es Nerveuses. Au cours du mal de Pott ci les troubles dépendant des
racines
nerveuses prennent souvent place dès la phase d
ssaud a longue- ment insisté sur l'importance de la compression des
racines
, citant à l'appui de son dire plusieurs exemple
ssions du renflement lombaire intéressant à la fois la moelle elles
racines
de la queue de cheval et pouvant aller de l'aboli
n 3 groupes : 1° Cas avec signes de compression de la moelle ou des
racines
dorsales et lombaires supérieures. 2° Cas ave
ue de cheval. 3° Cas avec signes de compression de la moelle ou des
racines
cervicales. I. Cas avec signes de compression d
s cervicales. I. Cas avec signes de compression de la moelle ou des
racines
dorsales et lombaires supérieures. Ce sont le
olérance vésicale », ce que Brissaud attribue à, la compression des
racines
des nerfs des réservoirs. L'absence d'anesthésie,
anal rachidien d'une masse caséeuse mais non ramollie englobant les
racines
et comprimant transversalement la moitié antérieu
due à toute la partie sous-jacente du tissu épidural, englobant les
racines
inférieures, lombaires et sacrées; symphyse mén
ans l'espace épidural, une masse caséeuse non ramollie, englobant les
racines
de la 7e à la 10e dorsale et, au niveau des 8e
ALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 11 compression de la moelle et des
racines
dorsales et lombaires supérieures, le début est
et remontant jusqu'à la région lombaire infé- rieure, englobant les
racines
lombo-sacrées (PI. II, D). Dans tous ces faits
ajoute une anesthésie à topographie correspondant au territoire des
racines
sacrées et lombaires inférieures, ou porte le dia
, bien difficile de préciser la part qui revient à la moelle et aux
racines
, comme, d'ailleurs, pour les lésions du cône term
e cheval, en général. III. Cas avec compression de la moelle et des
racines
cervicales. Dans le mal sous-occipital, on obse
bridé par des adhérences étroites entre la dure- mère et l'os. Les
racines
cervicales inférieures sont, surtout à droite, en
Au début, surviennent des douleurs sur le trajet des nerfs dont les
racines
naissent dans la région comprimée, en particulier
des nerfs du membre supérieur. Plus tard, la compression des mêmes
racines
se traduit par l'association de l'anesthésie au
la toux, la dyspnée. «Enfin, quand la compression remonte jusqu'aux
racines
de l'hypoglosse, au niveau du trou occipital, i
ment l'attention sur les cas où une compression de la moelle et des
racines
cervicales inférieures détermine aux membres su
symptô- mes que peuvent produire la compression de la moelle et des
racines
. On conçoit aisément combien le diagnostic peut
au contraire s'obser- ver, lorsque la compression s'exerce sur les
racines
de la queue de cheval, (1) Rappelons que PAINTE
s que la radiographie lui a montré due à la compression osseuse des
racines
ou des nerfs, comme dans le mal de Pott. LES PR
t dorso-lombaire, alors que la compression n'atteint encore que les
racines
, respectant momentanément la moelle. Dans les deu
é, le foyer tuberculeux épidural doit ne comprimer la moelle et les
racines
que dans la partie du segment cervical, située au
s de LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 25 l'origine des
racines
du plexus brachial, dont la compression' entraîne
tuberculeuse. Ajoutons encore les compressions de la moelle et des
racines
dues à d'autres causes que le mal.de Pott, par
te de la colonne vertébrale (spondylose) et des articulations de la
racine
des membres (rhizomélique). Les deux malades pr
maladie décrite par P. Marie que par le défaut de l'ankylose de la
racine
des membres et par quelques différences évoluti
e la colonne vertébrale, que par l'ankylose des articulations de la
racine
des membres, c'est parce que ces articulations
articles qui s'ankylosaient étaient les articulations proches de la
racine
des membres, la hanche et l'épaule, très souven
très pro- noncé, expliquant les vives douleurs par compression des
racines
rachi- diennes et peut-être les troubles trophi
aire et dépendre comme les douleurs tabétiques d'une irritation des
racines
postérieures de la moelle dorsale : mais, il me
rs bleus asphyxiques ; on note quelques ulcérations, notamment à la
racine
des 1er, 3e et 4° orteils droits. La teinte bleu-
l'empreinte du doigt. Cet oedème forme un bourrelet manifeste à la
racine
des orteils et un étranglement au cou-de-pied.
4, 5 centimètres delà ligne des apophyses épineuses au niveau de la
racine
de l'épine, à 7 centimètres au niveau de l'angle
e aujourd'hui des paralysies musculaires aux extrémités plus qu'aux
racines
des membres, une conservation relative des réacti
e conservation relative des réactions élec- triques aux muscles des
racines
et une disparition complète aux muscles des ext
paralysie radiculaire, il faut entendre celle qui a pour siège les
racines
qui vont former le plexus avant qu'elles se joign
radiculaire, si on peut la dénommer ainsi, s'étend de la sortie des
racines
à la moelle jusqu'à un peu en dehors des apophy
achidienne. Comment reconnaîtra-t-on qu'une paralysie porte sur les
racines
, sur le plexus ou sur les branches terminales ?
r le plexus ou sur les branches terminales ? Si une seule ou deux
racines
sont lésées, on le reconnaîtra à la distri- but
pas à celle du plexus ou du nerf terminal. Ainsi, si la 5e et la 6e
racines
cervicales sont atteintes, on aura la paralysie
n'est pas davantage celle d'aucun nerf terminal. Mais si toutes les
racines
étaient frappées ? En ce cas, il y aurait paralys
ême alors, il serait possible de savoir si la paralysie affecte les
racines
ou bien le plexus. De quelle manière ? par la 1
fonctions'd'organes qui reçoivent leur innervation directement des
racines
. Par exemple, pour la première paire dorsale et
ux, tous muscles qui reçoivent leurs nerfs directement des 5e et 6"
racines
cervicales avant qu'elles se jettent dans le pl
ent dans le plexus, avant même qu'elles se soient fusionnées en une
racine
unique qui ira former le plexus. Et maintenant,
muscles, qui reçoivent leurs innervation directe- ment des 5° et 6e
racines
cervicales. Les phénomènes oculo-pupillaires, i
s allons le voir, est question de localisation de la lésion dans la
racine
. Pour qu'il y ait phénomènes oculo-pupillaires,
qu'il y ait phénomènes oculo-pupillaires, il est nécessaire que la
racine
soit malade précisément à l'entrée du trou de c
ent à l'entrée du trou de conjugaison ou avant, tout le reste de la
racine
, sa partie inter-transverse et la partie extra-
une paralysie par compression, comment pourrait-il se faire que les
racines
fussent intéressées, puisque la béquille n'est en
LYSIE DES BÉQUILLES 175 sur l'épaule, est celui de la traction. Les
racines
violemment tendues se rompent dans leur trajet
compression sur l'épaule ne peut, en au- cune façon, atteindre les
racines
et que celles-ci ne peuvent souffrir de lésions
nécologie), a montré que la traction sur le bras distend toutes les
racines
rachidiennes correspondantes, et, si la force e
es encore et variées. Ils ont mis à découvert, en avant, toutes les
racines
du plexus bra- chial dans leur trajet intra-rac
aque traction sur le bras, se produisait la distension des 5* et 6"
racines
et même de la 7° cervicale, et de la 4e dorsale
e de l'hu- mérus, comme sur une poulie de réflexion, tandis que les
racines
s'allon- geaient jusqu'à se rompre si la tracti
enir s'appliquer le plexus brachial tirant vigoureusement à soi les
racines
rachidiennes ? Si l'on a pu croire jusqu'à prés
ntation sur le cadavre. - J'ai fait découvrir en arrière toutes les
racines
du plexus brachial de manière à pouvoir observe
as sur la béquille répondait une distension manifeste de toutes les
racines
du plexus brachial, distension exactement propo
é quelque différence que ce soit dans la distension des différentes
racines
, contrairement à ce qu'ont observé, en des cond
isme de la paralysie des béquilles est celui de la traction sur les
racines
du plexus brachial, la béquille faisant fonction
oniaque et argent réduit), appliquée à l'étude des ganglions et des
racines
des tabétiques,1 permet de constater des faits
mènes de régénération qui se passent dans les ganglions et dans les
racines
postérieures pendant toute la durée du tabes, par
- cer les fibres qui disparaissent par suite de l'usure normale des
racines
; nous verrons également qu'il existe dans la s
llaires sont celles du tabes avancé classique ; la dégénération des
racines
postérieures à la région lombo- sacrée est très
st à peine s'il reste quelques rares fibres à myéline intactes. Les
racines
antérieures présentent les lésions que j'ai dé-
sserai de côté, dans le présent tra- vail, cette régénération de la
racine
antérieure, qui peut être étudiée tout entière
'il existe un nombre énorme de fibres fines amyé- liniques dans les
racines
postérieures, là où la méthode de Pal ne décèle
resque normal ; pourtant la dure-mère est légèrement épaissie et la
racine
posté- rieure, quoique non sclérosée, a, par ra
t la racine posté- rieure, quoique non sclérosée, a, par rapport la
racine
antérieure, un volume moins considérable qu'à l
surface de section et par conséquent du nombre des fibres de cette
racine
. En b, l'épaississement des méninges a augmenté e
ce sous-arachnoïdien, détail qui a été signalé déjà par Sicard ; la
racine
antérieure est subdivisée en fascicules, mais c
présente sa plus grande intensité, la cavité centrale persiste. La
racine
postérieure est bouleversée dans sa structure ; s
s, avec des lésions vasculaires im- portantes. Les fascicules de la
racine
antérieure sont également le siège d'une névrit
ique l'absence de lésion destructive des éléments nobles dans cette
racine
. En résumé, le nerf radiculaire est le siège d'
ctérisée par de la périnévrite et de l'endonévrite ; les fibres de la
racine
antérieure paraissent intactes, tandis que la r
s fibres de la racine antérieure paraissent intactes, tandis que la
racine
postérieure a perdu une fraction déjà assez imp
verrons plus loin qu'en réa- lité un grand nombre des fibres de la
racine
antérieure a subi une altération décelable seul
rdon postérieur, répon- dant, par sa situation, au trajet d'une des
racines
sacrées les plus inférieures ; les racines qui
ion, au trajet d'une des racines sacrées les plus inférieures ; les
racines
qui pénètrent au niveau de la coupe paraissent ab
érinévrite ; 2° il n'existe aucune lésion des éléments nobles de la
racine
postérieure qui soit visible par la méthode de
postérieure qui soit visible par la méthode de Weigert-Pal : cette
racine
a conservé son volume habituel et sa coloration n
neuro-fibrilles. Les gonflements en question se rencontrent dans la
racine
postérieure et aussi dans la racine antérieure.
question se rencontrent dans la racine postérieure et aussi dans la
racine
antérieure. La figure 2 (Pl. XXXV), demi-schéma-
l. XXXV), demi-schéma- tique, représente sa distribution. Dans la
racine
postérieure cette lésion se rencontre dans toute
térieurs. Il semble donc que les éléments nerveux atteints dans les
racines
postérieures du tabes sont altérés, puis détruits
aître, dans leur ensemble, les fibres régénérées amyéliniques d'une
racine
postérieure de tabes avancé, qui ne contient pr
s 222 11) NAGEOTTE fibres fines contenues à l'état normal dans la
racine
postérieure, qui sont plus résistantes que les
remarque de Lissauer sur la conservation des fibres fines dans les
racines
tabétiques garde sa valeur. Dans la racine an
fibres fines dans les racines tabétiques garde sa valeur. Dans la
racine
antérieure, on retrouve la même altération, mais
'a beaucoup reproché autrefois d'avoir admis comme un axiome que la
racine
antérieure est plus résistante que la postérieure
, et de m'être appuyé sur cet axiome pour expliquer l'intégrité des
racines
antérieures dans le tabes, malgré leur passage
, carje n'ai ja- mais admis à priori la résistance supérieure de la
racine
motrice, mais je l'ai déduite à posteriori,en v
a racine motrice, mais je l'ai déduite à posteriori,en voyant cette
racine
sortir,le plus souvent,beau- coup moins altérée
cette racine sortir,le plus souvent,beau- coup moins altérée que la
racine
sensitive du foyer de névrite interstitielle où
je viens de relater complète la série des faits; elle montre que la
racine
antérieure peut sortir lésée du foyer inflammatoi
draxes ? Il est permis d'en douter, car dans l'observation IV où la
racine
postérieure a subi une atteinte très légère, mais
rce que le nombre des fibres non détruites dans les deux espèces de
racines
est très restreint, ces cas appar- tenant tous
ue dans les points que j'ai indiqués : la partie su- périeure de la
racine
antérieure est complètement indemne et on ne trou
e qui ont été étudiés dans ce cas. Il. - Fibres régénérées dans les
racines
postérieures et massues de croissance encapsulé
la moelle. La néoformation de fibres dans les ganglions et dans les
racines
posté- rieures des tabétiques est mise en évide
ne ne pénètre dans le nerf périphérique ; elles se dirigent vers la
racine
, dans laquelle un cer- tain nombre d'entre elle
re, comme nous le verrons plus loin. Celles qui ont pénétré dans la
racine
deviennent rapidement moins nombreuses à mesure q
a répartition de ces formations dans l'intérieur du ganglion et des
racines
, qui est fort intéressante. D'une façon générale
e. Un certain nombre d'entre elles s'engagent dans la portion de la
racine
postérieure la plus rappro- chée du ganglion; m
i a perdu son acuité ; un certain nombre de massues passent dans la
racine
postérieure, qui en contient toutefois infinime
nglion. Je n'ai pas pu préciser exactement jusqu'à quel point de la
racine
remontent les massues terminales dans ces cas ;
duction de fibres nouvelles est desti- née à réparer les dégâts des
racines
postérieures. - En effet leur nombre, leurs div
nérations de neurones endogènes de la moelle. La régénération des
racines
postérieures est-elle capable, dans le tabes, d
à celles des bourgeons adventifs qui sortent de la souche ou de la
racine
chez certains végétaux, lorsque la tige est dét
cas, concernant un paralytique général, en regard d'une lésion des
racines
postérieures' qui est encore presque inappréciabl
moniaque de Ramon y Cajal ; régénération de fibres à myéline dans les
racines
an- térieures, de fibres sans myéline dans les
ine dans les racines an- térieures, de fibres sans myéline dans les
racines
postérieures. Soc. de Biol. 20 mai 1905. Note
c. de Biol. 20 mai 1905. Note sur la régénération amyélinique des
racines
postérieures dans le tabes et sur les a massues
cas, même ganglion ; répartition des lésions cylindraxiles dans les
racines
antérieure et postérieure (état moniliforme). F
état moniliforme). Fig. 3. Etat moniliforme des cylindraxes dans la
racine
postérieure au point 1 du schéma précédant. '
bsence de lésions. Fig. 5. Etat moniliforme des cylindraxes dans la
racine
antérieure point 3 du schéma. Planche XXXVI.
DE LA SALPÉTRÈRE DE L'INFLUENCE DE LA SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES SUR L'ÉTAT DES NEURONES PÉRIPHÉRIQ
S PÉRIPHÉRIQUES CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FIBRES CENTRIFUGES DES
RACINES
POSTÉRIEURES. PAR - e J. Ch. ROUX et Jean HEI
aux, des nerfs cutanés et des sympathiques, les lésions profondes des
racines
postérieures, telles que peut les réaliser la r
ons des nerfs cutanés sont proportionnelles en général à celles des
racines
postérieures. (1) NAGEOTTEJ Pathogénie du tabès
9-98 ROUX ET UE1TZ Si donc, quelques mois après la résection des
racines
postérieures, on pouvait arriver a constater da
ée par Nageotte. Dans le cas contraire, si après cette, section des
racines
postérieures, les nerfs périphériques et les ce
es nerfs périphériques, localisées exacte- ment dans le domaine des
racines
sectionnées. Cette première constatation sem- b
enaient pas à des fibres centrifu- ges venues de la nioelle par des
racines
postérieures. C'est ainsi que nous avons été am
1896, et Presse médicale, si juin 1903. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 299 en temps utile. Dans tous les
r l'anesthésie par quel- ques inhalations d'éther. La section des
racines
a toujours été pratiquée dans l'intérieur du cana
région thoracique, nous avons pratiqué chez 3 chats, la section des
racines
postérieures dans leur trajet extradural, immédia
été découvert. Chez le chat I, nous avons coupé les trois premières
racines
tho- raciques ; chez les chats V et VI, les 10e
iques, dans tous les cas d'un seul côté, de manière à conserver les
racines
symétriques comme contrôle. 1 A la région lom
vers les deux dernières vertèbres lombaires et la 4r° sa- crée. Les
racines
ont été sectionnées après incision de la dure-mèr
ntradural, condition nécessaire pour ne pas léser simultanément les
racines
antérieures qui dans le trajet extradural sont en
jet extradural sont enveloppées dans la même gaine fibreuse que les
racines
postérieures correspondantes. Après écoule- men
tuellement, comme l'ont montré les autopsies, à une, deux, ou trois
racines
postérieures, selon les cas, depuis la dernière l
ncoordination, fait compréhensible, étant donné le petit nombre des
racines
sectionnées. Aucun d'eux non plus n'a présenté
'eux non plus n'a présenté dans la région cutanée correspondant aux
racines
sectionnées, d'ulcérations ou de trouble trophiqu
, et du tissu cellulaire lâche, facile à disséquer, la séparait des
racines
postérieures. Dans tous les cas, sauf chez le c
cas, sauf chez le chien XI, nous avons pu vérifier l'intégrité des
racines
antérieures. Nous avons, dans un certain nombre
avons, dans un certain nombre de cas, prélevé les deux bouts de la
racine
sectionnée, en même temps que les racines symétri
élevé les deux bouts de la racine sectionnée, en même temps que les
racines
symétriques, comme con- trôle. Nous n'avons pas
s pas pu retrouver toujours l'extrémité attenante à la moelle de la
racine
sectionnée, mais le plus souvent avons relevé des
tion et leur volume normal. La distance séparant les deux bouts de la
racine
était à peu près celle du segment réséqué lors
e jour), nous avons prélevé les ganglions spinaux correspondant aux
racines
section- nées ainsi que les ganglions symétriqu
Phys., 1881. (2) Bonne, Recherches sur les éléments centrifuges des
racines
postérieures. Th. Lyon, 1897.. , (3) KÓ5TER,
Tabès dorsalis. Leipsig, Engelmann, 1904. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 301 Dans deux cas (X et XI), nous
rents du pôle périphérique des ganglions, avant leur fusion avec la
racine
anté- rieure. A toutes les autopsies nous avo
nous avons disséqué les filets nerveux cutanés dans le domaine des
racines
sectionnées, et prélevé aussi, chaque fois que no
ues ait été systématiquement recherché à la suite de la section des
racines
postérieures. Cependant, six à huit semaines aprè
troits, et mal colorés. Quatre mois après la section simultanée des
racines
antérieures et postérieures, Benucci examinant
3 et 4 mois après l'opération, trouva intacts le prolongement de la
racine
postérieure au pôle périphérique du ganglion de
les nerfs cutanés chez le chat, plusieurs mois après la section des
racines
médullaires posté- rieures correspondantes. Soc
riques et des ganglions consécutives à la section expérimentale des
racines
postérieures. Nous apportions les résultats de
es à type wal- lérien, dans le territoire cutané correspondant à la
racine
coupée, sans essayer encore d'en donner une int
possible de retrouver dans chacun des 3 troncs correspondant aux 3
racines
sectionnées, quelques fibres dégénérées, de calib
troncs mixtes n'ont pas été examinés. ' SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 303, Dans le travail de Koster (1)
cas. Quatre de, ces animaux ayant subi simultanément la section des
racines
antérieures et postérieures doivent être écarté
eux plus gros (au 96e et au 119e jour chez des chats opérés sur la 2°
racine
cervicale). Chez 5 sujets enfin, autopsie après
développant au bout de quelques mois dans le territoire cutané des
racines
postérieures sectionnées. Si nous rapprochons l
des nerfs cutanés observés chez le chai à la suite delà section des
racines
postérieures correspondantes. Soc. biologie, 8
ssus de dégénéres- cence des nerfs périphériques, après section des
racines
postérieures corres- pondantes, n'est pas conti
echerché l'état des nerfs cutanés peu de temps après la section des
racines
correspondantes. Chez les chats VII et IX, ces
. Chez ces deux animaux, la section avait porté sur les 2 premières
racines
postérieures sacrées. Parmi les filets cutanés ex
t deux fibres fines dégénérées. Chez le chat XII, enfin (section de
racines
thoraciques), les troncs intercos- taux corresp
oncs mixtes, dans les premières semaines qui suivent la section des
racines
postérieures, présentent, d'une manière cons- t
sivement à la catégorie des fibres fines. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTERIEURES 305 Examens des cordons et des gan
ordons et des ganglions sympathiques. L'influence de la section des
racines
postérieures sur l'état du sympathique est égal
e du même côté aucune fibre altérée, ni au-dessus ni au-dessous des
racines
sectionnées. En 1899, les publications de l'un
dans le sympathique de fibres qui dégénéraient après la section des
racines
postérieu- res. Chez 5 animaux (4 chats adultes
t un jeune de 4 mois), J.-Ch. Roux sec- tionna un certain nombre de
racines
postérieures la région thoracique, du côté gauc
ours, et dans chacun des cas, vérification faite de l'intégrité des
racines
antérieures,il fut trouvé dans le cordon sympat
fut trouvé dans le cordon sympathique du même côté, au-dessous des
racines
sectionnées, un nombre relativement. considérab
us nombreuses dans les nerfs intercostaux correspondant à ces mêmes
racines
(obs. XII). Quant aux grosses fibres à myéline, é
vé des dégénérescences dans le cordon sympathique après section des
racines
postérieures. On peut donc affirmer l'existence
ans le sympathique de fibres venues de la moelle en passant par les
racines
postérieures, fibres qui dégénèrent de la moell
'état du sympathique non plus 2 à 3 semaines après la sec- tion des
racines
postérieures, mais au bout d'un délai beaucoup pl
ns examiné les cordons sympathiques thoraciques au-dessous de la 3e
racine
thoracique, la plus basse des racines sectionné
horaciques au-dessous de la 3e racine thoracique, la plus basse des
racines
sectionnées. La figure 7 (planche XLVIII) représe
ouvé sur les coupes du cordon sympathique côté opéré, au-dessus des
racines
sectionnées (10e et 11e thoraciques), une zone
ble par une faute de technique. Chez ce même chat V, au-dessous des
racines
sectionnées, il n'existait dans le cordon du cô
s inférieures, il n'existait dans le cordon thoracique au-dessous des
racines
sectionnées qu'un très pelit nombre des fibres
he (observ. IV, chat adulte, sacrifié 382 jours après section de la
racine
postérieure correspondante du côté gauche dans
isi- nage du pôle médullaire. A droite de la figure, on aperçoit la
racine
antérieure nor- male. Les cellules ganglionnair
e nombre, de dimension et de structure. On distingue les fibres des
racines
postéiieures, partiellement en état de dégénére
nale du 1er ganglion sacré droit (même observation, chat adulte, la
racine
postérieure correspondante est restée normale). R
(observ. V, chat adulte, sacrifié 338 jours après la section de la
racine
postérieure correspondante du côté droit, dans
ransversale du 10, ganglion thoracique gauche (même observation, la
racine
postérieure correspondante est restée normale), r
versale du cordon sympathique thoracique gauche au-dessous de la 3'
racine
dorsale (observ. 1, chat adulte, sacrifié 247 jou
1, chat adulte, sacrifié 247 jours après la section des 3 premières
racines
dorsales postérieures- gauches dans leur trajet e
2. Fic. . Fie. 5. luu. 6. Fio. 7. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES Brsssm del ? C. Roux et J. HCtf;.)
x et J. HCtf;.) Masson et Ciel Editeurs. SECTION .EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 307 ques naissent principalement d
S RACINES POSTÉRIEURES 307 ques naissent principalement des 5e à 9e
racines
thoraciques, par suite au-des- sus des racines
palement des 5e à 9e racines thoraciques, par suite au-des- sus des
racines
sectionnées chez le chat V. ' Les dissociations
pinaux. L'état histologique des ganglions spinaux après section des
racines
posté- rieures est certainement, parmi les poin
ue. En 1856, Waller (2), après avoir coupé chez le chat la deuxième
racine
cer- vicale postérieure, sacrifiant l'animal au
) en 1896, conclut d'une série d'expériences qu'après section de la
racine
postérieure, les ani- maux étant abattus au bou
des ganglions sympathiques et se diri- geant vers la moelle par les
racines
postérieures. Laignel-Lavastine les a retrouvées
ostérieures. Laignel-Lavastine les a retrouvées dégénérées dans les
racines
postérieures après ablation expérimentale des cor
- crifié 4 mois plus tard, nota dans le ganglion correspondant à la
racine
section- née, une raréfaction cellulaire, diffu
KLEIST, loc. cit. (6) KOSTER, loc. cit. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTERIEURES 309 rement aux affirmations de Kle
de ses opérations. Dans un cas où il avait simplement découvert les
racines
sans les sectionner, il n'avait retrouvé ultéri
les faits avancés par Kleist et par Kas- ter, et que la section des
racines
postérieures déterminait des modifications des
ait été approché. Chez les autres animaux, nous avons sectionné les
racines
dans leur trajet intradural (à la région lombo-
v. Iconog. de la Salpêtrière, 1904, ne 3. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTERIEURES 311 1 cellules, la méthode de Niss
médullaire, et on pouvait reconnaître qu'elles prove- naient de la
racine
postérieure, dans laquelle il n'existait que de r
nctif. Ces fibres altérées contrastent avec les fibres intactes des
racines
antérieures (fig. 1, même planche), et les fibres
a plus formelle que la sec- tion expérimentale a bien porté sur les
racines
correspondantes à ces ganglions. -Retenons donc
et les glanglions du côté témoin. Examen du bout ganglionnaire des
racines
postérieures. Il existe entre les auteurs, à ce
ibres centrifuges venues de la moelle. En 1896, Bonne revit sur les
racines
sacrées ces fibres qui dégénéraient, peu nombreus
périphérique de ce dernier. Au bout de 30 à 106 jours, l'examen des
racines
montrait de très nombreuses libres fines qui n'
des gaines vides difficiles à reconnaître. Kleist décrivit dans la
racine
postérieure, au bout de mois, un processus de d
maux (X et XI) n'ayant survécu que quinze jours après la section des
racines
sacrées, on distinguait au milieu d'un grand no
presqu'aussi nombreuses que les grosses. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 313 Chez deux autres animaux (VII
colorées. Chez le chat IV et le chat V (aux 338e et 382° jours) les
racines
postérieures se présentaient très altérées, sur l
ct tout à fait normal. On ne les distinguait pas sur les coupes des
racines
du chat I, mais comme nous n'avons pas fait des
ves, mais il n'en est pas de même des lésions précoces de ces mêmes
racines
. Ces fibres que l'on trouve en nombre restreint
on trouve en nombre restreint, dégénérées dès le 15e jour, dans les
racines
postérieures comme dans les troncs mixtes et les
araît venu de chercher à la résoudre. Etat du bout médullaire des
racines
sectionnées. Les fibres centrifuges des racines
bout médullaire des racines sectionnées. Les fibres centrifuges des
racines
postérieures. Nous ne nous étendrons pas sur le
-dilatation périphérique par l'excitation du bout ganglionnaire des
racines
postérieures et en ont conclu à l'existence de
s fibres qui sortaient de la corne latérale, s'engageaient dans les
racines
postérieures et traversant les ganglions sans s
erses. Déjà Waller avait vu que, 10 a 15 jours après la section des
racines
postérieures, il subsistait dans le bout médullai
es. Dans une première série d'expériences, peu après la section des
racines
postérieures, il trouva dans le bout médullaire t
(7), Sherrington coupa chez des chats et des singes, les 4e, 5e, 6e
racines
dorsales. Au bout de 14 et de 18 jours, pas de
. FIG. 6. Fig. 7. 1"10.8. Fig. 9. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES (J.-C. Roux et J. Heil.) - PLANC
ciation du cordon sympathique thoracique gauche au-dessous de la 5,
racine
dorsale (observ. XII, chat adulte, sacrifié 18 jo
chat adulte, sacrifié 18 jours après la section des 3', . 4° et 5e
racines
dorsales postérieures, extradurale). Présence de
(observ. I, chat adulte, sacrifié 247 jours après la section de trois
racines
dor- sales postérieures du même côté dans leur
. III, chat adulte, sacrifié 252 fours après la section des 2e et 3
racines
postérieures du même côté, intra-dura- le). Nom
1 (obs. X). - Dissociation du bout adhérent à la moelle des 3° et 4*
racines
sacrées postérieures (16 jours après la section
obs. X). - Dissociation du nerf efférent du ganglion, continuant la
racine
postérieure, au niveau de la jonction avec la rac
continuant la racine postérieure, au niveau de la jonction avec la
racine
antérieure (16 jours après la section de la rac
jonction avec la racine antérieure (16 jours après la section de la
racine
postérieure). Présence de fibres dégénérées en pe
nombre ou au milieu des fibres saines. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 315 moins nombreux. Il existait de
il avait examiné le bout ganglionnaire 10 jours après la section des
racines
pos- térieures. Dans deux cas, il avait trouvé
se de leur finesse, de leur rareté (surtout au niveau des dernières
racines
sacrées),et de ce fait aussi qu'évoluant entre le
Bonne dans le bout ganglionnaire, puis dans le bout médullaire des
racines
section- nées et que ces fibres ont été revues
prendre comment ces fibres peuvent se trouver dans la partie de la
racine
com- prise entre le ganglion et le niveau de la
que les fibres régénérées du chat IV), N'oublions pas enfin que les
racines
postérieures avaient été non pas section- nées,
NCHE L Fio. 1. - Dissociation du bout attenant à la moelle de la 2*
racine
sacrée postérieure gauche (observ. IX, chat adu
ours après résection sur une longueur de 3 à 4 millimètres de cette
racine
dans son trajet intradural). La fibre représentée
alibre (fig. 2) qui sont vraisemblablement des fibres centrifuges des
racines
postérieures (même technique, même grossissemen
1 cc. 7 à 9. - Dissociations du bout attenant au ganglion de la 2°
racine
sacrée posté- rieure gauche (observ. IX, chat a
t). ]-'16. 10. - Dissociation du bout attenant à la moelle delà tr'
racine
sacrée postérieure gauche (ubserv. IV, chat adu
ours après résection sur une longueur de 3 à 4 millimétrés de cette
racine
dans son trajet intradural). Le filet représenté
FIG.f1 et 12. Dissociations du bout attenant au ganglion de la même
racine
, Ire sacrée postérieure gauche (même observatio
ues (même technique, même grossissement). SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 317 Il subsiste de nombreuses inco
de nombreuses inconnues dans l'histoire des fibres centrifuges des
racines
postérieures ; il reste au point de vue de leur n
e au début de ce travail : Quelle est l'influence de la section des
racines
posté- rieures sur l'état des neurones périphér
s mixtes (chat XII) et dans les filets cutanés (chiens VIII, X) des
racines
sectionnées, s'expliquent très aisément si on les
se mois et même encore au 13° mois, dans le bout ganglionnaire des
racines
sectionnées. Il nous paraît très probable que cer
x le processus de névrite périphérique, le bout ganglionnaire de la
racine
sectionnée commençait aussi à s'altérer : les f
bres dégénérées. A la même époque, dans le bout ganglionnaire de la
racine
sectionnée, les gros- ses gaînes nous apparaiss
nt être des fibres régé- nérées. Le bout médullaire de cette même
racine
est rempli de fibres régénérées très nombreuses
tes ne sont plus représentées que par des gaînes vides. Du côté des
racines
postérieures, en même temps que les anciennes fib
qui se dirigent vers la moelle par les anciennes gaînes vides de la
racine
sectionnée. Ces fibres régénérées auraient leur o
aits observés nous amène à concevoir à la suite de la section de la
racine
postérieure, la production d'un processus atrop
nous semhle cependant être la seule sus- SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTERIEURES 319 ceptible de s'accorder avec le
u début), des altérations cellulaires, d'autant plus accusées que les
racines
étaient plus malades. Ils ont noté la diminutio
l'intensité est sous la dépendance du degré de dégé- nérescence des
racines
postérieures. En face de ces lésions caractéris
des lésions décrites par d'autres auteurs après la même section des
racines
postérieures, mais les faits que nous appor- to
n processus aigu qui se ter- mine en moins d'un an. , Du côté des
racines
postérieures, mêmes différences importantes. Dans
Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 1902. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 321 Cajal l'a montré à Nageotte (1
ste normale. Du côté DES neurones SYMPATIQUES, après la section des
racines
postérieu- res, la dégénérescence porte exclusi
rescence porte exclusivement sur les fibres fines centrifu- ges des
racines
postérieures. Il semble en être de même dans le t
cordon cervical, par exemple, sont proportionnelles aux lésions des
racines
du renflement cer- vical (J.-Ch. Roux (4), Jean
es tabétiques, en plus de la disparition des fibres centrifuges des
racines
postérieures, un processus s de névrite périphé
eurones sensitifs. Or nous ignorons si la section expérimentale des
racines
postérieu- res pourrait reproduire des lésions
tager cette opinion de Koster (1), que la section expérimentale des
racines
postérieures détermine des altérations des nerf
mme étant sous la dépendance d'une dégé- nérescence primordiale des
racines
postérieures. La seule différence entre les deu
fférence de l'atteinte apportée dans les deux cas à l'intégrité des
racines
postérieures. Dans un cas, il s'agit d'une lésion
dans le tabes une certaine part doit être gardée à l'altération des
racines
postérieures, comme cause initiale des altération
nerf radiculaire transverse (Nageotte) (3), ou sur la longueur dela
racine
postérieure (Thomas et Hauser) (4), ou sur tout
¡ et Thomas, Maladies de la moelle, 1902. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 323 de la lenteur extrême de l'évo
beau- coup moins constante. + Conclusions. 4 Il existe dans les
racines
postérieures des mammifères, des fibres à myé-
. Ces fibres persistent intactes, quinze jours après la section des
racines
posté- rieures, dans le bout radiculaire attena
es éparses dans le nerf qui sort du ganglion pour fusionner avec la
racine
antérieure. 2° La plus grande partie de ces fib
iations les montrent dégénérées trois semaines après la section des
racines
postérieures. Au bout de 7 mois, il ne subsiste
t jusque dans les filets cutanés du territoire corres- pondant à la
racine
sectionnée. 4° 7 à 8 mois après la section des
pondant à la racine sectionnée. 4° 7 à 8 mois après la section des
racines
postérieures, on observe dans les nerfs cutanés
postérieures, on observe dans les nerfs cutanés correspondant à ces
racines
, des figures de dégénérescence wal- lérienne, f
eaucoup plus rares. A la même époque, le bout ganglionnaire de la
racine
coupée commence à dégénérer suivant un processu
érées, mais seulement des gaines vides. Le bout ganglionnaire de la
racine
sectionnée a accusé sa dégénérescence ; il contie
ès. Lyon médical, 1905, p. 981. 324 ROUX ET HEITZ de cette même
racine
présente de très nombreuses fibres fines régénéré
uences d'une lésion brutale et instantanée comme la sec- tion de la
racine
, à un état pathologique permanent et d'évolution
athologique permanent et d'évolution très lente comme est celui des
racines
postérieures dans le tabes. Il existe d'ailleur
plus d'assimilation possible entre la dégénérescence rétrograde de la
racine
postérieure sectionnée et l'état d'atrophie seg
racine postérieure sectionnée et l'état d'atrophie segmentaire des
racines
tabétiques. Seules les lésions du sympathique s
es mêmes particularités. D'une façon générale, après la section des
racines
postérieures, les processus atrophiques seconda
impression, qu'en dehors de l'ac- tion méningitique directe sur la
racine
postérieure, une certaine part doit être faite,
Observations. Observation I. Chat adulte. - Section des 3 premières
racines
thoraciques postérieures gauches. - Survie 247
générescence wallé- rienne dans les nerfs cutanés du territoire des
racines
sectionnées ; mêmes dégénérescences moins nombr
s vertèbres tho- raciques. Section ext1'adurale des trois premières
racines
thoraciques posté- rieures gauches à la sortie
s ; cicatrisation par première intention. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 325 Dans le milieu de l'été, l'ani
ération, aucun trouble trophique dans les régions correspondant aux
racines
coupées. La brèche os- seuse pratiquée 8 mois a
une mince fente, remplie de tissu fibreux. La dure-mère adhère aux
racines
postérieures par du tissu cellulaire lâche, plu
es par du tissu cellulaire lâche, plus serré du côté sectionné. Les
racines
postérieures coupées n'ont laissé, au voisinage
nt laissé, au voisinage de la moelle que des tractus atrophiés. Les
racines
antérieures sont intactes. Nous prélevons les
actes. Nous prélevons les ganglions spinaux correspondant aux trois
racines
section- nées des deux côtés ; les cordons symp
es des deux côtés ; les cordons sympathiques au-dessus de la dernière
racine
sectionnée ; les ganglions semilunaires ; les t
, ne présente pas de modification de sa structure. Les coupes de la
racine
postérieure cor- respondante (bout ganglionnair
smique-carmin, ont été examinées à 1 cm. au- dessous de la dernière
racine
sectionnée : le cordon droit avait son aspect nor
rations notables. Observation II. Chat adulte. Section des 2" et 3°
racines
sacrées posté- rieures, du côté gauche. - Survi
wallériennedans lesrameaux cutanés du territoire correspondant aux
racines
coupées. Intégrité des filets symétriques droit
s lombaires et de la première sacrée. Sec- tion intradurale de deux
racines
postérieures du côté gauche, que l'autopsie a m
ique moins complètement que chez le chat T. Dure- mère adhérant aux
racines
postérieures des deux côtés, mais faciles à en sé
res des deux côtés, mais faciles à en sépa- rer. Les deux bouts des
racines
sectionnés sont fixés de part et d'autre sur la
nde de la dure-mère, séparés l'un de l'autre par 2 à 3 millimètres.
Racines
antérieures tout à fait intactes. Le bout inférie
es. Racines antérieures tout à fait intactes. Le bout inférieur des
racines
posté- rieures sectionnées aboutit au 2° gangli
s spinaux corresoondants de chaque côté ; SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 327 et disséquons sysmétriquement
t de la cuisse, soit exclusivement dans le territoire cutané de la 2e
racine
sacrée. Ces dégénérescences avaient tout à fait
on précédente. Observation III. - Chat adulte. Section des 2e et 3e
racines
sacrées posté- rieures gauches. - Survie 252 jo
reuses fibres dégénérées dans les rameaux cutanés du territoire des
racines
sectionnées. Intégrité des rameaux cutanés symétr
à fait supérieure de la brèche pratiquée 8 mois 1/2 auparavant. Les
racines
antérieures sont intactes. Nous prélevons les 2
des deux côtés avec dégénérescence rétrograde des fibres venues des
racines
sectionnées ; fibres efférentes normales au pôle
ganglions; nombreuses fibres régénérées dans le bout médullaire des
racines
sectionnées ; racines postérieures droites normal
fibres régénérées dans le bout médullaire des racines sectionnées ;
racines
postérieures droites normales. Pas de dégénéres
us tard l'au- topsie, à la dernière lombaire et aux trois premières
racines
sacrées. Réunion par première intention sans su
ment grisâtres et atrophiés des extrémités attenant à la moelle des
racines
seetionnées. Ils sont complète- ment adhérents
le sublimé-osmique. L'extrémité attenant aux ganglions de ces mêmes
racines
est également prélevée dans sa partie extradurale
partie extradurale. Nous gar- dons également comme comparaison les
racines
postérieures du côté droit. Les racines antérie
ement comme comparaison les racines postérieures du côté droit. Les
racines
antérieures sont vérifiées intactes. Nous préle
des deux côtés, ont été coupés dans le sens longitudinal, depuis la
racine
jusqu'au nerf émergent, la racine antérieure re
s le sens longitudinal, depuis la racine jusqu'au nerf émergent, la
racine
antérieure restant accolée à leur face ventrale.
droite de la figure, les fibres noires, régulières et serrées de la
racine
antérieure normale. Les fibres à myéline del'in
aisément sur la figure 3 de la même plan- SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 329 che, exécutée à un plus fort g
les myéliniques noires. Il s'agit, sans aucun doute, des fibres des
racines
postérieures, prolongements cen- traux des cell
nt comme tout à fait normales avant de s'unir un peu plus loin à la
racine
antérieure. Du côté droit, les gaînes de myélin
à fait analogues quoi- que peut-être un peu moins prononcées. Les
racines
postérieures ont été examinées par dissociation.
e, que nous venons de noter dans le bout ganglionnaire de ces mêmes
racines
. Au milieu de ces fibres régénérées, on disting
ces sous forme de gaînes vides dans le bout ganglionnaire des mêmes
racines
. Les racines du côté droit étaient normales.
de gaînes vides dans le bout ganglionnaire des mêmes racines. Les
racines
du côté droit étaient normales. Enfin les nerfs
côté opposé. Observation V. - Chat adulte. -Section des 10e et 11*
racines
thoraciques pos- térieures, du côté droit. - Su
ion des fibres fines dans la corde sympathique droite au-dessus des
racines
sectionnées. Sur les dissociations des troncs n
tions des troncs nerveux et des filets cutanés, correspon- dant aux
racines
sectionnées, absence de figures de dégénérescence
pince des lames des 10° et il,, vertèbres dorsales. Section des deux
racines
postérieures du côté droit, à leur sortie de la
racines postérieures du côté droit, à leur sortie de la dure-mère (
racines
10° et lie tho- raciques). Réunion sans suppu
bourgeons osseux insuffisants. Nous vérifions que les 10" et 11°
racines
postérieures droites ont bien été sectionnées,
° racines postérieures droites ont bien été sectionnées, et que les
racines
antérieures sont normales. Nous prélevons les g
hérique. L'examen comparatif des coupes du ganglion droit (côté des
racines
section- nées), et du ganglion gauche (côté sai
e l'un et de l'autre côté. Aucune diminu- SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
^ POSTÉRIEURES 331 tion du nombre des cellules,
s, aucune trace de ratatinement ni d'atrophie. Sur les coupes de la
racine
postérieure au voisinage du ganglion nous avons p
le nerf splanchni- que tirant son origine des 5e, 6", 7e, 8" et 9°
racines
thoraciques, lesquelles n'avaient pas été touch
T lOEITZ Observation VI. Chat adulte. - Section des 10°, 1 la et zu
racines
thoraciques postérieures. - Meurt le 10e jour.
res thoraciques et on sectionne à la a sortie de la dure-rnère, les
racines
postérieures portant les mêmes chiffres. Réunio
tisme involontaire de la moelle au- dessous du niveau d'origine dès
racines
sectionnées, a provoqué chez l'animal une parap
10 jours. Observation VII. Chat adulte. Section des deux premières
racines
sa- crées postérieures gauches. Survie 77 jours
les et des fibres à myéline des ganglions correspondants ; dans les
racines
posté- rieures sectionnées (bout ganglionnaire)
à 5 filets radiculaires du côté gauche, correspondant aux ire et zu
racines
sacrées. Réunion sans suppuration, pas de paralys
trouble trophique. Nous prélevons facilement le bout inférieur des
racines
sectionnées, aboutissant aux ganglions. L'extrémi
ionnées, aboutissant aux ganglions. L'extrémité mé- dullaire de ces
racines
se voit à peine tant elle est atrophiée, les file
sur la face profonde de la dure-mère à laquelle ils sont adhérents.
Racines
an- térieures anormales. Nous prélevons aussi
érents. Racines an- térieures anormales. Nous prélevons aussi les
racines
symétriques du côté droit et les deux pre- mier
é droit, non plus que sur les coupes de la partie y attenante de la
racine
postérieure, au- cune fibre à myéline altérée,
altérée, comme nous avions pu en noter dans les gan- glions et les
racines
postérieures des chats IV et V. Ici, les fibres à
nes postérieures des chats IV et V. Ici, les fibres à myéline de la
racine
sont encore intactes, et ne présentent aucun sign
t ne présentent aucun signe de dégénères- SECTION expérimentale DES
racines
postérieures 333 cence. Les fibres efférentes d
entes du pôle périphérique sont de même tout à fait normales. Les
racines
postérieures ont été examinées par dissociation.
et qui nous semblait devoir représenter l'extrémité médullaire des
racines
sectionnées. Nous n'avons trouvé dans ce tissu
altérées. Par contre, les dissociations du bout ganglionnaire de ces
racines
ont montré au milieu d'une très grande majorité
sociations. Observation VIII. Chien adulte. Section des 4 premières
racines
sacrées postérieures gauches. SU1'vie 14 jours.
n nombre restreint, dans les rameaux cutanés du territoire de la 1"
racine
sacrée. Chien de 8 kilos, opéré le 13 décembre
érienne de 4 filets radiculaires, qui correspondent aux 2 premières
racines
sacrées postérieures gauches. L'animal meurt le
(ces fibres se trou- vant dans le territoire de la lre ou de la 2e
racine
postérieure sacrée). Observation IX. Chat adult
ieure sacrée). Observation IX. Chat adulte. Section des 2 premières
racines
sacrées postérieures gauches. - Survie 97 jours
sistance de fibres à myé- line intactes dans le bout médullaire des
racines
sectionnées, et présence d'un nombre correspond
au milieu des fibres saines, dans le bout garzglionrzaire des mêmes
racines
. -- Quelques fibres dégé- nérées dans les filet
adiculaires du côté gauche, dans leur trajet intra-dure-mérien. Ces
racines
correspondaient, comme le montra l'au- 334 ROUX
, comme le montra l'au- 334 ROUX ET HEITZ topsie, aux 2 premières
racines
sacrées. Réunion sans suppuration, parésie des
acrifié. Autopsie. - Pas de troubles trophiques. Du côté droit, les
racines
posté- rieures, non touchées par l'opération, p
re-mère à laquelle elles adhèrent fortement, le bout médullaire des
racines
sectionnées, extrêmement atrophié et grisâtre.
ement le bout ganglionnaire de ces mêmes ra- cines sectionnées. Les
racines
antérieures étaient intactes. Enfin, symétrique-
es aucun caractère pathologique, ni des cellules ni des fibres. Les
racines
postérieures du côté droit sont normales sur diss
nes postérieures du côté droit sont normales sur dissociations. Les
racines
du côté gauche ont été de même dissociées. Les fi
en examinant les dis- sociations du bout ganglionnaire de ces mêmes
racines
où les fibres centrifuges apparaissent en dégén
celui des fibres restées intactes dans le bout médullaire des mêmes
racines
. Nous avons dissocié enfin les nerfs cutanés de
de fibres en état de dégénérescence wallérienne, territoire de la 2°
racine
sacrée. Les nerfs de la plante n'ont malheure
ns n'avons pas noté de dégénérescences. SECTION EXPÉRIMENTALE DES
RACINES
POSTÉRIEURES 335 Observation X . - Chien adulte
IEURES 335 Observation X . - Chien adulte. Section des 3°, 4° et 51
racines
postérieu- res sacrées du côté droit dans leur
ntradural. Survie de 16 jours. - Présence, dans bout médullaire des
racines
sectionnées, d'un certain nombre de fibres rest
fibres restées saines ; présence dans le bout ganglionnaire de ces
racines
d'un nombre correspondant de fibres dégénérées, l
retrouvent dans nerf efférent du ganglion, avant sa réunion avec la
racine
antérieure. Quelques fibres dégénérées dans les n
erchons, à travers les plans fibreux en formation, les restants des
racines
postérieures droites sectionnées, prélevons les f
la dure-mère. Nous prélevons également le bout ganglionnaire de ces
racines
dans leur trajet intradural. . D'autre part, no
cines dans leur trajet intradural. . D'autre part, nous suivons ces
racines
jusqu'aux ganglions correspondants, et nous pre
espondants, et nous prenons séparément la portion extradurale de la
racine
postérieure, le ganglion, et le nerf efférent d
ganglion, et le nerf efférent de ce ganglion avant sa réunion à la
racine
anté- rieure, pour chacune des racines sectionn
anglion avant sa réunion à la racine anté- rieure, pour chacune des
racines
sectionnées lesquelles paraissent aboutir aux 3
de l'animal. Examens HISTOLOGIQUES. - L' extrémité médullaire des
racines
sectionnées renferme au milieu de nombreux débr
les semblent moins nom- breuses que sur les dissociations des mêmes
racines
du chat IX, et le sont peut-être en réalité, la
IX, et le sont peut-être en réalité, la section ayant porté sur des
racines
plus basses. Mais il faut tenir compte aussi de
s efférents des ganglions 3e, 4° et 5e sacrés, avant leur réunion aux
racines
antérieures (fig. 8 et 9, planche XLIX). Les
escence avancée. Observation XI. Chien adulte. Section des 3e et 4'
racines
sacrées posté- rieures du côté gauche dans leur
ours. Présence de fibres fines intactes dans le bout médullaire des
racines
sec- tionnées ; présence des fibres fines dégén
t, les extrémités médullaires et ganglionnaires (intra-durales) des
racines
sectionnées (côté gauche). On prélève également
es) des racines sectionnées (côté gauche). On prélève également les
racines
postérieures, les ganglions et le nerf efférent
ions et le nerf efférent du pôle périphérique de ces ganglions. Les
racines
sectionnées paraissent avoir été celles des 2eu
pe et de la queue. Examens rrISTOLOGIQUES. - Le bout médullaire des
racines
postérieures présente un certain nombre de fibr
, un certain nombre de fibres fines en dégénérescence. Un filet des
racines
antérieures a dû être sectionné par erreur, car o
stérieurs. Observation XII. - Chat adulte. Section des 3e, 4° et 5e
racines
thoraci- ques postérieures gauches. -Survie 18
elleux supérieur, du faisceau longitudinal postérieur, de la petite
racine
motrice descendante du trijumeau, de l'entrecro
aisceau loncitu : dinal postérieur, sauf quelques fibres. La petite
racine
motrice descendante du trijumeau est conservée
, les deux tiers antérieurs de l'olive, le noyau rétropyramidal, la
racine
descendante du trijumeau, le faisceau latéral d
les grâce à la conservation presque complète de leurs cellules. Les
racines
pos- térieures qui se trouvent sur la même coup
e la gaine myélinique qui va disparaître. Moelle au niveau de la 8°
racine
dorsale. - Jusqu'à ce niveau la moelle ne prése
uelques fibres dans la partie périphérique du cordon antérieur. Les
racines
antérieures et postérieu- res contiennent deux
ites zones circulaires légèrement jaunâtres (PI. LII, fig. 4). Deux
racines
plus bas, la moitié gauche de la moelle ne contie
oup moins touchée (fig. 5). 350 GIUNIO CATOLA Au niveau de la lié
racine
dorsale, le cordon latéral gauche est presque c
la substance grise sont en grande partie conservées. Les fibres des
racines
antérieures et posté- rieures sont, elles aussi
es sont, elles aussi, en très bon état (fig. 7). Au niveau de la 2e
racine
lombaire, les cordons postérieurs sont pres- qu
apports sont complètement invertis (fig. 8). Au niveau des 4° el 5"
racines
lombaires, les cordons antéro-latéraux et les c
ir de la région bulbaire immédiatement sous-olivaire, jusqu'à la 8°
racine
dorsale, presque toute la substance nerveuse, sau
éminés, est remplacée par du tissu scléreux. A partir de la susdite
racine
jusqu'à la totalité de la moelle lombaire on renc
us atteintes. A partir de la région bulbaire inférieure jusqu'à la 88
racine
dor- sale existent de très larges zones de sclé
upées par des petits îlots de tissu nerveux sain ou à peu près. Les
racines
antérieures et postérieures apparais- sent pres
on un certain degré d'épaississement des méninges postérieures. Les
racines
ne sont pas grises. Tout ce qu'on peut dire de
histologique. En procédant de haut en bas on arrive à la pre- mière
racine
cervicale sans trouver la moindre trace d'une lés
action s'étend aussi au faisceau de Goll (fig. 1). Au niveau de la 3e
racine
cervicale existe une plaque scléreuse qui occup
l'anneau de raréfaction périphérique, persistant (fig. 2). A la 5°
racine
le cordon latéral droit est remplacé par une zone
ssurale et la corne latérale droite (fig. 3). Au niveau de la, 6°
racine
dorsale toute la moitié droite de la moelle, la c
n dans la zone radiculaire interne (fig. 4). Au niveau des li'etl2°
racines
dorsales on observe seulement une très légère rar
le ; mais en d'autres plaques, comme, par exemple, au niveau de la 5e
racine
cervicale (fig. 3), elles subsistent toutes abs
s épaissies et très'souvent d'aspect homogène ou fibrillaire. Les
racines
antérieures partant des segments scléreux comme,
Bulbe dans sa partie moyenne. FiG. 4. Moelle au niveau de la T'-8°
racine
cervicale. -Elle ne contient aucune libre avec
orée avec la méthode de Weigert. FiG. 5. Moelle au niveau de la 10°
racine
dorsale. FiG. 6. - Moelle au niveau de la 11, r
veau de la 10° racine dorsale. FiG. 6. - Moelle au niveau de la 11,
racine
dorsale. FiG. 1. Moelle au niveau de la 2° raci
niveau de la 11, racine dorsale. FiG. 1. Moelle au niveau de la 2°
racine
lombaire. FiG. 8. Moelle au niveau de la 30 rac
niveau de la 2° racine lombaire. FiG. 8. Moelle au niveau de la 30
racine
lombaire. F1O, 9. Moelle au niveau de la 41-58
veau de la 30 racine lombaire. F1O, 9. Moelle au niveau de la 41-58
racine
lombaire. FiG. 10. - Pie-mère épaissie et infil
A. Zeiss. 358 GIUNIO CATOLA Planche LIV (OBS. Il) Fis. 1. - ira
racine
cervicale. FiG. 2. - 3*-4o racine' cervicale.
cine cervicale. FiG. 2. - 3*-4o racine' cervicale. FiG. 3. - 506°
racine
cervicale. Fir. 4. - 6° racine dorsale. FiG.
racine' cervicale. FiG. 3. - 506° racine cervicale. Fir. 4. - 6°
racine
dorsale. FiG. 5. lle-12e racine dorsale. "BIB
6° racine cervicale. Fir. 4. - 6° racine dorsale. FiG. 5. lle-12e
racine
dorsale. "BIBLIOGRAPHIE ' 1. Adamkiëwicz. Ueb
e blanche. Beaucoup de fibres de nouvelle formation proviennent des
racines
postérieures et pénètrent dans la moelle avec l
. Il y a par conséquent une régénérescence double, l'une partie des
racines
postérieures et l'autre de la substance blanche
a décri sommairement dans un travail récent la régé- nérescence des
racines
postérieures et de la moelle consécutive aux sec-
des fibres nerveuses ni In ti l d'une part, du point de section des
racines
postérieures vers la moelle (quelques-unes de c
elle vers la cicatrice. Le mécanisme de régénération des libres des
racines
postérieures est tout à fait semblable à celui qu
n kyste qui se prolonge dans le sens de l'axe médullaire. L'une des
racines
posté- rieures a été sectionnée entre le gangli
exions avec les neurones normaux. La portion post-ganglionnaire des
racines
postérieures coupée dans celle expérience de Ca
ésumé, ces expériences démontrent suivant Cajal, que les axones des
racines
postérieures et la substance blanche médullaire
dans l'épaisseur de la cicatrice (Fig. 4). Les modifications des
racines
postérieures sectionnées sont tout à fait caracté
du corps de celle-ci, au niveau Fic.. 5. Coupe longitudinale de la
racine
postérieure dans son trajet arachnoïdien (secti
pèces de cavités creusées dans les massues. On voit en outre que la
racine
est constituée, par des fibres fines sans myéline
de pont entre le bout supérieur et le bout supérieur tuméfiés. Les
racines
com- prises à ce niveau sont la cinquième lomba
tion qu'on peut suivre sur un grand trajet provenant évidemment des
racines
postérieures sectionnées par la compression. On
rement dans sa partie moyenne ? Evidemment qu'elles proviennent des
racines
postérieures englobées dans le processus pathol
postérieures englobées dans le processus pathologique. En effet, la
racine
postérieure dans son trajet arachnoïdien présen
s, du reste, on peut suivre la continuité entre les faisceaux de la
racine
et certains de ces cordons cellulaires dont nous
des neuro-fibrilles ou bien un état de gonflement. Les fibres des
racines
postérieures disposant de capacités plus grandes
velle formation que nous trouvons dans la cicatrice proviennent des
racines
postérieures, car elles présentent tous les carac
ndus au premier abord. Par suite de cette anomalie la direction des
racines
est changée el leur différenciation est diffi-
t normales et ne paraissent pas épaissies. Rien à noter du côté des
racines
. Les racines postérieures sont essentiellement
e paraissent pas épaissies. Rien à noter du côté des racines. Les
racines
postérieures sont essentiellement constituées au
ures de Lautermann. Immédiatement au-dessous de la pie-mère, où les
racines
sont comprimées, on constate un cordon de fibre
caractères généraux de celles que nous ve- nons de décrire dans les
racines
postérieures ; on distingue aussi quelques fibres
enons de décrire est de provenance radiculaire. Aussi bien dans les
racines
comme dans la moelle, il y a beaucoup de pigmen
es, les nerfs périphériques, les troncs nerveux, les ganglions, les
racines
nerveuses et la moelle. 1° Muscles. Un certain
absolue de toutes les fibres, la gaine de myéline est intacte. 3°
Racines
. Elles ont été étudiées par la méthode de Pal, su
nglion dorsal 2° lombaire montrent : Atrophie très considérable des
racines
antérieures, qui présentent de nom- breuses gai
breuses gaines atrophiées ou en voie de dégénérescence. Intégrité des
racines
postérieures qui sont absolument normales, avec
s collatérales courtes et longues sont intactes, aussi bien que les
racines
postérieures à leur pénétration dans la moelle
et peu marquées dans les cordons antéro-latéraux, dégénérations des
racines
antérieures, atrophie simple des différents mus
uée, et en prélevant la moelle, une atrophie également évidente des
racines
antérieures. Les conclusions de l'examen histolog
ée dans la partie inférieure de celle-ci, atrophie très intense des
racines
antérieures depuis leur origine intramédullaire,
la moelle cervicale, dorsale et lombaire, et atro- phie légère des
racines
antérieures. Tels sont les cas jusqu'à présent
membres supérieurs l'anesthésie porte sur tout le membre jusqu'à la
racine
(à l'exception d'une plaque au ni- veau de la f
essivement atteint les nerfs périphériques, les troncs nerveux, les
racines
antérieures et postérieures, avec lésions médul
nt plus tard aux nitis- cles des mains. Intégrité des muscles de la
racine
des membres. Pieds-bols équins. Atrophie des mu
férieure de la moelle épinière et queue de cheval. Hypertrophie des
racines
. (Dejerine et Thomas.) NOUVELLE Iconographie
i, comme l'anesthésie, diminue à mesure que l'on se rapproche de la
racine
du membre. Le chatouillement de la plante du pi
tant plus prononcés, qu'on examine des régions plus éloignées de la
racine
des membres. . , Membres supérieurs. Les différ
t ils ont beau- coup plus du double du volume normal. Comparées aux
racines
d'un sujet nor- mal,les racines dorsales et cer
ble du volume normal. Comparées aux racines d'un sujet nor- mal,les
racines
dorsales et cervicales sont également hypertrophi
t, ou- remarque que l'hypertro- phie est plus considérable pour les
racines
antérieures que pour les racines 486 DEJERINE E
phie est plus considérable pour les racines antérieures que pour les
racines
486 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS postérieures ; q
racines 486 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS postérieures ; que pour les
racines
antérieures l'hypertrophie diminue pro- gressiv
essivement depuis la moelle jusqu'au canal dure-mérien ; que pour les
racines
postérieures c'est l'inverse qui tend à se prod
plus épaisse que l'extrémité médullaire. Ces différences entre les
racines
antérieures et postérieures, et pour cha- cune
inappréciables, du moins à un simple examen macroscopique; pour les
racines
delà moelle dorsale et cervicale. La moelle n
individu normal, mais l'hypertrophie est moins prononcée que pour les
racines
médullaires. Le sympathique n'a été examiné que
s extraordinaires. , Si on compare les nerfs du plexus brachial aux
racines
correspondantes de la région cervicale, on rema
ucoup plus consi- dérable pour les nerfs périphériques que pour les
racines
. Certains muscles étaient extrêmement atrophiés
à cette méthode que pour quelques faisceaux du sciatique, pour les
racines
antérieures et postérieures. Mais nous avons pu
R11RE. T. XIX, PL. LXXIV A. Coupe de la moelle au niveau de la Vile
racine
cervicale. Racines hypertrophiées. Méthode de P
XXIV A. Coupe de la moelle au niveau de la Vile racine cervicale.
Racines
hypertrophiées. Méthode de Pal. A'. - Coupe de
hiées. Méthode de Pal. A'. - Coupe de la moelle au niveau de la IIe
racine
sacrée. Racines hypertrophiées. - Méthode de Pa
Pal. A'. - Coupe de la moelle au niveau de la IIe racine sacrée.
Racines
hypertrophiées. - Méthode de Pal. Dissociation
rée. Racines hypertrophiées. - Méthode de Pal. Dissociation d'une
racine
lombaire antérieure après fixation par l'acide
et coloration par le carmin. A". Une fibre ne veuse isolée dans une
racine
. Gaine de Schwann hypertrophiée. NÉVRITE INTERS
ne de tissu conjonctif. Color. par l'hématoxyline-éosine. B". - IV"
racine
lombaire an'érieure droite à égale distance de la
icro-carmin. L'aspect des fibres est à peu près le même que sur les
racines
à l'examen desquelles nous renvoyons le lecteur :
grand sympathique présente des altérations semblables. ' Examen des
racines
par dissociation. Cet examen a été fait après f
masso par le picro-carmin. Nous avons examiné par ce procédé une
racine
lombaire (racine antérieure et racine postérieu
icro-carmin. Nous avons examiné par ce procédé une racine lombaire (
racine
antérieure et racine postérieure). 490 DEJERI
ns examiné par ce procédé une racine lombaire (racine antérieure et
racine
postérieure). 490 DEJERINE ET ANDHÉ-TilOMAS R
un simple examen macroscopique, par la décroissance du calibre des
racines
antérieures depuis la moelle jusqu'à la péri- p
jusqu'à la péri- phérie, il nous a paru intéressant de diviser une
racine
en deux segments, un segment médullaire ou cent
aspect de simples fibres juxtaposées se rencontre quelquefois ; les
racines
se présentent alors à peu près sous le même asp
racines se présentent alors à peu près sous le même aspect que des
racines
de tabétiques, si ce n'est que les gaines de Sc
es figures, de différencier le tissu conjonctif des gaînes vides.
Racines
postérieures. Elles présentent un aspect un peu d
cines postérieures. Elles présentent un aspect un peu différent des
racines
antérieures : les faisceaux de fibres enchevêtrée
mais quelquefois aussi des noyaux, surtout dans le bout central des
racines
antérieures ; mais nous n'avons pu isoler netteme
ce manchon. C'est pourquoi il est important de comparer l'état des
racines
sur dissociation à celui qu'elles présentent sur
r dissociation à celui qu'elles présentent sur coupes. Examen des
racines
sur coupes. Racines antérieures. Nous avons par
qu'elles présentent sur coupes. Examen des racines sur coupes.
Racines
antérieures. Nous avons partagé la IVe lombaire d
avons vus plus abondants sur la dissociation du bout central de la
racine
antérieure. Les cylindres constitués par une fi
res; si d'autre part on compare les aspects différents que prend la
racine
antérieure suivant qu'on l'envisage à des nivea
le, il devient très vraisemblable du moins pour ce qui concerne les
racines
antérieures que les lésions sont plus jeunes au c
vi en quelque sorte pour les nerfs moteurs une marche ascendante.
Racines
postérieures. Rien n'est plus intéressant que de
cines postérieures. Rien n'est plus intéressant que de comparer les
racines
antérieures et les racines postérieures au voisin
est plus intéressant que de comparer les racines antérieures et les
racines
postérieures au voisinage du ganglion rachi- di
postérieures sont engainées par des manchons analogues à ceux de la
racine
antérieure au voisinage de la moelle. Au-dessou
re au voisinage de la moelle. Au-dessous du ganglion l'aspect de la
racine
postérieure se rapproche davan- tage de celui d
ct de la racine postérieure se rapproche davan- tage de celui de la
racine
antérieure; il est fâcheux que nous n'ayons pas e
ux sont absolu- ment sains. Dans leur trajet intra-médullaire les
racines
antérieures sont absolument- intactes ; cependa
; cependant au niveau de la deuxième et de la première sacrées, les
racines
antérieures paraissent plus volumineuses dans leu
téro-latéraux à ce niveau est augmenté ; en tout cas les fibres des
racines
antérieures ne sont nullement dégénérées dans leu
dans la zone radiculaire moyenne et dans la zone de pénétration des
racines
. Au niveau de la 111, sacrée la zone cornu- com
moyenne ; cette zone est particulièrement pâle au niveau de la VIIe
racine
cervicale (PI. LXXIV A). Les cornes postérieure
t et ne présente aucune altération. Rapprochées des altérations des
racines
et des nerfs, ces altérations sont en quelque sor
JERINE ET ANDRÉ-THOMAS très accusés, diminuent en remontant vers la
racine
des membres et, leur distribution paraît appart
'un examen précis n'a pu être pratiqué sur le territoire de' chaque
racine
. Il est cependant pos- sible que, dans la névri
LE HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 497 remontant vers la
racine
. Sensibilité douloureuse : retard de plusieurs se
ie musculaire des quatre membres diminuant de la périphérie vers la
racine
. Aux membres inférieurs double pied-bot équin v
emontant vers la Fig. 5. Fig. c. 500 DEJERINE ET ANDRE-THOMAS
racine
des membres,mais il faut arriver jusqu'au dessus
aux extrémités et de diminuer à mesure que l'on se rapproche de la
racine
des^membres. Nous tenons enfin à attirer de nou
s médullaires ne sont que la conséquence de la dégé- nérescence des
racines
postérieures, elles ne diffèrent en rien de la sc
e : celle-ci persiste encore sur quelques éléments des nerfs ou des
racines
; en tout cas la dégénérescence wallérienne n'a
nt qu'on examine les nerfs périphériques, les troncs nerveux ou les
racines
, on est tout disposé à admettre qu'elle a débuté
à la péri- phérie pour s'étendre ensuite aux troncs nerveux et aux
racines
: les lésions sont plus marquées pour les nerfs
aux racines : les lésions sont plus marquées pour les nerfs et les
racines
des membres in- férieurs que pour ceux du tronc
éline au (1) Elle a été mentionnée une seule fois par Hayem sur les
racines
postérieures dans un cas d'atrophie musculaire
dans les tabes les plus anciens de trouver des dégénérescences des
racines
antérieures aussi marquées que dans la névrite
s n'avons ob- servé, tant dans les nerfs périphériques que dans les
racines
, une prolifé- ration conjonctive telle que cell
elles sont signalées des altérations des nerfs périphériques et des
racines
postérieures sans état hypertrophi- que, et des
ie simple des nerfs musculaires, l'intégrité des nerfs cutanés, des
racines
antérieures et des racines postérieures (sauf dan
ires, l'intégrité des nerfs cutanés, des racines antérieures et des
racines
postérieures (sauf dans la région dorsale,où el
contraire : pour Marinesco l'hypertrophie des troncs nerveux et des
racines
médullaires serait une conséquence de l'évoluti
: dans l'atrophie type Charcot- Marie, l'atrophie n'atteint pas les
racines
antérieures et c'est là encore une grande diffé
ntre la dure-mère et les arcs vertébraux ; la moelle, fixée par les
racines
et le ligament dentelé, est aplatie d'avant en
lé, est aplatie d'avant en arrière et coudée, comme élongée sur les
racines
par la saillie osseuse, On rapproche généraleme
sseux. Il en est de même des trous de conjugaison dans lesquels les
racines
sont, généralement, logées très à l'aise. Le pl
nt sur les côtés de la dure- mère, ces lésions peuvent agir sur les
racines
et sur la moelle. Très rapidement les racines s
peuvent agir sur les racines et sur la moelle. Très rapidement les
racines
sont englobées, parfois tiraillées ; au microsc
nstatée, parfois même avec altérations dégénératives, qui, pour les
racines
postérieures, ont été suivis, dans certains cas
urs signalent des altérations des gangiions rachidiens. L'étude des
racines
antérieures et des nerfs, après la compression, p
au niveau de la lésion osseuse, soit, sur les côtés, au niveau des
racines
, et la tuberculose ou l'inflammation se propage
les irrégulières, polymorphes, sans paroi ni lumière reconnaissables.
Racines
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIX
1 cm. 1/2) au niveau des 2° et 3° lombaires, et englobant plusieurs
racines
, surtout à gauche. Aucune adhérence entre la dure
sse- ment de leurs^parois. Canal épendymaire oblitéré. Sclérose des
racines
. Au- dessus et au-dessous de cette région, on t
a partie inférieure, deviennent une symphyse complète englobant les
racines
de la queue de cheval. La moelle présente partout
es 7e-10° segments dorsaux débordant sur les côtés et englobant les
racines
correspondantes. Au niveau des 8e et 9e racines
és et englobant les racines correspondantes. Au niveau des 8e et 9e
racines
, la moelle est légèrement aplatie d'avant en arri
mes externes sont enva- hies, les plus internes étant respectées.
Racines
sans lésion nette : la pie-mère présente sur la f
. du foyer, les méninges molles et leurs vaisseaux sont intacts : les
racines
sclérosées avec atrophie des gaînes de myéline
rtie antérieure (obs. V),l'étranglant latéralement (obs. VI). Les
racines
, au niveau du foyer, étaient atteintes de scléros
le foyer épidural était moins considérable, attei- gnait moins les
racines
et semblait, cliniquement et anatomiquement, de
apport, plutôt avec les altérations de la moelle qu'avec celles des
racines
. Le foyer épidural est, dans cas,localisé au ni
éaires, dans les méninges molles,avec propagation à l'intérieur des
racines
et de la moelle. Etant donné la présence de cellu
e Pott sacré sans signes rachidiens. - Englo- bement et lésions des
racines
, dilatation du canal épendymaire. Un homme de 3
res, peu volumineuses, disséminées au-devant de la dure-mère et des
racines
de la queue de cheval, remontant jusqu'aux derniè
aires. Histologiquement les lésions sont surtout radiculaires ; les
racines
englo- bées sont sclérosées, parfois d'une mani
des 2e et3* paires sacrées et remontant jusqu'à la 4° lombaire. Les
racines
antérieures des 5e lombaires et 18 dorsales son
La pie-mère est intacte, ses vaisseaux largement dilatés, ceux des
racines
, épaissis mais encore perméables. Dans la moe
ons de la queue de cheval. Englobement par des masses lardacées des
racines
lombaires et sacrées. En soulevant un cadre de
XXVI, fig. 3) des amas irréguliers de tissu lar- dacé englobant les
racines
lombaires et sacrées, irrégulièrement, à leur sor
es adhérences avec les méninges molles. Ces dernières englobent les
racines
de la queue de cheval, au-dessous[du cône termi
microscope, par un tissu d'inflammation banale et dis- crète. Les
racines
englobées présentent, à un degré variable, les lé
es de myéline et de leurs cylindres-axes, sclé- rose variable d'une
racine
à l'autre ; les ganglions présentent des cellules
veuses , dégénérescence des cordons pos- térieurs correspondant aux
racines
malades. Ces deux faits présentent un intérêt c
ent indiquer l'in- tégrité des premiers segments lombaires dont les
racines
étaient, cepen- dant, englobées par les masses
ue entre la clinique et l'anatomie pathologique : l'englobement des
racines
par des masses lardacées peut n'avoir occasionné
cupant l'espace épidural dans sa partie antérieure et englobant les
racines
cervicales inférieu- res, surtout à droite, dan
polymorphes, aplati d'avant en arrière, sans lumière ni parois. Les
racines
sont bien plus englobées par le tissu épidural
VIe vertèbres cervicales : foyer épidural comprimant nettement les
racines
el, à un degré plus léger. la moelle. Evolution
gnent un développement assez considérable et englobent les 5e et 6e
racines
; à droite, elles sont moins développées,entouren
à droite, elles sont moins développées,entourent incomplètement les
racines
. La face interne de la dure-mère est complètement
e cellules polymorphes, sans paroi ni lumière reconnaissables : les
racines
droites et l'antérieure gauche semblent saines ;
tuméfaction des cylindres-axes, désintégration de la névroglie : les
racines
gau- ches et les cellules nerveuses offrent les
, mais seulement plus légères. Partout ailleurs, la moelle et les
racines
sont saines : pas de lésions d'au- cune sorte ;
à gauche. Quelques fougosités semblables existent devant les VIIIe
racines
cervicales (pl. LXXVIII, fig. 2) ; la face inte
s se retrouvent, à un degré moindre, dans la moelle lombaire. Les
racines
postérieures du côté gauche présentent, au niveau
ns IX et X. QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 529 Les
racines
sont englobées dans les trois cas, elles présente
ues dégénératives d'intensité variable, mais plus marquées pour les
racines
postérieures.Il est difficile de dire exactement
st difficile de dire exactement quelle part revient aux lésions des
racines
et aux lésions des cellules motrices dans la path
ce dans l'observation X). A l'autopsie, en effet, l'englobement des
racines
paraît tout aussi marqué dans l'observation XI,
,dans l'observation IX les cellules des cornes antérieu- res et les
racines
sont altérées ; dans l'observation X les cellules
avec chromatolyse et pigmentation, lésions d'apparence banales; les
racines
antérieures, paraissent saines. Comment expliquer
on de dégénérescence musculaire observée cliniquement ? Quant aux
racines
postérieures, elles sont atteintes dans les trois
Dans l'espace épidural, foyer tuberculeux en activité, englobant les
racines
lombo-sacrées. Le foyer remonte plus haut que l
épaisseur minime et ne semble pas pouvoir comprimer notablement les
racines
ni les vaisseaux. Les méninges molles n'adhèrent
lombaire qui présente une ébauche de lésions dégénératives ; la 2e
racine
cervicale gauche est, de même, englobée dans un
uberculeuses se réduisant au foyer épidural et à, l'englobement des
racines
. Quelques fibres des cordons postérieurs dans la
ontenu dans un tissu de sclérose situé dans l'espace épidural ; les
racines
, englobées dans ce tissu semblent tiraillées, élo
ques élé- ments embryonnaires que dans les culs-de-sac méningés des
racines
englobées par la sclérose. Au niveau du foyer
édominance pour les zones radiculaires. En dehors de la moelle, les
racines
paraissent intactes. Cas. XIV (n° 870). Tubercu
moelle : ug. 2 face postérieure) deux masses lardacées englobant les
racines
et entourant presque complètement la moelle, qu
égères unissent les méninges molles à la dure-mère au niveau des 60
racines
dorsales (maximum du foyer épidural). Histologi
ion lombaire, légères lésions dégénératives au Pal et au Marchi des
racines
postérieures ; dans les cordons postérieurs, dégé
s de sang, et largement perméables ; en dehors de la dure-mère, les
racines
cor- respondantes à la lésion osseuse sont engl
se pro- page autour des vaisseaux à l'intérieur de la moelle et des
racines
. La moelle présente de légères lésions d'oedème
ros tubercule, entouré d'une coque fibreuse épaisse qui le fixe aux
racines
, incurve la moelle cervicale. en arc à concavit
arc à concavité antérieure, en l'élongeant en quelque sorte,sur ses
racines
. L'oedème médullaire est très net dans l'observ
les lésions semblent d'ailleurs être d'âge plus ancien. Lésion des
racines
. Elles sont toujours englobées par les lésions ép
s, pas notablement rétrécis par des fongosités ; la compression des
racines
semble se faire, le plus souvent, entre l'os et l
OPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 535 laires pouvent agir sur les
racines
; dans plusieurs cas, nous avons trouvé, englob
dans l'observation VIII, les signes indiquaient une compression des
racines
lombo-sacrées, alors que les lombaires supérieure
urées de masses lardacées. Dans le cas XIV l'autopsie montre les 6e
racines
cervicales enserrées dans un tissu de sclérose ;
me. ' L'examen histologique nous a montré des lésions variables des
racines
; tantôt, tuméfaction irrégulière des cylindres
s est difficile d'apprécier exactement l'importance des lésions des
racines
antérieures ; remarquons seulement que, dans l'ob
dans plusieurs des muscles innervés par le plexus sacré. Pour les
racines
postérieures qui, cependant, paraissent, d'ordina
en rapport, par leur siège et leur intensité, avec les lésions des
racines
. Les ganglions spinaux n'ont pu être examinés q
hérique comprend la cellule multipolaire de la corne antérieure, sa
racine
, le nerf périphérique et ses terminaisons muscu-
nductibilité. C'est des cellules du type inférieur que naissent les
racines
motrices dont l'ensemble représente, pour ainsi
corps genouillé externe devient comparable au noyau pontique de la
racine
sensitive du trijumeau, ou mieux encore, au noy
adrijumeau. Cette branche descendante serait alors l'analogue de la
racine
descendante du trijumeau, de la racine descenda
erait alors l'analogue de la racine descendante du trijumeau, de la
racine
descendante vestibulaire, etc., et posséderait vr
me venant des cornes antérieures de la moelle et qui se rendent aux
racines
postérieures ; car la bandelette est sensoriell
, qui n'est qu'une rétine intra-cérébrale. Ainsi que l'ensemble des
racines
motrice, constituerait un faisceau plus volumin
premier neurone. Ainsi que le trajet central du nerf auditif, de la
racine
sensitive du trijumeau, a, comme premier échelo
J.) et Roux (J.-C.). De l'influence de la section expérimentale des
racines
postérieures sur l'état des neurones pé- riph
à l'état pathologique et a l'état normal. Lésions tabétiques des
racines
médullaires (3 fig., 5 pl.), 211. NoïcA. Deux f
89. Roux et Heitz. De l'influence de la section expérimentale des
racines
postérieures sur l'état des neurones périphériq
oliose des adoles- cents (1 pl.), par BRISSAUD et Moutier, 129.
Racines
postérieures (de l'influence de la section expé
èpre (2 sch., 1 pl.), par GAUSSEL et A. Lévy, 454. Tabétiques des
racines
médullaires (lé- sions) (3 fig., 5 pl.), par Nn
e tardif et scoliose des adoles- cents (BRISSAUD et Moutier), XX.
Racines
postérieures (sections) (J.-C. Roux et J. HEiTz
stribution des troubles sensitivo-moteurs créés par des lésions des
racines
médullai- res ou des nerfs périphériques avec c
iphériques à disposition transversale; mais si la zone d'entrée des
racines
postérieures est aussi atteinte, à la topogra-
aphie longitudinale, radiculaire ; enfin si cette zone d'entrée des
racines
postérieures est la seule lésée, la dis- positi
douleurs qui sont ordinairement la signature de l'englobement des [
racines
par le pro- cessus méningé, on peut trouver des
myélie pouvait s'ex- pliquer par une lésion des fibres d'entrée des
racines
postérieures puisque la substance grise confine
e d'ailleurs cette lo- calisation de t'atrophie dans le domaine des
racines
les plus basses du groupe radiculaire inférieur
segment cervical médullaire et ayant entraîné une atrophie de la 8e
racine
cervicale droite. Mais le cas est d'interprétat
l lésé ; le malade présentait seulement une atrophie de la huitième
racine
cervicale correspondant à l'atrophie de l'émine
les nerfs destinés à l'éminence hypothénar passent par la première
racine
dorsale. Or cette racine est intacte dans l'obs
minence hypothénar passent par la première racine dorsale. Or cette
racine
est intacte dans l'observation de Prévost et l'in
t atrophié chez notre ma- lade le groupe musculaire innervé par les
racines
inférieures du plexus brachial. Cependant il no
l'innervation radiculaire. Thornburn par exemple attribue à la Vie
racine
cervicale le Biceps, le Deltoïde, le Long supinat
cervicale, les Fléchisseurs. Edinger au contraire attribue à la IVe
racine
cervicale le Deltoïde, le Biceps, le Long Supin
ec juste raison, un Pectoral claviculaire innervé par les Ve et VIe
racines
, un Pectoral cos- tal innervé par la VIF, divis
fait innerver les Radiaux et le Long Abducteur par les VIe et VII"
racines
, l'extenseur commun des doigts et l'extenseur pro
oigts et l'extenseur propre du pe- tit doigt par la VIF et la VI11°
racines
cervicales. Au cas de notre malade paraît le mi
e ce tableau ainsi : sont atrophiés les muscles innervés par la Ire
racine
dorsale, la VILLE racine cervicale, la VIIe rac
atrophiés les muscles innervés par la Ire racine dorsale, la VILLE
racine
cervicale, la VIIe racine cervicale, avec peut-êt
ervés par la Ire racine dorsale, la VILLE racine cervicale, la VIIe
racine
cervicale, avec peut-être participa- tion des m
ale, avec peut-être participa- tion des muscles innervés par la VIe
racine
cervicale, en un mot les muscles que l'on sait
epas un seg- ment, et ce segment n'est-il pas innervé par la Virile
racine
cervicale et la Ire racine dorsale ? La disposi
gment n'est-il pas innervé par la Virile racine cervicale et la Ire
racine
dorsale ? La disposition segmentaire parait donc
rand Dorsal et Grand Pectoral reçoivent des filets des vue et VIIIe
racines
cervicales, et d'autre part des lésions de la p
re une altération périphérique à dispo- sition radiculaire, car les
racines
antérieures paraissent sortir directement de la
supérieurs. L'impotence due à l'atrophie muscu- laire diminue de la
racine
du membre à la périphérie. L'analyse des mouve-
muscles des membres supérieurs et inférieurs en commençant par leur
racine
et avec une prédominance marquée aux membres infé
ive, la topographie de l'atrophie des membres qui a débuté par leur
racine
, les réactions électriques et l'absence de trem
nent normalement. Membres supérieurs. Très amaigris, surtout à leur
racine
; ils mesurent : Bras droit, 14 centimètres; ga
uée enfin au niveau du mollet. Elle est par suite prédominante à la
racine
des membres. ' Membre inf. gauche : 32 cuisse s
nente des avant-bras sur les bras. L'atrophie est prédominante à la
racine
des membres ; elle ne s'accompagne pas d'hypert
font avec facilité et énergie. En résumé, l'atrophie prédomine à la
racine
et sur le groupe des extenseurs d'un segment su
s le jeune âge, la marche progressive à début par les muscles de la
racine
des membres, les caractères si particuliers de ce
la description classique. Elle est du type juvénile, à début par la
racine
des quatre membres, sans participation de la fa
la myopathie est caractérisée par la prédominance de l'atrophie à la
racine
UNE 1111'OP1'IllIE AVEC RÉTRACTIONS FAMILIALES
spéciale des jambes. Il y a d'abord un contraste frappant entre la
racine
et l'extrémité des membres, entre la jambe très
ambe la malade dit : c'est chaud. Si on applique le même corps sur la
racine
de la cuisse, la malade dit : ça brûle ; elle r
température, d'autant plus chaud, que l'on remonte davantage vers la
racine
de la cuisse. Pour les corps froids c'est absol
surtout une polynévrite qui respecte d'une façon si éton- nante la
racine
des membres et produit celte amyotrophie en jarre
pour la distribution de l'amyotro- phie, c'est qu'elle respecte la
racine
des membres et s'arrête souvent net- tement au
quelques cas, les troubles objectifs diminuent de l'extrémité à la
racine
, et s'arrêtent assez nettement au niveau de la dé
e extrême à l'envahis- 60 SOCA sèment, peut-être incipient, de la
racine
des membres inférieurs, ce cas prouverait, et c
) qui prolonge le cône ter- minal, et par le paquet que forment les
racines
des 4 dernières paires lombaires et des paires
es 4 dernières paires lombaires et des paires sacrées. Ce paquet de
racines
est connu sous le nom de queue dn cheval. Voire
concevrez sans peine qu'une affection intéressant l'en- semble des
racines
de la queue de cheval se traduira par des phénomè
ines indiquent la lon- gueur du trajet intra-vertébral des 4° et 5»
racines
lom- baires et des.racines sacrées. Les chiff
de la moelle. Q. queue de cheval. F. filum terminale. D. L. 8,
racines
dor- sales, lombaires et sa- crées. 84 RAYM
où une lésion siégeant dans le segment médullaire dont émanent ces
racines
, a désorganisé leurs cen- tres spinaux. Vous
le canal lombo-sacré : autrement dit, elle doit intéresser, soit les
racines
du plexus sacré, soit la portion ? du névraxe,
nes du plexus sacré, soit la portion ? du névraxe, dont émanent ces
racines
. Nous aurions donc affaire à une affection de l
du nerf sciatique, elle nous autorise à con- clure que, seules, les
racines
les plus inférieures de la queue de cheval ou l
d'admettre l'existence de lésions irritatives (méningo-myélite) des
racines
ou du centre qui interviennent dans sa producti
ue les lésions remontent jusqu'au troisième segment lombaire ou aux
racines
qui en émanent. Chez notre malade, nous avons c
mes symptômes pourront dépendre de la lésion d'un certain nombre de
racines
spinales ou de la lésion des centres spinaux qui
la lésion des centres spinaux qui sont les origi- nes de ces mêmes
racines
. Donc, en présence d'un cas pathologique comme
de savoir si l'affection en cause implique seulement une lésion des
racines
du plexus sacré, ou une lésion du segment corresp
rtis du canal rachidien. Il intéresse donc une partie seulement des
racines
de la queue de cheval, celles qui vont constitu
sacré et sacro-coccy- gien. Ainsi que vous le montre la figure, ces
racines
tirent leur origine de la portion de la moelle,
lifierons de radiculaire parce qu'elle intéresse exclusivement les
racines
de la queue de cheval ? . a) Tout d'abord nou
inale. Une affection qui intéresserait, à ce niveau, l'ensemble des
racines
de la queue de cheval ou seulement les plus super
rachidien. Or une lé- sion, située à ce niveau, et intéressant les
racines
de la queue de cheval, ne peut guère rendre com
mbaire et dans le cône terminal, s'est compliquée d'une névrite des
racines
spinales corres- pondantes. f) Le siège des d
observée dans des cas où une lésion inté- ressait exclusivement les
racines
de la queue de cheval. Elle n'a donc qu'une val
lombaire et du cône terminal; mais selon toute probabilité aussi, les
racines
qui émergent de cette portion de la moelle sont
'a présenté ni fracture, ni gros renfoncement, ni ostéite. Mais les
racines
de la queue de cheval sont atrophiées et de teint
de la grosseur d'une olive ; mais ce caillot n'est pas adhérent aux
racines
qui ne sont donc pas en, globées par lui. A son
ri- des fibreuses se poursuivent dans les trous de conjugaison. Les
racines
rachidiennes sacrées sont rougeâtres, épaissies
e dégénérescence très prononcée et des cordons posté- rieurs et des
racines
postérieures sacrées avant leur entrée dans la mo
dans la moelle. On peut donc affirmer que la lésion a porté sur les
racines
de la queue de cheval avant leur entrée dans le
soit par un enfoncement du sacrum. Un examen par coupes sériées des
racines
sacrées permettra de voir si le traumatisme n'a p
ettra de voir si le traumatisme n'a pas causé un arrachement de ces
racines
. Le résultat complet de cet examen histologique
'une lésion intra-spinale et en faveur d'une simple compression des
racines
qui émergent de la portion la plus inférieure ' 1
ure, une luxation de vertèbre, qui donne lieu à une compression des
racines
de la queue de cheval, au niveau ou au-dessous
i prédomine sur les membres (p. 550) augmen- tant d'intensité de la
racine
aux extrémités, ce qui concorde avec la notion qu
actiles cutanées, articu- laires et tendineuses, véhiculées par les
racines
postérieures, et nous rensei- gent sur l'orient
une altération périphérique à disposition radiculaire, puisque les
racines
antérieures paraissent provenir par un trajet d
une bande antéro-postérieure allant de la ré- gion occipitale à la
racine
de la tumeur, sur une longueur de 12 centimètres,
on sur une vie biologique préala- blement harmonisée, qui avait des
racines
profondes dans ces deux orga- nismes différents
r- don et Luys (1861) avaient attiré l'attention sur l'atrophie des
racines
pos- térieures que Vulpian mit plus tard en'rel
l- laires correspond très exactement au trajet intra-médullaire des
racines
postérieures, trajet établi par l'étude des dég
dégénérescences secondaires consécutives aux lésions primitives des
racines
postérieures, par la patho- logie expérimentale
ho- logie expérimentale, et par l'embryologie, - on reporta sur les
racines
postérieures la systématisation qui avait été r
t la lésion fondamentale du tabes devint une atrophie primitive des
racines
postérieures. ' C'était cependant là une form
ne sont pas seu- lement les cordons postérieurs de la moelle et les
racines
postérieures qui sont atteints dans le tabes; i
aires, articulaires; le sympathique (Roux), etc... L'atrophie des
racines
postérieures, elle-même, devait être interprétée
dien, soit à une lé- sion étroitement localisée sur le trajet de la
racine
? Dans la plupart des recherches qui ont eu pou
ich, Nageotte) : elle serait susceptible de produire l'atrophie des
racines
en les étranglant à leur entrée dans la moelle
celui de la névrite ascendante qui du nerf périphérique remonte aux
racines
et à la moelle. Quoi qu'il en soit, l'atrophie
onte aux racines et à la moelle. Quoi qu'il en soit, l'atrophie des
racines
postérieures occupe encore une place prépondéra
ant d'un matériel assez considérable, nous avons repris l'étude des
racines
postérieures, dans leur trajet intra et juxtagang
e schéma anatomique du ganglion spinal. Interposé sur le trajet des
racines
posté- rieures, le ganglion constitue une petit
ongée suivant un axe transversal, effilée à ses deux extrémités. La
racine
postérieure l'aborde par son extrémité ou pôle
ortie ou émergence du pôle ganglionnaire, s'accoler et se mêler aux
racines
antérieures, pour former avec elles le nerf pér
n considère ces dernières fihres comme appartenant t au système des
racines
postérieures au même titre que celles qui s'éten-
st conduit à diviser au point de vue topographique le trajet de ces
racines
en trois portions : une portion sus- ganglionna
us-ganglionnaire très courte qui s'arrête au point d'union avec.les
racines
antérieures. Avant d'aborder le résultat de nos
urons à employer, de rap- peler en quelques mots les rapports de la
racine
postérieure avec les mé- ninges. A ce point d
la racine postérieure avec les mé- ninges. A ce point de vue, la
racine
postérieure peut être divisée en trois seg- men
chnoïde (feuillet viscéral) et la dure-mère se réfléchissent sur la
racine
postérieure : ses faisceaux chemi- nent alors à
sse en ces deux feuillets qui tendent à se confondre pour former la
racine
une enve- loppe commune. Dans ce troisième segm
15 millim.) qui s'étend du cul-de-sac arachnoïdien au ganglion, la
racine
est entourée d'une gaine fibreuse unique consti
n et le bout périphérique (névrilemne). , C'est cette portion de la
racine
postérieure, dénommée par Nageotte le nerf radi
sions interstitielles constantes dans le tabes. D'autre part, la
racine
est dans son épaisseur subdivisée en faisceaux
her aux termes de périnévrite et de endonévrite. Si l'on examine la
racine
posté- Fig. 1.. rieuresur des coupes transver
ifications se font assez brusquement dans la dernière portion de la
racine
, et sur un trajet de quelques millimètres seuleme
ngainés chacun d'un périnèvre. Par suite, la surface occupée par la
racine
postérieure s'accroît insensiblement au voisinage
on. Nous devons ajouter qu'il y a des variations nombreuses. Ici la
racine
postérieure commence à se dissocier assez haut,
s fibres. Après leur pénétration dans le ganglion, les fibres de la
racine
posté- rieure restent encore sur une certaine l
rique et quitte le ganglion pour se réunir bientôt aux fibres de la
racine
antérieure. Cette brève revue anatomique des ra
ux fibres de la racine antérieure. Cette brève revue anatomique des
racines
postérieures dans leur trajet juxta et intra-ga
eut étudier à la fois et le ganglion et les portions attenantes des
racines
au moyen de coupes longitudinales. Ces coupes o
ablement orientées, de placer à la fois sous les yeux le trajet des
racines
antérieures, celui LÉSIONS RADICULAIRES ET GANG
es, celui LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 295 des
racines
postérieures, et le parenchyme ganglionnaire. Ell
bien orienté la pièce. Le mieux est de séparer le ganglion avec les
racines
attenantes et de le sec- tionner à l'état frais
de façon que le plan de section passe à la fois par les troncs des
racines
antérieure et pos- térieure et du nerf périphér
les coupes perpendiculaires sériées sont, pour l'étude spéciale des
racines
, préférables. Elles permettent en effet, d'exam
parerplus sûrement ces altérations dans les différents segments des
racines
et du ganglion. C'est pourquoi Nageotle conseil
on que l'on puisse pratiquer des coupes transversales sériées de la
racine
et du ganglion. 2° Méthodes de fixation et de c
ébités en coupes perpendiculaires à l'axe et en série ainsi que les
racines
postérieures, depuis leur entrée dans le sac dura
usqu'au delà du ganglion. Dans tous ces examens, l'atrophie de la
racine
postérieure a pu être sui- vie sur toute la lon
dans le ganglion. Trajet sus-ganglionnaire. Dans plusieurs cas les
racines
postérieures se rendent directement dans le gan
ganglionnaire qui remontent plus ou moins haut sur le trajet de la
racine
postérieure; la gaine dure-mérienne des racines p
sur le trajet de la racine postérieure; la gaine dure-mérienne des
racines
posté- rieures et l'arachnoïde sont généralemen
ans l'in- térieur de l'organe. Dans la traversée du ganglion, les
racines
se comportent différemment au pôle central et a
emment au pôle central et au pôle périphérique. Au pôle central les
racines
sont très atro- phiées, elles sont au contraire
était partiellement atrophié. Examen histologique. L'atrophie de la
racine
postérieure est due la la disparition ou à l'am
se rendre un compte exact de l'état du cylindre-axe. Sur plusieurs
racines
, et plus particulièrement au niveau de leur pénét
disséminés ; ces éléments sont trop peu nombreux pour comprimer les
racines
. ' ' La dure-mère est épaissie, de même que les
moins dense ; cependant sur quelques coupes on distingue entre les
racines
et les gaines conjonctives, un tissu d'apparenc
du ganglion et ne remonte pas sur le trajet sus-ganglionnaire de la
racine
postérieure. De même dans quelques cloisons int
à paroi fibreuse ex- trêmement épaisse, ayant refoulé en dehors la
racine
postérieure, ne contenant ni exsudât, ni amas n
es vaisseaux paraissent plus nombreux et sont gorgés de sang. Les
racines
antérieures sont saines. L'examen du premier ga
maléine-éosine, donne des indications intéressantes. L'atrophie de la
racine
postérieure peut être encore suivie sur toutes
arachnoïdien ou un peu au-dessous les fascicules qui constituent la
racine
postérieure sont extrêmement grêles, entortillés
au picro-carmm en masse. (Zeiss Obj. D. Oc. 2.) Un fascicule de la
racine
postérieure au voisinage du ganglion. Le périnè
ertrophiées. Dans le ganglion les vaisseaux ne sont pas malades. La
racine
antérieure est normale. Observation II. Gilla
es sé- riées, perpendiculairement à leur grand axe et au trajet des
racines
. Quelques- uns cependant ont été coupés dans le
de façon à présenter sur une même coupe l'entrée et la sortie de la
racine
postérieure. Pour les ganglions de la région ce
vue dans cet exposé : 1° La topographie des lésions atrophiques des
racines
postérieures ; 2° L'histologie fine de ces lési
lésions radiculaires. Région dorsale infé- rieure. - L'atrophie des
racines
postérieures existe dans le bout sus-ganglion-
l du ganglion. Elle paraît même plus accentuée, pour les 10e et ]le
racines
postérieures, au voisinage immédiat, qu'à une c
une certaine distance du ganglion. Avant d'aborder le ganglion, les
racines
postérieures se divisent en un cer- 304 THOMAS
ctif interstitiel entre leurs fibres. Les vaisseaux inclus dans les
racines
postérieures sont nombreux ; leurs parois sont
tion se subdivisent pour rayonner ensuite dans le parenchyme. Les
racines
antérieures sont dans leur parcours juxta-ganglio
e absolu- ment normales. Région dorsale moyenne. - L'atrophie des
racines
postérieures existe à un degré analogue. On voi
à un degré analogue. On voit également au voisinage du ganglion ces
racines
se dissocier en fascicules bien isolés, mais sa
sent à ce niveau un peu plus grêles. Les enveloppes méningées de la
racine
postérieure sont à peine épais- sies. Les vaiss
usque dans le ganglion au point où les fibres se disséminent. Les
racines
antérieures restent partout intactes. Région do
coupes longitudinales du 2e ganglion dorsal permettent de voir les
racines
postérieures à la fois dans leur portion sus et
s fibres altérées; par contre la majeure partie du ganglion, et les
racines
posté- rieures à leur sortie sont indemnes, ain
s racines posté- rieures à leur sortie sont indemnes, ainsi que les
racines
antérieures sur tout leur trajet. L'atrophie
que les racines antérieures sur tout leur trajet. L'atrophie des
racines
postérieures jusque dans le ganglion ressort enco
région. Les méninges sont généralement un peu épaissies autour des
racines
posté- rieures et l'inflammation porte sur leur
ation porte sur leurs différents feuillets. A ce point de vue la 3°
racine
dorsale est normale au voisinage du ganglion. Ce
n de cette atrophie. Nulle part on ne voit non plus les fibres de
racines
postérieures séparées par un tissu conjonctif p
conjonctif plus abondant qu'à l'état normal. Région lombaire. - Les
racines
postérieures dans leur portion sus-gan- glionna
njonctive interstitielle, lésions vasculaires, etc. L'intégrité des
racines
antérieures est complète. Région cervicale. Il
Région cervicale. Il n'existe nulle part de lésion appréciable des
racines
postérieures. La méthode de Marchi employée pou
D'une façon générale, aux régions lombaire et dorsale, l'atrophie des
racines
postérieures se poursuit jusqu'au ganglion, et
Plus loin, à leur sortie du pôle périphérique, avant leur union aux
racines
antérieures, elles ont repris leurs caractères
lion ; toutefois à l'inverse de ce qui semble la règle, les love-11
racines
dorsales sont plus atteintes au voi- sinage imm
s. Sur des coupes transversales, les fascicules qui constituent les
racines
postérieures ont un aspect général moins homogè
roximité et à distance du ganglion. Les vaisseaux contenus dans les
racines
postérieures sont généralement lésés : leurs tu
sies et hyalines ; ils sont peut-être aussi plus nombreux. Dans les
racines
antérieures au contraire les vaisseaux paraissent
altérations (épaississement et transformation hyaline) que dans les
racines
postérieures. Résumé. - L'examen de ce cas nous
racines postérieures. Résumé. - L'examen de ce cas nous montre les
racines
postérieures atro- phiées dans leur portion sus
ns vasculaires et d'un léger épaississement des méninges autour des
racines
postérieures, mais nulle part on ne rencontre u
par eux que nous commence- rons cette étude. Dans tous les cas,la
racine
postérieure est atrophiée sur tout son trajet, ju
ue dans le ganglion (fig. 5). Dans sa portion sus-ganglionnaire, la
racine
posté- rieure est en- général difficile à suivr
issement considéra- ble des cloisons conjonctives qui dissocient la
racine
postérieure en fascicules d'autant plus nombreu
mère et la capsule ganglionnaire (au niveau de la pénétration de la
racine
postérieure) sont extrêmement épaissies. Malgré
t par des tractus con- jonctifs. Dans la traversée du ganglion, les
racines
postérieures se comportent très différemment su
le pôle central ou le pôle périphéri- que. Dans le pôle central les
racines
sont au moins aussi atrophiées que dans leur tr
cée du pôle périphérique. Dans leur portion sous-ganglionnaire, les
racines
sont absolument normales. Le tissu interstitiel
ÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 309 L'atrophie de la
racine
postérieure est due à la disparition d'un nombre
ort grossissement, on voit s'amincir leurs Dans le bout central aes
racines
postérieures et le poie centrai uu ganglion les u
à l'autre extrémité du ganglion et dans le bout périphérique de la
racine
(rp b.p). Racine antérieure normale. I'ig. 5. -
noyaux allongés ; ceux-ci paraissent beaucoup plus nombreux sur la
racine
postérieure que sur la racine antérieure, cette a
aissent beaucoup plus nombreux sur la racine postérieure que sur la
racine
antérieure, cette apparence est due en partie a
partie au tassement et au rapprochement des fibres atrophiées dans la
racine
postérieure, mais il y a là plus qu'une apparen
rence, et il est évident que les noyaux sont plus nombreux dans les
racines
postérieures que dans les racines antérieures.
noyaux sont plus nombreux dans les racines postérieures que dans les
racines
antérieures. Quant il l'état du cylindre-axe, i
les engaine quelquefois de si près : de sorte que l'atrophie de la
racine
postérieure se pré- sente comme une atrophie si
phie simple, sans endonévrite. La portion juxta-ganglionnaire de la
racine
postérieure est particulièrement intéressante p
es, d'o- rientation très variée surtout dans la profondeur vers les
racines
. Les vaisseaux y sont assez généralement nombre
loisons sont très irrégulièrement dis- tribuées sur le trajet de la
racine
postérieure et orientées sans ordre, ce qui exp
s sans ordre, ce qui explique la course irrégulière et sinueuse des
racines
postérieures. Mais ce n'est pas tout : entre le
nueuse des racines postérieures. Mais ce n'est pas tout : entre les
racines
postérieures et les gaines fibreuses formant le
é décrits précédemment. Voyons maintenant les rapports généraux des
racines
postérieures avec la dure-mère et les cloisons
a'. Oc. 2.) 5e ganglion lombaire au voisinage de la pénétration des
racines
postérieures. Diminution du nombre des fibres à
ngés. Sur quelques fascicules la gaine est directement accolée sur la
racine
sans espace libre entre eux, sur d'autres l'acc
sur d'autres l'accolement est moins intime. A part l'atrophie de la
racine
postérieure qui peut être poursuivie jusque dans
ons sont bien peu de chose à côté des altérations considérables des
racines
postérieures. Nous n'insisterons pas sur la pig
couvre exceptionnellement quelques petits amas embryonnaires. Les
racines
antérieures correspondantes ne sont pas atrophiée
gaine est épaissie, les noyaux souvent proliférés au contact de la
racine
; ce sont des noyaux arrondis ou allongés ; il
uelques amas nucléai- res, disposés en long, dans l'intérieur de la
racine
; ces altérations apparais- sent le plus souven
nt intensivement et elles ont conservé leur calibre. Les 6e et 8e
racines
cervicales sont saines ; cependant sur le trajet
sont saines ; cependant sur le trajet supra- ganglionnaire de la 8°
racine
cervicale, le périnèvre des fascicules et le tiss
glionnaire (portion intra- arachnoïdienne et région de Nageotte) la
racine
postérieure n'est pas mani- festement atrophiée
t atrophiée. Dans le trajet ganglionnaire et sous-ganglionnaire, la
racine
postérieure est absolument normale. En réalité,
x des gaines de Schwann sont un peu plus nombreux par places sur la
racine
postérieure, au-dessus du ganglion. Le gangli
Dans la portion sus-ganglionnaire et le pôle central du ganglion la
racine
pos- térieure est légèrement atrophiée; elle co
épaissie, volumineuse, hya- line. Ganglion normal. Autour de la
racine
antérieure, il existe des lésions de périnévritc
ions de périnévritc analogues à celles qui ont été décrites pour la
racine
postérieure, mais elles sont moins intenses et
- Quatrième ganglion lombaire gauche (coupé longitudinalement). La
racine
postérieure est atrophiée dans sa portion sus-gan
. Au-dessus les méninges ne sont pas très malades. L'atrophie de la
racine
postérieure n'est pas très accentuée, elle contie
grand nombre de fibres à myéline. Le parenchyme ganglionnaire et la
racine
antérieure sont normaux. Cinquième ganglion lom
ganglion lombaire gauche (coupé transversalement). L'atrophie de la
racine
postérieure peut être suivie sur toutes les coupe
pôle périphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, la
racine
postérieure est normale. L'atrophie n'est pas t
ibres à myéline. Les noyaux sont plus nombreux sur les coupes de la
racine
posté- rieure que sur celles de la racine antér
reux sur les coupes de la racine posté- rieure que sur celles de la
racine
antérieure. Les méninges sont épaissies, et en
s sont oblitérés, plusieurs ont subi la dégénérescence calcaire. La
racine
anté- rieure est également entourée d'un périnè
ème ganglion lombaire droit (coupé longitudinalement). (Fig, 6). La
racine
postérieure est très atrophiée dans toute sa port
ue et au- dessous du ganglion elle est normale. L'atropliie de la
racine
postérieure est due à la disparition de la plupar
psulaires, les autres des amas embryon- naires. Sur le trajet de la
racine
antérieure, au niveau de la région de Nageotte,
des, leur lumière rétrécie, quelques-uns oblitérés ; malgré cola la
racine
.antérieure n'est nullement dégénérée. Ces lésions
énérée. Ces lésions ne descendent pas au-dessous du ganglion. Les
racines
postérieures sont remarquables par l'abondance de
d à une dégénération intense des fibres radiculaires. A côté, les
racines
antérieures saines paraissent beaucoup plus pâles
(Zeiss. Obj. a'. Oc. i.) A. - 4e ganglion lombaire droit. Coupe des
racines
antérieure et postérieure immédiatement avant l
ieure immédiatement avant leur pénétration dans le ganglion, ' La
racine
postérieure est subdivisée en un grand nombre de
isparu. Lésions conjonctives : épinévrite et périnévrite intense. Les
racines
antérieures, en haut sur la figure, sont saines
ines antérieures, en haut sur la figure, sont saines. 13. - Mêmes
racines
à leur sortie, au-dessous du ganglion. Tout à f
ortie, au-dessous du ganglion. Tout à fait normales, aussi bien les
racines
pustérieures (à droite), que les racines antérieu
ait normales, aussi bien les racines pustérieures (à droite), que les
racines
antérieures. Ces deux coupes montrent combien d
antérieures. Ces deux coupes montrent combien diffère l'aspect des
racines
postérieures avant et après leur LÉSIONS RADICU
mbaire droit (coupé perpendiculairement) (PI.XL, fig. A et B). La
racine
postérieure est atrophiée dans toute sa portion s
rès riche en faisceaux fibreux. Dans le pôle central du ganglion la
racine
postérieure est également atrophiée, tandis que
lionnaire elle redevient absolument normale. Sur les coupes de la
racine
postérieure, on remarque que la plupart des fib
par places. Immédiatement au-dessous du cul-de-sac arachnoïdien, la
racine
postérieure est engainée par un tissu d'aspect
es altérations de péri- névrite. Le ganglion est normal. Sur la
racine
antérieure, il existe des altérations très nettes
cervical droit (coupes longitudinales). Atrophie très légère de la
racine
postérieure dans sa portion sus-ganglion- naire
ux de la gaine de Schwann un peu plus nombreux. A ce niveau même la
racine
postérieure est entourée d'une gaine fibreuse t
lcaire. Le parenchyme du ganglion est normal. Sur le trajet de la
racine
antérieure il existe des altérations semblables à
il existe des altérations semblables à celles qu'on observe sur la
racine
postérieure, c'est-à-dire des lésions de péri-
ématoxyline et l'éosine, par le carmin. Sur tous ces ganglions la
racine
postérieure est atrophiée dans toute sa lon- gu
anglionnaire et notamment au-dessous du cul-de-sac arachnoïdien, la
racine
postérieure suit un trajet irrégulier en raison
qui se détachent de la capsule ganglionnaire de l'épinèvre et de la
racine
pos- térieure. Le pôle central du ganglion co
pôle périphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, les
racines
postérieures sont normales. L'atrophie des raci
lionnaire, les racines postérieures sont normales. L'atrophie des
racines
postérieures est due à l'amincissement et à la di
rveuses ne paraissent pas en général sensiblement atrophiées. Les
racines
antérieures sont normales. Un ganglion et ses r
phiées. Les racines antérieures sont normales. Un ganglion et ses
racines
ont été coupés transversalement et par série. S
été coupés transversalement et par série. Sur toutes les coupes, la
racine
postérieure paraît nettement atrophiée. Dans LÉ
complètement décolorés. Au-dessous du cul- de-sac arachnoïdien, la
racine
antérieure et la racine postérieure sont divisées
Au-dessous du cul- de-sac arachnoïdien, la racine antérieure et la
racine
postérieure sont divisées en de nombreux fascic
isons conjonctives, mais tandis que les fascicules appartenant à la
racine
antérieure contiennent des fibres bien colorées
t presque complètement défaut dans les fascicules appartenant il la
racine
postérieure. Les cloisons forment d'épais anneaux
jusqu'au ganglion, Epaississement de l'enveloppe conjonctive de la
racine
(épinévrite). - Ilyperplasie du tissu conjoncti
n pleine activité. où, dans les coupes passant par l'entrée de la
racine
postérieure et par le pôle médullaire, les fibr
rares. Dans le reste du gan- glion et à leur pôle périphérique, la
racine
postérieure est certes plus riche en fibres à m
à myéline, malgré cela celles-ci sont moins nombreuses que sur une
racine
normale, et dans son trajet sous-ganglionnaire la
ue sur une racine normale, et dans son trajet sous-ganglionnaire la
racine
postérieure paraît à peu près saine. Dans la
T HAUSER l'hématoxyline, permettent de distinguer à la limite de la
racine
et de sa gaine fibreuse, un grand nombre de noy
iminué et ceux qui persistent sont très petits. Les vaisseaux des
racines
et des travées conjonctives sont malades, leur pa
es cellules conjonctives, les travées qui séparent les fascicules des
racines
postérieures à leur sortie du ganglion sont épa
sont abon- dants ; ils le sont également autour des vaisseaux. La
racine
antérieure paraît également infiltrée de noyaux d
oxyline-éosine. 2° ganglion sacré (Coupes transversales sériées des
racines
postérieures et du ganglion). Les fibres radi
l est aussi régulière, aussi intense que d'habitude. Les fibres des
racines
antérieures sont absolument saines. Cette absen
su conjonctif et des méninges. La dure-mère est épaissie autour des
racines
antérieures et postérieures. Les fascicules de
utour des racines antérieures et postérieures. Les fascicules de la
racine
antérieure sont entourés d'un périnèvre fibreux
nt entourés d'un périnèvre fibreux épais. La gaine pie-mérienne des
racines
postérieures est le siège d'un processus inflam
-carmin. Zeiss. Obj. A2, Oc.l. Epaississement de la gaine piale des
racines
postérieures, dont les fibres plus disso- ciées
ion on voit la réaction inflammatoire interstitielle augmenter. Les
racines
postérieures se subdivisent en nombreux fascicu
e par places par de gros tractus fibreux.La surface occupée par les
racines
posté- rieures devient très considérable,'par r
osté- rieures devient très considérable,'par rapport à la coupe des
racines
antérieures. Enfin les vaisseaux y sont pour la
rs tuniques. A leur émergence du pôle périphérique du ganglion, les
racines
postérieures sont compactes et homogènes, il n'
n lombaire. - Les 3 ganglions ont été coupés longitudinalement. Les
racines
postérieures sont complètement indemnes, sauf que
itudinales des 1 ? 3°, o°, 1 le et 12" dorsales, le ganglion et les
racines
postérieures ne présentent aucune altération no
pu entraîner un bouleversement complet des fibres ner- veuses de la
racine
postérieure sur une certaine longueur.Sur les cou
rieure sur une certaine longueur.Sur les coupes trans- versales des
racines
un peu au-dessus du ganglion, on voit à la place
oloration par la méthode de Pal. (Zeiss Obj. 0 var, Oc. 1.) A. - 8e
racine
dorsale. Coupe transversale au-dessus du ganglion
terstitielles. Les méninges sont très épaissies, surtout autour des
racines
postérieures (r). B. - Mêmes racines sectionnée
épaissies, surtout autour des racines postérieures (r). B. - Mêmes
racines
sectionnées plus près du ganglion. Les fibres d
. - Mêmes racines sectionnées plus près du ganglion. Les fibres des
racines
postérieures (rp) sont refoulées et dissociées pa
a retrouvons d'ailleurs avec les mêmes caractères sur le trajet des
racines
postérieures du 10r ganglion dorsal. Sur ce gan
eut voir qu'il existe, un peu au-dessus du point de pénétration des
racines
postérieures, et à la périphérie un petit espac
yline. Inclusion à la paraffine. Dans tous les cas l'atrophie de la
racine
postérieure existe dans toute la portion sus-ga
a portion sous-ganglionnaire. Dans sa portion sus-ganglionnaire, la
racine
postérieure suit un. trajet ex- trêmement irrég
2 THOMAS ET HAUSER Dans le pôle central du ganglion, l'atrophie des
racines
postérieures se voit encore nettement, mais sur
lle est moins accentuée que dans la portion sus-ganglionnaire. La
racine
postérieure n'est plus représentée que par des ga
ellules nerveuses ne pré- sentent pas d'altération manifeste. Les
racines
antérieures sont saines. Sur les coupes de la 8
ste. Les racines antérieures sont saines. Sur les coupes de la 8°
racine
dorsale, on voit très nettement des fascicules
par le picrocarmin en masse ; les premières coupes passent par les
racines
à leur pénétration dans le sac durai, les der-
cines à leur pénétration dans le sac durai, les der- nières par les
racines
au-dessous du ganglion, avant leur réunion et la
nglion, avant leur réunion et la consti- tution du nerf mixte. La
racine
postérieure est atrophiée dans la portion sus-gan
u ganglion. Un peu au-dessus de sa pénétration dans le ganglion, la
racine
postérieure est dissociée en plusieurs fascicules
nucléaire. Les méninges sont légèrement épaissies. L'atrophie de la
racine
postérieure est due à l'amincissement et à la dis
hérie ni à l'intérieur de chaque fascicule. Parmi les vaisseaux des
racines
, quelques-uns sont hyalins, mais leur paroi n'e
s. Dans le pôle périphérique et la portion sous-ganglionnaire de la
racine
pos- térieure, il n'y a à signaler qu'un petit
dement et succombe. Examen anatomique. - Quatre ganglions, avec les
racines
correspon- dantes, ont été examinés : deux gang
; un ganglion est cou- pé longitudinalement. Dans tous ces cas, la
racine
postérieure est atrophiée dans son trajet sous-
ure est atrophiée dans son trajet sous-arachnoïdien, mais sur la 6°
racine
dorsale, l'atrophie di- minue et disparaît en r
ouve pas à leur périphérie d'altération netle de périnévrite. La 7°
racine
dorsale est très dissociée et creusée par une cav
ner- veuses y sont plus grêles ; en outre sur toute l'étendue de la
racine
coupée longitudinalement, on remarque que la du
noyaux sont plus nombreux dans la ra- cine postérieure que dans la
racine
antérieure. Les vaisseaux ne présentent pas d'a
rs cellules prolifé- rées. Les vaisseaux ne sont pas malades. Les
racines
antérieures sont normales. Observation X. Lel
t minime ou nulle dans les segments sus-ganglion- naires des 4 ? 2°
racines
lombaires droites, et 2° lombaire gauche, elle es
contraire très prononcée au voisinage du ganglion sur les 31, li", 50
racines
lom- baires. 30 Lombaire gauche. - Les coupes
. - Les coupes longitudinales du 3e ganglion lombaire gauche et ses
racines
antérieures et postérieures adjacentes, montrent
rophie se poursuit sur une notable longueur (environ 1 cent.) de la
racine
avec la même intensité ; la racine antérieure e
longueur (environ 1 cent.) de la racine avec la même intensité ; la
racine
antérieure est normale sur la partie correspondan
e de son trajet. Un manchon méningitique assez épais enveloppe la
racine
postérieure ; il est fibreux à sa périphérie, m
ques épaisses et hyalines. On ne voit pas ce tissu pénétrer dans la
racine
postérieure qui reste presque indivise avant d'
nglionnaire périphérique sont normales et s'unissent aux fibres des
racines
antérieures pour constituer un nerf périphériqu
uable ; une coque extrêmement épaisse étrangle les fascicules de la
racine
postérieure et la racine antérieure est elle-même
ment épaisse étrangle les fascicules de la racine postérieure et la
racine
antérieure est elle-même entourée d'une zone in
uelques tractus épais qui pénètrent entre les fascicules. Dans la
racine
postérieure, l'inflammation ne s'arrête pas à la
ciale. Dans la portion correspondante de leur trajet les fibres des
racines
anté- rieures restent normales, malgré le proce
moins franche- ment colorées dans le segment sus-ganglionnaire des
racines
postérieures ; leur diminution, leur teinte ter
n en masse dans le piCl'oca>'11Ûn. - Zeiss. Obj. AA, Oc. 1. 4e
racine
lombaire. Coupe transversale. A gauche coupe de
. 1. 4e racine lombaire. Coupe transversale. A gauche coupe de la
racine
antérieure normale. A droite la racine postérieur
ersale. A gauche coupe de la racine antérieure normale. A droite la
racine
postérieure très dégénérée est dissociée en nom
appellent plutôt la coupe d'un cylindraxe sont en petit nombre. Les
racines
antérieures et postérieures sont accolées en cano
cune d'elles, avec une épaisseur beaucoup plus considérable pour la
racine
posté- rieure. La dure-mère et les méninges m
médiatement voisines du ganglion. Non seulement l'épinèvre forme à la
racine
une coque épaisse, mais des grosses travées fib
ect n'apparaît d'ailleurs que tout près du point de pénétration des
racines
. La structure est fibreuse pour la couche périp
a dégé- nérescence hyaline. Dans tout son trajet correspondant la
racine
antérieure reste intacte à la fois dans ses élé
peut se résumer d'ensemble en quelques lignes. Les altérations des
racines
consistent dans une atrophie très considérable
lésions des méninges et des vaisseaux. Tandis que les fibres des
racines
antérieures sont denses, compactes, colo- rées
s antérieures sont denses, compactes, colo- rées en noir franc, les
racines
postérieures ne contiennent plus qu'un très pel
tral est profondément dégénéré, la portion sous-gan- glionnaire des
racines
postérieures forme un faisceau aussi dense, aussi
Les altérations méningées portent sur les différentes enveloppes des
racines
jusqu'à la pénétration dans le ganglion. La dur
quable de voir cette pachyméningite s'atténuer peu à peu autour des
racines
antérieures et finalement disparaître à peu près
s antérieures et finalement disparaître à peu près au niveau où les
racines
postérieures pénètrent dans le ganglion. Cette pa
ure- mère ne se poursuit, ni sur la capsule du ganglion, ni sur les
racines
antérieu- res qui lui sont accolées. Autour d
i sur les racines antérieu- res qui lui sont accolées. Autour des
racines
postérieures, le feuillet arachnoïdien est égalem
isceaux musculaires tassés et agglomérés. La gaine piale forme à la
racine
un manchon épais constitué d'un tissu fibrillai
la la même augmentation qui va en décroissant de haut en bas, de la
racine
à l'ex- trémité du membre.Tandis que le deltoïd
ontractions ondulatoires, quand un pôle est à la main, l'autre à la
racine
du membre ; ces ondulations se montrent aussi p
n relative, par comparaison à l'hyperexcitabilité des muscles de la
racine
des mem- bres. La force est conservée, il n'y
aut vers la moelle ; mais il en est (notamment, obs. II et X) où la
racine
postérieure est au contraire plus atteinte dans
ans aucun cas nous n'avons constaté ce fait. En ce qui concerne les
racines
postérieures, il est donc nettement établi que
tiplient : sur les préparations colorées à 1'liématéine-éosiiie, la
racine
pos- térieure se distingue aussitôt par sa tein
les cas; en effet, tandis 414 THOMAS ET HAUSER que dans certaines
racines
postérieures les fascicules comptent sur une co
ur une coupe transversale 3 ou 4 fois plus de noyaux que ceux de la
racine
anté- rieure correspondante, leur calibre est a
longées des fibres atrophiées. 2° Lésions DU système conjonctif DES
racines
. - A côté des altérations parenchymateuses que
existait une pachyméningite, plus ou moins prononcée, autour de la
racine
posté- rieure. L'inflammation de cette envelopp
sement de la gaine piale commune, qui dans le dernier seg- ment des
racines
se confond avec la dure-mère (épsttévile). Enfi
vec la dure-mère (épsttévile). Enfin sur celte dernière portion des
racines
postérieures on observe LÉSIONS RADICULAIRES ET
séreux, le nerf radiculaire. A ce niveau les faisceaux nerveux des
racines
postérieu- res et aussi des racines antérieures
iveau les faisceaux nerveux des racines postérieu- res et aussi des
racines
antérieures seraient le siège d'une périnévrite i
'écrasement des filets nerveux pris en masse, on voit sur les mêmes
racines
, mais en d'autres places, se produire une dissoci
laces, se produire une dissociation des fascicules élémentaires des
racines
par une prolifération embryonnaire du tissu con
tense ; le remaniement amené par le processus néoplasique clans les
racines
postérieures est énorme. Ces racines sont subdi
rocessus néoplasique clans les racines postérieures est énorme. Ces
racines
sont subdivisées en 30 à 40 fascicules grêles et
otte, à un bou- leversement dans l'architecture de cette partie des
racines
postérieures. Cette assertion ne doit, il nous
qui peu- vent exister déjà à l'état normal dans la subdivision des
racines
. Par suite de ces variations, que nous avons si
ement qu'à -i l'état normal et augmentent la surface de coupe de la
racine
postérieure. Les fascicules jusque là groupés e
processus inflam- matoire qui atteint les enveloppes externes de la
racine
. Il reste à déter- miner avec quelle fréquence
urs pratiqué des coupes sériées de la portion sus-ganglionnaire des
racines
, nous ne les avons rencontrées que dans une par
laire est, comme nous verrons, discutable. En ce qui concerne les
racines
antérieures, nous avons souvent noté l'existenc
ui, dans certains cas (Obs. X et XI), est aussi marquée que sur les
racines
postérieures ; mais d'une façon générale s'y mo
le constater nettement sur ces mêmes cas, à partir du point où les
racines
s'accolent au ganglion. Quant au processus inters
plus affirmatif sur l'existence de lésions interstitielles clans la
racine
an- térieure. Au point de vue histologique, c
te dé- générescence atteint presque fous les petits vaisseaux de la
racine
posté- rieure ; il est impossible de dire, vu l
que l'on ren- contre avec une certaine fréquence soit au niveau des
racines
postérieures, soit dans le ganglion. Nous avons
e à celte question, nous envisagerons tout d'abord l'atro- phie des
racines
postérieures en elle-même, nous rechercherons ens
rons ensuite quelle en est la cause. Le processus dégénératif des
racines
postérieures est un processus d'a- trophie simp
compter un aussi grand nombre de cylin- dres-axes sur des coupes de
racines
qui se présentent tout d'abord comme extrêmemen
e conservation des cylindres-axes qu'à l'atrophie macroscopique des
racines
. Il est assez fréquent que dans le tabès les ra
roscopique des racines. Il est assez fréquent que dans le tabès les
racines
postérieures soient atrophiées jusque dans le g
lisées. Ce n'est pas toutefois une règle absolue que l'atrophie des
racines
pos- térieures remonte jusque dans le ganglion
cines pos- térieures remonte jusque dans le ganglion ; sur quelques
racines
coupées en série dans des cas de tabes peu avan
ment le bout central. Cependant, sur plusieurs des ganglions et des
racines
que nous avons examinés, les fibres étaient plu
c'est ce que l'un de nous a déjà constaté sur des dissociations de'
racines
postérieures traitées par l'acide osmique (4);
nt presque normal. Le processus d'atrophie ou de dégénérescence des
racines
(1) OPPENHEIM et SIB11)1&IVLING. Arch. f. P
tique; le type segmentaire que nous avons observé dans l'examen des
racines
postérieures diffère par bien des points de cel
fibres, il fant admettre que le processus habituel d'a- trophie des
racines
postérieures dans le tabes est un processus de dé
maux ; elles sont pour quelques auteursproportionnel les à celles des
racines
postérieures, ce n'est pas pour d'autres une rè
ologiques de même nature et peut-être de même origine que celle des
racines
postérieures. Les théories qui n'ont eu en vue
térieures. Les théories qui n'ont eu en vue que la dégénération des
racines
pos- (1) Gombault. Archives de Neurologie, 1880
r laissé dans l'ombre les altérations des nerfs cutanés : après les
racines
postérieures ce sont les nerfs qui dégénèrent l
t qu'ils appartiennent tous deux au même neurone : l'alrophie de la
racine
postérieure remonte plus rapidement vers le centr
sont d'autant plus fréquentes et plus intenses que les fibres de la
racine
postérieure sont plus atrophiées dans le trajet
upposer que dans les cas de tabès anciens, la lésion des fibres de la
racine
postérieure est susceptible de remonter jusqu'à
rcher dans la cel- lule le ]Jl'i1lltl1ll 1nOl'ens de l'atrophie des
racines
postérieures et de la sclérose des cordons post
, le nombre des cellules devrait être égal à celui des fibres de la
racine
postérieure et du bout périphérique ; or les op
le 32° ganglions du lapin : dans le premier, aux 3173 fibres de la
racine
postérieure correspondent 20.361 cellules ganglio
1 cellules ganglionnaires, dans le deuxième aux t.2T[0 fibres de la
racine
postérieure correspondent 27.618 cellules xv 28
r elle est le centre trophique de chacun d'eux. Or dans le tabes la
racine
postérieure dégénérée au-dessus du gan- glion,
auteurs ont en effet démontré que la section du bout central de la
racine
postérieure n'a aucun retentissement sur la cel
la section porte sur le bout central ou le bout périphérique de la
racine
postérieure ; ne peut-on alors supposer et dédu
l'action trophique de la cellule est beaucoup moins intense pour la
racine
postérieure que pour le nerf péri- j ' gangli
laire du tabes. Nous rappellerons toutefois qu'après la section des
racines
postérieures, Wagner n'a pas constaté de névrom
cas de syringomyélie, de, névromes de régénération, à l'entrée des
racines
postérieures dans la moelle (Raymond) (1). Il
le moins à l'étal normal ,son influence trophique, c'est-à-dire la
racine
postérieure. La théorie cellulaire du tabes et
n'est pas dans le ganglion rachidien, mais sur le trajet même de la
racine
postérieure depuis le ganglion jusqu'à la moell
on jusqu'à la moelle qu'il faut chercher la cause de l'atrophie des
racines
postérieures. D'après Obersteiner et Redlich (1
e des racines postérieures. D'après Obersteiner et Redlich (1), les
racines
postérieures sont atteintes primitivement au ni
vertébral. En outre, si c'est là tout d'abord le point faible de la
racine
postérieure, on ne se rend pas bien compte que ce
s maladies telles que la syringomyélie qui dé- truisent souvent les
racines
postérieures jusqu'à leur pénétration dans la m
saurait intervenir, à aucun titre, comme cause de l'atrophie de la
racine
postérieure, d'autre part, la péri- névrite qui
rare qu'elles soient une cause de compression ou d'écrase- ment des
racines
, il y a d'autre part souvent une disproportion as
stitiel. . Reportons-nous en effet aux résultats de l'obs. II ; les
racines
sont ma- lades jusque dans le ganglion et pourt
on dorsal de notre obs. VI; nous avons constaté sur le trajet de la
racine
postérieure des lésions conjonctives inflammato
que nous avons eu rarement l'occasion de rencontrer sur les autres
racines
, et malgré cela la racine postérieure est à pei
l'occasion de rencontrer sur les autres racines, et malgré cela la
racine
postérieure est à peine dégénérée au-dessus et
ordres de lésions n'évoluent donc pas toujours simultanément et les
racines
postérieures sont dégénérées parfois jusque dan
' tonnées dans un espace très limité, et qu'elles ne suivent pas la
racine
dégénérée dans tout son trajet. Mais contrairem
31 celle-ci est inconstante ou non proportionnelle à l'atrophie des
racines
, mais encore parce qu'elle ne semble pas appart
on, sa marche et sa durée. Nous voilà bien loin de l'écrasement des
racines
par la périnévrite, et à l'action mécanique de
eotte une importance capitale dans le processus de dégénération des
racines
; d'ailleurs dans certains cas de méningo-myéli
; d'ailleurs dans certains cas de méningo-myélite syphilitique, les
racines
postérieures sont parfois plon- gées dans une p
le tabes lui-même la méningite est parfois très intense autour de la
racine
antérieure sans que celle-ci en ait le moins du
en ait le moins du monde souffert. Comme pour celle qui entoure la
racine
postérieure, elle présente ce caractère particu
stater au cours de plusieurs examens, une atrophie légère., - de la
racine
postérieure au niveau et au-dessus du nerf radicu
e vue, en effet, que dans le tabes ce ne sont pas seule- z ment les
racines
postérieures et les nerfs cutanés qui sont.malade
la question de l'origine cellu- laire peut se poser comme pour les
racines
postérieures et les nerfs cuta- nés ; toutefois
n faire avec de Mas- sary une altération de structure constante des
racines
postérieures, car sur quelques ganglions normau
plètement défaut ; et d'autre part sur quelques séries de coupes de
racines
tabétiques l'atrophie pos- térieure s'accentue
équemment le processus tabétique Sur toute la hauteur du trajet des
racines
, la dure-mère, l'arachnoïde et la pie-mère sont
ninges, atteignent à l'état normal, du fait de la subdivision de la
racine
postérieure, une éten- due, une surface, un nom
plus intervenir comme lésion initiale dans la dégénérescence de la
racine
postérieure que la méningite spinale : dans la
qui présente aussi, comme marque distinctive, son élection pour les
racines
postérieures ; en raison de sa marche lente et
inance toute spéciale du processus dégé- nératif sur les fibres des
racines
postérieures, il y a peut-être lieu de faire in
teurs tels que les lésions de méningite étagées sur le trajet de la
racine
postérieure, la névrite transverse de Nageotte ou
uvoir trophique s'exerce moins activement sur le bout central de la
racine
postérieure que sur son bout périphérique. Enfin,
et doive aussi être mis en cause dans le processus d'a- trophie des
racines
postérieures et dans l'inflammation de la région
ns anatomique. En effet, la queue de cheval comprend l'ensemble des
racines
qui s'échappent du renflement lombaire et du cô
ire. A supposer qu'un- processus morbide intéressât la totalité des
racines
de la queue de cheval, il devrait comprendre au
centres spinaux (affection nucléaire), et dans l'autre, les seules
racines
de la queue du cheval qui tirent leur origine d
évraxe d'une affection radi- culaire limitée à un certain nombre de
racines
de la queue de cheval. Je vous avais exposé sur
nous avons affaire, selon toutes probabilités, à une affection des
racines
qui composent la queue de cheval, et non à une
non à une affection du segment médullaire qui donne naissance à ces
racines
. Voici mes raisons : 9 Les accidents ont débuté
également, avec l'hypothèse d'une névrite limitée à une partie des
racines
du sciati- que. Aussi bien, chez notre malade,
MOND avec l'hypothèse d'une névrite, limitée à un certain nombre de
racines
de la queue de cheval. A ce propos, laissez-m
a queue de cheval. A ce propos, laissez-moi insister sur ce que les
racines
sensitives et les racines motrices de la vessie
opos, laissez-moi insister sur ce que les racines sensitives et les
racines
motrices de la vessie et du rectum pénètrent la p
n niveau manifestement plus élevé que les points de pénétration des
racines
motrices. On conçoit donc que des troubles de l
ns more trices. Or, je vous ai dit déjà et je vous répète que les
racines
sensitives et les, racines motrices, en rapport
us ai dit déjà et je vous répète que les racines sensitives et les,
racines
motrices, en rapport avec la sensibilité et la mo
rent à des niveaux différents la portion terminale du névraxe : les
racines
sensitives à un niveau plus élevé que les racines
du névraxe : les racines sensitives à un niveau plus élevé que les
racines
motrices. On conçoit donc que dans un cas de né
foyer hémorrhagique au voisinage immédiat d'un cer- tain nombre de
racines
spinales ou au voisinage d'un plexus. Effective-
férieure du canal rachidien,qui, en comprimant un certain nombre de
racines
de la queue de cheval, aurait donné lieu aux ph
t lieu au minimum d'effets morbides imputables à une compression de
racines
ner- veuses. Cette progressivité ne se conçoit
aire à marche extensive, ou encore une com- pression croissante des
racines
intéressées. Admettons que compression il y ait
iculaire, d'origine alcoolique, inté- ressant un cerlain nombre des
racines
du plexus sacré, qui obtient mes préférences.
rieur gauche, qui va en diminuant d'intensité, de l'extrémité à la
racine
du membre, et qui se double d'une atrophie musc
e, à une névrite radiculaire, unilatérale, limitée à une partie des
racines
gauches du plexus sacro-coccygien ? Il se peut.
ans la moitié gauche du segment médullaire, qui donne naissance aux
racines
du plexus sacro-coccygien et dans la seule port
a colonne antérieure du segment médullaire, qui donne naissance aux
racines
du plexus sacro- coccygien. Pronostic et trai
fibreuse. Fig. 2. - Coupe de la pie-mère spinale au niveau de la 2
racine
dorsale (entrée du sillon antérieur). Hématoxyl
hnoïdien. · Fig. 3. Coupe de la pie-mère spinale au niveau de la 2e
racine
dorsale (région antéro-latérale). Hématoxyline
r entame la lame postérieure de l'olive, la moitié antérieure de la
racine
du trijumeau sur une petite étendue, et sectionne
ne du trijumeau sur une petite étendue, et sectionne une partie des
racines
du spinal ; il interrompt forcément le trajet des
ar sa situation, ne sont certainement pas encore ache- vées, car la
racine
du trijumeau n'a pas dégénéré au-dessous de la se
provenant du noyau grêle auquel aboutissent les fihres longues des
racines
postérieures des membres inférieurs. Si à la fa
a moelle ; mais comme il n'existe pas de fibres dégénérées dans les
racines
antérieures médullaires au niveau de la région do
ULS10N ET MYOSIS BULBAIRES 509 on n'en trouve aucune trace dans les
racines
antérieures des régions cer- vicales inférieure
st très petite, longue de 6 centimètres avec une circonférence à sa
racine
de 7 centimètres. Nous n'avons pas pu savoir co
ie supérieure du visage est due : 1° A l'énorme élargissement de la
racine
et de la partie osseuse du nez ; 2° A la sailli
culier à l'extrémité inférieure de la partie osseuse, tandis que la
racine
et la partie cartilagineuse sont un peu plus rétr
anches, une interne (OLI) et une externe (OLE). La branche interne ou
racine
olfactive interne se perd insensiblement sur l'éc
elle se confond avec la substance réticulaire. La branche externe ou
racine
olfactive externe se porte en dehors, où elle se
ine à la partie antérieure des circonvolutions sphénoïdales. Ces deux
racines
forment un angle ouvert en arrière, qui ferme l
antérieur; ce, corps calleux; R0S, rostrum ; OL, nerf olfactif ; OLI,
racine
olfactive interne; OLE, racine olfactive externe;
0S, rostrum ; OL, nerf olfactif ; OLI, racine olfactive interne; OLE,
racine
olfactive externe; LMY, substance réticulaire d'A
f envoie dans la pyramide de Sœmmering des fibres qui représentent sa
racine
moyenne. 1. Sur l'hémisphère droit, (côté gauch
quadrilatère dont les deux côtés antérieurs sont représentés par les
racines
olfactives interne et externe (OLI, OLE). Les deu
H. chiasma optique ; Bo, bandelette optique ; OL, nerf olfactif; OLI,
racine
interne du nerf olfactif; Une, crochet de l'hippo
fondément (troisième ligure), elle est parcourue par les fibres de la
racine
moyenne du nerf olfactif, disposées en éventail ;
issure antérieure (CA), qui sera étudiée ultérieurement, ainsi que la
racine
inférieure du thalamus (Thl). antérieurs, on ap
er que la pyramide grise de Sœmmering, limitée des deux côtés par les
racines
olfactives, a une certaine épaisseur. Un grattage
es du nerf olfactif, qui représentent, ainsi que nous l'avons dit, la
racine
moyenne de ce nerf1. Il s'en faut que la bandel
e plus souvent au contact du bord 1. Les rapports profonds de cette
racine
seront étudiés sur les coupes vertico-transversal
rnière partie de son trajet, il est presque absolument parallèle à la
racine
externe du nerf olfactif (voy. schéma 4). Nous av
rvalle d'un centimètre environ (plutôt moins que plus). Tandis que la
racine
externe du nerf olfactif se fusionne insensibleme
errière le chiasma, cette couche grise représente ce qu'on appelle la
racine
grise des nerfs optiques. La convexité postéro-su
ts de terrain, reçoit un certain nombre des fibres radiculaires de la
racine
olfactive externe. Hervé considère à juste titr
F2). Cette circonvolution naît de la frontale ascendante (F) par deux
racines
ou deux pieds (pF2, pF2). Le pied supérieur est n
nous ferons remarquer que la deuxième frontale (F2) ne semble prendre
racine
sur la frontale ascendante (F) que par le pli d'a
ale ascendante (F), juste au niveau de l'opercule frontal (OF). Cette
racine
remonte au devant du sillon prse-rolandique infér
convolution. Elle naît d'ailleurs de la frontale ascendante par trois
racines
: une double racine supérieure (pF^) au-dessous d
t d'ailleurs de la frontale ascendante par trois racines : une double
racine
supérieure (pF^) au-dessous du genou supérieur de
eure (pF^) au-dessous du genou supérieur de la frontale (GFs), et une
racine
inférieure (xB) entre les deux branches du sillon
ntale, très volumineuse, naît, comme sur Phémisphère droit, par trois
racines
: deux supérieures (pF^) au devant du genou supér
r de la deuxième à la troisième frontale. On peut considérer les deux
racines
supérieures (pF^) comme une seule et même racine
considérer les deux racines supérieures (pF^) comme une seule et même
racine
très large, très épaisse et divisée, dès son orig
edans vers l'espace perforé antérieur (EPA), où l'on voit plonger les
racines
du nerf olfactif (OL). L'espace perforé antérieur
est séparé de l'écorce par des lames blanches qui appartiennent à la
racine
inférieure du thalamus et à la capsule externe; n
e (F"'), en dedans avec l'écorce du désert olfactif, où se termine la
racine
olfactive externe (OLE); en arrière, avec l'écorc
res et latérales de l'écorce sphénoïdale et qui contribue à former la
racine
postérieure de la couche optique. Le schéma ci-de
nglion de l'habénule; SG, substance grise de l'aqueduc de Sybïus; VD,
racine
descendante du trijumeau; CP, commissure postérie
uvert à l'extérieur et même quelquefois traversé par les fibres de la
racine
interne de la bandelette optique, ou ansa inter-g
Elle serait le lieu d'entre-croisement des fibres qui constituent les
racines
antérieure et postérieure de la couche optique. M
les racines antérieure et postérieure de la couche optique. Mais ces
racines
, envisagées isolément, ont un calibre de beaucoup
lité. Si en efl'et les faisceaux volumineux qui représentent les deux
racines
antérieures et les deux racines postérieures deva
volumineux qui représentent les deux racines antérieures et les deux
racines
postérieures devaient se rencontrer au niveau de
ctus vraiment minime équivaudrait dans sa masse totale à ces quatre
racines
réunies. Cette supposition est inadmissible. D'
rt, comme il est incontestable que des trousseaux de fibres venus des
racines
antérieures et postérieures des deux couches opti
de deux choses l'une : ou bien qu'un très petit nombre de fibres des
racines
antérieure et postérieure de la couche optique vo
la couche optique vont directement s'y entre-croiser; ou bien que les
racines
en question, réduites à de faibles proportions, d
térale, à la partie antérieure du corps genouillé interne. ¦ Al. La
racine
interne de la bandelette optique (ansa intergenic
ctus opticus zonalis convient parfaitement aux conducteurs de cette
racine
qui s'épanouissent dans le stratum zonale du pulv
vant de cette substance, soit à côté, c'csl-à-(liro au niveau de la
racine
descendante du nerf trijumeau. 11 n'est pas proba
e ; TEG, tegmentum ; FLP, faisceau longitudinal postérieur; DV,
racine
descendante du trijumeau. CTE, faisceaux margin
ibres de l'écorce sont celles qui ont été groupées sous les noms de :
racine
antérieure, racine inférieure, racine postérieure
ont celles qui ont été groupées sous les noms de : racine antérieure,
racine
inférieure, racine postérieure, bandelette sous-o
été groupées sous les noms de : racine antérieure, racine inférieure,
racine
postérieure, bandelette sous-optique, et même tse
optique ; NC, la tête du noyau caudé ; Cl, la capsule interne ; ThA,
racine
antérieure de la couche optique; Rth, sa couron
ine antérieure de la couche optique; Rth, sa couronne rayonnante ou
racine
supérieure du thalamus ; Thl, racine inférieure;
; Rth, sa couronne rayonnante ou racine supérieure du thalamus ; Thl,
racine
inférieure; BSO, bandelette sous-optique ; T;u, l
vement et va être bientôt remplacé par la commissure antérieure et la
racine
inférieure de la couche optique (voy. pl. XXVIf,
, 101, 102). Ses rapports avec la bandelette sous-optique (BSO) et la
racine
inférieure du thalamus (Thl) seront étudiés plus
ut et en dedans ; ces fibres représentent la partie postérieure de la
racine
inférieure du thalamus (ThI, fig. 99) : nous allo
e 98, la bandelette sous-optique (BSO) est entamée en dehors par la
racine
inférieure du thalamus (ThI), mais elle n'est pas
u caudé (NCC) est en partie visible par transparence au-dessous de la
racine
intérieure du thalamus (ThI). L'observateur regar
an-téro-externe de la queue du noyau caudé et du noyau amygdalien. La
racine
inférieure du thalamus, venue de la région du cen
e trajet, on peut constater que les fibres les plus postérieures delà
racine
inférieure du thalamus se dirigent d'avant en arr
ent-elles pas avec les libres de la bandelette sous-optique Thl. La
racine
inférieure de la couche optique que nous voyons a
urrait la représenter d'abord à l'aide du schéma suivant : on voit la
racine
inférieure du thalamus (Thl) Coupe vertico-tran
le de l'hémisphère gauche destinée à montrer le trajet parcouru parla
racine
inférieure du thalamus; F1, première circonvoluti
noyau caudé ; N'A, noyau amygdalicn; CA, commissure antérieure ; Thl,
racine
inférieure de la couche optique. partir de l'éc
l de projec tion si obscur, auquel on a donné, après lui, le nom de
racine
inférieure ou racine interne de la couche optique
obscur, auquel on a donné, après lui, le nom de racine inférieure ou
racine
interne de la couche optique. Le nom de racine in
e racine inférieure ou racine interne de la couche optique. Le nom de
racine
inférieure est de beaucoup le meilleur. Ce qui
able lorsqu'on s'en tient aux dissections, c'est que les fibres de la
racine
inférieure du thalamus s'enchevêtrent, à leurs ex
rs extrémités, avec les faisceaux adjacents; c'est en outre que cette
racine
n'est pas, à proprement parler, un faisceau, mais
tique peut être, à la rigueur, considérée comme une subdivision de la
racine
inférieure du thalamus. Avant d'étudier ce dern
le lecteur à la figure schématique (153), où nous avons représenté la
racine
inférieure du thalamus non pas telle qu'elle est
e la figurer pour la bien comprendre. Sur la coupe 99, en effet, la
racine
inférieure du thalamus (ThI) est bien située en d
vons déjà longuement décrit. Il se confond bientôt (fig. 102) avec la
racine
inférieure du thalamus (ThI) et rejoint ainsi le
inférieur. La portion relevée de la troisième frontale représente la
racine
inférieure de la deuxième frontale (-B, fig. 107)
c la bandelette optique. Il en présente de non moins étroites avec la
racine
inférieure du thalamus (ThI, fig. 106, 107, 108).
de l'écorce. Parmi ces fibres, les plus nombreuses sont celles de la
racine
antérieure du thalamus (ThA, fîg. 105, 107, 108),
sque en totalité, sur les coupes 107 et 108, par la terminaison de la
racine
inférieure du thalamus (Thl). G1P. Le ganglion
pose des libres qui vont se jeter dans le thalamus (Th) en formant la
racine
antérieure de la couche optique (ThA), et le fais
noyau caudé; NCC, queue du noyau caudé; NLe, noyau lenticulaire; ThA,
racine
antérieure du thalamus; AR, faisceau d'Arnold ; N
, occupé, sur le côté gauche, par le faisceau d'Arnold (AU) et par la
racine
antérieure du thalamus (ThA). le faisceau céréb
vont être étudiés un peu plus loin : le faisceau d'Arnold (AU) et la
racine
antérieure du thalamus (ThA). Et môme, plus loin
nt précisément celles qui vont former le faisceau d'Arnold (AR) et la
racine
antérieure de la couche optique (ThA). 11 ne fa
mine, en bas et en dedans, dans le discus lentiformis (DL). ThA. La
racine
antérieure de la couche optique, située immédiate
co-transvcrsales en série entament le genou de la capsule interne. La
racine
antérieure de la couche optique est constituée pa
ines coupes (fig. 105) on voit les fibres les plus postérieures de la
racine
antérieure de la couche optique se continuer avec
superposition de faisceaux lamellaires, auxquels on a donné le nom de
racine
antérieure de la couche optique, ne permet pas de
la couche optique. Une division en tout cas s'impose, attendu que la
racine
antérieure de la couche optique, sur des coupes u
° un faisceau supérieur, auquel on peut réserver la dénomination de
racine
antérieure de la couche optique (ThA). BSO. La
at frais, soigneusement lavée et débarrassée de ses plexus. ThI. La
racine
inférieure du thalamus (fig. 104) présente encore
eures, plus s'accuse la direction antéro-postérieure des fibres de la
racine
du thalamus, avec la teinte foncée correspondante
e l'hémisphère franche, où l'on voit par transparence le trajet de la
racine
inférieure du thalamus (ThI). ce, corps calleux
ercule antérieur du thalamus, en dehors de la troisième portion de la
racine
inférieure (ThI) ; CA, commissure antérieure; s,
e perforé antérieur (EPA) est occupé par la portion horizontale de la
racine
inférieure du thalamus (ThI). — VS, ventricule sp
alien (NA) est au contraire enveloppée par les fibres d'origine de la
racine
inférieure du thalamus (ThI). La coupe 108 n'inté
108 n'intéresse que les extrémités inférieure et supérieure de cette
racine
. dedans du faisceau de Yicq-d'Azyr (FVA). A sa
t et en dehors vers le tubercule antérieur de la couche optique; ThI,
racine
inférieure du thalamus, provenant de la convexité
nterne du troisième ventricule. Dorénavant nous aurons à étudier la
racine
inférieure du thalamus, successivement dans sa po
deux branches du fer à cheval, à droite et à gauche, passent sous la
racine
antérieure du thalamus, puis sous le noyau lentic
e la capsule interne, s'accolent à la bandelette sous-optique et à la
racine
inférieure du thalamus qui les séparent du noyau
, CA), il est très difficile de distinguer ses fibres de celles de la
racine
inférieure du thalamus (Thl) qui, avec ces derniè
est encore, sur une certaine étendue, dissociée par les fibres de la
racine
inférieure du thalamus (ThT, fig. 106), il ne fau
ct (CA) appartenant à la commissure antérieure. Il est situé entre la
racine
inférieure du thalamus (Thl) et le faisceau sensi
intra-ventriculaire (Th), par les fibres antéro - postérieures de la
racine
inférieure du thalamus (ThI). isolé de tous côt
terne de cette capsule. En dedans, il est séparé du ventricule par la
racine
inférieure de la couche optique. Nous verrons dan
boutir de tous côtés : fibres du taenia (Tae, fig. 114), fibres de la
racine
antérieure (ThA, 111,112), fibres de la lame médu
erne; celui-ci, du reste, est.également comblé par les fibres de la
racine
inférieure du thalamus (ThI, 109, 110, 114). SG
q-d'Azyr, sorti du tubercule antérieur (4) ; 10, faisceau croisé ou
racine
croisée du pilier du trigone ; 11, faisceau du
croise sur la ligne médiane avec un faisceau homonyme du côté opposé (
racine
croisée du pilier du trigone). Telles seraient le
re. Les fibres du plan inférieur appartiennent (ThI, schéma 172) à la
racine
inférieure du PP, pied du pédoncule; BO, bandel
du noyau lenticulaire; Tbl, situation et étendue approximatives de la
racine
inférieure du thalamus; GAP, noyau de l'anse, éta
re (ANL) appartient à la région du pédoncule ; la lame inférieure, ou
racine
inférieure du thalamus, appartient à la région de
e de l'hippocampe. Quant à la subdivision delà couche inférieure ou
racine
inférieure du thalamus en deux couches de second
la couche grise intermédiaire à l'anse du noyau lenticulaire et à la
racine
inférieure du thalamus ; c'est cette couche grise
n dehors, entre l'anse du noyau lenticulaire, située au-dessus, et la
racine
inférieure de la couche optique, située au-dessou
res du faisceau capsulaire, celles du faisceau d'Arnold, celles de la
racine
antérieure de la couche optique. La section intér
psulaire se dirigent en haut et en dehors; le faisceau d'Arnold et la
racine
antérieure de la couche optique se dirigent en ar
t, sont au contraire tout à fait claires et démonstratives. ThA. La
racine
antérieure de la couche optique dirigée d'avant e
llaire (TM) et destiné au tubercule antérieur du thalamus (NaC). ThA,
racine
antérieure du thalamus, venue de l'écorce frontal
le noyau interne ; il s'entre-croise avec les libres terminales de la
racine
inférieure (ThI). fig. 109). Elle occupe une bo
s (fig. 114) s'entre-croisent avec les ramifications terminales de la
racine
infé- ricure de la concho optique (ThT), mais e
it, en stratifications lamellaires (AR, fîg. 109), sous-jacentes à la
racine
antérieure de la couche optique (ThA) et insensib
En dedans, le faisceau de Yicq d'Azyr est croisé par les fibres de la
racine
inférieure de la couche optique (ThI). Sur la fig
rface profonde, comme une capsule, comme un stratum zonale. ThI. La
racine
inférieure du thalamus (fig. 109, 110), accolée à
us-optique(BSO), Rapports de la commissure antérieure (CA) et de la
racine
inférieure du thalamus (ThI), avec le noyau amygd
au lenticulaire. Les fibres de la commissure antérieure (CA) et de la
racine
inférieure du thalamus (ThI) sont, dans cette rég
e antérieure (CA, schéma 178) forme une sorte de capsule autour de la
racine
inférieure du thalamus (ThI), comme celle-ci en f
la couronne rayonnante du putamen (BIL, fig. 113), en dedans avec la
racine
inférieure du thalamus (ThI, fig. 113, 114). ce
hors du faisceau sensitif externe, de la commissure antérieure, de la
racine
inférieure du thalamus, de la bandelette sous-opt
avant en arrière. Son sommet émoussé, arrondi, est en rapport avec la
racine
inférieure du thalamus (ThI), dont il n'est sépar
entre la portion horizontale de l'anse lenticulaire (ANL, 119) et la
racine
inférieure du thalamus (ThI). En dedans il se con
apsule interne au voisinage du taenia (Òàç, fig. 117, 118). ThA. La
racine
antérieure de la couche optique (fig. 115 et suiv
accompagnent le faisceau d'Arnold. Mais plus en avant Schéma de la
racine
antérieure de la couche optique sur une coupe hor
, couche optique ; CI, capsule interne (Segment postérieur). ThA,
racine
antérieure de la couche optique formant un seul f
tie postérieure et inférieure du thalamus. (fig. 118, 119, 120), la
racine
antérieure se compose d'un faisceau unique, qui r
la région du thalamus où le faisceau de Vicq d'Azyr n'existe plus, la
racine
antérieure (ThA) et la racine postérieure de la c
isceau de Vicq d'Azyr n'existe plus, la racine antérieure (ThA) et la
racine
postérieure de la couche optique (ThP) sont au co
eure de la couche optique (ThP) sont au contact l'une de l'autre ; la
racine
antérieure est en dehors, la racine inférieure es
au contact l'une de l'autre ; la racine antérieure est en dehors, la
racine
inférieure est en dedans. Mais elles mélangent le
érieures, il se porte en avant, mêlant ses fibres avec celles de la
racine
antérieure de la couche optique (ThÀ, fig. 116, 1
aisceau d'Arnold. On voit ainsi que le faisceau d'Arnold (AR) et la
racine
antérieure de la couche optique (ThA) forment ens
résulte de cet entre-croisement des fibres lenticulo-caudées avec la
racine
antérieure du thalamus (ThA) et le faisceau d'Arn
pilier descendant de la voûte (DF) se continue insensiblement avec la
racine
inférieure du thalamus (ThI), ou, en d'autres ter
a racine inférieure du thalamus (ThI), ou, en d'autres termes, que la
racine
inférieure du thalamus envoie des fibres au pilie
cendant de la voûte étant dirigé en arrière et en bas, tandis que la
racine
antérieure du thalamus est dirigée en arrière et
haut. Profil schématique des rapports du pilier de la voûte avec la
racine
intérieure du thalamus. TRI. voûte à trois pili
u de Vicq d'Azyr (FVA) ; CA, commissure blanche antérieure ; ThI.
racine
inférieure du thalamus dont les deux faisceaux co
la coupe passe au devant de sa convexité antérieure (fig. 118), et la
racine
inférieure de la couche optique (ThI) remplace, a
ce, au-dessous de l'hippocampe, la bandelette sous-optique. ThI. La
racine
inférieure du thalamus (fig. 115), au-dessus de l
, sur cette figure, n'atteint plus en dedans la substance grise de la
racine
optique moyenne ; la racine inférieure du thalamu
t plus en dedans la substance grise de la racine optique moyenne ; la
racine
inférieure du thalamus se développe donc libremen
arrière; et comme le faisceau de Vicq d'Azyr n'existe Profil de la
racine
inférieure du thalamus au niveau de sa terminaiso
aboutir au tubercule antérieur do la couche optique (NaC). ThI, la
racine
inférieure du thalamus arrive de l'espace perforé
essous du tubercule antérieur. plus ici, elles s'insinuent entre la
racine
antérieure du thalamus (ThA, fig. 115, 116, 117,
rsales et que Meyncrt a le premier signalée. Lorsque les fibres de la
racine
inférieure du thalamus se relèvent vers la couche
la coupe 119 (pl. XXX), que les fibres les plus superficielles de la
racine
inférieure, à la face interne du thalamus, vont e
gement spliénoïdal (GAP) du putamen (PUT). NA, noyau amygdalien; ThI,
racine
inférieure du thalamus, enveloppée par la commiss
érieure passe au-dessus du prolongement temporal du putamen (GAP), la
racine
inférieure du thalamus (ThI) reste au-dessous, po
ion limbique (C, fig. 119, 120). Dans ce trajet elles accompagnent la
racine
antérieure du thalamus (ThA), dont elles ne sont
Elles sont situées sur un plan horizontal plus élevé que celui de la
racine
inférieure du thalamus, el toujours en dehors de
i de la racine inférieure du thalamus, el toujours en dehors de celte
racine
. Dans toute cette région antérieure du lobe sphén
ar un tractus blanc situé immédiatement au-dessous et en dehors de la
racine
antérieure du thalamus (ThA) ; ce tractus dirigé
pouvoir la montrer à l'état de faisceau ou de lame isolée. ThA. La
racine
antérieure de la couche optique (fig. 121, 122, 1
e régulière de la capsule interne sur le fond franchement foncé de la
racine
antérieure du thalamus. DF. Le pilier descendan
ment épuisé. Il passe en effet en arrière de la commissure. ThI. La
racine
inférieure du thalamus (fig. 121) remonte oblique
En dedans, elle est limitée par les fibres antéro-posté-ricurcs de la
racine
antérieure du thalamus (ThA). En avant, elle es
re (ZS, fig. 121) et se mêlent, comme nous venons de le dire, avec la
racine
inférieure du thalamus (THI, fig. 121), dirigée d
ns le noyau interne de la couche optique et se mêler aux fibres de la
racine
antérieure (ThA). Elles restent toutefois cantonn
ent toutefois cantonnées (Tae, fig. 122) à la partie interne de cette
racine
. CA. La commissure antérieure, sur les coupes 1
oints. elle file obliquement en avant et en dedans, superposée à la
racine
olfactive externe (OLE), passe en dedans de l'ans
x tractus blancs (OLC) qui jsont des faisceaux de fibres issues de la
racine
moyenne du nerf olfactif (fig. 124, 125, 126, OLC
panouie à la surface du noyau amygdalien, dont la sépare seulement la
racine
inférieure du thalamus. Tous les anatomistes qu
ticulo-caudées (LCf, fig. 125); à sa partie inférieure et interne, la
racine
antérieure du thalamus (ThA, fig. 121,122,125). C
l se détachent ces stries est constitué par la masse des fibres de la
racine
antérieure du thalamus (ThA), qui se portent en a
, dirigées en bas et en dehors au milieu de la substance foncée de la
racine
tha-lamique antérieure (ThA, fig. 125), provienne
fait suite à l'anse du noyau lenticulaire (ANL, 122) au-dessous de la
racine
antérieure du thalamus (ThA) et au-dessous de la
u-dessous de la substance grise du septum. Elle traverse en partie la
racine
antérieure du thalamus. Elle sort du noyau caudé
ers l'espace perforé antérieur, où il se croise avec les fibres de la
racine
externe olfactive (OLE, fig. 124). Mais le plus g
iquement en dedans pour rejoindre la commissure antérieure. OLM. La
racine
olfactive moyenne (fig. 124), représentée par un
nne des fibres assez nombreuses à la commissure antérieure. OLE. La
racine
olfactive externe (fig. 123, 124) se porte d'avan
ré (fig. 128) est sectionné au niveau même de l'épa nouissement des
racines
olfactives. A partir de la coupe 129 il n'existe
uttière de substance grise homogène, au fond de laquelle s'enfonce la
racine
antérieure du thalamus (ThA, fig. 129). Sur les c
ne, foncée en dehors, reçoit dans sa substance grise les fibres de la
racine
olfactive moyenne (OLM, 127). GS. La pyramide g
llet commissural de substance blanche. Substance blanche. OLM. La
racine
olfactive moyenne (fig. 127,128) se termine dans
l'anse sur les coupes précédentes. Elle est presque au contact de la
racine
antérieure du thalamus (ThA) ; c'est dans cette p
térieure du thalamus (ThA) ; c'est dans cette partie inférieure de la
racine
antérieure du thalamus qu'il faut chercher, sur l
27) occupe le fond de la gouttière leriticulo-caudée parcourue par la
racine
antérieure du thalamus (ThA). Comme nous savons q
rieure du thalamus (ThA). Comme nous savons que la direction de cette
racine
est la même que celle des fibres de l'anse caudée
de faire la différence des faisceaux de l'anse et des faisceaux de la
racine
. ThA. La racine antérieure du thalamus, bien ne
ence des faisceaux de l'anse et des faisceaux de la racine. ThA. La
racine
antérieure du thalamus, bien nettement circonscri
erdu l'épaisseur qu'elle avait dans les régions plus postérieures. La
racine
antérieure du thalamus constitue ici, à elle tout
s nettement arrêté, il faut en conclure que les fibres externes de la
racine
antérieure du thalamus sont, parmi les conducteur
u putamen et n'intéressent plus que le noyau caudé (NC, fig. 132), la
racine
antérieure du thalamus se confond en dehors avec
e de son trajet (fig. 128 et 127) il est situé entre les fibres de la
racine
moyenne du nerf olfactif (OLM) et le cingulum (Ci
ce ré-ticulaire du carrefour ; psp, pied du septum lucidum ; OLI,
racine
olfactive interne. bure d'un bec de rapace, ave
LCf. Les fibres lenticulo-caudées (fig. 128) représentent, avec la
racine
antérieure du thalamus (TliA), le segment antérie
(fig. 152), la capsule interne (CI) n'est plus représentée que par la
racine
antérieur(3 de la couche optique, prolongée en
c'est parce qu'on ne voit de la capsule interne que les fibres de la
racine
thalamique antérieure, qui continuent leur trajet
en avant vers le lobe frontal. Les plus externes des fibres de cette
racine
devenant transversales de dedans en dehors, ainsi
udé et la substance grise du tubercule de jonction, proviennent de la
racine
interne du nerf olfactif (OLl) ; plus en avant on
dehors et en bas, et disparait sur les coupes supérieures. Thl. La
racine
inférieure du thalamus (fig. 2 et 3), venue de la
gion frontale, il se perd dans le thalamus en passant au-dessus de la
racine
inférieure de ce noyau (Thl). FS. Le faisceau s
térieur. Il passe au-dessous du noyau de l'anse (GAP), en avant de la
racine
inférieure du thalamus (Thl), en arrière des fibr
de la fusion de ce noyau avec la tête du noyau caudé (NC)., Thl. La
racine
inférieure du thalamus arrive (fig. 5) de la régi
s fibres terminales s'entre-croisent avec les fibres terminales de la
racine
antérieure (ThA).. ïliA. La racine antérieure d
avec les fibres terminales de la racine antérieure (ThA).. ïliA. La
racine
antérieure du thalamus vient de la région frontal
. Il faut compter comme appartenant au même système, les fibres de la
racine
antérieure de la couche optique (ThA) qui, venues
capsule interne (fig. 9) n'est donc plus guère représenté que par la
racine
antérieure du thalamus (ThA). ThA. La racine an
représenté que par la racine antérieure du thalamus (ThA). ThA. La
racine
antérieure du thalamus pénètre dans le noyau exte
e noyau externe (NeC) de la couche optique, où elle se croise avec la
racine
inférieure (Thï), qui est placée à sa partie inte
ment reconnaissables sur la figure 5 de la planche XXXVIll. Thl. La
racine
inférieure du thalamus, venue de la région antéro
les coupes 8 et 9. Tse. Le taenia semi-circularis est adjacent à la
racine
antérieure du thalamus ; ici (fig. 8 et 9) il est
tion, sur le segment inférieur et sur le segment supérieur. ThA. La
racine
antérieure du thalamus, qui sur la coupe 10 est e
nte à la substance grise du thalamus, est formée par les fibres de la
racine
postérieure et de la racine antérieure du thalamu
thalamus, est formée par les fibres de la racine postérieure et de la
racine
antérieure du thalamus. Les fibres de la racine p
postérieure et de la racine antérieure du thalamus. Les fibres de la
racine
postérieure proviennent du faisceau sensitif inte
tif interne (FSi) et de la bandelette sous-optique ; les fibres de la
racine
antérieure proviennent du segment antérieur de la
sule. L'entre-croisement des fibres de la calotte avec les fibres des
racines
postérieure et antérieure du thalamus, dans la la
aible partie des éléments du faisceau d'Arnold (AR). Les fibres de la
racine
antérieure du thalamus (ThA), venues du segment a
ison antérieure du tœnia dans le stratum zonale (ZS), en dedans de la
racine
antérieure du thalamus (ThA). 4° La séparation
terminé en avant par son bulbe (OLB), se partage, en arrière, en deux
racines
: l'externe se perd insensiblement sur le bord po
ndelette diagonale. Le trait de section passe juste au milieu de la
racine
grise du nerf optique. Cette racine grise est en
ction passe juste au milieu de la racine grise du nerf optique. Cette
racine
grise est en continuité, au-dessus du chiasma, av
enveloppent en dedans le noyau amygdalien : ce sont les fibres de la
racine
inférieure du thalamus (Thl). Figure 3. Ici l
ulaire d'Arnold. En arrière, cette figure montre les rapports de la
racine
inférieure du thalamus (ïhl) entre le faisceau de
u. Elle fait voir les rapports de la bandelette sous-optique et de la
racine
inférieure du thalamus en dehors du noyau amygdal
perçu sur la figure 3 de la planche XL. On y verra les rapporls de la
racine
inférieure du thalamus (Thl), de la capsule exter
TABLE ALPHABÉTIQUE DES SIGNES AI. Ansa intcrgenimlarls de Rauber,
racine
interne de la bandelette optique. ALY. Alveus.
du thalamus. Thl. Racine inférieure du thalamus. ThP. Pédoncule ou
racine
postérieure du thalamus (voy. ES). TJ. Tubercule
si dans la substance gélatineuse de Rolando, ou sur le trajet de la
racine
ascendante du trijumeau. Elle envahit d'abord la
e est normale au niveau de la région inférieure du bulbe et de la ire
racine
cervicale ; niais dès la 2' racine cervicale, o
inférieure du bulbe et de la ire racine cervicale ; niais dès la 2'
racine
cervicale, on note un épaississement des méninges
etrouve le même aspect au niveau du renflement cervical et de la 3e
racine
dorsale ; mais à par- tir de la région dorsale
égeant dans la région ceriico-clorsule, vraisemblablement entre la 8°
racine
cervicale et la 3° dorsale ; d'origine syphilit
dans la région supérieure de la moelle. A la hauteur des premières
racines
dorsales, la moelle présente un léger renl1elll
Nouvelle iconographie DE la SALPÊTRIÈRE A. Coupe au niveau de la 8
racine
cervicale : coupe nu 138. il. Coupe entre la Se
veau de la 8 racine cervicale : coupe nu 138. il. Coupe entre la Se
racine
cervicale et la t'" dorsale : coupe n° 119. Ç.
le et la t'" dorsale : coupe n° 119. Ç. - Coupe au niveau de la 1re
racine
dorsale : coupe n° lui. GOMMES SYPHILITIQUES DE
ec les éléments voisins, méninges, faisceaux blancs, colonne grise,
racines
. Nous ne décrirons donc en détail que l'une d'e
ularités qui lui sont propres. 1 Sur une coupe passant par la 1"=
racine
dorsale, ou par le centre de l'adhérence méning
sez régulier, sauf à l'angle antéro-gauche, au niveau du sillon des
racines
antérieures, où l'on constate la présence d'un bo
n en distingue assez nettement le tractus fascicule qui aboutit aux
racines
sensitives. Les deux sillons médians an- térieu
uvelle iconographie de la SALPLTRILRC D. Coupe entre la lie et la z
racine
dorsale : coupe n° U. E, Coupe au niveau de la
ie et la z racine dorsale : coupe n° U. E, Coupe au niveau de la 2°
racine
dorsale : coupe n° 34. F. - Coupe entre la 2- e
a 2° racine dorsale : coupe n° 34. F. - Coupe entre la 2- et la ;;0
racine
dorsale : coupe ne 16. GOMMES SYPHILITIQUES DE
e, pie-mère, vaisseaux, tumeurs, faisceaux blancs, substance grise,
racines
. I. Dure-mère. Généralement peu altérée, elle n
s par rapport au plan médian, c'est-à-dire au point d'émergence des
racines
antérieures, mais à des bailleurs différentes c
ère absolument saine, .alors qu'au même niveau, en face d'elle, les
racines
et les vaisseaux pie- mériens sont manifestemen
lle, dans les sillons antérieur et postérieur et surtout autour des
racines
, une bande violette, tranchant nettement sur le f
appe nucléaire, dont la richesse est poussée à l'extrême autour des
racines
antérieures, forme des amas plus abondants auto
ur les méninges correspondantes : ce bourgeon, formé aux dépens des
racines
antérieures, est constitué comme le centre de l
méthode de Freud. Il n'existe plus trace des éléments nobles de la
racine
, si ce n'est quelques amas de tubes nerveux pâlis
ue, antéro-latéral, un peu en dehors et en arrière de l'origine des
racines
antérieures, s'atténuant jusqu'à disparaître com-
là des tumeurs gommeuses, aussi bien au-dessus qu'au-dessous. VIII.
Racines
. D'une façon générale, les lésions radiculaires p
ne façon générale, les lésions radiculaires portent surtout sur les
racines
antérieures, et cela, non seulement au point de v
e vallérienne, on en trouve les premières traces dans les premières
racines
motrices qui émergent de la tumeur; cette lésio
galité des lésions radiculaires gauches et droites : tandis que les
racines
motrices droites ont gardé leur champ uni- form
70 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE 1 nettement colorés, les
racines
gauches, issues de la tumeur, présentent des lé
ées par la décoloration puis la disparition des tubes nerveux ; une
racine
tout entière se montre môme privée de la totali
la totalité de ses tubes (Fig. 16, C). A un étage inférieur, les
racines
motrices droites se prennent à leur tour et les
es à 1 cm. 1/2 au-dessous de la tumeur droite, on retrouve dans les
racines
antérieures un plus grand nombre de tubes nerve
essus de dégénérescence ne les avait point encore atteints. 9 Les
racines
postérieures ne présentent pas de signes de dégén
es altérations précédentes, qui portent sur les éléments nobles des
racines
, se placent des lésions beaucoup plus étendues, d
nte; un épais man- chon de petites cellules enserre étroitement les
racines
, surtout dans le voisinage des adhérences ménin
ires ; mais cette inflammation ne se limite pas à l'enveloppe de la
racine
; elle gagne le périnèvre et de là s'infiltre en
ition des éléments avec une grande netteté (Fig. 15, C) ; certaines
racines
sont à ce point envahies, que toute trace de tube
est guidée, conduite par les vaisseaux; ceux-ci, sur les coupes des
racines
, sont nombreux, dilatés, gorgés de globules et
seaux juxtaspinaux. L'infiltration embryonnaire ne respecte pas les
racines
postérieures, mais s'y montre moins intense : s
es n'étant pas à la même hauteur et atteignant' supérieurement deux
racines
différentes, les troubles moteurs et sensitifs
a plus 76 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE . élevée (-1 re
racine
dorsale), correspondent les troubles moteurs plus
'à droite, la différence de niveau correspondant à la hauteur d'une
racine
. Jusqu'ici tout s'explique admirablement : la p
que nous le montre la coupe 104 (PI. IX, C), détruit l'origine des
racines
motrices de la Ire paire, la corne antérieure tou
gus aux tumeurs et irrités par elles, en 0 et 0', correspondent aux
racines
sensitives dont le territoire cutané est hypere
erritoire cutané est hyperesthésié. - MD8, \ID1, etc., GJIi, etc. :
racines
motrices droi. tes et gauches. - SD8, SD1, etc.
s motrices droi. tes et gauches. - SD8, SD1, etc., SG8, SGI, etc. :
racines
sensitives droites et gau- elle$. (En dehors
sensitives droites et gau- elle$. (En dehors de la moelle et des
racines
, on a figuré deux bandes verticales correspondant
sait en effet que l'entrecroisement sensitif des fibres émanées des
racines
se fait dans les cordons postérieurs et la commis
térieurs et la commissure grise, au-dessus du point d'entrée de ces
racines
; par conséquent les con- ducteurs interrompus
les con- ducteurs interrompus en T sont ceux qui sont destinés aux
racines
opposées, situés au-dessous, 2° paire SD2, et s
wn-Sequard provoqué par la tumeur T. Si, enfin, nous considérons la
racine
sensitive de la lre paire dorsale SD1, nous voy
ssus inflammatoire, provoque l'anes- thésie opposée, à partir de la
racine
suivante, SG', zone AG ; enfin que l'irritation
l'irritation de voisinage, en o', des fibres d'entrecroisement de la
racine
SG2, a pour effet d'hyperesthésier la zone In,
es de la moelle, particulièrement dans la région des cordons et des
racines
postérieurs. Près du sillon longitu- dinal post
moitié de la surface du cordon latéral droit et empiétant [sur les
racines
posté- rieures qui paraissent grisâtres. En r
es postérieures. Malgré l'énorme épaississement de la pie-mère, les
racines
étaient peu altérées, il exislait cependant une
eurs dans la nuque et aussi dans la région frontale au niveau de la
racine
du nez entre les 2 sourcils. Les douleurs de la
e, de dire que nous nous sommes trouvé en présence d'une lésion des
racines
inférieures de la moelle, ou du cône terminal. Ce
phique, généralisé et d'autant plus marqué que l'on s'éloigne de la
racine
du membre : ce sont des membres d'échassier. A
es de la moelle, particulièrement dans la région des cordons et des
racines
postérieures. Près du sillon longitudinal postéri
s la moelle elle-même que dans les enveloppes, les vaisseaux et les
racines
, on observe des altérations plus ou moins profo
Le canal central est tapissé d'un bon épithélium cylindrique. Les
racines
: Malgré l'épaississement considérable de la pie-
é l'épaississement considérable de la pie-mère qui accom- pagne les
racines
sur une longue partie de leur trajet et les entou
et les entoure souvent de tuméfactions nodales, la dégénération des
racines
est relativement peu con- sidérable. Au milieu
de toutes parts par lui, se trouvent les sections transversales des
racines
antérieures et Postérieures. Çà et là seulement
ieures et Postérieures. Çà et là seulement les fibres nerveuses des
racines
sont affectées par le processus végétant : Comm
épaissies. Elle n'est isolée qu'aux endroits où elle passe sur les
racines
qui sortent relativement libres. Ses lamelles s
ieu des masses tuméfiées s'étendent, entourées de toutes parts, les
racines
antérieures et postérieures. Les racines des renf
urées de toutes parts, les racines antérieures et postérieures. Les
racines
des renflements lombaire et cervical qui parais
de la paroi ne laisse plus rien voir de la structure normale. Les
racines
qui sont situées au milieu des végétations méning
aux de fibres nerveuses dissociant ainsi les faisceaux qui forment la
racine
. En outre des noyaux isolés, en nombre assez co
u renllement cer- - vicia) qu'on trouve quelques faisceaux dans les
racines
postérieures qui pré- sentent des processus dég
ains fais- ceaux isolés que ce processus est plus étendu. Sur une
racine
du renflement lombaire inférieur, on trouva par h
aines coupes montrent dans cet espace les faisceaux déjà réunis des
racines
. Notons ici que la gaine conjonctive qui les ento
ers faisceaux, notamment le prolongement qui sépare le groupe de la
racine
antérieure et celui de la racine postérieure.
ngement qui sépare le groupe de la racine antérieure et celui de la
racine
postérieure. La dure-mère est d'épaisseur varia
ue de la paroi postérieure du canal. Lorsque la coupe rencontre les
racines
au mo- ment où elles traversent la dure-mère ce
st son prolongement que nous avons décrit, plus haut, engainant les
racines
dans l'espace extradural, lorsque la coupe les
rois très minces portent de rares noyaux allongés et espacés. Les
racines
, par le Pal, montrent les antérieures toujours be
et l'arachnoïde, c'est-à-dire dans l'espace sous- arachnoïdien, les
racines
sont absolument libres, chaque faisceau séparé
ni tissu conjonctif appré- ciable, ce n'est que plus tard quand la
racine
est arrivée près du trou de conjugaison qui doi
ndants. ' L'arachnoïde est éloignée d'elle de toute l'épaisseur des
racines
qui s'in- sinuent ainsi, absolument libres, dan
et remplissant à moitié la lumière du vaisseau. Les vaisseaux des
racines
ne sont pas épargnés. Comme nous l'avons vu cha
, quand l'espa'ce laissé libre n'est, plus suffisant pour loger les
racines
, l'arachnoïde, la pie-mère et quelques détritus
e cellules rondes qui le transforment ainsi en un bloc plein où les
racines
et les vaisseaux doivent se frayer un passage.
peut-être par les vais- seaux qui le parcourent, les vaisseaux des
racines
en particulier. La pie-mère en effet est le plu
rment des groupes laissant entre eux des espaces libres, autour des
racines
qui traversent l'espace sous-arach- noïdien ell
es qui peu à peu finissent par persister seules. Que deviennent les
racines
dans cet espace sous-arachnoïdien ainsi trans-
s mi- croscopiques. Dans d'autres cas c'est des vaisseaux mêmes des
racines
, vaisseaux très altérés comme nous l'avons vu,
a refoulé en avant un certain nombre de faisceaux radiculaires des
racines
postérieures mais le plus grand nombre a disparu
tteint de syphilis congénitale (Siemerling, Boeltiger). Lorsque les
racines
sont seulement infiltrées on les suit facilement
les suit facilement jus- qu'aux ganglions spinaux. Pas plus que les
racines
ils ne semblent se ressentir beaucoup des lésio
nor- maux, elles forment des travées séparées par les faisceaux des
racines
pos- térieures qui se prolongent entre elles bi
de l'épendyme, les vaisseaux spinaux antérieurs sont obstrués, les
racines
sont infiltrées partout, comment la moelle pour
s la dure-mère elle-même, dans l'espace sous-arachnoïdien, dans les
racines
et les ganglions où les , LOCALISATIONS SPINALE
sang pénétrant dans l'espace sous-arachnoïdien s'infiltre entre les
racines
qu'il baigne de toutes parts. En faveur de l'or
dons blancs, cellules de l'axe gris, canal épendymaire normaux. -
Racines
non infiltrées, libres, les vaisseaux n'y sont pa
veines spinales antérieures très distinctes, artères et veines des
racines
, vaisseaux de calibre moindre, ne présentent rien
entre la pie-mère et l'arachnoïde d'une masse uniforme englobant les
racines
et par la distension de tous les vaisseaux gorg
blancs, les cellules de cornes grises, l'épendyme sont normaux. Les
racines
ne sont pas libres ; elles sont noyées au milieu
oyers volumineux qui s'étendent jusqu'à l'arachnoïde, englobant les
racines
et les pénétrant comme nous l'avons vu. Il semb
e grise est parcourue par des vaisseaux énormément distendus. Les
racines
sont ici absolument englobées dans le tissu fibre
l'espace sous-arachnoïdien, forment une masse épaisse englobant les
racines
et de nombreux, vaisseaux à parois fibreuses. La
s dans d'autres cas. Queue DE C11EVAL.-La coupe perpendiculaire des
racines
frappe par la place considérable qu'occupent da
ement plus de place que les filets nerveux eux-mêmes. De plus ces
racines
sont encore réunies entre elles par la proliférat
n. Cerveaux'et enveloppes. d'apparence normale. - La 1noelte;.les
racines
et les méninges, les vaisseaux dans toute la haut
e proprement dite est normale dans ses divers éléments, de même les
racines
et ganglions sont sains. La pie-mère infiltrée
nfiltre entre les deux méninges qui s'écartent alors, englobant les
racines
toutes refoulées sur les côtés de la moelle et
du segment supérieur à celui où se trouve la gomme, on note que les
racines
sont difficiles à voir, tellement elles sont no
lle-ci est refoulée par le sang, elle s'avance en festons entre les
racines
nerveuses, sans que le sang s'échappe cependant.
rachnoïde a cédé en quelques points, car le sang a filtré entre les
racines
qui sont absolument entourées par les globules ro
e DE CHEVAL. - Le sang a tout envahi, enserrant de toutes parts les
racines
restées d'apparence normales, ne paraissant pas c
, à ce niveau et sont bien distinctes, l'épendyme est normal. Les
racines
absolument noyées dans le tissu embryonnaire qui
e annulaire encerclant la moelle et noyant les filets ner- veux des
racines
, mais toutes les cellules se colorent fortement,
st très semblable à celui de la région cervicale. Cependant ici les
racines
sont plus distinctes, coupées en travers elles tr
point de la périphérie, semblent for- mer un croissant autour de la
racine
; de ce nodule principal, périnévritique en que
oyaux. Les cellules des cornes grises sont encore distinctes. Les
racines
présentent le même caractère que dans la région d
re et l'arachnoïde qui protège ainsi plus ou moins efficacement les
racines
.Les coupes les plus inférieures montrent en eff
ble de cellules rondes isolées paraissent errer librement-entre les
racines
sans toutefois envahir celles-ci. Les vaisseaux
ant un diamètre légèrement obli- que. Dans l'une sont refoulées les
racines
serrées lès unes contre les autres, dans l'autr
autres, dans l'autre un véritable néoplasme ayant englobé quelques
racines
à peine re- connaissables dans son tissu,envoie
cines encore presque respectées de l'autre partie de la coupe. Une
racine
cou- pée perpendiculairement a son axe sur la l
comblés par les cellules rondes qui infiltrent leurs parois. Les
racines
paraissent normales dans les régions cervicale et
oisins qu'il unit. L'arachnoïde mince s'applique intimement sur les
racines
. La dure-mère épaisse, fibreuse, sans infiltrat
LISATIONS spinales DE la SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 315 Les vaisseaux des
racines
sont également très altérés, leurs parois fibreus
ang soit dans la moelle proprement dite, soit dansiez méninges, les
racines
, les ganglions. Mais ces vaisseaux ont une paro
l'encéphale. Aux membres, elle se pro- page des extrémités vers la
racine
; son intensité va, d'une façon générale, en di
cédant dans l'ordre inverse de leur apparition, c'est-à- dire de la
racine
des membres vers les extrémités, laissent des rés
uit sa marche envahissante ; elle se propage des membres vers leurs
racines
, puis aux muscles du tronc, quelquefois à des m
nt Taxe, gris, elle est très altérée au niveau de l'émer- gence des
racines
antérieures el près du sillon médian postérieur.
aux forment des rayons dans ce qui reste de tissu médullaire. Les
racines
sont sinueuses au lieu d'être droites comme parto
ondue avec le tissu médullaire -dans tout le segment s'étendant des
racines
postérieures au niveau du diamètre transversal
tre transversal de la moelle. D'autre part, elle envoie du côté des
racines
, par sa face externe, des expansions formées uniq
s en une masse unique ce qui reste de la moelle, la pie-mère et les
racines
. L'arachnoïde n'est visible qu'en de rares endr
gés et pénètre jusque dans la cavité du vaisseau. Les vaisseaux des
racines
sont non moins atteints ; mais leurs parois plus
t'infiltrat embryonnaire autour de la naissance des raci- nes, les
racines
elles-mêmes et la moelle sont alors tellement com
core suivre en partant du ganglion extérieur au canal rachidien une
racine
nerveuse qui pé- nètre dans la dure-mère et va
globent les LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 355
racines
. Les vaisseaux ont leurs parois infiltrées de cel
emarquables par les manchons leucocytiques qui les entourent. Les
racines
sont absolument noyées, envahies, déchiquetées pa
ont été envahies par le pro- cessus spécifique. Les vaisseaux des
racines
ne sont pas moins altérés,endo et péri-artérite e
ostérieur. L'arachnoïde est mince, la dure-mère très épaisse. Les
racines
sont infiltrées de cellules fondes. Les vaissea
méable. localisations spinales DE la syphilis héréditaire 357 Les
racines
sont également entourées de tissu fibreux et leur
s vaisseaux, ils forment en particulier un vrai manchon sanguin aux
racines
à Irur passage dans les trous de conjugaison. E
se rendre compte de l'état normal des méninges, des vaisseaux, des
racines
et des ganglions. Observation XIII, 25 mars 189
tumeur que se mon- trent ces nodules. Dans ce tissu sont noyées les
racines
, on les devine encore 360 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
tteints bien que leurs parois soient manifestement épaissies. Les
racines
ont presque complètement disparu dans la masse né
plètement disparu dans la masse néoplasique, quelques faisceaux des
racines
antérieures sont encore nettement visibles. Les
ont disparu dans la néoformation gommeuse. Il en est de même des
racines
postérieures, celles-ci cependant n'ont pas dis-
cules ont été repoussés en avant auprès des faisceaux respectés des
racines
antérieures. La pie-mère est épaissie, très inf
filum terminale plus ou moins altéré. La tumeur a disparu mais les
racines
restent encore séparées les unes des autres par
mes. La moelle est absolument normale ainsi que ses enveloppes, les
racines
et les ganglions. Observation XX, 15 juin 189
oins atteinte et lombaire où le processus est un peu atténué. Les
racines
ne sont plus libres, elles sont, chose très parti
embryonnaires. Cps cellules pénètrent du reste dans l'intérieur des
racines
le long des septa conjonctifs qui séparent les
s cellules qui comblent tous les intervalles laissés libres par les
racines
anté- rieures, les racines postérieures sont au
s les intervalles laissés libres par les racines anté- rieures, les
racines
postérieures sont au contraire bien distinctes, b
re. Les vaisseaux latéraux ont des parois très épaisses et dans les
racines
les vaisseaux sont les centres de nodules embry
vaisseaux. Moelle se colorant parfaitement dans tous ses détails.
Racines
parfaitement libres, distinctes des méninges, et
les embryonnaires mais isolées les unes des autres errent entre les
racines
. L'espace extradural est fibreux, des vaisseaux
us dont les gaines sont remplies de cellules embryon- naires. Les
racines
et les ganglions sont normaux. La pie-mère est
ans l'espace sous-arachnoïdien une masse compacte dans laquelle les
racines
sont absolument englobées, sans paraître pénétrée
grises se colorent bien et tous leurs éléments sont distincts. Les
racines
sont absolument englobées dans le processus d'inf
de tissu homogène sans structure appréciable est traversée par les
racines
dont les fascicules coupés perpendiculairement so
mpossible de dire si c'est l'artère ou la veine, soit au niveau des
racines
où les artères déformées, parois mons- trueuses
thologique intense. Ce n'est pas tout, quelques coupes montrent des
racines
traversant l'espace 366 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
sies. Enfin l'espace sous-arachnoïdien présente également entre les
racines
un assez D Tand nombre d'éléments embryonnaires
r les cellules rondes. Celles-ci du reste ne pénètrent pas dans les
racines
. Artère spinale antérieure déformée, circonfére
sion, par des gommes volumineuses dévelopées à côté d'elle. , Les
racines
sont très souvent atteintes ; loin d'être libres
ement physiologique de telles lé- sions. Mais il est des cas où les
racines
ont complètement disparu sous le processus néop
a pie-mère, région qui sert surtout de passage aux vaisseaux et aux
racines
. Cette infiltration peut être telle, que \lisib
s des parties voisines. Espace sous-arachnoïdien libre Vaisseaux et
racines
nerveuses bien isolé ? 2. (OBS. II. Spécifique.
plit l'espace sous-arachnoïdien où sont noyés les \ aisseaux et les
racines
. LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITA
aissie ; la pie-mère l'est beaucoup également. 6. (Otss. VI.) Une
racine
de la région dorsale. Développement anormal du
du canal rachidien. 7 et 8. - Lésions des vaisseani. 10. Une des
racines
isolées de la figure 9. Montrant l'envahissemen
pour tout concilier, que le tube digestif, s'engageant entre les deux
racines
du cerveau, vient dans les invertébrés s'ouvrir a
nt se rattacher aux segments postérieurs du corps par de plus longues
racines
. Ces racines seront dans ce cas disposées autour
er aux segments postérieurs du corps par de plus longues racines. Ces
racines
seront dans ce cas disposées autour de la moelle,
seul tubercule, et supprimons par la pensée toutes les vertèbres. Les
racines
nerveuses n'ayant plus rien qui règle leur distri
mal défini, est le sillon latéral antérieur auquel sont attachées les
racines
antérieures des nerfs spinaux. L'autre, plus prof
nière plus ferme, est le sillon latéral postérieur. Les filaments des
racines
postérieures des nerfs spinaux y sont régulièreme
rdons postérieurs par l'adjonction de fibres nouvelles, en regard des
racines
nerveuses des membres antérieurs. Ainsi dans cett
'attention. C'est en effet aux sillons latéraux que correspondent les
racines
des nerfs. Au sillon mal défini que l'on désigne
on désigne sous le nom de sillon latéral antérieur, se rattachent les
racines
antérieures de ces nerfs ; au sillon latéral post
ures de ces nerfs ; au sillon latéral postérieur sont attachées leurs
racines
postérieures ; on sait que ces dernières se disti
elles présentent à quelque distance de la moelle (1), de là le nom de
racines
glanglionnaires sous lequel on les désigne souven
s faits sont si connus qu'à peine est-il nécessaire d'y insister. Les
racines
antérieures des nerfs sont, quoi qu'on en ait pu
es nerfs sont, quoi qu'on en ait pu dire, exclusivement motrices; les
racines
postérieures, au contraire, sont des conducteurs
ont, avec beaucoup de raison, distingué les fibres qui composent ces
racines
sous le nom de fibres centrifuges pour les racine
qui composent ces racines sous le nom de fibres centrifuges pour les
racines
antérieures, et de fibres centripètes pour les po
se soient occupés du système nerveux, a faites sur les ganglions des
racines
postérieures. Ces ganglions sont remarquables à u
Il est certain que le plus grand nombre des fibres qui composent les
racines
postérieures des nerfs se continuent avec celles
ec celles des cordons postérieurs. Il n'est pas moins évident que les
racines
antérieures sont annexées au système des fibres d
ntérieurs. Il n'est donc pas étonnant que certaines propriétés de ces
racines
se retrouvent dans les cordons auxquels elles son
qu'à ces derniers temps, avait-on cru à une assimilation parfaite des
racines
et des cordons qui leur correspondent, du moins a
nouille. La première enveloppe des fibres nerveuses qui composent les
racines
postérieures des nerfs, cesse brusquement au poin
térieures des nerfs, cesse brusquement au point d'implantation de ces
racines
dans la moelle. L'axe de la fibre, revêtu de son
point à d'autres cellules sont évidemment en connexion soit avec fies
racines
des nerfs, soit avec les faisceaux longitudinaux
le du chat, à la région lombaire des fibres qui, des faisceaux et des
racines
postérieures, se portaient dans les petites cellu
mnuniquent à leur tour soit avec les faisceaux moteurs, soit avec les
racines
antérieures, il est certain que par l'intermédiai
de l'axe gris, et se continuent avec certaines fibres des faisceaux
racines
et des faiseeaux postérieurs d'une part, et celle
eaux racines et des faiseeaux postérieurs d'une part, et celles des
racines
et des faisceaux antérieurs de l'autre, des relat
ce sujet est d'une prodigieuse difficulté, il. 3 postérieurs et des
racines
sensitives. Ces communications des ramifications
cordons antérieurs, soit avec les cordons postérieurs, soit avec les
racines
sensitives, soit avec les racines motrices, est u
cordons postérieurs, soit avec les racines sensitives, soit avec les
racines
motrices, est un fait d'une signification claire
e centre des axes gris. Quelques-unes de ces fibres se rattachent aux
racines
postérieures des nerfs spinaux. Outre les cellule
regard de la vertèbre qui leur correspond, et pour s'y rattacher, les
racines
nerveuses parcourent un trajet plus ou moins long
dernière fois dans le crâne. Ces trois renflements correspondent aux
racines
des nerfs qui animent les membres postérieurs, le
r volume est toujours en raison directe du nombre et du volume de ces
racines
. Cela peut être dit, il est vrai, d'un même renfl
uièrent les faisceaux postérieurs à la région cervicale en regard des
racines
nerveuses de membres cependant plus grêles que ce
uvertures si petites qu'elles sont à peine visibles, donne issue à la
racine
ganglionnaire de la cinquième paire. Quant aux pe
la cinquième paire et du nerf facial. Leur adhérence est telle, à la
racine
ganglionnaire de la cinquième paire, que M. Fovil
se ; les fibres blanches qui soutiennent ce bord ont reçu le nom de
racines
du nerf olfactif. Nous donnerons à cette colline
avec précaution le cervelet en coupant transversalement celles de ses
racines
qui tiennent soit à la moelle, soit à la protubér
ont considéré avec raison les barbes du calamus comme fournissant les
racines
du nerf acoustique. Gall, profitant des observati
nt gélatineux qui porte leur nom. Nous verrons ailleurs que certaines
racines
de l'acoustique vont bien au delà. Or quelle es
ation duquel nous reviendrons ailleurs, et qu'on a considéré comme la
racine
principale du nerf optique. Ce qui est vrai dans
estes, qui forme le pédoncule supérieur. Telle est la composition des
racines
du cervelet. Vue dans son ensemble, la masse du
tures. Ces ouvertures sont des passages , par lesquels les troncs des
racines
du cervelet pénètrent dans sa masse. La pointe
issure qu'en conséquence il ne circonscrit plus. Il y a donc entre la
racine
de ce pli et celle du pli pariétal ascendant un i
marge supérieure de la scissure de Sylvius, qui est comprise entre la
racine
du premier pli pariétal ascendant et celle du pli
re de l'hémisphère est comprise entre le lobule du pli uniforme et la
racine
du pli jronto-pariétal inférieur interne. Elle es
u pli unciforme, l'autre interne, est plus courte et se rattache à la
racine
du pli fronlo-pariétal inférieur interne. Ces ban
dans les lobes olfactifs, et ont été considérés comme constituant les
racines
de ces lobes. Les lobes olfactifs sont un prolo
sont un prolongement des hémisphères eux-mêmes,- assez larges à leur
racine
, ils deviennent de plus en plus grêles, cheminent
ongement des traclus blancs, que les auteurs désignent sous le nom de
racines
. Le reste de la suface des lobes est gris, comme
ondeur de la moelle, de l'arête centrale des faisceaux moyens par des
racines
qui s'entrecroisent sur la ligne médiane d'un côt
n qu'occupe cet entrecroisement problématique. On verra ainsi que les
racines
des pyramides s'entrecroisent, et cet entrecroise
e, et le nerf vague lui-même, tirent leur origine, et de même que les
racines
antérieures des nerfs spinaux traversent les fais
ing et Wallach ont très-bien figuré. Elles cheminent à la manière des
racines
antérieures des nerfs spinaux entre le groupe des
pénètrent dans la bourse de l'olive; d'autres se continuent avec les
racines
du nerf hypoglosse. (6). Plus en dehors se trou
usqu'aux parties les plus externes des axes gris. Ces fibres sont les
racines
du nerf vague ou du glossopharingien. Ces deux ne
e système. Ainsi, la plupart des fibres de cette catégorie sont des
racines
nerveuses partant de l'axe gris et gagnant la sup
olongement très-remarquable du nerf acoustique, et en second lieu une
racine
considérable de la cinquième paire. Nous nous bor
t bien remarquer que cette écorce blanche n'a rien de commun avec les
racines
du nerf optique placées au-dessous d'elle. Elle s
côté interne de l'anneau pédonculaire, d'où, conjointement avec cette
racine
de la cinquième paire qui l'accompagne, il se jet
ne enveloppe jaunâtre, et logé dans l'épaisseur de cette partie de la
racine
cérébelleuse qui dépend du pédoncule supérieur. O
in, aux tubercules quadriju-maux antérieurs se rattache la principale
racine
du nerf optique, je veux dire la plus constante.
ère des connexions évidentes avec le corps calleux. Au-devant de la
racine
antérieure de la bandelette est l'ouverture d'un
e que l'éventail dont nous parlons, résulte de l'épanouissement de la
racine
principale du nerf ou plutôt de la bandelette opt
es quadrupèdes que dans l'homme et dans les singes, est de toutes les
racines
du nerf optique, la plus apparente et la mieux co
ommencé, si je puis ainsi dire, par les expansions cérébrales de la
racine
interne. Ainsi, d'une manière générale, l'éventai
arriver à leur destination dernière, traversent toute l'épaisseur des
racines
convergentes du corps calleux; dès lors on ne peu
Dans les singes, dont le nerf optique est énorme, la division de la
racine
externe, qui se porte aux tubercules qua* drijume
re peu développé. Dans l'homme, au contraire, le nerf optique et la
racine
qui se porte aux tubercules nates, sont comparati
ent vers les tubercules nates des lobes optiques. Ainsi, cette petite
racine
, si grêle dans l'homme et dans les primates, devi
ine, si grêle dans l'homme et dans les primates, devient ici l'unique
racine
du nerf optique. Nous avons constaté l'existenc
ner cet enchaînement : (a) Le nerf optique se rattache par une de ses
racines
aux tubercules quadrijumeaux : (b) Les tubercules
mammifères supérieurs, dans l'homme et dans les primates, il y a deux
racines
au moins, l'une directe, l'autre indirecte; la pr
nductions, quelques hypothèses? Dans l'homme et dans les singes, la
racine
directe est au maximum, l'indirecte au minimum. D
l'indirecte au minimum. Dans les autres animaux il y a entre ces deux
racines
un rapport inverse : la racine cérébrale est au m
autres animaux il y a entre ces deux racines un rapport inverse : la
racine
cérébrale est au minimum, elle peut être nulle; e
acine cérébrale est au minimum, elle peut être nulle; en revanche, la
racine
destinée aux lobes optiques s'accroît proportionn
ande ouverture cérébrale. C'est à cette bande qu'on a donné le nom de
racine
externe du lobe olfactif; cette prétendue racine
on a donné le nom de racine externe du lobe olfactif; cette prétendue
racine
est une commissure entre le lobe olfactif et le c
factifs sont, outre les fibres commissuralcs connues sous le nom de
racines
: 1° Des pinceaux émanés de l'anneau pédonculair
s qui proviennent du prolongement du faisceau postérieur et d'une des
racines
de la cinquième paire; 2° Des fibres provenant
fois à sa base ces petites commissures propres connues sous le nom de
racines
du nerf olfactif. On distingue en outre la coiffe
, il y a quelques années, sur l'origine des paires rachidiennes; deux
racines
distinctes les rattachent à la moelle épinière; l
nnes; deux racines distinctes les rattachent à la moelle épinière; la
racine
antérieure pénètre dans le sillon latéral antérie
latéral antérieur de la moelle, elle ne porte point de ganglions; la
racine
postérieure porte un ganglion, de là le nom de ra
e ganglions; la racine postérieure porte un ganglion, de là le nom de
racine
ganglionnaire; elle se rattache au sillon latéral
aits suivants. A. Racines antérieures. Les fibres qui composent ces
racines
sont de deux ordres, les unes se continuent dans
ans l'épaisseur de ces lames celluleuses que cheminent les fibres des
racines
antérieures destinées aux axes gris. Ces fibres s
ent comprendre que des fibres horizontales, aussi la recherche de ces
racines
exige-t-elle une grande patience. Quoi qu'il en
les multipolaires est un fait bien certain. Ainsi, les fibres qui des
racines
antérieures vont aux cellules des cornes antérieu
divisent l'aire des cornes gélatineuses. Ainsi, parmi les fibres des
racines
postérieures, quelques-unes vont, comme certaines
racines postérieures, quelques-unes vont, comme certaines fibres des
racines
antérieures, s'unir au système des cellules multi
réseau comme servant d'intermédiaire central entre les deux ordres de
racines
dans la moelle. Par conséquent, si ces racines
e les deux ordres de racines dans la moelle. Par conséquent, si ces
racines
ont des fonctions diverses, ces fonctions pourron
'un ganglion analogue aux ganglions intervertébraux, représentent les
racines
postérieures des nerfs rachidiens. La paire ner
aitement analogue aux ganglions intervertébraux et qui, par sa grosse
racine
, représente très-bien les racines postérieures de
ntervertébraux et qui, par sa grosse racine, représente très-bien les
racines
postérieures des nerfs spinaux; b, du nerf de la
suit : 1° nerfs purement sensitifs; 2° nerfs principalement moteurs à
racine
simple; 3° nerfs mixtes à racine double. M. Lon
s; 2° nerfs principalement moteurs à racine simple; 3° nerfs mixtes à
racine
double. M. Longet les groupe ainsi d'après leur
crâniennes, tal, savoir: que le trijumeau est une souche commune de
racines
sensitives pour les trois paires céphaliques. 11
avec la chaîne du nerf grand sympathique. Dans notre exposition des
racines
, ou si l'on aime mieux, des origines des nerfs cé
ns et de Cruveilher ; douzième paire de Sœmmerring. On sait que les
racines
de ce nerf émergent du bulbe entre l'olive et la
nerf avec le bulbe, sont en tous points semblables à ceux qu'ont les
racines
antérieures des nerfs spinaux avec la moelle épin
s la moelle au niveau du sixième ou septième nerf cervical. Parmi ces
racines
, les plus élevées s'implantent sur le bulbe. Elle
paroi antérieure du quatrième ventricule. La raison pour laquelle les
racines
du spinal, qui est bien certainement un nerf mote
qui est bien certainement un nerf moteur, s'éloignent de la série des
racines
antérieures des nerfs spinaux et des racines de l
loignent de la série des racines antérieures des nerfs spinaux et des
racines
de l'hypoglosse, est encore à peu près inconnue.
lis et de Vieussens, septième paire de Sœmmerring. Ce nerf, sur les
racines
duquel Gall, et après lui Ch. Bell ont beaucoup i
ur de la protubérance annulaire. Malacarne disait avoir poursuivi les
racines
de ce nerf jusqu'au plancher du quatrième ventric
oute l'é-« paisseur du bulbe en suivant la môme direction... Celte '(
racine
atteint le plancher du quatrième ventricule au ni
le s'élargit en éventail. » Suivant MM. Philippeaux et Vulpian, ces
racines
du nerf facial d'un côté, s'entre-croisent en par
sumé, c'est dans le plancher du quatrième ventricule que plongent les
racines
du facial, c'est-à-dire dans cette lame grise si
des corps restiformes, appartient évidemment à la même série que les
racines
du spinal. (d) Nerf crotaphytico-bucclnateur (P
du trijumeau des modernes. MM. Philippeaux et Vulpian ont suivi les
racines
de ce nerf au travers de la protubérance, et sous
de Willis et de Sœmmerring. Si le nerf facial est en série avec les
racines
du spinal, le moteur oculaire externe appartient
oteur oculaire externe appartient au contraire à la série normale des
racines
de l'hypoglosse. Il s'implante, comme celui-ci, d
mide contre le bord postérieur de la protubérance. On peut suivre ses
racines
entre la masse des faisceaux antérieurs et celle
véritable anomalie parmi les nerfs crâniens. On sait en effet que ses
racines
semblent naître, derrière les tubercules quadriju
sont données ces habiles anatomistes. Je soupçonne que la plupart des
racines
du pathétique s'enfoncent entre les pédoncules cé
oteur oculaire externe et le moteur oculaire commun forment, avec les
racines
antérieures des nerfs rachidiens, une série norma
e, correspond à la première série des nerfs moteurs et représente les
racines
postérieures ou ganglionnaires des nerfs rachidie
èsale. Portion ganglionnaire de la cinquième paire des modernes. La
racine
de ce nerf comprend les racines de tous les nerfs
la cinquième paire des modernes. La racine de ce nerf comprend les
racines
de tous les nerfs sensitifs normaux qui vont aux
comment le nerf trijumeau se partage entre trois paires nerveuses.
Racines
du trijumeau. Le tronc commun de ces racines pl
is paires nerveuses. Racines du trijumeau. Le tronc commun de ces
racines
plonge dans une ouverture ovalaire de la face ant
re de la protubérance à la base des pédoncules cérébelleux moyens. La
racine
principale traverse d'avant en arrière les deux p
endue de la moelle, le fond du sillon latéral postérieur. Ainsi cette
racine
du trijumeau appartient à la série des racines po
postérieur. Ainsi cette racine du trijumeau appartient à la série des
racines
postérieures des paires spinales. A cette racin
nt à la série des racines postérieures des paires spinales. A cette
racine
sont annexées, sous le pédoncule cérébelleux moye
cette racine sont annexées, sous le pédoncule cérébelleux moyen, deux
racines
accessoires. L'une, de teinte grise, se place a
d'où il résulte un entre-croisement médian. Quelques fibres de cette
racine
, d'après les mêmes auteurs se dirigent vers le ce
a cinquième paire avec le cervelet, de même il paraît y avoir, par la
racine
que nous venons de décrire un rapport de cette pa
la base des lobes olfactifs. Je n'hésite point à supposer que cette
racine
comprend toutes les fibres gustatives du nerf tri
trijumeau. Aussi la désignerons-nous hypothétiquement sous le nom de
racine
gustative (1). (1) La cinquième paire, telle qu
trijumeau et le crotaphytico-buccinateur de Paletta. Elle a donc deux
racines
qu'on a comparées à celles des nerfs rachidiens.
ces derniers temps avec beaucoup de soin. Vésale admettait aussi deux
racines
dans cette paire qu'il désigne sous le nom de tro
i a cité ce passage en entier en conclut que Vésale a connu la petite
racine
de la cinquième paire, c'est-à-dire, le nerf crot
, assurent que Vésale a compris sous ce nom de portion dure la petite
racine
de la cinquième paire ; d'autres, au contraire, t
est certain qu'il s'agit ici des branches du trijumeau, et non de ses
racines
. (Willis, Nervorum descriptio et usus, cap. xxn.)
ième paire. (Dere anatomicâ, lib. VIII, p. 359. Francofurt.) Les deux
racines
ont été connues de Wrisberg (Obs. anat. de quinto
77) et de Scarpa, (Obs. anat. Mutinaî, 1779.) Il y a, selon lui, deux
racines
à la cinquième paire, l'une plus petite qui part
sidérer comme le résultat de la division en deux faisceaux d'une même
racine
ganglionnaire. M. Longet décrit ainsi leur origin
mbre sont les filets originels du Pneumogastrique. Ce nerf, comme les
racines
postérieures spinales, naît par conséquent du fai
quatrième ventricule, où ils se terminent en dehors du noyau gris des
racines
de l'hypoglosse. Ces habiles anatomistes ont empl
rvo crotaphytico et bucci-natorio. Mediolani, 1787.) Il fait des deux
racines
de la cinquième paire deux paires distinctes. Enf
racines de la cinquième paire deux paires distinctes. Enfin ces deux
racines
ont été bien connues de Sœni-merring. (Ueber das
atrième ventricule. MM. Philippeaux et Vulpian ont bien vu ces deux
racines
dans chaque filet d'origine du Glossopharyngien e
ue, et les décrivent à leur tour très-clairement, mais outre ces deux
racines
qu'ils nomment intermédiaires, ils en admettent d
'accole au nerf facial, mais ne se confond point avec lui. Il a trois
racines
bien distinctes. 1° La première remonte avec le
sous la paroi grise du ventricule. 3° Ce faisceau est la troisième
racine
, il suit le prolongement du faisceau postérieur q
tre ovale comme l'avait annoncé Vieussens. J'ai fait remarquer que la
racine
cérébrale et celle des lobes optiques étaient, qu
leur importance relative, en sens inverse l'une de l'autre. Quand la
racine
cérébrale est au maximum, l'autre est au minimun,
rébrale est au maximum, l'autre est au minimun, et réciproquement. La
racine
qui va aux lobes optiques, est en communication a
fficulté des dissections n'ait pas permis de pousser la recherche des
racines
cérébrales de (1) Kôlliker (Histologie humaine)
effet que si le nerf acoustique agit sur le cervelet par celle de ses
racines
qui suit les pédoncules cérébelleux (1), ce n'est
nts et ces replis, la pie-mère fournit des gaines qui enveloppent les
racines
des nerfs rachidiens. Quant au cerveau, elle en
terminé en pointe vers le coccyx, contient la moelle épinière et les
racines
des nerfs qui s'y rattachent. La dure-mère rach
chidienne contient la moelle épinière qui en occupe le centre, et les
racines
des paires rachidiennes. Elle circonscrit un gran
. Les points d'attache des dentelures sont compris entre la série des
racines
antérieures et celle des racines postérieures.
ures sont compris entre la série des racines antérieures et celle des
racines
postérieures. Si le sac formé par la dure-mère
nerfs proviennent exclusivement du trijumeau, savoir: 1° de la grosse
racine
avant sa fusion dans le ganglion de Gasser; 2° du
ntenait un grand nombre. Ces nerfs, suivant M. Remak, proviennent des
racines
postérieures. Ils forment des réseaux très-riches
-mère. On distingue : 1° Les veines cérébrales supérieures. Leurs
racines
, logées dans lo fond des circonvolutions de la fa
Courbe occipito-frontale........ 0,374 0,351 0,374 Distance de la
racine
du nez à l'occiput. 0,179 0,i77 0,177 Hauteur mes
ccepté cette hypothèse, mais surtout d'avoir prévu que l'une des deux
racines
des nerfs spinaux contient les fibres sensibles e
s expériences, et le résultat n'a point varié. Il est certain que les
racines
antérieures sont motrices, et les postérieures se
ues années un peu d'incertitude régnait encore sur la question si les
racines
antérieures sont exclusivement motrices; en effet
nne quelques signes de douleur qui disparaissent d'ailleurs quand les
racines
postérieures adjacentes ont été divisées. Kroncnb
ltat en supposant l'existence de certaines fibres récurrentes qui des
racines
antérieures passeraient dans les postérieures au
se. Quand, en effet, on coupe le nerf qui résulte de l'union des deux
racines
à quatre lignes environ en dehors du point de con
re lignes environ en dehors du point de conjonction, l'irritation des
racines
antérieures cesse à l'instant de provoquer des si
uleur n'est qu'un eflet des crampes qui résultent de l'irritation des
racines
antérieures. Ainsi, toute sensibilité dépend en r
s racines antérieures. Ainsi, toute sensibilité dépend en réalité des
racines
postérieures, et l'exception apparente est ramené
ion apparente est ramenée à la règle. On peut donc affirmer que les
racines
postérieures sont seules et exclusivement sensiti
. On supposa que les faisceaux antérieurs étaient le tronc commun des
racines
motrices, les faisceaux postérieurs étaient celui
mun des racines motrices, les faisceaux postérieurs étaient celui des
racines
sensitives. Il y a à cet égard tant d'oppositio
1) supposa que les cordons antérieurs partageaient les propriétés des
racines
motrices, et les postérieurs celles des racines s
nt les propriétés des racines motrices, et les postérieurs celles des
racines
sensitives. Magendie (2) pencha vers cette opinio
émit une nouvelle opinion. Suivant lui, les cordons antérieurs et les
racines
antérieures président aux mouvements de flexion.
s président aux mouvements de flexion. Les cordons postérieurs et les
racines
(1) An idea of a new anatomy of the Brain. Lond
d'être prouvé que toutes les fibres centripètes, que comprennent les
racines
postérieures des nerfs spinaux, remontent en réal
ropriétés et les fonctions des faisceaux de la moelle épinière et des
racines
des nerfs rachidiens. Paris, 1841. attribuait s
plus particulièrement active dans le bulbe, celle où s'implantent les
racines
des nerfs pneumogastriques. M. Flourens a beauc
'axe nerveux, qui est essentielle à la respiration, s'étend entre les
racines
inférieures des pneumogastriques et les tubercule
sons, et il semble probable qu'il dépend de quelques dispositions des
racines
des nerfs moteurs de l'œil, dispositions jusqu'à
encéphale par trois ordres de fibres, ou si l'on aime mieux par trois
racines
. L'une de ces racines (pont de varole) est compos
dres de fibres, ou si l'on aime mieux par trois racines. L'une de ces
racines
(pont de varole) est composée de fibres transvers
manières : 1» chez les animaux quadrupèdes, en supprimant toutes les
racines
des nerfs optiques ; 2° chez l'homme et chez les
il fallait bien que cette opinion eût jeté de leur temps de profondes
racines
. Une femme noble, Magdeleine d'Aiguemairian, éloi
uestion brûlante. Le magnétisme animal a évidemment ses principales
racines
dans les doctrines alchimiques. « L'esprit univer
Je m'explique. Le lobe olfactif reçoit évidemment dans sa coiffe les
racines
des nerfs olfactifs ; or, il est démontré que la
aussi dans un département distinct du cerveau que s'épanouissent les
racines
directes des nerfs optiques dans les singes et da
ux sont mis en rapport avec le cerveau. Il y a d'ailleurs entre cette
racine
médiate et la racine immédiate du nerf optique, u
t avec le cerveau. Il y a d'ailleurs entre cette racine médiate et la
racine
immédiate du nerf optique, une véritable oppositi
TTE, Médecin-suppléant de Bicêtre. Les observations de lésion des
racines
de la queue de cheval sont encore très rares. D
bservation, qui donne des résultats précis concernant le trajet des
racines
postérieures prises en bloc, il m'a paru intéress
ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSIÉRIEURS ' . 19 développés que les
racines
de la région sont elles-mêmes plus volumi- neus
aux de la corne postérieure de Kôllikei. Enfin la zone d'entrée des
racines
, qui coupe en deux la zone de Lissauer, n'a pas
400 trous de conjugaison lombaires, comprimant les ganglions et les
racines
de la 40 paire lombaire. Le noyau principal compr
ne hauteur de 1 cent. 1/2 environ. Au niveau de la compression, les
racines
étaient amincies et de couleur gris rougeàtre ;
amincies et de couleur gris rougeàtre ; au-dessus de ce point, .les
racines
postérieures étaient grises et atro- phiées, le
oint, .les racines postérieures étaient grises et atro- phiées, les
racines
antérieures paraissant saines ; au-dessous on obs
cet endroit aucune réaction inflamma- toire de la dure-mère ni des
racines
, aucune adhérence d'aucune sorte, aucun envahis
les tubes sains et les tubes altérés fût facile (PI.'V) (1). Les
racines
de la queue de cheval préalablement fixées au for
, enfin de nombreuses gaines vides constituent les quatre dernières
racines
sacrées. La 1=e sacrée contient un peu plus de tu
En somme, il existait une destruction p1'esqu'absolue de toutes les
racines
sacrées et une lésion très intense des4e et 5e
s à myéline les plus fines (substance grise) ; 3° la coloration des
racines
hors de la moelle, qui est si souvent défectueuse
at des fascicules inférieurs de la 3e lombaire, qui est la première
racine
épargnée, de telle sorte que, soit à cause des br
telle sorte que, soit à cause des branches descen- dantes de cette
racine
, soit parce que la IL,, lombaire contient déjà un
exes commencent à reparaître. 3e Lombaire. L'arrivée de la première
racine
saine modifie considérable- ment l'aspect; cett
la première racine saine modifie considérable- ment l'aspect; cette
racine
forme un triangle rectangle dont l'hypothétiuse e
he transversale effilée touche par sa pointe la zone d'entrée de la
racine
postérieure.Les fibres endogènes fines deviennent
re ; elles forment un groupe assez pâle situé comme au niveau de la
racine
précédente. 2e Lombaire. - La zone remplie par
terne du noyau sont in- tactes ; elles appartiennent sans doute aux
racines
lombaires supérieures. Il faut noter que dans t
s. La moelle a été débitée en segments après repérage minutieux des
racines
. Des coupes ont été faites au niveau de chaque
; l'angle externe de ce triangle se prolonge jusqu'à l'entrée de la
racine
posté- rieure sous forme d'une bandelette très
i embrasse à distance la corne postérieure et touche à l'entrée des
racines
par un angle très effilé de sclérose légère. Les
le prolongement postéro- externe, celui qui va à la rencontre de la
racine
postérieure, devient par contre plus effilé ; l
ct d'un quadrilatère, ses limites sont plus floues qu'au niveau des
racines
situées au-dessous. Par son petit côté interne
ngle antéro-externe part une traînée très floue vers l'entrée de la
racine
; de l'angle postéro-interne on voit sortir une
e à son extrémité un petit crochet dirigé vers la zone d'entrée des
racines
. A gauche la figure est symétrique. 12e Dorsale
se recourbe un peu pour aller rejoindre le trajet d'en- trée de la
racine
postérieure immédiatement en arrière de la substa
ostérieure par une bande saine très mince et du trajet d'entrée de la
racine
postérieure par une zone plus large, qui semble
es faits relatifs : 1° au trajet intra-médullaire de l'ensemble des
racines
posté- rieures lombo-sacrées ; 2° à l'agencemen
érents systèmes élémentaires de fibres dans le territoire de chaque
racine
dans la moelle ; pour cette partie de mon trava
belle observation de Sottas, qui concerne un cas de compression des
racines
par un noyau de cancer émané, comme dans l'obse
mplète suffit à prouver qu'ils n'appartiennent pas aux neurones des
racines
et que dans les ob- servations où ils sont détr
tion cancéreuse, a empêché l'atrophie des neurones subordonnés aux
racines
postérieures de se produire aussi rapidement que
es, habituellement atteints de dégénérescence tertiaire lorsque les
racines
sont détruites, ont conservé leur intégrité, ce
1° ces fibres sont des fibres radiculaires épargnées, provenant des
racines
lésées ; 2" ces fibres sont des fibres radiculair
nt des fibres radiculaires à trajet descendant, qui proviennent des
racines
supérieures saines. La pre- mière de ces object
ombre excessivement restreint de fibres fines, peut-être pas 10 par
racine
, et que les trois racines situées au-dessus son
eint de fibres fines, peut-être pas 10 par racine, et que les trois
racines
situées au-dessus sont encore extrêmement attei
s, et en particulier celles de la zone de Lissauer, provenaient des
racines
supérieures, elles devraient aller en diminuant p
é reste la même ; à moins de supposer que ces fibres, provenant des
racines
supérieures et destinées au renfle- ment lombo-
inées au renfle- ment lombo-sacré, n'ont pas leur analogue dans les
racines
lombo-sacrées, on est donc forcé d'admettre que
r toute la hauteur du renflement lombaire, aussi bien au niveau des
racines
malades qu'au niveau des racines saines, la zon
lombaire, aussi bien au niveau des racines malades qu'au niveau des
racines
saines, la zone de Lissauer ne diffère absolu-
tinuité entre les fibres des zones de Lissauer les fibres fines des
racines
postérieures serait la suivante : les fibres de
ntes, mais constitueraient les fibres efférentes signalées dans les
racines
postérieures par différents au- teurs et de plu
il crut voir des faisceaux de fibres fines passer direc- tement des
racines
dans ce territoire médullaire, et c'est pourquoi
se que la prolongation des fibres radiculaires de petit calibre des
racines
. C'est là une apparence trompeuse, ainsi que je
il se produit un changement remarquable dans La- 1 structure de la
racine
postérieure ; les fibres radiculaires qui entrent
res sont coupées obliquement, par suite de la direction oblique des
racines
à leur entrée dans la moelle. Lorsqu'on emploie
e de là que les fibres de ces fascicules, obliques comme celles des
racines
, sont très faciles à confondre avec elles ; la
ste pas ; dans un cas où la sclérose des cordons postérieurs et des
racines
était « aussi avancée que possible », la zone e
l et l'auteur pa- raît avoir eu bien de la peine à trouver dans les
racines
un nombre suffi- sant de fibres fines conservée
représenté pl, VII, 4, 7 et 8 : avec une sclérose des cordons et des
racines
postérieurs portée à son maximum à la région sa
ntensité n'est pas forcément proportionnelle à celle des lésions de
racines
; elle dépend sans doute en partie de la solidité
érieures qui est encore manifeste sur la 1re lombaire ; or, la lyre
racine
lombaire ne peut être comprimée que par un néopla
endogènes de celles qui appartiennent aux branches descendantes des
racines
. Ces dernières semblent être assez nombreuses,
e ces fibres éparses augmente rapidement lorsqu'on se rapproche des
racines
saines. Il est probable qu'il faut ranger parmi
ont complètement disparu dans tous les segments qui répondent à des
racines
détruites. Il résulte également que, contrairem
de différences appréciables entre les segments qui répondent à des
racines
malades et ceux qui reçoivent des racines ÉTUDE
ments qui répondent à des racines malades et ceux qui reçoivent des
racines
ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 43 s
suivant toute vraisemblance, est constitué exclu- sivement par les
racines
qui abordent la moelle au niveau même où se tro
au même où se trouvent les colonnes de Clarke, c'est-à-dire par les
racines
dorsales et les deux premières lombaires. II.
radiculaires. L'observation I montre le trajet intra-médullaire des
racines
lombo- sacrées ; je n'insisterai pas sur la dim
que ce cordon porte en avant et qui semble être due au passage des
racines
lombaires supérieures épargnées ; mais je voudrai
ourquoi j'ai cru devoir donner de ce cas une description minutieuse
racine
par racine. Dans cette observation, la sclérose
i cru devoir donner de ce cas une description minutieuse racine par
racine
. Dans cette observation, la sclérose intense s'
es différents systèmes élé- mentaires de fibres qui constituent les
racines
postérieures. (4) EL&CHSI(#, Ist die Tabes
delette varie, suivant les régions, en raison directe du volume des
racines
postérieures correspondantes. Les rapports de l
le envoie seulement un petit prolongement vers la zone d'entrée des
racines
posté- rieures. En un mot, elle est telle que P
DE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 47 de fibres, appartenant aux
racines
postérieures évidemment,mais différents par leu
e par l'époque de leur myélinisa- tion, d'autres systèmes des mêmes
racines
postérieures, lesquels se canton- nent soit dan
nitiale qui est, comme je crois l'avoir démontré, sur le trajet des
racines
, dans le nerf radiculaire; et d'autre part à la
erne de Pierret. Un tabes inci- piens peut être étendu à toutes les
racines
de la moelle, l'observation II en est la preuve
; un tabes peut au contraire être limité à un très petit nombre de
racines
, récent, peu intense et pourtant avoir déjà dép
haque étage son vo- lume, en effet, est proportionnel au volume des
racines
postérieures. Où donc passent les fibres longue
me des racines postérieures. Où donc passent les fibres longues des
racines
? Il est peu probable que ces fibres constituen
longues, comme le montre son remplissage immédiat par l'arrivée des
racines
saines au-dessus de racines détruites. Il ne re
remplissage immédiat par l'arrivée des racines saines au-dessus de
racines
détruites. Il ne reste donc pour leur passage q
je conclus que dans les cordons postérieurs les fibres longues des
racines
passent par la zone radiculaire postérieure ou
vant la loi de Kahler (fig. 16), on voit que le territoire de chaque
racine
se trouve coupé en deux par la limite antérieur
moyennes au milieu et les fibres courtes en avant. A mesure que la
racine
monte et s'éloigne de la corne, cette dispositi
ceau cunéiforme périphérique, est rempli par les fibres longues des
racines
sacrées inférieures. S'il en est réellement ain
o- clze) ; Z L, zone de Lissauer, coupée en deux par l'entrée de la
racine
. Les terri- toires radiculaires forment des équ
G. Les colonnes de Clarke ne paraissent pas recevoir de fibres des
racines
postérieures situées au-dessous de la 3° lombaire
ement, les fibres endogènes conservées. Il existe également dans la
racine
postérieure des débris myéliniques qui pourraie
ès atteinte ; on ne trouve pas traces de cellules. De la 3e à la 6e
racine
dorsale, les lésions sont sensiblement les mêmes
postérieurs qui semblent être systématiques, liées aux lésions des
racines
et de lésions des faisceaux cérébelleux directs
u céré- belleux direct, mais encore en arrière de lui, à partir des
racines
posté- rieures. De même elles peuvent se prolon
s coupes microscopiques ont été pratiquées au niveau de chacune des
racines
de la moelle. Elles ont été soumises aux colora-
ventrale dont les deux côtés latéraux s'étendent presque jusqu'aux
racines
postérieures. La méninge postérieure présente u
ants : les lésions du tabes ne se confondent pas avec le trajet des
racines
, mais ont une appareuce systématisée due à la dis
et, les zones de Lissauer sont complètement sclérosées. De même les
racines
postérieures que l'on peut voir à ce niveau, sont
rieurs, du faisceau de Gowers, des cornes antérieures ainsi que des
racines
antérieures. Dans la moelle dorsale, les mêmes
- rieure et la sclérose de zones de Lissauer, de même que celle des
racines
pos- térieures. Sur toute la hauteur de la mo
ornes postérieures, sclérose de la zone de Lissauer et sclérose des
racines
postérieures également marquée dans toutes les ré
s. Nous avons constaté, en outre, une dégénérescence bien nette des
racines
postérieures ainsi que d'un ganglion radiculaire,
ferons remar- quer l'intégrité absolue des cordons antérieurs, des
racines
et des cornes antérieures, de même que du faisc
eur gauche, on note la per- sistance de quelques mouvements dans la
racine
du membre et l'abolition complète des mouvement
. - Pseudo-oedème très accentué du dos du pied avec bourrelet, a la
racine
des orteils. Cyanose et refroidissement. Infiltra
s génitaux et les membres inférieurs, à l'exclusion cependant de la
racine
des cuisses. Cette pigmentation est formée de tac
e du proces- sus tabétique ? Se trouve-t-il dans la moelle, sur les
racines
ou dans le ganglion rachidien- ? . Dans un préc
us étions en effet attachés davantage à étudier les altérations des
racines
postérieures dans leur trajet intra et extra-ga
es longitudinales, qui permet d'examiner dans une vue d'ensemble le
racines
à leur entrée et à leur sortie des ganglions, et
ules circonfé- rentielles et médianes qui sont les plus proches des
racines
à leur entrée dans le ganglion (pôlecentral ou
nt les cellules circonférentielles et médianes les plus proches des
racines
à leur sortie du ganglion. Nous verrons plus lo
myéline en noir et de permettre d'apprécier le degré d'atrophie des
racines
postérieures dans leur trajet extra et intragan
line-éosine. Ganglions lombaires(3 ganglions ont été examinés).-Les
racines
postérieures sont presque complètement décoloré
Les uns ont été dé- bités en coupes perpendiculaires au trajet des
racines
, les autres en coupes longitudinales. Région
facile de se rendre compte du degré très marqué de l'atrophie de la
racine
postérieure dans son bout central. Ici, ce qui fr
ALTÉRATIONS DU GANGLION RACniDIEN 215 Tout d'abord, l'atrophie des
racines
postérieures dans l'intérieur du ganglion est m
ns lombaires et sacrés, mais les lésions y sont de même nature. Les
racines
postérieures sont très atrophiées. La sclérose pé
la sensibi- lité aux membres supérieurs (sur le trajet des 5e et 6e
racines
cervicales et aux membres inférieurs, surtout s
tés en coupes longitudinales. Sur tous ces ganglions l'atrophie des
racines
postérieures dans le bout central est extrêmeme
peu de chose à signaler dans le 1 er ganglion cer- vical droit, les
racines
paraissent saines ; toutefois on y trouve quelque
à la paraffine. Coupes longitudinales. Sur ces trois ganglions, les
racines
postérieures ne contiennent plus qu'un tout pet
entral est profondément dégénéré, la portion sous-ganglionnaire des
racines
postérieures forme un faisceau aussi dense, aus
its ; 2", 3e et 5° lombaires gauches). Rappelons que l'atrophie des
racines
postérieures est minime ou nulle dans les segme
t minime ou nulle dans les segments sus-ganglionnaires des 1° et 2°
racines
lombaires droites, 2e lom- baire gauche, elle e
hes que dans les autres. " Dans le 3e ganglion lombaire gauche, les
racines
postérieures, à leur sortie du ganglion (bout c
s (fig. 4). z ' 'Au contraire, dans le 4ar ganglion lombaire droit,
racines
et cellules parais- sent à peu près normales :
au tact et à la douleur dans le domaine des 5e, 6e, 7e, 8e, ge. 40e
racines
dorsales du côté gauche ; très légère hyperesth
rement à l'axe. Sur le premier on constate une atrophie extrême des
racines
postérieures dans leur bout central : à peine d
4e ganglion lombaire droit. Dans ces deux ganglions, l'atrophie des
racines
postérieures dans le bout central des ganglions
le bout central des ganglions est des plus nettes, au contraire les
racines
postérieuras sont saines dans le bout périphéri
s sont saines dans le bout périphérique du ganglion. L'atrophie des
racines
pos- térieures est la même au niveau du nerf ra
t sous-arachnoïdien, de telle sorte qu'à l'extrémité centrale de là
racine
postérieure on voit un grand nombre' de gaînes
très comparables, mais un peu moins accusées. Région sacrée. Les
racines
se présentent sous le même aspect que le 3° lom
sal gauche est le plus malade. Dans le pôle central du ganglion les
racines
postérieures sont très atrophiées, elles sont s
ar endroits les cel- lules capsulaires sont un peu proliférées. Les
racines
postérieures sont très atrophiées dans le pôle
n existait dans le trajet intra-ganglionnaire du bout central de la
racine
postérieure, au niveau du nerf radiculaire et dan
core intéressant à un autre point de vue : en effet, l'atrophie des
racines
postérieures, si l'on en juge par l'aspect des
pas lieu de nous surprendre, puisque nous savons que l'atrophie des
racines
postérieures est irrégulière dans son évolution e
nés ou du moins beaucoup moins intéressés; mais, parallèlement, les
racines
postérieures sont également LES ALTÉRATIONS DU
IEN 225 saines ou moins atrophiées ; toutefois, dans les cas où les
racines
postérieu- res sont très atrophiées, les altéra
e des cellules atrophiées ou dispa- rues et le degré d'atrophie des
racines
postérieures. En apparence, il n'en est pas ain
xe persiste plus longtemps que la gaine de myéline, et que dans des
racines
qui paraissent complètement atrophiées, l'exame
crites ne sont pas suffisantes pour expliquer la dégé- nération des
racines
postérieures et des cordons postérieurs de la moe
t une cellule bipolaire donnant naissance par son pôle central à la
racine
postérieure,par son pôle périphé- rique au nerf
hérique, il n'est pas admissible que si la cellule est ma- lade, la
racine
seule dégénère et que le nerf reste sain (Hitzig)
eux prolongements de la cellule n'ont pas la même signification, la
racine
postérieure serait un prolonge- ment cylindraxi
sous le prétexte qu'elles ne peuvent expliquer la dégénération des
racines
postérieures et des cordons posté- rieurs ; san
orie cel- lulaire ont invoqué, pour expliquer la dégénérescence des
racines
, des lésions méningées ceux-ci à la sortie du g
du' ganglion spinal se comporte différemment après la section de la
racine
poslérieure suivant que la section porte sur le
t central ou le bout périphérique; la section du bout central de la
racine
postérieure n'a au- cun retentissement sur la c
ophique de la cellule nerveuse est beaucoup moins effective pour la
racine
postérieure que pour le nerf périphérique - ce
serves des phénomènes aussi différents que la section brusque de la
racine
postérieure pratiquée sur l'animal et la dégéné
ification des cellules du ganglion rachidien après la section de la
racine
pos- térieure, c'est qu'ils n'ont pas laissé vi
rique ; enfin, fait intéressant, la dégénérescence rétrograde de la
racine
postérieure a pu être suivie jus- que dans le g
- sent supposer qu'elles peuvent être consécutives à l'atrophie des
racines
postérieures. Mais, nous ne saurions trop le ré
le répéter, on ne peut assimiler sans réserves l'atrophie lente des
racines
postérieures du tabes et la sec- tion expérimen
des racines postérieures du tabes et la sec- tion expérimentale des
racines
postérieures, d'autant plus que, quel que soit
autant plus que, quel que soit le degré de l'atrophie apparente des
racines
postérieures chez les ta- bétiques, l'examen hi
nglion tahétique sont primitives ou secondaires à l'atrbli'hiei des
racines
postérieures, si elles en sont dépendantes ou ind
port précis entre la raré- faction des cellules et l'atrophie de la
racine
postérieure, c'est que jus- qu'ici la pathologi
rapport absolu entre la disparition des cellules et l'atrophie des
racines
, puisque les cellules dis- parues peuvent fort
jà son rôle dans le processus d'atrophie lente et progressive de la
racine
postérieure ? C'est une question à laquelle nou
écier le rôle qu' elles jouent dans la pathogénie de l'atrophie des
racines
postérieures et des dégénérescences médullaires
ments, montre qu'il existe déjà une réaction inflammatoire dans les
racines
et dans la dure-mère et que le canal épendymair
euses. Les lésions congestives légères, consistant en hyperémie des
racines
et des méninges du IIIe segment, se continuent
térieure au niveau du II° segment, sont nettement visibles dans les
racines
du Vle segment. La réaction inflammatoire paraî
position naturelle (1). Parfois la malade se plaint de fatigue à la
racine
des bras ; elle ne peut se peigner et, si elle
dernière diminuée surtout dans le diamètre antéro- postérieur. Les
racines
minces, paraissent atrophiées, les méninges de la
velet. Un épaisisse- ment des méninges spinales et du cervelet. Les
racines
un peu grêles, mais d'une couleur normale. Ex
t entouré d'une couche formée de plusieurs rangs de cellules. Les
racines
semblent déjà dans les parties inférieures de la
ties plus élevées, cette diminu- tion devient plus marquée dans les
racines
antérieures, de sorte que- dans les régions dor
on se proposait, en faisant de la musique, était aussi de rompre la
racine
du mal lui-même par la violence des accès. » A
e ; d'une manière générale, l'atrophie est donc plus prononcée à la
racine
des membres qu'à l'extrémité, au niveau des muscl
importance considérable. D'une manière générale, les muscles de la
racine
des membres et du tronc sont beaucoup plus rich
ue à celle que Obersteiner et Redlich admettent pour l'atrophie des
racines
postérieures, à savoir une compression à travers
égions : A la région lombaire on la voit débuter au niveau de la 2e
racine
lombaire par une bandelette de nature conjoncti
r les lésions correspondantes des cornes posté- rieures et même des
racines
postérieures. A gauche, en effet, outre la destru
supérieure, nous avons noté la dégénérescence rétrograde de quelques
racines
postérieures que nous avons poursuivie jusqu'au
sion des impressions sensitives cutanées amenées à la moelle par les
racines
postérieures sous-jacentes. En somme il n'y a
moelle normale, surtout dans les régions cervicale et dorsale. Les
racines
paraissent avoir dans l'ensemble un petit volume.
scopique. Des coupes ont été faites au niveau de presque toutes les
racines
et au niveau du bulbe : cependant la portion de
du bulbe : cependant la portion de moelle comprenant les 5 premières
racines
cervicales, a malheureusement été égarée et nou
e la méninge et de ses vaisseaux semble à peu près intact. Dans les
racines
, antérieures et postérieures, un nombre restreint
s mêmes larges espaces clairs que sur les coupes précédentes. Les
racines
ont peu de gaines colorées. lor-2° dorsale. Mêm
t à la dépression de son pourtour au niveau de la zone d'entrée des
racines
antérieures, dépression' si nette à presque tou
ntense avec cyanose, refroidissement, et bourrelet mani- feste à la
racine
des orteils. Il existe de plus, à la face interne
le. La moelle comme le cerveau est congestionnée il sa surface. Les
racines
antérieures et postérieures paraissent saines,
onservé leur volume ; on note particulièrement le volume normal des
racines
pos- térieures qui ne paraissent pas altérées.
é- rieures de la substance grise ne présentent aucune lésion. Les
racines
antérieures et postérieures paraissent saines.
saine, sauf peut-être l'extrémité de la corne pos- térieure. Les
racines
, antérieures sont saines. ' Dans les racines po
pos- térieure. Les racines, antérieures sont saines. ' Dans les
racines
postérieures il y a épaississement du tissu inter
et le faisceau pyramidal n'est ~pas plus altéré que le reste. Les
racines
ne paraissent pas altérées ; il n'y a nulle part
ont également très rares et manifestement en voie d'atrophie. Les
racines
antérieures ont conservé des tubes nombreux et no
s par un tissu interstitiel manifestement augmenté de quantité. Les
racines
postérieures sont encore bien plus manifestement
e la substance grise sont absolument sains. Il en est de même des
racines
nerveuses. Les méninges sont toujours épaissies
phiées ; les cordons laté- raux sont largement sclérosés; enfin les
racines
postérieures sont loin d'être atteintes au même
ant dans le type féminin. 1 Les cuisses, chargées de graisse à leur
racine
, en dehors principalement, sont effilées vers l
ne étroites, bassin anormalement élargi, membres s'effi- lant de la
racine
à l'extrémité, répartition de la graisse dans les
férieur gauche. Ce sont des douleurs lancinantes qui, partant de la
racine
du membre, ou plutôt de la fesse, s'irradient j
é neuro-musculaire en rapport avec une irri- tation du nerf crural (
racine
, tronc, ou ramifications). Peut-êcre celte irri
ns une étendue de 4 centimètres carrés environ. , J'ajoute clu'à la
racine
du membre gauche se produisaient parfois des él
bres inférieurs ; ces nerfs naissent du renflement lombaire par des
racines
qui sortent de moelle, dans une direction très
l postérieur ; 4.4 raci- nes postérieures des nerfs rachidiens ; si
racines
antérieures dn côté gauche, les ra- cines posté
leines indiquent la longueur du trajet intra-vertebrat des 4e et 50
racines
lombaires et des racines sacrées. vin 6 82 NO
eur du trajet intra-vertebrat des 4e et 50 racines lombaires et des
racines
sacrées. vin 6 82 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
ament caudal. Ce filament terminal est. comme perdu au centre des
racines
nerveuses qui vont constituer la queue de cheva
u 10° vertèbre dorsale à la 2e lombaire, et qui donne naissance aux
racines
des nerfs lom- baires et sacrés, fait suite : 1
es qui expriment la distance comprise entre l'émergence spinale des
racines
de ces nerfs et le trou de conjugaison à traver
ntre ano-vésical, qui siège au ni- veau de l'émergence des 3a et 4e
racines
sacrées. - 94 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
vacuations involontaires. L'anesthésie cutanée dépasse, en haut, la
racine
des membres inférieurs; elle envahit les organe
ation exacte il faut attribuer à ce dia- gnostic : Aussi bien les
racines
(4 premières paires lombaires), qui vont consti-
indemnes. L'affection à laquelle vous avez affaire, intéresse les s
racines
du plexus sacré, ou la portion de la moelle d'où
les s racines du plexus sacré, ou la portion de la moelle d'où ces
racines
tirent leur origine. Il est difficile de préc
à ceux de la face postérieure de la jambe, proviennent surtout des
racines
supérieures SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE C
s que les fibres du nerf péronier proviendraient principalement des
racines
inférieures de ce même plexus. D'où cette concl
ion constatée chez le malade de Kahler. Chez ce dernier, les seules
racines
inférieures du plexus sacré devaient être intéres
, tandis, que, chez le premier, l'affection devait être limitée aux
racines
supérieures de ce plexus. B. Une dernière éve
intra-rachidienne peut intéresser à la fois le cône terminal et les
racines
du plexus sacré qui fournissent ai la vessie et a
ion cutanée et des muscles innervés par le péronier (affections des
racines
inférieures du plexus sacré). d) Ces mêmes symp
, mais respecte le domaine d'innervation du péronier (Affection des
racines
supérieures du plexus sacre') . e) Ces mêmes sy
la surface du pied, moins le bord interne (Affection de toutes les
racines
du plexus sacré, ou de la portion correspondant
xus lombaire (Affection ayant occasionné une paralysie complète des
racines
du plexus sacré et une paralysie incomplète des
omplète des racines du plexus sacré et une paralysie incomplète des
racines
du plexus lombaire). g) Enfin, une paralysie se
e, qui répond au territoire d'innervation des premières et deuxième
racine
lombaires, dans les cas où la lésion siège au niv
TÉRIEURE 1 CERVICALE DROITE' RÉSECTION INTRA-RACHIDIENNE DE CETTE
RACINE
ET DES RACINES SUS ET SOUS-JACENTES. GUÉRISON O
ERVICALE DROITE' RÉSECTION INTRA-RACHIDIENNE DE CETTE RACINE ET DES
RACINES
SUS ET SOUS-JACENTES. GUÉRISON OPÉRATOIRE ET FO
CONOGR. DE LA SALPÊTRILRE T. VIII. PL XVIII. NÉVRALGIE DE LA VIII
RACINE
CERVICALE DROITE Le malade avant la réfection
VICALE DROITE Le malade avant la réfection intradurale de cette
racine
. L. BATTAILLE ET Ci- Éditeurs NÉVRALGIE DE
jour, de névralgie du cubital, le diagnostic de névralgie de la VHP
racine
cervicale droite. La zone hypereslhésique fut e
sal se transforme en zo- ne d'anesthésie. NÉVRALGIE DE LA Ville
RACINE
POSTÉRIEURE CERVICALE DROITE 13D l'annulaire, à
ant avec une précision vraiment remarquable le territoire de la VHP
racine
cervicale droite. Une intervention nouvelle s'i
it : l'ouverture exploratrice du canal rachidien au niveau de cette
racine
, et si l'on ne trouvait point de néo- plasme ou
Cicatrices et troubles trophiques du membre avant la résection des
racines
postérieures. Fie. 11 et 4S.- Zones et bandes d
e entre la moelle et le ganglion, résection complétée par celle des
racines
postérieures sus et sous-jacentes, pour se confor
ée physiologique qui admet l'insuffisance de la section d'une seule
racine
pour anesthésier son territoire. Cette interventi
sale, c'est-à-dire les trois paires dont il nous fallait couper les
racines
postérieures droites. La valve droite de la dure-
donc soigneusement reclinée à l'aide de deux pinces à griffe, la 8e
racine
postérieure dont les divers filets avaient été ra
grand dorsal et grand dentelé; la même manoeuvre pratiquée sur la
racine
sus- jacente provoqua des contractions des mu
a- teurs (fig. 20). Nous avions donc affaire, avec certitude, aux
racines
-Ire dorsale et 8° cervicale, et il devenait in
8° cervicale, et il devenait inutile d'explorer la plus élevée des
racines
mises à nu par notre incission dor- sale, rac
plus élevée des racines mises à nu par notre incission dor- sale,
racine
qui, baignée dans du liquide céphalo-rachidien et
durale, était difficile à isoler. Ajoutons que l'électrisation des
racines
antérieures 1 re dor- sale et 8e cervicale ne d
autre part, l'électrisation, même avec un courant très intense, des
racines
antérieures correspondantes, tout en ne provoquan
alement aucun phénomène réflexe, parut produire, surtout pour la 8e
racine
anté- rieure cervicale, une pâleur manifeste du
ouvelle section au ras de leur passage à travers la dure-mère : les
racines
postérieures se trouvèrent ainsi résé- quées su
is leur sortie de la moelle jusqu'au moment où elles rejoignent les
racines
antérieures correspondantes. Enfin, la dure-mèr
non au territoire cutané d'un nerf, mais au territoire cutané d'une
racine
. Dans le cas particulier c'était le territoire
une racine. Dans le cas particulier c'était le territoire de la VHP
racine
cervicale, comprenant les deux doigts internes,
de celle probabilité le diagnostic de pseudo-névralgie de la VIIIe
racine
, cervicale droite était, chez notre sujet, indisc
désormais, pour avoir quelques chances de réussite, s'attaquer aux
racines
postérieures elles- mêmes, dans leur trajet int
arge ouverture du canal rachidien et du fourreau durai char- ger la
racine
postérieure sur un crochet mousse, la sectionner
ophiques post- opératoires rapides et graves dans le territoire des
racines
postérieures réséquées ; en effet, quelques rec
montré le passage de fibres nerveuses trophiques par les premières
racines
postérieures lombaires, et l'absence de fibres
es, et l'absence de fibres nerveuses de même nature dans les autres
racines
postérieures n'est nullement prouvée. Notre malad
ue n'est survenu et ceux mêmes qui existaient sur le territoire des
racines
malades (oedème, pseudo-icthyose, ulcérations p
PHOTOTYPE NEG. CHIPAULT. PHOTOGRAV. J. VITOU. NÉVRALGIE DE LA VIII"
RACINE
CERVICALE DROITE Le malade quatre mois après
la résection. L. BATTAILLE ET C" Éditeurs NÉVRALGIE DE LA Ville
RACINE
POSTÉRIEURE CERVICALE DROITE 147 encourageant,
ERVICALE DROITE 147 encourageant, mais qui ne préjuge rien pour les
racines
autres que celles que nous avons réséquées. Plu
triju- meau n'est-il pas en effet, avant d'avoir été rejoint par sa
racine
molle, une vraie racine postérieure crânienne,
en effet, avant d'avoir été rejoint par sa racine molle, une vraie
racine
postérieure crânienne, analogue aux racines posté
racine molle, une vraie racine postérieure crânienne, analogue aux
racines
postérieures rachidiennes ? Chez notre malade
faire au niveau du trijumeau : nous avons réséqué non seulement la
racine
malade, mais encore les deux racines sus et sous-
avons réséqué non seulement la racine malade, mais encore les deux
racines
sus et sous-jacentes. Nous avons agi ainsi parc
Ftc. 21, 28, 29. Les trois temps de la résection intra-durale des
racines
postérieures. 148... ? NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
laires, de sectionner en dehors ou en de- dans de la dure-mère, une
racine
, sans constater à la suite de cette sec- tion d
tort : il est en effet fort possible que si la section d'une seule
racine
ne suffit pas pour anes- thésier son territoire
ie occupe une distribution bien délimitée, la résection d'une seule
racine
pourrait suffire. La détermination opératoire d
e pourrait suffire. La détermination opératoire de l'identité de la
racine
à réséquer, diffi- cile d'après l'examen de sa
t, réellement possible que par la connaissance du rôle moteur de la
racine
antérieure correspondante, et par son électrisa
, M. Gley a bien voulu prati- quer cette électrisation sur deux des
racines
que nous avions découvertes et constater ainsi
uvertes et constater ainsi qu'il s'agissait très vraisemblement des
racines
lre dorsale et 8e cervicale. C'est là une const
s ayions pu faire chez notre opéré. On a vu que l'électrisation des
racines
postérieures correspondantes a provoqué chez lu
territoire. Enfin, insistons sur ce fait que la résection de trois
racines
postérieures superposées n'a provoqué qu'une hy
ésie tout à fait légère qui disparut en vingt- quatre heures, de la
racine
à l'extrémité du membre. Nouvelles preuves, apr
sses, obliquement de bas en haut et de dehors en dedans, jusqu'à la
racine
des bourses. Ce n'est pas tout . Le pourtour de
his les filets radiculaires de la vessie et du rectum ainsi que les
racines
des nerfs petits sciatiques et honteux internes
riquement 1 '1151 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE * les
racines
des nerfs houleux internes, du petit sciatique et
ncore plus surprenant qu'une pa- reille lésion n'intéressât que les
racines
des nerfs précédents et respectât les innombrab
s'enfonçait dans la partie médiane de la moelle, en respectant les
racines
du nerf crural. Sdlllltzc (1) est revenu récemmen
r les centres spinaux du sciatique par exemple, sans intéresser les
racines
du crural qui cheminent latéralement, à ce nive
duirait 1 une lésion située beaucoup plus bas et com- primant les
racines
du nerf sciatique. Un dessin, annexé au travail
s Ncr et Ncr, que vous apercevez de chaque côté, représentent les
racines
des deux nerfs cru- raux qui, du reste, émergen
nts à droite et à gauche. Sup- posez que le foyer A, respectant les
racines
du crural, intéresse uniquement la partie in-
CONE TERMINAL 157 férieure du renflement lombaire, d'où émanent les
racines
du nerf scia- tique, vous aurez évidemment les
es symptômes que dans le cas où un foyer, situé en 13, comprime les
racines
du sciatique, au point où celles du crural et d
er on a distinctement l'impression de fluctua- tion (Fig 48). Les
racines
de la XII0 paire gauche se compo- ;nl de quelqu
ieures sont intactes. Les colonnes de Clarke paraissent saines. Les
racines
antérieures et postérieures semblent normales,
on porte essentiellement sur la région radicu- laire moyenne. Les
racines
postérieures et les colonnes de Clarke sont intac
a zone de Lissauer. m Les cornes antérieures et postérieures, les
racines
antérieures et posté- rieures sont saines. Da
lésion d'origine probablement endogène attendu que les fi- bres des
racines
postérieures sont intactes. Cette lésion cantonné
urs INFANTILISME CHEZ LA FEMME 221 Membres potelés, effilés de la
racine
aux extrémités. Une couche adipeuse assez épais
du front est incisée verticalement de la naissance des cheveux à la
racine
du nez ; les lèvres de la plaie bien écartées lai
enlevée et les méninges incisées, on aperçoit en arrière, entre les
racines
postérieures, une plaque blanchâtre, molle, nette
e, comme lavé, on ne note aucune autre altération des méninges, des
racines
et de la surface de la moelle. La consistance d
to- pographie du foyer. Cette lésion commence au niveau de la 2e
racine
dorsale ; dès le début elle envahit les deux co
droites jusqu'à un point situé un peu en avant de l'émer- gence des
racines
postérieures gauches (Fig. 64). ' A partir de l
plus malade que la gauche. La lésion se termine au niveau de la 8e
racine
dorsale par une simple tache située dans la com
traire tacheté ; leur noyau est intact ou légèrement déformé. Les
racines
antérieures qui émergent du foyer de myélite sont
es, soit dans l'épaisseur de la pie-mère, soit, surtout, autour des
racines
des nerfs crâniens ; dans l'espace interpédoncu
ection ; la subs- tance blanche a pris une teinte grisàtre. ' Les
racines
antérieures ont perdu leur teinte nacrée depuis l
ostérieure droite : Celte dernière petite tache descendjusqu'à la 10°
racine
. En résumé il existe une lésion, énorme, compre
n résumé il existe une lésion, énorme, comprenant une étendue de 10
racines
, envahissant la totalité de la surface de section
nvahissant la totalité de la surface de section sur la hauteur de 3
racines
. Il faut remarquer sa forme en fuseau, la symétri
les peu colorées. Dans les points même où la lésion est totale, les
racines
antérieures sont relativement peu malades ; un
e. On la voit, également très nette, sur l'enveloppe de beaucoup de
racines
anté- rieures et postérieures ; de cette envelo
eines présentent une infiltration embryonnaire de leur paroi. Les
racines
de l'hypoglosse sont saines. Les nerfs mixtes, de
mérienne assez fortement épaissie et infiltrée de noyaux ronds. Les
racines
du glosso-pharyngien sont les plus atteintes; l
sverse aiguë (deux cas), par NAGEOTTE, 325. Névralgie de la VIlle
racine
postérieure cervicale droite, par A. Chipault,
Trou- bles de la sensibilité, 30, 31. Disposition anatomique des
racines
, 32. Hémiplégie alterne. Examen histologique
e phénomène. Lorsque la lésion anato- mique du tabes, la lésion des
racines
et des cordons sensitifs de la moelle épinière,
elle épinière atteintes par le processus pathologique du tabes, les
racines
et les cordons postérieurs, président aux fonct
; il attachâmes lors une grande importance à la participation des
racines
postérieures, montrant qu'elles étaient le plus s
r avait trouvé que le ganglion spinal était le centre trophique des
racines
postérieures qui pénètrent dans la moelle épini
s batraciens, le chien et le singe. Il a vu qu'après la section des
racines
postérieures l'ataxie apparaît 1. Le résultat, au
iologiste est arrivé, peut se formuler ainsi : Après la section des
racines
postérieures chez ces vertébrés, une ataxie app
xtrémité antérieure ou postérieure, ainsi que d'après le nombre des
racines
postérieures coupées 2. Hering ayant toujours a
mo-pathologiques observés, et chez les animaux après la section des
racines
posté- rieures, et chez les tabétiques, autoris
expressément sur l'ataxie des singes dont ils avaient sectionné les
racines
postérieures (1895) : Hering avait eu l'intuiti
de l'ataxie chez le singe 1. Après avoir sectionné, à droite, huit
racines
postérieures (III-VIII racines cervicales et I-
près avoir sectionné, à droite, huit racines postérieures (III-VIII
racines
cervicales et I-II racines thoraciques) chez un s
ite, huit racines postérieures (III-VIII racines cervicales et I-II
racines
thoraciques) chez un singe, Hering observa, com
l'animal nepou- ' Cf. Margulies. On sectionna à un singe toutes les
racines
caudales à droite jusqu'à la 5° racine lombaire
ionna à un singe toutes les racines caudales à droite jusqu'à la 5°
racine
lombaire inclusivement; à gauche, les trois der
t un mouvement adapté peut encore être exécuté après la section des
racines
postérieures, et il y avait un grand intérêt à
sur les chiens, qu'il n'est pas nécessaire de sectionner toutes les
racines
dont les prolongements innervent une extrémité
s que celle-ci est d'autant plus accusée qu'un plus grand nombre de
racines
ont été coupées. Mott et Sher- rington connaiss
Sher- rington connaissaient, de leur côté, que s'il reste une seule
racine
intacte, le singe pouvait encore se servir de s
pouvait encore se servir de son extrémité pour saisir, et que cette
racine
était la \'I11° cervicale, laquelle, selon Sher-
distribue à la main entière. Aussi, chez le second singe, dont six
racines
postérieures (IV, V, VI, VII, racines cervica-
hez le second singe, dont six racines postérieures (IV, V, VI, VII,
racines
cervica- les, 1 et Il racines thoraciques) fure
racines postérieures (IV, V, VI, VII, racines cervica- les, 1 et Il
racines
thoraciques) furent sectionnées à droite, on ne
n droite pour saisir la nourriture. Un troisième singe, auquel huit
racines
furent coupées à gauche (IV, V, VI, VU racines
singe, auquel huit racines furent coupées à gauche (IV, V, VI, VU
racines
cervicales et 1-IV racines thoraciques, par consé
s furent coupées à gauche (IV, V, VI, VU racines cervicales et 1-IV
racines
thoraciques, par conséquent non la VHP cervical
nes d'ataxie, d'autant plus intenses chez ce singe qu'il avait deux
racines
de moins que le précédent. En outre, ce singe p
minuer. Le degré d'intensité de celle- ci dépend bien du nombre des
racines
postérieures sectionnées; plus ce nombre est pe
, lorsqu'on bande les yeux d'un chien ata- xique (par résection des
racines
postérieures), l'ataxie augmente manifestement
d'une disparition des troubles de coordination après la section des
racines
postérieures d'une extrémité, car cela, affirme
ITIQUE. dons qui sont les prolongements 121l ? ,antédi(Ilaii-es des
racines
pos- /e')' : 6M)'M. Les fibres endogènes de la
) et qui représentent soit les prolongements directs des fibres des
racines
postérieures, soit les collatérales de ces prolon
se donc par une dégénération des prolongements intramédullaires des
racines
postérieures. Mais comme toutes les racines pos
ts intramédullaires des racines postérieures. Mais comme toutes les
racines
postérieures ne sont pas également, et moins en
entes, que l'on constate ici, sont bien plus petites que celles des
racines
et des cordons postérieurs. Obersteiner déclare
de la marche du processus depuis les nerfs périphériques jusqu'aux
racines
postérieures, en passant par les cellules des g
ériques devraient être aussi altérés, et de la même manière que les
racines
posté- rieures. 3° Les racines postérieures :
rés, et de la même manière que les racines posté- rieures. 3° Les
racines
postérieures : à à leur pénétration dans la dure-
pourrait être la cause du tabes. 4° La partie intramédullaire des
racines
postérieures dégénérerait seule ou avec sa part
e épinière, ou, en d'autres termes, comme l'a établi Redlich, les
racines
postérieures dans leur trajet intra-médullaire, d
ullaire, dégénèrent. Dans le tabes, certaines parties seulement des
racines
postérieures sont-elles affectées, ayant un siè
que au sens de Strumpell et de Flechsig, une affection élective des
racines
postérieures, au sens de Mayer. S'agit-il, au c
res, au sens de Mayer. S'agit-il, au contraire, d'une affection des
racines
postérieures intéressant cer- tains segments de
ait pas à la distribution des nerfs périphériques, mais à celle des
racines
spinales, surtout aux racines dorsales moyennes
nerfs périphériques, mais à celle des racines spinales, surtout aux
racines
dorsales moyennes. Plus tard, ces hypesthésies
existe, il est de nécessité que le courant nerveux, apporté par les
racines
postérieures, arrive à la corne antérieure, ce
nération tabétique. Qu'on suppose un cas dans lequel une série de
racines
soient affectées d'ordinaire ce sont les racine
equel une série de racines soient affectées d'ordinaire ce sont les
racines
lombaires : cette lésion entraîne celle des fib
sens d'Exner; l'ataxie résultera de cette disparition. Si une seule
racine
dégénère, cette lésion de déficit pourra, jusqu
ie. Prag. med. Wochensch., - 1896. 12 REVUE CRITIQUE. venant de
racines
différentes. Mais que plusieurs racines dégé- n
2 REVUE CRITIQUE. venant de racines différentes. Mais que plusieurs
racines
dégé- nèrent, comme dans le tabès, l'ataxie s'e
g touchant les troubles de la motilité consécutifs à la section des
racines
postérieures. Lui- même signale les troubles si
nt de vue de la distribution des lésions dans le tabes, ce sont les
racines
lombaires qui sont le plus souvent ANATOMIE ET
rocessus tabétique. D'autre part, on reconnaît généralement que les
racines
posté- rieures proprement dites, la zone margin
proprement dites, la zone marginale de Lissitiiei-, les fibres des
racines
postérieures pénétrant dans la substantia gelalin
aujourd'hui qu'un territoire cutané n'est pas innervé par une seule
racine
: il reçoit des fibres sensitives de plusieurs
par une seule racine : il reçoit des fibres sensitives de plusieurs
racines
, quelquefois de trois. Il existe certainement à
ci- tation à d'autres parties. Aussi longtemps qu'une ou deux des
racines
qui innervent un territoire cutané conservent enc
trouble de la sensibilité devienne manifeste, il faut que plusieurs
racines
dégénèrent, et d'une façon très grave. Dans q
les libres servant à la sensi- bilité tactile ne soient celles'des
racines
postérieures et de leurs prolongements, des col
rs lanci- ttatates, les paresthésies, sont l'effet de la lésion des
racines
posté- rieures. La physiologie expérimentale ét
ions du segment périphérique de cette voie nerveuse, et surtout des
racines
postérieures, provoquent de très vives manifest
s de cette affection. C'est ce qui arrive, dans le tabes, quand les
racines
postérieures dégénèrent. L'absence possible des
g. Iéna, 1897. Chez l'homme adulte, l'existence de collatérales des
racines
postérieures n'aurait été jusqu'ici sûrement dé
ces lui permettent également d'affirmer que, après la sec- tion des
racines
postérieures, la dégénération consécutive du cord
ènes. L'hypothèse qu'il s'agit ici de fibres exogènes, dérivées des
racines
postérieures, lui semble plus plausible, si l'o
r, et qu'elles dégénèrent en fait, consécutivement à une lésion des
racines
postérieures ou des fibres radiculaires postéri
ginaux; ces lésions, coinci-, dant avec un minimum d'altération des
racines
postérieures et du 2,eti- culunx des colonnes d
New-York). Les colonnes postérieures de la moelle épinière et ses
racines
postérieures sont, en tant qu'il s'agit des mal
détaillé, un examen microscopique minutieux de chaque segment, des
racines
et des ganglions spinaux, toute altération due so
lles voisines de ces zones; 3° Les toutes premières altérations des
racines
, même des zones de Lissauer et surtout des gang
e certaine proportionnalité entre les altérations de la moelle, des
racines
, voire même des ganglions. Cela posé, je suis p
Marchi et autre) montre que l'affection atteint en premier lieu les
racines
post-intra-médullaires (rarement leurs parties
toxines, etc., sont transportés dans la moelle, et plutôt parles
racines
postérieures qu'antérieures (Momén et Laitinen) y
er (11, dont 7 de l'estomac, âge 36-58 ans) rarement altération des
racines
postérieures extramédullaires, mais souvent des
ération des racines postérieures extramédullaires, mais souvent des
racines
intramédullaires, quoique peu prononcées (March
ération des fibres isolées, ordinairement autour des vaisseaux. Les
racines
posté- rieures sont peu ou pas altérées (plutôt
partie dans les dispositions anatomiques, soit dans le parcours des
racines
intramédullaires avec leurs fortes courbures et
eu de Turnbull se faire dans la partie supérieure du nerf, dans les
racines
, surtout dans les racines postérieures. L'injec
ns la partie supérieure du nerf, dans les racines, surtout dans les
racines
postérieures. L'injection dans le sciatique du li
trent dans cette dernière catégorie. Dans ces maladies en effet les
racines
sont attaquées au niveau du nerf radiculaire pa
re. La conséquence est variable suivant le neurone consi- déré : la
racine
postérieure se détruit ; l'antérieure résiste ou,
rf optique dans ces cas est absolument compa- rable aux lésions des
racines
spinales. Contribution ci l'étude des lésions m
cette considération que dans la sclérose latérale amyotrophique les
racines
s'atrophient sans réaction sclé- 72 SOCIÉTÉS SA
pyramidal, ne semble pas entravé par l'existence d'une névrite des
racines
postérieures et peut se manifester chez des suj
si d'une lésion centrale ou voisine du centre, d'une altération des
racines
postérieures. En l'absence d'examen nécroscopiq
ée immédiatement au-dessus du niveau de l'émergence de la troisième
racine
sacrée. Les signes cliniques des affections du
série de cas avec une lésion probable de la substance grise ou des
racines
des segments situés immédiatement au- dessus du
du cône, ne dépassant pas la limite supérieure de la cin- . quième
racine
lombaire. Le symptôme complexe très caractérist
de Gowers sont pris des deux côtés avec prédominance à gauche. Les
racines
antérieures et postérieures sont prises égaleme
e centripète. Je ne veux pas nier par là, que la dégénérescence des
racines
postérieures ne puisse pas déterminer à la long
répondent à une ceinture radiculaire, et qu'il doit y avoir quatre
racines
atteintes. F. BOISSIER. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET
es. Alors même que toutes les parties élé- mentaires constituant la
racine
postérieure ont dégénéré, on a pourtant constat
ession de la cauda eqziiata : c'est que les collatérales issues des
racines
postérieures qui pénètrent dans les colonnes de
nt à la doctrine nouvelle qui localise la lésion primitive dans les
racines
postérieures, fit.observer que la lésion des ra
itive dans les racines postérieures, fit.observer que la lésion des
racines
et des cordons postérieurs impliquait une affecti
était, dans le labes dorsalis, l'état des cellules d'ori- gine des
racines
et des cordons postérieurs de lamoelle, c'est-à-d
portent les cel- lules des ganglions spinaux ? centre trophique des
racines
postérieures- dans le tabes ? Une affection de
ifération nucléaire moyenne du tissu interstitiel, dégénérallon des
racines
postérieures au niveau correspondant de la lési
mme Siemerling (1888), a constaté, avec une dégénération totale des
racines
postérieures, des lésions des cellules des gang
r estime que ces lésions ne suffisent pas pour expliquer celles des
racines
et des cordons postérieurs dans le tabes. Erb a
e altération proprement dite. Dans des cas .de tabes absolu, où les
racines
postérieures présentent la plus complète dégéné
hercher la lésion initiale du tabes dans les cellules d'origine des
racines
postérieures ? Les réflexions qu'il a faites à
ile en T devrait dégénérer, et la branche centrale, c'est-à-dire la
racine
postérieure, et la branche périphérique, le ner
périphérique. Comme il-n'y a point de doute que, dans le tabes, les
racines
postérieures et leurs pro- longements intramédu
ffection tabétique de la moelle épinière doit être cherché dans les
racines
postérieures sensitives » . La loca- lisation d
ives » . La loca- lisation de la lésion primitive du tabes dans ces
racines
, laquelle laisserait intacte la branche périphé
le ; s'il en existait de telles. Par l'effet de la dégénération des
racines
postérieure et de leurs prolongements dans la m
tion due à la dégénérescence des collatérales des prolongements des
racines
postérieures dans le tabes. Deux opinions exi
haffer, ce n'est pas seulement la branche centrale, c'est-à-dire la
racine
postérieure, c'est aussi la branche périphérique,
che centrale; il localisa donc la lésion initiale du tabes dans les
racines
postérieures. Mais, objectent Juliusburger et M
u'une intoxication saturnine chronique peut produire une lésion des
racines
postérieures, comme dans le cas de Redlich, et,
quée, du tabes et de la paralysie générale. Outre les lésions des
racines
postérieures et des racines anté- rieures, il e
ralysie générale. Outre les lésions des racines postérieures et des
racines
anté- rieures, il existe, dans la paralysie gén
Quelle que soit la cause des altérations directes et primitives des
racines
postérieures dans le tabes (il n'existe pas de sy
rveux, quoiqu'elle manifeste une sorte d'affinité élective pour les
racines
postérieures 2. Les altérations dégénératives d
s, outre que les lésions de la moelle, et en particulier celles des
racines
posté- rieures, qui coïncident avec celles des
ganglions spinaux cor- respondants dans les amputations, celle des
racines
et des cor- dons postérieurs. Mais Redlich fait
après une amputation, a trouvé, avec la coloration de Marchi, les
racines
et les cordons postérieurs correspondant aux memb
sciatique sur trois lapins, a noté des lésions manifestes dans les
racines
postérieures, les cellules des cornes postérieure
rincipes de la droite raison, a rapporté au neurone d'origine de la
racine
postérieure la lésion classique de ce cylin- dr
» du protoplasma cellulaire qui retentiraient sur le trophisme des
racines
postérieures et de leurs prolongements intraméd
érations des cellules des ganglions con- sécutives à la section des
racines
postérieures (Lugaro), altéra- tions qui ne dét
ésions de ces cellules qui, dans le tabes, suc- cèdent à celles des
racines
postérieures et de leurs prolongements. Dans la
orter aux'processus inflammatoires des méninges la dégénération des
racines
postérieures; l'atrophie des cordons ' Il n'est
rofessent la « théorie radiculaire », c'est-à-dire selon lesquels les
racines
postérieures sont le point de départ de la lési
sion des cordons postérieurs; tel serait, par exemple, le point des
racines
postérieures dont la lésion déterminerait la né
pouvait s'agir de dyscrasies déterminant une atrophie primaire des
racines
postérieures. Minor et'Sachs (1894) ont montré
1 sont également partis de la considération que la dégénération des
racines
postérieures débu- tant presque toujours dans l
térieures débu- tant presque toujours dans le tabes au point où ces
racines
pénè- trent dans la moelle, c'est là qu'il faut
t la compression qu'exerce déjà à l'état normal la pie-mère sur les
racines
posté- rieures, devait suffire pour expliquer l
une autre cause, pour ainsi dire convergente, de dégénération des
racines
postérieures. Des recherches étendues auxquelles
sentent le nerf optique, le trijumeau, le glossopharyngien avec les
racines
postérieures. En outre les nerfs périphériques,
Dans la paralysie géné- rale, ce ne sont pas les prolongements des
racines
postérieures qui dégé- nèrent, c'est-à-dire des
ble, à la vérité, que tous les 'genres de fibres contenues dans une
racine
postérieure de la moelle épinière ne réagissent
ordinaire du mot; c'est tout "au plus un affection systématique des
racines
postérieures, une 'affection exogène des cordon
le bras droit et le reste du corps avec prédominance du côté de la
racine
des membres ; 2° une exagération des réflexes t
iculaire supérieure du plexus bra- chial, c'eL-à-dire des V° et VI'
racines
cervicales. Sur l'évolution de quelques cas de
de gravité, M. Ifuet émet deux hypothèses : ou bien les lésions des
racines
antérieures des nerfs proloquent du côté des ce
des scalènes à un centimètre et demi du plexus. La compression des
racines
ne peut se faire entre les apophyses transverses
abaissement de l'épaule ou l'élévation du bras amène la tension des
racines
du plexus, surtout de la cinquième, sixième et
liore de la gaine durale. témoignage de la traction exercée sur les
racines
postérieures. Des lésions peuvent se trouver créé
ent se trouver créées* par l'aplatissement des cinquième et sixième
racines
sur la gout- tière des apophyses Iraniverses pa
culo-médullaires. Un traumatisme violent et brusque peut rompre les
racines
antérieures et postérieures, mais les racines p
usque peut rompre les racines antérieures et postérieures, mais les
racines
postérieures se rompent après les racines antér
et postérieures, mais les racines postérieures se rompent après les
racines
antérieures. Le pro- nostic des paralysies radi
ou lent, violent ou minime amène des lésions réparables ou non des
racines
anté- rieures et postérieures du plexus brachia
à la distribution péri- phérique d'aucun nerf sensitif, ni d'aucune
racine
spinale posté- rieure. 4° Marche et terminais
ale au cône terminal (méthodes de Nissl, picrocarmin, Weigert); des
racines
antérieures correspon- dantes, et des nerfs des
ons une intégrité complète des cellules des cornes antérieures, des
racines
antérieures; par contre, il existe une névrite
supérieures, exactement comme dans les lésions de la moelle ou des
racines
postérieures. Un autre point caractéristique, c
évoir qu'on l'observera toutes les fois qu'il y aura une lésion des
racines
postérieures à la région dorsale. H. DE Musgrav
: comment une balle entrée par la voûte palatine et sortie par la
racine
du nez a-t-elle lésé ces trois nerfs ? L'idée d'u
les nerfs cutanés externes, nerfs qui émanent de la 2° et de la 3°
racine
lombaire. La lésion de la moelle siégeait surto
ments lombaires. Il est démontré qu'il faut couper au moins trois
racines
spinales pour détruire la sensibilité d'une surfa
le signe de Babinski (extension du gros orteil par la piqûre de la
racine
plantaire). - Soir : T. Il. 401,5. 3. Dans la
après le malade dégagea ses mains et s'acharna de nouveau après la
racine
de la langue. L'interne ayant ouvert la porte,
truction des éléments de structure, avec ou sans dégénérescence des
racines
antérieures. Le traitement est jusqu'ici resté
tés. Quelle relation existe-t-il entre la cavité et la lésion de la
racine
médullaire du trijumeau ou d'autres régions du
hes. Il n'y a pas non plus de lésions vasculaires. La moelle et les
racines
sont intactes. Les auteurs, après avoir discuté e
vées de façon a former un vide losangique depuis les genoux jusque la
racine
des cuisses (V. PI. I). Les jambes sont assez
t aux membres normaux, d'autant plus courts qu'on approche de leurs
racines
(micromélie rhizomélique). Peu modifiés dans le
brachycé- phale, la circonférence totale est de 57 centimètres. La
racine
du nez est visiblement enfoncée et aplatie, ce
in- terne de la dure-mère de l'arachnoïde, du ligament dentelé, des
racines
médullaires ou de la pie-mère. Comme matériel
rouvait comme il faut l'admettre dans l'os même et com- primait les
racines
postérieures, et, probablement les antérieures au
soitpar la compression des nerfs périphériques, soit par celle des
racines
au sein même des vertèbres par les néoplasmes. Il
de la jambe et du pied droit, sont expliqués par la compression des
racines
sacrées exercée par la tumeur. Il est possi- bl
ur placée dans la le, vertèbre lombaire comprimât du Côté droit les
racines
sacrées supérieures, qui à, ce niveau partent de
diculaires sacrés pourraient provenir aussi de la com- pression des
racines
sacrées exercée par une tumeur située dans' l'os
e développait évidemment dans les vertèbres mêmes et comprimait les
racines
lombaires, du côté gauche principalement. Les d
ur la face postérieure des membres supérieurs fonl présumer que les
racines
sacrées sont restées intactes. Les troubles moteu
y a encore une question à résoudre : la tumeur comprimait-elle les
racines
en dehors des corps vertébraux ou dans le canal r
té gauche plus touché) et qu'il n'y avait presque pas de lésion des
racines
sacrées. D'autre part les faibles troubles dépe
des racines sacrées. D'autre part les faibles troubles dépendant de
racines
sacrées inférieures (absence d'érection, troubl
oser que les symp- tômes morbides provenaient de la compression des
racines
lombaires en de- hors du canal rachidien par un
che non loin du pé- rinée montrent que l'affection a débuté par les
racines
sacrées inférieures. L'affaiblissement prédomin
ssi l'anesthésie du périnée (bilatérale) tellement typique pour ces
racines
, les troubles de la fonction des sphincters vés
oli- tion du réflexe patellaire peut être attribué à l'affection de
racines
loin- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA CO
ents sont tantôt plus profonds du côté gauche, tantôt du droit. Les
racines
postérieures sont très modifiées. Les enfonceme
mite supérieure de cette pachyméningite externe correspond à la IVe
racine
cervicale, c'est-à-dire qu'au-dessus bientôt comm
enfoncement considérable se trouve dans la région des Ve, VIe et VILe
racines
cervicales (compression évidente de la moitié d
cée). Le second en- foncement beaucoup plus petit correspond la Ir.
racine
dorsale (les deux fais- ceaux postérieurs et la
tié droite de la moelle). L'enfoncement suivant correspond à la IIe
racine
dorsale (la compression de la moitié droite est
galement plus considérable que celle de la gauche) et aux IVe et Ve
racines
dorsales postérieures (peu profond, atteignait se
du sillon antérieur : assez bien aussi, une large zone autour de la
racine
antérieure; presque aussi bien la région des fa
s étroits vers le centre de cordon, d'autres finissent sur place. Les
racines
antérieures et postérieures sont bien conservée
e. Les racines antérieures et postérieures sont bien conservées, la
racine
antérieure montre très peu de libres dégénérées
t le trajet des différents faisceaux prend la forme en zig-zag. Les
racines
postérieures sont dégénérées des deux côtés, les
esthésies sont très rares. Il y a parfois des symptômes du côté des
racines
antérieures, sous forme de contractions spastiq
différents muscles. Il ya des cas où, à la suite de compression des
racines
médullaires (sans atteindre la moelle épiiiièt-
rit par Deje- rineet Spiller (sarcome de l'os sacré avec lésion des
racines
sacrées et de quelques lombaires sans lésions d
sses néoformées. IL Les tumeurs vertébrales malignes compriment les
racines
, sans pénétrer dans le canal rachidien . A ce
a éprouvées doivent être mises sur le compte d'une compression des
racines
médullaires ou de leur envahissement par le pro
néoformées, après avoir envahi la dure- mère, pénètrent le long des
racines
médullaires ou à travers la pie-mère vers la mo
ncé- reuse occupe uniquement la face interne de la dure-mère et les
racines
, tandis que les méninges molles et la moelle so
r qu'on a pratiqué à titre d'opération pal- liative une section des
racines
postérieures, pour calmer les douleurs Quant à
Le tronc est lourd et carré, le dos est voûté. Les membres à leur
racine
sont très gros et très forts. Il est très curieux
n périphérique des membres et que le côté proximal, c'est-à-dire la
racine
des membres, est complètement épargnée. 106 -
rester frappé par le con- traste qu'il y a entre l'extrémité et la
racine
des bras et des jambes. Le corps de Marguerite
rès accusée aux extrémités et va en diminuant de la périphérie à la
racine
des membres. Les masses musculaires du tronc so
son extrémité étant égale et peut- être un peu plus épaisse que sa
racine
. Depuis, nous avons revu M. A. plusieurs fois.
du côté droit adhérente à la dure-mère dans l'étendue des Il[, VIe
racines
dorsales. Dans le cerveau il n'y a pas de lésions
la tumeur diminuer, elle disparaît au-dessus de .l'entrée de la VIe
racine
dorsale dans la dure-mère. Cette dernière est épa
zone radiculaire gauche et une dégénérescence moins prononcée de la
racine
postérieure gauche. Dans la moelle sacrée, le t
s pie-mériennes pénètrent Fig. 5. Sarcome à cellules rondes. 1.
Racines
postérieures. 4. Foyer de lésion dans le cordon l
n à travers les trous de conjugaison dans la région des IULE et Vie
racines
dorsales droites. La tumeur était extérieure pa
vaisseaux. Il faut attirer l'attention encore sur ce point, que les
racines
posté- rieures lombo-sacrées sont dégénérées. C
04, n° 97) on est parvenu à la conclusion que ces chan- gements des
racines
sont dus à la pression exagérée du liquide céphal
sions, si elles existent, y sont minimes. Pas de foyers diffus. Les
racines
antérieures et postérieures sont intactes. Le rés
rieurs sont beaucoup moins touchés, les antérieurs presque intacts.
Racines
antérieures et postérieures, dure-mère et pie-m
es antérieures sont entourées des espaces péri-cellulaires élargis.
Racines
médullaires normales (vaisseaux dilatés et gorgés
s néoformées se trouvent à une certaine distance de la méninge. Les
racines
en dehors de la dure-mère présentent une dégéné
dégénérescence évidente (elles passent à travers la dure-mère). Les
racines
antérieures et postérieures en dedans de cette
es vaisseaux qui pénètrent dans la moelle. On doit rappeler que les
racines
qui se trouvaient en dehors de la dure-mère et le
ération irréguliers et petits dans le cordon droit antérieur. Les
racines
postérieures et antérieures sont bien conservées.
lle. Le long de la corne postérieure gauche, une zone très pâle. La
racine
postérieure gauche est tout à fait dégénérée. L
La racine postérieure gauche est tout à fait dégénérée. Les autres
racines
sont bien conservées. Cloisons élargies. Il n'y
rieurs sont plus clairs que les antéro-latéraux. Du côté gauche une
racine
antérieure tout à fait normale près de la moell
s de la moelle et dégénérée à une certaine distance de celle-ci. La
racine
postérieure est presque complètement dégénérée (i
comateuses isolées dans la zone périphérique de la névroglie. Les
racines
médullaires sont restées généralement intactes ou
. Elle se développa par suite de compression et de dégénération des
racines
postérieures gauches (surtout au niveau du segm
a coupe transversale (Luce). Il faut dire tout spécialement que les
racines
médullaires restent quel- quefois intactes, dan
ures montraient des signes de lésions qui dépendent des lésions des
racines
antérieures (dégénérescence traumatique ascenda
s dans la zone radiculaire des cordons postérieurs (compression des
racines
par distance dans notre obs. IX). On peut aussi
nt jusqu'à la co- tonne vertébrale, elle comprime les vaisseaux des
racines
et provoque des lésions par ischémie. Enfin dan
ement et unique- ment le territoire d'un nerf périphérique ou d'une
racine
. Il n'y a jamais de paralysies oculaires. 6°
, lorsqu'on fait étendre les mains et alors se traduit surtout à la
racine
du membre par les mou- vements transmis à la ch
le fond des yeux et que l'acuité visuelle. Ne : , très enfoncé à la
racine
et au milieu, élargi à la base. Odorat normal.
ne donnant à à l'exlrémi té cépha 1 iq ue l'aspect monstrueux d'une
racine
noueuse (P. Marie). Cette affection fait ordinair
le épinière; périnévrite et endonévrite des nerfs de la base et des
racines
des nerfs spinaux; des foyers de ramollissement d
rtout on voit des hémorragies et surtout au centre de la coupe. Les
racines
et les méninges molles sont intactes (coloratio
L'autopsie démontra que la tumeur se trouvait à l'endroit où la VIe
racine
dorsale pénètre dans la moelle (fig. 13) (incis
gauche. S. Cordon latéral droit. 6. Racine antérieure gauche. 7-8.
Racines
postérieures. 9. Tumeur. TUMEURS DE LA MOELLE
ue l'histoire de la maladie. La tumeur correspondait aux VI, et VU.
racines
cervicales (fig. 18). Elle sié- 332 FLATAU ge
esque tranchant. Sur la face antérieure delà tumeur descend la VII°
racine
verticale bien amincie. La moelle épinière au n
est comprimée, refoulée à droite et ramollie. Au niveau de la VIIe
racine
cervicale, la moelle a pris la forme d'un ruban.
cale, la moelle a pris la forme d'un ruban. Au niveau des Y- et VI'
racines
cervicales postérieures la moelle épinière, dans
de de Weigert et provenant des segments les plus comprimés (la VIle
racine
cervi- cale) montrent une configuration interne
cloisons ne sont pas épaissies comme c'était le cas plus haut. Les.
racines
médullaires sont pour la plupart du temps bien co
les cellules nerveuses en petite quantité à l'état d'atrophie; les
racines
bien conservées, par places,à gauche, un peu dégé
s. Il faut assister ici encore sur la résis- tance considérable des
racines
. Malgré les dimensions de la tumeur et le haut
les dimensions de la tumeur et le haut degré de la compression, les
racines
médullaires du côté de la tumeur sont bien cons
le supérieur sous forme d'une languette atteint le niveau où la IXe
racine
dorsale quitte la dure-mère. A droite la racine
le niveau où la IXe racine dorsale quitte la dure-mère. A droite la
racine
ne contracte pas de relation avec la tumeur. A
e la IXe ra- cine dorsale postérieure dans la moelle. Les Xe et XIe
racines
se trouvent du côté droit dans une cannelure qu
re. La même chose peut-on dire de la par- tie supérieure de la XIIe
racine
dorsale droite. Le pôle inférieur allongé cor-
- respond au lieu de pénétration des faisceaux supérieurs de la Ire
racine
lom- baire postérieure dans la moelle. Examen
molle de la moelle. Sur la face dorsale de la tumeur se trouve une
racine
postérieure aplatie, allongée et en partie dégé
ce antérieure de la tumeur également se trou- vent les restes d'une
racine
presque tout à fait dégénérée, adhérente à la t
cine presque tout à fait dégénérée, adhérente à la tumeur. D'autres
racines
présentent également une dégénérescence, mais à
e étendue est adhérente à la méninge molle. A ce niveau on voit une
racine
postérieure dégénérée englobée par la tumeur. Les
voit des fibres nerveuses à myéline qui constituent évidemment les
racines
gauches postérieures. Ces fibres s'accumulent e
émontre une dégénérescence évi- dente, le droit à peine visible. La
racine
postérieure droite est considéra- blement dégén
le supérieur de la tumeur correspondait au lieu de sortie de la IXe
racine
dorsale hors de la dure-mère. La tumeur se trou
des fibres radiculaires. La tumeur s'est développée évidemment à la
racine
postérieure gauche. Dans le tissu de la moelle
ire. Les cloisons sont épaissies. Les vaisseaux sont dila- tés. Les
racines
adhérentes à la tumeur sont dégénérées en partie,
e inférieure. Le bout supérieur de la tumeur correspondait à la VIe
racine
cervicale, l'inférieur à la In. dorsale (leur l
cordons postérieurs. Le méninges molles ne sont pas modifiées. Les
racines
sont normales. La coupe faite dans le VIIe segm
E LA COLONNE VERTÉBRALE 353 mées. Les méninges molles, normale. Les
racines
biens conservées. Quelques- unes du côté de la
meur de la dure-mère. Le sommet de la tumeur correspondait à la VIe
racine
cervicale, le bout infé- rieurà la Ire dorsale.
es faisceaux pyramidaux laté- raux. Méninges molles sans lésions.
Racines
normales. Nulle part on ne cons- tatait de lési
ation de la substance blanche et grise était normale. Mé- ninges et
racines
intactes.Dans les deux cordons latéraux, étaient
ne gomme peu grande,provenant de la face interne de la dure-mère. Les
racines
dans son voisinage sont en partie intactes, en
de la substance grise est raréfié. Les cloisons sont épaissies. Les
racines
gauches en partie dégénérées. Dans le IIe segme
loisons très larges pénètrent en coin dans le tissu médullaire. Les
racines
sont fortement dégénérées (en grand nombre). Cert
a moelle est ici aplatie et on y remarque un profond enfoncement. Les
racines
sont en partie dégénérées. Pas de dégénérescenc
e est franchement plus épaisse du côté des cordons postérieurs. Les
racines
sont en partie dégénérées. L'une d'elles, la po
re ; arachnoïde épaissie du côté des cordons postérieurs ; quelques
racines
dégé- nérées en partie ; les vaisseaux présente
mère en face des cordons postérieurs, pousse une gomme, et dans une
racine
antérieure on cons- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈ
orme de vaisseaux. Les cylindraxes y sont conservés. Dans certaines
racines
dégénérées on peut voir des cylindraxes gonflés
t suivant à peu près les territoires segmentaires des 8e, 9° et 10e
racines
, pour gagner la face la- térale du tronc,où ell
hard (1), plus facilement qu'une lésion systématique des 5e, 6e, 7e
racines
cervicales, lra@ 2% 3e et 4e racines dorsales,
on systématique des 5e, 6e, 7e racines cervicales, lra@ 2% 3e et 4e
racines
dorsales, unilatéralement frappées. Et ceci serai
, des prolongements sensitifs ectodermiques issus du ganglion de sa
racine
postérieure ; 2° le îzffitiîts-7jyélite, à distri
osition permettant de l'attribuer avec certitude à une lésion de la
racine
postérieure entre son ganglion et son entrée-da
de His (ou de son prolongement encéphalique), futurs ganglions des
racines
postérieures, les cellules ganglionnaires envoi
ylindraxiles allant former les cordons postérieurs et en partie les
racines
postérieures delà moelle (Brissaud) (2) ; et d'au
ho- génie des naevi. Il suffit de rappeler que le' ganglion de la
racine
postérieure et le gan- glion sympathique d'un m
ir du système du grand sympathique lui-même le ganglion nerveux des
racines
postérieures. Quoi qu'il en soit de la formatio
médullaires centripètes (Langley, Roux) ; et avec le ganglion de la
racine
postérieure par des filets centrifuges et centr
éritables petits ganglions sym- pathiques accolés au ganglion de la
racine
postérieure (Marinesco). Donc contact permanent
hale, 1908, n° 5, mai. 2) SimoN et Hoche, Les ganglions nerveux des
racines
postérieures appartiennent- ils au système du g
que, la répercussion se produira sur les cellules du ganglion de la
racine
postérieure du même métamère, dont l'équilibre
oalgie, en correspondance avec le territoire de distribution de la 8c
racine
cervicale et première dorsale des deux côtés (r
s spéciales étaient dues à une compression ou à un tiraillement des
racines
spinales postérieures correspondant aux vertèbr
éninge molle opaline et légèrement épais- sie mais la moelle et les
racines
rachidiennes ont leur calibre et leur aspect no
t en arrière et un peu de côté. Elles compriment par conséquent les
racines
et une moitié de la moelle. Par suite de la com
c'est-à-dire apparaissent dans les régions éloignées aussi bien des
racines
que des segments m édul laires comprimés par la
ar Ilamson Thompson (un sarcome extra-dural au niveau des VIlle-IXe
racines
dorsales), le ma- lade ressentait des douleurs
mbes, bien que la tumeur se trouvât entre les VIe et VU* paires des
racines
dorsales. Dans le cas d'Abraham- son la tumeur
rologistes, une anesthésie dans certaines zones cor- respondant'aux
racines
postérieures comprimées. Dans quelques cas pour-
mentaires, il faut mentionner aussi les .symptômes d'irritation des
racines
antérieures (tremblement, contrac- 468 FLATAU
reuses il faut prendre eu considération également l'irritation des
racines
postérieures. Il nous semble probable qu'à côté
ington complétée par Bruns (toute zone de peau est innervée par les
racines
de 3 ou 5 segments mé- dullaires). La môme loi
ents mé- dullaires). La môme loi lie les muscles correspondants aux
racines
anté- rieures de la moelle. Il est bien enten
ulaires dans un cas où la tu- meur siégeait au niveau des VIIIe-IXe
racines
dorsales antérieures). Si la tumeur siège dans
anesthésies dans la région recto-génitale et celle innervée parles
racines
sacrées supérieures, des atrophies muscu- laire
e une région de la moelle bien voisine de la mé- ninge molle où des
racines
postérieures peuvent naître de très fortes doul
s semblables les plaques très petites siègent dans le voisinage des
racines
postérieures. J'ai eu l'occa- sion d'observer q
ieurs), l'absence de symptômes radiculaires, surtout de la part des
racines
postérieures, l'absence de douleurs pénibles (exc
raient pas de modi- fications. La névroglie ne proliférait pas. Les
racines
étaient bien conservées, sans lésions un peu pr
racines étaient bien conservées, sans lésions un peu profondes. Les
racines
dans le voisinage de la tumeur étaient légèreme
age de la tumeur étaient légèrement modifiées ; du côté opposé, les
racines
étaient intactes ou à peine démyélinisées. Mé
es cas exceptionnels les masses sarcomateuses en même temps que les
racines
médullaires passent en dehors du canal ra- chid
ormal en dehors de ce qui regarde le nez qui est bien conformé ; sa
racine
n'est pas aplatie, on ne peut parler de nez cam
ne peut parler de nez camard, mais plutôt de nez en lorgnette : la
racine
osseuse est fine mais relevée, et ce qui la car
, fait qui met' plus en relief encore la dépression apparente de la
racine
nasale; ces faits - ressortent très évidents en
s os du nez n'étant pas complète, on a ici un apla- tissement de la
racine
qui n'existe pas chez le père. Les soudures crâni
à celle qu'on constate chez le père. Le nez ensellé et aplati à sa
racine
est relevé à la pointe ; les narines sont ample
; le nez a le bout relevé, les narines sont largement ouvertes ; la
racine
en est mince, bien dessinée, mais très peu re-
tique est la déformation de son nez qui est tout à fait aplati à sa
racine
, et très dilaté à la base ; son as- pect est id
le bord externe du nerf optique, reçoit par son pôle central trois
racines
qui lui viennent du moteur oculaire commun (gén
inés, après avoir cheminé entre la sclérotique et la choroïde. La
racine
que lui fournil le trijumeau est considérée comme
de. La racine que lui fournil le trijumeau est considérée comme une
racine
sensitive, et celle qui lui vient de l'oculo-mo
acine sensitive, et celle qui lui vient de l'oculo-moteur comme une
racine
mo- trice.. Les avis sont loin d'être unanime
ns postérieurs extrême- ment prononcée ; l'examen de la moelle, des
racines
et des ganglions n'a pas encore été fait. Les
rfs ciliaires (jusqu'à leur pénétration dans la sclérotique) et ses
racines
, le nasal elles longs nerfs ciliaires,les ramea
es,du ganglion ciliaire du nasal, des rameaux de la IIIe paire, des
racines
du ganglion ciliaire jusqu'à leur coalescence a
tout dans la moitié du gan- glion qui se continue plus haut avec la
racine
motrice de la IIIe paire. Les cellules paraisse
tat normal (PI. LXIV, C). A l'extrémité supérieure du gang) ion, la
racine
sensitive n'est nullement t dégénérée, et toute
ntensivement colorées par l'acide osmi- que : au contraire, dans la
racine
motrice (PI. LXIV, E), il existe un très grand
SUR LES NERFS CILIAIRES 5(j1) En suivant sur les coupes sériées la
racine
motrice jusqu'à sa coales- cence avec la IIIe p
n rencontre encore dans le rameau de la IIIe paire qui reçoit cette
racine
. Mais au sur et à mesure que les cellules dimin
e les cellules diminuent, les fibres saines diminuent également. La
racine
motrice est représentée par un faisceau principal
e dirige vers les artères ciliaires et qui est vraisemblablement la
racine
sympathique; la plupart des fibres sont colorées
édonculaire. Trijumeau et ganglion de Gasser. Le bout central de la
racine
sen- sitive du trijumeau est complètement dégén
sen- sitive du trijumeau est complètement dégénéré (PI. LXV, G). La
racine
motrice est très dégénérée au niveau du cul-de-
ont respecté les cellules ner- veuses : le bout périphérique de la
racine
sensitive n'est pas dégénéré. Conclusions. De l
érés. De même, si on rapproche la dégénérescence très marquée de la
racine
motrice du trijumeau de l'intégrité de la racin
très marquée de la racine motrice du trijumeau de l'intégrité de la
racine
dite sensitive du ganglion ciliaire, on ne peut
rmée défibres centri- pètes et qu'aucune d'elles. ne provient de la
racine
motrice du même nerf. 566 ANDRÉ-THOMAS Il. LE
ut.Les nerfs ciliaires longs étaient le plus souvent normaux et les
racines
du gan- glion ciliaire ne présentaient jamais r
tab'es incipiens. Ce n'est guère qu'au niveau de la 7e et de la 6e
racines
cervi- cales (racines correspondant à la névrit
n'est guère qu'au niveau de la 7e et de la 6e racines cervi- cales (
racines
correspondant à la névrite ascendante) que les dé
ologique. - D'un côté les nerfs ciliaires avec les ganglions et les
racines
ont été imprégnés par la méthode de l'argent rédu
flammatoire en voie d'évolution ou à l'état de cicatrisation. Les
racines
du ganglion sont normales (PI. LXVI, A), de même
re comprises dans les coupes, en particulier celle dont provient la
racine
motrice du ganglion ciliaire. , Les longs nerfs
t le picro-carmin. - Aucune altération du ganglion ciliaire, de ses
racines
, de la Ille paire, des nerfs ciliaires, jusqu'à
ganglion ciliaire, avec les nerfs ciliaires (à leur origine) et les
racines
, a été examiné après imprégnation par l'argent ré
affirmer l'absence de dégénération dans les nerfs ciliaires et les
racines
du ganglion ciliaire ; par contre, elle ne permet
topsie. D'un côté, les nerfs ciliaires, le ganglion ciliaire et les
racines
ont été impré- gnés par l'argent réduit. Sur le
e le ganglion : peut-être manque-t-il quelques rares fibres dans la
racine
sympathique et dans la racine sensitive ? en to
ue-t-il quelques rares fibres dans la racine sympathique et dans la
racine
sensitive ? en tout cas la différence avec la n
ganglion ciliaire ne présentent aucune altération, de même que les
racines
. Sur les coupes de la IIIe paire, dans son trajet
s les courts nerfs ciliaires, dans le ganglion ciliaire et dans les
racines
que ce dernier reçoit du moteur oculaire commun
er sans qu'il existe de lésions dans le ganglion ciliaire, dans ses
racines
et dans les courts nerfs ciliaires jus- 570 ÀNb
le chirurgien est obligé d'éloigner avec la tumeur une ou plusieurs
racines
). Nous attirons l'attention sur un point. Nous
me en faire naître de nouveaux, c'est la traction ou l'incision des
racines
médullaires pen- dant l'opération. Il en résult
8, p. 610. Dejerine et Spiller. - Sur le trajet intramédullaire des
racines
post. Semaine méd., 1895, p. 321. DERCUM. Thy
ion identique ; c'est un nez en lorgnette, très rétréci et fin à la
racine
(sans èlre camard) et as- sez élargi à la hase.
rès haut et les oreilles sont implantées très bas. La largeur de la
racine
du nez ou espace interorbitaire est anormal, les
onjuguée de la tête et des yeux vers la droite. Aplatissement de la
racine
du nez, facies adénoïdien, prognathisme supérieur
ie une conformation qui rappelle assez bien l'oeil mongolique. La
racine
du nez est aplatie. Examen des yeux, par le Doc
t et que les oreilles soient implantées assez bas. La largeur de la
racine
du nez est un peu exagérée, les yeux sont saillan
d'un molluscum pendulum. Ces petites tumeurs ne dépassaient pas la
racine
des membres. Seule l'une d'elles se développa s
évrites périphériques, du diabète, des ma- ladies des cornes ou des
racines
antérieures et des muscles, toutes affec- tions
laissait intacte une zone appelée par Westphal « zone d'entrée des
racines
» clans la ré- gion dorso-lombaire, les réflexe
cherches ultérieures, et Westphal a pu définir sa zone d'entrée des
racines
(2), « une zone placée en hauteur à l'union des r
e- hors par la substance gélatineuse et le point de pénétration des
racines
postérieures. Cetle zone est toujours intéressé
uliens ont été conservés jusqu'à la mort et où la zone d'entrée des
racines
était intacte ; on y trouve aussi signalé un cas
teinte de ce seul côté. Est-ce une lésion de la zone d'entrée des
racines
qui expliquerait chez certains sujets absolumen
tendue de la moelle, les cordons autéro-tatéraux, les cornes et les
racines
antérieures sont intacts. (1) V. J. CIiALIElI e
ALIER ET NOVL : -JOSSERAND Les lésions essentielles portent sur les
racines
postérieures et les cordons postérieurs ; elles
n apparente ; la zone de Lissauer n'est pas sclérosée ; on voit les
racines
postérieures de la région pénétrer sous forme de
ar une zone saine qui correspond précisément à la zone d'entrée des
racines
de Westplial. La branche horizontale, transvers
La zone de Lissauer ne paraît pas intéressée ; la zone d'entrée des
racines
de Wesiplial est intacte ; la racine postérieur
ressée ; la zone d'entrée des racines de Wesiplial est intacte ; la
racine
postérieure, qui entre au niveau intéressé par
par la coupe, est intacte. Mais on constate l'existence de quelques
racines
pos- térieures sclérosées, où les gaines de myé
des cordons posté- rieurs ; il contiendrait les fibres longues des
racines
sacrées inférieures. Dans notre cas, ce faiscea
erme que des fibres radiculaires moyennes (les fibres lon- gues des
racines
lombaires et sacrées occupant, dans cette hypothè
appe donc pas indifféremment et en même temps toutes les fibres des
racines
postérieures. Quoi qu'il en soit, il ne faut pa
e de la bandelette externe avec l'intégrité de la zone d'entrée des
racines
de Westplial, dont nous avons plus haut donné l
tient à l'altération des nerfs périphériques ou des cor- nes et des
racines
antérieurs ou encore des muscles, avancer les pro
7e ? îi une intégrité plus ou moins absolue de la zone d'entrée des
racines
, autrement dite zone radiculaire des 3° et si p
bien pu favori- ser les phénomènes de régénération décrits dans les
racines
postérieures par Marinesco. C'est là assurément
dans l'immense majorité des tabes, les collaté- rales réflexes des
racines
postérieures ne sont atteintes que de lésions in-
ce de -\\7estpliil (2) : sectionnant, chez un lapin, une partie des
racines
postérieures du plexus crural, il vit le phénom
nt encore mal connus. En ne considérant d'abord que les lésions des
racines
et des cordons postérieurs dans leurs rapports
ésions tronculaires du sympa- thique, liées aux dégénérescences des
racines
postérieures, comme J. Ch. Roux (2) l'a montré.
s histologiques des cordons postérieurs ; les quelques fragments de
racines
persistant sur les préparations de moelle montren
ntrent un très léger degre de se érose diffuse, aussi hien dans les
racines
antérieures que dans les posté- rieures. Les ne
otrice n'est pas toujours pro- portionnelle à celle des lésions des
racines
postérieures. De tels faits don- nent il penser
ns médullaires des tabès. Est-ce une lésion de la zone d'entrée des
racines
qui explique- rait chez certains sujets absolum
vie antérieure et comme nous allons le voir peut-être a-t-elle ses
racines
dans sa naissance même ? III. - Histoire cliniq
t des extrémités phalangiennes. Les ongles sont rongés jusqu'à leur
racine
. Il est impossible de faire passer cette mauvai
loyés par quelques auteurs sont incorrectement composés, leurs deux
racines
étant empruntées à deux langues différentes ; B
olition pathologique. L'une des diverses affections, des nerfs, des
racines
ou des centres nerveux, susceptibles d'abolir l
DE L'ABSENCE DES REFLEXES Achillées ET ROTULIEN S 1 C)5 gueur des
racines
sacrées (18 à 28 cent.) près de 2 fois supérieure
ées (18 à 28 cent.) près de 2 fois supérieure à celle des premières
racines
lombaires (11 à 16 cent.), situation réciproque d
euvent abolir que le réflexe achiliéen), situa- tion inférieure des
racines
sacrées et de leurs gaines méningées. Les lésions
articulièrement par la situation inférieure occupée par les longues
racines
sacrées, soit dans la station de- bout, soit da
méningés sont les nerfs de la base. Dans la cavité rachidienne, les
racines
postérieures sont les plus bas situées dans la
tes les méningites dont les formes frustes sont si fréquentes, ,les
racines
sacrées sont donc tout particulièrement menacée
: les altérations traumatiques ou post-traumatiques des nerfs, des
racines
ou des centres, les névrites variqueuses, les n
é aucun trouble d'innervation, nous devons penser que le nombre des
racines
était normal et les deux racines, qui manquaien
us devons penser que le nombre des racines était normal et les deux
racines
, qui manquaient d'orifices, devaient emprunter
complètement les éminences théuar ethypothénar : elle s'étend à la
racine
du membre; les muscles deltoïde et les muscles de
oscopiques, corticales ou centrales; l'axe gris de la moelle et les
racines
rachidiennes ne sont pas atro- phiés. . Dans
autopsie le bulbe rachidien, une série de segments médullaires, des
racines
rachidiennes avec leurs ganglions spinaux, des
érescence, les cordons postérieurs en particulier sont intacts. Les
racines
rachidiennes antérieures et postérieures sont rég
flement lombo-sacré. Elles n'ont provoqué aucune dégénérescence des
racines
rachidiennes antérieures à leur sortie de la mo
points. Répartition des lésions dans les nerfs périphériques et les
racines
rachi- diennes. - En considérant l'ensemble des
. L'étude histologique a porté surtout sur les troncs nerveux de la
racine
des membres : les modifications si considérable
le début des lésions, à l'origine radiculaire des nerfs, plusieurs
racines
rachidiennes avec leurs ganglions spinaux ont été
et transversales. Nous rappelons le fait, relevé plus haut, que les
racines
rachidiennes adhérentes aux segments médullaires
igert-Pal, tantôt d'une dégéné- rescence limitée à une partie de la
racine
, accompagnée d'une sclérose inter- stitielle ;
ité des altérations périphériques ; ainsi la figure i montre la ire
racine
dorsale, la dégénérescence des fibres nerveuses
e atténuée dans toute la traversée de ce dernier, tandis que sur la
racine
C 8 (fig. 13) on voit déjà au même niveau des f
s et 1 épaissis- sement des gaines de Schwann ; et cependant la Ire
racine
dorsale est des- tinée, comme la racine C 8, à
hwann ; et cependant la Ire racine dorsale est des- tinée, comme la
racine
C 8, à une région où l'atrophie musculaire a débu
culaire a débuté et a atteint le plus de gravité. De même dans la
racine
L 3 (fig. h), la dégénérescence des fibres ner-
imètres avant le pôle central du ganglion rachidien, tandis que les
racines
S 1, et S 2, sont indemnes bien qu'elles se dis
région encore plus atrophiée. Il est à remarquer enfin que dans les
racines
examinées, les lésions dé- génératives prédomin
s des ganglions spinaux, nous avons parfois pu suivre le trajet des
racines
antérieures dégénérées, alors que les racines pos
suivre le trajet des racines antérieures dégénérées, alors que les
racines
postérieures et les cellules ganglionnaires gar
hie. Ces lésions des nerfs sont systématisées, elles atteignent les
racines
antérieures près du ganglion spinal et les nerfs
ès du ganglion spinal et les nerfs mixtes; les nerfs cutanés et les
racines
postérieures sont presque indemnes . Dans les m
rés, avec un tissu riche en noyaux et en fibrilles entrelacées. Les
racines
rachidiennes étaient intactes ; les nerfs périp
icules sains, se prolongent dans le crural et le sciatique, jusqu'aux
racines
des plexus sacré et lombaire; les racines rachi
t le sciatique, jusqu'aux racines des plexus sacré et lombaire; les
racines
rachidiennes postérieures sont nota- blement mo
es cordons anléro-latératix et la substance grise sont intacts. Les
racines
rachidiennes antérieures sont épaissies dans la p
onjonc- tif abondant où l'ammoniaque révèle beaucoup de noyaux. Les
racines
posté- rieures lombaires sont moins altérées, l
yaux. Les racines posté- rieures lombaires sont moins altérées, les
racines
du plexus cervical sont indemnes. Les troncs ne
es formes plus extensives, elle atteindrait les troncs nerveux, les
racines
rachidiennes et même la moelle. (2) Elude sur q
nuant de bas en liant; les cornes antérieures étaient normales, les
racines
antérieures à peine altérées. Dans les nerfs péri
femme de 36 ans, frappée d'une atrophie progressive débutant par la
racine
des membres supérieurs, avec extension consécut
es, avec un noyau mal coloré, et des prolongements moins visibles ;
racines
antérieures intactes à la sortie de la moelle ; d
dans les cornes antérieures et la colonne de Clarke ; atrophie des
racines
antérieures, intégrité des racines postérieures ;
colonne de Clarke ; atrophie des racines antérieures, intégrité des
racines
postérieures ; diminu- tion des cellules dans l
omatophiles, dépla- cement du noyau, vacuolisation) ; intégrité des
racines
antérieures et posté- rieures et des ganglions
lions spinaux, atrophie cellulaire, dégé- nérescence des fibres des
racines
postérieures. Dans les nerfs, dégénérescence da
substance grise dans les cordons postérieurs à la région lombaire ;
racines
antérieures et postérieures intactes. Dans les
t du volume des cellules, sans diminution numérique ; intégrité des
racines
antérieures et postérieures. Dans les nerfs, fi
en histologique : Moelle nor- male. Dans les ganglions spinaux, les
racines
antérieures montrent une dimi- nution des fibre
postérieurs et des faisceaux cérébelleux, diminution des fibres des
racines
antérieures et postérieures; atrophie des cellu
es supérieurs ; extension progressive avec intégrité relative de la
racine
des membres ; cypho-scoliose, parésie de l'orbicu
es pâles, décolo- rées et atrophiées. Hypertrophie considérable des
racines
rachidiennes, des ganglions spinaux, des nerfs
nes rachidiennes diminuant de bas en haut et plus marquée pour les
racines
antérieures. Nerfs périphériques volumineux ave
ieurs, raréfaction des fibres dans les cordons antéro-iatéraux. Les
racines
rachidiennes sont peu hypertrophiées, les nerfs p
à la périphérie, dans les nerfs intramusculaires, et au niveau des
racines
rachidiennes dont les anté- (1) Atrophie muscul
n particulier très clairement la prédomi- nance des lésions sur les
racines
antérieures de la moelle et les nerfs mixtes, f
t les nerfs mixtes, faisant contraste avec l'intégrité relative des
racines
postérieures et des nerfs cutanés. En résumé,
cas de Friedreich (il est même dit dans l'obser- vation II que les
racines
antérieures étaient épaissies), dans les cas de
ous publions ici, les lésions portent presque exclusivement sur les
racines
antérieures, les nerfs moteurs et les muscles ;
même la systématisation des lésions a laissé à peu près intacts les
racines
rachidiennes postérieures et les nerfs sensitif
909, t. I, p. 683) dans un cas de tabes amyotrophique, sur quelques
racines
rachidiennes antérieures, sans extension aux nerf
e des cordons postérieurs, non consécutive à une dégénérescence des
racines
postérieures ; Gierlich a fait remarquer combie
rachidienne L3, au-dessus du ganglion spinal. Dégénérescence de la
racine
antérieure (Grossissement : 20 diamètres). FIG.
xiste encore quelques douleurs, de plus le territoire des dernières
racines
médullaires L °, S', S ', S ', Su est complètem
trouve au niveau de l'extrémité inférieure de la moelle, entre les
racines
de la queue de cheval, une tumeur ovoïde, resse
l (c) qu'elle écrase littéralement et ne peut en être détachée. Les
racines
(r. a., r. p.) lom- baires inférieures et sacré
ins points et quelques-unes la traversent même de part en part. Les
racines
antérieures sont aplaties et grisâtres, très nett
entre la moelle et la tumeur. Cette dernière est traversée par les
racines
postérieures (r.p.) .) que l'on voit éparpillée
es qui les composent sont intactes et diffèrent ainsi de celles des
racines
antérieures (r.a.) qui sont complètement dégéné
mence par les cordons postérieurs : on voit en effet en arrière les
racines
postérieures se tasser en couches successives (
une grosse réaction fibreuse interstitielle à l'inté- rieur de ces
racines
. F) Au-dessus de ce point, les lésions de la su
n tourbillons, parsemés eux-mêmes de fibres à myéline provenant des
racines
postérieures ou appartenant aux cordons : ces d
ns irritatives et en particulier de lésions vasculaires. L'état des
racines
est va- riable suivant qu'il s'agit des antérie
s faces antérieure et postérieure. c. cône terminal aplati. r. a.
racines
antérieures. t. tumeur lipomateuse. r. p. rac
aplati. r. a. racines antérieures. t. tumeur lipomateuse. r. p.
racines
postérieures. v. veine médullaire thrombosée.
x. m. d. moitié droite de la moelle. m. g. moitié gauche. r. p.
racines
postérieures. t. tumeur graisseure. v. veine
est également traversée par les fibres radiculaires dissociées des
racines
postérieures ·. p. FIG. 10 Coupe passant par la
aires postérieures f., p. diminution de la graisse l., atrophie des
racines
antérieutes r. a., aspect normal des racines post
aisse l., atrophie des racines antérieutes r. a., aspect normal des
racines
postérieures ·. p. : -11\NrNGO-MYI; : LITI CH'R
auche c. o. p. et de la substance gelalineuse de Rolando g. Il. Ces
racines
antérieures sont très atrophiées r. a. Fio. 13.
affection primitive et de dégénérescence du segment inférieur de la
racine
motrice (pyramidale), représentée par les neurone
ntérieures, et alors elle amènera une dégénérescence secondaire des
racines
anté- rieures des nerfs moteurs et des muscles.
ginelle des cellules des cornes antérieures (abio- trophie), ou des
racines
antérieures, pour s'expliquer le développement
raissait saine,les nerfs également, macoscropiquement du moins, les
racines
étaient peut-être un peu plus grêles du côté at
rations névritiques extrêmement marquées. Une atrophie relative des
racines
correspondantes. Des lésions cellulaires des co
re d'ailleurs avec la topographie de l'atro- phie musculaire. Les
racines
sont saines tant à droite qu'à gauche. Il existe
gauche. Il existe cependant t du côté droit, au niveau des 7e et 8e
racines
cervicales et de la Il' dor- sale une diminutio
de coins et élargissent ies sepla ; ils s'infiltrent ainsi dans les
racines
, il la périphérie des cordons latéraux. Au milieu
est très mince, tandis qu'elle s'épaissit brusquement en dehors des
racines
posté- rieures. A la jonction du diverticule po
ns plus grandes qui occupent la moelle au niveau de la Ve et la VIe
racines
dorsales laissent entrevoir que l'absence de comm
as perceptible dans la cicatrice. Les os du nez sont fracturés ; la
racine
de cet organe est aplatie, lui donnant ainsi la
ins accentués et très compliqués de compression de la moelle et des
racines
médullaires. . Fidder; parlant de la compressio
sous forme de croissant, elle se dirige vers le lieu d'entrée de la
racine
postérieure gauche ; à droite la transparence s
(à part quelques endroits avoisinant la substance grise). Dans les
racines
postérieures des deux côtés, à l'endroit où ell
la zone périphérique des faisceaux postérieurs, là où pénètrent les
racines
postérieures, et puis dans les limites indiquée
ndiquée, le réseau des fibres myé- 400 ROTSTADT liniques dans les
racines
antérieures est raréfié. Le nombre des cellules d
mé. Beaucoup de mailles vides appa- raissent le long de la base des
racines
postérieures, dans la zone radiculaire et dans
ostérieure de la zone périphérique des faisceaux latéraux. Dans les
racines
antérieures on constate des symptômes de dégéné
nce des fibres myéliniques moins prononcée du côté droit ; dans les
racines
postérieures, les lésions sont encore plus fortes
ait un caractère de processus nouveau ; les faisceaux internes des
racines
postérieures sont plus dégénérés, les externes mo
son niveau même, les lésions sus- indiquées augmentent encore ; les
racines
postérieures, la gauche surtout, per- dent leur
, la gauche surtout, per- dent leur structure normale, ainsi que la
racine
gauche antérieure ; elles sont en effet presque
pe aussi le centre des faisceaux posté- rieurs. Aussi bien dans les
racines
lésées que dans la substance médullaire, il y a
grise des cornes a une teinte très pâle et le réseau des fibres des
racines
antérieures et postérieures est considérablemen
énérées ; on en constate davantage dans la région correspondant aux
racines
postérieures. La substance grise se trouve parsem
airement les douleurs et qui sont l'expression d'une excitation des
racines
posté- rieures et des voies sensitives. L'abs
izomélique de Pierre Marie, parce que les grandes articulations des
racines
des membres ne sont pasatteintes, parceque les
s du rachis en tant que cause de compression de la moelle et de ses
racines
, The Journal of the Nervous and mental Disease,
l'attention sur les états de rigidité vertébrale avec ankylose des
racines
des membres, les obser- vations s'en sont multi
erveux paraissent macroscopiquement indemnes, sauf que les 7e et 8e
racines
cervicales droites paraissent un peu plus FIG.
semées. , On prélève pour l'étude : des fragments de la moelle, des
racines
et des nerfs périphériques à différentes hauteu
ne, l'autre étant presque complètement scléreuse). 2° Au niveau des
racines
une diminution nette du volume des racines du c
reuse). 2° Au niveau des racines une diminution nette du volume des
racines
du côté droit sans fibrose interstitielle ni pr
al et médian à partir du coude. Atrophie réflexe modérée des 7" et 8°
racines
cervicales et de la 1 ? dorsale. Observation
prolonge sur les expan-sions de l'encéphale et forme le névrilème des
racines
et des troncs des cordons nerveux. La structure
upérieure de la couche optique. Meynert donne à ce faisceau le nom de
racine
inférieure de la couche optique et le décrit comm
tre, pourvues d'un gros noyau, dispo-sées en séries sur le trajet des
racines
postérieures, qui s'éparpillent en fibrilles en a
se donne naissance aux nerfs rachidiens ou spinaux par deux séries de
racines
, qui prennent leur origine l'une dans la corne an
e dans la corne antérieure, et l'autre dans la corne postérieure. Les
racines
antérieures émergent des cellules motrices des co
ornes antérieures ; elles sont désignées pour ce motif sous le nom de
racines
antérieures ou motrices; après avoir franchi la g
chi la gaine que leur fournit la dure*-mère, elles se réunis-sent aux
racines
postérieures. Les réseaux de la substance gélat
e Rolando qui terminent les cornes postérieures donnent naissance aux
racines
postérieures ou sensitives. Ces fibres radi-culai
dans un ganglion; à leur sortie de ce ganglion, elles s'accolent aux
racines
antérieures et consti-tuent un tronc unique à la
comme la portion spinale, à deux séries de fibres radiculaires : les
racines
motrices et les racines sensi-tives des nerfs crâ
e, à deux séries de fibres radiculaires : les racines motrices et les
racines
sensi-tives des nerfs crâniens, qui émergent de g
nne grise forme le noyau inférieur du facial et le noyau de la petite
racine
motrice du trijumeau ou nerf masticateur. Le no
ns la partie latérale externe du bulbe, entre l'olive bulbaire et les
racines
bulbaires du trijumeau, à l'extrémité d'une traîn
inférieur ou noyau propre du facial. Il est situé entre l'olive et la
racine
bulbaire du trijumeau, et se continue, par de fai
que nucléole, pourvues de prolongements fins et ramifiés. La petite
racine
du trijumeau ou nerf masticateur prend son origin
oy. — Encéphale. 5 latineuse de Rolande-, au niveau du point où les
racines
moyennes et supérieures viennent se réunir à la r
point où les racines moyennes et supérieures viennent se réunir à la
racine
bulbaire pour former le faisceau sensitif du trij
tuant les noyaux sensitifs des nerfs mixtes ; au-dessus elle forme la
racine
postérieure du nerf auditif, connue sous le nom d
arbes du calamus scriptorius; et plus haut elle renferme le noyau des
racines
moyenne et supérieure du trijumeau. Les noyaux
par un très petit noyau ovalaire, situé en arrière et en dedans de la
racine
bulbaire du triju-meau, en avant du noyau interne
avec les ganglions spinaux. Sur une coupe faite vers le niveau des
racines
moyennes du glosso-pharyngien, on voit une série
ie, 30 mars 1878. qui contourne le corps restiforme, sous le nom de
racine
inférieure ou externe. Une coupe pratiquée au-des
n, au niveau du noyau du nerf de Wrisberg, permet de suivre la grosse
racine
du nerf auditif, entre le corps restiforme et la
vre la grosse racine du nerf auditif, entre le corps restiforme et la
racine
bulbaire du trijumeau, jusqu'à la substance grise
, qui occupe l'espace compris entre le noyau du nerf de Wrisberg, les
racines
du facial, le corps restiforme et le bord postéri
orme et le bord postérieur du plancher du quatrième ventricule. Les
racines
moyennes du trijumeau prennent leur origine dans
un long espace en petits amas, qui donnent nais-sance aux fibres des
racines
supérieures du trijumeau. Ces cellules volumineus
es postérieures. Dans son trajet ascendant, elle donne naissance à la
racine
inférieure ou bulbaire du trijumeau (1). La rac
e naissance à la racine inférieure ou bulbaire du trijumeau (1). La
racine
bulbaire ou inférieure du trijumeau commence au-d
ficielle, est, plus haut, recouverte par les corps restiformes et les
racines
inféro-externes du (1) Vulpian, Essai sur l'ori
siologie du système nerveux, 1866. nerf auditif. Vers ce niveau, la
racine
bulbaire reçoit des fibres radiculaires d'un autr
rolongements ramifiés. De ce noyau émergent de petites fibrilles, les
racines
grises optiques, qui gagnent directement le tronc
tance grise du septum lucidum donnerait origine, d'après M. Luys, aux
racines
internes des nerfs olfactifs. § 3. Aux formatio
irectement le fascicule des nerfs olfactifs, qui s'implante par une
racine
très volumineuse, à chacun de ses angles latéraux
Rolando et Foville ont déjà indiqué les rapports de ce noyau avec les
racines
externes des nerfs olfactifs; Serres a en outre m
de granulations pigmentaires. Les fibres afférentes proviennent des
racines
externes des nerfs olfactifs; les fibres efférent
lfactifs; les fibres efférentes sont représentées par le fascicule de
racines
grises, qui traverse la subs-tance perforée antér
fibres optiques présentent donc, comme les nerfs rachidiens : 1° une
racine
antérieure qui s'amortit dans la substance grise
s'amortit dans la substance grise corticale du tuber cinereum; 2° une
racine
postérieure qui traverse un ganglion et va se ren
rfaite continuité d'éléments nerveux en connexion d'une part avec les
racines
motrices et d'autre part avec les racines sensiti
nnexion d'une part avec les racines motrices et d'autre part avec les
racines
sensitives des cordons nerveux. Le plan morphol
te en dehors et en arrière, en dedans du faisceau formé par la grosse
racine
du trijumeau. Elle prend la forme d'un croissant
ure. b. Canal central de la moelle. c. Substance médullaire. d.
Racines
antérieures des nerfs moteurs, émergeant de la co
b. Trame de la substance grise centrale de la moelle épinière. c.
Racines
antérieures des nerfs moteurs émergeant de la cor
. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures. c.
Racines
du nerf grand hypoglosse. d. Noyau des corps re
stance grise appartenant à l'acoustique. f. Corps restiformes. g.
Racines
du glosso-pharyngien. h. Racine bulbaire du tri
Racines du glosso-pharyngien. h. Racine bulbaire du trijumeau. i.
Racines
du grand hypoglosse. /. Olive bulbaire. k. Port
n sensitive. p. Fossette latérale du bulbe, par laquelle émergent les
racines
des nerfs acoustiques. q. Noyau moteur du gra
la ligne médiane, sous le nom de pédoncules cérébelleux moijens. Les
racines
sensitives ou bulbaires du nerf trijumeau plongen
Fibres radiculaires du faisceau bulbaire du nerf trijumeau ou grosse
racine
(voir Pl. XXXI). XXXIII. — Coupe verticale tran
ulbe. Ce sillon sépare les deux colonnes grisâtres en rapport avec la
racine
des nerfs hypoglosses (14, Pl. XXXIV), et les deu
nches : les unes émergent de la substance grise centrale, ce sont les
racines
blanches internes ou courtes; les autres l'aborde
es ou courtes; les autres l'abordent par le côté externe, ce sont les
racines
blanches externes ou longues; elles proviennent d
espace perforé antérieur ou quadrilatère perforé fournit la troisième
racine
ou racine grise des nerfs olfactifs. Elle a l'app
foré antérieur ou quadrilatère perforé fournit la troisième racine ou
racine
grise des nerfs olfactifs. Elle a l'apparence d'u
ve. Le tronc du nerf olfactif, qui résulte de la réunion de ces trois
racines
, est donc composé de substance blanche et de subs
. 0. E. et le facial (paralysie nucléaire) ; B, lésion touchant les
racines
protubé- rantielles du facial et du M. 0. E. (p
u noyait de Deiters avec le facial, le moteur oculaire externe, .la
racine
descendante du trijumeau. (D'après Testut.) S
auditifs passagers par lésion concomitante de quelques fibres de la
racine
auditive; 6° des manifestations douloureuses da
par les connexions du noyau de Deiters avec les collatérales de. la
racine
sensitive du trijumeau. Il va de soi que ce s
antérieur du cerveau. Enfin de la tubérosité olfactive partent les
racines
olfactives au nombre de quatre, une fondamentale
lfactif. Le premier est un centre temporal, celui auquel aboutit la
racine
fondamentale, le lobule de l'hippocampe et la c
ntal ou orbitaire, anté- rieur de Broca, serait l'aboutissant de la
racine
accessoire supérieure et occuperait surtout la
t le sillon fronto-limbique : c'est là que Broca faisait aboutir la
racine
accessoire interne, mais il est plus probable q
plaque cérébelleuse ou bulbaire, atteignant ou non le centre un les
racines
de l'auditif. Il peut être dû aussi à des trouble
ns la moelle (pour les nerfs du tronc et des menibres), forment les
racines
postérieures rachi- diennes et viennent s'arbor
es fibres sensitives périphériques, arrivées dans la moelle par les
racines
postérieures, vont s'arboriser après un très co
iste dans la moelle, pour les impressions sensitives reçues par les
racines
postérieures, des moyens de transmission complexe
. On admet généralement que la sensibilité tactile augmente de la
racine
des membres à leurs extré- mités. On peut avo
icu- laire. Elle est toujours plus marquée il la périphérie qu'à la
racine
des membres. Fig. 8. Schéma de pallesthésie c
s allons parler, sont toujours plus marqués à la périphérie qu'à la
racine
des membres; ils obéissent ainsi à une loi de t
n périphérique des nerfs), radiculaire (suivant la distribution des
racines
), segmentaire (métamél'1 : que), médullaire ou
ulbe); 2° dans le* affections de la moelle; 5° dans les lésions des
racines
rac Indiennes ; 4° dans les affections des nerf
oujours plus marquée au niveau des extrémités des membres qu'à leur
racine
, plus intense également au membre supérieur qu'au
ières leur sensibilité ; la marche vers la guérison se fait ici de la
racine
vers l'extrémité du membre (Dejerine). Dans l
le et profonde, plus marquée au niveau de l'extré- mité que de la
racine
des membres. Perte complète de la notion de pos
côté que la lésion (par participation des fibres radiculaires de la
racine
descen- dante du trijumeau) ainsi que sur le tr
ement des yeux. Hémianesthésie bulbaire. Les rapports intimes de la
racine
descendante spinale du trijumeau avec la voie s
ancs sont pris séparément ou simultanément, ou bien suivant que les
racines
postérieures sont atteintes ou non par la lésio
aire; sa limite supérieure correspond à la distribution cutanée des
racines
posté- rieures intéressées et revêt une topogra
et dans les compressions de la moelle intéressant en même temps les
racines
. - . . La topographie, radiculaire appartient a
- . . La topographie, radiculaire appartient autant aux lésions des
racines
rachidiennes qu'à celles de la moelle épinière,
DICULAIRE DE L'INNERVATION CUTANÉE » La projection des fibres d'une
racine
postérieure sensitive sur la peau ne revêt pas
hie sensitive. Le territoire de représentation cutanée, d'une seule
racine
postérieure peut correspondre au territoire de pl
ad, de Thornburn, de Starr, etc., emprunté à Soulié (Territoire des
racines
). 522 SENSIBILITÉ. Il faut savoir également q
rritoire cutané emprunte son innervation sensitive au moins à trois
racines
(voir fig. 22), l'innervation principale d'une
oins à trois racines (voir fig. 22), l'innervation principale d'une
racine
étant ainsi complétée par une innervation acces-
e racine étant ainsi complétée par une innervation acces- soire des
racines
immédiatement sus et sous-jacentes. Celle loi, év
médullaire. , A part les cas de lésions intéressant uniquement les
racines
(paralysies radiculaires, radiculites), dont no
repré- sente l'innervation cutanée de la première ou des premières
racines
inté- ressées en hauteur par l'agent comprimant
à mesure que l'on- descend. Ce fait résulté de l'obliquité des
racines
rachi- diennes dorsales et lombaires qui s'ac
ît donc Fig. 25. Schéma du rap- port entre les apophyses et les
racines
chez un adulte homme de 1m,76. A droite sont
A droite sont numérotées les apophyses épineuses, à gauche les
racines
(d'après Chipault). Fig. 26. - Rapports des
ulié). M8 SENSIBILITÉ. indispensable de rappeler les rapports des
racines
rachidiennes avec les corps vertébraux; ceci ét
des troubles sensitifs. D'après Chipault, pour avoir le numéro des
racines
qui naissent au niveau d'une apophyse épineuse,
dos (au milieu des épaules), dans le domaine des 2 ? 5e, 4°, 5e, 6"
racines
dorsales. Souvent aussi, l'anesthésie envahit éga
res du bord cubital du bras, de ! 'avant-bras et même de la main (8''
racine
cervicale et 1 ? dorsale); elle peut occuper qu
peut occuper quelquefois le bord radial du membre supérieur (5", 6e
racines
cervicales). Rarement au début, mais fréquemment
OBJECTIVE. 5'2 ! ) inférieurs, sur la face externe de la jambe.(5°
racine
lombaire) et sur la plante des pieds (1rye sacr
OUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 335 nervation cutanée de chaque
racine
, grâce au processus d'envahissement progressif
nt en s'atténuant progressivement à mesure qu'on se rapproche de la
racine
du membre. Il semble cependant, pour tenir comp
SIBILITE. III. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS DES
RACINES
RACHIDIENNES Les lésions des racines rachidienn
LITÉ DANS LES AFFECTIONS DES RACINES RACHIDIENNES Les lésions des
racines
rachidiennes intéressant la racine postérieure
ES RACHIDIENNES Les lésions des racines rachidiennes intéressant la
racine
postérieure dans le canal vertébral, avant sa r
a racine postérieure dans le canal vertébral, avant sa réunion à la
racine
antérieure, le nerf rachidien (formé par la réu
la racine antérieure, le nerf rachidien (formé par la réunion de la
racine
antérieure et de la racine postérieure), dans l
rf rachidien (formé par la réunion de la racine antérieure et de la
racine
postérieure), dans le trou de conjugaison ou en
vêt le type radiculaire. Causes. Ces lésions peuvent intéresser les
racines
: 1° dans le canal vertébral (méningite tubercu
). En général, elles portent en même temps sur la moelle et sur les
racines
postérieures, et leur symptomatologie se confon
corps vertébraux); 5" en dehors du rachis (avant la réunion, des
racines
pour former le nerf périphérique). Ces lésion
es; la névrite apoplectiforinc (de Dubois). Caractères. Lorsque les
racines
sont intéressées dans le trou de conjugaison ou
pographie parallèle et répondant à la distribution périphérique des
racines
motrices intéressées, ce qui se comprend, étant
élisme entre l'anes- thésie et la paralysie n'est pas constant; les
racines
antérieures et posté- rieures peuvent être lésé
la moelle participe à la lésion (compres- sion de la moelle et des
racines
), apparaissent des troubles sphinclériens, des
ature de la lésion ; définitifs dans les sections ou déchirures des
racines
, ils sont passagers dans les compressions et pe
omme les compressions, intéressent habituellement en môme temps les
racines
et la moelle. Nous avons donc à étudier les paral
s avons donc à étudier les paralysies radicu- laires par lésion des
racines
seules; nous verrons ensuite comment on peut le
ent on peut les différencier des lésions médullaires. Lorsque les
racines
rachidiennes seules sont lésées, les troubles sen
ontre que, s'il est possible de conslater des lésions isolées d'une
racine
(paralysie uii°adiczclai°e), il arrive beaucoup
uii°adiczclai°e), il arrive beaucoup plus fréquemment que plusieurs
racines
soient prises en même temps et constituent ains
L'anesthésie occupe les régions d'innervation cutanée des 5e et 6e
racines
cervicales (sphère de distribution des nerfs ci
nt des troubles moteurs répondant à l'innervation motrice des mêmes
racines
(5" et (;' cerv.), soit une paralysie du biceps
e), Les troubles sensitifs sont distribués dans le domaine de la 8e
racine
cervicale et de la 1 rc dor- sale, et empiètent
u segment supérieur et au segment inférieur du plexus (5e, 7e et 8e
racines
cer- vicales, par exemple). La paralysie unir
me pour le plexus cervical, la lésion peut ici intéresser une seule
racine
isolément ou plusieurs racines simultanément; et
lésion peut ici intéresser une seule racine isolément ou plusieurs
racines
simultanément; et comme pour le plexus cervical
a connaissance de la distribution sensitive cutanée des différentes
racines
du plexus lombo-sacré nous permet de reconnaître
mbo-sacré nous permet de reconnaître quelle est ou quelles sont ces
racines
lésées. II faut savoir cependant, et ceci s'app
au plexus cervical qu'au plexus lombaire qu'une lésion d'une seule
racine
ne détermine pas, en général, de trou- bles sen
rrington, de l'empiétement de la zone de distribution cutanée d'une
racine
sur les zones de distribution des deux racines ad
ibution cutanée d'une racine sur les zones de distribution des deux
racines
adjacentes (voit- page 522). La délimitation
racines adjacentes (voit- page 522). La délimitation précise des
racines
atteintes, est plus difficile à faire ici que p
r le plexus cervical; la distribution cutanée exacte de cer- taines
racines
lombaires ou racines étant encore soumise à la di
la distribution cutanée exacte de cer- taines racines lombaires ou
racines
étant encore soumise à la discussion (comparer
naît assez bien aujourd'hui la- distri- bution radiculaire de la 4e
racine
lombaire et celle des trois dernières racines s
n radiculaire de la 4e racine lombaire et celle des trois dernières
racines
sacrées (S,, S4, S5) prises en bloc (leur distrib
uelle étant encore mal connue), on est moins avancé pour les autres
racines
du TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 559
ésion. Ces paralysies ordinairement complexes et frappant plusieurs
racines
en même temps, peuvent être ramenées d'une faço
pe total (lombo-sacré). Dans ce cas, la lésion intéresse toutes les
racines
lombaires et sacrées, et remonte jusqu'à la 1"e e
pression siège au niveau du segment médullaire duquel sort la ï1'1'
racine
lombaire (1er segment lombaire) ; ce segment co
vertèbre lombaire) et qui sont représentés par les trois dernières
racines
lom- baires, les racines sacrées et coccygienne
i sont représentés par les trois dernières racines lom- baires, les
racines
sacrées et coccygiennes. Une compression de la qu
ifs, 'à topographie radiculaire dans le domaine de distribution des
racines
sacrées et lom- baires inférieures. Dans ce syn
éressant. les segments, de la moelle lombo- sacrée d'où partent les
racines
qui vont former la queue de cheval. Examinons q
est la topographie des zones d'anesthésie pour cha- - C.111-le des
racines
de la queue de cheval ou ce qui revient au même,
. « - ' . .a) Dans -les lésions siégeant au niveau des 5c; 4c et 5e
racines
sacrées ou des segments sacrés correspondants (
. b) Si la lésion s'étend plus loin en hauteur, et s'arrête à la 5"
racine
lombaire successivement, ou. si encore' elle in
i explique - l'anesthésie de la cuisse par lésion de cette dernière
racine
... [ROUSSY.] Fig. 56. Lésion de la queue de c
e de cheval est complète, c'est-à-dire si elle intéresse toutes les
racines
qui la constituent, jusqu'à la 5'' lombaire inc
nes aneslhési- ques précédentes, celle de distribution des 4P et 3e
racines
lombaires, c'est- à-dire la face interne et ant
res des plexus lombaire et sacré, que ceux relevant des lésions des
racines
postérieures de ces racines, troubles sensitifs,
acré, que ceux relevant des lésions des racines postérieures de ces
racines
, troubles sensitifs, qui seuls (levaient nous o
sont rares, qu'habituellement la lésion intéresse en même temps les
racines
inférieures et postérieures. On observe alors d
des troubles moteurs à distribution radiculaire corres- pondant aux
racines
lésées, lois qu'ils sont décrits au chapitre trai
d a une zone de projection cutanée ayant la même topographie que la
racine
correspon- dante, etqueta distribution radicuta
icutaireappartientautautaux lésions médul- hures qu'aux lésions des
racines
proprement dites. Lorsqu'on se trouve one en pr
radiculaire, les questions à résoudre sont les suivantes : '10 Les
racines
sont-elles seules intéressées ? 20 La moelle es
seules intéressées ? 20 La moelle est-elle seule intéressée ? 3°
Racines
et moelle sont -elles prises ensemble ? En clin
re; les douleurs, extrêmement vives dès le début, indiquent que les
racines
sont prises. Ces douleurs sont ordinairement di
ice à type radiculaire permet d'affirmer presque sùre- ment que les
racines
sont touchées. C'est dans ce cas qu'on observe
de la sensibilité peut s'observer quelquefois dans les lésions des
racines
. Force est donc de recourir, pour le diagnostic,
lus haut que lorsqu'elle porte sur le trajet extra-médullaire de la
racine
, surtout dans les régions lombaires et sacrées,
dans les régions lombaires et sacrées, par suite de l'obliquité des
racines
(voir schéma fig. 2G). Ainsi, à une lésion siégea
ir schéma fig. 2G). Ainsi, à une lésion siégeant au niveau de la 2e
racine
lombaire (2e vertèbre lombaire), correspond en ta
laires obstétricales ou chirurgicales, des sections ou ruptures des
racines
ou des plexus, il y a lieu de décrire aujourd'h
t d'altérations inflammatoires, superhcielles ou dégénératives, des
racines
des nerfs, sous l'influence d'un processus infe
Ces radiculites sont des affections dans lesquelles l'atteinte des
racines
et de leurs enveloppes est ou paraît être essen
, pas partie de ce groupe les cas dans lesquels la dégénération des
racines
est secondaire et liée intimement aux lésions d
les contusions et les déchirures obstétricales ou chirurgicales des
racines
ou des plexus doivent être séparées de celui de
voisinage que s'exerce ordinai- renient l'action pathogène sur les
racines
nerveuses; on a pu l'observer clans le mal de P
les traduisent l'atteinte primordiale des éléments essentiels de la
racine
ou les réactions et les dégénérescences qui en
parfois on trouve des gommes ou des névromes syphilitiques sur les
racines
(queue de cheval, nerfs crâniens). A côté du fo
eue de cheval, nerfs crâniens). A côté du foyer inflammatoire de la
racine
, il existe des lésions ménizz- gées, nettement
ningite spéci- fique comme cause des altérations inflammatoires des
racines
; Les lésions secondaires, résultant des précéde
chidien, une douleur très vive dans la sphère de distribution de la
racine
malade. Dans les radiculites proprement dites,
extrémités des membres. Les radiculites peuvent frapper toutes les
racines
, même celles des nerfs crâniens; mais, le plus
adiculites où l'exsudat méningé, agissant par com- pression sur les
racines
nerveuses, peut être reconnu le plus souvent co
s quatre membres) ; ils sont plus prononcés à la périphérie qu'à la
racine
des membres, obéissant ainsi il la même loi qui
ct, la douleur, la température, va en diminuant de la périphérie à la
racine
des mem- hres.[Cas(;an...,Bice(re,1886). 550
ndre au trajet d'un seul nerf, de plusieurs nerfs périphériques, de
racines
(topographie radiculaire de la douleur), ou enc
ype peut se rencontrer dans d'autres affections de la moelle ou des
racines
. Un type de douleur ne répond donc pas d'une fa
sous-occipital ou cervical ; aux exsudats méningés com- primant les
racines
: pachymëninyite tuberculeuse, syphilitique, ]J
utes causes locales, aux névrites, aux affections des plexus et des
racines
, aux affections médullaires et tout particulièr
s membres, aussi bien au niveau des doigts et des orteils qu'à leur
racine
. On a de la peine à obtenir des malades une indic
les rameaux périphériques, soit sur le tronc du nerf, soit sur les
racines
, soit peut-être aussi sur les noyaux d'origine
iqueuses dilatées pour- raient comprimer des rameaux nerveux et des
racines
rachidiennes au niveau des trous de la base du
e. ° Les névralgies reconnaissent parfois pour cause une lésion des
racines
rachidiennes. et ses élèves ont fort bien étudi
hésies) pré- sentent la topographie en bande de la distribution des
racines
posté- rieures. Parfois aux troubles sensitifs
rieure du cuir chevelu, du front, de la paupière supérieure;, de la
racine
et du lobule du nez, par des douleurs dans le s
r des douleurs au niveau du front, de la paupière supérieure, de la
racine
du nez. La névralgie des nerfs ciliaires se car
r d'où émane le grand nerf occipital d'Arnold. En effet la deuxième
racine
cervicale postérieure envoie quelquefois un ou
; 5° vers la malléole interne; 4" sur le bord interne du pied et la
racine
du gros orteil. La névralgie obturatrice est
et auteur appelle ainsi la branche de bifurcation descendante de la
racine
TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. ' 425 longitudinal
tes méningo-vasculaires ou de l'intégrité de la zone d'en- trée des
racines
postérieures, des bandelettes externes de Charcot
il alors, comme dans les tumeurs de l'encéphale, dégénérescence des
racines
postérieures de la moelle, peut-être l'abolition
e la moelle par où pénètrent ces libres; c'est la zone d'entrée des
racines
ou bandelettes externes de Char- col et Pierre
la voie centri- [CROUZON.] 1-58 RÉFLEXES. luge et emprunte les
racines
antérieures des fibres motrices du nerf crural.
e tronc et dans les segments péri- phériques des membres qu 1\ leur
racine
; la face peut participer à ces troubles sensiti
ensibilité cutanée, plus marqués aux segments périphériques qu'à la
racine
des membres; on les recherche surtout au moyen
ns 1 hémiplégie, elle atteint principalement certains muscles de la
racine
des membres (deltoïde, muscles de la fesse), quel
bres du côté opposé, intéresse en même temps soit le noyau, soit la
racine
de tel ou tel nerf crânien situé dans son voisina
f moteur oculaire externe, soit le trijumeau, et alors, si c'est la
racine
sensitive qui est atteinte, ce n'est [CROUZON]
du neurone moteur périphé- rique : cellule de la corne antérieure,
racine
, nerf, muscle. Seront spas- modiques (sans que
qu'un intérêt de localisation exacte. Géné- ralement, en effet, les
racines
sont atteintes avant la moelle, et le pronostic
, les lésions respectives de ces organes distincts. La lésion des
racines
se traduit avant tout par les pseudo-névratgies.
cide vers la spasticité; la lésion aurait, dans ce cas, atteint les
racines
d'abord, la moelle ensuite. Plus tard, il pourrai
sera fréquemment d'un heureux secours. Etant donnée l'obliquité des
racines
émanées de la moelle, on se sou- viendra, confo
cations de Chipault, que, chez l'adulte, « pour avoir le numéro des
racines
qui naissent au niveau d'une apophyse épineuse,
rojections radiculaires sensitives tégumentaires que l'on déduit la
racine
incriminée pour remonter de là à la topographie a
rsale supérieure de la paraplégie anesthésique correspond a la 1 le
racine
dorsale, on comptera 11 =' - 8, c'est-à- dire q
est-à- dire que le segment d'émergence radiculo-médullaire de la Mû
racine
dorsale sera placé au niveau de la se apophyse
Mais ici, plus encore que pour la moelle lombaire, l'obliquité des
racines
émergentes établit une discordance variable ent
. filum terminale » brait suite au cône. L'epicùue le surmonte. Une
racine
sacrée a est représentée dans son long trajet ave
gne sous le nom de queue de cheval l'ensemble des trois dernières
racines
lombaires, des ra- cines sacrées et des racines
s trois dernières racines lombaires, des ra- cines sacrées et des
racines
coccy- giennes. Nous mentionnons ici le syndr
tant sur la moitié gauche de la moelle; S, S, S, SI, Si, S3, SI',
racines
sensitives du côté droit, s'entre-croisant sur
e à la colonne sensitive CSG du côté gauche; Z, Z, 7,r, Z2, Z3, Z*.
racines
sensitives du côté gauche. Les trois racines Z'
Z, Z, 7,r, Z2, Z3, Z*. racines sensitives du côté gauche. Les trois
racines
Z', Z3 et S= (représentées par des traits plus
terri- toire d'innervation périphérique est hyperes- thésié. A la
racine
Z2, sectionnée, corres- pond une bande d'anesth
e, corres- pond une bande d'anesthésie du côté de la lésion. A la
racine
S', sectionnée égale- ment, et il toutes les ra
la lésion. A la racine S', sectionnée égale- ment, et il toutes les
racines
inférieures S, S (représentées en pointillé) qu
aud). 518 DIAGNOSTIC EN HAUTEUR DU SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES.
racine
lombaire soit atteinte. Les réflexes cutanés, pla
examen détaillé de la sensibilité permettra encore de découvrir les
racines
plus particulièrement soumises aux effets nocifs
ant en hauteur depuis l'articulation carpo-metacarpienne jusqu'à ta
racine
des doigts. Chacun d'eux naît sur les deux tendon
ui s'insère exclusivement sur le tendon de l'index. Au niveau de la
racine
des doigts, ils obliquent en dehors vers le côté
ices de conformation du diaphragme. Le diaphragme en comprimant les
racines
de la veine porte dans 1 ins- piration favorise
ons motrices médullaires sont des locale sations radiculaires ; les
racines
antérieures de la moelle proviennent de noyaux
'axe gris médullaire, chaque noyau ne fournissant de fibres qu'à la
racine
correspondante. Je partage tout à fait l'opinio
erf sciatique de la gre- nouille, arrive à cette conclusion que les
racines
n'ont aucune action particulière. Ce sont de ba
é indifférente de l'influx -médullaire. La section progressive des'
racines
détermine un affaiblissement général, graduel,
achidien qui pénètre dans un plexus, et qui contribue avec d'autres
racines
à la for- mation d'un gros tronc nerveux, ne co
s différents muscles synergiques reçoivent leurs nerfs de plusieurs
racines
diffé- rentes. Peyer, en sectionnant les racine
nerfs de plusieurs racines diffé- rentes. Peyer, en sectionnant les
racines
du plexus brachial, dit avoir reconnu qu'une se
nant les racines du plexus brachial, dit avoir reconnu qu'une seule
racine
fournit à presque tous les muscles. Krause, che
esque tous les muscles. Krause, chez le lapin, constate qu'une même
racine
peut fournir à des muscles antagonistes. Il pen
mouvements. Paul Bert et Marcacci cherchent dans les fonctions des
racines
une loi pour les grouper. Us expérimentent sur
expérimentent sur le plexus lombaire du chat et du chien. Dans les
racines
, disent-ils, il existe une systématisation évi-
cines, disent-ils, il existe une systématisation évi- dente. Chaque
racine
.innerve un groupe de muscles synergiques et ré
onclusion un peu différente. Pour Ferrier et Yeo l'excitation d'une
racine
donnée [G GUILLAIN.] 600 SÉlItIOLOf;1E DES PA
e )esnh- stratum anatomique de la position assise. La section d'une
racine
, d'après Ferrier et Yeo, ne provoquerait pas la
s muscles correspondants, car ils reçoivent les filets de plusieurs
racines
, mais seu- lement la suppression de celle combi
suppuration; il montre que le procédé de l'excitation en masse des
racines
est à rejeter parce qu'il amène des actions tro
ssi adopte-t-it la méthode qu'il appelle l'excitation dissociée des
racines
. Il dénude le plexus sans ouvrir le rachis, les
ssociée des racines. Il dénude le plexus sans ouvrir le rachis, les
racines
du plexus sont liées ou sectionnées pour suppri
de à l'excitation isolée, des filets différents qui constituent les
racines
. Forgne expérimente sur le plexus brachial et l
ime celle de la spécialisation physiologique. La dis- tribution des
racines
n'obéit pas il un ordre fonctionnel préétabli; el
que par la distribution respective des groupes musculaires. Chaque
racine
commande une région donnée; elle s'y distribue da
uement constants, niais fonctionnellement indéterminés; elle est la
racine
d'un département donné, elle n'est pas la racin
minés; elle est la racine d'un département donné, elle n'est pas la
racine
d'une fonction. Le plexus, dit encore Forgue, est
rveux qui naissent des différents noyaux moteurs superposés, et des
racines
qui leur correspondent, mais dont le territoire
rus. Un s'expliquait mat d'ailleurs comment la dis- tribution d'une
racine
pouvait être considérée comme adaptée à une fon
rée comme adaptée à une fonction spéciah'.Kst-ce que, en effet, une
racine
ne se distribue pas à des muscles dont Faction
ell montre que le mouvement complexe réalisé par l'exci- tation des
racines
peut être décomposé en des mouvements élémentaire
si l'on parvient à séparer les divers faisceaux qui constituent leur
racine
. Par exemple, après séparation des faisceaux de
nt minimum appliqué sur les divers points de la circonférence de la
racine
produit des mouve- ments différents corresponda
nts différents, même opposés, se trou- vent représentés par la même
racine
, mais selon Hussell l'un deux est prédominant.
extension et la flexion se trouvent ainsi localisées dans une seule
racine
, c'est la flexion qui sera prédominante, niais
acine, c'est la flexion qui sera prédominante, niais alors, dans la
racine
suivante, on trouvera que c'est l'extension qui
es recherches que chaque muscle est sous la dépendance de plusieurs
racines
, mais qu'il en. possède toujours une principale
de toujours une principale, une prépondérante. D'autre part, chaque
racine
se rend il des muscles divers, souvent très nom
rs myomeres, il recevra nécessairement son innervation de plusieurs
racines
. Parlant, une même racine fournira il plusieurs
essairement son innervation de plusieurs racines. Parlant, une même
racine
fournira il plusieurs muscles. Ainsi les fibres m
déterminé sont également et régulièrement réparties dans plusieurs
racines
consécutives. Si un même muscle est innervé par
s racines consécutives. Si un même muscle est innervé par plusieurs
racines
, il faut donc admettre que celles-ci empiè- ten
de Sherrington que, chaque muscle serait sous la dépendance de deux
racines
; il pense que peut-être, dans les muscles à inn
eut-être, dans les muscles à innervation radiculaire double, chaque
racine
se rend à une partie deter- minée du muscle; il
t voir des muscles a fonctions opposées être innervés par une seule
racine
comme par [G. GUILLAIN.] 602 SÉMÉIOLOGIE DES
ux et palmaires de la main qui reçoivent leurs nerfs de la première
racine
dorsale. - .' .. Des recherches des physiologis
Cet auteur, chez' un malade affecté d'un névrome, dut réséquer les
racines
des 5e et 6e nerfs cervicaux sur une étendue de p
lexus brachial sont : la section acci- dentelle ou chirurgicale des
racines
du plexus, le traumatisme obstétrical, les trau
e^ est Créée par les lésions intéres- sant la septième, la huitième
racine
cervicale et la première racine dor- sale. En c
éres- sant la septième, la huitième racine cervicale et la première
racine
dor- sale. En cas de traumatisme il arrive parf
e reliquat qu'une paralysie radiculaire supérieure. Les lésions des
racines
inférieures du -plexus brachial amènent une par
ariétés. Dans les para- lysies du type complexe, sont atteintes des
racines
appartenant et au seg- ment supérieur et au seg
douloureux sont sous la dépendance de l'élongation produite sur les
racines
qui, parfois insuffisante pour les rompre, ne les
ouloureux. Les douleurs peuvent être provoquées par la pression des
racines
sur les transvérses, par la pression dans le cr
moins atteint, et quelques mouvements des muscles innervés par les
racines
basses sont déjà es- quissés, qui bientôt devie
que les lésions maxima en cas de traumatisme se font au niveau des
racines
hautes, on s'explique ainsi que les troubles des
niveau des racines hautes, on s'explique ainsi que les troubles des
racines
basses soient presque toujours en clinique moin
certain de distension radiculaire postérieure. Le tronc d'union des
racines
peut s'aplatir sur les transverses, fait qui ex
r et les troubles de la sensibilité. Prolonge-t-on la traction, les
racines
antérieures se rompent avant les postérieures;
e dans un traumatisme de l'épaule, il puisse y avoir une lésion des
racines
antérieures qui amène la rupture de leurs cylindr
lysie motrice, et que dans . LES PARALYSIES RADICULAIRES. CI9 les
racines
postérieures il y ait seulement une inhibition pa
éger ou violent, amène des lésions réparables ou non réparables des
racines
postérieures. Dans les paralysies radiculaires
drome sympathique s'explique bien, puisque la lésion de la première
racine
dorsale dans les paralysies traumatiques se l'a
e la première côte, alors que les filets sympathiques ont quitté la
racine
. Chez les enfants très jeunes l'examen clinique
umatisme aura été le plus souvent très violent sur des nerfs ou des
racines
dont la résistance est très faible; [G. CUILLAI
car il est possible que les lésions portent principalement sur les
racines
postérieures. Enfin, aux symptômes d'ori- gine
a moelle épi- nière et intéressent un plus ou moins grand nombre de
racines
nerveuses avec participation des méninges adjac
reproduit plus haut quels sont les muscles innervés par chacune des
racines
lombaires et sacrées. $MONOPLÉGIE BRACHIALE A
t par des lésions du cortex, soit par des lésions de la moelle, des
racines
ou des nerfs périphériques, forme une transition
de l'examen approfondi que Lermoyez demande du côté du bulbe, des
racines
du vague et du spinal, du tronc du pneumogastriqu
es nerfs pharyngiens émanés du ganglion plexiforme et provenant des
racines
de la branche interne du spinal (vago-spinal). Le
e périphérique : 1. Lésions traumatiques des nerfs, des plexus* des
racines
: sections, plaies, con- tusions, compressions,
nservation des muscles correspon- dants, début de l'atrophie par la
racine
des membres, évolution très lente. Nous allons
que faible : or la progression normale des myopathies se fait de la
racine
des membres vers leur extré- mité et, pour ce q
es frappe d'ordinaire d'abord les muscles les plus rapprochés de la
racine
des membres soit supérieurs, soit inférieurs, e
les extrémités en restant pendant très longtemps plus accusée à la
racine
. Cette règle souffre pourtant 1. Laxpouzy et Rk
exceptionnel ; le début, des amyotrophies d'origine nerveuse par la
racine
des membres est aussi exceptionnel ; on en a cepe
e, dans certaines atrophies névritiques ; enfin l'évolu- tion de la
racine
vers l'extrémité est la marche normale de l'atrop
urs; comme la paralysie pseudo-hypertrophique. elle progresse de la
racine
des membres vers l'extrémité; la seule diffé- r
ne région en masse et non individuellement, tout en débutant par la
racine
des membres. r,) Nous ajouterons enfin que les
la cuisse, enfin les extenseurs en remontant de l'extrémité vers la
racine
. La face ne reste pas toujours indemne, contrai
pe (au, Collins (4)]. L'état de la méninge au niveau du passage des
racines
antérieures n'est peut-être pas pour rien dans ce
er l'apparition d'une atrophie réflexe par la section préalable des
racines
postérieures. Cette opinion, à peu près uni- ve
entpar l'extrémité (pied bot équin, main de singe), rarement par la
racine
(type scapulo-huméral) : elle s'y loca- lise
do-névmlç¡iqlles qui sont dues à la lésion des nerfs et surtout des
racines
; l'apparition des périodes successives de paralys
mine sur le membre supé- rieur et atteint surtout les muscles de la
racine
du membre, les muscles scapuio-huméraux, partic
sance. 1. Lésions traumatiques des nerfs (troncs nerveux, plexus,
racines
). Dans les sections, plaies et contusions d'un
es compressions et lésions peuvent porter sur les plexus ou sur les
racines
. La compression du plexus brachial peut être due
ne de distribution des mêmes nerfs. Les compressions et lésions des
racines
(racines cervicales ou queue de cheval) par lés
tribution des mêmes nerfs. Les compressions et lésions des racines (
racines
cervicales ou queue de cheval) par lésions vert
à quelques troubles sensitivo-lnoteurs variables suivant la ou les
racines
antérieures ou postérieures atteintes. Leur cau
eux (pachyméningite cervicale hypertrophique ? ) qui compriment des
racines
. Aujourd'hui qu'on connaît l'importance de la m
ieurs et surtout aux extenseurs des pieds; elles gagnent parfois la
racine
des membres, plus rarement les membres supérieu
humatisme vertébral agissent- elles parfois par compression sur les
racines
médullaires. Dans le cancer, dans les diverses
ne et que la lésion primitive peut siéger au niveau du point où les
racines
traversent la méninge. Le fait que les altérati
rfs sont parfois plus prononcées à la périphérie qu'à proximité des
racines
n'est nullement contraire à cette hypothèse, car
ives; conservation pro- longée des réflexes tendineux; début par la
racine
des membres; évolution lente. 2. Symptômes ac
; évolution lente. 2. Type Werdnig-Hoffmann : 1" enfance; début par
racine
des membres : membres inférieurs, puis supérieu
tomo-cliniques : 1 A) Lésions traumatiques (troncs nerveux, plexus,
racines
) : sections, plaies, contusions, compressions,
thologiques de ces auteurs et sur les sec- tions expérimentales des
racines
postérieures pratiquées par Claude Bernard, Lon
elle peut être aussi expérimentalement provoquée par la section des
racines
postérieures (Cyon, Tchirjew, Aurep), elle est
u tabès, qui paraît reconnaître pour cause principale la lésion des
racines
et des cordons postérieurs. Mais l'ataxie, inco
raissent pouvoir envahir simultanément les nerfs périphériques, les
racines
postérieures, les cordons postérieurs et en mêm
se (P. Marie) ; la sensibilité est toujours mieux conservée vers la
racine
des membres que vers leur extrémité. L'hémiatax
du tabès, Ù l'altération des voies sensitives (nerfs périphériques,
racines
médullaires et cordons postérieurs) ; aussi ell
e de la lésion des voies sensifivesousen- sorielles) : a) Moelle (
racines
et cordons postérieurs) : " INCOORDINATIONS. 78
ique, due essentiel- lement il la lésion des conducteurs sensitifs,
racines
et cordons posté- rieurs, est avant tout un tro
langue, les masticateurs, le larynx, le pharynx, les muscles de la
racine
des membres. L'asthénie est exagérée par la fatig
ements, les spasmes qui remontent de la périphérie d'un membre à sa
racine
; les mouvements automatiques, tels que l'acte de
DU TREMBLEMENT. 859 par ses oscillations. Le tremblement part de la
racine
du membre, de l'épaule par exemple, et se trans
rs à la simulation que révèle souvent la trace d'un lien placé à la
racine
du membre. On se souviendra seulement que cette t
cale, peut exister seule; elle procède brusquement, com- mence à la
racine
de la verge et s'irradie vers le gland avec des é
il y a toujours constipation; l'incontinence lui succède quand les
racines
s'atrophient. Ces différents états dépendent et
le excessive de l'ongle, en griffe, telle qu'il semble soulevé à sa
racine
et abaissé vers son bord libre. L'ongle hippocr
peut-être à une névrite. Des lésions du plexus brachial ou de ses
racines
produisent exception- nellement une paralysie r
Toutes les lésions portant sur les nerfs médian et cubital ou leurs
racines
peuvent produire ramyotropilic de la main type Ar
ire ramyotropilic de la main type Aran- Duchenne. Les lésions des
racines
médullaires portant sur la 8e cervicale et la J
ti- tude de prédicateur. Dans toutes les lésions portant sur la 1"e
racine
dorsale ou la partie inférieure du plexus brach
ain; souvent les mouvements sont si- multanément choréiques il la
racine
des membres et athétosiques il leur extrémité
tiques totaux. c) Dans toutes les altérations des nerfs et de leurs
racines
, dans les compressions ou destructions de la qu
. 11 se prend au-dessus du trou auditif sur le bord supérieur de la
racine
horizontale de l'arcade zygomatique.Le point su
s grande saillie du larynx. Les membres sont potelés, effilés de la
racine
aux extrémités; les attaches INFANTILISME. 1087
es os propres du nez, il y a alors une excavation qui rem- place la
racine
et la pointe du cartilage, delà cloison, le segme
nte au niveau de la jambe. Il s'agit, en ce cas, d'une piqûre d'une
racine
de la queue de cheval; celle douleur est passag
nique avec le tissu ccllulo-adi- peux, du canal, le cône durai, les
racines
sacro-coccygiennes, le muni terminal et les vei
corps vertébral ou d'une apophyse venant comprimer la moelle ou les
racines
, etc. ; or c'est dans ces cas précisément que l
use, elle n'ankylose guère que le rachis et les articulations de la
racine
des membres. Le rhumatisme vertébral est généra
e la moelle, noyaux du bulbe et de l'isthme de l'encéphale), ou les
racines
nerveuses motrices qui en partent, ou les fibre
on radiculaire, le diagnostic se trouve orienté vers des lésions de
racines
nerveuses répondant à cette topographie radicul
hématomyélie, syringomyélie. Elle se ren- contre encore lorsque les
racines
antérieures des nerfs se trouvent atteintes, co
u contraire, fait déf ? St m s cas où les cornes antérieures et les
racines
antérieures se trouvent indemnes ou suffisammen
ndant peut être incomplète, soit en raison du degré des lésions des
racines
, soit par suite de lésions nucléaires concomitant
tendues aux cellules des cornes antérieures, soit avec des lésions de
racines
nerveuses, soit avec des lésions de nerfs périp
des lésions de nerfs périphériques mais encore dans des lésions des
racines
nerveuses et dans des lésions des cornes antérieu
lbe et dans la moelle, soit dans leurs prolongements périphériques,
racines
nerveuses et nerfs. Dans ce second groupe nous
ise, aux fibres radiculaires dans leur trajet intra-médullaire, aux
racines
nerveuses intra-rachidiennes. Pour le moment no
de la moelle comme les poliomyélites anté- rieures aiguës, soit les
racines
nerveuses comme les radiculites dans la méningi
s des autres. Ces complications sont souvent dues à des lésions des
racines
nerveuses; elles peuvent aussi dépendre de lési
souvent assez rapides. Paralysies par lésions des nerfs ou de leurs
racines
, lésions trauma- tiques, névrites, etc. Dans la
les dépendent de lésions ou d'altérations des plexus formés par les
racines
des nerfs, et parfois de lésions ou d'altéra- t
les racines des nerfs, et parfois de lésions ou d'altéra- tions des
racines
nerveuses dans leur partie comprise entre la moel
s deux dernières conditions l'une des électrodes est placée vers la
racine
du membre ou sur la colonne vertébrale, et élec
par névrites localisées ou par lésions des nerfs, des plexus ou des
racines
nerveuses, il existe de la DR plus ou moins pro
ectrodes, l'anode de préférence, sur la colonne vertébrale, ou à la
racine
du membre, sur le trajet du nerf, et l'autre él
érieur et reconnaissent habituellement comme cause J'élongation des
racines
du plexus brachial, soit en partie seulement, soi
laires les lésions ne sont pas habituellement égales sur toutes les
racines
; l'électro-diagnostic permet de le reconnaitre,
e large anode est placée sur la colonne vertébrale à la hauteur des
racines
des nerfs animant les muscles atrophiés, une larg
(mal de Poil), de lésions des méninges rachidiennes, de lésions des
racines
nerveuses, de lésions des organes du bassin. Da
est placée sur la région lombaire il la hauteur de l'émergence des
racines
du nerf scia- tique, elle est reliée au pôle né
res en dirigeant les rayons sur la colonne vertébrale au niveau des
racines
nerveuses et des centres d'innervation correspo
re, et la cathode indifférente sur la colonne vertébrale ou vers la
racine
du membre, et l'on fera passer, pendant un temps
s cordons inguinaux au-dessous du canal inguinal, sur le pubis à la
racine
du pénis : sur chacun de ces points courants de
transversalement il sa partie moyenne au-dessus de l'émergence des
racines
du trijumeau. Un dépose alors avec soin, dans u
r, et l'on sectionnera successive- ment,, avec de fins ciseaux, les
racines
rachidiennes. Les ganglions rachidiens doivent
ervir d'un simple scalpel à forte lame. Il est utile de repérer les
racines
rachidiennes. M. et Mme Dejerine conseillent de
e Dejerine conseillent de choisir comme point de repère la première
racine
dorsale. qui est facile à reconnaître il son vo
. qui est facile à reconnaître il son volume et à ce que la seconde
racine
dorsale qui lui succède est très grêle. Celte r
que la seconde racine dorsale qui lui succède est très grêle. Celte
racine
sera entourée d'un [G GUILLAIN.] 1548 8 MÉTHO
« exerçant sur lui une légère traction, on. s'assure aisément si la
racine
« étiquetée première dorsale dans le canal rach
visée en plusieurs segments par quel- ques coupes passant entre les
racines
rachidiennes. Avant de séparer l'un de l'autre
éline en noir et de permettre d'apprécier le degré « d'atrophie des
racines
postérieures dans leur trajet extra et intragan-
and nombre de nerfs. La « même méthode est applicable à l'étude des
racines
spinales et de la « plupart des nerfs crâniens.
utives, 717. du plexus brachial, atrophies secondaires, î17.- des
racines
rachidiennes, 718. Cône médullaire (Syndrome du
de dégénérescence, 672. - État des réflexes, 672. - Muscles de la
racine
des membres, 675. Évolution lente, 674. - Sympt
, médullaires, 1055. - dans les altérations des nerfs et de leurs
racines
, 1055. - dans les myopathies, les névroses, 105
04. - Radiodiagnostic. l 178, 1180. Rachistovaïnisation,' 1145.
Racines
spinales, territoires de distribu- tion cutanée
0 . - Affections de l'encéphale, 305. - de la moelle, 515. - des
racines
rachidiennes, 556. - des nerfs péri- phérique
ial, 521. Valeur séméiologique des troubles sensitifs à z, 522. -
Racines
spinales, innerva- tion cutanée, 523, 525, 599.
Aux membres supérieurs, l'amélioration a suivi le même ordre, de la
racine
du membre à l'extrémité. L'état général était b
un ou plusieurs segments, et de préférence ceux qui constituent les
racines
des membres. Une fois parvenue à son apogée, el
les membres inférieurs, et elle se propage des extrémités vers les
racines
des membres; presque toujours, elle suit une marc
s à la première époque de leur formation, de là se con- tinuent les
racines
antérieures passant à travers les fibres myéliniq
'élargit et se transforme en une membrane de la- quelle partent les
racines
des nerfs. Sous cet aspect la moelle épinière s
amides (PI. VIII, I). Manque aussi le faisceau cérébello-spinal. La
racine
descen- dante du nerf trijumeau n'est pas encor
nous trouvons (Pl. VIII, J) les pédoncules cérébelleux absents; la
racine
des- cendante du nerf trijumeau à travers laque
as- trique, est disposée tout à fait extérieurement au-dessus de la
racine
des- cendante du glosso-pharyngien et du vague,
ns la partie supérieure, au-dessus du bord supérieur des olives, la
racine
descendante du nerf trijumeau, la racine descen
d supérieur des olives, la racine descendante du nerf trijumeau, la
racine
descendante du glosso-pharyngien et du vague, le
d'un côté la branche radiculaire externe du facial, de l'autre les
racines
du nerf acoustique, le noyau accessoire et leno
s du nerf acoustique, le noyau accessoire et lenoyau de Deiters. La
racine
spinale du nerf trijumeau est marquée très bien
elle est recouverte de myéline et des deux côtés vont vers elle les
racines
nerveuses qui se terminent dans les cellules ne
ns les noyaux de Goll et de Bur- dach ; nous trouvons encore ici la
racine
descendante du nerf trijumeau, la racine descen
ous trouvons encore ici la racine descendante du nerf trijumeau, la
racine
descendante du glosso-pharyngien, le faisceau cér
e dans le canal rachidien et ne s'unissait avec rien, parce que les
racines
nerveuses s'enfoncent seulement dans la partie an
ongue. Il se rappelle qu'il ressentait des douleurs très vives à la
racine
du cou et qu'on dut lui appliquer des sangsues
e l'articulation péronéo-tibiale supérieure qui est subluxée. Les
racines
nerveuses, le nerf facial, les nerfs du membre su
des nerfs normaux. Macuoscopiquement, l'encéphale, la moelle de ses
racines
ne présentent aucune espèce de modification pat
es. On ne trouve pas de tubercules dans l'épaisseur des muscles..
Racines
nerveuses et nerfs. Parmi les nombreux filets ner
ide osmique, il en est qui sont remarquablement sains ; ce sont les
racines
nerveuses cervi- cales et lombaires, antérieure
ial d'où procède la trophonévrose occupe tel tronc nerveux ou telle
racine
. Enfin j'espère vous démontrer que si le diagno
s précédents et qui reçoivent leur innervation totale, non plus des
racines
, mais de la moelle elle-même, non plus des rhi-
roses fortuites, de lésions pas- sagères ou durables des nerfs, des
racines
ou de la moelle épinière. Un exemple de trophon
n de la moelle est absolument différente de la métamérisa- tion des
racines
; 3° que je nie suis simplement appliqué à démon
localisa- tion rappellent les trophonévroses liées aux névrites des
racines
spinales ou des troncs nerveux ; - 3° La sclé
ir, ne relève pas d'une perturbation préala- ble des centres ou des
racines
, et parait bien plutôt subordonnée à un vice de
si souvent superposée à la sphère de distribution des nerfs ou des
racines
, qu'il est absolument impossible de ne pas lui
olument parfaite des bandes sclérosées aux territoires de certaines
racines
. Du premier coup, vous déterminez ces racines.
ritoires de certaines racines. Du premier coup, vous déterminez ces
racines
. Pour le membre supé- rieur ce sont les 7" et 8
ser le lieu exact de la lésion nerveuse : c'est bien une lésion des
racines
, et non pas une lésion de la moelle. Plusieurs
racines, et non pas une lésion de la moelle. Plusieurs étages de
racines
sont en cause ; donc l'affection s'est can- ton
plaque sus-mammaire dans le territoire de distribution de la première
racine
dor- sale. B, bande située en dedans du bord in
en dedans du bord interne du biceps suivant le territoire de la le
racine
cervicale. - C, plaque scapulaire dans le territo
racine cervicale. - C, plaque scapulaire dans le territoire de la 2e
racine
dorsale. - D, bande du bras en arrière, passant
ant-bras ; elle suit le trajet correspondant au territoire de la 1°
racine
cervicale. - E, plaque du dos de la main contin
rophique procédant régu- lièrement de l'extrémité du membre vers sa
racine
implique une symétrie d'action qui n'apparlient
es pileux ; celte byper- plasie a pour siège la gaine externe de la
racine
, à la partie inférieure de la tige du poil. Il
, reconnue tributaire, non pas d'un nerf périphérique, mais d'une
racine
. Il en a été ainsi du zona des membres qui.jusq
Head a prouvé que s'il est des zonas de nerfs, il en est aussi de
racines
. En tout cas, pour ce qui a trait au lichen nou
t le long des vaisseaux, surtout dans les faisceaux latéraux et les
racines
postérieures, il y a des ilots de périartérite no
itique, nous n'avons pas trouvé de tubes nerveux dégénérés dans les
racines
postérieures. D'autre part, les lésions vascula
racines postérieures. D'autre part, les lésions vasculaires de ces
racines
se retrouvent sur toute la hauteur de la moelle
out indemne on ne peut invoquer la péri- artérite observée dans les
racines
postérieures qui du reste il côté de ces lésion
sséminée relevées sur les coupes tant dans les moelles que dans les
racines
, elles peuvent avoir été la cause des fourmille
périphérique et cela dans un territoire tel que les se, 6e, 7°, Se
racines
cervicales et lyre dorsale ont pu être intéress
en vertu de laquelle sont redressées les courbes que décrivent les
racines
du plexus brachial à leur sortie des trous de con
98. 124 J. SABRAZÈS ET L. MARTY brachial seraient tendus et leurs
racines
correspondantes redressées au ni- veau des trou
u déterminer des ruptures radiculaires inlra-racbidiennes, mais des
racines
motrices seules. Il n'est pas douteux que les m
Doit-on imputer aux manoeuvres du procédé de Mothe les lésions des
racines
motrices par élongation portant sur toutes les pa
es les paires (5e, 6e, 7e, 1 8e cerv., 4e dors.), ainsi que sur les
racines
sensitives des 8' cervicale et - 1 re dorsale,
ulement étendu à la corne antérieure gauche qui donne naissance aux
racines
mo- trices lésées, mais encore irradié à la cor
as avec rotation de la tête du côté opposé tend très facilement les
racines
antérieures mais beaucoup moins les racines pos
end très facilement les racines antérieures mais beaucoup moins les
racines
postérieures. Une traction très violente rompt le
oins les racines postérieures. Une traction très violente rompt les
racines
an- térieures et tend simplement les postérieur
- térieures et tend simplement les postérieures. L'élongation des
racines
postérieures, à cause de la position oblique de
nutrition. Les mêmes traumatismes (vu la vulnérabilité moindre des
racines
sensi- tives et aussi leur plus prompte réparat
n sous-glénoïdienne permanente entrainant une sourde irritation des
racines
postérieures des 5e, 6e, 7e cervicales. Par con
lui donne un point d'appui et diminue d'autant la traction sur les
racines
sensitives. Cela est d'autant plus vraisemblable,
te humérale luxée. Radiculaires par suite du traumatisme direct des
racines
et de la con- - ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE
tables à une élongation exagérée des segments intra-médullaires des
racines
. Les cellules des cornes antérieures de la moel
la compression et l'élonga- tion exagérée des troncs nerveux et des
racines
jusque dans leur trajet rachidien et intra-médu
ine névritique, mais encore par propagation ascendante, le long des
racines
, des lésionsirri- tatives des fibres nerveuses
et aux déchirures partielles que l'on provoque dans l'épaisseur des
racines
, au niveau de leur abouchement médullaire, sous
s des éléments ganglionnaires, sur ces élé- ments eux-mêmes; sur la
racine
postérieure spinale, c'est-à-dire sur les fibre
s grosse, la plus active, la plus vigilante et la plus importante des
racines
spinales postérieures ; - parce que la lésion s
stérieures ; - parce que la lésion systématique atteindra, dans les
racines
postérieures des cordons qui en émanent aussi bie
proprement dit. En d'autres termes, le nerf labyrin- thique est une
racine
postérieure plus longue que les autres, dont le g
s aux voies médullo-cérébrales et médullo-cérébelleuses émanées des
racines
postérieures. On peut reconnaître dans l'appare
racines postérieures. On peut reconnaître dans l'appareil émané des
racines
postérieures deux systèmes de voies centripètes
lbresdu système labyrinthique et de leurs centres avec l'appareil des
racines
postérieures et de leurs centres primaires. De
un très grand nombre de fibres, plus qu'aucun centre médullaire des
racines
postérieu- res. Mais tandis que les fibres éman
res. Mais tandis que les fibres émanées des centres médullaires des
racines
postérieures cheminent de conserve le long de l
ion du protoneurone centripète y est plus évidente qu'au niveau des
racines
postérieures. Wernicke, Althaus décri- vent dan
onctif riche en noyaux. La sclérose y était donc apparente dans les
racines
intra-bulbaires du tronc vestibulaire. De même, I
e d'un ta- bétique de Pierret, et a trouvé également l'atrophie des
racines
du nerf cochléaire sous le plancher du quatrièm
labyrinthique ont été atteints dans le tabès ; et pour cette grosse
racine
postérieure qui est le tronc labyrinthique, on
au point de vue anatomo-patho- logique, que pour toutes les autres
racines
postérieures spinales. Remarquons que dans la s
ion organique, et à ce titre encore bien plus que par sa qualité de
racine
postérieure plus importante que toutes les autres
'un tabes débutant, comme il semble logique, par la plus grosse des
racines
postérieures, c'est-à-dire par l'ap- pareil lab
pullaire et se rappeler que le nerf labyrinthique, en sa qualité de
racine
postérieure la plus active et la plus grosse de
arcours, nait des cinquième et sixième paires cer- vicales par deux
racines
. Pour les anatomistes allemands, pour Luschka e
mistes allemands, pour Luschka et IIenle particulièrement, ces deux
racines
traversent les fibres du scalène postérieur ava
tie supérieure et 1 cent. à la partie inférieure), s'étendant de la
racine
du nez, près de la racine du sourcil gauche, jusq
à la partie inférieure), s'étendant de la racine du nez, près de la
racine
du sourcil gauche, jusqu'au som- met de la tête
des taches blanches. Quelques taches blanches sur les fesses. A la
racine
de la cuisse gauche, deux taches larges comme u
d'un père français el d'une femme arabe, nous avons découvert à la
racine
cle la cuisse droite une tache blanche ovalaire
llule. Sur une coupe de la moelle cervicale inférieure (entre la 8e
racine
cer- vicale et la' 1re dorsale), on est frappé
sées, il n'existe aucun corps granuleux. Il en est de même dans les
racines
posté- rieures. 3° Méthode de WEIGEIIT et de
parée par une bande de fibres saines. De même la région voisine des
racines
est respectée. A la partie postérieure des cor-
a bandelette externe (PI. XXIX, fig. N et PI. XXX, fig. 0,P). - Les
racines
postérieures sont intactes. Outre les cordons p
t plus marquée dans le faisceau pyramidal croisé du côté droit. Les
racines
postérieures sont intactes. Sur des coupes faites
, mais la dégénération est peu intense et étendue en surface. Les
racines
postérieures paraissent un peu atteintes, le nomb
triangle cornu marginal parait à peu près complète. Les lésions des
racines
postérieures paraissent beaucoup moins marquées
, elle est constituée par une longue bande atteignant en dehors les
racines
postérieures, séparée de la périphérie de la mo
lle est moins intense dans les cordons de Goll. La zone voisine des
racines
est intacte. Enfin les zones de Lissauer sont p
zones de Lissauer sont peut-être un peu touchées. Les fibres des
racines
postérieures sont un peu diminuées de nombre ;
érieure du tronc. Et à part deux masses lipomateuses appendues à la
racine
des bras, c'est surtout aux dépens de la partie s
ie et de ventosités..... il faut appliquer sur les deux tempesde la
racine
debrione cuite sous les cendres chaudes (1 ) ».
dit-il, un régime sobre et rafraîchissant : laitage, tisane d'orge,
racines
de nénuphar, semences d'agnus castus ; des exerci
même de la perfection de l'obturation, des acci- dents du côté des
racines
et du périoste alvéolaire. Je ne suis pas éloig
rites dans le labes incipiens. Lésions des ganglions spinaux et des
racines
. - Dans le cas de Marinesco, les racines postér
s ganglions spinaux et des racines. - Dans le cas de Marinesco, les
racines
postérieures étaient très altérées, semble-t-il,
de la moelle ; il n'en était pas de même chez notre malade IL ? les
racines
présentent des altérations dégénératives assez
du poignet, dans les nerfs de la jambe qu'au niveau des nerfs de la
racine
du memhre qui sont à peu près intacts. (Fig. 1.
es muscles de la région antérieure ; les mus- cles du bras et de la
racine
du membre sont habituellement intacts. Par suit
ntaire comparable à celle qu'on observe dans les cas de section des
racines
postérieures, de section transversale de la moe
ulaire : 1° La répartition inégale des lésions dans les différentes
racines
succes- sives ; 2° L'innervation d'un même te
cces- sives ; 2° L'innervation d'un même territoire par plusieurs
racines
(Sher- rington) ; . 3° La participation d'un
e, face supérieure 4", ra- cine du deuxième orteil 4" ; pied droit,
racine
du gros orteil 2". Face plan- taire gauche : ra
" ; pied droit, racine du gros orteil 2". Face plan- taire gauche :
racines
des deuxième, troisième et quatrième orteils, 3"
xième, troisième et quatrième orteils, 3" ; face plantaire droite :
racine
du gros orteil, 3". Aux jambes la piqûre est ress
teil du côté opposé. Le retard est de 10" au talon gauche, de 3" à la
racine
des orteils à droite. Observation III. Caud
lète des cellules nerveuses de ces cornes, atrophie et sclérose des
racines
qui en émergent. Les nerfs moteurs (médian) pos
entiques dans la moelle cervicale et dans la moelle lombaire. Les
racines
ne présentent pas d'altérations notables. Nerfs
mond a fait voir que l'atrophie musculaire ne se produit pas si les
racines
postérieures de la moelle qui concourent à l'exer
t du tronc jusqu'à l'aisselle. Le tact est perçu très faiblement à la
racine
des orteils droits et dans une zone en ceinture
passant par les deux aisselles ; hypoesthésie en hémi-catotte. A la
racine
de la cuisse gauche on observe dans la perception
ndre que d'une lésion des fibres radiculaires postérieures dans les
racines
postérieu- res ou dans la moelle. Déductions
ier lieu à conclure que la lésion dont ils dépendent siège dans les
racines
postérieures ou dans l'épaisseur même de la moell
s diffère notablement, selon que l'on considère ces fibres dans les
racines
postérieures ou dans les nerfs périphériques, c
ns les racines postérieures ou dans les nerfs périphériques, chaque
racine
spinale postérieure fournit des fibres à dij"é-
en segments dont chacun tire son innerva- tion sensitive d'une môme
racine
postérieure, ses segments empiètent les uns sur
erritoires cutanés qui tirent leur innervation sensitive d'une même
racine
postérieure ne constituent pas des ¡lots circon
anées reçoivent ainsi des filets nerveux provenant de deux ou trois
racines
contiguës. On conçoit dès lors que tout autre s
É RICHE ET DE GOTUARD autre quand elle dépend d'une ou de plusieurs
racines
postérieures ou de leurs prolongements intra-mé
fait des relations de l'innervation sensi- tive de la peau avec les
racines
postérieures, ensuite cette anesthésie, si elle
ération par simple com- pression, par exemple d'une ou de plusieurs
racines
postérieures, l'anes- thésie tactile et l'analg
ent que dans le domaine des seuls nerfs qui tirent leurs fibres des
racines
lésées. Or des lésions semblables ne nous rende
ES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 419 gent les première et deuxième
racines
dorsales se traduit par une étroite zone d'anes
des zones d'anesthésie avec la distribution anatomique normale des
racines
rachidiennes, on voit ainsi que dans la planche
e seule ; dans la planche S, la lésion intéresse les lyre, 2" et 3e
racines
lombaires et les 4° et 2e sacrées, la 4" sacrée
on des nerfs périphériques ni même entièrement par une lé- sion des
racines
postérieures. Elles sont l'expression d'une lésio
qu'on a pu constater : Tout le membre inférieur droit, depuis la
racine
de la cuisse jusqu'aux orteils, est envahi par
on avec la jambe saine qui conserve un irréprochable modelé. A la
racine
de la cuisse, nettement, l'enflure cesse. En avan
la fois, s'arrêtant soit au cou-de-pied, soit au genou, soit il la
racine
de la cuisse, affection indolore, apgrélique, c
hique du membre supérieur gauche. Toute la jambe gauche depuis la
racine
de la cuisse jusqu'aux orteils est envahie d'un
nelures longitudinales exagérées ; lame unguéale gri- sâtre vers sa
racine
, rouge violacé vers le bord libre ; repli sus-épi
etite tache lenticulaire ecchymotique ; on en trouve une aussi à la
racine
du médius. Cette main est plate (atro- phie des
cordons postérieurs, l'anatomie macroscopique a décelé : 1° celle des
racines
postérieures (atrophie) ; 2° celle des méninges (
moelle, semblent occuper les sillons collatéraux postérieurs, et les
racines
sensi-tives les plus internes paraissent en émerg
uter que, d'après nos observations, à cette époque de la maladie, les
racines
spi-nales postérieures ne présentaient encore, en
mps les tubes nerveux se mon-trent atrophiés en grand nombre dans les
racines
postérieu-res. Enfin les symptômes parétiques ou
ar Stilling, Clarke, Kôlliker, de ceux des filets ner-eux émanant des
racines
spinales postérieures, qu'on dési-gne communément
mmunément sous le nom de faisceaux radiculaires inter- Fig. 5. — A,
Racines
postérieures. — B. Filets radiculaires internes e
t aussi prononcée dans l'espace qui sépare les points d'insertion des
racines
postérieures qu'au niveau même de ces points. 11
raît exister entre les filets nerveux radiculaires internes issus des
racines
posté-rieures et le groupe externe des cellules n
ule à cellule, soit entre les cellules et les tubes nerveux, tant des
racines
antérieures que des ra-cines postérieures. Voic
nt entrer en connexion avec les filets radiculaires, d'où émanent les
racines
spinales motrices. Quant aux autres prolongements
re-mère à laquelle il n'est guère attaché que par l'intermédiaire des
racines
nerveuses et du ligament dentelé. L'arachnoïde jo
raisseux extérieur à la dure-mère (périméninge ) ; c) aux dé-pens des
racines
et des troncs nerveux ; d) dans la dure-mère ou d
u'ici le point le plus important. De la moelle épinière partent les
racines
antérieures et pos-térieures qui traversent la pi
ouir au dehors. Or, toutes ces parties sont éminemment sensibles, les
racines
antérieures exceptées, et c'est justement de l'ir
-ninges, — c'est surtout aux symptômes résultant de l'irrita-rion des
racines
ou des nerfs périphériques qu'il faut nous attach
carie vertébrale à ses débuts. Les symptômes dus à l'irritation des
racines
nerveuses ou des nerfs périphériques sont d'aille
uel qu'en soit le point de départ, ne peut manquer de ren-contrer les
racines
nerveuses ou les nerfs mixtes dans leur VI. O
cas le plus commun — quand la production morbide presse également les
racines
nerveuses des deux côtés de la moelle. A l'appu
ion des nerfs du plexus cervical et des ganglions correspondants des:
racines
spina.es posté-rieures. (Société de Biologie, XVI
'après ce que rapportent les malades, semblent remonter du côté de la
racine
du mem-bre en même temps qu'elles descendent vers
ration; sclérose partielle des cordons antéro-latéraux ; atrophie des
racines
antérieures. — Raisons qui tendent à démontrer qu
tielle des cordons antéro-latéraux et une atrophie très prononcée des
racines
antérieures, remarquable surtout au niveau des ré
ait anatomique initial, les lésions de la névroglie et l'atrophie des
racines
nerveuses devant être considérées comme des phéno
'elle ait remonté ensuite jusqu'aux parties centrales par la voie des
racines
antérieures des nerfs rachidiens, car ces dernier
res de substance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des
racines
nerveuses et des nerfs périphériques. — Lésions m
re, sine quanon, et parfois la seule lésion appréciable ; 2° dans les
racines
motrices et les nerfs moteurs périphériques, par
ont disparu, à l'exception d'un seul petit groupe {Fig. Il, b). — Les
racines
antérieures, émanant de la région cervicale, sont
nt être, à ce point de vue, considérées comme non avenues l. 2° Les
racines
nerveuses antérieures et les nerfs périphéri-ques
ppellerai, à ce propos, que Ouveilhier avait considéré l'atrophie des
racines
antérieures comme le caractère anatomique de la f
la substance grise *. Il importe de reconnaître que l'atrophie des
racines
anté-rieures ne pourra pas être, au même degré qu
para-lysie infantile, une atrophie destructive. Sans doute, dans les
racines
émanant des régions de la substance grise et plus
Cette intégrité rela-tive d'un très grand nombre de tubes nerveux des
racines
an-térieures se voit alors même que celles-ci off
ns les dernières phases du pro-cessus morbide. Les autres tubes de la
racine
nerveuse con-servent l'intégrité de leur constitu
itatif, dont les cellules sont le siège, se transmet, par la voie des
racines
nerveuses et des nerfs centrifuges, jusqu'aux fai
vroglie), dans la moelle et dans le bulbe. —Altérations secondaires :
Racines
ner-veuses antérieures. — Nerfs périphériques. —
nes antérieures. — ù, cornes pos-térieures. — c, canal central. — r/,
racines
antérieures. — e, racines postérieures. — a', zon
es pos-térieures. — c, canal central. — r/, racines antérieures. — e,
racines
postérieures. — a', zone radiculuire anté-rieure.
is, une zone de substance blanche, laquelle est en connexion avec les
racines
nerveuses. Ces zones, dans la nomenclature prop
la règle, d'aucune altération de la substance grise antérieure ou des
racines
spinales motrices et je rappellerai, à ce propos,
départements des centres ner-veux ; — 3° des lésions consécutives des
racines
antérieures et des nerfs spinaux ; — 4° enfin des
ltérations qui se produisent consécutivement aux précédentes dans les
racines
antérieures et dans les nerfs périphériques. Je n
. Les tubes nerveux tout à fait vides de myé-line sont rares dans les
racines
ainsi que dans les nerfs périphériques. Les tubes
pour ainsi dire uniformément depuis l'extrémité du membre jusqu'à sa
racine
. Ce n'est plus cette atrophie individuelle des mu
, thèse de M. Joffroy, loc. cit.). A, Dure-mère hypertrophiée. — B,
Racines
nerveuses traversant les ménin-ges épaissies. — C
ique affecte, en général, aussi bien les ra-cines antérieures que les
racines
postérieures, circonstances dont il y aura lieu d
ompte pour l'interprétation des symptômes '. 1 La participation des
racines
postérieures paraît être une condition néces-Ciia
eux que les méninges ne soient lésées, tout d'abord, et peu après les
racines
nerveuses. Les phéno-mènes en rapport avec cette
est un exemple de pachyméningite hyper-trophique dorso-lombaire, les
racines
postérieures, en raison de la limitation des lési
nerveux, t. Il, p. 16. qui se fait dans le trajet intra-spinal des
racines
postérieures. Il en résulte une inflammation qui
rieures. Il en résulte une inflammation qui se propage le long de ces
racines
jusqu'aux cornes grises antérieures, où les group
onstituent, aucune déviation du type physiologique. Rappelons que les
racines
spinales, tant antérieures que postérieures, ont
de l'altération des cellules nerveuses des cornes antérieures ou des
racines
nerveuses, il importait de rechercher si elles ne
elle épinière; j'ajouterai que, dans le fait qui m'est personnel, les
racines
nerveuses, et aussi les nerfs périphériques, se s
rices) et les zones radiculaires antérieures (trajet intra-spinal des
racines
antérieures) paraissent être les seules ré-gions
ment, en outre, agités, par la trépidation qui peut s'étendre vers la
racine
du membre et imprimer même, parfois, au corps tou
r foyer purulent et un autre foyer dans le canal vertébral autour des
racines
du nerf, près de leur émergence. La moelle épi-ni
ètement du plan du lit, surtout le talon. Il existe également, à la
racine
du membre, de la mobilité anormale, ainsi que de
latéral du même côté, suivant la direction du trajet intra-spinal des
racines
antérieures. L'épanchement sanguin est en parti
ésion. Il en est de même delà protéburance et du bulbe rachidien. Les
racines
des nerfs bul-baires sont de volume normal et ont
rmal et ont la coloration blanche habi-tuelle. Moelle épinière. Les
racines
antérieures sont rougeâtres, trans-parentes, mani
phiés. Leur couleur tranche sur la coloration franchement blanche des
racines
postérieures qui pa-raissent saines. Cet état des
blanche des racines postérieures qui pa-raissent saines. Cet état des
racines
antérieures se rencontre seu-lement au niveau des
Elle est en grande partie aussi sous la dépen-dance de la lésion des
racines
antérieures dans leur trajet intra-spinal. Ainsi,
et à la zone corticale. De plus, au niveau du point d'émer-gence des
racines
antérieures, la pie-mère est épaissie et manifes-
ormal. Le noyau du pneumogastrique est assez fortement vascularisé.
Racines
spinales, — Les racines antérieures, à la région
ogastrique est assez fortement vascularisé. Racines spinales, — Les
racines
antérieures, à la région cervicale sont à peu prè
res par l'endonèvre épaissi. Cet état est exactement le même pour les
racines
antérieures de la région dorsale. A. la région lo
région lombaire, on rencontre à peine quelques tubes atrophiés. — Les
racines
postérieures sont normales ainsi que celles du ne
D'une façon générale, on retrouve ici la même altération que dans les
racines
antérieures ; elle est seulement parvenue à un de
iologie, que les lésions observées dans les muscles, les nerfs et les
racines
ne se sont produites que consécutivement à l'alté
érie de la moelle et rappelant ainsi très exactement la direction des
racines
en voie de destruction. Les points où elle pren
uction des cellules nerveuses du noyau de l'hypoglosse, atro-phie des
racines
spinales antérieures, des racines de l'hypoglosse
oyau de l'hypoglosse, atro-phie des racines spinales antérieures, des
racines
de l'hypoglosse et du facial. — Sclérose rubarne,
érables qui se sont produits dans le volume et dans la coloration des
racines
antérieures. Elles sont constitués par la réunion
ant plus frappantes qu'il ne s'est rien produit de semblable dans les
racines
postérieures, lesquel-les ont conservé leur volum
ure qu'on s'éloigne de la région cervicale. A la région lombaire, les
racines
antérieures ont repris le volume et la coloration
sse présentent, euxaussi, une teinte grisâ-tre, analogue à celles des
racines
antérieures cervicales et dorsales. Cette altérat
minution de volume de ces nerfs, analogue à celle que présen-tent les
racines
antérieures. — Les autres nerfs périphériques ne
es. Examen à l'état, frais. Le nombre des tubes nerveux qui, dans ces
racines
, ont conservé les caractères de l'état normal, es
du renflement lombaire, elles faisaient complètement défaut. b) Les
racines
spinales postérieures ont été examinées compara-t
les lésions comparables à celles qui ont été signalées à pro-pos des
racines
spinales antérieures. Seulement, le nombre des
s prononcée à gauche qu'à droite l'est peut-être aussi davantage à la
racine
du membre qu'à son extrémité. Tandis que les musc
ténuité et cette teinte grise se retrouvent sur un certain nombre de
racines
antérieures de la moelle. Etude histologique. —
recouvertes de noyaux plus nombreux que d'habi-tude. Pas plus que les
racines
, le tronc de ces nerfs n'était dans son trajet ul
ait de même pour le spinal, le pneumogastrique, le nerf facial. Les
racines
antérieures des nerfs rachidiens, examinées au ni
facile, sur les mêmes coupes, de constater la parfaite intégrité des
racines
nerveuses dans leur trajet intra-bulbaire. Elle e
il envoie un prolongement vers la périphérie et le point d'entrée des
racines
postérieures. Tout le reste de la sub-stance blan
ons postérieurs, est exempt d'altérations. Il en est de même pour les
racines
antérieu-res dans leur trajet intra-spinal. Sub
spinal, surtout, sont grêles. Quant aux troncs nerveux éma-nés de ces
racines
, ils paraissent être un peu moins volumineux que
uent, aucune déviation du type physiolo-gique. Ajoutons enfin que les
racines
spinales, tant anté-rieures que postérieures, ont
indépendante de toute lésion appréciable de la moelle épinière on des
racines
ner-veuses. Une observation récemment publiée d
édian, b, les cornes postérieures, y compris le point d'émergence des
racines
postérieures, c, sont envahis totale-ment parla s
ternes des cordons postérieurs et rejoignant le point d'émergence des
racines
posté-rieures, c ; — 6,. petit îlot scléreux situ
s de mal de Pott dorsal. Sclérose annulaire, marquée surtout vers les
racines
postérieures. L narco l, îóü i. nei v.j L. li .
-tion ; sclérose partielle des cordons antéro-latéraux ; atrophie des
racines
antérieures. — Raisons qui lendent à démontrer qu
res de substance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des
racines
nerveuses et des nerfs périphériques. — Lésions m
vroglie), dans la moelle et dans le bulbe. —Altérations secondaires :
Racines
ner-veuses antérieures. — Nerfs périphériques. —
0. — Marche, durée, causes, 224. — Lésions de la moelle, 2: 5 ; — des
racines
an-térieures et des nerfs périphéri-ques, 229 ; —
trécissement du — avec pouls lent et épilepsie, 157. (V. Arthrite.)
Racines
antérieures des nerfs, 428, 433,449. —Postérieure
des cordons latéraux, 24(1. — De la substance grise, 214, 451. — Des
racines
antérieures, 245. —Des nerfs périphériques, 245.
ires d'une part, l'intensité et la localisation de l'atro- phie des
racines
postérieures d'autre part. C'est un cas de ce g
symptomatique, ni l'étude minutieuse des lésions des cordons et des
racines
postérieures, ne permettent de s'arrêter au dia
raissent présenter un certain degré de dégénéres- cence. Les autres
racines
ne semblent pas altérées. La colonne vertébrale
yme est comblé par une substance hyaline avec de nombreux noyaux.
Racines
. Les racines an lérieures sont normalement consti
é par une substance hyaline avec de nombreux noyaux. Racines. Les
racines
an lérieures sont normalement constituées; 1 Fi
les fibres ne sont diminuées ni en nombre ni on volume. Quant aux
racines
postérieures, elles sont manifestement atteintes,
ndyme est comblé par une niasse hyaline avec nombreux noyaux. Les
racines
antérieures sont saines; dans les racines postéri
ec nombreux noyaux. Les racines antérieures sont saines; dans les
racines
postérieures il manque quelques fibres, mais le
peu nom- breuses. Les cornes postérieures sont également saines.
Racines
. - Les racines postérieures et les racines antéri
uses. Les cornes postérieures sont également saines. Racines. - Les
racines
postérieures et les racines antérieures sont à
s sont également saines. Racines. - Les racines postérieures et les
racines
antérieures sont à peu près saines ; quelques f
si une diminution du nombre des cellules de la colonne de Clarke.
Racines
. Les racines antérieures ont perdu quelques fibre
tion du nombre des cellules de la colonne de Clarke. Racines. Les
racines
antérieures ont perdu quelques fibres; les raci
. Racines. Les racines antérieures ont perdu quelques fibres; les
racines
postérieures peuvent être considérées comme sdine
r par le processus spécial que nous invoquerons tout à l'heure. Les
racines
pos- térieures semblent plus altérées, mais sou
s, mais souvent la lésion est très peu prononcée. L'intégrité des
racines
postérieures et de la zone de Lissaüer, ou le p
iées aux étages inférieurs d'une part et avec le peu de lésions des
racines
postérieures d'autre part. Nous nous croyons au
de Lissaüer et cornu-radiculaire moyenne, lésions peu accusées des
racines
postérieures et des faisceaux de Goll d'une par
portant de constater cette opposition entre l'état presque sain des
racines
(caractère le plus nettement opposable au tabès
fet, l'absence de quelques fibres dans la constitution de certaines
racines
ne suffirait pas à produire une lésion aussi ét
re le ganglion spinal et la moelle, si elle eût laissé intactes les
racines
, aurait pro- voqué en premier lieu la dégénéres
ule de Schulze. En outre, quelques déficits, en certains points des
racines
antérieures viennent concorder avec la dégénére
er en faisant le départ des quelques absen- ces constatées dans les
racines
postérieures; les autres per- sistent en majeur
un peu plus considérable que ne l'indiquent les minimes lésions des
racines
sensitives et des deux premières zones radicula
s. Dans ce cas il est de règle que la lésion respecte à peu près la
racine
postérieure et la zone de Lissauer. Pour aller
lanche du système nerveux central, et des lésions systématiques des
racines
postérieures et des cordons postérieurs de la moe
les infiltrations en quantité peu nombreuse, pas partout. Dans les
racines
posté- rieures on trouve une dégénération secon
les de la peau dans les nerfs périphéri- ques ; des altérations des
racines
et de la moelle ne sont que d'ordre secondaire.
re, qui ne font que passer dans la moelle, venant du cerveau ou des
racines
postérieures. Disons tout de suite que la paral
ulbe. Nous y reviendrons, en parlant des fibres qui proviennent des
racines
postérieures. Les territoires du cordon postéri
tion de la maladie a été plus longue. Hâtons-nous d'ajouter que les
racines
postérieures, dont la section se voit dans les
ant aussi bien les termi- naisons périphériques que le tronc et les
racines
du nerf affecté. L.-R. REGNIER. REVUE DE PATH
localisation principale autour du canal central. Dégénérescence des
racines
postérieures et des 116 REVUE DE PATHOLOGIE N
RVEUSE. cordons postérieurs de la moelle : 1° La dégénérescence des
racines
postérieures sur toute la hauteur de la moelle,
mme dans la syringomyélie la lésiou débute au niveau de la huitième
racine
cervicale et de la première dorsale, et se diri
E NERVEUSE. 133 maladie d'Addison. On trouva une dégénérescence des
racines
antérieures de la moelle, des nerfs périphériqu
le radial, le médian, le cubital. Lésion des cinquième et huitième
racines
cervicale et de la première dor- sale (par cett
tronc du trijumeau, et peut être même le ganglion de Gasser et ses
racines
. A. FENAYROU. XXIII. LE cubage intérieur DU crâ
c duremérien est très dilaté et rempli du néoplasme qui éloulfe les
racines
de la queue de cheval. Les poumons, emphysémate
ble et si dense qu'on a l'effet d'un tissu caverneux. Au niveau des
racines
lombaires supérieures l'aspect général de la co
lle : la destruction en est complète; le même sort est subi par les
racines
extramédullaires. Dans la partie centrale, la s
proliféré réduit la lumière à une fente. A la hauteur des dernières
racines
dorsales (XI-YII) (fig. 8), toute la section ne
les nerveuses dégéné- rées. Un peu plus haut, au niveau de la 11°
racine
dorsale, l'aspect de la coupe est le même, la d
les réactifs; nul doute que ce ne soit un trans- sudat. Quelques
racines
nerveuses apparaissant à cette hauteur dans le
nt. L'aspect de la coupe change subitement à la hauteur de la V111°
racine
dorsale : l'an- neau de la dure-mère est fermé;
69 Les lésions sont un peu moins avancées à la hauteur de la VIIe
racine
dorsale. La néoformation méningée entoure la moel
ieurs, dégénération ascendante très marquée. A la hauteur de la VIe
racine
dorsale (fin. 9) la coupe offre un aspect tout
iguration du tissu médullaire reste la même qu'au niveau de la VII°
racine
, sauf que la moelle a subi un moindre degré de
a subi un moindre degré de compression par la tumeur méningée. Les
racines
extramédul- laires, relativement saines, sont e
core plus manifeste un peu plus haut. Ainsi à la hauteur de la IIIe
racine
dorsale l'endroit corres- pondant à la fente es
ux, seulement la moitié pos- térieure du pourtour de la moelle; les
racines
nerveuses englobées dans cette masse sont peu a
cordons de Goll (dégénération ascendante). A la hauteur de la VIe
racine
cervicale (fig. 10) la tumeur méningée atteint
e la tumeur méningée dimi- nuent sensiblement : au niveau de la IV"
racine
cervicale les cel- Fig, 10. Coupe de la moelle
cervicale les cel- Fig, 10. Coupe de la moelle au niveau de la VI*
racine
cervicale. c, c, canaux centraux; t, territoire
ivantes l'effet de canaux supplémentaires. A la hauteur de la 111
racine
cervicale au pourtour de la moelle on ne voit p
touré d'un tissu scléreux, riche en cellules. Au niveau de la lIe
racine
cervicale la tumeur méningée prédo- mine sur le
pu constater qu'une lésion médullaire s'étendant depuis la neuvième
racine
dorsale jus- qu'au niveau des racines du plexus
s'étendant depuis la neuvième racine dorsale jus- qu'au niveau des
racines
du plexus sacré (sensibilité conser- vée dans l
méninges, et que ce n'est qu'après avoir détruit presque toutes les
racines
nerveuses, qu'elle avait envahi la substance mé
e la moelle et a percé la paroi vertébrale. A partir de la neuvième
racine
dorsale, la néo-formation a épousé deux directi
substance centrale de la moelle cervicale (au niveau des premières
racines
) présente aussi une excavation, mais indé- pend
c'est-à-dire dans la partie supérieure en commençant de la huitième
racine
dorsale). Cela s'explique jusqu'à un certain po
xcavation toute développée 184 . CLINIQUE NERVEUSE. (la sixième
racine
dorsale), mais une étude des segments ter- mina
ter- minaux fait changer d'avis. Déjà à la hauteur de la huitième
racine
dorsale, c'est-à-dire à l'endroit où la néoformat
coalescents. La pigmen- tation anormale occupe le tronc, depuis la
racine
du cou jusqu'à la naissance des cuisses. C'est
quelque temps dans le marasme, on trouva au niveau de la troisième
racine
dor- sale une méningomyélite marginale typique,
e siège d'une névrite parenchyrnateuse typique. Les cellules et les
racines
n'étaient pas à beaucoup près aussi altérées que
-dire au niveau de cette zone dite par Westphal « zone d'entrée des
racines
», située en avant de la substance gélatineuse,
gidités.' La lésion semble avoir été superficielle, affec- tant les
racines
d'émergence au niveau des 5° et 6° vertèbres ce
XII. Poliomyélite antérieure CHRONIQUE avec LÉSION concomitante DES
racines
postérieures ET DES cordons DE BURDACH ; par P. S
gnostic de gliose du bulbe et de la moelle cervicale. Autopsie. Les
racines
extramédullaires présentent deux espèces de lés
milieu de lésions anciennes - diffuses des manchons de myéline. Les
racines
antérieures extra- médullaires, depuis la régio
er apparait des plus nets au niveau du ren- .vilement lombaire. Les
racines
postérieures à ces mêmes hauteurs sont aussi le
premier, le second type y étant un peu moins accentué que dans les
racines
antérieures. De la moelle thoracique inférieure
cines antérieures. De la moelle thoracique inférieure au bulbe, les
racines
antérieures trahissent surtout de vieilles alté-
le thoracique supérieure et cervicale inférieure. Depuis la sixième
racine
cervicale jusqu'en haut, la corne antérieure ga
ns de Bur- dach à la hauteur intermédiaire aux sixième et septièmes
racines
dorsales ; elle n'est visible que parle procédé
ertaine du cordon de Burdach (surtout à droite), depuis la deuxième
racine
dorsale jusqu'au noyau de Burdach. Lésions réce
noyaux des neu- vièmes aux douzième paires craniennes; atteinte des
racines
intra- et extra-médullaires de l'hypoglosse et
inte des racines intra- et extra-médullaires de l'hypoglosse et des
racines
extra (peut-être aussi intra) médullaires des n
me paires. Des deux côtés, faible lésion du genou du facial, de ses
racines
extra-médul- laires ; dégénérescence du faiscea
générescence du faisceau descendant de la cinquième paire et de ses
racines
intra-médullaires des deux côtés. Dégéné- resce
cines intra-médullaires des deux côtés. Dégéné- rescence minime des
racines
émergentes de l'oculomoteur commun. Forte hypér
dans les foyers gris moteurs de la moelle et du bulbe ; lésions des
racines
antérieures et postérieures et d'une par- tie d
i une affection systématique combinée des cornes anté- rieures, des
racines
postérieures et des cordons postérieurs. Il se
fruste dans lequel on constate l'association d'altérations dans les
racines
, les cordons et les noyaux sensitifs à une atro
es faisceaux fondâmes taux des cordons antérieur et latéral, et les
racines
antérieures. Dans tous les cas où l'on constate
orsale dela moelle) l'épaississement de la pie-mère, l'atrophie des
racines
postérieures, etc. Dans la région cervicale le
de la moelle et de ses enveloppes au niveau des onzième et douzième
racines
dorsales et première, deuxième et troisième sac
ntral par les faisceaux du corps trapézoïde, du côté latéral par la
racine
du nerf facial. Dans son parcours à travers la
dans la subtance réticulaire entre le bord dorsal de l'olive et la
racine
de l'hypoglosse. Dans la discussion de cette co
aspect nacré, avec dépression osseuse correspondante, partent de la
racine
du nez et s'étendent jusque vers la suture fron
l est évident que là où il n'y a plus de cellules motrices, ou de
racines
antérieures, ou de fibres nerveuses capables de m
du cobaye, du lapin, du chien, des nouveau-nés et des adultes, des
racines
, des nerfs périphériques, de la moelle, de l'éc
on s'éloigne de leur point de départ encéphalique : l'intégrité des
racines
et de la subs- tance grise, l'intégrité du fais
comme secondaire, soit à une affection des ganglions spinaux ou des
racines
postérieures, soit à de la polyo- myélite. La n
98.) E. B. XXXVIII. Recherches SUR LE trajet INTR.111ÉDULL.11RE DES
racines
postérieures ; par BRIAN et Bonne. Les conclu
Les conclusions des auteurs sont les suivantes : 1. La section des
racines
postérieures est suivie dans la moelle d'une do
nération. 1° Une dégénération portant : a) sur les fibres mêmes des
racines
et qui d'abord disséminée dans tout le cordon p
plus être suivies à partir de trois espaces environ au-dessus de la
racine
sectionnée. 2° Une dégénération aberrante et qu
fibres endogènes ou commissurales : toutes les fibres directes des
racines
postérieures sont parquées dans le cordon posté
té. 3. Il n'y a pas de voie directe allant des ganglions spinaux (
racines
postérieures) au cervelet. 4. Il n'existe pas d
) au cervelet. 4. Il n'existe pas de fibres passant directement des
racines
pos- térieures aux antérieures. La dégénération
au nerf intermédiaire de Wrisberg, qui devient ainsi réellement la
racine
sensitive du nerf de la sep- tième paire. G. D.
se, ou couche limitante de Flechsig, ne contient pas de filtres des
racines
postérieures, mais,-dans son segment postérieur e
La subs- tance blanche est bien plus probablement atteinte que les
racines
, car Schullze a démontré que les fragments osse
roite une zone d'anesthésie correspondrait aux première et deuxième
racines
lombaires ; en effet le traumatisme aurait part
celle de la jambe gauche rétrocédée au bout de quelques jours; les
racines
postérieures auraient le plus souffert, car la
aralysie motrice a presque complè- tement disparu; cette lésion des
racines
postérieures est du reste compatible avec la pa
rvicale en se raréfiant peu à peu jusqu'à la hauteur de la première
racine
dorsale Il semble que ses fibres se terminent d
es un peu en dedans du corps genouillé interne. Les excitations des
racines
postérieures arlivent donc bien à la couche opt
a moelle cervicale les faisceaux de Goll reçoivent leurs fibres des
racines
posté- rieures. Au niveau de la moelle cervical
considérée comme démontré, 14° La dégénérescence descendante des
racines
antérieures intraspinales sur une large étendue,
lieu de la section, serait plutôt expliquée par le passage dans ces
racines
de fibres des faisceaux de Loewenlhal; 15° La dég
des faisceaux de Loewenlhal; 15° La dégénrres- cence ascendante des
racines
antérieures intra-spluales est produite par le
d'une extrémité antérieure ou posté- rieure, suivant le nombre des
racines
postérieures sectionnées, elle doit son origine
e excitabilité dans la première que dans la seconde. La section des
racines
postérieures correspondant à l'ex- trémité para
nsoriels : 1° la région tactile, aboutissant des fibres émanées des
racines
postérieures, qui comprend le pourtour du sillo
; 4° la région auditive : c'est la première temporale et ses deux
racines
dans la profondeur de la scissure de Sylvius. Ces
awieff, 11 ? Poliomyélite antérieure chronique avec lésions des
racines
posté- rtenreset les cordons <ie l3urdacll,
. Pyramidal. Variations du trajet du faisceau , par Hoche, 504.
Racines
postérieures. Trajet intra- médullaire des -, p
épanouissement rayonné dans le ganglion, et cet épanouissement est la
racine
du nerf. Entre les racines des différens nerfs, i
s le ganglion, et cet épanouissement est la racine du nerf. Entre les
racines
des différens nerfs, iln'existe dans l'intérieur
rés, partent des ganglions pour aller à la moelle, et constituent les
racines
des nerfs spinaux, s'unissent chez les mollusques
ont-ils par eux-mêmes une valeur indépendante? Nullement. Coupez les
racines
antérieures et les racines postérieures de la moe
valeur indépendante? Nullement. Coupez les racines antérieures et les
racines
postérieures de la moelle, et vous ôtez toute act
bric de terre; on n'y voit pas le ganglion céphalique, ni les doubles
racines
des nerfs spiraux. La figure que je publie sur le
s successifs, de chacun desquels il sort, à droite et à gauche, trois
racines
nerveuses. (2) Voy. pl. 1, fig. *p*. ressembl
chacun deux paires de nerfs. Entre les ganglions, on ne trouve aucune
racine
nerveuse. Ainsi, deux différences bien tranchées
ric, et non pas l'une au-dessus de l'autre comme cela a lieu pour les
racines
des nerfs spinaux, chez les vertébrés. La subst
mens, il s'en détache une seule paire. J'ai vu très distinctement les
racines
de chaque double paire de nerfs, au moment où ell
oment où elles entrent dans la moelle , se partager en deux ordres de
racines
, les unes transverses , allant se rendre du nerf
les de la moelle. Il en est autrement, si toutefois j'ai bien vu, des
racines
des nerfs simples qui sortent par les espaces int
. Serait-ce là le point de départ, la première indication des doubles
racines
des nerfs spinaux des vertébrés? Pourrait-on en i
ertébrés? Pourrait-on en induire que chez les vertébrés il existe des
racines
longitudinales et des racines transverses, racine
re que chez les vertébrés il existe des racines longitudinales et des
racines
transverses, racines qui, au lieu de se réunir da
brés il existe des racines longitudinales et des racines transverses,
racines
qui, au lieu de se réunir dans un seul nerf en so
tudinale de la moelle et oui,, arrivés au niveau de l'une des doubles
racines
spinales, entraient dans ces racines et allaien
au niveau de l'une des doubles racines spinales, entraient dans ces
racines
et allaient s'échapper par la section de cette ra
aient dans ces racines et allaient s'échapper par la section de cette
racine
. Ces globules suivaient la direction que j'avais
ganglion céphalique , des fibres transverses faisant communiquer les
racines
nerveuses d'un côté avec celles de l'autre côté,
lions abdominaux, ne communique directement avec aucun nerf. 11° La
racine
des nerfs qui vont aux pinces et aux pattes, chez
enne, de la manière dont se comportent dans celte moelle, les doubles
racines
de ses nerfs, j'établirai de nouveaux points de c
es entraînent les pucerons dans leur fourmilière, les placent sur les
racines
qui s'y trouvent et les laissent s'y fixer. Les p
fixer. Les pucerons extraient de la fi) 0/ , cit. p. 45 et suiv.
racine
un suc qui les nourrit, et l'excédant de leur nou
rais, on peut suivre, sur leur partie interne et supérieure une des
racines
du nerf optique, et à leur partie interne et infé
du nerf optique, et à leur partie interne et inférieure, une seconde
racine
du même nerf. Ils sont en rapport de volume avec
e la partie inférieure et antérieure des ganglions optiques, £ar deux
racines
dont l'une s'étale sur la partie interne et supér
es nerfs sont très considérables chez tous les poissons; ils ont deux
racines
distinctes, l'une dans le ganglion qui esl situé
le cervelet, l'autre sur la moelle elle-même. On suil cette dernière
racine
de chaque côté de la partie inférieure de la moel
trouvée de huit à dix millimètres chez le congre; après ce trajet, la
racine
dont il s'agit se rapproche de celle du côté oppo
fibres du pont de varole. 6e Paire, nerfs abducteurs. En dedans des
racines
du nerf de la cinquième paire, on voit de chaque
visés en de nombreux filamens qu'enveloppe un névrilème, tels que les
racines
du nerf pneumo-gaslrique; d'autres divisés aussi
face supérieure. La même répétition eût été nécessaire en parlant des
racines
nerveuses de la moelle, qui sont antérieures et
f. Ainsi, je dis : côté fulcral et côté spinal de la moelle épinière;
racines
spinales et racines fulcrales, etc.; j'évite par
ôté fulcral et côté spinal de la moelle épinière; racines spinales et
racines
fulcrales, etc.; j'évite par là des périphrases,
on y découvre plusieurs sillons qui en parcourent la longueur, et des
racines
nerveuses situées parallèlement de chaque côté, l
t arrivé de ne pas les apercevoir chez de très petits poissons. Les
racines
des nerfs qui naissent de la moelle épinière, son
'une de la face fulcrale, l'autre de la face spinale : chacune de ces
racines
a quelquefois des sous-divisions, mais en petit n
le. Assez communément, on les suit jusqu'auprès du sillon médian, les
racines
fulcrales étalées sur le faisceau médullaire, les
médian, les racines fulcrales étalées sur le faisceau médullaire, les
racines
spinales pénétrant directement dans un sillon. On
est creusée par un canal qui s'étend dans toute sa longueur. 9. Les
racines
des nerfs spinaux sont doubles comme chez les hau
ganglion qui existe dans l'épaisseur de la moelle, à la naissance des
racines
spinales; la présence de ce ganglion ôteàla moell
nalogue à ces pyramides. Il y a, comme je l'ai dit, un croisement des
racines
du nerf trifacial, mais rien autre chose. Au sill
longueur, et j'en ai placé une moitié sur le compresseur; j'ai vu les
racines
fulcrales et les racines spinales entrer dans la
é une moitié sur le compresseur; j'ai vu les racines fulcrales et les
racines
spinales entrer dans la moelle épinière, et se co
oujon, etc. J'ai parlé d'une disposition particulière que présente la
racine
spinale des nerfs rachidiens de la carpe ; je vai
e les lames du compresseur, on voit après les avoir aplaties , que la
racine
des nerfs, ne se comportent pas toutes de la même
tent pas toutes de la même manière; à l'endroit de leur jonction, les
racines
fui-craies se continuent directement avec les fib
moelle, vers l'extrémité céphalique de laquelle ils se portent ; les
racines
spinales, au contraire, vont se rendre dans un no
convergeant vers ce noyau ; d'autres fibres en sortent pour former la
racine
spinale. La somme des fibres du nerf est plus con
ent. Sa structure n'est pas fibreuse, mais globuleuse. La plupart des
racines
spinales sont simples et il n'y a pour elles qu'u
elles ont deux ganglions. Cette différence dans le mode d'origine des
racines
spinales et des racines fulcrales de la moelle ép
. Cette différence dans le mode d'origine des racines spinales et des
racines
fulcrales de la moelle épinière, est très importa
épinière, est très importante à connaître; elle explique pourquoi les
racines
fulcrales ont leurs fibres étalées à la surface d
es ont leurs fibres étalées à la surface de la moelle, tandis que les
racines
spinales s'enfoncent dans un espèce de sillon où
e de l'homme offre celte disposition d'une manière très marquée;les
racines
postérieures des nerfs rachidiens pénètrent dans
un sillon au fond duquel s'avance la substance grise, taudis que les
racines
antérieures se répandent à la surface de cet orga
j'ai vu très distinctement qu'elles partent de la même source que les
racines
du nerf optique, c'est-à-dire des pro longemens f
lupart des gan-glions;on a vu avec quelle facilité j'ai pu suivre les
racines
du nerf optique ; je n'ai pas réussi de même en r
des fibres spinales et des fibres transverses; j'en ai vu sortir les
racines
des nerfs, mais je n'ai pu apercevoir de continua
ière du cervelet; pour les lobes optiques et les lobes olfactifs, des
racines
nerveuses , pour tous une substance granulée et d
n; je n'aipas vunon plus que les ganglions inférieurs fournissent des
racines
au nerf optique, comme Cuvier l'a avancé, mais j'
t bien démontré que les nerfs optiques étalent en grande partie leurs
racines
sur les tubercules quadrijumeaux. La substance
che, par une espèce de raphé plus marqué en arrière qu'en avant. Deux
racines
d'un même nerf, du nerf optique, se voient à sa s
térieure du petit lobule qui termine le prolongement olfactif : leurs
racines
ne s'étendent pas au-delà de ce lobule ; on ne pe
troisième paire, ou moteur commun des yeux, dit, à la vérité, que la
racine
de ce nerf est entre le cervelet et les tubercule
, tout près du cervelet, je n'ai pas été aussi heureux à suivre leurs
racines
que chez les poissons, et il ne m'a pas été possi
se trouve un sillon presque su perflcíel dans lequel pénètrent les
racines
spinales de la moelle épinière et qui se termine
e qui s'y trouve en plus grande quantité que chez les poissons. Les
racines
des nerfs sont doubles, c'est-à-dire supérieures
es de laquelle elles se continuent directement. La manière dont les
racines
des nerfs spinaux s'appliquent à la moelle ou plu
à la moelle épinière, n'étaient aucunement nécessaires. En effet, les
racines
nerveuses n'entrent pas dans la moelle sans s'êtr
des membres, mais aucun indice de renflemens ganglionaires. 13. Les
racines
des nerfs spinaux sont doubles, comme chez tous l
ansverses appartenant à la moelle, viennent aussi se diriger vers les
racines
des nerfs rachidiens , mais elles sont si ténues
pprochent de la même manière que chez les poissons , pour former deux
racines
à chacun des nerfs optiques. Une partie des fibre
nerfs optiques. Une partie des fibres de la lame optique croisant les
racines
du nerf, se dirigent vers la ligne médiane où ell
e , restent toujours les plus petites de toutes; viennent ensuite les
racines
des nerfs rachidiens , puis celles de la moelle é
bre plus grosse de la moelle, (a) Cette fibre se continuait avec la
racine
d'un nerf spinal. (3) Grosse fibre à laquelle é
..... 0,00083 — Fibre de la moelle épinière se continuant avec la
racine
d'un nerf rachidien........ 0,00133 — Cervelet.
0025 — Fibre de la moelle épinière......... 0,00333 — Fibre d'une
racine
de nerf rachidien..... 000366 Lézard Fibre du c
rd Fibre du nerf trifacial........... 0,0075 Grenouille Fibre d'une
racine
de nerf rachidien..... 0,00916 Lézard Fibre de
le s'opérait. En entrant dans la moelle rachidienne, les fibres des
racines
nerveuses perdent tout-à-coup de leur volume, ell
a moelle; je n'ai pu trouver de différence, sous ce rapport, éntreles
racines
spinales et les racines fulcrales. 6. De même q
uver de différence, sous ce rapport, éntreles racines spinales et les
racines
fulcrales. 6. De même que chez les poissons, il
serai d'abord le fait anatomique suivant : c'est que les fibres de la
racine
du nerf optique vont en partie s'épanouir à la su
ant de la moelle épinière; ils fournissent au nerf optique une double
racine
analogue à celle que j'ai décrite chez les poisso
tite lame très mince, transparente, en arrière de laquelle on voit la
racine
du nerf pathétique qui la traverse à l'état de co
ultant de cet écartement a été nommée sinus rhomboïdal. Au niveau des
racines
des nerfs qui se portent aux ailes, il y a égalem
de chaque côté et très près de celui-ci, vers lequel se dirigent les
racines
spinales des nerfs rachidiens. Dans toute la long
aisait bouillir la moelle contenue dans le canal et adhérente par les
racines
des nerfs rachidiens. La cuisson resserrait la mo
nerfs rachidiens. La cuisson resserrait la moelle qui, fixée par ces
racines
, était, dans cet endroit, tiraillée et par conséq
r de la moelle par le sillon spinal latéral, celui que traversent les
racines
spinales des nerfs rachidiens. Elle est formée de
s fibres blanches, longitudinales. Les fibres nerveuses formant les
racines
des nerfs rachidiens proviennent, les inférieures
1, I), et se terminer en bas, entre le sillon médian du cerveau et la
racine
du nerf olfactif (I, fig. 2).Dans ce trajet, et a
outre, fig. 2 ; pl. vu, mouton, fig. 2, etc.), arrivé au niveau de la
racine
du nerf optique, est placé entre deux amas de mat
se mince, appelée valvule de Vieussens, laquelle est traversée par la
racine
du nerf pathétique (r. p. pl. ix, bœuf et cheval,
rne, situé en dehors du premier el plus avant, esl en rapport avec la
racine
du nerf optique. Entre ces parties intérieures
ole de la baleine est de 39 millimètres, et sa largeur prise entre la
racine
de la cinquième paire d'un côté et celle du même
quadrijumeaux anté- rieurs............... 0,005 Id......... de la
racine
du cerveau........ 0,005 Id......... du fond du
e refusent toute nourriture animale. Ils vivent surtout de fruits, de
racines
, ils aiment beaucoup le miel, et dans les pays où
ant. La civette vit de chasse, et à défaut d'animaux, elle inange des
racines
et des fruits. On peut l'apprivoiser. La genette
é et de spéculation. Elle se nourrit de viande, de pain, de fruit, de
racines
, d'insectes ; elle aime le lait et le beurre. P
nt le bois ; en captivité, il vit de pain , de fromage, de fruits, de
racines
el de graines. Le lapin se nourrit exclusivemen
ntière privées de nourriture, sans s'entre-dévorer; elles mangent des
racines
, des insectes, des vers. Les mâles sont très ar
se croient menacés. Le sarigue ou opossum, le cayopollin vivent de
racines
, de fruits, de poissons, d'écrevisses, d'oiseaux,
cent toujours près des lieux qui peuvent leur fournir de l'eau et des
racines
. Si le lieu qu'ils ont choisi est bas, ils relève
une fosse pour les excrémens et des galeries pour aller chercher des
racines
. ?» (1) Les constructions des castors, plus con
oureuse résistance. La nourriture ordinaire du sanglier consiste en
racines
et en fruits ; il se montre parfois avide de chai
iculée. - Slri, stratum intermedium. Tpo, tumia pontis. 17d, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - l'il, voie pé
ance. S7 ! , formation réticulée. - Tpo, toenia pontis. - lol, petite
racine
mo- trice descendante du trijumeau. - l'Il, la
pédonculaire. - Tma, tubercule mamillaire accessoire. - t'c, petite
racine
descendante motrice du trijumeau. - 7/, bandele
vp, la voie postérieure du tronc encéphalique ou de la calotte. - 5,
racine
descendante du trijumeau. - 8, noyau externe de
ésion protubérantielle. - SR, for- mation réticulée. - T'cl, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - ]'P, voie péd
ieurs' que le faisceau pyramidal croisé. Au-dessous de la quatrième
racine
cervicale, on ne trouve aucun vestige des faisc
-1826. - Brissaud. Du faisceau dit Bandelette sous- optique dans la
racine
postérieure du thalamus. Nouvelle Iconographie de
'on les applique sur la pariétale ascendante, et se propage de làà la
racine
du membre ou à sa périphérie. L'excitation de l
tant plus accusés que l'on examine des régions plus éloignées de la
racine
du membre; la main, par exemple, est plus anes-
onctions sensitives se fait donc lentement et progressivement de la
racine
du membre vers son extrémité. Il résulte des re
scicules ou stries. La strie olfactive externe (improprement appelé
racine
olfactive externe) se dirige obliquement en arr
de l'hippocampe. La strie olfactive interne (improprement appelé
racine
olfactive interne) est beaucoup plus inconstant
sidérer à tort par Stilling'(1SS0) et Bernheimer ( J 891) comme une
racine
luysienne de la bandelette optique (Voy. p. 429).
1878 et 1882 avait décrit à la bandelette optique et au chiasma une
racine
luysienne; Bernheimer (1891) et Kolliker (1896) s
se basant sur la méthode myélogénétique, incline à considérer cette
racine
comme appartenant soit à la commissure de Gudde
olfactif périphérique ou de premier ordre, sont assimi- lables aux
racines
postérieures spinales et transmettent aux gloméru
a base de l'encéphale, puis se divisent chacune en deux branches ou
racines
qui abordent de chaque côté le corps genouillé
pédonculaire. - W, valvule de Vieussens. - IXd, faisceau solitaire,
racine
descendante du nerf glossopharyngicn. MORPHOLOG
tubercule valvulaire. - Uu, luette. - 111, V, 111, j'Il. VIII, les
racines
des troisième, cinquième, sixième, septième et
e par une ligne fictive qui passe au-dessus de la première paire de
racines
cervicales, à la naissance de la moelle épinièr
ants l'un de l'autre de 3 u3 ? centimètres. Elle se fait par deux
racines
, l'une petite ou motrice, située en avant et
et loge une artériole. Il aboutit en bas à la ligne d'émergence des
racines
antérieures et il est fréquemment interrompu pa
lbe (Fit). Il est limité en arrière par un sillon d'où émergent les
racines
des nerfs glosso- pharyngien et pneumogastrique
n col- latéral postérieur de la moelle ou sillon de pénétration des
racines
médul- MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 191 lai
rieures. C'est le long de ce sillon que pénètrent dans le bulbe les
racines
des nerfs glosso pharyngien (IXe paire) et pneumo
yngien (IXe paire) et pneumogastrique (Xe paire) et qu'émergent les
racines
de la partie bulbaire du spinal (XIe paire).
des filets radicu- laires du spinal et la ligne de pénétration des
racines
postérieures du pre- mier nerf cervical sont pr
t recouverte par une mince couche de fibres appartenant à la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. Chez l'enfant
e et ses dimensions, cet orifice est le plus souvent masqué par les
racines
des nerfs glossopharyngien et pneumogastrique qui
t constamment quelques villosités choriales faire saillie entre les
racines
des nerfs glossopharyngien et pneumogastrique.
le funiculus séparons correspond au faisceau solitaire du bulbe ou
racine
descendante des nerfs glossopharyngien et pneum
elés accessoires, le pédon- cule cérébelleux supérieur et la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. Le lobe sup
supérieur de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transverse antérieur. - l'nz,
racine
motrice du trijumeau. - l'Il, voie pédonculaire
cine motrice du trijumeau. - l'Il, voie pédonculaire. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - Vu, valvu
. - Sli, formation réticulée. - Tr, corps trapézoule. - J'd, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - l'Il, voie
descendante du trijumeau. - l'Il, voie pédonculaire. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du tri- jumeau. - V, nerf
l'épendyme ventricu- laire qui la recouvre, en avant avec la petite
racine
motrice descendante du trijumeau (Vd), les cell
ée. - Stri, stratum intermedium. - Tpo, taenia pontis. - l'cl, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pé
. - 7 ? corps trapé/oide. - l'P, voie pédonculaire. - l'scl, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - 1'4, quat
ne du pédoncule cérébelleux inférieur (Cj) en arrière, et la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) en avant
antéro-inlerne du corps resti- forme, passe en dehors de la grosse
racine
sensitive descendante du triju- meau, feb·e.s p
bello-olivaires passe, soit à travers, soit en arrière de la grosse
racine
sensitive descendante du tri- jumeau [fibres in
nerf vestibulaire ; ils ont été tour à tour décrits sous le nom de
racine
de Roller, racine ascendante du nerf vestibulai
; ils ont été tour à tour décrits sous le nom de racine de Roller,
racine
ascendante du nerf vestibulaire, racine descend
le nom de racine de Roller, racine ascendante du nerf vestibulaire,
racine
descendante du nerf vestibulaire, faisceaux cér
formation réticulée grise. - Stac, strie acoustique. - l'scl, grosse
racine
sensitive descen- dante du trijumeau. CONFIGU
ues. - SR, formation réticulée. - l'po, tænm pontis. - T'cl, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pé
ont. - SR, formation réticulée. - 7jo, dénia pontis. - 1'tl, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - VV, valvule
e inter-olivaire de la formation réticulée blanche. - l'acl, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - 1/, nerf
isé. - \'I3, noyau de Burdach. - NG, noyau de Goll. - T'scl, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - xPy, entre-
atérale fournit, dans le pédoncule, le noyau d'origine de la petite
racine
motrice descendante du nerf trijumeau et le loc
rmedium. Tpo, tænia pontis. - 1 , quatrième ventricule - Vd, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - l'l', voie pé
atum complexum, stra- tum profundum. Tpo, ttenia pontis. VU, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - l'il, voie
ézoide. - V, nerf trijumeau. - Vu, quatrième ventricule. 17cl, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. VP, voie pédo
é- rieur en dehors, des cellules du locus coeruleus et de la petite
racine
motrice descendante du trijumeau en arrière, et
'occuper toute la largeur de la calotte; elle se déforme; la grosse
racine
sensitive descendante du lrij L1 me au el le pédo
apézoïde. l', trijumeau. - J'I', voie pédonculaire. - 1'8(1, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. l'i, quatrièm
iciale, - Slrp, stratum profundum. - 7 ? corps trapézoïde. - grosse
racine
sensitive descen- dante du trijumeau.-T ? quatr
ance gélatineuse de Rolando (SgR)dans laquelle se termine la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau, le noyau de D
nte du trijumeau, le noyau de Deiters ou noyau de terminaison de la
racine
descendante du nerf vestibulaire, enfin le noya
et s'amassent à la partie antérieure de la calotte, entre la grosse
racine
descendante spinale du trijumeau et le faisceau
- CG, trou borgne inférieur. - TI', corps trapézoïde. J'sel, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - l'1', valvu
réticulée blanche. - SRg, formation réticulée grise. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - X, nerf pne
, on voit apparaître, entre la face dorsale de l'olive et la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau, des amas gr
réticulée blanche. - SRg, formation réticulée grise. - Vsd, grosse
racine
sensitives descendante du trijumeau. Son aspect
ion réticulée grise. - TR, tubercule cendré de Rolando. - rsd, grosse
racine
sensi- tive descendante du trijumeau. - Il, fib
nche (couche interolivaire). - TM, trou de Magendie. - 1 ·scl, grosse
racine
sensi- tive descendante du trijumeau. - X, fibr
réticulée grise. - TR, tubercule cendré de Rolando. - 17S(I, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - xpin, entre
. - 1'r, corps ti-apèioide. - l ? voie pédonculaire. - l'sd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - J'" quatriè
atteint en arrière et en dehors le locus caruleus (Le) et la petite
racine
motrice descendante du trijumeau (Vc), landis q
nerf masticateur. - NVs, noyau sensitif du trijumeau. - l'd, petite
racine
motrice descen- dante du trijumeau.' 1 ? fibres
ule. - fV,, son diverticule angulaire. - IXd, faisceau solitaire ou
racine
descendante du nerf glossopharyngien. ÉTUDE TOP
uis elle s'épaissit, contient la sec- tion du faisceau solitaire ou
racine
descendante du nerf glosso-pharyngien (IXd), et
u nerf moteur oculaire exte1'lle (NVI), et le faisceau solitaire ou
racine
sensitive descendante du nerf glosso-pharyngien
culaire. - fll diverticule angulaire du quatrième ventricule. - Ils,
racine
descendante du glosso-pharyngien ou faisceau so
trouve dans cette région, appar- tiennent au faisceau solitaire ou
racine
sensitive descendante [du 1W'f glosso-plta1'yn-
aire. - If, voie pédonculaire. - VT, valvule de Tarin. - rsel, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - 17,, quat
atrième ventricule. - I'l, nerf moteur ocu- laire externe. - Vlllv,
racine
descendante de la branche vestibulaire de l'acous
tance gélatineuse de Rolando (SgR), noyau de terminaison de la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. Cette racin
aison de la grosse racine sensitive descendante du trijumeau. Cette
racine
(Vsd) se trouve du reste sectionnée il la périp
i la bordent en arrière et en bas appartiennent en partie à la grosse
racine
sensi z live descendante du nerf trijumeau, mai
et inférieur, les noyaux moteur et sensitif du trijumeau et la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - Coupe sag
noyau mo- teur du trijumeau. - l'n, nerf masticateur. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. Bibliothè
nte parce qu'elle sectionne dans une partie de son trajet la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau, (Vsd) qui s
on voit s'en détacher de gros fascicules de fibres appartenant à la
racine
motrice ou nerf mas- ticateur. La coupe S 7 (
e. - Slri, stratum intermedium. - Tpo, taenia pontis. - l'l, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pédo
- Slri, stratum interme- dium. - Tpo, taenia pontis. - I'd, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. VI', voie péd
e faisceau est-il lisse, non excavé; il atteint en dehors la petite
racine
motrice descendante du trijumeau (Vd). La paroi
nce. - SR, formation réticulée. - Tpo, toenia pontis. - l'd, petite
racine
motrice descendante du trijumeau.- 171>, la vo
rance. - SR, formation réticulée. - 1'po, toenia'pontis. Vd, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - 1717, valvule
tées du locus aeruleus (Le) et la section semi-lunaire de la petite
racine
motrice descendante du trijumeau (Vd). Le ruban
lle de l'étage antérieur du pont. - Tpo, tænia pontis. - rd, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - T'P, voie péd
éticulée.-Tpo, t,enia pontis. -Tr, corps trapézoïde. - t'cl, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - l'Il, voie pé
nt. - SR, formation réticulée. - Tr, corps trapézoïde. - VU, petite
racine
motrice descendante du trijumeau. - I"s(l, grosse
VU, petite racine motrice descendante du trijumeau. - I"s(l, grosse
racine
sensitive descen- dante du trijumeau. - l'il, v
(NVIIIc) jusqu'à son entre- croisement dans le raphé; 2° la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) dans s
corps trapezoide. - Vs, branche sensitive du trijumeau. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - NVII, noy
iculée (SR). Il reçoit à sa partie postérieure et externe la petite
racine
motrice descendante du trijumeau (Vd), sectionnée
de fibres sectionnées obliquement et qui appartiennent à la grosse
racine
sensitive descen- dante du trijumeau (Vsd). Le
, les autres se coudent, se portent en bas et constituent la grosse
racine
descendante sensitive du trijumeau (Vsd) qui parc
téresse le trijumeau au niveau du point de bifurcation de la grosse
racine
descendante sensitive, et ainsi s'explique la sur
Elle intéresse sur les parties latérales du 4° ventricule la petite
racine
motrice descendante (Vd) du trijumeau fi32 ANAT
ure est occupée par la surface de section en croissant de la grosse
racine
descendante sensitive du triju- meau (Vsd); sa
ervelet. Elles ont été considérées par Meynert et Edinger comme une
racine
directe, cérébelleuse, du trijumeau se rendant di
on réticulée. - Tr, corps trapézoide. - V, trijumeau. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. NVm, noyau
s- ceaux compacts, le noyau réticulé, l'olive supérieure, la grosse
racine
sensitive des- cendante du trijumeau. - Les péd
- Tr, corps trapé- zoïde. - l'Il, voie pédonculaire. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - NVII, noy
c), passe au-dessous des noyaux du trijumeau et sectionne la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et le ge
e supérieure de la colonne d'origine du nerf facial (vu). La grosse
racine
sensitive descendante du Irijumcau (Vsd) occupe
ntre le trajet ultérieur de ces fibres qui, passant en dedans de la
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et de la
erne du 4° ventricule, entre le deuxième coude du facial (VII,), la
racine
descendante sensitive du trijumeau (Vsd) et le pé
s que sur la coupe précédente. Il n'en est pas de même de la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd), qui p
tionnées obliquement; sa base est volumineuse et s'adosse à la grosse
racine
descen- dante sensitive du trauozeazc(Vsd). A c
ance. - Tr, corps trapézoïde. - voie pédonculaire. - )</, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - NVII, noy
de la calotte (Fcc), de l'olive supé- rieure (Os), et de la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd), en 6t
tis. - Tr, corps trapézoïde. - 1'a, quatrième ventricule. Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - NVI, VI,
me, située entre le faisceau central de la calotte (Fee), la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et le no
n) et de la TOME II. 41 6H ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd), on trou
ans la constitution du corps juxta-resliforme (Cj), et constitue la
racine
descendante bulbaire du nerf vestibulaire, dite
ue la racine descendante bulbaire du nerf vestibulaire, dite encore
racine
de Roller (racine que l'on croyait ascendante a
ndante bulbaire du nerf vestibulaire, dite encore racine de Roller (
racine
que l'on croyait ascendante avant les recherche
vestibulaire (VIII) le séparent en avant et en dedans de la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd). COUPE
moyen et supérieur. - 1'l', la voie pédonculaire. - Vsd, la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - l', nerf tr
r de Vicq d'Azyr. - sta, sillon transverse antérieur. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - l'i, quatri
et supérieur. - ssV, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - T'a, quatri
e noyau d'origine du facial. - Le corps juxta-restiforme, la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau et le noyau
intiel. T)', corps trapézoïde. - VT, valvule de Tarin. - Vsd,grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - III, nerf
passent entre le pédoncule cérébelleux inférieur (Pci) et la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd), pour se
eux fasci- cules clairsemés; on y rencontre, en dedans de la grosse
racine
descendante sen- sitive du trijumeau (Vsd), le
les cylindres-axes des cellules de la colonne de Clarke. La grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) occupe l
otubérantielle; elles sont ren- forcées en effet à ce niveau par la
racine
descendante du nerf vestibulaire ou racine de R
effet à ce niveau par la racine descendante du nerf vestibulaire ou
racine
de Roller. La gangue de substance grise qui entou
eure de ce volumineux faisceau. Elles passent en avant de la grosse
racine
sensitive descendante du IJ'1j'umeau(Vsd), trav
upe n'atteignent pas encore le raphé. Leurs rapports avec la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) leur a
iel (bp), passer en avant du noyau du facial (NVII) et de la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et cro
- culée blanche (SRa) au corps juxta-restiforme (Cj) et à la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et att
nt en avant, les autres à travers, d'autres en arrière de la grosse
racine
descendante sensitive du trijumeau (Vsd); elles p
que sur la coupe précédente. Une partie des fibres descendantes de la
racine
de Roller (racine descendante du nerf vestibula
cédente. Une partie des fibres descendantes de la racine de Roller (
racine
descendante du nerf vestibulaire) s'est déjà épui
ryngien ou de la IX° paire, dont une partie se coude en avant de la
racine
des- cendante de Roller, affecte un trajet desc
et se réunit en un faisceau compact, le faisceau solitaire (Fs), ou
racine
descendante du glosso-pharyngien, faisceau très
réticulée blanche. - SRg, formation réticulée grise. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - l'i, quatri
diculaires du cerf glosso-pharyngien (IX), qui traversent la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et passe
éticulée blanche. - SRg, formation réti- culée grise. - Vsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - l'a, quatri
gélatineuse de Rolando, (SgR), logé dans la concavité de la grosse
racine
sensitive descendante du triju- meau (Vsd), app
, qui passent en dedans du corps restiforme et traversent la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd). La pl
elles se distinguent par leur section oblique - en avant de la grosse
racine
des- cendante sensitive du trijumeau, puis atte
bres les plus internes du corps 1'esti(onne, s'adossent à la grosse
racine
descendante sensitive du t1'ijumeau (Vsd) et ap
couche interolivaire. - SRg, formation réticulée grise. l'sd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - xpin, ent
es elles font place aux fibres des cordons postérieurs. La grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) se délim
de l'aile blanche externe, sous-jacente au noyau de Deiters et à la
racine
descendante de Relier (racine descendante de la b
s-jacente au noyau de Deiters et à la racine descendante de Relier (
racine
descendante de la branche vestibu- laire du ner
fs grand hypoglosse (XII) et spinal (XI). En arrière de la grosse
racine
descendante sensitive du trijumeau (Vsd) et de la
tacher aux fibres les plus longues et les plus infé- ri eures de la
racine
descendante de Roller, c'est-à-dire au corps juxt
t à sa partie postéro-externe dans la région adjacente il la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau et qui appar
et curviligne qui contourne le cordon postérieur (Cp) et la grosse
racine
sensitive descendante du Irijumcau (Vsd); elles
e la formation réticulée blanche. TM, troudeMagcndie. l'srf, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - xpin, ent
cupe la périphérie du bulbe, entoure les cordons postérieurs (Cp), la
racine
descendante du trijumeau (Vsd) et le faisceau l
olivaire ne passe plus soit à travers, soit en arrière de la grosse
racine
sensitive descendante du triju- meau (Vsd), aus
cendante du triju- meau (Vsd), aussi la surface de section de cette
racine
ainsi que celle de la subslance gélatineuse de
ormation réticulée grise. - i'Ar, ventricule d'AI'cntius. Vsd. grosse
racine
,en- sitivc descendante du trijumeau. - xpin, c
réticulée blanche. - SR7. formation réticulée grise. - l'sel, grosse
racine
sensi- tive descendante du trijumeau. .Y7. nerf
iculée blanche. - SRg, forma- tion réticulée grise. - 1'scl, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - .\7, nerf
aux (Nlt). A la périphérie latérale du bulbe, en avant de la grosse
racine
sensitive descen- dante du trijumeau (Vsd) et d
Rolando (SgR); cette dernière est entourée en dehors par la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et affec
ulée blanche. - Sli ! l, formation réticulée grise. - l-scl, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. ÉTUDE TOPOG
QUE DU RHOMBENCÉPHALE. G83 Sur la coupe H 17 (Fig. 44 ï), la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) est en
upes montrent qu'une mince couche de fibres appartenant à la grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau (Vsd) sépare
réticulée grise. - Tl/, tubercule cendré de Rolando. - Isd, grosse
racine
sensitive descendante du Irijumcau. XI, nerf sp
ion réticulée grise. TR. tubercule cendré de Rulando. - rsd, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - 1'l, nerf
cordon de Burdach. NG. noyau du cordon de Goll. - I's<7. grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. ? décussati
ostérieure (Cop), et qui représentent les fibres radiculaires de la
racine
postérieure de la première paire cervicale (CI)
faisceau pyramidal croisé. NG, noyau du cordon de Goll. l'sl, grosse
racine
des- cendante sensitive du Irij1llllCa1l, - xl'
ale supérieure de la moelle au niveau de l'émergence de la première
racine
cervicale. Coupe passant par la ligne H23 de [la
rdon de Burdach. CG. cordon de Goll. Cl, cordon antéro-latéral. CI.
racine
postérieure de la première paire cervicale. Coa,
t supérieur.- sus 17, sillon supérieur de Vicq d'Azyr. - Is(l, grosse
racine
sensitive descendante du trijumeau. - V,, quatr
e Reil. — Faisceaux rayonnants cortico-optiques : Fibres antérieures (
racine
antérieure de la couche optique; ; — Fibres moyen
te (hémianesthésie sensitive). Bandelettes optiques. —Origine de la
racine
externe (couche optique, corps ge-nouillés extern
groupes de fibres : 1° Les unes antérieures (hh,Fig. 32), sont dites
racine
anté-rieure de la couche optique (Vordere Stiel)
corne postérieure du ventricule latéral. — g , corne d'Ammon. —h,h,
racine
antérieure du thalamus. — i,i, radiations latéral
rieurs, sont divisées en deux tractus qu'on peut considérer comme des
racines
dont l'une est interne et l'autre externe. L''e
qui, d'après Gratiolet, serait le plus apparent et le mieux connu des
racines
du nerf optique, contourne le corps genouillé ext
r un examen très attentif (4). Vous voyez par ce qui précède que la
racine
externe des nerfs optiques prend son origine dans
ps genonillé, soit par un trajet direct, les fais-ceaux nerveux de la
racine
interne vont en définitive aboutir aux tubercules
n (Arch. furpsyhiatrie,1875, V Bd., fasc. 2, p. 344) a soutenu que la
racine
interne des nerfs optiques chez l'homme tout au m
ses, restent parfaitement indemnes. On constate en même temps que les
racines
nerveuses, tant antérieures que posté-rieures, qu
cornes antérieures avec les cellules dites motrices et l'origine des
racines
antérieures; — puis les cornes postérieures où se
racines antérieures; — puis les cornes postérieures où se rendent les
racines
pos-térieures. Vous voyez enfin que les cornes so
int vers lequel ces fibres convergent. Mais, pénètrent-elles dans les
racines
antérieures? Non, caries racines antérieures et l
gent. Mais, pénètrent-elles dans les racines antérieures? Non, caries
racines
antérieures et les cellules nerveuses sont déjà t
antérieures ; là, sont disposés des groupes cel-lulaires où prennent
racines
les nerfs moteurs oculaires com-muns. En avant de
sont les nerfs de la queue de cheval, et là, plus explicitement, les
racines
postérieures, qui ont dû être considérées comme l
es particulières que nous aurons à relever) la substance grise et les
racines
des nerfs périphériques demeurent également intac
sentent: ou bien les fibres pyramidales passent directe-ment dans les
racines
antérieures ; ou elles se terminent dans la corne
peine esquissé, celui des cel- lules des cornes antérieures et des
racines
antérieures est Fig, 61. — Schéma indiquant l'e
ent successivement les fibres nerveuses du cordon latéral. - F, F, F,
Racines
antérieures représentées schémU'iucmcnt par des c
ontinuité entre les fibres des faisceaux pyramidaux et les fibres des
racines
anté-rieures. Ce fait trouve en quelque sorte s
faisceaux pyramidaux est des plus prononcées, il est de règle que les
racines
antérieures émanant de la corne grise du côté cor
ail de dégénération et l'empêche de se propager aux tubes nerveux des
racines
antérieures qui ont très certainement — la physio
ans cette région (groupes postérieur et antéro-externe). De plus, les
racines
antérieures, dans les régions correspondantes du
s-sement du processus morbide et protège, si l'on peut ainsi dire, la
racine
antérieure correspondante. Mais, dans certains ca
le est atteinte à son tour, elle, s'atrophie et consécutivement les
racines
correspondantes subissent la désintégration dégén
ntrifuges est l'a-trophie et la dégénération des muscles auxquels les
racines
malades étaient destinées, suivant un mécanisme q
cause cérébrale, à moins de complications, la substance grise et les
racines
antérieures restent indemnes. 2° Déyénérations
s postérieures. — c, Canal central. — d, Raci-• nos antérieures. — e,
Racines
postérieures. — a, Zone radiculaire antérieure
eurs. — H', H'. Cordons postérieurs. — H, H, Cordons de Goll. — V, W,
Racines
antérieures — H, W, Racine postérieure. — G, Gang
de Goll n'ont aucune con-nexion avec le prolongement intra-spinal des
racines
posté-rieures. b) Il n'en est pas de même des f
x, au contraire, sont traversés par une partie des fibres émanant des
racines
postérieures. Des fibres de ces racines» les un
partie des fibres émanant des racines postérieures. Des fibres de ces
racines
» les unes, au moment où elles abordent la moell
exité externe. c) Mais ce groupe de fibres radiculaires émanant des
racines
postérieures ne constitue pas à lui seul, tant s'
phal, V,Bd, 1874, p. 114. eh dehors de la moelle épiriière, sur les
racines
de la queue de cheval, au-dessus du ganglion ; el
rvations auxquelles je fais allusion, relève non pas de la lésion des
racines
antérieures, mais de celles des racines postérieu
lève non pas de la lésion des racines antérieures, mais de celles des
racines
postérieures. La dégénération consécutive est car
ous avons précédemment formulés. Conformément à la loi de Waller, les
racines
postérieures dégénèrent par en haut, au-dessus de
qui dégé-nèrent par en bas sont comparables aux nerfs centrifuges des
racines
anté-rieures, Les faisceaux qui dégénèrent par en
eures, Les faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux
racines
postérieures. Expériences de Westphal, Vulpian,
. Ainsi, coupez un nerf spinal mixte au-dessous du confluent des deux
racines
: constamment c'est le bout périphérique qui dégé
es découvrir, il fallait pratiquer des sections méthodiques, tant des
racines
antérieures que des racines postérieures, sur div
tiquer des sections méthodiques, tant des racines antérieures que des
racines
postérieures, sur divers points de leur parcours.
postérieures, sur divers points de leur parcours. 1° La section des
racines
antérieures, en quelque endroit qu'elle soit fait
ue, le bout central restant indemne : donc le centre trophique de ces
racines
et des tubes nerveux qui en émanent est dans la m
re, dans les cellules dites motrices. 2° En est-il de même pour les
racines
postérieures? Non assurément; et c'est ici la par
découverte de Waller. La section étant pra-tiquée sur le trajet de la
racine
postérieure la partie qui dégé-nère est non pas l
e postérieure la partie qui dégé-nère est non pas la périphérie de la
racine
, c'est-à-dire 14 portion attenante au ganglion, m
si vrai que, si l'on, extirpe ce ganglion, la dégénération frappe la
racine
tout en-tière et aussi toutes les fibres centripè
ssous du point lésé, sont comparables aux nerfs centrifuges issus des
racines
antérieures. De ce nombre sont : Io les faisceaux
raire, les faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux
racines
postérieures dont le centre trophique est périphé
ostérieurs. — R, circon-; volutions rolandiques. — C, cervelet. — Ra,
racines
antérieures. -- Rp, raci-nes postérieures. — F, f
erveux. Quoiqu'il en soit, l'axe gris donne naissance, eri avant, aux
racines
antérieures qui sont en connexion directe avec le
par l'intermédiaire du prolongement de Deiters. D'un autre côté, les
racines
pos-térieures sont en relation avec les cellules
oute un obstacle qui entrave la propagation des excitations jusqu'aux
racines
anté-rieures. Mais il était surtout intéressant
ulapin, àlaplus grande partie du nerf crural. Si donc vous coupez les
racines
posté-rieures ou les racines antérieures delà six
du nerf crural. Si donc vous coupez les racines posté-rieures ou les
racines
antérieures delà sixième paire, le réflexe cesse
xister des deux côtés. Il manque d'un seul côté, si l'on sectionne la
racine
antérieure ou la racine postérieure de ce côté. A
l manque d'un seul côté, si l'on sectionne la racine antérieure ou la
racine
postérieure de ce côté. Ainsi, voilà la nature ré
Cette excitation, portée jus-qu'à la substance grise par la voie des
racines
sensitives de la 6e (1) Centrabl. f. d. Nervenk
, 1878. paire, se réfléchit sur le muscle triceps par la voie de la
racine
motrice correspondante qui n'est autre qu'une des
. A, M, arc diastaltique cutané conservé intact daps l'ataxie. — K,
racine
antérieure ou nerf moteur. — T, segment postérieu
peau. — R, segment postérieur centripète de l'arc diastalti-que. — E,
racine
antérieure ou nerf moteur. — P,A,M, arc diastalti
ssive. Cruveil-hier avait reconnu dans cette affection une lésion des
racines
antérieures spinales. Les travaux modernes ont dé
ais sans lui attribuer, plus d'importance qu'elle n'en mérite : « Les
racines
intra-spinales ne sont pas saines, et il est prob
e Reil. — Faisceaux rayonnants cortico-opliques : Fibres antérieures (
racine
antérieure de la couche optique) ; — Fibres moyen
te (hémianesthésie sensitive). Bandelettes optiques. —Origine de la
racine
externe (couche optique, corps ge-nouillés extern
qui dégé-nèrent par en bas sont comparables aux nerfs centrifuges des
racines
anté-rieures. — Les faisceaux qui dégénèrent par
res. — Les faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux
racines
postérieures. Expériences de Westphal, Vulpian,
98. Axe gris central, 378. B Bandelettes optiques, 127; — leurs
racines
externes et internes, 141, 143. Bruit musculair
ntérieures, 184 ; —, Atrophie des —, 336. (V. Entre-croisement. r
Racines
nerveuses, 272. Radiations optiques, 143. Ram
193, 353. Tubercules quadrijumeaux, 140; — leurs rapports avec les
racines
des nerfs optiques, 142 ; — lésions des —, 145.
on se proposait, en faisant de la musique, était aussi de rompre la
racine
du mal lui-même par la violence des accès (3) »
ur le nu au milieu du pli de l'aine mesuré de l'épine iliaque il la
racine
de la verge. Une ligne tracée par ces points co
OOGE (1688). DU FAISCEAU DIT « BANDELETTE SOUS-OPTIQUE » DANS LA.
RACINE
. POSTÉRIEURE DU THALAMUS. Nous avons décrit so
au-dessous de la couche optique, où elles contribuent à for- mer la
racine
postérieure du thalamus. Arnold semble avoir voul
sous-optique, celle qui représente la terminaison thalamique de la
racine
postérieure de la couche optique. Si donc on ch
udé (NCC) est en partie visible par trans- parence au-dessous de la
racine
inférieure du thalamus (Thl). L'observateur reg
antéro-externe de la queue du noyau caudé et du noyau amygdalien. La
racine
inférieure du thalamus, venue de la région du c
l'hémisphère gauche, où l'on voit par transparence le trajet de la
racine
inférieure du thalamus (ThI). CC. corps calleux
cule antérieur du thalamus, en dehors de la troisième portion de la
racine
inférieure (ThI) ; CA, commissure anté- rieure
perforé antérieur (EPA) est occupé par la portion horizontale de la
racine
inférieure du thalamus (Thl). VS, ventricule sp
da- lien est au contraire enveloppée par les fibres d'origine de la
racine
inférieure du tha- lamus (Thl). UN CAS DE PAC
s l'observation précédente, la moelle n'a pas été touchée, mais les
racines
rachidiennes ont été profondément altérées, car l
ladies de saints, on le liera avec fils de soye, le plus près de sa
racine
qu'on pourra, puis étant tombée, » on appliquer
athie. Il n'est pas impossible qu'un gros caillot ainsi formé il la
racine
du membre, fasse obstacle à la circulation en ret
est plus grande pour les articula- lions les plus rapprochées de la
racine
du membre (Voy. PI. XXIX et XXX). Elle n'a guèr
n par- lent pas ; les figures qui y représentent la moelle et les
racines
médullaires ne peuvent être d'aucune utilité po
ucune utilité pour la préciser, car elles montrent la moelle et les
racines
, soit séparées de toutes leurs connexions, soit
analogue, le mémoire où Pfilzner étudie le rapport de l'origine des
racines
avec les trous intervertébraux. Les très rares
des quatre bandes gauches l'étendue verticale que peut occuper chaque
racine
. 250 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
2). NERFS RACIIIDIENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES 251 mettait à nu les
racines
postérieures de leur sortie de la moelle à leur p
ers la dure-mère; le niveau exact de l'origine médullaire de chaque
racine
était marqué en enfonçant une aiguille dans la su
ond dessin pris avec les mêmes précautions, de la dure-mère, et des
racines
dans leur trajet extra-dural; enfin sur la même f
ral des méninges reproduit la moelle et la portion intra-durale des
racines
: nous avons ainsi trois figures superposées et
ns donc pris simplement par décalque les apophyses épineuses et les
racines
, et c'est ce décalque qui a été réduit par la p
ipital. La limite inférieure de la moelle, indiquée par la dernière
racine
coccygienne, se trouve d'ordinaire chez l'homme
rous intervertébraux et, par conséquent, de l'issue rachidienne des
racines
, avec le sommet des apophyses épineuses est à p
e trou i'iGL'XE tis. - benema au rapport entre les apophyses et les
racines
chez un adulte homme de 1 m. 76 ; à droite sont
6 ; à droite sont numérotées les apophyses épineuses ; à gauche les
racines
(au quart). 254 NOUVELLE ICONOGRAPIIIE DE LA SA
e dedans en dehors et d'au tant plus oblique que l'on considère une
racine
plus inférieure : des recherches particulières
s pour déterminer à quelle apophyse épi- neuse correspond, ponr une
racine
donnée, le point de départ médullaire de ce tra
départ médullaire de ce trajet. Notons tout d'abord que les quatre
racines
(anté- rieures et postérieures, droites et gauc
ro d'une apophyse déterminée par le palper pour avoir le numéro des
racines
qui naissent à son niveau; à la région dorsale
. 63 (au quart). NERFS RACIIIDIENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES 255 Les
racines
sortiraient-elles toujours, ce qui, nous Pavons d
te. Chez l'enfant il faut la modifier légèrement, au moins pour les
racines
dorsales, et les premières lombaires. Elles n
s, la différence commen- çant à devenir notable vers la 2e ou la 3e
racine
dorsale, s'accentuant jusqu'à la 9e cervicale p
à lrc à la 4e apophyse il faut ajouter 3 pour avoir le numéro de la
racine
correspondante; à la région dorsale moyenne de
e dor- sale, prenant dès lors à partir de 6 ou 7 ans (époque où les
racines
gagnent leur niveau adulte) un développement pr
tre méthode des dessins superposés. Chez l'adulte, tandis que les
racines
cervicales, les racines lombaires et les racine
superposés. Chez l'adulte, tandis que les racines cervicales, les
racines
lombaires et les racines sacrées se dirigent pl
te, tandis que les racines cervicales, les racines lombaires et les
racines
sacrées se dirigent plus ou moins obliquement mai
t direct, de leur origine médullaire à leur trou intervertébral les
racines
dorsales présentent une direction différente da
au-dessous de 7 ans, cette coudure ne se retrouve pas et toutes les
racines
, de leur origine médullaire à leur issue rachidie
du bras droit ; elle diminue il mesure que l'on se rapproche de la
racine
des mem- bres. L'attitude de la main est en « d
perposés les uns aux au très par- tir du point de pénétration de la
racine
postérieure correspondent il la la région exci-
jusqu'à l'écorce cérébrale, et, dans le sens centrifuge, jusqu'aux
racines
antérieures de la région excitée. Le faisceau pyr
phique musculaire, alors même que l'arc réllexe direct qui va de la
racine
postérieure il la racine antérieure correspondant
même que l'arc réllexe direct qui va de la racine postérieure il la
racine
antérieure correspondante est interrompue. Un m
z complète des conducteurs et noyaux labyrinthiques avec ceux d'une
racine
spinale postérieure. I Signification morphogé
gien et vagues, n'ont rien de commun avec les ganglions spinaux des
racines
postérieures, issus du ru- ban intermédiaire ou
er ce point important : Le nerf labyrinthique est l'homologue d'une
racine
spinale postérieure; comme elle il véhicule les
res se conduire vis- à-vis de la moelle absolument comme ceux d'une
racine
spinale posté- rieure se comportent de leur côt
un certain rôle dans la formation de l'appareil sym- pathique à la
racine
primaire de la formation intermédiaire. Or on a
conduit, répétons-le, vis-à-vis des noyaux médullai- res comme une
racine
spinale postérieure. Si donc le ganglion auricula
naux. Dans le tronc ses homologues deviennent ganglions spinaux des
racines
rachidiennes postérieures; dans le métamère aur
tres secondaires. Le nerf labyrinthique est donc compose en fait de
racines
primaires aboutissant à certains amas nucléaire
nt à certains amas nucléaires du bulbe et de la protubérance, et de
racines
secondaires unissant ces noyaux à d'autres amas g
à d'autres amas gris de l'axe cérébro-spinal. Nous étudierons les
racines
primaires et les éléments bipolaires qui les ém
l'a fait à juste titre consi- dérer par quelques auteurs comme une
racine
postérieure médullaire, dont le ganglion spinal
au glosso-pharyngien. L'homologation du nerf labyrinthique avec une
racine
médullaire pos- térieure, homologation qui semb
des conducteurs nombreux que nous aurons à étudier. Les libres des
racines
postérieures sont de deux ordres (Bechlerew). a
plus spécialement le cervelet. C'est le nerf vestibulaire. l). Les
racines
postérieures ont d'autre part des fibres minces e
r ses propres prolonge- ments afférents et efférents directs; et la
racine
postérieure étant surtout composée de ces prolo
de fibres assez fortes qu'on a comparées (Ertitzky) aux fibres des
racines
anté- rieures de la moelle, encombré des élémen
placée entre les cellules du ganglion de Corti (ganglion spinal des
racines
postérieures), et les cellules du noyau antérie
n ganglions de Scarpa et de Corti, et qui sont les homolo- gues des
racines
postérieures de la moelle, forment à leur entrée
LA SALPÊTRIÈRE cloison conjonctive. Le nerf vestibulaire devient la
racine
antérieure, in- terne. Le nerf cochléaire sera
devient la racine antérieure, in- terne. Le nerf cochléaire sera la
racine
postéro-externe. Nous étudierons leurs faisceau
des colonnes de Clarke, que nous retrouvons plus haut le long de la
racine
supérieure du trijumeau, jusque sous les tuber-
principal de Schwalbe, noyau central de Stieda, noyau médian de la
racine
postérieure de Krause, partie médiane du noyau su
. C'est le noyau externe de Meynert, de Clarke, le noyau médian des
racines
antérieures de Krause, le noyau latéral de Stie
u;uenin et Meynert, l'accessoire de Sclnvalbe, le noyau latéral des
racines
antérieures de Krause, l'inférieur de Henle, le
l'inférieur de Henle, le noyau acoustique, est placé entre les deux
racines
du nerf labyrinthique, dans le triangle formé p
x, mais comment admettre deux formations ganglionnaires sur la même
racine
postérieure, car nous savons que le ganglion de C
nerf vestibulaire qui correspondent aux grosses fibres internes des
racines
postérieures. Le noyau antérieur et le tubercul
les du nerf cochléaire, homo- logues des fibres minces externes des
racines
postérieures. V Nerf vestibulaire. Un grand
nt en dedans l'olive supérieure' (OS), le noyau du facial (VII), la
racine
sensible du trijumeau (V), en de- hors le corps
tion de toutes les fibres homologues du nerf labyrinthique et d'une
racine
médullaire postérieure. Nous avons dû. pour la cl
système des fibres noires d'origine cochléaire correspond à celui des
racines
grêles externes de la moelle, et nous avons pou
Celui des fibres grises comprend le nerf vestibulaire et les grosses
racines
internes de la moelle. VIII a. Noyau antérieu
'au ni- veau de l'entrecroisement des cordons postérieurs. C'est la
racine
de Rol- ler ou racine descendante vestibulaire,
ecroisement des cordons postérieurs. C'est la racine de Rol- ler ou
racine
descendante vestibulaire, qui par l'intermédiaire
ers unit les cordons postérieurs au cervelet. Ce n'est donc pas une
racine
réelle du nerf labyrinthique, mais un faisceau cé
iters à l'olive infé- rieure. VI Nerf cochléaire. Il forme la
racine
postéro-externe du nerf labyrinthique. La plus gr
es existent réellement, elles auront pour homologues les fibres des
racines
postérieures qui traversent sans s'y arrêter (Bec
, reviennent en avanl, passent entre le noyau du facial (VII) et la
racine
du trijumeau (V) et atteignent l'olive supé- ri
segments ra- diculo-médullaires du côté gauche, par élongation des
racines
correspondantes. Exagération du déplacement ver
ollicitèrent il leur reconnaître pour cause l'élongation des 4° et 5e
racines
cervicales gauches ci l'exclusion de toute lési
te seule, et la luxation qui chez le second élongeait les lie et 5e
racines
serait restée ballante si je. ne l'avais fixée pa
innerve les mus- cles de la cuisse, vient des deuxième et quatrième
racines
lom- Arciiives, 2e série, t. V. 4 je REVUE D'
que le sciatique, qui innerve ceux de la jambe, vient des dernières
racines
lombaires et des premières sacrées. Si donc la
nctionnelles. P. KERA V AL. VI. Contribution A la physiologie DE la
racine
spinale DU TRIJU- 1E,\U; par A. Wallenberg. (1T
ériences sur 15 lapins, ayant pour but de déterminer la place de la
racine
spinale du trijumeau et de sou noyau, dont voici
et de sou noyau, dont voici provisoirement les résultats quant à la
racine
sensilive du nerf : 1° Dans le territoire du pr
ce n'occupent que la moitié antérieure de la coupe transverse de la
racine
. Go Les parties postérieures du noyau et la cor
ition du goût, alors que le diagnostic avait localisé la lésion aux
racines
du trijumeau. Mais comme la plu- part de ces ca
l des prolongements centraux qui gagnent le cerveau ou la moelle (
racines
postérieures). Le nerf transmet les impressions s
nt il émane, et de là elles gagnent le cerveau ou la moelle par les
racines
sensitives. Telle est loi générale. Or, l'étude
: 1° les unes viennent des faiceaux pyramidaux ; 2° les autres, des
racines
postérieures ; 3° les dernières prennent naissanc
grise et passent à divers endroits dans la substance blanche. Les
racines
postérieures après leur entrée dans la substance
la moelle : dimi- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 69 nution de volume des
racines
postérieures; les collatérales réflexo- motrice
ieure. Atrophie de la substance gélalineus de Rolando. Atrophie des
racines
antérieures (sans prolifération interstitielle co
cines antérieures (sans prolifération interstitielle comme pour les
racines
postérieures). Corne antérieure diminuée du tiers
présente une perversion d'instincts naturelle. Un pareil état a ses
racines
dans l'hérédité qui transmet les caractères morau
ait. Sur les coupes transversales, prises des troncs nerveux et des
racines
, on remarque une formation des masses granuleus
embrane de myéline. Ce phénomène s'observe le plus souvent dans les
racines
et comme l'ont démontré les inves- tigations pe
n de la myéline, les demi-lunes et les anneaux sus-décrits daus les
racines
et dans les nerfs périphériques et en partie la
subi une dégénération hyaline et athéromateuse. Au niveau de la 9°
racine
dorsale la tumeur se dédouble et se dirige en hau
et Radzikowski; Troubles trophiques consé- cutifs à la section des
racines
postérieures médullaires, par J.-P. Morat ; De
lentement, finit par ne plus adhérer aux parties molles que .par sa
racine
, et tombe sous l'in- fluence d'un traumatisme i
ngle du pouce est en train de se détacher, il n'adhère plus qu'à la
racine
; sous l'ongle il y a un peu de pus. Celui du p
rteil du pied droit, sont prés de se détacher et n'adhèrent qu'à la
racine
. Nous avons fait sortir un peu de pus en pressa
ne atrophie dégénérative des muscles, les cornes antérieures et les
racines
des nerfs étant saines. Herting mentionne trois
très petite,. longue, de 6 centimètres avec une circonférence à sa
racine
de 7 centimètres. Le gland est presque complète
me normal et la sclérose est limitée aux cordons postérieurs et aux
racines
pos- térieures. Dans la maladie de Friedreich l
se et les cordons pyramidaux croisés ; dans quelques cas mêmes, les
racines
grises postérieures sont touchées. La sclérose
s altérations vasculaires ne disparaissaient que dans le hulbe. Les
racines
rachidiennes paraissaient intactes. En somme, l
s. L'auteur pense que dans ce cas il s'est produit une lésion des
racines
rachidiennes cervicales au cours de l'exercice fo
mais presque toujours ce prolongement s'infléchit indivis dans une
racine
nerveuse et quitte la moelle : ces fibres sorte
dépourvus de collatérales, tels qne ceux des cellules d'origine des
racines
antérieures, des fibres optiques, des fibres ol
sait, que, par leurs extrémités, les dendrites se fixent comme des
racines
sur les vaisseaux sanguins et attirent par le c
dullaire devant lesquelles il passe, durant son long pat cours des
racines
postérieures aux noyaux des cordons postérieurs.
suivrece prolongement en tant qu'il prend part à la formation de la
racine
externe du nerf olfac- tif, a montré que les fi
1893, p. 453 sq.; Cf. Lug,,tro,, Siti, les cellules d'origine de la
racine
descendante du trijumeau. Ibid., XXIII, 1895, 7
les représentaient pour lui les cellules d'origine des fibres de la
racine
supérieure du trijumeau, racine motrice, comme en
cellules d'origine des fibres de la racine supérieure du trijumeau,
racine
motrice, comme en témoi- ARCHIVES, 2e série, t.
aires du nerf pathétique, ainsi que les éléments constitutifs de la
racine
supé- rieure et de la racine inférieure du trij
si que les éléments constitutifs de la racine supé- rieure et de la
racine
inférieure du trijumeau. Les cellules ner- veus
ement nerveux unique. Quant aux cellules globuleuses voisines de la
racine
supérieure du trijumeau, racine motrice (IC&
cellules globuleuses voisines de la racine supérieure du trijumeau,
racine
motrice (IC&Ililer), elles sont unipolaires
ts cylindraxiles de ces deux cellules nerveuses pénètrent dans la
racine
périphérique du nerf de la cinquième paire. « Ces
oplasmiques. D (Van Gehuchten. De l'ori/gine du pathétique et de la
racine
supérieure du trijumeau, 1895.) Les dendrites p
axiles des cellules mitrales du lobe olfactif, au moins ceux de la
racine
olfactive externe, s'arborisent dans les couches
au membre inférieur; troubles sensitifs ne remontant pas jusqu'à la
racine
des membres inférieurs. Siège de la lésion : au
: Paralysie motrice et troubles sensitifs remontant au-dessus de la
racine
des membres inférieurs et empiétant plus ou moins
général, la dégénération ascendante consécutive à la sec- tion des
racines
postérieures, envisagée au-dessus de la racine
à la sec- tion des racines postérieures, envisagée au-dessus de la
racine
sectionnée. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
THOLOGIQUES. 401 A aucun niveau il n'y avait de lésion certaine des
racines
posté- rieures : un peu d'atrophie des cellules
sont très diverses à propos du trajet dans la moelle des fibres des
racines
postérieures, et les expériences faites dans ce
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1° Par la section des
racines
postérieures on obtient une dégéné- rescence as
amidaux, les cellules des nerfs moteurs de la corne antérieure, les
racines
antérieures la plus grande. partie des cordons
10 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. L.1'VII. DE la
racine
spinale du trijumeau; par le Dr Serge SOUKU ? .
L'auteur a obtenu chez deux cobayes la dégénérescence isolée de la
racine
inférieure ou bulbo-spinale du trijumeau. Ses exp
riences lui permettent de poser les conclusions suivantes : 1° la
racine
spinale dégénère en direction descendante; la dég
dans le noyau rouge, mais le traversent seulement. En résumé, la
racine
spinale du trijumeau étant une voie sen- sitive
euses de la substance grise qui avoisinent le bord interne de cette
racine
entrent en contact avec les ramifications termina
central. Par conséquent, si l'on se représente toute la voie de la
racine
sensitive du trijumeau, ou voit qu'à la suite d
e, se forme une voie arci- forme composée de certaines fibres de la
racine
spinale. (Revue neurologique, août 1897.) E. B.
t d'intensité. Jamais on n'observa de phénomènes de compression des
racines
postérieures. Autopsie : Angio-sarcome psamma
teux de la dure-mère, ayant pris naissance au niveau de la deuxième
racine
cervicale et très fortement comprimé tout le cô
de Schultze est probablement composée des branches descendantes des
racines
postérieures ; 4° la prolongation des faisceaux
et parle grand nombre et la disposition de ses métas- tases sur les
racines
rachidiennes et les nerfs de la queue de cheval
sein même de la tumeur; deuxième dor- sale légèrement atteinte. Les
racines
postérieures gauches correspon- tlantes sont lé
lantes sont légèrement soulevées sans être déviées notablement. Les
racines
antérieures ou postérieures du coté droit ne sont
e ; sous forme de semis polypeux sessiles ou pédicules sur diverses
racines
et sur la queue de cheval. Pas de processus cav
fait passer en avant horizontalement entre les sixième et septième
racines
motrices cervicales ; en arrière, elle s'élève
e l'étendue des deux membres supérieurs, permet de supposer que les
racines
de tout le plexus cervical sont plus ou moins i
e la moelle dorsale, car une excitation cutanée ou profonde de la
racine
de la cuisse provoque encore des contractions réf
eau le canal vertébral et on vérifie l'absence de toute lésion. Les
racines
sont numérotées par des fils placés sur les qua
le, la moelle présente un aspect normal. Au-dessous de la quatrième
racine
cervicale postérieure gauche commence à apparaî
t tout entière située sur la face latérale gauche, soulève bien les
racines
posté- 440 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ,rieures co
ci s'étend jusqu'au sillon collatéral antérieur droit et touche les
racines
antérieures droites à leur émergence. La deuxiè
us d'adhérence à la dure-mère. Au niveau des neuvième et huitième
racines
dorsales, sur le côté gauche, on trouve une petit
ces et des altérations cellulaires : de l'émergence de la cinquième
racine
cervicale jusqu'à la première dorsale, elle fut
ésion au-dessous de la deuxième dorsale; aussi, au-dessous de celle
racine
, toute la moelle fut mise dans le Millier, sauf
fut prélevé deux tranches minces de moelle au niveau de la deuxième
racine
cervicale; deux tranches semblables au niveau d
ine cervicale; deux tranches semblables au niveau de la quatrième
racine
dorsale ; ces fragments furent imprégnés pendant
e n'est qu'au niveau 4 42 - ANATOMIE PATHOLOGIQUE. de la septième
racine
cervicale qu'un pont large et'épais d'ailleurs
de la moitié gauche de la substance grise au niveau de la septième
racine
cervicale; de là, elle a filé en haut et en bas a
jusqu'au centre de la moelle et Firj. 7. Moelle (le la quatrième
racine
cervicale it la deuxième racine dorsale- (Les t
Firj. 7. Moelle (le la quatrième racine cervicale it la deuxième
racine
dorsale- (Les traits qui relient à la moelle le
ozne, dirions-nous, comme nature histologique. Quand ou observe une
racine
envahie par la néoformation, on voit les cellul
érence dans le périnèvrr, le dis- socier en lamelles et entourer la
racine
tout entière avant de péné- trer à son intérieu
ière avant de péné- trer à son intérieur; cependant, bon nombre des
racines
que nous avons rencontrées sont en grande parti
MIE PATHOLOGIQUE. néoplasie de la pie-mère et de presque toutes les
racines
et à toutes les hauteurs. Dans les cordons anté
bres dégénérées. Au-dessous de la tumeur (au niveau de la quatrième
racine
dorsale) sauf une prédominance marquée dans le
oute la pojrtion inférieure de la moelle, que par conséquent ni les
racines
antérieures, ni les postérieures n'étaient séri
cervicales et première dorsale. Quelques muscles innervés par .ces
racines
, surtout à droite parais- saient incomplètement
s, mais nous pouvions admettre soit une paralysie incomplète de ces
racines
, soit, ce que l'on admet généralement, l'innerv
ment, l'innervation complémen- taire par quelques fibres venues des
racines
situées plus haut. Le territoire moteur des cin
lésion notable delà portion lombaire, car en pinçant la peau de la
racine
du membre on provoquait encore des con- tractio
llaires. Toutes les sensations sont apportées à la moelle par les
racines
postérieures. On peut les diviser en deux groupes
ur peut produire le syndrome de Brown-Séquard. - c). La section des
racines
postérieures arrivant à la partie supérieure de
on cilio-spinale par deux sec- tions transversales, et excitant une
racine
postérieure a vu la pupille se dilater. Tels
culaire, et s'expliquaient bien d'ailleurs par la compres- sion des
racines
postérieures, constatée à l'autopsie. - Au poin
uement et his- tologiquement ces petits grains appendus à plusieurs
racines
et notamment aux nerfs de la queue de cheval ;
u moins, que nous ne pou- vons interpréter ces grains semés sur les
racines
, autrement que comme des noyaux métastaliques r
'avons manifestement là qu'une généralisation de la tumeur, sur les
racines
, avec cette prédilection qu'ont- les tumeurs ne
au moteur commun ; mais on peut suivre sur le cerveau du foetus les
racines
du pathétique jusqu'à ce noyau. Le dévelop- pem
embryologie permet d'affirmer qu'il n'envoie des fibres que dans la
racine
correspon- dante; l'entrecroisement partiel n'e
onfirmation. En raison de l'entrecroisement partiel non douteux des
racines
du moteur commun, certains auteurs ont pensé qu
stance cérébrale, on constate : a) La dégénérescence des fibres des
racines
motrices et sensitives jusqu'aux noyaux corresp
u'aux noyaux correspondants; b) La dégénérescence descen- dante des
racines
spinales (Obersteiner), dont le noyau originel
e la substance gélatineuse de Rolando; les fibres dégénérées de ces
racines
entrent dans la substance gélatineuse, la suivent
substance ferrugineuse de l'un ou l'autre côté. 2° La lésion de la
racine
spinale à la hauteur des olives entraîne : a) Au-
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 491 rieure de cette
racine
jusqu'à la deuxième paire cervieale, les fibres
ui, disséminées plutôt que groupées dans la partie antérieure de la
racine
spinale, ne montent pas au delà de l'ori- sine
nier possède des cellules vésiculiformes qui donnent naissance à la
racine
cérébrale de la cinquième paire (Obersteiner),
adiculaires; la plupart d'entre elles gagnent en bas les fibres des
racines
motrices avec lesquelles elles quittent le cerv
aux du trijumeau ne permet pas de suivre le trajet des fibres de la
racine
sensorielle directe des auteurs ; on ne peut pe
ndroit au trijumeau. - 6° A la suite d'une lésion à la hauteur, des
racines
de la cinquième paire, du faisceau longitudinal
rescence secondaire, consécutive à des lésions frontales, dans la
racine
antérieure delà couche optique, indique que la ré
coupe transverse par l'olive supérieure, le noyau du facial, les
racines
émergentes du facial et la formation protubéranti
chez les pendus, par Kompe, 498. Couche optique. Anatomie de la
racine
antérieure (le la -, par Flechsig, 493. Créti
cervelet coupé par la partie moyenne. g. p. Glande pinéale, dont la
racine
s'étend sur la couche optique. t. q. Tubercules
que dans la famille des renards, et enfin la moelle allongée avec les
racines
postérieures des deux premières paires cervicales
m. Nerf moteur commun des yeux. p. Petite commissure formée par la
racine
du nerf pathétique; elle est en relief au-dessus
, S?, %. 4). . ' •' J c. o. Couche optique gauche contournée par la
racine
du nerf optique gauche au-dessous duquel (en I) s
re ou moteur oculaire externe. H. Hypoglosse. GP., PG., Série des
racines
du glosso-pharyngien et du pneumogastrique. S.
érieur. c. Sillon latéral postérieur. d. Points d'où émergent les
racines
antérieures des nerfs spinaux. e. Ventricule
avant par des faisceaux blancs émanés des cordons postérieurs, et des
racines
postérieures des nerfs spinaux. Fig. 6. Coupe d
eur. á. Sillon médian postérieur. c. Sillon latéral postérieur et
racines
postérieures des nerfs spinaux dont on voit cer
portent dans les cellules multipolaires des cornes postérieures. d.
Racines
antérieures des nerfs spinaux dont certaines fi
mpliqué par des anastomoses multipliées et communiauant : Io avec les
racines
antérieures; 2° avec les racines postérieures; 3°
pliées et communiauant : Io avec les racines antérieures; 2° avec les
racines
postérieures; 3° avec les fibres longitudinales d
quel se voit F éventail des fibres de la couronne de Red coupé à sa
racine
. h. Corps strié externe formant le noyau centra
ulaire. I. Renflement du corps strié interne que circonscrivent ies
racines
du lobe olfactif, et que nous désignons sous le n
gauche. p. Corps genouillé externe situé sur le prolongement de la
racine
externe du nerf optique. p . Racine externe de
gés les plexus choroïdes. dd. Pédoncules cérébelleux coupés vers ia
racine
du cervelet. e. Quatrième ventricule ou ventric
épanouissement duquel se développent les hémisphères, coupé vers sa
racine
. Fig. 5. Face supérieure du corps calleux énu-c
se porte vers la base du lobe olfactif. d. Cinquième paire. d\ Sa
racine
descendante, f/". Sa racine ascendante. e. Fais
e olfactif. d. Cinquième paire. d\ Sa racine descendante, f/". Sa
racine
ascendante. e. Faisceaux antérieurs de la protu
édoncu-laires. d. Couche optique. e. Faisceau formé par certaines
racines
de la troi- sième paire qui remontent vers l'éc
. Fig. 5. La branche descendante du corps calleux a été coupée à sa
racine
dans cette préparation, et rabattue pour mettre à
a branche postéro-supérieure. c'". Sa branche descendante coupée à sa
racine
et renversée. cIv. Saillie que forme à l'intéri
i. ! m. Nerf optique. m' Racine interne du nerf optique. m". Sa
racine
externe qui présente renflement désigné sous le n
ue de leurs rayonnements postérieurs (4). m. Nerf optique. m'. Sa
racine
interne. m". Sa racine externe avec le renfleme
postérieurs (4). m. Nerf optique. m'. Sa racine interne. m". Sa
racine
externe avec le renflement connu sous le nom de c
om de corps genouillé externe. m'"m"\ Expansions et rayons de cette
racine
dans l'extrémité postérieure de l'hémisphère et p
ns antérieurs de cette expansion s'engageant dans îes interstices des
racines
du corps calleux. Fi g. 5. Cette figure représe
hénoïdal et le lobe olfactif, désignée par les auteurs sous le nom de
racine
externe. k. Commissure entre les plis internes
les plis internes inférieurs de l'hémisphère et le lobe olfactif, ou
racine
interne de ce lobe. /. Bulbe ou coiffe du lobe
rmis latéral gauche détaché et rabattu. á. Gouttière qui logeait la
racine
du vermis latéral, y. Plis et feuilles du lobe la
nouillé externe. d. Tapis de Reil détaché et soulevé. e. Pian des
racines
cérébrales du nerf optique. f. Corps genouillé
n entier dans les tubercules quadrijumeaux, en sorte qu'il n'a pas de
racine
cérébrale directe. CERVEAU DU FOETUS ET DE L'EN
bout périphérique. En 1852, \\ aller, dans ses expériences sur les
racines
des nerfs rachidiens, établit les lois suivant le
se faisait cette dégénérescence. En pratiquant la section des deux
racines
d'un nerf avant leur réunion, Waller constata q
s deux racines d'un nerf avant leur réunion, Waller constata que la
racine
antérieure dégéné- rait dans son segment périph
ique et restait normale dans son segment central ; au contraire, la
racine
sensitive était altérée dans son segment centra
ons posté- rieurs de la moelle dégénèrent à la suite de lésions des
racines
correspon- dantes [Scléroses systématiques de V
céphaliques, tantôt des lésions médullaires, tantôt des lésions des
racines
ou des nerfs périphériques. (Vulpian, Schif', W
à l'aide d'une pince à dissection, et on coupe suc- cessivement les
racines
de bas en haut, et en relevant de plus en plus
, dans les cas d'atrophie mus- claire limitée ou de compression des
racines
. Pour arriver à ce résultat il suffit, la moell
oelle étant encore contenue dans le canal rachidien, de prendre une
racine
comme point de repère. Nous avons l'habitude de c
1 rc dorsale, facile à reconnaître à son volume et à ce fait que la
racine
qui lui succède (2° dorsale) est très grêle. Ap
Pour éviter, du reste, toute cause d'erreur dans le numérotage des
racines
, on peut aller à la recherche du premier nerf d
, jusqu'au canal sacré et enlever toute la poche durc-mérienne. Les
racines
restantainsi adhérentes le a dure-mère, il est
tubérance suivant un plan horizontal passant au-dessus de la grosse
racine
du trijumeau, et dirigé parallèlement a la face
n une série de segments, dont la surface de coupe passera entre les
racines
rachidiennes. Il est préférable de ne pratiquer c
stologiques de la sclérose, recherche des corps granuleux, état des
racines
. - Il sera donc nécessaire de pratiquer quelques
commandable si l'on se propose d'inclure à la fois la moelle et ses
racines
. Au lieu du collodion d'hôpital, on peut employ
grand nombre de nerfs. La même méthode est applicable à l'étude des
racines
spinales et de la plupart des nerfs crâniens. Les
lschicht). - Ml"" membrane limitante méningée. - P, plancher. -rem,
racine
motrice. Rs, racine sensitive. V, voûte. DÉVELO
mbrane limitante méningée. - P, plancher. -rem, racine motrice. Rs,
racine
sensitive. V, voûte. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME N
ancher. - - Pi. pièce intermédiaire. Bill, racino motrice. - Ils,
racine
sensitive. se, sillon cylindrique. sm, sillon m
ne naissance il la corne postérieure et reçoit les terminaisons des
racines
des nerfs sensitifs. Ces racines forment, en ab
ure et reçoit les terminaisons des racines des nerfs sensitifs. Ces
racines
forment, en abordant la moelle épinière, un pet
dérable; elles se tordent un peu sur leur axe et en- voient leurs
racines
motrices, non plus directement en dehors, mais
ndymaire.- Lge, lamo grise externe.- Lfli, laine grise interne. Rm,
racine
mo- trice. - R.s, racine sensitive. - sc, sillo
externe.- Lfli, laine grise interne. Rm, racine mo- trice. - R.s,
racine
sensitive. - sc, sillon cylindrique. - S111, si
CP, corne postérieure. - Fo, faisceau ova- laire postérieur. - Rm,
racine
motrice. -Rs, racine sousitive. - se, sillon cy
e. - Fo, faisceau ova- laire postérieur. - Rm, racine motrice. -Rs,
racine
sousitive. - se, sillon cylindrique. - sm, sill
om- baire. Mais si la moelle sem- ble remonter, par contre, les
racines
médullaires et les lep- to-méninges s'allongent
es mêmes pro- portions que la colonne verté- brale. Au début, les
racines
médullaires se détachent à an- gle droit de l
dans la région dorsale. Dans les régions lombaire et sacrée, les
racines
s'allongent au sur et à mesure que la moelle
oblique qu'elles appartiennent à des régions plus inférieures. Les
racines
lombo-sacrées, qui effectuent un long trajet à l'
- Fo, faisceau ovalaire postérieur. - Le, lame épendymairc. - Ilm,
racine
motrice. - lis, racine sensitive. - se, sillon
e postérieur. - Le, lame épendymairc. - Ilm, racine motrice. - lis,
racine
sensitive. - se, sillon cylindrique. - sm, sill
is se dirigent en arrière ci atteignent la ligne de pénétration des
racines
postérieures (iig. soj. . Les deux artères spin
ostérieur ou faisceau do Burdach. - Le. lame élxn<lynaire. - Rm,
racine
mo- trice. - Ils, racine sensitive. se, sillon
Burdach. - Le. lame élxn<lynaire. - Rm, racine mo- trice. - Ils,
racine
sensitive. se, sillon cylindrique. - sm, sillon
stiformes et aux pyramides posté- rieures du bulbe. tration des
racines
postérieures, et se portent vers l'extrémité post
médian antérieur. Les artères qui pénètrent dans la moelle par les
racines
antérieures, apparaissent encore plus tardiveme
Flechsig, Formatio reticularis alba). , La lame alaire reçoit les
racines
de la partie sensitive des nerfs glosso- pharyn
itive des nerfs glosso- pharyngien, pneumo-gastrique et spinal. Ces
racines
, adhérentes à la paroi inférieure du recessus l
rébraux, formations qui appartiennent toutes à la lame alaire. La
racine
sensitive du trijumeau apparaît plus tardivement,
- RCL, restes du cordon latéral. - SR, substance ré- ticulée. - Vs,
racine
spinale du trijumeau. 90 ANATOMIE DES CENTRES N
e, au trigone olfactif; il for- me en dehors la soi-di- sante «
racine
». olfactive externe, en dedans, la « ra- cin
que His propose de désigner sous le nom de zone de Broca. Les :
racines
olfactives interne et externe, repré- sentent
e lobe olfactif antérieur. Le gyrus fornicatus reçoit en effet la «
racine
» olfactive interne; la circonvolution de l'hip
» olfactive interne; la circonvolution de l'hippocampe reçoit la «
racine
» olfactive externe. Le lobe limbique de Broc
jettent sur l'extrémité antérieure du gyrus fornicatus et sur la «
racine
» olfactive interne et s'y perdent, au niveau d
NERVEUX. 129 le lobule de l'insula, et sont limités en bas par la «
racine
» olfactive externe, nettement accusée chez les
ux contingents de fibres. Elles s'entrecroisent avec les fibres des
racines
antérieures, les unes passant en avant, les autre
telschicht). bllm, membrane limitante méniDgée. P, plancher. - lim,
racine
motrice. Ils, racine sensitive. \", voûte. HIST
mbrane limitante méniDgée. P, plancher. - lim, racine motrice. Ils,
racine
sensitive. \", voûte. HISTOGENESE DU SYSTEME NE
ESE DU SYSTEME NERVEUX. 145 l'apparition est. très précoce dans les
racines
antérieures de la moelle. On'peut distinguer da
M'e et dans la moi- tié inférieure de la moelle cervicale, les
racines
motrices qui naissent des zones de la corne a
tif (Gas- kell).' Réunis. en un trajet commun au ni- veau de la
racine
an- térieure, les deux or- dres de fibres se
s de la corne anté- rieure donnent nais- sance aux fibres des
racines
antérieures. Fia. 85. - Coupe transversale de l
ùicht). - Mlm, membrane limitante ménÏl ! gée. - P, plancher. - Rm,
racine
motrice. - Rs, racine sensitive. - se, sillon cyl
e limitante ménÏl ! gée. - P, plancher. - Rm, racine motrice. - Rs,
racine
sensitive. - se, sillon cylindrique. - sm, sill
trijumeau et nerfs moteurs de 1·eil. Ganglioblastes. ordres de
racines
sont distincts. Les racines de la zone de la corn
s de 1·eil. Ganglioblastes. ordres de racines sont distincts. Les
racines
de la zone de la corne latérale forment le nerf
ostérieur; elle est située, par conséquent, en arrière de celle des
racines
qui naissent de la zone de la corne antérieure.
lle des racines qui naissent de la zone de la corne antérieure. Les
racines
antérieures de la moelle cervicale supé- rieure
cervicale supé- rieure ne sont donc pas exactement l'homologue des
racines
des autres parties de la moelle; il leur manque
l qui continue la corne antérieure, se rattache la longue série des
racines
de l'hypoglosse; au groupe latéro-dorsal, conti
al, continuation de la corne latérale, se rattachent le spinal, les
racines
motrices du pneumo-gastrique et les rares fibre
fonctions sont tout autres que celles des noyaux pré- cédents. La
racine
motrice du trijumeau apparaît sur la prolongation
acial, du glosso-pharyngien, du pneumo-gasl.rique et du spinal. Les
racines
des vie et ni' paires se portent par le chemin le
S CENTRES NERVEUX. Fibres centrales des ganglions cra- niens.
Racines
caudales des v^, tXe et xa pai- res. coupes
nt la situation est tout à fait superficielle au début; ce sont les
racines
dites « ascendantes » du trijumeau, du glosso-p
ési- gnerons, pour éviter toute espèce de confusion, sous le nom de
racines
inférieures ou caudales des ve, ixe et x° paire
à FIG. 87. - Ganglion cervical du grand-sympathique adhérent à une
racine
antérieure et à un ganglion spinal. Coupe horiz
ontale d'un embryon de poulet de 15 jours. (D'après R. y Cajal.) A,
racine
postérieure. - B, racine antérieure. - C, rameau
ulet de 15 jours. (D'après R. y Cajal.) A, racine postérieure. - B,
racine
antérieure. - C, rameau postérieur de la paire ra
cellules bi et unipolaires. - d, libre de fin calibre venant de la
racine
antérieure et s'arborisant en e. - f, fibre de fi
vement tardif, refoulent peu à peu dans la pro- fondeur du bulbe la
racine
caudale du glosso-pharyngien connue sous le nom
o-pharyngien connue sous le nom de faisceau solitaire, ainsi que la
racine
correspondante du trijumeau. Les fibres central
s centrales du nerf acoustique ne donnent naissance qu'à une petite
racine
caudale; la plupart des fibres s'éparpillent en e
ial, loit être considéré, d'a- près Sapolini, comme une 'longue
racine
inférieure 2c caudale du facial. Les racines
, comme une 'longue racine inférieure 2c caudale du facial. Les
racines
du nerf acoustique, celle des nerfs lu goût (
lions cérébro-rac7ai- diens, ils pénètrent dans le névraxe par leur
racines
ou fibres centrales et s'aoGorisent librement d
ganglioblastes rachidiens se réunissent , après un court trajet aux
racines
antérieures motrices, et forment le tronc des n
ntralos de l'acoustiquo. Lo nerf de Wris- berg est une longue
racine
caudale du ta- cial. Noyaux do termi- naiso
ongue racine caudale du ta- cial. Noyaux do termi- naison des
racines
postérieures. Fibres périphéri- ques et tro
sillon, qui n'est guère plus profond que le sillon d'émergence des
racines
postérieures (fig. 90). Les cellules épendymair
dons blancs de la moelle , que ces cylindres-axes appartiennent aux
racines
postérieures (c'est-à-dire aux cellules des gan
. Méthode rapide do Golgi. (D'après v. Gehuchten.) Les libres des
racines
postérieures se bifurquent sous un angle obtus
e réseau de Gerlacla, donnait naissance dans la moelle épinière aux
racines
postérieures, et recevait les dendrites rami- i
es dernières envoyaient leur cylindre-axe dans une fibremotrice des
racines
antérieures. La libiese21silive naissait duréseat
Gerlach, en tout comparable à un réseau capillaire, dans lequel la
racine
postérieure représentait l'artère et la racine an
aire, dans lequel la racine postérieure représentait l'artère et la
racine
antérieure la veine. La constatation anatomique
verte faite par Ranvier, du point pré- cis où le cylindre-axe de la
racine
antérieure abandonnait son manchon de myéline.
putés de vieille . date, on observe un certain degré d'atrophie des
racines
postérieures et du cordon postérieur correspond
ésultats sont différents, mais néanmoins nettement déter- minés. La
racine
dite intra-médullaire ou intra-bulbairc d'un nerf
degré de cette évolution est pro- portionnel au voisinage de la
racine
». . Au début, la myéline est à peine différenc
20 à 50 z. d'épaisseur, couche qui reçoit les gaines de Schwann des
racines
cérébro-rachidiennes (Ranvier). La structure du
rticulier celle qui entoure les prolongements intra-médullaires des
racines
médullaires ou bulbaires, est recouverte d'une
use centrale. Ranvier a montré, en effet, que les tubes myéline des
racines
médullaires ou bulbaires ne se revêtent de leur g
cellules des gan- glions rachidiens président à la nutrition des
racines
sensitives, sur lesquelles elles exercent une a
re dc]{a ! )\ierc)tcxfes ^poissons. continue avec une fibre des
racines
postérieures de la moelle, tandis que l'autre s
centrale, c'cst-a-diro celle qui entre dans la consti- tution d'une
racine
postérieure. Le cylindre-axe de la fibre périphér
s péri-cellulai- rcs. contestée. L'étude de la dégénérescence des
racines
postérieures, après leur section en dedans ou e
d'avant en arrière toute l'épaisseur de la moelle et entre dans la
racine
postérieure, où on peut le poursuivre au delà d
centrales. Les ganglions reçoivent en outre de la moelle, par les
racines
anté- rieures, des fibres nerveuses centrifuges
ubstance perforée antérieure, par un bord tranchant, longé par la «
racine
» olfactive externe (fig. 183), bord le long duqu
frontale (F3)' Elle naît dans la région orbitaire par deux ou trois
racines
grêles et flexueuses, qui contournent le sillon f
au de l'extrémité pos- : térieure du sillon olfactif (f,,), par une
racine
effilée qui lui est commune avee la première ci
l (fm). Le bord postérieur de la partie orbitaire est longé par la «
racine
» olfactive externe (fig. 183) ;son extrémité inte
- porale à la partie orbitaire du lobe frontal. Il est longé par la
racine
olfac- tive externe, qui le sépare de la base d
. - xcll, pli tem- poro-limbiquc. R, scissure de Rolando. - Roli, «
racine
» olfactive interne. scc, sinus du corps calleu
de Broca. Le lobe limbiiiuc se compose de deux arcs. Les «
racines
Il 01- factivcs complètent l'anneau en avant.
(L,En avant, l'anneau est complété par le lobe olfactif dont les «
racines
» externe et interne contournent l'espace perfo
ux donnent naissance à deux faisceaux blancs, connus sous le nom de
racine
blanche externe (Rôle) et de racine blanche inter
x blancs, connus sous le nom de racine blanche externe (Rôle) et de
racine
blanche interne du 11er/ ol/actif (Roli). Il ne
e blanche interne du 11er/ ol/actif (Roli). Il ne s'agit pas ici de
racines
dans le vrai sens du mot, mais, ainsi que l'emb
Edinger (latérale und innove médiate / ? c/t.s7 ? ? </M/t). La «
racine
» olfactive externe (Rôle) blanche et quelquefois
n connexion avec la circonvolution de l'hippocampe (I-"2[11J). La «
racine
» olfactive interne (Roli) recouverte par une min
n connexion avec l'écorce grise du lobe frontal et qui constitue la
racine
olfactive supérieure de Broca. Le carrefour de
mière circonvolution limbique (L,), en bas et en avant il reçoit la
racine
olfactive interne (Roli), en bas et en arrière, l
la bandelette diagonale de Broca (bd); directement en bas, entre la
racine
olfactive interne et la bandelette diagonale, i
Trajet des bande- lettes diagonales (le Broca. dehors par la
racine
olfactive externe (Rôle) (fig. 183), qui le sépar
ce bandelette grise, com- prise entre la bandelette diagonale et la
racine
olfactive interne et atteint en haut le carrefo
, pli rétro- limbique. Qp. tubercule quadrijumeau postérieur. Rôle,
racine
olfactive externe ? 77/, sillon de la troisième
cta. Le système olfactif, composé du bulbe, de la bandelette et des
racines
olfactifs, représente, au point de vue embryolo
rieur ou fossette inlerpédonculaire. De chaque côté elle atteint la
racine
olfactive externe qui la sépare de l'insula; le
moteur oculaire externe. 3lfi ANATOMIE' DES CENTRES NERVEUX. La
racine
externe de la bandelette op- tique est consti
constituée par les faisceaux vi- suels croisé et di- rect. La
racine
interne ost constituée par la commissure de G
optique, II.) Les faisceaux visuels croisé et direct constituent la
racine
externe de la bandelette optique, racine qui se
é et direct constituent la racine externe de la bandelette optique,
racine
qui se termine dans le corps genouillé externe,
omprend le tiers de la bande- lette optique, dont elle constitue la
racine
interne, racine qui se termine . dans le corps
de la bande- lette optique, dont elle constitue la racine interne,
racine
qui se termine . dans le corps genouillé intern
u lame terminale embryonnaire est dési- gnée à tort, sous le nom de
racine
grise des nerfs optiques; elle n'affecte en eff
tubercule mamillaire. - Tpt, tractus pédonculaire transverse. - III,
racines
du nerf moteur oculaire comnun. - II, nerf opti
e long d'une ligne irrégulière, analogue à la ligne d'émergence des
racines
antérieures de la moelle; il est séparé de MORP
s. - si, sillon latéral de l'isthme. - SR, substance réticulée. - Vc,
racine
encéphalique ou petite racine motrice descendan
hme. - SR, substance réticulée. - Vc, racine encéphalique ou petite
racine
motrice descendante du trijumeau. ;c : Pcs, entre
tubercule mamillaire. - Tpt, tractus pédonculaire transverse. - III,
racines
du nerf moteur oculaire commun. - II, nerf opti
optique et le tuber- cule mamillaire, était décrite sous le nom de
racine
descendante du trigone [racine ascendante de Me
llaire, était décrite sous le nom de racine descendante du trigone [
racine
ascendante de Meynert) ; celle comprise entre le
entre le tubercule mamil- laire et le trou de Monro, sous celui de
racine
ascendante du trigone [racine descendante de Me
aire et le trou de Monro, sous celui de racine ascendante du trigone [
racine
descendante de Meynert). \ La « racine ascend
ine ascendante du trigone [racine descendante de Meynert). \ La «
racine
ascendante » du trigone [racine descendante de Me
e descendante de Meynert). \ La « racine ascendante » du trigone [
racine
descendante de Meynert), entrevue et figurée dé
é sur la face inférieure du pulvinar, donne naissance en avant à la
racine
externe de la bandelette optique et reçoit en a
quadrijumeau postérieur (BrQp) ; il donne naissance en avant il la
racine
interne de la bandelette optique, c'est-à-dire
s fais- ceaux radiés s'entre-croisent avec des fibres émanées de la
racine
externe de la bandelette optique et du corps ge
ec celle des circonvolutions orbitaires (oF ¡[Gr]), en for- mant la
racine
olfactive supérieure de Broca et en arrière avec
eau de l'espace perforé antérieur (Epa) pour concourir il former la
racine
olfactive externe (Rôle). De la substance blanc
du tubercule mamillaire latéral. - Rm, ruban de Reil médian. Rôle,
racine
olfactive externe. - Itolm, radiations olfactives
bercule quadrijumeau antérieur. RC, radiations de la calotte. Role,
racine
olfactive externe. RTh, radiations thalamiques de
ar un mince fascicule de fibres fortement colorées, appartenant il la
racine
olfactive externe (Role). Plus en dehors on tro
ou tubercule olfactif (Toi) au niveau du point où se détachent les
racines
olfactives interne et externe, et on y constate
e l'aqueduc de Syl- vius (SgAq). , Après avoir embrassé la petite
racine
motrice cérébrale ou descendante de la 5° paire
substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée. Vc,
racine
encéphalique ou petite racine motrice descendan
Sylvius. SR, substance réticulée. Vc, racine encéphalique ou petite
racine
motrice descendante du trijumeau. xF, entre-crois
vésiculeux a été décrit par Forel. Ce petit faisceau représente la
racine
cérébrale ou la petite racine motrice descendante
orel. Ce petit faisceau représente la racine cérébrale ou la petite
racine
motrice descendante de la cinquième paire (Vc)
ntre- croisement supérieur du pédoncule cérébelleux supérieur. )le,
racine
encéphalique ou petite racine motrice descendan
pédoncule cérébelleux supérieur. )le, racine encéphalique ou petite
racine
motrice descendante du trijumeau. IV, filets radi
dante ou primordiale. Les dendrites descendantes ou basilaires (les
racines
de Golgi) sont très développées; elles forment
ntre dans la constitution des fibres Au pédoncule olfactif et de la
racine
olfactive externe (fig. 371). Les cylindres-axe
ri- sent dans la couche moléculaire du trigone olfactif, et de la «
racine
» ul l'ac- tive externe. Quant au cylindre-axe,
Cellules de Golgi. Origine et termi- naison des libres de la
racine
olfactive externe. les plus importantes et le
pénè- trent profondément dans le bulbe olfactif. Les fibres de la
racine
olfactive externe naissent en éventail du bulbe
is atteindre la couche des cellules pyramidales. Aucune fibre de la
racine
olfactive externe ne descend, en effet, dans les
fondes (fib. 371). Le bulbe olfactif émet, outre les fibres de la
racine
externe, un autre faisceau profondément situé,
ale. - D, tractus ou pédicule olfactif. E, grains.- G, région de la
racine
blanche externe du nerf olfactif.- F, cellules
deuxième ordre), pour être portée et déposée par les fibres de la «
racine
» olfactive externe, dans la couche moléculaire
acentral. o. scissure pariéto-occipitale. - PrC, précunéus. - Role,
racine
olfactive externe. - lioli, racine olfactive in
ipitale. - PrC, précunéus. - Role, racine olfactive externe. - lioli,
racine
olfactive interne.- Sl, septum lucidum. -slrK,
ent dans l'espace perforé antérieur. Pour Broca, elles reliaient la
racine
olfactive interne à la racine olfactive externe
rieur. Pour Broca, elles reliaient la racine olfactive interne à la
racine
olfactive externe, et cet auteur comparait le sys
x, met en connexion l'espace perforé antérieur et en particulier la
racine
olfactive interne (Roli), avec l'extrémité anté
le du tubercule mamillaire latéral. Rm, ruban de Reil médian. Rôle,
racine
olfactive externe. Rolm, radiations olfactives mo
ion du corps restiforme gauche et plus exactement en un point où la
racine
externe de l'acoustique branche cochléaire, aud
e, auditive, peut être gravement altérée ou détruite, tandis que la
racine
interne (branche vestibulaire), serait probable
r le nerf, soit à la compression de la protubérance au niveau de la
racine
ascendante du trijumeau et du faisceau interméd
ons centrales du côté droit; 2° une dégénérescence considérable des
racines
postérieures dans la moelle épinière, plus marq
ral. M. `ŸEIDENH11)1GR trouve possible, que la dégénérescence des
racines
dépende de la présence d'une tumeur dans le cerve
us-épineux et du grand dentelé. La lésion intéresse donc toutes les
racines
du plexus : les deux premières, cinquième et sixi
rsale dans une moindre mesure, d'une façon incomplète. En outre les
racines
sont intéressées tout près de leur émergence, car
puis Ch. Bell et sa découverte (1811) des fonctions différentes des
racines
antérieures et postérieures; mais la neuropatho
trémité du membre, et la décroissance se fait de l'extré- mité à la
racine
. Dans tous ces mêmes domaines il existe à des d
e la moelle; 2° des plaques fibreuses d'arachnitis spinale ; 3° des
racines
posté- rieures grisâtres; 4° une névrite optiqu
neurone sensitif ou centripète de la moelle (cordons postérieurs,
racines
postérieures, ganglions spinaux). Cette première
1° en entravant la pénétration des sensations par une ou plusieurs
racines
postérieures (troubles segmentaires); 2° en rom
art la dissociation des sensibilités, et d'autre part la lésion des
racines
postérieures seules coïncidant avec des altératio
LES nerfs MIXTES, SUR LES CELLULES NERVEUSES DES GANGLIONS, SUR LES
RACINES
POS- TÉRIEURES ET SUR LA CORNE ANTÉRIEURE DE LA
e la dégénérescence ascendante sur les cellules ganglionnaires, les
racines
postérieures et la corne antérieure. C'est aux al
n du nerf sciatique ou à sa ligature. Ses examens ont porté sur les
racines
et les ganglions de la région lombaire, ainsi q
usions : Les altérations des cellules ganglionnaires (ganglions des
racines
postérieures), consécutives à une section nerve
ante, qui déclare : que le Tabès est la sclérose des cordons et des
racines
postérieurs. Un grand nombre de maladies (affec
ordons postérieurs : supposons une lésion destructive au niveau des
racines
postérieures de la queue de cheval, racines lom
structive au niveau des racines postérieures de la queue de cheval,
racines
lombo-sacrées ; examinons en coupes sériées tra
le cône termi- nal jusqu'au bulbe, et nous verrons le trajet de ces
racines
, à tous les étages; comme si, ayant dans la mai
ux seront situés en dehors des champs dits radiculaires (fibres des
racines
postérieures); ce seront des faisceaux endogène
formation, il nous paraît utile d'étudier d'abord le trajet d'une
racine
postérieure quelconque; puis, nous ferons la sy
s'en rendre compte par l'étude des trois figures ci-jointes, toute
racine
postérieure passe, par plusieurs étapes success
s figures représentent le trajet intra-médullaire ascen- dant d'une
racine
cervicale atteinte de dégénérât ion secondaire. C
régions noires, qui sont saines (procédé de Wuigert-Pal). 7 ? 1. La
racine
postérieure occupe la zone cornu-radiculaire, dis
rnu-radiculaire, disposée sous fotme d'un croissant. Fit, 2. - La
racine
constitue la bandelette externe. Fit. 3. - La b
cules radiculaires ; finalement, à une hauteur variable pour chaque
racine
, elle deviendra un petit triangle à base postér
r, situé d'autant plus près du sillon médian qu'il appartient à une
racine
dont le ganglion est placé plus bas (loi de Kah
plus bas (loi de Kahler). Ainsi est constitué le trajet de toute
racine
postérieure : il nous reste à dire quelle espèc
s la classification de Singer et Munzer, on distingue, dans toute
racine
postérieure, les fibres courtes, moyennes et long
que les libres radiculaires longues. Dans l'étude du trajet de la
racine
postérieure, nous n'avons fait mention que des
mpacts ; leur importance nous paraît donc secondaire. Ainsi toute
racine
postérieure, abordant la moelle, suit un trajet
e déduisent de notre description précédente sur le trajet de chaque
racine
; nous l'avons, d'ailleurs, schéma- tisé sur les
fibres courtes, moyennes ou longues. Rappelons-nous le trajet d'une
racine
isolée, et nous comprendrons aisément les concl
(zone d'entrée ou de Lissauer) sont situées les fibres fines de la
racine
postérieure qui pénètre à ce niveau ; en a (zone
zone cornu-radiculaire) le faisceau à grosses, fibres, de la même
racine
, se dispose contre le bord interne de la corne po
e ou cervical. Fit, 4 - Au niveau de la pénétration de la quatrième
racine
postérieure sacrée. Flip. 5. - Au ni\eau de la
ème racine postérieure sacrée. Flip. 5. - Au ni\eau de la cinquième
racine
lombaire. Fig. 6. Au niveau de la douzième raci
u de la cinquième racine lombaire. Fig. 6. Au niveau de la douzième
racine
dorsale. fit, 7. Entre la huitième racine dorsa
Au niveau de la douzième racine dorsale. fit, 7. Entre la huitième
racine
dorsale et la neuvième. Fig. S. Au niveau de la
ème racine dorsale et la neuvième. Fig. S. Au niveau de la deuxième
racine
cervicale (G', fibres longues lombo-sacrées et
ous avons l'ensemble des bandelettes externes qui appartiennent aux
racines
dont le point d'entrée est située plus bas; la
plus bas; la bandelette la plus interne est celle de la sixième -
racine
sacrée, la bandelette la plus externe est celle d
me - racine sacrée, la bandelette la plus externe est celle de la
racine
qui a pénétré dans la zone cornu-radiculaire immé
aisceau de substance blanche, individualisé à partir de la huitième
racine
cervi- cale jusqu'au bulbe; limité en dedans pa
de Goll cervical : les triangles postérieurs à fibres longues des
racines
lombo-sacrées en occupent la plus grande partie
") est occupé par les triangles à fibres longues des sept dernières
racines
dorsales qui s'étagent successivement, de dehor
les suivantes ; chacune d'elles a été indiquée par une lettre : A,
racines
postérieures adjacentes, sur le point de pénétrer
région coriia-coiiiiiiissurale). Fit. 11. Au niveau de la troisième
racine
sacrée. Le quadrilatère tabétique prédo- mine a
e la corne ; les champs postérieurs (a"') sont moins décolores. Les
racines
postérieures adjjcentes'(A) sont malades (fibres
alades (fibres fines, fibres déco- lorées). Frg. 12, 13 (première
racine
sacrée, première racine lombaire). Le quadrilatèr
bres déco- lorées). Frg. 12, 13 (première racine sacrée, première
racine
lombaire). Le quadrilatère tabétique gagne du c
le mal débute au niveau du système radiculaire, à la fois dans les
racines
et dans les cordons postérieurs; mais celte con
que les champs radiculaires (a, a', a", a"'). l'ig. 13 (cinquième
racine
lombaire). - Décoloration il peu près totale du c
oration il peu près totale du centre ovale (6). Flg, 16 (douzième
racine
dorsale). La bandelette périphérique dorso-lombai
périphérique dorso-lombaire (6) n'existe plus. 1% : g. 1 (sixième
racine
cervicale). La virgule de Schulze (6) n'existe pl
ste plus à l'état de faisceau compact. radiculaire. Au niveau des
racines
, il nous a paru impossible de systématiser la l
lle, très vraisemblablement elles se détruisent aussi au niveau des
racines
postérieures. En effet, toutes les fibres radic
e : leurs réactions pathologiques sont donc les mêmes au niveau des
racines
et au niveau des cordons. Nous ne pouvons nous
ux, etc. L'étude des lésions parenchymateuses a été faite sur les
racines
postérieures, sur les cordons de la moelle, enfin
cordons de la moelle, enfin sur les ganglions rachidiens. Pour les
racines
, nous avons pra- tiqué surtout des dissociation
ifférents niveaux, nous ont donné l'état des cellules d'origine des
racines
postérieures. Les lésions interstitielles nous
ALISATIONS MEDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 199 de syringomyélie, les
racines
postérieures étaient empri- sonnées, sur une ce
ves développées aux dépens des méninges et de la dure-mère. Or, ces
racines
présentaient des tubes noirs en assez grande qu
ion de l'étude de cette cicatrice tabétique. Nous avons examiné les
racines
postérieures, les cordons correspondants et les
dants et les cellules des ganglions rachidiens. La dissociation des
racines
postérieures (après imprégna- tion osmiée) nous
n osmiée) nous a donné les résultats suivants. Examinée en bloc, la
racine
est diminuée de volume dans tous ses seg- ments
ations graisseuses, en fine poussière, plus facilement que dans les
racines
posté- rieures, sans doute àcausede l'absericed
à froid, avec une extrême lenteur, abso- lument comme au niveau des
racines
. Sans doute, nous avons DES LOCALISATIONS MÉDUL
ie, suivant que les fibres sont atteintes en - dehors de la moelle (
racines
postérieures) ou au niveau de leur trajet intra
raire, un tabes surtout radiculaire; qu'il prenne naissance sur les
racines
en dehors de la moelle ou au niveau de leur tra
ssi montré que les douleurs étaient surtout le fait des lésions des
racines
postérieures; cela concorde bien avec la sympto
rde bien avec la symptomatologie qu'on reconnaît à la lésion de ces
racines
, lorsqu'elles sont comprimées par une tumeur ou
directeur responsable, si le Sénat n'avait pas coupé le mal dans sa
racine
, du moins il avait apporté un correctif sérieux
ésion causale est difficile. Elle doit intéresser le trijumeau à sa
racine
, car on n'observe pas de troubles oculaires tro
erne postérieure, l'artère pédiculo- géminée); -puis, les noyaux et
racines
de l'oculomoteur commun (artère du noyau de l'o
en- tent le centre optique du pulvinar et les noyaux, ainsi que les
racines
, de l'oculomoteur commun dans l'étage inférieur
e du type Erb avec celui de Klumpke. Après une étude minutieuse des
racines
et fibres d'après le tableau de Féré, M. Schust
ableau de Féré, M. Schuster croit à la destruction des o<= et 6°
racines
cervicales et à la co-parlicipation assez notable
racines cervicales et à la co-parlicipation assez notable de la 7°
racine
cervicale. Il tend également à penser que 1° le
uce et à l'index viendraient, comme le veut Hoedemaker des Se et 6e
racines
cervicales; 2° le court extenseur du pouce tire s
cines cervicales; 2° le court extenseur du pouce tire ses fibres de
racines
plus profondes que de la 7e cervicale : 3° les br
es des doigts paraissent courir simultanément n'importe où dans les
racines
. P. 11ER1V1L. XVIII. Contribution A la connaiss
e fibres fines, situées en dedans de la substance gélatineuse de la
racine
bulbaire (inférieure) du trijumeau. La dé- géné
ise. Ces fibres, d'une dimension assez grosse, se trouvent entre la
racine
bulbaire du lrijumeaa et l'olive inférieure et se
dit déclinant t (M onako tU) , La voie centrale de la calotte et la
racine
bulbaire du trijumeau se dégénèrent en directio
e l'olive inférieure, et la seconde vers le niveau de la sortie des
racines
du deuxième nerf cervical. Le ruban de Reil méd
ffaiblit le plus dans la partie lombaire de la moelle épinière. Les
racines
postérieures sont aussi altérées, mais leurs chan
des cas typiques provenant d'une lésion de la cinquième et sixième
racines
cervicales, le malade en question a encore une
igine, d'après certains auteurs, des cinquième, sixième et septième
racines
et d'après d'autres, de la sixième et septième
et septième racines et d'après d'autres, de la sixième et septième
racines
; de sorte que dans SOCIÉTÉS SAVANTES. 349 no
t admettre non seulement la lésion de la cinquième et de la sixième
racines
cervicales, mais encore de la septième. M. VERz
re, la lésion envahit le domaine du noyau de l'hypoglosse et de ses
racines
, les parties internes des olives et en partie les
nt comme pathogénie ou 392 CLINIQUE MENTALE. une lésion nerveuse (
racines
nerveuses, moelle, cerveau en avant des tubercu
la plupart, d'une altération primitive, généralisée et profonde des
racines
antérieures de la moelle épinière. 3. Ces altér
parenchymateuses, et par des foyers nécro- tiques répandus dans les
racines
médullaires. Dr JACOB (Berlin). - .1. Il a été
quer une dégénérescence rétrograde, qui s'étend aux faisceaux des
racines
postérieures. ' Dans la moelle, ces modificatio
ifications se localisent dans la zone d'expansion des faisceaux des
racines
postérieures. Les modifications des cellules de
se rencontrent que suivant l'étendue du processus morbide dans les
racines
postérieures. (A suivi'e.) ASILES D'ALIÉNÉS.
doigts ont de fortes dimensions, aussi gros à leur pointe qu'à leur
racine
, sans aucune déformation arli- culaire, de dire
it à cette conclusion qu'elles affectionnent particulièrement les
racines
postérieures de la moelle et que c'est sur le poi
racines postérieures de la moelle et que c'est sur le point où ces
racines
offrent le minimum de résistance que ces lésions
nerfs mixtes, sur les cellules nerveuses des gan- glions, sur les
racines
posté- rieures et sur les cornes anté- rieure
ue l'on trouve chez les enfants el lesnouveau- n4s,surle trajet des
racines
i ntra-médullai res,doiven têtl'e imputés à des
bl. \\IlllJll'i). Dans les expériences relatives à l'écrasement des
racines
spi- nales, chez les chiens, on voit la racine
à l'écrasement des racines spi- nales, chez les chiens, on voit la
racine
postérieure (extramedut- lairc) se régénérer co
le de chiens chez qui, 10 mois auparavant ils avaient sectionné les
racines
postérieures, notent l'absence ab- solue de rég
dinales propres àconstater la continuité ou l'in- terruption de ces
racines
; l'absence de libres fines (les photogra- mes
a constitution des libres nerveuses dans la portion centrale (le la
racine
postérieure opérée. Or la recherche de la régén
serait à combler puisque il a été prétendu qu'après la section des
racines
posté- rieures, leur régénérescence extramédull
ux basaux ; les noyaux du périnerf et' de l'endonerf, tant dans les
racines
spinales que dans les nerfs périphériques. Sur
l'anesthésie dans le SOCIÉTÉS SAVANTES. 55 champ de la 2- à la 8c
racines
cervicales droites et de la 11'0 à la 6' dorsal
berculeuse du sacrum avec pa- chyméningite caséeuse, comprimant les
racines
de la queue de cheval, a été publié en 1901 par
ne pachyménin- gite, soit par un abcès, elle produise la lésion des
racines
de la queue de cheval. Le fait que, dans la l
em- bres inférieurs sans en chercher la cause dans la maladie des
racines
, on ne fait pas d'examens précis de la sensi- b
rés contenant de nombreuses cellules géantes. Dans le même cas, les
racines
de la queue de cheval n'offraient pas de lésion
uberculeuse du sacrum avec pachyméningite caséeuse comprimant les
racines
de la queue de cheval. La description qu'on don
guliers sur sa face antérieure et aux points de sortie de plusieurs
racines
sa- crées supérieures et lombaires inférieures.
lusieurs racines sa- crées supérieures et lombaires inférieures.Les
racines
sacrées in- férieures et le filul1l sont englob
lissulai-dtc6 épidural. L'épaississement de la dure-mère autour des
racines
est d'inten- sité variable : insignifiant dans
ne trace de symphyse entre la dure- mère elles méninges molles. Les
racines
de la queue de cheval sont complètement libres
des points épaissis de la face antérieure. L'aspect extérieur des
racines
de la queue de cheval et de la moelle est norma
temateine-eosine, bleu de toluidine-eo- sine, Ziehl), sur plusieurs
racines
au niveau de leur point de sor- tie de la dure-
tubercules nets, plus nombreux que dans le tissu épidural même. Les
racines
entourées par la pachyméningitc à leur point de
e une bande très épaisse de tissu fibreux entourant et étouffant la
racine
; ses vaisseaux, comme ceux de la racine même,
entourant et étouffant la racine ; ses vaisseaux, comme ceux de la
racine
même, sont tous bien perméa- bles, iL parois un
r leur tunique interne, sans prolifération em- bryonnaire. Dans les
racines
même, il caistedes lésionsdes libres nerveuses
yéline, quelques corps gra- nuleux). En effet, tandis qu'il y a des
racines
dans lesquelles il y a à noter seulement la dis
tre, la lésion atteint, généralement, pour les faisceaux de la même
racine
, des degrés très variables parfois ; de la même f
ssu fibreux pénétrer du tissu du sclérose péri- radiculaire dans la
racine
. En aucun point on constate de l'infil- tralion
urs caractères, les lésions radiculaires déjà citées ; en elfet les
racines
postérieures des seg- ments sacrés et du cinqui
le maximum, tout en conservant quelques libres intactes, et ou les
racines
clroitessont plus prises que les gauches. Les l
du 3e segment lombaire et . au-dessus encore, la zone d'entrée des
racines
postérieures paraît absolument intacte de chaqu
acines postérieures paraît absolument intacte de chaque côté. Les
racines
antérieures montrent, à leur point d'entrée dans
érique en s'atténuant pro- g-ressi, ement vers la zone d'entrée des
racines
postérieures peu dégénérées, l'autre suit le se
être la cause des lésions d'in- tensité variable observées dans les
racines
de la queue de cheval, qui ne présentaient aucu
rmé des lésions d'inten- sité variable dans les divers segments des
racines
sa- crées et lombaires inférieures, ici presque
es et lombaires inférieures, ici presque exclusivement limitées aux
racines
postérieures. Nous avons en outre c constaté, d
éningite caséeuse par os- téite tuberculeuse sacrée, comprimant les
racines
de la queue de cheval, n'a pas été étudié en dé
me ; dans la queue de cheval, comme il peut arriver dans les autres
racines
de la moelle dans le mal de Pott, il est possib
péri névrite et névrite tuberculeuse,ou que la compression sur les
racines
de la queue de cheval se fasse, dans le sac dur
pidural, épaississant la dure-mère et com- primant par celle-ci les
racines
sacrées et lombaires inférieures. Les caractère
i montrent comme le plus fortement atteintes par la compression les
racines
qui entrent dans la constitution du nerf sciati
nsitifs objectifs diffus et nets dans le territoire innervé par les
racines
sacrées et lom- baires inférieures, le manque d
ttacher aux lésions que nous avons constatées dans la lire et la 2e
racine
sacrée antérieure droite, surtout dans la 2" qu
E DE CHEVAL PAR TUBERCULOSE SACREE. 95 Dans la lésion delà première
racine
sacrée, faut-il cher- cher vraisemblablement l'
pas compte de la prédominance de ces lésions sur les muscles de la
racine
des membres plu- tôt que sur les muscles de la
fois la ré- gion des pyramides pour atteindre le voisinage de la 5"
racine
spinale. La dénomination de « noyau ventral d
la voie qui conduit les impressions thermiques et dou- loureuses :
racine
postérieure, corne postérieure, commissure de l
ière poussée,aux avant-bras et aux mains,sur les territoires des 8°
racines
cervicales et 1 ? dorsales; aux mem- bres infér
utations successives des ses- ments du membre et même résection des
racines
postérieu- res (cas de Abbe, de Benett, de lior
posé, mais aussi dans toute la méninge et au niveau de l'entrée des
racines
lombaires. même du côté non amputé, c'est-à-dir
'était pas encore possible; ces lésions fai- saient défaut dans les
racines
mêmes.' * En second lieu, nous avons noté dans
brachial de l'homme les divers troncs résultant de la fusion des
racines
s'organisent pour former un plan postérieur d'ex-
division est déjà très évidente dans la portion radiculaire. Chaque
racine
(surtout Cv , CYI, Ci"). avant la constitution
leurfu- sion le tronc commun du médian et du musculo-cutané (dit
racine
externe du tronc) que vient renforcer un gros fai
ÉROSE EN PLAQUES. 230 antérieur venu du tronc commun C"" et D' (dit
racine
interne du médian). Cette disposition est con
'accolement des fibres de flexion et des fibres d'extension dans la
racine
jusqu'au trou de conjugaison ; chez le nou- vea
ison ; chez le nou- veau-né on ne peut la suivre aussi loin. Chaque
racine
estdonc mixte au point de vue fonctionnel et n'
ctionner. « Malgré les lésions avancées de l'élément cellulaire les
racines
ner- veuses ne présentent pas de dégénérescence
ysie in- fantile, n'ont pas trouvé d'altérations appréciables des
racines
antérieures. Remarquons aussi que sur toute la
cen- tres moteurs de la moelle, ont démontré que l'excitation des
racines
nerveuses produisait des mouvements syner- giqu
t des mouvements syner- giques. « Chez le singe, l'excitation d'une
racine
déter- minée donne lieu à des mouvements parfai
ique qu'une dispo- sition semblable existe chez l'homme ; plusieurs
racines
participent souvent à l'innervation d'un seul e
es fibres sensitives y sont bien constituées, en rapport avec des
racines
des troncs nerveux du moteur oculaire externe d
t subi une atrophie plus ou moins pronon- cée : il y a atrophie des
racines
antérieures, du réseau des fibres des cornes an
breuses, ils sont atro- phiés et l'atrophie est plus prononcée à la
racine
des membres 324 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLO
s. Poils d'un il trois cent., peu abondants, de cha- que côté de la
racine
des bourses. Verge, long., G cent,. circonf.. 5
si on admet que ces ! o\i- nes tuberculeuse» peuvent atteindre les
racines
des nerfs el la moelle, el en dehors de toute I
ment pour diminuer brusquement au niveau de la sortie des dernières
racines
1» Cordons latémllE; Zone de dégénérafion corre
; c'est la pachyméningite. A travers la dure-mère et les gaines des
racines
nerveuses qui la ' traversent, l'inflammation s
ifications veineuses qui sortent de la moelle et de la pie avec les
racines
nerveuses , mais soit à cause de la petitesse d
veineux en relation avec le système veineux spinal par la voie des
racines
puisse produire une stase dans la moelle. Pour
r ImiIil'¡'1' l'st plulôt dilat{'e <JlIl' rétl'{'eie. Dans le»
racines
les vaisseaux, surtout les veines, sont conges-
n signe d'inflamma- tion dans les vaisseaux radicntairesni dans les
racines
mêmes : , bien conservées à droite, à gauche el
e un ramollissement d'origine anémique : les vaisseaux sanguins des
racines
, de la pie- mère, delà moelle même, outre qu'il
reste de la colonne vertébrale semble sain. Au niveau de la 7 ? Ce
racine
cerv icale, la face anté- rieure deladure-mère
aississement est un peu inférieur à 1/2 cm., est très adhérente aux
racines
. Le gros tubercule comprime la moelle, qui prés
erméables. La dure-mère, latéralement, au' niveau des points où les
racines
la traversent présente quelques points d'inflam
bercules tv piques : la propagation directe de la tuber- culose aux
racines
mêmes n'est pas constalahle, Méninges molles :
Méninges molles : L'arachnoïde est épaissie, sclérosée : autour des
racines
, au niveau du cul-de-sac des nerfs de conjugaison
-mère, au niveau du sillon antérieur, sontapla- Lis, vides. . Les
racines
ont des vaisseaux légèrement sclérosés, mais bien
n perméables, sans phénomènes d'inllammalion. La dégénération des
racines
entourées par la pachv méningite n'est pas 1res f
la partie inférieure du cône mé- dullaire et comprenant toutes les
racines
de la queue de cheval montre que celles-ci sont
te la moelledorsale, ainsi que dans la sacrée et la lom- haire, les
racines
postérieures, soit dans leur trajet sous-arachnoi
ue de la moelle : nous avons, il est vrai, constaté au niveau des
racines
une infiltration embryonnaire de l'arachnoïde,
prété l'abolition des réflexes comme l'expression d'une lésion des
racines
postérieures par des troubles circula- toires (
t produit, d'après l'auteur, la dégénération par lui constatée, des
racines
postérieu- res lombaires, surtout dans leur tra
rc. Dans notre cas, non seulement une coupe comprenant toutes les
racines
de la queue de cheval a montré leur absolue int
nes de la queue de cheval a montré leur absolue intégrité, mais les
racines
postérieures mêmes étaient sain es,aussi bien d
pas paru oll'rir d'altérations appréciables. La conservation des
racines
postérieures ne nous per- met pas non plus d'ex
moelle lombo-sacrée. : leur médiocre intensité, la conservation des
racines
postérieures, (tes collatérales réflexes, du, r
a pachymé- ningilr s'('lendent 1111 peu latéralement, englobant des
racines
il leur point de sortie dUl'e-I\1{'l'ienne au-d
la moitié gauche de la face antérieure de la dure-mère, et quelques
racines
ysont englobées. Il n'existe pas d'adhérences e
arge de tissu sain bordant la substance grise, la zone d'entrée des
racines
, la pie-mère et la moitié poste- rieuredt ! spp
n pointon n'observe de l'infiltration cellulaire. Les vaisseaux des
racines
sont légèrement épaissis aussi et plutôt congesti
e inférieure. Elles ne peuvent être expliquées par une lésion des
racines
postérieures, celles-ci restant intactes, ni pa
polynucléaires, avec quelques rares points de casni- licalion. Les
racines
sont englobées dans ce tissu qui pénètre entre
ées dans ce tissu qui pénètre entre elles el dans l'intérieur de la
racine
même sous forme Il'infiltration péri-vasculaire
te surtout dans les ; ? ¡3 et dans le voisinage du ·cllLum. - Les
racines
qui entourent la moelle sont dégénérées d'une l'a
érisée surtout par l'aplatissement, la largeur, 1 abaissement de la
racine
du nez, la largeur de la région de l'arcade zyg
este plus, dit-il, qu'un certain « cafard » qui a élu domicile à la
racine
du nez et qui le tourmente de temps en temps.,
il comment le cancer, en détruisant le tissu osseux, com- prime les
racines
au niveau du trou de conjugaison et détermine ain
dorso-lombaire de la colonne vertébrale, et aux articulations de la
racine
des membres. Il a dé- buté insidieusement, sans
ie aortique ; 3° ankylose purement fibreuse des articulations de la
racine
des membres, ankylose mixte de la colonne verté
descendante ; elle respecte habituellement les articulations de la
racine
, mais atteint parfois celles de l'extrémité des
e douleur, ni d'anesthésie ; elle a atteint les articulations de la
racine
des membres. Autant d'éléments qui différencien
, dans celle-ci, l'ankylose s'est localisée aux articulations de la
racine
des membres et à la colonne vertébrale et a pre
ec une ankylose plus ou moins pronon- « cée des articulations de la
racine
des membres, les petites articulations « des ex
miner des troubles de la déglutition. Quant aux articulations de la
racine
des membres, elles présentent des lésions analo
taux : l'ankylose vertébrale et l'ankylose des articulations de la
racine
des membres, on comprendra que, cliniquement, M
ntes dans les membres atrophiés, partant parfois du rachis ou de la
racine
du membre et pareilles à des douleurs lancinantes
oelle épinière. L'examen des segments médullaires correspondant aux
racines
du plexus brachial, du 4e segment cervical au leu
D. Nerf radial, coupe longitudinale. (Pal). F. Fragments de la 7*
racine
cervicale gauche. Eu haut, lilet de la racine a
F. Fragments de la 7* racine cervicale gauche. Eu haut, lilet de la
racine
antérieure ; diminution des libres nerveuses. E
e antérieure ; diminution des libres nerveuses. En bas, filet de la
racine
postérieure, aspect normal. (Pal et Carmin).
eure, aspect normal. (Pal et Carmin). G. Filet antérieur de la 7e
racine
cervicale droite. Diminution des fibres nerveus
aces clairs forment un tissu réticulé à mailles très lâches. III.
Racines
rachidiennes. - Un premier examen sommaire des ra
lâches. III. Racines rachidiennes. - Un premier examen sommaire des
racines
antérieures du plexus brachial avait été pratiq
sur les coupes des nerfs périphériques nous ont engagé à revoir les
racines
rachidiennes avec un procédé plus précis que celu
e- ment laissés de côté au cours de la dissociation. Des (ilets des
racines
rachi- diennes antérieures et postérieures du p
jà (PI. VI, F) on voit qu'il y a moins de fibres à myéline dans les
racines
antérieures que dans les racines postérieures e
moins de fibres à myéline dans les racines antérieures que dans les
racines
postérieures et le tissu conjonctif intrafascic
avec un plus fort grossissement (fig. 8), les fibres nerveuses des
racines
antérieures se présentent pour la plupart avec un
s ; mais elles sont plus distantes les unes des autres que dans les
racines
postérieures. Les espaces qu'elles lais- sent e
- titiels intrafasciculaires. Ces lésions n'existent que dans les
racines
antérieures; les racines posté- rieures sont ma
aires. Ces lésions n'existent que dans les racines antérieures; les
racines
posté- rieures sont manifestement normales, et
ont été le plus atteintes. Ces lésions sont plus marquées dans les
racines
antérieures gauches que dans les racines droite
ont plus marquées dans les racines antérieures gauches que dans les
racines
droites. Un petit point spécial qui mérite d'être
noté, c'est la présence au milieu des fibres un peu raréfiées de la
racine
antérieure C 7 de pelotons compacts de fibres n
énération ; nous ne l'avons pas retrouvée sur les coupes des autres
racines
. IV. Muscles (Fragments du biceps brachial et d
tour des éléments nerveux comme dans les gros troncs nerveux ou les
racines
rachidiennes antérieures. Par contre, le hasard
à la périphérie, dans les nerfs m ? Mxe«/<2'e, et au niveau des
racines
rachidiennes dont les antérieures seules sont l
, tantôt comme des douleurs lancinantes à long trajet partant de la
racine
des membres ou même du rachis. Ces douleurs que
amyotrophique). Seules les formes où les nerfs périphériques ou les
racines
rachidiennes sont pris peuvent logiquement donn
s moteurs. Nous devons, faute de mieux, ? constater l'intégrité des
racines
postérieures et attribuer les phénomènesit doul
hérie dans les filets intra-musculaires, d'autre part au niveau des
racines
antérieures de la moelle. Ces lésions périphériqu
nn. Ces lésions se retrouvent dans les troncs ner- veux et vont aux
racines
antérieures et aussi, mais à un moindre degré, au
vont aux racines antérieures et aussi, mais à un moindre degré, aux
racines
postérieures. Friedreich fait également un examen
rs et inférieurs) il trouve des lésions des cordons postérieurs,des
racines
rachidiennes antérieures et postérieu- (1) GOHB
s latéraux et postérieurs, une atrophie des cornes antérieures. des
racines
postérieures intactes et des nerfs périphériques
, du tissu intra et extrafasciculaire et des gaînes de Schwann. Les
racines
rachidiennes étaient altérées, les antérieures pl
rtent à la fois sur les cordons posté- rieurs de la moelle, sur les
racines
rachidiennes antérieures et postérieures et sur
des variations régionales : dans le cas de Gom- bault et Mallet les
racines
rachidiennes antérieures ne sont pas hypertro-
érieures ne sont pas hypertro- phiées dans la région cervicale; les
racines
postérieures le sont du haut t en bas de la moe
u haut t en bas de la moelle; dans le cas de Dejerine et Sottas les
racines
rachi- diennes antérieures et postérieures sont
t pas proportionnelle à l'hyperplasie des tissus interstitiels. Les
racines
rachidiennes ne présentent que des modifications
chidiennes ne présentent que des modifications peu importantes, les
racines
postérieures sont normales ; dans les racines ant
peu importantes, les racines postérieures sont normales ; dans les
racines
antérieures une partie des fibres nerveuses se
ncs nerveux ; elles sont notable- ment moins marquées au niveau des
racines
rachidiennes et à la périphé- rie dans les file
des cordons postérieurs ne présente trace de systématisation. Les
racines
postérieures adjacentes à la périphérie de la moe
t sur les coupes au Gieson d'une légère sclérose. Les vaisseaux des
racines
sont légèrement épaissis ; les veines sont plutôt
sis ; les veines sont plutôt congestionnées. Les zones d'entrée des
racines
sont partout bien colorées, d'aspect normal, ai
ux et enfin, dans une abondance anormale des fibres fines, dans les
racines
postérieures, avec la perte, ici et là de quelq
ux ». On peut cependant se demander si les très légères lésions des
racines
postérieures et des cordons postérieurs de la m
aussi imper- turbablement que jadis il fallait savoir le Jardin des
racines
grecques. Le seul muscle étudié, exigé, c'était
en macroscopique de la moelle permet de noter très aisément que les
racines
antérieures gauches, partir du premier segment lo
ième segment sacré inclusivement, sont beaucoup plus grêles que les
racines
correspon- dantes du côté droit.Après un soigne
ines correspon- dantes du côté droit.Après un soigneux repérage des
racines
, nous avons isolé in- dividuellement les segmen
solé in- dividuellement les segments lombaires et sacrés avec leurs
racines
correspon- dantes.A ces divers étages de la moe
il est bien coloré, ne présente aucune trace de dégénérescence. Les
racines
antérieures correspondantes aux divers segments e
quelques-unes des cellules restantes. Il existe en outre, dans les
racines
antérieures gauches de ce seg- ment une atrophi
oins accusée que dans les segments sous- jacents, et l'atrophie des
racines
antérieures gauches moins forte ; ces der- nièr
dans L 5 et L 3 où la corne droite est indemme d'al- térations. La
racine
antérieure droite de L 4 présente des lésions atr
analogues, mais beaucoup moins accusées, à celles décrites dans la
racine
gauche. Dans la région dorso-cervicale de la
d'aspect normal, d'un côté comme de l'autre. Rien à noter dans les
racines
postérieures, ni dans les cordons postérieurs à
acré au 1er segment lombaire inclusivement, avec forte atrophie des
racines
lombo-sacrées correspondantes et forte atrophie
ysie infantile dans la moelle lombaire, à droite, avec atrophie des
racines
antérieures. Lamy émet justement l'hypothèse qu
a cellule centrale du protoneurone, siégeant dans le ganglion de la
racine
postérieure. Une fois admise la possibilité d
ion embryologique des gan- glions cérébro-rachidiens, ganglions des
racines
postérieures de la moelle et des nerfs sensorie
ile encoresiM. Barbiéri (1) établit que les gan- glions nerveux des
racines
postérieures appartiennent au système du grand
e sympathique, à l'exclusion totale du cerveau, de la moelle et des
racines
postérieures des nerfs (Simon et Hoche) (2). 4
900 et 2 mars 1903. (2) Simon et Hoche, Les ganglions nerveux des
racines
postérieures appartiennent- ils au système du g
pose augmente au sur et à mesure que l'on s'éloigne davantage de la
racine
du bras ou de la cuisse pour gagner les extrémité
ne-éosine, sont égales en nombre et en volume des deux côtés. Les
racines
antérieures sont normales, ainsi que les vaisseau
x et des hémorragies, pas de lésions dans la substance grise et les
racines
, pas d'altérations dans les renflements cervical
dons pos- térieurs ne sont qu'incomplètement atteints jusqu'à la 7e
racine
, c'est ce qui explique pourquoi la sensibilité
is ; les mouvements actifs réapparurent lentement, spécialement aux
racines
des membres ; elle pouvait mouvoir, bien qu'ave
use et thermique, qui diminue progressivement de la périphérie à la
racine
des membres ; suppression des contractions faradi
à plus d'intensité de la paralysie dans la périphérie que dans les
racines
des membres, symptôme distinctif sur le- quel B
ves de la sensibilité, diminuant lentement de la périphérie vers la
racine
des membres, constituent un symptôme qui, non s
ssent avec une vigueur satisfaisante, à droite les mouvements de la
racine
du membre sont seuls normaux, la pronation et la
cette anesthésie, il ne peut s'agir d'une atteinte du noyau ou des
racines
du trijumeau droit, mais d'une lésion des libre
, variable avec les régions : dans une zone comprenant les 2° et 3e
racines
cervicales, la température est très atteinte, le
ux et nerfs. Ces organes présentent déjà, au niveau du bras et à sa
racine
un aspect grêle manifeste, et ce caractère s'acce
eait sur l'abdomen et le membre in- férieur droit à l'exception des
racines
sacrées. Aucun phénomène bulbo-ponto-pédonculai
ale l'existence de corps granuleux dans tous les faisceaux spinaux.
Racines
rachidiennes. - Les racines antérieures et postér
nuleux dans tous les faisceaux spinaux. Racines rachidiennes. - Les
racines
antérieures et postérieures sont sai- nes jusqu
ître au-dessous et se terminer définitivement à la IX" dorsale. Les
racines
postérieures con- tiennent un certain nombre de
ombre de fibres dégénérées isolées. Dans les cinquiè- me et sixième
racines
gauches on remarque un mode spécial de dégéné-
de la partie médiane du front (filets ascendants), à la peau de la
racine
du nez (filets internes) et à l'espace intersou
averneux soit par des fibres anastomoti- ques directes, soit par la
racine
grise du ganglion ophtalmique. L'inflam- mation
villon se sou- dant en bas sans former de renflement lobulaire ; la
racine
de l'hélix est sou- dée à la conque, les cruraf
te que, s'il va arrêt de développement, ce qui manquera, ce sera la
racine
du membre, dont la partie terminale e se retrou
légèrement brunâtre et extrêmement large. « On remarquait vers la
racine
des deux seins et sur le petit espace de la par
la face supérieure de la mamelle, et à une certaine distance de sa
racine
, une incision curviligne, à convexité inférieure,
bosses frontales saillantes, le nez ré- gulier et non déprimé à la
racine
. Les narines et les yeux sont très écartés (la
t les lésions des cordons postérieurs ou antéro-latéraux, celle des
racines
pos- térieures ; ou bien l'énorme accroissement
otulien ; et cela peut défendre de la compression supportée par les
racines
nerveuses correspondant aux trous de conjugaiso
i peut expliquer ces faits est-elle dans la moelle ou bien dans les
racines
, ou dans l'une et les autres ensemble ? Pour le
ements, ayant cessé. 1 La tête a, pour ainsi dire, perdu une de ses
racines
et s'en va seule gauche et en arrière, aussi lo
professeur V. Uschinsky (3). Ce savant n'obtenait, en[irritant les
racines
postérieures de la moelle épinière chez la gren
pas été coupé, aurait probablement montré, lors de l'irritation des
racines
postérieures de la moelle épinière, des contrac
s expériences célèbres,' que si on serre un membre contracturé à sa
racine
, avec uhebande d'Esmarch, on fait disparaître en
rties latérales) ou la largeur bizygomatique postérieure (prise aux
racines
postérieures des arcades zygomatiques), soit qu'o
les premiers, de 66,7 à 70, 3, pour les autres, de 82,9 à 89,9. La
racine
du nez, souvent en retrait sous le front saillant
trale de la face. Plusieurs auteurs indiquent, au contraire, que la
racine
du nez (qui correspond précisément à l'extré- m
émité inférieure ne commence qu'à environ 2 1/2 cm. au-dessus de la
racine
du nez. Mais il s'agit indubitablement ici de l
s, à la jambe et au pied à droite dans le domaine des 1r*, 20 et 3°
racines
sacrées. Anesthésie à la percussion du tibia dr
membre infé- rieur à droite dans les domaines des 1 ? 2°, 3° et 4e
racines
sacrées. Les hachures simples indiquent l'hyper
AVAST1NE mollissement par artérite syphilitique et de paralysie des
racines
sacrées droi- tes ou syndrome de l'hémi-queue.
res droites de la queue de cheval, à partir de l'émergence de la 2e
racine
lombaire, empêchaient l'étalement complet de la d
A. cette hauteur existe une masse scléreuse, qui englobe toutes les
racines
droites de la queue de cheval, et se prolonge j
mérienne de Lll- Un second foyer, très petit à gauche, enserre les
racines
motrices de Lw et Lili sur un trajet de quelque
trices de Lw et Lili sur un trajet de quelques millimètres et leurs
racines
sensitives sur une hauteur d'un centimètre. L
et leurs racines sensitives sur une hauteur d'un centimètre. Les
racines
sacrées inférieures et coccygiennes gauches adhèr
e et thermique en hémigarniture droite dans le domaine des 3a et 4*
racines
sacrées. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRI1R
QUE. R (Laij nel-Lavnstirre). k Sypliilome scléreux engainant les
racines
sacrées droites (60 D). Ê Détail de la figure A
1 Voici, résumés, les aspects de la symphyse radicuto-meningée, des
racines
et de la moelle. Symphyse radicuLo-neéaingée.
Lo-neéaingée. La masse principale de la symphyse englobe toutes les
racines
sacrées droites et les deux dernières lombaires
XXI). Au faible grossissement, on voit immédiatement que toutes les
racines
ne sont'pas engaînées par la méningite. C'est s
sclérose,' Fis. 4. Symphyse mëniogo-radicutaire droite. On voit les
racines
droites de la queue de cheval engainées par la
longement latéro-supérieur droit du syphi- lome, engainant les Ires
racines
sacrées et les 2 dernières lombaires, on voit d
s par le Pal, présentent l'ensemble de la mé- ningite englobant les
racines
nerveuses, dont les fibres raréfiées et privées d
les dégénérescences. Au-dessus, on voit deux groupes de nerfs, les
racines
sacrées droites sensi- tives complètement dégén
ement dégénérées et les nerfs sacrés gauches normaux, ainsi que les
racines
sacrées motrices droites. Uv sensitive, immédiate
moins nombreuses par suite de la prédominance du syphilome sur les
racines
sensitives. Le foyer méningé latéro-supérieur g
a mé- ninge est épaissie et scléreuse, mais elle n'envoie entre les
racines
que des travées rares et minces qui les accolen
elles qu'une raréfaction de leurs fibres nerveuses. Les lésions des
racines
ressortent de la description du syphilome méningé
cines ressortent de la description du syphilome méningé. Toutes les
racines
comprises dans le syphilome ne sont pas dégénérée
égénérées qu'au-dessous. Il n'y a que dans la moitié droite que les
racines
sont dégénérées d'une façon massive. Dans les
ien, presque exclusivement localisé à droite et prédominant sur les
racines
sensitives. La moelle a des lésions dégénérativ
la partie postéro-externe, représente la génération ascendante des
racines
sensitives droites de la queue de cheval. Les d
ranulations noires dans le cordon postérieur gauche, l'un contre la
racine
postérieure et l'autre un peu plus en dedans re-
la dégénération ascendante des fibres sensitives des deux premières
racines
lombaires gauches. ' 124 LA1GNEL-LAVASTIN1; lez
urdach gauche. La première est due à la dégénération ascendante des
racines
sacrées droites et la seconde à la même dégénér
ées droites et la seconde à la même dégénération des deux dernières
racines
lombaires. Les coupes inférieures,correspondant
rieure de la ménin- gite scléreuse engainant quelques faisceaux des
racines
postérieures de la 4° paire lombaire droite ; l
ceaux des racines postérieures de la 4° paire lombaire droite ; les
racines
antérieures sont normales. La moelle lombo-sacr
l par dégénérescence ascendante massive, suivie dans la moelle, des
racines
sen- sitive.s droites, Lv, Si à Sv, atteintes d
radicu- laire des troubles est la même, que la lésion porte sur la
racine
ou sur la moelle. Aussi ce sont des nuances ou
s ascendantes des cordons postérieurs, consécutives aux lésions des
racines
postérieures. ' Le dessin net de la zone margin
nt endogène. Pour ce qui est de l'existence de fibres provenant des
racines
postérieu- res dans le zone cornu-commissuraled
s de De- jerine et Spiller. Il existe donc des fibres provenant des
racines
postérieu- res dans la zone cornu-commissurale,
t simplement dans la moindre étendue des zones anesthésiées que des
racines
lésées la démonstration de la loi de Scherringt
ition du réflexe rotulien me parait tenir aux lésions des 3e et 4.0
racines
lombaires. On voit, en effet, que le centre de We
médullaires de leur centre, tiennent certainement à la névrite des
racines
communicantes du sympathique au niveau des racine
à la névrite des racines communicantes du sympathique au niveau des
racines
sacrées ; et l'on pourrait peut-être voir dans
de sang, mais leurs parois et la zone périvasculaire sont intactes.
Racines
. Dans l'étude des racines, antérieures et postéri
et la zone périvasculaire sont intactes. Racines. Dans l'étude des
racines
, antérieures et postérieures, nous avons eu rec
lus petite altéra- tion au niveau de la portion extramédullaire des
racines
motrices et sensitives. Toutes les gaînes myéli
é, circonscrit au point de pénétration ou de sortie des différentes
racines
(Fig. 2). Ce même contraste entre la structure
rentes racines (Fig. 2). Ce même contraste entre la structure de la
racine
dans son parcours extramédullaire et la structure
te encore d'une façon très évidente de la Fig. 3, qui reproduit une
racine
postérieure de la moelle lombaire inférieure, sur
une coupe longitudinale, longeant le cordon postérieur. Dans cette
racine
on observe seulement quelques granulations très
scence pathologique du moment qu'on en trouve de pareilles dans les
racines
médullaires de tout cadavre. Méthode de Weigert
es myéliniques des fibres nerveuses qui constituent les différentes
racines
sont uniformément et assez intensément co- loré
e de toutes les fibres nerveuses de la portion extra médullaire des
racines
antérieures et pos- térieures. Les vaisseaux
ne ni dans les cylindraxes des fibres nerveuses qui constituent les
racines
antérieures et postérieures de la moelle épiniè
elle cervicale. Cependant les zones de pénétration ou de sortie des
racines
restent toujours très intensémentcolorées en no
er notablement avec l'intégrité de la portion ex- tramédullaire des
racines
correspondantes ainsi que nous l'avons déjà montr
e cas actuel cependant, avoir obtenu une réaction positive dans les
racines
médullaires et aussi dans la substance blanche de
ires assez fines dans la substance blanche de la moelle et dans les
racines
. Nonne (1899), dans 3 cas de tuberculose foudro
au de la moelle lombaire supérieure. La portion extramédullaire des
racines
était intacte. Cet auteur attribue à ces lésion
lombaire avec participation de la corne antérieure droite et de la
racine
correspon- dante avec gliose légère des cordons
es que dans les troncs nerveux eux-mêmes, mais que la moelle et les
racines
médullaires sont toujours normales. - Colella
plus intensément frappés en étaient les cordons postérieurs et les
racines
postérieures, mais d'autres systèmes, et surtout
Schultze. Dans presque tout les cas la portion extramédullaire des
racines
antérieures et postérieures était intacte. En o
des cellules radiculaires antérieures, névrite parenchymateuse des
racines
postérieures A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE A
onnée ex- clusivement dans les zones radiculaires postérieures. Les
racines
posté- rieures présentaient une légère gliose à
que d'une entité quelconque. L'explication n de cette intégrité des
racines
n'est pas aisée. Evidemment il est très peu vra
issante en direction centripète et qui n'ait pas encore rejoint les
racines
médullaires, car, dans le cas actuel, ainsi que n
autre conclusion que l'intoxication spécifique n'avait pas pour les
racines
mé- dullaires,antérieures et postérieures, la m
ve des nerfs périphériques. Il y a enfin à rappeler l'intégrité des
racines
médullaires, ce qui semble creuser un fossé profo
TION DES PLANCHES - PLANCHE XXIV Prn. 1. Coupe transversale d'une
racine
postérieure au'niveau de la moelle cervicale. M
e grossissement. Flo. 3. Moelle lombaire, coupe longitudinale.- Rp,
racine
postérieure Cp, cordon postérieur. Méthode de M
point quelconque de la peau reçoit l'intervention au moins de deux
racines
sensitives (Sherringthon) et que les noyaux méd
rcussion de la tubérosité interne du tibia (réflexe osseux de la 3e
racine
lombaire), peut provoquer une contraction non seu
net et des doigts. Le premier c'est le réflexe osseux des 5e est 6"
racines
cervicales, le second est le réflexe de la Se rac
x des 5e est 6" racines cervicales, le second est le réflexe de la Se
racine
cervicale. Passons maintenant au membre infér
es membres, avec de profonds sil- lons transversaux en travers delà
racine
des orteils, devant et derrière les chevilles e
des disques). En outre, il y avait : 1° Une ankylose fibreuse de la
racine
des mem- bres ; 2° des lésions thoraciques péri
nt pas la plus petite déformation. Cette intégrité assure celle des
racines
rachidiennes, elle est due à l'absence totale d
de la sensibilité, principalement dans le domaine d'innervation des
racines
dorsales et cervicales inférieures, et parfois
es racines dorsales et cervicales inférieures, et parfois aussi des
racines
lombaires ; 3° des phénomènes en rapport avec l
Babinski admet qu'il s'agit non de tabes vrai, mais de lésions des
racines
postérieures, produites par l'inflammation vert
utre affection on n'a décrit jusqu'ici que des lésions limitées des
racines
et de la moelle ; ces lésions paraissent rester
t qu'il attribue à un retentissement du processus vertébral sur les
racines
postérieures au niveau des trous de conjugaison
stement insisté J. Teis- sier et Roque,, une action marquée sur les
racines
et surtout sur les ra- cines postérieures. Cett
lose vertébrale spon- dylotique ou rhumatismale peut avoir, sur les
racines
et les cordons pos- térieurs une action discrèt
ille secondaire à papillite. Le nez est très petit, très mince à sa
racine
, dévié in loto du côté gauche. Cette déviation
e supérieur est atrophié; cette atrophie remonte parfois jusqu'à la
racine
du membre et même jus- qu'au thorax et jusqu'à
stérieure et envoyant une mince expansion vers la zone d'entrée des
racines
postérieures. Ses différents aspects sont des p
elette externe du cordon postérieur. Dégé- nération peu accusée des
racines
postérieures. Les faisceaux de Gowers et cérébell
lle, mais qu'elles s'étendent encore aux nerfs périphériques et aux
racines
posté- rieures ? Or, il en est de môme pour la
Aspect tabétiquo des lésions des cordons postérieurs. Atrophie des
racines
. Sclérose très nette de la région pyramidale cr
3° Une dégénération des colonnes de Clarke. 4° Une dégénération des
racines
postérieures. Et sa conclusion était la suivant
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVIII, PL. III. FlG. 1. - VIle
racine
cervicale. Lésions très accusées dans les cordo
cervicale. Lésions très accusées dans les cordons postérieurs, les
racines
postérieures et les cordons antéru latéraux. A
quer la dégénérescence très nette du l.usccau de Tiirck. FIG. 2. Xe
racine
dorsale. Comparable en tous points et la XII''
dorsale du cas précédent, mais avec plus d intensité. W c. 3. - IVe
racine
lombaire. De même que pour la figure 2, similit
cordons antéro-latéraux, aux cellu- les des cornes antérieures, aux
racines
rachidiennes et aux nerfs. Enfin, depuis 1893,
ée réellement à une affection primitive du névraxe rachidien et des
racines
médullaires ; à côté d'elle, mais il existe- ra
tout en respectant toujours le faisceau moteur droit, ainsi que les
racines
, les méninges, toutes douleurs rachidiennes éta
géré que fait en arrière et au-dessus du conduit auditif externe la
racine
postérieure de l'arcade zygomatique ou crête su
l nous a semblé observer sur le vivant cette saillie exagérée de la
racine
antéro-postérieure zygomatique. Mais il est une
ée par la dégénérescence primitive des nerfs péri- phériques et des
racines
postérieures ; c'est ainsi qu'en la même année
t l'axe cérébro- spinal, bulbe et protubérance, cervelet, moelle et
racines
. Cependant si le volume du cervelet est un peu
ré- gion postérieure, une pie-mérite fibreuse assez adhérente ; les
racines
posté- rieures sont, dans toute la hauteur, pet
e d'affirmer ici si les fibres endogènes sont conservées ou non. b)
Racines
. Les racines antérieures sont saines. Les racines
ici si les fibres endogènes sont conservées ou non. b) Racines. Les
racines
antérieures sont saines. Les racines postérieures
ervées ou non. b) Racines. Les racines antérieures sont saines. Les
racines
postérieures sont au contraire entièrement dégé
tumeur n'intéresse la Ille paire que dans la région des noyaux et des
racines
. L'hypertension musculaire est due à la compres
sie de cause centrale, elle est plus marquée aux extrémités qu'à la
racine
des membres, elle est accompagnée par de la dys
la partie supérieure et interne du ruban de Reil, les fibres de la
racine
supérieure des- cendante du trijumeau des deux
n diamètre transversal a dimi- nué, à gauche on voit' apparaître la
racine
descendante du trijumeau consti- tuée par de tr
diculaire descendante de la IVe paire se pré- sente dégénérée. La
racine
descendante du trijumeau à gauche est plus distin
u locus coerules sont plus nombreuses et plus riches en pigment, la
racine
descendante de la V. paire, quoique très réduite,
altération n'est visible dans la portion descendante du facial, la
racine
ascendante du trijumeau et la racine interne de l
tion descendante du facial, la racine ascendante du trijumeau et la
racine
interne de l'acoustique. Le bulbe est normal da
envahissant pour que les noyaux gris de l'aqueduc et les fibres des
racines
qui traversent la calotte soient lésés ou compr
l'existence de fibres directes entre le noyau de l'abducens et les
racines
de l'oculo-moteur commun, et de fibres de relai
pargnait le faisceau longitudinal postérieur, le noyau rouge et les
racines
émanées de la Ille paire ; or l'examen histologiq
paire. On peut croire ce trouble consécutif à la destruction de la
racine
supérieure et descendante du trijumeau, qui con
; les saillies osseuses sont bien marquées, apophyses orbi- taires,
racine
du nez, pommettes, menton carré. En outre, le n
odique des muscles dprso-lombaires, relevant d'une inflammation des
racines
du plexus lombo- sacré, soit du côté de la scia
idaux croisés. La région lombaire paraît normale. Les vaisseaux des
racines
sont très dilatés. Ganglion rachidien. Il pré
à la partie antérieure de la moelle et au niveau de l'émergence des
racines
antérieures. Pas d'infiltration .de la substanc
laire des méninges est très intense avec prédominance au niveau des
racines
antérieures. Les racines postérieures sont atte
intense avec prédominance au niveau des racines antérieures. Les
racines
postérieures sont atteintes de névrite parenchyma
re un certain nombre de tubes nerveux normaux. La zone d'entrée des
racines
postérieures est également atteinte par le proc
n assez grand nombre de fibres respectées (pl. XXXIII, fig. 7). Les
racines
postérieures sont, comme à la région lombaire, ne
ui semble dessiner la virgule de Schultze. Ici, comme plus bas, les
racines
postérieures sont fortement sclérosées. 4° Bulb
cordon de Burdach dans sa partie interue (pi. XXXIII, fig. 9). Les
racines
postérieures sont très altérées. Le canal de l'ép
quées à la partie postérieure, dans l'espace compris entre les deux
racines
postérieures. Les artères spinales postérieures
Goll et de la bandelette externe de Pierret. La zone d'entrée des
racines
postérieures est manifestement altérée. 4° Cerv
détruits, sauf au niveau des ban- des longeant le bord interne des
racines
postérieures ; les racines postérieures n'exist
es ban- des longeant le bord interne des racines postérieures ; les
racines
postérieures n'existent plus, les racines antér
acines postérieures ; les racines postérieures n'existent plus, les
racines
antérieures sont touchées, mais non détruites. On
e-éosine. Il existe une inflammation très marquée des méninges, des
racines
et des cordons postérieurs, périvascularite dan
ion cellulaire est nette- ment marquée au niveau de l'émergence des
racines
postérieures et dans les cordons postérieurs ;
. Elle en a les lésions sys- tématiques, les localisations dans les
racines
, les zones de Lissauer, les colonnes deClarke.
n d'un grand nombre de libres à myéline (PI. XXXIV, fig. 10). Les
racines
postérieures sont également enflammées; leurs gan
symétrique des bandelettes de Pierret et des zones de Lissauer. Les
racines
postérieures sont très altérées (pl. XXXIV, fig
ascularite ; leurs parois sont dégénérées sur le mode hyalin. Les
racines
ont leurs vaisseaux très congestionnés, les veine
és, les veines surtout ; les artères sont également dégénérées. Ces
racines
sont infiltrées de petites cellu- les rondes d'
postérieures et antérieures sont conservées (pl. XXXIV,fig. 5). Les
racines
antérieures sont intactes. Les racines postérie
es (pl. XXXIV,fig. 5). Les racines antérieures sont intactes. Les
racines
postérieures sont altérées d'une façon particuliè
faisceaux tout entiers sont détruits alors que d'autres de la même
racine
sont intacts. Au Nissl ; cellules nerveuses nor
ée qu'à la région dorsale, avec périphlébite, congestion énorme des
racines
et aspect relativement normal de la moelle. A
e interne des cordons de Goll, dans la zone de Lissauer et dans les
racines
postérieures. D'autre part existe, dans toute l
antérieure du cordon de Goll. A la région sacrée et lombaire, les
racines
postérieures sont altérées et pré- sentent de l
ucoup de cellules nerveuses, altérées, sont en neurono- phagie. Les
racines
sont congestionnées. Weigert-Pal. Seuls sont dé
écolorés les zones de Lissauer et quelques faisceaux clairsemés des
racines
. Moelle lombaire. Hématoxyline-éusine. L'inflam
. Le tissu nerveux, - cellules et fibres - se. colore très mal. Les
racines
sont enflammées. Weigert-Pal. On voit une rar
la périartérite des artères centrales avec légère endartérite. Les
racines
sont congestionnées et enflammées. Marchi. On v
ales croisées, les bandelettes externes et les cordons de Goll. Les
racines
antérieures sont plus grêles que normalement ; et
grêles que normalement ; et il y a diminu- tion des fibres dans les
racines
avec prédominance d'un côté. Marchi. Il existe
e-éosine. Il existe une infiltration cellulaire des méninges et des
racines
. La radiculite pos- térieure, à prédominance in
rret (pl. XXXIII, fig. 6). Nissl. L'inflammation très accentuée des
racines
se détache en bleu. SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLA
ut- être de l'inflammation méningo-radiculaire, car les lésions des
racines
postérieures peuvent à elles seules expliquer l
ons postérieurs, comme la méningite, qui accompagne ces lésions des
racines
postérieures, peut entraîner une dégé- nérescen
jusqu'à ces dernières années on croyait que leur trajet suivait les
racines
antérieures, nous trouvons des auteurs [Stric%e
nous four- nissent la preuve expérimentale de leur passage dans les
racines
posté- rieures, et d'autres (Mosso) (141) qui s
autres encore dans les cellules du Rattone qui se trouvent dans les
racines
postérieures de la moelle [Poli (14)]. De même, s
aciale, pas de prognathisme. Le nez est normal, un peu déprimé à sa
racine
. Le palais est nettement ogival : il n'y a pas de
orme ; un sillon médian, vertical, large et profond surtout vers la
racine
des cheveux, le sépare en deux bosses frontales a
es. Diamètre bimalaire, 87 millimètres. Hauteur de la face (de la
racine
du nez au menton), 77 mm. Hauteur du crâne (à p
a racine du nez au menton), 77 mm. Hauteur du crâne (à partir de la
racine
du nez), 70 mm. L'indice céphalique est de 77.6
trait, et séparées par un sillon qui commence à 3 centimètres de la
racine
du nez et monte en s'élargissant ; il atteint 1
ans cette position une dispa- rition complète des bras, et de leurs
racines
ne laissant voir que le tho- rax évasé en bas,
-crâniennes. Celles-ci s'avancent plus ou moins, parfois jusqu'à la
racine
du nez (fig. 1) ; parfois au contraire elles lais
ant, elle remonte parfois, comme je l'ai dit, jusqu'au niveau de la
racine
du nez : sur les côtés elle s'étend jusqu'à que
t. Aussi me suis-je contenté de reconnaître au passage les diverses
racines
, sans essayer de les suivre. Les recherches sub
paisse qui n'est autre que la dure-mère, repré- sente de nombreuses
racines
enveloppant l'extrémité inférieure de la moelle
à ce niveau on observe encore, avec'une certaine netteté, quelques
racines
postérieures ce fait a une signification sur laqu
Pie-mère. - Vp. Gaine vasculaire postérieure. - Dm. Dure-mère. Rp.
Racines
postérieures. Rc. Revêtement cutané. Gg. Gangli
du canal rachidien ouvert. Ces faisceaux nerveux appartiennent aux
racines
postérieures, ainsi que le démontre leur situat
de liquide fixateur. Au bout de quelques heures, la moelle avec ses
racines
, en extension, le bulbe, la protubérance, la fa
ou pénètre trop peu dans les espaces sous-arachnoïdaires. Moelle.
Racines
. Nerfs. - Baignés dans le fixateur ils sont prêts
ées une lumière artificielle intense et en diaphragmant. Nerfs et
racines
. Inclus au collodion et coupés longitudinalement,
des os cartilagineux de la base du crâne, avec enfonce- ment de la
racine
du nez, qui contrastent avec une voûte crânienne
boudiné des membres généralement déviés, et un enfonce- ment de la
racine
du nez, contrastant avec un développement du crân
e. Les os des membres de ce foetus sont petits, épais, anguleux, la
racine
du nez enfon- cée ; mais la tête n'est pas augm
oplase adulte. La face est petite, la langue souvent procidente, la
racine
du nez aplatie et paraissant d'autant plus enfo
nversée), large, les traits gros ; le nez court, épaté, aplati à la
racine
, large à l'extrémité, aux narines béantes. Les de
neux. svm 33 498 POHAK ET DURANTE Les os du nez, aplatis à leur
racine
, en retrait, sont larges, triangulaires ou quad
rémité céphalique est tantôt normale, tantôt un.peu volumineuse. La
racine
du nez n'est pas enfoncée, aussi l'aspect crétino
umann, Schmith, Lessing, Urtel, se basant sur l'enfonce- ment de la
racine
du nez, considéraient l'achondroplasie comme un r
la tête brachycéphale à bosses saillantes, par l'enfoncement de la
racine
du nez, par la synostose prématurée des os de l
ourcissement des membres avec microrizomélie, l'enfonce- ment de la
racine
du nez, la grosseur de la tête ainsi que l'inclin
gus - 11 cent. 25. De la glabelle au tragus = 15 centimètres. De la
racine
du nez à l'insertion des cheveux = 9 cent. 75.
exophtalmie évidente et surtout un enfoncement très prononcé de la
racine
du nez bien visible sur la photographie qui rep
: Le médius = cent. 8. La main,de l'apophyse styloïde du radius la
racine
des doigts = 6 cent. 1/2. L'avant-bras du somme
c la déformation habi- tuelle du nez qui est enfoncé et aplati à sa
racine
, une déformation carac- téristique des mains, l
esque tous les achondroplasiques. Le nez est aplati et enfoncé à sa
racine
,ce qui est dû peut-être à un arrêt de développe
base crânienne qui restant plus courte, produit l'enfoncement de la
racine
du nez. Seulement dans deux cas d'achondroplasi
aux membres inférieurs, que le nez n'est pas aplati et enfoncé à sa
racine
. Mais il convient de rappeler que dans les cas
= 18, avant-bras = 14 cm.). En ce qui concerne l'enfoncement de la
racine
du nez c'est un symptôme qui manque également d
coupée au niveau du trijumeau et le bulbe au niveau de la première
racine
cervicale pèse, après durcissement dans le liqu
érieur et supérieur, les noyaux masticateurs et de la VIII° paire, la
racine
des- cendante du trijumeau sont normaux. Sur ce
e. Les fibres arciformes trigéminales sont très peu nombreuses ; la
racine
des- cendante du trijumeau, le faisceau latéral
ciliaire et du feutrage environnant. Moelle. -Au niveau des lre-5e
racines
cervicales on remarque : raréfaction très accen
daux directs et des faisceaux de Goll (PI. LXII). Au niveau des zen
racines
cervicales à droite, la zone du faisceau pyramida
plus marquée à gauche qu'à droite. De même qu'au niveau des lao-88
racines
cervicales, les cordons de Goll NOUVELLE Iconog
r partie centrale en même temps que la commissure grise. A la 42e
racine
dorsale on retrouve les mêmes lésions qu'au nivea
e la face. Depuis quelque temps il comnence un peu d'atrophie de la
racine
du membre in- férieur droit (3). La'même anné
eau de la partie infé- rieure du renflement cervical, englobant les
racines
antérieures et ayant déterminé une atrophie net
les meil- leures conditions. Les auteurs notent cependant que les «
racines
présentent une riche vascularisation » ; ils no
l. - W. Intermédiaire de Wris- berg. - Ac. Acoustique. - r a Ac. Sa
racine
antérieure. r p Ac. Sa racine pos- térieure. -
berg. - Ac. Acoustique. - r a Ac. Sa racine antérieure. r p Ac. Sa
racine
pos- térieure. - M 0 E. Moteur oculaire externe
Parmi elles, il convient de mentionner spécialement les artères des
racines
et des noyaux d'origine des fibres du moteur oc
une rigidité très marquée et comme l'élongation de la moelle et des
racines
est intimement liée à la flexion de la paroi an
'extrémité libre, pourvue d'un ongle bien formé ne dépasse guère la
racine
des deux pré- cédents. . 42 ALBERT LONDE ET H
des cordons postérieurs dans toute leur étendue et une atrophie des
racines
posté- rieures qui sont grêles et grisâtres.
au des cordons postérieurs n'ont pas révélé de corps granuleux. Une
racine
postérieure qui représente environ le 1/li du vol
Une racine postérieure qui représente environ le 1/li du volume d'une
racine
antérieure est dissociée après passage à l'acid
rmol à 10 p. 100, des rondelles d'un centimètre au niveau de chaque
racine
ont été placées pen- dant trois jours dans le m
sans méningite véritable. Les lésions essentielles portent sur les
racines
postérieures et sur les cor- dons postérieurs.
sclérose peu intense. On remarque l'intégrité de la zone d'entrée des
racines
(Westphal) comptise entre la substance gélatine
triangle de sclérose, correspon- dant à la bandelette externe. Des
racines
postérieures il ne reste plus que quel- ques fi
ement oblique entre la 5e et la 6e sacrées montre la pénétration de
racines
postérieures conservées au niveau des cordons p
moins marquées dans les zones de Lissauer. Un plus grand nombre de
racines
postérieures pénètrent dans les cordons postérieu
nférieur. (Pl. X, C.) 4° Région lombaire moyenne (3° lombaire). Les
racines
postérieures pénè- trent encore en plus grande
ke dont les fibres blanches ont diminué légèrement de quantité. Les
racines
postérieures pénètrent en assez grand nombre. L
ent des cordons postérieurs est notable. La zone de pénétration des
racines
est atteinte, ses filets radiculaires pénètrent e
la région de Goll sclérosée. On voit nettement certaines fibres des
racines
postérieures pénétrer d'emblée dans les, cordon
an postérieur) sont conservés. Il faut remarquer, en outre, que les
racines
postérieures extra-médullaires présentent, elles
, les lésions des nerfs périphériques et de leurs terminaisons, des
racines
postérieures, et aussi des racines antérieures,
es et de leurs terminaisons, des racines postérieures, et aussi des
racines
antérieures, peuvent être incriminées vraisembabl
rtaine mesure, sans parler même de la moelle. En réalité, c'est aux
racines
postérieures et à la moelle, siège pour ainsi dir
ui de Westphal, où les réflexes rotuliens étaient abolis, et où les
racines
pos- térieures étaient intactes : ce qui permet
la perte du réflexe. Il est possi- ble, d'autre part, que, dans les
racines
sensitives, certaines fibres soient plus direct
ière, par la subs- tance gélatineuse et le point de pénétration des
racines
postérieures. Cette zone, dite par Westphal zon
cines postérieures. Cette zone, dite par Westphal zone d'entrée des
racines
, est, d'après cet auteur, toujours intéressée d
es réflexes ont été conservés jusqu'à la mort, la zone d'entrée des
racines
reste intacte. Il en était ainsi dans l'observati
e de Westphal. Dans notre cas, on constate que la zone d'entrée des
racines
est conser- vée. C'est donc un nouvel exemple q
on du tabes atteint d'une façon prédominante les fibres courtes des
racines
postérieures, comme le fait Minor, c'est énonce
dus dans les bourses. Quelques poils très clairsemés occupaient la
racine
de la verge ; le pubis était glabre. « Les tr
ion sourcilière au sommet du crâne. Une pre- mière bande part de la
racine
du nez et remonte verticalement vers la (1) Dno
ette gracilité est plus marquée à la région dorsale inférieure. Les
racines
antérieures sont normales comme volume et comme
nes antérieures sont normales comme volume et comme coloration. Les
racines
postérieures, au contraire, sont gro- les et su
un peu épaissies, en tous cas, la lésion est très peu marquée. Les
racines
rachidiennes antérieures sont normales. Les racin
eu marquée. Les racines rachidiennes antérieures sont normales. Les
racines
postérieures présentent de très grosses lésions
sa sortie du coraco-brachial, etc. Les nerfs sont très altérés. Les
racines
antérieures sont saines, les pos- térieures trè
du nerf (là où commence le nerf mixte, formé par la réunion de deux
racines
) sur une section transversale, on distingue un
rosses qui doi- vent représenter uniquement les prolongements de la
racine
antérieure; à côté, d'autres faisceaux composés
faisceaux composés de fibres grosses et petites et provenant de la
racine
postérieure, etc. De tout cela, nous pouvons re
observait 1 dans les nerfs mixtes, doivent provenir uniquement des
racines
posté- rieures et être par conséquent fibres se
LET 217 appliquée sur le crâne, sur les apophyses mastoïdes, sur la
racine
du nez. Avec l'audiphone on n'obtenait presque
al qui sépare la protubé- rance du bulbe; là il se termine par deux
racines
(Fig. 1). Une racine externe appelée encore pos
- rance du bulbe; là il se termine par deux racines (Fig. 1). Une
racine
externe appelée encore postérieure ou cochléaire
ccessoire de l'acouslique, et le tubercule acoustique latéral ; Une
racine
interne, appelée encore antérieure ou vestibulair
tibulaire, qui passe entre le pédoncule cérébelleux inférieur et la
racine
descendante ou bul- Fm, 1. - Coupe de la région
pe de la région hulbo-protubérautielle au niveau de l'émergence des
racines
du nerf acoustique. 1, racine externe ou postér
ielle au niveau de l'émergence des racines du nerf acoustique. 1,
racine
externe ou postérieure. 2, noyau antérieur de l'a
re. 2, noyau antérieur de l'auditif, et 3, tubercule acoustique. 4,
racine
externe ou antérieure. S, noyau dorsal interne. -
xterne ou de Deilers. 7, noyau de Bechterew. 8, ruban de Reil. - 9,
racines
inférieures des trijumeaux.- 10, faisceaux pyrami
est pas sa terminaison définitive; au sortir de cette masse grise, la
racine
interne se bifurque en deux branches ascendante
er la perte de l'ouïe des deux côtés, il nous faut admettre que les
racines
ou les deux branches constituantes du nerf acou
: « 1° Sur le trajet de la veine temporale superficielle, et de ses
racines
constituées..par les veines pariétales ; « 2°
e consti- tuent les anastomoses réciproques des veinules servant de
racines
aux troncs principaux. « C'est ainsi, par exe
lésion accentuée. La moelle a été étudiée d'une façon systématique,
racine
par racine, au niveau de la région lombaire et
ntuée. La moelle a été étudiée d'une façon systématique, racine par
racine
, au niveau de la région lombaire et sacrée. D
postérieure du côté sain (Ci-. 2). C'est surtout à partir de la 3e
racine
lombaire, à son émergence de . la moelle, que l
les avons retrouvées il peu près analogues de part et d'autre. Les
racines
postérieures qui, étudiées macroscopiquement, ne
roit). L'atrophie est en outre très étendue, manifeste depuis la 3e
racine
lombaire jusqu'à la on sacrée. L'atrophie méd
née d'une ankylose plus ou moins complète des articula- lions de la
racine
des membres. Le mémoire de M. P. Marie est basé
des mouvements qui s'effectuent dans les autres articulations de la
racine
des membres. Antécédents. Père et mère bien por
s ou passifs se passant dans les articulations encore mobiles de la
racine
des membres sont douloureux à leur limite. Ains
ausser les épaules s'accompagne de craquements des deux côtés de la
racine
du cou. Les mouvements des genoux, s'accompagnent
rticulation correspondante pour les mouvements des seg- ments de la
racine
des membres non complètement ankylosés. Tout éb
mitation des mouve- ments pour les trois autres articulations de la
racine
des membres, les autres articulations restant l
sent pas expressément mention de l'ankylose des articulations de la
racine
des membres il semble bien que le malade dont ils
s avec une ankylose plus ou moins prononcée des articulations de la
racine
des membres, les petites articulations des extrém
soudure du rachis et de l'ankylose des grosses articulations de la
racine
des membres, on peut constater dans la spondylose
ticulation que celles M 23 338 E. FEINDEL ET P. FROUSSARD de la
racine
des membres, la temporo-maxillaire droite-, est a
e, immobilisant d'abord les articulations du rachis et celles de la
racine
des membres pourrait-elle donc gagner les autres
SARD Il est possible aussi qu'elle soit due à quelque excitation de
racines
antérieures par des ostéophytes, de même que le
tures sont soudées ; les fonta- nelles manquent et à la place de la
racine
nasale se trouve une tumeur de la grosseur d'un
place apparaissent seulement les noyaux du faisceau de Burdach, la
racine
spinale du trijumeau, la voie cérébelleuse du cor
Goll, celui de Burdach, la voie cérébelleuse du cordon latéral, la
racine
spinale du trijumeau, le nerf hypoglosse, le fa
ture du quatrième ventricule, nous trouvons le corps restiforme, la
racine
spinale de trijumeau, le nerf glosso-pharyngien
t antérieurs manquent, ainsi que la voie cérébelleuse directe et la
racine
du trijumeau, le faisceau fon- damental du cord
e l11)é- line des deux côtés; vers sa face ventrale se dirigent des
racines
nerveuses qui se terminent dans la membrane ell
n cervicale. Absence des voies pyramidales, cérébelleuses, et de la
racine
spinale du trijumeau. b. Cas 1', Moelle épinièr
Cas 1', Moelle épinière et membrane recouverte de fibres myéliniques,
racines
postérieures. c. - Cas Il'. Moelle épinière; pa
cette membrane par la méthode de Nissl à l'endroit d'où parlent les
racines
antérieures, nous trouvons de deux côtés un group
savoir : des cellules nerveuses, des fibres myéliniques et même des
racines
antérieures parlant indubitablement des cellules.
consistant en fibres myéliniques, il travers lesquelles passent les
racines
antérieures, qui louchent les cellules motri- c
yramidale, du ruban de Reil, de la voie cérébelleuse directe, de la
racine
spinale du nerf trijumeau), ou bien il ne reste
s- térie nous a mis à même d'attaquer ce fléau car c'en est un à sa
racine
: l'hystérie est le plus souvent un fruit de l'
sque dans la région lombaire de la moelle. ZZZZ, lignes d'origine des
racines
postérieures des nerfs spinaux. M, faisceau latér
jusqu'à celle n° 17 (inclusivement) r' indique le lieu d'o-rigine des
racines
antérieures des nerfs spinaux, r indique le lieu
acines antérieures des nerfs spinaux, r indique le lieu d'origine des
racines
postérieures. Les lettres ap continuent à désigne
convolution de l'ourlet, qu'on a enlevée. Ijj, olfactif avec ses deux
racines
blanches. A, quadrilatère perforé. K, chiasma des
ieur de la moelle allongée avec lequel il se com-bine. E, coupe d'une
racine
du nerf auditif. Y, corps restiforme. V, émi-nenc
te figure est destinée principalement à montrer les prolongements des
racines
du trijumeau et de l'auditif. D, N, P, V, W, Y,
supra. H, nerf trijumeau. H', petite portion de ce nerf. R R', grosse
racine
de ce nerf allant au faisceau postérieur et à Ja
nterne, faisceau moyen, faisceau externe du pédoncule cérébelleux. E,
racine
de l'auditif. Y, corps restiforme. X, pyramide po
ieure. KK, lobe digastrique. BB, lobule attenant au nerf auditif, bb,
racine
de ce nerf. X, pyramide postérieure, pointe du ca
toutes les parties transversales de cette protubérance ainsi que les
racines
nerveuses qui se combinent avec elles. Le plus
restiforme) F F, nerfs de la septième paire. E E, nerfs auditifs, e,
racine
de ces nerfs collée à la surface du plancher du v
evés et renversés en arrière. 4, espace perforé du côté droit, a' a",
racine
grise du nerf op-tique se portant en divergeant d
Cette lame grise est formée par la réunion sur la ligne mé-diane des
racines
grises des nerfs optiques de droite etde gauche,
e antérieure du quadrilatère perforé. Sur cette marge on voit en D la
racine
blanche interne, en C la racine blanche externe d
foré. Sur cette marge on voit en D la racine blanche interne, en C la
racine
blanche externe de l'olfactif. B, origine de la g
re du corps strié. 11 marquent la coupe des nerfs olfactifs et leur
racine
grise antérieure. P P, portion de la circonvoluti
eur, ou bien les fibres de ce faisceau prolon-gées de G en L dans les
racines
du nerf optique. De L en V, branche antérieure
che antérieure du pilier antérieur de la voûte, rayon-nent encore des
racines
du nerf optique. Les racines occupent la partie i
rieur de la voûte, rayon-nent encore des racines du nerf optique. Les
racines
occupent la partie interne de l'espace perforé, s
é dans le quadrilatère, où il est caché par le tractus optique et les
racines
grises. P, faisceau postérieur, se retournant s
es molles est surtout accentuée au niveau du dos de la main et à la
racine
des doigts, au voisinagede l'ar- ticulation mét
tend même par l'intermédiaire de la région dorsale inférieure, à la
racine
de la cuisse du côté opposé. Cette évolution lent
tée dès la naissance; elle porte sur tous les segments y compris la
racine
(clavicule). Aux doigts la disproportion exista
ux sanguinolent. La moelle est aplatie d'avant en arrière de la IVe
racine
cervicale jus- qu'à la VIe dorsale. Ce segment
plus petit qu'à l'ordinaire, pour son sac durai. Au niveau de 2e
racine
cervicale, la corne antérieure gauche est atro-
térieure gauche est atro- phiée et rejetée en dehors. La base de la
racine
postérieure du même côté est remplacée par une
e lacune,'quelques vaisseaux à parois épaisses. Au niveau de la IVe
racine
cervicale, la moitié gauche de la moelle est pl
t aplatie d'avant en arrière de ce côté gauche. Au niveau de la VIe
racine
cervicale les lésions s'exagèrent ; la fente se
ions s'exagèrent ; la fente se continue avec l'épendyme et gagne la
racine
postérieure droite. L'épen- dyme constitue la p
E LA SALPÊTRIÈRE. r. XVI, PL. XIV. Moelle au niveau de la cinquième
racine
cervicale (cûté gauche de la moelle, à droite d
de la moelle, à droite du lecteur). Moelle au niveau de la sixième
racine
cervicale (côté gauche de la moelle, à droite d
DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVI. PL. XV Moelle au niveau de la deuxième
racine
dorsale (côté gauche de la moelle, à droite du
e la moelle, à droite du lecteur). Moelle au niveau de la cinquième
racine
dorsale (côté gauche de la moelle, à droite du
u de la partie inférieure de l'étage correspondant - à la cinquième
racine
dorsale (côté gauche de la moelle, à droite du
l'émergence des fibres sensitives ; à droite, elle pénètre dans la
racine
postérieure et la divise par plusieurs prolonge
le, les lésions augmentent encore d'intensité (Pl. XV, C). Les deux
racines
postérieures sont détruites par la fente, la dr
ont presque disparu ; seule- ment quelques petites lacunes dans la
racine
postérieure gauche. La moelle lombaire au nivea
vers le renflement lombaire, mais enserre encore très nettement les
racines
qui en émanent. Il atteint sa plus grande épais
modifications de la pie-mère, des vaisseaux extra-médullaires, des
racines
? ' ! Les méninges molles sont remplacées par u
r, écartant et comprimant plus ou moins les cordons antérieurs. Les
racines
, dispersées sur toute la périphérie de la moelle,
ure myélopathique, n'en a pas moins une évolution centrifuge, de la
racine
des membres à la périphérie comme dans la myopath
grosse atrophie muscu- laire, symétrique, prédominante encore à la
racine
des membres, mais non masquée comme aux membres
ien cette inégale répartition de l'atrophie et sa prédominance à la
racine
. Si l'on dit au malade de prendre un' verre qui
nts faradiques en rapport avec l'atrophie : abolition au niveau de la
racine
des membres; simple diminution au niveau des mu
e musculaire étendue aux quatre membres, symétrique, totale pour la
racine
des membres, presque totale pour les segments p
lente et pro- gressive, la prédominance marquée de l'atrophie à la
racine
des mem- bres, la fausse hypertrophie des membr
HIQUE PROGRESSIVE 117 7 elle pas supposable pour les cordons ou les
racines
postérieurs ? On ex- pliquerait ainsi les cas o
sent des masses musculaires bien développées dans la saillie de la
racine
du membre. A la face postérieure de la jambe, le
les déformations du fémur sont considérables. Dans la saillie de la
racine
du membre, dont l'exploration était rendue des
P. glande pituitaire. - AC.A. artères cérébrales antérieures. - N.C.
racines
cervicales. N.D. racines dorsales. NL. racines
.A. artères cérébrales antérieures. - N.C. racines cervicales. N.D.
racines
dorsales. NL. racines lombaires. 136 BRISSAUD E
antérieures. - N.C. racines cervicales. N.D. racines dorsales. NL.
racines
lombaires. 136 BRISSAUD ET BRUANDET . pourtou
rémité inférieure du rachis a une courbure inverse de la normale.
Racines
rachidiennes. La face postérieure des corps ver
haque côté de ces portions rachidiennes'on constate des saillies de
racines
nerveuses dans leur trou de conjugaison. Tous ces
me la partie inférieure de la fosse pathologique, sur les côtés les
racines
sacrées se disposant comme les précédentes. Sur
racines sacrées se disposant comme les précédentes. Sur la deuxième
racine
sacrée droite on constate une disposition spéci
ine sacrée droite on constate une disposition spéciale : , de cette
racine
se détache un nerf, qui dans la gouttière se po
tour du trou osseux. Les dits ganglions sont très dé- veloppés à la
racine
des membres ; au membre supérieur sont 4 ou 5 gan
ouve toujours des fibres nerveuses, qui représentent peut- être des
racines
antérieures accolées ; mais la dissection ne pouv
Le glossopharyngien, le pneumogastrique, le spinal ont chacun une
racine
centrale propre ; au niveau du trou déchiré posté
ns et, en outre, au devant des ganglions spinaux, l'existence d'une
racine
antérieure, motrice, dis- tincte de ce ganglion
lement de nombreuses soudures et fusions' des côtes, soit à leur
racine
vertébrale, soit dans leur trajet. Les paquets
épinière prélevée hâtivement a été sec- tionnée au niveau de la 4°
racine
cervicale. Le cerveau et le bulbe ont dû être l
s de la moelle cervicale. On y voit le sillon antérieur, les diverses
racines
antérieures et postérieures, et la riche vascul
scularisation de la pie-mère. Jusqu'à la hauteur de l'émergence des
racines
de C. VIII, la moelle cervicale ne présente ext
aillie très pro- noncée englobant entièrement la zone d'origine des
racines
antérieures de C. VIII, D. I, D. II. C'est au n
s- térieur, on voit aussi les régions correspondant à l'origine des
racines
posté- rieures droite et gauche, ou à la termin
parties par la corne postérieure droite. On constate entre les deux
racines
postérieures, en arrière de la com- missure, un
V, P). Les vaisseaux n'offrent aucune modification sensible. Ni les
racines
nerveuses, ni les méninges ne présentent de lés
au fibrillaire et de ses capillaires que se fait son extension. Les
racines
nerveuses que l'on rencontre sur la coupe ont con
seaux pie-mé- riens, une accumulation anormale de leucocytes. Les
racines
antérieures que l'on rencontre au pourtour de la
rruption pres- que complète de la moelle épinière au niveau des VHP
racine
cervicale et Ire dorsale ; elle s'est comportée
ppée primitivement dans les parties centrales de la moelle vers les
racines
C. VIII et D. I, s'étendail excentriquement dans
développement de la tumeur, furent au début, ceux d'une lésion des
racines
sensibles, des douleurs. Ce furent les premières
es-ci : 1° La tumeur a d'après l'évolution clinique débuté vers les
racines
C : . 'III et D.I. 2" Le diagnostic des tumeu
comme cela se ren- contre fréquemment dans les moelles séniles. Les
racines
sont normales. Les coupes portant sur le filum
sommet, 285. La largeur du front 120 mm. La hauteur du front de la
racine
du nez aux cheveux 61 mm., la longueur du nez 4
à une seule pièce squelettique, elle remonte de l'extrémité vers la
racine
; elle remonte plus ou moins haut ; dans tous le
nière des paralytiques existe une intégrité absolue ou relative des
racines
postérieures ; mais Perpère répond que les racine
ou relative des racines postérieures ; mais Perpère répond que les
racines
postérieures, bien que peu touchées dans les ca
tend à l'abdomen dont la peau retombe comme un épais tablier sur la
racine
des cuisses, à la région des lombes et aux fess
ississement adipeux augmente d'autant plus qu'on se rapproche de la
racine
des membres. Enfin, la peau, aux extrémités, en
rogressive de ces altérations, à mesure que l'on se rapproche de la
racine
du membre, semblerait parler également en faveur
es cornes antérieures avec dégénérescence plus ou moins marquée des
racines
antérieures, ne correspondait aucune lésion des
ocalisé le plus souvent au pied, à la face dorsale, commençant à la
racine
des orteils pour se terminer autour du cou-de-p
tués, il se fait une véritable saillie, un bourrelet à partir de la
racine
des orteils. On peut l'observer au dos des mains,
istale d'un membre (1) et se poursuit, sans interruption, depuis la
racine
des orteils ou des doigts jusque très au-dessus
e très au-dessus de la cheville ou du poignet et souvent jusqu'à la
racine
du membre. - La consistance du trophoedème est
re observation personnelle, le tissu graisseux ne fait saillie à la
racine
du membre, lequel, dans son hypermégalie a cons
ès peu accusée : légère dé- formation du nez un peu plus large à sa
racine
à gauche qu'à droite ; hélix fortement ourlé av
e de Millier, la moelle est divisée en seg- ments correspondant aux
racines
rachidiennes. Sur chaque segment, on pré- lève
ieure et moyenne de la moelle dorsale. On remarque en outre que les
racines
postérieures, pendant leur passage à travers la p
s par une dégénérescence rétrograde qui s'arrête au niveau de la 2°
racine
dorsale ; an- dessous leur dégénérescence cellu
ui existe entre la moelle épinière et la moelle allongée on voit la
racine
posté- rieure, marquée sur les coupes précédent
e. En avant de la substance gélatineuse de Rolando nous trouvons la
racine
descendante du nerf trijumeau, entourée à la péri
, en avant la substance gélatineuse de Ro- lando, recouverte par la
racine
spinale du nerf trijumeau et séparée de la péri
mence- ment du pédoncule cérébelleux inférieur. En avant, existe la
racine
spinale du nerf trijumeau, en dedans la substan
ée entre la moelle épinière et allongée on trouve de chaque côté la
racine
postérieure. Phot. 15. - Ce qui frappe sur cett
nt^des fibres myéliniques du faisceau cérébelleux ; devant elles la
racine
spinale du nerf triju- meau ; en dedans de ce f
nettement indiquée que dans les coupes précédentes. En dehors de la
racine
spinale du nerf trijumeau nous trouvons de petite
les cérébelleux inférieurs sont augmentés de volume, de même que la
racine
spinale du nerf trijumeau. L'olive inférieure est
le pédoncule cérébelleux inférieur, en dedans duquel on aperçoit la
racine
descendante du nerf triju- meau, entourée en de
. - Coloration uniforme, très peu accusée à la face palmaire, où la
racine
du pouce et l'éminence thénar sont presque normal
la même coloration. On constate en outre quatre verrues, trois à la
racine
de l'index, une à l'auriculaire. Main droite.
e de Rolando, entre laquelle et les cordons postérieurs passent les
racines
postérieures. Dans la partie antérieure de la moe
es de pâles fibres myéliniques, correspondant au commencement de la
racine
spinale du nerf trijumeau. PHOT. ? 5. -La qua
r la périphérie à de pâles fibres myéliniques, correspon- dant à la
racine
spinale du nerf trijumeau. La moelle épinière app
o, limitée en dehors par les fibres myéliniques, correspondant a la
racine
spinale du nerf trijumeau, et dans la périphéri
les, séparant la moelle épinière de l'allongée, se sont placées les
racines
postérieures, avec cela il faut remarquer que les
ée est restée sans grands changements : les cordons postérieurs, la
racine
spinale du nerf trijumeau, la substance géla- t
es, allant dans la direction d'avant en arrière et passant dans les
racines
antérieures. La quan- tité de fibres myélinique
yéliniques dans les cordons posté- rieurs a quelque peu diminué. La
racine
spinale du nerf trijumeau s'agrandit, de même q
ubstance gélati- neuse de Rolando, entourée postérieurement par les
racines
postérieures. A la distance de 1 millimètre de
res myéliniques nettement indiquées ; c'est le commence- ment de la
racine
spinale du nerf trijumeau et des fibres arciforme
aisceau myélinique mince coupé dans sa direc- tion transversale, la
racine
spinale du nerf trijumeau. En dehors, elle est en
ns de ces fibres arciformes dans la partie postérieure se trouve la
racine
spinale du nerf trijumeau. Dans la moelle épini
ons pos- térieurs finissent, à leur extrémité postérieure touche la
racine
spinale du nerf trijumeau, entourée à la périph
ns postérieurs et à leurs noyaux au bord de la moelle, se trouve la
racine
spinale du nerf trijumeau, située à la péri- ph
moelle allongée de l'épinière. Dans cette fissure sont placées les
racines
postérieures. L'asymétrie énorme qui existait d
rtie suspendue de la moelle allongée. En son intérieur se trouve la
racine
spinale du nerf trijumeau. Par la raison que la
re et de l'allongée, une fis- sure assez profonde s'est formée ; la
racine
postérieure y est placée. Dans la partie voisin
x indiquée que sur le côté opposé. A leur extérieur est placée la
racine
spinale du nerf trijumeau. Eu avant de la subst
ste une fissure, mais elle est plus petite que du côté opposé et la
racine
postérieure y est aussi placée. Au devant du ca
tés passent des fibres myéliniques nettement dessinées, ce sont les
racines
anté- rieures. Ainsi à ce niveau s'est accomp
S DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 2a9 contenant les
racines
postérieures, prouve encore ceci, que les parties
loppée dans la première moitié que dans la seconde ; par contre, la
racine
spinale du nerf trijumeau est ici bien moins dé
même de la moelle. Les sillons des deux côtés existent encore et les
racines
postérieures y sont situées. , Phot. 36. Le c
us que de l'autre. Au devant des cor- dons postérieurs on trouve la
racine
spinale du nerf trijumeau qui est plus dé- velo
ale. La fissure dans les parties latérales a presque dis- paru. Les
racines
postérieures sont presque invisibles. Plus haut
chidien nous trouvons aussi la substance gélatineuse de Rolando, la
racine
spinale du nerf trijumeau, les fibres arciformes
imitée en arrière par une partie des cordons postérieurs et par les
racines
postérieures. PnoT. 38. - La partie antérieure
x, il s'est formé des fis- sures, dans lesquelles nous trouvons les
racines
postérieures ; avec les cordons postérieurs est
parées l'une de l'autre par une fissure latérale, où sont placées les
racines
postérieures. La moitié supérieure de la moelle
ban de Reil. Des deux côtés des faisceaux fondamentaux marchent les
racines
antérieures, les cordons latéraux sont diminués d
tée à sa périphérie par des fibres myélini- ques correspondant à la
racine
spinale du nerf trijumeau. D'autres changements
icromélie surtout rhizomélique, c'est-à-dire portant surtout sur la
racine
des membres, s'atténuant au contraire vers l'extr
a ceinture 74, au niveau du grand trochanter 95, Lourde cuisse à la
racine
53, tour du mollet 32. Ces chiffres sont peu in
La face est asymétrique, la moitié gauche est moins développée. La
racine
j] nez est aplatie, le front est plat, le maxilla
as où, sévissant comme une véritable épidémie, il semble avoir pris
racine
dans la famille, s'attaquant à ses membres avec
tigmates de sclérodactylie, vont se rapetissant et s'effilant de la
racine
à l'extrémité libre ; ils se terminent par un ong
e laisse poursuivre dans le bulbe jusqu'à la hauteur où sortent les
racines
du pneumogastrique et de la Xlle paire des nerf
s que la coloration du cylindraxe au carmin est parfaite. Plusieurs
racines
antérieures et postérieures ont été examinées san
hie du nerf optique droit. Dans les nerfs périphériques et dans les
racines
, disparition des fibres à grand calibre et augm
microscope on ne constatait pas de lésions dans la moelle. Dans les
racines
antérieures le nombre des fibres fines prédominai
x moteurs du trijumeau. La protubérance à la hauteur où sortent les
racines
des nerfs trijumeaux était très étroite. Cette
moelle 35,5 centimètres, l'épaisseur dans la région cervicale (IVe
racine
) 12 - 7 m/m dorsale (VIe « ) 8 5 m/m lombaire
« ) 5,5 - 4,5 m/m La structure de la moelle était normale. Dans les
racines
le nombre des fibres fines était plus grand que
celle que nous constatons chez Haud.... Dans tous les cas où les
racines
et les nerfs périphériques ont été exa- minés,
ent pas décelables sur des préparations colorées au picro-carmin.
Racines
et 1w'fs. - Les racines ont été examinées à leur
des préparations colorées au picro-carmin. Racines et 1w'fs. - Les
racines
ont été examinées à leur émergence de la moelle
Weigert avec le picro-carmin. Les résultats sont les suivants : Les
racines
antérieures semblent diminuées de volume. Les cou
veuses. Le processus inflammatoire qui touche la moelle s'étend aux
racines
dont les éléments sont séparés par place par de
ode de Weigert. Cette masse n'est très proba- blernent autre que la
racine
descendante du trijumeau. Comme au niveau de la
trices et sensitives. S. Arborisalions cylindraxiles des fibres des
racines
antérieures. V. Racine antérieure. 394 VASCHI
ibres qui passent d'une corne antérieure à l'autre. L'émergence des
racines
antérieures et postérieures est normale. La cin
artie pos- téro-externe surtout en arrière du point d'émergence des
racines
postérieu- res on remarque que beaucoup de fibr
ainsi que dans leurs arborisations médullaires dans les cornes, les
racines
antérieures et postérieures semblent tout à fai
nsitives et motrices. S. Arborisations cylindraxiles des fibres des
racines
antérieures. 396 VASCHIDE ET VURPAS faut. Nou
es. III. ? Malgré les lésions avancées de l'élément cellulaire, les
racines
nerveuses ne présentent pas de dégénérescence,
a paralysie infantile n'ont pas trouvé d'altérations appréciables des
racines
antérieures. Remarquons aussi que sur toule la
ns. Cette zone, on le sait, formée de fibres très fines provenant des
racines
postérieures, est une des premières prises dans
internes sont d'ailleurs abso- lument indemnes, et d'autre part les
racines
examinées ont été trouvées intac- tes. Il ne se
isation était très différente de celle du tabes, que d'ailleurs les
racines
, les cellules radiculaires antérieures et la colo
rieur gauche, hypertrophie plus accentuée à la péri- phérie qu'à la
racine
du membre (PI. L1'III, C). La main gauche n'est
droit, et de même pour le bras, mais à mesure qu'on remonte vers la
racine
du membre, les différences sont de moins en moins
r mais dans la circonférence, elle ne s'appliqued'ailleurs' qu'à la
racine
du membre et la circonférence de la cuisse est à
st entière- ment diaphragmatique. Les .mouvements spontanés de la
racine
des bras sont très limités, et le ma- lade a la
u creux poplité. La zone anesthésique se termine brus- quement à la
racine
du membre (fir. 4). 3° La sensibilité spéciale
solue au niveau des membres parésiés, se terminant brusquement à la
racine
des membres; tics zones d'hypéresthésie au nive
rt ont gardé pourtant leur forme normale. Quant aux méninges et aux
racines
nerveuses, elles n'offrent pas d'altéra- tion é
cinations et de la fureur, notre malade a un délire per- sistant, à
racines
peu profondes, délire mélancolique avec idées d
ivisection chez des cochons d'Inde. Conclusions : 10 Les fibres des
racines
postérieures de la moelle cessent, chez le coch
nerveuses situées en cet endroit. - 2° Il n'y a donc pas, dans les
racines
postérieures de la moelle du cochon d'Inde, de
missure antérieure. P. K. IV. D'une allure ANATOMIQUE, légitime DES
racines
aux diverses 'hauteurs DE la MOELLE; par SII :
Recherches systématiques dont voici les résultats à l'exclusion des
racines
sacrées. 10 Les racines antérieures de la moelle
dont voici les résultats à l'exclusion des racines sacrées. 10 Les
racines
antérieures de la moelle cervi- cale et lombair
'existence de grosses et larges fibres fort abondantes. 2° Dans les
racines
postérieures de la moelle cervicale et lombaire
bre de fins tubes nerveux épars ou en petits groupes. 3° Dans les
racines
de la moelle dorsale il existe un très grand nomb
Les fibres émanent probablement, par la commissure postérieure, des
racines
sensitives de la moitié de la moelle du côté op
92 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. neuse part la
racine
ascendante du trijumeau - d'une substance grise
scendante du trijumeau - d'une substance grise particulière part la
racine
ascendante commune du système vague du noyau de
ine ascendante commune du système vague du noyau de Deiters part la
racine
ascendante de l'acous- tique. La zone ou champ
stance grise une myélite diffuse disséminée, ainsi qu'au niveau des
racines
antérieures, des racines postérieures, des colonn
diffuse disséminée, ainsi qu'au niveau des racines antérieures, des
racines
postérieures, des colonnes de Clarke. Discuss
s conséquences anatomiques de ces névrites ont été : atrophie de la
racine
descendante du trijumeau, atrophie partielle de
terne de l'oeil gauche d'où elle irradie en dedans et le long de la
racine
du nez en bas. L'accès est annoncé réellement p
même origine dans le tri- gone interpédonculaire tout autour de la
racine
de l'oculomoteur commun. Ni thromboses, ni embo
n réséquait comparativement chez quelques- uns d'entre eux les deux
racines
postérieures des nerfs lombaires du côté sain a
énérescence secondaire des cordons postérieurs en relalion avec les
racines
. Ces mutila- tions entraînent une atrophie simp
s dansles nerfs périphériques au-dessous des ganglions spinaux, les
racines
postérieures ne se montrant presque pas touchée
ours aucun rapport de contact avec aucun noyau nerveux, avec aucune
racine
, il se distingue nette- ment du faisceau solita
nction supérieure ; et les pédoncules des lobes seront de simples
racines
nerveuses avec leurs origines appa- rentes au n
r toute la surface de celui-ci, est en continuation directe avec la
racine
grise supé- rieure, dite racine du Scemméring.
est en continuation directe avec la racine grise supé- rieure, dite
racine
du Scemméring. Celle ci doit donc eu être consi
ENTRAL DE L'OLFACTION. 349 bande adhérer par sa partie externe à la
racine
olfac- tive externe. Ensuite, lorsqu'il y a, à
ives, partent des tractus blancs qui se pla- cent au-dessous de ces
racines
, et, se superposant, forment de chaque côté un
-circonférence sont, comme je l'ai dit, représentées par celles des
racines
olfactives. L'externe semble parfois s'éloigner
s quelle est sa terminaison, quand elle en reste isolée. Quant à la
racine
interne - lorsqu'elle est apparente elle ne se
ande va se continuer avec le pédoncule du corps calleux. Quand la
racine
interne n'est pas visible extérieu- rement, ce
onvexité, c'est-à-dire en avant, avec les nerfs olfac- tifs et leur
racine
grise; par ses deux terminaisons, externe et in
n le voit, ces troncs auxquels on ne donnait comme origine que deux
racines
extrême- ment grêles et nullement en rapport, p
ôt reçoivent une somme de fibres proportionnelle à ce volume. Les
racines
seules décrites jusqu'à ce jour ne sont donc en
ncluse dans la pyramide grise de Soem- mering. Indépendamment des
racines
apparentes, internes et externes, il y a aussi
ment des racines apparentes, internes et externes, il y a aussi des
racines
apparentes moyennes que les classiques ne menti
noter que la plupart des figures des ouvrages"1 repré- sentant ces
racines
moyennes. Circonvolutions olfactives. Quelques
pace oerforé. Lorsque les deux circonvolutions existent, les deux
racines
olfactives superficielles sont situées sur leur
s de l'axé nerveux ; 2° l'amas de substance grise, qui constitue la
racine
grise des^nerfs de l'olfaction ou aura le champ
cle fibreux de l'ourlet ». Il n'a pas vu les connexions intimes des
racines
olfactives et de la bande diagonale. D'après Fo
s Foville, RoLANDO aurait vu la demi-circon- férence formée par les
racines
olfactives et lui aurait donné le nom «d'arc ol
BROCA. - « L'origine du corps calleux où se rend et où se perd la
racine
olfactive interne, est évidemment affectée à la
nction olfactive, ainsi que le lobule de l'hippocampe où se rend la
racine
olfactive interne. Tout l'espace quadrilatère 1
23 3S4 ANATOMIE. compris entre ces deux points est occupé par la
racine
olfactive . moyenne et est évidemment affecté à
if, car elle disparait, en même temps que les fibres blanches de la
racine
moyenne, chez les anosmatiques; elle établit do
tionnelle, entre les deux centres olfactifs où aboutissent les deux
racines
blan- ches, c'est-à-dire entre le lobe de l'hip
le long de la ligne médiane jusqu'au niveau de la lame grise dite
racine
grise du chiasma, et qui alors, se dirigeant en d
eraient un centre olfactif, et les tractus blancs qui partent de la
racine
grise viendraient s'y perdre. On a vu plus haut
rne, c'est-à-dire une circon- volution propre qui accompagnerait la
racine
externe jusqu'à la circonvolution de l'hippocam
peut dis- tinguer quelquefois une petite circonvolution qui suit la
racine
blanche interne jusqu'à l'extrémité frontale de
WAGNER. (Centr. f. lleru., 1886.) Section chez chiens et chats des
racines
postérieures des renfle- ments cervicaux et lom
nérescence secondaire. Cette dégénéres- cence forme, au point où la
racine
entre dans la moelle, un tri- angle, immédiatem
ordon postérieur; puis, la zone dégénérative gagne les libres de la
racine
postérieure immédiatement supérieure par leur c
pénètrent dans le cordon postérieur. Si la section a porté sur les
racines
du plexus sacré, le prolon- gement dégénératif
eur gagne sur la ligne médiane le faisceau de Goll ; la section des
racines
du plexus brachial forme une zone dégénérative qu
oelle et du bulbe, la dégénérescence qui succède à la résection des
racines
postérieures de la moitié inférieure du corps n
dans les fais- ceaux de Goll ; cellequi succède à la résection des
racines
posté- rieures de la moitié supérieure du corps
nge que dans les faisceaux de Burdach. La résection unilatérale des
racines
en question, entraîne l'exclusive dégénérescenc
raîne l'exclusive dégénérescence du cordon postérieur du côté de la
racine
sectionnée. P. KERAVAL. XLII. QUELQUES MOTS SUR
'un petit crochet, en pénétrant par le trou obturateur cervical les
racines
des 9° 10e lie et 12e paires cra- niennes au ni
re. Ce sont là des phénomènes réflexes qu'il convient d'imputer aux
racines
ascendantes du trijumeau. Leurs centres occupen
, en même temps que la face s'oedématie au niveau du front et de la
racine
du nez, et qu'il survient des hallucinations et
eus, 430. Quartiers de surveillance continue, par Foetz, 136. i
Racines
, anatomie des médul- 1 laires, par Siemerling,
st épaté, large, effondré (nez camus)1,; les narines sont larges la
racine
du nez est tout à fait' déprimée. La bouche est g
intégrité de la substance blanche; dégénérescence très avancée des
racines
antérieures; faible dégénérescence des troncs n
et vins étrangers. La dis- tillation des alcools de fruits, baies,
racines
, etc., indigènes est libre; il en est de même d
ès de la périphérie de la moelle épi- nière, une dégénérescence des
racines
postérieures, une multi- plication du tissu con
es cordons postérieurs et de la zone marginale de Lissauer et des
racines
postérieures. L'altération de ces dernières fut
lle épinière. On observa la dégénérescence partielle aussi dans les
racines
, et elle a été plus visible dans les racines po
rtielle aussi dans les racines, et elle a été plus visible dans les
racines
postérieures que dans les inférieures. ' Prof.
ntité dans la zone marginale de Lissauer et dans les cordons et les
racines
postérieures. Dans le troisième cas les cordons
Lissauer et des cordons postérieurs. Et dans tous ces cas, dans les
racines
postérieures était remarquée la dégé- nérescenc
i disséminées çà etlàdans les cor- dons antérieurs et latéraux. Les
racines
postérieures ont assez souifertes et en tout ca
nettement que les fais- ceaux des fibres dégénérées se dirigent des
racines
antérieures ainsi que des racines postérieures
fibres dégénérées se dirigent des racines antérieures ainsi que des
racines
postérieures vers la substance grise des cornes
e dans les cornes postérieures. Cela dépend de ce que la lésion des
racines
posté- rieures est plus grave. Nous voyons enco
ns aussi des fibres dégé- nérées dans la commissure antérieure. Les
racines
postérieures et antérieures tout aussi bien que
ire. Dans le faisceau de Burdach, la région qui est adjacente aux
racines
postérieures, dont le procès morbide est aussi pl
térieures, dont le procès morbide est aussi plus grave que dans les
racines
antérieures, a soull'erte le plus. Dans les cor,
u bord extérieur du faisceau dégénéré de Goll que de l'entrée de la
racine
postérieure, est située une agglomération de fi
égénérescence envahit principalement les cordons postérieurs et les
racines
antérieures et postérieures. Dans la région lom
c'est-à-dire le funi- culus graciés. Puisque la dégénérescence des
racines
posté- rieures est très marquée sur toutes les
des cordons postérieurs est une continuation du procès morbide des
racines
correspondantes ; la distribution inégale de la
moelle épinière s'explique de la manière suivante : une partie des
racines
postérieures continue sans interruption dans le
rentes hauteurs de la moelle; ce fait s'ex- plique par cela que les
racines
postérieures sont plus atta- quées dans les éta
Ces fibres dégénérées sont visibles, en plus petit nombre, dans les
racines
, soit antérieures, soit postérieures : on trouv
es, soit antérieures, soit postérieures : on trouve même dans ces
racines
des îlots absolument dépourvus de fibres nerveuse
plus significative que l'exagération. Une lésion qui intéresse les
racines
postérieures des colonnes postérieures au nivea
es qui accompagnent la dégéné- rescence tabétique ou une lésion des
racines
postérieures. L'abolition du réflexe du genou a
n'est malade que dans ses portions inférieure et exté- rieure. Les
racines
lntra-médullaires de la neuvième paire et du ne
é- riques, mais correspond exactement aux zones d'innervation des
racines
postérieures. On trouve sur les limites de l'hy
de section séparant la partie intra-rachidienno de la tumeur; lt A,
racine
antérieure tuméfiée. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
4° La sphère olfactive se compose des irradiations terminales de la
racine
de la bandelette olfactive, et occupe la circonvo
spinales. Il est certain n qu'il faut éliminer la participation des
racines
postérieures à l'édi- fication de la commissure
Lancisi. La substance blanche du gyius subcallosus envoie alors une
racine
olfactive médiane au tuber tracti 01{act01'ii,
IV, 1895.) Y a-t-il, comme le prétend Ramon y Cajal, des fibres des
racines
postérieures qui ne se terminant point, à la ma
la subs- tance grise (cellules nerveuses), passent directement des
racines
postérieures dans les cornes antérieures de la
nt se conçoit avant de s'expli- quer positivement. D'autre part les
racines
postérieures contiennent des éléments centrifug
ivant l'ensemble des muscles qui agissent. Il en est ainsi pour les
racines
postérieures de la moelle et les nerfs sensorie
Les fibres des nerfs optiques et acoustiques correspondent donc aux
racines
postérieures de la moelle ainsi qu'aux prolonge
- dent au ganglion rétinien et au ganglion spinal cochléaire. Les
racines
postéiieures et leurs prolongements dans les cord
orne antérieure, de laquelle partent les cytin- draxes qui vont aux
racines
postérieures de la moelle, se retrouve dans le
un centre du nerf optique qui (de même que les fibres nerveuses des
racines
postérieures se terminent en partie dans les ce
ntre la deuxième paire dorsale .et le plan bulbaire passant par les
racines
de l'hypoglosse. Les lésions avaient leur maxim
toute la substance grise, diminution de l'élément fibrillaire; les
racines
motrices possèdent moins de fibres. Ces altérat
totale des éléments de la moelle épinière au niveau de la première
racine
dorsale. Au-dessus de la lésion, dégénérescence
ésion, sclérose de l'ensemble des cordons. Au niveau de la deuxième
racine
dorsale, la moelle a sa configuration nor- male
ans la région des cordons postérieurs jusqu'au niveau de la dixième
racine
dorsale, dégénérescence typique des faisceaux p
pullaire et se rappeler que le nerf labyrinthique, en sa qualité de
racine
postérieure la plus active et la plus grosse de
.) E. B. LXV. Sur QUELQUES modifications DE STUCTURE constantes DES
racines
spinales ; par E. DE AIASSARY. L'auteur a pra
s ; par E. DE AIASSARY. L'auteur a pratiqué des coupes en séries de
racines
dorsales, lombaires ou sacrées de cinq sujets m
nt aucun ne présentait de symptômes médullaires. La comparaison des
racines
de cinq malades permet de décrire, outre la dis
ns cons- tantes résultent de deux particularités de structure de la
racine
rachidienne : 1° tractus fibreux étranglant et
u toit. Le flocculus serait donc un important annexe des noyaux des
racines
vestibulaires, cochléaires et accessoires du nerf
eau. Le prolongement neural de ces mêmes cellules va à travers la
racine
postérieure se ramifier dans la moelle. Bien des
dont le prolongement cylindraxe s'en va dans le muscle à travers la
racine
antérieure et le nerf. Ce système est relativem
sujet. La téléneurone de la sensibilité est un neurone géant. Ses
racines
se distribuent dans la peau sous forme de dendrit
intervertébral; son prolongement neural, après avoir constitué les
racines
postérieures, va se terminer directement ou par d
ent l pensé ? Est-ce à la périphérie du neurone, ou au niveau des
racines
postérieures qu'il constitue ? C'est là une quest
nte de la partie interne des cordons postérieurs, tandis que ni les
racines
postérieures, ni les zones des collatérales, ni
tous ces cas, il est de règle que la lésion respecte à peu près la
racine
postérieure, le ganglion invertébral ainsi que la
ion occupe d'abord des neurones centraux l'intégrité relative de la
racine
postérieure, ainsi que l'a établi en particulie
faisceau pyramidal croisé est intact. Les zones de Lissauer et les
racines
postérieures sont relativement épargnées. C'est
rahle; méat normal. Une demi-douzaine de poils de chaque côté de la
racine
de la verge. Rien à l'anus. Le corps est glabre
follets à la lèvre supérieure et au menton poils longs, frisés à la
racine
des bourses ; poils assez abondants à l'anus. V
Reil latéral, et, par là, au nerf de la huitième paire. De plus, la
racine
pos- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
ion du limaçon par Baginsky et Kirilzew montre que les fibres de la
racine
postérieure de l'acoustique se terminent au noy
, au tubercule bijumeau postérieur du côté opposé. Les fibres de la
racine
postérieure, qui se terminent dans les olives sup
r passent aussi dans le ruban de Reil inférieur. Held ajoute que la
racine
postérieure de l'auditif a également des relati
des fibres optiques, de celles qui occupent la face médiane de la [
racine
optique inféro-postérieure. Les fibres, qui suive
e optique inféro-postérieure. Les fibres, qui suivent la voie de la
racine
optique supéro-antérieure,se terminent dans une g
al, et, plus bas, dans la moelle lombaire, le cordon antérieur. Les
racines
antérieures émer- gentes de la moelle contienne
ar les tablettes. M. Weber (d'Ucbtspringe) fait remarquer que les
racines
anté- rieures et postérieures, bien qu'elles so
n d'observer un cas identique; les symp- tômes d'une altération des
racines
manquaient d'ailleurs. Dans les cas de méningit
s. Dans les cas de méningite spinale de longue durée, on Irouve les
racines
englobées mais les cylindraxes et la myéline so
cally, 59. Sorciers. Croyance aux -, 412. Spinales. Structure des
racines
, par de Massary, 396. Strychnine dans la név
aspect général est toujours à peu près le même : le bras, gros à sa
racine
est mince et complètement atro- phié jusqu'au c
moelle elle-même sur une faible éten- due, dans la hauteur de 2 à 3
racines
, au niveau de la région dorsale supé- rieure. N
es régions lombaire supérieure et dorsale inférieure (jusqu'à la 8e
racine
environ), on peut constater en un point variable,
nt elle est très évidente, en particulier au niveau de l'entrée des
racines
postérieures dans la moelle : elle est essentie
s coupes ont été pratiquées aux différentes hau- teurs (10e, Se, 6e
racines
). Le processus est sensiblement le même que dans
importantes dont le foyer maximum est situé au niveau des 2e et 3e
racines
dorsales (Planche XIII, XIV, XV, fig. 1). En ha
limité, à la périphérie des cordons postérieurs, au niveau de la 2e
racine
dorsale, les tubes nerveux sont détruits suivant
ure, les altéra- tions, peu étendues d'ailleurs, que présentent les
racines
nerveuses. Le proces- sus offre ici une analogi
un nombre restreint de filets radiculaires et principalement dans les
racines
antérieures. Sur les coupes transversales trait
on reconnaît quelques débris de myéline altérée. Sur la plupart des
racines
, la lésion est limitée à l'enveloppe conjonctiv
conjonctive : il en est ainsi d'ailleurs pour un grand nom- bre de
racines
aux différentes hauteurs de la moelle. Région c
riphérique (branches terminales du nerf, tronc nerveux basilaire et
racines
pédonculaires) s'accompagne au moins pendant un
d, à l'âge de 43 ans, sur la face plantaire du même orteil, vers sa
racine
, évolue un troisième ulcère à dé- but phlycténo
bout d'une vingtaine de jours; un second évolue en même temps, à la
racine
du pouce : la rétraction cicatri- cielle infléc
triciel, stigmate d'un ulcère. La face plantaire est plaie. Vers la
racine
du gros orteil, elle présente un ulcère long de
a noté (1) la participation du trijumeau et particulièrement de sa
racine
ascendante dans 5 cas de sy- ringomyélie sur 18
s en dedans et en bas, due il l'écartement qu'elles ont subi à leur
racine
. Les talons étant réunis il reste un espace de
e blanche au niveau des cordons postérieurs, à la hauteur de la 1 ?
racine
dorsale. En ce point, on peut voir, le long des
ent d'une part la substance grise centrale sur une hauteur de 5 à G
racines
, et d'autre part la substance blanche des cordons
n plus ou moins grand nombre dans la hau- teur des 4 ou 5 premières
racines
dorsales surtout clans le cordon latéral droit;
lle peut envahir la substance médullaire, détruire ou comprimer les
racines
nerveuses qui en partent. Ilomolle en 1876 a pu
e occupant la région dorsale supérieure, depuis la 2e jusqu'à la 5e
racine
. Dans cette région, la moelle présente une forme
é conservés. Coupes au niveau du foger malade (entre la 2e et la 5e
racines
dorsales). A un très faible grossissement (obj.
. A la partie inférieure du foyer malade, au voisinage de la -lie
racine
dorsale, l'aspect de la lésion se modifie, par
ttongom- incuse circonscrite se poursuit jusqu'au niveau de la 4e
racine
dorsale. Au- dessous, dans la même région, c'es
d'un certain nombre de gaines vasculaires dans la même région.
Racines
rachidiennes. Elles pré- sentent des lésions sc
s pré- sentent des lésions scléreuses très ac- centuées. Dans une
racine
postérieure gaucho par exemple, au niveau du
iste plus un seul tube nerveux dans cette partie. Dans toutes les
racines
d'ailleurs, les parois vascu- laires sont hyper
n grand nombre de petits tuhes grêles comme on n'en voit pas dans les
racines
normales, et beaucoup de gaines vides (Fig. 19)
ie, apparaît tout à coup une infiltration considérable dans une des
racines
postérieures du côté gauche. La coupe est couvert
filtrée par les mêmes éléments. Fig. 19. - Coupe transversale d'une
racine
antérieure de la région dorsale. On voit, aut
postérieure de la moelle s'atténue, au point qu'au niveau de la 7e
racine
dorsale, il n'en reste qu'un petit territoire ir-
elles des gros vaisseaux périphériques cessent d'exister vers la 6°
racine
dorsale. Cependant la tunique .adventice de la pl
llaire im- portante que la double dégénération pyramidale. Mais les
racines
à ce niveau présentent une lésion singulière, q
upes transversales, des foyers hémorrhagirrues importants, dans les
racines
postérieures surtout. Dans l'une d'entre elles, u
. Le périnèvre est très épaissi en ce point. Quant t au reste de la
racine
, il n'a pas souffert ; les tubes nerveux sont au
e a perdu son aspect stra- tifié en couches concentriques. Dans les
racines
antérieures existent des lésions absolument sem
ituer l'évolulion. Le foyer principal, occupant une hauteur de il 3
racines
dans la moelle dorsale supérieure, présente une
ar MM. Gilbert et Lion à des cas analogues. Même processus dans les
racines
spinales ; sauf ici que la sclérose consécutive p
s étaient intimement soudées à la moelle à ce niveau, englobant les
racines
nerveuses atrophiées. Le cordon latéral corresp
ère, le pyramidal du nez apparait fortement (plis transversaux à la
racine
du nez, abaissement du limbe intérieur du sourc
iné également des coupes du chiasma, du moteur-oculaire commun, des
racines
spinales au niveau du rendement cervical. Renfl
intimement à la moelle dans l'étendue des cordons postérieurs. Les
racines
postérieures il leur origine sont recouvertes p
l'artère et la veine spinales se montrent normales sur la coupe.
Racines
cervicales. - Nous avons examiné séparément des c
ales. - Nous avons examiné séparément des coupes transver- sales de
racines
à ce niveau. Les postérieures en particulier ont
s les parois des vaisseaux, ni dans les travées conjonctives. Les
racines
antérieures présentent des modifications du même
genre, mais beaucoup moins prononcées. Sur toutes les coupes de ces
racines
, on voit que les méninges adjacentes sont confo
ains. Sur les préparations colorées* par la méthode de Weigert, les
racines
posté- rieures il ce niveau se montrent décolor
ire de l'hématoxyline. Sous ce rapport elles con- trastent avec les
racines
antérieures qui sont saines. Région dorsale moy
racines antérieures qui sont saines. Région dorsale moyenne (6e, 7"
racines
). La méningite reparaît il ce niveau : les 3 mé
ucune apparence anormale du côté des méninges, de la moelle, ni des
racines
. Bulbe rachidien et protubérance. Sur les cou
cette observation, la méningite spinale a certainement intéressé les
racines
spinales, tandis que la moelle a été respectée.
ure, nous montrerons que la lésion, se propageant exclusivement aux
racines
rachidiennes, peut produire un ensemble symptom
dans la région sternalc, dans les deux régions claviculaires et la
racine
des membres supérieurs. La pression, la percuss
et des douleurs profondes et continuelles dans les épaules et dans la
racine
des bras. Les réflexes tendineux sont toujours
dorf. 272 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. rieurs et les
racines
de la moelle, ctspécialement au niveau des région
alement accompagnée de contractures. llémianesthésies limitées à la
racine
des membres. 350 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
a eu, du fait du choc spinal, une commotion ou un tiraillement des
racines
des nerfs dorsaux, au niveau des vertèbres dors
e une voie simple et des voies complexes. Si du lieu d'entrée des
racines
postérieures aux racines antérieures il existe un
s voies complexes. Si du lieu d'entrée des racines postérieures aux
racines
antérieures il existe un arc réflexe simple, il
arcs va jusqu'à l'écorce cérébrale d'où il repart pour aboutir aux
racines
antérieures. Cet arc diaslaltique réflexe const
circonscrite dans le corps restiforme, dans la zone où émergent les
racines
de l'acoustique. Pas de dégénérescence dans les
ique, ni le noyau de Deiters ne sont les lieux de terminaison de la
racine
postérieure de l'auditif. 2. Les fibres de la r
minaison de la racine postérieure de l'auditif. 2. Les fibres de la
racine
postérieure en question se terminent 142 REVUE
nc tous les organes suprà dénommés sont des centres pri- maires des
racines
postérieures de l'auditif, c'est-à-dire du nerf
es de l'auditif, c'est-à-dire du nerf cochléaire. 3. Les fibres des
racines
postérieures qui se termi- nent dans les olives
, dans une direction antérieure, se dirige sur le côté médian de la
racine
ascendante du trijumeau et va, incli- nant sur
al, affectant des rapports intimes avec les centres primaires de la
racine
postérieure de l'acoustique. 5. Le ruban de Reil
au avec le tubercule quadriju- meau inférieur du côté opposé. 7. La
racine
antérieure du nerf acoustique (d'après nos rech
asse en bas en partie dans le noyau de Bechterew, en partie dans la
racine
ascendante de l'acoustique de Roller. P. K. REV
expérience confir- mative. Il a réussi à détruire dans le bulbe la
racine
ascendante (sen- sitive) du trijumeau ; il a ai
Au niveau de la partie supérieure du renflement cervical, entre les
racines
antérieures, il affecte la forme d'un petit mén
le cordon antérieur et le cordon latéral, au point d'émergence des
racines
antérieures. Il monte en grossissant rapi- deme
vons jamais pu le suivre chez les embryons au delà de la région des
racines
antérieures. P. K. XV. Méthode SIMPLE DE consta
gien, est de savoir à quelle apophyse épineuse correspond, pour une
racine
donnée, le point de départ médullaire de ce traje
e de ce trajet. Ce qui simplifie la recherche, c'est que les quatre
racines
homologues naissent au même niveau. La longueur
d'une apophyse déterminée par le palper, pour avoir le numéro de la
racine
qui REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
nsi qu'il fait voir que le nerf labyrinthique est l'homologue d'une
racine
spinale postérieure, et qu'il démontre que le n
sont que le noyau principal de l'hypoglosse est la seule source des
racines
du nerf hypoglosse. Les fibres propres du noyau
uées à la périphérie des' faisceaux de Goll et de Burdach. Les deux
racines
postérieures sont infiltrées de la même manière
ures sont infiltrées de la même manière. On trouve encore, dans les
racines
antérieures et postérieures, que leur péri et e
égénérescence des tubes nerveux commence à apparaître même dans les
racines
postérieures au point où l'on trouve l'infiltra
en intensité. Dans une des coupes, on y trouve, au côté interne des
racines
posté- rieures, un tubercule composé de cellule
s parois présentent une infiltration intense. Au côté externe des
racines
antérieures droites, on observe une infiltratio
l'on voit à la périphérie du cordon latéral, dans le voisinage des
racines
pos- térieures, deux tubercules isolés contenan
trouve, sur le côté externe des Fig. 8. 190 CLINIQUE NERVEUSE.
racines
antérieures droites, un tubercule contenant deux
s décrite plus haut, on voit un tuber- cule sur le côté externe des
racines
postérieures droites. Sur les coupes provenant
trations sont abondantes, surtout dans la région de l'émergence des
racines
spinales. Les infiltrations isolées et les nodu
la névroglie dans le tissu périépendymaire est très abondante. Les
racines
spinales an- térieures droites sont enflammées
eures droites sont enflammées et en partie sclérosées. De même, les
racines
postérieures, surtout du côté droit, sont infiltr
lle est surtout marquée autour des infiltrations mentionnées. Les
racines
postérieures sont atteintes d'une endonévrite rem
cellules géantes. Ce tubercule se trouve sur le côté externe de la
racine
postérieure gauche. Sur les mêmes coupes nous v
vons constaté une légère inflammation du péri et endonèvre des deux
racines
anté- rieures et postérieures. D. Partie lomb
te. Nous avons par conséquent constaté dans la pie-mère, dans les
racines
spinales et dans la moelle, soit des lésions diff
voyons que l'hypérémie des méninges et une faible irritation des
racines
postérieures expliquent les premiers symptômes, à
érieurs nous indiquent que les méninges et la moelle, ainsi que les
racines
de quelques points, ontété envahies en même tem
sures grises, ont existé avant que les cordons posté- rieurs et les
racines
postérieures aient été atteints' ? Dans ce cas
n pouvait déjà remarquer les douleurs, fait qui nous montre que les
racines
postérieures étaient gravement atteintes. Alo
éminence thénar et dans le premier interos- seux de la main droite (
racines
antérieures atteintes). La mort a été causée pa
es infiltrations qui se trouvent dans la moelle, la pie-mère et les
racines
, on observe encore des phé- nomènes inflammatoi
- veuse. L'infiltration est surtout marquée dans le voisinage des
racines
et aux endroits où s'étendent les tractus conjonc
s nerveuses et les cylindres-axes n'ont pas souffert; les tubes des
racines
antérieures et postérieures sont intacts. La névr
t être rapportée ni à une lésion des nerfs, ni à une altération des
racines
, ni à une atteinte aux centres réflexes. 11 sem
sâtre sur toute son étendue dans l'espace qui est compris entre les
racines
postérieures. Celles-ci sont grises, atrophiées
l'autre en croissant autour et à distance du noyau cunéiforme. Les
racines
postérieures sont fortement atteintes à la région
des points. L'arachnoide est également épaissie et infiltrée. Les
racines
antérieures, sans présenter la moindre lésion de
aisseaux. La membrane conjonctive qui entoure les fascicules de ces
racines
est assez fortement épaissie et infiltrée. Les
a moelle présente une dégénération intense de ses cordons et de ses
racines
postérieures. Les racines du renflement cervical
nération intense de ses cordons et de ses racines postérieures. Les
racines
du renflement cervical sont grisâtres, mais ne
résentent la dis- parition classique de leur réticulum nerveux. Les
racines
posté- 1'ieu1'es, fortement lésées dans les rég
un ou plusieurs petits nodules très caractéristiques (fig. 12). Les
racines
antérieures et postérieures sont le siège d'une i
'ailleurs aucune lésion des cellules de la moelle ni des fibres des
racines
antérieures. Les vaisseaux médullaires propreme
II;(,I0 dorsale; méninge au ! \[VEAU DES cordons postérieurs vers LES
racines
. , Méningite; phlébite il tendance t ! Odulait'
un cas de tabes et a émis l'hypothèse qu'elle pouvait atteindre les
racines
postérieures à leur entrée dans la moelle pour
détruire certaines fibres des cordons postérieurs indépendantes des
racines
, d'altérer ainsi la pureté de la systématisation
tte affection, une atteinte bien autrement puissante portée sur les
racines
en un point où elles sont encore isolées ;' cet
é. Dans les cas de syringomyélie gliomateuse, c'est la gliose de la
racine
ascendante du trijumeau et non la présence d'un
sthésie se trouvent du même côté que la lésion et correspondent aux
racines
dont les prolongements intra-médullaires sont a
musculaire progressive, les cellules des cornes antérieures et les
racines
de même nom participaient seules au processus ana
sa grande surprise, qu'il ne renfermait ni méninges, ni moelle, ni
racines
, mais seulement du tissu adi- peux léger, analo
c dans les altérations avoir soin de bien distinguer le point où la
racine
pénètre dans la moelle, c'est-à-dire la vraie r
le point où la racine pénètre dans la moelle, c'est-à-dire la vraie
racine
postérieure, et la fibre qui, accolée contre la
ire la vraie racine postérieure, et la fibre qui, accolée contre la
racine
postérieure, se dirige en montant, par exemple,
thode de coloration de Marchi, on trouvait une dégénéres- cence des
racines
postérieures lombaires et sacrées, et les fibres
e la nutrition exerçant une action élective sur certaines aires des
racines
postérieures de la moelle. Telle est la manière
anglions spinaux : mais nous savons que les cellules du noyau de la
racine
descendante du trijumeau ont la même fonction q
lésion légère- ment ébauchée qui subitement s'exagère au niveau des
racines
précisément qui contiennent ces filets : cette
ces filets : cette névrite radiculaire transverse atteint les deux
racines
antérieure et postérieure. En résumé, il paraît
et postérieure. En résumé, il paraît exister, dans les portions de
racines
com- prises entre la sortie du canal durai et l
une parésie assez accentuée : cette parésie va en s'accusant de la
racine
du membre à sa périphérie; elle est notablement
écanisme pathogénique qui préside à l'établissement des lésions des
racines
et cordons postérieurs de la moelle au cours de
topographie n'est pas moins intéressante à étudier au niveau de la
racine
postérieure; ainsi, l'intensité des lésions aug
e manifestement au sur et à mesure qu'on examine les segments de la
racine
plus rapprochés du ganglion, si bien qu'elle at
bserver sur les coupes sériées, pratiquées à tous les niveaux de la
racine
postérieure. C'était là remarquons-le en passan
e atteintes : par exemple, les zones radiculaires antérieures., les
racines
antérieures jusque dans leurs filets d'émergenc
ons symptômatiques des tumeurs cérébrales, au niveau des cordons et
racines
postérieurs. Quoi qu'il en soit, le processus h
montra plus nettement la dislocation des fasci- cules nerveux de la
racine
postérieure principalement; les lésions, surtou
nglion, en envoyant des diver- ticules à travers les fascicules des
racines
rachidiennes, de la racine postérieure en parti
ticules à travers les fascicules des racines rachidiennes, de la
racine
postérieure en particulier. Ces diverticules sont
ccentués, plus directement imputables, semble-t-il, aux lésions des
racines
et des cordons posté- rieurs. Ainsi, les patien
II. Influence des recherches récentes concernant les ganglions des
racines
postérieures sur l'étiologie du tabes dorsalis ;
it de montrer à l'aide de projections lumineuses, les ganglions des
racines
posté- rieures et les altérations qu'elles subi
ent n'avoir pas trouvé de lésions des cellules ganglionnai- res des
racines
postérieures chez les tabétiques. En août derni
eu d'importance relative des lésions des cellules des ganglions des
racines
posté- rieures, on est conduit à affirmer nette
prolongement central de : ces cellules, c'est-à-dire les fibres des
racines
postérieures, sans y dé- terminer d'altération
es de longue durée la sclérose puisse être complète. Les fibres des
racines
antérieures et postérieures ont montré la même
x cellules nerveuses de la corne antérieure, et de là, au moyen des
racines
antérieures, aux appareils nerveux ter- minaux
'y voir la dégénérescence secondaire. Dégénéres- cence evidente des
racines
antérieures et aussi de celles des nerfs cranie
que du système nerveux portant principale- ment sur les lésions des
racines
postérieures de la moelle et des ganglions rach
ématiquement la répartition suivante : - Au dessous de la dizième
racine
sur une petite hauteur, le groupe cellulaire ne
éléments correspondant aux muscles du pied. Au niveau de la dizième
racine
et juste au dessus, la partie postérieure et ex
jusqu'à disparaître complètement au bas de la région lombaire ; les
racines
postérieures sont partout indemnes. Les cordons
ieurs pré- sentent simplement quelques altérations de sénilité, les
racines
antérieures sont intactes aussi. Les lésions de
idère ce syndrome comme l'expression d'une affection irritative des
racines
posté- rieures. , 1 M. BAUP présente une mala
'excitation du bord interne du pied, en particulier du niveau de la
racine
du gros orteil, mais qui, dans certains cas, pe
t éruptions cutanées. Méningite sarcomateuse avec envahissement des
racines
nerveuses et de la moelle. Cytologie positive e
us connaissons enfin l'arbre étiologique jusqu'à ses plus profondes
racines
, confirme absolument aussi l'opinion des aliéni
probable que les fibres nerveu- ses, dans la pie-mère viennent des
racines
postérieures et remon- tent haut dans cette mem
terruption presque com- plète de la moelle au niveau de la première
racine
lombaire (il ne subsistait, en effet, en cette
la pachyméningite avec exsudat. Au niveau des onzième et douzième
racines
dorsales, des pre- mière et deuxième racines lo
es onzième et douzième racines dorsales, des pre- mière et deuxième
racines
lombaires, les rares éléments nerveux qui subsi
C'est vous dire que les nerfs intercostaux ou tout au ; moins leurs
racines
sont touchés eux aussi par le processus : morbide
et de la parésie. Enfin pour le tronc antéro- interne formé par les
racines
inférieures du plexus, vous voyez le domaine du
ntre la pathogénie de ces accidents et la lésion de même nature des
racines
rachidiennes. Rien d'éton- nant à cela, car au
verrons tout à l'heure en étudiant les for- mules lésionnelles des
racines
rachidennes, nous pouvons de même constater qu'
etenir d'une dernière question : c'est l'atteinte par le cancer des
racines
rachidien- nes. Vous connaissez tous les beaux
es et postérieures des vertèbres qui se déforment et compriment les
racines
ra- chidiennes dans les trous de conjugaison. L
des modifications dans les rapports des trous de conjugaison et des
racines
qui les traversent ; celles-ci peuvent être ain
faissement des corps vertébraux et la compression consécutive des
racines
. Nous savons que le tassement osseux se produit
s travaux récents, si les lymphatiques ne suivent pas le trajet des
racines
et si les espaces lymphati- ques des méninges e
nvasion cancéreuse pourrait donc se faire primitivement du côté des
racines
et îles méninges, par les ganglions et les lymp
s'effectuant qu'à une période plus lointaine de l'évolution. Les
racines
seront ici comprimées, mais étant donné la stru
11 niuiiis les cellules ganglionnaires, et de là fuseut le long des
racines
et même a l'intérieur de celles-ci. Dans un cas
rmet seule d'expliquer la présence des nodules isolés sur certaines
racines
en des points très éloignés les uns des autres.
d'une pachyméningite Pli, 13. - Schéma montrant l'envahissement des
racines
et des méninges au niveau des trous de conjugai
NCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX. 303 interne cancéreuse intéressant les
racines
rachidiennes et provoquant des symptômes doulou
CLINIQUE NERVEUSE. La dure-mère est épaisse, surtout au niveau des
racines
dorsales inférieures, les ganglions spinaux son
a dure-mère, de petits nodules saillants, fusiformes, enserrant les
racines
dorsales inférieures. Un autre nodule est accol
nt les racines dorsales inférieures. Un autre nodule est accolé aux
racines
postérieures de la queue de cheval, libre de to
myéline et cellules ganglionnaires. , Fig. 14, Envahissement dus
racines
et pachyméningite interne cancérpu-.p. A, rac
vahissement dus racines et pachyméningite interne cancérpu-.p. A,
racine
envahie ; B, dure-mère. LOCALISATIONS DU .CANCE
ence à s'infiltrer. Les cellules épithéliales cheminent le long des
racines
postérieures, infiltrant le périnèvre et l'endo
l'endonèvre, effon- drant la dure-mère au point de pénétration des
racines
, et de là s'étendent en bourgeonnant sur les de
s principalement sur la face interne. (1%ig. 15). D'autre part, les
racines
elles-mêmes sont envahies, d'as- pect monilifor
s nerveux comprimés, leur résection, la section ou l'élongation des
racines
postérieures, proposées par les chi- rurgiens e
phologiques et fonctionnels étroits entre les nerfs crâniens et les
racines
rachidiennes, leurs réactions devant le cancer
ous penserez à la fréquence des névrites cancé- reuses précoces des
racines
rachidiennes, à leur importance comme phénomène
par une lésion inflam- matoire qui attaque un nombre quelconque de
racines
sensitives ou motrices, à leur sortie de l'espa
étique consiste essentiellement dans la destruction progressive des
racines
postérieures, depuis les cellules des ganglions
qui frappe de préférence certaines espèces de fibres dans cha- que
racine
et qui est habituellement assez irrégulièrement r
habituellement assez irrégulièrement répar- tie sur les différentes
racines
de la moelle et mên : e sur les diffé- rents fa
s de la moelle et mên : e sur les diffé- rents fascicules de chaque
racine
. La disparition des fibres radi- culaires est l
rieurs. Mais ces libres endogènes ne sont pas seules atteintes, les
racines
antérieures n'échappent pas aux lésions dans le
veuse. Elle ne peut donc pas expliquer à elle seule les lésions des
racines
postérieures propres au tabes. Pour trouver la
ndissolublement liée au tabes, il faut chercher dans la portion des
racines
qui prend le nom de atenj radiculaire et qui es
nom de atenj radiculaire et qui est comprise entre le point où les
racines
abordent la dure-mère et celui où la racine posté
entre le point où les racines abordent la dure-mère et celui où la
racine
postérieure aboutit au ganglion. Le tabes est l
e faisceau central de la calotte, le noyau ambigu et les libres des
racines
des IXc et Xe paires dans leur trajet intra-bul-
ns leur trajet intra-bul- baire, le faisceau latéral du bulbe et la
racine
descendante de la Vu paire. , Cette topograph
. Ceci peut être constaté très net- tement dans les nerfs, dans les
racines
postérieures et leurs pro- longements intramédu
gnant aussi bien les terminaisons périphériques que le tronc et les
racines
du nerf affecté. ' C- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 4
(hine, H3, a0 ! r. Memngite sarcomateuse avec en- vahissement des
racines
nerveu- ses et de la moelle. Cytologie po- si
Influence des re- cherches récentes concernant les ganglions des
racines
postérieures sur l'étiologie du dorsalis, par
de la langue SPASME MUSCULAIRE. 3 semblant siéger surtout vers la
racine
de celle-ci, gêne toute passagère d'ailleurs, e
dessin si démonstratif que nous en avons donné). 2° Les artères des
racines
(art. 2adiriîtw.) Ce sont nos artères radiculai
cations et four- nissent une branche terminale qui passe entre deux
racines
pour s'anastomoser avec une branche voisine ven
ont au nombre de deux. Elles courent de chaque côté, en arrière des
racines
postérieures et au niveau de la quatrième paire
la quatrième paire radiculaire cervicale, elles passent entre deux
racines
pour s'anastomoser avec les artères spinales. L
t;e ? ec pénétrantes). Ce sont des bran- ches qui passent entre les
racines
postérieures, et se divisent en deux rameaux, u
astomoses verti- cales et horizontales que naissent les artères des
racines
(a2-tei ? x radiante ; et radicum posteriorum)
par le canal rachidien, et se divisent en branches qui suivent les
racines
antérieures (artères spinales antérieures) et e
eures (artères spinales antérieures) et en branches qui suivent les
racines
postérieures [artères spinales postérieures) .
intéressantes. a) Les artères spinales antérieures, en suivant les
racines
anté- rieures, arrivent près du sillon médian a
r allemand), qui parcourt toute la hauteur de la moelle. Toutes les
racines
antérieures ne sont pas pourvues d'une artère s
nastomoses longitudinales sont situées de chaque côté, en avant des
racines
postérieures et circulent sur la partie la plus
s'en séparant à angle droit(ramzpezzetrazlres), passent entre deux
racines
postérieures ; celles-ci, après un trajet de 3
artent de distance en distance des veines spinales, qui suivent les
racines
antérieures pour gagner les veines radiculaires
la face antérieure des cordons latéraux au milieu des faisceaux des
racines
, tantôt formant des sortes d'anses dont les deu
nules qui passent et cheminent sur les côtés de la moelle entre les
racines
antérieures [veines iiite2,- radiculaires). Les
congénitale de nerf olfactif, l'atrophie scléreuse sénile de ses
racines
, la perte de pigment des cellules (Hutchinson et
, depuis la moelle lombaire jus- qu'au point où ils contournent les
racines
antérieures ascen- dantes du trijumeau dans le
alisant plus spécialement la lésion près du calamus, endroit où les
racines
ascendantes sensitives du tri- jumeau et les fi
filet nerveux qui, du noyau de la sixième paire, va se joindre aux
racines
de la troisième paire du côté opposé. Cette dis
pas une seule fibre présentant les apparences de l'état normal. Les
racines
et les nerfs autres que les filets cutanés au v
phie partielle de la fibre et renflements fusiformes (type 3). Les
racines
et les ganglions n'ont pas été examinés. Réflex
pace intercostal droits. Altération des nerfs, des ganglions et des
racines
postérieures. Un hasard d'autopsie nous a fait
r volume, leur consistance et leur coloration. Les ganglions, les
racines
et les portions de moelle corres- pondant à ces
'ammoniaque. Sur les prépa- rations ainsi obtenues les fibres de la
racine
sensitive, qui traversent le ganglion, sont int
cellules nerveuses ne présentent aucune modification appréciable.
Racines
correspondantes au sixième ganglion droit. Les
préciable. Racines correspondantes au sixième ganglion droit. Les
racines
antérieure et postérieure qui paraissaient absolu
t lorsqu'on les examine au microscope. Tandis en effet que, dans la
racine
antérieure, les tubes nerveux ont gardé leur st
rieure, les tubes nerveux ont gardé leur structure normale, dans la
racine
postérieure, au contraire, il est impossible de
appréciable de ses fibres, de ses cellules ou du tissu conjonctif.
Racines
. La racine postérieure et la racine antérieure
de ses fibres, de ses cellules ou du tissu conjonctif. Racines. La
racine
postérieure et la racine antérieure sont absolu
llules ou du tissu conjonctif. Racines. La racine postérieure et la
racine
antérieure sont absolument normales. Moelle.
s nerveuses qui traversent le sixième ganglion rachidien et dans la
racine
postérieure attenante à ce ganglion. Le onzième
intercostal est aussi profondément altéré, mais son ganglion et les
racines
qui s'y rendent sont normaux. Les autres gangli
face antérieure du canal vertébral, dut comprimer graduellement les
racines
anté- rieures et toute la moelle (de la troisiè
la troisième à la sixième vertèbre cervicale) avant d'atteindre les
racines
postérieures : d'où les crises névralgiques rel
eurs fondamentaux. Elle ressortit peut-être à celles des fibres des
racines
postérieures qui, après leur arrivée dans la mo
on dans l'alcool'absolu et il n'est pas faitmen- tion de l'état des
racines
. L'opinion 1 qui' 'rattache;, le 1 zonai, à, de
/ mi/ « ? < ., ? n...... . , .. .rations, des ganglions et,de la
racine
postérieure fussent t ? o ? o nllC`Ji pn9t1r4.
avec- ou,saiisi altratioiis.,coiiconiitaiites des ganglions et des
racines
correspondants. au ùili.i Jaa 1193 tnii'J - (l9
ation 'du' réflexe. Dans't'ataxie locomotrice, -par exemple ? les
racines
sensitives so7nt'`sclérosées;i`ellesne'permettent
et, que ceux, qui, sont locaux,out[lieu par l'intermédiaire; des
racines
motrices situées au môme niveau queles. ra-i ci
1Wt tiW I t·n · ·tr,rt t·jt s « rn a , 1 excitation des différentes
racines
du plexus brachial et crural n, 1, m iiiinii ?
à été démontre depuis longtemps, mis en action'par ,1 excitation de
racines
différentes. Les muscles mis en action '.jn.)"n
n tllit, 't*l ? Hi, ,'i ? , 4" .vrr-tvToif 1 rr - ... par une seule
racine
sont le plus souvent innerves par plusieurs ner
.11-b f t r;r1 "t *-j',ii7 ? i.h -ft.r..). j t ? ... , ).)..., tes
racines
ont pour but de transmettre par les troncs nerveu
es différentes' combinaisons fonctionnelles. La section do , chaque
racine
nerveuse détermine la paralvsie d'un'môuve- 1·t
,~ ...1, , .,..... r : j paralysie dun muscle innerve par plusieurs
racines
dépendra dû Iiomloré d'éléüiëitsl fotirms par l
a obtenu 1 immobilité du membre qu après avoir sectionne toutes les
racines
. "1 "' Les expériences dé A4Vf : P. l3ei't et 2
163.) /i", * P. Bert et Marçiicci. , Elude sur la distributiontdes
racines
motrices du plexus /o/;t&6[t)'e/n ? M ? t !
ctions. Au niveau de'la : fusion de la racine'<sensitm ét : dela
racine
in les fibres présentent une combinaison inextr
ent chaque, nerf sont fournies en. proportions variables par chaque
racine
. Elles ne sont pas de nature à faire admettre q
ujours, à leur origine, superposés régulièrement, soit dans la même
racine
, soit dans les racines successives.'C'est cette m
, superposés régulièrement, soit dans la même racine, soit dans les
racines
successives.'C'est cette mé- thode que'nous avo
'arrêts, de développement cons- dérabies'avec atropine de plusieurs
racines
etjdes. cornes grises, , ., ,t,1 pm, . 11 . j ^
noncé par divers prodromes, douleurs frontales, sourcilières, de la
racine
du nez, chaleur et picotement des paupières qui
itabilité électrique des nerfs tant que la subs- tance grise et les
racines
antérieures demeurent indemnes . P. K. IV. Cons
assez intense, et d'une irradiation anatomo-patllolo- gique sur les
racines
. Or, les malades chez lesquels l'affection tabé
néraux : ici le processus très prononcé'a for- tement endommagé les
racines
postérieures. L'ataxie doit ne se manifester qu
anifester que lorsqu'une somme considérable de tubes' nerveux ou de
racines
a subi la destruction. » Quoi qu'il en soit des
caoutchouc durci, assez large pour embrasser les cinq doigts à leur
racine
, et moulé grossièrement sur la forme de la main,
de fraîche date soit parce qu'elle s'associe à des altérations des
racines
postérieures. L'importance du phénomène des ort
rsqu'une lésion du système pyramidal s'associe à une altération des
racines
postérieures, la présence du phénomène des orte
arcs réflexes. On admet que chaque muscle est innervé par plusieurs
racines
(habi- tuellement par trois racines) et qu'il d
uscle est innervé par plusieurs racines (habi- tuellement par trois
racines
) et qu'il dépend, par conséquent, de plusieurs
l'arc du réflexe atteint : a) la voie centripète (nerf sensitif ou
racine
postérieure); 6) la partie centrale (sub- stanc
6) la partie centrale (sub- stance grise) ; c) la voie centrifuge (
racine
antérieure, nerf moteur ou muscles auxquels abo
tabès suivent d'habitude une marche ascendante et débutent par les
racines
les plus inférieures. Ces notions ont été accep
intra-médullaires que nous venons d'étudier, soit d'une lésion des
racines
. Remarquons cependant que la compression des ra
une lésion des racines. Remarquons cependant que la compression des
racines
ne suffit pas toujours à abolir les réflexes. N
te hypertrophique où les réflexes n'étaient pas abolis, quoique les
racines
fussent englobées dans le tissu inflammatoire e
expérience de Westphal : il sectionne chez le lapin, deux des trois
racines
postérieures appartenant à l'arc du réflexe rot
pprimer le spasme par une intervention chirurgicale dirigée sur les
racines
postérieures de la moelle, mais la crainte d'ac
SSEUX 8t ment son nom. Elle consiste à sectionner quelques-unes des
racines
pos- térieures de la région lombo-sacrée. Afin
thésie qui serait la conséquence de la section d'une série de trois
racines
situées les unes au-dessus des autres, on doit
peralgésie sur tout le territoire au-dessous de D 1, sauf celui des
racines
sacrées; cette hyperalgésie existe même en D 1, D
nts avec plus d'éner- gie. Il en est de même dans le territoire des
racines
sacrées gauches où l'hyperalgésie fait défaut ;
de la joue droite, qui correspond à la distribution cutanée de la 2e
racine
cervicale, déterminait une réaction énergique d
ôté gauche, à partir du territoire de C 7 jusqu'en bas, y compris les
racines
sacrées, il existe une anesthésie à la températ
tion. Cette hyperalgésie disparaît dans le territoire des dernières
racines
sacrées, où la sen- sibilité paraît absolumeut
ns sur des territoires à sensibilité normale, soit dans la région des
racines
sacrées droites, soit au-dessus de la lésion, à
plus étudié à ce point de vue les rapports entre le cervelet et les
racines
postérieures de la moelle. Après compensation des
l'auteur pratique soit l'ablation du cervelet, soit la section des
racines
postérieures. Il reconnait dans le tableau clin
ontribue à la compensation des symptômes produits par résection des
racines
spinales postérieures, mais encore, réciproquem
ennent plus fréquentes, débutent par une douleur très violente à la
racine
du nez et irradient dans les régions sus et sou
'elle ne soit pas associée à une lésion des cornes antérieures, des
racines
ou des nerfs. Elle montre de plus que dans les
yer entame la lame postérieure de l'olive, la moitié antérieure de la
racine
du trijumeau sur une petite étendue, et section
ne du trijumeau sur une petite étendue, et sectionne une partie des
racines
du spinal; il interrompt forcément le trajet de
par sa situation, ne sont certainement pas encore achevées, car la
racine
du trijumeau n'a pas dégénéré au-dessous de la se
roite dans le faisceau antéro-latéral, au niveau des émergences des
racines
antérieures ; cette plaque occupe toute l'épaisse
t conservés, quoique tuméfiés ; la plaque n'est pas destructive ; les
racines
antérieures qui émergent en ce point sont parfa
troubles sont dus, selon toute vraisemblance, à une compression des
racines
du renflement lom- baire de la moelle par le né
dans mes trois observations, le renflement lom- baire ainsi que ses
racines
ne présentaient aucune altération, l'opinion de
avait donc tout lieu de supposer que le tabes, quand il atteint les
racines
du sciatique, provoque l'affaiblissement ou l'abo
la syphilis et que, quand la syphilis du système nerveux frappe les
racines
postérieures et donne lieu à une association de
à la VIIIe apophyse épineuse dorsale, soit au territoire de la VIIe
racine
. Nous pouvons donc penser que la lésion n'est p
ales a atteint la moelle au niveau du VIII" segment dorsal. La VII"
racine
droite a dû être atteinte, ce qui expliquerait la
: i° La conservation relative de la sensibilité dans le domaine des
racines
sacrées. 2" La dissociation des sensations pr
à des degrés divers, sur une partie assez étendue du territoire des
racines
sacrées. Nous avons alors recherché, chez deux
core, et le schéma ci-contre montre que les territoires cutanés des
racines
sacrées : S5, SI-, S3, S'=, SI, sont sensibles, e
embres inférieurs, aussi bien à la périphérie des membres qu'à leur
racine
, aussi bien aux régions où la sensibilité super
liquée de deux façons : ou bien par une lésion d'un grand nombre de
racines
postérieures ou des segments médullaires corres
bilité est conservée sur une grande partie du territoire cutané des
racines
sacrées. Cette constatation peut nous servir à
nsations sont d'autant plus nettes qu'on excite le territoire d'une
racine
plus inférieure. ' Cette disposition particuliè
n de la malade : « L'anesthésie semble intéresser le domaine des cinq
racines
lombaires ; il y a une zone sensible en selle.
nser qu'il existe chez cette malade une lésion portant sur quelques
racines
dorsales et lombaires ou leurs segments médullair
nsibilité subsiste sont ceux des.racines les plus inférieures : les
racines
sacrées; et la sensibilité est d'autant plus parf
et la sensibilité est d'autant plus parfaite que l'on considère une
racine
plus bas située ; 4" Ces phénomènes d'abolition
que on devra toujours examiner d'une façon minutieuse les zones des
racines
sacrées chez les malades atteints de paralysie
ement, en face d'une anesthésie étendue (thoracique, dorsale et des
racines
lombaires), l'anesthésie des racines sacrées ;
ue (thoracique, dorsale et des racines lombaires), l'anesthésie des
racines
sacrées ; 7° Enfin, l'existence de cette zone s
Ces sensibilités sont normales au-dessus du territoire des onzièmes
racines
dorsales (D" n'est cependant pas absolu- ment é
urs et de la portion du tronc correspondant au territoire des XIIe.
racines
dorsales. La sensibilité superficielle dans tou
sie thermique remonte un peu moins .haut et le territoire des XIIes
racines
dorsales est libre. Dans toute la région anesthés
ment sur la paroi abdominale inférieure, dans le territoire des XIIe,
racines
dorsales. La miction est extrêmement difficil
nte sur son flanc droit une dépression ; elle adhère au bouquet des
racines
postérieures émergeant de la moelle au niveau d
geant de la moelle au niveau du corps de la Xe vertèbre dorsale ces
racines
sont coupées avec de fins ciseaux et la tumeur
ce n'est des 5e, 4e et 3e segments cervicaux tout au moins de leurs
racines
antérieures. D'autres symptômes faisaient même
jusqu'à l'émer- gence des filets radiculaires postérieurs de la 7e
racine
cervicale alors qu'en avant elle ne descend que
du 4e segment; l'arachnoïde A. est épaissie et blanchâtre; C. 5. 5e
racine
antérieure; D. l. ? e racine dorsale. Fig. 116.
A. est épaissie et blanchâtre; C. 5. 5e racine antérieure; D. l. ? e
racine
dorsale. Fig. 116. Moelle cervicale (face posté
ure) ; la fusion des méninges P. descend jusqu'à l'origine de la 7e
racine
cervicale C. 7, on voit également une importante
face postérieure de la moelle, puis latéralement sur le pourtour des
racines
jusqu'aux ganglions et enfin sur la face antéri
étiquette de méningite hypertrophique. 2° Lésions radiculaires. Les
racines
qui traversent cette gaine fibreuse pour gagner
t du carmin révèlent un infiltration conjonctive interstitielle des
racines
malades. Les lésions radiculaires n'existent du
la moelle cervicale nous a permis de suivre les dégénérescences des
racines
postérieures dans leur trajet intra- médullaire
cordon de Burdach ; la zone radiculaire externe correspondant à ces
racines
est considérablement éclaircie et les cylindraxes
entes enveloppes médullaires A. D. ; elles englobent latéralement les
racines
antérieures R. A. et postérieures R. P. ; on vo
eaux longs et cliniquement la sensibilité était conservée. 3° Les
racines
, quoique plus altérées que la moelle (état clair,
y a une conservation relative de la sensibilité dans la région des
racines
sacrées lombaires, disposition que nous avons ob-
mpt, et pour enlever le fragment restant il faut section- ner une
racine
avec laquelle il fait corps. Il y a lieu de rem
éma). La sensibilité est un peu moins diminuée dans le territoire des
racines
sacrées que dans celui des racines lombaires. L
diminuée dans le territoire des racines sacrées que dans celui des
racines
lombaires. Les réflexes de défense, très nets lor
érien un demi-manchon de trois centimètres environ. « Section d'une
racine
à gauche. « Libération de la tumeur. Ablation à
s troubles moteurs sont plus forts (voir schéma). Le territoire des
racines
sacrées est moins atteint. De plus, des trouble
mbreuses cellules nerveuses aplaties, mais non détruites ; dans les
racines
antérieures, il y avait des fibres ner- veuses
neau fibreux englobant et comprimant la moelle entre la 5e et la 6e
racine
dorsale. Observation Il. Homme de 66 ans. Mal d
ionnelle ; ces troubles atteignent principalement les muscles de la
racine
des membres. Le malade ne peut soulever le bras a
main ou pied), et elle s'atténue progressivement de l'extrémité à la
racine
du membre. On constate, le plus souvent, qu'ell
rieur, l'amyotrophie atteint généralement tout le membre jusqu'à sa
racine
. SURRÉFLECTIVITÉ et SUBREFLECTIVITE tendineuses
ent mécanique d'un traumatisme concomitant soit directement sur les
racines
par contusion ou compression, soit indirectement
tuée à la face antérieure de la moelle cervicale entre les 5e et 6"
racines
. Les premières manifestations de cette affectio
par l'excitation du territoire cutané s'étendant jusqu'à la sixième
racine
dorsale. Incontinence d'urine et de matières féca
é : aux membres inférieurs, sauf dans le terri- toire des dernières
racines
sacrées, anesthésie aux différents modes à peu pr
'amyotrophie, elle a été causée probablement par une altération des
racines
motrices. Les troubles de motilité, qui pendant
it tomber sur chaque région douloureuse, et aussi sur la région des
racines
du sciatique, une quantité de rayons pénétrants
e n'est des 5e, 4e et ;3e segments cervicaux tout au moins de leurs
racines
antérieu- res. D'autres symptômes faisaient mêm
jusqu'à l'émergence des filets radiculai- res postérieurs de la 7e
racine
cervicale alors qu en avant elle ne descend que
ace postérieure de la moelle, puis latéralement sur le pourtour des
racines
jusqu'aux ganglions et enfin sur la face antérieu
quette de méningite hypertrophique. 2° Lésions radiculaires. Les
racines
qui traversent cette gaîne fibreuse pour gagner
et du carmin révèleut une infiltration conjonctive interstitielle des
racines
malades. Les lésions radiculaires n'existent du
moelle cervi- cale nous a permis de suivre les dégénérescences des
racines
postérieures dans leur trajet intra-médullaire.
rdon de Burdach ; la zone radicu- laire externe correspondant à ces
racines
est considérablement éclaircie et les cylindrax
eaux longs et cliniquement la sensibilité était conservée. 3° Les
racines
, quoique plus altérées que la moelle (état clair,
du 4e segment; l'arachnoïde A. est épaissie et blanchâtre ; C. 5. 5°
racine
anté- rieure ; D. 1. : 1'" racine dorsale. Fi
épaissie et blanchâtre ; C. 5. 5° racine anté- rieure ; D. 1. : 1'"
racine
dorsale. FiG. 3. Moelle cervicale (face postéri
ure) ; la fusion des méninges P. descend jusqu'à l'origine de la 1°
racine
cervicale C. 7, on voit également une importante
tes enveloppes médullaires A. D. ; elles englobent latéralement les
racines
antérieures R. A. et postérieures Il. P. ; on voi
e diagnostic d'une tumeur comprimant la moelle, et relativement les
racines
postérieures, sur le côté droit surtout, à la h
canal rachi- dien ; la tumeur comprimait principalement la septième
racine
dorsale 44 ROTSTADT postérieure, du côté droi
e la moelle, par suite de la compression des vaisseaux contigus aux
racines
. ' Pour l'évolution de la maladie dans la pério
ice prédominant de la loca- lisation d'un néoplasme, comprimant les
racines
postérieures, à l'exté- rieur de la moelle. N
ès le traitement, ait causé l'excitation des méninges ainsi que des
racines
postérieures à ca- ractère passager. Ces douleu
données. intéressantes que nous avons pu constater surtout dans les
racines
et dans les nerfs de la queue de cheval (Voir n
ma- crocéphalie, généralement brachy-céphalique; le nez aplati à sa
racine
, ce qui donne souvent un aspect de crétinisme q
systématique nous avons en outre relevé que le nez est aplati à sa
racine
, que dans son ensemble notre sujet a l'air un peu
le achondroplasie : c'est un aspect que favorise le nez aplati à sa
racine
. Mais le visage, quoique large et potelé, n'est p
n de la taille, une micromélie marquée, l'aplatissement du nez à sa
racine
, l'exagération de la lordose ; de façon qu'on e
tex au sommet du menton : 22 centimètres. La hauteur du front de la
racine
du nez à l'insertion antérieure des cheveux : 9
ntuées. La longueur du nez : 45 millimètre. Le nez est enfoncé à sa
racine
et comme aplati dans sa partie inférieure. Légè
155 mm.). La hauteur du front de l'insertion des cheveux jusqu'à la
racine
du nez : 8 centi- mètres. La distance entre l
nce à l'im- brication. Le nez est normal sans l'enfoncement de sa
racine
sur la ligne médiane. La voûte palatine ogivale
n d'anormal ni dans les cellules, ni dans les méninges, ni dans les
racines
. Les substances blanche et grise sont hyperémiées
corne gauche antérieure a moins de fibres que la corne droite. Les
racines
antérieures, surtout celle du côté droit, sont un
s. Le même oedème, mais d'un moindre degré, est aussi noté dans les
racines
postérieures. Les parties latérales et dorsales
LA MOELLE ÉPINIÈRE 249 Segments lombaires supérieurs (fig. 3). Les
racines
antérieures présentent des modifications assez
tout dans la partie périphérique - sont égale- ment notées dans les
racines
postérieures. Ici aussi nous observons plus de
tration des fibres radiculaires dans les méninges. Somme toute, les
racines
antérieures out subi plus de modifications que le
ute, les racines antérieures out subi plus de modifications que les
racines
postérieures. Le côté dorsal et dorsolatéral de l
men des III 8-Ve segments dorsaux a dénoté un oedème des fibres des
racines
antérieures dans leur partie intramédullaire, s
Les segments supérieurs lombaires présentent des modifications des
racines
antérieures et postérieures identiques à celles q
quées furent notées par nous dans les raci- nes et surtout dans les
racines
antérieures. Ces modifications figuraient dans
es des segments lombaires. Alors que la partie extramédlullaire des
racines
ne présentait rien d'anormal, leur partie intramé
elques préparations des fibres déchirées. En com- paraison avec les
racines
antérieures, les racines postérieures sont moins
ibres déchirées. En com- paraison avec les racines antérieures, les
racines
postérieures sont moins lésées. Le caractère de
ane, cité par nous plus haut, que nous avons trouvé des lésions des
racines
antérieures. L'état des racines postérieures, s
e nous avons trouvé des lésions des racines antérieures. L'état des
racines
postérieures, si intimement lié aux réflexes ro
Psychiatrie, 21 Band Heft 3, 1890.' 252 RA1MISTE ET NEIDING des
racines
postérieures et des faisceaux. Cette dégénérescen
it la moelle épinière dans toute son étendue; la dégénérescence des
racines
postérieures fut notée sur les coupes, prises d
t latéraux, et dans les régions isolées aussi la dégé- rescence des
racines
antérieures et postérieures. La dégénérescence tr
nes antérieures et postérieures. La dégénérescence très marquée des
racines
postérieures fut notée une seule fois dans neuf c
et Collier ; elle fut absente dans un cas; dans sept autres cas les
racines
postérieures ne furent pas examinées. La dégénére
en se servant de la méthode de Marchi,une dégénérescence nette des
racines
postérieures, plus marquée dans les régions cer
escence se trouve au point de la perforation de la pie-mère par les
racines
, dans leur « taille » (d'après Hoche). L'état d
ntôt gorgés de sang. Wollenberg a noté que cer- tains faisceaux des
racines
postérieures, appartenant à la partie moyenne d
obsohn et Jamane, faibles dans les cas de Hoche (dégénérescence des
racines
posté- rieures) et absentes dans le cas de Woll
rieures) et absentes dans le cas de Wollenberg (dégénérescence des
racines
postérieures et des faisceaux postérieure). Dan
nt conservés malgré les lésions assez prononcées (deuxième cas) des
racines
antérieures et postérieures. Il s'agit maintena
e et la désagrégation des fibres dans la partie intramédullaire des
racines
antérieures peuvent s'expliquer facilement par
la dilatation des voies lymphatiques pas- sant parmi les fibres des
racines
. Nous avons noté des espaces périvascu- laires
eux. L'atrophie musculaire, très accusée -aux mollets, diminue à la
racine
des membres et à la ceinture pelvienne. Les m
spontanément ; il se mord alors le dessus des mains au niveau de la
racine
des premières phalanges (durillons très anciens).
e gros plis cutanés se dessinent sur le front,autour des yeux, à la
racine
du nez ; les pommettes remontent et font sailli
r, ni aux interosseux. Il semble que l'atrophie ait commencé par la
racine
des membres, dans la région scapulo-humérale.
us- cles et des nerfs. Le début a eu lieu dans l'enfance et par les
racines
des membres; l'existence de la psemlo-liypertro
on trouve en effet que diamètre antéro-postérieur (de l'inion à la
racine
du nez) = 36 centimètres; le diamètre transvers
es fontanelles sont ossifiées. Le nez est relativement court avec une
racine
large et des ailes étalées. La mâchoire inférie
endre sur le fait sur l'un de nos crânes (crâne 6) où l'on voit les
racines
de presque toutes les dents restantes, ca- nine
cale et lombo-sacrée ne présente rien de par- ticulier; la huitième
racine
cervicale gauche postérieure est beaucoup élargie
eau de tous les segments mé- dullaires compris entre les VI" et XIe
racines
dorsales. La moelle présente à ces niveaux des
tance environnante. A la région médullaire terminale, on trouve les
racines
sacrées agglutinées en une masse très adhérente
quant 'des lésions notables des éléments nerveux et précisément des
racines
des nerfs rachidiens. Toute anesthésie résulte
t la partie correspondante des méninges molles, de la moelle et des
racines
nerveuses. L'examen histologique n'a pas pu déter
t limité assez exactement à l'espace situé entre les émergences des
racines
postérieures. La moelle ne présente pas d'aut
le, sauf une congestion très marquée des veines de la pie-mère. Les
racines
rachidiennes antérieures, sans avoir perdu leur c
ciations des deux nerfs en question, ainsi que de Fig. G Méninge et
racine
antérieure (5e cervicale). Accumulation énorme
ns la pie-mère, où ils forment de larges taches; infiltration de la
racine
, dont le fascicule supérieur contient une petite
aucoup plus grande dans le renflement cervical. Elle se propage aux
racines
qui'sont atteintes de radiculite et de périradi
ines qui'sont atteintes de radiculite et de périradicuiite; sur une
racine
anté- rieure de la région cervicale, on aperçoi
rend aussi, dans certains endroits, .et particulièrement autour des
racines
postérieures, un aspect un peu nodulaire. La
e de l'exsudat signalé plus haut. Il n'en est pas de- même pour les
racines
qui, tant les anté- rieures que les postérieure
hagie interstitielle pro- venant de la veine; au-dessous on voit la
racine
postérieure, à gauche une artère saine. Ilémalo
ière; elle porte en bas quelques plaques d'arachnitis calcaire. Les
racines
postérieures sont un peu grisâtres dans la régi
29 par disparaître progressivement à mesure que l'on remonte. Les
racines
postérieures présentent des lésions assez avancée
ites, les autres à peu près saines. - 1 A la région cervicale les
racines
postérieures contiennent à gauche des tubes grê
il y a une lésion très avancée, déjà de la bandelette externe, les
racines
paraissent absolument saines. Il ne semble donc p
l ne semble donc pas y avoir un rapport exact entre les lésions des
racines
et celles des cordons postérieurs, les unes éta
les coupes de moelle et vérifiées ensuite sur des dissociations des
racines
fixées dans la liqueur de lllüller; l'acide osm
petites plaques calcaires les méninges ne sont, pas épaissies ; les
racines
paraissent saines. Sur les coupes pratiquées' a
ii fo3,et- de m3,éliLe scléreuse étendu de la deuxième la'cinquième
racines
dorsales, avec maximum au niveau de la quatrièm
: 1 ? Observation III. Coupe ! pratiquée'au niveau de la 'quatrième
racine
^ ' dorsale; myélite scléreuse diffuse, avec pré
gt; . ? Vf, r Fig. 93.t-Coupe pratiquée, au niveati, de la, sixième
racine
, dorsale; dégénérescence, des, faisceaux pyrami
t plus qu'une trace à peine percep- tible au niveau de la troisième
racine
^cervicale ; elle n'est plus visible dans les py
V'J )t i..... ,, 7/y. 19. Coupe pratiquée au niveau de la quatrième
racine
cervicale; dégénérescence ascendante des cordon
iUtitJttJ Ai ? l Fig. 20. Coupe pratiquée au niveau'de'la deuxième'
racine
ceivicale;1^1 dégénérescence' ascendante des co
rocessus ancien qui a abouti à la sclérose ; les petites veines des
racines
rachidiennes ont des parois minces, hyalines et
quée -dans; le., faisceau pyramidal droit au niveau de la quatrième
racine
cervicale; hypertrophie consi- ? , déi-iible des
pratiquée dans le faisceau pyramidal dioit au niveau de la première
racine
dorsale; aspects variés des cellules de la névr
te moelle, participent à l'altération ? t1·leq ·atmg otMJf'uJ Les,.
racines
, tant, antérieures^que. postérieures, jnei présen
es altérations manifestes; coupe pratiquée au niveau de la huitième
racine
cervicale.' · ÉTUDE DE LA SYPHILIS^DU ^SYSTÈM
s * méninges postérieures étaient, malades ( et que, les^ tubes des
racines
postérieures/sans'être détruits,' étaient loin d'
nt'de la région dorsale supérieure, de la deuxième à la cinquième
racines
dorsales, la lésion est beaucoup plus intense ; i
troisième paires dorsales, dans la corne gauche postérieure et les
racines
posté- rieures avec léger empiétement sur lès c
renflement cervical; intégrité de la substance grise, rien dans les
racines
antérieures et posté- rieures. Névrite des nerf
naux des fi]3res'd-ut-iiel,f ^acoustique, tout au ' moins de- ses '
racines
postérieures ;'2° le noyau'antérieur et- le'tuber
érieur et- le'tubercule acous- tique sont des centres primaires des
racines
postérieures de l'au- ditif ; 3° les olives sup
nous a pas été possible de décider si ces fibres appartiennent^ aux
racines
antérieures . ou aux. racines-postérieures de,l'a
ti 'Hllr·ra ? r'9E ·5r1n2 a91 iilr;3·to'r 4'l' Y).t ? m r VIII. LES
racines
POSTÉRIEURESJ,DE la (moelle ET LANATODiIE PATIiO
nt six examens, microscopiques; une observation de compression des^
racines
de la queue de cheval par tumeur, (examen, micr
suivants : , ,n ^vm : q ^ .Tr ? n ? La dégénérescence tabétique des
racines
postérieures et les cas de tabes dépourvus de c
es dépourvus de complexité, tiennent exclusivement à'une lésion des
racines
postérieures dans' leur, trajet intramédullaire.
origine comporte une autre , explication; se compose des fibres des
racines
postérieures du seg- ment de moelle en question
un trajet horizontal, etautmilieu, des fibres, longitudinales des 5
racines
. quit entrent] dans la, même zone au-dessous des
médiane également, on trouve des fibres ascendantes provenant des !
racines
sous-jacentes et' se. réunissant, en cet en- dr
s parties inférieures de la moelle; sur la ligne médiane; celle des
racines
entrant dans le segment de moelle 'déterminé ;'
an de la' corne postérieure, entré les'deux autres zones, celle des
racines
des par- tiesun'p'(éu plus prafondes7 ? J,<^
, il est inconstant. Les altérations du ,trajet extramédullaire des
racines
. postérieures marchent parallè- lement aux ialt
ce de leurs fibres radiculaires intracéré- brales. La' partie de la
racine
qui'avoisine le centre dégénère la pre- mière,
tion/ plus s'étend la dégénérescence; au bout du cinquième jour, la
racine
du 'facial -arraché,' ^'complètement dégénéré.
W .ItHTI'f 9Kt.0AÛ -ïT ? JO-> ? ,9TYl,QVl2 2110tTfJ3·r' XII. DES
RACINES
r DU TRIJUMEAU DANS, LE, CERVEAU, DE L'HOMME AVEC
I)aye, cheval, chevêche, carpe, chien nouveau-né). Conclusions. Les
racines
sensitives 'du trijumeau se^composent de : 1° l
sions. Les racines sensitives 'du trijumeau se^composent de : 1° la
racine
ascendante dont les libres prennent naissance dan
ceau cérébelleux ? 9,~, Jr< e' 1· a : ,J^ti''fD'· °w~,- . .. Les
racines
motrices se composent de : 11, les fibres du noya
stérieurs de la moelle et, par- continuité; par l'intermédiaire dés
racines
postérieures, ils- qu'aux cellules des ganglion
rnes dans les cordons pos- térieurs et latéraux ainsi' que dans les
racines
? 1 lésions vasculaires de moyenne intensité. B
e décèle pas traces de dégénérescence. Intégrité des noyaux, et des
racines
des nerfs** crâniens y compris le trijumeau. La
rocessus' plutôt : descendant qu'ascendant) ; intégrité, absolue de
racines
postérieures. èJà £ JG'DJ'i L ussviaa at 1%ti <
conductibilité). L'intégrité des cornes grises, postérieures et des
racines
-postérieures erend 2 : compte,du non-ralentiss
1 XXXVI. SUR la présence - de CELLULES ganglionnaires , dans LES
racines
spéciales antérieures DU-,CH.T;CPOr IeD ? T'ANZI
v."3yy., . "r.. ) qt ? ? ? r. 2,tr h a X, jnwj tr ? 4 · » Dans les
racines
spinales antérieures,, spécialement' lombaires
t de grandeur médiocre. Elles se, trouvent soit à l'abouchement des
racines
antérieures avec le nerf spinal, soit sur le rebo
de deux ou trois, elles se trouvaient bien sur. la, .direction' des
racines
anté- rieures, mais quand celles-ci avaient,, d
fibres radiculaires intra-cérébrales. La partie de-*la partie de la
racine
avoisinant, le centre dégénère le première, du
l9fl 239 911 91L12111h 8,1,B ! il" t' ? 1 1) .,EnaA si XXXIX. DES
racines
DU trijumeau dans LE cerveau de l'homme avec ii
REVUE D'ANATOMIEiET'DE'PIITSIOLOGIE PATHOLOGIQUES : * "219 ? Les
racines
sensitives du trijumeau se composent : rliiluaoar
s sensitives du trijumeau se composent : rliiluaoarl s51qi )° De la
racine
asèendantes dont(llésu fibres naissent 'dans' la
e' aussi des fibres au noyau sënsitifetau faisceau cérébelleux. Les
racines
motrices se composent* : 1 1° des fibres du noyau
même côté; 2° des fibres du noyau moteur du côté opposé; 3°, de la
racine
ascendante. , , i; P. KER.IVAL. ., " . ....,
r les cordons postérieurs de la, moelle et, par continuité, par les
racines
postérieures jusqu'aux cellules des ganglions s
pendant huit jours il erre dans la forêt, ne se nourrissant que de
racines
et de fruits sau- ya-es A ses yeux se montre al
bach, 440. Ganglionnaires, sur la présence de cellules'- dans les
racines
spé- ciales antérieures', du chat, par - Tanz
-liose cen- ' trale chez-un syphilitique, par ''Nonne,' 185.' Les
racines
' posté- rieures de la moelle et l'anatomie '
aire des animaux -, par .4' Vassale et Rossi, 147. Trijumeau, des
racines
du dans 9-le cerveau de l'homme, par Ponia- t
de processus myélitique. La substance grise avec ses cellules, les
racines
antérieures et postérieures et les méninges ne
ordons latéraux), remontent immédiatement sur une longueur de trois
racines
et ne s'in- troduisent qu'après dans la substan
rieures de la moelle, au début du tabes, de concert avec celles des
racines
etdes colonnes grises postérieures. D'où égalemen
trijumeau de l'in- térieur du crâne, on rencontre l'atrophie de la
racine
ascendante de ce nerf, mais les cellules de la
u'on n'a pas vu son prolongement nerveux constituer une fibre des
racines
antérieures ? A cet effet, au lieu delà moelle
or- tir directement des cellules des cornes antérieures; ceux des
racines
postérieures seraient formés de la réunion de f
ouvent les cordons postérieurs de la moelle épinière, ainsi que les
racines
postérieures des nerfs spinaux, les organes mus
. Les résultats des expériences instituées sur des chiens, dont les
racines
postérieures lombaires avaient été coupées chez
ines postérieures lombaires avaient été coupées chez les uns, les
racines
antérieures chez les autres, furent en partie n
mais il y a quelques petits poils très courts de chaque côté de la
racine
de la verge, les bourses sont petites, molles e
est en corymbes, les fleurs petites, d'un blanc rosé. On emploie la
racine
qui est petite, droite, garnie de radicules cyl
riques, blanchàtres, mais devenant brunes par dessicca- tion. Cette
racine
est peu odorante lorsqu'elle est fraîche; mais
entuée, lorsque la plante pousse dans un endroit sec. On récolte la
racine
en automne ; lorsque la plante est âgée de deux
vingt-quatre heures. L'infusion est prépa- rée avec la poudre ou la
racine
concassée à la dose de 10 à 20 grammes par litr
de valériane ? Cette essence qu'on retire par dis- tillation de la
racine
sèche est un mélange d'acide valérianique, de v
Le Codex fait préparer l'acide valérianique par distillation de la
racine
de valériane en présence de l'acide sulfurique
périnévrite et névrite noueuse des deux oculomoteurs communs et des
racines
nerveuses de la moelle. Intégrité du cer- veau
ng aient, en un cas, constaté que, de concert avec l'altération des
racines
postérieures une série des fibres qui entrent d
Intégrité de '248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la moelle et des
racines
antérieures. Dégénérescence très intense du ner
ques moteurs et sensitifs à marche ascendante; lésion semblable des
racines
antérieures et postérieures. Dégénérescence des
ié de la substance blanche de la moelle est d'abord divisée par les
racines
postérieures, en cor- dons antéro-latéraux et c
le sommet de la corne pos- térieure, entre le lieu d'émergence des
racines
posté- rieurs ; les fibres qui la constituent s
le cerveau,' le cervelet, la protubérance, le bulbe, la moelle, les
racines
et les ganglions spinaux, quelques fragments de
u'elle soit plus accentuée dans le cordon de Goll. Les fibres des
racines
postérieures, au niveau du point où elles pénèt
presque complète des fibres radiées des cordons postérieurs. Les
racines
postérieures extra-médullaires présentent une s
oint important à noter. On les voit aussi au niveau d'émergence des
racines
antérieures et postérieures, surtout sur ces de
leur partie moyenne et bien conservés dans le tiers postérieur. Les
racines
postérieures sont moins altérées qu'à la partie
disparu. La zone qui limite de chaque côté le point d'émergence des
racines
postérieures contient un plus grand nombre de f
(zone antéro-externe de Westphall) est moins atteinte. De plus, les
racines
postérieures sont mieux conser- vées. La band
à leur partie postérieure quelques grosses fibres disséminées. Les
racines
postérieures et les cornes postérieures sont tr
uses est celle du tiers antérieur. Région cervicale inférieure. Les
racines
postérieures sont intactes. La zone qui les lim
minimum d'altération. La substance grise est intacte ainsi que les
racines
antérieures et posté- rieures. Région cervica
pas de lésion de la substance grise de la moelle. - Atro- phie des
racines
postérieures. 346 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Dans
u de la région lombaire. Cordons latéraux altérés en grande partie.
Racines
postérieures atrophiées. La dégénérescence se p
érose des cordons postérieurs et des cordons latéraux. Atrophie des
racines
postérieures. Dans la moitié inférieure de la r
u conjonctif s'y trouve hypertrophié. Les colonnes de Clarke et les
racines
posté- rieures soin dégénérées. Autopsie VI.
s cornes postérieures contiennent beaucoup de corps amy- lacés. Les
racines
postérieures intra-méduttaires sont plus grêler
de* Burdach, une étroite bande limitant la corne postérieure et les
racines
a échappé à la dégénérescence; cette bande est
nce des colonnes de Clarke. Dégénérescence de quel- ques fibres des
racines
nerveuses postérieures et dans d'autres coupes
indre que dans les cordons de Goll. La substance grise est intacte.
Racines
postérieures atteintes, mais la sclérose y est
lésion est plus avancée que dans la région supérieure. Atrophie des
racines
postérieures. Les co- lonnes de Clarke dans la
imum. La dégénérescence des cordons postérieurs diminue un peu. Les
racines
postérieures sont tout à fait atrophiées. La ré
minue surtout dans les parties latérales du tiers antérieur. Les
racines
postérieures sont tout à fait dégénérées. Régio
s cordons latéraux est plus prononcée dans la région cervicale. Les
racines
postérieures sont atrophiées et dans les colonn
dans le tissu sclérosé : n, lacunes vasculaires; a', lacune dans la
racine
postérieme sclérosée ; A, racine postérieure sc
es vasculaires; a', lacune dans la racine postérieme sclérosée ; A,
racine
postérieure sclérosée ; c, cornes antérieures s
A, racine postérieure sclérosée ; c, cornes antérieures saines ; d,
racines
antérieures normales; e, faisceau de Burdach ;
ce niveau, la lésion allait de chaque côté, eu arrière, jusqu'aux
racines
postérieures. Au-dessus et au-dessous de cette
, p. 314, VIII, 393. BIBLIOGRAPHIE. 423 3 Verrucktheit. Il a pris
racine
en Ilalie, en Amérique et même en France (Ségla
ans le tissu sclérosé : a, lacunes vasculaires ; a', lacune dans la
racine
postérieure sclérosée ; b, racine postérieure s
vasculaires ; a', lacune dans la racine postérieure sclérosée ; b,
racine
postérieure sclérosée ; c, cornes antérieures s
b, racine postérieure sclérosée ; c, cornes antérieures saines ; d,
racines
antérieures normales; e, faisceau de Burdach ;
attirée sur la face et le crâne. La face est aplatie : nez court à
racine
enfoncée, front surélevé, vertical et carré, mâ
Bary, Lugaro, Cajal et Marinesco nous portent à croire que dans la
racine
du facial d'un côté,, existent aussi des fibres
egment C8 une imprégnation diffuse (fig. 1) qui atteint jus- qu'aux
racines
antérieures et postérieures ; l'asymétrie des dég
e localisa- tion prédominante sur la périphérie de la moelle et les
racines
(fig. 3) ; au delà (fig. 4 et 5) dans le reste
ées au niveau du renflement cervical et refoulées par l'arrivée des
racines
cervicales supérieures ne passent pas dans le f
, cheminent isolément à la surface des cornes postérieures et de la
racine
descendante du trijumeau. Hoche et d'autres aut
e (fig. 12) puis devant le noyau sensitif du trijumeau (Sg R) et sa
racine
descendante. Il pénètre transver- salement dans
reculée de la substance ré- ticulée grise, autour du noyau et de la
racine
descendante du glosso-pha- ryngien (IX d). Il n
s deux bandes postérieures,qui passent en avant et en arrière de la
racine
descen- dante du trijumeau, représentent une co
ventral se termine dans un noyau placé en dedans et en avant de la
racine
72 LONG ' ED. LONG PL. XIX Fw, 15 FIO. 16
trijumeau ; l'autre, plexus collatéral dorsal, passe derrière cette
racine
du trijumeau et se termine dans la substance gris
Fil, faisceau latéral du bulbe. - IX, IXd, glosso-pharyngien et sa
racine
descendante. Le, locus caeruleus. - Lig, ligula.
orps trapé- zoïde. VA, quatrième ventricule. V, Vd, Vsd, trijumeau,
racine
motrice, racine e sensitive descendante. VI, VI
ïde. VA, quatrième ventricule. V, Vd, Vsd, trijumeau, racine motrice,
racine
e sensitive descendante. VI, VII, VIII, sixième
é s'étend peu à peu en montant de l'ex- trémité des membres vers la
racine
. -- PARAPLF,GtE TYPE BABINSKI 83 On est oblig
e vers la droite. A ce niveau on peut apercevoir, en découvrant les
racines
gauches, qu'une tumeur du volume d'un petit poi
e assez régulièrement sphé- rique et développée sur le trajet de la
racine
antérieure de la première paire dorsale gauche,
re mère, et s'est développée immédiatement au-dessus du point où la
racine
antérieure s'engage dans la méninge dure. A tra
nge dure. A travers cette membrane, elle comprime le ganglion de la
racine
postérieure correspondante. La racine antérie
comprime le ganglion de la racine postérieure correspondante. La
racine
antérieure sur le trajet de laquelle s'est dévelo
atrophiée depuis sa sortie de la moelle jusqu'à la néoformation. La
racine
postérieure correspondante est de même très notab
ervés. D'autre part l'examen minutieux de la moelle, de lotîtes les
racines
et des méninges ne nous a permis de relever auc
son & Cie, Éditeurs. paraplégie TYPE BABINSKI 85 1° MOELLE ET
racines
au niveau DE la compression. 1° dorsale (Pl. XX
ormales ou à peu près. La zone rétro-commissurale est altérée. La
racine
postérieure gauche (directement comprimée) ne pré
qu'un petit nombre de fibres intactes, sur les coupes au Weigert. La
racine
postérieure droite est presque absolument norma
de structure voisine de la normale. Un certain nombre de fibres des~
racines
antérieures (de la gauche surtout) font défaut.
tout à fait compa- rables à celles que nous venons de décrire. La
racine
postérieure gauche est presque complètement dégén
La racine postérieure gauche est presque complètement dégénérée ; la
racine
droite l'est très légèrement. Les cordons pos
médians est un peu moins étendue que la partie droite. 2° MOELLE ET
racines
au-dessous DE la COMPRESSION (pal. XXIV). 4° do
leurs fibres; celles qui subsistent sont légèrement altérées. Les
racines
postérieures semblent normales. La corne antérieu
tandis qu'on en compte 5 ou 6 à droite ; un ou deux fais- ceaux des
racines
postérieures présentent une diminution marquée du
Masson & Ge, Editeurs. - PARAPLÉGIE TYPE BABINSKI 87 Dans les
racines
postérieures il existe au sein des fibres de volu
derniers segments dorsaux ; quelques faisceaux d'un petit nombre de
racines
postérieures (droites et gauches) présentent une
ation ne se trouve que sur un seul des faisceaux qui constituent la
racine
. Les différentes racines de la queue de cheval,
un seul des faisceaux qui constituent la racine. Les différentes
racines
de la queue de cheval, dont nous avons fait des c
sversales à plusieurs niveaux, nous ont paru normales. 3° Moelle ET
racines
au-dessus DE la COMPRESSION. Au-dessus du nivea
un très minime éclaircissement de la zone d'entrée des fibres de la
racine
postérieure gauche. La corne antérieure gauche
action marquée des cellules et des fibrilles intercellulaires. La
racine
antérieure gauche est constituée par huit faiscea
tion et leur physionomie se modifient sur les coupes de la première
racine
dorsale à mesure qu'on approche de la tu- meur
par un petit névrome ou neurofibrome développé sur le trajet de la
racine
antérieure de la ire dorsale gauche. 2° Une hém
de sensibilité pro- fonde des articulations plus rapprochées de la
racine
des membres, telles que les métatarsiennes, les
rès, donc évolution lente. » « Intégrité relative des muscles de la
racine
des membres ou lout 'âl1 moins conservation bea
et modifiée qualitativement sur certains autres. Au contraire, à la
racine
des membres (hanches, épaules et bras) les réac
urs et réflexes, ils diminuent de bas en haut et disparaissent à la
racine
des membres. En dehors des phénomènes déjà étud
vrile hyperlrophique. L'hypertrophie des nerfs périphériques et des
racines
y est étudiée en détail ; les racines lombaires y
es nerfs périphériques et des racines y est étudiée en détail ; les
racines
lombaires y sont décuplées de volume et recouve
s, ni parenchymateuses ni linter- stitielles. Il en est de même des
racines
. Il nous reste à voir comment il faut comprendr
ont très accentués. Les doigts, aussi gros à leur extrémité qu'à la
racine
, ont la forme « en saucisson ». L'alliance du m
supérieur, occupant tout le territoire cutané des quatre dernières
racines
cervicales postérieures et de la première dorsa
sie qui frappe plus ou moins tous les muscles inversés par les cinq
racines
motrices du plexus brachial. Les réactions élec
enne des ganglions spinaux, qui se propage vraisem- blablement à la
racine
antérieure. Les rapports internes de ces ganglion
racine antérieure. Les rapports internes de ces ganglions et de ces
racines
antérieurs expliquent facilement cette propagatio
un tissu, tissu de remplissage consécutif à l'atrophie supposée des
racines
postérieures, laquelle pouvait s'expliquer par
aude » qui franchissent quelquefois l'arcade crurale pour gagner la
racine
de la cuisse droite. D'autres fois, la malade com
elui de Burdach c, réalisant ainsi le syndrome de Brown Sequard. d,
racine
postérieure. l Fie. 2. - Troisième période. Cou
cheval, il faudrait que cette lésion intéressât symétriquement les
racines
de tous ces nerfs, à l'exclusion des si nombreu
nerfs jusqu'aux cellules des cornes antérieures. Dégénérescence des
racines
posté- rieures et dégénérescence ascendante con
s témoignant d'une certaine déchéance des fibres nerveuses dans les
racines
postérieures lombaires et sacrées; intégrité des
dans les racines postérieures lombaires et sacrées; intégrité des
racines
antérieures et des cornes antérieures. Comme dans
anvier 1896. DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 83 , pression des
racines
postérieures lombo-sacrées par un carci- nome,
ourquoi ne les retrouve-t-on pas dégénérés dans tous les cas où les
racines
postérieures sont lésées ? Tel est le point sur
. II. Kôlliker1, Ramon y Cajal 2, van Gehuchten 3 décrivent aux
racines
postérieures deux branches, une ascendante, l'aut
dégénération descendante dans la moelle à la suite de sections des
racines
postérieures. Au contraire, Odi et Rossi s, Bor
Il s'est agi dans notre cas d'un enduthéliome ayant comprimé les
racines
rachidiennes inférieures de la moelle depuis la
l'examen des élé- ments nerveux. III. Examen histologique. Les
racines
postérieures ont été coupées isolément, colorée
ons- tater chez un adulte l'existence d'nne branche descendante des
racines
postérieures. 7 Dufour. - Thèse Paris, 1896.
on des tubes de myéline d'autant plus étendue qu'on a affaire à des
racines
plus inférieures. Les lésions radiculaires sont
remon- tant, laissant intactes les deux premières lombaires. Les
racines
sacrées présentent des altérations presque absolu
résentent des altérations presque absolument destructives. Dans les
racines
lombaires, on trouve encore un grand nombre de
DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 87 1 Coupes entre les premières
racines
sacrées et la troisième paire lom- baire. La di
moyennes des cordons postérieurs. Coupe au niveau de la troisième
racine
lombaire (fin. 10). - A partir de la quatrième
n espace dégé- néré occupé actuellement par les fibres altérées des
racines
sacrées. Coupe au niveau de la deuxième lombair
ible de distinguer ce qui appartient au trajet inlra-médullaire des
racines
postérieures de ce qui releve des faisceaux end
a place qui a été constatée maintes fois à la suite des lésions des
racines
lpmbo-sacrées ou de leur 'section expéri- menta
nous avons constatée sur nos préparations. Au niveau de la douzième
racine
dorsale, apparaît encore la même concordance av
ler que si Schultze 1 avait pensé pouvoir attribuer à la lésion des
racines
une dégénération descendante en virgule, M. Too
ection transversale de la moelle et non après la section isolée des
racines
. Un autre expérimentateur, Bordez qu'on a coutu
s de MM. Déjerine et Sottes '* à propos d'un cas de destruction des
racines
inférieures depuis 1 JIW1J/wlo ! )i,\c1/Cs Jahr
ans toute la portion de la moelle située au-dessous de la troisième
racine
lombaire le cordon postérieur était complètemen
en remontant dans la moelle un trajet très voisins de celui- des
racines
sacrées, nul doute à cet égard. Mais dans les cas
égard. Mais dans les cas de compression de la moelle et non plus de
racines
, dans ces cas où la compression siégeait assez
maines à cette expérience, outre la dégéné- rescence des fibres des
racines
antérieures et d'un grand nom- bre de fibres du
ionnent cette zone comme intacte jusqu'à la hauteur de la troisième
racine
lombaire, et dans leur cas à la hauteur de la p
sion de la moelle, ou restant intact lors de lésions localisées aux
racines
postérieures. Les faisceaux de ce système n'att
âne... Mensurations : Circonférence... Protubérance occipitale,
racine
du nez... Oreille, menton, oreille.. Oreille,
llant de la tête, oreille... Diamètres : Protubérance occipitale,
racine
du nez... Protubérance occipitale, menton...
tomie. Il rappelle les lieux d'émergence du renflement lombaire des
racines
nerveuvses destinées à former laqueue de cheval
s nerveuvses destinées à former laqueue de cheval, le trajet de ces
racines
dans le canal, leurs rapports, etc. Il énumère
ur le tombeau de M. Rousse. CAMUSET. »VIII. névralgie DE la VIII"
racine
POSTERIEURE cervicale droite, RÉSECTION INTRA-R
POSTERIEURE cervicale droite, RÉSECTION INTRA-RACHIDIENNE DE CETTE
racine
ET DES racines sus ET SOUS-JACENTES. GUÉRISON O
ervicale droite, RÉSECTION INTRA-RACHIDIENNE DE CETTE racine ET DES
racines
sus ET SOUS-JACENTES. GUÉRISON OPÉRATOIRE ET FO
non au territoire cutané d'un nerf, mais au territoire cutané d'une
racine
, la vm. racine cervi- cale, lequel territoire c
re cutané d'un nerf, mais au territoire cutané d'une racine, la vm.
racine
cervi- cale, lequel territoire comprenait les d
passage dans la gouttière. On décida de tenter la résection de la
racine
postérieure de la VIII. paire, ainsi que celle
ion de la racine postérieure de la VIII. paire, ainsi que celle des
racines
postérieures sus et sous- jacente. Cette délica
atiquée par les auteurs avec un plein succès. Ils sectionnèrent les
racines
au niveau de leur sortie de la moelle, et pour
ure-mérien, ils firent une seconde section au niveau du passage des
racines
à tra- vers la dure-mère. Malgré le soin avec l
epère, ils n'étaient pas certains d'être réel- lement tombés sur la
racine
de la vin0 paire. Pour s'en assurer, ils excitè
vin0 paire. Pour s'en assurer, ils excitèrent avec l'électricité la
racine
antérieure eorrespondante devenue visible après
ne antérieure eorrespondante devenue visible après la section de la
racine
postérieure. Les résul- tats de cette grave opé
de myéline. Ce foyer en forme de fuseau, commence vers la deuxième
racine
dorsale et se termine vers la huitième racine d
ence vers la deuxième racine dorsale et se termine vers la huitième
racine
dorsale, il occupe spécialement la substance gr
tumeurs n'étant pas au même niveau, atteignent supérieurement deux
racines
diffé- rentes, les troubles moteurs et sensitif
icile sans le secours d'un schéma, je me contenterai de dire que la
racine
sensitive située immédiatement au-dessus des ré
cinq à trois secondes, et diminue à mesure qu'on se rapproche de la
racine
des membres. Excepté à la plante des pieds, il
pieds. Ce retard va en diminuant à mesure qu'on se rapproche de la
racine
des. membres inférieurs. Le froid est bien sent
relative et variable; 5 le meurtre de son semblable a de profondes
racines
dans l'organisme, non seulement humain, mais anim
termes que la lésion porte essentiellement sur le kinétoplasma. Les
racines
antérieures, les nerfs eux-mêmes, sur un certai
ui, parmi ces symptômes, revient à la moelle, ou ce qui revient aux
racines
. Dans le présent travail, il Lente celte dissoc
veuses poltiques et autorise à dire qu'elles portent tantôt sur les
racines
, tantôt sur la moelle, tantôt sur l'une et l'au
uscles différents, et qu'on provoque au moyen de l'excitation d'une
racine
motrice unique, ces mouvements associés, dis-je,
plet ou bien exécutent une fonction donnée. - 3° C'est ainsi qu'une
racine
unique met en mouvement des muscles antagoniste
Exemple : le saut. 4° Chez des animaux divers, si on excite la même
racine
, alors que le mode de dislribution des divers f
tudes des animaux en expérience. Exemple : excitation de la seconde
racine
sacrée du chien ; résultat : mouvements latérau
e, habituels aux chiens qui veulent caresser. Excitation de la même
racine
du chat; Résultat : cette flexion saccadée de l
stincts des animaux en expérience. Ainsi l'excitation de la seconde
racine
lombaire chez le chien, et de la quatrième lomb
s deux animaux ; mais si le courant dont/m se sert pour exciter les
racines
chez le chien et chez le chat a la même intensité
ccessivement les fibres de la moelle épinière, y compris celles des
racines
posté- rieures et antérieures; les fibres du tr
ique, syphilitique, etc., par Nolda, 51. NÉVRALGIE de la huitième
racine
pos- térieure droite, opérée et guérie, par C
p- peu, 143. QuE)EUECtiEYAL.An'ectioisde)a, par Raymond, 291.
Racines
motrices. IJlbtliuutlon fonc- tlUlll1elle des -
tte moitié de la protubérance en deux parties égales. Moelle. Les
racines
antérieures des 4 premières paires de la région
men microsco- pique on ne constate nettement de lésions que sur les
racines
antérieures cervicales. Coloration par le car
les cordons postérieurs. Ces derniers étaient un peu atrophiés. Les
racines
postérieures de la queue de cheval étaient plus
dmettant la transmission de la traction des nerfs périphériques aux
racines
posté- rieures, suppose que la traction porte é
st celle qui, du côté sain, répond au tra- jet intro-médullaire des
racines
postérieures. Le faisceau de Goll fut trouvé at
admet que l'arrachement du nerf sciatique détermine la rupture des
racines
antérieures avant leur entrée dans la moelle, e
re des racines antérieures avant leur entrée dans la moelle, et des
racines
posté- rieures dans leur trajet intramédullaire
Gudden avait préalablement arraché les nerfs scia- tiques avec les
racines
à leur émergence de la moelle. M. Mayser consta
ropage au faisceau de Burdach, et à la portion intra-médullaire des
racines
postérieures. A mesure que les éléments du tiss
passant par le cordon postérieur et la partie intra-médullaire des
racines
postérieures de la région lombaire. Continuant
ons dans la corne pos- térieure, dans la partie intramédullaire des
racines
postérieures et dans les cellules nerveuses des
né le* plus souvent d'une atrophie de la partie intramédullaire des
racines
postérieures. Nous croyons pouvoir chercher l'e
7° Un amoindrissement de volume dans la partie intramédullaire des
racines
postérieures; les bande- lettes radiculaires so
ostérieure ; à l'amoin- drissement de la partie intramédullaire des
racines
postérieures et enfin à la vacuolisation et à l
ôté opéré; en un amoin- drissement de la partie intramédullaire des
racines
postérieures ; en de la vascularisation et de l
du malade sur le tronc nerveux, à l'arrachement d'un nerf avec ses
racines
! Certaine- ment ; mais, en considérant l'arrac
'kilos. Amoindrissement notable de la partie intra-médul- laire des
racines
postérieures et du cordon postérieur du côté de l
e lombaire (spatium rhomboïdale) et l'on sec- tionne l'ensemble des
racines
qui au-dessous du renflement lombaire partent d
queue de cheval ; ou bien, pour sectionner un plus grand nombre de
racines
, on passe entre la. dernière et l'avant-dernièr
re la. dernière et l'avant-dernière lombaire. Le couteau enlève les
racines
postérieures et antérieures avant l'extrémité i
e imputable à une action traumatique dans le voisinage immédiat des
racines
sectionnées, indiquerait que l'altération de la
ffet de la séparation des ' ganglions spinaux en connexion avec les
racines
postérieures sectionnées. La constance de la dé
hique qui, après la section des ganglions, se pro- page le long des
racines
postérieures coupées vers le centre de la moell
onc de foyer trophique non seulement aux fibres sensitives et aux
racines
des nerfs spinaux, mais aux éléments cellulaires
ée). Durée totale, deux ans et dix mois. Autopsie : compression des
racines
nerveuses de la queue de cheval par un foyer mé
out le long de la moelle, dégénérescence secondaire ascendantes des
racines
pos- térieures directement atteintes, dégénéres
de cer- 92 L) revue DE pathologie NERVEUSE. tains territoires des
racines
postérieures; plus tard, phénomènes paralytique
un abondant exsudat gélatiniforme (compression des centres et des
racines
nerveuses qui en partent). P. K. IV. SUR UN cas
Intégrité également des troncs nerveux du bras droit, intégrité des
racines
antérieures cervicales et lombaires, altéra- ti
que soient les lésions des nerfs périphériques, presque jamais les
racines
antérieures de la moelle ne sont trouvées malad
Intégrité des branches sus-claviculaires qui émanent des V° et VI°
racines
cervicales. P. K. XI. UN cas d'hémiplégie cor
issu adipeux sur la dure-mère, les ganglions intervertébraux et les
racines
qui touchent à ces derniers, chez ceux qui sont i
gu- lièrement sur toute la surface du corps, comme par exemple la
racine
du nez, le pavillon de l'oreille, la région mamma
Circonférence au niveau ,de l'attache desloreilles : 0,55; de la
racine
du nez à la protubérance occipitale externe : 0,3
s et contractiles, pas de strabisme.' 'Nez 'petit, assez déprimé sa
racine
.-Oreilles grandes,'bien ourlées, très écartées
stance grise. En avant, sur la bord extérieur elle n'atteint pas la
racine
antérieure. Dans la région de l'origine apparen
pas la racine antérieure. Dans la région de l'origine apparente des
racines
de la seconde et de la troisième paires cervica
ncore la substance grise. Dans la région de l'origine apparente des
racines
des qua- trième et cinquième paires cervicales
a commissure postérieure. Dans la région de l'origine apparente des
racines
des sixième et septième paires cervicales, les
ractère décrit plus haut. Dans la région de l'origine apparente des
racines
de la huitième paire cervicale, le faisceau gau
E LA MOELLE ÉPINIÈRE. 311 Dans la région de l'origine apparente des
racines
de la première et de la seconde paires dorsales
istribue avec la même irrégularité. Dans la région de l'origine des
racines
de la troisième paire dorsale, on remarque la p
ongitudinale et au bord antérieur des cordons jusqu'à la sortie des
racines
antérieures, puis s'étend sans interruption à l
auparavant les faisceaux de Goll. , Dans la région de la sortie des
racines
de la quatrième et cinquième paires, la propaga
tout en res- tant peu régulière. Dans la région de la sortie des
racines
de la sixième paire dorsale les cordons postéri
érieur de la fente longitudinale. Dans la région de la sortie des
racines
de la septième et de la huitième paires dorsale
ement moins atteint que le droit. Dans la région de la sortie des
racines
de la neuvième et de la dixième paires dorsales
ns l'augmentation de la sclérose. Dans la région de la sortie des
racines
de la onzième et de la douzième paires dorsales
ses dimen- sions se rétrécissent peu à peu et dans les régions des
racines
de la quatrième paire lombaire, les dimensions
oite qui se joint immédiatement à la périphérie au bord externe des
racines
postérieures. Fig. 9.- Coupe dans la portion lo
ux grands grossissements. Dans la région de l'origine apparente des
racines
de la première paire dorsale, quelques cellules
ce presque complète des cordons postérieurs, atrophie prononcée des
racines
postérieures, amincissement et coloration grisâ
ban (ramollissement). Aplatissement, mais faible dégénérescence des
racines
nerveuses droites, inté- grité des racines de g
aible dégénérescence des racines nerveuses droites, inté- grité des
racines
de gauche. Dégénérescence descendante des faisc
n et les altérations cervico-dorsales; dans le peu d'altération des
racines
de droite et l'intégrité de celles de gauche ;
la contracture du membre supérieur droit (excitation permanente des
racines
de ce côté par élongation). Planche à l'appui.
kilos. Amoindrissement notable de la partie lntra-médul- laire des
racines
postérieures et du cordon postérieur du côté de l
tence de lésions segmentaires parfaite- ment caractérisées dans les
racines
antérieures spinales prises au niveau du renfle
ne. Du reste, l'examen de coupes transversales pratiquées sur ces
racines
révèle la présence d'une quantité tout à fait i
rose latérale amyol1'opltique. (drch. de Physiolog., 1879, p. 735. (
Racines
nerveuses). 3 3t ANATOMIE PATHOLOGIQUE. mal
ration au début. 4 Fig. 16. -Fibre nerveuse prise au niveau d'une
racine
antérieure cervi- cale dans un cas de sclérose
# ", , , , " Pr ? il- 'tM', .1 anal à la moelle-épinière, ou leurs
racines
, on i ! HN,cep : terait cette stimulation et l'
)r1qd'-j ? to1 6 no1 1'" 111' Or, dans l'ataxie, y, a .lésion .des,
racines
posté- .9riir VU' ? '1l' ¡I>I bl' '1> ,o.
ésion s'observe fiï- (j 9j1 , 'Il "i».-«j . - - - également d'une
racine
à l'autre, et elle a, pour con- ? 1 1 : %) "Plq ,
e de produire de l'in- coordination chez les animaux, en lésant les
racines
pos- térieures : il n'en est rien. Nous ne pouv
fibres 'sensitives venant de tel ou tel muscle : Si on coupe les1
racines
postérieures, correspondant aux- nerfs de tout'
is' par l'inégalité du tonus : * ' j Lorsqu'on'sectionne toutes les
racines
postérieures correspondant aux nerfs d'un membr
ion 'des membres. « Si» l'on coupe, dit M. Vulpian \ toutes les,,
racines
postérieures des nerfs destinés à1' un des memb
ait vraie, on rendrait un animal incoordonné en lui sectionnant les
racines
postérieures ; or, on produit bien ainsi un tro
frontale est médiocrement dur mais considérablement atrophié. Les
racines
des deuxième et troisième circonvolutions frontal
la circonvolution pariétale ascendante est un peu intéressée. La
racine
de la deuxième circonvolution frontale est consi-
centimètre; la ligne médiane est divisée en cen- timètres depuis la
racine
du nez jusqu'à la protubérance occi- pitale ext
ner- veuses qui vont, par un trajet-croisé, former une partie des
racines
du nerf moteur oculaire commun du côté opposé ;
démontrera en particulier les propriétés motrices des cornes et des
racines
antérieures. II. de BOXER REVUE DE PHYSIOLOGI
té des troncs et de leurs extrémités périphériques qu'au niveau des
racines
spinales. La lésion dégénérative paraissait don
eure. Le système sensitif ne nous a pas paru affecté. Du moins, les
racines
postérieures exa- minées dans deux cas ne conte
nées dans deux cas ne contenaient aucun tube altéré, tandis que les
racines
antérieures étaient attein- tes ; il en était d
manière continue. Cette ex- tension, qui se fait à la fois vers la
racine
du membre et vers son extrémité, est très varia
prolongements qui s'entrecroisent- avec ceux de la pie-mère. Les
racines
et les cornes postérieures et tout le reste de la
REVUE- DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 305 XX. Hypothèse d'une. RUPTURE DES
racines
. du. PLEXUS' BRA- CHI'AL; par M. HUTCHINSON, (l
lon lui, devait s'être fait dans une chute, une' rupture des quatre
racines
infé- rieures' du'plexus brachial .gauche (bran
' d .. ti.... 1 ? l : .I...,.( L ! f 'fLl ? 1-' .. ? .....i d . des
racines
plutôt que, des troncs nerveux. En effet, la pupi
? la'racine supérieure autopsie faite dans un cas de ce genre : la,
racine
supérieure u ranc r' " pire'cervièalie) I éÍé s
phérie de la moelle ait envahi la pie- mère,, ou que les fibres des
racines
postérieures soient englo- bées dans la partie
du renflement dorsal et la recouvrir jusqu'au filum terminale. Les
racines
nerveuses ne sont cependant pas comprimées par
s ne présentaient pas non plus de granulations tuberculeuses. Les
racines
nerveuses paraissaient irritées, mais cependant
artie moyenne supérieure des circonvolutions ascendantes (c, d,) la
racine
des deuxième et troisième circon-' volutions fr
qui sont plus ou moins saines. Hémisphère droit. Face convexe : la
racine
des trois cir- convolutions frontales, la régio
lution frontale ascendante for- mant une saillie en avant, entre la
racine
des deuxième et troisième circonvolutions front
longitudinal quo dans le transversal, et aussi, plus vite vers la
racine
du membre que vers la périphérie. De sorte que, a
la bran- che superficielle du nerf radial. MAYGRIER. VI. DOUBLES
racines
DE l'acoustique, NERF DE L'AUDITION ET NERF DE
aincre, qu'outre les barbes du calamûs scriptorius qui for- ment sa
racine
postérieure et superficielle, le nerf acoustique
racine postérieure et superficielle, le nerf acoustique possède une
racine
antérieure et profonde qui, passant en avant du
lui-même. Ces dispositions ne permettent guère de considérer cette
racine
comme ressortissant aux fonctions auditives, el
oiement, ces consi- dérations conduisent M. Duval à considérer : la
racine
posté- rieure de la huitième paire comme le ner
é- rieure de la huitième paire comme le nerf vraiment auditif; sa
racine
antérieure comme le nerf de l'espace. Il y a donc
aux semi-circulaires sont les origines périphériques de ce sens, la
racine
antérieure de l'acoustique parait en être le ne
optique n'est pas un organe central de la vision; 6° La prétendue
racine
optique interne de la bandelette opti- que (inn
à la bandelette optique; 7° Les fibres qui composent la prétendue
racine
du corps genouillé interne (Huguenin) n'apparti
lette optique, mais à la commissure inférieure. Ainsi, parmi les 5
racines
du nerf optique, admises par Huguenin, il n'en
e par conséquent l'existence de nerfs dilatateurs cheminant par ces
racines
. R. B. MODIFICATIONS DE l'excitabilité DES NE
exactement aux même conclusions que chez l'homme, à savoir que ces
racines
proviennent de quatre sources distinc- tes : 1°
conclusions suivantes : le nerf de Wris- berg est certainement une
racine
sensitive, et peut être une racine vaso-motrice
ris- berg est certainement une racine sensitive, et peut être une
racine
vaso-motrice (vaso-dilatatrice) : les fibres acco
rs cette bande dont il ne laisse que quelques tours au niveau de la
racine
du mem- bre pour prévenir le retour du sang, l'
nf0 ri(, n. ! >F(" -r i -t tum zonale de. cette, couche, avec sa
racine
intérieure 1.)1),U. 'ti '> 'si) ni, f fl Ir
locomo- trice sont évidemment liées au travail irritatif dont les
racines
et les cordons postérieurs de la moelle (et la
ive à un mal de Pott ou à une tumeur intra-rachidienne, lorsque les
racines
pos- térieures ou les faisceaux postérieurs de
à ce que les impressions nées daus la moelle épinière ou dans les
racines
postérieures, sont rapportées à la périphérie p
le plus de netteté. Comment le travail irritatif, qui porte sur les
racines
et les faisceaux blancs postérieurs delà moelle
rieurs sur les nerfs voso-moteurs qui émergent de la moelle par les
racines
antérieures ECCHYMOSES TABÉTIQUES. 561 < c
t à la suite de l'excitation douloureuse des nerfs sensitifs ou des
racines
postérieures de la moelle, congestion aboutissa
ifuge de filets vaso-moteurs (vaso-dilata- teurs) contenus dans les
racines
spinales postérieures. Pour que cette hypothèse
alable, il faudrait que la présence de filets vaso-moteurs dans les
racines
postérieures fût établie; or, l'on sait que pre
nerfs vaso-moteurs qui émanent de la moelle empruntent la voie des
racines
antérieures. Il existe cependant des expérience
ces de M. Brown-Séquard ' qui tendraient à faire admettre que les
racines
postérieures, elles aussi, renferment des filet
s aussi, renferment des filets vaso-moteurs. Il a vu la section des
racines
postérieures des cinq ou six derniers nerfs dor
sée sur l'hypothèse do l'existence des filets vaso-moteurs dans les
racines
postérieures et de l'irritation directe 36 56
taiezirs contenus dans le nerf sciatique quittent la moelle par les
racines
postérieures des 4° et 5° pai- res lombaires '.
ons portant sur les fais- ceaux postérieurs de la moelle ou sur les
racines
spinales sensitives.... Un certain nombre au mo
ires de M. Vulpian, l'existence de filets vaso-dilatateurs dans les
racines
postérieures de la moelle. Si la présence, dans
ans les racines postérieures de la moelle. Si la présence, dans les
racines
postérieures, de fibres vaso-dilatatrices admis
inflammatoire qui s'effectuent probablement vers les cordons et les
racines
postérieures de la moelle pen- dant les grandes
ds "cellules"" motrices des'cornes antérieu- res, avec atrophie des
racines
nerveuses qui partaient du point malade. Les ce
paration moyenne des cordons postérieurs ; C. Le point d'entrée des
racines
postérieures dans la moelle et leur territoire
priété de conduire toutes les impressions; l'atrophie partielle des
racines
postérieures peut aussi coexister avec la sensi
écité, surdité, dégénérescence presque absolue des cordons et des
racines
postérieurs, de l'ensemble des cordons latéraux d
cteur-gérant, Bourneville. TABLE DES MATIERES Acoustique (doubles
racines
de l'), par lllatluas Duval, 530. Æsthésiogen
nération au début. Fig. 16. -Fibre nerveuse prise au niveau\d'une
racine
antérieure celui- cale dans un cas de sclérose
itc-sylvieillie. Ne, noyau caudé. N L, noyau lenticulaire. R 1,
racine
inférieure delà couche optique. S l, septum luc
du pont de Varole, mais il n'offrait pas d'atrophie marquée. Les
racines
des 9° et 10° paires présentaient cependant aussi
. xPy, entrecroisement des pyramides. col, corne latérale. Vds,
racine
descendante du trijumeau. .1'Rm, fibres section
é partielle- ment, mais inégalement à droite el à gauche. Vils,
racine
descendante de la vue paire. Fcd, faisceau céré
cR, corps restiforme. NIX, noyau du nerf glosso-pharyngien. l'ds,
racine
descendante de la Ve paire. Namb, noyau ambigu.
substance gélatineuse de Rolando. SR, formation réticulée. Vdsg,
racine
descendante de la V paire gauche déformée. Na
erew. ND, noyau de Deiters. ;V/f, noyau de la Vile paire. VIII,
racine
de la VIlle paire. I Illg, racine de la VIlle p
, noyau de la Vile paire. VIII, racine de la VIlle paire. I Illg,
racine
de la VIlle paire à gauche . déformée. Vds, r
ire. I Illg, racine de la VIlle paire à gauche . déformée. Vds,
racine
descendante de la V° paire. l'em, pédoncule cér
Os, olive supérieure. Nacv, noyau ventral de l'acoustique. VII,
racine
descendante du facial. VI, racines du nerf abdu
u ventral de l'acoustique. VII, racine descendante du facial. VI,
racines
du nerf abducens. NOUV. Iconographie DE la SALP
rijumeau. /mV, fibres motrices sectionnées du triju- meau. V,s,
racine
sensitive de la Ve paire. Os, olive supérieure.
nce gélatineuse qui l'accompagne. Il existe de l'asymétrie dans les
racines
descendantes du trijumeau : celle de gauche est
xterne sont absolument nor- maux des deux côtés. On trouve dans les
racines
de la sixième paire, un peu atrophiée à gaucho,
ventral de l'acoustique qui est repoussé tout à fait en avant. Les
racines
de la huitième paire it gauche sont dissociées,
t méconnaître qu'elles pré- sentent un certain degré d'atrophie. La
racine
vestibulaire est déformée, sans s atrophie nota
gauche existe seul (PI. III, F). 12 p. LADAME ET C. MONAKOW La
racine
cérébrale de la cinquième paire est plus mince à
côtés. Il en est de môme de ceux des nerfs pathétiques et de leurs
racines
(PI. II, D, et PI. III, E). La partie latérale
savoir surtout le corps res- tiforme, l'olive, le ruban de Reil, la
racine
bulbaire du trijumeau et la formation réticulée
ur de Meynert), et dans lequel se trouvent quelques faisceaux de la
racine
descendante de la VI lie paire (racine labyrin-
uvent quelques faisceaux de la racine descendante de la VI lie paire (
racine
labyrin- thique). C'est ce groupe que Gudden et
ance. La substance gélatineuse du faisceau solitaire et celle de la
racine
descendante du tri- jumeau étaient spécialement
iques présentent de très nombreux renflements fusi- formes. . Les
racines
rachidiennes et les ganglions rachidiens sont nor
rfs que nous avons examinés sauf au grand sympathique cervical, aux
racines
et ganglions rachidiens au sujet desquels nous
rs notent l'aspect extraordinaire de ces membres athlétiques à leur
racine
, étiques à leur extrémité distale. Deux données
oelle et seulement les cordons de Goll dans le tiers supérieur. Les
racines
de la queue de cheval sont les antérieures norm
microscopique a d'ailleurs révélé plus tard l'intégrité absolue des
racines
antérieures lombaires et l'atrophie complète des
bsolue des racines antérieures lombaires et l'atrophie complète des
racines
postérieu- res. Au microscope encore quelques n
région cervi- cale, les cordons de Goll sont seuls sclérosés. Les
racines
rachidiennes antérieures soit cervicales, soit lo
ombaires ont été trouvées normales il l'examen microscopique. Les
racines
postérieures cervicales sont formées par un mélan
mées par un mélange de fibres saines et de fibres atrophiées. Les
racines
postérieures lombaires sont très diminuées de vol
au du collet, sans carie apparente et sans la moindre douleur : les
racines
subsistent pour la plupart, elles parais- sent
usculaire du bras et de la jambe droite, atrophie plus marquée à la
racine
des membres, bras et cuisse. Le malade marche s
, ou parfois des douleurs en ceinture, signes de l'inflammation des
racines
postérieures. La participation des racines antéri
es de l'inflammation des racines postérieures. La participation des
racines
antérieures se traduit par des paralysies motri
verses. A l'autopsie, absence de toute cause de compression sur les
racines
; infil- tration embryonnaire de l'épinèvre, at
s nerfs faciaux et oculo-moteurs dues à des gommes siégeant sur les
racines
médullaires, en somme poly- névrite radiculaire
le membre supérieur droit depuis l'extrémité des doigts jusqu'à sa
racine
comprise dans le sens le plus large puisque la
alé la présence de glandes lympatiques il la paroi abdominale, à la
racine
de la verge, à la partie inférieure de la nuque
ournier, Poncet), entre les fibres du muscle pectoral (Audry), à la
racine
de la verge, au devant de la symphyse pubienne
; les dents étaient saines, blanches, solidement implantées ; leurs
racines
ne faisaient aucune saillie dans la cavité bucc
eur sont toutes cariées, jaunâtres, un peu déchaussées ; mais leurs
racines
ne sont sail- lantes ni en dehors ni en dedans.
n'existe pas de dégénérescence, ni dans les faisceaux, ni dans les
racines
; la substance grise est normale ; les colonnes de
dans le cordon antérieur au niveau de la cinquième et de la sixième
racines
cervicales ; sur une certaine hauteur ce prolonge
isolé du reste de la corne antérieure. 2° A partir de la troisième
racine
cervicale (PI. XLIX, L), on constate l'exis- te
dégénérescence augmente au niveau de la deuxième et de la première
racines
cervicales (PI. XLIX, KM). b) Bulbe. - Les prol
t le plancher du 4e ventricule n'existent pas ici. Les fibres des
racines
vestibulaires, quoique un peu plus grêles et moin
oyau triangulaire de l'acoustique (noyau qui est en rapport avec la
racine
vestibulaire de la 8e paire et le cervelet) ont d
ceaux cérébello-vestihulaires se conti- nuent avec les fibres de la
racine
vestibulaire. Les noyaux de la 7e, de la 6° et
e. Les noyaux de la 7e, de la 6° et de la 5° paire sont sains. La
racine
descendante du trijumeau offre un aspect nettemen
t de régression ; l'auteur fait en outre remarquer que l'examen des
racines
antérieures et des racines postérieures montre
fait en outre remarquer que l'examen des racines antérieures et des
racines
postérieures montre qu'à la région cervicale et
de dégénérescence des cordons. Le nombre des fibres fines dans les
racines
n'est. pas augmenté si ce n'est dans la 6e raci
s fines dans les racines n'est. pas augmenté si ce n'est dans la 6e
racine
dorsale postérieure gauche et la 3° ra- cine lo
die de Friedreich, en effet, les cordons postérieurs et surtout les
racines
postérieures sont relative- ment moins malades
inson explique cette dilatation de la pupille par compression de la
racine
de l'oculo-moteur commun, cette compression s'eff
onsidérable : la perte de connaissance et les vomissements..... Les
racines
de l'élévateur de la paupière supérieure avaient
-moteurs, ni début par les extrémités des membres et marche vers la
racine
comme dans le type névritique do De,jerineet So
s déformations de l'aorte. Telles sont enfin les compres- sions des
racines
rachidiennes, des troncs nerveux, de la moelle. L
n français. Un nez, le fléau de tous les nez, Ecrasé, creusé à la
racine
Par une camarde narine Souffle un parfum d'oe
ntraire, la dégénérescence dans les cordons postérieurs et dans les
racines
postérieures a augmenté de beaucoup, surtout da
et postérieure contiennent aussi beaucoup de globules noirs. Sur les
racines
, coupées transversalement et entourant la moell
s cordons postérieurs, principalement sur la périphérie et dans les
racines
postérieures. Plus loin, il y aune dégénérescen
aire, que dans la région cervicale ; la partie intra-médullaire des
racines
est plus altérée, que leur région extra-médullair
les raci- nes antérieures ont peu souffert comparativement avec les
racines
postérieures et avec les cellules de la corne a
a périphérie de cordons de Goll, des cordons de Burdaéh et dans les
racines
postérieures (dans les cordons de Burdach et dans
s les racines postérieures (dans les cordons de Burdach et dans les
racines
postérieures du côté gauche la dégénérescence est
ccusée dans la région postérieure des cordons postérieurs, dans les
racines
postérieures et dans les racines antérieures ;
des cordons postérieurs, dans les racines postérieures et dans les
racines
antérieures ; en outre, la dégénérescence, quoiqu
TOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 491 radiculaires, surtout des
racines
postérieures, est bien plus accentuée dans les
s-décrit, on parvient à constater que la partie intramédullaire des
racines
(surtout des racines postérieu- 492 SOUKUAKOFF
à constater que la partie intramédullaire des racines (surtout des
racines
postérieu- 492 SOUKUAKOFF ET GEIER res) a été
e, ils offrent là comme ailleurs un orifice de sortie suffisant aux
racines
rachidiennes. Nous n'avons pas soumis à l'exame
uleur l'accompagne, la cause en est à la compression momentanée des
racines
racbidiennes. Le phénomène est passager, c'est pl
e compression, aussi la douleur est-elle vite dissipée. De plus les
racines
rachidiennes sont elles-mêmes fortement altérées
aralysés. Il est gâteux. Au côté gauche de la tête, au-dessus de la
racine
du pavillon de l'oreille, on trouve une plaie l
à la fois, s'arrêtant soit au cou-de-pied, soit au genou, soit à la
racine
de la cuisse, affection indolore, apyrétique, chr
à un degré moindre et la peau ne retrouve sa souplesse que vers la
racine
du membre et à sa face interne. Le membre infér
emière place. Puis vien- nent les becs de corbeau pour extraire les
racines
, différentes tenailles, ou daviers (en italien
s bruxelles, les stylets, les élévateurs, les rugines, les pinces à
racines
, les pieds de biche, les becs de corbeau, les lan
ce, comme on le sait, dans le bulbe rachidien au moyen de plusieurs
racines
, et de plu- sieurs noyaux d'origine. Pour ce qu
pédoncules cérébelleux. Krause * reconnaît au nerf auditif quatre
racines
, et pour chacune d'elles, un noyau d'origine.
et pour chacune d'elles, un noyau d'origine. Le noyau latéral des
racines
postérieures se trouve, d'après cet observateur
cet observateur, entre la partie supérieure et l'inférieure de ces
racines
, immédiatement à leur issue du corps resti form
mmédiatement à leur issue du corps resti forme. Le noyau médian des
racines
postérieures occupe le plancher du quatrième ve
interne du corps restiforme, et finalement, le noyau latéral des
racines
antérieures se localise dans la protubérance, à
es se localise dans la protubérance, à l'endroit où en émergent les
racines
nerveuses. C'est précisément de ce noyau que ti
ion intermédiaire de Wrisberg. C'est ainsi que le noyau latéral des
racines
postérieures, et le noyau latéral des racines a
le noyau latéral des racines postérieures, et le noyau latéral des
racines
antérieures de Krause, correspondent au noyau a
correspondent au noyau antérieur de Huguenin. Le noyau médian des
racines
postérieures correspond au noyau interne de Hug
s correspond au noyau interne de Huguenin, et le noyau médian des
racines
antérieures au noyau externe de Huguenin. Henle
érieur du nerf auditif, celui que Krause appelle noyau médian des
racines
postérieures noyau interne de Huguenin. Le noya
dbitch der des /c ? i ! C/ ! 0 ! . Braunsch- 1879. 38 ANATOMIE.
racines
postérieures et antérieures le noyau anté- rieu
Le noyau latéral de Henle équivaut, en partie, au noyau médian des
racines
antérieures de Krause, et au noyau externe de H
au nerf auditif : son noyau central correspond au noyau médian des
racines
postérieures de Krause; son noyau latéral au no
cines postérieures de Krause; son noyau latéral au noyau médian des
racines
anté- rieures de Krause; son noyau accessoire a
nté- rieures de Krause; son noyau accessoire au noyau latéral des
racines
antérieures de Krause. Schwalbe affirme en plus
ellules ganglionnaires sont contenues dans le segment extérieur des
racines
posté- rieures. Quant aux relations intra-céréb
dearm), tandis que Mathias Duval3 insinue que quelques fibres des
racines
antérieures du nerf auditif se rendent dans le
nerfs pathétique et moteur de l'aeil, ou bien encore le volume des
racines
antérieures des nerfs spinaux. Le tissu conjonc
eur est inférieure, à très peu de chose près,à celle des fibres des
racines
antérieures de la moelle épinière. Ces tubes ne
rs temps, Mathias Duval' vient de confirmer aussi qu'il existe deux
racines
du nerf au- ditif bien distinctes et dont l'ant
au- ditif bien distinctes et dont l'antérieure est, selon lui, la
racine
motrice et joue le rôle du nerf de l'espace, po
e avec cheveux courts, secs, presque noirs; visage hideux; front et
racine
du nez couverts de rides; nez camard; peau de l
héliale de l'épendyme, dans la pie-mère médul- laire et le long des
racines
antérieures et postérieures. Ces lésions qui ré
yé en médecine, on se contente de traiter par l'alcool l'écorce des
racines
. On obtient ainsi un liquide rougeâtre, à saveu
ltérations microscopiques les plus intenses sié- geaient depuis les
racines
de la dixième paire dorsale jusqu'au renflement
clusion des faisceaux de Goll, mais atteignant principale- ment les
racines
postérieures dans la région lombaire' .. ' i u
al, au corps genouillé médian, aux tubercules quadrijumeaux et à la
racine
descendante, où se rendent également des faisce
es poursuivre jusque sur le tectum opticum de la couche optique. La
racine
descendante se divise en deux branches : la plu
s anoures (rana esculenta et pipa dorsigera) ce nerf naît de deux
racines
, l'une centrale, l'autre latérale, toutes deux or
ies ou les gymnopinons, de chaque côté partent du lobe olfactif une
racine
ventrale et une racine dorsale, demeurant com-
de chaque côté partent du lobe olfactif une racine ventrale et une
racine
dorsale, demeurant com- plètement séparées et p
soin de le séparer de toute connexion nerveuse par la scission des
racines
antérieures et postérieures, en cinq à sept jou
effectuée aussi haut que possible, en même temps que l'on coupe les
racines
antérieures sur les trous intervertébraux, n'en
ude de rats qui se muffant auffitoft en terre deuorent germes &
racines
. Tantoft font fortir des loups d'un arbre creux
llement d'autant plus distincte qu'elle est faite plus haut vers la
racine
du membre. L'insensibilité ther- mique seule de
renflement et dans une longueur de cinq centi- mètres environ, les
racines
antérieures du côté gauche sont manifestement a
astoides sont très développées. De la bosse occipitale externe à la
racine
du nez, en passant par le vertex, on mesure 38
n arrière; le stylet glisse en avant sur les téguments jus- qu'à la
racine
des bourses; en arrière il glisse entre les tégum
elui-ci, aux termes de ces recherches, ne possédant pas moins de 10
racines
cérébro-médullaires. P. K. III. DE la DISTRIBUT
nomène. Par des sections méthodiques portant sur la moelle et les
racines
, Tschiriew pense avoir démontré que les phénomène
t le réflexe du genou (Schulze et Fùrbringer) ; 2° la section de la
racine
postérieure de la 6° paire lombaire, chez le la
, chez le lapin, abolit le réflexe du genou (Tschiriew) ; celle des
racines
postérieures voisines n'a pas d'inflence sensib
isines n'a pas d'inflence sensible, à moins que l'on n'atteigne les
racines
du sciatique; dans ce cas on obtient une augmen
du triceps crural seul. En effet, lorsqu'on a sectionné toutes les
racines
postérieures d'un membre, et même, en outre, to
faible. C'est là qu'il faudrait travailler, prendre le mal dans sa
racine
. Pour moi. ce' qu'il faudrait, ce serait un chang
e putamen et la paroi anté- rieure du ventricule latéral. L'une des
racines
, correspondrait à l'arrière de la pointe supéri
gé de croire à une lésion centrale ayant très fortement atteint les
racines
intra-bulbaires ce qui donne à la paralysie un ca
us souvent d'une altération primitive, généralisée et profonde, des
racines
antérieures anatomiquement constituées par des
ites du parenchyme, et des foyers nécrosiques dissé- minés dans les
racines
spinales elles-mêmes. J. S. XXIV. Paralysie con
rne, remplissant le canal rachidien de la cinquième à la der- nière
racine
cervicale incluse. Moelle presque indemne, à pein
u'on n'a point vu son prolongement nerveux constituer une fibre des
racines
antérieures ? A cet effet, au lieu de la moelle d
ux sortir directement des cellules des cornes antérieures; ceux des
racines
postérieures seraient formés de la réunion de f
de Luys. Ce faisceau a été considéré à tort par Stilling comme une
racine
de la bandelette optique. 3° Le volumineux fais
e et surtout aux colonnes de Clarke. En conséquence, les fibres des
racines
postérieures qui prennent part à la constitutio
ent, c'est-à-dire qu'il y a union directe des fibres sensitives des
racines
de la moelle avec les noyaux des faisceaux de Gol
s racines de la moelle avec les noyaux des faisceaux de Goll. Les
racines
postérieures qui viennent d'entrer dans la moelle
probable que ces fibres pro- viennent de la corne postérieure (des
racines
postérieures ? ) et vont dans les cordons posté
onsidérable. P. KÉRAVAL. VI. Contribution A l'étude DU trajet DES
racines
postérieures chez l'homme; par A. Marguliès. (N
(Neurolog. Cei2ti-albl.,XV, 1896.) Observation de lésion isolée des
racines
postérieures ; figures. Il s'agit d'un homme de
ns les cordons postérieurs. On constate à droite au niveau de la 6e
racine
dorsale, un champ dégénératif corres- pondant e
e évidemment les contingents de fibres de moyenne longueur de la 6e
racine
dorsale. A la hauteur de la 1" racine dorsale,
de moyenne longueur de la 6e racine dorsale. A la hauteur de la 1"
racine
dorsale, cette zone se dirige en dedans ; elle n'
rieure apparaît donc comme le lieu de réception des fibres de la 6e
racine
dorsale qui vont au cerveau. Au niveau de la 7e
res de la 6e racine dorsale qui vont au cerveau. Au niveau de la 7e
racine
cervicale, la zone dégénérative a diminué parce
nifeste à toutes les hauteurs. Cette dégénérescence unilatérale des
racines
postérieures limitée au côté de la racine affec
rescence unilatérale des racines postérieures limitée au côté de la
racine
affectée n'a pas de cause ici connue, peut-être a
Ol., anno XIII, fasc. 111, VI.) XXI. Les EFFETS DE l'excision DES
racines
sensitives de la moelle épinière ET LEUR interp
on si accusé que ce rebord finit par disparaître, laissant voir des
racines
entre lesquelles s'est interposé un pont gingiv
éger duvet sur les joues. Poils abondants et longs au pénil et à la
racine
des bourses qui sont pendantes, de niveau. - Te
u pénil. Les poils sont également très abondants et très longs à la
racine
des bourses, pendantes. Les testicules sont éga
ire ne peut pas toucher la moelle, et s'engage simplement parmi les
racines
nerveuses flottantes de la queue de cheval. Le
vation abondante. Notons d'abord que les cordons postérieurs et les
racines
spinales présentaient des lésions classiques du
fonde de la myéline. Le maximum de ces lésions se trouve dans les
racines
qui vont du bulbe olfactif au cerveau. Le ganglio
ules radiculaires « motrices », dont les cylindraxes constituent la
racine
antérieure; les cellules des cordons, dont les
d'origine exclusivement bulbaire, doit être considérée comme une
racine
bulbaire motrice accessoire du pneumogastrique et
vé par le radial qui prend naissance, d'après les uns au niveau des
racines
des cinquième, sixième, septième et huitième pa
cas, ce qui est certain, c'est la participation, non seulement des
racines
des cinquième et sixième paires cervicales, comme
existe dans les cas typiques de cette paralysie, mais aussi de la
racine
de la septième paire. (Vratsch, 1897, n° 9.) Roub
as de Schultze (écrasement de la queue de cheval et déchi- rure des
racines
du sciatique) et aussi avec les expériences de Ba
s cervicale et dorsale et s'arrêtant à la région lombaire (douzième
racine
dorsale) où il se perd dans la substance grise
èrement diffus au-dessus de ce niveau; 3° au niveau de la troisième
racine
lombaire il occupe la marge du sillon postérieu
a moitié de la marge de la périphérie; 4° au niveau de la quatrième
racine
lom- baire il s'étend plus en avant jusqu'à la
usqu'à la commissure postérieure; au-dessous de ce niveau (deuxième
racine
sacrée) il prend la forme d'un coin très mince
la périphérie et le sommet la commissure. A partir de la troisième
racine
sacrée il va en dimi- nuant progressivement d'é
que ce faisceau n'est pas en continuité directe avec les fibres des
racines
postérieures de la région correspon- dante, qu'
; il se pousse des quatre extrémités, amenant les talons jusqu'à la
racine
des cuisses et laissant derrière lui les mains
u prèsnormal des cornes postérieures, des tractus sensoriaux et des
racines
nerveuses concorde avec l'absence de symptômes du
dans la moelle mais on peut la rencontrer dans l'écorce et dans les
racines
nerveuses. Lorsqu'elle siège dans la moelle ell
sparition des éléments de structure avec ou sans dégénérescence des
racines
antérieures. Les lésions que l'on rencontre dans
de la moelle épinière com- mençant au niveau de la pie-mère et des
racines
du côté droit du renflement lombaire qui est co
là huitième paire dorsale, les troubles de la sensibilité jusqu'aux
racines
dor- sales supérieures. Mort le 13 décembre 189
ès l'opération. Autopsie : Sarcomes multiples des méninges et des
racines
mé- dullaires. Siège primitif au niveau de la m
ombaire. Pénétra- tion des tumeurs à travers la pie-mère et par les
racines
dans la substance médullaire. Toute la moelle l
énérescence sarcomateuse s'étend le long de la pie- mère et sur les
racines
jusqu'à la partie supérieure de la moelle dorsa
ges dont le centre se trouverait entre la troisième et la quatrième
racine
dorsale. Prolongement jusqu'à la deuxième paire
e entourant la par- tie postérieure de la moelle et intéressant les
racines
des deuxième et cinquième paires dorsales : ext
cinquième vertèbre dorsale jusqu'au niveau des sixième et septième
racines
dorsales, et dans la région de la plus forte com-
urdon et Luys (1861), la maladie est regardée comme la sclérose des
racines
et des cordons postérieurs. Plus tard, en 1870-
troisième période, en admettant l'origiue primitive des lésions des
racines
postérieures; cette formule radiculaire, oubliée
dons postérieurs qui apparaissent surtout formés par les fibres des
racines
; elle donne naissance à plusieurs théories (Hallo
x systèmes de faisceaux. Le premier système comprend les fibres des
racines
postérieures : fibres extrinsèques - exogènes (
tial, atteint d'abord, le système radiculaire postérieur, depuis la
racine
jusqu'au cordon correspondant de la moelle. Les
au de la moelle (bandelettes externes de Pierret), et au niveau des
racines
. Cet envahissement du système radiculaire pos-
uelle que soit la zone atteinte, endogène ou exogène, au niveau des
racines
comme au niveau des cordons postérieurs. Le c
amidal. Faisceau - et maladie de Little, par van Gehuc))t3n, 353.
Racines
postérieures. Trajet des - chez l'homme, par Ma
CEREBRALES ET CEREBELLEUSES DES nIa à 1fJ xÍÍé paires nerveuses DU
Racines
spinales des JJINERFS SENSORIELS DU CERVEAU; pa
, - * - ? '. -, ? t rv. n,nr., ., La seconde sectionesrreservee aux
racines
spinales des nerfs sensoriels dîi ceveazc. Le t
ceveazc. Le trijumeau prendrait son origine dans la moelle, par sa
racine
ascendante, au niveau de l'entrecroise- ment de
don cunéiforme (faisceau grêle in- terne) ; l'acoustique aurait une
racine
spinale dans le faisceau cunéiforme 1 PlJ'oprem
n q'W T ! ^rtr (· r, .1., l, 1 inconnu. On ignore également si les"
racines
spinales appor- tent aux nerfs un courant moteu
l1.o ? 1 ! n4, souscrire Q;1 e`ysténce' dè ? ôles réflexes dans ces
racines
la rapidité'et la multitude'des mou- vements qu
prolonge- ments cylindraxes, dans le plus grand nombre des cas, aux
racines
antérieures ; '1',2nrA la formation de, la·co
a) dans la,·commissure, antérieure ;r, b) directement en avant.aux
racines
,antérieures ;,c);dans le^cordon latéral ;tid) dan
1\' "'f'lldi' ? nn] ? ffl1>l'n ? f'\ ,t" 'HII' <IPifJ,J¡' ? U
racines
normales, les nerfs des membres manifestement atr
rtie supérieure' du' noyau - dé'la cinquième' paire a."disparu; ses
racines
descendantes 1'ne" soÙ t ''détruites qll'au 'po
qll'au 'poiilt' d'érnerge'r1cë" du nerf; en' ce' qui concerné sa '
racine
'ascendante' l'altéraLion"n'a"'p'à'rté que' sur l
e dans les deux tiers inférieurs de la région dorsale. Atrophie des
racines
postérieures au môme niveau. Teinte grise tra
fragments de nerfs des pieds, des mains et des membres, et quelques
racines
rachidiennes ont été recueillis au 181 PATHOLOG
n macroscopique tous les nerfs périphériques paraissent sains Les
racines
postérieures de la région dorsale seules sont man
en infime minorité. Les nerfs de la cuisse n'ont pas été étudiés.
Racines
rachidiennes. - L'examen a porté sur deux paires
diés. Racines rachidiennes. - L'examen a porté sur deux paires de
racines
provenant de la région dorsale supérieure et sur
périeure et sur deux paires provenant du renflement lombaire. Les
racines
antérieures dorsales sont saines. Les racines p
flement lombaire. Les racines antérieures dorsales sont saines. Les
racines
postérieures, très diminuées de volume à l'oeil
couleur sépia. Les noyaux, assez nombreux, sont peu colorés. Les
racines
antérieures lombaires sont tout à fait normales.
Les racines antérieures lombaires sont tout à fait normales. Les
racines
postérieures sont loin d'être aussi altérées que
la périphérie. La moelle était sclérosée dans certains points : les
racines
postérieures corres- pondantes étaient dégénéré
périphériques, tandis que les troncs nerveux intermédiaires et les
racines
anté- rieures étaient normaux. Nous retrouveron
ci développement rapide. Altération des nerfs périphériques et des
racines
postérieures correspondantes ". Olivier Marcel,
inférieurs, enfin plusieurs ganglions lombaires et sacrés avec les
racines
correspondantes. Aucun de ces organes ne parais
ané, branche collatérale du plexus lombaire, nous avons examiné les
racines
rachidiennes attenantes aux troisième et quatri
et quatrième ganglions lombaires droits et gauches. Les fibres des
racines
antérieures sont toutes absolument saines. Dans
res des racines antérieures sont toutes absolument saines. Dans les
racines
postérieures correspon- dantes, on trouve un bo
otasse, n'ont montré aucune modification notable des cellules. 7°
Racines
correspondant à ces ganglions. Les racines anté
notable des cellules. 7° Racines correspondant à ces ganglions. Les
racines
antérieures sont absolument saines. Dans les ra
ganglions. Les racines antérieures sont absolument saines. Dans les
racines
posté- rieures les fibres de structure normale
mêmes observations que pour les congénères du côté gauche. 101 -
Racines
correspondante ces ganglions. - Les fibres des
che. 101 - Racines correspondante ces ganglions. - Les fibres des
racines
sont en très grande majorité normales; quelques-
s seulement présentent la fragmentation en blocs (type 1). Dans les
racines
postérieures beaucoup de fibres sont saines, qu
s leurs fibres la myéline est encore fragmentée en blocs. 13° Les
racines
antérieures et postérieures de la région cer- v
le des faisceaux ni des fibres de ces troncs nerveux. L'étude des
racines
rachidiennes a fourni, dans le cas qui nous occ
ts analogues à ceux de l'observation VII. Tandis que les'fibres des
racines
antérieures correspondantes aux nerfs altérés é
fs altérés étaient presque toutes saines, la plupart des fibres des
racines
postérieures appartenant aux mêmes paires étaie
de donner une raison plausible de ces différences entre l'état des
racines
antérieures et postérieures. Nous nous contento
orteils, jusqu'aux troncs du sciatique et du crural, et quelques
racines
rachidiennes lombaires, ont été plongés dans la s
l'étude microscopique des nerfs du membre inférieur gauche et des
racines
correspondantes. Examen histologique des différ
us n'avons pas rencontré de fibres manifestement altérées. Dans les
racines
antérieures, la grande majorité des fibres est
quelques très rares fibres fragmentées en boules (type 2). Dans les
racines
postérieures, presque toutes les fibres sont fr
l exis- tait une lésion médullaire et une altération évidente des
racines
postérieures correspondantes. Dans les deux cas
s terminales des nerfs : les troncs ner- veux intermédiaires et les
racines
antérieures, étaient demeurés parfaitement inde
ettre une propagation continue de l'in- flammation de la moelle aux
racines
, des racines aux troncs nerveux et des troncs n
pagation continue de l'in- flammation de la moelle aux racines, des
racines
aux troncs nerveux et des troncs nerveux aux te
hériques ont été examinés-après la mort. M. Moeli réplique que' les
racines
antérieures1 ont été examinées'ct trouvées inta
'fn- duratioIÍ. ,11 pense' que'les' lésions peuvent se propager aux
racines
médullaires, et croit1 méme'dans'un'cas'en avoi
uspromptes, dautant qu'elles ne viuent communément que de poires,
racines
, chaftaignes, & légumes. Ainfi que ie m'eforç
ment éléphantiasique, s'éten- dant depuis le cou-de-pied jusqu'à la
racine
du membre. Depuis un an les douleurs paraissent
inte rougeâtre, comme si elle eut étéhyperémiée. A l'oeil nu, les
racines
des nerfs spinaux paraissaient être nor- males
s nerfs spinaux paraissaient être nor- males ; il faut excepter les
racines
antérieures du cou, qui étaient plus fines et d
lait-il, qu'une simple atro- phie des filets nerveux. De toutes les
racines
des nerfs spinaux, il n'y avait que les racines
veux. De toutes les racines des nerfs spinaux, il n'y avait que les
racines
antérieures des nerfs cervicaux in- férieurs qu
re les altérations de la substance grise de la moelle épinière, des
racines
antérieures, des nerfs périphériques, ainsi que
. Vorlau- fige Mitteilung (Recherches exp.sur l'An. et la Phys. des
racines
postérieures des nerfs rachidiens. Communicatio
Varsovie. (Neurol.Ctrbl. XXV, fasc. 7, p. 297 â 300). Section des
racines
postérieures chez 4 Macacus rhesus, puis su- tu
imaux furent tués un mois après l'opération. La section d'une seule
racine
postérieure ne produit pas le plus léger troubl
le moteur dans le membre correspondant. La section de plusieurs des
racines
postérieures correspondant à un membre produit
complètement au bout de quel- ques jours. La section de toutes les
racines
postérieures d'un 56 REVUE n'ANA10MIE ET DE PHY
e faiblesse et d'atrophie des muscles de ce membre. Quoique la 8°
racine
postérieure cervicale pré, ide à la sensi- sibi
ôle n'est que secon- daire dans la motricité du membre : quand la 1
racine
postérieure dorsale et « vraisemblablement » pl
e postérieure dorsale et « vraisemblablement » plusieurs autres des
racines
du plexus brachial sont épargnées, on peut assi
cines, y compris la 8e. Après section d'une série ininterrompue de
racines
postérieures correspondant à un membre, les mou
ultze est formée presque uniquement des bran- ches descendantes des
racines
postérieures. Le siège et l'étendue en hauteur
e et l'étendue en hauteur de sa dégénération dépendent du siège des
racines
postérieures sectionnées. Pourtant, après secti
n n'atteint pas la moelle lombaire. Après section unilatérale des
racines
postérieures, il n'y a ja- mais dégénération da
côté opposé et se dirige aussitôt vers l'écorce. Après section des
racines
postérieures, les cellules motrices des cornes
e altérées, on ne peut donc in- voquer une lésion secondaire de ces
racines
et de leurs cellules pour expliquer les trouble
pour expliquer les troubles moteurs. Dans le bout médullaire des
racines
postérieures sectionnées, l'auteur ne trouva pa
seule fibre dégéné- rée. L'auteur en conclut que,chez le singe, les
racines
postérieures ne contiennent pas de fibres médul
p. 386 à 391, 3 fig., 1er mai 1906) (1). On sait que la section des
racines
postérieures produit dans le membre corresponda
es mouvements. On sait, d'autre part, que, chez les mammifères, les
racines
postérieures contiennent des fibres vasomotrices
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Chez le pigeon domestique, la section des
racines
postérieures d'une patte entraîne des troubles
es on- gles et des phalanges etc. Quant à l'aile, la section de ses
racines
postérieures ne cause jamais le moindre trouble
la dégénération de la zone de Westphall (« zone de pénétration des
racines
»), incomplète mais plus accusée que du côté oppo
les. F. TisSOT XIII. De l'influence de la section expérimentale des
racines
postérieures sur l'état des neurones périphériq
es périphériques. Contribution à l'étude des fibres centrifuges des
racines
postérieures ; par Roux et HEITZ. (Nouv. Icon.
, n° 4.) , Ces auteurs ont expérimenté sur le chat : la section des
racines
postérieures produit des réactions bien différe
a cellule. Les recherches ont mis en évidence l'existence, dans les
racines
postérieures,de fibres myéliniques à trajet cen
le de partager l'opinion de Koster que la section expérimentale des
racines
postérieures détermine des altérations des nerfs
aires décrites dans le 'tabes ; dans les nerfs périphériques et les
racines
postérieures l'a- trophie simple à type segment
le frottement d'une paire de lunettes détermina un petit abcès à la
racine
du nez. Malgré l'incision de cet abcès on nota
bulbaire au noyau denté) qui cheminent au voisinage immédiat de la
racine
descendante du V : troubles cérébello-ataxiques
rophie des cellules radiculaires motrices, de la dégénérescence des
racines
an- térieures et des nerfs moteurs. L'auteur pa
ffection tabétique. Il faut tenir compte de la phase irritative des
racines
qui succède au stade dégé- nératif. Il faut éga
es cordons latéraux ; ta- bes dorsalis avec faibles altérations des
racines
postérieures. M. Long (de Genève). - A l'autops
, en outre, remarquable par la faible intensité des altérations des
racines
postérieures dans la région lombo- sacrée. J'
s, troubles viscéraux et signe d'Ar- gyll-Robertson. Ici encore les
racines
postérieures de la moelle étaient très peu alté
z Nouvelles recherches sur l'histologie fine des ganglions et des
racines
postérieures dans le tabès. MM. MARINESCO et J.
(de Bucarest). -Nous venons d'examiner les ganglions spinaux et les
racines
postérieures dans 5 nouveaux cas de tabès simpl
s le nerf radicu- laire ; on les tiouve exceptionnellement dans les
racines
pos- térieures, et quelques-unes offrent une ma
on dans 104 CONGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. les
racines
postérieures n'anivent jamais à leur maturité et
1 abétiquc consiste dans l'intoxication de la branche centrale des
racines
postérieures, qui empêche les fibres de nouvell
e de Babinski est un réflexe cutané. dont l'arc est formé par la 5e
racine
lombaire et le centre réflexe par le 5e segment
der comme incontestable qu'il n'est pas rare que le crime trouve sa
racine
dans certaines déviations mentales du délinquant
e date que du milieu.de 1906 et pré- senta la même évolution, de la
racine
du membre à l'extrémité. Le membre inférieur ga
uellement a apparaître au membre inférieur gauche. - Début par la
racine
du membre pour descendre jusqu'à son extrémité,
ortion la plus épaisse située à la portion mo- yenne correspond aux
racines
de la 1re et de la 2e paire cervicale. 3G REVUE
s dendrites. Dans les cellules des cornes antérieures et dans les '
racines
antérieures, les fibrilles sont complètement déve
r tuberculeux et l'inflammation envi- ronnante, et agissant sur les
racines
et sur la moelle. Les méninges molles et la moe
ion radiculo-médullaire, qui recon- naît pour cause des lésions des
racines
et des cordons postérieurs. Le signe principal
eau. La lésion primitive, uniquement mécanique, siège au niveau des
racines
rachidiennes, surtout de la postérieme, elle co
ste en une dislocation des tra- vées conjonctivo-vasculaires de ces
racines
ayant son maximum à leur point de passage dans
neurasthénie », englobe tous les troubles mentaux pour lesquels les
racines
grecques sont si vo- lontiers mises à contribut
p. 456. Fibres. De l'influence de la sec- tion expérimentale des
racines
postérieures sur l'état des neu- rones périph
nes périphériques. Contribu- tion à l'étude des centrifu- ges des
racines
postérieures, par Roux et ileitz, p. 63. Fièv
herches ey·périmen- tales sur l'anatontic et la phy- siologie des
racines
postérieures desrnehi(tiens.Communica- tion p
sa localisation, par Blach, p. 300. Ihitl., par Bumke, p. 300.
Racines
postérieures. Voir Fibres.. M, 1 Radiculite l
ons des cordons latéraux. dorsalis avec faibles altéra- tions des
racines
postérieures, par Long, p. 162. Nouvelles rec
. Nouvelles recherches sur l'histologie fine des ganglions et des
racines
postérieures dans le -, par Marinesco et 3lin
ssus des oreilles ; 34 cen- timètres pour la distance qui sépare la
racine
du nez de la protubérance occi- pitale. Les o
res. Reste à discuter la possibilitéd'un liraillement porté sur les
racines
cer- vicales. Si les troubles de la motilité eu
e tout le système de la XIe paire rentre dans le système moteur des
racines
spinales antérieures, et notre cas par conséque
restricteurs du larynx ou nerfs de la phonation sont dépendants des
racines
du spinal, tandis que les nerfs dilatateurs du la
atateurs du larynx ou nerfs respiratoires sont en relation avec les
racines
du vague. Mais la doctrine de CI. Bernard fut c
r les physiologistes. En effet Benz et Longet, par l'excitation des
racines
de la XI" paire au- raient vu se contracter la
ceux produits chez les animaux de la- boratoire, par la lésion des
racines
intra-cràniennes de la XIe paire. (1) Loc. cit.
é que les nerfs vocaux restricteurs du larynx sont innervés par les
racines
du spinal, tandis que les nerfs dilatateurs du
YOPATHIE 233 rieurs sont atrophiés, surtout au voisinage de leurs
racines
scapulaires ; les muscles les plus atteints son
bre inférieur présente surtout de l'atrophie du quadriceps et de la
racine
du membre ; l'enfant ne peut étendre la jambe sur
lade, survinrent des symptômes de lésion trau- ,matique de diverses
racines
du plexus brachial (parésie des muscles deltoïde,
taient aucune lésion macroscopique. Les ganglions rachidiens et les
racines
antérieures et postérieures étaient d'apparence
dorsale et la moelle lombaire ; sur ces ganglions rachidiens et les
racines
antérieures et postérieures de ces différentes ré
cervico-dorsaux ne présentent que des lésions fort discrètes. 3°
Racines
antérieures et postérieures. - A première vue les
rètes. 3° Racines antérieures et postérieures. - A première vue les
racines
paraissent complètement normales. A un examen p
normales. A un examen plus minutieux nous avons pu déceler dans les
racines
antérieures quelques fibres en voie d'atrophie et
racines antérieures quelques fibres en voie d'atrophie et dans les
racines
postérieures quelques très rares fibres fines ter
mme celles qui ont été signalées par MARINESCO et NAGEOTTE dans les
racines
postérieures de tabétiques, par MARINEsco et MERL
erfs périphériques de nodules inflamma- toires ; 2° Intégrité des
racines
antérieures ; 3° Lésions médullaires localisées
mal la localisation des lésions aux troncs nerveux, tandis que les
racines
anté- rieures échappent à la dégénérescence. En
ellules d'origine des axones lésés. Les cellules funiculaires, 'les
racines
antérieures, les racines postérieures et les gang
nes lésés. Les cellules funiculaires, 'les racines antérieures, les
racines
postérieures et les ganglions rachidiens ne son
d'une mince bande de tissu sain, qui, partout, longe les cornes et
racines
posté- rieures. D'avant en arrière, la lésion s
ÈSE DES LÉSIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 371 enfin que, dans plusieurs
racines
antérieures et postérieures de divers segments,
t pas symétrique et elle n'augmente pas régulièrement en allant des
racines
vers les extrémités des membres : par exemple,
causées par l'inflammation des méninges qui a peut-être atteint les
racines
postérieures et qui y persiste. Notre observati
me d'admettre une méningite et peut-être aussi une inflammation des
racines
postérieures comme cause de ces douleurs périph
uvé l'infiltration cellulaire des méninges atteignant également les
racines
, quoique son développement y soit beaucoup plns f
end à devenir chronique, ayant peut-être atteint également quelques
racines
postérieures. Chez les sujets observés nous a
assifs est considérablement diminuée des deux côtés et surtout à la
racine
des membres. Nous essayons de faire lever la ma
al, moteur oculaire commun, moteur oculaire externe, trijumeau, les
racines
du glosso-pharyngien, du pneumo-gastrique, du s
n inférieur au naevus postérieur. Tous deux répondent aux 9e et 10e
racines
dorsales ainsi qu'on s'en rend nettement compte
81 1 I'G.5 5 r ? 6 Ho 7 Fin. 8 482 KLIPPEL ET PIERRE-WEIL
racines
qui commande ce fait que les deux naevi ne se tro
ond exactement à l'avant-bras et à la main au terri- toire de la 7e
racine
cervicale ; de plus, l'avant-bras, elle déborde s
le ; de plus, l'avant-bras, elle déborde sur le territoire de la 6°
racine
cervicale (fig. 5, 6, 7, 8). Observation 3. A
se sacro-lombaire.Les naevi sont situés sur le territoire de la 10e
racine
dorsale : c'est à l'obliquité de cette racine qu'
territoire de la 10e racine dorsale : c'est à l'obliquité de cette
racine
qu'est dû ce fait que le naevus postérieur sièg
que les deux naevi intéressent le territoire de la 10e et de la Ha
racines
dorsales, empiétant légèrement en avant, un peu
vant, un peu plus longuement en arrière sur le territoire de, la 9e
racine
dorsale. Observation 5. Loig..., âgée de 40an
occupe tant en avant qu'en arrière le territoire des 10e, Ile, 12e
racines
dorsales gauches (fig. 17,18,19,20). OBSERVAT
itrine, tant en avant qu'en arrière, aux territoires des te, 3e, 4p
racines
dorsales ? ` ? Le mouvement de torsion que prés
assez spéciale de ce naevus, une lésion congénitale des 5e, 6e, 7"
racines
cervicales auxquelles le naevus correspond dans
trajet au niveau du membre su- périeur, et des lie, 2', 3e et 1.11
racines
dorsales auxquelles le naevus cor- respond au'
nitale du ganglion spinal,ou plutôt des cellules ganglionnaires des
racines
postérieures de la moelle, ils doivent être dis
diculo-mélamérique : nous savons, en effet, qu'un certain nombre de
racines
postérieures ne traversent pas le ganglion spin
e radiculo-métamérique, un processus toxi-infectieux qui a lésé les
racines
postérieures à une époque de la vie où les restau
ien d'anormal. L'examen histologique des nerfs périphériques, des
racines
spinales, des méninges, des cellules de la subs
naevus. Par là, son importance ne saurait échapper. L'intégrité des
racines
ou des cellules de la moelle au jour de l'autopsi
ie, vingt ans après l'évolution delà maladie, ne prouve pas que ces
racines
ou ces cellules n'aient pas été lésées sous une
du à des régions voisines, placées au même niveau : centres gris et
racines
postérieures. En somme nous voyons qu'il y a là
iveau des faisceaux pyramidaux latéraux (un peu plus à gauche). Les
racines
ne renferment pas de lésions récentes. On const
térieurs, ainsi qu'une di- minution notable de fibres à myéline des
racines
, remplacées par du tissu interstitiel de nouvel
s par du tissu interstitiel de nouvelle formation. L'atrophie des
racines
postérieures est plus marquée que celle des racin
L'atrophie des racines postérieures est plus marquée que celle des
racines
antérieures. On constate une atrophie particuli
e particulièrement intense au niveau de la région dorsale. Quelques
racines
postérieures de la région dorsale supérieure ne
le et méningo-myélite chronique diffuse interstitielle ; atrophie des
racines
de la moelle épinière, surtout des racines post
stitielle ; atrophie des racines de la moelle épinière, surtout des
racines
postérieures ; pachyméllingite cer- vicale chro
liées aussi à la paralysie générale. Quant à la dégénérescence des
racines
et à la pachyméningite, elles ne concordent pas
eur intensité et leur étendue. Les lésions de la dure-mère et des
racines
de la moelle épinière montrent un processus anc
de dégénérescence récente ni au niveau de la dure-mère, ni dans les
racines
. La pie-mère montre, au contraire, à côté d'une p
s intervertébrales sont rétrécies, ce qui amène une compression des
racines
. Raymond et Babonneix ont observé, dans un cas
ère ainsi que son adhérence avec les ganglions intervertébraux. Les
racines
dorsales supérieures sont grisâtres ; au micros
es sont grisâtres ; au microscope, on voyait une dégénérescence des
racines
posté- rieures, des cellules des ganglions inte
a pie-mère dont les altéra- tions provoquent une dégénérescence des
racines
postérieures et en partie des racines antérieur
oquent une dégénérescence des racines postérieures et en partie des
racines
antérieures, d'où résulte une parésie des muscles
ur la colonne vertébrale, les méninges de la moelle épinière et les
racines
sensitives, a provoqué leur inflammation qui a
Ce refroidissement local amène une inflammation des méninges et des
racines
et peut-être un état rhumatisant des muscles dors
ypoesthésie au chaud et au froid avaient, pour limite supérieure la
racine
du membre, et pour limite inférieure une ligne ci
inférieur est due plutôt à un tiraillement ou à une compression des
racines
, en somme à une lésion des fibres nerveuses pro-
étoile. La figurine occupe le milieu de la poitrine et l'étoile la
racine
du cou. Ce détenu avait, dans sa jeunesse, travai
isin qui est l'objet d'un tatouage fréquent chez les ivrognes. A la
racine
du cou, on lit l'inscription suivante : Martyr
onstaté que l'inflammation des méninges s'est étendue également aux
racines
(Wickman, Harbitz et Sclieel). Il est bien clair
es membres inférieurs, mais qui augmente aux membres supérieurs des
racines
vers les extrémités. La parésie est flasque, pa
ve très régulièrement en premier lieu la force dans les muscles des
racines
des membres et que par conséquent la parésie la p
e qu'elles ont en partage avec les religions vulgaires, prenait ses
racines
dans leur coeur et non pas dans leur raison. Le
. Dans le cours de mes recherches sur la direction des fibres des
racines
postérieures dans l'intérieur de la moelle épiniè
des conduits sensitifs à peu près au niveau de leur passage par les
racines
postérieures dans la moelle épinière; en vue de
tractus sur le bord postérieur du champ objectif. Dans ce cas, les
racines
internes et externes des nerfs olfactifs étaien
de la 86 ANATOMIE. cloison transparente, allait se jeter sur une
racine
olfactive interne portée par une circonvolution
La cloison transparente serait l'analogue de ce que l'on appelle la
racine
grise des nerfs optiques, et les éminences mami
dent un chiasma et que le septum lucidum est à ce chiasma ce que la
racine
grise des nerfs optiques est au chiasma optique
quelquefois jusqu'au pourtour des noyaux antérieurs. Elle reçoit la
racine
grise olfactive, et son développement dans la s
dans la série des vertébrés est propor- tionnel au volume de cette
racine
, ce qui implique des rapports intimes avec l'ol
en trente jours de pneumonie. Intégrité de la moelle, du bulbe, des
racines
des nerfs crâniens, dégénérescence des nerfs péri
et une tumeur adhérente à la dure-mère. A cet endroit (entre la 7°
racine
cervicale et la 2e racine dorsale), la tumeur s
la dure-mère. A cet endroit (entre la 7° racine cervicale et la 2e
racine
dorsale), la tumeur s'est étendue à la dure- mè
, elle s'est prolongée le long de la moelle épinière jusqu'à la 1 ?
racine
cervicale, dans la substance grise comme dans l
aralysée passent vers la moitié opposée de la moelle, au niveau des
racines
motrices correspondantes. La base de cette conc
otrices de la moelle passent du côté de la paralysie, au niveau des
racines
de l'extrémité postérieure. Cependant cette opé
du renflement lombaire, c'est-à-dire au niveau du commencement des
racines
motrices des extrémités postérieures. Si cette
ne passent du côté intact au côté de l'hémisection qu'au niveau des
racines
motrices cor- respondantes. " En me basant su
st-à-dire de l'entre-cruisement des pyramides jus- qu'au niveau des
racines
motrices contenant les fibres ner- veuses pour
paisseur fait relief sur la substance blanche réticulée. Quant à la
racine
externe du nerf olfactif, elle se continue égal
ontré s'a- vançant d'autant plus dans la vallée de Sylvius que la
racine
externe s'éloigne du bord antérieur du champ ol
bord antérieur du champ olfactif. Quelques anatomistes mènent la
racine
externe à un noyau qui serait situé au-dessous
nation du corps godronné. Sans nier absolument l'immer7ence de la
racine
ex- terne olfactive dans le noyau, puisque quel
sque quelques auteurs l'ont constatée, je dirai que pour moi, cette
racine
m'a toujours paru s'attacher très nettement sur
ment sur la muraille alvéolée de l'uncus. Si, par cas, la fin de la
racine
externe 206 ANATOMIE. dans le noyau amygdalin
titué : 1° par la continuité de la base de la bande diagonale et la
racine
olfactive externe avec la lame blanche réticulé
s piliers antérieurs avec le carrefour. NOTES bibliographiques. -
Racines
olfactives. HUGUENIN : « ... La racine externe
NOTES bibliographiques. - Racines olfactives. HUGUENIN : « ... La
racine
externe pénètre dans la scissure de Sylvius. en
réticulée et que l'autre partie se rend à l'écorce elle-même. « La
racine
blanche moyenne ne peut être suivie que dans un
e cérébrale se termine par un bord tranchant. La plus interne des
racines
blanches se perd à l'extrémité frontale de la cir
peu élucidé. » Plus loin, il modifie sa description. Parlant de la
racine
externe, - il dit : « On ne sait pas au juste s
substance réticulée, autrement dit à la corne d'Ammon ». Quant à la
racine
interne, elle « suit la surface de la cir- conv
ILLE ET A'lEYNERT (ce dernier, d'après F. FRaNCK) font continuer la
racine
olfactive interne avec les nerfs de Lancisi, et
i la mettent en communication avec la corne d'Ammon. Luys mène la
racine
olfactive jusqu'à un ganglion (noyau amygdalien
(bandelettes olfactives); l'anastomose du pilier antérieur et de la
racine
olfactive externe avec le carrefour; la continu
bercules quadrijumeaux supérieurs) ainsi que le septum luci- dum (
racine
grise du chiasma). C'est l'arc cérébral. La for
il est remarquable que les connexions qu'il présente ainsi par ses
racines
internes avec certaines parties ventriculaires
ns les noyaux moteurs du bulbe, mais avec conservation parfaite des
racines
correspondantes et des nerfs périphériques. Séa
ire, il existe une sclérose en plaques. Enfin voici le dessin d'une
racine
de l'oculomoteur commun séparé du centre par un
leuse). On constate au microscope l'inté- grité de la moelle et des
racines
nerveuses. Les nerfs périphériques (radial, sci
M. 13. BAGMSKY. - Contribution à la connaissance du trajet de la
racine
postérieure du nerf auditif et de l'allure des st
e la mâchoire; il a réussi nombre de fois à produire l'atrophie des
racines
postérieures de l'acoustique. L'ori- gine des r
'atrophie des racines postérieures de l'acoustique. L'ori- gine des
racines
postérieures, en relation avec le limaçon, occupe
erne et le noyau acous- tique interne n'ont aucune relation avec la
racine
postérieure de ce nerf. C'est ce qu'ont déjà co
du côté opposé. Chez le chat, on voit que l'entre-croisement de la
racine
pos- térieure de l'acoustique est total et a li
re malade une grave contusion, peut-être même un arra-. chement des
racines
du plexus brachial. Cette hypothèse est justifi
re. En effet, l'analyse des symp- tômes montre, d'une part, que les
racines
du plexus brachial 'sont seules lésées; de l'au
ique, ce qui montre que la lésion, tout en intéressant la cinquième
racine
du plexus tout entière vient s'épuiser sur la b
trer le contraire. Il s'agit d'une section des cinquième et sixième
racines
à la suite d'un névrome occupant le tronc commu
nc commun de ces deux paralysie radiculaire brachiale totale. 361
racines
; après l'opération faite par M. le professeur Ros
la suite de la lésion du lobe occi- - pital, par lI1oeli, 273; -
racines
du auditif, par Baginsky, 273; altérations de
t de l'Algérie, la barbe et les cheveux incultes, se nourrissant de
racines
et de plantes. De retour chez lui, il continua
ccessoire du nerf acoustiquedu même côté (par l'intermédiaire de la
racine
latérale du nerf acoustique), et celui du côté
accusée et détermine un sillon cutané assez profond au niveau de la
racine
du nez. Celui-ci n'offre rien de particulier, non
entaire ; elle mesure 6 centimètres de longueur de l'extrémité à la
racine
des corps caverneux ; elle se termine par un pe
llie que sur une longueur de 1 centi- mètre 4/2 à 2 centimètres, la
racine
des corps caverneux étant dissimulée sous le ti
infection streptococcique. L'examen histologique de ce nerf, de ses
racines
et de la moelle épinière a révélé l'existence d
grosse, la plus active, la plus importante, la plus vigi- lante des
racines
spinales postérieures, qui ne fait que rarement
f des nerfs périphériques, dans les trousseaux extramédullaires des
racines
antérieures et postérieures, dans l'écorce du c
seaux et étaient en très petit nombre, à l'inverse des nerfs et des
racines
. Les cellules du ganglion spinal étaient surtou
tuelle, une sorte d'in- fusion préparée à l'aide de toute espèce de
racines
et de plantes. Tous les travailleurs ont été fr
heval, principalement à la hauteur de la première et de la deuxième
racines
sacrales. Observation 111. - Homme âgé de trent
de cheval au niveau de l'émergence de la première et de la deuxième
racine
sacrée. Observation V. Homme âgé de dix-neuf an
: Hématomyélie centrale au niveau de la première et de la deuxième
racine
sacrée. Discussion. M. l\10URAVIEFF a observé p
arfois même plus tard, se développent des lésions dégénératives des
racines
postérieures et des cordons postérieurs de la m
s les cornes antérieures et le long du trajet intramédullaire des
racines
antérieures. Le pigment des cellules nerveuses es
au formol.) 2 Bonne. Recherches sur les éléments centrifuges des
racines
posté- rieures, (Thèse de Lyon. 189î.) 360 CL
ants, l'iris gris marron, la pupille dilatée en face la lumière; la
racine
du nez est large, le ne; court, légèrement levé
multiples, au-dessus et au-dessous du plan d'implantation de chaque
racine
; 2° La substance grise qui reçoit les fibres ce
racine; 2° La substance grise qui reçoit les fibres centripètes des
racines
rachidiennes postérieures et des nerfs sensitif
; même dans les cas de tabes absolu avec dégénérescence extrême des
racines
posté- rieures. Ce noyau forme, comme dans les
sous forme de cordon postérieur médian. Les fibres qui sortent des
racines
sensitives dont la direction est le plus tranve
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. XVIII. Contribution au trajet des fibres des
racines
postérieures dans la moelle cervicale de l'homm
trcalbl., XVII, 1898 ) Voici deux observations de lésion isolée des
racines
, très propres à éclairer la question des rappor
e des racines, très propres à éclairer la question des rapports des
racines
postérieures avec la structure des cordons post
cture des cordons postérieurs. Figures. On sait que les lésions des
racines
, tant de la moelle dorsale supérieure que de la
ffer la rattacha en 1894 à une lésion des branches descendantes des
racines
posté- rieures ; il croit aujourd'hui que son o
ule ne s'observe pas dans la section transverse expérimen- tale des
racines
postérieures, et pense qu'il s'agit plutôt alors
tale de la moelle tout aussi sûrement que dans le cas de lésion des
racines
postérieures. Puis, les faits anatomiques sont
superflue. Dans la lésion transversale de la moelle de l'homme, les
racines
postérieures sont toujours simultanément atteinte
à fait différente dans la ligature de l'aorte et dans la lésion des
racines
(Singer et ? lIÜnzer, Schaffer). Il y a donc lieu
e en virgule de Schultze il n'y a que les branches descendantes des
racines
postérieures (Schaffer). Il est également possi
es lois de Kahler et Singer. Les prolongements intramédullaires des
racines
dégénérées s'échelon- nent successivement en de
s, en quittant la zone d'entrée radiculaire, à partir du niveau des
racines
lésées, vers le bulbe ; -, les zones qui corres
racines lésées, vers le bulbe ; -, les zones qui correspondent aux
racines
dégénérées de la moelle dorsale supérieure et d
ons relatives à la dégénérescence de la deuxième et de la troisième
racine
dorsale sensitive, ou de la septième racine pos
ième et de la troisième racine dorsale sensitive, ou de la septième
racine
postérieure cervicale, confirment la loi de Kah
loi de Kahler et Singer sur le trajet de la branche ascendante des
racines
postérieures ; 2° le cordon de Goll parait simp
ligne limitante visible. Ici le cordon de Goll contient, outre les
racines
sacrées et lombaires, les huit racines dorsales
de Goll contient, outre les racines sacrées et lombaires, les huit
racines
dorsales inférieures : cette conclusion se tire d
constatation que, dans la dégénérescence des deuxième et troisième
racines
dorsales, la zone de dégénérescence (abstraction
raies du cordon postérieur qui correspondent au trajet de quelques
racines
, ne permettent pas de décider que certains plan
raient seulement réservés; les prolongements intramé- dullaires des
racines
postérieures se confondent intimement avec les
eures se confondent intimement avec les voisins; 4° les lésions des
racines
postérieures sont, contraire- ment aux prétenti
ilieu du faisceau de Burdach. Celle-ci a déjà cessé au niveau de la
racine
inférieure la plus immédiate, et est, par consé
ntre une hyperesthésie caractéristique de l'atteinte de la septième
racine
postérieure de la moelle. Quelle était la nat
t sur les côtés de la dure-mère, absorbait les septième et huitième
racines
sensi- tives, pénétrant avec la septième de cha
éation se fit aisément : il fallut seulement résé- quer la septième
racine
, la moelle n'étant ni enserrée ni modifiée dans
le, le maintien de la substance active au niveau des centres et des
racines
médullaires lombaires et son échappée vers les
L'augmentation des dimensions du bras droit est totale, depuis la
racine
jusqu'à l'extrémité. Alors que le poignet droit a
nervés par les plexus lombaires et sacrés à partir de la troisième
racine
lombaire jusqu'à la troisième racine sacrée ; il
acrés à partir de la troisième racine lombaire jusqu'à la troisième
racine
sacrée ; il y a réaction dégénérative. Enfin on
ncert avec l'existence de la réaction dégénérative, indique que les
racines
ou le tronc de l'hypoglosse sont affectés. Mais
par de nombreuses cellules rondes au niveau des zones d'entrée des
racines
. Ces foyers aug- mentent en nombre et en dimens
ux, par Friedlaender, 40L - Contribution au trajet des fibres des
racines
postérieures dans la ceivicale de l'homme, par
une série d'arcades continue sverticalement placées en arrière des
racines
rachidiennes, on peut les considérer comme de v
tissu fenêtré disposé sur deux plans existe au niveau de toutes les
racines
. Quand on sectionne ce tissu et que l'on tend le
rement au nombre de deux : l'une placée au-dessus ou en avant de la
racine
nerveuse, l'autre au-dessous ou en arrière. Aux
s grandes cellules dans les cornes antérieures (vacuolisation), des
racines
antérieures et postérieures. Intégrité des nerf
e vacuoles dans ces' éléments, des deux côtés. Dégéné- rescence des
racines
correspondantes. Lésions des quatre ganglions spi
acuolisation des cellules nerveuses. Dégénérescence segmentaire des
racines
; dégénérescence commençante des nerfs périphériqu
cuolisation des cellules nerveuses, dégénérescence très marquée des
racines
qui cesse brusquement au moment où ces racines
e très marquée des racines qui cesse brusquement au moment où ces
racines
pénètrent dans la moelle; dégénérescence très acc
nce d'hémorrhagies encéphaliques, d'altérations de la moelle et des
racines
spinales, de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
lui de Deiters ne sont pas le point de terminaison des fibres de la
racine
postérieure du nerf acoustique; 2° les fibres de
la racine postérieure du nerf acoustique; 2° les fibres de cette
racine
se terminent dans le noyau antérieur, le tubercul
rf acoustique, c'est-à-dire du nerf du limaçon; 3° les fibres de la
racine
postérieure. qui se terminent dans les olives s
ment dans la direction ventral, s'étend sur la partie moyenne de la
racine
naissante du nerf trijumeau et, se détour- nant
e, voies qui ont un rapport intime avec les centres primitifs de la
racine
postérieure; 5° le ruban de Reil contient les f
nt ce dernior au quadrijumeau postérieur; 7° la 64 BIBLIOGRAPHIE.
racine
antérieure du nerf acoustique, autant que les rec
ef (noyau principal n. vestibularis) et s'abaisse en partie vers la
racine
naissante du nerf acoustique (Roller). A la dis
yperthermie, tétanie généralisée, etc. Névromes de régénération des
racines
pos- térieures. Mat... Jean, âgé de trente-se
A partir de la région dorsale, le gliome n'est plus excavé. , Les
racines
antérieures et postérieures ne paraissent pas sen
uche, sans beaucoup comprimer la corne antérieure. Les fibres de la
racine
postérieure contournent la tumeur en s'étirant;
ordons postérieurs Fig. 2. Coupe pratiquée au niveau de la douzième
racine
dorsale. La portion circonscrite de la tumeur a
crit sur ses bords. Fig. 3. Coupe pratiquée au niveau de la dixième
racine
dorsale. La portion circonscrite de la tumeur a
étendue, il forme Fiv. 4. Coupe pratiquée au niveau de la huitième
racine
cervicale. La tumeur est creusée à son centre d
au-dessous de ce point, on voit que le névrome vient en réalité des
racines
postérieures et a traversé la tumeur de part en p
ritables névromes de régénération qui se sont formés aux dépens des
racines
postérieures et qui cheminent dans l'épaisseur
e coupes en séries j'ai pu en suivre plusieurs jusqu'à l'entrée des
racines
pos- térieures de la moelle (fig. 11), et j'ai
out lieu de croire qu'ils sont tous formés par la prolifération des
racines
centripètes, interrom- pues par la tumeur. Fi
postérieur de la moelle; NR, névromes de régéné- ration partant des
racines
postérieures dans la région dorsale et remon- t
e directe du néoplasme, soit par dégéné- rescence secondaire. Les
racines
postérieures sont toutes complètement saines, en
des ont été détruites, sur- tout dans le renflement cervical. Les
racines
antérieures ne présentent pas non plus de lésions
usionnent et forment un petit triangle immédiatement en avant de la
racine
ascendante du trijumeau : c'est là le faisceau
la destruction complète des fibres radiculaires intramédullaires de
racines
postérieures gauches dansles régions dorsale in
: c'est la tendance à la régénération ner- veuse que présentent les
racines
postérieures dans le cas qui nous occupe. L'étu
ompression vient à cesser. Quoi qu'il en soit, chez mon malade, les
racines
postérieures envoyaient en bien des points de v
ment aux organes centraux auxquels étaient destinées les fibres des
racines
postérieures. Pour terminer ce qui a trait à la
situés et que les filets qui en partent passent par la première,
racine
dorsale ; immédiatement,au-dessus d'eux viennent
'eux viennent les z fléchisseurs, qui sont innervés par la huitième
racine
cervi-. cale. Enfin la scoliose à convexité gau
ial tiennent à une lésion non pas du lacis du plexus, mais bien des
racines
nerveuses ? Exemple la paralysie totale et iiifé,
ca- pulaire. Complication par résection, des cinquième et sixième
racines
cervicales (Rose) ;la paralysie la plus étendue e
d'Erb, celles qui tiennent' à la paralysie des cinquième et sixième
racines
(paralysies supérieuresidu plexus), dont, celle.d
inférieure du plexus brachial, sont rares dans, les affections des
racines
supérieures, notamment dans la, para- { lysie d
urs admettent que le développement des idées délirantes fixes prend
racine
à raison d'un affaiblissement intellectuel dans
e latérale droite surtout au niveau du groupe latéral. Atrophie des
racines
postérieures dans toute leur étendue dans la mo
laquelle se trouve une forte dépression se prolongeant jusqu'aux
racines
antérieures de l'auditif. Le diamètre antéro-post
; 7, noyau propre du fascial; 8,8', olives supérieures intactes. V,
racine
de la cinquième paire; VI, VU, VIII, racines de l
upérieures intactes. V, racine de la cinquième paire; VI, VU, VIII,
racines
de l'abducens, du facial et de l'acoustique. La
é du noyau d'origine de l'oculo-moteur externe. En V se retrouve la
racine
ascendante du trijumeau, normale d'ailleurs. On
, t. XXVI. 24 370 ANATOMIE PATHOLOGIQUE absolue des noyaux et des
racines
de l'hypoglosse, ensuite dans les cas comme cel
,t' "7"' ' ' 'Trois observations 'caractérisées par l'atrophie' des
racines
posté- rieures, des cornes postérieures et des
laire. Dans la seconde observation où un bras avait été amputé, les
racines
antérieures étaient aussi atrophiées ; en dehor
'ciiiés spinâles moelle, cervicale entre les .première, et deuxième
racines
spinales .(observations de Ludwi- llann, in l3e
se compose dos ganglions sympathiques, des ganglions spinaux et des
racines
postérieures,' normaux, ce. qui prouve leur indép
me. Or, les fibres internes du corps resti- forme sont celles de la
racine
ascendante du nerf vestibulaire, qui s'accolent
tion produite par le poivre. Hygiène buccale, résection de quelques
racines
, extraction de l'une d'elles, thérapeutique mor
r l'alvéole en voie de résorption, à la suite de l'extraction d'une
racine
. Ces faits suffiront pour montrer l'étroite rel
après une heure et sept minutes d'efforts infructueux, il laissa la
racine
dans l'alvéole et renonça à faire de nouvelles
e malade accusait aussi des sensations douloureuses localisées à la
racine
qui lui avait été brisée du côté droit. M. X...
heureuse relatée plus haut, un médecin auriste de Chicago enleva la
racine
brisée, avec des fragments d'alvéole. La petite
igence, est en Italie ce qu'elle est dans le reste de l'Europe. Les
racines
delà jeune plante s'enfoncent et se ramifient c
rent dans la composition des différents mouvements innervés par les
racines
réspectives motrices des plexus brachial et cru
sous-corticale et bulbaire (en ce qui concerne l'acoustique, et les
racines
motrices de l'appareil d'arti- culation) ou sim
eux systèmes différents de fibres. Le - plan supérieur contient les
racines
du nerf optique; le plan infé- rieur, les fibre
nférieure se con- fond avec le noyau médullaire duquel naissent les
racines
externes du nerf olfactif... L'hippocampe coopè
es, non compris le lobule olfactif ? dupédicule olfactif; 2° de ses
racines
interne et externe ; 3° du champ olfactif; 4° d
essât, insiste sur les relations du lobule de l'hippocampe avec les
racines
des nerfs olfactifs, et sur « la disposition al
s enfin que c'est là que viennent aboutir, en bas et en avant, la
racine
olfactive interne, en bas et en arrière la band
olfactif postérieur est le lobe de l'hippocampe où va se rendre la
racine
olfactive ex- terne. L'anatomie comparée nous m
ue le lobe de l'hippocampe croît et décroît en même temps que cette
racine
... Le centre antérieur com- prend la partie pos
édifie ce centre qui a à recevoir les fibres blanches émanées de la
racine
grise et qui vont « après un trajet extrêmement
onvolutions orbitaires ». Cette insertion des fibres blanches de la
racine
serait très apparente chez les osmatiques; « il
du lobe de l'hippocampe « qui croît et décroît en même temps que la
racine
externe olfactive. » Etant données les disposit
il est remarquable que les connexions qu'il présente aussi par ses
racines
internes avec certaines parties ventriculaires
tachent l'un à l'autre les points d'implantation cérébraux des deux
racines
olfactive externe (corne d'Ammon) et olfactive
FOVILLE et MEYNERT, ce dernier d'après F. Frank, font continuer la
racine
olfactive interne avec les nerfs de Lancisi, et
t la dégénérescence ascen- dante au plus sur la hauteur de quelques
racines
. En plus, la dégé- nérescence ascendante se pré
observations de Tootli semblent le mon- trer, provient'surtout des
racines
postérieures de régions dorsales supérieure et
re du tronc; dégénérescence des muscles sans lésion des noyaux, des
racines
, des nerfs périphériques. L'Observation lit, et
es fibres vaso-moteurs et trophiques par l'atteinte pri- mitive des
racines
et des nerfs : ? Cette opinion est bien séduisant
. V. Examen anatomique DES NERFS MOTEURS, DES NERFS mixtes ET DES
RACINES
ANTÉRIEURES DANS UN CAS DE TABES DORSAL; par NONN
rling). Cette dégénérescence des nerfs moteurs périphériques et des
racines
antérieures de la moelle explique, en l'absence d
déterminer lesquelles d'entre elles appartiennent au spinal ou à la
racine
motrice de la première paire cervicale, ou même
rne antérieure avec le spinal tout au voisinage de l'hypoglosse. La
racine
supérieure du spinal quitte cependant le bulbe
du larynx. - 6° Le faisceau solitaire doit être considéré comme une
racine
sensitive ascendante des nerfs pneumogastrique
rative des méninges spinales provoque, dans les tractus nerveux des
racines
spinales, un processus analomo-pathologique qui
stitielle intra- musculaire, névrite des gros troncs nerveux et des
racines
spinales antérieures. Dans les cornes antérieur
rébraux et médullaires quelconques; il faut aussi remarquer que les
racines
antérieures et les fibres radiculaires intra-mé
cune trace de dégénérescence descendante du faisceau pyramidal. Les
racines
médullaires présentent un volume égal des deux
s blancs et on ne constate aucun signe de sclérose descendante. Les
racines
antérieures et postérieures sont normales. On c
386 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' factives avec l'hémisphère, est la
racine
externe qui se dirige au dehors à travers l'esp
rieure et inférieure de l'hémisphère cérébral sont considérés comme
racines
du nerf olfactif. Quoique chez l'homme et chez
du nerf olfactif. Quoique chez l'homme et chez le singe toutes ces
racines
externes soient pratiquement oblitérées, cepend
s de l'odorat est très développé, on décrit habituel- lement quatre
racines
, soit une externe passant dans le lobule de l'h
convolution du corps calleux. Les rapports du nerf olfactif par ses
racines
interne et externe avec les extrémités antérieu
une portion du centre tactile. La largeur relativement grande de la
racine
iuterne chez quel- ques animaux, et son rapport
rophiée, comparativement aux animaux osmati- ques. Le rapport de la
racine
interne avec la circonvolution du corps calleux
calleux me paraît être seulement superficiel et probablement cette
racine
rejoint en réalité l'extrémité antérieure de ce q
.au lenticulaire. - P, tractus pyramidal. - rn, noyau rouge. - ral,
racines
du nerf olfactf. - rs, région subtha- lamique.
ermique. Elle est le plus accusée du côté gauche dans la sphère des
racines
supérieures cervicales. L'analgésie est netteme
la formation de la zone thermanes- thésique dans la sphère de deux
racines
inférieures thoraciques et de la première racin
la sphère de deux racines inférieures thoraciques et de la première
racine
lombaire à gauche ; la délimitation ultérieure
bs- tance grise, tout autre segment de la zone radiculaire et des
racines
postérieures n'ayant rien à voir avec la disparit
ée. SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 na mètre antéro-postérieur qui va de la
racine
du nez à la protubé- rance occipitale externe,
système des fibres qui sortent du corps strié et traite aussi d'une
racine
du nerf optique sise à la base. Les méthodes qu
des lésions des nerfs seuls, tantôt des lésions concomittantes des
racines
, et des méninges rachidiennes, et ces divergenc
cas de troubles sensitifs ou moteurs indépendants, suivant que les
racines
antérieures ou postérieures sont atteintes; on
on primitive permettrait de concevoir qu'on observe l'intégrité des
racines
dans certains cas, cette réparation suit les lo
nesthétique nettement limitée dans la région de la distribution des
racines
inférieures thoraciques et des racines lombaire
égion de la distribution des racines inférieures thoraciques et des
racines
lombaires supérieures d'un seul côté. Sur la tê
e inférieure de la thermanesthésie arrive jusqu'au niveau d'une des
racines
thoraciques infé- rieures ou bien coïncide avec
ymétrie, l'anesthésie occupait la région des troisième et quatrième
racines
sensitives de la partie cervicale de la moelle
ent en avant et un peu en dehors pour venir émerger par dix à douze
racines
du sillon qui sépare l'olive de la pyramide ant
rieur); le troisième enfin de la protubérance sous le nom de petite
racine
du trijumeau (branche motrice du trijumeau).
avec les zones radiculaires antérieures (trajet intra-spinal des
racines
antérieures), les seules régions de la moelle épi
n destructive : dans la moelle (amyotrophies m\é- lopathiques), aux
racines
rachidiennes (amyotrophies radiculaires), dans
contiguë à la corne postérieure par la zone radiculaire interne des
racines
rachidiennes posté- rieures ou bandelettes exte
s; la parésie révèle la sclérose de la zone radiculaire externe des
racines
rachidiennes postérieures. Enfin, rien ne chang
ordons antérieurs prolongés de la moelle (étage sup.). , 1 ; grosso
racine
de la cinquième paire. 5, 5; libres transversal
elette externe du cordon postérieur ou zone radiculaire interne des
racines
rachidien- nes postérieures. 7, 7 ; cordon de B
les cérébelleux sup. moy. et inf. - t; locus niger. Emergence de la
racine
motrice du trijumeau. 6; facial. 7; grand hypog
dyme, mais aussi la substance gélatineuse de Rolando et celle de la
racine
ascendante du nerf trijumeau, qui lui est homol
jusqu'à la moelle allongée. Ici le lieu favori du processus est la
racine
ascendante du nerf trijumeau, où s'hyperplasie
la direction que ces différentes voies prennent après l'entrée des
racines
dans la moelle épinière et de leur marche ultér
ostérieures, et leur prolongation dans le bulbe et la protubérance (
racine
ascendante du trijumeau) . C'est cette.substanc
encore produit. Cet endroit ne peut être que la porte d'entrée des
racines
postérieures dans la moelle épinière et les cor
irment cette supposition, en ce que les cornes postérieures et la
racine
ascendante du trijumeau ont été trouvées alté-
la moelle épinière et venant des régions in- nervées par toutes les
racines
situées plus bas'. Là où les troubles caractéri
grise de la moelle épinière et de la subs- tance gélatineuse de la
racine
ascendante du tri- jumeau. A notre avis, une di
s limitées des cornes postérieures de la moelle épinière ou de la
racine
ascendante du trijumeau correspon- dant à des s
nt plus petites que ne le sont celles de ces derniers. Atrophie des
racines
et des noyaux des oculo-moteurs externes. Régio
vec nombreuses plaques circulaires de nature inconnue, occupant les
racines
postérieures de la moelle lombaire et ayant dét
faisceaux latéro-pyrami- daux de la moelle lombaire par névrite des
racines
postétiettt·es. Diagnostic : Myélite pure, dès
des colonnes de Clarhe, de la substance blanche, des noyaux et des
racines
des nerfs, dégéné- rescences musculaires consid
atrophie des nerfs périphériques; dégénérescence insignifiante des
racines
antérieures. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
ne occupe, sur le côté gauche du bulbe, de bas en haut, la première
racine
de la première paire cervicale jusqu'au noyau d
le de Rolando, la substance gélatineuse delà corne postérieure, les
racines
de l'accessoiré de \1'illis, - le noyau postéri
eur du nerf vague, le noyau du glosso- pharyngien, une partie de la
racine
ascendante du trijumeau, le noyau des cordons l
er, des noyaux de l'hypoglosse, du facial, du noyau moteur et de la
racine
descendante du triju- meau. l'. Ii. 11V. CO\1
rdons antérieurs prolongés de la moelle (étage sup.). 4, î ; grosse
racine
de la cinquième paire. 5, 5; fibres transversal
elette externe du cordon postérieur ou zone radiculaire interne des
racines
rachidien- nes postérieures. 7, 7 ; cordon de B
es cérébelleux sup. moy. et inf. - t ; locus niger. Émergence de la
racine
motrice de trijumeau. 6; facial. 7 ; grand hypo
mmédiatement à quel tronc, à quel plexus, et partant à quel groupe de
racines
appartient tel ou tel filet collatéral ou termina
Il fournit des branches à cinq des muscles de l'orbite et une (courte
racine
) au ganglion ophtalmique, par l'intermédiaire duq
ifacial (cinquième paire) ressemble aux nerfs rachidiens par les deux
racines
qui lui donnent naissance, une sensitive et l'aut
otrice. C'est à peu près à cela que se réduit la ressemblance, car la
racine
motrice est courte et sa distribution est très li
e motrice est courte et sa distribution est très limitée. La grosse
racine
constitue le principal nerf de la sensibilité gén
amifications affectées au sens du goût. Comme les nerfs rachidiens la
racine
sensitive présente un rendement gangliforme (gang
ensibilité générale, tandis que l'inférieure vers laquelle se rend la
racine
motrice présente un caractère plus complexe, car
de nerf Vidien et va dans le ganglion de Meckel constituer une de ses
racines
) à des muscles du voile du palais (1) et par l'in
AGHIDIENS OU SPINAUX. Les nerfs venant de la moelle ont chacun deux
racines
. La postérieure est plus considérable que l'antér
res destinées à transmettre les impressions sensitives au cerveau. La
racine
antérieure qui ne possède pas de ganglion est com
uscles de l'économie. Le nerf qui résulte de la réunion de ces deux
racines
a une fonction mixte, car il est composé de fibre
bas par la saillie de l'os jugal et ses muscles , et en dedans par la
racine
du nez. Au devant elle est protégée par la couche
âne, limitée sur le plan moyen par la suture sagittale, en bas par la
racine
du nez et l'arcade sourcillière, en dehors par un
eur forme des noms différens. 1° Couche cellulo-vasculaire.Lâche à la
racine
du nez, sur les os, elle est à la partie inférieu
dis que le périnée se continue en avant, au-dessous du pubis, par les
racines
du pénis, dont la masse forme une longue saillie
peau est garnie de poils et de follicules sébacés, plus nombreux à la
racine
du scrotum, dans les plis des cuisses, et surtout
l'aire périnéale plus étroite est occupée par le sphincter anal, les
racines
de l'urètre étant situées dans l'espace rétréci i
de la peau. On peut de cette manière atteindre assez profondément les
racines
. Cette précaution est indispensable lorsque la ma
ut avoir pour effet que l'enlèvement provisoire d'une tumeur dont les
racines
repulluleront, même après une cautérisation termi
es qui se gonflent à f h timidité, telles que les pois, les boules de
racines
d'iris ou de gentiane, l'éponge préparée sous plu
mes et de tumeurs variées. Quand les tissus altérés ont de nombreuses
racines
adhérentes aux tissus fibreux et aux os, qui exig
t l'alun et les substances végétales, noix de galle, écorce de chêne,
racine
de bistorte, etc., qui renferment le tannin. Parm
arrive précisément sans l'intéresser. La base étant enlevée, reste la
racine
centrale, unique ou multiple, uniformément blanch
'argent, ou une goutte d'acide nitrique déposée comme un point sur la
racine
avec le bec d'une plume. C. Extirpation (Procéd
uniens piquans. Le danger en dernier lieu est dans l'extraction de la
racine
, souvent très profonde. Si on éprouve trop de dif
ler, il vaut mieux remettre la fin de l'opération à un autre jour. La
racine
étant enlevée, s'il existe en dessous une petite
lambeau étendu de l'extrémité de l'orteil à deux lignes au-delà de sa
racine
, en inclinant un peu en bas pour tailler la base
valle des dents ; on nettoie les surfaces avec un corps mou, linge ou
racine
humide, chargé d'une poudre dentifrice, et on s'a
fil simple est laissé à demeure pendant un autre mois pour fixer les
racines
dans leur nouvelle position, par la consolidation
s'arrête aussitôt cet effet produit, et replaçant avec les doigts la
racine
dans sa position perpendiculaire, si le nerf est
ctuellement peu douloureux on presse sur la couronne pour enfoncer la
racine
dans sa position première; si au contraire la dou
, soit quelques heures ou au besoin un ou deux jours pour enfoncer la
racine
dans son lieu. En tous cas, une fois la dent repl
les dénis voisines. La luxation ne se pratique que sur les dents à
racine
simple, incisives, canines et petites molaires; l
cisives, canines et petites molaires; les grosses molaires avec leurs
racines
doubles, triples ou quadruples, n'offrent après l
les, triples ou quadruples, n'offrent après la luxation de toutes les
racines
aucune chance de solidité. L'opération dans tous
convient spécialement pour l'extraction des dents antérieures et des
racines
des autres dents. 5° Le davier (Fig. 1 3 à 21 )
ut en bas. Cet instrument sert à enlever des dents vacillantes ou des
racines
déjà ébranlées. 6° Le levier (Fig. 27 à 3o), es
, coudée à son extrémité libre, de forme variée, qui sert à luxer les
racines
dentaires; le plus usité est l'élévatoire pyramid
, trop dur et inflexible, a souvent pour effet de faire fracturer les
racines
, il est prudent de garantir la surface plus large
s dents, assez bien contenues par les bords alvéolaires , et dont les
racines
sont coniques et assez courtes, sont, de toutes,
manque presqn'en entier, cas qui rentre dans le mode d'extraction des
racines
. L'instrument, appliqué en position, est saisi à
, la dent ne pouvant être tirée que directement. Toutefois, quand les
racines
sont peu longues, comme pour les incisives supéri
l'autre main, avantage cpii généralise son emploi à l'extraction des
racines
de toutes sortes. En général, comme le davier est
des canines de la mâchoire supérieure, vu l'extrême longueur de leur
racine
cpii se fracture facilement. Leur luxation est le
d'agir méthodiquement et sans trop de précipitation. Extraction des
racines
des dents. (Pl. 26.) Cette opération est beauco
up plus complexe que l'extraction des dents complètes. Suivant que la
racine
est plus ou moins longue, pourvue ou non d'un fra
que l'on ne peut donner à ce sujet que des préceptes généraux. Les
racines
des vingt dents antérieures doivent s'enlever ave
dents antérieures doivent s'enlever avec le tirtoir; néanmoins, si la
racine
est trop profonde pour être atteinte par le croch
nt avec le levier (Fig. 1.), et ou l'extrait avec un davier aigu. Les
racines
des dents grosses molaires, quand elles sont isol
acillantes, s'enlèvent facilement avec le davier (Fig. 1.). Quand les
racines
isolées sont fortement encastrées, on les ébranle
doit se servir de la clef comme pour la dent complète. Mais quand les
racines
sont entières et que la dent privée de sa couronn
s à l'élévatoire pyramidal (Fig. 2.). On insinue sa pointe entre deux
racines
, et, par un mouvement combiné d'élévation et de t
point environné de linge le panneton. Si, comme il est ordinaire, la
racine
fracturée est saine, on doit l'abandonner en plac
stylo-mastoïdien. Section à la surface. Inciser verticalement de la
racine
de 1 arcade zygomatique, au-dessous de l'articula
ariable. Ordinairement elle monte obliquement en arcade le long de la
racine
des cheveux ; mais souvent elle se dirige beaucou
nommés; en dehors de la veine sont le nerf musculo-cutané et les deux
racines
du nerf médian. Dénuder alors avec beaucoup de mé
e plus loin, enseignant au chirurgien de « découvrir l'artère vers sa
racine
et partie supérieure, et la lier sans autre cérém
est préférable; c'est le seul qui permette de cerner et d'enlever les
racines
implantées dans le derme et parfois plus profondé
des cavités où l'on ne peut atteindre (ex. fosses nasales), soit des
racines
adhérentes à des tissus fibreux : mais en pareill
érescence de tissu , le chirurgien devant s'attendre à rencontrer des
racines
et des prolongemens qu'il doit suivre pour les en
econnaître s'il ne reste point quelque débris de la tumeur ou quelque
racine
que l'on excise. Il n'est pas rare qu'en découvra
deur de manière à détruire, autant qu'on le peut, jusqu'aux dernières
racines
de la cari2. Dans ces manœuvres, pour abréger les
'ischion,derrière l'articulation, tailler, aux dépens des chairs delà
racine
du membre, un large lambeau à convexité inférieur
la gouge, du maillet et du fer rouge extirper le mal jusque dans ses
racines
sans tenir compte des limites anatoiniques des os
ieu d'élection; mais on ne peut admettre de nécessité absolue qu'à la
racine
des membres : partout ailleurs ce n'est qu'une né
s ; la propagation cle l'inflammation ou de fusées purulentes vers la
racine
du membre est donc spécialement favorisée par le
eau sur le vaste interne et, inclinant fortement le tranchant vers la
racine
du membre, tomber sur l'os à trois travers de doi
ges, c'est d'établir la possibilité chirurgicale de l'amputation à la
racine
des membres, et dans beaucoup de circonstances de
oïde du cubitus une incision conduite obliquement en avant jusqu'à la
racine
du petit doigt, dont elle contourne la face palma
un petit couteau droit, pratiquer une incision circulaire qui suit la
racine
des éminences thénar et hypothénar, à un centimèt
ne, avant qu'il envoie une forte branche au médian. 11. L'une des
racines
du nerf médian. 12, 12. Vaisseaux acromio-thora
dente. PLANCHE 26. Figure 1. (a) Extraction, avec le davier, dune
racine
vacillante de la première grosse molaire du bord
bord alvéolaire droit de la mâchoire inférieure. (b) Luxation de la
racine
de la première incisive supérieure gauche avec le
de la première incisive supérieure gauche avec le levier (n° 29), la
racine
ébranlée devant ensuite être saisie avec la pince
re 2. (a) Luxation, avec l'élévatoire pyramidal (n° 27), d'une double
racine
de dent grosse molaire cariée de la mâchoire supé
ée de la mâchoire supérieure. (b) Extraction, avec le davier, d'une
racine
vacillante ou précédemment luxée de la seconde pe
re. En précepte général, pour assurer la luxation sans fracture des
racines
, il est important de garnir le panne13. 14. 15,
ceux dont le mouvement est horizontal. Davier destiné à extraire les
racines
par un mouvement de bascule. (Inusité.) Pince i
est maintenant inusité, et sert à peine quelquefois pour luxer des
racines
, que Ton enlève ensuite avec les daviers. Levie
al. Le plus utile des instru- mens de ce genre pour la luxation des
racines
des dents molaires. Divers leviers dits en la
liquement la direction du conduit lacrymal en tendant la peau vers la
racine
du nez, puis parvenu dans le sac lacrymal relève
t et de dehors en dedans, le bistouri se trouve amené au devant de la
racine
du sourcil suivant une ligne qui, de ce point, pa
et, faire glisser un nœud coulant, ou l'anse d'un lien, jusque sur la
racine
du polype; lorsque le fil est con-venablement pla
PÉRATOIIUî. i° Nez. Les deux os nasaux forment le squelette de la
racine
du nez; ils répondent de chaque côté aux apophyse
e supérieure, et en avant par le lobe nasal. Il faut remarquer que la
racine
de la lèvre remonte plus haut que le plancher des
n hori-zontal en relevant fortement le lobe du nez et en déprimant la
racine
de la lèvre supérieure. Narines postériewes. Pl
iller le lam-beau sur le front, en le disséquant avec soin jusqu'à la
racine
du nez. Alors renverser de haut en bas le lambeau
llé comme à l'or-dinaire avec cette différence qu'on prolonge, sur la
racine
du nez, l'incision à gauche, cinq millimètres plu
u de faire simplement la sec-tion du pédicule, on enlève la peau delà
racine
du nez, qui se trouve au-dessous de lui, pour la
suture. L'auteur veut obtenir ainsi une plus grande régularité de la
racine
du nez et prévenir en même temps la gêne delà cir
l nasal dont une dent, la seule qui restât dans la bouche, formait la
racine
. Khern parle d'un calcul de la grosseur d'une noi
ir es. i" Caustiques et cathérétiques. Pour toucher le polype ou sa
racine
avec les caustiques liquides, en iinhiber une mèc
er par dilater la narine par l'emploi de corps dilatans, l'éponge, la
racine
de gentiane, etc.— Instrumens et appareils. Les i
troisième pince à la seconde. On parvient ainsi peu-à-peu à rompre la
racine
du polype ou à l'attirer à l'orifice de la narine
dans les fosses nasales pour qu'il soit impossible d'en atteindre la
racine
avec les mors de la pince, on doit sans hésiter f
gager le polype et de permettre de remonter beaucoup plus loin sur sa
racine
. Signalée par Ilippocrate,pres-crite par G. deCba
e, tâcher de gouverner l'anse métallique pour lui faire em-brasser la
racine
du polype. Si la manœuvre manque son objet, rappe
uire, en doublant le voile du palais, aussi loin que l'on peut sur la
racine
du polype. Si cette manœuvre ne réussit pas, rapp
ant sur le fil resté dans la bouche, et recommencer jusqu'à ce que la
racine
du polype soit embrassée par la ligature. Dès qu'
re qui contourne le voile du palais et vient s'appliquer der-rière la
racine
du polype. Parvenu à ce point; en tirant plus for
n indice que l'opération a réussi à enlever la presque totalité de la
racine
, le seul résultat auquel on puisse prétendre; car
liaire, elle devrait servir mieux que tout autre moyen à détruire les
racines
du polype après l'emploi des autres mé-thodes. La
ypes muqueux, très mous, qui se déchirent facilement en laissant leur
racine
, la partie la plus résistante. Vexcision en elle-
omme véri-tablement curative; mais son emploi est borné aux cas où la
racine
du polype est accessible à la vue et au toucher p
sibles pardeux parois : maisl'antérieure ou frontale, que recouvre la
racine
du sourcil, offre trop d'épaisseur; tandis que l'
ur que les deux précédentes; elle est divisée en deux portions par la
racine
de l'apophyse malaire : au-devant d'elle se trouv
ir l'os au-dessous du sourcil, entre l'échancrure sus-orbitaire et la
racine
du nez, c'est dans ce point qu'on perforerait le
iné avec a"cxcision, pour la ligature partielle des appendices ou des
racines
, pendant le cours de l'extirpation de la masse pr
ne, d'un coup de bis-touri, introduiten ponctionnant du frein vers la
racine
de l'organe, M. Mayor divisa préalablement la l
encore dans la crainte de récidive, il est prudent de cautériser les
racines
avec le fer chaud. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT
les caustiques. Mieux vaut assurément l'excision ou la dissection des
racines
qu'une première opération n'aurait pu enlever.
raire, on réunit par première intention, mais, si le cancer avait des
racines
profondes, en se tenant toujours dans l'attente d
s'interpose dans la cavité des plèvres et refoule le poumon vers ses
racines
. Tant cpie répanchement est nouveau, rien ne fais
ase vers le pédicule. Dans ce dernier temps, la main appliquée sur la
racine
de la hernie empêche les parties refoulées de ven
r une des mains du chirurgien , celui-ci applique ses deux mains à la
racine
et confie à un aide le soin de déplacer le fond d
ffit point toujours ; soit que le sac adhère par sa face externe à sa
racine
, et ne puisse être abaissé, soit quel'étranglemen
re, ou, du moins, qu'elles ne soient séparées l'une de l'autre à leur
racine
que par une bride mince et étroite. Supposons que
ta à Amb. Paré, pag. io3). La hernie réduite, l'opérateur saisit la
racine
des bourses aussi près cpie possible de l'anneau,
érieure cle l'intestin qui s'y abouche avec des tentes de charpie, la
racine
de gentiane , l'éponge préparée , etc. Au besoin
ssent pas au premier coup-d'œil, c'est lorsqu'elles sont situées à la
racine
ou au collet d'une tumeur hémorrhoï-dale qui les
on exercée sur les chefs de l'anse qui la traverse et la coupant à la
racine
avec des ciseaux courbes ou le bistouri porté en
M. Velpeau, au con-traire, a soin de placer l'anse au plus près de la
racine
de la tumeur et fait l'excision au-devant, puis,
-versalement et le plus haut possible, mais assez loin cependant delà
racine
de la verge, pour cpie le contact de la pince ne
t nous nous occupons, du poids de 3o kilogrammes, Delpech prit sur sa
racine
autant de tégumens sains qu'il put en conserver,
que soit la manière dont on agisse , l'essentiel est qu'il reste à la
racine
de la tumeur, ou dans ses environs, as-sez de tég
la tumeur à tenir à l'aide, et saisir eux-mêmes le cordon près de sa
racine
. Parfois le pédicule du cordon glisse des doigts,
-ration de la circoncision. On détachait circulairement la peau de Ja
racine
du gland avec le scalpel, dans l'étendue de 27 mi
issait avec un emplâtre. On entourait la verge d'une bande, depuis sa
racine
jusqu'à la couronne du gland; par ce moyen, la pe
t gonflé, se gangrena en vingt-quatre heures jusqu'à 54 millim. de sa
racine
. Des précautions furent prises pour ménager ce qu
nu que lors même que le cancer siège sur le corps de la verge ou à sa
racine
, et même sur le scrotum, c'est par la peau qu'il
e tirer la peau vers le gland, tandis qu'un aide saisit la verge à sa
racine
près du pubis et tend également la peau qui la co
couvre. Sans cette pré-caution lorsque la verge est coupée près de sa
racine
, on ris-querait d'enlever une partie de la peau d
l'urètre. Cependant, si l'on est obligé d'abattre la verge près de sa
racine
et si la peau n'est pas très mobile sur le corps
sécpient sa concavité en haut; l'autre antérieure et supérieure, à la
racine
de la verge a son sommet au devant des pubis et r
son inté-rieur. Il est important de remarquer que dans l'enfance la
racine
de l'urètre est plus relevée que chez l'adulte, p
essous et à 3 centimètres de distance de l'arcade pubienne, entre les
racines
du corps caverneux. Sa partie infé-rieure présent
e presque verticalement au-devant des pubis jusqu'à la courbure de la
racine
de la verge. D'où il ré- suite que, en élevant
uction de la sonde. En haut la région bulbeuse est en rapport avec la
racine
des corps caverneux. 4° Portion spongieuse. La
au niveau de la fosse naviculaire, ou sphincter urétral , près de la
racine
du frein du prépuce; dans la seconde il existe en
de la racine du frein du prépuce; dans la seconde il existe entre la
racine
des bourses et la fosse navi-culaire , et dans la
que par une opération chirurgicale. Lorsque l'hypospadias existe à la
racine
du frein du prépuce, les malades réclament rareme
« sur la verge, on place circulairement, sur cet organe, près de « la
racine
, une autre lanière de gomme élastique, dont on fo
périnée renferme sa cloison cutanée, musculaire et aponévrotique, les
racines
du pénis et l'extrémité anale du rectum. Elle rep
l'aponévrose moyenne. Dans le premier cas, et surtout à partir de la
racine
du bulbe, l'infiltration se manifeste toujours le
nt d'avant en arrière, un peu à gauche, tout près du raphé, depuis la
racine
du scro-tum jusqu'à un travers de doigt de l'anus
phé, à quelques millimètres de celui-ci sur le côté gauche, depuis la
racine
des bourses jusqu'à un travers de doigt de l'anus
re du cathéter, il incisait le périnée sur la ligne médiane depuis la
racine
des bourses jusqu'auprès de l'a-nus. Après avoir
urnée en haut, circon-scrit l'urètre et passe entre ce conduit et les
racines
du clitoris. Pour cette incision, il divise les p
e qu'un nombre de fils suffisant, préa-lablement passés à travers les
racines
des petites lèvres, permet de réunir, immédiateme
irait d'exciser la partie malade, en ayant le soin d'enlever toute la
racine
du mal. t. vu. ABLATION DU CLITORIS. Cette
et de l'exciser avec des ciseaux courbes le plus près possible de ses
racines
. Le clitoris peut, de même que le pénis, deveni
ait de la tumeur avec la main gauche, pendant qu'un aide saisirait la
racine
du clitoris, et de la main droite, armée d'un bis
lla un lambeau, long de 5 centimètres et large de 2 centimètres, à sa
racine
, dans l'épaisseur de la grande lèvre gauche. Un f
fond de trois ouvertures , d'où append une queue implantée par trois
racines
sur la surface convexe, dans ceux en bilboquet, e
ines sur la surface convexe, dans ceux en bilboquet, et par une seule
racine
creuse dans toute son étendue, dans ceux à tige.
ourvusdesystèmevasculaireappréciable. « J'ai vu plus d'un pouce de la
racine
d'un polype fibreux tomber « long-temps après la
arties molles qui recouvrent l'os; quelques personnes coupent même la
racine
gauche du clitoris , pour évi-ter une déchirure a
a-lade de fixer un doigt, que l'on offre à quelques centimètres de la
racine
du nez; si le strabisme était convergent, on a la
-lairement un petit bistouri droit à deux trancbans, en partant de la
racine
du nez, pour labourer la paroi supérieure de l'or
comment il les a formulées. i° Section horizontale transverse de la
racine
de la langue. 2° Section sous-cutanée transvers
la racine de la langue. 2° Section sous-cutanée transversale de la
racine
de la langue avec conservation de la muqueuse.
ngue avec conservation de la muqueuse. 3° Section horizontale de la
racine
de la langue avec incision d'une pièce triangulai
de la bouche, je saisis avec le pouce et l'index de la main gauche la
racine
de la langue, et la relevai en la com-primant lat
ri dont le taillant était dirigé en haut, dans la partie gauche de la
racine
de la langue, et après avoir fait pénétrer mon in
après le septième jour de l'opération. » Section sous-cutanée de la
racine
de la langue. Elle fut faite pour examiner l'impo
inférieure un bistouri à fistule falciforme, et fit l'incision de la
racine
de la langue dans toute son épaisseur, laissant i
ontale. La langue fixée, le chirurgien l'incise transversalement à sa
racine
. Six fortes sutures réunis-sent exactement les bo
du maxillaire supérieur; 5, tubercule lacrymal, saillie formée par la
racine
montante de l'os maxillaire supé-rieur, au-devant
eul au-dessus des arcades sourcilières pour une largeur moyenne de la
racine
du nez. Une ligne prolongée indique le trajet con
igatures succes-sives pour atteindre graduellement au plus près de la
racine
. Les instrumens dont il se sert sont des sondes d
droite ( c ), pour placer cette anse en arrière de la première sur la
racine
du pédicule. La figure 8 représente la même man
distingue le pli de tor-sion qui passe par-dessus les tégumens de la
racine
du nez; en bas l'ouverture des narines est mainte
ar des sutures, du pédicule du lambeau avec la peau naturelle de la
racine
du nez, après le retour du pédicule cutané à sa s
e que deux courbures principales, lune dans l'état de flaccidité à la
racine
de la verge; l'autre à la por-tion bulbeuse, dans
Rétrécissement de l'urètre dans trois points : (a) au pénis, (b) à la
racine
du même organe, et (c) aux portions membraneuse e
lève. La paroi antérieure de l'hypogastre (AA) est enlevée jusqu'à la
racine
de la verge, les deux pubis (B) sont sciés obliqu
. A. Plan de section de la symphyse du pubis. B. Pénis relevé. La
racine
du corps caverneux du côté gauche est coupée. C
environ 1 cen- timètre. En dedans de cette cicatrice, avoisinant la
racine
du nez, on voit par moments la peau du front en
u noyau interne. Plus haut, au-dessus des premiers trousseaux de la
racine
interne du pédoncule cérébelleux inférieur, le
108 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la quatrième
racine
sacrée, c'est-à-dire le cône médullaire. L'exci-
sparaître, lorsque l'excitation porte sur la région de la quatrième
racine
sacrée. Découvrons le renflement lombaire, et s
u au-dessus d'elle, c'est-à-dire au niveau de la troisième paire de
racines
sacrées. Le centre réflexe anal occupe en réalité
oncule céré- bral. P. K. XIII. CONTRIBUTION A la connaissance des
racines
du trijumeau ; par Il. DE GUDDEN. (Allg. Zeitsc
roviennent de la collection du père de l'auteur de ce mémoire. La
racine
motrice du trijumeau prend naissance dans le noya
du trijumeau prend naissance dans le noyau moteur du même côté; la
racine
descendante, dans les grosses cellules de la su
ventricules, autour de l'aqueduc de Sylvius. Il faut distinguer les
racines
descendantes et motrices des racines ascendante
ylvius. Il faut distinguer les racines descendantes et motrices des
racines
ascendantes, au moyen du plus fort calibre de l
ibre de leurs fibres nerveuses, ce qui permet de reconnaître que la
racine
descendante se juxtapose il la racine motrice.
permet de reconnaître que la racine descendante se juxtapose il la
racine
motrice. Il n'y a lieu ni de confirmer, ni d'infi
l'idée acceptée par les auteurs de l'entre-croisement partiel de la
racine
motrice et de la racine descendante, car, du cô
auteurs de l'entre-croisement partiel de la racine motrice et de la
racine
descendante, car, du côté altéré, il reste des de
et de la racine descendante, car, du côté altéré, il reste des deux
racines
encore quelques fibres qui expliquent la conser
tout cas, il n'y en a que très peu. Les trousseaux de fibres de la
racine
ascendante prennent t probablement leur origine
e à la hauteur de la cinquième paire cervicale, et, à ce niveau, la
racine
ascendante du côté sain a déjà un notable volum
périeure ou dorsale de cet organe paraît être en relations avec les
racines
des paires cervicales postérieures; plus haut, ve
ance gélatineuse est encore le centre de formation des fibres de la
racine
ascendante. Au surplus, la seconde série des prép
ns (lapins) montre le rapport pathogénétique entre l'atrophie de la
racine
ascendante et celle de la substance gélatineuse
upes continue. L'examen microscopique de ces coupes démontre que la
racine
du nerf lésé contient, sur tout le trajet depuis
le la régénération du nerf. A l'examen on constate autant dans la
racine
que dans le noyau du facial les mêmes lésions, l'
erfs spinaux mixtes (n. ischiadicus). Sont atteintes les fibres des
racines
antérieures et les cellules des cornes antérieu
phie de la langue à une légère lésion des fibres trophiques dans la
racine
ascendante du trijumeau. Ses expériences avec l
croisement n'est pas complet, mais la commissure de Hannover, la
racine
indépendante optique de Flechsig et les fibres pu
périeure, aisselles glabres, poils assez abondants au pénil et à la
racine
des bourses, verge : long. 7 cent., cire. 8 cent.
t des lésions nucléaires ou l'interruption de la conduclibilité des
racines
intra-médullaires. Dans l'analyse minutieuse de
s noyaux des nerfs moteurs de l'oeil, nous relevons ce qui suit. La
racine
dite acces- soire du nerf pathétique n'appartie
ll avec dégénérescence marginale, dégénérescence très marquée des
racines
postérieures, dégénérescence faible des racines a
ce très marquée des racines postérieures, dégénérescence faible des
racines
antérieures; dégénérescence hyaline de la paroi
ité appartient à Schiff, il résulte que la destruction de la grosse
racine
du triju- meau détermine chez le chien une atro
s fibres trophiques du trijumeau ne sont pas situées dans la petite
racine
motrice de ce nerf, mais dans sa grosse racine
tuées dans la petite racine motrice de ce nerf, mais dans sa grosse
racine
sensitive et que le nerf de la septième paire ne
dégénérative des muscles (état graisseux), de la dégénérescence des
racines
antérieures de la moelle, et des cellules des c
sur l'épaule gauche ? S'agit-il d'une lésion du plexus ou de ses
racines
L'apparition immédiatement après le choc de la pa
atteindre l'anes- thésie dans le cas de lésion du plexus ou de ses
racines
. Par sa topographie, par la forme arrondie de s
pure (9 cas). D'autres fois, l'anesthésie est limitée autour de la
racine
du membre paralysé par une ligne perpen- dicula
s frappé par cette même ma- ladie avait présenté une atrophie de la
racine
du membre infé- rieur droit; les parents, qui a
ifférent; elle se produit d'une manière réflexe par l'entremise des
racines
postérieures. M. S. lCoasnror démontre l'import
anation dans la paralysie géné- rale, par Wagner, 451. Trijumeau,
racines
du , par de Gudden, 111. Tumeur cérébrale, pa
uche. Enfin, depuis quelque temps, l'anesthésie paraît gagner vers la
racine
des deux membres, si bien que la peau qui recouvr
tion des nerfs du plexus cervical et des ganglions correspondants des
racines
spinales postérieures 1. M. Charcot a appelé pl
ue présente la colonne vertébrale au cou. La moelle épinière et les
racines
des nerfs ont été examinées en place dans le cana
achidien, avec le plus grand soin, surtout à la région cervicale. Les
racines
, ainsi que la moelle, n'ont présenté aucun change
comparatif des nerfs cervicaux encore attachés à la moelle par leurs
racines
. Voici le résultat de cet examen : tandis que les
ions spinaux, ainsi que les troncs ner-veux formés par la réunion des
racines
spinales, présentent une légère tuméfaction et un
taux. M. V. Baerensprung examine avec soin ces nerfs, ainsi que leurs
racines
et les ganglions intervertébraux correspondants.
tervertébraux correspondants. Les ganglions des cinquième et neuvième
racines
dorsales étaient sains; ceux des sixième, septièm
acines dorsales étaient sains; ceux des sixième, septième et huitième
racines
présentaient au contraire des altérations remarqu
s'étendaient vers la périphérie jusqu'au lieu d'entre-croisement des
racines
antérieures et postérieures, et même, dans une ce
eurs pas d'autres modifications appréciables dans leur structure. Les
racines
antérieures et aussi les racines postérieures,
réciables dans leur structure. Les racines antérieures et aussi les
racines
postérieures, entre les ganglions spinaux et la m
rfs spinaux et à leurs divisions principales, sans s'étendre soit aux
racines
antérieures, soit aux racines postérieures, entre
ns principales, sans s'étendre soit aux racines antérieures, soit aux
racines
postérieures, entre le ganglion et la moelle. C
irecte. Nos connaissances concernant la structure des ganglions des
racines
postérieures des nerfs rachidiens et leur mode de
démontrer que, chez les mammifères et chez l'homme, les ganglions des
racines
pos-térieures rachidiennes sont formés à peu près
s lieu lorsque l'irritation porte seulement sur les tubes nerveux des
racines
antérieures ou sur ceux qui constituent les racin
tubes nerveux des racines antérieures ou sur ceux qui constituent les
racines
posté-rieures entre le ganglion et la moelle. Dan
ts de l'expérience dans laquelle M. Aug. Waller, après avoir coupé la
racine
postérieure d'un nerf rachidien,entre la moelle é
chidien,entre la moelle épinière et le ganglion, voit la partie de la
racine
qui tient à la moelle s'altérer, tandis que le se
ine de ces nerfs. Or, il est à peine admissible que les ganglions des
racines
postérieures 'soient affectes en pareil cas. Un d
rfs et sans l'in-tervention obligée d'une affection des ganglions des
racines
postérieures. Mais quelles sont les conditions pa
exposé au foyer lumineux, la rougeur occupait tout ce côté, depuis la
racine
des cheveux jusqu'au menton, et les étin-celles n
pour la plupart, dans la constitu-tion même des sujets, de profondes
racines
. C'est, en général, moins par des remèdes que par
n cas d'atrophie des cordons postérieurs de la moelle épinière et des
racines
spinales postérieures (ataxie locomotrice progres
d'autres observateurs, les colonnes postérieures de la moelle et les
racines
postérieures étaient atrophiées ; la plu-part des
avait une altéra-lion très profonde des faisceaux postérieurs et des
racines
spi-nales postérieures2. On verra plus loin que,
cte dans ces cas ; les tubes nerveux des faisceaux postérieurs et des
racines
postérieures sont seuls altérés, et leur altérati
econd des deux cas, dans lesquels nous avons examiné la moelle et les
racines
nerveuses, nous avions annoncé d'avance l'existen
on des nerfs du plexus cervical et des ganglions correspondants des
racines
spinales postérieures............................
constipation. Facics strumeux, lèvres épaisses et proéminentes. La
racine
du nez est large et aplatie. Examen DES yeux
tes de sour- cils blonds assez abondants, ne se rejoignant pas à la
racine
du nez. Cils plus foncés que les sourcils; pas
sol, ce qui fait toujours penser à une fracture qui siégerait à la
racine
du nez, et que la palpa- tion pourtant ne révèl
ue la paralysie n'intéressent pas tous les muscles innervés par une
racine
donnée et empiè- tent plus ou moins sur les ter
ns constituer des amas pouvant faire penser à des tubercules. Les
racines
rachidiennes, sans être enserrées par le processu
'être accentuée de nouveau, de l'a- nesthésie limitée aux dernières
racines
sacrées et de l'in- continence de l'urine et de
.}olf'¡-oy), des ganglions tnop7ziqzces spinaux (Dé- jeriné),ou des
racines
nerteU'les en émanant (ném'i- tes de Pitres). E
t s'entrecroiser en avant du noyau de la Xlte paire. En avant de la
racine
spinale du glossopharyngien, ces libres se diri
rousseaux nettement limités commencent, à la hauteur de la première
racine
cervicale, à s'éparpiller le long de la corne pos
bres qui forment les cordons postérieurs sont le pro- longement des
racines
postérieures et. naissent des cellules des gang
issent des cellules des ganglions intervertébraux. Chaque fibre des
racines
postérieures, dès qu'elle est arrivée la moelle
x de IIl11'darh ; puis, graduelle- ment, poussées par les nouvelles
racines
qui entrent dans la REVUE D'ANATOMIE ET DE P,
ostérieure, elles se collent aux fais- ceaux de Goll. Toutefois les
racines
postérieures de la partie su- périeure du la mo
de la partie su- périeure du la moelle dorsale ainsi que toutes les
racines
cervi- cales, après avoir pénétré dans la moell
lt;;lt in toto.Ce cas montre que les libres émanées des 4 premières
racines
dorsales et de toutes les racines cervicales pa
es libres émanées des 4 premières racines dorsales et de toutes les
racines
cervicales passent exclusivement dans le faisce
lement les atteint : il se peut qu'il s'agisse de libres issues des
racines
postérieures qui, occupant d'abord les faisceaux
es (zone de dégé- nérescence ovale), d'où viennent ces libres ? Des
racines
posté- rieures ou des cellules des faisceaux ?
nsversale et totale de la moelle par un foyer détruit simultanément
racines
postérieures et cellules de substance grise, y
u quad1"ieipital. P. Keraval. XXI. L'inéquivalence biologique de la
racine
posté- rieure et du nerf sensitif périphérique
dent il se régénérer. IL- Section chez chats, chiens, lapins, des
racines
postérieu- res ou du nerf vague au-dessus du ga
nc- lit ancien. On peut suivre la dégénérescence rétrograde de la
racine
postérieure jusque dans le ganglion spinal. On no
des ganglions spinaux sur leur structure et sur leur fonc- tion. La
racine
postérieure, séparée du centre, est, contrairemen
,linner sur lus rats, il se produit des troubles nutritifs dans les
racines
postérieures, une grande partie des cordons posté
ie par aplatissement du pariétal droit à sa partie antérieure. A la
racine
des cheveux, existe du côté droit une cicatrice
nsité variable, d'autant plus grande qu'ils sont plus voisins de la
racine
du membre. Le pied se place en ex- tension sur
e temps se creu- sent, entre l'extrémité interne des sourcils et la
racine
du nez, les rides verticales profondes qui expr
iveau du front et se limitant par une ligne qui suit à 1 centim. la
racine
des cheveux. Varices du membre inférieur. REV
résultats négatifs. On pratiqua une la- mincctomie, qui montra les
racines
sacrées unies par des adhé- rences, au milieu d
u milieu d'un liquide gommeux. Les adhérences furent détruites, les
racines
dissociées les unes des autres, et séparées de
ubles prédominants au membre supérieur droit dans les ré- lions des
racines
Cs et Duc, éminences thénar et hypothénar, flé-
se traduisant par un syndrome tahetiforme, indice d'une lésion des
racines
et des cordons posté- rieurs. Sclérose en pla
aie siège à la région pariétale droite. Sur une ligne partant de la
racine
du nez, il faut compter 14 centimè- tres et en
mie, abaissée à 21 centimètres sur la ligne médiane à partir de la
racine
du nez. Au point de vue de la responsabilité pé
ce que, des fibres lombo-sacrées formées par la réunion des 4c et 5
racines
lombaires, seul le jambier antérieur reçoit des
nes lombaires, seul le jambier antérieur reçoit des fibres de la 4c
racine
lombaire. c) Dans le 5e segment lombaire, on
scle frontal dans toute son étendue, ou la région comprise entre la
racine
du nez et l'angle interne de l'oeil, ou encore
GRENIER de CARDENAC. Les compressions du ganglion de Gasser ou des
racines
de la cinquième paire par une tumeur du voisina
. Souques rapporte un cas de zona vrai intéressant les le, 2e et 3e
racines
lombaires en apparence, mais en réalité la 1 seul
11JI. Déjerine et Camus montrent ce malade dont les cinq premières
racines
cervicales gauches sont en outre anesthésiées (
Nécrologie, 234, 235, 236. Nerf. L'inéquivalence biologique de la
racine
postérieure et du - sensitif périphérique, par
porte sur le territoire de la scissure de Syl- vius, à partir de la
racine
de la troisième frontale en enlevant un morceau
ude du bulbe de foetus de 5 à 6 mois par la méthode de Weigert. Les
racines
de l'acoustique forment une série continue affe
oyau externe (segment interne du pédon- cule cérébelleux inférieur,
racine
ascendante de Roller). Parmi les prolongements
ine ascendante de Roller). Parmi les prolongements indirects de ces
racines
, on voit : 1° des faisceaux qui joignent le gan
'examine, l'aspect des cellules composantes est partout le même. La
racine
de l'accessoire, après avoir quitté la colonne
s, le fais- ceau de Burdach envoie des fibres qui s'adjoignent à la
racine
de l'accessoire et l'accompagnent à la périphér
s, limitée dans le bulbe, en dedans par le raphé, en dehors par les
racines
de l'hypoglosse, ou, dans des couches inférieur
losse, ou, dans des couches inférieures de la protubérance, par les
racines
de l'oculo- moteur externe. Dans la zone extern
ngj ; quelques fibres pénètrent dans la substance gélatineuse et la
racine
ascendante du trijumeau. Le nerf auditif se com
éline chez des foetus de 23 centimètres de long, se confond avec la
racine
postérieure des auteurs et comprend l'ensemble
qui pénètre dans l'organe central, il émane du nerf vestibulaire (
racine
du nerf vestibulaire) ; - b, l'autre, qui n'a de
que chez des foetus de 30 centimètres de long, se confond avec la
racine
postérieure des auteurs, ce sont des fibres situé
ituées en dehors des corps restiformes, émanant du nerf cochléaire (
racine
du nerf cohcléaire). Aucune de ces racines n'a
anant du nerf cochléaire (racine du nerf cohcléaire). Aucune de ces
racines
n'a de communications directes avec le cervelet
de ces racines n'a de communications directes avec le cervelet. La
racine
du nerf vestibulaire se termine sur- tout dans
fibres du segment interne du pédoncule cérébelleux inférieur. La
racine
du nerf cochléaire se termine principalement dans
ctéristiques de l'alcoolisme chronique; intégrité de la moelle, des
racines
antérieures et postérieures. Dégénérescence des
t : aux joues, rien. Les ais- selles et le pénil sont glabres; à la
racine
des bourses se trouvent quelques poils longs di
la partie des conducteurs moteursqui unitl'org3ne de la volonté aux
racines
antérieures ; mais les fibres qui joignent dire
iculière d'une partie des fibres nerveuses fines contenues dans les
racines
postérieures. Ces libres se réunissent au côté
ures des coupes transversales de la protubérance et du bulbe, des
racines
du trijumeau, des trousseaux de fibres appartenan
erfs radiaux à l'avant- bras ; décoloration légèrement grisâtre des
racines
les plus inférieures de renflement cervical et
altération des nerfs sensitifs (une branche sensible du radial, une
racine
postérieure du renflement cervi- cal) ; sur l'a
ysionomie enfantine du malade. Le visage est hideux; le front et la
racine
du nez sont couverts de rides, les sillons naso
o-labiaux sont très accusés, le nez est ca- mard, très déprimé a sa
racine
comme chez la plupart des petits entants; sur t
r et le gonflement se prolongent sur le front et presque jusqu'à la
racine
du nez et l'arcade sus-orbitaire où elle se lim
700. 2 février. - Dentition. Mâchoire supérieure.- Permanence des
racines
de la plupart des dents de lait sur lesquelles on
eux incisives centrales entières; elles sont sorties en arrière des
racines
des dents de lait; très inclinées en arrière; l
ouche sont profondément cariées; il ne reste plus que des débris de
racines
. illc2choire inférieure. On ne trouve comme den
rtée un peu en avant et les dents viennent mordre sur le milieu des
racines
des dents de lait sans tomber au niveau de la g
ent en assez bon état, forment un bourrelet autour des dents et des
racines
. Août. - Poids : 20 kilogr. 300. Taille : 0m,90
sont des dents de la seconde dentition ; les premières n'ont qu'une
racine
conique très longue, les grosses molaires sont
ont plus ou moins cariées; de quelques-unes il ne reste plus que la
racine
. Les principaux organes ont été pesés et nous o
suspens pendant près de vingt-quatre heures; 2° une distension des
racines
cervi- cales, laissant après elle une névralgie
ordon de Goll dans la SOCIÉTÉS SAVANTES. 65 région cervicale. Les
racines
étaient molles, gélatineuses, lar- dacées ; les
es, lar- dacées ; les nerfs périphériques étaient gros et durs. Les
racines
étaient faciles à dissocier, les nerfs résistan
racines étaient faciles à dissocier, les nerfs résistants. Dans les
racines
, l'hyperplasie conjonctive n'est pas le princip
thésie . occupe les territoires des première, deuxième et troisième
racines
postérieures lombaires. Il existait en même tem
la formation des larmes dans l'oeil du même côté. L'excitation des
racines
du trijumeau, après section préalable à la base
sie radiculaire, qui s'explique par l'adultération moins facile des
racines
postérieures dans les tractions sur le plexus.
nne vertébrale, mais bien myélite par contre-coup et élongation des
racines
sacrées inférieures dans la flexion forcée du t
tante pour sa transmission, ne prouve point que ce délire n'ait des
racines
profondes, d'autant plus profondes mêmes qu'il
: c'est l'auto-accusation par réflexe psychi- que élémentaire, sans
racines
ni relations associatives dans la men- talité,
aissables. b) Les nerfs de texture plus délicate (nerfs crâniens et
racines
rachidiennes) se laissent envahir plus facileme
les, accompa- gnés de lymphangites ou de phlébites cancéreuses. Les
racines
rachidiennes et les ganglions nerveux intervert
t longtemps l'apparition des autres symptômes ; l'envahissement des
racines
postérieures par les éléments cancéreux est un
lés, plus ou moins volumineux (méninges cérébrales et médullaires ;
racines
rachidiennes, en particulier celles de la queue
truits, ces tumeurs sont à évolution franche- ment fibreuse sur les
racines
rachidiennes qui se montrent défor- mées et mon
ce point de vue spécial les noyaux de la moelle, des méninges, des
racines
rachidiennes et des nerfs périphériques, nous a
on cérébrale. 11 est à remar- quer que les noyaux de la moelle, des
racines
et des nerfs périphé- riques ne donnent pas lie
enlève et l'on trouve la pulpe gangrenée, une légère périostite des
racines
. Isu trois semaines, tous les accidents dispara
E. Cette fracture a amené une compression du cône terminal et des
racines
du plexus sacré, soit par un fragment osseux, soi
r une hémorragie immédiate. Seules la 5° paire lombaire et les li
racines
sacrées sont intéressées, et la lésion porte plus
i racines sacrées sont intéressées, et la lésion porte plus sur les
racines
postérieures que sur les antérieures. E. B. XXX
a région cervicale, où prennent naissance les fibres de la première
racine
dorsale et de la huitième racine cervicale, ren
aissance les fibres de la première racine dorsale et de la huitième
racine
cervicale, rend compte de la paralysie et de l'
é externe du membre, fait supposer que la lésion s'est propagée aux
racines
du plexus brachial et plus aux infé- rieures qu
ervical inférieur de la moelle, enserrant ou détruisant la première
racine
dorsale gauche, interrompant le faisceau de Cow
'épaule. Ce mouvement s'accentue à mesure que l'on se rapproche des
racines
antérieures, il atteint son maximum quand on ex
antérieures, il atteint son maximum quand on excite directement les
racines
anté- .rieures, entre la moelle et la dure-mère
du pourtour anté- rieur de la moelle et ne quittent pas la zone des
racines
antérieures ; il est moindre quand on excite le
croiser sur la ligne médiane au niveau du sternum. Le contact de la
racine
postérieure gauche, entre la pie-mère et la dure-
s surtout à gauche. Résultat semblable, mula- tis mutandis, pour la
racine
postérieure droite. Qu'on procède à droite ou à
du plan d'excitation. En variant les épreuves, par l'excitation des
racines
antérieures et des racines postérieures, par la
riant les épreuves, par l'excitation des racines antérieures et des
racines
postérieures, par la graduation de la quantité
d'excitabilité individuelle; 5° les prolongements intra-spinaux des
racines
perdent leur excita- bilité à l'égard du couran
à l'avenir, au moyen de longues aiguilles, d'exciter isolément les
racines
antérieures qui commandent aux nerfs des membre
a dix à douze minutes à sa disposition; le trajet extra- spinal des
racines
est du reste encore plus longtemps excitable, ce
- térieurs de la moelle semblent les prolongements des fibres des
racines
sensitives postérieures, et paraissent servir à c
rte de cette sensibilité. Ces deux systèmes émanent -des fibres des
racines
postérieures. - La voie cérébelleuse des cordon
belleuse directe des cordons latéraux. Dans celle-ci les fibres des
racines
postérieures sont interrompues par les cellules
- mière. Ces deux voies sont immédiatement formées des fibres des
racines
postérieures qui débouchent dans la moelle. Il es
elet, de là le voisinage des voies de transmission eu question. Les
racines
postérieures qui débouchent dans la - REVUE D'A
rvelet). , Le tabès commence par une lésion de la zone d'entrée des
racines
postérieures et des cordons postérieurs : c'est
est une dégénérescence du premier neurone centripète. La lésion des
racines
est segmen- taire. Mais dans chacun des segme
t au schéma donné par Rocher pour le territoire des trois premières
racines
lombaires. Fait également intéressant, il y a a
randes cellules de la substance grise, avec lésions secondaires des
racines
antérieures, des nerfs périphériques et des mus
rvée. Du côté droit, hypoalgésie à la piqûre remontant jusqu'à la
racine
de la cuisse et plus marquée^ au-dessous du genou
nt brusquement de chaque côté un peu avant le point de sortie des
racines
antérieures. L'épaisseur de la pachyméningite aug
re et s'atténue pour disparaître au-dessous de la première paire de
racines
lombaires. Dans la partie la plus épaissie la d
, une prolifération cellulaire active (pachyméningite externe). Les
racines
sont dégénérées. Au-dessous du point maximum de
rondes à la base des cornes pos- térieures (colonne de Clarke). Les
racines
contiennent un grand nombre de fibres saines. P
e de la coupe pratiquée au niveau de l'émergence de la 12° paire de
racines
dorsales est normale en grandeur et en disposit
eintés ; les cordons de Goll renferment quelques fibres saines. Les
racines
sont normales. A la hauteur de la 2° paire de r
s saines. Les racines sont normales. A la hauteur de la 2° paire de
racines
dorsales, la dégénération des faisceaux pyramid
exclusive- ment de substance grise et de faisceaux blancs; chaque
racine
(la postérieure au moins) conserve son individual
conséquence), .excite ou supprime le fonctionnement des fibres des
racines
. Aussi la constitution symptomatique de la comp
de la compression médullaire se complique-t-elle de tout ce que les
racines
lui fournissent de symptômes (douleurs et flacc
si bien qu'elle produit unemyélite de voisinage 2. L'irritation des
racines
postérieures produit un symptôme qui ne fait pr
evenait paraplégique. .11 conviendrait de voir quel rôle jouent les
racines
dans le syndrome paraplégie flasque avec exagér
ouve les cor- dons postérieurs toujours atteints. Puis, ce sont les
racines
posté- rieures, toujours ou presque toujours lé
ganglions intervertébraux, ou dans les nerfs péri- phériques et les
racines
postérieures, pour occuper, au sein de ces dern
extension des lésions ankylosantes aux extrémités aussi bien qu'aux
racines
des membres. l'existence d'une lordose au lieu
e les troubles occupent la région innervée par les 30, 40, 5° et 6°
racines
brachiales. M. Brissaud est heureux de constate
extension des muscles, des ligaments, des nerfs périphériques, des
racines
postérieures et antérieures, des méninges et de
ce grise de la moelle, écrit Edinger, sur laquelle se-branchent les
racines
postérieures, donnent nais- , sance à des cylin
erveau moyen et au cerveau intermédiaire. Cela veut-il dire que les
racines
postérieures soient en connexion directe avec l
irecte avec l'écorce du cerveau ? Les plus longs- prolongements des
racines
postérieures se terminent dans les noyaux des cor
lus longs neurones sollicités par les collatérales cinéréopètes des
racines
postérieures. Ce sont ces derniers éléments qui
a main et à i'avant-bras droits, à la jambe et au pied gauches. Les
racines
des membres, le bras comme la cuisse sont norma
risée par de l'hyperalgésie sur le territoire d'une ou de plusieurs
racines
médullaires et par des crises douloureuses à ma
. Quatre ont été opérés et chez tous l'on a constaté, au niveau des
racines
incriminées, l'existence d'adhérences intra- ar
ur les trois autres où a été pratiquée la résection intradurale des
racines
, il y a eu un résultat incomplet dû à ce que la
incomplet dû à ce que la résection n'a pas porté sur le nombre des
racines
voulues et deux complets suivis depuis huit ans
on wallérienne évoluant plus ou moins rapidement. En traitant les
racines
et la moelle parle procédé de l3ousch, on obtie
en petite quantité dans les parties extra et intra- médullaires des
racines
antérieures et postérieures, dans les cor- dons
ation vraie. Ce n'est donc pas, à vrai dire, d'une dégénération des
racines
qu'il s'agit ici, mais plutôt du même processus
lque peu diffé- rents, cela peut tenir au traumatisme, imprimé à la
racine
(extir- pation du nerf) ou à une névrite ascend
érieur, qui* tient ou peut être rattachée à une lésion spéciale des
racines
postérieures. Ce n'est pas tout. La méthode de
u cordon postérieur droit, mais seulement au niveau de l'entrée des
racines
postérieures qui paraissent dégénérées, et dans
ve dans la moelle lombaire inférieure, en rapport avec l'entrée des
racines
postérieures correspondant au membre amputé, où
a atteint avant tout, à un remarquable degré, les prolongements des
racines
postérieures. Comment se fait-il que la décolor
elque sorte guère groupées, et que les fibres qui correspondent aux
racines
postérieures du sciatique occupent la ligne média
xcitation des nerfs de l'appareil accommodateur, c'est-à-dire de la
racine
sympathique moyenne du ganglion ciliaire. La dé
ns et aux pieds. L'anesthésie va en diminuant de la périphérie à la
racine
des membres, c'est-à-dire qu'elle est moins pro
alté- rations syphilitiques très accusées : gommes isolées dans'les
racines
nerveuses, infiltration généralisée des méninge
c ni sur les extrémités : s'il n'y a pas de signes d'une lésion des
racines
postérieures et des nerfs sensitifs périphériqu
ue du tabes. P. Keraval. s LXXXII. Observation de paralysie des
racines
inférieures du plexus brachial, consécutive à u
pine (figu- z'es). Il y a évidemment lésion nettement localisée des
racines
infé- rieures du plexus brachial. L'absence con
, indique l'intégrité du rameau commu- nicant qui va de la première
racine
dorsale au grand sympathique. Les raideurs arti
us particulièrement pour les articulations plus rapprochées de la
racine
du membre; leur fréquence au cours de la syringom
et du nel miisculo-ctitiné, par Hoffmann, 378. Observation de des
racines
intérieures du plexus brachial, par Btassert, 3
patiemment 1'épiderme durci, cherchant à extirper un cor jusqu'à la
racine
. Tantôt il verse sur la plaie un baume calmant,
chant, bistouri ou scalpel, méthode palliative qui n'atteint pas la
racine
du mal et ne met pas à l'abri des récidives.
de palette à saignée, pots d'onguent, sacs de graines, chapelets de
racines
desséchées, terrines, cruches, creusets, bouill
euses de l'opéré, si l'opérateur a poussé son extraction jusqu'à la
racine
même du cor. Les personnages accessoires sont
l'articulation métacarpo-phalangienne. Mais si on pince la peau la
racine
des doigts, on s'aperçoit que cette tuméfaction
in, réduite'ainsi'a sa forme squelettique, est comme resserrée à sa
racine
. Il existe en outre un relâchement des ligaments
diamètre trans- %ers.il, son bord cubital est evcavé,la ligne de la
racine
de l'index est rentrante, les doigts comme la m
de la ligne cubitale de la main et sur celui du bord interne de la
racine
de l'index. A l'état normal les lignes qui part
certain nombre de neurones qui envoient leur cylindre-axe dans les
racines
postérieures, fait qui concorderait avec l'opin
(Dastre, Morat, Steinach) qui font sortir les vaso-moteurs par les
racines
postérieures. Ces données constitueraient des p
e, car ainsi que'je l'ai montré (2) les collatérales réllexes d'une
racine
ne se dis- tribuent pas seulement au segment do
s fibres à myéline dans les régions que nous avons signalées. Les
racines
rachidiennes ont leurs tractus conjonctifs épaiss
ou cla- vus profondément enfoncé dans les chairs, il en extraira la
racine
. Vieil- lard sec, aux jambes maigres, au visage
u grattage d'un cor, d'un durillon, ou d'un oignon, au'niveau de la
racine
du gros orteil. Le malade est un homme entre
e avec un centimètre souple ordinaire, de la moelle épinière et des
racines
. Nos premières expériences dans ce sens, exécut
de la moelle, située il 1/2 millimètre au-dessus de l'émergence des
racines
postérieures de la 12e paire. Voici une obser
ît contenir les noyaux de tous les muscles sous la dépendance de la
racine
motrice correspon- dante. Il en résulte qu'on p
s tableaux qui représentent l'innervation de chaque muscle dans les
racines
et la moelle épinière. Il est à remarquer qu'il n
er cette griffe spéciale par l'intermédiaire de la compression des.
racines
antérieures on devait naturellement s'attendre à
Or comme dans la syringomyélie, la lésion débute au niveau de la 8e
racine
cervicale et de la 1° dorsale et se dirige vers l
ndrique. Ventre un peu proéminent. « Membres potelés, effilés de la
racine
aux extrémités, une couche adi- peuse d'une ass
tion.; les troubles de la sensibilité ne re- montent pas jusqu'à la
racine
des membres inférieurs : c'est ce qui se voit q
lysie motrice et les troubles sensitifs re- montent au-dessus de la
racine
des membres inférieurs, empiètent plus (1) Voir
e paralysie motrice du même côté, dans les parties innerves par les
racines
spinales situées au-dessous de la section. Ce
ment cylin- draxile du neurone ; elle va con- courir à former une
racine
pos- térieure et pénètre dans la moelle avec
mer une racine pos- térieure et pénètre dans la moelle avec cette
racine
. Or, une fois qu'elle a pénétré à une certain
au-dessus de celui où elle pénètre dans la moelle sous forme d'une
racine
postérieure. L'anatomie nous enseigne que les b
tion portant sur la moitié gauche de la moelle. S, Si, S2, S3, 8,
racines
sensitives du côté droit, s'entrecroisant sur l
pour gagner la colonne sensitive gauche, CSG. - Z, Z', Zz, Z3, Z4,
racines
sensitives du côté gauche, allant gagner la c
mes régions que la première fois, plus foncée vers le tronc et à la
racine
des membres et du cou, s'atténuant vers la péri
savoir : dans les parties internes des cor- dons de Goll. Dans les
racines
postérieures on observe une dégénérescence très
ce très marquée, surtout dans leur trajet intramédullaire. Dans les
racines
antérieures la dégénérescence n'est pas aussi a
t aussi, elle est plus visible dans la région inlramédul- laire des
racines
, que dans leur partie extramédullaire. La subst
traversée par des fibres dégénérées. Le processus morbide dans les
racines
à ce niveau est moins marqué que dans les régions
qui entrent dans la moelle épinière comme éléments constitutifs des
racines
postérieures. L'influence des modifications sur
us les éta- ges de la moelle épinière la partie intramédullaire des
racines
a souffert davantage que la partie extramédulla
r la phalangette élargie en forme de spatule et va augmentant de la
racine
du doigt à l'extrémité. L'ongle ne présente pas
hypertrophie con- sidérable du tissu osseux qui va augmentant de la
racine
vers l'extrémité ; si les autres parties du doi
que la contracture va en dimi- nuant de l'extrémité du membre à sa
racine
. Les doigts en extension forcée sont impossible
ment la double obliquité intra-rachidienne et intra- médullaire des
racines
nerveuses. C'est encore là un point obscur qui
lis sont d'autant plus accusés qu'on se rap- proche davantage de la
racine
des membres, tandis que les extrémités à pro- p
la ligne médiane : a. La glabelle, rendement situé au-dessus de la
racine
du nez, rem- placé quelquefois par un méplat, e
tion supérieure de l'oreille, au niveau de la saillie formée par la
racine
transverse de l'arcade zygomatique. b. Le point
lÍaque. Elle se prend avec le mètre a ruban, en fixant le zéro à la
racine
du nez, au-dessous de la glabelle et en faisant p
pas de lésion centrale ni périphérique. Les noyaux oculo-motcurs, les
racines
et tous les nerfs bulbaires sont absolument sai
cines et tous les nerfs bulbaires sont absolument sains. Seules les
racines
de l'hypoglosse et du pneumogastrique sont extr
. L'examen microscopique de préparations fraîches montrait dans les
racines
de l'hypoglosse, du lneumo-gastrique et du spin
asctT 7^* ? ' Le grand nombre de faisceaux grêles trouvés dans les
racines
du facial, de l'hypoglosse, du spinal, ne peut
faisceaux sains, mais beaucoup de noyaux de tissu conjonctif; leurs
racines
poursuivies dans les pédoncules ont l'air de tr
t qui représente la continuation de la zone radiculaire spinale. La
racine
ascendante de la 8° paire est manifestement sclér
ulus rotundus est presque entièrement détruit et un grand nombre de
racines
du pneumogastrique atrophiées. Des coupes des p
gements axiles. Les fibres de la 3° et de la 4' paire, ainsi que la
racine
descendante du trijumeau, sont atrophiées. OB
faisceau rond était atteint d'un léger degré de sclérose; mais les
racines
ascendantes de la 5" paire étaient normales. Dans
es étaient en état d'atrophie complète. Atrophie très prononcée des
racines
des oculomoteurs communs et de leurs noyaux, du
t à gauche il est composé d'un nomhre de cellules insignifiant. Les
racines
intramédullaires sont diminuées de volume, les
eau fascicule est altéré dans le noyau oculomoteur tout entier; les
racines
intra- médullaires sont diminuées de volume et
gion. Enfin les noyaux de Westphal présentent peu d'altérations. La
racine
ascendante de trijumeau qui a été suivie depuis
La hauteur du visage, en appliquant une pointe du même compas à la
racine
des cheveux et l'autre au point mentonnier (on de
artie antérieure de la conque au-dessus du conduit auditif externe (
racine
de l'hélix) etqui borde ensuite toute la circonfé
rne dont il forme le contour extérieur. Il est séparé en haut de la
racine
de l'hélix par une échancrure. Au- dessous et e
cavité est uni, sauf à la partie antéro-supérieure où se trouve la
racine
de l'hélix. L'extrémité inférieure de l'ovoïd
véritables irrégularités mor- phologiques (fig. GO). Hélix. - La
racine
de l'hélix, comme nous l'avons vu, forme, à l'éta
nt et le fond de la conque paraît plan. Chez certains sujets, cette
racine
de l'hélix peut prendre un grand développement,
e de l'hélix qui manque en arrière de la fossello scaphoïde; "<1
racine
est très saillante. 8, Absence de lobule. U, Sill
HEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 283 Gradenigo1). Nous avons vu cette
racine
se bifurquer avant de se souder à l'anthélix.
à la face crânienne du pavillon une dépression correspon- dant à la
racine
de l'hélix tandis qu'il n'en est pas ainsi dans l
atre à sept mois. Du côté de l'anthélix, outre sa soudure avec la
racine
de l'hélix, déjà signalée, on n'observe guère q
eur de la conque paraît suivre une ligne régulière. Dans ces cas la
racine
de l'antitragus forme une saillie dans l'intéri
e d'une branche de la fourche, absence du lobule, exagération de la
racine
de l'hélix). Mais les auteurs ne sont pas d'acc
ez. Du côté du nez, il faut noter l'enfoncement ou la saillie de la
racine
du nez, la forme du profil du nez, droit, convexe
xima du nez à sa hauteur prise verticalement de l'épine nasale à la
racine
du nez. Suivant le chiffre de cette indice nasa
ne (Maisonneuve), son volume exagéré, l'aplatissement extrême de la
racine
, la déviation de la pointe en haut, la division
res ou les divisions anormales par séparation des tubercules et des
racines
comme chez les lémuriens (anomalies réversives)
anoff et Déroche°. En sectionnant tous les conducteurs centripètes (
racines
rachidiennes postérieures des nerfs lombaires)
uche, rien d'appréciable. La mensuration pratiquée au-dessous de la
racine
du pouce donne : 1 NOUVELLE ! ICONOGRAPHIE DR L
ate surtout l'atrophie, au membre supérieur du même côlé c'est à la
racine
du memhre que celte atrophie est surtout pronon
sont les rap- ports de la moelle épinière, de ses enveloppes et des
racines
nerveuses avec la colonne vertébrale pendant la
tion des gros troncs nerveux des extrémités. Quant à la tension des
racines
nerveuses pendant la suspension, Motschoutkovsky,
pas suffisamment prononcée pour pouvoir amener une tension dans les
racines
nerveuses, une élongation de la moelle et de la p
s cir- culaires dont la première passait immédiatement en avant des
racines
des membres postérieurs, et la seconde en arriè
rvient, les doigts commencent à pâlir, tout d'abord au niveau de la
racine
. Le changement de coloration s'accuse en même t
ituation dans la zone de distribution d'un nerf spinal dont une des
racines
était intimement associée avec la racine des ne
nerf spinal dont une des racines était intimement associée avec la
racine
des nerfs sympathiques qui aboutissent à l'orga
ue, cette diffusion tient à ce que d'autres nerfs spinaux ont leurs
racines
en communication avec le sympathique intéressé.
cliniques dans lesquels il y a lésion limitée de la moelle ou des
racines
. Il pense que les segments spinaux sensitifs sont
les segments spinaux sensitifs sont mieux définis que les zones des
racines
, qui, elles, empiètent générale- ment les unes
s nerveux résultent ou de l'action directe des microbes ou de leurs
racines
sur les éléments nerveux ou indirectement de l'
ussitôt les doigts de ses deux mains devenaient blancs jusqu'à leur
racine
et présentaient des phénomènes de syncope local
solides avec les vertèbres et leurs liga- ments et comprimerait les
racines
des nerfs spinaux et surtout les antérieures, s
ytiques dans cette forme de la maladie seraient dus à la lésion des
racines
spinales. Quant à l'étiologie, M.Politakis ne p
atérale et symétrique des cordons latéraux, de la zone d'entrée des
racines
postérieures, et des racines antérieures à leur
dons latéraux, de la zone d'entrée des racines postérieures, et des
racines
antérieures à leurs points d'émergence. A une q
t siégeant au-dessus du mamelon, dans le territoire de la troisième
racine
dorsale. A partir du 12 avril, accidents para-
e la sensibilité jusque dans le territoire des cinquième et sixième
racines
dorsales; hypéresthésie évidente des deux côtés
esthésie évidente des deux côtés dans le territoire de la quatrième
racine
dorsale; au-dessus la sensibilité est normale.
jusqu'au coude avec une violence extrême (territoire de la deuxième
racine
dorsale). Sensibilité circonscrite très nette à l
deux maxima absolus d'intensité, l'un à la hauteur de la deuxième
racine
lombaire, l'autre à la hauteur de la cinquième ce
roît en largeur et en intensité soit par en bas jusqu'aux dernières
racines
sacrées, soit par en haut, jusqu'aux REVUE DE P
ar en haut, jusqu'aux REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 205 premières
racines
dorsales. A partir du maximum supérieur, elle d
mum supérieur, elle décroît pareillement en haut vers les premières
racines
cervicales et en bas vers.la première dorsale.
s cornes anté- rieures. Appareil vasculaire très altéré. Lésion des
racines
anté- rieures et postérieures. Figures. Obser
cal et lombaire. Parois des vaisseaux fort infiltrées, atrophie des
racines
postérieures et antérieures. Dégénérescence des
moelle spinale delà quatrième paire cervicale au cône terminal, des
racines
de la queue de cheval, d'un grand nombre de ner
que occupant tout le segment de la moelle compris entre la huitième
racine
cervicale et la pre- mière dorsale. Déjà quelqu
la dégénérescence, quoique très active, n'était plus aussi étendue.
Racines
antérieures en grande partie détruites. Racines
plus aussi étendue. Racines antérieures en grande partie détruites.
Racines
postérieures remarquablement bien conservées; -,
actus de dégénérescence secondaire évidente au niveau des septièmes
racines
cervicales et deuxièmes racines dorsales. La dé
re évidente au niveau des septièmes racines cervicales et deuxièmes
racines
dorsales. La dégénéiescence traumatique directe
sceaux de Burdach. En cet endroit, dégénérescence très accusée des,
racines
antérieures et posté- rieures; 3° degénérescenc
rieures; 3° degénérescencepurement secondaire à partir des sixièmes
racines
cervicales (de bas en haut) et des troisièmes rac
des sixièmes racines cervicales (de bas en haut) et des troisièmes
racines
dor- sales (de haut en bas). En haut, la dégéné
le sacrée pour les autres systèmes. En bas, à partir de la deuxième
racine
dorsale, on trouve simplement quelques fibres n
en question. État normal'de la moelle 'lombaire, notamment pour-les
racines
antérieures et postérieures, les zones radicula
térieures, les zones radiculaires postérieures, la substance grise.
Racines
nor- males dans la queue de cheval. Altérations
ce secondaire. Irritant en permanence les cornes antérieures et les
racines
anté- rieures, elles ont, en provoquant le comp
rdons postérieurs normaux. ,P Dans la moelle cervicale, on voit les
racines
antérieures se réu- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
ts dans l'intérieur même de la substance blanche et grise. Dans les
racines
postérieures, on est frappé de la grande différ
ût terminé, vers la fin de la vie foetale (ce que prouve l'état des
racines
spinales). Par suite de l'arrêt de dévelop- pem
on, quand elles siègent aux régions inférieures, et les lésions des
racines
. Première observation. Homme de vingt-deux ans,
quième segments radiculo-médullaires gauches, par élongation des
racines
correspondantes. Exagération du déplacement verté
du bras, prendrait son origine plus haut dans la moelle que les-
racines
du plexus brachial. L'hémiatrophie faciale rapi
t très accusée s'explique par la lésion des filets sympathiques des
racines
du plexus brachial (dernières paires cervicales
radiculaire subaiguë. Dégénérescences consécutives dans la moëlle (
racines
postérieures) et dans les nerfs périphé- riques
la moëlle (racines postérieures) et dans les nerfs périphé- riques (
racines
antérieures) ; par J. NAGEOTTE. Une lésion infl
s peut t être le point de départ d'altérations parenchymateuses des
racines
postérieures et antérieures et entraîner à sa s
lombo-sacrés. Il existe également une dégéné- rescence de plusieurs
racines
sacro-lombaires d'où il résulte : 1° Une lésion
es, ce n'est pas seulement la névrite, c'est-à-dire la lésion de la
racine
à sa tra- versée de la méninge, c'est la lésion
ème lympha- tique postérieur de la moelle, système constitué par la
racine
pos- térieure, la pie-mère et le cordon postéri
itée avait produit une dégénération également très limitée dans les
racines
antérieures correspondantes. Pas de zone d'anes-
il y a dix ans. L'adipose est localisée presque exclusivement à la
racine
des membres dont le segment ectrome- lique a co
t que cette association morbide lipomatose localisée surtout à la
racine
des membres accompagnée de douleurs et de trouble
ant par la périphérie des membres pour remonter peu à peu vers leur
racine
et réalisant au niveau des membres supérieurs l
ar les divers expérimentateurs. Rien que le simple numérotage des
racines
médullaires peut être une cause d'erreur, étant d
aires peut être une cause d'erreur, étant donné que ' le nombre des
racines
peut varier de 30 à 37 suivant l'espèce ani- ma
: le nerf moteur oculaire commun, par exemple, est l'analogue d'une
racine
motrice antérieure de la moelle, et a trois gro
e, ainsi que M. lIfARINESCO, l'a mon- tré récemment, les notions de
racine
et de segment ne sont pas exactement superposab
e supposition que- de pareilles associations obsédantes ont leurs
racines
dans l'existence chez les malades de ce genre d
tats (figures). I. Dégénérescences intl'acél-éb1'Ules. 1. Celle des
racines
du facial peut être suivie jusque dans le noyau
us le plancher du quatrième ventricule et rejoignent le genou de la
racine
du facial qui correspond au côté lésé. 2. Les c
rs et en avant du noyau de l'oculomoteur externe et en dedans de la
racine
du facial, au point où cette racine, traçant un
teur externe et en dedans de la racine du facial, au point où cette
racine
, traçant un arc de cercle à convexité externe a
iforme, et envoient des fibrilles au noyau de Deiters ainsi qu'à la
racine
descendante de l'auditif. Une partie des fibres
é lésé, en dedans du corps restiforme; situées entre celui-ci et la
racine
descendante du trijumeau, elles arrivent au noy
La dégénérescence descendante des fibres de l'auditif s'étend à la
racine
descendante de l'auditif du même côté que la lési
n un cas de myélite dorsale par compression avec dégénérescence des
racines
posté- rieures dans la moelle lombaire; par M.
constate dans la moelle lombaire la dégénéres- cence de toutes les
racines
postérieures : elle est surtout accusée dans le
accidents du décubitus ne se montrèrent que lorsque l'atteinte des
racines
était déjà un fait ancien cliniquement. Peut-on a
endons qui couvrent le dos de la main au niveau - du carpe et de la
racine
du métacarpe aux fléchisseurs des pha- langes d
osseux. L'arc réflexe correspondant occupe le niveau de la première
racine
thoracique et des racines cervicales inférieure
respondant occupe le niveau de la première racine thoracique et des
racines
cervicales inférieures. Son apparition indique do
yosis gauche p< croire qu'elle est descendue jusqu'à la huitième
racine
cervi la première racine dorsale. La paralysie
qu'elle est descendue jusqu'à la huitième racine cervi la première
racine
dorsale. La paralysie motrice à gauche pagnée d
ilité, notamment d'une hyperesthésie dans le domaine de la huitième
racine
cervicale et de la première dorsale. L'auteur e
dix-neuf ans, sans hérédité pathologique. Dou- leurs débutant à la
racine
du membre supérieur droit, irradiant vers l'ext
e on découvre une tu- meur volumineuse siégeant au niveau des VIII0
racine
cervicale et Ire dorsale et produisant comme un
ulaire subaigue. Degé- . nérescences consécutives dans la moelle (
racines
postérieures) et dans les nerfs périphériques (
cas de myélite dorsale par compression avec dégénéres- cence des
racines
postérieures dans la moelle lombaire, par Bar
ns. - L'oculo-moteur commun gauche est aplati, gri- sâtre. Dans ses
racines
, à la sortie du pédoncule cérébral, existent de
ne de pavot qui déterminent une légère tuméfaction mamelonnée des
racines
nerveuses. L'oculo-moteur commun droit, ainsi q
ème paire était due à une inflam- mation tuberculeuse chronique des
racines
de ce nerf, inflammation dont chaque poussée se
plusieurs plaques d'une coloration rosée laiteuse. Au niveau de la
racine
des 2° et 3e circonvolutions fron- tales gauche
t) était également intacte. b) En outre des lésions existant sur la
racine
des deux dernières circonvolutions frontales, n
, avec cette altération étendue du pédoncule, de trouver indemme la
racine
de la troisième paire : en effet, il n'a jamais
tuels de lésion ou de compression de la bandelette optique et de la
racine
du n. pathétique. Enfin il n'y a jamais eu d'am
se généralise aux membres, en étant toujours plus marquée u leur
racine
: elle frappe les muscles à'une façon individuell
çant en arrière entre les faisceaux de Meynert, laisser de côté les
racines
de l'oculo-moleur commun, subir un commencement
de l'asile de Villejuif. Le sujet était, pour la question écrite :
Racines
des nerfs rachidiens (anatomie et physiologie).
le et à la protubérance occipitale) = Om, 52; distance directe delà
racine
du nez à la même protu- bérauce= 0, 32; distanc
jumeau et, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 257 en particulier, à la
racine
ascendante droite de ce nerf atteinte par propa
sations de poids dans les yeux, au milieu du front, au-dessus de la
racine
du nez. Quand le malade reçut le coup en questi
, en particulier au milieu de la glabelle, avec irradiation vers la
racine
du nez, l'angle interne de l'oeil gauche ; fréque
ne présente extérieurement aucune anomalie; les mem- branes et les
racines
nerveuses offrent une constitution normale ains
e pyroligneux, mais elles ne s'entrecroisent que partiellement. Une
racine
non entre- croisée pénètre dans le cervelet; el
difficile à reconnaître. Le pathétique possède encore une troisième
racine
descendante qui est entrecroisée; très mince, e
elle. Névrites à forme segmentaire des nerfs périphériques et des
racines
spinales. Uchan, gendarme, âgé de trente-sept a
inférieurs mis à nu sur la. plus grande partie de leur trajet, les
racines
sensitives et motrices ont conservé leur appare
rtion dominante de fibres saines. E. Racines spinales. L'examen des
racines
antérieures des quatrième, cinquième, sixième g
nombre de tubes présentant les attributs de la régénération. Les
racines
postérieures des troisième, sixième, septième g
ans un état de parfaite inté- 352 PATHOLOGIE NERVEUSE. grité. Les
racines
spinales, antérieures et postérieures, les diff
urs faits de para- lysie diphthéritique des lésions intéressant les
racines
antérieures et les nerfs périphériques, dénie à
einte de la moelle serait donc le fait primordial, l'altération des
racines
et des nerfs une simple consé- quence. Chez u
té également des lésions simul- tanées des nerfs périphériques, des
racines
spinales et de la substance grise de la moelle,
tionnel de penser que les lésions des nerfs périphéri- ques et des
racines
sont autochthones, primitives, in- dépendantes
xplication un peu plus détaillée. Quand une irritation entre par la
racine
postérieure dans la moelle, elle peut prendre d
de la substance grise dans les cornes antérieures et de là dans les
racines
anté- rieures : c'est l'arc de réflexe du premi
provoquée peut descendre par le faisceau pyramidal et arriver aux
racines
antérieures : voici l'arc de réflexe du deuxième
téressant à rapprocher de la description que Meynert a donnée de la
racine
du nerf auditif, dont la plupart des fibres pén
l lom- bard des sciences et lettres, M. M. Duval avait indiqué la
racine
postérieure du nerf acoustique comme le 1 Tambu
le par- cours intracéphalique et la distribution ultime des trois
racines
du nerf olfactif, en particulier dans la circon
é. Il porte de nombreux poils noirs frisés abondants au pénil, à la
racine
des bourses, à l'anus. Il avoue se masturber ma
tre. Poils longs, châtains, bouclés, abondants sur le pénil et à la
racine
des bourses. Quelques- uns seulement sur les ai
ntre. Poils longs châtains, bouclés, abondants sur le pénil et à la
racine
des bourses; quelques-uns seulement sur les ain
résultats seraient plus rapides qu'en attachant en même temps la
racine
des bras. M. Veir Mitchell 2 a modifié l'appare
ier qui les limitaient à la région de l'hippocampe. P. S. VI. Des
racines
du trijumeau; par W. BECSTEREN. (neural. Centra
W. BECSTEREN. (neural. Centralbl., 1887.) Les fibres de la grande
racine
ascendante de ce nerf prennent naissance au niv
constituent leur fais- ceau en demi-lune dès lors ascendant. Cette
racine
se développe un peu plus tard que les autres fi
errugineuse, de l'autre côté. 11 est probable cepen- dant que cette
racine
-là est en relations avec le noyau moteur du côt
alation des ganglions spinaux sur le trajet, dans la continuité des
racines
postérieures ; A, les expériences de Wal- er, C
f entre le ganglion et la périphérie, Joseph a vu que le gros de la
racine
postérieure demeurait nor- mal, une petite part
la moelle même, et qu'ainsi s'ex- plique que la section même de la
racine
postérieure n'entraîne pas la dégénérescence de
de cheval, au-dessous du premier trou sacré, après l'émission des
racines
du plexus scialique. Par conséquent, on pourrait
ique tous ces phénomènes par la pression du liquide muqueux sur les
racines
des cheveux, sur les glandes sudori- pares et s
phage, de l'accélération du pouls. L'autopsie révéla : Atrophie des
racines
ascendantes du trijumeau des deux côtés, sur to
meau des deux côtés, sur toute leur étendue, du faisceau solitaire (
racine
ascendante du système mixte) également des deux
cessoire, du glosso-pharyngien. Cette atrophie se poursuit sur les
racines
émergentes de ces nerfs; on constate en outre une
e la face. A l'autopsie, on trouve une dégé- nérescence marquée des
racines
ascendantes de la cinquième paire et des corps
sont normales et les tubes sont sains tant la moelle que e dans les
racines
coupées avec elle. Ainsi, avec des lésions éten
prouverait qu'ils ne sont pas, comme ceux-ci, unis directement aux
racines
antérieures de la moelle épinière, et que, selo
s châtains, assez abondants à la partie inférieure du pénil et à la
racine
des bourses dont le reste est glabre. Testicule
après l'opération. Les lé- sions que l'on constate montrent que la
racine
postérieure de l'a- coustique prend son origine
de ce nerf; mais ces deux ganglions servent non seule- ment à cette
racine
, mais encore au corps trapézoide, au moins comm
terri- toire cellulaire correspondant) est un lieu d'origine de la
racine
antérieure de l'acoustique. Entre la racine pos
un lieu d'origine de la racine antérieure de l'acoustique. Entre la
racine
postérieure et le cervelet, il n'existe aucune
érieure et le cervelet, il n'existe aucune relation conslatable. La
racine
antérieure pro- vient en partie du bulbe, en pa
sseau bulbaire occupe toute la hauteur sui- vant laquelle émerge la
racine
antérieure de l'acoustique; le trousseau cérébe
trouve au niveau des plans d'émergence inférieur et moyen de cette
racine
. M. WILDERMUTII. l1eche ? 'ches sur le sens de
Thrombose des sinus cérébraux, par Wiglesworth, 135. Trijumeau (
racines
du), par Ben- tham, 150. TABLE DES AUTEURS ET
ondie; enfin sa branche descendante est plus large, plus épaisse à sa
racine
, qui se développe et présente un renflement faibl
à sa partie supérieure un indice de division compliquée ; 3" Que la
racine
de la branche descendante du pli courbe est plus
anglé à sa partie moyenne ; le deuxième pli ascendant est faible à sa
racine
, mais à sa partie supérieure il se déve îoppe e
ès-remarquable; il naît, au sommet de la scissure de Sylvius, par une
racine
grêle à laquelle fait suite aussitôt la branche d
ascendants dans le Chimpanzé; 3* Un développement plus grand de la
racine
du pli courbe, qui, dans le Chimpanzé, naît au de
Un premier fait doit être remarqué; c'est la position reculée de la
racine
du premier pli ascendant (pl. I, fig. 1 et 2, 4.
talité. On doit remarquer la longueur de l'intervalle qui sépare la
racine
du deuxième pli, du sommet de la scissure de Sylv
mbre et dans leur disposition. Pli courbe. — Le pli courbe, dont la
racine
est ascendante dans le Chimpanzé, est, dans VHomm
xtrêmement réduit, son opercule nul. Le pli courbe est sessile, et sa
racine
naît au niveau du sommet de la scissure. Les deux
est extrêmement épais. Le deuxième pli ascendant est assez grêle à sa
racine
; il n'est point subdivisé, à sa partie supérieure
t très-simples, mais normaux. Le premier pli ascendant, si large à sa
racine
dans le Sai'et dans les Aleles, a ici une racine
ndant, si large à sa racine dans le Sai'et dans les Aleles, a ici une
racine
assez étroite. Le deuxième est légèrement incliné
simultané de tous les plis de passage externes; 2" La réduction des
racines
ascendantes des plis ascendants, celle de la bran
et; aux joues, rien. Les ais- selles et le pénil sont glabres; à la
racine
des bourses se trouvent quelques poils longs di
ysionomie enfantine du malade. Le visage est hideux; le front et la
racine
du nez sont couverts de rides, les sillons naso
tion du crâne. CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 23 mard, très déprimé à sa
racine
comme chez la plupart des petits enfants; sur t
r et le gonflement se prolongent sur le front et presque jusqu'à la
racine
du nez et l'arcade sus-orhitaire où CACHEXIE PA
700. 2 février. - Dentition. Mâchoire supérieure. Permanence des
racines
de la plupart des dents de lait sur lesquelles on
eux incisives centrales entières; elles sont sorties en arrière des
racines
des dents de lait; très inclinées en arrière; l
ouche sont profondément cariées; il ne reste plus que des débris de
racines
. Mâchoire inférieure. - On ne trouve comme dent
rtée un peu en avant et les dents viennent mordre sur le milieu des
racines
des dents de lait sans tomber au niveau de la g
ent en assez bon état, forment un bourrelet autour des dents et des
racines
. Août. - Poids : 20 kilogr. 300. Taille : Om,90
sont des dents de la seconde dentition; les premières n'ont qu'une
racine
conique très longue, les grosses molaires sont
ont plus ou moins cariées; de quelques-unes il ne reste plus que la
racine
. Les principaux organes ont été pesés et nous o
-circonférence allant d'une oreille à l'autre . 28,» Longueur de la
racine
du nez à la protubérance occipitale externe en
.. 30,0 Face arrondie, symétrique ; nez petit, très large vers sa
racine
, ailes du nez de niveau ; bouche grande, lèvres
a base.... 51 cent. D'une oreille à l'autre ........ 29 - ' De la
racine
du nez à la protubérance occipitale - 30 Fron
très prononcé ; les os sont saillants ; rides en V au-dessus de la
racine
du nez; les sillons naso-labiaux sont très-pron
répondant à l'extrémité libre, sont fermes; les autres, situés à la
racine
du membre, sont mollasses, ont une coloration l
sses frontales font une saillie moyenne. Nombreuses cicatrices à la
racine
des cheveux et à la par- tie postérieure de l'o
Bourrelet cutané, saillant, verticalement dirigé, s'étendant de la
racine
du nez sur le front et long de 1 cent. 1/2. Yeu
e distinct. DÉMENCE. 209 tées ; testicules volumineux et durs. La
racine
de la bourse droite paraît plus grosse que cell
ambe droite. Sugilla- tions violettes au niveau des flancs et de la
racine
des cuisses. Plastron sternal normal ; appendic
ur des coupes longitudinales (PL. III, (tg, 15, fig. 16 B.) Il) Les
racines
antérieures et postérieures sont normales. Ce-
vahie par la sclérose, on constate une infiltration conjonctive des
racines
posté- rieures correspondantes, avec multiplica
la région dorsale et s'accompagnant à ce niveau d'une atrophie des
racines
rachidiennes postérieures. Cette sclérose posté
lobule semi-adhérent. Nez court, un peu large, très déprimé à la
racine
. Bouche moyenne, lèvres épaisses. Voûte palatin
oculaires moteurs, parce que la destruction de ces noyaux ou des
racines
qui en sortent ont suivi des changements stationn
de la moelle et qu'il n'affecte aucune espèce de rapports avec les
racines
de l'acoustique, ni avec le segment interne du
moelle épinière étaient saines. Pas d'altéra- tion appréciable des
racines
nerveuses. A l'examen microscopique , on trouve
la moitié anté- rieure du lobule du pli courbe el l'extrémité de la
racine
de la troisième frontale. En arrière, le foye
s in- férieurs de la pariétale ascendante et de l'extrémité de la
racine
de la troisième frontale, s'étendant. en pro- f
t localisée et accidentelle, mais d'un état névropathique qui a des
racines
profondes dans la constitution, et qui méritera
périences de Harless Cyon, dit-il, démontrent que si l'on coupe les
racines
postérieures, les muscles innervés par la racin
si l'on coupe les racines postérieures, les muscles innervés par la
racine
antérieure corres- pondante perdent beaucoup de
antécédente de la zone radiculaire, postérieure ou de son analogue (
racine
du trijumeau). Nous devons, à la vérité, reconn
s, anesthésies ou hyperesthé- sies), qui traduisent la lésion de la
racine
du trijumeau. Cette lésion et, par suite, les m
oisinage de la tumeur avec le noyau du facial, son contact avec les
racines
supérieures de l'auditif expliqueraient bien au
; elles ont gé- néralement une direction excentrique, naissant à la
racine
de la verge et s'étendant avec la rapidité de l
ès prononcée, surtout dans le ren- flement cervical et atrophie des
racines
antérieures. Dans le bulbe, l'étage supérieur (
t à aucun résultat. Les sections des cinquième, sixième et septième
racines
postérieures (origines du crural) d'un côté, ay
'animal apprenant que l'on avait coupé non les cinquième et sixième
racines
postérieures, mais seulement quelques filets ra
des réflexes cutanés et des phénomènes tendineux. La section des
racines
postérieures supprime le phénomène du genou, non
ubstance grise des cornes postérieures, ainsi que de l'atrophie des
racines
postérieures (identité des fibres de ces racine
de l'atrophie des racines postérieures (identité des fibres de ces
racines
et de celles des cordons postérieurs). Les cord
l'auteur à diagnostiquer l'interruption dans la conductibilité des
racines
du plexus brachial, et notamment des 50 et 61 rac
ctibilité des racines du plexus brachial, et notamment des 50 et 61
racines
cervicales en dehors ou dans l'intérieur du can
des fibres nerveuses partant de ces cornes et se dirigeant vers les
racines
antérieures. Le réseau conjonctif situé entre l
plus accentué du côté malade; ses mailles sont plus serrées. Les
racines
motrices extra-médullaires sont un peu plus mince
ule quadrijumeau postérieur, l', recevrait des fibres émanées de la
racine
descendante du trijumeau et celles qui, rayonna
A [±i ans, ses maux de tête se changèrent en douleurs aiguës, dont la
racine
du nez était le siège principal; elle s'aperçut a
crut pas devoir aller plus loin, parce que le mal avait de profondes
racines
, et que la malade avait perdu beaucoup de sang.
trice déprimée et un orifice fistuleux OF se voyaient au dessus de la
racine
du nez : un stylet enfoncé par cet orifice sortai
dans les ganglions bronchiques et dans les ganglions abdominaux. A la
racine
de la rate se voient plusieurs ganglions tubercul
plémentaires du cours du sangla veine porte dont un certain nombre de
racines
communiquent avec les veines pelviennes. ( Voy. m
s, et dont voici la formule : if. miel blanc a onces; séné en poudre,
racine
de jalap en poudre ana i gros; scille 12 grains.
ande quantité de sang dans lemédiastin antérieur jusques autour de la
racine
des poumons et plus particulièrement du poumon ga
outre continué sur l'artère pulmonaire et ses divisions, jusquà la
racine
du poumon et sur l'oreillette droite ; il est à r
eur rosée, naissait de la pointe du cœur par une multitude de petites
racines
enchevêtrées dans le tissu aréolaire du cœur, et
adhérait mécaniquement aux parois du cœur, à laide dune multitude de
racines
qui remplissaient le tissu aréolaire et comme cav
re d'un champignon de la pointe du cœur : elle naissait par plusieurs
racines
,dont une principale, remplissait exactement la pe
xactement la petite excavation qui forme le sommet du cœur. La petite
racine
était pleine, mais la grosse racine contenait à s
orme le sommet du cœur. La petite racine était pleine, mais la grosse
racine
contenait à son centre une matière blanche sembla
oncrétions décolorées adhéraient à la paroi de la veine par plusieurs
racines
, qui constituaient son pédicule et qui étaient fo
par un grand nombre de filamens juxtà-posés. Indépendamment de ces
racines
, la tumeur de la veine axillaire présentait avec
entellement contractée avec les parties saines du vaisseau. Quant aux
racines
, elles naissaient d'une partie dégénérée de ce va
la cinquième paire était exclusivement formé aux dépens de la grosse
racine
; la petite racine lui était complètement étrangè
était exclusivement formé aux dépens de la grosse racine ; la petite
racine
lui était complètement étrangère; du reste, cette
etite racine lui était complètement étrangère; du reste, cette grande
racine
semblait détachée de son point d'origine. Les deu
comprimait immédiatement les cordons antérieurs de la moelle et les
racines
antérieures des nerfs rachidiens. Ce fait est don
arles Bell, Schaw et Magendie sur les usages de ces cordons et de ces
racines
. La moelle et les racines des nerfs rachidiens
e sur les usages de ces cordons et de ces racines. La moelle et les
racines
des nerfs rachidiens présentaient d'ailleurs leur
rs fibreuses oblongues, situées sur le trajet et dans l'épaisseur des
racines
antérieures. Ces racines étaient atrophiées et co
ituées sur le trajet et dans l'épaisseur des racines antérieures. Ces
racines
étaient atrophiées et comme confondues avec les t
racines étaient atrophiées et comme confondues avec les tumeurs; les
racines
postérieures étaient intactes. Ce fait vient enco
it vient encore à l'appui des idées sur l'affectation exclusive des
racines
antérieures au mouvement et des racines postérieu
r l'affectation exclusive des racines antérieures au mouvement et des
racines
postérieures à la sensibilité. Les tumeurs sous
nt disparu, et ce qui reste est un peu plus blanc que de coutume. Les
racines
des nerfs me paraissent atrophiées. Le bulbe rach
arde comme encéphaloïde, est développée autour d'un certain nombre de
racines
des nerfs spinaux et cachée par celles des racine
certain nombre de racines des nerfs spinaux et cachée par celles des
racines
nerveuses qui occupent la circonférence de la que
n de moelle convertie en poche sont complètement atrophiés dans leurs
racines
. Réflexions. On ne comprend pas comment la vie
rougeâtre TR, TR, se voient sur la face postérieure de la moelle: les
racines
qui naissent au niveau de ces îles sont atrophiée
, que cette altération occupe toute l'épaisseur de ces cordons. Les
racines
postérieures des nerfs spinaux sont tout-à-fait a
hiées : elles sont transparentes, filiformes, et contrastent avec les
racines
antérieures, qui ont conservé leur volume et leur
qui ont conservé leur volume et leur aspect naturels. L'atrophie des
racines
est un peu moins considérable à la région cervica
le et lombaire. Réflexions. Les cordons médians et postérieurs, les
racines
postérieures des nerfs spinaux, étaient seuls int
if du sentiment dans les cordons postérieurs de la moelle et dans les
racines
postérieures des nerfs spinaux et sur le siège
et sur le siège du mouvement dans les cordons antérieurs et dans les
racines
antérieures. Ici point d'illusion, point d'erreur
faisceaux latéraux, qui avoisine les cordons médians postérieurs. Les
racines
postérieures des nerfs spinaux étaient très grêle
mentale de ce fait, savoir que les cordons médians postérieurs et les
racines
postérieures^des nerfs spinaux président au mouve
était traversée par des filamens blancs, faisant suite aux filets des
racines
postérieures de la moelle. Tout le reste de la mo
dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle; atrophie des
racines
postérieures des nerfs spinaux. Je plongeai la
ps restiformes. Les filets nerveux qui naissent du bulbe, savoir, les
racines
du grand hypoglosse, du glosso-pharyngien et du p
anches semblent avoir été détruites au niveau de cette substance. Les
racines
postérieures des nerfs spinaux ne sont pas sensib
t pas sensiblement atrophiées et contrastent sous ce rapport avec les
racines
antérieures. Protubérance. La protubérance a su
on occupe, dans une assez grande étendue, l'intervalle qui sépare les
racines
antérieures des racines postérieures. La moelle
z grande étendue, l'intervalle qui sépare les racines antérieures des
racines
postérieures. La moelle ayant été dépouillée de
de la moelle sont intéressées dans une bien plus grande étendue. Les
racines
antérieures et postérieures des nerfs spinaux n'a
t tout-à-fait confirmatifs de la doctrine moderne sur les colonnes et
racines
du sentiment et sur les colonnes et racines du mo
derne sur les colonnes et racines du sentiment et sur les colonnes et
racines
du mouvement. Le sentiment était beaucoup plus pr
erminer des mouvemens par suite de l'impression qu'elle reçoit parles
racines
du sentiment; ne serah ilpas possible qu'à l'occa
strié et la couche optique, lesquels peuvent être considérés comme la
racine
du cerveau.! (2) Nouvelle Bibliothèque médicale
ètre antéro-postérieur, 86 millimètres; depuis l'occiput jusqu'à la «
racine
des cheveux, 79 millimètres; diamètre transversal
. Seulement j'ai pu constater qu'un filament nerveux, appartenant aux
racines
postérieures, avait pénétré dans la tumeur, où il
is prise pour l'arachnoïde pariétale, sans sa grande vascularité. Les
racines
de cette tumeur pénétraient dans le sinus, qu'ell
. Du reste, cette végétation est pourvue d'un véritable collet à sa
racine
pour se renfler ensuite, se rétrécir graduellemen
ent de la peau à la manière de verrues, et qui paraissaient avoir une
racine
analogue, quoique leur extrémité fût de substance
au gras. Rien à la rate. Plusieurs masses mélaniques adhéraient à la
racine
du rein; plusieurs se voyaient dans le tissu cell
deux conduits éjaculateurs, réunion qui se faisait à angle aigu à la
racine
de la verge. Le sujet, auquel avait appartenu c
aissait entre l'utérus et le rectum, qu'elle prenait en quelque sorte
racine
de la portion du péritoine, qui revêt la face pos
nt el le mouvement confirment la doctrine moderne sur les colonnes et
racines
du sentiment et du mouvement. 38e liv., pl. v, p.
uf de pigeon et ne présentent aucune anomalie. De chaque côté de la
racine
du pénis, il y a un bouquet de quelques poils c
convolutions de la face externe de l'hémisphère plongent par une
racine
et s'écartent de là en divergeant, en arrière,
vons dit, de ce centre de convergence. En avant, se détachent trois
racines
: : 10 la supérieure s'épaissit dès son origine
ntimètres et longée par le premier sillon frontal; - 2° la deuxième
racine
présente moins de 70 Porencéphalie vraie. net
même nature que : ° la lésion précédemment décrite. Cette deuxième
racine
, en réalité, n'est qu'un petit lobule isolé de
lle se réunit manifestement à ses deux extrémités ; 3° la troisième
racine
se dirige d'abord en avant et légèrement en bas
de la troisième frontale. Cette dernière prend naissance par- une
racine
très mince à la partie antéro-inférieure de l'ex-
LP. En arrière de l'excavation prennent naissance également trois
racines
correspondant à trois circonvolutions parié- ta
de l'excavation, parlent également Porencéphalie vraie. 71 trois
racines
, les deux premières vont former le lobe temporal
res vont former le lobe temporal (Pl. IV, Tl, '1'2). -1o]a première
racine
se détache au-dessous de la troisième pariétale
de l'hémisphère où elle a trois cent. de largeur ; - 2° la deuxième
racine
se détache au-dessous de la précédente et, s'él
a forme d'une pyramide dont le sommet, supérieur, correspond a leur
racine
et la base au bord inférieur ale l'hémisphère;
urues par quel- ques incisures verticales. - 3° Enfin, la troisième
racine
n'est autre que le lobule de l'insula considéra
Emergeant de la scissure de Sylvius, il s'insère d'une part par sa
racine
supérieure dans l'excavation porencé- phalfcltt
tion, véritable point de convergence où elles semblent prendre leur
racine
. 3° L'orifice de communication est toujours rég
glabres. Poils châtain-blond assez abondants sur le pénil et à la
racine
des bourses, qui sont pendantes et de niveau. V
1 la présence est révélatrice d'une compression de la moelle ou des
racines
rachidiennes. Tumeurs intra-rachidiennes, compr
es cas la moelle elle- même n'est pas comprimée, mais seulement les
racines
des nerfs ra- chidiens au niveau des trous de c
importante dans le syndrome qui résulte de cette com- pression des
racines
rachidiennes ; l'impotence fonctionnelle reste
tèbres. La moelle même reste à peu près indemne ; au contraire les
racines
, au niveau des trous de conjugaison se trouvent p
ieures et se sont laissé écraser. On conçoit facilement comment les
racines
rachidiennes doivent être comprimées il leur
lombaire a commencé à s'effectuer, les symptômes de compression des
racines
rachidiennes ont débuté à leur tour. Les douleu
soit succes- sivement plusieurs faisceaux dès muscles larges de la
racine
des membres. Uns. - Le nommé P..., Eugène, tr
POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 141 le bulbe, les méninges, et les
racines
rachidiennes. La moelle a une apparence et une
ble siégeant dans les cornes antérieures de la substance grise. Les
racines
antérieures sont minces et grises dans ces deux
ise de la moelle, de même que les cordons blancs sont indemnes. Les
racines
antérieures sont atrophiées, ainsi que l'examen
pital passe de 9.1 ? 07 (moyenne) à ? 4 ? 8 ; La longueur depuis la
racine
des cheveux jusqu'au menton, de 17cm,36 (moyenn
mensu- ration à l'aidé d'un cordeau montre que la distance entre la
racine
du nez et la protubérance occipitale externe me
camardes. Les doigts sont élargis, aussi gros à l'extrémité qu'à la
racine
. Les ongles sont petits. Les déformations, bien
ures; c, faisceau pyramidal dégénéré; d, cordon postérieur sain; e,
racine
postérieure; /, aspect spécial pris par la corn
s du schéma de Flechsig. Les cordons postérieurs sont indemnes. Les
racines
antérieures présentent des altérations de névrite
mateuse, en même temps que leurs capillaires sont très dilatés. Les
racines
postérieures sont indemnes. Les méninges ne pré
rt avec l'altération des cornes antérieures. Les fais- ceaux et les
racines
postérieures sont indemnes. Les racines anté- r
res. Les fais- ceaux et les racines postérieures sont indemnes. Les
racines
anté- rieures sont un peu altérées. Nerfs cut
viation de la colonne verté- brale) conserve son volume normal. Les
racines
antérieures et posté- rieures ne présentent auc
tabes résidait dans l'altération des cordons postérieurs et si les
racines
postérieures et les nerfs périphériques ne fais
gliome; e, Faisceau pyramidal dégé- néré ; ? Corne postérieure; g,
Racines
postérieures. Planche 1Gl1. - Syringomijélie. R
'ai observé que mes ongles ne se tenaient plus que très peu à leurs
racines
, ils étaient décollés : alors, je les ai détach
abolie au niveau de ce membre et peut-être un peu au- dessus de sa
racine
; quand on le pinçait, il ne le sentait pas. Le
de la moelle et surtout de sa partie inférieure et l'irritation des
racines
du plexus brachial droit qui ont donné lieu aux
cunéiforme du côté opposé. Le segment médian du ruban de Reil prend
racine
dans les ganglions de la base (noyau lenticu- l
antérieurs, touchant au bord interne de la corne antérieure et des
racines
postérieures. Fleclisi ? d'après ses études d
attribue. Voici lejait : Une petite fille de trois ans porte à la
racine
du nez une tumeur douloureuse au toucher, inédu
que toujours employé la méthode de Flechsig. Parcours central des
racines
postérieures ; leur terminaison. Le D'' Bechter
erew, élève de Flechsig, a étudié le parcours et la terminaison des
racines
postérieures dans la substance grise de la moel
eures dans la substance grise de la moelle. Il a reconnu dans les
racines
postérieures l'existence de deux ordres de fibr
forment deux systèmes physiologiques^ distincts. Physiologie des
racines
postérieures. En effet M. Bechterew se fondant
nnervés par le segment correspondant de la moelle. L'excitation des
racines
postérieures donne le même résultat. Au cinquiè
e cordon de Goll ne devient excitable qu'à ce moment, alors que les
racines
postérieures sont développées depuis longtemps,
, chez le co- baye, ne passent d'un côté à l'autre qu'au niveau des
racines
antérieures correspondantes. anatomie des rac
u'au niveau des racines antérieures correspondantes. anatomie des
racines
postérieures. Comme complément des travaux de B
nerveux chez des foetus humains, il est arrivé à établir que : La
racine
postérieure de l'acoustique, qui constitue le pro
après son entrée dans le bulbe, en deux bran- ches, de même que la
racine
antérieure du même nerf (prolongement du nerf v
principal du nerf vestibulaire de Flechsig); une partie de cette même
racine
s'infléchit en bas pour former la racine ascend
; une partie de cette même racine s'infléchit en bas pour former la
racine
ascendante de l'acoustique. Les racines des ner
léchit en bas pour former la racine ascendante de l'acoustique. Les
racines
des nerfs périphériques ne sont pas du tout en re
édoncule cérébelleux, avec les noyaux cen- traux du cervelet. Et la
racine
ascendante de l'acoustique est le prolongement
te de l'acoustique est le prolongement de la deuxième branche de la
racine
antérieure du même nerf. Enfin, au point de vue
terminé, c'est par degrés que le centre intellectuel, poussant ses
racines
au travers de l'arc réflexe, crée le tronc de lab
e bulbaire et l'ophthalmoplégie. Minceur et élroitesse de plusieurs
racines
but. baires; nombre infini de fibres étroites p
s optiques s'entourent de myéline. Les nerfs opti- ques forment une
racine
postérieure et une racine antérieure séparées l
myéline. Les nerfs opti- ques forment une racine postérieure et une
racine
antérieure séparées l'une de l'autre par de la
antérieure séparées l'une de l'autre par de la substance grise. La
racine
antérieure envoie quelques fibrilles vers l'aqu
pourvues de prolongements auostomotiques et d'un noyau apparent. La
racine
postérieure participe à la genèse d'un feu- tra
'écorce cérébrale. At'c/t. de Kovalewslig, t. IX, n° 3, 1887. Des
racines
postérieures et du lieu de leur terminaison cen-
x ne se découvrent jamais complètement; le nez est très aplati à sa
racine
et largement implanté, les ailes du nez sont gr
considé- rable et mieux défini qui, au niveau de la 7e et de la 8°
racine
, est représenté par le noyau intermédiaire, duq
lition des réflexes tendineux est due évidemment à l'altération des
racines
due à la compression de ces dernières dansles t
rations s'éten- dent du milieu du segment compris entre les XI et X
racines
à la partie moyenne ou supérieure du segment co
partie moyenne ou supérieure du segment compris entre les X 'et IX
racines
. Sur cette hauteur, les altérations occupent succ
cer en dehors et en arrière du groupe sus-jaeent. 10° Le volume des
racines
semble up ? u..diltrimleé; xu niveau des altéra-
up ? u..diltrimleé; xu niveau des altéra- tions. Les ganglions des
racines
postérieures sont d'apparence normale. 11° Il e
sselles et le tronc sont glabres. Quelques poils noirs, rares, à la
racine
des bourses Phimosis. Verge : long. 6 cm., circ
de la démence de l'influence de la vie organique « où plongent les
racines
des émotions et de la volonté » (Mandsiey). C
uides et solides. La maladie une fois survenue prend généralement
racine
; elle REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 163 dure
s fulgu- rantes. Serait-ce une lésion des noyaux d'origine ou des
racines
de la 3° paire ? Le malade aurait présenté un i
ble du type supérieur à disposition radiculaire cervicale (5e et 6°
racines
). Recherche sur l'association des idées chez le
son malade. 180 . SOCIÉTÉS SAVANTES. Aspect ondulé persistant des
racines
médullaires après un affaisse- ment brusque de
vertébraux présente un étranglement trèslimitéauniveaudesG°et7° le
racines
dorsales. Au-dessus et au-dessous, mais surtout a
ines dorsales. Au-dessus et au-dessous, mais surtout an-dessus, les
racines
présentent toutes, les antérieures comme les post
chevelu tout-à-fait remarquable : il semble que les extrémités des
racines
se soient rapprochées Tune de l'autre et qu'ell
ue nous avons examinés nous n'avons trouvé un tel aspect ondulé des
racines
. Cet aspect ne nous parait pas encore avoir été
e des yeux (Epicanthus) qui contribue à rendre plus large encore la
racine
du nez. Strabisme assez fréquent. Le nez est co
ent sur toute la moelle, sacrée, lombaire, dorsale, et même sur les
racines
postérieures de la partie supérieure de la moel
l inférieur et à l'hypoglosse expli- quée par la conservation de la
racine
motrice de la cinquième paire, REVUE D' ANATOMI
disposés en files, en chai- nettes. Les nerfs périphériques et les
racines
antérieures ou posté- rieures témoignent de la
a portion moyenne cor- respondant à l'émergence médullaire de la 50
racine
dorsale. D'autres morceaux ont été coupés au ni
sale. D'autres morceaux ont été coupés au niveau des 6e, 7°.et 8°
racines
dorsales, pour moutrer les limites inférieures ,d
tème nerveux central. A. Coupes uzt niveau du foyer principal (3°
racine
dorsale). Quelle que soit la coloration employé
r que cette moitié latérale gauche de la moelle, au niveau de la 8"
racine
dorsale, est envahie par un processus lésionnel p
ang, mais elles possèdent des parois suffisam- ment intactes. Les
racines
rachidiennes ne sont plus représentées à droite q
s fascicules radiculaires postérieurs. IL Coupes au niveau de la 60
racine
dorsale. Les lésions ont sensiblement diminué d
- uules apparaissent très dilatées. C. Coupes au niveau de la '7"
racine
dorsale. Les caractères de la lésion changent c
sion changent complètement. D'abord, les cordons postérieurs et les
racines
adjacentes se remplissent de libres nerveuses, eu
es scléroses névrogliques anciennes. D. Coupes au niveau de la 8°
racine
dorsale. La substance grise a repris sa configu
se et plus rétractile, est de date cet taiuement plus ancienne. Les
racines
rachidiennes postérieures sont à peu près norma
LE. 47S tance seulement. Le processus n'a pas atteint la huitième
racine
dorsale ; à ce niveau, la moelle ne présente plus
dégénéres- cence radiculaire sans infiltration cancéreuse de la 10e
racine
dor- sale postérieure droite. Dans l'un et l'
ie pour aliénés hommes, par I wuff, 338. Colonne vertébrale. Voir
Racines
médullaires. Congrès. Tieizième congrès des m
et Santenoise, 31. et idiotie, par Bourneville et Lemaire, 250.
Racines
médullaires. Aspect ondulé persistant des après
n différents des nerfs moteurs, et pénétrant dans la moelle par les
racines
postérieures, ont fait rejeter complètement le
88 REVUE CRITIQUE. des membres d'une grenouille, ou en coupant ses
racines
postérieures d'un côté, ont montré qu'elle se s
langent aux fibres motrices. Ce point correspond à l'endroit où les
racines
pos- térieures sont unies aux ganglions interve
réllexes. soit directement; StricUer a démontré, en effet, que les
racines
postérieures contiennent des nerfs vao- IO4 se
trophiques bien que la grande niasse de ces derniers passe par les
racines
antérieures pour aller au grand sympa- thique.-
retentissement de l'affection des ganglions intervertébraux et des
racines
postérieures sur les nerfs de la sueur qui ne pro
rte de pa- chyméningile cervico-brachiale intéressant seulement les
racines
postérieures et ayant amené un exsudat dans les
amené un exsudat dans les parties voisines ou dans la gaine de ces
racines
. Dans ces conditions M. Adam- kiewicz tenta d'a
mais de l'organe atteint, on peut réunir toutes ces affections des
racines
posté- iieures, sous le nom de monoplégie anest
our conclut à l'existence d'une lésion des cinquième et sixième '
racines
cervicales à leur point d'envergure entre les sca
ants des campagnes toutes sortes de drogues, donna au père quelques
racines
d'herbes à propriétés merveilleuses. On fit ave
renversé et dont une roue lui a passé au travers du corps, vers la
racine
des membres inférieurs. On le relève sans conna
le. Par exclusion, il suppose une altération primitive, isolée, des
racines
sensitives et trophiques des nerfs du mem- bre
e la moelle (pachymé- ningite cervico-brachiale ? ) portant sur les
racines
postérieures des nerfs et ayant déterminé à leu
à tout le membre inférieur droit, elle se termine brusquement à la
racine
de la cuisse, suivant une ligne qui passe en av
malade une altération spinale ayant pendant deux ans intéressé les
racines
postérieures sensitives du côté droit dans tout
rement les cornes antérieures de la moelle lombaire gauche ou les
racines
spinales antérieures correspondantes, et détermin
taire de l'anesthésie est bien en rapport avec l'origine réelle des
racines
nerveuses sensitives sus-dé- nommées ; il trouv
ées ; il trouve fort naturel que cette propagation d'une lésion des
racines
postérieures droites se soit faite vers les cor
s une maladie nouvelle, caractérisée par une lésion pri- mitive des
racines
postérieures spinales et des ganglions ner- veu
volution frontale; sur la face convexe de la deuxième frontale à sa
racine
, à la partie la plus posté- rieure et la plus é
relief certains passages de ces écrits, montre que le délire a des
racines
profondes dans le passé et que si, aujourd'hui
é atteintes 372 PATHOLOGIE NERVEUSE. plus que les antérieures. La
racine
ascendante du nerf trijumeau fut également atte
cas aussi, il y avait hyperplasie de la iievroglie le long de la
racine
ascendante du trijumeau. A la suite de ces deux
clans la région d'émergence DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 373 des
racines
postérieures, depuis la première cervicale jusq
vicale jusqu'à la huitième thoracique et probablement aussi de la
racine
ascendante du nerf trijumeau; il a eu le droit
ie partielle dans la sphère du trijumeau, indiquant la lésion des
racines
ascendantes en même temps qu'il y avait absence
, » Ces troubles oculaires seraient causés par une lésion de la VHP
racine
cervicale d'où partent les filets du grand symp
sous la dépendance de l'infiltration soit de la moelle, soit des
racines
créée par la méningo-myélite syphilitique. Il s
position segmentaire de la moelle, ou au territoire innervé par les
racines
dorsales supérieures et moyennes, en un mot zon
latéral du côté correspondant et enfin une dégénérescence dans les
racines
de la IVe paire. Guerver décrit encore une dégéné
ruban de Reil du côté opposé, et une légère dégénérescence dans la
racine
ascendante de la Ve paire, enfin une dégénéresc
veau de la moelle, mais ce peut être également dans le corte et les
racines
nerveuses (Bailey et Ewing). Pour Meyer, la par
ment pourvus de fibres à myéline que dans une moelle nor- male. Les
racines
antérieures et postérieures sont saines. M. LAL
ell, de Magendie. En nous révélant les différences de fonctions des
racines
antérieures, des racines postérieures et des fa
révélant les différences de fonctions des racines antérieures, des
racines
postérieures et des faisceaux blancs dont se co
Dès 183, Cruveilhier avait constaté l'existence d'une atrophie des
racines
antérieures de la moelle, dans un cas d'atrophie
s futures, il avait conclu que le point de départ de l'atrophie des
racines
antérieures devait être cherché dans la moelle.
356 - thérapeutique. gique comme les autres, en commençant par la
racine
du membre et en terminant par ses extrémités. A
commencer le massage général du membre, le prépare en partant de la
racine
vers l'extrémité. En ce qui concerne les manoeu
bitaire supérieur, l'autre sur le dos à 10 ou 12 cenlimèlres de lai
racine
de la queue. Ces électrodes étaient reliées par
ubstance grise de la moelle, à la hauteur des deuxième et quatrième
racines
lombaires. 2° Le réllexe rotulien et les réflex
ité est trop amoindrie pour que la réponse soit possible. Quand les
racines
spinales afférentes en rapport avec le tonus sp
le du bulbe, soit en arrière de l'olive, soit en avant de la grosse
racine
descendante sensitive du trijumeau. Elles sont re
st montrée par les dégénérescences qui suivent : 1° les lésions des
racines
posté- rieures, 2." les lésions de la moelle el
icales. Elle est applicable également aux branches descendantes des
racines
. La position relative des fibres radiculaires a
ne. La zone postéro- interne subit habituellement une sclérose. Les
racines
postérieures sont dégénérées. b) Les tumeurs
obablement il des dégénérescences ascendantes d'une ou de plusieurs
racines
qui ont été lésées à leur entrée dans la moelle
seaux montrent peu ou point d'épaississement t de leurs parois. Les
racines
postérieures présentent une sclérose similaire
les nerfs sensitifs périphériques et l'atrophie des gan- glions des
racines
postérieures, qui sont presque invariables, sug-
ent intactes les zones cornu-commissurales et septo-marginales. Les
racines
, suivant Tuczek, sont normales ; suivant Babès,
correspond à la distribution des vaisseaux delà pie-mère et que les
racines
postérieures sont normales, de même que les membr
rt, pouvait encore marcher seule. Il existe une. dégénérescence des
racines
postérieures de la moelle, elle a dû être déter
isée des méninges molles de la moelle; il en résulte une lésion des
racines
postérieures et d'une partie des racines antéri
en résulte une lésion des racines postérieures et d'une partie des
racines
antérieures de la moelle ; sous l'influence de
'.PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES : dégénératives et régénératives de ces
racines
, les muscles thoraci- ques et spinaux sont para
De là les phénomènes de paresthésie et de douleur ressortissant aux
racines
frappées. Enfin la colonne vertébrale s'incurve
deux facteurs. Un facteur physiologique ; c'est la transmission aux
racines
postérieures, aux cornes posté- rieures, de là
ccale est innervée par les segments les plus éloignés du centre des
racines
spinales du trijumeau. Quant aux organes propre
correspond l'atrophie du réseau intranucléaire des fibres et des.
racines
intramédullaires. Il existe encore une atrophie p
z large, peu élevé, les cheveux n'étant éloignés, au niveau de leur
racine
, que de trois travers de doigt de la racine du
gnés, au niveau de leur racine, que de trois travers de doigt de la
racine
du nez ; sur les tempes, les cheveux sont très ra
térieurs, pas de lésion des cornes antérieures ou postérieures. Les
racines
r;lcla i- diennes et les nerfs périphériques so
sternum, le ventre, le bras gauche (face interne) et 2 papules à la
racine
de la verge, Le gland, le prépuce sont sains. A
mpiète notablement sur les cordons blancs, au point d'émergence des
racines
posté- rieures, de chaque côté, en arrière, et
- rieures, de chaque côté, en arrière, et surtout en avant de ces
racines
. Là, le tissu des cordons est envahi sur une band
dans toute la moelle. - En résumé, exsudat puriforme englobant les
racines
des nerfs; dans cet exsudât et antour des vaiss
nt presque la fosse sylvienne. La F3 prend naissance sur FA par une
racine
assez grêle ascendante, et sur I par un gros pl
. La F3 est très développée et prend naissance sur FA par une large
racine
ascendante. Elle forme bien l'M classique. (PL.
n qui sépare Fi de Fa. La l ! prend tiais sance sur la F A par deux
racines
séparées par un petit sillon à convexité supéri
nvexité supérieure. La F- prend naissance sur la F A par une grosse
racine
. Elle est séparée au hout d'un court trajet des
ormalement situés. On note un très léger duvet de chaque côté de la
racine
de la verge. Le scrotum est en demi-croissant.
ls châ- tains frisés, nombreux àla partie inférieure du pénil, à la
racine
des bourses, commençant à envahir les aines. Bo
nc entièrement glabre. Poils bruns assez abondants au pénil et à la
racine
des bour- ses ; scrotum presque glabre ; les te
que ; i petite école. 156 Microcéphalie. 30 mai. - Eczéma de la
racine
du nez et des joues. L'é- cholalie persiste.
tique, indice do la présence d'une membrane. Les cheveux, secs à la
racine
, assez soyeux à 5 ou 6 centimè- tres de là, par
'iI).v,;f.%..i ? i..>>J.i U.14,»-jyiifî , , ? Distance, de la
racine
du nez 1\ l'artil : ulation ocçipito- ' . '. )
s : 40 des fibres appartenant a la moelle; 2° des libres émanées de
racines
nerveuses, du moins de celles de l'acoustique e
et peut-être de celui du côté opposé; c, des fibres appartenant aux
racines
nerveuses signalées; 2° partie des hémisphères
édiatement adjacentes 80 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. a la
racine
postérieure du nerf, et le noyau antérieur de l'a
e noyau antérieur de l'acous- tique de Meynert (noyau latéral de la
racine
antérieure de Krause, acoustique latéral et inf
ation chez les animaux. On constate encore une dégénérescence de la
racine
ascen- dante droite de la voûte à trois piliers
comparable à la circulation collatérale, à l'endroit même où les
racines
postérieures de la moelle forment les nerfs sensi
n ne constate pas d'atrophies dans l'écorce. Cinquième paire2. La
racine
descendante est exclusivement mo- trice. Sa por
ine descendante est exclusivement mo- trice. Sa portion sensible ou
racine
descendante est-elle coupée, son centre corresp
eulement quand ou mutile la moelle lombaire et dorsale (section des
racines
antérieures et posté- rieures), mais lorsqu'on
noncée dans les renflements cervicaux et lombaires; intégrité des
racines
antérieures; M. Oppenheim conclut que les lésions
cordons grêles et cunéiformes dans le bulbe; cette lésion gagne les
racines
ascendantes des triju- meaux sans toucher aux n
. Névrite parenchymateuse des nerfs péronier, crural, tibial, des
racines
postérieures lombaires et peut-être dorsales; atr
stérieures lombaires et peut-être dorsales; atro- phie possible des
racines
antérieures lombaires. Diminution de volume des
ans l'espèce se rattachent à la névrite périphérique (intégrité des
racines
postérieures, légère altération des cordons posté
e : la dépression de cent. de profondeur commence à 9 cent. 3 de la
racine
du nez et pré- sente la forme d'un .triangle ar
occupe l'extrémité supérieure du pariétal gauche et empiète sur la
racine
de la première circonvolution frontale gauche. Pe
rale du corps genouillé externe se compose mi- partie de fibres des
racines
optiques, mi-partie de fibres du nerf optique;
que peu de relation avec le nerf optique (de Gudden, Ganser). - Les
racines
optiques proviennent sans exception directement
reillagée (plan vertical et transversal) qui donnent naissance à la
racine
optique. Le mode d'origine histologique des fib
substance blanche moyenne des fibres de projection. L'ensemble des
racines
optiques se réunissent danslasubstance blanche an
es coupes trausverses, occupent la substance grise et la région des
racines
nerveuses, qui, sur des coupes longitudinales,
trémité inférieure de la moelle dorsale. Lésion très modérée des
racines
postérieures au niveau des régions moyenne et inf
sion consécutive, selon les longs faisceaux centripètes, vers les
racines
. Les douleurs lancinantes et la disparition des r
sparition des réflexes pa- tellaires tiendraient à l'altération des
racines
lombaires. L'hy- péresthésie musculaire tiendra
e la substance spongieuse; on y trouve de grosses fibres issues des
racines
postérieures et des parties externes des cordon
s à d'autres systèmes de fibres) qui, aussitôt après l'entrée de la
racine
, dévient en dehors et se forment en une pyramide
ne de chaque côté de la paroi supérieure du canal. Au-dessous de la
racine
de la verge donne le méat urinaire. Parle touch
té des membres, pour les doigts en particulier, que pour ceux de la
racine
. il se confirme également que les troubles du sen
oïde; : riz la formation d'un sillon trans- versal bien défini à la
racine
de chacun des ongles, se déplaçant avec la croi
épaisseur limitant une cavité celluleuse. Atrophie considérable des
racines
. Amincissement de la dure-mère. 11. : 'I11RIE à
, c'est une virole qui adhère aux méninges molles, à la moelle, aux
racines
rachi- diennes, même au périoste de l'os voisin
rcome à petites cellules du tissu rétropéritonéal. A la hauteur des
racines
dorsales moyennes on constate une dégénérescenc
, et des fais- ceaux de Gowers ; il existé aussi dans la région des
racines
anté- 154 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
il en est de même à la périphérie, entre le corps restiforme et la
racine
ascen- dante du trijumeau d'une part, la surfac
terne ; au début, il occupe l'angle formé par le côté interne de la
racine
du facial et le côté postérieur du corps trapéz
ons sur toute la hauteur des cornes antérieures, et des lésions des
racines
posté- rieures dans la région dorsale moyenne s
Marie, Est-il bien certain que les dégénérations secon- daires des
racines
postérieures, lésion exogène, constituent tout le
s est encore bien difficile à déterminer nettement, attendu que les
racines
pos- térieures envoient des fibres dans toutes
ux d'où partent des lan- cées très vives qui s'irradient jusqu'à la
racine
de la cuisse. La resensibilisation de la cuisse
la cicatrice d'une ancienne fracture. Cette cicatrice descend de la
racine
des cheveux, à égale distance de la ligne médiane
., fasc. 1, 1899.) De ses expériences, l'auteur conclut que même la
racine
vestibu- laire subit la dégénération ascendante
ales. Les premières envoient leur pro- longement principal dans les
racines
; les secondes, dans les com- missures transvers
agmentent : ce sont bien des dendrites (Bethe, de Lenhos- sek). Les
racines
nerveuses pénètrent dans les ganglions ; elles y
les nerveuses, en épargnant autant que possible le neuropile et les
racines
nerveuses. On verrait si et à quel point les mo
ique ultérieure ; c'est le diagnostic avecles lésions des premières
racines
lombaires, avec les pseudo-méralgies radiculair
ro-cutané, mais celui des première, deuxième et peut être troisième
racines
lom- baires. A gauche, où les troubles sensitif
re sacro-femoral, rappelle de très près le territoire des premières
racines
lombaires et par conséquent celui du féméro-cul
trement. Cette suspension provoquant une extension considérable des
racines
de la 412 ) CLINIQUE NERVEUSE. moelle épinièr
grand canal, la grande artère spinale d'Adamkiewicz, qui, avec les
racines
antérieures du plexus sacré, arrive à la face a
cale et surtout à droite. Méthode de Marchi. La dégénérescence des
racines
postérieures, limitée à la moelle cervicale, sièg
me celle-ci, à droite, occupe exacte- ment l'endroit de passage des
racines
postérieures à travers la pie-mère. La dégénére
énérescence de la virgule de Schultze, consécutive à une lésion des
racines
postérieures. Quel rapport affecte la virgule d
a virgule de Schultze est, en partie du moins, formée de fibres des
racines
postérieures descendantes de la région supérieu
Bechterew) on a observé des trou- bles attribués à une atteinte des
racines
rachidiennes (troubles de sensibilité objective
ons défectueuses et le défaut d'assimilation sont certainement à la
racine
du mal. Il est remarquable de voir de quelle ma
ue existait dans les régions cutanées dépen- dant des 5, 6, 7 et 8°
racines
cervicales. Elle faisait défaut le long de la f
long de la face interne du bras et de l'avant-bras tributaire de la
racine
postérieure du te et du 21 nerf dorsal. Un au
ique avec diplégie faciale. La porte d'entrée était une plaie de la
racine
du nez occupant exactement la ligne mé- diane.
anguine. Prolifération des cellules névro- gjiques. Les parties des
racines
rachidiennes comprises dans les coupes paraissa
trouver dans la diminution des impulsions réflexes qui, venant des
racines
postérieures, tiennent les cellules motrices
dique ; un cas de tumeur de la base du crâne comprimant à gauche la
racine
sensi- tive du trijumeau, sa branche motrice, l
neurologisl, avril 98.) E. B. XI. Investigations expérimentales des
racines
cervicales et thora- ciques au sujet du tortico
acaque la solution des questions suivantes : 1° le nombre exact des
racines
rachidiennes dont l'excitation détermine des mo
te déterminée par le groupe des muscles innervés par chacune de ces
racines
prise individuellement ; 3° dans combien de ces
ne de ces racines prise individuellement ; 3° dans combien de ces
racines
se trouve représenté chaque muscle pris isolément
pris isolément ; 4° quels sont les muscles représentés dans chaque
racine
prise a part. Même résumée en un tableau, la ré
ngitudinal ou latéral) d'un même muscle répond à l'excitation d'une
racine
, par exemple : le segment supérieur à la C,, le
ts et obliques de la tête, tout muscle est commandé par plu- sieurs
racines
. Les racines en relation avec les mouvements de l
s de la tête, tout muscle est commandé par plu- sieurs racines. Les
racines
en relation avec les mouvements de la tête sont
nt, les dernières indirectement. Après la destrulion complète d'une
racine
, le mouvement d'abord aboli se rétablit rapidem
ce muscle lui envoie son influx par l'intermé- diaire de plusieurs
racines
; une de celles-ci étant coupée la cellule cort
ns son activité cette cellule transmet ses ordres au muscle par les
racines
restées intactes dont celui-ci reçoit des ramific
e dégénérescence faisait défaut, ce qui indiquait que la lésion des
racines
nerveuses avait été relativement légère. Le tra
grégation de la myéline. En outre, on a trouvé une dégénération des
racines
et des cordons postérieurs. L'auteur explique c
rveux a fait constater l'inté- grité des nerfs périphériques et des
racines
antérieures. La moelle examinée suivant les dif
naux; 2° ces lésions coïnci- dant avec un minimum d'altérations des
racines
postérieures et du réticulum des colonnes de Cl
ntraire, chez le chat et le lapin, l'exci- tation dans le crâne des
racines
des neuvième, dixième et onzième paires, du côt
n nettes quand on irrite les fibres d'origine du spinal. Toutes les
racines
parais- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
de l'estomac devient plus énergique à mesure que l'on s'adresse aux
racines
les plus infé- rieures. Chez le chien, comme
ogastrique n'ont aucune action sur les mouvements de l'estomac. Les
racines
bulbaires du spinal excitées provoquent des mou
branches d'origine les plus inférieures. Chez tous les animaux, les
racines
médullaires du spinal n'ont aucune action sur l
auche, et dans les deux, les mouvements ont com- mencé d'abord à la
racine
, puis aux extrémités. On a observé aussi que le
actus aponévrotiques; les muscles super- ficiels sont amaigris. Les
racines
nerveuses et les prolongements périphériques ju
lieu d'être massif, il est segmentaire et, au lieu de porter sur la
racine
du membre, il en affecte exclusivement l'extrémit
our substratum anatomique une altération de la substance grise, des
racines
et des nerfs. Ces lésions expliqueraient, d'après
re correspondante, autour des éléments de la queue de cheval et des
racines
rachidiennes. Infiltrations sanguines ne sont p
419. Psvcuno - oestiiésie. Sensations de froid, par Dana, 149.
Racines
cervicales. Investigations expérimentales des e
ongue des dégé- nérescences dans le trijumeau, soit au niveau de la
racine
sensi- tive vers la partie supérieure du planch
nstitués par de la méningite ancienne; de plus à ce même niveau une
racine
postérieure est détruite, ce qui permet d'affir
des cellules radi- culaires de la substance grise avec atrophie des
racines
antérieures correspondantes et altérations névr
dique. Questions restées dans l'urne : Nerf moteur oculaire commun;
Racines
postérieures. M. Halberchtaldt, 16 : M. Dau- je
M. Halberchtaldt, 16 : M. Dau- jean, 18. - Séance du 16 décembre :
Racines
postérieures, Ques- tions restées dans l'urne.
d'une para- lysie périphérique. On peut admettre un arrachement des
racines
, coïncidant avec une lésion de la moelle. M.
processus tabétique serait une névrite portant spécialement sur les
racines
postérieures et plus dystrophique qu'inflammatoir
mmatoire. -D'après M. Nageotte, ce serait un état inflammatoire des
racines
postérieures à la sortie de l'espace sous-arach
e la pie- mère de la région antérieure est indemne. Les lésions des
racines
ne sont pas des lésions de névrite radiculaire
x disséminés dans les cordons postérieurs, plus encore que dans les
racines
. Cette coïncidence des lésions piemériennes et
pécialement touchées dans la moelle et 202 SOCIÉTÉS SAVANTES. les
racines
. Ces fibres sont électivement celles qui vont aux
lymphatiques des bandelettes externes, espaces en rapport avec les
racines
postérieures. M. Raymond voudrait savoir jusqu'
forme faisant manchon autour delà moelle avec maximum au niveau des
racines
aussi bien antérieures que postérieures, et dif
r la moelle sacrée, en entraînant une dégénérescence secondaire des
racines
anté- rieures, fascicules par fascicules. Les c
du sang ». Il lui semble que ses nerfs « se rétrac- tent vers leur
racine
, et les doigts avec et les bras aussi. Du mois
radiculaires postérieures, qui n'altère pas la forme de la moelle.
Racines
postérieures, région externe des cordons postér
it à la nécrose des extrémités les plus périphériques ainsi que des
racines
postérieures dans tout leur parcours (Pierre Ma
s après-une atteinte de zona portant sur le territoire.des 20 et 30
racines
cervicales gauches. Par la méthode de Marchi, i
ar la méthode de Marchi, ils ont constaté des fibres dégénérées des
racines
postérieures correspondantes. Ces lésions étaient
aient SOCIÉTÉS SAVANTES. 297 extrêmement nettes à l'entrée de ces
racines
dans la moelle, on les constatait également dan
idérai les lésions méningitiques comme consécutives aux lésions des
racines
. M. Marie considère que la r.»gion postérieure
gé. Les lymphatiques font partie intégrante de ce bloc, comme les
racines
postérieures elles-mêmes, et c'est dans ce bloc o
r le milieu du pli du coude ; 2° posté- rieure : de l'acromion à la
racine
de l'ongle du médius, en passant par l'olécrane
par contre il y a anesthésie absolue dans le domaine de la huitième
racine
servicale et de la première dorsale. Les carac-
s des deuxième et troisième dorsales. Les rami-communicantes de ces
racines
sont également touchés, comme le montrent les t
stance médullaire grise et blanche, l'origine et la terminaison des
racines
et cordons, avec les voies de conduction. Enfin
bilités, localisation nette aux membres inférieurs, intégrité de la
racine
des membres avec les particularités nouvelles : d
on pour la radiation auditive et le faisceau de '1·ïrrl : , pour la
racine
antérieure de la couche optique et le faisceau
s, avoisinant l'olive, le noyau ambigu, le faisceau de Gowers et la
racine
ascen- dante du trijumeau et du pont de Varole
e section très fine de la moelle, une minuscule portion d'une seule
racine
postérieure était intéressée, et au lieu d'anes
ait surtout lésé dans sa portion sensitive ou grande portion que la
racine
ascendante du nerf est surtout sensitive que sa
rtion que la racine ascendante du nerf est surtout sensitive que sa
racine
cérébelleuse contient princi- palement des fibr
cérébelleuse contient princi- palement des fibres sensitives que sa
racine
descendante est, au moins partiellement, motric
s partiellement, motrice, ou, peut-être, trophique, du moins que la
racine
issue de la substance ferrugineuse. Le facial et
bres ner- veuses dans les diverses zones foetales. 1. La zone des
racines
antérieures reçoit beaucoup de fibres directement
e des racines antérieures reçoit beaucoup de fibres directement des
racines
postérieures, mais il est impossible de constater
ur équivalents des trousseaux de fibres qui entrent directement des
racines
postérieures dans les cornes postérieures et, a
hez le foetus, on n'a pas de preuve qu'ils viennent directement des
racines
postérieures. On les voit nettement à l'état de
de la zone radi- culaire postérieure médiane proviennent toutes des
racines
postérieures qui passent directement dans cette
t des cordons postérieurs, s'y entre-croisent à angle aigu avec les
racines
postérieures qui entrent dans la corne postérie
u'à la périphérie des cornes antérieures et se perdent là entre les
racines
antérieures qui rayonnent et les grandes cellul
a moelle : une exagération des fibres fines aux dépens des grosses (
racines
postérieures et antérieures, nerfs périphérique
Homen ayant en pareil cas constaté des altérations névritiques des
racines
du trijumeau, M. Jolly croit que le tabes est l
in extenso 1. M. Hoche (de Strasbourg). Des cellules nerveuses des
racines
~ antérieures de la moelle de l'homme. C'est le
crée de la moelle et qui est en relation intime avec les fibres des
racines
antérieures. Mémoire qui sera publié. M. SCHR.1
générescences de la moelle; elles étaient surtout marquées dans les
racines
postérieures, mais se rencontraient également dan
ation accusée). Il n'a pu constater que l'altération se propage aux
racines
de la moelle. M. SCHULTZE. Les lésions du systè
ur le nerf lui-même, et probablement aussi sur les ganglions et les
racines
spinaux. Mais, y a-t-il une douleur centrale, c
tumeurs de la grosseur d'un pois : l'une à la sortie de la douzième
racine
spinale, la seconde à gauche, au renflement lom-
tumeur de la grosseur d'une noisette, pendait librement à l'une des
racines
de la cauda equina, dont le bout plongeait dans
tumeurs de la grosseur d'un grain de chanvre, ayant pour siège les
racines
antérieures de la cauda. L'examen microscopique
directe, surtout aflaiblie. NFC=FFC. C. ' A l'autopsie, moelle et
racines
normales; altération parenchy- mateuse peu pron
c atteinte légère des cordons antéro-latéraux, dégéné- rescence des
racines
antérieures. P. K. XII. CONTRIBUTION A la conna
hologiques. les premières paires cervicales et les deux parties des
racines
de l'accessoire qui affectent en cette région l
um s'insère dans la région pu- bienne, à la partie supérieure de la
racine
du pubis ; testicules descendus de dimensions i
s la lésion des autres systèmes des centres nerveux : La lésion des
racines
postérieures provoque une atonie musculaire com
lontaires, rôle qui est tout autre que dans les cas ayec lésion des
racines
postérieures ou des voies pyramidales, Dans l'e
t celui d'une disso- ciation lésionnelle des fibres émanant de deux
racines
: lésion destructive des fibres de la huitième
la lésion même, on peut en fixer le siège dans l'angle formé par la
racine
interne du nerf médian et par le nerf cubital q
aisse facilement des godets. Les doigts divergent en éventail de la
racine
à l'extrémité. La matrice des ongles est épaissie
godet. Les doigts sont lé- gèrement infléchis et s'écartent de leur
racine
à leur extrémité. La matrice unguéale est très
t, le nerf avait été fortement contu- sionné, soit au niveau de ses
racines
sacrées, soit au niveau de la fesse, mais sans
a portion antéro-externe et inférieure, en avant et en dedans de la
racine
du trijumeau. Le nerf une fois constitué soit a
e peaucier ayant une innervation mixte par le facial et la deuxième
racine
cervicale. Nous reviendrons plus loin sur ce poin
des filets nerveux de la VIIe paire, d'autres filets issus de la n.
racine
rachidienne cervicale. Non seulement les peaucier
harles Bell admettait qu'une partie du trijumeau, d'abord la petite
racine
, puis le nerf buccal, présidaient aux mouvements
e du triju- meau. Cette adaptation est sous la dépendance non de la
racine
motrice delà Ve paire, mais de sa grosse racine
épendance non de la racine motrice delà Ve paire, mais de sa grosse
racine
sensitive avec son ganglion de Gasser. Les aute
de Gasser. Les auteurs ont en effet montré qu'en séparant la grosse
racine
de la petite, autrement dit en annihilant ou se
t donc pas par l'intermédiaire de ce dernier. Il semble bien que la
racine
sensitive a acquis les propriétés motrices. L
ait montré que sa production nécessitait une lésion attaquant la 1"
racine
dorsale avant qu'elle n'ait émis le rameau commun
uant des- tiné au sympathique ; et comme ce rameau se détache de la
racine
immé- diatement à sa sortie du trou de conjugai
ement à sa sortie du trou de conjugaison,.la lésion doit toucher la
racine
entre la moelle et l'extrémité externe du trou de
gion cervicale inférieure. Elles sortent de la moelle à travers les
racines
antérieures des premiers et seconds segments thor
nc à peu près les territoires cutanés correspondant aux 4 premières
racines
cervicales. Elle est totale, c'est-à-dire qu'el
as, soit de plaies pénétrantes par projectiles axant passé près des
racines
du plexus. Cliniquement on observe des troubles
on de l'avant- bras sur le bras, détermine des douleurs le long des
racines
du plexus brachial depuis le point d'Erb jusqu'
se conservent généralement, mais on n'observe jamais de poils à la
racine
du nez, et il y a en outre hypothricose des fosse
rition sans objet, en un mot d'une sorte d'hallucination. La même
racine
, guvr«w, a d'ailleurs donné naissance aux mots :
frontale. Elle commence à la ligne médiane, envahit la tempe, la
racine
du nez à sa partie latérale droite, la région mal
u, humains, des embryons de chats, des encéphales d'adulles : 1° la
racine
postérieure de l'acoustique émane du noyau acou
vec l'auditif est identique àce que Roller dé- signe sous le nom de
racine
ascendante de l'acoustique ; il est extrêmement
à une lésion des cornes postérieures de la moelle épinière et de la
racine
ascendante du tri- jumeau. Rien que ces phénomè
rganes génitaux. Poils dorés, frisés, très abondants au pénil, à la
racine
des bourses et sur les bourses. Verge longue et
S cordons postérieurs DE la moelle épinière; intégrité complète DES
racines
rachidiennes ET DES nerfs périphériques) ; ,
tématique des cordons pos- térieurs de la moelle, avec atrophie des
racines
posté- rieures des nerfs rachidiens. La plupart
l'autopsie on découvre aucune altération des centres nerveux, des
racines
rachidiennes ni des nerfs périphé- riques. Dé
er à l'autopsie aucune altération appréciable de la moelle ni des
racines
postérieures. Je pouvais encore supposer qu'il
culeuse. Autopsie. Pas de sclérose de la moelle. Pas d'atrophie des
racines
postérieures. Intégrité des nerfs phériphériyue
VEUSE. de la pie-mère. Pas de néo-membranes de l'arachnoïde. -Les
racines
postérieures ont le volume et l'aspect chatoyant
nd nombre de tronçons de nerfs périphériques, plusieurs paires de
racines
rachidiennes et quelques nerfs viscéraux ont été
aussi dans les cordons latéraux et dans les cornes antérieures. 2°
Racines
rachidiennes. Quatre paires de racines rachidienn
s les cornes antérieures. 2° Racines rachidiennes. Quatre paires de
racines
rachidiennes provenant des régions dorsale et l
en : Il a été impossible d'y consta- ter la moindre altération. Les
racines
postérieures renferment, aussi bien que les ant
ie, on ne découvre aucune altération organique de la moelle, ni des
racines
rachidiennes,- 352 CLINIQUE NERVEUSE. ni des
s tous que c'est là une grave maladie, un délire vigoureux dont les
racines
sont déjà très profondes ? Voilà, ce que dit la
M. SIEMERLING. D'une callue légitime, régulièrement coordonnée des
racines
de la moelle épinière aux diverses hauteurs. Voic
e aux diverses hauteurs. Voici les conclusions de l'auteur : i° les
racines
antérieures de la moelle cervicale et de la moe
en épaisseur 0'°m,018 à 0,02, il n'y en a que peu de 0,004; 2" les
racines
postérieures des deux mêmes régions contiennent
tubes nerveux fins en faisceaux isolés ou en petits groupes; 3° les
racines
de la moelle dorsale contiennent un très grand
nte des préparations d'utrophic du noyau de l'ieypoqlosse et de ses
racines
. Absence presque complète de cellules 476 socié
l; aux alentours du noyau, peu de fibres nerveuses à myéline; les
racines
sont amincies. Cette altération va de l'extrémité
e après la section centrale des nerfs, et la dégénéres- cence de la
racine
postérieure avec celle du ganglion après la sec
t. Mais le caractère pratique de celte idée avait jeté de profondes
racines
dans l'esprit public et bientôt une douzaine d'
ganglion d'où part le nerf ophtal-mique était rouge et injectée. Les
racines
de la grosse portion du nerf présentaient une cou
, les troncs nerveux d'où émane ce plexus. La moelle cervicale et les
racines
des nerfs cervicaux, ainsi que l'autopsie l'a dém
tion des nerfs du plexus cervical et des ganglions correspondants des
racines
spinales post Mém. de la Soc. de Biologie. 1865,
trouvés aussi fortement altérés, sans participation de la moelle, des
racines
spinales tant antérieures que postérieu-res, et m
dédoublée en deux lamelles, surtout dans la région des 9e, 10e et 11e
racines
dorsales. Bien que les lésions de la dure-mère pa
sversale de la moelle épinière faiie dans le renflement lombaire — A,
racines
postérieures. — B, faisceaux radiculaires interne
cordons que traversent les faisceaux de tubes nerveux d'oùémanent les
racines
antérieures. Pour peu queces faisceaux prissent p
es et qu'elle ait remonté jusqu'aux parties centrales par la voie des
racines
antérieures des nerfs, car ces dernières, en géné
nt, dans leur trajet intra-spinal, ceux des tubes nerveux émanant des
racines
postérieures, qui, sous le nom de faisceaux radic
om de faisceaux radiculaires internes (masses fibreuses inter-nes des
racines
postérieures) dans la nomenclature de Kolli-ker (
ulgurantes à l'une quelconque des lésions suivantes : 1° atrophie des
racines
postérieures avant leur entrée dans la moelle épi
s paupières modifiât son assurance. A l'autopsie, on constata que les
racines
posté-rieures avaient conservé les caractères de
t porte à croire, au contraire, que les fibres sensitives, issues des
racines
postérieures qui composent pour une part, les fai
'2. Munchen, 1863. Charcot. Œuvres complètes, t. i. 6 à Tune des
racines
spinales postérieures de la queue de cheval. 11 e
A la queue de cheval, du côté gauche, on trouve, accolée à l'une des
racines
spinales postérieures qui donnent origine au plex
celui d'une plume de corbeau, peut être suivie depuis le point où la
racine
a été cou-pée, non loin du trou sacré corresponda
des cordons posté-rieurs, méningite spinale postérieure, atrophie des
racines
pos-térieures des nerfs rachidiens. Un examen min
lésions portant sur les faisceaux postérieurs de la moelle ou sur les
racines
spinales sensitives. Pour ce qui est des nerfs mo
achidiens, nous savons seulement que des plaques ont été vues sur les
racines
postérieures et antérieures ; mais non s ignorons
à cet égard, c'est que les fibrilles nous ont semblé parfois prendre
racine
dans la substance des noyaux ou des cellules, et
pas le goût du sel. Même chose pour la partie droite du dos et de la
racine
de la lan-gue. A droite, encore, Y odorat est aff
uleur de tête très vive, siégeant sur le front du côté gauche et à la
racine
du nez du même côté. Les douleurs, revenant par p
our la localisation des affections de la moelle cervicale et de ses
racines
. J'ai démontré enfin que l'hystérie est incapab
de fraîche date, soit parce qu'elle s'associe à des altérations des
racines
postérieures. « L'importance du phénomène des o
rsqu'une lésion du système pyramidal s'associe à une altération des
racines
postérieures, la présence du phénomène des orte
gidité musculaire pourrait être supprimée par une opération sur les
racines
postérieures qui ferait disparaître la sur- réf
pprimer le spasme par une intervention chirurgicale portant sur les
racines
postérieures de la moelle, mais la crainte d'ac
ctuel- lement son nom. Elle consiste à sectionner quelques-unes des
racines
postérieures de la région lombo-sacrée. « En
-sacrée. « En décembre 1912, Foerster écrivait que la résection des
racines
postérieures a été pratiquée jusqu'à celte date
vations de sciatique traitée par la radiothérapie appliquée sur les
racines
rachidiennes dans la région lombo-sacrée ; les ré
tiques suivent d'habitude une marche ascendante et débutent par les
racines
les plus infé- rieures. On observe aussi, com
'amyotrophie, elle a été probablement causée par une altération des
racines
motrices. « Les troubles de motilité, qui penda
c'est que « malgré la durée et l'intensité de cette méningite, les
racines
de la moelle, qui sont restées plusieurs mois e
clinique avait montré que la sensibilité était conservée. 3° Les
racines
, quoique plus altérées que la moelle (état clair,
provenant du noyau grêle auquel aboutissent les fibres longues des
racines
postérieures correspondant aux membres infé- ri
1 1 sensibilité générale ou spéciale arrivent à la moelle par les
racines
postérieures ou au bulbe par l'intermédiaire des
passagères auxquelles chacun est exposé à payer tribut. Elle prend
racine
dans les profondeurs mêmes de l'organisation cé
fissure de Glaser est plus que doublée d'étendue par l'usure de la
racine
transverse de l'apophyse zy-omitiqtte. Cette su
rès, un aspect spongieux. Cavité articulaire du temporal gauche. La
racine
transverse de l'apophyse zygomatique est très l
remar- quables par leur symétrie et leur marche ascendante vers la
racine
des membres. Les convulsions généralisées sont
rtiellement découvert ; la verge est courte et très renflée vers sa
racine
, ce qui est encore un autre défaut de conformatio
; la verge ne s'allonge pas et se renfle seulement - du côté de la
racine
; d'où il résulte que le coït est impossible à p
ieu ? cest-i,rdiue sur le point culminant de la tumeur, reposait la
racine
antérieure du sixième nerf cervical. - il' 1 .-
11. 1..1 .11 .1 l'. Je veux immédiatement faire observer que cette,
racine
, ainsi, que les racines antérieures et postérie
veux immédiatement faire observer que cette, racine, ainsi, que les
racines
antérieures et postérieures des cinquième et' sep
le sillon médian, les autres pénétrent dans le bulbe en suivant les
racines
: elles arrivent ainsi jusqu'aux noyaux. Il en
ers son col ? ce qui; lui donne cet aspect, c'est une branche de la
racine
.postérieure dont les rameaux affectent la disp
es radiculaires an- térieures accompagnent chacun des faisceaux des
racines
anté- rieures, et se portent en droite ligne da
ux radiculaires, les autres en de- dans, les autres en dehors de la
racine
postérieure. Les artères moyennes sont surtout
rnes, plus importantes, accompagnent constamment cette partie de la
racine
postérieure que M. Pierret a désignée sous le n
ection. La commis- sure blanche présente un réseau transversal. Les
racines
ont des réseaux capillaires qui s'étendent dans
membres était complète à partir de la rotule jusqu'au niveau de la
racine
des orteils : les limites supérieures et inférieu
çà et là, le long des cordons postérieurs de lamoelle. Lésions des
racines
postérieures,'par places des cornes postérieures.
éninge; on peut suivre à ce niveau un tractus conjonctif depuis les
racines
pos- térieures jusqu'au milieu des cordons de G
es. L'idée de la pression exercée par la pie-mère enflammée sur les
racines
à leur émergence, indiquerait une méningite pri
s tissus voisins ; mais du côté de la prostate, le mal avait gagné la
racine
des corps caverneux ; la prostate elle-même était
de 0m,003 à 0m,004. il en est de même entre les yeux, au-dessus de la
racine
du nez, où la peau est couverte de poils. Sur la
ière et la deuxième grosses molaires sont dépourvues d'alvéole; leurs
racines
sont presque complètement à nu, implan¬tées dans
eporta de nouveau ses instruments dans la bouche pour en extraire les
racines
. Il ne parvint à les arracher qu'après plusieurs
e malade prit : limaille d'étain, 0^/20; calomelas, 0sr,10; poudre de
racine
de fougère mâle, 0sr,30 ; incorporés dans une cui
les mercuriaux (calo-mel à l'intérieur, frictions mercurielles) ; la
racine
de fongèremâle, de fougère femelle, (Herrenschvva
; la racine de fongèremâle, de fougère femelle, (Herrenschvvand) ; la
racine
de grenadier, Yétain, Yéther sulfurique, le kouss
adier. — M. Colin a insisté il y a quelques années sur l'emploi de la
racine
de grenadier (Gazette hebdomadaire, 1862, p. 120)
ule de Bourgeois : Eau.................... 750 grammes. Écorce de
racine
de grenadier....... 64 — Laissez-macérer douze
tiques, 1867, p. 510), procèdent ainsi qu'il suit : Écorce sèche de
racine
de grenadier..... 60 grammes. Eau commune froid
considérable des ongles. La cuisse est grêle, le genou très-petit, la
racine
de la jambe atrophiée. A partir de ce point le me
at d'émaciation inquiétant. Un médecin lui avait en vain pres¬crit la
racine
à'écorce de grenadier, qui n'avait eu d'autre eff
s semences de citrouille réussir plusieurs fois là où le kousso et la
racine
de grenadier avaient échoué? Il sera bon, à notre
en certains endroits, par exemple au i.ïveau et de chaque côté de la
racine
du nez. Les cicatrices, moins étendues à gauche q
e dans le tœnia, 109. G Gangrène (voy. Brûlure). Grenadier (De la
racine
de) dans le tœ¬nia, 93. Goudron (Du) dans le tœ
ontale ; un à la partie moyenne de la deuxième frontale; et un à la
racine
de cette même cir- convolution ; - un sur la fr
ïdes sont très développées. - De la bosse occipitale ex- terne à la
racine
du nez, en passant par le vertex, on me- sure 3
en arrière; le stylet glisse en avant sous les téguments jusqu'à la
racine
des bourses; en ar- rière, il glisse entre les
En MICROCÉPHALIE. 43 arrière, elle s'anastomose par sa très mince
racine
avec la première circonvolution frontale et la
mme gélatiniforme. On ne constate pas à l'oeil nu d'altérations des
racines
pos- térieures. Les prolongements de l'axe gris
it à la face, sur le tronc, sur la paroi antérieure du thorax, à la
racine
des cuisses, sur les membres, mais dans le sens
siège à la face, au tronc, à l'abdomen, au dos, aux fesses, et à la
racine
des cuisses. Depuis plusieurs jours, il y a une
es pâles, s'effaçant sous le doisrl. C'est il, l'hypogastrc et à la
racine
des cuisses qu'elle est le plus ;) ! l ! 1uente
est montré pâle, discret, localisé au siège, à l'hypogastre et à la
racine
des cuisses, au ni- veau des régions contiguës
riétale et frontale ascendantes sont irrégulières ; au niveau de la
racine
de la première fron- tale on voit un foyer ocre
yer ocreux, de forme quadrilatère, de 5 à 6 millim. de côté. Sur la
racine
de la deuxième frontale existe une seconde traî
ace. Il existe également sur le tronc, en avant et en arrière, à la
racine
des cuisses, au scrotum. Langue saburrale. Erec
es. Les pupilles sont égales. Le nez très légèrement aplati vers sa
racine
. La pointe mince. Les narines allongées dans le
om de Spon- dylose rhizomélique (0'1<'(;'31)),0;, vertèbre, pix,
racine
, pÛQ" membre). Dans ces deux cas, toute la colo
ans la spondylose rhizomé- lique est la colonne vertébrale et « les
racines
des extrémités », c'est-à- dire les articulatio
la région des épaules, du bassin et des muscles qui entourent « les
racines
îles extrémi tés n ; on remarque quelquefois un
xiste une in- filtration intense qui augmente progressivement de la
racine
vers l'extrémité pour s'arrêter brusquement aux
périphérique. Au contraire, une lésion intéressant les 2e, 3e et 4e
racines
cervicales gauches, permet d'expliquer cette to
e d'un processus toxi-infectieux ayant agi au niveau de la 3e et 4e
racine
lombaire, lre et 2e sacrée, ce qui est beaucoup,
ce qui est beaucoup, si l'on compare l'étendue du territoire de ces
racines
au peu d'étendue et à la dis- position des tach
par l'hypothèse d'un processus toxi -infectieux, ayant porté sur les
racines
rachidiennes du côté droit, de la 4° cervicale
oit, de la 4° cervicale à la 5e dorsale, inclusivement les 7e et Se
racines
cervicales ainsi que la lre dorsale paraissent av
analyse microscopique : la moelle épinière (tous ses segments), les
racines
postérieures et antérieures, les méninges, l'en
de la moelle épinière sont dans un état normal, aussi bien que les
racines
des nerfs rachidiens antérieurs et postérieurs. U
, a montré une faible dégénérescence de la substance blanche et des
racines
anté- rieures et postérieures des nerfs rachidi
s dépendent de l'inflammation des méninges et de la compression des
racines
postérieures; la maladie se localise dans la part
s exostoses produisent une compression de la moelle épinière et des
racines
nerveuses. Les dépôts osseux extérieurs peuvent ê
et c'est elle qui provoque la compression et la dégénérescence des
racines
des nerfs rachidiens. Les pièces anatomiques de
s muscles cervicaux et dorsaux, consécutive à la dégénérescence des
racines
nerveuses correspondantes. On peut se demander
au processus pathologique et l'intégrité des articulations « de ces
racines
des membres », un affaiblissement de la mobilité
igueur une lésion un peu plus étendue expliquerait l'atteinte de la
racine
bulbaire du spinal et par conséquent la paralys
la règle. Les pommelles sont peu saillantes ; le nez est large à sa
racine
, légèrement retroussé. Les lèvres sont épaisses
s le nom de tonus, et que cet état est dépendant de l'intégrité des
racines
postérieures sensitives de la moelle épinière.
es postérieures sensitives de la moelle épinière. La section de ces
racines
le fait cesser. Il faut donc le considérer comm
e tonus musculaire doit considérablement souffrir d'une maladie des
racines
postérieures. Je crois qu'il faut y rap- porter
au contraire, les atrophies devaient remonter de la périphérie à la
racine
des membres; ayant débuté à droite, en 1895, pa
us gros que normalement. L'augmentation de vo- lume commence dès la
racine
et s'accrl"trégulièrementjusqu'à l'extrémité, qui
est rouge vineux et qui s'étend au reste du nez ; au niveau de' la
racine
et des sillons naso-géniens, cette teinte se dégr
sivement dans une année a envahi tout le membre inférieur, jusqu'à sa
racine
. (1) Ce phénomène, nous l'avons vu décrit aussi
et rapidement - cette fois-ci dans trois mois est montée jusqu'à la
racine
du membre correspondant. Il est survenu après un
illé et en avant du méat auditif, nait l'apophyse zygomatique par une
racine
triangulaire, aplatie de haut en bas. Elle est li
rie comprend tous les canaux émissaires qui viennent s'ouvrir dans la
racine
postérieure ou sagittale de l'apophyse zygomatiqu
elques rares cas avec des canaux émissaires débouchant en avant de la
racine
transverse ou frontale de l'apophyse zygomatique
rtion écailleuse et la portion mastoïdienne sur le prolongement de la
racine
postérieure de l'apophyse zygomatique, une ligne
la partie inférieure, il est situé en dedans et un peu en avant de la
racine
descendante du trijumeau, en arrière du noyau lat
one du corps trapézoïde, on l'aperçoit entre l'olive supérieure et la
racine
descendante du trijumeau; tout à fait à la partie
du trijumeau; tout à fait à la partie supérieure, il est séparé de la
racine
descendante du trijumeau et de la substance gélat
vements vélo-palatins sont constamment provoqués par l'excitation des
racines
bulbaires inférieures du nerf vago-spinal (nerf f
amifications terminales des fibres du faisceau radiculaire médial des
racines
postérieures. En remontant vers le bulbe, les fib
a. Après avoir pénétré dans le bulbe, entre le corps restiforme et la
racine
descendante du trijumeau, il se dirige en arrière
tre ascendante. Les branches descendantes forment par leur réunion la
racine
descendante du nerf vestibulaire, qui s'enfonce d
e épinière soit par l'intermédiaire du ligament dentelé soit parles
racines
des nerfs. Il est facile de se convaincre que la
ne et l'on écarte chaque côté de la dure-mère. On coupe ensuite les
racines
qui se trouvent 1 dans le sac de la dure-mère.
ligament dentelé sont beaucoup plus courtes et plus tendues que les
racines
des nerfs' rachidiens, le déplacement de la dur
ère se communique il la moelle par l'inter- médiaire non pas de ces
racines
mais du ligament. Quoi qu'il en soit, le fait d
r les doigts, les mains et les poignets et moins fréquemment par la
racine
du membre. Ce sont ceux de l'athétose classique
les deux radiaux. Les avant-bras et les bras et quelquefois môme la
racine
du membre su- périeur peuvent être également le
des hanches, en même temps qu'un écartement des deux cuisses à leur
racine
, dont les deux faces internes, au-dessous des o
orps; pour les Grecs c'était le palme ou la largeur de la main à la
racine
des doigts ; pour les modernes c'est la hauteur
respond juste au milieu de la partie commune, à un point situé à la
racine
de la verge. Le membre inférieur se subdivise
es ; elle diminue de plus en plus à mesure qu'on se rapproche de la
racine
des membres ; elle est plus considé- ) râblé à
sauf au membre inférieur, où l'anesthésie va s'ac- croissanl de la
racine
vers l'extrémité, de manière à être assez prononc
rence que l'anesthésie absolue remonte au membre supérieur jusqu'à la
racine
de ce membre, et au membre inférieur jusqu'au g
raissent sclérosées dans les régions dorsale et lombaire. Névrite des
racines
postérieures delà queue de cheval et de différe
sclérose des cordons postérieurs de la moelle. Lésions intenses des
racines
postérieures lombaires et de divers nerfs des mem
ntraction de la peau du front, front peu élevé, 6 centimètres de la
racine
du nez. Bosses frontales assez sail- lantes à c
Bosses frontales assez sail- lantes à ce niveau. Cheveux rares à la
racine
. Sourcils bruns, arcades sourcil- lières peu sa
de la main et tous les doigts réunis. Circonférence du bras à sa
racine
16 1/2 c. du pli du coude 15 1/2 c. du poigne
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. et demie. Au lieu de correspondre à la
racine
des organes, il les partage environ par le mili
onard de Vinci. Dans ce dernier, le milieu du corps correspond à la
racine
des organes, ce qui augmente un peu le torse aux
et le tissu cellulaire abondant donne aux cuisses, épaisses à leur
racine
, un aspect fuselé et arrondi. Les mem- bres inf
1844. Doux laxatif, continuation de la « tisane de veau, décoction de
racines
de chiendent, de buglosse et feuilles de pimprene
« bile mal préparée. Cet état dure depuis quinze mois. « Tisane de
racines
de buglosse, de feuilles de pim-« prenelle et de
esque disparu, la toux « a diminué, la leucorrhée persiste. Tisane de
racines
« de buglosse, de chiendent, et feuilles de renou
ation qui a.été négligée. On lui fera prendre la ti-« sane suivante :
Racines
debuglosse, 10 grammes ; « feuilles de renouée pe
e «chaque une pincée,; eau, un litre. Faites bouillir «demi-heure les
racines
, et mettez les feuilles en « infusion; adoucissez
et mettez les feuilles en « infusion; adoucissez avec sirop des cinq
racines
apé-« ritives. 3 AoûL : Je reconnais une améliora
encore par le traitement. « On lui fera prendre la tisane suivante :
Racines
de chi-« Corée sauvage, de buglosse,de chaque 10
aine brute chauffée au « four et l’y laisser toute la nuit. Tisane de
racines
de « buglosse, feuilles de persil, d’orties, et f
’abdo-« men. Le 4, amélioration; la langue est chargée; « tisane de
racines
de bardane, de buglosse, de « guimauve et de rose
ante : Prenez « râpure de corne de cerf, 4 grammes; une hermodacte, «
racines
de petit houx , de houblon et de chiendent, « de
10 grammes; eau, un litre et demi; adou-« cissez avec sirop des cinq
racines
apéritives. Il pren-« dra deux fois par jour et a
isane. « 15 Novembre : tisane de ràpure de corne de cerf, 4 «grammes;
racines
de houblon et de buglosse, de • chaque 10 gramm
e paljié; « il faut encore la tisane de râpure de corne de cerf, « de
racines
de buglosse et de graines de lin. 28 No-« vembre,
elle parvint, sous l’influence de la catalepsie, à extraire plusieurs
racines
de nombres, e»tre autres celles du nombre 4,965.
tisations, de sept ou huit minutes chacune, à extirper le mal dans sa
racine
. J'eus ainsi l’inapréciable bonheur, par un procé
i étaient là pour donner leur opinion à ce sujet. La dent avait trois
racines
dont la réunion formait une large tige un peu con
ilogique, il présente toute une no- nienclature nouvelle ayant pour
racine
le mot grec ¿Pfírí. Il considère cet üormé, d’apr
l sous le nez du démoniaque un anneau dans lequel était enchâssée une
racine
indiquée par Salomon. En même temps il prononça l
n de sérieux. Que votre main soit dirigée ici (la base du cerveau, la
racine
du nez) ; vous me verrez fléchir. » L’ordonnanc
cile de prévoir, deux nouvelles glandes, l’une supérieure, jetant des
racines
dans la profondeur des tissus, et se trouvant en
toutes les autres forces, vous applique la force fébrifuge qui a ses
racines
en vous. Il lui commande comme je commande à ma m
VEUSE. légèrement effilée, affleure le bas de l'olive bulbaire. Les
racines
del'hypoglosepassentaudevantdela tumeur, dont e
ouve d'habitude des tumeurs multiples dans les centres nerveux, les
racines
ou les nerfs périphériques, nous n'avons pu déc
sation sarcomateuse en aucun point des centres nerveux, ni dans les
racines
, bien que la paraly- sie faciale existât depuis
ait à l'enfant d'ouvrir la main, elle touchait le métacarpe près la
racine
des doigts; de même, quand on lui disait de la
cns à la périphérie antérieure de la moelle. d'où elles gagnent les
racines
antérieures quand elles ne finissent pas librem
musculaire vraie du tout le membre, sauf la main, prédominant à la
racine
, et associ(·e it l'want-Ira, à une atrn- phie d
fection, 'd'une para- lysie des membres supérieurs Pl surtout de la
racine
des membres. Quelques semaines plus lard : para
partie du noyau dorsal qui borne le bord supérieur et interne de la
racine
ascendante \ ago-g 10sso-phaJ'yngil'nne, Iêmes
Ludwig ont trouve que leur nerf dépresseur du coeur émanaiL,par une
racine
, du laryngé supérieur, par une autre ra- cine,
en rapport avec le ¡. ! 1oso-pharyngien, le grand hypo- glosse, la
racine
descendante du trijumeau et les libres de la ra
o- glosse, la racine descendante du trijumeau et les libres de la
racine
cochléairc de l'auditif. Ce noyau Üe Darters a un
er, tandis que les raci- nes postérieures demeurent intactes et les
racines
(·lant dégénérées, les cordons postérieurs pcuve
n des cordons postérieurs peut doncêtre indépendante de celle des
racines
postérieures. - Or, ce n'est pas la lésion des
celle des racines postérieures. - Or, ce n'est pas la lésion des
racines
postérieures qui occa- sionne le (abcs, mais in
, mais inversement, la lésion des cordons posté- rieurs s'étend aux
racines
. Le tabès est une lésion lneutlo-sysLt;ntalil«e
autres parties les plus voisines du cordon postérieur et aussi les
racines
posté- la lésion de la one C7;ar<'o<-P;['
a- laire. 11 n'est donc point périostique. S(,clioiiiie-[-oti les
racines
sensibles du ganglion de Casser, on ne l'obtien
cier le rôle qu'elles jouent dans la patboge- nie de l'atrophie des
racines
postérieures et des dégénérescen- ces médullair
rose des cordons postérieurs et tiennent à la dégénérescence des
racines
postérieures qui, pour bien des auteurs, est le p
soit dans l'épaississement pie-mérien au lieu de pé- nétration de»
racines
postérieures. (Obersteiner et litalliclt). Elles
vec soin les di- vers motifs plausibles, et notamment la lésion des
racines
ner- veuses de la moelle plus voisines des plex
es deprovenances diverses; on y trouve jusqu'à des émanations de la
racine
spinale du trijumeau : il semble qu'on ait sous
ostérieure droite détruisant le faisceau pyramidal au-dessous de la
racine
C7. Hémiplégie. M. hÉlu présente un ancien hé
ne dépression assez profonde, sorte de gouttière qui, partant de la
racine
du clitoris, remonte jusqu'à l'ombilic. Au lieu
res. Aisselles glabres. Couronne de poils noirs assez longs, à la
racine
de la verge, formant une bande d'un cent. qui l'e
e. Bourses parsemées de quelques poils blonds plus abondants à leur
racine
. Testicules du volume d'un oeuf de pigeon. Bras
z droit, f Nanisme avec infantilisme. 43 large il la base et à la
racine
. Un peu dévié à gauche. Odorat obtus. Pommettes
1899 : le corps est glabre, sauf le pénil où, de chaque côté de la
racine
de la verge,on voit quelques poils rares de 2 cm.
Lobule épais, arrondi, non soudé. Cunque gauche non divisée par la
racine
de l'hélix. Fossette scaphoïde, assez grande. F
lies musculaires dessinées. Ils vont s'ellilant régulièrement de la
racine
vers le poignet. Epaules basses et tombantes. F
tête. 52 DE quelques formes DE nanisme. (14 cm. sur 3) et à la
racine
des bourses ; il commence à en- vahir les aines
essinée. Les membres supérieurs s'effilent ré- gulièrement de leurs
racines
à leurs extrémités. Tronc cylin- drique. - Thor
es. Champ visuel nor- mal. Nez camus, sans déviation, aplati à sa
racine
, nez ressem- blant à celui d'un enfant, pas dév
s, ainsi que la fossette scaphoïde et lafossette de l'anthélix.La
racine
de l'hélix ne divise pas la conque. La racine du
ette de l'anthélix.La racine de l'hélix ne divise pas la conque. La
racine
du con- duit auditif externe est normale. L'ouï
bruns, pupilles normales. L'enfant parait myope, - Nez large à sa
racine
et à sa base. Lobule arrondi, épais. - Lèvres épa
brales très petites. Cils mal implantés. Se : droit, étroit il sa
racine
, peu élargi à sa base. Lobule peu épais. Narine
ait à l'enfant d'ouvrir la main, elle touchait le métacarpe près la
racine
des doigts; de même, quand on lui disait de la
▲