régulières. Quelques lymphocytes, plasmazellen très rares. Globules
rouges
extravasculaires en plus grand nombre à certain
ppocratiques. En second lieu la pointe du nez avait pris une teinte
rouge
violacé sur une hauteur moyenne .de 8 millimètr
lent les incisives. Et ces bords ont la couleur et l'aspect du bord
rouge
des lèvres, surtout du côté droit. Ce bec-de-li
noyau du funi- culus teres. NG. noyau du cordon de Goll. NR, noyau
rouge
. NRt, noyau réticulé. NsRI, noyau supérieur du
un très petit nombre des sections transversales, il existe un point
rouge
(la coupe d'un cylindre peut- être), au centre
qu'il y ait cependant sensation sulrjectivede froid ; colo- ration
rouge
violacé au niveau de ces divers segments, et enfi
ressources de la thérapeutique. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
PAR LA. SALLE ARCHAMBAULT Professeur-adjoin
s notions assez nombreuses et exactes sur les rapports que le noyau
rouge
affecte avec le cervelet, le bulbe rachidien et
, dans laquelle se trouve signalée l'atrophie dégénérative du noyau
rouge
à la suite d'une lésion de l'hémispllère céré-
p trop vaste pour pouvoir servir la localisation corticale du noyau
rouge
. z Plus tard, von Monakow (2) publia trois cas
'hémisphère cérébral avaient entraîné une atrophie notable du noyau
rouge
. Dans ce premier travail, toutefois, von Monakow
, Archiv. f. Psych. XXV, 1893. ' LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
189 9 Stôsel, von Bechterew, et d'autres. Dans
rt de ces cas, il s'agis- sait d'une atrophie très marquée du noyau
rouge
déterminée par des lésions cérébrales très éten
server des réactions dégé- nératives très nettes au niveau du noyau
rouge
. Il s'agissait, tantôt de dégénérescence limité
s'agissait, tantôt de dégénérescence limitée à la capsule du noyau
rouge
, tantôt de dégéné- rescence et d'atrophie attei
nt par exclusion, à admettre que les radiations corticales du noyau
rouge
pro- viennent essentiellement de l'écorce parié
t de l'écorce pariétale. Pour cet auteur, les radia- tions du noyau
rouge
« occupent probablement la partie supérieure du
alotte et s'irradient dans la partie supéro-antéro-externe du noyau
rouge
. Elles, représentent un des chaînons de la voie
t d'origine de la réaction dégénérative observée au niveau du noyau
rouge
. Dans le second cas (cas Leudot), uii ramolliss
e dégénérescence très nette de la partie antéro-supérieure du noyau
rouge
portant à la fois sur la capsule et sur la substa
r les phénomènes dégénéra tifs qu'il a constatés au niveau du noyau
rouge
? A cet égard, il est intéressant de noter que
Dejerine a encore observé une dégénérescence appré- ciable du noyau
rouge
bien qu'il eût affaire cette fois à une lésion at
égénéres- cence très nette de la partie postéro-supérieure du noyau
rouge
. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE lui
stéro-supérieure du noyau rouge. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
lui Voilà donc trois cas dont les lésions ont e
nt les lésions ont entraîné la dégénérescence se- condaire du noyau
rouge
et dans lesquels le foyer de ramollissement att
otre grand étonnement, Dejerine n'à rien à dire sur l'état du noyau
rouge
lorsqu'il fait la description d'un autre cas (cas
nt démontrer que ces localisations ne retentissent pas sur le noyau
rouge
. Peu de temps après Dejerine, Mingazinni (1) fi
ob- servations, des phénomènes de dégénérescence au niveau du noyau
rouge
. Les quelques cas dans lesquels Mingazinni a ob
lesquels Mingazinni a observé la dégénérescence secondaire du noyau
rouge
avaient trait des lésions (kystes hémorragi- qu
cusée au niveau des circonvolutions frontales. La réaction du noyau
rouge
dans ces diver- ses observations se caractérisa
ulaire latéral. Pour Mingazinni, cette réaction atrophique du noyau
rouge
doit être attribuée plutôt à la dégénérescence
ne décrit aucune altération portant sur la charpente grise du noyau
rouge
. ' (1) htlNOA2111\I, Experimetttelle wul 'alllO
ques que nous ayons acquises sur les connexions corticales du noyau
rouge
, c'est Ù von Monakow (1) que nous les devons. T
s et sous-corticales, et portent sur toutes les connexions du noyau
rouge
, tant cérébelleuses et bulbo-spinales que thalami
se rapportent tout spécialement aux connexions corticales du noyau
rouge
. Les idées émises par von Monakow sur l'origine
, Wiesbaden, 1909 u. 1910. - : LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
193 domaine des circonvolutions centrales, y co
(réduction de volume, dégénérescence secondaire) au niveau du no5au
rouge
. Les lésions, dans trois de ces cas positifs, occ
les dix cas dont les lésions n'ont aucunement retenti sur le noyau
rouge
, il s'agissait de foyers strictement limités au
la couche optique, von Mona- kow considère que l'intégrité du noyau
rouge
constatée dans chacun de ces cas prouve netteme
L'auteur élimine également du territoire cortical affecté au noyau
rouge
, les circonvolutions du bord inférieur de l'hémi-
tral qu'avec la plus grande réserve. L'atrophie secondaire du noyau
rouge
n'ayant été constatée que lors- qu'il s'agissai
es mêmes régions que proviennent les radiations corticales du noyau
rouge
. Quant à la part que prend chacune de ces régions
antérieur et noyau médian b), la région sous-thalamique et le noyau
rouge
. La dégénérescence intéressait surtout le tiers
rescence intéressait surtout le tiers antérieur ou frontal du noyau
rouge
et à un degré moin- 194 LA SALLE ARCHAMBAULT
on observa également une réaction très manifesie au niveau du noyau
rouge
mais à topographie net- tement différente. Dans
ian de la couche optique et de la zone capsulaire frontale du noyau
rouge
, on z ohsema, par contre, une atrophie liés nel
ique de Forel (Balh. ou Ih) et du champ capsulaire latéral du noyau
rouge
. Ce noyau, dont le volume était réduit d'un qua
ur). De l'étude de ces quatre cas, von Monakow conclut que le noyau
rouge
affecte des rapports aussi bien avec la régionc
que dans tous les cas où il a cons- taté la dégénérescence du noyau
rouge
, la partie operculaire de la troi- sième circon
out au niveau de cette région que siège le centre cortical du noyau
rouge
. Que le pied de la troisième circonvolution fro
ésente pas à lui seul toute l'étendue de la zone corticale du noyau
rouge
ressort nettement de ce fait, que, dans les lés
a presque totalité d'un hémisphère, la réduction de volume du noyau
rouge
est de beaucoup plus considérable que celle qui
plus considérable que celle qui LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
1 usa résulte de la lésion isolée, soit du lobe
cuio-cenlrale. Von Monakow est donc conduit à admettre que le noyau
rouge
possède deux sphères de représentation corticale
té d'un hémisphère cérébral, on observe toujours au niveau du noyau
rouge
une atrophie et une dégénérescence très accusées.
générescence très accusées. La réaction secondaire atteint le noyau
rouge
en suivant le trajet des radiations de la calot
traversant les zones péri-capsulaires frontale et latérale du noyau
rouge
, et porte surtout sur le tiers antérieur, mais, e
seules régions dont la lésion détermine la dégénérescence du noyau
rouge
sont : a) la région préfronlale, et, en particu
é la région sous-thalamique et la zone capsulaire frontale du noyau
rouge
, elle s'épuise au niveau du tiers antérieur de
se rend jusque dans la zone grise latérale du tiers moyen du noyau
rouge
: Les radiations corticales du noyau rouge se r
du tiers moyen du noyau rouge : Les radiations corticales du noyau
rouge
se répartissent donc en deux 196 . LA SALLE ARC
lame médullaire externe et de la zone capsulaire frontale du noyau
rouge
, et se termine dans la moitié antérieure de ce
sent au niveau - des zones grises médiane et dorso-médiane du noyau
rouge
et entrent en relation surlout avec la substanc
lésions frontales, la réaction que l'on observe au niveau du noyau
rouge
est de beaucoup plus intense que lorsqu'il s'agit
entrer dans la constitution de la zone capsulaire latérale du noyau
rouge
. Les fibres operculo-rubriques pénètrent alors da
puisait au niveau de la zone grise latérale du tiers moyen du noyau
rouge
. t <]tt'* r, LES CONNEXIONS CORTICALSv T4(
T4(A GF 197 L'ensemble des amas cellulaires dont est formé le noyau
rouge
peut être divisé en deux noyaux constitntifs él
u noyau ronge (Grosshirnanteil de von Monakow). Le segment du noyau
rouge
affecté aux connexions corticales constitue envir
oyau. Quant au champ de fibres qui entoure de toutes parts le noyau
rouge
de façon à former une véritable zone péri-capsu
z considérable est constitué par les radiations corticales du noyau
rouge
. Cette partie qui recouvre en avant le' pôle an
partie qui recouvre en avant le' pôle antérieur ou frontal du noyau
rouge
, c'est-à-dire la zone péri-capsu- laire frontal
de von Monakow); est formée par les fibres qui retiennent le noyau
rouge
à la lame médullaire externe (partie médiane),
qui recouvre en bas et en dehors les deux tiers antérieurs du noyau
rouge
, c'est-à- dire la couche péri -rubrique ventro-
le. - Nos travaux personnels sur les radiations corticales du noyau
rouge
ont été inspirés par un fait observé purement p
niennes, nous avons constaté une dégénérescence très nette du noyau
rouge
. A vrai dire, ce cas fort intéressant mériterait
de l'hémisphère cérébral en un point beaucoup trop élevé, le noyau
rouge
fait défaut sur les coupes frontales de l'hémisph
On voit très dis- tinctement que la dégénérescence aborde le noyau
rouge
près de son an- gle postéro-exlerne et qu'elle
anë. Nous pouvons affirmer que cette réaction dégénérative du noyau
rouge
résulte du ramollissement temporal, car il - n'
lution tempo- rale entrainent la dégénérescence secondaire du noyau
rouge
. Nous avons pu réunir six cas de ramollissement
cordants. Nous avons, en effet, constaté la dégénérescence du noyau
rouge
chaque fois que la lésion intéressait le lohulefu
geait surtout au niveau Nc. 4. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
199 du lobe occipital (cunéus, lobule lingual),
t l'extrémité postérieure de celui ci, la dégé- nérescence du noyau
rouge
était minime. D'autre part, voulant savoir comm
t minime. D'autre part, voulant savoir comment se comporte le noyau
rouge
lorsque les lésions siègent en d'au- tres régio
e dégagent de nos recherches sur les connexions corticales du noyau
rouge
reposent sur l'élude détaillée de dix-huit cas
rois qui se caractérisent par une réaction nette au niveau du noyau
rouge
; ce sont les lésions : a) de la face inféro-in
obe pariétal n'entraînent pas la dégénérescence secondaire du noyau
rouge
. Quant aux lésions de la convexité temporale, ell
ons de la convexité temporale, elles ne reten- tissent sur le noyau
rouge
que lorsqu'elles atteignent l'épendyme de la pa
RCHAMBAULT Parmi les cas que nous avons examinés à l'égard du noyau
rouge
, nous avons choisi ceux qui nous paraissent êtr
disparaît que sur les coupes intéressant le pôle postérieur du noyau
rouge
, Il Schéma 1'\° I. Hémisphère gauche, face inte
misphère gauche, face interne. LES CONNEXIONS COI\'11CALES DU NOYAU
ROUGE
201 1 n'existe dans ce cas aucune autre lésion,
térieure du corps genouillé externe et du tiers postérieur du noyau
rouge
. On remarque à l'angle supéro-externe de ce noyau
on appréciable de toute la capsule dorsale ou supé- rieure du noyau
rouge
. En même temps on note que la substance médullair
ble. Il en est de même Fic. 3. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
203 du champ de fibres situé immédiatement en d
infé- rieure du pulvinar et peut-être aussi à l'extrémité du noyau
rouge
. Sur la coupe suivante (Fig. 3), laquelle passe
pe suivante (Fig. 3), laquelle passe par la partie moyenne du noyau
rouge
, on ne voit plus, au niveau du champ juxta rubriq
ère observée sur la coupe précédente, et, grâce a ce fait, le noyau
rouge
dans sa totalité parait fort mieux délimité. En r
décoloration siège encore de préférence la partie supérieure du noyau
rouge
où elle atteint surtout les zones marginales do
en bas et en dehors jusque dans la partie ventro-latérale du noyau
rouge
. Les autres détails n'ont guère changé. La de
eau du pôle antérieur Fic. 4. 204 LA SALLE ARCHAMBAULT du noyau
rouge
, traverse le tubercule antérieur de la couche opt
intense et généralisée de la substance médullaire centrale du noyau
rouge
. En outre, la capsule de ce noyau est notableme
re. T. XXVII. PL. XXXV A B C CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
(Lastille-Archainbaull) Masson &. Cie, Ed
oppement sur les coupes intéressant l'extrémité antérieure du noyau
rouge
. A ce niveau, la lésion s'étend dans un sens vert
nouillés externe et interne et par l'extrémité postérieure du noyau
rouge
. Le ramollissement . ancien du lobe temporo-occ
ans et semble pénétrer directement dans la partie latérale du noyau
rouge
. En raison de la forte coloration de toute cett
dégénérescence s'épuise au niveau de la zone dorso-médiane du noyau
rouge
, laquelle est notablement décolorée. On remarqu
au. Nous croyons que la réaction dégénérative que présente le noyau
rouge
à cet endroit résulte essentiellement de la lés
enouillé externe et un ppu en arrière de la partie moyenne du noyau
rouge
, on voit que la dégénérescence est beaucoup plu
ivie à travers la capsule interne jusqu'à la partie latérale du noyau
rouge
. Cette dégénérescence linéaire est très visible
e en réalité le segment inférieur. Immédiatement en dehors du noyau
rouge
, la zone dégénérée semble se bifurquer, une parti
sule ventro-latéral'i. On voit très nettement, en effet, que le noyau
rouge
e est dépourvu de fibres nerveuses au niveau de
le ascendantes. Cette dégénérescence de la partie supérieure du noyau
rouge
s'observe sur toutes les coupes passant par la
he optique, lesquels contribuent LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
207 à intensifier l'atrophie du bord supérieur
andelette optique, le corps de Luys et le pôle anté- rieur du noyau
rouge
. On remarque que tandis que la substance médullai
ccupant la capsule ventro-latérale s'irradie à l'intérieur du noyau
rouge
, alors que la capsule de celui-ci se trouve mai
même, sur les coupes plus antérieures, la capsule frontale du noyau
rouge
est parfaitement saine. La capsule dorsale du c
un prolongement qni passe au-dessus du corps de Luys vers le noyau
rouge
, puis elle descend directement dans le pied du
au niveau d'un plan vertical passant par le bord antérieur du noyau
rouge
. Dans le lobe occipital, le ramollissement intére
éressant le corps genouillé externe et le tiers postérieur du noyau
rouge
(F'I. XXXVI). La première coupe de cette observ
e; elle passe un peu en avant de l'extré- mité postérieure du noyau
rouge
. La lésion a déterminé la soudure des deux circ
RE. T. XXVII. PL XXXVI D E F CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
( Lasl111e-Al'cblllll bl1 11/1) Masson &
/1) Masson & Cie, Editeurs LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
209 proportionnellement marquées. C'est ainsi q
te mais peu pro- noncée du champ de fibres situé en dehors du noyau
rouge
; elle est surtout marquée près de l'angle supér
'est à cet endroit, en effet, que la dégénérescence aborde le noyau
rouge
, et on voit très nettement qu'elle s'épuise au
genouillé externe. La deuxième coupe (PI.XXXVI-E) traverse le noyau
rouge
près de la jonction de ses tiers moyen et posté
champ juxta-rubrique latéral, mais c'est surtout au niveau du noyau
rouge
lui-même que la dégénérescence s'impose. On voit
quel occupe toute la zone marginale sous-capsulaire latérale du noyau
rouge
. La décoloration de la zone dorso-médiane est e
loration des zones mar- ginales dorsale et ventru-latérale du noyau
rouge
est encore nettement appré- ciable mais elle de
u corps de Luys et par la partie antérieure du tiers moyen du noyau
rouge
, on voit que l'aspect de celui-ci s'est sensibl
ction très nette de la partie correspondante de la capsule du noyau
rouge
et une raréfaction moins accentuée de sa capsule
iers antérieur, le pôle anté- rieur et la capsule frontale du noyau
rouge
, l'état de ce noyau paraît être par- faitement
ue du troisième ventricule. La réaction observée au niveau du noyau
rouge
n'intéresse que ses deux tiers an- térieurs ; l
forme et la circonvolution de l'hippocampe ; elle traverse le noyau
rouge
près de la jonction de ses tiers postérieur et
IÈRE. T. XXVII. PL, XXXVII G H CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
(Lasalle-Archanibiiult) Masson & Cie, Edi
lt) Masson & Cie, Editeurs LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
21 t sillon calloso-marginal, le foyer sectionn
rès considérable du champ de fibres qui recouvre en dehors le noyau
rouge
. Quant à ce noyan lui-même, il présente une dég
particularités que la première, sauf que la dégénérescence du noyau
rouge
est déjà plus intense et plus éten- due. On voi
tions de la calotte, qu'elle atteint la cap- sule latérale du noyau
rouge
et qu'elle s'épuise surtout dans la zone marginal
le de ce noyau. La coupe suivante (PI.XXXVII-I) traverse le noyau
rouge
près de la jonction de ses tiers moyen et antér
observée sur les coupes précédentes. Par contre, an niveau du noyau
rouge
lui-même, la dégénérescence persiste et affecte u
coupe de ce cas (PI. XXXVIII-L) traverse le pôle antérieur du nuyau
rouge
. On note la décoloration généralisée de la substa
la presque totalité de la capsule frontale ou anté- rieure du noyau
rouge
et une dégénérescence assez accentuée de la capsu
T. XXVII. PL. XXXVIII J K L CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
(Lasa llc-A rcbambault) t M < ? no ? Çi ?
< ? no ? Çi ? F'/¡'(>I11 ? LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
213 téresser que légèrement l'écorce de la part
énérative assez nette au niveau de la moitié posté- rieure du noyau
rouge
(1). Les deux coupes affectées à la description
s (PI. XXXVIII-J) est prise au niveau de la partie moyenne du noyau
rouge
. On remarque une dégénérescence peu intense, mais
zone marginale grise dorso-latérale et la capsule dorsale du noyau
rouge
, mais respecte à cet endroit le champ de fibres q
econde coupe (Pl. XXXVIII-K) passe par le tiers postérieur du noyau
rouge
et par les corps genouillés externe et interne. E
ssez distinctement toutefois que la partie supéro- externe du noyau
rouge
renferme un petit lobule nettementdécoloré et par
. Quant au champ de fibres situé immédia- tement en dehors du noyau
rouge
, il présente une raréfaction manifeste de (1) L
précédente. Sur les coupes passant par le tiers antérieur du noyau
rouge
, on ne note rien de particulièrement intéressan
e de la substance médullaire centrale. La capsule frontale du noyau
rouge
est parfaitement saine. Observation VI (Schéma
chéma ? VI. Sixième observation. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
21 S a déterminé une dégénérescence très marqué
iné une dégénérescence très marquée de la majeure partie du noyau u
rouge
. ' Les coupes servant à illustrer cette observa
par le corps genouillé externe et par le tiers postérieur du noyau
rouge
. A cet endroit, le ramollissement détruit complèt
laire externe, du stratum zonale et du noyau latéral Quant au noyau
rouge
, on voit très bien qu'il est atrophié et anguleux
au niveau du champ de fibres qui recouvre le bord externe du noyau
rouge
, c'est-à-dire une dégénérescence très considérabl
ssant plus en arrière, c'est-à-dire par le pôle postérieur du noyau
rouge
, la dégénérescence secondaire de ce noyau se trad
édiane. La deuxième coupe (Fig. 6) traverse le tiers moyen du noyau
rouge
. Dans le lobe temporal, le ramollissement intér
une étendue beau- Fio. 6. , , LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
217 coup plus considérable et forme un foyer re
autérieur et de la majeure partie du noyau latéral. Quant au noyau
rouge
, on voit que la configuration quadrangulaire pers
e raréfaction au niveau du champ de fibres situé en dehors du noyau
rouge
et au-dessus du corps de Luys. La capsule dorsa
at normal. ' Sur les coupes passant par le tiers antérieur du noyau
rouge
, tout ce qu'on relève d'anormal à l'égard de ce
a substance médullaire centrale. A cet endroit, la capsule du noyau
rouge
paraît parfaitement saine, et il en est de même
dont les lésions ont entraîné la dégénérescence secondaire du noyau
rouge
. Nous avons vu, en effet, que ce noyau dégénère
on Monakow, les localisations temporales retentissent sur le- noyau
rouge
. Il convient de spécifier ai nouveau, cependant,
orale ne déterminent des phénomènes dégénératifs au niveau du noyau
rouge
que lorsqu'elles impliquent les couches sagittale
réaction appréciable au niveau du noyau 218 LA SALLE ARCHAMBAULT
rouge
. Nous pouvons également confirmer les constatatio
e se carac- térisent par une dégénérescence très accentuée du noyau
rouge
. Pour ce qui en est des lésions atteignant la p
bique, et, dans ce cas, la réaction dégénérative au niveau du noyau
rouge
est des plus nettes. On se souviendra toutefois
ion n'entre pas dans la sphère dont la lésion retentit sur le no5au
rouge
; tout au plus cet observateur consent-il à adme
ande réserve, le lobule paracentral dans sa zone corticale du noyau
rouge
. Donc, si d'une part nous pouvons apporter des
rapports qui existent entre la région operculo-centrale et le noyau
rouge
, nous devons, d'autre part, différer sensibleme
D'après nos propres recherches, en effet, nous croyons que le noyau
rouge
reçoit des radiations corticales de différentes r
la région operculo-cenlrale. Nous ne saurions soutenir que le noyau
rouge
ne reçoit aucune fibre du reste de l'écorce céréb
'il s'agit de décrire le trajet que suivent les radiations du noyau
rouge
, on se trouve en présence d'un problème particuli
et délicat, étant donné que les lésions qui retentissent sur le noyau
rouge
déterminent également la dégénérescence seconda
s du corps quadrijumeau antérieur que sur les radia- tions du noyau
rouge
. Toutes ces libres se trouvent intimement mêlées
in c'est que, pour la plupart, les radiations tempo- rales du noyau
rouge
accompagnent les radiations thalamiques provenant
e dégénérescence également de la partie postéro-supérieure du noyau
rouge
. La dégénérescence aborde ce noyau à la partie po
ritoire, la dégénérescence secondaire s'étend à la capsule du noyau
rouge
, surtout au segment dorsal ou supérieur de cett
égénérescence secondaire intéresse la moitié posté- rieure du noyau
rouge
mais elle est surtout accentuée au niveau du tier
inales dorsale et dorso-médiane. Près de la partie moyenne du noyau
rouge
, la dégénérescence porte encore essen- tielleme
ettement aussi la zone ventro-latérale. Le tiers antérieur du noyau
rouge
demeure généralement -intact, sans zone de dégéné
'une part aux noyaux de la couche optique, et d'autre part au noyau
rouge
. Au niveau de la couche optique, elle atteint la
s noyaux du bord dorsal ou supérieur de ce ganglion. Quant au noyau
rouge
, la dégé- nérescence secondaire intéresse surto
territoire la dégénérescence s'étend à la capsule latérale du noyau
rouge
et s'épuise ensuite surtout dans les zones margi-
. Ici encore on constate, surtout au niveau du tiers moyen du noyau
rouge
, que la zone grise neutro-tatérate participe à
orso-tatérate. Quant à la capsule anté- rieure ou frontale du noyau
rouge
, elle se trouve très notablement dégénérée. Q
, et retentissent également sur les deux tiers postérieurs du noyau
rouge
. Dans ces cas, la dégéné- rescence secondaire a
ouge. Dans ces cas, la dégéné- rescence secondaire atteint le noyau
rouge
en passant par la lame médul- laire externe et
ns de la calotte et aborde alors la capsule dorso-latérale du noyau
rouge
pour s'irradier ensuite à l'intérieur de ce noyau
e à l'intérieur de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau
rouge
, la dégénérescence secondaire intéresse surtout
ventro-latérale. Le tiers antérieur et la capsule frontale du noyau
rouge
sont en général parfaitement sains. Donc, pour
ons personnelles à l'égard de la dégénérescence secondaire du noyau
rouge
, nous dirons que la réaction dégénérative observé
ro-occipital retentis- sent sur les deux tiers postérieurs du noyau
rouge
, mais surtout sur le tiers postérieur de ce noy
fronto-pariétal retentissent sur les deux tiers antérieurs du noyau
rouge
. Au niveau du tiers anté- rieur de ce noyau, la
rculo-cenlrale retentissent sur les deux tiers postérieurs du noyau
rouge
, mais surtout sur le tiers moyen de ce noyau. A
le tiers moyen de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau
rouge
, la dégénérescence porte sur la capsule dorsale
iques de la dégénérescence secondaire ob- servée au niveau du noyau
rouge
, nous avons essayé de nous en rendre compte en
kow. On constate, en effet, au niveau des zones dégénérées du noyau
rouge
, la disparition plus ou moins complète des fibr
et la connaissance plus précise des connexions corticales du noyau
rouge
ne nous permettraient pas d'élucider, dans une ce
ans son serment po-Lél'o-inrél'ieur. Or, nous avons vu que le noyau
rouge
reçoit des libres de, la face médiane du lobe t
arité commune de compromettre l'intégrité des con- nexions du noyau
rouge
, qu'il s'agisse des connexions corlicales ou des
s de ce noyau. Or, tout semble démontrer aujour- d'hui que le noyau
rouge
exerce une influence très importante sur le méc
bien s'expliquer par la lésion, dans le voisinage immédiat du noyau
rouge
, des fibres operculo-ruhriques, el, en particulie
e le rire et le pleurer sont uniquement sous la dépendance du noyau
rouge
, puisqu'il est démontré que ce noyau envoie des f
isé dans les lésions thalamiques attei- gnant le voisinage du noyau
rouge
, il se fait un retour vers l'automatisme. Du re
n, soit des voies afféren- tes, soil des voies efférentes, du noyau
rouge
, joue un rôle très important dans le déterminis
ées sur le trajet de l'une quelconque des voies afférentes du noyau
rouge
. On peut donc se demander si dans ces cas le tr
de la motilité ne relève pas, soit de l'irritation directe du noyau
rouge
, soit de l'mlerruption des fibres corticales dont
ssent pour cause principale la lésion des voies afférentes du noyau
rouge
, on conçoit très bien aussi que la physionomie
es troubles de la motilité ne se LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU
ROUGE
225 rencontrent pas chaque fois que les connexi
chaque fois que les connexions corticales ou cérébelleuses du noyau
rouge
se trouvent compromises. Toul ce que l'on peut di
externe du lobe temporal ne semblent pas envoyer de fibres au noyau
rouge
. Les fibres qui tirent leur origine du lobe fro
fibres qui tirent leur origine du lobe frontal se rendent au noyau
rouge
en passant par le bras antérieur de la capsule in
s-thalamique. Elles se terminent dans le segment antérieur du noyau
rouge
et affectent des rapports surtout avec les zones
sance au niveau de la région operculo- cenlrale se rendent au noyau
rouge
en traversant le bras posiétieui, de la capsule
ons de la calotte. Elles s'irradient dans le segment moyen du noyau
rouge
et entrent en relation surtout avec les zones m
proviennent de la face médiane du lobe temporal se rendent au noyau
rouge
en passant par le segment sous-lenticulaire de la
Wernicke. Elles s'épuisent au niveau du segment postérieur du noyau
rouge
et affectent des rapports surtout avec les zone
e. Il est possible que la lésion des connexions corticales du noyau
rouge
joue un rôle assez important dans la genèse de
ntérieure des incisives inférieures (PI. XXXIX, fig. 3). La langue,
rouge
et sèche comme toute la muqueuse buccale, a subi
rophiles est notée par Vlaieff, Sabrazès et Bonnes. Dans la série
rouge
, les constatations ont été trop contradictoires p
ossible d'en tirer une conclusion' valable Le nombre des glo- bules
rouges
a élé signalé normal, ou hypouormal (Marte et Mar
re cas, il y a lieu de relever une diminution du nombre de globules
rouges
(3 400.000) et du taux de l'hémoglobine (0,72). u
0 0/0), sans que nous ayons pu constater dans les séries blanche ou
rouge
l'apparition d'éléments anormaux. Si donc, da
et laissé à sa place de petites cicatrices arrondies, pigmentées en
rouge
brun. Troubles moteurs. Tous les mouvements act
de cas où l'autopsie montra des altéra- tions soit dans les noyaux
rouges
, soit dans les couches optiques, a per- mis de
ertaines parties de l'écorce cérébrale en connexion avec les noyaux
rouges
peut provoquer les mêmes symptômes que l'affectio
ticale. Coupe VII (en arrière du corps de Luys). Le volume du noyau
rouge
n'a pas diminué, l'aspect fibrillaire dans la c
idu de cet àâe, en très bon état. Les cel- lules nerveuses du noyau
rouge
contiennent beaucoup de pigment, on en remarque
accompagnées de noyaux névrogliques nombreux. Il y a dans le noyau
rouge
une légère augmentation de la névroglie, surtout
le et VIIIe. Coupe VIII (intéressant la partie postérieure du noyau
rouge
). Nous remarquons l'intégrité de la capsule int
eu prononcées. Le noyau lenticulaire, la couche optique et le noyau
rouge
ont, dans ces coupes, un volume à peu près normal
utérin. La muqueuse du fond de la ma- trice était tuméfiée, molle,
rouge
foncé, montrant une endométrite hyperpla- sique
sceaux ou des trabécules plus larges de tissu conjonctif coloré, en
rouge
vif par le van Gieson. Ces traînées fibreuses s
traumatique (Arrêt du pouls dans la -), par IIASKOVEC, 55. Noyau
rouge
, connexions corticales, par La SALLE Archambaul
Salle AHCIIA\fB\ULT (d'Albany). Les connexions corticales du noyau
rouge
188. et Benon. Asthénie traumatique et dyst
rale (Roubinovitch et REGNAULT de la SOURDIÈRE), LIV et LV. Noyau
rouge
, connexions corticales (La Salle ANCIIwAtawULT)
ment du noyau lenticulaire.- Xl', noyaux pontiques. - u' ! 1, noyau
rouge
. - Oi, olive bulbaire. - I'o, protubérance. - l
tique, les corps genouillés, les tubercules quadrijumeaux, le noyau
rouge
de Stilling. Elles peuvent être désignées sous le
de la couronne rayonnante est tributaire de la thalamus et le noyau
rouge
en arrière de la circonvolution du crochet. Métho
ig. - Ni, noyau interne du thalamus. - \-L3, putamen, A'7 ! , noyau
rouge
. - OF, faisceau occipito- frontal. - Opl'a, par
3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - Nie, noyau
rouge
. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule céré-
premier, troi- sième segments du noyau lenticulaire. - VR noyau
rouge
. - 0,, 02 première, deuxième circonvolutions
et ne mesure que 15 à 20° sur les plans qui intéressent les noyaux
rouges
; l'axe de la capsule devient donc ici presque p
ts du noyau lenticulaire. - PXL3, pédoncule du putamen. - XR, noyau
rouge
. - Th, thalamus. - Pul, pulvinar. - fiv, zone de
NL3, iYI2, NL,, les trois segments du noyau lenticulaire. - NU, noyau
rouge
. - Qa, tu- bercule quadrijumeau antérieur. - Rs
tubercule quadrijumeau antérieur. - lie, faisceau cortical dn noyau
rouge
passant par les radiations de la calotte. - Rm,
s de Luys (CL). Il n'affecte que des rapports médials avec le noyau
rouge
(NH) et la capsule de ce noyau (CNU) (Fig. 28).
'L3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - NR, noyau
rouge
. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule céré
ie postérieure du thalamus, le gan- glion de l'habenula et le noyau
rouge
. (Méthode de Weigert.) Alv, alveus.- Crf, corne
bres de CI ! ' se rendent les unes dans le thalamus et le noyau
rouge
, les autres dans la pied du pédoncule ecré-
'. sa queue. NL3, troisième segment du noN au lenticulaire. NR, noyau
rouge
. OF, faisceau occipito-frontal. - OF + Pi, part
le thalamus (fibres corlico-l/w- lamiques), d'autres dans le noyau
rouge
(fibres coîlico-î-tib,1'qiles), quelques très r
mmon, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noyau
rouge
. Méthode de Weigert. Alv, alvéus intra-ventricu
segments du noyau lenticulaire. - Np, noyaux pontiques. - NR, noyau
rouge
. Rm, ruban de Heit. SR, formation réticulée. - st
ù il se fusionne avec le pédoncule du putamen (VL,'). - A'71. noyau
rouge
. - PiTh, pédoncule inféro-interne du thalamus. -P
a région sous-optique, pénètrent en partie dans la capsule du noyau
rouge
et en partie dans la région anléro-ventrale du th
commissure antérieure et sectionnant le corps de Luys, et le noyau
rouge
. - Méthode de Weigert. (Voy. description de cette
t du noyau lenticulaire et anse du noyau lenticulaire. -11'R, noyau
rouge
. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
laire. - Coupe horizontale du pédoncule cérébral sectionnant le noyau
rouge
, l'espace perforé antérieur et la bandelette de
nsula. - Nl, noyau amygdalien. NC, tête du noyau caude. - NR, noyau
rouge
. - ol, sillon collatéral. - l', étage inférieur
s genouillé interne. - CL, corps de Luys. - CNR, cap- sule du noyau
rouge
. - cop, commissure postérieure. - 1 lp, faisceau
- Gip, ganglion interpédonculaire. - Ln, locus niger. N7 ! , noyau
rouge
. Niv, noyau du nerf pathétique. - l', pied du p
ercule qlladrijll- meau posté ? leur ; 4° Les radiations du noyau
rouge
. 1. radiations thalamiques. Le thalamus (couche
aisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meynert, le noyau
rouge
, le pédoncule céré- belleux supérieur (Méthode
oca. - Cc(511), bourrelet du corps calleux. - CVR, capsule du noyau
rouge
. - coa, commissure antérieure. - 1, champ de Fo
eur; -Ye, noyau externe; Si, noyau interne du thalamus. - NR, noyau
rouge
. - ol,(Gc·), gyrus rectus, face orbitaire de la p
3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - J"fI, noyau
rouge
. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule céré
l'anse lenticulaire (Al), sa continuation avec la capsule du noyau
rouge
. - Coupe horizontale oblique en bas et en dehor
- Na, noyau antérieur; A'e, noyau externe du thalamus. - NIl, noyau
rouge
. - P, pied du pédoncule cérébral. - PiTh, pédoncu
ale oblique parallèle à la bandelette optique, passant par le noyau
rouge
, le corps de Luys, le pied du pédoncule cérébral,
1." troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - A7Î, noyau
rouge
. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
s du tubercule quadrijumeau posté- rieur. Radiations du noyau
rouge
. mière circonvolution temporale. Elles passent
ont la situation est plus super- ficielle. 4. radiations du noyau
ROUGE
. - Le noyau rouge reçoit des fibres de la corti
st plus super- ficielle. 4. radiations du noyau ROUGE. - Le noyau
rouge
reçoit des fibres de la corticalité cérébrale,
ig. 101.). L'origine corticale et le trajet des radiations du noyau
rouge
dans la couronne rayonnanle et la capsule inter
alotte et s'irradient dans la partie supéro-anléro-externe du noyau
rouge
. Elles représentent un des chaînons de la voie
erne du thalamus et la région sous-optique, en particulier le noyau
rouge
reçoivent les fibres du lobe pariétal. Les fibr
es du segment sous- sylvien ou temporal du secteur moyen (coloré en
rouge
foncé) passent par le seg- ment sous-lenticulai
Vj ! .3, A ? 3, les trois segments du noyau lenticulaire. - NU, noyau
rouge
. - Il pul- vinar. - RsTh, région sous-thalamiqu
, et les corps genouil- lés externe et interne; une partie du noyau
rouge
et du tubercule quadri- Fig. 6.i. - Irrigation
ale du thalamus, sur la bandelette optique, sur une partie du noyau
rouge
et du tubercule quadrijumeau anté- rieur; sur l
us; 3° une dégéné- rescence de la partie antéro-supérieure du noyau
rouge
(NU) (Fig. 70-72) et de la partie supéro-extern
s genouillés externe (Cge) et interne (Cgi), de la capsule du noyau
rouge
(CNR,), de la commissure antérieure (coa). Atroph
cielle du tubercule quadrijumeau antérieur. Dégénérescence du noyau
rouge
. Atrophie légère de la bandelette optique. Atroph
mus, au pulvinar, aux corpb genouillés interne et externe, au noyau
rouge
de Stilling,; FiG. 71 et 72. - Cas Pradel. Régi
enouillés externe (Cge) et interne (Cgi) du locus Niger et du noyau
rouge
. (Méthode de Weigert.) Cas Pradel. Vaste lési
n- nexions de la corticalité cérébrale avec le thalamus et le noyau
rouge
et l'absence ou le FiG. 77. - Cas Pradel. Quatr
n outre, une dégénérescenc( de la partie antéro-supérieure du noyau
rouge
(NR, Fig. 103 et 104). Le lobe pariéta contient
nouillé interne (Cgi), des radiations de la calotte et du noyau
rouge
(NR). Dégénérescence du deuxième cinquième
enouillé interne (Cgi, des radiations de la calotte et du noyau
rouge
(NR). Dégénérescence du deuxième cinquième
de la calotte, de la partie supéro-antérieure de la capsule du noyau
rouge
(CNII) et de la partie supéro-antérieure de ce
nouillé interne (Cgi), des radiations de la calotte et du noyau
rouge
iNR). Dégénérescence du deuxième cinquième
radiations de la calotte et la partie supéro-posté- rieure du noyau
rouge
(Fig. 133). Une seconde zone de dégénérescence
- meau postérieur et do la partie postéro supérieure du noyau
rouge
. Dégénéres- cence partielle du faisceau de Tu
meau postérieur et de la partie postéro- supérieure du noyau
rouge
. Dégénéres- cence partielle du faisceau de Tu
eau postérieur (BrQp) et de la partie postéro-supérieure du noyau
rouge
(NI3). Il existe dans ce cas une dégénérescence
ction destinées à la couche optique, aux corps genouillés, au noyau
rouge
, etc., pour ne considérer que les fibres du pied
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau
rouge
, du locus ni- Lor, des quatre cin- quièmes in
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau
rouge
, du locus ni- ger, des quatre CII1- quièmes i
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau
rouge
, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
ulvinar (Pul), de la zone de Wer- nicke (W), de la capsule du noyau
rouge
(CNR), de la partie antéro-supérieure du noyau
psule du noyau rouge (CNR), de la partie antéro-supérieure du noyau
rouge
(NR), des corps genouillés interne (Cgi) et exter
enouillés interne et externe, de la partie supérieure du DO) au
rouge
, du locus niger. des quatre cin- quièmes inte
genouillés interne et externe, delà partie supérieure du noyau
rouge
, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
genouillés interne et externe. de la partie supérieure du noyau
rouge
, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 159 la partie supérieure et postérieure du noyau
rouge
(\R) (fin. 1 r8 et 149) du locus niger luc. 151
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau
rouge
, du locus ni- ger, des quatro cin- quièmes in
genouillés interne et externe, de la partie inférieure du noyau
rouge
, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau
rouge
, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau
rouge
, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau
rouge
, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
u tiers externe du pied du pédoncule cérébral. Une intégrité du noyau
rouge
, des radiations de la calotte et du ruban de Re
ce rétro- grade du ruban de Reil médian (Itiii). Intégrité du noyau
rouge
(P\R) et de sa cap- sule de fibres. Dégénéresce
e du pied du pédoncule. Intégrité du ruban de Reil médian, du noyau
rouge
et de sa capsule de libres. Méthode de Weigert-
ce cas une intégrité parfaite du ruban de Reil médian (Rm), du noyau
rouge
(NR) et de sa capsule de fibres. 2° AGÉNÉSIES
co-transversale passant par le pédoncule céré- hral (P), les noyaux
rouges
(NR), la partie postérieure du segment postérieur
206. - Cas Longery. Coupe vertico-trausversale passant par les noyaux
rouges
(NR), le ganglion de l'habenula (Gh), le faisce
glion de l'habenula (Gh), la commissure postérieure (cop), les noyaux
rouges
(NU), le ruban de Reil médian (Ilm). La partie
(Fth, Fig. 203), le champ de Forel (F, Fig.20t). lacapsule du noyau
rouge
, les radiations de la calotte (RC, Fig. 20), para
adiations de la calotte (RC, Fig. 20), paraissent normaux. Le noyau
rouge
(NR, Fig. 205, ` ? 00, 20G) contient toutefois, d
assant par la région sous- optique, le corps de Luys (CL), le noyau
rouge
or), par le segment sous-lenticulaire de la cap
zt.· rorticnlr. noyau caudé, \-C' Queue du noyau caudé. - NR, noyau
rouge
. - 0, première circon- volution occipitale. - o
coupe horizontale. La zone du langage et ses fibres sont colorées en
rouge
. Arc, faisceau arqué, réunissant le pli courbe
rps de Luys. - C.ll, commissure de Meynert. - CNR, capsule du noyau
rouge
. - coa, commissure antérieure. - FI, faisceau len
e. - Ni, noyau interne. - Sm, centre médian du thalamus. - Nii, noyau
rouge
et sa capsule de fibres (CNlI). - P, pied du pé
r. - Na, noyau antérieur, vue, noyau externe du thalamus. NR, noyau
rouge
. l', pied du pédoncule cérébral. - Pt771, pédon
erne, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noyau
rouge
. Méthode de Weigert. Alv, alveus intraventricul
segments du noyau lenticulaire. - Np, noyaux pontiques. - NR, noyau
rouge
. - Rm, ruban de Reil. - SI ? , formation réticulé
rps calleux; 3° par le tronc du corps calleux dans le plan du noyau
rouge
et du centre médian de Luys; 4° dans le plan du
du corps calleux. - il, lame névroglique intertrigonale colorée en
rouge
. - ov, orifice vasculaire dans le septum lucidu
thalamus le long du tamia thalami, le tubercule mamillaire, le noyau
rouge
et la commissure postérieure. Méthode de Weiger
er cinereum. - LI, première circon- volution limbique,. - NR, noyau
rouge
. - Qa, tubercule quadrijumeau postérieur. - SgA
randeur nature). CM, commissure de Meynert. - CNR, capsule du noyau
rouge
.- coa, commissure anté- rieure. - eF, entrecroi
aisceau du tuber cinereum de Gudden. - Ln, locus niger. - NR, noyau
rouge
. - CNR, sa capsule de fibres. - P, pied du pédonc
s la calotte du pédon- cule cérébral. II passe au-dessus du noyau
rouge
, entre dans la consti- tution de la partie post
de Weigert-Pal. Caf, commissure de Meynert. - CNR, capsule du no5au
rouge
. - coa, commissure antérieure. - eF, entrecrois
faisceau du tuber cinereum de Gudden. Ln, locus niger. - NR, noyau
rouge
. - C\-R, sa capsule de fibres. - P, pied du pédon
locus niger; elles passent ensuite au-dessous et en dehors du noyau
rouge
(Fig. 277) vers la région du ruban de Reil médi
e portent en arrière et en dedans, longent la face interne du noyau
rouge
et arrivent à la substance grise de l'aqueduc de
t être suiv ie jusque dans la partie exlerne de la capsule du noyau
rouge
. Inc. ? 87, ? 88, 289. - Cas Hilaire. Hémiplégi
-à-dire à la partie antérieure et supérieure de la capsule du noyau
rouge
, puis s'irradie dans la partie antéro-inférieure
, puis pénètre dans la partie antéro-interne de la capsule du noyau
rouge
(CNR) (Fig. 251^253 et 254, p. 268). Contrairem
ique. Son irradiation dans le thalamus ot la capsule du noyau
rouge
. 330 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dégénéresc
lamus (Fig. 297) et la partie antéro-inlerne de la capsule du noyau
rouge
. Cas Ronse. - Il existe dans ce cas deux lésion
la partie antéro-infé- rieure de la couche optique, du noyau
rouge
et de sa cap- sule de fibres. externe du pied
partie supé- rieure de la couche optique. Dégénérescence du noyau
rouge
et de sa capsule de fibres consécutives à la lési
fibres striées a dis- paru ; le ruban de Reil médian et le noyau
rouge
ne contiennent que quelques rares grains isolés
a partie antéro - iuré- rieure de la couche optique, du noyau
rouge
et de sa cap- sule de fibres. 33G ANATOMIE DE
dans la constitution du champ de Forel (F) et de la capsule du noyau
rouge
(Fig. 298). D'autres fibres dégénérées ne tra
ntre médian de Luys; 2° une dégénéres- cence de la capsule du noyau
rouge
et de la partie externe de ce noyau (NR), qu. lfa
en bas et dans la région du pédoncule cérébral (Fig. 300), le noyau
rouge
(NR), le ruban de Reil médian (Rm), la formation
corps de Luys, à la partie antéro-inférieure du thalamus, au noyau
rouge
, à sa capsule de fibres; et au noyau lenticu- l
p de Forel et dans la partie anléro- interne de la capsule du noyau
rouge
. Nous avons pu suivre cette dernière dégénéresc
fois déterminer si les fibres dégénérées se perdaient dans le noyau
rouge
ou dans les travées grises de la formation réticu
escence du fais- ceau thalamique et du champ de Forel, du noyau
rouge
et de la capsule de ce noyau pouvant être s
escence du fais- ceau thalamique et du champ de Forel, du noyau
rouge
et de la capsule de ce noyau pouvant être s
de la région sous-thalamique, cette dégénérescence s'étend au noyau
rouge
(\Il), et surtout il sa capsule de fibres (C\C) (
; elle se confine ensuite à la partie interne delà capsule du noyau
rouge
(CNR) (Fig. 308), puis s'épuise très rapi- deme
ure, lorsque le pédoncule cérébelleux supérieur fait place au noyau
rouge
. i'ic. 30G et 307. - Cas Gardette (Salpêtrière,
nce du faisceau thalamique (Fth) et du champ de Forel (F), du noyau
rouge
(1\Il) et de sa capsule de fibres (CN13). Dégén
cence du fais- ceau thalamique et du champ de Fore ! , du noyau
rouge
et de la capsule do co noyau pouvant être s
de la couronne rayonnante. Dégénérescence de la capsule du noyau
rouge
, en particulier de sa pai Lie interne, consécut
optique et qui entrent dans la constitution de la capsule du noyau
rouge
sont des fibres de court trajet qui ne dépassen
aisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meynert, le noyau
rouge
, le pédoncule cere- helteux supérieur. Méthode
Broca. - Cc(Spl), bourrelet du corps calleux. CNR, capsule du noyau
rouge
. - coa, commissure antérieure. - F, champ de Fo
r; A'e, noyau externe ; Ni, noyau interne du thalamus. - NIl, noyau
rouge
. - ol',(Gr), gyrus rectus, face orbitaire de la p
e repose sur le champ de Forel (F), le corps de Luys (CL), le noyau
rouge
(NR) et reçoit ou émet le faisceau thalamique d
OUCHE OPTIQUE. : ¡ : ;7 la partie antérieure de la capsule du noyau
rouge
. Les fibres postérieures sont comprises enlre l
la région sous-optique et en particulier sur les radiations du noyau
rouge
. 2. Zone réticulée ou grillagée (Zr) (Fig. 29,
peut être suivie jusque dans la partie externe de la capsule du noyau
rouge
(CNR), mais elle ne s'étend ni au ruban de Reil
c), qui n'est autre que la partie antérieure de la capsule du noyau
rouge
, s'irradie dans la partie antérieure et moyenne
lotte (nC) se détachent de la partie externe de la capsule du noyau
rouge
sous forme de gros GANGLIONS INIR1CORTICAUt : C
médiaire du pédon- cule cérébelleux su- périeur ; aux 110} aux
rouges
et la la formation ré- ticulée homolatérale,
des fibres du pédoncule cérébelleux supérieur, des fibres du noyau
rouge
, des fibres longitudinales de la for- maton rét
oisé, en particulier avec l'olive cérébelleuse. Les fibres du noyau
rouge
et celles de la formation réticulée de la calotte
ssent des connexions très intimes entre la couche optique, le noyau
rouge
et la substance grise de la formation réticulée.
tions de la calotte. Le pédon- cule cérébelleux supérieur, le noyau
rouge
et sa capsule de fibres, la for- mation réticul
cordeau. Chez l'homme, grâce au développement considérable du noyau
rouge
, le faisceau rélro- Ilexe décrit de chaque côté
me paire. La courbe inférieure, convexe en dedans, entoure le noyau
rouge
et le traverse dans une parlie de son trajet. L
en dedans et d'arrière en avant, la partie postéro-interne du noyau
rouge
(NR), et sur les coupes liorizontales détermine d
p. 641 et suiv.) considérée à tort par Luys comme le hile du noyau
rouge
. Arrivé à la partie inféro-interne du noyau rou
le hile du noyau rouge. Arrivé à la partie inféro-interne du noyau
rouge
(Fig. 323, T. le ? et Fig. 321), le fais- ceau
rne, noyau interne et centre médian de la couche optique. - NR, noyau
rouge
, if\, pied du pédoncule. - PTm, pédoncule du tu
re suivi au delà de la partie antéro-interne de la capsule du noyau
rouge
; 2° le volume du faisceau rétroflexe n'est pas
t en arrière, à la calotte pédonculaire. Ce plan sectionne le noyau
rouge
qui se trouve ainsi à cheval sur les deux régio
ncule cérébral qui contient le corps de Luys, et la partie du noyau
rouge
situé en avant du faisceau rétroflexe de Meynert.
du thalamus au plan vertico-transversal qui passe en avant du noyau
rouge
et dans le sens transversal, de la zone rélicul
arrière, se continue avec la couche de fibres qui entoure le noyau
rouge
et avec les fibres longitudinales de la calotte p
el. Il représente la partie antérieure de la capsule du noyau
rouge
. horizontale de substance grise, la zona incerl
amp de Forel représente la partie antérieure de la capsule du noyau
rouge
. Au voisinage de cet amas ganglionnaire, ses fi
urent les faces supérieure, interne, inférieure et externe du noyau
rouge
, s'accolent aux radiations de la calotte et con-
amiques, des fibres des pédoncules cérébelleux supérieurs, du noyau
rouge
, des fibres longitudinales de la formation réticu
n déli- mitée, dont le volume est un peu inférieur à celui du noyau
rouge
de Burdach et de Stilling; il est entouré comme
aire; « l'olive supé- rieure » de Luys correspond en outre au noyau
rouge
de Burdach, de Stilling et de tous les auteurs,
upérieure du locus niger, au-dessus, en dehors et en avant du noyau
rouge
. Il a chez l'homme la forme d'une lentille bico
on petit ou à son grand axe. Plus petit par son volume que le noyau
rouge
, il mesure 10 à 13 mil- limètres de longueur, s
la calotte (Fig. 28, p. 43) et de la partie antéro-externe du noyau
rouge
(Fig. 33, p. 49). La face ventrale ou in/'él'o-
ruban de Reil médian, arrivé dans les régions supérieures du noyau
rouge
,se porte- rait en dehors vers le corps de Luys.
7, 298 et 301). Le corps de Luys est-il en connexions avec le noyau
rouge
? Si elles existent, ces connexions ne peuvent
du champ de Forel et de la partie antérieure de la capsule du noyau
rouge
. En résumé, le corps de Luys dépend essentielle
ce grise, el dans laquelle on trouve clairsemées ur Avec le noyau
rouge
. Structure du corps de Luys. Son riche et d
ire dont les mailles sont beaucoup plus serrées que celles du noyau
rouge
ou de l'écorce cérébrale par exemple. IV. - SUB
pédoncu- laire et occupe la partie postérieure et ventrale du noyau
rouge
(Voy. Région de la calotte, IIIe partie). La
probablement des fibres reliant le corps de Luys d'un côté au noyau
rouge
, ou à la calotte et au champ de Forel du côté opp
de Forel croisé ? ou entre ce champ et le corps de Luys ? le noyau
rouge
? la calotte pédonculaire croisée ? Au-dessou
limbique. NC, noyau caudt Ne', queue du noyau caudé. - 11'li, noyau
rouge
. - Oi, première circonvolution occipitale - 0F1
ée et on aperçoil la cavité du diveiticule latéral (Vt) (colorée en
rouge
) et les toenia, ou languettes qui bordent la cavi
rétrobulbaire et les plexus choroïdes du 4° ventricule (colorés en
rouge
), vus par la face ventriculaire après ablation
jumeau. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en
rouge
, les lobes inférieur et inféro-interne en jaune
s'étendent du noyau dentelé et du feutrage inlra- ciliaire au noyau
rouge
de Stilling et à la couche optique du côté opposé
FIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 321 Fie. 363. - Les noyaux
rouges
de Stilling et les pédoncules cérébelleux supérie
gine dans l'olive cérébelleuse jusqu'à leur terminaison dans le noyau
rouge
et la couche optique du côté opposé. Méthode de
nt sous-lenticulaire de la capsule interne. - CNR, capsule du noyau
rouge
. 1·'cc, faisceau central de la calotte. fec, fe
globus pallidus. - nh, nid d'hirondelle. - No, nodule. - NR, noyau
rouge
. - Oc, olive cérébelleuse. - Pei, pédoncule céréb
t à une petite distance au-dessus de leur entre-croisement au noyau
rouge
de Stilling (1'R). Sur un encéphale convenablem
cérébelleux supérieur, soit dans le cervelet, soit dans les noyaux
rouges
. Sur des coupes obliques en haut et en avant, c
ine dans l'olive cérébelleuse jusqu'à son irradiation dans le noyau
rouge
et la partie inféro-exlerne du thalamus du côté
x supérieurs à deux branches de ciseaux à demi ouvertes. Les noyaux
rouges
figurent les anneaux, l'entre-croisement répond à
aux pédoncules cérébelleux supérieurs croisés en formant les noyaux
rouges
(NR) de Stilling. Un certain nombre de fascicul
pédoncule cérébelleux supérieur pénètrent dans l'épaisseur du noyau
rouge
, lui impriment son apparence striée ou tachetée
rticulière et s'y épuisent. Le plus grand nombre entourent le noyau
rouge
d'une véritable capsule de fibres, capsule du n
le noyau rouge d'une véritable capsule de fibres, capsule du noyau
rouge
(CNR), entrent dans la constitution des radiation
onstitution des pédoncules cérébelleux supérieurs, Chap. IV.) Noyau
rouge
(NR), radiations de la calotte (RC). - Le noyau
nfériour. Noyaux blancs d( Stillin ? Connexions avec 1, noyau
rouge
du côti opposôctsacapsu)' de fibres. oyauro
VEUX. Situation. Rapports. Aspect général. Capsule du noyau
rouge
. Radiations de la calotte. Pédoncules cére-
adiations de la calotte. Pédoncules cére- belleux inférieurs.
rouge
de la calotte (nucleus ouber de Burdach et de Sti
50). Ce dernier faisceau traverse la partie supéro-interne du noyau
rouge
(Fig. 321), de telle sorte que, sur les coupes in
les coupes intéressant la calotte pédonculaire (Fig. 34), le noyau
rouge
présente, à sa partie interne, une sorte d'écha
rée à tort par Luys comme le hile de l'olive supérieure. Le noyau
rouge
présente, sur les' coupes colorées par la méthode
épaisse de fibres à myéline signalée par Reil, la capsule du noyau
rouge
, et de constitution fort complexe. Cette capsule
tion fort complexe. Cette capsule enve- loppe complètement le noyau
rouge
, se fusionne en arrière, en bas et en dehors av
otte (Haubenstrahlung, Edinger, Flechsig), couche latérale du noyau
rouge
(latérales Mark des rothen Kerns, v. ulonahow).
liques qui traversent le ruban de Reil médian au voisinage du noyau
rouge
, et que nous avons rattachés sur nos coupes nor
et 376) qui traversent le ruban cle Reil au voisi- nage du noyau
rouge
, et que nous avons rattachés sur nos coupes n
euzung), remarquable par ses courbes très accen- tuées ; des noyaux
rouges
se détache l'entre-croisement ventral de la calot
ains faisceaux de la formation réti- tulue. supérieur, le noyau
rouge
et les radiations de la calotte (voy. p. 520),
voies cérébel- leuses supérieures - radiations de la calotte, noyau
rouge
et pédoncule cérébelleux supérieur - avec lesqu
pes de la région un petit champ triangulaire compris entre le noyau
rouge
en avant, la substance grise centrale en dedans e
e rapidement de volume; il s'étale en arrière et en dehors du noyau
rouge
(Fig. 33, p. 49 et G2, p. 73), se fusionne avec
de Forel (ne pas confondre cet entre-croisement originaire du noyau
rouge
avec l'entre-croisement sous-thalamique postéri
55 ruban de Reil médian, et dans le sens antéro-postérieur du noyau
rouge
et du pédoncule cérébelleux supérieur, qui lui
mmissure de Wernekink fait place aux noyaux blancs, puis aux noyaux
rouges
de Stilling, le ruban de Reil médian (Rm) se po
rne d'abondance, dont le pavillon coiffe la partie externe du noyau
rouge
(NR) et se fusionne avec la capsule de fibres (
19 à 438, p. 616 à 657). Il passe en arrière de la capsule du noyau
rouge
, de l'entre-croisement des pédon- cules cérébel
plati, appliqué sur la partie supéro-internc de la capsule du noyau
rouge
; sa partie supérieure et externe comprend sur l
ent; ces dernières forment la limite interne de la capsule du noyau
rouge
, la séparent de la substance grise qui double l
bas et en dedans, fusionné encore intimement à la capsule du noyau
rouge
dont le délimitent d'au- tant mieux les élégant
x de la Ille paire et s'insinue très en avant entre les deux noyaux
rouges
: l'entre-croise- ment dorsal de la calotte de
u'il concourt à former la partie postérieure de la capsule du noyau
rouge
et qu'il est situé en dehors et en avant du faisc
e de la calotte protubérantielle, et s'élend de la capsule du noyau
rouge
à la capsule de l'olive bulbaire. BI13LIOGIIA
aris, 1899. - Mauaim. Recherches sur la structure anatomique du noyau
rouge
et ses COI1- ne21ons aiec le pédoncule cérébell
C 4 de la Fig. 431. La cavité du quatrième ventricule est colorée en
rouge
. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature.
5 de la Fig. 431. La cavité du quatrième ventricule est colorée en
rouge
. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. C
6 de la Fig. 431. (La cavité du quatrième ventricule est colorée en
rouge
.) Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature.
e pédoncule du Ilocculus (La cavité du 4e ventricule est colorée en
rouge
). - Coupe horizontale H 8 du bulbe, aux confins
espaces ou fossettes qui se détachent en clair au milieu des tractus
rouges
qui forment les vaisseaux sup. posés remplis de s
res de produits d'exsudation fibrineuse, de leucocytes et de globules
rouges
sanguins émigrés. En consé-quence, ces produits e
La tête des animaux est plongée dans un sac rempli de poudre d'oxyde
rouge
de fer ; le collet du sac est fixé, bien entendu,
de section éclairée par la lumière réfléchie, par une coloration d'un
rouge
ocreux, circonstance qui, soit dit en passant, ra
l'anatomie macroscopique, porte le nom de rein contracté', petit rein
rouge
, rein goutteux, rein saturnin, rein granuleux, dé
hase avancée. Elle n'a de commun avec l'altération dite le petit rein
rouge
, que de siéger dans le même organe, dont elle dét
inction à établir entre le petit rein jaune ou gras, et le petit rein
rouge
, parce que les raisons anatomiquessur lesquelles
— que siègent parti-culièrement les lésions dans le cas du petit rein
rouge
. J'ai essayé d'établir, avec M. Kelsch, que l'atr
lie sur la surface de l'or-gane et s'y dessinent en clair sur un fond
rouge
. Les parties rouges et déprimées répondent à la r
de l'or-gane et s'y dessinent en clair sur un fond rouge. Les parties
rouges
et déprimées répondent à la région labyrinlhique
du cours pratique. Elle paraît être, dans l'histologie du petit rein
rouge
, un caractère fondamental, et, si elle peut se re
sions de la cirrhose broncho-pneumonirrae avec celles du « petit rein
rouge
» fait recon- naître que dans les deux cas, le
, congestion lobulaire généralisée de Rillietet Barthez, hépatisation
rouge
broncho-pneumonique de Damaschino ; 3° dans les c
s, les zones périphériques en sont encore à la période d'hépatisation
rouge
ou même de congestion. Dans la pneumonie lobulair
lésions s'accuse d'un lobule à un autre; on voit çà et là des lobules
rouges
, gris, jaunes (pneumonie marbrée ou panachée) ave
aisseaux, on trouve des amas de leucocytes et quelquefois de globules
rouges
. Il n'est pas rare non plus de les voir remplis p
entre l'état aigu et l'état chronique proprement dit. A. Induration
rouge
: Andral Hope "2, Forster8. — Hépa-tisation indur
cette forme dif-fèrent peu de ceux qui appartiennent à l'hépatisation
rouge
de la pneumonie aiguë. Le tissu malade est rouge,
ent à l'hépatisation rouge de la pneumonie aiguë. Le tissu malade est
rouge
, compact, lourd, non crépitant; la surface de sec
gnaler ; il permet jusqu'à un certain point de rattacher l'induration
rouge
à l'induration grise, et de les considérer comme
ert8. — Tissu ferme, dense et sec; coloration jaune pâle \ teintée de
rouge
; la texture est en général granuleuse; cependant
admettre que l'hépatisalion jaune se forme à la suite de l'induration
rouge
, et que celle-ci doit nécessairement précéder cel
ger, pour se constituer, plus de temps qu'il n'en faut à l'induration
rouge
; on l'a rencontrée à peu près dans les mêmes circ
uances près, le tableau si exact qu'a tracé Laennec de l'hépatisation
rouge
, le parenchyme pulmonaire ne semble pas encore av
tre uniforme, mais le plus souvent, elle se trouve marbrée de teintes
rouges
, bleu foncé, quelquefois même verdâtres, noirâtre
tions, toutes les gradations qui peuvent exister entre l'hépatisation
rouge
aiguë et les indu-rations diverses propres à l'ét
tat dans lequel nous le trouvons : maigreur très prononcée, pommettes
rouges
et saillantes, œil brillant, peau chaude, pouls a
ents, verts, arrondis et présentent à leur centre une coloration d'un
rouge
vineux et évidemment produite par la présence de
x qu'à l'état normal, il est pesant et paraît à l'extérieur d'un brun
rouge
foncé. Une coupe est pratiquée dans son épaisseur
ullement dilatés. Leur membrane muqueuse présente une coloration d'un
rouge
très vif qui con- traste avec la coloration ard
même les jours suivants. Le 2 mars, le côté droit de la face est très
rouge
. Une dyspnée intense, accusée par la malade, est
quide séro-sanguinolent. La membrane muqueuse des bronches est d'un
rouge
vif, car-miné, qui s'étend jusque dans les plus p
s frissons erratiques, le soir les yeux sont injectés, les pom-mettes
rouges
; il a peu d'appétit et mange à peine: les signes
e ; elle est molle et flasque; elle pré-sente une couleur violacée ou
rouge
pâle; elle est marquée de lignes blanches circons
s, et elle est plus lourde que l'eau. Sa coupe présente un tissu d'un
rouge
plus ou moins foncé, lisse, résistant sous le doi
monie lobaire récurrente: Exemples. — Formes de la lésion: induration
rouge
, induration grise ou ardoisée. II. Broncho-pneu
elle n'est que de 30 à 120 grammes pendant la période d'hépalisation
rouge
. En général, l'amélioration des symp-tômes est sa
stade de ce genre de pneumonie interstitielle, à savoir l'indu-ration
rouge
du poumon : les cavités alvéolaires sont encom-br
i après le début. Les lésions furent encore ici celles de Yinduration
rouge
; mais, de plus, on trouvait par places de Yindura
eumonie chroni-que se rattache également à l'histoire de l'induration
rouge
ou ardoisée : c'est la pneumonie lobaire récurren
— Mort. Autopsie. —Poumon gauche: pneumonie chronique, indu-ration
rouge
et ardoisée, avec adhérences pleurales du lobe in
sous les deux formes principales déjà mentionnées: Io L'induration
rouge
(Àndral *, Hope 2, Forster 3), Yhépa-tisation ind
indurée (Lebert), est le pendant à l'état chronique de l'hépatisation
rouge
de l'état aigu. La lésion est lobaire ; le tissu
neuses que dans la pneu-monie aiguë ; c'est, en somme, l'hépatisation
rouge
, avec une consistance plus ferme du tissu pulmona
gonales ; on ne trouve pas d'épithéliums cubiques. Cette induration
rouge
s'observe, comme nous l'avons vu, dans les cas à
ra-vées interlobulaires se dessinent nettement. Souvent, Yindura-tion
rouge
et F induration grise existent en même temps sur
ord que, de même que la pneu-monie lobaire aiguë précède l'induration
rouge
et grise, de même la broncho-pneumonie chronique
geâtre sur les bords ; mais jamais on n'observe la série des couleurs
rouge
, jaune, orangée, comme cela arrive d'habitude qua
s des sacs contenant soit de la poussière de charbon, soit de l'oxyde
rouge
de fer. Or, dans les cas où il s'est agi du char-
a fibrine et les leucocytes, on voit se produire du côté des globules
rouges
les modifications suivan-tes : une fois devenus l
ut de quelques minutes, après avoir modifié leur couleur, qui devient
rouge
et bleue. Le dernier terme des changements succes
e dernier terme des changements successifs que subissent les globules
rouges
consiste dans la production d'une série de granul
ntérieur des alvéoles pulmonaires : 1° un cer-tain nombre de globules
rouges
du sang sont libres dans la cavité alvéolaire ; 2
du sang sont libres dans la cavité alvéolaire ; 2° d'autres globules
rouges
ont pénétré dans l'intérieur des cellules de l'ép
u poumon ; 3° ailleurs, cet epithélium contient non plus des globules
rouges
, mais des granulations pigmenlaires de diverses c
nombreux, on peut en rencontrer de bruns, de jaunes, plus rarement de
rouges
(Planer). Ces par-ticules pigmentaires en circula
ière, n'avait rien vu de semblable. La surface était d'une coloration
rouge
brique in-tense à peu près uniforme, sillonnée de
La plèvre pul-monaire était, elle aussi, recouverte de larges plaques
rouges
. Les surfaces de section présentaient la même cou
le. On eût dit que toutes les parties étaient enduites d'une cou-leur
rouge
. Plusieurs cavernes plus ou moins volumineuses ét
dû travailler pen-dant longtemps dans «une atmosphère chargée d'oxyde
rouge
de fer, dont les particules avaient pénétré dans
nsistait à appliquer sur une feuille de papier transparent une poudre
rouge
, sèche, très fine, jusqu'à imprégnation complète
bles et imprégnant les vête-ments des ouvrières, dont la salive était
rouge
. L'examen de cette poussière fit connaître qu'e
re qu'elle était due à une variété d'oxyde de fer que l'on appelle le
rouge
an-glais. Un examen attentif du poumon mit en l
cu-larités suivantes : Des surfaces de sections s'écoulait un liquide
rouge
dans lequel l'examen microscopique montrait : 1°
s et des noyaux remplis de particules fines, noires par transparence,
rouges
à la lumière réfléchie ; trai-tées par l'acide ch
pendant la vie de la malade on avait constaté l'existence de crachats
rouges
qui du reste n'avaient pas été analysés. Cette la
uvent sortant de leur atelier, les vêtements tout cou-verts de poudre
rouge
, présentaient une expectoration rouge très analog
ements tout cou-verts de poudre rouge, présentaient une expectoration
rouge
très analogue à celle de la précédente malade. Or
dégénérescence, et le carmin ne peut plus les colorer. Mais la bande
rouge
intermédiaire se sera portée un peu plus en dehor
cellule étoilée (ou cellule géante) renferme quelquefois des globules
rouges
du sang, dans des conditions où le cordon lui-mêm
sang contenu dans le ventricule droit a une couleur acajou, ou plutôt
rouge
brique, très singulière, il est fluide, trouble;
système porte, le sang est seulement louche, trouble et d'une couleur
rouge
brique. Le sang que contient le cœur gauche est d
g recueilli dans le cœurgauche, et qui présentait une coloration d'un
rouge
violet foncé, était celui qui renfermait le moins
sang. Là, ces globules blancs étaient moins nombreux que les globules
rouges
; il n'y avait pas de petits caillots fibri-neux
ité. Le sang pris dans le ventricule droit avait une colora-tion d'un
rouge
brique, tirant au blanc plus qu'au violet ; il re
e globules blancs plus considérable que ne l'était celle des globules
rouges
, ou au moins à peu près égale. De ces globules bl
bres, les autres étaient englo-bés avec un certain nombre de globules
rouges
dans de petits cail-lots fibrineux. Chacun de ces
nant, quels étaient les caractères des globules blancs ; les globules
rouges
n'ayant présenté rien d'anormal ne méritent pas d
antité de cristaux lozangiques, fort réguliers, légèrement colorés en
rouge
jaunâtre. Ces mêmes cristaux étaient extrêmement
couleur noire, plus rarement de couleur brune, brun jaunâtre ou même
rouge
. Ces granulations exis-tent quelquefois à l'état
pigment, de deux ou trois cristaux d'hématoïdine d'une belle couleur
rouge
, d'une confi-guration géométrique très nette. P
m-plète fait qu'ils peuvent aisément passer inaperçus. — Les globules
rouges
du sang ont diminué de nombre ; ils ne pré-senten
dit encore, de la métamorphose régressive que subissent les globules
rouges
du sang dans certaines circons-tance pathologique
. Il pa-raît peu probable, toutefois, que la destruction des globules
rouges
s'opère indistinctement et au même degré dans tou
rate n'est pas le seul or-gane où s'opère la destruction des globules
rouges
du sang. (Loc. cit., p. 329.) les cas de pyémie
le sang et dans certains viscères. — Nombre considérable de globules
rouges
, plus petits que dans l'état normal, etc. La no
valuer approxima-tivement à la moitié de la somme totale des globules
rouges
ou blancs. Il nous a semblé que cette proportion
très grande. Nous avons à considérer dans le sang: 1° les globules
rouges
; 2° les globules blancs ; 3° les autres éléments
lancs ; 3° les autres éléments visibles au micros-cope. 1° Globules
rouges
. — Le fait saillant, relativement à ces glo-bules
s, c'est l'inégalité de leurs dimensions. Un grand nombre de globules
rouges
(un tiers environ, et cette proportion n'a rien d
normaux ; présentent çà et là la forme discoïde. Tous les globules
rouges
se sont assez bien conservés avec leurs caractère
° Autres éléments visibles dans le sang. — Outres les glo-bules, soit
rouges
, soit blancs, on aperçoit dans le sang une très g
sont incolores ou très légèrement colorés par le reflet des globules
rouges
; ils paraissent, au premier coup d'œil, être cons
d'une matière parti-culière et non encore déterminée. Les globules
rouges
, comme on l'a vu, étaient loin d'avoir tous les d
le conséquence pour-rait avoir cette réduction du volume des globules
rouges
? Il n'est guère possible de s'en faire une idée e
ules blancs, la dimi-nution du nombre et de la dimension des globules
rouges
, les modifications chimiques qu'a dû subir le liq
erons donc de faire remarquer que la réduction du volume des globules
rouges
, alors que les dimensions des glo-bules blancs so
ité » de cristaux losangiques fort réguliers, légèrement colorés » en
rouge
jaunâtre. Ces mêmes cristaux étaient extrêmement
x. Le feuillet séreux dans les points où existent les végétations est
rouge
et laisse voir une fine injection vasculaire. — V
de globules arrondis, pâles, un peu plus volumineux que les globules
rouges
du sang. Ces globules contiennent un certain nomb
e la grande courbure, deux ulcères simples, à fond nacré, à pour-tour
rouge
vif, ayant chacune l'étendue d'une pièce de 50 ce
s de la Société de Biologie, 1851, p. 24. des excréments colorés en
rouge
. On note que le cadavre n'é-prouva pas de raideur
nt aucune lésion, leur muqueuse était tapissée par un mucus d'un brun
rouge
très fétide. Vestomac, un peu revenu sur lui-même
stomac, un peu revenu sur lui-même, présentait une coloration çàet là
rouge
brique, et, par place, d'un violet foncé; on y vo
e, au-dessus de la partie si altérée, on aperçoit deux petites taches
rouges
constituées par des vaisseaux injectés. Dans aucu
pe la structure de la végéta-tion pédiculée gris-jaunâtre, nuancée de
rouge
sombre dans une assez grande étendue et qui est i
brillaire, au milieu de laquelle on trouve quelques globules sanguins
rouges
, mais très peu de leu-cocytes. Quant aux parties
hère pas à l'endocarde. On trouve dans le ventricule droit un caillot
rouge
et mou, évidemment de formation récente, du volum
ux. Les pyramides et la substance corticale du rein gau-che sont plus
rouges
que cela n'a lieu au rein droit. L'utérus est tel
mort. — Foie considéra-blement augmenté de volume. — Rein gauche d'un
rouge
plus foncé que le droit dans sa substance cortica
amifications assez ténues. Les caillots des petites divisions étaient
rouges
, peu consistants, tandis que les caillots du tron
pus? Nous penchons pour cette dernière opinion. l'état d'induration
rouge
et plaques purulentes quelques superfi-cielles; i
affection spéciale, et pour ainsi dire idiopathique du système à sang
rouge
, dont l'origine serait entièrement indépendante d
, dans quelques cas a été trouvée indurée, injectée, épaissie et d'un
rouge
violacé; 2° les chocs, les chutes, les violences
'il est revenu à lui, il rend en vomissant une pleine cuvette de sang
rouge
, en partie liquide, en partie coagulé. Les syncop
7. 2 Brown-Séquard. — Mémoires sur les propriétés et usages du sang
rouge
et du sang noir, 1858. Dans l'expérience de Stens
ant : lorsque le malade posait le pied à terre, l'avant-pied devenait
rouge
violacé; depuis un certain temps cette coloration
Le gros orteil est douloureux à la pres-sion; il est constamment plus
rouge
et plus froid que les autres parties ; 3« Au mome
ites à diverses hau-teurs. Les méninges en général étaient épaissies,
rouges
, injec-tées; on y voyait par place des macules bl
parties violettes, lesquelles, soit dit en passant, de-viennent d'un
rouge
vif au contact de l'air, ces parties, dis-je, l'e
comme des noisettes. Le tissu de la rate, dur, friable, d'une teinte
rouge
sombre, est mar-bré de grandes taches verdâtres,
ne coloration uniforme violet foncé, parsemé çà et là de macules d'un
rouge
vif. Cette teinte violette se limite du côté des
le de le détacher. La membrane interne de l'artère présente une einte
rouge
foncée, et dans les points où les caillots sont a
ls ont en commun avec les fragments du poumon frap-pés d'hépatisation
rouge
. On sait aussi que les vaisseaux capillaires qui
monie lobaire récurrente: Exemples. — Formes de la lésion: induration
rouge
, induration grise ou ardoisée. II. Broncho-pneu
à noyaux dans 'la leucocylhémie, 351; — sans no-yau, 352. Globules
rouges
, (Métamorphose régressive, :-i34 ; —dans la leuco
s méningées, dans la mélanémie, 340. Hépatisation planiforme, 99; —
rouge
, lü2 ;— lobulaire généra-lisée, 102, 103 ; — part
orte, 566. I Induration brune, 34, 37; — pul-monaire, 117, 513; —
rouge
, 121, 182, 187 ;— jaune, 123, 287; — hémoptoïque,
hémoptoïque, 626; — pigmen-taire, 630; — cellules fusiformes dans Y—
rouge
, 122; — cellules fusiformes dans 1' — grise, 129;
ction des —), 61, 65. Rein, développement, 79; — défini-tif, 80 ; —
rouge
, 77, 7'»; — modi-fications épithéliales du — roug
défini-tif, 80 ; — rouge, 77, 7'»; — modi-fications épithéliales du —
rouge
79; — contracté, ^9; — tumeurs fibrineuses du - ,
énéralement obscure, des replis muqueux teints en jaune, du pointillé
rouge
çà et là; mais point de ramollissement, et je ne
testins étaient dans l'état le plus naturel, sauf encore du pointillé
rouge
. Le foie et la rate, divisés en tranches minces n
LIVRAISON. 1 liquide à mesure, j'ai trouvé au lieu de la substance
rouge
, grenue du rein, un tissu spongieux TR, TRj que j
Jacquemin; elle était dans l'état suivant : Face très-colorée; langue
rouge
, lisse, sans enduit; pouls médiocrement fréquent;
ens, reparaît; l'abdomen est souple et indolent; la langue est très -
rouge
; le pouls est peu fréquent, et sauf les envies d
ncée en couleur et exprime la douleur, l'angoisse; la langue toujours
rouge
; la respiration courte, quoique la malade ne se p
, desséchées, se couvrent d'une croûte noirâtre. La langue est lisse,
rouge
et sèche. La respiration devient plus fréquente.
loration était due à plusieurs couches de fausse membrane plaquées de
rouge
qui tapissaient la face inférieure de ce muscle.
s de rouge qui tapissaient la face inférieure de ce muscle. Ce plaqué
rouge
était dû à de petites masses de sang. Les vaissea
rface de la rate. L'extrémité supérieure était marbrée de blanc et de
rouge
; ailleurs, c'étaient des plaques PPP irrégulières
es PPP irrégulières, des espèces d'îles, ici foncées en couleur, d'un
rouge
noir; là, blanchâtres. 11 était facile de voir qu
était naturelle dans les parties qui avaient conservé leur coloration
rouge
et beaucoup plus considérable que de coutume dans
F air. Les couches adjacentes du tissu splénique sont denses et d'un
rouge
beaucoup plus intense que de coutume. On voit tou
ue. Étant donnés les symptômes suivans '.face très-colorée ; langue
rouge
; pouls médiocrement fréquent; sueurs très-abondan
faitement libre : brisement des membres ; pouls vif, fréquent; langue
rouge
; soif; vives inquiétudes sur son état. L'abdomen
rès-grand : agitation. Le pouls est fréquent, plein et dur; la langue
rouge
et sans enduit. La malade, pour me rendre compte
iquement combinée avec le tissu muqueux ). Petite plaque de pointillé
rouge
à cette grosse extrémité : quelques points rouges
plaque de pointillé rouge à cette grosse extrémité : quelques points
rouges
le long du bord libre des plis dont je viens de p
estomac (encore teinture cadavérique). Plusieurs plaques de pointillé
rouge
vers la fin de l'intestin grêle, quelques pouces
deux altérations se présentent : i° les petites plaques de pointillé
rouge
disséminées dans l'estomac, le duodénum et la fin
au rôle qu'elles ont joué dans la maladie, ne peut être équivoque. Le
rouge
ponctué indique en général une inflammation récen
ire que l'irritation qui a présidé à la formation des petites plaques
rouges
date de l'époque où la malade a accusé une vive d
ps et à dose convenables ; que dans beaucoup de cas une langue sèche,
rouge
et noire n'était pas une contre-indication. Les r
sérosité transparente dans les ventricules ; cerveau sablé de points
rouges
, mais d'ailleurs sain. « En soule-« vant cet orga
e foie, à côté d'abcès incomplètement formés, des noyaux d'induration
rouge
, tout-à-fait semblables, sauf une couleur moins f
poumon. La surface interne de tous les canaux bronchiques était d'un
rouge
intense; cette rougeur occupait toute l'étendue d
ion. La base du poumon droit présentait une sorte d'hépatisation d'un
rouge
livide, se déchirant avec facilité, parsemée de p
nnés d'une couche plus ou moins épaisse d'hépatisation mollasse, d'un
rouge
livide, qu'on appellera pneumonie si l'on veut, m
, langue sèche, douleurs de coliques; les extrémités inférieures sont
rouges
et très-douloureuses. Il se plaint constamment de
filèrent, l'appétit disparut et le sommeil avec lui; la langue devint
rouge
et sèche : le 17, dans la nuit, le malade fut pri
J'ouvris l'enveloppe dans laquelle je trouvai comme une bouillie d'un
rouge
sang de bœuf « et qui se voyait depuis la partie
nière dans son intégrité quant à la forme, mais la couleur était d'un
rouge
très-foncé; en voulant la « fendre dans sa longue
mac jusqu'au rectum inclusivement. Le « foie et la rate d'une couleur
rouge
foncé ; mais le cœur, le colon, le rectum, la ves
pie-mère; i° que la moelle épinière était transformée en une bouillie
rouge
foncée depuis son extrémité inférieure jusqu'au n
s par de fausses membranes récentes, et leur surface libre plaquée de
rouge
lie de vin et de vert sale. Cette couleur a été p
omplètement exsangue, entrecoupée de quelques bandes circulaires d'un
rouge
noirâtre R qui occupent l'intérieur de l'intestin
niques muqueuse, fibreuse et musculeuse. Les bandes circulaires, d'un
rouge
foncé RR, semblent prouver qu'une inflammation in
éo-cœcale. Un bon nombre de ganglions mésentériques étaient tuméfiés,
rouges
; plusieurs contenaient une matière pur if orme.
ramollissement gélatiniforme, la présence de bandes circulaires d'un
rouge
foncé RR qui semblent les débris d'une altération
t résisté présentent un tout autre caractère, celui de l'inflammation
rouge
. Et pourquoi ont - elles résisté ? Ne serait-ce p
et surtout ses franges FS, plus développées que de coutume, sont d'un
rouge
vif tout autour de la circonférence du cartilage.
rale externe FE a pu seule être montrée sur cette figure. Des franges
rouges
environnent la surface articulaire. TC est la tub
outes les articulations et plus particulièrement aux genoux, qui sont
rouges
, tuméfiés, fléchis sur les cuisses, et qu'on est
tière formant bourrelet autour des articulations, je l'ai calcinée au
rouge
dans un tube de verre : lorsque la calcination a
ueur a été évaporée jusqu'à siccité, puis chauffée fortement jusqu'au
rouge
, et projetant alors dessus du nitrate d'ammoniaqu
logique; nous ne devons plus être étonnés quand nous voyons une urine
rouge
, chargée d'une quantité énorme d'acide urique ou
êmement rapide; l'inflammation est exactement circonscrite : un foyer
rouge
d'abord, puis un foyer purulent, puis un foyer tu
s tuberculeuses, ou plutôt de pus concret MT, MT, entouré d'un cercle
rouge
qui annonçait un travail extrêmement actif. La su
grande quantité de granulations miliaires. Les bronches étaient d'un,
rouge
vif. Le sommet du poumon droit présentait une vas
xionnaires que nécessite ce travail. La couleur du sang, la couleur
rouge
du foyer, la couleur rouge des parois qui sont co
travail. La couleur du sang, la couleur rouge du foyer, la couleur
rouge
des parois qui sont comme imprégnées de la matièr
ieure et inférieure de l'avant-bras droit : les parties voisines sont
rouges
et œdémateuses. Le malade se plaint en outre d'un
u dépouillé de ses membranes au niveau de l'inflammation ; des points
rouges
très-multipliés s'observent à sa surface et dans
quelques questions. Le soir, paroxysme fébrile extrêmement fort. Face
rouge
, peau brûlante. Mort peu de temps après. Ouvert
venus corps irritans , avaient déterminé le ramollissement ponctué de
rouge
qu'on observait dans la substance cérébrale adjac
emarquable : alors exulcération légère au centre de la tumeur; cercle
rouge
inflammatoire tout autour de l'excoriation. Le 16
ymptômes généraux : ballonnement du ventre, diarrhée verdâtre; langue
rouge
et sèche ; vomissemens muqueux; chaleur à la peau
e irrégulière, et présente des milliers de petites ouvertures à bords
rouges
au niveau des ouvertures de chaque follicule. L
ct d'une infinité de très-petites ulcérations superficielles, à limbe
rouge
; chaque follicule est transformé en un petit ulcè
as rare de voir tous ou presque tous les ganglions mésentériques d'un
rouge
intense et comme pénétrés de sang, sans augmentat
chaque papille une gaîne incomplète : sous elle la muqueuse est d'un
rouge
foncé. XIIL Un point très-important dans l'hist
ns; dans d'autres cas, la muqueuse est prodigieusement injectée, d'un
rouge
noir dans une plus ou moins grande étendue; enfin
it assassin de tous les rois et croit qu'on veut le tuer. La face est
rouge
, couverte de sueur ; le pouls large, plein, presq
ienne. La surface externe de cette fin de l'intestin grêle était d'un
rouge
noir dans toute sa circonférence, et non point pa
el-Dieu dans l'état suivant : prostration musculaire; stupeur; langue
rouge
, un pen sèche; aucune douleur abdominale par la p
ntestin grêle : sous elle la séreuse présentait çà et là du pointillé
rouge
. La lésion folliculaire était circonscrite à la
core un foyer apoplectique i une apoplexie capillaire (ramollissement
rouge
) tout autour de la tumeur, un ramollissement blan
nflammation exactement circonscrite : d'abord un foyer d'inflammation
rouge
, puis un foyer purulent, puis un foyer tuberculeu
ouverts et pleins de pus-, la membrane interne, qui est d'une couleur
rouge
vermeil, est tapissée par une fausse membrane. L'
n avant cette cavité, était plane : l'une et l'autre surfaces étaient
rouges
; point de traces de fibro-cartilage inter-articu
. La partie inférieure du condyle externe est parsemée des caroncules
rouges
CC qui proéminent à travers de petites pertes de
s contre le côté externe de ce condyle. On voit encore les caroncules
rouges
C et les rayures de la lame éburnée TE. Réflexi
e en dehors d'une multitude de franges synoviales très-développées et
rouges
FS. Ces derniers ne sont pas pédicules. Les fig.
urut à l'instant, je trouvai la muqueuse ramollie fortement teinte en
rouge
lie de vin. A la suite de certaines maladies aigu
muqueuse, excepté au voisinage dè l'orifice pylorique OP. Des plaques
rouges
annoncent un reste de réaction vitale. La coupe m
ssons s'étaient épanchés dans l'abdomen , était environné d'un cercle
rouge
de la largeur d'un quart de ligne (*). IIe fait
e, embonpoint notable. L'abdomen ouvert, on est frappé par la couleur
rouge
violacée du gros intestin qui contraste avec la p
nflammation circonscrite des poumons ou du foie; d'abord l'induration
rouge
, puis du pus infiltré, phis tard quelques gouttel
ard quelques gouttelettes de pus ramassées au centre d'une induration
rouge
ou grise, enfin un véritable abcès parfaitement c
us grande facilité. Autour de ces veinules, le tissu musculaire était
rouge
, fragile, en un mot dans cet état d'induration ro
musculaire était rouge, fragile, en un mot dans cet état d'induration
rouge
qui précède la suppuration. Toujours des veines s
g-temps à l'expérience, et vous trouverez alors un foyer d'induration
rouge
autour de chaque globule mercuriel; plus tard des
uatre heures à cette opération, je trouvai le foie parsemé de plaques
rouges
lie-de-vin superficielles, légèrement proéminente
globule mercuriel était au centre de chaque petit foyer d'induration
rouge
; une certaine quantité de mercure avait pénétré d
! au niveau des veinules injectées de mercure, la muqueuse était d'un
rouge
vif, tapissée par une fausse membrane et un mucus
espondant et la membrane musculaire elle-même, étaient également d'un
rouge
cramoisi. XVIII. Dans ces expériences, le mercu
aisseur, et dont la couleur contrastait avec la couleur beaucoup plus
rouge
que de coutume du tissu de l'organe. Ces tubercul
la couche mince qui confinait l'abcès, et qui était comme plaquée de
rouge
foncé. Les muscles biceps, triceps et brachial
s par un pus visqueux rougeâtre, contenu dans des cavités plaquées de
rouge
: ils étaient tellement identiques à l'abcès de la
egré, c'est-à-dire, l'injection des vaisseaux capillaires. La couleur
rouge
foncée que j'ai notée avec tous les observateurs,
des caillots sanguins adhérens à l'intérieur du vaisseau : la couleur
rouge
va en diminuant à mesure que la matière colorante
nts de la surface du poumon présentent de la compacité et une couleur
rouge
diversement nuancée. L'un d'eux, FS, ressemble à
s les dernières divisions. Ces caillots des petites divisions étaient
rouges
, peu consistans, tandis que les caillots Au tronc
paux, ces concrétions contenaient du pus à leur centre, elles étaient
rouges
et graduellement de moins en moins cohérentes dan
e subdivisant comme ces artères, jusqu'à ce qu'enfin elles devinssent
rouges
et à peine cohérentes. Mais les concrétions des p
le rapport du volume et du degré de l'inflammation: ici, indurations
rouges
; là, foyers marbrés de blanc et de ronge: plus lo
de coutume, était parsemée çà et là de masses sphéroïdes denses, d'un
rouge
foncé, tout-à-fait semblables à celles que j'ai d
, font saillie à la surface du poumon, et sont entourés d'une auréole
rouge
et indurée. Le lobe supérieur en est complètement
non creusé en godet comme les tumeurs careinomateuses, la coloration
rouge
foncée de leur circonférence, en un mot tous les
ériode de l'abcès. Dans presque tous, une couche épaisse d'induration
rouge
entoure une masse blanche et dure formée par du p
u pus infiltré dans le parenchyme pulmonaire. Des points d'induration
rouge
se voient çà et là au milieu de la masse infiltré
s : respiration difficile, entrecoupée; pouls fréquent et plein; face
rouge
; sueur générale. Râle crépitant dans la plus gran
ociété Anatomique par M. Bergeon. Une couche épaisse d'hépatisatiuu
rouge
, mollasse, cerne en tout sens la caverne gangrene
olog,, p. 385) que, dans la cyrrhose, il y a atrophie de la substance
rouge
, et hypertrophie de la substance jaune. Il pense
éveloppe de manière à donner naissance aux granulations, la substance
rouge
peut rester dans son état naturel, et qu'alors le
foie est augmenté de volume; que, dans d'autres cas, cette substance
rouge
s'atrophie complètement et se transforme en tissu
excentrique répond à l'élément vasculaire, et conséquemment est plus
rouge
que la partie centrale. Dans la Cyrrhose, on trou
onate de fer à la dose de xx grains par jour. ) Le lait et les fruits
rouges
sont la seule nourriture que l'estomac puisse sup
adipeuses très denses. La muqueuse des intestins grêles et gros était
rouge
et légèrement infiltrée. La rate, le cœur, les po
31, il présente des traits affaissés, de l'abattement; la langue est
rouge
et sèche. L'abdomen est légèrement tuméfié à l'ép
ng noir coagulé. La membrane muqueuse était très fortement colorée en
rouge
foncé; le tissu du foie était sain; la muqueuse d
à la pression ; le pouls est à 140°, mais toujours dépressible; face
rouge
; langue rouge à son limbe, blanche à sa face supé
; le pouls est à 140°, mais toujours dépressible; face rouge; langue
rouge
à son limbe, blanche à sa face supérieure : deux
part. Les intestins présentent à leur surface des lignes ponctuées de
rouge
, dirigées suivant leur longueur. Les intestins
plusieurs selles en diarrhée. Le 6, pouls fréquent, développé; face
rouge
; céphalalgie intense; hypogastre douloureux à la
cessives par des vapeurs de vinaigre versé sur une brique chaude ou
rouge
: en même temps la menthe poivrée, l'ammoniaque,
s qui m'ont le mieux réussi. Chez plusieurs, la langue qui était d'un
rouge
vif sur les bords et couverte d'un enduit saburra
ésiste quelques jours, puis cède. Etat typhoïde, avec langue sèche et
rouge
, sans fréquence marquée dans le pouls : pour tout
27 avril 1832, dans l'état suivant: Faciès naturel langue sèche et
rouge
à la pointe ; soif vive dirigée vers les boissons
s autour des pieds et des jambes. Le 29, la langue devient sèche et
rouge
; stupeur; la malade se plaint d'étouffer; expecto
néral ; douleur à l'épigastre qui augmentait par la pression ; langue
rouge
; soif; anorexie ; point d'évacuations ; les yeux
même, ses parois extrêmement épaissies, sa face interne plissée, d'un
rouge
vif. C'est cet estomac qui est représenté Pl. I,
é Pl. I, fig. 2, xive livraison (1). La fin de l'intestin grêle était
rouge
, mais beaucoup moins que l'estomac. Dans l'obse
écédents, mais hoquet ; quelques évacuations alvines; langue sèche et
rouge
; sensibilité à l'épigastre; sentiment de constri
me dans la péritonite. A l'intérieur, l'estomac présente du pointillé
rouge
dans Une grande partie de son étendue. Les inte
tières fécales molles, et présente dans toute son étendue des plaques
rouges
disséminées. La vésicule biliaire est distendue
e la muqueuse du gros intestin et de l'intestin grêle, une induration
rouge
dans le lobe inférieur du poumon gauche, au centr
. opiacés. Quinze sangsues sur l'épigastre. Le lendemain, face d'un
rouge
foncé offrant l'aspect étonné des cholériques arr
ements, les selles et les crampes avaient cessé. Réaction ; face d'un
rouge
foncé et altérée ; langue jaunâtre, à peine humec
la potion laudanisée. Le 17 , réaction ; mieux sensible ; face d'un
rouge
foncé; pouls plus développé; voix moins éteinte;
her avec extrait de quinquina et la potion laudanisée. Le 18 , face
rouge
vineuse : les yeux injectés et chassieux. Depuis
cette cavité pour se soulager. La langue présente un fond extrêmement
rouge
, voilé par un enduit blanc, peu épais et adhérent
re de temps en temps. Eau glacée sur le front. Le 20, la face moins
rouge
porte l'empreinte de l'angoisse et de l'affaissem
I, pl. 1, 14e liv. ) ; dans le grand cul-de-sac est une petite plaque
rouge
pointillée. U intestin grêle est distendu par u
res alimentaires non digérées. Emphysème sous-muqueux. Larges plaques
rouges
çà et là. L'intestin grêle est rempli de liquid
ort et l'autopsie. L'injection générale de la muqueuse, les plaques
rouges
, le développement des follicules agminés de l'int
intestin grêle. Un enduit muqueux, plus liquide, légèrement coloré en
rouge
et semblable à de la lavure de chair, revêt la pa
njectée et présente çà et là des ecchymoses par points et par plaques
rouges
, pl. 5, fig. 1, cette injection qui n'est pas uni
up d'épaisseur; et qu'examiné contre le jour, il présente une couleur
rouge
foncée, comme si toutes les tuniques étaient infi
u gros intestin. De petites érosions E, E, E, entourées d'un cercle
rouge
, se voient au voisinage de la valvule iléo-cœcale
bres; douleurs vives à l'épigastre ; oppression; soif intense; langue
rouge
et sèche; suppression d'urine. Prescription : T
eux de l'estomac. Le 1 6. Réaction. La face n'est plus livide, mais
rouge
et foncée en couleur; chaleur générale sans sueur
U estomac est très ample; sa surface interne est piquetée de points
rouges
, comme d'ecchymoses : l'estomac représenté pl. 1,
eparu ; les selles ont cessé ainsi que les vomissements ; la face est
rouge
lie de vin ; les yeux sont à demi-ouverts, chassi
euse; la respiration suspirieuse; pouls de 90 à 100°; langue sèche et
rouge
; grande soif. Quinze sangsues sur l'épigastre.
la fréquence dans le pouls a augmenté; la langue est devenue sèche et
rouge
; les vomissements ont augmenté. Le 23 , selle a
était l'intestin du jeune Adéodat, représenté pl. IL La coloration
rouge
de la muqueuse est Lieu différente de celle qui r
de cas, ces follicules sont environnés comme par une espèce d'auréole
rouge
(pl. II, fig. 1), qui examinée à la loupe, n'est
ïdien. Moelle épinière, saine ; ses diverses coupes sont sablées de
rouge
. Les ganglions semi-lunaires, les plexus solaires
, dégourdies, rarement frappées de glace. La face devient-elle d'un
rouge
vineux, enluminée ? on y remédie par l'applicatio
olumineux, sont complètement imperméables ; ils ont subi l'induration
rouge
* Fig. 5. Elle représente ïe thymus, creusé de l
mons, chez un enfant mort trois heures après la naissance '.pointillé
rouge
, et lignes rouges a la surface interne de V estom
ant mort trois heures après la naissance '.pointillé rouge, et lignes
rouges
a la surface interne de V estomac. Un enfant ve
alé une goutte. La surface interne de l'estomac présente un pointillé
rouge
très prononcé, ici irrégulier, là disposé par lig
cet aspect est dû à de petites masses d'induration très multipliées,
rouges
, sphéroïdales, d'inégal volume, disséminées tant
t qu'a prise chacune d'elles à la terminaison funeste. Le pointillé
rouge
de l'estomac soit par points isolés , soit par li
ammation? Cette coloration n'est pas moins fréquente que le pointillé
rouge
, et faute de données suffisantes , je m'abstiens
à réunies. Dans cette même figure les bords des ulcérations sont d'un
rouge
foncé. Dans le cas représenté fig. 6, des vomisse
verture du cadavre, vingt-quatre heures après la mort. Hépatisation
rouge
à la partie postérieure du poumon droit. Petits n
le canal intestinal, plaques de Peyer très saillantes : quelques-unes
rouges
et ramollies. (i) Observations et pièces anatom
l n'existait pas de membrane hymen; les » grandes lèvres étaient d'un
rouge
vif, et paraissaient avoir été fréquemment irrité
ravers la transparence de laquelle s'apercevait une tumeur de couleur
rouge
. La lame aponévrotique enlevée, nous avons vu l
une certaine quantité de sérosité sanguinolente; l'intestin, I, était
rouge
et injecté. L'intestin (fig. 2) a pu être retir
, gorgé d'un sang noir, offrant tous les caractères de l'hépatisation
rouge
du poumon, il n'en est pas de même, lorsqu'on tro
s un certain nombre de points « tous les caractères de l'hépatisation
rouge
, » tendant à passer à l'hépatisation grise. Ils é
, on voit se déchirer des filamens déliés et courts. De petits points
rouges
apparaissent à toute la surface dans laquelle cet
oute la surface dans laquelle cette séparation a eu lieu : ces points
rouges
sont dus à la déchirure de vaisseaux sanguins ext
se membrane granuleuse et compacte d'avec la fausse membrane molle et
rouge
était assez nette. A l'aide de la loupe, on décou
ient le résultat d'une agglomération de granulations. La coloration
rouge
lie-de-vin de la pseudo-membrane coïncidant avec
hute du rectum ; l'intestin formait une tumeur grosse comme le poing,
rouge
foncée, indolente. D'après le rapport du malade,
rai point ici sur ce que je dois dire plus tard sur le ramollissement
rouge
de la substance grise des circonvolutions, sur la
substance subie par les circonvolutions à la suite du ramollissement
rouge
, ou apoplexie capillaire. L'une ou l'autre face d
nt la même position. Les téguments de la face palmaire des mains sont
rouges
au niveau des sillons et sécrètent un liquide d'u
sans cause appréciable, il pousse des cris perçants; la face devient
rouge
, les mouvements d'inspiration sont accompagnés de
soit par des noyaux d'engouement, soit par des points d'hépatisation
rouge
. Cœur vide. Ventricule droit flasque, aminci et d
. Estomac. La membrane muqueuse présente çà et là différents points
rouges
où elle est amincie et ramollie. Intestins sains
C'est une portion du grand pectoral qui présente une coloration d'un
rouge
foncé avec petits foyers purulents oblongs interp
ité utérine dilatée contenait une mucosité sanguinolente. L'injection
rouge
que présente la face interne du corps de l'utérus
ffre pas d'altération manifeste dans son tissu qui est seulement d'un
rouge
plus obscur que de coutume; dans d'autres cas, le
filtrés de sérosité ; membrane muqueuse de la trachée et des bronches
rouge
, épaissie et recouverte d'un mucus épais, filant,
iron de la valvule ilio-cœcale; ganglions du mésentère tuméfiés, d'un
rouge
livide, mais non ramollis. Thorax. — Hépatisati
stance blanche. Dans l'hémisphère droit, il y avait un ramollissement
rouge
, moins étendu et moins complet. On voyait en outr
et hortensia du cerveau. ( Fig. 3. ) La fig. 3 représente la nuance
rouge
amaranthe qui conduit du ramollissement rouge lie
3 représente la nuance rouge amaranthe qui conduit du ramollissement
rouge
lie-de-vin au ramollissement lilas ou hortensia.
mptômes, conduisent des grands foyers apoplectiques au ramollissement
rouge
lie-de-vin, et du ramollissement rouge-noir au ra
pour pouvoir apprécier les nuances de coloration. Le ramollissement
rouge
occupe le plus souvent la substance grise, et plu
caractères de consistance et de couleur accoutumés. Le ramollissement
rouge
peut être limité à une ou deux circonvolutions; i
nce blanche et la substance grise et, alors, à côté du ramollissement
rouge
diversement nuancé de la substance grise, se voit
e proprement dit. A sa partie moyenne on reconnaît la région du noyau
rouge
de la calotte (NR), et, à son extrémité postérieu
acine descendante du trijumeau; CP, commissure postérieure; NR, noyau
rouge
de la calotte; QA, tubercule quadrijumeau antérie
ébelleux supérieur (Pes), et au milieu duquel on reconnaît le noyau
rouge
de Stilling (NR). Cette quatrième couche, qu'on a
elles s'enfoncent sous ces pédoncules, par conséquent sous les noyaux
rouges
de la calotte ; immédiatement après, elles se ter
t plus en arrière la région iritcrpédonculaire qu'au-dessous du noyau
rouge
de la calotte (NR). Or, en fait, le fasciculus re
, glande pinéale ; QA, QP, tubercules quadri- jumeaux ; !\'R, noyau
rouge
de Stilling;. La couclie à convexité antérieure d
que le faisceau rétroflexe est situé immédiatement en dedans du noyau
rouge
de la calotte, au lieu de courir d'avant en arriè
môme de contiguïté apparente avec les autres noyaux gris. NR. Noyau
rouge
de Stilling, noyau rouge de la calotte, olive sup
nte avec les autres noyaux gris. NR. Noyau rouge de Stilling, noyau
rouge
de la calotte, olive supérieure, nucleus ruber, g
de la région de la calotte pour montrer la situation exacte du noyau
rouge
(NR). Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur ;
roisement de la région de l'étage supérieur, où ils abordent le noyau
rouge
. Les pédoncules cérébelleux pénètrent francheme
cérébelleux pénètrent franchement d'arrière en avant dans les noyaux
rouges
, sans subir aucune déviation, sans se diviser, sa
nt simplement une certaine torsion en spirale sur leur axe : le noyau
rouge
, d'autre part, est assez régulièrement sphérique.
e sphère par un cylindre dont l'axe passe par le Situation du noyau
rouge
de la calotte dans l'étage supérieur du pédoncule
hiasma optique ; QA, tubercule quadrijumeau antérieur ; NR, noyau
rouge
de la calotte; XX, direction d'une coupe perpen
du pédoncule cérébral, et permettant toujours de sectionner le noyau
rouge
. centre de la sphère. Le noyau rouge (NR), ains
oujours de sectionner le noyau rouge. centre de la sphère. Le noyau
rouge
(NR), ainsi qu'on peut le voir sur le schéma 118,
nte une coloration rose brique qui lui a valu la désignation de noyau
rouge
, généralement usitée en France. Sur les cerveaux
ganglion ou le respecte. Mais on est toujours sûr de couper le noyau
rouge
aux environs de sa partie postérieure en faisant
cérébral (schéma 118). C'est à partir de la figure 83 que le noyau
rouge
de Stilling commence à apparaître sur les coupes
confondant, en partie avec le laqueus (Laq), à la rencontre du noyau
rouge
de la calotte dont la surface de section apparaît
upe 83 on voit les fibres les plus externes passer en dehors du noyau
rouge
: les plus internes passent en dedans]; les inf
le de l'étage supérieur du pédoncule à la partie postérieure du noyau
rouge
de la calotte (NR). PV, pont de Varole ; PP, pied
tum ; Th, thalamus; GH, ganglion de l'habénule. lopper le noyau
rouge
, elles vont directement en avant, en dedans de ce
illé externe; GI, corps genouillé interne; Pul, pulvinar; NR, noyau
rouge
de la calotte; Laq', couche superficielle du laqu
ar gauche (BP); — TEG, faisceau du tegmentum, se jetant dans le noyau
rouge
(NR). Avant d'aborder ce noyau, il émet en dehors
dedans les fibres marginales de l'aqueduc (CTE). Il ressort du noyau
rouge
sous le nom de lamina tegmenti (LTE) ; — Lm, lami
médiane et poursuivant son chemin de bas en haut, en dedans du noyau
rouge
. Schéma 122. — Projection verticale schématique
rejoindre les faisceaux plus antérieurs destinés à traverser le noyau
rouge
. CEO. Les fibres postérieures du pédoncule céré
thala-mique, se jettent donc dans le thalamus sans traverser le noyau
rouge
; elles sont entourées des fibres de la calotte, a
ane avant d'aller se jeter, en décrivant une spirale, dans les noyaux
rouges
de la calotte (NR). Pcs. Le pédoncule Cérébelle
de torsion en spirale (schéma 126). C'est ainsi qu'il aborde le noyau
rouge
(NR). 11 résulte de cette torsion que, sur quelqu
ette torsion que, sur quelques coupes verticales, en arrière du noyau
rouge
, la section du pédoncule cérébelleux supérieur pr
dis que les coupes 86 et 88 intéressent la substance grise du noyau
rouge
. Ces coupes font donc voir également que la dispo
si le pédoncule cérébelleux supérieur se jette en masse dans le noyau
rouge
de la calotte, il abandonne un assez grand nombre
du faisceau cérébello-thalamique (CEO). Th, thalamus ; NR, noyau
rouge
de la calotte ; Pcs, pédoncule cérébelleux supéri
supérieur dont les fibres se jettent en majeure partie dans le noyau
rouge
; CEO, faisceau cérébello-thalamique formé des fi
isceau longitudinal postérieur situé à sa partie interne, et le noyau
rouge
de la calotte (NR) situé à sa partie externe. Le
) emprunte une forme circulaire à la convexité postérieure du noyau
rouge
de la calotte. Ce noyau n'est qu'à peine entamé p
re correspondant au faisceau de la Projection liorizontale du noyau
rouge
(!VR) au niveau de la pénétration du pédoncule cé
e 85). Le faisceau de la calotte (TEG) enveloppe à la fois le noyau
rouge
et le pédoncule cérébelleux supérieur. calotte,
ie la plus large. Il n'en est rien. La convexité postérieure du noyau
rouge
efface, aplatit et élargit en quelque sorte le fa
tout d'un bloc, le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et le noyau
rouge
(NR). Celles qui passent, d'arrière en avant, e
ge (NR). Celles qui passent, d'arrière en avant, en dedans du noyau
rouge
, sont de beaucoup les moins nombreuses ; elles s'
uses ; elles s'entrecroi- TEG TEG Projection sagittale du noyau
rouge
de la calotte (NR). Ce ganglion est abordé en a
G) enveloppe à la fois le pédoncule cérébelleux supérieur et le noyau
rouge
. sent presque immédiatement avec le fasciculus
de la couche optique (Th, fig. 94), et entre ce ganglion et le noyau
rouge
de la calotte (NR) on reconnaît la dépression qui
(fig. 96), entre la région de l'étage supérieur occupée par le noyau
rouge
(NR) et la région du pont de Varole (PV), on reco
d'épaisseur. Th. Le thalamus (fig. 94), limité en bas par le noyau
rouge
de la calotte (NR) dont il est séparé par le fais
NeC. Noyau externe de la couche optique (fig. 91, 92). NR. Le noyau
rouge
de la calotte, enveloppé d'une couche de substanc
nt au nerf moteur oculaire commun. Au-dessous et en dehors du noyau
rouge
, la lamina tegmenti (LTE), participant à la forma
e toutes ses fibres ont subi la décussation, avant d'aborder le noyau
rouge
(NR). Il n'en reste plus ici cju'un très petit no
à la face externe du faisceau longitudinal postérieur, longe le noyau
rouge
de la calotte sans lui fournir de fibres. 11 épou
rne se confond avec les fibres de la calotte qui enveloppent le noyau
rouge
; le prolongement interne se rapproche de plus en
ection triangulaire, se prolonge en avant, à la face interne du noyau
rouge
(NR) et que nous retrouverons sur toutes les coup
t qu'on voit apparaître ici d'une façon très nette au-dessus du noyau
rouge
(NR). Sa'surface de section est transversale; i
alité, les connexions de ces deux faisceaux, juste au-dessus du noyau
rouge
, sont peut-être très étroites; mais, plus en avan
e fibres antéro-postérieures courant au-dessous et en dehors du noyau
rouge
de la calotte (NR). Il semble continuer la lamina
cq-d'Azyr. NiC. Noyau interne du thalamus (fig. 99). NB. Le noyau
rouge
de la calotte (fig. 97, 98, 100) diminue progress
es noyaux les plus antérieurs siègent au-dessus et en dedans du noyau
rouge
, au fond de la gouttière de Monro. PUT. Le puta
s du locus niger, au-dessous de la couche optique, en dehors du noyau
rouge
, en dedans et au-dessus du faisceau le plus inter
înée de substance grise avec la couche optique, ni môme avec le noyau
rouge
de la calotte. Il est toujours parfaitement isolé
pas représenté. Les coupes s'arrêtent à la partie inférieure du noyau
rouge
de la calotte (NR), au niveau de la pénétration d
pes de Coupe Iriuisversale à Lravers la ]iailic antérieure du noyau
rouge
; NR, noyau rouge de la calotte ; Th. tliahun
sversale à Lravers la ]iailic antérieure du noyau rouge ; NR, noyau
rouge
de la calotte ; Th. tliahunus ; CXO, l'aiscea
alement convexe en haut. Celui-ci est immédiatement adhérent au noyau
rouge
de la calotte; et, comme le faisceau longitudinal
le faisceau longitudinal postérieur, il s'épuise, au-dessus du noyau
rouge
, dans la région inférieure du thalamus. Profil
amus. Profil du faisceau longitudinal postérieur au niveau du noyau
rouge
. 101, coupe vei'ticale de la planclie XXVII. A
longitudinal postérieur (FLP), on reconnaît par transparence le noyau
rouge
do la calotte (NR). Au-dessous de ce noyau, RFP i
, et reprennent une coloration foncée FLP'. Th, thalamus; — NR, noyau
rouge
. Schéma 1-47. _ Mais le faisceau longitudinal p
omération de fibres qui se portent au-dessus et cri dehors du noyau
rouge
. Au-dessous de celui-ci, il envoie, en avant, en
âce à ce prolongement latéral, enveloppe donc du haut en bas le noyau
rouge
de la calotte. Ses fibres supérieures (FLP) vont
t bien distincte des faisceaux de la calotte qui enveloppent le noyau
rouge
. On voit, sur ces deux figures, qu'elle se confon
faisceau a une radiation (ou couronne rayonnante) au-dessus du noyau
rouge
, sous la couche optique (voy. pl. XXY, fig. 90).
e que par son faisceau supérieur, accolé à la partie interne du noyau
rouge
(NR) ; elle sépare, à ce niveau, les fibres direc
l (Lin), l'autre situé en dehors. TB, Foramen caecum ; Nri, noyau
rouge
de la calotte. se terminer au-dessus et en deda
gmenti (fig. 97) est toujours située, d'une part, au-dessous du noyau
rouge
(NR) et du faisceau cérébello-thalamique (CEO), e
est épuisé, un autre le remplace (NL) : le faisceau latéral du noyau
rouge
de la calotte, au-dessous duquel se glisse d'arri
que très passager, car dès l'apparition du faisceau latéral du noyau
rouge
(NL), on voit aussi s'insinuer entre la lamina te
e (NL), on voit aussi s'insinuer entre la lamina tegmenti et le noyau
rouge
un nouvel organe : le discus lenliformis (DL, fig
faisceau tegmento-thalamique (fig. 98, 99 et suiv.) recouvre le noyau
rouge
auquel il est très exactement superposé dans une
oyau interne du thalamus (NiC, fig. 99), il enveloppe en bas le noyau
rouge
, s'étale à sa partie interne (fig. 101, CAO), où
thalamique représente l'ensemble des fibres latérales issues du noyau
rouge
de la calotte. Cette dési- gnation, loin de nou
si baptisé est constitué exclusivement par des libres issues du noyau
rouge
et non pas d'une autre partie de la région de la
supérieur, a dépassé, d'arrière en avant, la partie moyenne du noyau
rouge
à la face externe duquel il était situé, on voit
, faisceau céréhello-t hala m i qu e ne pénétrant pas dans le noyau
rouge
; TEC, le tegnientum avec la lamina teg- menti\
le noyau, tandis que ce dernier faisceau a simplement côtoyé le noyau
rouge
. Les fibres latérales issues du noyau rouge sont-
implement côtoyé le noyau rouge. Les fibres latérales issues du noyau
rouge
sont-elles les mômes que renfermait le pédoncule
noyau de la calotte. Sur les coupes qui passent au devant du noyau
rouge
(fîg. 102), le tegmentum (TEC) et le faisceau rub
orizontale du faisceau riihro-thalamique (iN'L), à sa sortie du noyau
rouge
(NR). fibres parcourent un long trajet. Un cert
onculaire, comme le ganglion intcrpédonculaire faisait suite au noyau
rouge
de la calotte. Elle vient jusqu'à la surface; ell
du faisceau rubro-thalamique (NL). NL. Les fibres externes du noyau
rouge
de Stilling, que nous avons vues émerger de la ré
merger de la région de la calotte à la partie antéro-externe du noyau
rouge
, glissent obliquement au-dessus du discus lentifo
fibres du pédoncule cérébelleux supérieur ne traversant pas le noyau
rouge
(Pcs); le faisceau rubro-thalamiquc (NL); YM. v
re du thalamus; AR, faisceau d'Arnold ; NL, fibres latérales du noyau
rouge
de la calotte (faisceau rubro-thalamique) ; CEO,
entrale (SG) que par un isthme de substance grise sus-jacent au noyau
rouge
de la calotte. Les faisceaux que nous avons pas
au plus près de la face inférieure. Substance grise. NR. Le noyau
rouge
de la calotte occupe le milieu de la région protu
situé, immédiatement en dehors de la ligne médiane, en avant du noyau
rouge
(NR), reçoit un petit faisceau foncé, oblique en
iation à rayons convergents, dirigés dans leur ensemble vers le noyau
rouge
de la calotte (NR). Les fibres foncées, coupées à
rieur (fig. 1), venu du côté opposé, s'épanouit à la surface du noyau
rouge
(NR), où il pénètre en se contournant sur lui-mêm
(fig. 2), les fibres du pédoncule qui ne pénètrent pas dans le noyau
rouge
se réunissent avec celles qui ont traversé ce gan
sciculus retroflexus (fig. 1), accolé à la convexité interne du noyau
rouge
(NR) qu'il traverse parfois, marche d'arrière en
ors de l'aqueduc, se dirige en avant, vers la partie externe du noyau
rouge
(NR), où, par l'intermédiaire de la lamina tegmen
n de section, au moment où elle émerge de la face inférieure du noyau
rouge
(NR). Elle se porte vers le discus lentiformis.
du pédoncule cérébelleux supérieur; elles ne traversent pas le noyau
rouge
; elles glissent à sa partie postérieure et extern
U-DESSUS DE LA RÉGION DE LA CALOTTE Substance grise. NR. Le noyau
rouge
de la calotte n'est visible que sur la figure 4-
Il est coupé perpendiculairement à son axe; situé en dedans du noyau
rouge
, dont il n'est séparé que par le faisceau rétrofl
te de Monro; les fibres externes, visibles, juste en arrière du noyau
rouge
, représentent la couronne rayonnante du faisceau
en avant et en dedans. Sur la première coupe, il est accolé au noyau,
rouge
, dont il traverse quelquefois la convexité intern
région inférieure, où l'on reconnaît la convexité supérieure du noyau
rouge
(NR) et le ganglion de l'habénule (GH). Substan
is. NiC. Noyau interne du thalamus. NL. Fibres latérales du noyau
rouge
de la calotte, faisceau rubro-thalamique. NLe. No
tique. NpC. Noyau postérieur du thalamus. NR. Nudeus ruher, noyau
rouge
de Stilling, noyau de la calotte, ganglion du péd
u géniculé (FG).............. 61,299, 558 Faisceau latéral du noyau
rouge
de la calotte (NL)........ 517 Faisceau longitu
djoindre au lemniscus................. 245 Fibres externes du noyau
rouge
de Stilling (NL)........ 557 Fibres inférieures
ieures du forceps (FOi).............. 102 Fibres latérales du noyau
rouge
de la calotte (NL)........ 517 Fibres lenticulo
........ 225 Noyau postéro-basilaire................... 245 Noyau
rouge
(Stilling) de la calotte (NR)......... 214, 259
vec les préparations actuelles au gélatinobromure, ce sera la lumière
rouge
. Celle-ci sera obtenue facilement en interposant,
ment en interposant, devant une source lumineuse quelconque, un verre
rouge
. Le choix de ce verre est fort important, car il
ortant, car il doit arrêter tous les rayons du spectre, autres que le
rouge
. On fabrique maintenant assez bien cette sorte de
on directe qui est d'un usage très pratique pour L'essai des verres
rouges
de laboratoire ('). (') On trouve des verres ro
ssai des verres rouges de laboratoire ('). (') On trouve des verres
rouges
essayés au spectroscope et, par conséquent garant
n des côtés, celui en face duquel nous développons, porte deux verres
rouges
superposés, l'autre, un seulement. En face de ces
lité du bromure d'argent, il faut travailler à la plus faible lumière
rouge
possible; on baissera, à cet effet, la flamme de
erses radiations du spectre et que certaines couleurs, le jaune et le
rouge
, sont bien moins actiniques que le vert, le bleu
ra poser d'autant plus que les objets se rapprocheront du jaune et du
rouge
. Dans la reproduction de certaines maladies de
umière et le plus rapidement possible, en tenant compte de la couleur
rouge
antiphotogénique de cet organe. Si, dans certai
r une netteté parfaite. Le grand écueil viendra des colorations, soit
rouges
, soit jaunes, que l'on rencontre le plus fréquemm
ux plaques plus spécialement faites pour reproduire les jaunes et les
rouges
. Rien ne dit même que cet inactinisme de certai
tes. On enduit les pieds du malade d'une couleur en poudre tel que le
rouge
d'Angleterre. Ceci fait, on le fait marcher sur u
cornée et la difficulté d'éclairage: nous devrions ajouter la couleur
rouge
antiphotogénique du fond de l'œil. Grâce à l'in
; on trouve des plaques sensibles au vert et au jaune, au jaune et au
rouge
(' ). L'addition de la matière est faite dans l'é
ser passer uniquement ceux que l'on désire faire agir. Ainsi un verre
rouge
laissera passer les rayons rouges et arrêtera les
on désire faire agir. Ainsi un verre rouge laissera passer les rayons
rouges
et arrêtera les rayons violets. Le choix du ver
é donnée que notre rétine apprécie parfaitement. Ainsi le jaune et le
rouge
sont des couleurs claires, le vert et le bleu son
ressenti par nous en regardant Funiforme du soldat français, pantalon
rouge
et capote bleue, nous rendrons le bleu par une te
capote bleue, nous rendrons le bleu par une teinte plus sombre que le
rouge
. De même, un toit rouge, se détachant sur la verd
ons le bleu par une teinte plus sombre que le rouge. De même, un toit
rouge
, se détachant sur la verdure sombre des arbres, s
En Photographie, tous ces effets seront complètement renversés. Le
rouge
du pantalon, le toit en question, viendront noirs
i les renferment ou le fond sur lequel ils se détachent en rose ou en
rouge
plus ou moins intenses. L'œil perçoit l'impressio
dans une préparation est indiquée par une coloration soit jaune, soit
rouge
peu intense; tous les détails de la lésion sont p
tandis que dans le cas précédent, pour avoir également le bleu et le
rouge
, il eût fallu donner à celui-ci une pose beaucoup
dépendra d'une manière absolue de la nature du colorant employé : tel
rouge
donnera de bons résultats, tel autre ne donnera r
ons de microbes qui, colorés soit en violet, en bleu, en rose ou en
rouge
, se détachent sur fond blanc; les préparations de
acher en violet ou en bleu sur un fond plus ou moins rose, ou bien en
rouge
sur fond brun. Pour les moelles, on aura des colo
orations violettes, avec de la fuchsine pour les colorations roses et
rouges
. On procédera de même que pour le procédé de Gram
de dire. On peut encore, dans ces méthodes, obtenir les microbes en
rouge
sur fond bleu ou brun. Dans le premier cas, qui e
est assez défavorable pour la traduction photographique parce que le
rouge
viendra plus foncé que le bleu, il faudra employe
cette méthode, la myéline est colorée en jaune, les cylindres-axes en
rouge
, les cellules nerveuses en rouge brun et leur noy
orée en jaune, les cylindres-axes en rouge, les cellules nerveuses en
rouge
brun et leur noyau en rouge, le tissu conjonctif
-axes en rouge, les cellules nerveuses en rouge brun et leur noyau en
rouge
, le tissu conjonctif et la névroglie en rose, et
ge, le tissu conjonctif et la névroglie en rose, et leurs cellules en
rouge
. Dans ce procédé l'ensemble des colorations obt
Dans ce procédé l'ensemble des colorations obtenues est dans la note
rouge
ou jaune, couleurs qui, on le sait, sont antiphot
ment préparées pour la reproduction des objets colorés en jaune ou en
rouge
. L'interposition d'un verre jaune, ou d'une cuve
'assure au moyen du papier de tournesol bleu qui ne doit pas virer au
rouge
. Il n'y a plus alors qu'à faire sécher l'épreuve.
hiques (fig- 74)* La boîte est fermée par un couvercle garni de toile
rouge
de façon à empêcher la lumière d'entrer en permet
re d'une lampe ou d'un bec de gaz. On les place dans le laboratoire
rouge
sur le cliché, puis on expose 20 à 3o secondes à
c des poses courtes et des tons plus ou moins chauds presque jusqu'au
rouge
brun par des poses plus longues. Le ton obtenu va
s enlevons alors ce voile en nous servant d'un réducteur au prussiate
rouge
de potasse et à l'hyposulfite de soude. La plaque
olet et le bleu, de méthyle, le violet de gentiane, le bleu coton, le
rouge
de magenta, le nacarat, la safra-nine diméthylée,
tif au charbon de microbes. Une première coloration est faite avec le
rouge
magenta au Les microbes sont fortement colorés en
faite avec le rouge magenta au Les microbes sont fortement colorés en
rouge
foncé, le fond en rouge clair. On passe à l'eau e
nta au Les microbes sont fortement colorés en rouge foncé, le fond en
rouge
clair. On passe à l'eau et à l'alcool jusqu'à ce
lution de bleu coton faible au j^. On obtient des microbes colorés en
rouge
sur fond bleu pâle. Ces épreuves donnent en pro
es éléments, soit par le car- min ammoniacal ou le picro-carmin, le
rouge
de Magdala, l'éosine et sur- tout par le carmin
ifs, les tuniques des vaisseaux, les noyaux apparaissent colorés en
rouge
plus ou moins vif, et la charpente névroglique
e la fit. 18 (D'après W. His.). La lame fondamentale est colorée en
rouge
. -. ÀC, arrière-cerveau. - CA,.cerveau antérieu
n, à l'écorce de l'insula et à l'avant-mur est hachée et colorée en
rouge
; la partie de la paroi interne du cerveau antérie
éliale des plexus choroïdes et à l'induseum griseum, est colorée en
rouge
, sans hachures. un ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
en, à l'écorce de l'insula et à l'avant-mur, est hachée et colorée en
rouge
; la partie de la paroi interne qui donne naiss
es et à l'induseum griseum, est dépourvue de hachures et colorée en
rouge
. Ces coupes montrent les diffé- rences que prés
ours. (D'après v. Lenhossek.) Le cordon ganglionnaire est coloré en
rouge
. a) Coupo provenant de la partie du tronc situé
- médiaires, telles que le gris jaune de la couche optique, le gris
rouge
des noyaux rouges de Stilling, de la substance
es que le gris jaune de la couche optique, le gris rouge des noyaux
rouges
de Stilling, de la substance ferrugineuse du quat
point où le tube nerveux a été sectionné, se colore la première en
rouge
, puis la coloration rouge apparaît sur le cylin
a été sectionné, se colore la première en rouge, puis la coloration
rouge
apparaît sur le cylindre-axe au niveau de chaque
segments inter-annulaires ainsi que le cylindre-axe sont colorés en
rouge
, et on constate en même temps, plus nettement q
ment arriver à les différencier de ce dernier tissu par l'emploi du
rouge
d'aniline, qui ne colore pas les faisceaux conn
tent, après coloration par le carmin, sous forme d'îlots colorés en
rouge
, et chaque îlot est formé par un très grand nom
rmé par un très grand nombre de petits cercles colorés également en
rouge
. Chacun de ces petits cercles correspond à la s
courbe est coloré en bleu, la troisième circonvolution frontale en
rouge
. D, gyrus descendens d'Ecker. F,,F,F3, première
ourbe est coloré en bleu, la troisième circonvolution . frontale en
rouge
. D, circonvolution descendante. - F" F3, deuxiè
fibres nerveuses et un noyau volumineux bien circonscrit, le noyau
rouge
de Stilling (NR, fig. 193) situé de chaque côté
érieures de la calotte du pédoncule, on trouve, à la place du noyau
rouge
, le pé- doncule cérébelleux supérieur ou noyau
lling (Pcs, fig. 189). De chaque côté du raphé, en arrière du noyau
rouge
ou du pédon- cule cérébelleux supérieur, il exi
ur oculaire commun (3° paire) (NI ? fig. 193). En dehors du noyau
rouge
(NR) ou du pédoncule cérébelleux supérieur, se
antérieure ou interne est comprise entre le locus niger et le noyau
rouge
; sa partie postérieure ou externe apparaît à la s
titution de la calotte du pédoncule. Substance réticulée. Xoyau
rouge
de Stilling. Pédoncule cérébel- leux supéri
quadrijumeaux an- térieurs, le corps genouillé interne, les noyaux
rouges
, le noyau de la troisième paire, ., le tubercul
bras du tubercule quadrijumeau postérieur.- CNR, cap- sule du noyau
rouge
. - Cgi, corps genouillé interne. - Fcop, faisceau
antérieur et central; nEIV, noyau de Westphal-Edingcr. - NR, noyau
rouge
de Stilling. - P, étage inférieur ou pied du pé
ichro- mate). La pie-mère et la toile choroïdienne sont colorées en
rouge
. · bd, bandelette diagonale do Broca. C, calott
e et les plexus choroïdes du troisième ventri- cule sont colorés en
rouge
. (Dessins faits d'après la photographie d'une piè
e deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - JV/f, noyau
rouge
. - ol, scissure collatérale. - P, pied du pédoncu
ne de la corne d'Ammon (fig. 208); ils forment un cordon vasculaire
rouge
et granuleux, étendu du trou de Monro aux digit
hro- . mate.) La pie-mère et la toile choroïdienne sont colorées en
rouge
. bd, bandelette diagonale de Broca. C, calotte
romate.) Les plexus choroïdes et toile choroïdienne sont colorés en
rouge
. Alv, alvéus. - Arc, faisceau arqué. - AJl, ava
d'avant en arrière par deux traînées longitudinales de granulations
rouges
, les plexus choroïdes du troisième ventricule (
n et la substance perforée antérieure. Le noyau caudé est coloré en
rouge
, le noyau lenticulaire en bleu. NA, noyau amygd
t délimités : le corps de Luys (CL) en avant et en dehors, le noyau
rouge
(NR) en arrière et en dedans. Le corps de Luys se
gion sous-thalamiquede la capsule interne (fig. 229, 230). Le noyau
rouge
représente un petit corps sphérique, qui appartie
ui est entouré d'une couche de fibres blanches, la capsule du noyau
rouge
. Le -t corps de Luys et le noyau rouge sont sép
lanches, la capsule du noyau rouge. Le -t corps de Luys et le noyau
rouge
sont séparés de la face inférieure de la couche
tes par Forel et qui se confond en arrière avec la capsule du noyau
rouge
: c'est le champ de Forel (r) (Feld H, Forel).
ys (Nm), profondément enclavé dans la couche optique entre le noyau
rouge
, le noyau interne elle noyau externe, et caractér
laire de Forel (FI), qui appartient au système de la capsule du noyau
rouge
. Ce faisceau appartient déjà à la région sous-t
r la région sous-optique, intéresse le corps de Luys (CL), le noyau
rouge
(NR), l'anse du noyau lenticulaire (Al) et les
lenticu- laire (le dernier segment est divisé en deux). - NR, noyau
rouge
. - 0,, Os, 03, première, deuxième et troisième
: En dehors le corps de Luys (CL), en dedans et en arrière le noyau
rouge
(NR), enfin entre le noyau rouge et le pulvinar
, en dedans et en arrière le noyau rouge (NR), enfin entre le noyau
rouge
et le pulvinar (Pul), le corps genouillé interne
en arrière et en dedans il est en rapport avec la capsule du noyau
rouge
. Les radiations- de la calotte (RC) le séparent
tte (RC) le séparent du corps genouillé interne (Cgi). , Le noyau
rouge
(NR) est arrondi, occupe la partie postéro-intern
ue de Forel sont constitués sur cette coupe par la capsule du noyau
rouge
qui sur la coupe précédente reçoit le faisceau
es radiations de la calotte (RC) qui émanent de la capsule du"noyau
rouge
, enfin en avant et en dedans, par l'anse du noy
caudé. - NL,, troisième segment du noyau lenticulaire. - NR, noyau
rouge
. - Os, deuxième circonvolution occipitale. - oa,
ubercule quadrijumeau antérieur (Qa). A la partie moyenne, le noyau
rouge
(NR), le ruban de 7M médian (Rm), et près du raph
ibres entrent, en partie dans la capsule blanche qui entoure le noyau
rouge
(NR), en partie se dirigent en arrière, parallè
cuper la partie la plus antérieure de la calotte, en avant du noyau
rouge
(NR), en dedans de la sub- stance perforée post
Aq), la région moyenne ou région de la calotte conte- nant le noyau
rouge
(NR), le ruban de lcil médian (Rm) et le faisceau
ou le pied du pédoncule (P); 20 l'étage moyen ou la région du noyau
rouge
(NR), séparé du précédent par le locus niger (L
caudé. - \Z,. troisième segment du noyau lenticulaire. - VR, noyau
rouge
. - Oi, deuxième circonvolution occipitale. - oa
dalien. - NC, noyau caudé. - 'C', queue du noyau caudé. - NR, noyau
rouge
. - 0" 03, deuxième et troisième circonvolutions o
sse le corps de Luys (CL) sur la coupe n° 75 (fig. ? .f9), le noyau
rouge
(NR) le locus niger (Ln) sur les coupes nos 78
Nin, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). - A'R, noyau
rouge
. - Or, faisceau occipito-frontal. OpR, oper- cu
ace interne du pédoncule. Au-dessus et en dedans on trouve le noyau
rouge
(\R) arrondi et entouré d'une capsule de fibres b
ec la lame médullaire externe du thalamus (Lme). En dedans du noyau
rouge
on trouve sur les coupes nos 80 et 83 (fig. 251
au de Meynert (FM), qui déprime légèrement la face interne du noyau
rouge
et qui sur les coupes nos 80 et 83 (fig. 251-253)
NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamcn).- NR, noyau
rouge
. OF, faisceau occipito-frontal. - Opp" opercule p
le cérébral; les radiations de la calotte (RC) la séparent du noyau
rouge
(NR) et du locus niger (Ln). Le noyau rouge (NR)
C) la séparent du noyau rouge (NR) et du locus niger (Ln). Le noyau
rouge
(NR) a diminué égale- ment. A sa partie inféro-
fibres radiculaires de la troisième paire (III). Au-dessus du noyau
rouge
(NR), en dedans des radiations de la calotte (R
noyau interne de la couche optique. NL, nerf de Lancisi. - Nil, noyau
rouge
. - Nt, noyau du toit. - 0), première circonvolu
optique repose sur la région sous-optique, constituée parle noyau-
rouge
(NR) et le champ de Forel (F). En arrière et au-d
ué en dedans de la coupe. La région de la calotte comprend le noyau
rouge
(NR) situé iL cheval sur la région de la, calot
lotte (RC), en avant par le champ de Foret (F). En arrière du noyau
rouge
, nous trouvons la substance réticulée de la cal
qui se dirigent obliquement en haut et en avant, du cervelet au noyau
rouge
. Au-dessous du tubercule quadrijumeau postérieu
ond il peu près il la région sous- optique, en particulier au noyau
rouge
(n) et ainsi s'explique la différence de COUPES
L3, pu- tamen. - Nm, noyau médian de la couche optique. - NR, noyau
rouge
. - 0,, première circon- volution occipitale. Oc
que reposent sur la région sous-optique. Celle-ci présente le noyau
rouge
(NR) et le corps de Luys (CL). Sur une ligne obli
x gris : le pulvinar (Pul), le centre médian de Luys (Nm), le noyau
rouge
(NR) et le corps de Luys (CL). Le corps de Luys
er dans la constitution de la partie interne de la capsule du noyau
rouge
. La coupe E indique la façon dont le faisceau u
s la couche optique, la région sous-optÙ/1/1 ? (corps de LI/Ys, noyau
rouge
) et le locus nir;e'; leur existence est constan
sule interne et entrent dans la constitution de la capsule du noyau
rouge
. ' L'anse du noyau lenticulaire (Al) est renfor
re de Forel, et entrent dans la constitution de la capsule du noyau
rouge
(Voy. fig. 309 il 311 et 318). En dedans et au-
(GP) du noyau lenticulaire, le centre médian de Luys (Nm), le noyau
rouge
(NR) et les radiations de la calotte (RC). Elle
- ticale, qui se portent en bas et entrent dans la capsule du noyau
rouge
(NR). Le noyau interne (Ni), riche en fibres ra
lenticulaire (putamen1. Nm, noyau médian du thalamus. - XII, noyau
rouge
. OF, faisceau occipitn-fmntal. OpR, opercule ro
fascicules des radiations de la calotte (RC) qui émergent du noyau
rouge
(NR), puis se portent dans la partie externe de l
e (NR), puis se portent dans la partie externe de la calotte du noyau
rouge
et entrent dans la constitution du ruban de Rei
constitution du ruban de Reil médian. C'est il la capsule du noyau
rouge
que se rendent, de même, les fibres verticales du
(Ne), ainsi que celles des lames médullaires du thalamus. Le noyau
rouge
(NR) occupe la plus grande partie de la région so
ticulièrement serrés au niveau de la partie inféro-interne du noyau
rouge
, où ils font suite aux fibres dû pédoncule céré
troisième paire (III) qui embrassent la convexité inférieure du noyau
rouge
. De la partie supéro-externe du noyau rouge (NR
ité inférieure du noyau rouge. De la partie supéro-externe du noyau
rouge
(NR) se détachent les radiations de la calotte
dans le noyau externe de la couche optique Ne). En dehors, le noyau
rouge
est entouré par les fines fibres émanées du centr
dans la constitution du ruban de ]leiI1lu1dian. En dedans du noyau
rouge
, on trouve la section transversale d'un certain n
n fascicules serrés, fibres qui appartiennent à la capsule du noyau
rouge
et en particulier au faisceau longitudinal postér
(Th) repose sur la région sous-optique, en particulier sur le noyau
rouge
(NR). On voit encore sur cette coupe, les dernièr
bé sur son axe, le noyau semi-lunaire de Flechsi ! 1 (NF). Du noyau
rouge
(NR) ha1'tent un certain nombre de faisceaux vo
itué un peu en arrière de celui de cette coupe. En dehors, le noyau
rouge
est limité par des fibres section- nées perpend
- nées perpendiculairement, qui appartiennent à la capsule du noyau
rouge
et au pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs); en
Flechsig. - Ni, noyau interne du thalamus. XL3, putamen. A'R, noyau
rouge
. OF. faisceau occipito- frontal. - Coppa. parti
e et externe (Cgi, Cge), le corps de Luys (CL), la capsule du noyau
rouge
(NR(c) et les quatre segments du noyau lenticulai
e confond avec les fibres de la partie interne de la capsule du noyau
rouge
(NR). La partie postérieure du segment postérie
au corps de Luys (CL). De la partie externe de la capsule du noyau
rouge
on voit se détacher les fibres fortement ondule
bandelette optique (II), le corps genouillé externe (Cge) le noyau
rouge
(NR) et la partie moyenne du tubercule mamillai
XL3, XL;, NL,, noyau lenticulaire et ses trois segments.-NR, noyau
rouge
. - 01, faisceau occipito-frontat. RC,radiations
. Nui, noyau du moteur oculaire commun. - NZ.3, putamcn. - Nil, noyau
rouge
. - oF,, oF,, partie orbitaire des première et t
doncule du tubercule mamillaire latéral (PTrnl). En dedans du noyau
rouge
(NR) se trouve le faisceau longitudinal posté-
e et de COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 611 la capsule du noyau
rouge
; sa terminaison inférieure est encore inconnue.
plus grand développement au niveau de la partie supérieure du noyau
rouge
(NR), puis disparait progressive- ment, et la c
Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. Rc, faisceau cortical du noyau
rouge
passant par les radiations de la calotte. Rm, r
partie corticale des radiations de la calotte des- tinées au noyau
rouge
. Il dégénère il la suite de lésions de l'écorce c
et ses fibres dégénérées peuvent être suivies jusque dans le noyau
rouge
(Voy. t. II). Le ruban de Reil (Rm) forme sur c
région, aux radiations de la calotte (RC) et à la capsule du noyau
rouge
(NR) (Voy. Coupes suivantes). En dedans du ru
corps de Luys (CL), les couches supérieures de la capsule du noyau
rouge
(RC) et par l'extrémité postérieure de la bande
alotte (RC), et forment la partie supérieure de la cajisule du noyau,
rouge
. En avant des radiations de la calotte (RC) nou
ment du noyaù lenticulaire et anse du noyau lenticulaire. - NR, noyau
rouge
. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
e du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), le long du bord interne du noyau
rouge
(NR), jusqu'au voisinage du faisceau longitudin
te, apparaît un noyau plus ou moins régulièrement arrondi, le noyau
rouge
de Stilling (NR). Il est carac- térisé par son
es inférieures une direction transversale. Le bord interne du noyau
rouge
(NR) est légèrement déprimé par un faisceau de li
au rétroflexe de J/eynl1'l (FM). En arrière et en dedans du noyau
rouge
apparaît, à l'union de la substance grise centr
anse du noyau lenticulaire (Al). En ar- rière et en dehors du noyau
rouge
(NR), on aperçoit le ruban de Reil médian (Rm)
naire. 11 se confond en avant et en dedans avec la capsule du noyau
rouge
, et on y reconnaît déjà très nette- ment, au mo
e fin calibre, groupées surtout au voisinage de la capsule du noyau
rouge
, les autres fibres de gros calibre, entourées d
et en dedans, entre le faisceau de Vicq d ? l;.r/r(VA) et le noyau
rouge
(NR), et se perd dans la partie interne de la c
rte en arrière et en dehors entre le corps de Luys (CL) et le noyau
rouge
(NR), puis atteint le ruban de Reil médian (Rm) q
ral (PTml) et l'anse du noyau lenticulaire (Al) embrassent le noyau
rouge
(NR); le premier contourne sa face externe, le
mier contourne sa face externe, le second sa face interne. Le noyau
rouge
(NR) constitue la formation la plus importante de
pé par le faisceau rétro- flexc de Meynert (FM). En dehors du noyau
rouge
et du pédoncule du tubercule mamillaire latéral
de. NI,, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). NR. noyau
rouge
. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
l'insula. NA, noyau amygdalien. NC, tète du noyau caudé. NR, noyau
rouge
. ot, sillon collatéral. P, étage inférieur ou pie
our la plupart, qui forment en s'entre-croisant en avant des noyaux
rouges
(NR) une commissure décrite par Forel (e.h) et qu
interne du pied du pédoncule cérébral (P), le bord externe du noyau
rouge
(NR), et traverse le ruban de Reil médian (Rm) da
édoncule (P) de l'étage supérieur ou région de la calotte. Le noyau
rouge
(NR) a encore augmenté de volume. Le faisceau rét
suivante n° 5x (fig. 320), il la place du champ' de Forel, le noyau
rouge
de Stilling. En dedans du champ de, Forel, nous
et ? A'm, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). SB, noyau
rouge
. PTml, pédoncule du tubercule mamillaire latéra
ubercule quadrijumeau antérieur (Qa), la partie supérieure du noyau
rouge
(NR) et par la commis- sure de Meynert (CM).
avant du faisceau de la commissure postérieure , on trouve le noyau
rouge
(NR), entouré de sa capsule de fibres; il reçoit
lexe de Meynert (FM) sectionné obliquement et qui traverse le noyau
rouge
. La partie posléro-in terne de la capsule du noya
e le noyau rouge. La partie posléro-in terne de la capsule du noyau
rouge
est formée de faisceaux de fibres sectionnées p
l (Fth); de la partie centrale et antérieure de la capsule du noyau
rouge
, se détachent de gros fascicules de fibres un peu
ui constituent les radiations de la calotte (1C). Les deux noyaux
rouges
(NR) sont reliés au niveau de la substance perfor
Vicq d'Azyr (VA), et se perdent au voisinage de la capsule du noyau
rouge
. La bandelette diagonale de Broca (bd) a augmen
a partie supérieure du tubercule î2îaî ? îlllcii)-e(Tm) et du noyau
rouge
(NR) et par la partie inférieure du centre médian
e l'aqueduc de Sylvius dans le troisième ventricule (V.,). Le noyau
rouge
(NR) a augmenté de volume, et donne toujours nais
ou- jours sectionné obliquement, occupe la partie centrale du noyau
rouge
. Le corps de Luys (CL) a augmenté d'étendue; ne
s, ce dernier subdivisé en deux du noyau lenticulaire. NI ? , noyau
rouge
. or,, partie nrbitairc de la première circon- v
de la capsule interne (Cip) et la zone de 1,Veii ? icke(W). Le noyau
rouge
(NR) s'est peu modifié; en dehors et en arrière
M), qui sur la coupe précédente occupait la partie moyenne du noyau
rouge
, s'est porté en avant et en dedans et échancre le
noyau rouge, s'est porté en avant et en dedans et échancre le noyau
rouge
au voisinage de l'espace perforé postérieur (Ep
et qui limite en arrière les fibres qui forment la capsule du noyau
rouge
. La couche des fibres moyennes du tubercule qua
NLl troisième segment du noyau lenticulaire (putamcn). - NR, noyau
rouge
. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
té- rieure et entoure le corps de Luys (CL), qui le sépare du noyau
rouge
(NR) et de la capsule de ce noyau. Il touche en
XL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). .YR, noyau
rouge
. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
aux de la commissure postérieure (Fcop) forment en arrière du noyau
rouge
(NR) un petit champ assez mal délimité et compr
nstralilungen) décrites par Edinger ; elles sont destinées au noyau
rouge
et dégénèrent à la suite des lésions corticales,
dé. A'7, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). XR, noyau
rouge
. l', étage inférieur ou pied du pédoncule céréb
la partie postérieure du pied Au pédoncule cérébral (P). Le noyau
rouge
(NR) commence à diminuer de volume. Sa capsule de
(Flp), avec les fibres de la partie interne de la capsule du noyau
rouge
, puis avec les fibres radiculaires de la lzoi-
Ilg. 193 et 297). En arrière, le locus niger est séparé du noyau
rouge
et de la capsule, de ce dernier, par une zone d
3, troi- sième segment du noyau lenticulaire (putamen). - NR, noyau
rouge
. - P, étage inférieur du pédoncule cérébral. Pl
la figure 315. Cette coupe passe par la partie inférieure du noyau
rouge
(NR), les corps genouillés interne et externe (
iVL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). NR, noyau
rouge
. P, étage inférieur ou pied du pédoncule céré-
aspect semi- lunaire caractéristique, et coiffe en dehors le noyau
rouge
(NR).Dans la concavité du ruban de Reil médian
n se loge le faisceau de la commissure postérieure (Fcop). Le noyau
rouge
(NR) a diminué de volume, il est refoulé à la par
(Pcs). Ce faisceau augmente de volume et refoule en dehors le noyau
rouge
(NR), dont il occupe la place dans les régions pé
ons pédonculaires inférieures. Cette disparition graduelle du noyau
rouge
et cet aspect si particulier du pédoncule céréb
le considère à l'état frais, ont fait dire à Stilling que le noyau
rouge
des régions supérieures Au pédoncule fait place a
stérieur (Flp), le pédoncule cérébelleux supl'rieur (Pcs), le noyau
rouge
(-11) et l'extrémité interne Au locus niger (Ln),
it à angle extréme- .ment aigu, et en avant,' entre les deux noyaux
rouges
(NR), un entre-croisement de fibres transversal
Les fibres qui forment ce dernier entre-croisement naissent du noyau
rouge
et entrent après entre-croisement sur la ligne
e antérieure de cette coupe passe par la partie inférieure du noyau
rouge
(NR); la partie postérieure intéresse le sillon i
re et n'adhère plus il aucun organe de la base du cerveau. Le noyau
rouge
(NR) a diminué de volume, et sa place est occup
on des régions pédonculaires infé- rieures, et qui refoule le noyau
rouge
en avant et en dehors. Le pied du pédoncule cér
me paire. NQa, noyau du tubercule quadrijumeau antérieur. NR, noyau
rouge
. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral
édoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Ce dernier, qui nait du noyau
rouge
(NR), ainsi que nous l'avons vu sur les coupes pr
une couche interne grise également, mais présentant une coloration
rouge
jaunâtre (fig. 330). Ces deux couches grises, a
ne et externe de Baillarger et la substance blanche sont colorés en
rouge
: 1\[, couche moléculaire. pPg, couche des petite
après Cajal. Les couches de fibres trans- versales sont colorées en
rouge
. I, il, Ili, IV, V, VI, VII, VIII, les Irait co
sissement de 12 diamètres. La circonvolution godronnée est colorée en
rouge
. Ci, corne d'Ammon et ses couches. - Alv, alvéu
- NUI, noyau du nerr moteur oculaire commun. NL" putamen. NR, noyau
rouge
. - oF 11, 0F3, partie orbitaire des première et
droit passant par la partie moyenne de la couche optique, le noyau
rouge
et le pédoncule cérébral. Méthode de Weigert. A
Fleclisig. - Ni, noyau interne du thalamus. Axa, putamen. - NR, noyau
rouge
. - OF, faisceau occipito-frontal. - OpPa, parti
rieur. - RC, radiations de la calotte. Re, faisceau cortical du noyau
rouge
, passant par les radiations de la calotte.- RTI
ration de sub-stance grise décrite par Stilling sous le nom de noyaux
rouges
. Une partie des fibres des pédoncules cérébelle
édoncules cérébelleux supérieurs contourne la face externe des noyaux
rouges
et va s'amortir dans les amas de substance grise
re et supérieure du bulbe, on rencontre un noyau ovalaire, de couleur
rouge
, brun, jaunâtre, c'est ïolive bulbaire; ce noyau
de couleur rouge-brun, jaunâtre, légèrement rosée; ce sont les noyaux
rouges
de Stilling. Leur forme est régulièrement sphériq
xtrémité supérieure du locus niger et le bord antéro-externe du noyau
rouge
de Stilling. Ce noyau, que nous appellerons corpu
entées, dont le volume et l'aspect rappellent les cellules des noyaux
rouges
(Pl. IV, 17; XXVI, 12; XL1I, 16). Le corpus Luy
Ce faisceau antéro-interne pédonculaire est sous-jacent aux noyaux
rouges
de Stilling. Il occupe le plan le plus inférieur
ur entre-croisement, ainsi qu'il a été dit plus haut, dans les noyaux
rouges
de Stilling, le locus niger et le corpus Luysii.
rouges de Stilling, le locus niger et le corpus Luysii. Les noyaux
rouges
de Stilling reçoivent par leur segment postérieur
incipal que les pédoncules cérébelleux supérieurs envoient aux noyaux
rouges
. Ce fascicule contourne le segment postéro-extern
rouges. Ce fascicule contourne le segment postéro-externe des noyaux
rouges
(Pl. XXVI), aborde la face postéro-interne du cor
ercules mamillaires et les tubercules quadrijumeaux apparaît le noyau
rouge
de Stilling, en rapport avec un faisceau de fibre
vec le centre postérieur (11) et le centre médian (12). 14. — Noyau
rouge
de Stilling; il émet en avant un faisceau de fibr
6) qui émane des pédoncules cérébelleux supérieurs. En avant du noyau
rouge
existe un petit noyau ovoïde décrit par M. Luys s
fine. Ce faisceau reçoit le contingent des fibres efîérentes du noyau
rouge
de Stilling et celui du corpus Luysii. La couche
ces deux noyaux, dans un plan inférieur et externe. 11. — Le noyau
rouge
est réduit à son segment externe ; en avant est s
xterne (8, 9, 10, Pl. VI). Au-dessous est le dernier vestige du noyau
rouge
de Stilling(ll, Pl. VI) et de la substance grise
u centre médian apparaît le faisceau des fibres efférentes des noyaux
rouges
de Stiiling se dirigeant en avant, où il se confo
ît le corpus Luysii (12, Pl. XXVI) et le segment supérieur des noyaux
rouges
de Stilling, qui émettent en avant un faisceau de
he optique. 12. — Corpus Luysii ou bandelette accessoire des noyaux
rouges
de Stilling. Ce petit noyau a une forme semi-luna
se mêlent au faisceau des fibres spinales antérieures. 13. — Noyaux
rouges
de Stilling, de forme sphérique, constitués par u
mé-diane (14). 15. — Faisceau de fibres efférentes issu des noyaux
rouges
de Stilling : il cons-titue un contingent des fib
des fibres spinales antérieures. 16. — Fibres afférentes aux noyaux
rouges
. Ces fibres viennent des pédoncules cérébelleux s
pédoncules cérébelleux supérieurs; elles s'enroulent autour du noyau
rouge
, pénètrent dans sa substance grise, où elles s'am
s cérébraux; en avant est le corpus Luysii, en dedans sont les noyaux
rouges
de Stilling qui ont acquis leur entier développem
-croisent sur la ligne médiane, puis de là se portent vers les noyaux
rouges
de Stilling, sous le nom de faisceaux afférents d
t suite à son homologue du bulbe. 13. —Segment inférieur des noyaux
rouges
de Stilling. 14. — Faisceau de fibres efférente
rouges de Stilling. 14. — Faisceau de fibres efférentes des noyaux
rouges
de Stilling. 15. — Faisceau de fibres efférente
pposé à celui de leur origine, ces fibres se dirigent vers les noyaux
rouges
de Stilling, sous le nom de faisceaux afférents.
au latéral du bulbe. En dedans apparaît le dernier segment des noyaux
rouges
de Stilling (13, Pl. XXVIII); le petit groupe de
dessous et un peu en dehors du centre moyen et, plus bas, les noyaux
rouges
de Stilling. Ces noyaux présentent un hile, tourn
— Coupe verticale transverse passant par le.segment moyen des noyaux
rouges
de Stilling. 1. — Portion moyenne ou voûte du
s nerfs moteurs oculaires communs. 18. — Substance grise des noyaux
rouges
de Stilling. Les fibres afférentes pénè-trent par
oyau lenticulaire et celle du corps strié. 20. — Arrivée aux noyaux
rouges
des fibres afférentes cérébelleuses. 21. —Corpu
ian n'est représenté que par sa partie la plus antérieure. Les noyaux
rouges
sont également moins développés, les faisceaux de
pe verticale transverse passant par le segment antérieur des noyaux
rouges
de Slil/ing. 1. — Portion moyenne ou voûte du c
re médian. 14. — Portion antérieure ou segment antérieur des noyaux
rouges
de Stilling. 15. — Faisceau de fibres efférente
ling. 15. — Faisceau de fibres efférentes antéro-latéral des noyaux
rouges
se portant dans la capsule interne. En bas et en
§ 2. Protubérance. Locus niger..................... 39 § 3. Noyaux
rouges
de Stilling..................... 39 Article 3.
L. Coupe verticale transverse passant par le segment moyen des noyaux
rouges
de Slilling. 132 XLI. Encéphale dont on a détac
nt l'état de la paroi. Quand la paroi est mince, l'anévrysme est d'un
rouge
violacé plus ou moins foncé, si le sang qu'il ren
formé en granulations graisseuses et en liématoïdine, l'anévrysme est
rouge
brun, ocreux ou même noirâtre ; et, généralement,
variable, quelquefois très nombreuses, diversement colorées depuis le
rouge
vif ou violacé jusqu'au brun rougeâtre ou noirâtr
s'obscurcit, la marche devient difficile,puis impossible; la face est
rouge
, la parole embarrassée, le pouls monte à 132 puls
— Vulpian. M.., 76 ans. Morte, le 11 mai 1867, d'un ramollissement
rouge
du noyau blanc de l'hémisphère gauche, en dehors
symptômes observés pendant la vie. Autopsie : Noyaux d'hépatisation
rouge
clans les lobes inférieurs des deux poumons; symp
s dans l'épaisseur de la substance grise. En outre de ces taches d'un
rouge
noir, on voit à la surface du cerceau et dans l'é
'on est indécis à rapporter à une hérnorrhagie ou à un ramollissement
rouge
d'ancienne date. Dégénération secondaire très pro
ait a donné lieu à la Société anafomique, qu'un cas de ramollissement
rouge
. Les anévrysmes miliaires ont été vus en coïnci
étache et la surface dénudée du derme apparaît alors comme une plaque
rouge
, humide, saignante, parsemée de taches ou de marb
rcle éliminateur et parfois en outre, les parties voisines deviennent
rouges
, luisantes, tuméfiées, chaudes et présentent en u
musculaires, paraissait sous le microscope assez fortement coloré en
rouge
, et cependant, on n'y voyait voyager qu'un très-p
sous-méningées ; dans la pachyménin-gite, le ramollissement blanc ou
rouge
; enfin, lorsqu'une tumeur comprime fortement l'un
e douzième jour. T. R. 39°. Obs. IX. Page, 73 ans. — Ramollissement
rouge
dulobesphé-noïdal droit. Début le 13 Avril 1867
cinquième jour. T R. 41°, 2. Obs. X.Aubin, 80 ans. — Ramollissement
rouge
superficiel du lobe occipital droit. Thrombose du
s. A. — Ramollissement. Obs. XVII.Eméry, 75 ans. — Ramollissement
rouge
de la couche optique gauche et du pédoncule céréb
la fréquence; la peau est chaude et couverte de sueur; le visage est
rouge
, la respiration difficile. (1) » Ces derniers p
hysionomie exprime la stupeur; la face est animée, les pommettes sont
rouges
, les yeux à demi-clos ; les deux pupilles sont ég
ependant, ne présentent aucune altération ; elles sont seulement très
rouges
, tant par injection que par imbibition sanguine
la coloration des membranes, ce sont des cristaux. Ces cristaux sont
rouges
, vus par transparence; ils ont tous ou presque to
probablement confondu avec de véritables ecchymoses, certaines taches
rouges
ou de nuances diverses qu'on observe presque cons
ration, il ne reste plus que la table externe. Le tissu du diploé est
rouge
, mais n'est ni ramolli ni condensé; ses vacuoles
ntal avec le pariétal, une plaque jaune, rugueuse, tachetée de points
rouges
très fins et très serrés. Cette tache a la fargeu
rement à ce qui a lieu en général, la jointure avait été à l'origine,
rouge
et légèrement douloureuse, à la vérité, pendant q
de la compression de la moelle. Les articulations étaient tuméfiées,
rouges
et quelque peu douloureuses (2), de manière à sim
te rosée générale et, çà et là, des plaques d'injection sanguine d'un
rouge
vif ; on voit de plus ramper à sa surface, dans l
ns des membres supérieurs et inférieurs du côté droit, les synoviales
rouges
, vivement injectées, tuméfiées, villeuses ; tandi
é le siège principal des douleurs. Dans cette jointure, la synoviale,
rouge
, tuméfiée, parsemée d'ecchymoses, formait autour
sentent du côté dorsal un gonflement manifeste et une coloration d'un
rouge
violacé. La température de la main droite (3f °,
étendues ou fléchies sans provoquer de douleur. Les pommettes sont
rouges
, la langue sèche, le pouls à 100, la peau chaude.
ns remarquables : la membrane synoviale présente çà et là des plaques
rouges
, plus ou moins larges, fortement vascularisées, s
de la main sont volumineux; la peau présente là une coloration• d'un
rouge
livide, Il y a de l'œdème et l'impression produit
re spontanément. Mais d'autres fois, au contraire, les jointures sont
rouges
, tuméfiées, chaudes, douloureuses à un haut degré
blit d'abord, puis reparaît la notion du jaune, celle de l'orangé, du
rouge
, du vert et enfin du violet. En pareil cas, les c
couleurs cessent d'être perçues dans l'ordre suivant : violet, vert,
rouge
, orange, jaune et bleu. Dans un second groupe de
e, jaune et bleu. Dans un second groupe de malades c'est la notion du
rouge
qui reparaît en premier lieu : puis celle de l'or
rdre suivant : violet, vert, bleu, orangé, jaune et, en dernier lieu,
rouge
. On voit que l'ordre d'apparition et de dispariti
sées, de dehors en dedans dans l'ordre suivant : bleu, jaune, orangé,
rouge
, vert, violet (au centre). Or, chez les hystériqu
t plus une couleur différente. Chez quelques malades, la sensation du
rouge
persiste, alors que la notion du jaune et du bleu
côté anesthésié que du côté opposé. Chez certains malades, la couleur
rouge
est celle qui est ramenée la première par la méta
qué par M. Lan-dolt, c'est-à-dire de dedans en dehors : violet, vert,
rouge
, orangé, jaune, bleu. L'œil gauche étant fermé, l
gauche étant fermé, l'œil droit ne voit plus le violet, le vert ni le
rouge
; les trois couleurs centrales ont disparu, alors
à la tctc, le violet peut être vu par l'œil gauche ; Je violet et le
rouge
sont vus par l'œil droit. La couleur rouge est re
l gauche ; Je violet et le rouge sont vus par l'œil droit. La couleur
rouge
est revenue la première, le vert ensuite, puis en
dans les deux yeux, puis, après elle, le jaune et l'orangé. Les zones
rouge
et verte reviennent dans l'œil gauche, mais le vi
constant. Ainsi, le violet disparaît le premier, ensuite le vert, le
rouge
et enfin le bleu que les malades peuvent voir jus
n. C'est le bleu qu'elle voit en premier, puis le jaune, l'orange, le
rouge
; c'est ensuite le tour du vert ; le violet est p
entent une exception à la règle générale, en ce sens que la notion du
rouge
reparaît régulièrement chez elles avant celle du
nt : le violet disparaît d'abord, puis c'est le tour du vert, puis du
rouge
, puis du jaune. Le bleu persiste jusqu'au dernier
ception du violet, du veri, de l'orangé, du bleu, du jaune et même du
rouge
. Si l'on continue à observer la malade, que l'a
et, puis le vert, l'orangé, le bleu, le jaune, et en finissant par le
rouge
qui est la couleur dont les malades gardent le pl
is successivement et concentriquement viennent l'orangé, le jaune, le
rouge
, le vert, et le violet qui a la plus faible étend
qui c'est le bleu qui a le champ visuel le plus étendu, il y a les «
rouges
», c'est-à-dire ceux pour qui c'est le rouge qui p
lus étendu, il y a les « rouges», c'est-à-dire ceux pour qui c'est le
rouge
qui possède le champ visuel le plus étendu. Toute
te donc de la périphérie au centre les couleurs dans l'ordre suivant:
rouge
, jaune, bleu, orangé, vert et violet. C'est un fa
r le bleu tromperait: celle qui voit le bleu doit voir le jaune et le
rouge
, etc. De môme, lorsque la notion des couleurs e
aussi toujours reparaître dans un ordre rigoureusement déterminé. Le
rouge
doit reparaître le premier, puis, après lui, le j
sibilité cutanée. Cette jeune fille qui ne voit de l'œil droit que le
rouge
, ne reconnaît d'abord que la couleur rouge sur le
voit de l'œil droit que le rouge, ne reconnaît d'abord que la couleur
rouge
sur le disque de Newton que nous projetons sur ce
que je vous présente gagne, par l'action métallique, la perception du
rouge
de l'œil droit, elle perd, dans l'œil gauche qui
on, venant par derrière et latéralement. Il est des cas où ils sont
rouges
. A ce propos, il est intéressant de signaler, dan
ait escaladé les fenêtres de sa chambre portait un habit et un bonnet
rouge
: cette halluci-njdinrijroug£revenait toujours à
ats noir|)du côté gauche, côté de sa paralysie; celle-là voit un lion
rouge
, cette autre voit des rats à sa droite, cette der
les muscles de la face, surtout du côté gauche, les conjonctives sont
rouges
, les sourcils se contractent. La fixité du regard
ptique des auteurs ; 2° Le clignement a disparu. La conjonctive est
rouge
, les larmes coulent quelquefois sur la joue. L'an
cuit d'une pile de soixante éléments Bunsen. Il est de suite porté au
rouge
, fondu et vola-tisé. La pile de Zamboni, une de
opsie. 3° Ma... Hémianesthie gauche, avec achromatopsie, sauf pour le
rouge
. 4° Pil... Anesthésie générale, prédominant à dro
papier blanc, et on lui suggère que ce carré de papier est coloré en
rouge
ou en bleu. Au bout de quelques instants, on reti
qu'on lui a préalablement fait voir par suggestion. S'il s'est agi du
rouge
, le second carré de papier parait vert. d'être
nte rosée générale, et ça et là des plaques d'injection sanguine d'un
rouge
vif. On voit de plus ramper à sa surface, dans l'
t bien légitimement ses caractères distinctifs, nous plaçons un verre
rouge
devant les yeux de la malade. Immédiatement nous
sions sensorielles restent sans effet particulier. A travers un verre
rouge
, elle voit rouge, à travers un verre jaune, jaune
s restent sans effet particulier. A travers un verre rouge, elle voit
rouge
, à travers un verre jaune, jaune, à travers un ve
s diverses expériences. Tout d'abord l'expression de plaisir du verre
rouge
: c'est le duo d'amour ; la tristesse produite pa
n geste qui correspond bien exactement au jeu de physionomie. Verre
rouge
. — Sourire presque immédiat; expression de plaisi
la dyschromatopsie, l'anosmie, l'agustie, l'anesthésie, etc. Le verre
rouge
colorait en rouge les objets ambiants, le verre j
, l'anosmie, l'agustie, l'anesthésie, etc. Le verre rouge colorait en
rouge
les objets ambiants, le verre jaune en jaune, etc
si elle ne voyait pas quelque chose d'autre que des objets colorés en
rouge
, par exemple, elle nous regardait en souriant, pa
plus haut. Après l'avoir mise en catalepsie, nous plaçons un verre
rouge
devant ses yeux. Immédiatement sa face prend l'ex
les et interprète tout cela comme un individu normal. Placez un verre
rouge
devant ses yeux, il voit les objets teints en rou
. Placez un verre rouge devant ses yeux, il voit les objets teints en
rouge
. Le cataleptique, au contraire, bien que sa rétin
s simples produisant la gaieté, d'autres la tristesse par exemple. Le
rouge
, que nous avons vu provoquer des hallucinations g
t, tourne sa tête comme s'il fixait une personne ou un objet. Verre
rouge
. — Il se lève effrayé et cherche à s'enfuir... L'
. L'attaque survient qui clôt la scène. Deuxième expérience. —Verre
rouge
. Le placement des divers verres devant lesyeux du
e produit pas l'attaque et ne provoque aucune hallucination. Le verre
rouge
, au contraire, provoque instantanément une attaqu
ntion, remue les lèvres et semble en prières. Camphre. — Il devient
rouge
. Il fixe quelqu'un et veut se lever de son lit où
bleu, à brandebourgs oranges et jaunes. Il y avait aussi des hussards
rouges
à galons jaunes. Il tirait des coups de fusil dan
al, tire sur la bride comme pour arrêter sa monture. Il crie. Verre
rouge
. — Il fixe quelqu'un, fait le salut militaire en
it le geste de s'éventer avec sa chemise. Lo oorps était complètement
rouge
et la sueur perlait sur la peau. Compresse d'ea
e déboucher une bouteille avec un tire-bouchon (1). Puis boit. Vert
rouge
. — Il fait le mouvement d'enflammer une allumette
es uniformes des uhlans à brandebourgs orange et jaunes, des hussards
rouges
à galons jaunes, répond à l'application des verre
s rouges à galons jaunes, répond à l'application des verres orange ou
rouge
. Les mouvements qui s'exécutent au son du tambour
avec l'air de souffrir beaucoup, qu'il avait exécutés avec les verres
rouge
et orange. Ce que nous avons pris pour cueillir d
y tient une grande place. Le feu, le sang, des assassins, des hommes
rouges
qui la poursuivent, des bêtes, rats, crapauds, ar
es organes des sens et nous obtenons les résultats suivants : Verre
rouge
. — « Charles! viens à mon secours... Quoi ! tu es
tellement bien que l'on croirait presque y assister avec lui. Verre
rouge
. — Il voit un ami qui s'est coupé. Le sang ruisse
jaune la marchande d'oranges ou la femme habillée en jaune, le verre
rouge
la blessure sanglante. En un mot, ces malades s
hat, elle fut mordue par lui à la main gauche. La main gonfla, devint
rouge
et resta très douloureuse pendant trois ou (1)
travaillait pendant ces crises avec une grande activité, il devenait
rouge
, suait à grosses'gouttes. De temps en temps les y
à lire et déchiffrant comme avec peine : «C'est un grand poteau tout
rouge
! » D. « Est-ce qu'il y a quelque chose dessus? »
Durée : 7 minutes environ. Son teint est un peu animé, sa face un peu
rouge
. La pupille droite est un peu plus grande que la
ur ses yeux en abat-jour, il lit dans le lointain sur un grand poteau
rouge
: « Jeune homme ! on vous a endormi avec une épin
oncé par lui à heure fixe, d'après la pancarte placée sur le poteau
rouge
, comme précédemment. A ce propos, il est bon de
voilà un poteau. » — D. « Quelle est la couleur de ce poteau? » R. «
Rouge
. » Et épelant une inscription la tête penchée en
Guinon est venu nous voir..., il était en chemise... Tiens! un dragon
rouge
!... Non, c'est Guiard. » D. « Vois-tu !à-bas M. B
les yeux. Oh ! là, là ! Oh ! là, là ! « ..... Oh ! tous ces hommes
rouges
. Ils veulent me tuer. Ils me suivent toujours.
il est fort. Je ne peux plus respirer maintenant. (Elle devient toute
rouge
et est prise de suffocations.) Je meurs, Alexis,
tortillée, si serrée? Desserrez-la. « .... Je suis habillée tout en
rouge
. J'aime bien cette couleur là, moi. Si ça ne vous
ille. Oh! il me fait mal aux yeux ; je vais le cacher, car les hommes
rouges
pourraient me le voler..... « ..... Oh! le beau
ève sa queue, quand il marche. Oh ! qu'il est beau. Il a les pattes
rouges
et les ailes. Tiens, il saigne. Cette pauvre peti
e pauvre petite bête; il est blessé. C'est au moins encore les hommes
rouges
qui l'ont tué..... « ..... Mon petit chéri, je
manche prochain. Oui. Que tu es gentil. Je t'attends. Ah ! les hommes
rouges
qui passent. Courons, courons. Ah! ils ne m'ont p
; il est tout bossu. Il louche comme un hibou. Ah 1 comme il est
rouge
; qu'il est laid, mon Dieu, mon Dieu, que j'ai pe
je vais attraper du mal. Au secours! au secours! Tiens, les hommes
rouges
qui arrivent, et je ne peux pas me sauver, l'eau
ez des bains de mer. Ça va mieux..... « ..... Oh ! voilà les hommes
rouges
qui viennent à moi. Au secours. Ils vont me tue
n. Oh ! comme je serai belle, et avec cela je voudrais une robe toute
rouge
, des bas rouges, un chapeau rouge, tout rouge; j'
e serai belle, et avec cela je voudrais une robe toute rouge, des bas
rouges
, un chapeau rouge, tout rouge; j'aime beaucoup le
vec cela je voudrais une robe toute rouge, des bas rouges, un chapeau
rouge
, tout rouge; j'aime beaucoup le rouge, moi. «..
voudrais une robe toute rouge, des bas rouges, un chapeau rouge, tout
rouge
; j'aime beaucoup le rouge, moi. «.....Je suis a
uge, des bas rouges, un chapeau rouge, tout rouge; j'aime beaucoup le
rouge
, moi. «.....Je suis au milieu de mon jardin, tu
s pas une tête à ça..... « ..... Je vous dis que mon père n'est pas
rouge
; il n'a pas de robe rouge, non plus. Comme cel
..... Je vous dis que mon père n'est pas rouge ; il n'a pas de robe
rouge
, non plus. Comme cela fait drôle de voir tout rou
n'a pas de robe rouge, non plus. Comme cela fait drôle de voir tout
rouge
. Les arbres comme ils tournent, et, moi aussi, je
lade par les procédés dont l'énumération suit : En plaçant un verre
rouge
devant les yeux de la malade, sa physionomie revê
elconques laisse la cataleptique impassible, l'application d'un verre
rouge
sur les yeux amène sur sa face l'expression d'une
es excitations simples, on arrive à des résultats analogues. Un verre
rouge
placé devant ses yeux lui fait voir du sang : « Q
amarade imaginaire : « Tiens ! regarde-la donc avec son petit chapeau
rouge
! Encore une qui va voir le brave général, pour s
fermés. On lui ouvre les yeux et on lui présente un verre coloré en
rouge
. Au bout de quelques secondes, le malade, avec an
c'est l'Exposition du « Blanc et Noir... » On lui présente un verre
rouge
; toujours avec admiration : « La belle sanguine
'Exposition universelle de Paris en 1889). On lui présente un verre
rouge
. Le malade, avec anxiété, s'écrie : « Au feu !...
; pas besoin d'a-naphrodisiaque... » On place un étui cylindrique,
rouge
, devant les yeux du malade. Avec surprise: « Oh!
moins fixes ou moins identiques d'un moment à l'autre. Ainsi le verre
rouge
donne tantôt l'hallucination d'incendie, tantôt c
et — sereine — Laisse mon vote protesté. Inutile rameau, sa faulx
rouge
m'émonde. Les yeux secs, j'ai bien peu de regre
re de celle des ataxiques en ce que ces derniers perdent la notion du
rouge
et conservent au contraire le jaune et le bleu.
une dyschromatopsie presque complète : la malade ne voit plus que le
rouge
. Fig. 4 — Champ visuel de Marguerite Dia... dan
prend ses sens, elle se trouve « drôle », arrache vivement un tablier
rouge
qu'elle portait tous les jours et qu'elle dit ne
cot, t. ii. 16 des deux côtés pour toutes les couleurs sauf pour le
rouge
Enfin on note la présence de deux points hystérog
ouleurs. En appliquant sur un papier blanc l'hallucination d'un carré
rouge
, elle voit immédiatement, sur un autre papier bla
ent, de côté environ), d'abord blancs, puis colorés successivement en
rouge
, bleu, vert et violet. En même temps, la malade e
côtés, mais surtout à droite; le malade, de ce côtédà, ne voit que le
rouge
. L'ouïe est affaiblie des deux côtés, mais dava
pulaire. 14 mai. — W... est en attaques. — Décubitus dorsal. — Face
rouge
, dirigée à gauche; paupières closes, globes ocula
— W... distingue toutes les couleurs à droite et ne reconnaît que le
rouge
à gauche. 22 février. — Les règles ont paru cet
! » (Si on la réveille dans ce moment, elle dit qu'elle voit un lion
rouge
. (Pl. IV.) ne attaque. — a) Période épileptoïde
pilles dilatées : « Maman ! » compression : elle déclare voir un lion
rouge
. — Entre les attaques, il y a généralement un rep
ètres de l'oreille droite. Vue. — W... ne distingue à gauche que le
rouge
; à droite, elle a la notion de toutes les couleu
reuse, quand soudain elle aperçoit un lion énorme, dont les yeux d'un
rouge
de sang sont fixés sur elle. W... veut se sauver,
l'aura précipite sa marche : les objets environnants paraissent tout
rouges
, et cela des deux côtés ; — la tête est lourde ;
Symptôme de ces attaques : nausées, vision colorée (elle voit tout en
rouge
), sueur froide dans le dos, pâleur du visage : «
on attention sur un des assistants, affirme qu'il a les yeux verts et
rouges
. Elle prétend que « ce n'est pas beau ». — On rep
ite, on fixe son esprit sur Y assistant, en déclarant qu'il a un rond
rouge
autour des yeux ; enfin, on réveille P... en lui
est affreux et, après insistance, dit que c'est parce qu'il a un rond
rouge
autour des yeux, et que ceux-ci sont verts et rou
e qu'il a un rond rouge autour des yeux, et que ceux-ci sont verts et
rouges
. On réveille P... en lui soufflant au visage ;
ièce de dix centimes, la tête, 9 les lettres, etc. ; elle voit le
rouge
, le bleu, le noir et le blanc. A 11 h. 45, elle d
de la sécrétion sudorale : au niveau de l'aisselle droite, coloration
rouge
vermillon des poils ; sécrétion assez abondante q
vermillon des poils ; sécrétion assez abondante qui tache le linge en
rouge
. bilité est revenue sur tout le corps et la rac
», des mouches, des punaises, des étincelles, des lumières bleues et
rouges
, etc. A partir de minuit, insomnie. Elle a des «
aigne dans l'eau froide. — Hier, dans l'après-midi, les mains étaient
rouges
et très chaudes. M... se plaint de démangeaisons
griffes; il étendait les bras comme pour me saisir; il avait les yeux
rouges
; son corps se terminait par une grande 1 En par
che ; la tête est dans l'extension, le cou à peine raide; la face est
rouge
, chaude, sudorale. Parfois on observe de petites
ont un peu injectées ; les pupilles moyennement dilatées. La face est
rouge
, chaude, sudorale. Ail heures et demie, D... re
ux, regarde, appelle la sous-surveillante et se rendort ; la face est
rouge
, chaude, couverte de sueurs. Le pouls est régulie
bes étaient rigides. Là, on lui a fait des cautérisations avec le fer
rouge
sur la jambe gauche. Pendant son séjour, les geno
dans la tête. J'ai des bouffées de chaleur et ma figure devient toute
rouge
. Ça me travaille dur. » Elle a n des fourmillemen
tion générale est la même que dans la précédente attaque. La face est
rouge
, un peu chaude; les paupières sont closes, fréque
(84) sont assez forts et réguliers. R. 20 ; T. V. 36°, 9. La face est
rouge
, un peu violacée ; les paupières sont fermées, ta
s : soulèvement léger de la tête, rigidité plus forte des bras ; face
rouge
, battements des paupières, inspiration sifflante,
une attitude, la conservaient pendant quelques minutes. La face est
rouge
, chaude, quelquefois sudorale. Les paupières sont
plète et on voit les uns appliquer leur langue sur une barre de ter
rouge
, tandis que d'autres, inondés de sang, mâchent à
où l'on représentait une révolution : c'étaient des nègres aux ytux
rouges
, les dents bleues qui se battaient avec des armes
mêlaient des rêves pénibles, dans lesquels la malade voyait des yeux
rouges
, des dents bleues, du sang, etc. Zones hyslérog
-ciel au-dessus de sa tête... Il y a une belle lueur derrière elle...
rouge
, blanche... Je croyais qu'il n'y avait qu'un Jésu
te les troubles suivants : des deux côtés, S... distingue le vert, le
rouge
, le jaune et le blanc; le bleu lui paraît gris, l
t, le rouge, le jaune et le blanc; le bleu lui paraît gris, le violet
rouge
. Elle voit un peu mieux de l'œil droit. A certain
gnées de couleur grise ; il n'y a ni flammes, ni étincelles, ni boule
rouge
). S... sent que son cou se raidit, que ses bras t
. Nous ferons bien de rentrer... L'air est froid... Le temps est tout
rouge
... Oh! il va y avoir une tempête effroyable... Re
l'orage qui commence. (Soubresauts des épaules.) Oh ! ces poissons
rouges
... Je n'en ai jamais vu comme çà dans la mer... U
are n'éprouver aucune souffrance. Elle a, sur chaque joue, une plaque
rouge
; d'après elle, il en serait toujours ainsi chaqu
l en serait toujours ainsi chaque fois qu'on l'endort, et ces plaques
rouges
, qui s'accompagnent d'une sensation de chaleur ,
u Satan, qui apparoift là tantoft en forme d'un grand homme noir ou
rouge
, géhenne, tourmenté flamboyât comme vn feu qui fo
e. Les raies, tracées avec l'ongle sur le ventre, restent longtemps
rouges
. Les membres sont dans la résolution la plus co
d'humidité dont on ne peut les débar- rasser qu'en les chauffant au
rouge
et qu'ils reprennent, avec (1) La solution prim
d'un creuset, il est indispensable de le peser, de le chauffer au
rouge
et de constater par des pesées successives, le mo
porcelaine, taré exactement, qu'on chauffe ensuite à la moufle, au
rouge
ordinaire, puis au rouge vif, en ayant soin d'é
ent, qu'on chauffe ensuite à la moufle, au rouge ordinaire, puis au
rouge
vif, en ayant soin d'éviter les pertes par proj
après évaporation de l'acide azotique, le résidu a été chauffé au
rouge
. Le nouveau résidu obtenu en dernier lieu a été
évaporé au bain-marie le premier échantillon, puis j'ai chauffé au
rouge
le résidu dont il sera question plus loin. La cap
e à une température suffisamment élevée, . a été de même chauffé au
rouge
, puis traité par l'acide azotique. J'ai obtenu en
alade n'a pas d'autre sensation que celle du froid. Entre la région
rouge
et refroidie et la région avoisinante, chaude e
t de la vessie de glace la région, qui tout à l'heure était froide,
rouge
, insensible, a recouvré sa tem- pérature, sa co
bu; je........ n'ai........ pas bu ! '/1 Le cou et la face étaient
rouges
et brûlants ; la peau sur le reste du corps (ma
, sous l'influence de la con- gestion, prennent une couleur d'abord
rouge
vermillon, puis rouge bleuâtre ; celle-ci fait
con- gestion, prennent une couleur d'abord rouge vermillon, puis
rouge
bleuâtre ; celle-ci fait place, à son tour, à une
inutes, on fit une seconde inhalation de 10 gouttes. La face devint
rouge
, noirâtre; les plaintes et les mouvements de la
tique. A peine un accès est-il fini qu'un autre commence; lafaceest
rouge
, vultueuse, couverte de sueurs; la bouche laiss
ulaire, des deux côtés, est légèrement injectée. Les paupières sont
rouges
, les joues fraîches, le cou rigide. Il existe u
orte à gauche, en arrière, à droite. La face, d'abord pâle, devient
rouge
ou violacée. Les yeux sont dirigés en haut et à
-~~~i ' -t de ses crises ? Elle voyait des 0 Je colorés eu vert et en
rouge
. âfÛ ! J ? {"-l- - ' nitrite d'amyle. 103 q
ite en se succédant avec une certaine régularité. La face devient
rouge
, les yeux se portent à gauche, à droite, les pupi
de la face augmente ainsi que la déviation des yeux ; - le cou est
rouge
, tendu, comme gonflé et présente un pointillé e
on de 12 gouttes de nitrite d'amyle. Le face se colore vivement .en
rouge
vermillon; durant l'inhalation deux attaques av
de 20 gouttes de nitrite d'amyle. La face prend une coloration d'un
rouge
vineux; les lèvres, les gencives, la conjonctiv
ion, elle avait devant les yeux des milliers d'étincelles bleues et
rouges
. Elle se souvient qu'elle remuait les yeux et l
avant-bras,, i- ue et un peu le ventre et les cuisses sont devenus
rouges
roses On se rend bien compte de cette coloratio
d'amyle; les convulsions s'arrêtent; la face et le' cou deviennent
rouges
. - Après un répit de trois ou quatre minutes, o
on de la tète, etc.). Nouvelle inhalation (10 gouttes) : coloration
rouge
, puis bleuâtre du visage, cya- nose des lèvres,
iste pendant quelques ins- tants, puis le mélange prend une couleur
rouge
brun et, quand on. le laisse re- poser, il devi
réquent, les uri- nes sont rares et chargées ; elles sont, de plus,
rouges
et trou- bles par moments et d'autrefois blanch
peine et dans certaines positions seulement, en noir, la couleur
rouge
carmin et le bleu de Prusse (de l'échelle nO) 0 d
it. Il distinguo le bleu ; Foranger lui parait un peu rougeâtre, le
rouge
carmin est vu en noir. Toutes les autres couleu
n oplttltal1lloscopique. a) OEil gauche. La papille gauche est plus
rouge
que la droite ; de là, un peu moins de netteté
n'a pas diminué. 14 mars. La face et le cou sont parsemés de taches
rouges
, je phénomène assez commun et se montrant par a
le est obligée de s'asseoir ; sa figure prend une co- loration d'un
rouge
pourpre. Sa nourriture se compose d'un peu de l
des cris étouffés; l'infirmière ac- court et la trouve avec la face
rouge
, grimaçante, contorsion- née, la tète fortement
on. OEil droit. Elle compte les doigts à un mètre. Elle reconnaitle
rouge
; l'orange lui parait rouge; le jaune, marron;
les doigts à un mètre. Elle reconnaitle rouge ; l'orange lui parait
rouge
; le jaune, marron; le bleu, le vert et le violet
II que, certains jours, la quantité d'eau (représentée par la ligne
rouge
) est au voisinage de 0. Le plus souvent l'ex- c
Elle souffrait de douleurs lom- baires très-vives, son visage était
rouge
, ses yeux lar- moyants, elle s'agitait sur son
; une fois, un gros chat saute sur ses erenoux. Wit... voit un lion
rouge
à sa gauche \ elle a par instants comme un brouil
ou dans l'autre, ou bien se croisant. Ce sont des militaires vêtus de
rouge
avec des bandes bleues, et des « hommes de bureau
si le cortège de l'enterrement du pape, une longue suite de cardinaux
rouges
, etc. Souvent, au milieu de la nuit, on la voit
,8, la chaleur reparaissait, les doigts et les ongles devenaient très
rouges
, étaient le siège d'une transpiration abon-dante,
Depuis une heure elle a le front, les deux joues et les oreilles très
rouges
, contrastant avec le bas de la fi-gure qui est tr
contrastant avec le bas de la fi-gure qui est très pâle. Les parties
rouges
sont chaudes au toucher. Les bras sont plus raide
tes effrayants dont les yeux caves lancent du feu. Il y a des flammes
rouges
partout. Les squelettes essayent de l'attirer à e
roses. Elle s'y promène au bras du préféré. Les soldats sont vêtus de
rouge
et portent de grands pompons de cette couleur. La
illes. Tous les personnages n'ont pour vêtement qu'une large ceinture
rouge
, à l'exception d'Ernest qui porte un costume espa
plus sanglants. Elle appelle aussi « maman ». Elle voit des lions
rouges
et des lézards au bec rouge qui lui causent une f
e aussi « maman ». Elle voit des lions rouges et des lézards au bec
rouge
qui lui causent une frayeur extrême. Ler... nou
rire... Ça fait autant de bien... Si papa me demande pourquoi je suis
rouge
, je dirai que j'ai couru... J'ai été te voir hier
arquée par les mêmes hallucinations : c'est la musique des militaires
rouges
qui se fait entendre, et la malade, attentive et
la musique, elle fait signe du doigt. C'est la musique des militaires
rouges
. Soudain, elle est saisie d'une grande frayeur
de l'at-taque, ne manque jamais d'entendre la musique des militaires
rouges
et de voir des rats. Obs. Ler... 5 février 4878
oreiller. 3e Période. — Attitudes passionnelles ; — elle voit le lion
rouge
; — crainte, terreur et menace; elle lève le po
t... (Son regard suit quelque chose en l'air.) Oh ! les belles fleurs
rouges
! il y a des bêtes dedans, des mouches de toutes l
ulier qu'au moment où vont éclater les convulsions, elle voit tout en
rouge
. 26 septembre 79. —Juliette Dub... a ses attaqu
ient... Ils ne sont pas si beaux que chez nous, ils n'ont pas de tête
rouge
. » Elle les chasse du geste. « Tiens, voilà le pè
st grande ouverte, les yeux fermés convul-sivement, et tout le visage
rouge
et contracté. Les bras s'élèvent et font le mouli
on, et elle voit pendant quelques instants tous les objets colorés en
rouge
. Les attaques d'Ernestine se rapprochent de l'h
Elle voit alors de gros rats noirs avec de longues queues et des yeux
rouges
. Voici une série d'attaques prise dans tous ses d
ête dans ses couvertures, se tournant de côté et d'autre. La face est
rouge
, les yeux sont fermés, les paupières se laissent
de toutes sortes et particulièrement par des poulpes aux grands bras
rouges
qui s'attachent à ses pieds, et par des ser-pents
ent des attitudes de frayeur, le faciès devient horrible, la face est
rouge
et les yeux injectés. Enfin la malade retombe d
ors sur le col même quelques petites cautéri-sations ponctuées au fer
rouge
. Dès la première cautérisation les crises furent
les scènes qu'elle retrace. Elle voit également l'es objets teints en
rouge
. Elle demande de l'eau, on lui en apporte. Elle n
: « C'est du vin, dit-elle; je vous demande de l'eau, l'eau n'est pas
rouge
. » On lui apporte un bain de pieds sinapisé. Elle
ue et de l'ouïe. Elle entend des voix d'hommes,'ceux-ci sont vêtus de
rouge
et sem-blent grimper le long des arbres pour péné
e et mé-lancolique. Elles se plaint de ses parents et voit des hommes
rouges
qui la saisissent du côté gauche et l'emportent e
ête s'est affaissée, appuyée sur l'épaule gauche, le visage calme est
rouge
et légèrement tuméfié, les paupières sont baissée
rémités supérieures et inférieures et du corps. La face alors devient
rouge
, turgescente, les yeux sont saillants, mais on ne
ouverts, étincelans, ne distinguant aucun objet ; face gonflée, d'un
rouge
violet ; abdomen, poitrine, cou tuméfiés, pouls d
ps se succèdent; la respiration est laborieuse et bruyante, le visage
rouge
, les jugulaires gonflées, peu d'é-cume à la bouch
n est imminente; la stran-gulation fait tirer la langue : la peau est
rouge
et pâle alternativement; les convulsions et le ca
sse est le siège de vives douleurs limitées par le genou, un peu plus
rouge
et plus volumineux qu'à l'état normal. » La jam
! maman, réponds-moi. » Les bras sont projetés au loin, la figure est
rouge
, mais non convulsée, la tète non déviée, il y a i
et des membres. La respiration est gênée; le cou grossit, la face est
rouge
, les yeux sortent de leur orbite. Des cris violen
ation ? Pendant cette seconde phase de l'attaque, la face est moins
rouge
, la res-piration est toujours très lente, le poul
autour de lui. « Pendant toute la durée de l'attaque le visage est
rouge
, les pupilles modérément contractées, le pouls es
xtraordinaire delà poitrine, du col et de la figure, qui devient d'un
rouge
violet, ou reste très pâle; resserrement plus con
a poitrine, la face et le col se gonflent et deviennent pâles ou très
rouges
et livides, ce qui est le cas le plus ordinaire c
plus grande, elle est presque tonique. La tête est renversée, la face
rouge
et tuméfiée ; la langue souvent dépasse les dents
s, les pieds en l'air et appuyée contre le mur. La figure était alors
rouge
, gonflée, anxieuse. La respiration s'arrêtait un
uleurs... Notre-Seigneur a de longs cheveux bouclés, une grande barbe
rouge
; il est beau, grand, fort, tout en or. La sainte
saillants du délire hystérique, le rôle important que joue la couleur
rouge
dans les hallucinations. Je rapprocherai de ce fa
n lui affirmant qu''dle se trompe, que les uns sont bleus, les autres
rouges
ou jaunes, etc.. elle nous soutient qu'elle ne vo
utre attaque de la môme série, elle voyait le ciel! les anges, bleus,
rouges
, blancs! des boules brillantes! des étoiles!..-Un
ans son lit, les yeux fixes et grands ouverts, elle décrit une flamme
rouge
qui la brûle, qui l'entoure, ([ui lui entre dans
récédente. Sa poitrine est haletante, sa démarche saccadée, sa figure
rouge
, ses yeux hagards aux pu-pilles fixes et extrêmem
t qu'une urtication qui donne naissance à des papules énormes et d'un
rouge
intense ne procure à la ma-lade qu'une très légèr
nt convulsés en haut, la tête fortement renversée en arrière, la face
rouge
, absolument comme dans un accès d'épilepsie. Jama
clatanle; quelques minutes après, elle voit une lumière éblouis-sante
rouge
, et cette vision reparaît à plusieurs reprises av
il y avait un léger raidissement du corps et un moment de coloration
rouge
à la figure. L'observation suivante due à M. La
anoramas ; il entend des chants, de la musique, il voit des lanternes
rouges
qui se balancent suspendues aux arbres. Il marche
leurs têtes, et de l'autre de longs cierges, qui, à la lueur d'un feu
rouge
et tremblant, jetaient une lumière terne et bleuâ
ne queue fourchue, toute noire, et ter-minée par trois lanternes, une
rouge
, une verte et une blanche. Cette appa-rition se p
uel est le plus étendu : viennent ensuite le jaune, puis l'orangé, le
rouge
, le vert; enfm le violet n'est perçu que par les
onstater en effet que, chez un grand nombre de malades, c'est pour le
rouge
que le champ visuel est le plus étendu; puis vien
econnue pour l'état normal. S'il s'agit d'une malade chez laquelle le
rouge
est, dans l'état normal, la couleur dont le champ
. Puis la maladie progressant, le vert, le bleu, le jaune et enfin le
rouge
disparaîtront successivement. Au degré le plus
en fait erreur en prenant une couleur pour une autre, le vert pour le
rouge
par exemple, tandis que l'hystérique achromatopsi
uleur dont le champ offre le plus d'étendue, c'est le plus souvent le
rouge
: puis c'est le tour du jaune, du bleu, du vert,
perdue la première, puis celle du vert, du bleu, du jaune et enfin du
rouge
. De telle sorte que si l'on veut, suivant l'étend
nt l'ordre indiqué en commençant par le violet et en finissant par le
rouge
, dans l'œil primitivement affecté ; et re-paraît
L'achromatopsie n'est pas complète, la malade a conservé la notion du
rouge
. Elle distingue donc la couleur rouge des deux ye
malade a conservé la notion du rouge. Elle distingue donc la couleur
rouge
des deux yeux, mais de l'œil gauche elle ne disti
des couleurs. Nous avons dit qu'elle ne distinguait de cet œil que le
rouge
; en effet, toutes les autres couleurs qui lui so
gue plus aucune de l'œil droit, à l'exception toutefois de la couleur
rouge
, qui comme nous l'avons vu, existait dans l'œil a
m. 30 s. celle du bleu. A 9 m. 40 s. celle du jaune. La notion du
rouge
persiste. Voici la malade revenue à l'état premie
sparition du bleu. A 15 m. 25 s. disparition du jaune. La vision du
rouge
persiste. 3'' oscillation. — A 17 m. 10 s. reto
m. 20 s. disparition du bleu. A 21 m. 40 s. disparition du jaune. Le
rouge
persiste. 4' oscillation. —A 24 m. 25 s. retour
. A 27 m. 50 s. disparition du bleu. A 28 m. disparition du jaune. Le
rouge
persiste. 5*^ oscillation. — A 30 m. 45 s. reto
A 33 m. 35 s. dispa-rition du bleu. A 34 m. disparition du jaune. Le
rouge
persiste, 6° oscillation. — A 36 m. 10 s. retou
m. 20 s. disparition du bleu. A 38 m. 40 s. disparition du violet. Le
rouge
persiste. 7' oscillation.— A 40 m. 10 s. retour
. A 43 m. 50 s. disparition du bleu. A 44 m. disparition du jaune. Le
rouge
persiste. 8° oscillalion. — A 51 m. 30 s. retou
servation page 5'r2. Les couleurs sont figurées ainsi qu'il suit : le
rouge
par des lignes verticales ; le jaune par un point
ion du bleu. A 55 m. disparition du jaune. 56 m. 10 s. disparition du
rouge
. A ce moment pendant trois minutes, c'est-à-dire
ssent dans l'œil gauche. 9'= oscillation. — A 60 m. 25 s. retour du
rouge
. A 61 m. 35 s. retour du jaune. A 62 m. 20 s. ret
. A 66 m. disparition du bleu. A 66 m. 25 s. disparition du jaune. Le
rouge
persiste. 10"= oscillation. — Retour définitif
ons devant une de nos malades un dis-que composé de secteurs verts et
rouges
complémentaires. La malade est achromatopsique pa
a perdu la notion du vert, mais elle distin-gue fort bien la couleur
rouge
. Elle déclare donc que le disque est rouge et bla
n-gue fort bien la couleur rouge. Elle déclare donc que le disque est
rouge
et blanc. On fait tourner rapidement ce disque. P
ourner rapidement ce disque. Pour un œil normal les parties vertes et
rouges
se confondent en vertu du mouvement de rotation e
,devrait avoir la sensation, lors-que le disque tourne, de la couleur
rouge
mêlée de blanc, c'est-à-dire du rouge clair. Et c
le disque tourne, de la couleur rouge mêlée de blanc, c'est-à-dire du
rouge
clair. Et cependant il n'en est rien. De même qu'
anc. Les rayons verts qu'elle ne voit pas s'a-joutent donc aux rayons
rouges
qu'elle perçoit pour reconstituer la lumière blan
— Nous faisons la contre-épreuve en faisant tourner à côté du disque
rouge
et vert un disque rouge et blanc. La malade affir
e-épreuve en faisant tourner à côté du disque rouge et vert un disque
rouge
et blanc. La malade affirme que ce dernier est ro
à voir cette couleur, on ne comprendrait pas que l'addition de rayons
rouges
amenât la reconstitution du blanc. Il nous semble
gée, mais elle a néanmoins une action, puisque ajoutée à la vibration
rouge
complémentaire elle reconstitue la lumière blanch
r l'œil gauche qui n'a conservé que la vision d'une seule couleur, le
rouge
. L'œil droit distingue parfaitement toutes les co
aient manquer à cette double règle : a) une malade qui ne voit pas le
rouge
ou le bleu, suivant les cas, ne saurait distingue
qui, à l'instar des daltoniens, fait erreur sur la couleur, prend du
rouge
pour du vert, par exemple, est une hystérique qui
ouleurs. Les danseurs d'Allemagne ne pouvaient supporter la couleur
rouge
, dont l'influence, dit Hecker, sur les nerfs atta
n Allemagne les danseurs ne pouvaient supporter la» vue de la couleur
rouge
. En Italie, cette sympathie ou cette aversion p
ble. On vit même des tarentés ne point se lasser d'admirer la couleur
rouge
, d'autres s'extasiaient devant le vert. « Et de
mouvoir la tête jusqu'à terre, devant, et sur le dos, ayant le visage
rouge
comme flamme de feu. 3» Le 10 avril, Belzebud s
sorcier s'était frotté. Elle était très puante et noire tirant sur le
rouge
. On m'essuya les mains avec un linge blanc qu'on
considère l'hostie qu'il te donne, et tu verras qu'elle est écrite en
rouge
par dessous ; c'est lui, n'en doute plus, qui, pa
ces mots indéfiniment répétés : « S..... nom!: S... ch...gne! S...
rouge
! » (EUesappellent rouges ceux â la piété desquels
épétés : « S..... nom!: S... ch...gne! S... rouge! » (EUesappellent
rouges
ceux â la piété desquels elles ne croient pas); q
fin, elle s'enroua horriblement, et sa figure devint si tendue et si
rouge
, que nous nous attendions à la rupture de quelque
eignes brillants, les boutons, les pendants d'oreilles, les vêtements
rouges
et autres futilités ; bien des fois les malades p
it de cet exercice, les trois bâtonnets de gauche portent un bouton
rouge
et les trois de droite un bou- ton jaune. Les t
'aide d'un soulier à lar- ges oeillets, entourés alternativement de
rouge
et de bleu, dans lesquels l'enfant fait passer
Fig. 32. Fig. 33. .. Agrafage, enfilage, etc. xxix également
rouges
et bleus (Fig. 33), à agrafer (Fig. 34), à enfi
n tableau avec deux planchettes rectangulaires coloriées l'une en
rouge
, l'autre en jaune, puis tableaux de couleurs de
es majuscules de 0,12 en noir; b) alphabet complet avec voyelles en
rouge
et consonnes en noir ; c) lettres minuscules de
n noir ; d) alphabet complet de lettres minuscules avec voyelles en
rouges
et consonnes en noir ; e) le zéro et les neuf p
f) le même tableau avec nombres impairs en noir et nombres pairs en
rouge
. Nous pas- sons ensuite à la reconnaissance nom
lles Fig. 40. Fig. 47. XLIV DESSIN ET écriture. qu'un losange
rouge
inscrit dans un carré bleu, une fleur à pétales
autre tableau ayant trait aux couleurs, et où en face d'un carré
rouge
par exemple a été peint un coquelicot, etc. (PL
l'eau l'éosinate de sodium. Les selles sont fortement colorées en
rouge
. 27 mai. - La rougeur et le gonflement ont disp
trou- bles des fonctions digestives. selles fortement colorées en
rouge
. Urines peu abondantes, fluorescentes, sans sucre
ls à 68. Appétit conservé, pas de diarrhée, selles très colorées en
rouge
. - Urines, (quantité : 1.500 grammes) pré- sent
n'atteignant pas 15 mu, de diamètre. Sur la nuque, grandes plaques
rouges
de 7 cm. de long sur 5 de haut. A ce niveau, l'
r le côté du cou, le long du bord externe du trapèze, la peau est
rouge
et indurée, comme si un furoncle allait se former
ppareils respira- toires ou digestifs; selles fortement colorées en
rouge
. Pouls à 78. Pas d'élévation de température.
x lèvres ; le malade ne peut ouvrir l'oeil gauche. Muqueuse buccale
rouge
mais sans gonflement; pas de gêne de la dégluti
pas de cons- tipation ni de diarrhée, selles /brtement colorées en
rouge
. Urines (1 litre 1/2) vertes à la lumière réflé
nate de sodium du premier juin au 31 août. 9 juillet. - Coloration
rouge
vif de la face; léger gonfle- ment du front et
. - Eosinate du 7 juillet au 31 août. 16 juillet. - Légère teinte
rouge
des pommettes. z août, - Rougeur diffuse de la
sséminée qui ne présente, guérie, de particulier, que la coloration
rouge
sombre, la confluence à la face, clans le clos,
s d'elles un noyau d'induration. Leur coloration varie du rose au
rouge
vif foncé, parfois scarlatiniforme. Elles dispa-
colorée et très fluorescente.- Elle donne par agitation une mousse
rouge
. Analyse des U1UNES. ' 51 Urine très trouble,
ns l'aisselle et il la par- tie postérieure de l'épaule des plaques
rouges
avec quelques vésicules claires. Il crut que c'
. Le soir 64 XOXA TIIUIt : ICU-liltAC111 : 1L. toutes les parties
rouges
étaient recouvertes de vésicules ou de phlyctèn
au du troisième espace intercostal, il y a une traînée de plaques
rouges
de dimensions variables, de forme ovalairc à gran
saine. Sur les surfaces 1- il. 1. 1. Zona thoraco-brachial. 65
rouges
, il y a, répandues sans ordre, une série de vésic
a ligne mamelonnaire, elle va se con- fondre avec une énorme plaque
rouge
présentant trois grandes phlyctènes jaunâtres e
partie interne du tiers supérieur du bras, il y a une vaste surface
rouge
sur laquelle sont dissé- minées des vésicules d
il y a une série de surfaces Fig. 3. Zona thoraco-brachial. 67
rouges
avec des vésicules rassemblées autour de l'épine.
. La peau correspondant aux plaques éruptives a une coloration d'un
rouge
brunâtre. 25 janvier. - Les lésions cutanées on
s foncés. - Gr.. confond toutes les couleurs, comme le violet et le
rouge
, le jaune et le rouge, prend du noir pour du ja
nd toutes les couleurs, comme le violet et le rouge, le jaune et le
rouge
, prend du noir pour du jaune. - Nez droit, mais
Très altérée, demande conti- nuellement à boire. Langue saburrale,
rouge
sur les bords qui sont fendillés et desséchés.
Les muscles disséqués sur le membre inférieur droit sont partout
rouges
, d'aspect normal. L'articulation du genou corre
is jours. A l'âge de 4 ans, menaces de congestion cérébrale (face
rouge
, céphalalgie, convulsions internes : ses yeux se
thymus était gris ou rosé. Sept fois nous avons trouvé le thymus
rouge
, d'un rouge sombre même. Dans un cas (voir n° 44
ait gris ou rosé. Sept fois nous avons trouvé le thymus rouge, d'un
rouge
sombre même. Dans un cas (voir n° 44 du tableau
xie thymique. Il est intéressant de remarquer que tous les thymus
rouges
, injectés appartenaient à des enfants morts de
us marqué au thorax. Sur les cuisses, on note quelques papules d'un
rouge
brunâtre, isolées par des intervalles de peau s
culeuse. 173 i qu'une seule phlyctène. Les lèvres et le menton sont
rouges
; on y note une légère desquamation furfuracée;
tes. Les sutures pariéto-occipitales sont dessinées par une traînée
rouge
. Elles présentent plusieurs os wormiens de 10 à
s. Pondant cette phase tétaniforme, la face devient de plus en plus
rouge
. Période clonique. - Secousses cloniques assez
s, augmentation de volume de la main et des doigts, avec coloration
rouge
vio- lacé. Douleurs intermittentes. Un peu d'in
er. Mêmes constatations aux mains. Pendant l'examen, une coloration
rouge
franc apparaît aux membres inférieurs : cette c
us du poignet d'un bleu noirâtre : il y a seulemeut des taches d'un
rouge
brique; la limite est franchement circu- laire.
l peut se souvenir, ses mains ont toujours été colorées en été plus
rouges
, en hiver plus bleues ; dès qu'il faisait chaud,
nt devenus souvent froids et un peu bleus ; le nez devient facilement
rouge
et chaud. Céphalées fréquentes, mais pas de vom
. En général, il boit deux absinthes par jour, un demi-litre de vin
rouge
aux repas, assez sou- vent un litre à un litre
viron, la coloration des mains et des pieds change. La peau devient
rouge
, puis violette. Cette coloration ne disparaît pas
que sont bien conservées. Les mains ont une coloration qui varie du
rouge
au violet : dans presque toute l'étendue de la
inance pour telle ou telle région. Quelques places sont un peu plus
rouges
, sans qu'il soit possible d'établir des règles
iée, la lèvre supérieure a fondu et n'offre plus qu'un mince liséré
rouge
; elle nous présente une encoche mettant constamm
de rétrécissement du champ visuel, ni de dischromatopsie. La raie
rouge
vasomotrice de Vulpian est plus longue à se produ
rsontmoindres, et l'oedème se transforme assez vite. De chaud, mou,
rouge
et douloureux, il devient dur, lardacé, blanc,
tôt qu'il ne peut en être ainsi. Car la position n'est pas comme le
rouge
, le chaud, une donnée simple, absolue, élémenta
bien qu'il ait fallu un Descartes pour l'apercevoir. La sensation de
rouge
perçue par moi n'a aucun rapport imaginable ni
es ; à côté, un pot de pharmacie en faïence de Delft, capuchonné de
rouge
. Les mêmes accessoires figurent sur le tableau du
tre mar- ron. Il est assis derrière une table recouverte d'un tapis
rouge
. De la main gauche, il tient l'urinai qu'il dir
BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE. LÉSION ANCIENNE DU NOYAU
ROUGE
. DÉGÉNÉRATIONS SECONDAIRES. PAR PIERRE MARI
ns observé, au cours d'une autopsie, une lésion ancienne d'un noyau
rouge
ayant déterminé la dégénération secondaire de dif
phie DE la Salpêtrière. T. XVI. Pl. XVII LÉSION ANCIENNE DU NOYAU
ROUGE
Dégénérations secondaires. (Pierre. Marie et
, Editeurs 1'l,oratN.Pie llen1umJ, P1Js. LÉSION ANCIENNE DU NOYAU
ROUGE
81 A gauche pupille de dimension ordinaire et à
croscopiques nous avons rencontré une lésion siégeant dans le noyau
rouge
du côté droit. Il s'agit soit d'un ancien tubercu
an- che XVII), la lésion est bien localisée dans la région du noyau
rouge
. Ce- lui-ci et sa capsule ont été complètement
on a disparu,elle est donc nettement localisée à la région du noyau
rouge
du côté droit. C'est, pourrait-on dire, une vérit
re, une véritable des- truction expérimentale de la région du noyau
rouge
. Sur les coupes colorées avec la méthode de Wei
ndaires. (Pierre Marie et G. Guillrrin). LÉSION ANCIENNE DU NOYAU
ROUGE
83 Cette observation est intéressante, au point
iplégie infantile est-elle sous la dépendance de la lésion du noyau
rouge
et des voies motrices de la calotte ? Le fait est
fosse temporale gauche s'ouvre une fistulette, en- tourée de tissus
rouges
, bourgeonnants, indurés, peu mobiles sur le plan
siste qu'une petite lumière irrégulière contenant quelques globules
rouges
, entourée de tissu homogène ou légèrement fibrill
dans toutes les coupes il y a plusieurs gros infarctus de globules
rouges
. Vestiges de centres nerveux névraxiles. Malg
thoracique ont à leur face antérieure une belle teinte blanc-rosé,
rouge
vers la base. La face postérieure du poumon dro
base d'un léger exsudat fibrineux. Les deux poumons sont en arrière
rouge
violacé, apparence congestive beaucoup plus pro
ne fine émulsion granuleuse, produit de la dissolution des globules
rouges
par le formol. · Les glomérules ne sont pas ent
seaux de la périphérie. Ceux-ci sont dila- tés, remplis de globules
rouges
; ils renferment de nombreux globules blancs, m
entation et le noevus de la cuisse, notre malade présente un visage
rouge
et couperosé, une apathie physique invincible et
pileux. La couleur est d'un fond jaune laiton, plaqué de pommelles
rouge
bleuâ- tre » (2). Cette description pourrait s'
r il s'aperçut, quelque temps après, qu'il était porteur de plaques
rouges
sur le dos de la verge. C'est le seul accident
s 140. La ponction de la plèvre donne un peu de liquide (1/2 litre)
rouge
, hémorrhagique. 11. - Face cyanosée, coeur affo
des vaisseaux sont épaissies et par ci par là on voit des globules
rouges
en dia- pédèse (PI. LIV et LV, A, B, C). Dans
s de l'examen du sang, pratiqué cinq heures après le repas globules
rouges
: 4.900.000; globules blancs : 8.300. Sur 1000
: 4.900.000; globules blancs : 8.300. Sur 1000 et quelques globules
rouges
, on trouve quelques globules blancs ainsi ré- p
on violacée, et la plus faible pression y fait apparaître une tache
rouge
. La disposition tronconique de l'envahissement
peu spéciales. Par la safranine ils prennent normalement la teinte
rouge
vif, mais par le Pal et par l'encre d'anthracèn
encre d'anthracène et la safranine, certains cylindraxes deviennent
rouges
et d'autres noirs. Il en est aussi qui présente
tres. Avec la safranine, on peut mettre en évidence de rares stries
rouges
bien limitées mais relativement courtes, qui pa
tient à ce que ce réactif, colorant non seulement le cylindraxe en
rouge
mais aussi le protoplasma en rose, permet de dé
une myéline plus,épaisse ren- fermant un axe se colorant non pas en
rouge
, mais en rose par la safranine etayant l'aspect
filament axial nettement dessiné. Ce cylindraxe se colore tantôt en
rouge
par la safranine, tantôt en noir NÉVROME ADIPEU
s par le Pal paraissent, du reste, les plus parfaits,tandis que les
rouges
semblent être un état de différencia- tion inco
effet, dans certains éléments, un passage progressif entre la strie
rouge
cylindraxile et la bande protoplasmique plus cl
èrement cylindriques, se colorent en rose par le picro-carmin et en
rouge
par la safran ine. Il ne s'agit point là d'élém
rencier par places, à leur centre, un axe plus dense se colorant en
rouge
plus vif par la safranine et ayant les caractères
s et plus faciles à interpréter ; des aquarelles auraient donné des
rouges
qui ne peuvent pas ressortir par ce pro- cédé.
'amas de grains noirs, à droite de la figure, représente des globules
rouges
. Le rouge devenant noir en photographie, on ne
ns noirs, à droite de la figure, représente des globules rouges. Le
rouge
devenant noir en photographie, on ne peut, malheu
, on ne peut, malheureusement, distinguer les cylindraxes noirs des
rouges
. Le cylindraxe le plus marqué de la figure, était
de la figure, était noir dans sa plus grande étendue, mais devenait
rouge
à son extrémité supérieure au point où il se re
catatonique. L'adipose douloureuse débute souvent par un empâtement
rouge
et douloureux auquel succède la production grai
ération autogène (3 pl. en photocollogr.) par DURANTE, 322. Noyau
rouge
, lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations
collogr.) par DURANTE, 322. Noyau rouge, lésion ancienne du noyau
rouge
; dégénérations secondaires (4 pl. en photocoll
n photocoil ? 406. Guillain et P. Marie. Lésion ancienne du noyau
rouge
; dégénérations secondaires (4 pl. en photocoll
, 302. Marie Pierre et GEORGES Guillain. Lésion ancienne du noyau
rouge
; dégénérations secondaires (4 pl. en photocoll
XXIII. Névrome adipeux du médian (DunANTE), LXII à LXIV. Noyau
rouge
(Lésions anciennes, dégéné- rations secondaires
e formé par une substance claire-jaunâtre. Au centre des petits îlots
rouges
, on distingue un tout petit point plus rouge, rép
centre des petits îlots rouges, on distingue un tout petit point plus
rouge
, répondant à la veine intra-lobulaire. La color
int plus rouge, répondant à la veine intra-lobulaire. La coloration
rouge
du centre tient à l'engorgement, pour ainsi dire
ons graisseuses dans les régions cen-trales. Cette fois, la substance
rouge
occupe la périphérie du lobule (de Sinéty). La co
ient fait admettre l'existence dans le foie de deux substances, l'une
rouge
et l'autre jaune, et vous voyez que le siège de c
cellules hépatiques, chez l'animal récem-ment tué, ont une coloration
rouge
acajou quand on les trai-te par la teinture d'iod
iche que, quand une injection des artères,, faite, avec une substance
rouge
, a bien réussi, les pa-rois des canalicules bilia
i, les pa-rois des canalicules biliaires hépatiques se montrent aussi
rouges
que celles des vaisseaux artériels; — c) Le trois
(1). a) L'acide sulfurique produit sur ces paillettes une coloration
rouge
brun, pourpre, et la paillette se dissout; — b) s
ulfurique, on ajoute de l'iode, les tablettes prennent une coloration
rouge
, carmin, jaune, bleue. La cholestérine est un c
atiques du foie, elle se présente sous l'aspect : tantôt d'une poudre
rouge
amor-phe, analogue au kermès (soufre doré) ; tant
vants de la bilirubine ({). Ce sont des cristaux rhomboïdriques, d'un
rouge
rubis ou orangé et fort analogues par conséquent
olu-tion présenter successivement les colorations vert, bleu, violet,
rouge
, jaune et brun. Si on fait, au contraire, tomber
nd naissance aux dépens de la matière colorante du sang, des globules
rouges
, et, par conséquent, en vertu d'une action spécia
dehors de toute trace d'hémorrhagie, des amas cristallins ou amorphes
rouges
, semblables à l'hématoïdine, mais évidemment d'or
Toutes les substances, qui ont la propriété de dé-truire les globules
rouges
et de mettre en liberté l'hémoglobine, lorsqu'ell
on pas une production, mais au contraire une destruction des globules
rouges
. Le fait peut être constaté en comparant à ce poi
trée cliniquement par Gréhantet la diminution du nom-bre des globules
rouges
a été mise hors de doute par M. Ma-lassez dans sa
vec les acides biliaires en solution à 12 pour 100 (1), les glo-bules
rouges
de l'homme disparaissent sans laisser de traces.
ont détruits, à l'exception toutefois du noyau. A la place du globule
rouge
, on voit se former, sur la plaque de verre, un li
Les leucocytes se dissolvent plus rapidement encore que les globules
rouges
par l'action de la bile ou des acides biliai-res.
aux. Le produit s'observe alors sous l'as-pect d'une poudre jaunâtre,
rouge
brun, insoluble dans le chloroforme, mais soluble
s'est produit ni hémorragies, ni altération quel-conque des globules
rouges
(1). L'affaiblissement du cœur a été de longue
; la capsule est très adhérente ; la surface du rein est d'une teinte
rouge
avec un sablé granuleux ; les granula-tions petit
ce lamelle. C'est le rein contracté, le rein granuleux, le petit rein
rouge
, qu'on appelle encore rein goutteux ou parfois re
renchymateuse) d'une part, et de rein contracté granuleux, petit rein
rouge
, rein goutteux (néphrite interstitielle) d'autre
u poids normal. Us présentent une consistance ferme et une coloration
rouge
générale , mais lorsqu'on a en-levé la capsule, q
caractère avec les parties avoi-sinantes, dont la coloration est d'un
rouge
plus ou moins vif. Les coupes montrent que l'atro
s contournés ; ceux-ci paraissent remplacés par une zone d'une teinte
rouge
, produite par le carmin: l'examen attentif montre
fusiformes ; et avec un peu d'attention, on reconnaît dans cette zone
rouge
la lumière, singulièrement rétrécie et comparable
rs est devenu graisseux ou, au contraire, resté normal. La collerette
rouge
, qui entoure la base de chaque granulation, rei
ranulations ne s'y voient qu'à la surface; elles reposent sur un fond
rouge
vasculaire, et n'ont jamais l'apparence de petite
ontraire, le rein blanc atrophié n'est jamais aussi petit que le rein
rouge
cirrhose ; sa consistance est moins ferme ; sa su
substance corticale est pâle et jaunâtre, peu vasculaire, et non pas
rouge
comme dans le rein contracté; enfin, il n'existe
fois que ces apparences sont nom-breuses : ainsi, outre le petit rein
rouge
granuleux (néphrite interstitielle), nous avons l
épaissie, peut présenter une teinte jaune ou blanche mêlée de stries
rouges
. Mais nous avons fait remar-quer déjà que, dans l
21 onces (550 gram.). Les ganglions mésentériques étaient tuméfiés et
rouges
à la section, et il y avait aussi une rougeur et
jamais cependant l'apparence régulière des granulations du petit rein
rouge
; quelquefois il existe des kystes ; en tout cas,
n vicieuse. Les urines albuminuriques de ces animaux sont teintées en
rouge
, elles renferment généralement des globules du sa
re étonné, par conséquent, de la voir, après dissolution des globules
rouges
, passer très aisément dans les urines. Lorsque pa
t aujourd'hui. Ces urines sont colorées de diverses façons, tantôt en
rouge
vif, tantôt en rouge sombre, presque noir. Elles
ines sont colorées de diverses façons, tantôt en rouge vif, tantôt en
rouge
sombre, presque noir. Elles sont coagulables par
ment énorme. Il se produit alors une destruction de quelques globules
rouges
, lesquels abandonnent leur hémo-globine. Cette hé
cardiaques sont volumineux, durs, à la surface lisse d'une coloration
rouge
sombre, violacée. Sur les coupes, les deux substa
t les conduits biliaires interlobulaires indiqués par des points plus
rouges
. C,C, Fente ou fissure interlobulaire, indiquée
interlobulaires y sont représentés par des ronds et des tract us plus
rouges
. — Les conduits biliaires sont de beaucoup plus n
e vulgaire, 274. Fonction désassimilalrice, 93, 277. G Globules
rouges
du sang (Action dis-solvante de la bile sur les),
e. Dans plusieurs points, cette substance était altérée, ramollie, «¦
rouge
et comparable, pour l'aspect seulement, à la gelé
ème, en partie à la parotide elle-même, dont le tissu était marbré de
rouge
et de blanc: le blanc, c'était du pus visqueux. T
u muscle aryténoïdien , dont il ne reste qu'un petit nombre de fibres
rouges
entrecroisées. La figure 2' représente le laryn
ne, avait conservé son développement. Il reste encore quelques fibres
rouges
dans le muscle aryténoïdien : or, l'anatomie démo
us de ce point. Quant au rétrécissement, il présentait une coloration
rouge
de la muqueuse et un noyau d'induration. Dans l
constitué par un tissu fibreux mince, mais très résistant. Une zone
rouge
, peu régulière, entourait l'ulcère : examinée à l
dépens de la membrane muqueuse et de la membrane fibreuse; un cercle
rouge
qui entourait ces ulcérations, comme d'ailleurs l
de l'iléon, du cœcum et du colon ascendant, présentaient une couleur
rouge
foncée avec épaississement léger de la membrane m
suivant : Amaigrissement modéré , coryza, muqueuse de la bouche d'un
rouge
assez vif, sentiment de cuisson et sensibilité de
sous la pie-mère. La membrane muqueuse de la bouche a perdu la teinte
rouge
qu'elle avait pendant la vie: elle est pâle. Les
landes arythénoides sont volumineuses; la muqueuse de 1 epiglotte est
rouge
; le larynx,la trachée et l'œsophage sont à l'état
dans les follicules noirs, et mêlés à du sang dans ceux qui sont d'un
rouge
violet. La cavité de ces follicules est facile à
mesure qu'on se rapproche de la valvule iléo-cœcale, elles sont d'un
rouge
assez foncé, qui tranche fortement avec la couleu
ssu assez homogène, légèrement rosé pour les uns, marbrés de rose, de
rouge
et de violet pour les autres. Les moins rouges so
ns, marbrés de rose, de rouge et de violet pour les autres. Les moins
rouges
sont ceux qui ont le plus de consistance: ils res
anglions correspondans à la joue ulcérée sont plus volumineux et plus
rouges
que ceux du côté opposé ; ceux de l'abdomen sont
ancréas ont plus de volume que d'habitude. Le foie très gros est d'un
rouge
foncé sans autre altération. La rate, également t
ont résistans, engoués d'une sérosité spumeuse à leur sommet, et d'un
rouge
à peine perméable à l'eau. Dans leurs deux tiers
x tiers inférieurs ils sont très volumineux; les bronches sont un peu
rouges
dans leurs premières divisions; quelques-unes con
ce qui le prouve, c'est que les plaques de Peyer étaient gonflées et
rouges
, et que, parmi les follicules hypertrophiés, il y
issu assez homogène, légèrement rosé pour les uns, marbré de rose, de
rouge
et « de violet pour les autres. Les moins rouges
s, marbré de rose, de rouge et « de violet pour les autres. Les moins
rouges
sont ceux qui ont le plus de consistance : ils «
e, comme dans tous les cas d'hypertrophie, des lignes alternativement
rouges
et blanches; les stries blanches sont le résultat
— Le diaphragme est à l'état sain. 6° Dans le bassin est un utérus
rouge
, bien conformé U, ayant, comme à l'état normal, s
chute au rectum. La tumeur avait le volume du poing : elle était d'un
rouge
foncé, indolente. Au dire du malade, elle sortait
e l'aspect d'un granit à deux grains. Rate volumineuse, fragile, d'un
rouge
lie-de-vin extrêmement foncé. Le péritoine étai
meuse, au-dessous de laquelle on découvre une coloration qui varie du
rouge
simple au rouge violet foncé. Dans la fosse ili
s de laquelle on découvre une coloration qui varie du rouge simple au
rouge
violet foncé. Dans la fosse iliaque droite, on
te la tumeur est noire, la peau qui l'entoure est très tendue et d'un
rouge
luisant : la « diarrhée et les autres symptômes p
çait à s'effectuer : je crois du moins pouvoir l'inférer d'un liseret
rouge
d'injection qui se voyait à la moitié supérieure
tre, par laquelle sortait un paquet de l'intestin grêle d'une couleur
rouge
foncé. L'enfant était évidemment mort d'étranglem
frottement était très douloureux. La surface de la tumeur était d'un
rouge
vif, indolente, recouverte de mucus, et présentai
de ce boudin, existait une autre tumeur du volume du poing, à surface
rouge
, comme lobuleuse, à la base de laquelle était l'o
l et ceux qui longent l'intestin grêle très volumineux, d'une couleur
rouge
lie-de-vin, ramollis et pénétrés d'un pus de même
seudo-membraneuse de la muqueuse intestinale. Cette membrane est d'un
rouge
foncé, et la rougeur tient moins encore à l'injec
able à celle qui a lieu dans la péritonite, c'est-à-dire du pointillé
rouge
disposé linéairement aux limites des points de co
quart de l'épaisseur totale. Surface interne. Plaques de pointillé
rouge
foncé extrêmement rapprochées, comme dans les phl
anche v. M. Cambay a noté en outre que la muqueuse de l'estomac était
rouge
dans quelques points; et que les intestins grêles
dans quelques points; et que les intestins grêles étaient colorés en
rouge
foncé dans toute leur longueur. Troisième orser
a première période; pour toute altération, je trouvais une coloration
rouge
lie-de-vin, dans une étendue plus ou moins consid
e bourrelet tel qu'il se présentait à la région anale : il était d'un
rouge
violet et couvert de fausses membranes : au centr
es lobes inférieurs des deux poumons. La sérosité découle spumeuse et
rouge
des incisions qu'on pratique dans la substance du
lots disparaissent dans les petites divisions. Je distingue l'œdème
rouge
ou séro-sanguinolent de l'œdème séreux proprement
s. Je ne doute pas que les foyers sanguins, ou plutôt les indurations
rouges
représentées sur cette coupe, ne doivent être con
iques du foie et du poumon, qui débutent toujours par des indurations
rouges
assez semblables à l'apoplexie capillaire, c'est-
s les foyers ne sont pas contemporains ; qu'on trouve des indurations
rouges
, des indurations avec commencement de suppuration
le rapport de la couleur, il y en avait de blanches, il y en avait de
rouges
lie-de-vin; ces dernières étaient de consistance
n granitique fort remarquable, des points blancs entremêlés de points
rouges
. Le sommet du poumon gauche offrait de petites
sal eux-mêmes. On voyait, dans l'épaisseur de ces muscles, des lignes
rouges
alternant avec des traînées de pus, occupant le t
infiltré et combiné; dans d'autres,le tissu du poumon était marbré de
rouge
et de blanc. Un des foyers les plus considérables
troncs principaux et présentent du pus à leur centre;elles sont d'un
rouge
foncé dans les divisions secondaires. Ce qu'il y
vaste excavation, dont les bords sont renversés, coupés à pic et très
rouges
. L'eschare tombe, l'ulcère se déterge, excepté da
esque toujours anfractueuses, à parois très denses, à surface interne
rouge
, qui offre quelque analogie avec le tissu muqueux
supérieur F P pour montrer sa surface interne qui présente des points
rouges
proéminens. Le foyer F'P' n'a pas été vidé du p
ouvé la membrane interne des veines injectée. Si quelquefois elle est
rouge
, c'est par teinture comme la membrane interne des
aque tubercule était environné d'une couche mince de tissu musculaire
rouge
et fragile. L'articulation fémoro-tibiale était
le. L'articulation fémoro-tibiale était pleine de pus; la synoviale
rouge
et épaissie, les cartilages avaient été corrodés
ifice du canal de Sténon. Poitrine. Poumon droit sain; hépatisation
rouge
d'une partie du lobe inférieur du poumon gauche.
x déchirures, j'ai été frappé de la couleur blanc-jaunâtre maculée de
rouge
du tissu du cœur, qui m'a paru en outre extrêmeme
e en même temps que cette fragilité: le tissu du cœur est quelquefois
rouge
obscur, d'autres fois gris blanchâtre, comme si u
de sang suffisante; une cyanose directe, par suite du mélange du sang
rouge
et du sang noir, lorsque persiste le trou de Bota
meuse découle des incisions faites au tissu pulmonaire ou incolore ou
rouge
, suivant que l'œdème est ou n'est pas accompagné
embre i834, survient un mouvement fébrile; la langue devient sèche et
rouge
; sueurs nocturnes, dépérissement, la respiration
upérieur gauche. — Induration de la moelle. — Mort par ramollissement
rouge
amarante des circonvolutions cérébrales. Hamel
é tactile. Des eschares se forment. Le 25 décembre, la face devient
rouge
, l'intelligence plus obtuse: la malade reste immo
lus obtuse: la malade reste immobile. Sa face devient par momens très
rouge
. Elle s'éteint le 3 janvier. Ouverture du cadav
anciens dans l'épaisseur de la substance médullaire. Ramollissement
rouge
amarante de plusieurs circonvolutions cérébrales
nt blanc permanent sans douleur, et de temps en temps quelques pertes
rouges
. La malade souffre peu, dépérissement sans colora
s muscles ont conservé quelques faisceaux musculaires dont la couleur
rouge
contraste avec l'aspect graisseux du reste de ces
les. Tels sont le muscle fessier qui présente quatre petits faisceaux
rouges
, et le muscle soléaire qui en présente deux. Le
ordinaire. La dure-mère présente à sa face interne de petits points
rouges
, des plaques rouges que constituent des vaisseaux
-mère présente à sa face interne de petits points rouges, des plaques
rouges
que constituent des vaisseaux veineux pointillés.
donc à-la-fois, chez ce sujet, apoplexie capillaire ou ramollissement
rouge
des auteurs et ramollissement blanc. La coïnciden
rie de remarquer qu'il n'est nullement démontré que le ramollissement
rouge
devienne plus tard ramollissement blanc ; que, da
céreuses formées au sein du tissu cellulaire sous-arachnoïdien, était
rouge
, comme granuleuse. Dans d'autres cas, les tumeu
bles conduisent également de l'apoplexie capillaire ou ramollissement
rouge
au ramollissement blanc; 5° que le ramollissement
amollissement rouge au ramollissement blanc; 5° que le ramollissement
rouge
et le ramollissement blanc ne sont pas deux pério
des de la même lésion, correspondantes aux deux périodes d'induration
rouge
et d'induration grise de la pneumonie, mais deux
inaison du pus avec la substance cérébrale ; 6° que le ramollissement
rouge
et le ramollissement blanc appartiennent au même
res de coloration; 70 que, sous le rapport du siège,le ramollissement
rouge
et le ramollissement blanc ou sans couleur affect
triculaire ; 8° que, sous le rapport du diagnostic, le ramollissement
rouge
et le ramollissement blanc ne peuvent pas, dans l
anquent souvent; ii° que le ramollissement blanc et le ramollissement
rouge
ne sont pas marqués au sceau de l'incurabilité; q
dans l'altération primitive; i3° que les cicatrices du ramollissement
rouge
ou apoplexie capillaire sont diversement nuancées
nces de coloration des cicatrices révèlent les nuances de coloration»
rouge
du ramollissement. La cicatrice peau de chamois c
couleur peau de chamois foncé, jaune, orangé, appartient aux nuances
rouge
amaranthe, lie-de-vin plus ou moins foncé. Voic
rconvolution, et étendu à la substance blanche subjacente. Des points
rouges
d'apoplexie capillaire se voient çà et là dans la
e voit une apoplexie capillaire A C, A C, caractérisée par des points
rouges
, disséminés au milieu de la substance grise, et m
ubstance grise, et même au milieu de îa substance blanche: ces points
rouges
sont quelquefois linéairement disposés. La substa
aisseur de la substance grise. Mais indépendamment de ces taches d'un
rouge
noir, on voyait à la surface du cerveau et dans l
out cherché à démontrer l'affinité qui existe entre le ramollissement
rouge
ou apoplexie capillaire et les foyers apoplectiqu
c n'était pas la période avancée d'une lésion, dout le ramollissement
rouge
serait la première période, mais que le ramolliss
plaques montre : ici de petits foyers sanguins, là un ramollissement
rouge
, qui résulte d'une sorte d'attrition de la substa
ses membranes, le cerveau présente tous les degrés du ramollissement
rouge
ou apoplexie capillaire. Ce ramollissement occupe
s. Le ramollissement offre diverses nuances d'intensité. Ici c'est un
rouge
hortensia, là un rouge amaranthe clair ou foncé.
fre diverses nuances d'intensité. Ici c'est un rouge hortensia, là un
rouge
amaranthe clair ou foncé. Quelquefois le même ram
ier degré d'une inflammation du cerveau et l'analogue de l'induration
rouge
dans la pneumonie; que l'apoplexie capillaire n'e
te figure C représente un de ces calculs vu à la loupe. Ils sont d'un
rouge
brun, couleur d'ambre, transparens, semblables à
nouveau la masse cancéreuse et on cautérisa profondément avec le fer
rouge
: mais cette opération n'eut pas des suites plus
ec un emporte-pièce ; la peau qui revêtait la tumeur était d'ailleurs
rouge
, extrêmement amincie, demi transparente dans les
'était par son kyste que la tumeur adhérait à la peau dans les points
rouges
et proéminens, c'est-à-dire dans les points les p
sses agglomérées très dures. A la place du mamelon, tumeur cancéreuse
rouge
, moins dense que les parties voisines. Des deux c
tat suivant : à la place de la mamelle droite, surface ulcéreuse très
rouge
, limitée par un rebord saillant, très inégalement
à la main droite. Pendant toute la durée de l'attaque, la face était
rouge
, la peau couverte de sueur, le pouls plein, vibra
ette production contrastaient d'ailleurs avec la mollesse, la couleur
rouge
et l'apparence musculaire du tissu ambiant. L'o
urs complètement effacé. A travers cet orifice, proéminait une tumeur
rouge
, molle, fluctuante. Cet utérus avait appartenu à
êmement déliées, réticulées : elles présentaient en outre des plaques
rouges
qui n'étaient autre chose que des groupes de rése
sont encore attachés des débris gangreneux, est molle, d'une couleur
rouge
foncée, sans aucune dégénération. Des adhérence
ions pelviens : souvent même, ces derniers ganglions sont volumineux,
rouges
, sans présenter aucune trace d'altération cancére
s et à l'hypogastre. Le col utérin était dilaté; le museau de tanche,
rouge
, granuleux, mou, inégal; l'exploration par le rec
Cette végétation parfaitement circonscrite, mais non pédiculée, était
rouge
, divisée en lobules inégaux, assez dense, mais fr
tubeiculesdu cerveau? 25e liv., pl. 11, p. 4- — Cas de ramollissement
rouge
amarante des circonvolutions cérébrales. 32e liv.
es à-la-fois. 32e liv., pl. v, p. 6. — Cicatrices des ramol-lissemens
rouge
et blanc du cerveau. 33e liv., pl. 11, p. 2. — Pl
bre supérieur gauche. Induration delà moelle. Mort par ramollissement
rouge
amarante des circonvolutions du cerveau. 32e liv.
umons, chez un enfant mort trois heures après la naissance; pointillé
rouge
et lignes rouges à la surface interne de l'estoma
nfant mort trois heures après la naissance; pointillé rouge et lignes
rouges
à la surface interne de l'estomac. 15e liv., pl.
mons, chez un enfant mort trois heures après la naissance : pointillé
rouge
, et lignes rouges à la surface interne de l'esto
nt mort trois heures après la naissance : pointillé rouge , et lignes
rouges
à la surface interne de l'estomac. 15e liv., pl.
rganiques du cerveau. 23e liv., pl. vi, p. 3. — Cas de ramollissement
rouge
amarante du cerveau. 32e liv, pl. 1, 11, p. i5. —
., pl. 1, 11, p. 16. — Considérations générales sur le ramollissement
rouge
et le ramollissement blanc du cerveau. 33e liv.,
3e liv., pl. 11, p. 1. — Caractères des cicatrices des ramollissemens
rouge
et blanc. 33e liv., pl. 11, p. 2.— Plusieurs cica
net jusqu'à l'épaule, était considérablement tuméfié; la peau était «
rouge
, comme bronzée. » Au bout de trois jours, le gonf
s. Cataplasmes laudanisés, toniques. Soir. Langue large, légèrement
rouge
, avec enduitblanchâtre; sé-cheressede la bouche;
abondantes, diarrhéiques, fétides. Pouls très-petit, à 132. Pommettes
rouges
, chaudes. Les traits sont un peu tirés ; les yeux
ctérique. La face, la peau, en général, sont jaunâtres. Langue sèche,
rouge
au centre, saburrale sur les bords; nausées ; ven
ridé, se détache en larges lambeaux. La peau est molle, flasque, d'un
rouge
vineux ; à la coupe, elle est comme graisseuse. L
rojectile. — La plaie est assez nettement circulaire ; les bords sont
rouges
et légèrement indurés. Bien que la compression ai
ticulation, au-dessous et en de-dans de la rotule, les téguments sont
rouges
et tendus ; on sent de la fluctuation. Deux large
istension qui rend les veines sous-cutanées plus apparentes, n'est ni
rouge
, ni chaude ; elle est plutôt pâle, quelquefois lu
ngsues. Le lendemain, la malade se lève, mais le genou, quoique moins
rouge
, est encore douloureux et le gonflement s'est éte
tandis que d autres étaient de très-petites papules ; leur coloration
rouge
sombre avait la physio-nomie qui caractérise ce g
n éruption avait complètement changé d'aspect; abandonnant la couleur
rouge
brun, elle avait pris une teinte brunâtre analogu
sième jour, eschare au sacrum — IVndanl dix jours les mains restèrent
rouges
, douloureusi s, roides et. gonflées. Le 8 avril,
pourtour, elle est limitée par un très-léger sillon et un liséré d'un
rouge
un peu plus foncé que sur le reste de la con-jonc
nie sous l'influence de la maladie, reprend sa coloration primitive
rouge
, puis suppure dans un cer-tain nombre de cas. L
ofondes, du volume d'un sein de femme pubère. Peau adhérente partout,
rouge
et très-amincie vers l'aréole. Mamelon perdu au m
x. La surface de la coupe est d'un gris rosé et huileux ; des tramées
rouges
indiquent la présence des vaisseaux. Vers son cen
(contusion suivie d'ulcération). Les autres parties de la vulve sont
rouges
et un peu tuméfiées. — Les seins sont très-gonflé
mobilité fort remarquable dans certains cas. La langue reste tantôt
rouge
, pointue, petite, plus souvent se sèche, s'encroû
s laquelle le microscope fit découvrir de nombreux globules san-guins
rouges
. Le lendemain soir, il survint un ictère. 27 fé
e légère augmentation du volume de l'organe, dont le tissu est plus
rouge
et plus résistant. Dans le second, l'ovaire est d
par grandes squa-mes; au-dessous d'elles, la peau présente une teinte
rouge
rosé vif, ressemblant fort à la rougeur de la sca
la-ques ; elles se détachent facilement, laissant à découvert la peau
rouge
rosé, mais d'une coloration moins foncée qu'aux m
as à tom-ber, sans se reformer. Mais la peau garde toujours un aspect
rouge
; cette coloration diminue à son tour, mais elle
ions diverses (sclérose dif-fuse, sclérose en plaques, ramollissement
rouge
, désagrégation gra-nuleuse), qui, après avoir occ
'avec l'état puerpéral. — Soir : La lèvre inférieure est volumineuse,
rouge
et douloureuse. P. 104; T. V. 40°. 22 avril. —
e qu'hier; par contre, la droite est devenue plus douloureuse et plus
rouge
. Les seins sont mous et fournissent une sécrétion
96; T. V. 58°,5. —Soir: P. 108; T. V. 40°,8. La lèvre supérieure est
rouge
, luisante, gonflée et douloureuse. Depuis le débu
quelques jours. Son faciès est typhique, sa figure stupide, sa langue
rouge
, pointue, ou sèche, dure, ses dents fuligineuses
propriétés chimiques pendant deux ou trois heures. II.—Les globules
rouges
saturés d'oxygène sont le principe revivi-fiant d
ourde, dense, plus cassante qu'à l'état nor-mal ; sa couleur est d'un
rouge
pâle ; la coupe en est très-homo-gène, lisse, sèc
tit pois, tranchant par leur aspect vitreux, translucide, sur le fond
rouge
du parenchyme demeuré intact. Ces petits grains r
est brune ou ocreuse ; par exception seulement elle parait d'un jaune
rouge
. Ces teintes représentent les divers stades par l
ur le ventre ; vessie distendue : la sonde en évacue un litre d'urine
rouge
, dont le poids spécifique est 1022, sans albumine
is on voit aussi des foyers de ramollissement sous l'aspect de taches
rouges
, se distinguant facilement de la substance enviro
meux; aux deux faces de l'épiglotte existent des ecchymoses étendues,
rouge
clair, et de nombreuses extravasations foncées à
a trachée. Le foie paraît tout à fait normal ; la rate peu gonflée,
rouge
bleuâtre, pâle, molle, sans infarctus. — Les deux
se distinguant par sa couleur blanc jaunâtre du parenchyme rénal brun
rouge
. Le canal intestinal présente quelques follicul
peut être comparée à celle d'une tête de fœtus à terme; sa coloration
rouge
doit être attribuée à la présence des cataplasmes
. Au premier degré', le tissu de la rate enflammé est d'une couleur
rouge
brune très-foncée; il est plus dense qu'à l'état
plement une cicatrice ayant 2 à 5 millimètres de large, encore un peu
rouge
. La peau, à son ni-veau, glisse assez facilement.
— d'après M. Ménière). 8 octobre. Le malade présente une coloration
rouge
, érythéma-teuse des pieds et des jambes, qui, à l
et à laquelle il a succombé le 10 septembre. Autopsie. Hépatisation
rouge
et grise des trois lobes du poumon droit. Un peu
ceur Laure. Et celle-ci voit comme elle. Voici les enfants de chœur
rouges
aux aubes blanches; ils balancent devant la vierg
admettre que la substance bleu-jaune de Hering est identique avec le
rouge
rétinien. En effet, le rouge rétinien est celte s
eu-jaune de Hering est identique avec le rouge rétinien. En effet, le
rouge
rétinien est celte substance dont la décompositio
que nous avançons sont les suivantes : 1° Le cercle d'expansion du
rouge
rétinien est égal à celte zone de la rétine à l'i
es sensations du jaune et du bleu ; 2" Les spectres d'absorption du
rouge
rétinien et du jaune rétinien coïncident avec les
és existant jusque-là. La différence des deux groupes de daltoniques,
rouge
et vert, reposera sur ce fait qu'il existe deux m
ouge et vert, reposera sur ce fait qu'il existe deux modifications du
rouge
rétinien, l'une plus violette et l'autre plus rou
modifications du rouge rétinien, l'une plus violette et l'autre plus
rouge
, qui ont leur maxima d'absorption juste aux parti
il faut admettre pour les cônes de la rétine où l'on ne trouve pas de
rouge
, une deuxième substance qui permet de voir le rou
ne trouve pas de rouge, une deuxième substance qui permet de voir le
rouge
et le vert; la teinte de cette substance doit êtr
il est facile de comprendre qu'on ne peut la voir en mélange ?v?? le
rouge
de la rétine. Sa couleur en mélange est un gris u
tribunal qui condamne et du bourreau qui va punir. Les juges en robe
rouge
sont là, les accusateurs et la hache et la robe d
.. comme ils pleurent !... Et la forge du vieux Finck, comme elle est
rouge
sur la côte !... (Bas, se partant à lui-même.) Tu
de faire prétarer dans la salle des fourneaux allumés, avec des fers
rouges
, et de prescrire d'appliquer ces fers rouges à un
x allumés, avec des fers rouges, et de prescrire d'appliquer ces fers
rouges
à un point désigné du bras pour produire une prof
e, d'abord peu abondante, permettait de constater sa coloration, d'un
rouge
bien caractéristique, et d'y reconnaître la prése
démontrerait-elle pas, du même coup, que les cellules perceptrices du
rouge
, du vert et du violet existent en réalité et qu'e
i permettant de répondre isolément ou simultanément aux vibrations du
rouge
, du vert et du violet. Mais, pour la commodité de
if. Par exemple, si ce sont les cellules préposées i la perception du
rouge
et du violet qui sont paralysées, l'œil ne percev
vrent pas tous simultanément leur activité. Si ce sont les organes du
rouge
et du violet qui retardent, le vert, cette fois e
lorée. Les cellules du vert sont en très légère avance sur celles, dn
rouge
et du violet. D'où la sensation très fugitive d'u
ndant le sommeil, à l'action de la lumière blanche. L'illumination en
rouge
pourpre qui en résulte pour le fond de l'œil, en
r le fond de l'œil, en provoquant une certaine fatigue des organes du
rouge
pourpre, favorise sans doute du même coup les org
ensibilités indépendantes : une qui est excitée par les vibrations du
rouge
, l'autre par celles du vert, et la troisième par
nt petites et peintes en vert et les deux de derrière plus grandes et
rouges
. Ces deux individus sont saltimbanques. Ils jou
son père lui a enlevé son costume de saltimbanque, sa robe qui était
rouge
, pour lui faire revêtir des habits de campagnarde
. Angélina prétend que la corde avec laquelle on l'a attachée était
rouge
, en fait de corde rouge, nous ne connaissons que
la corde avec laquelle on l'a attachée était rouge, en fait de corde
rouge
, nous ne connaissons que la ficelle du bureau et
les roues de la toiture sont peintes les unes en vert, les autres en
rouge
. La robe qu'elle portait avant d'être abandonnée
utres en rouge. La robe qu'elle portait avant d'être abandonnée était
rouge
; la corde avec laquelle on l'a attachée également
ndonnée était rouge; la corde avec laquelle on l'a attachée également
rouge
. Ce luxe de couleurs, cette abondance des détai
très délicates : c'est ainsi qu'il qualifiait telle ou telle voix de
rouge
écarlate, ou de bleu pale, ou vert de mer, etc.,
vin trop fort pour la nature humaine; le vertige vient, l'homme voit
rouge
el son délire s'achève par la férocité... » est
de Snellen consiste en une paire de lunettes dont l'un des verres est
rouge
et l'autre vert. A travers ces lunettes le sujet
cadre noir six lettres recouvertes de carrés de verre alternativement
rouges
et verts. En regardant les deux yeux ouverts, on
m. verre de lunette correspondant à l'œil qui regarde : les lettres
rouges
si c'est l'œil à verre rouge qui regarde ; les le
ndant à l'œil qui regarde : les lettres rouges si c'est l'œil à verre
rouge
qui regarde ; les lettres vertes si c'est.l'œil à
tes si c'est.l'œil à verre vert. Ceci résulte de ce que le vert et le
rouge
mélanges font du noir ; si avec un verre rouge on
e ce que le vert et le rouge mélanges font du noir ; si avec un verre
rouge
on regarde du vert, par transparence, on voit du
a dyschromatopsie gauche : le 9 janvier, par exemple, le blanc est va
rouge
; le bleu est rouge ; le jaune est blanc ; le ron
uche : le 9 janvier, par exemple, le blanc est va rouge ; le bleu est
rouge
; le jaune est blanc ; le ronge est gris. Mais
le blanc est vu noir, le bleu est vu jaune, le jaune est vu bleu, le
rouge
est vu gris. Cette discordance dans la vision d
Snellellen. les deux yeux ouverts étant armés de la paire de lunettes
rouge
et verte, il lit les six lettres et reconnaît leu
droit étant fermé, il voit tout noir; l'œil gau- che armé du verre
rouge
étant fermé, il ne voit que les lettres vertes co
'œil droit armé du verre vert étant fermé, l'œil gauche armé du verre
rouge
étant seul ouvert, il lit les lettres rouges ; l'
'œil gauche armé du verre rouge étant seul ouvert, il lit les lettres
rouges
; l'œil gauche armé du verre vert lit les lettres
garde. cependant, qu'en continuant à ponter ainsi à la fois sur la
rouge
et sur la noire, il risque fort de se ruiner sous
s'évanouit, quand il fut réveillé, la main présentait deux stigmates
rouges
. Nous avons essayé de reproduire ces phénomènes
n cadre six lettres imprimées sur des verres alternativement verts et
rouges
. On sait que si avec un verre rouge on regarde
erres alternativement verts et rouges. On sait que si avec un verre
rouge
on regarde un verre vert par transparence, on ne
e un verre vert par transparence, on ne distingue rien, le vert et le
rouge
mélanges donnant du noir, En effet, les hystériqu
eim. lisant de l'œil droit seul (le gauche-étant fermé} avec le verre
rouge
, ne voyaient que les lettres sur un verre rouge e
fermé} avec le verre rouge, ne voyaient que les lettres sur un verre
rouge
et non les vertes : mais, si on leur laissait les
yeux ouverts, elles lisaient couramment toutes les lettres sur verre
rouge
et sur verre vert ; elles lisaient ce qu'elles ét
s fibres radiculaires du nerf oculo-moteur commun. Quant aux noyaux
rouges
, ils ne sont presque pas développés ; en dedans i
cérébelleux supérieurs ne sont pas développés, ainsi que les noyaux
rouges
. L'absence des voies pyramidales s'explique par
yen ainsi que les pédoncules cérébelleux inférieurs avec les noyaux
rouges
. La cause de toutes les difformités que nous av
s se comportent vis-à-vis des réactifs colorants comme des globules
rouges
atteints de dégénérescence polychrorarctophyliq
et environ, planes ou ayant l'aspect verruqueux, dont la coloration
rouge
ou violacée disparaît par la pression prolongée
erche la réaction vaso-motrice, on constate l'apparition d'une raie
rouge
, 7 à 8 secondes après l'impression ; les raies va
nt de saisir sur le front de son client la pierre traitresse, toute
rouge
du sang de l'in- cision. 11 semble d'ailleurs f
eveux ras montre sa tête, une main et une partie de son dos vêtu de
rouge
. Il regarde l'opéré en riant, sans s'émouvoir d
L'aide éborgné, un gaillard aux cheveux touffus, également vêtu de
rouge
, témoigne au contraire par sa grimace douloureuse
urgien vé- nérable, avec des cheveux blancs, vêtu d'une longue robe
rouge
, une es- carcetie noire à la ceinture, et coiff
enir à s'échap- per. Imperturbable, cet enragé arracheur à bonnet
rouge
continue à labou- rer le front du malheureux à
u fond du tableau du même côté, scènes de pansements. Un gros homme
rouge
et barbu, à gilet vert et chausses blanches, est
ux bras passés dans une écharpe blan- che, un grand sabre à poignée
rouge
sous le bras, un pied chaussé et l'au- tre nu,
plan, on distingue l'arrière-officine, à demi voilée par un rideau
rouge
. On y devine une cheminée haute, avec du feu. U
dehors, on aperçoit, flottante, l'enseigne de la maison, peinte en
rouge
, avec des pendeloques noires et dans le lointain
aire, lésions essentiel- lement épaisses, squameuses, kératosiques,
rouges
et cuivrées, constituées tantôt par des placard
agérée, d'où résulte une perte d'hémoglobine telle que les globules
rouges
néo-formés sont incapables d'acquérir la résist
yeux et quelques frissons dans son petit pied. Tablier blanc, robe
rouge
et corsage vert bordé de cygne, mouchoir (1) N"
ait 'sourire un jeune garçon à demi caché derrière un lit à rideaux
rouges
. C'est lui peut-être qui représente ici la « ca
ux, mouchoir blanc noué autour de la tête, caraco bleu sombre, jupe
rouge
, tablier blanc, boit dans un verre à pied. L'ho
'est,un homme consciencieux, vêtu d'une longue robe brune à manches
rouges
. Son crâne est pris dans une sorte de serre-tête
les pieds, le coude gauche appuyé sur une table couverte d'un tapis
rouge
à ornements noirs et blancs ; dessus, une servi
e cas de ce genre. Il insiste sur le fond ambré du teint, plaqué de
rouge
aux joues. Il signale comme symptôme nerveux ce
e la chevelure sur la ligne médiane. Les pommettes sont plaquées de
rouge
écarlate. Le fond de la face est jaune ambré; l
s. La température buccale est de 35°7. La face est bouffie, ambrée,
rouge
aux pommettes, la chevelure très bien conservée ;
ivernales, froides, durcies. Les dents sont cariées. La gencive est
rouge
, tomenteuse, les dents couvertes de tartre noir
lus vieille. La face est légère- ment infiltrée, ambrée, plaquée de
rouge
aux pommettes. Les règles ont dis- paru à sa su
les dents sont ébran- lées ; beaucoup sont cariées ; la gencive est
rouge
, rongée de tartre. La voix est traînante. ' L
rs externe semble fauché. Les dents sont cariées. Les gencives sont
rouges
, saignantes, tomenteuses, rongées par le tartre
istances parfois très grandes du bord maxillaire. Les gencives sont
rouges
, molles, gonflées. Elles saignent facilement à
ées et déchiquetées par des abcédations antérieures. Le pharynx est
rouge
vif et il est rare de ne pas y voir des végétat
s qui sont le propre du myxoedème franc : le teint ambré, plaqué de
rouge
, l'infiltration des paupières, l'obésité Coin-
arole, cepen- dant, traîne un peu, et les pommettes sont légèrement
rouges
. Elle est habi- tuellement constipée. Elle prés
marque que le teint est un peu jaunâtre. Les pommettes sont un peu
rouges
, mais il faut avoir l'attention appelée sur c
te mal le froid. La consti- pation est opiniâtre, Les gencives sont
rouges
, irritées, saignent facilement à la brosse. Les
règles. Elle a eu la jaunisse, il y a deux ans. Les gen- cives sont
rouges
et saignent très facilement. Les dents sont dans
me n'indique le myxoedème. Les dents sont mauvaises, les genci- ves
rouges
, irritées, bordées de tartre. Je commençai le tra
ut en couleur. Les pommettes sont vivement et largement colorées de
rouge
. Il y a cependant une légère teinte ambrée dans
dents sont mauvaises ; beaucoup sont cariées ; les gen- cives sont
rouges
, injectées et saignent facilement. Elle a snuvent
nte s'assied et s'est reposée, Les dents sont mauvaises, les gencives
rouges
, saignantes, bordées de tartre dentaire. Fréque
son lit. Les dents sont presque toutes cariées ; les gencives sont
rouges
, irritées, ron- gées de tartre. Les pieds trans
es dents sont très malades, pres- que toutes cariées ; les gencives
rouges
, injectées, chargées de tartre. Les membres sup
Pénis long et fiasque. Les dents sont très mauvaises, les gencives
rouges
, chargées do tartre. Les amygdales sont très gr
e la cachexie pachydermique. Les dents sont mauvaises, les gencives
rouges
et chargées de tartre. J'ai placé en regard de
deux côtés, la convergence se fait bien. La recherche avec le verre
rouge
fait constater une diplopie homonyme dans le cham
Robe de satin rose à larges parements d'argent, jaquette de velours
rouge
bordée de cygne; sur la tête,une coiffe et un f
lement hypertrophiées : la peau est épaisse, mais sans oedème, très
rouge
; les lèvres sont énormes, et l'inférieure, repo
hisme et la trace d'un crayon fait apparaître sur la peau des raies
rouges
plus prononcées et plus rapidement visibles au
ableau de Ter Borch représente une jeune femme vêtue d'une jaquette
rouge
qui travaille devant une table. Elle porte sur la
satin blanc le plus soyeux épouse ses formes opulentes, le velours
rouge
de son casaquin est de la plus fine trame, ses fo
e- ments partiels et peu étendus sont possibles. La main droite est
rouge
et tu- méfiée (rougeur et tuméfaction inconstan
s, je ne puis pas. Encrier. Réponse : je sais bien ce que c'est, un
rouge
, on peut la rouge, c'est parce que je ne l'ai p
Encrier. Réponse : je sais bien ce que c'est, un rouge, on peut la
rouge
, c'est parce que je ne l'ai pas. Un livre. Ré
ficielle et dit : « C'est dix, dix, dix. » On lui montre un papier
rouge
: - Ou, ou, dix, dix. C'est rouge ? Attendez !
dix. » On lui montre un papier rouge : - Ou, ou, dix, dix. C'est
rouge
? Attendez ! elle fait un effort et dit brusqueme
. C'est rouge ? Attendez ! elle fait un effort et dit brusquement :
Rouge
! Un instant après on lui demande de quelle cou
- Oui c'est ça, noir. Je lui montre une boite jaune : Est-ce vert,
rouge
? Non pas ça, écoutez (elle prend un air goguen
le pied sont restés gros, durs au toucher, toujours blancs, jamais
rouges
, et jamais ils n'ont été douloureux. Il a bien
accompagnées d'une augmentation de l'enflure et d'une colora- tion
rouge
des téguments. La première fois, il y a 7 ans,
elle, pour une «phlébite ». La jambe droite était plus grosse, plus
rouge
, et extrêmement douloureuse : dou- leurs sponta
longitudinales exagérées ; lame unguéale gri- sâtre vers sa racine,
rouge
violacé vers le bord libre ; repli sus-épidermi-
nées dans une serre- tête blanc que recouvre encore un chaud bonnet
rouge
. Il ne lui manque même pas sa canne, ce grand j
ne zone bien plus étendue, signalée à l'examen par l'aboli- tion du
rouge
et du vert. Il y une hyperesthésie pour le bleu.
ique la perte totale de la vision, et la moins teintée, la perte du
rouge
et du vert. Il s'agit d'une lésion qui intéress
nt profonds. Les extrémités des doigts sont froids et de coloration
rouge
violacée. ' Les phalangettes sont hypertrophiée
Le foie très petit ne pèse que 470 grammes. Il présente une couleur
rouge
brune. Sur une coupe, le tissu conjonctif sembl
on constate que la pulpe splénique est ramollie, sa coloration est
rouge
pâle et parsemée de petits îlots blanchâtres. L
e. La moelle osseuse très abondante qui remplit ce canal élargi est
rouge
jaunâtre. La coloration des os est rougeâtre, c
es granulations pigmentaires ne se colorent pas par le scharlach en
rouge
orange comme le lypochrome, mais en rouge brun.
t pas par le scharlach en rouge orange comme le lypochrome, mais en
rouge
brun. Mais il est vrai que, même dans cette régio
s follicules on observe des capillaires dilatés. La coloration au
rouge
scharlach montre une abondance extraordinaire de
aux plus petits et les capillaires se sont colorés intensivement en
rouge
, ce qui montre la quantité énorme de graisse co
et trouva le cerveau très gros, la substance grise particulièrement
rouge
. Microscopiquement, pas de lésions nerveuses, o
nexi- hles et facilement coupables avec le couteau. La moelle était
rouge
foncé. Altérations analogues pour le fémur qui
ec la plus grande facilité,et leur substance spongieuse semble plus
rouge
que nor- malement. L'examen microscopique mon
tampes de Blois agrémentées de quelques teintes plates, Pourpoinctz
rouges
, tannez et noirs, décrits dans le Pourpoint.(Ce
- sicolorez, noirs, marguinez, gris, vers, blancs, cendrez, tennez,
rouges
. jaulnes, qui rendent le patient en couleur de
açon plus pittoresque dans le Pourpoint : « Les yeux leur demeurent
rouges
et esraillez qui filent la cyre et sont de couleu
décembre 1909) ; la main est plus froide que la gauche, fréquemment
rouge
, et même cyanosée pendant l'hiver. Si la main e
suffit que ces malades sortent pour que leur main prenne un aspect
rouge
violet, dù à des mar- brures de différentes cou
a cassé les dents. « Je fais des peignes avec de la graisse, verts,
rouges
, bleus. « J'ai fait dans une queue de poêlon...
eim ; hématoxyline ferrique de IIeidenhain, quelquefois combinée au
rouge
de Bordeaux ; les colorations de névroglie , de m
mf-Pappenheim pour la sécrétion des noyaux et celle I-Ieidenhain au
rouge
de Bordeaux pour la relation entre la névroglie
le qui, par la méthode de fuchsine acide-vert lumière, se colore en
rouge
et par la méthode de Unna-Pappenheim se colore in
ulations plus fortes et plus irrégulières composée de granules plus
rouges
; donc tou- tes ces granules sont basophiles ; d
maline prend une coloration bleuâtre ; le nucléole est intensivement
rouge
, le protoplasme a une couleur rouge très variab
; le nucléole est intensivement rouge, le protoplasme a une couleur
rouge
très variable dans son intensité. Dans SUR LA G
smique elles ne sont pas noir- cies ; elles ne sont pas colorées en
rouge
avec le Sudan III. A la coloration avec fuchsin
ombre des boules on voit aussi qu'il existe des granules colorés en
rouge
par la fuchsine acide ; alors on voit aussi qu'il
hsine acide ; alors on voit aussi qu'il peut y avoir des granu- les
rouges
au fond des coupes des noyaux en fer à cheval et
voit presque toujours au fond des échancrures beaucoup de granules
rouges
, ce qui s'explique bien quand les granules provie
hromasie : dans quelques cellules tous les granules sont colorés en
rouge
, dans quelques autres ils sont colorés en bleu et
s gra- nules dans une partie de la cellule sont bleus, dans l'autre
rouges
. Par coloration avec pyronineou rouge neutre ce
ule sont bleus, dans l'autre rouges. Par coloration avec pyronineou
rouge
neutre ces granules montrent aussi de la métach
nt noires ; par le soudan 111 elles prennent une couleur faiblement
rouge
. 268 KRABBE Ces cellules sont aussi communes
a. Au point de vue des réactions tinc- toriales, ils se colorent en
rouge
par le Mallory et le triacide d'Elii-lieli, en bl
utre, périphérique, basophile : la substance oxy- pbile, colorée en
rouge
, est absolument homogène et ne laisse aper- cev
rane nucléaire qui n'a subi aucune modification apparaît colorée en
rouge
vif tandis que la por- tion amincie prend une t
le mélange dilué de Biondi, toutes ces granulations se colorent en
rouge
. De même, le triacide d'Ehrlich les colore en rou
se colorent en rouge. De même, le triacide d'Ehrlich les colore en
rouge
et quelquefois en rouge violet ; ces deux nuanc
e même, le triacide d'Ehrlich les colore en rouge et quelquefois en
rouge
violet ; ces deux nuances nous paraissent dépendr
eur de Dominici, toutes ces granulations se colorent franchement en
rouge
. Si, par exemple, sur une coupe colorée par le
ranulations du noyau et les granulations du cytoplasma, colorées en
rouge
. De même, dans les cellules dont le nucléole se
ennent le colorant acide, et par le Mallory apparaissent colorés en
rouge
,et en rouge violet par le mélange de bleu de cr
lorant acide, et par le Mallory apparaissent colorés en rouge,et en
rouge
violet par le mélange de bleu de crésyle. De pl
és en bleu et un peu plus loin des noyaux homo- généisés colorés en
rouge
. 2,) i JONNESCO Altérations DU CYTOPLASMA ET
hèse serait le fait de trouver dans certaines cellules des globules
rouges
en nombre variable à l'intérieur des vacuoles e
s de Nissl ont complètement disparu, le cytoplasme apparaît coloré en
rouge
, (b) large zone de substance chromatophile d'as
de pierre ; à son réveil. son nez et ses oreilles auraient été très
rouges
, et cette coloration aurait persisté pendant to
ébut de l'hiver 1905-1906, son nez gonfla et devint de nouveau très
rouge
; puis le lobule prit une teinte bleue noiràtre e
reilles et les mains présentaient aussi du gonflement et une teinte
rouge
violacée. Du- rant l'été qui suivit, ces phénom
te coloration fait place à celle de la zone péri- phérique, qui est
rouge
vineux et qui s'étend au reste du nez ; au niveau
es tonalités bleues, tandis que celles de la zone périphérique sont
rouges
. Malheureusement ces couleurs sont très photogé
elles ne sont pas déformées comme le nez. Elles ont une coloration
rouge
vineux, qui devient violacée le soir; la pressi
uloureuse. En été, les oreilles dégonflent, mais elles restent plus
rouges
et plus grandes que normalement. Les mains pr
mains présentent les mêmes caractères que les oreilles. Elles sont
rouges
foncées et deviennent violacées au froid; elles s
d'escarres à leur niveau. L'été les mains dégonflent, mais restent
rouges
; il existe à leur niveau une hyperhydrose asse
e de la face. Céphalalgie. Urines abondantes. Nombre des globules
rouges
(4.357.000 et 3.9O,400). A l'autopsie : Périton
26 ans,' matelot. A fait un premier séjour à l'hôpital de la Croix-
Rouge
daus le service de M. Gallavardin, en février 190
t d'hépatisation grise, les lobes moyen et inférieur d'hépatisation
rouge
. - Le coeur (250 gr.) n'a pas de lésions valvul
ibrillaire plissée, épaisse, presque dépourvue de noyaux prenant le
rouge
vif du mélange du Van Gieson. Cette masse rempl
n ces points, les capillaires sont très dilatés, gorgés de globules
rouges
. Les cellules nobles semblent altérées : les ce
ssion, etc.; deux selles ; la plaie de la bosse frontale est un peu
rouge
. T. R. 40°,6. -Soir : 40°,2. 1 accès. 20 mai.
, sans être ogivale ; amygdales hyper- trophiées ; luette longue et
rouges
Les oreilles sont nor- males : la droite est dé
uve deux indurations sous-cutanées sans adhérence à la peau qui est
rouge
dans la partie correspondante ; une induration
gauche. La peau, .au-dessus des indurations de la cuisse, est moins
rouge
(hier frictions mercurielles sur la cuisse).
auche diminuent ; la peau, à leur niveau, n'est plus que légèrement
rouge
; les gan- glions inguinaux du même côté ont un
t du cou ont complètement disparu, laissant comme traces des taches
rouges
, brunes de la peau dont une, siégeant à la part
elle hier. La langue est un peu sale, les amygdales grosses et d'un
rouge
sombre ; on ne note ni vo- missements, ni nausé
n. A la partie antérieure des deux cuisses, on remarque des plaques
rouges
, larges environ comme la moitié de la main, sur
n, sur lesquelles et autour des- quelles existent des petits points
rouges
plus foncés, un peu soulevés au-dessus du nivea
evés au-dessus du niveau de la peau et ressemblant à de la miliaire
rouge
; il existe de plus petites plaques et surtout de
ov. Les amygdales sont toujours un peu hypertrophiées, mais à peine
rouges
(1). Traitement. - 25 janvier 1881 : 0 gr. 03 d
misse- ments, pas de constipation. Parfois la figure devient très
rouge
avec des raies blanches comme l'empreinte des d
oir : T. R. 38°. 2 mai. Hier, la figure de l'enfant est restée très
rouge
pendant toute la journée; les mouvements convul
pendant toute la soirée avec le même caractère; la face était très
rouge
. A la nuit, les convul- sions de la bouche ont
n a remarqué que les joues, les pommettes et le menton étaient très
rouges
, tan- IDIOTIE CONSÉCUTIVE. 105 dis que le nez
e a un aspect légèrement rosé sur lequel on voit de nombreux points
rouges
étoilés; cet aspect se rencontre sur les deux h
e, au sommet, des deux côtés. 3 juin. Décubitus dorsal, face très
rouge
; le malade n'a aucune connaissance mais par mom
par quatre hommes ; face normale, sauf les pommettes qui sont très
rouges
; paupiè- res largement ouvertes, pupilles égal
mars. Depuis hier, apparition d'un érysipèle de la face ; la plaque
rouge
a débuté par le lobule du nez pour remonter ver
e chaque côté. Les paupières inférieures sont tuméfiées ; - la peau
rouge
, lisse, chaude, tendue ; taches blanches à la p
illon de l'oreille du même côté ; en ce dernier point elle est très
rouge
. La lèvre supé- rieure est encore tuméfiée ; le
ous de la rotule ; sa couleur, ordinairement rose, devient alors d'un
rouge
violet; son développement, qui remonte à sept ans
accrut rapidement et devint le siège de douleurs vives. M. le docteur
Rouge
, consulté, diagnostiqua un anévrysme de la caroti
ent arrondies de 2 à 5 centimètres de diamètre, d'une teinte rosée ou
rouge
cerise qui est remplacée en plusieurs points par
s autres ; je ne l'ai vu que deux fois ; il consiste dans des plaques
rouges
légèrement saillantes à la surface de la peau; el
La couleur en est celle dite pelure d'oignon, dans le centre, et d'un
rouge
cerise à la circonférence; ces deux teintes exist
les dont la tumeur totale est composée. — Elles offrent la coloration
rouge
carmin propre aux végétations dites choux-fleurs^
écisément de faire usage depuis quelques jours de chaussettes de soie
rouge
d'une nuance très élégante, que la mode s'apprêta
bouillant, dans lequel s'est dissoute rapidement la matière colorante
rouge
. Cette solution alcoolique, évaporée à siccité, n
ne pouvait rester de doute sur les propriétés vénéneuses delà matière
rouge
dont le tissu de soie était teint. Mais nos reche
un procédé très ingénieux, dû à M. Roussin, nous avons pu teindre en
rouge
un écheveau de soie, avec la matière colorante re
vé de l'acide phénique. C'est une matière solide, en paillettes, d'un
rouge
pivoine à reflet vert ou jaune sombre, à peu près
'est substitué à la muqueuse. Cette cicatrice était un peu colorée en
rouge
, cela tenait à ce qu'elle était vascularisée. A l
e est recouvert d'une masse de taches irrégulièrement arrondies, d'un
rouge
vif, grandes, petites, disséminées sur toute sa s
sang devait circuler sans peine. Le caillot 'est dur, stratifié, d'un
rouge
peu prononcé. Sur la planche XX, qui représente l
t sa face postérieure, on voit très bien le caillot qui est coloré en
rouge
. L'aorte thoracique, à son origine, a 25 millim
d'affaiblissement général. Bientôt des plaques de couleur variable,
rouges
(mal rouge de Cayenne), fauves, blanches, se répa
ement général. Bientôt des plaques de couleur variable, rouges (mal
rouge
de Cayenne), fauves, blanches, se répandent sur t
u'il s'aperçut que sur les membres existaient des plaques circulaires
rouges
à rebords un peu- saillants, avec anesthésie comp
et à cette nouvelle médication, qui paraît rendre les tubercules plus
rouges
. Enfin, dans ces derniers jours, nous le soumetto
adémie. Les accidents déterminés par l'usage de bas de soie teints en
rouge
sont un fait hors de toutes contestations. Les ex
arsenic, le mercure et le plomb, et que l'usage de ces bas, teints en
rouge
, n'en a pas moins, pour certaines personnes, les
ansformer en fissures douloureuses. — La surface de l'organe est d'un
rouge
brunâtre ; elle "est le plus habituellement érodé
ls absorbent rapidement l'hématosine ; ils se repaissent des globules
rouges
du sang, puis ils meurent dès le début de la réac
t; elle est semblable aux premières. La langue est un peu sèche, plus
rouge
à la pointe ; la malade a eu un frisson assez pas
ent une sérosité louche purulente, et l'on voit le derme dénudé, d'un
rouge
violacé dans toute l'étendue. La sensibilité est
us parlions tout-à-l'heure, M. Delahaye a indiqué, par un pointillé
rouge
, le tracé de l'égout à construire. Son point de
lèvres qui sont assez épaisses et flasques. Muqueuse. vestibulaire
rouge
. Hymen annulaire, orifice assez large et facile
ode d'anxiété ouvrait la crise. D'abord immobile, l'enfant devenait
rouge
, se plaignait en grognant, puis se raidissait,
assez bien rangées'. Langue enduite d'une épaisse couche saburrale,
rouge
à la pointe. Palais absolument pâle. L'enfant p
es. Circonférence, 3 centimètres. Gland découvert. Bords du prépuce
rouges
. Scrotum très petit, ridé, vide. Le testicule d
t haletante et péni- ble. La température est de 40°, 5. La face est
rouge
, vultueuse, et couverte de sueurs. Le pouls est
irmerie décrit ainsi l'accès : Pas de cri initial ; la face devient
rouge
, se tourne à droite ainsi que la bouche et les
n, de même que les languettes anté- rieures. Le bord postérieur est
rouge
foncé à la coupe, on tombe sur un parenchyme ro
d postérieur est rouge foncé à la coupe, on tombe sur un parenchyme
rouge
foncé d'où sort par la pres- sion une écume san
ans la dentition de lait. Les gencives en mauvais état, ulcérées et
rouges
à leur bord, permettent le déchaussement des de
rien d'anormal. - La langue est actuellement saburrale, le pharynx
rouge
vernissé. Le goût est peu développé. - Le mento
s pulvérulentes, bouche fuligineuse, langue très saburrale, pharynx
rouge
et sec, toux rauque. Râles sous-crépitants très
Le 24 mars 1891, 152 DESCRIPTION DU malade. peau rude, marbrée de
rouge
aux extrémités. Les mains froi- des et cyanosée
sépare ce magma caséeux d'une zone périphérique d'hepati- sation
rouge
. Ces ilôts tuberculeux sont surtout nombreux au
. 168 Etat DU crâne ; méningite. térieur sous la forme de cordons
rouges
, saillants, sinueux ayant environ 3 à 4 millimè
étales. A la face interne, les sutures apparaissent comme une ligne
rouge
, finement dente- lée mais ne formant pas de sai
n curieuse des sutures qui se présentaient sous la forme de cordons
rouges
, saillants, sinueux, ayant environ 3 ou .'1 mil
es sutures restaient très nette- ment accentuées par des dentelures
rouges
; les parties osseu- ses voisines étaient égale
res rouges ; les parties osseu- ses voisines étaient également très
rouges
. La calotte est très asymétrique : le pariétal
ccupe de son ménage ; c'e-t une femme d'apparence robuste, au teint
rouge
, paraissant intelligente. Elle n'a jamais eu de
a palpation, on sent, dans son inters- tice, une sorte de bourrelet
rouge
, vasculaire, formé par la membrane intersutural
epri- ses, les sutures étaient distendues par une sorte de cordon
rouge
, saillant, constitué par une congestion intense
Soir. - La température est remontée brusquement à 39°. \V. devient
rouge
pourpre, a de la dyspnée et vers 10 heures on n
r est pris dans sa totalité; les foyers de hroncho- pneumonie, d'un
rouge
foncé, sont très rapprochés et sont d'un rouge
o- pneumonie, d'un rouge foncé, sont très rapprochés et sont d'un
rouge
foncé. - I-0117-IOn gauche (138 gr.). Le lobe s
e celles du territoire de l'artère sylvienne à gauches IlepatLaliou
rouge
des lobes inférieurs des deux poumons. Gob... J
ent pleural, ni d'adhérences. Pou- mon droit (770 gr). Hépatisation
rouge
du lobe inférieur et de la partie inférieure du
ie inférieure du lobe moyen. - Poumon gauche (710 gr). Hépatisation
rouge
du lobe inférieur. Congestion intense du lobe s
UBLES trophiques. épaisses, saillantes, accolées, humides et un peu
rouges
. Sur chacune d'elles, un assez petit nombre de
La toux est légère, la dyspnée peu marquée. La pommette droite est
rouge
. Le pouls, depuis longtemps à 120 pulsations, d
rme circulaire (Fig. 10). Ces caillots hémorrhagiques, durs et d'un
rouge
brique, s'énucléaient facilement et se pré- sen
rien si ce n'est une tuméfaction 300 DGSCII1PT ION DE LA MALADE.
rouge
des gencives et quelques mucosités dans l'arrière
'obs. p. 164.) Crâne peu dur, la coupe de la calotte est absolument
rouge
. Asymétrie manifeste, le côté droit est plus dé
s, les sutures sc présentent à l'extérieur sous la forme de cordons
rouges
, saillants, sinueux ayant 3 à 4 millimètres de
étales. A la face interne, les sutures apparaissent comme une ligne
rouge
finement dentelée mais ne formant pas de sailli
A la palpation, on sent dans son interstice, une sorte de bourrelet
rouge
, vasculaire, formé par la membrane itltér- sutu
homme encore jeune, à cheveux noirs, longs et bou- clés ; un bonnet
rouge
entouré de fourrures couvre sa tête ; il est vêtu
és, porte un costume gris avec un rabat blanc et un noeud de rubans
rouges
sur l'é- paule. Il y a, en outre, dans ce table
ne autre pièce éclairée d'une fenêtre à vitraux, un curieux à béret
rouge
regarde le qua- tuor du'bas. Il ne semble d'ail
es, le blanc des linges, le bleu des faïences, le brun des grès, le
rouge
du feu et du sang. Un ou deux bistouris, une sp
s, et coiffé d'un chapeau mou, gris, orné d'une plume et d'un noeud
rouge
, est debout devant un paysan assis sur une banq
pose que sur un léger changement de coloration : la tumeur est plus
rouge
.- Quant à distinguer, dans le cerveau lui-même,
nvisible. La couleur de la peau est changée ; très souvent elle est
rouge
avec une nnance de violet. Quand il fait froid on
disparu. La couleur de la main, prise dans sa totalité, est plutôt
rouge
violacé, mais elle présente, en outre, une foule
e moment où l'on examine la malade. Par un temps froid, la main est
rouge
violacé avec une nuance de cyanose, surtout au
ux assez fort, à larges mailles contenant des taches rosées ou même
rouge
saturne. A la partie inférieure de la face dorsal
, c'est que ces troubles vaso-moteurs et surtout les petites taches
rouges
et les plaques de cyanose disparaissent et revi
que ces malades sortent dehors pour que leur main prenne un aspect
rouge
violet dû à des mar- brures de différentes coul
réchauffée, la couleur violacée disparaît et les mains sont plutôt
rouges
. Les doigts ne sont pas moins caractéristiques.
reste à démontrer, car l'oedème syringomyélitique môme quand il est
rouge
ne présente pas du tout les mêmes caractères. Dan
vaso-moteurs chez Corr..., qui se traduit par la présence de taches
rouges
et la dilatation cyanotique des veines, trouble
édicure de Brouwer traité un peu différemment. Un homme à cheveux
rouges
, assis sur une chaise boiteuse, pose son pied d
l a supplanté l'homme. A gauche, au premier plan, un singe, vêtu de
rouge
, assis sur un esca- beau, confie sa patte de de
tre un blessé, le crâne fendu, soutenu par deux aides, l'un vêtu de
rouge
, l'autre de blanc. A droite opère le barbier, c
vessie, sans compter que l'oreille droite était'plus chaude et plus
rouge
que la gauche. ' , Dans une observation publiée
son mé- dius du côté gauche s'hypertrophier en mas- se, devenir
rouges
et dou- loureux ; ces troubles n'ont jamais t
e la main. Au mois de mai, nous trouvons les doigts gros, boudinés,
rouges
, fléchis, mais non hypertrophiés en longueur; l
te ordinairement sur la peau par des plaques érythé- mateuses, d'un
rouge
plus ou moins vif et de forme plus ou moins arron
ui grossissent peu à peu, de façon à former de petites tumeurs d'un
rouge
brunâtre, tirant sur le bistre, ou parfois sur
sentées. Les taches cutanées, papules ou macules, de couleur rosée,
rouge
ou lie de vin, que les artistes ont souvent fig
sième tout en bouche, d'aucuns n'ayant pour visage que quatre trous
rouges
et béants, pauvres Fig. 2. Groupe de Lépreux
or. N° 33. 432 HENRY MEIGE "la face hideuse, la lèvre inférieure,
rouge
, tuméfiée, pendante.' Sa main droite est égalem
'un en tunique bleue, nu-tête, l'autre en tunique noire et chaperon
rouge
. » Nous croyons, pour avoir longuement examiné
LI, A). « Le corps de ce pauvre diable est ponctué de larges taches
rouges
, circu- laires, plus foncées au centre qu'à la
tenu au col par une riche agrafe, une tunique bleue et des souliers
rouges
garnis d'énormes éperons. . De la main droite i
. Tout le corps est couvert des mêmes ulcères, les uns plus petits,
rouges
et saillants, les autres, plus étendus, blanchâ
enez, sont couverts de pustules particulièrement grosses, rondes et
rouges
, on voit une personne âgée, probablement du sexe
le visage n'a rien, le bras gauche est couvert de taches d'un brun
rouge
, la jambe est entourée de bandes à travers les-
s- quelles suinte le pus ; le genou découvert porte des taches brun
rouge
lé- gèrement creusées ; sur la tête un lambeau
cent, dont les mains, le cou et le visage sont t couverts de taches
rouge
brun. Il est assis par terre et c'est sa propre
s étaient de trois sortes : les unes, sortes de macules planes d'un
rouge
jambonné ou bistre; les autres plus ou moins sail
; les autres plus ou moins saillantes, vérita- bles tubercules d'un
rouge
plus vif; les dernières, revêtant l'apparence d
nières, revêtant l'apparence d'ulcérations à fond grisâtre, à bords
rouges
et saillants, entourées d'une aréole brun rouge
anées avec leurs croûtes d'une teinte gris verdâtre el leur auréole
rouge
vineux ? Sur le / Fig. 9. Lépreux sur un tabl
« avec leurs croûtes d'une teinte gris-verdàtre, et leur au- réole
rouge
vineux », ces grosses pustules tuberculeuses « av
ue rele- vée pour montrer sur la cuisse gauche mise à nu une plaque
rouge
, pro- bablement un indice de la peste dont il f
te sa manche gauche et montrant sur son avant-bras une large plaque
rouge
et ulcérée. La main tombe inerte, flasque. Lési
mi, de grosses lèvres sail- lantes et un oeil lamentable, cerclé de
rouge
vif, les paupières réduites à un liseré saignan
n, vêtu d'un manteau vert et de chausses brunes, coiffé d'un bonnet
rouge
; il tient une clo- chette à la main ; un chien
che d'exactitude, un large ulcère arrondi, à fond grisâtre, à bords
rouges
et bourgeonnants. C'est une lésion bien imitée,
macules jaunâtres, de toutes di- mensions, entourées d'une auréole
rouge
». Elles n'ont rien de bien carac téristique. -
de Frankfort. - Job, complètement nu, a le corps couvert de taches
rouge
bistre, peu significatives. Sa femme, dans un é
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I l î vaisseaux gorgés de globules
rouges
, entourés d'une hyperdiapé- dèse excessive. Les
colloïde ; l'autre est constituée par de petits granules colorés en
rouge
vineux comme la substance chromatique du noyau. D
s les deux yeux, avec inversion complète des champs visuels pour le
rouge
et le bleu. Même pendant la men- suration du ch
pédonculaire et se terminait entre l'aqueduc de Sylvius et le noyau
rouge
, sectionnant dans. l'inté- rieur du pédoncule l
à 1 h. 1/2, deuxième séance solennelle dans l'hôtel de ville, salle
rouge
. a) Rapports : de 9 heures à 40 heures, « Idéal
ième jour, brusquement elle s'écrie un matin : « tiens ! je vois du
rouge
.1 » » Elle venait de reconnaitre l'étiqueLLe ph
it de reconnaitre l'étiqueLLe pharmaceutique : Pour l'usage externe
rouge
, en effet, collée sur une poche de farine de mout
t alors que brusquement elle aperçut sur une étagère des étiquettes
rouge
foncé, avec « illium » écrit en grosses lettres
les couleurs, il est encore plus marqué et il y a inversion pour le
rouge
, qui est la couleur dont le champ visuel est le
lus rétréci). Au niveau de l'oeil droit, les champs visuels pour le
rouge
et le bleu se confondent. On prie alors le père
t d'ivoire qui se détachait, en face d'elle, sur un fond en velours
rouge
sus- pendu à la muraille : elle fût aussitôt gu
a malade à celle-ci. Elle recouvre la vue en distinguant le velours
rouge
d'un coussin sur lequel elle était appuyée. La
dure deux jours : Marthe récupère la vision en apercevant le dos
rouge
d'un livre posé sur une table. ' La troisième (
réveil, la première chose qu'elle aperçût fut un corsage doublé de
rouge
: elle était guérie ! 1 Le mardi 5 février 1901
2 centimètres de ses yeux la pointe d'un thermocautère chauffée au
rouge
blanc, elle ne bron- che, pas et accuse simplem
in, à utiliser l'affection particulière qu'a Marthe pour la couleur
rouge
; à cet effet, nous HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE F
e chambre noire et la plaçons la face tournée vers un grand carreau
rouge
qui lui est d'abord caché par un volet fermé, i
le volet; le visage de la fillette s'illumine aussitôt d'un reflet
rouge
intense, mais elle ne distingue rien ; elle conti
elle continue à avoir la sensation du noir. On remplace le carreau
rouge
par un vert : elle voit blanc ; on met ensuite
comme elle à l'hôpital, elle s'écria brusquement : « Des pantoufles
rouges
! des pantoufles rouges ! J'y vois ! » Elle venai
elle s'écria brusquement : « Des pantoufles rouges ! des pantoufles
rouges
! J'y vois ! » Elle venait d'apercevoir, en eff
assise en face d'elle, une paire de pantoufles d'une belle couleur
rouge
. Et c'est ainsi qu'elle recouvra la vue pour la
sens chromatique est perverti pour les deux yeux ; il n'y a que le
rouge
que le malade reconnaît toujours sans la moindre
, rétréci (surtout à gauche) pour le blanc, l'est davantage pour le
rouge
, davantage encore pour le bleu, et un peu plus
eil, tandis qu'elle se frottait avec un grand mou- choir à carreaux
rouges
. - Elle a quitté le service le 26 mars, très am
par M. Aubaret, ne l'a plus à partir de sa huitième crise. Seul le
rouge
est reconnu parfaitement, ce qui est le caractè
tte et originale, puisque si on ne peut pas dire que la vision du
rouge
ait provoqué la cessation de la crise, c'est elle
première percep- tion de la malade a toujours été celle d'un objet
rouge
: éti- quette rouge, coussin rouge, dos rouge d
on de la malade a toujours été celle d'un objet rouge : éti- quette
rouge
, coussin rouge, dos rouge d'un livre, pantoufles
a toujours été celle d'un objet rouge : éti- quette rouge, coussin
rouge
, dos rouge d'un livre, pantoufles rouges, mouch
été celle d'un objet rouge : éti- quette rouge, coussin rouge, dos
rouge
d'un livre, pantoufles rouges, mouchoir à carre
ti- quette rouge, coussin rouge, dos rouge d'un livre, pantoufles
rouges
, mouchoir à carreaux rouges, etc. c). Il nous r
rouge, dos rouge d'un livre, pantoufles rouges, mouchoir à carreaux
rouges
, etc. c). Il nous reste à parler de la vision b
orés, de façon que le vert soit devant l'oeil gauche amblyope et le
rouge
devant l'oeil droit,puis, qu'on lui fasse lire
ite l'échelle de Stilling, elle distingue exclusivement les lettres
rouges
, c'est-à-dire qu'elle ne voit que de l'oeil dro
ervations précédentes. Mais si on change les verres de façon que le
rouge
soit devant l'oeil amblyope et le vert devant l
ttres vertes grandes et petites, puis ensuite les grandes lettres
rouges
, ce qui indique qu'elle voit à la faveur du rouge
grandes lettres rouges, ce qui indique qu'elle voit à la faveur du
rouge
simultanément avec les deux yeux. A-t-elle po
re. Un carton avec deux pains à cache- 202 CLINIQUE NERVEUSE. ter
rouges
, distants de 6 centimètres l'un de l'autre, est
e voit, elle répond alors sans hési- tation : « Je vois deux points
rouges
, un petit et un gros ». Nous avons répété cette
raie, légèrement surélevée, une zone large et diffuse se colore en
rouge
. Le suji't se plaint de ressentir de très vives
e et plus gravement lésées. Les vaisseaux sont gorgés de globules
rouges
qui ne sortent jamais des vaisseaux et ne font pa
formes. L'examen du sang lu révéla aussi la diminution des globules
rouges
et la présence de bactéries. Rezzonico en 1884,
eine les dimensions d'une petite lentille. Elles ont une coloration
rouge
, pourprée, ne disparaissent pas par la pression
serait formé par les masses grises du mésocéphale (cervelet, noyau
rouge
, masses grises du pont, noyaux centraux), dont
is malades. Pendant la stupeur on n'obtient même pas la simple raie
rouge
érythémateuse qui se montre sur tout le monde.
cela normale : certains ne présentaient que très affaiblie la raie
rouge
érythémateuse qui doit nor- malement se produir
n embonpoint notable, les muscles sont très développés. La face est
rouge
, congestionnée. 1 CI' août 1864. Tout le temps
ades simples, doubles, triples. Enfin il y en a qui sont écrites en
rouge
. Ce sont celles qui sont tracées avec son sang.
e à la nouvelle théorie de van Gehuchten, qui fait jouer au noyau
rouge
le rôle excitateur qui, dans la théorie de Bastia
nds d'origine sous-cor- ticale, probablement mésencéphalique (noyau
rouge
). L'auteur admet en outre que dans le réflexe d
, d'une sensation d'étoufïement, elle se plaint de la gorge qui est
rouge
; pas de fièvre. Archives, 2° série, 1905, t. X
ut à fait l'aspect morbilleux. Les muqueuses de la bouche sont très
rouges
, la lèvre inférieure est enflée et douloureuse et
elles affectent un trajet postéro-interne en con- tournant le noyau
rouge
en dehors et en dedans. Outre ces libres destin
ans ént·ogiu; tlucllluc< inco tlin(vicaliunal- coolique : langue
rouge
, fendillée, animée de quelques tremble- nu')Us;
rtificiellement la structure. Le carmin, l'éosine, la safranine, le
rouge
Magenta, la fuchsine, l'orange, le bleu d'anili
e splénomégalie considérable avec diminution du nombre des globules
rouges
et augmentation des globules blancs. Enfin se p
r aux sondes de REVUE DE \fÉDT : CI\ LI ? G4L1 ? . 325 caoutchouc
rouges
employées pour l'alimentaliun forcée par la voi
urer abondamment. Ses petitesamies lui disent que son oeil est tout
rouge
. Elle visite néanmoins l'aquarium ; on revient
rentrant, vers 5 heures, que les maîtresses remarquent l'oeil, très
rouge
, de l'enfant. On le lui fait laver avec une inf
te la région cutanée zircon- voisine, la joue surtout, est irritée,
rouge
. , - Etal statiunnairc jusqu'à la fin du séjour
ors les mêmes signes que le 20 août : mais l'oeil gauche est-un peu
rouge
également, et la joue droite estunpcu plus enfl
jours, l'oeil droit présente une légère amélioration ; il est moins
rouge
. Quant à l'oeil gauche, sa rougeur a complète-
si elle sèche ses larmes. Le 1 cr novembre l'oeil droit n'esl plus
rouge
, mais il pleure constamment. Au début de décemb
mais il pleure constamment. Au début de décembre, l'oeil redevient
rouge
, mais pour quelques joursseulement. , Fin déc
bleu de Prusse, le v crL émeraude est il verL foncé, le rose est v
rouge
; tous les tons loncés : rouge, vert foncé, ble
ude est il verL foncé, le rose est v rouge ; tous les tons loncés :
rouge
, vert foncé, blende Prusse, violet foncé, sont
le blanc et toutes les couleurs, bleu, jaune, vert, violet, même
rouge
: il va du chiffre 30° en dedans au chiffre 55°-(
eux yeux sur un objet déterminé : carré de papier (Parinaud), croix
rouge
(Pitres), point (iig. 15), etc., et que je plac
re. Si je remplace le rond noir de la ligure I, par un rond coloré,
rouge
, bleu, vert, de même dimension et que je place le
e la phrase, placées à droite du carton, mais ces lettres sont vues
rouge
très foncé et de dimension plus petite que la r
ou verts, elle lit la phrase entière, elles lettres, tout à l'heure
rouge
foncé, apparaissent maintenant toutes en rose e
uquel se détachent, en clair, des lettres alternativement vertes et
rouges
. On place alors devant les yeux du malade des 's
e alors devant les yeux du malade des 's lunettes dont un verre est
rouge
et l'autre vert, puis on lui fait L lire les le
le sujetala ,ne normale,il litavecl'oeil au verrerougclcsleL- tres
rouges
, et avec l'oeil au verre vert les lettres vertes
aurolique de l'oeil droit, ayant un verre vert à droite et un verre
rouge
à gauche, elle ne lira que les lettres rouges du
t à droite et un verre rouge à gauche, elle ne lira que les lettres
rouges
du ta-' bleau : or elle lit aussi les lettres v
le ne devrait voir que les lettres vertes ; or elle lit les lettres
rouges
; donc elle voit avec l'oeil droit dans la visi
ue et place un verre coloré sur l'oeil gauche, par exemple un verre
rouge
. Valentinene lit que les lettres rouges ; j'enl
gauche, par exemple un verre rouge. Valentinene lit que les lettres
rouges
; j'enlève alors le verre opaque de l'oeil ambl
ve alors le verre opaque de l'oeil amblyope et elle lit les lettres
rouges
et vertes ; si je mets un verre verL à;;auclle
ès que j'ôte de nouveau le verre opaque, elle lit aussi les lettres
rouges
. Elle voit donc de l'oeil droit au moment de la
ns la vision binoculaire. - Expérience 20. En se servant de lettres
rouges
, les résultats sont identiques ; avec cette dif
ttre L, mais une lettre L réduite dans ses dimensions et de couleur
rouge
foncé presque noir ; cette dyschro- matopsie et
de façon que le verre vert soit adroite (oeil amblyope) et le verre
rouge
à gauche (oeil sain). Pour obturer complètement l
obturer complètement la vue gauche, il suffit que je place un verre
rouge
devant le verre vert : car rouge sur vert = noi
e, il suffit que je place un verre rouge devant le verre vert : car
rouge
sur vert = noir. Dans ces conditions, au début,
gauche. En mettant inversement le verre vert à gauche et le verre
rouge
à droite (oeil amblyope) et en obturant la vision
roite (oeil amblyope) et en obturant la vision gauche avec un verre
rouge
sur le vert, ce qui donne noir, la vision droite
qui donne noir, la vision droite peut encore distinguer les lettres
rouges
, mais ces lettres sont diminuées de moitié comm
s, mais ces lettres sont diminuées de moitié comme grandeur et d'un
rouge
foncé pres- que noir. Ce fait semblait indiquer
opie complète étaitsiisceplible de se récupérer en partie, grâce au
rouge
qui est. comme chacun sait, la couleur de prédi
ques instants à voir, de son oeil amblyope, les caractères verts ou
rouges
, suivant qu'il avait devant lui un verre vert o
rouges, suivant qu'il avait devant lui un verre vert ou un verre
rouge
, et avec leurs dimensions et leurs couleurs nor-
met un verre opaque devant l'oeil gauche de Valentine et un verre
rouge
devant son oeil amblyope, ullclitnettement les le
l amblyope, ullclitnettement les lettres rou- ges;sionchaugeclwerre
rouge
parmi vert, elle lit bien les lettres vertes. D
suivantes : Avec des cornets en papier noir ou bleu très foncé, ou
rouge
très foncé, placés devant l'oeil gauche ouvert
'oeil droit. l. ' Avec des cornets de papier vert clair ou foncé,
rouge
, carmin, bleu d'azur, violet, jaune, les ronds
composés de lettres de 12 centimètres de hauteur, les voyelles en
rouge
,les consonnes en noir, et des cartons de gros c
nes en noir, et des cartons de gros chiffres, les chiffres pairs en
rouge
, les in- pairs en noir. III. Enfants propres
si que dans la région temporale du même côté ; l'oreille droite est
rouge
, les lèvres ne sont pas noires. T. R., 39°,2. -
du côté de la face, la joue droite est beaucoup plus gonflée, plus
rouge
. T. R. 39°,6. -Soir : 40°,3. 27. - T. R. 39°,4.
postérieure du cou et de l'épaule droite. La plaque d'érysipèle est
rouge
; le bourrelet n'est pas franc ; les bords vont
nt très marqué de la lèvre supérieure et de la joue droite, qui est
rouge
et luisante. Tympanite considérable. T. R. 390;
a grande scissure, l'est au contraire à un degré très notable, d'un
rouge
bleuâtre et un peu oedémateuse. Il n'y a pas de
le D' Murray dit que la proportion des globules blancs ou globules
rouges
estde i à : i0; que les globules rouges du sang
globules blancs ou globules rouges estde i à : i0; que les globules
rouges
du sang en proportion à l'échelle normale est d
. Il n'y avait aucune altération morbide dans l'aspect des globules
rouges
ou blancs. Respiration. - Tout à fait normale à
au comme oedématiée; les mains ramassées; les doigts épatés étaient
rouges
, cyanosés, comme infiltrés; l'abdomen était trè
ans les bronches, un peu de liquide spu- meux, légèrement teinté de
rouge
; le poumon contient de l'air, est oedémateux, a
4° Sang normal, autant qu'un en peut juger sur le cadavre; globules
rouges
de taille et couleur normales, pas d'augmenta-
ïdienne inférieure contiendrait un plus grand nombre de corpuscules
rouges
. GLANDE THYROÏDE : PHYSIOLOGIE. 99 brièvement
ur, à midi et le soir. Il disait que le plancher tournait, devenait
rouge
, mais il ne tombait jamais. Huit jours après le
e de la peau est moins accusée que les- jours précédents. Face très
rouge
, yeux mi-clos, bouche ouverte. Le malade parait
L'enfant ne réagit plus au pincement, La face présente des plaques
rouges
. Coma. Mort à onze heures du soir. Température
Réduction d'un tiers. de la protubérance; il est entouré d'une zone
rouge
sombre, brunâtre, un peu ramollie, qui s'étend
valle de ces secousses. Pouls petit, régulier, rapide, face un peu
rouge
surtout aux pommettes. Pupilles égales et dilatée
parce qu'il ne mange pas, dort toute la journée et qu'il a la face
rouge
. Il ne se plaint pas. 19 avril. L'enfant a pr
lcé- ration sur leur bord formant bourrelet; elles ont une teinte
rouge
vineuse, sont saignantes et ramollies, il existe
atrices de vaccin à chaque bras; les doigts à leur extré- mité sont
rouges
. Membres inférieurs '. Ils sont également très
omplètement disparu. Les muscles sont atrophiés, ont une coloration
rouge
sau- mon. Pas de liquide dans la cavité abdomin
sses, un grand nombre de capillaires sont aussi remplis de globules
rouges
; il semble donc que l'on ait affaire à de vérit
encore des globu- les de sang épanché ; le pigment de ces globules
rouges
a été repris par les cellules interstitielles d
son étendue. L'ulcération est irrégulière, présente une coloration
rouge
foncée. Sur la ligne médiane, il existe une dép
8°,8. 17 mars. Respiration fréquente. Pouls accéléré, petit. Face
rouge
, lèvres un peu cyanosées. Des sécrétions abon-
late ; d'autres fois, les accidents s'arrêtent la ; la face devient
rouge
et Lel... revient à lui disant : oc c'est redes-
iquement par la pré-sence anomale d'une proportion énorme de globules
rouges
diffé-rents des globules ordinaires et auxquels o
sont pas décolorées, et n'ont jamais donné de concrétion; l'urine est
rouge
brun. Dans l'intervalle de ces crises, l'appétit
sang ordinaire ; le diamètre ne dépasse pas 0mm,010. — Les glo-bules
rouges
discoïdes paraissent normaux, mais au milieu des
dernier, le sang ne montre plus un seul microcyte, mais les globules
rouges
, parfai-tement conformés du reste, sont, en génér
ur eux, les globules blancs représenteraient l'enfance, les glo-bules
rouges
discoïdes, létat adulte et, les microcytes, la pé
en un mot, elle en fait des microcytes. Comme une partie des globules
rouges
échappent naturellement à cette transfor mation,
Altération de l'urine. Les caractères principaux sont la colo-ration
rouge
brun, la richesse en acide urique et en uroérythr
ns lu- rine. Le 17 mai, il s'écoule environ 50 centilitres de sang*
rouge
clair, dans lequel le microscope fait reconnaître
angible pour l'œil que la lumière blanche et bien plus que la lumière
rouge
; 2° la lumière bleue est plus perceptible que la
e la myélite destructive avec formation d'un foyer de ramol-lissement
rouge
. Quoi qu'il en soit, vous comprenez aisément, mes
, mais multiples. Fréquemment, mais passagèrement, de grandes plaques
rouges
, rappelant plutôt l'éry-thème que l'urticaire, se
es sur les épaules, à la face (nez et menton) de boutons acnéiformes,
rouges
à leur base, purulents au sommet. En même temps
i poils, ni orifices glandulaires. Le tégument correspondant est plus
rouge
que celui des régions avoisinantes. Sur quelques-
e n'est qu'il présentait, en un point peu étendu, une coloration plus
rouge
, mais il n'y avait pas d'adhé-rence à ce niveau e
ers inférieur. Pouls petit, fréquent. Poudre d'amidon sur les parties
rouges
et tuméfiées. 20 mars. L'érysipèle blanchit, la
'ici, ses menstrues très-régulièrement. Le sang qu'elle perdait était
rouge
et abondant. La durée des règles, qui d'abord éta
e, entre les petites lèvres, une saillie du volume d'une pomme d'api.
Rouge
dans la plus grande partie de son étendue, il éta
homme et quelquefois plus. Une coupe de l'organe est marbrée de tons
rouges
et sépia, et res-semble un peu à celle des muscle
a verge. Au-dessous de la tu-meur on aperçoit les bourses teintées en
rouge
sombre, par un érythème chronique, résultat du co
épithéliales, mais bien plutôt à des masses irré-gulières de globules
rouges
décolorés et soudés entre eux par petites masses^
avec ses caractères et ses éléments normaux. Ailleurs, sa surface est
rouge
, enflammée et même érodée ou exulcérée. Ces ulcér
grosse et descendant plus bas. Ces deux lèvres sont globuleuses, d'un
rouge
vif, non ulcérées. Quand la malade est dans la po
nt aux instances de la malade, il se borne à cautériser le col au fer
rouge
. Cette cautérisation fut faite de manière à produ
e, à parois de consislance ordinaire. Pont et moelle injectés de sang
rouge
grisâtre sale. — Poumons injectés et œdématiés. —
regardé s'éloignait vers le côté droit du malade. En plaçant un verre
rouge
sur l'œil droit et en promenant une bougie allumé
dépassait le plan médian du corps pour passer au côté droit; l'image
rouge
était à droite, l'image blanche à gauche, à 30 ce
onts d'un point à l'autre de la surface ulcérée. Cette dernière, d'un
rouge
vif, mamelonnée, offre quelques dépressions anfra
ligatures artérielles, et, sur plusieurs points, on arrête parle fer
rouge
l'hémorrhagie, plutôt veineuse qu'artérielle, don
Ce liquide, placé sous le champ du microscope, renferme des globules
rouges
du sang avec quantité de corps granuleux, au mili
ailleurs toute la bénignité des surfaces résultant de l'action du fer
rouge
et de l'écraseur. M. Verneuil a déjà maintes fo
u'il travaille davantage ; dans les glandes, il devient d'autant plus
rouge
. » XXI. Les glandes salivaires. — « Le système
perficielles qu'à travers la peau très-amincie, on voit la coloration
rouge
avec un reflet bleuâtre du sang. Les autres bosse
gestion manifeste de la trompe gauche: l'ovaire gauche était tuméfié,
rouge
et entre cet organe et la trompe existait une pet
ntôt des végétations fon-gueuses qui durent être détruites par le fer
rouge
. Bien que les autres faits reproduits par M. Il
ides. Lesmembres sont courts, les mains ramassées, les doigts épatés,
rouges
, cyanoses, comme infiltrés; les doigts sont très
ses. 19 août. — On s'aperçoit que la région parotidienne droite est
rouge
et tuméfiée. La malade, qui depuis trois jours
t à guérir, elle tend elle-même à se réparer. La cautérisation au fer
rouge
, que M. Charcot applique depuis quel-ques aimées
-cace que la première. On ne iriompha de l'hémorrhagie qu'avec le fer
rouge
et la glace portée pendant vingt-quatre heures à
plir? Sans altérer leur forme, l'oxyde de carbone enlève aux globules
rouges
du sang le pouvoir d'absorber l'oxygène. Ils roul
ne époque voisine de l'accès, on trouve presque toujours la synoviale
rouge
, injectée, vascularisée ; ces phénomènes ne vont
nt ne contient guère plus d'alcool que les précédents. « L'ermitage
rouge
et le bourgogne, ce dernier surtout, dit Scudamor
tères de l'arthrite avec exsudation séro-fibrineuse; la synoviale est
rouge
et vascularisée, et sa cavité renferme un liquide
ang (augmentation du chiffre de la fibrine et diminution des globules
rouges
), et par la coexistence fréquente, nous pourrions
xiste en même temps une diminution considérable du taux des glo-bules
rouges
. Sous ce rapport, la composition du sang dans le
l'encéphale sont atteints, il en résulte des ramollissements, tantôt
rouges
, tantôt blancs, qui sont l'une des causes les plu
-paru. Le col du fémur était raccourci; la tête du fémur gauche était
rouge
et vascularisée, et de nombreux dépôts osseux cou
ne dépasse pas celle d'une pièce d'un franc, appliqué sur la jointure
rouge
et tuméfiée, agit souvent d'une manière efficace
entaient les caractères les plus accusés de l'hépafisation granuleuse
rouge
et grise; ce pou-mon pesait environ 1.000 grammes
es deux mains, et presque en même temps celles des genoux, deviennent
rouges
et un peu gonflées, mais sans douleur notable et
st par le genou gauche que le mal débute cette fois ; la jointure est
rouge
, tuméfiée, douloureuse. Ces phénomènes disparaiss
a observé que souvent, à cette époque, ses urines étaient troubles et
rouges
; en même temps, elle avait des sueurs abon-dantes
mains ; quelques mois après, elle voit tes poignets devenir égatement
rouges
et gonflés. Mais elle ne cessait pas de faire son
é un certain degré de mobilité, la membrane synoviale était injectée,
rouge
, violacée, comme variqueuse, et de sa face intern
u de rougeur ; quel-que temps après, le genou droit se prend, devient
rouge
, et surtout gonflé. On applique sur cette partie
es articulations des orteils du pied gauche deviennent simulta-nément
rouges
, tuméliées, et causent des douleurs analogues à c
point de côté, les articulations des mains, qui étaient gon-flées et
rouges
, cessèrent subitement d'être tuméfiées et dou-lou
minute ; face jaunâtre, légère-ment cyanosée ; nez froid; joue droite
rouge
et chaude ; lan-gue très sèche; râle laryn go-tra
re dans l'épaisseur de sou lobe supérieur trois noyaux d'hépatisation
rouge
, chacun de la grosseur d'une noix. La dure-mère
r-ties qui correspondent à l'hémisphère gauche, on remarque des îlots
rouges
, comme imbibés de sang,saillants, irréguliers, di
sanguines. La moitié droite de la dure-mère présente quelques points
rouges
analogues, non réunis sous forme de plaques. —
ectés s'y dessinent, sous forme de petites stries et de petits points
rouges
, visibles à la loupe ou môme à l'œil nu. La subst
n des tubuli, et qui se dessinent vivement sur la substance tubuleuse
rouge
et injectée. L'extrémité de quelques-uns cle ces
e avec la gravelle urique ; c'est le dépôt de petits grains jaunes ou
rouges
, composés d'acide urique fixés dans la subs-tance
rits M. Rayer. Dans les cas de M. Rayer, en effet, ce sont des grains
rouges
compo-sés d'acide unique, tandis que dans l'obser
!, À) linéaires, se déta-chaient vivement, sur la substance tubuleuse
rouge
et injec-tée. Examinée sur des coupes fines, à de
Dans ces articulations,la synoviale était fortement injectée et d'un
rouge
de sang dans tous les points où elle était respec
Il est entré hier à l'hôpital avec la plupart des grosses join-tures
rouges
, douloureuses et tuméfiées, principalement celles
les articulations des orteils du pied gauche deviennent simultanément
rouges
, tuméfiées et causent des douleurs ana-logues à c
du point de côté, les articulations des mains qui étaient gonflées et
rouges
cessèrent subitement d'être tuméfiées et douloure
tar-sien à la phalange. Dans ces mômes jointures, où la synoviale est
rouge
, villeuse, couverte de bourgeons charnus, on renc
rosion des cartilages, et en général, les capsules synoviales étaient
rouges
et enflammées. Voici d'ailleurs l'indication somm
roportion variable d'albumine, et quelquefois, en outre, des globules
rouges
du sang. II. En second lieu, on rencontre les l
urgogne. — C'est dans ce sens que Scu-damore a pu dire : « L'Ermitage
rouge
et le Bourgogne, le der-nier de ces vins surtout,
omac et celle de de l'intestin sont, chez les oiseaux, habituellement
rouges
et enflammées ; les follicules gastriques sont en
ors même que l'affection est de date récente et que les articulations
rouges
, tuméfiées et douloureuses, présentent les signes
é liés, la membrane muqueuse de l'estomac et celle de l'intestin sont
rouges
et enflammées. Les follicules gas-triques sont, e
ne synoviale que les altérations paraissent débuter. Celle-ci devient
rouge
, vivement injectée, et de sa surface interne par-
ume, en même temps que la peau qui les recou-vre prend une coloration
rouge
plus ou moins prononcée. — Ces paroxysmes coexist
rois pièces communiquant entre elles par des portes brisées, un tapis
rouge
foncé, très épais, couvre le parquet et éteint le
enue khaki par des ornements en métal ou en draps de tons voyants, le
rouge
généralement. De plus, la coupe particulièrement
suggestion des couleurs, sont, elles aussi, au nombre de trois : Le
rouge
, le bleu, le jaune. Le rouge est la couleur la
elles aussi, au nombre de trois : Le rouge, le bleu, le jaune. Le
rouge
est la couleur la plus vive, celle qui possède le
ation nerveuse : les ouvriers employés dans les ateliers à coloration
rouge
deviennent irritables, surexcités, et on ne peut
éral des individus qu'elle réclame. Les propriétés de la coloration
rouge
furent' bien connues des Egyptiens qui surent en
certains animaux. La vue du sang produit le même effet. L'excitation
rouge
peut donc aller jusqu'à déterminer chez l'homme,
homme, aussi bien que chez l'animal, des fureurs et des violences. Le
rouge
a été le plus souvent l'emblème des peuples soule
l, triomphe ou défaite, de l'effort. A l'époque romaine, le drapeau
rouge
dut se faire harmonique et perdre sa brutalité en
s effets d'accompagnement plus doux. En résumé, c'est la coloration
rouge
qui représente à elle seule le groupe des couleur
lme, de repos, de tranquillité, qu'on ne saurait trouver dans un ciel
rouge
, toujours un peu inquiétant. Le vert, couleur d
e couleur d'accompagnement, destinée à souligner la note excitante du
rouge
ou calmante du bleu ; elle peut être remplacée pa
ouge ou calmante du bleu ; elle peut être remplacée par les ors. Le
rouge
, le bleu, le jaune, employés comme couleurs à eff
ment. Voit-on un homme uniformément habillé de la tête aux pieds de
rouge
, de bleu ou de noir ? Les soldats bavarois, ent
entièrement bleus, ont quelque chose de fade, de peu guerrier, que le
rouge
du col, des parements et des passe-poils ne suffi
rements et des passe-poils ne suffit pas à racheter. Notre pantalon
rouge
n'est pas d'un heureux choix au point de vue du r
oire, corrigent quelque peu ce défaut. Chez les Anglais, la tunique
rouge
, laquelle n'est plus d'ailleurs qu'un vêtement de
Nous n'en dirons pas autant des culottes de nos zouaves ou des vestes
rouges
de nos spahis. Ici, nous avonsaffaire à l'Orient,
vec le fond lumineux de leur ciel d'un bleu intense, les perspectives
rouges
et brûlantes de leur pays de sable, celles de leu
enir combattants en temps de guerre : les passepoils et les parements
rouges
. Un exemple encore : dans la cavalerie, les t
mple encore : dans la cavalerie, les trompettes portent des crinières
rouges
à leurs casques. Ne sont-ils pas particulièrement
d'exciter au combat. Ils ne sabrent pas, ils sonnent la charge, donc
rouge
, couleur de feu, d'action vibrante, à placer sous
is de fer, havane, cachou ou verdâtre, il sera essentiel de donner du
rouge
aux combattants : coiffure, col, épaulettes, pare
igée par des brandebourgs, sont loin d'avoir l'aspect combatif du col
rouge
des cuî- rassiers et des artilleurs. Les pareme
. Nous en trouvons la preuve dans l'effet du moindre galon de laine
rouge
sur la manche bleue de nos soldats. Les galons de
ur gris clair à teinte verdâtre. Les parements et le col de couleur
rouge
(ce dernier diminué d'un demi-centimètre) et les
invisibilité totale qui eût été obtenue en supprimant complètement le
rouge
et le métal. Ils restent ainsi fidèles à une viei
respecter les lois avec, comme par le passé, quelques indications de
rouge
pour la fonction éventuelle de guerre. Cette dern
e de quelques circonstances extérieures, comme l'action de la couleur
rouge
, celle de l'air frais qui frappe subitement son v
ue circonstance imprévue, peut-être cette sorte de fascination par le
rouge
qu'elle dit avoir éprouvée, avec l'action de l'ai
gère qu'il applique un sinapisme sur sa peau, que celle-ci va devenir
rouge
et brûlante, etc. Or, aucune rougeur n'apparaît ;
ée, on voyait, au bout de quelque temps, cette lettre apparaître très
rouge
et recouverte de petites bulles de sang. (i) Vo
ujet, des expériences tout à fait démonstratives. II fit, avec un fer
rouge
, une brûlure vraie à chacun des bras en s'appliqu
ce anal artificiel, de la longueur d'un centimètre et demi ; elle est
rouge
et humide. En écartant les fesses j'aperçois à la
s et le rend sage. 4* Le Kaloeng-rnerdjan-Arab ou collier de corail
rouge
est considéré à Java (comme aussi en Hollande), c
sque les grains sont pâles, et de bonne santé lorsque les grains sont
rouges
, brillants. Je vous cite encore le Kaloeng-soen
déjà (1) S'appuyanl sur le fait qu'il est aussi question de couleur
rouge
dans ces versets quelques auteurs ont voulu y voi
es par la pression, par la marche et par la sta-tion. La langue est
rouge
, sans enduit, parfois sèche. La peau s'é-chauffe
n blanc jaunâtre, mat, opaque, qui tranche vivement sur la coloration
rouge
foncée des tégu-ments. Voici, d'ailleurs, d'une m
ré d'une substance particulière, de l'autre, se voit une auréole d'un
rouge
vif sur laquelle les folli-cules pileux sont enco
au. Les taches livides peuvent reprendre spontanément leur coloration
rouge
primitive, pâlir ensuite, puis enfin disparaître
ures apparaissent les symptômes de la maladie constituée. La face est
rouge
, la physionomie s'altère ; fréquemment il se mani
illis pendant les années 1834 à 1838 en Egypte, en Arabie, sur la mer
Rouge
, à Smyrne et à Constantinople, Paris 1843, in-8.
e tumeur ovoïde, lisse ou légèrement bosselée, tantôt avec une teinte
rouge
, violacée, d'autres fois sans changement de cou-l
siègent dans les cavités du corps sont, à divers degrés, volumineux,
rouges
, ramollis; on y rencontre souvent des points de s
se, les ganglions lymphatiques profonds à peu près partout tumé-fiés,
rouges
, friables même; la rate est volumineuse; les memb
s les membres. Ils ont de l'inappétence, des nausées; leurs yeux sont
rouges
et brillants; ils éprouvent un sentiment de fatig
articulière. Elle présente bientôt, surtout à la face, une coloration
rouge
acajou, plus ou moins foncée, lorsque la réaction
, humide, est couverte d'un léger enduit blanchâtre ; elle est un peu
rouge
à la pointe et sur les bords. La déglutition est
l existe une soif ardente et les urines sont rares, d'une colo-ration
rouge
foncée et sédimenteuses. — Le ventre est habi-tue
lors comme marbrée ou semée de taches jaunes, gomme-gutte, oranges ou
rouges
. Les tons les plus clairs paraissent correspondre
a vésicule du fiel est tantôt pleine d'une bile épaisse et visqueuse,
rouge
ou noire; tantôt à peu près vide. Quelquefois on
sang des cada vres est gé-néralement fluide et noirâtre ; il teint en
rouge
foncé la paroi interne des veines caves, celle de
de l'épiderme soulevée ; il reste alors une ulcération superficielle,
rouge
, qui marche assez vite vers la cicatrisation. L'a
conjugaison et, à l'autopsie, elles ont été trouvées en ces points-là
rouges
, tuméfiées, évidemment enflammées. Les ganglions
méfaction et une injection vasculaire marquée par une coloration d'un
rouge
vif. Ces particularités sont surtout remar-quable
de l'état normal. En dehors des troncs de conjugaison, la coloration
rouge
des troncs nerveux s'efface peu à peu, et elle n'
rvical. L'examen microscopique des ganglions et des troncs nerveux,
rouges
et tuméfiés, a démontré ce qui suit : dans les ga
olorante de la bile. Le grand épiploon présente une coloration d'un
rouge
vif, et il est comme pelotonné, recoquillé. Une c
très abondant, mais en même temps il se colore en vert foncé, puis en
rouge
quand on y ajoute un excès d'acide. A l'examen mi
ine dans l'intérieur des hydatides du foie et d'une matière colorante
rouge
dans les corpuscules calcaires de quelques échino
leurs autres caractères, une modification appréciable, une coloration
rouge
très intense, tout à fait analogue à celle qui di
it au-dessous de la membrane acéphalocystique, de petites taches d'un
rouge
carmin et dans lesquelles on a constaté au micros
granulations des échinocoques ne présentaient pas la colora-tion d'un
rouge
vif, qui a été mentionnée plus haut à propos des
ydatique du foie également, le docteur Hyde Salter trouva une matière
rouge
et cristallisée (hématoïdine). Les cristaux se tr
n'ont jamais présenté d'altérations, ni en particulier la coloration
rouge
foncée propre à la cirrhose. Deux mois environ
site. La langue, qui était restée longtemps naturelle, devient très
rouge
; il en est de même des parois buccales, qui se c
uleurs revenant par accès, comparées à celles que produiraient un fer
rouge
et qui, des talons, remontent dans toute l'étendu
éac-tion alcaline. Nous avons vu cependant, dans deux cas, le pa-pier
rouge
de tournesol appliqué sous les aisselles pendant
série de cicatrices qui montrent qu'on a appliqué le cau¬tère, le fer
rouge
circulairement, des traces de l'application de vé
ent complètement détruits, et le tissu osseux, piqueté d'un pointillé
rouge
très-manifeste, était le siège d'une ostéite évid
e de cette surface, plus large que la moitié gauche, offre une tumeur
rouge
noirâtre, d'une consistance médiocre, ayant envi¬
esquels se trouve un caillot rendu pendant la nuit, et un peu de sang
rouge
, spumeux, expectoré récemment. Même état général.
es bords de cette large fente sont irréguliers, fortement colo¬rés en
rouge
par le sang qui les a imbibés ; dans le foyer hém
celluleux ; sa coloration varie, suivant les points, du jaune ocre au
rouge
foncé. La dure-mère rachidienne est épaisse; ve
ptique est épaissi dans une étendue de 0m,02 environ, avec une teinte
rouge
foncée ; on trouve même une petite collection san
face des lam¬beaux était blanche, peu saignante. Cautérisation au fer
rouge
. Jusqu'en 1865, le malade fait pratiquer deux f
it du vin, rarement de l'eau-de-vie. Le matin, à jeun, il boit du vin
rouge
, sans aliments, et avant ses repas un verre d'ab
lcérations à travers lesquelles surgissent comme des champignons d'un
rouge
vif et parsemés de points blanchâtres. Nous somme
t survenue sur les bras une nouvelle éruption composée de taches d'un
rouge
foncé et recouvertes de squames. Avant son admiss
second lieu, on trouve çà et là, entre les croûtes, des papules d'un
rouge
cuivré, recouvertes de squames (éruption papulo-s
s. La lèvre supérieure, où les croûtes sont tombées, a une coloration
rouge
de cuivre. La distribution des croûtes, leur form
orsqu'on dispose de moyens plus simples. Kamala. — C'est une poudre
rouge
que l'on retire du liottlera tinctorea. On le don
— Tube digestif: estomac à demi rem¬pli d'aliments; l'intestin grêle,
rouge
extérieurement, présente à l'intérieur des arbori
é¬sente des cicatrices, blanches et lisses en quelques endroits, d'un
rouge
un peu violacé dans la plus grande portion de leu
XIX. La face dorsale du méta¬carpe est envahie par une cicatrice d'un
rouge
un peu vineux, limi¬tée en haut par une bande de
semaines, les téguments devenus plus souples avaient cette coloration
rouge
violacé spéciale aux manifestations de la scroful
es, vingt aveugles, dix borgnes et vingt autres dont les yeux étaient
rouges
, purulents et tachés. » Celte assertion de l'illu
un grain de sable entre la paupière et l'œil : la conjonctive devient
rouge
dans un point; cette rougeur s'étend; la vue s'ob
ans les seins, qui étaient turgescents. Le mamelon droit était un peu
rouge
; la montée du lait s'était effectuée. Les différe
lée. P. 72; T. 38u,6. Soir : P. 76 ; T. 37°4. — 17 mai. Langue nette,
rouge
; nuit bonne. P. 68; T. 56°,2 ; l'enfant tette. So
seins sont tuméfiés, non douloureux. P. 64; T. 58°,9.— 25mai. Lochies
rouges
. Seins remplis de lait. L'enfant tette bien. P. 6
ement le climat sous lequel il vit. Presque toujours, il a les yeux
rouges
et chassieux ; ses cils sont accolés les uns aux
t de misère et repoussants de malpropreté. Leurs yeux sont chassieux,
rouges
, en¬flammés, souvent pleins de pus, et, chose inc
Corps rigide, en extension. raçe congestionnée, plutôt violacée que
rouge
. Mains fermées, les pouces en dedans. Secousses
ixé sur leur forme véritable. Ils adhèrent fréquemment aux globules
rouges
par une de leurs extrémités. Il arrive/suivant
étaient sains, les reins seulement un peu volumineux et de couleur
rouge
brun, et on trouvait vers leur surface des sign
tance de l'hémisphère : elle était remplie de grands caillots mous
rouge
foncé, récents, et de quelques autres plus petits
LINIQUE NERVEUSE ? Sur un cas de papillome épithélioïde 'du noyau
rouge
. Contribution à l'étude des fonctions du noyau
de 'du noyau rouge. Contribution à l'étude des fonctions du noyau
rouge
; - PAR i M. le Professeur RAYMOND et M
lésions de la voie pyramidale, il en est une qui attribue au noyau
rouge
un rôle important, rôle producteur d'après elle
ie du 15 mai 1902, qui z concerne une destruction complète du noyau
rouge
gauche accompagnée cependant d'exagération du t
ération du tonus musculaire. > Certes, les destructions du noyau
rouge
, bien que rares, ne . sont pas exceptionnelles
nous indiquer la fonction précise de l'une ou l'autre partie, noyau
rouge
ou faisceau pyramidal. A ce point de vue, notre
ste en un papillome primitif épithélioïde, qui a détruit le noyau
rouge
mais respecté entièrement les fibres pyramidales,
arole. Hypoesthésie du côté droit. Néoplasme ayant détruit le noyau
rouge
gauche et une grande partie du noyau rouge droi
e ayant détruit le noyau rouge gauche et une grande partie du noyau
rouge
droit. T..., cinquante-sept ans, charbonnier, n
ibres de cette troisième paire, sectionner dans son milieu le noyau
rouge
droit; enfin venir , aboutir de nouveau au fond
de la troisième paire (noyau et fibres) ; 2° en totalité, le noyau
rouge
; 3° la moitié interne du faisceau sensitif. B, à
et des libres de la troisième paire ; 2° la partie interne du noyau
rouge
. Sont au contraire tout à fait épargnés, les pi
les régions du pédoncule détruites, à gauche, la totalité du noyau
rouge
et de la troisième paire, à droite, la moitié i
ouge et de la troisième paire, à droite, la moitié interne du noyau
rouge
et de la troisième paire. Nous avons indiqué au
n faisceau rubro-spinal qui établirait des relations entre le noyau
rouge
et les divers étages médullaires. Nous avons tr
if du néoplasme est à signaler; nous pouvons dire que tout le noyau
rouge
gauche a disparu dans l'intervalle de trois moi
a troi- sième paire aussi bien dans son trajet à travers le noyau
rouge
qu'au niveau de son noyau, à droite la partie int
ès le début, ont apparu des troubles d'in- coordination et le noyau
rouge
gauche a été détruit, car sa place est occupée
e est occupée par le centre du néoplasme. 1 La fonction de ce noyau
rouge
est encore inconnue. Nous discuterons plus loin
nérescence dans le pédoncule cérébelleux droit, au-dessous du noyau
rouge
gauche. Quoi qu'il en soit, le noyau rouge est
t, au-dessous du noyau rouge gauche. Quoi qu'il en soit, le noyau
rouge
est en connexion intime avec le pédoncule céré-
lariser les mouvements volontaires. C'est donc à la lésion du noyau
rouge
gauche et par suite du pédoncule cérébelleux su
cules cérébelleux supérieurs, de telle sorte qu'une lésion du noyau
rouge
gauche agit en réalité sur le pédon- cule céréb
pouvons conclure de l'étude de notre malade qu'une-lésion du noyau
rouge
, du pédoncule cérébelleux supérieur au niveau d
, la lésion du pédoncule cérébelleux supérieur au niveau du noyau
rouge
. Un dernier point reste à analyser, l'état du t
100 CLINIQUE NERVEUSE. le mésocéphale, en particulier dans le noyau
rouge
et par- viendrait à la moelle par la voie céréb
centres d'excitation du tonus musculaire, en parti- culier du noyau
rouge
, doit déterminer au contraire une /n/)0<o ?
u moins marquée. Or, notre malade présente une destruction du noyau
rouge
sans altération de la voie pyramidale, réalise
pendant. On ne peut dire par suite que, chez notre malade, le noyau
rouge
était le centre producteur du tonus. Au surplus
ie-mère pédonculaire et ayant détruit à gauche la totalité du noyau
rouge
, à droite la moitié interne de ce même noyau, a
use supérieure, inter- rompue dans le cas actuel au niveau du noyau
rouge
. PATHOLOGIE NERVEUSE Tremblements infantiles
jeter sur le corps une couver- ture arabe à -raies alternativement
rouges
et blanches, un 14O L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈS
hives de Neurologie, prouve nettement que la destruction des noyaux
rouges
n'abolit pas les réflexes tendineux. 'SI. van G
fait coller sur les monuments publics de Paris de grandes affiches
rouges
où elle exposait ses malheurs et ses protestati
a Ville de Paris, en 1885. Le 13 juillet 1882, il recevait le ruban
rouge
; le 17 mai 1888, atteint par la limite d'âge, i
apparaît congestionné. Enfin, on trouve deux foyers d'hépatisation
rouge
, un dans chaque lobe, entourés de tissu non hép
ondes qui physiquement, sont les plus différentes, c'est-à-dire le
rouge
et le violet, ont été les premières à être diff
le spectre solaire était presque entièrement gris. sauf une teinte
rouge
à l'une de ses extrémités, violette à l'autre : c
apparaît une quatrième couleur, le jaune, à moitié chemin entre le
rouge
et le vert : ensuite viennent le bleu et l'orange
malade, par liesse, 426. d'angoisse, par Hartemberg, 530. Noyau
rouge
. Sur un cas de papil- lome épithélioïdedu noyau
pliique. Voir ? zévi,ile. Papillome ÉPITIIÉLI01DE. Voir noyau -
rouge
. Paralysie faciale périphérique. Voir Bell, L
te mère j'ai mal au coeur » et, à chaque fois, sa figure de- venait
rouge
; puis, à la suite d'un étourdissement ultime,il
, qui empiète surtout sur la fesse gauche sous forme d'un bourrelet
rouge
, induré, large de trois travers de doigt; elle
s de la façon suivante : elle tombait n'importe où, devenait très
rouge
, mais n'écumait ni ne se débattait. On prétend mê
ntense (50 respi- rations par minute). Les pommettes du visage sont
rouges
. Le pouls petit, rapide, assez régulier, est de
ton. Les lèvres sont desséchées; la langue blanchâtre, avec piqueté
rouge
; Fi[l. 4. - 1 ? éruption. 100 ÉPIDÉMIE DE ROU
saburrale ; à travers l'enduit blanchâtre, se déta- che un piqueté
rouge
, dû à l'érection des papilles, anorexie, diarrh
trouvons dans un état de somnolence et d'abattement. La face est
rouge
, tuméfiée. L'éruption est discrète, sans affecter
ption est très con- fluente; elle se présente sous forme de plaques
rouges
et lisses. La conjonctivite est intense; photop
e ulcération impétigineuse. Le visage est parfois marbré de plaques
rouges
. Traitement tonique. Poids du corps, 9k,200. Ta
on apparition. Au niveau du visage, il se manifeste par des plaques
rouges
, dont l'aspect ne rappelle en rien celui d'une
tronc, l'abdomen, les cuis- ses, il prend la forme d'un fin piqueté
rouge
. Il fait défaut sur les bras et les jambes. En
ses sous-pleurales interlohaires. On trouve un noyau d'hépatisation
rouge
sur le lobe inférieur. Toute la partie la plus
inférieure. L'estomac montre des ecchymoses sous-mu- queuses d'un
rouge
vif, surtout au niveau du grand cul-de- sac. L'
iniforme, dans ses deux principales modalités : d'une part, plaques
rouges
, lisses, sur le visage ; d'autre part, exanthèm
ré à l'autop- sie des noyaux de bronchopneumonie, en hépatisation
rouge
. Mais nous croyons que cette lésion n'a été que
otum. Langue saburrale. Erection des papilles qui se détachent en
rouge
sur le fond blanc de l'enduit. Diarrhée glaireuse
eur un noyau de broncho-pneumonie, peu volumineux (hépa- tisation
rouge
). ROUGEOLES COMPLIQUÉES, 161 1 Larynx. La muq
tion rouge). ROUGEOLES COMPLIQUÉES, 161 1 Larynx. La muqueuse est
rouge
, injectée, ecchymoséc, surtout sur les deux fac
t vrai, des lésions de broncho-pneu- monie, un noyau d'hépatisation
rouge
, mais les altéra- tions intestinales étaient pl
xte et les planches sont montés sur onglets ; demi-reliure, tranche
rouge
, non rognés,- Prix de la reliure. 5 fr. BOURNEV
t insisté sur ce point. L'action du rouée est la plus excitante. Le
rouge
répond h l'énergie, à la force. Au contraire, le
st froid et calmant. Mettez un lypc-maniaque déprimé dans une chambre
rouge
, il s'améliorera. Un ma-/page> page n="10"&g
ouvriers étaient très excités quand ils travaillaient dans In chambre
rouge
; ilssont devenus calmes depuis qu'on a remplacé l
bre rouge; ilssont devenus calmes depuis qu'on a remplacé les rideaux
rouges
par des verts. Le taureau et le dindon sont excit
par des verts. Le taureau et le dindon sont excités par les couleurs
rouges
; on emploie souvent des lunettes à verres bleu fo
sur les végétaux qui atteignent un développement extraordinaire. Le
rouge
et les couleurs qui s'en rapprochent ; orange, ja
mmes; les femmes, passionnées pour la force et l'énergie, admirent le
rouge
, le vert et le jaune. Les sauvages, qui ne pris
s que l'énergie, ont la passion des couleurs lumineuses et surtout du
rouge
. Cette préférence existe chez les nègres aussi bi
Polynésien. Le Xéo-Calédonïen, rapporte Cook, admire tout ce qui esi
rouge
et prodigue celte couleur pour embellir les potea
tatuettes. A la Nouvelle-Zélande, il suffisait de peindre un objet en
rouge
pour qu'il devînt tabou. Les Gabonais, écrit Dorl
tabou. Les Gabonais, écrit Dorlhac, ne connaissaient que les couleurs
rouge
, blanche et noire avant l'arrivée des Européens.
ouleur préférée des Kafirs Siapochs, peuple de l'Afganistan, était le
rouge
: c'est la couleur de certains ornements des chef
nts des chefs. Les nègres fétichistes du Congo préfèrent la couleur
rouge
; les commerçants emportent toujours pour leurs éc
les commerçants emportent toujours pour leurs échanges des cotonnages
rouge
vif. L'amour du rouge se retrouve dans les fard
t toujours pour leurs échanges des cotonnages rouge vif. L'amour du
rouge
se retrouve dans les fards et les parures qu'affe
rds et les parures qu'affectionnent les sauvages : ils se peignent en
rouge
ou s'enduisent le corps et les cheveux d'une pâte
t en rouge ou s'enduisent le corps et les cheveux d'une pâte d'argile
rouge
mêlée d'huile. Le rouge était la couleur de pré
le corps et les cheveux d'une pâte d'argile rouge mêlée d'huile. Le
rouge
était la couleur de prédilection des Grecs et Rom
e, les nobles seuls avaient le droit légal de porter la pou ! pre. Le
rouge
e3t d'ailleurs resté la couleur dominante dans le
rougs est réservée au roi; chez les Loundas, le roi se met une mitre
rouge
avec une aigrette rouge, etc., etc. A Madagasca
oi; chez les Loundas, le roi se met une mitre rouge avec une aigrette
rouge
, etc., etc. A Madagascar, lo souverain seul a l
tous ceux qui l'accompagnent ù la guerre ou ù la chasse sont vêtus de
rouge
. Aux Indes ou en Chine les couleurs brillantes
e Japon ouvrit ses portes au commerce européen, y expédia des étoffes
rouges
: elles lui restèrent pour compte. Les musulman
nègre fétichiste par son amour du bleu, tandis que l'autre préfère le
rouge
: l'un se tatoue en bleu, l'autre se barbouille l
: l'un se tatoue en bleu, l'autre se barbouille le corps d'ocre. Le
rouge
, couleur excitante, rappelle aussi celle du sang.
nce de la spécification de couleur. Un verre violet peut être presque
rouge
et il peut être presque bleu. M. Camille Flammari
us en rapprocher par des verres bleu indigo satisfaisants. Les verres
rouges
sont bien monochromalïqucs: les verts laissaient
s travaillaient toute lajournéc dans une salle éclairée uniquement en
rouge
, ils se mettaient a chanter, à gesticuler; les ho
ta muraille, ou placez sur l& dent cariée de i'urine de bœuf
rouge
. Un jour, unefemmede la campagne vint nous parl
lle et la température s'abaissent; le sang devient noir; les globules
rouges
diminuent au profit des globules blancs. Tous ces
e ponction qui laisse écouler plus d'un demi-litre d'un liquide épais
rouge
foncé, indiquant un kyste sanguin. Après toutes
région de la peau s'anémie, autour de la région se produit un cercle
rouge
, puis la teinte de la région prend rapidement l'a
4.65tJ ont répondu. De ces réponses il résulte que l'homme blanc ou
rouge
garde mieux lo souvenir des jours heureux que des
st toujours debout, immobile, grave, la main sur le marteau, ceint de
rouge
, Illuminé par la fiamme. L'enfant est nu, très
main qui la touche. Sur toute la surface œdémateuse, la peau est d'un
rouge
vif marbré de plaques violacées. On ne perçoit au
e externe, nerf de la sixième paire. NG. Nucleus yracilis. NT». Noyau
rouge
de la calotte. 02. Deuxième circonvolution occi
Noyau antérieur du thalamus (corpus album subrolun-dum). NR. Noyau
rouge
de la calotte. Ot. Premier sillon occipital. 02
70. NiC. Noyau interne du thalamus, 69, 70. NR. Nucleus ruber, noyau
rouge
de Stilling, 79. O1. Quatrième circonvolution occ
u externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus, 258. NR. Noyau
rouge
de la calotte, 259. OP. Opercule pariétal de Sylv
terne du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus, 275. NR. Noyau
rouge
de Stilling, 277, 281. OP. Opercule pariétal de
Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus. Mi. Noyau
rouge
de Stilling, 292, 295. OF. Opercule frontal, 290,
NiC. Noyau interne du thalamus, 508. NL. Fibres latérales du noyau
rouge
de la calotte, faisceau rubro- thalamique, 517,
ouge de la calotte, faisceau rubro- thalamique, 517, 526. NR. Noyau
rouge
de la calotte, 508, 516. OP. Opercule pariétal de
NC. Noyau caudé, 429. NCC. Queue du noyau caudé, 450. NR. Noyau
rouge
de Stilling, 428. 02. Deuxième sillon occipital
dian, 457. NpC. Noyau postérieur du thalamus, 456, 457. NR. Noyau
rouge
de la calotte, 455. O2. Deuxième circonvolution
ue du noyau caudé. NiC. Noyau interne du thalamus, 456. NR. Noyau
rouge
de Stilling. 02. Deuxième circonvolution occipi
amygdalien, 459, 460, 461. NCC. Queue du noyau caudé, 459. NR. Noyau
rouge
de la calotte. O1. Quatrième circonvolution occ
r de Sœmmering. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NR. Noyau
rouge
de Stilling. 0'. Quatrième circonvolution occip
Noyau interne du thalamus. NmC. Centre médian (Luys). NPi. Noyau
rouge
de la calotte. Oi. Scissure perpendiculaire ou
e postéro-supé- rieure de ce lobule.il existait une petite saillie,
rouge
foncé en arrière et rouge clair en avant. Du cô
ce lobule.il existait une petite saillie, rouge foncé en arrière et
rouge
clair en avant. Du côté droit, cette saillie débo
'âú'x corps striés'et aux régions sous-Lhalai111qùes ? les' noyaux'
rouges
étant intacts. . 1 ., 'f Ht' ...I ? J' ,,1 ., ,
riés, à la région sous-tlialamique, respectant cependant les noyaux
rouges
. Dans un cas les corps striés eux-mêmes ne mont
fais- ceaux de fibres unissant les noyaux lenticulaires aux noyaux
rouges
(ansae lenticulares) expliquerait la parenté de
ns des muscles de la face. Puis elle tombe comme une masse, la fare
rouge
, violacée, trempée de sueur, s'endort profondémen
durant une minute environ. Pendant l'état con- vulsif, la peau est
rouge
, violacée, puis olJ ! libulation avec regard vagu
rès modifiée dans un grand nombre de lésions du médian. La peau est
rouge
, violacée, quelquefois même l'index est bleu et f
plus ou moins foncé à la paume, avec parfois une pigmentation plus
rouge
sur les bords de l'éminence thénar et aux talon
stic. Les troubles vasomoteurs sont caractérisés par une coloration
rouge
violacée ou bleu noiràtre de la peau. Ces troub
cc) Elle est tantôt fine, luisante, tendue, décoloration bleuâtre ou
rouge
violacé rappelant le glossy-skin décrit par Pag
s cas,nous avons aussi constaté de simples troubles cutanés, doigts
rouges
, parcheminés, etc., sans oedème sous-cutané dan
oût. Dans le sac d'un tirailleur tué nous avons trouvé une chasuble
rouge
et or, volée dans les ruines d'une église, pour s
ugation prolongée. Le fond du tube examiné montre quelques globules
rouges
, de très rares lympho- cytes. Pas de polynucléa
gation prolongée. Le fond des tubes examiné montre quelques globules
rouges
, de rares lymphocytes, pas de polynucléaires, p
pe, les corpuscules de Malpighi sont un peu agrandis. La pulpe d'un
rouge
foncé. Dans le canal digestif, la membrane muqu
hié. Dans le cas de SABRAZÈS et CABANnES,.la joue droite était plus
rouge
que la gauche (une certaine différence existe a
sselle et peu à la région pubienne. A la face ou trouve deux taches
rouges
. A l'abdomen il y a NOUVELLE ICCNOGI2AP111&
n au microscope on a trouvé un nombre important de globules de sang
rouges
, paraissant morphologiquement intacts, ainsi qu'u
tivement, il semble que le nombre des globules blancs vis-à-vis des
rouges
était normal. Centrifugatinn : culot hématique
s forte que la fois précédente. Le microscope a montré les globules
rouges
en grande pallie morphologiquement altérés, épi
ouges en grande pallie morphologiquement altérés, épineux. Globules
rouges
par centi- mètre cube : 45 000 ; blancs : 400.
isuel gauche. Nouvelle ponclion lombaire ; pression : 120, globules
rouges
: 56.000, blancs : 300 par millimétré cube. Non
ntient qu'une petite quantité de liquide clair, légèrement teint de
rouge
, celui de droite un caillot de sang sombre, qui
A l'examen microscopique, on trouve qu'il contient 40.000 globules
rouges
, la plupart morphologiquement inaltérés, et 40
centimètres cubes ont été obtenus. Le liquide contient 530 globules
rouges
, pour la plupart épineux, et 30 globules blancs
nlèvement de la calotte, on a vu la dure- mère fortement teintée de
rouge
. Le côté intérieur était lisse et d'une couleur
nt teintée de rouge. Le côté intérieur était lisse et d'une couleur
rouge
très claire et brillante. Les leptoméninges par
ie. Tous les ventricules sont complètement pleins d'un sang liquide
rouge
sombre entremêlé de caillots. ' Après un pruden
e est tra- versée par un caillot de la grosseur d'un oeuf de poule,
rouge
, sombre et. humide, qui s'étend jusque dans le
ce d'hémorragie ancienne, il mérite d'être signalé que les globules
rouges
subissent cette altération bientôt après le ref
re de globules blancs dépassant proportionnellement de beaucoup les
rouges
(observations 1 et IV). Ce phénomène se manifeste
1er mai 1916. - Corde vocale droite immobile, sur la ligne médiane,
rouge
, l'aryténoïde basculé en avant : le gauche pass
te. Pouls : 114. 23. Pouls : 104, voix normale, corde vocale droite
rouge
, même position de l'aTyténoïde gauche. La régio
médiane. Pouls : 120. 4° septembre. - Corde vocale droite toujours
rouge
: l'aryténoïde gauche passe en arrière du droit
ile. Il octobre. - La corde droite est nettement mobile et toujours
rouge
,,la corde gauche supplée à sou insuffisance, l'
Pouls : 100. 20. Corde vocale droite beaucoup plus mobile toujours
rouge
, juxtaposi- tion parfaite des lèvres de la glot
oile remonte droit. Langue bien tirée. Les cordes vocales sont un peu
rouges
. 18 juillet. La voix est enrouée, elle se fatig
la ligne médiane. - 11 septembre ? Pouls : 80, corde droite un peu
rouge
; sur la ligne mé- diane, immobile. · . 20. M
droit des couleurs de deux millimètres de côté sur le fond noir. — Le
rouge
et le bleu à 1 m. 30. — L'orangé, le jaune et le
if) pour qu'elle soit perceptible à cet œil est : De 135 parties de
rouge
pour 226 de blanc. De 60 parties de vert pour 300
oncentrique-ment. Les limites du bleu n'atteignent pas 45°. Celles du
rouge
sont encore plus rétré-cies et celles du vert n'a
uleurs... Notre Seigneur a de longs cheveux bouclés, une grande barbe
rouge
; il est beau, grand, fort, tout en or. La Sainte-
des conséquences sérieuses : Un jour, Geneviève acheta une robe d'un
rouge
violet, croyant avoir une robe marron. lancoliq
le la période destertor est plus accusée que de coutume : la face est
rouge
, violacée ; il s'écoule à la fois de la bouche et
Lubricité- — Crises cardiaques. — Cautérisation du col utérin au fer
rouge
; son action. — Contracture passagère du membre i
ois très-violents. 22 novembre.— Cautérisation du col utérin au fer
rouge
. L'introduction du spéculum est difficile et occa
es : 1°Première période, a) Torsion de la tète, face déviée à gauche,
rouge
, grimaçante, ayant parfois une expression cynique
le et pleure. 16 avril. — Nouvelle cautérisation du col avec le fer
rouge
. 21 avril.— Les étouffements sont beaucoup plus
Les étouffements sont beaucoup plus rares. Il est survenu des plaques
rouges
d'érythème sur différentes parties du corps, su
qu'elle en voulait encore. — Aujourd'hui, cautérisation du col au fer
rouge
. L'introduction du spéculum est toujours aussi do
s, le cou, les bras, la poitrine, le ventre et les cuisses deviennent
rouges
ou rosés (érythème) ; la pression avec la main re
ncelles ou des flammes verdâtres. Elle reconnaît le bleu, le vert, le
rouge
, le jaune foncés; le rose, le bleu tendre ou le v
t blancs. lor avril.—Apparition,il y a quelques instants, de taches
rouges
, irrégulières, sur la face, le cou et les bras. C
peut découvrir. De ce côté, elle voit des étincelles et des lumières
rouges
. Ces accidents n'ont pas eu de suite. 1877. 9 f
de l'Hystérie, 4,14,34, 51,110. Cautékisation du col utérin au fer
rouge
, 118, 119, 120, 121, 133. Chatouillement, 115.
les colorations sur la coupe les montrent comme de larges faisceaux
rouges
dessinant un réseau assez étrange. Le nombre de
AU tellement serrées qu'on ne distingue pas entre elles de globules
rouges
. Par place ces cellules restent tout à fait iso
deux tiers inférieurs de la jambe et aux'pieds, la peau se présente
rouge
, cyanosée et froide. Les troubles trophiques de
olaire cribriforme, fig. 7). Par places se voient des masses rondes
rouges
ou roses qui ne sont autre chose que les cy- li
. Dans quelques-unes de ces masses on peut distinguer un point plus
rouge
(cylindraxe) et une zone rosée (la gaine de myé
e- éosine décèle des masses rondes plus ou moins colorées (roses et
rouges
). Ces masses étaient constituées par les fibres
taux se trouve au sein des muscles une masse néoplasique, en partie
rouge
et en partie jaunâtre. Elle se détache nettemen
mentée, du double de son état normal,sa capsule est grise, la coupe
rouge
sale, sans structure constata- ble, très molle.
Reins augmentés de volume, zone corticale élargie, pyra- mides très
rouges
; dans la zone corticale, raies jaunâtres et roug
yra- mides très rouges ; dans la zone corticale, raies jaunâtres et
rouges
(dilata- tion vasculaire, dégénérescence graiss
ume. Muqueuses stomacales et intestinales pâles, celle de la vessie
rouge
. Le foie est augmenté, à la coupe rouge-brunâtre.
oie est augmenté, à la coupe rouge-brunâtre. La rate est augmentée,
rouge
, se déchire facilement. Ganglions bronchiques t
une démyélinisation du tissu, se voyait une coloration plus intense
rouge
rosé. Avec de forts grossissements on pouvait f
'ordre tout mécani- que, et qui consiste dans l'apparition de raies
rouges
ou blanches sur les en- droits irrités. L'étude
elle, à la suite d'irritations mécaniques, apparaissaient des raies
rouges
en bourrelet (proéminentes) et qui persis- taie
bservé 70 malades qui présentaient le phénomène du dermogra- phisme
rouge
et seulement deux avec le dermographisme blanc, c
0/0. Les auteurs décrivent deux sortes de dermographisme les raies
rouges
plates- non proéminentes et un autre qu'ils dés
raphisme et qui consiste en un bourrelet blanc bordé de deux lignes
rouges
. Séglas et Darcanne ne foulque constater la fréqu
nc; une ligne tracée avec force, amène l'apparition d'une raie d'un
rouge
intense, dermo- graphisme rouge ; l'irritation
amène l'apparition d'une raie d'un rouge intense, dermo- graphisme
rouge
; l'irritation de moyenne intensité provoque l'ap
; l'irritation de moyenne intensité provoque l'apparition de raies
rouges
accompagnées de raies blanches. De cequi précède
te le phénomène de dermographisme sous ses deux aspects ou formes :
rouge
et hlanc. Nicolsky en opposant ces deux formes
on admettrait l'irritation des centres de la constriction, avec le
rouge
, celle de la dilatation. Mais où la chercher en p
e der- mographisme fait place à l'autre où nous observons tantôt le
rouge
, tantôt le blanc et où le dernier finit par pré
par exemple,,le dermographisme blanc a fait place au dermographisme
rouge
et sous l'influence de bains sulfureux est rede-
voquer alternativement l'apparition de raies tantôt blanches tantôt
rouges
selon l'intensité de l'irritation déterminatric
ographisme blanc,et si par mégar- ( de l'on appuie plus forlemenlle
rouge
apparaît. Il n'est pas aisé, faute d'instrument
hénomène contraire. 3* Le dermographisme blanc est plus rare que le
rouge
. 4° Le dermographisme biancne se transforme pas
ge. 4° Le dermographisme biancne se transforme pasordinai rement en
rouge
. 5° Le dermographisme rouge n'est provoqué que
ncne se transforme pasordinai rement en rouge. 5° Le dermographisme
rouge
n'est provoqué que par une irritation rela- tiv
e par une irritation rela- tivement intense. 6° Le dermographisme
rouge
est quelquefois accompagné de dermogrn- phisme
elquefois accompagné de dermogrn- phisme blanc. 7° Plus les raies
rouges
sont intenses, plus les raies blanches sont ac-
es, plus les raies blanches sont ac- cusées. 8° Le dermographisme
rouge
se change quelquefois en dermographisme blanc.
l'irritation du centre vasomoteur (spasme) ; b) Le dermographisme
rouge
seul, indique la fatigue de ce même centre (par
ique la fatigue de ce même centre (parésie) ; - c) Le blanc et le
rouge
, quand ils apparaissent simultanément ou bien s
les provoquer chez le même sujet. (t) RouDNew, Le dermographisme
rouge
et blanc chez les aliénés, 1902. Rapport medi-
08, p. 391. 204 ROUX malade de Balzer qui se cautérisait au fer
rouge
, la jeune fille citée par Brissaud qui s'enfonç
ts bien implantées. Palais ogival. - Luette et amygdales grosses et
rouges
; voile du palais normal. Déglutition et phonat
val, luette hypertrophique et rougie ; voile du palais et amygdales
rouges
également. Normal le réflexe pharyngien. La l
surtout abondante sur le dos, aux avant-bras et aux jambes. Pharynx
rouge
. Palpables, les glandes cru- rales, inguinales,
on n'ont plus le dessin caractéristique de maillesjaunes avecun point
rouge
central (le cylindraxe). A leur place il y a un
. Souvent on peut voir des cylindraxes dénudés sous forme de points
rouges
ou de filaments en s`j (j FLATAU roulés. Dans
hamp visuel de l'oeil gauche légèrement restreint pour le blanc, le
rouge
, .le vert. Examen ophtalmoscopiqae : à droite,
ps ses mains dans l'eau, les téguments prennent une coloration d'un
rouge
beaucoup plns intense, devenant parfois violacés
es, fines et pas retroussées ni en- tr'ouvertes ; les gencives sont
rouges
et un peu tuméfiées ; la dentition pré- sente q
if pour la syphilis. Examen chromoctttomélrique du sang. Globules
rouges
: 5.000.000. Leucocytes -.12. 000. Hémoglobine
lobulaire : l . Rapport : 1 : 410. Examen cytologique. Les globules
rouges
sont parfaitement normaux ; pas d'anisocytose n
rande abondance de créatinine. Indican et scatol : traces. Indoxile
rouge
: traces nettes. Sédiment : nul élément patho-
t : nul élément patho- logique...... ' Examen du sang. - Globules
rouges
: .4.800.000. Leucocytes : 9. 200. Hémoglobine
: 1 : 521. Valeur globulaire : 1. Examen cytologique. Les globule ?
rouges
sont parfaitement normaux, pas d'anisocytose, n
urbent en arrière et se confondent avec la capsule médiane du noyau
rouge
, d'autres enfin, contournent le pied du pédoncule
, 6 fig.), parlais- SALLE-ARCIIAÙ1RAULT, 505, 630. Dermographisme
rouge
et blanc (1 pl.), par l3oonrEw 197. Ependymai
ans la sclérose en plaques (1 pl.), 613. ROUDNEW - Dermographisme
rouge
et blanc (1 pl.), 197. Roux. Hystérie traumat
4SALLB-AIiC11An1- BAULT), LXXII il LXXVI. Dermographisme blanc et
rouge
(ROUD- NBW), XVII. Gigantisme acromégalo-infa
ires (1 à 5 de l'échelle de M. Galezowski) ; 2° perte de la notion du
rouge
et du vert : la notion du jaune et du bleu persis
nomènes qui révèlent l'état paralytique des vaso-moteurs: la joue est
rouge
; l'œil injecté, présente une sorte de chémosis ;
nterprétation pathogé-nique. Les nerfs comprimés, en pareil cas, sont
rouges
, tumé-fiés à un haut degré, toutefois sans change
e la myélite destructive avec formation d'un foyer de ramollis-sement
rouge
avec lésions vasculaires, corps granuleux et le r
une des cornes grises antérieures, con-sistaient en un ramollissement
rouge
, inflammatoire, avec injection vasculaire, produc
Ces observations établissent — comme on voit — que le ramollissement
rouge
doit être compté parmi les lésions spi-nales de l
s les plus altérés, jusqu'àla forma-tion d'un foyer de ramollissement
rouge
. Quoi qu'il en soit, à ces altérations brusquem
raduit ici, le plus souvent, microscopiquement par le ramol-lissement
rouge
. Mais les choses ne vont pas toujours aussi loin
de la paralysie dus membres inférieurs ; à l'autopsie, ramollissement
rouge
de_la moelle lombaire. vent deux, cinq, dix ans
tteints, à l'exception de l'ex-tenseur propre du pouce qui est encore
rouge
et assez volumi-neux. — Les muscles de la région
atteints. A la main, les lombricaux ont seuls conservé la coloration
rouge
et un certain relief. Membre inférieur droit. I
trême. Le faisceau claviculaire de ce dernier muscle est au contraire
rouge
et volumineux. — Les muscles des fosses sus et so
espondant à des faisceaux de fibres malades, alterner avec des stries
rouges
moins nombreuses. — Les sterno-mas-toïdiens parai
ions sus et sous-hyoïdiennes. — Les muscles du pharynx sont d'un beau
rouge
et remarquables par leur épaisseur, ceux du la-ry
langue a son volume normal, ses différentes couches musculaires sont
rouges
; il n'y a pas trace de substitution graisseuse.
sommets étaient sains. — Le cœur pesait 185 grammes. Son tissu était
rouge
, ferme, il paraissait entièrement sain. 11 n'y av
orte au niveau de la pointe de la langue. Ils sont au contraire assez
rouges
, quoique manifeste-ment atrophiés, dans la base d
une feuille-morte. Les muscles du bras sont petits, mais d'une teinte
rouge
presque normale. A l'avant-bras, les muscles sont
les muscles sont excessivement grêles, mais là en-core la coloration
rouge
est assez bien conservée. Les muscles de la main
ître à mesure qu'on se rapproche de la poitrine. — Les pectoraux sont
rouges
et ne présentent pas d'a-trophie marquée. Les int
as y avoir là d'atrophie proprement dite. Les muscles sont d'ailleurs
rouges
et leur tissu semble sain. d) Système nerveux p
diffluence excessive. De gros vaisseaux gorgés de sang et une teinte
rouge
diffuse s'observaient sur la partie ramoliie. Le
des cordons latéraux se mon-trent sous forme de deux petites plaques
rouges
, transparentes, irrégulièrement arrondies, placée
il en est de même pour la rate et les reins. La muqueuse vésicale est
rouge
, recouverte de saillies mamelonnées, tapissée d'e
r coloration se rapproche sensiblement de l'état normal. Le masséter,
rouge
à sa surface, est jaunâtre dans ses parties pro-f
lènes, les trapèzes sont bien nourris et offrent une belle coloration
rouge
. Les pectoraux et les muscles du membre supérie
ure, ce qui reste de la pyramide se détache sous la forme d'une bande
rouge
transversale, on voit la sclérose s'avancer en fi
des régions sus et sous-hyoïdiennes, présentent une belle coloration
rouge
; par contre, les muscles propres de la langue se
deux sterno-mastoï-diens sont grêles, mais ils offrent une coloration
rouge
. Le muscle trapèze présente partout une teinte
ent peu altérée. Le deltoïde du côté droit offre une belle coloration
rouge
. Les deux pectoraux sont grêles, d'ailleurs nul
'au niveau de la pointe. Bien qu'ils aient conservé leur coloration
rouge
de l'état nor-mal, les muscles extrinsèques de la
petit spéculum de Fergusson dans le vagin. La muqueuse vaginale est
rouge
, boursouflée; granulations sur le col utérin av
ution d'acide picrique est jaune ; la solution d'éosine primerose :
rouge
pâle; le bleu de méthyle : bleu; le violet de g
st aussi par hasard en voyant se des- siner sur sa peau, d'abord en
rouge
, puis en relief les objets qui s'étaient trouvé
dement en intensité et en largeur et devient bientôt une bande d'un
rouge
vif, visible à plusieurs mètres de distance, be
ue la ligne pâle primitive. Cinq ou six minutes plus tard, la bande
rouge
se soulève, pâlit dans sa région axiale, reste ér
tardent pas à se réunir en l'absorbant tout entière; puis la bande
rouge
ainsi constituée se soulève, pâlit à sa partie ax
placards, siégeantà)a région inguino-crurate, bien limités, d'un
rouge
brun sombre, presque prurigineux, couverts d'un
des surfaces diffuses, humides, douloureuses ou pruri- gineuses,
rouges
vif ou couvertes de squames lamelli- l3alier. D
n'affecte pas la forme circinée qui lui est habituelle, il est plus
rouge
, plus squameux, plus diffus et plus douloureux.
une épingle, des caractères quelconques qui se dessinent d'abord en
rouge
, puis avec un relief de un ou deux millimètres.
ns cen- trales ou même périphériques du système nerveux : la raie
rouge
que l'ou trace sur le ventre des typhiques et d
une expérience. classique et M. Vulpian2 a vu des raies pâles ou
rouges
, d'anémie ou d'hyperhémie cutanée, se montrer a
lut scier le casque pour le lui enlever), la face était extrêmement
rouge
, les conjonc- tives complètement infiltrés de s
au est jaune cireux à la face, sauf au milieu des joues où elle est
rouge
foncé. Ailleurs, la teinte cireuse est moins pro-
e et reste presque toujours, en partie, hors de la bouche. Elle est
rouge
bleuâtre comme les lèvres, comme toute la muque
ne ligne, et qu'on lui donne sur une des moitiés l'hallucination du
rouge
, elle aura sur l'autre moitié la sensation du v
apier blanc, et on lui suggère que ce carré de papier est coloré en
rouge
ou en bleu. Au bout de quelques instants, on reti
'on lui a préalablement fait voir par suggestion. S'il s'est agi du
rouge
, le second carré de papier paiait 108 REVUE D',
ouleur qu'on suggère ; si par exemple on se contente de suggérer du
rouge
, la malade peut se représenter soit le rouge qui
ontente de suggérer du rouge, la malade peut se représenter soit le
rouge
qui a pour complémentaire le vert, soit un roug
eprésenter soit le rouge qui a pour complémentaire le vert, soit un
rouge
orangé dont le complémen- taire est le bleu. On
es yeux qu'il les frottait follement. Les conjonctives auraient été
rouges
. Il n'y aurait eu ni vertiges, ni perte de conn
distinguait pins le jour de la nuit. Ses conjonctives auraient été
rouges
. Le lendemain matin, 14 août, les douleurs avai
de brûlure intolérable, ses conjonctives auraient été en même temps
rouges
. Aussitôt après, le malade sent son bras gauche
ble aux yeux, qu'il frottait follement et qui étaient en même temps
rouges
. En outre, il avait bientôt un poids à l'estomac,
ues) : intégrité probable de la substance grise. Bons effets du fer
rouge
. Pas d'abcès par congestion. Etude critique. Le
ts du fer rouge. Pas d'abcès par congestion. Etude critique. Le fer
rouge
, mauvais dans les affections de la moelle, conv
érébrale. Capsula interne. Couche optique. Capsule interne. Noyau
rouge
. Pied du pédoncule cérébral, Raphé. Protubéranc
pendant quelque temps il y eut une certaine enflure (la peau était
rouge
) dans la région de l'articulation tibio-tarsien
atre heures dès l'invasion de l'accident). Sa figure est colorée en
rouge
, vul- tueuse et grimaçante. Son regard est exce
t en réalité à l'un de ses compagnons. Sa face était très injectée,
rouge
. Celte scène ! effrayante a duré au total .troi
a fait en réalité à un de ses compagnons; la face était injectée,
rouge
. Si on prend en considération : 1° le brusque d
d'une brûlure dans les yeux qu'il frottait fortement et qui étaient
rouges
. Presque en même temps, un mal" de tête intolérab
ment soigné, la peau à la région du sacrum avait commencé à devenir
rouge
; j'attirai immédiatement l'attention de ses pr
s symptômes de la gangrène très intenses; la peau devint de nouveau
rouge
, elle s'ulcéra et les parties molles commencère
est tombé sur le pont. Perte delà parole et de l'intelligence; face
rouge
. Mort subite. Il. Le 10 juillet 1868, dans l'Ar
' Loc. cil. 4,3 CLINIQUE NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES.
rouges
; pendant qu'il disait cela, il fut pris de vertig
Sur toute cette étendue la peau a sa couleur normale ou est un peu
rouge
; elle a sa couleur normale dans la partie supé
eur normale dans la partie supérieure, elle est rosée ou légèrement
rouge
à la partie moyenne et inférieure ; si l'on exerc
a peau n'est pas blanche dans toute son étendue ; elle est rosée ou
rouge
dans la partie moyenne. et inférieure de la jambe
dont Collet et BeuLter rapportent l'observation a le dos de la main
rouge
bleuâtre ; le gonflement delà malade de Sicard
et Laignel-Lavastine, blanc dans la position horizontale, devenait
rouge
vif dans la position verticale. L'oedème, quoiq
ir. » Un second dément paranoïde (fig. 13) porte une petite ficelle
rouge
devant la poitrine : pour toute explication, le m
oit toujours rester du côté du coeur, pour indiquer que l'homme est
rouge
; à un autre moment, il voit dans la ficelle mêm
e promenait dans sa chambre solitaire, en habit de moine de couleur
rouge
, au milieu d'images des saints profanés, en re-
e si cher à son maître pour les blondes riches de soleil et pour le
rouge
éclatant d'un hamac suspendu au milieu du vert le
s une clarté sereine où s'harmoniserait bien mieux un de ces points
rouges
que Carl Larsson sait jeter sur ses neiges. Les
malades. Encore, j'ai vu un dément n'aimer et ne rechercher que le
rouge
pour l'ornement de ses habits, sans vouloir jam
r laquelle on pourrait appeler le fameux Nomellini, « le peintre du
rouge
». L'oeuvre du dément et celle du maniaque sont
utopsie, anasarque absolument géné- ralisée, avec peau ichtyosique,
rouge
à tous les points de pression, grosse hydrocèle
'où il suit que leur indication insuffisante, jointe à leur couleur
rouge
, porte l'esprit à se demander si c'est dans les
ouloureux, surtout la petite lèvre gauche, et il existait une tache
rouge
sur la jointure métatarso-phalangienne du gros
ed, exactement à partir de la ligne du ligament de Poupard, étaient
rouges
, énormément enflés, très chauds au toucher, dou-
a cuisse et la jambe étaient chaudes aussi, mais elles n'étaient ni
rouges
ni douloureuses, et la tuméfaction du côté gauche
Raynaud. L'examen du sang ne mon- tra rien de spécial. Les globules
rouges
étaient au nombre de .120.000 (par millimètre c
à la face postérieure de la cuisse droite, et le genou droit était
rouge
, douloureux et un peu enflé. Il n'y avait pas d
de la jambe, la cheville et le pied étaient aug- mentés de volume,
rouges
et douloureux. Le lendemain la température du m
sse était alors moins enflée, et le genou moins volumineux et moins
rouge
. Le pied et la che- ville étaient encore rouges
volumineux et moins rouge. Le pied et la che- ville étaient encore
rouges
et enflés, mais ils n'étaient plus douloureux ni
iangle de Scarpa. Le pied et la jambe étaient moins enflés et moins
rouges
; le lendemain, le malade était revenu à son état
5 minutes, les mains de- viennent toutes bleues et la jambe devient
rouge
, plus enflée que d'habi- tude. Elle se trouve d
. Tous les viscères étaientsains en apparence. Son pied droit était
rouge
et enflé. Un cercle irrégulier de rougeur, larg
rrondis pouvaient être sentis dans le tégument autour de la surface
rouge
. Le lendemain, le 7 juillet, la tem- pérature é
tait plus générale, le pied était davantage tu- méfié, et une tache
rouge
se constatait sur la rotule. La malade était très
t nettement rou- ges ; mais ils n'étaient plus douloureux. La tache
rouge
du mollet était entourée d'un piqueté de points
he rouge du mollet était entourée d'un piqueté de points de couleur
rouge
brillant en petit nom- bre, au contour arrondi.
; pendant la nuit elle était brûlante, et le 11 juillet, elle était
rouge
et enflée comme au commencement de l'attaque. La
vico-spinale (Rosenthal et Mendelssohn) et les autres dans le noyau
rouge
(van Gehuchten), ou dans les ganglions opto-str
bilité des lèvres est normale. Les muqueuses gin- givales sont très
rouges
, tuméfiées, facilement saignantes et laissent pre
sang. - Erythrocythémie évidente (plus de 7 millions de glo- bules
rouges
par millimètre cube) et augmentation de l'hémoglo
tré une remarquable érythrocithémie (plus de 7 millions de globules
rouges
et 105 0/0 d'hémoglobine à l'hé- momètre de Fle
e entre les deux hémisphères devient manifeste, le droit étant plus
rouge
au carmin,plus clair au Weigert que le gauche.
un grand lit aux draps bien blancs, aux couvertures et aux tentures
rouges
, rehaussées d'ornements d'or, dont le plancher
é- rieurs, elle est normale ; aux membres supérieurs, elle est plus
rouge
que partout ailleurs. Le crâne est petit : il
entons M. L. K. 480 BOURNEVILLE, LÉON-KINDBERG ET CH. RiCHET FILS
rouge
vif par la méthode de Van Gieson, laissant entre
la malade. Un mois après, autour de l'eschare se forma une auréole
rouge
inflammatoire, et elle fut enlevée par moi avec
était guérie avec d'énormes cicatrices chéloïdiennes d'une couleur
rouge
foncé ; depuis deux mois la jeune fille n'avait p
signes tangibles d'une brûlure avec un objet métallique chauffé au
rouge
, qui physiologiquement produit des lésions de l
les caractères suivants : « Elle est hypertrophique, d'une couleur
rouge
foncé, avec des télangiectasies » ? Même en adm
gitale d'un ou de plusieurs doigts ; à ce niveau on voyait un point
rouge
de la grosseur d'une lentille, qui, le soir ou
peau avec le manche du marteau à percussion ou un crayon deviennent
rouges
et font saillie pendant un moment (dermographisme
Nous dirons bientôt les conséquences de cette atrophie sur le noyau
rouge
. ANÉVRYSME DE L'AHTÈRE VERTÉBRALE GAUCUE 13 D
u'il gauche. Thalamus ET région sous-THALAMiQUE. Au milieu du noyau
rouge
et dans les régions les plus postérieures du co
- talité un peu plus petit que le gauche et un peu aplati. Le noyau
rouge
est d'un tiers plus petit à droite qu'à gauche.
lules ganglionnai- res dégénérées. Dans l'hémisphère droit le noyau
rouge
n'est visible que sur G2 coupes, tandis qu'a ga
il existe dans 72 coupes. La substance médullaire dorsale du noyau
rouge
et surtout sa substance mé- dullaire latérale,
rps de Luys, surtout dans la substance médullaire frontale du noyau
rouge
. Toutefois on trouve ici encore dans le noyau ven
lissement. Un infarctus /<emon'/<6Me, foyer de ramollissement
rouge
tout à fait ré- cent, datant de quelques jours
elques jours avant la mort, se voit à la hauteur du milieu du noyau
rouge
dans la partie lenticulo-optique de la capsule in
au noyau ventral (faisceaux médullaires frontal et latéral du noyau
rouge
, etc.). Par contre Edinger affirme que dans son
attribue ce fait à une déformation provenant de l'atrophie du noyau
rouge
, et non pas à une atrophie des fibres nerveuses
t non pas à une atrophie des fibres nerveuses elles-mêmes. Le noyau
rouge
était tout à fait atrophié, bien que le pédoncu
ussi compromis que dans notre cas. Cette atrophie complète du noyau
rouge
croisé dans le cas de Edinger est bien remarquabl
extrêmement minime,et tout à fait dégé- nérée, tandis que le noyau
rouge
du côté opposé, bien que plus petit que le gauc
orrespondant. Ceci prouve que, chez l'homme tout au moins, le noyau
rouge
a certainement d'autres connexions importantes, s
braux CI).. (1) Voir M. et Mme Déjerine sur les connexions du noyau
rouge
avec la corticalilé cérébrale. Comptes-rendus d
é opposé s'accompagne toujours d'une lésion du thalamus et du noyau
rouge
siégeant du même côté que la lésion cérébrale et
de Paris, 1898. 38 PIERRE MARIE ET A. COUVELAIRE dante bouillie
rouge
». Ces altérations sont il rapprocher des lésions
rière chaque oreille. La peau qui recouvre celle du côté gauche est
rouge
et assez sensible. Aucune tumeur semblable dans l
ur a la dimension et même la forme d'une mandarine ; la couleur est
rouge
sombre sur laquelle se détache un réticulum plus
séparés parle locus neiger qui semble intact : l'un occupe le noyau
rouge
et coupe les fibres de l'oculo- moteur, l'autre
le. Aq, Aqueduc de Sylvius. - T ? Tubercule quadrijumcau. NR. Noyau
rouge
. - LN. Locus nigcr. - PP, Pied du pédoncule. - 1,
l'opérateur sont d'un bleu tirant sur le vert ; l'opéré est tout en
rouge
. Le gérant : P. Bouchez. Iiup. J. Tlieveaot,
s pour le blanc se sont beaucoup agrandis, ils sont normaux pour le
rouge
et le bleu à l'oeil droit t et encore très rétr
violet donne à peu près les mêmes résultats que pour le bleu et le
rouge
au mois précédent (schémas VI, VII). Enfin un d
i- nutions générales pour le blanc (et proportionnellement pour- le
rouge
, le vert, le bleu), mais il n'y avait pas d'hém
omen.Pas d'ascite ni d'oedème des membres inférieurs. La face est
rouge
, un peu vultueuse. Pas de dilatation appréciable
pertrophiés. Les testicules sont normaux. On trouve quelques points
rouges
de pigmentation sur le thorax ; pas de nævi éte
ques semaines, n'a rien décelé d'anormal. Examen du sang : Globules
rouges
, 6,262,000 ; globules blancs, 10,800. On ne tro
rotoplasma offre un aspect gra- nuleux. Aucun d'eux n'est coloré en
rouge
intense par le carmin, ils sont roses ou même g
ssent pas aussi volumineux que des pédoncules normaux. Les noyaux
rouges
sont plus petits, leurs cellules conservées. La c
uction du noyau dentelé est proportionnelle à la petitesse du noyau
rouge
et du tha- lamus. Résumé. - Le névraxe est en
carmin ou à la nigrosine le champ moyen de la rétine est coloré en
rouge
ou en bleu plus foncé, tandis que la périphérie e
sur l'oeil droit comme sur l'oeil gaucho, mais à gauche les taches
rouges
sont plus nombreuses et atteignent la périphéri
ésente l'aspect du crétin. La teinte est jaune am- brée, plaquée de
rouge
aux pommettes. La voix est coassante. Les mem-
me (PI. LXV). L'opérateur, en veste rose, coiffé d'une sorte de fez
rouge
, se tient de- bout, de profil à gauche, derrièr
rticulièrement. Il porte sur la tête le traditionnel petit bonne[ -
rouge
ici, - garni de four- rures. , De la main gau
s priseurs invétérés. 456 A. BEAUVOIS Voici Aminthequi s'avance
rouge
non de pudeur, mais de colère. Quoi ? ignorez-v
gros lombric en épaisseur. La substance de ce polype était molle et
rouge
. Elle empêchait la déglutition et avait été produ
e nez : celui-là, de grosseur étonnante et d'une magnifique couleur
rouge
, celui-ci bourgeonnant et variqueux, ce troisième
ns la figure ci-après. La ligne pointillée figure la limite pour le
rouge
. Pour les autres couleurs, la vision a été réduit
té réduite DE l'hémiplégie traumatique 541 en concordance avec le
rouge
. Cette limite concentrique fait penser que la fai
ais elle est for- tement ramollie et présente un abondant pointillé
rouge
, indiquant les points de sortie du sang. Dans l
es, non loin d'une église au clocher pointu. Sous un énorme parasol
rouge
, il a installé sa table recouverte d'un tapis d
Vêtu d'un justaucorps jaune largement tailladé de blanc, un bonnet'
rouge
sur la tête, il porte de longues moustaches tomba
fin de la- quelle sa jambe droite devint subitement grosse, tendue,
rouge
, mais très peu .douloureuse, sans plaie ni exco
'ouverture d'une fenêtre cintrée garnie dans le haut d'une draperie
rouge
artistement relevée, on a l'impression d'entrev
hacun exprime les sentiments qu'il éprouve.Un jeune enfant, tout de
rouge
vètu, coiffé d'un feutre immense un cerceau à l
de taille gigantesque, doué d'une voix de stentor « vêtu d'un habit
rouge
galonné d'or et coiffé d'un vaste tricorne empa
Wolgemuth, représentant la Sainte en robe de damas bleu et manteau
rouge
, tenant d'une main la palme des martyres et de
jusqu'aux pieds. Le ventre est très ballonné, encombré. La face est
rouge
, vultueuse, angoissée, les lèvres sèches. Cepen
ite boîte de couleurs. Prenez le jaune ? Elle prend le violet. Le
rouge
? Elle montre le rouge. Le vert ? - Elle prend
Prenez le jaune ? Elle prend le violet. Le rouge ? Elle montre le
rouge
. Le vert ? - Elle prend le brun. Le jaune ? -
cette couleur ? - C'est du petit jaune On prend le vert. - Est-ce
rouge
? - Oui. Est-ce vert ? - Non. Est-ce vert ? O
mblent normales. En arrière l'écorce prend au carmin une coloration
rouge
intense et il est difficile d'y reconnaître les
m d'extension de la tumeur, l'écorce prend au carmin une coloration
rouge
uniforme, dans laquelle on voit difficilement l
ux névrogliques ne sont pas augmentés notablement. 2° La coloration
rouge
intense,vue à fort grossissement, n'est plus diff
fort grossissement, n'est plus diffuse ; elle se compose de traits
rouges
séparés par des blancs, qui ne sont pas autre cho
se colorent au Weigert ; au carmin les cou- pes prennent une teinte
rouge
diffuse, où l'on ne retrouve que très rarement
ties Fis 6. Cl, corps deLuys. Coa, commissure antérieure. Nr, noyau
rouge
. ATc, noyau caudé. - Tro, tractus optique. Tum,
longitu- dinal postérieur, se portent en avant, traversent le noyau
rouge
et vont au sil- lon interpédonculaire. Les cell
placé qu'il épargnait le faisceau longitudinal postérieur, le noyau
rouge
et les racines émanées de la Ille paire ; or l'
tion motrice, l'asy- nergie musculaire, sans lésion aucune du noyau
rouge
ou des pédoncules cérébelleux supérieurs ; peut
Examen du sang, fait par M. Clunet, externe du service : Globules
rouges
7,790,000. Globules blancs 8,000. Diamètre moye
ygmomanomètre de Potain est 15 il 14. Le chiffre moyen des globules
rouges
est de 5 millions (Numérations faites par M. Clun
servation avec vaisseaux rétiniens très dilatés et sinueux, papille
rouge
bords indistincts et surélevés, veines de teint
Doigts en baguettes de tambour.Hyperglo- bulie (8,150,000 globules
rouges
). L'OD, fonctionnellement normal, montre une cy
s que l'examen micros- copique nous démontre l'absence des globules
rouges
. L'examen chimique décèle une albuminurie très
7 juin il était levé ; après son diner on s'aperçoit qu'il était très
rouge
, il paraît faible et a perdu toute conscience ;
ie on constate, au niveau de l'hémisphère droit, une néo-mem- brane
rouge
récente à la face interne de la dure-mère, corres
le, mais dans nombreuses observations, elle était rosée, et parfois
rouge
, très rouge. Dans le malade de Milten (22), i
s nombreuses observations, elle était rosée, et parfois rouge, très
rouge
. Dans le malade de Milten (22), il y avait des
(22), il y avait des oedèmes pâles, d'autres rosés, et quelques-uns
rouges
vifs. Le siège peut varier aussi : parfois les
s sa définition de l'urticaire parle des éléments de la peau « plus
rouges
ou plus pâles que la peau saine ». Et nous avons
avons vu l'oedème de Quinke pouvoir se présenter plus pâle ou plus
rouge
que la peau saine. Et encore une donnée très im
ie : Nombre d'auteurs ont décrit dans l'oedème de Quinke des taches
rouges
de vasodilatation sur la peau [Wills and Cooper (
r (31), Ya- l'ion (32), Osier (4), Din1celaker (8)....]. Ces taches
rouges
appartiennent aussi à la symptomatologie classi
sentent très pâles; et que dans les mêmes cas on observe des Caches
rouges
qui ne sont pas suivies d'oedème. Dans le dermo
er sur la peau des di- vers sujets, ou même du même sujet une ligne
rouge
plate ou bien une ligne pâle pour un petit oedè
très pâle, ou bien d'une couleur normale, ou bien encore rougeâtre,
rouge
vif. C'est- à-dire que l'oedème de Quinke peut
renferme des vaisseaux nom- breux, très dilatés, gorgés de globules
rouges
et d'une quantité relativement grande de leucoc
s vaisseaux renferment toujours, en outre de très nombreux globules
rouges
, d'abondants leucocytes. (1) WiLHAM BULLOCH, Th
ssi parce que les au- teurs qui ont relevé l'existence des globules
rouges
et blancs dans l'épaisseur de la moelle ne se s
e calibre divers, à parois d'épaisseur varjable, gorgés de globules
rouges
et de leucocytes. Tout autour, se trouve un mag
nettes toutefois. Le réseau englobe également de nombreux globules
rouges
. La figure 12 est la reproduction fidèle de la pr
emplacée par un amas de gros troncs vasculaires, gorgés de globules
rouges
et de leucocytes. Nous constatons nettement ici u
ence vers la limite de cette paroi. Elles sont comblées de globules
rouges
; il n'y a que peu ou pas de globules blancs. -'
uchsine picriquée de Van Gieson (noyaux violets, cellules et fibres
rouges
, myélinejaune, fibrilles de névroglie). De mi
tité de détails. Dans les vaisseaux on peut distinguer les globules
rouges
et les différentes sortes de leucocytes. - Le
se, m'a-t-il dit, de sortilège,c'est parce qu'il est incré- dule ou
rouge
et qu'il a toujours combattu l'idée délirante de
ens d'éviter de passer devant sa maison et devant celles des autres
rouges
. Le reste du conseil municipal qui n'était peut
parti d'opposition assez fort se former dans la commune contre les
rouges
, le préfet, les non-possessionistes, le curé crut
isse et leurs invectives s'adressent uniquement aux incrédules, aux
rouges
; quand, au contraire, survient un médecin, un é
x rouges; quand, au contraire, survient un médecin, un étranger, un
rouge
, le démon rentre en scène. « Ah ! tu crois,b... d
ne cesser, il est vrai, complètement qu'à la victoire définitive des
rouges
, telle fut l'hystéro-démonopathie de Morzine. C
oedèmes considérables des membres inférieurs et du scrotum qui sont
rouges
. Les urines sont peu abondantes, et ne contienn
ment intact. Sur une coupe passant par le corps de Luys et le noyau
rouge
, il n'y a pas la plus petite lésion. Corticalit
que tour datant du xiie siècle (l'église a été reconstruite en pierre
rouge
de Sa.verne en 9Q75), deux tableaux représentan
e cartilagineuse disposée en forme de lamelle, fortement teintée en
rouge
par l'éosine et ren- fermant des cellules très
aru : on trouve au centre des amas d'infiltration quelques globules
rouges
, un mélange de thrombose et d'infiltra- tion.
fection va en diminuant vers le Fig. 3. Coupe de la région du noyau
rouge
. Infiltration péri ventriculaire. Infiltra- tio
oeil nu. Au microscope elles sont composées par un amas de globules
rouges
à peine déformés ; pas de cellules blanches. Au
sseaux sont gorgés de sang ; quel- ques-uns prennent une coloration
rouge
spéciale et paraissent thrombosés. La moelle al
mmence- ment du ses crises, que d'abord il pâlit, puis devient très
rouge
et reste quelquefois plusieurs minutes à terre,
c en avant, retenant ma respiration, ce qui me faisait devenir très
rouge
, quelquefois violet; en un mot le trompant ferm
tournée de côté contre le sol. Il avait dans cette position la face
rouge
et congestionnée, de la raideur généralisée et
médecin à Saint-Etienne, puis à Alger où il avait arboré le ruban
rouge
à sa boutonnière. On voit qu'il avait fait des
e, encre de Chine noire, quelquefois bleu-foncé associé à un peu de
rouge
. Un seul cas concerne un tatouage rouge (deux l
u-foncé associé à un peu de rouge. Un seul cas concerne un tatouage
rouge
(deux lettres en rouge) au milieu de la poitrin
u de rouge. Un seul cas concerne un tatouage rouge (deux lettres en
rouge
) au milieu de la poitrine. P. KERAVAL. IV. Dé
t sur le bleu (durcissement chromique). Quelquefois le nucléole est
rouge
. Le tissu conjonctif et les cylindraxes sont bleu
et à la liqueur de Muller, les gaines de myéline sont d'un violet-
rouge
avec prédominance de violet ou de rouge; si l'on
e myéline sont d'un violet- rouge avec prédominance de violet ou de
rouge
; si l'on ajoute aux coupes colorées, mais non e
'urèthre est indemne de toute lésion : seuls les bords du méat sont
rouges
et quelque peu tuméfiés. L'ex- ploration du can
t de derrière la tète jusqu'au fond de l'oeil + Je vois noir, bleu,
rouge
, vert, marron ? noir, vert, jaune, rouge +noir,
oeil + Je vois noir, bleu, rouge, vert, marron ? noir, vert, jaune,
rouge
+noir, rouge, bleu, vert, jaune, rose, mauve, m
noir, bleu, rouge, vert, marron ? noir, vert, jaune, rouge +noir,
rouge
, bleu, vert, jaune, rose, mauve, marron + noir, r
rouge +noir, rouge, bleu, vert, jaune, rose, mauve, marron + noir,
rouge
, bleu, marron, rose, jaune + noir, rouge, bleu,
ose, mauve, marron + noir, rouge, bleu, marron, rose, jaune + noir,
rouge
, bleu, vert ? mes yeux s'en- foncent + mon oeil
ls, se frotte les yeux. - + Je vois jaune, mauve, bleu pâle, rose +
rouge
, mauve, jaune, blanc + c'est clair + c'est bleu
lair, bleu pâle + c'est clair des deux yeux également + c'est bleu,
rouge
, c'est blanc, blanc, toujours blanc. Je réveille
ntrale. En outre ce champ visuel hémiopique est rétréci ; la vision
rouge
atteint 2;i, le blanc 30, le vert 40. L'ophthal
nt d'une douleur cérébrale particulière. Enfin la prédominance du
rouge
dans les tableaux du rêve est à remarquer. Si l
cérébrale droit, un foyer de ra- mollissement qui détruit le noyau
rouge
, les fibres de l'oculo- moteur commun et une pa
était perdu, était dans une anxiété très vive. Ce matin la face est
rouge
, la peau chaude, la langue un peu saburrale. Elle
c efforts de vomissements : elle rend environ une cuillerée de sang
rouge
et très clair, puis a une syncope. A sept heures
iennes. La masse intestinale est gonflée de gaz et est d'une teinte
rouge
vineux uniforme. Pas de signes de péritonite. F
ue cette partie du ruban, pas plus que les autres s'unisse au noyau
rouge
. Le faisceau moyen, composé de fibres très fines,
ennent de la région du faisceau longitudinal postérieur et du noyau
rouge
. Les trois faisceaux du ruban de Reil paraissent
t échanger des fibres. Celles des fibres qui proviennent du noyau
rouge
s'en vont jusque dans la partie postérieure du gr
a dure-mère au niveau de la région frontale gauche une large plaque
rouge
, végétante, hémorragique. Deux ou trois product
anc comme apéritif avant déjeuner, à table, environ un litre de vin
rouge
à chaque repas, café avec petit verre après déj
bien constitué, normalement musclé, de taille moyenne. La face est
rouge
et cou- verte de sueur, les yeux brillants; le
un homme encore robuste pour son âge, assez grand, la figure toute
rouge
, les yeux brillants. Tremblement généralisé. Co
le. Huit jours après, le pouce se mit à augmenter de volume, devint
rouge
et chaud. L'ongle se détacha au bout d'une quin
celle du pouce gauche 125 millimètres). La peau du pouce gauche est
rouge
, chaude, tendue, dure et pas dépres- sible. L'a
ntant sous l'apparence d'une lame kéra- tinisée recouvrant le derme
rouge
, infiltré de sérosité. Les mouvements choréique
, avant diner, amer Picon ou grenadine au kirsch ; vin blanc ou vin
rouge
à volonté aux repas. Depuis cinq ans environ, F
in, à midi et le soir amer Picon avant le repas, et un litre de vin
rouge
par jour. 11 n'a jamais aimé l'absinthe, dit-il,
vant : deux litres de vin blanc de huit heures du matin à midi, vin
rouge
en mangeant, de l'absinthe avant le repas et du
us marqué au thorax. Sur les cuisses, on note quelques papules d'un
rouge
brunâtre, isolées par des intervalles de peau s
on ne constate qu'une seule phlyctène. Les lèvres et le menton sont
rouges
; on y note une légère desquama- tion furfuracée
mplète, et contraction du champ visuel pour le 'vert, le bleu et le
rouge
. Pas de scotome central. Olfaction complète- me
e nerf trijumeau gauche, à sa sortie de la base de l'encéphale, était
rouge
, un peu ramolli et aplati par la tumeur. On pou
douleurs se loca-iseront dans l'œil et l'oreille droits. L'œil était
rouge
, tuméfié, saillant, mais recouvert cependant par
sérosité. La portion du ganglion d'où part le nerf ophtal-mique était
rouge
et injectée. Les racines de la grosse portion du
aux et les troncs nerveux eux-mêmes., tuméfiés et vivement colorés en
rouge
. De plus, dans les gauglions, comme dans les nerf
ent injectée et tuméfiée; la cavité articulaire renferme des globules
rouges
, des leucocytes et des cellules formelle avec l
ibrineusc, molles, rougeàtres. Les ganglions du mésentère sont un peu
rouges
et tuméfiés, mai;, il n'existe pas trace d'ulcéra
1). La peau ofîrelà tantôtune teinte rosée tantôt une coloration d'un
rouge
sombre, violacée même, mais qui cède toujours, mo
uloureux ; au-jourd'hui, on note que cette articulation est tuméfiée,
rouge
, et que de plus elle est le siègeïle douleurs spo
, les bords de la plaie spinale parurent tumé-fiées, d'une coloration
rouge
brun; elle était recouverte d'une mince couche pu
ésentait du côté gauche,c'est-à-dire frappé d'hé-miplégie, une teinte
rouge
vineuse, et, çà et là, de véritables ecchymoses.
point, ou mieux, comme un petit globule, le cylindre d'axe co-loré en
rouge
. 1. 0. Deiters. — Untersuch. iiber Gehîrn und R
connaître les altéra-tions suivantes : 1° la papille est uniformément
rouge
clans toute son étendue, phénomène qui est la sui
moitié inférieure des poumons. Déplus, il y a un foyer d'hépatisation
rouge
, récent dans le lobe inférieur. — Cœun estomac, r
à parois de consistance ordinaire. — Pont et moelle injectés de sang
rouge
grisâtre, sale. — Poumons injectés et œdématiés.
tingue encore fort nettement les cou-leurs périphériques, à savoir le
rouge
, l'orangé, le jaune et le bleu. Acettehémianesthé
visuel est plus vaste ; viennent ensuite le jaune, puis l'orangé, le
rouge
, le vert ; enfin, le violet n'est perçu que par l
, ce sera le tour du vert, —autre couleur centrale ;—puis, le tour du
rouge
, de l'orangé. Le jaune et le bleu, — couleurs për
Charcot s'en est assuré encore tout récem-ment, persistent à voir le
rouge
, alors que la notion du jaune et même du bleu s'e
let, ce dernier surtout, cessent d'être perçus avant que la notion du
rouge
et des autres couleurs, en général, disparaisse.
ginaires, géné-ralement de couleur noire ou grise, plus rarement d'un
rouge
vif, se présentent toujours pour chaque malade, d
lle est souvent tourmentée par la vision de lions qui se détachent en
rouge
vif sur le mur blanc de la salle où elle est couc
des attaques, il lui arrive fréquemment de s'imaginer voir des hommes
rouges
se présenter tout à coup sur sa droite. Cette mal
ns un jardin magnifique, sorte d'E- den, où souvent les fleurs sont
rouges
et les habitants vêtus de rouge. On y joue de la
E- den, où souvent les fleurs sont rouges et les habitants vêtus de
rouge
. On y joue de la musique. La malade y rencontre l
gne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 heures et la ligne
rouge
celle des vomissements. d p . Charcot, oeuvre
gne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 heures et la ligne
rouge
celle des vomissements. Les petits carrés rouge
heures et la ligne rouge celle des vomissements. Les petits carrés
rouges
, placés immédiatement au-dessous de quelques da-t
ne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 heures, et la ligne
rouge
celle des vomissements. Les petits carrés rouge
heures, et la ligne rouge celle des vomissements. Les petits carrés
rouges
, placés immédiatement au-dessous de quelques da-t
igne bleue indique la quantité d'uree rendue en 24 heures. La ligne
rouge
indique la quantité d'urine rendue en 24 heures.
e tantôt blanche, phosphorescente, tantôt offrant des teintes jaunes,
rouges
ou bleues plus ou moins accentuées. C'est là ce q
'après Hubert Airy. (Les lettres indiquent les diverses colorations :
rouge
, bleu, etc. (Philosophical transactions, 1870, p.
plus étendu pour le bleu que pour le jaune, pour le jaune que pour le
rouge
; vient ensuite le rouge, le vert, le violet, qui
que pour le jaune, pour le jaune que pour le rouge ; vient ensuite le
rouge
, le vert, le violet, qui est seulement perçu par
capable de la nommer ; le même phénomène se répétera pour le vert, le
rouge
, etc. Le jaune et le bleu seront peut-être les se
ns bientôt. Elle consiste en ce que l'étendue du champ visuel pour le
rouge
est plus grande que pour le bleu, de sorte que le
oir perdu la notion du violet, du vert, du bleu et du jaune, celle du
rouge
persistant seule. Voici un cas étudié par M. le D
sé ; mais, de plus, et c'est en quoi consiste l'anomalie, le champ du
rouge
est devenu plus étendu que celui du jaune et du b
et du bleu; ce dernier s'est rapproché du vert et s'est substitué au
rouge
. Si ce rétrécissement progresse, il pourra arrive
notion de toutes les couleurs ait disparu, à l'exception de celle du
rouge
. J'insiste sur ces anomalies que nous retrouveron
l'hystérie, excepté, peut-être, ce qui e^t cela- tif à la limite du
rouge
; car, à part cette dernière particularité, ils p
ièrement marqué à droite (fig. 16), et, de ce côté, il ne voit que le
rouge
. En outre, il y a des plaques d'hypéresthésie au
use, et pour la perception des couleurs, avec transposition du cercle
rouge
, à l'extérieur ; il y a en outre une diminution d
fonde, mit six semaines à guérir, et aujourd'hui, il reste une plaque
rouge
violacée de 3 à 4 cent, de large sur 10 à 12 de h
té droit. La jambe et le pied gauche sont froids, marbrés de taches
rouges
; le pied est, en outre, légèrement tuméfié. Cet
ment très marqué du champ visuel; de plus, non seulement le cercle du
rouge
est situé en dehors du cercle du bleu, mais encor
isse ment est très accentué à gauche, el non seulement le cercle du
rouge
est en dehors du cercle bleu, mais il dépasse enc
s de transposition des couleurs, non seulement à gauche, le cercle du
rouge
était en dehors du cercle du bleu, mais encore il
ouleurs, mais le champ visuel du bleu s'est rétréci plus que celui du
rouge
et est passé en dedans de ce dernier, phénomène,
l'œil gauche est absent, —le champ visuel est extrêmement rétréci. Le
rouge
seul est perçu par cet œil et le cercle de cette
encontré d'ailleurs chez le premier de nos sujets, le champ visuel du
rouge
est plus étendu que celui du bleu, contrairement
trécissement considérable du champ visuel des deux côtés; le champ du
rouge
est plus étendu que celui du bleu ; diplopie mono
qu'à gauche, il y a un rétrécissement énorme ; de plus, le cercle du
rouge
s'est transporté en dehors de celui du bleu. Il s
i prononcé du côté gauche et marqué par la transposition du cercle du
rouge
, sur les modifications, enfin, de l'activité des
goût de ce côté, rétrécissement du champ visuel avec transposition du
rouge
, polyopie monoculaire, anesthésie de l'arrière-go
nt marqué des deux côtés, à la vérité sans transposition du cercle du
rouge
. Je ne crois pas nécessaire, maintenant, d'entr
63. — Champs visuels du nommé Pin. ............ vert +. .4-. . + ¦ •+
rouge
complète ; mais celle-ci, il y a tout lieu de l
ût de ce côté, rétrécissement du champ visuel avec transposition du
rouge
, polyopie monoculaire, anesthésie de l'arrière-go
le nous avons fait faire un tableau divisé en deux carrés peints en
rouge
et jaune destinés à l'éducation de la vue, à fi
n transversale de la face interne de la joue gauche ; petite plaque
rouge
près de la dernière molaire. Petites adénites s
s'était faites à la suite d'un pari, avec une cuillère chauffée au
rouge
. L'index, composé seulement de la phalange, se
rpe et sur la face dorsale des doigts; elle est en outre légèrement
rouge
. Il existe une induration pro- ? i. 5. Malforma
. 37°, 5 et 38°. Les mains et les pieds, qui avaient une coloration
rouge
vineuse, ont pris la teinte cireuse du reste du
la langue ne sort plus; la face est moins bouffie, la coloration
rouge
des mains atout à fait disparu. - Soir : T. R. 39
jà dans l'aspect cle l'en- fant Les mains qui étaient de coloration
rouge
vineux ont pris la teinte cireuse du reste du c
s eschares. .. 24 juin. - Ce matin D... est très agité, sa face est
rouge
, un peu congestionnée, les yeux sont hagards, i
ses draps. Quatre accès depuis hier. " .' . 16 juillet. - Plaques
rouges
un peu ulcérées au trochanter droit. . 23 jui
de troubles de la vue : « Je vois, dit-elle, des papillons blancs,
rouges
, des pointes de feu des deux cotés et ma vue es
lement les résultats suivants : Le 18 décembre, quelques globules
rouges
nucléés en petit nombre peuvent être vus dans l
mateux. Tout d'abord il est certain que le nombre des 0'0- bulges
rouges
, pour la raison précédente, peut varier dans d'
fait en apparence paradoxal. Quant au chiffre to- tal des globules
rouges
, il peut être augmenté, normal, ou abaissé. Lor
premier cas le chiffre de l'hémoglo- bine, par million de globules
rouges
, passa de 27 . ye. Examen du sang 183 à 38 ?
avons, d'autre part, attiré l'attention sur la présence de globules
rouges
noyaux dans le sang de ces malades. Nous l'avio
le traitement, il nous a été impossible de retrouver des globules
rouges
nucléés dans le sang de nos malades. Quant aux
M. IIayem. M. Vaquez a trouvé chez les myxoedémateux des globules
rouges
à noyau avec une anémie du deuxième degré ; la
iles ayant conservé une aptitude particulière à former des globules
rouges
à noyau. M. Vaquez. Je ne saurais dire si la pr
ndiquent les jours où les malades ont pris lo médicament ; la ligne
rouge
correspond à la tempe- rature, la ligne bleue a
e spasmodique. 233 visage et le reste du corps sont glabres. Noevus
rouge
au- dessous du pli du coude et ncevi à la parti
le. La peau des condyles internes des fémurs est un peu épaissie et
rouge
par suite de l'accolement et du frottement des
prédomine. Période téta- uniforme : la face devient de plus en plus
rouge
; convulsions téta- niformes de la face à droite
s très volumineuses, sur- tout la droite; muqueuse du pharynx assez
rouge
; langue large. Gencives en bon état. Organes
. Au niveau du pli du coude, des deux côtés, deux petites plaques
rouges
peu colorées, mais suintantes, donnant lieu à de
accès; ce matin, avant la visite, il a eu 4 accès. La face est très
rouge
, les conjonctives injectées, les pupilles modér
s instants; mais à 5 heures, il était agité et avait le visage très
rouge
; à 7 heures il s'est mis à pleurer, puis s'est
accès la période de stertor étant passée, on le trouve la face d'un
rouge
vermillon intense, couverte de sueur, brûlante;
accès; T. R. 39',2. - Soir : T. R. 30°,4. Physionomie égarée; joues
rouges
; pupilles dilatées, égale- ment ; excitation a
site) ; il ne répond à aucune question, se met à pleurer; visage
rouge
, couvert de sueur. 26 juillet. - Série d'accès
statt et Niemeyer, définissent la rubéole : « un exanthème à taches
rouges
dont on ne sait, en comparant les phénomènes gé
cuisson, comme cela a lieu dans l'urticaire Il devient ensuite d'un
rouge
moins vif et peut disparaître complète- ment dè
omplète- ment dès le troisième jour. Cependant d'autres taches d'un
rouge
plus foncé persistent quelquefois jusqu'aux qua
mangeaison, le plus souvent le ventre est consti- pé, la langue est
rouge
et muqueuse à sa base, les malades éprou- vent
ous définirons la rubéole un exanthème aigu, con- tagieux, à taches
rouges
, irrégulières, souvent apyré- tique, ou s'accom
e, pas d'inap- pétence ; le pharynx et les amygdales étaient un peu
rouges
. Le troisième jour la malade était complètement
braneuse ; il n'y a pas d'ulcérations. La langue est sale, mais non
rouge
; large, saburrale; les piliers sont roses, rég
rine. T. R. 37°,4. - Soir : 37°,8. 14 zonai. Hier quelques taches
rouges
ont apparu sur le visage. Constipation. T. R. 3
pation. T. R. 370. - Soir : 38°. 15 mai. Eruption de petites taches
rouges
inégales sur le front, les joues et les parties
ur à Marseille, il a failli s'empoisonner avec de « petits grains
rouges
» dont on n'a pu préciser la nature. A 7 ans, re-
ont normaux; l'amygdale gauche est volumineuse, le fond de la gorge
rouge
. L'appétit est bon, sans perversion; le ventre
puis deux jours, le malade se plaint de la gorge qui est légèrement
rouge
; pas d'adénite. Ces accidents disparaissent en
nsion. Il crie « oui ! Aj la rigidité est très marquée; la face est
rouge
, le tronc se soulève à demi rigide; la tête est
tête dans l'extension. Nouvelle attaque. Rigidité très forte, face
rouge
, yeux en haut. Durée de dix secondes. Ecume bla
ars. - Depuis hier, apparition d'un érysipèle de la {ace; ta plaque
rouge
a débuté par le lobule du nez pour remonter ver
de chaque côté. Lps paupières inférieures sont tuméfiées; lapeau
rouge
, lisse,, chaude,- tendue ; taches blanches à la p
s tendons, se mon- tre très agité, veut se lever. Langue saburrale,
rouge
sur les bords et à la pointe. Respiration un pe
illon de l'oreille du même côlé ; en ce dernier point elle est très
rouge
. La lèvre supérieure est encore tuméfiée : les
isseaut de leurs parois sont congestionnés et remplis de globules
rouges
. A un grossissement plus fort, on peut voir que
llules sont mêlées d'un certain nombre de leucocytes, sans globules
rouges
pourtant, et englobés dans un ré- seau librineu
rès d'un centimètre, en arrière, les supérieures. Les gencives sont
rouges
, en bourrelet. Il y a un gonflement assez prono
rovenant de la piqûre de la pulpe du doigt, montre que les globules
rouges
sont pâles ; quelques-uns sont presque décoloré
qu'en petite quantité par la piqûre faite au doigt. Les globu- les
rouges
sont au nombre de 2,1;1,000 par m/m cube et les
s de 26,000, ce qui fait un rapport de 1 glo- bule blanc pour 100,7
rouges
. (Nous donnons ces chiffres sous toute réserve,
amen n'ayant pu être répété plusieurs fois). En outre, les globules
rouges
sont petits, ont de la ten- dance à s'agglomére
Coew (105 gr.) en systole; les oreillettes renferment des caillots
rouges
et un petit caillot cruorique (ventricule droit
meurs ressemblant à des tubercules caséines et reposant sur un fond
rouge
livide. Le péritoine mésentérique, qui recouvre
peau chaude, yeux brillants, langue sèche et saburrale. Gorge très
rouge
. Sulfate de quinine, lave- ment. Matin : T. I ?
les urines. Elles donnent avec la liqueur de Fellling un précipité
rouge
absolument net. Les urines sont d'une teinte cl
heures est de 1600 à 1700 gr. Les urines, au repos forment un dépôt
rouge
où l'examen microscopique dénote la présence de
es anciennes. On l'a pratiquée de plusieurs manières : i° Avec le fer
rouge
. Il en a déjà été question, page 3o8 ; nous feron
e tendance à l'ulcération, on renoncera à la cautérisation par le fer
rouge
. Quant aux caustiques potentiels, les intervalles
me de la grossesse ; de nos jours on a cautérisé l'utérus même au fer
rouge
, du premier au sixième mois de la grossesse, sans
utérines. L'agent le plus ordinaire de cette cautérisation est le fer
rouge
, dont l'emploi a été bien réglé par Larrey, mais
dant toute la période d'éhmination de l'escharre. En employant le fer
rouge
contre les maladies du col, il faut se rappeler q
seur de tissus, la pâte au chlorure de zino doit être préférée au fer
rouge
. Pour éviter aux malades la frayeur que cause s
rouge. Pour éviter aux malades la frayeur que cause souvent le fer
rouge
, on a employé d'autres agents plus faciles à diss
des pinces ; ils brûlent sans flamme, moins pro-fondément que le fer
rouge
, et s'éteignent facilement lors-qu'on les porte s
it se trouve brusquement interrompu et le fil de platine cesse d'être
rouge
. Le fil de platine, dont la grosseur varie d'ai
ter l'hémorrhagie dans ce cas, on choisit un fil épais qu'on porte au
rouge
sombre et non au blanc. Vous avez ainsi respecté
urs à cet égard obligent à répé- ter qu'il n'est hémostatique qu'au
rouge
sombre, comme l'a démontré M. Bouchacourt. Les
à des occlusions identi-ques. Des cautérisations malheureuses au fer
rouge
ont été signalées par Wilhams et Rigby; M. Sims i
le col est conique. On a vu la membrane muqueuse de ce col passer du
rouge
pourpre à une teinte pâle aussitôt après la divis
djoindre une autre méthode de diérèse; ainsi on a détruit avec le fer
rouge
tout ce qui a été resserré par l'application de l
restées adhérentes au col. Pour la cautérisation actuelle par le fer
rouge
on par le gaz, on suivra les règles tracées aux p
geons paraissent de mauvaise nature il faut les dé-truire avec le fer
rouge
, la pâte de Canquoin ou la pâte arsenicale. 2°
condition qu'on prendra le plus grand soin de ne toucher avec le fer
rouge
que l'extrémité inférieure du col, et d'éviter la
térine auxquelles cette vascularité expose, on peut cautériser au fer
rouge
toute la surface de section. Il est bon d'amputer
est la transfor-titation surcomateuse qui rend la tumeur plus molle,
rouge
comme du tissu musculaire, ou bien jaunâtre; la m
s couper entre deux ligatures, ou bien encore les diviser avec le fer
rouge
. Hernies des intestins. Elle n'est pas rare qua
dus, ou écrasés, ou soumisà l'acupressure, ou cau-térisés avec le fer
rouge
ou le perchlorure de fer ; la ligature sera réser
er il faut les couper entre deux ligatures, ou les diviser par le fer
rouge
, et enfin il ne faut pas laisser issue au plus pe
ité abdominale comme le fait M. Baker-Brown. Avant d'appliquer le fer
rouge
sur le pédicule, M. Péan a soin de le réduire à u
Figure vu'. Cautère électrique, u est l'ogive de platine qui devient
rouge
quand on établit le contact, b est une saillie qu
la paroi mince laissait apercevoir l'intestin grêle distendu et d'un
rouge
foncé. Cette tumeur était une hernie de l'intesti
en petites bandelettes et pénétrer au milieu des fibres motrices (
rouges
) des pyramides, dans leur partie postérieure et
stingue un nombre quelquefois considérable de noyaux colo- rés en
rouge
ou en rose. On peut rencontrer certains segment
ène ainsi, on peut s'assurer le plus habituellement, que le tractus
rouge
contourne le bloc protoplasmique et qu'il n'est
, desquelles on distingue un certain, nombre, de noyaux colorés 'en
rouges
. C, D, extrémités des deux segments interannu-
goutelettes renfermant un assez, grand nombre de noyaux colorés en
rouge
et représentant les vestiges de la gaine de myé
myéline granuleuse renfermant un grand nombre de noyaux colorés en
rouge
. : , -. · , Fig. 6. Segment interannulaire au n
te et les plan- ches sont montés sur onglets; demi-reliure, tranche
rouge
, non rognés. - Prix de la reliure, 5 fr. 3e v
érence. Au niveau des fosses sphénoïdales, elle présente un piqueté
rouge
qui résiste au lavage et au grattage. Les deu
nche, de colo- ? < ! i ,, 'H ! 1 t, 1. t 1 i s , . ' ration plus
rouge
qui révèle l'existence de foyers de sclérose; c
et dans les moindres risques de syncope car- diaque. Le visage est
rouge
, vultueux, et, quand l'anesthésie est profonde,
t toutes les articulations, on n'en trouve aucune de gonflée, ni de
rouge
, au- cune n'est non plus douloureuse ; la seule
d'une couche fibrino- purulente. Les parois du canal rachidien sont
rouges
et cette congestion est accentuée au niveau des
larisés, mais n'offrent pas de lésions. b) Les poumons sont petits,
rouges
, non adhérents ; le gauche pèse 450 gr., le dro
s, on constate au niveau des régions tibio- tarsiennes des traînées
rouges
et du gonflement qui paraissent trahir une lési
épanchement de liquide; les jointures des phalanges des doigts sont
rouges
et tuméfiées. -La douleur à la pression est viv
mènes articulaires ont complètement disparu, sauf quelques traînées
rouges
au niveau des phalanges. Rien au coeur. Le mala
à la partie postérieure du lobe inférieur, un foyer d'hépatisation
rouge
assez étendu. Le péricarde ne contient pas de l
perdu deux, la seconde est le vert; ensuite vien- nent par ordre le
rouge
, le jaune et le bleu. C'est celui-ci qui est pe
l'une a perdu les couleurs suivant l'ordre indiqué : violet, vert,
rouge
, jaune, bleu; pour l'autre, il y a une inversio
rt, rouge, jaune, bleu; pour l'autre, il y a une inversion entre le
rouge
et le bleu, et la série se présente ainsi : vio
le bleu, et la série se présente ainsi : violet, vert, bleu, jaune,
rouge
. Donc, suivant que les malades appartiennent à l'
a dernière perception chromatique conservée est celle du bleu ou du
rouge
. M. Landolt, qui a fait à la Salpêtrière une ét
une moindre étendue du champ visuel que le vert, celui-ci que le
rouge
, etc., fait que l'on constate avec une grande pré
re des deux catégories indiquées plus haut, elle verra d'abord le
rouge
ou le bleu, puis le jaune, etc. - Particularité i
evenu achromatrope en perdant successivement le violet, le vert, le
rouge
, le jaune et le bleu ; l'autre a récupéré l'état
l'autre a récupéré l'état normal en regagnant le bleu, le jaune, le
rouge
, le vert et le violet. Puis survient l'anesthés
n même temps, il se produit de ce côté comme une sorte de piqueté
rouge
, et il apparaît sur le bord externe de l'organe u
Ell lr af'jt(< ? t ' ..libres, fines procède également du noyau
rouge
de ? P'-1 ? 0S-ava0 .'39 a j ^-UBlirai.» t>.-»
ra- : . i : n. 'Ih f. ? " ,UI· U,IJU Lt5 ? , ? t'tH<,'J,3 5 tion
rouge
pale, foncée, se rapprochant déjà, d après le mal
ues, dont deux d la' grandeur d'une pièce °der 2 ' francs,' brun-
rouges
au 'centre, vét : datres àli périphérie : Au mémb
M^i^ cc§ ? -'Mfi.te ? 5nkq9eJle 4or -au dire du malade, serait d un
rouge
franc, .naup 1" Kût)eM ? 'e. r Denuis ? 3.mo.en
dimfegaJemenHque3chéz ! lui'b ? PiPÂ ? c est-a-dire avec une teinte
rouge
vineuse plus ou moins accen tuéelîl'e'tlfl s`é`
seraient ? n·rtt1'fr alz r. << ? 9*t't alors dune coloration
rouge
plus ou. moins foncée; parf ois , dès le 9 rdéb
le, congestion aboutissant rapidement à la diapédèse des globules
rouges
ou à la transsudation de la matière colorante d
s veines antérieures^ et moyennes de la pie-mère, un ramollissement
rouge
des 592 REVUE DE pathologie nerveuse. zones c
utres fois un changement de couleur de la peau. qui devient pâle ou
rouge
. Dans quelques cas, il suffit de laisser pendre
s'arrache la langue qu'elle jette à terre sous la forme d'une masse
rouge
39 610 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. saignan
e, etc., etc. Sang. On y observe une désorganisation des globules
rouges
, due à la décomposition chimique du chloral en ch
lieu desquelles on distingue un certain nombre de noyaux colorés en
rouges
. C, D, extrémités des deux segments interannu-
n goutelettes renfermant un assez grand nombre de noyaux colorés en
rouge
et représentant les vestiges de la gaine de myé
myéline granuleuse renfermant un grand nombre de noyaux colorés en
rouge
. Fig. 6. Segment interannulaires au niveau duqu
cale. Ne, noyau caudé. N l, noyau lenticulaire. N r. SI., noyau
rouge
de Stilling, Lut. S, locus niger de Soemméring.
: le blanc, le noir, le violet, le bleu, le vert, le jaune et le
rouge
, soit sept couleurs correspondant dans le jeu o
s enfants. Nous avons ainsi, pour ne citer qu'une série : le double
rouge
, le rouge et blanc, le rouge et noir, le rouge
Nous avons ainsi, pour ne citer qu'une série : le double rouge, le
rouge
et blanc, le rouge et noir, le rouge et violet,
ur ne citer qu'une série : le double rouge, le rouge et blanc, le
rouge
et noir, le rouge et violet, le rouge et bleu, le
ne série : le double rouge, le rouge et blanc, le rouge et noir, le
rouge
et violet, le rouge et bleu, le rouge et vert,
rouge, le rouge et blanc, le rouge et noir, le rouge et violet, le
rouge
et bleu, le rouge et vert, le rouge et jaune et
blanc, le rouge et noir, le rouge et violet, le rouge et bleu, le
rouge
et vert, le rouge et jaune et ainsi de suite. Nou
et noir, le rouge et violet, le rouge et bleu, le rouge et vert, le
rouge
et jaune et ainsi de suite. Nous nous sommes bi
plus que les autres. - Foie normal (890 gr.). - Raie, ferme et d'un
rouge
foncé (50 gr.). - Reins : IIy- perhémie. Catarr
e de zinc. Jusqu'au 30 mai, la conjonctive oculo-pal- pébrale reste
rouge
et vasculaire. A cette époque, la tumé- faction
e : 20 gr. de sérosité environ. - Coeur (105 gr.), tissu musculaire
rouge
. Abdomen. - Estomac ratatiné; sa muqueuse est t
légèrement pour se dilater de nouveau vers les narines. Petit nævus
rouge
sur sa face dorsale. Narines larges. Odorat nor
eur face externe est recouverto d'une éruption vésiculeuse sur fond
rouge
qui se prolonge vers la racine des cuisses; cli
mateuse à la base du liez, antérieure à la rubéole ; pointillé plus
rouge
sur la face, à la joue gauche en particulier ; pe
surveillé. Les membres supérieurs sont bien développés; les mains
rouges
, violacées, les doigts gros, comme cedématiés, co
eures.- Voûte palatine étroite et assez profonde. Gencives un peu
rouges
au bord. - Dents recouvertes de mucus. 1884. 11
s sous vos yeux indiquent les oscillations de la température (tracé
rouge
), les modi- fications du poids (tracé bleu) ; l
n DES planches. Planche VIII. Traitement du myxoedème. La LIGNE
rouge
indique la température rectale. La ligne bleue
ssage du courant électrique. Il avait sur le bras plusieurs plaques
rouges
que le médecin a qualifié, dit le malade, de va
territoire de la calotte du pédoncule cérébral, en arrière du noyau
rouge
, en dedans du ruban de Reil (découvert par Bech
rieures froides, notamment les jambes et les pieds, avec coloration
rouge
bleuâtre des orteils du bord externe du pied, d
leurs chapeaux; d'autres criaient : « Place aux malades, gare le
rouge
», parce qu'on prétend que cette couleur est cont
périeur droit est plus froid que le gauche. La main droite est plus
rouge
que la gauche. A la mensuration on trouve les m
dure-mère, au renflement lombaire, présente une tache oblongue d'un
rouge
foncé, formée par la membrane néoplasma- tique
égion lombaire du côté du canal vertébral dévoilent des taches d'un
rouge
foncé, et à cet endroit, le corps des vertèbres
stance grise de la moelle dans la partie lombaire est d'une couleur
rouge
foncé, et les cornes antérieures sont bien cons
ie. On trouve outre l'oedème, dans le poumon droit l'hépa- tisation
rouge
, dans le poumon gauche la splénisation de la part
.le ? l1'lohnlc'i blancs et 2 : H e REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
rouges
accumulés; ces. lexsudais, qui existent également
a une passion pour les tabliers blancs; sa mère adorait les rubans
rouges
. Morel enfin rapporte l'histoire d'un père et de
e l'achromatopsie. Le malade, de chaqueoeil à part, appelle bleu le
rouge
et jaune le vert; rétrécissement du champ visue
285 la sensation des couleurs; l'oeil droit voit en vert des fils
rouges
, bleus et noirs, l'oeil gauche les voit jaunes. L
causait des douleurs; la peau est oedémateuse, mais elle n'est pas
rouge
; au- cune indication d'amas liquide dans les ar
si que dans la région temporale du même côté ; l'oreille droite est
rouge
, les lèvres ne sont pas noires. T. R., 39°,2. -
du côté de la face, la joue droite est beaucoup plus gonflée, plus
rouge
. T. R. 39°,6. - Soir : 40°,3. 27. T. R. 39o,4.
postérieure du cou et de l'épaule droite. La plaque d'érysipèle est
rouge
; le bourrelet n'est pas franc; les bords vont e
nt très marqué de la lèvre supérieure et de la joue droite, qui est
rouge
et luisante. Tympanite considérable. T. R. 39°;
a grande scissure, l'est au contraire à un degré très notable, d'un
rouge
bleuâtre et un peu oedémateuse. Il n'y a pas de
le D' Murray dit que la proportion des globules blancs ou globules
rouges
estde 1 à 90; que les globules rouges du sang e
s globules blancs ou globules rouges estde 1 à 90; que les globules
rouges
du sang en proportion à l'échelle normale est d
. Il n'y avait aucune altération morbibe dans l'aspect des globules
rouges
ou blancs. Respiration. - Tout à fait normale à
eau commeoedématiée; les mains ramassées; les doigts épatés étaient
rouges
, cyanosés, comme infiltrés; l'abdomen était trè
ans les bronches, un peu de liquide spu- meux, légèrement teinté de
rouge
; le poumon contient de l'air, est oedémateux, a
1° Sang normal, autant qu'on eu peut juger sur le cadavre; globules
rouges
de taille et couleur normales, pas d'augmenta-
ïdienne inférieure contiendrait un plus grand nombre de corpuscules
rouges
. 2 Schiff. - Résumé d'une série d'expériences s
lambeau. La cicatrice du cerveau était très vasculaire, de couleur
rouge
, d'à peu près 3 centimètres de long et 2 de lar
e par la benzine, et l'on montera dans le baume du Canada. C'est le
rouge
de Magenta qui donne les meilleurs effets. Quand
ous servons de feuilles de chiffres imprimés, les chiffres pairs en
rouge
, les chiffres impairs en noir. Les chiffres imp
fres imprimés, les enfants placent des chiffres en bois, colorés en
rouge
ou en noir. Pour la seconde, nous faisons place
ffres arabes, chiffres romains (les impairs en noir, les pairs en
rouge
), signes de ponctuation, images graduées, etc.
peu profonds ; prédominance des lésions ttflituclie. Hépa- tisation
rouge
du poumon auche ? IclIlC1'ellccs pleurales du m
les sutures restaient très nettement accentuées par des dentelures
rouges
; les parties osseuses voisines étaient égalemen
elures rouges; les parties osseuses voisines étaient également très
rouges
. La calotte a la forme d'un trigone irrégulier
et est un peu cudmatiée en certains points. Réflexions. 97 aspect
rouge
, louche. Il s'échappe des bronches du lobe supé-
lus. - Rein droit (265 gr.), blanchâ- tre, avec de nombreux sillons
rouges
; pas de lobulation. A la coupe, il crie légère
umière et à l'accommodation. L'enfant connaît le blanc, le noir, le
rouge
, confond le vert et le bleu. Pas de diplopie. -
a respiration. Pas de matité, T. Il. 38°. -Soir : T. R. 39°. Langue
rouge
et sèche. ' Ventre non douloureux, pas de diarr
- La partie inférieure du lobe supérieur présente une hépatisation
rouge
tendant à devenir grise ; il coule dans l'eau ;
distendue fortement par le cerveau; ses sinus sont gorgés (le sang
rouge
. - Pie-mère congestionnée. Sur la base et la fa
poral Sur la face supérieure du 4" ventricule existe une coloration
rouge
brique occupant presque toute la paroi ventricu
e faite pour séparer la protubérance du cerveau, on trouve une zone
rouge
de congestion très inten-e, ciruoncrivant toute
paroi antérieure du thorax sur- tout à gauche a une coloration d'un
rouge
violacé très pro- noncé. L'incision médiane ord
tre qui contraste avec les parties latérales dont la coloration est
rouge
intense. Des incisions faites sur les fesses au
thyroïde (5 gr.). Thorax. - Poumon gauche (270 gl'.), hépatisation
rouge
à la base ; bronches remplies de pus. Poumon dr
la section ; il est du reste très épais et sa face interne est d'un
rouge
vermillon uniforme. Les os du crâne sont très é
caractérisées par une céphalalgie frontale intense, des phosphènes
rouges
et verts, des nausées et des vomissements qui l
ttes assez saillantes. Menton petit et arrondi. - Oreilles grosses,
rouges
, courtes, en bateau, bien ourlées, lobule gros
coude droit existe une fistule d'origine osseuse à bords adhérents,
rouges
et arrondis, qui actuellement ne donne lieu iL
substance grise a pris sous l'influence du carmin une colora- tion
rouge
uniforme très intense. Les cellules pyramidales p
ux supérieur (entrelacement) et finirait à la face dorsale du noyau
rouge
dont ilaiderait à former la capsule blanche. Il f
s et en avant entre le plancher du troisième ventricule et le noyau
rouge
, à peu de distance du plancher. Il s'agit de ch
cause de sa trop grande faiblesse. Ses paupières étaient légèrement
rouges
; ses lèvres avaient une couleur de corail. La l
e de suffocations. Elle souffrait également des yeux, qui étaient
rouges
, mais il n'y avait aucun affaiblissement de la
umé rapide de ses expériences à ce sujet. Une malade ne voit que le
rouge
à gauche, et il ne lui manque que le violet à d
il ne lui manque que le violet à droite : on l'expose à la lumière
rouge
pendant quatre minutes. Elle nomme alors le rou
pose à la lumière rouge pendant quatre minutes. Elle nomme alors le
rouge
, le vert, le bleu, le jaune, désigne sous le no
, le bleu, le jaune, désigne sous le nom de gris-bleu tirant sur le
rouge
une couleur qu'elle ne connaît pas, et elle rec
eure la couleur violette. L'oeil gauche a continué à ne voir que le
rouge
, mais distinguant plus de nuances.Les mêmes eff
. Pour les deux yeux, toutes les notions de couleur se réduisent au
rouge
et au bleu : le rouge, l'orange sont vus rouges
toutes les notions de couleur se réduisent au rouge et au bleu : le
rouge
, l'orange sont vus rouges sans distinction de tei
leur se réduisent au rouge et au bleu : le rouge, l'orange sont vus
rouges
sans distinction de teintes; le jaune parait bl
ction de nuances. Je place devant les yeux de celte malade un verre
rouge
à tria- vers lequel elle regarde une minute : j
pendant quatre minutes : le verre, une fois retiré, elle voit tout
rouge
, larmoie, se frotte les yeux. Ces symptômes de
'excitations très courtes produites en passant seule- ment le verre
rouge
devant les yeux plusieurs fois desuite,'chaque
par un inter- valle de repos, elle reconnaît différentes nuances de
rouge
, mais c'est tout. Deux jours après cette augmen
après cette augmentation de la sensibi- lité différentielle pour le
rouge
a persisté. Alors, par quatre reprises, je fais
'avant-veille. A la suite, ma malade gagne, en plus de la notion du
rouge
, celle du bleu, du vert, du violet. Sa sensibil
é manifestement augmentée à la suite des excitations par la lumière
rouge
. Ce dernier fait, étudié avec soin par M. Féré,
quatre 248 SOCIÉTÉS SAVANTES. minutes de suite à travers un verre
rouge
. Au bout de quelques séances la notion des coul
séances la notion des couleurs était revenue et il distinguait le
rouge
, l'orangé, le jaune, le vert, le bleu, le violet.
, me dira-t-on, pourquoi avez-vous donné la préférence à la lumière
rouge
? N'aurait-on pu se servir d'une autre couleur
rvir d'une autre couleur ? Sans doute, mais j'ai préféré prendre le
rouge
parce que cette couleur, d'après les expériences
le plus d'action sur l'état dynamique. Kunkel a montré au-si que le
rouge
produisait plus rapidement que les autrescouleu
ces faits : mais il ajoute qu'il ne faut pas cependant employer un
rouge
trop sombre, parce que le temps de réaction ser
ont occupés par le segment d'une tumeur bosselée à la surface, d'un
rouge
brun foncé, SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 d'une cons
, on s'aperçut que, tout d'un coup, en travaillant, il devenait «
rouge
, rouge pourpre, les yeux étaient injectés de sang
s'aperçut que, tout d'un coup, en travaillant, il devenait « rouge,
rouge
pourpre, les yeux étaient injectés de sang, il se
grille, se retourne brusquement et reprend sa course. La figure est
rouge
, vultueuse ; le malade bave un peu; de la main
. Autopsie. Cerveau. Les méninges sont injectées. Ar- borisations
rouges
, très fines, étendues sur toute la convexité du
ent connue à Bordeaux. Mais '1,01ô, voulant dire simplement couleur
rouge
, érythrophobie ne pouvait signifier que phobie
ent couleur rouge, érythrophobie ne pouvait signifier que phobie du
rouge
et non de la rougeur, d'où une source de confus
er une dame qui, entre autres phobies, présente celle de la couleur
rouge
, à ce point qu'on a dû enlever de sa chambre tous
onc là deux phobies très distinctes l'une de l'autre : la phobie du
rouge
, la phobie du boeuf ou du taureau, qu'on peut a
al. La rougeur est plus ou moins vive suivant les cas. Elle va du
rouge
clair au rouge écarlate, sans que ces variations
r est plus ou moins vive suivant les cas. Elle va du rouge clair au
rouge
écarlate, sans que ces variations de nuances ai
t alors : « Qu'est-ce que ça peut vous foutre que je devienne vert,
rouge
ou bleu ? » et il s'en allait furieux. Un autre
gens de rougir mal- gré eux ? N'est-il pas une teinture imitant le
rouge
naturel, qui pourrait donner au teint une nuanc
on fait pour un tatouage; seulement au lieu d'être bleu, ce serait
rouge
...1 ? » '.L'histoire la plus curieuse, à cet ég
Tu vas rougir. » Et si je n'ai pas le temps de passer avant que le
rouge
me soit monté au visage, je rougis. Si j'ai le
urtout à l'extrémité de la verge après avoir uriné, dépôts de sable
rouge
, de mucus. Pas d'accès de coliques néphré- tiqu
l'a fait rougir que je dise cela. Ah ! regardez donc comme il est
rouge
! Il est rouge comme un coq ! Bon ! voilà encore
ir que je dise cela. Ah ! regardez donc comme il est rouge ! Il est
rouge
comme un coq ! Bon ! voilà encore le rouge qui
il est rouge ! Il est rouge comme un coq ! Bon ! voilà encore le
rouge
qui l'empoigne ! » Forcément, à force d'entendre
n'a pas eu de forte rougeur. Il a eu constamment les oreilles très
rouges
, mais le visage pas. il parle sans émotion appa
rement. A la suite d'un nouvel écart de régime (poisson fumé et vin
rouge
) suivi pourtant d'un lavage, il est pris le soi
che optique; de nouvelles fibres, prove- nant du voisinage du noyau
rouge
de la calotte, viennent alors les renforcer. L'
couche latérale, couche inférieure et couche antérieure du noyau
rouge
, d'après leurs rapports avec ce noyau. L'anse du
iculaire de la moelle cervicale ; une atrophie simple dans le noyau
rouge
de la calotte, dans les tubercules quadrijumeaux
ux. Ses réponses furent formelles : il voyait des hommes vêtus de
rouge
qui, au moyen de gestes, le menaçaient de l'étran
rne, ni le grand nombre des fantômes hallucinatoires, ni la couleur
rouge
dont ceux-ci se couvraient, mais bien son carac
as d'autres escarres. 24. Ce matin D... est très agité, sa face est
rouge
, un peu congestionnée, les yeux sont hagards, i
nt, mord ses draps. Quatre accès depuis hier. 16 juillet. - Plaques
rouges
un peu ulcérées au trochanter droit. t. 23. D
ce qu'il faisait, il répond que la vue lui était devenue abscure ou
rouge
, qu'il voyait des tigres, des san- gliers, des
es doses répétées, et aussi l'administration d'un mélange de moelle
rouge
des petits os, de sang et de glycérine. R. DE M
ceux des cellules de névroglie, et éventuelle- ment les corpuscules
rouges
du sang dans les vaisseaux; elle ne colore ni l
e bien inférieure, tels que ceux des olives bulbaires ou des noyaux
rouges
de Stilling. Au cours de ses études sur l'histo
ose très caracté- ristique que de voir les stades de ramollissement
rouge
, jaune et blanc décrits comme caractérisant la
toute en brique blanche de Chartres avec filet et motifs en brique
rouge
comme parement seulement, et le surplus des murs
us ne soyons pas l'auteur de la proposition des briques blanches et
rouges
, nous n'y voyions rien d'extraordinaire : une t
LOGIE NERVEUSE. 469 nâtres d'ostéite condensante et d'autres taches
rouges
d'ostéite raréfiante. La moelle osseuse est trè
ur bleue ne persiste pas toujours la dernière, c'est quelquefois le
rouge
, et dans ce cas Ja théorie du rétrécissement co
tour, telle autre couleur qui pourra être tantôt le bleu, tantôt le
rouge
, en d'autres termes celle qui aura le champ vis
de la culture consiste dans une couleur rose au lieu d'une couleur
rouge
, cette espèce mycotique n'a pas été décrite par
eut être attribuée à une diminution sensible du nombre des globules
rouges
: en décembre 1904, nous comptons 4,357,000 globu
lobules rouges : en décembre 1904, nous comptons 4,357,000 globules
rouges
et 9,300 globules blancs ; en 1905, 3,926,400 glo
a pas subi de dégé- nérescence graisseuse. Les reins sont petits,
rouges
, congestionnés. Leur capsule est normale.'1 .,
s amas pigmentaires d'origine hématique et par de nombreux globules
rouges
, plus ou moins déformés et indistincts. Sur cer
; mais à condition de ne pas se laisser impressionner par la teinte
rouge
de la partie inférieure de la face postérieure de
ompagnées d'une augmentation de l'oedème ainsi que d'une coloration
rouge
des téguments. ' De même dans une observation d
ROPHOEDÈME CHRONIQUE 165 Notons que dans ce cas l'oedème était mou,
rouge
, chaud et douloureux quand la malade était debo
de marbrures irrégulières. La face toujours très congestionnée est
rouge
, les épistaxis sont fréquentes, la peau du visa
u complètement adhérente aux tissus sous- jacents, des papules d'un
rouge
vineux du volume d'une lentille et des taches e
lit apparaître un autre écorché colorié, un vrai, avec des muscles
rouges
, des os jaunes et des ligaments blancs, d'une e
t spécifique. Le malade dit avoir eu quelque temps après une plaque
rouge
sur le thorax ; pas de ro- séole ni de céphalée
ps genouillés externes et internes et la partie supérieure du noyau
rouge
, on voit un foyer de ramollissement qui occupe
tre les fihres les plus internes adja- centes à la capsule du noyau
rouge
et le bras du tubercule quadrijumeau antérieur
substance réticulée de la calotte et pénètre en dedans entre le noyau
rouge
et le corps de Luys pour s'arrêter à la limite
édentes, mais qu'en plus le prolongement qui pénètre entre le noyau
rouge
et le corps de Luys tend à augmenter d'éten- du
ectionner les fibres de la partie antérieure de la capsule du noyau
rouge
et effleurer à ce niveau la partie tout inférieur
cédente, les fibres de la portion antérieure de la capsule du noyau
rouge
. Elle effleure même à ce niveau la partie adjacen
dian, le locus niger et la partie antérieure de la capsule du noyau
rouge
vient sectionner en outre le groupe externe des f
jà calotte. En plus il pousse une pointe qui pénètre entre le noyau
rouge
et le corps de Luys et qui s'arrête à la partie i
que dans le pied du pédoncule. Dans la calotte, au niveau du noyau
rouge
, elle occupe toujours avec prédilec- tion la ré
e pousse une pointe qui pénètre dans le locus niger, entre le noyau
rouge
et le pied du pédoncule, sectionnant à ce nivea
pédoncule, sectionnant à ce niveau les fibres de la capsule du noyau
rouge
et même sur une petite hauteur, la partie adjac
l médian, soit dans la partie antéro-externe de la capsule du noyau
rouge
, soit enfin dans le locus niger où elles sont cou
lotte. En dedans, il pousse une pointe qui s'insinue entre le noyau
rouge
et le pied du pédoncule, en plein locus niger e
dian (dont seules les fibres les plus internes, adjacentes au noyau
rouge
étaient conservées) et une destruction d'une gr
r de la capsule interne. CL. Corps de Luys. CNR. Capsule du noyau
rouge
. F. Foyer primitif. Fli. - Faisceau longitudi
dach. NG. - Noyau de Goll. 1. NL. Noyau lenticulaire. NR. Noyau
rouge
. P. - Pied du pédoncule. Pcs. - Pédoncule cér
emière phase de l'érythropsie ; mais le malade n'a pas eu de vision
rouge
. Il faut encore signaler l'hémi-hypoesthésie ga
diflé- rence entre les deux hémisphères. Le droit se colore plus en
rouge
au carmin que le gauche, d'abord dans sa moitié
à lui ; injection faite avec lenteur d'une masse de suif coloré en
rouge
, par cette artère ; l'avant-bras et le bour- ge
t le point de départ de la tumeur. Celle-ci, grisâtre à la surface,
rouge
et sanglante sur des coupes, est arrondie, et mes
endroits, les fibres s'écartent pour envelopper un amas de globules
rouges
. On saisit ainsi l'origine vasculaire du tissu
piques de la peau des doigts, des trainées anastomosées de globules
rouges
répondant à des capillaires dilatés ou à de petit
férant des hémorragies vraies que par l'absence d'issue de globules
rouges
et re- levant de la diminution de coagulabilité
premiers jours et 1(t peau qui le recou- vre, autrefois distendue,
rouge
et épaisse, est devenue souple et blanche, elle
produisent des résultats semblables. Des plaques et des pointillés
rouges
, tenant à des troubles des nerfs vaso-moteurs,
dans les,, mouvements de phonation. Cordes vocales larges,un; peu.
rouges
. Mouvements normaux. Dans l'émission des sons u
s, et nullement soumise aux influences extérieures. La main devient
rouge
sombre avec des plaques plus ou moins foncées et
orte). Le point déprimé devient blanc, et la coloration violette ou
rouge
reparaît un peu exagérée dès que le doigt cesse
bien légitimement ses caractères distinctifs, nous plaçons un verre
rouge
devant les yeux delà malade. Immédiatement nous
s sensorielles restent sans effet parti- culier. A travers un verre
rouge
, elle voit rouget à travers un verre jaune, jau
diverses expériences. Tout d'abord l'expression de plaisir du verre
rouge
: c'est le duo d'amour; la tristesse produite p
ste qui correspond bien exactement au jeu de physio- nomie. Verre
rouge
. -- Sourire presque immédiat; expression de plais
yschro- matopsie, l'anosmie, l'agustie, l'anesthésie, etc. Le verre
rouge
colorait en rouge les objets ambiants, le verre
l'anosmie, l'agustie, l'anesthésie, etc. Le verre rouge colorait en
rouge
les objets ambiants, le verre jaune en jaune, etc
i elle nevoyait pas quelque chose d'autre que des objets colorés en
rouge
, par exem- NIy.VFIL1 l1'O'dlt.r.'APHlr 1.1... L
s haut. ' ' Après l'avoir mise en catalepsie, nous plaçons un verre
rouge
devant ses yeux. Immédiatement sa face prend l'
s et interprète tout cela comme un individu normal. Placez un verre
rouge
devant ses yeux, il voit les objets teints en r
Placez un verre rouge devant ses yeux, il voit les objets teints en
rouge
. Le cataleptique au contraire, bien que sa rétine
simples produisant la gaieté, d'autres la tristesse par exemple. Le
rouge
, que nous avons vu provoquer des hallucinations
tte pratique. Dans quelques cas, trou- vant la dure-mère épaisse et
rouge
, j'ai pratiqué avec le bistouri une série de tr
us-maxillaire des saillies irrégulières, mame- lonnées, teintées en
rouge
, qu'il est impossible à l'oeil le moins exercé,
pèse 53 livres. Le 15 mai, seconde poussée'sur les jambes, élevurcs
rouges
saillantes, à bords élevés, mais la surface est
us-maxillaire gauche. Sur la région temporale, du même côté, plaque
rouge
livide érythémaleuse. Le 20 mai, sur la surface
côté, plaque rouge livide érythémaleuse. Le 20 mai, sur la surface
rouge
grosse vésicule d'herpès ou de pemphigus ? Exea
ns gros comme une fève, semblables il une piqûre de cousin, d'abord
rouges
, puis violets, enfin blanchâtres. » Chaque bouton
éments nerveux une grande quantité d'éléments nucléaires colorés en
rouge
par la purpurine; et au sein de la préparation un
plaques s'étaient produites, sans réaction, à la suite de traînées
rouges
irradiées le long du membre. On trouvait encore
ex a sa phalangette à demi fléchie, il est effilé, d'une coloration
rouge
vineux, qui devient souvent violacée; les mouveme
; elle est, comme les autres, d'un UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE. - 259
rouge
foncé, légèrement saillante ;i son centre, assez
ue la face dorsale de la main gauche et du poignet était gonflée et
rouge
. En effet le soir à cinq heures sa main était d
le, passait une bande de couleur grisâtre parsemée de petits points
rouges
. Cette bande suivait le bord interne des couches
et des capillaires. Issue d'un certain nombre de globules blancs et
rouges
disséminés; hémorrhagies capillaires au niveau
air semble gris; le vert foncé est perçu ainsi que les divers tons du
rouge
. Les pupilles sont égales, moyennement dilatées
être abolis dans l'hystérie. Quant ladyschromatopsie, le vert et le
rouge
sont perçus, ce qui est contraire à l'idée de tab
agnée de quelques troubles vaso-moteurs; la peau était, parait- il,
rouge
et froide « comme les mains de quelqu'un qui a fr
rétrécissement est plus régulièrement concentrique; les limites du
rouge
sont plus étendues qu'a l'état normal, son cerc
e des bras, dans les aines. Elle se compose de tout petits placards
rouges
, disséminés, ecz'éiiiatiforities par places, pa
fonçure extrême du tympan, dont la transparence laisse voir le fond
rouge
vif de la caisse. Audition montre par voie osse
u et surtout l'apophyse externe sont saillants et bordés d'un filet
rouge
, à gauche. Diagnostic : légère congestion de
et de la protu- bérance il existe un certain nombre de taches d'un
rouge
grisâtre, déprimées, éparpillées un peu partout
ès basse et enrouée, cassée. Pharynx, type d'engorgement catarrhal,
rouge
, plissé, humide; amygdales volumineuses rouges,
ngorgement catarrhal, rouge, plissé, humide; amygdales volumineuses
rouges
, et palais coloré. Ni granulations, ni ulcérati
Pharynx. Très congestionné, gros plis latéraux perpen- diculaires,
rouge
vif, qui remplissent et comblent la cavité.. M.
ct brillant et chatoyant; ils n'étaient ni ramollis, ni indurés, ni
rouges
, ni oedémateux. Rien à l'oeil nu n'indiquait qu
jaune des gaines. D'autres fois, ils présentent une teinte rosée ou
rouge
brun, tandis que les noyaux ont pris une teinte
pendant qu'on en pratique l'examen. Le soir, le centre de la plaque
rouge
est dépouillé d'épiderme sur une surface arrond
cs en argent. En outre, sur la fesse droite, on aperçoit une plaque
rouge
, large comme la paume de la main, sans décollem
eur diffuse avec un peu de gonflement oedémateux. Sur cette portion
rouge
périphérique on remarque plusieurs phlyctènes r
ssières droite et gauche sont recouvertes par une vaste plaque d'un
rouge
violacé, s'étendant en largeur depuis le sillon
ndis que les lobes moyen et inférieur sont encore en hépatisation
rouge
. Sur la plèvre pariétale droite, on remarque un
s secondaires également hypertrophiées, infiltrées de petits noyaux
rouges
et formant un réseau très apparent dont les mai
iers d'un verre ordinaire. La face interne de la dure-mère est d'un
rouge
vif ; en y promenant la pince, on détache des l
e trouve transportée dans un beau jardin où elle cueille des fleurs
rouges
et bleues, qu'ello contemple avec plaisir. DE
En mettant dans un des tubes un disque bleu, dans l'autre un disque
rouge
, et en retirant brusquement ce dernier, on voit
iolette, qui passe par toutes les nuances du violet jusqu'au violet
rouge
. ' R. BL11\cunnD et J. Pignol. III. Sur la caus
rte de tube,fibrineux décoloré dont. le, centre est encore noir, et
rouge
. , " . Le lobule paracentral a conservé sa form
a substance cérébrale devenue, adhérente, ramollie et ^pigmentée de
rouge
., 11L, Rendu a cité le -cas d'une monoplégie du
\ Inappétence complète, la langue, est blanche. Les gencives sont
rouges
, un peu tuméfiées, non ulcérées, et par la pressi
il »" < *» très évidente du rapport numérique entre les globules
rouges
et les globules blancs; ces derniers 'apparaiss
&, 1 1 u rôuges; i crépitant' ceperi- mons tres-congestionnés,
rouges
, joedematies, crépitant'cepen- dant encore. J J
de largeur,' de consistance, très, ferme, Iprosquesdureétuel'û'nG
rouge
linifornÿe, plüsj`clàirqu'à,l.étatnormal.zé'iq Ei
consistante qu a 1 état normal. z Le spongieuxisonf également moins
rouges
, mais n ly ? 1 sentent p ? d'aü,trelaltéra(ion
queuse vésicale est épaisse', tomenteuse, avec ''des arborisations'
rouges
sans ulcération.' Dans le bassin'on trouve un k
normal.' Les ligaments' croiséssont conservés ! 'La synoviale' est-
rouge
et très notable'-1' ment épaissie. Les surfaces
ympanique et l'on produit du gargouillement en pressant sur la peau
rouge
et amincie. Température = 38° à 39°. Le 4 no- v
de coloration de la substance grise due à l'empilement des globules
rouges
dans les capillaires, sans prolifération des glo-
(centre ovale, coupe verticale et transversale) montrent un piqueté
rouge
, congestif, généralisé d'encéphalite. Les cavit
t la vie n'ont rien constaté d'anormal dans les formes des globules
rouges
. Le fonctionnement défectueux des hématies est
la mort, se séparait par le repos en deux couches, l'une inférieure
rouge
, formée par les globules sanguins, l'aulre supé
perchlorure de fer, on obtient immédiate- ment une belle coloration
rouge
rubis. Il suffit donc d'ajouter quelques goutte
réaction sera plus ou moins nette, et la teinte obtenue variera du
rouge
clair au rouge du vin de Bourgogne. Le deuxiè
plus ou moins nette, et la teinte obtenue variera du rouge clair au
rouge
du vin de Bourgogne. Le deuxième procédé est
t ce temps, donne, en général, d'une manière régulière, la réaction
rouge
bourgogne par le perchlorure de fer; ce n'est q
st diminué dans une très forte mesure, il y a achromatopsie pour le
rouge
et le vert; la diminution de l'acuité visuelle
nt été la brique ordinaire extérieurement rehaussée par des teintes
rouges
et jaunes mariées ensemble à l'aide d'harmonieu
rs concernent des gens qui étaient chargés de la dégustation de vin
rouge
, cognac, liqueurs; les symptômes consistent en
liginosité des narines ont disparu, le teint toutefois reste encore
rouge
et légèrement teinté de jaune; les tremblements
on, avec oedème de la paupière inférieure. La peau est à ce niveau,
rouge
, tendue ; la pression du doigt y laisse son emp
rs vives dans diverses articulations qui présentèrent un gonflement
rouge
, surtout aux genoux et aux épaules; ces deux de
ec. 236 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. l'altération du noyau
rouge
de la calotte (de Stilling) du côté opposé, mai
plus grande part (Forel), soit toutes (von Gudden) dansles noyaux
rouges
. Plusieurs de ces fibres vont-elles plus loin, ou
oin, ou les fibres, entrées en connexion avec les cellules du noyau
rouge
, ont-elles d'autres connexions indirectes avec
essive de potasse ou de soude), celle de Légal et Nobel (coloration
rouge
au nitroprussiate de soude et à la lessive de p
, il offre les signes de perturbations vaso-motrices (visage un peu
rouge
, pouls un peu accéléré et plein, mais normal et
e inutilement du KBr; les bouillons à l'extrait de viande et le vin
rouge
relèvent l'état de ses forces. Cette fois, l'ét
ne rapidité surprenante à la suite d'un projet de traitement au fer
rouge
. L'apparition de la maladie à une époque si pré
férieurs. Du reste l'annonce d'une prochaine cau- térisation au fer
rouge
révèle par ses résultats la nature hysté- rique
Le 8 juillet la plaie de ce vésicatoire de- vient très douloureuse,
rouge
, saignante, puis se recouvre sur toute son éten
re ne montre ensuite aucune tendance à la cicatrisation; elle reste
rouge
, saigne au moindre contact et devient le siège
inue pendant trois jours par le rejet de crachats sanglants, d'un
rouge
vif et finement aérés. Fresque aussitôt se produi
mp visuel au maximum à droite, par la lumière blanche. Le cercle du
rouge
est en dehors du cercle du bleu, à gauche surto
ure, plus récente, n'était encore qu'à la période de ramollissement
rouge
. D'après les auteurs, c'est vraisemblablement à
les auteurs, c'est vraisemblablement à cette zone de ramollissement
rouge
, qu'il faudrait attribuer les monoplégies brach
er, Thomas n'a pu préciser le trajet de ces fibres au delà du noyau
rouge
. Quoi qu'il en soit, la clinique confirme ces con
s'est aperçue vers le 17 mai que ses jambes présentaient des taches
rouges
. Elle nous les montre spontanément aujourd'hui et
blanc éclatant chez le vieillard et que nous trouvons ici pigmentée
rouge
puis brune. 9 juin. Altitudes calatonigues. - L
de ces lignes surélevées blanches, apparaît une zone de congestion
rouge
vif. Une demi- heure après le tracé des caractè
e, mais, quelle que soit sa légèreté, est toujours suivi d'une raie
rouge
, très facile à pro- (1) V. LAIGNEL-LAVASTInE ET
aux et les suisses aux barbes de sapeurs, vêtus de longues simarres
rouges
, précédant les prêtres en surplis blancs, sur deu
t de plus en plus une configuration nor- male ; il était spongieux,
rouge
, vasculaire et la lame de tissu compact périphé-
e attention sous un autre rapport encore : l'on voit que la couleur
rouge
du dessin, la plus claire, évince complètement la
aranoïques s'affublait toujours en marchant de tout petits drapeaux
rouges
dont la signifi- cation symbolique était assez
attentive nous montre pourtant comme une tenta- tive de combiner le
rouge
et le noir d'une façon intelligente, conforme au
ce fait que la première étoile est toute noire et la seconde toute
rouge
. Ultérieurement la malade oublie ces finesses p
terre au milieu des cris affreux. La vue de certaines couleurs, le
rouge
surtout, et de certains objets, (les souliers à
empressement puéril les couleurs éclatantes, telles que la couleur
rouge
et la couleur bleue, qui leur procurent une sat
nt et partent d'un vertigineux galop. Dans un poudroiement de sable
rouge
, le village entier, un millier de personnes, to
ences thénar et bypothénar qui ont à peu près conservé leur couleur
rouge
normale ; d'une manière générale, l'atrophie est
bout et au moins deux ou trois fois plus volumineuses qu'un globule
rouge
; à ce niveau-là, les noyaux se colorent très mal
gements fibreux ; à leur centre on voit parfois un ou deux globules
rouges
, complètement enserrés dans les couches fibreus
quelques-uns à lumière perméable ou occupée par un ou deux globules
rouges
, Fond parsemé de noyaux nombreux, probablement né
nodules fibreux dont certains ont à leur centre un ou deux globules
rouges
. Dans ces cas l'abondance du tissu scléreux est
nt obturée par deux ou trois et le plus souvent par un seul globule
rouge
. Ces nodules se trouvent dans tous ces cas aux
les vaisseaux ne laissent plus voir sur la coupe qu'un seul globule
rouge
. - A gauche et au milieu enfin il n'y a pres- q
nodules sont com- plètement obturés, certains ont encore un globule
rouge
à leur centre, quelques- uns ont une lumière li
rose « nodulaire » : la plupart des nodules ont en- core un globule
rouge
à leur centre. Très petit nombre de fibres nerveu
om- plètement obturés ou ne contiennent plus qu'un ou deux globules
rouges
, ils for- ment des nodules isolés. Tout le cent
E DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 373 soit obturé par un ou deux globules
rouges
. Comme dans la portion orbi- taire aussi ces no
aspect souvent hyalin. Au contraire, la fuchsine acide la colore en
rouge
vif dans toute son épaisseur avec parfois un lége
illets stratifiés, onduleux, teintés en rose pâle par le carmin, en
rouge
vif par la fuchsine acide. Mais ces feuillets adv
it aux mains des évêques représentés à la même époque, sont de cuir
rouge
; peut-être même perçoit-on, à travers ces gant
endant que le côté droitde la face et'du cou se couvrait de plaques
rouges
et que le côté gauche de la tète devenait le si
les parties superficielles du derme. Elle est limitée par une zone
rouge
vif, formant un contour très irrégulier, déchiq
partie dorsale de la main gauche et du métatarse droit, des macules
rouges
lie-de-vin de la grosseur d'un grain de blé, à
au-dessus des vertèbres lombaires, on constate, reposant sur une zone
rouge
de 2 centimètres de diamètre, 3 bulles arrondie
le voisinage de la bouche semble être plat et raide, la peau y est
rouge
, eczéma- teuse. La malade tient continuellement
re bien convenlionnelle par un semis de petites taches rondes, bien
rouges
, qui s'étendent uniformément sur toutes les par
é dans son lit, le haut du corps et les bras nus couverts de taches
rouges
, rondes, réparties uniformément, suivant le dispo
rement nu, couvert d'un grand nombre de taches 164 UEITZ qui sont
rouges
sur l'original. Nous reconnaissons le schéma conv
à pourquoi sans doute, ce malade ne présente pas le semis de taches
rouges
que nous sommes habi- tués à trouver uniforméme
uérison du lépreux, représenté les parties nues couvertes de taches
rouges
. Ici non plus, aucune espèce de contracture ou mu
fantastique, bâtie au XVIe siècle par Ivan le Terrible sur la place
rouge
, en face du Kremlin. Les fresques ont été refai
de sorte que si l'on a écrit quelques lettres on a un large placard
rouge
qui englobe tout ce qu'on a tracé. En moins de 30
a tracé. En moins de 30 secondes il se produit une élevure d'abord
rouge
, puis rose et de plus en plus pâle, pour aboutir
teur que nous allons re- trouver chez le fils. C'est une coloration
rouge
, mais moins prononcée que chez ce dernier, de t
e par semaine. I. Coloration DE la peau. Il présente une coloration
rouge
vineux de la peau, limitée au côté gauche pour
a façon suivante : (PI. XXVII). Tronc. - Côté gauche. - Large tache
rouge
vineux, à laquelle des par- celles de peau ayan
onnant à la peau un aspect marbré. ' Poignet gauche. - Coloration
rouge
très foncé, plus accusée à la face pos- térieur
cles du bleu et du vert étant beaucoup plus petits que le cercle du
rouge
. Le champ visuel fut repris le 14 février par l
Paul Bernard. Le rétrécissement avait augmenté pourrie blanc et le
rouge
surtout dans le diamètre vertical, et un peu di
re malade, comme chez les érythromélalgi- ques,une coloration rose,
rouge
ou pourpre de certaines régions de la peau (fac
s (1), les champs du bleu et du vert étant plus petits que celui de
rouge
. 4° De l'asthénopie accommodative. il Du dermog
rence de la dure-mère. A l'état frais, elle présente une coloration
rouge
foncé sur sa face externe. A la face interne, i
nombre de vais- seaux et de capillaires sanguins pleins de globules
rouges
. Dans certains de ces vaisseaux, il existe une
ur qu'on vit, en moins d'une mi- nute, le sein se marbrer de lâches
rouges
, le mamelon s'ériger et la glande devenir turgi
t du gonflement la peau était violacée. Le plus souvent la peau est
rouge
et chaude, ou violacée, parfois même presque no
at au phénomène de l'oedème hystérique que l'on peut trouver blanc,
rouge
ou violet et c'est à cette manière devoir qu'il m
ale. FiG. 8. Travail du médius droit sous l'influence de la lumière
rouge
: 90 k. 78. Fio. 9. - Travail du médius droit s
' ' L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres MUSCLES 461
rouge
(Fig. 8), 90,78 ; l'ouïe (1), sonnerie électrique
ieuse jeune femme, coiffée de blanc, vêtue d'un casaquin de velours
rouge
bordé de cygne, est assise, la main gauche appu
assez tardivement et avoir été précédée de poussées aiguës d'oedème
rouge
. Ce fait a été constaté dans plusieurs observatio
dénopathie, nulle cause apparente de compres- sion, pas de traînées
rouges
vasculaires. Rendu inquiet par la brusque invas
sont hypertro- phiées, ce qui donne à l'organe un aspect framboisé,
rouge
vif. L'autre bord est pâle et les papilles y so
s rugosités de la muqueuse sont plus accusées. Si l'on pointille en
rouge
le raphé palatin, on s'aperçoit que les deux mo
pileux. La couleur est d'un fond jaune laiton, plaqué de pommettes
rouge
bleuâtre. Cette jeune fille est atteinte d'infa
temps en temps, elle sentait ses jambes plus tendues, devenir plus
rouges
, luisantes, et ces troubles l'obligeaient ai rest
tes les couleurs. On dit qu'il y a scotome central pour le vert, le
rouge
, etc., ou pour toutes les couleurs. ' , * . I
plein marrlne la limite de perception du bleu. Le trait - - - - du
rouge
. Le trait ......................... du vert. (M
oirs passent derrière la pupille et obscurcissent un moment l'image
rouge
du fond -de l'oeil (flo- du vitré). Dans certai
eil à des flocons du vitré ou à des taches disséminées de cou- leur
rouge
, blanche ou noire. Souvent le fond de l'oeil pren
placée à distance devant le malade, on met sur l'oeil sain un verre
rouge
. Le malade voit deux images, l'une rouge, l'autre
t sur l'oeil sain un verre rouge. Le malade voit deux images, l'une
rouge
, l'autre blanche. Souvent la diplopie ne se man
i-ci, bien fixée, est à la hauteur du centre de la sphère; un verre
rouge
couvre un oeil. L'observé voit deux images, l'une
e couvre un oeil. L'observé voit deux images, l'une blanche l'autre
rouge
, plus ou moins écartées l'une de l'autre. Grâce à
laires les plus importants attribués à l'hystérie : Champ visuel du
rouge
et des autres couleurs plus étendu que celui du
e d'un scotome central double, d'abord limité aux couleurs verte et
rouge
(scotome relatif) et s'étendant ensuite au blanc
u, il est souvent relatif, portant d'abord sur le vert, puis sur le
rouge
.. (Voir Amblyopie toxique.) On ne voit à l'opht
rs est respecté. Souvent il ne l'est pas. Dans ce cas, la vision du
rouge
est la dernière intéressée. Le champ du rouge dev
ce cas, la vision du rouge est la dernière intéressée. Le champ du
rouge
devient, dès le début, plus étendu que celui du
trécissement simple. Dans quelques cas, on peut trouver le champ du
rouge
bien plus étendu que celui du blanc. Le rétré
nostic de la paralysie d'un seul muscle. - Le malade ayant un verre
rouge
devant un oeil regarde une bougie placée devant l
ERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. trois mètres. Il en voit deux, l'une
rouge
, l'autre de couleur normale. Étudiez d'abord la
obte- nir des carrés de 20 cen- timètres. L'observé, un verre
rouge
sur l'oeil droit, est placé à distance du mur
te ces constatations sur un schéma (fig. 47) en désignant l'image
rouge
par un trait rouge, L image de couleur normale
s sur un schéma (fig. 47) en désignant l'image rouge par un trait
rouge
, L image de couleur normale par un trait non ?
teur et, d, le dilatateur. En bleu, les voies irido-constrictives. En
rouge
, les voies irido-clilatatrices. En vert, les vo
dessèche au contact de l'air et finit par s'ulcérer. L'oeil devient
rouge
, s'enflamme et peut même s'infecter, si des germe
tériques, constaté la production sur la conjonctive d'un suintement
rouge
qualifié « larmes de sang ». TROUBLES SENSITIFS
plète de la vision pour une ou plusieurs couleurs du spectre (vert,
rouge
), avec intégrité de la vision pour les autres c
eptionnelle. Dans la cécité congénitale pour le rouge-vert : '10 le
rouge
est confondu avec le gris ou le blanc; 2° le ve
avec le gris ou le blanc; 2° le vert avec le gris ou le blanc; 5° le
rouge
avec le vert. Les aveugles pour le rouge-vert n
moins grande clarté. S'il réunit des échantillons disparates (vert,
rouge
, gris), on en conclut qu'il y a dyschromatopsie
e confusion, on précise le genre de dyschromatopsie (cécité pour le
rouge
, pour le vert, etc.). - Exemple : On donne un é
le rouge, pour le vert, etc.). - Exemple : On donne un échantillon
rouge
, de saturation moyenne : a) Le malade place a c
re des écheveaux de couleur bleue ou brune : il est aveugle pour le
rouge
. b) Il place il côté du rouge des écheveaux de
e ou brune : il est aveugle pour le rouge. b) Il place il côté du
rouge
des écheveaux de couleur grise ou verte : il es
er exactement les couleurs. Une personne atteinte de cécité pour le
rouge
voit cette couleur brune mais, connue les personn
brune mais, connue les personnes qui l'en- tourent, elle l'appelle
rouge
. Cette précaution, indispensable dans la dys- c
se par l'apparition d'un scotome central pour le vert, puis pour le
rouge
, enfin pour le blanc lui-même (p. 50). Dans cer
lleux inférieur et finalement, après un nouveau relai dans le noyau
rouge
de Stilling, arrivent à l'écorce pariétale, cen
tuber- cules quadrijumeaux antérieurs et pos- térieurs. G, noyau
rouge
. - H, cerveau. 4. nerf vestibulaire avec 1',
noyaux centraux du cervelet, à l'écorce cérébelleuse, aux noyaux
rouges
,, puis par la capsule in- terne à la zone sensi
l'hémiplégie, s'aperçoit une plaque érythémateuse, uvlématiée, d'un
rouge
sombre. . ' - APOPLEXIE ET COMA. 181 Puis sur
t exactement nommé. Dans l'agnosie visuelle, le crayon sera déclaré
rouge
ou noir, allongé, mat ou brillant, mince ou épa
la protu- bérance (commissure de Wernekink) et gagner, par le noyau
rouge
, la couche optique. Neurone thalamo-corlical.
e souvent le long du bord cubital. Dans l'értlaronzélalgie ( u6od5,
rouge
; p.na ? membre ; è1.À')'o ? douleur), les dyse
pruntent une autre voie : c'est la voie des libres venues du noyau
rouge
, c'est-à-dire des fibres d'origine inésencéphal
our se reproduire par- fois à toute minute. La face devient souvent
rouge
, vultueuse, le thorax étant en apnée. On a be
oigts fermés. La poitrine immobile est fixée en expiration, la face
rouge
et congestionnée au point de devenir le siège d
uelque trophonévrose hypothétique ce qui relève unique- ment du fer
rouge
ou de la potasse caustique. Ce n'est pas le lieu
en les adaptant à la pratique journalière. Lue sonde de caoutchouc
rouge
(sonde de Netaton) est l'instrument [E. DESNOS.
de ratanhia ou sirop de groseilles dilués, c'est-à-dire brunâtre ou
rouge
, quelquefois noir par action du suc gas- trique
de la main de prédicateur. Cette main est toujours froide et sèche,
rouge
violacée et marbrée en hiver. La radiographie
dilacérants, spontanées et exagérées par la pression, le gonflement
rouge
violacé, « pivoine », chaud, luisant, tendu com
t vespéraux et malléolaires au début, des néphritiques; les oedèmes
rouges
, durs, sensibles des cardiaques; les oedèmes pâ
e et du métatarse. DIFFORMITÉS ACQUISES. 1047 mou, blanc, bleu ou
rouge
, les symptômes associés ou les signes des malad
mpide dans la méningite tubercu- leuse, enfin, il peut être rosé ou
rouge
dans les hémorragies du névraxc. On observe que
, le liquide sanguinolent obtenu n'est pas coagulable, les globules
rouges
se déposent au fond du tube sous l'action de la p
on du liquide céphalo-rachidien hémorra- gique. A) Teinte sanglante
rouge
cerise. Elle s'observe dans les grandes hémorra
coloration inégale d'un aspect trouble. Au microscope, les globules
rouges
sont intacts et après centrifugation le liquide e
u contraire, un liquide hypertonique a un aspect limpide, d'un beau
rouge
, et les globules rouges sont dissous; après centr
hypertonique a un aspect limpide, d'un beau rouge, et les globules
rouges
sont dissous; après centrifugation le liquide e
ool renversé s'égoutte clair. Avec cette colo- ration, les globules
rouges
seront teintés en vert clair, les noyaux des gl
et on passe à l'alcool absolu; avec cette coloration, les globules
rouges
et le protoplasma des globules blancs sont colo
obules rouges et le protoplasma des globules blancs sont colorés en
rouge
par l'éosine, les noyaux des globules blancs so
icroscope. A l'état pathologique, on pourra rencontrer des globules
rouges
dans les hémorragies du névraxc. Dans les proce
jaunâtre. Dans d'autres cas, le liquide céphalo-rachidieu n'est pas
rouge
en apparence, mais il est histo- logiquement hé
is sanglants ou suppu- res. De même, les leucocytes et les globules
rouges
l'ont défaut ou sont très rares dans les épendy
quide ventriculaire est, malgré les pressentiments cliniques, rose,
rouge
ou ocreux et qu'il ne s'agit pas d'une faute de
les vaisseaux cutanés se dilatent et la peau prend une colo- ration
rouge
fortement prononcée qui, le plus souvent, s'accen
t rapidement place à de la vaso-difatation, la peau rougit et reste
rouge
tissez longtemps. Lorsque les courants sont suf
ère davantage : après le passage du courant la peau reste longtemps
rouge
, puis elle prend une, coloration brunâtre plus
on se poursuivre durant 24 heures à froid. Les cylindres- axes sont
rouges
, la névroglie rouge moins foncé, les gaines de my
nt 24 heures à froid. Les cylindres- axes sont rouges, la névroglie
rouge
moins foncé, les gaines de myéline jaune clair,
jaune clair, les cellules nerveuses ont leur protoplasma coloré en
rouge
, leur noyau est moins foncé. Les plaques de scl
moins foncé. Les plaques de sclérose névroglique ont une coloration
rouge
qui les met facilement en évidence. Les colorat
59 9 bleu polychrome de Lnna, la thionine, le bleu de toluidine. le
rouge
Magenta conviennent fort bien. Parmi les liqu
es pharyn- giens. Pas de points hystérogénes. Si on lui présente du
rouge
en lui disant que c'est du bleu, ou inversement
de l'hypérémie de la portion vaginale de l'uté- rus. La coloration
rouge
de cette partie pâlit tout d'un coup au moment
souvent à leur centre un débris de cylindre-axe atrophié, coloré en
rouge
par le carmin, ce qui leur donne une fausse appar
ur lumière habituellement très réduite est comblée par des globules
rouges
tassés les uns contre les autres. On observe en q
d'entre-elles, on aperçoit nettement la lumière remplie de globules
rouges
; quelques-unes sont oblitérées entièrement. To
ique assez impor- tant (loc. cit., D) au niveau duquel les globules
rouges
déformés sont en voie de destruction. Bulbe r
chaque côté, de 60°-70° pour le blanc, de 35-40 pour le violet, le
rouge
et le bleu. Le 31 décembre 1891. Les phénomènes
se. La petite malade paraît très abattue ; son faciès est coloré et
rouge
. Elle sem- ble dormir, les paupières mi-closes.
es lèvres, de l'humidité des parties, qui sont très congestionnées,
rouges
et violacées, l'in- terrogatoire n'ajoute aucun
date, prurit très vif, généralisé, accompagné d'éléments érup- tifs
rouges
, maculeux, extrêmement fugaces, sans desquamation
e gauche, surface large com- me la paume de la main, érythémateuse,
rouge
brunâtre, laissant persister à la pression une
n centimètre environ ; bords taillés à pic, décollés, cornés ; fond
rouge
et sanguinolent. Cet ulcère est absolu- ment an
lcère un bourrelet d'aspect gélatineux. Le fond de l'excavation est
rouge
, anfractueux et paraît constitué par les muscle
er, dans chaque coupe, un grand nombre de bacilles qui tranchent en
rouge
vif sur le fond bleu de la préparation. Ils res
ec un gros panaris du médius gauche, le doigt tuméfié en boudin est
rouge
, profondément infiltré. Il suppure par un trajet
igmenté ; leur périphérie est bordée par une bande plus foncée d'un
rouge
violacé à reflets bistrés. La rougeur s'ef- fac
ts embryonnaires, dilatations vasculaires, dia- pédèse des globules
rouges
, etc. Mais par un certain nombre de ses carac-
t que la corne est parsemée d'une quantité considérable de globules
rouges
, disséminés dans toute son étendue. La corne anté
ros filaments onduleux, parfois à coudures brusques, se colorant en
rouge
intense par le carmin. Leur diamètre dépasse en
un tissu dense, manifestement /Ï ? 7/S ? présentant une coloration
rouge
brun, très différente de la teinte rose clair q
des petits vais- seaux auxquels elle forme une bordure colorée en
rouge
sur les préparations au carmin. Dans les région
e) tout au pourtour du foyer en ques- tion, la myéline se teinte en
rouge
par le picro-carmin, au lieu de fixer l'acide p
aines au lit en juillet de l'an.dernier, il a eu l'oeil gauche très
rouge
, très injecté et que l'anes thésie de la face,
e il l'intérieur. A la suite de ce chancre, une éruption de papules
rouges
s'est produite sur toute la surface du corps. I
de trépidation spontanée ou provoquée. — Les orteils, à droite, sont
rouges
, cyanoses, et plus froids qu'à gauche. Droit. G
orsal; tête rejetée en arrière ; cheveux en désordre; face modérément
rouge
, chaude; sueurs sur les lèvres; paupières demi-cl
culaires sont portés en haut; les pupilles sont normales; la face est
rouge
, les lèvres frémissent ; la respiration est très-
e ce qui suit : A gauche, le jaune, le violet, le bleu, le vert, le
rouge
paraissent d'un blanc sale. A droite, Y... distin
er; pas de souffle. 10 décembre.—A tlaque : a) Petits cris ; — face
rouge
, dirigée à droite ; globes oculaires fortement po
face, les lèvres, les conjonctives palpebra-Ics prennent une couleur
rouge
vermillon et non pas rouge vineux, comme avec le
onctives palpebra-Ics prennent une couleur rouge vermillon et non pas
rouge
vineux, comme avec le nitrite d'amyle. Bientôt, L
vant une courbure à convexité latérale gauche. La figure devient d'un
rouge
vermillon très-vif et se couvre peu à peu de sueu
des couleurs, normale. — A droite, dyschromatopsie : X... confond le
rouge
et le bleu, le vert et l'orangé. — Le champ visue
plaisir : « Quand je m'ennuie, dit-elle., je n'ai qu'à faire un nœud
rouge
et à le regarder... » Il va de soi que la vue des
alantes, elle revoit ses amants, des jardins avec beaucoup de fleurs,
rouges
surtout; elle entend la musique militaire, etc. (
er le sein. Le sein était tendu, luisant, mais il n'était ni chaud ni
rouge
. Le lendemain, la douleur et le gonflement diminu
nt, qui veut lui faire peur; elle voit sa tête, ses cheveux, qui sont
rouges
; il la fixe, et s'il parle, c'est pour la contrar
tuméfiés et augmentés du tiers environ de leur volume. La peau était
rouge
, chaude et tendue. Malgré cette tension, on perce
mètres cubes d'un liquide san- glant contenant de nombreux globules
rouges
. Dans un cas analogue, Furbringer fit la poncti
mes sub-dure-mériens, trouva le liquide céphalo-rachidien coloré en
rouge
. Il est donc probable qu'on obtiendrait aussi d
la réten- tion. On a été obligé de la sonder : les urines sont très
rouges
, con- tenant une notable quantité d'albumine. L
pôt examiné au microscope contient un très grand nombre de globules
rouges
. La parésie de la main droite a un'peu diminué;
é, aspect blanchâtre de la substance corticale par- semée de stries
rouges
. Dans cette observation, non seulement le diagn
intellectuel est très pro- noncé. La peau de la région fessière est
rouge
, érythémateuse ; on y voit une éruption de bull
oins arron- dies, régulières, en très grand nombre. Elles sont d'un
rouge
noi- râtre et ne disparaissent pas sous la pres
sipèle. Les vésicules étaient de petit volume; la conjonctive était
rouge
les premiers jours, la paupière s'est ensuite g
neuse, remplie de croûtes noirâtres, sous lesquelles la surface est
rouge
, piquée de points violacés. Mal perforant. Le
la malléole externe du pied droit. Grosses taches érythémateuses
rouges
sur les malléoles interne et externe du pied gauc
et au sacrum, on trouve des plaques conges- tives, érythémateuses,
rouges
; quelques phlyctènes au milieu de ces plaques,
anters existent des eschares de la dimension d'un franc, il surface
rouge
vif, piquetée de points viola- cés putréfiés. L
tata, en outre, du côté droit, des petits foyers de ramollissement'
rouge
dans les noyaux lenticulaire et coudé du côté d
névrismatiques, ainsi que dans les artères, il y avait des thrombus
rouge
foncé. Deuxième cas. Un homme de quarante ans f
un canal d'un aspect irrégu- lier, dans lequel se trouve un grumeau
rouge
. Dans ces deux cas on a observé en outre une au
sang, dont les uns étaient tout à fait décolorés et les autres d'un
rouge
foncé. A l'examen microscopique on constata que
e morte. Elle a aussi des hallucinations de la vue : elle voit tout
rouge
autour d'elle ; autant qu'on peut en juger, son a
à la seconde période de la paralysie générale. 11 est petit, gros,
rouge
. Souriant et béat. Anesthésie cutanée. La pea
homme de taille moyenne, gros, bien musclé. Sa figure est injectée,
rouge
. Il est apathique et conserve quelques idées va
nt inégales. La mémoire est nulle. Les mains sont OE<mM<tëes,
rouges
vineuses, froides. Les ongles sont feuilletés, ép
s cellules qui se colorent, ou plutôt dont les bords se colorent en
rouge
par la solution acide de fuchsine, et qui contien
fuchsine, et qui contiennent des granulations également colorées en
rouge
: elles sont rondes, ovales ou un peu irréguliè
fiées. Sclérose nette à la région postérieure des deux lobes. Noyau
rouge
droit légèrement plus petit que le gauche. Couc
ire. La sorcellerie dans la race brune. La sorcellerie dans la race
rouge
. La sorcellerie dans la race jaune. La sorcelleri
présente un rétrécissement très net pour le blanc ainsi que pour le
rouge
et le vert. L'analyse des urines dénote un défa
u pédoncule cérébelleux supérieur ne se terminent pas dans le noyau
rouge
, mais le traversent seulement. En résumé, la ra
du pédoncule cérébral gauche avec participation probable du noyau
rouge
. L'auteur a eu l'occasion d'observer un cas ana
IÉTÉS SAVANTES. 421 1 gauche du cervelet avec dégénération du noyau
rouge
droit, du corps restiforme gauche, de la pyrami
ouches optiques et le cervelet. La soustraction du système du noyau
rouge
dans le cas de Bonhoëffer a également donné lie
mpliqués : hémichorée, athétose; -destruction du système des noyaux
rouges
qui relient les noyaux de la base avec le cerve
ations sont obtenues en employant la solution aqueuse à 1 p. 100 de
rouge
neutre à chaud pendant une demi-minute ou trois
pour se localiser dans un autre. Les articulations étaient chaudes,
rouges
, tuméfiées en même temps, transpirations avec o
igt ou avait il se servir de sa main. En-même temps le doigt était'
rouge
au niveau de l'articulation, avec sensation de
iste pas d'eschare sacrée, ni fessière ; la peau est seulement plus
rouge
dans ces régions. Les masses musculaires ne par
ait intelligent, ne se plaint pas de douleurs ; tète fraiclie, langue
rouge
par places, pouls 72. Le Dr Backer ordonne un
t, elle eut pendant 15 jours de la diplopie, il existait des points
rouges
clans le champ visuel (Elle semble avoir eu de la
trêve entre les Espagnols et les Hollandais, figurent un nain vêtu de
rouge
et un bouffon pied-bol et rachitique, jouant d'
quelques jours on vit se produire une nouvelle éruption de plaques
rouges
avec un gonflement beaucoup plus considérable d
tion bien marquée sur les mêmes plaques, les unes sont tout il fait
rouges
, récentes, d'antres'ont une coloration brune qu
meaux, ce qui est regrettable surtout en ce qui concerne les noyaux
rouges
de Slilliîèfl. L'atrophie du pédoncule cérébral
trophie, peut-être fonctionnelle. Comme nous le savons, le uoyeau
rouge
s'unit à la couche optique et aux circonvolutio
dirait être des brûlures. ' Ses yeux et ses paupières étaient très
rouges
, et très enflammés comme si la malade eût pleur
tre les os. - Au niveau des pieds, à la face dorsale, la peau, d'un
rouge
cuivré, mais sans cyanose, sillonnée de réseaux
quel l'examen microsco- pique fait voir un grand nombre de globules
rouges
. Dans l'observation de la femme Laisiet publiée
ect tuméfié ; les parties saillantes sont pâles, les profondes gris
rouge
. Sur la coupe l'arachnoïde est épaisse de un mill
cocytiques ; il semble que dans le sang même au milieu des globules
rouges
il y ait des amas de cellules embryonnaires sem
nent les septa conjonctifs radiés en longues traînées de glo- bules
rouges
. Les vaisseaux distendus à ce point finissent p
a pie-mère sont creusés de vastes lacs sanguins bourrés de globules
rouges
, entourant presque entièrement la moelle d'un cer
les à la longueur des noyaux de leurs tuni- ques. Quelques globules
rouges
persistent agglomérés comme contenus dans des v
ltré entre les racines qui sont absolument entourées par les globules
rouges
. Queue DE CHEVAL. - Le sang a tout envahi, ense
iser. La plaie est longue, béante, le muscle apparaît dans le fond,
rouge
, saignant; elle siège au-dessus et en dedans du
it présenté ensuite, aux mains et aux pieds, une éruption de lâches
rouges
, éruption très pru- rigineuse, terminée par des
r les noyaux al- longés caractéristiques, il n'y a plus de globules
rouges
. Toute circulation est nettement interrompue da
ltrée de noyaux. Arachnoïde mince, sineuse, assez nombreux globules
rouges
entre elle et la dure-mère. Dure-mère épaisse
ce niveau et recouverte de pus caséeux. Le nerf sciatique droit est
rouge
, et d'un volume double du sciatique gauche. Ces
irritation mécanique, alors seulement vous voyez une ligne étroite,
rouge
bientôt remplacée par une élévation blanche linéa
par une élévation blanche linéaire de la peau, entourée d'une zone
rouge
hyperhémique. De cette façon je pourrais écrire
eu-noir de l'oedème, on remarque de nombreuses taches plus claires,
rouge
vif. La température de l'oedème au niveau du do
ng donne : hématies, 2.820.000 ; leucocy- tes, 4.500 ; les globules
rouges
et blancs sont diminués. Urines. L'examen des u
normale, égale 14. L'examen microscopique du sang donne : globules
rouges
, 3.870.000, globules blancs, 2.000. Hémophilie ma
nt bleu noirâtre, les bour- relets très tendus avec quelques points
rouges
purpuriques. Nous mettons en regard les mensura
Paris, 1905. 102 . TREPSAT " de taches purpuriques. Ces taches
rouges
se soulèvent en bulles pemphi- goïdes, la bulle
on bras gauche se paralyse un peu », la main gauche « devient toute
rouge
» et les mouvements du membre supé- rieur sont
ord, est vérifiée par l'examen du sang ; il existe ? 550.000 globules
rouges
au millimètre cube; les globules blancs sont au
ang sur lames montre l'absence de tout élément anor- mal aussi bien
rouge
que blanc. , Il n'existe pas de toril) au nivea
iste pas de troubles sensoriels. Les couleurs, violette, bleu-pâle,
rouge
, jaune-citron, jaune-orange verte, etc. sont bien
sue (PI. XXVIII, f) ; ces grosses fibres se colorent en jaune ou en
rouge
. Une particularité des fibres régénérées les pl
intense, même dans les préparations où les autres sont colorées en
rouge
, ce qui est peut-être un indice d'altération. .
grosses cellules araignées. Ecorce (Coloration au carmin en bloc et
rouge
de Magenta). Ne paraît pas altérée jusque vers
rares vésicules adipeuses. Macroscopiquement ces muscles sont moins
rouges
que ceux des jeunes sujets et à la coupe les tr
la musculature des bras apparait comme relativement saine, muscles
rouges
, diminués de volume mais sans infiltration dégr
partie dessinée avoisine la cicatrice. On y voit une fibre épaisse,
rouge
, présentant la bifurcation et une autre divisio
et se présentent sous différents aspects. Tantôt il s'agit de fibres
rouges
, sans gaine de myéline, pourvues quelquefois d'
nes que les précédentes et à peine visibles. Enfin on voit des fibres
rouges
, épais- ses, de court trajet et présentant des
quelques-unes de leurs libres, sans prendre nettement la coloration
rouge
cerise caractéristique de la dégénérescence hya-
ique. Elle présente un fond légèrement rosé, piqueté de points plus
rouges
et est limitée par une zone de couleur brun foncé
émie. ' L'examen du sang fournit les données suivantes : Globules
rouges
: 4.600.000. Aspect normal. Globules blancs : 1
: 4.600.000. Aspect normal. Globules blancs : 1 pour 5.500 globules
rouges
. Formule leucocytaire normale. Du côté du tub
re en violet pâle par l'hématoxy- line alunée et le cylindre-axe en
rouge
intense. L'épaisseur : de cette gaîne est extrê
s violet et dont le centre est occupé par un cylindre-axe coloré en
rouge
. Cette fibre est entourée d'un manchon constitu
ient douloureuse, en même temps que les urines sont de plus en plus
rouges
et rares. Au 5e jour de l'entrée, rétention bru
n foyer tuberculeux ancien, représenté seulement par des fongosités
rouges
, non caséeuses ; la destruction empiète sur les
dant des viscères médiastinaux, et conte- nant les mêmes fongosités
rouges
, sans pus ni caséum. Dans le tissu épidural, de
rouges, sans pus ni caséum. Dans le tissu épidural, des fongosités
rouges
s'étalent sur la face antérieure de la dure-mèr
ganisé, où l'on distingue des leucocytes plongés dans une substance
rouge
amorphe. L'artère est entourée d'un mince manch
détritus, dans lesquels on peut trouver quelques globules blancs et
rouges
, et d'avoir les bords ir- réguliers des tissus
doncule de même façon que le locns niger s'iuterpose entre le noyau
rouge
et le pied dn pédoncule cérébral. La réunion de
és et qu'ils se tailladent les chairs en subissant l'épreuve du « fer
rouge
, en exécutant une danse pyrrique : chez eux nous
de libre arbitre (car ces mots exaspèrent Binet-Sanglé, tout comme le
rouge
excite le taureau), mais une certaine part d'indé
ente la minéralisation des plasmes. active la rénovation des globules
rouges
; enfin étant émi nemment diurétique, elle facili
prescrit la suggestion hypnotique associée à l'application des rayons
rouges
. Le traitement a été appliqué dès le premier jo
aine (séances de suggestion de 15 à 20 minutes application des rayons
rouges
pendant nue durée égale». Les résultats obtenus o
la malade : « Depuis un mois que je suis votre traitement de rayons
rouges
et d'hypnotisme j'ai ressenti une grande améliora
t par la suggestion hypnotique combinée avec l'application des rayons
rouges
a eu pour effet, non seulement la disparition des
e, où le double traitement par la suggestion hypnotique et les rayons
rouges
ont donné les résultats déjà énoncés. Pourtant il
que, tremblements.etc). En ce qui concerne l'application des rayons
rouges
, nous croyons qu'ils ont constitué un facteur sec
ces terme, par exemple : « Je tiens dans ma main une tige chauffée au
rouge
avec laquelle je vous brûle ! » Mais avec une tig
tre disposition... une vésicule se formera certainement. » Des tâches
rouges
ne tardèrent pas à apparaître sur la main, mais i
Dr Ossokine. Il est le premier à constater l'existence de deux taches
rouges
diffuses sur le dos de B.. lesquelles, cependant,
e se forma o centimètres plus bas et plus à gauche. C'était une tache
rouge
légèrement tuméfiée, de forme arrondie, et de mêm
ue lui a causée son fourneau, que la région touchée deviendra d'abord
rouge
, qu'ensuite qu'il 6'y formera une vésicule : que
près-midi le bras de l'expérimentée, il n'y avait qu'une petite tache
rouge
dans une région privée d'épidémie." Le même jou
i avec son habileté -connue, m'a renseigné sur le nombre des globules
rouges
et blancs. Cela fait, nous avons endormi le suj
80 94 Respiration 19 17 22 Pression artérielle 13 14 — Globules
rouges
4.000.000 4.800.000 5.600.000 Globules blancs 8
8 Bespi ration 18 16 18 Pression artérielle 12 13-14 — Globules
rouges
-1.400.000 5.100 000 4.600.000 Globules blancs
6 78 90 Bespiration 17 16 18 Pression artérielle 9 9 — Globules
rouges
2.750.000 4.600.000 5.600.000 Globules blancs 7
s 84 80 Bespiration 16 16 Pression artérielle 11-12 13 Globules
rouges
4.130.000 ' 4.450.000 Globules blancs 6.000 6.0
72 88 Respiration 17 17 20 Pression artérielle 14 15 — Globules
rouges
4.300.000 5.000.000 5.350.000 Globules blancs 5
la proportion de 0 h 3 pendant l'hypnose. 4° Le nombre des globules
rouges
— de la région locale périphérique-— est toujours
émités (plus prononcée chez les anémiques dont le nombre des globules
rouges
se double presque pendant l'hypnose) ; de même la
fications ne sont pas si appréciables tant qu'on regarde les globules
rouges
, mais dans leurs tableaux, on observe presque tou
e tout tourne autour de lui. Les objets environnants lui paraissent
rouges
verts, et il voit passer devant ses yeux des po
guliers qui tranchent sur le tissu voisin, par une vive coloration
rouge
. Sur des coupes traitées d'après la méthode de We
le centre du foyer scléreux, on trouve un tissu vivement coloré en
rouge
par le car- min, constituant un réseau à travée
rence plus ou moins granuleuses ; celles-ci ont pris une coloration
rouge
intense, tandis que d'autres n'ont qu'une légèr
té. En différents points, on constate des infiltrations de globules
rouges
: à la hauteur de la septième paire cervicale,
une portion plus ou moins étendue de protoplasma normal (coloré en
rouge
par le carmin, en bleu par l'hématoxyline) et u
e ou diffuse le phosphore s'altère, perd sa transparence et devient
rouge
: sous cette modification allotropique le phosp
ransforme facilement et en totalité le phosphore blanc en phosphore
rouge
en l'expo- sant pendant huit jours à une tempér
nt pendant huit jours à une température de 250 degrés. Le phosphore
rouge
se présente en fragments rougeâtres, durs et ca
que l'on peut facilement pulvériser. La poudre présente une couleur
rouge
violacée ; elle est inodore et ne luit pas dans
ée ; elle est inodore et ne luit pas dans l'obscurité. Le phosphore
rouge
n'est pas vénéneux et il est insoluble dans les
carotide primitive gauche est tout à fait obstruée par un thrombus
rouge
, résistant, adhérent au vaisseau ; on trouve un
te des première et deuxième temporales gauches, avec ramollissement
rouge
du segment postérieur de la deuxième lemporale
n du ligament large (toucher vaginal, palper abdominal, tuméfaction
rouge
au-dessus de l'arcade crurale etc.. )'lncision.
iforme du tissu sous-cutané et des muscles; la peau avait un aspect
rouge
bleuâtre. De même, Leudet, chez un malade attei
1889.) 218 CLINIQUE NERVEUSE. la fesse et en ce point une plaque
rouge
elliptique, avec notable soulèvement de la peau
e membre autre que celui qui était paralysé. Cette tumeur, tantôt
rouge
, d'apparence phleg- moneuse, tantôt constituée
rctus dû à l'oblitéra- tion du vaisseau nourricier par des globules
rouges
extravasés dans la tunique adventice. C'est aus
yde de carbone ne déter- mine pas seulement l'altération du globule
rouge
; il modifie encore cet élément de façon à obst
ns ces cas, la coexistence de troubles trophiques variés, plaques
rouges
sur le trajet des nerfs, zona, bulles de pem- p
point, tournant sur elle-même, et colorée de teintes brillantes,
rouges
, bleues, vertes et jaunes, l'espace délimité par
limitée de tous. côtés à sa périphérie par des zigzags de couleurs
rouge
, bleue, verte et jaune, qui se déplacent et vibre
ent les couleurs, car lorsqu'on'jette dans l'eau un pain à cacheter
rouge
et un blanc, invariablement le poisson choisit le
cacheter rouge et un blanc, invariablement le poisson choisit le
rouge
. De ces faits il résulte que les poissons sans
e volonté de fer. Pendant le jour, tout le corps se couvrit de taches
rouges
, mais vers le soir la fièvre perdit de son intens
onna presque autant que ma présence nocturne. C’est un grand vêtement
rouge
qui m’enveloppait comme une espèce de robe. « O
mais pour ce qui est de la fameuse robe de chambre, du grand vêtement
rouge
, celui-ci n’était pas de la partie positivement,
guait parfaitement toutes les parties internes. Le pharynx était d’un
rouge
violacé et parsemé d’ulcérations. Le lendemain, l
t la flamme qui s’en échappe est plus brillante, mais moins longue et
rouge
. La main gauche dirigée vers ces flammes reçoit u
e impression de fraîcheur de la flamme bleue; de chaleur de la flammé
rouge
. La netteté de ces sensations et de ces visions
t d’un puissant aimant en forme de fer à cheval. Les flammes bleue et
rouge
s’élèveront avec une certaine énergie en droite l
vers les quatre points cardinaux : on a alors un faisceau de lumière,
rouge
au sud, bleue au nord, jaune à l’ouest, blanchâ
re avec une queue de renard, celle-ci s’imprégne de la lumière odique
rouge
et le gâteau résineux de l'instrument produit de
vu entouré d’une atmosphère lumineuse : de grandes flammes bleues et
rouges
s’échappent de ses pieds et de ses mains. En va
ou moins grande quantité; seulement la lueur odique est tou- jours
rouge
dans toile substance, bleue clans telle autre. En
agent du bout des doigts, sont bleues; celles de la main gauche, d’un
rouge
éclatant. Tout le côté droit du corps, depuis la
reluit de la lumiôro odique bleue; tout le côté opposé, de la lumière
rouge
. L’opposition des lumières reparaît ici, et ave
rs, dégagent une lumière bleuâtre, tandis que la substance odique est
rouge
dans les autres parties du végétal (1). Aux (1)
corps, et, comme l’homme, ils ont le côté gauche imprégné de lumière
rouge
, le côté droit de lumière bleue. La teinte et la
d de l’aimant, brille une lueur bleue; au pôle opposé, un cercle d’un
rouge
éclatant. La zone équatoriale se divise en deux m
tour du globe dans la direction de l’équateur; au pôle sud, la flamme
rouge
fait de même, elle embrasse l’hémisphère austral
a baguette est dans le rayon violet et dans le bleu; et dans le rayon
rouge
ou mieux dans le jaune, il sent une chaleur engou
-dire que la lumière du fil métallique exposé aux rayons lunaires est
rouge
; que l’eau qui reste exposée à leur action acqui
chambre obscure où se trouve le sensitif, ce dernier voit une flamme
rouge
, et cette flamme donne la sensation tiède. Le fai
couturée par le feu des moxas et par les ventouses scarifiées. Le fer
rouge
ouïes caustiques sontaussi employés, principaleme
ns le bureau de son maître d'étude, un encrier contenant de l'encre
rouge
, et au moment où il franchissait le seuil de la
ente une coloration cireuse, à l'excep- tion des pommettes qui sont
rouges
. La face, la peau du crâne et l'épaule gauche p
bouche. Au niveau des pommettes, la peau est épaissie et colorée en
rouge
de chaque côté, sur un espace d'un dollar. Le c
ôté droit décèlent un dessin imparfait sans netteté, une coloration
rouge
livide, une légère dilatation de l'artère centr
et dorsale de la dernière phalange du pouce. Le bout du doigt était
rouge
, à vif, creusé de fissures douloureuses et trè
. Ce produit est fourni par un arbre de la Jamaïque, que son écorce
rouge
a fait surnommer l'arbre co- rail. Ses propri
muscles de la face, surtout du côté gauche , les conjonctives sont
rouges
, les sourcils se con- tractent. La fixité du re
sont revenus qu'in- complètement et le bord libre des paupières est
rouge
. Les sourcils sont assez fournis; il existe môm
empêchent tout sommeil. La région douloureuse présenté deux plaques
rouges
, l'une allongée de douze centimètres environ de
t de vésicules. Le 3, on voit se développer au centre des plaques
rouges
, sous forme de traînées longitudinales, des gro
ession est intense (50 respirations par minute). Les pommettes sont
rouges
. Le pouls est petit, rapide, assez régulier, à
au chevet de leur lit, de s'orner la tête de rubans (ordinairement
rouges
ou bleus), de porter une cravate aux couleurs é
ression de M. Bernhardt, caractérisés par des taches bleues, roses,
rouges
, ou d'un blanc de neige, avec réfrigération gla
u Satan, qui apparoift là tantoft en forme d'vn grand homme noir ou
rouge
, géhenne, tourmenté & flamboyât comme vn fe
; et, si on lui suggère l'idée d'une figure géométrique colorée en
rouge
, par exemple, cette image ne peut pas être déd
fondément alté- rée dans sa structure. Elle présente une coloration
rouge
vif uni- forme, son tissu dense fibroïde est tr
, qui empiète surtout sur la fesse gauche sous forme d'un bourrelet
rouge
, induré, large de trois travers de doigt ; elle
rtie interne du pied du pédoncule. D'autres fibres partent du noyau
rouge
pour se diriger aussi vers la partie interne du
tiforme (noyau de Luys), qui reçoit des fibres venant : 1° du noyau
rouge
, 2° de la substance de Soemmering, 3° du tuberc
'abord que les éblouir. Pareil à un globe de feu, à une zone dentée
rouge
ou blanche, phosphorescente, vibrante et tourna
Il par des symptômes qui lui sont propres, (embonpoint, coloration
rouge
de la face, troubles gastriques divers, trouble
et à l'anus, qui est légèrement infundibuliforme, dont la marge est
rouge
, et les plis effacés ( ? ). - G... a été surpri
de coloration de la face, qui, très pâle, devient subitement d'un
rouge
vif ? ces phénomènes se présenteraient par accès.
n blanc mat avec plaques violacées au niveau des fosses iliaques et
rouge
foncé au niveau des fesses. Tête. - Cuir chev
ication externe de l'occipital.- La glande pitui- faire une couleur
rouge
vermillon; elle est allongée transver- salement
4 jan.ute ? \ L'onfantentreâ l'infirmerie ; sesamygdalessont un peu
rouges
et enflées, produisant une gène de la dégluti-
nerveux. Ces tractus rayonnent en; tous sens, sous forme de bandes
rouges
qui apparaissent bien plus nettement qu'il l'or
rencontre une bordure plus étendue, qui se colore forte- ment en
rouge
par le picro-carmin ; elle se compose surtout d
che est assez fortement congestionné; il crépite bien; sa coupe est
rouge
brun ; il flotte. - Le pou- mon droit est trans
sèche; elle a l'aspect d'un bloc jaune traversé par des mar- bures
rouge
.Ures, noires par points, rappelant suivant la c
pas de granulations. Les ganglions mévente- riqttes sont engorgés,
rouges
et gros.- L'intestin est distendu 94 Inégalité
de vertiges : il regarde fixement, respire bruyamment, devient très
rouge
puis très-pâle. Après les vertiges, il se met à
ères. Il s'échappe parfois dans les jardins, cueille des Heurs, les
rouges
de préférence, en orne sa casquette, 156 Épilep
très résistantes dans le tiers inférieur; la plèvre est épaissie et
rouge
sur la paroi externe correspondant au lobe infé
res du poignet, deux points exactement correspondants. Je chauffai au
rouge
un barreau de fer arrondi de huit millimétres env
cautérisations d'égale intensité au moyen du thermocautère chauffé au
rouge
. Chacune des plaques cautérisées a la forme et à
ion séro-purulente peu abondante. Tout amour de la plaie, la peau est
rouge
, irritée, sensible au toucher. Il existe une diff
ent hébétés ; les joues sont couperosées ; les lèvres, la langue sont
rouges
et sèches; l'haleine exhale, comme tout le corps,
la joue de ses deux voisins qui avaient chacun sur la tête un bonnet
rouge
avec des plumes de coq, et qui, de leur côté, tâc
les oxydes négatifs. La lumière elle-même est polarisée : les rayons
rouges
sont positifs et les rayons bleus négatifs. Les
euille. Elle indiquait très exactement les feuilles noires, blanches,
rouges
, bleues, etc., mais le jaune n'existait pas pour
cécité suggérée a été détruite également par la fixation d'un papier
rouge
(+) avec l'oeil droit (-) (action hétéronome) et
ons énormes d'absinthe, de liqueurs, rhum, etc., de vin blanc, de vin
rouge
et de bière. Elle buvait continuellement et se tr
ours de l'expérience, présenté devant l'œil gauche du sujet un papier
rouge
, je fus très étonné de l'entendre me dire sans hé
ge, je fus très étonné de l'entendre me dire sans hésitation : « Ces:
rouge
. » De même, pour un papier bleu : « C'est bleu. »
sinistre. En Allemagne, les gens aux yeux sombres, perçants, caves et
rouges
, ont le mauvais œil. Gaule, dans Select cases of
t bleu clair ou gris. Dans la Haute-Égypte et sur les rives de la mer
Rouge
, les yeux des fascinateurs sont les mêmes que ceu
proéminents. Enfin, on peut reconnaître un fascinateur à la couleur
rouge
de ses cheveux ou de sa barbe. Les rousseaux, com
Les chrétien, représentent volontiers Judas Iscariote avec une barbe
rouge
. « Ne te place jamais entre le roc et l'homme rou
te avec une barbe rouge. « Ne te place jamais entre le roc et l'homme
rouge
», « Ne laisse pas l'œil d'un homme rouge s'arrêt
ais entre le roc et l'homme rouge », « Ne laisse pas l'œil d'un homme
rouge
s'arrêter sur toi » sont, en Irlande, un proverbe
oi » sont, en Irlande, un proverbe et une locution familière. « Barbe
rouge
, espèce de diable », « Barbe rouge, va au diable
et une locution familière. « Barbe rouge, espèce de diable », « Barbe
rouge
, va au diable », dit-on en Allemagne et dans le c
a au diable », dit-on en Allemagne et dans le canton d'Argau. Barbe
rouge
et noirs cheveux, Guette-t'en si tu peux, est
barbe rousse, suivant le dicton : Bizar gorri, Bide horri I (Barbe
rouge
, — Hors du chemin !) Il résulte de tous ces fai
les premières heures est d'un verre a bordeaux au moins. Il est bien
rouge
. Pas d'hémorrhoîdes. L'utérus est bien confor
ent au-dessus de la normale ; seulement, le gland et le* prépuce sont
rouges
, hyperémiés. comme s'ils étaient soumis longtemps
res du poignet, deux points exactement correspondants. Je chauffai au
rouge
un barreau de fer arrondi de huit millimétres env
cautérisations d'égale intensité au moyen du thermocautère chauffé au
rouge
. Chacune des plaques cautérisées a la forme et à
ion séro-purulente peu abondante. Tout amour de la plaie, la peau est
rouge
, irritée, sensible au toucher. Il existe une diff
ent hébétés ; les joues sont couperosées ; les lèvres, la langue sont
rouges
et sèches; l'haleine exhale, comme tout le corps,
la joue de ses deux voisins qui avaient chacun sur la tête un bonnet
rouge
avec des plumes de coq, et qui, de leur côté, tâc
les oxydes négatifs. La lumière elle-même est polarisée : les rayons
rouges
sont positifs et les rayons bleus négatifs. Les
euille. Elle indiquait très exactement les feuilles noires, blanches,
rouges
, bleues, etc., mais le jaune n'existait pas pour
cécité suggérée a été détruite également par la fixation d'un papier
rouge
(+) avec l'oeil droit (-) (action hétéronome) et
ons énormes d'absinthe, de liqueurs, rhum, etc., de vin blanc, de vin
rouge
et de bière. Elle buvait continuellement et se tr
ours de l'expérience, présenté devant l'œil gauche du sujet un papier
rouge
, je fus très étonné de l'entendre me dire sans hé
ge, je fus très étonné de l'entendre me dire sans hésitation : « Ces:
rouge
. » De même, pour un papier bleu : « C'est bleu. »
sinistre. En Allemagne, les gens aux yeux sombres, perçants, caves et
rouges
, ont le mauvais œil. Gaule, dans Select cases of
t bleu clair ou gris. Dans la Haute-Égypte et sur les rives de la mer
Rouge
, les yeux des fascinateurs sont les mêmes que ceu
proéminents. Enfin, on peut reconnaître un fascinateur à la couleur
rouge
de ses cheveux ou de sa barbe. Les rousseaux, com
Les chrétien, représentent volontiers Judas Iscariote avec une barbe
rouge
. « Ne te place jamais entre le roc et l'homme rou
te avec une barbe rouge. « Ne te place jamais entre le roc et l'homme
rouge
», « Ne laisse pas l'œil d'un homme rouge s'arrêt
ais entre le roc et l'homme rouge », « Ne laisse pas l'œil d'un homme
rouge
s'arrêter sur toi » sont, en Irlande, un proverbe
oi » sont, en Irlande, un proverbe et une locution familière. « Barbe
rouge
, espèce de diable », « Barbe rouge, va au diable
et une locution familière. « Barbe rouge, espèce de diable », « Barbe
rouge
, va au diable », dit-on en Allemagne et dans le c
a au diable », dit-on en Allemagne et dans le canton d'Argau. Barbe
rouge
et noirs cheveux, Guette-t'en si tu peux, est
barbe rousse, suivant le dicton : Bizar gorri, Bide horri I (Barbe
rouge
, — Hors du chemin !) Il résulte de tous ces fai
les premières heures est d'un verre a bordeaux au moins. Il est bien
rouge
. Pas d'hémorrhoîdes. L'utérus est bien confor
ent au-dessus de la normale ; seulement, le gland et le* prépuce sont
rouges
, hyperémiés. comme s'ils étaient soumis longtemps
anquille, la connaissance lui revenait; son visage se colorait d'un
rouge
vif, il ne se rappe- lait pas de ce qui s'était
, on s'aperçut que, tout d'un coup, en travaillant, il devenait «
rouge
, rouge pourpre, les yeux étaient injectés de sang
s'aperçut que, tout d'un coup, en travaillant, il devenait « rouge,
rouge
pourpre, les yeux étaient injectés de sang, il se
grille, se retourne brusquement et reprend sa course. La figure est
rouge
, vultueuse; le malade bave un peu; de la main d
recommence dans la jambe et le bras gauches ; la face devient très
rouge
. - A 10 h. 24, trépidation légère de la jambe g
sitôt que ça allait le prendre, il devenait d'abord très pâle, puis
rouge
après. Ces accidents venaient irrégulièrement q
le décubitus dorsal, dans le coma avec stertor, la face est un peu
rouge
, les pupilles sont dilatées. Le pouls est très
assez de lenteur. Parole nulle. i 1S84. - Organes génitaux. - Poils
rouges
au pénil ; verge bien déve- loppée ; gland déco
au pénil ; verge bien déve- loppée ; gland découvert; méat étroit,
rouge
, sa base droite est excoriée; bourses pendantes
re cérébrale est très notablement hypérémiée; elle a une coloration
rouge
diffuse sur la face externe et offre un léger é
ux à leur bord; le lobe inférieur droit présentait une hépatisalion
rouge
. Le cocu)', en surcharge graisseuse, était légè
douleurs de tête sans vomissements, pendant lesquels il devenait «
rouge
comme un coq ». Intelligence médiocre : « il n'
a naissance du bras gauche ; ils sont indurés, douloureux et un peu
rouges
. l"mat'.s. - Les injections ont été continuées
s- piration à 20 et la température à 40°,3. La face était devenue
rouge
, la chaleur de la peau avait augmenté et le malad
même. C'étaient des changements de couleur. Ils de- venaient noirs,
rouges
et blancs. Ma mère déclara elle-même au commiss
re-le comme ça à ta mère.» Je ne voulus le faire et alors je devins
rouge
; ma mère me dit de le faire, et mon oncle se l
en étendue que la moitié ou le tiers du pédoncule gauche. Le noyau
rouge
droit est difficile à distinguer il l'oeil nu,
postérieure à l'amyg- dale ». Outre l'atrophie secondaire du noyau
rouge
et de l'olive bulbaire du côté opposé, il exist
celle de l'olive et de la protubérance, l'atrophie croisée du noyau
rouge
se présentait avec ses caractères ordinaires. Q
ême légère des régions corticales eu rap- port direct avec le noyau
rouge
. Le poids de chacun des hémisphères cérébraux n
ïde, sa membrane nourricière, des exsudats blanchâtres, jau- nes,
rouges
et surtout noirs. Du reste, les taches sont une
concentrique au rétrécissement pour le blanc. Ce sont les couleurs
rouge
et verte dont le champ de vision se rétrécit en
ÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. cycliques des globules
rouges
et des globules blancs dans l'épilepsie sont la
, il rencontre un aliéné qui lui dit que « les francs-maçons et les
rouges
» lui feraient du mal. Cette remarque ne lui fi
tement il aperçoit devant lui pendant quel- ques secondes une boule
rouge
en feu et s'écrie : « ;\ ? de D ? c'est moi qui
en hémo- globine très marquée (9 0/0) pour un nombre des globules
rouges
de 4.600.000 ; mais cette pauvreté en hémoglo-
mme dans l'opérette de Lecoq et s'amusait à les vêtir de bleu et de
rouge
pour les distinguer, comme les deux héroïnes du
deuse et grima- çante deux cornes noires au front, de longs cheveux
rouges
hé- rissés sur la tête, une longue queue dénudé
rsaut. Assis sur le bord du lit, il voyait, dit-il, comme une lueur
rouge
. Il resta dans cette position pendant environ un
ne et le vert pour lesquels il ne dépasse pas dix degrés; pour le
rouge
il atteint 37" du côté externe, 30 du côté intern
he, il paraît gris à droite; le jaune paraît plus pâle à droite, le
rouge
également, cette dernière couleur semble au mal
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES \\\1'l.- Sur une forme spéciale du globule
rouge
dans la démence précoce ; par PIGHNI et PAOLI.
Ll1Ío- nine phéniquée. Parcelle méthode, on voit que les globules
rouges
des déments précoces se présentent avec une str
d'angine ; rougeole à 5 ans. De plus, ses yeux étaient tou. jours
rouges
il fallait les « décoller chaque matin u. Etait
ctuelle. Dès qu'il fait froid elle a encore le bord des pau- pières
rouges
. Orbites bien développés, symétriques. Yeux mo-
s petites lèvres sont peu développées, toute la région vulvaire est
rouge
; le clitoris petit, entièrement découvert, pas
d'albumine, L'exal1len t tologique n'a IIIOII- tré que des globules
rouges
et quelques rares polynucléaires, sans aucun au
tologique, par Anglade et Jac- qum, p. z r 3. - -. Voir Glo- bule
rouge
. Considérations ana- tomo-pathologiques sur la
e - - - du lobe occipital droit, par Raven- na, p. 139. Globule
ROUGE
. Sur une forme spéciale du dans la démence pr
6 mai. T. R. matin et soir : 37°. Depuis hier, il existe une plaque
rouge
luisante, chaude, au niveau de l'articulation n
la visite, l'enfant est somnolent, ne fait aucun mouvement; plaques
rouges
sur la face, surtout au front. La voix est faib
sont en plus grand nombre, et contiennent en abondance des globules
rouges
cx- travasés ou des granulations pigmentaires.
de tissu fibrillaire dont les espaces sont occupés par des globules
rouges
altérés ou des cellules con- jonctives pigmenté
, apparaissant à l'examen macroscopique, sous la forme d'un piqueté
rouge
brunâtre. Au microscope, on voit que ces foyers
qu'ils sont LÉSIONS HISTOLOGIQUES, G3 constitués par des globules
rouges
altérés et des amaspigmen- taires entourant le
touchent presque ; l'écume sort de ses lèvres d'abord blanche, puis
rouge
(morsure de la langue). Cela dure . 5 à 6 minut
orme. Pas de cris inarticulés. Il consent à tirer la langue qui est
rouge
, et, interrogé, répond qu'il n'a mal nulle part
ène à grands pas dans la cour, chantant et sifflant ; ses yeux sont
rouges
et pleins de larmes ; il est salace et essaye de
ues ; les doigts, les orteils et les ongles normaux. Les mains sont
rouges
et froides. La digestion, la respiration s'exéc
du lait. Poumons volumineux : lobes infé- rieurs atélectasiés, d'un
rouge
foncé et crépitant encore Un peu. Les bronches
embre para- lyse parait plus rugueuse que du côté opposé ; elle est
rouge
violacée, partir du coude ; les tissus de la ma
mblables à ceux qui ont été notés dans l'ob- servation III. Cheveux
rouges
. Peau des mains pareille à du parchemin; celle
aissent plus gros en arrière; ils sont longs, noirs, avec un reflet
rouge
au-dessus des tempes. Il n'existe de crasse ecz
jambes et la face dorsale des pieds sont tachetées de petites macules
rouges
irrégulièrement réparties. En divers points on
orteil du pied droit, la peau présente une légère tuméfaction, d'un
rouge
foncé, ressemblant en effet il une engelure. Su
re. Sur la face antéro-externe de la jambe droite, deux taches d'un
rouge
violacé, régulièrement arrondies, à bords peu net
les couleurs; le champ visuel du bleu est plus rétréci que celui du
rouge
. Champ visuel de l'oeil gauche : en dehors 30,
chromatopsie spéciale (1 iâ, 40). Conservation unique du bleu et du
rouge
, oc NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. fI PL. XXX BLÉPH
sse un cri et tombe à terre. Les yeux se ferment, la figure devient
rouge
, les dents claquent, la langue est mordue quelque
; les cornets fortement agran- dis, recouverts d'une muqueuse d'un
rouge
sombre, y font une saillie assez marquée. Le re
sée. Ganglions mésentériques légèrement augmentés de volume, un peu
rouges
. Dans l'intestin grêle beaucoup de mucus, folli
chaleur lui monter à la tête; ses- tempes battent, il devient très
rouge
, cramoisi, violacé. Parfois les personnes qui le
dure quelques secondes pendant lesquelles la face du malade devient
rouge
, \iolac6a; il n'écume pas et ne se mord pas la
cée, entourée de deux zones pâles. z1 minute 1/2 : troisième zone
rouge
périphérique, s'étendant au loin. Fin de la 2
qui envahit la première zone pâle et arrive aux limites de la zone
rouge
périphérique. 4° ou 5e minute : l'élevure ortié
grenu, chagriné. 15 à 20 minutes : commencement du déclin. L'aréole
rouge
se rétrécit, l'élevure s'affaise et diminue de
illie de l'élevure varie de 1 à milli- mètres et davantage; la zone
rouge
périphérique s'étend de 2 à 5 cen- timètres. La
ion. Les piqûres d'épingles légères s'entourent d'une petite macule
rouge
, qui devient au bout de quelques minutes une papu
vu se produire aux points de contact du pinceau de petites papules
rouges
, saillantes, qui sont devenues oedémateuses, simu
Pendant la stupeur nous n'avons même pas pu produire la simple raie
rouge
érythémateuse que l'on obtient sur tout le monde.
r médian; elle contient des vaisseaux dilatés et pleins de globules
rouges
; par places elle est adhérente à la moelle et l
une commune auia visuelle, qui peut se présenter comme une couleur
rouge
. Cette commune aura visuelle est des plus digne
on père sous la remise, gardé à vue. De sa bouche perlait une écume
rouge
, son oreille droite était contusionnée. Le viei
re chose que de la paralysie de sa main droite. Cette main n'est ni
rouge
ni tuméfiée ; elle est un peu plus froide que cel
ûle ? Je vois du feu à droite + A gauche, je vois . clair + Je vois
rouge
+ Jaune + C'est clair + Il n'y a plus rien + Il
s et de l'écorce de petits thrombus : au centre un amas de globules
rouges
et blancs, enfermant des colibacilles et entouré
ation de certains mots, par exemple le mot « amour » pour me rendre
rouge
feu. Je cherchais toujours à cacher mon embarra
oreilles depuis mon lever jusqu'à 1/Ion coucher : « Ne suis je pas
rouge
? » Je laissais mes occupations il moitié achev
Dieu, je t'aurais à peine reconnu tellement tu es devenu subitement
rouge
. Qu'as-tu donc ' ? » Je me déplus beaucoup pend
heureux jeune homme de se farder- de cette façon il serait toujours
rouge
et il serait difficile de remar- quer un afflux
, puis, se produisent des zones concentriques de vert, de jaune, de
rouge
brun sale. Cet état présente des variétés dont
voit dans le frontal et le pariétal gauche une' masse diffuse d'un
rouge
gris, longue de 10 centimètres, large de 6. La
er, quantité suffisante pour faire 1000. Elles deviennent d'un brun
rouge
foncé (sulfocyanure de fer), très favorable à l
ellicules comme la lumière ordinaire quand elle a traversé le verre
rouge
foncé de la chambre noire photographique. La lu
ossifiée, du volume d'une châtaigne, finement bosselée, de couleur
rouge
grisâtre, que l'examen histologique définit com-
che, un peu plus petite et située également sousla peau, légèrement
rouge
à cet endroit. 3. Deuxième petite nodosité au m
titielles et périvasculaires de leucocytes et parfois de globules
rouges
, des foyers miliaires d'inflammation, des thrombo
plus précoce que le rétrécissement du champ pour le vert et pour le
rouge
; 4° souvent on rencontre une expan- sion de la
nt les champs visuels. 6° bien que les champs visuels du vert et du
rouge
subissent le plus grand rétrécissement, leur an
e la perception pour le vert et champ visuel fort restreint pour le
rouge
, les désordres de la vision offrent une complèt
ce DE M. GOM13AULT. Sur un cas d'endothéliome épilhélioïde du noyau
rouge
. MM. RAYMOND et CESTAN présentent les préparati
t assez légèrement le ruban de Reil, détruit entièrement le noyau
rouge
gauche, entamé le noyau rouge droit et fait dispa
de Reil, détruit entièrement le noyau rouge gauche, entamé le noyau
rouge
droit et fait disparaitre le noyau et le tronc
seul faisceau nettement dégénéré était le faisceau allant du noyau
rouge
à l'olive cérébelleuse. Les signes dominants ét
t cliniquement les relations d'association physiologique du noyau
rouge
et du cervelet. Elle infirme par contre la donnée
moteurs médullaires Inner- vant les muscles, par Sano, 133 Noyau
rouge
. Endothéhome du -, par Haymond et Cestan. 5J2.
cercle présente un contour orangé, chez d'autres il y a du vert, du
rouge
, du jaune, du blanc etc. Chez d'autres encore il
IV, 1). Les cordons de Goll sont altérés et se colorent vivement en
rouge
sur les préparations au picro-carmin. La lésion
ues sur la jambe gauche. 4 septembre. Persistance de l'oedème. Peau
rouge
brillante. Prostra- tion profonde. Secousses mu
frissons dans la journée. Vomissements. Constipation. Langue sèche,
rouge
, molle. Pas d'albumine. (La diarrhée et l'albumin
en argent. Du même côté et un peu plus en dehors, plusieurs plaques
rouges
(PI. XIV). Pied-gauche tombant, avec forcé musc
ugmentés d'un tiers envi- ron. La peau qui les recouvre est chaude,
rouge
et tendue ». Féré émet la même opinion. Il exam
ein gauche, qui était le siège du mal, se marbra de petites plaques
rouges
, d'une sorte de rash sca1'latini{orme, dont les t
es vaso-moteurs, qui vont de la congestion simple à l'oedème blanc,
rouge
ou violet (1). L'aspect du tégument peut donc ê
alors remplacées par des surfaces dénudées érosives ou subérosives,
rouges
, et tout à fais eczématoïdes d'as- pect. ' '
inus longi- tudinal, on trouve du sang liquide et quelques caillols
rouges
. Il y a un fort oedème SO11S-araC111101(hell. L
que. Le coeur contient passablement de sang liquide et des caillots
rouges
et couon- neux. L'oreillette droite est dilat
euse. Quelques-unes de celles-ci sont oblitérées par des thrombus
rouges
contenant du pig- ment brunâtre. Enfin les capi
tiques conservées en Hollande, par une prédilection marquée pour le
rouge
dont il lire les plus heureux effets (3). C'est
n° 1311 du Catal. Breius. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE 199 encore
rouges
sourient à demi. Malade d'amour,elle l'es t. peut
di, coloris riche, parfois excessif, surtout dans les bruns et les -
rouges
, beaucoup de finesse dans les détails, (1) Heme
ans lequel tombent les pierres. Devant lui, sur une table à tapis
rouge
, sont disposés tous les accessoires de l'opérat
réclame de six vers à peu près indéchiffrables y est écrite; un sceau
rouge
porte encore des restes de la signature. Nous
etc. Par terre, une lanterne e allumée, un pot, un plat de faïence
rouge
rempli de pierres, une bou- teille, et un chape
cou, il a, dans le feu cle l'opéra- tion, rejeté de côté son bonnet
rouge
bordé de fourrures. Cependant il conserve une g
rveuses elles-mêmes. Les hémorrhagies miliaires formées de globules
rouges
et coïncidant avec la dégéné- rescence hyaline,
es de l'équilibre leucocytaire combiné à la pré-, sence de globules
rouges
à noyau. Un second groupe de paralysies général
trequedesforines dérivées des leucocytes. La diapédèse des globules
rouges
subit de grandes variations au cours des infect
grosses, deux normales. Les joues et le men- ton ont une coloration
rouge
. Les oreilles sont très petites, implan- tées u
action des couleurs ont montré que les hypnotisés sont sensibles au
rouge
comme excitant et au bleu comme déprimant. Des
bleues et relevait le moral des hypochondriaques dans les chambres
rouges
. (L'année électrique 1901.) Cependant, il y a lie
ES. rayons blancs activent la circulation superficielle, les rayons
rouges
ont une action plus profonde. Les rayons bleus
ulation. De même, la lumière blanche active la nutrition les rayons
rouges
agissent dans le même sens, mais d'une manière
rition. En ce qui concerne le système nerveux, les rayons blancs et
rouges
favorisent la guérison des troubles trophi- que
crut obligé de suivre un régime des plus sévères : plus de viande
rouge
, plus de charcuterie, plus de poisson, plus de vi
arfois ils ont des cauchemars caractérisés souvent par la vision du
rouge
(objets rouges ou tableaux où le sang ruisselle
des cauchemars caractérisés souvent par la vision du rouge (objets
rouges
ou tableaux où le sang ruisselle). Les hystériq
arcoplasme se contracte lentement (muscles lisses et muscles striés
rouges
, riches en sarcoplasme). La substance fibrillaire
précisés. L'amputation est terminée; la surface de section apparaît
rouge
vif, l'hémostase est faite par la compression m
qu'à 75°, vers le dedans - jusqu'à 10°. La perception de la couleur
rouge
s'étend au diamètre horizontal vers le dedans j
re démontral'éten- due périphérique de la perception des couleurs :
rouge
, vert, jaune et bleu. Comme on voit d'après les
croisent en arrière des tubercules mamillaires et en avant du noyau
rouge
de Stilling : elles se collent, à l'intérieur d
, les coupes, au bout de deux-cinq minutes. prennent une coloration
rouge
jaunâtre. C'est le moment de ré- duire en metta
oloration des cylindraxes s'affirme tandis que le fond devient d'un
rouge
rosé ou violet. On peut encore fixer au platine
servé. P. Keraval. a1\II. Coloration du système nerveux à l'aide du
rouge
Magenta, par l'. ZosIN. (Neurolog. Centralbl. X
l'alcool. Couper. Colorer pendant vingt minutes à une heure par le
rouge
Magenta à 1 p. 100 : les coupes deviennent roug
à une heure par le rouge Magenta à 1 p. 100 : les coupes deviennent
rouges
. Laver à l'eau ou, au besoin, laisser les coupes
'il ce que la substance grise tranche nettement par sa colora- tion
rouge
sur la substance blanche jaune. Xylol, baume du C
scléreux et la névroglie rouge-violet; les cellules nerveuses sont
rouges
. La coloration est plus nette que dans la métho
lène. Bra- celets au collodion iodoformé, ou au collodion coloré en
rouge
ou en bleu, bracelets dessinés sur les membres
vicale de la moelle, de la substance noire du pédoncule et du noyau
rouge
de la calotte (de Stilling) ; atrophie de l'étage
ans la subs- tance blanche du cerveau, avec foyer de ramollissement
rouge
au milieu du corps calleux. La lésion des hémis
de méningite suppurée. A l'oeil nu, on dirait d'un ramollisse- ment
rouge
, et l'orateur ne croit pas que les cellules menti
prédomine. Période téta- niforme : la face devient de plus en plus
rouge
; convulsions téta- nitbrmes de la face à droite
s très volumineuses, sur- tout la droite; muqueuse du pharynx assez
rouge
; langue large. Gencives en bon état. Organes
. Au niveau du pli du coude, des deux côtés, deux petites plaques
rouges
peu colorées, mais suintantes, donnant lieu à de
accès; ce matin, avant la tisite, il a ou 4 accès. La face est très
rouge
, les conjonctives injectées, les pupilles modér
s instants; mais à 5 heures, il était agité et avait le visage très
rouge
; à 7 heures il s'est mis à pleurer, puis s'est
accès la période de slertor étant passée, on le trouve la face d'un
rouge
vermillon intense, couverte de sueur, brûlante;
ès; T. 13. 39 ? ? . - Soir : T.R. 301,4. Physionomie égarée : joues
rouges
; pupilles dilatées, égale- ment; excitation au
i- site); il ne répond d aucune question, se met à pleurer; usage
rouge
, couvert de sueur. 26 iiiillet. Série d'accès (
n objet mousse, on déterminait une raie, d'abord blanche, puis d'un
rouge
intense, sur laquelle poussaient de petites éle
ubilité. Elle se sent bien. La peau est froide et marbrée de taches
rouges
aux extrémités. Le pouls est lent, faible, 40 p
ne ligne, et qu'on lui donne sur une des moitiés l'hallucination du
rouge
, elle accuse sur l'autre moitié la sensation du
e passe lorsqu'on regarde fixement un carton moitié blanc et moitié
rouge
. 3, Les sensations subjectives. Toute hallucina
tre à la malade un carré blanc en lui suggérant qu'il est coloré en
rouge
, ou en vert, etc. Puis on lui fait reporter les
contradictoires. Si, par exemple, on se con- tente de suggérer du «
rouge
», la malade peut se représenter soit le rouge
nte de suggérer du « rouge », la malade peut se représenter soit le
rouge
qui a pour complémentaire le vert, soit un rouge
eprésenter soit le rouge qui a pour complémentaire le vert, soit un
rouge
orangé dont le complémentaire est le bleu. La r
é du sens musculaire. Pas d'ataxie. Refroidissement et décoloration
rouge
bleuâtre des deux mains, ainsi que de la por- t
cou d'enfant injecté, il est curieux de sui- vre les minces filets
rouges
, qui soulignent chaque ramuscule nerveux. Aux m
langage imagé, à un « dindon qu'on placerait sur une plaque de fer
rouge
». Il s'ingénie de mille manières pour échapper
. Sou- vent on lui mettait quelque chose dans le vin qui le rendait
rouge
et lui coupait bras et jambes. Pourquoi faisaie
'y a pas de points douloureux. La peau de l'endroit malade est rose
rouge
, luisante, égale, plus chaude que celle du côté
à l'autre et rarement à la face. La peau variait aussi, tantôt rose
rouge
, bleue ou violette, ou'mar- brée quelquefois pâ
prestidigitateur le fit entrer sous une tente, lui passa un cordon
rouge
autour du cou et lui maquilla la figure au poin
té et qu'elle nous a décrite ainsi : Tout à coup il est devenu très
rouge
, il titubait comme s'il allait tomber, il était
roportionnellement bien plus accusée que'la diminution des globules
rouges
. La lenteur des réponses parait due à l'hébétud
. L'entre-croisemenl de Forel consiste en fibres reliant le noyau
rouge
du legmentum avec le noyau lenticulaire du côté o
lle- ment ; elle a, dit-elle, une boule de feu dans la tête, un fer
rouge
dans l'estomac. - Sa famille et les personnes
Je ne pourrai donc pas les ouvrir ! C'est triste, je ne vois que du
rouge
! » Elle ne voit pas ses parents qui entourent
ère duquel se retrouvait la singulière tendance à saisir les~rubans
rouges
; si bien qu'elle s'abstenait de sortir les'jour
e au sort pour éviter de succomber au désir de prendre les rubans
rouges
flottants sur le chapeau des conscrits. Nous po
les deux yeux ouverts voit à sa droite un objet, un pain à cacheter
rouge
par exemple, qui est vu en réalité uniquement p
à gauche, il supprimera le point blanc et ne parlera que du point
rouge
qui lui apparaît à droite; or justement ce point
e du point rouge qui lui apparaît à droite; or justement ce point
rouge
ne peut être vu que par l'oeil gauche. Eh bien, m
la dyschromatopsie hys- - térique. Une malade ne distinguait que le
rouge
et ne voyait pas les autres couleurs, mais si o
es et elle nous déclare gravement qu'elle a vu un pain à cacheter
rouge
. Vous savez qu'il ne peut être vu que par l'oeil
la main gauche anesthésique de Berthe, je colle un pain à cacheter
rouge
: la voici étonnée, et en contemplation devant
édé que l'on désire. Le microscope révèle alors une substance jaune
rouge
dans laquelle les éléments nerveux sont REVUE D
'inférieur. Le locus niger de Soemmering le noyau de Luys, le noyau
rouge
de Stilling lui en- voient des fibres ; on ne v
des fibres ; on ne voit que la partie externe de la coque du noyau
rouge
. Si la coupe avait porté un peu plus en dedans,
la capsule interne, procèdent en grande partie de la coque du noyau
rouge
, ainsi que nous l'avons vu déjà dans les coupes
se au-dessous de l'aqueduc de Sylvius et par le milieu des noyaux
rouges
de Stilling. (l. V.) Je ne signalerai sur la Pl
l'étude de la capsule interne : a) Le cône de fibres que le noyau
rouge
de Shilling fournit dans ce sens au pied de la
F. U., fasciculus uncinatus. /, insula de Reil. i,. St., noyau
rouge
de Stilling. P. c., pédoncule cérébral. Il. r
vinar de la couche optique. N. c., noyau caudé. V, v·. St., noyau
rouge
de Stilling. P. c. f. s., pédoncule cérébral; f
pale, le vert, par exemple, tandis qu'il accuse très bien la teinte
rouge
complémentaire. (On se rappelle que, pour une c
pelle que, pour une catégorie très nombreuse de malades, la couleur
rouge
reste seule en dehors de l'achromatopsie). Cela
côte occidentale de l'Indoustan, sur la côte occidentale de la Mer
Rouge
et sur la côte du Brésil. Le kakké du Japon a é
duirait un pinceau de 2 à 3 centimètres d'épaisseur, chargé d'encre
rouge
, promené de bas en haut pendant 5 à 6 centimètr
coupa profondément. On les avuMrap- per à coups de poings un poêle
rouge
; sauter dans le feu ou da.is l'eau; ne tenir c
n ; dans les quatorze autres cas, il s'agissait d'un ramollissement
rouge
et d'hémor- rhagies punctiformes ou d'une destr
si, , s L, insula de Reil. - Flb.su3 sb nsarsm i N. r. St., noyau
rouge
de Stilling. P. c., pédoncule cérébral. P. r.
, , , . 1, , , N c., noyau caudé. " 1111- h t , N. ·. It., noyau
rouge
de Stilling. 1 - P. c. f. s., pédoncule cérébra
e supérieur droit, Elle ne sent pas l'application d'un fer chauffé au
rouge
; elle a la main couverte des brûlures qu'elle se
onstatons qu'elle ne sent pas l'application d'un tisonnier chauffé au
rouge
. La mais droite toute entière est d'ailleurs couv
e, l'heure sur une montre à fines aiguilles, distingue! le bleu et le
rouge
, se promener sans être conduit. Ces amélioratio
première fois; alors je constatai ; constitution assez faible, visage
rouge
, yeux larmoyants, tremblements dans les muscles,
ème nuit, le malade était tourmenté par une femme couronnée de pavots
rouges
et gris, qui tantôt le fouettait de bouquets 3e c
que nous avions fait recouvrir de la suscriptinn poison sur étiquette
rouge
, avant d'accomplir ce suicide présumé. Elle avait
gnes; au pôle positif, une flamme grise de 20 lignes, avec une pointe
rouge
. De toutes ses arêtes, les effluves montaient ver
e moins nette de la Lohée, se montra toujours gris avec une pointe de
rouge
ou de jaune, tandis que l'enveloppe extérieure ou
e remarqua qne la Lohée, à chaque temps de la respiration, en émanait
rouge
à gauche et bleue à droite. On amena devant elle
mboiement du premier barreau se renforça de 8 lignes; dans la lumière
rouge
, sor le second barreau, de 5 lignes. Ces expéri
iens placés aux côtés du lit de camp : la figure devenait un peu plus
rouge
, comme plaquée (i), et se crispait encore légèrem
chait la tète de cOté sans pouvoir la tenir droite. Les joues étaient
rouges
et même cyanosées. Elle me reconnut, me dit que j
aient très fortes et très rapprochées. La figure de la femme devenait
rouge
et exprimait la souffrance, mais il n'y avait pas
sensation de gêne douloureuse, en se forçant. Il existait une teinte
rouge
, puis du gonflement dans les membres érythème nou
arte blanche sur laquelle on lui fait voir, par suggestion, une croix
rouge
, puis, à cette carte, on substitue une autre cart
clare voir une croix verte, c'est-à-dire la couleur complémentaire du
rouge
. En multipliant les expériences, on lui fait voir
mais elle est achromatopsique et ne distingue aucune couleur sauf le
rouge
, fait, pour le dire eu passant, assez fréquent da
particulier. En effet, comme elle ne sait reconnaître que la couleur
rouge
, on lui fait voir par suggestion une croix rouge
aître que la couleur rouge, on lui fait voir par suggestion une croix
rouge
sur une carte blanche; quand on substitue à celte
blanche, elle y voit immédiatement une croix verte, complémentaire du
rouge
, et pourtant, si à ce moment on lui montre du ver
sur la tele d'un des «lèves du service un casque surmonté d'une plume
rouge
; or, aussi bien dans l'état A, que lorsqu'elle es
le avait remarqué alors que le côté droit de la langue était plus
rouge
, plus sensible que le côté gauche; que les papi
our peu qu'il y ait des traces d'aniline il se produit un précipité
rouge
orangé très abondant et le liquide prend la mêm
OLOGIE MENTALE. Il : 1 de chaux. Il se produit une belle coloration
rouge
qui passe au bleu par l'addition d'ammoniaque.
tourne sa tête comme s'il fixait une personne ou un objet. Verre
rouge
. Il se lève effrayé et cherche à s'enfuir... L'at
'attaque survient qui clôt la scène. Deuxième expérience. - Verre
rouge
. Le placement des divers verres devant les yeux
produit pas l'attaque et ne provoque aucune hallucination. Le verre
rouge
au contraire, provoque instantanément une attaq
ion, remue les lèvres et semble en prières. Camphre. - Il devient
rouge
. Il fixe quelqu'un et veut se lever de son lit
, à brandebourgs oranges et jaunes. Il y avait aussi des hus- sards
rouges
à galons jaunes. Il tirait des coups de fusil dan
, tire sur la bride comme pour arrêter sa monture. Il crie. Verre
rouge
. fixe quelqu'un, fait le salut militaire en disan
le geste de s'éventer avec sa chemise. Le corps était complètement
rouge
et la sueur perlait sur la peau. Compresse d'
déboucher une bouteille avec un tire-bouchon '. Puis boit. Verre
rouge
. - Il fait le mouvement d'enflammer une allumette
uniformes des uhlans brandebourgs oranges et jaunes, des hussards
rouges
à galons jaunes, répond à l'application des ver
rouges à galons jaunes, répond à l'application des verres orange et
rouge
. Les mouvements qui s'exé- cutent au son du tam
l'air de souffrir beaucoup, qu'il avait exécutés avec les verres
rouge
et orange. Ce que nous avons pris pour cueillir
organes des sens et nous obtenons les résultats suivants : Verre
rouge
. - Charles ! viens à mon secours... Quoi tu es en
llement bien que l'on croirait presque y assister avec lui. Verre
rouge
. -Il voit un ami qui s'est coupé. Le sang ruissel
jaune la marchande d'orange ou la femme habillée en jaune, le verre
rouge
la blessure san- glante. En un mot, ces malad
é. - ni, n 0 %.au lenticulaire. - P, tractus pyramidal. - rn, noyau
rouge
. - ral, racines du nerf olfactf. - rs, région sub
omènes mentaux. Comme le dit M. Binet : « Qu'on ait la sensation du
rouge
, ou qu'on ait le souvenir du rouge, ou qu'on vo
et : « Qu'on ait la sensation du rouge, ou qu'on ait le souvenir du
rouge
, ou qu'on voie le rouge dans une hallucination,
ation du rouge, ou qu'on ait le souvenir du rouge, ou qu'on voie le
rouge
dans une hallucination, c'est toujours la même
acune de ces moitiés contient une petite cavité triangulaire à parois
rouges
, à laquelle aboutissent une multitude de canalicu
aquelle aboutissent une multitude de canalicules remplis de substance
rouge
qui rayonnent du centre à la circonférence dans t
s postérieures de chacune de ces cavités un petit canal plus ou moins
rouge
qui se dirige au milieu de la face postérieure du
e n'offre point d'éléments nerveux dans son lobe antérieur de couleur
rouge
. Il accepte les opinions de Ecker, d'après lequel
n donne au point a et au point ê des couleurs différentes, l'un étant
rouge
et l'autre bleu, l'image unique de ces deux point
eux points ne sera point violette, comme on aurait pu le penser, mais
rouge
ou bleue. Ce résultat semble prouver que les ye
distincte de deux couleurs différentes. Tout au plus peut-on voir du
rouge
sali de bleu ou du bleu sali de rouge, jamais, qu
s. Tout au plus peut-on voir du rouge sali de bleu ou du bleu sali de
rouge
, jamais, quelque effort qu'on puisse faire, on n'
le passage se fait du blanc au noir par le blanc, le jaune orangé, le
rouge
, le violet et le bleu. Est-elle au contraire obsc
taire. L'objet est-il jaune, l'image consécutive est violette. Est-il
rouge
ou bleu, l'image est verte dans le premier cas, o
s les paupières au grand soleil, l'œil est comme inondé d'une lumière
rouge
, ouvrons-nous alors les yeux, tous les objets bla
; la deuxième zone est peinte en jaune; enfin on couvre d'une couleur
rouge
la zone qui l'entoure. Sur un disque ainsi prépar
re, traversent successivement la zone bleue, la zone jaune et la zone
rouge
, et vont se perdre à la circonférence du disque.
one, divisée à partir de son centre en huit triangles alternativement
rouges
et blancs. Eh bien ! suivant que l'attention se p
e l'attention se portait plus particulièrement sur le blanc ou sur le
rouge
, on voyait, par une métamorphose immédiate, tantô
métamorphose immédiate, tantôt une croix de Malte blanche sur un fond
rouge
, tantôt une croix rouge sur un fond blanc. On a f
tantôt une croix de Malte blanche sur un fond rouge, tantôt une croix
rouge
sur un fond blanc. On a fait aussi la remarque qu
orme toute particulière. Rarement l'objet fantastique est coloré en
rouge
ou en bleu. Le plus souvent il est couleur de feu
le mélange dans un pot de terre à feu qu'il fallait pousser jusqu'au
rouge
. La masse était ensuite refroidie et de nouveau p
âchait. On plaça sur son épigastre un gobelet contenant un peu de vin
rouge
. « Vous me me persécutez, dit-elle, du Vin ! Je l
on directe, ni par voie d'analogie. Ainsi, par exemple, une chose est
rouge
, elle est bleue, elle est blanche. L'homme n'a en
elle est blanche. L'homme n'a en lui aucun moyen direct de peindre le
rouge
, le bleu, le blanc ou les autres couleurs. 11 ne
l'intérêt n'est pas d'ordre médical. XX. Lésion ancienne du noyau
rouge
. Dégénérations secondaires, par Pierre Marie et
mais une lésion pédon- culaire intéressant nettement tout le noyau
rouge
du coté droit, «véritable destruction expérimen
e supposer que l'hémiplégie infantile résulte de la lésion du noyau
rouge
et des voies motrices de la calotte. R. C. 68 R
e volume et les téguments correspondants prendre une colora- tion
rouge
brunâtre. En février 1903 s'est produite une se
ficiel, le croire atteint d'acné hypertro- phique, si la coloration
rouge
vif de cette affection ne faisait ici défaut. 1
par une bande de peau saine.. La région sous- orbitaire droite est
rouge
également. La paupière inférieure gauche est un
jambes et des cuisses, d'une éruption formée d'éléments isolés d'un
rouge
vineux; celle-ci a persisté pendant une F ig. 2
on. A la même époque, le quatrième orteil du pied gauche est devenu
rouge
, oedémateux, puis une bulle 5 est formée, rempl
de courte durée ; le malade était gateux en ce temps; la face était
rouge
; trois heures après la conscience éclaircit : d
onc, ils sont légèrement saillants et présen- tent une couleur d'un
rouge
vif ; ils n'ont pas débuté dans l'enfance, ce s
cents élèves. Je crus mourir de honte. Que n'avais-je lu alors le «
Rouge
et le 206 CLINIQUE MENTALE. Noir ». J'étais d
tion sodique à 3 p. 1000. Vous obtenez une magnifique teinte violet
rouge
: laissez dans ce liquide jusqu'à ce qu'il ne se
. Eclair- cissez n'importe comment. Les gaines de myéline sont d'un
rouge
éclatant ; le reste du tissu est incolore. Seul
tiges, nausées, vomissements et d'amaurose totale. La tète est très
rouge
, il existe de la cépha- lalgie. Absence de raid
es du bulbe témoignent a un faible grossisse- ment de la coloration
rouge
des faisceaux pyramidaux et des olives qui cont
noyaux olivaires, les fibres arciformes se dessi- nent nettement en
rouge
foncé sur fonds rouge clair; on voit très bien
fibres arciformes se dessi- nent nettement en rouge foncé sur fonds
rouge
clair; on voit très bien les fibres du corps re
itement, l'enfant se congestionne, le cou et les oreilles sont d'un
rouge
pourpre, la figure boursouflée, les yeux légèreme
agne pas toujours cette psychose ; c) l'hémoglobine et les globules
rouges
sont souvent, sinon toujours, accrues pendant u
onné un liquide jaune ambré, renfermant, outre de nombreux globules
rouges
, quelques-uns polynucléaires, de grands mononuc
LE martyrologe DES asiles. L'attentat de l'Asile clinique. La série
rouge
dont nos asiles s'ensanglantent se poursuit avec
générale. Dégénérescences secondaires. Voir Cervelet. Voir Noyau
rouge
. Des stigmates anatomiques, phy- siologiques
pertro- phie osseuse, par Guillain et Courtellemont, 161. Noyau
rouge
. Lésion ancienne du . Dégénérations secondaires
de la sensibilité pharyngée ; 4° Dyschromatopsie du côté droit : le
rouge
et le jaune sont seuls perçus nettement ; 5° En
t la nuit il souffrit à peine. Mais le lendemain matin le genou était
rouge
, tuméfié, et il y avait de la fièvre. Il'fallut d
té pendant durant quelques minutes, pour qu'il prenne une teinte d'un
rouge
violacé qui, de l'extrémité du pied, s'étend jusq
ent pas : il est coquet et porte habituellement une brillante cravate
rouge
en même temps que ses cheveux, très pommadés, son
de dischroma-topsie, pas de polyopie monoculaire. Le champ visuel du
rouge
est, comme dans l'état normal, moins étendu que c
ardeur que communique une conviction profonde et il se fâchait « tout
rouge
» quand on faisait mine d'en contester la valeur.
yeux pour le vert et pour le bleu, la malade au contraire perçoit le
rouge
parfaitement. Ceci n'est pas, remarquez-le bien
ls deviennent achromatopsiques, perdent la notion du vert et celle du
rouge
: le jaune et le bleu sont perçus en général pend
ud et moi, ce n'est guère que dans l'hystérie qu'on voit la notion du
rouge
persister seule, celle des autres couleurs ayant
topsie et dys-chromatopsie tabétiques. Elle porte sur le vert et le
rouge
d'abord. Le jaune et le bleu conservés jusqu'au d
ement du champ visuel pour les couleurs. Assez souvent la notion du
rouge
persiste seule, celle de toutes les autres couleu
. Dans cette dernière, en effet, il est fréquent de voir la notion du
rouge
survivre seule alors que celle des autres couleur
ndis que dans les deux premiers cas c'est nécessairement la notion du
rouge
et celle du bleu qui persistent, après que la not
bleu qui persistent, après que la notion du vert et ensuite celle du
rouge
ont successivement disparu. Tels sont, messieurs,
i, a faibli D G Fig. 37. — m m m m m-mm — Le champ visuel pour le
rouge
. ..... == — pour le bleu. D G Fig. 38. — mm
our le bleu. D G Fig. 38. — mm m m , m» — Le champ visuel pour le
rouge
. considérablement puisqu'elle n'est plus représ
x achromatopsie pour toutes les couleurs, à l'exception du bleu et du
rouge
, et, chose remarquable, conformément à ce qui se
ans l'hystérie, surtout chez la femme, le cercle de la vision pour le
rouge
est plus étendu que celui de la vision pour le bl
achromatopsie étant devenue complète pour l'œil droit, on note que le
rouge
est désormais la seule couleur qui soit perçue pa
s animaux, généralement de couleur noire ou grise, plus rarement d'un
rouge
vif, se présentent pour chaque malade du même côt
pagnées de gonflement, d'empâtement des parties molles, de coloration
rouge
ou violacée du tégument, des altérations décrites
du nord-ouest, avec une inclinaison d'environ 45°, une balle de feu,
rouge
comme un charbon incandescent ; le globe se mouva
assez profonde, produite par l'application d'une cuilller chauffée au
rouge
. Cette application a été faite subrepticement, so
ans cause apparente, apparut au genou droit qui se gonfla et devint
rouge
et dont le moindre contact était très douloureux
eux épars, s'affaisse entre les bras d'une femme richement vêtue de
rouge
; à côté se tient une autre femme, en bleu, muni
ent tout le long de ce bord on voit une grande quantité de globules
rouges
reconnaissables à leur absence de noyau et à leur
u que dans les lacunes récentes que l'on peut observer ces globules
rouges
parce qu'ils sont rapidement résorbés et dispar
our les lacunes du centre ovale : peu de vaisseaux, peu de globules
rouges
épanchés ; mais en raison de la grande quantité d
e date, révèle un degré d'anémie assez mar- qué (2.700.000 globules
rouges
) et un équilibre leucocytaire normal. Pas de gl
obules rouges) et un équilibre leucocytaire normal. Pas de globules
rouges
nucléés. Cet état d'anémie concorde assez bien av
tions postérieures du cervelet. Par le pédoncule supérieur, le noyau
rouge
et le faisceau décrit par Meynert, cette région
localisation dans l'espace. Nous ne pouvons superposer la notion de
rouge
à la notion do chaud, à moins de complaisance ou
ue, mais nous pouvons dire que le même objet est à la fois chaud et
rouge
, parce que ce qui est rouge et ce qui est chaud o
ue le même objet est à la fois chaud et rouge, parce que ce qui est
rouge
et ce qui est chaud ont le même quelque part da
qui varient depuis le jaune clair jusqu'au brun, depuis le rose, le
rouge
, jusqu'au gris foncé et au noir absolu ; des insc
res véridiques de la profession. Saint Corne coiffé d'une calotte
rouge
est vêtu d'une longue robe violette en partie r
laïque Il est coiffé d'un chaperon bleu et revêtu d'une longue robe
rouge
tout unie avec simple collet et parements de fo
de la cavité est donc formé par la base du crâne. Une muqueuse très
rouge
tapisse les parties osseuses. Ce plafond est divi
imètres de profondeur. Au fond, une tache de coloration un peu plus
rouge
semblant être l'orifice d'un canal ; mais nous fû
ont l'aspect de filaments à paroi épaissie, forte- ment teintée en
rouge
. Les fibres altérées se disposent irrégulièreme
t, d'anneau ou de placards prennent en leur ensemble une coloration
rouge
foncé, homogène. Quelques-uns sont nettement cons
yalin : dans chacun de ces petits placards (intensivement coloré en
rouge
) on distingue quelquefois une ou deux fibres avec
ux fibres d'aspect normal on distingue des petits placards colorés en
rouge
vif dus sans doute au tassement des gaines de S
cervelet, Brissaud dans le locus niger, Von Gehuchten dans le noyau
rouge
. Quel est le siège des lésions chez nos malades
orme ùmtriangle curviligne, dont la base concave embrasse le noyau,
rouge
, tandis que l'angle externe effilé se recourbe
'à l'extrémité supérieure du faisceau, sur la face interne du noyau
rouge
(PI. LVI, fig. J, K, L). Enfin nous arrivons à
ope a été trouvé normal comme nombre, forme et couleur des globules
rouges
et blancs. Cavité bucco-pharyngée très augmenté
ouble et sanguinolente. L'examen histologique y révèle les globules
rouges
et blancs en grande abondance. La langue est tr
isolées el conlluentes, couertesd'épaissescouclescornées de couleur
rouge
brun, de la grandeur d'un grain de pavot jusqu'à
masses cornées, tandis que leurs régions centrales ont une surface
rouge
asséz lisse. Sur la cuisse et le naous veneris,
e. Sur la cuisse et le naous veneris,lacouleur des plaques est d'un
rouge
plus foncé et l'écaille- ment sur leur surface
nt se montrent, dans la masse claire de la tumeur, comme des stries
rouges
; elles sont plus nombreuses et plus épaisses à
e de 21 ans. En novembre l8cJG il aperçut sur son front une traînée
rouge
et une ulcération siégeant à l'union du frontal e
te sur une longueur de 7 cm. 5, mais se prolongeait par une traînée
rouge
, visible seulemenl par moments, jusqu'à la suture
cération avait débuté. Ces bandes offraient une coloration générale
rouge
, due à un fin lacis vasculaire, avec un semis d
t. Cette fois, l'opérée est une femme, une vieille vêtue d'une robe
rouge
, avec un tablier bleu et une coiffe blanche sur
, porteur d'une belle barbe, est habillé d'un justaucorps il crevés
rouges
et coiffé d'un béret noir. Il a passé son bras
ines sous-cutanées sont très développées; çà et là, quelques taches
rouges
, douloureuses (péliose rhumatismale). Sur le bo
logies avec la structure d'une vertèbre : substance médullaire très
rouge
, limitée par une écorce de tissu compact. Les r
dans un peu plus qu'à gauche. La partie interne du nerf optique est
rouge
; champ visuel normal. Un an après, même état d
es de la cuisse qui partent du bassin ; il s'y est formé une tumeur
rouge
, chaude et déjà dure à sa partie infé- rieure,
bras ; en examinant ces régions, on y trouve des gonflements diffus,
rouges
, douloureux, oedémateux. Ces tumeurs disparaiss
peau nor- male présente par places des plaques qui deviennent d'un
rouge
sombre ou bleuâtres lorsque l'enfant crie ou fa
trique ; augmentation de la résistance électrique. Joue droite plus
rouge
que la gauche; pas de différence thermique notabl
bien les aliments. - Troubles vaso-moteurs. La joue droite, plus
rouge
que la gauche d'une façon générale, devient éca
ces régions sont molles, oedémateuses ; la pommette gauche est plus
rouge
que la droite. Le nez, dont l'aile gauche est h
libres occipito-protubérantielles manquent ; au-dessous des noyaux
rouges
est disposée la substance noire de Soemmerin; c
dansle pédoncule, manquent encore. Plus liant, au niveau des noyaux
rouge
à l'endroit du tronc cérébral où, du côté laté-
; mêmes constatations V. Coupe au niveau de la formation des noyaux
rouges
. Absence de toutes les voies de l'étage infeueur
1 Dans le fond de la bouche on remarque du côté gauche une saillie
rouge
de la grosseur d'un oeuf de poule et paraissant
ays, dont, il rehaussait les silhouettes a-coups de crayons bleu et
rouge
. Beaucoup de ces soldats sont (l'line 11ère pli
le don de provoquer une sorte de superacti- vité, comme la couleur
rouge
; et la mineure, au contraire, a le don d'apaise
Corps rigide, en extension. Face congestionnée, plutôt violacée que
rouge
. Mains fermées, les pouces en dedans. Secousses
eine les dimensions d'une petite lentille. Elles ont une coloration
rouge
, pourprée, ne disparaissent pas par la pression
dinaire. Une demi heure après, on a observé un piqueté hémorragique
rouge
lie de vin, sur le front, les paupières, les ré
inférieure de la conjonctive oculaire. On a noté aussi des plaques
rouges
disséminées sur le cuir chevelu. Le piqueté pré
montrant néanmoins plusieurs couleurs, on constate nettement que le
rouge
orangé attire surtout ses regards Nez camard il
pas de diarrhée. Région anale. Les fesses petites, peu charnues,
rouges
, présentent des cicatrices nombreuses de pustul
ttnrénales, rien; les reins se décortiquent difficilement, ils sont
rouges
et durs. Pancreas et intestins, rien à signaler.
terre, je laisserais passer tout cela ? .. non, jamais ! le drapeau
rouge
me suivra partout, le drapeau français... et je
. Etat actuel (Février 1901). Teint pâle, sauf les joues qu1 sont
rouges
, cyanotiques. Physionomie hébétée, regard sans
Dans son ensemble la figure est plate. Les joues ont une coloration
rouge
, un peu vineuse. [Il en est de même quelquefois
la table, sur un siège. Brusquement, ses pommettes deviennent très
rouges
, puis, l'instant d'après, le teint reprend la c
Pas de température. Pas d'angine, pas de vomissements. Conjonctives
rouges
, pas de catarrhe nasal. 28 avril. L'éruption
eau qui frappe, et nous leur faisons prendre, sur ordre, le marteau
rouge
ou le marteau bleu, etc. La vue et l'ouïe se tr
fant à une cousine. En rentrant au bout d'une heure, elle le trouve
rouge
et pleurant. Au bout de l'heure suivante, l'enf
s été mordue. La mère ajoute que, lorsque l'enfant voyait le disque
rouge
du chemin de fer, elle était prise de peur et s
diamètre transversal : 15 cm., vertical : 13 cm. ; aréoles foncées,
rouges
; mamelons petits, à peine saillants. Poils plus
stationnaire de la teigne. 4 avril ? Eruption de .sc;o't)te.Angine
rouge
. Tem- pérature 39°. 8 avril. - Desquamation T.
912, elle a eu souvent mal aux yeux, ses yeux sont presque toujours
rouges
, et les paupières sont collées, je les soigne f
je les soigne facilement. Mes autres enfants n'ont pas de plaques
rouges
sur les joues.- A 6 ans, on lui enleva des végéta
, Membres supérieurs suffisamment développés. Mains assez petites,
rouges
, rugueuses et froides. Doigts bien séparés, Fig
férieurs normaux. Pieds très-froids. Les extré- mités ont un aspect
rouge
et rugueux. Réflexe rotulien nor- mal. L'enfant
e ne crie pas, ne grince pas des dents, n'a pas de tics ; devient
rouge
quand on lui fait un reproche, mais n'est pas col
méningite La selle turcique est étroite. L'hypoltyspe est grosse et
rouge
; elle fait saillie au-dessus de la selle turci-
itement, l'enfant se congestionne, le cou et les oreilles sont d'un
rouge
pourpre, la figure boursouflée, les yeux légèreme
al, la langue petite n'a pas de tremblement. Les amyg- dales un peu
rouges
sont petites. L'enfant n'a que deux dents, les
z dure. -Rien aux capsules surrénales. - Rein gauche (45 gr.) assez
rouge
, se décortique facilement. Pas de lésions macro
, c'est-à-dire sans ouverture et présentant une marque de suture d'un
rouge
violacé, de trois â quatre millimètres de largeur
le soir, comme je lui avais dit. Je fus frappé de l'asp-d de la ligue
rouge
; elle avait certainement diminue de plus de moiti
« M. Louis B... se plaignait que 1rs s hommes dédaignaient les femmes
rouges
, et îl 'a promis des faits matériels après des ch
t de l'observation est un propriétaire cultivateur, riche, vigoureux,
rouge
de teint, non alcoolique, d'une forte constitutio
colère survenant pour des motifs à peine appréciables et faisant voir
rouge
au malade, le prétexte de l'assassinat n'ayant au
, dont le sang se répandait à ilot sur ses doigts, et les teignait en
rouge
. Je l'ai revu, il y a deux ans, sa crainte du san
nt universellement appréciés, n'est même pas décoré de ce petit ruban
rouge
parfois si facilement distribué pourtant. Pour lu
ndraient plus. 13 avril. Oreille externe encore un peu enflammée et
rouge
; l'écoulement séro-pnrulent continue â diminuer.
eur qui, après avoir hésité entre la rougr et la blanche ponte sur la
rouge
, une petite fille qui. priée de chanter se décide
ne autre, lorsque vous serez réveillée, si je vous présente une boule
rouge
vous pleurerez, si je vous présente une boule jau
la joue de ses deux voisins; qui avaient chacun sur la tète un bonnet
rouge
avec des plumes de coq. el qui de leur côte, tâch
physiques. il faut noter : les modifications vaseulaires ftels que le
rouge
qui monte au visage et l'altération des condition
me Besnard ou même Carolus Duran — prodiguent le jaune, le bleu et le
rouge
sont atteints d'amblyopie hystérique, etc.. Ce
or à la dynumogénie est toujours attaché un sentiment de plaisir. Le
rouge
est remarquablement dynamogène. Ainsi, rapporte B
le chiffre12. Si on fait contempler â ce moment à la malade un disque
rouge
, aussitôt le chiffre de la pression inconsciente
onc que les peintres hystériques se plongent à ccaur joio dans le
rouge
, et que les spectateurs hystériques éprouvent un
ent en eux des sensations agréables ». Va donc pour les amateurs de
rouge
; mais par contre les personnes qui préfèrent les
aut bien ralentir, jettent quelque menue monnaie dans la superbe auto
rouge
et or, affectant de la prendre pour la a balladeu
ieux, bien musclé, jouant avec le danger. Le garçon boucher, frisé,
rouge
comme un rosbif, « crève » le cheval de son patro
le sommeil somnoformique va le gagner, une lueur d'abord sombre, puis
rouge
, puis jaune ; celle-ci se fragmente en petits car
failli les opérer. La première présente à la racine du nez une raie
rouge
analogue à celle que fait le lorgnon ; elle y épr
jour où elle a appris la fâcheuse nouvelle, elle avait le nez un peu
rouge
à la base, dès lors, la rougeur du nez lui devien
éthylène. Bracelets au collodion iodoformé, ou au collodion coloré en
rouge
ou en bleu, bracelets dessinés sur les membres an
nstatée depuis longtemps par l'espèce humaine : l'attrait du pantalon
rouge
et du sabre pour les jeunes filles à marier est l
, il s'agissait d'un pouce. o. Le doigt est comme mon pouce, un peu
rouge
, d'un rouge violet, avec la chair bien vivante (?
ait d'un pouce. o. Le doigt est comme mon pouce, un peu rouge, d'un
rouge
violet, avec la chair bien vivante (?) à la coupu
lences [Suppurations chroniques, probablement tuberculeuses], ou d'un
rouge
lie de vin, prêts à crever au moindre choc qui en
oreille droite. En effet l'auricule apparut froissée et d'une couleur
rouge
très intense. Or, au début de sa grossesse, cette
Celle-ci avait un signe bizarre sur le corps; c'était une tache d'un
rouge
foncé, présentant comme l'empreinte d'une main, a
muscles, les vapeurs d'ammoniaque, la glace, la faradisation, le fer
rouge
du thermocautère les laissent tout à fait insensi
oire dans un verre et non pas aux fontaines ou rivières, boire du vin
rouge
clair ou blanc, mêlé avec de l'eau, ou de l'eau p
accidentelles. A un conducteur de locomotives qui apercevra un feu
rouge
, il ne viendra pas d'autre idée que celle de s'ar
on voit apparaître une coloration blanchâtre, à l'endroit touché, et
rouge
, sur les parties latérales : on a troublé le
so-moteurs. Chez les individus sains, la double coloration blanche et
rouge
disparait vite et tout rentre dans l'ordre. Mais,
quatre petites tumeurs de 2 à 4 millimètres de diamètre, de couleur
rouge
foncé, l'épendyme paraît normal à leur niveau.
tête devient chaude et douloureuse, les yeux tendus, les pommettes
rouges
. Il demande à chaque instant des bains de pieds
e masse de caillots noirs avec un sérum jaunâtre, puis des caillots
rouges
d'apparence plus récente et qui formaient une c
lle part aux parties sous-jacentes. La première fortement injectée,
rouge
foncé, ecchymotique en divers points, est libre
ielle toute récente, constitués par quelques gouttes de sang encore
rouge
exlravasé et infiltré dans le tissu nerveux dan
e Codex prescrit pour la préparation de vins médicinaux : 1° le vin
rouge
et le vin blanc de France renfermant environ 10
6 grammes d'alcool. Vin de gentiane. Ce vin est préparé avec le vin
rouge
à 11 PHARMACOLOGIE. 10 p. 100 ; additionné à
s à Bordeaux. Vin de quinquina au Bordeaux. Il est préparé au vin
rouge
à 10 p. 100 additionné par litre de 100 grammes
un instrument tranchant » ; tantôt c'est une « brûlure avec du fer
rouge
» tantôt c'est un « poignard qu'on enfonce dans
e, d'un piqueté rougeâtre. Les doigts, toujours tuméfiés, sont d'un
rouge
accentué. Pas de chan- gement de consistance. L
t- bras et principalement sur la face antérieure les mêmes taches
rouges
brique, sur fond légèrement cyanosé. L'expérience
doigts, légèrement rosés au contraire. De-ci de-là, des taches d'un
rouge
brique dont la teinte se fond graduellement ave
enant tuméfiée, rosée, vaguement douloureuse. Les doigts sont gros,
rouges
, totalement raidis. La flexion ou l'exten- TROU
iane de la bandelette se fonce; les bords sont plus manifeste- ment
rouges
. Il y a déjà légère surélévation. Au bout de troi
durer huit jours. Hyperhydrose. Les deux mains sont, par endroits,
rouge
violacé, et cette teinte, variable avec les mom
embres ; bientôt les parties atteinles prennent une coloration d'un
rouge
vineux ou d'un bleu noirâtre, elles sont le siè
plantaire est moins bleue et leur coloration se rapproche plutôt du
rouge
. Ces modifications de couleur s'accompagnent d'
n fait pour un tatouage; seulement au lieu d'être bleu, ce serait
rouge
». Tel cet autre malade qui, après une applicatio
x invisibles à l'oeil, obtenus dans l'obscurité, ou avec la lumière
rouge
. Sa faculté photochimiquè est remarquable ; ell
ression en cet endroit produit une forte douleur. Les oreilles sont
rouges
et chaudes, et cette particularité se manifeste
ette particularité se manifeste avec intermittence, une oreille est
rouge
pendant que l'autre est pâle, puis la première
nctionnelle totale; la peau du tiers infé- rieur de la cuisse était
rouge
, violacée, chaude, raidie; il était impossible
iles de ce côté : le frottement de la peau fait apparaître une raie
rouge
persistante ; l'aisselle est constamment baigné
ôté opposé; quelques-unes s'interrompent dans les cellules du noyau
rouge
, mais la plupart se dirigent vers le corps opti
se terminent dans les noyaux internes et externes. Au delà du noyau
rouge
on ne rencontre pas de fibres non entrecroisées
exemple, un verre SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 violet peut être presque
rouge
ou presque bleu. 11. Camille Flam- marion a éta
rres violets ne laissant passer que les rayons violets ; les verres
rouges
sont bien monochromatiques, mais les verts lais
sommeil. M. Félix Regnault. Si les couleurs qui se rapprochent du
rouge
sont excitantes, si le vert donne une joie tranqu
mpérature parait plus élevée que celle du membre sain, la peau plus
rouge
et les veines plus apparentes. Ecchymose au niv
ormol et à la liqueur de Millier et la coloration à la thionine, au
rouge
neutre, à l'alun hématique donnent de très bell
fus, contiennent des dépôts irrégulièrement disposés de gros grains
rouge
vif (mélange de fuchsine et vert d'iode); leur
âtre. Les granulations protoplasmiques sont plus nombreuses et d'un
rouge
qui tire sur le violet dans la colo- ration à l
dans la colo- ration à la thionine ; elles sont de couleur ocre, au
rouge
neutre. B. Celles dont le protoplasme semble pl
franchement violettes (par la fuchsine), bleues par la thionine,
rouge
vif par le rouge neutre. Leur noyau est tout à fa
olettes (par la fuchsine), bleues par la thionine, rouge vif par le
rouge
neutre. Leur noyau est tout à fait semblable à
es très dilatées, sont insensibles à la lumière, le visage est très
rouge
, la langue sèche, ainsi que les lèvres. Pouls p
la capsule épaisse s'enlève facilement, la surface de l'organe est
rouge
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 419 et parsemée
spontanément en deux couches : celle du plasma et celle du sédiment
rouge
(du sang non coagulé), dans le sang défibriné.
couleurs est seule tout à fait normale, mais il n'y a guère que le
rouge
que l'oeil gauche perçoive bien distincte- ment
; ratatinée sur elle-même, les extré- mités froides, la tête un peu
rouge
, maussade, elle ne se laisse point examiner. El
ns spontané- ment, tronque parfois les mots ou les dénature. Visage
rouge
; apyrexie, artériosclérose périphérique ; pouls
ès pleine d'une urine alcaline (2 litres) non albumi- neuse. Taches
rouges
multiples par pression sur les fesses. La colon
e la température centrale, il diminue la destruction des globules
rouges
; enfin il ralentit les processus d'oxydation intr
▲