tervalle des pariétaux. Les pièces de l'occipital séparées laissent entre elles un écarternent occupé par le
suspendus sous la tête à des os iliaques imparfaitement développés et séparés du sacrum. D'autres anomalies compliquent ces dés
vertébrale ainsi repliée artificiellement, on voit les deux courbures séparées par une portion intermédiaire, presque droite, qu
lle-même une courbe, mais seulement du côté où elle existe : aussi ne séparerai -je pas ces deux états dans la description. Le s
ements de figure qu'on n'aperçoit distinctement que sur les vertèbres séparées . Prenez au hasard une colonne vertébrale d'adulte
ion, qui appartiennent à la fois aux deux courbures inverses qu'elles séparent . La partie supérieure de la vertèbre est attirée
à ces influences que la colonne postérieure, dont les os ne sont pas séparés par des couches flexibles et compressibles. De là
ne aussi rapprochée que possible de la ligne droite, l'intervalle qui sépare leurs insertions opposées. Là où les attaches dev
e. Vus en avant, les moignons des deux épaules, les sillons qui les séparent de la poitrine, sont rarement parfaitement symétr
t du tronc; il est, au contraire, échancre à gauche, où le bras reste séparé du côté correspondant par un intervalle plus ou m
le tra pèze d'Amoros, — un bâton semblable dont les cordes restent séparées et éloignées jusqu'à leur attache, — fournissent
ément. Je ne vous parlerai que pour mémoire d'un sommier à plateaux séparés imaginé par Shaw, modifié par Pravaz, qui avait c
lité des fausses côtes et de la sensibilité des parties molles qui la séparent du rachis. S'il y a deux courbures égales, on e
44 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
naître l'attitude d'un segment, c'est connaître les distances qui le séparent des autres parties du corps. La perception d'un
embre évoqueront alors, par association, l'usage de la distance qui sépare telle partie de ce membre d'autres parties plus
cubes qu'elle comporte. J'aperçois que la fenêtre et la table sont séparées par une certaine distance, mais aucune distance n
able sont séparées par une certaine distance, mais aucune distance ne sépare mes deux perceptions de la fenêtre et de la tab
nt en s'amincissant vers la ,l scissure de Sylvius, dont elle n'est séparée que par un pont de substance de 2 centimètres e
le plus important, existe près de la surface médullaire, dont il est séparé SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE 91 1 par un pont
ntres. 1 Wilbrand avait émis l'hypqthèse qu'il existait des centres séparés pour les couleurs, la lumière et les formes. Bu
ste que trois orteils, le gros orteil bien développé et deux autres séparés du premier par un assez large intervalle. A gau
essemblant au grand trochanter. Sur la radiographie un espace clair sépare cette masse du plateau tibial dont elle est ain
eur ils conver- gent dans un seul et même ganglion. Ils en sortent- séparés et se distri- buent normalement. Le grand hyp
il vient se jeter dans le ganglion des nerfs précédents, puis s'en sépare et se distribue à la langue sans anomalie. La d
au niveau du ganglion commun était possible, mais à la condition de séparer ce ganglion lui-même en plu- sieurs parties ; c
Tantôt elles sont complètement isolées, incurvées sur elles-mêmes, séparées de leurs voisines par un feutrage épais de fibr
lles ; tantôt elles sont placées parallèlement les unes aux autres, séparées seulement par quelques fibrilles allongées dans
e lymphatique, des lésions d'oedème. Les fibrilles y sont écartées, séparées par espaces clairs remplis par une masse homogè
oré. La coupe D,II, intéresse deux portions distinctes de la tumeur, séparées par la corne postérieure droite.- La portion qu
ié en effet un cas de gliomes nettement limités, et capables d'être séparés complètement par des moyens mécaniques des tissus
ellules en voie de fonte muqueuse et de chroma- tolyse ; elles sont séparées par quelques larges bandes conjonctives. On rem
prolongement intraventriculaire), un aspect de cordons épithéliaux séparés par des vaisseaux sinueux assez régulièrement d
e du milieu proéminent. Les deux sourcils forment deux arcades bien séparées . Il n'y a pas d'anomalie des yeux, l'iris est g
r et de constituer pour réunir des phénomè- nes importants que l'on sépare trop souvent les uns des autres. Un symptôme is
dans sa contraction. Les deux bras étant en croix, la gouttière qui sépare le biceps du brachial antérieur et du coraco-br
paralytiques dans le tabès; cependant Topinard croit que l'on peut séparer une forme cérébrale de cette maladie, distincte d
vent infiltrés et épaissis. En certains points la méninge est comme séparée de l'écorce de la moelle par des couches de fibri
ules qui revêtent les parois du canal épendymaire sont détachées et séparées des parois par une substance fibrillaire qui se
caractères importants nous semblent être tout à fait différents et séparer cette akathisie de celle que l'on peut observer
qui se développe quand il est assis. Aux caractères précédents qui séparent cette akathisie d'une simple para- lysie systém
léchisseurs du poignet étaient absolument intacts, mais ils étaient séparés par un tissu cellulaire très lâche dans lequel
ant indiquer, dans ce point, une prolifération des éléments nerveux séparés de leurs centres médullaires. 2° La persistance
ylindraxes nus forment les amas grisâtres plus ou moins étendus qui séparent ou entourent les fibres larges. Dans chaque fai
, tantôt assez espacées. Dans ce dernier cas, le tissu rosé qui les sépare n'est pas uniquement du tissu conjonctif comme
Neurone. Selon la loi de Waller, le bout pliéi-iphérique d'un nerf séparé de son c tre trophique dégénère et disparaît; l
rf. A l'autopsie pratiquée quatre ans après, les deux bouts étaient séparés par un espace de 17 centimètres. Le bout péri
99). Philippeaux et Vulpian. - Rech. expér. sur la régén. des nerfs séparés des cen- tres nerveux (Soc. de Biol., 1859 et J
e petites vésicules présentant ou non un petit point colloïde, sont séparées ! par un tractus conjonctif assez épais. En un
ngue. La première prémolaire ne présente plus que ses deux crochets séparés par un bourrelet de gencive ; la couronne a dispa
par un bourrelet de gencive ; la couronne a disparu par frag- ments séparés par la carie et détachés par les pressions de la
durée; d'un autre côté, il est indispensable, pensons- nous, de le séparer aussi de la paranoia alcoolique chronique, où il
IW.-P. Serbsl (1.) : « La psychopathologie légale ». Cet auteur ne sépare pas le délire alcoolique continu de la paranoïa a
temps l'apparition du délire alcoolique continu, tantôt ils en sont séparés par un intervalle de lemps très court. A noire
45 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
toute la largeur du bâtiment,l'atelier de menuiserie ; à gauche, séparés par un couloir, l'atelier destiné à la charronner
a tonnellerie et l'amer de serrurerie. Ces différents ateliers sont séparés par des cloisons vitrées avec impostes qui faci
t des bureaux pour les maîtres. Enfin, à l'extrémité du couloir qui sépare l'atelier de vannerie de l'atelier d'imprimerie
s encore com- mencé à ruminer au bout d'une heure. L'intervalle qui sépare le repas du début de l'acte est certainement so
ment de la rumination. Quoi qu'il en soit, l'espace de temps qui la sépare du repas peut varier de quelques minutes à une
trique : la deuxième molaire gauche est détruite. Oreilles grandes, séparées de la tête, bien ourlées ; lobule détaché. Cou
s infructueux. Au début de la rumination, les gorgées ne sont guère séparées que par un intervalle d'une minute ; mais, à me
efois, que le malade ne mangeât plus rien après. L'intervalle qui sépare les gorgées varie aussi aux différents moments
confondus; son insertion, petite, se fait au fond du sillon qui la sépare de la front.ale ascendante. Entre son extré- Bo
adrilatère, en ce sens qu'un sillon assez superficiel d'ailleurs le sépare de la partie postérieure de ces deux circonvoluti
dont les branches descendantes aboutissent au corps calleux et sont séparées par un sillon assez profond qui, lui aussi, abo
ter sont les suivants : dans les cas particuliers, l'intervalle qui sépare le renvoi des substances ruminées au moment de
re une dilatation uniforme; mais une couche encore assez épaisse le sépare du foyer. Hémisphère gauche. - Les circonvoluti
cette apparence, c'est que : 1° en certains points il est facile de séparer cette membrane de la dure-mère qui semble alors
quelques plis de passage. A son origine, la scissure de Sylvius est séparée de la scissure inter-hémisphérique par un inter
qui forment deux groupes (L M, L P). Un sillon assez profond, s s, sépare les deux groupes, tandis que les circonvolution
andis que les circonvolutions qui constituent chaque groupe ne sont séparées que par des sillons superficiels. Hémisphère dr
insula. - P, protubérance. z B, bulbe. M, moelle. s s, scissure qui sépare LM de L O. - f h, indique le foyer hémorrhagiqu
la division que nous avons indiquée; elles sont bien plissées et séparées par des sillons assez profonds; leurs attaches
es, transversalement placées, très adhérentes au tissu sous-jacent, séparées les unes des autres par des intervalles dans le
46 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
n même temps que de la graisse s'accumule dans les intervalles qui le séparent (2). Les observations de M. Vulpian ont donné des
ent à la suite des lésion» passives des nerfs moteurs ou mixtes ne se séparent pas essentiellement, au point de vue histologique
té est loin d'être définitivement éteinte dans les nerfs complètement séparés du centre nerveux, puis-qu'ils peuvent se régénér
t au voisinage immédiat des cellules que dans les intervalles qui les séparent , dételle sorte que ces dernières paraissent comme
quelquefois confondue, bien à tort, dans la clinique. La première se sépare cependant nette-ment de la seconde par les caract
devenir le point de départ de véritables eschares; mais ce dernier se sépare nettement des premières par des caractères import
M. Gubler, pourrait être désigné sous le nom à'astasie musculaire, se sépare nettement de l'état dans lequel ce ne sont pas se
mentionné « le tissu cellulaire séreux extrêmement délié qui unit et sépare les fibres cérébrales et qui forme une trame exce
ement contigus, et qu'ils sont, au contraire, plus ou moins nettement séparés les uns des autres, par une substance d'apparence
us fines. Ce réseau est d'ailleurs disposé sous forme de cloisons qui séparent les uns des autres les tubes nerveux et les entou
li par un liquide transparent, où flottent quelques éléments figurés, sépare , vous le savez, cette gaine delà tunique adventic
portant une plaque de sclérose, il semble que les parties ma-lades se séparent des parties saines d'une manière heurtée, sans tr
s nerfspériphériques alors que, par une section complète, ils ont été séparés des centres nerveux. Au préalable, je vous rapp
euses. — b, vaisseau coupé transversalement. La tunique adventice est séparée de la gaîne lym-phatique par un espace vide, les
r les coupes transversales, elles constituent çà et là de petits amas séparés en îlots, qui correspondent assez exactement au s
mettre à même de distinguer les caractères à l'aide desquels on peut séparer la sclérose en plaques cérébro-spinale des maladi
e comparaison. (B.) (Voyez I'Appencice, n°III.) permettrait déjà de séparer cliniquement la sclérose multilo-cnlaire des cont
, qui durent quelques heures, et parfois quelques jours, sont d'abord séparés par des intervalles plus ou 1. Erbstein a relai
s tristes événements que vous savez Au moment où nous avons dû nous séparer , par une appli-cation de recherches préalables co
t en pareille circonstance. Les deux moitiés du corps étant supposées séparées par un plan antéro-postérieur, tout un côté, — fa
plus communes. La netteté avec laquelle les parties anesthésiées sont séparées des parties saines est encore un caractère impor-
e la cou-che optique. Dans sa portion la plus large, le foyer n'était séparé que de trois li-gnes de la queue du corps strié.
prédécesseurs. Or, il n'en est rien, et xroici où est l'abîme qui les sépare . Tandis que MM. Schutzenberger, Piorry et Négri
pareil cas, ajoute-t-on, les accidents convulsil's restent distincts, séparés , sans s'influencer réciproquement d'une façon not
mple qui lui est personnel et dans lequel les accès étaient nettement séparés . Chez les ma-lades de cette catégorie, l'intellig
ieurs, au point délicat. En quoi cette hystérie à crisescomjplexes se sépare-t -elle de l'hystéris ordinaire, si elle s'en sépare
isescomjplexes se sépare-t-elle de l'hystéris ordinaire, si elle s'en sépare réellement? En quoi se rapproche-t-elle de l'épil
s que la mort s'en soit suivie, ne montre-t-elle pas déjà qu'un abîme sépare Tépilepsie vraie de l'hystéro-épilepsie ? — « Si
ttiré l'attention sur elle. On sait que M. Charcot s'est efforcé de séparer nettement la paralysie agitante d'une autre malad
vent prise à la suite de ses attaques et dans les intervalles qui les séparent de contracture des membres qui persistent pendant
noyau intraventriculaire du corps strié droit. (Elles sont multiples, séparées par des espaces sains; quel-ques-unes sont profon
e ces affections et les douleurs ful-gurantes, 76 ; — différences qui séparent l'ataxic du tremblement de la sclérose en plaques
enne, la paralysie et la con-tracture, 304 , 330. — Caractères qui la séparent de l'hémianesthésie de cause encéphalique, 306, 3
Trismus, 287. Troubles trophiques. Siège, 4. — Différences qui les séparent des lésions passives, 8 ; — consécu-tifs aux lési
47 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
t et viennent émerger sur le côté interne des pédoncules cérébraux, séparé du chiasma optique par la lige pituitaire et le
Entrecroisement des pyramides. Ensuite se trouve dans le sillon qui sépare la protubérance du bulbe, près de la ligne médi
contrairement à ce que l'on constate fréquemment, la verticale qui sépare le champ de perception du champ de non-percep-
centres moteurs corticaux sont anatomiquement et physiologiquement séparés des centres sensitifs. La clinique nous apprend e
vec les éléments moteurs, et ' constituant des centres distincts et séparés ? Je ne connais pas un faisceau d'observations
dépendance des pièces osseuses. Une intervention, ayant pour but de séparer les doigts accolés, n'aura'de valeur que si cha
sente du côté du métacarpien une double surface articulaire concave séparée par une crête. Le qua- trième métacarpien s'art
que le corps ébauché de ce métacarpien est dirigé dans l'espace qui sépare le 5e du 4e métacarpien, du côté de ce dernier
ntaire affectant une semblable disposition. Dans l'intervalle qui sépare le 4e du 51j métatarsien, on aperçoit un ru- di
pas dire pour cela un centre d'association. M. Bourdicault-Dumay sépare nettement au contraire le sens sléréognos- tiqu
servent aux fonctions psy- chiques ne seraient pas groupés en ilots séparés , mais au contraire sillon- neraient en tous sen
'association comme les neurones de projection sont groupés en ilots séparés et par conséquent accessibles aux recherches ana-
un dû à Heubner dans lequel la sphère auditive gauche intacte était séparée de toutes les parties voisines supérieures, pos
mais la lésion n'atteint pas la périphérie de la moelle ; elle en est séparée par la zone limitante de la corne postérieure.
a des- cription. Dans un travail ultérieur, M. Brissaud a nettement séparé les deux types qui se distinguent entre eux non
s insertions, leurs faisceaux, leurs reliefs el les méplats qui les séparent . (l'l. XLV.) L'ensemble de ce petit homme repré
e les rondelles épiphysaires des phalanges sont encore très minces, séparées des corps osseux, et non renflées sur leurs bor
côte il côte montrent clairement que, malgré les 13 années qui les séparent , l'infantile et l'enfant en sont à peu près au
s, sans un poil sur tout le corps. Et la différence essentielle qui sépare les deux malades apparaît dans toute son éviden
ès soigné sur la question (1869). Le pre- mier, il eut le mérite de séparer du groupe des ostéomes multiples de Virchow, le
and nombre de coupes transverses de fibres, aussi bien que là où il sépare isolément les fibres les unes des autres, le ti
uscle offre des ossifications, celles-ci forment souvent des noyaux séparés donnant au muscle un aspect moniliforme. Certai
rent la chéloïde vraie et la chéloïde blanche. En 18G7,ni)ton Fagge sépara nettement la morphée, dont il fit un type disti
et avait l'aspect d'une lanterne rosée. Tous les os crâniens sont séparés , de sorte que, par exemple, entre les os pariét
u'elle était composée de deux feuilles, que l'on pouvait facilement séparer l'une de l'autre. Toute la cavité du crâne, éta
accu- muleentre ces deux feuillets delà dure-mère, les feuillets se sépareraient 'l'un de l'autre, l'un d'eux irait recouvrir la
s mentionné plus haut, en deux feuillets, qu'on pou- vait librement séparer l'un de l'autre; ce fait a été confirmé aussi par
ue se porte vers la partie la plus reculée du sillon horizontal qui sépare la protubé- rance du bulbe; là il se termine pa
es lésions labiales, nettement syphili- tiques, qui obligèrent à le séparer de sa nourrice. Ces accidents guérirent com- pl
(Pl. XXXV,3). On voit donc que l'examen histologique permettrait de séparer , dans un cas douteux, l'atrophie d'un membre pa
s grande partie de leur étendue sous forme de travées transversales séparées par du tissu sain. Même état du bord interne du d
rection des fibres du trapèze en se dirigeant en bas. Le trapèze se sépare cependant facilement de cette masse. Un peu au-de
mi-cuisse et recouverte par le droit antérieur, dont elle se trouve séparée par une épaisse aponévrose. La partie inférieur
ère ; ,l'ankylose se fait par étapes ; et ces étapes sont nettement séparées dans le cas de Baumler, moins dans le nôtre.
oreille droite est plus développée que la gauche et la distance qui sépare la commissure buccale du tragus est de 3 pouces 8
Selon l'é- poque à laquelle commence le processus pathologique qui sépare le cer- veau de la moelle épinière, l'aspect de
tête inclinée à droite ; membres supérieurs recourbés ; les coudes séparés des parties latérales du tronc. Tumeur osseuse à
en et à la portion supérieure du trapèze. A cet égard, on peut donc séparer le tiers supérieur des deux tiers moyen et infé
diculaires ou médullaires ? La distance, re- lativement grande, qui sépare le plexus cervical du plexus brachial semble co
'autant moins qu'on se rapproche davantage du côté droit ; elle est séparée du menton qui parait déjeté à droite, par un si
e interne est creusée de sillons profonds dirigés en divers sens et séparés les uns des autres par des surélevures de dimen
un plus grand nombre dû coupes transverses de fibres, que là où il sépare les fibres les unes des autres, il y a une prolif
surtout à gauche, on sent un épaississement périostique sans noyaux séparés . La portion acromiale du trapèze est dure, fibr
de à un régime alimentaire spécial pendant deux périodes de six jours, séparées par une troisième de trois jours de jeun durant
ce maître, il le fil sans regret. aucun prix il n'eût consenti à se séparer de sou Jan Steen. Il n'était pourtant pas ins
48 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
vertébraux qu'elle attaque, et des disques intervertébraux qui les séparent ; les troubles nerveux sont, le plus souvent, co
it ar- rêtée par le contact immédiat des deux bourrelets uniquement séparés par un espace linéaire. Sur le col du fémur d
de la colonne zertébale,dans lesquelles des lésions de ligaments se séparent par des ossifications saillantes. C'est ainsi que
YCHIQUE 51 D'abord, dans ce travail de délimitation, il convient de séparer de l'infan- tilisme le féminisme et l'androgyni
ui a son importance, puisqu'il permet, dans une certaine mesure, de séparer ce qui appartient au myxoedème, c'est-à- dire a
. 117 118 FÉRÉ Fig. 1. Les deux ergogrammes de l'expérience II séparés par 18 minutes de repos avec les lunettes (rédu
ion photographique). Fig. 2. Les deux ergogrammes de l'expérience V séparés par 18 minutes de repos avec le lorgnon (Même r
un cercle, faiblement relevé au-dessus de la convexité du globe et séparé par un petit fossé à la limite du limbe scléro-co
lle parlait très vite et tous ses mots se confondaient. Depuis elle sépare bien ses mots, mais il est des jours où la paro
as entrer et les deux autres étaient dans deux bâtiments différents séparés par des grilles et des cours. Il ne peut pas êt
e et pariétale ascendantes, un autre envahit le pôle temporal qu'il sépare presque totalement du lobe pariéto- frontal. Pl
de l'insula et de la première temporale, envoie un prolongement qui sépare la circonvolution pariétale ascendante de la pa
be fronto-pariétal est formée surtout de fas- cicules plus ou moins séparés les uns des autres, dont les fibres affectent une
dant aux noyaux centraux et à la capsule interne, dans l'angle qui sépare le corps genouillé externe (et plus en avant, l
e la circonvolution de l'hippocampe et la cloison ventriculaire qui sépare la corne d'Ammon de cette même circonvolution.
ci dans une certaine mesure. Nous admettons donc l'impossibilité de séparer ces deux ordres de fibres sur des préparations
ui de « faisceau géniculo-calcarinien ». 2) Ce faisceau doit être séparé des fibres d'association qui envahissent cons-
par des gonflements irréguliers, espacés de distance en distance et séparés par des intervalles sains, ou bien rappro- chés
tion dont est mort le sujet ; ici encore, la seule diffé- rence qui sépare l'état pathologique de l'état sain réside dans la
ort à un cerveau normal : 12,9 ; 8, 5 ; 4,3. Inversement l'espace qui sépare le ventricule de la périphérie est plus petit q
t reconstituer son passé pathologique, de faire le diagnostic et de séparer cette affection des syndromes qui peu- vent plu
cachexie. Il nous semble inutile d'insister sur les différences qui séparent la pa- raplégie par rétraction du vieillard des
musculaire de 5 à 6 milli- mètres d'épaisseur, dont les fibres sont séparées par des stries jaunes. Les muscles les plus scl
ses fibreuses, et du tissu cellulaire lâche, facile à disséquer, la séparait des racines postérieures. Dans tous les cas, sa
que les ressemblances superficielles, les différences profondes qui séparent l'évolution que nous venons'de voir, de celle du
e. A la partie supérieure où les bourgeons n'adhèrent pas, ils sont séparés par une mince fente, remplie de tissu fibreux.
sont fixés de part et d'autre sur la face profonde de la dure-mère, séparés l'un de l'autre par 2 à 3 millimètres. Racines
ent que tracer des lignes informes, d'au- tres écrivent des lettres séparées ou coordonnent des syllabes; d'autres enfin arr
scussions entre les partisans de la théorie dualiste (P. Marie) qui séparent nettement les deux affections, et les partisans
t si intimement confondus qu'il est véritablement impossible de les séparer . Quelques-uns de ses amis, presque tous médecin
peut voir plus ou moins bien les neurofibrilles de l'axone souvent séparées par des vacuoles et comme chassées vers la péri
ECHERCHES SUR LA IIÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 427 Ces colonies sont séparées par des cellules mono et polynucléaires. La plupa
ice, comme dans la précédente, les cordons de fibres nerveuses sont séparés par des tractus de tissu conjonctif formés de l
coupés transversalement. Ces faisceaux isolés ou par groupes, sont séparés par des tractus de tissu conjonc- tif, fibreux,
, une vieille, sans doute, est suspendu à son côté. Par derrière el séparé de lui par un petit enfant à longue robe,, se d
-ci procède par zones, des petits groupes de fibres atrophiées sont séparés par des groupes de fibres normales, et le champ d
d'autres endroits elles sont groupées par fascicules, ou isolées et séparées les unes des autres par un tissu cellulaire lâc
e chaque fascicule un anneau scléreux, dense. Les fascicules sont séparés entre eux et de l'épinèvro par un tissu fibreux
ci est relative- ment moins dégénéré en avant, et en arrière il est séparé de la périphérie par une mince bande de fibres
rculeux ; 2° l'autre occupe la partie médiane des cordons de Goll ; séparée par une bande de tissu sain de la précédente, ell
surprise, les opinions de 1901, bien que sensiblement modifiées, se séparent très nettement des nôtres. En effet, il est que
des fibres de projection (mais que en 1895, on avait soigneusement séparées du faisceau longitudinal) destinées aux ganglio
ent de nouveau en deux couches plus ou moins régulières. Elles sont séparées ça et là, par des îlots de substance grise qui
ébral devient frappante lorsque la substance innominée le Reicliert sépare le globus pallidus du pied de notre pédoncule de
a capsule interne en arrière et au-dessus du faisceau optique qu'il sépare du faisceau pyramidal et concourt également à for
ses ponto-cérébelleuses, de même le faisceau optique central est-il séparé de- l'épendyme ventriculaire par l'épais tapétu
, ils siègent dans des régions embryologiquement distinctes et sont séparés par toute la largeur du pédoncule cérébral. La
ntre le corps genouillé et la zone réticulée), pédoncule; mais sont séparées du faisceau de Tûrck et de la voie pyramidale p
ganglions de la base ou des noyaux du tronc encéphali- que. Elle se sépare au niveau du pédoncule, des fibres corticales des
49 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
res, ciragier; - 3° bains de pieds. Ces différentes pièces seraient séparées par des cloisons. La fenêtre vitrée à l'extrémi
ud sera transformée en porte. Ces deux services seront complètement séparés de la partie centrale affectée au service du ch
tement par leurs angles, et il résulte, du léger intervalle qui les sépare , des issues d'autant plus rapides à la violence
circonvolutions. Au contraire, la frontale ascendante est nettement séparée , des précédentes par le sillon prérolandiclue.
la face externe et la cavité du ventricule latéral sont adjacentes, séparées par deux feuil- lets, l'un externe, visible sur
nce de son fils, très coureur, P.'Vcès de bois- son; sa femme s'est séparée de lui. - Mère, strabisme intermittent. - Deux
mer la deuxième circonvolution frontale (Pr,. IV, F2), nette-. ment séparée de la première par le premier sillon frontal, m
tie moyenne de son bord inférieur, coupant en deux le sillon qui la sépare de la troisième frontale. Cette dernière prend
deuxième se dirige parallèle- ment à elle en arrière ; elle en est séparée par un sillon antéro- postérieur très net pour
es circonvolutions temporo-occipita- les, pa. Un deuxième silion la sépare de la deuxième pariétale. Le sillon 272te1'-na)
rien de particulier. Trois petites circonvolutions occipitales sont séparées par deux sillons qui se continuent avec les sil
, se dirige en bas et en avant, paral- lèle à la scissure de qui la sépare du lobe frontal jusqu'au bord inférieur de l'hé
eint égale- ment trois cent, de largeur, tu ; un sillon très net la sépare de la circonvolution précédente, Tl. Ces deux c
s caractères habituels : peu limité eu avant, il est très nettement séparé en arrière du lobe occipital par la profonde sc
é variable ; en un mot un kyste, ou mieux encore un ]Jseuclo-hyste, séparé du ventricule par une épaisseur plus ou moins g
nce. C'est encore là une différence et non la moins importante, qui sépare ces deux genres de lésions. Quel est le proce
cès portaient sur le vin et l'alcool. - Mère, encore vivante, s'est séparée de son mari à cause de ses excès ; elle est suj
ieures ont effectué leur éruption. Un large interstice dentaire les sépare , dû à la courbure anormale du maxillaire inféri
araissent tassées les unes contre les autres. - Les sillons qui les séparent sont assez profonds. Les circonvolutions du l
ères sont peu saillantes. Sourcils clairs, châtains, peu fournis, séparés par un intervalle de 15 millimètres. Paupières no
50 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
le quand il s'agit d'enfants : leurs lits se trou- vent ainsi mieux séparés , ce qui évite de sérieux (1) L'argument princip
roduisent l'hystéricisme, et, dans quelque cas, l'épilepsie, qui se sépare définitivement et se distingue de l'éclampsie du
terne est assez bien marquée. Los sourcils, assez peu fournis, sont séparés à leur extrémité interne par un intervalle de 3
Description DU cerveau. 115' développé et offrant des digitations séparées par des sillons ' tout à fait superficiels. Le
lando presque rectiligne Fig. 8. H6> Description DU cerveau. sépare très distinctement FA de PA. Celle-ci est rectili
lobe pariétal inférieur. Le lobe pariétal supérieur, très nettement séparé de l'inférieur par la scissure intra-pariêtale,
ndiculaire externe, nettement accusée et ayant 2 cm. 5 de longueur, sépare le lobe pariétal supérieur du lobe occipital. L
ticales. Le lobe temporal présente une scis- sure très profonde qui sépare T1 de T- et qui vers la moitié de T1 forme une
u lobule paracen- tral. Ce dernier est bien développé et netteimiit séparé des parties voisines; l'encoche du sillon de It
plis de passage ; la circonvolution de l'hippocampe est nettement séparée de celles-ci par une scissure très longue. La cir
hère offre des scissures très profon- des, des circonvolutions bien séparées , peu compliquées. Hémisphère cérébral gauche. L
toujours simples. Face convexe. Lobe frontal. F1, plus nettement séparée à son origine que sur l'autre hémisphère, offre
e pariétal supérieur. Le lobe pariétal supérieur est très nettement séparé de l'inférieur par la scissure intra-jiariétale
loppés, la cavité digitale est profonde. Le grand trochanteo est séparé , à sa base, par une fissure et de la tête de l'os
lon le projet de M. le Dr Paul Sérieux, en une dizaine de pavillons séparés , possédant chacun un surveillant responsable, i
e et classer les buveurs en catégories, isoler les indisciplinés, séparer les améliorés qui peuvent sortir librement de ceu
ou ne sera-t-on pas amené, tout au moins, à construire des ateliers séparés , d'un côté pour les femmes alcooliques, et de l
51 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
roses coexistent sur le même sujet et se manifestent par des crises séparées (Charcot) '. Les manifestations psychiques de
l'hystérie bien étudiées par M. Legrand du Saulle méritent d'être séparées en deux groupes bien distincts. Les unes, qui n
une place chronologique fixe dans l'attaque, dont il ne peut être séparé . Ce délire, qui fait partie de l'attaque, est le
LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 15 Le vice, le crime et la folie ne sont séparés que par les préjugés sociaux ; ils sont réunis
psych.. 1869, t Il, p. 197, 369.) 1 Mobius. Ueber neruose familien ( Séparât , aber. aus der Zeilschrift f. Psychiatrie, Bd.
adrilatère, en ce sens qu'un sillon assez superficiel d'ailleurs le sépare de la partie postérieure de ces deux circonvoluti
cendantes aboutissent au DU MÉRYCISME. t 13 corps calleux et sont séparées par un sillon assez profond qui, lui aussi, abo
ter sont les suivants : dans les cas particuliers, l'intervalle qui sépare le renvoi des substances ruminées au moment de
me qu'à la section du tractus npticiis correspondant. La limite qui séparait la partie lésée de la partie saine du champ vis
tière, de la force, de la vie. Nous sommes absolument incapables de séparer la matière de la force qui en produit les manif
at d'élaborer le nouveau projet de loi sur les aliénés, avant de se séparer , à la fin de juin dernier, avait pris la résolu
limite anté- rieure du ventricule latéral; à cet endroit, il n'est séparé de la cavité ventriculaire que par l'épendyme f
lais, de la creuser en gouttière. Pourrait. prononcer les consonnes séparées , mais DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 171 1 non
Gairdner2, Musgrave3, Guil- bert\ etc., nous paraissent devoir être séparées des manifestations nerveuses de la goutte, parc
'origine vasculaire qui se diffusent sans respect des barrières qui séparent les divers systèmes physiologiques'. 1. Il es
ement pendant quelques secondes ou quelques minutes. Ces accès sont séparés par des intervalles variables de quelques minut
tre le zoster et les éruptions zostériformes, toute la distance qui sépare et toute la différence qui distingue une mala-
s considérations deDuval et Raymond sur l'existence de deux centres séparés , pour la langue sont confirmés par les recherches
uées au premier étage; mais on y rencontre aussi quelques, chambres séparées pour malades de la première classe ainsi que de
contenue dans, un , pavillon .émergeant ( d'un corridor dont il est séparé par une antichambre, c'est-à-dire par une doubl
que con- fusément, de ne plus les reconnaître, et qui se sentent séparés , comme par un voile, de la réalité ob- jective.
sa portion antérieure, est hypérémiée, trouble et oedémateuse et se sépare facilement de la substance cérébrale ; dans l'e
s forme purement inflammatoire. Ces deux cas marquent la limite qui sépare le processus inflammatoire de la genèse des néo
e, chez un fondeur par exemple ou un boulan- ger ou un forgeron, de séparer l'élément haute température de la profession qu
ique l'état mental de la plupart d'entre eux; 3° dans des quartiers séparés de colonies. L'expression de jeunes épilep- tiq
cultés n'ont pas pas subi d'atteinte considérable sont complètement séparés des idiots, mais. sans habiter avec ces dernier
ns sont le terrain de ces altérations. L'écorce est alors nettement séparée de la subs- tance blanche par une zone de dégén
. Mais il n'existe, pour l'analyse du compte rendu, aucuneraison de séparer les idées des divers argumentateurs du travail
le malade devra être placé dans un quartier d'observa- tion spécial séparé des autres parties de l'établissement. Malgré l
ie de malades ? Si on les oblige à construire seulement un pavillon séparé pour les malades entrants, il est facile de compr
ge général à la houille. Les réfectoires et les salles de jour sont séparées , même pour les malades de la troisième classe.
ssement en un VARIA. 401 hôpital autonome complet. Deux pavillons séparés à deux étages, dont le front regarde le nord, r
52 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
est collé à sa dent de sagesse, que ses deux petites molaires sont séparées l'une de l'autre, et, a de certains moments, qu
té cubital ; à différentes reprises, les doigts étaient- étendus et séparés . Au-dessus de la région dans laquelle ces mou-
n centre commun, les cen- tres dans leur ensemble sont complètement séparés les uns des autres. Aucun mouvement de la jambe
car, lorsque la ligne de . section des lobes occipitaux était bien séparée de cette scissure, on ne percevait aucun troubl
pin, mais le faisceau non croisé ne se présente pas comme une bande séparée , mais les fibres sont plus ou moins éparpillées
c du chloroforme; ce dissolvant s'empare de l'acéta- nilide; il est séparé et évaporé dans une petite capsule et le résidu
te que le bord inférieur du coloboma, formé par la sclérotique, est séparé du nerf optique, sans intermédiaire d'éléments
ntelligence qui n'existe pas chez les premiers, lésion générale qui sépare la mélan- colie des délires partiels pour la ra
érale àforme vésanique, guérison s'expliquant sans difficulté si on sépare complètement la manie avec délire des grandeurs
ine le sillon qui limite supérieurement le relief inférieur et le sépare de celui que forme, au-dessus, le corps même du
on avec celle des histologistes. Nous avons donc dans le sillon qui sépare la corne d'Ammon du lobule hippocampique, une c
son bord libre, nettement dentelé quelquefois et presque toujours séparé de sa voisine par un pli de pie-mère. Parvenue
Ce ne sont en somme que des filets du groupe Lan- cisi, qui se sont séparés de ce groupe, pour passer au- dessous du corps
ssion. (Observation en thèse Michaux.) 3 Binswanger. - Loco citato. Séparât Abdr., p. 21. Dassie Ausseror- dentlich schwier
nov. 1869. * Charcot. - Leçons du mardi, 1889, p. 376. 3 Moebius. Séparât ,4bdr., p. 5. SUR l'astasie-abasie. 219 ci na
ture dans le muscle actif; il avait établi que la fibre musculaire, séparée de ses connexions nerveuses et circulatoires, p
i pouvait représenter la circonvolution ; même ces morceaux étaient séparés de leur centre médullaire. Mais pour avoir un r
ement sur, chez un singe, une grande femelle de Rhoesus, nous avons séparé les sillons qui bordent la circonvolution, et n
irconvolution temporale supérieure chez le singe, mais qu'il en est séparé par la branche postérieure de la circonvolution s
ntérieure et postérieure, aussi bien que la subs- tance grise a été séparée , quand toutefois les colonnes latérales de la m
ndiquent qu'ils sont au moins sur une grande étendue, distinctement séparés les uns des autres, et on peut douter que leurs
dans le segment supérieur de l'entre-croisement des pyramides, se sépare de ce qui reste des cordons latéraux, pour se per
bserve des territoires sclérosés appartenant au corps restiforme et séparés de la pyramide par les fibres arci- formes inte
effet d'aliéner les terrains appartenant à l'asile dont ils ne sont séparés que par la rue d'Alésia. La vente de ces terrains
ces deux névroses que nom- bre d'observateurs tendent aujourd'hui à séparer l'une de l'autre, malgré les rapports qui les u
mme ont' amplement dé- montré que les tractus sensitifs se trouvent séparés des fibres mo- trices dans la partie postérieur
gment postérieur) de la capsule interne. Les fibres sensithes étant séparées des fibres motrices dans la capsule interne, on s
n de l'hippo- campe et les incisions furent faites aussi de façon à séparer la marge de la scissure calcarine et l'hippocam
centres moteurs et tactiles peuvent coïncider, tandis qu'ils sont séparés chez d'autres. Je ne pense pas que l'aura sensiti
in et demande, avec obser- vations à l'appui de sa' thèse, que l'on sépare en deux variétés cli- niques distinctes la foli
de délires fébriles, qu'il n'est pas, du reste, toujours facile de séparer dans la pratique : les psychoses fébriles propr
auteur expose une suite de longues considérations qui l'a- mènent à séparer la démence aiguë de la mélancolie avec stupeur :
atrophies musculaires se déve- loppent sous l'influence de l'action séparée ou combinée des cau- ses suivantes : insuffisan
as que les deux formes établies par l'auteur soient nosologiquement séparées ; il pense, au contraire, que la forme dégénéra
uefois un type récurrent, c'est-à-dire, consiste en plusieurs accès séparés par des intervalles normaux ou presque normaux.
observé sept à type récurrent (2 1/3 p. 100). L'intensité des accès séparés est tantôt la même, tantôt elle va en décroissa
53 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dissemblables et n'ont pas toutes la même valeur. Le second type se sépare abso- lument des autres; il appartient au tabes
a sclérose systématisée ou si c'est l'inverse : c'est comme si on séparait les tabétiques chez lesquels l'atrophie optique
s sphincters qui montrent que la partie inférieure de la moelle est séparée de la par- tie moyenne par une zone détruite. I
s cellules-araignées se trouvant plus espacées et pour ainsi dire séparées les unes des autres par de nombreux vaisseaux. Po
eux hémisphères dans la moitié antérieure du cerveau n'étaient donc séparées que par la pie-mère; au-dessus d'eux passait co
ET DE PHYSIOLOGIE. 109 restiforme contient au moins deux faisceaux séparés . L'un se garnit de myéline de très bonne heure
ique, la luette est un peu reportée vers la gauche, l'arcade qui la sépare du pilier gauche est beau- coup plus étroite qu
évrite multiloculaire à début subaigu sous forme de deux attaques séparées , puis devenue stationnaire. Cette névrite a néanm
gie, ne suffisent pas à compenser les différences radicales qui les séparent . II. La fréquence des affections mentales, chez
genoux; le dos est immobile et un peu renversé en arrière; les bras séparés du corps; il les balance en marchant. Toutes le
nez à cause de la contraction des mâchoires. Les accès se suivent, séparés par un relâchement des muscles momentané. Le 24
(cas 3), je demandais au ma- lade à prononcer d'abord des voyelles séparées , en- suite des syllabes, et j'obtenais des résu
e ascendante. La scissure perpendiculaire externe (Sc. p. e.) n'est séparée du pli courbe que par un pli de passage se diri
ranches transversales du double H, est très concave. L'incisure qui sépare le lobule orbitaire de la deuxième Archives, t.
i au lobule pariétal inférieur. Le lobe occipital (L 0) nettement séparé du lobe temporal est relié au lobule pariétal s
eur (p. p. p.) avec la circonvolution du corps calleux, dont il est séparé à sa partie médiane par une scis- sure sous-par
ez profonde, ainsi que la scissure frontale inférieure (Se. f. i.), séparée de la scissure parallèle frontale par un pli de p
sinueux, très découpé, irrégulier; le sillon ver- tical (b) qui le sépare du pli courbe se prolonge en haut au delà de la
ter dans la scissure parallèle. Le lobe occipital (L, 0), nettement séparé des lobes pariétal et temporal, est par suite d
ière, une de ses por- tions isolées (sillon occipital antérieur (d) sépare nettement en se réunissant à l'incisure préocci
hérique, sans aller rejoindre la scissure calca- rine dont elle est séparée d'un centimètre. En arrière et paral- lèlement
me l'est encore davantage, et que ces deux choses ne peuvent être séparées . Nous appellerons encore l'attention sur les pl
n trouve, au bout de peu de temps, que tous les os du crâne se sont séparés les uns desautres, ce qui indique que la soudur
rticulations était fort incom- plète. Les epiphyses des os longs se séparent également de la diaphyseavec une grande facilit
ue, très forte pour la taille du sujet, présente deux plis profonds séparés par un bourrelet de chair. Ace niveau, la troi-
conséquent susceptible d'éducation. C'est la grande différence qui sépare , au point de vue moral, les crétins des idiots.
s. IDIOTIE AVEC CACHExIE PACHYDERMIQUE. 347 M. Bail s'appuie pour séparer les crétins des idiots sur ce fait que les crét
ision avec une puissante pince. En supposant que la dure-mère a été séparée , par les ouver- tures du trépan, aussi loin que
on qu'après la guérison de la plaie, le morceau de peau puisse être séparé du cerveau par un coussin de tissu connectif no
transverse du nerf optique émer- geant du chiasma, ces faisceaux se séparent peu à peu dans le trajet du nerf en question po
laquelle chaque lobe occipital se décomposerait en deux territoires séparés , des- tinés chacun à une moitié homomyne de la
54 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ncs de dette de tailleur a dépensé 3 millions en quatre ans, vivait séparée de son mari. Un oncle mort de paralysie général
bligé d'accepter un emploi dans un bureau pour gagner sa vie, il se sépare à l'amiable de sa femme et de ses enfants aux b
ne m'a pas permis de m'arrêter sur la question des indivi- dualités séparées dans l'histoire. Beaucoup inclinent à nier abso-
des dia- gnostics précis. M. POSTOWSKY insiste sur la nécessité de séparer les épileptiques des idiots. En outre, ont pris
. IV. Les rapports vont être distribués prochainement en fascicules séparés . V. Nous prions MM. les Congressistes qui ne no
buc- cal : la trompe de l'abeille dont la tête a été complètement séparée du thorax continue à sucer le miel. Dans sa jeune
Dans sa jeunesse Edinger éprouva à son dam que la partie abdominale séparée du thorax, et placée sur le porte-objet du micr
ancée et dont la plus haute a été le langage humain, ne sera jamais séparée de celle du plus humble vertébré par un de ces
lquefois confondus avec l'hydrorrhée natale dont il convient de les séparer nettement. L'étude la plus complète qui ait été
n'en est rien pourtant, et il s'en faut de toute la différence qui sépare un esprit qui se forme d'un esprit formé. Dans
en effet, la physiologie et la psychologie ne sont pas réellement séparées dans la nature, mais seulement pour la commodité
réussi, par une hygiène judi- cieuse et sévère. . En 1842, il se sépara complètement de sa femme, avec qui la vie , par
- tuel précède et domine l'élément affectif et Matter cherchant à séparer les mystiques de théosaphes, dit que : « leur obj
ntre sainte Thérèse et Swedenborg il y a toute la distance qui peut séparer le mysticisme de la catholique Espagne du xvi°
ce à s'af- faiblir que lorsque les intervalles entre des mouvements séparés varient au moins de deux minutes ; quand ces in
s revien- nent assez fidèlement. Quand les intervalles de temps qui séparent deux mouvements sont de cinq minutes, le sujet
manie congestive, à la paralysie générale. Brierre de lioismont le séparait de l'aliénation mentale et de l'encéphalite, et
ale : en même temps ils accentuent la différence nosologique qui la sépare de la folie proprement dite. 4. Nouvelles reche
Broca et avec leurs conducteurs, n'est pas altéré. Ces centres sont séparés du centre de la compréhension objective (centre
en l'enlevant, on rompt les parties sous-jacentes. La pie-mère se sépare avec peine de l'écorce des circonvolutions ascend
gagne en haut l'écorce de la pariétale supérieure, en bas, elle est séparée du ventricule latéral par une bande de substanc
des lésions spécifiques, et à tracer la ligne de démar- cation qui sépare en deux ordres de lésions. Il étudie ensuite l'ét
ne, juin 1901.) Frend a décrit déjà sous ce nom un syndrome qu'il sépare fran- chement de la neurasthénie et qui présent
orie n'explique pas les faits de lésion de la capsule interne ayant séparé la corticalité de la moelle, ayant détruit le f
ds ne peut plus être soulevé dans le temps convenu. Les séries sont séparées par des repos de cinq minutes, les les ergogram
première mesure prise pour amé- liorer leur état consista à les en séparer . Il indique les modifica- tions qui ont été app
ditions, les deux questions signalées par M. Ballet ne peuvent être séparées . Il ajoute que à son avis, il faudrait pour tou
porcelaines de MM. W. Guérin et Cio, qu'ils ont visitée par groupes séparés et en détail. MM. Guérin, avec une amabilité do
otal de 48 malades. Le corridor sur lequel ouvrent ces chambres est séparé du reste du pavillon par une grille. Toutes l
quartier des agités de la division des hommes de l'asile. Il en est séparé par des plantations. 1 Les frais, en raison d
qu'il constitue un pavillon exclusivement opératoire et entièrement séparé du service des malades. Cette séparation absolu
le résultat opératoire. Mais les avantages du pavillon opératoire, séparé , sont sur- tout remarquables au point de vue du
e et aseptique existent, présentent la même importance et sont bien séparés . Il faut réserver aux malades septiques les mêm
ions similaires. On eût pu, à la rigueur, construire deux pavillons séparés ou simplement accolés. Il m'a paru plus économi
ction des malades et de pré- paration pour les opérations, chambres séparées pour les malades des deux catégories, salle de
met dans un coin et répète son antienne. Arrivé dans la cour, il se sépare des autres malades. Jamais il ne leur a causé.
tic de l'idiot, l'automatisme moteur des confus et des maniaques se séparent des actes stéréo- typés, qui sont, eux, des act
es de M. Pierre Janet montrent que les phénomènes psychologiques se séparent alors nettement en plusieurs groupes indépendan
ébut de son affec- tion, il passait'un jour sur un pont de bois qui sépare la ville, lorsqu'il rencontra une vieille femme
55 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
l'un et de l'autre augmentent en raison directe de l'intervalle qui sépare l'àge réel de l'âge apparent. Qu'on en juge par
partie antérieure, rendent peu nette, à cet endroit, la limite qui sépare l'os du fibro-cartilage, tandis que, plus loin,
rales et coxo-fémorales à ankylose intense puissent être absolument séparées des autres arthrites chroniques relevant du syndr
même l'indique,n'arrive à ses fins qu'à la condition de couper, de séparer les organes, d'en détruire les rapports ; et ce
u conjonctif et réparlies en loges de plus ou moins grande étendue, séparées par d'étroites fentes où le tissu conjonctif es
ue,on ne saurait assimiler complètement l'action de la thy- roïdine séparé de l'organisme, provenant d'une autre espèce, séc
sillon transversal profond, allant d'un condyle à l'autre bride et sépare l'adipose diffuse de la cuisse de celle de la jam
i-ci en avant, alors qu'en arrière il s'étend jus- qu'au sillon qui sépare le pulvinar du tubercule quadrijumeau antérieur,
s de nécrose, on voit le tissu nerveux altéré, en îlots irréguliers séparés par des espaces vides larges, ou par d'étroites
Le tissu nécrosé est disposé en îlots, en séquestres irrégu- liers séparés par des espaces vides larges, ou par de simples d
de début de soudure des divers os du crâne ; le frontal est encore séparé en ses deux os embryologiques et l'écaille du tem
mètre : 2 cen- timètres, longueur : 3 cent. 1/2. Elle était presque séparée de l'encéphale lors- que la préparation me parv
a face profonde de l'aponévrose antibrachiale, à une cloison qui le sépare du rond pronateur, et au quart supérieur de la
picondylo-radiale, ainsi que sur un petit faisceau tendineux qui le sépare du muscle longitndinal voisin ; ce muscle ne ta
tarde pas à longer dans presque toute son étendue la gouttière qui sépare le radius du cubitus, en arrière ; à la partie in
a littérature. Pour bien faire mettre en relief les différences qui séparent l'hémimélie vraie de l'amputation congénitale,
. Extenseur commun des doigts. - Il est normal en haut ; puis il se sépare bientôt et donne naissance à deux tendons, lesque
ar une coque fibreuse où s'insèrent tous les muscles. Cette coque est séparée de la peau par une très grande bourse séreuse l
maire. Sa face superficielle adhère à la peau. Sa face profonde est séparée de l'os par une couche celluleuse, qui est tell
mité inférieure, l'apophyse styloïde manque. En avant des deux os, séparées d'eux par deux sortes d'interlignes, on trouve
nts de pronation et de supination existent. Le cubitus et le radius séparés la partie supérieure de l'avant-bras se fusionnen
cutanés, arrondis, su- perposés : un supérieur, du volume d'un pois séparé par un profond sillon des quatre autres qui, eu
nt pédiculé, présen- tant sur son bord libre cinq petits tubercules séparés par des sillons et disposés exactement comme le
insiste avec force sur les éléments différentiels qui permettent de séparer d'une ma- nière absolue les macrosomies partiel
ens et les phalanges. Trapèze et 1er métacarpien ne sont pas encore séparés l'un de l'autre. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRI
isible. Extrémités distales des os de l'avant-bras sont élargies et séparées par du tissu condensé continu avec le périchond
e les cartilages de la main ne communiquent pas entre elles et sont séparées par une aréole de tissu condensé. Muscles : On
t présentes. Muscles : Sous-clavier. Fléchisseur commun profond est séparé du long fléchisseur du pouce. L'extenseur com
ubital posté- rieur se forme. Les deux radiaux ne sont pas encore séparés l'un de l'autre. Long abducteur et court extens
l'un de l'autre. Long abducteur et court extenseur du pouce ne sont séparés qu'au ni- veau de leurs tendons qui se fusionne
el et profond, en même temps que les phalanges d'insertion ; que se séparent les long supinateur et radiaux, les différents ex
, tant à leur partie musculaire qu'à leur partie distale, fibreuse, séparés des muscles des autres doigts ; ceux-ci ont une
es deux seins et sur le petit espace de la paroi thoracique qui les sépare , un développement exagéré du système veineux so
été soigneusement disséqué, la partie centrale du pédicule a pu se séparer aisément de la paroi thora- cique ; il a suffi
N ET WICKERSHEIMER partiennent aux tissus fibreux. Ces lobules sont séparés les uns des autres par un tissu cellulaire qui
e par de petits vais- seaux. Cette moitié supérieure est limitée et séparée de la moitié inférieure par un rebord épais et
un feutrage névroglique épais, régulier ; ce feutrage névroglique est séparé des circonvolutions par une épaisse cloison de
tif sous-cutané. Toutes ces formes représentent des types cliniques séparés , quoique liés par des cas de passage. Mais elle
e le cou, poussant jusqu'à la douleur les contractions, qui ne sont séparées que par quelques secondes de demi-rémission ; j
pour l'instruction de mes deux garçons ; j'allais être obligé de me séparer d'eux et je le regrettais d'autant plus que l'aîn
56 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es qui le rapprochent du tabès clas- sique et des troubles qui l'en séparent . Parmi les premiers, je vous citerai l'incoordi
ents convulsifs. Chez An..., les contractions surviennent par accès séparés par de courts intervalles; chez Ma..., au contr
ecousse musculaire, mais les lignes d'ascension et de descente sont séparées par un plateau plus ou moins accidenté. DE LA M
ès ou se montrent pendant un temps plus long, les intervalles qui séparent les contractions sont toujours régulièrement espa
généralisés, tantôt plus ou moins localisés ; les inter- valles qui séparent deux contractions sont des plus variables '; en
es caractères différentiels qui d'après l'enseignement de M. Magnan séparent le délire chronique des autres psychoses, notam
dix jours, d'une autre de trente-cinq jours; dix jours de veille la sépare de la cinquième et dernière attaque qui, le len
la capsule externe et de l'écorce de l'Insula ; en bas, elle ne se sépare pas de l'atrophie latérale, et on la retrouve à
pyramides ; immédiatement sous l'écorce, zones gris clair, parfois séparées de l'écorce par une couche blanche étroite. 1 P
léments donne naissance à toute une série de décharges isolées qui, séparées les unes des autres, suivent lesens de l'axe de
ette psy- chose. M. Arnaud demande si l'accès de mélancolie a été séparé du délire de persécution par un intervalle de s
rentes reprises des bouffées et des accès délirants complètement séparés les uns des autres par des intervalles de santé.
i semble difficile à admettre, à cause de l'intervalle de santé qui sépare l'accès de mélancolie du délire de persécution.
dico - « administratives, insiste avec raison sur la différence qui sépare le régime médical pour le traitement des maladi
nés et peut recevoir 210 hommes et 210 femmes. L'autre est la ferme séparée de l'asile, avec sa colonie, et comporte 104 li
petit bois de sapins. L'asile de traitement consiste en pavillons séparés dont les édi- fices sont complètement séparés l
consiste en pavillons séparés dont les édi- fices sont complètement séparés les uns des autres et entourés de jardinets dél
x domaines,. 60,000 marks serviront à acheter un petit bois qui les sépare . L'assemblée adopte également le projet de M. Z
occupée par un autre groupe qui en est aujourd'hui définitivement séparé , celui des myopathies primitives ou de la myo-
t parfaitement vrai ; le signe de Romberg est un symptôme distinct, séparé , ne faisant pas partie du tableau de l'ataxie.
fascicule, parfois on en compte deux ou trois, soit réunies, soit séparées par quelques filets nerveux. Nous décrirons d'a
i les phénomènes de l'hypnotisme dérivent du pouvoir attention- nel séparé des facultés rationnelles, il faut étudier le car
es se rattachant à la syphilis est-il assez grand pour pouvoir être séparé des autres cas en tant que forme séparée. Ses o
sez grand pour pouvoir être séparé des autres cas en tant que forme séparée . Ses observations personnelles durant ces dix d
ome. Mais ce n'en est pas un, car nous savons que les petits foyers séparés du foyer principal par un pont de tissu sain pr
naturellement, en ménageant, dans ces établissements, des quartiers séparés à ces genres de malades, et en précisant que l'
ize lits cha- cun ; pour les femmes, il existera plusieurs chambres séparées dans chaque bâtiment et les dortoirs contiendro
éveil, il se souvienne du commandement et compte les jours qui le séparent de l'instant de l'exécution. Or il semble après l
les sont ignorées, qu'elles existent à part dans une seconde pensée séparée de la première. Ces remarques nous avaient cond
s contractures par une activité véritable du second groupe d'images séparé de la conscience normale3 ». « Le caractère ess
es ceratralblatt, 1893, nos 1 et 2.) 6 Brener et Frend, op. cit., Séparât abdruck, 3. 438 RECUEIL DE FAITS. fixe. « Cel
de vue, on voit s'évanouir les plus importantes des difficultés qui séparent les deux écoles : quant aux difficultés d'ordre s
, et que nous rassem- blions ces faits en un faisceau, en un groupe séparé , spécial. Mais ce n'est là que les prémisses d'
des non croisés des parties homologues de chaque rétine ne sont pas séparés , mais au contraire mêlés et confondus; enfin, p
57 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
apparence normale. Le thorax se rapproche de l'ahdomen dont il est séparé par un sillon profond très accentué. La colon
t et au-dessus du grand trocbanter (II. Fig. 22). La distance qui sépare les deux plans verti- caux passant par l'axe de
e de la surface couverte par deux pieds et de tout l'espace qui les sépare . Mais la ligne de gravité peut rencontrer cette
terre par la face inférieure des condyles fémoraux, car il n'en est séparé que par l'épaisseur peu con- sidérable de la ro
r ici. Un point intéressant à relever cependant est la distance qui sépare du sol les mains tombant naturellement le long
s plus haut, on verra que dans la station il genoux la distance qui sépare l'extrémité des doigts du sol esl égale environ i
n, mais il faut rappeler que, dans la station assise, l'ischion est séparé du sol par l'épaisseur du muscle fessier vu 7
faut pour combler d'une manière suffisamment exacte la distance qui sépare la face inférieure de l'ischion du pli fessier.
u-dessus duquel elle s'étale de dedans en dehors. En haut, elle est séparée du putamen par les fibres les plus antérieures du
st im- médiatement sus-jacent, se relève toujours en dos d'âne pour séparer la bandelette sous-optique (BSO) du tractus opt
s s'est fondu dans la masse du noyau amygdalien (NA). Ce gros uoyau sépare désormais par un long intervalle la bandelette op
on antéro-postérieure. Il est a présumer'que le' faisceau unciforme sépare complètement 'cette' extrémité de la bandelette s
i est la troisième espèce de fracture » on en- lèvera les esquilles séparées avec des élévatoires, des pincettes, des te- na
nt coupée, ne faut parache- ver de coupper le dit cuir, mais faudra séparer l'os qui sera du tout coupé, d'avecques le péri
ut le dessécher avec les poudres céphaliques « propres pour ayder à séparer l'os qui sera altéré superficiellement », avec
e, ayant la teste noire. Or estait la portion d'os que nature avait séparée de grandeur de la palme de la main et plus... et
qui fuit vers la tempe. Le nez est petit, épaté. Un sillon profond sépare les narines des joues : celles-ci sont flasques
ne peut tenir les deux index réunis bout n bout si on cherche à les séparer , quoique normalement ce mode de résistance soit t
Les paupières ne peuvent pas s'affronter par leurs bords et restent séparées d'un demi pouce. Un peu d' « exophtalmie » et u
urant un ou deux jours, laissant une exquise byperostbésie cutanée et séparés les uns des autres par des intervalles tout au
sont assez étendus et se montrent sous l'orme de petits paroxysmes, séparés par dc's intervalles de repos, durant quelquefo
le et du coude gauches. Chez son troisième malade 2 ans de distance séparent l'atteinte du coude droite ! celle du coude gau-
ur la préciser, car elles montrent la moelle et les racines, soit séparées de toutes leurs connexions, soit il est vrai da
ns, du musée de Vienne, pour saisir immédiatement la différence qui sépare ces compositions conventionnelles d'une très ex
en quoi elles se ressemblent. Les arthropathies syringomyéliques se séparent surtout des arthropa- thies tahétiques par leur
nie et faisant gaine névroglique commune jusqu'au point où elles se séparent pour finir en ramosités délicates. Celles-ci form
semblance d'un grand nombre de filets à marche parallèle, qui ne se sépareront , que d'une part vers la périphérie sous la surf
trée dans le tronc bulbo-protubérantiel deux faisceaux distincts et séparés par une 348 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
e bulbe d'importantes modifi- cations. Tout d'abord la tète a été séparée de la base par l'inclinaison en avant des libre
agissent sur faièv-re supérieure.- Il en résulte que la Jigné : qui sépare les lèvres, quand elles sont rapprochées, s'agr
58 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
;1 et s'insère sur FA, au fond du sil- lon, par deux insertions que sépare une cavité dans laquelle plonge un petit pli de
etite que FA, se termine en bas par une bifurcation ; le sillon qui sépare les doux branches de cette bifurcation a un cm.
perfi- ciels. - PC assez gros; mais au-dessus de lui et en avant, séparé de I''= par un sillon profond, existe un lobule q
SS et deux pli-i de passage à T2. - T2 est formée de trois parties séparées par des sillons transversaux et assez distincte
s sillons transversaux et assez distincte de '1 ? - T3, T1 grosses, séparées de CA par des sillons assez profonds. Face in
ez profonds. Face interne. FI grosse, formée de plis transversaux séparés par des sillons plus ou moins profonds. - SCM ass
ntre FI et PA. Son sillon est court, superficiel, vertical. LI' est séparé de FI (face interne), de CCCA et de LQ par un s
CA, VL, CO, CS, rien. - Lobe orbi- taire, formé de circonvolutions séparées par des sillons assez profonds. Hémisphère ga
nales. deux plis de passage à T3, - T3, T'' très plissées et bien séparées . - '1'1 complètement distinguée de OU par un sill
est facilement décortiqué. Face interne. La pie-mère est aisément séparée de la substance cérébrale. La circonvolution du
rla scissure parallèle, celle-ci allant s'ouvrir dans le sillon qui sépare la première tempo- rale du pli courbe. La premi
ance cérébrale sclérosée forme une coque mince et dé- pressible qui sépare du ventricule la dépression que nous venons de
onique. - Après dix ans de vie commune, à l'âge de 35 ans, il s'est séparé de sa femme à l'amiable pour incompatibilité d'
on, les parents ne vivaient plus en bonne intelligence. Ils se sont séparés avant la naissance de l'enfant. - La grossesse
sont garnies de sourcils abondants, plus foncés que les cheveux et séparés par un no- table écartement sur la ligne médian
ndants, très pâles. - Paupière supérieure bouffie, l'inférieure est séparée de la joue par un léger sillon. Cils très blond
tiers supérieurs, s'amincissent tout-à-coup au niveau du sillon qui sépare la première de la seconde frontale. La FA prése
enait violent, brutal, et « battait sa femme » quand il était ivre. Séparé d'elle judiciairement, mais non divorcé, il dev
ment propre et bien tenu. Lorsqu'on le met à l'école et qu'on le sépare de la brave femme qui l'a soigné jusque-là, il
59 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
oits ramollis, de consistance amoindrie. ' Le tronc cérébral fut. séparé des hémisphères cérébraux au niveau des pé- don
s sont formées de plusieurs nodules greffés les uns sur les autres et séparés les uns des autres par de légers étranglements.
s fasciculaires qu'il nous faut étudier.(Planche VI, C.) Ils sont séparés les uns des autres et des fascicules normaux par
Elles sont dis- sociées par la néoplasie fibromateuse et cheminent séparées les unes des autres par des intervalles plus ou
pertrophie localisée du derme. Du côté de l'extérieur elles ne sont séparées de l'épiderme que par une très mince épaisseur
ibreux par exemple on ne rencontrera qu'une ou deux coupes de tubes séparés non plus par une mince couche conjonctive mais pa
urs caractères histologiques normaux. Ces blocs fibreux ne sont pas séparés du tissu environnant par une capsule limitante, m
nodules on trouve des fibres nerveu- ses à myéline. Ces fibres sont séparées les unes des autres par le tissu conjonc- tif ;
eux inférieures finissent par se rapprocher au point de n'être plus séparées que par deux sillons réci- proquementperpendicu
e trèfle et les sillons qui les L'ADÉNO-LIP011ATOSr SYMÉTRIQUE 43 séparent se trouvent disposés comme les branches d'un T re
res tuméfactions diffuses ; actuellement énorme collier lipomateux, séparé en avant du maxillaire inférieur par un sillon.
re tuméfactions lipomateuses si- tuées à la face postérieure du cou séparées par deux sillons perpendicu- laires en forme de
é, ces malades guérissent comme par enchantement, lorsqu'elles sont séparées de leur milieu, et en effet c'est un véritable en
sard du coma ? Je crois, pour ma part, qu'il est souvent épineux de séparer le coma des autres sommeils pathologiques. En est
S DANS LE TABES 119 cependant des différences considérables qui les séparent , mais il n'entre dans aucune considération nouv
é deux dépressions articulaires situées l'une au-dessus de l'autre, séparées par un rebord mousse, peu accusé. La colonne ve
es conservent la même situation qu'elles occupaient à l'état frais, séparées alors par le disque intervertébral qui les unissa
une largeur de 4 à S centimètres et qui sont,vers le bas, nettement séparées du corps du fémur; l'opacité en est variable suiv
obable que, par leur accroissement respectif, ces noyaux, d'a- bord séparés les uns des autres, finissent par se confondre, d
bral droit un foyer ou plutôt deux petits foyers de ramollissement, séparés parle locus neiger qui semble intact : l'un occ
non pa- ralysée qu'il faut chercher la distinction essentielle qui sépare l'hémiplégie organique de l'hémiplégie hystériq
ire, plus fines ; on en voit .quatre lobes principaux, symétriques, séparés par deux sillons s'entrecroisant, grosses comme
dépression avec tumeur. Un sillon à la sur- face de celle-ci parait séparer la région sous-maxillaire de la région sus- cla
e et doulou- reuse.La septième et la huitième vertèbre dorsale sont séparées l'une de l'autre par un grand espace anormal, e
vertèbres lombaires paraissent épaissies et plus saillantes, on les sépare difficilement à la palpation les unes des autres,
s et les lombes. Il semblait au malade que sa colonne vertébrale se séparait de ses reins : le haut du corps se tournait à dro
iaque de chaque côté : ils sont presque au contact et ne peuvent être séparés que de deux ou trois centimètres au plus. Cette
a série des apophyses épineuses, elles sont peu développées, on les sépare difficilement les unes des autres, l'apo- 202 J
hériques sont condensées en une membrane nettement distincte qui le sépare du protoplasma cellulaire. Cette membrane est c
t survenue trois ans auparavant : à cette époque il dut en effet se séparer de sa femme à cause de son inconduite. Il en re
il n'avance même que quelques secondes après l'autre, les pas sont séparés par des intervalles inégaux. Le corps est raide
nt de la base de sus- tentation est plus considérable, l'espace qui sépare les talons est de 37 centi- mètres. Il marche à
ultat positif. Suivant Tornsend la plus longue période de temps qui sépare le coup, de l'apoplexie serait de deux mois pou
.. ces deux canaux cheminent parallèlement pendant un certain temps séparés par un pont de substance nerveuse de 2 centimèt
mesure en effet de la pointe du coude au sillon bien marqué qui le sépare de la main oedématiée, tassée, aux doigts épais e
a main dépassant l'extré- mité supérieure du premier métacarpien et séparé seulement par un espace de trois centimètres (a
es myélopathiques et névritiques de l'au- tre ; la distance qui les séparait tend à son tour à être comblée par l'obser- vat
un peu écar- tés du tronc, les mains largement ouvertes, les doigts séparés ; cet aspect est encore plus accentué quand il
endant quand les genoux sont amenés au contact, un léger intervalle sépare les faces internes des cuisses. Le tenseur du f
te, ou repousse un obstacle avec son bras allongé, les omoplates se séparent très nettement du thorax par leur bord interne
es donnent la sensation deplusieurs masses calleuses que le loucher sépare difficilement les unes des autres. Deux apophys
pointe d'ac- croissement. Un espace de moins de cinq millimètres sépare les deux bouts du nerf. La moelle allongée et l
uoles arrivent bientôt au contact les unes des autres, n'étant plus séparées que par de fines travées protoplasmiques. Ce de
res externes sont moins saillantes qu'à l'état normal. L'espace qui sépare la partie la plus saillante des deux sour- cils
s, il en existe une, plus rare, et qui n'a pas encore été nettement séparée au point de vue nosographique : nous proposons
ce qu'ils mordent comme un chien »), les tarières (trirellini) pour séparer les dents, les cure-dents pour déchaus- ser les
n de ne pas prendre l'une pour l'autre ; puis avec le déchaussoiril sépare la gencive de la dent, qu'il empoigne ensuite a
60 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de ses obsessions tout pouvoir de critique, de contrôle ; il ne la sépare plus de ses autres idées; il l'accepte, il ne d
à se préciser : en présence, en effet, de l'ataxie, de ce syndrome séparé par Duchenne de Boulogne et Romberg du groupe d
systématisés. Il s'élève contre la conception de M. Arnaud, qui ne sépare pas assez la folie imposée de la folie commuuiq
omme étant en dépendance suggestive. Il y a nécessité absolue de le séparer de son codélirant. La deuxième forme est la f
lires systématisés. Ce qui prouve cette action, c'est que lorsqu'on sépare les codélirants, il y a au bout de peu de temps
ées délirantes qui évo- luent par la suite, même une fois qu'il est séparé de l'élé- ment contagieux. C'est un aliéné au
tif. Pour les raisons que nous avons données, il y a nécessité de séparer les codélirants pour leur traitement. Observati
effet, que sa mère a été internée, mais elle en a été complètement séparée et ne l'a vue que deux fois intentionnellement.
bras et les jambes depuis dix mois, du tremble- nent des doigts. Séparée de sa fille dès le premier jour, elle présente ap
Pendant son séjour fut Maison-Blanche 111 ? G..., a toujours été séparée de sa fille qu'elle ne voyait que de temps à autr
es communiquées jusqu'aux folies des foules; 2° il y a nécessité de séparer les codélirants dans toutes les formes de folie
myasthénique, radicalement absente pendant les cinq années qui ont séparé le premier accès du second, faisait défaut au d
ne ma- nière d'être physique et morale aussi tranchée que celle qui sépare les fous des gens raisonnables. Pour des motifs
teurs, nous croyons utile d'insister à nouveau, sur la nécessité de séparer avec soin les deux catégories de délire, en nou
occasion de délirer (11a·aadoa) » et c'est encore là une raison de séparer ces formes de la forme ' M. Lucien Picqué. Soc.
ns la sphère de l'idéation. Cette définition est indispensable pour séparer de ce groupe d'autres mani- festations avec les
ondues. La neurasthénie post-opératoire doit en être rigoureusement séparée et constituer un chapitre à part ; elle ne prés
et les liens qui peuvent existe rentre des propriétés psychi- ques séparées , en un mot de transformer en un système scienti-
mment, peut indiquer l'existence dans l'écorce cérébrale de centres séparés indépendants affectés aux principales sensation
. Que celle-ci existe ou non, la portion de substance corticale qui séparait la cavité intra-cérébrale des téguments du crân
re. Commentant cette observation, l'auteur ne voit pas qu'il faille séparer d'une façon absolue au point de vue symptoma- t
elques mois elles ont procédé avec intermittences, les crises étant séparées par un intervalle de trois à quatre minutes et
obsédante. La science consiste justement à prendre ces faits, à les séparer , à les classer, pour permettre de mieux les étu
. Se basant sur ce point de vue, nous ne trouvons pas nécessaire de séparer les malades ayant eu un seul accès de manie, de
ui avoit sa chambre, attenant M. Le Maître dans un appartement fort séparé de tout le monde, ayant quelque chose à laire c
disait que si un seizième de l'asile était consacré à des chambres séparées , cela suffirait amplement, et que, avec un pers
ne perdant pas son temps à visiter un trop grand nombre de chambres séparées . L'asile comprend quatre dortoirs doubles, avec
à cause de leurs crises. L'asile ne contient que trente chambres séparées , dont quelques- unes sont capitonnées; elles s'
st le dédoublement conscient de la personnalité. Cette définition sépare les obsessions des idées fixes pures sans émoti
essions des idées fixes pures sans émotion angoissante. Les auteurs séparent les états obsédants en deux grands groupes, sui
hypnotisé il n'y a pas une différence de nature ; un seul point les sépare : l'hysté- rique est actif (auto-suggestion) ta
dent jusqu'aux limites du terrain; du côté de la façade, elles sont séparées de la rue par une grille légère; sur les autres c
e double : il est formé par la réunion de deux villas primitivement séparées sur un plan antérieur. Ces deux villas ne sont
chaussée; les caves, le premier étage, le grenier sont complètement séparés . Chaque moitié de ces pavillons jumeaux possède
A l'aide d'une large portière on a, dans la salle de surveillance, séparé de la partie réservée aux lits, une sorte de va
tat du tonus musculaire et des réflexes tendineux. Les muscles sont séparés par la section médullaire de leur centre toniqu
es est tout différent : elles ne fusionnent pas directement et sont séparées par une bande corticale étroite qui se développ
e une autonomie, d'abord eu raison de ses caractères propres qui la séparent de l'ivrognerie, de la dipso- mame, de l'alcool
eut avoir confiance soient placés dans des dortoirs ou des chambres séparées avec des portes ouvertes, sans inspection des s
61 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
relations qui existent entre les deux affections. Ils permettent de séparer une forme hystérique de la maladie de Raynaud e
ébut, dans ses symptômes, dans son évolution, des caractères qui le séparent du même syndrome non hystérique. L'observatio
classification. Il décrit, comme autant de modalités distinctes et séparées , la confusion mentale hallucinatoire (hallucin
, le Walazsinn et la Verrücletlceit. Il distingue la première et la sépare des divers délires, parce qu'elle se rattache à
ne variété lente et chronique assez fréquente. 11 convient aussi de séparer nettement la paralysie hystérique de la paralys
En 1864, on édifia la grande division des hommes et l'on put alors séparer les sexes. Tels étaient les bâtiments qui exist
pe aussi cet édifice ; d'une villa pour dames habitant des chambres séparées et femmes tranquilles occupées aux soins du mén
II. Traitement 11ÉDICO-ADIINIST11ATIP'. De la construction d'asiles séparés pour aliénés curables et incurables ; par MEscu
s aliénés incurables et fonder pour chacune de ces classes un asile séparé , en se basant sur ce point que ceux-ci gênent l
arde le soi à quelques pas devant lui, pose sa canne (dont il ne se sépare jamais) à une faible distance en avant, et y pr
avorable appartient à la paranoïa aiguë hallucinatoire. M. Werner sépare tout à fait la confusion mentale aiguë (acute V
ions suivantes : La chorée et l'intoxication tabagique doivent être séparées des tremblements, ce sont des mouvements incoor
confusion mentale (amentia Verwirrtheit délire hallu- cinatoire) se sépare parfaitement de la folie systématique chro- niq
odewisch et la station du chemin de fer de Rodewisch. Cette route sépare donc le domaine de l'établissement en deux part
Ray- naud hystérique des caractères actuels ou d'évolution qui la séparent des autres variétés ? Nous ne revenons pas sur
récents, à l'infection ou à l'auto-intoxication), et qui doit être séparée de ce qu'on appelle la dégénérescence. C'est un
ux formes-là se rapprochent beaucoup de l'amenlia délirante. Ce qui sépare cette dernière maladie (appelée par beaucoup d'
à cette démonstration. Enfin, contrairement à Meynert, M. Korsakow sépare le dé- lire aigu de l'amentiaà cause de l'éléva
ntenir ces diverses formes morbides il faut au moins deux quartiers séparés de surveillance, un destiné aux malades calmes,
n ou de plusieurs malades. Les cellules à grilles sont des chambres séparées en deux parties suffisamment vastes par un 228
de grimper. Ces cellules sont particulièrement utiles quand on veut séparer d'un malade agité, aggressif, le veilleur, surtou
tracer les limites par rapport aux autres modalités morbides, d'en séparer la confusion mentale. (Vermorrtheit) symptomati
de l'esprit. Aussi est-ce faire de la médecine incomplète que de séparer des signes somatiques les symptômes intellectuels
primé l'assistance des aliénés curables ou incurables en des asiles séparés . On réunit ces deux catégories en un seul et mê
a superficie construite comporte 110,000 mètres carrés en pavillons séparés , disséminés dans des jardins. Il y a une divisi
l'express sion de mal de Bright d'être correcte en ce sens qu'elle sépare tout un groupe de maladies des reins d'autres m
volution, la pathogénie des symptômes, il n'est pas sans intérêt de séparer nettement la paranoïa des autres maladies menta
dies mentales de môme que la pléiade symptomatique du mal de Bright séparait ce groupe des autres maladies rénales. Aussi bi
e qu'il y a des cas' de manie furieuse, qu'il n'est guère facile de séparer de la confusion mentale (Vecve) ? dit encore qu
au niveau de la face supérieure de l'occipital et la suture qui les sépare est souvent encore rugueuse chez l'adulte (llenle
u dos de la selle turcique; un segment intermédiaire, très escarpé, sépare celui-ci du troisième segment qui a la même obl
diplégie cérébrale apparaissait tardivement chez l'adulte. Ils ont séparé ces cas de ceux qui surviennent dès l'enfance e
tituent ne suffisent pas à les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 38 ? séparer d'une manière bien tranchée. Ainsi qu'en témoigne
thologique spéciale de la sensibilité morale) et, par cela même, se séparent en quelque sorte de la maladie mentale chronique,
ques. Suivant la prédominance de tel ou tel autre symptôme, on peut séparer des types qui se rapprochent de telle ou telle
et avons-nous obtenu qu'on surélevât tout au moins la muraille qui sépare la section des agités de sa voisine. Ensuite ce
ble. En un mot, deux quartiers de surveillance, acoustiquement bien séparés , avec le personnel indispensable pour la garde,
62 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
très allongé, cet ovale est décomposable en deux parties nettement séparées par une dépres- sion existant au niveau des rég
eures avec les incisives qui forment deux ran- gées irrégulières et séparées par de larges espaces entr'elles. Les dents sont
hors, est située assez près de la corne postérieure dont elle reste séparée cependant partout par une zone saine qui corres
uée à l'union des deux tiers avec le tiers du côté droit du tableau sépare ces deux scènes d'inégale importance. Sur le de
ne temporale on doit trouver le pli supramarginai et le pli courbe, séparés par la linea limitons, et plus bas cette même lig
courbe, séparés par la linea limitons, et plus bas cette même ligne séparerait les lobes temporal et occipital. Tant par l'évo
er de nouvelles variétés animales ou végé- tales. » Mais M. Apert sépare nettement ces dysostoses (achondroplasie et dys
) pourra s'étendre aux malfor- mations voisines, et la barrière qui sépare ces diverses dysostoses s'abais- sera, une caus
e la plus ténue, la plus subtile et la plus légère du sang, et s'en séparent alors que celui-ci s'est échauffé dans le coeur
te de ce qu'on retranche quelque partie du corps, mais qu'elle s'en sépare entièrement lorsqu'on dissout l'assemblage de ses
difficile pour Descartes dont l'un des principaux mérites a été de séparer rigoureusement le monde des choses matérielles
se refroidir lentement sous le micros- cope, on voit comment il se sépare de la solution des petites gouttes vis- queuses
ool et qu'on laissese refroidir lentement sous le microscope, il se sépare de la solution des petites gouttes visqueuses qui
ses soudées l'une au-dessus de l'autre. Cette apophyse épineuse est séparée de l'occipital par une dépression que l'on augm
rticulant avec l'atlas, est en partie remplacé par l'intervalle qui sépare l'occipital de la première apophyse épineuse. E
sont au nombre de douze de chaque côté. L'espace intercoscal qui sépare les deux dernières côtes du côté gauche est not
à la partie postérieure. Espaces ihnercostaux. - Les espaces qui séparent les côtes sont générale- ment d'autant plus lar
haque poumon. C'est avec la plus grande difficulté qu'on arrive à séparer et à compter les côtes. Base du crâne. - La p
rieure de la masse osseuse se trouvent deux surfaces arti- culaires séparées par une légère scissure, où s'articulait, peut-êt
direction se rapproche de l'horizontale. Sa partie inférieure est séparée de l'apophyse épineuse suivante par un es-, pac
soumis des percus- sions ou à des secousses pendant la période qui sépare la ponte de l'in- cubation, ou de faire agir de
la clavicule droite était atro- phiée. Du côté gauche, cet os était séparé en deux parties par une por- tion fibreuse. L
erfs périphériques, les fibres nerveuses avaient disparu en partie, séparées par de larges espaces de névrite interstitielle
. Si l'on veut avoir une idée du tonus musculaire, en es- sayant de séparer les lèvres unies, on remarque assez de résistance
ent jeune où est survenu le traumatisme et du long in- tervalle qui sépara l'atteinte du premier os et celle du second. Mais
x semaines. Un intervalle de cinq jours environ les avait seulement séparés . Depuis cette époque, ils n'ont plus reparu. Le
ntrale, limitée en avant par le sillon anté- rieur, dont rien ne la sépare sur une assez grande hauteur. En Dyi la commiss
rre Marie, de Bechterew et de beaucoup d'autres, après eux, qui ont séparé du cadre du rhumatisme chronique de la colonne ve
logistes à ce propos n'est pas encore fait. -. A côté de ceux qui séparent , et ils sont peut-être les plus nombreux, exist
raux peuvent être respectés. Et alors de l'arthrite déformante on a séparé une variété simplement ankylosante, où l'altérati
'épine du pubis se dirige vers le corps du sternum, dont elle n'est séparée que par l'espace de 2 ou 3 centimètres. La courbu
demeurent complètement indemnes. Ce caractère est important car il sépare de façon absolue ces amyotro- phies non progres
ilson. Tous ces faits présentent d'ailleurs un point commun qui les sépare com- plètement des nôtres. Il s'agit de lésions
térieur se confond avec la saillie de l'infundibulum, dont on ne le sépare à la vue que par la constata- tion d'une ébauch
plètement déformé, très élargi, tombant sur les épaules dont il est séparé par un sillon transversal très marqué que la tu
marques à gauche, de gros amas de petites tumeurs agglomérées mais séparées par des sillons superficiels. Tout l'espace compr
63 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
anche I. 1"16. I. Cerveau d'un lapin, divisé en sections horizontales séparées ' prises d'en haut. X. Lésion par la pointe d
ouchard du moment qu'il y avait la sclérose, la moelle pouvait être séparée de l'encéphale. La différence est énorme. La th
rémité supérieure, mais encore sa face antérieure, dans le sillon qui sépare cette circonvolution de la première frontale ;
onné; la plante du pied a l'aspect du pied plat. Dans le sillon qui sépare l'oedème de la jambe de celui du pied, se voient
nt en bas qu'en dehors, et l'apophyse mas- toïde, peu développée et séparée de l'écaille par une suture déprimée, était trè
aques osseuses irrégulières de grandeur variable (maximum 6 x6 cm.) séparées par des sutures plus ou moins dentelées. Le tracé
es trous déchirés antérieurs sont souvent élargis et incomplètement séparés des Fig. 1. - Section médiane du crâne dysostos
Dans un crâne adulte, les ailes, grandes et petites, étaient encore séparées du corps du sphénoïde, et la fissure pétrosquameu
l y avait dans ce cas une formation d'osselets accessoires nombreux séparés par des sutures en réseau très nettes, formatio
oup d'examens histologiques et les dégénérescences qu'elle entraîne séparent les fibres radiculaires des systèmes endogènes da
sé formant un petit triangle touchant la périphérie de la moelle et séparé de la corne postérieure par une bande assez étr
n de l'automatisme exagéré des centres sympathiques pé- riphériques séparés de leurs centres supérieurs, qui normalement les
Pitres et Vaillard jusqu'à nos jours. Parmi les-différentes formes séparées par Pitres et Vaillard, celle qui présente une
rès prononcées et aboutissent à la formation de boules complètement séparées les unes des autres par une espèce d'étrangleme
e qui faut penser des critériums, adoptéspar certains auteurs, pour séparer nette- ment l'histologie des dégénérations de n
e observation, c'est que ces deux catégories de lésions se trouvent séparées par un trait, le trait radiculaire.constituant
noyau commun ; en bas, dans le 4° segment lombaire, par deux noyaux séparés , l'un pour les muscles adducteurs et l'autre po
convolutions ont leur disposition normale, mais les sillons qui les séparent sont proportionnellement plus profonds que nor-
flexe plantaire controlatéral. Nous avons évidemment essayé de bien séparer les mouvements de défense, qui ne nous intéressen
fait dis- paraître en grande partie la ligne de démarcation qui les sépare . Sur certains points, des pertes de substance a
rtes de substance artificielle permettent d'apercevoir l'espace qui sépare dans les profondeurs les corps vertébraux, espace
le, la soudure des lames est limitée aux parties latérales qui sont séparées par un espace libre au niveau des 3 premières d
qu'il ait fait tout caque les chrétiens disent ! f Ame. L'âme se sépare du corps après la mort et vit toujours après si l
s la moitié externe. L'épiphyse inférieure du cubitus est de même séparée de sa diaphyse par une ligne claire;9npent en d
entièrement ossifié. ; A l'humérus on observe que l'épitrochlée est séparée du reste de l'épiphyse humérale par un disque c
res infan- tiles. Articulation de la hanche. La tête du fémur est séparée du grand trochan- ter par un disque cartilagine
) (PI.LII).- Les extrémités inférieures du tibia et du péroné .sont séparées de leur diaphyse par des disques cartilagineux tr
crânienne normalement composée de i os (2 frontaux et 2 pariétaux) séparés par 3 sutures se trouve transformée, dans des crâ
moins de justesse, a tranché dans les phénomènes naturels pour les séparer . La nature n'émet aucune appréciation ; c'est l'h
nts en pré- sence, il y tout un ensemble d'actions et de réactions. Séparé de tou mi- lieu, isolé dans la nature, l'élémen
-on pas toute une gamme de transitions qui comblent la distance qui sépare ces manifestations vitales si dissemblables et
ues qui ne m'ont jamais im- pressionné. Où est donc la barrière qui sépare les états névrosiques ? Il n'y a ni abîme, ni f
habituelle, se dirige ensuite en avant et en dehors L'espace qui le sépare du deuxième métacarpien est beaucoup plus considé
euxième métacarpien est beaucoup plus considérable que celui qui le sépare du quatrième ; autrement dit, il fait partie de l
ns ankylosées, il y a fusion de plusieurs os du carpe normale- ment séparés , la musculature est altérée non seulement dans le
d'autres auteurs et entre autres par Anton et Schuller. Ce dernier sépare des in- fantilismes dystrophiques et des infant
ban- delette externe. Du bas en haut de la moelle nous la trouvons séparée par une zone saine de la corne postérieure et e
64 (1911) La pratique neurologique
oubles images avec celui de- la déviation oculaire. La distance qui sépare les deux imagés sur une surface de projection pla
ente de ces angles. Cette distance étant connue ainsi que celle qui sépare l'oeil de la surface de. projection, on peut dédu
, les fibres qui constituent le tronc du M. 0. C. s'éparpillent, se séparent ; se dissocient, en avant du côté de l'oeil, pour
usie est harmonique ou dysharmonique suivant 1 ri n \('1'- vaiiequi sépare les deux sons perçus; elle est le plus souvent bi
canal de Fallope, est en rapport direct avec la caisse dont il n'est séparé que par une très mince lamelle osseuse souvent
part, au point de vue clinique, il n'est, aucun avantage à vouloir séparer les descriptions de l'apoplexie et du coma. Rédui
out au moins dans l'écriture spontanée. Deux groupes d'écritures se séparent avec netteté. Dans l'un se rangeront les écriture
ntale, à moins qu'elles ne soient placées dans un local entièrement séparé . Ces établissements devront être, à cet effet,
de l'établissement que le local consacré aux aliénés est entièrement séparé de celui qui est affecté au traitement des autr
suffisante; 5U Que par la disposition des localités, il permet de séparer complètement les sexes, l'cnfance et l'âge mur;
es convalescents, les malades paisibles et ceux qui sont agités; de séparer également les aliénés épilchlirlucs; 1° Que l'é
que celle-ci a été prolongée. Deux sensations tactiles doivent être séparées pendant un temps déterminé, pour être perçues s
stétricales ou chirurgicales des racines ou des plexus doivent être séparées de celui des radiculites. » Causes. Les radic
xemple), la céphalée est constante; elle existe dans la période qui sépare les accès (ce qui ne se voit pas dans l'épilepsie
éléments du diagnostic différentiel des troubles de la marche; nous séparerons ensuite les paraplégies, flasques des paraplégi
de l'aponévrose qui le recouvre; 3° sur une cloison fibreuse qui le sépare du grand rond et du petit rond. En dehors, son
bord et la fosse sous-épineuse; 2° sur une cloison fibreuse qui le sépare du sous-épineux; 3" sur une deuxième cloison fi
sépare du sous-épineux; 3" sur une deuxième cloison fibreuse qui le sépare du grand rond, muscle situé au- dessous de lui
ord et la fosse sous-épineuse; 5" sur les cloisons fibreuses qui le séparent du petit rond et du sous-épineux ; 4° sur la face
gouttières qui les [G. GUILLAIN ] 524 ' PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. séparent : 5° sur la lèvre antérieure du bord axillaire de
e l'humérus et vient se loger dans la gouttière dite bicipitale qui sépare la grande de la petite tubérosité. Les deux por
les trois bords de l'humérus ; 5° sur les cloisons fibreuses qui le séparent du biceps. En bas, il s'insère sur cette surfac
bord interne de l'humérus et sur la cloison intermusculaire qui le sépare du grand pal- maire; le faisceau coronoïdien s'
chteens, sur l'aponévrose antihracliialc, sur les cloi- sons qui le séparent du rond pronateur en dehors, du petit palmaire en
, sur l'aponévrose antibrachiate, sur les cloisons fibreuses qui le séparent du grand palmaire en dehors, du cubital antérieur
epitrochleeu naît de t epitrochtee et des cloisons fibreuses qui le séparent du petit palmaire et du fléchisseur commun supe
externe de l'articulation du coude, sur une cloison fibreuse qui le sépare de l'extenseur commun des doigts. En bas, le tend
de l'aponévrose de l'avant-bras, sur les cloisons fibreuses qui le séparent de l'extenseur propre du petit doigt en dedans
sur l'aponévrose anti-brachiale, sur les cloisons fibreuses qui le séparent des muscles voisins. Le tendon terminal du musc
de l'aponévrose anti- brachiale, sur les cloisons fibreuses qui le séparent de l'extenseur propre du petit doigt en dehors
fonde de l'aponé- vrose jambière, sur les cloisons fibreuses qui le séparent du jambier anté- rieur en dedans et du long pér
t le bord externe de cet os, sur les cloisons aponévrotiques qui le séparent des muscles voisins. Le tendon du muscle contou
en de la face postérieure de cet os; sur la cloison fibreuse qui le sépare du jambier postérieur. Le tendon du muscle à la r
inférieure du ligament interosseux, sur la cloison fibreuse qui le sépare des muscles pérdniers latéraux. Le tendon du mu
ieurs de ce ligament interosseux, sur les cloisons fibreuses qui le séparent des deux longs fléchisseurs. En bas, le tendon du
rofonde de l'aponévrose, plantaire, sur une cloison fibreuse qui le sépare en dehors du court fléchisseur commun des ortei
profonde de l'aponévrose plantaire, sur unc cloison fibreuse qui- le sépare du court flécliisseur plantaire. Le tendon term
ofonde de l'aponévrose plantaire, sur les cloisons fibreuses qui le séparent des muscles voisins. En avant le muscle se termin
le corps de la 2'' lombaire et sur le disque intervertébral qui la sépare de la première. Le pilier gauche s'insère sur l
oient un faisceau anastonoticlue; ces faisceaux s'entre-croisent et séparent ainsi deux orifi- ces : un orifice supérieur oe
atre premières lombaires, sur les disques intervertébraux qui . les séparent , sur la base des apophyses transverses de ces ver
sacrum, sur les deux épi- nes iliaques et sur l'échancrure qui les sépare , sur la face antérieure de la capsule articulai
re vertè- bre lombaire et sur le disque libro-cartilagineux qui les sépare ; en bas le tendon terminal s'insère sur t'émine
autre part par son bord postérieur à l'intersection fibreuse qui le sépare de l'auriculaire antérieur. Le muscle auriculai
de la ligne rolandique il faut « mesurer avec soin la distance qui sépare le fond de l'angle naso-fronta) de l'iuion en s
t être décomposé en des mouvements élémentaires, si l'on parvient à séparer les divers faisceaux qui constituent leur racine.
si on la connaît ; les espaces hypoes- illésiés, en effet, souvent séparés par des espaces à sensibilité normale, peuvent
et l'existence d'une nécrose de la partie inférieure du coli- maçon séparée du nerf facial au voisinage du ganglion géniculé
n verra souvent se dessiner isolément certains faisceaux du muscle, séparés les uns des autres par des gout- tières : il es
lipyge : mais quand on mesure au compas d'épaisseur la distance qui sépare l'épine iliaque antéro-sùpérieure de l'épine il
qu'elle n'atteint parfois que la moitié presque de la distance qui sépare les deux épines iliaques antéro-supérieures ; or
fait rare, au sur et à mesure que l'hystérie est mieux délimitée et séparée des affections multiples qu'elle englobait à to
on intensité : son synonyme était « ala.cio ». puchenue de Boulogne sépara de l'ataxie la IiluGa.tiot. cérébelleuse : plus
tion, l'« « aS ! }/1C1'gie cérébelleuse » . Ainsi étaient nettement séparées de 1 in- coordination ataxique deux variétés d'
t irré- gulièrc, hachée, les lettres sont an- guleuses, inégales, séparées , placées à des niveaux différents, elles ne s
mi-pas, des trois quarts de pas ou des quarts de pas en avant : pas séparés ou séries de pas. Faire des demi-, trois quarts
les rémissions, l'irrégularité de la marche permettent également de séparer la myasthénie d'Erb du syndrome pseudo-bulbaire.
ntile de V arriéré simple ou de l'idiot (Variot, Oppenheim) ; on le séparera également, chez l'adulte, de l'aphasique de Bro
ituées par une série de contractions muscu- laires alternatives que séparent des phases d'immobilité; toniques, elles consis
ulsions cloniques. - Supposons maintenant qu'au, lieu d'excitations séparées comme précédemment par un intervalle supé- rieu
ues peuvent se reproduire indéfiniment, à condition qu'elles soient séparées par de longues rémissions. Dans les pyrexies, fiè
es avec le tremblement sénile, rien en dehors de l'héré- dité ne le sépare de ce tremblement, qui, du reste, comme l'ont mon
ntractions tétaniques ne sont qu'une source de secousses tétaniques séparées les unes des autres par des intervalles te)- le
thétose double : ce sont les travaux de Charcot, d'Oulmont, qui ont séparé cette affection de celle que nous venons de décri
doit appeler « tics matériels » : ils répondent à ce que Brissaud a séparé des tics sous le nom de spasmes. Babinski (3),
nt entre les membres, colonnes massives, et les extrémités dont les sépare un sillon, une collerette de netteté remarquabl
indiqué pourquoi les lésions de la vessie elles-mêmes devaient être séparées des névralgies vésicales; niais on voit souvent u
iodiques de Leyden. Ces vomissements sur- viennent irrégulièrement, séparés par des intervalles parfois fort longs de santé
utilisable pour les mesures dont les points extrêmes ne sont point séparés par une courbe trop saillante; ses branches s'é
la méthode des projections, notant ainsi facilement la distance qui sépare la projection verticale de deux points sur un p
à la partie supéro-postérieure en deux moitiés globuleuses qui sont séparées par une rigole médiane antéro-postéricurequc l'
rrissons et des jeunes en- fants. Le début est insidieux et souvent séparé de l'infection causale par un intervalle de que
n peut juger de la superposition des plans et des distances qui les séparent : ainsi on peut apprécier, par exemple, la situ
ions. Ces échanges sont encore plus actifs si les électrolytes sont séparés par des membranes per- fB.HUET] z1 `310 APPLI
se produisent encore entre diverses parties d'un même électrolyte, séparées par des membranes. Ces diverses conditions se t
brement; il ne se produit que des contractions isolées des muscles, séparées par des intervalles de repos plus ou moins long
ci se résout peu à peu et les contractions deviennent distinctes et séparées les unes des autres comme elles l'auraient été
isantes soutenue, on emploie des excitations tétanisantes rythmées, séparées par des intervalles de repos de quelques second
s à intermittences fréquentes, avec excitations rythmées courtes et séparées les unes des autres par des intervalles de repo
uel- ques coupes passant entre les racines rachidiennes. Avant de séparer l'un de l'autre les deux hémisphères cérébraux, j
être rares dans cette région. Les deux hémisphères cérébraux sont séparés l'un de l'autre par une section du corps calleu
65 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
i sert d'in-termédiaire dans tous ses actes nutritifs, qui partout le sépare des vaisseaux, il n'a pas le droit d'initiative;
orifices, on aperçoit assez nettement par intervalle l'éperon qui les sépare . (La planche VI donne une idée exacte de ces diff
la confusion n'est guère possible, car de trop nombreuses différences séparent ces affec-tions. Souvent le rhumatisme est préc
t dans les mouvements spontanés. Des dissemblances caractéristiques séparent aussi, à notre avis, Yarthropathie qui nous occup
du cubitus qui seraient aplatis, — ou si ces deux os sont distincts, séparés par un intervalle. Au moment du bombardement de
la paroi du ventricule latéral est très-ramollie ; le corps strié est séparé de la couche optique. La partie antérieure de ce
e veniricule est assez ferme. A gauche, le cor| s strié est également séparé de la couche optique. A part les bords qui répond
on voit deux petits ostéophytes d'un à deux centimètres de longueur, séparés par un intervalle de cinq à six millimètres. (Pla
xtrémités de leur diaphyse aux dépens du cartilage d'ossification qui sépare la diaphyse de l'épipbyse et dont la disparition
oir le bord de l'iris détaché dans un quart environ de son étendue et séparé du bord de la sclérotique par une fente ayant l'a
interne. Le quart environ de la grande circonférence de l'iris est séparé de ses attaches ciliaires. La partie correspondan
ider toujours par où a commencé le mal, la suppuration a complètement séparé le cartilage épiphysaire de la diaphyse ou de l'é
des flèches caus-tiquesa Ce ne fut que le 17 mars que la tumeur se sépara de la surface d'implantation, laissant à découver
yngite des tuberculeux et la laryn-gite tuberculeuse, de même il faut séparer nettement l'ovarite tu-berculeuse ou cancéreuse,
dessous delà cica-trice de la muqueuse, il y a une sorte de fossé qui sépare les deux bords cicatriciels cutanés. — Exeat le 6
les voir placer dans un même chapitre et de ne pas en faire une étude séparée . I. Bibliographie. Barret. — Kystes hydatique
ents qui gagnent la base du crâne et la région parotidienne. Enfin il sépare la tumeur des muscles sterno-mastoïdien et hyoïdi
é si longtemps confondue avec l'hypertrophie qu'il est difficile d'en séparer la bibliographie ; pour les deux états morbides
physique d'une altération des organes respiratoires. Avant de nous séparer , messieurs, je dois vous dire quel est le pronost
nc entre les deux classes de tumeurs de la parotide que la clinique a séparées sous le nom de tumeurs bénignes ou adénomes et de
us larges et peu saillants. En incisant la tumeur et en cherchant à séparer la membrane d'enveloppe, on obtient très-facileme
ire. Ils sont fortement colorés par le carmin, et la distance qui les sépare , remplie par une substance intermédiaire, beaucou
66 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
que l'on n'hésitait pas à rapprocher des aliénés, étaient nettement séparés des hystériques, simples névropathes, mais aujo
on des phénomènes automatiques. Il nous parait donc im- possible de séparer complètement ces deux maladies ; nous pensons q
s phénomènes psychiques ne pouvant plus être complètement réunis se séparent nette- ment en plusieurs groupes à peu près ind
niquement ce délire qui provoque le vomissement. Mais ce délire est séparé de la conscience normale, il est subconscient,
cluons que les centres moteurs surl'écorce ne sont pas nette- ment séparés les uns des autres par des territoires neutres, o
hasie, parce qu'il ne s'agit pas de 38 CLINIQUE NERVEUSE. centres séparés , mais d'un territoire continu d'association. En
itations il faudrait de petites constructions, disposées en groupes séparés pour les deux sexes, et dans chacun de ces grou
t, dans toutes les institutions desti- nées à leur traitement, être séparées . Le clou de la discussion fut, toutefois, le di
étendu situé dans la région postérieure de la moelle et qui n'était séparé de la surface que par une très faible couche de
OLOGIE NERVEUSE. beaucoup plus nombreuses, en dedans. Ces dernières séparent le nodule circonscrit d'une zone d'infiltration
NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 1'ici une membrane plissée qui sépare le tissu ectodermique du tissu mésodermique. Ce
ère de la petite cavité que je viens de décrire; elle n'en est même séparée que par une très mince lamelle, qui certainemen
tions pigmentaires. Tout autour on aperçoit la membrane plissée qui sépare le tissu conjonctif de la névro- glie. Cet espa
aucune formation normale de la moelle; d'autre part, étant toujours séparés du tissu néoplasique proprement dit, ils ne peu
dorsalis est une maladie de l'âge adulte. L'ataxie de Friedreich se sépare de l'ataxie labétique, qui peut se considérer c
nt de l'éminence frontale gauche àt la protubérance occipitale. On, sépara , le cuir chevelu, on soulevai 1 le périoste, et
ns Norbury. Par suite d'une erreur de mise en pages, elle se trouve séparée . Nous ferons, à propos de ces deux travaux, que
tériques réputées aliénées dans la sec- tion de M. Baillarger et on sépara les épileptiques et hystériques dites non alién
pour contrôler, mais le mieux obtenu ne se maintient que deux jours séparés par deux autres journées d'agitation puis celle
oisine à la dose de 1 milligramme, qui n'agit que durant deux jours séparés par une très mauvaise journée, mais' sans somme
s. Suppres- sion pour contrôle; après deux jours d'un calme relatif séparés par deux autres jours d'agitation, celle-ci dev
oignage des aliénés. » Cette proposition est adoptée. Le Congrès se sépare après avoir voté la fusion des médecins aliénis
il en est ainsi le plus souvent dans la mélancolie. Le Congrès se sépare après avoir nommé M. le professeur PIER- RET (d
goutte de liquide céphalo-rachidien; les circonvolutions paraissent séparées les unes des autres simplement par les veines d
tant à droite qu'à gauche; mais bientôt il devient impossible de la séparer du reste du cerveau sans faire violence aux tis
sectionne la tumeur sur la ligne médiane et, les hémisphères étant séparés , on complète l'examen en pratiquant la coupe de
tissu nerveux, qu'elles 'restent dans les centres ou qu'elles s'en séparent , ont une certaine tendance à proliférer pour don-
n étage disposés sur une seule ligne s'étendant duN.-O. au S.-E. et séparés par une cour au centre de laquelle, perpendicul
lassement ayant chacune une salle de réunion un dortoir et un préau séparés . Un vaste couloir dessert au rez-de- chaussée e
ient 1 Depuis l'année 1892, le directeur-médecin habite un pavillon séparé , situé en dehors de l'établissement. 1 Primit
é de chacun des grands pavillons du régime commun, dont ils ne sont séparés que par une galerie fermée; donnant chacun ving
e rattacher à l'action lente et spontanée de divers centres nerveux séparés . A l'àge de trois mois, ces mouvements devienne
ties intégrantes, soit en composant un tout au moyen de perceptions séparées . Indépendamment des personnes mentionnées ci-de
cutaireJjen - dedans, : pur,le'noyau de4l'liypo,-Iosse, dont.il^est séparé pari deux trousseaux'dé fibres. Un, de ces trou
constate dès le second jour, sur le tronçon péri- phérique du nerf séparé . Ces cellules pénètrent dans la lumière du tube
eux sera aménagé pour dix ou vingt épileptiques. Les sexes seront séparés , et les enfants et les adultes également. Le syst
67 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
et des bâillements (B). Fig. 4. — Ler....., 15 oct. Bâillements (B) séparés par des respirations à peu près régulières. Fig
nts que ceux de la malade qui lui sert de modèle ; ils sont également séparés par des distances à peu près égales. Cependant,il
ugno, célèbre anato-miste et clinicien, fit reconnaître qu'il fallait séparer foncièrement 1'« Ischias arthritica » de 1' « Isc
quelques auteurs). Pour ce qui est de l'hystéro-épilepsie à crises séparées , c'est-à-dire ftys-téro-épilepsie à crises mixtes
e vois pas que la neurasthénie et l'hystérie d'origine traumatique se séparent par aucun caractère clinique fondamental de celle
mis de reconnaître autant d'hystéries distinctes et nosographiquement séparées qu'il y a de causes capables de provoquer le déve
névrose traumatique et constituant même pour elle un caractère qui la séparerait de l'hystérie. Evidemment, c'est là une erreur.
diagnostic. J'ai déjà montré les différences assez considérables qui séparent le « sommeil » de nos dormeuses du sommeil nature
oplexie avec hémiplégie de cause organique. Je n'entreprendrai pas de séparer cliniquement cette apoplexie hystérique de l'atta
rtige ab aure lissa se présentant non seulement sous la forme d'accès séparés , mais encore sous celle du vertige permanent sur
endra pendant deux ou trois séries de quinze jours ou trois semaines, séparées par des intervalles de huit ou dix jours, le sulf
elle qui permettra à peu près toujours, de les reconnaître, ou de les séparer par l'analyse, alors même que plusieurs de ces es
orez pas que cette dernière maladie est, nosographiquement, nettement séparée de l'ataxie locomotrice progressive. La diplopi
t de raideur, appréciable à l'œil, dans les membres inférieurs qui se séparent aisément l'un de l'autre et ne tendent pas à rest
Fallope, dans lequel se trouve contenu le nerf facial. Ce nerf n'est séparé de la cavité de la caisse que par une mince lamel
u lieu d'apparaître sous forme de crises distinctes, de courte durée, séparées par des intervalles de calme absolu, pendant lesq
ises, quelque intenses qu'elles puissent être d'ailleurs, se montrent séparées pas des intervalles libres. Autant il est aisé,
ises encore, à l'administration du sulfate de quinine, par quinzaines séparées par des intervalles de six ou quinze jours; peut-
ssi bien dans les cas de vertige permanent que dans les cas de crises séparées . J'ajouterai pour répondre à une autre critique (
pas par la suite, sous forme d'accès plus ou moins souvent répétés et séparés par des intervalles libres. D'un autre côté, il n
naud. dant en d'autres termes au type prédominant, et permettant de séparer clinique-ment les troubles gastriques réellement
arquable cependant de voir, dans nombre de cas, les crises gastriques séparées à peu près régulièrement par des intervalles libr
s crises cessent tout à coup « comme par enchantement » et elles sont séparées par des intervalles parfaitement libres de tout a
hydro-thérapique des environs de Paris, où il vécut dans l'isolement, séparé de sa famille. Au bout d'un mois un grand changem
peut-être, dans la réalisation objective, des phénomènes en apparence séparés par des différences radicales. J'en viens maint
ns cet hospice, est désignée sous le nom à'hystéro-épilepsie à crises séparées . Après cet exposé des faits, il ne sera pas hor
e profère aucune plainte. Mais lorsque les périodes d'euphorie sont séparées par des entr'actes d'amor-phinisme, alors les mal
ne chose : c'est que la maladie évoluait chaque jour en cinq actes, séparés par des entr'actes de calme et de bien être. Gela
que l'analyse seule, procédé toujours un peu artificiel, a permis de séparer tous ces faits, qui, suivant toute vraisemblance,
des gesticulations chroniques. Mais la différence fondamentale qui sépare les deux états morbides apparaîtra surtout dans s
raisemblable qu'ils ne sont pas gens à méconnaître les caractères qui séparent la gliomatose d'un processus d'inflammation chron
poignet et le cinquième inférieur de l'avant-bras. De ce côté, ils se séparent des parties restées normales par une ligne tranch
tronc a conservé toute sa sensibilité dans la zone intermédiaire qui sépare la nappe anesthésique péri-scapulaire de celle qu
, 7. — — Tremblement, 471, 472. Hystéro-epilepsie, 32. — A crises séparées , 424. — (Signification du terme), 425. Hystérog
68 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
tistes de la Gaîté-Montparnasse ; des exccrcices de gymnasti- que séparés par les garçons il Bicêtre, par les filles à Va
e fibrilles parallèles entre elles, perpendiculaires v la suture et séparées par des espaces translucides. La photographie
ormiens à droite et une quinzaine à gau-. che. -.L'occipital semble séparé , au moins dans sa partie, supérieure correspond
ronto-pariétales ne sont pas soudées, et les différents os qu'elles séparent présentent une mobilité relative. Le frontal es
des aveugles, Ecriture très lisible, penchée et courante, mots bien séparés . Dessine assez bien un objet usuel, résoud des
ant presque toute la paroi ventriculaire. Sur la cjupe faite pour séparer la protubérance du cerveau, on trouve une zone ro
e pariétal. Le lobule pariétal supérieur est bien développé. Il est séparé en avant de la pariétale ascendante par un sill
illes parallèles entre elles, perpendiculairement à , la suture, et séparées par de petits intervalles translucides. - La du
u est très dilaté. Il n'offre de circonvolutions, irrégulières et séparées par des sillons peu profonds, que sur une bande d
calotte crânienne est fort développée en arrière et une dépression sépare les deux bosses pariétales donnant à cette régi
ulu. - P, protubérance. - B, bulbe. 111 moelle. - S S, scissure qui sépare L M, de L 0. - si indi- que le foyer hémorrhagi
tte apparence, c'ast que : 1° en certains points il est facile de séparer cette membrane de la dure-mère qui semble alors s
e que la pie-mère est distendue, qu'on ne peut que difficilement la séparer de l'encéphale où elle n'adhère pas. La base du
doïde et coronale ne sont pas soudées et les différents os qu'elles séparent présen- tent une mobilité relative. Le frontal
au de la partie postérieure du vermis inférieur, dans la région qui sépare les deux hémisphères cérébelleux. Cette tumeur
oit notablement modifiée. L'épaisseur de la substance cérébrale qui sépare la paroi ventriculaire de la surface convexe de
. La quantité de liquide céphalo-rachidien, recueil- lie quand on a séparé les hémisphères cérébraux et qui n'était pas mo
entre les deux hémisphères cérébelleux, au niveau du sillon qui les sépare , existe un second kyste allongé dans le sens tr
s dans ce sens, et 2 centimètres de hauteur. Deux petits sillons le séparent en deux parties et lui donnent un aspect bossel
s sont symétriques. La protubérance est un peu aplatie. Lorsqu'on sépare le cerveau du cervelet, il s'écoule 70 grammes
69 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
olis de l'enfance, violente, a voulu tuer son mari, dont elle s'est séparée après huit ans de mariage. Deux tantes maternel
édoncules cérébraux, en avant de l'aqueduc de Sylvius dont elle est séparée par une distance de 3 à 4 millimètres environ.
leure sous la pie-mère interpédon- - culaire. au fond du sillon qui sépare les deux points de sortie des troisièmes paires
ccupée par une véritable papille. Cette papille, qu'un léger espace sépare de la couche des cellules néoplasiques, présente
enlève les autres parties de l'encéphale tandis qu'il cesse si l'on sépare la moelle du bulbe. Le tremblement intentionnel
énètrent souvent dans les cellules pyramidales où un halo clair les sépare de la masse protoplasmique. Toutes ces lésions
omme s'attribue des conditions divines, « qu'il se trie soi-même et sépare de la presse des autres créatures, « taille les
es maladies de l'émotivité et du sens émotif dont on ne tarda pas à séparer la mélancolie anxieuse, puis on finit par recon
ri et la femme. 7° L'indication thérapeutique principale consiste à séparer l'un de l'autre les deux malades. Il arrive alo
ple crédule, mais devenir un aliéné : il peut ne pas guérir, même séparé de son compagnon ; les idées délirantes qu'il a
De la résultait une sorte de comfort moral dont nulle ne voulut se séparer , ni en consentant au mariage, ni en entrant comme
, de manger et de se laisser emmener à l'atelier de photo- graphie. Séparée de ses compagnes, elle refuse d'écrire, même qu
. « D'abord, depuis le siège de Paris, nous ne nous sommes jamais séparées . D. « Etiez-vous toujours parfaitement unies ?
service des hommes ; les services généraux au centre. Les pavillons séparés les uns des autres, forment. pour ainsi dire, 1
nt surtout refoulés et comprimés ; ils peuvent ordinairement être séparés de la tumeur et ne sont pas pénétrés par elle : l
ire). Si l'on s'appuie sur ces faits, il paraîtra bien difficile de séparer radicalement les endothéliomes et les sarcomes;
produites par voie de division, s'étranglent entre les noyaux ou se séparent de même en une chaîne de cellules fusiformes.
mélancolique à délire de négation souvent exprimé à haute voix ; je sépare les deux malades, les idées de négation de la p
s. A la même demande, qu'on renouvelle plus tard, après les avoir séparées , Jeanne répond, ainsi que Clotilde : « J'écrirai
au atteinte des troubles de la sensibilité chez le même malade sont séparées par des régions normales. Cela prouve que le pr
du pont de varole ; en arière, par la formation réticulaire qui la sépare du faisceau longitudinal pos- térieur ; sur les
une cer- taine catégorie d'aliénés; 23" l'alitement en des chambres séparées , dont on maintient les portes ouvertes, est, da
nal de Neurologie 1901, n° 22.) Neuf séries de quatre ergogrammes séparés par une minute de repos, dont on trouvera la re
égard à leur état psychique, dans les salles communes; les autres séparent les malades tranquilles des malades excités, et p
eprésentant du parti libéral en Allemagne, qui après Sadowa s'était séparé avec éclat du parti prussien, était bien fait p
mignonne ! Puis je suis allée me noyer. Je savais qu'on voulait me séparer d'elle. Je l'aimais trop pour la quitter. J'aim
ent, le stylet passe entre le corps et la poignée de l'os, qui sont séparés complètement l'un de l'autre, puis, étant incli
au-dessous de la membrane obturatrice antérieure dans l'espace qui sépare l'occipital de l'atlas. C'est à la moitié supér
ste au milieu autant que l'hiatus osseux le permet, de façon à bien séparer les tissus. Tels sont les temps de l'opéra- tio
e la maladie décrite par Freud : Doit-on, comme le veut ce dernier, séparer nettement la névrose d'angoisse du domaine de l
sse est souvent associée à la neurasthénie, mais il parait utile de séparer de cette dernière, dont le terme est trop vaste
t, à la suite desquels s'installe le syndrome pseudo-bulbaire, sont séparés par un intervalle de quelques jours, de plusieu
70 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t continue dans un éta- blissement fermé. Cependant dès qu'elle fut séparée de ses compagnes, Céline.... se montra d'une tu
ses deux moitiés latérales, pendant le développement du tronc, sont séparées l'une de l'autre, sur la ligne médiane, par la
livre : « Dès que l'oeuf humain est né, sa masse va se diviser, se séparer en deux petites masses ovoides qu'on nomme blas
t surabondamment démontré que, chez les Ascidies, chaque blastomère séparé de son congénère donnait naissance, non pas à u
entation qui au stade XVI naîtra dans l'intérieur de l'oeuf, ne les séparera qu'im- parfaitement et d'une distance incessamm
ggestive au contraire, et conforme à notre thèse que cette activité séparée et rivale des deux globes vitellins ; ce proces
enus dans l'oeuf était égal à ce- lui des blastomères qui, une fois séparés de leurs congénères, don- nent chacun un adulte
ent même que telle était la rè- gle et que la première segmentation séparait l'une de l'autre la moitié ventrale et la moiti
nt il est question. M. BRIAND insiste sur la nécessité qu'il y a de séparer les aliénés difficiles des délirants criminels
ques ou soi-disant tels, tant est imprécise la limite théorique qui sépare l'hystérie épileptiforme de l'épilepsie vraie.
Bref, je crois que, pour atténuer les divergences d'opinions qui séparent actuellement MM. Ballet et Grasset, il faudrait
. Quant aux périodes intercalaires, quelquefois très longues, qui séparent ces accès, je ne si is pas convaincu qu'elles soi
folies périodiques les accès maniaques ou mélancoliques qui sont séparés par des intervalles de plusieurs années. Il s'agi
la conception que je me suis faite de l'hystérie. Cependant je me séparerai de M. Babinski sur un point im- portant. Je fui
un nombre considé- rable de fibres fines, disposées en faisceaux et séparées par des cellules apotrophiques. Ces fibres fini
emier (développement) est divisé en deux arti- cles, dans le but de séparer les données encore incertaines de la neurhistog
ans le premier chapitre, avons-nous déjà dit, l'auteur a eu soin de séparer l'histogenèse générale de l'histogenèse propre du
et désagrège les systèmes psychologiques eux-mêmes au lieu de les séparer seulement les uns des autres. Personne ne confond
lire remplit la vie entière au lieu d'occu- per seulement un moment séparé des autres. La véritable comparaison qui s'impo
ais qui devient ici plus visi- ble. Ces idées, ces fonctions qui se séparent ainsi de la conscience personnelle ou de la vol
it le plus grand plaisir à rêver au garrottage de cette aristocrate, séparée par un abîme profond des hommes ordi- naires. L
chez les paralytiques généraux, les circon- volutions n'étaient pas séparées par de larges sillons ; le cerveau faisait l'im
Le gardien de service dans la salle. Auguste Gaumet, intervint pour séparer les adversaires, mais le fou tourna aussitôt sa c
ar- le pas à sa maîtresse (elle n'y fera allusion que plus tard). Séparées , les deux femmes se rendent visite de temps à aut
a- bituels. Les deux codélirant vivent la majeure partie du temps séparées , elles n'ont aucun intérêt commun ; même leur s
it tout d'abord con- sister dans une éducation rationnelle. On doit séparer de leur mère aussitôt que possible les jeunes p
ces, on peut, en utilisant la pathogénie comme indexclassificateur, séparer les amnésies fonctionnelles ou dynamiques des a
o (ligne de Milan-Erba). Construite sur une hauteur par pavillons séparés , elle occupe une aire de 109,440 mètres carrés
deux à gauche et quatre à droite. Le compartiment masculin a été séparé de celui des femmes en deux grands édifices : l
utilisée depuis 1905, pour l'enseignement des infirmiers. Une villa séparée contiguë au comparti- ment féminin, a été érigé
paralysie générale ne sont pas toujours faciles à reconnaître et à séparer des psychasthénies. Le traitement consiste surtou
t des alcooliques vagabonds 1,80 % ; ou des alcooliques divorcés ou séparés , 3,Oti . 5° L'alcoolisme, supprimant l'activité
71 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t ses partisans ; 2° Elles ne sont pas non plus, en tant que foyers séparés , d'une telle nature ni d'une importance relativ
la couche corticale des centres moteurs et des centres sensoriels, séparés ; mais ils sont étroite- ment entremêlés et prés
primordial de la mélancolie anxieuse. 11 y a lieu, dit l'auteur, de séparer de la neurasthénie un syn- drome morbide autono
IE MYXOEDÉMA.TEUSE. 113 petit rond sont confondus. Les cloisons qui séparent ces trous sont d'abord cartilagineuses, puis el
s qui conslituent le frontal sont visibles et leur ligne de réunion sépare en deux parties égales l'angle limité par les b
fig. 19) formant autant de colonnes verticales épaisses de 1 à 2 a séparées par des intervalles de S à 7 p. remplis par un li
en 1 par exemple. La couche pigmentaire (16, fig. 19) complètement séparée de la rétine, est restée dans presque toute son
granuleuse interne; 7, fibres de Muller formant autant de colonnes séparées par des espaces remplis de sérosité, 8, rindeusce
s de volume variable sitjés entre les fibres conjonctives du stroma séparées par un exsudat séreux, incolore, plus ou moins
r se venger, si bien que sa femme et ta lille furent obligées de se séparer de lui. Il ne fit que passer à l'asile clinique
e puerpérale, les tendances au suicide ou à l'homicide, existaient, séparées ou associées, mais qu'elles n'étaient en généra
moment, il ne se '196 CLINIQUE MENTALE. sentit pas la force de se séparer de lui, d'autant plus que sa femme à qui il s'é
u syphilitiques. M. Pierret (de Lyon). La divergence d'opinions qui sépare il. Anglade et M. Klippel est plus apparente qu
e sorte d'émulation, donné de meilleurs résultats que l'éducation séparée de ces pauvres êtres ? 2° les émotions de la gros
e d'an- goisse (Frerc 1, IItti-teiibe ? q). Il serait nécessaire de séparer la cons- titution idéo-obsessive du vaste group
'est, dit-il. un dévoyé de l'ordre mental placé sur les limites qui séparent la raison de la folie, relevant autant du méde-
rver des salles spéciaJes dans les asiles, afin qu'ils pussent être séparés des autres épileptiques. Dès 1874, M. Ley, alor
i des logements pour le personnel et une infir- merie ; un bâtiment séparé qui contient les magasins et les cuisines, avec
e professeur Raymond et nous- même. Cliniquement, nous n'avons pu séparer les amyotrophies progres- sives syphilitiques d
nte l'immense avantage d'être composé de quinze pavillons nettement séparés . Cette dispo- sition favorisait au plus haut po
iques, mais à une époque beaucoup plus éloignée et l'intervalle qui sépare la première hospitalisation de la seconde (quatre
e les faisceaux de fibres ner- veuses à peu près intacts simplement séparés les uns des autres par des cellules néoformées,
u plus. Laver les coupes à l'alcool absolu jusqu'à ce qu'il ne s'en sépare plus de flocons colorés, et jusqu'il ce que la
ne visite à l'asile de Meerenberg; par le Du' G. DENit. Avant de se séparer à Anvers, an retour d'une très intéressante exc
litement est pratiqué dans des salles communes ou dans des chambres séparées dont les portes restent ouvertes jour et nuit.
e. Il ne s'est pas contenté de nous faire von toute la distance qui sépare ces attaques de celles de l'épilepsie vraie et
teint pas complètement la périphérie de la moelle, dont elle est séparée par un tissu névroglique contenant encore un cert
pidation spinale. On peut donc supposer que, si elle est rapidement séparée de l'encéphale, la moelle lombaire ne peut repr
à cause de leurs crises. .L'asile ne contient que trente chambres séparées , dont quelques- unes sont capitonnées; elles s'
emps que les aliénés, il reçoit les malades qu'il est nécessaire de séparer des autres, ceux qui ont des idées de suicide,
mier. Les malades bruyants sont à l'extrémité de chacun des étages, séparés des autres par un mur. Malgré les agrandissemen
re nerveuse correspondante et l'unité cellulaire du neurone. Même séparée de sa cellule la fibre sectionnée continue à fonc
giste remarquable, tout en étant un clinicien de valeur, car il ne sépara jamais l'une de ses études de l'autre. Et c'était
72 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ié deux fois, il a été malheureux avec sa seconde femme et en était séparé depuis deux ans. Il est devenu, il y a trois mois
et Zinn, rapporteurs. - M. NOETEL, 1° Les tuberculeux doivent être séparés des autres malades ; 2° Les chambres dans les-
des tubercu- leux : plancher, parois de murailles, bois de lits; on séparera leur linge et leurs vêtements des trousseaux de
irmerie. Nous ne conseillerions pas le système des petits pavillons séparés , quelque alléchant qu'il soit, parce que ces pe
er dans les asiles autonomes entourés de terrains spacieux; - 4° On séparera autant que possible les idiots des enfants épil
commun; il vaudrait mieux réserver aux premiers des établissements séparés comme cela s'est lait jusqu'ici. Discussion : M
un terrain qui nous appartient légitimement. M. JOLLY. Ce qui me sépare de M. le rapporteur ce n'est qu'un ensemble de
une hospitalisation passagère peuvent être reçus dans des quartiers séparés , ainsi dans les quar- tiers d'aliénés des hôpit
nsoriel; si bien qu'il est impossible de déterminer les limites qui séparent l'aphasie motrice de l'aphasie sensorielle. I
e les faire admettre dans un asile d'aliénés, ils seront sans pitié séparés , de leurs 154 varia. parents et transférés à
malheureux sont transportés dans des asiles plus ou moins éloignés, séparés entièrement de leurs parents. Quelquefois ceux-
des accès en série quand dans une même journée il a plusieurs accès séparés les uns des autres par un intervalle lucide plu
lsives de l'hystérie et les attaques d'amblyopie transitoire soient séparées , alternées et marchant par périodes distinctes.
e ces troubles à un point tel, qu'il serait presque impossible de séparer le syndrôme de l'amblyopie transitoire, de la mig
stance cérébrale, le tissu cicatriciel épileptogène a été excisé et séparé du reste de l'encéphale avec les plus beaux succè
inoubliable. M. le Préfet a exprimé le regret de voir le Congrès se séparer ; mais la satisfac- tion d'avoir appris à connaî
entre le persécuté et le lypémaniaque, il y a toute la distance qui sépare le coupable de la victime; tandis que le premie
es maladies du cerveau et les maladies de la moelle sont toujours séparées à tort et à prouver que les phénomènes réputés ps
récents à l'infec- tion ou à l'auto-intoxication) et qui doit être séparée de ce que l'on appelle « dégénérescence ». C'es
la nécessité de réformer la loi relative au domicile de secours qui sépare trop souvent les enfants des parents. Pour remé
de largeur égale. Dans cette ostéotomie pariétale, la dure-mère fut séparée de l'os. Il n'y eut qu'une légère hémorrhagie e
e pénétrer dans le sinus lon- gitudinal supérieur. La-dure-mère est séparée avec beaucoup de soin de l'os, et mon avis est
deux boutons de l'os pariétal droit, et la partie du milieu qui les séparait fut enlevée au ciseau. Le 9 mai, probablement 1
double opération, et que les deux côtés du crâne soient forcément séparés , le danger me semblerait beaucoup moins grand, la
onseillant d'opérer des deux côtés de la tête d'un seul coup, et de séparer de ce fait forcément la voûte cranienne de la d
ssant au-dessus des oreilles ; alors les os de la voûte tout à fait séparés par une fontanelle artificielle circulaire ne g
eaux appartenant à chaque oeil, dont se compose la bandelette, se séparent en un endroit quelconque du cerveau 1. Dans le ca
s tellement différentes, l'amblyopie transitoire. 433 qu'on les a séparées comme des espèces distinctes, nous trou- vons l
apidement, peut passer à l'amaurose complète, dans l'intervalle qui sépare les accès, si ceux-ci sont courts et rapprochés
un seul point précis, celui qui intéresse des médecins. J'ai tenu à séparer le phénomène de la suggestion proprement dite d
qui concerne le noyau de l'oculo-moteur commun, le mieux est de le séparer en deux régions : une région antérieure, une ré
ints de tremblements convulsifs. M. MEYER.- Il est indispensable de séparer la chorée de l'enfance de la chorée des adultes
tractions, mais les muscles se con- tractaient isolément par points séparés sans entraîner d'ondes con- tractiles. Enfin
73 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
ons. Cette masse constitue une tumeur bilo-bée dont les deux moitiés, séparées par un sillon vertical, figurent assez bien, comm
microscope à l'étude des tumeurs, les épithéliômes furent décrits et séparés du carcinome par Muller, Hannover, Lebert, etc.,
térine, mais les couches les plus rapprochées de la séreuse restèrent séparées par un intervalle de un centimètre environ. La
présente un volume égal ; à la partie supérieure de l'espace qui les sépare est un noyau de o,3; enfin, en bas du noyau exter
taches peu accentuées en général, de couleur jaunâtre ou grisâtre, et séparées entre elles par des plaques, dont lablan-cheur co
vue de la prophylaxie, la nécessité des précautions suivantes : i° Séparer , si on le peut, les sujets malades de ceux qui ne
aux,ne présente que trois divisions ; lesdeux divisions internes sont séparées par un intervalle considérable, où apparaît un pe
ois orteils nettement constitués: une perte de substance considérable sépare le premier du second ; mais elle est diminuée à l
chez l'homme est assez rare... celle qui a lieu par le fait de brides séparées , comme dans ce cas, doit être plus rare encore. —
d'ceufs à l'époque de la fécondation ; les articles se dissocient, se séparent complètement les uns des autres pour constituer c
dipeux circonvoisin. Il se décompose lui-même en une série de lobules séparés par des trabécules de tissu connectit, contenant
biles qu'on dresse, qu'on enlève, qu'on déplace en moins d'une heure. Séparées , ces tentes peuvent servir à l'isolement de quelq
e pour une bonne ventilation. Elle se compose de deux toiles, partout séparées l'une de l'autre, et qui livrent passage à une co
au moment de leur fin, ils déposent leurs ovules. L'intervalle qui sépare les accès est occupé par l'incubation. C'est au
74 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
de déformations acromégaliques, aucune différence essentielle ne le sépare du géant José Lopes. Après avoir remarqué que l
fet, on voit disséminés quelques follicules de dimensions variables séparées par des bandes ou trabécules importants du tiss
ment dilatées, à côté d'autres de volume nor- mal ; les travées qui séparent les vésicules étaient très minces en général et
sement apparent de la région carpienne, de façon que les mains sont séparées de 74 ' QUADRONE E : Pavant-bras respectif pa
. Ou voit ainsi s'effacer les caractères distinctifs qui semblaient séparer les deux syndromes,et on comprend la difficulté
ÉPILEPTIQUE 149 glande thyroïde, on observe des zones complètement séparées les unes des autres par un tissu scléreux très
intéressant de pouvoir faire de même dans les tumeurs cérébrales : séparer les phénomènes de la compression de ceux qui so
té des natures pathologiques aupara- vant. J., par exemple, s'était séparé de sa famille, avait mené une vie excentriqueet
1 Enfin, au point de vue de l'évolution, ces sortes d'accès furent séparés par trois périodes de rémission de deux, trois
en des cas qui se montrent sous la forme d'accès semblables et bien séparés n'appartiennent pas à la folie maniaque dépressiv
verté- brale, toutes les parties molles et cartilagineuses se sont séparées des oset la préparation anatomique ne fut plus
des vertèbres qui forme avec les apophyses képi- neuses nne colonne séparée des corps des vertèbres. mis de l'intérieur, du
formations. (Grandeur naturelle; Fin. 1. - Les apophyses épineuses, séparées sur toute la longueur des corps des vertèbres,
il n'atteint pas la face ant. de la colonne vertébrale il il est séparé par le tbsu osseux, spongieux (F) qui est néofo
rties recouvertes de cartilage et celles qui en sont dépourvues, se séparent par un petit bourrelet cartilagineux, surtout sur
urface sèche et est usé par endroits. La surface cartilagineuse est séparée du col du fémur par un petit bourrelet cartilag
che d'un tissu de fibrocarlilage ; il l'intérieur Je cartilage est séparé du fond Ftc. 16. - Cartilage de l'humérus gauch
rhizomélique. Nous tâcherons par comparaison dessymp- tômes de bien séparer la spondylose rhizomélique de l'affection similai
(avec des fibres névrogliques) situées dans les septa, probablement séparées du parenchyme par la poussée de cioissance de c
cléole est intimement adossé il la paroi de la coupole qui seule la sépare du cyto- plasma environnant. Il y a aussi un no
noyau. Dans quelques cellu- les, nous avons pu constater qu'ils se séparent l'un de l'autre et qu'au lieu d'occuper un seul
e désintégration, les sphérules qui entrent dans sa constitution se séparent de leur substance unissante, s'invidualisent ma
toute sa périphérie par une zone claire plus ou moins large qui la sépare du cytoplasma environnant. Cette dégénérescence n
aux. Ces vacuoles sont de forme arrondie, ovalaires ou moniliformes séparées les unes des autres par des bandes de proloplas
S 295 ou bien à la dissolution des cloisons protoplasmiques qui les séparent . Mais l'absence d'un contenu, l'absence d'éléme
n et d'une sorte de plasmosphère d'aspect hyalin et homogène qui la sépare du cytoplasma environnant. Dans quelques cellul
présentent une'soi-disant plasmosphère, sont de taille variable et séparés du noyau par une zone plus ou moins large de cyto
envergure : 1 m. 88, prise directement en mesurant la distance qui sépare l'extrémité inférieure du médius droit de l'ext
és. Mais l'accord dans le ménage ne dura qu'un temps, la famille se sépara , la femme et les enfants vécurent de leur côté,
égression infantile, tantôt une sorte de féminisme, les limites qui séparent ces deux types étant aussi mal tranchées que le s
itale), ni avec le myxoedème acquis de l'adulte. Les limites qui le séparent du féminisme et de l'eunuchisme sont moins' tra
CONGÉNITALE 467 droite, alors que les deux derniers orteils restent séparés . A gauche, le petit orteil est nettement écarté
75 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aucune, preuve égard; mais -le second, qui 1n'a ? 'd'ailleussrétéI séparé ^du' p'remier'quepar'quelques jours d'un calme t
hoit la teste à la, ditte Bourgeot; qu'il l'appela dans une chambre séparée , prit un livre, fist sur elle des bénédictions
ord que le dit Nouvelet coucha dans ` la même chambre dans des litz séparez , savoir : le dit Nou- velet seul; elle, sa mère
uvre femme et d'avoir'couché dans la ' mesme chambre dans des litz' séparez avec le'dit Nouvelet; ' elle ditqu'elle'`fist"d
e Bourgeot; qu'ayant' tesmoigné à'sbn" père qu'il nevouloitpas s'en séparer , son père alla trouver les ' magistrats de Dôle
voyé par les magistrats à Dôle pour ordonner audit Nouvelet de se séparer de la dite fille, ce qu'il ne voulut faire. » «
paludisme franc ; et d'un autre côté, vu la différence clinique qui sépare notre neurasthénie et le paludisme franc ; et l
par leurs supérieurs, et qu'il a été impossible jusqu'à présent de séparer d'eux parce qu'ils les aiment plus qu'ils ne le
ier un établissement dans chaque département. Or, beaucoup seraient séparés de leurs parents par d'assez grandes distances. O
paranoïa, les affections de l'intelligence. 4° La p<M'6[MOMt se sépare ainsi nettement des anomalies de l'hu- meur et
différences de caractère et de tendances scientifiques qui les ont séparés pendant le cours de leur existence, a présenté
dit le Puy- de-Dôme du z juillet : Quelques semaines à peine nous séparent de l'ouverture de ce Congrès, qui aura lieu à C
affirmation aventurée, faire remarquer les différences qui semblent séparer cette vieille amnésie con- tinue et progressive
? «,ar,'H L'abbaye et' les terrains'qui' l'entourent, complètement séparés de la ville et des cultures voisines, par un mu
onde, s'efface et disparaît. L'individu a donc en réalité deux vies séparées et indépendantes, deux personnalités alternante
s ou durables ». J'avoue que je ne vois pas nettement la limite qui sépare la prédisposition hé- réditaire et la dégénéres
symptomatique de la sclérose latérale. De même l'hystérie doit être séparée des autres formes de la dégéné- rescence. 'w
e lacry- male de la façon suivante : Les fibres du nerf facial se séparent à la hauteur du ganglion géniculé et passent en
git sur la rétine, on constate l'existence de deux champs nettement séparés dont l'excitation provoque de l'hémi- contractu
PROY (de Paris) a été élu président du Congrès de 1895. Avant de se séparer , l'assemblée décide, en outre, que le prochain
Y a clos la série des toasts en buvant aux Auver- gnats et on s'est séparé après avoir vidé une [dernière coupe de Champag
rganique ; leur pronostic étant favorable, les voilà définitivement séparées de toute la classe des psychoses périodiques ty
cs), touche à sa fin. Le 1 ? juillet, il formerait un établissement séparé et rece- vrait dans les 10 pavillons, construit
rulantenwahnn) et la Verrücktheit aiguë ; dans un autre travail, il sépare la confusion mentale ( )'<6W<Ae) de la Ve
ansif, l'exaltation du moi mal- gré les idées de persécution, et la sépare ainsi de la mélancolie; la systématisation des
colie; la systématisation des idées présomptueuses lui permet de la séparer de lamanie. Ces idées présomptueuses sont d'ord
evenaitde la paranoïa chronique ou de la démence. Lorsque Mey- nert sépara la confusion mentale ou amentia et en fit une for
ressions de débilité men- tale et infirmité mentale. Nous devons en séparer la démence (Bloedsinn) et d'après ses phénomène
extrêmement difficile de tracer les lignes de démarcation qui la séparent de l'amentia (confusion mentale, désordre dans le
ique (paranoia chronica) ; il n'y a donc en principe aucun motif de séparer la paranoïa chro nique de la paranoïa aiguë, pu
coutume de consi- dérer à part comme formant un groupe parfaitement séparé , des troubles primitifs de la sensibilité moral
de la maladie, elle revêt l'importance d'un symptôme autonome, et, séparée des conditions pathogénétiques qui l'ont produi
76 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
t ont extérieurement la forme et les dimensions d'un bouchon ; on les sépare en deux à la main sans effort, et ils apparaissen
rascible et faillit maltraiter le Dr Harris qui leur proposait de les séparer . De l'inégalité d'humeur peuvent résulter des d
'homme s'attribue des conditions divines, « qu'il se trie soi-même et sépare de la presse des autres « créatures, taille les p
t trois, cinq, sept heures, enfin pendant les vingt-quatre heures qui séparaient une séance de la suivante, pour finalement ne plu
ordre pour en former son idéal, sa collection, dont la mort seule le séparera . C'est un désœuvré ou un bureaucrate employé à de
ion même que nous a laissée Marie Alacoque, sans décrire par chapitre séparé , les diverses formes d'hallucinations. Un jour
de cette plante. De plus leur bioprotéon subit une rétraction. Il se sépare de la membrane cellulaire et son réseau se transf
présentes dans toute leur force, même dans l'intervalle de temps qui sépare l'acte de suggérer et l'exécution de ce qui a été
. A l'orchestre, se trouve un jeune homme jouant du violon ; il est séparé de plus de vingt mètres de la place occupée par M
logie, la chimie, la physiologie, la psychologie ne sont pas pour lui séparées par des cloisons étanches. Par ses conceptions, i
de cette partie de la psychologie : c'est que l'animal n'est pas plus séparé de l'homme par son esprit que par son corps; c'es
les mouvements de sommeil. C'est à tort. II n'y a pas lieu de les en séparer . La face supérieure de la feuille de Drosera ro
page de cellule en cellule, après un court arrêt à la cloison qui les sépare . Or les causes qui la provoquent, déterminent aus
s, grandes variétés aussi : les uns ne sentent rien, sont entièrement séparés du monde extérieur; d'autres conservent certaines
gation. Dans le sommeil, le psychisme supérieur seul se repose et est séparé du monde extérieur; le psychisme inférieur, polyg
cidentel, la chute du pollen sur le pistil, ne saurait l'en faire séparer que par des savants imbus du préjugé finaliste. S
st un phénomème qui marque d'une façon plus précise la limite qui sépare l'état normal de l'état hypnotique, c'est celui q
tous les doigts sont pris. Les verrues cessent au pli de la peau qui sépare la main du poignet. Rien à la face palmaire. En r
c lequel il formule sa prière est encore une autre distinction qui le sépare du phtisique; ce dernier a le verbe haut,' résist
cre les infidèles qui avaient demandé un signe à Mahomet, la lune fut séparée en deux, une partie disparut, l'autre resta. S'ag
seul, en effet, se rendre très nettement compte de la différence qui sépare l'audition-illusion sensorielle, de l'audition-se
n science positive : rapprocher entre eux divers phénomènes jusque-là séparés et n'avoir plus qu'une explication à chercher au
n ». J'avoue que je ne comprends pas comment il y a du mysticisme à séparer les centres psychiques supérieurs et les centres
héorie d'un seul mot : dans l'état de suggestibilité, le polygone est séparé de son centre 0, il garde son activité propre, ma
77 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
en dé- fini d'aphasie transitoire, à répétition, revenant par accès séparés par des. intervalles parfaitement libres, c'est
lés l'un à l'autre surtout dans le segment crural, que l'enfant les sépare avec peine pour les soulever du plan horizontal.
rictions avec 2 grammes d'onguent mercuriel double, les deux séries séparées par un intervalle de 8 jours. Pendant un mois e
acines antérieures ont conservé des tubes nombreux et normaux, mais séparés par un tissu interstitiel manifestement augmenté
c lieu, vu le nombre et l'importance des caractères distinctifs, de séparer du tabes classique cette lésion spinale qui se
e l'hermaphrodisme et où il s'arrête. En effet, les différences qui séparent les sexes ne portent pas seulement t sur les or
lombaire, connu sous le nom de cône terminal. Je ne saurai donc les séparer l'une de l'autre. 1 \ / \ 1 / ' Vous savez
ance aux nerfs coccygiens ; il a pour limites, en haut, le plan qui sépare le cinquième nerf sacré du premier nerf coccygi
de- viennent plus distincts, par suite de leur gonflement. Ils sont séparés par des sillons dus à la cloison fibreuse qui l
Ils sont séparés par des sillons dus à la cloison fibreuse qui les sépare et ne saurait se distendre en proportion. Ces s
celui, des. parties ,.voisines, tandis que dans la flexidnilen est, séparé par un sillon, qui indique clairement une ten-
e inférieur du scapulum. En ce point, la cage thoracique n'est plus séparée de la peau que par le corps mince du grand dorsal
S février 1894. Il supposa et dessina la lésion dans le sillon qui sépare l'olive gauche de la pyramide gauche, à la sortie
180 NOUVELLE ICONOGRAPIIIE DE LA SALPÊTRIÈRE que dans le sillon qui sépare l'olive de la pyramide du même côté, et a )a pa
eure et moyenne ces triangles de substance saine s'écartent et sont séparés par une bande de subtance alté- rée. Il en résu
anard; à côté, deux plats sont suspendus. Un rideau à demi ouvert sépare le fond de la pièce du laboratoire : on y disti
idal s'épanouissent dans la protubé- rance en plusieurs fascicules, séparés les uns des autres par des fibres transversales
e paire, qui occupent le troisième ventricule, sont assez nettement séparés des centres postérieurs et qu'ils reçoivent san
ions de la section de pédiatrie, j'ai compris le désaccord qui nous sépare dans les livres et les journaux au sujet de certa
ments éruptifs spéciaux ; les deux inférieurs agminés, le supérieur séparé des précédents par un intervalle d'un centimètr
sseaux le tissu est constitué par de très nombreux corps granuleux, séparés les uns des autres par des lignes de points arron
nstitué par des corps granuleux serrés les uns contre les autres et séparés par un poin- tillé qui représente la coupe des
is, dessinant les faisceaux se- condaires dont ils sont composés et séparés des muscles voisins par des sillons qui donnent
e l'éventration et deux latérales au niveau de l'aponévrose qui les sépare des grands obliques. (1) PAUL Richer, Anatomie
78 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
leptiforme de Louyer-Villermay) que cette maladie convulsive est bien séparée de l'épilepsie. Dans l'hystéro-épilepsie, en effe
qu'il soit aisé, ainsi que le démontre le tableau qui précède, de les séparer des accès d'épilepsie. C'est à dessein que nous
es membres et de la face. 21 fév. — Elle saute pardessus le mur qui sépare la section de l'infirmerie générale.— 25 fév. — C
ousses, qui portent également sur les deux côtés, viennent par séries séparées par un court intervalle. Durant ce temps, la mala
... pousse trois ou quatre cris très-élevés, toujours du même timbre, séparés par des intervalles égaux et le corps tout entier
te et le tronc battent brusquement l'oreiller. Ces crises, qui sont séparées par des intervalles de calme extatique, se termin
mpagnant des mouvements de déglutition ou des efforts de vomissement, séparent d'ordinaire la première période de la seconde.
ements clo-niques, déjà décrits). Dans les intervalles de repos qui séparent les attaques, la physionomie sur laquelle se refl
. Il ne faut pas qu'on me voie. » (Elle se blottit dans la ruelle que sépare deux lits voisins.Elle fait des grimaces, sourit,
bsolue. Souvent, les attaques éclatent durant les intervalles qui les séparent . Les retards dans la menstruation ne paraissent p
aucune remarque nouvelle. Il n'en est pas de même des intervalles qui séparent les diverses périodes, ni du délire. Entre la p
e du Roy, » — qui assistait à une séance d'exor- (1) Cette attitude sépare parfois deux phases de la période clonique. Pla
79 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it fréquemment, dans l'alternative de. la manie et de la mélancolie séparées par un inter- valle lucide plus ou moins prolon
re ; 1-, trijumeau ; v, vermis. habituelles : les sillons qui les séparent sont réduits à des fentes très difficiles à dis
e pôle temporal, T1 est fortement aplatie de haut en bas; nettement séparée en ce point de la cir- convolution de l'uncus p
résentant la scissure de Rolando, à cause de la grande distance qui sépare son extrémité inférieure de la scis- HÉMIAGÉN
biquc par deux plis très contournés. Le lobule fusiforme, nettement séparé du précédent par le grand sillon-occipito tempo
haut en bas. La quatrième temporale est par- faitement dislincle et séparée delà troisième par un sillon profond et ininter
s un petit tuber- cule lenticulaire qu'un sillon curviligne profond sépare , en arrière, en dedans et en avant )de la deuxi
le pilier postérieur du trigone ; quant au corps godronné, il ne se sépare de la précédente qu'à son extrémité supérieure
l'hémisphère gauche ; l'autre, gros comme un noyau de cerise, était séparé du précédent par un pro- longement méninge et p
mme. Trop longtemps les médecins, raisonnant comme le public, ont séparé les maladies de l'esprit et les maladies du corps
arqué les aliénistes et les neurologistes dans des domaines isolés, séparés par une haute muraille, sans autre ouverture qu
responsabilité des hystériques associe deux questions dont l'étude séparée est déjà des plus difficiles. A mon avis, lorsq
uis qu'elles sont en réalité in- séparables, ils ne doivent pas les séparer . On peut tout rattacher à la contagion mentale
ors de toute action de contact, car les sujets vivent non seulement séparés , mais encore très éloignés l'un de l'autre et n
jumeaux, très ressemblants au phy- que et au psychique,qui vivaient séparés , devinrent alié- nés en même temps. Le tableau
t toujours chez l'un et chez l'autre, malgré l'énorme distance (lui sépare les deux asiles où ils étaient enfermés et par
une fois remontés, sonneraient dans des apparte- ments complètement séparés , à la même heure exacte- ment. N'avons-nous pas
e sortant jamais seules, mais tou- jours enlacées. Le mariage les sépara pour la première fois de leur vie : l'une, dont
e personne (L ). Les 5 épreuves obtenues se divisent en 2 groupes séparés par un intervalle de deux mois. Les conditions
, et l'économie espérée ne sera pas réalisée ». « Les divorcés ou séparés restent rares ; ce n'est souvent t 320 biblio
nt construits entière- ment en tuiles, sur un sol sec dont ils sont séparés par des FIC. 18. - Asilc de Ga1"lloch (Vue gé
lules épithélioïdes et de cellules embryonnaires. Dans le tissu qui sépare les follicules, l'infiltration embryonnaire est
réservé le nom de « mutisme volontaire des hystériques » qui est à séparer des aphasies et à rapprocher des autres mutisme
nne sans dif- ficulté les pédoncules cérébraux. Au momcntoù on veut séparer le cervelet du bulbe et de la protubérance, on
perforations ovalaires situées au niveau du milieu de la rigole et séparées par un mince pont mu- queux. A droite, en un po
agée entre divers agents in- fectieux. Leur action ne doit pas être séparée de l'étude du ter- rain. L'arthritisme ou mieux
battent les aliénistes, on ne s'étonnerait plus des différences qui séparent encore les malades mentaux des autres au point
80 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a corne antérieure du ventricule latéral. Un peu plus en arrière et séparée de la première par un petit intervalle de subst
téro-postérieure du corps calleux, que nous avons dû pratiquer pour séparer les deux hémisphères, nous permet de constater,
ons frontales naître de la frontale ascendante par quatre pédicules séparés , etc. Si la plupart des malfaiteurs ne présente
de près d'un centimètre de profondeur. Son extrémité inférieure est séparée de la scissure de Sylvius par un espace d'un demi
voit naître les trois circonvolutions frontales par trois pédicules séparés et parfaitement réguliers. La troisième front
après un trajet de 3 à 4 millim., émettent deux branches qui s'en séparent aussi à angle droit pour monter et descendre vert
l'autre, au niveau du cornet moyen, pourraient être à l'occasion séparés par la projection de la muqueuse dans l'axe (acti
de Rolando, de l'insula. Second.foyer ancien sous-jacent, kystique, séparé du premier par un centimètre de substance blanc
tie antérieure des cordons postérieurs ou dans l'intervalle qui les sépare . Pourquoi cette dilatation de côté et en arrièr
t, en consé- quence, être placées dans les quartiers d'observation, séparés des autres parties de l'établissement. Dans les
eurs extrémités, ordinairement arrondies ou un peu effilées, sont séparées des tronçons contigus par de fines gra- nulatio
à des iné- galités du calibre, des dilatations pleines de myéline séparées par des rétrécissements, au niveau desquels la
orticale. Masses centrales saines. Hémisphère droit. En essayant de séparer la pie-mère du cerveau, on voit qu'au niveau de
former un ovoïde allongé dans le sens de l'espace. Ces plaques sont séparées par des intervalles de peau saine. Les éléments
rde cette attitude environ trente à quarante secondes. Les mains se séparent ensuite et, sans s'abaisser, opèrent un mouveme
ériodique. Il en arrive à la conclusion que l'intervalle lucide qui sépare chaque accès ne se manifeste pas toujours par u
nt 306 femmes. Il y a en outre six enfants, placés dans un quartier séparé , et venant de l'hospice des Enfants- Assistés d
n'poist'Cës saillies sont d')*me'coloration ])Iané jaun;ttref otU ? séparées par des intervalles déprimes, au niveau desquels
ettes fortement colorées par l'osmium' et formant desi petits amas, séparées , par des .longueurs, très espacées entre lesque
ue. · 3 H REVUE'CRITIQUE. , dc, .. - 1. ' ' ' . fondent pour se séparer bientôt, puis se réunissent en formant de nouve
urfaitement'dessi-1' nés ? unc,çouhe, é rpite,ae,substance,nervcuse sépare ce double' appareil. Buis le tronc originel, fo
i à M. Ball quels sont, à son avis, les symptômes différentiels qui sépareraient des accidents épileptiques incomplets de ceux q
inquiète de saisir en sa situation nor- male le plan qui réellement sépare la cage cérébrale du squelette facial. Il déter
ntimètres. Limitée en avant par le sillon de Rolando, dont elle est séparée par une bandelette encore intacte, de la pariét
t); 414 le BIBLIOGRAPHIE. 4° ou bien encore, les deux phases sont séparées par un intervalle lucide (l'alreL). Pour M. Rit
périodique, une folie périodique ci formes alternes, qui doit être séparée de la folie à double forme. Quel que soit son m
accès isolés, soit par des accès combinés; mais formant des séries séparées les unes des autres par un intervalle lucide ; 2°
81 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
ec les carac-tères qui sont propres à chacun et toujours parfaitement séparés . Dans' la seconde, hystéro-épilepsie à crises com
ferait rentrer dans le cadre de l'hystérie ovarienne des cas qui s'en séparent jusqu'à présent, parce que l'altération des sens
olution se prolonge d'une façon fort variable; il est difficile de la séparer de l'intervalle de calme qui souvent se trouve en
lesquels les contorsions apparaissent dans l'ordre indiqué, nettement séparées de la période épileptoïde. Il suffira d'en citer
s de bornes. § 2. — PHASE DES GRANDS MOUVEMENTS Ces mouvements se séparent de ceux de la phase clonique en ce qu'ils sont be
ence de cette hallucination, les contorsions de la seconde période se séparent nettement des attitudes de la troisième, en ce
t tend vers Marc... des mains suppliantes. Une sorte de balustrade la sépare de cette scène, elle voudrait secourir la pauvre
ar des illusions. Pour accuser encore davantage les différences qui séparent la troisième période de la quatrième, nous pouvon
ure en moyenne de une à trois minutes. D'ordinaire elle est nettement séparée , par un moment de calme, de la seconde période (c
période ne se montre qu'à la fin de la série. 2° Les attaques sont séparées par un intervalle de lucidité plus ou moins long,
violence des accidents diminue peu à peu. Les diverses périodes sont séparées par un intervalle dereposet les attitudes passion
is d'une demi-connaissance, et quelques instants de lucidité complète séparent les attaques. Les grands mouvements ont souvent c
vre le traitement qu'il incliquait. La famille se soumit à tout. On sépara la malade de ses proches, et le trai-tement hydro
glaireux si elle s'abstenait de toucher aux aliments (la malade ne se séparait point de son bol destiné à recevoir les vomisseme
impuissantes, si je n'avais eu pour me reposer les rares moments qui séparaient chaque fraction de la série d'attaques. Avant d
e que Jes auteurs ont donnée de l'hystérie vulgaire, qu'on ne saurait séparer les deux affections pour en faire deux maladies d
y n'insiste que sur l'apparence épileptique des attaques, et, pour la séparer de l'épi-lepsie véritable, ne s'appuie que sur de
tout ce qui précède, combien il est difficile de po-ser la limite qui séparerait l'hystérie vulgaire, de l'hystéro-épilep-sie à cr
e d'intensité. Ils FiG. 90. — Accès épileptoïdc plus accusé. sont séparés par des moments de calme plus ou moins longs, pen
la dernière côte de la crête de l'os des îles, de manière à n'en être séparée que de l'intervalle de deux doigts. La malade res
courte dm^îc, composaient tout le reste de l'accès. Les accès étaient séparés par une sorte de sommeil, pendant lequel de t.
taté que cette anesthésie existait également dans les intervalles qui séparaient les crises. Le malade qui nous voyait lui travers
re, avaient été faites les premières expériences. La différence qui sépare les muscles et les nerfs de la face, des muscles
s carac-tères particuliers. 2. «Mon ami F..., dit Ch. Richet, était séparé de sa mère depuis longtemps; lorsqu'il fut endorm
espace de deux jours, mais chacun des accès était de peu de durée, et séparé du suivant par une espèce de sommeil léthargique.
ement unie aux accès de somnambulisme qu'il serait impossible de l'en séparer . Madame X. âgée de 30 ans, fut prise au mois de
in qu'au moment de son ascension : pour elle d'ailleurs, le temps qui sépare ces deux voyages, dont l'un marque le début et l'
sin qui paraît jouer un certain rôle dans le cœur de notre malade les sépare et lui donne raison. Celle-ci de s'écrier alors a
s oscillations ne sont pas d'égale longueur et qu'elles ne sont pas séparées non plus par des intervalles égaux; que les coule
ement sur cette variété de chorée qui mérite à plus d'un titre d'être séparée de la chorée vulgaire. M. Gharcot y a consacré
, malgré des signes d'apparence épileptique, il n'y avait pas lieu de séparer la grande hystérie des cas d'hys-térie vulgaire;
psie véritable. Nous avons vu, en traitant du pronostic, quel abîme séparait ces deux névroses. Il ne faut pas s'en laisser im
mun qu'aussitôt que l'une était tourmentée, au seul bruit, les autres séparées en diverses chambres étaient tourmentées aussi^.
ouloir entremanger comme loup et pourceaux. A cette occasion d fallut séparer Magdaleine de Loyse Capeau, ce qui procède de leu
és dans le chœur où ont accou-tumé de chanter les rehgieuses, qui est séparé de l'autel par une muraille et grille, dans leque
de cette sorte contant toujours quelque baga-telle et la compagnie se séparai ... » Les exorcismes se faisaient le plus souven
ieds et demi au plus. La jeune soeur Marie entre en convulsions. Je séparerai les articles qui la regardent. A huit heures un
être régénérée qu'à l'instant elle avorte. Les frères et les sœurs se séparent en s'embrassant de la manière la plus tendre et e
82 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
viction d’aujourd’hui est sincère, profonde : un simple repli du cœur sépare souvent deux sentiments opposés. J’avais tort de
magnétiseur est dans une chambre et le sujet dans l’autre ; ils sont séparés par un mur, et par conséquent ne peuvent ni se vo
onses ait procédé par voie de conjecture, mais que l’esprit immortel, séparé de la forme terrestre, se manifeste dans des cond
les oisifs que pour convaincre l’homme avide de s’instruire ; qu’ils séparent l’ivraie du bon grain, l'erreur de la vérité, et
e leur suffit point. Ne vous semble-t-il pas que la barrière qui nous sépare des cieux se soit rompue, car on ne parle mainten
huit vers de chaque couplet sans avoir égard aux intervalles qui les séparent , intervalles dus à une inadvertance du correcteur
mme vivent les bêtes, n’ayant que leurs grossiers instincts. Il s’est séparé de la pure animalité, et les animaux sont restés
de l'avenir du magnétisme. A la fin de la séance et au moment de se séparer , une dame, qui n'avait pu pendant la première par
me ou s’éteint, selon -qu’on la réunit au feu universel ou qu’on l’en sépare . Tel un charbon s’enflamme, s’il est approché d’u
t que va rejoindre notre principe animique , à l’heure où la tombe le sépare définitivement de son enveloppe la plus matériell
isolé ; plus tard, les points s’éclairciront; à la fin, l’ensemble se séparera , les fleurs deviendront distinctes et de plus en
ncontestée, la plupart étrangères les unes aux autres , et vivant séparées par des centaines de lieues de distance. Il nie
oute récente? Soit a le télégraphe électrique : des fils métalliques, séparés les « uns des autres par une couche isolante, son
l'intelligence humaine en lace des univers. Ce qui le distingue et le sépare de ceux de la chaîne bestiale, c'est qu'il se cou
de voir ce qui se passe dans un lieu plus ou moins éloigné, mais séparé de toi par des murs, des montagnes, etc., comment
s, etc. J'y fus et je trouvai les trois assassins dans trois chambres séparées ; tu ■ lois te rappeler mes cris d’effroi en me
s’agit de faits antérieurs à l'homme, ou même de faits humains, mais séparés de l’auteur par un si prodigieux intervalle de te
stes ; ils sont attachés à la matière, et aucun effort ne peut les en séparer . « Le merveilleux appartient à ce qu’il y a de
chement inespéré et d’une valeur immense entre ceux que la mort avait séparés , et dans lequel les morts, se proclamant plus viv
ue sorte, ces paroles de M. Delaage : « Elle (l’âme du somnambule séparée «lu corps) sc promène dans le temps comme dans so
le corps, formerait l’unité humaine, mais qui cependant pourrait s’en séparer momentanément pour se transporter à des distances
uelquefois pourraient faire supposer que, dans cet état, L'ESPRIT est séparé du CORPS. » Dans ce qui suit, l’auteur devient
. Aussi se présente-t-il des conditions où l’esprit est capable de se SÉPARER PRESQUE DU CORPS ET de CONTINUER NÉANMOINS A vivr
partielle et fragmentaire. Même à l’état de veille, notre âme peut se séparer ainsi partiellement de notre corps. Ce phénomène
de ces étranges phénomènes qu’en supposant que l’âme du somnambule se sépare de son corps, parcourt l’espace, visite et appréc
le mal de mer. En tout cas, ce serait son affaire ; puisqu’on la dit séparée du corps, celui-ci n’en ressentirait rien ; on po
rait supposer que, dans cet état (l’état som-nambulique) l’esprit est séparé du corps; il se présente (selon lui) des conditio
se présente (selon lui) des conditions où l’esprit est capable de se séparer presque du corps et de continuer néanmoins à vivr
ntées pour prouver la fausseté du système des pérégrinations de Y âme séparée du corps s’appliquent également à Y esprit. Vous
pied; je les nouai ensemble vigoureusement cinq ou six fois; puis, je séparai les brins de ce qui restait encore do. libre, et
83 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à sommet en haut et en dedans. En ce point la cage thoracique n'est séparée de la peau que par le corps mince du grand dors
lle ne pouvait donc se rencon- trer ailleurs que dans le sillon qui sépare l'olive de la pyramide à droite, à la partie su
s des pyramides s'épanouissent dans la pro- tubérance en fascicules séparés les uns des autres par des fibres transversales
thénie de Beard, laquelle se décompose en deux élats fonctionnels séparés par l'étiologie, comme par l'aspect symptomatique
pseudo-tabes alcoolique. P. K. XVIII. Comme QUOI IL est légitime DE séparer DE la neurasthénie UN SYNDROME SPÉCIAL SOUS LE
rébrale par artério-sclérose, très analogue aux cas que Alzheimer a séparés , l'année passée, de la paralysie générale. Disc
ation. Dans une question beaucoup plus simple et qui ne peut être séparée de celle que nous éludions, la même difficulté se
ianes (centre ovale) touchent la périphé- rie de la moelle toujours séparées l'une de l'autre par le septum médian. Elles so
de critique est qu'en somme, le système, tel qu'il est appliqué, ne sépare pas d'une façon permanente l'aliéné criminel de
conclut en demandant que les aliénés atteints de tuberculose soient séparés des autres malades même pendant le jour. Là où
tion, à rendre leur service moins pénible. 11 conviendrait aussi de séparer les malades curables des incurables en construi-
cti- niques. Par sa méthode anatomo-clinique, Charcot contribue à séparer les diverses scléroses et établit l'existence de
-ce un bien ? Je le crois fermement. La division en deux' t groupes séparés de l'armée des travailleurs s'occupant des mala-
ndances, les mêmes méthodes, le même but. Elles ne doivent pas être séparées . Cela est si vrai qu'il s'est toujours établi u
eule sur les caractères morphologiques de la descendance. Une poule séparée entièrement d'un coq de race différente eut des
rvices spéciaux et distincts aux états aigus et chroniques et qu'on séparera ces services distincts de ceux des idiots-épile
ntraire, n'en ont jamais. Telles sont les différences radicales qui séparent les persécutés du type Falret des persécutés du
ux d'Etat (le neuvième étant réservé aux criminels), deux bâtiments séparés pouvant loger 25 hommes et 25 femmes, choisis p
onstruit un hôpital d'Etat pour les cri- minels fous, permettant de séparer ceux qui ont été acquittés ou non jugés parce q
ses fonctions ? 17. Serait-si possible ou à propos, selon vous, de séparer la partie strictement médicale de la partie adm
s- tratifs. En général, on répond qu'il ne serait pas possible de séparer les deux fonctions. 18. Instruction universitai
de service et enfin diversion pour les ma- lades. 56. Réfectoires séparés pour les hommes et les femmes, en géné- ral. Qu
nt, après la pendaison, deux attaques de plusieurs minutes de durée séparées par un court intervalle; l'amnésie s'étendit à
oindre qu'en septembre 1892, mais par périodes de huit à dix jours, séparées par des intervalles de rémission au moins aussi
re ces deux sortes de théomanes une différence analogue à celle qui sépare le religieux croyant du' métaphysicien déiste '
ent dans ce rapport, la nécessité indispensable de vastes bâtiments séparés par des cours, tout enfin, dans ce rapport, a c
travaux, le local était insuffisant, les épileptiques n'étaient pas séparés des aliénés alors que, même pour les aliénés, i
imultanément aux deux sexes, on a dû ultérieurement faire des cours séparés . M. l\IEScllEDE trouve inutile l'enseignement d
r la nécessité d'avoir, pour les agités alités, une salle spéciale, séparée de la section de surveillance proprement dite. C'
auenburg répond à ce type. 2° Le type lazaret. Les deux salles sont séparées par des chambres d'isolement (ou la salle de ba
84 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
ux moitiés bien distinctes appartenant à deux individus différents, séparées par une ligne transversale, qui répond à la bas
pris au-dessus des oreilles ; 34 cen- timètres pour la distance qui sépare la racine du nez de la protubérance occi- pital
Lannelongue rappelle le tibia Paget, certains caractères toutefois séparent nettement ces deux maladies. Les pagétiques sou
pélence est bien connue, a montré les différences fondamentales qui séparent l'os pagélique de l'os syphilitique. Si tous de
t une teneur approximati- vement semblable en sels minéraux, ils se séparent nettement l'un de l'au- tre par leur teneur en
tée dans son mémoire, et a montré les différences fondamentales qui séparent les deux processus. (1) (EPEIIT et Bornait-Lagu
n deux parties par un trait de fracture transversal et l'espace qui sépare les deux fragments est de quatre travers de doi
en bas par un pli cutané. L'extrémité inférieure du thorax n'est séparée que par un espace peu impor- tant de la crête i
la phonation l'adduction est incomplète et les deux cordes restent séparées entr'elles (Voir Og,2), En d'autres termes il e
sens. Si l'abstraction consiste à considérer isolémeul une qualité séparée de son objet, la psychologie n'opère même pas p
n, à leurs manifestations et aperçoit ainsi les différences qui les séparent et qu'elle cons- tate sans les créer. Elle n'es
ne forment qu'un seul organe, l'axe cérébro- spinal,arbitrairement séparé en plusieurs parties pour la facilité de son étud
ont jamais réalisées, mais celle-ci avait une certaine utilité pour séparer aussi nettement que possible la part qui re- vi
lisation passagère avec rigidité du membre. ' Cette dysgraphie se sépare nettement de la crampe des écrivains par ce car
i s'est assez profondément engagé dans l'angle fémoro-tibial et est séparé du reste de la rotule par une zone transparente.
us prononcée à droite. Les deux épaules portées en avant tendent se séparer du corps ; dé- pression sous-claviculaire marqu
on du foie, on peut relever l'existence d'un sillon assez profond qui sépare la face antérieure de cet organe en deux partie
malléoles internes, et externes, il existe une région triangulaire séparée des régions voisines par des sillons très profo
au cancéreux. La couche optique est saine. En dedans, la tumeur est séparée de la surface de la face interne du lobe occipi
age en bas et à gauche par une expansion grosse comme une noisette, séparée de la tumeur principale par un sillon occupé pa
hysectomisé (Livon). Si on examine la partie postérieure du cerveau séparé par une coupe verticale pariétale passant en av
d'apparence épitllélioïde. Les vaisseaux sanguins sont nombreux et séparés de la masse névroglique par un petit espace con
dans le gros cylindraxe en dégénérescence d'nu nerf périphé- rique séparé de son centre trophique ; HAUSIIALTER et Colin (3
es libres nerveu- ses et du tissu conjonctif qui les entoure et les sépare les unes des autres, Si c'est ce dernier tissu
cel- lules de Schwann lorsque le cylindraxe qu'elles entourent est séparé de sa cellule et dégénère, et la multiplication
our rien à la messe et don- nerait tout ce qu'il a pour qu'on ne le sépare pas une seuleminutedeson chapelet. Il croit que
me, lourde et noueuse qu'il chérit cumme un enfant et dont il ne se séparerait pour rien au monde. Etant jeune il était passio
o- )iques ; il n'y a entre ces deux processus que la différence qui sépare une affection aiguë d'une affection chronique.
de Voigt » : les lignes de Voigt étant, on le sait, les lignes qui séparent l'un de l'autre les territoires cutanés des ner
de phénomènes radicu- laires, ainsi que quelques autres symptômes, séparent la maladie décrite par lui de la spondylose rhi
le costo- tome ; d'autres, lorsque, la colonne vertébrale ayant été séparée du cadavre, celui-ci fut posé sur le dos. La co
crête iliaque me- sure 5 centimètres. Postérieurement l'espace qui sépare la 128 côte et la crête iliaque a presque dispa
les nous semblent critiquables par certains points. Ainsi M. Holmes sépare les atrophies parenchymateuses primitives du ce
pour ainsi dire, des ceiiuieschromophobes.Le tissu interstitiel qui sépare les acini glandulaires n'est pas hypertrophié. Le
t représenté par une ou deux rangées de cellules aplaties. Ils sont séparés les uns des autres par des septums conjonctifs
,comme le trau- matisme, la fatigue et le froid. L'intervalle qui sépare la maladie primitive de l'atrophie secondaire e
ltat final de tant d'opérations différentes que l'on parvient à les séparer des autres phénomènes vitaux. La distinction es
er combien il faut trancher dans les phénomènes natu- rels pour les séparer . En effet, on pourrait soutenir avec beaucoup de
le seulement et im : portance inégale quant à la vie,On ne peut les séparer que par abstraction. L'instinct n'est qu'une ha
t les animaux, il n'y a plus qu'une différence analogue à celle qui sépare le veau du poulain. Il n'en sera pas moins gent
ntre les règnes organique et inorganique que l'on croyait autrefois séparés par un abîme infranchissable. On peut donc croi
85 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
nt vu que tout était tranquille, ils auraient grimpé sur le mur qui sépare le préau des bains de celui de la Sûreté au moyen
inuant en des- sous de ceux-ci jusqu'à la scissure de Sylvius; elle sépare ici le pied de la troisième frontale de la circ
riétale en face de la scissure perpendiculaire externe, dont il est séparé par un pli de passage, allant du pli courbe au
tituée que par une simple encoche d'un centimètre environ; elle est séparée de la scissure inter- pariétale par un pli de p
tère, large, possède un pli de passage pariéto-limbique postérieur, séparé du reste du lobule par une scissure profondes c
ssant le foie et s'étendant seulement latéralement. La poche semble séparée incomplètement en deux autres : 1° la gauche pl
llon calloso- marginal est peu profond. - Le lobule paracentral est séparé du lobe quadrilatère par un sillon profond avec
La circonvolution frontale assez sinueuse, assez volumineuse, est séparée en haut presque complètement par un sillon trans-
pavés irréguliers en- tassés les uns sur les autres. Le sillon qui sépare la pariétale 1 Comme on le voit, les parties po
avec le lobule paracentral qui est très irrégulier, incomplètement séparé du lobe quadrilatère, tandis qu'à droite la sép
aire externe n'atteint pas la scissure interpariétale dont elle est séparée parmi pli de passage il niveau allant du pli pa
ant chacun un trajet de deux centimètres environ, durant lequel ils séparent la pariétale ascendante et la première circonvo
ez profond et très sinueux. La scissure perpendiculaire externe est séparée de la scissure interpa- riétale par un pli de p
s profond que le précédent. La scissure perpendiculaire externe est séparée de la scissure inter- pariétale par un pli de p
profonde des facultés intellectuelles, par le long intervalle qui sépare les accidents, par la perte du souvenir de l'ac-
illons naso-labiaux se creusent, les mots sont d'ordinaire scandés, séparés ; quelquefois, il prononce plusieurs mots de sui
fs res- semblant à un accès, ou bien enfin la fièvre en question se sépare nettement d'une façon bien déterminée, quant au
'à la commissure normale, entre lui et le qua- trième doigt. Il est séparé du doigt médian en avant seulement depuis la mo
86 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
s le moment, et le priai de regarder ce dernier au front. Ils étaient séparés par une distance d’environ quatre mètres. A peine
ison. Dès qu’elle eut franchi le moment de résolution des membres qui séparait toujours chez elle l’état de veille de celui de s
ur.), « présente ne sont que les prodrômes de la grande « crise qui sépare l'enfance de la puberté. * Dès le matin arriva
s l’histoire du monde, époque où lesscien-ces ne seront plus isolées, séparées les unes des autres, où enfin le système qui doit
dont elle gardait les bestiaux, couchait dans une chambre qui n’était séparée que par une mince cloison de celle qu’occupait un
t dit que tout était prêt. La partie de la salle où nous étions était séparée de manière à permettre à tous les spectateurs la
aut; car un esprit vit en elle; il la domine, l’asservit et peut s’en séparer . La vue à distance, la prévision existent lorsque
ouveau. Alors il marque cette place secondaire, et la distance qui la sépare (le !» primitive indique exactement la profonde
mobiles, de façon qu’on pouvait régler à volonté la distance qui les séparait . Il était excité par vingt couples d’une batter
ntent pour recouvrer leur indépendance a primitive, c’est-à-dire pour séparer leur destinée t de celle du système dont ils sont
fraction des Oulad-Thaan, une tente assise près de la forêt et un peu séparée des autres. Vers la tombée de la nuit, un lion en
magnétisme. Nous savons trop à quelles passions obéissent les hommes séparés de la société pour ôtre confiant ; nous connaisso
e favorisez point cet ql-liage nouveau, laissez venir d’autres temps; séparez la science de toutes croyances, car elle doit s’é
on et la philosophie, Dieu et la liberté, que les deux autres avaient séparées et rendues inconciliables. El la religion et la p
premier mouvement fut de les jeter tous deux dans l’eau, où elles se séparèrent ; il tua ensuite la couleuvre. Que fit lagrenouill
ssent les deux natures faites l’une pour l’autre, mais provisoirement séparées . La fascination dépend-elle de l’amour? Plus les
s. La fascination dépend-elle de l’amour? Plus les deux organisations séparées se rapprochent, plus elles s’imposent réciproquem
tion sous l’effort de la tension musculaire. Le laps de temps qui a séparé les deux parties de cette crise a été d’une demi
un éclio dans l’esprit comme dans le cœur des Lyonnais. « .Ne nous séparons donc pas sans lui promettre qu’à son retour, une
nous sommes forcés de nous en tenir à ce court aperçu. Avant de se séparer , M. du Potet a pris la parole et a porté le toast
ta les objections avec esprit et précision, et la réunion avant de se séparer , lui vota des remerciements unanimes, en le prian
cule individualisée de la Divinité, avec cette Divinité dont elle est séparée à jamais. Il va sans dire que nous ne nous porton
ui serait sans cela son attribut nécessaire. L’homme, par conséquent, séparé de son corps, serait Dieu ou rentrerait en Dieu.
roportion avec nos moyens rationnels; elle vient de trop haut pour la séparer des dogmes religieux et en faire l'application à
oyages d’oulre-mer, ni de ces étranges déplacements des sens qui vous séparent de la nature humaine pour vous lancer dans le mon
87 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les dont les noyaux bien visibles sont arrondis ; ces cellules sont séparées par du tissu nerveux ; 2° On constate des vai
neurones. Le nombre infini de liens qui existent entre les neurones séparés nous explique jusqu'à un certain point la riche
Mais la sclé- rose latérale amyotrophique n'en doit pas moins être séparée de l'atrophie musculaire progressive; elle doit
crite par Strumpell. D'ici surgit la question, a-t-on le droit de séparer l'une de l'autre ces formes morbides ; il se pe
s localisations tuberculeuses sur le même appareil, est distinct et séparé du bloc des maladies du système nerveux. Quand
duit la polynévrite et la sclé- rose multiple. Il est impossible de séparer les deux choses. La polynévrite est une localis
cette question M.Grasset aurait dû étudier dans autant de chapitres séparés la « sclérose multiple dissé- minée » suivant q
nale à soutenir ou à défendre. Les deux états morbides doivent être séparés , sans aucun doute ; mais c'est une erreur de di
rafft Ebing qui la considèrent comme une anomalie congénitale et se sépare de Binet et Schrenk-Notzing qui insistent sur l
es, 1852). * Après section d'un tube nerveux, le bout périphérique, séparé de son centre trophique, dégé- nère. » Supposon
re. » Supposons donc un faisceau de fibres nerveuses com- plètement séparé de sa colonne cellulaire originelle ; ce fais-
, à une certaine distance du sillon médian postérieur dont il reste séparé par un faisceau spécial, endo- gène (b). Ce vas
moelle, parallèlement au bord interne de la corne, dont elle est séparée par d'autres fibres ; son extrémité postérieure e
es du médian destinées à la face palmaire du pouce sont à l'origine séparées de celles du même nerf destinées aux autres dro
- tent le cachet démentiel propre à la paralysie générale. Je' me sépare de M. Régis relativement au rôle de la syphilis
vue médico- légal : rapporteur, M. Vallon, de Paris. Avant de se séparer , les Congressistes réunis à Toulouse sont allés
eproche venir d'un partisan d'asiles à portes ouvertes, à pavillons séparés . Il est évident cependant qu'en effet ou n'aura
aperçut, sur la voie ferrée, le corps d'un homme dont la tête était séparée du tronc. Aidé du garde-barrière, il ramassa le
ie les caractères généraux, et il insiste sur la néces- sité de les séparer , par voie de diagnostic différentiel, des divers
gereux qu'elles peuvent revêtir, eu passant par tous les degrés qui séparent ces deux états extrêmes. Il recherche leurs rap
ubles de l'intelligence, du langage, etc. L'auteur adopte l'idée de séparer des affections spasmo-paraly- tiques infantiles
près des nerfs de la sensibilité cutanée, et probablement ils sont séparés des vaso- moteurs des artères.- Dans la discu
cale de l'écorce, disposés par couches plus ou moins nette- ment séparées , et c'est aussi dans l'épaisseur de l'écorce qu
des mammifères les plus élevés font que les corps des neurones sont séparés par une plus grande distance, remplie de l'épai
t pour ainsi dire inexistantes dans le temps ; l'idée et l'émotion, séparées par tant de caractères, s'engendrent en réalité
tualiser, plus son substratum émotif s'atténue. Il est d'usage de séparer , dans l'obsession, l'idée fixe simple et l'idée
. Il cumprend, enfermés dans une même enceinte, quoiqu complètement séparés et distincts, un asile d'indigents et un pen- s
de clôture de l'établissement. Pour franchir les 3 kilomètres qui séparent l'asile de la place Gambetta, prise comme centr
et de la flaccidité des seins, etc., etc. ? La seule différence qui sépare M... C... d'une acromégalique complète serait l
première et 128 de seconde), répartis en 6 pavillons avec chambres séparées . Les 480 malades de la dernière classe sont rép
ciatique. Un intervalle de un à deux jours doit, dans tous les cas, séparer deux applications. La guérison est durable. D.
88 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
en effet, qu'un intervalle d'intégrité du membre aussi considérable sépare l'accident t de sa conséquence. J'ai retrouvé t
arge transversalement de 3 centimètres. Au-dessus de cette eschare, séparée par un intervalle de peau saine d'un centimètre,
nces de M. Charcot et de ses élèves les diffé- rences profondes qui séparent l'attitude cataleptique des mêmes atti- tudes g
bsistent. Ces apophyses étaient cachées dans les anfractuosités qui séparent la pre- mière et la seconde circonvolution sphé
gulière par suite de diverses proéminences terminées en pointes, et séparées entre elles par des sillons plus ou moins profond
on de la largeur d'une pièce de 50 centimes, de consistance cornée, séparé par un sillon humide des parties voisines. 25
taposées, de couleur blanchâtre, grisâtres en certains points, sont séparées par des sillons s'entrecroisant en tous' sens.
. Ors. Vit Blanch..., 27 ans, lingère, hystéro-épileptique a crises séparées , entrée à la Salpêtrière, service de M. le prof
at normal. OBs. IX. - Clés..., 20 ans, hystéro-épileptique à crises séparées , hémia- - neslhésique droite, se met dans une v
e interfessière, en bas, par le sillon courbe du pli fessier qui la sépare de la cuisse; en dehors, par la saillie du grand
est plus ferme et plus surbaissée. Un sillon peu profond et oblique sépare quelquefois la région du grand fessier de celle d
téatopygie des Boschimanes. En dehors, la saillie de la fesse est séparée du grand trochanter par une dépression due au m
lumière. Dans la 3e période, des attitudes passionnelles, qui ne se sépare pas FIG, 91. - Période der 1 lill urina iloiien
pique; l'attaque entière se subdivise en une série d'attaques (3-6) séparées par un intervalledeunedemieàplusieurs Fic. 9. -
'où une obliquité très marquée en bas et en avant. Le rebord qui la sépare du trou sous-orbitaire est émoussé. Distance
peu accentée. Les rugosités des ligaments coraco-claviculaires sont séparées en deux groupes comme norma- lement. La même go
deux groupes comme norma- lement. La même gouttière qu'à droite les sépare de la facette acromiale. Trou nourricier normal
ous-caracoïdienne. Cavité glénoïde : plus arrondie que normalement; séparée du bord atitéro-exteriie de l'épine par une trè
qu'en arrière le bord externe de la trochlée soit très tranchant et séparé du condyle et de l'épicondyle par une dépression
partie inférieure se dévie fortement en arrière et en dedans et est séparée de la face postérieure par une ligne ru- gueuse
89 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
t, d'autre part, l'extrémité supérieure des circonvolutions centrales séparées par le sillon de Rolando et recourbées sur le bor
onde malade, la nommée Cless..., est une hystéro-épileptique à crises séparées , présentant également tous les stigmates de la né
re ces deux névroses que nombre d'ob-eervateurs tendent aujourd'hui à séparer l'une de l'autre, malgré les rapports qui les uni
tudes passionnelles. Les différences, en apparence considérables, qui séparent les variétés de ces formes, présentent comme limi
. Mais il s'en faut de beaucoup qu'elle soit toujours aussi nettement séparée en ses quatrephases. Nous ne parlons ici, bien en
. Mêmes hallucinations, la bête, les poteaux, Auguste Guiard,toujours séparées les unes des autres,comme des tableaux différents
chaque malade dans son délire, loin de constituer une différence qui sépare chaque cas, est au contraire une des caractéristi
t de cette dernière période. Cependant ces deux états, si nettement séparés l'un de l'autre, sont encore rattachés l'un à l'a
d groupe qui nous occuperont ici. A vrai dire, la distinction qui les sépare de ceux du premier estun peu artificielle. A l'ép
pportable, ne pouvant retrouver l'histoire de sa vie que par morceaux séparés les uns des autres par des périodes ignorées, qui
t indubitablement les deux cas l'un de l'autre. La différence qui les sépare nous permet de ranger l'un dans le somnambulisme
second qu'elle se couche et s'endort... Dans cet état indéterminé qui sépare la veille du sommeil, elle pousse, par instant, u
lupart des observations précédentes, les deux états sont complètement séparés et dans aucun d'entre eux la malade ne se souvien
ues au point de vue médico-légal. lre édition, p. 245 et suivantes. séparées par une période d'attitudes passionnelles modifié
e serait, paraît-il, un homme violent, ivrogne et débauché, qui s'est séparé de sa femme dans des conditions assez exceptionne
re défaut et force est bien de s'appuyer sur d'autres phénomènes pour séparer la glycosurie des diabétiques de celle des tabéti
ier ; 3° Pour établir le diagnostic de ces cas d'association et les séparer du pseudo-tabes diabétique et de la glycosurie ta
du noyau du moteur oculaire externe : à ce niveau, le tubercule n'est séparé de la surface épendymaire qu'il soulève que par u
néoplasmes atteignent leurs plus grandes dimensions. Ils sont d'abord séparés l'un de l'autre {Fig. 16), mais ils ne tardent pa
donc vraisemblable d'admettre qu'il s'agissait là de deux affections séparées : mal comitial et migraine ophthalmique, à moin
hinomane. Après les avoir admis tous deux à l'hôpital, nous les avons séparés l'un de l'autre, plaçant le mari dans le service
es secousses isolées d'ailleurs, comme les groupes de secousses, sont séparées les unes des autres, comme le montre bien l'emplo
r séries de quatre (rhythme quaternaire). Les séries en question sont séparées les unes des autres par des intervalles sensiblem
90 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
léchit presque toujours sa jambe; donc, il diminue l'intervalle qui sépare la plante du pied du fémur : par conséquent il
nécessaire de la scoliose est le rapprochement de l'intervalle qui sépare la crête iliaque du rebord inférieur des côtes.
dire enfoncés dans la substance des cordons postérieurs et avaient séparé le tissu nerveux; ils étaient situés dans une f
usculaire. Si, en provoquant chez elle une myélite artificielle, on sépare dans une certaine mesure ou complètement l'appare
nt sur la nécrose d'une des parties ou des deux parties des organes séparés , selon l'importance de l'un des morceaux divisé
ndant à cet organe, en avant de la cavité en question dont elle est séparée pardu tissu nerveux usé, elle proémine un peu en
'élément judiciaire et de l'élément administratif ! Tout cela était séparé ! On a fait des révolutions pour établir une sé
e, en distinguant les individualités morbides qu'il est possible de séparer dans l'état actuel de la science. - La para- ly
itué à l'extrémité du cordon postérieur du côté gauche, se trouvant séparé de toutes parts de la substance grise par de la
sensibilité et celles de la motilité ne sont pas plus distinctes et séparées , d'une manière absolue, que ne le sont les deux
on non servir d'élément de distinction clinique ? 2 Le Congrès se sépare après avoir visité le nouveau sanatorium pour m
lecteur de l'Empire en 1623. Si nous franchissons l'espace qui nuus sépare du fondateur de cette dynastie pour arriver à l
teint que dans la région dorsale supérieure. Le cordon de Flechsig, séparé du faisceau précédent par une bande de tissu no
tait limitée aux faisceaux pyra- midaux : une zone de tissu sain la séparait des cornes postérieures, une autre de la périph
lié in exte71so à part.) Discussion. M. SNELL aîné croit ne pouvoir séparer la mélancolie hypochondriaque de la mé- lancoli
dit que toutes les mélancolies sont hypochondriaques. M. Binswanger sépare , coûte que coûte, l'hypochondrie de la mélancol
n, comme elles se rencon- trent à des distances égales à celles qui séparent ces dernières, comme, de plus, la paroi des cap
certaine étendue et, dans ce cas, les cellules voisines paraissent séparées l'une de l'autre par un hiatus étroit, à traver
eit dans le cas de délire hallucinatoire plus ou moins organisé, et sépare franchement le Wahnsinn Vel'1'21cktheit. Il adm
l. La cacophonie s'est introduite dans notre langage quand Mayser a séparé du Wahnsinn de Krafft-Erbing le délire asthéniq
é d'un nouveau système de classification des malades, permettant de séparer les aliénés curables des aliénés incurables; 2°
hacune de ses extrémités un dortoir de cinq lits. Ces dortoirs sont séparés l'un de l'autre par un vestibnle spa- cieux et
les water-closets, les bains et les éviers. Ces dépen- dances sont séparées de la salle par un couloir percé de fenêtres des
91 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
extrémité supérieure se trouve à 2 centimètres de l'intervalle qui sépare les apophyses épineuses de la 7° vertèbre cervi
xtrémité inférieure descend jusqu'à 3 centimètres de l'es- pace qui sépare la Ire de la 2e vertèbre dorsale. Il y tout lieu
la convergence s'opère au-dessus de la calotte fibreuse précédente, séparée d'elle par une couche de tissu cel- , lulaire l
du coude et le sommet le moignon qui représente la main. Celle-ci séparée de l'avant-bras par un sillon circulaire très net
ont considérer : l° la nature de l'ampoule ; 2° la- distance qui la sépare du modèle à reproduire; 3° l'énergie du courant
A droite, une bande claire longitudinale, partant de l'encoche qui sépare les deux têtes digitales, est l'indice d'un épa
la même constatation et reconnaître dans l'os informe la limite qui sépare le cinquième métacarpien du méta- carpien rudim
GE La même cloison de planchas, servant de séchoir à un linge, nous sépare d'une pièce contiguë, éclairée par une fenêtre
'une façon intime. Cette partie adhé- rente fut laissée en place et séparée du reste de la dure-mère. Puis l'extrac- tion d
;.la substance cérébrale est refoulée, atrophiée ; une limite nette sépare les deux tissus. Le tissu de la tumeur est form
onsolidée. L'os est comme étiré ;i ce niveau et les deux bouts sont séparés par la substance osseuse de nouvelle formation
tte incurvation résulte un raccourcissement du fémur. La distance qui sépare le tubercule du jamhier antérieur de l'épine il
dème. Le coeur est. volumineux. Il pèse 50 grammes. Il ne peut être séparé du péricarde fibreux, à cause d'une symphyse de
réseau (Fig. 5) ; tantôt la chromatolyse s'exerce dans l'espace qui sépare le noyau de la membrane (Fig. 6) et la substanc
e nodosité, aucun point plus saillant; les bourrelets graisseux qui séparent les doigts au niveau de la tête des métacarpien
main, des cicatrices qu'auraient laissées les incisions faites pour séparer les deux parties. Pour expliquer l'origine de c
nférieure de la diaphyse de l'humérus, véritables cavités profondes séparées par des travées osseuses irrégulières, condensé
1894 sur les spasmes fonctionnels du cou. Une différence capitale sépare complètement notre cas de ceux-là. Chez ces mal
habitudes ont plutôt leur siège dans le polygone patho- logiquement séparé du centre 0, lequel centre 0, reprend par moments
travaux de Brissaud, j'ai eu, dans cette leçon, le déplaisir de me séparer de lui sur certaines interprétations. En terminan
e vous avez sous les yeux font bien ressortir les diffé- rences qui séparent celle dystrophie de l'infantilisme vrai, c'est-à-
rucosités assez dures, rugueuses, agglomérées par leurs bases, mais séparées par des sillons profonds et très étroits ; le rel
(Fig. 2). Deux grosses tumeurs arrondies pendent au bas de son cou, séparées l'une de l'autre parla saillie laryngo-trachéal
d'où, au bout d'un temps toujours court, il devient difficile de le séparer sans peine. Il survient de l'arthrite et de l'ank
'y a pas fusion osseuse des deux doigts ; théoriquement on pourrait séparer ces doigts et lui donner trois doigts à chaque
ous de ces derniers, siège un sillon circulaire profond, qui semble séparer le thorax de l'abdomen. Le bassin est large.
92 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
omme appartenant à la même série. Ils ne sauraient être tout à fait séparés . Vient enfin le cas de M. Ballet'2, qui a trait
aboutissait au bord supérieur de la protubérance. Cette bandelette, séparée de celle du côté opposé, for- mait avec cette d
elui du côté opposé l'espace perforé postérieur. Il est constamment séparé du pédoncule cérébral adjacent par un interstic
adhérent, jusqu'au niveau de la bandelette optique ; il faut alors séparer le crochet de la base d'adhérence et le ruban a
sceaux, dont nous aurons à nous occuper (le faisceau sphénoïdal), séparé de ces faisceaux par la queue du noyau caudé qu
e sur le bord externe de la couche optique, dans un sillon qui la sépare de la couche- optique. Ce faisceau, connu sous le
d'Ammon. Le faisceau, né de cette muraille, se dirige en arrière, séparé , ainsi que je l'ai dit plus haut, de l'ori- gin
a motilité, chez les épileptiques, dans les périodes qui suivent et séparent les accès convulsifs. Si l'on compare ces malad
autres réflexes, en général, sont affaiblis dans les pé- riodes qui séparent les accès, mais ils s'exaltent après ceux-ci'.
re-croisées forment dans le nerf optique un trousseau plus ou moins séparé : dans la bandelette, elles fusionnent avec les
lle épinière), mais aussi de se disposer par des foyers symétriques séparés . Ces foyers occupent souvent dans les cordons l
du cerveau, dans la scissure interhémis- phérique. Le plus petit, séparé du précédent de la largeur de 1 centimètre envi
tissu conjonctif, grâce auxquelles je n'aperçois point de ligne qui sépare les deux moitiés de la section de là la diminut
e New-York. Dr Wey) a coûté 9,375,000 fr., il comprend 765 cellules séparées , des ateliers, des magasins, des salles de trav
plaques. Enfin voici le dessin d'une racine de l'oculomoteur commun séparé du centre par un processus dégénératif. 270 O
é, dans la substance blanche de laquelle ils forment deux faisceaux séparés . M. BAGINSKY. Note sur la coloration des coupes
adopté le système des asiles de traitement et des asiles-hospices, séparés . Leubus fut l'asile de traitement pur ; Brieg e
, les membres du Congrès international de l'hypnotisme, avant de se séparer , ont, sur la proposition de M. Levillain, voté
INIQUE MENTALE. en délire des grandeurs. Mais il n'a jamais songé à séparer le délire de persécution de la lypémanie, et de
et traite les tableaux cliniques correspondants dans des chapitres séparés , selon le caractère anatomo-patho- logique des
ù est mon bras »,cela veut dire que son bras lui paraissait absent, séparé du corps, n'existant plus pour lui. Quoiqu'il en
e de la régénération des nerfs, étant donnée la courte distance qui sépare ces derniers du siège de la lésion.' Dans le ca
elé, 7 h. 50, il a déjà eu quatorze accès consécu- tifs. Elles sont séparées les unes des autres par quatre ou cinq minutes
re 240 P; il occupe la ligne médiane du cûté gauche du raphé et est séparé du plancher du 4° ventricule de quatre diamètre
r un seul corridor; mais il importerait que chaque cellule fût bien séparée de sa voisine, qu'elle n'ait avec elle rien de co
conserver, ni les utiliser. C'est à la société qu'il appartient de séparer ces derniers des délinquants d'accident et de leu
93 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
a prouvé que les sécréteurs repoussent de leur tissu, après les avoir séparées du sang, les substances électrisées comme eux ; i
t pas des tubes creux. n Ilippocrate admettait des esprits animaux, séparés par le cerveau et conduits à l’aide des nerfs dan
pour le lui Oter; mais elle était tellement déterminée à ne pas s’en séparer et si irritée de la douce violence qu’on lui fais
les doigts indicateur et médian de la main droite, étendus et un peu séparés sont portés de l’objet vers les yeux, il est très
’affirme au contraire. Quant à son commerce avec nous lorsqu’elle est séparée du corps, il n’est pas suffisamment prouvé, et j’
du, retourne-t-il à son principe, à sa source intarissable, pour s’en séparer peut-être de nouveau et animer des milliers d’aut
ambule nous avait fait part d’une lésion organique de la membrane qui sépare les deux grands hémisphères du cerveau, qu’elle a
onnexe, vous faites un être impossible. 11 n’est donc pas permis de séparer ces deux sciences d’une manière absolue, et l’étu
celle d’une action de quelque importance peut, dans l’intervalle qui sépare la détermination de l’exécution, vaquer à ses aff
celle d’une action de quelque importance peut, dans l’intervalle qui sépare la détermination de l’exécution, vaquer à ses aff
celle d’une action de quelque importance peut, dans l’intervalle qui sépare la détermination de l’exécution, vaquer à ses aff
celle d’une action de quelque importance peut, dans l’intervalle qui sépare la détermination de l’exécution, vaquer à ses aff
celle d’une action de quelque importance peut, dans l’intervalle qui sépare la détermination de l’exécution, vaquer à ses aff
celle d’une action de quelque importance peut, dans l’intervalle qui sépare la détermination de l’exécution, vaquer à ses aff
celle d’une action de quelque importance peut, dans l’intervalle qui sépare la détermination de l’exécution, vaquer à ses aff
celle d’une action de quelque importance peut, dans l’intervalle qui sépare la détermination de l’exécution, vaquer à ses aff
eusement l’Académie s’est laissé décourager par la tâche difficile de séparer le bon grain de l’ivraie. Est-il dit dès lors que
ne sorte de baptême qui loi sert de consécration, c’est le crible qui sépare le bon grain de l’ivraie. Loin de nous affliger
étails. Il est important de savoir d’abord que le corps médical est séparé en deux camps bien distincts : la secte des orga-
tre raisonnable et qui 11’est souvent que raisonneuse, lorsqu’elle se sépare de son principe, manifeste toujours néanmoins le
ude à comprendre les phénomènes magnétiques. Quoi qu’il en soit, nous séparons le magnétisme des magnétiseurs, et nous persiston
uve môme plus hardi sur ce terrain propre que M. de Gasparin, dont le séparent d’ailleurs certaines dissidences. Ainsi, (le tous
ont adressé les plus vifs remercîments. » L’assemblée, avant de se séparer , a décidé qu’il serait fait un cours public de ma
aux conventions admises par l’intelligence. La volonté , le moi s’est séparé de l’appareil physique qui se trouve seul dans un
une situation d’indépendance (p. 9). » Si la volonté du sujet s’est séparée de son appareil physique, et que cet appareil con
main avaient été coupés par une machine. Le doigt du milieu avait été séparé à la première phalange, et le doigt annulaire l’a
à du bord des chairs. Quand j’entrai dans l’appartement, les portions séparées des doigts n’avaient pas été recueillies : je dem
maginaire est donc un monde réel pour notre esprit. Dieu n’a pas tant séparé qu’on le croit le monde matériel du monde spiritu
s si dépaysés qu’on le suppose après avoir passé la frontière qui les sépare . C’est à tort qu’on s’afflige tant des apprêts du
94 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
erf moteur oculaire externe gauche lui est accolé, et lorsqu'on l'a séparé on le trouve aminci et grisâtre surtout par, co
coupe aucune lésion appréciable. Les hémisphères cérébraux étant séparés l'un de l'autre, on pra- tique d'abord de chaqu
gments du noyau qui nous occupe ne sont d'ailleurs point absolument séparés par des limites tranchées. On doit reconnaître
surtout postérieure) et une partie rapprochée (surtout antérieure), séparées par une zone pauvre en cellules. Dans la pre- m
-cérébrale, revenant ainsi en partie à la doctrine de de Grsefe qui séparait nettement la papille par stase de la névrite op
niveau du grand confluent de la base, l'arachnoïde ne peut plus se séparer de la pie-mère. Celle-ci est blanche, épaissie, d
a pointe mousse d'une paire de ciseaux. on parvient facilement aies séparer de la pie mère, à les énucléer. Ils apparaissent
eau s'enfonçant dans la substance cérébrale. Les hémisphères sont séparés ; les ventricules sont très dilatés, la membrane
lbl. f. Nervenheilk, XIX, N. F. vu, 1896.) Il n'est pas possible de séparer logiquement l'hystérie des autres névroses sans
tiques, aussi peu délimité du type normal que l'état de maladie est séparé de l'état de santé. Il ajoute que parmi les class
la région dorsale supérieure, la tumeur ) centrale et la cavité se séparent l'une de l'autre : celle-là apparait comme une
out à fait glabre, comme la plupart des cryptorchides, dont il se sépare cependant par la voix qui est plutôt masculine. S
pour s'attacher davantage aux psychologiques sans jamais cependant séparer tout à fait ces deux ordres de faits. Bonnet et
est celle de l'hypnotisme. Elle est dissociative par son pouvoir de séparer , d'isoler une forme de sensibilité (douleur), par
chacun de mes sens, chaque par- tie de moi-même est pour ainsi dire séparée de moi et ne peut plus me procurer aucune sensa
es, ajoute Esquirol, perçoivent malles impres- sions ; un abîme les sépare , pour ainsi dire, du monde exté- rieur. m « O
ellules d'origine, non seulement cause de l'énorme distance qui les sépare de leur centre histogénique, mais parce que le co
nerveuse sur son prolongement axile. Le bout périphérique d'un nerf séparé de son centre dégénère depuis l'extrémité sec-
tion qui détermineraient directement la mort des cellules nerveuses séparées de leur prolongement nerveux. Par le fait de ce
lle d'une poire dont la tête repose antérieurement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure.
ième cervicale, il y a toujours une portion de la tumeur médullaire séparée par une bande subsistante de moelle de la porti
ou bien poiv- gonal par compression, un léger feutrage connectif le sépare du voisin. Dans l'intérieur du lobule sont les
me et la corne droite sont déformées toujours bien visibles et bien séparées , les cornes antérieure et postérieure de droite
s, etc. Dès leur entrée dans la moelle les sensations cutanées se séparent des sensations profondes : les sensations cutanée
de Brown-Séquard permet d'affirmer que les sensibilités cutanées se séparent des sensi- bilités profondes dans la moelle. La
t aversion de celui qui produit comme des -impé- tuosités pour m'en séparer , qui étonnent ceux qui le voient ; en même temp
ntes* particularités anatomiques, physiologiques et patholo- giques séparent le cerveau droit du cerveau gauche. Et d'abord,
ste de la cellule. Dans quelques cellules, le noyau est franchement séparé du corps de la cellule par un encadrement bleu
semblant en un trousseau assez compact, cylin- drique, qui, n'étant séparé de la surface que par une lisière de fibres arc
nettement REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE' PATHOLOGIQUES. 497 séparé : quelques fibres dégénérées pénètrent parmi les
95 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
comprendre parmi les causes morales; il est diffi- cile en effet de séparer de l'effet physique, de l'ébran- lement, de la
tous ces fantômes. J'estime, avec David Ferrier lui- même, qui se sépare ici de son maître Ffughlings Jackson, qu'il est
onnels de la sensibilité- et de la motilité, loin d'être absolument séparés , se mêlent dans l'écorce et ont un siège anatom
gique plus ou moins menaçante. Et comme les gaz dissous en excès se séparent des humeurs comme du sang, il en résultera une
cisives laté- rales manquent, les incisives médianes sont larges et séparées l'une de l'autre par un intervalle de deux mill
r, les apercevant est venu avec eux. Après être sortis, ils se sont séparés en deux bandes. La première composée de Filh...
le « troquet », acheté du pain et fumé des ciga- rettes. lisse sont séparés boulevard Sébastopol. Alors Court... serait all
pavillons ; le réfectoire et la salle de réunion, qui sont ailleurs séparés par un vestibule, ont été placés, l'un à côté d
d'isole- ment ou de surveillance, deux dortoirs de huit à dix lits séparés par la chambre des gardiens, en face de laquell
vec adhérences. Cette couche est, surtout chez les jeunes sujets, séparée de la suivante par une ligne de dé- marcation e
ont jusqu'à la couche supérieure s'inter- posent entre elles et les séparent . Ces éléments font place à une couche distincte
moyennes et de celle des grandes cellules ; pourtant nous les avons séparées dans les descriptions qui suivent, à cause de l
la deuxième couche. Ils forment autant de colonnes fibrillaires qui séparent les éléments de la substance grise, qui, eux, s
midales se présentent souvent, comme l'a vu Betz, en îlots, ou nids séparés les uns des autres par les fais- ceaux blancs.
8 degrés centésimaux. Lorsque la réaction est terminée, l'alcool se sépare en deux couches; la couche inférieure se prend
late et d'hydrate de chloral, imprégné de chloral liquide. On la sépare et on l'agite avec trois à quatre fois son volume
rate et alcoolate de chloral et ce dernier vient surnager : on le sépare et on le purifie par distillation soit sur de l'a
ssion de l'énergie motrice, que le malade se trouve consécutivement séparé psychiquement du monde exté- rieur. Cela résult
rmédiaire des sens. Il hypnotise un sujet, lui bande les yeux et se sépare de lui par un écran. Il tire alors un numéro d'
de la porte d'entrée, trois ou quatre mètres carrés ont été pris et séparés par des planches, le sol a été planchéié tant b
beaucoup plus dis- tantes les unes des autres qu'à l'état normal et séparées par du tissu névroglique, à peu près dépourvu d
tant elles sont encore en nombre considérable. Dans les espaces qui séparent ces rangées de cellules, espaces Archives, t. X
zig, de Nothnagel et de Bastian (avec cette réserve, que celui-ci sépare le sens musculaire des autres éléments constitu
s exactement égal à celui qui est nécessaire pour qu'un nerf moteur séparé de la moelle cesse de réagir aux excitations. «
96 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
onique. C'est un ca- ractère commun avec ces deux maladies, qui les sépare nettement des autres affections caractérisées o
ple, les bras sont accollés au tronc, les mains se joignent pour se séparer ensuite ; les doigts s'étendent ou se fléchisse
se trouve donc indiqué sur le tracé non seulement par l'espace qui sépare chacune des premières contractions, mais encore
- tance qui va du sol au centre de la rotule est égale il celle qui sépare ce dernier point de l'épine iliaque antérieure
à la pression, mais a un moindre degré; un intervalle exa- géré les sépare . Au rachis lombaire cet endolorissement est marqu
t., en soulevant le thorax, augmenter de5 centimètres la distance qui sépare l'appendice xiphoïde de la symphyse ; la palpat
t les lombes ; il semblait au malade que sa colonne vertébrale « se séparai ! de ses reins » ; le haut du corps tournait il
iotique gauche jusqu'à la 9° dorsale. La 4e et la 5e lombaires sont séparées l'une de l'autre par un inter- valle très exagé
segments DES DÉVIATIONS VERTÉBRALES NËVHOPATUIQUËS. 157 du corps séparés par la dernière vertèbre lombaire, et percevoir;
épineuse présente des « bom- bures » ; parfois deux apophyses sont séparées par un écartement anormal, d'après Kroenig. Enf
intéresse, mais qui en doivent être nosologiquement et cliniquement séparés , soit grâce à quelque caractère objectif qui le
que chose. Chorées électriques. La chorée électrique de Bergeron se sépare toute seule de l'athétose double, par ses secou
eur évo- lution. Tous ces éléments sont régulièrement disséminés et séparés les uns des autres par de la peau saine. Ils on
ci la des- cription : Il se compose d'une sorte de casque à lames séparées , fort analogue au conformateur des chapeliers ;
' objectifs sont par contre très accusés, 'mais deux explora- tions séparées donnent parfois quelques différences soit dans la
rès nette. Pendant cette première partie de l'examen et lorsqu'on y sépare les deux hémisphères il s'écoule 130 grammes de
pelle l'égalité déjà signalée par Léonard de Vinci. La distance qui sépare l'acromion de l'extrémité des métacarpiens est
comme dans le canon pré- cédent. L'olécrane, ou le point condylien, sépare en deux parties égales la distance de l'acromio
es proportions bien moindres sur les figures consacrées aux membres séparés . Par contre, c'est sur ces derniers dessins que l
les, elles subissent de perpétuels changements et ne sauraient être séparées des phénomènes d'évolution et de croissance qui l
e deux images : à huit ou dix centimètres de l'oeil elles sont bien séparées l'une de l'autre et bien claires. En outre, qua
le courant n'a pas à traverser la parotide et les ligaments qui la séparent des tissus environnants. L'autre rhéophore, éta
97 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es contractions spasmodiques sont continuelles, non successives, et séparées par de courts intervalles de quelques minutes;
quelques phénomènes convulsifs. Ces accès conlinuèrent de paraître, séparés par des intervalles plus ou moins grands jusqu'
eux, de par sa propre faute, ou, de par son hérédité morbide, et le séparer de la société jusqu'au jour où il olfre certain
si recevoir des idiots. Il y a cependant lieu d'affecter des locaux séparés aux épileptiques psychiquement sains, aux épi-
s'être complètement disséminées sur la première. Parfois une pause sépare les deux actes; - 10o De l'autre côté, les convul
. Il vient alors la figure sui- vante. De la parole on ne saurait séparer la lecture et l'écriture qui s'apprennent en so
i infiltrer de l'eau par le nez dans l'intérieur de la tête, ou lui séparer la tête du tronc pour lui faire cesser les sensa-
ent à la ditection poursuivie. Il a adopté le système des pavillons séparés en se proposant d'éliminer impitoyablement les
refuse de les rattacher à la commotion, à cause de l'intervalle qui sépare l'accident de l'appari- tion des symptômes; il
ti, beaucoup plus petit que le droit, son t'aisceau moven est gris, séparé du bord externe par une bandelette blanche de 2
Paris par des questions d'intérêt, elle est obligée de vivre seule séparée de ses enfants. Deux mois après, elle est mécon
peut leur fournir aucune explication; elle n'a aucun chagrin d'être séparée de sa fille, aucun des suites du mariage, mais
foyer ancien d'encéphalite très étendu, ayant presque entière- ment séparé l'hémisphère en deux portions. Lef... (Gustave)
remonte sur la face interne et sur la face convexe et semble avoir séparé complètement le lobe occipital du reste de l'hémi
ur toute sa hauteur; l'antérieur est moins marqué. Le sillon qui le sépare en avant de la première frontale n'atteint pas to
leux. Le lobe quadrilatère est bien développé, très sinueux; il est séparé du coin par lascis- sure pariéto-occipitale trè
de la scissure de Sylvius est très prononcé, très profond et n'est séparé que d'un demi-centimètre de la scissure frontal
rtée sur des maniaques chez lesquels l'agitation revenait par accès séparés par des intervalles de calme relatif ou complet
e telle. En général, les idées de persécution ne sont pas nettement séparées des idées ambitieuses qui viennent après, comme
ent dans cette direction. Ils purent cependant franL'hir le mur qui sépare la cinquième de la septième chambrée. Dans le d
trois sections dont le noyau est Gheel. Deux sections au nord sont séparées l'une de l'autre par la roule départementale de
de démence sénile, était doté de trois circonvolutions ascendantes séparées par deux sillons de Rolando. L'orateur n'a jama
toire de l'artère cérébrale postérieure, à peu près à la limite qui sépare le lobe temporal du lobe pariétal, et celui-ci
98 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ité qui démontrent une fois de plus les différences profondes qui séparent les races humaines. L'unité de l'espèce humaine
et sensations d'innervation centrale, qui ne peuvent jamais être séparés à l'état normal, l'innervation centrale amenant s
d'abord que la maison d'aliénés soit tout à fait indépendante et séparée des hôpitaux généraux. Cette condition est absolu
nnu que la surveillance de l'Etat doit être établie; nous ne sommes séparés de lui que sur le point de savoir dans quelle m
seul paragraphe, on les disjoignait, on en faisait deux paragraphes séparés . Je n'ai pas la prétention de vous proposer un
ervent de cachot à ces derniers' sont auprès de la buan- . derie et séparés par une cour du reste de l'hospice. Les aliénés y
ssant le foie et s'étendant seulement latéralement. La poche semble séparée incomplètement en deux autres : 1° la gauche pl
inuant en des- sous de ceux-ci jusqu'à la scissure de Sylvius; elle sépare ici le pied de la troisième frontale de la circ
riétale en face de la scissure perpendiculaire externe, dont il est séparé par un pli de passage, allant du pli courbe au
tituée que par une simple encoche d'un centimètre environ; elle est séparée de la scissure inter- pariétale par un pli de p
tère, large, possède un pli de passage pariéto-limbique postérieur, séparé du reste du lobule par une scissure profondes c
llon calloso- marginal est peu profond. - Le lobule paracentral est séparé du lobe quadrilatère par un sillon profond avec
La circonvolution frontale assez sinueuse, assez volumineuse, est séparée en haut presque complètement par un sillon trans-
pavés irréguliers en- tassés les uns sur les autres. Le sillon qui sépare la pariétale 1 Comme on le voit, les parties po
avec le lobule paracentral qui est très irrégulier, incomplètement séparé du lobe quadrilatère, tandis qu'à droite la sép
e d'une atrophie musculaire spéciale revient à M. Charcot qui l'a séparée du groupe confus encore des atrophies musculaires
ux ans, elle n'a plus eu de grossesse. Dès lors, en effet, elle vit séparée de son mari; bientôt même elle prend un amant.
t un certain nombre de mouvements de déglutition; puis les mains se séparent , les bras s'élèvent au-dessus de la tête, retom
mière grande division est nécessaire parmi les hypnotisés ; il faut séparer ceux qui ont des symp- tômes somatiques fixes,
illons naso-labiaux se creusent, les mots sont d'ordinaire scandés, séparés ; quelquefois, il prononce plusieurs mots de sui
ons qui précèdent et nous essaierons de montrer les différences qui séparent l'affec- tion dont ils sont atteints, des malad
braux qui président à l'innervalion des jeux de la physionomie sont séparés de ceux qui président à la molilité volontaire. C
ncule, traverse les fibres transverses de la protubé- rance, semble séparée de la couche intermédiaire des olives par des f
99 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ux tiers de cet hémisphère, autrement dit, le sillon de Rolando qui sépare les zones frontale et pariétale est rejeté en a
en dedans une production secondaire, formant un nodule dur, rosé, séparé du noyau principal par la zone ramollie qui fait
cquis un grand dévelop- pement. Enfin une zone de ramollissement la séparait du restant de la substance blanche. Pour donn
nvolutions étaient beaucoup plus larges, et que les sillons qui les séparent étaient moins sinueux et surtout moins profonds
u malade, et tracer les limites exactes de sa responsabilité qui le séparent des fous proprement dits. Il convient surtout que
s 56 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. le traumatisme, tantôt ils en sont séparés par une période variable. La neurasthénie revêt
s cuisses sont fortement accolées l'une à l'autre, on a peine à les séparer . Trépidation spinale, exagération des réflexes,
r comme les symptômes d'une maladie psychique. Est-il pos- sible de séparer ces cas, en dépit de leur parenté phylogénétique
hanches est toujours en avant de l'axe des épaules. La distance qui sépare les deux verticales passant par les axes des ép
e dans l'espace recouvert par les deux pieds et le triangle qui les sépare , ce qui permet au corps de s'incliner en tous s
isolement de la malade qui doit être aussi promptement que possible séparée de sa famille et internée dans un asile. Il est
e de la partie inférieure. III. Une portion prise sur la limite qui sépare la F1g,6. 1 86 CLINIQUE NERVEUSE. moelle ce
rouve, ignore depuis quand elle est arrivée, ne s'étonne pas d'être séparée des siens. Elleneprésente aucun trouble de la p
htalmique le dispo- sitif est bien différent. Tous les lobules sont séparés les uns des autres par de larges bandes de tiss
rmi les symptômes cliniques, aucun n'est pathognomonique. Il faut séparer de la paralysie générale typique deux formes qui
énérale au point de vue clinique. Parmi les formes qui doivent être séparées de la paralysie progressive par le manque de ra
r. L'atrophie nrtério-scléreuse du cerveau. - Cette forme doit être séparée de la paralysie générale. La maladie, due 'à de
s de fibres élastiques; leur groupement est assez lâche et ils sont séparés , pour la plupart, par une substance que l'on croi
orées à mesure que l'on remonte du côté du cerveau. La pie-mère qui sépare le cervelet de la pro- tubérance, au-dessus du
corne, se distingue assez nettement du reste de la moelle; elle est séparée du cordon de Goll par une traînée de fibres relat
ne répond à aucune systématisation. Il faut remar- quer qu'elle est séparée de la méninge, dans presque toute son 296 CLINI
enberg, Konovaloffs, Simonovitch, Blumenan. Vingt-quatre ans nous séparent de la première communication de Hammond et le n
teur). B. Mardi 6 août. Visite à l'asile de Cadillac. Avant de se séparer , les membres du Congrès des aliénistes et neuro
ndre deux espèces principales d'asiles, qui doivent être absolument séparés parce qu'ils doi- vent avoir une situation, une
frontal gauche : au ni- veau du territoire rolandique, l'espace qui sépare le crâne du cerveau dépasse un pouce. Le liquid
s idées délirantes qui lui sont imposées et les abandonne, une fois séparé de sa femme (folie imposée des Français). La fi
je ne cacherai pas que mes préférences sont pour les infirme- ries séparées , d'autant plus qu'il est prudent, je crois, de ne
100 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mes et les lésions spinales de la para- lysie générale doivent être séparés de ceux de l'ataxie loco- motrice malgré certai
la périphérie de la moelle. Le troisième côté est concave, restant séparé vers son milieu du septum par une zone ovale à
rapproche d'assez près de la périphérie de la moelle, mais en reste séparée par la zone radiculaire posté- rieure. Cette ba
e sont point celles du champ radiculaire antérieur. Cette bande est séparée de la corne grise par une épaisseur notable de
considérables ; il a épousé contre son gré une femme dont il s'est séparé au bout de quelques mois. Pour échapper aux exi
e délire paralytique est toujours identique à lui-même ; mais il se sépare de M. Vallon en ce qui concerne la fréquence de
gie semblait devoir se heurter à un ensemble de causes difficiles à séparer comme effets; cependant dans quelques observati
V. Les rapports vont être distribués prochainement, ou farci. cules séparés . - V. - Quelques congressistes ne nous ont pas
ostérieure de la moelle; les foyers des cellules sarcomateuses sont séparés par de larges bandes conjonctives contenant d'é
s élargie. Tout près de celle-ci commence la néoformation centrale, séparée cependant de la périphérique par une bande du t
u de Burdach droit. Les deux processus (gliose et sarcomatose) sont séparés par les faisceaux de Goll dégénérés (dégénérati
uosités et les ramifications s'éloignent du canal 1 principal, s'en séparent et font sur les coupes suivantes l'effet de can
eurs. Nous entendons par attaques en série, non seulement les accès séparés les uns des autres par un intervalle lucide de
ulsions lorsque les neurones qui commandent à leurs mouvements sont séparés des centres cérébraux, je rejetais l'explicatio
nerveuse de nature douteuse, et de plus, dans le laps de temps qui sépare l'opération de l'internement, elle a subi des m
onctions de directeur et de médecin 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. sont séparées , parce que les ateliers, l'exploitation agricole
irconvolutions sont tuméfiées, aplaties. Les anfractuosités qui les séparent sont moins profondes que normale- ment. Le cerv
té com- mune est tapissée d'épithélium ; là où le canal central est séparé de la cavité précitée, celui-là apparaît quelqu
te à étudier les suicides par poison et par noyade. Je les ai tenus séparés des autres cas, parce qu'il était présumable qu
nécrosée est entourée par une autre appelée zone inflammatoire, qui sépare le tissu ' Virchow, Ueber congénitale Encephali
: ce sont simplement deux réflexes parallèles. Il faut au contraire séparer nette- ment le réflexe irien lumineux du réflex
ments fondés récemment pour les aliénés, nous trouvons des hôpitaux séparés , destinés au traitement des cas récents et des
l'atrophie des éléments nerveux constitutifs. Mais on ne peut guère séparer les deux processus l'un de l'autre. Qu'il y ait,
ritoire de ces faisceaux; 13° L'existence d'un système descendant séparé dans les cordons antéro-latéraux, chez l'homme, p
umain il y a des fibres qui dégé- nèrent en montant et peuvent être séparées en un système propre. (Marie). P. KERAVAL. LX
des choses, et réfléchit le monde extéiieur. Mais il n'arrive à se séparer du monde extérieur, qu'entre deux et trois ans
r passionné d'être unis même dans la mort, à la souffrance de vivre séparés . M. Proal met en relief les cas où c'est la fem
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