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1 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
régulières. Quelques lymphocytes, plasmazellen très rares. Globules rouges extravasculaires en plus grand nombre à certain
ppocratiques. En second lieu la pointe du nez avait pris une teinte rouge violacé sur une hauteur moyenne .de 8 millimètr
lent les incisives. Et ces bords ont la couleur et l'aspect du bord rouge des lèvres, surtout du côté droit. Ce bec-de-li
noyau du funi- culus teres. NG. noyau du cordon de Goll. NR, noyau rouge . NRt, noyau réticulé. NsRI, noyau supérieur du
un très petit nombre des sections transversales, il existe un point rouge (la coupe d'un cylindre peut- être), au centre
qu'il y ait cependant sensation sulrjectivede froid ; colo- ration rouge violacé au niveau de ces divers segments, et enfi
ressources de la thérapeutique. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE PAR LA. SALLE ARCHAMBAULT Professeur-adjoin
s notions assez nombreuses et exactes sur les rapports que le noyau rouge affecte avec le cervelet, le bulbe rachidien et
, dans laquelle se trouve signalée l'atrophie dégénérative du noyau rouge à la suite d'une lésion de l'hémispllère céré-
p trop vaste pour pouvoir servir la localisation corticale du noyau rouge . z Plus tard, von Monakow (2) publia trois cas
'hémisphère cérébral avaient entraîné une atrophie notable du noyau rouge . Dans ce premier travail, toutefois, von Monakow
, Archiv. f. Psych. XXV, 1893. ' LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 189 9 Stôsel, von Bechterew, et d'autres. Dans
rt de ces cas, il s'agis- sait d'une atrophie très marquée du noyau rouge déterminée par des lésions cérébrales très éten
server des réactions dégé- nératives très nettes au niveau du noyau rouge . Il s'agissait, tantôt de dégénérescence limité
s'agissait, tantôt de dégénérescence limitée à la capsule du noyau rouge , tantôt de dégéné- rescence et d'atrophie attei
nt par exclusion, à admettre que les radiations corticales du noyau rouge pro- viennent essentiellement de l'écorce parié
t de l'écorce pariétale. Pour cet auteur, les radia- tions du noyau rouge « occupent probablement la partie supérieure du
alotte et s'irradient dans la partie supéro-antéro-externe du noyau rouge . Elles, représentent un des chaînons de la voie
t d'origine de la réaction dégénérative observée au niveau du noyau rouge . Dans le second cas (cas Leudot), uii ramolliss
e dégénérescence très nette de la partie antéro-supérieure du noyau rouge portant à la fois sur la capsule et sur la substa
r les phénomènes dégénéra tifs qu'il a constatés au niveau du noyau rouge ? A cet égard, il est intéressant de noter que
Dejerine a encore observé une dégénérescence appré- ciable du noyau rouge bien qu'il eût affaire cette fois à une lésion at
égénéres- cence très nette de la partie postéro-supérieure du noyau rouge . LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE lui
stéro-supérieure du noyau rouge. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE lui Voilà donc trois cas dont les lésions ont e
nt les lésions ont entraîné la dégénérescence se- condaire du noyau rouge et dans lesquels le foyer de ramollissement att
otre grand étonnement, Dejerine n'à rien à dire sur l'état du noyau rouge lorsqu'il fait la description d'un autre cas (cas
nt démontrer que ces localisations ne retentissent pas sur le noyau rouge . Peu de temps après Dejerine, Mingazinni (1) fi
ob- servations, des phénomènes de dégénérescence au niveau du noyau rouge . Les quelques cas dans lesquels Mingazinni a ob
lesquels Mingazinni a observé la dégénérescence secondaire du noyau rouge avaient trait des lésions (kystes hémorragi- qu
cusée au niveau des circonvolutions frontales. La réaction du noyau rouge dans ces diver- ses observations se caractérisa
ulaire latéral. Pour Mingazinni, cette réaction atrophique du noyau rouge doit être attribuée plutôt à la dégénérescence
ne décrit aucune altération portant sur la charpente grise du noyau rouge . ' (1) htlNOA2111\I, Experimetttelle wul 'alllO
ques que nous ayons acquises sur les connexions corticales du noyau rouge , c'est Ù von Monakow (1) que nous les devons. T
s et sous-corticales, et portent sur toutes les connexions du noyau rouge , tant cérébelleuses et bulbo-spinales que thalami
se rapportent tout spécialement aux connexions corticales du noyau rouge . Les idées émises par von Monakow sur l'origine
, Wiesbaden, 1909 u. 1910. - : LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 193 domaine des circonvolutions centrales, y co
(réduction de volume, dégénérescence secondaire) au niveau du no5au rouge . Les lésions, dans trois de ces cas positifs, occ
les dix cas dont les lésions n'ont aucunement retenti sur le noyau rouge , il s'agissait de foyers strictement limités au
la couche optique, von Mona- kow considère que l'intégrité du noyau rouge constatée dans chacun de ces cas prouve netteme
L'auteur élimine également du territoire cortical affecté au noyau rouge , les circonvolutions du bord inférieur de l'hémi-
tral qu'avec la plus grande réserve. L'atrophie secondaire du noyau rouge n'ayant été constatée que lors- qu'il s'agissai
es mêmes régions que proviennent les radiations corticales du noyau rouge . Quant à la part que prend chacune de ces régions
antérieur et noyau médian b), la région sous-thalamique et le noyau rouge . La dégénérescence intéressait surtout le tiers
rescence intéressait surtout le tiers antérieur ou frontal du noyau rouge et à un degré moin- 194 LA SALLE ARCHAMBAULT
on observa également une réaction très manifesie au niveau du noyau rouge mais à topographie net- tement différente. Dans
ian de la couche optique et de la zone capsulaire frontale du noyau rouge , on z ohsema, par contre, une atrophie liés nel
ique de Forel (Balh. ou Ih) et du champ capsulaire latéral du noyau rouge . Ce noyau, dont le volume était réduit d'un qua
ur). De l'étude de ces quatre cas, von Monakow conclut que le noyau rouge affecte des rapports aussi bien avec la régionc
que dans tous les cas où il a cons- taté la dégénérescence du noyau rouge , la partie operculaire de la troi- sième circon
out au niveau de cette région que siège le centre cortical du noyau rouge . Que le pied de la troisième circonvolution fro
ésente pas à lui seul toute l'étendue de la zone corticale du noyau rouge ressort nettement de ce fait, que, dans les lés
a presque totalité d'un hémisphère, la réduction de volume du noyau rouge est de beaucoup plus considérable que celle qui
plus considérable que celle qui LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 1 usa résulte de la lésion isolée, soit du lobe
cuio-cenlrale. Von Monakow est donc conduit à admettre que le noyau rouge possède deux sphères de représentation corticale
té d'un hémisphère cérébral, on observe toujours au niveau du noyau rouge une atrophie et une dégénérescence très accusées.
générescence très accusées. La réaction secondaire atteint le noyau rouge en suivant le trajet des radiations de la calot
traversant les zones péri-capsulaires frontale et latérale du noyau rouge , et porte surtout sur le tiers antérieur, mais, e
seules régions dont la lésion détermine la dégénérescence du noyau rouge sont : a) la région préfronlale, et, en particu
é la région sous-thalamique et la zone capsulaire frontale du noyau rouge , elle s'épuise au niveau du tiers antérieur de
se rend jusque dans la zone grise latérale du tiers moyen du noyau rouge : Les radiations corticales du noyau rouge se r
du tiers moyen du noyau rouge : Les radiations corticales du noyau rouge se répartissent donc en deux 196 . LA SALLE ARC
lame médullaire externe et de la zone capsulaire frontale du noyau rouge , et se termine dans la moitié antérieure de ce
sent au niveau - des zones grises médiane et dorso-médiane du noyau rouge et entrent en relation surlout avec la substanc
lésions frontales, la réaction que l'on observe au niveau du noyau rouge est de beaucoup plus intense que lorsqu'il s'agit
entrer dans la constitution de la zone capsulaire latérale du noyau rouge . Les fibres operculo-rubriques pénètrent alors da
puisait au niveau de la zone grise latérale du tiers moyen du noyau rouge . t <]tt'* r, LES CONNEXIONS CORTICALSv T4(
T4(A GF 197 L'ensemble des amas cellulaires dont est formé le noyau rouge peut être divisé en deux noyaux constitntifs él
u noyau ronge (Grosshirnanteil de von Monakow). Le segment du noyau rouge affecté aux connexions corticales constitue envir
oyau. Quant au champ de fibres qui entoure de toutes parts le noyau rouge de façon à former une véritable zone péri-capsu
z considérable est constitué par les radiations corticales du noyau rouge . Cette partie qui recouvre en avant le' pôle an
partie qui recouvre en avant le' pôle antérieur ou frontal du noyau rouge , c'est-à-dire la zone péri-capsu- laire frontal
de von Monakow); est formée par les fibres qui retiennent le noyau rouge à la lame médullaire externe (partie médiane),
qui recouvre en bas et en dehors les deux tiers antérieurs du noyau rouge , c'est-à- dire la couche péri -rubrique ventro-
le. - Nos travaux personnels sur les radiations corticales du noyau rouge ont été inspirés par un fait observé purement p
niennes, nous avons constaté une dégénérescence très nette du noyau rouge . A vrai dire, ce cas fort intéressant mériterait
de l'hémisphère cérébral en un point beaucoup trop élevé, le noyau rouge fait défaut sur les coupes frontales de l'hémisph
On voit très dis- tinctement que la dégénérescence aborde le noyau rouge près de son an- gle postéro-exlerne et qu'elle
anë. Nous pouvons affirmer que cette réaction dégénérative du noyau rouge résulte du ramollissement temporal, car il - n'
lution tempo- rale entrainent la dégénérescence secondaire du noyau rouge . Nous avons pu réunir six cas de ramollissement
cordants. Nous avons, en effet, constaté la dégénérescence du noyau rouge chaque fois que la lésion intéressait le lohulefu
geait surtout au niveau Nc. 4. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 199 du lobe occipital (cunéus, lobule lingual),
t l'extrémité postérieure de celui ci, la dégé- nérescence du noyau rouge était minime. D'autre part, voulant savoir comm
t minime. D'autre part, voulant savoir comment se comporte le noyau rouge lorsque les lésions siègent en d'au- tres régio
e dégagent de nos recherches sur les connexions corticales du noyau rouge reposent sur l'élude détaillée de dix-huit cas
rois qui se caractérisent par une réaction nette au niveau du noyau rouge ; ce sont les lésions : a) de la face inféro-in
obe pariétal n'entraînent pas la dégénérescence secondaire du noyau rouge . Quant aux lésions de la convexité temporale, ell
ons de la convexité temporale, elles ne reten- tissent sur le noyau rouge que lorsqu'elles atteignent l'épendyme de la pa
RCHAMBAULT Parmi les cas que nous avons examinés à l'égard du noyau rouge , nous avons choisi ceux qui nous paraissent êtr
disparaît que sur les coupes intéressant le pôle postérieur du noyau rouge , Il Schéma 1'\° I. Hémisphère gauche, face inte
misphère gauche, face interne. LES CONNEXIONS COI\'11CALES DU NOYAU ROUGE 201 1 n'existe dans ce cas aucune autre lésion,
térieure du corps genouillé externe et du tiers postérieur du noyau rouge . On remarque à l'angle supéro-externe de ce noyau
on appréciable de toute la capsule dorsale ou supé- rieure du noyau rouge . En même temps on note que la substance médullair
ble. Il en est de même Fic. 3. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 203 du champ de fibres situé immédiatement en d
infé- rieure du pulvinar et peut-être aussi à l'extrémité du noyau rouge . Sur la coupe suivante (Fig. 3), laquelle passe
pe suivante (Fig. 3), laquelle passe par la partie moyenne du noyau rouge , on ne voit plus, au niveau du champ juxta rubriq
ère observée sur la coupe précédente, et, grâce a ce fait, le noyau rouge dans sa totalité parait fort mieux délimité. En r
décoloration siège encore de préférence la partie supérieure du noyau rouge où elle atteint surtout les zones marginales do
en bas et en dehors jusque dans la partie ventro-latérale du noyau rouge . Les autres détails n'ont guère changé. La de
eau du pôle antérieur Fic. 4. 204 LA SALLE ARCHAMBAULT du noyau rouge , traverse le tubercule antérieur de la couche opt
intense et généralisée de la substance médullaire centrale du noyau rouge . En outre, la capsule de ce noyau est notableme
re. T. XXVII. PL. XXXV A B C CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE (Lastille-Archainbaull) Masson &. Cie, Ed
oppement sur les coupes intéressant l'extrémité antérieure du noyau rouge . A ce niveau, la lésion s'étend dans un sens vert
nouillés externe et interne et par l'extrémité postérieure du noyau rouge . Le ramollissement . ancien du lobe temporo-occ
ans et semble pénétrer directement dans la partie latérale du noyau rouge . En raison de la forte coloration de toute cett
dégénérescence s'épuise au niveau de la zone dorso-médiane du noyau rouge , laquelle est notablement décolorée. On remarqu
au. Nous croyons que la réaction dégénérative que présente le noyau rouge à cet endroit résulte essentiellement de la lés
enouillé externe et un ppu en arrière de la partie moyenne du noyau rouge , on voit que la dégénérescence est beaucoup plu
ivie à travers la capsule interne jusqu'à la partie latérale du noyau rouge . Cette dégénérescence linéaire est très visible
e en réalité le segment inférieur. Immédiatement en dehors du noyau rouge , la zone dégénérée semble se bifurquer, une parti
sule ventro-latéral'i. On voit très nettement, en effet, que le noyau rouge e est dépourvu de fibres nerveuses au niveau de
le ascendantes. Cette dégénérescence de la partie supérieure du noyau rouge s'observe sur toutes les coupes passant par la
he optique, lesquels contribuent LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 207 à intensifier l'atrophie du bord supérieur
andelette optique, le corps de Luys et le pôle anté- rieur du noyau rouge . On remarque que tandis que la substance médullai
ccupant la capsule ventro-latérale s'irradie à l'intérieur du noyau rouge , alors que la capsule de celui-ci se trouve mai
même, sur les coupes plus antérieures, la capsule frontale du noyau rouge est parfaitement saine. La capsule dorsale du c
un prolongement qni passe au-dessus du corps de Luys vers le noyau rouge , puis elle descend directement dans le pied du
au niveau d'un plan vertical passant par le bord antérieur du noyau rouge . Dans le lobe occipital, le ramollissement intére
éressant le corps genouillé externe et le tiers postérieur du noyau rouge (F'I. XXXVI). La première coupe de cette observ
e; elle passe un peu en avant de l'extré- mité postérieure du noyau rouge . La lésion a déterminé la soudure des deux circ
RE. T. XXVII. PL XXXVI D E F CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE ( Lasl111e-Al'cblllll bl1 11/1) Masson &
/1) Masson & Cie, Editeurs LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 209 proportionnellement marquées. C'est ainsi q
te mais peu pro- noncée du champ de fibres situé en dehors du noyau rouge ; elle est surtout marquée près de l'angle supér
'est à cet endroit, en effet, que la dégénérescence aborde le noyau rouge , et on voit très nettement qu'elle s'épuise au
genouillé externe. La deuxième coupe (PI.XXXVI-E) traverse le noyau rouge près de la jonction de ses tiers moyen et posté
champ juxta-rubrique latéral, mais c'est surtout au niveau du noyau rouge lui-même que la dégénérescence s'impose. On voit
quel occupe toute la zone marginale sous-capsulaire latérale du noyau rouge . La décoloration de la zone dorso-médiane est e
loration des zones mar- ginales dorsale et ventru-latérale du noyau rouge est encore nettement appré- ciable mais elle de
u corps de Luys et par la partie antérieure du tiers moyen du noyau rouge , on voit que l'aspect de celui-ci s'est sensibl
ction très nette de la partie correspondante de la capsule du noyau rouge et une raréfaction moins accentuée de sa capsule
iers antérieur, le pôle anté- rieur et la capsule frontale du noyau rouge , l'état de ce noyau paraît être par- faitement
ue du troisième ventricule. La réaction observée au niveau du noyau rouge n'intéresse que ses deux tiers an- térieurs ; l
forme et la circonvolution de l'hippocampe ; elle traverse le noyau rouge près de la jonction de ses tiers postérieur et
IÈRE. T. XXVII. PL, XXXVII G H CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE (Lasalle-Archanibiiult) Masson & Cie, Edi
lt) Masson & Cie, Editeurs LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 21 t sillon calloso-marginal, le foyer sectionn
rès considérable du champ de fibres qui recouvre en dehors le noyau rouge . Quant à ce noyan lui-même, il présente une dég
particularités que la première, sauf que la dégénérescence du noyau rouge est déjà plus intense et plus éten- due. On voi
tions de la calotte, qu'elle atteint la cap- sule latérale du noyau rouge et qu'elle s'épuise surtout dans la zone marginal
le de ce noyau. La coupe suivante (PI.XXXVII-I) traverse le noyau rouge près de la jonction de ses tiers moyen et antér
observée sur les coupes précédentes. Par contre, an niveau du noyau rouge lui-même, la dégénérescence persiste et affecte u
coupe de ce cas (PI. XXXVIII-L) traverse le pôle antérieur du nuyau rouge . On note la décoloration généralisée de la substa
la presque totalité de la capsule frontale ou anté- rieure du noyau rouge et une dégénérescence assez accentuée de la capsu
T. XXVII. PL. XXXVIII J K L CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE (Lasa llc-A rcbambault) t M < ? no ? Çi ?
< ? no ? Çi ? F'/¡'(>I11 ? LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 213 téresser que légèrement l'écorce de la part
énérative assez nette au niveau de la moitié posté- rieure du noyau rouge (1). Les deux coupes affectées à la description
s (PI. XXXVIII-J) est prise au niveau de la partie moyenne du noyau rouge . On remarque une dégénérescence peu intense, mais
zone marginale grise dorso-latérale et la capsule dorsale du noyau rouge , mais respecte à cet endroit le champ de fibres q
econde coupe (Pl. XXXVIII-K) passe par le tiers postérieur du noyau rouge et par les corps genouillés externe et interne. E
ssez distinctement toutefois que la partie supéro- externe du noyau rouge renferme un petit lobule nettementdécoloré et par
. Quant au champ de fibres situé immédia- tement en dehors du noyau rouge , il présente une raréfaction manifeste de (1) L
précédente. Sur les coupes passant par le tiers antérieur du noyau rouge , on ne note rien de particulièrement intéressan
e de la substance médullaire centrale. La capsule frontale du noyau rouge est parfaitement saine. Observation VI (Schéma
chéma ? VI. Sixième observation. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 21 S a déterminé une dégénérescence très marqué
iné une dégénérescence très marquée de la majeure partie du noyau u rouge . ' Les coupes servant à illustrer cette observa
par le corps genouillé externe et par le tiers postérieur du noyau rouge . A cet endroit, le ramollissement détruit complèt
laire externe, du stratum zonale et du noyau latéral Quant au noyau rouge , on voit très bien qu'il est atrophié et anguleux
au niveau du champ de fibres qui recouvre le bord externe du noyau rouge , c'est-à-dire une dégénérescence très considérabl
ssant plus en arrière, c'est-à-dire par le pôle postérieur du noyau rouge , la dégénérescence secondaire de ce noyau se trad
édiane. La deuxième coupe (Fig. 6) traverse le tiers moyen du noyau rouge . Dans le lobe temporal, le ramollissement intér
une étendue beau- Fio. 6. , , LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 217 coup plus considérable et forme un foyer re
autérieur et de la majeure partie du noyau latéral. Quant au noyau rouge , on voit que la configuration quadrangulaire pers
e raréfaction au niveau du champ de fibres situé en dehors du noyau rouge et au-dessus du corps de Luys. La capsule dorsa
at normal. ' Sur les coupes passant par le tiers antérieur du noyau rouge , tout ce qu'on relève d'anormal à l'égard de ce
a substance médullaire centrale. A cet endroit, la capsule du noyau rouge paraît parfaitement saine, et il en est de même
dont les lésions ont entraîné la dégénérescence secondaire du noyau rouge . Nous avons vu, en effet, que ce noyau dégénère
on Monakow, les localisations temporales retentissent sur le- noyau rouge . Il convient de spécifier ai nouveau, cependant,
orale ne déterminent des phénomènes dégénératifs au niveau du noyau rouge que lorsqu'elles impliquent les couches sagittale
réaction appréciable au niveau du noyau 218 LA SALLE ARCHAMBAULT rouge . Nous pouvons également confirmer les constatatio
e se carac- térisent par une dégénérescence très accentuée du noyau rouge . Pour ce qui en est des lésions atteignant la p
bique, et, dans ce cas, la réaction dégénérative au niveau du noyau rouge est des plus nettes. On se souviendra toutefois
ion n'entre pas dans la sphère dont la lésion retentit sur le no5au rouge ; tout au plus cet observateur consent-il à adme
ande réserve, le lobule paracentral dans sa zone corticale du noyau rouge . Donc, si d'une part nous pouvons apporter des
rapports qui existent entre la région operculo-centrale et le noyau rouge , nous devons, d'autre part, différer sensibleme
D'après nos propres recherches, en effet, nous croyons que le noyau rouge reçoit des radiations corticales de différentes r
la région operculo-cenlrale. Nous ne saurions soutenir que le noyau rouge ne reçoit aucune fibre du reste de l'écorce céréb
'il s'agit de décrire le trajet que suivent les radiations du noyau rouge , on se trouve en présence d'un problème particuli
et délicat, étant donné que les lésions qui retentissent sur le noyau rouge déterminent également la dégénérescence seconda
s du corps quadrijumeau antérieur que sur les radia- tions du noyau rouge . Toutes ces libres se trouvent intimement mêlées
in c'est que, pour la plupart, les radiations tempo- rales du noyau rouge accompagnent les radiations thalamiques provenant
e dégénérescence également de la partie postéro-supérieure du noyau rouge . La dégénérescence aborde ce noyau à la partie po
ritoire, la dégénérescence secondaire s'étend à la capsule du noyau rouge , surtout au segment dorsal ou supérieur de cett
égénérescence secondaire intéresse la moitié posté- rieure du noyau rouge mais elle est surtout accentuée au niveau du tier
inales dorsale et dorso-médiane. Près de la partie moyenne du noyau rouge , la dégénérescence porte encore essen- tielleme
ettement aussi la zone ventro-latérale. Le tiers antérieur du noyau rouge demeure généralement -intact, sans zone de dégéné
'une part aux noyaux de la couche optique, et d'autre part au noyau rouge . Au niveau de la couche optique, elle atteint la
s noyaux du bord dorsal ou supérieur de ce ganglion. Quant au noyau rouge , la dégé- nérescence secondaire intéresse surto
territoire la dégénérescence s'étend à la capsule latérale du noyau rouge et s'épuise ensuite surtout dans les zones margi-
. Ici encore on constate, surtout au niveau du tiers moyen du noyau rouge , que la zone grise neutro-tatérate participe à
orso-tatérate. Quant à la capsule anté- rieure ou frontale du noyau rouge , elle se trouve très notablement dégénérée. Q
, et retentissent également sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge . Dans ces cas, la dégéné- rescence secondaire a
ouge. Dans ces cas, la dégéné- rescence secondaire atteint le noyau rouge en passant par la lame médul- laire externe et
ns de la calotte et aborde alors la capsule dorso-latérale du noyau rouge pour s'irradier ensuite à l'intérieur de ce noyau
e à l'intérieur de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge , la dégénérescence secondaire intéresse surtout
ventro-latérale. Le tiers antérieur et la capsule frontale du noyau rouge sont en général parfaitement sains. Donc, pour
ons personnelles à l'égard de la dégénérescence secondaire du noyau rouge , nous dirons que la réaction dégénérative observé
ro-occipital retentis- sent sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge , mais surtout sur le tiers postérieur de ce noy
fronto-pariétal retentissent sur les deux tiers antérieurs du noyau rouge . Au niveau du tiers anté- rieur de ce noyau, la
rculo-cenlrale retentissent sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge , mais surtout sur le tiers moyen de ce noyau. A
le tiers moyen de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge , la dégénérescence porte sur la capsule dorsale
iques de la dégénérescence secondaire ob- servée au niveau du noyau rouge , nous avons essayé de nous en rendre compte en
kow. On constate, en effet, au niveau des zones dégénérées du noyau rouge , la disparition plus ou moins complète des fibr
et la connaissance plus précise des connexions corticales du noyau rouge ne nous permettraient pas d'élucider, dans une ce
ans son serment po-Lél'o-inrél'ieur. Or, nous avons vu que le noyau rouge reçoit des libres de, la face médiane du lobe t
arité commune de compromettre l'intégrité des con- nexions du noyau rouge , qu'il s'agisse des connexions corlicales ou des
s de ce noyau. Or, tout semble démontrer aujour- d'hui que le noyau rouge exerce une influence très importante sur le méc
bien s'expliquer par la lésion, dans le voisinage immédiat du noyau rouge , des fibres operculo-ruhriques, el, en particulie
e le rire et le pleurer sont uniquement sous la dépendance du noyau rouge , puisqu'il est démontré que ce noyau envoie des f
isé dans les lésions thalamiques attei- gnant le voisinage du noyau rouge , il se fait un retour vers l'automatisme. Du re
n, soit des voies afféren- tes, soil des voies efférentes, du noyau rouge , joue un rôle très important dans le déterminis
ées sur le trajet de l'une quelconque des voies afférentes du noyau rouge . On peut donc se demander si dans ces cas le tr
de la motilité ne relève pas, soit de l'irritation directe du noyau rouge , soit de l'mlerruption des fibres corticales dont
ssent pour cause principale la lésion des voies afférentes du noyau rouge , on conçoit très bien aussi que la physionomie
es troubles de la motilité ne se LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 225 rencontrent pas chaque fois que les connexi
chaque fois que les connexions corticales ou cérébelleuses du noyau rouge se trouvent compromises. Toul ce que l'on peut di
externe du lobe temporal ne semblent pas envoyer de fibres au noyau rouge . Les fibres qui tirent leur origine du lobe fro
fibres qui tirent leur origine du lobe frontal se rendent au noyau rouge en passant par le bras antérieur de la capsule in
s-thalamique. Elles se terminent dans le segment antérieur du noyau rouge et affectent des rapports surtout avec les zones
sance au niveau de la région operculo- cenlrale se rendent au noyau rouge en traversant le bras posiétieui, de la capsule
ons de la calotte. Elles s'irradient dans le segment moyen du noyau rouge et entrent en relation surtout avec les zones m
proviennent de la face médiane du lobe temporal se rendent au noyau rouge en passant par le segment sous-lenticulaire de la
Wernicke. Elles s'épuisent au niveau du segment postérieur du noyau rouge et affectent des rapports surtout avec les zone
e. Il est possible que la lésion des connexions corticales du noyau rouge joue un rôle assez important dans la genèse de
ntérieure des incisives inférieures (PI. XXXIX, fig. 3). La langue, rouge et sèche comme toute la muqueuse buccale, a subi
rophiles est notée par Vlaieff, Sabrazès et Bonnes. Dans la série rouge , les constatations ont été trop contradictoires p
ossible d'en tirer une conclusion' valable Le nombre des glo- bules rouges a élé signalé normal, ou hypouormal (Marte et Mar
re cas, il y a lieu de relever une diminution du nombre de globules rouges (3 400.000) et du taux de l'hémoglobine (0,72). u
0 0/0), sans que nous ayons pu constater dans les séries blanche ou rouge l'apparition d'éléments anormaux. Si donc, da
et laissé à sa place de petites cicatrices arrondies, pigmentées en rouge brun. Troubles moteurs. Tous les mouvements act
de cas où l'autopsie montra des altéra- tions soit dans les noyaux rouges , soit dans les couches optiques, a per- mis de
ertaines parties de l'écorce cérébrale en connexion avec les noyaux rouges peut provoquer les mêmes symptômes que l'affectio
ticale. Coupe VII (en arrière du corps de Luys). Le volume du noyau rouge n'a pas diminué, l'aspect fibrillaire dans la c
idu de cet àâe, en très bon état. Les cel- lules nerveuses du noyau rouge contiennent beaucoup de pigment, on en remarque
accompagnées de noyaux névrogliques nombreux. Il y a dans le noyau rouge une légère augmentation de la névroglie, surtout
le et VIIIe. Coupe VIII (intéressant la partie postérieure du noyau rouge ). Nous remarquons l'intégrité de la capsule int
eu prononcées. Le noyau lenticulaire, la couche optique et le noyau rouge ont, dans ces coupes, un volume à peu près normal
utérin. La muqueuse du fond de la ma- trice était tuméfiée, molle, rouge foncé, montrant une endométrite hyperpla- sique
sceaux ou des trabécules plus larges de tissu conjonctif coloré, en rouge vif par le van Gieson. Ces traînées fibreuses s
traumatique (Arrêt du pouls dans la -), par IIASKOVEC, 55. Noyau rouge , connexions corticales, par La SALLE Archambaul
Salle AHCIIA\fB\ULT (d'Albany). Les connexions corticales du noyau rouge 188. et Benon. Asthénie traumatique et dyst
rale (Roubinovitch et REGNAULT de la SOURDIÈRE), LIV et LV. Noyau rouge , connexions corticales (La Salle ANCIIwAtawULT)
2 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
ment du noyau lenticulaire.- Xl', noyaux pontiques. - u' ! 1, noyau rouge . - Oi, olive bulbaire. - I'o, protubérance. - l
tique, les corps genouillés, les tubercules quadrijumeaux, le noyau rouge de Stilling. Elles peuvent être désignées sous le
de la couronne rayonnante est tributaire de la thalamus et le noyau rouge en arrière de la circonvolution du crochet. Métho
ig. - Ni, noyau interne du thalamus. - \-L3, putamen, A'7 ! , noyau rouge . - OF, faisceau occipito- frontal. - Opl'a, par
3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - Nie, noyau rouge . - P, étage inférieur ou pied du pédoncule céré-
premier, troi- sième segments du noyau lenticulaire. - VR noyau rouge . - 0,, 02 première, deuxième circonvolutions
et ne mesure que 15 à 20° sur les plans qui intéressent les noyaux rouges ; l'axe de la capsule devient donc ici presque p
ts du noyau lenticulaire. - PXL3, pédoncule du putamen. - XR, noyau rouge . - Th, thalamus. - Pul, pulvinar. - fiv, zone de
NL3, iYI2, NL,, les trois segments du noyau lenticulaire. - NU, noyau rouge . - Qa, tu- bercule quadrijumeau antérieur. - Rs
tubercule quadrijumeau antérieur. - lie, faisceau cortical dn noyau rouge passant par les radiations de la calotte. - Rm,
s de Luys (CL). Il n'affecte que des rapports médials avec le noyau rouge (NH) et la capsule de ce noyau (CNU) (Fig. 28).
'L3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - NR, noyau rouge . - P, étage inférieur ou pied du pédoncule céré
ie postérieure du thalamus, le gan- glion de l'habenula et le noyau rouge . (Méthode de Weigert.) Alv, alveus.- Crf, corne
bres de CI ! ' se rendent les unes dans le thalamus et le noyau rouge , les autres dans la pied du pédoncule ecré-
'. sa queue. NL3, troisième segment du noN au lenticulaire. NR, noyau rouge . OF, faisceau occipito-frontal. - OF + Pi, part
le thalamus (fibres corlico-l/w- lamiques), d'autres dans le noyau rouge (fibres coîlico-î-tib,1'qiles), quelques très r
mmon, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noyau rouge . Méthode de Weigert. Alv, alvéus intra-ventricu
segments du noyau lenticulaire. - Np, noyaux pontiques. - NR, noyau rouge . Rm, ruban de Heit. SR, formation réticulée. - st
ù il se fusionne avec le pédoncule du putamen (VL,'). - A'71. noyau rouge . - PiTh, pédoncule inféro-interne du thalamus. -P
a région sous-optique, pénètrent en partie dans la capsule du noyau rouge et en partie dans la région anléro-ventrale du th
commissure antérieure et sectionnant le corps de Luys, et le noyau rouge . - Méthode de Weigert. (Voy. description de cette
t du noyau lenticulaire et anse du noyau lenticulaire. -11'R, noyau rouge . - P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
laire. - Coupe horizontale du pédoncule cérébral sectionnant le noyau rouge , l'espace perforé antérieur et la bandelette de
nsula. - Nl, noyau amygdalien. NC, tête du noyau caude. - NR, noyau rouge . - ol, sillon collatéral. - l', étage inférieur
s genouillé interne. - CL, corps de Luys. - CNR, cap- sule du noyau rouge . - cop, commissure postérieure. - 1 lp, faisceau
- Gip, ganglion interpédonculaire. - Ln, locus niger. N7 ! , noyau rouge . Niv, noyau du nerf pathétique. - l', pied du p
ercule qlladrijll- meau posté ? leur ; 4° Les radiations du noyau rouge . 1. radiations thalamiques. Le thalamus (couche
aisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meynert, le noyau rouge , le pédoncule céré- belleux supérieur (Méthode
oca. - Cc(511), bourrelet du corps calleux. - CVR, capsule du noyau rouge . - coa, commissure antérieure. - 1, champ de Fo
eur; -Ye, noyau externe; Si, noyau interne du thalamus. - NR, noyau rouge . - ol,(Gc·), gyrus rectus, face orbitaire de la p
3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - J"fI, noyau rouge . - P, étage inférieur ou pied du pédoncule céré
l'anse lenticulaire (Al), sa continuation avec la capsule du noyau rouge . - Coupe horizontale oblique en bas et en dehor
- Na, noyau antérieur; A'e, noyau externe du thalamus. - NIl, noyau rouge . - P, pied du pédoncule cérébral. - PiTh, pédoncu
ale oblique parallèle à la bandelette optique, passant par le noyau rouge , le corps de Luys, le pied du pédoncule cérébral,
1." troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - A7Î, noyau rouge . - P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
s du tubercule quadrijumeau posté- rieur. Radiations du noyau rouge . mière circonvolution temporale. Elles passent
ont la situation est plus super- ficielle. 4. radiations du noyau ROUGE . - Le noyau rouge reçoit des fibres de la corti
st plus super- ficielle. 4. radiations du noyau ROUGE. - Le noyau rouge reçoit des fibres de la corticalité cérébrale,
ig. 101.). L'origine corticale et le trajet des radiations du noyau rouge dans la couronne rayonnanle et la capsule inter
alotte et s'irradient dans la partie supéro-anléro-externe du noyau rouge . Elles représentent un des chaînons de la voie
erne du thalamus et la région sous-optique, en particulier le noyau rouge reçoivent les fibres du lobe pariétal. Les fibr
es du segment sous- sylvien ou temporal du secteur moyen (coloré en rouge foncé) passent par le seg- ment sous-lenticulai
Vj ! .3, A ? 3, les trois segments du noyau lenticulaire. - NU, noyau rouge . - Il pul- vinar. - RsTh, région sous-thalamiqu
, et les corps genouil- lés externe et interne; une partie du noyau rouge et du tubercule quadri- Fig. 6.i. - Irrigation
ale du thalamus, sur la bandelette optique, sur une partie du noyau rouge et du tubercule quadrijumeau anté- rieur; sur l
us; 3° une dégéné- rescence de la partie antéro-supérieure du noyau rouge (NU) (Fig. 70-72) et de la partie supéro-extern
s genouillés externe (Cge) et interne (Cgi), de la capsule du noyau rouge (CNR,), de la commissure antérieure (coa). Atroph
cielle du tubercule quadrijumeau antérieur. Dégénérescence du noyau rouge . Atrophie légère de la bandelette optique. Atroph
mus, au pulvinar, aux corpb genouillés interne et externe, au noyau rouge de Stilling,; FiG. 71 et 72. - Cas Pradel. Régi
enouillés externe (Cge) et interne (Cgi) du locus Niger et du noyau rouge . (Méthode de Weigert.) Cas Pradel. Vaste lési
n- nexions de la corticalité cérébrale avec le thalamus et le noyau rouge et l'absence ou le FiG. 77. - Cas Pradel. Quatr
n outre, une dégénérescenc( de la partie antéro-supérieure du noyau rouge (NR, Fig. 103 et 104). Le lobe pariéta contient
nouillé interne (Cgi), des radiations de la calotte et du noyau rouge (NR). Dégénérescence du deuxième cinquième
enouillé interne (Cgi, des radiations de la calotte et du noyau rouge (NR). Dégénérescence du deuxième cinquième
de la calotte, de la partie supéro-antérieure de la capsule du noyau rouge (CNII) et de la partie supéro-antérieure de ce
nouillé interne (Cgi), des radiations de la calotte et du noyau rouge iNR). Dégénérescence du deuxième cinquième
radiations de la calotte et la partie supéro-posté- rieure du noyau rouge (Fig. 133). Une seconde zone de dégénérescence
- meau postérieur et do la partie postéro supérieure du noyau rouge . Dégénéres- cence partielle du faisceau de Tu
meau postérieur et de la partie postéro- supérieure du noyau rouge . Dégénéres- cence partielle du faisceau de Tu
eau postérieur (BrQp) et de la partie postéro-supérieure du noyau rouge (NI3). Il existe dans ce cas une dégénérescence
ction destinées à la couche optique, aux corps genouillés, au noyau rouge , etc., pour ne considérer que les fibres du pied
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge , du locus ni- Lor, des quatre cin- quièmes in
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge , du locus ni- ger, des quatre CII1- quièmes i
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge , du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
ulvinar (Pul), de la zone de Wer- nicke (W), de la capsule du noyau rouge (CNR), de la partie antéro-supérieure du noyau
psule du noyau rouge (CNR), de la partie antéro-supérieure du noyau rouge (NR), des corps genouillés interne (Cgi) et exter
enouillés interne et externe, de la partie supérieure du DO) au rouge , du locus niger. des quatre cin- quièmes inte
genouillés interne et externe, delà partie supérieure du noyau rouge , du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
genouillés interne et externe. de la partie supérieure du noyau rouge , du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 159 la partie supérieure et postérieure du noyau rouge (\R) (fin. 1 r8 et 149) du locus niger luc. 151
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge , du locus ni- ger, des quatro cin- quièmes in
genouillés interne et externe, de la partie inférieure du noyau rouge , du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge , du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge , du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
genouillés interne et externe, de la partie supérieure du noyau rouge , du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes in
u tiers externe du pied du pédoncule cérébral. Une intégrité du noyau rouge , des radiations de la calotte et du ruban de Re
ce rétro- grade du ruban de Reil médian (Itiii). Intégrité du noyau rouge (P\R) et de sa cap- sule de fibres. Dégénéresce
e du pied du pédoncule. Intégrité du ruban de Reil médian, du noyau rouge et de sa capsule de libres. Méthode de Weigert-
ce cas une intégrité parfaite du ruban de Reil médian (Rm), du noyau rouge (NR) et de sa capsule de fibres. 2° AGÉNÉSIES
co-transversale passant par le pédoncule céré- hral (P), les noyaux rouges (NR), la partie postérieure du segment postérieur
206. - Cas Longery. Coupe vertico-trausversale passant par les noyaux rouges (NR), le ganglion de l'habenula (Gh), le faisce
glion de l'habenula (Gh), la commissure postérieure (cop), les noyaux rouges (NU), le ruban de Reil médian (Ilm). La partie
(Fth, Fig. 203), le champ de Forel (F, Fig.20t). lacapsule du noyau rouge , les radiations de la calotte (RC, Fig. 20), para
adiations de la calotte (RC, Fig. 20), paraissent normaux. Le noyau rouge (NR, Fig. 205, ` ? 00, 20G) contient toutefois, d
assant par la région sous- optique, le corps de Luys (CL), le noyau rouge or), par le segment sous-lenticulaire de la cap
zt.· rorticnlr. noyau caudé, \-C' Queue du noyau caudé. - NR, noyau rouge . - 0, première circon- volution occipitale. - o
coupe horizontale. La zone du langage et ses fibres sont colorées en rouge . Arc, faisceau arqué, réunissant le pli courbe
rps de Luys. - C.ll, commissure de Meynert. - CNR, capsule du noyau rouge . - coa, commissure antérieure. - FI, faisceau len
e. - Ni, noyau interne. - Sm, centre médian du thalamus. - Nii, noyau rouge et sa capsule de fibres (CNlI). - P, pied du pé
r. - Na, noyau antérieur, vue, noyau externe du thalamus. NR, noyau rouge . l', pied du pédoncule cérébral. - Pt771, pédon
erne, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noyau rouge . Méthode de Weigert. Alv, alveus intraventricul
segments du noyau lenticulaire. - Np, noyaux pontiques. - NR, noyau rouge . - Rm, ruban de Reil. - SI ? , formation réticulé
rps calleux; 3° par le tronc du corps calleux dans le plan du noyau rouge et du centre médian de Luys; 4° dans le plan du
du corps calleux. - il, lame névroglique intertrigonale colorée en rouge . - ov, orifice vasculaire dans le septum lucidu
thalamus le long du tamia thalami, le tubercule mamillaire, le noyau rouge et la commissure postérieure. Méthode de Weiger
er cinereum. - LI, première circon- volution limbique,. - NR, noyau rouge . - Qa, tubercule quadrijumeau postérieur. - SgA
randeur nature). CM, commissure de Meynert. - CNR, capsule du noyau rouge .- coa, commissure anté- rieure. - eF, entrecroi
aisceau du tuber cinereum de Gudden. - Ln, locus niger. - NR, noyau rouge . - CNR, sa capsule de fibres. - P, pied du pédonc
s la calotte du pédon- cule cérébral. II passe au-dessus du noyau rouge , entre dans la consti- tution de la partie post
de Weigert-Pal. Caf, commissure de Meynert. - CNR, capsule du no5au rouge . - coa, commissure antérieure. - eF, entrecrois
faisceau du tuber cinereum de Gudden. Ln, locus niger. - NR, noyau rouge . - C\-R, sa capsule de fibres. - P, pied du pédon
locus niger; elles passent ensuite au-dessous et en dehors du noyau rouge (Fig. 277) vers la région du ruban de Reil médi
e portent en arrière et en dedans, longent la face interne du noyau rouge et arrivent à la substance grise de l'aqueduc de
t être suiv ie jusque dans la partie exlerne de la capsule du noyau rouge . Inc. ? 87, ? 88, 289. - Cas Hilaire. Hémiplégi
-à-dire à la partie antérieure et supérieure de la capsule du noyau rouge , puis s'irradie dans la partie antéro-inférieure
, puis pénètre dans la partie antéro-interne de la capsule du noyau rouge (CNR) (Fig. 251^253 et 254, p. 268). Contrairem
ique. Son irradiation dans le thalamus ot la capsule du noyau rouge . 330 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dégénéresc
lamus (Fig. 297) et la partie antéro-inlerne de la capsule du noyau rouge . Cas Ronse. - Il existe dans ce cas deux lésion
la partie antéro-infé- rieure de la couche optique, du noyau rouge et de sa cap- sule de fibres. externe du pied
partie supé- rieure de la couche optique. Dégénérescence du noyau rouge et de sa capsule de fibres consécutives à la lési
fibres striées a dis- paru ; le ruban de Reil médian et le noyau rouge ne contiennent que quelques rares grains isolés
a partie antéro - iuré- rieure de la couche optique, du noyau rouge et de sa cap- sule de fibres. 33G ANATOMIE DE
dans la constitution du champ de Forel (F) et de la capsule du noyau rouge (Fig. 298). D'autres fibres dégénérées ne tra
ntre médian de Luys; 2° une dégénéres- cence de la capsule du noyau rouge et de la partie externe de ce noyau (NR), qu. lfa
en bas et dans la région du pédoncule cérébral (Fig. 300), le noyau rouge (NR), le ruban de Reil médian (Rm), la formation
corps de Luys, à la partie antéro-inférieure du thalamus, au noyau rouge , à sa capsule de fibres; et au noyau lenticu- l
p de Forel et dans la partie anléro- interne de la capsule du noyau rouge . Nous avons pu suivre cette dernière dégénéresc
fois déterminer si les fibres dégénérées se perdaient dans le noyau rouge ou dans les travées grises de la formation réticu
escence du fais- ceau thalamique et du champ de Forel, du noyau rouge et de la capsule de ce noyau pouvant être s
escence du fais- ceau thalamique et du champ de Forel, du noyau rouge et de la capsule de ce noyau pouvant être s
de la région sous-thalamique, cette dégénérescence s'étend au noyau rouge (\Il), et surtout il sa capsule de fibres (C\C) (
; elle se confine ensuite à la partie interne delà capsule du noyau rouge (CNR) (Fig. 308), puis s'épuise très rapi- deme
ure, lorsque le pédoncule cérébelleux supérieur fait place au noyau rouge . i'ic. 30G et 307. - Cas Gardette (Salpêtrière,
nce du faisceau thalamique (Fth) et du champ de Forel (F), du noyau rouge (1\Il) et de sa capsule de fibres (CN13). Dégén
cence du fais- ceau thalamique et du champ de Fore ! , du noyau rouge et de la capsule do co noyau pouvant être s
de la couronne rayonnante. Dégénérescence de la capsule du noyau rouge , en particulier de sa pai Lie interne, consécut
optique et qui entrent dans la constitution de la capsule du noyau rouge sont des fibres de court trajet qui ne dépassen
aisceau de Vicq d'Azyr, le faisceau rétroflexe de Meynert, le noyau rouge , le pédoncule cere- helteux supérieur. Méthode
Broca. - Cc(Spl), bourrelet du corps calleux. CNR, capsule du noyau rouge . - coa, commissure antérieure. - F, champ de Fo
r; A'e, noyau externe ; Ni, noyau interne du thalamus. - NIl, noyau rouge . - ol',(Gr), gyrus rectus, face orbitaire de la p
e repose sur le champ de Forel (F), le corps de Luys (CL), le noyau rouge (NR) et reçoit ou émet le faisceau thalamique d
OUCHE OPTIQUE. : ¡ : ;7 la partie antérieure de la capsule du noyau rouge . Les fibres postérieures sont comprises enlre l
la région sous-optique et en particulier sur les radiations du noyau rouge . 2. Zone réticulée ou grillagée (Zr) (Fig. 29,
peut être suivie jusque dans la partie externe de la capsule du noyau rouge (CNR), mais elle ne s'étend ni au ruban de Reil
c), qui n'est autre que la partie antérieure de la capsule du noyau rouge , s'irradie dans la partie antérieure et moyenne
lotte (nC) se détachent de la partie externe de la capsule du noyau rouge sous forme de gros GANGLIONS INIR1CORTICAUt : C
médiaire du pédon- cule cérébelleux su- périeur ; aux 110} aux rouges et la la formation ré- ticulée homolatérale,
des fibres du pédoncule cérébelleux supérieur, des fibres du noyau rouge , des fibres longitudinales de la for- maton rét
oisé, en particulier avec l'olive cérébelleuse. Les fibres du noyau rouge et celles de la formation réticulée de la calotte
ssent des connexions très intimes entre la couche optique, le noyau rouge et la substance grise de la formation réticulée.
tions de la calotte. Le pédon- cule cérébelleux supérieur, le noyau rouge et sa capsule de fibres, la for- mation réticul
cordeau. Chez l'homme, grâce au développement considérable du noyau rouge , le faisceau rélro- Ilexe décrit de chaque côté
me paire. La courbe inférieure, convexe en dedans, entoure le noyau rouge et le traverse dans une parlie de son trajet. L
en dedans et d'arrière en avant, la partie postéro-interne du noyau rouge (NR), et sur les coupes liorizontales détermine d
p. 641 et suiv.) considérée à tort par Luys comme le hile du noyau rouge . Arrivé à la partie inféro-interne du noyau rou
le hile du noyau rouge. Arrivé à la partie inféro-interne du noyau rouge (Fig. 323, T. le ? et Fig. 321), le fais- ceau
rne, noyau interne et centre médian de la couche optique. - NR, noyau rouge , if\, pied du pédoncule. - PTm, pédoncule du tu
re suivi au delà de la partie antéro-interne de la capsule du noyau rouge ; 2° le volume du faisceau rétroflexe n'est pas
t en arrière, à la calotte pédonculaire. Ce plan sectionne le noyau rouge qui se trouve ainsi à cheval sur les deux régio
ncule cérébral qui contient le corps de Luys, et la partie du noyau rouge situé en avant du faisceau rétroflexe de Meynert.
du thalamus au plan vertico-transversal qui passe en avant du noyau rouge et dans le sens transversal, de la zone rélicul
arrière, se continue avec la couche de fibres qui entoure le noyau rouge et avec les fibres longitudinales de la calotte p
el. Il représente la partie antérieure de la capsule du noyau rouge . horizontale de substance grise, la zona incerl
amp de Forel représente la partie antérieure de la capsule du noyau rouge . Au voisinage de cet amas ganglionnaire, ses fi
urent les faces supérieure, interne, inférieure et externe du noyau rouge , s'accolent aux radiations de la calotte et con-
amiques, des fibres des pédoncules cérébelleux supérieurs, du noyau rouge , des fibres longitudinales de la formation réticu
n déli- mitée, dont le volume est un peu inférieur à celui du noyau rouge de Burdach et de Stilling; il est entouré comme
aire; « l'olive supé- rieure » de Luys correspond en outre au noyau rouge de Burdach, de Stilling et de tous les auteurs,
upérieure du locus niger, au-dessus, en dehors et en avant du noyau rouge . Il a chez l'homme la forme d'une lentille bico
on petit ou à son grand axe. Plus petit par son volume que le noyau rouge , il mesure 10 à 13 mil- limètres de longueur, s
la calotte (Fig. 28, p. 43) et de la partie antéro-externe du noyau rouge (Fig. 33, p. 49). La face ventrale ou in/'él'o-
ruban de Reil médian, arrivé dans les régions supérieures du noyau rouge ,se porte- rait en dehors vers le corps de Luys.
7, 298 et 301). Le corps de Luys est-il en connexions avec le noyau rouge ? Si elles existent, ces connexions ne peuvent
du champ de Forel et de la partie antérieure de la capsule du noyau rouge . En résumé, le corps de Luys dépend essentielle
ce grise, el dans laquelle on trouve clairsemées ur Avec le noyau rouge . Structure du corps de Luys. Son riche et d
ire dont les mailles sont beaucoup plus serrées que celles du noyau rouge ou de l'écorce cérébrale par exemple. IV. - SUB
pédoncu- laire et occupe la partie postérieure et ventrale du noyau rouge (Voy. Région de la calotte, IIIe partie). La
probablement des fibres reliant le corps de Luys d'un côté au noyau rouge , ou à la calotte et au champ de Forel du côté opp
de Forel croisé ? ou entre ce champ et le corps de Luys ? le noyau rouge ? la calotte pédonculaire croisée ? Au-dessou
limbique. NC, noyau caudt Ne', queue du noyau caudé. - 11'li, noyau rouge . - Oi, première circonvolution occipitale - 0F1
ée et on aperçoil la cavité du diveiticule latéral (Vt) (colorée en rouge ) et les toenia, ou languettes qui bordent la cavi
rétrobulbaire et les plexus choroïdes du 4° ventricule (colorés en rouge ), vus par la face ventriculaire après ablation
jumeau. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en rouge , les lobes inférieur et inféro-interne en jaune
s'étendent du noyau dentelé et du feutrage inlra- ciliaire au noyau rouge de Stilling et à la couche optique du côté opposé
FIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 321 Fie. 363. - Les noyaux rouges de Stilling et les pédoncules cérébelleux supérie
gine dans l'olive cérébelleuse jusqu'à leur terminaison dans le noyau rouge et la couche optique du côté opposé. Méthode de
nt sous-lenticulaire de la capsule interne. - CNR, capsule du noyau rouge . 1·'cc, faisceau central de la calotte. fec, fe
globus pallidus. - nh, nid d'hirondelle. - No, nodule. - NR, noyau rouge . - Oc, olive cérébelleuse. - Pei, pédoncule céréb
t à une petite distance au-dessus de leur entre-croisement au noyau rouge de Stilling (1'R). Sur un encéphale convenablem
cérébelleux supérieur, soit dans le cervelet, soit dans les noyaux rouges . Sur des coupes obliques en haut et en avant, c
ine dans l'olive cérébelleuse jusqu'à son irradiation dans le noyau rouge et la partie inféro-exlerne du thalamus du côté
x supérieurs à deux branches de ciseaux à demi ouvertes. Les noyaux rouges figurent les anneaux, l'entre-croisement répond à
aux pédoncules cérébelleux supérieurs croisés en formant les noyaux rouges (NR) de Stilling. Un certain nombre de fascicul
pédoncule cérébelleux supérieur pénètrent dans l'épaisseur du noyau rouge , lui impriment son apparence striée ou tachetée
rticulière et s'y épuisent. Le plus grand nombre entourent le noyau rouge d'une véritable capsule de fibres, capsule du n
le noyau rouge d'une véritable capsule de fibres, capsule du noyau rouge (CNR), entrent dans la constitution des radiation
onstitution des pédoncules cérébelleux supérieurs, Chap. IV.) Noyau rouge (NR), radiations de la calotte (RC). - Le noyau
nfériour. Noyaux blancs d( Stillin ? Connexions avec 1, noyau rouge du côti opposôctsacapsu)' de fibres. oyauro
VEUX. Situation. Rapports. Aspect général. Capsule du noyau rouge . Radiations de la calotte. Pédoncules cére-
adiations de la calotte. Pédoncules cére- belleux inférieurs. rouge de la calotte (nucleus ouber de Burdach et de Sti
50). Ce dernier faisceau traverse la partie supéro-interne du noyau rouge (Fig. 321), de telle sorte que, sur les coupes in
les coupes intéressant la calotte pédonculaire (Fig. 34), le noyau rouge présente, à sa partie interne, une sorte d'écha
rée à tort par Luys comme le hile de l'olive supérieure. Le noyau rouge présente, sur les' coupes colorées par la méthode
épaisse de fibres à myéline signalée par Reil, la capsule du noyau rouge , et de constitution fort complexe. Cette capsule
tion fort complexe. Cette capsule enve- loppe complètement le noyau rouge , se fusionne en arrière, en bas et en dehors av
otte (Haubenstrahlung, Edinger, Flechsig), couche latérale du noyau rouge (latérales Mark des rothen Kerns, v. ulonahow).
liques qui traversent le ruban de Reil médian au voisinage du noyau rouge , et que nous avons rattachés sur nos coupes nor
et 376) qui traversent le ruban cle Reil au voisi- nage du noyau rouge , et que nous avons rattachés sur nos coupes n
euzung), remarquable par ses courbes très accen- tuées ; des noyaux rouges se détache l'entre-croisement ventral de la calot
ains faisceaux de la formation réti- tulue. supérieur, le noyau rouge et les radiations de la calotte (voy. p. 520),
voies cérébel- leuses supérieures - radiations de la calotte, noyau rouge et pédoncule cérébelleux supérieur - avec lesqu
pes de la région un petit champ triangulaire compris entre le noyau rouge en avant, la substance grise centrale en dedans e
e rapidement de volume; il s'étale en arrière et en dehors du noyau rouge (Fig. 33, p. 49 et G2, p. 73), se fusionne avec
de Forel (ne pas confondre cet entre-croisement originaire du noyau rouge avec l'entre-croisement sous-thalamique postéri
55 ruban de Reil médian, et dans le sens antéro-postérieur du noyau rouge et du pédoncule cérébelleux supérieur, qui lui
mmissure de Wernekink fait place aux noyaux blancs, puis aux noyaux rouges de Stilling, le ruban de Reil médian (Rm) se po
rne d'abondance, dont le pavillon coiffe la partie externe du noyau rouge (NR) et se fusionne avec la capsule de fibres (
19 à 438, p. 616 à 657). Il passe en arrière de la capsule du noyau rouge , de l'entre-croisement des pédon- cules cérébel
plati, appliqué sur la partie supéro-internc de la capsule du noyau rouge ; sa partie supérieure et externe comprend sur l
ent; ces dernières forment la limite interne de la capsule du noyau rouge , la séparent de la substance grise qui double l
bas et en dedans, fusionné encore intimement à la capsule du noyau rouge dont le délimitent d'au- tant mieux les élégant
x de la Ille paire et s'insinue très en avant entre les deux noyaux rouges : l'entre-croise- ment dorsal de la calotte de
u'il concourt à former la partie postérieure de la capsule du noyau rouge et qu'il est situé en dehors et en avant du faisc
e de la calotte protubérantielle, et s'élend de la capsule du noyau rouge à la capsule de l'olive bulbaire. BI13LIOGIIA
aris, 1899. - Mauaim. Recherches sur la structure anatomique du noyau rouge et ses COI1- ne21ons aiec le pédoncule cérébell
C 4 de la Fig. 431. La cavité du quatrième ventricule est colorée en rouge . Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature.
5 de la Fig. 431. La cavité du quatrième ventricule est colorée en rouge . Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. C
6 de la Fig. 431. (La cavité du quatrième ventricule est colorée en rouge .) Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature.
e pédoncule du Ilocculus (La cavité du 4e ventricule est colorée en rouge ). - Coupe horizontale H 8 du bulbe, aux confins
3 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
espaces ou fossettes qui se détachent en clair au milieu des tractus rouges qui forment les vaisseaux sup. posés remplis de s
res de produits d'exsudation fibrineuse, de leucocytes et de globules rouges sanguins émigrés. En consé-quence, ces produits e
La tête des animaux est plongée dans un sac rempli de poudre d'oxyde rouge de fer ; le collet du sac est fixé, bien entendu,
de section éclairée par la lumière réfléchie, par une coloration d'un rouge ocreux, circonstance qui, soit dit en passant, ra
l'anatomie macroscopique, porte le nom de rein contracté', petit rein rouge , rein goutteux, rein saturnin, rein granuleux, dé
hase avancée. Elle n'a de commun avec l'altération dite le petit rein rouge , que de siéger dans le même organe, dont elle dét
inction à établir entre le petit rein jaune ou gras, et le petit rein rouge , parce que les raisons anatomiquessur lesquelles
— que siègent parti-culièrement les lésions dans le cas du petit rein rouge . J'ai essayé d'établir, avec M. Kelsch, que l'atr
lie sur la surface de l'or-gane et s'y dessinent en clair sur un fond rouge . Les parties rouges et déprimées répondent à la r
de l'or-gane et s'y dessinent en clair sur un fond rouge. Les parties rouges et déprimées répondent à la région labyrinlhique
du cours pratique. Elle paraît être, dans l'histologie du petit rein rouge , un caractère fondamental, et, si elle peut se re
sions de la cirrhose broncho-pneumonirrae avec celles du « petit rein rouge » fait recon- naître que dans les deux cas, le
, congestion lobulaire généralisée de Rillietet Barthez, hépatisation rouge broncho-pneumonique de Damaschino ; 3° dans les c
s, les zones périphériques en sont encore à la période d'hépatisation rouge ou même de congestion. Dans la pneumonie lobulair
lésions s'accuse d'un lobule à un autre; on voit çà et là des lobules rouges , gris, jaunes (pneumonie marbrée ou panachée) ave
aisseaux, on trouve des amas de leucocytes et quelquefois de globules rouges . Il n'est pas rare non plus de les voir remplis p
entre l'état aigu et l'état chronique proprement dit. A. Induration rouge : Andral Hope "2, Forster8. — Hépa-tisation indur
cette forme dif-fèrent peu de ceux qui appartiennent à l'hépatisation rouge de la pneumonie aiguë. Le tissu malade est rouge,
ent à l'hépatisation rouge de la pneumonie aiguë. Le tissu malade est rouge , compact, lourd, non crépitant; la surface de sec
gnaler ; il permet jusqu'à un certain point de rattacher l'induration rouge à l'induration grise, et de les considérer comme
ert8. — Tissu ferme, dense et sec; coloration jaune pâle \ teintée de rouge ; la texture est en général granuleuse; cependant
admettre que l'hépatisalion jaune se forme à la suite de l'induration rouge , et que celle-ci doit nécessairement précéder cel
ger, pour se constituer, plus de temps qu'il n'en faut à l'induration rouge ; on l'a rencontrée à peu près dans les mêmes circ
uances près, le tableau si exact qu'a tracé Laennec de l'hépatisation rouge , le parenchyme pulmonaire ne semble pas encore av
tre uniforme, mais le plus souvent, elle se trouve marbrée de teintes rouges , bleu foncé, quelquefois même verdâtres, noirâtre
tions, toutes les gradations qui peuvent exister entre l'hépatisation rouge aiguë et les indu-rations diverses propres à l'ét
tat dans lequel nous le trouvons : maigreur très prononcée, pommettes rouges et saillantes, œil brillant, peau chaude, pouls a
ents, verts, arrondis et présentent à leur centre une coloration d'un rouge vineux et évidemment produite par la présence de
x qu'à l'état normal, il est pesant et paraît à l'extérieur d'un brun rouge foncé. Une coupe est pratiquée dans son épaisseur
ullement dilatés. Leur membrane muqueuse présente une coloration d'un rouge très vif qui con- traste avec la coloration ard
même les jours suivants. Le 2 mars, le côté droit de la face est très rouge . Une dyspnée intense, accusée par la malade, est
quide séro-sanguinolent. La membrane muqueuse des bronches est d'un rouge vif, car-miné, qui s'étend jusque dans les plus p
s frissons erratiques, le soir les yeux sont injectés, les pom-mettes rouges ; il a peu d'appétit et mange à peine: les signes
e ; elle est molle et flasque; elle pré-sente une couleur violacée ou rouge pâle; elle est marquée de lignes blanches circons
s, et elle est plus lourde que l'eau. Sa coupe présente un tissu d'un rouge plus ou moins foncé, lisse, résistant sous le doi
monie lobaire récurrente: Exemples. — Formes de la lésion: induration rouge , induration grise ou ardoisée. II. Broncho-pneu
elle n'est que de 30 à 120 grammes pendant la période d'hépalisation rouge . En général, l'amélioration des symp-tômes est sa
stade de ce genre de pneumonie interstitielle, à savoir l'indu-ration rouge du poumon : les cavités alvéolaires sont encom-br
i après le début. Les lésions furent encore ici celles de Yinduration rouge ; mais, de plus, on trouvait par places de Yindura
eumonie chroni-que se rattache également à l'histoire de l'induration rouge ou ardoisée : c'est la pneumonie lobaire récurren
— Mort. Autopsie. —Poumon gauche: pneumonie chronique, indu-ration rouge et ardoisée, avec adhérences pleurales du lobe in
sous les deux formes principales déjà mentionnées: Io L'induration rouge (Àndral *, Hope 2, Forster 3), Yhépa-tisation ind
indurée (Lebert), est le pendant à l'état chronique de l'hépatisation rouge de l'état aigu. La lésion est lobaire ; le tissu
neuses que dans la pneu-monie aiguë ; c'est, en somme, l'hépatisation rouge , avec une consistance plus ferme du tissu pulmona
gonales ; on ne trouve pas d'épithéliums cubiques. Cette induration rouge s'observe, comme nous l'avons vu, dans les cas à
ra-vées interlobulaires se dessinent nettement. Souvent, Yindura-tion rouge et F induration grise existent en même temps sur
ord que, de même que la pneu-monie lobaire aiguë précède l'induration rouge et grise, de même la broncho-pneumonie chronique
geâtre sur les bords ; mais jamais on n'observe la série des couleurs rouge , jaune, orangée, comme cela arrive d'habitude qua
s des sacs contenant soit de la poussière de charbon, soit de l'oxyde rouge de fer. Or, dans les cas où il s'est agi du char-
a fibrine et les leucocytes, on voit se produire du côté des globules rouges les modifications suivan-tes : une fois devenus l
ut de quelques minutes, après avoir modifié leur couleur, qui devient rouge et bleue. Le dernier terme des changements succes
e dernier terme des changements successifs que subissent les globules rouges consiste dans la production d'une série de granul
ntérieur des alvéoles pulmonaires : 1° un cer-tain nombre de globules rouges du sang sont libres dans la cavité alvéolaire ; 2
du sang sont libres dans la cavité alvéolaire ; 2° d'autres globules rouges ont pénétré dans l'intérieur des cellules de l'ép
u poumon ; 3° ailleurs, cet epithélium contient non plus des globules rouges , mais des granulations pigmenlaires de diverses c
nombreux, on peut en rencontrer de bruns, de jaunes, plus rarement de rouges (Planer). Ces par-ticules pigmentaires en circula
ière, n'avait rien vu de semblable. La surface était d'une coloration rouge brique in-tense à peu près uniforme, sillonnée de
La plèvre pul-monaire était, elle aussi, recouverte de larges plaques rouges . Les surfaces de section présentaient la même cou
le. On eût dit que toutes les parties étaient enduites d'une cou-leur rouge . Plusieurs cavernes plus ou moins volumineuses ét
dû travailler pen-dant longtemps dans «une atmosphère chargée d'oxyde rouge de fer, dont les particules avaient pénétré dans
nsistait à appliquer sur une feuille de papier transparent une poudre rouge , sèche, très fine, jusqu'à imprégnation complète
bles et imprégnant les vête-ments des ouvrières, dont la salive était rouge . L'examen de cette poussière fit connaître qu'e
re qu'elle était due à une variété d'oxyde de fer que l'on appelle le rouge an-glais. Un examen attentif du poumon mit en l
cu-larités suivantes : Des surfaces de sections s'écoulait un liquide rouge dans lequel l'examen microscopique montrait : 1°
s et des noyaux remplis de particules fines, noires par transparence, rouges à la lumière réfléchie ; trai-tées par l'acide ch
pendant la vie de la malade on avait constaté l'existence de crachats rouges qui du reste n'avaient pas été analysés. Cette la
uvent sortant de leur atelier, les vêtements tout cou-verts de poudre rouge , présentaient une expectoration rouge très analog
ements tout cou-verts de poudre rouge, présentaient une expectoration rouge très analogue à celle de la précédente malade. Or
dégénérescence, et le carmin ne peut plus les colorer. Mais la bande rouge intermédiaire se sera portée un peu plus en dehor
cellule étoilée (ou cellule géante) renferme quelquefois des globules rouges du sang, dans des conditions où le cordon lui-mêm
sang contenu dans le ventricule droit a une couleur acajou, ou plutôt rouge brique, très singulière, il est fluide, trouble;
système porte, le sang est seulement louche, trouble et d'une couleur rouge brique. Le sang que contient le cœur gauche est d
g recueilli dans le cœurgauche, et qui présentait une coloration d'un rouge violet foncé, était celui qui renfermait le moins
sang. Là, ces globules blancs étaient moins nombreux que les globules rouges ; il n'y avait pas de petits caillots fibri-neux
ité. Le sang pris dans le ventricule droit avait une colora-tion d'un rouge brique, tirant au blanc plus qu'au violet ; il re
e globules blancs plus considérable que ne l'était celle des globules rouges , ou au moins à peu près égale. De ces globules bl
bres, les autres étaient englo-bés avec un certain nombre de globules rouges dans de petits cail-lots fibrineux. Chacun de ces
nant, quels étaient les caractères des globules blancs ; les globules rouges n'ayant présenté rien d'anormal ne méritent pas d
antité de cristaux lozangiques, fort réguliers, légèrement colorés en rouge jaunâtre. Ces mêmes cristaux étaient extrêmement
couleur noire, plus rarement de couleur brune, brun jaunâtre ou même rouge . Ces granulations exis-tent quelquefois à l'état
pigment, de deux ou trois cristaux d'hématoïdine d'une belle couleur rouge , d'une confi-guration géométrique très nette. P
m-plète fait qu'ils peuvent aisément passer inaperçus. — Les globules rouges du sang ont diminué de nombre ; ils ne pré-senten
dit encore, de la métamorphose régressive que subissent les globules rouges du sang dans certaines circons-tance pathologique
. Il pa-raît peu probable, toutefois, que la destruction des globules rouges s'opère indistinctement et au même degré dans tou
rate n'est pas le seul or-gane où s'opère la destruction des globules rouges du sang. (Loc. cit., p. 329.) les cas de pyémie
le sang et dans certains viscères. — Nombre considérable de globules rouges , plus petits que dans l'état normal, etc. La no
valuer approxima-tivement à la moitié de la somme totale des globules rouges ou blancs. Il nous a semblé que cette proportion
très grande. Nous avons à considérer dans le sang: 1° les globules rouges ; 2° les globules blancs ; 3° les autres éléments
lancs ; 3° les autres éléments visibles au micros-cope. 1° Globules rouges . — Le fait saillant, relativement à ces glo-bules
s, c'est l'inégalité de leurs dimensions. Un grand nombre de globules rouges (un tiers environ, et cette proportion n'a rien d
normaux ; présentent çà et là la forme discoïde. Tous les globules rouges se sont assez bien conservés avec leurs caractère
° Autres éléments visibles dans le sang. — Outres les glo-bules, soit rouges , soit blancs, on aperçoit dans le sang une très g
sont incolores ou très légèrement colorés par le reflet des globules rouges ; ils paraissent, au premier coup d'œil, être cons
d'une matière parti-culière et non encore déterminée. Les globules rouges , comme on l'a vu, étaient loin d'avoir tous les d
le conséquence pour-rait avoir cette réduction du volume des globules rouges ? Il n'est guère possible de s'en faire une idée e
ules blancs, la dimi-nution du nombre et de la dimension des globules rouges , les modifications chimiques qu'a dû subir le liq
erons donc de faire remarquer que la réduction du volume des globules rouges , alors que les dimensions des glo-bules blancs so
ité » de cristaux losangiques fort réguliers, légèrement colorés » en rouge jaunâtre. Ces mêmes cristaux étaient extrêmement
x. Le feuillet séreux dans les points où existent les végétations est rouge et laisse voir une fine injection vasculaire. — V
de globules arrondis, pâles, un peu plus volumineux que les globules rouges du sang. Ces globules contiennent un certain nomb
e la grande courbure, deux ulcères simples, à fond nacré, à pour-tour rouge vif, ayant chacune l'étendue d'une pièce de 50 ce
s de la Société de Biologie, 1851, p. 24. des excréments colorés en rouge . On note que le cadavre n'é-prouva pas de raideur
nt aucune lésion, leur muqueuse était tapissée par un mucus d'un brun rouge très fétide. Vestomac, un peu revenu sur lui-même
stomac, un peu revenu sur lui-même, présentait une coloration çàet là rouge brique, et, par place, d'un violet foncé; on y vo
e, au-dessus de la partie si altérée, on aperçoit deux petites taches rouges constituées par des vaisseaux injectés. Dans aucu
pe la structure de la végéta-tion pédiculée gris-jaunâtre, nuancée de rouge sombre dans une assez grande étendue et qui est i
brillaire, au milieu de laquelle on trouve quelques globules sanguins rouges , mais très peu de leu-cocytes. Quant aux parties
hère pas à l'endocarde. On trouve dans le ventricule droit un caillot rouge et mou, évidemment de formation récente, du volum
ux. Les pyramides et la substance corticale du rein gau-che sont plus rouges que cela n'a lieu au rein droit. L'utérus est tel
mort. — Foie considéra-blement augmenté de volume. — Rein gauche d'un rouge plus foncé que le droit dans sa substance cortica
amifications assez ténues. Les caillots des petites divisions étaient rouges , peu consistants, tandis que les caillots du tron
pus? Nous penchons pour cette dernière opinion. l'état d'induration rouge et plaques purulentes quelques superfi-cielles; i
affection spéciale, et pour ainsi dire idiopathique du système à sang rouge , dont l'origine serait entièrement indépendante d
, dans quelques cas a été trouvée indurée, injectée, épaissie et d'un rouge violacé; 2° les chocs, les chutes, les violences
'il est revenu à lui, il rend en vomissant une pleine cuvette de sang rouge , en partie liquide, en partie coagulé. Les syncop
7. 2 Brown-Séquard. — Mémoires sur les propriétés et usages du sang rouge et du sang noir, 1858. Dans l'expérience de Stens
ant : lorsque le malade posait le pied à terre, l'avant-pied devenait rouge violacé; depuis un certain temps cette coloration
Le gros orteil est douloureux à la pres-sion; il est constamment plus rouge et plus froid que les autres parties ; 3« Au mome
ites à diverses hau-teurs. Les méninges en général étaient épaissies, rouges , injec-tées; on y voyait par place des macules bl
parties violettes, lesquelles, soit dit en passant, de-viennent d'un rouge vif au contact de l'air, ces parties, dis-je, l'e
comme des noisettes. Le tissu de la rate, dur, friable, d'une teinte rouge sombre, est mar-bré de grandes taches verdâtres,
ne coloration uniforme violet foncé, parsemé çà et là de macules d'un rouge vif. Cette teinte violette se limite du côté des
le de le détacher. La membrane interne de l'artère présente une einte rouge foncée, et dans les points où les caillots sont a
ls ont en commun avec les fragments du poumon frap-pés d'hépatisation rouge . On sait aussi que les vaisseaux capillaires qui
monie lobaire récurrente: Exemples. — Formes de la lésion: induration rouge , induration grise ou ardoisée. II. Broncho-pneu
à noyaux dans 'la leucocylhémie, 351; — sans no-yau, 352. Globules rouges , (Métamorphose régressive, :-i34 ; —dans la leuco
s méningées, dans la mélanémie, 340. Hépatisation planiforme, 99; — rouge , lü2 ;— lobulaire généra-lisée, 102, 103 ; — part
orte, 566. I Induration brune, 34, 37; — pul-monaire, 117, 513; — rouge , 121, 182, 187 ;— jaune, 123, 287; — hémoptoïque,
hémoptoïque, 626; — pigmen-taire, 630; — cellules fusiformes dans Y— rouge , 122; — cellules fusiformes dans 1' — grise, 129;
ction des —), 61, 65. Rein, développement, 79; — défini-tif, 80 ; — rouge , 77, 7'»; — modi-fications épithéliales du — roug
défini-tif, 80 ; — rouge, 77, 7'»; — modi-fications épithéliales du — rouge 79; — contracté, ^9; — tumeurs fibrineuses du - ,
4 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
énéralement obscure, des replis muqueux teints en jaune, du pointillé rouge çà et là; mais point de ramollissement, et je ne
testins étaient dans l'état le plus naturel, sauf encore du pointillé rouge . Le foie et la rate, divisés en tranches minces n
LIVRAISON. 1 liquide à mesure, j'ai trouvé au lieu de la substance rouge , grenue du rein, un tissu spongieux TR, TRj que j
Jacquemin; elle était dans l'état suivant : Face très-colorée; langue rouge , lisse, sans enduit; pouls médiocrement fréquent;
ens, reparaît; l'abdomen est souple et indolent; la langue est très - rouge ; le pouls est peu fréquent, et sauf les envies d
ncée en couleur et exprime la douleur, l'angoisse; la langue toujours rouge ; la respiration courte, quoique la malade ne se p
, desséchées, se couvrent d'une croûte noirâtre. La langue est lisse, rouge et sèche. La respiration devient plus fréquente.
loration était due à plusieurs couches de fausse membrane plaquées de rouge qui tapissaient la face inférieure de ce muscle.
s de rouge qui tapissaient la face inférieure de ce muscle. Ce plaqué rouge était dû à de petites masses de sang. Les vaissea
rface de la rate. L'extrémité supérieure était marbrée de blanc et de rouge ; ailleurs, c'étaient des plaques PPP irrégulières
es PPP irrégulières, des espèces d'îles, ici foncées en couleur, d'un rouge noir; là, blanchâtres. 11 était facile de voir qu
était naturelle dans les parties qui avaient conservé leur coloration rouge et beaucoup plus considérable que de coutume dans
F air. Les couches adjacentes du tissu splénique sont denses et d'un rouge beaucoup plus intense que de coutume. On voit tou
ue. Étant donnés les symptômes suivans '.face très-colorée ; langue rouge ; pouls médiocrement fréquent; sueurs très-abondan
faitement libre : brisement des membres ; pouls vif, fréquent; langue rouge ; soif; vives inquiétudes sur son état. L'abdomen
rès-grand : agitation. Le pouls est fréquent, plein et dur; la langue rouge et sans enduit. La malade, pour me rendre compte
iquement combinée avec le tissu muqueux ). Petite plaque de pointillé rouge à cette grosse extrémité : quelques points rouges
plaque de pointillé rouge à cette grosse extrémité : quelques points rouges le long du bord libre des plis dont je viens de p
estomac (encore teinture cadavérique). Plusieurs plaques de pointillé rouge vers la fin de l'intestin grêle, quelques pouces
deux altérations se présentent : i° les petites plaques de pointillé rouge disséminées dans l'estomac, le duodénum et la fin
au rôle qu'elles ont joué dans la maladie, ne peut être équivoque. Le rouge ponctué indique en général une inflammation récen
ire que l'irritation qui a présidé à la formation des petites plaques rouges date de l'époque où la malade a accusé une vive d
ps et à dose convenables ; que dans beaucoup de cas une langue sèche, rouge et noire n'était pas une contre-indication. Les r
sérosité transparente dans les ventricules ; cerveau sablé de points rouges , mais d'ailleurs sain. « En soule-« vant cet orga
e foie, à côté d'abcès incomplètement formés, des noyaux d'induration rouge , tout-à-fait semblables, sauf une couleur moins f
poumon. La surface interne de tous les canaux bronchiques était d'un rouge intense; cette rougeur occupait toute l'étendue d
ion. La base du poumon droit présentait une sorte d'hépatisation d'un rouge livide, se déchirant avec facilité, parsemée de p
nnés d'une couche plus ou moins épaisse d'hépatisation mollasse, d'un rouge livide, qu'on appellera pneumonie si l'on veut, m
, langue sèche, douleurs de coliques; les extrémités inférieures sont rouges et très-douloureuses. Il se plaint constamment de
filèrent, l'appétit disparut et le sommeil avec lui; la langue devint rouge et sèche : le 17, dans la nuit, le malade fut pri
J'ouvris l'enveloppe dans laquelle je trouvai comme une bouillie d'un rouge sang de bœuf « et qui se voyait depuis la partie
nière dans son intégrité quant à la forme, mais la couleur était d'un rouge très-foncé; en voulant la « fendre dans sa longue
mac jusqu'au rectum inclusivement. Le « foie et la rate d'une couleur rouge foncé ; mais le cœur, le colon, le rectum, la ves
pie-mère; i° que la moelle épinière était transformée en une bouillie rouge foncée depuis son extrémité inférieure jusqu'au n
s par de fausses membranes récentes, et leur surface libre plaquée de rouge lie de vin et de vert sale. Cette couleur a été p
omplètement exsangue, entrecoupée de quelques bandes circulaires d'un rouge noirâtre R qui occupent l'intérieur de l'intestin
niques muqueuse, fibreuse et musculeuse. Les bandes circulaires, d'un rouge foncé RR, semblent prouver qu'une inflammation in
éo-cœcale. Un bon nombre de ganglions mésentériques étaient tuméfiés, rouges ; plusieurs contenaient une matière pur if orme.
ramollissement gélatiniforme, la présence de bandes circulaires d'un rouge foncé RR qui semblent les débris d'une altération
t résisté présentent un tout autre caractère, celui de l'inflammation rouge . Et pourquoi ont - elles résisté ? Ne serait-ce p
et surtout ses franges FS, plus développées que de coutume, sont d'un rouge vif tout autour de la circonférence du cartilage.
rale externe FE a pu seule être montrée sur cette figure. Des franges rouges environnent la surface articulaire. TC est la tub
outes les articulations et plus particulièrement aux genoux, qui sont rouges , tuméfiés, fléchis sur les cuisses, et qu'on est
tière formant bourrelet autour des articulations, je l'ai calcinée au rouge dans un tube de verre : lorsque la calcination a
ueur a été évaporée jusqu'à siccité, puis chauffée fortement jusqu'au rouge , et projetant alors dessus du nitrate d'ammoniaqu
logique; nous ne devons plus être étonnés quand nous voyons une urine rouge , chargée d'une quantité énorme d'acide urique ou
êmement rapide; l'inflammation est exactement circonscrite : un foyer rouge d'abord, puis un foyer purulent, puis un foyer tu
s tuberculeuses, ou plutôt de pus concret MT, MT, entouré d'un cercle rouge qui annonçait un travail extrêmement actif. La su
grande quantité de granulations miliaires. Les bronches étaient d'un, rouge vif. Le sommet du poumon droit présentait une vas
xionnaires que nécessite ce travail. La couleur du sang, la couleur rouge du foyer, la couleur rouge des parois qui sont co
travail. La couleur du sang, la couleur rouge du foyer, la couleur rouge des parois qui sont comme imprégnées de la matièr
ieure et inférieure de l'avant-bras droit : les parties voisines sont rouges et œdémateuses. Le malade se plaint en outre d'un
u dépouillé de ses membranes au niveau de l'inflammation ; des points rouges très-multipliés s'observent à sa surface et dans
quelques questions. Le soir, paroxysme fébrile extrêmement fort. Face rouge , peau brûlante. Mort peu de temps après. Ouvert
venus corps irritans , avaient déterminé le ramollissement ponctué de rouge qu'on observait dans la substance cérébrale adjac
emarquable : alors exulcération légère au centre de la tumeur; cercle rouge inflammatoire tout autour de l'excoriation. Le 16
ymptômes généraux : ballonnement du ventre, diarrhée verdâtre; langue rouge et sèche ; vomissemens muqueux; chaleur à la peau
e irrégulière, et présente des milliers de petites ouvertures à bords rouges au niveau des ouvertures de chaque follicule. L
ct d'une infinité de très-petites ulcérations superficielles, à limbe rouge ; chaque follicule est transformé en un petit ulcè
as rare de voir tous ou presque tous les ganglions mésentériques d'un rouge intense et comme pénétrés de sang, sans augmentat
chaque papille une gaîne incomplète : sous elle la muqueuse est d'un rouge foncé. XIIL Un point très-important dans l'hist
ns; dans d'autres cas, la muqueuse est prodigieusement injectée, d'un rouge noir dans une plus ou moins grande étendue; enfin
it assassin de tous les rois et croit qu'on veut le tuer. La face est rouge , couverte de sueur ; le pouls large, plein, presq
ienne. La surface externe de cette fin de l'intestin grêle était d'un rouge noir dans toute sa circonférence, et non point pa
el-Dieu dans l'état suivant : prostration musculaire; stupeur; langue rouge , un pen sèche; aucune douleur abdominale par la p
ntestin grêle : sous elle la séreuse présentait çà et là du pointillé rouge . La lésion folliculaire était circonscrite à la
core un foyer apoplectique i une apoplexie capillaire (ramollissement rouge ) tout autour de la tumeur, un ramollissement blan
nflammation exactement circonscrite : d'abord un foyer d'inflammation rouge , puis un foyer purulent, puis un foyer tuberculeu
ouverts et pleins de pus-, la membrane interne, qui est d'une couleur rouge vermeil, est tapissée par une fausse membrane. L'
n avant cette cavité, était plane : l'une et l'autre surfaces étaient rouges ; point de traces de fibro-cartilage inter-articu
. La partie inférieure du condyle externe est parsemée des caroncules rouges CC qui proéminent à travers de petites pertes de
s contre le côté externe de ce condyle. On voit encore les caroncules rouges C et les rayures de la lame éburnée TE. Réflexi
e en dehors d'une multitude de franges synoviales très-développées et rouges FS. Ces derniers ne sont pas pédicules. Les fig.
urut à l'instant, je trouvai la muqueuse ramollie fortement teinte en rouge lie de vin. A la suite de certaines maladies aigu
muqueuse, excepté au voisinage dè l'orifice pylorique OP. Des plaques rouges annoncent un reste de réaction vitale. La coupe m
ssons s'étaient épanchés dans l'abdomen , était environné d'un cercle rouge de la largeur d'un quart de ligne (*). IIe fait
e, embonpoint notable. L'abdomen ouvert, on est frappé par la couleur rouge violacée du gros intestin qui contraste avec la p
nflammation circonscrite des poumons ou du foie; d'abord l'induration rouge , puis du pus infiltré, phis tard quelques gouttel
ard quelques gouttelettes de pus ramassées au centre d'une induration rouge ou grise, enfin un véritable abcès parfaitement c
us grande facilité. Autour de ces veinules, le tissu musculaire était rouge , fragile, en un mot dans cet état d'induration ro
musculaire était rouge, fragile, en un mot dans cet état d'induration rouge qui précède la suppuration. Toujours des veines s
g-temps à l'expérience, et vous trouverez alors un foyer d'induration rouge autour de chaque globule mercuriel; plus tard des
uatre heures à cette opération, je trouvai le foie parsemé de plaques rouges lie-de-vin superficielles, légèrement proéminente
globule mercuriel était au centre de chaque petit foyer d'induration rouge ; une certaine quantité de mercure avait pénétré d
! au niveau des veinules injectées de mercure, la muqueuse était d'un rouge vif, tapissée par une fausse membrane et un mucus
espondant et la membrane musculaire elle-même, étaient également d'un rouge cramoisi. XVIII. Dans ces expériences, le mercu
aisseur, et dont la couleur contrastait avec la couleur beaucoup plus rouge que de coutume du tissu de l'organe. Ces tubercul
la couche mince qui confinait l'abcès, et qui était comme plaquée de rouge foncé. Les muscles biceps, triceps et brachial
s par un pus visqueux rougeâtre, contenu dans des cavités plaquées de rouge : ils étaient tellement identiques à l'abcès de la
egré, c'est-à-dire, l'injection des vaisseaux capillaires. La couleur rouge foncée que j'ai notée avec tous les observateurs,
des caillots sanguins adhérens à l'intérieur du vaisseau : la couleur rouge va en diminuant à mesure que la matière colorante
nts de la surface du poumon présentent de la compacité et une couleur rouge diversement nuancée. L'un d'eux, FS, ressemble à
s les dernières divisions. Ces caillots des petites divisions étaient rouges , peu consistans, tandis que les caillots Au tronc
paux, ces concrétions contenaient du pus à leur centre, elles étaient rouges et graduellement de moins en moins cohérentes dan
e subdivisant comme ces artères, jusqu'à ce qu'enfin elles devinssent rouges et à peine cohérentes. Mais les concrétions des p
le rapport du volume et du degré de l'inflammation: ici, indurations rouges ; là, foyers marbrés de blanc et de ronge: plus lo
de coutume, était parsemée çà et là de masses sphéroïdes denses, d'un rouge foncé, tout-à-fait semblables à celles que j'ai d
, font saillie à la surface du poumon, et sont entourés d'une auréole rouge et indurée. Le lobe supérieur en est complètement
non creusé en godet comme les tumeurs careinomateuses, la coloration rouge foncée de leur circonférence, en un mot tous les
ériode de l'abcès. Dans presque tous, une couche épaisse d'induration rouge entoure une masse blanche et dure formée par du p
u pus infiltré dans le parenchyme pulmonaire. Des points d'induration rouge se voient çà et là au milieu de la masse infiltré
s : respiration difficile, entrecoupée; pouls fréquent et plein; face rouge ; sueur générale. Râle crépitant dans la plus gran
ociété Anatomique par M. Bergeon. Une couche épaisse d'hépatisatiuu rouge , mollasse, cerne en tout sens la caverne gangrene
olog,, p. 385) que, dans la cyrrhose, il y a atrophie de la substance rouge , et hypertrophie de la substance jaune. Il pense
éveloppe de manière à donner naissance aux granulations, la substance rouge peut rester dans son état naturel, et qu'alors le
foie est augmenté de volume; que, dans d'autres cas, cette substance rouge s'atrophie complètement et se transforme en tissu
excentrique répond à l'élément vasculaire, et conséquemment est plus rouge que la partie centrale. Dans la Cyrrhose, on trou
onate de fer à la dose de xx grains par jour. ) Le lait et les fruits rouges sont la seule nourriture que l'estomac puisse sup
adipeuses très denses. La muqueuse des intestins grêles et gros était rouge et légèrement infiltrée. La rate, le cœur, les po
31, il présente des traits affaissés, de l'abattement; la langue est rouge et sèche. L'abdomen est légèrement tuméfié à l'ép
ng noir coagulé. La membrane muqueuse était très fortement colorée en rouge foncé; le tissu du foie était sain; la muqueuse d
à la pression ; le pouls est à 140°, mais toujours dépressible; face rouge ; langue rouge à son limbe, blanche à sa face supé
; le pouls est à 140°, mais toujours dépressible; face rouge; langue rouge à son limbe, blanche à sa face supérieure : deux
part. Les intestins présentent à leur surface des lignes ponctuées de rouge , dirigées suivant leur longueur. Les intestins
plusieurs selles en diarrhée. Le 6, pouls fréquent, développé; face rouge ; céphalalgie intense; hypogastre douloureux à la
cessives par des vapeurs de vinaigre versé sur une brique chaude ou rouge : en même temps la menthe poivrée, l'ammoniaque,
s qui m'ont le mieux réussi. Chez plusieurs, la langue qui était d'un rouge vif sur les bords et couverte d'un enduit saburra
ésiste quelques jours, puis cède. Etat typhoïde, avec langue sèche et rouge , sans fréquence marquée dans le pouls : pour tout
27 avril 1832, dans l'état suivant: Faciès naturel langue sèche et rouge à la pointe ; soif vive dirigée vers les boissons
s autour des pieds et des jambes. Le 29, la langue devient sèche et rouge ; stupeur; la malade se plaint d'étouffer; expecto
néral ; douleur à l'épigastre qui augmentait par la pression ; langue rouge ; soif; anorexie ; point d'évacuations ; les yeux
même, ses parois extrêmement épaissies, sa face interne plissée, d'un rouge vif. C'est cet estomac qui est représenté Pl. I,
é Pl. I, fig. 2, xive livraison (1). La fin de l'intestin grêle était rouge , mais beaucoup moins que l'estomac. Dans l'obse
écédents, mais hoquet ; quelques évacuations alvines; langue sèche et rouge ; sensibilité à l'épigastre; sentiment de constri
me dans la péritonite. A l'intérieur, l'estomac présente du pointillé rouge dans Une grande partie de son étendue. Les inte
tières fécales molles, et présente dans toute son étendue des plaques rouges disséminées. La vésicule biliaire est distendue
e la muqueuse du gros intestin et de l'intestin grêle, une induration rouge dans le lobe inférieur du poumon gauche, au centr
. opiacés. Quinze sangsues sur l'épigastre. Le lendemain, face d'un rouge foncé offrant l'aspect étonné des cholériques arr
ements, les selles et les crampes avaient cessé. Réaction ; face d'un rouge foncé et altérée ; langue jaunâtre, à peine humec
la potion laudanisée. Le 17 , réaction ; mieux sensible ; face d'un rouge foncé; pouls plus développé; voix moins éteinte;
her avec extrait de quinquina et la potion laudanisée. Le 18 , face rouge vineuse : les yeux injectés et chassieux. Depuis
cette cavité pour se soulager. La langue présente un fond extrêmement rouge , voilé par un enduit blanc, peu épais et adhérent
re de temps en temps. Eau glacée sur le front. Le 20, la face moins rouge porte l'empreinte de l'angoisse et de l'affaissem
I, pl. 1, 14e liv. ) ; dans le grand cul-de-sac est une petite plaque rouge pointillée. U intestin grêle est distendu par u
res alimentaires non digérées. Emphysème sous-muqueux. Larges plaques rouges çà et là. L'intestin grêle est rempli de liquid
ort et l'autopsie. L'injection générale de la muqueuse, les plaques rouges , le développement des follicules agminés de l'int
intestin grêle. Un enduit muqueux, plus liquide, légèrement coloré en rouge et semblable à de la lavure de chair, revêt la pa
njectée et présente çà et là des ecchymoses par points et par plaques rouges , pl. 5, fig. 1, cette injection qui n'est pas uni
up d'épaisseur; et qu'examiné contre le jour, il présente une couleur rouge foncée, comme si toutes les tuniques étaient infi
u gros intestin. De petites érosions E, E, E, entourées d'un cercle rouge , se voient au voisinage de la valvule iléo-cœcale
bres; douleurs vives à l'épigastre ; oppression; soif intense; langue rouge et sèche; suppression d'urine. Prescription : T
eux de l'estomac. Le 1 6. Réaction. La face n'est plus livide, mais rouge et foncée en couleur; chaleur générale sans sueur
U estomac est très ample; sa surface interne est piquetée de points rouges , comme d'ecchymoses : l'estomac représenté pl. 1,
eparu ; les selles ont cessé ainsi que les vomissements ; la face est rouge lie de vin ; les yeux sont à demi-ouverts, chassi
euse; la respiration suspirieuse; pouls de 90 à 100°; langue sèche et rouge ; grande soif. Quinze sangsues sur l'épigastre.
la fréquence dans le pouls a augmenté; la langue est devenue sèche et rouge ; les vomissements ont augmenté. Le 23 , selle a
était l'intestin du jeune Adéodat, représenté pl. IL La coloration rouge de la muqueuse est Lieu différente de celle qui r
de cas, ces follicules sont environnés comme par une espèce d'auréole rouge (pl. II, fig. 1), qui examinée à la loupe, n'est
ïdien. Moelle épinière, saine ; ses diverses coupes sont sablées de rouge . Les ganglions semi-lunaires, les plexus solaires
, dégourdies, rarement frappées de glace. La face devient-elle d'un rouge vineux, enluminée ? on y remédie par l'applicatio
olumineux, sont complètement imperméables ; ils ont subi l'induration rouge * Fig. 5. Elle représente ïe thymus, creusé de l
mons, chez un enfant mort trois heures après la naissance '.pointillé rouge , et lignes rouges a la surface interne de V estom
ant mort trois heures après la naissance '.pointillé rouge, et lignes rouges a la surface interne de V estomac. Un enfant ve
alé une goutte. La surface interne de l'estomac présente un pointillé rouge très prononcé, ici irrégulier, là disposé par lig
cet aspect est dû à de petites masses d'induration très multipliées, rouges , sphéroïdales, d'inégal volume, disséminées tant
t qu'a prise chacune d'elles à la terminaison funeste. Le pointillé rouge de l'estomac soit par points isolés , soit par li
ammation? Cette coloration n'est pas moins fréquente que le pointillé rouge , et faute de données suffisantes , je m'abstiens
à réunies. Dans cette même figure les bords des ulcérations sont d'un rouge foncé. Dans le cas représenté fig. 6, des vomisse
verture du cadavre, vingt-quatre heures après la mort. Hépatisation rouge à la partie postérieure du poumon droit. Petits n
le canal intestinal, plaques de Peyer très saillantes : quelques-unes rouges et ramollies. (i) Observations et pièces anatom
l n'existait pas de membrane hymen; les » grandes lèvres étaient d'un rouge vif, et paraissaient avoir été fréquemment irrité
ravers la transparence de laquelle s'apercevait une tumeur de couleur rouge . La lame aponévrotique enlevée, nous avons vu l
une certaine quantité de sérosité sanguinolente; l'intestin, I, était rouge et injecté. L'intestin (fig. 2) a pu être retir
, gorgé d'un sang noir, offrant tous les caractères de l'hépatisation rouge du poumon, il n'en est pas de même, lorsqu'on tro
s un certain nombre de points « tous les caractères de l'hépatisation rouge , » tendant à passer à l'hépatisation grise. Ils é
, on voit se déchirer des filamens déliés et courts. De petits points rouges apparaissent à toute la surface dans laquelle cet
oute la surface dans laquelle cette séparation a eu lieu : ces points rouges sont dus à la déchirure de vaisseaux sanguins ext
se membrane granuleuse et compacte d'avec la fausse membrane molle et rouge était assez nette. A l'aide de la loupe, on décou
ient le résultat d'une agglomération de granulations. La coloration rouge lie-de-vin de la pseudo-membrane coïncidant avec
hute du rectum ; l'intestin formait une tumeur grosse comme le poing, rouge foncée, indolente. D'après le rapport du malade,
rai point ici sur ce que je dois dire plus tard sur le ramollissement rouge de la substance grise des circonvolutions, sur la
substance subie par les circonvolutions à la suite du ramollissement rouge , ou apoplexie capillaire. L'une ou l'autre face d
nt la même position. Les téguments de la face palmaire des mains sont rouges au niveau des sillons et sécrètent un liquide d'u
sans cause appréciable, il pousse des cris perçants; la face devient rouge , les mouvements d'inspiration sont accompagnés de
soit par des noyaux d'engouement, soit par des points d'hépatisation rouge . Cœur vide. Ventricule droit flasque, aminci et d
. Estomac. La membrane muqueuse présente çà et là différents points rouges où elle est amincie et ramollie. Intestins sains
C'est une portion du grand pectoral qui présente une coloration d'un rouge foncé avec petits foyers purulents oblongs interp
ité utérine dilatée contenait une mucosité sanguinolente. L'injection rouge que présente la face interne du corps de l'utérus
ffre pas d'altération manifeste dans son tissu qui est seulement d'un rouge plus obscur que de coutume; dans d'autres cas, le
filtrés de sérosité ; membrane muqueuse de la trachée et des bronches rouge , épaissie et recouverte d'un mucus épais, filant,
iron de la valvule ilio-cœcale; ganglions du mésentère tuméfiés, d'un rouge livide, mais non ramollis. Thorax. — Hépatisati
stance blanche. Dans l'hémisphère droit, il y avait un ramollissement rouge , moins étendu et moins complet. On voyait en outr
et hortensia du cerveau. ( Fig. 3. ) La fig. 3 représente la nuance rouge amaranthe qui conduit du ramollissement rouge lie
3 représente la nuance rouge amaranthe qui conduit du ramollissement rouge lie-de-vin au ramollissement lilas ou hortensia.
mptômes, conduisent des grands foyers apoplectiques au ramollissement rouge lie-de-vin, et du ramollissement rouge-noir au ra
pour pouvoir apprécier les nuances de coloration. Le ramollissement rouge occupe le plus souvent la substance grise, et plu
caractères de consistance et de couleur accoutumés. Le ramollissement rouge peut être limité à une ou deux circonvolutions; i
nce blanche et la substance grise et, alors, à côté du ramollissement rouge diversement nuancé de la substance grise, se voit
5 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
e proprement dit. A sa partie moyenne on reconnaît la région du noyau rouge de la calotte (NR), et, à son extrémité postérieu
acine descendante du trijumeau; CP, commissure postérieure; NR, noyau rouge de la calotte; QA, tubercule quadrijumeau antérie
ébelleux supérieur (Pes), et au milieu duquel on reconnaît le noyau rouge de Stilling (NR). Cette quatrième couche, qu'on a
elles s'enfoncent sous ces pédoncules, par conséquent sous les noyaux rouges de la calotte ; immédiatement après, elles se ter
t plus en arrière la région iritcrpédonculaire qu'au-dessous du noyau rouge de la calotte (NR). Or, en fait, le fasciculus re
, glande pinéale ; QA, QP, tubercules quadri- jumeaux ; !\'R, noyau rouge de Stilling;. La couclie à convexité antérieure d
que le faisceau rétroflexe est situé immédiatement en dedans du noyau rouge de la calotte, au lieu de courir d'avant en arriè
môme de contiguïté apparente avec les autres noyaux gris. NR. Noyau rouge de Stilling, noyau rouge de la calotte, olive sup
nte avec les autres noyaux gris. NR. Noyau rouge de Stilling, noyau rouge de la calotte, olive supérieure, nucleus ruber, g
de la région de la calotte pour montrer la situation exacte du noyau rouge (NR). Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur ;
roisement de la région de l'étage supérieur, où ils abordent le noyau rouge . Les pédoncules cérébelleux pénètrent francheme
cérébelleux pénètrent franchement d'arrière en avant dans les noyaux rouges , sans subir aucune déviation, sans se diviser, sa
nt simplement une certaine torsion en spirale sur leur axe : le noyau rouge , d'autre part, est assez régulièrement sphérique.
e sphère par un cylindre dont l'axe passe par le Situation du noyau rouge de la calotte dans l'étage supérieur du pédoncule
hiasma optique ; QA, tubercule quadrijumeau antérieur ; NR, noyau rouge de la calotte; XX, direction d'une coupe perpen
du pédoncule cérébral, et permettant toujours de sectionner le noyau rouge . centre de la sphère. Le noyau rouge (NR), ains
oujours de sectionner le noyau rouge. centre de la sphère. Le noyau rouge (NR), ainsi qu'on peut le voir sur le schéma 118,
nte une coloration rose brique qui lui a valu la désignation de noyau rouge , généralement usitée en France. Sur les cerveaux
ganglion ou le respecte. Mais on est toujours sûr de couper le noyau rouge aux environs de sa partie postérieure en faisant
cérébral (schéma 118). C'est à partir de la figure 83 que le noyau rouge de Stilling commence à apparaître sur les coupes
confondant, en partie avec le laqueus (Laq), à la rencontre du noyau rouge de la calotte dont la surface de section apparaît
upe 83 on voit les fibres les plus externes passer en dehors du noyau rouge : les plus internes passent en dedans]; les inf
le de l'étage supérieur du pédoncule à la partie postérieure du noyau rouge de la calotte (NR). PV, pont de Varole ; PP, pied
tum ; Th, thalamus; GH, ganglion de l'habénule. lopper le noyau rouge , elles vont directement en avant, en dedans de ce
illé externe; GI, corps genouillé interne; Pul, pulvinar; NR, noyau rouge de la calotte; Laq', couche superficielle du laqu
ar gauche (BP); — TEG, faisceau du tegmentum, se jetant dans le noyau rouge (NR). Avant d'aborder ce noyau, il émet en dehors
dedans les fibres marginales de l'aqueduc (CTE). Il ressort du noyau rouge sous le nom de lamina tegmenti (LTE) ; — Lm, lami
médiane et poursuivant son chemin de bas en haut, en dedans du noyau rouge . Schéma 122. — Projection verticale schématique
rejoindre les faisceaux plus antérieurs destinés à traverser le noyau rouge . CEO. Les fibres postérieures du pédoncule céré
thala-mique, se jettent donc dans le thalamus sans traverser le noyau rouge ; elles sont entourées des fibres de la calotte, a
ane avant d'aller se jeter, en décrivant une spirale, dans les noyaux rouges de la calotte (NR). Pcs. Le pédoncule Cérébelle
de torsion en spirale (schéma 126). C'est ainsi qu'il aborde le noyau rouge (NR). 11 résulte de cette torsion que, sur quelqu
ette torsion que, sur quelques coupes verticales, en arrière du noyau rouge , la section du pédoncule cérébelleux supérieur pr
dis que les coupes 86 et 88 intéressent la substance grise du noyau rouge . Ces coupes font donc voir également que la dispo
si le pédoncule cérébelleux supérieur se jette en masse dans le noyau rouge de la calotte, il abandonne un assez grand nombre
du faisceau cérébello-thalamique (CEO). Th, thalamus ; NR, noyau rouge de la calotte ; Pcs, pédoncule cérébelleux supéri
supérieur dont les fibres se jettent en majeure partie dans le noyau rouge ; CEO, faisceau cérébello-thalamique formé des fi
isceau longitudinal postérieur situé à sa partie interne, et le noyau rouge de la calotte (NR) situé à sa partie externe. Le
) emprunte une forme circulaire à la convexité postérieure du noyau rouge de la calotte. Ce noyau n'est qu'à peine entamé p
re correspondant au faisceau de la Projection liorizontale du noyau rouge (!VR) au niveau de la pénétration du pédoncule cé
e 85). Le faisceau de la calotte (TEG) enveloppe à la fois le noyau rouge et le pédoncule cérébelleux supérieur. calotte,
ie la plus large. Il n'en est rien. La convexité postérieure du noyau rouge efface, aplatit et élargit en quelque sorte le fa
tout d'un bloc, le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et le noyau rouge (NR). Celles qui passent, d'arrière en avant, e
ge (NR). Celles qui passent, d'arrière en avant, en dedans du noyau rouge , sont de beaucoup les moins nombreuses ; elles s'
uses ; elles s'entrecroi- TEG TEG Projection sagittale du noyau rouge de la calotte (NR). Ce ganglion est abordé en a
G) enveloppe à la fois le pédoncule cérébelleux supérieur et le noyau rouge . sent presque immédiatement avec le fasciculus
de la couche optique (Th, fig. 94), et entre ce ganglion et le noyau rouge de la calotte (NR) on reconnaît la dépression qui
(fig. 96), entre la région de l'étage supérieur occupée par le noyau rouge (NR) et la région du pont de Varole (PV), on reco
d'épaisseur. Th. Le thalamus (fig. 94), limité en bas par le noyau rouge de la calotte (NR) dont il est séparé par le fais
NeC. Noyau externe de la couche optique (fig. 91, 92). NR. Le noyau rouge de la calotte, enveloppé d'une couche de substanc
nt au nerf moteur oculaire commun. Au-dessous et en dehors du noyau rouge , la lamina tegmenti (LTE), participant à la forma
e toutes ses fibres ont subi la décussation, avant d'aborder le noyau rouge (NR). Il n'en reste plus ici cju'un très petit no
à la face externe du faisceau longitudinal postérieur, longe le noyau rouge de la calotte sans lui fournir de fibres. 11 épou
rne se confond avec les fibres de la calotte qui enveloppent le noyau rouge ; le prolongement interne se rapproche de plus en
ection triangulaire, se prolonge en avant, à la face interne du noyau rouge (NR) et que nous retrouverons sur toutes les coup
t qu'on voit apparaître ici d'une façon très nette au-dessus du noyau rouge (NR). Sa'surface de section est transversale; i
alité, les connexions de ces deux faisceaux, juste au-dessus du noyau rouge , sont peut-être très étroites; mais, plus en avan
e fibres antéro-postérieures courant au-dessous et en dehors du noyau rouge de la calotte (NR). Il semble continuer la lamina
cq-d'Azyr. NiC. Noyau interne du thalamus (fig. 99). NB. Le noyau rouge de la calotte (fig. 97, 98, 100) diminue progress
es noyaux les plus antérieurs siègent au-dessus et en dedans du noyau rouge , au fond de la gouttière de Monro. PUT. Le puta
s du locus niger, au-dessous de la couche optique, en dehors du noyau rouge , en dedans et au-dessus du faisceau le plus inter
înée de substance grise avec la couche optique, ni môme avec le noyau rouge de la calotte. Il est toujours parfaitement isolé
pas représenté. Les coupes s'arrêtent à la partie inférieure du noyau rouge de la calotte (NR), au niveau de la pénétration d
pes de Coupe Iriuisversale à Lravers la ]iailic antérieure du noyau rouge ; NR, noyau rouge de la calotte ; Th. tliahun
sversale à Lravers la ]iailic antérieure du noyau rouge ; NR, noyau rouge de la calotte ; Th. tliahunus ; CXO, l'aiscea
alement convexe en haut. Celui-ci est immédiatement adhérent au noyau rouge de la calotte; et, comme le faisceau longitudinal
le faisceau longitudinal postérieur, il s'épuise, au-dessus du noyau rouge , dans la région inférieure du thalamus. Profil
amus. Profil du faisceau longitudinal postérieur au niveau du noyau rouge . 101, coupe vei'ticale de la planclie XXVII. A
longitudinal postérieur (FLP), on reconnaît par transparence le noyau rouge do la calotte (NR). Au-dessous de ce noyau, RFP i
, et reprennent une coloration foncée FLP'. Th, thalamus; — NR, noyau rouge . Schéma 1-47. _ Mais le faisceau longitudinal p
omération de fibres qui se portent au-dessus et cri dehors du noyau rouge . Au-dessous de celui-ci, il envoie, en avant, en
âce à ce prolongement latéral, enveloppe donc du haut en bas le noyau rouge de la calotte. Ses fibres supérieures (FLP) vont
t bien distincte des faisceaux de la calotte qui enveloppent le noyau rouge . On voit, sur ces deux figures, qu'elle se confon
faisceau a une radiation (ou couronne rayonnante) au-dessus du noyau rouge , sous la couche optique (voy. pl. XXY, fig. 90).
e que par son faisceau supérieur, accolé à la partie interne du noyau rouge (NR) ; elle sépare, à ce niveau, les fibres direc
l (Lin), l'autre situé en dehors. TB, Foramen caecum ; Nri, noyau rouge de la calotte. se terminer au-dessus et en deda
gmenti (fig. 97) est toujours située, d'une part, au-dessous du noyau rouge (NR) et du faisceau cérébello-thalamique (CEO), e
est épuisé, un autre le remplace (NL) : le faisceau latéral du noyau rouge de la calotte, au-dessous duquel se glisse d'arri
que très passager, car dès l'apparition du faisceau latéral du noyau rouge (NL), on voit aussi s'insinuer entre la lamina te
e (NL), on voit aussi s'insinuer entre la lamina tegmenti et le noyau rouge un nouvel organe : le discus lenliformis (DL, fig
faisceau tegmento-thalamique (fig. 98, 99 et suiv.) recouvre le noyau rouge auquel il est très exactement superposé dans une
oyau interne du thalamus (NiC, fig. 99), il enveloppe en bas le noyau rouge , s'étale à sa partie interne (fig. 101, CAO), où
thalamique représente l'ensemble des fibres latérales issues du noyau rouge de la calotte. Cette dési- gnation, loin de nou
si baptisé est constitué exclusivement par des libres issues du noyau rouge et non pas d'une autre partie de la région de la
supérieur, a dépassé, d'arrière en avant, la partie moyenne du noyau rouge à la face externe duquel il était situé, on voit
, faisceau céréhello-t hala m i qu e ne pénétrant pas dans le noyau rouge ; TEC, le tegnientum avec la lamina teg- menti\
le noyau, tandis que ce dernier faisceau a simplement côtoyé le noyau rouge . Les fibres latérales issues du noyau rouge sont-
implement côtoyé le noyau rouge. Les fibres latérales issues du noyau rouge sont-elles les mômes que renfermait le pédoncule
noyau de la calotte. Sur les coupes qui passent au devant du noyau rouge (fîg. 102), le tegmentum (TEC) et le faisceau rub
orizontale du faisceau riihro-thalamique (iN'L), à sa sortie du noyau rouge (NR). fibres parcourent un long trajet. Un cert
onculaire, comme le ganglion intcrpédonculaire faisait suite au noyau rouge de la calotte. Elle vient jusqu'à la surface; ell
du faisceau rubro-thalamique (NL). NL. Les fibres externes du noyau rouge de Stilling, que nous avons vues émerger de la ré
merger de la région de la calotte à la partie antéro-externe du noyau rouge , glissent obliquement au-dessus du discus lentifo
fibres du pédoncule cérébelleux supérieur ne traversant pas le noyau rouge (Pcs); le faisceau rubro-thalamiquc (NL); YM. v
re du thalamus; AR, faisceau d'Arnold ; NL, fibres latérales du noyau rouge de la calotte (faisceau rubro-thalamique) ; CEO,
entrale (SG) que par un isthme de substance grise sus-jacent au noyau rouge de la calotte. Les faisceaux que nous avons pas
au plus près de la face inférieure. Substance grise. NR. Le noyau rouge de la calotte occupe le milieu de la région protu
situé, immédiatement en dehors de la ligne médiane, en avant du noyau rouge (NR), reçoit un petit faisceau foncé, oblique en
iation à rayons convergents, dirigés dans leur ensemble vers le noyau rouge de la calotte (NR). Les fibres foncées, coupées à
rieur (fig. 1), venu du côté opposé, s'épanouit à la surface du noyau rouge (NR), où il pénètre en se contournant sur lui-mêm
(fig. 2), les fibres du pédoncule qui ne pénètrent pas dans le noyau rouge se réunissent avec celles qui ont traversé ce gan
sciculus retroflexus (fig. 1), accolé à la convexité interne du noyau rouge (NR) qu'il traverse parfois, marche d'arrière en
ors de l'aqueduc, se dirige en avant, vers la partie externe du noyau rouge (NR), où, par l'intermédiaire de la lamina tegmen
n de section, au moment où elle émerge de la face inférieure du noyau rouge (NR). Elle se porte vers le discus lentiformis.
du pédoncule cérébelleux supérieur; elles ne traversent pas le noyau rouge ; elles glissent à sa partie postérieure et extern
U-DESSUS DE LA RÉGION DE LA CALOTTE Substance grise. NR. Le noyau rouge de la calotte n'est visible que sur la figure 4-
Il est coupé perpendiculairement à son axe; situé en dedans du noyau rouge , dont il n'est séparé que par le faisceau rétrofl
te de Monro; les fibres externes, visibles, juste en arrière du noyau rouge , représentent la couronne rayonnante du faisceau
en avant et en dedans. Sur la première coupe, il est accolé au noyau, rouge , dont il traverse quelquefois la convexité intern
région inférieure, où l'on reconnaît la convexité supérieure du noyau rouge (NR) et le ganglion de l'habénule (GH). Substan
is. NiC. Noyau interne du thalamus. NL. Fibres latérales du noyau rouge de la calotte, faisceau rubro-thalamique. NLe. No
tique. NpC. Noyau postérieur du thalamus. NR. Nudeus ruher, noyau rouge de Stilling, noyau de la calotte, ganglion du péd
u géniculé (FG).............. 61,299, 558 Faisceau latéral du noyau rouge de la calotte (NL)........ 517 Faisceau longitu
djoindre au lemniscus................. 245 Fibres externes du noyau rouge de Stilling (NL)........ 557 Fibres inférieures
ieures du forceps (FOi).............. 102 Fibres latérales du noyau rouge de la calotte (NL)........ 517 Fibres lenticulo
........ 225 Noyau postéro-basilaire................... 245 Noyau rouge (Stilling) de la calotte (NR)......... 214, 259
6 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
vec les préparations actuelles au gélatinobromure, ce sera la lumière rouge . Celle-ci sera obtenue facilement en interposant,
ment en interposant, devant une source lumineuse quelconque, un verre rouge . Le choix de ce verre est fort important, car il
ortant, car il doit arrêter tous les rayons du spectre, autres que le rouge . On fabrique maintenant assez bien cette sorte de
on directe qui est d'un usage très pratique pour L'essai des verres rouges de laboratoire ('). (') On trouve des verres ro
ssai des verres rouges de laboratoire ('). (') On trouve des verres rouges essayés au spectroscope et, par conséquent garant
n des côtés, celui en face duquel nous développons, porte deux verres rouges superposés, l'autre, un seulement. En face de ces
lité du bromure d'argent, il faut travailler à la plus faible lumière rouge possible; on baissera, à cet effet, la flamme de
erses radiations du spectre et que certaines couleurs, le jaune et le rouge , sont bien moins actiniques que le vert, le bleu
ra poser d'autant plus que les objets se rapprocheront du jaune et du rouge . Dans la reproduction de certaines maladies de
umière et le plus rapidement possible, en tenant compte de la couleur rouge antiphotogénique de cet organe. Si, dans certai
r une netteté parfaite. Le grand écueil viendra des colorations, soit rouges , soit jaunes, que l'on rencontre le plus fréquemm
ux plaques plus spécialement faites pour reproduire les jaunes et les rouges . Rien ne dit même que cet inactinisme de certai
tes. On enduit les pieds du malade d'une couleur en poudre tel que le rouge d'Angleterre. Ceci fait, on le fait marcher sur u
cornée et la difficulté d'éclairage: nous devrions ajouter la couleur rouge antiphotogénique du fond de l'œil. Grâce à l'in
; on trouve des plaques sensibles au vert et au jaune, au jaune et au rouge (' ). L'addition de la matière est faite dans l'é
ser passer uniquement ceux que l'on désire faire agir. Ainsi un verre rouge laissera passer les rayons rouges et arrêtera les
on désire faire agir. Ainsi un verre rouge laissera passer les rayons rouges et arrêtera les rayons violets. Le choix du ver
é donnée que notre rétine apprécie parfaitement. Ainsi le jaune et le rouge sont des couleurs claires, le vert et le bleu son
ressenti par nous en regardant Funiforme du soldat français, pantalon rouge et capote bleue, nous rendrons le bleu par une te
capote bleue, nous rendrons le bleu par une teinte plus sombre que le rouge . De même, un toit rouge, se détachant sur la verd
ons le bleu par une teinte plus sombre que le rouge. De même, un toit rouge , se détachant sur la verdure sombre des arbres, s
En Photographie, tous ces effets seront complètement renversés. Le rouge du pantalon, le toit en question, viendront noirs
i les renferment ou le fond sur lequel ils se détachent en rose ou en rouge plus ou moins intenses. L'œil perçoit l'impressio
dans une préparation est indiquée par une coloration soit jaune, soit rouge peu intense; tous les détails de la lésion sont p
tandis que dans le cas précédent, pour avoir également le bleu et le rouge , il eût fallu donner à celui-ci une pose beaucoup
dépendra d'une manière absolue de la nature du colorant employé : tel rouge donnera de bons résultats, tel autre ne donnera r
ons de microbes qui, colorés soit en violet, en bleu, en rose ou en rouge , se détachent sur fond blanc; les préparations de
acher en violet ou en bleu sur un fond plus ou moins rose, ou bien en rouge sur fond brun. Pour les moelles, on aura des colo
orations violettes, avec de la fuchsine pour les colorations roses et rouges . On procédera de même que pour le procédé de Gram
de dire. On peut encore, dans ces méthodes, obtenir les microbes en rouge sur fond bleu ou brun. Dans le premier cas, qui e
est assez défavorable pour la traduction photographique parce que le rouge viendra plus foncé que le bleu, il faudra employe
cette méthode, la myéline est colorée en jaune, les cylindres-axes en rouge , les cellules nerveuses en rouge brun et leur noy
orée en jaune, les cylindres-axes en rouge, les cellules nerveuses en rouge brun et leur noyau en rouge, le tissu conjonctif
-axes en rouge, les cellules nerveuses en rouge brun et leur noyau en rouge , le tissu conjonctif et la névroglie en rose, et
ge, le tissu conjonctif et la névroglie en rose, et leurs cellules en rouge . Dans ce procédé l'ensemble des colorations obt
Dans ce procédé l'ensemble des colorations obtenues est dans la note rouge ou jaune, couleurs qui, on le sait, sont antiphot
ment préparées pour la reproduction des objets colorés en jaune ou en rouge . L'interposition d'un verre jaune, ou d'une cuve
'assure au moyen du papier de tournesol bleu qui ne doit pas virer au rouge . Il n'y a plus alors qu'à faire sécher l'épreuve.
hiques (fig- 74)* La boîte est fermée par un couvercle garni de toile rouge de façon à empêcher la lumière d'entrer en permet
re d'une lampe ou d'un bec de gaz. On les place dans le laboratoire rouge sur le cliché, puis on expose 20 à 3o secondes à
c des poses courtes et des tons plus ou moins chauds presque jusqu'au rouge brun par des poses plus longues. Le ton obtenu va
s enlevons alors ce voile en nous servant d'un réducteur au prussiate rouge de potasse et à l'hyposulfite de soude. La plaque
olet et le bleu, de méthyle, le violet de gentiane, le bleu coton, le rouge de magenta, le nacarat, la safra-nine diméthylée,
tif au charbon de microbes. Une première coloration est faite avec le rouge magenta au Les microbes sont fortement colorés en
faite avec le rouge magenta au Les microbes sont fortement colorés en rouge foncé, le fond en rouge clair. On passe à l'eau e
nta au Les microbes sont fortement colorés en rouge foncé, le fond en rouge clair. On passe à l'eau et à l'alcool jusqu'à ce
lution de bleu coton faible au j^. On obtient des microbes colorés en rouge sur fond bleu pâle. Ces épreuves donnent en pro
7 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
es éléments, soit par le car- min ammoniacal ou le picro-carmin, le rouge de Magdala, l'éosine et sur- tout par le carmin
ifs, les tuniques des vaisseaux, les noyaux apparaissent colorés en rouge plus ou moins vif, et la charpente névroglique
e la fit. 18 (D'après W. His.). La lame fondamentale est colorée en rouge . -. ÀC, arrière-cerveau. - CA,.cerveau antérieu
n, à l'écorce de l'insula et à l'avant-mur est hachée et colorée en rouge ; la partie de la paroi interne du cerveau antérie
éliale des plexus choroïdes et à l'induseum griseum, est colorée en rouge , sans hachures. un ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
en, à l'écorce de l'insula et à l'avant-mur, est hachée et colorée en rouge ; la partie de la paroi interne qui donne naiss
es et à l'induseum griseum, est dépourvue de hachures et colorée en rouge . Ces coupes montrent les diffé- rences que prés
ours. (D'après v. Lenhossek.) Le cordon ganglionnaire est coloré en rouge . a) Coupo provenant de la partie du tronc situé
- médiaires, telles que le gris jaune de la couche optique, le gris rouge des noyaux rouges de Stilling, de la substance
es que le gris jaune de la couche optique, le gris rouge des noyaux rouges de Stilling, de la substance ferrugineuse du quat
point où le tube nerveux a été sectionné, se colore la première en rouge , puis la coloration rouge apparaît sur le cylin
a été sectionné, se colore la première en rouge, puis la coloration rouge apparaît sur le cylindre-axe au niveau de chaque
segments inter-annulaires ainsi que le cylindre-axe sont colorés en rouge , et on constate en même temps, plus nettement q
ment arriver à les différencier de ce dernier tissu par l'emploi du rouge d'aniline, qui ne colore pas les faisceaux conn
tent, après coloration par le carmin, sous forme d'îlots colorés en rouge , et chaque îlot est formé par un très grand nom
rmé par un très grand nombre de petits cercles colorés également en rouge . Chacun de ces petits cercles correspond à la s
courbe est coloré en bleu, la troisième circonvolution frontale en rouge . D, gyrus descendens d'Ecker. F,,F,F3, première
ourbe est coloré en bleu, la troisième circonvolution . frontale en rouge . D, circonvolution descendante. - F" F3, deuxiè
fibres nerveuses et un noyau volumineux bien circonscrit, le noyau rouge de Stilling (NR, fig. 193) situé de chaque côté
érieures de la calotte du pédoncule, on trouve, à la place du noyau rouge , le pé- doncule cérébelleux supérieur ou noyau
lling (Pcs, fig. 189). De chaque côté du raphé, en arrière du noyau rouge ou du pédon- cule cérébelleux supérieur, il exi
ur oculaire commun (3° paire) (NI ? fig. 193). En dehors du noyau rouge (NR) ou du pédoncule cérébelleux supérieur, se
antérieure ou interne est comprise entre le locus niger et le noyau rouge ; sa partie postérieure ou externe apparaît à la s
titution de la calotte du pédoncule. Substance réticulée. Xoyau rouge de Stilling. Pédoncule cérébel- leux supéri
quadrijumeaux an- térieurs, le corps genouillé interne, les noyaux rouges , le noyau de la troisième paire, ., le tubercul
bras du tubercule quadrijumeau postérieur.- CNR, cap- sule du noyau rouge . - Cgi, corps genouillé interne. - Fcop, faisceau
antérieur et central; nEIV, noyau de Westphal-Edingcr. - NR, noyau rouge de Stilling. - P, étage inférieur ou pied du pé
ichro- mate). La pie-mère et la toile choroïdienne sont colorées en rouge . · bd, bandelette diagonale do Broca. C, calott
e et les plexus choroïdes du troisième ventri- cule sont colorés en rouge . (Dessins faits d'après la photographie d'une piè
e deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - JV/f, noyau rouge . - ol, scissure collatérale. - P, pied du pédoncu
ne de la corne d'Ammon (fig. 208); ils forment un cordon vasculaire rouge et granuleux, étendu du trou de Monro aux digit
hro- . mate.) La pie-mère et la toile choroïdienne sont colorées en rouge . bd, bandelette diagonale de Broca. C, calotte
romate.) Les plexus choroïdes et toile choroïdienne sont colorés en rouge . Alv, alvéus. - Arc, faisceau arqué. - AJl, ava
d'avant en arrière par deux traînées longitudinales de granulations rouges , les plexus choroïdes du troisième ventricule (
n et la substance perforée antérieure. Le noyau caudé est coloré en rouge , le noyau lenticulaire en bleu. NA, noyau amygd
t délimités : le corps de Luys (CL) en avant et en dehors, le noyau rouge (NR) en arrière et en dedans. Le corps de Luys se
gion sous-thalamiquede la capsule interne (fig. 229, 230). Le noyau rouge représente un petit corps sphérique, qui appartie
ui est entouré d'une couche de fibres blanches, la capsule du noyau rouge . Le -t corps de Luys et le noyau rouge sont sép
lanches, la capsule du noyau rouge. Le -t corps de Luys et le noyau rouge sont séparés de la face inférieure de la couche
tes par Forel et qui se confond en arrière avec la capsule du noyau rouge : c'est le champ de Forel (r) (Feld H, Forel).
ys (Nm), profondément enclavé dans la couche optique entre le noyau rouge , le noyau interne elle noyau externe, et caractér
laire de Forel (FI), qui appartient au système de la capsule du noyau rouge . Ce faisceau appartient déjà à la région sous-t
r la région sous-optique, intéresse le corps de Luys (CL), le noyau rouge (NR), l'anse du noyau lenticulaire (Al) et les
lenticu- laire (le dernier segment est divisé en deux). - NR, noyau rouge . - 0,, Os, 03, première, deuxième et troisième
: En dehors le corps de Luys (CL), en dedans et en arrière le noyau rouge (NR), enfin entre le noyau rouge et le pulvinar
, en dedans et en arrière le noyau rouge (NR), enfin entre le noyau rouge et le pulvinar (Pul), le corps genouillé interne
en arrière et en dedans il est en rapport avec la capsule du noyau rouge . Les radiations- de la calotte (RC) le séparent
tte (RC) le séparent du corps genouillé interne (Cgi). , Le noyau rouge (NR) est arrondi, occupe la partie postéro-intern
ue de Forel sont constitués sur cette coupe par la capsule du noyau rouge qui sur la coupe précédente reçoit le faisceau
es radiations de la calotte (RC) qui émanent de la capsule du"noyau rouge , enfin en avant et en dedans, par l'anse du noy
caudé. - NL,, troisième segment du noyau lenticulaire. - NR, noyau rouge . - Os, deuxième circonvolution occipitale. - oa,
ubercule quadrijumeau antérieur (Qa). A la partie moyenne, le noyau rouge (NR), le ruban de 7M médian (Rm), et près du raph
ibres entrent, en partie dans la capsule blanche qui entoure le noyau rouge (NR), en partie se dirigent en arrière, parallè
cuper la partie la plus antérieure de la calotte, en avant du noyau rouge (NR), en dedans de la sub- stance perforée post
Aq), la région moyenne ou région de la calotte conte- nant le noyau rouge (NR), le ruban de lcil médian (Rm) et le faisceau
ou le pied du pédoncule (P); 20 l'étage moyen ou la région du noyau rouge (NR), séparé du précédent par le locus niger (L
caudé. - \Z,. troisième segment du noyau lenticulaire. - VR, noyau rouge . - Oi, deuxième circonvolution occipitale. - oa
dalien. - NC, noyau caudé. - 'C', queue du noyau caudé. - NR, noyau rouge . - 0" 03, deuxième et troisième circonvolutions o
sse le corps de Luys (CL) sur la coupe n° 75 (fig. ? .f9), le noyau rouge (NR) le locus niger (Ln) sur les coupes nos 78
Nin, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). - A'R, noyau rouge . - Or, faisceau occipito-frontal. OpR, oper- cu
ace interne du pédoncule. Au-dessus et en dedans on trouve le noyau rouge (\R) arrondi et entouré d'une capsule de fibres b
ec la lame médullaire externe du thalamus (Lme). En dedans du noyau rouge on trouve sur les coupes nos 80 et 83 (fig. 251
au de Meynert (FM), qui déprime légèrement la face interne du noyau rouge et qui sur les coupes nos 80 et 83 (fig. 251-253)
NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamcn).- NR, noyau rouge . OF, faisceau occipito-frontal. - Opp" opercule p
le cérébral; les radiations de la calotte (RC) la séparent du noyau rouge (NR) et du locus niger (Ln). Le noyau rouge (NR)
C) la séparent du noyau rouge (NR) et du locus niger (Ln). Le noyau rouge (NR) a diminué égale- ment. A sa partie inféro-
fibres radiculaires de la troisième paire (III). Au-dessus du noyau rouge (NR), en dedans des radiations de la calotte (R
noyau interne de la couche optique. NL, nerf de Lancisi. - Nil, noyau rouge . - Nt, noyau du toit. - 0), première circonvolu
optique repose sur la région sous-optique, constituée parle noyau- rouge (NR) et le champ de Forel (F). En arrière et au-d
ué en dedans de la coupe. La région de la calotte comprend le noyau rouge (NR) situé iL cheval sur la région de la, calot
lotte (RC), en avant par le champ de Foret (F). En arrière du noyau rouge , nous trouvons la substance réticulée de la cal
qui se dirigent obliquement en haut et en avant, du cervelet au noyau rouge . Au-dessous du tubercule quadrijumeau postérieu
ond il peu près il la région sous- optique, en particulier au noyau rouge (n) et ainsi s'explique la différence de COUPES
L3, pu- tamen. - Nm, noyau médian de la couche optique. - NR, noyau rouge . - 0,, première circon- volution occipitale. Oc
que reposent sur la région sous-optique. Celle-ci présente le noyau rouge (NR) et le corps de Luys (CL). Sur une ligne obli
x gris : le pulvinar (Pul), le centre médian de Luys (Nm), le noyau rouge (NR) et le corps de Luys (CL). Le corps de Luys
er dans la constitution de la partie interne de la capsule du noyau rouge . La coupe E indique la façon dont le faisceau u
s la couche optique, la région sous-optÙ/1/1 ? (corps de LI/Ys, noyau rouge ) et le locus nir;e'; leur existence est constan
sule interne et entrent dans la constitution de la capsule du noyau rouge . ' L'anse du noyau lenticulaire (Al) est renfor
re de Forel, et entrent dans la constitution de la capsule du noyau rouge (Voy. fig. 309 il 311 et 318). En dedans et au-
(GP) du noyau lenticulaire, le centre médian de Luys (Nm), le noyau rouge (NR) et les radiations de la calotte (RC). Elle
- ticale, qui se portent en bas et entrent dans la capsule du noyau rouge (NR). Le noyau interne (Ni), riche en fibres ra
lenticulaire (putamen1. Nm, noyau médian du thalamus. - XII, noyau rouge . OF, faisceau occipitn-fmntal. OpR, opercule ro
fascicules des radiations de la calotte (RC) qui émergent du noyau rouge (NR), puis se portent dans la partie externe de l
e (NR), puis se portent dans la partie externe de la calotte du noyau rouge et entrent dans la constitution du ruban de Rei
constitution du ruban de Reil médian. C'est il la capsule du noyau rouge que se rendent, de même, les fibres verticales du
(Ne), ainsi que celles des lames médullaires du thalamus. Le noyau rouge (NR) occupe la plus grande partie de la région so
ticulièrement serrés au niveau de la partie inféro-interne du noyau rouge , où ils font suite aux fibres dû pédoncule céré
troisième paire (III) qui embrassent la convexité inférieure du noyau rouge . De la partie supéro-externe du noyau rouge (NR
ité inférieure du noyau rouge. De la partie supéro-externe du noyau rouge (NR) se détachent les radiations de la calotte
dans le noyau externe de la couche optique Ne). En dehors, le noyau rouge est entouré par les fines fibres émanées du centr
dans la constitution du ruban de ]leiI1lu1dian. En dedans du noyau rouge , on trouve la section transversale d'un certain n
n fascicules serrés, fibres qui appartiennent à la capsule du noyau rouge et en particulier au faisceau longitudinal postér
(Th) repose sur la région sous-optique, en particulier sur le noyau rouge (NR). On voit encore sur cette coupe, les dernièr
bé sur son axe, le noyau semi-lunaire de Flechsi ! 1 (NF). Du noyau rouge (NR) ha1'tent un certain nombre de faisceaux vo
itué un peu en arrière de celui de cette coupe. En dehors, le noyau rouge est limité par des fibres section- nées perpend
- nées perpendiculairement, qui appartiennent à la capsule du noyau rouge et au pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs); en
Flechsig. - Ni, noyau interne du thalamus. XL3, putamen. A'R, noyau rouge . OF. faisceau occipito- frontal. - Coppa. parti
e et externe (Cgi, Cge), le corps de Luys (CL), la capsule du noyau rouge (NR(c) et les quatre segments du noyau lenticulai
e confond avec les fibres de la partie interne de la capsule du noyau rouge (NR). La partie postérieure du segment postérie
au corps de Luys (CL). De la partie externe de la capsule du noyau rouge on voit se détacher les fibres fortement ondule
bandelette optique (II), le corps genouillé externe (Cge) le noyau rouge (NR) et la partie moyenne du tubercule mamillai
XL3, XL;, NL,, noyau lenticulaire et ses trois segments.-NR, noyau rouge . - 01, faisceau occipito-frontat. RC,radiations
. Nui, noyau du moteur oculaire commun. - NZ.3, putamcn. - Nil, noyau rouge . - oF,, oF,, partie orbitaire des première et t
doncule du tubercule mamillaire latéral (PTrnl). En dedans du noyau rouge (NR) se trouve le faisceau longitudinal posté-
e et de COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 611 la capsule du noyau rouge ; sa terminaison inférieure est encore inconnue.
plus grand développement au niveau de la partie supérieure du noyau rouge (NR), puis disparait progressive- ment, et la c
Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. Rc, faisceau cortical du noyau rouge passant par les radiations de la calotte. Rm, r
partie corticale des radiations de la calotte des- tinées au noyau rouge . Il dégénère il la suite de lésions de l'écorce c
et ses fibres dégénérées peuvent être suivies jusque dans le noyau rouge (Voy. t. II). Le ruban de Reil (Rm) forme sur c
région, aux radiations de la calotte (RC) et à la capsule du noyau rouge (NR) (Voy. Coupes suivantes). En dedans du ru
corps de Luys (CL), les couches supérieures de la capsule du noyau rouge (RC) et par l'extrémité postérieure de la bande
alotte (RC), et forment la partie supérieure de la cajisule du noyau, rouge . En avant des radiations de la calotte (RC) nou
ment du noyaù lenticulaire et anse du noyau lenticulaire. - NR, noyau rouge . P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
e du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), le long du bord interne du noyau rouge (NR), jusqu'au voisinage du faisceau longitudin
te, apparaît un noyau plus ou moins régulièrement arrondi, le noyau rouge de Stilling (NR). Il est carac- térisé par son
es inférieures une direction transversale. Le bord interne du noyau rouge (NR) est légèrement déprimé par un faisceau de li
au rétroflexe de J/eynl1'l (FM). En arrière et en dedans du noyau rouge apparaît, à l'union de la substance grise centr
anse du noyau lenticulaire (Al). En ar- rière et en dehors du noyau rouge (NR), on aperçoit le ruban de Reil médian (Rm)
naire. 11 se confond en avant et en dedans avec la capsule du noyau rouge , et on y reconnaît déjà très nette- ment, au mo
e fin calibre, groupées surtout au voisinage de la capsule du noyau rouge , les autres fibres de gros calibre, entourées d
et en dedans, entre le faisceau de Vicq d ? l;.r/r(VA) et le noyau rouge (NR), et se perd dans la partie interne de la c
rte en arrière et en dehors entre le corps de Luys (CL) et le noyau rouge (NR), puis atteint le ruban de Reil médian (Rm) q
ral (PTml) et l'anse du noyau lenticulaire (Al) embrassent le noyau rouge (NR); le premier contourne sa face externe, le
mier contourne sa face externe, le second sa face interne. Le noyau rouge (NR) constitue la formation la plus importante de
pé par le faisceau rétro- flexc de Meynert (FM). En dehors du noyau rouge et du pédoncule du tubercule mamillaire latéral
de. NI,, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). NR. noyau rouge . P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
l'insula. NA, noyau amygdalien. NC, tète du noyau caudé. NR, noyau rouge . ot, sillon collatéral. P, étage inférieur ou pie
our la plupart, qui forment en s'entre-croisant en avant des noyaux rouges (NR) une commissure décrite par Forel (e.h) et qu
interne du pied du pédoncule cérébral (P), le bord externe du noyau rouge (NR), et traverse le ruban de Reil médian (Rm) da
édoncule (P) de l'étage supérieur ou région de la calotte. Le noyau rouge (NR) a encore augmenté de volume. Le faisceau rét
suivante n° 5x (fig. 320), il la place du champ' de Forel, le noyau rouge de Stilling. En dedans du champ de, Forel, nous
et ? A'm, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). SB, noyau rouge . PTml, pédoncule du tubercule mamillaire latéra
ubercule quadrijumeau antérieur (Qa), la partie supérieure du noyau rouge (NR) et par la commis- sure de Meynert (CM).
avant du faisceau de la commissure postérieure , on trouve le noyau rouge (NR), entouré de sa capsule de fibres; il reçoit
lexe de Meynert (FM) sectionné obliquement et qui traverse le noyau rouge . La partie posléro-in terne de la capsule du noya
e le noyau rouge. La partie posléro-in terne de la capsule du noyau rouge est formée de faisceaux de fibres sectionnées p
l (Fth); de la partie centrale et antérieure de la capsule du noyau rouge , se détachent de gros fascicules de fibres un peu
ui constituent les radiations de la calotte (1C). Les deux noyaux rouges (NR) sont reliés au niveau de la substance perfor
Vicq d'Azyr (VA), et se perdent au voisinage de la capsule du noyau rouge . La bandelette diagonale de Broca (bd) a augmen
a partie supérieure du tubercule î2îaî ? îlllcii)-e(Tm) et du noyau rouge (NR) et par la partie inférieure du centre médian
e l'aqueduc de Sylvius dans le troisième ventricule (V.,). Le noyau rouge (NR) a augmenté de volume, et donne toujours nais
ou- jours sectionné obliquement, occupe la partie centrale du noyau rouge . Le corps de Luys (CL) a augmenté d'étendue; ne
s, ce dernier subdivisé en deux du noyau lenticulaire. NI ? , noyau rouge . or,, partie nrbitairc de la première circon- v
de la capsule interne (Cip) et la zone de 1,Veii ? icke(W). Le noyau rouge (NR) s'est peu modifié; en dehors et en arrière
M), qui sur la coupe précédente occupait la partie moyenne du noyau rouge , s'est porté en avant et en dedans et échancre le
noyau rouge, s'est porté en avant et en dedans et échancre le noyau rouge au voisinage de l'espace perforé postérieur (Ep
et qui limite en arrière les fibres qui forment la capsule du noyau rouge . La couche des fibres moyennes du tubercule qua
NLl troisième segment du noyau lenticulaire (putamcn). - NR, noyau rouge . P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
té- rieure et entoure le corps de Luys (CL), qui le sépare du noyau rouge (NR) et de la capsule de ce noyau. Il touche en
XL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). .YR, noyau rouge . P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébr
aux de la commissure postérieure (Fcop) forment en arrière du noyau rouge (NR) un petit champ assez mal délimité et compr
nstralilungen) décrites par Edinger ; elles sont destinées au noyau rouge et dégénèrent à la suite des lésions corticales,
dé. A'7, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). XR, noyau rouge . l', étage inférieur ou pied du pédoncule céréb
la partie postérieure du pied Au pédoncule cérébral (P). Le noyau rouge (NR) commence à diminuer de volume. Sa capsule de
(Flp), avec les fibres de la partie interne de la capsule du noyau rouge , puis avec les fibres radiculaires de la lzoi-
Ilg. 193 et 297). En arrière, le locus niger est séparé du noyau rouge et de la capsule, de ce dernier, par une zone d
3, troi- sième segment du noyau lenticulaire (putamen). - NR, noyau rouge . - P, étage inférieur du pédoncule cérébral. Pl
la figure 315. Cette coupe passe par la partie inférieure du noyau rouge (NR), les corps genouillés interne et externe (
iVL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). NR, noyau rouge . P, étage inférieur ou pied du pédoncule céré-
aspect semi- lunaire caractéristique, et coiffe en dehors le noyau rouge (NR).Dans la concavité du ruban de Reil médian
n se loge le faisceau de la commissure postérieure (Fcop). Le noyau rouge (NR) a diminué de volume, il est refoulé à la par
(Pcs). Ce faisceau augmente de volume et refoule en dehors le noyau rouge (NR), dont il occupe la place dans les régions pé
ons pédonculaires inférieures. Cette disparition graduelle du noyau rouge et cet aspect si particulier du pédoncule céréb
le considère à l'état frais, ont fait dire à Stilling que le noyau rouge des régions supérieures Au pédoncule fait place a
stérieur (Flp), le pédoncule cérébelleux supl'rieur (Pcs), le noyau rouge (-11) et l'extrémité interne Au locus niger (Ln),
it à angle extréme- .ment aigu, et en avant,' entre les deux noyaux rouges (NR), un entre-croisement de fibres transversal
Les fibres qui forment ce dernier entre-croisement naissent du noyau rouge et entrent après entre-croisement sur la ligne
e antérieure de cette coupe passe par la partie inférieure du noyau rouge (NR); la partie postérieure intéresse le sillon i
re et n'adhère plus il aucun organe de la base du cerveau. Le noyau rouge (NR) a diminué de volume, et sa place est occup
on des régions pédonculaires infé- rieures, et qui refoule le noyau rouge en avant et en dehors. Le pied du pédoncule cér
me paire. NQa, noyau du tubercule quadrijumeau antérieur. NR, noyau rouge . P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral
édoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Ce dernier, qui nait du noyau rouge (NR), ainsi que nous l'avons vu sur les coupes pr
une couche interne grise également, mais présentant une coloration rouge jaunâtre (fig. 330). Ces deux couches grises, a
ne et externe de Baillarger et la substance blanche sont colorés en rouge : 1\[, couche moléculaire. pPg, couche des petite
après Cajal. Les couches de fibres trans- versales sont colorées en rouge . I, il, Ili, IV, V, VI, VII, VIII, les Irait co
sissement de 12 diamètres. La circonvolution godronnée est colorée en rouge . Ci, corne d'Ammon et ses couches. - Alv, alvéu
- NUI, noyau du nerr moteur oculaire commun. NL" putamen. NR, noyau rouge . - oF 11, 0F3, partie orbitaire des première et
droit passant par la partie moyenne de la couche optique, le noyau rouge et le pédoncule cérébral. Méthode de Weigert. A
Fleclisig. - Ni, noyau interne du thalamus. Axa, putamen. - NR, noyau rouge . - OF, faisceau occipito-frontal. - OpPa, parti
rieur. - RC, radiations de la calotte. Re, faisceau cortical du noyau rouge , passant par les radiations de la calotte.- RTI
8 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
ration de sub-stance grise décrite par Stilling sous le nom de noyaux rouges . Une partie des fibres des pédoncules cérébelle
édoncules cérébelleux supérieurs contourne la face externe des noyaux rouges et va s'amortir dans les amas de substance grise
re et supérieure du bulbe, on rencontre un noyau ovalaire, de couleur rouge , brun, jaunâtre, c'est ïolive bulbaire; ce noyau
de couleur rouge-brun, jaunâtre, légèrement rosée; ce sont les noyaux rouges de Stilling. Leur forme est régulièrement sphériq
xtrémité supérieure du locus niger et le bord antéro-externe du noyau rouge de Stilling. Ce noyau, que nous appellerons corpu
entées, dont le volume et l'aspect rappellent les cellules des noyaux rouges (Pl. IV, 17; XXVI, 12; XL1I, 16). Le corpus Luy
Ce faisceau antéro-interne pédonculaire est sous-jacent aux noyaux rouges de Stilling. Il occupe le plan le plus inférieur
ur entre-croisement, ainsi qu'il a été dit plus haut, dans les noyaux rouges de Stilling, le locus niger et le corpus Luysii.
rouges de Stilling, le locus niger et le corpus Luysii. Les noyaux rouges de Stilling reçoivent par leur segment postérieur
incipal que les pédoncules cérébelleux supérieurs envoient aux noyaux rouges . Ce fascicule contourne le segment postéro-extern
rouges. Ce fascicule contourne le segment postéro-externe des noyaux rouges (Pl. XXVI), aborde la face postéro-interne du cor
ercules mamillaires et les tubercules quadrijumeaux apparaît le noyau rouge de Stilling, en rapport avec un faisceau de fibre
vec le centre postérieur (11) et le centre médian (12). 14. — Noyau rouge de Stilling; il émet en avant un faisceau de fibr
6) qui émane des pédoncules cérébelleux supérieurs. En avant du noyau rouge existe un petit noyau ovoïde décrit par M. Luys s
fine. Ce faisceau reçoit le contingent des fibres efîérentes du noyau rouge de Stilling et celui du corpus Luysii. La couche
ces deux noyaux, dans un plan inférieur et externe. 11. — Le noyau rouge est réduit à son segment externe ; en avant est s
xterne (8, 9, 10, Pl. VI). Au-dessous est le dernier vestige du noyau rouge de Stilling(ll, Pl. VI) et de la substance grise
u centre médian apparaît le faisceau des fibres efférentes des noyaux rouges de Stiiling se dirigeant en avant, où il se confo
ît le corpus Luysii (12, Pl. XXVI) et le segment supérieur des noyaux rouges de Stilling, qui émettent en avant un faisceau de
he optique. 12. — Corpus Luysii ou bandelette accessoire des noyaux rouges de Stilling. Ce petit noyau a une forme semi-luna
se mêlent au faisceau des fibres spinales antérieures. 13. — Noyaux rouges de Stilling, de forme sphérique, constitués par u
mé-diane (14). 15. — Faisceau de fibres efférentes issu des noyaux rouges de Stilling : il cons-titue un contingent des fib
des fibres spinales antérieures. 16. — Fibres afférentes aux noyaux rouges . Ces fibres viennent des pédoncules cérébelleux s
pédoncules cérébelleux supérieurs; elles s'enroulent autour du noyau rouge , pénètrent dans sa substance grise, où elles s'am
s cérébraux; en avant est le corpus Luysii, en dedans sont les noyaux rouges de Stilling qui ont acquis leur entier développem
-croisent sur la ligne médiane, puis de là se portent vers les noyaux rouges de Stilling, sous le nom de faisceaux afférents d
t suite à son homologue du bulbe. 13. —Segment inférieur des noyaux rouges de Stilling. 14. — Faisceau de fibres efférente
rouges de Stilling. 14. — Faisceau de fibres efférentes des noyaux rouges de Stilling. 15. — Faisceau de fibres efférente
pposé à celui de leur origine, ces fibres se dirigent vers les noyaux rouges de Stilling, sous le nom de faisceaux afférents.
au latéral du bulbe. En dedans apparaît le dernier segment des noyaux rouges de Stilling (13, Pl. XXVIII); le petit groupe de
dessous et un peu en dehors du centre moyen et, plus bas, les noyaux rouges de Stilling. Ces noyaux présentent un hile, tourn
— Coupe verticale transverse passant par le.segment moyen des noyaux rouges de Stilling. 1. — Portion moyenne ou voûte du
s nerfs moteurs oculaires communs. 18. — Substance grise des noyaux rouges de Stilling. Les fibres afférentes pénè-trent par
oyau lenticulaire et celle du corps strié. 20. — Arrivée aux noyaux rouges des fibres afférentes cérébelleuses. 21. —Corpu
ian n'est représenté que par sa partie la plus antérieure. Les noyaux rouges sont également moins développés, les faisceaux de
pe verticale transverse passant par le segment antérieur des noyaux rouges de Slil/ing. 1. — Portion moyenne ou voûte du c
re médian. 14. — Portion antérieure ou segment antérieur des noyaux rouges de Stilling. 15. — Faisceau de fibres efférente
ling. 15. — Faisceau de fibres efférentes antéro-latéral des noyaux rouges se portant dans la capsule interne. En bas et en
§ 2. Protubérance. Locus niger..................... 39 § 3. Noyaux rouges de Stilling..................... 39 Article 3.
L. Coupe verticale transverse passant par le segment moyen des noyaux rouges de Slilling. 132 XLI. Encéphale dont on a détac
9 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
nt l'état de la paroi. Quand la paroi est mince, l'anévrysme est d'un rouge violacé plus ou moins foncé, si le sang qu'il ren
formé en granulations graisseuses et en liématoïdine, l'anévrysme est rouge brun, ocreux ou même noirâtre ; et, généralement,
variable, quelquefois très nombreuses, diversement colorées depuis le rouge vif ou violacé jusqu'au brun rougeâtre ou noirâtr
s'obscurcit, la marche devient difficile,puis impossible; la face est rouge , la parole embarrassée, le pouls monte à 132 puls
— Vulpian. M.., 76 ans. Morte, le 11 mai 1867, d'un ramollissement rouge du noyau blanc de l'hémisphère gauche, en dehors
symptômes observés pendant la vie. Autopsie : Noyaux d'hépatisation rouge clans les lobes inférieurs des deux poumons; symp
s dans l'épaisseur de la substance grise. En outre de ces taches d'un rouge noir, on voit à la surface du cerceau et dans l'é
'on est indécis à rapporter à une hérnorrhagie ou à un ramollissement rouge d'ancienne date. Dégénération secondaire très pro
ait a donné lieu à la Société anafomique, qu'un cas de ramollissement rouge . Les anévrysmes miliaires ont été vus en coïnci
étache et la surface dénudée du derme apparaît alors comme une plaque rouge , humide, saignante, parsemée de taches ou de marb
rcle éliminateur et parfois en outre, les parties voisines deviennent rouges , luisantes, tuméfiées, chaudes et présentent en u
musculaires, paraissait sous le microscope assez fortement coloré en rouge , et cependant, on n'y voyait voyager qu'un très-p
sous-méningées ; dans la pachyménin-gite, le ramollissement blanc ou rouge ; enfin, lorsqu'une tumeur comprime fortement l'un
e douzième jour. T. R. 39°. Obs. IX. Page, 73 ans. — Ramollissement rouge dulobesphé-noïdal droit. Début le 13 Avril 1867
cinquième jour. T R. 41°, 2. Obs. X.Aubin, 80 ans. — Ramollissement rouge superficiel du lobe occipital droit. Thrombose du
s. A. — Ramollissement. Obs. XVII.Eméry, 75 ans. — Ramollissement rouge de la couche optique gauche et du pédoncule céréb
la fréquence; la peau est chaude et couverte de sueur; le visage est rouge , la respiration difficile. (1) » Ces derniers p
hysionomie exprime la stupeur; la face est animée, les pommettes sont rouges , les yeux à demi-clos ; les deux pupilles sont ég
ependant, ne présentent aucune altération ; elles sont seulement très rouges , tant par injection que par imbibition sanguine
la coloration des membranes, ce sont des cristaux. Ces cristaux sont rouges , vus par transparence; ils ont tous ou presque to
probablement confondu avec de véritables ecchymoses, certaines taches rouges ou de nuances diverses qu'on observe presque cons
ration, il ne reste plus que la table externe. Le tissu du diploé est rouge , mais n'est ni ramolli ni condensé; ses vacuoles
ntal avec le pariétal, une plaque jaune, rugueuse, tachetée de points rouges très fins et très serrés. Cette tache a la fargeu
rement à ce qui a lieu en général, la jointure avait été à l'origine, rouge et légèrement douloureuse, à la vérité, pendant q
de la compression de la moelle. Les articulations étaient tuméfiées, rouges et quelque peu douloureuses (2), de manière à sim
te rosée générale et, çà et là, des plaques d'injection sanguine d'un rouge vif ; on voit de plus ramper à sa surface, dans l
ns des membres supérieurs et inférieurs du côté droit, les synoviales rouges , vivement injectées, tuméfiées, villeuses ; tandi
é le siège principal des douleurs. Dans cette jointure, la synoviale, rouge , tuméfiée, parsemée d'ecchymoses, formait autour
sentent du côté dorsal un gonflement manifeste et une coloration d'un rouge violacé. La température de la main droite (3f °,
étendues ou fléchies sans provoquer de douleur. Les pommettes sont rouges , la langue sèche, le pouls à 100, la peau chaude.
ns remarquables : la membrane synoviale présente çà et là des plaques rouges , plus ou moins larges, fortement vascularisées, s
de la main sont volumineux; la peau présente là une coloration• d'un rouge livide, Il y a de l'œdème et l'impression produit
re spontanément. Mais d'autres fois, au contraire, les jointures sont rouges , tuméfiées, chaudes, douloureuses à un haut degré
blit d'abord, puis reparaît la notion du jaune, celle de l'orangé, du rouge , du vert et enfin du violet. En pareil cas, les c
couleurs cessent d'être perçues dans l'ordre suivant : violet, vert, rouge , orange, jaune et bleu. Dans un second groupe de
e, jaune et bleu. Dans un second groupe de malades c'est la notion du rouge qui reparaît en premier lieu : puis celle de l'or
rdre suivant : violet, vert, bleu, orangé, jaune et, en dernier lieu, rouge . On voit que l'ordre d'apparition et de dispariti
sées, de dehors en dedans dans l'ordre suivant : bleu, jaune, orangé, rouge , vert, violet (au centre). Or, chez les hystériqu
t plus une couleur différente. Chez quelques malades, la sensation du rouge persiste, alors que la notion du jaune et du bleu
côté anesthésié que du côté opposé. Chez certains malades, la couleur rouge est celle qui est ramenée la première par la méta
qué par M. Lan-dolt, c'est-à-dire de dedans en dehors : violet, vert, rouge , orangé, jaune, bleu. L'œil gauche étant fermé, l
gauche étant fermé, l'œil droit ne voit plus le violet, le vert ni le rouge ; les trois couleurs centrales ont disparu, alors
à la tctc, le violet peut être vu par l'œil gauche ; Je violet et le rouge sont vus par l'œil droit. La couleur rouge est re
l gauche ; Je violet et le rouge sont vus par l'œil droit. La couleur rouge est revenue la première, le vert ensuite, puis en
dans les deux yeux, puis, après elle, le jaune et l'orangé. Les zones rouge et verte reviennent dans l'œil gauche, mais le vi
constant. Ainsi, le violet disparaît le premier, ensuite le vert, le rouge et enfin le bleu que les malades peuvent voir jus
n. C'est le bleu qu'elle voit en premier, puis le jaune, l'orange, le rouge ; c'est ensuite le tour du vert ; le violet est p
entent une exception à la règle générale, en ce sens que la notion du rouge reparaît régulièrement chez elles avant celle du
nt : le violet disparaît d'abord, puis c'est le tour du vert, puis du rouge , puis du jaune. Le bleu persiste jusqu'au dernier
ception du violet, du veri, de l'orangé, du bleu, du jaune et même du rouge . Si l'on continue à observer la malade, que l'a
et, puis le vert, l'orangé, le bleu, le jaune, et en finissant par le rouge qui est la couleur dont les malades gardent le pl
is successivement et concentriquement viennent l'orangé, le jaune, le rouge , le vert, et le violet qui a la plus faible étend
qui c'est le bleu qui a le champ visuel le plus étendu, il y a les « rouges », c'est-à-dire ceux pour qui c'est le rouge qui p
lus étendu, il y a les « rouges», c'est-à-dire ceux pour qui c'est le rouge qui possède le champ visuel le plus étendu. Toute
te donc de la périphérie au centre les couleurs dans l'ordre suivant: rouge , jaune, bleu, orangé, vert et violet. C'est un fa
r le bleu tromperait: celle qui voit le bleu doit voir le jaune et le rouge , etc. De môme, lorsque la notion des couleurs e
aussi toujours reparaître dans un ordre rigoureusement déterminé. Le rouge doit reparaître le premier, puis, après lui, le j
sibilité cutanée. Cette jeune fille qui ne voit de l'œil droit que le rouge , ne reconnaît d'abord que la couleur rouge sur le
voit de l'œil droit que le rouge, ne reconnaît d'abord que la couleur rouge sur le disque de Newton que nous projetons sur ce
que je vous présente gagne, par l'action métallique, la perception du rouge de l'œil droit, elle perd, dans l'œil gauche qui
on, venant par derrière et latéralement. Il est des cas où ils sont rouges . A ce propos, il est intéressant de signaler, dan
ait escaladé les fenêtres de sa chambre portait un habit et un bonnet rouge : cette halluci-njdinrijroug£revenait toujours à
ats noir|)du côté gauche, côté de sa paralysie; celle-là voit un lion rouge , cette autre voit des rats à sa droite, cette der
les muscles de la face, surtout du côté gauche, les conjonctives sont rouges , les sourcils se contractent. La fixité du regard
ptique des auteurs ; 2° Le clignement a disparu. La conjonctive est rouge , les larmes coulent quelquefois sur la joue. L'an
cuit d'une pile de soixante éléments Bunsen. Il est de suite porté au rouge , fondu et vola-tisé. La pile de Zamboni, une de
opsie. 3° Ma... Hémianesthie gauche, avec achromatopsie, sauf pour le rouge . 4° Pil... Anesthésie générale, prédominant à dro
papier blanc, et on lui suggère que ce carré de papier est coloré en rouge ou en bleu. Au bout de quelques instants, on reti
qu'on lui a préalablement fait voir par suggestion. S'il s'est agi du rouge , le second carré de papier parait vert. d'être
nte rosée générale, et ça et là des plaques d'injection sanguine d'un rouge vif. On voit de plus ramper à sa surface, dans l'
10 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
t bien légitimement ses caractères distinctifs, nous plaçons un verre rouge devant les yeux de la malade. Immédiatement nous
sions sensorielles restent sans effet particulier. A travers un verre rouge , elle voit rouge, à travers un verre jaune, jaune
s restent sans effet particulier. A travers un verre rouge, elle voit rouge , à travers un verre jaune, jaune, à travers un ve
s diverses expériences. Tout d'abord l'expression de plaisir du verre rouge : c'est le duo d'amour ; la tristesse produite pa
n geste qui correspond bien exactement au jeu de physionomie. Verre rouge . — Sourire presque immédiat; expression de plaisi
la dyschromatopsie, l'anosmie, l'agustie, l'anesthésie, etc. Le verre rouge colorait en rouge les objets ambiants, le verre j
, l'anosmie, l'agustie, l'anesthésie, etc. Le verre rouge colorait en rouge les objets ambiants, le verre jaune en jaune, etc
si elle ne voyait pas quelque chose d'autre que des objets colorés en rouge , par exemple, elle nous regardait en souriant, pa
plus haut. Après l'avoir mise en catalepsie, nous plaçons un verre rouge devant ses yeux. Immédiatement sa face prend l'ex
les et interprète tout cela comme un individu normal. Placez un verre rouge devant ses yeux, il voit les objets teints en rou
. Placez un verre rouge devant ses yeux, il voit les objets teints en rouge . Le cataleptique, au contraire, bien que sa rétin
s simples produisant la gaieté, d'autres la tristesse par exemple. Le rouge , que nous avons vu provoquer des hallucinations g
t, tourne sa tête comme s'il fixait une personne ou un objet. Verre rouge . — Il se lève effrayé et cherche à s'enfuir... L'
. L'attaque survient qui clôt la scène. Deuxième expérience. —Verre rouge . Le placement des divers verres devant lesyeux du
e produit pas l'attaque et ne provoque aucune hallucination. Le verre rouge , au contraire, provoque instantanément une attaqu
ntion, remue les lèvres et semble en prières. Camphre. — Il devient rouge . Il fixe quelqu'un et veut se lever de son lit où
bleu, à brandebourgs oranges et jaunes. Il y avait aussi des hussards rouges à galons jaunes. Il tirait des coups de fusil dan
al, tire sur la bride comme pour arrêter sa monture. Il crie. Verre rouge . — Il fixe quelqu'un, fait le salut militaire en
it le geste de s'éventer avec sa chemise. Lo oorps était complètement rouge et la sueur perlait sur la peau. Compresse d'ea
e déboucher une bouteille avec un tire-bouchon (1). Puis boit. Vert rouge . — Il fait le mouvement d'enflammer une allumette
es uniformes des uhlans à brandebourgs orange et jaunes, des hussards rouges à galons jaunes, répond à l'application des verre
s rouges à galons jaunes, répond à l'application des verres orange ou rouge . Les mouvements qui s'exécutent au son du tambour
avec l'air de souffrir beaucoup, qu'il avait exécutés avec les verres rouge et orange. Ce que nous avons pris pour cueillir d
y tient une grande place. Le feu, le sang, des assassins, des hommes rouges qui la poursuivent, des bêtes, rats, crapauds, ar
es organes des sens et nous obtenons les résultats suivants : Verre rouge . — « Charles! viens à mon secours... Quoi ! tu es
tellement bien que l'on croirait presque y assister avec lui. Verre rouge . — Il voit un ami qui s'est coupé. Le sang ruisse
jaune la marchande d'oranges ou la femme habillée en jaune, le verre rouge la blessure sanglante. En un mot, ces malades s
hat, elle fut mordue par lui à la main gauche. La main gonfla, devint rouge et resta très douloureuse pendant trois ou (1)
travaillait pendant ces crises avec une grande activité, il devenait rouge , suait à grosses'gouttes. De temps en temps les y
à lire et déchiffrant comme avec peine : «C'est un grand poteau tout rouge ! » D. « Est-ce qu'il y a quelque chose dessus? »
Durée : 7 minutes environ. Son teint est un peu animé, sa face un peu rouge . La pupille droite est un peu plus grande que la
ur ses yeux en abat-jour, il lit dans le lointain sur un grand poteau rouge : « Jeune homme ! on vous a endormi avec une épin
oncé par lui à heure fixe, d'après la pancarte placée sur le poteau rouge , comme précédemment. A ce propos, il est bon de
voilà un poteau. » — D. « Quelle est la couleur de ce poteau? » R. « Rouge . » Et épelant une inscription la tête penchée en
Guinon est venu nous voir..., il était en chemise... Tiens! un dragon rouge !... Non, c'est Guiard. » D. « Vois-tu !à-bas M. B
les yeux. Oh ! là, là ! Oh ! là, là ! « ..... Oh ! tous ces hommes rouges . Ils veulent me tuer. Ils me suivent toujours.
il est fort. Je ne peux plus respirer maintenant. (Elle devient toute rouge et est prise de suffocations.) Je meurs, Alexis,
tortillée, si serrée? Desserrez-la. « .... Je suis habillée tout en rouge . J'aime bien cette couleur là, moi. Si ça ne vous
ille. Oh! il me fait mal aux yeux ; je vais le cacher, car les hommes rouges pourraient me le voler..... « ..... Oh! le beau
ève sa queue, quand il marche. Oh ! qu'il est beau. Il a les pattes rouges et les ailes. Tiens, il saigne. Cette pauvre peti
e pauvre petite bête; il est blessé. C'est au moins encore les hommes rouges qui l'ont tué..... « ..... Mon petit chéri, je
manche prochain. Oui. Que tu es gentil. Je t'attends. Ah ! les hommes rouges qui passent. Courons, courons. Ah! ils ne m'ont p
; il est tout bossu. Il louche comme un hibou. Ah 1 comme il est rouge ; qu'il est laid, mon Dieu, mon Dieu, que j'ai pe
je vais attraper du mal. Au secours! au secours! Tiens, les hommes rouges qui arrivent, et je ne peux pas me sauver, l'eau
ez des bains de mer. Ça va mieux..... « ..... Oh ! voilà les hommes rouges qui viennent à moi. Au secours. Ils vont me tue
n. Oh ! comme je serai belle, et avec cela je voudrais une robe toute rouge , des bas rouges, un chapeau rouge, tout rouge; j'
e serai belle, et avec cela je voudrais une robe toute rouge, des bas rouges , un chapeau rouge, tout rouge; j'aime beaucoup le
vec cela je voudrais une robe toute rouge, des bas rouges, un chapeau rouge , tout rouge; j'aime beaucoup le rouge, moi. «..
voudrais une robe toute rouge, des bas rouges, un chapeau rouge, tout rouge ; j'aime beaucoup le rouge, moi. «.....Je suis a
uge, des bas rouges, un chapeau rouge, tout rouge; j'aime beaucoup le rouge , moi. «.....Je suis au milieu de mon jardin, tu
s pas une tête à ça..... « ..... Je vous dis que mon père n'est pas rouge ; il n'a pas de robe rouge, non plus. Comme cel
..... Je vous dis que mon père n'est pas rouge ; il n'a pas de robe rouge , non plus. Comme cela fait drôle de voir tout rou
n'a pas de robe rouge, non plus. Comme cela fait drôle de voir tout rouge . Les arbres comme ils tournent, et, moi aussi, je
lade par les procédés dont l'énumération suit : En plaçant un verre rouge devant les yeux de la malade, sa physionomie revê
elconques laisse la cataleptique impassible, l'application d'un verre rouge sur les yeux amène sur sa face l'expression d'une
es excitations simples, on arrive à des résultats analogues. Un verre rouge placé devant ses yeux lui fait voir du sang : « Q
amarade imaginaire : « Tiens ! regarde-la donc avec son petit chapeau rouge ! Encore une qui va voir le brave général, pour s
fermés. On lui ouvre les yeux et on lui présente un verre coloré en rouge . Au bout de quelques secondes, le malade, avec an
c'est l'Exposition du « Blanc et Noir... » On lui présente un verre rouge ; toujours avec admiration : « La belle sanguine
'Exposition universelle de Paris en 1889). On lui présente un verre rouge . Le malade, avec anxiété, s'écrie : « Au feu !...
; pas besoin d'a-naphrodisiaque... » On place un étui cylindrique, rouge , devant les yeux du malade. Avec surprise: « Oh!
moins fixes ou moins identiques d'un moment à l'autre. Ainsi le verre rouge donne tantôt l'hallucination d'incendie, tantôt c
et — sereine — Laisse mon vote protesté. Inutile rameau, sa faulx rouge m'émonde. Les yeux secs, j'ai bien peu de regre
re de celle des ataxiques en ce que ces derniers perdent la notion du rouge et conservent au contraire le jaune et le bleu.
une dyschromatopsie presque complète : la malade ne voit plus que le rouge . Fig. 4 — Champ visuel de Marguerite Dia... dan
prend ses sens, elle se trouve « drôle », arrache vivement un tablier rouge qu'elle portait tous les jours et qu'elle dit ne
cot, t. ii. 16 des deux côtés pour toutes les couleurs sauf pour le rouge Enfin on note la présence de deux points hystérog
ouleurs. En appliquant sur un papier blanc l'hallucination d'un carré rouge , elle voit immédiatement, sur un autre papier bla
ent, de côté environ), d'abord blancs, puis colorés successivement en rouge , bleu, vert et violet. En même temps, la malade e
côtés, mais surtout à droite; le malade, de ce côtédà, ne voit que le rouge . L'ouïe est affaiblie des deux côtés, mais dava
11 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
pulaire. 14 mai. — W... est en attaques. — Décubitus dorsal. — Face rouge , dirigée à gauche; paupières closes, globes ocula
— W... distingue toutes les couleurs à droite et ne reconnaît que le rouge à gauche. 22 février. — Les règles ont paru cet
! » (Si on la réveille dans ce moment, elle dit qu'elle voit un lion rouge . (Pl. IV.) ne attaque. — a) Période épileptoïde
pilles dilatées : « Maman ! » compression : elle déclare voir un lion rouge . — Entre les attaques, il y a généralement un rep
ètres de l'oreille droite. Vue. — W... ne distingue à gauche que le rouge ; à droite, elle a la notion de toutes les couleu
reuse, quand soudain elle aperçoit un lion énorme, dont les yeux d'un rouge de sang sont fixés sur elle. W... veut se sauver,
l'aura précipite sa marche : les objets environnants paraissent tout rouges , et cela des deux côtés ; — la tête est lourde ;
Symptôme de ces attaques : nausées, vision colorée (elle voit tout en rouge ), sueur froide dans le dos, pâleur du visage : «
on attention sur un des assistants, affirme qu'il a les yeux verts et rouges . Elle prétend que « ce n'est pas beau ». — On rep
ite, on fixe son esprit sur Y assistant, en déclarant qu'il a un rond rouge autour des yeux ; enfin, on réveille P... en lui
est affreux et, après insistance, dit que c'est parce qu'il a un rond rouge autour des yeux, et que ceux-ci sont verts et rou
e qu'il a un rond rouge autour des yeux, et que ceux-ci sont verts et rouges . On réveille P... en lui soufflant au visage ;
ièce de dix centimes, la tête, 9 les lettres, etc. ; elle voit le rouge , le bleu, le noir et le blanc. A 11 h. 45, elle d
de la sécrétion sudorale : au niveau de l'aisselle droite, coloration rouge vermillon des poils ; sécrétion assez abondante q
vermillon des poils ; sécrétion assez abondante qui tache le linge en rouge . bilité est revenue sur tout le corps et la rac
», des mouches, des punaises, des étincelles, des lumières bleues et rouges , etc. A partir de minuit, insomnie. Elle a des «
aigne dans l'eau froide. — Hier, dans l'après-midi, les mains étaient rouges et très chaudes. M... se plaint de démangeaisons
griffes; il étendait les bras comme pour me saisir; il avait les yeux rouges ; son corps se terminait par une grande 1 En par
che ; la tête est dans l'extension, le cou à peine raide; la face est rouge , chaude, sudorale. Parfois on observe de petites
ont un peu injectées ; les pupilles moyennement dilatées. La face est rouge , chaude, sudorale. Ail heures et demie, D... re
ux, regarde, appelle la sous-surveillante et se rendort ; la face est rouge , chaude, couverte de sueurs. Le pouls est régulie
bes étaient rigides. Là, on lui a fait des cautérisations avec le fer rouge sur la jambe gauche. Pendant son séjour, les geno
dans la tête. J'ai des bouffées de chaleur et ma figure devient toute rouge . Ça me travaille dur. » Elle a n des fourmillemen
tion générale est la même que dans la précédente attaque. La face est rouge , un peu chaude; les paupières sont closes, fréque
(84) sont assez forts et réguliers. R. 20 ; T. V. 36°, 9. La face est rouge , un peu violacée ; les paupières sont fermées, ta
s : soulèvement léger de la tête, rigidité plus forte des bras ; face rouge , battements des paupières, inspiration sifflante,
une attitude, la conservaient pendant quelques minutes. La face est rouge , chaude, quelquefois sudorale. Les paupières sont
plète et on voit les uns appliquer leur langue sur une barre de ter rouge , tandis que d'autres, inondés de sang, mâchent à
où l'on représentait une révolution : c'étaient des nègres aux ytux rouges , les dents bleues qui se battaient avec des armes
mêlaient des rêves pénibles, dans lesquels la malade voyait des yeux rouges , des dents bleues, du sang, etc. Zones hyslérog
-ciel au-dessus de sa tête... Il y a une belle lueur derrière elle... rouge , blanche... Je croyais qu'il n'y avait qu'un Jésu
te les troubles suivants : des deux côtés, S... distingue le vert, le rouge , le jaune et le blanc; le bleu lui paraît gris, l
t, le rouge, le jaune et le blanc; le bleu lui paraît gris, le violet rouge . Elle voit un peu mieux de l'œil droit. A certain
gnées de couleur grise ; il n'y a ni flammes, ni étincelles, ni boule rouge ). S... sent que son cou se raidit, que ses bras t
. Nous ferons bien de rentrer... L'air est froid... Le temps est tout rouge ... Oh! il va y avoir une tempête effroyable... Re
l'orage qui commence. (Soubresauts des épaules.) Oh ! ces poissons rouges ... Je n'en ai jamais vu comme çà dans la mer... U
are n'éprouver aucune souffrance. Elle a, sur chaque joue, une plaque rouge ; d'après elle, il en serait toujours ainsi chaqu
l en serait toujours ainsi chaque fois qu'on l'endort, et ces plaques rouges , qui s'accompagnent d'une sensation de chaleur ,
u Satan, qui apparoift là tantoft en forme d'un grand homme noir ou rouge , géhenne, tourmenté flamboyât comme vn feu qui fo
12 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
e. Les raies, tracées avec l'ongle sur le ventre, restent longtemps rouges . Les membres sont dans la résolution la plus co
d'humidité dont on ne peut les débar- rasser qu'en les chauffant au rouge et qu'ils reprennent, avec (1) La solution prim
d'un creuset, il est indispensable de le peser, de le chauffer au rouge et de constater par des pesées successives, le mo
porcelaine, taré exactement, qu'on chauffe ensuite à la moufle, au rouge ordinaire, puis au rouge vif, en ayant soin d'é
ent, qu'on chauffe ensuite à la moufle, au rouge ordinaire, puis au rouge vif, en ayant soin d'éviter les pertes par proj
après évaporation de l'acide azotique, le résidu a été chauffé au rouge . Le nouveau résidu obtenu en dernier lieu a été
évaporé au bain-marie le premier échantillon, puis j'ai chauffé au rouge le résidu dont il sera question plus loin. La cap
e à une température suffisamment élevée, . a été de même chauffé au rouge , puis traité par l'acide azotique. J'ai obtenu en
alade n'a pas d'autre sensation que celle du froid. Entre la région rouge et refroidie et la région avoisinante, chaude e
t de la vessie de glace la région, qui tout à l'heure était froide, rouge , insensible, a recouvré sa tem- pérature, sa co
bu; je........ n'ai........ pas bu ! '/1 Le cou et la face étaient rouges et brûlants ; la peau sur le reste du corps (ma
, sous l'influence de la con- gestion, prennent une couleur d'abord rouge vermillon, puis rouge bleuâtre ; celle-ci fait
con- gestion, prennent une couleur d'abord rouge vermillon, puis rouge bleuâtre ; celle-ci fait place, à son tour, à une
inutes, on fit une seconde inhalation de 10 gouttes. La face devint rouge , noirâtre; les plaintes et les mouvements de la
tique. A peine un accès est-il fini qu'un autre commence; lafaceest rouge , vultueuse, couverte de sueurs; la bouche laiss
ulaire, des deux côtés, est légèrement injectée. Les paupières sont rouges , les joues fraîches, le cou rigide. Il existe u
orte à gauche, en arrière, à droite. La face, d'abord pâle, devient rouge ou violacée. Les yeux sont dirigés en haut et à
-~~~i ' -t de ses crises ? Elle voyait des 0 Je colorés eu vert et en rouge . âfÛ ! J ? {"-l- - ' nitrite d'amyle. 103 q
ite en se succédant avec une certaine régularité. La face devient rouge , les yeux se portent à gauche, à droite, les pupi
de la face augmente ainsi que la déviation des yeux ; - le cou est rouge , tendu, comme gonflé et présente un pointillé e
on de 12 gouttes de nitrite d'amyle. Le face se colore vivement .en rouge vermillon; durant l'inhalation deux attaques av
de 20 gouttes de nitrite d'amyle. La face prend une coloration d'un rouge vineux; les lèvres, les gencives, la conjonctiv
ion, elle avait devant les yeux des milliers d'étincelles bleues et rouges . Elle se souvient qu'elle remuait les yeux et l
avant-bras,, i- ue et un peu le ventre et les cuisses sont devenus rouges roses On se rend bien compte de cette coloratio
d'amyle; les convulsions s'arrêtent; la face et le' cou deviennent rouges . - Après un répit de trois ou quatre minutes, o
on de la tète, etc.). Nouvelle inhalation (10 gouttes) : coloration rouge , puis bleuâtre du visage, cya- nose des lèvres,
iste pendant quelques ins- tants, puis le mélange prend une couleur rouge brun et, quand on. le laisse re- poser, il devi
réquent, les uri- nes sont rares et chargées ; elles sont, de plus, rouges et trou- bles par moments et d'autrefois blanch
peine et dans certaines positions seulement, en noir, la couleur rouge carmin et le bleu de Prusse (de l'échelle nO) 0 d
it. Il distinguo le bleu ; Foranger lui parait un peu rougeâtre, le rouge carmin est vu en noir. Toutes les autres couleu
n oplttltal1lloscopique. a) OEil gauche. La papille gauche est plus rouge que la droite ; de là, un peu moins de netteté
n'a pas diminué. 14 mars. La face et le cou sont parsemés de taches rouges , je phénomène assez commun et se montrant par a
le est obligée de s'asseoir ; sa figure prend une co- loration d'un rouge pourpre. Sa nourriture se compose d'un peu de l
des cris étouffés; l'infirmière ac- court et la trouve avec la face rouge , grimaçante, contorsion- née, la tète fortement
on. OEil droit. Elle compte les doigts à un mètre. Elle reconnaitle rouge ; l'orange lui parait rouge; le jaune, marron;
les doigts à un mètre. Elle reconnaitle rouge ; l'orange lui parait rouge ; le jaune, marron; le bleu, le vert et le violet
II que, certains jours, la quantité d'eau (représentée par la ligne rouge ) est au voisinage de 0. Le plus souvent l'ex- c
Elle souffrait de douleurs lom- baires très-vives, son visage était rouge , ses yeux lar- moyants, elle s'agitait sur son
13 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
; une fois, un gros chat saute sur ses erenoux. Wit... voit un lion rouge à sa gauche \ elle a par instants comme un brouil
ou dans l'autre, ou bien se croisant. Ce sont des militaires vêtus de rouge avec des bandes bleues, et des « hommes de bureau
si le cortège de l'enterrement du pape, une longue suite de cardinaux rouges , etc. Souvent, au milieu de la nuit, on la voit
,8, la chaleur reparaissait, les doigts et les ongles devenaient très rouges , étaient le siège d'une transpiration abon-dante,
Depuis une heure elle a le front, les deux joues et les oreilles très rouges , contrastant avec le bas de la fi-gure qui est tr
contrastant avec le bas de la fi-gure qui est très pâle. Les parties rouges sont chaudes au toucher. Les bras sont plus raide
tes effrayants dont les yeux caves lancent du feu. Il y a des flammes rouges partout. Les squelettes essayent de l'attirer à e
roses. Elle s'y promène au bras du préféré. Les soldats sont vêtus de rouge et portent de grands pompons de cette couleur. La
illes. Tous les personnages n'ont pour vêtement qu'une large ceinture rouge , à l'exception d'Ernest qui porte un costume espa
plus sanglants. Elle appelle aussi « maman ». Elle voit des lions rouges et des lézards au bec rouge qui lui causent une f
e aussi « maman ». Elle voit des lions rouges et des lézards au bec rouge qui lui causent une frayeur extrême. Ler... nou
rire... Ça fait autant de bien... Si papa me demande pourquoi je suis rouge , je dirai que j'ai couru... J'ai été te voir hier
arquée par les mêmes hallucinations : c'est la musique des militaires rouges qui se fait entendre, et la malade, attentive et
la musique, elle fait signe du doigt. C'est la musique des militaires rouges . Soudain, elle est saisie d'une grande frayeur
de l'at-taque, ne manque jamais d'entendre la musique des militaires rouges et de voir des rats. Obs. Ler... 5 février 4878
oreiller. 3e Période. — Attitudes passionnelles ; — elle voit le lion rouge ; — crainte, terreur et menace; elle lève le po
t... (Son regard suit quelque chose en l'air.) Oh ! les belles fleurs rouges ! il y a des bêtes dedans, des mouches de toutes l
ulier qu'au moment où vont éclater les convulsions, elle voit tout en rouge . 26 septembre 79. —Juliette Dub... a ses attaqu
ient... Ils ne sont pas si beaux que chez nous, ils n'ont pas de tête rouge . » Elle les chasse du geste. « Tiens, voilà le pè
st grande ouverte, les yeux fermés convul-sivement, et tout le visage rouge et contracté. Les bras s'élèvent et font le mouli
on, et elle voit pendant quelques instants tous les objets colorés en rouge . Les attaques d'Ernestine se rapprochent de l'h
Elle voit alors de gros rats noirs avec de longues queues et des yeux rouges . Voici une série d'attaques prise dans tous ses d
ête dans ses couvertures, se tournant de côté et d'autre. La face est rouge , les yeux sont fermés, les paupières se laissent
de toutes sortes et particulièrement par des poulpes aux grands bras rouges qui s'attachent à ses pieds, et par des ser-pents
ent des attitudes de frayeur, le faciès devient horrible, la face est rouge et les yeux injectés. Enfin la malade retombe d
ors sur le col même quelques petites cautéri-sations ponctuées au fer rouge . Dès la première cautérisation les crises furent
les scènes qu'elle retrace. Elle voit également l'es objets teints en rouge . Elle demande de l'eau, on lui en apporte. Elle n
: « C'est du vin, dit-elle; je vous demande de l'eau, l'eau n'est pas rouge . » On lui apporte un bain de pieds sinapisé. Elle
ue et de l'ouïe. Elle entend des voix d'hommes,'ceux-ci sont vêtus de rouge et sem-blent grimper le long des arbres pour péné
e et mé-lancolique. Elles se plaint de ses parents et voit des hommes rouges qui la saisissent du côté gauche et l'emportent e
ête s'est affaissée, appuyée sur l'épaule gauche, le visage calme est rouge et légèrement tuméfié, les paupières sont baissée
rémités supérieures et inférieures et du corps. La face alors devient rouge , turgescente, les yeux sont saillants, mais on ne
ouverts, étincelans, ne distinguant aucun objet ; face gonflée, d'un rouge violet ; abdomen, poitrine, cou tuméfiés, pouls d
ps se succèdent; la respiration est laborieuse et bruyante, le visage rouge , les jugulaires gonflées, peu d'é-cume à la bouch
n est imminente; la stran-gulation fait tirer la langue : la peau est rouge et pâle alternativement; les convulsions et le ca
sse est le siège de vives douleurs limitées par le genou, un peu plus rouge et plus volumineux qu'à l'état normal. » La jam
! maman, réponds-moi. » Les bras sont projetés au loin, la figure est rouge , mais non convulsée, la tète non déviée, il y a i
et des membres. La respiration est gênée; le cou grossit, la face est rouge , les yeux sortent de leur orbite. Des cris violen
ation ? Pendant cette seconde phase de l'attaque, la face est moins rouge , la res-piration est toujours très lente, le poul
autour de lui. « Pendant toute la durée de l'attaque le visage est rouge , les pupilles modérément contractées, le pouls es
xtraordinaire delà poitrine, du col et de la figure, qui devient d'un rouge violet, ou reste très pâle; resserrement plus con
a poitrine, la face et le col se gonflent et deviennent pâles ou très rouges et livides, ce qui est le cas le plus ordinaire c
plus grande, elle est presque tonique. La tête est renversée, la face rouge et tuméfiée ; la langue souvent dépasse les dents
s, les pieds en l'air et appuyée contre le mur. La figure était alors rouge , gonflée, anxieuse. La respiration s'arrêtait un
uleurs... Notre-Seigneur a de longs cheveux bouclés, une grande barbe rouge ; il est beau, grand, fort, tout en or. La sainte
saillants du délire hystérique, le rôle important que joue la couleur rouge dans les hallucinations. Je rapprocherai de ce fa
n lui affirmant qu''dle se trompe, que les uns sont bleus, les autres rouges ou jaunes, etc.. elle nous soutient qu'elle ne vo
utre attaque de la môme série, elle voyait le ciel! les anges, bleus, rouges , blancs! des boules brillantes! des étoiles!..-Un
ans son lit, les yeux fixes et grands ouverts, elle décrit une flamme rouge qui la brûle, qui l'entoure, ([ui lui entre dans
récédente. Sa poitrine est haletante, sa démarche saccadée, sa figure rouge , ses yeux hagards aux pu-pilles fixes et extrêmem
t qu'une urtication qui donne naissance à des papules énormes et d'un rouge intense ne procure à la ma-lade qu'une très légèr
nt convulsés en haut, la tête fortement renversée en arrière, la face rouge , absolument comme dans un accès d'épilepsie. Jama
clatanle; quelques minutes après, elle voit une lumière éblouis-sante rouge , et cette vision reparaît à plusieurs reprises av
il y avait un léger raidissement du corps et un moment de coloration rouge à la figure. L'observation suivante due à M. La
anoramas ; il entend des chants, de la musique, il voit des lanternes rouges qui se balancent suspendues aux arbres. Il marche
leurs têtes, et de l'autre de longs cierges, qui, à la lueur d'un feu rouge et tremblant, jetaient une lumière terne et bleuâ
ne queue fourchue, toute noire, et ter-minée par trois lanternes, une rouge , une verte et une blanche. Cette appa-rition se p
uel est le plus étendu : viennent ensuite le jaune, puis l'orangé, le rouge , le vert; enfm le violet n'est perçu que par les
onstater en effet que, chez un grand nombre de malades, c'est pour le rouge que le champ visuel est le plus étendu; puis vien
econnue pour l'état normal. S'il s'agit d'une malade chez laquelle le rouge est, dans l'état normal, la couleur dont le champ
. Puis la maladie progressant, le vert, le bleu, le jaune et enfin le rouge disparaîtront successivement. Au degré le plus
en fait erreur en prenant une couleur pour une autre, le vert pour le rouge par exemple, tandis que l'hystérique achromatopsi
uleur dont le champ offre le plus d'étendue, c'est le plus souvent le rouge : puis c'est le tour du jaune, du bleu, du vert,
perdue la première, puis celle du vert, du bleu, du jaune et enfin du rouge . De telle sorte que si l'on veut, suivant l'étend
nt l'ordre indiqué en commençant par le violet et en finissant par le rouge , dans l'œil primitivement affecté ; et re-paraît
L'achromatopsie n'est pas complète, la malade a conservé la notion du rouge . Elle distingue donc la couleur rouge des deux ye
malade a conservé la notion du rouge. Elle distingue donc la couleur rouge des deux yeux, mais de l'œil gauche elle ne disti
des couleurs. Nous avons dit qu'elle ne distinguait de cet œil que le rouge ; en effet, toutes les autres couleurs qui lui so
gue plus aucune de l'œil droit, à l'exception toutefois de la couleur rouge , qui comme nous l'avons vu, existait dans l'œil a
m. 30 s. celle du bleu. A 9 m. 40 s. celle du jaune. La notion du rouge persiste. Voici la malade revenue à l'état premie
sparition du bleu. A 15 m. 25 s. disparition du jaune. La vision du rouge persiste. 3'' oscillation. — A 17 m. 10 s. reto
m. 20 s. disparition du bleu. A 21 m. 40 s. disparition du jaune. Le rouge persiste. 4' oscillation. —A 24 m. 25 s. retour
. A 27 m. 50 s. disparition du bleu. A 28 m. disparition du jaune. Le rouge persiste. 5*^ oscillation. — A 30 m. 45 s. reto
A 33 m. 35 s. dispa-rition du bleu. A 34 m. disparition du jaune. Le rouge persiste, 6° oscillation. — A 36 m. 10 s. retou
m. 20 s. disparition du bleu. A 38 m. 40 s. disparition du violet. Le rouge persiste. 7' oscillation.— A 40 m. 10 s. retour
. A 43 m. 50 s. disparition du bleu. A 44 m. disparition du jaune. Le rouge persiste. 8° oscillalion. — A 51 m. 30 s. retou
servation page 5'r2. Les couleurs sont figurées ainsi qu'il suit : le rouge par des lignes verticales ; le jaune par un point
ion du bleu. A 55 m. disparition du jaune. 56 m. 10 s. disparition du rouge . A ce moment pendant trois minutes, c'est-à-dire
ssent dans l'œil gauche. 9'= oscillation. — A 60 m. 25 s. retour du rouge . A 61 m. 35 s. retour du jaune. A 62 m. 20 s. ret
. A 66 m. disparition du bleu. A 66 m. 25 s. disparition du jaune. Le rouge persiste. 10"= oscillation. — Retour définitif
ons devant une de nos malades un dis-que composé de secteurs verts et rouges complémentaires. La malade est achromatopsique pa
a perdu la notion du vert, mais elle distin-gue fort bien la couleur rouge . Elle déclare donc que le disque est rouge et bla
n-gue fort bien la couleur rouge. Elle déclare donc que le disque est rouge et blanc. On fait tourner rapidement ce disque. P
ourner rapidement ce disque. Pour un œil normal les parties vertes et rouges se confondent en vertu du mouvement de rotation e
,devrait avoir la sensation, lors-que le disque tourne, de la couleur rouge mêlée de blanc, c'est-à-dire du rouge clair. Et c
le disque tourne, de la couleur rouge mêlée de blanc, c'est-à-dire du rouge clair. Et cependant il n'en est rien. De même qu'
anc. Les rayons verts qu'elle ne voit pas s'a-joutent donc aux rayons rouges qu'elle perçoit pour reconstituer la lumière blan
— Nous faisons la contre-épreuve en faisant tourner à côté du disque rouge et vert un disque rouge et blanc. La malade affir
e-épreuve en faisant tourner à côté du disque rouge et vert un disque rouge et blanc. La malade affirme que ce dernier est ro
à voir cette couleur, on ne comprendrait pas que l'addition de rayons rouges amenât la reconstitution du blanc. Il nous semble
gée, mais elle a néanmoins une action, puisque ajoutée à la vibration rouge complémentaire elle reconstitue la lumière blanch
r l'œil gauche qui n'a conservé que la vision d'une seule couleur, le rouge . L'œil droit distingue parfaitement toutes les co
aient manquer à cette double règle : a) une malade qui ne voit pas le rouge ou le bleu, suivant les cas, ne saurait distingue
qui, à l'instar des daltoniens, fait erreur sur la couleur, prend du rouge pour du vert, par exemple, est une hystérique qui
ouleurs. Les danseurs d'Allemagne ne pouvaient supporter la couleur rouge , dont l'influence, dit Hecker, sur les nerfs atta
n Allemagne les danseurs ne pouvaient supporter la» vue de la couleur rouge . En Italie, cette sympathie ou cette aversion p
ble. On vit même des tarentés ne point se lasser d'admirer la couleur rouge , d'autres s'extasiaient devant le vert. « Et de
mouvoir la tête jusqu'à terre, devant, et sur le dos, ayant le visage rouge comme flamme de feu. 3» Le 10 avril, Belzebud s
sorcier s'était frotté. Elle était très puante et noire tirant sur le rouge . On m'essuya les mains avec un linge blanc qu'on
considère l'hostie qu'il te donne, et tu verras qu'elle est écrite en rouge par dessous ; c'est lui, n'en doute plus, qui, pa
ces mots indéfiniment répétés : « S..... nom!: S... ch...gne! S... rouge ! » (EUesappellent rouges ceux â la piété desquels
épétés : « S..... nom!: S... ch...gne! S... rouge! » (EUesappellent rouges ceux â la piété desquels elles ne croient pas); q
fin, elle s'enroua horriblement, et sa figure devint si tendue et si rouge , que nous nous attendions à la rupture de quelque
eignes brillants, les boutons, les pendants d'oreilles, les vêtements rouges et autres futilités ; bien des fois les malades p
14 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
it de cet exercice, les trois bâtonnets de gauche portent un bouton rouge et les trois de droite un bou- ton jaune. Les t
'aide d'un soulier à lar- ges oeillets, entourés alternativement de rouge et de bleu, dans lesquels l'enfant fait passer
Fig. 32. Fig. 33. .. Agrafage, enfilage, etc. xxix également rouges et bleus (Fig. 33), à agrafer (Fig. 34), à enfi
n tableau avec deux planchettes rectangulaires coloriées l'une en rouge , l'autre en jaune, puis tableaux de couleurs de
es majuscules de 0,12 en noir; b) alphabet complet avec voyelles en rouge et consonnes en noir ; c) lettres minuscules de
n noir ; d) alphabet complet de lettres minuscules avec voyelles en rouges et consonnes en noir ; e) le zéro et les neuf p
f) le même tableau avec nombres impairs en noir et nombres pairs en rouge . Nous pas- sons ensuite à la reconnaissance nom
lles Fig. 40. Fig. 47. XLIV DESSIN ET écriture. qu'un losange rouge inscrit dans un carré bleu, une fleur à pétales
autre tableau ayant trait aux couleurs, et où en face d'un carré rouge par exemple a été peint un coquelicot, etc. (PL
l'eau l'éosinate de sodium. Les selles sont fortement colorées en rouge . 27 mai. - La rougeur et le gonflement ont disp
trou- bles des fonctions digestives. selles fortement colorées en rouge . Urines peu abondantes, fluorescentes, sans sucre
ls à 68. Appétit conservé, pas de diarrhée, selles très colorées en rouge . - Urines, (quantité : 1.500 grammes) pré- sent
n'atteignant pas 15 mu, de diamètre. Sur la nuque, grandes plaques rouges de 7 cm. de long sur 5 de haut. A ce niveau, l'
r le côté du cou, le long du bord externe du trapèze, la peau est rouge et indurée, comme si un furoncle allait se former
ppareils respira- toires ou digestifs; selles fortement colorées en rouge . Pouls à 78. Pas d'élévation de température.
x lèvres ; le malade ne peut ouvrir l'oeil gauche. Muqueuse buccale rouge mais sans gonflement; pas de gêne de la dégluti
pas de cons- tipation ni de diarrhée, selles /brtement colorées en rouge . Urines (1 litre 1/2) vertes à la lumière réflé
nate de sodium du premier juin au 31 août. 9 juillet. - Coloration rouge vif de la face; léger gonfle- ment du front et
. - Eosinate du 7 juillet au 31 août. 16 juillet. - Légère teinte rouge des pommettes. z août, - Rougeur diffuse de la
sséminée qui ne présente, guérie, de particulier, que la coloration rouge sombre, la confluence à la face, clans le clos,
s d'elles un noyau d'induration. Leur coloration varie du rose au rouge vif foncé, parfois scarlatiniforme. Elles dispa-
colorée et très fluorescente.- Elle donne par agitation une mousse rouge . Analyse des U1UNES. ' 51 Urine très trouble,
ns l'aisselle et il la par- tie postérieure de l'épaule des plaques rouges avec quelques vésicules claires. Il crut que c'
. Le soir 64 XOXA TIIUIt : ICU-liltAC111 : 1L. toutes les parties rouges étaient recouvertes de vésicules ou de phlyctèn
au du troisième espace intercostal, il y a une traînée de plaques rouges de dimensions variables, de forme ovalairc à gran
saine. Sur les surfaces 1- il. 1. 1. Zona thoraco-brachial. 65 rouges , il y a, répandues sans ordre, une série de vésic
a ligne mamelonnaire, elle va se con- fondre avec une énorme plaque rouge présentant trois grandes phlyctènes jaunâtres e
partie interne du tiers supérieur du bras, il y a une vaste surface rouge sur laquelle sont dissé- minées des vésicules d
il y a une série de surfaces Fig. 3. Zona thoraco-brachial. 67 rouges avec des vésicules rassemblées autour de l'épine.
. La peau correspondant aux plaques éruptives a une coloration d'un rouge brunâtre. 25 janvier. - Les lésions cutanées on
s foncés. - Gr.. confond toutes les couleurs, comme le violet et le rouge , le jaune et le rouge, prend du noir pour du ja
nd toutes les couleurs, comme le violet et le rouge, le jaune et le rouge , prend du noir pour du jaune. - Nez droit, mais
Très altérée, demande conti- nuellement à boire. Langue saburrale, rouge sur les bords qui sont fendillés et desséchés.
Les muscles disséqués sur le membre inférieur droit sont partout rouges , d'aspect normal. L'articulation du genou corre
is jours. A l'âge de 4 ans, menaces de congestion cérébrale (face rouge , céphalalgie, convulsions internes : ses yeux se
thymus était gris ou rosé. Sept fois nous avons trouvé le thymus rouge , d'un rouge sombre même. Dans un cas (voir n° 44
ait gris ou rosé. Sept fois nous avons trouvé le thymus rouge, d'un rouge sombre même. Dans un cas (voir n° 44 du tableau
xie thymique. Il est intéressant de remarquer que tous les thymus rouges , injectés appartenaient à des enfants morts de
us marqué au thorax. Sur les cuisses, on note quelques papules d'un rouge brunâtre, isolées par des intervalles de peau s
culeuse. 173 i qu'une seule phlyctène. Les lèvres et le menton sont rouges ; on y note une légère desquamation furfuracée;
tes. Les sutures pariéto-occipitales sont dessinées par une traînée rouge . Elles présentent plusieurs os wormiens de 10 à
s. Pondant cette phase tétaniforme, la face devient de plus en plus rouge . Période clonique. - Secousses cloniques assez
15 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
s, augmentation de volume de la main et des doigts, avec coloration rouge vio- lacé. Douleurs intermittentes. Un peu d'in
er. Mêmes constatations aux mains. Pendant l'examen, une coloration rouge franc apparaît aux membres inférieurs : cette c
us du poignet d'un bleu noirâtre : il y a seulemeut des taches d'un rouge brique; la limite est franchement circu- laire.
l peut se souvenir, ses mains ont toujours été colorées en été plus rouges , en hiver plus bleues ; dès qu'il faisait chaud,
nt devenus souvent froids et un peu bleus ; le nez devient facilement rouge et chaud. Céphalées fréquentes, mais pas de vom
. En général, il boit deux absinthes par jour, un demi-litre de vin rouge aux repas, assez sou- vent un litre à un litre
viron, la coloration des mains et des pieds change. La peau devient rouge , puis violette. Cette coloration ne disparaît pas
que sont bien conservées. Les mains ont une coloration qui varie du rouge au violet : dans presque toute l'étendue de la
inance pour telle ou telle région. Quelques places sont un peu plus rouges , sans qu'il soit possible d'établir des règles
iée, la lèvre supérieure a fondu et n'offre plus qu'un mince liséré rouge ; elle nous présente une encoche mettant constamm
de rétrécissement du champ visuel, ni de dischromatopsie. La raie rouge vasomotrice de Vulpian est plus longue à se produ
rsontmoindres, et l'oedème se transforme assez vite. De chaud, mou, rouge et douloureux, il devient dur, lardacé, blanc,
tôt qu'il ne peut en être ainsi. Car la position n'est pas comme le rouge , le chaud, une donnée simple, absolue, élémenta
bien qu'il ait fallu un Descartes pour l'apercevoir. La sensation de rouge perçue par moi n'a aucun rapport imaginable ni
es ; à côté, un pot de pharmacie en faïence de Delft, capuchonné de rouge . Les mêmes accessoires figurent sur le tableau du
tre mar- ron. Il est assis derrière une table recouverte d'un tapis rouge . De la main gauche, il tient l'urinai qu'il dir
BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE. LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE . DÉGÉNÉRATIONS SECONDAIRES. PAR PIERRE MARI
ns observé, au cours d'une autopsie, une lésion ancienne d'un noyau rouge ayant déterminé la dégénération secondaire de dif
phie DE la Salpêtrière. T. XVI. Pl. XVII LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE Dégénérations secondaires. (Pierre. Marie et
, Editeurs 1'l,oratN.Pie llen1umJ, P1Js. LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE 81 A gauche pupille de dimension ordinaire et à
croscopiques nous avons rencontré une lésion siégeant dans le noyau rouge du côté droit. Il s'agit soit d'un ancien tubercu
an- che XVII), la lésion est bien localisée dans la région du noyau rouge . Ce- lui-ci et sa capsule ont été complètement
on a disparu,elle est donc nettement localisée à la région du noyau rouge du côté droit. C'est, pourrait-on dire, une vérit
re, une véritable des- truction expérimentale de la région du noyau rouge . Sur les coupes colorées avec la méthode de Wei
ndaires. (Pierre Marie et G. Guillrrin). LÉSION ANCIENNE DU NOYAU ROUGE 83 Cette observation est intéressante, au point
iplégie infantile est-elle sous la dépendance de la lésion du noyau rouge et des voies motrices de la calotte ? Le fait est
fosse temporale gauche s'ouvre une fistulette, en- tourée de tissus rouges , bourgeonnants, indurés, peu mobiles sur le plan
siste qu'une petite lumière irrégulière contenant quelques globules rouges , entourée de tissu homogène ou légèrement fibrill
dans toutes les coupes il y a plusieurs gros infarctus de globules rouges . Vestiges de centres nerveux névraxiles. Malg
thoracique ont à leur face antérieure une belle teinte blanc-rosé, rouge vers la base. La face postérieure du poumon dro
base d'un léger exsudat fibrineux. Les deux poumons sont en arrière rouge violacé, apparence congestive beaucoup plus pro
ne fine émulsion granuleuse, produit de la dissolution des globules rouges par le formol. · Les glomérules ne sont pas ent
seaux de la périphérie. Ceux-ci sont dila- tés, remplis de globules rouges ; ils renferment de nombreux globules blancs, m
entation et le noevus de la cuisse, notre malade présente un visage rouge et couperosé, une apathie physique invincible et
pileux. La couleur est d'un fond jaune laiton, plaqué de pommelles rouge bleuâ- tre » (2). Cette description pourrait s'
r il s'aperçut, quelque temps après, qu'il était porteur de plaques rouges sur le dos de la verge. C'est le seul accident
s 140. La ponction de la plèvre donne un peu de liquide (1/2 litre) rouge , hémorrhagique. 11. - Face cyanosée, coeur affo
des vaisseaux sont épaissies et par ci par là on voit des globules rouges en dia- pédèse (PI. LIV et LV, A, B, C). Dans
s de l'examen du sang, pratiqué cinq heures après le repas globules rouges : 4.900.000; globules blancs : 8.300. Sur 1000
: 4.900.000; globules blancs : 8.300. Sur 1000 et quelques globules rouges , on trouve quelques globules blancs ainsi ré- p
on violacée, et la plus faible pression y fait apparaître une tache rouge . La disposition tronconique de l'envahissement
peu spéciales. Par la safranine ils prennent normalement la teinte rouge vif, mais par le Pal et par l'encre d'anthracèn
encre d'anthracène et la safranine, certains cylindraxes deviennent rouges et d'autres noirs. Il en est aussi qui présente
tres. Avec la safranine, on peut mettre en évidence de rares stries rouges bien limitées mais relativement courtes, qui pa
tient à ce que ce réactif, colorant non seulement le cylindraxe en rouge mais aussi le protoplasma en rose, permet de dé
une myéline plus,épaisse ren- fermant un axe se colorant non pas en rouge , mais en rose par la safranine etayant l'aspect
filament axial nettement dessiné. Ce cylindraxe se colore tantôt en rouge par la safranine, tantôt en noir NÉVROME ADIPEU
s par le Pal paraissent, du reste, les plus parfaits,tandis que les rouges semblent être un état de différencia- tion inco
effet, dans certains éléments, un passage progressif entre la strie rouge cylindraxile et la bande protoplasmique plus cl
èrement cylindriques, se colorent en rose par le picro-carmin et en rouge par la safran ine. Il ne s'agit point là d'élém
rencier par places, à leur centre, un axe plus dense se colorant en rouge plus vif par la safranine et ayant les caractères
s et plus faciles à interpréter ; des aquarelles auraient donné des rouges qui ne peuvent pas ressortir par ce pro- cédé.
'amas de grains noirs, à droite de la figure, représente des globules rouges . Le rouge devenant noir en photographie, on ne
ns noirs, à droite de la figure, représente des globules rouges. Le rouge devenant noir en photographie, on ne peut, malheu
, on ne peut, malheureusement, distinguer les cylindraxes noirs des rouges . Le cylindraxe le plus marqué de la figure, était
de la figure, était noir dans sa plus grande étendue, mais devenait rouge à son extrémité supérieure au point où il se re
catatonique. L'adipose douloureuse débute souvent par un empâtement rouge et douloureux auquel succède la production grai
ération autogène (3 pl. en photocollogr.) par DURANTE, 322. Noyau rouge , lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations
collogr.) par DURANTE, 322. Noyau rouge, lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations secondaires (4 pl. en photocoll
n photocoil ? 406. Guillain et P. Marie. Lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations secondaires (4 pl. en photocoll
, 302. Marie Pierre et GEORGES Guillain. Lésion ancienne du noyau rouge ; dégénérations secondaires (4 pl. en photocoll
XXIII. Névrome adipeux du médian (DunANTE), LXII à LXIV. Noyau rouge (Lésions anciennes, dégéné- rations secondaires
16 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
e formé par une substance claire-jaunâtre. Au centre des petits îlots rouges , on distingue un tout petit point plus rouge, rép
centre des petits îlots rouges, on distingue un tout petit point plus rouge , répondant à la veine intra-lobulaire. La color
int plus rouge, répondant à la veine intra-lobulaire. La coloration rouge du centre tient à l'engorgement, pour ainsi dire
ons graisseuses dans les régions cen-trales. Cette fois, la substance rouge occupe la périphérie du lobule (de Sinéty). La co
ient fait admettre l'existence dans le foie de deux substances, l'une rouge et l'autre jaune, et vous voyez que le siège de c
cellules hépatiques, chez l'animal récem-ment tué, ont une coloration rouge acajou quand on les trai-te par la teinture d'iod
iche que, quand une injection des artères,, faite, avec une substance rouge , a bien réussi, les pa-rois des canalicules bilia
i, les pa-rois des canalicules biliaires hépatiques se montrent aussi rouges que celles des vaisseaux artériels; — c) Le trois
(1). a) L'acide sulfurique produit sur ces paillettes une coloration rouge brun, pourpre, et la paillette se dissout; — b) s
ulfurique, on ajoute de l'iode, les tablettes prennent une coloration rouge , carmin, jaune, bleue. La cholestérine est un c
atiques du foie, elle se présente sous l'aspect : tantôt d'une poudre rouge amor-phe, analogue au kermès (soufre doré) ; tant
vants de la bilirubine ({). Ce sont des cristaux rhomboïdriques, d'un rouge rubis ou orangé et fort analogues par conséquent
olu-tion présenter successivement les colorations vert, bleu, violet, rouge , jaune et brun. Si on fait, au contraire, tomber
nd naissance aux dépens de la matière colorante du sang, des globules rouges , et, par conséquent, en vertu d'une action spécia
dehors de toute trace d'hémorrhagie, des amas cristallins ou amorphes rouges , semblables à l'hématoïdine, mais évidemment d'or
Toutes les substances, qui ont la propriété de dé-truire les globules rouges et de mettre en liberté l'hémoglobine, lorsqu'ell
on pas une production, mais au contraire une destruction des globules rouges . Le fait peut être constaté en comparant à ce poi
trée cliniquement par Gréhantet la diminution du nom-bre des globules rouges a été mise hors de doute par M. Ma-lassez dans sa
vec les acides biliaires en solution à 12 pour 100 (1), les glo-bules rouges de l'homme disparaissent sans laisser de traces.
ont détruits, à l'exception toutefois du noyau. A la place du globule rouge , on voit se former, sur la plaque de verre, un li
Les leucocytes se dissolvent plus rapidement encore que les globules rouges par l'action de la bile ou des acides biliai-res.
aux. Le produit s'observe alors sous l'as-pect d'une poudre jaunâtre, rouge brun, insoluble dans le chloroforme, mais soluble
s'est produit ni hémorragies, ni altération quel-conque des globules rouges (1). L'affaiblissement du cœur a été de longue
; la capsule est très adhérente ; la surface du rein est d'une teinte rouge avec un sablé granuleux ; les granula-tions petit
ce lamelle. C'est le rein contracté, le rein granuleux, le petit rein rouge , qu'on appelle encore rein goutteux ou parfois re
renchymateuse) d'une part, et de rein contracté granuleux, petit rein rouge , rein goutteux (néphrite interstitielle) d'autre
u poids normal. Us présentent une consistance ferme et une coloration rouge générale , mais lorsqu'on a en-levé la capsule, q
caractère avec les parties avoi-sinantes, dont la coloration est d'un rouge plus ou moins vif. Les coupes montrent que l'atro
s contournés ; ceux-ci paraissent remplacés par une zone d'une teinte rouge , produite par le carmin: l'examen attentif montre
fusiformes ; et avec un peu d'attention, on reconnaît dans cette zone rouge la lumière, singulièrement rétrécie et comparable
rs est devenu graisseux ou, au contraire, resté normal. La collerette rouge , qui entoure la base de chaque granulation, rei
ranulations ne s'y voient qu'à la surface; elles reposent sur un fond rouge vasculaire, et n'ont jamais l'apparence de petite
ontraire, le rein blanc atrophié n'est jamais aussi petit que le rein rouge cirrhose ; sa consistance est moins ferme ; sa su
substance corticale est pâle et jaunâtre, peu vasculaire, et non pas rouge comme dans le rein contracté; enfin, il n'existe
fois que ces apparences sont nom-breuses : ainsi, outre le petit rein rouge granuleux (néphrite interstitielle), nous avons l
épaissie, peut présenter une teinte jaune ou blanche mêlée de stries rouges . Mais nous avons fait remar-quer déjà que, dans l
21 onces (550 gram.). Les ganglions mésentériques étaient tuméfiés et rouges à la section, et il y avait aussi une rougeur et
jamais cependant l'apparence régulière des granulations du petit rein rouge ; quelquefois il existe des kystes ; en tout cas,
n vicieuse. Les urines albuminuriques de ces animaux sont teintées en rouge , elles renferment généralement des globules du sa
re étonné, par conséquent, de la voir, après dissolution des globules rouges , passer très aisément dans les urines. Lorsque pa
t aujourd'hui. Ces urines sont colorées de diverses façons, tantôt en rouge vif, tantôt en rouge sombre, presque noir. Elles
ines sont colorées de diverses façons, tantôt en rouge vif, tantôt en rouge sombre, presque noir. Elles sont coagulables par
ment énorme. Il se produit alors une destruction de quelques globules rouges , lesquels abandonnent leur hémo-globine. Cette hé
cardiaques sont volumineux, durs, à la surface lisse d'une coloration rouge sombre, violacée. Sur les coupes, les deux substa
t les conduits biliaires interlobulaires indiqués par des points plus rouges . C,C, Fente ou fissure interlobulaire, indiquée
interlobulaires y sont représentés par des ronds et des tract us plus rouges . — Les conduits biliaires sont de beaucoup plus n
e vulgaire, 274. Fonction désassimilalrice, 93, 277. G Globules rouges du sang (Action dis-solvante de la bile sur les),
17 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
e. Dans plusieurs points, cette substance était altérée, ramollie, «¦ rouge et comparable, pour l'aspect seulement, à la gelé
ème, en partie à la parotide elle-même, dont le tissu était marbré de rouge et de blanc: le blanc, c'était du pus visqueux. T
u muscle aryténoïdien , dont il ne reste qu'un petit nombre de fibres rouges entrecroisées. La figure 2' représente le laryn
ne, avait conservé son développement. Il reste encore quelques fibres rouges dans le muscle aryténoïdien : or, l'anatomie démo
us de ce point. Quant au rétrécissement, il présentait une coloration rouge de la muqueuse et un noyau d'induration. Dans l
constitué par un tissu fibreux mince, mais très résistant. Une zone rouge , peu régulière, entourait l'ulcère : examinée à l
dépens de la membrane muqueuse et de la membrane fibreuse; un cercle rouge qui entourait ces ulcérations, comme d'ailleurs l
de l'iléon, du cœcum et du colon ascendant, présentaient une couleur rouge foncée avec épaississement léger de la membrane m
suivant : Amaigrissement modéré , coryza, muqueuse de la bouche d'un rouge assez vif, sentiment de cuisson et sensibilité de
sous la pie-mère. La membrane muqueuse de la bouche a perdu la teinte rouge qu'elle avait pendant la vie: elle est pâle. Les
landes arythénoides sont volumineuses; la muqueuse de 1 epiglotte est rouge ; le larynx,la trachée et l'œsophage sont à l'état
dans les follicules noirs, et mêlés à du sang dans ceux qui sont d'un rouge violet. La cavité de ces follicules est facile à
mesure qu'on se rapproche de la valvule iléo-cœcale, elles sont d'un rouge assez foncé, qui tranche fortement avec la couleu
ssu assez homogène, légèrement rosé pour les uns, marbrés de rose, de rouge et de violet pour les autres. Les moins rouges so
ns, marbrés de rose, de rouge et de violet pour les autres. Les moins rouges sont ceux qui ont le plus de consistance: ils res
anglions correspondans à la joue ulcérée sont plus volumineux et plus rouges que ceux du côté opposé ; ceux de l'abdomen sont
ancréas ont plus de volume que d'habitude. Le foie très gros est d'un rouge foncé sans autre altération. La rate, également t
ont résistans, engoués d'une sérosité spumeuse à leur sommet, et d'un rouge à peine perméable à l'eau. Dans leurs deux tiers
x tiers inférieurs ils sont très volumineux; les bronches sont un peu rouges dans leurs premières divisions; quelques-unes con
ce qui le prouve, c'est que les plaques de Peyer étaient gonflées et rouges , et que, parmi les follicules hypertrophiés, il y
issu assez homogène, légèrement rosé pour les uns, marbré de rose, de rouge et « de violet pour les autres. Les moins rouges
s, marbré de rose, de rouge et « de violet pour les autres. Les moins rouges sont ceux qui ont le plus de consistance : ils «
e, comme dans tous les cas d'hypertrophie, des lignes alternativement rouges et blanches; les stries blanches sont le résultat
— Le diaphragme est à l'état sain. 6° Dans le bassin est un utérus rouge , bien conformé U, ayant, comme à l'état normal, s
chute au rectum. La tumeur avait le volume du poing : elle était d'un rouge foncé, indolente. Au dire du malade, elle sortait
e l'aspect d'un granit à deux grains. Rate volumineuse, fragile, d'un rouge lie-de-vin extrêmement foncé. Le péritoine étai
meuse, au-dessous de laquelle on découvre une coloration qui varie du rouge simple au rouge violet foncé. Dans la fosse ili
s de laquelle on découvre une coloration qui varie du rouge simple au rouge violet foncé. Dans la fosse iliaque droite, on
te la tumeur est noire, la peau qui l'entoure est très tendue et d'un rouge luisant : la « diarrhée et les autres symptômes p
çait à s'effectuer : je crois du moins pouvoir l'inférer d'un liseret rouge d'injection qui se voyait à la moitié supérieure
tre, par laquelle sortait un paquet de l'intestin grêle d'une couleur rouge foncé. L'enfant était évidemment mort d'étranglem
frottement était très douloureux. La surface de la tumeur était d'un rouge vif, indolente, recouverte de mucus, et présentai
de ce boudin, existait une autre tumeur du volume du poing, à surface rouge , comme lobuleuse, à la base de laquelle était l'o
l et ceux qui longent l'intestin grêle très volumineux, d'une couleur rouge lie-de-vin, ramollis et pénétrés d'un pus de même
seudo-membraneuse de la muqueuse intestinale. Cette membrane est d'un rouge foncé, et la rougeur tient moins encore à l'injec
able à celle qui a lieu dans la péritonite, c'est-à-dire du pointillé rouge disposé linéairement aux limites des points de co
quart de l'épaisseur totale. Surface interne. Plaques de pointillé rouge foncé extrêmement rapprochées, comme dans les phl
anche v. M. Cambay a noté en outre que la muqueuse de l'estomac était rouge dans quelques points; et que les intestins grêles
dans quelques points; et que les intestins grêles étaient colorés en rouge foncé dans toute leur longueur. Troisième orser
a première période; pour toute altération, je trouvais une coloration rouge lie-de-vin, dans une étendue plus ou moins consid
e bourrelet tel qu'il se présentait à la région anale : il était d'un rouge violet et couvert de fausses membranes : au centr
es lobes inférieurs des deux poumons. La sérosité découle spumeuse et rouge des incisions qu'on pratique dans la substance du
lots disparaissent dans les petites divisions. Je distingue l'œdème rouge ou séro-sanguinolent de l'œdème séreux proprement
s. Je ne doute pas que les foyers sanguins, ou plutôt les indurations rouges représentées sur cette coupe, ne doivent être con
iques du foie et du poumon, qui débutent toujours par des indurations rouges assez semblables à l'apoplexie capillaire, c'est-
s les foyers ne sont pas contemporains ; qu'on trouve des indurations rouges , des indurations avec commencement de suppuration
le rapport de la couleur, il y en avait de blanches, il y en avait de rouges lie-de-vin; ces dernières étaient de consistance
n granitique fort remarquable, des points blancs entremêlés de points rouges . Le sommet du poumon gauche offrait de petites
sal eux-mêmes. On voyait, dans l'épaisseur de ces muscles, des lignes rouges alternant avec des traînées de pus, occupant le t
infiltré et combiné; dans d'autres,le tissu du poumon était marbré de rouge et de blanc. Un des foyers les plus considérables
troncs principaux et présentent du pus à leur centre;elles sont d'un rouge foncé dans les divisions secondaires. Ce qu'il y
vaste excavation, dont les bords sont renversés, coupés à pic et très rouges . L'eschare tombe, l'ulcère se déterge, excepté da
esque toujours anfractueuses, à parois très denses, à surface interne rouge , qui offre quelque analogie avec le tissu muqueux
supérieur F P pour montrer sa surface interne qui présente des points rouges proéminens. Le foyer F'P' n'a pas été vidé du p
ouvé la membrane interne des veines injectée. Si quelquefois elle est rouge , c'est par teinture comme la membrane interne des
aque tubercule était environné d'une couche mince de tissu musculaire rouge et fragile. L'articulation fémoro-tibiale était
le. L'articulation fémoro-tibiale était pleine de pus; la synoviale rouge et épaissie, les cartilages avaient été corrodés
ifice du canal de Sténon. Poitrine. Poumon droit sain; hépatisation rouge d'une partie du lobe inférieur du poumon gauche.
x déchirures, j'ai été frappé de la couleur blanc-jaunâtre maculée de rouge du tissu du cœur, qui m'a paru en outre extrêmeme
e en même temps que cette fragilité: le tissu du cœur est quelquefois rouge obscur, d'autres fois gris blanchâtre, comme si u
de sang suffisante; une cyanose directe, par suite du mélange du sang rouge et du sang noir, lorsque persiste le trou de Bota
meuse découle des incisions faites au tissu pulmonaire ou incolore ou rouge , suivant que l'œdème est ou n'est pas accompagné
embre i834, survient un mouvement fébrile; la langue devient sèche et rouge ; sueurs nocturnes, dépérissement, la respiration
upérieur gauche. — Induration de la moelle. — Mort par ramollissement rouge amarante des circonvolutions cérébrales. Hamel
é tactile. Des eschares se forment. Le 25 décembre, la face devient rouge , l'intelligence plus obtuse: la malade reste immo
lus obtuse: la malade reste immobile. Sa face devient par momens très rouge . Elle s'éteint le 3 janvier. Ouverture du cadav
anciens dans l'épaisseur de la substance médullaire. Ramollissement rouge amarante de plusieurs circonvolutions cérébrales
nt blanc permanent sans douleur, et de temps en temps quelques pertes rouges . La malade souffre peu, dépérissement sans colora
s muscles ont conservé quelques faisceaux musculaires dont la couleur rouge contraste avec l'aspect graisseux du reste de ces
les. Tels sont le muscle fessier qui présente quatre petits faisceaux rouges , et le muscle soléaire qui en présente deux. Le
ordinaire. La dure-mère présente à sa face interne de petits points rouges , des plaques rouges que constituent des vaisseaux
-mère présente à sa face interne de petits points rouges, des plaques rouges que constituent des vaisseaux veineux pointillés.
donc à-la-fois, chez ce sujet, apoplexie capillaire ou ramollissement rouge des auteurs et ramollissement blanc. La coïnciden
rie de remarquer qu'il n'est nullement démontré que le ramollissement rouge devienne plus tard ramollissement blanc ; que, da
céreuses formées au sein du tissu cellulaire sous-arachnoïdien, était rouge , comme granuleuse. Dans d'autres cas, les tumeu
bles conduisent également de l'apoplexie capillaire ou ramollissement rouge au ramollissement blanc; 5° que le ramollissement
amollissement rouge au ramollissement blanc; 5° que le ramollissement rouge et le ramollissement blanc ne sont pas deux pério
des de la même lésion, correspondantes aux deux périodes d'induration rouge et d'induration grise de la pneumonie, mais deux
inaison du pus avec la substance cérébrale ; 6° que le ramollissement rouge et le ramollissement blanc appartiennent au même
res de coloration; 70 que, sous le rapport du siège,le ramollissement rouge et le ramollissement blanc ou sans couleur affect
triculaire ; 8° que, sous le rapport du diagnostic, le ramollissement rouge et le ramollissement blanc ne peuvent pas, dans l
anquent souvent; ii° que le ramollissement blanc et le ramollissement rouge ne sont pas marqués au sceau de l'incurabilité; q
dans l'altération primitive; i3° que les cicatrices du ramollissement rouge ou apoplexie capillaire sont diversement nuancées
nces de coloration des cicatrices révèlent les nuances de coloration» rouge du ramollissement. La cicatrice peau de chamois c
couleur peau de chamois foncé, jaune, orangé, appartient aux nuances rouge amaranthe, lie-de-vin plus ou moins foncé. Voic
rconvolution, et étendu à la substance blanche subjacente. Des points rouges d'apoplexie capillaire se voient çà et là dans la
e voit une apoplexie capillaire A C, A C, caractérisée par des points rouges , disséminés au milieu de la substance grise, et m
ubstance grise, et même au milieu de îa substance blanche: ces points rouges sont quelquefois linéairement disposés. La substa
aisseur de la substance grise. Mais indépendamment de ces taches d'un rouge noir, on voyait à la surface du cerveau et dans l
out cherché à démontrer l'affinité qui existe entre le ramollissement rouge ou apoplexie capillaire et les foyers apoplectiqu
c n'était pas la période avancée d'une lésion, dout le ramollissement rouge serait la première période, mais que le ramolliss
plaques montre : ici de petits foyers sanguins, là un ramollissement rouge , qui résulte d'une sorte d'attrition de la substa
ses membranes, le cerveau présente tous les degrés du ramollissement rouge ou apoplexie capillaire. Ce ramollissement occupe
s. Le ramollissement offre diverses nuances d'intensité. Ici c'est un rouge hortensia, là un rouge amaranthe clair ou foncé.
fre diverses nuances d'intensité. Ici c'est un rouge hortensia, là un rouge amaranthe clair ou foncé. Quelquefois le même ram
ier degré d'une inflammation du cerveau et l'analogue de l'induration rouge dans la pneumonie; que l'apoplexie capillaire n'e
te figure C représente un de ces calculs vu à la loupe. Ils sont d'un rouge brun, couleur d'ambre, transparens, semblables à
nouveau la masse cancéreuse et on cautérisa profondément avec le fer rouge : mais cette opération n'eut pas des suites plus
ec un emporte-pièce ; la peau qui revêtait la tumeur était d'ailleurs rouge , extrêmement amincie, demi transparente dans les
'était par son kyste que la tumeur adhérait à la peau dans les points rouges et proéminens, c'est-à-dire dans les points les p
sses agglomérées très dures. A la place du mamelon, tumeur cancéreuse rouge , moins dense que les parties voisines. Des deux c
tat suivant : à la place de la mamelle droite, surface ulcéreuse très rouge , limitée par un rebord saillant, très inégalement
à la main droite. Pendant toute la durée de l'attaque, la face était rouge , la peau couverte de sueur, le pouls plein, vibra
ette production contrastaient d'ailleurs avec la mollesse, la couleur rouge et l'apparence musculaire du tissu ambiant. L'o
urs complètement effacé. A travers cet orifice, proéminait une tumeur rouge , molle, fluctuante. Cet utérus avait appartenu à
êmement déliées, réticulées : elles présentaient en outre des plaques rouges qui n'étaient autre chose que des groupes de rése
sont encore attachés des débris gangreneux, est molle, d'une couleur rouge foncée, sans aucune dégénération. Des adhérence
ions pelviens : souvent même, ces derniers ganglions sont volumineux, rouges , sans présenter aucune trace d'altération cancére
s et à l'hypogastre. Le col utérin était dilaté; le museau de tanche, rouge , granuleux, mou, inégal; l'exploration par le rec
Cette végétation parfaitement circonscrite, mais non pédiculée, était rouge , divisée en lobules inégaux, assez dense, mais fr
tubeiculesdu cerveau? 25e liv., pl. 11, p. 4- — Cas de ramollissement rouge amarante des circonvolutions cérébrales. 32e liv.
es à-la-fois. 32e liv., pl. v, p. 6. — Cicatrices des ramol-lissemens rouge et blanc du cerveau. 33e liv., pl. 11, p. 2. — Pl
bre supérieur gauche. Induration delà moelle. Mort par ramollissement rouge amarante des circonvolutions du cerveau. 32e liv.
umons, chez un enfant mort trois heures après la naissance; pointillé rouge et lignes rouges à la surface interne de l'estoma
nfant mort trois heures après la naissance; pointillé rouge et lignes rouges à la surface interne de l'estomac. 15e liv., pl.
mons, chez un enfant mort trois heures après la naissance : pointillé rouge , et lignes rouges à la surface interne de l'esto
nt mort trois heures après la naissance : pointillé rouge , et lignes rouges à la surface interne de l'estomac. 15e liv., pl.
rganiques du cerveau. 23e liv., pl. vi, p. 3. — Cas de ramollissement rouge amarante du cerveau. 32e liv, pl. 1, 11, p. i5. —
., pl. 1, 11, p. 16. — Considérations générales sur le ramollissement rouge et le ramollissement blanc du cerveau. 33e liv.,
3e liv., pl. 11, p. 1. — Caractères des cicatrices des ramollissemens rouge et blanc. 33e liv., pl. 11, p. 2.— Plusieurs cica
18 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
net jusqu'à l'épaule, était considérablement tuméfié; la peau était « rouge , comme bronzée. » Au bout de trois jours, le gonf
s. Cataplasmes laudanisés, toniques. Soir. Langue large, légèrement rouge , avec enduitblanchâtre; sé-cheressede la bouche;
abondantes, diarrhéiques, fétides. Pouls très-petit, à 132. Pommettes rouges , chaudes. Les traits sont un peu tirés ; les yeux
ctérique. La face, la peau, en général, sont jaunâtres. Langue sèche, rouge au centre, saburrale sur les bords; nausées ; ven
ridé, se détache en larges lambeaux. La peau est molle, flasque, d'un rouge vineux ; à la coupe, elle est comme graisseuse. L
rojectile. — La plaie est assez nettement circulaire ; les bords sont rouges et légèrement indurés. Bien que la compression ai
ticulation, au-dessous et en de-dans de la rotule, les téguments sont rouges et tendus ; on sent de la fluctuation. Deux large
istension qui rend les veines sous-cutanées plus apparentes, n'est ni rouge , ni chaude ; elle est plutôt pâle, quelquefois lu
ngsues. Le lendemain, la malade se lève, mais le genou, quoique moins rouge , est encore douloureux et le gonflement s'est éte
tandis que d autres étaient de très-petites papules ; leur coloration rouge sombre avait la physio-nomie qui caractérise ce g
n éruption avait complètement changé d'aspect; abandonnant la couleur rouge brun, elle avait pris une teinte brunâtre analogu
sième jour, eschare au sacrum — IVndanl dix jours les mains restèrent rouges , douloureusi s, roides et. gonflées. Le 8 avril,
pourtour, elle est limitée par un très-léger sillon et un liséré d'un rouge un peu plus foncé que sur le reste de la con-jonc
nie sous l'influence de la maladie, reprend sa coloration primitive rouge , puis suppure dans un cer-tain nombre de cas. L
ofondes, du volume d'un sein de femme pubère. Peau adhérente partout, rouge et très-amincie vers l'aréole. Mamelon perdu au m
x. La surface de la coupe est d'un gris rosé et huileux ; des tramées rouges indiquent la présence des vaisseaux. Vers son cen
(contusion suivie d'ulcération). Les autres parties de la vulve sont rouges et un peu tuméfiées. — Les seins sont très-gonflé
mobilité fort remarquable dans certains cas. La langue reste tantôt rouge , pointue, petite, plus souvent se sèche, s'encroû
s laquelle le microscope fit découvrir de nombreux globules san-guins rouges . Le lendemain soir, il survint un ictère. 27 fé
e légère augmentation du volume de l'organe, dont le tissu est plus rouge et plus résistant. Dans le second, l'ovaire est d
par grandes squa-mes; au-dessous d'elles, la peau présente une teinte rouge rosé vif, ressemblant fort à la rougeur de la sca
la-ques ; elles se détachent facilement, laissant à découvert la peau rouge rosé, mais d'une coloration moins foncée qu'aux m
as à tom-ber, sans se reformer. Mais la peau garde toujours un aspect rouge ; cette coloration diminue à son tour, mais elle
ions diverses (sclérose dif-fuse, sclérose en plaques, ramollissement rouge , désagrégation gra-nuleuse), qui, après avoir occ
'avec l'état puerpéral. — Soir : La lèvre inférieure est volumineuse, rouge et douloureuse. P. 104; T. V. 40°. 22 avril. —
e qu'hier; par contre, la droite est devenue plus douloureuse et plus rouge . Les seins sont mous et fournissent une sécrétion
96; T. V. 58°,5. —Soir: P. 108; T. V. 40°,8. La lèvre supérieure est rouge , luisante, gonflée et douloureuse. Depuis le débu
quelques jours. Son faciès est typhique, sa figure stupide, sa langue rouge , pointue, ou sèche, dure, ses dents fuligineuses
propriétés chimiques pendant deux ou trois heures. II.—Les globules rouges saturés d'oxygène sont le principe revivi-fiant d
ourde, dense, plus cassante qu'à l'état nor-mal ; sa couleur est d'un rouge pâle ; la coupe en est très-homo-gène, lisse, sèc
tit pois, tranchant par leur aspect vitreux, translucide, sur le fond rouge du parenchyme demeuré intact. Ces petits grains r
est brune ou ocreuse ; par exception seulement elle parait d'un jaune rouge . Ces teintes représentent les divers stades par l
ur le ventre ; vessie distendue : la sonde en évacue un litre d'urine rouge , dont le poids spécifique est 1022, sans albumine
is on voit aussi des foyers de ramollissement sous l'aspect de taches rouges , se distinguant facilement de la substance enviro
meux; aux deux faces de l'épiglotte existent des ecchymoses étendues, rouge clair, et de nombreuses extravasations foncées à
a trachée. Le foie paraît tout à fait normal ; la rate peu gonflée, rouge bleuâtre, pâle, molle, sans infarctus. — Les deux
se distinguant par sa couleur blanc jaunâtre du parenchyme rénal brun rouge . Le canal intestinal présente quelques follicul
peut être comparée à celle d'une tête de fœtus à terme; sa coloration rouge doit être attribuée à la présence des cataplasmes
. Au premier degré', le tissu de la rate enflammé est d'une couleur rouge brune très-foncée; il est plus dense qu'à l'état
plement une cicatrice ayant 2 à 5 millimètres de large, encore un peu rouge . La peau, à son ni-veau, glisse assez facilement.
— d'après M. Ménière). 8 octobre. Le malade présente une coloration rouge , érythéma-teuse des pieds et des jambes, qui, à l
et à laquelle il a succombé le 10 septembre. Autopsie. Hépatisation rouge et grise des trois lobes du poumon droit. Un peu
19 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
ceur Laure. Et celle-ci voit comme elle. Voici les enfants de chœur rouges aux aubes blanches; ils balancent devant la vierg
admettre que la substance bleu-jaune de Hering est identique avec le rouge rétinien. En effet, le rouge rétinien est celte s
eu-jaune de Hering est identique avec le rouge rétinien. En effet, le rouge rétinien est celte substance dont la décompositio
que nous avançons sont les suivantes : 1° Le cercle d'expansion du rouge rétinien est égal à celte zone de la rétine à l'i
es sensations du jaune et du bleu ; 2" Les spectres d'absorption du rouge rétinien et du jaune rétinien coïncident avec les
és existant jusque-là. La différence des deux groupes de daltoniques, rouge et vert, reposera sur ce fait qu'il existe deux m
ouge et vert, reposera sur ce fait qu'il existe deux modifications du rouge rétinien, l'une plus violette et l'autre plus rou
modifications du rouge rétinien, l'une plus violette et l'autre plus rouge , qui ont leur maxima d'absorption juste aux parti
il faut admettre pour les cônes de la rétine où l'on ne trouve pas de rouge , une deuxième substance qui permet de voir le rou
ne trouve pas de rouge, une deuxième substance qui permet de voir le rouge et le vert; la teinte de cette substance doit êtr
il est facile de comprendre qu'on ne peut la voir en mélange ?v?? le rouge de la rétine. Sa couleur en mélange est un gris u
tribunal qui condamne et du bourreau qui va punir. Les juges en robe rouge sont là, les accusateurs et la hache et la robe d
.. comme ils pleurent !... Et la forge du vieux Finck, comme elle est rouge sur la côte !... (Bas, se partant à lui-même.) Tu
de faire prétarer dans la salle des fourneaux allumés, avec des fers rouges , et de prescrire d'appliquer ces fers rouges à un
x allumés, avec des fers rouges, et de prescrire d'appliquer ces fers rouges à un point désigné du bras pour produire une prof
e, d'abord peu abondante, permettait de constater sa coloration, d'un rouge bien caractéristique, et d'y reconnaître la prése
démontrerait-elle pas, du même coup, que les cellules perceptrices du rouge , du vert et du violet existent en réalité et qu'e
i permettant de répondre isolément ou simultanément aux vibrations du rouge , du vert et du violet. Mais, pour la commodité de
if. Par exemple, si ce sont les cellules préposées i la perception du rouge et du violet qui sont paralysées, l'œil ne percev
vrent pas tous simultanément leur activité. Si ce sont les organes du rouge et du violet qui retardent, le vert, cette fois e
lorée. Les cellules du vert sont en très légère avance sur celles, dn rouge et du violet. D'où la sensation très fugitive d'u
ndant le sommeil, à l'action de la lumière blanche. L'illumination en rouge pourpre qui en résulte pour le fond de l'œil, en
r le fond de l'œil, en provoquant une certaine fatigue des organes du rouge pourpre, favorise sans doute du même coup les org
ensibilités indépendantes : une qui est excitée par les vibrations du rouge , l'autre par celles du vert, et la troisième par
nt petites et peintes en vert et les deux de derrière plus grandes et rouges . Ces deux individus sont saltimbanques. Ils jou
son père lui a enlevé son costume de saltimbanque, sa robe qui était rouge , pour lui faire revêtir des habits de campagnarde
. Angélina prétend que la corde avec laquelle on l'a attachée était rouge , en fait de corde rouge, nous ne connaissons que
la corde avec laquelle on l'a attachée était rouge, en fait de corde rouge , nous ne connaissons que la ficelle du bureau et
les roues de la toiture sont peintes les unes en vert, les autres en rouge . La robe qu'elle portait avant d'être abandonnée
utres en rouge. La robe qu'elle portait avant d'être abandonnée était rouge ; la corde avec laquelle on l'a attachée également
ndonnée était rouge; la corde avec laquelle on l'a attachée également rouge . Ce luxe de couleurs, cette abondance des détai
très délicates : c'est ainsi qu'il qualifiait telle ou telle voix de rouge écarlate, ou de bleu pale, ou vert de mer, etc.,
vin trop fort pour la nature humaine; le vertige vient, l'homme voit rouge el son délire s'achève par la férocité... » est
de Snellen consiste en une paire de lunettes dont l'un des verres est rouge et l'autre vert. A travers ces lunettes le sujet
cadre noir six lettres recouvertes de carrés de verre alternativement rouges et verts. En regardant les deux yeux ouverts, on
m. verre de lunette correspondant à l'œil qui regarde : les lettres rouges si c'est l'œil à verre rouge qui regarde ; les le
ndant à l'œil qui regarde : les lettres rouges si c'est l'œil à verre rouge qui regarde ; les lettres vertes si c'est.l'œil à
tes si c'est.l'œil à verre vert. Ceci résulte de ce que le vert et le rouge mélanges font du noir ; si avec un verre rouge on
e ce que le vert et le rouge mélanges font du noir ; si avec un verre rouge on regarde du vert, par transparence, on voit du
a dyschromatopsie gauche : le 9 janvier, par exemple, le blanc est va rouge ; le bleu est rouge ; le jaune est blanc ; le ron
uche : le 9 janvier, par exemple, le blanc est va rouge ; le bleu est rouge ; le jaune est blanc ; le ronge est gris. Mais
le blanc est vu noir, le bleu est vu jaune, le jaune est vu bleu, le rouge est vu gris. Cette discordance dans la vision d
Snellellen. les deux yeux ouverts étant armés de la paire de lunettes rouge et verte, il lit les six lettres et reconnaît leu
droit étant fermé, il voit tout noir; l'œil gau- che armé du verre rouge étant fermé, il ne voit que les lettres vertes co
'œil droit armé du verre vert étant fermé, l'œil gauche armé du verre rouge étant seul ouvert, il lit les lettres rouges ; l'
'œil gauche armé du verre rouge étant seul ouvert, il lit les lettres rouges ; l'œil gauche armé du verre vert lit les lettres
garde. cependant, qu'en continuant à ponter ainsi à la fois sur la rouge et sur la noire, il risque fort de se ruiner sous
s'évanouit, quand il fut réveillé, la main présentait deux stigmates rouges . Nous avons essayé de reproduire ces phénomènes
n cadre six lettres imprimées sur des verres alternativement verts et rouges . On sait que si avec un verre rouge on regarde
erres alternativement verts et rouges. On sait que si avec un verre rouge on regarde un verre vert par transparence, on ne
e un verre vert par transparence, on ne distingue rien, le vert et le rouge mélanges donnant du noir, En effet, les hystériqu
eim. lisant de l'œil droit seul (le gauche-étant fermé} avec le verre rouge , ne voyaient que les lettres sur un verre rouge e
fermé} avec le verre rouge, ne voyaient que les lettres sur un verre rouge et non les vertes : mais, si on leur laissait les
yeux ouverts, elles lisaient couramment toutes les lettres sur verre rouge et sur verre vert ; elles lisaient ce qu'elles ét
20 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
s fibres radiculaires du nerf oculo-moteur commun. Quant aux noyaux rouges , ils ne sont presque pas développés ; en dedans i
cérébelleux supérieurs ne sont pas développés, ainsi que les noyaux rouges . L'absence des voies pyramidales s'explique par
yen ainsi que les pédoncules cérébelleux inférieurs avec les noyaux rouges . La cause de toutes les difformités que nous av
s se comportent vis-à-vis des réactifs colorants comme des globules rouges atteints de dégénérescence polychrorarctophyliq
et environ, planes ou ayant l'aspect verruqueux, dont la coloration rouge ou violacée disparaît par la pression prolongée
erche la réaction vaso-motrice, on constate l'apparition d'une raie rouge , 7 à 8 secondes après l'impression ; les raies va
nt de saisir sur le front de son client la pierre traitresse, toute rouge du sang de l'in- cision. 11 semble d'ailleurs f
eveux ras montre sa tête, une main et une partie de son dos vêtu de rouge . Il regarde l'opéré en riant, sans s'émouvoir d
L'aide éborgné, un gaillard aux cheveux touffus, également vêtu de rouge , témoigne au contraire par sa grimace douloureuse
urgien vé- nérable, avec des cheveux blancs, vêtu d'une longue robe rouge , une es- carcetie noire à la ceinture, et coiff
enir à s'échap- per. Imperturbable, cet enragé arracheur à bonnet rouge continue à labou- rer le front du malheureux à
u fond du tableau du même côté, scènes de pansements. Un gros homme rouge et barbu, à gilet vert et chausses blanches, est
ux bras passés dans une écharpe blan- che, un grand sabre à poignée rouge sous le bras, un pied chaussé et l'au- tre nu,
plan, on distingue l'arrière-officine, à demi voilée par un rideau rouge . On y devine une cheminée haute, avec du feu. U
dehors, on aperçoit, flottante, l'enseigne de la maison, peinte en rouge , avec des pendeloques noires et dans le lointain
aire, lésions essentiel- lement épaisses, squameuses, kératosiques, rouges et cuivrées, constituées tantôt par des placard
agérée, d'où résulte une perte d'hémoglobine telle que les globules rouges néo-formés sont incapables d'acquérir la résist
yeux et quelques frissons dans son petit pied. Tablier blanc, robe rouge et corsage vert bordé de cygne, mouchoir (1) N"
ait 'sourire un jeune garçon à demi caché derrière un lit à rideaux rouges . C'est lui peut-être qui représente ici la « ca
ux, mouchoir blanc noué autour de la tête, caraco bleu sombre, jupe rouge , tablier blanc, boit dans un verre à pied. L'ho
'est,un homme consciencieux, vêtu d'une longue robe brune à manches rouges . Son crâne est pris dans une sorte de serre-tête
les pieds, le coude gauche appuyé sur une table couverte d'un tapis rouge à ornements noirs et blancs ; dessus, une servi
e cas de ce genre. Il insiste sur le fond ambré du teint, plaqué de rouge aux joues. Il signale comme symptôme nerveux ce
e la chevelure sur la ligne médiane. Les pommettes sont plaquées de rouge écarlate. Le fond de la face est jaune ambré; l
s. La température buccale est de 35°7. La face est bouffie, ambrée, rouge aux pommettes, la chevelure très bien conservée ;
ivernales, froides, durcies. Les dents sont cariées. La gencive est rouge , tomenteuse, les dents couvertes de tartre noir
lus vieille. La face est légère- ment infiltrée, ambrée, plaquée de rouge aux pommettes. Les règles ont dis- paru à sa su
les dents sont ébran- lées ; beaucoup sont cariées ; la gencive est rouge , rongée de tartre. La voix est traînante. ' L
rs externe semble fauché. Les dents sont cariées. Les gencives sont rouges , saignantes, tomenteuses, rongées par le tartre
istances parfois très grandes du bord maxillaire. Les gencives sont rouges , molles, gonflées. Elles saignent facilement à
ées et déchiquetées par des abcédations antérieures. Le pharynx est rouge vif et il est rare de ne pas y voir des végétat
s qui sont le propre du myxoedème franc : le teint ambré, plaqué de rouge , l'infiltration des paupières, l'obésité Coin-
arole, cepen- dant, traîne un peu, et les pommettes sont légèrement rouges . Elle est habi- tuellement constipée. Elle prés
marque que le teint est un peu jaunâtre. Les pommettes sont un peu rouges , mais il faut avoir l'attention appelée sur c
te mal le froid. La consti- pation est opiniâtre, Les gencives sont rouges , irritées, saignent facilement à la brosse. Les
règles. Elle a eu la jaunisse, il y a deux ans. Les gen- cives sont rouges et saignent très facilement. Les dents sont dans
me n'indique le myxoedème. Les dents sont mauvaises, les genci- ves rouges , irritées, bordées de tartre. Je commençai le tra
ut en couleur. Les pommettes sont vivement et largement colorées de rouge . Il y a cependant une légère teinte ambrée dans
dents sont mauvaises ; beaucoup sont cariées ; les gen- cives sont rouges , injectées et saignent facilement. Elle a snuvent
nte s'assied et s'est reposée, Les dents sont mauvaises, les gencives rouges , saignantes, bordées de tartre dentaire. Fréque
son lit. Les dents sont presque toutes cariées ; les gencives sont rouges , irritées, ron- gées de tartre. Les pieds trans
es dents sont très malades, pres- que toutes cariées ; les gencives rouges , injectées, chargées de tartre. Les membres sup
Pénis long et fiasque. Les dents sont très mauvaises, les gencives rouges , chargées do tartre. Les amygdales sont très gr
e la cachexie pachydermique. Les dents sont mauvaises, les gencives rouges et chargées de tartre. J'ai placé en regard de
deux côtés, la convergence se fait bien. La recherche avec le verre rouge fait constater une diplopie homonyme dans le cham
Robe de satin rose à larges parements d'argent, jaquette de velours rouge bordée de cygne; sur la tête,une coiffe et un f
lement hypertrophiées : la peau est épaisse, mais sans oedème, très rouge ; les lèvres sont énormes, et l'inférieure, repo
hisme et la trace d'un crayon fait apparaître sur la peau des raies rouges plus prononcées et plus rapidement visibles au
ableau de Ter Borch représente une jeune femme vêtue d'une jaquette rouge qui travaille devant une table. Elle porte sur la
satin blanc le plus soyeux épouse ses formes opulentes, le velours rouge de son casaquin est de la plus fine trame, ses fo
e- ments partiels et peu étendus sont possibles. La main droite est rouge et tu- méfiée (rougeur et tuméfaction inconstan
s, je ne puis pas. Encrier. Réponse : je sais bien ce que c'est, un rouge , on peut la rouge, c'est parce que je ne l'ai p
Encrier. Réponse : je sais bien ce que c'est, un rouge, on peut la rouge , c'est parce que je ne l'ai pas. Un livre. Ré
ficielle et dit : « C'est dix, dix, dix. » On lui montre un papier rouge : - Ou, ou, dix, dix. C'est rouge ? Attendez !
dix. » On lui montre un papier rouge : - Ou, ou, dix, dix. C'est rouge ? Attendez ! elle fait un effort et dit brusqueme
. C'est rouge ? Attendez ! elle fait un effort et dit brusquement : Rouge ! Un instant après on lui demande de quelle cou
- Oui c'est ça, noir. Je lui montre une boite jaune : Est-ce vert, rouge ? Non pas ça, écoutez (elle prend un air goguen
le pied sont restés gros, durs au toucher, toujours blancs, jamais rouges , et jamais ils n'ont été douloureux. Il a bien
accompagnées d'une augmentation de l'enflure et d'une colora- tion rouge des téguments. La première fois, il y a 7 ans,
elle, pour une «phlébite ». La jambe droite était plus grosse, plus rouge , et extrêmement douloureuse : dou- leurs sponta
longitudinales exagérées ; lame unguéale gri- sâtre vers sa racine, rouge violacé vers le bord libre ; repli sus-épidermi-
nées dans une serre- tête blanc que recouvre encore un chaud bonnet rouge . Il ne lui manque même pas sa canne, ce grand j
21 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
ne zone bien plus étendue, signalée à l'examen par l'aboli- tion du rouge et du vert. Il y une hyperesthésie pour le bleu.
ique la perte totale de la vision, et la moins teintée, la perte du rouge et du vert. Il s'agit d'une lésion qui intéress
nt profonds. Les extrémités des doigts sont froids et de coloration rouge violacée. ' Les phalangettes sont hypertrophiée
Le foie très petit ne pèse que 470 grammes. Il présente une couleur rouge brune. Sur une coupe, le tissu conjonctif sembl
on constate que la pulpe splénique est ramollie, sa coloration est rouge pâle et parsemée de petits îlots blanchâtres. L
e. La moelle osseuse très abondante qui remplit ce canal élargi est rouge jaunâtre. La coloration des os est rougeâtre, c
es granulations pigmentaires ne se colorent pas par le scharlach en rouge orange comme le lypochrome, mais en rouge brun.
t pas par le scharlach en rouge orange comme le lypochrome, mais en rouge brun. Mais il est vrai que, même dans cette régio
s follicules on observe des capillaires dilatés. La coloration au rouge scharlach montre une abondance extraordinaire de
aux plus petits et les capillaires se sont colorés intensivement en rouge , ce qui montre la quantité énorme de graisse co
et trouva le cerveau très gros, la substance grise particulièrement rouge . Microscopiquement, pas de lésions nerveuses, o
nexi- hles et facilement coupables avec le couteau. La moelle était rouge foncé. Altérations analogues pour le fémur qui
ec la plus grande facilité,et leur substance spongieuse semble plus rouge que nor- malement. L'examen microscopique mon
tampes de Blois agrémentées de quelques teintes plates, Pourpoinctz rouges , tannez et noirs, décrits dans le Pourpoint.(Ce
- sicolorez, noirs, marguinez, gris, vers, blancs, cendrez, tennez, rouges . jaulnes, qui rendent le patient en couleur de
açon plus pittoresque dans le Pourpoint : « Les yeux leur demeurent rouges et esraillez qui filent la cyre et sont de couleu
décembre 1909) ; la main est plus froide que la gauche, fréquemment rouge , et même cyanosée pendant l'hiver. Si la main e
suffit que ces malades sortent pour que leur main prenne un aspect rouge violet, dù à des mar- brures de différentes cou
a cassé les dents. « Je fais des peignes avec de la graisse, verts, rouges , bleus. « J'ai fait dans une queue de poêlon...
eim ; hématoxyline ferrique de IIeidenhain, quelquefois combinée au rouge de Bordeaux ; les colorations de névroglie , de m
mf-Pappenheim pour la sécrétion des noyaux et celle I-Ieidenhain au rouge de Bordeaux pour la relation entre la névroglie
le qui, par la méthode de fuchsine acide-vert lumière, se colore en rouge et par la méthode de Unna-Pappenheim se colore in
ulations plus fortes et plus irrégulières composée de granules plus rouges ; donc tou- tes ces granules sont basophiles ; d
maline prend une coloration bleuâtre ; le nucléole est intensivement rouge , le protoplasme a une couleur rouge très variab
; le nucléole est intensivement rouge, le protoplasme a une couleur rouge très variable dans son intensité. Dans SUR LA G
smique elles ne sont pas noir- cies ; elles ne sont pas colorées en rouge avec le Sudan III. A la coloration avec fuchsin
ombre des boules on voit aussi qu'il existe des granules colorés en rouge par la fuchsine acide ; alors on voit aussi qu'il
hsine acide ; alors on voit aussi qu'il peut y avoir des granu- les rouges au fond des coupes des noyaux en fer à cheval et
voit presque toujours au fond des échancrures beaucoup de granules rouges , ce qui s'explique bien quand les granules provie
hromasie : dans quelques cellules tous les granules sont colorés en rouge , dans quelques autres ils sont colorés en bleu et
s gra- nules dans une partie de la cellule sont bleus, dans l'autre rouges . Par coloration avec pyronineou rouge neutre ce
ule sont bleus, dans l'autre rouges. Par coloration avec pyronineou rouge neutre ces granules montrent aussi de la métach
nt noires ; par le soudan 111 elles prennent une couleur faiblement rouge . 268 KRABBE Ces cellules sont aussi communes
a. Au point de vue des réactions tinc- toriales, ils se colorent en rouge par le Mallory et le triacide d'Elii-lieli, en bl
utre, périphérique, basophile : la substance oxy- pbile, colorée en rouge , est absolument homogène et ne laisse aper- cev
rane nucléaire qui n'a subi aucune modification apparaît colorée en rouge vif tandis que la por- tion amincie prend une t
le mélange dilué de Biondi, toutes ces granulations se colorent en rouge . De même, le triacide d'Ehrlich les colore en rou
se colorent en rouge. De même, le triacide d'Ehrlich les colore en rouge et quelquefois en rouge violet ; ces deux nuanc
e même, le triacide d'Ehrlich les colore en rouge et quelquefois en rouge violet ; ces deux nuances nous paraissent dépendr
eur de Dominici, toutes ces granulations se colorent franchement en rouge . Si, par exemple, sur une coupe colorée par le
ranulations du noyau et les granulations du cytoplasma, colorées en rouge . De même, dans les cellules dont le nucléole se
ennent le colorant acide, et par le Mallory apparaissent colorés en rouge ,et en rouge violet par le mélange de bleu de cr
lorant acide, et par le Mallory apparaissent colorés en rouge,et en rouge violet par le mélange de bleu de crésyle. De pl
és en bleu et un peu plus loin des noyaux homo- généisés colorés en rouge . 2,) i JONNESCO Altérations DU CYTOPLASMA ET
hèse serait le fait de trouver dans certaines cellules des globules rouges en nombre variable à l'intérieur des vacuoles e
s de Nissl ont complètement disparu, le cytoplasme apparaît coloré en rouge , (b) large zone de substance chromatophile d'as
de pierre ; à son réveil. son nez et ses oreilles auraient été très rouges , et cette coloration aurait persisté pendant to
ébut de l'hiver 1905-1906, son nez gonfla et devint de nouveau très rouge ; puis le lobule prit une teinte bleue noiràtre e
reilles et les mains présentaient aussi du gonflement et une teinte rouge violacée. Du- rant l'été qui suivit, ces phénom
te coloration fait place à celle de la zone péri- phérique, qui est rouge vineux et qui s'étend au reste du nez ; au niveau
es tonalités bleues, tandis que celles de la zone périphérique sont rouges . Malheureusement ces couleurs sont très photogé
elles ne sont pas déformées comme le nez. Elles ont une coloration rouge vineux, qui devient violacée le soir; la pressi
uloureuse. En été, les oreilles dégonflent, mais elles restent plus rouges et plus grandes que normalement. Les mains pr
mains présentent les mêmes caractères que les oreilles. Elles sont rouges foncées et deviennent violacées au froid; elles s
d'escarres à leur niveau. L'été les mains dégonflent, mais restent rouges ; il existe à leur niveau une hyperhydrose asse
e de la face. Céphalalgie. Urines abondantes. Nombre des globules rouges (4.357.000 et 3.9O,400). A l'autopsie : Périton
26 ans,' matelot. A fait un premier séjour à l'hôpital de la Croix- Rouge daus le service de M. Gallavardin, en février 190
t d'hépatisation grise, les lobes moyen et inférieur d'hépatisation rouge . - Le coeur (250 gr.) n'a pas de lésions valvul
ibrillaire plissée, épaisse, presque dépourvue de noyaux prenant le rouge vif du mélange du Van Gieson. Cette masse rempl
n ces points, les capillaires sont très dilatés, gorgés de globules rouges . Les cellules nobles semblent altérées : les ce
22 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
ssion, etc.; deux selles ; la plaie de la bosse frontale est un peu rouge . T. R. 40°,6. -Soir : 40°,2. 1 accès. 20 mai.
, sans être ogivale ; amygdales hyper- trophiées ; luette longue et rouges Les oreilles sont nor- males : la droite est dé
uve deux indurations sous-cutanées sans adhérence à la peau qui est rouge dans la partie correspondante ; une induration
gauche. La peau, .au-dessus des indurations de la cuisse, est moins rouge (hier frictions mercurielles sur la cuisse).
auche diminuent ; la peau, à leur niveau, n'est plus que légèrement rouge ; les gan- glions inguinaux du même côté ont un
t du cou ont complètement disparu, laissant comme traces des taches rouges , brunes de la peau dont une, siégeant à la part
elle hier. La langue est un peu sale, les amygdales grosses et d'un rouge sombre ; on ne note ni vo- missements, ni nausé
n. A la partie antérieure des deux cuisses, on remarque des plaques rouges , larges environ comme la moitié de la main, sur
n, sur lesquelles et autour des- quelles existent des petits points rouges plus foncés, un peu soulevés au-dessus du nivea
evés au-dessus du niveau de la peau et ressemblant à de la miliaire rouge ; il existe de plus petites plaques et surtout de
ov. Les amygdales sont toujours un peu hypertrophiées, mais à peine rouges (1). Traitement. - 25 janvier 1881 : 0 gr. 03 d
misse- ments, pas de constipation. Parfois la figure devient très rouge avec des raies blanches comme l'empreinte des d
oir : T. R. 38°. 2 mai. Hier, la figure de l'enfant est restée très rouge pendant toute la journée; les mouvements convul
pendant toute la soirée avec le même caractère; la face était très rouge . A la nuit, les convul- sions de la bouche ont
n a remarqué que les joues, les pommettes et le menton étaient très rouges , tan- IDIOTIE CONSÉCUTIVE. 105 dis que le nez
e a un aspect légèrement rosé sur lequel on voit de nombreux points rouges étoilés; cet aspect se rencontre sur les deux h
e, au sommet, des deux côtés. 3 juin. Décubitus dorsal, face très rouge ; le malade n'a aucune connaissance mais par mom
par quatre hommes ; face normale, sauf les pommettes qui sont très rouges ; paupiè- res largement ouvertes, pupilles égal
mars. Depuis hier, apparition d'un érysipèle de la face ; la plaque rouge a débuté par le lobule du nez pour remonter ver
e chaque côté. Les paupières inférieures sont tuméfiées ; - la peau rouge , lisse, chaude, tendue ; taches blanches à la p
illon de l'oreille du même côté ; en ce dernier point elle est très rouge . La lèvre supé- rieure est encore tuméfiée ; le
23 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
ous de la rotule ; sa couleur, ordinairement rose, devient alors d'un rouge violet; son développement, qui remonte à sept ans
accrut rapidement et devint le siège de douleurs vives. M. le docteur Rouge , consulté, diagnostiqua un anévrysme de la caroti
ent arrondies de 2 à 5 centimètres de diamètre, d'une teinte rosée ou rouge cerise qui est remplacée en plusieurs points par
s autres ; je ne l'ai vu que deux fois ; il consiste dans des plaques rouges légèrement saillantes à la surface de la peau; el
La couleur en est celle dite pelure d'oignon, dans le centre, et d'un rouge cerise à la circonférence; ces deux teintes exist
les dont la tumeur totale est composée. — Elles offrent la coloration rouge carmin propre aux végétations dites choux-fleurs^
écisément de faire usage depuis quelques jours de chaussettes de soie rouge d'une nuance très élégante, que la mode s'apprêta
bouillant, dans lequel s'est dissoute rapidement la matière colorante rouge . Cette solution alcoolique, évaporée à siccité, n
ne pouvait rester de doute sur les propriétés vénéneuses delà matière rouge dont le tissu de soie était teint. Mais nos reche
un procédé très ingénieux, dû à M. Roussin, nous avons pu teindre en rouge un écheveau de soie, avec la matière colorante re
vé de l'acide phénique. C'est une matière solide, en paillettes, d'un rouge pivoine à reflet vert ou jaune sombre, à peu près
'est substitué à la muqueuse. Cette cicatrice était un peu colorée en rouge , cela tenait à ce qu'elle était vascularisée. A l
e est recouvert d'une masse de taches irrégulièrement arrondies, d'un rouge vif, grandes, petites, disséminées sur toute sa s
sang devait circuler sans peine. Le caillot 'est dur, stratifié, d'un rouge peu prononcé. Sur la planche XX, qui représente l
t sa face postérieure, on voit très bien le caillot qui est coloré en rouge . L'aorte thoracique, à son origine, a 25 millim
d'affaiblissement général. Bientôt des plaques de couleur variable, rouges (mal rouge de Cayenne), fauves, blanches, se répa
ement général. Bientôt des plaques de couleur variable, rouges (mal rouge de Cayenne), fauves, blanches, se répandent sur t
u'il s'aperçut que sur les membres existaient des plaques circulaires rouges à rebords un peu- saillants, avec anesthésie comp
et à cette nouvelle médication, qui paraît rendre les tubercules plus rouges . Enfin, dans ces derniers jours, nous le soumetto
adémie. Les accidents déterminés par l'usage de bas de soie teints en rouge sont un fait hors de toutes contestations. Les ex
arsenic, le mercure et le plomb, et que l'usage de ces bas, teints en rouge , n'en a pas moins, pour certaines personnes, les
ansformer en fissures douloureuses. — La surface de l'organe est d'un rouge brunâtre ; elle "est le plus habituellement érodé
ls absorbent rapidement l'hématosine ; ils se repaissent des globules rouges du sang, puis ils meurent dès le début de la réac
t; elle est semblable aux premières. La langue est un peu sèche, plus rouge à la pointe ; la malade a eu un frisson assez pas
ent une sérosité louche purulente, et l'on voit le derme dénudé, d'un rouge violacé dans toute l'étendue. La sensibilité est
24 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
us parlions tout-à-l'heure, M. Delahaye a indiqué, par un pointillé rouge , le tracé de l'égout à construire. Son point de
lèvres qui sont assez épaisses et flasques. Muqueuse. vestibulaire rouge . Hymen annulaire, orifice assez large et facile
ode d'anxiété ouvrait la crise. D'abord immobile, l'enfant devenait rouge , se plaignait en grognant, puis se raidissait,
assez bien rangées'. Langue enduite d'une épaisse couche saburrale, rouge à la pointe. Palais absolument pâle. L'enfant p
es. Circonférence, 3 centimètres. Gland découvert. Bords du prépuce rouges . Scrotum très petit, ridé, vide. Le testicule d
t haletante et péni- ble. La température est de 40°, 5. La face est rouge , vultueuse, et couverte de sueurs. Le pouls est
irmerie décrit ainsi l'accès : Pas de cri initial ; la face devient rouge , se tourne à droite ainsi que la bouche et les
n, de même que les languettes anté- rieures. Le bord postérieur est rouge foncé à la coupe, on tombe sur un parenchyme ro
d postérieur est rouge foncé à la coupe, on tombe sur un parenchyme rouge foncé d'où sort par la pres- sion une écume san
ans la dentition de lait. Les gencives en mauvais état, ulcérées et rouges à leur bord, permettent le déchaussement des de
rien d'anormal. - La langue est actuellement saburrale, le pharynx rouge vernissé. Le goût est peu développé. - Le mento
s pulvérulentes, bouche fuligineuse, langue très saburrale, pharynx rouge et sec, toux rauque. Râles sous-crépitants très
Le 24 mars 1891, 152 DESCRIPTION DU malade. peau rude, marbrée de rouge aux extrémités. Les mains froi- des et cyanosée
sépare ce magma caséeux d'une zone périphérique d'hepati- sation rouge . Ces ilôts tuberculeux sont surtout nombreux au
. 168 Etat DU crâne ; méningite. térieur sous la forme de cordons rouges , saillants, sinueux ayant environ 3 à 4 millimè
étales. A la face interne, les sutures apparaissent comme une ligne rouge , finement dente- lée mais ne formant pas de sai
n curieuse des sutures qui se présentaient sous la forme de cordons rouges , saillants, sinueux, ayant environ 3 ou .'1 mil
es sutures restaient très nette- ment accentuées par des dentelures rouges ; les parties osseu- ses voisines étaient égale
res rouges ; les parties osseu- ses voisines étaient également très rouges . La calotte est très asymétrique : le pariétal
ccupe de son ménage ; c'e-t une femme d'apparence robuste, au teint rouge , paraissant intelligente. Elle n'a jamais eu de
a palpation, on sent, dans son inters- tice, une sorte de bourrelet rouge , vasculaire, formé par la membrane intersutural
epri- ses, les sutures étaient distendues par une sorte de cordon rouge , saillant, constitué par une congestion intense
Soir. - La température est remontée brusquement à 39°. \V. devient rouge pourpre, a de la dyspnée et vers 10 heures on n
r est pris dans sa totalité; les foyers de hroncho- pneumonie, d'un rouge foncé, sont très rapprochés et sont d'un rouge
o- pneumonie, d'un rouge foncé, sont très rapprochés et sont d'un rouge foncé. - I-0117-IOn gauche (138 gr.). Le lobe s
e celles du territoire de l'artère sylvienne à gauches IlepatLaliou rouge des lobes inférieurs des deux poumons. Gob... J
ent pleural, ni d'adhérences. Pou- mon droit (770 gr). Hépatisation rouge du lobe inférieur et de la partie inférieure du
ie inférieure du lobe moyen. - Poumon gauche (710 gr). Hépatisation rouge du lobe inférieur. Congestion intense du lobe s
UBLES trophiques. épaisses, saillantes, accolées, humides et un peu rouges . Sur chacune d'elles, un assez petit nombre de
La toux est légère, la dyspnée peu marquée. La pommette droite est rouge . Le pouls, depuis longtemps à 120 pulsations, d
rme circulaire (Fig. 10). Ces caillots hémorrhagiques, durs et d'un rouge brique, s'énucléaient facilement et se pré- sen
rien si ce n'est une tuméfaction 300 DGSCII1PT ION DE LA MALADE. rouge des gencives et quelques mucosités dans l'arrière
'obs. p. 164.) Crâne peu dur, la coupe de la calotte est absolument rouge . Asymétrie manifeste, le côté droit est plus dé
s, les sutures sc présentent à l'extérieur sous la forme de cordons rouges , saillants, sinueux ayant 3 à 4 millimètres de
étales. A la face interne, les sutures apparaissent comme une ligne rouge finement dentelée mais ne formant pas de sailli
A la palpation, on sent dans son interstice, une sorte de bourrelet rouge , vasculaire, formé par la membrane itltér- sutu
25 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
homme encore jeune, à cheveux noirs, longs et bou- clés ; un bonnet rouge entouré de fourrures couvre sa tête ; il est vêtu
és, porte un costume gris avec un rabat blanc et un noeud de rubans rouges sur l'é- paule. Il y a, en outre, dans ce table
ne autre pièce éclairée d'une fenêtre à vitraux, un curieux à béret rouge regarde le qua- tuor du'bas. Il ne semble d'ail
es, le blanc des linges, le bleu des faïences, le brun des grès, le rouge du feu et du sang. Un ou deux bistouris, une sp
s, et coiffé d'un chapeau mou, gris, orné d'une plume et d'un noeud rouge , est debout devant un paysan assis sur une banq
pose que sur un léger changement de coloration : la tumeur est plus rouge .- Quant à distinguer, dans le cerveau lui-même,
nvisible. La couleur de la peau est changée ; très souvent elle est rouge avec une nnance de violet. Quand il fait froid on
disparu. La couleur de la main, prise dans sa totalité, est plutôt rouge violacé, mais elle présente, en outre, une foule
e moment où l'on examine la malade. Par un temps froid, la main est rouge violacé avec une nuance de cyanose, surtout au
ux assez fort, à larges mailles contenant des taches rosées ou même rouge saturne. A la partie inférieure de la face dorsal
, c'est que ces troubles vaso-moteurs et surtout les petites taches rouges et les plaques de cyanose disparaissent et revi
que ces malades sortent dehors pour que leur main prenne un aspect rouge violet dû à des mar- brures de différentes coul
réchauffée, la couleur violacée disparaît et les mains sont plutôt rouges . Les doigts ne sont pas moins caractéristiques.
reste à démontrer, car l'oedème syringomyélitique môme quand il est rouge ne présente pas du tout les mêmes caractères. Dan
vaso-moteurs chez Corr..., qui se traduit par la présence de taches rouges et la dilatation cyanotique des veines, trouble
édicure de Brouwer traité un peu différemment. Un homme à cheveux rouges , assis sur une chaise boiteuse, pose son pied d
l a supplanté l'homme. A gauche, au premier plan, un singe, vêtu de rouge , assis sur un esca- beau, confie sa patte de de
tre un blessé, le crâne fendu, soutenu par deux aides, l'un vêtu de rouge , l'autre de blanc. A droite opère le barbier, c
vessie, sans compter que l'oreille droite était'plus chaude et plus rouge que la gauche. ' , Dans une observation publiée
son mé- dius du côté gauche s'hypertrophier en mas- se, devenir rouges et dou- loureux ; ces troubles n'ont jamais t
e la main. Au mois de mai, nous trouvons les doigts gros, boudinés, rouges , fléchis, mais non hypertrophiés en longueur; l
te ordinairement sur la peau par des plaques érythé- mateuses, d'un rouge plus ou moins vif et de forme plus ou moins arron
ui grossissent peu à peu, de façon à former de petites tumeurs d'un rouge brunâtre, tirant sur le bistre, ou parfois sur
sentées. Les taches cutanées, papules ou macules, de couleur rosée, rouge ou lie de vin, que les artistes ont souvent fig
sième tout en bouche, d'aucuns n'ayant pour visage que quatre trous rouges et béants, pauvres Fig. 2. Groupe de Lépreux
or. N° 33. 432 HENRY MEIGE "la face hideuse, la lèvre inférieure, rouge , tuméfiée, pendante.' Sa main droite est égalem
'un en tunique bleue, nu-tête, l'autre en tunique noire et chaperon rouge . » Nous croyons, pour avoir longuement examiné
LI, A). « Le corps de ce pauvre diable est ponctué de larges taches rouges , circu- laires, plus foncées au centre qu'à la
tenu au col par une riche agrafe, une tunique bleue et des souliers rouges garnis d'énormes éperons. . De la main droite i
. Tout le corps est couvert des mêmes ulcères, les uns plus petits, rouges et saillants, les autres, plus étendus, blanchâ
enez, sont couverts de pustules particulièrement grosses, rondes et rouges , on voit une personne âgée, probablement du sexe
le visage n'a rien, le bras gauche est couvert de taches d'un brun rouge , la jambe est entourée de bandes à travers les-
s- quelles suinte le pus ; le genou découvert porte des taches brun rouge lé- gèrement creusées ; sur la tête un lambeau
cent, dont les mains, le cou et le visage sont t couverts de taches rouge brun. Il est assis par terre et c'est sa propre
s étaient de trois sortes : les unes, sortes de macules planes d'un rouge jambonné ou bistre; les autres plus ou moins sail
; les autres plus ou moins saillantes, vérita- bles tubercules d'un rouge plus vif; les dernières, revêtant l'apparence d
nières, revêtant l'apparence d'ulcérations à fond grisâtre, à bords rouges et saillants, entourées d'une aréole brun rouge
anées avec leurs croûtes d'une teinte gris verdâtre el leur auréole rouge vineux ? Sur le / Fig. 9. Lépreux sur un tabl
« avec leurs croûtes d'une teinte gris-verdàtre, et leur au- réole rouge vineux », ces grosses pustules tuberculeuses « av
ue rele- vée pour montrer sur la cuisse gauche mise à nu une plaque rouge , pro- bablement un indice de la peste dont il f
te sa manche gauche et montrant sur son avant-bras une large plaque rouge et ulcérée. La main tombe inerte, flasque. Lési
mi, de grosses lèvres sail- lantes et un oeil lamentable, cerclé de rouge vif, les paupières réduites à un liseré saignan
n, vêtu d'un manteau vert et de chausses brunes, coiffé d'un bonnet rouge ; il tient une clo- chette à la main ; un chien
che d'exactitude, un large ulcère arrondi, à fond grisâtre, à bords rouges et bourgeonnants. C'est une lésion bien imitée,
macules jaunâtres, de toutes di- mensions, entourées d'une auréole rouge ». Elles n'ont rien de bien carac téristique. -
de Frankfort. - Job, complètement nu, a le corps couvert de taches rouge bistre, peu significatives. Sa femme, dans un é
26 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I l î vaisseaux gorgés de globules rouges , entourés d'une hyperdiapé- dèse excessive. Les
colloïde ; l'autre est constituée par de petits granules colorés en rouge vineux comme la substance chromatique du noyau. D
s les deux yeux, avec inversion complète des champs visuels pour le rouge et le bleu. Même pendant la men- suration du ch
pédonculaire et se terminait entre l'aqueduc de Sylvius et le noyau rouge , sectionnant dans. l'inté- rieur du pédoncule l
à 1 h. 1/2, deuxième séance solennelle dans l'hôtel de ville, salle rouge . a) Rapports : de 9 heures à 40 heures, « Idéal
ième jour, brusquement elle s'écrie un matin : « tiens ! je vois du rouge .1 » » Elle venait de reconnaitre l'étiqueLLe ph
it de reconnaitre l'étiqueLLe pharmaceutique : Pour l'usage externe rouge , en effet, collée sur une poche de farine de mout
t alors que brusquement elle aperçut sur une étagère des étiquettes rouge foncé, avec « illium » écrit en grosses lettres
les couleurs, il est encore plus marqué et il y a inversion pour le rouge , qui est la couleur dont le champ visuel est le
lus rétréci). Au niveau de l'oeil droit, les champs visuels pour le rouge et le bleu se confondent. On prie alors le père
t d'ivoire qui se détachait, en face d'elle, sur un fond en velours rouge sus- pendu à la muraille : elle fût aussitôt gu
a malade à celle-ci. Elle recouvre la vue en distinguant le velours rouge d'un coussin sur lequel elle était appuyée. La
dure deux jours : Marthe récupère la vision en apercevant le dos rouge d'un livre posé sur une table. ' La troisième (
réveil, la première chose qu'elle aperçût fut un corsage doublé de rouge : elle était guérie ! 1 Le mardi 5 février 1901
2 centimètres de ses yeux la pointe d'un thermocautère chauffée au rouge blanc, elle ne bron- che, pas et accuse simplem
in, à utiliser l'affection particulière qu'a Marthe pour la couleur rouge ; à cet effet, nous HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE F
e chambre noire et la plaçons la face tournée vers un grand carreau rouge qui lui est d'abord caché par un volet fermé, i
le volet; le visage de la fillette s'illumine aussitôt d'un reflet rouge intense, mais elle ne distingue rien ; elle conti
elle continue à avoir la sensation du noir. On remplace le carreau rouge par un vert : elle voit blanc ; on met ensuite
comme elle à l'hôpital, elle s'écria brusquement : « Des pantoufles rouges ! des pantoufles rouges ! J'y vois ! » Elle venai
elle s'écria brusquement : « Des pantoufles rouges ! des pantoufles rouges ! J'y vois ! » Elle venait d'apercevoir, en eff
assise en face d'elle, une paire de pantoufles d'une belle couleur rouge . Et c'est ainsi qu'elle recouvra la vue pour la
sens chromatique est perverti pour les deux yeux ; il n'y a que le rouge que le malade reconnaît toujours sans la moindre
, rétréci (surtout à gauche) pour le blanc, l'est davantage pour le rouge , davantage encore pour le bleu, et un peu plus
eil, tandis qu'elle se frottait avec un grand mou- choir à carreaux rouges . - Elle a quitté le service le 26 mars, très am
par M. Aubaret, ne l'a plus à partir de sa huitième crise. Seul le rouge est reconnu parfaitement, ce qui est le caractè
tte et originale, puisque si on ne peut pas dire que la vision du rouge ait provoqué la cessation de la crise, c'est elle
première percep- tion de la malade a toujours été celle d'un objet rouge : éti- quette rouge, coussin rouge, dos rouge d
on de la malade a toujours été celle d'un objet rouge : éti- quette rouge , coussin rouge, dos rouge d'un livre, pantoufles
a toujours été celle d'un objet rouge : éti- quette rouge, coussin rouge , dos rouge d'un livre, pantoufles rouges, mouch
été celle d'un objet rouge : éti- quette rouge, coussin rouge, dos rouge d'un livre, pantoufles rouges, mouchoir à carre
ti- quette rouge, coussin rouge, dos rouge d'un livre, pantoufles rouges , mouchoir à carreaux rouges, etc. c). Il nous r
rouge, dos rouge d'un livre, pantoufles rouges, mouchoir à carreaux rouges , etc. c). Il nous reste à parler de la vision b
orés, de façon que le vert soit devant l'oeil gauche amblyope et le rouge devant l'oeil droit,puis, qu'on lui fasse lire
ite l'échelle de Stilling, elle distingue exclusivement les lettres rouges , c'est-à-dire qu'elle ne voit que de l'oeil dro
ervations précédentes. Mais si on change les verres de façon que le rouge soit devant l'oeil amblyope et le vert devant l
ttres vertes grandes et petites, puis ensuite les grandes lettres rouges , ce qui indique qu'elle voit à la faveur du rouge
grandes lettres rouges, ce qui indique qu'elle voit à la faveur du rouge simultanément avec les deux yeux. A-t-elle po
re. Un carton avec deux pains à cache- 202 CLINIQUE NERVEUSE. ter rouges , distants de 6 centimètres l'un de l'autre, est
e voit, elle répond alors sans hési- tation : « Je vois deux points rouges , un petit et un gros ». Nous avons répété cette
raie, légèrement surélevée, une zone large et diffuse se colore en rouge . Le suji't se plaint de ressentir de très vives
e et plus gravement lésées. Les vaisseaux sont gorgés de globules rouges qui ne sortent jamais des vaisseaux et ne font pa
formes. L'examen du sang lu révéla aussi la diminution des globules rouges et la présence de bactéries. Rezzonico en 1884,
eine les dimensions d'une petite lentille. Elles ont une coloration rouge , pourprée, ne disparaissent pas par la pression
serait formé par les masses grises du mésocéphale (cervelet, noyau rouge , masses grises du pont, noyaux centraux), dont
is malades. Pendant la stupeur on n'obtient même pas la simple raie rouge érythémateuse qui se montre sur tout le monde.
cela normale : certains ne présentaient que très affaiblie la raie rouge érythémateuse qui doit nor- malement se produir
n embonpoint notable, les muscles sont très développés. La face est rouge , congestionnée. 1 CI' août 1864. Tout le temps
ades simples, doubles, triples. Enfin il y en a qui sont écrites en rouge . Ce sont celles qui sont tracées avec son sang.
e à la nouvelle théorie de van Gehuchten, qui fait jouer au noyau rouge le rôle excitateur qui, dans la théorie de Bastia
nds d'origine sous-cor- ticale, probablement mésencéphalique (noyau rouge ). L'auteur admet en outre que dans le réflexe d
27 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, d'une sensation d'étoufïement, elle se plaint de la gorge qui est rouge ; pas de fièvre. Archives, 2° série, 1905, t. X
ut à fait l'aspect morbilleux. Les muqueuses de la bouche sont très rouges , la lèvre inférieure est enflée et douloureuse et
elles affectent un trajet postéro-interne en con- tournant le noyau rouge en dehors et en dedans. Outre ces libres destin
ans ént·ogiu; tlucllluc< inco tlin(vicaliunal- coolique : langue rouge , fendillée, animée de quelques tremble- nu')Us;
rtificiellement la structure. Le carmin, l'éosine, la safranine, le rouge Magenta, la fuchsine, l'orange, le bleu d'anili
e splénomégalie considérable avec diminution du nombre des globules rouges et augmentation des globules blancs. Enfin se p
r aux sondes de REVUE DE \fÉDT : CI\ LI ? G4L1 ? . 325 caoutchouc rouges employées pour l'alimentaliun forcée par la voi
urer abondamment. Ses petitesamies lui disent que son oeil est tout rouge . Elle visite néanmoins l'aquarium ; on revient
rentrant, vers 5 heures, que les maîtresses remarquent l'oeil, très rouge , de l'enfant. On le lui fait laver avec une inf
te la région cutanée zircon- voisine, la joue surtout, est irritée, rouge . , - Etal statiunnairc jusqu'à la fin du séjour
ors les mêmes signes que le 20 août : mais l'oeil gauche est-un peu rouge également, et la joue droite estunpcu plus enfl
jours, l'oeil droit présente une légère amélioration ; il est moins rouge . Quant à l'oeil gauche, sa rougeur a complète-
si elle sèche ses larmes. Le 1 cr novembre l'oeil droit n'esl plus rouge , mais il pleure constamment. Au début de décemb
mais il pleure constamment. Au début de décembre, l'oeil redevient rouge , mais pour quelques joursseulement. , Fin déc
bleu de Prusse, le v crL émeraude est il verL foncé, le rose est v rouge ; tous les tons loncés : rouge, vert foncé, ble
ude est il verL foncé, le rose est v rouge ; tous les tons loncés : rouge , vert foncé, blende Prusse, violet foncé, sont
le blanc et toutes les couleurs, bleu, jaune, vert, violet, même rouge : il va du chiffre 30° en dedans au chiffre 55°-(
eux yeux sur un objet déterminé : carré de papier (Parinaud), croix rouge (Pitres), point (iig. 15), etc., et que je plac
re. Si je remplace le rond noir de la ligure I, par un rond coloré, rouge , bleu, vert, de même dimension et que je place le
e la phrase, placées à droite du carton, mais ces lettres sont vues rouge très foncé et de dimension plus petite que la r
ou verts, elle lit la phrase entière, elles lettres, tout à l'heure rouge foncé, apparaissent maintenant toutes en rose e
uquel se détachent, en clair, des lettres alternativement vertes et rouges . On place alors devant les yeux du malade des 's
e alors devant les yeux du malade des 's lunettes dont un verre est rouge et l'autre vert, puis on lui fait L lire les le
le sujetala ,ne normale,il litavecl'oeil au verrerougclcsleL- tres rouges , et avec l'oeil au verre vert les lettres vertes
aurolique de l'oeil droit, ayant un verre vert à droite et un verre rouge à gauche, elle ne lira que les lettres rouges du
t à droite et un verre rouge à gauche, elle ne lira que les lettres rouges du ta-' bleau : or elle lit aussi les lettres v
le ne devrait voir que les lettres vertes ; or elle lit les lettres rouges ; donc elle voit avec l'oeil droit dans la visi
ue et place un verre coloré sur l'oeil gauche, par exemple un verre rouge . Valentinene lit que les lettres rouges ; j'enl
gauche, par exemple un verre rouge. Valentinene lit que les lettres rouges ; j'enlève alors le verre opaque de l'oeil ambl
ve alors le verre opaque de l'oeil amblyope et elle lit les lettres rouges et vertes ; si je mets un verre verL à;;auclle
ès que j'ôte de nouveau le verre opaque, elle lit aussi les lettres rouges . Elle voit donc de l'oeil droit au moment de la
ns la vision binoculaire. - Expérience 20. En se servant de lettres rouges , les résultats sont identiques ; avec cette dif
ttre L, mais une lettre L réduite dans ses dimensions et de couleur rouge foncé presque noir ; cette dyschro- matopsie et
de façon que le verre vert soit adroite (oeil amblyope) et le verre rouge à gauche (oeil sain). Pour obturer complètement l
obturer complètement la vue gauche, il suffit que je place un verre rouge devant le verre vert : car rouge sur vert = noi
e, il suffit que je place un verre rouge devant le verre vert : car rouge sur vert = noir. Dans ces conditions, au début,
gauche. En mettant inversement le verre vert à gauche et le verre rouge à droite (oeil amblyope) et en obturant la vision
roite (oeil amblyope) et en obturant la vision gauche avec un verre rouge sur le vert, ce qui donne noir, la vision droite
qui donne noir, la vision droite peut encore distinguer les lettres rouges , mais ces lettres sont diminuées de moitié comm
s, mais ces lettres sont diminuées de moitié comme grandeur et d'un rouge foncé pres- que noir. Ce fait semblait indiquer
opie complète étaitsiisceplible de se récupérer en partie, grâce au rouge qui est. comme chacun sait, la couleur de prédi
ques instants à voir, de son oeil amblyope, les caractères verts ou rouges , suivant qu'il avait devant lui un verre vert o
rouges, suivant qu'il avait devant lui un verre vert ou un verre rouge , et avec leurs dimensions et leurs couleurs nor-
met un verre opaque devant l'oeil gauche de Valentine et un verre rouge devant son oeil amblyope, ullclitnettement les le
l amblyope, ullclitnettement les lettres rou- ges;sionchaugeclwerre rouge parmi vert, elle lit bien les lettres vertes. D
suivantes : Avec des cornets en papier noir ou bleu très foncé, ou rouge très foncé, placés devant l'oeil gauche ouvert
'oeil droit. l. ' Avec des cornets de papier vert clair ou foncé, rouge , carmin, bleu d'azur, violet, jaune, les ronds
28 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
composés de lettres de 12 centimètres de hauteur, les voyelles en rouge ,les consonnes en noir, et des cartons de gros c
nes en noir, et des cartons de gros chiffres, les chiffres pairs en rouge , les in- pairs en noir. III. Enfants propres
si que dans la région temporale du même côté ; l'oreille droite est rouge , les lèvres ne sont pas noires. T. R., 39°,2. -
du côté de la face, la joue droite est beaucoup plus gonflée, plus rouge . T. R. 39°,6. -Soir : 40°,3. 27. - T. R. 39°,4.
postérieure du cou et de l'épaule droite. La plaque d'érysipèle est rouge ; le bourrelet n'est pas franc ; les bords vont
nt très marqué de la lèvre supérieure et de la joue droite, qui est rouge et luisante. Tympanite considérable. T. R. 390;
a grande scissure, l'est au contraire à un degré très notable, d'un rouge bleuâtre et un peu oedémateuse. Il n'y a pas de
le D' Murray dit que la proportion des globules blancs ou globules rouges estde i à : i0; que les globules rouges du sang
globules blancs ou globules rouges estde i à : i0; que les globules rouges du sang en proportion à l'échelle normale est d
. Il n'y avait aucune altération morbide dans l'aspect des globules rouges ou blancs. Respiration. - Tout à fait normale à
au comme oedématiée; les mains ramassées; les doigts épatés étaient rouges , cyanosés, comme infiltrés; l'abdomen était trè
ans les bronches, un peu de liquide spu- meux, légèrement teinté de rouge ; le poumon contient de l'air, est oedémateux, a
4° Sang normal, autant qu'un en peut juger sur le cadavre; globules rouges de taille et couleur normales, pas d'augmenta-
ïdienne inférieure contiendrait un plus grand nombre de corpuscules rouges . GLANDE THYROÏDE : PHYSIOLOGIE. 99 brièvement
ur, à midi et le soir. Il disait que le plancher tournait, devenait rouge , mais il ne tombait jamais. Huit jours après le
e de la peau est moins accusée que les- jours précédents. Face très rouge , yeux mi-clos, bouche ouverte. Le malade parait
L'enfant ne réagit plus au pincement, La face présente des plaques rouges . Coma. Mort à onze heures du soir. Température
Réduction d'un tiers. de la protubérance; il est entouré d'une zone rouge sombre, brunâtre, un peu ramollie, qui s'étend
valle de ces secousses. Pouls petit, régulier, rapide, face un peu rouge surtout aux pommettes. Pupilles égales et dilatée
parce qu'il ne mange pas, dort toute la journée et qu'il a la face rouge . Il ne se plaint pas. 19 avril. L'enfant a pr
lcé- ration sur leur bord formant bourrelet; elles ont une teinte rouge vineuse, sont saignantes et ramollies, il existe
atrices de vaccin à chaque bras; les doigts à leur extré- mité sont rouges . Membres inférieurs '. Ils sont également très
omplètement disparu. Les muscles sont atrophiés, ont une coloration rouge sau- mon. Pas de liquide dans la cavité abdomin
sses, un grand nombre de capillaires sont aussi remplis de globules rouges ; il semble donc que l'on ait affaire à de vérit
encore des globu- les de sang épanché ; le pigment de ces globules rouges a été repris par les cellules interstitielles d
son étendue. L'ulcération est irrégulière, présente une coloration rouge foncée. Sur la ligne médiane, il existe une dép
8°,8. 17 mars. Respiration fréquente. Pouls accéléré, petit. Face rouge , lèvres un peu cyanosées. Des sécrétions abon-
late ; d'autres fois, les accidents s'arrêtent la ; la face devient rouge et Lel... revient à lui disant : oc c'est redes-
29 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
iquement par la pré-sence anomale d'une proportion énorme de globules rouges diffé-rents des globules ordinaires et auxquels o
sont pas décolorées, et n'ont jamais donné de concrétion; l'urine est rouge brun. Dans l'intervalle de ces crises, l'appétit
sang ordinaire ; le diamètre ne dépasse pas 0mm,010. — Les glo-bules rouges discoïdes paraissent normaux, mais au milieu des
dernier, le sang ne montre plus un seul microcyte, mais les globules rouges , parfai-tement conformés du reste, sont, en génér
ur eux, les globules blancs représenteraient l'enfance, les glo-bules rouges discoïdes, létat adulte et, les microcytes, la pé
en un mot, elle en fait des microcytes. Comme une partie des globules rouges échappent naturellement à cette transfor mation,
Altération de l'urine. Les caractères principaux sont la colo-ration rouge brun, la richesse en acide urique et en uroérythr
ns lu- rine. Le 17 mai, il s'écoule environ 50 centilitres de sang* rouge clair, dans lequel le microscope fait reconnaître
angible pour l'œil que la lumière blanche et bien plus que la lumière rouge ; 2° la lumière bleue est plus perceptible que la
e la myélite destructive avec formation d'un foyer de ramol-lissement rouge . Quoi qu'il en soit, vous comprenez aisément, mes
, mais multiples. Fréquemment, mais passagèrement, de grandes plaques rouges , rappelant plutôt l'éry-thème que l'urticaire, se
es sur les épaules, à la face (nez et menton) de boutons acnéiformes, rouges à leur base, purulents au sommet. En même temps
i poils, ni orifices glandulaires. Le tégument correspondant est plus rouge que celui des régions avoisinantes. Sur quelques-
e n'est qu'il présentait, en un point peu étendu, une coloration plus rouge , mais il n'y avait pas d'adhé-rence à ce niveau e
ers inférieur. Pouls petit, fréquent. Poudre d'amidon sur les parties rouges et tuméfiées. 20 mars. L'érysipèle blanchit, la
'ici, ses menstrues très-régulièrement. Le sang qu'elle perdait était rouge et abondant. La durée des règles, qui d'abord éta
e, entre les petites lèvres, une saillie du volume d'une pomme d'api. Rouge dans la plus grande partie de son étendue, il éta
homme et quelquefois plus. Une coupe de l'organe est marbrée de tons rouges et sépia, et res-semble un peu à celle des muscle
a verge. Au-dessous de la tu-meur on aperçoit les bourses teintées en rouge sombre, par un érythème chronique, résultat du co
épithéliales, mais bien plutôt à des masses irré-gulières de globules rouges décolorés et soudés entre eux par petites masses^
avec ses caractères et ses éléments normaux. Ailleurs, sa surface est rouge , enflammée et même érodée ou exulcérée. Ces ulcér
grosse et descendant plus bas. Ces deux lèvres sont globuleuses, d'un rouge vif, non ulcérées. Quand la malade est dans la po
nt aux instances de la malade, il se borne à cautériser le col au fer rouge . Cette cautérisation fut faite de manière à produ
e, à parois de consislance ordinaire. Pont et moelle injectés de sang rouge grisâtre sale. — Poumons injectés et œdématiés. —
regardé s'éloignait vers le côté droit du malade. En plaçant un verre rouge sur l'œil droit et en promenant une bougie allumé
dépassait le plan médian du corps pour passer au côté droit; l'image rouge était à droite, l'image blanche à gauche, à 30 ce
onts d'un point à l'autre de la surface ulcérée. Cette dernière, d'un rouge vif, mamelonnée, offre quelques dépressions anfra
ligatures artérielles, et, sur plusieurs points, on arrête parle fer rouge l'hémorrhagie, plutôt veineuse qu'artérielle, don
Ce liquide, placé sous le champ du microscope, renferme des globules rouges du sang avec quantité de corps granuleux, au mili
ailleurs toute la bénignité des surfaces résultant de l'action du fer rouge et de l'écraseur. M. Verneuil a déjà maintes fo
u'il travaille davantage ; dans les glandes, il devient d'autant plus rouge . » XXI. Les glandes salivaires. — « Le système
perficielles qu'à travers la peau très-amincie, on voit la coloration rouge avec un reflet bleuâtre du sang. Les autres bosse
gestion manifeste de la trompe gauche: l'ovaire gauche était tuméfié, rouge et entre cet organe et la trompe existait une pet
ntôt des végétations fon-gueuses qui durent être détruites par le fer rouge . Bien que les autres faits reproduits par M. Il
ides. Lesmembres sont courts, les mains ramassées, les doigts épatés, rouges , cyanoses, comme infiltrés; les doigts sont très
ses. 19 août. — On s'aperçoit que la région parotidienne droite est rouge et tuméfiée. La malade, qui depuis trois jours
t à guérir, elle tend elle-même à se réparer. La cautérisation au fer rouge , que M. Charcot applique depuis quel-ques aimées
-cace que la première. On ne iriompha de l'hémorrhagie qu'avec le fer rouge et la glace portée pendant vingt-quatre heures à
30 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
plir? Sans altérer leur forme, l'oxyde de carbone enlève aux globules rouges du sang le pouvoir d'absorber l'oxygène. Ils roul
ne époque voisine de l'accès, on trouve presque toujours la synoviale rouge , injectée, vascularisée ; ces phénomènes ne vont
nt ne contient guère plus d'alcool que les précédents. « L'ermitage rouge et le bourgogne, ce dernier surtout, dit Scudamor
tères de l'arthrite avec exsudation séro-fibrineuse; la synoviale est rouge et vascularisée, et sa cavité renferme un liquide
ang (augmentation du chiffre de la fibrine et diminution des globules rouges ), et par la coexistence fréquente, nous pourrions
xiste en même temps une diminution considérable du taux des glo-bules rouges . Sous ce rapport, la composition du sang dans le
l'encéphale sont atteints, il en résulte des ramollissements, tantôt rouges , tantôt blancs, qui sont l'une des causes les plu
-paru. Le col du fémur était raccourci; la tête du fémur gauche était rouge et vascularisée, et de nombreux dépôts osseux cou
ne dépasse pas celle d'une pièce d'un franc, appliqué sur la jointure rouge et tuméfiée, agit souvent d'une manière efficace
entaient les caractères les plus accusés de l'hépafisation granuleuse rouge et grise; ce pou-mon pesait environ 1.000 grammes
es deux mains, et presque en même temps celles des genoux, deviennent rouges et un peu gonflées, mais sans douleur notable et
st par le genou gauche que le mal débute cette fois ; la jointure est rouge , tuméfiée, douloureuse. Ces phénomènes disparaiss
a observé que souvent, à cette époque, ses urines étaient troubles et rouges ; en même temps, elle avait des sueurs abon-dantes
mains ; quelques mois après, elle voit tes poignets devenir égatement rouges et gonflés. Mais elle ne cessait pas de faire son
é un certain degré de mobilité, la membrane synoviale était injectée, rouge , violacée, comme variqueuse, et de sa face intern
u de rougeur ; quel-que temps après, le genou droit se prend, devient rouge , et surtout gonflé. On applique sur cette partie
es articulations des orteils du pied gauche deviennent simulta-nément rouges , tuméliées, et causent des douleurs analogues à c
point de côté, les articulations des mains, qui étaient gon-flées et rouges , cessèrent subitement d'être tuméfiées et dou-lou
minute ; face jaunâtre, légère-ment cyanosée ; nez froid; joue droite rouge et chaude ; lan-gue très sèche; râle laryn go-tra
re dans l'épaisseur de sou lobe supérieur trois noyaux d'hépatisation rouge , chacun de la grosseur d'une noix. La dure-mère
r-ties qui correspondent à l'hémisphère gauche, on remarque des îlots rouges , comme imbibés de sang,saillants, irréguliers, di
sanguines. La moitié droite de la dure-mère présente quelques points rouges analogues, non réunis sous forme de plaques. —
ectés s'y dessinent, sous forme de petites stries et de petits points rouges , visibles à la loupe ou môme à l'œil nu. La subst
n des tubuli, et qui se dessinent vivement sur la substance tubuleuse rouge et injectée. L'extrémité de quelques-uns cle ces
e avec la gravelle urique ; c'est le dépôt de petits grains jaunes ou rouges , composés d'acide urique fixés dans la subs-tance
rits M. Rayer. Dans les cas de M. Rayer, en effet, ce sont des grains rouges compo-sés d'acide unique, tandis que dans l'obser
!, À) linéaires, se déta-chaient vivement, sur la substance tubuleuse rouge et injec-tée. Examinée sur des coupes fines, à de
Dans ces articulations,la synoviale était fortement injectée et d'un rouge de sang dans tous les points où elle était respec
Il est entré hier à l'hôpital avec la plupart des grosses join-tures rouges , douloureuses et tuméfiées, principalement celles
les articulations des orteils du pied gauche deviennent simultanément rouges , tuméfiées et causent des douleurs ana-logues à c
du point de côté, les articulations des mains qui étaient gonflées et rouges cessèrent subitement d'être tuméfiées et douloure
tar-sien à la phalange. Dans ces mômes jointures, où la synoviale est rouge , villeuse, couverte de bourgeons charnus, on renc
rosion des cartilages, et en général, les capsules synoviales étaient rouges et enflammées. Voici d'ailleurs l'indication somm
roportion variable d'albumine, et quelquefois, en outre, des globules rouges du sang. II. En second lieu, on rencontre les l
urgogne. — C'est dans ce sens que Scu-damore a pu dire : « L'Ermitage rouge et le Bourgogne, le der-nier de ces vins surtout,
omac et celle de de l'intestin sont, chez les oiseaux, habituellement rouges et enflammées ; les follicules gastriques sont en
ors même que l'affection est de date récente et que les articulations rouges , tuméfiées et douloureuses, présentent les signes
é liés, la membrane muqueuse de l'estomac et celle de l'intestin sont rouges et enflammées. Les follicules gas-triques sont, e
ne synoviale que les altérations paraissent débuter. Celle-ci devient rouge , vivement injectée, et de sa surface interne par-
ume, en même temps que la peau qui les recou-vre prend une coloration rouge plus ou moins prononcée. — Ces paroxysmes coexist
31 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
rois pièces communiquant entre elles par des portes brisées, un tapis rouge foncé, très épais, couvre le parquet et éteint le
enue khaki par des ornements en métal ou en draps de tons voyants, le rouge généralement. De plus, la coupe particulièrement
suggestion des couleurs, sont, elles aussi, au nombre de trois : Le rouge , le bleu, le jaune. Le rouge est la couleur la
elles aussi, au nombre de trois : Le rouge, le bleu, le jaune. Le rouge est la couleur la plus vive, celle qui possède le
ation nerveuse : les ouvriers employés dans les ateliers à coloration rouge deviennent irritables, surexcités, et on ne peut
éral des individus qu'elle réclame. Les propriétés de la coloration rouge furent' bien connues des Egyptiens qui surent en
certains animaux. La vue du sang produit le même effet. L'excitation rouge peut donc aller jusqu'à déterminer chez l'homme,
homme, aussi bien que chez l'animal, des fureurs et des violences. Le rouge a été le plus souvent l'emblème des peuples soule
l, triomphe ou défaite, de l'effort. A l'époque romaine, le drapeau rouge dut se faire harmonique et perdre sa brutalité en
s effets d'accompagnement plus doux. En résumé, c'est la coloration rouge qui représente à elle seule le groupe des couleur
lme, de repos, de tranquillité, qu'on ne saurait trouver dans un ciel rouge , toujours un peu inquiétant. Le vert, couleur d
e couleur d'accompagnement, destinée à souligner la note excitante du rouge ou calmante du bleu ; elle peut être remplacée pa
ouge ou calmante du bleu ; elle peut être remplacée par les ors. Le rouge , le bleu, le jaune, employés comme couleurs à eff
ment. Voit-on un homme uniformément habillé de la tête aux pieds de rouge , de bleu ou de noir ? Les soldats bavarois, ent
entièrement bleus, ont quelque chose de fade, de peu guerrier, que le rouge du col, des parements et des passe-poils ne suffi
rements et des passe-poils ne suffit pas à racheter. Notre pantalon rouge n'est pas d'un heureux choix au point de vue du r
oire, corrigent quelque peu ce défaut. Chez les Anglais, la tunique rouge , laquelle n'est plus d'ailleurs qu'un vêtement de
Nous n'en dirons pas autant des culottes de nos zouaves ou des vestes rouges de nos spahis. Ici, nous avonsaffaire à l'Orient,
vec le fond lumineux de leur ciel d'un bleu intense, les perspectives rouges et brûlantes de leur pays de sable, celles de leu
enir combattants en temps de guerre : les passepoils et les parements rouges . Un exemple encore : dans la cavalerie, les t
mple encore : dans la cavalerie, les trompettes portent des crinières rouges à leurs casques. Ne sont-ils pas particulièrement
d'exciter au combat. Ils ne sabrent pas, ils sonnent la charge, donc rouge , couleur de feu, d'action vibrante, à placer sous
is de fer, havane, cachou ou verdâtre, il sera essentiel de donner du rouge aux combattants : coiffure, col, épaulettes, pare
igée par des brandebourgs, sont loin d'avoir l'aspect combatif du col rouge des cuî- rassiers et des artilleurs. Les pareme
. Nous en trouvons la preuve dans l'effet du moindre galon de laine rouge sur la manche bleue de nos soldats. Les galons de
ur gris clair à teinte verdâtre. Les parements et le col de couleur rouge (ce dernier diminué d'un demi-centimètre) et les
invisibilité totale qui eût été obtenue en supprimant complètement le rouge et le métal. Ils restent ainsi fidèles à une viei
respecter les lois avec, comme par le passé, quelques indications de rouge pour la fonction éventuelle de guerre. Cette dern
e de quelques circonstances extérieures, comme l'action de la couleur rouge , celle de l'air frais qui frappe subitement son v
ue circonstance imprévue, peut-être cette sorte de fascination par le rouge qu'elle dit avoir éprouvée, avec l'action de l'ai
gère qu'il applique un sinapisme sur sa peau, que celle-ci va devenir rouge et brûlante, etc. Or, aucune rougeur n'apparaît ;
ée, on voyait, au bout de quelque temps, cette lettre apparaître très rouge et recouverte de petites bulles de sang. (i) Vo
ujet, des expériences tout à fait démonstratives. II fit, avec un fer rouge , une brûlure vraie à chacun des bras en s'appliqu
ce anal artificiel, de la longueur d'un centimètre et demi ; elle est rouge et humide. En écartant les fesses j'aperçois à la
s et le rend sage. 4* Le Kaloeng-rnerdjan-Arab ou collier de corail rouge est considéré à Java (comme aussi en Hollande), c
sque les grains sont pâles, et de bonne santé lorsque les grains sont rouges , brillants. Je vous cite encore le Kaloeng-soen
déjà (1) S'appuyanl sur le fait qu'il est aussi question de couleur rouge dans ces versets quelques auteurs ont voulu y voi
32 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
es par la pression, par la marche et par la sta-tion. La langue est rouge , sans enduit, parfois sèche. La peau s'é-chauffe
n blanc jaunâtre, mat, opaque, qui tranche vivement sur la coloration rouge foncée des tégu-ments. Voici, d'ailleurs, d'une m
ré d'une substance particulière, de l'autre, se voit une auréole d'un rouge vif sur laquelle les folli-cules pileux sont enco
au. Les taches livides peuvent reprendre spontanément leur coloration rouge primitive, pâlir ensuite, puis enfin disparaître
ures apparaissent les symptômes de la maladie constituée. La face est rouge , la physionomie s'altère ; fréquemment il se mani
illis pendant les années 1834 à 1838 en Egypte, en Arabie, sur la mer Rouge , à Smyrne et à Constantinople, Paris 1843, in-8.
e tumeur ovoïde, lisse ou légèrement bosselée, tantôt avec une teinte rouge , violacée, d'autres fois sans changement de cou-l
siègent dans les cavités du corps sont, à divers degrés, volumineux, rouges , ramollis; on y rencontre souvent des points de s
se, les ganglions lymphatiques profonds à peu près partout tumé-fiés, rouges , friables même; la rate est volumineuse; les memb
s les membres. Ils ont de l'inappétence, des nausées; leurs yeux sont rouges et brillants; ils éprouvent un sentiment de fatig
articulière. Elle présente bientôt, surtout à la face, une coloration rouge acajou, plus ou moins foncée, lorsque la réaction
, humide, est couverte d'un léger enduit blanchâtre ; elle est un peu rouge à la pointe et sur les bords. La déglutition est
l existe une soif ardente et les urines sont rares, d'une colo-ration rouge foncée et sédimenteuses. — Le ventre est habi-tue
lors comme marbrée ou semée de taches jaunes, gomme-gutte, oranges ou rouges . Les tons les plus clairs paraissent correspondre
a vésicule du fiel est tantôt pleine d'une bile épaisse et visqueuse, rouge ou noire; tantôt à peu près vide. Quelquefois on
sang des cada vres est gé-néralement fluide et noirâtre ; il teint en rouge foncé la paroi interne des veines caves, celle de
de l'épiderme soulevée ; il reste alors une ulcération superficielle, rouge , qui marche assez vite vers la cicatrisation. L'a
conjugaison et, à l'autopsie, elles ont été trouvées en ces points-là rouges , tuméfiées, évidemment enflammées. Les ganglions
méfaction et une injection vasculaire marquée par une coloration d'un rouge vif. Ces particularités sont surtout remar-quable
de l'état normal. En dehors des troncs de conjugaison, la coloration rouge des troncs nerveux s'efface peu à peu, et elle n'
rvical. L'examen microscopique des ganglions et des troncs nerveux, rouges et tuméfiés, a démontré ce qui suit : dans les ga
olorante de la bile. Le grand épiploon présente une coloration d'un rouge vif, et il est comme pelotonné, recoquillé. Une c
très abondant, mais en même temps il se colore en vert foncé, puis en rouge quand on y ajoute un excès d'acide. A l'examen mi
ine dans l'intérieur des hydatides du foie et d'une matière colorante rouge dans les corpuscules calcaires de quelques échino
leurs autres caractères, une modification appréciable, une coloration rouge très intense, tout à fait analogue à celle qui di
it au-dessous de la membrane acéphalocystique, de petites taches d'un rouge carmin et dans lesquelles on a constaté au micros
granulations des échinocoques ne présentaient pas la colora-tion d'un rouge vif, qui a été mentionnée plus haut à propos des
ydatique du foie également, le docteur Hyde Salter trouva une matière rouge et cristallisée (hématoïdine). Les cristaux se tr
n'ont jamais présenté d'altérations, ni en particulier la coloration rouge foncée propre à la cirrhose. Deux mois environ
site. La langue, qui était restée longtemps naturelle, devient très rouge ; il en est de même des parois buccales, qui se c
uleurs revenant par accès, comparées à celles que produiraient un fer rouge et qui, des talons, remontent dans toute l'étendu
éac-tion alcaline. Nous avons vu cependant, dans deux cas, le pa-pier rouge de tournesol appliqué sous les aisselles pendant
33 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
série de cicatrices qui montrent qu'on a appliqué le cau¬tère, le fer rouge circulairement, des traces de l'application de vé
ent complètement détruits, et le tissu osseux, piqueté d'un pointillé rouge très-manifeste, était le siège d'une ostéite évid
e de cette surface, plus large que la moitié gauche, offre une tumeur rouge noirâtre, d'une consistance médiocre, ayant envi¬
esquels se trouve un caillot rendu pendant la nuit, et un peu de sang rouge , spumeux, expectoré récemment. Même état général.
es bords de cette large fente sont irréguliers, fortement colo¬rés en rouge par le sang qui les a imbibés ; dans le foyer hém
celluleux ; sa coloration varie, suivant les points, du jaune ocre au rouge foncé. La dure-mère rachidienne est épaisse; ve
ptique est épaissi dans une étendue de 0m,02 environ, avec une teinte rouge foncée ; on trouve même une petite collection san
face des lam¬beaux était blanche, peu saignante. Cautérisation au fer rouge . Jusqu'en 1865, le malade fait pratiquer deux f
it du vin, rarement de l'eau-de-vie. Le matin, à jeun, il boit du vin rouge , sans aliments, et avant ses repas un verre d'ab
lcérations à travers lesquelles surgissent comme des champignons d'un rouge vif et parsemés de points blanchâtres. Nous somme
t survenue sur les bras une nouvelle éruption composée de taches d'un rouge foncé et recouvertes de squames. Avant son admiss
second lieu, on trouve çà et là, entre les croûtes, des papules d'un rouge cuivré, recouvertes de squames (éruption papulo-s
s. La lèvre supérieure, où les croûtes sont tombées, a une coloration rouge de cuivre. La distribution des croûtes, leur form
orsqu'on dispose de moyens plus simples. Kamala. — C'est une poudre rouge que l'on retire du liottlera tinctorea. On le don
— Tube digestif: estomac à demi rem¬pli d'aliments; l'intestin grêle, rouge extérieurement, présente à l'intérieur des arbori
é¬sente des cicatrices, blanches et lisses en quelques endroits, d'un rouge un peu violacé dans la plus grande portion de leu
XIX. La face dorsale du méta¬carpe est envahie par une cicatrice d'un rouge un peu vineux, limi¬tée en haut par une bande de
semaines, les téguments devenus plus souples avaient cette coloration rouge violacé spéciale aux manifestations de la scroful
es, vingt aveugles, dix borgnes et vingt autres dont les yeux étaient rouges , purulents et tachés. » Celte assertion de l'illu
un grain de sable entre la paupière et l'œil : la conjonctive devient rouge dans un point; cette rougeur s'étend; la vue s'ob
ans les seins, qui étaient turgescents. Le mamelon droit était un peu rouge ; la montée du lait s'était effectuée. Les différe
lée. P. 72; T. 38u,6. Soir : P. 76 ; T. 37°4. — 17 mai. Langue nette, rouge ; nuit bonne. P. 68; T. 56°,2 ; l'enfant tette. So
seins sont tuméfiés, non douloureux. P. 64; T. 58°,9.— 25mai. Lochies rouges . Seins remplis de lait. L'enfant tette bien. P. 6
ement le climat sous lequel il vit. Presque toujours, il a les yeux rouges et chassieux ; ses cils sont accolés les uns aux
t de misère et repoussants de malpropreté. Leurs yeux sont chassieux, rouges , en¬flammés, souvent pleins de pus, et, chose inc
34 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Corps rigide, en extension. raçe congestionnée, plutôt violacée que rouge . Mains fermées, les pouces en dedans. Secousses
ixé sur leur forme véritable. Ils adhèrent fréquemment aux globules rouges par une de leurs extrémités. Il arrive/suivant
étaient sains, les reins seulement un peu volumineux et de couleur rouge brun, et on trouvait vers leur surface des sign
tance de l'hémisphère : elle était remplie de grands caillots mous rouge foncé, récents, et de quelques autres plus petits
LINIQUE NERVEUSE ? Sur un cas de papillome épithélioïde 'du noyau rouge . Contribution à l'étude des fonctions du noyau
de 'du noyau rouge. Contribution à l'étude des fonctions du noyau rouge ; - PAR i M. le Professeur RAYMOND et M
lésions de la voie pyramidale, il en est une qui attribue au noyau rouge un rôle important, rôle producteur d'après elle
ie du 15 mai 1902, qui z concerne une destruction complète du noyau rouge gauche accompagnée cependant d'exagération du t
ération du tonus musculaire. > Certes, les destructions du noyau rouge , bien que rares, ne . sont pas exceptionnelles
nous indiquer la fonction précise de l'une ou l'autre partie, noyau rouge ou faisceau pyramidal. A ce point de vue, notre
ste en un papillome primitif épithélioïde, qui a détruit le noyau rouge mais respecté entièrement les fibres pyramidales,
arole. Hypoesthésie du côté droit. Néoplasme ayant détruit le noyau rouge gauche et une grande partie du noyau rouge droi
e ayant détruit le noyau rouge gauche et une grande partie du noyau rouge droit. T..., cinquante-sept ans, charbonnier, n
ibres de cette troisième paire, sectionner dans son milieu le noyau rouge droit; enfin venir , aboutir de nouveau au fond
de la troisième paire (noyau et fibres) ; 2° en totalité, le noyau rouge ; 3° la moitié interne du faisceau sensitif. B, à
et des libres de la troisième paire ; 2° la partie interne du noyau rouge . Sont au contraire tout à fait épargnés, les pi
les régions du pédoncule détruites, à gauche, la totalité du noyau rouge et de la troisième paire, à droite, la moitié i
ouge et de la troisième paire, à droite, la moitié interne du noyau rouge et de la troisième paire. Nous avons indiqué au
n faisceau rubro-spinal qui établirait des relations entre le noyau rouge et les divers étages médullaires. Nous avons tr
if du néoplasme est à signaler; nous pouvons dire que tout le noyau rouge gauche a disparu dans l'intervalle de trois moi
a troi- sième paire aussi bien dans son trajet à travers le noyau rouge qu'au niveau de son noyau, à droite la partie int
ès le début, ont apparu des troubles d'in- coordination et le noyau rouge gauche a été détruit, car sa place est occupée
e est occupée par le centre du néoplasme. 1 La fonction de ce noyau rouge est encore inconnue. Nous discuterons plus loin
nérescence dans le pédoncule cérébelleux droit, au-dessous du noyau rouge gauche. Quoi qu'il en soit, le noyau rouge est
t, au-dessous du noyau rouge gauche. Quoi qu'il en soit, le noyau rouge est en connexion intime avec le pédoncule céré-
lariser les mouvements volontaires. C'est donc à la lésion du noyau rouge gauche et par suite du pédoncule cérébelleux su
cules cérébelleux supérieurs, de telle sorte qu'une lésion du noyau rouge gauche agit en réalité sur le pédon- cule céréb
pouvons conclure de l'étude de notre malade qu'une-lésion du noyau rouge , du pédoncule cérébelleux supérieur au niveau d
, la lésion du pédoncule cérébelleux supérieur au niveau du noyau rouge . Un dernier point reste à analyser, l'état du t
100 CLINIQUE NERVEUSE. le mésocéphale, en particulier dans le noyau rouge et par- viendrait à la moelle par la voie céréb
centres d'excitation du tonus musculaire, en parti- culier du noyau rouge , doit déterminer au contraire une /n/)0<o ?
u moins marquée. Or, notre malade présente une destruction du noyau rouge sans altération de la voie pyramidale, réalise
pendant. On ne peut dire par suite que, chez notre malade, le noyau rouge était le centre producteur du tonus. Au surplus
ie-mère pédonculaire et ayant détruit à gauche la totalité du noyau rouge , à droite la moitié interne de ce même noyau, a
use supérieure, inter- rompue dans le cas actuel au niveau du noyau rouge . PATHOLOGIE NERVEUSE Tremblements infantiles
jeter sur le corps une couver- ture arabe à -raies alternativement rouges et blanches, un 14O L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈS
hives de Neurologie, prouve nettement que la destruction des noyaux rouges n'abolit pas les réflexes tendineux. 'SI. van G
fait coller sur les monuments publics de Paris de grandes affiches rouges où elle exposait ses malheurs et ses protestati
a Ville de Paris, en 1885. Le 13 juillet 1882, il recevait le ruban rouge ; le 17 mai 1888, atteint par la limite d'âge, i
apparaît congestionné. Enfin, on trouve deux foyers d'hépatisation rouge , un dans chaque lobe, entourés de tissu non hép
ondes qui physiquement, sont les plus différentes, c'est-à-dire le rouge et le violet, ont été les premières à être diff
le spectre solaire était presque entièrement gris. sauf une teinte rouge à l'une de ses extrémités, violette à l'autre : c
apparaît une quatrième couleur, le jaune, à moitié chemin entre le rouge et le vert : ensuite viennent le bleu et l'orange
malade, par liesse, 426. d'angoisse, par Hartemberg, 530. Noyau rouge . Sur un cas de papil- lome épithélioïdedu noyau
pliique. Voir ? zévi,ile. Papillome ÉPITIIÉLI01DE. Voir noyau - rouge . Paralysie faciale périphérique. Voir Bell, L
35 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
te mère j'ai mal au coeur » et, à chaque fois, sa figure de- venait rouge ; puis, à la suite d'un étourdissement ultime,il
, qui empiète surtout sur la fesse gauche sous forme d'un bourrelet rouge , induré, large de trois travers de doigt; elle
s de la façon suivante : elle tombait n'importe où, devenait très rouge , mais n'écumait ni ne se débattait. On prétend mê
ntense (50 respi- rations par minute). Les pommettes du visage sont rouges . Le pouls petit, rapide, assez régulier, est de
ton. Les lèvres sont desséchées; la langue blanchâtre, avec piqueté rouge ; Fi[l. 4. - 1 ? éruption. 100 ÉPIDÉMIE DE ROU
saburrale ; à travers l'enduit blanchâtre, se déta- che un piqueté rouge , dû à l'érection des papilles, anorexie, diarrh
trouvons dans un état de somnolence et d'abattement. La face est rouge , tuméfiée. L'éruption est discrète, sans affecter
ption est très con- fluente; elle se présente sous forme de plaques rouges et lisses. La conjonctivite est intense; photop
e ulcération impétigineuse. Le visage est parfois marbré de plaques rouges . Traitement tonique. Poids du corps, 9k,200. Ta
on apparition. Au niveau du visage, il se manifeste par des plaques rouges , dont l'aspect ne rappelle en rien celui d'une
tronc, l'abdomen, les cuis- ses, il prend la forme d'un fin piqueté rouge . Il fait défaut sur les bras et les jambes. En
ses sous-pleurales interlohaires. On trouve un noyau d'hépatisation rouge sur le lobe inférieur. Toute la partie la plus
inférieure. L'estomac montre des ecchymoses sous-mu- queuses d'un rouge vif, surtout au niveau du grand cul-de- sac. L'
iniforme, dans ses deux principales modalités : d'une part, plaques rouges , lisses, sur le visage ; d'autre part, exanthèm
ré à l'autop- sie des noyaux de bronchopneumonie, en hépatisation rouge . Mais nous croyons que cette lésion n'a été que
otum. Langue saburrale. Erection des papilles qui se détachent en rouge sur le fond blanc de l'enduit. Diarrhée glaireuse
eur un noyau de broncho-pneumonie, peu volumineux (hépa- tisation rouge ). ROUGEOLES COMPLIQUÉES, 161 1 Larynx. La muq
tion rouge). ROUGEOLES COMPLIQUÉES, 161 1 Larynx. La muqueuse est rouge , injectée, ecchymoséc, surtout sur les deux fac
t vrai, des lésions de broncho-pneu- monie, un noyau d'hépatisation rouge , mais les altéra- tions intestinales étaient pl
xte et les planches sont montés sur onglets ; demi-reliure, tranche rouge , non rognés,- Prix de la reliure. 5 fr. BOURNEV
36 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
t insisté sur ce point. L'action du rouée est la plus excitante. Le rouge répond h l'énergie, à la force. Au contraire, le
st froid et calmant. Mettez un lypc-maniaque déprimé dans une chambre rouge , il s'améliorera. Un ma-/page> page n="10"&g
ouvriers étaient très excités quand ils travaillaient dans In chambre rouge ; ilssont devenus calmes depuis qu'on a remplacé l
bre rouge; ilssont devenus calmes depuis qu'on a remplacé les rideaux rouges par des verts. Le taureau et le dindon sont excit
par des verts. Le taureau et le dindon sont excités par les couleurs rouges ; on emploie souvent des lunettes à verres bleu fo
sur les végétaux qui atteignent un développement extraordinaire. Le rouge et les couleurs qui s'en rapprochent ; orange, ja
mmes; les femmes, passionnées pour la force et l'énergie, admirent le rouge , le vert et le jaune. Les sauvages, qui ne pris
s que l'énergie, ont la passion des couleurs lumineuses et surtout du rouge . Cette préférence existe chez les nègres aussi bi
Polynésien. Le Xéo-Calédonïen, rapporte Cook, admire tout ce qui esi rouge et prodigue celte couleur pour embellir les potea
tatuettes. A la Nouvelle-Zélande, il suffisait de peindre un objet en rouge pour qu'il devînt tabou. Les Gabonais, écrit Dorl
tabou. Les Gabonais, écrit Dorlhac, ne connaissaient que les couleurs rouge , blanche et noire avant l'arrivée des Européens.
ouleur préférée des Kafirs Siapochs, peuple de l'Afganistan, était le rouge : c'est la couleur de certains ornements des chef
nts des chefs. Les nègres fétichistes du Congo préfèrent la couleur rouge ; les commerçants emportent toujours pour leurs éc
les commerçants emportent toujours pour leurs échanges des cotonnages rouge vif. L'amour du rouge se retrouve dans les fard
t toujours pour leurs échanges des cotonnages rouge vif. L'amour du rouge se retrouve dans les fards et les parures qu'affe
rds et les parures qu'affectionnent les sauvages : ils se peignent en rouge ou s'enduisent le corps et les cheveux d'une pâte
t en rouge ou s'enduisent le corps et les cheveux d'une pâte d'argile rouge mêlée d'huile. Le rouge était la couleur de pré
le corps et les cheveux d'une pâte d'argile rouge mêlée d'huile. Le rouge était la couleur de prédilection des Grecs et Rom
e, les nobles seuls avaient le droit légal de porter la pou ! pre. Le rouge e3t d'ailleurs resté la couleur dominante dans le
rougs est réservée au roi; chez les Loundas, le roi se met une mitre rouge avec une aigrette rouge, etc., etc. A Madagasca
oi; chez les Loundas, le roi se met une mitre rouge avec une aigrette rouge , etc., etc. A Madagascar, lo souverain seul a l
tous ceux qui l'accompagnent ù la guerre ou ù la chasse sont vêtus de rouge . Aux Indes ou en Chine les couleurs brillantes
e Japon ouvrit ses portes au commerce européen, y expédia des étoffes rouges : elles lui restèrent pour compte. Les musulman
nègre fétichiste par son amour du bleu, tandis que l'autre préfère le rouge : l'un se tatoue en bleu, l'autre se barbouille l
: l'un se tatoue en bleu, l'autre se barbouille le corps d'ocre. Le rouge , couleur excitante, rappelle aussi celle du sang.
nce de la spécification de couleur. Un verre violet peut être presque rouge et il peut être presque bleu. M. Camille Flammari
us en rapprocher par des verres bleu indigo satisfaisants. Les verres rouges sont bien monochromalïqucs: les verts laissaient
s travaillaient toute lajournéc dans une salle éclairée uniquement en rouge , ils se mettaient a chanter, à gesticuler; les ho
ta muraille, ou placez sur l&amp; dent cariée de i'urine de bœuf rouge . Un jour, unefemmede la campagne vint nous parl
lle et la température s'abaissent; le sang devient noir; les globules rouges diminuent au profit des globules blancs. Tous ces
e ponction qui laisse écouler plus d'un demi-litre d'un liquide épais rouge foncé, indiquant un kyste sanguin. Après toutes
région de la peau s'anémie, autour de la région se produit un cercle rouge , puis la teinte de la région prend rapidement l'a
4.65tJ ont répondu. De ces réponses il résulte que l'homme blanc ou rouge garde mieux lo souvenir des jours heureux que des
st toujours debout, immobile, grave, la main sur le marteau, ceint de rouge , Illuminé par la fiamme. L'enfant est nu, très
main qui la touche. Sur toute la surface œdémateuse, la peau est d'un rouge vif marbré de plaques violacées. On ne perçoit au
37 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
e externe, nerf de la sixième paire. NG. Nucleus yracilis. NT». Noyau rouge de la calotte. 02. Deuxième circonvolution occi
Noyau antérieur du thalamus (corpus album subrolun-dum). NR. Noyau rouge de la calotte. Ot. Premier sillon occipital. 02
70. NiC. Noyau interne du thalamus, 69, 70. NR. Nucleus ruber, noyau rouge de Stilling, 79. O1. Quatrième circonvolution occ
u externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus, 258. NR. Noyau rouge de la calotte, 259. OP. Opercule pariétal de Sylv
terne du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus, 275. NR. Noyau rouge de Stilling, 277, 281. OP. Opercule pariétal de
Noyau externe du thalamus. NiC. Noyau interne du thalamus. Mi. Noyau rouge de Stilling, 292, 295. OF. Opercule frontal, 290,
NiC. Noyau interne du thalamus, 508. NL. Fibres latérales du noyau rouge de la calotte, faisceau rubro- thalamique, 517,
ouge de la calotte, faisceau rubro- thalamique, 517, 526. NR. Noyau rouge de la calotte, 508, 516. OP. Opercule pariétal de
NC. Noyau caudé, 429. NCC. Queue du noyau caudé, 450. NR. Noyau rouge de Stilling, 428. 02. Deuxième sillon occipital
dian, 457. NpC. Noyau postérieur du thalamus, 456, 457. NR. Noyau rouge de la calotte, 455. O2. Deuxième circonvolution
ue du noyau caudé. NiC. Noyau interne du thalamus, 456. NR. Noyau rouge de Stilling. 02. Deuxième circonvolution occipi
amygdalien, 459, 460, 461. NCC. Queue du noyau caudé, 459. NR. Noyau rouge de la calotte. O1. Quatrième circonvolution occ
r de Sœmmering. NC. Noyau caudé. NCC. Queue du noyau caudé. NR. Noyau rouge de Stilling. 0'. Quatrième circonvolution occip
Noyau interne du thalamus. NmC. Centre médian (Luys). NPi. Noyau rouge de la calotte. Oi. Scissure perpendiculaire ou
38 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
e postéro-supé- rieure de ce lobule.il existait une petite saillie, rouge foncé en arrière et rouge clair en avant. Du cô
ce lobule.il existait une petite saillie, rouge foncé en arrière et rouge clair en avant. Du côté droit, cette saillie débo
'âú'x corps striés'et aux régions sous-Lhalai111qùes ? les' noyaux' rouges étant intacts. . 1 ., 'f Ht' ...I ? J' ,,1 ., ,
riés, à la région sous-tlialamique, respectant cependant les noyaux rouges . Dans un cas les corps striés eux-mêmes ne mont
fais- ceaux de fibres unissant les noyaux lenticulaires aux noyaux rouges (ansae lenticulares) expliquerait la parenté de
ns des muscles de la face. Puis elle tombe comme une masse, la fare rouge , violacée, trempée de sueur, s'endort profondémen
durant une minute environ. Pendant l'état con- vulsif, la peau est rouge , violacée, puis olJ ! libulation avec regard vagu
rès modifiée dans un grand nombre de lésions du médian. La peau est rouge , violacée, quelquefois même l'index est bleu et f
plus ou moins foncé à la paume, avec parfois une pigmentation plus rouge sur les bords de l'éminence thénar et aux talon
stic. Les troubles vasomoteurs sont caractérisés par une coloration rouge violacée ou bleu noiràtre de la peau. Ces troub
cc) Elle est tantôt fine, luisante, tendue, décoloration bleuâtre ou rouge violacé rappelant le glossy-skin décrit par Pag
s cas,nous avons aussi constaté de simples troubles cutanés, doigts rouges , parcheminés, etc., sans oedème sous-cutané dan
oût. Dans le sac d'un tirailleur tué nous avons trouvé une chasuble rouge et or, volée dans les ruines d'une église, pour s
ugation prolongée. Le fond du tube examiné montre quelques globules rouges , de très rares lympho- cytes. Pas de polynucléa
gation prolongée. Le fond des tubes examiné montre quelques globules rouges , de rares lymphocytes, pas de polynucléaires, p
pe, les corpuscules de Malpighi sont un peu agrandis. La pulpe d'un rouge foncé. Dans le canal digestif, la membrane muqu
hié. Dans le cas de SABRAZÈS et CABANnES,.la joue droite était plus rouge que la gauche (une certaine différence existe a
sselle et peu à la région pubienne. A la face ou trouve deux taches rouges . A l'abdomen il y a NOUVELLE ICCNOGI2AP111&
n au microscope on a trouvé un nombre important de globules de sang rouges , paraissant morphologiquement intacts, ainsi qu'u
tivement, il semble que le nombre des globules blancs vis-à-vis des rouges était normal. Centrifugatinn : culot hématique
s forte que la fois précédente. Le microscope a montré les globules rouges en grande pallie morphologiquement altérés, épi
ouges en grande pallie morphologiquement altérés, épineux. Globules rouges par centi- mètre cube : 45 000 ; blancs : 400.
isuel gauche. Nouvelle ponclion lombaire ; pression : 120, globules rouges : 56.000, blancs : 300 par millimétré cube. Non
ntient qu'une petite quantité de liquide clair, légèrement teint de rouge , celui de droite un caillot de sang sombre, qui
A l'examen microscopique, on trouve qu'il contient 40.000 globules rouges , la plupart morphologiquement inaltérés, et 40
centimètres cubes ont été obtenus. Le liquide contient 530 globules rouges , pour la plupart épineux, et 30 globules blancs
nlèvement de la calotte, on a vu la dure- mère fortement teintée de rouge . Le côté intérieur était lisse et d'une couleur
nt teintée de rouge. Le côté intérieur était lisse et d'une couleur rouge très claire et brillante. Les leptoméninges par
ie. Tous les ventricules sont complètement pleins d'un sang liquide rouge sombre entremêlé de caillots. ' Après un pruden
e est tra- versée par un caillot de la grosseur d'un oeuf de poule, rouge , sombre et. humide, qui s'étend jusque dans le
ce d'hémorragie ancienne, il mérite d'être signalé que les globules rouges subissent cette altération bientôt après le ref
re de globules blancs dépassant proportionnellement de beaucoup les rouges (observations 1 et IV). Ce phénomène se manifeste
1er mai 1916. - Corde vocale droite immobile, sur la ligne médiane, rouge , l'aryténoïde basculé en avant : le gauche pass
te. Pouls : 114. 23. Pouls : 104, voix normale, corde vocale droite rouge , même position de l'aTyténoïde gauche. La régio
médiane. Pouls : 120. 4° septembre. - Corde vocale droite toujours rouge : l'aryténoïde gauche passe en arrière du droit
ile. Il octobre. - La corde droite est nettement mobile et toujours rouge ,,la corde gauche supplée à sou insuffisance, l'
Pouls : 100. 20. Corde vocale droite beaucoup plus mobile toujours rouge , juxtaposi- tion parfaite des lèvres de la glot
oile remonte droit. Langue bien tirée. Les cordes vocales sont un peu rouges . 18 juillet. La voix est enrouée, elle se fatig
la ligne médiane. - 11 septembre ? Pouls : 80, corde droite un peu rouge ; sur la ligne mé- diane, immobile. · . 20. M
39 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
droit des couleurs de deux millimètres de côté sur le fond noir. — Le rouge et le bleu à 1 m. 30. — L'orangé, le jaune et le
if) pour qu'elle soit perceptible à cet œil est : De 135 parties de rouge pour 226 de blanc. De 60 parties de vert pour 300
oncentrique-ment. Les limites du bleu n'atteignent pas 45°. Celles du rouge sont encore plus rétré-cies et celles du vert n'a
uleurs... Notre Seigneur a de longs cheveux bouclés, une grande barbe rouge ; il est beau, grand, fort, tout en or. La Sainte-
des conséquences sérieuses : Un jour, Geneviève acheta une robe d'un rouge violet, croyant avoir une robe marron. lancoliq
le la période destertor est plus accusée que de coutume : la face est rouge , violacée ; il s'écoule à la fois de la bouche et
Lubricité- — Crises cardiaques. — Cautérisation du col utérin au fer rouge ; son action. — Contracture passagère du membre i
ois très-violents. 22 novembre.— Cautérisation du col utérin au fer rouge . L'introduction du spéculum est difficile et occa
es : 1°Première période, a) Torsion de la tète, face déviée à gauche, rouge , grimaçante, ayant parfois une expression cynique
le et pleure. 16 avril. — Nouvelle cautérisation du col avec le fer rouge . 21 avril.— Les étouffements sont beaucoup plus
Les étouffements sont beaucoup plus rares. Il est survenu des plaques rouges d'érythème sur différentes parties du corps, su
qu'elle en voulait encore. — Aujourd'hui, cautérisation du col au fer rouge . L'introduction du spéculum est toujours aussi do
s, le cou, les bras, la poitrine, le ventre et les cuisses deviennent rouges ou rosés (érythème) ; la pression avec la main re
ncelles ou des flammes verdâtres. Elle reconnaît le bleu, le vert, le rouge , le jaune foncés; le rose, le bleu tendre ou le v
t blancs. lor avril.—Apparition,il y a quelques instants, de taches rouges , irrégulières, sur la face, le cou et les bras. C
peut découvrir. De ce côté, elle voit des étincelles et des lumières rouges . Ces accidents n'ont pas eu de suite. 1877. 9 f
de l'Hystérie, 4,14,34, 51,110. Cautékisation du col utérin au fer rouge , 118, 119, 120, 121, 133. Chatouillement, 115.
40 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
les colorations sur la coupe les montrent comme de larges faisceaux rouges dessinant un réseau assez étrange. Le nombre de
AU tellement serrées qu'on ne distingue pas entre elles de globules rouges . Par place ces cellules restent tout à fait iso
deux tiers inférieurs de la jambe et aux'pieds, la peau se présente rouge , cyanosée et froide. Les troubles trophiques de
olaire cribriforme, fig. 7). Par places se voient des masses rondes rouges ou roses qui ne sont autre chose que les cy- li
. Dans quelques-unes de ces masses on peut distinguer un point plus rouge (cylindraxe) et une zone rosée (la gaine de myé
e- éosine décèle des masses rondes plus ou moins colorées (roses et rouges ). Ces masses étaient constituées par les fibres
taux se trouve au sein des muscles une masse néoplasique, en partie rouge et en partie jaunâtre. Elle se détache nettemen
mentée, du double de son état normal,sa capsule est grise, la coupe rouge sale, sans structure constata- ble, très molle.
Reins augmentés de volume, zone corticale élargie, pyra- mides très rouges ; dans la zone corticale, raies jaunâtres et roug
yra- mides très rouges ; dans la zone corticale, raies jaunâtres et rouges (dilata- tion vasculaire, dégénérescence graiss
ume. Muqueuses stomacales et intestinales pâles, celle de la vessie rouge . Le foie est augmenté, à la coupe rouge-brunâtre.
oie est augmenté, à la coupe rouge-brunâtre. La rate est augmentée, rouge , se déchire facilement. Ganglions bronchiques t
une démyélinisation du tissu, se voyait une coloration plus intense rouge rosé. Avec de forts grossissements on pouvait f
'ordre tout mécani- que, et qui consiste dans l'apparition de raies rouges ou blanches sur les en- droits irrités. L'étude
elle, à la suite d'irritations mécaniques, apparaissaient des raies rouges en bourrelet (proéminentes) et qui persis- taie
bservé 70 malades qui présentaient le phénomène du dermogra- phisme rouge et seulement deux avec le dermographisme blanc, c
0/0. Les auteurs décrivent deux sortes de dermographisme les raies rouges plates- non proéminentes et un autre qu'ils dés
raphisme et qui consiste en un bourrelet blanc bordé de deux lignes rouges . Séglas et Darcanne ne foulque constater la fréqu
nc; une ligne tracée avec force, amène l'apparition d'une raie d'un rouge intense, dermo- graphisme rouge ; l'irritation
amène l'apparition d'une raie d'un rouge intense, dermo- graphisme rouge ; l'irritation de moyenne intensité provoque l'ap
; l'irritation de moyenne intensité provoque l'apparition de raies rouges accompagnées de raies blanches. De cequi précède
te le phénomène de dermographisme sous ses deux aspects ou formes : rouge et hlanc. Nicolsky en opposant ces deux formes
on admettrait l'irritation des centres de la constriction, avec le rouge , celle de la dilatation. Mais où la chercher en p
e der- mographisme fait place à l'autre où nous observons tantôt le rouge , tantôt le blanc et où le dernier finit par pré
par exemple,,le dermographisme blanc a fait place au dermographisme rouge et sous l'influence de bains sulfureux est rede-
voquer alternativement l'apparition de raies tantôt blanches tantôt rouges selon l'intensité de l'irritation déterminatric
ographisme blanc,et si par mégar- ( de l'on appuie plus forlemenlle rouge apparaît. Il n'est pas aisé, faute d'instrument
hénomène contraire. 3* Le dermographisme blanc est plus rare que le rouge . 4° Le dermographisme biancne se transforme pas
ge. 4° Le dermographisme biancne se transforme pasordinai rement en rouge . 5° Le dermographisme rouge n'est provoqué que
ncne se transforme pasordinai rement en rouge. 5° Le dermographisme rouge n'est provoqué que par une irritation rela- tiv
e par une irritation rela- tivement intense. 6° Le dermographisme rouge est quelquefois accompagné de dermogrn- phisme
elquefois accompagné de dermogrn- phisme blanc. 7° Plus les raies rouges sont intenses, plus les raies blanches sont ac-
es, plus les raies blanches sont ac- cusées. 8° Le dermographisme rouge se change quelquefois en dermographisme blanc.
l'irritation du centre vasomoteur (spasme) ; b) Le dermographisme rouge seul, indique la fatigue de ce même centre (par
ique la fatigue de ce même centre (parésie) ; - c) Le blanc et le rouge , quand ils apparaissent simultanément ou bien s
les provoquer chez le même sujet. (t) RouDNew, Le dermographisme rouge et blanc chez les aliénés, 1902. Rapport medi-
08, p. 391. 204 ROUX malade de Balzer qui se cautérisait au fer rouge , la jeune fille citée par Brissaud qui s'enfonç
ts bien implantées. Palais ogival. - Luette et amygdales grosses et rouges ; voile du palais normal. Déglutition et phonat
val, luette hypertrophique et rougie ; voile du palais et amygdales rouges également. Normal le réflexe pharyngien. La l
surtout abondante sur le dos, aux avant-bras et aux jambes. Pharynx rouge . Palpables, les glandes cru- rales, inguinales,
on n'ont plus le dessin caractéristique de maillesjaunes avecun point rouge central (le cylindraxe). A leur place il y a un
. Souvent on peut voir des cylindraxes dénudés sous forme de points rouges ou de filaments en s`j (j FLATAU roulés. Dans
hamp visuel de l'oeil gauche légèrement restreint pour le blanc, le rouge , .le vert. Examen ophtalmoscopiqae : à droite,
ps ses mains dans l'eau, les téguments prennent une coloration d'un rouge beaucoup plns intense, devenant parfois violacés
es, fines et pas retroussées ni en- tr'ouvertes ; les gencives sont rouges et un peu tuméfiées ; la dentition pré- sente q
if pour la syphilis. Examen chromoctttomélrique du sang. Globules rouges : 5.000.000. Leucocytes -.12. 000. Hémoglobine
lobulaire : l . Rapport : 1 : 410. Examen cytologique. Les globules rouges sont parfaitement normaux ; pas d'anisocytose n
rande abondance de créatinine. Indican et scatol : traces. Indoxile rouge : traces nettes. Sédiment : nul élément patho-
t : nul élément patho- logique...... ' Examen du sang. - Globules rouges : .4.800.000. Leucocytes : 9. 200. Hémoglobine
: 1 : 521. Valeur globulaire : 1. Examen cytologique. Les globule ? rouges sont parfaitement normaux, pas d'anisocytose, n
urbent en arrière et se confondent avec la capsule médiane du noyau rouge , d'autres enfin, contournent le pied du pédoncule
, 6 fig.), parlais- SALLE-ARCIIAÙ1RAULT, 505, 630. Dermographisme rouge et blanc (1 pl.), par l3oonrEw 197. Ependymai
ans la sclérose en plaques (1 pl.), 613. ROUDNEW - Dermographisme rouge et blanc (1 pl.), 197. Roux. Hystérie traumat
4SALLB-AIiC11An1- BAULT), LXXII il LXXVI. Dermographisme blanc et rouge (ROUD- NBW), XVII. Gigantisme acromégalo-infa
41 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
ires (1 à 5 de l'échelle de M. Galezowski) ; 2° perte de la notion du rouge et du vert : la notion du jaune et du bleu persis
nomènes qui révèlent l'état paralytique des vaso-moteurs: la joue est rouge ; l'œil injecté, présente une sorte de chémosis ;
nterprétation pathogé-nique. Les nerfs comprimés, en pareil cas, sont rouges , tumé-fiés à un haut degré, toutefois sans change
e la myélite destructive avec formation d'un foyer de ramollis-sement rouge avec lésions vasculaires, corps granuleux et le r
une des cornes grises antérieures, con-sistaient en un ramollissement rouge , inflammatoire, avec injection vasculaire, produc
Ces observations établissent — comme on voit — que le ramollissement rouge doit être compté parmi les lésions spi-nales de l
s les plus altérés, jusqu'àla forma-tion d'un foyer de ramollissement rouge . Quoi qu'il en soit, à ces altérations brusquem
raduit ici, le plus souvent, microscopiquement par le ramol-lissement rouge . Mais les choses ne vont pas toujours aussi loin
de la paralysie dus membres inférieurs ; à l'autopsie, ramollissement rouge de_la moelle lombaire. vent deux, cinq, dix ans
tteints, à l'exception de l'ex-tenseur propre du pouce qui est encore rouge et assez volumi-neux. — Les muscles de la région
atteints. A la main, les lombricaux ont seuls conservé la coloration rouge et un certain relief. Membre inférieur droit. I
trême. Le faisceau claviculaire de ce dernier muscle est au contraire rouge et volumineux. — Les muscles des fosses sus et so
espondant à des faisceaux de fibres malades, alterner avec des stries rouges moins nombreuses. — Les sterno-mas-toïdiens parai
ions sus et sous-hyoïdiennes. — Les muscles du pharynx sont d'un beau rouge et remarquables par leur épaisseur, ceux du la-ry
langue a son volume normal, ses différentes couches musculaires sont rouges ; il n'y a pas trace de substitution graisseuse.
sommets étaient sains. — Le cœur pesait 185 grammes. Son tissu était rouge , ferme, il paraissait entièrement sain. 11 n'y av
orte au niveau de la pointe de la langue. Ils sont au contraire assez rouges , quoique manifeste-ment atrophiés, dans la base d
une feuille-morte. Les muscles du bras sont petits, mais d'une teinte rouge presque normale. A l'avant-bras, les muscles sont
les muscles sont excessivement grêles, mais là en-core la coloration rouge est assez bien conservée. Les muscles de la main
ître à mesure qu'on se rapproche de la poitrine. — Les pectoraux sont rouges et ne présentent pas d'a-trophie marquée. Les int
as y avoir là d'atrophie proprement dite. Les muscles sont d'ailleurs rouges et leur tissu semble sain. d) Système nerveux p
diffluence excessive. De gros vaisseaux gorgés de sang et une teinte rouge diffuse s'observaient sur la partie ramoliie. Le
des cordons latéraux se mon-trent sous forme de deux petites plaques rouges , transparentes, irrégulièrement arrondies, placée
il en est de même pour la rate et les reins. La muqueuse vésicale est rouge , recouverte de saillies mamelonnées, tapissée d'e
r coloration se rapproche sensiblement de l'état normal. Le masséter, rouge à sa surface, est jaunâtre dans ses parties pro-f
lènes, les trapèzes sont bien nourris et offrent une belle coloration rouge . Les pectoraux et les muscles du membre supérie
ure, ce qui reste de la pyramide se détache sous la forme d'une bande rouge transversale, on voit la sclérose s'avancer en fi
des régions sus et sous-hyoïdiennes, présentent une belle coloration rouge ; par contre, les muscles propres de la langue se
deux sterno-mastoï-diens sont grêles, mais ils offrent une coloration rouge . Le muscle trapèze présente partout une teinte
ent peu altérée. Le deltoïde du côté droit offre une belle coloration rouge . Les deux pectoraux sont grêles, d'ailleurs nul
'au niveau de la pointe. Bien qu'ils aient conservé leur coloration rouge de l'état nor-mal, les muscles extrinsèques de la
42 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
petit spéculum de Fergusson dans le vagin. La muqueuse vaginale est rouge , boursouflée; granulations sur le col utérin av
ution d'acide picrique est jaune ; la solution d'éosine primerose : rouge pâle; le bleu de méthyle : bleu; le violet de g
st aussi par hasard en voyant se des- siner sur sa peau, d'abord en rouge , puis en relief les objets qui s'étaient trouvé
dement en intensité et en largeur et devient bientôt une bande d'un rouge vif, visible à plusieurs mètres de distance, be
ue la ligne pâle primitive. Cinq ou six minutes plus tard, la bande rouge se soulève, pâlit dans sa région axiale, reste ér
tardent pas à se réunir en l'absorbant tout entière; puis la bande rouge ainsi constituée se soulève, pâlit à sa partie ax
placards, siégeantà)a région inguino-crurate, bien limités, d'un rouge brun sombre, presque prurigineux, couverts d'un
des surfaces diffuses, humides, douloureuses ou pruri- gineuses, rouges vif ou couvertes de squames lamelli- l3alier. D
n'affecte pas la forme circinée qui lui est habituelle, il est plus rouge , plus squameux, plus diffus et plus douloureux.
une épingle, des caractères quelconques qui se dessinent d'abord en rouge , puis avec un relief de un ou deux millimètres.
ns cen- trales ou même périphériques du système nerveux : la raie rouge que l'ou trace sur le ventre des typhiques et d
une expérience. classique et M. Vulpian2 a vu des raies pâles ou rouges , d'anémie ou d'hyperhémie cutanée, se montrer a
lut scier le casque pour le lui enlever), la face était extrêmement rouge , les conjonc- tives complètement infiltrés de s
au est jaune cireux à la face, sauf au milieu des joues où elle est rouge foncé. Ailleurs, la teinte cireuse est moins pro-
e et reste presque toujours, en partie, hors de la bouche. Elle est rouge bleuâtre comme les lèvres, comme toute la muque
ne ligne, et qu'on lui donne sur une des moitiés l'hallucination du rouge , elle aura sur l'autre moitié la sensation du v
apier blanc, et on lui suggère que ce carré de papier est coloré en rouge ou en bleu. Au bout de quelques instants, on reti
'on lui a préalablement fait voir par suggestion. S'il s'est agi du rouge , le second carré de papier paiait 108 REVUE D',
ouleur qu'on suggère ; si par exemple on se contente de suggérer du rouge , la malade peut se représenter soit le rouge qui
ontente de suggérer du rouge, la malade peut se représenter soit le rouge qui a pour complémentaire le vert, soit un roug
eprésenter soit le rouge qui a pour complémentaire le vert, soit un rouge orangé dont le complémen- taire est le bleu. On
es yeux qu'il les frottait follement. Les conjonctives auraient été rouges . Il n'y aurait eu ni vertiges, ni perte de conn
distinguait pins le jour de la nuit. Ses conjonctives auraient été rouges . Le lendemain matin, 14 août, les douleurs avai
de brûlure intolérable, ses conjonctives auraient été en même temps rouges . Aussitôt après, le malade sent son bras gauche
ble aux yeux, qu'il frottait follement et qui étaient en même temps rouges . En outre, il avait bientôt un poids à l'estomac,
ues) : intégrité probable de la substance grise. Bons effets du fer rouge . Pas d'abcès par congestion. Etude critique. Le
ts du fer rouge. Pas d'abcès par congestion. Etude critique. Le fer rouge , mauvais dans les affections de la moelle, conv
érébrale. Capsula interne. Couche optique. Capsule interne. Noyau rouge . Pied du pédoncule cérébral, Raphé. Protubéranc
pendant quelque temps il y eut une certaine enflure (la peau était rouge ) dans la région de l'articulation tibio-tarsien
atre heures dès l'invasion de l'accident). Sa figure est colorée en rouge , vul- tueuse et grimaçante. Son regard est exce
t en réalité à l'un de ses compagnons. Sa face était très injectée, rouge . Celte scène ! effrayante a duré au total .troi
a fait en réalité à un de ses compagnons; la face était injectée, rouge . Si on prend en considération : 1° le brusque d
d'une brûlure dans les yeux qu'il frottait fortement et qui étaient rouges . Presque en même temps, un mal" de tête intolérab
ment soigné, la peau à la région du sacrum avait commencé à devenir rouge ; j'attirai immédiatement l'attention de ses pr
s symptômes de la gangrène très intenses; la peau devint de nouveau rouge , elle s'ulcéra et les parties molles commencère
est tombé sur le pont. Perte delà parole et de l'intelligence; face rouge . Mort subite. Il. Le 10 juillet 1868, dans l'Ar
' Loc. cil. 4,3 CLINIQUE NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. rouges ; pendant qu'il disait cela, il fut pris de vertig
43 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
Sur toute cette étendue la peau a sa couleur normale ou est un peu rouge ; elle a sa couleur normale dans la partie supé
eur normale dans la partie supérieure, elle est rosée ou légèrement rouge à la partie moyenne et inférieure ; si l'on exerc
a peau n'est pas blanche dans toute son étendue ; elle est rosée ou rouge dans la partie moyenne. et inférieure de la jambe
dont Collet et BeuLter rapportent l'observation a le dos de la main rouge bleuâtre ; le gonflement delà malade de Sicard
et Laignel-Lavastine, blanc dans la position horizontale, devenait rouge vif dans la position verticale. L'oedème, quoiq
ir. » Un second dément paranoïde (fig. 13) porte une petite ficelle rouge devant la poitrine : pour toute explication, le m
oit toujours rester du côté du coeur, pour indiquer que l'homme est rouge ; à un autre moment, il voit dans la ficelle mêm
e promenait dans sa chambre solitaire, en habit de moine de couleur rouge , au milieu d'images des saints profanés, en re-
e si cher à son maître pour les blondes riches de soleil et pour le rouge éclatant d'un hamac suspendu au milieu du vert le
s une clarté sereine où s'harmoniserait bien mieux un de ces points rouges que Carl Larsson sait jeter sur ses neiges. Les
malades. Encore, j'ai vu un dément n'aimer et ne rechercher que le rouge pour l'ornement de ses habits, sans vouloir jam
r laquelle on pourrait appeler le fameux Nomellini, « le peintre du rouge ». L'oeuvre du dément et celle du maniaque sont
utopsie, anasarque absolument géné- ralisée, avec peau ichtyosique, rouge à tous les points de pression, grosse hydrocèle
'où il suit que leur indication insuffisante, jointe à leur couleur rouge , porte l'esprit à se demander si c'est dans les
ouloureux, surtout la petite lèvre gauche, et il existait une tache rouge sur la jointure métatarso-phalangienne du gros
ed, exactement à partir de la ligne du ligament de Poupard, étaient rouges , énormément enflés, très chauds au toucher, dou-
a cuisse et la jambe étaient chaudes aussi, mais elles n'étaient ni rouges ni douloureuses, et la tuméfaction du côté gauche
Raynaud. L'examen du sang ne mon- tra rien de spécial. Les globules rouges étaient au nombre de .120.000 (par millimètre c
à la face postérieure de la cuisse droite, et le genou droit était rouge , douloureux et un peu enflé. Il n'y avait pas d
de la jambe, la cheville et le pied étaient aug- mentés de volume, rouges et douloureux. Le lendemain la température du m
sse était alors moins enflée, et le genou moins volumineux et moins rouge . Le pied et la che- ville étaient encore rouges
volumineux et moins rouge. Le pied et la che- ville étaient encore rouges et enflés, mais ils n'étaient plus douloureux ni
iangle de Scarpa. Le pied et la jambe étaient moins enflés et moins rouges ; le lendemain, le malade était revenu à son état
5 minutes, les mains de- viennent toutes bleues et la jambe devient rouge , plus enflée que d'habi- tude. Elle se trouve d
. Tous les viscères étaientsains en apparence. Son pied droit était rouge et enflé. Un cercle irrégulier de rougeur, larg
rrondis pouvaient être sentis dans le tégument autour de la surface rouge . Le lendemain, le 7 juillet, la tem- pérature é
tait plus générale, le pied était davantage tu- méfié, et une tache rouge se constatait sur la rotule. La malade était très
t nettement rou- ges ; mais ils n'étaient plus douloureux. La tache rouge du mollet était entourée d'un piqueté de points
he rouge du mollet était entourée d'un piqueté de points de couleur rouge brillant en petit nom- bre, au contour arrondi.
; pendant la nuit elle était brûlante, et le 11 juillet, elle était rouge et enflée comme au commencement de l'attaque. La
vico-spinale (Rosenthal et Mendelssohn) et les autres dans le noyau rouge (van Gehuchten), ou dans les ganglions opto-str
bilité des lèvres est normale. Les muqueuses gin- givales sont très rouges , tuméfiées, facilement saignantes et laissent pre
sang. - Erythrocythémie évidente (plus de 7 millions de glo- bules rouges par millimètre cube) et augmentation de l'hémoglo
tré une remarquable érythrocithémie (plus de 7 millions de globules rouges et 105 0/0 d'hémoglobine à l'hé- momètre de Fle
e entre les deux hémisphères devient manifeste, le droit étant plus rouge au carmin,plus clair au Weigert que le gauche.
un grand lit aux draps bien blancs, aux couvertures et aux tentures rouges , rehaussées d'ornements d'or, dont le plancher
é- rieurs, elle est normale ; aux membres supérieurs, elle est plus rouge que partout ailleurs. Le crâne est petit : il
entons M. L. K. 480 BOURNEVILLE, LÉON-KINDBERG ET CH. RiCHET FILS rouge vif par la méthode de Van Gieson, laissant entre
la malade. Un mois après, autour de l'eschare se forma une auréole rouge inflammatoire, et elle fut enlevée par moi avec
était guérie avec d'énormes cicatrices chéloïdiennes d'une couleur rouge foncé ; depuis deux mois la jeune fille n'avait p
signes tangibles d'une brûlure avec un objet métallique chauffé au rouge , qui physiologiquement produit des lésions de l
les caractères suivants : « Elle est hypertrophique, d'une couleur rouge foncé, avec des télangiectasies » ? Même en adm
gitale d'un ou de plusieurs doigts ; à ce niveau on voyait un point rouge de la grosseur d'une lentille, qui, le soir ou
44 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
peau avec le manche du marteau à percussion ou un crayon deviennent rouges et font saillie pendant un moment (dermographisme
Nous dirons bientôt les conséquences de cette atrophie sur le noyau rouge . ANÉVRYSME DE L'AHTÈRE VERTÉBRALE GAUCUE 13 D
u'il gauche. Thalamus ET région sous-THALAMiQUE. Au milieu du noyau rouge et dans les régions les plus postérieures du co
- talité un peu plus petit que le gauche et un peu aplati. Le noyau rouge est d'un tiers plus petit à droite qu'à gauche.
lules ganglionnai- res dégénérées. Dans l'hémisphère droit le noyau rouge n'est visible que sur G2 coupes, tandis qu'a ga
il existe dans 72 coupes. La substance médullaire dorsale du noyau rouge et surtout sa substance mé- dullaire latérale,
rps de Luys, surtout dans la substance médullaire frontale du noyau rouge . Toutefois on trouve ici encore dans le noyau ven
lissement. Un infarctus /<emon'/<6Me, foyer de ramollissement rouge tout à fait ré- cent, datant de quelques jours
elques jours avant la mort, se voit à la hauteur du milieu du noyau rouge dans la partie lenticulo-optique de la capsule in
au noyau ventral (faisceaux médullaires frontal et latéral du noyau rouge , etc.). Par contre Edinger affirme que dans son
attribue ce fait à une déformation provenant de l'atrophie du noyau rouge , et non pas à une atrophie des fibres nerveuses
t non pas à une atrophie des fibres nerveuses elles-mêmes. Le noyau rouge était tout à fait atrophié, bien que le pédoncu
ussi compromis que dans notre cas. Cette atrophie complète du noyau rouge croisé dans le cas de Edinger est bien remarquabl
extrêmement minime,et tout à fait dégé- nérée, tandis que le noyau rouge du côté opposé, bien que plus petit que le gauc
orrespondant. Ceci prouve que, chez l'homme tout au moins, le noyau rouge a certainement d'autres connexions importantes, s
braux CI).. (1) Voir M. et Mme Déjerine sur les connexions du noyau rouge avec la corticalilé cérébrale. Comptes-rendus d
é opposé s'accompagne toujours d'une lésion du thalamus et du noyau rouge siégeant du même côté que la lésion cérébrale et
de Paris, 1898. 38 PIERRE MARIE ET A. COUVELAIRE dante bouillie rouge ». Ces altérations sont il rapprocher des lésions
rière chaque oreille. La peau qui recouvre celle du côté gauche est rouge et assez sensible. Aucune tumeur semblable dans l
ur a la dimension et même la forme d'une mandarine ; la couleur est rouge sombre sur laquelle se détache un réticulum plus
séparés parle locus neiger qui semble intact : l'un occupe le noyau rouge et coupe les fibres de l'oculo- moteur, l'autre
le. Aq, Aqueduc de Sylvius. - T ? Tubercule quadrijumcau. NR. Noyau rouge . - LN. Locus nigcr. - PP, Pied du pédoncule. - 1,
l'opérateur sont d'un bleu tirant sur le vert ; l'opéré est tout en rouge . Le gérant : P. Bouchez. Iiup. J. Tlieveaot,
s pour le blanc se sont beaucoup agrandis, ils sont normaux pour le rouge et le bleu à l'oeil droit t et encore très rétr
violet donne à peu près les mêmes résultats que pour le bleu et le rouge au mois précédent (schémas VI, VII). Enfin un d
i- nutions générales pour le blanc (et proportionnellement pour- le rouge , le vert, le bleu), mais il n'y avait pas d'hém
omen.Pas d'ascite ni d'oedème des membres inférieurs. La face est rouge , un peu vultueuse. Pas de dilatation appréciable
pertrophiés. Les testicules sont normaux. On trouve quelques points rouges de pigmentation sur le thorax ; pas de nævi éte
ques semaines, n'a rien décelé d'anormal. Examen du sang : Globules rouges , 6,262,000 ; globules blancs, 10,800. On ne tro
rotoplasma offre un aspect gra- nuleux. Aucun d'eux n'est coloré en rouge intense par le carmin, ils sont roses ou même g
ssent pas aussi volumineux que des pédoncules normaux. Les noyaux rouges sont plus petits, leurs cellules conservées. La c
uction du noyau dentelé est proportionnelle à la petitesse du noyau rouge et du tha- lamus. Résumé. - Le névraxe est en
carmin ou à la nigrosine le champ moyen de la rétine est coloré en rouge ou en bleu plus foncé, tandis que la périphérie e
sur l'oeil droit comme sur l'oeil gaucho, mais à gauche les taches rouges sont plus nombreuses et atteignent la périphéri
ésente l'aspect du crétin. La teinte est jaune am- brée, plaquée de rouge aux pommettes. La voix est coassante. Les mem-
me (PI. LXV). L'opérateur, en veste rose, coiffé d'une sorte de fez rouge , se tient de- bout, de profil à gauche, derrièr
rticulièrement. Il porte sur la tête le traditionnel petit bonne[ - rouge ici, - garni de four- rures. , De la main gau
s priseurs invétérés. 456 A. BEAUVOIS Voici Aminthequi s'avance rouge non de pudeur, mais de colère. Quoi ? ignorez-v
gros lombric en épaisseur. La substance de ce polype était molle et rouge . Elle empêchait la déglutition et avait été produ
e nez : celui-là, de grosseur étonnante et d'une magnifique couleur rouge , celui-ci bourgeonnant et variqueux, ce troisième
ns la figure ci-après. La ligne pointillée figure la limite pour le rouge . Pour les autres couleurs, la vision a été réduit
té réduite DE l'hémiplégie traumatique 541 en concordance avec le rouge . Cette limite concentrique fait penser que la fai
ais elle est for- tement ramollie et présente un abondant pointillé rouge , indiquant les points de sortie du sang. Dans l
es, non loin d'une église au clocher pointu. Sous un énorme parasol rouge , il a installé sa table recouverte d'un tapis d
Vêtu d'un justaucorps jaune largement tailladé de blanc, un bonnet' rouge sur la tête, il porte de longues moustaches tomba
fin de la- quelle sa jambe droite devint subitement grosse, tendue, rouge , mais très peu .douloureuse, sans plaie ni exco
'ouverture d'une fenêtre cintrée garnie dans le haut d'une draperie rouge artistement relevée, on a l'impression d'entrev
hacun exprime les sentiments qu'il éprouve.Un jeune enfant, tout de rouge vètu, coiffé d'un feutre immense un cerceau à l
de taille gigantesque, doué d'une voix de stentor « vêtu d'un habit rouge galonné d'or et coiffé d'un vaste tricorne empa
Wolgemuth, représentant la Sainte en robe de damas bleu et manteau rouge , tenant d'une main la palme des martyres et de
45 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
jusqu'aux pieds. Le ventre est très ballonné, encombré. La face est rouge , vultueuse, angoissée, les lèvres sèches. Cepen
ite boîte de couleurs. Prenez le jaune ? Elle prend le violet. Le rouge ? Elle montre le rouge. Le vert ? - Elle prend
Prenez le jaune ? Elle prend le violet. Le rouge ? Elle montre le rouge . Le vert ? - Elle prend le brun. Le jaune ? -
cette couleur ? - C'est du petit jaune On prend le vert. - Est-ce rouge ? - Oui. Est-ce vert ? - Non. Est-ce vert ? O
mblent normales. En arrière l'écorce prend au carmin une coloration rouge intense et il est difficile d'y reconnaître les
m d'extension de la tumeur, l'écorce prend au carmin une coloration rouge uniforme, dans laquelle on voit difficilement l
ux névrogliques ne sont pas augmentés notablement. 2° La coloration rouge intense,vue à fort grossissement, n'est plus diff
fort grossissement, n'est plus diffuse ; elle se compose de traits rouges séparés par des blancs, qui ne sont pas autre cho
se colorent au Weigert ; au carmin les cou- pes prennent une teinte rouge diffuse, où l'on ne retrouve que très rarement
ties Fis 6. Cl, corps deLuys. Coa, commissure antérieure. Nr, noyau rouge . ATc, noyau caudé. - Tro, tractus optique. Tum,
longitu- dinal postérieur, se portent en avant, traversent le noyau rouge et vont au sil- lon interpédonculaire. Les cell
placé qu'il épargnait le faisceau longitudinal postérieur, le noyau rouge et les racines émanées de la Ille paire ; or l'
tion motrice, l'asy- nergie musculaire, sans lésion aucune du noyau rouge ou des pédoncules cérébelleux supérieurs ; peut
Examen du sang, fait par M. Clunet, externe du service : Globules rouges 7,790,000. Globules blancs 8,000. Diamètre moye
ygmomanomètre de Potain est 15 il 14. Le chiffre moyen des globules rouges est de 5 millions (Numérations faites par M. Clun
servation avec vaisseaux rétiniens très dilatés et sinueux, papille rouge bords indistincts et surélevés, veines de teint
Doigts en baguettes de tambour.Hyperglo- bulie (8,150,000 globules rouges ). L'OD, fonctionnellement normal, montre une cy
s que l'examen micros- copique nous démontre l'absence des globules rouges . L'examen chimique décèle une albuminurie très
7 juin il était levé ; après son diner on s'aperçoit qu'il était très rouge , il paraît faible et a perdu toute conscience ;
ie on constate, au niveau de l'hémisphère droit, une néo-mem- brane rouge récente à la face interne de la dure-mère, corres
le, mais dans nombreuses observations, elle était rosée, et parfois rouge , très rouge. Dans le malade de Milten (22), i
s nombreuses observations, elle était rosée, et parfois rouge, très rouge . Dans le malade de Milten (22), il y avait des
(22), il y avait des oedèmes pâles, d'autres rosés, et quelques-uns rouges vifs. Le siège peut varier aussi : parfois les
s sa définition de l'urticaire parle des éléments de la peau « plus rouges ou plus pâles que la peau saine ». Et nous avons
avons vu l'oedème de Quinke pouvoir se présenter plus pâle ou plus rouge que la peau saine. Et encore une donnée très im
ie : Nombre d'auteurs ont décrit dans l'oedème de Quinke des taches rouges de vasodilatation sur la peau [Wills and Cooper (
r (31), Ya- l'ion (32), Osier (4), Din1celaker (8)....]. Ces taches rouges appartiennent aussi à la symptomatologie classi
sentent très pâles; et que dans les mêmes cas on observe des Caches rouges qui ne sont pas suivies d'oedème. Dans le dermo
er sur la peau des di- vers sujets, ou même du même sujet une ligne rouge plate ou bien une ligne pâle pour un petit oedè
très pâle, ou bien d'une couleur normale, ou bien encore rougeâtre, rouge vif. C'est- à-dire que l'oedème de Quinke peut
renferme des vaisseaux nom- breux, très dilatés, gorgés de globules rouges et d'une quantité relativement grande de leucoc
s vaisseaux renferment toujours, en outre de très nombreux globules rouges , d'abondants leucocytes. (1) WiLHAM BULLOCH, Th
ssi parce que les au- teurs qui ont relevé l'existence des globules rouges et blancs dans l'épaisseur de la moelle ne se s
e calibre divers, à parois d'épaisseur varjable, gorgés de globules rouges et de leucocytes. Tout autour, se trouve un mag
nettes toutefois. Le réseau englobe également de nombreux globules rouges . La figure 12 est la reproduction fidèle de la pr
emplacée par un amas de gros troncs vasculaires, gorgés de globules rouges et de leucocytes. Nous constatons nettement ici u
ence vers la limite de cette paroi. Elles sont comblées de globules rouges ; il n'y a que peu ou pas de globules blancs. -'
uchsine picriquée de Van Gieson (noyaux violets, cellules et fibres rouges , myélinejaune, fibrilles de névroglie). De mi
tité de détails. Dans les vaisseaux on peut distinguer les globules rouges et les différentes sortes de leucocytes. - Le
se, m'a-t-il dit, de sortilège,c'est parce qu'il est incré- dule ou rouge et qu'il a toujours combattu l'idée délirante de
ens d'éviter de passer devant sa maison et devant celles des autres rouges . Le reste du conseil municipal qui n'était peut
parti d'opposition assez fort se former dans la commune contre les rouges , le préfet, les non-possessionistes, le curé crut
isse et leurs invectives s'adressent uniquement aux incrédules, aux rouges ; quand, au contraire, survient un médecin, un é
x rouges; quand, au contraire, survient un médecin, un étranger, un rouge , le démon rentre en scène. « Ah ! tu crois,b... d
ne cesser, il est vrai, complètement qu'à la victoire définitive des rouges , telle fut l'hystéro-démonopathie de Morzine. C
oedèmes considérables des membres inférieurs et du scrotum qui sont rouges . Les urines sont peu abondantes, et ne contienn
ment intact. Sur une coupe passant par le corps de Luys et le noyau rouge , il n'y a pas la plus petite lésion. Corticalit
que tour datant du xiie siècle (l'église a été reconstruite en pierre rouge de Sa.verne en 9Q75), deux tableaux représentan
e cartilagineuse disposée en forme de lamelle, fortement teintée en rouge par l'éosine et ren- fermant des cellules très
aru : on trouve au centre des amas d'infiltration quelques globules rouges , un mélange de thrombose et d'infiltra- tion.
fection va en diminuant vers le Fig. 3. Coupe de la région du noyau rouge . Infiltration péri ventriculaire. Infiltra- tio
oeil nu. Au microscope elles sont composées par un amas de globules rouges à peine déformés ; pas de cellules blanches. Au
sseaux sont gorgés de sang ; quel- ques-uns prennent une coloration rouge spéciale et paraissent thrombosés. La moelle al
46 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mmence- ment du ses crises, que d'abord il pâlit, puis devient très rouge et reste quelquefois plusieurs minutes à terre,
c en avant, retenant ma respiration, ce qui me faisait devenir très rouge , quelquefois violet; en un mot le trompant ferm
tournée de côté contre le sol. Il avait dans cette position la face rouge et congestionnée, de la raideur généralisée et
médecin à Saint-Etienne, puis à Alger où il avait arboré le ruban rouge à sa boutonnière. On voit qu'il avait fait des
e, encre de Chine noire, quelquefois bleu-foncé associé à un peu de rouge . Un seul cas concerne un tatouage rouge (deux l
u-foncé associé à un peu de rouge. Un seul cas concerne un tatouage rouge (deux lettres en rouge) au milieu de la poitrin
u de rouge. Un seul cas concerne un tatouage rouge (deux lettres en rouge ) au milieu de la poitrine. P. KERAVAL. IV. Dé
t sur le bleu (durcissement chromique). Quelquefois le nucléole est rouge . Le tissu conjonctif et les cylindraxes sont bleu
et à la liqueur de Muller, les gaines de myéline sont d'un violet- rouge avec prédominance de violet ou de rouge; si l'on
e myéline sont d'un violet- rouge avec prédominance de violet ou de rouge ; si l'on ajoute aux coupes colorées, mais non e
'urèthre est indemne de toute lésion : seuls les bords du méat sont rouges et quelque peu tuméfiés. L'ex- ploration du can
t de derrière la tète jusqu'au fond de l'oeil + Je vois noir, bleu, rouge , vert, marron ? noir, vert, jaune, rouge +noir,
oeil + Je vois noir, bleu, rouge, vert, marron ? noir, vert, jaune, rouge +noir, rouge, bleu, vert, jaune, rose, mauve, m
noir, bleu, rouge, vert, marron ? noir, vert, jaune, rouge +noir, rouge , bleu, vert, jaune, rose, mauve, marron + noir, r
rouge +noir, rouge, bleu, vert, jaune, rose, mauve, marron + noir, rouge , bleu, marron, rose, jaune + noir, rouge, bleu,
ose, mauve, marron + noir, rouge, bleu, marron, rose, jaune + noir, rouge , bleu, vert ? mes yeux s'en- foncent + mon oeil
ls, se frotte les yeux. - + Je vois jaune, mauve, bleu pâle, rose + rouge , mauve, jaune, blanc + c'est clair + c'est bleu
lair, bleu pâle + c'est clair des deux yeux également + c'est bleu, rouge , c'est blanc, blanc, toujours blanc. Je réveille
ntrale. En outre ce champ visuel hémiopique est rétréci ; la vision rouge atteint 2;i, le blanc 30, le vert 40. L'ophthal
nt d'une douleur cérébrale particulière. Enfin la prédominance du rouge dans les tableaux du rêve est à remarquer. Si l
cérébrale droit, un foyer de ra- mollissement qui détruit le noyau rouge , les fibres de l'oculo- moteur commun et une pa
était perdu, était dans une anxiété très vive. Ce matin la face est rouge , la peau chaude, la langue un peu saburrale. Elle
c efforts de vomissements : elle rend environ une cuillerée de sang rouge et très clair, puis a une syncope. A sept heures
iennes. La masse intestinale est gonflée de gaz et est d'une teinte rouge vineux uniforme. Pas de signes de péritonite. F
ue cette partie du ruban, pas plus que les autres s'unisse au noyau rouge . Le faisceau moyen, composé de fibres très fines,
ennent de la région du faisceau longitudinal postérieur et du noyau rouge . Les trois faisceaux du ruban de Reil paraissent
t échanger des fibres. Celles des fibres qui proviennent du noyau rouge s'en vont jusque dans la partie postérieure du gr
a dure-mère au niveau de la région frontale gauche une large plaque rouge , végétante, hémorragique. Deux ou trois product
anc comme apéritif avant déjeuner, à table, environ un litre de vin rouge à chaque repas, café avec petit verre après déj
bien constitué, normalement musclé, de taille moyenne. La face est rouge et cou- verte de sueur, les yeux brillants; le
un homme encore robuste pour son âge, assez grand, la figure toute rouge , les yeux brillants. Tremblement généralisé. Co
le. Huit jours après, le pouce se mit à augmenter de volume, devint rouge et chaud. L'ongle se détacha au bout d'une quin
celle du pouce gauche 125 millimètres). La peau du pouce gauche est rouge , chaude, tendue, dure et pas dépres- sible. L'a
ntant sous l'apparence d'une lame kéra- tinisée recouvrant le derme rouge , infiltré de sérosité. Les mouvements choréique
, avant diner, amer Picon ou grenadine au kirsch ; vin blanc ou vin rouge à volonté aux repas. Depuis cinq ans environ, F
in, à midi et le soir amer Picon avant le repas, et un litre de vin rouge par jour. 11 n'a jamais aimé l'absinthe, dit-il,
vant : deux litres de vin blanc de huit heures du matin à midi, vin rouge en mangeant, de l'absinthe avant le repas et du
us marqué au thorax. Sur les cuisses, on note quelques papules d'un rouge brunâtre, isolées par des intervalles de peau s
on ne constate qu'une seule phlyctène. Les lèvres et le menton sont rouges ; on y note une légère desquama- tion furfuracée
mplète, et contraction du champ visuel pour le 'vert, le bleu et le rouge . Pas de scotome central. Olfaction complète- me
47 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
e nerf trijumeau gauche, à sa sortie de la base de l'encéphale, était rouge , un peu ramolli et aplati par la tumeur. On pou
douleurs se loca-iseront dans l'œil et l'oreille droits. L'œil était rouge , tuméfié, saillant, mais recouvert cependant par
sérosité. La portion du ganglion d'où part le nerf ophtal-mique était rouge et injectée. Les racines de la grosse portion du
aux et les troncs nerveux eux-mêmes., tuméfiés et vivement colorés en rouge . De plus, dans les gauglions, comme dans les nerf
ent injectée et tuméfiée; la cavité articulaire renferme des globules rouges , des leucocytes et des cellules formelle avec l
ibrineusc, molles, rougeàtres. Les ganglions du mésentère sont un peu rouges et tuméfiés, mai;, il n'existe pas trace d'ulcéra
1). La peau ofîrelà tantôtune teinte rosée tantôt une coloration d'un rouge sombre, violacée même, mais qui cède toujours, mo
uloureux ; au-jourd'hui, on note que cette articulation est tuméfiée, rouge , et que de plus elle est le siègeïle douleurs spo
, les bords de la plaie spinale parurent tumé-fiées, d'une coloration rouge brun; elle était recouverte d'une mince couche pu
ésentait du côté gauche,c'est-à-dire frappé d'hé-miplégie, une teinte rouge vineuse, et, çà et là, de véritables ecchymoses.
point, ou mieux, comme un petit globule, le cylindre d'axe co-loré en rouge . 1. 0. Deiters. — Untersuch. iiber Gehîrn und R
connaître les altéra-tions suivantes : 1° la papille est uniformément rouge clans toute son étendue, phénomène qui est la sui
moitié inférieure des poumons. Déplus, il y a un foyer d'hépatisation rouge , récent dans le lobe inférieur. — Cœun estomac, r
à parois de consistance ordinaire. — Pont et moelle injectés de sang rouge grisâtre, sale. — Poumons injectés et œdématiés.
tingue encore fort nettement les cou-leurs périphériques, à savoir le rouge , l'orangé, le jaune et le bleu. Acettehémianesthé
visuel est plus vaste ; viennent ensuite le jaune, puis l'orangé, le rouge , le vert ; enfin, le violet n'est perçu que par l
, ce sera le tour du vert, —autre couleur centrale ;—puis, le tour du rouge , de l'orangé. Le jaune et le bleu, — couleurs për
Charcot s'en est assuré encore tout récem-ment, persistent à voir le rouge , alors que la notion du jaune et même du bleu s'e
let, ce dernier surtout, cessent d'être perçus avant que la notion du rouge et des autres couleurs, en général, disparaisse.
ginaires, géné-ralement de couleur noire ou grise, plus rarement d'un rouge vif, se présentent toujours pour chaque malade, d
lle est souvent tourmentée par la vision de lions qui se détachent en rouge vif sur le mur blanc de la salle où elle est couc
des attaques, il lui arrive fréquemment de s'imaginer voir des hommes rouges se présenter tout à coup sur sa droite. Cette mal
ns un jardin magnifique, sorte d'E- den, où souvent les fleurs sont rouges et les habitants vêtus de rouge. On y joue de la
E- den, où souvent les fleurs sont rouges et les habitants vêtus de rouge . On y joue de la musique. La malade y rencontre l
gne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 heures et la ligne rouge celle des vomissements. d p . Charcot, oeuvre
gne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 heures et la ligne rouge celle des vomissements. Les petits carrés rouge
heures et la ligne rouge celle des vomissements. Les petits carrés rouges , placés immédiatement au-dessous de quelques da-t
ne bleue indique la quantité d'urine rendue en 24 heures, et la ligne rouge celle des vomissements. Les petits carrés rouge
heures, et la ligne rouge celle des vomissements. Les petits carrés rouges , placés immédiatement au-dessous de quelques da-t
igne bleue indique la quantité d'uree rendue en 24 heures. La ligne rouge indique la quantité d'urine rendue en 24 heures.
48 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
e tantôt blanche, phosphorescente, tantôt offrant des teintes jaunes, rouges ou bleues plus ou moins accentuées. C'est là ce q
'après Hubert Airy. (Les lettres indiquent les diverses colorations : rouge , bleu, etc. (Philosophical transactions, 1870, p.
plus étendu pour le bleu que pour le jaune, pour le jaune que pour le rouge ; vient ensuite le rouge, le vert, le violet, qui
que pour le jaune, pour le jaune que pour le rouge ; vient ensuite le rouge , le vert, le violet, qui est seulement perçu par
capable de la nommer ; le même phénomène se répétera pour le vert, le rouge , etc. Le jaune et le bleu seront peut-être les se
ns bientôt. Elle consiste en ce que l'étendue du champ visuel pour le rouge est plus grande que pour le bleu, de sorte que le
oir perdu la notion du violet, du vert, du bleu et du jaune, celle du rouge persistant seule. Voici un cas étudié par M. le D
sé ; mais, de plus, et c'est en quoi consiste l'anomalie, le champ du rouge est devenu plus étendu que celui du jaune et du b
et du bleu; ce dernier s'est rapproché du vert et s'est substitué au rouge . Si ce rétrécissement progresse, il pourra arrive
notion de toutes les couleurs ait disparu, à l'exception de celle du rouge . J'insiste sur ces anomalies que nous retrouveron
l'hystérie, excepté, peut-être, ce qui e^t cela- tif à la limite du rouge ; car, à part cette dernière particularité, ils p
ièrement marqué à droite (fig. 16), et, de ce côté, il ne voit que le rouge . En outre, il y a des plaques d'hypéresthésie au
use, et pour la perception des couleurs, avec transposition du cercle rouge , à l'extérieur ; il y a en outre une diminution d
fonde, mit six semaines à guérir, et aujourd'hui, il reste une plaque rouge violacée de 3 à 4 cent, de large sur 10 à 12 de h
té droit. La jambe et le pied gauche sont froids, marbrés de taches rouges ; le pied est, en outre, légèrement tuméfié. Cet
ment très marqué du champ visuel; de plus, non seulement le cercle du rouge est situé en dehors du cercle du bleu, mais encor
isse ment est très accentué à gauche, el non seulement le cercle du rouge est en dehors du cercle bleu, mais il dépasse enc
s de transposition des couleurs, non seulement à gauche, le cercle du rouge était en dehors du cercle du bleu, mais encore il
ouleurs, mais le champ visuel du bleu s'est rétréci plus que celui du rouge et est passé en dedans de ce dernier, phénomène,
l'œil gauche est absent, —le champ visuel est extrêmement rétréci. Le rouge seul est perçu par cet œil et le cercle de cette
encontré d'ailleurs chez le premier de nos sujets, le champ visuel du rouge est plus étendu que celui du bleu, contrairement
trécissement considérable du champ visuel des deux côtés; le champ du rouge est plus étendu que celui du bleu ; diplopie mono
qu'à gauche, il y a un rétrécissement énorme ; de plus, le cercle du rouge s'est transporté en dehors de celui du bleu. Il s
i prononcé du côté gauche et marqué par la transposition du cercle du rouge , sur les modifications, enfin, de l'activité des
goût de ce côté, rétrécissement du champ visuel avec transposition du rouge , polyopie monoculaire, anesthésie de l'arrière-go
nt marqué des deux côtés, à la vérité sans transposition du cercle du rouge . Je ne crois pas nécessaire, maintenant, d'entr
63. — Champs visuels du nommé Pin. ............ vert +. .4-. . + ¦ •+ rouge complète ; mais celle-ci, il y a tout lieu de l
ût de ce côté, rétrécissement du champ visuel avec transposition du rouge , polyopie monoculaire, anesthésie de l'arrière-go
49 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
le nous avons fait faire un tableau divisé en deux carrés peints en rouge et jaune destinés à l'éducation de la vue, à fi
n transversale de la face interne de la joue gauche ; petite plaque rouge près de la dernière molaire. Petites adénites s
s'était faites à la suite d'un pari, avec une cuillère chauffée au rouge . L'index, composé seulement de la phalange, se
rpe et sur la face dorsale des doigts; elle est en outre légèrement rouge . Il existe une induration pro- ? i. 5. Malforma
. 37°, 5 et 38°. Les mains et les pieds, qui avaient une coloration rouge vineuse, ont pris la teinte cireuse du reste du
la langue ne sort plus; la face est moins bouffie, la coloration rouge des mains atout à fait disparu. - Soir : T. R. 39
jà dans l'aspect cle l'en- fant Les mains qui étaient de coloration rouge vineux ont pris la teinte cireuse du reste du c
s eschares. .. 24 juin. - Ce matin D... est très agité, sa face est rouge , un peu congestionnée, les yeux sont hagards, i
ses draps. Quatre accès depuis hier. " .' . 16 juillet. - Plaques rouges un peu ulcérées au trochanter droit. . 23 jui
de troubles de la vue : « Je vois, dit-elle, des papillons blancs, rouges , des pointes de feu des deux cotés et ma vue es
lement les résultats suivants : Le 18 décembre, quelques globules rouges nucléés en petit nombre peuvent être vus dans l
mateux. Tout d'abord il est certain que le nombre des 0'0- bulges rouges , pour la raison précédente, peut varier dans d'
fait en apparence paradoxal. Quant au chiffre to- tal des globules rouges , il peut être augmenté, normal, ou abaissé. Lor
premier cas le chiffre de l'hémoglo- bine, par million de globules rouges , passa de 27 . ye. Examen du sang 183 à 38 ?
avons, d'autre part, attiré l'attention sur la présence de globules rouges noyaux dans le sang de ces malades. Nous l'avio
le traitement, il nous a été impossible de retrouver des globules rouges nucléés dans le sang de nos malades. Quant aux
M. IIayem. M. Vaquez a trouvé chez les myxoedémateux des globules rouges à noyau avec une anémie du deuxième degré ; la
iles ayant conservé une aptitude particulière à former des globules rouges à noyau. M. Vaquez. Je ne saurais dire si la pr
ndiquent les jours où les malades ont pris lo médicament ; la ligne rouge correspond à la tempe- rature, la ligne bleue a
e spasmodique. 233 visage et le reste du corps sont glabres. Noevus rouge au- dessous du pli du coude et ncevi à la parti
le. La peau des condyles internes des fémurs est un peu épaissie et rouge par suite de l'accolement et du frottement des
50 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
prédomine. Période téta- uniforme : la face devient de plus en plus rouge ; convulsions téta- niformes de la face à droite
s très volumineuses, sur- tout la droite; muqueuse du pharynx assez rouge ; langue large. Gencives en bon état. Organes
. Au niveau du pli du coude, des deux côtés, deux petites plaques rouges peu colorées, mais suintantes, donnant lieu à de
accès; ce matin, avant la visite, il a eu 4 accès. La face est très rouge , les conjonctives injectées, les pupilles modér
s instants; mais à 5 heures, il était agité et avait le visage très rouge ; à 7 heures il s'est mis à pleurer, puis s'est
accès la période de stertor étant passée, on le trouve la face d'un rouge vermillon intense, couverte de sueur, brûlante;
accès; T. R. 39',2. - Soir : T. R. 30°,4. Physionomie égarée; joues rouges ; pupilles dilatées, égale- ment ; excitation a
site) ; il ne répond à aucune question, se met à pleurer; visage rouge , couvert de sueur. 26 juillet. - Série d'accès
statt et Niemeyer, définissent la rubéole : « un exanthème à taches rouges dont on ne sait, en comparant les phénomènes gé
cuisson, comme cela a lieu dans l'urticaire Il devient ensuite d'un rouge moins vif et peut disparaître complète- ment dè
omplète- ment dès le troisième jour. Cependant d'autres taches d'un rouge plus foncé persistent quelquefois jusqu'aux qua
mangeaison, le plus souvent le ventre est consti- pé, la langue est rouge et muqueuse à sa base, les malades éprou- vent
ous définirons la rubéole un exanthème aigu, con- tagieux, à taches rouges , irrégulières, souvent apyré- tique, ou s'accom
e, pas d'inap- pétence ; le pharynx et les amygdales étaient un peu rouges . Le troisième jour la malade était complètement
braneuse ; il n'y a pas d'ulcérations. La langue est sale, mais non rouge ; large, saburrale; les piliers sont roses, rég
rine. T. R. 37°,4. - Soir : 37°,8. 14 zonai. Hier quelques taches rouges ont apparu sur le visage. Constipation. T. R. 3
pation. T. R. 370. - Soir : 38°. 15 mai. Eruption de petites taches rouges inégales sur le front, les joues et les parties
ur à Marseille, il a failli s'empoisonner avec de « petits grains rouges » dont on n'a pu préciser la nature. A 7 ans, re-
ont normaux; l'amygdale gauche est volumineuse, le fond de la gorge rouge . L'appétit est bon, sans perversion; le ventre
puis deux jours, le malade se plaint de la gorge qui est légèrement rouge ; pas d'adénite. Ces accidents disparaissent en
51 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
nsion. Il crie « oui ! Aj la rigidité est très marquée; la face est rouge , le tronc se soulève à demi rigide; la tête est
tête dans l'extension. Nouvelle attaque. Rigidité très forte, face rouge , yeux en haut. Durée de dix secondes. Ecume bla
ars. - Depuis hier, apparition d'un érysipèle de la {ace; ta plaque rouge a débuté par le lobule du nez pour remonter ver
de chaque côté. Lps paupières inférieures sont tuméfiées; lapeau rouge , lisse,, chaude,- tendue ; taches blanches à la p
s tendons, se mon- tre très agité, veut se lever. Langue saburrale, rouge sur les bords et à la pointe. Respiration un pe
illon de l'oreille du même côlé ; en ce dernier point elle est très rouge . La lèvre supérieure est encore tuméfiée : les
isseaut de leurs parois sont congestionnés et remplis de globules rouges . A un grossissement plus fort, on peut voir que
llules sont mêlées d'un certain nombre de leucocytes, sans globules rouges pourtant, et englobés dans un ré- seau librineu
rès d'un centimètre, en arrière, les supérieures. Les gencives sont rouges , en bourrelet. Il y a un gonflement assez prono
rovenant de la piqûre de la pulpe du doigt, montre que les globules rouges sont pâles ; quelques-uns sont presque décoloré
qu'en petite quantité par la piqûre faite au doigt. Les globu- les rouges sont au nombre de 2,1;1,000 par m/m cube et les
s de 26,000, ce qui fait un rapport de 1 glo- bule blanc pour 100,7 rouges . (Nous donnons ces chiffres sous toute réserve,
amen n'ayant pu être répété plusieurs fois). En outre, les globules rouges sont petits, ont de la ten- dance à s'agglomére
Coew (105 gr.) en systole; les oreillettes renferment des caillots rouges et un petit caillot cruorique (ventricule droit
meurs ressemblant à des tubercules caséines et reposant sur un fond rouge livide. Le péritoine mésentérique, qui recouvre
peau chaude, yeux brillants, langue sèche et saburrale. Gorge très rouge . Sulfate de quinine, lave- ment. Matin : T. I ?
les urines. Elles donnent avec la liqueur de Fellling un précipité rouge absolument net. Les urines sont d'une teinte cl
heures est de 1600 à 1700 gr. Les urines, au repos forment un dépôt rouge où l'examen microscopique dénote la présence de
52 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
es anciennes. On l'a pratiquée de plusieurs manières : i° Avec le fer rouge . Il en a déjà été question, page 3o8 ; nous feron
e tendance à l'ulcération, on renoncera à la cautérisation par le fer rouge . Quant aux caustiques potentiels, les intervalles
me de la grossesse ; de nos jours on a cautérisé l'utérus même au fer rouge , du premier au sixième mois de la grossesse, sans
utérines. L'agent le plus ordinaire de cette cautérisation est le fer rouge , dont l'emploi a été bien réglé par Larrey, mais
dant toute la période d'éhmination de l'escharre. En employant le fer rouge contre les maladies du col, il faut se rappeler q
seur de tissus, la pâte au chlorure de zino doit être préférée au fer rouge . Pour éviter aux malades la frayeur que cause s
rouge. Pour éviter aux malades la frayeur que cause souvent le fer rouge , on a employé d'autres agents plus faciles à diss
des pinces ; ils brûlent sans flamme, moins pro-fondément que le fer rouge , et s'éteignent facilement lors-qu'on les porte s
it se trouve brusquement interrompu et le fil de platine cesse d'être rouge . Le fil de platine, dont la grosseur varie d'ai
ter l'hémorrhagie dans ce cas, on choisit un fil épais qu'on porte au rouge sombre et non au blanc. Vous avez ainsi respecté
urs à cet égard obligent à répé- ter qu'il n'est hémostatique qu'au rouge sombre, comme l'a démontré M. Bouchacourt. Les
à des occlusions identi-ques. Des cautérisations malheureuses au fer rouge ont été signalées par Wilhams et Rigby; M. Sims i
le col est conique. On a vu la membrane muqueuse de ce col passer du rouge pourpre à une teinte pâle aussitôt après la divis
djoindre une autre méthode de diérèse; ainsi on a détruit avec le fer rouge tout ce qui a été resserré par l'application de l
restées adhérentes au col. Pour la cautérisation actuelle par le fer rouge on par le gaz, on suivra les règles tracées aux p
geons paraissent de mauvaise nature il faut les dé-truire avec le fer rouge , la pâte de Canquoin ou la pâte arsenicale. 2°
condition qu'on prendra le plus grand soin de ne toucher avec le fer rouge que l'extrémité inférieure du col, et d'éviter la
térine auxquelles cette vascularité expose, on peut cautériser au fer rouge toute la surface de section. Il est bon d'amputer
est la transfor-titation surcomateuse qui rend la tumeur plus molle, rouge comme du tissu musculaire, ou bien jaunâtre; la m
s couper entre deux ligatures, ou bien encore les diviser avec le fer rouge . Hernies des intestins. Elle n'est pas rare qua
dus, ou écrasés, ou soumisà l'acupressure, ou cau-térisés avec le fer rouge ou le perchlorure de fer ; la ligature sera réser
er il faut les couper entre deux ligatures, ou les diviser par le fer rouge , et enfin il ne faut pas laisser issue au plus pe
ité abdominale comme le fait M. Baker-Brown. Avant d'appliquer le fer rouge sur le pédicule, M. Péan a soin de le réduire à u
Figure vu'. Cautère électrique, u est l'ogive de platine qui devient rouge quand on établit le contact, b est une saillie qu
la paroi mince laissait apercevoir l'intestin grêle distendu et d'un rouge foncé. Cette tumeur était une hernie de l'intesti
53 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
en petites bandelettes et pénétrer au milieu des fibres motrices ( rouges ) des pyramides, dans leur partie postérieure et
stingue un nombre quelquefois considérable de noyaux colo- rés en rouge ou en rose. On peut rencontrer certains segment
ène ainsi, on peut s'assurer le plus habituellement, que le tractus rouge contourne le bloc protoplasmique et qu'il n'est
, desquelles on distingue un certain, nombre, de noyaux colorés 'en rouges . C, D, extrémités des deux segments interannu-
goutelettes renfermant un assez, grand nombre de noyaux colorés en rouge et représentant les vestiges de la gaine de myé
myéline granuleuse renfermant un grand nombre de noyaux colorés en rouge . : , -. · , Fig. 6. Segment interannulaire au n
te et les plan- ches sont montés sur onglets; demi-reliure, tranche rouge , non rognés. - Prix de la reliure, 5 fr. 3e v
érence. Au niveau des fosses sphénoïdales, elle présente un piqueté rouge qui résiste au lavage et au grattage. Les deu
nche, de colo- ? < ! i ,, 'H ! 1 t, 1. t 1 i s , . ' ration plus rouge qui révèle l'existence de foyers de sclérose; c
et dans les moindres risques de syncope car- diaque. Le visage est rouge , vultueux, et, quand l'anesthésie est profonde,
t toutes les articulations, on n'en trouve aucune de gonflée, ni de rouge , au- cune n'est non plus douloureuse ; la seule
d'une couche fibrino- purulente. Les parois du canal rachidien sont rouges et cette congestion est accentuée au niveau des
larisés, mais n'offrent pas de lésions. b) Les poumons sont petits, rouges , non adhérents ; le gauche pèse 450 gr., le dro
s, on constate au niveau des régions tibio- tarsiennes des traînées rouges et du gonflement qui paraissent trahir une lési
épanchement de liquide; les jointures des phalanges des doigts sont rouges et tuméfiées. -La douleur à la pression est viv
mènes articulaires ont complètement disparu, sauf quelques traînées rouges au niveau des phalanges. Rien au coeur. Le mala
à la partie postérieure du lobe inférieur, un foyer d'hépatisation rouge assez étendu. Le péricarde ne contient pas de l
perdu deux, la seconde est le vert; ensuite vien- nent par ordre le rouge , le jaune et le bleu. C'est celui-ci qui est pe
l'une a perdu les couleurs suivant l'ordre indiqué : violet, vert, rouge , jaune, bleu; pour l'autre, il y a une inversio
rt, rouge, jaune, bleu; pour l'autre, il y a une inversion entre le rouge et le bleu, et la série se présente ainsi : vio
le bleu, et la série se présente ainsi : violet, vert, bleu, jaune, rouge . Donc, suivant que les malades appartiennent à l'
a dernière perception chromatique conservée est celle du bleu ou du rouge . M. Landolt, qui a fait à la Salpêtrière une ét
une moindre étendue du champ visuel que le vert, celui-ci que le rouge , etc., fait que l'on constate avec une grande pré
re des deux catégories indiquées plus haut, elle verra d'abord le rouge ou le bleu, puis le jaune, etc. - Particularité i
evenu achromatrope en perdant successivement le violet, le vert, le rouge , le jaune et le bleu ; l'autre a récupéré l'état
l'autre a récupéré l'état normal en regagnant le bleu, le jaune, le rouge , le vert et le violet. Puis survient l'anesthés
n même temps, il se produit de ce côté comme une sorte de piqueté rouge , et il apparaît sur le bord externe de l'organe u
Ell lr af'jt(< ? t ' ..libres, fines procède également du noyau rouge de ? P'-1 ? 0S-ava0 .'39 a j ^-UBlirai.» t>.-»
ra- : . i : n. 'Ih f. ? " ,UI· U,IJU Lt5 ? , ? t'tH<,'J,3 5 tion rouge pale, foncée, se rapprochant déjà, d après le mal
ues, dont deux d la' grandeur d'une pièce °der 2 ' francs,' brun- rouges au 'centre, vét : datres àli périphérie : Au mémb
M^i^ cc§ ? -'Mfi.te ? 5nkq9eJle 4or -au dire du malade, serait d un rouge franc, .naup 1" Kût)eM ? 'e. r Denuis ? 3.mo.en
dimfegaJemenHque3chéz ! lui'b ? PiPÂ ? c est-a-dire avec une teinte rouge vineuse plus ou moins accen tuéelîl'e'tlfl s`é`
seraient ? n·rtt1'fr alz r. << ? 9*t't alors dune coloration rouge plus ou. moins foncée; parf ois , dès le 9 rdéb
le, congestion aboutissant rapidement à la diapédèse des globules rouges ou à la transsudation de la matière colorante d
s veines antérieures^ et moyennes de la pie-mère, un ramollissement rouge des 592 REVUE DE pathologie nerveuse. zones c
utres fois un changement de couleur de la peau. qui devient pâle ou rouge . Dans quelques cas, il suffit de laisser pendre
s'arrache la langue qu'elle jette à terre sous la forme d'une masse rouge 39 610 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. saignan
e, etc., etc. Sang. On y observe une désorganisation des globules rouges , due à la décomposition chimique du chloral en ch
lieu desquelles on distingue un certain nombre de noyaux colorés en rouges . C, D, extrémités des deux segments interannu-
n goutelettes renfermant un assez grand nombre de noyaux colorés en rouge et représentant les vestiges de la gaine de myé
myéline granuleuse renfermant un grand nombre de noyaux colorés en rouge . Fig. 6. Segment interannulaires au niveau duqu
cale. Ne, noyau caudé. N l, noyau lenticulaire. N r. SI., noyau rouge de Stilling, Lut. S, locus niger de Soemméring.
54 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
: le blanc, le noir, le violet, le bleu, le vert, le jaune et le rouge , soit sept couleurs correspondant dans le jeu o
s enfants. Nous avons ainsi, pour ne citer qu'une série : le double rouge , le rouge et blanc, le rouge et noir, le rouge
Nous avons ainsi, pour ne citer qu'une série : le double rouge, le rouge et blanc, le rouge et noir, le rouge et violet,
ur ne citer qu'une série : le double rouge, le rouge et blanc, le rouge et noir, le rouge et violet, le rouge et bleu, le
ne série : le double rouge, le rouge et blanc, le rouge et noir, le rouge et violet, le rouge et bleu, le rouge et vert,
rouge, le rouge et blanc, le rouge et noir, le rouge et violet, le rouge et bleu, le rouge et vert, le rouge et jaune et
blanc, le rouge et noir, le rouge et violet, le rouge et bleu, le rouge et vert, le rouge et jaune et ainsi de suite. Nou
et noir, le rouge et violet, le rouge et bleu, le rouge et vert, le rouge et jaune et ainsi de suite. Nous nous sommes bi
plus que les autres. - Foie normal (890 gr.). - Raie, ferme et d'un rouge foncé (50 gr.). - Reins : IIy- perhémie. Catarr
e de zinc. Jusqu'au 30 mai, la conjonctive oculo-pal- pébrale reste rouge et vasculaire. A cette époque, la tumé- faction
e : 20 gr. de sérosité environ. - Coeur (105 gr.), tissu musculaire rouge . Abdomen. - Estomac ratatiné; sa muqueuse est t
légèrement pour se dilater de nouveau vers les narines. Petit nævus rouge sur sa face dorsale. Narines larges. Odorat nor
eur face externe est recouverto d'une éruption vésiculeuse sur fond rouge qui se prolonge vers la racine des cuisses; cli
mateuse à la base du liez, antérieure à la rubéole ; pointillé plus rouge sur la face, à la joue gauche en particulier ; pe
surveillé. Les membres supérieurs sont bien développés; les mains rouges , violacées, les doigts gros, comme cedématiés, co
eures.- Voûte palatine étroite et assez profonde. Gencives un peu rouges au bord. - Dents recouvertes de mucus. 1884. 11
s sous vos yeux indiquent les oscillations de la température (tracé rouge ), les modi- fications du poids (tracé bleu) ; l
n DES planches. Planche VIII. Traitement du myxoedème. La LIGNE rouge indique la température rectale. La ligne bleue
55 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ssage du courant électrique. Il avait sur le bras plusieurs plaques rouges que le médecin a qualifié, dit le malade, de va
territoire de la calotte du pédoncule cérébral, en arrière du noyau rouge , en dedans du ruban de Reil (découvert par Bech
rieures froides, notamment les jambes et les pieds, avec coloration rouge bleuâtre des orteils du bord externe du pied, d
leurs chapeaux; d'autres criaient : « Place aux malades, gare le rouge », parce qu'on prétend que cette couleur est cont
périeur droit est plus froid que le gauche. La main droite est plus rouge que la gauche. A la mensuration on trouve les m
dure-mère, au renflement lombaire, présente une tache oblongue d'un rouge foncé, formée par la membrane néoplasma- tique
égion lombaire du côté du canal vertébral dévoilent des taches d'un rouge foncé, et à cet endroit, le corps des vertèbres
stance grise de la moelle dans la partie lombaire est d'une couleur rouge foncé, et les cornes antérieures sont bien cons
ie. On trouve outre l'oedème, dans le poumon droit l'hépa- tisation rouge , dans le poumon gauche la splénisation de la part
.le ? l1'lohnlc'i blancs et 2 : H e REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. rouges accumulés; ces. lexsudais, qui existent également
a une passion pour les tabliers blancs; sa mère adorait les rubans rouges . Morel enfin rapporte l'histoire d'un père et de
e l'achromatopsie. Le malade, de chaqueoeil à part, appelle bleu le rouge et jaune le vert; rétrécissement du champ visue
285 la sensation des couleurs; l'oeil droit voit en vert des fils rouges , bleus et noirs, l'oeil gauche les voit jaunes. L
causait des douleurs; la peau est oedémateuse, mais elle n'est pas rouge ; au- cune indication d'amas liquide dans les ar
si que dans la région temporale du même côté ; l'oreille droite est rouge , les lèvres ne sont pas noires. T. R., 39°,2. -
du côté de la face, la joue droite est beaucoup plus gonflée, plus rouge . T. R. 39°,6. - Soir : 40°,3. 27. T. R. 39o,4.
postérieure du cou et de l'épaule droite. La plaque d'érysipèle est rouge ; le bourrelet n'est pas franc; les bords vont e
nt très marqué de la lèvre supérieure et de la joue droite, qui est rouge et luisante. Tympanite considérable. T. R. 39°;
a grande scissure, l'est au contraire à un degré très notable, d'un rouge bleuâtre et un peu oedémateuse. Il n'y a pas de
le D' Murray dit que la proportion des globules blancs ou globules rouges estde 1 à 90; que les globules rouges du sang e
s globules blancs ou globules rouges estde 1 à 90; que les globules rouges du sang en proportion à l'échelle normale est d
. Il n'y avait aucune altération morbibe dans l'aspect des globules rouges ou blancs. Respiration. - Tout à fait normale à
eau commeoedématiée; les mains ramassées; les doigts épatés étaient rouges , cyanosés, comme infiltrés; l'abdomen était trè
ans les bronches, un peu de liquide spu- meux, légèrement teinté de rouge ; le poumon contient de l'air, est oedémateux, a
1° Sang normal, autant qu'on eu peut juger sur le cadavre; globules rouges de taille et couleur normales, pas d'augmenta-
ïdienne inférieure contiendrait un plus grand nombre de corpuscules rouges . 2 Schiff. - Résumé d'une série d'expériences s
lambeau. La cicatrice du cerveau était très vasculaire, de couleur rouge , d'à peu près 3 centimètres de long et 2 de lar
e par la benzine, et l'on montera dans le baume du Canada. C'est le rouge de Magenta qui donne les meilleurs effets. Quand
56 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
ous servons de feuilles de chiffres imprimés, les chiffres pairs en rouge , les chiffres impairs en noir. Les chiffres imp
fres imprimés, les enfants placent des chiffres en bois, colorés en rouge ou en noir. Pour la seconde, nous faisons place
ffres arabes, chiffres romains (les impairs en noir, les pairs en rouge ), signes de ponctuation, images graduées, etc.
peu profonds ; prédominance des lésions ttflituclie. Hépa- tisation rouge du poumon auche ? IclIlC1'ellccs pleurales du m
les sutures restaient très nettement accentuées par des dentelures rouges ; les parties osseuses voisines étaient égalemen
elures rouges; les parties osseuses voisines étaient également très rouges . La calotte a la forme d'un trigone irrégulier
et est un peu cudmatiée en certains points. Réflexions. 97 aspect rouge , louche. Il s'échappe des bronches du lobe supé-
lus. - Rein droit (265 gr.), blanchâ- tre, avec de nombreux sillons rouges ; pas de lobulation. A la coupe, il crie légère
umière et à l'accommodation. L'enfant connaît le blanc, le noir, le rouge , confond le vert et le bleu. Pas de diplopie. -
a respiration. Pas de matité, T. Il. 38°. -Soir : T. R. 39°. Langue rouge et sèche. ' Ventre non douloureux, pas de diarr
- La partie inférieure du lobe supérieur présente une hépatisation rouge tendant à devenir grise ; il coule dans l'eau ;
distendue fortement par le cerveau; ses sinus sont gorgés (le sang rouge . - Pie-mère congestionnée. Sur la base et la fa
poral Sur la face supérieure du 4" ventricule existe une coloration rouge brique occupant presque toute la paroi ventricu
e faite pour séparer la protubérance du cerveau, on trouve une zone rouge de congestion très inten-e, ciruoncrivant toute
paroi antérieure du thorax sur- tout à gauche a une coloration d'un rouge violacé très pro- noncé. L'incision médiane ord
tre qui contraste avec les parties latérales dont la coloration est rouge intense. Des incisions faites sur les fesses au
thyroïde (5 gr.). Thorax. - Poumon gauche (270 gl'.), hépatisation rouge à la base ; bronches remplies de pus. Poumon dr
la section ; il est du reste très épais et sa face interne est d'un rouge vermillon uniforme. Les os du crâne sont très é
caractérisées par une céphalalgie frontale intense, des phosphènes rouges et verts, des nausées et des vomissements qui l
ttes assez saillantes. Menton petit et arrondi. - Oreilles grosses, rouges , courtes, en bateau, bien ourlées, lobule gros
coude droit existe une fistule d'origine osseuse à bords adhérents, rouges et arrondis, qui actuellement ne donne lieu iL
57 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
substance grise a pris sous l'influence du carmin une colora- tion rouge uniforme très intense. Les cellules pyramidales p
ux supérieur (entrelacement) et finirait à la face dorsale du noyau rouge dont ilaiderait à former la capsule blanche. Il f
s et en avant entre le plancher du troisième ventricule et le noyau rouge , à peu de distance du plancher. Il s'agit de ch
cause de sa trop grande faiblesse. Ses paupières étaient légèrement rouges ; ses lèvres avaient une couleur de corail. La l
e de suffocations. Elle souffrait également des yeux, qui étaient rouges , mais il n'y avait aucun affaiblissement de la
umé rapide de ses expériences à ce sujet. Une malade ne voit que le rouge à gauche, et il ne lui manque que le violet à d
il ne lui manque que le violet à droite : on l'expose à la lumière rouge pendant quatre minutes. Elle nomme alors le rou
pose à la lumière rouge pendant quatre minutes. Elle nomme alors le rouge , le vert, le bleu, le jaune, désigne sous le no
, le bleu, le jaune, désigne sous le nom de gris-bleu tirant sur le rouge une couleur qu'elle ne connaît pas, et elle rec
eure la couleur violette. L'oeil gauche a continué à ne voir que le rouge , mais distinguant plus de nuances.Les mêmes eff
. Pour les deux yeux, toutes les notions de couleur se réduisent au rouge et au bleu : le rouge, l'orange sont vus rouges
toutes les notions de couleur se réduisent au rouge et au bleu : le rouge , l'orange sont vus rouges sans distinction de tei
leur se réduisent au rouge et au bleu : le rouge, l'orange sont vus rouges sans distinction de teintes; le jaune parait bl
ction de nuances. Je place devant les yeux de celte malade un verre rouge à tria- vers lequel elle regarde une minute : j
pendant quatre minutes : le verre, une fois retiré, elle voit tout rouge , larmoie, se frotte les yeux. Ces symptômes de
'excitations très courtes produites en passant seule- ment le verre rouge devant les yeux plusieurs fois desuite,'chaque
par un inter- valle de repos, elle reconnaît différentes nuances de rouge , mais c'est tout. Deux jours après cette augmen
après cette augmentation de la sensibi- lité différentielle pour le rouge a persisté. Alors, par quatre reprises, je fais
'avant-veille. A la suite, ma malade gagne, en plus de la notion du rouge , celle du bleu, du vert, du violet. Sa sensibil
é manifestement augmentée à la suite des excitations par la lumière rouge . Ce dernier fait, étudié avec soin par M. Féré,
quatre 248 SOCIÉTÉS SAVANTES. minutes de suite à travers un verre rouge . Au bout de quelques séances la notion des coul
séances la notion des couleurs était revenue et il distinguait le rouge , l'orangé, le jaune, le vert, le bleu, le violet.
, me dira-t-on, pourquoi avez-vous donné la préférence à la lumière rouge ? N'aurait-on pu se servir d'une autre couleur
rvir d'une autre couleur ? Sans doute, mais j'ai préféré prendre le rouge parce que cette couleur, d'après les expériences
le plus d'action sur l'état dynamique. Kunkel a montré au-si que le rouge produisait plus rapidement que les autrescouleu
ces faits : mais il ajoute qu'il ne faut pas cependant employer un rouge trop sombre, parce que le temps de réaction ser
ont occupés par le segment d'une tumeur bosselée à la surface, d'un rouge brun foncé, SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 d'une cons
, on s'aperçut que, tout d'un coup, en travaillant, il devenait « rouge , rouge pourpre, les yeux étaient injectés de sang
s'aperçut que, tout d'un coup, en travaillant, il devenait « rouge, rouge pourpre, les yeux étaient injectés de sang, il se
grille, se retourne brusquement et reprend sa course. La figure est rouge , vultueuse ; le malade bave un peu; de la main
. Autopsie. Cerveau. Les méninges sont injectées. Ar- borisations rouges , très fines, étendues sur toute la convexité du
58 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent connue à Bordeaux. Mais '1,01ô, voulant dire simplement couleur rouge , érythrophobie ne pouvait signifier que phobie
ent couleur rouge, érythrophobie ne pouvait signifier que phobie du rouge et non de la rougeur, d'où une source de confus
er une dame qui, entre autres phobies, présente celle de la couleur rouge , à ce point qu'on a dû enlever de sa chambre tous
onc là deux phobies très distinctes l'une de l'autre : la phobie du rouge , la phobie du boeuf ou du taureau, qu'on peut a
al. La rougeur est plus ou moins vive suivant les cas. Elle va du rouge clair au rouge écarlate, sans que ces variations
r est plus ou moins vive suivant les cas. Elle va du rouge clair au rouge écarlate, sans que ces variations de nuances ai
t alors : « Qu'est-ce que ça peut vous foutre que je devienne vert, rouge ou bleu ? » et il s'en allait furieux. Un autre
gens de rougir mal- gré eux ? N'est-il pas une teinture imitant le rouge naturel, qui pourrait donner au teint une nuanc
on fait pour un tatouage; seulement au lieu d'être bleu, ce serait rouge ...1 ? » '.L'histoire la plus curieuse, à cet ég
Tu vas rougir. » Et si je n'ai pas le temps de passer avant que le rouge me soit monté au visage, je rougis. Si j'ai le
urtout à l'extrémité de la verge après avoir uriné, dépôts de sable rouge , de mucus. Pas d'accès de coliques néphré- tiqu
l'a fait rougir que je dise cela. Ah ! regardez donc comme il est rouge ! Il est rouge comme un coq ! Bon ! voilà encore
ir que je dise cela. Ah ! regardez donc comme il est rouge ! Il est rouge comme un coq ! Bon ! voilà encore le rouge qui
il est rouge ! Il est rouge comme un coq ! Bon ! voilà encore le rouge qui l'empoigne ! » Forcément, à force d'entendre
n'a pas eu de forte rougeur. Il a eu constamment les oreilles très rouges , mais le visage pas. il parle sans émotion appa
rement. A la suite d'un nouvel écart de régime (poisson fumé et vin rouge ) suivi pourtant d'un lavage, il est pris le soi
che optique; de nouvelles fibres, prove- nant du voisinage du noyau rouge de la calotte, viennent alors les renforcer. L'
couche latérale, couche inférieure et couche antérieure du noyau rouge , d'après leurs rapports avec ce noyau. L'anse du
iculaire de la moelle cervicale ; une atrophie simple dans le noyau rouge de la calotte, dans les tubercules quadrijumeaux
ux. Ses réponses furent formelles : il voyait des hommes vêtus de rouge qui, au moyen de gestes, le menaçaient de l'étran
rne, ni le grand nombre des fantômes hallucinatoires, ni la couleur rouge dont ceux-ci se couvraient, mais bien son carac
as d'autres escarres. 24. Ce matin D... est très agité, sa face est rouge , un peu congestionnée, les yeux sont hagards, i
nt, mord ses draps. Quatre accès depuis hier. 16 juillet. - Plaques rouges un peu ulcérées au trochanter droit. t. 23. D
ce qu'il faisait, il répond que la vue lui était devenue abscure ou rouge , qu'il voyait des tigres, des san- gliers, des
es doses répétées, et aussi l'administration d'un mélange de moelle rouge des petits os, de sang et de glycérine. R. DE M
ceux des cellules de névroglie, et éventuelle- ment les corpuscules rouges du sang dans les vaisseaux; elle ne colore ni l
e bien inférieure, tels que ceux des olives bulbaires ou des noyaux rouges de Stilling. Au cours de ses études sur l'histo
ose très caracté- ristique que de voir les stades de ramollissement rouge , jaune et blanc décrits comme caractérisant la
toute en brique blanche de Chartres avec filet et motifs en brique rouge comme parement seulement, et le surplus des murs
us ne soyons pas l'auteur de la proposition des briques blanches et rouges , nous n'y voyions rien d'extraordinaire : une t
LOGIE NERVEUSE. 469 nâtres d'ostéite condensante et d'autres taches rouges d'ostéite raréfiante. La moelle osseuse est trè
ur bleue ne persiste pas toujours la dernière, c'est quelquefois le rouge , et dans ce cas Ja théorie du rétrécissement co
tour, telle autre couleur qui pourra être tantôt le bleu, tantôt le rouge , en d'autres termes celle qui aura le champ vis
de la culture consiste dans une couleur rose au lieu d'une couleur rouge , cette espèce mycotique n'a pas été décrite par
59 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
eut être attribuée à une diminution sensible du nombre des globules rouges : en décembre 1904, nous comptons 4,357,000 globu
lobules rouges : en décembre 1904, nous comptons 4,357,000 globules rouges et 9,300 globules blancs ; en 1905, 3,926,400 glo
a pas subi de dégé- nérescence graisseuse. Les reins sont petits, rouges , congestionnés. Leur capsule est normale.'1 .,
s amas pigmentaires d'origine hématique et par de nombreux globules rouges , plus ou moins déformés et indistincts. Sur cer
; mais à condition de ne pas se laisser impressionner par la teinte rouge de la partie inférieure de la face postérieure de
ompagnées d'une augmentation de l'oedème ainsi que d'une coloration rouge des téguments. ' De même dans une observation d
ROPHOEDÈME CHRONIQUE 165 Notons que dans ce cas l'oedème était mou, rouge , chaud et douloureux quand la malade était debo
de marbrures irrégulières. La face toujours très congestionnée est rouge , les épistaxis sont fréquentes, la peau du visa
u complètement adhérente aux tissus sous- jacents, des papules d'un rouge vineux du volume d'une lentille et des taches e
lit apparaître un autre écorché colorié, un vrai, avec des muscles rouges , des os jaunes et des ligaments blancs, d'une e
t spécifique. Le malade dit avoir eu quelque temps après une plaque rouge sur le thorax ; pas de ro- séole ni de céphalée
ps genouillés externes et internes et la partie supérieure du noyau rouge , on voit un foyer de ramollissement qui occupe
tre les fihres les plus internes adja- centes à la capsule du noyau rouge et le bras du tubercule quadrijumeau antérieur
substance réticulée de la calotte et pénètre en dedans entre le noyau rouge et le corps de Luys pour s'arrêter à la limite
édentes, mais qu'en plus le prolongement qui pénètre entre le noyau rouge et le corps de Luys tend à augmenter d'éten- du
ectionner les fibres de la partie antérieure de la capsule du noyau rouge et effleurer à ce niveau la partie tout inférieur
cédente, les fibres de la portion antérieure de la capsule du noyau rouge . Elle effleure même à ce niveau la partie adjacen
dian, le locus niger et la partie antérieure de la capsule du noyau rouge vient sectionner en outre le groupe externe des f
jà calotte. En plus il pousse une pointe qui pénètre entre le noyau rouge et le corps de Luys et qui s'arrête à la partie i
que dans le pied du pédoncule. Dans la calotte, au niveau du noyau rouge , elle occupe toujours avec prédilec- tion la ré
e pousse une pointe qui pénètre dans le locus niger, entre le noyau rouge et le pied du pédoncule, sectionnant à ce nivea
pédoncule, sectionnant à ce niveau les fibres de la capsule du noyau rouge et même sur une petite hauteur, la partie adjac
l médian, soit dans la partie antéro-externe de la capsule du noyau rouge , soit enfin dans le locus niger où elles sont cou
lotte. En dedans, il pousse une pointe qui s'insinue entre le noyau rouge et le pied du pédoncule, en plein locus niger e
dian (dont seules les fibres les plus internes, adjacentes au noyau rouge étaient conservées) et une destruction d'une gr
r de la capsule interne. CL. Corps de Luys. CNR. Capsule du noyau rouge . F. Foyer primitif. Fli. - Faisceau longitudi
dach. NG. - Noyau de Goll. 1. NL. Noyau lenticulaire. NR. Noyau rouge . P. - Pied du pédoncule. Pcs. - Pédoncule cér
emière phase de l'érythropsie ; mais le malade n'a pas eu de vision rouge . Il faut encore signaler l'hémi-hypoesthésie ga
diflé- rence entre les deux hémisphères. Le droit se colore plus en rouge au carmin que le gauche, d'abord dans sa moitié
à lui ; injection faite avec lenteur d'une masse de suif coloré en rouge , par cette artère ; l'avant-bras et le bour- ge
t le point de départ de la tumeur. Celle-ci, grisâtre à la surface, rouge et sanglante sur des coupes, est arrondie, et mes
endroits, les fibres s'écartent pour envelopper un amas de globules rouges . On saisit ainsi l'origine vasculaire du tissu
piques de la peau des doigts, des trainées anastomosées de globules rouges répondant à des capillaires dilatés ou à de petit
férant des hémorragies vraies que par l'absence d'issue de globules rouges et re- levant de la diminution de coagulabilité
premiers jours et 1(t peau qui le recou- vre, autrefois distendue, rouge et épaisse, est devenue souple et blanche, elle
60 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
produisent des résultats semblables. Des plaques et des pointillés rouges , tenant à des troubles des nerfs vaso-moteurs,
dans les,, mouvements de phonation. Cordes vocales larges,un; peu. rouges . Mouvements normaux. Dans l'émission des sons u
s, et nullement soumise aux influences extérieures. La main devient rouge sombre avec des plaques plus ou moins foncées et
orte). Le point déprimé devient blanc, et la coloration violette ou rouge reparaît un peu exagérée dès que le doigt cesse
bien légitimement ses caractères distinctifs, nous plaçons un verre rouge devant les yeux delà malade. Immédiatement nous
s sensorielles restent sans effet parti- culier. A travers un verre rouge , elle voit rouget à travers un verre jaune, jau
diverses expériences. Tout d'abord l'expression de plaisir du verre rouge : c'est le duo d'amour; la tristesse produite p
ste qui correspond bien exactement au jeu de physio- nomie. Verre rouge . -- Sourire presque immédiat; expression de plais
yschro- matopsie, l'anosmie, l'agustie, l'anesthésie, etc. Le verre rouge colorait en rouge les objets ambiants, le verre
l'anosmie, l'agustie, l'anesthésie, etc. Le verre rouge colorait en rouge les objets ambiants, le verre jaune en jaune, etc
i elle nevoyait pas quelque chose d'autre que des objets colorés en rouge , par exem- NIy.VFIL1 l1'O'dlt.r.'APHlr 1.1... L
s haut. ' ' Après l'avoir mise en catalepsie, nous plaçons un verre rouge devant ses yeux. Immédiatement sa face prend l'
s et interprète tout cela comme un individu normal. Placez un verre rouge devant ses yeux, il voit les objets teints en r
Placez un verre rouge devant ses yeux, il voit les objets teints en rouge . Le cataleptique au contraire, bien que sa rétine
simples produisant la gaieté, d'autres la tristesse par exemple. Le rouge , que nous avons vu provoquer des hallucinations
tte pratique. Dans quelques cas, trou- vant la dure-mère épaisse et rouge , j'ai pratiqué avec le bistouri une série de tr
us-maxillaire des saillies irrégulières, mame- lonnées, teintées en rouge , qu'il est impossible à l'oeil le moins exercé,
pèse 53 livres. Le 15 mai, seconde poussée'sur les jambes, élevurcs rouges saillantes, à bords élevés, mais la surface est
us-maxillaire gauche. Sur la région temporale, du même côté, plaque rouge livide érythémaleuse. Le 20 mai, sur la surface
côté, plaque rouge livide érythémaleuse. Le 20 mai, sur la surface rouge grosse vésicule d'herpès ou de pemphigus ? Exea
ns gros comme une fève, semblables il une piqûre de cousin, d'abord rouges , puis violets, enfin blanchâtres. » Chaque bouton
éments nerveux une grande quantité d'éléments nucléaires colorés en rouge par la purpurine; et au sein de la préparation un
plaques s'étaient produites, sans réaction, à la suite de traînées rouges irradiées le long du membre. On trouvait encore
ex a sa phalangette à demi fléchie, il est effilé, d'une coloration rouge vineux, qui devient souvent violacée; les mouveme
; elle est, comme les autres, d'un UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE. - 259 rouge foncé, légèrement saillante ;i son centre, assez
ue la face dorsale de la main gauche et du poignet était gonflée et rouge . En effet le soir à cinq heures sa main était d
le, passait une bande de couleur grisâtre parsemée de petits points rouges . Cette bande suivait le bord interne des couches
et des capillaires. Issue d'un certain nombre de globules blancs et rouges disséminés; hémorrhagies capillaires au niveau
air semble gris; le vert foncé est perçu ainsi que les divers tons du rouge . Les pupilles sont égales, moyennement dilatées
être abolis dans l'hystérie. Quant ladyschromatopsie, le vert et le rouge sont perçus, ce qui est contraire à l'idée de tab
agnée de quelques troubles vaso-moteurs; la peau était, parait- il, rouge et froide « comme les mains de quelqu'un qui a fr
rétrécissement est plus régulièrement concentrique; les limites du rouge sont plus étendues qu'a l'état normal, son cerc
e des bras, dans les aines. Elle se compose de tout petits placards rouges , disséminés, ecz'éiiiatiforities par places, pa
61 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fonçure extrême du tympan, dont la transparence laisse voir le fond rouge vif de la caisse. Audition montre par voie osse
u et surtout l'apophyse externe sont saillants et bordés d'un filet rouge , à gauche. Diagnostic : légère congestion de
et de la protu- bérance il existe un certain nombre de taches d'un rouge grisâtre, déprimées, éparpillées un peu partout
ès basse et enrouée, cassée. Pharynx, type d'engorgement catarrhal, rouge , plissé, humide; amygdales volumineuses rouges,
ngorgement catarrhal, rouge, plissé, humide; amygdales volumineuses rouges , et palais coloré. Ni granulations, ni ulcérati
Pharynx. Très congestionné, gros plis latéraux perpen- diculaires, rouge vif, qui remplissent et comblent la cavité.. M.
ct brillant et chatoyant; ils n'étaient ni ramollis, ni indurés, ni rouges , ni oedémateux. Rien à l'oeil nu n'indiquait qu
jaune des gaines. D'autres fois, ils présentent une teinte rosée ou rouge brun, tandis que les noyaux ont pris une teinte
pendant qu'on en pratique l'examen. Le soir, le centre de la plaque rouge est dépouillé d'épiderme sur une surface arrond
cs en argent. En outre, sur la fesse droite, on aperçoit une plaque rouge , large comme la paume de la main, sans décollem
eur diffuse avec un peu de gonflement oedémateux. Sur cette portion rouge périphérique on remarque plusieurs phlyctènes r
ssières droite et gauche sont recouvertes par une vaste plaque d'un rouge violacé, s'étendant en largeur depuis le sillon
ndis que les lobes moyen et inférieur sont encore en hépatisation rouge . Sur la plèvre pariétale droite, on remarque un
s secondaires également hypertrophiées, infiltrées de petits noyaux rouges et formant un réseau très apparent dont les mai
iers d'un verre ordinaire. La face interne de la dure-mère est d'un rouge vif ; en y promenant la pince, on détache des l
e trouve transportée dans un beau jardin où elle cueille des fleurs rouges et bleues, qu'ello contemple avec plaisir. DE
En mettant dans un des tubes un disque bleu, dans l'autre un disque rouge , et en retirant brusquement ce dernier, on voit
iolette, qui passe par toutes les nuances du violet jusqu'au violet rouge . ' R. BL11\cunnD et J. Pignol. III. Sur la caus
rte de tube,fibrineux décoloré dont. le, centre est encore noir, et rouge . , " . Le lobule paracentral a conservé sa form
a substance cérébrale devenue, adhérente, ramollie et ^pigmentée de rouge ., 11L, Rendu a cité le -cas d'une monoplégie du
\ Inappétence complète, la langue, est blanche. Les gencives sont rouges , un peu tuméfiées, non ulcérées, et par la pressi
il »" < *» très évidente du rapport numérique entre les globules rouges et les globules blancs; ces derniers 'apparaiss
&, 1 1 u rôuges; i crépitant' ceperi- mons tres-congestionnés, rouges , joedematies, crépitant'cepen- dant encore. J J
de largeur,' de consistance, très, ferme, Iprosquesdureétuel'û'nG rouge linifornÿe, plüsj`clàirqu'à,l.étatnormal.zé'iq Ei
consistante qu a 1 état normal. z Le spongieuxisonf également moins rouges , mais n ly ? 1 sentent p ? d'aü,trelaltéra(ion
queuse vésicale est épaisse', tomenteuse, avec ''des arborisations' rouges sans ulcération.' Dans le bassin'on trouve un k
normal.' Les ligaments' croiséssont conservés ! 'La synoviale' est- rouge et très notable'-1' ment épaissie. Les surfaces
ympanique et l'on produit du gargouillement en pressant sur la peau rouge et amincie. Température = 38° à 39°. Le 4 no- v
de coloration de la substance grise due à l'empilement des globules rouges dans les capillaires, sans prolifération des glo-
62 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(centre ovale, coupe verticale et transversale) montrent un piqueté rouge , congestif, généralisé d'encéphalite. Les cavit
t la vie n'ont rien constaté d'anormal dans les formes des globules rouges . Le fonctionnement défectueux des hématies est
la mort, se séparait par le repos en deux couches, l'une inférieure rouge , formée par les globules sanguins, l'aulre supé
perchlorure de fer, on obtient immédiate- ment une belle coloration rouge rubis. Il suffit donc d'ajouter quelques goutte
réaction sera plus ou moins nette, et la teinte obtenue variera du rouge clair au rouge du vin de Bourgogne. Le deuxiè
plus ou moins nette, et la teinte obtenue variera du rouge clair au rouge du vin de Bourgogne. Le deuxième procédé est
t ce temps, donne, en général, d'une manière régulière, la réaction rouge bourgogne par le perchlorure de fer; ce n'est q
st diminué dans une très forte mesure, il y a achromatopsie pour le rouge et le vert; la diminution de l'acuité visuelle
nt été la brique ordinaire extérieurement rehaussée par des teintes rouges et jaunes mariées ensemble à l'aide d'harmonieu
rs concernent des gens qui étaient chargés de la dégustation de vin rouge , cognac, liqueurs; les symptômes consistent en
liginosité des narines ont disparu, le teint toutefois reste encore rouge et légèrement teinté de jaune; les tremblements
on, avec oedème de la paupière inférieure. La peau est à ce niveau, rouge , tendue ; la pression du doigt y laisse son emp
rs vives dans diverses articulations qui présentèrent un gonflement rouge , surtout aux genoux et aux épaules; ces deux de
ec. 236 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. l'altération du noyau rouge de la calotte (de Stilling) du côté opposé, mai
plus grande part (Forel), soit toutes (von Gudden) dansles noyaux rouges . Plusieurs de ces fibres vont-elles plus loin, ou
oin, ou les fibres, entrées en connexion avec les cellules du noyau rouge , ont-elles d'autres connexions indirectes avec
essive de potasse ou de soude), celle de Légal et Nobel (coloration rouge au nitroprussiate de soude et à la lessive de p
, il offre les signes de perturbations vaso-motrices (visage un peu rouge , pouls un peu accéléré et plein, mais normal et
e inutilement du KBr; les bouillons à l'extrait de viande et le vin rouge relèvent l'état de ses forces. Cette fois, l'ét
ne rapidité surprenante à la suite d'un projet de traitement au fer rouge . L'apparition de la maladie à une époque si pré
férieurs. Du reste l'annonce d'une prochaine cau- térisation au fer rouge révèle par ses résultats la nature hysté- rique
Le 8 juillet la plaie de ce vésicatoire de- vient très douloureuse, rouge , saignante, puis se recouvre sur toute son éten
re ne montre ensuite aucune tendance à la cicatrisation; elle reste rouge , saigne au moindre contact et devient le siège
inue pendant trois jours par le rejet de crachats sanglants, d'un rouge vif et finement aérés. Fresque aussitôt se produi
mp visuel au maximum à droite, par la lumière blanche. Le cercle du rouge est en dehors du cercle du bleu, à gauche surto
ure, plus récente, n'était encore qu'à la période de ramollissement rouge . D'après les auteurs, c'est vraisemblablement à
les auteurs, c'est vraisemblablement à cette zone de ramollissement rouge , qu'il faudrait attribuer les monoplégies brach
63 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
er, Thomas n'a pu préciser le trajet de ces fibres au delà du noyau rouge . Quoi qu'il en soit, la clinique confirme ces con
s'est aperçue vers le 17 mai que ses jambes présentaient des taches rouges . Elle nous les montre spontanément aujourd'hui et
blanc éclatant chez le vieillard et que nous trouvons ici pigmentée rouge puis brune. 9 juin. Altitudes calatonigues. - L
de ces lignes surélevées blanches, apparaît une zone de congestion rouge vif. Une demi- heure après le tracé des caractè
e, mais, quelle que soit sa légèreté, est toujours suivi d'une raie rouge , très facile à pro- (1) V. LAIGNEL-LAVASTInE ET
aux et les suisses aux barbes de sapeurs, vêtus de longues simarres rouges , précédant les prêtres en surplis blancs, sur deu
t de plus en plus une configuration nor- male ; il était spongieux, rouge , vasculaire et la lame de tissu compact périphé-
e attention sous un autre rapport encore : l'on voit que la couleur rouge du dessin, la plus claire, évince complètement la
aranoïques s'affublait toujours en marchant de tout petits drapeaux rouges dont la signifi- cation symbolique était assez
attentive nous montre pourtant comme une tenta- tive de combiner le rouge et le noir d'une façon intelligente, conforme au
ce fait que la première étoile est toute noire et la seconde toute rouge . Ultérieurement la malade oublie ces finesses p
terre au milieu des cris affreux. La vue de certaines couleurs, le rouge surtout, et de certains objets, (les souliers à
empressement puéril les couleurs éclatantes, telles que la couleur rouge et la couleur bleue, qui leur procurent une sat
nt et partent d'un vertigineux galop. Dans un poudroiement de sable rouge , le village entier, un millier de personnes, to
ences thénar et bypothénar qui ont à peu près conservé leur couleur rouge normale ; d'une manière générale, l'atrophie est
bout et au moins deux ou trois fois plus volumineuses qu'un globule rouge ; à ce niveau-là, les noyaux se colorent très mal
gements fibreux ; à leur centre on voit parfois un ou deux globules rouges , complètement enserrés dans les couches fibreus
quelques-uns à lumière perméable ou occupée par un ou deux globules rouges , Fond parsemé de noyaux nombreux, probablement né
nodules fibreux dont certains ont à leur centre un ou deux globules rouges . Dans ces cas l'abondance du tissu scléreux est
nt obturée par deux ou trois et le plus souvent par un seul globule rouge . Ces nodules se trouvent dans tous ces cas aux
les vaisseaux ne laissent plus voir sur la coupe qu'un seul globule rouge . - A gauche et au milieu enfin il n'y a pres- q
nodules sont com- plètement obturés, certains ont encore un globule rouge à leur centre, quelques- uns ont une lumière li
rose « nodulaire » : la plupart des nodules ont en- core un globule rouge à leur centre. Très petit nombre de fibres nerveu
om- plètement obturés ou ne contiennent plus qu'un ou deux globules rouges , ils for- ment des nodules isolés. Tout le cent
E DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 373 soit obturé par un ou deux globules rouges . Comme dans la portion orbi- taire aussi ces no
aspect souvent hyalin. Au contraire, la fuchsine acide la colore en rouge vif dans toute son épaisseur avec parfois un lége
illets stratifiés, onduleux, teintés en rose pâle par le carmin, en rouge vif par la fuchsine acide. Mais ces feuillets adv
it aux mains des évêques représentés à la même époque, sont de cuir rouge ; peut-être même perçoit-on, à travers ces gant
endant que le côté droitde la face et'du cou se couvrait de plaques rouges et que le côté gauche de la tète devenait le si
les parties superficielles du derme. Elle est limitée par une zone rouge vif, formant un contour très irrégulier, déchiq
partie dorsale de la main gauche et du métatarse droit, des macules rouges lie-de-vin de la grosseur d'un grain de blé, à
au-dessus des vertèbres lombaires, on constate, reposant sur une zone rouge de 2 centimètres de diamètre, 3 bulles arrondie
64 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
le voisinage de la bouche semble être plat et raide, la peau y est rouge , eczéma- teuse. La malade tient continuellement
re bien convenlionnelle par un semis de petites taches rondes, bien rouges , qui s'étendent uniformément sur toutes les par
é dans son lit, le haut du corps et les bras nus couverts de taches rouges , rondes, réparties uniformément, suivant le dispo
rement nu, couvert d'un grand nombre de taches 164 UEITZ qui sont rouges sur l'original. Nous reconnaissons le schéma conv
à pourquoi sans doute, ce malade ne présente pas le semis de taches rouges que nous sommes habi- tués à trouver uniforméme
uérison du lépreux, représenté les parties nues couvertes de taches rouges . Ici non plus, aucune espèce de contracture ou mu
fantastique, bâtie au XVIe siècle par Ivan le Terrible sur la place rouge , en face du Kremlin. Les fresques ont été refai
de sorte que si l'on a écrit quelques lettres on a un large placard rouge qui englobe tout ce qu'on a tracé. En moins de 30
a tracé. En moins de 30 secondes il se produit une élevure d'abord rouge , puis rose et de plus en plus pâle, pour aboutir
teur que nous allons re- trouver chez le fils. C'est une coloration rouge , mais moins prononcée que chez ce dernier, de t
e par semaine. I. Coloration DE la peau. Il présente une coloration rouge vineux de la peau, limitée au côté gauche pour
a façon suivante : (PI. XXVII). Tronc. - Côté gauche. - Large tache rouge vineux, à laquelle des par- celles de peau ayan
onnant à la peau un aspect marbré. ' Poignet gauche. - Coloration rouge très foncé, plus accusée à la face pos- térieur
cles du bleu et du vert étant beaucoup plus petits que le cercle du rouge . Le champ visuel fut repris le 14 février par l
Paul Bernard. Le rétrécissement avait augmenté pourrie blanc et le rouge surtout dans le diamètre vertical, et un peu di
re malade, comme chez les érythromélalgi- ques,une coloration rose, rouge ou pourpre de certaines régions de la peau (fac
s (1), les champs du bleu et du vert étant plus petits que celui de rouge . 4° De l'asthénopie accommodative. il Du dermog
rence de la dure-mère. A l'état frais, elle présente une coloration rouge foncé sur sa face externe. A la face interne, i
nombre de vais- seaux et de capillaires sanguins pleins de globules rouges . Dans certains de ces vaisseaux, il existe une
ur qu'on vit, en moins d'une mi- nute, le sein se marbrer de lâches rouges , le mamelon s'ériger et la glande devenir turgi
t du gonflement la peau était violacée. Le plus souvent la peau est rouge et chaude, ou violacée, parfois même presque no
at au phénomène de l'oedème hystérique que l'on peut trouver blanc, rouge ou violet et c'est à cette manière devoir qu'il m
ale. FiG. 8. Travail du médius droit sous l'influence de la lumière rouge : 90 k. 78. Fio. 9. - Travail du médius droit s
' ' L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres MUSCLES 461 rouge (Fig. 8), 90,78 ; l'ouïe (1), sonnerie électrique
ieuse jeune femme, coiffée de blanc, vêtue d'un casaquin de velours rouge bordé de cygne, est assise, la main gauche appu
assez tardivement et avoir été précédée de poussées aiguës d'oedème rouge . Ce fait a été constaté dans plusieurs observatio
dénopathie, nulle cause apparente de compres- sion, pas de traînées rouges vasculaires. Rendu inquiet par la brusque invas
sont hypertro- phiées, ce qui donne à l'organe un aspect framboisé, rouge vif. L'autre bord est pâle et les papilles y so
s rugosités de la muqueuse sont plus accusées. Si l'on pointille en rouge le raphé palatin, on s'aperçoit que les deux mo
pileux. La couleur est d'un fond jaune laiton, plaqué de pommettes rouge bleuâtre. Cette jeune fille est atteinte d'infa
temps en temps, elle sentait ses jambes plus tendues, devenir plus rouges , luisantes, et ces troubles l'obligeaient ai rest
65 (1911) La pratique neurologique
tes les couleurs. On dit qu'il y a scotome central pour le vert, le rouge , etc., ou pour toutes les couleurs. ' , * . I
plein marrlne la limite de perception du bleu. Le trait - - - - du rouge . Le trait ......................... du vert. (M
oirs passent derrière la pupille et obscurcissent un moment l'image rouge du fond -de l'oeil (flo- du vitré). Dans certai
eil à des flocons du vitré ou à des taches disséminées de cou- leur rouge , blanche ou noire. Souvent le fond de l'oeil pren
placée à distance devant le malade, on met sur l'oeil sain un verre rouge . Le malade voit deux images, l'une rouge, l'autre
t sur l'oeil sain un verre rouge. Le malade voit deux images, l'une rouge , l'autre blanche. Souvent la diplopie ne se man
i-ci, bien fixée, est à la hauteur du centre de la sphère; un verre rouge couvre un oeil. L'observé voit deux images, l'une
e couvre un oeil. L'observé voit deux images, l'une blanche l'autre rouge , plus ou moins écartées l'une de l'autre. Grâce à
laires les plus importants attribués à l'hystérie : Champ visuel du rouge et des autres couleurs plus étendu que celui du
e d'un scotome central double, d'abord limité aux couleurs verte et rouge (scotome relatif) et s'étendant ensuite au blanc
u, il est souvent relatif, portant d'abord sur le vert, puis sur le rouge .. (Voir Amblyopie toxique.) On ne voit à l'opht
rs est respecté. Souvent il ne l'est pas. Dans ce cas, la vision du rouge est la dernière intéressée. Le champ du rouge dev
ce cas, la vision du rouge est la dernière intéressée. Le champ du rouge devient, dès le début, plus étendu que celui du
trécissement simple. Dans quelques cas, on peut trouver le champ du rouge bien plus étendu que celui du blanc. Le rétré
nostic de la paralysie d'un seul muscle. - Le malade ayant un verre rouge devant un oeil regarde une bougie placée devant l
ERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. trois mètres. Il en voit deux, l'une rouge , l'autre de couleur normale. Étudiez d'abord la
obte- nir des carrés de 20 cen- timètres. L'observé, un verre rouge sur l'oeil droit, est placé à distance du mur
te ces constatations sur un schéma (fig. 47) en désignant l'image rouge par un trait rouge, L image de couleur normale
s sur un schéma (fig. 47) en désignant l'image rouge par un trait rouge , L image de couleur normale par un trait non ?
teur et, d, le dilatateur. En bleu, les voies irido-constrictives. En rouge , les voies irido-clilatatrices. En vert, les vo
dessèche au contact de l'air et finit par s'ulcérer. L'oeil devient rouge , s'enflamme et peut même s'infecter, si des germe
tériques, constaté la production sur la conjonctive d'un suintement rouge qualifié « larmes de sang ». TROUBLES SENSITIFS
plète de la vision pour une ou plusieurs couleurs du spectre (vert, rouge ), avec intégrité de la vision pour les autres c
eptionnelle. Dans la cécité congénitale pour le rouge-vert : '10 le rouge est confondu avec le gris ou le blanc; 2° le ve
avec le gris ou le blanc; 2° le vert avec le gris ou le blanc; 5° le rouge avec le vert. Les aveugles pour le rouge-vert n
moins grande clarté. S'il réunit des échantillons disparates (vert, rouge , gris), on en conclut qu'il y a dyschromatopsie
e confusion, on précise le genre de dyschromatopsie (cécité pour le rouge , pour le vert, etc.). - Exemple : On donne un é
le rouge, pour le vert, etc.). - Exemple : On donne un échantillon rouge , de saturation moyenne : a) Le malade place a c
re des écheveaux de couleur bleue ou brune : il est aveugle pour le rouge . b) Il place il côté du rouge des écheveaux de
e ou brune : il est aveugle pour le rouge. b) Il place il côté du rouge des écheveaux de couleur grise ou verte : il es
er exactement les couleurs. Une personne atteinte de cécité pour le rouge voit cette couleur brune mais, connue les personn
brune mais, connue les personnes qui l'en- tourent, elle l'appelle rouge . Cette précaution, indispensable dans la dys- c
se par l'apparition d'un scotome central pour le vert, puis pour le rouge , enfin pour le blanc lui-même (p. 50). Dans cer
lleux inférieur et finalement, après un nouveau relai dans le noyau rouge de Stilling, arrivent à l'écorce pariétale, cen
tuber- cules quadrijumeaux antérieurs et pos- térieurs. G, noyau rouge . - H, cerveau. 4. nerf vestibulaire avec 1',
noyaux centraux du cervelet, à l'écorce cérébelleuse, aux noyaux rouges ,, puis par la capsule in- terne à la zone sensi
l'hémiplégie, s'aperçoit une plaque érythémateuse, uvlématiée, d'un rouge sombre. . ' - APOPLEXIE ET COMA. 181 Puis sur
t exactement nommé. Dans l'agnosie visuelle, le crayon sera déclaré rouge ou noir, allongé, mat ou brillant, mince ou épa
la protu- bérance (commissure de Wernekink) et gagner, par le noyau rouge , la couche optique. Neurone thalamo-corlical.
e souvent le long du bord cubital. Dans l'értlaronzélalgie ( u6od5, rouge ; p.na ? membre ; è1.À')'o ? douleur), les dyse
pruntent une autre voie : c'est la voie des libres venues du noyau rouge , c'est-à-dire des fibres d'origine inésencéphal
our se reproduire par- fois à toute minute. La face devient souvent rouge , vultueuse, le thorax étant en apnée. On a be
oigts fermés. La poitrine immobile est fixée en expiration, la face rouge et congestionnée au point de devenir le siège d
uelque trophonévrose hypothétique ce qui relève unique- ment du fer rouge ou de la potasse caustique. Ce n'est pas le lieu
en les adaptant à la pratique journalière. Lue sonde de caoutchouc rouge (sonde de Netaton) est l'instrument [E. DESNOS.
de ratanhia ou sirop de groseilles dilués, c'est-à-dire brunâtre ou rouge , quelquefois noir par action du suc gas- trique
de la main de prédicateur. Cette main est toujours froide et sèche, rouge violacée et marbrée en hiver. La radiographie
dilacérants, spontanées et exagérées par la pression, le gonflement rouge violacé, « pivoine », chaud, luisant, tendu com
t vespéraux et malléolaires au début, des néphritiques; les oedèmes rouges , durs, sensibles des cardiaques; les oedèmes pâ
e et du métatarse. DIFFORMITÉS ACQUISES. 1047 mou, blanc, bleu ou rouge , les symptômes associés ou les signes des malad
mpide dans la méningite tubercu- leuse, enfin, il peut être rosé ou rouge dans les hémorragies du névraxc. On observe que
, le liquide sanguinolent obtenu n'est pas coagulable, les globules rouges se déposent au fond du tube sous l'action de la p
on du liquide céphalo-rachidien hémorra- gique. A) Teinte sanglante rouge cerise. Elle s'observe dans les grandes hémorra
coloration inégale d'un aspect trouble. Au microscope, les globules rouges sont intacts et après centrifugation le liquide e
u contraire, un liquide hypertonique a un aspect limpide, d'un beau rouge , et les globules rouges sont dissous; après centr
hypertonique a un aspect limpide, d'un beau rouge, et les globules rouges sont dissous; après centrifugation le liquide e
ool renversé s'égoutte clair. Avec cette colo- ration, les globules rouges seront teintés en vert clair, les noyaux des gl
et on passe à l'alcool absolu; avec cette coloration, les globules rouges et le protoplasma des globules blancs sont colo
obules rouges et le protoplasma des globules blancs sont colorés en rouge par l'éosine, les noyaux des globules blancs so
icroscope. A l'état pathologique, on pourra rencontrer des globules rouges dans les hémorragies du névraxc. Dans les proce
jaunâtre. Dans d'autres cas, le liquide céphalo-rachidieu n'est pas rouge en apparence, mais il est histo- logiquement hé
is sanglants ou suppu- res. De même, les leucocytes et les globules rouges l'ont défaut ou sont très rares dans les épendy
quide ventriculaire est, malgré les pressentiments cliniques, rose, rouge ou ocreux et qu'il ne s'agit pas d'une faute de
les vaisseaux cutanés se dilatent et la peau prend une colo- ration rouge fortement prononcée qui, le plus souvent, s'accen
t rapidement place à de la vaso-difatation, la peau rougit et reste rouge tissez longtemps. Lorsque les courants sont suf
ère davantage : après le passage du courant la peau reste longtemps rouge , puis elle prend une, coloration brunâtre plus
on se poursuivre durant 24 heures à froid. Les cylindres- axes sont rouges , la névroglie rouge moins foncé, les gaines de my
nt 24 heures à froid. Les cylindres- axes sont rouges, la névroglie rouge moins foncé, les gaines de myéline jaune clair,
jaune clair, les cellules nerveuses ont leur protoplasma coloré en rouge , leur noyau est moins foncé. Les plaques de scl
moins foncé. Les plaques de sclérose névroglique ont une coloration rouge qui les met facilement en évidence. Les colorat
59 9 bleu polychrome de Lnna, la thionine, le bleu de toluidine. le rouge Magenta conviennent fort bien. Parmi les liqu
66 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
es pharyn- giens. Pas de points hystérogénes. Si on lui présente du rouge en lui disant que c'est du bleu, ou inversement
de l'hypérémie de la portion vaginale de l'uté- rus. La coloration rouge de cette partie pâlit tout d'un coup au moment
souvent à leur centre un débris de cylindre-axe atrophié, coloré en rouge par le carmin, ce qui leur donne une fausse appar
ur lumière habituellement très réduite est comblée par des globules rouges tassés les uns contre les autres. On observe en q
d'entre-elles, on aperçoit nettement la lumière remplie de globules rouges ; quelques-unes sont oblitérées entièrement. To
ique assez impor- tant (loc. cit., D) au niveau duquel les globules rouges déformés sont en voie de destruction. Bulbe r
chaque côté, de 60°-70° pour le blanc, de 35-40 pour le violet, le rouge et le bleu. Le 31 décembre 1891. Les phénomènes
se. La petite malade paraît très abattue ; son faciès est coloré et rouge . Elle sem- ble dormir, les paupières mi-closes.
es lèvres, de l'humidité des parties, qui sont très congestionnées, rouges et violacées, l'in- terrogatoire n'ajoute aucun
date, prurit très vif, généralisé, accompagné d'éléments érup- tifs rouges , maculeux, extrêmement fugaces, sans desquamation
e gauche, surface large com- me la paume de la main, érythémateuse, rouge brunâtre, laissant persister à la pression une
n centimètre environ ; bords taillés à pic, décollés, cornés ; fond rouge et sanguinolent. Cet ulcère est absolu- ment an
lcère un bourrelet d'aspect gélatineux. Le fond de l'excavation est rouge , anfractueux et paraît constitué par les muscle
er, dans chaque coupe, un grand nombre de bacilles qui tranchent en rouge vif sur le fond bleu de la préparation. Ils res
ec un gros panaris du médius gauche, le doigt tuméfié en boudin est rouge , profondément infiltré. Il suppure par un trajet
igmenté ; leur périphérie est bordée par une bande plus foncée d'un rouge violacé à reflets bistrés. La rougeur s'ef- fac
ts embryonnaires, dilatations vasculaires, dia- pédèse des globules rouges , etc. Mais par un certain nombre de ses carac-
t que la corne est parsemée d'une quantité considérable de globules rouges , disséminés dans toute son étendue. La corne anté
ros filaments onduleux, parfois à coudures brusques, se colorant en rouge intense par le carmin. Leur diamètre dépasse en
un tissu dense, manifestement /Ï ? 7/S ? présentant une coloration rouge brun, très différente de la teinte rose clair q
des petits vais- seaux auxquels elle forme une bordure colorée en rouge sur les préparations au carmin. Dans les région
e) tout au pourtour du foyer en ques- tion, la myéline se teinte en rouge par le picro-carmin, au lieu de fixer l'acide p
aines au lit en juillet de l'an.dernier, il a eu l'oeil gauche très rouge , très injecté et que l'anes thésie de la face,
e il l'intérieur. A la suite de ce chancre, une éruption de papules rouges s'est produite sur toute la surface du corps. I
67 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
de trépidation spontanée ou provoquée. — Les orteils, à droite, sont rouges , cyanoses, et plus froids qu'à gauche. Droit. G
orsal; tête rejetée en arrière ; cheveux en désordre; face modérément rouge , chaude; sueurs sur les lèvres; paupières demi-cl
culaires sont portés en haut; les pupilles sont normales; la face est rouge , les lèvres frémissent ; la respiration est très-
e ce qui suit : A gauche, le jaune, le violet, le bleu, le vert, le rouge paraissent d'un blanc sale. A droite, Y... distin
er; pas de souffle. 10 décembre.—A tlaque : a) Petits cris ; — face rouge , dirigée à droite ; globes oculaires fortement po
face, les lèvres, les conjonctives palpebra-Ics prennent une couleur rouge vermillon et non pas rouge vineux, comme avec le
onctives palpebra-Ics prennent une couleur rouge vermillon et non pas rouge vineux, comme avec le nitrite d'amyle. Bientôt, L
vant une courbure à convexité latérale gauche. La figure devient d'un rouge vermillon très-vif et se couvre peu à peu de sueu
des couleurs, normale. — A droite, dyschromatopsie : X... confond le rouge et le bleu, le vert et l'orangé. — Le champ visue
plaisir : « Quand je m'ennuie, dit-elle., je n'ai qu'à faire un nœud rouge et à le regarder... » Il va de soi que la vue des
alantes, elle revoit ses amants, des jardins avec beaucoup de fleurs, rouges surtout; elle entend la musique militaire, etc. (
er le sein. Le sein était tendu, luisant, mais il n'était ni chaud ni rouge . Le lendemain, la douleur et le gonflement diminu
nt, qui veut lui faire peur; elle voit sa tête, ses cheveux, qui sont rouges ; il la fixe, et s'il parle, c'est pour la contrar
tuméfiés et augmentés du tiers environ de leur volume. La peau était rouge , chaude et tendue. Malgré cette tension, on perce
68 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mètres cubes d'un liquide san- glant contenant de nombreux globules rouges . Dans un cas analogue, Furbringer fit la poncti
mes sub-dure-mériens, trouva le liquide céphalo-rachidien coloré en rouge . Il est donc probable qu'on obtiendrait aussi d
la réten- tion. On a été obligé de la sonder : les urines sont très rouges , con- tenant une notable quantité d'albumine. L
pôt examiné au microscope contient un très grand nombre de globules rouges . La parésie de la main droite a un'peu diminué;
é, aspect blanchâtre de la substance corticale par- semée de stries rouges . Dans cette observation, non seulement le diagn
intellectuel est très pro- noncé. La peau de la région fessière est rouge , érythémateuse ; on y voit une éruption de bull
oins arron- dies, régulières, en très grand nombre. Elles sont d'un rouge noi- râtre et ne disparaissent pas sous la pres
sipèle. Les vésicules étaient de petit volume; la conjonctive était rouge les premiers jours, la paupière s'est ensuite g
neuse, remplie de croûtes noirâtres, sous lesquelles la surface est rouge , piquée de points violacés. Mal perforant. Le
la malléole externe du pied droit. Grosses taches érythémateuses rouges sur les malléoles interne et externe du pied gauc
et au sacrum, on trouve des plaques conges- tives, érythémateuses, rouges ; quelques phlyctènes au milieu de ces plaques,
anters existent des eschares de la dimension d'un franc, il surface rouge vif, piquetée de points viola- cés putréfiés. L
tata, en outre, du côté droit, des petits foyers de ramollissement' rouge dans les noyaux lenticulaire et coudé du côté d
névrismatiques, ainsi que dans les artères, il y avait des thrombus rouge foncé. Deuxième cas. Un homme de quarante ans f
un canal d'un aspect irrégu- lier, dans lequel se trouve un grumeau rouge . Dans ces deux cas on a observé en outre une au
sang, dont les uns étaient tout à fait décolorés et les autres d'un rouge foncé. A l'examen microscopique on constata que
e morte. Elle a aussi des hallucinations de la vue : elle voit tout rouge autour d'elle ; autant qu'on peut en juger, son a
à la seconde période de la paralysie générale. 11 est petit, gros, rouge . Souriant et béat. Anesthésie cutanée. La pea
homme de taille moyenne, gros, bien musclé. Sa figure est injectée, rouge . Il est apathique et conserve quelques idées va
nt inégales. La mémoire est nulle. Les mains sont OE<mM<tëes, rouges vineuses, froides. Les ongles sont feuilletés, ép
s cellules qui se colorent, ou plutôt dont les bords se colorent en rouge par la solution acide de fuchsine, et qui contien
fuchsine, et qui contiennent des granulations également colorées en rouge : elles sont rondes, ovales ou un peu irréguliè
fiées. Sclérose nette à la région postérieure des deux lobes. Noyau rouge droit légèrement plus petit que le gauche. Couc
ire. La sorcellerie dans la race brune. La sorcellerie dans la race rouge . La sorcellerie dans la race jaune. La sorcelleri
présente un rétrécissement très net pour le blanc ainsi que pour le rouge et le vert. L'analyse des urines dénote un défa
u pédoncule cérébelleux supérieur ne se terminent pas dans le noyau rouge , mais le traversent seulement. En résumé, la ra
du pédoncule cérébral gauche avec participation probable du noyau rouge . L'auteur a eu l'occasion d'observer un cas ana
IÉTÉS SAVANTES. 421 1 gauche du cervelet avec dégénération du noyau rouge droit, du corps restiforme gauche, de la pyrami
ouches optiques et le cervelet. La soustraction du système du noyau rouge dans le cas de Bonhoëffer a également donné lie
mpliqués : hémichorée, athétose; -destruction du système des noyaux rouges qui relient les noyaux de la base avec le cerve
ations sont obtenues en employant la solution aqueuse à 1 p. 100 de rouge neutre à chaud pendant une demi-minute ou trois
69 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
pour se localiser dans un autre. Les articulations étaient chaudes, rouges , tuméfiées en même temps, transpirations avec o
igt ou avait il se servir de sa main. En-même temps le doigt était' rouge au niveau de l'articulation, avec sensation de
iste pas d'eschare sacrée, ni fessière ; la peau est seulement plus rouge dans ces régions. Les masses musculaires ne par
ait intelligent, ne se plaint pas de douleurs ; tète fraiclie, langue rouge par places, pouls 72. Le Dr Backer ordonne un
t, elle eut pendant 15 jours de la diplopie, il existait des points rouges clans le champ visuel (Elle semble avoir eu de la
trêve entre les Espagnols et les Hollandais, figurent un nain vêtu de rouge et un bouffon pied-bol et rachitique, jouant d'
quelques jours on vit se produire une nouvelle éruption de plaques rouges avec un gonflement beaucoup plus considérable d
tion bien marquée sur les mêmes plaques, les unes sont tout il fait rouges , récentes, d'antres'ont une coloration brune qu
meaux, ce qui est regrettable surtout en ce qui concerne les noyaux rouges de Slilliîèfl. L'atrophie du pédoncule cérébral
trophie, peut-être fonctionnelle. Comme nous le savons, le uoyeau rouge s'unit à la couche optique et aux circonvolutio
dirait être des brûlures. ' Ses yeux et ses paupières étaient très rouges , et très enflammés comme si la malade eût pleur
tre les os. - Au niveau des pieds, à la face dorsale, la peau, d'un rouge cuivré, mais sans cyanose, sillonnée de réseaux
quel l'examen microsco- pique fait voir un grand nombre de globules rouges . Dans l'observation de la femme Laisiet publiée
ect tuméfié ; les parties saillantes sont pâles, les profondes gris rouge . Sur la coupe l'arachnoïde est épaisse de un mill
cocytiques ; il semble que dans le sang même au milieu des globules rouges il y ait des amas de cellules embryonnaires sem
nent les septa conjonctifs radiés en longues traînées de glo- bules rouges . Les vaisseaux distendus à ce point finissent p
a pie-mère sont creusés de vastes lacs sanguins bourrés de globules rouges , entourant presque entièrement la moelle d'un cer
les à la longueur des noyaux de leurs tuni- ques. Quelques globules rouges persistent agglomérés comme contenus dans des v
ltré entre les racines qui sont absolument entourées par les globules rouges . Queue DE CHEVAL. - Le sang a tout envahi, ense
iser. La plaie est longue, béante, le muscle apparaît dans le fond, rouge , saignant; elle siège au-dessus et en dedans du
it présenté ensuite, aux mains et aux pieds, une éruption de lâches rouges , éruption très pru- rigineuse, terminée par des
r les noyaux al- longés caractéristiques, il n'y a plus de globules rouges . Toute circulation est nettement interrompue da
ltrée de noyaux. Arachnoïde mince, sineuse, assez nombreux globules rouges entre elle et la dure-mère. Dure-mère épaisse
70 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ce niveau et recouverte de pus caséeux. Le nerf sciatique droit est rouge , et d'un volume double du sciatique gauche. Ces
irritation mécanique, alors seulement vous voyez une ligne étroite, rouge bientôt remplacée par une élévation blanche linéa
par une élévation blanche linéaire de la peau, entourée d'une zone rouge hyperhémique. De cette façon je pourrais écrire
eu-noir de l'oedème, on remarque de nombreuses taches plus claires, rouge vif. La température de l'oedème au niveau du do
ng donne : hématies, 2.820.000 ; leucocy- tes, 4.500 ; les globules rouges et blancs sont diminués. Urines. L'examen des u
normale, égale 14. L'examen microscopique du sang donne : globules rouges , 3.870.000, globules blancs, 2.000. Hémophilie ma
nt bleu noirâtre, les bour- relets très tendus avec quelques points rouges purpuriques. Nous mettons en regard les mensura
Paris, 1905. 102 . TREPSAT " de taches purpuriques. Ces taches rouges se soulèvent en bulles pemphi- goïdes, la bulle
on bras gauche se paralyse un peu », la main gauche « devient toute rouge » et les mouvements du membre supé- rieur sont
ord, est vérifiée par l'examen du sang ; il existe ? 550.000 globules rouges au millimètre cube; les globules blancs sont au
ang sur lames montre l'absence de tout élément anor- mal aussi bien rouge que blanc. , Il n'existe pas de toril) au nivea
iste pas de troubles sensoriels. Les couleurs, violette, bleu-pâle, rouge , jaune-citron, jaune-orange verte, etc. sont bien
sue (PI. XXVIII, f) ; ces grosses fibres se colorent en jaune ou en rouge . Une particularité des fibres régénérées les pl
intense, même dans les préparations où les autres sont colorées en rouge , ce qui est peut-être un indice d'altération. .
grosses cellules araignées. Ecorce (Coloration au carmin en bloc et rouge de Magenta). Ne paraît pas altérée jusque vers
rares vésicules adipeuses. Macroscopiquement ces muscles sont moins rouges que ceux des jeunes sujets et à la coupe les tr
la musculature des bras apparait comme relativement saine, muscles rouges , diminués de volume mais sans infiltration dégr
partie dessinée avoisine la cicatrice. On y voit une fibre épaisse, rouge , présentant la bifurcation et une autre divisio
et se présentent sous différents aspects. Tantôt il s'agit de fibres rouges , sans gaine de myéline, pourvues quelquefois d'
nes que les précédentes et à peine visibles. Enfin on voit des fibres rouges , épais- ses, de court trajet et présentant des
quelques-unes de leurs libres, sans prendre nettement la coloration rouge cerise caractéristique de la dégénérescence hya-
ique. Elle présente un fond légèrement rosé, piqueté de points plus rouges et est limitée par une zone de couleur brun foncé
émie. ' L'examen du sang fournit les données suivantes : Globules rouges : 4.600.000. Aspect normal. Globules blancs : 1
: 4.600.000. Aspect normal. Globules blancs : 1 pour 5.500 globules rouges . Formule leucocytaire normale. Du côté du tub
re en violet pâle par l'hématoxy- line alunée et le cylindre-axe en rouge intense. L'épaisseur : de cette gaîne est extrê
s violet et dont le centre est occupé par un cylindre-axe coloré en rouge . Cette fibre est entourée d'un manchon constitu
ient douloureuse, en même temps que les urines sont de plus en plus rouges et rares. Au 5e jour de l'entrée, rétention bru
n foyer tuberculeux ancien, représenté seulement par des fongosités rouges , non caséeuses ; la destruction empiète sur les
dant des viscères médiastinaux, et conte- nant les mêmes fongosités rouges , sans pus ni caséum. Dans le tissu épidural, de
rouges, sans pus ni caséum. Dans le tissu épidural, des fongosités rouges s'étalent sur la face antérieure de la dure-mèr
ganisé, où l'on distingue des leucocytes plongés dans une substance rouge amorphe. L'artère est entourée d'un mince manch
détritus, dans lesquels on peut trouver quelques globules blancs et rouges , et d'avoir les bords ir- réguliers des tissus
doncule de même façon que le locns niger s'iuterpose entre le noyau rouge et le pied dn pédoncule cérébral. La réunion de
71 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
és et qu'ils se tailladent les chairs en subissant l'épreuve du « fer rouge , en exécutant une danse pyrrique : chez eux nous
de libre arbitre (car ces mots exaspèrent Binet-Sanglé, tout comme le rouge excite le taureau), mais une certaine part d'indé
ente la minéralisation des plasmes. active la rénovation des globules rouges ; enfin étant émi nemment diurétique, elle facili
prescrit la suggestion hypnotique associée à l'application des rayons rouges . Le traitement a été appliqué dès le premier jo
aine (séances de suggestion de 15 à 20 minutes application des rayons rouges pendant nue durée égale». Les résultats obtenus o
la malade : « Depuis un mois que je suis votre traitement de rayons rouges et d'hypnotisme j'ai ressenti une grande améliora
t par la suggestion hypnotique combinée avec l'application des rayons rouges a eu pour effet, non seulement la disparition des
e, où le double traitement par la suggestion hypnotique et les rayons rouges ont donné les résultats déjà énoncés. Pourtant il
que, tremblements.etc). En ce qui concerne l'application des rayons rouges , nous croyons qu'ils ont constitué un facteur sec
ces terme, par exemple : « Je tiens dans ma main une tige chauffée au rouge avec laquelle je vous brûle ! » Mais avec une tig
tre disposition... une vésicule se formera certainement. » Des tâches rouges ne tardèrent pas à apparaître sur la main, mais i
Dr Ossokine. Il est le premier à constater l'existence de deux taches rouges diffuses sur le dos de B.. lesquelles, cependant,
e se forma o centimètres plus bas et plus à gauche. C'était une tache rouge légèrement tuméfiée, de forme arrondie, et de mêm
ue lui a causée son fourneau, que la région touchée deviendra d'abord rouge , qu'ensuite qu'il 6'y formera une vésicule : que
près-midi le bras de l'expérimentée, il n'y avait qu'une petite tache rouge dans une région privée d'épidémie." Le même jou
i avec son habileté -connue, m'a renseigné sur le nombre des globules rouges et blancs. Cela fait, nous avons endormi le suj
80 94 Respiration 19 17 22 Pression artérielle 13 14 — Globules rouges 4.000.000 4.800.000 5.600.000 Globules blancs 8
8 Bespi ration 18 16 18 Pression artérielle 12 13-14 — Globules rouges -1.400.000 5.100 000 4.600.000 Globules blancs
6 78 90 Bespiration 17 16 18 Pression artérielle 9 9 — Globules rouges 2.750.000 4.600.000 5.600.000 Globules blancs 7
s 84 80 Bespiration 16 16 Pression artérielle 11-12 13 Globules rouges 4.130.000 ' 4.450.000 Globules blancs 6.000 6.0
72 88 Respiration 17 17 20 Pression artérielle 14 15 — Globules rouges 4.300.000 5.000.000 5.350.000 Globules blancs 5
la proportion de 0 h 3 pendant l'hypnose. 4° Le nombre des globules rouges — de la région locale périphérique-— est toujours
émités (plus prononcée chez les anémiques dont le nombre des globules rouges se double presque pendant l'hypnose) ; de même la
fications ne sont pas si appréciables tant qu'on regarde les globules rouges , mais dans leurs tableaux, on observe presque tou
72 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e tout tourne autour de lui. Les objets environnants lui paraissent rouges verts, et il voit passer devant ses yeux des po
guliers qui tranchent sur le tissu voisin, par une vive coloration rouge . Sur des coupes traitées d'après la méthode de We
le centre du foyer scléreux, on trouve un tissu vivement coloré en rouge par le car- min, constituant un réseau à travée
rence plus ou moins granuleuses ; celles-ci ont pris une coloration rouge intense, tandis que d'autres n'ont qu'une légèr
té. En différents points, on constate des infiltrations de globules rouges : à la hauteur de la septième paire cervicale,
une portion plus ou moins étendue de protoplasma normal (coloré en rouge par le carmin, en bleu par l'hématoxyline) et u
e ou diffuse le phosphore s'altère, perd sa transparence et devient rouge : sous cette modification allotropique le phosp
ransforme facilement et en totalité le phosphore blanc en phosphore rouge en l'expo- sant pendant huit jours à une tempér
nt pendant huit jours à une température de 250 degrés. Le phosphore rouge se présente en fragments rougeâtres, durs et ca
que l'on peut facilement pulvériser. La poudre présente une couleur rouge violacée ; elle est inodore et ne luit pas dans
ée ; elle est inodore et ne luit pas dans l'obscurité. Le phosphore rouge n'est pas vénéneux et il est insoluble dans les
carotide primitive gauche est tout à fait obstruée par un thrombus rouge , résistant, adhérent au vaisseau ; on trouve un
te des première et deuxième temporales gauches, avec ramollissement rouge du segment postérieur de la deuxième lemporale
n du ligament large (toucher vaginal, palper abdominal, tuméfaction rouge au-dessus de l'arcade crurale etc.. )'lncision.
iforme du tissu sous-cutané et des muscles; la peau avait un aspect rouge bleuâtre. De même, Leudet, chez un malade attei
1889.) 218 CLINIQUE NERVEUSE. la fesse et en ce point une plaque rouge elliptique, avec notable soulèvement de la peau
e membre autre que celui qui était paralysé. Cette tumeur, tantôt rouge , d'apparence phleg- moneuse, tantôt constituée
rctus dû à l'oblitéra- tion du vaisseau nourricier par des globules rouges extravasés dans la tunique adventice. C'est aus
yde de carbone ne déter- mine pas seulement l'altération du globule rouge ; il modifie encore cet élément de façon à obst
ns ces cas, la coexistence de troubles trophiques variés, plaques rouges sur le trajet des nerfs, zona, bulles de pem- p
point, tournant sur elle-même, et colorée de teintes brillantes, rouges , bleues, vertes et jaunes, l'espace délimité par
limitée de tous. côtés à sa périphérie par des zigzags de couleurs rouge , bleue, verte et jaune, qui se déplacent et vibre
ent les couleurs, car lorsqu'on'jette dans l'eau un pain à cacheter rouge et un blanc, invariablement le poisson choisit le
cacheter rouge et un blanc, invariablement le poisson choisit le rouge . De ces faits il résulte que les poissons sans
73 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
e volonté de fer. Pendant le jour, tout le corps se couvrit de taches rouges , mais vers le soir la fièvre perdit de son intens
onna presque autant que ma présence nocturne. C’est un grand vêtement rouge qui m’enveloppait comme une espèce de robe. « O
mais pour ce qui est de la fameuse robe de chambre, du grand vêtement rouge , celui-ci n’était pas de la partie positivement,
guait parfaitement toutes les parties internes. Le pharynx était d’un rouge violacé et parsemé d’ulcérations. Le lendemain, l
t la flamme qui s’en échappe est plus brillante, mais moins longue et rouge . La main gauche dirigée vers ces flammes reçoit u
e impression de fraîcheur de la flamme bleue; de chaleur de la flammé rouge . La netteté de ces sensations et de ces visions
t d’un puissant aimant en forme de fer à cheval. Les flammes bleue et rouge s’élèveront avec une certaine énergie en droite l
vers les quatre points cardinaux : on a alors un faisceau de lumière, rouge au sud, bleue au nord, jaune à l’ouest, blanchâ
re avec une queue de renard, celle-ci s’imprégne de la lumière odique rouge et le gâteau résineux de l'instrument produit de
vu entouré d’une atmosphère lumineuse : de grandes flammes bleues et rouges s’échappent de ses pieds et de ses mains. En va
ou moins grande quantité; seulement la lueur odique est tou- jours rouge dans toile substance, bleue clans telle autre. En
agent du bout des doigts, sont bleues; celles de la main gauche, d’un rouge éclatant. Tout le côté droit du corps, depuis la
reluit de la lumiôro odique bleue; tout le côté opposé, de la lumière rouge . L’opposition des lumières reparaît ici, et ave
rs, dégagent une lumière bleuâtre, tandis que la substance odique est rouge dans les autres parties du végétal (1). Aux (1)
corps, et, comme l’homme, ils ont le côté gauche imprégné de lumière rouge , le côté droit de lumière bleue. La teinte et la
d de l’aimant, brille une lueur bleue; au pôle opposé, un cercle d’un rouge éclatant. La zone équatoriale se divise en deux m
tour du globe dans la direction de l’équateur; au pôle sud, la flamme rouge fait de même, elle embrasse l’hémisphère austral
a baguette est dans le rayon violet et dans le bleu; et dans le rayon rouge ou mieux dans le jaune, il sent une chaleur engou
-dire que la lumière du fil métallique exposé aux rayons lunaires est rouge ; que l’eau qui reste exposée à leur action acqui
chambre obscure où se trouve le sensitif, ce dernier voit une flamme rouge , et cette flamme donne la sensation tiède. Le fai
couturée par le feu des moxas et par les ventouses scarifiées. Le fer rouge ouïes caustiques sontaussi employés, principaleme
74 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns le bureau de son maître d'étude, un encrier contenant de l'encre rouge , et au moment où il franchissait le seuil de la
ente une coloration cireuse, à l'excep- tion des pommettes qui sont rouges . La face, la peau du crâne et l'épaule gauche p
bouche. Au niveau des pommettes, la peau est épaissie et colorée en rouge de chaque côté, sur un espace d'un dollar. Le c
ôté droit décèlent un dessin imparfait sans netteté, une coloration rouge livide, une légère dilatation de l'artère centr
et dorsale de la dernière phalange du pouce. Le bout du doigt était rouge , à vif, creusé de fissures douloureuses et trè
. Ce produit est fourni par un arbre de la Jamaïque, que son écorce rouge a fait surnommer l'arbre co- rail. Ses propri
muscles de la face, surtout du côté gauche , les conjonctives sont rouges , les sourcils se con- tractent. La fixité du re
sont revenus qu'in- complètement et le bord libre des paupières est rouge . Les sourcils sont assez fournis; il existe môm
empêchent tout sommeil. La région douloureuse présenté deux plaques rouges , l'une allongée de douze centimètres environ de
t de vésicules. Le 3, on voit se développer au centre des plaques rouges , sous forme de traînées longitudinales, des gro
ession est intense (50 respirations par minute). Les pommettes sont rouges . Le pouls est petit, rapide, assez régulier, à
au chevet de leur lit, de s'orner la tête de rubans (ordinairement rouges ou bleus), de porter une cravate aux couleurs é
ression de M. Bernhardt, caractérisés par des taches bleues, roses, rouges , ou d'un blanc de neige, avec réfrigération gla
u Satan, qui apparoift là tantoft en forme d'vn grand homme noir ou rouge , géhenne, tourmenté & flamboyât comme vn fe
; et, si on lui suggère l'idée d'une figure géométrique colorée en rouge , par exemple, cette image ne peut pas être déd
fondément alté- rée dans sa structure. Elle présente une coloration rouge vif uni- forme, son tissu dense fibroïde est tr
, qui empiète surtout sur la fesse gauche sous forme d'un bourrelet rouge , induré, large de trois travers de doigt ; elle
rtie interne du pied du pédoncule. D'autres fibres partent du noyau rouge pour se diriger aussi vers la partie interne du
tiforme (noyau de Luys), qui reçoit des fibres venant : 1° du noyau rouge , 2° de la substance de Soemmering, 3° du tuberc
'abord que les éblouir. Pareil à un globe de feu, à une zone dentée rouge ou blanche, phosphorescente, vibrante et tourna
Il par des symptômes qui lui sont propres, (embonpoint, coloration rouge de la face, troubles gastriques divers, trouble
75 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
et à l'anus, qui est légèrement infundibuliforme, dont la marge est rouge , et les plis effacés ( ? ). - G... a été surpri
de coloration de la face, qui, très pâle, devient subitement d'un rouge vif ? ces phénomènes se présenteraient par accès.
n blanc mat avec plaques violacées au niveau des fosses iliaques et rouge foncé au niveau des fesses. Tête. - Cuir chev
ication externe de l'occipital.- La glande pitui- faire une couleur rouge vermillon; elle est allongée transver- salement
4 jan.ute ? \ L'onfantentreâ l'infirmerie ; sesamygdalessont un peu rouges et enflées, produisant une gène de la dégluti-
nerveux. Ces tractus rayonnent en; tous sens, sous forme de bandes rouges qui apparaissent bien plus nettement qu'il l'or
rencontre une bordure plus étendue, qui se colore forte- ment en rouge par le picro-carmin ; elle se compose surtout d
che est assez fortement congestionné; il crépite bien; sa coupe est rouge brun ; il flotte. - Le pou- mon droit est trans
sèche; elle a l'aspect d'un bloc jaune traversé par des mar- bures rouge .Ures, noires par points, rappelant suivant la c
pas de granulations. Les ganglions mévente- riqttes sont engorgés, rouges et gros.- L'intestin est distendu 94 Inégalité
de vertiges : il regarde fixement, respire bruyamment, devient très rouge puis très-pâle. Après les vertiges, il se met à
ères. Il s'échappe parfois dans les jardins, cueille des Heurs, les rouges de préférence, en orne sa casquette, 156 Épilep
très résistantes dans le tiers inférieur; la plèvre est épaissie et rouge sur la paroi externe correspondant au lobe infé
76 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
res du poignet, deux points exactement correspondants. Je chauffai au rouge un barreau de fer arrondi de huit millimétres env
cautérisations d'égale intensité au moyen du thermocautère chauffé au rouge . Chacune des plaques cautérisées a la forme et à
ion séro-purulente peu abondante. Tout amour de la plaie, la peau est rouge , irritée, sensible au toucher. Il existe une diff
ent hébétés ; les joues sont couperosées ; les lèvres, la langue sont rouges et sèches; l'haleine exhale, comme tout le corps,
la joue de ses deux voisins qui avaient chacun sur la tête un bonnet rouge avec des plumes de coq, et qui, de leur côté, tâc
les oxydes négatifs. La lumière elle-même est polarisée : les rayons rouges sont positifs et les rayons bleus négatifs. Les
euille. Elle indiquait très exactement les feuilles noires, blanches, rouges , bleues, etc., mais le jaune n'existait pas pour
cécité suggérée a été détruite également par la fixation d'un papier rouge (+) avec l'oeil droit (-) (action hétéronome) et
ons énormes d'absinthe, de liqueurs, rhum, etc., de vin blanc, de vin rouge et de bière. Elle buvait continuellement et se tr
ours de l'expérience, présenté devant l'œil gauche du sujet un papier rouge , je fus très étonné de l'entendre me dire sans hé
ge, je fus très étonné de l'entendre me dire sans hésitation : « Ces: rouge . » De même, pour un papier bleu : « C'est bleu. »
sinistre. En Allemagne, les gens aux yeux sombres, perçants, caves et rouges , ont le mauvais œil. Gaule, dans Select cases of
t bleu clair ou gris. Dans la Haute-Égypte et sur les rives de la mer Rouge , les yeux des fascinateurs sont les mêmes que ceu
proéminents. Enfin, on peut reconnaître un fascinateur à la couleur rouge de ses cheveux ou de sa barbe. Les rousseaux, com
Les chrétien, représentent volontiers Judas Iscariote avec une barbe rouge . « Ne te place jamais entre le roc et l'homme rou
te avec une barbe rouge. « Ne te place jamais entre le roc et l'homme rouge », « Ne laisse pas l'œil d'un homme rouge s'arrêt
ais entre le roc et l'homme rouge », « Ne laisse pas l'œil d'un homme rouge s'arrêter sur toi » sont, en Irlande, un proverbe
oi » sont, en Irlande, un proverbe et une locution familière. « Barbe rouge , espèce de diable », « Barbe rouge, va au diable
et une locution familière. « Barbe rouge, espèce de diable », « Barbe rouge , va au diable », dit-on en Allemagne et dans le c
a au diable », dit-on en Allemagne et dans le canton d'Argau. Barbe rouge et noirs cheveux, Guette-t'en si tu peux, est
barbe rousse, suivant le dicton : Bizar gorri, Bide horri I (Barbe rouge , — Hors du chemin !) Il résulte de tous ces fai
les premières heures est d'un verre a bordeaux au moins. Il est bien rouge . Pas d'hémorrhoîdes. L'utérus est bien confor
ent au-dessus de la normale ; seulement, le gland et le* prépuce sont rouges , hyperémiés. comme s'ils étaient soumis longtemps
77 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
res du poignet, deux points exactement correspondants. Je chauffai au rouge un barreau de fer arrondi de huit millimétres env
cautérisations d'égale intensité au moyen du thermocautère chauffé au rouge . Chacune des plaques cautérisées a la forme et à
ion séro-purulente peu abondante. Tout amour de la plaie, la peau est rouge , irritée, sensible au toucher. Il existe une diff
ent hébétés ; les joues sont couperosées ; les lèvres, la langue sont rouges et sèches; l'haleine exhale, comme tout le corps,
la joue de ses deux voisins qui avaient chacun sur la tête un bonnet rouge avec des plumes de coq, et qui, de leur côté, tâc
les oxydes négatifs. La lumière elle-même est polarisée : les rayons rouges sont positifs et les rayons bleus négatifs. Les
euille. Elle indiquait très exactement les feuilles noires, blanches, rouges , bleues, etc., mais le jaune n'existait pas pour
cécité suggérée a été détruite également par la fixation d'un papier rouge (+) avec l'oeil droit (-) (action hétéronome) et
ons énormes d'absinthe, de liqueurs, rhum, etc., de vin blanc, de vin rouge et de bière. Elle buvait continuellement et se tr
ours de l'expérience, présenté devant l'œil gauche du sujet un papier rouge , je fus très étonné de l'entendre me dire sans hé
ge, je fus très étonné de l'entendre me dire sans hésitation : « Ces: rouge . » De même, pour un papier bleu : « C'est bleu. »
sinistre. En Allemagne, les gens aux yeux sombres, perçants, caves et rouges , ont le mauvais œil. Gaule, dans Select cases of
t bleu clair ou gris. Dans la Haute-Égypte et sur les rives de la mer Rouge , les yeux des fascinateurs sont les mêmes que ceu
proéminents. Enfin, on peut reconnaître un fascinateur à la couleur rouge de ses cheveux ou de sa barbe. Les rousseaux, com
Les chrétien, représentent volontiers Judas Iscariote avec une barbe rouge . « Ne te place jamais entre le roc et l'homme rou
te avec une barbe rouge. « Ne te place jamais entre le roc et l'homme rouge », « Ne laisse pas l'œil d'un homme rouge s'arrêt
ais entre le roc et l'homme rouge », « Ne laisse pas l'œil d'un homme rouge s'arrêter sur toi » sont, en Irlande, un proverbe
oi » sont, en Irlande, un proverbe et une locution familière. « Barbe rouge , espèce de diable », « Barbe rouge, va au diable
et une locution familière. « Barbe rouge, espèce de diable », « Barbe rouge , va au diable », dit-on en Allemagne et dans le c
a au diable », dit-on en Allemagne et dans le canton d'Argau. Barbe rouge et noirs cheveux, Guette-t'en si tu peux, est
barbe rousse, suivant le dicton : Bizar gorri, Bide horri I (Barbe rouge , — Hors du chemin !) Il résulte de tous ces fai
les premières heures est d'un verre a bordeaux au moins. Il est bien rouge . Pas d'hémorrhoîdes. L'utérus est bien confor
ent au-dessus de la normale ; seulement, le gland et le* prépuce sont rouges , hyperémiés. comme s'ils étaient soumis longtemps
78 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
anquille, la connaissance lui revenait; son visage se colorait d'un rouge vif, il ne se rappe- lait pas de ce qui s'était
, on s'aperçut que, tout d'un coup, en travaillant, il devenait « rouge , rouge pourpre, les yeux étaient injectés de sang
s'aperçut que, tout d'un coup, en travaillant, il devenait « rouge, rouge pourpre, les yeux étaient injectés de sang, il se
grille, se retourne brusquement et reprend sa course. La figure est rouge , vultueuse; le malade bave un peu; de la main d
recommence dans la jambe et le bras gauches ; la face devient très rouge . - A 10 h. 24, trépidation légère de la jambe g
sitôt que ça allait le prendre, il devenait d'abord très pâle, puis rouge après. Ces accidents venaient irrégulièrement q
le décubitus dorsal, dans le coma avec stertor, la face est un peu rouge , les pupilles sont dilatées. Le pouls est très
assez de lenteur. Parole nulle. i 1S84. - Organes génitaux. - Poils rouges au pénil ; verge bien déve- loppée ; gland déco
au pénil ; verge bien déve- loppée ; gland découvert; méat étroit, rouge , sa base droite est excoriée; bourses pendantes
re cérébrale est très notablement hypérémiée; elle a une coloration rouge diffuse sur la face externe et offre un léger é
ux à leur bord; le lobe inférieur droit présentait une hépatisalion rouge . Le cocu)', en surcharge graisseuse, était légè
douleurs de tête sans vomissements, pendant lesquels il devenait « rouge comme un coq ». Intelligence médiocre : « il n'
a naissance du bras gauche ; ils sont indurés, douloureux et un peu rouges . l"mat'.s. - Les injections ont été continuées
s- piration à 20 et la température à 40°,3. La face était devenue rouge , la chaleur de la peau avait augmenté et le malad
même. C'étaient des changements de couleur. Ils de- venaient noirs, rouges et blancs. Ma mère déclara elle-même au commiss
re-le comme ça à ta mère.» Je ne voulus le faire et alors je devins rouge ; ma mère me dit de le faire, et mon oncle se l
79 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en étendue que la moitié ou le tiers du pédoncule gauche. Le noyau rouge droit est difficile à distinguer il l'oeil nu,
postérieure à l'amyg- dale ». Outre l'atrophie secondaire du noyau rouge et de l'olive bulbaire du côté opposé, il exist
celle de l'olive et de la protubérance, l'atrophie croisée du noyau rouge se présentait avec ses caractères ordinaires. Q
ême légère des régions corticales eu rap- port direct avec le noyau rouge . Le poids de chacun des hémisphères cérébraux n
ïde, sa membrane nourricière, des exsudats blanchâtres, jau- nes, rouges et surtout noirs. Du reste, les taches sont une
concentrique au rétrécissement pour le blanc. Ce sont les couleurs rouge et verte dont le champ de vision se rétrécit en
ÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. cycliques des globules rouges et des globules blancs dans l'épilepsie sont la
, il rencontre un aliéné qui lui dit que « les francs-maçons et les rouges » lui feraient du mal. Cette remarque ne lui fi
tement il aperçoit devant lui pendant quel- ques secondes une boule rouge en feu et s'écrie : « ;\ ? de D ? c'est moi qui
en hémo- globine très marquée (9 0/0) pour un nombre des globules rouges de 4.600.000 ; mais cette pauvreté en hémoglo-
mme dans l'opérette de Lecoq et s'amusait à les vêtir de bleu et de rouge pour les distinguer, comme les deux héroïnes du
deuse et grima- çante deux cornes noires au front, de longs cheveux rouges hé- rissés sur la tête, une longue queue dénudé
rsaut. Assis sur le bord du lit, il voyait, dit-il, comme une lueur rouge . Il resta dans cette position pendant environ un
ne et le vert pour lesquels il ne dépasse pas dix degrés; pour le rouge il atteint 37" du côté externe, 30 du côté intern
he, il paraît gris à droite; le jaune paraît plus pâle à droite, le rouge également, cette dernière couleur semble au mal
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES \\\1'l.- Sur une forme spéciale du globule rouge dans la démence précoce ; par PIGHNI et PAOLI.
Ll1Ío- nine phéniquée. Parcelle méthode, on voit que les globules rouges des déments précoces se présentent avec une str
d'angine ; rougeole à 5 ans. De plus, ses yeux étaient tou. jours rouges il fallait les « décoller chaque matin u. Etait
ctuelle. Dès qu'il fait froid elle a encore le bord des pau- pières rouges . Orbites bien développés, symétriques. Yeux mo-
s petites lèvres sont peu développées, toute la région vulvaire est rouge ; le clitoris petit, entièrement découvert, pas
d'albumine, L'exal1len t tologique n'a IIIOII- tré que des globules rouges et quelques rares polynucléaires, sans aucun au
tologique, par Anglade et Jac- qum, p. z r 3. - -. Voir Glo- bule rouge . Considérations ana- tomo-pathologiques sur la
e - - - du lobe occipital droit, par Raven- na, p. 139. Globule ROUGE . Sur une forme spéciale du dans la démence pr
80 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
6 mai. T. R. matin et soir : 37°. Depuis hier, il existe une plaque rouge luisante, chaude, au niveau de l'articulation n
la visite, l'enfant est somnolent, ne fait aucun mouvement; plaques rouges sur la face, surtout au front. La voix est faib
sont en plus grand nombre, et contiennent en abondance des globules rouges cx- travasés ou des granulations pigmentaires.
de tissu fibrillaire dont les espaces sont occupés par des globules rouges altérés ou des cellules con- jonctives pigmenté
, apparaissant à l'examen macroscopique, sous la forme d'un piqueté rouge brunâtre. Au microscope, on voit que ces foyers
qu'ils sont LÉSIONS HISTOLOGIQUES, G3 constitués par des globules rouges altérés et des amaspigmen- taires entourant le
touchent presque ; l'écume sort de ses lèvres d'abord blanche, puis rouge (morsure de la langue). Cela dure . 5 à 6 minut
orme. Pas de cris inarticulés. Il consent à tirer la langue qui est rouge , et, interrogé, répond qu'il n'a mal nulle part
ène à grands pas dans la cour, chantant et sifflant ; ses yeux sont rouges et pleins de larmes ; il est salace et essaye de
ues ; les doigts, les orteils et les ongles normaux. Les mains sont rouges et froides. La digestion, la respiration s'exéc
du lait. Poumons volumineux : lobes infé- rieurs atélectasiés, d'un rouge foncé et crépitant encore Un peu. Les bronches
embre para- lyse parait plus rugueuse que du côté opposé ; elle est rouge violacée, partir du coude ; les tissus de la ma
mblables à ceux qui ont été notés dans l'ob- servation III. Cheveux rouges . Peau des mains pareille à du parchemin; celle
aissent plus gros en arrière; ils sont longs, noirs, avec un reflet rouge au-dessus des tempes. Il n'existe de crasse ecz
81 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
jambes et la face dorsale des pieds sont tachetées de petites macules rouges irrégulièrement réparties. En divers points on
orteil du pied droit, la peau présente une légère tuméfaction, d'un rouge foncé, ressemblant en effet il une engelure. Su
re. Sur la face antéro-externe de la jambe droite, deux taches d'un rouge violacé, régulièrement arrondies, à bords peu net
les couleurs; le champ visuel du bleu est plus rétréci que celui du rouge . Champ visuel de l'oeil gauche : en dehors 30,
chromatopsie spéciale (1 iâ, 40). Conservation unique du bleu et du rouge , oc NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. fI PL. XXX BLÉPH
sse un cri et tombe à terre. Les yeux se ferment, la figure devient rouge , les dents claquent, la langue est mordue quelque
; les cornets fortement agran- dis, recouverts d'une muqueuse d'un rouge sombre, y font une saillie assez marquée. Le re
sée. Ganglions mésentériques légèrement augmentés de volume, un peu rouges . Dans l'intestin grêle beaucoup de mucus, folli
chaleur lui monter à la tête; ses- tempes battent, il devient très rouge , cramoisi, violacé. Parfois les personnes qui le
dure quelques secondes pendant lesquelles la face du malade devient rouge , \iolac6a; il n'écume pas et ne se mord pas la
cée, entourée de deux zones pâles. z1 minute 1/2 : troisième zone rouge périphérique, s'étendant au loin. Fin de la 2
qui envahit la première zone pâle et arrive aux limites de la zone rouge périphérique. 4° ou 5e minute : l'élevure ortié
grenu, chagriné. 15 à 20 minutes : commencement du déclin. L'aréole rouge se rétrécit, l'élevure s'affaise et diminue de
illie de l'élevure varie de 1 à milli- mètres et davantage; la zone rouge périphérique s'étend de 2 à 5 cen- timètres. La
ion. Les piqûres d'épingles légères s'entourent d'une petite macule rouge , qui devient au bout de quelques minutes une papu
vu se produire aux points de contact du pinceau de petites papules rouges , saillantes, qui sont devenues oedémateuses, simu
Pendant la stupeur nous n'avons même pas pu produire la simple raie rouge érythémateuse que l'on obtient sur tout le monde.
82 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r médian; elle contient des vaisseaux dilatés et pleins de globules rouges ; par places elle est adhérente à la moelle et l
une commune auia visuelle, qui peut se présenter comme une couleur rouge . Cette commune aura visuelle est des plus digne
on père sous la remise, gardé à vue. De sa bouche perlait une écume rouge , son oreille droite était contusionnée. Le viei
re chose que de la paralysie de sa main droite. Cette main n'est ni rouge ni tuméfiée ; elle est un peu plus froide que cel
ûle ? Je vois du feu à droite + A gauche, je vois . clair + Je vois rouge + Jaune + C'est clair + Il n'y a plus rien + Il
s et de l'écorce de petits thrombus : au centre un amas de globules rouges et blancs, enfermant des colibacilles et entouré
ation de certains mots, par exemple le mot « amour » pour me rendre rouge feu. Je cherchais toujours à cacher mon embarra
oreilles depuis mon lever jusqu'à 1/Ion coucher : « Ne suis je pas rouge ? » Je laissais mes occupations il moitié achev
Dieu, je t'aurais à peine reconnu tellement tu es devenu subitement rouge . Qu'as-tu donc ' ? » Je me déplus beaucoup pend
heureux jeune homme de se farder- de cette façon il serait toujours rouge et il serait difficile de remar- quer un afflux
, puis, se produisent des zones concentriques de vert, de jaune, de rouge brun sale. Cet état présente des variétés dont
voit dans le frontal et le pariétal gauche une' masse diffuse d'un rouge gris, longue de 10 centimètres, large de 6. La
er, quantité suffisante pour faire 1000. Elles deviennent d'un brun rouge foncé (sulfocyanure de fer), très favorable à l
ellicules comme la lumière ordinaire quand elle a traversé le verre rouge foncé de la chambre noire photographique. La lu
ossifiée, du volume d'une châtaigne, finement bosselée, de couleur rouge grisâtre, que l'examen histologique définit com-
che, un peu plus petite et située également sousla peau, légèrement rouge à cet endroit. 3. Deuxième petite nodosité au m
titielles et périvasculaires de leucocytes et parfois de globules rouges , des foyers miliaires d'inflammation, des thrombo
plus précoce que le rétrécissement du champ pour le vert et pour le rouge ; 4° souvent on rencontre une expan- sion de la
nt les champs visuels. 6° bien que les champs visuels du vert et du rouge subissent le plus grand rétrécissement, leur an
e la perception pour le vert et champ visuel fort restreint pour le rouge , les désordres de la vision offrent une complèt
ce DE M. GOM13AULT. Sur un cas d'endothéliome épilhélioïde du noyau rouge . MM. RAYMOND et CESTAN présentent les préparati
t assez légèrement le ruban de Reil, détruit entièrement le noyau rouge gauche, entamé le noyau rouge droit et fait dispa
de Reil, détruit entièrement le noyau rouge gauche, entamé le noyau rouge droit et fait disparaitre le noyau et le tronc
seul faisceau nettement dégénéré était le faisceau allant du noyau rouge à l'olive cérébelleuse. Les signes dominants ét
t cliniquement les relations d'association physiologique du noyau rouge et du cervelet. Elle infirme par contre la donnée
moteurs médullaires Inner- vant les muscles, par Sano, 133 Noyau rouge . Endothéhome du -, par Haymond et Cestan. 5J2.
83 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
cercle présente un contour orangé, chez d'autres il y a du vert, du rouge , du jaune, du blanc etc. Chez d'autres encore il
IV, 1). Les cordons de Goll sont altérés et se colorent vivement en rouge sur les préparations au picro-carmin. La lésion
ues sur la jambe gauche. 4 septembre. Persistance de l'oedème. Peau rouge brillante. Prostra- tion profonde. Secousses mu
frissons dans la journée. Vomissements. Constipation. Langue sèche, rouge , molle. Pas d'albumine. (La diarrhée et l'albumin
en argent. Du même côté et un peu plus en dehors, plusieurs plaques rouges (PI. XIV). Pied-gauche tombant, avec forcé musc
ugmentés d'un tiers envi- ron. La peau qui les recouvre est chaude, rouge et tendue ». Féré émet la même opinion. Il exam
ein gauche, qui était le siège du mal, se marbra de petites plaques rouges , d'une sorte de rash sca1'latini{orme, dont les t
es vaso-moteurs, qui vont de la congestion simple à l'oedème blanc, rouge ou violet (1). L'aspect du tégument peut donc ê
alors remplacées par des surfaces dénudées érosives ou subérosives, rouges , et tout à fais eczématoïdes d'as- pect. ' '
inus longi- tudinal, on trouve du sang liquide et quelques caillols rouges . Il y a un fort oedème SO11S-araC111101(hell. L
que. Le coeur contient passablement de sang liquide et des caillots rouges et couon- neux. L'oreillette droite est dilat
euse. Quelques-unes de celles-ci sont oblitérées par des thrombus rouges contenant du pig- ment brunâtre. Enfin les capi
tiques conservées en Hollande, par une prédilection marquée pour le rouge dont il lire les plus heureux effets (3). C'est
n° 1311 du Catal. Breius. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE 199 encore rouges sourient à demi. Malade d'amour,elle l'es t. peut
di, coloris riche, parfois excessif, surtout dans les bruns et les - rouges , beaucoup de finesse dans les détails, (1) Heme
ans lequel tombent les pierres. Devant lui, sur une table à tapis rouge , sont disposés tous les accessoires de l'opérat
réclame de six vers à peu près indéchiffrables y est écrite; un sceau rouge porte encore des restes de la signature. Nous
etc. Par terre, une lanterne e allumée, un pot, un plat de faïence rouge rempli de pierres, une bou- teille, et un chape
cou, il a, dans le feu cle l'opéra- tion, rejeté de côté son bonnet rouge bordé de fourrures. Cependant il conserve une g
84 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rveuses elles-mêmes. Les hémorrhagies miliaires formées de globules rouges et coïncidant avec la dégéné- rescence hyaline,
es de l'équilibre leucocytaire combiné à la pré-, sence de globules rouges à noyau. Un second groupe de paralysies général
trequedesforines dérivées des leucocytes. La diapédèse des globules rouges subit de grandes variations au cours des infect
grosses, deux normales. Les joues et le men- ton ont une coloration rouge . Les oreilles sont très petites, implan- tées u
action des couleurs ont montré que les hypnotisés sont sensibles au rouge comme excitant et au bleu comme déprimant. Des
bleues et relevait le moral des hypochondriaques dans les chambres rouges . (L'année électrique 1901.) Cependant, il y a lie
ES. rayons blancs activent la circulation superficielle, les rayons rouges ont une action plus profonde. Les rayons bleus
ulation. De même, la lumière blanche active la nutrition les rayons rouges agissent dans le même sens, mais d'une manière
rition. En ce qui concerne le système nerveux, les rayons blancs et rouges favorisent la guérison des troubles trophi- que
crut obligé de suivre un régime des plus sévères : plus de viande rouge , plus de charcuterie, plus de poisson, plus de vi
arfois ils ont des cauchemars caractérisés souvent par la vision du rouge (objets rouges ou tableaux où le sang ruisselle
des cauchemars caractérisés souvent par la vision du rouge (objets rouges ou tableaux où le sang ruisselle). Les hystériq
arcoplasme se contracte lentement (muscles lisses et muscles striés rouges , riches en sarcoplasme). La substance fibrillaire
précisés. L'amputation est terminée; la surface de section apparaît rouge vif, l'hémostase est faite par la compression m
qu'à 75°, vers le dedans - jusqu'à 10°. La perception de la couleur rouge s'étend au diamètre horizontal vers le dedans j
re démontral'éten- due périphérique de la perception des couleurs : rouge , vert, jaune et bleu. Comme on voit d'après les
croisent en arrière des tubercules mamillaires et en avant du noyau rouge de Stilling : elles se collent, à l'intérieur d
, les coupes, au bout de deux-cinq minutes. prennent une coloration rouge jaunâtre. C'est le moment de ré- duire en metta
oloration des cylindraxes s'affirme tandis que le fond devient d'un rouge rosé ou violet. On peut encore fixer au platine
servé. P. Keraval. a1\II. Coloration du système nerveux à l'aide du rouge Magenta, par l'. ZosIN. (Neurolog. Centralbl. X
l'alcool. Couper. Colorer pendant vingt minutes à une heure par le rouge Magenta à 1 p. 100 : les coupes deviennent roug
à une heure par le rouge Magenta à 1 p. 100 : les coupes deviennent rouges . Laver à l'eau ou, au besoin, laisser les coupes
'il ce que la substance grise tranche nettement par sa colora- tion rouge sur la substance blanche jaune. Xylol, baume du C
scléreux et la névroglie rouge-violet; les cellules nerveuses sont rouges . La coloration est plus nette que dans la métho
lène. Bra- celets au collodion iodoformé, ou au collodion coloré en rouge ou en bleu, bracelets dessinés sur les membres
85 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vicale de la moelle, de la substance noire du pédoncule et du noyau rouge de la calotte (de Stilling) ; atrophie de l'étage
ans la subs- tance blanche du cerveau, avec foyer de ramollissement rouge au milieu du corps calleux. La lésion des hémis
de méningite suppurée. A l'oeil nu, on dirait d'un ramollisse- ment rouge , et l'orateur ne croit pas que les cellules menti
prédomine. Période téta- niforme : la face devient de plus en plus rouge ; convulsions téta- nitbrmes de la face à droite
s très volumineuses, sur- tout la droite; muqueuse du pharynx assez rouge ; langue large. Gencives en bon état. Organes
. Au niveau du pli du coude, des deux côtés, deux petites plaques rouges peu colorées, mais suintantes, donnant lieu à de
accès; ce matin, avant la tisite, il a ou 4 accès. La face est très rouge , les conjonctives injectées, les pupilles modér
s instants; mais à 5 heures, il était agité et avait le visage très rouge ; à 7 heures il s'est mis à pleurer, puis s'est
accès la période de slertor étant passée, on le trouve la face d'un rouge vermillon intense, couverte de sueur, brûlante;
ès; T. 13. 39 ? ? . - Soir : T.R. 301,4. Physionomie égarée : joues rouges ; pupilles dilatées, égale- ment; excitation au
i- site); il ne répond d aucune question, se met à pleurer; usage rouge , couvert de sueur. 26 iiiillet. Série d'accès (
n objet mousse, on déterminait une raie, d'abord blanche, puis d'un rouge intense, sur laquelle poussaient de petites éle
ubilité. Elle se sent bien. La peau est froide et marbrée de taches rouges aux extrémités. Le pouls est lent, faible, 40 p
ne ligne, et qu'on lui donne sur une des moitiés l'hallucination du rouge , elle accuse sur l'autre moitié la sensation du
e passe lorsqu'on regarde fixement un carton moitié blanc et moitié rouge . 3, Les sensations subjectives. Toute hallucina
tre à la malade un carré blanc en lui suggérant qu'il est coloré en rouge , ou en vert, etc. Puis on lui fait reporter les
contradictoires. Si, par exemple, on se con- tente de suggérer du « rouge », la malade peut se représenter soit le rouge
nte de suggérer du « rouge », la malade peut se représenter soit le rouge qui a pour complémentaire le vert, soit un rouge
eprésenter soit le rouge qui a pour complémentaire le vert, soit un rouge orangé dont le complémentaire est le bleu. La r
é du sens musculaire. Pas d'ataxie. Refroidissement et décoloration rouge bleuâtre des deux mains, ainsi que de la por- t
86 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cou d'enfant injecté, il est curieux de sui- vre les minces filets rouges , qui soulignent chaque ramuscule nerveux. Aux m
langage imagé, à un « dindon qu'on placerait sur une plaque de fer rouge ». Il s'ingénie de mille manières pour échapper
. Sou- vent on lui mettait quelque chose dans le vin qui le rendait rouge et lui coupait bras et jambes. Pourquoi faisaie
'y a pas de points douloureux. La peau de l'endroit malade est rose rouge , luisante, égale, plus chaude que celle du côté
à l'autre et rarement à la face. La peau variait aussi, tantôt rose rouge , bleue ou violette, ou'mar- brée quelquefois pâ
prestidigitateur le fit entrer sous une tente, lui passa un cordon rouge autour du cou et lui maquilla la figure au poin
té et qu'elle nous a décrite ainsi : Tout à coup il est devenu très rouge , il titubait comme s'il allait tomber, il était
roportionnellement bien plus accusée que'la diminution des globules rouges . La lenteur des réponses parait due à l'hébétud
. L'entre-croisemenl de Forel consiste en fibres reliant le noyau rouge du legmentum avec le noyau lenticulaire du côté o
lle- ment ; elle a, dit-elle, une boule de feu dans la tête, un fer rouge dans l'estomac. - Sa famille et les personnes
Je ne pourrai donc pas les ouvrir ! C'est triste, je ne vois que du rouge ! » Elle ne voit pas ses parents qui entourent
ère duquel se retrouvait la singulière tendance à saisir les~rubans rouges ; si bien qu'elle s'abstenait de sortir les'jour
e au sort pour éviter de succomber au désir de prendre les rubans rouges flottants sur le chapeau des conscrits. Nous po
les deux yeux ouverts voit à sa droite un objet, un pain à cacheter rouge par exemple, qui est vu en réalité uniquement p
à gauche, il supprimera le point blanc et ne parlera que du point rouge qui lui apparaît à droite; or justement ce point
e du point rouge qui lui apparaît à droite; or justement ce point rouge ne peut être vu que par l'oeil gauche. Eh bien, m
la dyschromatopsie hys- - térique. Une malade ne distinguait que le rouge et ne voyait pas les autres couleurs, mais si o
es et elle nous déclare gravement qu'elle a vu un pain à cacheter rouge . Vous savez qu'il ne peut être vu que par l'oeil
la main gauche anesthésique de Berthe, je colle un pain à cacheter rouge : la voici étonnée, et en contemplation devant
édé que l'on désire. Le microscope révèle alors une substance jaune rouge dans laquelle les éléments nerveux sont REVUE D
87 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
'inférieur. Le locus niger de Soemmering le noyau de Luys, le noyau rouge de Stilling lui en- voient des fibres ; on ne v
des fibres ; on ne voit que la partie externe de la coque du noyau rouge . Si la coupe avait porté un peu plus en dedans,
la capsule interne, procèdent en grande partie de la coque du noyau rouge , ainsi que nous l'avons vu déjà dans les coupes
se au-dessous de l'aqueduc de Sylvius et par le milieu des noyaux rouges de Stilling. (l. V.) Je ne signalerai sur la Pl
l'étude de la capsule interne : a) Le cône de fibres que le noyau rouge de Shilling fournit dans ce sens au pied de la
F. U., fasciculus uncinatus. /, insula de Reil. i,. St., noyau rouge de Stilling. P. c., pédoncule cérébral. Il. r
vinar de la couche optique. N. c., noyau caudé. V, v·. St., noyau rouge de Stilling. P. c. f. s., pédoncule cérébral; f
pale, le vert, par exemple, tandis qu'il accuse très bien la teinte rouge complémentaire. (On se rappelle que, pour une c
pelle que, pour une catégorie très nombreuse de malades, la couleur rouge reste seule en dehors de l'achromatopsie). Cela
côte occidentale de l'Indoustan, sur la côte occidentale de la Mer Rouge et sur la côte du Brésil. Le kakké du Japon a é
duirait un pinceau de 2 à 3 centimètres d'épaisseur, chargé d'encre rouge , promené de bas en haut pendant 5 à 6 centimètr
coupa profondément. On les avuMrap- per à coups de poings un poêle rouge ; sauter dans le feu ou da.is l'eau; ne tenir c
n ; dans les quatorze autres cas, il s'agissait d'un ramollissement rouge et d'hémor- rhagies punctiformes ou d'une destr
si, , s L, insula de Reil. - Flb.su3 sb nsarsm i N. r. St., noyau rouge de Stilling. P. c., pédoncule cérébral. P. r.
, , , . 1, , , N c., noyau caudé. " 1111- h t , N. ·. It., noyau rouge de Stilling. 1 - P. c. f. s., pédoncule cérébra
88 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
e supérieur droit, Elle ne sent pas l'application d'un fer chauffé au rouge ; elle a la main couverte des brûlures qu'elle se
onstatons qu'elle ne sent pas l'application d'un tisonnier chauffé au rouge . La mais droite toute entière est d'ailleurs couv
e, l'heure sur une montre à fines aiguilles, distingue! le bleu et le rouge , se promener sans être conduit. Ces amélioratio
première fois; alors je constatai ; constitution assez faible, visage rouge , yeux larmoyants, tremblements dans les muscles,
ème nuit, le malade était tourmenté par une femme couronnée de pavots rouges et gris, qui tantôt le fouettait de bouquets 3e c
que nous avions fait recouvrir de la suscriptinn poison sur étiquette rouge , avant d'accomplir ce suicide présumé. Elle avait
gnes; au pôle positif, une flamme grise de 20 lignes, avec une pointe rouge . De toutes ses arêtes, les effluves montaient ver
e moins nette de la Lohée, se montra toujours gris avec une pointe de rouge ou de jaune, tandis que l'enveloppe extérieure ou
e remarqua qne la Lohée, à chaque temps de la respiration, en émanait rouge à gauche et bleue à droite. On amena devant elle
mboiement du premier barreau se renforça de 8 lignes; dans la lumière rouge , sor le second barreau, de 5 lignes. Ces expéri
iens placés aux côtés du lit de camp : la figure devenait un peu plus rouge , comme plaquée (i), et se crispait encore légèrem
chait la tète de cOté sans pouvoir la tenir droite. Les joues étaient rouges et même cyanosées. Elle me reconnut, me dit que j
aient très fortes et très rapprochées. La figure de la femme devenait rouge et exprimait la souffrance, mais il n'y avait pas
sensation de gêne douloureuse, en se forçant. Il existait une teinte rouge , puis du gonflement dans les membres érythème nou
arte blanche sur laquelle on lui fait voir, par suggestion, une croix rouge , puis, à cette carte, on substitue une autre cart
clare voir une croix verte, c'est-à-dire la couleur complémentaire du rouge . En multipliant les expériences, on lui fait voir
mais elle est achromatopsique et ne distingue aucune couleur sauf le rouge , fait, pour le dire eu passant, assez fréquent da
particulier. En effet, comme elle ne sait reconnaître que la couleur rouge , on lui fait voir par suggestion une croix rouge
aître que la couleur rouge, on lui fait voir par suggestion une croix rouge sur une carte blanche; quand on substitue à celte
blanche, elle y voit immédiatement une croix verte, complémentaire du rouge , et pourtant, si à ce moment on lui montre du ver
sur la tele d'un des «lèves du service un casque surmonté d'une plume rouge ; or, aussi bien dans l'état A, que lorsqu'elle es
89 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le avait remarqué alors que le côté droit de la langue était plus rouge , plus sensible que le côté gauche; que les papi
our peu qu'il y ait des traces d'aniline il se produit un précipité rouge orangé très abondant et le liquide prend la mêm
OLOGIE MENTALE. Il : 1 de chaux. Il se produit une belle coloration rouge qui passe au bleu par l'addition d'ammoniaque.
tourne sa tête comme s'il fixait une personne ou un objet. Verre rouge . Il se lève effrayé et cherche à s'enfuir... L'at
'attaque survient qui clôt la scène. Deuxième expérience. - Verre rouge . Le placement des divers verres devant les yeux
produit pas l'attaque et ne provoque aucune hallucination. Le verre rouge au contraire, provoque instantanément une attaq
ion, remue les lèvres et semble en prières. Camphre. - Il devient rouge . Il fixe quelqu'un et veut se lever de son lit
, à brandebourgs oranges et jaunes. Il y avait aussi des hus- sards rouges à galons jaunes. Il tirait des coups de fusil dan
, tire sur la bride comme pour arrêter sa monture. Il crie. Verre rouge . fixe quelqu'un, fait le salut militaire en disan
le geste de s'éventer avec sa chemise. Le corps était complètement rouge et la sueur perlait sur la peau. Compresse d'
déboucher une bouteille avec un tire-bouchon '. Puis boit. Verre rouge . - Il fait le mouvement d'enflammer une allumette
uniformes des uhlans brandebourgs oranges et jaunes, des hussards rouges à galons jaunes, répond à l'application des ver
rouges à galons jaunes, répond à l'application des verres orange et rouge . Les mouvements qui s'exé- cutent au son du tam
l'air de souffrir beaucoup, qu'il avait exécutés avec les verres rouge et orange. Ce que nous avons pris pour cueillir
organes des sens et nous obtenons les résultats suivants : Verre rouge . - Charles ! viens à mon secours... Quoi tu es en
llement bien que l'on croirait presque y assister avec lui. Verre rouge . -Il voit un ami qui s'est coupé. Le sang ruissel
jaune la marchande d'orange ou la femme habillée en jaune, le verre rouge la blessure san- glante. En un mot, ces malad
é. - ni, n 0 %.au lenticulaire. - P, tractus pyramidal. - rn, noyau rouge . - ral, racines du nerf olfactf. - rs, région sub
omènes mentaux. Comme le dit M. Binet : « Qu'on ait la sensation du rouge , ou qu'on ait le souvenir du rouge, ou qu'on vo
et : « Qu'on ait la sensation du rouge, ou qu'on ait le souvenir du rouge , ou qu'on voie le rouge dans une hallucination,
ation du rouge, ou qu'on ait le souvenir du rouge, ou qu'on voie le rouge dans une hallucination, c'est toujours la même
90 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
acune de ces moitiés contient une petite cavité triangulaire à parois rouges , à laquelle aboutissent une multitude de canalicu
aquelle aboutissent une multitude de canalicules remplis de substance rouge qui rayonnent du centre à la circonférence dans t
s postérieures de chacune de ces cavités un petit canal plus ou moins rouge qui se dirige au milieu de la face postérieure du
e n'offre point d'éléments nerveux dans son lobe antérieur de couleur rouge . Il accepte les opinions de Ecker, d'après lequel
n donne au point a et au point ê des couleurs différentes, l'un étant rouge et l'autre bleu, l'image unique de ces deux point
eux points ne sera point violette, comme on aurait pu le penser, mais rouge ou bleue. Ce résultat semble prouver que les ye
distincte de deux couleurs différentes. Tout au plus peut-on voir du rouge sali de bleu ou du bleu sali de rouge, jamais, qu
s. Tout au plus peut-on voir du rouge sali de bleu ou du bleu sali de rouge , jamais, quelque effort qu'on puisse faire, on n'
le passage se fait du blanc au noir par le blanc, le jaune orangé, le rouge , le violet et le bleu. Est-elle au contraire obsc
taire. L'objet est-il jaune, l'image consécutive est violette. Est-il rouge ou bleu, l'image est verte dans le premier cas, o
s les paupières au grand soleil, l'œil est comme inondé d'une lumière rouge , ouvrons-nous alors les yeux, tous les objets bla
; la deuxième zone est peinte en jaune; enfin on couvre d'une couleur rouge la zone qui l'entoure. Sur un disque ainsi prépar
re, traversent successivement la zone bleue, la zone jaune et la zone rouge , et vont se perdre à la circonférence du disque.
one, divisée à partir de son centre en huit triangles alternativement rouges et blancs. Eh bien ! suivant que l'attention se p
e l'attention se portait plus particulièrement sur le blanc ou sur le rouge , on voyait, par une métamorphose immédiate, tantô
métamorphose immédiate, tantôt une croix de Malte blanche sur un fond rouge , tantôt une croix rouge sur un fond blanc. On a f
tantôt une croix de Malte blanche sur un fond rouge, tantôt une croix rouge sur un fond blanc. On a fait aussi la remarque qu
orme toute particulière. Rarement l'objet fantastique est coloré en rouge ou en bleu. Le plus souvent il est couleur de feu
le mélange dans un pot de terre à feu qu'il fallait pousser jusqu'au rouge . La masse était ensuite refroidie et de nouveau p
âchait. On plaça sur son épigastre un gobelet contenant un peu de vin rouge . « Vous me me persécutez, dit-elle, du Vin ! Je l
on directe, ni par voie d'analogie. Ainsi, par exemple, une chose est rouge , elle est bleue, elle est blanche. L'homme n'a en
elle est blanche. L'homme n'a en lui aucun moyen direct de peindre le rouge , le bleu, le blanc ou les autres couleurs. 11 ne
91 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'intérêt n'est pas d'ordre médical. XX. Lésion ancienne du noyau rouge . Dégénérations secondaires, par Pierre Marie et
mais une lésion pédon- culaire intéressant nettement tout le noyau rouge du coté droit, «véritable destruction expérimen
e supposer que l'hémiplégie infantile résulte de la lésion du noyau rouge et des voies motrices de la calotte. R. C. 68 R
e volume et les téguments correspondants prendre une colora- tion rouge brunâtre. En février 1903 s'est produite une se
ficiel, le croire atteint d'acné hypertro- phique, si la coloration rouge vif de cette affection ne faisait ici défaut. 1
par une bande de peau saine.. La région sous- orbitaire droite est rouge également. La paupière inférieure gauche est un
jambes et des cuisses, d'une éruption formée d'éléments isolés d'un rouge vineux; celle-ci a persisté pendant une F ig. 2
on. A la même époque, le quatrième orteil du pied gauche est devenu rouge , oedémateux, puis une bulle 5 est formée, rempl
de courte durée ; le malade était gateux en ce temps; la face était rouge ; trois heures après la conscience éclaircit : d
onc, ils sont légèrement saillants et présen- tent une couleur d'un rouge vif ; ils n'ont pas débuté dans l'enfance, ce s
cents élèves. Je crus mourir de honte. Que n'avais-je lu alors le « Rouge et le 206 CLINIQUE MENTALE. Noir ». J'étais d
tion sodique à 3 p. 1000. Vous obtenez une magnifique teinte violet rouge : laissez dans ce liquide jusqu'à ce qu'il ne se
. Eclair- cissez n'importe comment. Les gaines de myéline sont d'un rouge éclatant ; le reste du tissu est incolore. Seul
tiges, nausées, vomissements et d'amaurose totale. La tète est très rouge , il existe de la cépha- lalgie. Absence de raid
es du bulbe témoignent a un faible grossisse- ment de la coloration rouge des faisceaux pyramidaux et des olives qui cont
noyaux olivaires, les fibres arciformes se dessi- nent nettement en rouge foncé sur fonds rouge clair; on voit très bien
fibres arciformes se dessi- nent nettement en rouge foncé sur fonds rouge clair; on voit très bien les fibres du corps re
itement, l'enfant se congestionne, le cou et les oreilles sont d'un rouge pourpre, la figure boursouflée, les yeux légèreme
agne pas toujours cette psychose ; c) l'hémoglobine et les globules rouges sont souvent, sinon toujours, accrues pendant u
onné un liquide jaune ambré, renfermant, outre de nombreux globules rouges , quelques-uns polynucléaires, de grands mononuc
LE martyrologe DES asiles. L'attentat de l'Asile clinique. La série rouge dont nos asiles s'ensanglantent se poursuit avec
générale. Dégénérescences secondaires. Voir Cervelet. Voir Noyau rouge . Des stigmates anatomiques, phy- siologiques
pertro- phie osseuse, par Guillain et Courtellemont, 161. Noyau rouge . Lésion ancienne du . Dégénérations secondaires
92 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
de la sensibilité pharyngée ; 4° Dyschromatopsie du côté droit : le rouge et le jaune sont seuls perçus nettement ; 5° En
t la nuit il souffrit à peine. Mais le lendemain matin le genou était rouge , tuméfié, et il y avait de la fièvre. Il'fallut d
té pendant durant quelques minutes, pour qu'il prenne une teinte d'un rouge violacé qui, de l'extrémité du pied, s'étend jusq
ent pas : il est coquet et porte habituellement une brillante cravate rouge en même temps que ses cheveux, très pommadés, son
de dischroma-topsie, pas de polyopie monoculaire. Le champ visuel du rouge est, comme dans l'état normal, moins étendu que c
ardeur que communique une conviction profonde et il se fâchait « tout rouge » quand on faisait mine d'en contester la valeur.
yeux pour le vert et pour le bleu, la malade au contraire perçoit le rouge parfaitement. Ceci n'est pas, remarquez-le bien
ls deviennent achromatopsiques, perdent la notion du vert et celle du rouge : le jaune et le bleu sont perçus en général pend
ud et moi, ce n'est guère que dans l'hystérie qu'on voit la notion du rouge persister seule, celle des autres couleurs ayant
topsie et dys-chromatopsie tabétiques. Elle porte sur le vert et le rouge d'abord. Le jaune et le bleu conservés jusqu'au d
ement du champ visuel pour les couleurs. Assez souvent la notion du rouge persiste seule, celle de toutes les autres couleu
. Dans cette dernière, en effet, il est fréquent de voir la notion du rouge survivre seule alors que celle des autres couleur
ndis que dans les deux premiers cas c'est nécessairement la notion du rouge et celle du bleu qui persistent, après que la not
bleu qui persistent, après que la notion du vert et ensuite celle du rouge ont successivement disparu. Tels sont, messieurs,
i, a faibli D G Fig. 37. — m m m m m-mm — Le champ visuel pour le rouge . ..... == — pour le bleu. D G Fig. 38. — mm
our le bleu. D G Fig. 38. — mm m m , m» — Le champ visuel pour le rouge . considérablement puisqu'elle n'est plus représ
x achromatopsie pour toutes les couleurs, à l'exception du bleu et du rouge , et, chose remarquable, conformément à ce qui se
ans l'hystérie, surtout chez la femme, le cercle de la vision pour le rouge est plus étendu que celui de la vision pour le bl
achromatopsie étant devenue complète pour l'œil droit, on note que le rouge est désormais la seule couleur qui soit perçue pa
s animaux, généralement de couleur noire ou grise, plus rarement d'un rouge vif, se présentent pour chaque malade du même côt
pagnées de gonflement, d'empâtement des parties molles, de coloration rouge ou violacée du tégument, des altérations décrites
du nord-ouest, avec une inclinaison d'environ 45°, une balle de feu, rouge comme un charbon incandescent ; le globe se mouva
assez profonde, produite par l'application d'une cuilller chauffée au rouge . Cette application a été faite subrepticement, so
93 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
ans cause apparente, apparut au genou droit qui se gonfla et devint rouge et dont le moindre contact était très douloureux
eux épars, s'affaisse entre les bras d'une femme richement vêtue de rouge ; à côté se tient une autre femme, en bleu, muni
ent tout le long de ce bord on voit une grande quantité de globules rouges reconnaissables à leur absence de noyau et à leur
u que dans les lacunes récentes que l'on peut observer ces globules rouges parce qu'ils sont rapidement résorbés et dispar
our les lacunes du centre ovale : peu de vaisseaux, peu de globules rouges épanchés ; mais en raison de la grande quantité d
e date, révèle un degré d'anémie assez mar- qué (2.700.000 globules rouges ) et un équilibre leucocytaire normal. Pas de gl
obules rouges) et un équilibre leucocytaire normal. Pas de globules rouges nucléés. Cet état d'anémie concorde assez bien av
tions postérieures du cervelet. Par le pédoncule supérieur, le noyau rouge et le faisceau décrit par Meynert, cette région
localisation dans l'espace. Nous ne pouvons superposer la notion de rouge à la notion do chaud, à moins de complaisance ou
ue, mais nous pouvons dire que le même objet est à la fois chaud et rouge , parce que ce qui est rouge et ce qui est chaud o
ue le même objet est à la fois chaud et rouge, parce que ce qui est rouge et ce qui est chaud ont le même quelque part da
qui varient depuis le jaune clair jusqu'au brun, depuis le rose, le rouge , jusqu'au gris foncé et au noir absolu ; des insc
res véridiques de la profession. Saint Corne coiffé d'une calotte rouge est vêtu d'une longue robe violette en partie r
laïque Il est coiffé d'un chaperon bleu et revêtu d'une longue robe rouge tout unie avec simple collet et parements de fo
de la cavité est donc formé par la base du crâne. Une muqueuse très rouge tapisse les parties osseuses. Ce plafond est divi
imètres de profondeur. Au fond, une tache de coloration un peu plus rouge semblant être l'orifice d'un canal ; mais nous fû
ont l'aspect de filaments à paroi épaissie, forte- ment teintée en rouge . Les fibres altérées se disposent irrégulièreme
t, d'anneau ou de placards prennent en leur ensemble une coloration rouge foncé, homogène. Quelques-uns sont nettement cons
yalin : dans chacun de ces petits placards (intensivement coloré en rouge ) on distingue quelquefois une ou deux fibres avec
ux fibres d'aspect normal on distingue des petits placards colorés en rouge vif dus sans doute au tassement des gaines de S
cervelet, Brissaud dans le locus niger, Von Gehuchten dans le noyau rouge . Quel est le siège des lésions chez nos malades
orme ùmtriangle curviligne, dont la base concave embrasse le noyau, rouge , tandis que l'angle externe effilé se recourbe
'à l'extrémité supérieure du faisceau, sur la face interne du noyau rouge (PI. LVI, fig. J, K, L). Enfin nous arrivons à
ope a été trouvé normal comme nombre, forme et couleur des globules rouges et blancs. Cavité bucco-pharyngée très augmenté
94 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ouble et sanguinolente. L'examen histologique y révèle les globules rouges et blancs en grande abondance. La langue est tr
isolées el conlluentes, couertesd'épaissescouclescornées de couleur rouge brun, de la grandeur d'un grain de pavot jusqu'à
masses cornées, tandis que leurs régions centrales ont une surface rouge asséz lisse. Sur la cuisse et le naous veneris,
e. Sur la cuisse et le naous veneris,lacouleur des plaques est d'un rouge plus foncé et l'écaille- ment sur leur surface
nt se montrent, dans la masse claire de la tumeur, comme des stries rouges ; elles sont plus nombreuses et plus épaisses à
e de 21 ans. En novembre l8cJG il aperçut sur son front une traînée rouge et une ulcération siégeant à l'union du frontal e
te sur une longueur de 7 cm. 5, mais se prolongeait par une traînée rouge , visible seulemenl par moments, jusqu'à la suture
cération avait débuté. Ces bandes offraient une coloration générale rouge , due à un fin lacis vasculaire, avec un semis d
t. Cette fois, l'opérée est une femme, une vieille vêtue d'une robe rouge , avec un tablier bleu et une coiffe blanche sur
, porteur d'une belle barbe, est habillé d'un justaucorps il crevés rouges et coiffé d'un béret noir. Il a passé son bras
ines sous-cutanées sont très développées; çà et là, quelques taches rouges , douloureuses (péliose rhumatismale). Sur le bo
logies avec la structure d'une vertèbre : substance médullaire très rouge , limitée par une écorce de tissu compact. Les r
dans un peu plus qu'à gauche. La partie interne du nerf optique est rouge ; champ visuel normal. Un an après, même état d
es de la cuisse qui partent du bassin ; il s'y est formé une tumeur rouge , chaude et déjà dure à sa partie infé- rieure,
bras ; en examinant ces régions, on y trouve des gonflements diffus, rouges , douloureux, oedémateux. Ces tumeurs disparaiss
peau nor- male présente par places des plaques qui deviennent d'un rouge sombre ou bleuâtres lorsque l'enfant crie ou fa
trique ; augmentation de la résistance électrique. Joue droite plus rouge que la gauche; pas de différence thermique notabl
bien les aliments. - Troubles vaso-moteurs. La joue droite, plus rouge que la gauche d'une façon générale, devient éca
ces régions sont molles, oedémateuses ; la pommette gauche est plus rouge que la droite. Le nez, dont l'aile gauche est h
libres occipito-protubérantielles manquent ; au-dessous des noyaux rouges est disposée la substance noire de Soemmerin; c
dansle pédoncule, manquent encore. Plus liant, au niveau des noyaux rouge à l'endroit du tronc cérébral où, du côté laté-
; mêmes constatations V. Coupe au niveau de la formation des noyaux rouges . Absence de toutes les voies de l'étage infeueur
1 Dans le fond de la bouche on remarque du côté gauche une saillie rouge de la grosseur d'un oeuf de poule et paraissant
ays, dont, il rehaussait les silhouettes a-coups de crayons bleu et rouge . Beaucoup de ces soldats sont (l'line 11ère pli
95 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
le don de provoquer une sorte de superacti- vité, comme la couleur rouge ; et la mineure, au contraire, a le don d'apaise
Corps rigide, en extension. Face congestionnée, plutôt violacée que rouge . Mains fermées, les pouces en dedans. Secousses
eine les dimensions d'une petite lentille. Elles ont une coloration rouge , pourprée, ne disparaissent pas par la pression
dinaire. Une demi heure après, on a observé un piqueté hémorragique rouge lie de vin, sur le front, les paupières, les ré
inférieure de la conjonctive oculaire. On a noté aussi des plaques rouges disséminées sur le cuir chevelu. Le piqueté pré
montrant néanmoins plusieurs couleurs, on constate nettement que le rouge orangé attire surtout ses regards Nez camard il
pas de diarrhée. Région anale. Les fesses petites, peu charnues, rouges , présentent des cicatrices nombreuses de pustul
ttnrénales, rien; les reins se décortiquent difficilement, ils sont rouges et durs. Pancreas et intestins, rien à signaler.
terre, je laisserais passer tout cela ? .. non, jamais ! le drapeau rouge me suivra partout, le drapeau français... et je
. Etat actuel (Février 1901). Teint pâle, sauf les joues qu1 sont rouges , cyanotiques. Physionomie hébétée, regard sans
Dans son ensemble la figure est plate. Les joues ont une coloration rouge , un peu vineuse. [Il en est de même quelquefois
la table, sur un siège. Brusquement, ses pommettes deviennent très rouges , puis, l'instant d'après, le teint reprend la c
Pas de température. Pas d'angine, pas de vomissements. Conjonctives rouges , pas de catarrhe nasal. 28 avril. L'éruption
96 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
eau qui frappe, et nous leur faisons prendre, sur ordre, le marteau rouge ou le marteau bleu, etc. La vue et l'ouïe se tr
fant à une cousine. En rentrant au bout d'une heure, elle le trouve rouge et pleurant. Au bout de l'heure suivante, l'enf
s été mordue. La mère ajoute que, lorsque l'enfant voyait le disque rouge du chemin de fer, elle était prise de peur et s
diamètre transversal : 15 cm., vertical : 13 cm. ; aréoles foncées, rouges ; mamelons petits, à peine saillants. Poils plus
stationnaire de la teigne. 4 avril ? Eruption de .sc;o't)te.Angine rouge . Tem- pérature 39°. 8 avril. - Desquamation T.
912, elle a eu souvent mal aux yeux, ses yeux sont presque toujours rouges , et les paupières sont collées, je les soigne f
je les soigne facilement. Mes autres enfants n'ont pas de plaques rouges sur les joues.- A 6 ans, on lui enleva des végéta
, Membres supérieurs suffisamment développés. Mains assez petites, rouges , rugueuses et froides. Doigts bien séparés, Fig
férieurs normaux. Pieds très-froids. Les extré- mités ont un aspect rouge et rugueux. Réflexe rotulien nor- mal. L'enfant
e ne crie pas, ne grince pas des dents, n'a pas de tics ; devient rouge quand on lui fait un reproche, mais n'est pas col
méningite La selle turcique est étroite. L'hypoltyspe est grosse et rouge ; elle fait saillie au-dessus de la selle turci-
itement, l'enfant se congestionne, le cou et les oreilles sont d'un rouge pourpre, la figure boursouflée, les yeux légèreme
al, la langue petite n'a pas de tremblement. Les amyg- dales un peu rouges sont petites. L'enfant n'a que deux dents, les
z dure. -Rien aux capsules surrénales. - Rein gauche (45 gr.) assez rouge , se décortique facilement. Pas de lésions macro
97 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
, c'est-à-dire sans ouverture et présentant une marque de suture d'un rouge violacé, de trois â quatre millimètres de largeur
le soir, comme je lui avais dit. Je fus frappé de l'asp-d de la ligue rouge ; elle avait certainement diminue de plus de moiti
« M. Louis B... se plaignait que 1rs s hommes dédaignaient les femmes rouges , et îl 'a promis des faits matériels après des ch
t de l'observation est un propriétaire cultivateur, riche, vigoureux, rouge de teint, non alcoolique, d'une forte constitutio
colère survenant pour des motifs à peine appréciables et faisant voir rouge au malade, le prétexte de l'assassinat n'ayant au
, dont le sang se répandait à ilot sur ses doigts, et les teignait en rouge . Je l'ai revu, il y a deux ans, sa crainte du san
nt universellement appréciés, n'est même pas décoré de ce petit ruban rouge parfois si facilement distribué pourtant. Pour lu
ndraient plus. 13 avril. Oreille externe encore un peu enflammée et rouge ; l'écoulement séro-pnrulent continue â diminuer.
eur qui, après avoir hésité entre la rougr et la blanche ponte sur la rouge , une petite fille qui. priée de chanter se décide
ne autre, lorsque vous serez réveillée, si je vous présente une boule rouge vous pleurerez, si je vous présente une boule jau
la joue de ses deux voisins; qui avaient chacun sur la tète un bonnet rouge avec des plumes de coq. el qui de leur côte, tâch
physiques. il faut noter : les modifications vaseulaires ftels que le rouge qui monte au visage et l'altération des condition
me Besnard ou même Carolus Duran — prodiguent le jaune, le bleu et le rouge sont atteints d'amblyopie hystérique, etc.. Ce
or à la dynumogénie est toujours attaché un sentiment de plaisir. Le rouge est remarquablement dynamogène. Ainsi, rapporte B
le chiffre12. Si on fait contempler â ce moment à la malade un disque rouge , aussitôt le chiffre de la pression inconsciente
onc que les peintres hystériques se plongent à ccaur joio dans le rouge , et que les spectateurs hystériques éprouvent un
ent en eux des sensations agréables ». Va donc pour les amateurs de rouge ; mais par contre les personnes qui préfèrent les
98 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
aut bien ralentir, jettent quelque menue monnaie dans la superbe auto rouge et or, affectant de la prendre pour la a balladeu
ieux, bien musclé, jouant avec le danger. Le garçon boucher, frisé, rouge comme un rosbif, « crève » le cheval de son patro
le sommeil somnoformique va le gagner, une lueur d'abord sombre, puis rouge , puis jaune ; celle-ci se fragmente en petits car
failli les opérer. La première présente à la racine du nez une raie rouge analogue à celle que fait le lorgnon ; elle y épr
jour où elle a appris la fâcheuse nouvelle, elle avait le nez un peu rouge à la base, dès lors, la rougeur du nez lui devien
éthylène. Bracelets au collodion iodoformé, ou au collodion coloré en rouge ou en bleu, bracelets dessinés sur les membres an
nstatée depuis longtemps par l'espèce humaine : l'attrait du pantalon rouge et du sabre pour les jeunes filles à marier est l
, il s'agissait d'un pouce. o. Le doigt est comme mon pouce, un peu rouge , d'un rouge violet, avec la chair bien vivante (?
ait d'un pouce. o. Le doigt est comme mon pouce, un peu rouge, d'un rouge violet, avec la chair bien vivante (?) à la coupu
lences [Suppurations chroniques, probablement tuberculeuses], ou d'un rouge lie de vin, prêts à crever au moindre choc qui en
oreille droite. En effet l'auricule apparut froissée et d'une couleur rouge très intense. Or, au début de sa grossesse, cette
Celle-ci avait un signe bizarre sur le corps; c'était une tache d'un rouge foncé, présentant comme l'empreinte d'une main, a
muscles, les vapeurs d'ammoniaque, la glace, la faradisation, le fer rouge du thermocautère les laissent tout à fait insensi
oire dans un verre et non pas aux fontaines ou rivières, boire du vin rouge clair ou blanc, mêlé avec de l'eau, ou de l'eau p
accidentelles. A un conducteur de locomotives qui apercevra un feu rouge , il ne viendra pas d'autre idée que celle de s'ar
on voit apparaître une coloration blanchâtre, à l'endroit touché, et rouge , sur les parties latérales : on a troublé le
so-moteurs. Chez les individus sains, la double coloration blanche et rouge disparait vite et tout rentre dans l'ordre. Mais,
99 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
quatre petites tumeurs de 2 à 4 millimètres de diamètre, de couleur rouge foncé, l'épendyme paraît normal à leur niveau.
tête devient chaude et douloureuse, les yeux tendus, les pommettes rouges . Il demande à chaque instant des bains de pieds
e masse de caillots noirs avec un sérum jaunâtre, puis des caillots rouges d'apparence plus récente et qui formaient une c
lle part aux parties sous-jacentes. La première fortement injectée, rouge foncé, ecchymotique en divers points, est libre
ielle toute récente, constitués par quelques gouttes de sang encore rouge exlravasé et infiltré dans le tissu nerveux dan
e Codex prescrit pour la préparation de vins médicinaux : 1° le vin rouge et le vin blanc de France renfermant environ 10
6 grammes d'alcool. Vin de gentiane. Ce vin est préparé avec le vin rouge à 11 PHARMACOLOGIE. 10 p. 100 ; additionné à
s à Bordeaux. Vin de quinquina au Bordeaux. Il est préparé au vin rouge à 10 p. 100 additionné par litre de 100 grammes
un instrument tranchant » ; tantôt c'est une « brûlure avec du fer rouge » tantôt c'est un « poignard qu'on enfonce dans
e, d'un piqueté rougeâtre. Les doigts, toujours tuméfiés, sont d'un rouge accentué. Pas de chan- gement de consistance. L
t- bras et principalement sur la face antérieure les mêmes taches rouges brique, sur fond légèrement cyanosé. L'expérience
doigts, légèrement rosés au contraire. De-ci de-là, des taches d'un rouge brique dont la teinte se fond graduellement ave
enant tuméfiée, rosée, vaguement douloureuse. Les doigts sont gros, rouges , totalement raidis. La flexion ou l'exten- TROU
iane de la bandelette se fonce; les bords sont plus manifeste- ment rouges . Il y a déjà légère surélévation. Au bout de troi
durer huit jours. Hyperhydrose. Les deux mains sont, par endroits, rouge violacé, et cette teinte, variable avec les mom
embres ; bientôt les parties atteinles prennent une coloration d'un rouge vineux ou d'un bleu noirâtre, elles sont le siè
plantaire est moins bleue et leur coloration se rapproche plutôt du rouge . Ces modifications de couleur s'accompagnent d'
n fait pour un tatouage; seulement au lieu d'être bleu, ce serait rouge ». Tel cet autre malade qui, après une applicatio
x invisibles à l'oeil, obtenus dans l'obscurité, ou avec la lumière rouge . Sa faculté photochimiquè est remarquable ; ell
ression en cet endroit produit une forte douleur. Les oreilles sont rouges et chaudes, et cette particularité se manifeste
ette particularité se manifeste avec intermittence, une oreille est rouge pendant que l'autre est pâle, puis la première
100 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nctionnelle totale; la peau du tiers infé- rieur de la cuisse était rouge , violacée, chaude, raidie; il était impossible
iles de ce côté : le frottement de la peau fait apparaître une raie rouge persistante ; l'aisselle est constamment baigné
ôté opposé; quelques-unes s'interrompent dans les cellules du noyau rouge , mais la plupart se dirigent vers le corps opti
se terminent dans les noyaux internes et externes. Au delà du noyau rouge on ne rencontre pas de fibres non entrecroisées
exemple, un verre SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 violet peut être presque rouge ou presque bleu. 11. Camille Flam- marion a éta
rres violets ne laissant passer que les rayons violets ; les verres rouges sont bien monochromatiques, mais les verts lais
sommeil. M. Félix Regnault. Si les couleurs qui se rapprochent du rouge sont excitantes, si le vert donne une joie tranqu
mpérature parait plus élevée que celle du membre sain, la peau plus rouge et les veines plus apparentes. Ecchymose au niv
ormol et à la liqueur de Millier et la coloration à la thionine, au rouge neutre, à l'alun hématique donnent de très bell
fus, contiennent des dépôts irrégulièrement disposés de gros grains rouge vif (mélange de fuchsine et vert d'iode); leur
âtre. Les granulations protoplasmiques sont plus nombreuses et d'un rouge qui tire sur le violet dans la colo- ration à l
dans la colo- ration à la thionine ; elles sont de couleur ocre, au rouge neutre. B. Celles dont le protoplasme semble pl
franchement violettes (par la fuchsine), bleues par la thionine, rouge vif par le rouge neutre. Leur noyau est tout à fa
olettes (par la fuchsine), bleues par la thionine, rouge vif par le rouge neutre. Leur noyau est tout à fait semblable à
es très dilatées, sont insensibles à la lumière, le visage est très rouge , la langue sèche, ainsi que les lèvres. Pouls p
la capsule épaisse s'enlève facilement, la surface de l'organe est rouge REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 419 et parsemée
spontanément en deux couches : celle du plasma et celle du sédiment rouge (du sang non coagulé), dans le sang défibriné.
couleurs est seule tout à fait normale, mais il n'y a guère que le rouge que l'oeil gauche perçoive bien distincte- ment
; ratatinée sur elle-même, les extré- mités froides, la tête un peu rouge , maussade, elle ne se laisse point examiner. El
ns spontané- ment, tronque parfois les mots ou les dénature. Visage rouge ; apyrexie, artériosclérose périphérique ; pouls
ès pleine d'une urine alcaline (2 litres) non albumi- neuse. Taches rouges multiples par pression sur les fesses. La colon
e la température centrale, il diminue la destruction des globules rouges ; enfin il ralentit les processus d'oxydation intr
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